Le Spectacle du Covid – par Toby Rogers.

J’avais l’intention de publier mon propre (double) article en premier, mais je fais passer celui-ci avant. C’est une rétrospective cinglante, très bien écrite, par un type épatant.

Mes lecteurs connaissent sûrement déjà la plupart des éléments évoqués ici mais après trois ans passés dans l’eau de la marmite, ça fait quelque chose de se rappeler d’un coup toutes ces saloperies – et tous ces salopards.

Source.


Le Spectacle du Covid

Pourquoi ces images ont-elles été choisies et qu’est-ce que ça nous apprend sur cette opération psychologique?

Toby Rogers

19 juillet

I. Introduction

Ces dernières semaines, je me suis penché sur le Spectacle du Covid. Plus j’y pense, plus je le trouve étrange. Ce qu’il y a de frappant dans les images emblématiques de la pandémie, c’est à quel point elles paraissent aujourd’hui artificielles. Ces photos étaient présentées comme des « informations de dernière minute », mais il semble aujourd’hui que presque toutes les images emblématiques de la pandémie aient été mises en scène de manière élaborée pour raconter une histoire particulière et obtenir certains résultats politiques.

Passons en revue quelques-unes des images clés de la pandémie et discutons ensuite de leur signification.


II. Des personnes « tombant raides mortes » dans les rues de Wuhan

Le Guardian a officiellement lancé la pandémie en publiant un article intitulé « Un homme mort dans la rue: l’image qui capture la crise du coronavirus de Wuhan« .

Héctor Retamal, basé à Shanghai et employé par l’Agence France-Presse (AFP), s’est rendu à Wuhan, a pris plusieurs photos qui ont été diffusées dans le monde entier par Getty Images.

À l’époque, cette photographie semblait constituer un scoop important et gênant pour le gouvernement chinois. Un mort dans la rue. Le « personnel d’urgence en combinaison de protection » a l’air surpris, ce qui sous-entend que le photographe ne devrait pas voir ça!

Mais réfléchissons un instant. En Chine, le photographe d’une agence de presse étrangère est surveillé dans ses moindres faits et gestes par un agent du Parti Communiste Chinois. Pour que M. Retamal puisse prendre cette photo, il aurait fallu que l’agent gouvernemental l’autorise à se trouver là, et cette autorisation aurait dû venir d’en haut. Même après que M. Retamal ait pris la photo, il avait encore à la faire sortir du pays. Pourtant, son gardien n’a pas confisqué l’appareil photo et ne l’a pas empêché d’accéder à l’internet, ce qui renforce l’idée que le gouvernement chinois souhaitait que cette photo soit diffusée. La question est de savoir pourquoi.

En outre, tout dans cette image est artificiel. Les gens ne tombaient pas raides morts dans la rue à cause de Covid. Le corps est trop ordonné – il est simplement tombé sur le dos dans une position de repos parfaitement confortable, sans aucun membre écarté du corps? On peut supposer que sa tête a heurté le trottoir, pourquoi n’y a-t-il alors pas de sang? Puisque le gouvernement a autorisé la photo, il est peu probable que ces travailleurs aient été surpris, on peut plutôt supposer qu’ils se sont tournés pour poser pour la photo afin de créer un effet maximal.

C’est ensuite devenu un style de reportage – d’infortunés travailleurs chinois en combinaison de protection et des gens qui meurent dans les rues de Wuhan. Le Daily Mail présente un montage vidéo particulièrement choquant de ces images: « On voit des hommes et des femmes incapables de se tenir debout dans la ville chinoise au cœur de l’épidémie de coronavirus ».

Swiss Policy Research a analysé les photos et les vidéos relatives au Covid de Wuhan et a conclu que nombre d’entre elles étaient des mises en scène ou n’avaient rien à voir avec le Covid (en fait, il s’agissait de « personnes ivres, de sans-abri, d’accidents de la route, d’urgences médicales non spécifiées et même d’exercices d’entraînement« ). Alors pourquoi ont-elles été diffusées et vendues au public comme des images liées au Covid?

