Une brève histoire des banques centrales – la plus grande escroquerie jamais inventée – par Lily.

Mon principal message aujourd’hui est simple: l’âme de l’argent n’appartient ni à une grande entreprise technologique ni à un grand livre de comptes anonyme. L’âme de l’argent, c’est la confiance. La question est donc la suivante: quelle est l’institution la mieux placée pour générer la confiance? Je soutiens que les banques centrales ont été et continuent d’être les institutions les mieux placées pour instaurer la confiance à l’ère numérique.

Agustín Carstens, Directeur général de la BRI, « Les monnaies numériques et l’âme de l’argent », discours au Goethe University’s Institute for Law and Finance, 18 janvier 2022

Je publie ceci comme promis, à l’usage de tous ceux qui ne seraient pas familiers avec le sujet: la création de la monnaie par les banques centrales. L’article est assez simple, bien écrit, très didactique – et pour autant que je sache, exact. Il complète très bien celui-ci. Ça parle surtout de la Réserve Fédérale américaine mais ça fonctionne également pour les autres banques centrales. Vous y retrouverez d’ailleurs des manoeuvres bien d’actualité. Lisez-le si vous voulez comprendre comment on réussit à ruiner un pays aussi riche que la France.

Et si vous voulez être vraiment, vraiment en colère…

Source.


Une brève histoire des banques centrales – la plus grande escroquerie jamais inventée

Un cartel bancaire privé entièrement contrôlé par l’élite a secrètement retiré aux gouvernements – et par conséquent au « peuple » – le pouvoir de créer la monnaie

Lily

22 mars

Quel meilleur moment que maintenant pour parler de l’escroquerie que constituent notre masse monétaire et notre système bancaire? Le public pense que toute la monnaie est émise et contrôlée par le gouvernement, mais c’est faux. L’argent est aujourd’hui entièrement produit par des sociétés privées, c’est-à-dire des banques, à l’exception des pièces de monnaie, qui représentent moins de 0,05% du montant total de l’argent en circulation. Aux États-Unis, la Réserve Fédérale, une institution bancaire commerciale, supervise l’émission des billets, tandis que la Banque d’Angleterre – une institution privée, ce qui paraîtra sans doute étrange à beaucoup – est responsable de la frappe de votre argent au Royaume-Uni.

Chose étonnante, les gouvernements se voient ensuite accorder des prêts de cet argent, qui doivent être remboursés avec des intérêts. En conséquence, c’est là la véritable cause de nos énormes dettes nationales, qui ne cessent de croître, et non l’augmentation des dépenses publiques ou quoi que ce soit d’autre, comme le prétendent malhonnêtement nos gouvernements manipulés. Le seul moyen de rembourser cette dette est que le monopole bancaire imprime (puis prête) une quantité croissante d’argent, avec chaque fois sa propre composante d’intérêt. Tous les impôts que nous payons au gouvernement sont utilisés pour rembourser cette dette aux banquiers, contrairement à ce que l’on voudrait nous faire croire; ils ne sont pas utilisés pour financer les actions du gouvernement ou les services publics. Pour remplir davantage les poches des familles de banquiers d’élite déjà incroyablement riches, y compris la Royauté, fortement soupçonnée d’être l’un des principaux actionnaires de la Banque d’Angleterre, on utilise une part énorme et croissante de nos salaires qui nous sont volés sous la forme d’impôts directs et indirects. Le cycle se poursuit au fil des décennies et des siècles.

« L’intérêt a toujours été le principal instrument du Pouvoir de l’Argent. Il a pris le contrôle de la planète en déclenchant des guerres, en finançant les deux camps et en endettant lourdement les gouvernements. L’intérêt est un transfert de richesse des 80% les plus pauvres vers les 10% les plus riches. Les chiffres globaux ne sont pas connus, mais en Allemagne, un milliard de dollars par jour est payé par les 80% les plus pauvres. Si l’on extrapole à l’échelle mondiale, cela signifie que la ploutocratie draine entre 5 et 10 trillions de dollars par an ».

Les pièces de monnaie et les billets de banque ne représentent toutefois qu’environ 3% de la masse monétaire totale. Les 97% restants sont créés par les banques commerciales sous forme de prêts, aujourd’hui par la saisie astucieuse de chiffres sur un écran d’ordinateur, et historiquement par une comptabilité astucieuse. Toutes ces actions s’accompagnent bien sûr d’une dette intégrée sous la forme d’intérêts à payer.

Lorsqu’une banque accorde un crédit, elle augmente simplement du montant du prêt le solde des dépôts de l’emprunteur à la banque. L’argent n’a pas été précédemment versé à la banque par qui que ce soit, et n’a pas été retiré du dépôt de quelqu’un d’autre. C’est de l’argent tout neuf que la banque a créé pour que l’emprunteur puisse l’utiliser. Les banques commerciales sont leur unique source de financement. Chaque dollar en circulation, qu’il s’agisse d’argent liquide ou de crédit, doit être emprunté. Les banques prospèrent si elles produisent suffisamment de fausse monnaie; dans le cas contraire, elles périssent.

Il ne fait aucun doute que nous ne disposons pas d’un système monétaire fiable. L’effroyable absurdité de notre état d’impuissance est presque incroyable dès lors que l’on comprend parfaitement la situation, mais c’est pourtant bien le cas. C’est le sujet le plus important que toute personne intelligente puisse explorer et étudier.

[…]

« Le capital doit se protéger de toutes les manières possibles, à la fois par association et par législation. Les dettes doivent être recouvrées, les hypothèques saisies aussi rapidement que possible. Lorsque, par le biais de la loi, les gens du peuple perdront leurs maisons, ils deviendront plus dociles et plus faciles à gouverner par la puissance du gouvernement appliquée par un pouvoir central des riches sous l’égide de financiers de premier plan. Ces vérités sont bien connues de nos grands hommes, aujourd’hui engagés dans la formation d’un impérialisme qui gouvernera le monde. En divisant les électeurs grâce au système des partis politiques, nous pouvons les amener à dépenser leur énergie en luttes intestines sur des questions sans importance. C’est ainsi, par une action discrète, que nous pouvons nous assurer ce qui a été si bien planifié et si bien accompli ». – Montagu Norman, gouverneur de la Banque d’Angleterre, s’adressant à l’Association des banquiers des États-Unis, New York, 1924.

EN FAIT, LA BANQUE N’ÉTAIT PAS UNE IDÉE ÉLITISTE

L’histoire de la monnaie moderne commence il y a environ 500 ans, dans l’Europe de la Renaissance. À cette époque, le papier-monnaie n’existait pas et l’essentiel de l’argent liquide était constitué de pièces d’or et d’argent. Les pièces d’or étaient, bien sûr, extrêmement résistantes et avaient une valeur intrinsèque en elles-mêmes (contrairement à la monnaie papier), mais elles étaient également lourdes, difficiles à transporter en grandes quantités et, si elles n’étaient pas stockées correctement, elles étaient susceptibles d’être volées. Les gens se mirent à déposer leurs pièces chez des orfèvres qui disposaient de chambres fortes et de coffres-forts où ils pouvaient les conserver en toute sécurité sans craindre qu’elles soient volées. Ces orfèvres proposaient des reçus en papier qui pouvaient être échangés à tout moment contre la quantité d’or spécifiée. Au fil du temps, ces reçus pratiques finirent par remplacer dans les échanges les monnaies moins pratiques qu’ils représentaient.

Les orfèvres finirent par se rendre compte que seuls 10% environ de ces reçus étaient convertis en or réel à quelque moment que ce soit. Tant qu’ils veillaient à conserver 10% de la valeur de leurs prêts en cours sous forme d’or physique pour répondre à toute demande, ils pouvaient prêter l’or qu’ils avaient en leur possession avec intérêt, encore et encore. C’est ainsi que fut créé le papier-monnaie (billets), qui était en fait un reçu pour un prêt d’or. Désormais, les billets et les prêts pouvaient représenter jusqu’à dix fois la valeur de l’or qu’ils possédaient. Le même or pouvait être donné dix fois à un taux d’intérêt de 20%, soit un rendement annuel de 200% sur un or qui n’existait même pas! Les orfèvres, naturellement soucieux de ne pas se surendetter, s’enrichirent considérablement aux dépens du public sans créer la moindre valeur réelle. Seul le capital était crédité dans la masse monétaire, ce qui entraîna une dette qui dépassa finalement la richesse combinée de la population. Cell-ci dut continuer à emprunter du papier-monnaie pour combler l’écart, ce qui amena la richesse des villes et au final celle de la nation à être canalisée vers les coffres des orfèvres, que l’on désigna alors sous le nom de « banquiers », tandis que la nation s’enfonçait de plus en plus dans la dette.

L’ÉLITE ENTRE EN SCÈNE

La Banque d’Angleterre a été créée en 1694 à la suite d’un coup d’État planifié de longue date par « l’élite », dans le but de s’approprier le processus de création monétaire à l’échelle mondiale. Sa succursale néerlandaise a été la première à établir une banque « centrale » pour faciliter cette escroquerie. En 1609, la Banque d’Amsterdam, la première « banque centrale » au monde, fut créée. Guillaume III, le prince d’Orange, et son épouse Marie (la fille de James), furent assis sur le trône britannique en 1688 après que le roi catholique James II ait été usurpé par les forces de l’élite anglaise travaillant avec leurs homologues hollandais. Cela fut rendu possible par le fait que la force d’invasion de Guillaume débarqua dans le port de Brixham, dans le Devon, au sud-ouest de l’Angleterre, et que des protestants anglais de haut rang, y compris le Parlement, soutinrent ses prétentions au trône. Finalement, Jacques fut contraint de fuir en France, où il resta jusqu’à sa mort en 1701.

Cependant, l’un des mandats de Guillaume, une fois devenu roi d’Angleterre, fut d’instaurer les mêmes conditions économiques précaires que celles qui avaient prévalu en Hollande pendant près d’un siècle. La Banque d’Angleterre fut créée et établie en 1694 suite à la revendication de l’élite bancaire d’avoir la possibilité d’obtenir en Angleterre les mêmes profits scandaleux que ceux dont disposaient les banquiers hollandais. Le mécène de ce plan était le banquier marchand londonien William Paterson, membre de la dynastie mérovingienne et initié à l’Ordre d’Orange. En 1693, il soumit au Parlement une pétition demandant la création d’une société chargée de prêter au gouvernement un million deux cent mille livres à un taux d’intérêt de 8%, ainsi que le pouvoir d’émettre des billets. Cette demande fut dûment autorisée après un « grand débat », et la construction de l’institution qui a contribué plus que toute autre à l’esclavage économique des peuples, non seulement en Grande-Bretagne mais aussi dans le reste du monde, commença après quelques faux départs et quelques contestations vite étouffées. (Nous savons tous que les Britanniques sont en fait les champions du monde de l’esclavage classique et des atrocités contre l’humanité, mais nous en reparlerons un autre jour).

« Je ne me soucie pas de savoir quelle marionnette sera placée sur le trône d’Angleterre pour diriger l’Empire sur lequel le soleil ne se couche jamais. L’homme qui contrôle la masse monétaire de la Grande-Bretagne contrôle l’Empire britannique, et je contrôle la masse monétaire britannique. » Nathan Mayer Rothschild

Quelqu’un pourrait-il m’expliquer pourquoi un gouvernement accepterait de telles conditions et renoncerait ainsi à la possibilité d’émettre de la monnaie à taux zéro, tout en acceptant de payer à une société privée 8% d’intérêts sur un prêt dont il n’aurait même pas eu besoin s’il avait conservé la possibilité d’émettre sa propre monnaie? Il n’y a qu’une seule explication, et celle-ci, à mon avis, en dit long.

« Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de passe-passe le plus stupéfiant jamais inventé. Le système bancaire a été conçu dans l’iniquité et est né dans le péché. Les banquiers possèdent la terre. Prenez-la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer de l’argent et, d’un simple trait de plume, ils créeront suffisamment d’argent pour la racheter. Retirez-leur ce grand pouvoir et toutes les grandes fortunes comme la mienne disparaîtront, car ce serait alors un monde meilleur et plus heureux à vivre. Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des banquiers et à payer le coût de votre propre esclavage, alors laissez les banquiers continuer à créer de l’argent et à contrôler le crédit ». – Sir Josiah Stamp, Président de la Banque d’Angleterre et deuxième homme le plus riche de Grande-Bretagne dans les années 1920.

Merci, Josiah. Dans l’Amérique du XIXe siècle, les banques privées créaient leurs propres billets de banque pour des montants allant jusqu’à dix fois leurs réserves d’or réelles, en adoptant le modèle de la Banque d’Angleterre. Ce type de système bancaire est appelé « réserve fractionnaire », ce qui signifie qu’une partie seulement du total des dépôts gérés par une banque est conservée en réserve pour répondre aux demandes des déposants. Cependant, les « ruées » sur les banques, au cours desquelles les clients exigèrent tous leur or en même temps, conduisirent à la faillite de plusieurs banques et créèrent une instabilité dans le système. La Réserve Fédérale étant une organisation privée, elle a le pouvoir de produire des billets de la Réserve Fédérale et de les prêter au gouvernement américain moyennant un intérêt. En conséquence, le système de billets de banque privé fut intégré en un système de billets de banque national en 1913. Ces billets, intialement imprimés uniquement pour couvrir les coûts, devinrent finalement la base de la monnaie nationale américaine.

La Banque des États-Unis fut une tentative, au début du XIXe siècle, d’établir une banque centrale aux États-Unis avant la création de la Réserve Fédérale. Voici quelques commentaires formulés à ce sujet par le président américain de l’époque.

« Messieurs, j’ai des hommes qui vous observent depuis longtemps et je suis convaincu que vous avez utilisé les fonds de la banque pour spéculer sur les denrées alimentaires du pays. Lorsque vous gagniez, vous vous répartissiez les bénéfices et lorsque vous perdiez, vous les imputiez à la banque. Vous me dites que si je retire les dépôts de la banque et si j’annule sa charte, je ruinerai dix mille familles. C’est peut-être vrai, messieurs, mais c’est votre péché! Si je vous laisse faire, vous ruinerez cinquante mille familles, et ce sera mon péché! Vous êtes un repaire de vipères et de voleurs. J’ai l’intention de vous mettre en déroute, et par le Dieu éternel, je vous mettrai en déroute. Si seulement les gens comprenaient l’abjecte injustice de notre système bancaire et monétaire, il y aurait une révolution avant demain matin ». – Andrew Jackson, ancien président des États-Unis1

La Loi sur la Réserve Fédérale a été promulguée par le Congrès aux petites heures du 23 décembre 1913, sans aucune opposition car la majorité des membres du Congrès étaient déjà partis pour leurs vacances de Noël. La Loi elle-même était un document volumineux qui n’avait été présenté au Congrès que la veille, ce qui ne laissait guère le temps d’en faire une lecture superficielle, et encore moins un examen approfondi.

« Je suis un homme très malheureux. Sans le vouloir, j’ai ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré. La croissance de la nation et toutes nos activités sont donc entre les mains d’un petit nombre d’hommes. Nous sommes devenus l’un des gouvernements les plus mal dirigés, l’un des plus complètement contrôlés et dominés du monde civilisé. Ce n’est plus un gouvernement fondé sur la libre opinion, ni sur la conviction et le vote de la majorité, mais un gouvernement fondé sur l’opinion et la contrainte d’un petit groupe d’hommes dominants ». – L’ancien président des États-Unis, Woodrow Wilson, plusieurs années après avoir signé la création de la Réserve Fédérale2

L’INFLATION EST UN VOL

Le terrible résultat de l’augmentation de la masse monétaire est que les prix augmentent parce qu’il faut perpétuellement imprimer plus d’argent pour payer les intérêts sur l’argent qui existe déjà. Ce n’est ni bon pour les pauvres, ni mauvais pour les riches, et ce n’est pas non plus transitoire. Il s’agit d’un processus continu qui dure depuis des siècles et qui n’est qu’une retombée inutile d’un système profondément répugnant. Plus d’argent en concurrence pour les mêmes produits fait monter les prix, la valeur de la monnaie baisse et les consommateurs perdent la valeur de leur épargne et de leur argent. L’élite financière accuse alors le gouvernement de gonfler la monnaie pour soutenir ses dépenses extravagantes. Les pièces de monnaie sont la seule forme d’argent que les gouvernements émettent réellement. Il s’agit d’un joli petit tour de passe-passe utilisé par les banquiers et leurs caniches médiatiques.

Le dollar au XXème siècle – graphique chronologique du changement de pouvoir d’achat du dollar américain

  • Création de la Réserve Fédérale
  • Première Guerre mondiale
  • Hyper-inflation en Allemagne
  • Krach de 1929
  • Dépression des années ’30
  • Interdiction de la détention d’or aux États-Unis
  • Deuxième Guerre mondiale
  • Guerre de Corée
  • Guerre du Vietnam
  • Découplage du dollar à l’or
  • Détention d’or à nouveau légale
  • Guerre « froide »
  • Opération « Tempête du Désert »
  • Guerre contre le terrorisme

La dette nationale des États-Unis s’élève à 31 trillions de dollars à l’heure où j’écris ces lignes, et elle augmente rapidement. Comment ces fonds seront-ils un jour remboursés? Ils ne pourront jamais l’être, de quelque manière que ce soit, c’est un fait incontestable. Cela donne donc aux banquiers centraux le « droit » de faire pratiquement ce qu’ils veulent de nos vies parce que nous et notre progéniture sommes endettés envers eux et sommes leurs esclaves pour toujours.

Cela peut paraître peu, mais cette liasse contient 1 million de dollars. Elle est en fait suffisamment petite pour que vous puissiez la tenir dans vos mains et l’emporter.

100 millions de dollars, c’est un peu plus respectable, même si 1 million de dollars semble un peu terne. Il tiennent commodément sur une palette classique.

Et puis, 1 milliard de dollars. Vous devriez être en mesure de le transporter en camion.

Voyons maintenant UN TRILLION de dollars. C’est le chiffre qui a fait couler beaucoup d’encre ces derniers temps. Un million de millions et un millier de milliards font un trillion. Il s’agit d’un 1 suivi de 12 zéros.

Nous en sommes maintenant à 1 000 000 000 000 $. (Les palettes sont empilées en double).

Par conséquent, si vous entendez quelqu’un dire en passant l’expression « un trillion de dollars/livres », il se réfère à ce montant.

Par ailleurs, seriez-vous surpris d’apprendre que la durée de vie moyenne d’un être humain est nettement inférieure à un million d’heures (657 000 heures pour une durée de 75 ans), même si des chiffres d’un million et de beaucoup plus sont couramment évoqués de nos jours? Ou, autrement dit, un peu moins de 40 millions de minutes. Et moins de 0,75 million de jours se sont écoulés depuis la prétendue naissance du Christ, il y a plus de 2000 ans.

Ou encore, mettons-nous dans une cave avec la dette nationale américaine actuelle en billets d’un dollar. On vous dit alors que vous êtes libre de conserver tous les billets que vous signez. Pour faciliter les choses, disons qu’il vous faut une seconde pour signer un billet, que vous ne mangez pas, que vous ne dormez pas et que vous ne faites rien de ce que la nature vous demande de faire. Au bout de 20 minutes, vous avez assez d’argent pour acheter un MacBook Pro haut de gamme. Après 11 jours et 13 heures, vous aurez dépassé votre premier million. Après environ 31 ans, vous êtes milliardaire. Et après 982351 ans (et ce n’est pas une faute de frappe), vous possédez la dette nationale américaine actuelle. Je vous laisse faire le calcul pour savoir de combien elle aura augmenté pendant cette période.

Comme nous l’avons vu maintenant, les banques ne créent pas les intérêts payables sur leurs soi-disant « prêts » au gouvernement, mais seulement le principal sous forme de monnaie. Étant donné que l’on imprime davantage d’argent uniquement pour payer les intérêts dus aux banques, le déficit ne cesse de se creuser. En fait, cela signifie que la masse monétaire doit doubler tous les 14 ans pour faire face aux seuls paiements d’intérêts. Une livre prêtée à 5% devient deux livres en 14 ans. En d’autres termes, tous les 14 ans, les banques volent au gouvernement autant d’argent en paiements d’intérêts qu’il y en avait dans l’ensemble de l’économie au cours des 14 années précédentes! Il s’agit sans doute du plus grand tour de passe-passe jamais joué à une race humaine vulnérable. C’est la véritable cause de l’inflation, ce qui peut expliquer pourquoi une miche de pain qui coûte aujourd’hui environ 1,00 $ ne coûtait que 2 cents en 1911. Pourtant, les gens pensent que c’est normal et que c’est « la façon dont notre monde fonctionne ».

« Les banquiers mondiaux, en actionnant quelques leviers simples qui contrôlent les flux d’argent, peuvent faire ou défaire des économies entières. En contrôlant les communiqués de presse sur les stratégies économiques qui façonnent les tendances nationales, l’élite du pouvoir est en mesure non seulement de resserrer son emprise sur la structure économique de ce pays, mais aussi d’étendre ce contrôle au monde entier. En toute logique, les détenteurs d’un tel pouvoir voudraient rester dans l’ombre, invisibles aux yeux du citoyen moyen. » – Aldous Huxley

La source absolue de la pauvreté et de la servitude économique mondiales qui caractérisent l’état déplorable du globe aujourd’hui est la confiscation de la capacité à produire de l’argent par ces super-criminels. Ces élites sont responsables d’un génocide généralisé puisqu’elles contrôlent les ressources mondiales, tuent des millions de personnes par la famine et la maladie, et exercent un contrôle total sur nous tous. Cette réalité ne peut en aucun cas être niée.

