L’association entre les vaccins et la SURMORTALITÉ se renforce et est discutée au Parlement britannique – par Igor Chudov.

Une simple mise à jour, pour ainsi dire. Pour être complet, j’inclus à la fin l’article d’août d’Igor auquel il fait référence pour les modalités de calcul.

Avant ça, juste une petite anecdote: il y a environ deux ans, mon épouse me montre un clip sur YouTube, une interview sur une chaine turque d’information, genre journal parlé – ça fait longtemps, je n’ai plus le lien. L’invité explique que oui, il y aura bel et bien un « vaccin » mais qu’il causera un nombre faramineux de cancers et qu’ensuite les grands groupes pharma mettront sur le marché un vaccin contre le cancer qui sera accessible à la population sous condition. Je vérifie le profil du gars, il a travaillé pour le secteur bancaire à très haut niveau- ce qui, en ce qui me concerne, le disqualifie.

Oups, erreur! Octobre 2022, les voici. Avec nos nouvelles amies, les particules nanolipidiques…

Source.


L’association entre les vaccins et la SURMORTALITÉ se renforce et est discutée au Parlement britannique

L’association devient étrangement plus forte – et plus inquiétante

Igor Chudov

6 novembre

Bien que nous allons aborder la très mauvaise nouvelle de l’augmentation des taux de mortalité, je suis heureux d’annoncer qu’un membre éminent du Parlement britannique, Andrew Bridgen, a soulevé, devant le Parlement britannique, la relation entre la vaccination et la surmortalité.

Un simple coup d’œil aux données montre qu’il existe une CORRELATION TRÈS FORTE entre la SURMORTALITÉ et le niveau d’utilisation des vaccins dans ce pays. Une enquête devrait certainement être menée. Ce sont des dizaines de milliers de PERSONNES qui MEURENT.

Voir son discours ci-dessous.

Avec une note d’humour…

(Après ce discours, Andrew a été suspendu du Parlement pendant sept jours pour une supposée « infraction sans rapport »).

D’où Andrew Bridgen a-t-il tiré son idée (correcte)? Je ne suis pas sûr, mais j’ai posté une analyse originale [NdT. voir en dessous de cet article] liant statistiquement la « surmortalité » au taux de vaccination par pays le 30 août 2022.

Je ne prétends évidemment pas qu’il l’a appris par moi – j’espère que de nombreuses autres personnes ont effectué des analyses similaires, et que l’une d’entre elles a été remarquée par M. Bridgen. Plus il y a de gens qui analysent ces données, mieux c’est. J’en suis heureux.

Les nouvelles données semblent encore pires

J’ai décidé de refaire le calcul de la surmortalité par rapport à l’utilisation des vaccins ou des boosters, en utilisant deux mois supplémentaires de données sur la mortalité.

J’utilise exactement la même méthodologie que dans mon article sur la « relation prouvée« . Je vous invite à le lire si vous êtes intéressé par les détails ou si vous souhaitez reproduire mes résultats. Au lieu des semaines 10 à 35, j’analyse maintenant la « surmortalité » des semaines 20 à 44 (pour être précis, la semaine la plus récente disponible à la semaine 44 dans la base de données sur la mortalité à court terme – les données ont un décalage). Tout le reste est resté inchangé. Les données sont ici:

Quelques remarques sur les données ci-dessus:

  • Le pays le moins vacciné, la Bulgarie, présente une surmortalité NÉGATIVE (la plus faible de toutes).
  • Le Chili a en réalité reçu plus de boosters qu’il n’a d’habitants, en raison de la multiplication des boosters par personne, et connaît la plus FORTE surmortalité.
  • La Suède, malheureusement, est passée en territoire de surmortalité positive, même si je suis heureux de dire qu’elle reste faible.

Les questions que je veux étudier sont les suivantes: Existe-t-il une association entre la prise de vaccin ou de booster et la surmortalité dans les semaines 20 à 44? L’association s’est-elle affaiblie ou renforcée par rapport aux semaines 10-35?

Voyons cela.

