Alex Berenson chez Tucker Carlson : surmortalité chez les 20-50 ans.

Source.

Traduction

CARLSON: L’un des faits les plus méconnus de l’année dernière est l’augmentation spectaculaire du nombre de décès qui n’ont rien à voir avec le coronavirus, non seulement aux États-Unis, mais aussi en Europe, à tel point que l’on peut se demander quelle en est la cause. Personne ne semble le demander, sauf Alex Berenson. Il a suivi cela de près. Il nous rejoint tout de suite.

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CARLSON : C’est une histoire est plutôt choquante. Elle n’a reçu presque aucune attention et elle est assez inquiétante. Les données gouvernementales du monde entier montrent que le nombre de décès, toutes causes confondues, est bien supérieur à la normale. C’est le cas en Europe occidentale par exemple.

Comment cela s’explique-t-il? Qu’est-ce qui pourrait l’expliquer?

Il ne s’agit pas de décès dus au COVID, mais de décès directement liés à d’autres facteurs. Quelles sont ces causes? Alex Berenson a étudié la question en profondeur. C’est un auteur et un journaliste, bien sûr. Il écrit des articles sur « Substack« , que vous devriez lire. Il nous rejoint ce soir.

Alex, merci beaucoup d’être avec nous. Pouvez-vous nous décrire les grandes lignes de cette histoire, car c’est une histoire assez incroyable?

ALEX BERENSON, AUTEUR : Oui, c’est compliqué, Tucker et il y a plusieurs tendances qui s’entrecroisent et je sais que nous n’avons pas beaucoup de temps.

CARLSON : Exact.

BERENSON : Je suis vraiment en train d’explorer ce sujet et je l’ai déjà exploré plusieurs fois sur « Substack » et j’y reviendrai. Mais laissez-moi vous dire brièvement ce que nous savons, à savoir que dans les grands pays d’Europe occidentale, dans plusieurs grands pays d’Europe occidentale, notamment le Royaume-Uni et l’Allemagne qui sont deux des plus grands pays en termes de population, le nombre de décès a soudainement dépassé la normale et c’est aussi le cas au Royaume-Uni depuis plusieurs mois.

Rappelez-vous, au Royaume-Uni on a vacciné beaucoup de gens au début de l’année. On y voit un nombre de décès supérieur à la normale depuis quelques mois. En Allemagne, les vaccinations ont eu lieu plus tôt au printemps et le nombre de décès a été supérieur à la normale en septembre. Nous ne savons pas pourquoi.

Au Royaume-Uni, où l’on dispose de plus de données, il semble que de nombreux décès d’origine cardiovasculaire soient à l’origine de ce phénomène. Nous ne savons pas ce que cela signifie.

Aux États-Unis, on voit une surmortalité chez les personnes de moins de 50 ans qui dure depuis deux ans maintenant et nous voyons un nombre énorme de décès chez les personnes de cet âge. Certains de ces décès sont liés au COVID, d’autres semblent être liés aux confinements, c’est-à-dire à des overdoses de médicaments, dont nous savons qu’elles sont très élevées.

Mais au cours des derniers mois, malgré que les décès dus au COVID ont diminué au printemps, le nombre de décès dans ce groupe d’âge est resté très élevé aux États-Unis. Et là aussi, il y a plusieurs possibilités. L’une d’entre elles est que certains décès dus au COVID sont mal comptabilisés, bien que nous comptions les décès dus au COVID de manière très agressive. Une autre possibilité est qu’il s’agit de décès dus aux confinements/overdoses, bien que l’Europe soit loin d’avoir le même problème que nous de ce côté.

Une autre possibilité, et j’hésite même à le dire à voix haute, Tucker, parce que je sais ce que sera la réponse, c’est que c’est lié à des problèmes cardiaques et que c’est lié aux campagnes de vaccination de masse, mais nous n’avons pas de preuves, nous n’avons pas assez de preuves pour faire la distinction entre ces possibilités. Tout ce que nous savons, c’est que les gens meurent à un rythme sans précédent aux États-Unis dans le groupe d’âge de 30 à 50 ans, dans le groupe d’âge de 20 à 50 ans, et maintenant nous constatons une surmortalité dans certains pays européens et nous devrions vraiment en comprendre la raison.

CARLSON : C’est bien ça le problème. Nous ne savons pas pourquoi. Vous l’avez dit cinq fois. Vous êtes une personne responsable. Sincèrement, en 20 secondes, a-t-on entrepris une action concertée et très agressive pour comprendre pourquoi ces gens meurent?

