Vol au-dessus d’un nid de poulets – par le Dr Ah Kahn Syed.

Comme le dit l’expression anglaise, voici comment on fabrique la saucisse. Ça se passe en Australie – une des cibles majeures de l’opération Covid – et ça montre bien comment s’articulent campagne de presse et pseudo-événement, mécanisme dont l’auteur – déjà publiée sur ce blog ici, ici, ici – décrit ici les rouages.

Avant d’aborder cette histoire de H5N1, bref récapitulatif du Covid? Vous pouvez l’encadrer:

Au départ, le SARS-CoV-2 n’est pas une « arme biologique » mais, un vaccin auto-diffusant pour chauve-souris conçu pour être bénin pour les personnes en bonne santé mais extrêmement contagieux. Vu la très haute visibilité de ses symptômes dans la population, c’était le candidat parfait pour artificiellement créer et prolonger une « pandémie » – le virus original ainsi que tous ses variants étant issus de laboratoires. Vu sa faible létalité – un virus vraiment mortel ne créant pas de pandémie, il tue trop vite les propagateurs – celle-ci a dû être boostée par les interdictions de traitement précoce (ce qui a aussi laissé le champ libre à l’autorisation d’utilisation d’urgence des « vaccins »), tests PCR trafiqués, chiffres bidouillés et certificats de décès « avec Covid » et protocoles hospitaliers mortels.

C’était une répétition générale pour la « pandémie » suivante. Elle a démontré que quasiment tous les médecins hospitaliers étaient prêts à appliquer sans rechigner des protocoles mortels et que la vaste majorité de la population, qui ne sait rien de son propre système immunitaire, était prête à se plier à des injonctions délirantes dictées par des décrets illégaux, et à persécuter les réfractaires.

Bref, tout est prêt pour la « pandémie » suivante, celle qui « attirera l’attention ».

Ouvrez l’oeil.

Note: « the chicken have come home to roost » – les poulets sont revenus se reposer au bercail – est une expression qui signifie que les conséquences finissent toujours par se manifester.


Vol au-dessus d’un nid de poulets

La grippe aviaire à Geelong ne peut signifier qu’une chose: « les poulets de l’Antarctique sont revenus se reposer au bercail ». Il faudrait être fou pour croire à toute autre explication.

Dr Ah Kahn Syed

10 juin 2024

Un rapport gouvernemental privé obtenu cette semaine en réponse à des questions sur la décision d’abattre plus de 500 000 poulets dans l’État de Victoria, en Australie, montre que les personnes qui ont pris cette décision ne disposaient d’aucune preuve vérifiable de l’existence d’un foyer infectieux à haut risque.

Les élevages de poulets prétendument infectés étaient si éloignés de toute source aviaire possible qu’il était peu probable, voire impossible, que cela se soit produit sans une intervention délibérée ou une manipulation des tests.

Le CSIRO, l’équivalent australien de l’Institut de virologie de Wuhan, est la source « épidémique » potentielle la plus proche et ce n’est pas la première fois qu’il est impliqué dans l’émergence de « nouveaux » virus.

L’abattage des poulets semble être une crise fabriquée de toutes pièces.

Cette semaine, j’ai reçu une copie d’un document gouvernemental envoyé en réponse à des questions sur cet événement inhabituel en Australie – l’abattage de 500 000 poulets:

On pourrait penser que ce n’est pas très grave – après tout, notre sécurité alimentaire est primordiale, donc si une voléé de poulets est infectée, il faut réagir rapidement et l’abattre, non?

Pas si vite. La grippe aviaire est ainsi nommée parce qu’elle touche les oiseaux. Et tout comme la FDA nous a dit que nous n’étions pas des chevaux (bien qu’elle ait dû retirer ce tweet et cette page web à la suite d’une décision de justice), nous ne sommes pas non plus des oiseaux. Ainsi, sauf circonstances rares et improbables (ou si un scientifique psychopathe décide de l’adapter à l’homme), la grippe aviaire ne présente aucun risque pour la population humaine. Et une fois le poulet passé dans les friteuses d’un KFC, toute trace de la grippe aviaire aura de toute façon disparu depuis longtemps.

Vous n’êtes pas un cheval. Vous n’êtes pas une vache. Sérieusement, les gars. Arrêtez.
Pourquoi il ne faut pas prendre d’ivermectine pour soigner ou prévenir le COVID-19
L’utilisation de l’ivermectine pour soigner le COVID-19 peut être dangereuse et même mortelle. La FDA n’a pas approuvé ce médicament pour cet usage.

Quel événement catastrophique a-t-il nécessité l’abattage d’un demi-million de poulets (c’est-à-dire les tuer, non pas pour les manger, mais pour les éliminer avant qu’ils n’entrent dans la chaîne alimentaire)?