Surmortalité par rapport au taux de vaccination:

Excès de mortalité par rapport à la prise de booster:

Nous pouvons constater que les taux de vaccination (nombre de personnes entièrement vaccinées pour 100), ainsi que les doses de boosters administrées pour 100 personnes, sont TRES FORTEMENT ASSOCIÉS À LA SURMORTALITÉ. Tous deux ont des valeurs P très faibles, ce qui suggère qu’il est très peu probable que cette association soit le fruit du hasard.

Voici le pire: Au cours des semaines 10 à 35, le taux de vaccination n’explique que 27% de la variation de la surmortalité, et le taux de boosters n’explique que 40% de la surmortalité. (ce qu’on appelle le R-carré). (voir l’article précédent sur ce sujet pour les régressions)

Pendant les semaines 20 à 44, les taux de vaccination et de boosters expliquent PRESQUE LA MOITIÉ de la variation de la surmortalité (49% pour les deux). C’est un pouvoir explicatif beaucoup plus important!

Cela signifie qu’au fil du temps, la force de l’association entre la surmortalité et la vaccination AUGMENTE!

EDIT: Notez également que la PENTE de la ligne, par exemple, pour le taux de vaccination, est passée de 0,0024 dans mon article d’août à 0,0034 deux mois plus tard! Une augmentation de 40% de la pente. Qu’est-ce que cela signifie? Cela signifie que l’ampleur de l’effet a également augmenté, et pas seulement le pouvoir explicatif. Les choses se dégradent de manière mesurable.

C’est contre-intuitif et inquiétant!

Je vous invite à consacrer une minute à comprendre que l’augmentation de la force de l’association, à mesure que le temps passe après l’événement à l’origine de l’association (la vaccination), est

  • très inhabituel
  • très inquiétant.

Que se passe-t-il? L’horloge tourne; les personnes non vaccinées ne se font plus guère vacciner. Et pourtant, au fur et à mesure que le temps passe, de plus en plus de décès en excès sont expliqués par le taux de vaccination (49% au cours des semaines 20 à 44, au lieu de 27% 10 semaines auparavant). Le taux de vaccination, pour l’essentiel, se réfère à des vaccinations qui ont eu lieu dans un passé relativement lointain, il y a un an environ. Il se passe quelque chose dans le corps des personnes qui ont été vaccinées il y a plus d’un an qui augmente le degré de cette association entre les vaccins et les décès au fil du temps!

Stop. Ce n’est PAS normal.

Prenons l’exemple d’un poison typique, comme la mort-aux-rats. Disons qu’un cuisinier négligent a accidentellement saupoudré des quantités variables de mort-aux-rats sur les salades des clients du restaurant. Certains en ont reçu plus, d’autres moins, et certains sont donc morts de la mort-aux-rats. Il serait compréhensible que la « visite au restaurant » soit associée à une « surmortalité » des malheureux dans la première ou les deux premières semaines suivant la visite. Un an plus tard, cependant, on ne s’attendrait pas à une telle relation, les effets du poison se dissipant.

Cependant, l’association entre la vaccination (événement passé lointain) et la mortalité (événement présent) augmente au fur et à mesure que le temps passe!

Qu’est-ce qui pourrait l’expliquer? Pour être honnête, je n’en suis pas certain. Je peux proposer deux explications:

  • La vaccination a un effet différé qui fait augmenter la surmortalité. Les poisons ordinaires ne produisent pas cet effet. Les substances cancérigènes ont exactement cet effet. Ils déclenchent une chaîne de processus biologiques qui entraînent une augmentation de la mortalité à terme.
  • La vaccination a eu des effets négatifs ET positifs sur la mortalité, et les effets protecteurs s’estompent. Il y a quelque temps, les vaccins contre le Covid offraient une certaine protection contre les décès dus au Covid. Cependant, au fil du temps, cette protection s’est amenuisée. Ainsi, alors que les effets protecteurs s’amenuisent et que les effets négatifs se poursuivent, le pouvoir explicatif des vaccinations pourrait augmenter.