« La Réserve Fédérale a été créée en 1913 pour financer les deux parties des deux guerres mondiales qui ont suivi. En d’autres termes, ces guerres ont été financées par le crédit du contribuable américain. En plus d’en tirer profit, les banquiers illuminati utilisent la guerre pour nous asservir par la dette, provoquer des changements sociaux et consolider leur pouvoir. » – Dr. Henry Makow, chercheur et auteur, 2011

Alors, où sont les manifestations de rue, les intrusions publiques à la Banque d’Angleterre, à la BCE à Francfort, à la Réserve Fédérale de New York, et les appels véhéments à la réforme financière lancés par la presse et le gouvernement? Malheureusement, nous sommes trompés et contrôlés en pensant que tout va bien et que le système actuel est « la seule voie » via un procédé de contrôle de l’esprit connu sous le nom d’éducation publique, la propagande diffusée par les médias et le syndrome d’autosurveillance qui affecte l’ensemble de la population, du haut en bas de l’échelle. Nous sommes conditionnés à penser que nous sommes impuissants et incapables de modifier de manière significative la « façon dont le monde fonctionne », même lorsqu’il devient évident que quelque chose ne va pas. Il n’y a rien à voir, Messieurs, dames. Retournez au travail. Tout est en ordre.

Les banques sont autorisées à créer de l’argent à partir de rien et à percevoir des intérêts pour ce tour de passe-passe, pendant que les masses doivent les gagner. Le droit de créer de l’argent, c’est le droit à l’effet de levier, et c’est ce levier financier qui les hisse au sommet de la pyramide. Sans cet effet de levier, ils ne seraient pas en mesure de créer de telles quantités de richesse et de contrôle. La seule façon de détruire ce système et de créer une monnaie équitable est de sensibiliser les gens. Une fois qu’ils comprennent le « truc », tout le château de cartes commence à s’effondrer.

À tout le moins, et si l’idée de décentraliser la monnaie est trop farfelue pour vous parce que vous aimez quand même que quelqu’un vous gouverne et vous contrôle, les gouvernements doivent récupérer leur autorité légale d’imprimer et d’émettre de l’argent afin de résoudre cette situation. En supprimant le système de réserves fractionnaires, les banques seraient obligées de ne prêter que leurs liquidités disponibles. Les gouvernements pourraient rembourser immédiatement toutes les dettes nationales, les impôts pourraient être réduits, voire supprimés, et des programmes sociaux soutenus par le gouvernement pourraient être mis en place, bénéficiant à l’ensemble de la population plutôt qu’à une petite clique d’élites. Malgré ce que l’on croit généralement, tous nos impôts servent à rembourser la dette des banques, et non à fournir des services au grand public.

Le récit véridique d’une affaire judiciaire importante qui s’est déroulée dans le Minnesota, aux États-Unis, en 1969, mérite d’être raconté. Il n’est guère surprenant que l’affaire First National Bank of Montgomery v. Daly n’ait pas fait l’objet d’une large couverture à l’époque ou par la suite. Pourtant, ce drame judiciaire épique est d’une importance cruciale. L’avocat Jerome Daly, le défendeur, avait déclaré, lorsque la banque avait tenté de saisir son hypothèque de 14 000 dollars, qu’il n’y avait pas eu de « contrepartie » au prêt. La contrepartie est un terme utilisé dans le jargon juridique pour désigner « l’élément échangé » et constitue un élément essentiel de toute transaction juridique. M. Daly avait fait valoir que la banque n’avait fourni aucune contrepartie pour son prêt parce qu’elle avait effectivement « créé » l’argent par la comptabilité, « à partir de rien », et qu’elle n’avait donc pas subi de perte (autre point juridique essentiel) du fait de son refus ou de son incapacité à rembourser l’argent.

Le juge associé William Drexler, qui enregistrait les débats, n’avait accordé aucun crédit à la défense jusqu’à ce que M. Morgan, le président de la banque, vienne témoigner à la barre. Lors du contre-interrogatoire, Morgan a reconnu avec désinvolture que la banque fabriquait fréquemment de l’argent « à partir de rien » pour tous ses prêts et hypothèques, et qu’il s’agissait en fait d’une procédure standard dans toutes les banques, à la grande surprise de Drexler et de toutes les autres personnes présentes. Martin Mahoney, le président du tribunal, déclara: « Pour moi, cela équivaut exactement à de la fraude », ce à quoi les membres du jury acquiescèrent et murmurèrent leur accord. Dans son résumé de l’affaire, le juge Mahoney déclara ce qui suit: « Le plaignant (la banque) a admis avoir créé, avec la Banque de Réserve Fédérale de Minneapolis, la totalité des 14 000,00 $ en argent et en crédit dans ses propres livres, par une écriture comptable. Il s’agit de la contrepartie utilisée pour soutenir la note de crédit datée du 8 mai 1964 et l’hypothèque de la même date. L’argent et le crédit sont apparus pour la première fois lorsqu’ils ont été créés. Morgan a admis qu’il n’existait aucune loi ou statut des États-Unis lui donnant le droit d’agir de la sorte. Une contrepartie légale doit exister et être offerte à l’appui de la note ».

Le défendeur a conservé sa maison après que le tribunal eut rejeté à juste titre la tentative de saisie de la banque. Cette affaire aurait dû avoir des ramifications gigantesques. Une décision déclarant que les prêts des banquiers n’ont aucune valeur aurait pu entraîner l’effondrement des systèmes financiers et bancaires dans le monde entier s’il s’avérait qu’ils accordaient des crédits sans contrepartie plutôt que de les garantir avec de l’argent qu’ils possédaient réellement dans leurs coffres et qu’ils avaient été autorisés à émettre.

Plus tard, Jerome Daly déclara dans un article de presse local: « Cette décision, juridiquement fondée, a pour effet de déclarer nulles et non avenues toutes les hypothèques privées sur les biens immobiliers et personnels, ainsi que toutes les obligations américaines et nationales détenues par la Réserve Fédérale, les banques nationales et les banques d’État. Cela équivaut à une émancipation de cette nation de la dette personnelle, nationale et étatique prétendument due à ce système bancaire. Chaque Américain se doit d’étudier cette décision avec circonspection, car la question de la liberté ou de l’esclavage en dépend ».

Bien que le jugement n’ait jamais été formellement contesté ou annulé, il n’est peut-être pas nécessaire de mentionner qu’il n’a absolument pas influencé la pratique acceptée. Sans surprise, le juge Mahoney est décédé moins de six mois après le procès dans un « accident » très suspect impliquant une sorte d’empoisonnement. Le juge Mahoney avait juré de poursuivre et de dénoncer la banque. Toute personne qui s’oppose à ces individus et à leurs méthodes diaboliques doit être écartée.

Depuis que cette affaire a créé un précédent, de nombreux autres défendeurs ont tenté de faire annuler des prêts et des hypothèques en utilisant la même défense que Daly, mais sans grand succès. En fait, un juge a déclaré officieusement: « Si je vous autorisais à faire cela, vous et tous les autres feriez tomber le système. Je ne vous permettrai pas d’entrer dans la banque par la porte arrière. Nous n’entrerons pas dans cette pièce derrière ce rideau! »

À ce stade de la narration, il est également important de souligner que le fonctionnement de la production monétaire a été conçu de telle sorte que, croyez-le ou non, l’acte de signer une demande d’hypothèque ou de prêt crée en réalité la quantité d’argent demandée. La seule différence réelle est que si la société de financement détermine que le demandeur a une cote de crédit suffisamment élevée pour qu’elle prenne le risque de prêter l’argent qui a été initialement créé par le processus, elle peut également profiter des intérêts qui en résultent. Si la demande est rejetée, il ne reste plus que le capital. C’est pourquoi il n’est pas du tout « immoral » de ne pas rembourser des hypothèques ou des prêts. L’argent n’aurait pas été créé si la demande n’avait jamais été introduite. Pour être clair, c’est la signature du demandeur qui crée l' »argent » à partir de rien.

Maintenant, certains petits malins « éduqués » vous diront: « les banques ne créent pas de l’argent « à partir de rien ». C’est ridicule. Elles le créent à partir d’actifs! Et les actifs, c’est loin d’être rien! » Oui, les actifs qui leur appartiennent et qui ont déjà été payés avec de l’argent qui n’existait pas vraiment sont maintenant utilisés comme quelque chose qui a de la valeur pour justifier la création d’argent. Peu importe la manière de procéder ou de présenter les choses: de l’argent est créé à partir de rien. Et même si l’on considère l’histoire des actifs comme convaincante, l’argent continue d’être créé et le cycle se poursuit.


« Lorsqu’un groupe d’hommes appartenant à une civilisation adopte le pillage comme mode de vie, il finit par construire un cadre juridique qui l’autorise et un code moral qui l’élève. » – François Bastiat (1801-1850)

Certains pensent que les Banques de Réserve Fédérale sont des branches du gouvernement américain. Ce n’est pas le cas. Ce sont des monopoles privés du crédit qui exploitent les citoyens américains au profit de leurs propres prêteurs riches et prédateurs, ainsi que de leurs escrocs nationaux et étrangers. Le plus grand crime de l’histoire a été la mise à sac des États-Unis par la Fed. La Fed a tout fait pour dissimuler son autorité, mais en réalité, elle a détourné le pouvoir exécutif. Elle dirige tout dans ce pays et toutes nos relations internationales. Les gouvernements peuvent être faits ou défaits à volonté.

Pour démasquer ce crime, où sont les légions de législateurs, d’économistes, de spécialistes financiers, d’analystes de la City et d’experts financiers des médias? S’il n’y en a pas, c’est parce que la majorité d’entre eux ne voient pas plus loin que le bout de leur nez et qu’ils se contentent d’accepter le battage publicitaire puissant et persuasif qui leur est servi d’en haut par le moulin à propagande qu’est notre soi-disant système « éducatif » et les médias complices.

Ceux qui en ont déjà entendu parler croient qu’il s’agit d’une stupide théorie du complot avancée par des « fous » ou des « gauchistes tarés » ou des « théoriciens du complot de droite », et le petit nombre de ceux qui sont vraiment au courant se taisent pour ne pas compromettre leur propre position bien rémunérée ou même parce qu’ils craignent pour leur vie et celle de leurs proches. Tel est le fonctionnement réel du système. En tant qu’espèce, nous devons tous nous « réveiller » rapidement.

L’élite a au final utilisé ce faux système monétaire pour créer un environnement idéal pour tromper les gens et les inciter à adopter un matérialisme extrême, une autre épouvantable escroquerie. Et leur prochain chef-d’œuvre est juste au coin de la rue: les MNBC [Monnaie Digitale de Banque Centrale, voir ici]. L’asservissement ultime de chaque être humain.

La Fed a déclaré qu’elle ne renflouerait pas les banques, mais que tous les déposants seraient remboursés. Y compris ceux dont les dépôts de plus de 250 000 dollars sont garantis par la FDIC. Cependant, ma théorie est que ces dépôts seront remboursés par une MNBC américaine.

En conclusion: si vous travaillez pour une banque, je regrette de le dire, vous êtes un criminel – ou du moins complice de l’un des plus grands crimes contre l’humanité.

Le véritable pouvoir de façonner ce monde a toujours été entre vos mains.
Faites le bon choix.


  1. Jackson survécut à une tentative d’assassinat lorsque l’arme de l’assassin potentiel s’enraya peu de temps après avoir fait cette déclaration et l’annulation de la Banque des États-Unis qui s’ensuivit. Personne ne fut arrêté.
  2. Depuis que cette prétendue citation est devenue populaire, les vérificateurs de faits se sont empressés de dire qu’il était faux que Wilson ait jamais dit cela ou que la citation avait été mal interprétée. Je vous laisse décider ce que vous voulez croire, honnêtement je m’en fiche un peu.

Édition du dimanche – spéciale nettoyage de printemps.

Un escalier se balaie en commençant par le haut.

Proverbe roumain

J’ai assez peu publié ces derniers temps, à cause d’un truc bizarre qui porte en fait un nom: « information overload » ou surcharge informationnelle. Plus de mille onglets ouverts sur mon navigateur. C’est donc le moment de faire un sérieux tri, pour éviter à mes lecteurs le même effet.

Avant tout, prudence! C’est officiel: le passage à l’heure d’été augmente (de 8%!) les risques de crise cardiaque et d’AVC. Heureusement, ce risque supplémentaire ne dure que deux jours. Donc pas d’effort inconsidéré avant mardi matin. Pensez à votre santé.

Je ne sais pas, moi. Une grève?


À mes amis et lecteurs français

https://www.bobmoran.co.uk/other-work/encore-original-artwork

La nouvelle la plus importante, c’est évidemment la grève en France. C’est d’ailleurs bien plus qu’une grève, mais je ne vous apprends rien.

Apparemment, la révolte commence à faire tache d’huile sur la Belgique et l’Allemagne – dont on va parler un peu plus bas. C’est assez impressionnant.

C’est mon épouse (française) qui me tient au courant de la situation, en consultant les infos disponibles sur le Net, et même sur certains média mainstream (!), où de nombreux commentateurs font le boulot bien mieux que je ne pourrais le faire.

J’écris donc ceci juste pour, selon la formule consacrée, réaffirmer mon soutien aux Français. Et aussi leur dire ce qui suit.

La France, j’y suis souvent allé et j’en ai beaucoup de souvenirs, dont un que j’ai déjà évoqué ici, où la police parisienne m’avait tiré d’une situation très risquée. De braves gens, à l’époque. Moins maintenant.

La France, j’y ai des souvenirs de ma famille, de celle de mon épouse. De paysages, de gens, de tranches de vie. Et un qui me revient souvent, pour une raison que j’avais eu jusqu’à présent du mal à définir. C’était à l’occasion d’une halte dans un relais d’autoroute. Il y avait là de nombreuses petites familles françaises, qui soufflaient un peu, se restauraient, flânaient. Ce qui m’avait frappé, c’étaient les hommes. Bien bâtis, leur silhouette typique taillée en V, pas forcément grands mais qui dégageaient une force à la fois calme et intimidante et croyez-moi, je ne suis pas vite impressionné – malgré ma tête de clown, c’est généralement moi qui impressionne. Là, je voyais un peuple qui vivait paisiblement sans rien demander à personne. Des hommes qui voulaient qu’on leur foute la paix, en somme. Des gens qu’il vaut mieux ne pas trop emmerder.

Je sais aujourd’hui mettre des mots sur ce que j’ai vu ce jour là, et qui défile maintenant dans les rues. Ce que j’ai vu, c’est l’âme d’une nation.

… et alors, l’économie?

J’avais prévu de publier quelques articles sur l’économie, éventuellement la suite de celui-ci. Cette deuxième partie ne traitant quasiment que de crypto-monnaie, je laisse tomber parce que 1) je n’y connais rien, et ne sais dont pas juger de la validité de ces monnaies et 2) ce n’est tout simplement pas le moment. De toute manière, une monnaie virtuelle qui dépend totalement du réseau Internet ne me semble pas une très bonne idée. Internet est un outil du renseignement depuis le début, comme le rappelle un article de Tessa Lena que j’ai à traduire.

Je mets aussi provisoirement en suspens la transcription promise de la vidéo de John Titus, très intéressante mais également un peu trop technique pour l’heure.

Je traduirai par contre celui-ci, à la fois très basique et didactique, qui pourra servir à expliquer à ceux qui abordent le sujet – notamment la jeune génération – à saisir l’enjeu premier de l’économie, à savoir le contrôle de la monnaie par les banques centrales.

À ce propos, vous savez sans doute que Christine Lagarde, actuelle Présidente de la Banque Centrale Européenne, s’est fait piéger comme une lycéenne par un type très habile et assez rigolo, qui s’est fait passer pour Zelensky lors d’un appel Zoom de vingt minutes. On apprend finalement assez peu de choses de ce qu’elle balance – à son insu – le principal étant que l’euro numérique est prévu pour le mois d’octobre, et que la surveillance des dépenses individuelles ne toucherait que les sommes au-dessus de 300, 400 euros. Ce qui m’a le plus étonné, c’est son côté finalement bienveillant, à vouloir opposer une monnaie européenne aux futures crypto-monnaies de Amazon et consorts, à vouloir modérer l’inflation, à regretter les augmentations de prix de l’alimentation. Contrairement à la plupart des analystes « alternatifs », je ne vois pas Mme Lagarde comme le Diable en personne. Son côté atlantiste ne me la rend pas très sympathique mais elle est extrêmement compétente et fait très bien son boulot.

Le problème, c’est son boulot. Elle dirige une banque centrale.

Initiales BBB

Yoepie! le BBB – pour BoerBurgerBeweging (Mouvement citoyen fermier), le parti politique néerlandais qui défend le droit des fermiers contre leur éviction par leur gouvernement – vient de faire un score historique (plus de 30%) aux élections du Conseil Provincial! C’est une grande victoire démocratique!

Euh, non.

Comme l’explique ici Michael Yon et ici Eva Vlaardingerbroek (un beau brin de fille), le BBB est en fait une saloperie de plus dans l’arsenal de l’opposition contrôlée, qui n’en a rien à caler des fermiers et adopte le discours frauduleux de l’ennemi sur la nocivité de l’azote, pour en faire un sujet de négociation. C’est un faux parti « conseillé » (comme dans « cabinet de conseil », suivez mon regard) par un machin nommé Remarkable, un bureau de consultance dont vous trouverez la liste des clients ici – en résumé, le who’s who de Big Ag et Big Pharma.

Thierry Baudet rappelle ici:

Soutenue par la presse, Caroline van der Plas a le vent en poupe et s’est assurée un nombre improbable de sièges.

C’est impressionnant, mais aussi inquiétant. Car son parti soutient la ligne du cartel sur tous les points essentiels. En effet, BBB est favorable à la transition énergétique, au rachat des agriculteurs, à l’UE, à la guerre en Ukraine et aux accords arc-en-ciel.

Comme l’ont relevé certains blogueurs, BBB, c’est aussi Build Back Better. Et c’est aussi, par un curieux hasard, la barrière hémato-encéphalique – Brain-Blood Barrier. Normal, ils essaient d’entrer dans votre cerveau. C’est leur métier.

Nyctereutes procyonoides

… ou chien viverin – en anglais, raccoon dog. Ce petit chien sauvage très sympa est maintenant accusé d’être le vecteur du SARS-CoV-2 par les suspects habituels: un truc appelé SAGO (Scientific Advisory Group for Origins of Novel Pathogens), organe consultatif permanent de l’OMS, dans lequel on retrouve notamment (liste complète ici) notre ami Christian Drosten, le faux docteur – surnommé le Dr Fauci allemand – qui a étonnamment séquencé le test PCR sans disposer de la séquence génomique du virus, et le Dr Supaporn Wacharapluesadee, un proche collaborateur d’EcoHealth Alliance et de Peter Daszak. Cette sensationnelle révélation zoonotique est reprise dans un article du New York Times. Rien que des gens dignes de confiance, donc.

Ach!

À ce propos, nouvel article de Robert Kogon (déjà publié ici, ici et ici), dont l’acharnement sur le rôle de l’Allemagne dans l’Opération Covid semble intarissable. On y voit une photo de Drosten en visite à l’Institut de Virologie de Wuhan en 2015, ainsi qu’une certaine Angela Merkel, également de passage à Wuhan en septembre 2019. On y apprend aussi que Wuhan dispose d’un autre laboratoire de recherche sur le gain de fonction, affilié à l’hôpital même où Mme Merkel s’est rendue ainsi qu’à l’Université de Duisburg-Essen, et que ce laboratoire se situe en fait à l’épicentre exact du premier cluster déclaré par la Chine.

Bon, c’est loin d’expliquer tout, notamment le fait que le Covid circulait déjà depuis des mois en Europe et aux États-Unis. On notera toutefois une certaine consonnance germanique dans le dossier: Drosten, Merkel, BioNTech, Schwab, von der Leyen…

Il y avait aussi, souvent cité dans le cadre du « génocide vaccinal », ce célèbre Chancelier allemand dont je ne retombe plus sur le nom, un excité cocaïnomane mis en place par les Rothschild pour détruire sa nation et la placer sous coupe de la finance internationale.

Un truc impensable en France.

Coïncidite

Parmi les centaines de publications sur le sujet, vous pouvez notamment lire cet article de ma compatriote Senta Depuydt sur l’épidémie de mort subite en Allemagne.

Ou plus simplement, vous pouvez ouvrir votre boîte aux lettres. Dans la brochure mensuelle de ma commune, à la rubrique « État Civil »:

  • trois naissances,
  • quatorze décès.

Le taux de remplacement est plutôt mal barre. Qu’à cela ne tienne, aux États-Unis on pourra bientôt fondre les catégories naissance et décès en une seule puisque…

QUATRE injections ARNm Covid pour les bébés américains avant leur dix mois

En, fait quatre au minimum. Igor Chudov explique dans cet article:

La FDA a approuvé la QUATRIÈME injection COVID pour les nourrissons. […]

Cette séquence de vaccination peut être achevée dans les quatre mois suivant le début de la vaccination à six mois. Par conséquent, un nourrisson de 10 mois pourrait recevoir quatre doses de vaccin Covid à ARNm.

Si vous pensez que quatre doses de vaccin Covid sont un peu trop pour un enfant de 10 mois, réfléchissez à ceci: toute mère assez folle pour soumettre son enfant aux vaccins Covid en recevra également pendant la grossesse et l’allaitement. […]

Comme les vaccins Covid sont transmis par le lait maternel, un bébé de 10 mois pourrait être exposé à HUIT vaccins Covid au cours de sa vie, y compris avant sa naissance.

Outre les effets indésirables sur les organes et le système sanguin, cet autre article pose la question de la fertilité future des bébés de sexe féminin, sachant que la protéine de pointe a la propriété de fusionner les cellules (syncitia) et que les oocytes (les ovules, donc) ont la plus haute proportion (95%) de récepteurs ACE2 et de TMPRSS2 (69%), auxquels se lie la protéine de pointe.

À tout hasard, je publierai un dernier article-résumé de Spartacus sur l’injection Covid, destiné à ceux qui n’auraient toujours pas compris. Mais il faut bien reconnaître que l’Opération est essentiellement terminée, les dégâts accomplis, et hormis quelques fous furieux, plus personne ne se fera injecter ce machin. La prochaine étape, c’est le retournement de veste.

