Le chantage.

Qu’est-ce qui est pire que la mort?

J’ai pris un peu de retard dans mes publications, cher lecteur. J’ai été malade, mais ça va mieux. Heureusement, parce que vivre dans cet état n’en vaut vraiment pas la peine. Bon sujet pour un article, me disai-je.

Miriam en arrivait ici à la conclusion que toute l’ingénierie sociale s’articule en fin de compte sur la peur de la mort, menace cachée derrière tous les non-dits du pouvoir. Je le croyais aussi mais c’était une erreur, du moins en partie. Je viens de comprendre que mourir ne dérange pas du tout les vieux. Ils ont fait leur temps, ils sont mal foutus, ils en ont eu assez – du meilleur comme du pire – on les a trop fait chier, etc. Non, ce qui les dérange plus que la mort, c’est la solitude. Surtout si on leur inflige les deux en même temps.

Des vieux, on en a tué un paquet en 2020. Des dizaines de milliers, des centaines de milliers?.. Le saura-t-on un jour? De toute façon, plus personne n’en a rien à battre. On va tourner la page, on va tous bien gentiment aller voter et « restaurer la confiance dans les institutions ». Tuer les vieux est de toute façon une vieille tradition humaine, sauf qu’à l’époque on avait la délicatesse d’y mettre les formes. Là, on l’a fait consciencieusement, méthodiquement, en leur refusant les trois cachets – prix: un dollar – qui ont toujours été utilisés pour traiter une pneumonie post-virale, puis à coups de respirateurs, Rivotril, morphine et Remdesivir, et de mention « Ne pas ressusciter » tamponnée sur leur dossier, protocole suivi à la lettre par des dizaines de milliers de médecins et infirmières de par le monde, qui ont apparemment tout oublié de leurs études sauf leur cours de math: dépenser un dollar pour sauver Mamy, en gagner plus de trente mille (tarif US) pour la tuer. Loin des regards, enfermés dans une chambre de maison de repos ou d’hôpital – ce qui continue en ce moment, et pas que pour les vieux, sous l’appellation « suicide médicalement assisté ».

On a enfermé les autres dans leur petite cellule personnelle, avec consigne de ne se rendre que quand il était trop tard à l’hôpital – où certains ne sont pas allés, sachant ce qui les attendait, c’est-à-dire probablement la mort. Pas n’importe quelle mort, une mort dans la solitude. C’était avant tout une épidémie de solitude qu’on a tenté d’inoculer à huit milliards de personnes. Je pense que c’est ça qui leur a foutu la trouille. La « distanciation sociale », qui se guérit avec un vaccin.

Le moteur de cette société, depuis la nuit des temps, c’est le chantage à la solitude. Qu’on l’appelle ostracisme, exclusion, bannissement ou même quarantaine, en définitive, c’est juste de solitude qu’on nous menace. C’est ce qui permet de vendre réseaux sociaux, smartphones, drogues, anti-dépresseurs, vaccins, sexe et guerres en tout genre. Ça fonctionne un moment jusqu’au moment où ça ne fonctionne plus.

Le monde devrait comprendre que bon nombre de vieux n’en a plus rien à caler de ses foutaises. Comprendre aussi que, même s’ils dérangent et s’ils sentent la soupe, ce sont les vieux qui ont fait jusqu’à présent tourner la boutique et qu’on a rien trouvé de très convaincant pour les remplacer: intelligence artificielle, énergies renouvelables, Neuralink, tout ce genre de combine foireuse d’investisseurs véreux et de « parties prenantes » ne fonctionneront jamais.

J’ai soixante ans la semaine prochaine. Je pouvais prendre ma retraite, mais je continue encore un an. C’eût été l’occasion de former un jeune à mon métier, qui s’apprend essentiellement par la pratique mais ce n’est pas au programme. Mon beau-frère, qui avait un boulot encore plus pointu et irremplaçable que le mien, est dans le même cas de figure. La transmission du savoir ne s’est pas faite. Les jeunes ne veulent plus travailler, n’en sont plus capables, ou les deux. Le travail est un truc de vieux et on nous a déjà oubliés. Ils repenseront pourtant bientôt à nous, le jour où ce monde se mettra à vraiment partir en vrille et où il leur faudra revoir leurs ambitions à la baisse. Devant leurs nouveaux jouets inutiles, ils risquent de se sentir un peu con.

Et à vrai dire, un peu seuls.

La FDA s’apprête à faire face à la transmission humaine du virus H5N1 – par John Leake.

Pour rappel, ce que c’est vraiment la grippe aviaire chez les oiseaux d’élevage: ici et ici.

Vous noterez que le terme « contre-mesure » provient du vocabulaire militaire, pas médical.

Source.


La FDA s’apprête à faire face à la transmission humaine du virus H5N1

Le commissaire Robert M. Califf témoigne sur les contre-mesures

John Leake

09 mai 2024

Je suppose qu’il est encore trop tôt pour annoncer «C’est reparti», mais cette vieille expression me vient à l’esprit. Robert Califf, commissaire de la FDA, vient de déclarer que la FDA prépare des contre-mesures pour parer à l’éventualité que le virus H5N1 de la grippe aviaire mute suffisamment pour se transmettre à l’homme.

DERNIÈRES NOUVELLES – @US_FDA
Le Commissaire @DrCaliff_FDA déclare que l’agence se prépare à l’éventualité d’un passage du virus H5N1 à l’homme.
« Nous nous sommes préparés à l’éventualité d’une mutation du virus qui entraînerait un passage à l’homme à plus grande échelle ».

Je me demande si nous n’entrons pas dans une nouvelle ère de maladies infectieuses émergentes, dans laquelle l’humanité serait frappée par une pandémie tous les quatre ans, qui correspondrait à la période des élections présidentielles aux États-Unis.

En cliquant sur le profil Twitter du Dr Califf, je fus navré de le voir faire l’éloge de l’ancienne commissaire adjointe principale, le Dr Janet Woodcock, qui vient d’être sélectionnée comme finaliste pour les médailles Samuel J. Heyman pour services rendus à l’Amérique [NdT. ici].

Le Dr Woodcock s’était entendue avec l’ancien directeur du BARDA, Rick Bright, pour rendre l’hydroxychloroquine inaccessible aux patients ambulatoires, elle est donc presque certainement responsable de nombre d’hospitalisations et de décès inutiles.

Si le H5N1 mute effectivement (naturellement ou par le biais d’un processus accéléré en laboratoire), il semble que la réponse à la pandémie sera dirigée par la même clique de bureaucrates de la santé publique, exempts de toute responsabilité et dont les échecs les hissent toujours plus haut. Comme pour ses prédécesseurs Stephen Hahn et Scott Gottlieb, un poste rémunérateur attendra sans doute le Dr Califf, lorsqu’il aura quitté la FDA, chez un grand producteur de vaccins ou dans une société de capital-risque qui investit dans les vaccins.

Neuf repas – par Cygnus X-1.

« Civil War« .

C’est le titre d’un nouveau film, actuellement sur les écrans. Je ne l’ai pas vu mais il me semble très mauvais. Aucune importance: c’est de la programmation prédictive. Ce qui indiquerait qu’« ils » tiennent vraiment à déclencher une guerre civile… Je n’y crois qu’à moitié mais je peux me tromper. Vu l’extrême gravité de la situation économique aux US, all bets are off – tout peut arriver. Ce qui s’applique aussi bien à la France. Les parallèles sont évidents.

Voici ce qu’en pense un conservateur américain plus vrai que nature, très remonté contre une autorité fédérale qui travaille à la liquidation de l’Union, de son mode de vie et de consommation – encore une fois, comme ce qui se passe en France, méthodiquement détruite depuis Paris. Bref, « la fin de l’abondance » – voir aussi ici.

Comme on dit, la rédaction ne partage pas nécessairement les vues de l’auteur. Je vous livre les miennes juste après, avec une conclusion légèrement différente.

Source.


Neuf repas

Cygnus X-1

30 mars 2024

« Entre l’humanité et l’anarchie, il n’y a que neuf repas ». Attribué à Alfred Henry Lewis en 1906, et souvent répété depuis.

Il existe un vernis de civilisation très fragile et très fin qui peut facilement s’effondrer. Lorsque les gens ont faim et peur, ils deviennent désespérés. En Amérique, un ménage moyen dispose de trois jours de réserve de nourriture. Au-delà, tout peut arriver. Pour la plupart des gens, le stock de nourriture se résume à un bocal de cornichons périmé et à moitié vide au fond du réfrigérateur.

Ceux qui disposent des réserves de nourriture supplémentaires seront diabolisés et traités de « stockeurs ». En 1994, le président Clinton a signé l’ordre exécutif 10998, qui comprend une loi autorisant le gouvernement fédéral à saisir les réserves alimentaires stockées, qu’elles proviennent de sources publiques ou privées. Ce qui se passe maintenant a été planifié depuis longtemps.

Les exemples de pénuries alimentaires et de famines sont nombreux dans l’histoire. Il en sera de même dans une Amérique divisée et désunie. C’est l’indisponibilité, l’imprévisibilité et l’incertitude de l’approvisionnement en nourriture qui augmentent la peur, créent la panique et la violence.

La nourriture est généralement citée en exemple, mais nous savons tous qu’en vertu de la règle des trois, l’air, l’eau et la protection contre les éléments (en fonction de l’environnement) constituent des priorités plus importantes que la nourriture.

La capacité à se défendre est en fait la première priorité. Si on meurt, le reste n’a pas d’importance.

La peur est sans doute notre émotion la plus puissante. La peur de la mort est la peur la plus puissante. La peur de mourir de faim est un instinct de survie fondamental. Même les esprits faibles comprennent la gravité du problème.

Lorsque la peur, la panique et la faim s’installent, les gens sont prêts à tout pour survivre. Mentir, tricher, voler, tuer. Même les personnes saines d’esprit perdent le contrôle de leur esprit en présence d’une PEUR écrasante et débilitante. C’est ainsi que l’on utilise la peur pour manipuler et contrôler les gens. Combien de personnes ont reçu le VAX mortel et ont porté le masque?

Vous souvenez-vous de la grande psyop de la pénurie de papier hygiénique pendant l’escroquerie du covid? C’était une expérience psychologique, un test bêta sur la façon de manipuler un public généralement stupide. Il suffit de publier quelques gros titres sur une pénurie de papier toilette pour que celle-ci se transforme instantanément en événement auto-réalisateur. Panique et chaos pour du papier hygiénique. Imaginez maintenant une pénurie de nourriture.

Faites quelques recherches sur la chaîne d’approvisionnement en flux tendu. Ajoutez-y tous les incendies d’usines de transformation alimentaire. Les déraillements de trains. L’effondrement des ponts. Les aliments OGM. L’ARNm dans l’approvisionnement alimentaire. Bill Gates et la Chine qui achètent toutes les terres agricoles. Les pesticides. La guerre contre les agriculteurs.

Ils envoient le SWAT chez les fermiers Amish pour avoir vendu du lait « cru », mais ils autorisent des jeunes urbains enragés à piller les magasins et à se livrer à des actes de vandalisme. Le programme ne pourrait pas être plus clair.

S’il y a bien une chose qui fera bouger Joe Sixpack [NdT. surnom des buveurs de bière sur canapé, en référence aux canettes vendues par six] de son canapé, c’est un ventre vide (ou une pénurie de bière). Une fois que les gens qui voulaient qu’on leur foute la paix [NdT. voir ici] seront forcés de s’impliquer, ce sera une tempête de merde épique aux proportions bibliques. Les gauchistes peuvent brûler des villes, mais les conservateurs brûlent des pays entiers.

Les « Blue Hives » [NdT. « ruches bleues », zones sous contrôle Démocrate] sont des pièges mortels. Des milliers de magasins ont fermé et d’autres mettent sous clé leurs marchandises pour tenter de rester ouverts, car ils sont régulièrement et systématiquement pillés par ceux que les médias ne doivent pas nommer. Appelons-les simplement « jeunes urbains ». Je n’ai pas encore vu une seule vidéo d’« adolescents » amish pillant un magasin.

Plus de 3 000 personnes ont été abattues à Chicago l’année dernière. Six cents mortellement. Cinquante personnes ont reçu une balle dans les parties. Consultez le lien.

Plus de 300 personnes sont abattues chaque jour en Amérique. Plus de 30% d’entre elles meurent. Le rapport entre le nombre de blessés et le nombre de tués dans l’armée américaine varie aujourd’hui entre 10:1 et 17:1. Il y a plus de chances de survivre à une blessure par balle dans une zone de guerre qu’à Chicago.

Tout ce qui se passe en ce moment se produit à une époque relativement favorable. Qu’en sera-t-il pendant les périodes difficiles qui s’annoncent? Lorsque les rayons des magasins seront vides, que le réseau électrique tombera en panne, que les incendies seront incontrôlables, que l’assistance médicale ne sera pas disponible et que les policiers seront occupés à protéger leur propre famille.

Ajoutez à cela 40 millions de clandestins. Que feront-ils lorsque leurs cartes EBT [NdT. Electronic Benefit Transfer: système électronique qui permet aux services sociaux des États de délivrer des prestations par le biais d’une carte de paiement codée magnétiquement] ne fonctionneront plus? J’en ai parlé dans un précédent billet.

L’élite sera en sécurité dans ses communautés fermées avec une sécurité privée d’anciens militaires et ses bunkers de luxe comme celui que Zuckerturd [NdT. Zuckerberg + « turd » (étron)] est en train de construire. Vous serez livrés à vous-mêmes.

Il y a 400 millions d’armes et des milliards de munitions. Personne ne restera tranquillement à la maison à mourir de faim. Même ceux qui ne sont pas enclins à la violence seront obligés de se défendre ou de périr. Comme le dit Gerald Celente, lorsque les gens n’ont plus rien à perdre, ils perdent le contrôle [NdT. « they lose it », jeu de mots intraduisible].

Plus de 800 000 personnes ont été massacrées à la machette au Rwanda. Que pensez-vous qu’il se passera aux États-Unis avec des millions d’armes à feu? Une fois le feu allumé, il deviendra incontrôlable jusqu’à ce que tout le « carburant » soit épuisé.

L’anarchie est définie par Webster comme « un état d’anarchie ou de désordre politique dû à l’absence d’autorité gouvernementale ». Webster est incapable de faire la différence entre de la merde et de la brillantine [NdT. « shit from Shinola », encore intraduisible mais avouez que l’image est éloquente].

Ce n’est pas ça qui va arriver. Ce qui va arriver, c’est un état d’anarchie créé et soutenu par le gouvernement. Le gouvernement ne fera rien pour vous, mais il livrera des palettes de briques aux émeutiers. Il fera affluer des millions de clandestins et les postera dans votre quartier en attendant le début des festivités.

La mémoire est courte, mais la plupart des gens se souviennent des émeutes BLM, Antifa, etc. Des milliards de dégâts. Les troubles civils s’aggravent et deviennent de plus en plus violents. Avec le déclin exponentiel de la civilité en Amérique, il faut de moins en moins de catalyseurs pour donner le coup d’envoi.

Personne ne viendra vous sauver, surtout pas le gouvernement. Les choses ne vont pas bien se passer dans les « Blue Hives ». Les forces de l’ordre et les services d’urgence seront rapidement débordés. Même si votre téléphone fonctionne encore, composer le 911 ne servira à rien.

Lorsqu’un journaliste a demandé à la maire de Baltimore de commenter la manière dont la police avait réagi face aux manifestants, elle a répondu qu’elle avait donné pour instruction aux agents de laisser les manifestants s’exprimer et que « nous avons également donné à ceux qui souhaitaient détruire le champ libre pour le faire « . Et s’ils veulent détruire votre quartier?

Les États-Unis sont déjà sans État de droit. Le système de « juste nous » à deux niveaux [NdT. « just us », à la place de « justice », sorry, encore un jeu de mot intraduisible] n’a jamais été aussi flagrant ou évident. Le toxicomane Hunter et son ordinateur portable pédopornographique sont en liberté, tandis que la petite grand-mère du 6 janvier aux cheveux grisonnants qui a franchi les portes ouvertes du Capitole, tout en restant à l’intérieur des cordes en velours, est allée en prison.

Ils pensent que les persécutions du 6 janvier dissuaderont les citoyens respectueux de la loi de se révolter à l’avenir. Ils se trompent lourdement. La « loi » est la seule chose qui les protège de nous. Une fois que les gens auront compris que le gouvernement n’obéit pas à la loi, ils se rendront compte qu’ils n’ont pas à le faire non plus. Les tyrans locaux seront les premiers à en subir les conséquences.

Ils essaient de désarmer les citoyens respectueux de la loi tout en armant les envahisseurs illégaux et en les plaçant dans la police et l’armée. Le gouvernement américain est depuis longtemps de mèche avec les cartels de la drogue qui leur fournissent des armes. Fast and Furious, ça vous dit quelque chose?

Des événements majeurs se produiront avant novembre et je ne pense pas qu’ils attendront la dernière minute pour une « surprise d’octobre ». [Ndt. la surprise d’octobre est un événement fabriqué pour influencer les élections présidentielles de novembre, voir ici]

L’ARNm est un agent cancérigène de classe 1 – par le Dr Ian Brighthope.

Source.


L’ARNm est un agent cancérigène de classe 1

Aujourd’hui, au nom de mes amis professionnels et de mes collègues médecins, je déclare que les vaccins ARNm sont des cancérigènes de classe 1. L’ARNm est également un mutagène à large spectre. L’ARNm doit être interdit au niveau international.

Ian Brighthope

17 avril 2024

Cancérogènes

Les agents cancérogènes sont des substances, des organismes ou des agents capables de provoquer un cancer en altérant les mécanismes cellulaires, génétiques et épigénétiques de l’organisme, entraînant la transformation de cellules normales en cellules cancéreuses[2][7]. Ces agents peuvent être des substances chimiques, des virus ou même certains types de radiothérapies utilisées pour traiter le cancer[1]. Les agents cancérogènes peuvent être présents naturellement dans l’environnement, comme les rayons ultraviolets du soleil ou certains virus, ou être générés par les activités humaines, comme les gaz d’échappement des automobiles et la fumée de cigarette[2].

Le processus de cancérogénicité, également connu sous le nom de cancérogenèse ou de genèse des tumeurs, implique de multiples étapes au cours desquelles les cellules normales subissent une série de changements aux niveaux cellulaire, génétique et épigénétique, entraînant une division cellulaire anormale et la formation d’un cancer[16]. Ce processus se caractérise par:

1. Initiation: La première étape consiste à endommager directement l’ADN à l’intérieur d’une cellule par l’agent cancérigène, ce qui conduit à un ADN anormal qui ne fonctionne pas correctement. Ces dommages peuvent être causés par des substances chimiques, des virus ou des radiations[1]

2. Promotion: À la suite d’une lésion de l’ADN, l’organisme tente de réparer l’ADN endommagé. Cependant, les dommages causés par l’agent cancérigène interfèrent parfois avec les processus de réparation, ce qui entraîne d’autres anomalies[16].

3. Progression: Au fil du temps, l’accumulation d’altérations génétiques et épigénétiques perturbe l’équilibre normal entre la prolifération cellulaire et la mort cellulaire programmée (apoptose), ce qui entraîne une division cellulaire incontrôlée et l’évolution des cellules cancéreuses[16].

Les substances cancérogènes ne provoquent pas nécessairement le cancer dans tous les cas ou dans toutes les circonstances. Des facteurs tels que la quantité et la durée de l’exposition, le patrimoine génétique de l’individu et l’exposition à d’autres facteurs environnementaux jouent un rôle important pour déterminer si une personne exposée à un agent cancérigène développera finalement un cancer[1][5]. En outre, toutes les mutations provoquées par les substances cancérogènes ne conduisent pas au cancer; seules certaines mutations dans des gènes spécifiques qui régulent la croissance cellulaire, l’apoptose et la réparation de l’ADN peuvent entraîner une prolifération cellulaire incontrôlée et un cancer[16].

Les substances cancérogènes peuvent être classées, en fonction de leur mode d’action, en substances cancérogènes génotoxiques et non génotoxiques. Les cancérogènes génotoxiques interagissent directement avec l’ADN et/ou l’appareil cellulaire, affectant l’intégrité du génome, tandis que les cancérogènes non génotoxiques exercent leurs effets par des mécanismes qui n’impliquent pas de dommages directs à l’ADN[12]. Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) classe les substances cancérogènes en catégories en fonction de la solidité des preuves de leur cancérogénicité pour l’homme, allant de « cancérogène pour l’homme » (groupe 1) à « non classable quant à sa cancérogénicité pour l’homme » (groupe 3)[7].

En résumé, les substances cancérogènes sont des agents susceptibles de provoquer un cancer par le biais d’un processus à plusieurs étapes impliquant l’altération des mécanismes cellulaires et génétiques, conduisant à la transformation de cellules normales en cellules cancéreuses. Le potentiel cancérogène d’une substance dépend de divers facteurs, notamment le type d’exposition, les prédispositions génétiques et la présence d’autres facteurs de risque.

Du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC)

Les monographies du CIRC identifient les facteurs susceptibles d’augmenter le risque de cancer chez l’homme, y compris les facteurs liés au mode de vie.5-7 Des groupes de travail interdisciplinaires composés d’experts scientifiques examinent les études publiées et évaluent le poids de la preuve qu’un agent peut augmenter le risque de cancer. Les agents sont ensuite classés comme cancérogènes, probablement ou peut-être cancérogènes, ou non cancérogènes pour l’homme, en fonction de la solidité des preuves.

Les preuves de la cancérogénicité des agents provenant d’études sur l’homme sont classées en quatre catégories par le groupe de travail du CIRC:90

  • Preuves suffisantes de cancérogénicité (classification la plus élevée du CIRC pour la cancérogénicité): Le groupe de travail considère qu’une relation de cause à effet a été établie entre l’exposition à l’agent et le cancer chez l’homme. Cela signifie qu’une relation positive a été observée entre l’exposition et le cancer dans des études où le hasard, les biais et les facteurs de confusion ont pu être exclus avec une confiance raisonnable.
  • Preuves limitées de cancérogénicité (association positive): Une association positive a été observée entre l’exposition à l’agent et le cancer, pour laquelle une interprétation causale est jugée crédible par le groupe de travail, mais le hasard, le biais ou la confusion n’ont pas pu être écartés avec un degré de confiance raisonnable.
  • Preuves de cancérogénicité insuffisantes: Les études disponibles sont d’une qualité, d’une cohérence ou d’une puissance statistique insuffisantes pour permettre de conclure à la présence ou à l’absence d’une association causale entre l’exposition et le cancer, ou aucune donnée sur le cancer chez l’homme n’est disponible.
  • Preuves suggérant l’absence de cancérogénicité: Il existe plusieurs études adéquates couvrant toute la gamme des niveaux d’exposition auxquels l’homme est susceptible d’être exposé, qui sont toutes cohérentes et ne montrent pas d’association positive entre l’exposition à l’agent et l’un des cancers étudiés, quel que soit le niveau d’exposition observé.

Le groupe de travail du CIRC prend également en compte l’ensemble des preuves afin de parvenir à une évaluation globale de la cancérogénicité de l’agent pour l’homme. La classification d’un agent dans l’un des quatre groupes suivants est une question de jugement scientifique qui reflète la force des preuves dérivées d’études chez l’homme et chez l’animal de laboratoire, ainsi que de données mécanistiques et d’autres données pertinentes:90

  • Cancérogène du groupe 1: L’agent est cancérogène pour l’homme. Cette catégorie est utilisée lorsqu’il existe des preuves suffisantes de cancérogénicité chez l’homme.
  • Groupe 2: Groupe 2A (probablement cancérogène pour l’homme) ou Groupe 2B (peut-être cancérogène pour l’homme). Cette catégorie comprend les agents pour lesquels, à un extrême, le degré de preuve de cancérogénicité chez l’homme est presque suffisant, ainsi que ceux pour lesquels, à l’autre extrême, il n’y a pas de données humaines mais pour lesquels il existe des preuves de cancérogénicité chez les animaux de laboratoire.
  • Groupe 3: l’agent ne peut être classé quant à sa cancérogénicité pour l’homme. Cette catégorie est le plus souvent utilisée pour les agents pour lesquels les preuves de cancérogénicité sont insuffisantes chez l’homme et insuffisantes ou limitées chez les animaux de laboratoire.
  • Groupe 4: l’agent n’est probablement pas cancérogène pour l’homme. Cette catégorie est utilisée pour les agents pour lesquels il existe des preuves suggérant l’absence de cancérogénicité chez l’homme et chez les animaux de laboratoire.

Remarque : cette prise de position n’inclut pas les agents pour lesquels les preuves de cancérogénicité sont insuffisantes ou les preuves suggérant une absence de cancérogénicité, ni les agents qui ont été classés dans une catégorie inférieure au groupe 1 par le groupe de travail du CIRC.

Fonds mondial de recherche sur le cancer (WCRF) et Institut américain de recherche sur le cancer (AICR)

Le rapport 2007 du WCRF et de l’AICR intitulé Food, Nutrition, Physical Activity and the Prevention of Cancer: a Global Perspective (Alimentation, nutrition, activité physique et prévention du cancer: une perspective mondiale) et les mises à jour ultérieures spécifiques aux tumeurs sont basés sur des analyses systématiques de la littérature scientifique concernant l’alimentation, la nutrition et l’activité physique.8-15 Un groupe d’experts a jugé et classé les preuves comme convaincantes, probables, limitées ou peu susceptibles d’affecter le risque de cancer, et a élaboré des recommandations visant à réduire l’incidence du cancer.

Les groupes d’experts du WCRF et de l’AICR se sont prononcés sur la causalité de la maladie en se fondant sur l’évaluation d’analyses systématiques de la littérature menées de manière indépendante. Le groupe d’experts du WCRF et de l’AICR a classé les preuves en cinq catégories:8

  • Preuves convaincantes: Il s’agit du niveau le plus élevé attribué par le groupe d’experts du WCRF et de l’AICR, pour des preuves suffisamment solides pour étayer un jugement sur une relation causale convaincante, qui justifie des objectifs et des recommandations visant à réduire l’incidence du cancer.
  • Preuves probables: Il s’agit du deuxième niveau le plus élevé attribué par le groupe d’experts du WCRF et de l’AICR, pour des preuves suffisamment solides pour étayer un jugement sur une relation causale probable, qui justifierait généralement des objectifs et des recommandations visant à réduire l’incidence du cancer.
  • Limité – preuves suggestives: Ces critères s’appliquent aux preuves qui sont trop limitées pour permettre un jugement causal probable ou convaincant, mais où il existe des preuves suggérant une direction d’effet.
  • Limité – pas de conclusion: Les preuves sont si limitées qu’aucune conclusion ferme ne peut être tirée. Cette catégorie est destinée à autoriser toute exposition pour laquelle les données sont suffisantes pour justifier l’examen du groupe, mais pour laquelle les preuves sont insuffisantes pour permettre un classement plus définitif.
  • Effet substantiel sur le risque improbable: Les preuves sont suffisamment solides pour permettre de juger qu’il est peu probable qu’une exposition particulière à un aliment, à une nutrition ou à une activité physique ait une relation causale substantielle avec un résultat cancéreux.

Remarque: cette prise de position n’inclut pas les agents pour lesquels le groupe d’experts a jugé que les preuves étaient limitées – pas de conclusion ou effet substantiel sur le risque improbable.

COMMENTAIRE:

Décidez vous-mêmes du niveau de cancérogénicité qui caractérise l’ARNm.

Professeur Ian Brighthope

Cliquez pour l’article complet:

[NdT. un des auteurs est le Dr Fukushima, publié ici et ici]

Augmentation de la mortalité par cancer ajustée à l’âge après la troisième dose de vaccin à base de nanoparticules lipidiques d’ARNm au cours de la pandémie de COVID-19 au Japon

Résumé
Au cours de la pandémie de COVID-19, la surmortalité, notamment par cancer, est devenue préoccupante au Japon, où la population vieillit rapidement. Cette étude visait donc à évaluer l’évolution des taux de mortalité corrigés de l’âge (TMA) pour différents types de cancer au Japon pendant la pandémie de COVID-19 (2020-2022). Les statistiques officielles du Japon ont été utilisées pour comparer les TMA annuels et mensuels observés avec les taux prédits sur la base des chiffres antérieurs à la pandémie (2010-2019) à l’aide d’une analyse de régression logistique. Aucune surmortalité significative n’a été observée au cours de la première année de la pandémie (2020). Toutefois, une surmortalité par cancer a été observée en 2021 après la vaccination de masse avec la première et la deuxième dose de vaccin, et une surmortalité significative a été observée pour tous les cancers et certains types spécifiques de cancer (notamment le cancer de l’ovaire, la leucémie, le cancer de la prostate, le cancer des lèvres/de la bouche/du pharynx, le cancer du pancréas et le cancer du sein) après la vaccination de masse avec la troisième dose en 2022. Les TMA pour les quatre cancers les plus meurtriers (poumon, colorectal, estomac et foie) ont affiché une tendance à la baisse jusqu’à la première année de la pandémie en 2020, mais le taux de diminution s’est ralenti en 2021 et 2022. Cette étude examine les explications possibles de ces augmentations des taux de mortalité par cancer ajustés en fonction de l’âge.

La littérature sur le TURBO CANCER augmente rapidement – 6 nouveaux articles sur le Turbo Cancer dû au vaccin COVID-19 publiés en avril 2024 – 26 au total – le barrage se rompt et il emportera Pfizer et Moderna avec lui.

