« Ils » nous ont balancé des turbo-cancers mais heureusement, ils ont la solution. Ou pas.
Au fait, ça concerne qui exactement? Le désormais célèbre parlementaire britannique Andrew Bridgen nous explique cette petite scène. C’est de l’humour british pince-sans-rire. Ou pas.
En février, j’ai été menacé par le gouvernement. Un ministre très, très haut placé, qui était un de mes amis et qui m’a fait entrer en politique, s’est approché de moi dans le salon de thé – et c’est sa parole contre la mienne – il s’est approché de moi et m’a chuchoté à l’oreille: « Tu peux parler autant que tu veux, Andrew. Tu es vacciné, tu vas bientôt mourir d’un cancer ». Quel genre de personne est capable de dire ce genre de chose?
I was threatened in February by the government. A very, very senior Minister who used to be a friend of mine, he got me into politics, came up to me in the tea room – and it’s his word against mine – but I mean, he came up and whispered in my ear « You can speak up all you want to, Andrew. You’re vaccinated, you’re going to be dead of cancer soon ». What sort of person would say that to anybody?
Le cancer de Kate Middleton et celui de son beau-père ne sont pas non plus d’heureux présages.
Wait and see…
L’ARNm personnalisé arrive à grands pas,
…mais cela guérira-t-il le cancer comme on le prétend?
18 janvier 2024
Moderna, sponsorisé par Merck, a mené des essais expérimentaux sur son « vaccin » anti-cancer ARNm-1457/V940. Voici comment il est censé fonctionner: les chercheurs prélèvent sur une personne des cellules cancéreuses de la tumeur et procèdent à un séquençage génétique à la recherche de protéines anormales. Lorsqu’ils trouvent ces protéines anormales, ils en choisissent une et concoctent un ARNm codé pour que les cellules humaines normales fabriquent cette protéine. Ils injectent ensuite cet ARNm à la personne cancéreuse. L’idée est de créer une réponse immunitaire contre cette protéine. En fin de compte, les cellules T cytotoxiques seront capables de reconnaître les cellules cancéreuses qui contiennent cette protéine et de les détruire, éliminant ainsi le cancer. Ça a l’air bien, non?
Ok, réfléchissons un peu. L’ARNm doit être introduit dans les cellules. Comment font-ils? Exactement de la même manière qu’avec les injections covid… en encapsulant l’ARNm dans des nanoparticules lipidiques qui se diffuseront PARTOUT. Il y aura alors des cellules normales tout au long du système vasculaire et dans les tissus organiques, y compris le cerveau, qui produiront la protéine anormale. La réaction du système immunitaire sera de détruire ces cellules normales. En fonction de l’endroit où cette destruction a lieu et de l’ampleur de cette destruction, dont rien ne peut être prédit, diverses pathologies surviendront.
Pendant que la protéine anormale est fabriquée, les cellules T-helper, qui sont constamment à la recherche de protéines anormales, seront activées. Elles activeront à leur tour les cellules T cytotoxiques, qui se cloneront elles-mêmes. Ces cellules T cytotoxiques ont le pouvoir de détruire les cellules qui portent ou contiennent la protéine anormale. Les cellules cancéreuses seront assurément détruites, mais les cellules saines qui fabriquent la protéine anormale seront également attaquées.
Ils ne s’y prennent pas de la bonne façon. Ils apprendront à leurs dépens qu’il ne faut pas fabriquer davantage de protéines anormales, mais renforcer la capacité du système immunitaire à reconnaître les protéines anormales déjà produites par les cellules cancéreuses.
Voici ce qui nous attend ensuite. Ils vont vous convaincre qu’ils peuvent concocter de l’ARNm pour coder des protéines NORMALES, comme l’insuline, l’injecter à des personnes qui ne peuvent pas produire d’insuline et guérir le diabète. Cela semble bien, mais n’oubliez pas qu’ils doivent faire pénétrer cet ARNm dans vos cellules. Pour ce faire, ils utilisent une bulle de graisse non toxique astucieusement enveloppée de cholestérol et de DSPC, des graisses corporelles normales, afin qu’elle soit acceptée par toutes les cellules de l’organisme. À l’intérieur de cette bulle de graisse se trouvent de plus petites bulles de graisse qui contiennent l’ARNm. Malheureusement, ces petites bulles de graisse sont toxiques, restent sur place après la libération de l’ARNm, peuvent s’accumuler dans certains tissus et perturber les mitochondries de ces cellules, affectant ainsi leurs fonctions. Ce problème a été abordé dans mon Substack, ici.
L’insuline codée par l’ARNm injecté est donc une protéine normale, ce qui signifie que le système immunitaire n’attaquera probablement pas les cellules qui la fabriquent. Mais un autre problème se pose. Des cellules de l’organisme produisent maintenant de l’insuline alors qu’elles ne devraient pas en produire. La manipulation de la production d’insuline dans des cellules non productrices d’insuline pourrait avoir des conséquences.
Tout d’abord, la production d’insuline est étroitement régulée par le système endocrinien. Cette régulation pourrait facilement être perturbée, entraînant des déséquilibres dans l’homéostasie du glucose et des effets indésirables potentiels. Deuxièmement, les cellules ont des fonctions spécialisées et le fait de modifier leurs fonctions pour produire de l’insuline peut interférer avec leurs rôles normaux. Troisièmement, même si la protéine produite est une protéine normale, l’ARNm qui code pour cette protéine n’a pas sa place dans certaines cellules. Les récepteurs de type Toll peuvent identifier la présence de cet ARNm et demander la destruction de ces cellules. Enfin, si divers types de cellules fabriquent trop d’insuline, l’organisme pourrait ne pas être en mesure de réguler sa production, ce qui entraînerait une hypoglycémie (baisse du taux de sucre dans le sang).
La technologie de l’ARNm ne nous sauvera pas des maladies chroniques que nous nous infligeons et ne préviendra pas non plus les maladies transmissibles. Nous devons cesser d’essayer d’être plus malins que Dieu, sinon nous allons au-devant de graves problèmes.
Merci de m’avoir lu et de rester intelligent.