Faillite économique
Nous assistons aujourd’hui à diverses faillites systémiques simultanées. La faillite économique, d’abord, à travers l’endettement en phase terminale qui advient de la destruction de la classe moyenne (petits commerces, petits entrepreneurs), seule garante de la santé économique nationale, elle-même articulée sur les conséquences de la faillite du système sanitaire, abordée dans le paragraphe suivant.
Les choix opérés dans la gestion de la crise sont significatifs. De l’aveu même des gouvernements qui les imposent (enfin, pas tous), les mesures de confinement, couvre-feu et autres auront, rien que dans les pays concernés – sans même parler des conséquences sur les pays pauvres – un effet délétère infiniment supérieur à leur bénéfice annoncé, en supposant qu’il en existe. On notera que les « erreurs » de réaction à la première vague sont répétées, en pire, à la deuxième. Le sursis entre mai et octobre n’a pas du tout été mis à profit, avec un acharnement suspect, afin qu’aucune remise en question du mode d’action ne puisse être considérée. Toujours pas de structure de prophylaxie efficace, aucune amélioration de la capacité des services d’urgences.
Faillite sanitaire
Je suppose qu’à ce stade, ça n’échappera plus à personne. Le détricotage des services d’urgence et de réanimation (à titre d’exemple, 5.000 lits en France pour une population de soixante sept millions) était la recette de la catastrophe. Le monde politique justifie le choix du confinement par une situation qu’il a lui-même créée : les services de réanimation – déjà, hors pandémie, débordés par la grippe annuelle – sont a fortiori incapables d’assumer une crise plus grave.
Historiquement, cette prise d’otages en mode sanitaire s’est mise en place en phases successives. Premièrement, ce sont les architectes des révolutions industrielles (un petit rappel des coûts humains ici) qui ont relégué les gens dans les villes, créant ainsi le « marché du travail », masse corvéable, parquée dans des structures loin de tout contact avec la nature. Or, c’est ce contact millénaire qui a maintenu la symbiose entre l’homme et le vivant et l’a équipé pour affronter les fluctuations de son environnement, parfois extrêmes, parfois au coût élevé en vies humaines, notamment les variations climatiques et les minimums solaires, dont nous vivons actuellement le pire depuis 1810 – sa fin est prévue pour 2021.
C’est sur ce terrain miné – et toxique – de l’urbanisation que naissent les doctrines, d’inspiration anglo-saxonne, telles que l’hygiénisme et la stérilité biologique et que peut ensuite s’accomplir l’industrialisation du système de santé. Les entreprises pharmaceutiques, relèguant le patrimoine des remèdes naturels au rang de folklore, prennent le rôle de pourvoyeurs de remèdes symptomatiques (et parallèlement de pesticides pour le secteur agro-alimentaire, industrialisé lui aussi), les médecins le rôle de distributeurs automatiques desdits remèdes en rupture avec la tradition de la médecine familiale, et les hôpitaux celui de succursales technologiques du système, le tout financé par l’argent public via les ponctions estampillées Sécurité sociale.
La faillite annoncée de cette dernière – prérequis à sa fin officielle – n’était pas inéluctable : c’est le lobbying des firmes pharmaceutiques, avec l’indulgence des « élus », qui a permis le remboursement de molécules essentiellement inutiles ou redondantes, systématiquement toxiques et vendues à prix d’or, au détriment de molécules simples, efficaces, connues, peu toxiques et presque gratuites (cf. l’hydroxychoroquine). On peut noter toutefois des initiatives qui visent à les réhabiliter. Le Pr Raoult en parle ici (en fin d’interview) et déplore que la France ne fasse pas partie de ce projet. On teste au CNRS des remèdes anciens contre le Covid – une vidéo en parle ici.
Le modèle en cours de réalisation pour l’après-crise, le Grand Reset, qui commence le 1er janvier 2021, nous infligera, sous couvert de sécurité sanitaire, exactement l’inverse de ce que nous dicte le simple bon sens, qui serait un retour à l’équilibre homme/nature. On nous fourgue les « villes intelligentes », paroxysme de l’urbanisation, et la « quatrième révolution industrielle » – pour l’intérêt exclusif de ceux qui nous ont déjà vendu les trois précédentes : le « nouveau normal », qui n’est qu’une incrémentation de la déconnexion du réel à travers l’imposition du virtuel, et toutes les possibilités de contrôle qu’il offre, dans tous les domaines.
Pour imposer ce modèle, il fallait faire de la place. C’est la raison d’êtres de ces faillites organisées, donc frauduleuses.
Origine du virus
Le remède étant pire que le mal, comme c’est à présent bien établi, reste la question de fond : d’où sort ce mal très opportun? Origine naturelle instrumentalisée ou création synthétique d’un outil de « régulation »?