Apparemment, une épidémie de grippe aviaire H7N31 s’est déclarée dans trois élevages, tandis qu’un autre élevage situé à 100 km de là a été touché par une souche différente de H7, la H7N9. Selon WAHIS (l’agence de surveillance des épizooties), il s’agit des seuls foyers apparus cette année en Australie, et ce presque aussi loin au Sud qu’il est possible.

Près d’un endroit appelé Geelong (dans le même État que Melbourne).

Carte des foyers de grippe aviaire H7 dans le sud de l’Australie, tous les sites se trouvant dans un rayon de 100 km autour de Geelong, siège du CSIRO.

Les personnes attentives auront remarqué que la ville de Geelong présente l’intérêt d’abriter la version australienne de l’Institut de virologie de Wuhan, le CSIRO. Il s’agit bien sûr d’une pure coïncidence, car un foyer infectieux d’origine aviaire peut provenir d’autres sources que celle d’une création par un institut scientifique réputé pour la manipulation l’identification de « nouveaux » virus de chauve-souris.

Comme la plupart des grippes aviaires sont censées provenir d’Asie, voici une jolie carte de l’itinéraire que les oiseaux infectés emprunteraient pour arriver à Geelong. Une longue distance à parcourir, ce qui explique peut-être pourquoi il n’y a pas de H5N1 (grippe aviaire asiatique) « naturelle » en Australie2. Et si des maladies infectieuses arrivaient d’Asie, on les constaterait d’abord dans le Queensland ou les Territoires du Nord.

En fait, la plupart des oiseaux asiatiques ont tendance à ne jamais migrer vers l’Australie, ce qui explique en partie pourquoi les oiseaux australiens sont différents de ceux des autres pays, avec notamment des bizarreries telles que le kookaburra, le cygne noir, le casoar et l’ibis (communément appelé bin chook [poulet des poubelles] en raison de son étonnante faculté à trouver de la nourriture dans les poubelles publiques).

Par conséquent, si l’Australie doit contracter la grippe aviaire H5N1 de manière naturelle, ce ne sera pas chose aisée…

À moins que…

Les petits malins responsables de la grippe aviaire arrivent par la porte de derrière, depuis l’Antarctique.

Bien entendu, le service national de radiotélévision australien ABC a pris une longueur d’avance grâce à cette vidéo de prebunking [NdT. « prebunking » = « debunking » avant l’événement] étonnamment intelligente, qui montre des images de cadavres d’oiseaux mises en scène en mode CNN, afin de faire croire que la situation y est vraiment grave.

Et si vous n’êtes VRAIMENT pas convaincu à quel point c’est MORTEL, on ne vous montre pas seulement des rangées de pélicans morts sur la neige, ON COLORIE « 100 MILLIONS DE TUÉS » EN ROUGE – un rappel du tableau de bord du COVID.

Voilà. Alors, vous avez peur? Non? Très bien, on continue. C’est Jo Sillince, PDG du « Australian Chicken Growers Council », qui prend le relais, figurant à la fois dans l’article de la chaîne ABC pour expliquer à quel point tout cela est effrayant ET dans la vidéo ci-dessus pour expliquer que le danger principal vient de l’Antarctique.

Joanne Sillince, PDG du Conseil australien des éleveurs de poulets (Image ABC)

Si vous n’êtes toujours pas effrayés par Joanne ou par ABC, vous feriez mieux de l’être parce que LA GRIPPE AVIAIRE VIENT D’ANTARCTIQUE POUR TUER NOS POULETS.

Sans vouloir énoncer l’évidence, faire venir la grippe aviaire depuis l’Antarctique n’est pas chose aisée. Voyez-vous, les principaux itinéraires de migration des oiseaux ne comportent pas vraiment de trajet de l’Antarctique à l’Australie.

Et même si l’un ou l’autre albatros antarctique en venait à s’égarer dans les cafés de Melbourne, il aurait eu bien du mal à attraper la grippe aviaire asiatique dans les étendues enneigées de l’Antarctique.

Et puis il y a les pingouins. Pour ceux qui l’ignorent, les pingouins sont des oiseaux. Ils sont capables de voler, mais uniquement dans le milieu fluide de l’eau (la plupart des oiseaux volent dans le milieu fluide de la vapeur d’eau, c’est-à-dire dans l’air). Ils pourraient donc atteindre la côte sud de l’Australie et y déposer leurs fientes grouillantes de grippe aviaire – mais s’aventurer plus loin leur demanderait une longue marche. Si on avait aperçu une famille de pingouins sur la route de Geelong, il y a fort à parier qu’on en aurait parlé dans les journaux.

Avant de nous pencher sur ce qui se trame derrière tout ceci, je me dois de donner quelques informations sur Michelle Wille, amie et multiple co-auteur d’Edward Holmes, lui-même multiple co-auteur des scientifiques d’EcoHealth dont il est question plus loin.

Michelle est la scientifique en chef dans la vidéo « Antarctic Chickens » ci-dessus et en gros, c’est elle qui dirige les campagnes des « virus effrayants » en Australie, pompant au passage des montants colossaux de financement pour la « préparation aux pandémies » qui ne préviennent en réalité jamais les pandémies.