C’est pas moi, c’est lui

Robert Redfield, l’ex-directeur des CDC américains a déclaré lors d’une audience devant le Select Subcommittee:

« Trois choses se sont produites dans ce laboratoire, qui sont « très inhabituelles », a déclaré le Dr Robert Redfield:

  1. « Ils ont supprimé les séquences, ce qui est très irrégulier. Les chercheurs n’aiment généralement pas faire cela ».
  2. « Ils ont fait passer le commandement et le contrôle du laboratoire d’un contrôle civil à un contrôle militaire, ce qui est très inhabituel. »
  3. « Ils ont confié à un entrepreneur le soin de refaire le système de ventilation de ce laboratoire. »

Bref, Redfield fait partie de la multitude de mauvais acteurs prêts à reconnaître tout et n’importe quoi – essentiellement, tout ce qu’on savait déjà depuis deux ans – pour tirer leur épingle du jeu, quitte à jeter leurs (ex-)associés sous l’autobus, comme on dit en anglais.

Un exemple parmi des centaines, sur le Substack de Jeff Childers:

Ensuite, sur Fox News en prime time avec Laura Ingraham, le médecin californien Michael Huang a déclaré qu’il ne recommandait plus le vaccin et s’est excusé: « Je dois m’excuser au nom de ma profession. Les médecins sont vraiment tombés sur la tête, et ils ont refusé d’écouter les patients lorsqu’ils se présentaient avec des symptômes de lésions dues aux vaccins. »

Laura a ensuite demandé: « Le gouvernement devrait-il recommander les vaccins covid … quels qu’ils soient? » Le Dr Huang a répondu avec bon sens: « Si on tombe malade, on appelle pas le CDC ou la FDA pour obtenir des recommandations […] le gouvernement devrait laisser les médecins pratiquer la médecine. »

Cette tendance est un phénomène fascinant, en particulier parce que je n’ai jamais vu un seul de ces individus prendre la direction opposée. Ce que je veux dire, c’est qu’on ne voit jamais rien du genre:

Intervieweur: Avez-vous des regrets concernant la pandémie ?

Docteur: Je regrette d’avoir été initialement opposé au masquage, mais je me rends compte aujourd’hui que si nous avions masqué un peu plus durement, un peu plus longtemps, avec quelques couches supplémentaires, nous aurions pu éviter tous ces problèmes et peut-être même apprendre à respirer sans oxygène.

Bienvenue à Marburg: son église, son centre commercial, son virus

Meryl Nass publie ceci, que je traduirai vu que ce n’est pas très long et assez amusant. Intro:

Vous avez peut-être entendu dire que le virus de Marburg faisait son apparition en Afrique de l’Ouest. Le message implicite est: « Ayez très peur ».

Juste à temps, le NIAID (l’ancien fief de Fauci) dispose d’un vaccin prêt à être testé sur de malheureux Africains, après avoir été testé sur 40 malheureux Américains. Et une fois qu’ils auront convaincu les gouvernements ou d’autres acheteurs de l’obtenir, qui touchera les royalties? Le NIAID, bien sûr. Et ses employés pourront percevoir jusqu’à 150 000 dollars par an si leur nom figure sur le brevet. C’est parfait, puisque le produit a été développé et breveté aux frais du contribuable. […]

La croisière s’amuse

Suite à la révélation de Seymour Hersh, le New York Times (lien archivé ici) et Die Zeit ont publié une nouvelle histoire, très amusante elle aussi, sur les auteurs de l’attentat contre les gazoducs russes. En fait, ça n’a rien à voir avec les États-Unis, voyez-vous. C’est une équipe de six personnes, russes ou ukrainiens, détenteurs de faux passeports, qui ont loué un yacht et posé des explosifs sur les gazoducs. Il y avait un médecin parmi eux, la plongée à cette profondeur présentant un risque pour la santé. Ils ont malheureusement négligé de bien nettoyer le yacht après eux, et y ont laissé des traces d’explosifs qui les ont trahis. Mon conseil: la prochaine fois, engagez aussi une femme d’ouvrage.

Vladimir trouve cette histoire ridicule – on le comprend:

« Je suis certain qu’il s’agit d’une ineptie complète. Une explosion de ce type – d’une telle puissance, à une telle profondeur, ne peut être réalisée que par des spécialistes, et soutenue par toute la puissance d’un État, possédant certaines technologies. »

Sputnik (accès censuré en Europe de l’Ouest, sorry) résume ainsi son point de vue:

Il a également suggéré que l’on devrait probablement se demander qui serait intéressé par la destruction de Nord Stream, notant que, théoriquement, les États-Unis auraient pu être l’une de ces entités, car un tel acte de sabotage les aiderait à couper le flux de gaz russe vers le marché européen afin que les États-Unis puissent y fournir une plus grande quantité de leur propre gaz naturel liquéfié, beaucoup plus coûteux.

Le président russe a ajouté que la réparation des gazoducs Nord Stream endommagés ne serait pas une mince affaire, mais qu’elle était probablement possible, même si elle nécessitait du temps, de l’argent et de nouvelles technologies.

Il a toutefois fait remarquer que le projet Nord Stream n’aurait d’avenir que si les partenaires européens de la Russie se souvenaient de leur propre intérêt national, car il semblerait qu’actuellement, ils fassent tout ce qu’on leur dit « depuis l’autre côté de l’océan ».

Comment ça? L’Allemagne et la France ne seraient dont pas des pays souverains? Et la démocratie dans tout ça?

Plus récemment, les autorités danoises ont trouvé un machin tubulaire près du Nord Stream 1 – encore intact – et ont invité les gestionnaires – russes – du gazoduc à assister à sa récupération. Si personne ne le réclame, il sera à eux dans un an.

Pauvres présidents

Toujours dans le registre de la farce, Vladimir a été condamné pour crime de guerre par la Cour Pénale Internationale pour avoir « déporté » 16 000 enfants ukrainiens vers la Russie. Heureusement pour lui, il n’a pas arraché les bébés de leurs couveuses pour les jeter au sol. C’est dur de voir Vladimir traité comme un paria, malgré sa mise en place de l’obligation vaccinale, de l’identité numérique, de la monnaie digitale, de l’agenda climatique – bref, de l’Agenda 2030. Pauvre Vladimir.

De son côté, Trump effectue une tournée triomphale pour préparer sa réinvestiture, ou peut-être pour un dernier tour de piste avant de finir en prison, on ne sait pas encore, pour avoir acheté le silence d’une star du porno. Pauvre Donald.

La froide réalité, c’est qu’aucun de ces gusses n’est jamais arrivé à ce poste sans être le poulain de l’un ou l’autre service de renseignement, qui les contrôle de A à Z avec quelques dossiers compromettants. Demandez donc à Ron Paul – que j’ai soutenu à l’époque, malgré que je n’ai évidemment pas de droit de vote – comment il a été écarté de la course à la présidence par cette crapule gluante de Mitt Romney. Que l’une de ces marionnettes dévie un tant soit peu de sa feuille de route et il se prend un tireur isolé, un Watergate, un souci de santé ou un malencontreux accident.

Ou le Covid.

Le débat autour de la culpabilité de Trump dans l’Opération Warp Speed – et donc sa responsabilité pour les centaines de milliers, voire les millions de victimes des injections – n’est pas encore clos aux États-Unis. Certain(e)s, comme Jaime Jessop, rappellent, à juste titre, qu’il a fait très tôt la promotion de l’hydroxychloroquine et qu’il a probablement ensuite été contraint de signer pour le programme du Ministère de la Défense. Katherine Watt ne lui laisse pas le bénéfice du doute: il n’est qu’une des deux faces de la même pièce, celle de l’usurpation du pouvoir. Il a au minimum trahi la confiance de son peuple et continue aujourd’hui à défendre les injections – « ses » vaccins.

C’est donc soit un abruti, soit un vendu. Il avait promis au début de son mandat de consulter Robert F Kennedy Jr sur les vaccins, il ne l’a jamais fait. Il a laissé en poste Anthony Fauci et Deborah Birx, dont Scott Atlas donne un aperçu saisissant de la duplicité et de l’incompétence. Il n’a tenu aucune promesse électorale et n’en tiendra aucune s’il est réélu.

En bref, ce sont les « familles » qui dirigent la haute finance, la haute finance qui dirige la CIA, la CIA qui dirige les États-Unis, et les États-Unis qui dirigent l’Europe et les pays « alignés ». Du moins encore pour quelques semaines, parce qu’à force d’embrouiller, de déboussoler et de camer à zéro leur troupeau, la CIA a bel et bien détruit son propre pays. Le tout est maintenant de ne pas les suivre dans le gouffre.

Euh, euh, euh…

Un truc intéressant à observer chez quelques épaves de la pièce de théâtre internationale: de Jens Stoltenberg à Elon Musk en passant, bien entendu, par Biden, complétement sénile, de plus en plus semblent de plus en plus souvent incapables d’aligner trois mots sans trébucher, bégayer, hésiter ou commettre quelque gaffe monumentale. Je vous ferais bien un jubilé de l’aphasie galopante de ces personnages mais euh, euh, je crains que ce soit, euh, contagieux.

Pendant les travaux, la vente continue

Pendant ce temps, la Russie autorise l’Ukraine à exporter son grain pour 120 jours supplémentaires, ce qui assurera la sécurité alimentaire « des pays ‘à revenu faible ou moyen inférieur’ comme l’Egypte, le Kenya et le Soudan » – et accessoirement, la balance commerciale ukrainienne. La Pologne va livrer quatre Mig-29 – en fin de carrière – à l’Ukraine, qui, ô surprise, « seront remplacés par des appareils sud-coréens FA-50 et des F-35 américains ». La Slovaquie leur enverra treize de ces mêmes vieux coucous (qu’elle remplacera par …), pendant que la Tchéquie passe contrat pour la livraison de tanks gonflables à 100 000 dollars la pièce. Ça fait cher le ballon mais on pourra toujours les recycler en plaine de jeux après guerre – si Vladimir veut bien renvoyer les enfants chez eux – ou les gonfler à l’hélium pour jouer une blague à la chinoise à l’aviation russe. Le Royaume Uni inclura des pilotes ukrainiens dans son programme de formation sur chasseurs: c’est pour permettre à l’Ukraine de « disposer d’une armée capable de défendre ses intérêts dans le futur » – on sait donc qu’il y a un futur pour ce pays. De son côté, Washington assure la formation de deux pilotes – sur simulateur – tout en déclarant ne pas vouloir envoyer de F-16, pour « ne pas créer une escalade du conflit », tandis que Macron déclare que côté livraison de Mirage, « rien n’est interdit« . Merci, on avait remarqué.

Ukraine, Nord Stream, énergie, etc. même plan d’entreprise: on déstocke, on casse d’un côté, on reconstruit « en mieux » de l’autre, et on soigne la facture. 411 milliards pour reconstruire l’Ukraine. Pas de quoi payer? Pas grave, on garde le pays et on l’intègre à l’UE. Ça fera des ressources à piller et des contribuables à ponctionner en plus. Business is business.

Sex and drugs and rock’n’roll

Je me demande finalement si le gars dont j’ai publié deux articles (ici et ici) ne serait pas un agent… Son insistance à me convaincre des bienfaits des drogues psychotropes semble un peu suspecte. Il avait répondu à ceci en orientant son discours vers un autre domaine, qui sert également de levier aux opérations du renseignement: le sexe.

Très bien parlons sexe, ça fait vendre.

Je viens de lire un papier de Miles, qui rejoint d’assez près ce que me dit mon épouse de la misère que vit la génération montante en Belgique, complètement déboussolée. L’Opération (c’est le cas de le dire) Transgenre qui leur est infligée d’en haut ne fait évidemment rien pour arranger la situation. Vous pouvez en (re)lire ici un témoignage, qui vient du Royaume Uni.

Question drogue, j’ai déjà plus ou moins tout dit. En tout cas assez pour passer pour un vieil emmerdeur pète-sec.

Il reste donc le rock’n’roll. Faudra un jour que je vous parle de Todd Rundgren.

En attendant, voici un échantillon de ce que j’écoute. C’est du psybient. Eh oui, en plus du rock de mes jeunes années (punk), j’écoute aussi (sur mon mp3 ou bien fort sur ma chaîne) du nu-jazz allemand – DePhazz, Club des Belugas, Dzihan & Kamien, Moca – et ça, de la musique de drogués. Voyez seulement dans quel état s’est mis cette pauvre fille dans le public! Je fais parfois ça dans mon atelier…

Attention toutefois, cette musique est dangereuse: vous accrochez, vous ne voudrez plus jamais rien écouter d’autre. C’est de la joie, c’est de la danse, c’est de la drogue.

Allez, encore un, pour la route. La souris qui mange du fromage.


Bon, c’est déjà assez long, ce sera tout pour aujourd’hui. Il reste des dizaines d’infos à traiter mais j’avais dit que je ferais un tri.

Pour conclure…

… la petite histoire du proverbe cité en début de page. Je vous garantis l’authenticité de l’anecdote.

Un de mes camarades de l’époque avait lu ce proverbe au verso de la feuille de son éphéméride. C’était le 25 décembre 1989. La date est facile à retenir: en plus d’être le jour de Noël, c’est celui où Nicolae Ceaușescu et sa délicieuse épouse furent fusillés dans une arrière-cour, après un procès expéditif où ils se virent accusés et jugés coupables de « génocide par la famine, la privation de chauffage et d’éclairage », et d’avoir causé la mort de milliers de dissidents à son régime dictatorial.

Et encore pire, selon les termes exacts de l’accusation:

Mais votre crime le plus abominable a été de détruire l’âme de la nation.

Eh oui.

À bientôt et bon courage.

Votre argent, c’est leur argent (1ère partie) – par Le Bon Citoyen.

Je vais publier pas mal de choses sur l’économie. C’est le moment.

C’est le sujet que je déteste le plus au monde, que je maitrise très peu, raison pour laquelle je ferai appel à des auteurs qualifiés. Comme d’habitude, ça rogne sur le temps que j’aimerais consacrer à mes propres articles, mais je travaille de plus en plus dans l’urgence, vu la vitesse à laquelle tout déboule en ce moment.

C’est dans le secteur économie – enfin, ce qu’il en reste – que tout va se jouer, au niveau de l’avenir de cette société. Ce n’est pas une nouveauté. C’est même une très vieille histoire.

L’article qui suit est pile dans l’actualité, celle de la Silicon Valley Bank, notamment. Il a aussi le mérite de donner une grille de lecture très accessible sur l’ensemble du système. Je lirai sa suite et la traduirai si c’est utile. Au cas où vous penseriez que ça n’intéresse que les Américains, demandez-vous pourquoi Macron fait absolument tout – en plus d’offrir les milliards de l’argent des retraites à ses employeurs – pour plonger les Français dans la misère. Votre argent, c’est leur argent.

J’ai aussi à traduire un article (en fait, deux, un texte d’introduction à sa dernière vidéo et sa transcription) de John Titus, auteur déjà publié ici, qui décryptent le système et ses manoeuvres actuelles, d’avant l’affaire de la SVB et du Crédit Suisse. John publiera sa propre analyse du chaos bancaire en cours – pas forcément la même que celle ci-dessous – que je relaierai. L’ex-trader Ed Dowd, l’auteur de « Cause unknown » (sur l’hécatombe vaccinale) en parle aussi dans diverses interviews (notamment ici, peut-être sous-titrées quelque part sur le Net) et Mathew Crawford publie un article-fleuve en ce moment même, que je n’aurai sans doute pas le temps de traiter. Adam Curry en parle aussi dans NoAgenda n°1538, et rejoint ce qu’en dit ici The Good Citizen.

Je pressentais depuis un moment que la légèreté des acteurs de l’opération Covid/injections devant leur hécatombe signifiait qu’ils avaient quelque chose de bien plus redoutable dans leurs cartons. Les analystes comme The Good Citizen et d’autres vous répèteront ce que je serine depuis deux ans et qui se résume à ceci: soyez prêts.

Source.


Votre argent, c’est leur argent (1ère partie)

Le bras financier de la pieuvre pandémique et l’effondrement planifié imminent

The Good Citizen

17 mars

La pieuvre pandémique a huit bras (voir au bas de ce lien pour les sept autres):

Le bras de la pieuvre de ce jour – le coup d’État financier:

  • Éliminer les engagements de retraite non financés en éliminant les retraités (toujours en cours. « Adieu grand-père, nous t’aimions tant »).
  • Créer intentionnellement de l’inflation en imprimant des trillions de dollars en 2020 pour lutter contre un faux virus lors d’une fausse pandémie.
  • Augmenter les taux d’intérêt (en prétendant lutter contre l’inflation) au rythme le plus rapide de l’histoire tout en coupant les jambes des liquidités en diminuant rapidement la masse monétaire M2 (2022).
  • Utiliser un prétexte d’actifs obligataires en difficulté pour faire paniquer les gros déposants et déclencher une ruée sur les banques, puis les renflouer en garantissant tous les dépôts non assurés (18 trillions de dollars).
  • Renflouer [NdT. « bail-out », voir définition au bas de ce lien] TOUS les déposants bancaires et permettre aux plus grandes banques d’absorber les plus petites, créant ainsi l’aléa moral ultime tout en préparant le terrain pour les prochains renflouements (là où on en est maintenant).
  • Cibler d’abord tous les prêteurs et banques cryptographiques afin d’éliminer la concurrence avec les MNBC, tout en rejetant la responsabilité de toute crise sur les « crypto-monnaies non réglementées » avant d’interdire purement et simplement les crypto-monnaies.
  • Les renflouements [NdT. « bail-in », idem] et l’hyperinflation laisseront des dizaines de millions de personnes sans argent pour préparer le terrain à une compensation par des MNBC programmables, les alternatives telles que le bitcoin étant interdites.
  • Une bombe de produits dérivés d’une valeur d’un quadrillion de dollars explosera, provoquant une panique encore plus grande.
  • Quand la souffrance (sécurité sociale, fonds de pension, 401k et dollar démolis) [NdT. Le Plan 401(k), ou 401(k), est un système d’épargne retraite par capitalisation très largement utilisé aux États-Unis] atteindra son apogée, la pire de toutes les chaînes d’esclavage sera larguée avec la bombe MNBC, liée à un système de crédit social avec le revenu de base universel (RBU).

Le récit officiel de l’effondrement de la Silicon Valley Bank (SVB) est que la banque détenait trop d’obligations sans valeur dans ses livres, alors que les règles comptables l’obligeaient à les détenir. Ces obligations ont perdu leur valeur lorsque la Fed a relevé les taux d’intérêt au cours de l’année écoulée au rythme le plus rapide de l’histoire, passant de 0% à 5% en moins d’un an.

Tout ça n’a rien à voir avec la désintégration de la SVB. Ne vous y trompez pas, il s’agissait d’une ruée planifiée sur la banque, déclenchée en grande partie par Peter Thiel, partenaire de la CIA et fondateur de Palantir [NdT. ici], qui joue à temps partiel, lors de conférences, le rôle du sympathique libertarien du quartier.

Thiel avait prévenu les sociétés de capital-risque et les start-ups de retirer leur argent de la SVB. 42 milliards de dollars ont été siphonnés en 48 heures et la banque s’est retrouvée avec un problème de négatif d’un milliard de dollars. Sauf qu’un milliard de dollars, ce n’est rien ni pour le secteur bancaire, ni pour le gouvernement. En octobre 2008, les grandes banques perdaient ce montant à chaque heure dans le cadre de la pyramide de Ponzi des titres adossés à des créances hypothécaires et des dérivés de CDS[NdT. Credit default swap, ici], lorsque leurs véritables notations ont été révélées au grand jour.

La valeur des actions de la Spectacularly Vacuous Bank [NdT. la banque spectaculairement creuse, un jeu de mots sur SVB] a chuté de 80% en un clin d’œil et est tombée à zéro en un autre clin d’œil.

Et tous leurs déposants non assurés auraient dû être vaporisés.

Des milliardaires pleurnichards tels que le manipulateur de marché et criminel financier Bill Ackman et le sportif Mark Cuban ont gémi que tous les déposants de plus de 250 000 dollars (au-delà de ce qui est assuré par la FDIC) [NdT. Federal Deposit Insurance Corporation, ici] avaient besoin d’être renfloués. Apparemment, Oprah Simpfrey [NdT. Winfrey] et ses voisins opprimés, le Prince et la Princesse Sniffles [NdT. Harry et Meghan], en faisaient partie. En l’espace de 48 heures, les autorités ont renfloué non seulement la SVB, mais aussi toutes les petites banques régionales dont les obligations étaient en difficulté et qui ne s’étaient pas couvertes en conséquence.

La SVB a fourni d’énormes quantités de capitaux à un certain nombre de sociétés chinoises de capital-risque dans le domaine de la technologie et à des entrepreneurs de start-ups chinoises. Biden a été grassement payé par la Chine pour travailler pour elle une fois en fonction. Leur investissement de « 10% pour le mec en place » porte ses fruits.

Deux banques israéliennes ayant des dépôts à la SVB ont été remboursées assez tôt dans le jeu, comme on pourrait s’y attendre pour des membres réguliers du club de la finance.

Times of Israel, 12 mars: Les deux plus grandes banques israéliennes, Bank Leumi et Bank Hapoalim, ont mis en place une salle de crise qui fonctionne 24 heures sur 24 pour aider les entreprises à transférer leur argent de la SVB – avant qu’elle ne soit saisie – vers des comptes en Israël. Au cours des derniers jours, les équipes de LeumiTech, la branche bancaire high-tech de Bank Leumi, ont pu aider leurs clients israéliens à transférer environ 1 milliard de dollars en Israël, a indiqué la banque.

Curieusement, cela s’est produit au moment même où JPMorgan Chase et son PDG Jamie Dimon se retrouvait en mauvaise posture, un juge lui ayant ordonné de produire des documents relatifs à Jeffrey Epstein, client privilégié de Dimon et de Chase, et qui, avant de ne pas se suicider en prison, avait également des liens avec le Mossad et les banques israéliennes en question.

Epstein est le type qui a piégé les riches et les puissants en les mettant en situation compromettante avec des gosses issus du trafic et en filmant discrètement leurs activités pédophiles, puis en conservant ces bandes comme garantie de corruption d’oligarques, d’anciens Présidents qui ont joué dans Real Stories of The Arkansas Highway Patrol [NdT. Bill Clinton], et des développeurs de logiciels en cardigan adeptes de vaccins de dépopulation.

