Le chemin à parcourir – par Elliott Freed.

Elliott Freed me devance avec cet article paru ce matin. Je le traduis et le publie, et je complèterai avec le mien un peu plus tard.

Source.


Traduction

Le chemin à parcourir

Où allons-nous maintenant?

Elliott Freed

3 avril

Ce papier est plus personnel que la majorité de ceux que j’ai partagés sur substack. Je me livre à un peu d’introspection. Je me pose des questions à propos de ce qui se passe dans le monde, de mon rapport avec celui-ci, de ce que je peux faire pour y remédier et des limites de ma capacité d’action.

C’est en 2005 que j’ai pris conscience des problèmes liés aux vaccins. J’ai travaillé brièvement avec deux médecins qui soignaient des enfants autistes. Ils m’ont raconté que tous leurs patients partageaient la même histoire. Leur autisme était causé par les vaccins. À cette époque, un collègue m’a donné un exemplaire du livre « The Sanctity of Human Blood » [Le caractère sacré du sang humain] du Dr Tim O’Shea. Une version actualisée a depuis été publiée sous le nouveau nom de « Vaccination Is Not Immunization » [La vaccination n’est pas l’immunisation]. Le bon docteur couvre les éléments de base que connaissent toutes les personnes familiarisées avec les vaccins, réfutant le mensonge selon lequel les vaccins sont sûrs ou efficaces. À l’époque, je ne m’occupais pas des vaccins, mais c’était une bonne chose d’être au courant.

En 2008, j’étudiais le droit commercial international avec un groupe d’étude. Il était de notoriété publique au sein de ce groupe, et dans les cercles qu’il fréquentait, qu’un projet pour vacciner de force tous les habitants de la planète était en préparation.

Après avoir étudié la génétique et la biologie du développement humain à l’université au début des années 90, et les limites de l’approvisionnement en pétrole en 2004-5, j’ai additionné deux et deux et deux et deux et obtenu six. Le système financier avait besoin de nouvelles régions à coloniser. La planète entière était déjà conquis. Tout le pétrole était déjà conquis. Que restait-il? Quelle était la grande classe d’actifs suivante qui pourrait soutenir un système financier qui non seulement nécessitait une expansion constante, mais était également devenu le vecteur de toutes nos vies et de toute notre subsistance, et même de notre sens et de nos objectifs personnels. Les deux seules options envisageables étaient l’espace et le génome. Évidemment, après avoir investi des trillions de dollars dans la recherche génétique au cours des quarante dernières années, ils veulent maintenant en tirer profit. Ils veulent un retour sur cet investissement.

En 2015, je suis me suis retrouvé à écrire sur les vaccins sans l’avoir prévu. J’avais du temps libre, ça me semblait important à l’époque, et j’avais des connaissances dans ce domaine. J’ai consacré une grande partie de cette année à des recherches sur le sujet et à partager mes découvertes sur face book. J’ai ainsi acquis des milliers d' »amis » sur Face Book. Les gens voulaient connaître la vérité. Ce n’est pas si compliqué, ni même si secret ou si difficile à trouver, dès lors que l’on sait qu’il faut se donner la peine de chercher.

Vers la fin de l’année, j’ai réalisé que j’avais acquis suffisamment de connaissances pour écrire un petit livre qui résumerait la question. Il existait déjà de nombreux ouvrages de qualité sur le sujet, et la lecture de n’importe lequel d’entre eux devrait suffire à dissuader à jamais toute personne intelligente de recourir aux vaccins. Ils n’ont jamais empêché, et encore moins éradiqué, aucune maladie et ils sont très dangereux. Leur concept a été réfuté à maintes reprises. Mais j’ai constaté une carence sur le marché. Aussi excellents que soient ces livres, ils étaient souvent longs, denses et chargés d’informations. Pour les aborder, il fallait une connaissance approfondie du sujet et un réel désir d’apprendre. Je voulais donc proposer un ouvrage d’initiation. Un livre court et succinct qui pourrait encadrer la discussion de manière à la rendre plus accessible aux personnes vaguement curieuses, mais pas encore disposées à investir des heures et des heures pendant des mois et des années pour découvrir la vérité. C’est ce que j’ai fait en écrivant un petit livre, que j’ai publié en janvier 2016.