CONCLUSION

Des augmentations statistiquement significatives des taux de mortalité ajustés en fonction de l’âge pour tous les cancers et certains types spécifiques de cancer, à savoir le cancer de l’ovaire, la leucémie, le cancer de la prostate, le cancer des lèvres/de la bouche/du pharynx, le cancer du pancréas et le cancer du sein, ont été observées en 2022 après que les deux tiers de la population japonaise eurent reçu la troisième dose ou une dose ultérieure du vaccin ARNm-NPL contre le SARS-CoV-2. Ces augmentations particulièrement marquées des taux de mortalité de ces cancers sensibles aux ERα peuvent être attribuées à plusieurs mécanismes de la vaccination ARNm-NPL plutôt qu’à l’infection par COVID-19 elle-même ou à une réduction des soins anticancéreux due au confinement.

Commentaire du Dr John Campbell:

Ce ne sont ni les virus, ni le changement climatique, ni le cancer – par Miriam Finch.

Cet article de Miriam Anne Finch traite de la vraie raison de la soumission à la tyrannie – voir également le précédent. J’avais un article en suspens sur ce thème précis – avec, comme d’habitude, pas le temps de le finir – où j’en arrivais exactement à la même conclusion. Y’a pas de raison, je lui pique donc le sien. Comme nos pensées sont assez similaires, il y en aura d’autres.

Source.


Ce ne sont ni les virus, ni le changement climatique, ni le cancer.

Miri AF

16 janvier 2024

Ce ne sont pas les armes nucléaires, les terroristes kamikazes ou les extraterrestres.

Ce n’est même pas Dieu, pas en tant que tel.

C’est la peur. C’est elle le moteur de toutes les opérations psychologiques, de toutes les supercheries et de tous les programmes obscurs qui saturent notre réalité, et c’est elle qui permet de les utiliser si efficacement comme armes contre la population.

Ce dont les gens sont amenés à avoir peur, en fin de compte, n’a pas vraiment d’importance, et fluctue avec le temps (ooh, c’est le changement climatique!) – mais le fondement psychologique reste exactement le même.

C’est pourquoi il est fondamentalement important, lorsque l’on s’attaque à la tyrannie sous toutes ses formes, de reconnaître que « le dernier truc en date » que l’on conditionne les gens à craindre (et qui est par conséquent utilisé pour modifier radicalement leur comportement), n’est pas ce sur quoi il faut se focaliser, pour la simple et évidente raison que, si on se concentre uniquement sur « le truc », et non sur la trame de la peur elle-même, la population apeurée reportera simplement sa terreur sur autre chose, et restera tout autant sous l’emprise des autorités despotiques, et de leurs diverses programmations fondées sur la peur.

Je soulève ce point aujourd’hui suite à une nouvelle dispute que j’ai eue avec la brigade « pas de virus ». Bien que je sois persuadée (comme je l’ai dit clairement à maintes reprises) que la virologie standard est erronée et que le modèle de « contagion » de la maladie n’est pas exact, je pense également que l’importance de la thèse «  »pas de virus » a été largement surestimée, au point qu’elle paralyse désormais ses partisans les plus zélés et les amène à l’inaction sur tous les autres fronts, car ils pensent que « c’est la seule chose qui compte »: par exemple, en réfutant le modèle viral, c’est tout le château de cartes qui s’écroule.

Ce qui est terriblement malavisé et faux, car même si on réfute les virus en tant que responsables de problèmes de santé (et donc en tant que moyens d’effrayer les gens), les seigneurs de l’ombre disposent toujours, pour n’en citer que quelques-uns:

  • du cancer
  • du changement climatique
  • de la guerre nucléaire
  • des terroristes
  • des extraterrestres
  • de Dieu (comme dans les régimes ultra-religieux tels que l’Afghanistan qui contrôlent les populations en disant « vous devez faire telle ou telle chose ou Dieu sera en colère »).

Les classes dirigeantes n’ont pas besoin de se limiter aux virus pour susciter la peur, alors qu’elles disposent d’une large panoplie d’autres trucs hyper-terrifiants avec lesquels manipuler et contrôler les gens. Ainsi, même s’il était prouvé de manière concluante et universellement acceptée que les virus ne causent pas de maladies, cela ne mettrait nullement un terme au programme tyrannique de contrôle mondial.

En outre, comme je l’ai expliqué dans cet article, les thèses « virus » et « pas de virus » sont loin d’être aussi distinctes que certaines personnes semblent le penser, elles sont en fait extrêmement similaires, elles utilisent simplement un vocabulaire différent pour décrire la même chose; par exemple, ce que les adeptes des « virus » appellent infection, les adeptes du « pas de virus » l’appellent désintoxication; ce que les adeptes des virus appellent « contagion » (le phénomène observable de plusieurs personnes dans le même environnement qui tombent malades en même temps), les adeptes du « pas de virus » l’appellent « influence » (les corps « s’influencent » mutuellement pour accomplir certaines fonctions en même temps, comme cela se produit avec la synchronisation menstruelle), et ainsi de suite.

Au sein de la « communauté pour la vérité », où ce débat fait rage, les deux camps s’accordent à dire que ces processus – qu’on les appelle infections ou désintoxications – ne sont pas à craindre (il s’agit soit de l’élimination d’un virus par le corps, soit de la désintoxication de poisons, donc dans les deux cas, ils sont bénéfiques); qu’ils doivent être traités avec des remèdes naturels (repos, liquides, vitamine C, etc.); et, surtout, que les interventions telles que confinements, masques, tests et vaccins sont dangereuses et inutiles, et doivent être évitées à tout prix.

Ces points de vue, une fois réduits à l’essentiel, sont donc extrêmement similaires, les différences tenant davantage à la sémantique qu’à des points de vue radicalement différents.

Pour connaître mon point de vue complet sur la question, voir ici, mais ce que je veux souligner aujourd’hui, c’est qu’il est crucial de comprendre, non seulement que la question du « pas de virus » n’est pas « le point essentiel qui fera s’effondrer tout le régime », mais aussi que ce « point essentiel » n’existe pas – pas dans le sens de « si nous pouvions convaincre les gens sur ce point… » ils deviendraient soudainement invulnérables au contrôle de l’État.

En effet, même si l’on parvient à réfuter « le dernier truc en date » utilisé pour susciter la peur au sein de la population, des manipulateurs chevronnés – ce que sont assurément les classes dirigeantes – trouveront simplement (et facilement) un nouveau croquemitaine pour terroriser les gens, ce qu’ils font d’ailleurs depuis des temps immémoriaux.

Ils le font parce que la peur est connue pour être de loin le moyen le plus efficace de contrôler les gens. Peu importe de QUOI ils ont peur, ce qui compte c’est qu’ils en aient peur, de quoi dépendra largement du contexte culturel. Par exemple, si on veut (comme le font généralement les propriétaires d’esclaves) que la population se couvre le visage pour induire la mentalité dissociative de l’esclave que crée notoirement le fait de se couvrir le visage, si on préside un califat religieux strict comme l’Afghanistan, il sera alors possible de semer la peur dans la population en disant:

« Couvrez-vous le visage ou vous risquez la colère de Dieu et une damnation infernale pour l’éternité! »

En revanche, si on cherche à contrôler des Occidentaux majoritairement laïques qui en sont venus à vénérer La Science (TM), on optera pour:

« Couvrez-vous le visage parce que La Science l’a dit et que vous risquez de contracter des virus maléfiques si vous ne le faites pas! »

Le « truc » spécifique dont on dit aux gens d’avoir peur est différent (les virus, Dieu), mais la psychologie sous-jacente et le résultat final (une population craintive, docile et obéissante qui fait ce que les autorités lui disent de faire) sont exactement les mêmes.

La peur étant si extraordinairement efficace pour modifier radicalement le comportement des gens, il faut se demander de quoi, en fin de compte, les gens ont si peur.

Le « dernier truc en date » dont ils ont peur change sans arrêt – mais la peur elle-même reste exactement la même.

Pourquoi ont-ils si peur des « virus », du cancer, des divinités en colère ou de toute autre chose citée au début de cet article?

Quelle est la cause fondamentale de toute cette peur?

C’est la peur de la mort. La raison pour laquelle nous avons peur de la mort (alors que cette peur n’est pas universelle ni partagée par tous les êtres) est que l’on nous a menti de manière épique sur ce qu’elle est: nous sommes maintenus dans l’ignorance et donc terrifiés.

Imaginez, si vous le voulez bien, qu’il existe un groupe de personnes nées avec un trouble neurologique qui les empêche de dormir. Bien qu’ils n’aient jamais connu le sommeil, ils ont entendu de leurs gouvernements et de leurs écoles de sinistres histoires à ce sujet – qu’il existe un phénomène terrifiant qui peut affliger les gens, où ils perdent soudainement toute conscience pendant des heures et des heures après la tombée de la nuit. Ils deviennent aveugles, sourds et muets, et complètement vulnérables, ne se contrôlant pas et ne maîtrisant pas ce qui se passe autour d’eux.

De plus, dans cette prison sensorielle de paralysie et d’inconscience, leur cerveau commencerait à évoquer des illusions hallucinogènes toutes puissantes, des illusions parfois abjectement terrifiantes qui pousseraient la personne à crier de terreur, tandis qu’elle serait paralysée et incapable d’échapper aux horreurs de son esprit…

Pouvez-vous imaginer à quel point cette idée vous effraierait si vous n’aviez jamais connu le sommeil? A quel point ce serait hideux, à quel point ce serait pétrifiant? Comment, si un « expert » venait vous dire qu’il y a quelque chose appelé « mélatonine » qui circule dans l’air et qui peut vous « infecter » et vous faire dormir, vous feriez tout pour l’éviter? Vous seriez ridiculisé et méprisé par les « pro-sommeil » qui ne tiendraient pas compte de ces inquiétudes et insisteraient sur le fait qu’il n’y a rien à craindre du sommeil.

En réalité, nous savons tous que le sommeil est un état totalement inoffensif qui ne justifie aucune réaction de peur – même si la description qui en est faite dans le paragraphe ci-dessus est techniquement vraie. Nous sommes inconscients, nous sommes paralysés, nous sommes dans un état altéré, privés du contrôle de nous-mêmes que nous avons en état d’éveil – et pourtant nous n’en avons pas peur.

Évidemment, ce que je veux dire, c’est que nous pourrions dire la même chose de la mort, comme l’ont fait de nombreuses cultures: il n’y a rien à craindre, c’est juste un autre type d’expérience, tout comme l’expérience du sommeil est un type d’expérience différent de celui de l’éveil.

La peur de la mort – de quoi que ce soit – est basée sur l’inconnu: on a souvent dit que la peur provient de l’ignorance, ce qui ne veut pas dire de la stupidité, mais d’un manque de connaissances issu d’un manque d’expérience.

Évidemment, par définition, aucun d’entre nous n’a jamais connu la mort, mais de nombreuses personnes au cours de l’histoire ont connu des « expériences de mort imminente« , et le consensus général de ceux qui ont vécu de telles expériences est qu’il n’y a pas lieu d’avoir peur de la mort – et les seules personnes qui ont une expérience désagréable ou traumatisante de la mort sont celles qui ont mené une vie négative, au sens où elles ne respectent pas les normes morales ancestrales qui consistent à ne pas maltraiter ou exploiter autrui.

C’est à peu près ce que disent la plupart des grandes religions et des cultures avancées: il y aura des conséquences posthumes négatives pour vous si vous faites de mauvais choix dans cette vie. Je les crois: je pense simplement que les religions doivent distiller les choses en termes très simples pour plaire à un éventail de personnes aussi large que possible. Les religions doivent être accessibles à tous, et pas seulement aux penseurs profonds et brillants. Elles diront donc des choses comme « sois bon et tu iras au paradis; sois mauvais et tu iras en enfer », parce que c’est quelque chose que tout le monde peut comprendre. Je pense que ce qui se passe réellement est plus complexe et nuancé que cela, et je ne le comprends pas entièrement (je ne suis pas sûre que nous soyons censés le comprendre), mais oui, dans l’ensemble, il semble que la façon dont on fait l’expérience de la mort dépend de ce que l’on fait ici-bas.

Je ne prétends certainement pas avoir une vision unique du « sens de la vie » (bien que j’aie écrit un article portant ce titre… ma conclusion était que ça a à voir avec les chats), mais la vie semble être une sorte de test, et la façon dont on passe ce test sera examinée d’une manière ou d’une autre après la mort.

Chaque individu sera soumis à beaucoup de tests différents, et tout le monde n’est pas testé de la même manière, mais le chapitre « Covid » a été un test majeur pour chacun d’entre nous.

Les personnes qui se sont conformées aux programmes gouvernementaux fondés sur la peur exigeant des masques, des tests et des vaccinations – et en particulier celles qui ont fait pression sur les autres pour qu’elles fassent de même – ont échoué à ce test, à des degrés divers.

Si l’on extrapole, chaque fois que nous nous soumettons à un programme fondé sur la peur, quel qu’il soit – et quelle que soit la « peur du jour » vendue – nous échouons au test. Nous sommes ici pour affronter et surmonter les états limitatifs de basse vibration comme la peur, et non pour fonder notre vie sur eux. La peur, de diverses manières, nourrit nos ennemis – et ils nous le disent tout le temps (par exemple dans le film pour enfants « Monsters Inc« , étrangement révélateur, où des monstres venus d’un autre monde terrorisent des enfants pour se nourrir de leurs cris. Ce qui bloque l’approvisionnement en énergie des monstres, c’est lorsque les enfants cessent d’être effrayés et se mettent plutôt à rire).

Notez bien que la conscience pertinente d’un danger est un concept complètement différent de la peur. Je suis consciente, comme la plupart d’entre nous, que traverser une route représente un danger potentiel, et c’est pourquoi je regarde des deux côtés avant de le faire – une précaution pertinente pour atténuer le risque. Mais je n’ai pas « peur » de traverser les routes. De même, je n’ai pas « peur » des masques ou des vaccins – je ne tremble pas de terreur si je passe devant un cabinet médical où je sais qu’il y sont stockés – mais je suis consciente qu’ils sont dangereux, alors je les évite et je préviens les autres des dangers qu’ils représentent.

Bien sûr, il y a beaucoup de choses dangereuses dans le monde dont nous devons évaluer les risques avant de décider si ou comment nous allons les aborder – mais cela ne signifie jamais que nous devons en avoir peur, la peur étant l’émotion la plus inutile et la plus paralysante de toutes – et celle qui semble nourrir et enhardir les entités obscures.

La peur est bien pire que la colère (une émotion très injustement dénigrée) car, canalisée correctement, la colère peut être incroyablement galvanisante et catalyser l’action positive et le changement rationnel, alors que la peur ne fait qu’inhiber. Elle empêche la personne d’agir positivement et inhibe l’esprit rationnel – la raison précise pour laquelle les personnes craintives croient que des morceaux de mouchoirs détrempés qui claquent sur leur visage les protègent des maladies mortelles et que les fléaux virulents ne peuvent pas les atteindre s’ils se tiennent debout sur des cercles et mangent des oeufs à l’écossaise.

Ces croyances sont aussi ridicules que les absurdités superstitieuses les plus médiévales, mais les superstitions étaient très populaires à l’époque des ténèbres pour une raison bien précise: lorsque les gens sont suffisamment effrayés, ils sont prêts à croire tout ce qui peut les aider à apaiser leur peur.

Et, comme nous l’avons dit, quelle est la peur ultime? De toute évidence, c’est celle de la mort – depuis toujours.

La question que nous devons donc nous poser est la suivante: et si nous étions libérés de cette peur ultime? Et si nous ne craignions vraiment et sincèrement pas la mort?

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les « élites » ont tant de mal à éradiquer l’islam, ce qu’elles essaient assurément de faire par tous les moyens (elles veulent éradiquer toutes les religions, pour instaurer leur dystopie d’un monde unique « sans pays, sans possessions, sans religions »).

C’est parce que beaucoup de musulmans n’ont pas peur de la mort, croyant qu’ils seront récompensés au paradis, etc. C’est pourquoi les terroristes internationaux appelés gouvernements mondiaux qui bombardent sans cesse les pays islamiques pour les réduire en miettes n’obtiennent pas l’effet escompté de les démoraliser et de les soumettre, et l’islam reste plus fort que jamais dans le monde – parce que la menace « nous vous tuerons si vous ne vous soumettez pas » ne fonctionne pas. (C’est également la raison pour laquelle les guerres mondiales n’ont pas réussi à détruire le christianisme et que les ingénieurs sociaux ont dû se tourner vers la guerre psychologique).

Je ne suggère pas que nous devions tous devenir musulmans, ou adeptes d’une religion particulière, pour nous débarasser de notre peur de la mort, mais que les cultures qui (à juste titre) ne la craignent pas (même si leurs raisons de ne pas la craindre ne sont pas toujours exactes à 100%) sont dans une position beaucoup plus forte – beaucoup mieux immunisée contre la tyrannie de l’État – que les cultures qui la craignent.

Nos cultures laïques et athées sont absolument terrifiées par la mort, car la croyance largement répandue en Occident est que « c’est tout ce qu’il y a » – que lorsque l’on meurt, c’est comme éteindre la télévision à la fin d’un film: Fin. Le noir total. C’est terminé, les amis.

Évidemment, pour ceux qui le croient, la peur de la mort sera extraordinaire. Les classes dirigeantes ont intentionnellement conçu un modèle de la mort du style « éteindre la télé » afin d’induire une peur maximale de la mort dans la population, et ainsi réussir à mettre en œuvre toutes leurs opérations psychologiques fondées sur la peur.

Si vous ne craigniez pas la mort, si vous la considériez simplement comme faisant partie de la vie – comme le repos (ce n’est peut-être pas une coïncidence si cette expression [repos éternel] a été utilisée pendant si longtemps comme euphémisme pour désigner la mort) – comment les seigneurs de l’ombre parviendraient-ils à vous manipuler et à vous contrôler avec des virus, le cancer, le changement climatique ou quoi que ce soit d’autre?

(C’est la raison pour laquelle le fait que les gens croient ou non aux virus n’a pas d’importance, comme le pensent les partisans du « pas de virus » : ce qui compte, c’est qu’ils les craignent. De nombreuses personnes anti-restriction croient que les virus propagent des maladies, y compris certains activistes très prolifiques et louables, mais elles ne les craignent pas non plus et ne sont donc pas susceptibles d’être soumises à la tyrannie de l’État. Ce n’est pas la « croyance dans les virus » qui pousse les gens à se plier à la tyrannie, c’est la PEUR des virus. Il en va de même pour tout le reste: ce ne sont pas les croyances qui importent, mais plutôt le fait que ces croyances amènent à vivre dans la peur).

Pour en revenir au sommeil, il est remarquable de constater le peu d’attention que la culture lui accorde, alors que nous passons tant de temps à dormir. Une personne passe en moyenne vingt-six ans de sa vie à dormir.

Imaginez que vous ayez une relation qui dure vingt-six ans, un travail ou un enfant de cet âge, et que vous n’en parliez jamais?

Contrairement au travail, aux relations et à d’autres choses qui occupent une grande partie de notre temps, le sommeil n’est pas vraiment un sujet de conversation dans notre culture, ni les mystérieuses profondeurs de notre inconscient dont nous faisons l’expérience dans cet état (en particulier les expériences mystiques telles que les rêves prophétiques et lucides) – et peut-être est-ce ainsi parce que l’expérience du sommeil – être inconscient et « ne pas être soi-même » – est trop similaire à la mort. Nous ne pouvons pas expliquer le phénomène du sommeil et des rêves de manière directe et logique, en nous référant à La Science (TM), alors nous l’ignorons largement et nous l’excluons du récit culturel. Même s’il s’agit d’un aspect tout à fait normal et non-effrayant de la vie quotidienne.

La mort fait également partie de la vie quotidienne. Des milliers de personnes meurent chaque jour, nous mourrons tous, et la plupart de nos ancêtres historiques sont déjà morts. Elle ne devrait donc pas être si effrayante et perçue uniquement comme négative. Ça n’a pas de sens. Si nous ne considérons pas la naissance et la vie uniquement comme des expériences effrayantes et négatives (même si elles peuvent certainement présenter ces aspects), pourquoi verrions-nous la mort de cette manière?

Bien sûr, ne pas craindre la mort ne signifie pas s’y précipiter ou ne pas vouloir utiliser son temps ici aussi efficacement que possible – tout comme ne pas craindre le sommeil ne signifie pas que l’on veuille dormir tout le temps ou s’endormir très tôt dans la journée.

J’aime dormir et rêver (il m’arrive de faire des rêves lucides, qui sont plutôt splendides), mais ce n’est certainement pas tout ce que je veux faire (même si l’on peut pardonner à ceux qui ont vécu avec moi à l’adolescence de penser le contraire).

Je ne veux donc pas mourir maintenant, ni avant de nombreuses années, tout comme je ne veux pas m’endormir à 15 heures – il est trop tôt et il y a encore trop de choses à faire.

Et ce n’est pas parce que je sais que je finirai par être fatiguée et par m’endormir que je vis ma vie en redoutant ce moment ou en prenant des mesures extrêmes pour l’éviter.

Je pense que j’ai suffisamment martelé l’analogie entre le sommeil et la mort et que vous avez compris, mais le point essentiel que j’essaie d’illustrer est que nous devons nous concentrer sur la véritable racine de la peur des gens, qui n’est pas les virus, les extraterrestres, le changement climatique ou même Dieu – c’est la mort. Et une incompréhension fondamentale de celle-ci, créée intentionnellement et agressivement promue par les classes dirigeantes.

Comme je l’ai raconté dans mon article « Le sens de la vie« , mon merveilleux chat, Tiger, est mort il y a quelques mois. Il n’était pas âgé – il venait d’avoir neuf ans – mais il s’était blessé d’une manière ou d’une autre lorsqu’il était dehors, ce qui était évident à la manière dont il bougeait et vocalisait lorsqu’il est rentré, et il était rentré à la maison pour mourir. Je l’ai su parce qu’il s’est glissé sous l’escalier du grenier, où il faisait très sombre et très calme – ce qu’il n’avait jamais fait auparavant – et je savais que c’est ce que font les chats lorsqu’ils savent qu’ils vont mourir: trouver une cachette paisible pour passer tranquillement de vie à trépas.

Et le fait est qu’il n’a pas eu peur. Moi, oui, et je l’ai emmené d’urgence chez le vétérinaire, car être confronté à la mort est évidemment dévastateur pour ceux qui restent, mais Tiger, l’être confronté à la mort lui-même, n’était pas du tout effrayé. Il était totalement détendu et acceptait la situation, et lorsque j’ai passé la main sous l’escalier pour le caresser, il a ronronné et posé sa patte sur ma main.

Les animaux sont instinctifs et savent qu’ils n’ont pas à craindre la mort. C’est pourquoi les seigneurs de l’ombre n’ont jamais dépensé des milliards de livres sterling pour essayer de réorganiser socialement les chats et d’en faire des esclaves muselés (vous imaginez essayer de museler un chat? Mon Dieu…). Cela ne fonctionnerait pas, car il n’y a pas de peur de la mort à exploiter.

Ainsi, lorsque l’on tente de démanteler les différents récits fondés sur la peur, il faut se demander quelle est la peur sous-jacente, car elle est toujours la même: un désir désespéré de nier notre propre mortalité.

Une fois cette peur vaincue, aucune opération psychologique – peste, cancer, terroristes, extraterrestres, etc. – n’a plus le moindre pouvoir.

Il semble que les êtres humains soient piégés dans une boucle de peur depuis des millénaires, et c’est ce qui permet en fin de compte aux classes dirigeantes de continuer à exploiter, à dominer et à contrôler.

Par conséquent, la première étape pour les renverser et renverser leur emprise sur nous est d’imaginer un monde libéré de la peur ultime: que, bien que nous ne voulions pas mourir prématurément et que nous prenions des précautions raisonnables pour l’éviter (comme ne pas marcher sur la route sans regarder, ou ne pas faire confiance à des criminels en série pour nous injecter des sérums expérimentaux qu’ils ont fabriqués à la hâte), nous ne vivions pas non plus dans la peur de notre destin inévitable.

Si nous commençons à imaginer cette possibilité et à en discuter avec d’autres, nous commençons à faire de réels progrès vers un monde libre et libéré.

Il suffit de regarder les chats, les êtres libres par excellence. Ils vivent exactement comme ils l’entendent, insensibles à toute tentative de les rassembler ou de les enfermer (c’est pourquoi ceux qui ont des tendances narcissiques et contrôlantes ne les aiment pas). Et regardez comme ils ne craignent pas la mort et comme ils l’acceptent calmement lorsque leur heure est venue.

Comme toujours, nous avons beaucoup à apprendre d’eux et, comme je l’ai déjà dit, je ne sais pas quel est le sens de la vie, mais je suis presque sûre qu’il a quelque chose à voir avec les chats…

« La dissimulation de Wuhan » de RFK Jr – par Pete Lincoln.

Voici un article qui traîne dans mes tiroirs depuis un moment. J’hésitais à le publier: il est long et laborieux mais les amateurs d’enquêtes journalistiques apprécieront – les autres, je ne sais pas. Si vous manquez de temps ou de patience, vous pouvez passer directement à la Conclusion mais vous louperiez à mon avis une opportunité unique de comprendre le fonctionnement du système. Chapeau à Pete Lincoln pour cet énorme boulot – et merci à votre traducteur maison.

Le point de départ de l’article est le bouquin de Robert F Kennedy Jr, dont Lincoln cite ici des extraits en y apportant des commentaires très bien sourcés. Je compléterai avec un autre travail d’enquête assez copieux lui aussi – et très bien écrit – l’article de Jim Haslam qui y est cité.

Je le publie au moment où RFK Jr se révèle être, Ô surprise, un autre rouage de la grande opération de camouflage qui entoure le sac de noeud du Sars-Cov-2. Je reviendrai sur ce personnage dans un article que j’écrirai dès que j’ai le temps – dont je n’ai jamais assez.

Note de traduction: je traduis ici l’expression « limited hangout » par « révélations sous contrôle » – faute de mieux, il n’y a pas d’équivalent en français. La définition officielle est: « une forme de propagande dans laquelle une partie sélectionnée d’un scandale, d’un acte criminel, d’une information sensible ou classifiée, etc. est révélée ou fait l’objet d’une fuite, sans que toute l’histoire soit racontée. L’intention peut être d’établir une crédibilité en tant que dénonciateur de quelque chose ou de quelqu’un en se livrant à des critiques tout en les couvrant par l’omission de nombreux détails » – donc, à peu près tout ce à quoi a eu droit dans toute l’affaire Sars-CoV-2. Le nom du site de Whitney Webb, « Unlimited Hangout », est donc un manière d’affirmer qu’elle n’est pas contrôlée – ce qui n’est pas tout à fait exact. Pour une métaphore visuelle de cette méthode, imaginez un trappeur en traîneau qui jette un morceau de viande aux loups qui le poursuivent. Vous êtes les loups.

Source.


« La dissimulation de Wuhan » de RFK Jr

Révélations sous contrôle

Pete Lincoln

11 déc. 2023

Je viens de lire le livre de RFK Jr. Plus de 600 pages sans compter les notes. Je m’y suis mis tardivement car le 5 décembre on annonçait que la version Kindle ne serait pas disponible avant le 19 décembre, pour que je découvre le 8 décembre qu’elle était disponible depuis le 6 décembre.

Il est probable que le livre ait plusieurs auteurs, mais peu importe, c’est son nom qui est indiqué en tant qu’auteur, donc quand je dis « il », c’est de lui qu’il s’agit.

Si je cite quelque chose sans lien ni indication contraire, c’est un extrait de ce livre.

Je cite également des extraits du travail de Jim Haslam, que vous pouvez trouver ici:

https://substack.com/@jimhaslam

Les 18 premiers chapitres, soit environ 1/3 du livre, sont excellents

La bureaucratie médicale et scientifique américaine… Le programme américain d’armes biologiques se situe au confluent des sombres ambitions du complexe militaro-industriel et du complexe médico-industriel, composé en grande partie de la technocratie scientifique fédérale, de l’industrie pharmaceutique et des armées de chercheurs universitaires qui reçoivent des fonds de ces entités.

Le cartel des armes biologiques – communément appelé industrie de la Préparation et de la Réponse aux Pandémies (Pandemic Preparedness and Response, PPR) – opère dans le plus grand secret, à l’abri des regards ou des critiques de la presse, à l’abri de toute responsabilité juridique, et donc à l’abri de toute obligation de rendre des comptes.

Elle s’appuie sur une coalition qui comprend l’armée, les universités, les revues médicales, les médias grand public et les organismes de réglementation de la santé publique, dans le cadre d’une collaboration corrompue et secrète visant à transformer la médecine, qui est une profession de guérison, en une profession de meurtre. Son pivot est une alliance sinistre entre les agences américaines d’espionnage et de santé publique et l’armée chinoise. Elle est devenue le point d’appui des ambitions mondialistes du néoconservatisme visant à renforcer les élites milliardaires et à déposséder les pauvres de leur pouvoir, de leurs droits et à en faire des marchandises.

Il fait un bon travail sur l’historique des agissements malfaisants et de l’influence des nazis sur les programmes d’armes biologiques dans le cadre de l’opération « Paper Clip », ainsi que sur la dégénérescence morale des scientifiques et des professionnels de la santé qui s’en est suivie.

Dans son introduction, il affirme à juste titre:

Anthony Fauci et le milliardaire Bill Gates […] étaient des hommes de paille d’une entreprise bien plus vaste: un complexe militaro-médico-industriel dirigé par des éléments de la CIA et du Pentagone…

Bien que j’aie commencé la lecture avec peu d’attentes et en prévoyant que le livre serait un « Limited Hangout » (révélation sous contrôle), je me suis retrouvé très tôt à me demander s’il allait vraiment exposer l’opération COVID. Malheureusement, il n’y fait qu’allusion.