Dimon et Chase étaient les courtisans financiers officiels d’Epstein. Est-ce que JPMorgan Chase a retiré le plus gros dépôt de la SVB pour déclencher cette ruée, étant donné qu’elle a le plus à gagner en tant que plus grande banque des États-Unis en termes d’actifs?

Regardez! Une écureuil SVB! [NdT. « Look! Squirrel! », un running gag américain que vous aurez vu dans « Up » de Pixar]

Ghislaine Maxwell, la Madame Kidnappeuse d’Epstein, est encore aujourd’hui la première personne dans l’histoire de la justice à avoir été condamnée pour trafic sexuel de mineurs au profit de… personne.

La contagion de la SVB s’est étendue à d’autres petites banques régionales qui détenaient des obligations surévaluées [NdT. « underwater bonds »: l’expression « sous l’eau » désigne un contrat financier ou un actif dont la valeur est inférieure à sa valeur théorique], toujours au profit des cinq grandes banques « trop grandes pour faire faillite ».

Grâce à un plan de sauvetage de 2 trillions de dollars annoncé le week-end dernier par l’intermédiaire d’un organisme appelé BTFP (Bendover The F**king Plebs) [NdT. en fait, Bank Term Funding Program], les banques ont pu échanger leurs obligations surévaluées au pair, ce qui leur a permis de redresser leurs comptes.

Au lieu de se couvrir contre la hausse des taux d’intérêt, des banques irresponsables comme SVB ont donné 75 millions de dollars à des groupes terroristes néo-marxistes comme Burn Loot Murder (BLM) [NdT. Black Lives Matter] et ont dépensé des millions de dollars supplémentaires pour faire des publicités parodiques et embaucher tous les pires candidats pour tous les postes parce qu’ils cochaient des cases sur la matrice DEI [Diversité, Équité, Inclusion].

C’est quoi une obligation? De toute façon, j’ai grandi au Guatemala et ma mère est un médecin vaudou jamaïcain non binaire…

T’es engagée, soeurette! Bienvenue à la Silicon Valley Bank. Tes cartes de visite d’analyste en chef des risques seront sur ton bureau cet après-midi.

Depuis des mois, les chaînes survivalistes de YouTube et de Bitchute mettent en garde contre les ruées sur les banques. Lors d’une réunion de la FDIC (Federal Deposit Insurance Corporation) en novembre, les membres du conseil d’administration ont annoncé les événements auxquels nous assisterons lorsqu’ils autoriseront les renflouements (bail-ins).

N’oublions pas que les banquiers de la FDIC ont tenu une réunion il y a plusieurs mois où ils discutaient de l’effondrement bancaire mais ne voulaient pas que ça se sache dans le public et en parlaient comme d’une « information confidentielle du secteur »

Tirez à pile ou face.

Face – Bail-outs: Les contribuables (Fed) renflouent les déposants ou les institutions.

Pile – Bail-ins: Les banques volent votre argent.

Vous avez perdu.

Merci d’avoir joué.

Qu’est-ce que l’argent?
Du papier de coton avec de l’encre de luxe et des hologrammes. Une imprimerie officielle soutenue par des armées permanentes et des réserves d’énergie. Un système basé sur la poussière de fée et la confiance de grands imbéciles crédules.

Qu’est-ce que la banque à réserves fractionnaires?
Un système bancaire qui permet aux banques de ne détenir qu’une fraction de l’argent des déposants. Cela signifie que votre argent est leur argent, qu’elles peuvent prêter et spéculer à leur guise, et que lorsque vous allez le récupérer, vous ne récupérez pas votre argent, mais simplement de l’argent.

Qu’est-ce qu’une ruée sur les banques?
Si les gens se rendent compte de cette escroquerie et perdent confiance dans le système, et s’ils paniquent lorsqu’ils réalisent que les banques ne peuvent pas payer tous ceux qui veulent soudainement récupérer leur argent en même temps, les retraits sont limités ou totalement interrompus. Les portes des banques se ferment et la panique gagne d’autres banques. Ces mouvements de panique ont été organisés par les grandes banques dans les années 1890 et au début du 20e siècle pour détruire leurs concurrents et justifier la loi sur la Réserve Fédérale de 1913.

Qu’est-ce qu’un compte bancaire?
Un logiciel informatique. Des uns et des zéros où votre argent n’est PAS détenu et peut être saisi à chaque fois qu’il y a une « crise », qu’elle soit réelle ou fabriquée.

Qu’est-ce que l’ensemble du système financier des banques centrales, du FMI et de la BRI?
Un système de Ponzi permettant aux riches de piller et de détruire les monnaies sur le dos des esclaves endettés qui paient des impôts, et d’asservir et de coloniser les pays du tiers-monde en leur imposant sans cesse des obligations insoutenables auprès du FMI en échange du droit pour les entreprises de violer et de piller leurs ressources.

Faites confiance à leur système « bancaire » à vos risques et périls.

Pour être clair, la politique schizophrène de la Réserve Fédérale est à présent:

  • Augmenter les taux d’intérêt pour prétendre lutter contre l’inflation pour les « petits » puisque l’inflation n’affecte pas les personnes pour lesquelles la Fed travaille réellement, même si elle est loin d’avoir combattu l’inflation et qu’elle devra augmenter les taux au-delà de 10% pour ne serait-ce qu’entamer cette lutte.
  • Tout en diminuant la masse monétaire M2 au rythme le plus rapide de l’histoire, la rendant négative pour la première fois depuis la Grande Dépression.
  • Et maintenant, en renflouant les obligations surévaluées des banques irresponsables, tout en gâtant les riches et les très riches en garantissant tous les dépôts non assurés, avec ce qui sera en fin de compte une nouvelle impression monétaire créatrice d’inflation.

Alors qu’il semble que l’aléa moral financier créé par la Réserve Fédérale ne saurait être plus perfide, ces enfoirés trouvent encore le moyen. Il est impossible de lutter mathématiquement contre l’inflation tout en sauvant les banques irresponsables en compensant leurs pertes obligataires et en garantissant tous les dépôts non assurés.

Imaginez une maison en feu. Les pompiers qui se trouvent à l’avant de la maison l’arrosent avec de l’eau. Puis ils courent jusqu’à l’arrière de la maison et l’arrosent d’essence. Ils reviennent ensuite à l’avant de la maison et répètent l’opération jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un tas de cendres. C’est ce que la Fed vient d’annoncer qu’elle allait faire.

Ce que voit l’Américain moyen, analphabète économique, c’est une impeccable maison coloniale blanche qui n’est même pas en feu.

Mais nous ne sommes qu’à quelques mois du moment où ce tas de cendres apparaitra aux yeux de tous, et c’est tout à fait intentionnel.

Les chiffres de l’inflation sont manipulés à la baisse. L’inflation réelle culminait à près de 20% l’été dernier, alors que l’inflation « officielle », calculée à l’aide d’artifices, n’était que de 7,8%. Le gouvernement peut mentir sur tout parce que les gens ne sont plus capables des mathématiques les plus rudimentaires, ni de faire preuve du moindre esprit critique.

Mais l’inflation est repartie à la hausse ces derniers mois. Et quelle est la réaction du peuple américain à ce dernier sauvetage de 2 trillions de dollars des petites et moyennes banques et à la garantie de 18 trillions de dollars supplémentaires pour les dépôts non assurés au cas où d’autres banques feraient faillite?

Le pillage se poursuivra tant que les équations ne seront pas résolues.

Tout tourne autour de l’impression monétaire et du crédit bon marché pour les héroïnomanes qui spéculent avec l’argent des contribuables. Ils voulaient un pivot de la Fed (d’une hausse des taux à une nouvelle baisse) et, comme au 19e siècle, les petites banques continueront à être ruinées jusqu’à ce que la Fed donne aux toxicomanes ce qu’ils veulent. Mais ça fait 14 mois consécutifs qu’elle prétend se consacrer à la lutte contre l’inflation. À la seconde où elle « pivotera », elle signalera qu’elle a complètement abandonné la lutte contre l’inflation et que le peuple américain n’aura plus qu’à perdre un peu plus de son argent chaque mois.

Le Dow Jones grimpera à 90 000 comme au Venezuela.

Un camion Ford Tough coûtera 170 000 dollars.

Et une miche de pain coûtera 80 dollars.

La Fed sait également que l’Américain moyen n’a aucune idée de ce qu’est l’inflation ou même le système bancaire à réserves fractionnaires. Ils pensent que lorsqu’ils déposent de l’argent dans une banque, celui-ci les attendra en toute sécurité à tout moment et qu’il aura la même « valeur », et pas moins, lorsqu’ils le récupèreront.

Ils ne savent pas que les banques utilisent leur argent pour spéculer sur les investissements et prendre des risques afin de gagner encore plus d’argent, tout en les ponctionnant sur les frais de découvert, les retraits aux guichets automatiques, les transferts d’argent et les dépôts directs, tout cela pour le « privilège » de ne même pas détenir leur argent.

Et maintenant, après le week-end dernier, ils ne réalisent pas que lorsque l’ensemble du système bancaire sera absorbé par les cinq grandes banques « trop grandes pour faire faillite », ce qui est prévu, il y aura des renflouements comme l’autorise la loi Dodd-Frank et comme l’ont annoncé les clowns du conseil d’administration de la FDIC dans la vidéo ci-dessus.

Les grandes banques voleront votre argent, tandis que la Fed dédommagera d’abord les riches déposants, les particuliers ultra-riches et les entreprises, puis prétendra qu’elle n’est pas en mesure d’aider des millions de citoyens.

Votre argent a toujours été leur argent.

Chaque fois qu’il y a besoin d’argent pour les guerres ou les banquiers, il arrive comme par magie.

Chaque fois qu’il y a une « crise », réelle ou fabriquée, de l’argent magique est imprimé sur le dos des contribuables.

Lorsque les banquiers veulent prendre des risques stupides, ils savent qu’ils le font avec l’argent de la maison (du contribuable) et qu’ils ne peuvent donc jamais perdre.

D’où la question suivante: pourquoi payer des impôts si l’on peut imprimer n’importe quelle somme d’argent sans conséquences?

En mars 2020, la Fed a commencé à injecter 9 trillions de dollars dans les marchés, achetant tous les actifs en difficulté et non en difficulté, les ETF, les actions Apple, les obligations et probablement le stand de limonade de l’enfant au coin de la rue. Blackrock était leur fournisseur officiel de services aux guichets d’escompte.

Dans le même temps, le Congrès a ajouté 5 trillions de dollars avec le CARES ACT, 3 trillions de dollars pour maintenir les aides pléthoriques de 2021, et 1,2 trillion de dollars supplémentaires pour « l’infrastructure », un autre carnaval sur la diversité et l’équité à propos d’un système routier raciste et pour préparer le déraillement de trains toxiques à proximité du mauvais type d’électeurs [NdT. à East Palestine].

Il se trouve que ce pic a coïncidé avec un pic de la frénésie spéculative sur les marchés boursiers, ce qui prouve que les marchés ne sont que le reflet des faibles taux d’intérêt et de la masse monétaire.

Trois mois après cette frénésie spéculative et deux ans d’essais du revenu de base universel – des dépôts directs pour tous les Américains – les gens ont commencé à se demander pourquoi leur facture de produits alimentaires avait doublé.

Il y a un siècle, l’Allemagne de Weimar a mené les mêmes politiques monétaires inconsidérées. Les réparations de guerre punitives, le blocus des importations imposé par les Britanniques et une nation en ruine ont conduit à l’abandon des Goldmarks et à l’impression massive de Marks en papier. C’est la voie inévitable que la Réserve Fédérale vient de choisir pour le peuple américain. Et tout cela a été conçu pour détruire l’ancien système analogique afin d’instaurer l’esclavage financier numérique.

HYPERINFLATION
Seulement deux ans après la fin de la guerre, le Mark papier ne valait plus que 10% de sa valeur initiale.
Toute l’épargne en liquide avait perdu sa valeur et les épargnants prévoyants de la classe moyenne allemande furent inexplicablement punis.
À la fin de 1923, il fallait un trillion de Marks papier pour acheter un Mark or.

Les banques centrales sont l’antithèse des marchés libres. Elles sont des entités d’asservissement par le crédit (usure) à tous les niveaux. Elles créent de l’argent fictif (fiat) qui n’est lié à rien, grâce à la source de pouvoir/tyrannie des armées permanentes de l’État ou des monopoles de l’énergie. Ils gonflent intentionnellement la monnaie pour gérer leur propre passif.

Il n’y a pas de marchés libres. Il y a des marchés contrôlés centralement pour l’exploitation et le pillage, et leur démolition intentionnelle pour introduire leur nouveau système d’asservissement – les monnaies numériques des banques centrales (MNBC).

[NdT. la traduction automatique n’est pas parfaite mais assez bonne pour comprendre l’essentiel]

Fedcoin, la MNBC de la Réserve Fédérale, a été mise à l’essai à la fin de l’année dernière. Biden a signé un ordre exécutif en mars dernier pour déchaîner cet enfer financier sur les Américains dans le cadre de la Grande Réinitialisation Financière. FedNow, un programme de règlement instantané pour les transferts (pas une MNBC) est également en cours d’élaboration. La première phase du déploiement de FedNow aura lieu cet été.

Une fois que toutes les institutions seront intégrées au système FedNow, l’effondrement du dollar s’accélérera, à la fois en tant que monnaie de réserve mondiale et en tant que source de monnaie légale, en le rendant sans valeur par l’hyperinflation. Lorsque le désespoir et la panique seront à leur apogée, ils déploieront leur ultime série de chaînes financières sur le peuple américain.

FedCoin — à travers — FedNow.

La seule option possible.

La Banque Fédérale de Réserve lance la première phase de la MNBC en juillet prochain

Dans la deuxième partie (lundi), nous danserons avec le diable de la MNBC et nous expliquerons étape par étape ce qui doit se passer cette année pour que la Fed parvienne à mettre en place avec succès une MNBC que la population ne pourra pas refuser ensuite.

Ainsi que les mesures les plus prudentes que les Bons Citoyens peuvent prendre à court terme pour se protéger contre ce vol et cette tyrannie, pour éviter panique et surprises.

Le Culte Biosécuritaire de la Pandémie en Attente – par Sasha Latypova.

Si ce n’est fait, lisez l’article précédent, de Spartacus, qui donne quelques pistes sur les aspects futurs bio-machin-truc du « projet ». Considérez celui-ci comme une deuxième partie.

Voici ce qu’en pense Sasha Latypova, qui rejoint d’assez près ce que j’en pense. J’ai un truc à finir de rédiger sur le sujet, une mise à jour de ce que je serine depuis plus de deux ans ici.

Un de nos points communs majeurs est de ne pas être très impressionnés par les instigateurs du projet, de petites frappes incompétentes qui, après avoir pillé (notamment) les fonds de pension, tentent de liquider Mamy en lui injectant du bouillon d’onze heures – et si il lui venait l’idée d’y survivre, en reculant l’âge de sa retraite. Mes lecteurs français apprécieront…

Sasha me rejoint aussi sur le fait que la majorité des organes de contrôle (connus aux États-Unis sous le terme « alphabet soup« , en référence à leurs acronymes) et des gouvernements sont des mafias; et également sur cet étrange penchant du peuple pour les histoires, belles ou moches, vraies ou fausses, que je fais dans ce cas, comme elle et bien d’autres, mon possible pour démonter, la vérité étant une forme de salut et la nature sa source première.

La peinture en fin de texte est de l’autrice.

Source.


Le Culte Biosécuritaire de la Pandémie en Attente

Visualisez la catastrophe. Mieux que ça.

Sasha Latypova

11 mars

Yuval Noah Harari est l’un des principaux idéologues du cartel criminel des aspirants à un gouvernement mondial unique et le porte-parole préféré du Forum Économique Mondial. Son message principal semble être que les humains peuvent être capturés, contrôlés et « piratés » ou manipulés par la technologie et ainsi réduits en esclavage pour servir l’uber-classe de contrôle des peuples du FEM et de l’OMS. C’est un lecteur qui m’a signalé cette vidéo. Dans cette conférence Ted de 2015, Harari postule que les humains, par opposition aux animaux, sont uniques dans leur capacité à croire à des histoires fictives, et qu’ils peuvent donc être contrôlés par la narration, par la fiction, tant que tout le monde croit à la même histoire. Selon lui, l’idée que les humains ont une âme et un libre arbitre est « révolue ». Par conséquent, cette méthode permet d’amener les gens à participer à leur propre disparition (y compris en faisant la queue pour se faire injecter du poison) par le biais d’un lavage de cerveau de masse et d’un contrôle du narratif.

Les êtres humains se laissent séduire par des conneries en tout genre et, en fait, ils semblent en raffoler. Nous aimons les bonnes histoires, les histoires imaginatives, les histoires d’ambition, les aventures de héros, les romances, les whodunit (le genre de ce substack), ou les histoires de science-fiction sur les avancées technologiques. Les histoires de science-fiction sont très populaires. Elles sont en fait tellement populaires que le grand public et la plupart des professionnels ne parviennent plus à distinguer la science légitime des récits de science-fiction imaginaires, ce qui est ressorti clairement des années de fausse « pandémie mondiale » actuelle.

En parlant du narratif de la pandémie, nous aimons aussi les histoires qui font peur! Les perspectives imminentes de fausses catastrophes invisibles semblent ne jamais passer de mode. Voici un excellent livre que je recommande sur ce sujet [NdT. moi aussi], écrit par Patrick Moore, un des fondateurs de Greenpeace. Je cite:

Il y a quelque temps, je me suis rendu compte que la grande majorité des histoires alarmistes sur l’état présent et futur de la planète, et de l’humanité dans son ensemble, sont basées sur des sujets qui sont soit invisibles, soit extrêmement éloignés, soit les deux à la fois. Ainsi, la grande majorité des gens n’ont aucun moyen d’observer et de vérifier par eux-mêmes la véracité de ces affirmations prédisant ces prétendues catastrophes et menaces dévastatrices. Au lieu de cela, ils doivent s’en remettre aux activistes, aux médias, aux politiciens et aux scientifiques – qui ont tous un très grand intérêt financier et/ou politique dans le sujet – pour leur dire la vérité. Cela ouvre la voie à l’invention de récits tels que l’affirmation selon laquelle « les émissions de CO2 provenant de la combustion de combustibles fossiles sont à l’origine d’une situation d’urgence climatique ».

Personne ne peut voir ou sentir ce que fait le CO2 car il est invisible, inodore, insipide, silencieux et ne peut être ressenti par le toucher. Par conséquent, il est difficile de réfuter de telles affirmations parce qu’il n’y a rien à pointer du doigt pour démontrer de manière tangible la fausseté de ces affirmations.

Les narratifs surutilisés posent un léger problème. Le narratif sur le changement climatique est de plus en plus difficile à soutenir, car Greta a dépassé sa date de péremption en tant qu’enfant acteur, les ours polaires refusent de coopérer et continuent de se multiplier, et les glaciers ne fondent pas comme Al Gore l’avait promis. Les ovnis et les extraterrestres ne nous mèneront pas non plus bien loin.

De nouveaux narratifs de peur doivent être établis: le narratif de nouveaux virus « émergents » est dans les cartons depuis des années. Des virus invisibles et effrayants qui peuvent surgir de la jungle à tout moment et qui sont à portée d’avion d’infecter la moitié de la planète avec un nouvel agent pathogène mortel! Plus palpitante encore est la perspective que des scientifiques maléfiques fabriquent de nouveaux virus mortels et super propagateurs dans des laboratoires qui peuvent « fuir ».

Merci, Sage Hana, d’avoir réalisé ce mix tape 🙂 qui illustre bien mon propos.

La mafia gouvernementale (HHS, NIH, DOD, DARPA, BARDA, DTRA, etc.) et ses vassaux du monde universitaire, de l’industrie biopharmaceutique et des médias se gavent à l’auge de la « biodéfense » depuis des décennies. Quoi de mieux qu’une menace invisible pour justifier l’impression et la dépense de tonnes d’argent pour des méga-contrats de défense/recherche, tout en prenant l’avion pour participer à des événements champagne-caviar internationaux et se décerner mutuellement des prix scientifiques diversifiés-inclusifs-durables?

Dans son récent article pour le Epoch Times, la journaliste Debbie Lerman souligne le temps et l’argent consacrés par le cartel militaro-industriel à l’escroquerie de la « biodéfense et de la préparation aux pandémies ». Des montants mirobolants sont décrits dans un article du Lancet qu’elle cite en référence: « La recherche sur la biodéfense deux décennies plus tard: l’investissement en valait-il la peine? »

Avant 2001, le financement annuel de la biodéfense aux États-Unis était estimé à 700 millions de dollars. À la suite des incidents de 2001, l’augmentation du financement de la biodéfense dans le monde entier a été largement stimulée par la prise de conscience que de nombreux pays n’étaient pas préparés à des attaques bioterroristes. L’attaque américaine Amerithrax de 2001 a révélé des lacunes dans la disponibilité des contre-mesures médicales via le stock national stratégique (SNS), le système de réseau d’intervention des laboratoires, l’infrastructure de santé publique et la communication. De nombreux programmes de financement ont été associés au gouvernement fédéral américain. Un programme d’un milliard de dollars a été mis en œuvre aux États-Unis en 2002 sous la forme de subventions à la préparation au bioterrorisme, de financement de la recherche en biodéfense et de stockage de contre-mesures médicales au sein du Ministère de la Santé et des Services sociaux. D’autres efforts notables de financement de la biodéfense aux États-Unis après 2001 comprennent le programme Biowatch (2001) du Ministère de la Sécurité Intérieure (DHS), le programme de préparation des Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC), le projet Bioshield (2004) du DHS, la Commission pour la Recherche et le Développement Avancés en Biomédecine (Biomedical Advanced Research and Development Authority – BARDA; 2006), et le Centre National de Bio et d’Agrodéfense (National Bio and Agro Defense Facility; 2014). Ces programmes portent généralement sur des questions autres que la biodéfense, telles que la santé publique, la sécurité nationale et internationale et les soins de santé, ce qui accroît leur impact. Le financement total de la biodéfense aux États-Unis a augmenté de façon spectaculaire, passant de environ 700 millions de dollars en 2001 à environ 4 milliards de dollars en 2002; le pic de financement en 2005 s’élevait à près de 8 milliards de dollars et s’est poursuivi avec des dépenses moyennes régulières d’environ 5 milliards de dollars.