J’ai passé les quelques années suivantes à promouvoir ce livre et à continuer mes recherches plus approfondies sur la question, en partageant mes découvertes et mes réflexions sur face book. En 2019, je me demandais quelle serait la prochaine étape et j’ai décidé d’étudier les blessures causées par les vaccins, leur nature et les moyens d’y remédier. Beaucoup de choses ont déjà été faites dans ce domaine, et chaque jour, de plus en plus de personnes se mettent à la recherche de ces informations. J’avais l’espoir de les rassembler et de les présenter de manière à les rendre accessibles aux personnes dont les enfants avaient été récemment blessés et qui cherchent des explications et des conseils. Comme j’ai passé ma carrière médicale à me spécialiser dans les cas difficiles, j’espérais aussi comprendre pourquoi certains enfants ne guérissaient pas et de quelles autres options ils disposaient. Donc, au milieu de l’année 2019, j’ai lancé le  » Healing Vaccine Injuries Project  » [Projet de guérison des blessures dues aux vaccins].

Puis est arrivé le covid.

J’ai tout de suite su que c’était un stratagème pour introduire dans les populations des gènes fabriqués, brevetés et détenus par des corporations. Ce n’était même pas un secret. Tout de suite, les porte-parole des corporations au sein des gouvernements et du monde du spectacle (souvent considérés à tort comme celui des informations et du journalisme) ont annoncé qu’un vaccin à ARNm allait nous sauver, malgré toutes les preuves évidentes du contraire. Le fait qu’ils organisaient des conférences de presse quotidiennes pour créer de la peur montrait clairement qu’ils ne prenaient pas le covid au sérieux, mais qu’ils poursuivaient un objectif pour lequel il était nécessaire que les gens aient peur. Aucun éleveur ne veut effrayer le troupeau, mais il faut faire du bruit d’un côté pour les inciter à aller de l’autre. Je me suis donc mis au travail pour partager les faits, les vraies informations. Mon audience a doublé l’année suivante, car les gens étaient sceptiques et voulaient savoir ce que leurs éleveurs industriels ne leur disaient pas.

Bien sûr, comme on pouvait s’y attendre, tous nos efforts ont eu peu ou pas d’effet sur le raz-de-marée de destruction. Ils ont imposé leurs verrouillages. Ils ont fait jouer les tambours de guerre. Ils ont joué du pipeau et conduit leur bétail aveugle et confiant dans des enclos pour les marquer de leur empreinte corporatiste. Ils ont raconté leurs mensonges dans leurs médias et la grande majorité des gens se sont conformés et ont suivi le mouvement comme ils avaient été entraînés à le faire depuis le jardin d’enfants. Le type qui conduit la vache à l’abattoir ne dit pas « Je vais te tuer, conasse de génisse ». Il roucoule: « Tout va bien se passer, ma chérie ». Il doit le faire dans son propre intérêt. Comme l’a dit le gars du panel de la FDA qui a approuvé le vaccin pour les enfants, nous ne saurons pas combien d’enfants ce vaccin va tuer tant qu’il ne les aura pas tués. Puis il l’a approuvé.

Combien de personnes, adultes et enfants, ont-ils tuées au cours des deux dernières années? Nous ne disposerons peut-être jamais de données fiables, mais il est clair qu’elles se comptent en millions, surtout si l’on tient compte de toutes les personnes qui se sont suicidées à cause de la pression croissante des confinements et de celles qui ont été tuées par les respirateurs et les autres fautes professionnelles.

Qui plus est, leurs nouveaux moyens de contrôle sont maintenant mis en place.

