Protégez les bébés de l’injection de Beyfortus (anticorps monoclonaux contre le VRS) – par Sasha Latypova et Hélène Banoun.

Pour mes lecteurs français (et leurs bébés) en priorité.

Lectures complémentaires:

Le dernier dans la liste montrerait donc qu’on a donc affaire à une autre maladie « de laboratoire », pour laquelle Big Pharma aurait la solution – chère, inefficace et dangereuse. Comme je l’écris dans mon commentaire à l’article de Sasha, on commence par enquêter sur une fraude après l’autre jusqu’à ce qu’on se rende compte qu’il ne s’agit pas de fraudes, mais d’un modèle d’entreprise.

Après le rachat d’Arena Pharmaceuticals, spécialisée dans les traitements de maladies cardiovasculaires, Pfizer vient d’acheter Seagen, une « une société mondiale de biotechnologie qui découvre, développe et commercialise des médicaments innovants contre le cancer ».

« Le cancer reste l’une des principales causes de décès et une personne sur trois aux États-Unis recevra un diagnostic de cancer au cours de sa vie. Avec l’un des investissements les plus importants de l’histoire de Pfizer, nous nous lançons à corps perdu dans la lutte contre le cancer, avec l’objectif de réaliser des percées qui améliorent radicalement la vie des personnes atteintes de cette maladie », a déclaré le Dr Albert Bourla, président-directeur général de Pfizer. « Grâce à la technologie brevetée et mondialement reconnue des conjugués anticorps-médicaments (ADC) de Seagen, ainsi qu’à l’ampleur et à la force des capacités et de l’expertise de Pfizer, nous sommes prêts à changer le paradigme du traitement du cancer. Nous pensons que l’oncologie sera un moteur de croissance important pour Pfizer et qu’elle contribuera de manière significative à la réalisation de nos objectifs financiers à court et à long terme. »

Devant tant de générosité, on reste pantois. Comme le dit le Dr Tenpenny, les vaccins ne représentent que 5% de leur chiffre d’affaires, mais ils garantissent les autres 95%.

Au fait, si ça intéresse quelqu’un que je traduise l’un ou l’autre article, y’a qu’à demander! C’est gratuit et avec plaisir – et j’aurai moins l’impression de prêcher dans le désert.

Source.


Protégez les bébés de l’injection de Beyfortus (anticorps monoclonaux contre le VRS)

Ceci est un post d’une collègue française, Hélène Banoun

Hélène Banoun est pharmacienne biologiste, ancienne chercheuse à l’INSERM, basée en France.

Elle écrit dans un courriel:

Depuis le 6 décembre, date à laquelle j’ai alerté le public sur l’essai clinique non contrôlé du gouvernement français, Twitter France m’a rendue invisible. En France, l’injection de Beyfortus (nirsevimab, un anticorps monoclonal contre la bronchiolite causée par le VRS) est recommandée pour tous les nouveau-nés dès la maternité. Ce traitement n’a pas été testé sur des nouveau-nés, mais sur des enfants âgés de 3 mois à 2 ans!

Les calculs des lanceurs d’alerte français démontrent l’existence d’une augmentation très importante du nombre de décès de bébés âgés de deux à six jours, deux mois de suite, exactement depuis l’introduction de cette « thérapie monoclonale préventive contre la bronchiolite » (Beyfortus®) qui n’a jamais été réellement testée chez les nouveau-nés.

Il semble que Twitter ait activé la fonction « cacher les tweets d’Hélène Banoun » pour de nombreux abonnés https://twitter.com/BanounHelene

« Les mauvaises surprises des vaccins et des thérapies préventives contre la bronchiolite à VRS ».

par Hélène sur Researchgate ici [NdT. en anglais; le texte original, cité ci-après, en français est ici].

Quelques extraits de l’article [les références numérotées sont dans l’article lié] :

Thérapies préventives aux anticorps monoclonaux?

Un nouveau concept apparaît à l’occasion de la lutte contre la bronchiolite : la thérapie préventive qui consiste à injecter directement des anticorps. Sanofi commercialise en collaboration avec Astra-Zeneca un anticorps monoclonal contre le VRS, le Beyfortus®, destiné à être injecté en prévention chez les nouveau-nés.

Un des essais cliniques [1] montre des effets indésirables graves du produit et 3 décès dans le groupe vacciné contre 0 dans le groupe placebo, et selon la formule rituelle, « les décès ne sont pas attribués au médicament par l’investigateur ».

La FDA a enregistré 15 décès dans l’ensemble des essais de cet anticorps monoclonal: 12 dans les groupes traités (0,32%) et 3 dans les placebo (0,16%). La FDA note donc le déséquilibre en défaveur du traitement [2]: 4 décès cardiaques, 2 gastro-entérites, 2 morts subites, 1 cancer, 1 Covid, 1 fracture, 1 pneumonie, mais aucun décès n’a été relié au traitement. L’EMA [NdT. l’Agence Européenne des Médicaments] enregistre 3 décès dans les groupes placebo et 11 décès dans les groupes traités. Conclusion de l’EMA : la balance bénéfice/risque est positive…[3]

La HAS conclut à un service médical rendu « faible » : elle rappelle que la bronchiolite est en général une maladie bénigne, que le Beyfortus® est suspecté de sélectionner des virus résistants. La HAS souligne également l’absence de donnée étayant un éventuel impact sur la réduction de durée d’hospitalisation ou la mortalité et la HAS note aussi les décès dans les effets indésirables possibles [4].

Souvenons-nous que toute cette campagne de « prévention » de la bronchiolite est censée éviter l’engorgement des hôpitaux par des bébés atteints de cette maladie: si ce produit ne diminue pas significativement les hospitalisations, quel intérêt a-t-il?

