La catastrophe des catastrophes: des milliards de personnes se retrouvent avec une réponse immunitaire défaillante – par Radagast.

Je ne sais pas si on en parle même sur le Web francophone mais il y a une info sur laquelle se sont récemment jetés, comme la misère sur le monde, de nombreux toubibs que je lis/relaie sur ce blog: l’IgG4.

C’est-à-dire le fait que la protéine de pointe de l’injection module la réponse immunitaire pour augmenter la proportion de l’immunoglobuline G4, ce qui est (encore) une mauvaise nouvelle. Vous allez comprendre pourquoi dans un instant.

Typiquement, John Paul écrivait là-dessus il y a plusieurs mois, c’est-à-dire bien avant tout le monde. J’aurais dû relayer l’info à l’époque mais je traduis assez peu ses articles médicaux sachant qu’ils seront, typiquement aussi, assez peu lus. Il faut avouer qu’il est assez pointu sur le sujet, ce qui implique qu’il faut suivre ses analyses au fil de plusieurs articles très denses, sans se faire larguer en route. En voici un plus facilement accessible, d’un auteur néerlandais, pour changer. Je ne vous garantis pas que sa conclusion est scientifiquement exacte – j’ai posé la question à John sans recevoir de réponse – mais le papier a le mérite d’exister et de présenter les données.

Il y a une référence au réchauffement climatique anthropocentrique à la fin, ce qui a le don de m’agacer et devrait vous agacer aussi. Sorry!

Note 27/01: John Paul m’a répondu au sujet du sérieux de cet article (voir ci-dessous). Je publierai ce qu’il a écrit sur le sujet si je trouve le temps.

Bonjour John.

Est-ce que ça tient la route ou est-ce que ce n’est que du sensationnalisme?

Skidmark, Jan 16

Ça ne tient pas tellement la route, ça me semble être beaucoup de sensationnalisme avec des « preuves » tangentiellement liées, d’ailleurs utilisées par la plupart des Alt-Covid pour promouvoir des narratifs spécifiques.

Je suis très méfiant à l’égard de beaucoup de gens maintenant, alors prends les informations que tu vois chez eux et même chez moi, avec précaution, même si j’essaie résolument d’être 100% honnête.

John Paul, Jan 20

Source.


La catastrophe des catastrophes: des milliards de personnes se retrouvent avec une réponse immunitaire défaillante.

Radagast

24 décembre 2022

Faites-moi donc plaisir et servez-vous un verre, vous en aurez besoin à la fin de cet article.

Je vais essayer d’éviter de répéter ce que nous avons déjà abordé dans les deux articles précédents sur ce sujet. Après la vaccination à l’ARNm, la réponse immunitaire contre la protéine de pointe bascule vers les IgG4, ce qui correspond à la façon dont le corps réagit après une exposition répétée à des substances qu’il lui faut tolérer, comme le venin d’abeille, le pollen ou les protéines d’arachide.

Tout d’abord, le tableau général de ce que l’on voudrait observer après une infection par le SARS-COV-2:

À gauche, vous voyez qui effectue la neutralisation, à droite, vous voyez quel pourcentage du total des anticorps ils représentent. Bien qu’ils ne représentent que 3% de votre quantité d’anticorps, les IgG3 effectuent 42,2% de la neutralisation.

L’IgA est occupée à combattre le virus dans le mucus [NdT. particulièrement efficace chez les Japonais, comme le rappelait ici le Dr Fukushima], l’IgM répond à l’infection en réduisant la charge virale, puis l’IgG3 se joint au combat et traque le virus dans ses derniers retranchements, afin que votre organisme ne finisse pas par tolérer ce méchant sarbecovirus en arrière-plan.

Si ce n’était pas encore évident, pour une raison quelconque, notre corps semble tolérer la propagation de ce virus dans notre population. Regardez ce qui arrive à mon pauvre petit pays:

Les niveaux de ce virus dans les eaux usées sont de nouveau à des niveaux records. Il est clair que la population n’apprend pas à reléguer ce virus au second plan.