Elle tente ici de nous affoler avec un article paru dans The Conversation, qui accueillait le même Eddie Holmes il y a deux ans avec une histoire similaire nous expliquant que nous étions tous fous de penser que le COVID provenait d’un laboratoire. Sauf qu’il s’avère que c’était bien le cas.

Poulets, canards, phoques et vaches: une souche dangereuse de grippe aviaire frappe à la porte de l’Australie

Voyez-vous comment ça fonctionne?

  1. On crée un virus en utilisant soit un virus existant, soit un nouveau virus, soit un virus manipulé.
  2. On crée la panique autour du virus, même s’il n’est pas très dangereux (voire pas du tout).
  3. On crée un théoricien de la conspiration qui servira de bouc émissaire et sera publiquement ridiculisé si quelqu’un pose des questions sur la création du virus.
  4. On répéte l’opération, en récoltant au passage des millions de dollars de fonds publics pour « prévenir » le prochain virus terrifiant qui ne sera pas du tout prévenu.

Les explications délirantes

Alors, pourrait-il y avoir une autre explication que des poulets de l’Antarctique qui survolent l’océan Austral et infectent leurs congénères des régions tempérées?

Eh bien, étant donné que le CSIRO se trouve dans le voisinage même de la majorité des foyers, cela pourrait donner l’idée d’y jeter un coup d’œil pour voir si, peut-être, ils auraient pu avoir un lien avec un foyer H7N3 voisin, ou si, finalement, un foyer H7N3 a une quelconque importance.

Examinons donc les deux scénarios (qui ne s’excluent pas mutuellement), mais auparavant, un petit rappel de la signification du titre pour ceux qui n’ont pas l’âge pour se souvenir de l’un des films les plus récompensés de tous les temps.

J’ai envisagé de le sous-titrer, mais je le laisserai tel quel pour l’instant.

Jack Nicholson dans « Vol au-dessus d’un nid de coucou ».

Explication délirante n°1 (le terrifiant virus inter-espèce)

Dans ce scénario, une souche de grippe spécifique et terrifiante s’est échappée du CSIRO et s’est retrouvée dans l’exploitation, tuant quelques oiseaux, ce qui a nécessité un confinement.

Ça vous rappelle quelque chose?

Peut-être a-t-il fallu revêtir des combinaisons blanches et souder la porte du poulailler, et qu’on verra bientôt des vidéos de poulets (autres que ceux de l’Antarctique) tomber raide morts sur le sentier de la ferme. Avec des masques.

Le problème, c’est que le CSIRO a un passé. Il a été impliqué à juste titre comme co-contributeur aux origines du SARS-CoV-2 de Wuhan dans l’exposé de Sharri Markson il y a deux ans, que vous pouvez voir dans ce clip de 10 minutes de Sky News.

Bien entendu, si une institution est impliquée dans la manipulation de virus afin de les « modifier » dans un but spécifique, on peut s’attendre à ce qu’elle soit affiliée à l’un de ces programmes DURC, c’est-à-dire « Dual Use Research of Concern », ce qui signifie en langage OMS « nous disons que nous fabriquons des vaccins, mais en réalité nous travaillons avec l’armée américaine pour faire, vous voyez, des trucs militaires américains ».

Et, si c’était bien le cas, on trouverait probablement des traces de leur implication dans les institutions suivantes, financées par l’armée américaine par l’intermédiaire de la DARPA (la progéniture de l’opération Paperclip dont nous avons parlé récemment)

Ouf! Pas de mention de CSIRO, juste les suspects habituels, UC Davis, EcoHealth (l’organisation de Peter Daszak impliquée dans l’origine du COVID) et Metabiota 3, l’organisation liée au Rosemont Seneca de Hunter Biden. Rien que des gens très sympathiques. Et tous chapeautés par cette organisation au nom si doux:

« OneHealth Institute ».

Tout est lié au OneHealth Institute, qui opère dans le monde entier

Tout cela fait très « objectifs durables » – alias fascisme mondial – sous couvert de « santé mondiale ». Sauf que ces gens veulent être en charge de votre santé mondiale, que vous y consentiez ou non.

La personne impliquée dans la création du virus COVID à l’Institut de virologie de Wuhan était communément appelée « BatWoman »; son équivalent au CSIRO serait Gary Crameri.

On pouvait autrefois le regarder parler de la fabuleuse réussite du CSIRO, qui avait à l’époque trouvé « l’origine du virus du SARS », mais ABC a supprimé la vidéo en 2020 4, probablement parce qu’elle contenait des éléments qui impliquaient Crameri ou le CSIRO dans la recherche sur le gain de fonction (DURC). On peut encore entendre ce que Gary avait à raconter puisque ABC a oublié d’effacer le son. [NdT. le clip sonore original est ici, j’en ai fait la traduction ci-dessous]

TONY EASTLEY: Les scientifiques pensent avoir trouvé l’origine du virus mortel connu sous le nom de SARS (syndrome respiratoire aigu sévère). L’équipe, qui comprend des chercheurs de Geelong, a trouvé un parent très proche du virus dans des échantillons fécaux de chauves-souris fer à cheval de Chine.

