Les champs de la mort de Samoa – par le Dr Ah Kahn Syed.

Le Dr Ah Kahn Syed écrit des articles très bien documentés et pleins de bon sens. J’en avais traduit un ici, essentiel. En voici un autre. Il date un peu (enfin, trois mois) mais ce n’est pas un problème. Accrochez-vous à vos chaussettes, c’est du lourd et ça devient pire à la fin.

J’ai aussi traduit en fin d’article des commentaires de quelqu’un qui était sur le terrain à l’époque – donc source d’info de première main – et collabore avec Robert F Kennedy Jr. À ce propos, je reproduirai bientôt ici, puisqu’elle m’en donne l’autorisation, un article d’une autre collaboratrice de Kennedy, ma compatriote Senta Depuydt, extrait de son Substack.

J’ai remarqué que ce sont mes articles au titre le plus accrocheur (genre putaclic) qui sont les plus lus. Le titre du présent article ne rentrant clairement pas dans cette catégorie, vous seriez bien aimables d’aider à le diffuser, si vous pensez comme moi qu’il en vaut la peine.

Note: comme d’habitude, vous trouverez la traduction du texte qui figure sur les images et tweets juste en-dessous de ceux-ci, sous forme de citation.

Source.


Les champs de la mort de Samoa

Que s’est-il passé à Samoa en 2019 et pourquoi est-ce si important aujourd’hui?

Dr Ah Kahn Syed

19 novembre 2022

Nous remontons le temps aujourd’hui… pas tout à fait jusqu’à l’époque d’Ingersoll Lockwood [NdT. avocat et écrivain américain (1841-1918) – sur Wiki], juste un peu. En 2019. Juste avant la « pandémie COVID-19 ». L’endroit? Les magnifiques îles de Samoa.

Vous me demanderez: « De quoi parlez-vous? Que s’est-il passé à Samoa? »

Il s’est passé beaucoup de choses. Tout cela en un mois, en novembre 2019 – juste avant que la PANDEMIE™ ne frappe, et vous verrez que les similitudes avec la PANDEMIE™ sont étranges – jusqu’aux mêmes confinements forcés et vaccinations forcées qui n’ont jamais eu pour but que d’imposer le fascisme médical à une population – parce que tous les documents de planification pandémique antérieurs à 2020 disaient qu’ils n’étaient pas utiles pour contenir une épidémie virale.

Passons maintenant aux Samoa (et aux îles Fidji et Tonga voisines) en 2019. Voici la chronologie

  • Avril 2019 – Le ROR est relancé à Samoa après une pause du programme de vaccination en 2018 suite à deux décès d’enfants liés au vaccin. Le programme de vaccination a été mal accueilli par la population samoane et la prévalence était faible.
  • 1er oct 2019 – L’UNICEF a livré 135 000 doses de vaccins contre la rougeole à Fidji, 110 500 doses de vaccins contre la rougeole à Samoa (ainsi que des fournitures de vitamine A) et 12 000 doses de vaccins contre la rougeole à Tonga.
  • 18 octobre 2019 – Les Samoa déclarent une épidémie de rougeole.
  • 24 oct. 2019 – Les Tonga déclarent une épidémie de rougeole.
  • 7 novembre 2019 – Les Fidji déclarent une épidémie de rougeole (archives ici).
  • 15 Nov 2019 – L’état d’urgence est déclaré à Samoa après 1000 cas et 15 décès (dont 14 enfants de moins de cinq ans).

Immédiatement, la machine de propagande entre en action en faisant croire au monde que le problème est le fait que les Samoa – pour une année seulement – avaient un taux de vaccination inférieur à celui des îles voisines…

[NdT. source]
  • L’UNICEF travaille en étroite collaboration avec le Ministère de la Santé et l’OMS à Samoa pour cibler les enfants âgés de 6 mois à 19 ans et les femmes qui ne sont pas enceintes entre 20 et 35 ans.
  • Toutes les écoles ont également été temporairement fermées à Samoa et le gouvernement a conseillé aux enfants de moins de 17 ans de ne pas assister à des rassemblements publics afin de contenir la propagation de la maladie.
  • Pour mieux contenir l’épidémie, le gouvernement tongien a annoncé la fermeture temporaire de toutes les écoles primaires publiques du 14 au 25 novembre.
  • Les Fidji ont une couverture de la rougeole de 94% en 2018, sur la base des estimations de l’OMS et de l’UNICEF de 94% de couverture vaccinale contre la rougeole.