Rétrospectivement, il apparaît aujourd’hui que l’on nous a présenté les scènes d’ouverture du film Contagion transposées de la salle de cinéma aux journaux. Contagion, plus que tout autre film, nous a préparés à attendre à ce que ça se produise, et finalement, sans aucun doute, ça se produisait!

Le virus mortel de ce film de fiction prend naissance en Asie, se propage par le biais de voyages internationaux bien intentionnés et, tout d’un coup, les gens tombent raides morts. Contagion met même en scène un marché asiatique à l’épicentre de l’épidémie.

Ian Lipkin, épidémiologiste à l’université de Columbia et consultant pour le film Contagion, faisait partie de l’équipe qui a dissimulé les origines de laboratoire du SARS-CoV-2 à la demande de Tony Fauci pendant les premiers jours de la pandémie – alors que le Guardian publiait la photo que j’ai montrée plus haut.


III. Le psychopathe milliardaire Bill Gates a forcé le Dr Sanjay Gupta à tâter du fouet tous les samedis soirs pendant des mois

Tous les soirs, au plus fort de la pandémie, alors que des millions d’Américains étaient enfermés chez eux sans rien faire, le psychopathe milliardaire Bill Gates, qui n’a pas terminé ses études secondaires, a acheté sa place dans l’émission Anderson Cooper 360 (CNN), où le Dr Sanjay Gupta, véritable neurochirurgien, a été contraint de traiter Gates comme l’expert de la pandémie.

Bill Gates a passé chaque interview avec un sourire en coin. Il n’a apporté aucun élément nouveau. Pourquoi un éminent neurochirurgien immigré a-t-il été contraint de poser des questions à Bill Gates plutôt que l’inverse?

Je pense que l’objectif non avoué des interviews Cooper/Gupta/Gates était multiple. Gates l’a fait pour humilier le Dr Gupta et la profession médicale. Il a montré qu’ils n’étaient que des marionnettes à louer, qui se moquaient de la science et dépouvus du moindre respect d’eux-mêmes.

Comme le souligne Robert Kennedy Jr., 80% des revenus d’Anderson Cooper 360 proviennent de Big Pharma, de sorte que l’apparition de Gates n’était qu’un placement de produit rémunéré qui vantait les mérites des vaccins à venir.

Gates semble également prendre plaisir à nous faire croire qu’il est l’architecte de notre destin. Gates est comme un pyromane qui bavarde avec une famille dans la rue tout en regardant leur maison brûler. Chaque samedi soir, au plus fort de la pandémie, Gates disait au peuple américain: « C’est moi qui vous ai fait ça et vous ne pouvez rien y faire parce que je suis richissime ». C’était un mélange étrange de Goebbels et de Mengele, et Gates l’a fait parce qu’il le pouvait et parce que c’est son truc.


IV. Images de New York

La ville de New York s’est vraiment surpassée en matière de théâtre pandémique. La ville de New York a connu les pires conséquences de la pandémie au monde. Mais c’est parce qu’elle a suivi docilement les directives mortelles et stupides du CDC et que les hôpitaux ont appliqué les mauvais protocoles (pas de prophylaxie ni de traitement précoce et une utilisation excessive des respirateurs qui a tué 90% des patients). Les images devenues emblématiques témoignent de l’incapacité de la ville de New York à faire preuve d’esprit critique et de logique face aux défis à relever.

Le navire hôpital de la marine américaine Comfort, qui contenait 1 000 lits et 1 200 membres du personnel médical, est resté pratiquement vide jusqu’à son départ.

Le centre de convention Javits a été transformé en un hôpital d’urgence de 3 000 lits. Lui aussi est resté pratiquement vide.

Mais les Pouvoirs en place voulaient que tout le monde sache que les choses allaient vraiment mal et que tout le monde allait mourir s’il n’obéissait pas.

En avril et mai 2020, des camions de morgue réfrigérés ont captivé l’imagination du public pendant des semaines. Mais ce n’était pas la conséquence du Covid en tant que tel, plutôt celle d’hôpitaux qui tuent 90% de leurs patients Covid en appliquant les mauvais protocoles. Une analyse de Jeffrey Tucker, du Brownstone Institute, a montré que les camions de morgue réfrigérés étaient devenus nécessaires parce que les maisons funéraires et les cimetières avaient été fermés, créant un goulot d’étranglement artificiel.