En préambule, lisez cet article publié sur le site du CNRS, titré « La question de l’origine du SARS-CoV-2 se pose sérieusement« . Une interview de la généticienne Alexandra Henrion-Claude ici, qui en parle également.
J’ai été personnellement témoin du développement de la maladie chez des personnes proches. Pour les personnes « à risque » (mais pas que), elle est extrêmement sévère, pénible à la limite du supportable et laisse des séquelles, parfois très graves. Elle touche à peu près tout dans le corps humain. Son tableau clinique correspond exactement à ce qui est décrit par le Pr Raoult, notamment. C’est donc bien une maladie spécifique, et nouvelle. Vu la débauche d’informations contradictoires qui l’entourent, les sceptiques ont de quoi en douter. J’en étais. C’est une erreur. Majoritairement, les personnes qui l’ont vécue ne peuvent plus croire à son origine naturelle. Tout comme bon nombre de médecins.
Origine naturelle
Ça sera bref. Quasiment tout est expliqué dans l’article du CNRS dont lien ci-dessus : s’il y a eu transmission de l’animal à l’homme, on cherche toujours – là aussi – le chaînon manquant de la mutation du virus.
Origine synthétique
L’évènement 201 se tient quelques semaines avant le début officiel de l’épidémie – début dont on sait maintenant qu’il était très antérieur au « patient zéro » chinois (premier cas authentifié en mars 2019) et qu’il était géographiquement très disséminé – France, Etats-Unis… Cet « exercice » se tient donc simultanément à l’événement.
L’hydroxychloroquine est classée en France substance vénéneuse en janvier. Les masques sont interdits, puis non-disponibles, tout comme les tests. La plus grande confusion règne dans les communications officielles.
Le comptage des décès n’est pas fiable : comme on le sait maintenant, il est gonflé artificiellement par attribution d’incentive au corps médical. Pourquoi? Parallèlement, d’autres décès ou pathologies ne sont pas attribués au Covid alors qu’ils devraient l’être, puisqu’on ne connaît pas encore à ce moment l’étendue systémique de l’infection. Là aussi, la confusion règne.
Ensuite, il est question d’une deuxième vague avant même la fin de la première, par des gens qui ont l’air absolument sûrs de leur propos – notamment un certain Bill Gates. Mais comment peuvent-ils le savoir, alors que l’homme de terrain par excellence – le Pr Raoult – insiste bien sur le fait que ça n’arrive jamais?
A propos de Raoult, pourquoi un tel acharnement à discréditer et même interdire son traitement? Pourquoi aller jusqu’à sacrifier la crédibilité d’un organe comme le Lancet par la publication d’un faux grossier? Pourquoi des essais truqués, Discovery et autres? Pourquoi ne mise-t-on en France et ailleurs, sur base des données recueillies entre février et avril, ni sur une prophylaxie des sujets à risque, ni sur une politique de soins ambulatoires (il y a actuellement sur le marché du travail en France 178.000 infirmières diplômées occupées dans d’autres secteurs), ni sur l’amélioration de la structure d’accueil en profitant du sursis avant la deuxième vague promise. Du confinement, des masques, de la distanciation, point final.
La prétendue deuxième vague confirme l’analyse de Raoult : l’épidémie qui sévit actuellement n’est pas due à une mutation du SarsCov-2 mais à une variante, qui devrait donc être désigné SarsCov-3. C’est la quatrième à circuler en France et en Belgique. Elle vient d’Europe du Nord – la deuxième venait d’Italie, la troisième du Maghreb. Ou quelque chose comme ça, franchement j’arrive plus à compter – allez voir chez Raoult si vous vous y retrouvez mieux que moi. Donc quatre variantes (ou plus) à quelques semaines d’intervalle, sans immunité croisée. Phénomène inédit et pourtant annoncé?
Un caprice de Mère Nature ou la petite valise d’éprouvettes de l’Armée des Douze Singes?
On nous promet aussi que ce virus est là pour toujours – encore une fois, comment le savent-ils? Outre justification du « vaccin« , du « nouveau normal » et de son cortège de mesures orwelliennes, ce serait un moyen pratique d’introduire à long terme la politique eugéniste d’élimination des vieux, prônée par le porte-parole de l’oligarchie mondialiste, Jacques Attali, qui nous prévenait également que le gouvernement mondial – capitale à Jerusalem – adviendrait inéluctablement, soit par l’accord des peuples (lire « soumission »), soit après une guerre.
Ah bon, mais quel genre de guerre? Bactériologique?
Quelles sont les chances statistiques d’un tel enchaînement de coïncidences, qui pointent toutes dans la même direction?