D’autres estimations de la couverture vaccinale dans la région estiment en fait qu’elle est proche de 100% à Fidji et à Tonga et qu’elle a atteint 100% à Samoa en 2013, après quoi elle a commencé à baisser. En d’autres termes, si les vaccins fonctionnaient comme promis, l’immunité collective aurait dû être atteinte des années auparavant. En fait, malgré des taux de vaccination mondiaux supérieurs à 80%, il semble que la promesse d’immunité collective n’ait jamais été tenue pour la rougeole. [NdT. je connais personnellement quelqu’un qui a fait la rougeole trois fois, dont deux fois à l’âge adulte – et elle a été vaccinée enfant]

Figure: Couverture de la première dose de vaccin contre la rougeole (MCV1) et de la deuxième dose de vaccin contre la rougeole (MCV2) à Samoa, 2004-2018.
Pas de données pour 2015. Reproduit à partir de données extraites de la base de données de l’OMS.

Cela a été confirmé par le fait que les Fidji et les Tonga ont connu des épidémies de rougeole en dépit de taux de vaccination proches de 100% – les vaccins n’ont donc pas du tout empêché une vague massive d’infections.

Au total, 32 743 vaccinations ont été réalisées avant la Campagne de Vaccination de Masse.

Depuis l’activation de la Campagne le 20 novembre 2019, le Ministère a vacciné avec succès 17 088 personnes.

Des vaccinations gratuites continuent d’être administrées pour les groupes cibles ci-dessous.

Et en fait, il y avait eu une campagne de vaccination de masse qui avait déjà fourni 32 743 vaccins (principalement des enfants) avant l’épidémie – pour une population de 200 000 personnes, dont environ 20 000 enfants de moins de 5 ans. En d’autres termes, une partie suffisante de la population samoane avait été vaccinée en 2019 pour être « protégée » d’une épidémie mortelle de rougeole.

Alors pourquoi l’épidémie des Samoa était-elle un problème tel qu’elle a été rapportée dans le monde entier alors que les épidémies des Fidji et des Tonga ont été ignorées? Eh bien, des enfants mouraient. En grand nombre. En fait, le taux de mortalité dans l’épidémie de rougeole de Samoa de novembre 2019 était 40 fois supérieur au taux de mortalité habituel pour la rougeole dans les pays développés.

Pardon, quoi? Voici le tableau officiel en date du 8 décembre 2019 provenant du fil twitter du gouvernement samoan alors que la population était « vaccinée à 90% ».

Dans la catégorie des moins de 10 ans, ce chiffre est de 62 décès sur 2898, soit 2,1%1. Le taux de mortalité typique pour la rougeole dans les « économies développées » est de 0,05%. Voici une étude datant de 2009, mais d’autres études similaires ont été réalisées depuis.

J’ai volontairement choisi une revue ancienne, malgré le fait qu’elle ait été financée par l’OMS. Il est difficile de trouver une étude ultérieure qui ne soit pas financée par la Fondation Bill et Melinda Gates. Les auteurs ont conclu qu’il y avait une tendance à la baisse du ratio cas-létalité (case fatality rate, CFR) dans les populations vaccinées, mais que cette tendance n’était pas définitive et que la supplémentation en vitamine A pouvait également présenter un avantage. L’association sous-jacente la plus importante avec les CFR rapportés est en fait le lieu où l’étude a été réalisée, les zones rurales et urbaines présentant des CFR plus élevés du fait qu’ils étaient biaisés vers les zones ayant une incidence plus élevée de flambées de rougeole.