Le nombre de décès augmente à l’unisson de la charge virale, car la surmortalité n’est pas un produit direct du vaccin [NdT. pas toujours], mais un produit indirect du vaccin qui interfère avec notre réponse à ce virus:

Nous avons eu une grande vague de décès en mars 2020, puis nous avons eu deux hivers meurtriers, donc la surmortalité est maintenant censée être négative. Nous avons déjà « épuisé » les personnes susceptibles de mourir pendant la saison de la grippe. Pourtant, 27% de personnes de plus que prévu sont mortes la semaine dernière. Ce serait censé inquiéter les personnes dont le QI est supérieur à la température ambiante, mais celles-ci se contentent de qualifier ce phénomène d’ « inexpliqué » et tentent de l’ignorer.

Je vous le signale parce que je me suis disputé sur Twitter avec l’un des auteurs de l’étude que nous allons examiner, qui insiste sur le fait que ses résultats, qui correspondent à ceux des autres équipes dont j’ai présenté les résultats dans les deux derniers articles, sont « inattendus », mais « ne sont pas inquiétants ». Honnêtement, je doute un peu qu’il le pense vraiment. Je vais expliquer ici pourquoi les résultats sont inquiétants, alors commençons par examiner leurs résultats et ce qui est réellement nouveau.

Vous connaissez déjà l’histoire: après la deuxième injection, les IgG4 commencent à apparaître. Cela s’aggrave avec les infections perthérapeutiques [breakthrough infections], puis cela s’aggrave encore avec la troisième injection. Nous avons maintenant des résultats actualisés sur les infections perthérapeutiques après la troisième injection. Et ça va vous choquer, mais ça empire encore:

En moyenne, les quatre personnes qui ont contracté une infection après leur booster sont maintenant à 42,45% d’IgG4. L’ensemble de la cohorte est à 19,27%, contre seulement 0,04% auparavant, de sorte que ceux qui n’ont pas encore eu d’infection perthérapeutiques se retrouveront dans une situation similaire: une réponse entièrement dominée par les IgG4.

La seule nouvelle chose utile que ces messieurs dames ont faite est de poser la question évidente: est-ce la norme pour d’autres agents pathogènes auxquels nous sommes couramment exposés? Ils se sont donc penchés sur un autre virus, le virus qui fait souffrir beaucoup d’enfants en ce moment, le VRS. Ils ont vu que nous ne réagissons pas au VRS par une réponse IgG4:

Personne n’a montré cette réponse au VRS et on ne l’observe même pas vraiment après une vaccination constante contre le tétanos.

Une réponse IgG4 à une infection respiratoire n’est tout simplement pas souhaitable. Parmi les IgG, ce sont principalement les IgG3 et quelques IgG1 qui sont souhaitables. L’un des auteurs affirme que le passage aux IgG4 n’a pas d’importance, car les anticorps ne servent pas seulement à déclencher la phagocytose (vos cellules immunitaires qui mangent les particules virales), ils servent aussi à la neutralisation.

Tout ça est bien beau, mais on se heurte à deux problèmes:

  1. Le virus évolue. Il évolue rapidement pour éviter les anticorps les plus neutralisants. Le potentiel de neutralisation contre XBB et BQ.1 a pratiquement disparu.
  2. Les IgG4 ne sont pas vraiment faites pour la neutralisation. Parmi les IgG, l’IgG3 est le meilleur neutralisateur de virus. Ce que font les IgG3 dans le cas du SARS2, c’est que leurs queues se lient ensemble. Cela signifie que sur les quatre sous-classes, l’IgG3 présente une neutralisation 50 fois plus forte contre le SARS2 que les trois autres sous-classes.

Et maintenant, il est temps de boire ce verre, car regardez ce qui arrive aux IgG3 après trois injections:

Il reste quelques IgG3 chez certaines personnes après la deuxième injection, mais au moment où elles reçoivent la troisième injection, elles sont toutes tombées à zéro.

