Comment aggraver une pandémie – par The Underdog.

The Underdog a consacré de nombreux articles aux protocoles officiels mortels, dont font partie les meurtres au Midazolam mentionnés ici. Le Dr Pierre Kory, une star de la « résistance », a tenté en vain sur son Substack de contrer ses analyses, parce qu’il refuse de croire que ses collègues puissent avoir été à ce point mal intentionnés – raison pour laquelle vous ne lirez jamais un mot du Dr Kory sur ce blog.

J’ai glissé dans quelques conversations le fait qu’on a tué des dizaines de milliers de vieillards dans les maisons de repos (voir méthode ci-dessous): la réaction va d’une paralysie soudaine, avec regard du cerf dans les phares de voiture, à la panique suivie d’un repli au petit trot (ce qu’on appelle « partir en courant »). Faites le test, vous verrez.

Source.


Comment aggraver une pandémie…

Approchez, les amis, c’est du lourd!

The Underdog

11 sept. 2023

plafonner la prescription d’antibiotiques:

Le graphique ci-dessus est tiré de la base de données britannique des prescriptions ouvertes et montre que les prescriptions ont diminué en janvier 2020 – le « début de la pandémie » proclamé – et ont stagné en avril 2020, avant de repartir à la hausse en juillet 2021.

Si le mois d’avril 2020 vous semble vaguement familier (pour nos lecteurs les plus anciens, c’est le cas), c’est parce que les mois de mars à avril 2020 sont associés aux meurtres au Midazolam.

Échos des meurtres au Midazolam

Pour les nouveaux lecteurs qui ne connaissent pas les meurtres au Midazolam, voici un bref résumé:

Un pic de Midazolam, un sédatif (mais pas un analgésique), a été noté dans les prescriptions britanniques entre mars 2020 et avril 2020 (en même temps que d’autres médicaments)…

… ces prescriptions ont coïncidé avec une augmentation soudaine du nombre de décès – 17 316 – chez des patients âgés décédés des suites d’une démence, ce qui a été jugé suspect dans un article révisé par des pairs…

Selon l’Office of National Statistics, 17 316 patients sont décédés en Angleterre en avril 2020, avec la mention « démence et maladie d’Alzheimer » sur leur certificat de décès. Ce nombre de décès est près de trois fois supérieur aux prévisions, par rapport à la moyenne quinquennale pour le mois d’avril (annexe).

…ces décès ont été rétroactivement et comme par magie déclarés comme décès dus au COVID-19 (sans aucune preuve; le test PCR n’était pas disponible)…

… même s’il est connu que le Midazolam déprime la respiration et entrave la récupération, c’est-à-dire qu’il s’agit d’un médicament que l’on utilise pour tuer et non pour soigner. Matt Hancock a été surpris à conspirer avec le Dr Luke Evans pour commander de grandes quantités de Midazolam [NdT. Matt Hancock était Secrétaire d’État de la Santé et de l’Aide sociale jusqu’en juin 2021]…

Dr Evans: Les pousse-seringues sont utilisés pour administrer des médicaments tels que le midazolam et la morphine. Avez-vous mis en place des précautions pour s’assurer que nous disposons de suffisamment de ces médicaments?
Matt Hancock: Oui. Nous avons un grand projet pour nous assurer que les chaînes d’approvisionnement mondiales pour ce type de médicaments, ainsi que pour les médicaments d’unités de soins intensifs dont j’ai parlé plus tôt, soient fiables. En fait, ces médicaments sont fabriqués dans un nombre relativement restreint d’usines à travers le monde, il s’agit donc d’une chaîne d’approvisionnement délicate et nous sommes en contact avec l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement.

…et a fini par acheter pour deux ans de Midazolam à une société pharmaceutique française, Accord, par l’intermédiaire du Ministère de la Santé et de l’Aide sociale (une fameuse aide sociale, en l’occurrence). De toute évidence, il s’agissait de tuer les personnes âgées.


Les lecteurs qui souhaitent se familiariser avec les spécificités des meurtres au Midazolam sont vivement encouragés à lire les articles détaillés du Daily Beagle, qui présentent les différents médicaments, les raisons de leur toxicité et les raisons pour lesquelles nous concluons qu’il s’agit d’un meurtre prémédité. Il y a beaucoup plus à lire que la préface ci-dessus:

L’assassinat en masse des personnes âgées (introduction de base)

Les médicaments de la peine de mort utilisés par les établissements de soins (article le mieux noté)

Mystères des meurtres au Midazolam: qui est le Dr Evans?

