Vaccins COVID-19 à base d’ARN et risque de maladie à prion – par le Dr J. Bart Classen.

Encore une article qui dit du mal de l’excellllllent vac… euh, enfin le truc qu’on injecte en ce moment aux naïfs de France et de Navarre. N’ayant pas la moindre idée de la validité scientifique de ce papier, je fais ce que font les profanes dans ce cas, je vais voir qui l’a écrit. C’est lui. Il a fondé une boîte qui évalue les vaccins et leurs effets secondaires. Le site de sa boîte est ici et il a écrit ça au Président Trump (c’est en anglais, évidemment). C’est pas piqué des hannetons. Franchement, faites l’effort de le traduire – éventuellement il y a GoogleTranslate qui fonctionne très bien.

Que « le vaccin [puisse] causer beaucoup plus de tort que d’avantages« , ça c’est fait. Faut pas être grand clerc pour le comprendre. Un recueil des chiffres des effets adverses et décès ici (chez Vernon Coleman). De toute manière, quand on voit que, vu que 1) les chiffres de la létalité du virus, mêmes bidouillés au-delà du raisonnable, sont insignifiants, 2) l’argument selon lequel les personnes non-vaccinées présenteraient un risque pour les personnes vaccinées est tellement débile et démontable en moins de dix secondes que la seule stratégie de communication qu’ils ont trouvée est de surtout ne jamais l’évoquer (d’autant que ça pourrait bien être exactement le contraire et même encore pire), et 3) la manoeuvre d’évincement des traitements et prévention (page que je devrais un peu mettre à jour) est parfaitement lisible – je dirais même transparente : d’une part l’absence de traitement approuvé est indispensable pour obtenir une autorisation d’urgence pour leur produit injectable, d’autre part les planificateurs de cette psyop en mode problème/réaction/solution comptent bien susciter par chaos mental un niveau de stress suffisant pour pousser à la démence (la réaction) qui faciliterait leur solution (le vaccin). J’en parle dans un article à publier.

Alors… vous lisez le truc, vous ne devenez pas dingues, et si nécessaire vous allez faire un tour dans la nature. Chez moi les hirondelles sont de retour, c’est tellement plus intéressant que toutes ces saloperies. Ou que de traîner dans les cafés, qui de toutes façons sont fermés.

Source. Attention, j’ai dû insister pour ouvrir la page, FireFox préfèrerait pas. Pour mon bien, évidemment.


Traduction

Article de Recherche

ISSN 2639-9458

Microbiologie et maladies infectieuses

Vaccins COVID-19 à base d’ARN et risque de maladie à prion

J. Bart Classen, MD*

Classen Immunotherapies, Inc., 3637 Rockdale Road, Manchester, MD 21102, E-mail: classen@vaccines.net.

*Correspondance: J. Bart Classen, MD, Classen Immunotherapies, Inc., 3637 Rockdale Road, Manchester, MD 21102, Tel: 410-377-8526.

Reçu: 27 Decembre 2020; Accepté: 18 Janvier 2021

Citation: Classen JB. COVID-19 RNA Based Vaccines and the Risk of Prion Disease. Microbiol Infect Dis. 2021; 5(1): 1-3.