Si vous vous demandez comment on en arrive à ces graphiques bizarres:

Cela a probablement quelque chose à voir avec le fait que nous débarrassons notre corps de l’anticorps IgG le plus compétent contre ce virus, en le remplaçant par un anticorps que nous utilisons pour tolérer des choses comme le pollen, les protéines d’arachide ou le venin d’abeille.

Cela ne s’est jamais produit auparavant. Il y a maintenant les inconnues connues, comme la question de savoir si le corps finit par tolérer des infections persistantes en raison de cette réponse complètement dominée par les IgG4, ainsi que les inconnues inconnues, des questions que nous devrions nous poser et que la plupart des gens n’ont même pas réalisé que nous devions nous poser.

Voici la grande question que je me pose: l’expérience a échoué, on a créé une réponse anticorps à dominante IgG4 chez bientôt des milliards de personnes. La réponse en anticorps IgG4 est homogène, ce sont les mêmes épitopes que tout le monde apprend maintenant à tolérer.

Vous êtes prêts?

Qu’est-ce que cela signifie pour les autres virus?

C’est la grande question qui fait mal. Si vous me disiez que chacun a une réponse immunitaire différente à différentes régions de la protéine de pointe, mais que tout le monde déploie maintenant des anticorps IgG4 contre ces régions, ce serait déjà une mauvaise nouvelle pour notre relation avec le SARS-COV-2.

Mais restez avec moi, je ressors encore une fois ce vieux tableau:

Vous voyez la réponse immunitaire des non vaccinés en A, en bas. Vous voyez qu’elle est assez différente chez tout le monde.

Vous voyez la réponse immunitaire des vaccinés en haut. Vous voyez qu’elle est assez similaire chez tout le monde, avec des régions distinctes qui reçoivent la réponse la plus forte.

Pour certaines de ces régions, le virus est indifférent à notre réponse en anticorps, donc ces régions ont tendance à rester les mêmes. Dans d’autres régions, la réponse des anticorps interfère, et le virus mute pour modifier ces régions. Cela signifie qu’au bout d’un certain temps, la réponse IgG est rappelée pour un sous-ensemble de plus en plus restreint de ces régions, de sorte qu’on obtient une forte réponse IgG4 pour une poignée d’épitopes, MAIS CES EPITOPES SONT LES MÊMES POUR TOUT LE MONDE!

Ce que je tente de dire, c’est qu’il existe désormais certaines chaînes d’acides aminés non-soi [étrangères] que des milliards d’êtres humains dans le monde apprennent soudainement à tolérer. Les virus respiratoires à ARN fonctionnent tous avec des blocs de construction assez similaires.

Certaines de ces chaînes d’acides aminés que nous tolérons maintenant dans le cas du SARS2 sont des chaînes que l’on retrouve également dans d’autres virus respiratoires. Et il y aura des virus respiratoires qui ne possèdent pas encore ces chaînes, mais qui peuvent muter pour les incorporer dans des emplacements où ils doivent actuellement faire face à de puissants anticorps IgG3.

En d’autres termes: une évolution homogène de la population vers les IgG4 pour certains anticorps peut finir par avoir un impact sur notre relation avec les virus respiratoires autres que le SARS2. On pourrait s’attendre, par exemple, à ce que les personnes vaccinées deviennent de meilleurs propagateurs asymptomatiques d’autres virus respiratoires, comme le VRS. Nous constatons l’existence d’anticorps à réaction croisée entre le SARS2 et les virus corona humains. Voulez-vous que ces anticorps passent des IgG3 aux IgG4? Probablement pas.

