$.

Hello happy taxpayers.

Entre 1998 et 2015, on a perdu la trace dans le bilan comptable du Pentagone de 21 trillions de dollars.

C’est exact, 21 trillions. Vingt-et-un mille milliards. Vingt-et-un avec douze zéros après : 21.000.000.000.000$.

Evaporés.

Ce qui fait 65.000$ par citoyen américain.

Deux personnes vous expliqueront ça mieux que moi. De un, Catherine Austin-Fitts de Solari Report, qui connaît le système de l’intérieur en tant qu’ancien agent et dont j’ai traduit un article ici. De deux, Mark Skidmore (pas de lien familial), ici interviewé par James Corbett. Mark Skidmore a longuement mené l’enquête de terrain sur cette surprenante disparition. Sans grand succès.

L’histoire commence le 10 septembre 2001, quand le secrétaire d’Etat à la Défense d’alors, un certain Donald Rumsfeld, annonce lors d’une conférence de presse (voir à 14’10) que, depuis 1998, on a perdu la trace de 2,3 trillions de dollars. Ce chapitre est clos moins de 24 heures plus tard, lorsque l’aile du Pentagone où siègeait l’enquête administrative y afférente est malencontreusment détruite par un missile – précision aimablement fournie par M. Rumsfeld lui-même lors d’une interview (transcription sur le site officiel du Département de la Défense) où sa langue a fourché (le surmenage, probablement) :

Here we’re talking about plastic knives and using an American Airlines flight filled with our citizens, and the missile to damage this building and similar (inaudible) that damaged the World Trade Center.

Pas besoin de se perdre en recherches de théories complotistes et autres formes d’opposition potentiellement contrôlée : demandez à M. Rumsfeld. Il est au-dessus de tout soupçon. Tout comme son sous-secrétaire d’Etat, Paul Wolfowitz. Ainsi que Richard Perle. Mais je digresse.

Revenons au sujet. La somme totale continue à s’alourdir jusqu’en 2015, date à laquelle le trou a été multiplié par dix, toujours sans le moindre début de traçabilité. Officiellement, ce sont des fonds transférés, à titre d’ajustements de budget successifs, de la Trésorerie vers diverses agences gouvernementales, militaires en l’occurence. A titre d’exemple, un de ces ajustements se monte à 800 milliards, sur un budget initial de 122 milliards. Faites le calcul et demandez-vous si appeler « ajustement » une somme de plusieurs ordres de grandeur supérieur au montant de base ne paraît pas un peu louche. Ne le demandez toutefois pas aux responsables de ces transferts : la seule explication fournie à ce jour – à Mark Skidmore, qui a vraiment dû insister – est que cette disparition est due à un manque de communication entre les systèmes informatiques des différentes comptabilités, qui sont malheureusement obsolètes – j’invente pas. On transfère donc 21 trillions de dollars sans avoir de quoi s’offrir un système informatique de gestion efficace. Si vous croyez celle-là j’ai un pont à vous vendre.

En résumé, personne ne sait où est passé ce pognon et ceux qui le savent se taisent. 99,99% du public n’en a jamais entendu parler puisque ça n’a fait l’objet que de mentions très brèves dans les media, alors que c’est un des plus grands scandales financiers de l’Histoire.

Mais, comme dirait M. Spock, j’ai une hypothèse.

La première bonne question serait : qui?

Pour y répondre, demandons : comment?

Et nous aurons le pourquoi.

Qui peut escamoter une somme pareille sans laisser de trace? Vu la taille et l’opacité de l’opération au niveau national, c’est à un détournement transnational qu’on a vraisemblablement affaire. Qui possède les outils nécessaires à ce niveau?

Au hasard, ça ne serait pas le cartel bancaire international (et en video)? Ils ont l’outil – leur réseau tentaculaire – et assurément le motif – le contrôle continu de la société humaine, à leur propre profit, et de ses versions futures, dont celle qui est en train de se mettre en place. Demandez-vous pourquoi un durcissement du pouvoir et de ses mesures de « crise » – le nouveau normal – alors que l’épidémie est essentiellement terminée.

Cette opération s’ajoute à une longue liste de rafles multiformes. De guerres fabriquées en contrats de reconstruction, de crises ponctuelles en endettements éternels, de faillites financières en rattrapages publics, le système économique, avec l’aide du système socialiste de taxation, son valet politique, a servi essentiellement à ponctionner des quantités phénoménales de pognon à un petit peuple sous contrôle. Aujourd’hui, comme pour le cambriolage artisanal, il faut moderniser l’outil. Le reset global post-corona qu’on nous vend actuellement est une mise à jour en profondeur du système financier qui ne dit pas son nom. La technologie de surveillance en est le nouveau moteur. Après avoir utilisé successivement comme contre-valeur l’or, les empires nationaux, la production industrielle adossée au consumérisme puis le brevetage du vivant, on en arrive à la conclusion logique : la pleine possession technocratique et biologique de l’humain. Qui permettra au cartel bancaire de se servir de ses banques centrales pour imposer un pouvoir global en direct sur l’individu, grâce à sa monnaie digitale.