En 2019, le marché mondial de la biodéfense était évalué à 12,2 trillions de dollars et devrait croître à un taux de croissance annuel composé de 5,8% entre 2020 et 2027, pour atteindre une valeur de marché projetée de 19,8 trillions de dollars en 2027. Des facteurs tels que les ressources financières gouvernementales et privées soutenues par la menace imminente du bioterrorisme et l’apparition récente d’épidémies naturelles d’agents pathogènes liés au bioterrorisme, notamment Coxiella burnetii, le virus Ebola (EBOV), SARS-CoV-1, SARS-CoV-2, la grippe et le virus Lassa, sont probablement les principaux facteurs qui contribuent à l’expansion constante du marché mondial de la biodéfense.

Et à quoi ces milliards ont-ils été consacrés? Dans un résumé de 2003 intitulé « Rôle élargi en matière de biodéfense pour les Instituts Nationaux de la Santé » (« Expanded Biodefense Role for the National Institutes of Health »), le Dr Anthony Fauci expose sa vision de la biodéfense:

« … l’objectif dans les 20 prochaines années est de passer du « virus au médicament » (« bug to drug ») en moins de 24 heures. Cela permettrait de relever le défi des bioagents issus du génie génétique ».

Au fil du temps, le mastodonte du cartel gouvernement-industrie, qui ne cesse de s’agrandir, a su tirer parti de nombreux événements. Au cours des 20 dernières années, l’élaboration des politiques a de plus en plus visé à mettre en place des réglementations pour maximiser les pouvoirs des autorités en éradiquant simultanément les lois et les contrôles constitutionnels existants afin de les libérer de toute responsabilité et d’instaurer de facto une loi martiale. Chaque politique a été mise en place après de prétendus « événements » qui ont été utilisés pour introduire de nouvelles « lois ». Il est légitime de penser que l’inverse a pu se produire: les événements ont été organisés pour justifier de nouvelles « lois ». Après chaque « attaque », une nouvelle législation plus autoritaire a été élaborée et mise en place pour s’adapter aux objectifs du programme totalitaire.

Le narratif de la biodéfense/biosécurité articulé par Fauci est bien entendu totalement bidon. Les pandémies virales n’existent pas dans la réalité, malgré des décennies de trafic international très dense et très fréquenté (vous avez connu Ryan Air?)

D’accord, les virus terrifiants ne surgiront peut-être pas naturellement de la jungle, mais ils « émergeront » certainement un jour du laboratoire d’un Dr Maléfique? Voici Ralph Baric qui « prédisait » en 2016 que le virus 1 SARS CoV de Wuhan était prêt à « émerger » de son laboratoire de l’UNC Chapel Hill. Notre Congrès est toujours à la recherche d’une « fuite » à Wuhan. Allô! Congrès! Quelqu’un pourrait-il lire ceci?

Des sommes colossales d’argent, des investisseurs, des ressources, des projets, des études, des subventions de recherche, des conférences, des tables rondes, des conférences Ted, des comités politiques, des lois du Congrès, beaucoup d’activités juridiques et de lobbying, des exercices de simulation sur table – toute une industrie de 19 milliards de dollars par an est en attente de LA GRANDE FUITE un jour. Les milliers d’adultes qui participent à ce jeu de fiction doivent finir par y croire pleinement afin de surmonter une dissonance cognitive massive et destructrice de l’âme. Ceux qui ne le supportent pas du fait de leur sens moral démissionnent et vont travailler ailleurs. Ce qui n’était au départ qu’un scénario de film de série B (Dustin Hoffman poursuivant un singe échappé avec des chars et des hélicoptères) se transforme, grâce à l’alignement des incitations économiques individuelles et des narratifs, en une idéologie, puis en une religion à part entière. C’est ainsi qu’est née une secte dangereuse: le Culte de l’Église Biosécuritaire de la Pandémie en Attente.

Les nombreux investisseurs étatiques, militaires et privés qui ont soutenu le narratif de la biodéfense, y compris la Fondation Bill & Melinda Gates, parmi des centaines de fonds privés, souverains et à but non lucratif qui ont déversé tout cet argent dans la « biodéfense », attendent le retour sur investissement!

Extrait du même article du Lancet:

Quinze ans plus tard, alors qu’aucune plateforme aussi fantaisiste n’est en vue, la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) a publié en 2017 un plan de contre-mesures médicales actualisé intitulé « Supprimer la menace virale: Deux mois pour empêcher la pandémie X de s’installer« . Au lieu des 24 heures de Fauci entre le virus et le médicament, ce projet nous dit que « la DARPA vise à développer une plateforme intégrée de bout en bout qui utilise des séquences d’acide nucléique pour arrêter la propagation des infections virales en soixante jours ou moins. »

Si la Grande Pandémie ne se manifeste pas, la secte va essayer de l' »assister ».

De nombreuses tentatives ont été faites pour déclencher des pandémies à partir de « foyers » locaux: SARS1, MERS, zika, ebola – mais rien ne s’est propagé. Des personnages comme Michael Callahan, un agent de la CIA épidémiologiste du type Indiana Jones, toujours « premier sur les lieux » des « épidémies » exotiques, pourchassant des patients potentiels atteints d’ebola à travers la jungle avec des fléchettes tranquillisantes « vaccins », ne semblent pas suffire à provoquer une pandémie. Même la propagande médiatique de type « fear porn » (pornographie de la peur) s’essouffle. Ils jouent avec des soupes de « virus chimériques » dans des boîtes de Petri financées par des milliards de subventions des NIH, financent de nombreux laboratoires sous contrat en Chine, en Ukraine, au Moyen-Orient, mais rien de simultanément dangereux et hautement transmissible n’en résulte. Pourquoi?

Vous pouvez croire en des milliards d’années d’évolution, mais l’explication que je préfère est que la conception de Dieu est parfaite et ne peut donc pas être améliorée. Toutes les formes de vie, de l’homme aux micro-organismes, sont dans un état d’équilibre dynamique parfait en ce moment, comme le dictent les lois physiques. Les agents biologiques pathogènes sont eux aussi parfaitement optimisés pour cet état, grâce à des milliards d’années de travail ou à la conception géniale de Dieu, selon ce que vous voulez croire. Ils sont soit contagieux (terme flou car la science fournit des explications vagues et contradictoires sur les mécanismes de contagion), soit mortels, auquel cas ils ne se propagent pas beaucoup. Rendre artificiellement un agent biologique pathogène à la fois plus mortel et plus transmissible est impossible, car si c’était possible, ça se serait déjà produit dans la nature, et nous ne serions plus là pour en discuter sur l’internet. Si les techniques de laboratoire le permettaient, elles auraient déjà été déployées avec succès par un État ou un acteur non étatique depuis 1969, date à laquelle la recherche sur les agents pathogènes biologiques a véritablement pris son essor. Il existe aujourd’hui plus d’un millier de laboratoires de « biodéfense » dans le monde, dont beaucoup se trouvent dans des pays du tiers monde où les normes de sécurité sont laxistes ou inexistantes, voire dans des régions déchirées par la guerre comme l’Ukraine, et pourtant rien d’important ne « fuit » nulle part. En tout cas, rien n’a fuité et ne s’est répandu dans le monde avant que l’OMS ne décide que le covid devait le faire.

Les « pathogènes émergents » de laboratoire semblent avoir besoin de beaucoup d’aide pour émerger, c’est-à-dire pour être synthétisés, fabriqués à grande échelle et déployés, et même dans ce cas, ils ne sont pas particulièrement dangereux (sauf en cas d’exposition très importante) et peuvent être traités. Les toxines biologiques sont connues pour être instables, se dénaturer rapidement et être un peu plus persistantes à l’intérieur, mais elles ne constituent pas un danger mortel de masse. Comme toute toxine chimique, elles présentent un danger individuel/localisé. Ces substances ne sont pas des « particules vivantes qui se reproduisent », pas plus que ne l’est le sumac vénéneux – oui, vous pouvez l’attraper par votre chien et le donner aux membres de votre famille, et cette saleté restera sur vos vêtements et il est difficile de s’en débarrasser! Mais le poison du sumac vénéneux n’est pas un virus infectieux qui « saute » du chien à l’homme, c’est une toxine biologique contenue dans des huiles végétales.

À mon avis, l’explosion récente du train dans l’Ohio est beaucoup plus dangereuse pour un plus grand nombre de personnes, sur une zone plus étendue et une période plus longue que n’importe quelle « fuite de laboratoire d’armes biologiques ».

Tous les agents pathogènes biologiques naturels sont déjà parfaitement optimisés et équilibrés et ne peuvent pas être « modifiés », malgré les récits de science-fiction sur le « logiciel de vie » piratable et l’épissage des gènes. Aucune forme de vie complexe ne peut être « modifiée génétiquement » et rester viable, car cette modification perturbera son équilibre vivant et la fera dévier de l’état d’équilibre parfait actuel. Dans les organismes pluricellulaires, il faut modifier toutes les cellules (ce qui n’est pas possible avec une seule injection) et continuer à les modifier toutes à perpétuité. Une fois le liquide « modificateur de gènes » injecté, l’organisme essaie frénétiquement de comprendre ce qui vient de se passer (la FDA parle d' »immunogénicité »), tente d’annuler l’agression en éliminant les cellules endommagées (la FDA parle de « réactogénicité ») et, si l’agression a été suffisamment importante ou en cas d’injections multiples, l’organisme s’autodétruit (le CDC parle de « désinformation »).

Ces narratifs sur la « modification génétique » sont carrément stupides! Tout ce qui peut résulter de ces tentatives, c’est soit que l’organisme vainc et élimine l’assaut du matériel étranger à l’intérieur des cellules, soit qu’il en résulte des dommages locaux/systémiques, conduisant à des lésions ou à la mort. C’est la raison pour laquelle toutes les technologies ARNm/ADN ont échoué malgré plus de 20 ans de tentatives et des milliards de dollars investis par le culte biosécuritaire de l’apocalypse.

Les partisans de la modification génétique réduisent le corps humain à un « seau de gènes séquencés », mais ne peuvent même pas expliquer comment il fonctionne normalement en tant qu’être vivant. Ils excluent la possibilité d’une âme humaine, d’un esprit et d’un libre arbitre, mais ne peuvent ni expliquer ni définir l’état normal de la vie. Pourtant, ils prétendent pouvoir la contrôler et la modifier! Ils ne comprennent pas ce que sont les humains, ce qui constitue une source d’échec majeure lorsqu’ils tentent de « capturer, contrôler et soumettre » les humains, que ce soit par la force brute, comme dans les siècles de guerre précédents, ou par le « contrôle par un narratif fictif » de 5e génération de Harari.

Ne tombez pas dans le piège des cultes apocalyptiques et de leurs faux narratifs. Si nous n’avons pas peur de rechercher la vérité, nous ne pouvons être ni capturés, ni contrôlés, ni asservis. Une fois que vous aurez compris cela, vous verrez Harari non pas comme un technocrate puissant, mais comme ce qu’il est vraiment – un clown à la voix pleurnicharde, qui débite des narratifs ineptes pour le compte de ses maîtres. Ils ont de toute façon déjà échoué, car vous connaissez la vérité.

La quête perpétuelle de la vérité garde les humains dans un équilibre dynamique parfait entre eux et avec la nature – libres, dotés d’une âme, comme l’a voulu notre Créateur.

La peinture de ce jour: Une rose, huile sur panneau, 8×10 in.

Mannarino: « Un faux drapeau est imminent » – par Amy Sukwan.

Pas d’édition du dimanche cette semaine, sorry. Mais il fait beau, c’est tous les jours dimanche!

Je reviendrai par contre sur le déraillement à East Palestine dans l’Ohio, dont Amy fait mention ici. J’ai échangé avec elle quelques messages à ce sujet – que je ne vous infligerai pas, c’est promis – puisqu’elle est « sur la balle ». Amy est avide de connaissance, toujours à la recherche d’infos. J’apprends plein de trucs en la lisant. J’ai ensuite préparé un article sur le sujet, que j’ai mis de côté, en attendant que sortent de nouvelles informations, et – boy oh boy – elles sortent. Croyez-moi, ça vaut son pesant de dioxine. Encore un peu de temps, que je compile le tout.

En attendant, ceci…

Je ne le fais pas exprès – comment le pourrais-je? – mais vous pourriez y voir un lien avec ce que j’écrivais hier. Vous devriez, même, parce que c’est un peu ce qui se passe sous nos yeux, maintenant. Je traduirai aussi un (long) article de Spartacus cette semaine, qui complétera la trilogie.

Ainsi qu’un (court) article de Sasha, avec un préambule pour lier la sauce « guerre de cinquième génération », et un de John Titus, qui détaillera encore mieux les aspects financiers que vous lirez ci-dessous. John veut bien me fournir une transcription de sa dernière vidéo, ce n’est pas impossible que je la traduise aussi.

Tant à faire et si peu de temps. Si on pouvait reporter la fin du monde de quelques jours, ça m’arrangerait.

Source.


Mannarino: « Un faux drapeau est imminent »

« Il faudra un événement majeur pour que la guerre s’étende »

Amy Sukwan

23 février

Il y a quelques jours, El Gato Malo a publié un article sur le déraillement de train et l’explosion de produits chimiques qui s’en est suivie à East Palestine, dans l’Ohio, article qui a hérissé quelques plumes [NdT. dont les miennes]. Il affirmait qu’il ne s’agissait que d’hystérie sans objet, les accidents chimiques de ce type étant monnaie courante. Pour moi, ça ressemble plutôt à une stratégie de couverture de la part des entreprises et des agences gouvernementales, même topo que d’habitude.

Pour faire valoir sa thèse selon laquelle il est possible de faire monter ou descendre le niveau d’hystérie indépendamment du risque sous-jacent, le Méchant Chat [El Gato Malo] a notamment présenté un graphique. Ce graphique a immédiatement attiré mon attention. Il compare les craintes liées à la criminalité par rapport au taux de criminalité réel:

Il montre que la perception de la réalité est conditionnée par la télévision et autres médias, mais quelque chose d’autre m’a interpellée. La corrélation entre le taux de criminalité réel en Amérique et le pourcentage de personnes qui pensent que le taux de criminalité augmente chaque année était bien ancrée dans la réalité jusqu’en 2001, date à laquelle elle s’est découplée. Avant ce point, la corrélation est presque parfaite.

Qu’est-ce qui a changé en 2001 pour que les gens cessent de croire ce qu’ils ont vu de leurs propres yeux et entendu de leurs propres oreilles? Le 11 septembre a-t-il fait basculer les gens dans la folie et penser: « La vérité est sans importance. Si je veux aller de l’avant, je dois suivre ce qui se dit à la télévision »? [NdT. le monde d’après le 11 septembre a été souvent qualifié de « post-truth », le monde de l’après-vérité] Est-ce une augmentation de l’utilisation d’Internet (c’était avant l’apparition des médias sociaux, mais il y avait déjà des salons de discussion sur Internet et autres) qui en est la cause? Est-ce qu’une consommation accrue de médicaments sur ordonnance a rendu certaines personnes trop abruties pour penser par elles-mêmes?

Je pose la question parce que ce qui m’a déçue en permanence au cours de la pandémie, c’est de voir autant de personnes incapables d’exprimer une pensée ou une opinion qui ne leur ait été fournie par un service de marketing ou un présentateur télé. Je pense en avoir pris conscience quand j’ai lu qu’en 2020, le citoyen moyen pensait que près de 10% de la population américaine était morte du Covid! Ce qui aurait dû être démontrablement faux pour toute personne ayant plus de 10 amis ou personnes dans sa famille et disposant du moindre semblant d’esprit critique. Si un Américain sur dix était tombé raide mort, chacun aurait dû connaître beaucoup de gens à qui c’était arrivé, sans même avoir à les chercher.

J’aimerais vraiment croire que les gens se réveillent, mais je suis souvent saisie par le doute. Affronter l’idée que des gens essaient réellement de nous ruiner, de nous asservir et même de nous tuer oblige à assumer la responsabilité de cette information. C’est beaucoup plus facile de vivre dans un monde où rien de tout ça n’est vrai.

Il y aurait beaucoup à dire sur le satanisme et la thèse malthusienne selon laquelle nous sommes trop nombreux, qui, bien que discréditée depuis longtemps, est reprise par les élites. Tout ce qu’ils ont eu à faire, c’est de nous faire entrer dans le crâne qu’il y a trop d’enfants et que les gens accaparent toutes les ressources de la planète et polluent tout ce qu’ils touchent. Il y a finalement peu de différence entre le covidisme et l’hystérie du changement climatique, dans la mesure où ils considèrent tous deux les êtres humains comme un fléau toxique sur une Terre Mère qui a jusqu’à présent réussi à nous maintenir en vie. S’ils arrivent à nous diviser et à nous conquérir par le biais des races ou par d’autres moyens, encore mieux.

Sommes-nous vraiment trop nombreux? Cette vidéo un peu bizarre produite par l’intelligence artificielle présente quelques arguments solides. Les chiffres les plus fiables, émanant d’endroits tels que les États-Unis où le cadre encourage l’enregistrement des naissances, montrent que la démographie est inférieure au niveau de remplacement, mais compensée par l’immigration. Dans la plupart des pays qui affirment avoir une forte croissance démographique, il est difficile d’obtenir des chiffres fiables. La surpopulation ne serait-elle qu’une fable?

Les personnes disparues ou le mythe de la surpopulation de la terre

Toutes les données ci-dessous proviennent d’une analyse annuelle. Son traitement a fait appel à des sources officielles et tierces provenant de cent quarante-huit pays.

Officiellement, environ huit à douze millions d’enfants et environ vingt à trente millions d’adultes disparaissent chaque année dans le monde. Si l’on considère qu’un enfant pèse trente kilogrammes et un adulte soixante-quinze kilogrammes, on peut en conclure qu’un million sept cent mille tonnes de poids vif de personnes disparaissent chaque année, ce qui équivaut à vingt-cinq mille wagons de marchandises, et si l’on part du principe que chaque train de marchandises comprend quatre-vingts wagons, on obtient trois cent douze trains chargés. La longueur totale des wagons sera de trois cent soixante-quinze kilomètres ou deux cent trente-trois miles. Mais il ne s’agit là que des statistiques officielles de plusieurs agences internationales. Pour se faire une idée réelle de ce qui se passe sur la planète, il faut connaître trois faits que les officiels s’efforcent de ne jamais mentionner.

Premièrement, deux tiers des décès annuels dans le monde ne sont pas enregistrés. Deuxièmement, chaque année dans le monde, un quart des nouveau-nés ne sont pas enregistrés. Troisièmement, quelque quatre-vingts pays dans le monde ne disposent pas de systèmes d’enregistrement des faits d’état civil opérationnels. Connaissant maintenant certaines caractéristiques de la situation des statistiques mondiales, nous pouvons nous poser la question suivante: dans quelle mesure ceux qui parlent du nombre de personnes sur terre sont-ils fiables? Les principaux acteurs dans le domaine du comptage de la population mondiale sont la Banque Mondiale, l’Agence Centrale de Renseignement des États-unis [CIA] et l’ONU. Comment ces structures font-elles pour tenir les comptes?

Mais la population de la planète n’est pas déterminée à l’aide d’un registre précis, mais en utilisant la méthode des prévisions démographiques. Sur quoi se basent les prévisions démographiques? L’essentiel dans les prévisions démographiques n’est pas de faire des calculs mathématiques exacts, mais de déterminer des hypothèses prometteuses sur les changements possibles en matière de fécondité, de mortalité et de migration. Ainsi, nous avons la preuve que la surpopulation de la terre n’est qu’une hypothèse. Une hypothèse est une supposition scientifique non prouvée. […]

Bien sûr, dans un monde réel où de vrais êtres humains voient leur avenir servir d’hypothèque à de grands acteurs qui s’en servent pour les négocier, la réduction de la population serait déflationniste. Mortelle pour le système. Au sommet, cependant, il me semble que les incitations financières jouent un rôle important. La guerre en Ukraine ressemble de plus en plus à une farce et je pense que même les plus acharnés de la vertu ostentatoire [NdT. ici] reconnaissent que cette aventure ne les sert en aucune façon. La révélation que l’administration Biden a fait sauter le gazoduc Nordstream 2 constituerait un acte de guerre des Etats-Unis contre (je consulte mes notes) l’Allemagne? Pourquoi ne pas mettre fin à cette mascarade? Pourquoi ne donne-t-on aucune chance à la paix, nulle part, jamais?

Comme le fait remarquer Martin Armstrong, le jeu du « extend and pretend » [NdT. « prolonger et simuler », idiome d’économiste] devient de plus en plus serré:

Armstrong explique: « Ils veulent une guerre, mais aussi, ils en ont besoin parce que le système monétaire est en train de s’effondrer […] »

« On a des taux d’intérêt négatifs depuis 2014. Et soudain, les taux d’intérêt augmentent. Toute obligation détenue par une institution en Europe est perdante. Elles ont perdu une quantité d’argent monstrueuse, c’est incroyable. La conséquence? Personne n’est intéressé par les dettes à long terme – point barre….

Si les taux d’intérêt augmentent, et les taux vont augmenter parce que la Fed ne peut pas arrêter ce type d’inflation, alors, c’est la guerre.

Des quantités inouïes de milliards de dollars sont envoyés en Ukraine, ce qui est absurde. Voilà ce qui se passe…

Il faut également considérer ce qu’a dit Janet Yellen, elle s’inquiète des tonnes de nouvelles dettes qui sont créées. Les bilans des spécialistes en valeurs du Trésor [NdT. Primary Dealers, ici] sont dépassés. Pour être un spécialiste en valeurs du Trésor, il faut pouvoir garantir que l’on pourra acheter un montant X de dette. Si on ne parvient pas à la vendre, que se passe-t-il? La banque se retrouve coincée avec la dette, et ensuite, elle fait faillite. On a donc un gros problème. On ne peut pas continuer à émettre ce genre de dette à perpétuité.