Kennedy semble prendre le parti de dire que la Chine a créé une arme biologique qu’elle a libérée accidentellement, au contraire d’un virus naturel qui a été libéré accidentellement. Je suis d’accord pour dire que le virus a été créé. Mais il n’explore jamais la possibilité que le virus ait été fabriqué aux États-Unis et envoyé en Chine, où il a été libéré accidentellement ou délibérément. Lorsque les policiers trouvent un cadavre, supposent-ils seulement qu’il s’agit d’un accident ou d’une mort naturelle? Non, ils excluent d’abord la possibilité d’un crime, surtout s’il y a un mobile.

Les empreintes digitales de la CIA sont omniprésentes dans les études sur le gain de fonction financées par les États-Unis au laboratoire de Wuhan, dans les préparatifs de la gestion militarisée d’une pandémie de coronavirus (bien avant que les experts en maladies infectieuses ne considèrent un tel événement comme possible), dans la création des vaccins COVID, y compris le Moderna, et dans l’opération « Warp Speed ».

L’agence a conçu des contre-mesures draconiennes et intrusives qui ont fait fi de la santé publique et des protocoles bien établis et qui, au lieu de cela, se sont concentrées sur l’imposition de contrôles autoritaires. Il n’est donc pas surprenant que la communauté du renseignement ait contribué à orchestrer la dissimulation.

Il présente tous les éléments nécessaires à l’existence d’un complot visant à créer une pandémie dans le but de gérer militairement une pandémie de coronavirus.

Considérons enfin l’incitation paradoxale qui permet à toutes les entités – Pharma, Ministère de la Défense, CIA et NIH – d’accroître leur pouvoir et leur budget si l’une des créatures à gain de fonction s’échappe et, plus encore, si elles peuvent en imputer la responsabilité à une puissance étrangère telle que les Chinois.

et

En 2001, un membre du programme biologique américain a diffusé de l’anthrax, ce qui a débouché sur des dépenses de 5 800 milliards de dollars et sur l’adoption du Patriot Act. Les agences de renseignement ont soudain acquis un pouvoir inimaginable d’espionnage des Américains et ont repris la course à l’armement biologique. « Si une agence gouvernementale peut accroître son pouvoir par une action relevant de sa compétence, elle finira toujours par la mettre en œuvre », déplore le Dr Robert Malone.

Pourtant, à la fin, il se contente de dire que c’est un accident de la part de la Chine, avec l’aide de dupes involontaires ou d’acteurs traîtres motivés par l’appât du gain, sans explorer une cause plus malfaisante.

Ce qui est peut-être dissimulé ici, ce n’est pas qu’un virus ait fui d’un laboratoire chinois, mais que le virus et la pandémie aient été fabriqués. Il ne fait aucun doute qu’une fuite de virus pandémique dans un laboratoire se produira un jour ou l’autre, mais ils ne voulaient pas attendre que survienne un accident. Ils ne rajeunissaient pas. Le compteur semble avoir démarré en 2017 (voir ma chronologie à la fin), c’est à ce moment-là que tout est passé à la vitesse supérieure avec la prédiction de Fauci.

Mais il ne s’agit pas seulement de la CIA. Depuis le 11 septembre, de nombreuses agences (Ministère de la Défense, Ministère de la Santé, CIA, Ministère de la Sécurité intérieure, etc) sont imbriquées les unes dans les autres et travaillent de concert.

Après l’adoption du Patriot Act, la CIA a travaillé avec le NIAID, le Pentagone, le DTRA et des entreprises militaires pour développer et gérer des dizaines, voire des centaines, de laboratoires biologiques aux États-Unis, en Ukraine, en Géorgie et en Afrique.

Comme je l’ai montré précédemment, au cours des années qui ont immédiatement suivi l’adoption du Patriot Act, le Pentagone a canalisé la plupart de ses recherches sur les armes biologiques via le NIAID et son directeur, le Dr Anthony Fauci.

La CIA est un bouc émissaire tout désigné puisqu’elle est intouchable et qu’une grande partie de son travail est de toute façon désormais effectuée par des contractants privés et des ONG.

Venons-en donc au Limited Hangout, qui est le récit semi-officiel contrôlé ou le contre-récit.

[En] août 2021, une enquête républicaine du Congrès a conclu que le virus s’était échappé du laboratoire de Wuhan « quelque temps avant le 12 septembre 2019 » et que les autorités chinoises savaient qu’une pneumonie respiratoire de type SARS se préparait à Wuhan et qu’elles essayaient déjà à cette date de contrôler à la fois le virus et le narratif.

Le raid effectué par le gouvernement le 12 septembre au laboratoire de Wuhan suggère que les fonctionnaires soupçonnaient déjà l’IVW d’être la source potentielle de la contagion.

Plus tard dans la nuit, entre 2 et 3 heures du matin, les autorités chinoises ont supprimé les bases de données virales en ligne de l’IVW, y compris quelque vingt-deux mille échantillons de pathogènes non publiés et des séquences génomiques collectées sur vingt ans, en partie grâce au financement des NIH.

Selon des sources de renseignement américaines, les requêtes de recherche de termes liés à la maladie et les discussions sur les symptômes caractéristiques du COVID-19 ont explosé dans le trafic Internet émanant de Wuhan; l’augmentation de ces deux signaux a précédé de quatre mois le début officiel de la pandémie de COVID-19 en Chine, au mois de décembre.

Le 9 mai 2020, NBC News a rapporté qu’une analyse des données de géolocalisation des téléphones portables par les services de renseignement américains avait révélé qu’un « événement dangereux » avait entraîné la fermeture de l’IVW du 7 au 24 octobre.

L’assistant de recherche de Shi Zhengli, Ben Hu, et leurs collègues scientifiques de Wuhan ont été hospitalisés avec des symptômes du COVID à Wuhan en novembre 2019. Ces trois personnes sont probablement le véritable « patient zéro ».

Le Sunday Times de Londres a récemment publié un article de recherche approfondi le 10 juin 2023, corroborant cette série d’événements, en particulier la mystérieuse maladie respiratoire qui a hospitalisé trois « biologistes qualifiés dans la trentaine et la quarantaine » de l’Institut de Wuhan en novembre 2019.

Les enquêteurs du département d’État américain qui ont été à l’origine de l’article se sont montrés « très confiants »😂.

Certains de ces paragraphes ne sont pas dans l’ordre pour des raisons de clarté et de concision.

Ok. Avez-vous mal à la tête après avoir lu ceci? Moi, oui.

Pour résumer: Le 12 septembre 2019, heure de Pékin (11 septembre, HNE), la Chine apprend qu’un nouveau virus est en circulation, deux mois avant qu’un patient zéro ne soit découvert ou, plus précisément, près de quatre mois avant qu’elle ne confirme qu’il s’agit bien d’un nouveau virus, et le département d’État américain conclut avec une certitude inébranlable que ces travailleurs de l’IVW étaient le patient zéro.

Cela vous semble-t-il cohérent avec une dissémination accidentelle par le laboratoire?

Une explication plausible, si elle est seulement vraie, est que les services de renseignements militaires chinois ont découvert qu’il existait un complot bioterroriste étranger visant à diffuser délibérément un virus à Wuhan à partir de l’IVW. Pour ceux qui l’ignorent, la Chine soupçonnait fortement le SARS d’être une arme biologique américaine libérée en Chine et conçue pour cibler les Asiatiques et les Chinois.

Parmi les affirmations les plus étranges des scientifiques militaires figure leur théorie selon laquelle le SARS-CoV-1, le virus à l’origine de l’épidémie de SARS de 2003, était une arme biologique fabriquée par l’homme, délibérément lâchée sur la Chine par des « terroristes ».

L’article de 263 pages a été publié en 2015 par la Chinese Military Medical Science Press, une maison d’édition appartenant au gouvernement chinois et gérée par le Département général de la logistique de l’Armée Populaire de Libération (APL).

L’ancien secrétaire d’État Mike Pompeo et son principal conseiller pour la Chine, Miles Yu, y ont fait référence en passant dans leur article d’opinion du Wall Street Journal de février sur les laboratoires chinois, en écrivant: Une étude de l’APL de 2015 a traité l’épidémie de coronavirus du SARS de 2003 comme « arme génétique contemporaine » lancée par des forces étrangères.

https://archive.ph/2021.06.01-233329/https://amp.theaustralian.com.au/nation/politics/chinese-military-scientists-discussed-weaponising-sars-coronaviruses/news-story/850ae2d2e2681549cb9d21162c52d4c0

Si vous pensez que c’est ridicule, dans son document d’orientation de 2000 intitulé Rebuilding America’s Defenses (Reconstruire les défenses de l’Amérique), le groupe de réflexion Project for the New American Century (PNAC – Projet pour le nouveau siècle américain) a décrit les armes biologiques ethniques comme un « outil politiquement utile » que les États-Unis pourraient être incités à développer et à utiliser.

N’oubliez pas non plus que RFK Jr a fourni le lien vers un document montrant que le virus original de Wuhan semblait ne pas affecter autant certains groupes (dont l’un est chinois).

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32664879/

Ce n’est certainement pas le cas d’Omicron, qui est en fait un Sars-Cov-3 et qui a peut-être été conçu séparément pour remédier à ce problème.

Bien entendu, le SARS s’est éteint. Pourquoi? Il était instable et a muté jusqu’à devenir insignifiant. En outre, il ne se transmettait pas très bien tant que le patient n’était pas très malade, de sorte qu’il y a eu très peu de transmission en dehors des hôpitaux.

Leçon apprise.

Il convient de souligner qu’un an avant le SARS, un brevet a été obtenu par le « parrain » du coronavirus, Ralph Baric. Ralph Baric est professeur de microbiologie et d’immunologie à la Gillings School of Global Public Health de l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill.

Le brevet relatif au procédé de fabrication du vaccin est utilisé pour les porcs, mais il peut également s’appliquer aux vaccins humains fabriqués à partir des mêmes procédés.

Ralph Baric – 2001.

ASSEMBLAGE DIRECTIONNEL DE GRANDS GÉNOMES ET CHROMOSOMES VIRAUX

Le brevet relatif à ce procédé a été déposé le 19 avril 2002 (brevet n° 7279327).

Plusieurs mois après le dépôt de ce brevet, l’épidémie de SARS s’est déclarée en Asie.

« Ce brevet, délivré sous le nom de brevet américain 7279327 … expose clairement, par un séquençage génétique très spécifique, le fait que nous savions que le récepteur ACE, le domaine de liaison ACE2, la protéine de pointe S-1 et d’autres éléments de ce que nous connaissons aujourd’hui comme ce fléau pathogène, n’étaient pas seulement conçus, mais pouvaient être modifiés synthétiquement en laboratoire en utilisant rien de plus que les technologies de séquençage génétique.

Prendre un code informatique et le transformer en pathogène, ou un intermédiaire du pathogène, et cette technologie a été financée exclusivement, dans les premiers temps, comme un moyen d’exploiter le coronavirus comme vecteur pour distribuer le vaccin contre le VIH ».

2002 – AVANT l’apparition du premier SARS-CoV, Ralph Baric publiait un travail révolutionnaire qui marquait une étape importante dans l’étude des divers mécanismes des virus naturels et dans la recherche sur le gain de fonction.

Dans son article, le groupe Baric décrit la création d’un clone synthétique d’un coronavirus murin naturel.

En fait, les auteurs ont « traduit » le virus ARN dans le langage de l’ADN (à l’aide de la transcriptase inverse), ce qui leur a permis de manipuler son génome à l’aide des outils de génie génétique existants.

Après avoir créé sept segments de provirus à ADNc, les auteurs les ont assemblés « sans discontinuité », puis ont retranscrit leur construction en ARN, qui s’est ensuite transformé en particules virales dans d’autres cellules.

https://journals.asm.org/doi/epub/10.1128/JVI.76.21.11065-11078.2002

2003 – Après l’apparition de la première épidémie de SARS-CoV, le groupe Baric s’est mis à l’œuvre. Dès l’été, ils ont soumis un article sur la recréation synthétique du SARS-CoV:

À l’aide d’un panel d’ADNc contigus couvrant l’ensemble du génome, nous avons assemblé un ADNc complet de la souche SARS-CoV Urbani et avons sauvé des virus SARS clonés moléculairement qui contenaient les mutations marqueurs attendues, insérées dans les clones constitutifs.

Les virus recombinants se sont répliqués aussi efficacement que le virus de type sauvage et ont tous deux été inhibés par un traitement à l’inhibiteur de la cystéine protéinase…

La disponibilité d’un ADNc complet du SARS-CoV fournit un modèle pour la manipulation du génome viral, ce qui permet de développer et de tester rapidement et rationnellement des candidats vaccins et thérapeutiques contre cet important agent pathogène humain.

Aujourd’hui, un laboratoire qualifié peut répéter ces étapes en l’espace de quelques semaines.

Ce travail a été soutenu par les subventions AI23946, GM63228 (à R.S.B.) et AI26603 (à M.R.D.) des National Institutes of Health. La recherche a été soutenue par le Carolina Vaccine Institute de l’Université de Caroline du Nord, Chapel Hill.

https://www.pnas.org/content/100/22/12995

Revenons au Sars-Cov-2.

Qui pourrait être à l’origine de ce complot visant à libérer un virus synthétique à Wuhan, et comment cela est-il réalisable exactement?

Disons par exemple que la CIA ait recruté quelqu’un à l’IVW pour le libérer (un virus conçu aux États-Unis mais testé sur des souris/chauves-souris à l’IVW) en sachant qu’il s’agissait d’un virus faiblement pathogène qui n’affecterait de toute façon que les personnes âgées en fin de vie, et en lui disant qu’il serait utilisé à des fins politiques d’ingénierie sociale et qu’elle serait bien payée. Je suis sceptique sur ce point, mais c’est possible. Après tout, nous avions une personne à l’intérieur de l’IVW en novembre 2019 (Dani Anderson) qui était associée à la proposition DEFUSE et travaillait avec Eco Health Alliance .

Dani, une immunologiste des chauves-souris de classe mondiale payée par le NIAID, était à l’intérieur du BSL4 de Wuhan.

https://www.bloomberg.com/news/features/2021-06-27/did-covid-come-from-a-lab-scientist-at-wuhan-institute-speaks-out

Il est également possible que le virus modifié ait été envoyé à l’IVW pour y être testé et expérimenté par Ralph Baric ou Eco Health Alliance, et qu’on leur ait dit ou laissé entendre qu’il ne pouvait pas infecter les cellules humaines, de sorte qu’il a été envoyé dans leur laboratoire BSL-2 pour les travaux de laboratoire. C’est dans ce laboratoire que Shi Zheng Li a effectué la plupart de ses travaux sur les virus de type Sars, vu qu’ils n’infectent pas facilement l’homme et ne se transmettent pas facilement. Un virus comme le Sars-CoV-2 est très certainement susceptible de s’échapper d’un laboratoire de niveau de sécurité 2 par le biais d’une infection du personnel de laboratoire

Ma théorie est que les plus hautes sphères du PCC ont approuvé ce plan pour les mêmes raisons que les dirigeants des puissances occidentales, mais que les services de renseignement militaires chinois en ont eu vent et, faisant fi de l’approbation de leurs patrons, ont procédé à une enquête en conséquence. Comme je l’ai dit, ce n’est qu’une théorie.

Le fait qu’ils n’aient pas mis aux arrêts tout le personnel de l’IVW laisse penser qu’ils étaient convaincus qu’il s’agissait d’une attaque étrangère et, persuadés que la base de données de virus était utilisée par des scientifiques étrangers qui se servaient des séquences de virus contenues dans la base de données pour fabriquer des armes biologiques, ils ont judicieusement ordonné la fermeture de la base de données.

Qui sait? Cela semble plus plausible qu’une dissémination accidentelle d’un laboratoire. Quoi qu’il en soit, cela vaut la peine d’y réfléchir. Imaginez ce qui devrait se passer pour qu’il s’agisse d’une dissémination accidentelle d’un laboratoire.

Scénario 1 – Alors que les mondialistes anticipent avec impatience une pandémie de coronavirus, l’IVW découvre, après 15 ans, un virus similaire à 99% au Sars-Cov-2 chez des chauves-souris et y insère un SCF (site de clivage de la furine), dans un nouveau laboratoire de niveau de sécurité 4 (BSL-4) mis en service 18 mois plus tôt, qui, parfaitement adapté à l’homme, s’échappe ensuite de ce laboratoire au moment où Dani Anderson, employée d’Eco-Health Alliance Partner (Lin-Fa Wang), s’y trouve comme par hasard.

Avant de poursuivre, voici une brève présentation de Linfa Wang et Dani Anderson et de leurs affiliations.

En 2012, Danielle Anderson et Linfa Wang ont été recrutés dans le réseau de biodéfense du NIAID par l’intermédiaire de l’université de Duke. Ils ont tous deux déménagé à Duke-Singapour où un laboratoire animal BSL3 a été construit.

Danielle Anderson a travaillé sous la direction de Linfa Wang, professeur et directeur du programme des maladies infectieuses émergentes à l’école de médecine Duke-NUS, à Singapour.

Linfa est un citoyen australien né à Shanghai qui a obtenu un doctorat en biochimie (biologie moléculaire) à l’université de Californie à Davis en 1986.

Duke est un partenaire clé du programme P3 (Pandemic Prevention Platform) de la DARPA. La première étape du programme Duke/DARPA consiste à découvrir des virus potentiellement dangereux et à « développer des méthodes pour favoriser la propagation virale, afin que le virus puisse être utilisé pour des études en aval ».

Duke est située en Caroline du Nord, à seulement 10 miles de l’UNC de Ralph Baric.

L’université Duke est partenaire de l’université chinoise de Wuhan, ce qui a donné lieu à l’ouverture de l’université Duke Kunshan (DKU), basée en Chine.

Duke-NUS de Singapour figure sur la liste des sous-traitants du CREID du département d’État et travaille en étroite collaboration avec Eco Health Alliance, le NIAID, le Naval Medical Research Center-Asia et l’IVW.

Linfa Wang a démissionné le 10 janvier 2020 (avec effet en août), le jour même où la Chine a publié les séquences de Sars-Cov-2 et s’est attelé à la mise au point d’un test d’anticorps pour le COVID.

https://www.telegraph.co.uk/global-health/science-and-disease/pioneering-antibody-test-could-pave-way-mass-travel/

Plus d’informations ici.

Retour aux Scénarios Improbables.

Scénario 2: les mondialistes anticipent avec impatience une pandémie de coronavirus

a) L’IVW découvre sans le savoir le Sars-Cov-2 à partir d’un échantillon de chauve-souris, qui se trouve être le premier sarbecovirus de ce type avec un SCF qui n’infecte pas les chauves-souris (alors pourquoi se trouve-t-il dans un échantillon de chauve-souris) et qui est accidentellement libéré, presque parfaitement adapté à des hôtes humains.

b) L’IVW découvre le Sars-Cov-2 mais, contrairement au RaTG13, ne l’ignore pas malgré qu’il ne soit pas assez proche du virus du SARS. Ils le font ensuite passer en série sur des souris aux poumons humanisés pour qu’il s’adapte aux poumons humains, bien que l’institut de recherche médicale de l’armée chinoise n’ait obtenu de telles souris humanisées qu’à l’été 2019, où il aurait fallu les envoyer d’urgence à Wuhan. Et puis, bien sûr, l’IVW libère accidentellement le virus.

En avril 2020, sept mois après que le COVID-19 a commencé à circuler, vingt-trois scientifiques chinois – dont sept de l’Académie des Sciences Médicales Militaires, l’institut de recherche médicale de l’armée chinoise – se sont vantés d’avoir utilisé la technologie CRISPR d’édition de gènes pour concevoir des souris aux poumons humanisés afin de faciliter le développement de souches de coronavirus susceptibles d’infecter les humains.

En juin 2021, Vanity Fair a rapporté que les enquêteurs du Conseil de la Sécurité Nationale (NSC) des États-Unis ont déterminé qu' »il est devenu clair que les souris avaient été modifiées au cours de l’été 2019, avant même le début de la pandémie ».

On pourrait dire que Ralph Baric a peut-être envoyé des souris humanisées à l’IVW. Peut-être devrions-nous le lui demander? Pourquoi le Congrès ne l’a-t-il pas interrogé?

L’IVW dispose de souris transgéniques ACE2 humaines, mais cela n’est pas aussi efficace si l’on souhaite adapter le virus pour qu’il infecte plus efficacement les êtres humains.

Des scientifiques américains avaient mis au point des souris humanisées en 2002. Des scientifiques financés par les NIH, comme Ralph Baric, utilisaient des souris humanisées pour tester l’infectiosité humaine de leurs agents pathogènes améliorés depuis près de vingt ans!

Mais attendez, ça devient encore plus intéressant.

En janvier 2020, alors que les scientifiques se préparaient à étudier la nouvelle maladie dangereuse [la séquence n’a été obtenue que le 10 janvier], tous les regards étaient tournés vers l’ACE2, une protéine qui se trouve à la surface de nombreux types de cellules du corps humain, notamment les cellules du cœur, de l’intestin, des poumons et de la cavité nasale. Le SARS-CoV-2, le coronavirus responsable du COVID-19, s’accroche au récepteur ACE2 et l’utilise pour pénétrer dans les cellules et commencer à se développer, ce qui entraîne une infection.

Les chercheurs ont cependant découvert que le SARS-CoV-2 ne peut pas s’accrocher à la version murine du récepteur ACE2. Pendant un certain temps, cette différence a rendu les études sur les souris pratiquement inutiles dans la lutte contre la pandémie.

Les choses ont changé grâce à l’équipe du laboratoire Baric, qui a déjà produit des modèles de souris pour d’autres coronavirus comme le SARS-CoV et le MERS-CoV.

En modifiant deux positions d’acides aminés dans le génome viral, ils ont généré un virus adapté à la souris, capable d’infecter des souris de laboratoire standard avec le COVID-19.

31 août 2020

Des chercheurs, dont plusieurs virologues et microbiologistes de la Gillings School of Global Public Health de l’UNC, décrivent le modèle SARS-CoV-2 adapté à la souris dans un article publié le 27 août dans la revue Nature, qui a fait l’objet d’une procédure de publication accélérée.

C’est du travail rapide Ralph, tu as développé un modèle de souris SARS-Cov-2, sans doute en fabriquant le SARS-Cov-2 en laboratoire par génétique inverse à partir de la séquence fournie par la Chine (qui n’envoyait pas d’échantillons), en constatant qu’il n’infectait pas les souris de laboratoire standard, puis en déterminant les acides aminés à modifier pour qu’ils le fassent, en le testant et en rédigeant l’article, en le soumettant et en le faisant publier en moins de 8 mois. D’aucuns pourraient penser que vous auriez déjà pu le faire en 2019.

Revenons-en au livre. Comme mentionné, il commence par nous parler de l’influence nazie sur notre programme d’armes biologiques et de la façon dont les militaires, la CIA, les universitaires (scientifiques) et les laboratoires pharmaceutiques travaillent ensemble et sont si moralement corrompus qu’ils ont expérimenté sur des civils et des soldats américains pendant plus de 20 ans avant que l’affaire ne soit divulguée et qu’on y mette un terme.

Vous pensez que ces psychopathes ont simplement disparu?

Le livre ignore largement des choses comme le DOMANE de Malone (2019), les laboratoires Rocky Mountain, Dani Anderson, l’accord de transfert de matériel Moderna/Baric (2019), le réseau CREID (2020), le transfert du stock de vaccins du CDC à la BARDA (dirigée par Rick Bright) (2019), ou l’estimation du coût de la pandémie par les conseillers économiques de la Maison Blanche (jusqu’à 4 trillions de dollars), l’expulsion du personnel du CDC de Chine (2019).

Je traite de tout cela ici.

OPERATION COVID

Il mentionne Linfa, mais affirme qu’il s’agit d’un ressortissant chinois et la plupart des lecteurs supposeront qu’il s’agit simplement d’un scientifique de l’IVW travaillant pour Shi Zhengli.

Le Dr Fauci décrit Shi et ses complices, Ben Hu et Lin-Fa Wang, comme des « scientifiques chinois très respectables ».

Les courriels montrent que Daszak et Ralph Baric ont entrepris d’étouffer l’affaire avec l’aide de Lin-Fa Wang, collègue de Shi Zhengli, ressortissant de la RPC et président du conseil scientifique du Centre des Maladies Infectieuses Emergentes de l’Institut de Virologie de Wuhan.

Sérieusement Robert, c’est quoi ce délire?

Il mentionne brièvement la fermeture de Fort Detrick en juillet 2019 pour plusieurs mois en raison de problèmes de sécurité, mais ne mentionne pas les épidémies de pneumonie dans les maisons de retraite de Virginie au même moment.

Il mentionne également les Jeux militaires de Wuhan, mais n’explique pas l’absence de rapports sur les tests sérologiques effectués sur le personnel militaire envoyé à Wuhan une fois que l’épidémie a été connue.

Il mentionne le Crimson Contagion Exercise en 2019, mais pas SPARS, Clade X et MARS, qui ont tous eu lieu entre 2017 et 2019, après la prédiction de Fauci. Et pourtant, il se fait que nous ne disposions toujours pas de stocks de masques et d’EPI [équipement de protection individuel]. Tous ces préparatifs ont eu lieu entre 2017 et 2019.

Il mentionne que la plupart des exercices appelaient à un contrôle plus strict de l’information, mais il ne mentionne pas que le Complexe Industriel de Contrôle de la Censure était en cours de construction avec CISA-2018, GEC-2017 des départements d’État, Newsguard-2018. Et en 2015, Poynter reçoit 382 997 dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates pour influencer la couverture médiatique des initiatives mondiales en matière de santé. En 2017, l’Institut Poynter reçoit 1,3 million de dollars du réseau Omidyar et de l’Open Society Foundations pour soutenir le fact-checking.

Il mentionne également l’implication de l’armée dans la technologie de l’ARNm et le sommet sur la santé de 2019 de l’Institut Milkin, qui a débattu de l’accélération de l’approbation des vaccins (Anthony Fauci de l’Institut National des Allergies et des Maladies Infectieuses (NIAID) de l’Institut National de la Santé et Rick Bright de BARDA, qui a précédemment travaillé pour PATH, financé par Gates, y ont participé).

Il mentionne également l’achat par la Fondation Bill & Melinda Gates de 3 millions d’actions de BNT en septembre 2019 avant de les revendre à leur apogée pour un retour sur investissement de 900% (sans impôt).

Encore une coïncidence.

Il ne mentionne pas la décision prise par la Maison Blanche en janvier, avant l’arrivée du COVID aux États-Unis, de tenir toutes les réunions du Département de la Santé et des Affaires sociales (HHS) sur la préparation du COVID dans un cadre classifié. Une décision étrange [NdT. comparable au « Conseil de Défense » français].

Il mentionne en revanche que le PanCAP du Conseil de Sécurité National a été mis à jour en 2018, puis modifié et approuvé par le Conseil de Sécurité National le 13 mars 2020 et que le PanCAP a défini la politique du gouvernement fédéral en matière de COVID. La principale raison pour laquelle il a agi de la sorte semble être qu’il voulait faire disparaître le nom d’Avril Haines:

Le groupe de travail était initialement dirigé par le Secrétaire à la Santé et aux Services sociaux et coordonné par le [Conseil de Sécurité Nationale] NSC ». La directrice du Renseignement national, Avril Haines, est actuellement la conseillère officielle du NSC en matière de renseignement.

Ce qu’il omet de préciser, c’est que le PanCAP modifié prévoyait des « confinements » et que ceux-ci ont été annoncés trois jours plus tard. Il ne mentionne pas non plus que la FEMA (qui dépend du Ministère de la Sécurité intérieure) a pris le relais du Ministère de la Santé en avril et, enfin, qu’Avril Haines n’est devenue directrice du Renseignement national qu’en 2021.

Passons maintenant à DEFUSE. Il en parle assez longuement dans deux chapitres.

Le premier problème est qu’il ne mentionne pas que la proposition a été faite en réponse à l’appel d’offres du DARPA pour son programme PREEMPT (PREventing EMerging Pathogenic Threats Program). Au lieu de cela, il dit:

Daszak a mis au point un projet ambitieux visant à militariser un arsenal de coronavirus, croyant apparemment que la proposition pourrait intéresser la DARPA ou les grands pontes du Pentagone.

Il cite ensuite Steven Quay.

En fait, depuis 1992, au moins quatorze publications ont décrit l’ajout d’un site de clivage de la furine à un virus qui n’en avait pas, y compris une étude de l’IVW. 14 fois sur 14, cela rend les virus plus méchants ».

Quay ne fournit aucune référence pour cette étude que l’IVW était censé réaliser. J’ai essayé en vain de la localiser en utilisant Google et le site corrompu Duck Duck Go.

Il ne mentionne nulle part que l’Université du Montana faisaient la même chose. En 2006, des chercheurs de l’Université du Montana ont inséré un site de clivage de la furine dans un coronavirus bovin (cerf) au même endroit que celui du Sars-Cov-2.

« Nous avons introduit un site de reconnaissance de la furine sur des résidus basiques uniques dans la région jonctionnelle S1-S2 putative. Nous montrons que le clivage de la furine à la position R667 modifiée génère des sous-unités S1 et S2 distinctes et potentialise l’activité de fusion membranaire.

Cet effet sur l’activité de fusion cellule-cellule par la glycoprotéine S n’est cependant pas reflété dans l’infectivité des lentivirus pseudotypés portant la glycoprotéine clivée. L’absence d’effet du clivage de la furine sur l’infectivité du virion reflète celle observée pour la glycoprotéine S normalement clivée du coronavirus murin « 

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16519916/

Le clivage de la furine n’a pas rendu le coronavirus bovin plus infectieux. Mais dans le cas de SARS-Cov-2, sa perte l’atténue.

https://www.nature.com/articles/s41586-021-03237-4

Il est intéressant de noter que l’université d’État du Montana se trouve à trois heures de route du laboratoire de Fauci dans les Rocky Mountains.