[NdT. trois articles extrêmement bien écrits et documentés que je n’ai pas traduits, sorry]


Les antibiotiques ont-ils été bloqués uniquement au Royaume-Uni?

Des preuves ont été recueillies dans d’autres pays grâce à l’aide de l’armée des souris.

Les comptes Aquarius-elect et Mouse140 ont remarqué une baisse des prescriptions d’antibiotiques en Allemagne et ont fourni des graphiques à leur tour. Nous présentons l’original en allemand et sa traduction juste en dessous.

Le titre du graphique ci-dessous (tiré d’ici) est le suivant: « Verorgnungen von Antibiotics » :

Verorgnungen von Antibiotika vor und nach Ausbruch der COVID-19-Pandemie

Ce qui se traduit par:

« Prescriptions d’antibiotiques avant et après l’apparition de la pandémie de COVID-19 ».

‘bis’ signifie ‘jusqu’à’, ‘ab’ signifie ‘à partir de’ et ‘Jahre’ signifie ‘ans’. Les catégories énumérées sont donc des catégories d’âge: 19 à 65 ans; à partir de 66 ans; 7 à 18 ans; jusqu’à 6 ans.

Toutes les catégories d’âge ont connu une baisse massive des prescriptions d’antibiotiques en Allemagne aux alentours de mars-avril 2020 (’04 2020′). Ce n’est donc pas uniquement dû à l’assassinat de mamie dans les maisons de retraite avec du Midazolam.

Mouse140 a également fait référence à un autre article allemand, montrant que le G7 (Groupe des Sept; un organisme intergouvernemental non démocratique) souhaite ajuster l’utilisation des antibiotiques d’ici 2023 (c’est nous qui soulignons)…

[…] die G7-Staaten vor, « die stille Pandemie von Antibiotikaresistenzen » mit allen Kräften zu bekämpfen. Dafür wollen sie aktiv die Forschung und Entwicklung neuer Antibiotika fördern. Um den sachgerechten Einsatz von Antibiotika zu verbessern, wollen sie zudem bis Ende 2023 nationale Ziele festlegen.

Traduction:

[…] les pays du G7 appellent à lutter de toutes leurs forces contre « la pandémie silencieuse de la résistance aux antibiotiques ». À cette fin, ils veulent promouvoir activement la recherche et le développement de nouveaux antibiotiques. Afin d’améliorer le bon usage des antibiotiques, ils souhaitent également fixer des objectifs nationaux d’ici à la fin 2023.

…l’article montre également que les grandes entreprises pharmaceutiques ont cessé de fabriquer de nouveaux antibiotiques parce que les pays ne les prescrivent pas, de sorte qu’elles fonctionnent à perte (c’est nous qui soulignons):

[…] Viele große Pharmafirmen haben sich derweil aus der Entwicklung neuer Antibiotika zurückgezogen. Denn neue Antibiotika werden vielfach als Reserveantibiotika eingesetzt – das bedeutet, sie werden so selten wie möglich verschrieben. In einem System, das nach Volumen vergütet, sind Reserveantibiotika ein Verlustgeschäft.

Traduction:

[…] Entre-temps, de nombreuses grandes entreprises pharmaceutiques se sont retirées du développement de nouveaux antibiotiques. En effet, les nouveaux antibiotiques sont souvent utilisés comme antibiotiques de réserve – c’est-à-dire qu’ils sont prescrits le moins souvent possible. Dans un système basé sur les volumes, les antibiotiques de réserve sont une proposition déficitaire.

Les prescriptions diminuaient alors que les infections augmentaient

Le Zentralinstitut für die kassenärztliche Versorgung (ou Zentralinstitut kassenärztliche Versorgung; Institut central des médecins de l’assurance maladie obligatoire), présente un graphique particulièrement accablant :

Le titre de la page se lit comme suit: Grafik des Monats März 2023 [Graphique du mois de mars 2023].

