Un article d’aujourd’hui même.
Petite précision: le CDC américain recommande d’ajouter le vaccin au programme de vaccination infantile mais ne dispose pas de l’autorité pour le faire. C’est l’ACIP qui doit prendre cette décision et il vient de le prendre il y a exactement vingt-cinq minutes au moment où je publie cet article.
Je publie un compte-rendu dans un instant.
Mort subite chez les jeunes, myocardite
Et le vaccin approuvé pour les bébés
John Paul
20 octobre
Bien que j’aie tendance à éviter les messages qui relèvent du domaine de la propagande, vu que les dégâts causés par le vaccin à ARNm sont si gigantesques, je considère parfois qu’il est utile de s’intéresser à certains d’entre eux. Beaucoup de bodybuilders, de footballeurs et d’autres athlètes tombent raides morts de causes « inconnues ».
Depuis le début de l’année 2022, je garde un œil sur les décès soudains de jeunes adultes et surtout d’adolescents, ils se sont produits régulièrement, mais pas assez fréquemment pour attirer l’attention de la plupart des gens. Il y a quelques jours, un ami m’a envoyé un message pour me dire qu’une enfant du quartier de son école venait de tomber raide morte, non pas en pratiquant un sport, mais en chantant. Si je le voulais, je pourrais ajouter des dizaines d’images comme celle qui suit, mais une seule suffit à me donner la nausée.

La raison majeure pour laquelle j’écris sur ce sujet est triple.

La myocardite subclinique pourrait être plus fréquente qu’on ne le pense. Christian Müller, directeur de l’Institut de Recherche Cardiovasculaire de l’Hôpital Universitaire de Bâle, a récemment prélevé des échantillons de sang sur près de 800 employés d’hôpitaux 3 jours après qu’ils aient reçu un booster COVID-19. Aucun d’entre eux ne remplissait les critères de la myocardite, mais 40 présentaient des taux élevés de troponine, une molécule qui peut indiquer une atteinte du muscle cardiaque. Des problèmes cardiaques chroniques et d’autres conditions préexistantes pourraient être à imputer à 18 cas, mais pour les 22 autres cas – 2,8% des participants, femmes et hommes – M. Müller pense que le vaccin a provoqué une augmentation des taux de troponine. Les résultats, qu’il a présentés lors d’une réunion en août, s’alignent sur ceux d’une étude récemment publiée en Thaïlande.
Un jour seulement après la publication de l’article ci-dessus, cet article rédigé par des scientifiques japonais a été publié. Pourquoi est-ce que j’insiste sur la nationalité? Parce que les chercheurs japonais sont souvent parmi les meilleurs du monde, et qu’ils ont un sens moral très strict. « La vérité, quoi qu’il en coûte » m’a dit un jour un scientifique japonais.
Résultats: Le nombre de décès par myocardite qui répondait aux critères d’inclusion était de 38 cas. Le MMRR (intervalle de confiance à 95 %) était de 4,03 (0,77 à 13,60) dans la vingtaine, 6,69 (2,24 à 16,71) dans la trentaine et 3,89 (1,48 à 8,64) dans la quarantaine, respectivement. Le SMR de la myocardite était de 2,01 (1,44 à 2,80) pour l’ensemble de la population vaccinée, de 1,65 (1,07 à 2,55) pour les personnes âgées de 60 ans ou plus. Les adMMRR et adSMR estimés étaient environ 4 fois plus élevés que les MMRR et SMR. Les MOR regroupés pour la myocardite étaient de 205,60 (133,52 à 311,94). Conclusion: La vaccination contre le SARS-CoV-2 était associée à un risque plus élevé de décès par myocardite, non seulement chez les jeunes adultes mais aussi dans tous les groupes d’âge, y compris les personnes âgées. Si l’on tient compte de l’effet du vaccin sur les personnes en bonne santé, le risque pourrait être quatre fois plus élevé que le risque apparent de décès par myocardite. La sous-déclaration doit également être prise en compte. D’après cette étude, le risque de myocardite après la vaccination contre le SARS-CoV-2 pourrait être plus grave que celui signalé précédemment.
Ce que cela signifie, en termes simples? Le risque de myocardite est sous-diagnostiqué et sous-déclaré, la myocardite subclinique est extrêmement difficile à diagnostiquer, au départ, et beaucoup de gens vivent avec des dommages cardiaques sans le savoir. Non seulement le risque de lésions cardiaques est 4 fois plus élevé, voire plus, que le risque de décès par ces lésions, mais il n’y a pas non plus l’écart qu’on voit souvent mis en avant. Tant les jeunes que les personnes âgées ont un risque statistique de développer une myocardite à cause des vaccins à ARNm.
Si j’écris ceci, ce n’est pas uniquement pour attirer votre attention sur ce point. C’est à cause de ça.