Nous pouvons donc supposer que le véritable CFR de la rougeole devrait être bien inférieur à 1% dans les populations saines, indépendamment de la couverture vaccinale. En fait, la vaccination contre la rougeole est censée prévenir les épidémies (c’est-à-dire l’infection) plutôt que les complications de l’épidémie (par exemple, le décès et la pneumonie). Il est donc intéressant de voir ce qui se passe dans des populations totalement non vaccinées et pourquoi les victimes peuvent mourir – un indice donné dans cette étude.

Cinq (83%) des 6 décès sont survenus chez des femmes, dont 3 avaient des maladies sous-jacentes. Le taux global de létalité était de 1,2%. Le taux de létalité était de 2% chez les femmes, 0,4% chez les hommes (P = 0,22), 1,7% pour les cas primaires et 0,7% pour les cas secondaires dans les ménages (P = 0,67). Un seul des enfants décédés avait reçu des soins médicaux. La rougeole s’est propagée rapidement dans ce groupe, n’épargnant que peu de personnes sensibles. Le manque de soins médicaux et la maladie sous-jacente semblent avoir contribué au taux élevé de létalité dans les communautés religieuses.

L’idée est qu’un aperçu rationnel des taux de mortalité dus à la rougeole devrait évaluer les soins médicaux apportés aux cas de rougeole plutôt que de s’appuyer sur la seule vaccination comme méthode de contrôle des décès dus à la rougeole. Pour étayer ce point, malgré les programmes de vaccination contre la rougeole qui touchent presque toutes les communautés de tous les pays du monde, qu’en est-il des taux de mortalité dus à la rougeole?

Les lecteurs avisés auront déjà deviné ce titre

Plus de 140 000 personnes meurent de la rougeole alors que les cas augmentent dans le monde entier
Les nourrissons et les jeunes enfants sont les plus exposés au risque de complications fatales, selon les agences sanitaires.

Oups.

L’épidémie dévastatrice et mortelle de Samoa présente donc deux aspects.

  1. Pourquoi une épidémie de rougeole s’est-elle déclarée dans trois îles voisines au même moment, quelques semaines seulement après la livraison de vaccins de l’UNICEF dans ces mêmes îles?
  2. Pourquoi le taux de mortalité dans l’épidémie des Samoa a-t-il atteint des niveaux si élevés, bien supérieurs à ce que l’on pourrait attendre dans un pays ayant accès aux soins de santé?

En ce qui concerne le premier point, il est clair que le vaccin n’a pas permis de prévenir les épidémies, ce qui signifie que soit les vaccins contre la rougeole ne fonctionnent pas (pas seulement le vaccin actuel, mais aussi ceux des années précédentes qui étaient censés conférer une immunité collective), soit une nouvelle souche de rougeole a été introduite, qui n’était pas couverte par les vaccins.

En ce qui concerne le deuxième point, les rapports sur le terrain montrent clairement qu’il a été très difficile d’obtenir des traitements médicaux pour les personnes touchées. Cela vaut vraiment la peine de regarder cet épisode de The Highwire de décembre 2019 qui donne une vision très différente de la situation que celle rapportée par le gouvernement et l’OMS.

[cliquer sur la photo pour accéder à la vidéo]

Ce qui ressort des rapports de l’époque aux Samoa, c’est que les soins médicaux de base, y compris la vitamine A, la vitamine C et d’autres mesures de soutien, ont été refusés aux enfants des Samoa. C’est presque comme s’il était nécessaire que beaucoup d’enfants meurent pour promouvoir un récit qui exigeait ensuite l’intervention du gouvernement « pour régler le problème ». Pour être clair, ces enfants n’avaient pas à mourir. Ils sont morts parce que le gouvernement avait besoin de convaincre la population qu’il était aux commandes et que la dissidence n’était pas autorisée. Les gouvernements font ce genre de choses. [NdT. le lien est en français]

Quoi qu’il en soit, l’intervention souhaitée a eu lieu rapidement, début décembre.