Quoi qu’il en soit, une lecture attentive de la proposition DEFUSE montre que c’est Baric qui devait être responsable des travaux sur le SCF, et non l’IVW.

Il décrit ensuite le refus de la DARPA.

La DARPA a néanmoins rejeté la demande de financement de Daszak, en invoquant le fait qu’EcoHealth n’avait pas pris en compte les questions éthiques, juridiques et sociales du projet.

La véritable raison est que la DARPA a accordé la subvention à une autre personne qui effectuait un travail similaire sur un virus différent, parce que cela coûtait 4 millions de dollars de moins. Je parlerai de cette personne plus tard, mais c’était un gars du Montana qui travaillait en dehors du laboratoire Rocky Mountain de Fauci, à l’université d’État du Montana.

Il poursuit en soulignant, à juste titre, que les travaux décrits dans la proposition auraient pu être menés à bien de toute façon.

Le Dr Jonathan Couey fait également remarquer que le fait que Fauci et les NIH aient rejeté la proposition de Daszak n’est pas pertinent. La proposition elle-même est la preuve que le travail avait peut-être déjà été effectué, car c’est ainsi que la recherche moderne est menée et financée.

Il pointe ensuite du doigt la Chine.

Enfin, il est tout à fait possible que la proposition ait abouti à la création finale du COVID-19 par les Chinois.

Il s’agit là d’une conclusion surprenante, car il avait déjà envisagé la possibilité que les travaux de Baric étaient en cours et peut-être même achevés. Daszak avait d’autres sources de financement privées possibles, telles que la Fondation Bill et Melinda Gates et le Wellcome Trust.

Mais si la Chine a créé le virus, pourquoi publierait-elle la séquence RaTG13 montrant sa grande similarité avec Sars-Cov-2? Cela semble assez stupide, comme un voleur qui aurait laissé ses empreintes digitales partout lors d’un cambriolage et qui aurait envoyé sa carte d’empreintes digitales à la police.

Mais il en donne la raison.

RaTG13 était encore suffisamment éloigné génétiquement du virus COVID-19 – de 3,8% – pour ne pas être le géniteur immédiat dudit virus. L’article de Shi prétend ainsi disculper le laboratoire de Wuhan en tant que point de départ de la pandémie.

C’est vrai, mais cela ne tient pas compte d’un point. La protéine de pointe de RaTG13 est identique à 98,4% à celle du Sars-Cov-2. L’essentiel de la différence réside dans les protéines non structurelles qui ne font pas partie du virus.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8033097/

Cela signifie que le Sars-Cov-2 avait une ossature différente, naturelle ou non, avec une protéine de pointe similaire à celle du RaTG13, plus le SCF qui a été inséré par génétique inverse.

Cela exclut qu’il s’agisse d’un virus naturel, car quelles sont les chances qu’un nouveau virus apparaisse 7 ans après le premier échantillonnage de RaTG13, avec presque la même protéine de pointe et un SCF jamais vu auparavant dans les sarbecovirus, dont l’ossature est très différente? Les probabilités contraires sont astronomiques. 28 protéines subissent des mutations, dont certaines très importantes, mais la protéine de pointe est pratiquement inchangée, à l’exception d’une insertion improbable? C’est impossible!

Ce que Shi Zheng Li a fait, c’est exposer le fait que le virus a été fabriqué par l’homme et qu’il n’est pas d’origine naturelle. C’est pourquoi Fauci et Baric ont été pris de panique lorsqu’ils ont appris que l’article était sur le point d’être publié, et qu’ils ont dû immédiatement se mettre au travail pour renforcer la thèse des origines naturelles, ce qui a donné naissance à l’article frauduleux sur les origines proximales.

Il est parfaitement impossible que Shi Zheng Li ait publié cette séquence, ou qu’elle ait été autorisée à le faire par le général de l’APL qui a pris en charge l’IVW, si le virus provenait de son laboratoire. Cela prouve qu’il n’y a pas d’origine naturelle et jette la suspicion sur la seule personne capable de réaliser cette ingénierie complexe (créer des chimères n’est pas si complexe). Bien entendu, ils n’ont pas compris que les Américains pouvaient être assez naïfs pour croire qu’il était facile de créer un nouveau coronavirus.

On peut donc se demander d’où vient ce coronavirus. Son ossature représente près de 90% du virus, et aucun virus de ce type n’existait dans aucune base de données. Bien sûr, on pourrait faire valoir qu’un tel virus existait, mais qu’il était caché ou qu’il se trouvait dans une base de données supprimée. Le virus constituant son ossature n’aurait rien été sans la protéine de pointe de type RatG13, alors pourquoi avoir choisi ce virus et comment savaient-ils que la protéine de pointe RaTG13 associée à un SCF fonctionnerait avec ce virus? Ce n’est pas possible, pas sans de nombreux essais et erreurs avec d’autres virus.

Il est plus probable que Sars-Cov-2 soit un virus consensuel composé de parties de virus étroitement apparentés et conçu par un Génie des Coronavirus. Le livre mentionne même cette technique.

En 2008, Baric a téléchargé quatre séquences incomplètes de coronavirus à partir d’un ensemble de données GenBank qui avait été téléchargé en 2005 par des scientifiques chinois. Baric a utilisé ses talents de magicien pour donner vie, dans son laboratoire, à une nouvelle séquence d’ARN générée par ordinateur.

À partir de cet ensemble de quatre séquences partielles, Baric a créé un coronavirus de chauve-souris synthétique « consensuel ». Il a remplacé une petite partie de la protéine de pointe par une section du virus du SARS de 2003 qui se lie aux récepteurs ACE2 humains, ce qui confère au nouveau virus une fonctionnalité spécifique de verrouillage et donne au clone synthétique de Baric la capacité d’infecter les tissus humains.

Dans cette série d’expériences, Baric a fait preuve d’une précision chirurgicale qui démontre sa maîtrise incontestée des méthodes de génétique inverse et de clonage infectieux mises au point par Vincent Racaniello et David Baltimore avec le poliovirus.

En fait, la proposition de projet DEFUSE, dont nous avons de bonnes raisons de penser qu’elle était en cours en 2018 lorsque son offre a été rejetée, prévoyait également l’élaboration d’une séquence consensuelle.

… [Le Sars-Cov-2 ] était: un vaccin vivant atténué hybride (VVA) pour chauve-souris. Cela explique pourquoi le SARS2 était si contagieux mais pas aussi mortel. Un vaccin animal (p. ex. SARS2) serait conçu pour sembler naturel à l’espèce locale (chauve-souris chinoise) en utilisant une séquence « consensuelle« , que Dani et Linfa ont tous deux référencée à l’UNC en 2019.

Cet article l’explique clairement. [NdT. article de Jim Haslam en cours de traduction]

Les propositions de la DARPA, qui ont fuité jusqu’au groupe d’analyse des origines des pandémies Drastic, montrent que l’équipe avait prévu de prendre des séquences de coronavirus naturels et de les utiliser pour créer une toute nouvelle séquence qui était une moyenne de toutes les souches.

La demande de subvention, soumise en 2018, stipule ce qui suit: « Nous compilerons les données de séquence/ARNseq d’un panel de souches étroitement apparentées et comparerons les génomes complets, en recherchant des PN (polymorphismes nucléotidiques) uniques représentant des erreurs de séquençage. »

« Les génomes candidats consensuels seront synthétisés commercialement à l’aide de techniques établies et d’ARN de longueur génomique et d’électroporation pour récupérer les virus recombinants. »

Un collaborateur de l’OMS, qui a demandé à ne pas être nommé par crainte de représailles, a expliqué la proposition:

« Cela signifie qu’ils prendraient diverses séquences de coronavirus similaires et créeraient une nouvelle séquence qui serait essentiellement la moyenne de ces séquences. Il s’agirait d’une nouvelle séquence virale, qui ne correspondrait pas à 100 % à quoi que ce soit. »

Ils auraient ensuite synthétisé le génome viral à partir de la séquence informatique, créant ainsi un génome viral qui n’existe pas dans la nature mais qui semble naturel puisqu’il s’agit de la moyenne de virus naturels.

« Ils placent ensuite cet ARN dans une cellule et en extraient le virus. Cela crée un virus qui n’a jamais existé dans la nature, avec une nouvelle ‘ossature’ qui n’existe pas dans la nature mais qui est très, très similaire puisqu’il s’agit de la moyenne des ossatures naturelles ».

La source a indiqué qu’il était intéressant de noter que le seuil pour générer une telle séquence moyenne était constitué par des virus dont la divergence génétique entre eux n’était que de 5%.

L’année dernière, des scientifiques de l’Institut de Virologie de Wuhan ont déclaré avoir trouvé une souche nommée RaTG13 dans des excréments de chauve-souris dans une grotte de la province du Yunnan en 2013, qui correspondait à 96,1% au Sars-CoV-2. Cela signifie que RaTG13 aurait pu être inclus dans un ensemble de génomes viraux pour aider à créer une séquence moyenne.

Bien que la demande de subvention ait été rejetée en 2018, la base de données de Wuhan sur les souches virales a été mise hors ligne avant l’épidémie de Covid, quelque 18 mois plus tard, ce qui signifie qu’il est impossible de vérifier sur quels virus l’équipe travaillait ou avait créés. Les scientifiques de Wuhan ont toujours nié avoir créé le Sars-CoV-2 en laboratoire.

La source de l’OMS ajoute: « Si le Sars-CoV-2 provient d’une séquence consensuelle artificielle composée de génomes ayant plus de 95% de similitude entre eux, je prédis que nous ne trouverons jamais dans la nature de très bonne correspondance et que nous n’aurons qu’un tas de correspondances étroites sur certaines parties de la séquence, ce qui est jusqu’à présent ce que nous observons. »

Les experts ont déclaré que si l’objectif ultime de la proposition était de créer un vaccin pan-coronavirus, la construction d’un virus moyen « idéal » aurait été un bon point de départ.

http://web.archive.org/web/20211006101612/https://www.telegraph.co.uk/world-news/2021/10/05/wuhan-us-scientists-planned-create-new-coronaviruses-funding/

Ils ont donc créé un pan-coronavirus à partir de séquences consensuelles. Mais il n’y avait pas assez de séquences publiées suffisamment proches du Sars-Cov-2 pour le faire, de sorte que l’ingénierie par consensus n’était pas envisageable. De plus, comment auraient-ils pu savoir qu’ils voulaient obtenir quelque chose comme le Sars-Cov-2, à moins d’être un génie comme Ralph Baric, le Parrain des Coronavirus?

À l’heure actuelle, aucune donnée solide et exploitable ne permet d’affirmer que le virus a été conçu et qu’il a échappé au confinement. La pathogenèse du SARS-CoV-2 étant si complexe, l’idée que quelqu’un puisse le fabriquer est presque ridicule.

Quand on pense à la diversité des souches liées au SARS qui existent dans la nature, il n’est pas difficile d’imaginer une souche qui présenterait les caractéristiques biologiques complexes et imprévisibles du SARS-CoV-2.

En tant que scientifiques, nous avons tendance à faire des expériences, à lire la littérature et à penser que nous comprenons le fonctionnement de la nature. Nous faisons des déclarations définitives sur la manière dont les coronavirus sont censés émerger des réservoirs animaux, sur la base d’un ou deux exemples. Mais la nature a de nombreux secrets et notre compréhension est limitée. Ou, comme on dit dans Game of Thrones, « Tu ne sais rien, Jon Snow ».

https://www.technologyreview.com/2021/07/26/1030043/gain-of-function-research-coronavirus-ralph-baric-vaccines

Bien sûr, Ralph sait probablement qu’il est le seul à pouvoir créer un tel virus, c’est probablement pourquoi il parle de « presque ridicule » et qu’il n’exclut pas la possibilité d’une dissémination accidentelle en laboratoire.

Mais chose étrange: lorsque Ralph fait une présentation au Congrès en février 2020 pour décrire le Sars-Cov-2, il ne mentionne pas le SCF. Une omission intéressante.

Une hypothèse est que Ralph avait connaissance de séquences non publiées qui pouvaient être utilisées pour construire le Sars-Cov-2 avec une séquence consensusuelle. Il a ensuite inséré un SCF, comme le demandait DEFUSE.

L’insertion du SCF est nécessaire parce que les chauves-souris disposent également de furine et d’ACE2, mais pour des raisons inconnues, les virus ne se répliquent pas toujours très rapidement en raison du système immunitaire unique des chauves-souris.

Il aurait ensuite envoyé un certain nombre de ces virus candidats à Wuhan pour les tester sur des chauves-souris et des souris afin de les sélectionner et de poursuivre le projet. N’oubliez pas qu’il s’agit principalement d’essais et d’erreurs, et qu’ils utilisent l’IVW pour ces tests parce qu’ils sont moins chers et qu’ils ont des chauves-souris (dont le CDC n’autoriserait pas l’importation).

L’IVW aurait probablement rapporté que l’un de ces candidats avait anéanti leurs souris transgéniques à ACE2 humain et n’avait pas très bien infecté les chauves-souris, ce qui le rendait inutile pour un vaccin vivant pour chauves-souris, mais parfait pour un vaccin humain autodiffusant.

Ce qui s’est passé ensuite est du ressort de n’importe qui (faites appel à votre imagination). De jeunes travailleurs de laboratoire dans un BSL-2 pourraient facilement être infectés de manière asymptomatique et libérer le virus dans la communauté.

Made in USA, donc, mais un accident.

Sauf bien entendu si Ralph savait que le virus envoyé pouvait infecter et se transmettre chez l’homme et que, sachant que l’IVW effectuait ce travail dans un BSL-2, il se serait probablement échappé du laboratoire.

Revenons aux virus qui auraient pu être utilisés pour la séquence de consensus. Tout d’abord, il y a eu RaTG13. Il a été collecté en 2013, partiellement séquencé en 2016, et entièrement séquencé et nommé en 2018. ll n’était pas particulièrement proche du SARS et n’était donc pas considéré comme très intéressant jusqu’à ce que le Sars-Cov-2 soit séquencé et qu’il soit trouvé similaire à 96,1%. C’est l’histoire que l’on nous raconte.

Il est possible que Baric ait disposé de la séquence avant sa publication en 2020, mais nous n’en sommes pas sûrs.

Ensuite, nous trouvons trois autres virus collectés en Chine en 2019-2020 par des scientifiques qui ne font pas partie de l’IVW.

Bien que RaTG13, prélevé sur une chauve-souris Rhinolophus affinis au Yunnan (Zhou et al., 2020b), présente la plus grande similarité génétique moyenne avec le SARS-CoV-2, des antécédents de recombinaison signifient que trois autres virus de chauve-souris – RmYN02, RpYN06 et PrC31 – sont plus proches dans la majeure partie du génome du virus (en particulier l’ORF1ab) et partagent donc un ancêtre commun plus récent avec le SARS-CoV-2 (Li et al., 2021; Lytras et al., 2021; Zhou et al., 2021).

Aucun de ces trois virus plus proches n’a été collecté par l’IVW et tous ont été séquencés après le début de la pandémie (Li et al., 2021; Zhou et al., 2020a, 2021).

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0092867421009910

RmYN02 a été collecté entre mai et juillet 2019 au Yunnan par le professeur Alice C. Hughes du Jardin botanique tropical de Xishuangbanna, et séquencé par Weifeng Shi de l’Université médicale de Shandong, sur la base d’une analyse de 302 échantillons de fèces prélevés sur 227 chauves-souris qui ont été collectés dans le comté de Mengla, dans la province du Yunnan, en Chine, publié le 8 juin 2020. Le co-auteur est le tristement célèbre Eddie Holmes, originaire d’Australie, un ami proche de Jeremy Farrar qui a dirigé le Proximal Origins Group.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7211627/

Puis nous avons eu les échantillons BANAL du Laos qui ont été publiés en 2021 avec Eddie « Sherlock » Holmes et Linfa « Batman » Wang, tous deux originaires d’Australie, qui ont déclaré que le dossier Origines Naturelles était clos. Ces échantillons auraient été prélevés dans une grotte de chauve-souris au Laos au plus fort de la pandémie, en septembre 2020.

…la découverte de trois coronavirus chez des chauves-souris vivant dans des grottes calcaires au Laos renforce considérablement les preuves existantes que le virus n’a pas été créé, déclare Holmes.

Les trois virus, présentés dans une préimpression sur Research Square le 17 septembre, sont les plus proches parents du SARS-CoV-2 découverts à ce jour, et ce sont les premiers découverts qui sont presque identiques dans cette région clé.

« La partie centrale et fonctionnelle du SARS-CoV-2 a une origine naturelle », déclare Linfa Wang, chercheur sur le coronavirus de la chauve-souris à l’école de médecine Duke-NUS de Singapour. « C’est prouvé. »

Sur le plan de l’évolution, plusieurs décennies séparent ces virus de chauve-souris – appelés BANAL, car les chercheurs les ont trouvés dans des écouvillons anaux de chauve-souris [NdT. de « bat » et « anal »] – du SARS-CoV-2, de sorte que les nouveaux virus n’ont pas pu être à l’origine de la pandémie.

Mais l’étude élargit encore l’arbre généalogique du SARS-CoV-2 et soulève de nouvelles questions sur la manière dont il est apparu. Et les virus BANAL pourraient bien constituer une menace pour l’homme lui-même, avertit Wang. « Ce virus pourrait être le SARS-CoV-3 », déclare-t-il.

Pour l’étude, une équipe de chercheurs de l’Université nationale du Laos, en collaboration avec des collègues de l’Institut Pasteur, qui a une antenne au Laos, a prélevé des échantillons sur 645 chauves-souris provenant de quatre sites différents.

Dans le terrain karstique du district de Feuang, ils ont trouvé des chauves-souris de trois espèces différentes du genre Rhinolophus qui étaient infectées par des virus dont la séquence génétique était identique à 96,8% à celle du SARS-CoV-2.

https://www.science.org/content/article/close-cousins-sars-cov-2-found-cave-laos-yield-new-clues-about-pandemic-s-origins

Selon Jim Haslam, le Centre de recherche médicale du gouvernement américain en Asie. (NMRC-A), en soutien au système mondial de surveillance et de réponse aux infections émergentes du Ministère de la Défense (DoD-GEIS), avait collecté des échantillons de chauves-souris dans la grotte de chauves-souris, exactement au même endroit, en 2017. Le NMRC-A est également basé à Singapour et a financé les recherches de Linfa sur les chauves-souris en 2019.

Ces séquences de coronavirus n’ont jamais été publiées.

Si les séquences de ces virus similaires au Sars-Cov-2 étaient connues avant les dates présumées de collecte/séquençage, une telle séquence consensuelle aurait pu être utilisée pour construire l’ossature du Sars-Cov-2, comme Ralph l’avait fait il y a 15 ans pour construire une ossature synthétique à partir de virus similaires au SARS.

RALPH BARIC

RFK Jr mentionne souvent Ralph et lui consacre un chapitre entier.

Ralph est connu pour être le Parrain des Coronavirus, sur lesquels il travaille depuis près de 40 ans. Son mentor à l’USC était le Père des Coronavirus, un Taïwanais qui est revenu à Taïwan juste au moment de l’arrivée du Sars en 2003.

Michael Lai (賴明詔), chercheur américain du Howard Hughes Medical Institute, est retourné à Taïwan pour diriger la lutte contre les coronavirus.

https://www.taipeitimes.com/News/taiwan/archives/2003/05/19/0000211168

Ralph les a conçus au cours des 20 dernières années, lorsque les outils sont devenus disponibles. Il a été l’un des pionniers de la génétique inverse et des techniques « no-seeum » [NdT. équivalent français de « ni vu ni connu », qui désigne une technologie permettant de reproduire des clones viraux sans les traces typiques des autres techniques de laboratoire – voir cette page sur ResearchGate qui mentionne un papier de Baric], et a été le premier à créer un nouveau coronavirus avec des séquences virales consensuelles.

C’est cet homme qui m’intéresse. Pas Daszak ou Shi, dont l’expertise porte sur les crevettes et les chauves-souris. Pourtant, aucun des enquêteurs du Congrès n’a demandé à Ralph Baric de témoigner.

Depuis 1986, les NIH et le NIAID ont accordé à Ralph Baric la somme astronomique de 230 millions de dollars, répartis en 200 subventions, dont un grand nombre pour ses expériences fondamentales sur le gain de fonction.

Il mentionne l’article de Baric de 2006 (publié en 2007), mais oublie cette partie.

Des armes biologiques synthétiques ou recombinantes seront-elles mises au point pour être utilisées comme armes biologiques? Si l’objectif principal est de tuer et d’inspirer la peur aux populations humaines, les agents pathogènes naturels constituent probablement une source plus fiable de matériel de départ (…).

Si la notoriété, la peur et l’orientation des politiques des gouvernements étrangers sont les principaux objectifs, la dissémination et la découverte ultérieure d’une arme biologique dérivée d’un virus synthétique bénéficieront d’une couverture médiatique considérable, inspireront la peur et la terreur aux populations humaines et exerceront de fortes pressions sur les responsables gouvernementaux pour qu’ils réagissent de la manière prévue.

Voici ce que RFK Jr a dit à propos de ce document:

En décembre 2007, le Dr Baric a publié un article extraordinairement franc qui expliquait l’objectif qu’il poursuivait en menant de telles expériences et qui ouvrait la voie à toutes les recherches futures sur le gain de fonction.

Dans une autre section du livre, où il est fait référence au même document, mais cette fois en tant que document datant de 2006,

Dans son document de 2006, Baric souligne que pour mériter le qualificatif d' »arme de destruction massive », une arme biologique doit être capable de « tuer, blesser ou neutraliser l’ennemi, susciter la peur et dévaster les économies nationales ».

Il est amusant de constater que RFK Jr n’a pas trouvé aussi fascinante que moi la partie où Ralph décrit un virus synthétique destiné à terroriser les populations plutôt qu’à les tuer.

Baric décrit les caractéristiques idéales d’une arme biologique efficace:

Traditionnellement, les préoccupations en matière de guerre biologique se sont concentrées sur un groupe relativement limité et sélectionné d’agents pathogènes naturels considérés comme présentant un ensemble de caractéristiques souhaitables:

1) hautement pathogènes, -[NON]

2) facilement disponibles, -[OUI]

3) faciles à produire, -[OUI]

4) pouvant être militarisés, -[OUI]

5) stables, -[OUI]

[Les éléments ci-dessous sont également – OUI]

6) infectieux à faible dose,

7) facilement transmissible,

[et]

8) inspirant la peur – [OUI]

Dans un article publié en 2018, Baric étudiait la façon de rendre le virus assez stable pour l’empêcher de muter jusqu’à disparaître, comme le SARS.

Article de 2018 de Baric:

« Évaluation d’un coronavirus résistant à la recombinaison en tant que plateforme vaccinale largement applicable et rapidement réalisable »

Un candidat vaccin vivant atténué doit démontrer une stabilité phénotypique dans les populations hôtes infectées. Par conséquent, pour tester sa résistance au retour à la virulence, CRG3 a été soumis à cinq passages en série indépendants, en parallèle avec le SARS-CoV sauvage, chez des souris BALB/c âgées de 14 mois

Collectivement, ces résultats ont démontré que cette région du génome du SARS-CoV est intrinsèquement instable lorsqu’elle est soumise à une pression de réplication, en particulier chez les animaux âgés, et ont indiqué qu’un virus aux TRN [NdT: Transcriptional Regulatory Networks ou réseaux de régulation transcriptionnelle] recombinés nécessiterait des mutations stabilisatrices supplémentaires pour pouvoir être utilisé comme candidat vaccinal.

Avec l’identification continue de pools zoonotiques de CoVs qui ressemblent génétiquement aux CoV létaux humains et animaux, souvent avec seulement quelques points de pourcentage de différence entre les séquences zoonotiques et les séquences humaines létales, la nécessité d’une plate-forme d’atténuation universelle et rapidement applicable pour la conception de vaccins vivants atténués contre les CoV est soulignée.

Dans ce rapport, nous avons décrit la conception et la mise en œuvre d’une stratégie d’atténuation du CoV qui peut être facilement et rapidement adaptée à n’importe quel génome de CoV. La présence de 8 à 9 TRS [NdT. Transcription Regulatory Sequence, ou séquence régulatrices de transcription] caractérisées dans tout génome de CoV, dont les CS [NdT. Core Sequences, qui sont l’origine minimum de réplication] sont de 6 à 7 nts [nucléotides] chacun, constitue une cible trop vaste et trop complexe pour que la réversion du site primaire soit un événement probable. Comme la plupart des événements de recombinaison unique découplent les réseaux d’expression des TRN, ces recombinants seraient létaux. Par conséquent, cette stratégie d’atténuation, lorsqu’elle est associée à des allèles capables de résister aux événements de sélection qui conduisent à la réversion du second site, pourrait mettre les vaccins vivants atténués contre le CoV à portée de la réalisation face à la menace toujours croissante de nouvelles épidémies humaines et animales basées sur le CoV.

Les chercheurs ont utilisé une nouvelle séquence (UGGUCGC), le leader de transcription TRS, pour tenter de réduire davantage la recombinaison dans les modèles animaux et d’en faire un vaccin vivant potentiel.

Selon Jim Haslam, cette

séquence leader TRS se trouve à partir du nucléotide 1465 dans le SARS-CoV-2 et pourrait aboutir, si elle était utilisée, à une nouvelle transcription de l’ARN viral qui supprime une partie de la protéine nsp2 de la polyprotéine de l’ORF 1ab.

Elle se trouve également au nucléotide 1446 dans le RaTG13, l’un des virus découverts dans la grotte du Yunnan en 2013, qui a été proposé comme précurseur du SARS-CoV-2. Cette séquence n’est présente dans cette zone chez aucun autre coronavirus. Cette nouvelle séquence TRS se trouve également à l’extrémité 3′ des transcriptions de l’ARN de la protéine de pointe virale du SARS-CoV.

On voit donc que le Sars-Cov-2 a été conçu comme un virus vivant atténué autodiffusant. Lorsqu’il est redevenu virulent (Delta), on y a remédié avec un autre vaccin (Omicron) qui a probablement été testé à Porto Rico en 2020, dont la présence y a été signalée par les auteurs japonais Tanaka et Miyazawa [NdT. voir mon article traduit ici].

https://zenodo.org/record/8216373

Le Sars-Cov-2 est synthétique et non naturel, et il n’est pas particulièrement pathogène (taux de létalité/infection 0,2%, probablement moins si le traitement est précoce avec IVM et HCQ, et des suppléments de vitamine D3/C).

L’objectif principal de la pandémie n’était pas de tuer, même si cela en faisait partie, en particulier les personnes âgées qui bénéficient de la sécurité sociale et de pensions de retraite, mais de nous terroriser.

Le Sars-Cov-2 n’a pas été conçu comme une arme de guerre biologique, c’était une arme de bio-terroristes destinée à effrayer les gens pour leur faire accepter une autre arme biologique par injection, à savoir les vaccins Covid-19 (ARNm/ADN).

LE RÉSEAU CREID

En mai 2020, Fauci, au lieu d’être licencié, a reçu un nouveau JOUET alors que beaucoup d’entre nous étaient confinés.

https://www.rti.org/impact/centers-for-research-in-emerging-infectious-diseases-creid-coordinating-center

CREID (prononciation irlandaise de Believe) [croire]

DEFUSE

En août 2020

Le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (« Institut national des allergies et des maladies infectieuses », NIAID), l’un des National Institutes of Health (Instituts nationaux de la santé), a annoncé aujourd’hui qu’il avait accordé 11 subventions d’une valeur totale d’environ 17 millions de dollars pour la première année, afin de créer les Centers for Research in Emerging Infectious Diseases (« Centres de recherche sur les maladies infectieuses émergentes ») (CREID).

Ce réseau mondial comprendra des recherches multidisciplinaires sur la manière dont les virus et autres agents pathogènes émergent de la faune et de la flore et se propagent pour provoquer des maladies chez l’homme, ainsi que sur le lieu de leur apparition. Le NIAID a l’intention de fournir environ 82 millions de dollars sur 5 ans pour soutenir le réseau.

https://www.niaid.nih.gov/news-events/niaid-establishes-centers-research-emerging-infectious-diseases

Vous pensez peut-être que la date mai 2020 implique que cela n’a rien à voir avec le Sars-Cov-2? Eh bien, regardez qui est derrière chacun de ces projets. Les mêmes personnes.

Apparemment, un collègue virologue, Robert Garry, affirme que le financement du CREID était déjà prévu depuis 2019, car il faut du temps pour régler officiellement tous les détails.

Fauci a déclaré que son projet CREID était « en cours d’élaboration des années avant l’élimination de USAID Predict (en 2019) et qu’il a été créé en réponse à l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest en 2014 et à l’épidémie de Zika en 2016″. Il a déclaré: « Oui, il est similaire à Predict, mais ce n’est pas l’annulation de Predict qui l’a inspiré. »

Le projet a été attribué au même groupe d’universités et de laboratoires qui collaboraient auparavant avec Wuhan: UC Davis, Duke, UNC, EcoHealth et UTMB Galveston.

Sans le Sars-Cov-2, le CREID aurait-il pu être approuvé? Ce virus autodiffusant est vraiment prodigieux, il reproduit même le financement des Scientifiques qui l’ont conçu.