Le titre du graphique se lit comme suit: Anzahl Patient: innen mit infektionen der oberen Atemwege in vertragsarztlicher Behandlung (Nombre de patients atteints d’infections des voies respiratoires supérieures traités par un médecin du panel).

Le bleu est: Pat mit Diagnose infektion der oberen Atemwege (Pat[ient] avec diagnostic d’infection des voies respiratoires supérieures).

Le vert est: Pat mit Diagnose infektion der oberen Atemwege und Antibioikum (Pat[ient] avec diagnostic d’infection des voies respiratoires supérieures et antibiotique).

Encore ce graphique:

En d’autres termes, malgré le fait que des personnes aient été diagnostiquées avec des infections des voies respiratoires supérieures (bleu), passant de < 10 millions (« Mio. ») en 2018 à >15 millions en 2019… la prescription d’antibiotiques (vert), en moyenne, continuait à diminuer. Remarquez qu’en 2021, le vert diminue alors même que le bleu augmente.

En d’autres termes, pour les personnes souffrant d’une infection des voies respiratoires, on leur refusait les antibiotiques (même si une augmentation des infections le justifiait).

Idem pour l’Écosse

En avril dernier, le Scottish Unity Group a constaté qu’en avril 2020 (’04 2020′), les prescriptions d’antibiotiques ont ‘stagné’ pour de nombreuses classes d’antibiotiques bien connus, et que cette tendance a persisté jusqu’en mars 2021. Comme d’habitude avec les statistiques gouvernementales, l’ensemble des données est incomplet car le gouvernement ne veut pas publier de preuves accablantes:

Crédit: Scottish Unity Group. Source des données: NHS Opendata

Les prescriptions américaines ont également chuté

Selon clincalc, une base de données publique sur les prescriptions mieux organisée que celle du gouvernement américain, les antibiotiques tels que l’azithromycine ont diminué d’une année sur l’autre:

Parmi les autres antibiotiques en baisse jusqu’en 2020, on peut citer:

La tobramycine:

La néomycine (dans le cadre d’un hybride Dexaméthasone; néomycine; polymyxine B; il n’y avait pas de données autonomes):

La clindamycine:

La clarithromycine:

La gentamicine (également connue sous le nom de garamycine) :

La colomycine, l’aknemycine, la cidomycine, la vancomycine et la fosfomycine n’avaient pas de données.

L’érythromycine est le seul antibiotique à avoir connu une légère augmentation, sans toutefois dépasser les niveaux d’avant 2020 (voir l’augmentation du nombre de patients, ligne rouge):

…et la vibramycine (alias la doxycycline):

Il convient de noter que la très légère augmentation des prescriptions de doxycycline (environ 2 à 3 millions) ne suffirait pas à compenser l’énorme baisse des prescriptions d’azithromycine, qui ont chuté de plus de 30 millions d’unités:

C’est sans compter la baisse des autres antibiotiques. Les patients infectés par des bactéries ne disparaissent pas en masse; où ont disparu ces cas d’infection bactérienne? Et s’ils n’ont pas « disparu », pourquoi les prescriptions d’antibiotiques ont-elles chuté aussi brutalement?

La pneumonie ressemble toujours une montagne russe

Au cas où vous auriez l’étrange idée que les gens sont mystérieusement infectés à des taux très rigides et constants pour justifier rétroactivement le refus de l’évidence, ne vous donnez pas la peine.

Jessica Rose, en utilisant les données du système de surveillance de la mortalité du Centre national des statistiques de santé des États-Unis, a démontré que les chiffres de la mortalité due à la pneumonie ressemblaient toujours à des montagnes russes, sauvages et très fluctuantes:

Jessica Rose a ensuite publié un autre graphique montrant la forte augmentation du nombre de décès dus à la pneumonie par rapport aux taux historiques:

Pour ceux qui ne sont pas familiers avec la médecine, la pneumonie est un terme « fourre-tout » qui désigne les symptômes liés aux infections des voies respiratoires (« Pneuma » en grec signifie « souffle »).