En réponse à l’épidémie actuelle de rougeole, le @samoagovt entreprendra une « Campagne de vaccination de masse en porte-à-porte » le jeudi 5 et le vendredi 6 décembre 2019 de 7h à 17h sur l’ensemble du territoire.
Lire l’avis complet sur https://facebook.com/samoagovt/


Un abus absolu de pouvoir et une violation des libertés et des droits individuels. Vous devriez être en train de distribuer la #VitamineA et la #VitamineC dont on a désespérément besoin, conformément aux recommandations de l’OMS sur la rougeole, et non de forcer les gens à se faire vacciner!

Qu’est-ce que cette « folle théoricienne de la conspiration anti-vaxx » prétend? La vitamine A et la vitamine C traitent la rougeole? C’est dingue, pas vrai?

Non.

La vitamine A pour traiter la rougeole chez les enfants

Pour que les choses soient claires, il est préférable que les enfants n’attrapent pas la rougeole, mais si c’est le cas, des mesures de soutien appropriées (comme dans les pays « développés » où la rougeole sévit toujours malgré des taux de vaccination supérieurs à 95%) réduisent le risque de décès. C’est également ce qu’affirme l’OMS.

Les complications graves de la rougeole peuvent être réduites par des soins de soutien assurant une bonne nutrition, un apport hydrique adéquat et le traitement de la déshydratation avec la solution de réhydratation orale recommandée par l’OMS. Cette solution remplace les liquides et autres éléments essentiels perdus par la diarrhée ou les vomissements. Des antibiotiques doivent être prescrits pour traiter les infections des yeux et des oreilles, ainsi que la pneumonie.

Tous les enfants diagnostiqués comme ayant la rougeole doivent recevoir deux doses de suppléments de vitamine A, administrées à 24 heures d’intervalle. Ce traitement rétablit les faibles taux de vitamine A pendant la rougeole, qui se produisent même chez les enfants bien nourris, et peut aider à prévenir les lésions oculaires et la cécité. Il a également été démontré que les suppléments de vitamine A réduisent le nombre de décès dus à la rougeole.

Bien sûr, la supplémentation en vitamine A est devenue en décembre une « théorie du complot anti-vaxx », malgré le fait que l’UNICEF ait livré des suppléments de vitamine A à Samoa en novembre.

Le personnel de santé et de communication a été envoyé par @UNICEF à Samoa pour stimuler la campagne de vaccination du gouvernement, livrant (jusqu’à mardi) 110 500 doses de vaccin et 30 000 comprimés de vitamine A. Des vaccins ont également été envoyés à Tonga, Fiji et N… @DFAT#AustralianAid #VaccinesWork

Et, comme à l’accoutumée, les mêmes voix sur Twitter, dont le seul but était de supprimer les comptes comme le nôtre qui fournissaient ce genre d’informations supplémentaires (qui pouvaient sauver des vies) à l’époque du COVID, s’y mettaient déjà lors de la catastrophe de Samoa.

Vous, les pétasses #AntiVaxxer, qui partagez sur les médias sociaux des informations sur #Samoa, #Measles & #VitaminA, est-ce que l’un d’entre vous s’est seulement rendu à Samoa, et a fait la sérologie de ces Samoans à qui vous voulez donner de la vitamine A, pour déterminer que chacun d’entre eux est déficient en vitamine A?

N’est-ce pas le même scénario que celui que nous avons vu ces 3 dernières années?

  1. Une épidémie virale apparaît de façon suspecte
  2. Des médicaments sûrs et réadaptés (y compris des vitamines) sont refusés comme traitement d’appoint à des personnes qui en bénéficieraient probablement sans aucun risque.
  3. Les fabricants de vaccins débarquent pour soi-disant sauver la situation (et probablement l’aggraver, car la vaccination d’une population pendant une épidémie est généralement une très mauvaise idée).
  4. Des groupes de pression sur les médias sociaux passent à l’action pour dénigrer toute personne suggérant autre chose que ce que BigPharma et BigGovt proposent comme solution, et beaucoup plus de gens meurent qu’ils n’auraient dû.

