Ce n’est pas un vaccin – par Catherine Austin Fitts.

Voici la traduction d’un article de Catherine Austin Fitts, de Solari Report, publié le 25 juin 2020 sur le site Children’s Health Defense, de Robert Kennedy, Jr.

Catherine Austin-Fitts était responsable financière du secteur immobilier dans l’administration Bush Jr. Son analyse est celle d’un ancien « insider« , extrêmement compétente et parfaitement informée sur le monde financier international. D’après Miles Mathis, elle est dans l’opposition contrôlée. C’est bien possible, mais en attendant je ne trouve aucune désinformation dans son article, et c’est ce qui m’intéresse.

C’est donc pour cette raison que j’ai pris le temps pour vous le livrer traduit. Mise à jour : depuis le 25 août, l’article est également disponible en français sur leur site. Ce n’est pas ma traduction. Je ne suis pas professionnel. La leur est sans doute meilleure. J’imagine qu’ils ont eu un ping depuis mon blog qui leur a indiqué que des francophones s’intéressaient à leur travail.

Une interview récente en complément de cet article. En anglais, faites-vous aider si nécessaire.


La duperie des injections – ce n’est pas un vaccin.

Je ne suis pas scientifique. Je ne suis pas médecin. Je ne suis pas ingénieur en biotechnologie. Je ne suis pas avocate. Cependant, je lis, j’écoute, j’apprécie et j’essaie de comprendre ceux qui le sont.

J’ai été banquière d’investissement jusqu’à ce que la politique rende impossible la pratique mon art. J’ai été formée en tant que stratège de portefeuille – donc je cartographie mon monde en surveillant les flux financiers et l’allocation des ressources. J’ai également reçu une formation de créatrice et de petit soldat du complot – le complot étant le principe fondamental de l’organisation de tout dans notre monde. Ce n’est que lorsque j’ai quitté l’establishment que j’ai découvert que ceux qui ne faisaient pas partie du club sont entraînés à déconsidérer et à éviter le sujet des conspirations – une astuce qui sabote leurs tentatives d’acquisition de pouvoir.

Dans mon état de guerre permanente contre les agences du gouvernement américain, ma riposte a été, pendant un certain temps, de répondre aux questions des personnes suffisamment courageuses et curieuses pour solliciter mon avis. Au fil des années, cette défense s’est ventilée en deux entreprises. La première était le Solari Report, qui continue de croître en tant que réseau mondial de renseignement – notre objectif est de nous aider mutuellement à comprendre les événements, à y naviguer et à y rechercher des solutions positives. L’autre était mon rôle de conseillère en placement aux particuliers et aux familles par le biais de Solari Investment Advisory Services. Au bout de dix ans, j’ai converti cette entreprise en un service de screening ESG (facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance). Ce que cherchent ceux qui l’utilisent n’est guère autrement disponible sur le marché – un screening qui tienne compte de ce qu’on sait de la corruption financière et politique. Le suivi des métastases de la corruption est un art, pas une science.

Lorsqu’on aide une famille à gérer ses finances, il est impératif de comprendre tous ses risques potentiels. Leur réussite financière dépend de l’atténuation efficace de tous les risques – financiers ou non – qu’ils rencontrent dans leur vie quotidienne. Les risques non-financiers peuvent avoir un impact majeur sur l’allocation des ressources familiales, en ce y compris les soins, le temps, les actifs et l’argent.

Bon nombre de mes clients et de leurs enfants se retrouvent anéantis et épuisés après avoir enduré les échecs et la corruption des services de santé – le catalyseur le plus courant de ces dégâts étant la mort et les lésions liés aux effets des vaccins. Après de longues et horribles confrontations avec l’establishment médical, ils se demandaient invariablement: «Si la corruption est si profonde dans les domaines de la médecine, de l’alimentation et de la santé, qu’en est-il dans le monde financier?» Refroidis par cette pensée, ils recherchaient un professionnel de la finance aguerri aux arcanes du gouvernement américain et à la corruption financière. Et ils me trouvaient.

Le résultat de ce afflux de personnes brillantes et éduquées, dotées des ressources nécessaires pour me payer mon temps, c’est que, pendant dix ans, j’en ai appris beaucoup sur les dommages et la mort infligés à nos enfants par ce que j’appelle maintenant «le grand empoisonnement ». J’ai eu l’occasion de chiffrer à maintes reprises les dommages humains pour toutes les personnes concernées – pas seulement pour les enfants touchés, mais pour leurs parents, frères et sœurs et générations futures – en cartographiant les coûts financiers des dommages causées par les vaccins, encore et encore et encore. Ces cas n’étaient pas aussi inhabituels qu’on pourrait l’imaginer. Des études indiquent que 54% des enfants américains souffrent d’une ou de plusieurs maladies chroniques [NdT. j’ai trouvé un site qui les recense]. Des médecins en qui j’ai confiance me disent que ce nombre est en fait beaucoup plus élevé, car de nombreux enfants et leurs familles ne peuvent pas se permettre les soins et les tests nécessaires pour diagnostiquer correctement ce qui les afflige.