ABSTRACT

Le développement de nouvelles technologies vaccinales a été en proie à maints problèmes par le passé. Les actuels vaccins anti-SRAS-CoV-2 à base d’ARN ont été approuvés aux États-Unis par autorisation d’utilisation d’urgence, sans tests approfondis de sécurité à long terme. Dans cet article, le vaccin Pfizer COVID-19 a été évalué par rapport au risque potentiel d’induire une maladie à prion chez les personnes vaccinés. La séquence d’ARN du vaccin ainsi que l’interaction cible de la protéine de pointe ont été analysées pour déterminer le potentiel de conversion des protéines de liaison à l’ARN intracellulaire, la protéine de liaison à l’ADN TAR (TDP-43) et « Fused in Sarcoma » (FUS) [NdT. j’ai pas la traduction exacte] vers leurs conformations de prions pathologiques. Les résultats indiquent que l’ARN du vaccin a des séquences spécifiques qui peuvent induire le repli du TDP-43 et du FUS dans leurs confirmations de prions pathologiques. Dans l’analyse actuelle, un total de seize répétitions en tandem UG (GΨG) ont été identifiés et des séquences riches en UG (ΨG) supplémentaires ont été identifiées. Deux séquences GGΨA ont été trouvées. Des séquences G Quadruplex potentielles sont peut-être présentes mais un programme informatique plus sophistiqué est nécessaire pour les vérifier. En outre, la protéine de pointe, créée par la traduction de l’ARN du vaccin, se lie à l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2), une enzyme contenant du zinc. Cette interaction a le potentiel d’augmenter le zinc intracellulaire. Il a été démontré que les ions de zinc provoquent la transformation du TDP-43 en sa configuration prion pathologique. Le repliement du TDP-43 et du FUS dans leurs confirmations de prions pathologiques est connu pour provoquer la SLA [NdT. sclérose latérale amyotrophique], la dégénérescence lobaire frontotemporale avant, la maladie d’Alzheimer et d’autres maladies dégénératives neurologiques. La découverte ci-jointe ainsi que les risques potentiels supplémentaires amènent l’auteur à croire que l’approbation réglementaire des vaccins à base d’ARN pour le SRAS-CoV-2 était prématurée et que le vaccin pourrait causer beaucoup plus de tort que d’avantages.

Mots clés

COVID-19, vaccins, diabète, immunité.

Introduction

Les vaccins sont à l’origine d’une multitude d’événements indésirables chroniques à développement tardif. Certains événements indésirables comme le diabète de type 1 peuvent ne pas survenir avant un délai de 3 à 4 ans après l’administration d’un vaccin [1]. Dans l’exemple du diabète de type 1, la fréquence des cas d’événements indésirables peut dépasser la fréquence des cas de maladies infectieuses graves que le vaccin a été conçu pour prévenir. Étant donné que le diabète de type 1 n’est qu’une des nombreuses maladies à médiation immunitaire potentiellement causées par les vaccins, les événements indésirables chroniques tardifs sont un grave problème de santé publique. Par exemple, le premier vaccin antipoliomyélitique atténué a en fait causé la polio chez les receveurs parce que le processus de fabrication à plus grande échelle n’a pas tué efficacement le virus de la polio avant qu’il ne soit injecté aux patients. Les vaccins à base d’ARN présentent des risques particuliers d’induire des événements indésirables spécifiques. Un tel événement indésirable potentiel est les maladies à base de prions provoquées par l’activation de protéines intrinsèques pour former des prions. Une mine de connaissances a été publiée sur une classe de protéines de liaison à l’ARN dont il a été démontré qu’elles contribuent à provoquer un certain nombre de maladies neurologiques, notamment la maladie d’Alzheimer et la SLA. Les TDP-43 et FUS sont parmi les mieux étudiés de ces protéines [2].

Le vaccin COVID-19 à base d’ARN de Pfizer a été approuvé par la FDA américaine en vertu d’une autorisation d’utilisation d’urgence sans données sur sa sécurité à long terme. En raison de préoccupations concernant la sécurité de ce vaccin, une étude a été réalisée pour déterminer si le vaccin pouvait potentiellement induire une maladie à prion.

Méthodes

Le vaccin à base d’ARN de Pfizer contre le COVID-19 a été évalué pour déterminer le potentiel de conversion du TDP-43 et/ou du FUS vers leurs états pathogènes à base de prions. L’ARN du vaccin a été analysé pour la présence de séquences susceptibles d’activer les TDP-43 et FUS. L’interaction de la protéine de pointe transcrite avec sa cible a été analysée pour déterminer si cette action pouvait également activer les TDP-43 et FUS.