Lorsque Daszak a soumis la proposition DEFUSE à la DARPA, qui avait sollicité des propositions dans le cadre du programme PREEMPT, celle-ci a été attribuée à un autre groupe de l’université d’État du Montana qui faisait la même chose, mais en Afrique, avec un autre virus de chauve-souris (Lassa) et pour un montant inférieur de 4 millions de dollars à celui de la proposition DEFUSE. Il est probable que l’étude était déjà en cours, car ceux qui accordent ces subventions aiment voir des données préliminaires.

Peut-on affirmer avec certitude que le CREID de Fauci a financé DEFUSE? Non. Il n’y a aucune preuve de financement direct et même s’il y en avait un, il pourrait être dissimulé.

En 2018, sous le FASAB, les dépenses secrètes de sécurité nationale ont été légalisées et la destination des financements rendue opaque.

« SFFAS 56 – ACTIVITÉS CLASSIFIÉES » permet aux agences gouvernementales de « modifier » les états financiers publics et de déplacer les dépenses d’un poste à l’autre et de s’abstenir de dire aux contribuables si et quand les états financiers publics ont été modifiés. « 

http://files.fasab.gov/pdffiles/sffas_56_nr.pdf

Cependant, ces acteurs reçoivent de multiples subventions et il ne serait pas difficile de gonfler les coûts d’un projet pour couvrir les coûts d’un Projet « Obscur ».

DEFUSE

Avant de poursuivre, j’aimerais ajouter un peu de contexte à la proposition de projet DEFUSE que la DARPA a rejetée, prétendument parce qu’il s’agissait de gain de fonction, mais aussi parce qu’elle « n’en avait pas les moyens« .

L’offre d’EHA [EcoHealth Alliance] à la DARPA a été sollicitée par le projet Preempt de la DARPA. Comme le rapporte Jim Haslam, EHA a perdu face à l’équipe de Vincent Munster. Munster était le responsable technique d’un « nouveau vaccin pour animaux » qui n’a coûté que 10 millions de dollars. Munster a travaillé au laboratoire BSL4 Rocky Mountain de Fauci dans le Montana sur des virus, y compris des Coronavirus.

L’équipe DARPA Defuse, qui a perdu, a ensuite « fusionné » avec l’équipe DARPA Preempt, qui a gagné, dans le cadre du réseau CREID de Fauci, doté d’un budget de 82 millions de dollars. Le budget du NIAID de Fauci est deux fois plus important que celui de la DARPA.

L’équipe de l’Université d’État du Montana (MSU), qui a utilisé la méthode de Munster, a coûté 25% moins cher, soit 10 millions de dollars contre 14 millions de dollars. L’approche technique de Munster ne nécessitait pas l’équipement de terrain coûteux de Daszak, ni de médicaments, ni de suivi pour le déploiement d’un vaccin animal dans des endroits éloignés.

Ce projet non classifié relevait du domaine public, mais il impliquait des informations propriétaires, avec un certain degré d' »ambiguïté » à la lecture des communiqués de presse. Ce vaccin était « destiné à protéger les militaires américains et les communautés locales où ils opèrent » en Afrique. Mais ce « nouveau vaccin » n’était pas destiné aux troupes américaines, il était destiné aux chauves-souris africaines.

Le travail de Munster était de « créer le premier prototype au monde d’un vaccin autodiffusant conçu pour induire un niveau élevé d’immunité collective (chez les animaux sauvages) ».

[Ils créaient] le premier prototype au monde d’un vaccin autodiffusant conçu pour induire un niveau élevé d’immunité collective (protection au niveau de la population sauvage) contre le virus de Lassa (LASV) et le virus Ebola.

Cela n’est pas sans rappeler le projet DEFUSE, mais avec un virus différent, prétendument, mais était-il si difficile de réorienter le projet vers un autre virus (Sars-Cov-2) et une autre cible (les humains)?

Il est intéressant de noter que le cerf à queue blanche d’Amérique du Nord (White Tail Deer, Wtd) est devenu le premier « réservoir sauvage » de SARS2 répertorié sur la planète. Je suis certain qu’il y a des cerfs à queue blanche dans le Montana.

En juillet 2021, le Ministère de l’Agriculture américain a indiqué sur son site web que son service d’inspection phytosanitaire avait récemment achevé une étude montrant que des anticorps contre le SARS-CoV-2 avaient été détectés dans 33% des 481 échantillons de sérum de cerfs de Virginie prélevés entre janvier 2020 et 2021 dans les États de l’Illinois, du Michigan, de New York et de Pennsylvanie, et que parmi eux, 67% des échantillons prélevés dans le Michigan contenaient des anticorps.

Il s’agit de la première détection d’anticorps contre le SARS-CoV-2 dans la faune sauvage, et la présence de ces anticorps confirme qu’un grand nombre de cerfs de Virginie aux États-Unis ont déjà été exposés au virus.

https://www.aphis.usda.gov/aphis/newsroom/stakeholder-info/stakeholder-messages/wildlife-damage-news/deer-sars

Tromperie

Une grande partie de la discussion technique relative à la collaboration Baric-IVW comportait des mots militarisés et des affirmations exagérées accompagnées de liens qui n’étayaient pas ce qui était dit. Je ne donnerai que quelques exemples, mais leur auteur était probablement un larbin de la CIA. D’après ce que j’ai compris, Baric était un véritable homme d’affaires, qui ne donnait rien gratuitement. Juste après que tout le monde ait fait dans son froc à cause du Sars-Cov-2, provoquant ainsi une pénurie de papier hygiénique, Ralph proposait à ses amis de TwiV [NdT. « This week in Virology », webinaires sur YouTube auxquels participe Baric, par exemple ici] de leur vendre du papier hygiénique de son stock personnel pour 10 dollars le rouleau. Je soupçonne qu’il disait ça sérieusement.

Quoi qu’il en soit, il était très soucieux de protéger ses droits de propriété intellectuelle. L’IVW se montrait un partenaire utile en fournissant des séquences de chauves-souris et des plasmides, et il ne fait aucun doute qu’il y a eu des échanges techniques à la hauteur de la valeur qu’il y attachait, mais cela n’est pas très public.

Plus inquiétant encore, Baric a enseigné sa méthode « no-see-um » au Dr Shi Zhengli et à son équipe pendant la période de collaboration intensive sur la recherche sur les coronavirus entre 2014 et 2016. L’article de Baric et Shi publié en 2015, « A SARS-like Cluster of Circulating Bat Coronaviruses Shows Potential for Human Emergence »(Un groupe de coronavirus de chauve-souris circulants semblable au SARS montre un potentiel d’émergence humaine), décrit leurs efforts fructueux pour développer des techniques de génie génétique permettant de dissimuler les signes révélateurs des manipulations de laboratoire dans les coronavirus chimériques.

Il n’y a aucune preuve de cela. Il a cosigné un article en 2015 avec Shi parce qu’elle a fourni des plasmides et des séquences, mais elle-même affirme que le travail a été effectué par les laboratoires de Baric. Cela ne veut pas dire qu’elle n’avait pas la capacité de le faire. Baric lui-même a déclaré qu’il lui avait caché les séquences afin qu’elle ne puisse pas reproduire son travail.

Lors d’une interview réalisée au cours de l’été 2021, Baric lui-même a avoué qu’au moment où la pandémie a commencé, seuls deux ou trois laboratoires dans le monde utilisaient son protocole, dont son laboratoire de l’UNC et l’IVW.

Dans la source fournie, il ne mentionne pas l’IVW. Il existe de nombreux protocoles de génétique inverse utilisés par de nombreux laboratoires et il a publié sa méthode en 2000/2002 et l’a décrite dans des brevets.

En 2017, grâce au financement du Dr Fauci, les scientifiques chinois de l’IVW ont maîtrisé la technique d’ingénierie furtive du professeur de l’UNC. Dans un article publié cette année-là, l’un des étudiants diplômés de Shi, Zeng Lei-Ping, chercheur au laboratoire de Wuhan, a annoncé que les scientifiques chinois avaient réussi à reproduire l’astuce de Baric pour dissimuler l’intervention humaine.

Zeng s’est vanté que les chercheurs de l’IVW avaient adapté des hybrides de coronavirus de chauve-souris pour infecter les poumons humains, puis appliqué le système « no-see-um » de Baric pour enterrer toutes les preuves de leur manipulation.

Selon la source, il s’agissait d’une thèse. Elle n’a donc pas été financée par Fauci. Cependant, le même auteur a publié en 2016 un article utilisant la génétique inverse. Dans cet article, il décrit une approche hybride.

Dans cette étude, nous avons développé une méthode rapide et rentable pour la génétique inverse des coronavirus en combinant deux approches développées par d’autres. Notre méthode permet de diviser les génomes des coronavirus en plusieurs fragments et de les insérer dans un plasmide BAC en une seule étape. Les virus recombinants peuvent ensuite être sauvés efficacement par transfection directe des constructions BAC. Comme les génomes peuvent être divisés en plusieurs fragments courts, des mutations peuvent être introduites facilement dans les fragments individuels.

Méthode 1

Almazan F, Gonzalez JM, Penzes Z, Izeta A, Calvo E, Plana-Duran J, Enjuanes L. 2000. Engineering the largest RNA virus genome as an infectious bacterial artificial chromosome (Ingénierie du plus grand génome de virus à ARN en tant que chromosome artificiel bactérien infectieux). Proc Natl Acad Sci U S A 97:5516-5521. doi: 10.1073/pnas.97.10.5516. [PMC free article] [PubMed] [CrossRef] [Google Scholar].

Méthode 2

Yount B, Curtis KM, Baric RS. 2000. Strategy for systematic assembly of large RNA and DNA genomes : transmissible gastroenteritis virus model (Stratégie d’assemblage systématique de grands génomes d’ARN et d’ADN : modèle du virus de la gastroentérite transmissible). J Virol 74:10600-10611. doi: 10.1128/JVI.74.22.10600-10611.2000. [PMC free article] [PubMed] [CrossRef] [Google Scholar].

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4936131/

Cet article a été partiellement financé par le NIAID.

Ce travail a été financé conjointement par la Fondation Nationale des Sciences Naturelles de Chine (81290341, 31321001, et 81401672) et les Instituts Nationaux de la Santé (NIAID R01AI110964).

Ensuite…

En 2020, les chercheurs militaires chinois, après avoir bénéficié d’années de recherche financée par le NIAID et l’USAID, mettaient au point des coronavirus pandémiques susceptibles de se propager rapidement dans les populations mondiales et n’en étaient pas le moins du monde gênés. Même lorsque la pandémie de COVID-19 battait son plein, les scientifiques chinois faisaient publiquement l’apologie de ces capacités croissantes.

Aucune preuve apportée.

En avril 2020, sept mois après que le COVID-19 a commencé à circuler, vingt-trois scientifiques chinois – dont sept de l’Académie des Sciences Médicales Militaires, l’institut de recherche médicale de l’armée chinoise – se sont vantés d’avoir utilisé la technologie CRISPR d’édition de gènes pour créer des souris aux poumons humanisés afin de faciliter le développement de souches de coronavirus susceptibles d’infecter les humains.

En juin 2021, Vanity Fair a rapporté que les enquêteurs du Conseil de Sécurité Nationale (NSC) des États-Unis ont déterminé qu' »il est devenu clair que les souris avaient été modifiées au cours de l’été 2019, avant même le début de la pandémie ».

Félicitations, ils ont simplement reproduit ce que Baric avait fait 18 ans plus tôt

Des scientifiques américains ont mis au point des souris humanisées en 2002. Les scientifiques financés par les NIH, comme Ralph Baric, utilisaient des souris humanisées pour tester l’infectiosité humaine de leurs agents pathogènes améliorés depuis près de vingt ans!

Ensuite…

Le NIAID a aidé les Chinois à lancer leur programme en formant des scientifiques et des techniciens chinois sur place et à Galveston.

Duke a également lancé une collaboration de recherche visant à transférer à la Chine la technologie de pointe des NIH en matière d’armes biologiques.

La source fournie ne dit rien de tel. L’objectif de la formation était de leur apprendre à travailler en toute sécurité dans un laboratoire BSL-4 afin d’éviter les fuites.

https://www.utmb.edu/gnl/news/2020/04/16/the-galveston-national-lab-and-wuhan-institute-of-virology

PALANTIR – Avril Haines

Il tente de discréditer Avril Haines en l’associant à Palantir.

Palantir, une société de renseignement privée fondée en 2003 par Peter Thiel, cofondateur de PayPal.

Thiel a été l’un des plus grands soutiens de Trump entre 2017 et 2020.

Palantir est un sous-traitant du Pentagone et des agences de renseignement spécialisé dans l’extraction de données… La société « a facilité les déportations massives d’immigrés sous Trump ».

Pendant les confinements de la pandémie COVID, Palantir, peut-être le leader mondial des technologies et des programmes de police prédictive, a touché le pactole de la mise en œuvre des politiques oppressives de surveillance et de contrôle qui [avaient été] modélisées pendant la simulation Event 201, en engrangeant des contrats lucratifs avec la CIA.

Palantir est l’une des entreprises, avec Microsoft, Google et Amazon, qui a fourni une série de technologies de suivi des données, de surveillance et d’identification numérique au Ministère de la Sécurité Intérieure américain et aux Centres de Contrôle des Maladies, ainsi qu’aux gouvernements occidentaux pendant la pandémie de COVID.

Ces contrats ont été attribués pour la première fois en 2020, sous l’administration Trump.

L’entreprise a démontré qu’elle partageait le mépris de la CIA pour les traditions et les valeurs américaines en participant à une tentative de campagne de diffamation contre les militants anti-corporation et les journalistes qui remettaient en question les politiques du gouvernement, notamment le fouineur Glenn Greenwald.

Juste avant d’accepter le poste de première espionne américaine, Mme Haines a effacé de sa biographie le fait qu’elle était consultante rémunérée – à hauteur de 180 000 dollars par an – pour Palantir.

Peter Thiel ne soutient plus Trump. Je suppose qu’il pense que Haines surveille ses arrières.

Conclusion

Le livre est une révélation sous contrôle. Il vaut quand même la peine d’être lu pour sa première partie. J’attendrais cependant que le prix baisse.

Selon moi, le Sars-Cov-2 a été fabriqué par l’homme et probablement diffusé intentionnellement à des fins politiques par des mondialistes ancrés dans le gouvernement et l’État profond, en collaboration avec des universités et des entreprises du complexe militaro-industriel et du Forum Économique Mondial, avec un soutien bipartisan pour des raisons politiques, sociales et économiques.

Le virus n’était pas particulièrement pathogène afin de protéger les élites. Il a été atténué à la manière d’un vaccin à virus vivant, bien qu’il soit dangereux pour les personnes immunodéprimées telles les personnes âgées.

Afin d’augmenter le nombre de morts et de faire accepter la véritable arme biologique, à savoir le vaccin injecté, les protocoles de confinement et de traitement ont été mis au point et conçus pour tuer. Les élites éviteraient le vaccin, à l’exception de l’injection occasionnelle d’une solution saline à des fins de démonstration.

En 2020-2021, le gouvernement fédéral a proposé des incitations financières pour obtenir la participation de tous, l’argent a coulé à flots dans les États, les villes, les hôpitaux, les maisons de retraite, les scientifiques, les entreprises pharmaceutiques, les grandes entreprises (PPP), et les médias ont été récompensés par l’obéissance du public. Ils ont reçu du gouvernement un narratif de pornographie de la peur, suivi de milliards en publicité pour soutenir la narration gouvernementale et faire le marketing de la campagne de vaccination.

Ceux qui ont marché dans la combine ont empoché l’argent. Aucune travailleuse de rue n’a jamais trimé plus dur ni écarté les jambes plus largement que les hommes d’affaires qui voulaient leur part du gâteau.

La richesse des milliardaires est passée de 7,7 trillions en 2017 à 10,2 trillions en 2020 et 13,1 trillions en 2021.

Les bénéfices des entreprises sont montés en flèche malgré la fermeture de nombreuses petites entreprises et la réduction de la concurrence qui a fait grimper les prix du fait de la collusion.

Une surmortalité de 2 millions, principalement des personnes âgées, et la réduction de l’espérance de vie profitent à la sécurité sociale et aux fonds de pension.

Moyens, opportunités, motivations.

Le COVID fut Made in US et diffusé avec le soutien de la communauté internationale (y compris la Russie et la Chine) alors que chaque gouvernement complice suivait les mêmes protocoles DANGEREUX, bien qu’avec des modifications autorisées pour permettre à chaque nation de choisir entre des mesures dures ou douces.

La Gouvernance Mondiale est déjà là, elle n’a juste pas encore été annoncée. Les simulacres de conflits entre nations visent à vous empêcher de le comprendre et à maintenir le soutien au financement du Complexe Militaro-Industriel Universel. Le simumacre de confliet politique vise à ce que les gens se battent entre eux au lieu de combattre les élites qui contrôlent leur gouvernement par le biais des deux partis politiques corrompus.

Le livre de RFK Jr vise à vous empêcher de comprendre cette situation, même si, comme nous l’avons mentionné, il donne quelques informations utiles au début du livre.

Fin.

Lectures complémentaires

[NdT. trois articles en anglais de Pete]

Mystère de la séquence de l’ossature consensuelle utilisée pour construire le Sars-Cov-2

Le Sars-Cov-2 était-il un vaccin autodiffusant?

La machine de financement auto-reproductible de Fauci – CREID

Chronologie

L’activité du gouvernement américain et des acteurs privés dans la période précédant le COVID suggère que des préparatifs étaient en cours depuis plusieurs années, voire plus.

2017 – Fauci prédit une épidémie pendant le mandat de Trump.

2017 – Scénario d’exercice conjoint du G20 avec une contagion chinoise imaginaire baptisée MARS.

2017 – Exercice de table SPARS.

2017- Création du CEPI de Gates.

2017- DARPA – Plateforme de prévention des pandémies créée et financée par l’Agence des Projets de Recherche Avancée de la Défense (DARPA – Defense Advanced Research Projects Agency).

2017- Levée du moratoire sur le financement du gain de fonction.

2018 – Simulation CLADE X.

2018 – Plan de lutte contre la pandémie PanCAP 2.0 du Conseil de Sécurité Nationale.

2018 – Création de CISA [Cybersecurity and Infrastructure Security Agency]

2018 – Rejet de la proposition de subvention du projet DEFUSE de la DARPA.

Septembre 2018 – Trump publie le Mémorandum présidentiel sur la sécurité nationale 14 (NSPM 14).

Le NSPM 14 établit un comité chargé de mettre en œuvre la Stratégie Nationale de Biodéfense avec le Conseiller à la Sécurité Nationale comme chef de file pour la coordination des politiques et faciliter l’intégration des politiques pour les efforts fédéraux en matière de biodéfense.

2019 – Propositions de subventions pour le réseau CREID du NIAID par les mêmes personnes que celles impliquées dans DEFUSE.

Juillet 2019 – La Commission bipartisane sur la biodéfense organise un panel appelant à un « Projet Manhattan pour la biodéfense » avec Kadlec.

Juillet 2019 – Le dernier épidémiologiste du CDC à Pékin part alors que l’épidémie de pneumonie affecte les maisons de retraite pour anciens combattants.

Août 2019 – Le CDC ferme Fort Detrick pour 3 mois.

Septembre 2019 – Les conseillers économiques de la Maison Blanche estiment le coût de la pandémie.

Septembre 2019 – le GPMB, avec Fauci et Gao, avertit qu' »il existe une menace très réelle de pandémie d’un agent pathogène respiratoire à évolution rapide et hautement létale qui anéantirait près de 5% de l’économie mondiale ».

Action requise avant septembre 2020 – deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système.

Sept. 2019 – Gates investit dans BioNTech.

2019 – Le Centre d’Engagement Mondial (« Global Engagement Center », GEC), autorisé en décembre 2016, est rendu pleinement opérationnel par le Département d’État de Pompeo en 2019, suite à son transfert du poste de directeur de la CIA.

Oct 2019 – Événement 201.

Oct 2019 – La BARDA reçoit le Stock Pandémique du CDC.

Déc 2019 – Accord de transfert de matériel entre Moderna et Baric.

Déc 2019 – L’Agence Américaine de Réduction des Menaces de Défense annonce le lancement du programme DOMANE, Discovery of Medical Countermeasures Against Novel Entities (découverte de contre-mesures médicales contre des entités nouvelles).

Malone commence à travailler sur DOMANE avec les Lincoln Labs du MIT qui ont été rapidement mis au travail sur le COVID en janvier (bon timing).

Le mot Domane signifie couronne des rois en latin. En latin, corona signifie couronne. Un choix de nom intéressant puisque le virus de la couronne circule à Wuhan.

Janvier 2020 – La Maison Blanche ordonne que toutes les réunions COVID se tiennent dans un cadre classifié.

Janv. 2020 – La France interdit l’HCQ en vente libre depuis 60 ans et la rend accessible uniquement sur ordonnance.

Janv. 2020 – Michael Callahan, membre de la DARPA/CIA, revient de Wuhan pour travailler avec Kadlec.

Février 2020 – Malone dans l’émission de Rogan: « J’ai été le premier à acquérir, grâce à mes relations chinoises, le protocole chinois de traitement de ce virus. Je l’ai obtenu fin février et je l’ai envoyé à mes amis de la CIA et du DTRA ».

Mars 2020 – Malone publie un livre sur le traitement du COVID (écrit en février) après avoir lui-même contracté le COVID en février et assisté à l’événement de super propagation BIOGEN à Boston à la fin du mois de février. Le livre est rapidement retiré de la vente (censure d’Amazon ou désapprobation des hautes sphères?)

Mars 2020 – le PanCAP est adopté le 13 mars 2020 par le Conseil de Sécurité Nationale (NSC) et prévoit des mesures de confinement.

Confinements annoncé le 15 mars

La FEMA et le DHS deviendront par la suite les chefs de file de la mise en œuvre de la politique COVID du NSC.

Mars/avril-2020. Le CDC, sous la direction de Robert Redfield, modifie le décompte des décès dus au COVID afin d’inclure les décès pour lesquels le COVID n’est pas la cause sous-jacente et de permettre la détermination d’un cas de COVID en l’absence de test positif.

Mai 2020 – Trump annonce l’opération Warp Speed

Juin 2020 – Redfield affirme que les masques sont le meilleur vaccin.

Le nouveau mouvement eugéniste – 2ème partie – par le Dr Ah Kahn Syed.

J’atermoie (encore) mon propre article pour vous livrer celui-ci, du Dr Ah Kahn Syed, déjà publiée (c’est une dame) ici et ici. C’est assez long mais comme elle le dit elle-même, ça en vaut la peine. Je n’ai pas traduit la première partie. Ceci m’a déjà pris énormément de temps.

Le Dr Seyd est australienne, pays où les mesures coercitives (pandémie et « vaccin ») ont été parmi les plus sévères – mes lecteurs se souviendront que j’avais relayé à l’époque l’appel de détresse des communautés aborigènes devant une violence policière inouïe. C’est aussi là que l’idée de camps d’internement covid avait été poussée le plus loin, avec l’accord de la population générale. Par un curieux hasard, c’est aussi le pays premier consommateur d’anti-dépresseurs par tête de pipe (l’Islande est n°1 du fait que les prescriptions en hôpital y sont y comptées).

Le sujet vous sera familier, mais l’article présente de nouvelles informations, assez récentes, sur les pans futurs du même programme – eugéniste. Prétez une attention particulière au chapitre sur le PAM, qui fait le lien entre les injections covid et le programme de modification génétique…

Le Dr Seyd rappelle aussi le rôle dans ce dossier d’un certain Jeffrey Epstein, au cas où on aurait pas encore compris de quel genre de réseau international les scientifiques impliqués dans cette version actualisée de l’eugénisme sont le rouage.

Je sais que le grand public en a marre des infos sur les vaccins thérapies géniques et se laisse accaparer par les algorithmes des réseaux sociaux qui les bombardent, c’est le cas de le dire, d’histoires de Russie, Troisième Guerre mondiale et tout ce genre de distraction. Ce n’est pas là que se joue l’avenir. Il se joue aujourd’hui dans votre tête, bientôt dans vos gènes – si vous les laissez faire. Aux États-Unis, quelques représentants courageux tentent de faire purement et simplement interdire les « thérapies géniques » de masse au niveau de leur État. C’est un début.

Quelqu’un, qui en a comme moi assez de la folie du monde, m’a demandé si finalement le monde de demain – technocratique – ne serait quand même pas un peu meilleur. Je vous laisse juge.

Note de traduction: je n’ai pas pu remplacer toutes les vidéos incrustées de l’article original, sorry.

Source.


Le nouveau mouvement eugéniste – 2ème partie

Le réseau biotechnologique d’un trillion de dollars, qui veut modifier votre génome pour faire de vous une meilleure personne, et nous exclure des médias sociaux

Dr Ah Kahn Syed

30 mars 2024

J’espère que vous avez tous eu l’occasion de lire la partie 1. Dans le cas contraire, elle se trouve ici. Installez-vous confortablement pour la suite, ce n’est pas court, mais ça en vaut la peine.

Pour introduire ce qui va suivre, je vais essayer d’en donner un aperçu, comme l’ont fait quelques mèmes pendant le COVID, en décrivant les affirmations « sûres et efficaces » qui sont rapidement rétractées.

  • Ce n’est qu’un vaccin
  • Il reste dans le bras
  • Il ne dure que quelques jours
  • Il ne s’intègre pas dans le génome
  • Ce n’est pas une thérapie génique
  • Il n’y a pas d’ADN dans le vaccin
  • Il n’entre pas dans le noyau
  • Il est sans danger pendant la grossesse et n’atteint pas le placenta.
  • Il ne reste pas dans le bras, il se diffuse partout, mais c’est une bonne chose.
  • Il y a une contamination par des plasmides, mais seulement à petites doses et il n’y a aucune preuve qu’ils soient nocifs.
  • D’accord, il passe dans le placenta, mais cela signifie que le bébé est également protégé.

-[VOUS ÊTES ICI]-

  • D’accord, il s’agit d’une thérapie génique, mais nous l’utilisons depuis des années et elle s’est révélée sûre et efficace, sans aucun effet indésirable identifié après des milliards de doses.
  • La technologie NPL était toute nouvelle et n’avait pas encore été testée, mais elle s’est révélée sûre et efficace, sans aucun effet indésirable identifié après des milliards de doses.
  • La même technologie peut être utilisée pour l’édition de gènes CRISPR, qui est maintenant approuvée par la FDA et qui, combinée à la technologie NPL, peut être utilisée pour fournir un vaccin permanent qui n’aura jamais besoin d’être mis à jour avec des rappels et des injections répétées qui font bobo.

Car, comme nous le savons tous, ce sont les deux secondes d’une piqûre d’aiguille qui ont poussé la moitié de la population mondiale à rejeter la nouvelle thérapie jusqu’à ce que les obligations vaccinales entrent en vigueur – rien à voir avec le fait que la plupart des gens auraient rejeté une nouvelle thérapie génique s’ils avaient su de quoi il s’agissait réellement.

Non, Prof. Meghan Murthy, ce n’était pas la peur de l’aiguille. C’est la prise de conscience du fait que vous essayez de taguer le monde avec une thérapie génique pour laquelle personne n’a donné son consentement éclairé.

Et oui, il s’agissait bien de thérapie génique, même si les tribunaux tentent de brouiller les pistes en prétendant que les médecins qui non seulement ont été contraints de prendre le produit, mais ont été cooptés pour l’administrer sous de faux prétextes, n’ont pas qualité pour agir, et se retrouvent aujourd’hui visés par une plainte pour manquement à la déontologie. (voir aussi ici)

Et comment savons-nous qu’il s’agit d’une thérapie génique? Parce que la FDA1, Moderna, BioNtech et toutes les autres institutions qui savent de quoi il s’agit le disent. Extrait du document de 2024 de la FDA (copié dans la note de bas de page):

La thérapie génique humaine vise à modifier ou à manipuler l’expression d’un gène ou à altérer les propriétés biologiques de cellules vivantes à des fins thérapeutiques. La FDA considère généralement que les produits de thérapie génique humaine comprennent tous les produits dont les effets sont obtenus par transcription ou traduction du matériel génétique transféré, ou par modification spécifique des séquences génétiques de l’hôte (humain). Parmi les produits de thérapie génique, on peut citer les acides nucléiques, les micro-organismes génétiquement modifiés (virus, bactéries, champignons, etc.), les nucléases spécifiques utilisées pour l’édition du génome humain et les cellules humaines génétiquement modifiées ex vivo …. https://www.fda.gov/media/76647/download.

Et oui, nous avons déjà discuté de ce sujet, mais l’essentiel est que nous en arrivons bientôt à ce point:

« Oui, [le vaccin COVID] était une thérapie génique, mais personne ne l’a nié et, en tout état de cause, 6 milliards de doses ont été administrées sans aucun effet indésirable. Et maintenant, nous savons que l’édition de gènes est tout aussi sûre ».

Car c’est ce qui se passe depuis le début. Gaslighting 101. Parce que les nouveaux produits pharmaceutiques seront toujours sûrs si on s’assure qu’aucun article de recherche n’est autorisé à parler de leur dangerosité et si on harcèle, intimide et menace les médecins qui publient ces recherches.

(Censure scientifique – leçons NON apprises, article de Jessica Rose) [en anglais]

Maintenant que nous avons établi, au-delà de tout doute raisonnable, que les vaccins de thérapie génique (VTG) sont sûrs et efficaces et qu’aucun document ne montre qu’ils induisent le cancer par mutagénèse insertionnelle ou tout autre problème causant une surmortalité que nous constatons dans le monde réel, nous pouvons tous nous réjouir que l’édition de gènes CRISPR, qui apporte une solution permanente à votre problème génétique, soit le remplacement idéal de ces injections répétées qui font bobo, véritable raison pour laquelle les gens hésitaient à se faire vacciner (à part le racisme institutionnalisé, bien sûr).