L’une des mères présentées dans VAXXED – un documentaire incontournable pour tout citoyen éveillé, tout comme sa suite VAXXED II: La vérité du peuple [NdT. les deux sont ici en VOSTF] – a estimé qu’un enfant lourdement autiste coûte 5 millions de dollars au cours actuel à élever et à soigner tout au long de sa vie. Lorsque ceux de mes clients qui étaient grands-parents insistaient sur le fait qu’ils ne voulaient pas interférer pas avec les choix vaccinaux de leurs enfants parce que ce n’était «pas leurs affaires», je répondais : «Vraiment? Qui a les 5 millions de dollars? Vous, vos enfants? Lorsque vos enfants auront besoin de 5 millions de dollars pour élever leur enfant handicapé par la vaccination, allez-vous leur refuser? C’est vous le banquier et c’est votre argent qui est en jeu ici, c’est donc votre affaire. Voulez-vous dépenser ces 5 millions de dollars pour faire croître une famille forte au fil des générations ou pour gérer un enfant handicapé qui n’avait pas à être handicapé?» Souvent, ces 5 millions de dollars de dépenses se traduisent également par divorce, dépression et opportunités perdues pour les frères et sœurs.

Mes clients m’ont aidé à trouver les meilleures ressources – livres, documentaires, articles – sur les vaccins. Vous trouverez plusieurs d’entre eux en liens ou commentés sur Solari Report, y compris dans notre bibliothèque.

Pourquoi…

De toutes mes questions, celle sur laquelle j’ai passé le plus de temps en recherche et réflexion était de comprendre pourquoi. Pourquoi l’establishment médical a-t-il intentionnellement empoisonné des générations d’enfants? De nombreux auteurs après avoir fait des recherches et écrit sur les lésions et les décès dûs aux vaccins ont supposé qu’il s’agissait d’une aberration – le résultat de l’orthodoxie d’un établissement médical qui ne pouvait ni faire face, ni gérer ses erreurs et ses responsabilités. Cela m’a toujours paru insensé. Les écrits de Forrest Maready, de Jon Rappoport, du Dr Suzanne Humphries et d’Arthur Firstenberg m’ont aidé à comprendre le rôle des vaccins dans l’escroquerie qui consiste à faire économiser de l’argent aux compagnies d’assurance et aux personnes légalement responsables.

Voici un exemple de la façon dont s’opère la supercherie. Une toxine crée une maladie. La toxine peut être: des pesticides, une pollution industrielle ou le rayonnement d’une technologie sans fil. La toxine affecte des millions de personnes et leurs communautés. Les entreprises ou leur assureur peuvent être tenus responsables d’infractions civiles ou pénales. Ensuite, on accuse un virus. Un «remède» se trouve dans un «vaccin». L’exposition aux pesticides ou à d’autres substances toxiques est stoppée au moment de l’introduction du vaccin, et hop, la maladie disparaît. Le vaccin est présenté comme une réussite et l’inventeur comme un héros. Une catastrophe financière potentielle a été convertie en profit, y compris pour les investisseurs et les fonds de pension. En tant que stratège de portefeuille, j’admets que l’astuce est brillante et a probablement protégé le secteur de l’assurance contre les pertes en faillite qu’il subirait s’il devait indemniser équitablement les personnes et les familles détruites.

Grâce au travail de Robert Kennedy et Mary Holland de Children’s Health Defence, je comprends maintenant les énormes profits générés par les prétendus «vaccins» suite à l’adoption du National Childhood Vaccine Injury Act de 1986 et à la création du National Vaccine Injury Compensation Program – un mécanisme fédéral pour indemniser sans égard à la faute les lésions ou les décès liés aux vaccins par l’établissement d’une procédure de réclamation devant la Cour Fédérale des réclamations des États-Unis et d’autres commises à cet effet. Il suffit d’appeler un médicament ou un cocktail biotechnologique un «vaccin», et les entreprises pharmaceutiques et biotechnologiques sont exemptes de toute responsabilité – le contribuable paie. Malheureusement, ce système est devenu une invitation ouverte à gagner des milliards à partir des «produits injectables», en particulier là où les réglementations et les lois gouvernementales peuvent être utilisées pour créer un marché garanti par le biais d’obligations légales. Dès lors que les agences gouvernementales, les législateurs ainsi que les entreprises de media ont développé divers systèmes pour engranger des milliards de bénéfice, d’importants conflits d’intérêts sont apparus.

