Forum Economique de Merde – par Quoth the Raven.

Un amusant petit résumé de la dernière édition du FEM. Amusant mais hélas parfaitement réaliste: ces gens sont évidemment là pour défendre leurs investisseurs et leurs propres comptes en banque – juste à titre d’exemple, la fortune d’Al Gore est passée en vingt ans de 1,7 millions à 330 millions de dollars – mais on a aussi l’impression, à les écouter et à voir leur tronche, qu’ils sont devenus complètement fous.

Et ce sont ces gens qui ont pénétré les cabinets – pour imposer par leur doctrine communiste leur idée d’un partenariat public/privé – qui est comme vous le savez la définition du fascisme. Le meilleur de deux mondes…

Je pense effectivement, comme le président colombien, que nous avons atteint un point de non-retour. Pas celui du « climat », celui du mensonge. Malgré la masse d’ignorants qui n’a toujours rien compris, l’Opération Covid commence à montrer ses limites. Les cadavres deviennent difficiles à cacher par la propagande. « Ils » ont pris un très gros risque, que leur rêve humide de censure aura du mal à mitiger. Leur nouveau mensonge « d’extinction massive » colle d’un peu trop près à leur programme. Entre pandémies, climat, famine et guerre, on commence aussi à voir ces mensonges pour ce qu’ils sont: des menaces de moins en moins voilées. Si, comme ils semblent le penser, la Terre n’est pas assez grande pour eux et pour nous, la question qu’ils se posent à notre sujet pourrait donc bientôt se retourner: qu’est-ce que nous allons bien pouvoir faire de ces (gros) mangeurs inutiles?

Source.


Forum Economique de Merde

Rien d’autre qu’un gouvernement mondialiste non élu qui émerge lentement des coulisses, impatient de faire main basse sur vos droits et de vous dire comment vivre. Vraiment… rien à voir ici.

Quoth the Raven

19 janvier

Parmi les nombreux trucs minables, vaseux et ignobles qui me donnent de plus en plus la nausée à mesure que les jours s’écoulent dans le sablier de ma vie, il y a le Forum Economique Mondial: un collectif d’élites mondiales bien-pensantes qui dispensent des vertus, des valeurs, des leçons, des conférences et des initiatives politiques à nous autres, les petites gens qui vivons de par le monde.

Le « Forum » commence de plus en plus à ressembler à un gouvernement mondialiste, composé de turbo-frappadingues non élus au niveau mondial, qui se sont discrètement regroupés en coulisses sans que personne ne le remarque.

Un moment, vous n’avez jamais entendu parler d’eux – saviez-vous que le FEM existe depuis environ cinq décennies? – l’instant d’après, le « Forum » exerce une influence incroyable, principalement auprès d’idiots bureaucratiques « utiles » de la gauche, trop heureux de recevoir, de la part de quiconque voudra bien les aider et quelle que soit sa motivation, des conseils sur la méthode à suivre pour napalmiser les droits individuels et faire avancer leurs programmes.

Le fondateur du FEM, Klaus Schwab, donnant ou recevant un « Global Citizen Award » à la con, dont aucune personne normale n’a jamais entendu parler et se fiche éperdument.

C’est exact: l’époque est révolue où je plaisantais sur le Grand Reset, sur le fait de ne rien posséder et d’aimer ça et sur le fait de passer à un régime de vers de farine et de grillons.

J’ai dépassé ce stade – j’en suis arrivé à éprouver un réel dégoût de voir des gens qui ne me représentent en aucune façon, ni moi ni les personnes de mon entourage, jacasser sur ce à quoi ressemblera ou ne ressemblera pas mon avenir et quelles choses que je défends sont « bonnes » ou « mauvaises ».

C’est dans la déclaration de mission du FEM:

Le Forum Economique Mondial est une organisation internationale indépendante qui s’engage à améliorer l’état du monde en engageant les entreprises, les politiques, les universitaires et les autres leaders de la société à façonner des programmes mondiaux, régionaux et industriels.

La vérité est que, autant ces invités narcissiques et probablement psychotiques aimeraient parler au nom de millions, voire de milliards de personnes, ils ne parlent en fait que pour eux.