Résultats

L’analyse du vaccin Pfizer contre le COVID-19 a identifié deux facteurs de risque potentiels d’induction de la maladie à prion chez l’homme. La séquence d’ARN dans le vaccin [3] contient des séquences censées induire l’agrégation du TDP-43 et du FUS dans leur conformation en prions conduisant au développement de maladies neurodégératives courantes. En particulier, il a été montré que les séquences ARN GGUA [4], les séquences riches en UG [5], les répétitions en tandem UG [6] et les séquences G Quadruplex [7], ont une affinité accrue pour se lier au TDP-43 et/ou FUS et peuvent induire la conformation pathologique de TDP-43 ou FUS dans le cytoplasme. Dans l’analyse actuelle, un total de seize répétitions en tandem UG (GΨG) ont été identifiés et des séquences riches en UG (ΨG) supplémentaires ont été identifiées. Deux séquences GGΨA ont été trouvées. Des séquences G quadruplex sont peut-être présentes, mais des programmes informatiques sophistiqués sont nécessaires pour les vérifier. La protéine de pointe codée par le vaccin se lie à l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2), une enzyme qui contient des molécules de zinc [8]. La liaison de la protéine de pointe à ACE2 a le potentiel de libérer la molécule de zinc, un ion qui amène le TDP-43 à assumer sa transformation de prion pathologique [9].

Discussion

Il existe un vieil adage en médecine selon lequel «le remède peut être pire que le mal». Cette phrase peut être appliquée aux vaccins. Dans cet article est formulée l’inquiétude de voir les vaccins COVID à base d’ARN avoir le potentiel de provoquer plus de maladies que l’épidémie de COVID-19. Cet article se concentre sur un nouveau mécanisme potentiel d’événements indésirables provoquant une maladie à prion qui pourrait être encore plus courante et débilitante que l’infection virale que le vaccin est conçu pour prévenir. Bien que cet article se concentre sur un événement indésirable potentiel, il existe plusieurs autres événements indésirables mortels potentiels, comme indiqué ci-dessous. Au cours des deux dernières décennies, certains scientifiques se sont inquiétés du fait que les prions pourraient être utilisés comme armes biologiques. Plus récemment, on a craint que des molécules intracellulaires omniprésentes puissent être activées pour provoquer une maladie à prion, y compris la maladie d’Alzheimer, la SLA et d’autres maladies neurodégénératives. Cette préoccupation est due au potentiel d’utilisation abusive des données de recherche sur les mécanismes par lesquels certaines protéines de liaison à l’ARN comme le TDP-43, le FUS et d’autres peuvent être activées pour former des prions pathogènes. Le fait que cette recherche, qui pourrait être utilisée pour le développement d’armes biologiques, soit financée par des organisations privées telles que la Fondation Bill et Melinda Gates et Ellison Medical Foundation [2] sans contrôle national/international est également préoccupant. Par le passé, par exemple, il était interdit de publier des informations relatives à la construction de bombes nucléaires.

Les données publiées ont montré qu’il existe plusieurs facteurs différents qui peuvent contribuer à la conversion de certaines protéines de liaison à l’ARN, notamment le TDP-43, le FUS et les molécules apparentées, à leurs états pathologiques. Ces protéines de liaison à l’ARN ont de nombreuses fonctions et se trouvent à la fois dans le noyau et dans le cytoplasme. Ces protéines de liaison ont des régions d’acides aminés, des motifs de liaison qui se lient à des séquences d’ARN spécifiques. On pense que la liaison à certaines séquences d’ARN lorsque les protéines sont dans le cytoplasme provoque le repli des molécules de manières définies conduisant à une agrégation pathologique et à la formation de prions dans le cytoplasme [2]. L’analyse actuelle indique que le vaccin COVID-19 à base d’ARN de Pfizer contient un grand nombre de ces séquences d’ARN qui se sont révélées avoir une forte affinité pour le TDP-43 ou le FUS et ont le potentiel d’induire des maladies neurologiques dégénératives chroniques.