Mais c’est quoi, CRISPR?

Rien à voir avec le bacon, les frites, les chips ou le poulet frit, même si son nom est manifestement destiné à susciter une émotion gratifiante sur le moment. Il s’agit d’une technique d’édition des gènes et des génomes.

CRISPR signifie « clustered regularly interspaced short palindromic repeats » (répétitions palindromiques courtes et régulièrement espacées), ce qui renvoie à un modèle spécifique d’ADN, cible de la technique d’édition de gènes qui nécessite également une protéine « Cas », par exemple Cas9. La protéine Cas forme un complexe avec un « ARN guide » pour guider l’endroit où l’ADN est coupé et, une fois coupé, un nouvel ADN peut être ajouté. Comme on faisait autrefois le montage d’une bande vidéo.

Voici une version plus grande du graphique ci-dessus pour l’expliquer, provenant du Genetic Literary Project (sur lequel nous reviendrons plus tard).

  1. La protéine Cas9 forme un complexe avec l’ARN guide dans la cellule
  2. Ce complexe se lie à une séquence d’ADN correspondante adjacente à un espaceur (segment jaune)
  3. Le complexe Cas-9-ArRN coupe le double brin d’ADN
  4. L’ADN programmé peut être inséré à l’endroit de la coupure

Autrefois, CRISPR était réservé à l’édition de gènes dans les cellules en laboratoire, mais avec les progrès de LaScience™, nous avons désormais la capacité de modifier le génome des cellules in vivo. Cela signifie qu’il est possible de modifier le génome d’organismes vivants, y compris les êtres humains.

Et il est évident que c’est totalement sûr et efficace – du moins c’est ce qu’on vous dira – parce qu’on a trouvé un moyen de contrôler toutes ces protéines hors cible (involontaires) qui pourraient survenir en découpant votre génome alors que vous êtes encore en vie. Et bien sûr, tous les problèmes connus associés au CRISPR in vivo auront déjà été résolus, tout comme ils l’ont été pour les vaccins à ARNm. C’est dommage pour les enfants qui sont déjà morts à cause des réactions immunitaires ou de mutagénèse insertionnelle:

Jesse Gelsinger, un jeune homme de 18 ans atteint d’une forme légère de la maladie génétique du déficit en ornithine transcarbamylase (OTC), a participé à un essai clinique qui a délivré un gène OTC non muté dans le foie par une injection dans l’artère hépatique du vecteur adénoviral recombinant hébergeant le gène thérapeutique. Malheureusement, Jesse est décédé quatre jours après le traitement (7). Le vecteur adénoviral a déclenché une réponse immunitaire beaucoup plus forte chez Jesse que chez d’autres patients, provoquant une série de défaillances d’organes multiples qui ont finalement conduit à son décès (8). Au moment de l’essai, les vecteurs adénoviraux étaient considérés comme raisonnablement sûrs. Cependant, au cours du développement préclinique, deux des singes rhésus traités avec la thérapie ont développé un schéma similaire de nécrose hépatocellulaire fatale (9). Peu après, un autre essai de thérapie génique a conduit au développement d’une leucémie chez plusieurs jeunes enfants, induite par l’oncogenèse insertionnelle de la thérapie (10). Ces essais ont été ouverts pour deux formes de SCID (SCID-X1 ou déficit en chaîne ɤ commune) et pour le déficit en adénosine désaminase (ADA). La thérapie a utilisé des vecteurs ɤ-rétroviraux pour délivrer ex vivo des transgènes thérapeutiques à des cellules souches hématopoïétiques CD34+ autologues, qui ont été réintroduites chez les patients (10). Cinq patients ont développé une leucémie secondaire liée à la thérapie, et l’un d’entre eux est décédé des suites de la maladie (11). Un examen plus approfondi a révélé l’intégration du gène thérapeutique dans le locus du proto-oncogène LMO2, ce qui a probablement entraîné le développement d’une leucémie (12). Des analyses ultérieures ont suggéré une fréquence plus élevée d’événements de mutagenèse insertionnelle avec les vecteurs ɤ-rétroviraux par rapport à d’autres vecteurs (13).

Bien sûr, CRISPR est tellement amusant que le laboratoire de Saha a conçu un jeu pour vous faire croire que l’introduire à grande échelle dans la population serait une idée sympa. Comme lâcher des chips chaudes du ciel. Qui n’aime pas les chips chaudes, n’est-ce pas?

Capture d’écran du jeu « CRISPR is fun » (CRISPR est amusant)

Pour citer leur article:

CRISPR – c’est l’une de ces nouvelles technologies scientifiques dont il est amusant de parler, car qui n’aurait pas envie d’imaginer un avenir meilleur rendu possible par la science? Mais quelle version de « meilleur » prévaudrait? Les « et si » rendus possibles par la technologie d’édition de gènes CRISPR font l’objet d’un débat intense au sein de la communauté scientifique internationale. Comme ces débats affectent déjà les décisions politiques, le public doit prendre en compte les ramifications éthiques de ce que CRISPR pourrait rendre possible.

Vous voyez le coup de coude? Vous vous souvenez de « l’intérêt supérieur » évoqué dans la première partie?

Bien sûr. Pourquoi ne voudrait-on PAS améliorer le patrimoine génétique du monde pour faire de nous de meilleurs humains, au lieu des humains merdiques que nous étions hier, n’est-ce pas?

Et à quel point ce graphique tiré de l’article sur le jeu du laboratoire de Saha ressemble-t-il au problème du chariot évoqué dans la première partie?

Capture d’écran de la « machine morale » du MIT. Il convient de noter la proximité géographique du MIT et de Harvard, qui sont à toutes fins utiles au même endroit.

CRISPR a besoin d’un PAM

Pour en revenir au sujet, pour que CRISPR puisse éditer vos gènes, il faut essentiellement :

(1) un PAM2 et
(2) une séquence de gène ARN correspondant à la zone ciblée du génome.

Le PAM est une minuscule séquence génétique (nGG où « n » est un nucléotide quelconque, par exemple CGG) qui existe à plusieurs endroits du génome. La séquence d’ARN est incluse pour cibler n’importe quelle partie de l’ADN qui vous intéresse, à condition qu’elle se trouve à côté d’un PAM. Il faut donc un PAM et un fragment d’ARN. Le PAM le plus réactif (parmi les quatre options AGG, CGG, TGG et GGG) est CGG.

Pour en savoir plus sur le PAM et son fonctionnement, je vous recommande de consacrer 5 minutes à cette vidéo fascinante qui montre à quel point la nature est intelligente et comment les bactéries ont appris à combattre les virus à l’aide de ce mécanisme de défense génomique antivirale.

[NdT. sorry, pas de traduction automatique sur cette vidéo]

Si vous préférez regarder un graphique, celui-ci montre le PAM et l' »ARN guide » ou ARNg (la séquence que le scientifique utilise pour faire correspondre la séquence de votre ADN qu’il veut couper).

  • Adaptation d’un mécanisme de défense contre un virus ou une bactérie.
  • Cas9 est une enzyme qui utilise l’ARN guide pour couper la séquence d’ADN cible.
  • La séquence génétique souhaitée pourrait être ajoutée au système de réparation de l’ADN personnalisé.

Ainsi, si on veut modifier le génome à un endroit précis, il faut trouver une séquence génétique unique à proximité d’un site PAM.

Vous serez heureux d’apprendre que la majorité de la population mondiale a reçu gratuitement de telles séquences PAM lorsqu’elle a consenti à recevoir un vaccin de thérapie génique recombinante offert par Pfizer, Moderna (et probablement Novavax aussi3).

En effet, ces vaccins contiennent des plasmides qui sont de l’ADN et peuvent facilement s’intégrer dans l’ADN de vos propres cellules, comme l’ont démontré de nombreux auteurs, et plus récemment Kevin McKernan et Hiroshi Arakawa, qui ont confirmé l’intégration de l’ADN plasmidique dans le chromosome 12 et le chromosome 9. J’ai prévenu que c’était probable ici.

La bonne nouvelle concernant cet événement d’intégration est que dans les deux cas présentés ci-dessus, il y a une séquence CRISPR-Cas9 PAM (CGG, AGG, GGG ou TGG) dans la séquence qui a été intégrée dans le génome. C’est une nouvelle fantastique pour ceux qui voudraient ensuite modifier le génome des bénéficiaires de leur médicament à l’endroit précis où ils ont ajouté de l’ADN!

Pour réaliser l’édition génétique d’un sujet à l’aide de CRISPR-Cas9, il faut une séquence génétique spécifique à l’endroit où l’on veut couper le génome, à côté d’une séquence PAM.

Il se trouve que le processus d' »optimisation des codons4 » de la séquence génétique des vaccins COVID (processus par lequel Pfizer, Moderna et Novavax ont décidé de créer une toute nouvelle séquence de 3822 nucléotides différente de la séquence génétique de la protéine de pointe de Wuhan, mais censée produire exactement la même séquence d’acides aminés) a entraîné une augmentation considérable du nombre5 de séquences PAM – en particulier du type CGG, le plus efficace. Quelle heureuse coïncidence!

Ainsi, l’événement d’intégration génomique résultant de ce que vous pensiez être un simple vaccin mais qui s’est révélé être une thérapie génique a commodément fourni les deux facteurs nécessaires à une édition génique ultérieure – de nombreuses séquences PAM et des séquences génomiques spécifiques qui n’étaient pas présentes dans le génome humain auparavant6.

En d’autres termes, 6 milliards de personnes sont potentiellement prêtes à recevoir un processus d’édition de gènes direct qui pourra remplacer votre vieille séquence de vaccin COVID par un nouveau gène rutilant pour n’importe quel prétexte.

Bien sûr, comme les personnes impliquées dans l’industrie de l’édition de gènes sont super sympa, il ne leur viendrait jamais à l’idée de faire ce genre de choses, n’est-ce pas?

Voyons qui ils sont… avant de supposer qu’ils ont tous agi de manière altruiste.

Le mastodonte de l’industrie de l’édition génétique

Il est essentiel de comprendre que l’édition de gènes est très coûteuse – plus d’un million de dollars par personne. Mauvaise nouvelle pour le consommateur, mais excellente nouvelle pour les entreprises qui en sont à l’origine et qui risquent de gagner non pas des milliards, mais des trillions de dollars si elles parviennent à administrer ce produit aux populations, comme elles l’ont fait avec les vaccins COVID.

Et vous savez quoi? Lorsque les vaccins COVID se vendaient comme des petits pains et avant que nous ayons été autorisés à découvrir qu’ils n’étaient pas ce qu’on nous avait promis, le prix des actions des quatre grandes sociétés CRISPR a grimpé en flèche. Il s’est ensuite effondré à la même vitesse lorsque les problèmes liés aux vaccins à ARNm ont commencé à être constatés.

Le cours des actions des quatre grandes sociétés d’édition de gènes – CRSP, EDIT, NTLA, SGMO – a fortement augmenté au milieu de l’année 2021 pour s’effondrer peu après.

Qui sont donc les acteurs qui se cachent derrière ces sociétés CRISPR et les technologies qui les sous-tendent?

La plus importante est Jennifer Doudna, co-inventrice de CRISPR.

Elle parle ici de sa vision utopique du monde, où des scientifiques d’élite comme elle peuvent modifier le génome des vaches pour qu’elles pètent moins, ce qui nous sauvera tous du changement climatique. Non, je ne plaisante pas.

Voici la partie importante dans ce qu’elle dit (à partir de 5:14):

Nous savons que les pays et les populations les plus pauvres sont les plus touchés par le changement climatique, et que c’est un problème créé par les plus riches. Le méthane est un élément important du problème. Il contribue largement à l’augmentation des températures mondiales depuis l’ère préindustrielle. La composition spécifique du microbiome du bétail peut réduire les émissions de méthane jusqu’à 80%. Mais pour y parvenir, il faut aujourd’hui des interventions quotidiennes très coûteuses, qui ne peuvent pas être mises en œuvre à grande échelle. Mais avec l’édition de précision du microbiome, nous avons la possibilité de modifier le microbiome d’un veau à la naissance, limitant ainsi l’impact de cet animal sur le climat tout au long de sa vie…

Notre technologie pourrait donc vraiment faire bouger l’aiguille dans notre lutte contre le changement climatique.

[NdT. Le Dr Sabine Hazan, spécialiste du microbiome, mentionnée plus loin, pourrait vous expliquer à quel point il est dangereux d’y modifier quoi que ce soit – elle a d’ailleurs étudié la question en particulier dans le cadre du SARS-CoV-2]

Jennifer Doudna, l’inventrice de l’ARN et détentrice d’un nombre obscène de brevets d’une valeur potentielle de plusieurs trillions de dollars, souhaite donc modifier le génome d’animaux (et vraisemblablement de « pauvres » humains) pour des causes politiques.

C’est très bien. Qui est le suivant? (Ne vous inquiétez pas, ça devient pire).

Voici un autre groupe de scientifiques impliqués dans la normalisation de l’édition de gènes, qui tentent de le présenter comme un traitement médical comme les autres. Peter Singer a rédigé l’avant-propos du « Handbook of Bioethical Decisions7«  (Manuel des décisions bioéthiques), qui devrait servir de guide aux scientifiques pour ne pas dépasser pas les limites de la manipulation des éléments de base de la vie de l’humanité. Par chance, Peter est également co-auteur de cet article « controversé » défendant l’eugénisme. Oui, vous avez bien lu, il défend l’eugénisme.

Youpi!

Peut-on défendre l’«eugénisme»?

Ces dernières années, le discours bioéthique autour du thème de l' »amélioration génétique » est devenu de plus en plus politisé. Nous craignons que l’accent soit trop mis sur la question sémantique de savoir si nous devrions qualifier d' »eugéniques » des pratiques particulières et des biotechnologies émergentes telles que CRISPR, plutôt que sur la question plus importante de savoir comment nous devrions les considérer du point de vue de l’éthique et de la politique. Nous abordons ici la question de savoir si l' »eugénisme » peut être défendu et comment les partisans et les détracteurs de cette amélioration doivent s’engager les uns envers les autres.

Son co-auteur, Jonathan Anomaly, a écrit un article sur la façon dont on devrait tous être traités comme des « biens publics », ce qui englobe habilement l’éthique totalitaire du « bien commun » avec le concept de l’homme en tant que propriété publique (voir la partie 1).

Résumé

La procréation est le problème ultime en matière de biens publics. Chaque nouvel enfant affecte le bien-être de nombreuses autres personnes, et certains enfants (mais pas tous) produisent une valeur non compensée dont profiteront les générations futures. Cet essai aborde les défis qui se posent lorsque l’on considère la procréation et l’éducation des enfants comme des biens publics. Il s’agit notamment de savoir si les choix individuels sont susceptibles de conduire à un résultat socialement souhaitable et si des changements dans les lois, les normes sociales ou l’accès au génie génétique et à la sélection des embryons pourraient améliorer le résultat global de nos choix en matière de procréation.

Heureusement pour le monde, ce ne sont pas seulement les Doudna, les Anomaly et les Singer du monde scientifique qui sont en charge de nos génomes. Le financement d’une grande partie de cette industrie provient de personnes telles que le tristement célèbre Jeffrey Epstein, qui a littéralement tenté de créer sa propre réserve eugénique.

Jeffrey Epstein espérait ensemencer la race humaine avec son ADN

On le voit ici en train de rencontrer les eugénistes « améliorateurs génomiques » à Harvard, dont les principaux scientifiques du CRISPR, George Church et Eric Lander (coup de chapeau à Jesse Matchey, qui a été exclu de Twitter pendant deux ans pour avoir dénoncé cette affaire).

Aussi ridicule que cela puisse paraître, Jeffrey Epstein a fondé et financé le sinistre « programme de dynamique évolutive » de Harvard – que la plupart appelleraient plus judicieusement « programme eugénique ». Il a passé beaucoup de temps avec des membres de la « Skeptics Society », que vous aurez vus dénigrer les « Antivaxxers » sur Twitter. Leur objectif est vraisemblablement de soutenir les actions des entreprises de biotechnologie, car si elles avaient autorisé les scientifiques dissidents à s’exprimer librement sur les médias sociaux, leurs actions se seraient effondrées.

Les « Skeptics » comprennent des personnes comme James Randi, qui a participé à une longue fraude par usurpation d’identité finalement poursuivie en justice, et Loren Pankratz qui a frauduleusement revendiqué une expertise afin de défendre des pédophiles devant les tribunaux8. La direction de facto du mouvement Skeptic a été confiée à David Gorski, qui mène aujourd’hui une campagne de haine sur de nombreux blogs contre les personnes qui tentent de dénoncer les conglomérats Epstein-Pharma, ainsi qu’à Richard Dawkins, qui n’a cessé de joyeusement défendre la « pédophilie légère« 9.

Jets privés, fêtes et eugénisme: le monde étrange des scientifiques de Jeffrey Epstein

Le financier milliardaire et délinquant sexuel condamné a fréquenté des présidents, des mannequins et des stars de cinéma. Mais il a également assouvi ses croyances peu orthodoxes en cultivant des scientifiques de haut niveau.

Pour illustrer l’arrogance de ces personnes, Lawrence Krauss, de la Skeptics Society, tient à jour sa page sur The Edge (une organisation médiatique fondée par Jeffrey Epstein10, voir ci-dessous), décrivant fièrement la réunion de 21 physiciens « Skeptics » sur l’île désormais tristement célèbre d’Epstein.

Lawrence Krauss, du groupe The Skeptics, en route vers l’île d’Epstein (Little St James) avec Stephen Hawking
[NdT. Hawking est mort depuis très longtemps (ici et ici), le type sur la photo est un double, pas très réussi]

L’un des principaux acteurs du lucratif mégalithe de CRISPR mentionné ci-dessus est George Church, avec 20 sociétés à son actif – ça illustre à quel point il est altruiste.

George Church est Professeur de Génétique à la Harvard Medical School et Professeur de Sciences et Technologies de la Santé à l’Université de Harvard et à l’Institut de Technologie du Massachusetts (MIT). Son travail de pionnier a contribué au développement des technologies de séquençage de l’ADN et d’édition du génome, ce qui lui a valu de nombreuses récompenses, dont le Bower Award 2011 et le Prize for Achievement In Science du Franklin Institute, ainsi que l’élection à l’Académie Nationale des Sciences et de l’Ingénierie. Il est coauteur de plus de 550 publications, de plus de 150 brevets et d’un livre intitulé « Regenesis: How synthetic biology will reinvent nature and ourselves » (« Régénèse: comment la biologie synthétique va réinventer la nature et nous-mêmes »). Il est également à l’origine du Projet de Génome Personnel et a créé plus de 20 entreprises.

George l’altruiste n’a bien sûr aucun intérêt à vous persuader (vous, le public) d’adopter cette technologie comme base de tous les traitements médicaux, ce qui lui permettrait d’obtenir des royalties pour l’un de ses innombrables brevets, parce qu’il est tellement altruiste.

En fait, il est tellement altruiste qu’il veut que la technologie d’édition de gènes soit accessible à tout le monde, « riche ou pauvre »11. Ce serait bien sûr une nouvelle fantastique pour les actions des sociétés d’édition de gènes, qui ont besoin de leur part de ces trillions de dollars. « Riche ou pauvre » signifie, comme dans le cas des vaccins à ARNm COVID, que les traitements sont « gratuits » (ce qui signifie en fait que vous recevrez ces traitements, obligatoirement ou non, payés par « le gouvernement »). Par « gouvernement », on entend le processus de blanchiment d’argent qui utilise les fonds publics et les détourne sans consultation ni transparence vers les sociétés pharmaceutiques comme celle de George. De manière très, très altruiste bien sûr.

George est également très heureux de vous inciter à faire don de votre génome à Nebula Genomics, l’une de ses nombreuses sociétés, pour un « séquençage du génome entier ». Imaginez ce qu’une telle entreprise pourrait faire de ces informations, défendant pendant ce temps l’idée de vivre éternellement grâce à l’édition du génome, selon cette interview troublante de Stephen Colbert. Dans cette interview, George semble heureux de ressusciter le génome d’un mammouth laineux et de l’insérer dans celui d’un autre animal (ou possiblement d’un être humain), comme dans L’île du Docteur Moreau, l’effrayant roman dystopique chimérique écrit par l’eugéniste HG Wells (également mentionné dans la partie 1).

L’autre personne mentionnée dans la réunion MIT/Epstein est Eric Lander, que certains d’entre vous reconnaîtront peut-être comme le type promu au cabinet présidentiel américain après la débâcle du COVID et avant qu’il trouve le temps de se débarrasser de ses millions de dollars d’actions dans le domaine des vaccins. Je suis sûr que ça n’aura pas du tout influencé l’exigence de vaccins obligatoires aux États-Unis.

Lander a conservé des actions d’un fabricant de vaccins plusieurs mois après son entrée en fonction

Il a finalement vendu les actions dans le délai imparti de 90 jours. Mais selon des fonctionnaires chargés de l’éthique, cela soulève des questions quant à ses activités de conseiller.

Pire encore, Eric Lander dirige également le Broad Institute à Boston, siège d’Editas – l’une des quatre grandes sociétés d’édition du génome qui se livrent depuis une décennie à une bataille de brevets avec l’empire de Jennifer Doudna sur la côte ouest.

Et vous aurez peut-être remarqué que George Church fait partie du « Genetic Literacy Project » (qui aime aussi Eric Lander), ce qui pourrait vous faire penser à une ONG sympa. Vous feriez erreur. Le projet compte des contributeurs tels qu’Eliza Dunn (la célèbre porte-parole médicale de Monsanto-Bayer qui aime nous dire à quel point le RoundUp et la modification génétique sont sans danger et que les agriculteurs indiens ne se sont pas vraiment suicidés en masse à cause de leurs produits). Et Kevin Folta, le « médecin durable qui lutte contre la désinformation », qui aimerait vous voir consommer des cultures d’OGM et fermer vos gueules.

Si vous êtes opposés à la désinformation dans le domaine des technologies de l’agriculture et de l’alimentation, pensez à devenir signataire de la déclaration contre la campagne alarmiste de @AmerAcadPeds contre les cultures biotechnologiques.

Les plus perspicaces d’entre vous remarqueront le lien vers « skepticalinquirer.org« , qui est en effet l’un des principaux journaux de la Skeptics Society, dont les membres comprennent Kevin Folta, Steven Pinker (affilié à Epstein), Steven Novella – Skeptic en chef, Richard Dawkins et David Gorski. On y trouve également Paul Offitt, le soi-disant indépendant mais désormais tristement célèbre membre principal du comité consultatif de la FDA sur les vaccins (VRBPAC), dont le surnom est « for profit » (pour le profit) en raison de ses nombreux conflits d’intérêts.

Ces réseaux vous incitent tous à accepter l’édition de gènes comme étant normale, sûre et sans risque de dommages collatéraux. Pourtant, ce n’est pas vous qui déciderez qui sera édité, ce qui sera édité, ni qui déciderez si l’édition est obligatoire.

Montrez-leur l’argent

Ces réseaux n’impliquent pas seulement les sociétés visibles prêtes à gagner des trillions. Quand autant d’argent est en jeu, les initiés comme moi ne sont qu’une mouche gênante qu’il faut écraser.

Et c’est littéralement ce qu’ils font. Voici un compte Twitter tristement célèbre qui non seulement publie sur Twitter des informations sur les actions de la biotech CRISPR, mais qui manipule ouvertement ces actions avec des phrases codées telles que « haircut coming in 2021 » (« coupe de cheveux à venir en 2021 ») et « send it 📉 » (« envoyez-le 📉 »), ce qui signifie qu’il faut vendre l’action à découvert.

Mais « .” (apparemment le diminutif de « Ryan », « Jason » et d’un tas d’autres pseudonymes) ne se contente pas d’afficher ses paris boursiers sur Twitter. Non, on a également découvert qu’il était l’auteur prolifique de « Community Notes », « Enterprising Desert Raven », qui publie robotiquement des notes sur Twitter pour tenter de saper tout message critique à l’égard des vaccins COVID ou, en fait, de toute thérapie génique ou de tout produit pharmaceutique. Le lien entre le compte anonyme de Ryan/Jason et « Enterprising Desert Raven » a été découvert en février, à l’occasion d’un bug sur Twitter qui faisait que si l’on bloquait un compte, la note communautaire appartenant à ce compte devenait invisible12.

Malheureusement pour Enterprising Desert Raven, cette manipulation incessante des opinions des scientifiques visant à etouffer des problèmes de sécurité d’un produit fabriqué par une société qui pourrait ainsi bénéficier de cette manipulation indue des médias sociaux pourrait raisonnablement être considérée comme une forme de fraude en matière de valeurs mobilières.

Pour enfoncer le clou, voici ses tweets en relation avec le cours de l’action $CRSP. C’est ce que l’on appelle une opération de « pump and dump ».

Le problème de gens qui comme Ryan s’intéressent aux actions biotechnologiques, ce sont bien sûr ces satanées souris qui interfèrent avec leur capacité à pomper et à vendre ou à manipuler le prix des actions des sociétés dont on a découvert qu’elles mentaient au sujet de la validité de leurs produits. Ils doivent donc s’attaquer à ces souris (les scientifiques) et les faire disparaître de Twitter, comme je l’ai montré en 2021.

Et il n’y a pas que moi. Les scientifiques qui ont utilisé leur vrai nom ont été pris pour cible, harcelés et menacés par des personnes ayant des intérêts directs dans la filière « créer une pandémie, créer la solution, gagner des milliards de dollars ».

Départ définitif de Twitter: Harcèlement de Peter Daszak

Chers collègues et amis de Twitter,

J’ai pris la décision difficile de quitter définitivement Twitter. Cette décision est motivée par des événements récents et par mon engagement envers mes patients, à la suite d’une situation complexe impliquant mes interactions récentes avec le Dr Peter Daszak. Nos divergences de vues sur les origines du COVID-19 ont conduit à des violations répétées et flagrantes de nombreuses limites éthiques et professionnelles de sa part. Au lieu de s’engager de bonne foi, il a utilisé sa notoriété et son autorité dans les milieux scientifiques pour attaquer ma personnalité et mes compétences, me menacer de poursuites judiciaires, déformer et dénaturer mes messages et mes commentaires, et inciter ses partisans à attaquer de façon répétée ma personnalité, mon éthique et mes compétences.

Le même réseau a donné lieu à ce post du compte twitter Jikkyleaks qui explique les tentatives de chantage et d’intimidation des réseaux pour réduire au silence les scientifiques qui s’expriment dans l’intérêt du public.

[NdT. je traduis en entier le texte de ce tweet, qui me semble d’intérêt public]

Jikkileaks

2 novembre 2023

Il est temps de suspendre l’activité de ce compte.

La lutte contre des entités corrompues dont je ne soupçonnais pas l’existence à ce point dans les allées du pouvoir a été un chemin difficile. Et contre la propagande incessante qui a apparemment usurpé la majeure partie, sinon la totalité, du monde universitaire et médical.

Ce compte a vu le jour parce que je savais qu’on nous avait menti en février 2020 sur l’origine du COVID et qu’avec l’aide d’autres personnes, nous avons été en mesure de le prouver.

Depuis lors, il y a eu un vrai brasier de mensonges que nous avons dû démêler, tout en montrant que nous étions de ceux qui s’efforçaient de défendre les valeurs de la vraie science, qui s’appuient sur la recherche de la vérité plutôt que la politique et la corruption.

Le moment est venu de me retirer, car deux choses se sont produites.

La première est que le public prend désormais conscience non seulement de ce qui est vrai, mais aussi de la manière de discerner ce qui est vrai de ce qui est faux. Je pense que c’était ma tâche et qu’une grande partie de ce travail a été accomplie.

Deuxièmement, les menaces proférées à mon encontre par des groupes ayant des liens avérés avec des groupes de pression pharmaceutiques se sont intensifiées. Les personnes impliquées savent qui elles sont et elles tentent de justifier leur activité en fabriquant une histoire de grand méchant loup dirigée contre nous. Mais ce n’est rien d’autre. Lorsque la poussière retombera et que le décompte effroyable des décès sera enfin effectué, les personnes premières responsables seront celles qui ont utilisé leurs ressources illimitées (soutenues par les sociétés pharmaceutiques et les ministères corrompus disposant de fonds et de pouvoirs illimités) pour réduire au silence ceux d’entre nous dont le seul crime était de mettre en évidence auprès du public des dangers scientifiquement prouvés des interventions qui pouvaient – et qui ont effectivement – causé des décès et des invalidités.

Ces groupes – principalement #shotsheard aux États-Unis et #muttoncrew au Royaume-Uni, avec leurs groupies sur les médias sociaux, tous coordonnés à partir d’un point central – ne sont qu’une extension des mêmes groupes qui ont fait exactement la même chose il y a 20 ans à propos du Vioxx (où 30 000 personnes sont mortes parce que des médecins et des scientifiques ont été réduits au silence par la menace) et avant cela de la thalidomide (où 20 000 enfants sont nés sans membres parce que des médecins et des scientifiques ont été réduits au silence par la menace).

Nous nous préoccupons de cette question, mais la majorité du public et le gouvernement ne semblent pas s’en préoccuper. Nous ne disposons d’aucune ressource et le gouvernement – en qui beaucoup d’entre vous avaient confiance – n’a jamais offert ni ressources ni protection à des comptes tels que le nôtre ou aux personnes qui en sont à l’origine. Au contraire, ils ont montré – aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Europe, au Canada et en Australie – que ce sont eux qui nous réduiront au silence. Dans certains cas, ils ont menacé de nous emprisonner.