Et comme si les camions de morgue réfrigérés ne suffisaient pas, le NY Times, le Washington Post, Time Magazine, USA Today et d’autres publications grand public ont tous publié des photographies aériennes de la fosse commune de la ville de New York, sur Hart Island. Des analyses ultérieures ont remis en question l’idée d’une augmentation du nombre de ces enterrements, mais le message visuel de danger et de malheur était déjà fermement ancré dans l’imagination du public.

La ville de New York est donc devenue une étrange juxtaposition d’installations d’urgence vides et d’images du type « nous allons tous mourir », même si le cœur du problème découlait de mauvais protocoles hospitaliers et ds confinements, plutôt que du Covid lui-même.


V. Les infirmières dansantes

Rien n’a mieux illustré cette opération psychologique que les milliers de vidéos sur TikTok montrant des infirmières et des médecins dans des services hospitaliers vides, à un moment où le monde était confiné afin de « préserver la capacité d’accueil des hôpitaux ». Il s’agit de chorégraphies élaborées qui ont nécessité de nombreuses heures de travail, d’entraînement et d’enregistrement.

[NdT. la vidéo est différente sur la page originale. Elle est meilleure mais je ne peux pas l’incruster ici]

Les vidéos étaient peut-être spontanées – les infirmières avaient du temps libre, les vidéos de danse étaient populaires, TikTok explosait en popularité. Mais leur effet cumulatif revenait à dire: « Nous avons arrêté l’économie mondiale pour la première fois de l’histoire sous prétexte de préserver la capacité des hôpitaux, mais les hôpitaux sont vides, alors vous êtes les dindons de la farce ».


VI. Bombardement médiatique mondial coordonné des nations qui n’ont pas suivi le programme de Pharma

Alors que Pharma resserrait son emprise sur le monde entier, elle s’est engagée dans une opération « Clear and Hold » [NdT. opération militaire qui consiste à « nettoyer » une zone et à en prendre le contrôle] pour punir les nations qui n’obéissaient pas suffisamment à ses diktats.

La Suède a gardé ses écoles, ses frontières et son économie ouvertes et a refusé d’imposer les vaccins lorsqu’ils sont devenus disponibles. Les médias se sont donc lancés dans une longue campagne de bombardement numérique visant à contraindre la Suède à livrer ses citoyens au cartel. Leur rage s’est concentrée sur l’épidémiologiste suédois, Anders Tegnell, qui avait lu lui-même les preuves scientifiques et suivi les données (contrairement aux bureaucrates achetés aux États-Unis).

Voici un petit échantillon de cette haine numérique:

France 24, 17 mai 2020

« La stratégie Covid-19 de la Suède a provoqué une ‘amplification de l’épidémie' »

The New York Times, 7 juillet 2020

« La Suède est devenue un avertissement pour le monde entier »

Forbes, 7 juillet 2020

« La Suède est restée ouverte et plus de gens sont morts du Covid-19, mais la vraie raison pourrait être plus sombre »

Foreign Policy, 22 décembre 2020

« Les dessous de l’échec de la Suède dans sa lutte contre le coronavirus »

Chicago Policy Review, 14 décembre 2021

« L’approche non conventionnelle de la Suède face au Covid-19: Ce qui a échoué »

Il est presque comique d’y repenser aujourd’hui, étant donné que la Suède avait en fait la surmortalité la plus faible de toute l’Europe et qu’elle a été justifiée sur tous les plans. Mais l’industrie pharmaceutique avait un trillion de dollars de bénéfices à récolter et elle a utilisé les médias pour faire de la Suède un exemple tant qu’elle le pouvait.

D’autres n’ont pas eu cette chance. Le président de la Tanzanie, John Magufuli, a mis l’Organisation Mondiale de la Santé dans l’embarras en testant une chèvre et une papaye pour le Covid – les deux tests se sont révélés positifs. Le 8 février 2021, le Guardian, avec le financement de la Fondation Bill & Melinda Gates, a annoncé qu' »il est temps pour l’Afrique de mettre au pas le président anti-vax de Tanzanie« .