Le TDP-43 est un autre mécanisme conduisant à la formation d’agrégations de type amyloïde [9]. La protéine de pointe virale, codée par la séquence d’ARN du vaccin, lie ACE2, une enzyme contenant des molécules de zinc [8]. Cette interaction a le potentiel d’augmenter les niveaux de zinc intracellulaire conduisant à une maladie à prions. La liaison initiale pourrait être entre les protéines de pointe à la surface de la cellule transfectée par le vaccin et ACE2 à la surface d’une cellule adjacente. Le complexe résultant peut devenir intériorisé. Une variante de l’interaction pourrait initialement avoir lieu dans le cytoplasme d’une cellule qui produit l’ACE2 et qui a été transfectée avec l’ARN du vaccin codant pour la protéine de pointe. L’interaction est assez préoccupante si on considère l’hypothèse que le virus responsable du COVID-19, le SRAS-CoV-2, est une arme biologique [10,11] et il est possible que la protéine de pointe virale ait été conçue pour provoquer une maladie à prions.

Une autre préoccupation connexe est que le vaccin Pfizer utilise un ARN nucléoside unique 1-méthyl-3′-pseudouridylyle (Ψ). Selon les documents d’information de la FDA, ce nucléoside a été choisi pour réduire l’activation du système immunitaire inné [12]. Les molécules d’ARN contenant ce nucléoside auront sans aucun doute une liaison altérée [13]. Malheureusement, l’effet sur le TDP-43, le FUS et d’autres protéines de liaison à l’ARN n’est pas publié. L’utilisation de ce nucléoside dans un vaccin peut potentiellement améliorer l’affinité de liaison des séquences d’ARN capables d’amener les TDP-43 et FUS à prendre des configurations toxiques.

Il existe de nombreux autres événements indésirables potentiels qui peuvent être induits par les nouveaux vaccins à base d’ARN contre le COVID-19. Le vaccin place une nouvelle molécule, la protéine de pointe, dans/sur la surface des cellules hôtes. Cette protéine de pointe est un récepteur potentiel pour un autre agent infectieux potentiellement nouveau. Si ceux qui soutiennent que le COVID-19 est en fait une arme biologique ont raison, alors un deuxième virus potentiellement plus dangereux peut être libéré qui se liera à la protéine de pointe présente sur les cellules hôtes des personnes vaccinées. Les données ne sont pas publiquement accessibles concernant la durée pendant laquelle l’ARN du vaccin est traduit chez le receveur du vaccin ni concernant pendant quelle durée après la traduction la protéine de pointe sera présente dans les cellules du receveur. De telles études relatives à l’expression in vivo seront complexes et intéressantes. La diversité génétique protège les espèces des pertes massives causées par les agents infectieux. Un individu peut être tué par un virus tandis qu’un autre peut ne subir aucun effet nocif du même virus. En plaçant le même récepteur, la protéine de pointe, sur les cellules de tous dans une population, la diversité génétique d’au moins un récepteur potentiel disparaît. Tous les individus d’une population deviennent maintenant potentiellement susceptible de se lier avec le même agent infectieux.

L’auto-immunité et la condition opposée, le syndrome métabolique, sont des événements indésirables bien connus causés par les vaccins [14]. Les infections au COVID-19 sont associées à l’induction d’auto-anticorps et de maladies auto-immunes [15,16], ce qui fait qu’il est plus que plausible qu’un vaccin puisse faire de même. Un auteur a trouvé que les séquences d’acides aminés codées par la protéine de pointe sont identiques aux séquences de protéines humaines, y compris les protéines présentes dans le SNC [système nerveux central] [17]. L’auto-immunité peut également être induite par la propagation d’épitope lorsqu’un antigène étranger, comme la protéine de pointe, est présenté par une cellule présentant l’antigène qui a également des molécules auto attachées à ses molécules du CMH [complexe majeur d’histocompatibilité].

Enfin, d’autres personnes travaillant dans le domaine ont publié une autre thèse soutenant que les vaccins COVID-19 pourraient potentiellement induire une maladie à prion. Les auteurs [18] ont trouvé des séquences liées au prion dans la protéine de pointe COVID-19 qui n’ont pas été trouvées dans les coronavirus apparentés. D’autres [19] ont rapporté un cas de maladie à prions, la maladie de Creutzfeldt-Jakob, survenant initialement chez un homme atteint de COVID-19.