Le public reste silencieux. La colère gronde, mais le gouvernement et les médias veilleront à ce que cette colère soit dirigée contre nous, qui vous ont montré où se trouvaient la corruption et les malversations dans des institutions qui devraient être au-dessus de tout soupçon. Je prédis qu’il n’y aura pas de manifestations publiques pour « protéger les dénonciateurs médicaux » ou « ramener Jikkyleaks ». Il n’y aura par exemple aucune manifestation publique devant la Cour suprême de Victoria où @realMarkHobart se battra pour le droit d’un médecin à protéger le droit fondamental et global à l’autonomie corporelle des patients. Il n’y aura pas de clameur pour que les organisations d’intimidation affiliées à l’industrie pharmaceutique soient poursuivies pour ce qu’elles ont fait au cours des 20 dernières années. Personne n’a été emprisonné pour le Vioxx – ou la thalidomide – parce que le public ne l’a pas exigé.

Les médias ont joué le rôle le plus important. Ils ont universellement dénigré les gens en les qualifiant d' »antivax » qui voulaient simplement conserver leurs droits humains tels qu’ils sont énoncés dans la déclaration des Nations unies sur les droits de l’homme. Au lieu de cela, ils ont protégé ceux-là mêmes qui ont créé cette pandémie (et, par extension, les pandémies précédentes). Plus important encore, ils n’ont pas donné la parole à ceux d’entre nous qui, grâce à leur expertise scientifique et médicale, ont tenté d’exprimer leurs inquiétudes et de plaider simplement pour le maintien du droit à l’autonomie corporelle.

Au lieu de cela, les médias ont donné une tribune à des personnalités comme David Gorski, Tony Fauci, Albert Bourla et Peter Daszak, comme s’ils étaient des saints et non le visage d’une mafia biomédicale mondiale. Leur groupe de soutien composé de sous-fifres qui menacent les scientifiques et les non-scientifiques, fouillent leurs dossiers personnels et traquent leurs maisons, leurs enfants et leurs employeurs, savent qui ils sont. Moi aussi. Tout est archivé.

Le résultat de cette collusion entre les laboratoires pharmaceutiques, le gouvernement et les médias (avec des sous-fifres qui agissent en leur nom contre une rémunération dérisoire) est la mort de millions de personnes, sans le moindre soupçon de culpabilité. Ils n’en sont pas à leur premier coup d’essai, mais cette fois-ci, au lieu de 30 000 morts, ils en ont fait 6 millions et ce n’est pas fini. Et le grand public n’a jamais sourcillé à l’heure où il aurait fally critiquer les entreprises biomédicales et les entités gouvernementales et militaires responsables et agissant de concert.

Le résultat restera donc le même. 6 millions de morts cette fois-ci. La prochaine fois, ce sera probablement plus. Et si le public se fie à nouveau aux médias pour le guider sans poser de questions, cela ne s’arrêtera jamais. Il y a trop d’argent à gagner et de pouvoir à obtenir. Pourquoi les personnes impliquées s’arrêteraient-elles alors qu’il n’y a pas eu une seule protestation auprès d’un régulateur, d’un gouvernement ou d’une institution académique, malgré le fait que des décès aient été connus et dissimulés sans aucune transparence de la part des agences gouvernementales – qui auraient dû être prêtes à tout pour publier tous les documents qu’elles possédaient afin de prouver à la population qu’elles étaient au-dessus de tout reproche.

La mise en veille de ce compte n’est que le symptôme d’une maladie si insidieuse qu’elle ne peut rester sans traitement. Une seule personne – ou une seule souris – ne peut pas traiter cette maladie. J’ai fait mon temps ici autant que je le pouvais et je dois maintenant me consacrer à d’autres voies, pour ce qu’elles valent.

Mais sans l’aide du public, nous ne pouvons rien faire de plus. L’apathie nourrit la corruption et seul le public en masse peut cesser de la nourrir.

À ceux qui ont soutenu ce compte, sachez que j’apprécie tout ce que vous avez fait et que des milliers, voire des millions, le font déjà ou le feront à terme.

Pour l’instant, je vais tirer ma révérence. Je continuerai pour l’instant à interagir avec les messages des autres comptes, les réponses et les DM existants. Mais il n’y aura plus de nouveaux messages, de révélations ou de #Gates sur cette plateforme jusqu’à ce que de véritables protections soient mises en place pour les lanceurs d’alerte.

Une seule mise en garde: si les menaces dirigées contre moi ou mon entourage persistent ou refont surface, je n’aurai pas d’autre choix que de revenir.

Je vous souhaite une bonne nuit. Que Dieu vous garde.

Et que la #mousearmy poursuive son combat pour la vérité et contre la corruption dans la science.

Évidemment qu’ils n’en sont pas à leur premier coup d’essai, nous l’avons déjà mentionné. Pourtant, personne n’a été emprisonné pour avoir exploité les régulateurs médicaux en tant que passeurs de drogue, ce qui a entraîné environ 30 000 décès rien qu’avec le Vioxx:

Le tribunal apprend comment le géant pharmaceutique Merck a tenté de « neutraliser » et de « discréditer » les médecins critiques à l’égard du Vioxx.

Le laboratoire pharmaceutique Merck a dressé une liste de médecins et de chercheurs influents qu’il souhaitait « neutraliser » et « discréditer » dans le cadre de la commercialisation du Vioxx (rofecoxib), un médicament contre l’arthrite, selon des témoignages entendus par un tribunal australien cette semaine.

Les détails des projets visant à « neutraliser » les médecins ont fait surface lors d’une action collective contre Merck au nom de centaines d’Australiens ayant subi des crises cardiaques ou des accidents vasculaires cérébraux après avoir pris le médicament, qui a été retiré du marché en 2004 en raison de préoccupations concernant sa sécurité.

Julian Burnside QC, qui représentait les plaignants, a lu des extraits de courriels envoyés entre des membres du personnel de Merck, dans lesquels il était question d’une « liste de médecins ‘à problèmes’ que nous devions, au minimum, neutraliser ». […]

La toile est vaste et profonde

Jusqu’à présent, cet article n’a fait qu’effleurer la surface des réseaux impliqués dans cette gigantesque prise de pouvoir de la mafia biotechnologique, où le prix se mesure en centaines de trillions de dollars.

Les quatre grandes sociétés d’édition de gènes forment un immense cartel qui englobe les principaux centres universitaires situés entre Boston (Harvard, Cambridge MA) sur la côte est et l’UCSF sur la côte ouest. Il s’agit des entreprises suivantes

INTELLIA – Fondée par Jennifer Doudna. Partenaire de Regeneron.
CRISPR – Fondée par Emmanuel Charpentier (partenaire de Jennifer Doudna pour les brevets).
BEAM – Fondée par David Liu et Feng Zhang.
EDITAS – Fondé par Feng Zhang et George Church.

Il s’agit essentiellement d’un monopole de plusieurs trillions de dollars entre les mains de cinq personnes. Il n’y a même pas d’indépendance entre les entités de la côte Est et de la côte Ouest, car Doudna elle-même a déménagé de l’une à l’autre pour créer l’entité de l’UCSF [NdT. Université de Californie à San Francisco, leur site explique que « le futur se joue ici »] connue sous le nom d’Innovative Genomics Institute. Pour confirmer les types de réseaux de manipulation des médias sociaux qui existent, l’inventeur de l’algorithme Community Notes (Jay Baxter) sur Twitter s’est trouvé lié à ce petit compte Twitter qui s’est révélé être un scientifique de l’IGI de Jennifer Doudna.

En d’autres termes, ces personnes sont intégrées dans les réseaux d’influence twitter dont le rôle est de s’assurer que personne n’est autorisé à parler des problèmes liés à leurs produits13 – exactement comme pour le Vioxx.

Harvard – la plaque tournante moderne de la fraude universitaire

Il n’y a pas que Jeffrey Epstein qui laisse une mauvaise odeur à Harvard. Au cours des deux dernières années, Harvard et les entités qui lui sont liées ont fait l’objet d’accusations viables de fraude académique, deux camps s’affrontant pour savoir qui salir le plus.

Outre la fraude impliquant le centre de cancérologie Dana Farber, la suspension de la professeure Francesca Gino sur la base d’une allégation de fraude de données concernant certains de ses articles de psychologie a fait scandale. Ce même scandale a épargné son coauteur masculin, Dan Ariely, qui a participé à la rédaction de ces mêmes articles. Le graphique suivant, impliquant certains des acteurs mentionnés ci-dessus ainsi que la tristement célèbre artiste satanique Marina Abramovic, peut donner une idée de la raison pour laquelle Ariely, mais pas Gino, a échappé à la persécution de Harvard14.

En fait, l’odeur nauséabonde qui règne à Harvard se répand dans les recoins de toutes les organisations qui lui sont affiliées. Rappelons que Brigham and Women’s est à l’origine du scandale Surgisphere, qui a faussement discrédité l’hydroxychloroquine. Il a finalement été démontré que l’hydroxychloroquine réduisait de plus de moitié la mortalité due au COVID, ce qui indique que les actions du cartel de Harvard ont pu entraîner littéralement des millions de décès inutiles. Si vous ne voyez toujours pas les liens entre Harvard, Dana Farber, le Broad Institute et Brigham & Women’s (Surgisphere15), une carte pourrait vous aider – ils sont littéralement à quelques pas les uns des autres.

N’oubliez pas qu’à Harvard, une femme professeur qui n’a jamais écrit pour le magazine de Jeffrey Epstein sera publiquement discréditée pour toute manipulation de données associée à ses articles. Mais si on fait partie du bon club, comme Ariely, on s’en sort apparemment bien.

Pour enfoncer le clou, les quatre auteurs de cette fraude aujourd’hui totalement discréditée et prouvée, qui a très certainement entraîné des décès, s’en sortent également.

D’où la question: Francesca Gino savait-elle quelque chose qui faisait d’elle une cible? C’est peut-être un sujet d’article pour un autre jour, mais Sabine Hazan pense que les souris semblent avoir flairé quelque chose.

sabine hazan md

Eh bien, eh bien, eh bien!! Encore des nouvelles sur les #poogates et #ginogate 🤯. La fausse étude de Surgiphere sur l’HCq avec soi-disant 96 000 patients était dans @TheLancet pour ceux qui ne s’en souviennent pas. Cette étude bidon a tué l’HCQ… Maintenant, il semble qu’il y ait une relation significative entre cette étude et le #Ginogate et le #muttoncrew … 🤯🤯 Le muttoncrew est-il payé pour rétracter des papiers pour tuer l’Hcq et l’IVM? Ça y ressemble certainement… Merci à la ligue des souris pour votre travail acharné à faire éclater la vérité…

Jikkileaks

Non, nous n’avons pas oublié le #GinoGate.

Pourquoi Brigham and Women’s, lié à la #Surgisphère, accueillerait-il une étude COVID fondée par…
Une jeune fille au pair sans aucune qualification scientifique?

Et pourquoi le site http://covid-19.study a-t-il été effacé?

Parce que c’était une mise en scène. Voilà pourquoi.

En attendant, si vous n’êtes pas tout à fait au courant de l’histoire de l’escroquerie de Surgisphere, vous ne pouvez faire mieux que de regarder cet exposé fantastique et instructif de notre très bon ami John Davidson. La réalisation de ce film repose uniquement sur les dons et la bonne volonté, alors n’hésitez pas à envoyer l’un ou l’autre à John à brokentruth.com.

[NdT. excellent documentaire avec de vrais sous-titres français (à sélectionner dans les Paramètres)]

CRIS-PR: la machine à propagande

Tout comme dans le cas du scandale Surgisphere (parfois appelé Lancetgate), une machine de relations publiques est nécessaire pour que les personnes raisonnables (dont la plupart ne veulent pas que leur génome soit modifié par des élites) acceptent la poussée vers le Saint-Graal économique que représente le CRISPR global. Et cette machine est profondément ancrée dans les institutions CRISPR.

Cet « article » de Nature datant de 2015 est le plus grand exemple d’opération de relations publiques déguisées en science que vous verrez jamais. « CRISPR germline engineering – the community speaks«  (« Ingénierie germinale CRISPR – la communauté s’exprime »)

Tous les acteurs sont là, et le meilleur se trouve dans les archives supplémentaires16 dans les notes de bas de page, mais voici quelques perles de personnes qui vous sont peut-être déjà familières:

J. Craig Venter: Je pense que l’ingénierie de la lignée germinale humaine est inévitable et qu’il n’y aura fondamentalement aucun moyen efficace de réglementer ou de contrôler l’utilisation de la technologie d’édition de gènes dans la reproduction humaine.

Jonathan Moreno: Les biologistes des populations ont suggéré il y a 40 ans qu’il serait souhaitable de créer une banque des caractéristiques qui ont été éliminées des populations, juste au cas où elles devraient être réintroduites dans le pool génétique.

Naldini: Le principal risque sociétal actuel est le contrecoup d’une opinion exagérée mais potentiellement répandue selon laquelle les technologies d’édition de gènes conduiront à des scénarios de science-fiction dans lesquels les humains seront reproduits sur mesure, ce qui entraînera toute une série d’effets imprévus.

Zhang: Où tracer la limite entre ce qui est un trait biologique acceptable pour l’édition de la lignée germinale et ce qui ne l’est pas?… À mesure que nous prenons confiance dans la sécurité de l’édition de la lignée germinale, devrions-nous autoriser cette édition pour supprimer les mutations qui ne causent pas de maladie à apparition précoce? Où tracer la limite?

Cohen: Le risque est plus grand si l’on autorise l’évolution vers des programmes discrétionnaires de « gènes sur mesure ». Le cauchemar de science-fiction d’un État totalitaire orwellien ou d’une société hitlérienne recourant au génie génétique pour obtenir uniquement les caractéristiques « souhaitables » pourrait finalement se produire, bien que nous soyons loin de cette capacité aujourd’hui.

Mais je pense – pour des raisons évidentes pour ceux qui suivent ce blog depuis 2021 – que ma citation préférée doit être celle-ci:

Kim: Dans un monde idéal, l’édition du génome germinal serait disponible et abordable pour tous. Aucun parent porteur d’une mutation génétique fatale ne transmettrait son gène défectueux à ses enfants. Dans une société inégalitaire, cependant, l’édition du génome germinal ne sera accessible qu’aux riches, ce qui entraînera une « fracture génétique », comme le prédit le film « GATTACA ».

Bien entendu, lorsque Nature a publié cet article en 2015, « la communauté » ne faisait référence qu’aux personnes déjà haut placées dans la hiérarchie des armes biologiques et de l’édition du génome, qui ont tout intérêt à ne pas laisser les scientifiques de base s’exprimer s’il y a risque de mettre en péril une industrie qui pèse des trillions de dollars.

Quelque huit ans plus tard, Nature a publié un article nous expliquant à quel point CRISPR est « sûr et efficace » et qu’il n’y a pas lieu de s’inquiéter. Bien entendu, la personne interviewée dans l’article se trouve être de l’UCSF, l’institut de Jennifer Doudna. Aucun conflit d’intérêt n’a été déclaré, parce que, enfin, tu vois, quoi.

CRISPR est-il sûr? L’édition du génome fait l’objet d’un premier examen par la FDA

Des conseillers de l’agence américaine de réglementation vont examiner le profil de sécurité d’un traitement de la drépanocytose basé sur le CRISPR.

Heureusement pour nous, et pour le bien commun, l’institut de Doudna peut maintenant fournir cette thérapie « sûre et efficace » de manière ciblée sans ces vecteurs adénoviraux gênants, tout comme les vaccins génétiques à ARNm étaient bien meilleurs que les bidules d’AstraZeneca, vous vous souvenez?

Voyez-vous ce qui se profile à l’horizon?

Livraison non virale ciblée d’éditeurs de génome in vivo

Le fumet du FEM omniprésent

L’une des choses que nous avons apprises au cours des quatre dernières années de biofascisme déguisé en « préparation à la pandémie », c’est que partout où l’on tente d’imposer des traitements médicaux à d’autres, on trouve le Forum Économique Mondial (FEM). Et CRISPR n’est pas différent.

Voici Haoyi Wang, du FEM, qui nous explique comment l’édition de gènes sera utilisée pour effectuer des changements génétiques multiples et permanents.

Et voici notre amie Jennifer Doudna qui vante les mérites de l’une de ses entreprises (Mammoth Biosciences) au nom du Forum Économique Mondial. Je parie que vous ne l’aviez pas vue venir.

Mammoth Biosciences est un innovateur global du Forum Économique Mondial à l’avant-garde de ces développements.
Voici cinq éléments que Trevor Martin, cofondateur et PDG de Mammoth, juge important de connaître sur l’évolution du domaine à l’ère du COVID-19.

Bien entendu, le Forum Économique Mondial, qui semble être à l’origine de tout [ce qui va mal] dans le monde, est « engagé dans l’amélioration de l’état du monde ».

Ils sont les arbitres autoproclamés de ce qui devrait se passer dans le monde et, heureusement, ils sont présents dans le domaine de l’édition du génome avec leur livre blanc ici17 et les articles « How gene editing is changing the world » (Comment l’édition de gènes change le monde) et « 5 things to know about CRISPR in the COVID era » (5 choses à savoir sur CRISPR à l’ère du COVID), avec la vidéo ci-dessus de Jennifer Doudna.

N’oubliez pas non plus qu’il s’agit du même Forum Économique Mondial qui vous a dit que « vous ne posséderez rien et serez heureux » d’ici 2030. Autrement connu sous le nom de fascisme mondial, parce qu’il est clair que quelqu’un possédera tout – c’est juste que ce ne sera pas vous.

[VIDÉO SUR LA PAGE SOURCE]

Ce qui signifie vraisemblablement que vous ne serez pas non plus propriétaire de votre génome.

Et pourquoi le seriez-vous? Vous serez heureux que Klaus Schwab en soit propriétaire, n’est-ce pas? Et Klaus et ses amis, qui suggèrent implicitement qu’ils devraient tout posséder, pourront décider de l’édition du génome qui rendra le monde (c’est-à-dire vous) meilleur.

La section ci-dessous de la vidéo du FEM intitulée « Les technologues partagent leurs visions de notre monde futur » vous l’explique avec des phrases accrocheuses telles que « Nous devons imaginer un nouvel âge », « Améliorer la biologie » et « Écrire un nouveau code pour la vie ».

Super.

Voici le passage sur l’édition de gènes [NdT. c’est au point 3], qui, soit dit en passant, reconnaît nonchalamment que les vaccins COVID-19 font partie de cette amélioration technologique de la population mondiale.

La vidéo parle ensuite de lunettes de réalité diminuée qui « vous permettront d’enlever des choses de votre vue, qu’il s’agisse d’ordures ou d’autres personnes ». Un message subliminal qui dit « les autres = ordures ».

Je suis sûr que ces acteurs du FEM sont des gens charmants dans le cadre d’un dîner – mais ce sont certainement les dernières personnes qu’on aimerait voir en charge de cette technologie.

Et si vous trouvez ça grave, écoutez ce type – Noah Harari, le transhumaniste en chef du Forum Économique Mondial – qui passe à la vitesse supérieure dans sa conférence TED, en nous disant que les droits de l’homme n’existent pas, parce qu’on ne peut ni les toucher, ni les sentir, ni les voir. Parce qu’ils ne sont pas une « réalité biologique », cela signifie que les droits de l’homme n’existent pas. Charmant.

Bien sûr, il poursuit en nous disant que Dieu n’existe pas, pas plus que les pays ou l’argent. Ce ne sont « que des histoires ». Il est nécessaire pour le FEM de vous faire avaler tout cela afin que vous abandonniez vos croyances en Dieu, au libre arbitre, aux droits de l’homme, aux États-nations et à la propriété. C’est l’utopie ultime du politburo fasciste-socialiste mondial – dépeinte dans tous les romans dystopiques – et ils l’habillent d’un langage presque raisonnable pour vous faire tomber dans le panneau.

Ne vous y fiez pas. C’est littéralement GATTACA, Brave New World et 1984 réunis, et ils18 sont assis à se marrer en voyant à quel point ils ont trompé la population.

On leur a filé à tous une thérapie génique, en l’appelant un vaccin.

À ce stade, il convient de souligner ce qui, je l’espère, sera la principale conclusion de cette série en deux parties:


La chose la plus importante à retenir de ces deux articles est qu’il n’y a aucune différence fondamentale ou juridique entre l’idée d’imposer un vaccin génétique à la population et celle d’imposer une technologie d’édition génétique à la population.

La loi a déjà été établie, si nous permettons à l’affaire Kassam contre Hazzard de rester incontestée.


Retour à la loi

Ce qui nous ramène au Dr Chris Rudge de la première partie de cette série. Oui, le même Chris Rudge qui a rédigé l’article essentiel pour justifier la décision du juge Beech-Jones de retirer les droits de l’homme à la population australienne.

L’un des experts mondiaux de l’histoire de la famille eugéniste Huxley est l’une des personnes qui s’occupe aujourd’hui de la législation du Commonwealth sur l’édition du génome. Cool.

Points à prendre en compte dans l’élaboration d’une politique nationale en matière d’édition du génome humain

L’article déclare sur un ton plutôt inquiétant:

Sur la base de notre analyse, nous soutenons que l’élaboration de politiques nationales en matière d’édition du génome devrait se concentrer sur cinq thèmes particuliers. Il s’agit (1) d’intégrer l’équité et d’autres valeurs et principes dans la politique d’édition du génome humain; (2) de veiller à ce que la thérapie, l’amélioration et les autres applications soient réglementées de manière appropriée; (3) de décider quels types de recherche sur l’édition du génome humain devraient être autorisés et soutenus, en reconnaissant les différents points de vue sur le statut de l’embryon humain; (4) de se préparer à un avenir où l’édition héréditaire du génome humain pourrait s’avérer sûre et efficace et (5) d’intégrer une participation publique significative dans la gouvernance de l’édition du génome humain.

Je vais répéter cette phrase:

(4) se préparer à un avenir où l’édition du génome humain héritable pourra se révéler sûre et efficace.

Ainsi, maintenant que l’édition héréditaire du génome va être « sûre et efficace » (définie sans aucun doute par les mêmes personnes qui ont déclaré que les vaccins de thérapie génique étaient sûrs et efficaces), rien n’empêche le cercle de justice dont font partie des personnes telles que Robert Beech-Jones, maintenant élevé à la Haute Cour, de déterminer que:

« Les vaccins de thérapie génique ont été jugés sûrs et efficaces par les autorités compétentes et, par conséquent, le droit de l’individu de refuser ces vaccins n’est pas suffisant pour l’emporter sur les exigences de l’ordre de santé publique imposant ces vaccins à tous les travailleurs en Australie »

Parce que personne ne les a empêchés de le faire en 2021. Alors pourquoi diable, après que le précédent a été établi par Beech-Jones et jugé légal en appel, quelqu’un devrait-il les empêcher d’apporter cette modification mineure à la loi désormais établie?

Au cas où vous ne l’auriez pas vu venir, voici à nouveau le juge Robert Beech-Jones prononçant son discours « la technologie usurpe vos droits », présenté dans la partie 1.

[VOIR VIDEO SUR LA PAGE SOURCE]

Et qui défiera ces juges, qui pensent que les droits de l’homme n’existent plus dans le cadre d’une situation fabriquée qui répond à un agenda particulier?

Personne. Parce qu’ils n’ont même pas besoin de répondre au public.

Voici la réponse de ce même juge aux questions du public lors des présentations de la commission royale australienne COVID cette semaine. Le juge Beech-Jones ayant refusé de répondre, la Cour a répondu à sa place. Et quelle a été leur réponse?

Chère Madame Dunstone

Enquête sur une commission royale COVID-19

Je vous écris en réponse à votre lettre du 21 mars 2024 adressée à l’honorable juge Robert Beech-Jones, lui offrant la possibilité de répondre à un « commentaire » fourni à la commission dans le cadre de son enquête. Le juge Beech-Jones ne souhaite pas répondre.

J’attire l’attention de la commission sur le fait que le jugement du juge Beech-Jones dans l’affaire Kassam v Hazard [2021] NSWSC 1320 a été rendu le 15 octobre 2021. L’article universitaire « Covid- 19 Vaccine Mandates: A Coercive but Justified Public Health Necessity » (Mandats de vaccination Covid- 19: une nécessité de santé publique coercitive mais justifiée) a été publié en juillet 2023 dans le volume 26 du University of New South Wales Law Journal, en même temps qu’un certain nombre d’autres articles. Le juge Beech-Jones a rédigé l’avant-propos de ce volume du Law Journal.

Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, leur réponse a été de se référer au document écrit par Wilson et Rudge pour défendre les mandats qui ont contraint la population à recevoir des vaccins de thérapie génétique comme condition pour se prévaloir des droits de l’homme déclarés dans l’article 23.1 de la déclaration des droits de l’homme de l’ONU qui stipule que:

Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.

Ce même Chris Rudge a reçu le soutien réciproque du juge Beech-Jones lors de son accession à la Haute Cour d’Australie, probablement en raison de son « excellent » travail d’abrogation des droits de l’homme des Australiens (et, par extension, du Commonwealth) qui, selon le Forum Économique Mondial, n’existent pas.

Donc, si vous pensez que le pouvoir judiciaire vous protégera contre l’obligation de prendre un produit de thérapie génique, quel que soit son nom, à l’avenir – pensez-y à deux fois.

La seule façon d’éviter cela est soit de renverser les principes de coercition légalisée validés dans l’affaire Kassam contre Hazzard, soit que les personnes qui s’apprêtent à gagner des trillions de dollars grâce à leurs produits brevetés acquièrent soudain une conscience éthique.

Laquelle de ces deux options est la plus probable, selon vous?

Bienvenue à Gilead GATTACA. Via Harvard.

/Fin


  1. FDA: Thérapie génique humaine: incorporation de l’édition du génome humain, janvier 2024
    https://www.arkmedic.info/api/v1/file/fed7dfdc-b524-47ca-b468-861975cd350b.pdf ↩︎
  2. Un « protospace adjacent motif » https://sg.idtdna.com/pages/Support/FAQs/what-is-a-pam-sequence-and-where-is-it-located ↩︎
  3. Novavax a été commercialisé en tant que « vaccin protéique », mais il est soumis au même problème de contamination par les plasmides que les produits de thérapie génique de Pfizer et de Moderna, car le plasmide ADN qui produit l’ARN à l’origine de la protéine n’a peut-être pas été décontaminé efficacement, et les autorités de réglementation n’ont pas pris la peine de le vérifier. ↩︎
  4. L’optimisation des codons est un processus par lequel les généticiens recréent une protéine (qui est une séquence d’acides aminés) en utilisant une séquence génétique (nucléotide) différente de la séquence génétique originale qui a produit la protéine, mais qui crée la même séquence d’acides aminés. Cela est possible parce qu’il n’y a que 20 acides aminés mais 64 combinaisons des 3 nucléotides qui codent pour chaque acide aminé, ce qui donne une redondance. Par exemple, l’arginine est codée par AGA ou AGG ; la glycine par GGA, GGT, GGC ou GGG. Ainsi, si vous avez une séquence de nucléotides AGAGGG et que vous la changez en AGGGGT, vous obtiendrez toujours les mêmes acides aminés et donc la même protéine (en théorie). Il y a cependant des conséquences à ce genre de bricolage et le résultat n’est pas toujours celui que l’on attend. ↩︎
  5. Un coup de chapeau à OpenVAET pour avoir mené d’une main de maître cette analyse avec moi. J’espère que nous aurons l’occasion de l’approfondir dans un autre article. ↩︎
  6. Vous pouvez le vérifier par vous-même en effectuant une analyse BLAST de la séquence Pfizer, Moderna ou Novavax par rapport au génome humain. Voici le résultat
    ↩︎
  7. Manuel des décisions bioéthiques – avant-propos de Peter Singer. ↩︎
  8. Transcription de la Cour et archives liées ici
    https://t.me/arkmedic/9103 ↩︎
  9. Richard Dawkins défend la pédophilie « légère », encore et encore »: Archivé ↩︎
  10. C’est pourquoi nous conservons des archives. L’article original a été réduit à un seul paragraphe par Buzzfeed News.
    https://archive.is/Gz1xr ↩︎
  11. George Church, pionnier de la génétique, soutient l’édition de gènes humains: tant qu’elle est ouverte à tous, riches ou pauvres: Archivé ↩︎
  12. Nommé #NotesGate et immortalisé dans le substack de Shez ici ↩︎
  13. Ce compte twitter a été au cœur du scandale #CRISPRgate dévoilé sur twitter en janvier dernier. ↩︎
  14. Si vous voulez en savoir plus, je vous suggère de suivre le hashtag #GinoGate sur twitter et surtout de suivre Jurassic Carl. ↩︎
  15. L’adresse officielle de la société Surgisphere est Chicago, mais l’auteur principal de l’article se trouve à Brigham and Women’s. ↩︎
  16. https://www.nature.com/articles/nbt.3227supplément.
    https://www.arkmedic.info/api/v1/file/d2442c61-ccbe-4038-b423-f62d047eeca3.pdf ↩︎
  17. Politique de données génomiques et cadre éthique du FEM à l’horizon 2020
    https://www.arkmedic.info/api/v1/file/93a94c24-a110-44a7-936b-0ec9cbf2367a.pdf ↩︎
  18. Le Forum Économique Mondial, le Council on Foreign Relations, le groupe Bilderberg et leurs entités apparentées qui contrôlent la masse monétaire mondiale par l’intermédiaire de « think tanks ». ↩︎

N’ayez pas peur de la maladie X – par le Dr Kevin Stillwagon.

Deuxième article du même auteur, clair, concis et plein de bon sens. Merci, Docteur.

Source.


N’ayez pas peur de la maladie X,

…car la peur est leur arme.