Je profite de cette occasion pour souligner que ces groupes de pression sont insidieux. Ils représentent le côté obscur de la science et de la médecine et tant qu’ils seront autorisés à faire ce qu’ils font, souvent sponsorisés par les gouvernements (comme moyen de contrôle coercitif de la population), les gens continueront à être contraints à des interventions médicales selon des méthodes qui ne sont guère différentes de celles de l’Allemagne nazie. Le résultat a été un niveau excessif de décès dans le monde entier et je tiens à souligner que sans ces fantassins parasites des groupes de pression, plusieurs centaines de milliers de décès auraient pu être évités. J’ai écrit à leur sujet pendant plus d’un an.

Cela vaut vraiment la peine de lire la transcription complète du discours de cette larve. Il est typique de l’élitisme auquel nous sommes confrontés, soutenu par les banques et le FEM. Rappelez-vous que ces gens pensent que vous (le prolétariat) ne devriez pas avoir le droit de vote et que vous êtes des mangeurs inutiles. Par conséquent, votre opinion n’est pas pertinente et ils décideront de ce qui est le mieux pour vous.
[NdT. la page en lien n’est plus en ligne]

La situation a empiré à Samoa car, une fois l’épidémie de rougeole atypique et atypiquement mortelle survenue, les choses ont rapidement dégénéré. Qu’a fait le gouvernement samoan? Il a imposé la vaccination contre la rougeole et a fait appel à l’armée chinoise pour l’aider (notez que toute référence à la présence de l’armée chinoise à Samoa a été supprimée de l’internet2). La population a reçu l’ordre de placer un drapeau rouge devant sa maison pour indiquer qu’elle n’était pas vaccinée. Vous voyez maintenant l’image du ghetto de Varsovie?

Samoa: la vaccination contre la rougeole devient obligatoire
À partir du mois prochain, chaque enfant samoan devra obligatoirement être vacciné contre la rougeole lorsqu’il aura atteint l’âge requis de six mois.

En fait, c’était tellement affreux qu’il y a eu une campagne de protestation sur Twitter avec le hashtag #NaziSamoa. Bonne chance pour trouver maintenant des tweets dissidents avec cette référence.

Mais alors que le nombre de cas et de décès continue de grimper, les autorités ont pris une mesure supplémentaire pour marquer les maisons des personnes non vaccinées.

« Il est conseillé au public d’attacher un tissu rouge ou un drapeau rouge devant leur maison et près de la route pour indiquer que des membres de leur famille n’ont pas été vaccinés », peut-on lire dans un communiqué du gouvernement publié mardi. « La marque rouge permet aux équipes d’identifier plus facilement les foyers à vacciner ».

Les militants anti-vaccins, quant à eux, protestent contre la campagne de vaccination et ont comparé le gouvernement aux nazis, en utilisant le hashtag #NaziSamoa sur Twitter.

Et bien sûr, pour « pousser » tout dissident samoan à se conformer à la directive gouvernementale, le gouvernement a également confiné le pays en fermant les écoles et en interdisant les rassemblements. Ça vous rappelle quelque chose?

Des drapeaux rouges flotteront au-dessus des maisons des personnes non-vaccinées à Samoa tandis que le gouvernement confine et que le nombre de morts de la rougeole augmente

Est-ce la dernière pièce du puzzle?

Il y a une pièce du puzzle des Samoa qui me taraude. Il s’agit de savoir pourquoi une population relativement vaccinée a pu s’en sortir si mal lors d’une épidémie de rougeole. Pour que cela se produise, il fallait que la souche soit inhabituelle. Or, la ligne officielle était qu’il s’agissait d’une souche D8, et non d’une « souche A liée à la vaccination ».

Ce qui m’a toujours turlupiné, c’est que je n’ai pu trouver aucune confirmation génomique de la souche de rougeole de Samoa dans Genbank. La seule souche documentée en 2019 provient des Samoa occidentales, et non des Samoa. Alors comment savons-nous qu’il s’agissait d’une souche de rougeole « naturelle » ? On ne le sait pas.