Ils ont emprunté de l’argent depuis la Seconde Guerre mondiale sans avoir l’intention de rembourser quoi que ce soit… La Fed est indépendante, et elle ne veut pas de dette à long terme. Ils se sont braqués sur l’extrémité courte de la courbe. Comment continuer à financer un gouvernement s’il n’y a pas d’acheteurs pour la dette? Et ça se passe à l’échelle mondiale.« 

La guerre satisfait donc à toutes les exigences? Armstrong répond: « Absolument… »

« Parvenir à faire défaut sur toute cette dette est le véritable objectif. C’est pourquoi (Klaus) Schwab est là à dire que vous ne posséderez rien et serez heureux.

Il essaie de faire croire qu’ils font ça pour vous. Nous allons faire défaut sur toutes les dettes et vous libérer de toutes vos dettes.

C’est parce qu’ils vont tout effacer. Les fonds de pension vont disparaître. C’est pourquoi ils proposent un revenu de base garanti pour remplacer les retraites. Ils ont tout prévu. C’est l’objectif final, car ils ne peuvent pas continuer à fonctionner de cette façon. Ils ne peuvent pas continuer à emprunter tout ce dont ils ont besoin sans aucune intention de jamais rien rembourser. »

Armstrong révèle pourquoi les élections de 2024 pourraient ne pas avoir lieu. L’État Profond peut-il commettre suffisamment de fraudes électorales pour maintenir Biden et le reste des Néocons au pouvoir [NdT. Neocons, ici – les néo-conservateurs américains, les va-t-en-guerre derrière à peu près toutes les exactions des US]? Armstrong dit que la majeure partie de ce qui se passe aujourd’hui est la faute des Néocons, et ils ont le contrôle des deux partis. Armstrong souligne que la Démocrate Hillary Clinton a payé pour le faux dossier Trump/Russie, et que le Républicain John McCain l’a remis au FBI. Armstrong appelle cela l' »Uni-party », et détaille les problèmes que les Néocons causent volontairement.

Armstrong parle également du dollar, de l’or, des troubles civils, des actifs tangibles et de la guerre en Ukraine. Selon les sources d’Armstrong, le nombre réel de victimes de l’armée ukrainienne s’élève à 250 000 morts. Armstrong affirme que la Russie n’est PAS en train de perdre la guerre. Elle est en train de la gagner.

M. Mannarino tape très juste dans ce résumé [NdT. en anglais mais de toute manière moins intéressant que John Titus].

Je serai la première à admettre n’avoir jamais compris ce qui se passe au niveau financier. Si la Réserve Fédérale a le pouvoir d’imprimer de l’argent à perpétuité, pourquoi toutes ces saloperies? Pourquoi avons-nous besoin de guerres, de morts et de misère? Cette seule réponse ne m’a jamais satisfaite.

Je ne suis pas fan de l’anticipation des marchés parce qu’en grande partie, l’hystérie qu’elle créee me semble un peu artificielle. Stockmarketcrash [NdT. le hashtag Krachboursier] est en vogue sur Twitter, par exemple. Mais je pense que nous entrons dans une période dangereuse et que la bête causera beaucoup de dégâts avant de s’éteindre. Soyez prêts, et que Dieu nous aide tous.

Qu’en pensez-vous?

Si les États-Unis ont vraiment fait exploser Nord Stream, cela signifie-t-il que c’est officiellement la Troisième Guerre Mondiale? – par Nevermore Media.

J’ai moins publié ces derniers jours, pour deux raisons. D’abord, j’ai fait énormément de recherches (sur le Net) pour un peu renouveler, diversifier et affiner mes sources – un travail nécessaire, sous peine de radoter.

Je reviens avec deux articles, dont celui-ci est le premier, d’un auteur plus ou moins sur la même longueur d’onde que moi, avec les mêmes intérêts, les mêmes lectures, le même genre d’angle et les mêmes questions. Le truc assez surprenant (enfin, pour moi) est qu’il se présente comme un anarchiste. Moi qui me prenais pour un vieux réactionnaire, j’étais déjà étonné de me sentir assez proche de Miles Mathis, un révolutionnaire de gauche

Je diffère néanmoins de l’auteur sur quelques points. Un que j’ai déjà abordé: le « monde multipolaire » faisant partie du narratif du Forum Économique Mondial, il n’y a en fait aucune contradiction avec le fait que la Russie adhère à ses objectifs. Autre point: je ne suis pas convaincu que la redistribution des cartes géopolitiques et économiques nécessite une guerre chaude. La spirale occidentale d’auto-destruction pilotée devrait suffire à obtenir le même résultat – mais je peux me tromper, raison pour laquelle je publie des avis différents. Enfin, je nomme le pseudo-conflit actuel Quatrième Guerre Mondiale. Si vous vous demandez pourquoi, voyez le niveau général de la santé, de l’éducation, du monde du travail, et l’état apocalyptique de certaines villes et « zones de non-droit » occidentales, sur un continent que j’ai connu brillant et plein d’avenir.

Deuxième raison de ma moindre publication: il fait beau, les petits oiseaux sont de retour.

Source.


Si les États-Unis ont vraiment fait exploser Nord Stream, cela signifie-t-il que c’est officiellement la Troisième Guerre Mondiale?

Et, la Russie prévoit-elle de prendre le contrôle du passage du Nord-Ouest?

Nevermore Media

15 février

Le 8 février 2023, Seymour Hersh a publié un rapport d’enquête sur le sabotage du gazoduc Nord Stream survenu en septembre de l’année dernière. [NdT. traduit ici]

Dans cet article, Hersh fait des allégations très précises sur la façon dont des plongeurs d’élite de la marine américaine ont placé des explosifs C4 sur le gazoduc sur l’ordre de Biden.

Comme l’explique un article de Mint Press:

Sur la base d’entretiens avec des initiés de la sécurité nationale, Hersh – le journaliste qui a révélé les histoires du massacre de My Lai, du programme d’espionnage de la CIA et du scandale de torture d’Abu Ghraib – affirme qu’en juin, des plongeurs de la marine américaine se sont rendus en mer Baltique et ont fixé des charges explosives C4 sur le pipeline. En septembre, le président Biden lui-même a ordonné sa destruction. Selon Hersh, tous comprenaient les enjeux et la gravité de ce qu’ils faisaient, reconnaissant que, s’ils étaient pris, cela serait considéré comme un « acte de guerre » flagrant contre leurs alliés.

Si tout cela est vrai, c’est un très grave problème. Une attaque de cette importance me porte à croire que la guerre par procuration entre les États-Unis et la Russie en Ukraine est susceptible de conduire à la Troisième Guerre Mondiale. Et c’est probablement vrai.

Hersh, si vous ne le saviez pas, est un journaliste lauréat du prix Pulitzer qui compte à son actif de nombreuses révélations importantes. Quand il se décrit comme « le plus grand journaliste d’investigation du monde », il ne fait pas que se vanter.

Il a fait ses preuves, a gagné ses galons, et est respecté par ses pairs. Ce n’est pas Alex Jones qui hurle que l’OTAN fait sauter un gazoduc. Ça émane d’une source aussi crédible qu’on puisse imaginer.

Je constaterai donc simplement l’évidence. C’est un acte de guerre. Si l’OTAN a vraiment fait sauter le Nord Stream, cela signifie que l’OTAN est en guerre avec la Russie.

Je sais que je ne suis pas le seul à soupçonner que l’opération psychologique du COVID était le premier round de la Troisième Guerre Mondiale, mais je pense qu’il est temps d’arrêter de conjecturer. Je pense que c’est indéniable. La Troisième Guerre Mondiale n’est pas au coin de la rue. Elle est déjà là.

Gardons à l’esprit que la Russie bénéficie du soutien sans équivoque de la Chine pour ce qui est de défier l’OTAN. Peu avant que la Russie n’envahisse l’Ukraine, Poutine et Xi Jinping ont tenu une conférence de presse commune au cours de laquelle les deux dirigeants ont annoncé la fin de l’ordre mondial unipolaire.

En d’autres termes, ils ont dit: « Vous n’avez plus à nous dire ce que nous devons faire ». C’était une étape historique capitale. Les commandants de deux des trois plus puissantes armées du monde déclaraient officiellement la fin de l’hégémonie mondiale des États-Unis.

Alors… qu’est-ce que ça signifie exactement pour ceux d’entre nous qui souhaitent vivre leur vie en paix, sans être chamboulés par la guerre? Comment pouvons-nous nous préparer au mieux pour l’avenir?

Eh bien, je suppose que nous devrions tous nous préparer à nous bunkeriser et à traverser la tempête. Si c’est la Troisième Guerre Mondiale, notre priorité devrait être d’abord et avant tout la survie. Comment pouvons-nous devenir aussi autosuffisants que possible afin d’être prêts en cas de défaillance catastrophique du système? Comment pouvons-nous nous assurer que nos amis et nos familles sont protégés? Comment pouvons-nous nous organiser politiquement dans le contexte d’une guerre mondiale?

Bien que je pense que beaucoup de mes lecteurs seront d’accord avec moi pour dire qu’il s’agit vraiment d’une Troisième Guerre Mondiale, je pense qu’il y a encore beaucoup de déni sur ce que cela implique exactement, y compris dans les médias alternatifs.

Il y a, bien sûr, une question importante: la guerre en Ukraine est-elle ou non mise en scène à des fins de propagande, ou plutôt, dans quelle mesure est-elle effective?

Les nations BRICS n’ont cessé d’affirmer leur loyauté à l’égard de l’ONU et de son arnaque de « développement durable », l’Agenda 21/2030: [NdT. et la Russie envers le Forum Économique Mondial, et la mise en place de l’identité digitale, etc.]

Nous réaffirmons notre engagement à mettre pleinement en œuvre l’Agenda 2030 pour le développement durable. Nous préconiserons également un développement équitable, ouvert, global, axé sur l’innovation et inclusif, afin de parvenir à un développement durable dans ses trois dimensions – économique, sociale et environnementale – de manière équilibrée et intégrée. Nous soutenons le rôle important des Nations Unies, notamment du Forum Politique de Haut Niveau sur le Développement Durable (High Level Political Forum on Sustainable Development – HLPF), dans la coordination et l’examen de la mise en œuvre mondiale de l’Agenda 2030.

Nous soulignons l’importance d’une économie mondiale ouverte et inclusive permettant à tous les pays et à tous les peuples de partager les bénéfices de la mondialisation. Nous restons fermement attachés à un système commercial multilatéral fondé sur des règles, transparent, non discriminatoire, ouvert et inclusif, tel qu’il est incarné par l’OMC. Nous réaffirmons nos engagements à assurer la mise en œuvre et l’application intégrales des règles existantes de l’OMC et sommes déterminés à travailler ensemble pour renforcer davantage l’OMC.

Des commentateurs tels qu’Iain Davis et Riley Waggaman [NdT. alias Edward Slavsquat, que j’ai abondamment publié sur ce blog] ont souligné la façon dont la Russie et la Chine ont réaffirmé à plusieurs reprises leur engagement en faveur du Grand Reset, suggérant que les mêmes seigneurs mondialistes contrôlent les gouvernements des pays du BRICS et de l’OTAN. Lorsque l’on réalise le pouvoir que la Banque des Règlements Internationaux détient sur le système financier mondial, cette hypothèse semble tout à fait plausible.

C’est peut-être le cas, mais cela ne signifie pas pour autant que la Troisième Guerre Mondiale sera un spectacle scénarisé pour la télévision. Je ne crois pas que quiconque ait le pouvoir de contrôler l’avenir au point de pouvoir mettre en scène une guerre mondiale.

Je suis d’accord avec Iain Davis quand il écrit:

Par le biais de l’empire, du colonialisme, du néocolonialisme – c’est-à-dire par la conquête économique, militaire, financière et monétaire, associée aux obligations de la dette imposées aux nations ciblées – les puissances mondiales ont toujours été en mesure de dominer et de contrôler les plus petites.

Les gouvernements nationaux, s’ils sont définis en termes purement politiques, n’ont jamais été la seule source d’autorité derrière les efforts de construction de l’ordre mondial. Comme l’ont révélé Antony C. Sutton et d’autres, le pouvoir des entreprises privées a aidé les gouvernements nationaux à façonner l’ « Ordre Mondial ».

Ni l’ascension d’Hitler au pouvoir ni la Révolution Bolchévique ne se seraient produites comme elles l’ont fait, voire pas du tout, sans les conseils des financiers de Wall Street. Les institutions financières mondiales et les vastes réseaux d’espionnage international des banquiers ont contribué à déplacer le pouvoir politique mondial.

En d’autres termes, nous devons comprendre que le jeu du pouvoir ne se joue pas seulement entre les États-nations. Il se joue entre des factions dont les intérêts sont alignés, et il existe différents types de factions. Dans la Troisième Guerre Mondiale, les sociétés multinationales comme BlackRock et Vanguard sont des acteurs bien plus importants que la plupart des pays. Et oui, il y a des familles dynastiques, comme les Rothschild et les Rockefeller, dont les plans impénétrables façonnent sans doute aussi dans une certaine mesure les événements mondiaux.

Mais ne vous y trompez pas: la Troisième Guerre Mondiale ne sera pas une fausse guerre orchestrée par des marionnettistes cachés en coulisses. Elle sera réelle, car elle doit être réelle pour servir son objectif. Il y aura des gagnants et des perdants. Il s’agit d’une véritable lutte pour le pouvoir, et certaines factions en sortiront vainqueurs. D’autres verront leur pouvoir réduit, et d’autres encore seront complètement détruites. Mais on ne peut pas considérer la Troisième Guerre Mondiale comme un simple combat entre l’OTAN et les BRICS. Les choses sont beaucoup plus compliquées que ça. Il n’y a pas trois joueurs dans ce jeu. Ils sont innombrables.

Cela dit, je soupçonne que la nouvelle guerre froide ne restera pas froide longtemps. Je pense qu’une guerre chaude va bientôt éclater dans de nombreuses régions du monde. J’espère me tromper, mais il me semble probable qu’il y aura une collision de puissance militaire brute à un moment donné dans un avenir proche. Je pense que nous devrions tous nous préparer à cet impact.

Très sérieusement, c’est en grande partie la raison pour laquelle je préconise que les gens se mettent à réfléchir à la spiritualité. Il n’y a pas d’athées dans les tranchées, et pour ma part, je pense que nous allons vivre des jours sombres. Honnêtement, je ne pense pas qu’il existe de solution politique aux problèmes auxquels le monde est confronté actuellement. Je crois que certaines choses ont été mises en marche il y a longtemps, et que les choses doivent maintenant arriver à leur conclusion naturelle. Et, oui, c’est une pensée effrayante, d’autant plus que mon pays, le Canada, est dans la ligne de mire de la Russie.

Pourquoi dis-je ça, me demandez-vous? Le Canada dans la ligne de mire? De quoi est-ce que je parle?

Je suis tout à fait sérieux. Ecoutez-moi bien. Avez-vous déjà entendu parler du passage du Nord-Ouest? Et la Route de la Soie Polaire?

En gros, la fonte de la glace de mer Arctique a ouvert la possibilité de nouvelles routes maritimes à travers l’océan Arctique. La Russie et la Chine se préparent depuis des années à tirer le meilleur parti de cette opportunité.

Ces nouvelles routes maritimes ont une valeur commerciale énorme, mais elles ont une importance géopolitique encore plus grande. Celui qui contrôlera le Passage du Nord-Ouest aura un avantage militaire majeur.

Pourquoi, demandez-vous? Eh bien, parce que la guerre est en grande partie une question de logistique. Si on peut se mobiliser plus rapidement que son ennemi, on a un avantage énorme. N’oubliez pas qu’il n’existe actuellement que deux routes maritimes entre les océans Atlantique et Pacifique – les navires peuvent soit passer par le canal de Panama, soit contourner la pointe sud de l’Amérique du Sud.

Il convient de souligner que le canal de Panama est contrôlé par les États-Unis, et que les Américains seraient en mesure de le fermer au trafic ennemi en cas de guerre.

Ainsi, actuellement, la Chine et la Russie sont toutes deux désavantagées sur le plan militaire. Toutefois, si la Russie prend le contrôle du passage du Nord-Ouest, les rôles seront inversés.

La Russie, qui a toujours excellé dans les guerres par temps froid, semble avoir développé une stratégie qui exploite ses points forts. Et il semble que la Chine et les autres nations du BRICS aient l’intention de les soutenir.

À quoi fais-je référence, demandez-vous? Eh bien, le 4 février 2022, les présidents Vladimir Poutine et Xi Jinping ont publié une importante déclaration commune:

Les parties [la Fédération de Russie et la République Populaire de Chine] soutiennent fermement le développement de la coopération et des échanges internationaux […], en participant activement au processus de gouvernance mondiale pertinent, […] pour assurer un développement mondial durable. […]

La communauté internationale devrait s’engager activement dans la gouvernance mondiale […] Les parties ont réaffirmé leur intention de renforcer la coordination de la politique étrangère, de poursuivre un véritable multilatéralisme, de renforcer la coopération sur les plateformes multilatérales, de défendre les intérêts communs, de soutenir l’équilibre international et régional des pouvoirs et d’améliorer la gouvernance mondiale. […]

Les parties appellent tous les États […] à protéger l’architecture internationale pilotée par les Nations Unies et l’ordre mondial fondé sur le droit international, à rechercher une véritable multipolarité avec les Nations Unies et son Conseil de Sécurité jouant un rôle central et de coordination, à promouvoir des relations internationales plus démocratiques et à assurer la paix, la stabilité et le développement durable dans le monde.

Certes, il faut lire un peu entre les lignes ici, mais ils disent essentiellement aux États-Unis qu’ils ne vont plus accepter de se laisser mener à la baguette. Trois semaines après cette annonce, la Russie a envahi l’Ukraine, avec le soutien tacite de la Chine et des autres nations BRICS. Rétrospectivement, cette date pourrait être considérée par les historiens comme une déclaration de guerre.

Je mentionnerai également que l’espace aérien de l’Arctique pourrait aussi potentiellement devenir un site clé de lutte dans la Troisième Guerre Mondiale. Comme le Secrétaire de l’OTAN, Jens Stoltenberg, l’a écrit l’année dernière:

« Le chemin le plus court vers l’Amérique du Nord pour des missiles ou des bombardiers russes serait au-dessus du pôle Nord. Le rôle du NORAD est donc vital pour l’Amérique du Nord et pour l’OTAN. »

Le NORAD, soit dit en passant, est le système de défense aérienne de l’Amérique du Nord, dans lequel Trudeau semble injecter de l’argent.

Le gouvernement libéral s’est également engagé à un investissement global dans la défense du continent et du Nord qui, selon lui, dépassera 40 milliards de dollars au cours des deux prochaines décennies.

Ottawa n’a pas encore expliqué en détail comment l’argent sera dépensé, si ce n’est qu’environ 15 milliards de dollars seront consacrés à la modernisation des infrastructures.

Donc, nous y voilà. La Russie se prépare à la guerre de l’Arctique, tout comme l’OTAN. Et la Chine semble avoir conclu une sorte d’accord avec la Russie. Le Canada peut-il tenir tête à la Russie militairement? Bien sûr que non. Je ne pense même pas que les États-Unis puissent affronter la Russie dans l’Arctique. La guerre par temps froid a toujours été une spécialité russe. Ils ont un atout, et ils ont l’intention de l’utiliser.

Alors, où cela nous mène-t-il? Eh bien, qui sait? La raison pour laquelle je voulais rendre cette information publique est en partie l’espoir que d’autres personnes m’aideront à orienter mes recherches afin que je puisse mieux comprendre ce qui se passe exactement. Je comprends l’argument selon lequel l’OTAN et les BRICS sont contrôlés par des mondialistes qui veulent instaurer une dictature technocratique mondiale, mais cela ne signifie pas que la Troisième Guerre Mondiale n’est pas réelle.

Qu’est-ce que tout ça veut dire? C’est ce que j’essaie de comprendre.

Pour autant que je puisse dire, il y a deux éléments majeurs autour desquels la Troisième Guerre Mondiale va se jouer. La première est le contrôle du système financier post-pétrodollar, dans lequel une nouvelle forme d’argent remplacera vraisemblablement le dollar américain comme monnaie de réserve mondiale. Le second est le contrôle des routes maritimes de l’Arctique.

Bon, je vais en rester là pour le moment. Dans les jours et les semaines à venir, je concentrerai mes recherches sur l’initiative de la Route de la Soie chinoise, la Route de la Soie arctique et ce que l’étude des plans d’infrastructure pétrolière et gazière dans le Grand Nord peut nous apprendre sur la géopolitique mondiale.

Restez à l’écoute et, comme toujours, j’encourage mes lecteurs à partager avec moi des informations pertinentes dans les commentaires et à me faire savoir si j’ai fait des erreurs.

Pourquoi font-ils ça? – par Sasha Latypova.

Sasha et Catherine, deux femmes courageuses que j’ai été le premier à publier en français (vous pouvez vérifier). Ceci aborde justement ce que je me préparais à écrire – synchronicité? – et que j’écrirai quand même.

Pour les nouveaux arrivés, vous pouvez trouver les articles de Sasha et Catherine en faisant une recherche dans le Sommaire.

Si j’ai le temps (air connu), je ferai la transcription/traduction de la vidéo.

Source.


Pourquoi font-ils ça?

« La Réinitialisation Directe » expliquée par Catherine Austin Fitts

Sasha Latypova

3 février

On me demande souvent: « Pourquoi le Ministère de la Défense (le gouvernement américain, tous les gouvernements mondialistes occidentaux) agit-il contre le peuple, et tue et blesse-t-il sa propre population » ? La réponse tient en grande partie à la création d’argent. Il ne s’agit pas de savoir combien d’argent quelqu’un a en ce moment précis, mais de savoir qui pourra en gagner davantage à tout moment. Le gouvernement américain et son Ministère de la Défense, en particulier, étaient incapables de rendre compte d’environ 21+ trillions de dollars il y a quelques années (qui sait à combien s’élève ce chiffre aujourd’hui?) [NdT. j’ai publié ceci à ce sujet en 2020], de vastes promesses ont été faites par des politiciens pour acheter le soutien des électeurs, promesses qui ne pourront jamais être tenues (Sécurité Sociale et autres droits), et plus récemment, des trillions de dollars ont été versés à des entreprises copines – maintenant fusionnées avec le gouvernement et impossibles à distinguer de celui-ci.