Beaucoup ont émis l’avertissement que l’épidémie actuelle de COVID-19 est en fait le résultat d’une attaque à l’arme biologique lancée en partie par des individus au sein du gouvernement des États-Unis [10,11]. Une telle théorie n’est pas exagérée étant donné que l’attaque à l’anthrax de 2001 aux États-Unis a commencé à Fort Detrick, une installation d’armes biologiques de l’armée américaine. Étant donné que l’enquête sur l’anthrax du FBI a été cloturée contre l’avis de l’agent principal du FBI en charge de l’affaire, il est probable que des conspirateurs travaillent encore au gouvernement américain. Dans un tel scénario, l’objectif principal de l’arrêt d’une attaque à l’arme biologique doit être d’appréhender les conspirateurs, sinon les attaques ne cesseront jamais. L’approbation d’un vaccin, en utilisant une nouvelle technologie d’ARN sans tests approfondis, est extrêmement dangereuse. Le vaccin pourrait être une arme biologique et se révéler encore plus dangereuse que l’infection d’origine.


Texte original

Research Article

ISSN 2639-9458

Microbiology & Infectious Diseases

COVID-19 RNA Based Vaccines and the Risk of Prion Disease

J. Bart Classen, MD*

Classen Immunotherapies, Inc., 3637 Rockdale Road, Manchester, MD 21102, E-mail: classen@vaccines.net.

*Correspondence: J. Bart Classen, MD, Classen Immunotherapies, Inc., 3637 Rockdale Road, Manchester, MD 21102, Tel: 410-377-8526.

Received:27 December 2020; Accepted: 18 January 2021

Citation: Classen JB. COVID-19 RNA Based Vaccines and the Risk of Prion Disease. Microbiol Infect Dis. 2021; 5(1): 1-3.

ABSTRACT

Development of new vaccine technology has been plagued with problems in the past. The current RNA based SARS-CoV-2 vaccines were approved in the US using an emergency order without extensive long term safety testing. In this paper the Pfizer COVID-19 vaccine was evaluated for the potential to induce prion-based disease in vaccine recipients. The RNA sequence of the vaccine as well as the spike protein target interaction were analyzed for the potential to convert intracellular RNA binding proteins TAR DNA binding protein (TDP-43) and Fused in Sarcoma (FUS) into their pathologic prion conformations. The results indicate that the vaccine RNA has specific sequences that may induce TDP-43 and FUS to fold into their pathologic prion confirmations. In the current analysis a total of sixteen UG tandem repeats (ΨGΨG) were identified and additional UG (ΨG) rich sequences were identified. Two GGΨA sequences were found. Potential G Quadruplex sequences are possibly present but a more sophisticated computer program is needed to verify these. Furthermore, the spike protein, created by the translation of the vaccine RNA, binds angiotensin converting enzyme 2 (ACE2), a zinc containing enzyme. This interaction has the potential to increase intracellular zinc. Zinc ions have been shown to cause the transformation of TDP-43 to its pathologic prion configuration. The folding of TDP-43 and FUS into their pathologic prion confirmations is known to cause ALS, front temporal lobar degeneration, Alzheimer’s disease and other neurological degenerative diseases. The enclosed finding as well as additional potential risks leads the author to believe that regulatory approval of the RNA based vaccines for SARS-CoV-2 was premature and that the vaccine may cause much more harm than benefit.

Keywords

COVID-19, Vaccines, Diabetes, Immunity.

Introduction

Vaccines have been found to cause a host of chronic, late developing adverse events. Some adverse events like type 1 diabetes may not occur until 3-4 years after a vaccine is administered [1]. In the example of type 1 diabetes the frequency of cases of adverse events may surpass the frequency of cases of severe infectious disease the vaccine was designed to prevent. Given that type 1 diabetes is only one of many immune mediated diseases potentially caused by vaccines, chronic late occurring adverse events are a serious public health issue.