Le virus du SARS a tué 774 personnes entre 2002 et 2003, et les scientifiques affirment que la découverte de son origine permettra d’éviter une nouvelle épidémie.

Gary Crameri, du CSIRO (Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation), s’entretient ici avec notre journaliste Cameron Best.

GARY CRAMERI: Nous avons découvert deux nouveaux virus du SARS chez des chauves-souris en fer à cheval en Chine. Nous en avons isolé un et identifié un autre, et à ce jour, ils sont les plus proches parents identifiés du virus original du SARS.

CAMERON BEST: Cela fait plusieurs années que vous soupçonnez la chauve-souris d’être en cause. Qu’est-ce qui vous a fait franchir le pas?

GARY CRAMERI: Cela fait environ huit ans que nous recherchons ce virus spécifique chez les chauves-souris et, bien que de nombreux groupes aient fait de même partout dans le monde, ce virus spécifique est capable d’infecter directement l’homme, comme le virus original du SARS. C’est donc la clé de ces nouveaux virus.

CAMERON BEST: S’agit-il d’une étape vers la découverte d’un vaccin?

GARY CRAMERI: À ce stade, les vaccins pour le SARS ne sont pas une priorité. Il n’est apparu qu’à deux reprises, en 2002 et 2003, mais il est important de comprendre la dynamique et l’origine de ces virus.

CAMERON BEST: Le SARS et d’autres virus continueront-ils à causer des décès dans le monde?

GARY CRAMERI: Écoutez, je ne pense pas qu’il y ait beaucoup de doutes sur le fait que le SARS… le potentiel existe pour qu’il réapparaisse. Si les conditions et les circonstances s’y prêtent, il est probable qu’il réapparaîtra.

Nous pensons que les chauves-souris sont des animaux anciens – elles ont plus de 80 millions d’années – et nous pensons qu’elles ont évolué avec ces virus, et que ces virus et les chauves-souris ont potentiellement développé une relation productive. Mais lorsque ces virus se propagent à d’autres mammifères tels que l’homme, alors oui, ils peuvent être très dévastateurs.

Il s’agit d’une niche clé dans notre écosystème; les chauves-souris insectivores ont un rôle énorme à jouer dans le contrôle des populations d’insectes. Nos renards volants, ici en Australie et en Asie, jouent un rôle majeur dans la pollinisation; ce ne sont donc pas des animaux dont nous pouvons nous passer.

Nous vivons en harmonie avec eux, et nous devons continuer, ils ne représentent pas un risque majeur pour nous au quotidien. Ce n’est que dans des circonstances atypiques que ces choses se produisent.

TONY EASTLEY: Gary Crameri, du CSIRO, parlait à Cameron Best.

Bien entendu, il n’y a aucune raison de croire ou de confirmer que les « chauves-souris chinoises » ont créé le SARS, pas plus qu’un pangolin et une chauve-souris n’ont créé le « COVID »5, mais ce qu’on sait, c’est que Gary Crameri était l’un des auteurs de cet article fondamental et on voit ici qui en sont les autres auteurs:

Pour ceux qui l’ignorent, Lin-Fa Wang et Peter Daszak sont les principaux moteurs de l’Ecohealth Alliance (le principal protagoniste impliqué dans la création du COVID) avec Zeng-Li Shi de Wuhan. Bien entendu, les auteurs déclarent « ne pas avoir de conflits d’intérêts », mais à l’époque, recevoir de l’argent des sources de financement de l’armée américaine (USAID et PREDICT) n’était probablement pas considéré comme un « conflit », probablement parce qu’à l’époque, très peu de gens savaient que l’armée américaine continuait à commettre des crimes de guerre en manipulant des agents pathogènes en violation de la Convention sur les armes biologiques (CIAB).

Si on lit la note ci-dessus à la fin de leur article, il est également utile de savoir que le « State Key Program » est le flux de financement scientifique du PCC (Parti communiste chinois).

Des recherches plus approfondies sur Lin-Fa Wang montrent que sa principale affiliation est l’université Duke à Singapour, d’où il dirige le programme PREPARE, essentiellement la version asiatique du programme PREDICT, similaire au programme PREEMPT. Il s’agit essentiellement de programmes qui font transiter des centaines de millions de dollars du contribuable américain via l’USAID et la DARPA (la progéniture cauchemardesque de Paperclip) vers des scientifiques qui prélèvent (prétendument) des échantillons sur le derrière des chauves-souris sans jamais créer un seul médicament utile aux personnes qui les financent.

L’un des nombreux flux de financement de l’armée américaine vers le CSIRO pour la « préparation à la pandémie », qui ne serait probablement pas nécessaire si l’armée américaine cessait de fabriquer des virus.