Je suis une fan de Catherine Austin Fitts – une ancienne initiée du gouvernement, banquière d’investissement et aujourd’hui éditrice à succès. Je recommande vivement sa publication, le Rapport Solari. L’article qui nous intéresse particulièrement aujourd’hui est décrit dans le « 2020 Wrap Up » ici avec John Titus [NdT. John Titus, ici en français], et dans une interview récemment publiée ci-dessous.

Les gouvernements en faillite sont différents des entreprises en faillite parce qu’ils peuvent imprimer de l’argent pour retarder leur faillite (au lieu d’être obligés de se restructurer par un tribunal des faillites). Cependant, cette méthode n’est pas non plus sans limite. À un moment donné, l’impression de monnaie et le vol ne peuvent plus continuer. Il est difficile d’estimer exactement quand ce seuil sera atteint, mais il est toujours atteint. Plusieurs monnaies de réserve et de nombreuses monnaies mineures ont existé et ont disparu au cours de l’Histoire. Lorsque le seuil final est atteint, il est extrêmement rapide et impossible à arrêter. La politique monétaire américaine est devenue « directe » en août 2019, comme Catherine l’explique dans son interview, et la « pandémie » qui avait été planifiée à l’avance (probablement spécifiquement pour cette éventualité) a été déclenchée à la fois pour couvrir cela (temporairement) et permettre de fermer l’économie tout en libérant un tsunami d’argent imprimé pour s’emparer davantage du pouvoir centralisé, des actifs à bas prix, déstabiliser et enlever le pouvoir à toute opposition potentielle.

Il est important de noter que pour les « propriétaires » (de la source d’argent), il s’agit également de restructurer leur bilan déséquilibré, c’est-à-dire leur passif incontrôlé. Il ne s’agit pas seulement des retraités des pays occidentaux qui ont été endormis par des promesses d’utopie socialiste, bien qu’ils constituent évidemment un groupe important de créanciers. Chaque personne, quel que soit son âge, possède une « créance sur actifs » sous la forme d’une utilisation de la provision en dollars (ou de ce qui succédera au dollar). C’est d’ailleurs la raison pour laquelle la pression en faveur de « vaccinations » réduisant l’espérance de vie est si massive en Occident et semble beaucoup moins importante en Afrique (où les gens ne valent pas autant par tête en termes de dollars).

La guerre actuelle contre le peuple fait partie de la restructuration que les « propriétaires » mondialistes (propriétaires des banques centrales) tentent de mettre en place – en passant par la réinitialisation directe et en tentant de créer des MNBC [monnaie numérique de banque centrale]. Il s’agit également de la lutte pour savoir quel fausse monnaie numérique constituera la « réserve mondiale », et nous voyons donc les États-Unis se battre contre la zone Euro, la Russie et la Chine à différents stades de guerre économique/bioterroriste, en train de prendre le chemin d’une guerre cinétique. Pendant ce temps, la Russie, la Chine et la zone Euro restructurent frénétiquement leurs bilans en assassinant et en terrorisant leurs propres citoyens.

Pour réussir, les propriétaires doivent installer un système mondial de contrôle totalitaire par le biais de divers moyens technologiques de surveillance, réduire la population, appauvrir et terroriser complètement les survivants. Je crois personnellement qu’ils ne réussiront pas parce qu’ils ne disposent pas de la technologie qu’ils revendiquent (ils mentent beaucoup à ce sujet) et qu’ils ne seront pas en mesure de la mettre en place à temps avant que la situation ne se dégrade totalement. Plus nous sommes conscients et éduqués sur ce qui se passe exactement, plus nous avons de chances de survivre à ce chaos. Reconnaître la réalité est la seule façon d’avancer. Malgré l’horreur de ce qui s’est passé, je suis optimiste quant à l’avenir, en partie parce que j’ai rencontré des gens comme Catherine Austin Fitts lors de ce littéral voyage en enfer. [NdT. moi aussi!]

Forum Economique de Merde – par Quoth the Raven.

Un amusant petit résumé de la dernière édition du FEM. Amusant mais hélas parfaitement réaliste: ces gens sont évidemment là pour défendre leurs investisseurs et leurs propres comptes en banque – juste à titre d’exemple, la fortune d’Al Gore est passée en vingt ans de 1,7 millions à 330 millions de dollars – mais on a aussi l’impression, à les écouter et à voir leur tronche, qu’ils sont devenus complètement fous.

Et ce sont ces gens qui ont pénétré les cabinets – pour imposer par leur doctrine communiste leur idée d’un partenariat public/privé – qui est comme vous le savez la définition du fascisme. Le meilleur de deux mondes…

Je pense effectivement, comme le président colombien, que nous avons atteint un point de non-retour. Pas celui du « climat », celui du mensonge. Malgré la masse d’ignorants qui n’a toujours rien compris, l’Opération Covid commence à montrer ses limites. Les cadavres deviennent difficiles à cacher par la propagande. « Ils » ont pris un très gros risque, que leur rêve humide de censure aura du mal à mitiger. Leur nouveau mensonge « d’extinction massive » colle d’un peu trop près à leur programme. Entre pandémies, climat, famine et guerre, on commence aussi à voir ces mensonges pour ce qu’ils sont: des menaces de moins en moins voilées. Si, comme ils semblent le penser, la Terre n’est pas assez grande pour eux et pour nous, la question qu’ils se posent à notre sujet pourrait donc bientôt se retourner: qu’est-ce que nous allons bien pouvoir faire de ces (gros) mangeurs inutiles?

Source.


Forum Economique de Merde

Rien d’autre qu’un gouvernement mondialiste non élu qui émerge lentement des coulisses, impatient de faire main basse sur vos droits et de vous dire comment vivre. Vraiment… rien à voir ici.

Quoth the Raven

19 janvier

Parmi les nombreux trucs minables, vaseux et ignobles qui me donnent de plus en plus la nausée à mesure que les jours s’écoulent dans le sablier de ma vie, il y a le Forum Economique Mondial: un collectif d’élites mondiales bien-pensantes qui dispensent des vertus, des valeurs, des leçons, des conférences et des initiatives politiques à nous autres, les petites gens qui vivons de par le monde.

Le « Forum » commence de plus en plus à ressembler à un gouvernement mondialiste, composé de turbo-frappadingues non élus au niveau mondial, qui se sont discrètement regroupés en coulisses sans que personne ne le remarque.

Un moment, vous n’avez jamais entendu parler d’eux – saviez-vous que le FEM existe depuis environ cinq décennies? – l’instant d’après, le « Forum » exerce une influence incroyable, principalement auprès d’idiots bureaucratiques « utiles » de la gauche, trop heureux de recevoir, de la part de quiconque voudra bien les aider et quelle que soit sa motivation, des conseils sur la méthode à suivre pour napalmiser les droits individuels et faire avancer leurs programmes.

Le fondateur du FEM, Klaus Schwab, donnant ou recevant un « Global Citizen Award » à la con, dont aucune personne normale n’a jamais entendu parler et se fiche éperdument.

C’est exact: l’époque est révolue où je plaisantais sur le Grand Reset, sur le fait de ne rien posséder et d’aimer ça et sur le fait de passer à un régime de vers de farine et de grillons.

J’ai dépassé ce stade – j’en suis arrivé à éprouver un réel dégoût de voir des gens qui ne me représentent en aucune façon, ni moi ni les personnes de mon entourage, jacasser sur ce à quoi ressemblera ou ne ressemblera pas mon avenir et quelles choses que je défends sont « bonnes » ou « mauvaises ».

C’est dans la déclaration de mission du FEM:

Le Forum Economique Mondial est une organisation internationale indépendante qui s’engage à améliorer l’état du monde en engageant les entreprises, les politiques, les universitaires et les autres leaders de la société à façonner des programmes mondiaux, régionaux et industriels.

La vérité est que, autant ces invités narcissiques et probablement psychotiques aimeraient parler au nom de millions, voire de milliards de personnes, ils ne parlent en fait que pour eux.

Je n’attends pas de ces personnes qu’elles comprennent les conséquences de politiques à taille unique et je ne pense pas qu’elles s’en soucient. Prenons l’exemple des vaccins Covid. L’idée d’injecter chaque personne sur Terre, indépendamment de son âge, de son état de santé et de son mode de vie (sans même se poser la question de son consentement) n’est-elle pas d’une folle imprudence?

Bien sûr que si. Mais ça n’a pas d’importance – parce que quelqu’un voulait que ce soit fait… et donc, ce fut fait.

Source: NY Times

Dingue, non? Cette mise en œuvre unilatérale des obligations pendant le Covid, sans égard à la volonté de l’individu pour lui-même et pour sa famille, fut pour les crétins qui se réunissent chaque année au Forum Economique Mondial un pur régal autoritaire. Je suis certain que ça a amené de nombreux participants à penser: nous l’avons fait avec les vaccins – nous les avons empêchés de voyager, nous avons mis leur emploi et leurs moyens de subsistance en jeu et nous les avons même arrêtés et emprisonnés – nous pouvons désormais le faire avec n’importe quoi d’autre.

Je n’ai pas besoin d’être à Davos cette semaine pour comprendre que j’ai peu de choses en commun avec les membres du Forum Economique Mondial. Je le sais parce que j’étais récemment à Washington DC lors de la dernière branlette collective réunion mondiale du Fonds Monétaire International.

Ceux qui pensent que ces réunions rassemblent des personnes qui vivent comme eux et les représentent se trompent lourdement: je n’ai jamais vu autant de Rolex, de Bentley, de tenues à cent mille dollars et, surtout, de sécurité armée, que dans un rayon de dix pâtés de maisons autour du FMI cette semaine-là.

C’était un festival d' »ambassadeurs » mondiaux qui ressemblaient collectivement à un amalgame de tous les méchants corrompus qu’on peut voir dans les films de James Bond.

Gardant cela à l’esprit, jetons un coup d’œil aux idées remarquables que le Forum… a proposées cette année pour « façonner les programmes mondiaux, régionaux et industriels ».

Tout le monde sait que la peur est le meilleur moyen d’amener les gens à écouter et à faire ce qu’on leur dit (voir: vaccinations, Covid, Fauci et. al pgs. 1-∞). Ceci étant dit, le Forum s’est ouvert par un joyeux babil, avec notamment la proclamation que « nous sommes maintenant confrontés… à une extinction massive » et que « l’avenir de l’humanité est en danger. »

Putain de merde – pourquoi ne pas l’avoir dit plus tôt? Je ferais bien d’écouter les recommandations du FEM sur la manière de régler ce problème, parce que « extinction massive » ne figure nulle part dans mon agenda de 2023… et j’ai un rendez-vous à ne pas manquer chez le dentiste dans plusieurs semaines.

Un type qui a clairement bien lu le mémorandum sur la « peur » – et qui, à en juger par son emportement, avait en plus des aiguillons à bétail réglés à fond plantés dans le cul – c’est Al Gore.

L’homme qui avait prédit, à tort, que l’Arctique serait aujourd’hui complètement dépourvu de glace a profité du FEM pour faire sa meilleure imitation de Keith Olbermann [NdT. ex-présentateur démocrate des news – le lien renvoie vers une tirade grotesque et insultante envers les anti-vaxx] en hurlant à pleins poumons sans reprendre son souffle sur diverses questions sociales, telles que le changement climatique.

Al nous a également rappelé poliment que nous n’obéissons pas assez vite à son goût:

« Nous devons agir! Donc, pour répondre à votre question, je dirais qu’il nous faut éprouver un sentiment d’urgence beaucoup plus fort que celui que nous avons eu jusqu’à présent… et que nous devons avoir… et que nous devons faire des changements! »

Voici Al Gore qui parlait hier au FEM de Davos de la prochaine vague de « un milliard de réfugiés climatiques » qui causeront aux nations occidentales la « perte de leur capacité à s’auto-gouverner ». Il en parle comme d’un problème, comme si ce n’était pas exactement ce qu’attendent les mondialistes dans son genre.

« Nous continuons à y injecter 162 millions de tonnes [de gaz à effet de serre] chaque jour et la quantité accumulée piège maintenant autant de chaleur supplémentaire que celle qui serait libérée par 600 000 bombes atomiques de classe Hiroshima explosant chaque jour sur la Terre », a-t-il poursuivi. « C’est ce qui fait bouillir les océans, [NdT. il faudra donc annuler vos vacances à la mer] crée ces rivières atmosphériques, et les bombes de pluie, et aspire l’humidité de la terre, et crée les sécheresses, et fait fondre la glace et augmente le niveau de la mer, et cause ces vagues de réfugiés climatiques! »

Putain de merde… des bombes de pluie?! Pourquoi tu ne l’as pas dit plus tôt? Je ferais bien d’écouter les recommandations du FEM sur la manière exacte de résoudre cet autre problème.

Pendant ce temps, assis à côté d’Al, juste bien placé pour recevoir ses postillons pendant qu’il hurlait, se trouvait le président colombien Gustavo Francisco Petro Urrego. [NdT. pour l’anecdote, ils sont dans une merde noire en Colombie]

Gusto a creusé profondément la toile complexe de son esprit pour y trouver la suggestion, digne d’un jeu d’échecs 4D, que le capitalisme tel qu’il existe aujourd’hui condamnera irrévocablement l’humanité parce qu’il a créé le changement climatique.

Merde encore. Mais on est vraiment incapables de faire quoi que ce soit de bien?

Par conséquent, sa solution, toute en nuances, consiste à supprimer complètement le capitalisme et, pouf, le problème du réchauffement climatique disparaît avec lui. Son raisonnement est solide comme le roc:

« [Nous] parlons de politique et de discours politiquement corrects alors que nous savons que les statistiques signifient que nous atteignons un point de non-retour? », a-t-il déclaré. « Le capitalisme que nous connaissons aujourd’hui a une force motrice et une logique, qui est d’augmenter nos profits de cette manière, et c’est ainsi que nous parlons de l’histoire pour tout réglementer sans frontières politiques ou sociales. C’est celle que nous avons. Cela a donné lieu à une sorte d’anarchie mondiale. »

« Nous devons mettre un terme à cela si nous voulons vivre sur notre planète. Notre capitalisme peut-il le faire? D’après les données actuelles, nous ne pourrons pas le faire. Par conséquent, nous devrions peut-être mener la réflexion suivante: si le capitalisme en est incapable, soit l’humanité mourra avec lui, soit l’humanité vaincra le capitalisme pour que nous puissions vivre sur notre planète. »

Le président colombien Urrego au FEM: « Le capitalisme a engendré » le réchauffement climatique et notre situation « d’anarchie mondiale »
« L’humanité doit vaincre le capitalisme pour que nous puissions vivre sur notre planète » [NdT. avec de nombreuses fautes d’anglais, ce type est un analphabète à la Bourla]

Et puis bien sûr, sur la scène latérale […], il y avait un panel intitulé « Le danger manifeste et immédiat de la désinformation », ironiquement dirigé par un journaliste récemment licencié dont l’émission, aussi ironiquement appelée Reliable Sources [Sources fiables], a été, aussi ironiquement, virée de la télévision par câble pour, je suppose, avoir mortellement cumulé le fait d’avoir presque tout faux et celui d’être généralement nul à chier.

Ce journaliste, Brian Stelter, a interviewé la vice-présidente de la Commission Européenne, Věra Jourová, dont je vous garantis que vous n’avez jamais entendu parler avant de lire son nom aujourd’hui. Ce qui ne l’empêche pas de vous dire que votre liberté d’expression devrait non seulement vous être retirée, mais aussi constituer un délit lorsqu’elle est utilisée pour exprimer des opinions impopulaires.

Elle a dit à Stelter, le moniteur de désinformation: « Nous avons besoin des personnes qui comprennent la langue et la jurisprudence dans le pays, car ce qui est qualifié de discours de haine — un discours de haine illégal, que vous aurez bientôt aussi aux États-Unis… Je pense qu’il existe une raison solide pour que cela soit inscrit dans le droit pénal. »

Portez une attention particulière au regard brûlant d’inquiétude réelle sur le visage de Stelter.

Ce n’est pas nouveau, l’année dernière le thème était le même – « recalibrer » ce que vous pouvez et ne pouvez pas dire. Bien sûr, les directives de discours « approuvées » ne seront pas données par Dieu ni par la constitution de votre pays ou de votre État, mais par une douzaine de marxistes, désireux de suivre la ligne de l’initiative mondialiste par tous les moyens possibles. Après tout, ils sont désormais Dieu. Ils sont désormais la constitution.

Dans un prochain podcast avec Chris DeMuth Jr, je soulève l’idée que, quelle que soit leur idéologie ou leur politique, les gens en général en ont assez d’être involontairement assignés à participer à des causes sociales, quelles qu’elles soient.

Ce n’est pas parce que je travaille pour une certaine entreprise, que j’utilise certains produits ou que j’achète dans certains magasins que je m’aligne sur les politiques et les idéologies de ces personnes, de ces lieux et de ces choses – fin de l’histoire. C’est pourquoi je trouve offensant d’entrer dans un Whole Foods et de voir un panneau qui dit des conneries comme « La haine n’a pas sa place ici » accroché au-dessus de l’entrée principale.

Je suis socialement libéral et je veux que les gens vivent leur vie comme ils l’entendent sans empiéter sur les droits des autres. Je n’ai pas besoin d’un panneau dans une épicerie pour me le dire. En fait, c’est dégradant et insultant.

Dans le même ordre d’idées, je suis un citoyen du monde – mais je n’ai pas besoin d’un forum mondial pour parler en mon nom ou pour m’engager involontairement dans une cause idéologique ou de justice sociale qu’ils jugent importante. Ce qui est le mieux pour une personne n’est pas nécessairement le mieux pour une autre, et l’arrogance d’un « groupe d’êtres humains sélectionnés » qui pense pouvoir parler et agir pour tout le monde sous le prétexte fabriqué de « sauver la planète » et de faire ce qui est le mieux pour chacun révèle tout ce qu’il y a à savoir sur ces sociopathes.

Mais ne dites pas ça à John Kerry – il s’est presque consacré lui-même comme divinité extraterrestre. Ici, on croirait entendre un membre officiel de la Sea Org de Ron Hubbard.

John Kerry déclare que « nous, un groupe d’êtres humains sélectionnés » parlent de « sauver la planète » au FEM. « C’est quasiment extra-terrestre », a-t-il ajouté.

Et enfin, vous le savez déjà tous, leur hypocrisie est éblouissante.

Les mêmes personnes qui se plaignent du changement climatique s’y sont rendues en jet privé. Quand ils rentrent chez eux, ils conduisent des véhicules électriques remplis de métaux de batterie extraits par des enfants en Afrique. Ils portent des chaussures, des chemises et des pantalons fabriqués dans des ateliers clandestins. Ils utilisent des iPhones fabriqués par des ouvriers en Chine qui endurent des conditions de travail horribles. Ils utilisent des produits pétroliers tous les jours. Ils se plaignent des inégalités mais soutiennent la suppression des droits individuels, les monnaies numériques traçables, les scores de crédit social et un système bancaire central qui creuse systématiquement le fossé des inégalités.

L’aéroport privé à Davos est plein.
L’élite y parque ses jets privés, puis se rend au FEM en hélicoptère pour y discuter politique climatique.

Oui, les mêmes personnes qui prétendent travailler à l’amélioration de l’existence des Terriens vivent dans des couches sociales dont vous, moi et nos amis ne ferons jamais partie et dont nous ne voudrions jamais faire partie.

Parce que même si nous utilisons les mêmes iPhones et le même pétrole, nous ne nous plantons pas au milieu de la place en clamant à quel point nous sommes vertueux. Nous essayons de faire les choses que nous savons être justes dans nos coeurs, et nous savons que nous faisons du mieux que nous pouvons avec ce que nous avons. C’est un accomplissement suffisant pour beaucoup d’entre nous. Nous n’avons pas besoin de nous auto-consacrer.

En fin de compte, qu’est-ce que cela signifie? Cela signifie que si le Forum Economique Mondial est vraiment à la recherche d’idées nouvelles, novatrices et originales qui aideront les citoyens de la Terre, il devrait peut-être simplement essayer de nous foutre la paix, bordel.

Sur le pic pétrolier en tant que nouveau crime de tromperie infligé au monde par les banquiers centraux pour soutenir leur programme de contrôle et de mort et détourner l’opposition à ce programme – par Katherine Watt.

Une analyse du « pic pétrolier », pour complèter le papier précédent. Katherine fait partie des quelques très rares analystes à qui je fais encore confiance à ce stade, avec Sasha Latypova, Catherine Austin Fitts, John Titus, quelques médecins indépendants et bien entendu John Paul. J’avais traité du « pic pétrolier » avec notamment un papier de Gail Tverberg, qui s’appuie abondamment sur les travaux cités dans le présent article, et celui-ci de Eliott Freed, deux analyses que Katherine met ici très bien en perspective.

Vous pouvez commencer par la petite vidéo ci-dessous, très bien produite. Je ne suis pas fan de la chaîne PragerU mais il faut leur reconnaître le mérite d’être très factuels et rigoureux. C’est en anglais mais si vous activez d’abord les sous-titres, puis vous allez dans Règlages>Sous-titres>Traduire automatiquement>Français (de préférence), vous avez un sous-titrage nickel.

Source.


Sur le pic pétrolier en tant que nouveau crime de tromperie infligé au monde par les banquiers centraux pour soutenir leur programme de contrôle et de mort et détourner l’opposition à ce programme.

En plus du Covid-19, des armes biologiques injectables, des banques centrales, des monnaies fiduciaires, des programmes de géo-ingénierie et de changement climatique.

Katherine Watt

30 décembre 2022

Extrait du billet du 19 juillet 2022:

Commentaire d’un lecteur sur le billet de la semaine dernière intitulé « Thinking Through Possible Future Scenarios » [Réflexion sur les scénarios d’avenir possibles]:

L’inévitable désastre économique est-il toujours le lot des civilisations en chute libre? À la lumière de ce qui suit, veuillez commenter!