BERENSON : Je dirais qu’il existe une action concertée et très agressive pour empêcher quiconque de parler de ces données. J’ai été viré de Twitter. On m’a forcé à aller sur « Substack ». Personne n’en parle à part vous et je ne sais pas non plus pourquoi.

CARLSON : Je pense n’avoir jamais rien vu d’aussi étrange. Nous ne savons pas ce qui en est la cause, mais si les gens meurent, nous devrions savoir pourquoi et je pense que c’est votre prémisse aussi. Et je vous en suis reconnaissant.

BERENSON : C’est assez important. Merci, Tucker.

CARLSON : Oui. Quand les gens meurent, oui. C’est important.

Alex Berenson, merci beaucoup.


Transcription originale

CARLSON: Well one of the most underreported stories over the last year is that there’s been a dramatic spike in deaths that have nothing to do with the coronavirus, not just in the U.S., but in Europe, too, so dramatic that it begs the question, why is this happening? No one seems to be asking except Alex Berenson. He has followed this closely. He joins us next.

(COMMERCIAL BREAK)

CARLSON: Well, here is a kind of a shocking story. This received almost no attention and is pretty ominous. Government data from around the world show that so-called all-cause deaths are running well above normal. This is happening in Western Europe for example.

What explains this? What could explain it?

These are not deaths from COVID, these are deaths directly — these are deaths from some other things. What are they? Well, Alex Berenson has looked deeply into this. He is an author and a journalist, of course. He writes on « Substack, » which you should read. He joins us tonight.

Alex, thanks so much for coming on. So, can you just describe the outline of this because it’s a pretty amazing story?

ALEX BERENSON, AUTHOR: So, yes, I mean this is complicated, Tucker and there’s several cross currents here and I know we don’t have a lot of time.

CARLSON: Right.

BERENSON: I really am exploring this and have explored this a couple of times on the stack — on the « Substack » and I’m going to go back into that again. But let me quickly tell you what we know, which is in the big countries in Western Europe, in several of the big countries in Western Europe, notably the U.K. and Germany which are the two, you know two of the largest by population, deaths are suddenly running higher than normal and that’s been true in the U.K. for several months.

Remember, the U.K. vaccinated a lot of people early this year. They’ve had deaths running higher than normal for a couple of months. Germany, the vaccinations happened closer to the spring and they’ve had deaths higher than normal in September. We don’t know why.

In the U.K., where there’s more data, it looks like there’s a lot of cardiovascular deaths that are driving this. We don’t know what that means.

In the U.S., there has been an excess in mortality in people under 50 that has gone on for two years now and we have a terrible number of deaths happening in people that age. Some of those deaths are COVID, some of those deaths appear to be lockdown related or i.e. drug overdoses, which we know are running really high.

But in the last few months, even as COVID deaths fell in the spring, deaths in that age group remained very high in the U.S. This is — and again, there’s a couple of possibilities. One possibility is that some COVID deaths are being miscounted although we count COVID deaths very aggressively. Another possibility is that is that it’s these lockdowns/drug overdose deaths, although Europe doesn’t have nearly the problem that we do with that.

Another possibility, and I hesitate even to say this out loud, Tucker, because I know what the response will be is that this is cardiac related and it has something to do with the mass vaccination campaigns, but you know, we don’t have evidence, we don’t have enough evidence to separate what the possibilities are. All we know is that people are dying at unprecedented rates in the U.S. in the 30 to 50 age group, the 20 to 50 age group, and now we’re seeing excess mortality in some European countries and we really should find out why.

CARLSON: Well, that’s kind of the point right there. We don’t know. You said it five times. You’re a responsible person. Really, in 20 seconds, is there a highly aggressive organized effort to figure out why these people are dying?

BERENSON: I would say there’s a highly aggressive organized effort to prevent anybody from talking about this data. You know, I was kicked off Twitter. I was forced onto « Substack. » Nobody talks about it except you and I don’t know why that is either.

CARLSON: Well, I think it’s the weirdest thing I’ve ever seen. I mean, we don’t know what’s causing it, but if people are dying, we should know why and I think that’s your premise as well. And I’m grateful.

BERENSON: It’s pretty important. Thanks, Tucker.

CARLSON: Yes. When people die, yes. It’s important.

Alex Berenson, thank you very much.

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