Notez que la subvention DARPA susmentionnée incluait une société liée au CSIRO appelée « Autonomous Therapeutics » qui fabrique de l’« ARN crypté », ce qui n’a rien d’effrayant et n’évoque en rien du matériel militaire, n’est-ce pas?

Mais ce que cet organisme n’est clairement pas, c’est un fabricant de vaccins, un schéma récurrent.

▶L’argent public va à des organisations militaires clandestines
▶L’armée paie des institutions académiques pour mener des « recherches virales » afin de « se préparer à une pandémie ».
▶Une pandémie plus ou moins grave se produit chaque année.
▶La recherche virale s’intensifie en conséquence de la « pandémie ».
▶Pour « contrer la pandémie », on impose au public de nouveaux vaccins qui n’auraient jamais vu le jour si on n’avait pas fabriqué de virus.
▶Les bénéfices des vaccins vont aux scientifiques et aux entreprises pharmaceutiques qui ont bénéficié d’argent public pour faire de la recherche.

Joli travail de blanchiment d’argent pour qui sait s’y prendre. C’est ce qu’on appelle du « double dipping ». [NdT. le fait de recevoir illégalement des financements de deux sources différentes]

Les scientifiques des NIH ont récolté 710 millions de dollars en droits des fabricants de médicaments – et ont tenté de le cacher.

Toutes les institutions et personnes impliquées sont bien sûr très copines entre elles et elles insistent bien sur le fait de leur importance. Voici Colin Carlson, de l’UC Davis (encore), qui déclare « n’avoir aucun conflit d’intérêts » bien que son institut soit financé par la Fondation Rockefeller, qui est essentiellement BigPharma, et bien qu’il ait reçu 100 millions de dollars de l’USAID pour la « préparation aux pandémies » sous l’égide de « OneHealth » (alias Ecohealth)6.

Colin J. Carlson, qui a déclaré « ne pas avoir d’intérêts concurrents » dans cet éditorial grotesque, mais dont le département est financé par la fondation Rockefeller.

Maintenant que vous savez qui sont les principaux acteurs de ce racket de « préparation à la pandémie », il est bon de savoir que l’équipe du CSIRO a coutume de « trouver des virus » qui sont ensuite utilisés pour créer de « nouveaux vaccins ». Ces mêmes personnes l’ont fait avec le virus Hendra (découvert comme par hasard en Australie en 1994 et apparu dans des épidémies très sporadiques de type Ebola) et pour lequel l’« équipe Hendra » du CSIRO a remporté un prix pour la création d’un vaccin, commercialisé par Zoetis (la branche vétérinaire de Pfizer) en 2013. Le vaccin lui-même a été autorisé en 2012, un an seulement (comme par hasard) après une augmentation soudaine et spectaculaire du nombre de cas sur une période de 8 semaines en 2011, où il y a eu plus de cas que lors des 20 années précédentes.

Bien sûr, le vaccin était « sûr et efficace » (à moins que vous ne demandiez l’avis des propriétaires de chevaux) et pour une maladie rare, mais il a été imposé de force aux entraîneurs de chevaux. Ça vous rappelle quelque chose? Pas de vaccin = pas de service vétérinaire.

De plus, quand on cherche un peu, on y retrouve les mêmes acteurs: Linfa Wang et Gary Crameri, ainsi que la directrice du département, Deborah Middleton.

Ce sont ces mêmes personnes (auxquelles s’ajoute Hume Field d’Ecohealth) qui, en 2012, ont acessoirement « découvert une nouvelle souche de virus similaire à celui du Hendra chez les chauves-souris », qu’ils ont appelé le virus Cedar.

Le virus Cedar était non seulement totalement nouveau, mais ces mêmes personnes, encore, l’ont breveté. Ce qui signifie qu’il était également synthétique (car on ne peut pas breveter une chose qui existe dans la nature si elle n’est pas manipulée d’une manière ou d’une autre pour la rendre différente). Bien entendu, c’est une pure coïncidence que ce groupe ait également créé une lignée cellulaire de chauve-souris totalement nouvelle deux ans plus tôt, en ajoutant les oncogènes SV40 et hTERT aux cellules de chauve-souris.

Et d’où venait le financement de ce projet « créons une lignée de cellules de chauve-souris dans laquelle nous pourrons faire passer des virus »? De l‘armée américaine bien sûr 7, par l’intermédiaire d’un certain Chris Broder et du NIAID (l’organisation de Tony Fauci). Ce genre d’histoire ne s’invente pas.

Et pourquoi est-ce que je vous parle de toutes ces personnes liées au CSIRO et à OneHealth?

C’est parce que la semaine dernière, alors que ABC nous abreuvait de guano sur les poulets de l’Antarctique, une réunion se tenait sur le « risque urgent de grippe aviaire H5N1 en Australie » – le décor ayant préalablement été planté par l’abattage d’oiseaux en raison d’une « épidémie » d’une grippe aviaire totalement différente (H7, vous vous souvenez?).