The advent of new vaccine technology creates new potential mechanisms of vaccine adverse events. For example, the first killed polio vaccine actually caused polio in recipients because the up scaled manufacturing process did not effectively kill the polio virus before it was injected into patients. RNA based vaccines offers special risks of inducing specific adverse events. One such potential adverse event is prion based diseases caused by activation of intrinsic proteins to form prions. A wealth of knowledge has been published on a class of RNA binding proteins shown to participating in causing a number of neurological diseases including Alzheimer’s disease and ALS. TDP-43 and FUS are among the best studied of these proteins [2].

The Pfizer RNA based COVID-19 vaccine was approved by the US FDA under an emergency use authorization without long term safety data. Because of concerns about the safety of this vaccine a study was performed to determine if the vaccine could potentially induce prion based disease.

Methods

Pfizer’s RNA based vaccine against COVID-19 was evaluated for the potential to convert TDP-43 and or FUS to their prion based disease causing states. The vaccine RNA was analyzed for the presence of sequences that can activate TDP-43 and FUS. The interaction of the transcribed spike protein with its target was analyzed to determine if this action could also activate TDP-43 and FUS.

Results

Analysis of the Pfizer vaccine against COVID-19 identified two potential risk factors for inducing prion disease is humans. The RNA sequence in the vaccine [3] contains sequences believed to induce TDP-43 and FUS to aggregate in their prion based conformation leading to the development of common neurodegerative diseases. In particular it has been shown that RNA sequences GGUA [4], UG rich sequences [5], UG tandem repeats [6], and G Quadruplex sequences [7], have increased affinity to bind TDP-43 and or FUS and may cause TDP-43 or FUS to take their pathologic configurations in the cytoplasm. In the current analysis a total of sixteen UG tandem repeats (ΨGΨG) were identified and additional UG (ΨG) rich sequences were identified. Two GGΨA sequences were found. G Quadruplex sequences are possibly present but sophisticated computer programs are needed to verify these.

The spike protein encoded by the vaccine binds angiotensin converting enzyme 2 (ACE2), an enzyme which contains zinc molecules [8]. The binding of spike protein to ACE2 has the potential to release the zinc molecule, an ion that causes TDP-43 to assume its pathologic prion transformation [9]

Discussion

There is an old saying in medicine that “the cure may be worse than the disease.” The phrase can be applied to vaccines. In the current paper the concern is raised that the RNA based COVID vaccines have the potential to cause more disease than the epidemic of COVID-19. This paper focuses on a novel potential adverse event mechanism causing prion disease which could be even more common and debilitating than the viral infection the vaccine is designed to prevent. While this paper focuses on one potential adverse event there are multiple other potential fatal adverse events as discussed below.

Over the last two decades there has been a concern among certain scientists that prions could be used as bioweapons. More recently there has been a concern that ubiquitous intracellular molecules could be activated to cause prion disease including Alzheimer’s disease, ALS and other neurodegenerative diseases. This concern originates due to potential for misuse of research data on the mechanisms by which certain RNA binding proteins like TDP-43, FUS and others can be activated to form disease causing prions. The fact that this research, which could be used for bioweapons development, is funded by private organizations including the Bill and Melinda Gates Foundation, and Ellison Medical Foundation [2] without national/international oversight is also a concern. In the past, for example, there were prohibitions for publishing information pertaining to construction of nuclear bombs.

Published data has shown that there are several different factors that can contribute to the conversion of certain RNA binding proteins including TDP-43, FUS and related molecules to their pathologic states. These RNA binding proteins have many functions and are found in both the nucleus and the cytoplasm. These binding proteins have amino acid regions, binding motifs that bind specific RNA sequences. Binding to certain RNA sequences when the proteins are in the cytoplasm is believed to causes the molecules to fold in certain ways leading to pathologic aggregation and prion formation in the cytoplasm [2]. The current analysis indicates Pfizer’s RNA based COVID-19 vaccine contains many of these RNA sequences that have been shown to have high affinity for TDP-43 or FUS and have the potential to induce chronic degenerative neurological diseases.