Je n’attends pas de ces personnes qu’elles comprennent les conséquences de politiques à taille unique et je ne pense pas qu’elles s’en soucient. Prenons l’exemple des vaccins Covid. L’idée d’injecter chaque personne sur Terre, indépendamment de son âge, de son état de santé et de son mode de vie (sans même se poser la question de son consentement) n’est-elle pas d’une folle imprudence?

Bien sûr que si. Mais ça n’a pas d’importance – parce que quelqu’un voulait que ce soit fait… et donc, ce fut fait.

Source: NY Times

Dingue, non? Cette mise en œuvre unilatérale des obligations pendant le Covid, sans égard à la volonté de l’individu pour lui-même et pour sa famille, fut pour les crétins qui se réunissent chaque année au Forum Economique Mondial un pur régal autoritaire. Je suis certain que ça a amené de nombreux participants à penser: nous l’avons fait avec les vaccins – nous les avons empêchés de voyager, nous avons mis leur emploi et leurs moyens de subsistance en jeu et nous les avons même arrêtés et emprisonnés – nous pouvons désormais le faire avec n’importe quoi d’autre.

Je n’ai pas besoin d’être à Davos cette semaine pour comprendre que j’ai peu de choses en commun avec les membres du Forum Economique Mondial. Je le sais parce que j’étais récemment à Washington DC lors de la dernière branlette collective réunion mondiale du Fonds Monétaire International.

Ceux qui pensent que ces réunions rassemblent des personnes qui vivent comme eux et les représentent se trompent lourdement: je n’ai jamais vu autant de Rolex, de Bentley, de tenues à cent mille dollars et, surtout, de sécurité armée, que dans un rayon de dix pâtés de maisons autour du FMI cette semaine-là.

C’était un festival d' »ambassadeurs » mondiaux qui ressemblaient collectivement à un amalgame de tous les méchants corrompus qu’on peut voir dans les films de James Bond.

Gardant cela à l’esprit, jetons un coup d’œil aux idées remarquables que le Forum… a proposées cette année pour « façonner les programmes mondiaux, régionaux et industriels ».

Tout le monde sait que la peur est le meilleur moyen d’amener les gens à écouter et à faire ce qu’on leur dit (voir: vaccinations, Covid, Fauci et. al pgs. 1-∞). Ceci étant dit, le Forum s’est ouvert par un joyeux babil, avec notamment la proclamation que « nous sommes maintenant confrontés… à une extinction massive » et que « l’avenir de l’humanité est en danger. »

Putain de merde – pourquoi ne pas l’avoir dit plus tôt? Je ferais bien d’écouter les recommandations du FEM sur la manière de régler ce problème, parce que « extinction massive » ne figure nulle part dans mon agenda de 2023… et j’ai un rendez-vous à ne pas manquer chez le dentiste dans plusieurs semaines.

Un type qui a clairement bien lu le mémorandum sur la « peur » – et qui, à en juger par son emportement, avait en plus des aiguillons à bétail réglés à fond plantés dans le cul – c’est Al Gore.

L’homme qui avait prédit, à tort, que l’Arctique serait aujourd’hui complètement dépourvu de glace a profité du FEM pour faire sa meilleure imitation de Keith Olbermann [NdT. ex-présentateur démocrate des news – le lien renvoie vers une tirade grotesque et insultante envers les anti-vaxx] en hurlant à pleins poumons sans reprendre son souffle sur diverses questions sociales, telles que le changement climatique.

Al nous a également rappelé poliment que nous n’obéissons pas assez vite à son goût:

« Nous devons agir! Donc, pour répondre à votre question, je dirais qu’il nous faut éprouver un sentiment d’urgence beaucoup plus fort que celui que nous avons eu jusqu’à présent… et que nous devons avoir… et que nous devons faire des changements! »

Voici Al Gore qui parlait hier au FEM de Davos de la prochaine vague de « un milliard de réfugiés climatiques » qui causeront aux nations occidentales la « perte de leur capacité à s’auto-gouverner ». Il en parle comme d’un problème, comme si ce n’était pas exactement ce qu’attendent les mondialistes dans son genre.