L’EMA dans son rapport de septembre 2022 [3] nous rappelle le fiasco des essais de vaccins contre le VRS par le passé: des enfants sont morts de bronchiolite grave dans les groupes vaccinés et aucun dans les groupes témoins. C’est encore une manifestation de l’ADE (Antibody dependent enhancement = facilitation/aggravation de l’infection par les anticorps) qui a été décrit pour la dengue [5]. Cet ADE est dû à l’effet délétère des anticorps qui, au lieu de neutraliser le virus, facilitent son entrée dans la cellule par le récepteur du fragment Fc des immunoglobulines. Et justement les industriels ont jugé bon de modifier cette région Fc du Nirsevimab (nom générique du Beyfortus®) : le Fc de cet anticorps a une plus forte affinité pour le récepteur néonatal du Fc et ceci en vue d’étendre sa durée de vie.

Remarquez – quelle coïncidence! TOUS les fabricants de vaccins covid ont adopté simultanément une approche de conception très similaire: sélectionner le composant le plus toxique du « pathogène » ciblé pour en faire l’élément de conception de leur produit. Il semble que ce soit la nouvelle tendance à la mode dans le développement des médicaments. Rendons-les VRAIMENT dangereux.

L’EMA nous rappelle qu’on ne peut pas exclure le rôle de ce fragment Fc dans la « protection » contre le virus VRS.

Comme je l’ai expliqué [6], différents noms sont donnés à ce même phénomène selon qu’il est considéré comme bénéfique (ADCD, ADNKA, ADCP, ADNP) ou délétère (ADE): c’est toujours une entrée du virus dans la cellule facilitée par le fragment Fc de l’anticorps. Les industriels recherchent les effets bénéfiques de ce phénomène et se méfient des effets délétères, c’est pourquoi ils ont recherché le risque d’ADE avec le Beyfortus® dans des modèles animaux. Ils affirment ne pas l’avoir détecté mais l’EMA souligne, sans s’émouvoir, qu’aucune évaluation histopathologique des rats n’a été conduite après traitement et infection par le VRS: c’est le seul marqueur reconnu de l’ADE. L’EMA nous rassure en affirmant qu’aucun signe d’ADE n’a été observé dans les essais cliniques: vraiment?

Des bronchiolites sont pourtant signalées comme cause de décès de nourrissons dans les groupes traités; ces décès ne sont pas attribués au traitement par l’investigateur.

Pour pouvoir l’affirmer, il aurait fallu autopsier ces pauvres bébés et vérifier qu’il n’y avait pas de phénomène histopathologique dans les poumons: ça n’a pas été fait et l’EMA s’est bien gardée de le demander. On peut craindre donc que cet anticorps monoclonal dont le fragment Fc a été modifié ne provoque ce dangereux effet ADE chez certains nourrissons, ce qui expliquerait le déséquilibre des décès dans le groupe traité par rapport au placebo mais aussi le même déséquilibre en comparaison du groupe traité au Synagis® (palivizumab), l’ancien médicament équivalent qui ne possédait justement pas cette modification du fragment Fc [7]!

Un article paru dans la presse française « Le train Beyfortus a déjà déraillé » montre les sombres statistiques suivantes:

La courbe bleue représente, pour chaque mois (de 2018 à octobre 2023), les taux de mortalité de 2 à 6 jours de vie, des bébés natifs du mois en question.

  • La ligne verte horizontale représente le taux de référence, calculé sur les années 2018-2019. Ce taux est de 0,69 décès pour 1 000 naissances.
  • Les lignes pointillées bleues représentent l' »intervalle de confiance des taux de mortalité à 95% ».
  • Les pointillés rouges représentent l’intervalle de confiance des taux de mortalité à 99,8%.

En septembre 2023, il y a 54 décès de nourrissons entre 2 et 6 jours de vie sur 55 489 naissances, ce qui donne un taux de mortalité de 0,97 décès pour 1 000 naissances.

La Maison Blanche confirme 230 000 doses supplémentaires de vaccin contre le VRS pour les nourrissons le mois prochain.

https://ntd.com/white-house-confirms-230000-additional-rsv-immunization-doses-for-infants-next-month_961799.html…

La France est le terrain d’expérimentation mondial de ce produit, qui sera désormais distribué aux États-Unis! Beyfortus injecté aux nouveau-nés dans les maternités depuis le 15 septembre > augmentation de 50% des décès de nourrissons entre 2 et 6 jours. Principal effet indésirable = bronchiolite = facilitation de l’infection par l’anticorps monoclonal.

Le VRS est une escroquerie:

N’oublions pas non plus que le VRS est un problème de santé totalement inventé. Il s’agit d’un rhume banal rebaptisé qui n’a jamais menacé la vie des bébés. Ne tombez pas dans le panneau. N’injectez pas à vos bébés des préparations biologiques toxiques.

L’escroquerie du VRS (article de Meryl Nass, en anglais)

Le vaccin contre le VRS de Moderna n’a aucune efficacité (et selon moi, aucune efficacité n’est attendue de la transfection de cellules avec le matériel génétique d’un virus respiratoire inventé de toutes pièces):

L’essai Moderna sur l’ARNm du VRS révèle une réduction du risque absolu inférieure à 1% (article de Peter McCullough, en anglais)

La transfection de vos cellules avec des poisons génétiques et autres présente un risque important (à mon avis, la « prévention des cas » est un conte de fées élaboré par des statisticiens très bien payés et formés à l’art de la simulation):

Vaccin ARNm contre le VRS: 81 effets indésirables pour chaque cas de VRS (rhume) évité (article de Igor Chudov, en anglais)

Peinture du jour: Sophia et Moomin, huile sur lin.

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