En effet, le chef de la mafia avait annoncé qu’il fallait liquider Magufuli. 37 jours plus tard, il était mort. Le Guardian s’en est réjoui, tout comme le reste des médias traditionnels. Mathew Crawford a publié un article extraordinaire documentant le nombre considérable de morts parmi les dirigeants africains qui ont résisté aux diktats Covid de Pharma.

Ensuite, un ou plusieurs États indiens ont eu la témérité de fournir à leurs citoyens des plaquettes contenant du zinc, de la doxycycline et de l’ivermectine (« kits Ziverdo ») – pour prévenir et traiter le Covid. L’industrie pharmaceutique y a vu une tentative de la priver d’un milliard de nouveaux clients de vaccins et a donc fait appel aux grands médias pour les bombarder jusqu’à ce qu’ils se soumettent. Voici ce qu’a été le bombardement en tapis pendant cinq semaines du seul New York Times:

Les images choisies pour illustrer les articles étaient macabres [NdT. ce sont des scènes assez courantes en Inde, où on procède régulièrement à des crémations groupées]:

Et puis, aussi vite que les attaques contre l’Inde sont apparues, elles ont disparu à nouveau, probablement parce que les autorités indiennes ont conclu un accord pour abandonner les médicaments existants sûrs et efficaces en faveur des vaccins Covid. (Si quelqu’un connaît l’histoire complète, merci de nous le faire savoir dans les commentaires).


VII. La campagne meurtrière de la FDA « Vous n’êtes pas un cheval »

En 2015, les chercheurs qui ont découvert l’ivermectine ont reçu le prix Nobel de médecine. L’ivermectine, un micro-organisme présent dans le sol au Japon, est un médicament miracle. Il s’agit d’un médicament à large spectre antiviral, antibactérien, antiparasitaire, anti-inflammatoire et anticancéreux qui n’entraîne pratiquement aucun effet secondaire. Frontline Doctors a constaté que l’ivermectine était remarquablement efficace pour prévenir et traiter le Covid s’il était utilisé à un stade précoce de la maladie. Cette constatation a été corroborée par un grand nombre de recherches scientifiques.

Face au succès de l’ivermectine et sachant qu’un médicament efficace disponible dans le commerce éliminerait le marché du vaccin contre le Covid, la Food and Drug Administration (FDA) a lancé une campagne nationale pour se moquer du médicament et empêcher les gens de se le procurer. Ce seul tweet a probablement entraîné la mort de milliers d’Américains:

Vous vous souvenez peut-être qu’au début de la pandémie, la FDA avait mené une campagne de dénigrement similaire contre l’hydroxychloroquine, la qualifiant de « nettoyant pour aquarium ».

Ce qui est étrange dans ces deux campagnes, c’est que la FDA et les CDC savaient qu’ils mentaient et qu’ils tuaient des gens par la même occasion.

Les propres recherches du CDC, publiées en 2005, ont conclu que « la chloroquine est un puissant inhibiteur de l’infection et de la propagation du coronavirus du SARS » (c’est littéralement le titre de l’article). Les États-Unis avaient stocké de l’hydroxychloroquine exactement pour ce genre d’urgence – et Trump n’a pas pu la libérer parce qu’il est incompétent et que l’État profond (Rick Bright) l’a bloqué (sur ordre de qui?).

Le tweet de la FDA « Vous n’êtes pas un cheval » est toujours en ligne. La FDA dit publiquement: « Oui, nous vous tuons, vous ne pouvez rien y faire, c’est ce que nous faisons désormais ».

La FDA n’est plus une agence de santé publique ou une agence de régulation (si elle l’a jamais été?) – c’est un bras de relations publiques « choc et effroi » [NdT. doctrine militaire basée sur des démonstrations de force spectaculaires pour annihiler la volonté de combattre de l’adversaire] de l’opération psychologique fasciste mondiale.