L’EMA recommande l’approbation des vaccins Comirnaty et Spikevax COVID-19 pour les enfants à partir de 6 mois
Actualités 19/10/2022
Le comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’EMA a recommandé d’étendre l’utilisation de Comirnaty et Spikevax ciblant la souche originale du SARS-CoV-2. Le Comité a recommandé d’inclure l’utilisation chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ans pour Comirnaty et l’utilisation chez les enfants âgés de 6 mois à 5 ans pour Spikevax. Comirnaty et Spikevax sont déjà autorisés chez les adultes et les enfants âgés de 5 et 6 ans, respectivement.
Par rapport aux doses pour les groupes d’âge déjà autorisés1, les doses des deux vaccins dans ces nouveaux groupes d’âge plus jeunes seront plus faibles. Chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ans, Comirnaty peut être administré en tant que primovaccination consistant en trois doses (de 3 microgrammes chacune); les deux premières doses sont administrées à trois semaines d’intervalle, suivies d’une troisième dose administrée au moins 8 semaines après la deuxième dose. Chez les enfants âgés de 6 mois à 5 ans, Spikevax peut être administré en primovaccination en deux doses (de 25 microgrammes chacune), à quatre semaines d’intervalle. Pour les enfants de ces groupes d’âge, les deux vaccins sont administrés par injection dans les muscles du bras ou de la cuisse.
Pour Comirnaty, une étude principale menée chez des enfants âgés de 6 mois à 4 ans a montré que la réponse immunitaire à la dose inférieure de Comirnaty (3 microgrammes) était comparable à celle observée avec la dose supérieure (30 microgrammes) chez des enfants âgés de 16 à 25 ans. Pour Spikevax, une étude principale menée chez des enfants âgés de 6 mois à 5 ans a montré que la réponse immunitaire à la dose inférieure de Spikevax (25 microgrammes) était comparable à celle observée avec la dose supérieure (100 microgrammes) chez les 18-25 ans. Les deux études ont évalué la réponse immunitaire déclenchée par les vaccins en mesurant le taux d’anticorps contre le SARS-CoV-2.
Je m’efforce de ne pas être alarmiste, de ne pas faire le prophète de malheur ou quoi que ce soit du genre, et je fais de mon mieux pour aider toute personne qui commente, envoie un message ou un courriel, mais je serai franc avec tous mes lecteurs.
Il faut s’y opposer de toutes ses forces. Non seulement beaucoup de bébés et d’enfants vont purement et simplement en mourir d’ici quelques années, mais le nombre d’affections neurologiques et psychiatriques va également monter en flèche à terme, et ils deviendront à juste titre des impasses génétiques. Et là, je fais preuve de pondération, je ne suis ni émotif ni excessif.
Ces derniers jours, je n’ai pas eu beaucoup de temps car j’aide un membre de ma famille à faire face aux dommages causés par les vaccins. Le contenu devrait redevenir normal dans les prochains jours. Au fait, voici le billet qui contient beaucoup d’informations sur la façon de se « guérir » du Covid/vaccin. Je prévois d’en faire une version simplifiée dans les semaines à venir [NdT. que je traduirai et publierai] , mais pour l’instant, la version scientifique devra faire l’affaire.