Zinc binding to the RNA recognition motif of TDP-43 is another mechanism leading to formation of amyloid like aggregations [9]. The viral spike protein, coded by the vaccine RNA sequence, binds ACE2 an enzyme containing zinc molecules [8]. This interaction has the potential to increase intracellular zinc levels leading to prion disease. The initial binding could be between spike proteins on the surface of the cell transfected by the vaccine and ACE2 on the surface of an adjacent cell. The resulting complex may become internalized. Alternatively, the interaction could initially take place in the cytoplasm of a cell that makes ACE2 and has been transfected with the vaccine RNA coding for the spike protein. The interaction is quite concerning given the belief that the virus causing COVID-19, SARS-CoV-2, is a bioweapon [10,11] and it is possible that the viral spike protein may have been designed to cause prion disease.

Another related concern is that the Pfizer vaccine uses a unique RNA nucleoside 1-methyl-3′-pseudouridylyl (Ψ). According to FDA briefing documents, this nucleoside was chosen to reduce activation of the innate immune system [12]. RNA molecules containing this nucleoside will undoubtedly have altered binding [13]. Unfortunately, the effect on TDP-43, FUS and other RNA binding proteins is not published. The use of this nucleoside in a vaccine can potentially enhance the binding affinity of RNA sequences capable of causing TDP-43 and FUS to assume toxic configurations.

There are many other potential adverse events that can be induced by the novel RNA based vaccines against COVID-19. The vaccine places a novel molecule, spike protein, in/on the surface of host cells. This spike protein is a potential receptor for another possibly novel infectious agent. If those who argue that the COVID-19 is actually a bioweapon are correct, then a second potentially more dangerous virus may be released that binds spike protein found on the host cells of vaccine recipients. Data is not publicly available to provide information on how long the vaccine RNA is translated in the vaccine recipient and how long after translation the spike protein will be present in the recipient’s cells. Such studies pertaining to in vivo expression will be complex and challenging. Genetic diversity protects species from mass casualties caused by infectious agents. One individual may be killed by a virus while Volume 5 | Issue 1 | 3 of 3Microbiol Infect Dis, 2021another may have no ill effects from the same virus. By placing the identical receptor, the spike protein, on cells of everyone in a population, the genetic diversity for at least one potential receptor disappears. Everyone in the population now becomes potentially susceptible to binding with the same infectious agent.

Autoimmunity and the opposing condition, metabolic syndrome, are well know adverse events caused by vaccines [14]. COVID-19 infections are associated with the induction of autoantibodies and autoimmune disease [15,16] making it more than plausible a vaccine could do the same. One author has found amino acid sequences coded by the spike protein to be identical to sequences in human proteins including proteins found in the CNS [17]. Autoimmunity can also be induced by epitope spreading when a foreign antigen, like the spike protein, is presented by an antigen presenting cell that also has self molecules attached to its MHC molecules.

Finally, others working in the field have published additional support that COVID-19 vaccines could potentially induce prion disease. Authors [18] found prion related sequences in the COVID-19 spike protein which were not found in related coronaviruses. Others [19] have reported a case of prion disease, Creutzfeldt-Jakob disease, initially occurring in a man with COVID-19.

Many have raised the warning that the current epidemic of COVID-19 is actually the result of an bioweapons attack released in part by individuals in the United States government [10,11]. Such a theory is not far fetched given that the 2001 anthrax attack in the US originated at Fort Detrick, a US army bioweapon facility. Because the FBI’s anthrax investigation was closed against the advice of the lead FBI agent in the case, there are likely conspirators still working in the US government. In such a scenario the primary focus of stopping a bioweapons attack must be to apprehend the conspirators or the attacks will never cease. Approving a vaccine, utilizing novel RNA technology without extensive testing is extremely dangerous. The vaccine could be a bioweapon and even more dangerous than the original infection.

References

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