Comme nous l’avions tous vu avec le onze septembre, le Patriot Act et les guerres qui ont suivi, tout était bâti sur des mensonges. Même si nous acceptons l’histoire du gouvernement selon laquelle les tours ont été détruites par des terroristes saoudiens, que diable faisions-nous en Afghanistan et en Irak? Ils n’avaient rien à voir avec l’événement lui-même, même selon le récit officiel du gouvernement, et la vérité était disponible à l’époque pour quiconque se souciait de la trouver. Ce n’était pas si difficile. Elle était dans les magazines et à la radio. Mais des mensonges patents ont été racontés, les tambours de guerre ont été battus, la soif du sang a gagné, le monde a agi, et les innocents ont été assassinés en masse. Et l’État sécuritaire mis en place à la suite du Patriot Act et d’autres lois similaires n’a pas été démantelé. En fait, l’un de ses principaux architectes est maintenant président de la république.

La vérité sur le covid était déjà disponible au début de ces deux dernières années. Elle réfutait clairement le narratif destiné au public et le ridiculisait totalement. Tous ceux qui étaient au courant de la vérité ne pouvaient s’empêcher de rire à gorge déployée des absurdités que les gens débitaient à la télévision et auxquelles ils croyaient, assis dans leurs fauteuils. Il y eut une poignée de personnes qui furent les premières à se lever et à en prendre conscience, et qui depuis ont rejoint les rangs des gens informés, quittant les rangs de ceux qui se divertissent sans réfléchir. Pourtant, même si notre nombre était multiplié par dix, nous ne serions qu’une minorité insignifiante, incapable d’influencer l’opinion publique, et encore moins les politiques publiques.

La prise de pouvoir est terminée, du moins à ce stade. Ils ont obtenu ce qu’ils voulaient. Peut-être pas tout, mais des progrès significatifs ont été réalisés vers l’objectif final, le gouvernement mondial transhumaniste de biosécurité, objectif clairement énoncé publiquement par le Forum Economique Mondial. Ils n’ont pas obtenu tout ce qu’ils voulaient, mais c’est un processus à long terme. Ils sont probablement satisfaits des progrès qu’ils ont réalisés au cours des deux dernières années. Les principes ont été établis.

Les guerriers des médias sociaux dont la faculté d’attention est courte se sont peut-être lassés de parler du covid, les briefings quotidiens de la Maison Blanche appartiennent depuis longtemps au passé, les entreprises qui manipulent par la magie noire la conscience du peuple parlent maintenant d’autres choses. Et le système de contrôle continue à faire ce qu’il a projeté depuis toutes ces années, sans réelle opposition. Dans de nombreux pays, les restrictions restent en place. Dans d’autres, il y a eu un certain assouplissement. Les gens continuent de faire la queue pour recevoir leurs boosters, bien que leur nombre soit en baisse. Les cliniques de cardiologie pédiatrique ont fait leur apparition. L’industrie pharmaceutique propose des catégories entières de nouveaux médicaments pour traiter les dommages causés par les injections. Les joueurs de football continuent de s’effondrer sur le terrain, victimes de crises cardiaques. Quinze joueurs ont dû abandonner le tournoi de tennis du Miami Open récemment, un exemple parmi des milliers d’autres. Les récits de décès continuent d’affluer. Une petite poignée de gens font le lien dans leur esprit et réalisent que les vaccins en sont la cause. Les rangs des sceptiques du vaccin grandissent lentement tandis que le nombre de morts augmente rapidement.

Tandis que la mort et la destruction progressent, je me sens envahi d’une paix étrange. Je n’irai pas jusqu’à dire que je suis en paix avec tout ce qui se passe. C’est plutôt que le monde me semble distant, au bout d’un long tunnel, ou comme un rêve dont je me souviens à peine en me frottant les yeux à mon révéil. C’est devenu tellement surréaliste que je ne sais plus quoi dire, quoi penser, comment me connecter à un monde dans lequel je ne sais pas qui sera le prochain à tomber.

