Je reviens…

pour trois raisons.

Un, les « crises » ne sont pas terminées. Vous aurez probablement remarqué. Selon une interview de 1988 du Dr Lawrence Dunegan, qui exposait le programme pour les décennies à venir, elles ne feraient même que commencer. Pour les gens patients, je traduirai (gratuitement) – il existe un bouquin (payant) en français écrit par un québecois pas exagérément sérieux (cf point suivant).

Deux, j’ai continué à éplucher Substack et à écouter NoAgenda – énormément de matière, pas non plus trop sérieusement traitée par mes collègues francophones – dont certains n’hésitent pas à me piquer mes sources, c’est bien naturel. Je les traiterai donc moi-même.

Trois, alors que je n’y ai encore rien publié, j’ai plus d’abonnés sur Substack que sur ce blog. Pour faire d’une pierre deux coups, j’y écrirai donc (en anglais) et je relaierai ici (en français), ce qui ne change pas beaucoup la formule, si ce n’est que j’en serai un des auteurs.

Qui me suit sur Substack? Des lecteurs lassés d’infos contradictoires, de théories exotiques, de débats inutiles, de loyautés toxiques, et de la suspicion tenace, souvent justifiée, d’avoir affaire à de l’opposition contrôlée ou tout au moins orientée. Le tout dans un climat de fatigue générale, issu de ce qu’on subit depuis maintenant quatre ans – et de la perspective de ce qui est annoncé. Ce serait donc utile de sortir du fantasme, de la naïveté et du découragement qui les accompagne. Mon genre de boulot.

Et pour citer notre ami James, je n’avais pas démissionné.

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