N’ayez pas peur de la maladie X. Tout ce qui fuit ou est libéré d’un laboratoire doit pénétrer à l’intérieur de vous pour causer des dommages. Vous disposez de mécanismes de défense naturels pour empêcher que quelque chose ne pénètre à l’intérieur de votre corps. Il s’agit notamment de la muqueuse de la barrière épithéliale et des cellules immunitaires qui protègent cette barrière. Essayer d’empêcher l’agent associé à la maladie X de pénétrer dans la barrière épithéliale par des mesures de confinement, de distanciation sociale et de masquage ne fonctionnera pas [NdT. en fait, les masques augmentent le risque de contamination des voies respiratoires inférieures – j’ai un exemple vécu]. C’est ce qu’ont prouvé les mesures draconiennes auxquelles les gens se sont laissés prendre lors de la panique du covid.

Lorsque l’agent pénètre dans le mucus qui recouvre la barrière épithéliale, il peut être détecté à l’aide de diverses méthodes, mais cela ne signifie rien. Il n’est pas à l’intérieur de votre corps. Les gens sont tombés dans le panneau avec le test PCR covid. Ne tombez pas à nouveau dans ce panneau. Des millions de personnes ont été testées positives mais n’ont jamais été malades parce que l’agent était à l’extérieur d’elles et non à l’intérieur. Si vous êtes si effrayé à l’idée que quelque chose soit présent dans votre morve, rincez-la avec un lavage nasal.

J’utilise le mot « agent », car il peut s’agir de n’importe quoi: un virus, une bactérie, une toxine ou du matériel génétique astucieusement enveloppé dans une nanoparticule lipidique ou une autre enveloppe artificielle.

Si l’agent traverse le mucus et fusionne avec la membrane cellulaire qui constitue la barrière épithéliale, ce qu’il contient peut pénétrer dans la cellule épithéliale. Dans ce cas, les personnes dont le système immunitaire est correctement régulé possèdent des récepteurs de type Toll qui signalent aux cellules immunitaires, par le biais de diverses cytokines, d’éliminer les cellules épithéliales et toutes les parties de l’agent de manière non inflammatoire. Les cellules épithéliales sont remplacées par de nouvelles cellules et l’agent ne pénètre jamais à l’intérieur du corps.

Si un agent traverse la barrière épithéliale et pénètre dans le sang, la lymphe ou les espaces interstitiels, nous disposons encore de mécanismes pour l’empêcher de pénétrer dans d’autres cellules tissulaires. Mais si le système immunitaire est déréglé, il peut réagir de manière excessive et endommager les cellules tissulaires, ce qui entraîne une morbidité et une mortalité excessives. C’est la réponse immunitaire qui peut être dommageable et mortelle, et non l’agent envahisseur.

Notre expérience avec le covid nous a appris que nous pouvons faire en sorte que la réponse immunitaire reste régulée et que nous pouvons également gérer l’inflammation et les lésions tissulaires qui peuvent survenir en cas de dérèglement du système immunitaire. N’oublions pas cette leçon. Si nous l’oublions, nous cédons à la peur.

La peur est leur arme. Elle vous conduira à prendre la décision de vous faire injecter l’agent, une partie de l’agent, ou le message visant à produire une partie de l’agent, en franchissant directement la barrière protectrice. Vous vous infectez délibérément, pensant que cela vous protégera d’une manière ou d’une autre. Ce n’est pas le cas. Cela fait exactement le contraire en déréglant le système immunitaire et en affaiblissant les mécanismes naturels conçus par Dieu pour vous protéger.

Merci de m’avoir lu et de rester intelligent.

L’ARNm personnalisé arrive à grands pas – par le Dr Kevin Stillwagon.

« Ils » nous ont balancé des turbo-cancers mais heureusement, ils ont la solution. Ou pas.

Au fait, ça concerne qui exactement? Le désormais célèbre parlementaire britannique Andrew Bridgen nous explique cette petite scène. C’est de l’humour british pince-sans-rire. Ou pas.

En février, j’ai été menacé par le gouvernement. Un ministre très, très haut placé, qui était un de mes amis et qui m’a fait entrer en politique, s’est approché de moi dans le salon de thé – et c’est sa parole contre la mienne – il s’est approché de moi et m’a chuchoté à l’oreille: « Tu peux parler autant que tu veux, Andrew. Tu es vacciné, tu vas bientôt mourir d’un cancer ». Quel genre de personne est capable de dire ce genre de chose?

I was threatened in February by the government. A very, very senior Minister who used to be a friend of mine, he got me into politics, came up to me in the tea room – and it’s his word against mine – but I mean, he came up and whispered in my ear « You can speak up all you want to, Andrew. You’re vaccinated, you’re going to be dead of cancer soon ». What sort of person would say that to anybody?

Le cancer de Kate Middleton et celui de son beau-père ne sont pas non plus d’heureux présages.

Wait and see…

Source.


L’ARNm personnalisé arrive à grands pas,

…mais cela guérira-t-il le cancer comme on le prétend?

Dr Kevin Stillwagon

18 janvier 2024

Moderna, sponsorisé par Merck, a mené des essais expérimentaux sur son « vaccin » anti-cancer ARNm-1457/V940. Voici comment il est censé fonctionner: les chercheurs prélèvent sur une personne des cellules cancéreuses de la tumeur et procèdent à un séquençage génétique à la recherche de protéines anormales. Lorsqu’ils trouvent ces protéines anormales, ils en choisissent une et concoctent un ARNm codé pour que les cellules humaines normales fabriquent cette protéine. Ils injectent ensuite cet ARNm à la personne cancéreuse. L’idée est de créer une réponse immunitaire contre cette protéine. En fin de compte, les cellules T cytotoxiques seront capables de reconnaître les cellules cancéreuses qui contiennent cette protéine et de les détruire, éliminant ainsi le cancer. Ça a l’air bien, non?

Ok, réfléchissons un peu. L’ARNm doit être introduit dans les cellules. Comment font-ils? Exactement de la même manière qu’avec les injections covid… en encapsulant l’ARNm dans des nanoparticules lipidiques qui se diffuseront PARTOUT. Il y aura alors des cellules normales tout au long du système vasculaire et dans les tissus organiques, y compris le cerveau, qui produiront la protéine anormale. La réaction du système immunitaire sera de détruire ces cellules normales. En fonction de l’endroit où cette destruction a lieu et de l’ampleur de cette destruction, dont rien ne peut être prédit, diverses pathologies surviendront.

Pendant que la protéine anormale est fabriquée, les cellules T-helper, qui sont constamment à la recherche de protéines anormales, seront activées. Elles activeront à leur tour les cellules T cytotoxiques, qui se cloneront elles-mêmes. Ces cellules T cytotoxiques ont le pouvoir de détruire les cellules qui portent ou contiennent la protéine anormale. Les cellules cancéreuses seront assurément détruites, mais les cellules saines qui fabriquent la protéine anormale seront également attaquées.

Ils ne s’y prennent pas de la bonne façon. Ils apprendront à leurs dépens qu’il ne faut pas fabriquer davantage de protéines anormales, mais renforcer la capacité du système immunitaire à reconnaître les protéines anormales déjà produites par les cellules cancéreuses.

Voici ce qui nous attend ensuite. Ils vont vous convaincre qu’ils peuvent concocter de l’ARNm pour coder des protéines NORMALES, comme l’insuline, l’injecter à des personnes qui ne peuvent pas produire d’insuline et guérir le diabète. Cela semble bien, mais n’oubliez pas qu’ils doivent faire pénétrer cet ARNm dans vos cellules. Pour ce faire, ils utilisent une bulle de graisse non toxique astucieusement enveloppée de cholestérol et de DSPC, des graisses corporelles normales, afin qu’elle soit acceptée par toutes les cellules de l’organisme. À l’intérieur de cette bulle de graisse se trouvent de plus petites bulles de graisse qui contiennent l’ARNm. Malheureusement, ces petites bulles de graisse sont toxiques, restent sur place après la libération de l’ARNm, peuvent s’accumuler dans certains tissus et perturber les mitochondries de ces cellules, affectant ainsi leurs fonctions. Ce problème a été abordé dans mon Substack, ici.

L’insuline codée par l’ARNm injecté est donc une protéine normale, ce qui signifie que le système immunitaire n’attaquera probablement pas les cellules qui la fabriquent. Mais un autre problème se pose. Des cellules de l’organisme produisent maintenant de l’insuline alors qu’elles ne devraient pas en produire. La manipulation de la production d’insuline dans des cellules non productrices d’insuline pourrait avoir des conséquences.

Tout d’abord, la production d’insuline est étroitement régulée par le système endocrinien. Cette régulation pourrait facilement être perturbée, entraînant des déséquilibres dans l’homéostasie du glucose et des effets indésirables potentiels. Deuxièmement, les cellules ont des fonctions spécialisées et le fait de modifier leurs fonctions pour produire de l’insuline peut interférer avec leurs rôles normaux. Troisièmement, même si la protéine produite est une protéine normale, l’ARNm qui code pour cette protéine n’a pas sa place dans certaines cellules. Les récepteurs de type Toll peuvent identifier la présence de cet ARNm et demander la destruction de ces cellules. Enfin, si divers types de cellules fabriquent trop d’insuline, l’organisme pourrait ne pas être en mesure de réguler sa production, ce qui entraînerait une hypoglycémie (baisse du taux de sucre dans le sang).

La technologie de l’ARNm ne nous sauvera pas des maladies chroniques que nous nous infligeons et ne préviendra pas non plus les maladies transmissibles. Nous devons cesser d’essayer d’être plus malins que Dieu, sinon nous allons au-devant de graves problèmes.

Merci de m’avoir lu et de rester intelligent.

Présentation devant le Parlement croate du Dr William Makis sur les turbo-cancers, 1er décembre 2023.

Je traduis une transcription faite par TranscriberB, issu de son considérable travail d’archivage. Le Dr William Makis est un des médecins les plus actifs dans la diffusion d’informations sur les effets des injections, pour le grand public ou, comme ici, pour les institutions gouvernementales.

Source.


VIDÉO – Présentation devant le Parlement croate du Dr William Makis sur les turbo-cancers, 1er décembre 2023
(Symposium International de Zagreb, Croatie – « Dans l’œil du cyclone »)
DR. WILLIAM MAKIS MD, publié le 8 mars 2024
https://makismd.substack.com/p/video-croatian-parliament-presentation
[inclut la source vidéo du clip]
[capture d’écran]

TRANSCRIPTION

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DR. WILLIAM MAKIS [via Internet] : Honorables membres du Parlement. Je suis le Dr William Makis et je suis un médecin canadien d’Edmonton, en Alberta. J’ai suivi une formation médicale à l’Université McGill de Montréal, avec une spécialisation de cinq ans en médecine nucléaire, radiologie et oncologie. J’ai à mon actif plus de 100 publications évaluées par des pairs, la plupart en tant que premier auteur dans le domaine du diagnostic et du traitement du cancer. Au cours de ma carrière, j’ai diagnostiqué plus de 20 000 patients atteints de cancer et j’ai traité plusieurs centaines de patients atteints de cancer en tant que médecin traitant.

Je me suis penché sur les cancers agressifs qui apparaissent chez les personnes ayant reçu des vaccins covid 19. Ces cancers sont appelés « turbo-cancers » en raison de leur nature et de leur comportement très agressifs. Le terme « turbo-cancer » n’est pas un terme médical, mais il est apparu sur les médias sociaux par l’intermédiaire de personnes qui ont elles-mêmes connu ces cancers ou dont les familles ont été touchées par ces cancers.

J’ai découvert ce phénomène pour la première fois chez des médecins canadiens en juillet 2022. Nous avons connu un incident ici au Canada où quatre médecins canadiens travaillant dans le même hôpital, Trillium Health à Mississauga, en Ontario, sont décédés du cancer à quelques jours d’intervalle, tous les quatre ayant été vaccinés contre le covid 19 afin de pouvoir conserver leur emploi.

Ici, au Canada, nous étions soumis à des obligations vaccinales contre le covid dans tout le pays d’octobre 2021 à novembre 2021 et tous les médecins étaient tenus de recevoir au moins deux vaccins covid, sous peine d’être renvoyés. Par conséquent, tous les médecins du Canada étaient au moins doublement vaccinés à la fin de 2021 et, en 2022, nous avons assisté à une explosion de cancers très agressifs et de décès par cancer parmi ces médecins.

J’ai récemment témoigné devant l’Enquête Nationale Citoyenne au Canada1 et j’ai soumis comme pièce à conviction plusieurs documents confirmant que les médecins canadiens présentent désormais une surmortalité de 54% en 2022 par rapport à 2019, ce qui signifie que 54% de plus de médecins canadiens sont décédés en 2022 par rapport à 2019. J’ai fourni à l’Enquête Nationale Citoyenne une base de données complète sur ces décès de médecins canadiens, et cette base de données peut être téléchargée et analysée.

Or, au moins un quart de ces décès sont dus à des cancers extrêmement agressifs. Depuis que j’ai découvert ce phénomène de turbo-cancer, j’ai signalé plus de 300 cas de turbo-cancer dans les articles que je publie sur mon site Substack, Makis MD point Substack point com. [https://makismd.substack.com/]

J’ai observé ces cancers dans toutes les professions où les vaccins covid sont obligatoires. Je l’ai vu chez tous les travailleurs de la santé, les médecins, les infirmières, les physiothérapeutes, les ergothérapeutes. Je l’ai vu chez les enseignants.

En fait, les enseignants sont la profession soumise à l’obligation vaccinale qui semble avoir été la plus durement touchée par des cancers agressifs et des décès liés au cancer. Je l’ai constaté chez les policiers, les pompiers, les militaires, les employés municipaux et dans d’autres secteurs d’activité où les vaccins covid étaient obligatoires.

Un autre groupe a également été très durement touché par le cancer: il s’agit des étudiants des universités et des établissements d’enseignement supérieur qui ont été soumis à l’obligation vaccinale pour pouvoir rester à l’école et poursuivre leurs études. Aujourd’hui, beaucoup de ces jeunes meurent.

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Les caractéristiques cliniques du turbo-cancer peuvent être décrites comme suit. Je pense que ces cancers touchent des personnes de tous âges, mais ils semblent vraiment affecter les jeunes, même des enfants de seulement 12 ans. Ces cancers se présentent à un stade très avancé, généralement au stade IV. Il n’y a généralement aucun signe avant-coureur de l’apparition de ces cancers. Ils se développent extrêmement rapidement et ne se manifestent qu’au stade III ou IV.

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Ils se développent très rapidement. Les oncologues ne s’attendent pas à une croissance tumorale aussi rapide. Ces tumeurs peuvent atteindre des tailles très importantes, qui ont été décrites comme de la taille d’une balle de softball ou d’un ballon de football, voire d’une pastèque. De très grosses masses tumorales.

Ces cancers se propagent de manière très agressive et à de multiples endroits du corps. J’ai été témoin de situations où les chirurgiens pensaient pouvoir enlever ces cancers par voie chirurgicale, les garder sous contrôle parce que l’imagerie n’avait pas montré de propagation. Ils procèdent à l’opération et après celle-ci, font une nouvelle imagerie et constatent que le cancer s’est déjà propagé, qu’il s’est étendu aux ganglions lymphatiques, aux poumons ou aux os. Le cancer n’a donc pas été détecté à temps.

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Les turbo-cancers les plus courants qui apparaissent chez les personnes vaccinées contre le covid sont les lymphomes, les cancers du cerveau, généralement des glioblastomes, les cancers du sein, généralement des cancers du sein triple négatif, les cancers du côlon et les cancers du poumon.

Les autres cancers qui présentent un comportement de turbo-cancer sont les leucémies, les cancers des testicules et des ovaires, les sarcomes, les mélanomes, les cancers du rein et les cancers hépatobiliaires, c’est-à-dire les cancers de la vésicule biliaire ou de l’arbre biliaire2, ou encore du pancréas.

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Une autre caractéristique des turbo-cancers est qu’ils sont résistants à la chimiothérapie, à la radiothérapie et à de nombreuses immunothérapies de pointe.

Pour entrer un peu plus dans les détails, les lymphomes apparaissent généralement chez des jeunes de 20 à 30 ans et je les vois le plus souvent chez des étudiants de l’université ou du collège qui ont été obligés de se faire vacciner contre le covid 19. Ces tumeurs peuvent devenir extrêmement volumineuses et se présentent généralement sous la forme de grosses masses tumorales dans la poitrine.

Les lymphomes répondent généralement très bien à la chimiothérapie, mais ce n’est pas le cas de ces lymphomes turbo-cancers. Le pronostic varie, mais ils ont tendance à tuer le patient en 12 mois environ, en un an typiquement, ce qui est bien pire que ce à quoi s’attendent les oncologues pour un lymphome.

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Les leucémies, les cancers du sang, sont les turbo-cancers les plus agressifs. Ils peuvent toucher des adolescents et des jeunes de 20 à 30 ans, mais ils peuvent tuer une personne en quelques semaines, quelques jours ou parfois même quelques heures après le diagnostic. J’ai rapporté plusieurs cas d’adolescents qui se sont rendus aux urgences parce qu’ils se sentaient mal, on leur a diagnostiqué une leucémie et ils sont morts en quelques heures. Les leucémies sont donc les turbo-cancers qui ont le pire pronostic et ce sont ces personnes qui meurent le plus rapidement.

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Les turbo-cancers du cerveau sont généralement des glioblastomes, le type de cancer du cerveau le plus agressif.

Mais il existe aussi des cancers de la moelle épinière qui sont normalement extrêmement rares. Ils ont également un très mauvais pronostic et entraînent généralement la mort en quelques mois. Le cas le plus récent que j’ai rapporté est celui d’un garçon de 12 ans, originaire des Philippines, qui a reçu une dose de Moderna. Quatre mois plus tard, il a développé un cancer du cerveau et est décédé en moins d’un an. Et il ne s’agissait que d’une seule dose de Moderna.

Des cancers du sein, des turbo-cancers du sein, se manifestent également entre 20 et 30 ans, ce qui est beaucoup plus jeune que ce à quoi on pouvait s’attendre pour les cancers du sein avant les vaccins covid. Le cas le plus jeune que j’ai rapporté est celui d’une jeune fille de 19 ans atteinte d’un cancer du sein.

Ces cancers du sein sont généralement triples négatifs, ce qui signifie qu’ils sont dépourvus de récepteurs hormonaux ER, PR et HER23. Il s’agit là encore des cancers du sein au pronostic le plus défavorable.

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Les cancers du côlon se présentent au stade IV également chez les personnes âgées de 20 à 30 ans et les oncologues ne s’attendent pas à voir ce groupe d’âge jeune développer des cancers du côlon. À la présentation, ces cancers se sont déjà propagés au foie, aux poumons ou aux os. Le pronostic est là encore très sombre, la mort survenant généralement en moins d’un an.

Les cancers du poumon sont également extrêmement agressifs, généralement chez des non-fumeurs et, là encore, le pronostic est très sombre, la mort survenant en moins d’un an, généralement en quelques mois seulement.

Les femmes enceintes constituent un autre groupe de personnes vaccinées très vulnérables au développement d’un turbo-cancer. Les femmes enceintes semblent présenter un risque beaucoup plus élevé de turbo-cancer, sans que l’on sache pourquoi. Ces turbo-cancers apparaissent généralement pendant la grossesse ou peuvent apparaître et être découverts post-partum, au cours de la première année qui suit l’accouchement. Il s’agit donc d’un groupe auquel il convient d’accorder une attention toute particulière.

En ce qui concerne les mécanismes par lesquels ces vaccins covid provoquent des turbo-cancers, personne ne connaît le mécanisme d’action exact. Toutefois, plusieurs théories ont été proposées dans la littérature.

Je pense que l’explication la plus probable du turbo-cancer est la suppression du système immunitaire et les dommages causés sur le système immunitaire de surveillance du cancer par les vaccins covid 19.

Nous avons constaté que les vaccins covid causaient des dommages au système immunitaire et nous avons constaté que les personnes doublement vaccinées, après quelques mois, étaient beaucoup plus susceptibles d’attraper à nouveau le covid, et que les personnes triplement vaccinées étaient beaucoup plus susceptibles d’attraper le covid. Les gouvernements du Canada et de l’Australie nous ont fourni des données montrant que plus on reçoit de vaccins covid, plus le système immunitaire est endommagé. Au milieu de l’année 2022, le gouvernement canadien a cessé de communiquer les données relatives au statut vaccinal des personnes hospitalisées, car 90% des personnes hospitalisées pour covid 19 étaient vaccinées et 90% des personnes décédées du covid 19 étaient vaccinées. Nous savons donc que les vaccins covid endommagent le système immunitaire.

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Ils endommagent les cellules immunitaires, les cellules T cytotoxiques4, les cellules tueuses naturelles et interfèrent avec la signalisation du système immunitaire. Ils agissent par l’intermédiaire de récepteurs situés sur les cellules immunitaires, tels que les récepteurs de type Toll, ou TLR. Nous savons que dans les vaccins à ARNm, l’ARNm a été modifié avec de la pseudouridine spécifiquement pour atténuer la réponse immunitaire par l’intermédiaire des récepteurs de type Toll, afin que l’ARNm ne soit pas détruit par le système immunitaire lors de l’injection du vaccin.

On a également découvert que ces vaccins diminuent ou suppriment l’interféron de type I. Le profil des cytokines est donc complètement modifié une fois que le vaccin a été injecté.

Une autre théorie est que les vaccins covid interfèrent avec les gènes suppresseurs de tumeurs tels que P53 et BRCA1, qui sont impliqués dans de nombreux cancers. BRCA est impliqué dans le cancer du sein et le cancer de l’ovaire, et P53 est impliqué dans le cancer du poumon, le cancer du côlon et de nombreux autres cancers.

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Un autre type d’atteinte du système immunitaire a été découvert, appelé déplacement des anticorps IgG45, qui se produit après l’injection d’une deuxième dose d’ARNm, lorsque l’organisme commence à produire des anticorps tolérants à la protéine de pointe, mais qui créent également une tolérance au cancer.

Après la troisième dose, le booster, le corps produit 500 fois plus d’IgG4 qu’après les deux premières doses, et le patient développe une tolérance à la protéine de pointe, mais il perd également ses fonctions de surveillance du cancer. Cela pourrait contribuer à l’augmentation de ces turbo-cancers.

Une autre théorie concerne les micro-ARN générés par les vaccins à ARNm. Ces micro-ARN peuvent être oncogènes, agir comme des oncogènes ou inactiver des gènes suppresseurs de tumeurs.

Enfin, il y a le problème majeur de la contamination par l’ADN qui a été découvert par le généticien américain Kevin McKernan6 et confirmé par le professeur Philip Buckhaults de l’université de Caroline du Sud7 et le Dr David Speicher de l’université de Guelph au Canada8. Cette contamination par l’ADN, ces plasmides d’ADN, ont été trouvés dans chaque flacon de vaccin de Pfizer et de Moderna. Et ces plasmides peuvent contribuer à l’augmentation du nombre de cancers.

Les flacons de Pfizer, la contamination, contiennent également une séquence du SV40, le virus simien 40, c’est une séquence promotrice9. Pfizer n’a pas expliqué ce que cette séquence fait là et nous ignorons si cette séquence spécifique pourrait également contribuer au cancer.

En résumé, nous avons besoin de plus de recherches pour déterminer les mécanismes exacts par lesquels ces cancers apparaissent.

Le développement de turbo-cancers agressifs a été observé principalement avec les vaccins ARNm, Pfizer et Moderna, mais des cas ont également été signalés avec AstraZeneca et Johnson & Johnson.

De grâce, je vous exhorte à examiner, si possible, vos bases de données sur le cancer. L’ancien gestionnaire de fonds spéculatifs, Edward Dowd, a présenté les données du Royaume-Uni10 concernant les décès par cancer, qui montrent une augmentation de 120% des décès dus aux cancers de la peau tels que les mélanomes, de 80% des décès dus au cancer du pancréas, de 40% des décès dus au cancer du cerveau, de 30% des décès dus au cancer du sein, et ainsi de suite.

Des milliers de jeunes gens meurent actuellement de turbo-cancers et les oncologues nord-américains ne disposent d’aucune option de traitement pour ces cancers. Après l’échec des chimiothérapies, radiothérapies et immunothérapies standard, les patients sont renvoyés chez eux pour y mourir.

Il pourrait y avoir d’autres options de traitement pour ces patients. Il existe des protocoles utilisant de fortes doses d’ivermectine, de fortes doses de mébendazole ou de fenbendezole, de fortes doses de vitamine C en perfusion, des protocoles utilisant de fortes doses de mélatonine, de l’huile de CBD et d’autres approches qui n’ont pas été suffisamment étudiées dans le cadre d’essais cliniques, et qui pourraient aider ces patients qui souffrent actuellement de ces turbo-cancers.

Je demande la suspension immédiate des vaccins covid 19. Ces produits sont extrêmement dangereux, en particulier pour les enfants, les femmes enceintes et les jeunes adultes, et je pense que ces vaccins devraient être retirés du marché immédiatement.

Je vous remercie de m’avoir donné l’occasion de m’adresser à vous, et que Dieu vous bénisse tous.
17:18
[FIN]

  1. https://nationalcitizensinquiry.ca/
    Voir : Dr. William Makis – 18 septembre 2023 – Témoignage virtuel #NCI
    Diffusé le 18 septembre 2023
    https://rumble.com/v3ipsi2-dr.-william-makis-september-18-2023-nci-virtual-testimony.html ↩︎
  2. « Le système biliaire, également appelé voie biliaire ou arbre biliaire, est un système de conduits, d’organes et de structures associées dont la fonction est de produire, stocker, sécréter et transporter la bile. Le système biliaire comprend le foie, la vésicule biliaire et le pancréas ».
    Source: https://www.verywellhealth.com/biliary-system-5085330 ↩︎
  3. Le terme « cancer du sein triple négatif » fait référence au fait que les cellules cancéreuses ne possèdent pas de récepteurs d’œstrogènes ou de progestérone (ER ou PR) et ne produisent pas ou trop peu de la protéine appelée HER2 (les cellules sont « négatives » aux trois tests). (Les cellules se révèlent « négatives » aux trois tests) ».
    Source: https://www.cancer.org/cancer/types/breast-cancer/about/types-of-breast-cancer/triple-negative.html ↩︎
  4. Pour une introduction à la nature et au rôle des cellules T, voir https://my.clevelandclinic.org/health/body/24630-t-cells. ↩︎
  5. Voir:
    Les anticorps IgG4 induits par une vaccination répétée peuvent générer une tolérance immunitaire à la protéine de pointe du SARS-CoV-2
    Uverskz, et al, mai 2023
    Vaccins (Bâle)
    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC10222767/ ↩︎
  6. Voir:
    Kevin McKernan témoigne devant la FDA
    182e réunion du comité consultatif sur les vaccins et les produits biologiques apparentés
    Séance publique ouverte à tous
    U.S. Food and Drug Administration, livestream 15 juin 2023
    https://www.youtube.com/watch?v=gBOyPREXGh8
    Transcription et captures d’écran: https://transcriberb.dreamwidth.org/104315.html ↩︎
  7. Voir:
    Audition au Sénat de Caroline du Sud – Professeur de l’USC Dr. Phillip Buckhaults
    SC 4 FREEDOM, publié le 13 septembre 2023
    https://www.youtube.com/watch?v=IEWHhrHiiTY&t=44s [NdT. censuré par YouTube]
    Transcription et captures d’écran: https://transcriberb.dreamwidth.org/105739.html
    Voir aussi:
    Audition du Sénat de Caroline du Sud – Dr. Janci Lindsay
    SC 4 FREEDOM, publié le 16 septembre 2023
    https://www.youtube.com/watch?v=mjQQ7kkj3Bs&t=41s
    Transcription: https://transcriberb.dreamwidth.org/106401.html ↩︎
  8. Voir:
    Speicher DJ et al, Fragments d’ADN détectés dans les vaccins COVID-19 au Canada. Fragments d’ADN détectés dans les vaccins monovalents et bivalents
    David Jeremiah Speicher, Jessica Rose, Luz Maia Gutschi, David M Wiseman
    Octobre 2023
    https://www.researchgate.net/publication/374870815_Speicher_DJ_et_al_DNA_fragments_detected_in_COVID-19_vaccines_in_Canada_DNA_fragments_detected_in_monovalent_and_bivalent ↩︎
  9. Voir:
    Audition du Sénat de Caroline du Sud – Dr. Janci Lindsay
    SC 4 FREEDOM, publié le 16 septembre 2023
    https://www.youtube.com/watch?v=mjQQ7kkj3Bs&t=41s
    Transcription: https://transcriberb.dreamwidth.org/106401.html
    Voir également le commentaire sur le témoignage du Dr Janci Lindsay par le Dr Jessica Rose, publié le 18 septembre 2023 :
    https://jessicar.substack.com/p/sc-senate-hearing-dr-janci-lindsay ↩︎
  10. Ancien analyste et gestionnaire de portefeuille à Wall Street, Ed Dowd est le fondateur de Phinance Technologies et l’auteur de « Cause Unknown: The Epidemic of Sudden Death in 2021 and 2022 » (Cause inconnue: l’épidémie de mort subite en 2021 et 2022). Son compte Twitter est Follow Dowd sur https://x.com/DowdEdward
    Voir:
    « Ed Dowd a les données: Augmentation importante du nombre de décès et d’invalidités d’origine cardiovasculaire après 2020 – Ask Dr. Drew
    Ed Dowd revient avec une analyse préoccupante des données britanniques sur la mortalité et l’invalidité qui montre une augmentation importante des maladies cardiovasculaires chez les 15-44 ans après 2020. »
    26 septembre 2023
    https://drdrew.com/2023/ed-dowd-has-the-data-major-increase-in-cardiovascular-deaths-disability-after-2020-ask-dr-drew/
    [l’entretien avec Ed Down commence à 10:20] ↩︎