Il me semble que l’hypothèse plausible qui mérite d’être étudiée est que la recrudescence massive du VRS dans les pays occidentaux serait la conséquence du fait que les adultes vaccinés commencent à tolérer le VRS, ce qui entraîne une augmentation des infections chez les enfants, puisqu’ils y sont exposés plus souvent. Comme les enfants contractent maintenant ces infections auprès d’adultes vaccinés plutôt que d’autres enfants, la dose infectieuse qu’ils reçoivent aura tendance à être plus élevée. Cela pourrait suffire à expliquer la virulence plus élevée observée chez les enfants.

L’atteinte immunitaire des enfants par l’infection par le SARS2 est également une hypothèse qui mérite d’être étudiée, bien sûr, mais une propagation asymptomatique à partir des adultes est également possible.

Il faut garder à l’esprit que le passage complet aux IgG4 ne se produit qu’après des infections perthérapeutiques après le booster. En d’autres termes, les virus non-SARS2 n’ont pas encore eu beaucoup de temps pour évoluer et s’adapter au nouveau monde dans lequel nous vivons, où tout le monde se retrouve avec un étrange sous-ensemble d’anticorps IgG4 pour certains épitopes.

Les anticorps IgG se lient principalement à des régions d’environ 5 à 6 acides aminés, bien que cela varie beaucoup. Si un autre virus, comme le VRS, la grippe ou les virus corona humains, possède une telle région, il risque de s’en trouver très heureux! L’un de ces méchants anticorps IgG3 qui lui rendaient la vie misérable a disparu, remplacé par un anticorps IgG4 qui n’est pas capable de lier sa queue aux autres anticorps IgG4 pour une meilleure neutralisation.

Et s’il ne possède pas encore une telle région, mais qu’il pourrait éventuellement y parvenir après avoir échangé un acide aminé contre un autre, on pourrait se demander, le moment venu, pourquoi on se retrouve soudainement confronté à un gros problème de grippe, de VRS ou d’un autre agent pathogène.

Encore une fois, je suis désolé de ne pas avoir bien compris cela il y a deux ans. Je l’ai compris de manière assez basique. J’ai compris le grand principe important: on ne peut pas homogénéiser la réponse immunitaire de la population à un virus respiratoire, c’est profondément dangereux.

Rappelez-vous ce que j’ai écrit il y a longtemps:

L’un des facteurs nécessaires pour que notre espèce atteigne des densités de population aussi élevées que celles que nous avons atteintes aujourd’hui est la diversité de notre réponse immunitaire d’une personne à l’autre.

Si nous avions des gènes HLA très peu diversifiés, nous aurions tous une réponse immunitaire très similaire aux agents pathogènes. Le manque de diversité dans leurs gènes HLA est l’un des facteurs qui ont rendu les Amérindiens si vulnérables aux virus introduits par les colonisateurs européens: ces virus pouvaient se propager dans un environnement où la réponse immunitaire était homogène, ce qui a permis à ces virus d’évoluer pour tirer le meilleur parti de cet environnement particulier.

Si nous avions des gènes HLA peu diversifiés, les agents pathogènes développeraient des variants permettant de surmonter cette réponse immunitaire particulière. La diversité de notre réponse immunitaire empêche que cela ne se produise: une modification particulière n’est pas d’un grand secours pour un agent pathogène, car chacun réagit à l’agent pathogène d’une manière différente.

Avec les vaccins à base de protéine de pointe, nous avons fait exactement la pire chose que l’on puisse faire: nous avons homogénéisé la réponse immunitaire humaine à un nouveau virus qui devient rapidement plus diversifié génétiquement.

Il s’agit à nouveau du même principe de base que j’ai décrit ci-dessus, mais cette fois-ci, nous nous concentrons sur le passage à la classe IgG4. Je ne m’inquiéterais pas de l’impact sur les autres agents pathogènes si le passage aux IgG4 différait d’une personne à l’autre. Mais tout le monde se retrouve maintenant avec des combinaisons d’acides aminés sélectionnées qui n’existent pas dans notre propre corps (c’est-à-dire des peptides que nous ne tolérerions normalement pas et que nous pourchasserions avec des anticorps s’ils apparaissaient dans notre sang), que tout le monde apprend maintenant à tolérer!