La Loi sur l’Etat de Préparation du Public et la Protection Civile (PREPA ou PREP Act) est entrée en vigueur en 2005, accordant en plus aux entreprises l’exemption de toute responsabilité. Cette Loi «est un bouclier controversé de responsabilité délictuelle destiné à protéger les fabricants de vaccins contre les risques financiers en cas d’urgence de santé publique déclarée. La loi accorde spécifiquement aux fabricants de médicaments l’immunité de responsabilité financière potentielle pour les essais cliniques de […] vaccin à la discrétion de la branche exécutive du gouvernement. PREPA renforce et consolide la surveillance des contentieux contre les laboratoires pharmaceutiques sous la responsabilité du Secrétaire d’Etat à la Santé et aux Services sociaux.» (~ Wikipédia)

L’ingénierie des épidémies

Au fil du temps, tout cela a évolué vers l’ingénierie des épidémies – la version médicale des attentats sous faux drapeau. En théorie, il peut s’agir de «psyops» ou d’événements fabriqués par guerre chimique, guerre biologique ou technologie sans fil. Si cela semble étrange, plongez-vous dans tous les écrits des «individus ciblés».

J’en ai fait l’expérience personnelle lorsque j’ai intenté un procès contre le Ministère de la Justice et que j’ai été victime de harcèlement physique important. J’ai essayé d’embaucher plusieurs sociétés de sécurité; ils vérifiaient mes références et refusaient ensuite le travail, disant que c’était trop dangereux. Le dernier a eu pitié de moi et m’a conseillé de ne pas m’inquiéter de l’armement électronique, me faisant savoir que mon principal problème serait la guerre biologique de faible intensité. Cet expert en guerre biologique a prédit que mon adversaire percerait des trous dans le mur de ma maison pour y injecter «l’ennemi invisible». Effectivement, c’est exactement ce qui s’est passé. J’ai vendu ma maison et j’ai quitté la ville. Ce voyage a été pour moi le début d’un long processus d’apprentissage de la manière dont l’empoisonnement et les armes non létales sont utilisés – quand il faut déplacer les gens des appartements à loyer contrôlé, rendre malade les personnes âgées pour les déplacer vers des logements plus chers subventionnés par le gouvernement, traquer des cibles politiques ou commerciales, affaiblir ou tuer des justiciables – la liste est longue. L’empoisonnement se révèle être une tactique beaucoup plus courante dans le jeu de la guerre politique et économique en Amérique que je ne l’avais compris auparavant.

Après la fin de mon litige, j’ai passé plusieurs années à me désintoxiquer des métaux lourds, y compris du plomb, de l’arsenic et de l’aluminium. En parcourant l’Amérique, j’ai réalisé que je n’étais pas la seule. Les Américains ressemblaient de plus en plus à un peuple aux prises avec des niveaux élevés d’intoxication aux métaux lourds. Durant le processus de réduction significative de mes niveaux inhabituellement élevés de métaux lourds, j’ai découvert comment cette charge toxique compromettait mes perspectives de vie, mon énergie et ma capacité à gérer des informations complexes.

Cela m’amène à la question de savoir ce qu’est exactement un vaccin et ce qu’il y a exactement dans les concoctions que l’on injecte aujourd’hui aux gens ainsi que dans les bouillons de sorcières actuellement en cours de développement.

Qu’est-ce qu’un vaccin exactement?

En 2017, des chercheurs italiens ont examiné les ingrédients de 44 types de prétendus «vaccins». Ils ont découvert des débris de métaux lourds et une contamination biologique dans chaque vaccin humain qu’ils ont testé. Les chercheurs ont déclaré : «La quantité de corps étrangers détectés et, dans certains cas, leurs compositions chimiques inhabituelles nous ont déconcertés.» Ils ont ensuite tiré la conclusion évidente, à savoir que, parce que les micro- et nanocontaminants n’étaient « ni biocompatibles ni biodégradables», ils étaient «biopersistants» et pouvaient provoquer des effets inflammatoires immédiats – ou différés.

Tissus fœtaux avortés, tissus animaux, aluminium, mercure, matériaux génétiquement modifiés – et quoi d’autre?