Ces symptômes peuvent être causés par de nombreux types d’infections, y compris des bactéries. Les étudiants en médecine se rappelleront le dicton de Hickam :

Les patients peuvent avoir autant de maladies qu’ils le souhaitent

En d’autres termes, à la différence du Rasoir d’Occam, il y a rarement « une réponse unique et simple », mais une multitude de réponses. Une faiblesse dans un système corporel aura des répercussions sur d’autres systèmes. Une personne peut être infectée par plusieurs éléments à la fois, y compris des virus, des bactéries, des parasites et des moisissures [NdT. je rappelle que j’avais soulevé la question il y a trois ans dans le cadre du Covid, et que j’attends toujours la réponse].

L’infection bactérienne secondaire est un bon prédicteur de la mort dans le COVID-19

Selon cette étude:

D’où pourrait bien provenir l’infection bactérienne? Eh bien, il y a un certain nombre de sources possibles. Dans l’enquête approfondie du Daily Beagle sur les unités de soins intensifs intitulée « Death By Dehydration In ICU«  (Mort par déshydratation dans les unités de soins intensifs), nous avons découvert qu’il était bien connu que les respirateurs pouvaient être à l’origine d’infections bactériennes.

Citons « Managing humidity support in intubated ventilated patients with coronavirus disease 2019 (COVID-19)«  (Gestion de l’humidité chez les patients intubés ventilés atteints d’une maladie à coronavirus 2019 (COVID-19)):

Une étude a montré qu’un système de circuit de ventilation conventionnel réutilisable et un système de circuit de ventilation jetable combiné à un humidificateur chauffé à remplissage automatique et à un cathéter d’aspiration fermé développaient un grand nombre de bactéries dans les circuits de ventilation.

Dans un article plus récent, nous avons souligné que les masques favorisent la rétention de l’humidité, ce qui entraîne la prolifération des bactéries et des moisissures [NdT. je connais personnellement quelqu’un qui a développé une pneumonie Covid après avoir porté un masque – pour la première fois – pendant trois heures lors d’une réunion]. Au cours d’un débat avec Geoff Pain, trois études ont été citées à l’appui de cette thèse:

« Bacterial and fungal isolation from face masks under the COVID-19 pandemic » (isolement bactérien et fongique à partir de masques dans le cadre de la pandémie COVID-19), qui a étudié des personnes au Japon (le Japon a une culture de port de masque antérieure à 2020, donc si quelqu’un doit savoir comment porter un masque, ce sont bien les Japonais) :

L’étude a révélé la présence de bactéries résistantes aux antibiotiques sur tous les masques échantillonnés. Elle a également mis en évidence que, même au sein d’une culture japonaise responsable, seuls 21 % des gens lavaient leur masque. De toute évidence, le lavage des masques n’a pas permis d’éliminer les bactéries.

« Cotton and Surgical Face Masks in Community Settings : Bacterial Contamination and Face Mask Hygiene«  (Masques de coton et chirurgicaux en milieu communautaire : contamination bactérienne et hygiène des masques) a révélé que les masques devaient être correctement stérilisés (bouillis ou au moyen de stérilisateurs antibactériens) ou jetés en raison d’une contamination bactérienne:

Et au cas où vous penseriez que les professionnels de la santé échappent à ce problème, l’étude « Evaluation of the bacterial contamination of face masks worn by personnel in a center of COVID 19 hospitalized patients: A cross-sectional study«  (Évaluation de la contamination bactérienne des masques portés par le personnel dans un centre de patients hospitalisés COVID 19: étude transversale) a révélé que les masques des professionnels de santé étaient également fortement contaminés par des bactéries:

Donc, si nous sommes en présence de toutes ces sources bactériennes nocives, où l’infection bactérienne secondaire est un bon prédicteur de décès dans COVID-19, pourquoi les antibiotiques n’ont-ils pas été prescrits au cours de cette période?

Et par contraste, avant que vous ne trouviez une excuse en disant « mais qu’en est-il des confinements? », voici le graphique des prescriptions d’antiviraux. Remarquez qu’il n’y a pas de courbe plate suspecte en 2020-2021:

Le graphique ci-dessus est d’autant plus accablant qu’il montre que les médecins n’ont même pas pris la peine d’utiliser des antiviraux pour tenter de traiter une infection virale. S’ils ne prescrivent pas d’antibiotiques ou d’antiviraux, comment diable vont-ils combattre cette infection?