Avertissement: Corrélation contre causalité

La corrélation n’est pas la causalité. Ces régressions linéaires montrent une corrélation et non une causalité. Elles constituent un signal d’alarme qui nécessite une analyse honnête et approfondie.

Voir une corrélation, c’est comme voir de la fumée. Y a-t-il un incendie?

Nous avons besoin de toute urgence d’une enquête, pas d’obstruction ou d’une « amnistie pandémique »

Un dirigeant honnête d’un bon pays, en entendant des nouvelles aussi inquiétantes, embaucherait de nouvelles personnes qui ne sont pas entachées du bagage et de la responsabilité d’avoir imprudemment vacciné des millions de personnes avec une nouvelle technologie non éprouvée connue pour ses échecs, ses problèmes d’infertilité et la mort d’animaux de laboratoire.

Ces nouvelles personnes incluraient des médecins talentueux, des biostatisticiens sophistiqués, des médecins légistes expérimentés, des biologistes, des historiens, des enquêteurs, etc. Ils concevraient un processus public, ouvert et sophistiqué pour examiner la surmortalité au niveau individuel, ainsi que pour comparer les résultats des personnes vaccinées et non vaccinées, etc.

Ils examineraient les corps de centaines de personnes jeunes et en bonne santé qui meurent subitement afin de vraiment comprendre la chaîne d’événements qui a provoqué leur mort soudaine et inattendue. De même, ils essaieraient de comprendre pourquoi les taux de cancer montent en flèche, bien au-delà des niveaux habituels.

Leurs conclusions et les données sous-jacentes seraient accessibles à la communauté afin que les membres intéressés du public puissent apporter leur contribution.

Enfin, une telle enquête pourrait sauver des milliers, voire des millions de vies, si le mécanisme des décès excessifs était correctement compris et si la chaîne des séquelles mortelles était brisée. J’espère que ces décès puissent être évités d’une manière ou d’une autre!

Rien de tout cela ne se produit.

Tout ce que nous avons, c’est une augmentation des décès excessifs, un déni et une dissimulation. Google ne veut PAS que vous recherchiez « surmortalité 2022 » dans la barre de « suggestion de recherche ».

Google est au courant de la « surmortalité 2022 » ; c’est pourquoi il bloque les suggestions de recherche pour ce terme. Mais Google ne veut pas que VOUS le sachiez.

Pourquoi cette obstruction? Parce que le pouvoir en place a peur de ses responsabilités et qu’il demande maintenant l’amnistie.

Nous n’avons pas à leur accorder d’amnistie, nous devons découvrir ce qui se passe et pourquoi des gens meurent.

Cher lecteur, dites-moi s’il vous plaît: pourquoi pensez-vous qu’ils font obstruction à toutes les enquêtes et suspendent les membres du Parlement britannique? Quelle en est la raison? Une préoccupation mal placée pour la poursuite de l’utilisation des vaccins? La peur de la responsabilité? Ou quelque chose de pire?


Source.

RELATION PROUVÉE: Boosters COVID et surmortalité en 2022

29 pays montrent une forte association entre « l’utilisation des boosters » et « la surmortalité »

Igor Chudov

30 août

Cet article montre qu’il existe une association statistiquement très forte entre la surmortalité en 2022 et l’utilisation des boosters COVID.

Le taux de boosters au 1er juillet explique la surmortalité en 2022, par pays, en utilisant une régression linéaire avec un R^2 = 40% et une valeur P incroyable de 0,0002, ce qui donne à cette relation une signification statistique indiscutable!

De quoi s’agit-il?

On parle beaucoup de la surmortalité et des taux élevés de cancer en 2022. J’ai également écrit à ce sujet récemment (je ne suis pas Gammadion):

NdT. « Snake oil » (l’huile de serpent) est le qualificatif que les américains donnent aux remèdes bidon.
Ça se vendait réellement comme médicament à l’époque des pionniers de l’Ouest.