Et qui était l’hôte de cette réunion? One Health bien sûr, habilement déguisé en « Centre pour les maladies infectieuses et la microbiologie », qui n’est en réalité qu’un vaste réseau de groupes de microbiologie aux intérêts spécifiques coordonnés avec ceux de OneHealth.

Les principaux acteurs y étaient présents, y compris le Dr Michelle Wille, la personne qui, dans la vidéo d’ABC, nous dit que l’effrayante grippe aviaire provient des poulets de l’Antarctique ou de Dieu sait quoi d’autre. La voici encore, lauréate d’un prix pour son travail avec Eddie Holmes en 20208:

Pourriez-vous donner un aperçu simple et bref du sujet traité dans votre document?
Notre article vise à rassembler et à synthétiser toutes les études sur les coronavirus chez les oiseaux sauvages. On sait depuis longtemps que les oiseaux sont d’importants réservoirs de coronavirus, le virus de la bronchite infectieuse étant le premier coronavirus décrit. Toutefois, ce n’est qu’au cours des deux dernières décennies que nous avons commencé à rechercher ces virus chez les oiseaux sauvages. En compilant la littérature, nous avons cherché à révéler la diversité des virus et à démêler la gamme d’hôtes et l’écologie de ces virus. Grâce à ce travail, nous avons révélé d’importants biais dans les travaux réalisés jusqu’à présent, le manque de cohérence dans les méthodes de détection et de caractérisation, et le manque général d’outils pour la sérologie et l’isolement des virus ». – Dr Michelle et Prof Edward

Pour s’assurer que tout le monde chante la même partition, OneHealth dispose désormais de son propre département au sein de NSW Health (le principal organisme de santé en Australie qui dirige la plupart des politiques) – mais vous ne le trouverez pas. Il n’existe que dans certains documents, comme le programme ci-dessus (le programme complet est affiché dans les notes de bas de page)9.

La directrice de OneHealth-NSW Health est Keira Glasgow, qui a participé à ce panel.

Keira Glasgow, directrice de la branche One Health de la Nouvelle-Galles du Sud, a déclaré que ce cas faisait suite à des détections récentes de MVE (https://health.nsw.gov.au/news/Pages/20230203_00.aspx…) chez des moustiques et des poulets sentinelles dans certaines parties de l’ouest et du sud de la Nouvelle-Galles du Sud, où une surveillance est exercée.

Frank Wong, du CSIRO, fait également partie de ce panel et montre ici au public à quel point le H5N1 (celui qui ne pourrait pas vraiment atteindre l’Australie sans l’aide extérieure des « scientifiques ») est effrayant.

Notez l’idée de « bond inter-espèce » où la grippe aviaire se transforme soudain en pathogène à haut risque pour les mammifères. Ce n’est possible qu’avec l’aide d’organismes tels que le CSIRO. Ce n’est possible que dans les films et dans les laboratoires. Ça se prépare en laboratoire, où les virus sont soumis à des passages répétés dans des types de cellules spécifiques, comme celles que le CSIRO a créées à cette fin. Par exemple, le « variant britannique du COVID » (N501Y) a été créé de cette manière en 202010.

Il y a deux choses importantes à noter à ce stade:

  1. La souche de grippe « effrayante » est la H5N1, mais elle ne peut pas atteindre l’Australie à moins que quelqu’un ne l’y introduise – ou ne l’y fabrique.
  2. La souche pas-si-effrayante est le H7N3, le prétexte utilisé par le gouvernement pour abattre 500 000 poulets.

Le second, le H7N3, est essentiellement endémique et nous l’aborderons donc dans la section suivante.

Mais le H5N1 est problématique et, étant donné que l’Australie est naturellement protégée contre ce virus, la pire chose serait que le CSIRO fasse des expériences sur le H5N1 vivant.

Eh bien, il est trop tard. Ils le font déjà. Extrait de notre rapport gouvernemental:

Q: Des expériences ont-elles été menées à l’aide de virus H5N1, H7N9 ou H7N3 vivants, ou de clones de ces trois souches de grippe, au CSIRO au cours de la période 2021-24?

R: Au cours de la période concernée, le personnel du CSIRO a mené, dans des conditions de confinement biologique élevé et dans le respect de mesures réglementaires strictes, des travaux expérimentaux sur des virus vivants avec une gamme de sous-types H5N1 afin d’améliorer notre compréhension du virus. Aucune expérience n’a été réalisée avec des virus vivants H7N3 ou H7N9.

Bingo.

Le CSIRO, qui a été profondément impliqué dans la découverte, la manipulation et la synthèse de virus à haut risque, nous dit maintenant que le H5N1 va arriver en Australie.

Pourtant, comme il n’est pas possible qu’il arrive naturellement en Australie, nous allons prendre le risque de l’y amener par le biais de la « science », en menant des études à haut risque sur un virus qui n’a nul besoin d’être étudié en Australie.