J’ai beau imaginer ce que pourrait accomplir un groupe de gens comme nous pour orienter l’avenir de l’humanité dans une autre direction que celle d’un gouvernement mondial transhumaniste et biosécuritaire ou d’un scénario à la Mad Max, je n’ai aucun moyen de réunir un tel groupe, et encore moins de les amener à agir dans ce sens.

D’un point de vue plus personnel, je pense avoir fait ce que je pouvais pour avertir les gens. Ma portée était faible, juste quelques milliers d’amis et de membres sur FaceBook. Des types comme Kennedy, Malone et Bigtree ont touché des millions de personnes à chaque tweet, chaque émission ou chaque interview.

Dans quelle mesure la vérité va-t-elle continuer à se propager? Quel impact aura-t-elle? Dans quelle mesure pourrons nous prendre ensemble des décisions conscientes concernant le devenir de notre société collective et dans quelle mesure devrons-nous simplement attendre que les institutions existantes s’effondrent? Ou bien s’adapteront-elles et survivront-elles pour continuer à nous tourmenter et à nous assassiner? L’énergie des habitudes est tenace. En tant que médecin, je l’ai vue tuer de nombreuses personnes qui, autrement, auraient pu apporter les changements nécessaires à leur vie pour la prolonger de plusieurs décennies. Dans quelle mesure l’énergie de l’habitude est-elle encore plus ancrée dans l’ensemble de la société, et combien de personnes emportera-t-elle avec elle?

Les réponses à ces questions se jouent au moment où nous écrivons ces lignes. Le fait que là où auparavant, trois pour cent des enfants américains étaient scolarisés à domicile, ce chiffre est récemment passé à vingt pour cent est un changement prometteur. Il y a donc de l’espoir et une évolution positive.

Quelles que soient les réponses finales, pour moi, il est temps de passer à autre chose. Je ressens le besoin de commencer à contribuer de manière positive et créative au nouveau monde que nous sentons tous naître, que nous savons tous devoir créer.

Pourtant, j’ai du mal à me trouver une nouvelle direction. Peut-être ma plus profonde incertitude est-elle celle de la profondeur de la destruction. Quelle proportion de la société sera détruite dans les années à venir du fait des futurs décès. Est-ce que cela se terminera dans le courant de cette année avec seulement quelques millions de personnes dans le monde qui mourront suite à leurs injections. Les décès se poursuivront-ils dans les années à venir, pour se chiffrer en milliards. Combien d’entre eux disparaîtront. Combien de temps cela prendra-t-il. Combien de temps encore se feront-ils injecter. Combien seront gravement mutilés et estropiés même s’ils parviennent à survivre quelques années ou décennies de plus.

Aux États-Unis, le taux de mortalité des personnes en âge de travailler a déjà augmenté d’au moins quarante pour cent selon certains calculs, et de quatre-vingt-quatre pour cent dans certains groupes d’âge selon une analyse des données gouvernementales. Dans le même temps, nous constatons d’importantes pénuries de personnel dans tous les secteurs et toutes les régions. De nombreux facteurs entrent en jeu dans ces pénuries, et je ne veux pas en rejeter toute la responsabilité sur les injections, mais au minimum, dans un marché tendu, elles resserrent encore plus la vis. Jusqu’à quel point la serreront-elles lorsque les réponses aux questions du paragraphe précédent seront connues? Quelles industries et quelles entreprises survivront à un tel tsunami de mortalité?

Et qu’en est-il des autres changements, dont je vous ai déjà parlé en partie?

D’une certaine manière, je suppose que cela n’a pas d’importance. Pour créer, il suffit d’aller de l’avant, en relevant les défis qui se présentent. Je tourne donc mon attention vers cette nouvelle aube, ce nouveau jour qui se lève pour l’humanité. À quels rêves nous raccrocherons-nous pour échapper à cette nuit noire de l’âme, alors que nous ouvrons les yeux sur les possibilités qui nous attendent? Quelles sont ces possibilités? Quelles sont les transformations spirituelles que nous vivons? Quels nouveaux mythes sont-ils en train de naître, comme pourrait le demander Joseph Campbell ? Quel sera le matériau de ce nouveau monde? Construirons-nous avec de la boue et de l’argile, avec de l’acier, avec du chanvre? Utiliserons-nous nos mains ou des imprimantes tridimensionnelles? Quelles ressources seront disponibles? Quelles ressources pouvons-nous cultiver?