Quels que soient les ingrédients des vaccins à ce jour, rien n’est plus bizarre et inquiétant que ce qu’on propose d’y inclure à l’avenir. Ces stratégies – déjà bien financées et en bonne voie – comprennent la nanotechnologie d’interface cerveau-machine, les dispositifs de suivi d’identité numérique et des technologies à date d’expiration qui peuvent être gérées et désactivées à distance. Un rapport indique que le gouvernement danois et la Marine américaine ont payé une société de technologie au Danemark pour fabriquer une puce injectable compatible avec l’une des principales crypto-monnaies.

Je lisais récemment l’excellent article de Mary Holland en 2012 sur les décisions des tribunaux américains en matière de vaccins («Vaccination obligatoire, Constitution et obligation du vaccin contre l’hépatite B pour les nourrissons et les jeunes enfants», Yale Journal of Health Policy, Law, and Ethics), je suis restée figée et je me suis demandé, «Pourquoi appelons-nous les produits injectables dont Bill Gates et ses collègues font la promotion des «vaccins»? Sont-ils vraiment des vaccins?»

Le capitalisme de surveillance est en marche

La plupart des gens savent comment Bill Gates a amassé et conservé sa fortune. Il était propriétaire d’un système d’exploitation chargé dans votre ordinateur. La rumeur voulait que les agences de renseignement américaines y disposent d’une porte dérobée. L’explosion simultanée et soudaine des virus informatiques a alors rendu nécessaire la mise à jour régulière de votre système d’exploitation, permettant à Gates et à ses associés d’ajouter régulièrement ce qu’ils voulaient dans votre logiciel. Un de mes développeurs de logiciels les plus avertis m’a dit une fois dans les années 90 – lorsque Microsoft a vraiment pris son envol – «Microsoft fabrique des logiciels vraiment merdiques.» Mais bien sûr, leur logiciel était le cadet de leurs soucis. Leur activité consistait à accéder à toutes vos données et à les regrouper. Le capitalisme de surveillance était en marche.

Le Ministère de la Justice a lancé une action antitrust contre Microsoft en 1998, au moment même où les 21.000 milliards de dollars [NdT. voir mon article ici] commençaient à disparaître du gouvernement américain – sans doute à l’aide de logiciels et de systèmes informatiques spécialement conçus à cet effet. Au cours des négociations en règlement qui ont permis à Gates de garder sa fortune, il a lancé la Fondation Gates et sa nouvelle carrière de philanthrope. J’ai ri l’autre jour lorsque mon tweet d’un des articles de Robert Kennedy Jr. de Children’s Health Defence – décrivant la technologie horrible que Gates espère déployer grâce aux «injectables» – a inspiré cette réponse: «Eh bien, je suppose qu’il a enfin réglé sa part du règlement antitrust ».

Si vous regardez ce qui est créé et proposé en termes de produits injectables, il me semble que ces développements technologiques s’organisent autour de plusieurs objectifs potentiels.

Le premier objectif, et le plus important, est le remplacement du système de devise en dollars américains utilisé par la population générale par un système de transaction numérique qui pourra être combiné avec une identification et un suivi numériques. L’objectif est de mettre fin aux devises telles que nous les connaissons et de les remplacer par un système de carte de crédit embarqué qui pourra être intégré à diverses outils de contrôle, y compris potentiellement le contrôle mental. La «dé-dollarisation» menace le système de réserve mondiale du dollar. Les masses monétaires M1 et M2 ont affiché une croissance à deux chiffres au cours de la dernière année à la suite d’un nouveau cycle d’assouplissement quantitatif de la FED. La raison pour laquelle nous ne sommes pas entrés en hyperinflation est la chute spectaculaire de la vitesse de circulation de la monnaie occasionnée par une conversion du Covid-19 en un gel artificiel d’une importante partie de l’activité économique et la faillite de millions de petites et moyennes entreprises. Les gestionnaires du système dollar subissent une pression urgente pour utiliser les nouvelles technologies afin de centraliser les flux économiques et de préserver leur contrôle du système financier.

Tout comme Gates a installé un système d’exploitation dans nos ordinateurs, le nouveau projet est d’installer un système d’exploitation dans nos corps et d’utiliser des «virus» pour exiger une installation initiale suivie de mises à jour régulières.