La seule conclusion possible est que tout foyer de H5N1 en Australie peut désormais être considéré comme provenant du CSIRO.

À ce stade, l’infirmière Ratched doit vérifier que vous avez bien pris vos médicaments et que vous ne risquez pas de vous rebeller en lisant la prochaine partie, qui présente l’explication la plus probable de ce qui s’est vraiment passé à Victoria (et non de ce qui pourrait se passer).

Explication délirante n°2 (le virus endémique)

Cette explication est beaucoup plus simple, mais elle montre comment fonctionne la propagande. Si vous avez bien tout suivi, vous vous êtes rendu compte que tout le battage médiatique s’articule autour de l’effrayant H5N1, qui n’existe pas en Australie (du moins pas de manière significative), qui ne peut pas infecter les humains sans manipulation préalable et pour lequel des « vaccins » sont déjà en cours d’acheminement 🙄.

Pourtant, l’abattage de 500 000 oiseaux a été effectué principalement sur la base d’un foyer de H7N3 près de Geelong. C’est-à-dire une grippe aviaire H7.

Or, le H7 est un tout autre genre d’oiseau de l’Antarctique [NdT. il y a un jeu de mots en anglais, intraduisible]. Selon un article récent rédigé par les mêmes personnes que celles mentionnées ci-dessus (Michelle Wille, Eddie Holmes, Frank Wong) et menant des recherches dans les mêmes institutions (CSIRO et autres, avec un financement du gouvernement australien et des subventions du NIAID), le virus H7 semble être pratiquement endémique en Australie.

Voici l’article:

Voici, selon l’article, la répartition des types, qui montre une répartition assez forte des types H7 parmi les différentes souches détectées.

Le supplément contient un joli graphique qui montre la probabilité de séquencer un génome particulier à partir d’un échantillon « testé positif » par PCR.

Probabilité d’obtenir des séquences complètes du virus H7N3 à partir d’oiseaux australiens, en corrélation avec l’infectiosité. Les valeurs de Ct supérieures à 28 représentent principalement des « résidus »

C’est très instructif et ça montre que plus le test PCR est positif (par une valeur Ct faible), plus il est probable que l’échantillon produise une séquence valide. Ce fait était également bien connu lors du « COVID », lorsque le CDC a imposé que, pour un « test COVID » positif, toute valeur de Ct supérieure à 28 était pratiquement inutile pour le séquençage génétique11.

Pour la même raison, la plupart des échantillons infectieux sont trouvés lorsque la valeur Ct est bien inférieure à 25 cycles. En effet, le test PCR peut détecter des fragments d’ARN non infectieux qu’il ne peut différencier des particules activement infectieuses. Toutefois, plus la valeur est faible, plus les particules infectieuses sont susceptibles d’être intactes et donc infectieuses.

Plus le seuil de Ct est élevé (au-dessus de la valeur de Ct où le test est considéré comme positif), plus il est probable que l’on détecte des résidus non infectieux. Comme vous pouvez le voir sur le graphique, le point à partir duquel le test passe de « probablement infectieux » à « détection de résidus » se situe quelque part autour de 30-35 au maximum.

Il a donc été demandé au gouvernement quelles valeurs il utilisait pour détecter la grippe du poulet de l’Antarctique dans les élevages d’oiseaux où il l’avait isolée.

Voici ce qui a été répondu:

Des informations concernant les 6 questions suivantes ont été demandées au CSIRO, au Commonwealth Department of Agriculture, Forestry and Fisheries (DAFF) et à Agriculture Victoria:

  1. Combien d’animaux ont été testés sur chacun des trois sites (Terang, Meredith et Lethbridge)?
  2. Combien de poulets ont été testés positifs sur chaque site?
  3. Combien de cas individuels de H7N9 et de H7N3 ont été découverts sur chaque site?
  4. Combien de décès (dus à l’infection et non à l’abattage) ont été enregistrés sur chaque site?

Questions 1 à 4: Il est préférable d’adresser ces questions à Agriculture Victoria, car le CSIRO ne dispose pas de ces informations.

  1. Si la PCR était la principale modalité de test, sait-on encore à quelle valeur de Ct les tests ont été effectués ou déclarés positifs?

Les valeurs de Ct pour les tests PCR en temps réel doivent être interprétées dans le contexte du système de test pour lequel elles ont été validées et ne fournissent pas de comparateur absolu en dehors de ce contexte. Les tests utilisés par le Centre australien de préparation aux maladies du CSIRO, qui sont validés dans le cadre de notre système de qualité accrédité ISO 17025, sont considérés comme positifs pour une valeur de Ct de 40 ou moins, négatifs pour une valeur de Ct supérieure à 45 et indéterminés entre ces valeurs. D’autres laboratoires établiront toutefois leurs propres valeurs limites conformément à leurs propres systèmes d’accréditation.