Et voici le détail insidieux. Le détail qui fait le lien avec le fait qu’il existe des preuves émergentes que le SARS-CoV-2 est apparu avant décembre 2019.

Imaginons que les pires psychopathes du monde (c’est-à-dire les virologues à gain de fonction3) créent une chimère entre l’un des virus les plus infectieux connus de l’homme (la rougeole) et le SARS-Cov-2. Et bien, c’est ce qu’ils ont fait, et cela fait un an que je ne cesse de le répéter. C’est ce petit bijou:

Les psychopathes sont souvent fiers de leur travail. C’est pourquoi ils aiment le signer.

C’est exact. Une chimère rougeole-SARS-CoV-2. Le composant rougeole est censé être tiré de cet article et utilise une construction de Roberto Cattaneo (Genbank MH144178) publiée en 2015. Alors, à quoi celle-ci a-t-elle été utilisée?

Un vaccin COVID-19 hautement immunogène et efficace, à base de virus de la rougeole, à action Th1.

La publication est datée de décembre 2020, mais elle a été soumise en juillet 2020 et comprenait des études sur des souris, ce qui prend généralement des mois. Il est donc très possible – et tout à fait conforme au mode opératoire de Baric – que cette construction ait été réalisée avant décembre 2019.

Bon, cette souche est censée être une souche de rougeole A inactive. Le seul problème est que, lorsque nous effectuons un BLAST sur cette souche (ou sur la Chimère), nous obtenons une correspondance assez fidèle avec une souche D8 de rougeole – à l’exception de plusieurs SNP (qui peuvent être induits en laboratoire par des additifs tels que la protéine APOBEC ou le molnupiravir). En d’autres termes, il est tout à fait possible que cette « souche vaccinale » soit la nouvelle souche de rougeole affectant Samoa. Bien sûr, je serais ravi que l’on me prouve que j’ai tort si quelqu’un dispose de la séquence génomique de la souche Samoa pour le prouver (ce n’est pas le cas).

Donc… nous sommes face à un ensemble de circonstances très inhabituelles. Je récapitule:

  1. Une épidémie de rougeole exceptionnellement virulente se déclare dans trois îles voisines du Pacifique après la livraison d’un vaccin par l’UNICEF.
  2. Sur l’une des îles, le taux de mortalité de l’épidémie est exceptionnellement élevé (et de l’ordre de grandeur de la première vague COVID).
  3. L’épidémie est utilisée pour tester la conformité de la population aux mesures de confinement et aux vaccinations forcées. Il y a très peu de résistance.
  4. À peu près au moment de cette épidémie, Ralph Baric – impliqué dans l’origine du SARS-Cov-2 – participe à la construction4 d’une chimère insolite rougeole-coronavirus dans laquelle la composante rougeole est homologue à la souche D8 de la rougeole (la souche déclarée à Samoa).
  5. Lorsque Samoa reçoit sa première vague officielle d’infections par le COVID, il n’y a pas de décès, ce qui suggère une immunité préalable5.

Et qu’est-ce que tout ça prouve?

Rien. Ça ne prouve rien. Mais ce que ça fait, c’est poser cette question:

Les Samoa ont-elles été le terrain d’essai pour la diffusion d’un coronavirus de type SARS en novembre 2019 – via un vaccin parrainé par l’UNICEF – qui a prouvé que la population mondiale pouvait être intimidée et contrainte d’accepter des vaccinations obligatoires?

Étant donné la façon dont l’OMS, l’UNICEF, le FEM et l’ONU se sont comportés au cours des trois dernières années, je pense que nous connaissons tous la réponse, n’est-ce pas?