Depuis cet article, j’ai voulu voir si les intuitions des anti-vaccins sur la cause de la surmortalité étaient vraies. J’ai donc entrepris de trouver des données sur la mortalité dans de nombreux pays et de voir si je pouvais les faire correspondre à des données sur la vaccination ou l’utilisation des boosters.

Par bonheur, j’ai trouvé des données pour les deux paramètres. La mortalité pour les dernières années, par semaine, est répertoriée dans la base de données sur la mortalité à court terme. Cette base de données comporte un fichier CSV qui peut être téléchargé. La prise de boosters et de vaccins se trouve dans Our World in Data (OWID) [Notre monde en données], que j’ai déjà téléchargé dans une base de données SQL.

Par ailleurs, j’ai déjà utilisé la base de données OWID pour prouver que les boosters sont fortement associés à la mortalité due au COVID en Europe. (décès dus au Covid)

Bien content d’avoir refusé le « booster »!
Les boosters AUGMENTENT maintenant les morts du Covid en Europe.

Mais qu’en est-il de la surmortalité totale, et pas seulement de la mortalité Covid? C’est ce que nous allons examiner aujourd’hui.

Base de données sur la mortalité à court terme

Après avoir téléchargé les données de mortalité à court terme sous forme de fichier CSV, j’ai écrit un script perl pour lire les données et les analyser.

Le script charge les données pour deux périodes: l’année principale, ou 2022, et les trois années de base 2017 à 2019. Les semaines sélectionnées pour l’analyse sont les semaines 10 à 35. Il ajoute, pour chaque pays, le sous-total des décès pour chaque semaine trouvée, et compte le nombre de semaines trouvées également (tous les pays ne déclarent pas exactement le même nombre de semaines). J’ai dû exclure l’Australie, le Luxembourg, la République tchèque et la Corée du Sud, faute de données suffisantes. (La Corée du Sud a un taux de surmortalité faramineux de 50%, renseignez-vous).

Compte tenu de ce que nous avons, nous pouvons comparer les « décès par semaine » (décès divisés par le nombre de semaines) pour la période 2022 (principale), ainsi que pour la période 2017-2019 (base), pour les mêmes semaines des années correspondantes. J’appelle le rapport des « décès par semaine » pour ces périodes, MOINS UN, la surmortalité.

NB : Notez que ce calcul n’est qu’une approximation assez proche de la surmortalité que les statisticiens officiels calculent car ils prennent également en compte les petits changements de population, etc. Bien que ces différences soient importantes pour effectuer des calculs démographiques tout à fait corrects, elles sont suffisamment mineures pour ne pas être prises en compte dans le cadre de mon analyse, à mon avis. Je compare les mêmes semaines de toutes les années, pour tenir compte de la saisonnalité.

Cela nous donne les données de « surmortalité » pour chaque pays donné.

Our World in Data – Taux de boosters et taux de vaccination

Our World in Data peut nous donner le taux de boosters et le taux de vaccination par pays. Je peux interroger ma base de données SQL comme suit:

Ainsi, à partir de ma base de données OWID, j’obtiens des données sur les « boosters pour 100 personnes au 1er juillet 2022 », ainsi que sur le « taux de vaccination au 1er mars 2022 ». Il est à noter que les données initiales sur les boosters dans OWID sont insuffisantes, j’ai donc choisi le taux de boosters au 1er juillet pour avoir des données valides sur lesquelles travailler. Le choix d’une date tardive pour les boosters pour cette période ne compromet en aucun cas l’intégrité de ces résultats. Bien au contraire, l’examen de l’effet du taux de boosters proche de la fin de la période permet de saisir les dommages causés par les boosters donnés pendant ladite période.

Les données compilées se présentent donc comme suit:

(Oui, le Chili administre plus de boosters qu’il n’a de citoyens).

Relation entre les boosters, les vaccins et les décès

J’ai ensuite effectué une « régression linéaire » pour voir s’il existe une relation entre l’utilisation des rappels au 1er juillet 2022 et l’excès de décès en 2022. (Les choses ne changent pas beaucoup si je déplace la date, tant que de bonnes données sont disponibles à cette date).

Le résultat est consternant!