« Nous continuons à y injecter 162 millions de tonnes [de gaz à effet de serre] chaque jour et la quantité accumulée piège maintenant autant de chaleur supplémentaire que celle qui serait libérée par 600 000 bombes atomiques de classe Hiroshima explosant chaque jour sur la Terre », a-t-il poursuivi. « C’est ce qui fait bouillir les océans, [NdT. il faudra donc annuler vos vacances à la mer] crée ces rivières atmosphériques, et les bombes de pluie, et aspire l’humidité de la terre, et crée les sécheresses, et fait fondre la glace et augmente le niveau de la mer, et cause ces vagues de réfugiés climatiques! »

Putain de merde… des bombes de pluie?! Pourquoi tu ne l’as pas dit plus tôt? Je ferais bien d’écouter les recommandations du FEM sur la manière exacte de résoudre cet autre problème.

Pendant ce temps, assis à côté d’Al, juste bien placé pour recevoir ses postillons pendant qu’il hurlait, se trouvait le président colombien Gustavo Francisco Petro Urrego. [NdT. pour l’anecdote, ils sont dans une merde noire en Colombie]

Gusto a creusé profondément la toile complexe de son esprit pour y trouver la suggestion, digne d’un jeu d’échecs 4D, que le capitalisme tel qu’il existe aujourd’hui condamnera irrévocablement l’humanité parce qu’il a créé le changement climatique.

Merde encore. Mais on est vraiment incapables de faire quoi que ce soit de bien?

Par conséquent, sa solution, toute en nuances, consiste à supprimer complètement le capitalisme et, pouf, le problème du réchauffement climatique disparaît avec lui. Son raisonnement est solide comme le roc:

« [Nous] parlons de politique et de discours politiquement corrects alors que nous savons que les statistiques signifient que nous atteignons un point de non-retour? », a-t-il déclaré. « Le capitalisme que nous connaissons aujourd’hui a une force motrice et une logique, qui est d’augmenter nos profits de cette manière, et c’est ainsi que nous parlons de l’histoire pour tout réglementer sans frontières politiques ou sociales. C’est celle que nous avons. Cela a donné lieu à une sorte d’anarchie mondiale. »

« Nous devons mettre un terme à cela si nous voulons vivre sur notre planète. Notre capitalisme peut-il le faire? D’après les données actuelles, nous ne pourrons pas le faire. Par conséquent, nous devrions peut-être mener la réflexion suivante: si le capitalisme en est incapable, soit l’humanité mourra avec lui, soit l’humanité vaincra le capitalisme pour que nous puissions vivre sur notre planète. »

Le président colombien Urrego au FEM: « Le capitalisme a engendré » le réchauffement climatique et notre situation « d’anarchie mondiale »
« L’humanité doit vaincre le capitalisme pour que nous puissions vivre sur notre planète » [NdT. avec de nombreuses fautes d’anglais, ce type est un analphabète à la Bourla]

Et puis bien sûr, sur la scène latérale […], il y avait un panel intitulé « Le danger manifeste et immédiat de la désinformation », ironiquement dirigé par un journaliste récemment licencié dont l’émission, aussi ironiquement appelée Reliable Sources [Sources fiables], a été, aussi ironiquement, virée de la télévision par câble pour, je suppose, avoir mortellement cumulé le fait d’avoir presque tout faux et celui d’être généralement nul à chier.

Ce journaliste, Brian Stelter, a interviewé la vice-présidente de la Commission Européenne, Věra Jourová, dont je vous garantis que vous n’avez jamais entendu parler avant de lire son nom aujourd’hui. Ce qui ne l’empêche pas de vous dire que votre liberté d’expression devrait non seulement vous être retirée, mais aussi constituer un délit lorsqu’elle est utilisée pour exprimer des opinions impopulaires.

Elle a dit à Stelter, le moniteur de désinformation: « Nous avons besoin des personnes qui comprennent la langue et la jurisprudence dans le pays, car ce qui est qualifié de discours de haine — un discours de haine illégal, que vous aurez bientôt aussi aux États-Unis… Je pense qu’il existe une raison solide pour que cela soit inscrit dans le droit pénal. »

Portez une attention particulière au regard brûlant d’inquiétude réelle sur le visage de Stelter.