VIII. Le compteur de décès du Covid de CNN

Tout au long de la pandémie, CNN a rempli un quart de l’écran de toutes ses émissions avec un compteur de décès dus au Coronavirus pour rappeler aux gens qu’ils devaient avoir très peur.

Dans le même temps, CNN a veillé à ce que les téléspectateurs ne reçoivent aucune information sur les médicaments en vente libre efficaces. CNN a ainsi assuré pendant trois ans, 24 heures sur 24, un publireportage destiné à promouvoir les vaccins Covid, toxiques et mortels. L’ironie du tableau d’affichage des décès de CNN est donc que CNN elle-même était l’un des anges de la mort.


IX. Conclusion

Que devons-nous penser de ce que nous avons vu au cours des trois dernières années? Le Covid a été beaucoup de choses. Mais c’était avant tout un spectacle – une pièce de théâtre qui a réorganisé la société et qui a édicté que c’est ainsi que les choses allaient se passer désormais.

Image après image (j’en ai présenté une douzaine ici, mais vous pouvez certainement en trouver d’autres), on nous a présenté un nouveau style de guerre médiatique fasciste mondiale. Les photos contenaient de multiples messages – « Ayez très peur », « Le Covid va tuer tout le monde », mais le sous-texte était: « Le vrai pouvoir dans tout ça est invisible », « Nous mentons à propos de tout (ou est-ce que nous mentons?) », et « Il n’y a rien que vous puissiez faire à propos de tout ça à part obéir ».

Le premier coup de poing au visage a coupé la pensée rationnelle, puis les messages subconscients ont été conçus pour induire un sentiment d’impuissance.

La propagande de guerre traditionnelle consiste à dire : « Ah ah! Nous sommes les meilleurs! L’autre camp est diabolique! Nous allons gagner! » C’est ce que nous avons vu lors des différentes guerres d’Irak et de toutes les interventions militaires américaines depuis l’apparition des téléviseurs. Ce que nous avons vécu ces trois dernières années est bien plus sinistre que ça. La guerre numérique du Covid semble conçue pour humilier et démobiliser le peuple américain en vue de son extermination.

Je dois cependant ajouter un élément supplémentaire. Les pouvoirs en place utilisent la propagande parce qu’elle fonctionne. Les images sont des outils puissants. Les photos et les vidéos agissent sur le subconscient. Ainsi, même si nous discutons rationnellement des méfaits de cette campagne de propagande, le simple fait de partager à nouveau les images ici est délicat, car les revoir produit un effet. Il a été traumatisant d’écrire cet article – même si je sais que les images sont fabriquées, elles affectent encore mon psychisme.

La manière de contrer ces images n’est PAS de les partager à nouveau et de les analyser comme le fait Noam Chomsky dans son livre « La Fabrication du Consentement ». Il est préférable de partager des photos, des histoires et des vidéos de lésions causées par les vaccins. C’est pourquoi ils nous censurent tant sur les médias sociaux – ils savent que les images que nous possédons des horreurs infligées par le fascisme pharmaceutique sont ce qui renversera le cours des choses. Bénédictions donc à tous les guerriers qui partagent des photos, des histoires et des vidéos sur leurs blessures vaccinales et bravo aux groupes tels que React19 qui rassemblent ces témoignages et les distribuent au monde entier. Cliquez sur Rumble pour regarder le clip Silence, écrit par Julie Elizabeth et interprété par April – toutes deux victimes de lésions vaccinales.


Bénédictions aux guerriers. 🙌

Prières pour tous ceux qui se battent pour arrêter l’iatrogénocide. 🙏

Bravo à tous ceux qui construisent la société alternative que nos cœurs savent possible. ✊

Dans les commentaires, faites-moi part des images emblématiques de cette opération psychologique qui continuent de vous énerver.

Comme toujours, les corrections sont les bienvenues.

6 commentaires sur “Le Spectacle du Covid – par Toby Rogers.

    1. Bonjour Annette,

      merci aussi pour le lien vers l’article de Toby. Je l’avais déjà lu, il est très intéressant quoiqu’un peu réducteur: ce n’est jamais une seule cause. L’être humain est trop complexe pour qu’il se comprenne lui-même, je pense.

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