Ainsi, le CSIRO et le DAFF ne savent pas où les tests ont été effectués, qui les a effectués, combien de poulets étaient positifs, à quelles valeurs Ct ils étaient positifs et combien sont effectivement morts de la grippe du poulet de l’Antarctique.

Poulets panda de l’Antarctique. Ils n’existent pas en vrai.

Même sans savoir si leurs tests ont une quelconque valeur, ni même si des poulets ont été malades ou sont morts à la suite de l’apparition d’un virus endémique, qui n’affecte en rien les êtres humains…

Le gouvernement, guidé par le CSIRO et probablement par OneHealth, a décidé de tuer plus de 500 000 poulets.

Et personne ne sait qui a signé l’ordre.

Ce qui rappelle beaucoup le COVID, comme nous l’avions expliqué plus tôt cette année, où le « test COVID » a entraîné des changements dans le protocole de la pandémie qui ont presque certainement tué plus de personnes que celles qui seraient mortes si aucun test n’avait été effectué et si les patients avaient été traités pour les conséquences de l’infection, telles que la pneumonie bactérienne, comme ils l’avaient été pendant des décennies.

Et tout comme le COVID avec ses protocoles et directives anonymes issus du « MAGICapp » de l’OMS, personne ne sait qui a pris la décision.

Selon leurs propres termes et après une seconde demande:

Q: Veuillez indiquer le nom du service ou le contact qui peut fournir des informations sur la décision d’abattre les oiseaux.

R: Agriculture Victoria fait partie du Ministère de l’énergie, de l’environnement et de l’action climatique (DEECA) du gouvernement de l’État de Victoria et est responsable de la réglementation des menaces et des urgences en matière de biosécurité dans l’État. Il est probable qu’il s’agisse du meilleur contact pour obtenir ces informations. Les coordonnées des personnes à contacter sont indiquées sur la page web « Contact us« .

Conclusion

Et voilà. Personne ne sait rien, mais un demi-million de poulets ont été tués et il y a maintenant une pénurie d’œufs. Qui l’aurait cru?

Pourtant, pour justifier cet abattage, OneHealth et ses organisations affiliées ont été recrutées pour faire la propagande d’une autre grippe pandémique qui n’a jamais atteint l’Australie et qui n’affecte pas naturellement la population humaine, juste pour semer la confusion dans l’esprit du public.

Ces mêmes organisations sont payées des centaines de millions de dollars par le public pour continuer à faire peur et justifier leur existence, alors qu’il est possible – voire probable – que toutes les « pandémies » de ce siècle ont été précipitées par les actions de ces mêmes organisations.

Il faut que ça cesse. S’ils détruisent l’approvisionnement alimentaire, il pourraient au moins avoir la décence de produire sur demande des preuves vérifiables de leur réaction excessivement zélée.

En attendant, tous ceux d’entre nous que le gouvernement a réduits au silence et traités de « conspirationnistes cinglés » peuvent retourner au nid de coucou pour y recevoir de l’infirmière Ratched leur prochaine dose de médicaments .

Pour leur propre sécurité, bien sûr.


  1. À ce jour, trois exploitations ont été touchées par le virus H7N3. Une autre exploitation, située à 100 km de là, a été touchée par le H7N9. Il s’agit dans les deux cas de souches H7 de la grippe aviaire. ↩︎
  2. https://www.abc.net.au/news/2024-06-08/who-says-australia-human-case-of-bird-flu-followed-india-travel/103954424 ↩︎
  3. Archive https://archive.is/ZLgH1 ( notez que cet article est plutôt complaisant mais qu’il a quand même du mal à justifier les liens entre l’armée américaine et Hunter Biden par l’intermédiaire de Metabiota). ↩︎
  4. Archive https://archive.is/Sh6HW ↩︎
  5. Comme expliqué ici, y compris la proposition DEFUSE examinée par le comité restreint COVID au début de cette année ↩︎
  6. La brochure de PREDICT: https://www.arkmedic.info/api/v1/file/60b87213-e838-4333-baad-2c878350f1e0.pdf ↩︎
  7. Archive https://archive.is/qVk6S ↩︎
  8. Archive https://archive.is/Fonpu ↩︎
  9. Dépliant pour le webinaire CIDMPH OneHealth sur la grippe aviaire ↩︎
  10. Gu et al. Adaptation du SARS-CoV-2 chez les souris BALB/c pour tester l’efficacité du vaccin. Septembre 2020. Cet article montre comment il est possible de prendre un virus et de le faire passer dans des cellules de souris suffisamment de fois pour obtenir une mutation qui lui permette de survivre dans cette espèce. À la suite de la publication de ce protocole, le N501Y est arrivé au Royaume-Uni. À l’époque, Astrazeneca essayait de trouver un modèle de souris pour tester son vaccin.
    https://www.science.org/doi/10.1126/science.abc4730 ↩︎
  11. Notez que ce document, ou du moins toute référence à celui-ci, a été supprimé des archives du CDC. ↩︎

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