Ce n’est pas nouveau, l’année dernière le thème était le même – « recalibrer » ce que vous pouvez et ne pouvez pas dire. Bien sûr, les directives de discours « approuvées » ne seront pas données par Dieu ni par la constitution de votre pays ou de votre État, mais par une douzaine de marxistes, désireux de suivre la ligne de l’initiative mondialiste par tous les moyens possibles. Après tout, ils sont désormais Dieu. Ils sont désormais la constitution.

Dans un prochain podcast avec Chris DeMuth Jr, je soulève l’idée que, quelle que soit leur idéologie ou leur politique, les gens en général en ont assez d’être involontairement assignés à participer à des causes sociales, quelles qu’elles soient.

Ce n’est pas parce que je travaille pour une certaine entreprise, que j’utilise certains produits ou que j’achète dans certains magasins que je m’aligne sur les politiques et les idéologies de ces personnes, de ces lieux et de ces choses – fin de l’histoire. C’est pourquoi je trouve offensant d’entrer dans un Whole Foods et de voir un panneau qui dit des conneries comme « La haine n’a pas sa place ici » accroché au-dessus de l’entrée principale.

Je suis socialement libéral et je veux que les gens vivent leur vie comme ils l’entendent sans empiéter sur les droits des autres. Je n’ai pas besoin d’un panneau dans une épicerie pour me le dire. En fait, c’est dégradant et insultant.

Dans le même ordre d’idées, je suis un citoyen du monde – mais je n’ai pas besoin d’un forum mondial pour parler en mon nom ou pour m’engager involontairement dans une cause idéologique ou de justice sociale qu’ils jugent importante. Ce qui est le mieux pour une personne n’est pas nécessairement le mieux pour une autre, et l’arrogance d’un « groupe d’êtres humains sélectionnés » qui pense pouvoir parler et agir pour tout le monde sous le prétexte fabriqué de « sauver la planète » et de faire ce qui est le mieux pour chacun révèle tout ce qu’il y a à savoir sur ces sociopathes.

Mais ne dites pas ça à John Kerry – il s’est presque consacré lui-même comme divinité extraterrestre. Ici, on croirait entendre un membre officiel de la Sea Org de Ron Hubbard.

John Kerry déclare que « nous, un groupe d’êtres humains sélectionnés » parlent de « sauver la planète » au FEM. « C’est quasiment extra-terrestre », a-t-il ajouté.

Et enfin, vous le savez déjà tous, leur hypocrisie est éblouissante.

Les mêmes personnes qui se plaignent du changement climatique s’y sont rendues en jet privé. Quand ils rentrent chez eux, ils conduisent des véhicules électriques remplis de métaux de batterie extraits par des enfants en Afrique. Ils portent des chaussures, des chemises et des pantalons fabriqués dans des ateliers clandestins. Ils utilisent des iPhones fabriqués par des ouvriers en Chine qui endurent des conditions de travail horribles. Ils utilisent des produits pétroliers tous les jours. Ils se plaignent des inégalités mais soutiennent la suppression des droits individuels, les monnaies numériques traçables, les scores de crédit social et un système bancaire central qui creuse systématiquement le fossé des inégalités.

L’aéroport privé à Davos est plein.
L’élite y parque ses jets privés, puis se rend au FEM en hélicoptère pour y discuter politique climatique.

Oui, les mêmes personnes qui prétendent travailler à l’amélioration de l’existence des Terriens vivent dans des couches sociales dont vous, moi et nos amis ne ferons jamais partie et dont nous ne voudrions jamais faire partie.

Parce que même si nous utilisons les mêmes iPhones et le même pétrole, nous ne nous plantons pas au milieu de la place en clamant à quel point nous sommes vertueux. Nous essayons de faire les choses que nous savons être justes dans nos coeurs, et nous savons que nous faisons du mieux que nous pouvons avec ce que nous avons. C’est un accomplissement suffisant pour beaucoup d’entre nous. Nous n’avons pas besoin de nous auto-consacrer.

En fin de compte, qu’est-ce que cela signifie? Cela signifie que si le Forum Economique Mondial est vraiment à la recherche d’idées nouvelles, novatrices et originales qui aideront les citoyens de la Terre, il devrait peut-être simplement essayer de nous foutre la paix, bordel.

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