Il montre que l’utilisation des boosters est extrêmement fortement (et positivement) liée à la surmortalité, avec une valeur P de 0,0002. Attention, tout ce dont la valeur P est inférieure à 0,05 est considéré comme statistiquement significatif – donc P=0,0002 est irréfutable.

Comme la plupart de mes lecteurs ne sont pas statisticiens, je m’explique. Le graphique ci-dessus signifie que plus on prend de boosters, plus la surmortalité est importante pour les pays figurant sur le graphique. Le P=0,0002 signifie qu’il est extrêmement improbable que cette association soit une coïncidence aléatoire.

Plus de boosters – plus de décès!

Ce qui est également très intéressant, c’est que l’ordonnée à l’origine est très proche de zéro.

En outre, un seul chiffre par pays – le nombre de rappels à un jour donné, le 1er juillet 2022 – explique 40% de la variation de la surmortalité. Cela signifie que la vaccination et les boosters ont probablement été un facteur extrêmement important en ce qui concerne la surmortalité de chaque pays.

J’ai effectué la même régression pour le taux de vaccination au 1er mars. Le résultat est principalement le même, mais légèrement moins impressionnant que pour les boosters au 1er juillet. La signification statistique reste extrêmement forte, mais le pouvoir explicatif appelé R-carré est légèrement inférieur.

Avertissement, corrélation et causalité

Rien de ce qui précède n’autorise une déclaration simpliste du type « Je viens de prouver que les boosters font crever les gens ». Ce ne serait PAS une interprétation correcte. (bonjour les vérificateurs de faits).

L’interprétation correcte est qu’il existe une RELATION EXTRÊMEMENT PROMINENTE entre les boosters et les décès en 2022. Il s’agit d’un signal d’alarme et d’un sujet de réflexion qui doit être analysé plus avant. Nous devons chercher plus loin pour mieux comprendre la causalité.

La démographie est une science compliquée et il existe des instituts de démographie dans chaque pays. Je ne suis pas personnellement propriétaire d’un institut de démographie et je fais seulement ce que je peux, avec les compétences dont je dispose. Cependant, personne ne me possède non plus.

Bien que j’aie clairement indiqué que j’ai découvert une corrélation, et non une causalité, je crois personnellement que les boosters SONT une cause de mortalité accrue. Il y a de nombreuses raisons de croire que c’est très probable, mais c’est un sujet pour un autre article.

Données régionales du Royaume-Uni

Notre perspicace lecteur Nova nous a fait remarquer qu’au Royaume-Uni, le même schéma de mortalité en fonction de la région est évident et qu’il est aussi statistiquement très significatif avec P < 0,0001. Je ne l’ai pas vérifié personnellement.

C’est exactement ce que je constate ici au Royaume-Uni en utilisant les données officielles du gouvernement. La vérité se cache au grand jour.

J’ai comparé la surmortalité avec les niveaux de triple vaccination dans chaque région LTLA (Lower Tier Local Authority) en Angleterre pour les 15 semaines les plus récentes et les données donnent un message très clair – il y a plus de surmortalité dans les zones avec des niveaux plus élevés de triple vaccination.

Mon graphique récent devrait être accessible à l’adresse https://tinypic.host/i/vuzMR

Les données ont une valeur P de <0,0001, ce qui indique une déviation significative par rapport à l’horizontale, comme le montre la ligne de tendance linéaire.

Une analyse plus poussée des données indique que la surmortalité s’élève actuellement à 1180 décès par semaine en Angleterre. Il est évident que ces décès se produisent de manière disproportionnée dans les zones où les niveaux de vaccination sont les plus élevés, ce qui m’amène à conclure que les vaccins jouent un rôle dans les niveaux de décès élevés actuels.

Ma propre hypothèse

Quel est le mécanisme sous-jacent entre la surmortalité en 2022 et l’utilisation des boosters?

Ma réponse est: toutes les questions ci-dessus.

Qu’en pensez-vous? D’autres idées?

PROUVÉ: LES BOOSTERS CAUSENT UNE SURMORTALITÉ

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