Une attaque furtive légale

Maintenant, je comprends pourquoi Gates et ses collègues tiennent à appeler ces technologies des «vaccins». S’ils arrivent à persuader le corps politique que les cartes de crédit injectables ou les trackers de surveillance injectables ou les nanotechnologies injectables d’interface cerveau-machine sont des «vaccins», ils bénéficient de la protection d’un siècle et plus de décisions juridiques et de lois qui les aideront à imposer leur agenda. De plus, ils peuvent demander que les contribuables américains financent, par l’entremise du National Vaccine Injury Compensation Program, les dommages, dont ils seraient autrement responsables, causés par leurs expérimentations – ainsi que les violations du Code de Nuremberg et de nombreuses lois civiles et pénales – sur la population générale. Le système est assez astucieux. Une fois la population générale amenée à accepter que ces nouvelles préparations high-tech injectables soient appelées «vaccins», ils pourront les faire passer directement par le pipeline des vaccins. Plus besoin de s’inquiéter des malades et des morts qui résulteront de quelque chose d’aussi artificiel délivré aussi rapidement. L’absence de responsabilité garantie selon la loi PREP par la déclaration d’une urgence – et la capacité de maintenir l’urgence grâce au traçage des contacts – peut les protéger de la responsabilité de milliers, voire de millions de morts et de handicaps susceptibles de survenir d’une telle expérimentation humaine. Idéalement, ils peuvent simplement attribuer les décès à un virus.

Un collègue m’a expliqué un jour comment le dictionnaire Webster est né. Webster a déclaré que la façon dont les criminels changeraient la Constitution n’était pas en la modifiant mais en en changeant les définitions – une attaque furtive légale.

Je crois que Gates et les industries pharmaceutique et biotechnologique cherchent littéralement à créer une grille de contrôle mondiale en installant des composants d’interface numérique et en nous connectant au nouveau cloud JEDI de 10 milliards de dollars de Microsoft au Ministère de la Défense ainsi qu’au contrat de cloud de plusieurs milliards d’Amazon pour la CIA, partagé avec toutes les agences de renseignement américaines. Pourquoi pensez-vous que le président Trump a organisé l’armée pour le stockage des seringues pour les vaccins? C’est probablement parce que l’armée y installe le système d’exploitation itinérant pour l’intégration dans leur cloud. N’oubliez pas que le gagnant dans la course à la superpuissance de l’IA sera le système d’IA qui aura accès au plus grand volume de données. Accéder à votre corps et à mon corps 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, génère beaucoup de données. Si les Chinois le font, les Américains voudront le faire aussi. En réalité, le déploiement de «systèmes d’exploitation» humains peut être l’une des raisons pour lesquelles la concurrence autour des télécommunications Huawei et 5G est devenue si féroce. Comme Frank Clegg, ancien président de Microsoft Canada, nous en a averti, la 5G a été développée par les Israéliens pour le contrôle des foules.

Face à la «dé-dollarisation» mondiale, c’est ainsi que le syndicat du dollar peut affermir le contrôle central dont il a besoin pour maintenir et étendre sa puissance financière mondiale en tant que monnaie de réserve. Cela comprend la protection de ses dirigeants contre la responsabilité civile et pénale liée aux niveaux explosifs de fraude financière et médicale au cours des dernières décennies.

Ce qui me ramène à vous et moi. Pourquoi appelons-nous ces formulations des «vaccins»? Si je comprends l’histoire de la jurisprudence, les vaccins, en termes juridiques, sont des médicaments. L’intoxication intentionnelle aux métaux lourds n’est pas un médicament. Les composants de surveillance injectables ne sont pas des médicaments. Les cartes de crédit injectables ne sont pas des médicaments. Une interface cerveau-machine injectable n’est pas un médicament. L’immunité juridique et financière des compagnies d’assurance ne crée pas d’immunité humaine contre la maladie.

Nous devons cesser de permettre que ces concoctions soient désignées par un mot que les tribunaux et la population générale définissent et traitent comme des médicaments et exemptent de toute responsabilité juridique et financière.

Les auteurs de cette fraude emploient une astuce très habile – qui les aidera à aller beaucoup plus vite et à éliminer beaucoup de risques – à nos dépens. Je comprends pourquoi ils le font.

Ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi nous les aidons. Pourquoi acceptons-nous d’appeler ces préparations bizarres et profondément dangereuses des «vaccins»? Quoi qu’ils soient, ils ne sont pas des médicaments.

Alors, quelle sera notre convention de dénomination? Quel nom donnerons-nous aux poisons, aux métaux neurologiquement dommageables et à nos chaînes numériques?

Quelle que soit notre façon de les appeler, je sais une chose. CE NE SONT PAS DES MÉDICAMENTS, CE QUI SIGNIFIE QUE CE NE SONT PAS DES VACCINS.

Laisser un commentaire