Perfect Storm, Energy, Finance and the End of Growth [Tempête parfaite, énergie, finance et fin de la croissance], rapport de Tim Morgan, Responsable Mondial de la Recherche pour le courtage Tullett Prebon, janvier 2013.

Ma réponse, légèrement étoffée:

Je l’ai téléchargé et l’ai parcouru.

Je me suis intéressée à ces questions à l’origine par le biais de la théorie du « pic pétrolier », en lisant le livre de Richard Heinberg de 2005 intitulé The Party’s Over: Oil, War and the Fate of Industrial Societies [La Fête est finie: Pétrole, guerre et destin des sociétés industrielles], qui exposait les implications des travaux du géologue et géophysicien M. King Hubbert sur les réserves de pétrole et le rendement énergétique de l’énergie investie (Energy Return on Energy Invested – EROEI).

Les travaux de Hubbert étaient liés aux effets des ressources pétrolières limitées sur les systèmes financiers et économiques qui dépendent d’un pétrole bon marché et facilement accessible pour fonctionner correctement.

Les systèmes financiers et économiques basés sur l’endettement, en particulier.

Les travaux de Hubbert et Heinberg étaient étroitement liés au rapport Limites de la Croissance publié par le Club de Rome en 1972.

De 2005 à 2020, j’ai considéré le pic pétrolier et l’EROEI comme des problèmes géochimiques et techniques qui nécessitaient une relocalisation des systèmes de prise de décision, d’alimentation, d’eau, de production économique et de distribution, en tant que réponses pratiques à la résolution des problèmes.

J’ai donc travaillé avec le Community Environmental Legal Defense Fund [Fonds de défense juridique de l’environnement communautaire] sur des projets de gouvernement local basés sur les droits, et j’ai créé et/ou soutenu plusieurs petites organisations travaillant sur le développement de systèmes alimentaires locaux, l’acquisition de compétences en homesteading et des campagnes de protection de l’approvisionnement en eau.

J’ai effectué des recherches et écrit sur ces questions dans une série de blogs destinés aux lecteurs de la communauté du New Jersey où j’ai vécu de 2002 à 2008, et de la communauté de Pennsylvanie où je vis depuis 2008. J’ai lancé Bailiwick News en 2016.

C’est dans cette arène que j’ai appris ce qu’est l’État administratif, en regardant les législateurs et les juges élus locaux se faire écraser – sans opposer beaucoup de résistance – par des administrateurs publics professionnels non élus, notamment des directeurs de canton, des avocats de canton et des directeurs de planification et de zonage, en collaboration avec des dirigeants d’entreprises privées et quasi privées, en particulier dans les domaines de l’investissement immobilier, du développement foncier et de l’ingénierie.

Cependant.

Depuis 2020, observant en temps réel la manipulation massive des données Covid pour influencer et contrôler le comportement des groupes et des individus, j’en suis arrivée à la conclusion que le rapport du Club de Rome sur les Limites de la Croissance, le mouvement du pic pétrolier, la panique de la surpopulation, la panique du changement climatique et autres, ont fait partie du même projet multigénérationnel d’opération de manipulation psychologique […] des mondialistes.

Rien que des mensonges.

Tous racontés dans le but d’obscurcir l’intellect, de désorienter, d’effrayer et de contrôler les hommes et les femmes.

Je ne connais pas le véritable état des réserves mondiales de pétrole; je sais seulement ce que l’Agence Internationale de l’Energie (créée en 1974) et d’autres institutions mondialistes capturées disent publiquement à propos des réserves de pétrole.

Il est possible que la surconsommation de ressources, l’endettement et l’effondrement économique soient toujours le lot des civilisations en chute libre, et qu’il s’agisse simplement d’un processus naturel à l’échelle mondiale, manipulé à des fins personnelles par les élites au sommet de la structure de pouvoir de la civilisation actuelle.

Mais il est également possible que cette histoire précise de surconsommation des ressources mondiales, de destruction écologique, de dette et d’effondrement économique soit créée, mise au point et/ou projetée dans l’esprit des gens du monde entier en ce moment même, par ces mêmes élites, non seulement pour leur gain personnel, mais aussi au service de Satan, dans le but de livrer les âmes humaines à la damnation éternelle en détruisant la foi en Dieu.

Aujourd’hui, je penche pour la deuxième interprétation des événements.

Le sujet du pic pétrolier est revenu récemment dans un fil de discussion sur le Substack de Sasha Latypova.

Un lecteur a commenté, adoptant la position selon laquelle les mondialistes « exterminent » les gens pour prévenir d’autres formes de chaos mortel, comme les famines, les crashs économiques et les guerres de ressources, en raison de la pénurie d’énergie fossile liée au pic pétrolier.

Il a cité ce même rapport « Perfect Storm » de 2013 de l’échange de juillet (ci-dessus) comme « le document définitif qui relie tout » et a désigné les sables bitumineux et le forage en eaux profondes comme preuves à l’appui de l’affirmation selon laquelle les limites naturelles des réserves de combustibles fossiles sont la motivation de base.

Comme je l’ai écrit en juillet, j’avais l’habitude de penser que le pic pétrolier était la clé, et j’ai travaillé principalement à partir de cette vision du monde de 2005 à 2020.

Je ne trouve plus ce cadre plausible, car je suis trop consciente de l’efficacité avec laquelle les mondialistes et leurs sbires manipulent les données, les informations et la propagande pour se rapprocher de leurs objectifs géopolitiques et autres, et de l’utilité de l’anxiété généralisée concernant le pic pétrolier et le changement climatique dans ce processus de manipulation.

Il est maintenant clair pour moi que la BRI [Banque des Règlements Internationaux] et ses propriétaires, ainsi que leurs pairs institutionnels dans d’autres organisations internationales (comme le Club de Rome/ »Limites à la Croissance« /Donella Meadows) sont en position, depuis très longtemps, de manipuler les données et les analyses produites par M. King Hubbert et d’autres géophysiciens, ainsi que des scientifiques de l’environnement/du climat, de telle sorte que « Limites à la Croissance » n’est pas un modèle basé sur des faits, mais une projection ou un plan basé sur leur intention et leur capacité à manipuler l’accès aux réserves de combustibles fossiles et à manipuler les aspects du climat, afin de soutenir leurs efforts pour centraliser le pouvoir et le contrôle.

Ils ont l’argent et la maîtrise du projet pour forer des kilomètres sous la mer à la recherche de pétrole, extraire du pétrole du sable à la vapeur et lâcher des bombes dans des trous, non pas parce que ce sont les seules sources d’approvisionnement restantes, mais simplement pour perpétuer la fraude.

C’est le même mode d’emploi que celui qu’ils utilisent pour manipuler les informations sur ce qui se passe dans le cadre du programme Covid, tuer et rendre malades des millions de personnes avec des injections d’armes biologiques, et mentir sur ce qu’ils font.

Je suis maintenant d’avis que « l’économie » n’est également qu’une fraude massive, et qu’aucun des chiffres présentés par les banquiers centraux au cours des 100 dernières années – ou plus – n’est digne de confiance ou ne devrait être utilisé pour prendre des décisions sociétales ou personnelles sur ce qu’il faut faire ensuite.

Ce ne sont que des mensonges, du début à la fin, racontés par les banquiers centraux, dans le but de centraliser le contrôle direct et quotidien de 8 milliards de personnes, tout en envoyant 7,5 milliards d’entre vers une mort prématurée à l’aide de mensonges, d’armes biologiques, de pulvérisations chimiques, de famine forcée par le biais de perturbations de l’approvisionnement alimentaire, de perturbations de l’approvisionnement énergétique, de manipulations monétaires et d’autres outils de leur arsenal.

Ils font tout cela et bien plus encore, tout en organisant des exercices de simulation séquentiels et détaillés et en publiant des plans détaillés décrivant ce qu’ils ont l’intention de faire, qui correspondent à ce qu’ils font réellement, dans le but d’humilier rituellement leurs ennemis: nous.

En conséquence, je ne crois plus qu’il existe des limites naturelles à la production et à la distribution de nourriture, ni qu’il existe des limites naturelles à l’approvisionnement en énergie fossile.

Les pénuries et les catastrophes sont orchestrées par les banquiers centraux.

Un autre intervenant dans le fil de discussion a cité d’autres sources de données et a proposé un débat, comparant le scepticisme à l’égard du pic pétrolier au déni de l’existence du 11 septembre ou de Covid-19.

J’ai examiné les données sur le pic pétrolier. Je ne fais plus confiance aux sources de ces données.

Je ne veux donc pas en débattre, car la vraie question n’est pas celle de l’information. La question est de savoir si les sources d’information sont dignes de confiance. Et je ne pense pas que nier le pic pétrolier soit comparable à nier le 11 septembre ou le Covid. Il est cohérent de penser que ces trois événements sont des manipulations, impliquant des informations et des données fabriquées, qui ont néanmoins eu et ont toujours des effets directement observables sur la vie des gens.

Le débat public sur le pic pétrolier (tel qu’il est) n’a pas vraiment d’importance, cependant.

Que vous croyiez que le pic pétrolier s’est produit en 2005 et que la pénurie d’énergie est basée sur des limites géochimiques et techniques réelles de forage, ou que vous croyiez que le pic pétrolier est une campagne de propagande et que les pénuries sont et continueront d’être fabriquées, la décentralisation de la capacité de production des produits de première nécessité, y compris les informations véridiques, et la décentralisation des systèmes de gouvernance pour maintenir l’ordre social, sont des réponses utiles aux deux interprétations des événements passés et actuels.

Même si l’approvisionnement en énergie fossile est encore abondant, les personnes qui organisent depuis longtemps les perturbations des chaînes d’approvisionnement et des systèmes financiers et monétaires seront probablement en mesure de continuer à le faire dans un avenir prévisible.

La seule différence importante entre les deux points de vue est la différence entre le niveau où on place la responsabilité.

Là encore, la déviation et la suppression de la vérité ne servent qu’à masquer le pouvoir et les actes des prédateurs-parasites mondialistes.

Les personnes qui croient à la propagande sur le pic pétrolier et le changement climatique concentrent leurs réactions sur le changement de comportement et la réduction de la liberté de mouvement des gens ordinaires qui essaient de vivre, d’apprendre, de travailler, d’adorer Dieu et d’élever des enfants.

Les personnes qui percent à jour la propagande, jusqu’aux hommes et aux femmes qui se sont positionnés pour contrôler l’accès aux informations véridiques et aux ressources nécessaires à la vie, se concentrent sur l’élargissement de notre accès aux informations véridiques, sur l’élargissement de notre amplitude de mouvement pour produire et obtenir des réserves d’eau, de nourriture et d’énergie adéquates et contrôlées localement, et sur le rétablissement ou la création de systèmes financiers et d’autorités gouvernementales légitimes.

Massacre des Saints Innocents. Peinture de Guido Reni.

Armes biologiques, produits en autorisation d’utilisation d’urgence, nouveaux médicaments expérimentaux, crise constitutionnelle – par Katherine Watt.

Katherine Watt est une alliée des plus précieuses pour comprendre comment l’état de guerre biosécuritaire a pu légalement et juridiquement se mettre en place aux États-Unis. Ceci concerne également au premier plan les pays européens qui ont passé contrat avec les firmes pharmaceutiques (vous voyez lesquelles), par une astuce légale typiquement américaine qui octroie à ces contrats précédence sur les lois nationales. Je traduis l’article de Katherine Watt à ce sujet, dès que je le retrouve – j’ai compté, j’ai plus de 900 onglets ouverts…

Les deux derniers paragraphes sont humoristiques, mais j’avais pensé sérieusement à ce genre de manoeuvre. Je ne vois pas pourquoi ce seraient toujours les mêmes qui s’amusent.

Source.


Armes biologiques, produits en autorisation d’utilisation d’urgence, nouveaux médicaments expérimentaux, crise constitutionnelle.

Katherine Watt

3 janvier

Orientation pour les nouveaux lecteurs. Plus d’informations sur la page À propos.

Pour les lecteurs souhaitant vérifier les citations légales de ce billet, vous pouvez les trouver dans la chronologie du billet épinglé American Domestic Bioterrorism Program. [NdT. dont j’ai traduit la seule conclusion ici, les références juridiques rendant la lecture interminable]

On m’a récemment envoyé un lien vers l’interview de Karen Kingston avec Greg Hunter, publiée le 24 décembre 2022, et on m’a demandé mon avis sur les points qu’elle aborde entre 22:00 et 28:00. Au cours de ce segment, Karen Kingston discute des implications juridiques de l’approbation par la FDA, le 23 août 2021, du Nouveau Médicament Expérimental (Investigational New Drug – IND) du produit Comirnaty de Pfizer, qui est « juridiquement distinct », comme pouvant percer les boucliers de responsabilité civile et pénale de l’Autorisation d’Utilisation d’Urgence (Emergency Use Authorization – EUA).

Je comprends son point de vue, mais je ne suis pas d’accord avec son analyse.

Je ne pense pas que les lois d’urgence de l’EUA ou de la santé publique soient contraignantes, en tant que lois de santé publique et de réglementation des médicaments.

Je pense qu’elles ne sont contraignantes que dans le sens où elles transfèrent toutes les utilisations et implications légales des produits des programmes de santé publique au programme d’armes chimiques et biologiques (50 USC 1511 et seq.).

Ainsi, dans le cadre d’un état de guerre, d’un état d’urgence national et/ou d’un état d’urgence de santé publique, tous les Américains sont classés comme ennemis de l’État (le prétexte employé par le gouvernement fédéral du District de Columbia1), comme insurgés, rebelles ou étrangers, et peuvent être légalement ciblés pour être tués, en utilisant toutes les armes que le gouvernement fédéral et ses militaires jugent appropriées, à la discrétion du Président et du Secrétaire à la Défense.

Parmi les nombreux documents utiles que les lecteurs m’ont envoyés au sujet de la prise de pouvoir de l’exécutif et du droit militaire pendant la guerre de Sécession, il existe des preuves à l’appui de l’argument selon lequel le statut de droit militaire n’a jamais été levé lorsque les hostilités sur le champ de bataille ont pris fin en 1865.

Au lieu de cela, de nombreuses générations d’Américains – de toutes les races, classes et ethnies – sont nées, ont vécu et sont mortes sous une occupation militaire fédérale secrète, illégitime et financiarisée.

Sans le savoir.

Depuis le début de la guerre de Sécession en 1861 jusqu’à l’AUMF (autorisation de recours à la force militaire)/Proclamation 7463 de 2001, les banquiers centraux mondialistes ont eu suffisamment de contrôle sur les leviers qu’ils voulaient contrôler pour permettre à certaines dispositions de la séparation des pouvoirs de la Constitution de sembler fonctionner de façon plus ou moins intacte, y compris un certain contrôle du Congrès, un certain contrôle judiciaire et certains droits limités des États, fournissant un certain contrepoids au Président et aux agences exécutives et administratives.

Au fil des décennies, les banquiers centraux planifiaient et se préparaient à prendre davantage de pouvoir, et à mettre en place des mécanismes de transfert discrets, tels que le Federal Reserve Act de 1913, l’Executive Order 6102 et la House Joint Resolution 192 de 1933, ainsi que les accords de Bretton Woods de 1945, tout en construisant l’architecture juridique, financière et scientifique du programme de bioterrorisme.

En 2001, ils voulaient plus de contrôle et étaient prêts à risquer d’être un peu plus visibles pour l’obtenir.

En septembre 2001, sous le couvert de la peur suscitée par le 11 septembre et les attaques à l’anthrax, un autre niveau d’urgence nationale/état de guerre (« Guerre Mondiale contre la Terreur ») a été mis en place, par le biais de l’Autorisation du Congrès pour le Recours à la Force Militaire (AUMF) et la Proclamation 7463 de George W. Bush, Déclaration d’Urgence Nationale en Raison de Certaines Attaques Terroristes, promulguée sous la Loi d’Urgence Nationale de 1975 et renouvelée chaque année depuis.

Ces mesures ont été rapidement suivies de la loi PATRIOT en octobre 2001, de la création du Département de la Sécurité Intérieure en novembre 2002 et de l’expansion des programmes d’état policier biomédical au cours des deux décennies suivantes par le biais de la loi PREP, de la loi Project Bioshield et plus encore.

En 2019, ils voulaient prendre un contrôle encore plus direct, étaient prêts à risquer de s’exposer encore un peu plus, et avaient placé plus de pièces sur l’échiquier pour centraliser plus de pouvoir dans des conditions d’urgence de santé publique.

Ainsi, en 2020, sous la couverture de la peur suscitée par le Covid-19, une autre couche de contrôle est entrée en vigueur, par la détermination en janvier 2020 de l’existence d’une urgence de santé publique (Alex Azar, secrétaire du HHS) et la proclamation 9994 de Donald Trump du 13 mars 2022, Déclaration d’une Urgence Nationale concernant l’Épidémie de Nouveau Coronavirus (COVID-19), également en vertu de la Loi sur les Urgences Nationales de 1975.

Également renouvelée chaque année depuis.

[Et positionnée comme une Guerre Mondiale contre les Humains Susceptibles aux Maladies Communicables: traduction de l’Agenda pour la Sécurité Sanitaire Mondiale intégré dans les règlements et traités de l’Organisation Mondiale de la Santé, et dans les programmes fédéraux américains. Voir la section 5955 du NDAA pour l’année fiscale 2023].

Je pense que la solution pour sortir de ce pétrin est que le peuple, le Congrès, les tribunaux et les gouvernements des États reconnaissent ouvertement la crise constitutionnelle déclenchée pendant la guerre de Sécession et renforcée depuis par les banquiers centraux et la branche exécutive/état administratif.

Ça craint.

Les affaires civiles et pénales introduites entre-temps, dans le cadre des structures pseudo-juridiques actuelles qui ont été conçues par les banquiers centraux pour rendre la Constitution inopérante et, par conséquent, trahir le peuple, peuvent contribuer à préciser quand et comment nos structures juridiques actuelles ont perdu leur légitimité et à indiquer quelques pistes pour revenir au fondement constitutionnel original.

Je pense également – aussi étrange que cela puisse paraître – que certaines des corrections les plus importantes seraient remarquablement simples à mettre en œuvre, une fois que les majorités du Congrès, les juges fédéraux et les gouverneurs des États, les procureurs généraux et les législateurs commenceraient à comprendre la situation de guerre et à changer de camp, passant des banquiers centraux à la Constitution+Peuple.

Les archives de la guerre de Sécession et les événements qui s’en sont suivis appuient fortement l’argument selon lequel le Congrès est une pseudo-institution fictive depuis 1863 environ, occupant les sièges vides du vrai Congrès par un accord mutuel et secret entre les dirigeants conscients – pour participer à l’illusion et la promulguer – et l’ignorance pure et simple par l’ensemble de ses membres du fait qu’il s’agit d’une illusion.

Avec un bon leadership et une forte pression populaire, les hommes et les femmes vivants assis dans ces sièges pourraient ouvertement présenter des résolutions, débattre et voter pour révoquer leur consentement à participer au mensonge, et ainsi réoccuper le vrai Congrès.

Si une telle résolution était adoptée, elle effacerait tous les statuts du Congrès, toutes les agences et réglementations fédérales dérivées, et tous les ordres et proclamations présidentiels, depuis 1861.

Y compris toutes les lois d’urgence nationale et d’urgence de santé publique qui, pour l’instant, semblent protéger les tueurs de toute poursuite pénale pour les atrocités de masse qu’ils ont commises ces trois dernières années.

Une grand reset constitutionnel, en quelque sorte.

À partir de ce retour aux principes fondateurs, le vrai Congrès et les États pourraient commencer à débattre et à adopter des lois conformes à la Constitution, accompagnés par une population beaucoup plus alerte et des tribunaux fonctionnels positionnés pour examiner et annuler les lois inconstitutionnelles.

Pour m’amuser, j’imagine parfois qu’en vertu de la propriété transitive du wokeness, n’importe qui pourrait « s’identifier » à John Roberts, Juge en Chef de la Cour Suprême des États-Unis, entrer et prendre le contrôle de la SCOTUS (Cour suprême des Etats-Unis) et de son registre, et demander à des avocats publics et privés de déposer des dossiers contestant la constitutionnalité des lois d’habilitation du programme américain de bioterrorisme domestique, des décrets, des règlements des agences et de leurs fictions juridiques précurseurs.

Comment les agents de sécurité des tribunaux pourraient-ils refuser de s’incliner devant les noms propres, les identités et les autorités légales que nous préférons?

Adoration du Saint Nom de Jésus. Peinture d’El Greco.
  1. J’ai appris récemment que les événements du 6 janvier se déroulant dans le district de Columbia sont probablement significatifs, en termes de structure corporative du pays et de statut juridique des hommes et des femmes qui ont traversé les 10 miles carrés du district de Columbia, alors qu’une déclaration d’urgence de santé publique/d’urgence nationale était en vigueur.

    Je ne me souviens pas s’il y a eu d’autres grandes manifestations politiques à Washington depuis janvier 2020. Si c’est le cas, je ne sais pas comment le Ministère de la Justice rationalise le fait de jeter les prisonniers politiques du 6 janvier en prison mais pas ceux de Black Lives Matter, par exemple, ou même s’ils essaieront de rationaliser ce traitement disparate. Il est probable que les manifestants du 6 janvier et leur allégeance claire à la Constitution avaient le potentiel d’interférer avec la tentative de contrôle des banquiers centraux, alors que les manifestants de BLM ne l’avaient pas.

    Quoi qu’il en soit, je pense maintenant que les accusations d’intrusion et d’insurrection sont peut-être davantage liées au fait que les manifestants du 6 janvier sont entrés à Washington, et non dans le bâtiment du Capitole lui-même. Ou, plus précisément, qu’ils ont dû être frauduleusement incités, par des agents du FBI infiltrés, à entrer dans le bâtiment du Capitole, afin de fournir une fausse façade pour les accusations d’intrusion et d’insurrection qui passerait mieux dans les médias propagandistes.