Ce récent pillage contribuera aussi la destruction du système dollar, monnaie de référence mondiale selon les accords de Bretton Woods, dont la disparition programmée pour laisser le champ libre au tout virtuel, est inéluctable depuis la crise de 2008 et par l’abandon progressif du lien dollar/pétrole – sous l’impulsion de la Chine notamment,.

La fin de l’utilisation du pétrole lui-même est simultanément programmée. Le pétrole est la source d’énergie qui a permis la révolution industrielle et la seule possible pour maintenir le modèle économique qui en résulte. En arrêtant le pétrole, on détruit cette civilisation, sans possible retour en arrière.

Une fois les Etats-Unis détrônés de leur leadership dans l’économie mondiale et de leur rôle de modèle civilisationnel, la place est libre pour le nouveau pôle de pouvoir mondial économique et sociétal : la Chine. Son infiltration organisée sur le territoire (autre lien ici sur le même phénomène au Canada, armée et escadrons de la mort inclus), ses liens étroits entretenus depuis des décennies avec les taupes communistes dans l’appareil d’Etat américain, le programme Talpiot de fuite organisée des secrets techniques américains vers la Chine via Israël (voir la chaîne de Brendon O’Connell) et ses politiques eugénistes et sociales sous contrôle de la famille Rockefeller depuis un siècle convergent vers le nouveau « power shift ». Même schéma que le précédent : l’Europe détruite par deux guerres « mondiales » au XXème siécle pour faire place nette à la domination globale des USA et de la FED – une des banques centrales privées du cartel – dont c’est aujourd’hui le tour de passer à la trappe via faillite organisée et guerre « civile » annoncée.

Outre cette manoeuvre souterraine, la FED, justement, est également à la manoeuvre en plein jour – tout sert à tout dans cette crise artificielle. Sa réserve était de 1 trillion de dollars avant 2001. Elle est passée à plus de 3 trillions entre 2008 et 2015 et – le timing est intéressant – elle y a rajouté 3 trillions au cours du début 2019. On en est donc à presque 7 trillions de dollars. Voir les explications de John Titus ici et ici et d’autres analyses sur sa chaîne.

Mise à jour 16 août : John Titus expose ici la manoeuvre de Quantitative Easing de janvier 2020 et la différence majeure avec celle de 2008 : mécanisme de création d’argent bancaire (M2) proportionnelle à l’augmentation de la réserve (M1) de la FED. Cet argent bancaire n’a pas servi à éponger les pertes dues à la « crise » mais – entre autres – à racheter les petites entreprises détruites par le confinement. Inclus, une interwiew de 2011 de Chris Whalen qui explique comment la FED contrôle la recherche scientifique aux Etats-Unis.

Recherche scientifique contrôlée. Crise sanitaire manipulée. Dégâts économiques programmés. Ça s’appelle un rapport de causalité.

Et c’est pas fini. Une interview du Dr Robert Sahran par Sarah Westall qui explique

… qu’un racket encore en cours actuellement est perpétré sur les personnes âgées pour spolier leurs familles de leurs biens immobiliers et tous leurs autres avoirs. Selon de nombreux rapports du Congrès et diverses autres études, cette opération de racket dure au moins depuis 1980 et a spolié les citoyens américains de 500 milliards à un trillion de dollars en biens réels chaque année. Il existe des preuves que ces avoirs finissent par sortir du pays. Les membres du Congrés et du Sénat sont parfaitement au courant mais n’ont rien fait pour arrêter ce trafic. Les personnes derrière cette énorme entreprise criminelle sont les mêmes que celles derrière la destruction en cours des Etats-Unis.

1980-2020, de 500 milliards à un trillion de dollars par an. Faites le calcul. L’argent quitte le pays. Même schéma que l’argent du Pentagone. Un passage dans l’article de Catherine Austin-Fitts que j’ai traduit ici mentionne au passage la méthode employée pour chasser les vieux de chez eux et les placer dans des maisons de repos. Il ne reste plus ensuite qu’à les achever.

C’est un autre levier du même projet global : la confiscation du patrimoine privé, dans une logique de destruction définitive de la propriété privée, objectif majeur de la mise en place de la dictature communiste planétaire : le Grand Reset.

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