Si vous étiez aux Samoa en novembre 2019 et que vous avez plus d’informations, merci de laisser un commentaire ci-dessous. En attendant…

« Au revoir »

  1. Le bilan final est de 83 morts. https://en.wikipedia.org/wiki/2019_Samoa_measles_outbreak
  2. Bien que l’implication directe de l’armée chinoise à Samoa ait été effacée de l’Internet, l’implication de la Chine dans le programme de vaccination contre la rougeole dans le Pacifique occidental ne l’a pas été. Notez l’implication de la Banque mondiale. https://archive.ph/wip/IMEW6
  3. Oui, les virologues à gain de fonction sont des psychopathes. Non seulement ils n’en ont rien à faire de savoir si leurs créations s’échappent, mais ils n’ont aucune difficulté à mentir à leur sujet et n’expriment aucune émotion lorsque des personnes en meurent. Les gens qui les couvrent sont tout aussi horribles. Vous savez qui vous êtes.
  4. Je renvoie le lecteur à ce post très important concernant les origines du COVID
  5. Notre grand ami et gourou de la protéomique Daoyu Zhang, sur le groupe Telegram micevmutton, en fournit ici un solide résumé. Il souligne le taux de mortalité exceptionnellement bas dû au COVID à Samoa, enregistré sur ourworldindata ici.
    En outre, le premier cas de COVID enregistré aux Samoa date de novembre 2020, soit près d’un an après la Chine.

Les Samoa du Pacifique enregistrent leur premier cas de coronavirus

La nation insulaire indique qu’un marin a été testé positif au coronavirus après être revenu d’Europe via la Nouvelle-Zélande.


Commentaires

Robert Kennedy Junior a joué un rôle important dans la mise en place d’une équipe médicale consultative pour tenter de comprendre le taux de mortalité et aider aux protocoles de traitement. J’ai personnellement constaté sur le terrain que, six à sept jours après la vaccination, d’énormes épidémies se produisaient dans les villages où les camionnettes de vaccination étaient passées. Nous étions très attentifs à recueillir des statistiques lorsque nous nous rendions sur place pour essayer d’identifier les tendances. Lorsque nous avons analysé nos chiffres, 98% des personnes qui tombaient malades avaient été systématiquement vaccinées 6 à 7 jours avant la maladie. L’excuse était que le vaccin n’avait pas eu le temps d’être efficace. Cependant, selon un immunologiste de l’équipe qui nous assistait, cette période de 6 à 7 jours correspondait également au temps nécessaire à un vaccin sous-atténué pour rendre le receveur malade. En outre, comme je l’ai mentionné, les tests envoyés en Australie se sont révélés négatifs pour la rougeole de type sauvage dans la majorité des échantillons. Alors, qu’est-ce qui rendait tant de personnes malades? Tout semblait indiquer que le vaccin était contaminé. L’un des médecins de l’équipe consultative m’a demandé de lui envoyer un flacon de vaccin pour qu’il puisse le faire analyser, mais nous n’avons jamais pu le faire. La sécurité autour des vaccins était assez stricte, chaque flacon étant répertorié à sa sortie et le flacon vide à sa rentrée, ce qui, selon le personnel, était inhabituel. Normalement, les flacons vides sont simplement jetés une fois utilisés.

La véritable tragédie est que, malgré la possibilité que nous ayons eu affaire à un vaccin contaminé, les enfants ne seraient jamais morts si les protocoles de traitement que nous préconisions avaient été utilisés. Nous avons affiné un protocole de traitement mis au point par le regretté Dr Archie Kalokerinos, utilisé sur des enfants du Territoire du Nord, en Australie, sur des enfants indigènes, en utilisant des doses élevées de vitamine C et A. Pas une seule vie n’aurait dû être perdue.

L’inefficacité des traitements approuvés par l’ONU/OMS a été démontrée plus tard dans un tribunal par un témoin à charge.

Edwin Tamasese, 19 novembre 2022

Nous donnions la vitamine C à très haute dose sous forme d’ascorbate de sodium et d’acide ascorbique. 1 gramme toutes les deux heures. L’état des enfants s’améliorait en seulement 6 heures. Une fois qu’ils avaient retrouvé le réflexe de manger, nous donnions de la vitamine A à raison de 200 000 UI par dose en deux fois sur 24 heures, puis nous arrêtions. Pour les cas les plus graves, ceux qui avaient été renvoyés chez eux pour y mourir, ils étaient remis sur pied en 3 jours.

Edwin Tamasese, 12 décembre 2022

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