L’Australie déclare qu’il est inapproprié d’administrer des antibiotiques aux personnes âgées vulnérables

Selon la Commission australienne pour la sécurité et la qualité des soins de santé (une appellation malicieusement ironique, sans aucun doute), les personnes âgées recevraient des antibiotiques de manière « inappropriée », mais on remarquera que cette commission ne présente aucune preuve à l’appui de ses audacieuses affirmations:

Les maisons de retraite australiennes présentent des niveaux élevés de prescription inutile d’antimicrobiens et d’utilisation inappropriée d’antimicrobiens. Près d’un résident sur dix des maisons de retraite ayant participé à l’AC NAPS s’est vu prescrire au moins un antimicrobien.

Ah, s’en prendre aux personnes âgées dans les maisons de retraite qui ne peuvent pas se défendre. C’est très courageux.

Ironiquement, le journal cite même en exemple les infections bactériennes induites par les respirateurs:

Attendez, vous voulez dire qu’il est inapproprié de donner des antibiotiques à des personnes pour des infections bactériennes que vos propres interventions provoquent? C’est comme si un pyromane disait qu’il est inapproprié d’appeler les pompiers chaque fois qu’il provoque un incendie.

L’Australie demande aux professionnels de la santé de ne pas utiliser d’antibiotiques

La « National Clinical Evidence Taskforce » (« Groupe de travail national sur les preuves cliniques ») australienne demande carrément aux professionnels de la santé de ne pas prescrire d’antibiotiques pour le COVID-19, sans même tenir compte de la nuance des circonstances (l’azithromycine est un antibiotique):

Ce même rapport leur indique même de ne pas prescrire de vitamine C non toxique (que l’on trouve dans les agrumes comme le citron et le citron vert), de vitamine D (produite naturellement par la peau grâce à l’exposition au soleil), de zinc (que l’on trouve naturellement dans les graines de citrouille, par exemple), ou « d’autres traitements qui modifient l’évolution de la maladie »:

C’est littéralement l’ordre de ne pas traiter la maladie, parce que tous les traitements modifient la maladie. Cela implique que les médicaments qu’ils recommandent ne modifient pas la maladie, c’est-à-dire qu’ils ne la traitent pas.

Il s’agit clairement d’un acte malveillant

Ils se plaignent de la résistance aux antibiotiques, mais lorsque les sociétés pharmaceutiques leur proposent de nouveaux antibiotiques, soudainement et mystérieusement, ils ne sont pas intéressés. Ils peuvent déverser des milliards dans Pfizer pour vous injecter du poison, mais ils n’ont pas d’argent à consacrer aux antibiotiques.

C’est l’équivalent politique de quelqu’un qui dit qu’il est en train de mourir et qu’il a besoin d’aide, mais lorsqu’un ambulancier se présente pour le soigner, il lui demande de partir car on n’a pas besoin de lui.

C’est exactement la modalité à laquelle on s’attendrait de la part de quelqu’un qui fait tout son possible pour ne pas soigner ses patients. Ils prodiguent tous les pires conseils, mettent en œuvre des interventions qui provoquent des infections bactériennes, puis refusent de traiter les foyers d’infection qu’ils ont eux-mêmes créés.

Résumé

La prescription d’antibiotiques au Royaume-Uni de janvier 2020 à juillet 2021 a stagné, le creux d’avril 2020 coïncidant avec les meurtres au Midazolam.

Des baisses anormales de la prescription d’antibiotiques ont été observées en Allemagne, en Écosse et en Amérique. Les antiviraux n’ont pas connu de baisse aussi marquée que les antibiotiques, mais leur utilisation n’a pas augmenté non plus.

L’Allemagne et l’Australie ont toutes deux émis des avis contre l’utilisation des antibiotiques, l’Australie s’opposant même aux traitements « modificateurs » de la maladie en général.

Cette baisse des prescriptions d’antibiotiques s’est produite alors même que le nombre de décès dus à la pneumonie augmentait, bien que les bactéries soient l’une des causes possibles de la pneumonie. Les infections bactériennes secondaires associées au COVID-19 étaient fortement corrélées à la mortalité.

Il a été démontré précédemment que les respirateurs et les masques sont des sources possibles de bactéries dans les voies respiratoires. La combinaison de politiques qui favorisent la prolifération des bactéries et le refus malveillant d’administrer des antibiotiques témoigne d’une évidente tentative malveillante d’aggraver la pandémie.

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