Nous sommes intervenus dans quelque chose que nous ne comprenons pas bien, à l’échelle de milliards de personnes.

Permettez-moi de vous rapporter une anecdote. Il y a longtemps, au 19e siècle, un Suédois du nom d’Arrhenius, parent d’une Suédoise autiste dont vous avez peut-être entendu parler, a réalisé que nous étions en train de modifier l’atmosphère. Les gens ont trouvé cela plutôt bien, car ils supposaient que cela se produirait lentement. Finalement, la plupart des gens ont oublié ce phénomène.

Dans les années 60, nous avons réalisé que nous émettions beaucoup de ce gaz étrange, qui modifiait l’atmosphère. Là encore, les experts ne s’inquiétaient pas. « L’océan s’en chargera probablement », tel était le consensus de personnes très intelligentes, DONT LA SPÉCIALITÉ ÉTAIT D’ÉTUDIER CE TYPE DE CHOSE. Ce n’est que dans les années 1980 que tout le monde a reconnu que nous avions affaire à un véritable problème.

Dans ce contexte, je voudrais que vous jetiez un coup d’œil au scientifique qui a annoncé ses conclusions sur Twitter:

Et portons un toast à tout notre travail qui a permis de découvrir quelque chose qui pourrait signifier que des milliards de personnes sont condamnées.

Si nous pensions que des milliards de personnes sont condamnées, noux n’aurions pas fait la fête. C’est une découverte intéressante mais pas de quoi s’inquiéter.

Je suis un anonyme hollandais qui a abandonné ses études avec une prédilection pour d’obscurs produits psychédéliques, il est virologue avec un doctorat. Je comprendrais parfaitement que vous souhaitiez le croire plutôt que moi, c’est la réponse que la plupart des gens semblent avoir.

Mais ce que je vois, c’est un scientifique qui dit « Eh, l’océan s’en chargera ».

C’est un virologue et les choses ne vont pas bien dans le domaine des virus. Trop de gens meurent. Nous avons un sarbecovirus qui persiste. Les hôpitaux du monde occidental ne peuvent plus faire face à la charge des malades.

Et le plus important de tout: les enfants tombent malades.

Peut-être ne faudrait-il pas doter des milliards de personnes d’un répertoire d’anticorps IgG4 au profil similaire ciblant un virus respiratoire à ARN. Peut-être toutes sortes de virus respiratoires et d’autres agents pathogènes peuvent-ils s’en servir comme d’une opportunité.

On a mené une expérience sans précédent sur des milliards de personnes, nos systèmes immunitaires réagissent maintenant d’une manière sans précédent à un pathogène respiratoire et nous voyons maintenant un nombre sans précédent de personnes malades d’infections respiratoires.

Si vous êtes virologue, je crois que c’est le moment où vous êtes censé être inquiet.

Mise à jour 1: Une critique que vous pourriez faire de mon avertissement, à savoir qu’une évolution vers les IgG4 pourrait également avoir un impact sur d’autres agents pathogènes respiratoires, est que la réactivité croisée des anticorps pourrait ne pas être suffisante.

Pourtant, nous savons déjà qu’il doit y avoir une réactivité croisée importante entre le SARS2 et un certain nombre d’autres virus respiratoires à ARN, pour une raison simple: les vaccins antigrippaux sous-unitaires (c’est-à-dire non vivants) ont montré une nette réduction de 89% du risque d’infection grave par le SARS-CoV-2.

Si les anticorps de la grippe ont un impact sur le SARS2, les anticorps du SARS2 ont un impact sur la grippe. Et si les anticorps du SARS2 évoluent vers la tolérance, cela aura un impact sur la grippe. L’impact ne fera que s’accentuer au fil du temps, à mesure que ces autres virus s’adapteront par mutation et sélection naturelle pour tirer le meilleur parti de cette évolution vers les IgG4.


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