Je ne veux pas paraître trop utopiste, mais au moins pouvons-nous nous demander ce que nous aimerions apporter au monde, et faire ce que nous pouvons dès maintenant pour l’apporter.

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Sincèrement,

Elliott Freed


Texte original

The Path Ahead

Where do we go now?

Elliott Freed

April 3

This piece is more personal than most of what I have been sharing on substack. I am doing some soul searching. Asking myself some questions about what is going on in the world, what my relationship to it is, what I can do about any of it, and what are the limitations of my ability to do anything about it.

In 2005 I was made aware of the problems with vaccines. I worked briefly with two doctors who were curing autistic kids. They told me of how all their patients had the same story. Their autism was caused by vaccines. Around that time, a colleague gave me a copy of the book, “The Sanctity of Human Blood” by Dr. Tim O’Shea. An updated version has since been issued with the new name, “Vaccination Is Not Immunization.” The good doctor covers the basics that all vaccine literate people know, disproving the lie that vaccines are either safe or effective. At the time, vaccines were not something I was dealing with, but it was good to be aware.

In 2008, I was studying international commercial law with a study group. It was common knowledge in that group, and the circles they ran in, that there was a plan afoot to force vaccinate everybody on the planet.

Having studied genetics and the biology of human development in college in the early nineties, and the limits of the oil supply in 2004-5, I put two and two and two together and got six. The financial system needed new regions to colonize. The whole planet was already in. All the oil was already in. What was next? What was the next big asset class that could sustain a financial system that not only required constant expansion, but had also become the means by which all of our lives and all of our sustenance, even our personal meanings and purposes were provided. The only two options I could see were space and the genome. Sure enough, after investing trillions of dollars in genetic research over the past forty years, they are now coming for the payoff. They want the return on that investment.

In 2015, I inadvertently fell into writing about vaccines. I had some time on my hands, it seemed important at the time, and I had some relevant knowledge. I spent much of that year researching them and sharing my findings on face book. I attracted thousands of face book “friends” via this route. People wanted to know the truth. It is not that complicated, or even that hidden or difficult to find, once you know to bother looking.

By late in the year, I realized I had enough knowledge to write a short book summarizing the issue. There were already lots of great books on the subject, and reading any one of them should be enough to turn any intelligent person off of vaccines forever. They have never prevented, let alone eradicated any disease and they are very dangerous. The concept has been roundly disproved time and again. But I found a gap in the market. As great as those books were, they were often long, dense, and packed with information. One had to approach them with an already established diligence on the matter, and a real desire to learn. I wanted to offer a primer. A short, succinct book that could frame the discussion in such a way as to make it more accessible to people who were vaguely curious, but not yet interested in investing hours and hours over months and years to uncover the truth. I wrote a short book doing just that, and published it in January, 2016.

I spent the next few years promoting the book and continuing to research the issue deeper, sharing my findings and thoughts on face book. In 2019, I was looking for the next step and settled on the study of vaccine injuries, what they were and what to do about them. Already, much has been done in that field, and every day, more and more people are seeking out that information. My hope was to gather it and present it in a way that it would be accessible to those whose children had recently been injured, and who were looking for understanding and guidance. Having spent my medical career specializing in difficult cases, I was also hoping to understand why some kids were not healing and what other options were available to them. So, in mid 2019, I started the “Healing Vaccine Injuries Project.”

Then the ‘vid hit.

I knew right away it was a ploy to get engineered, patented, corporate owned genes into people. It was not even a secret. Right away, the corporate mouthpieces in governments and entertainment (often mistakenly thought of as news and journalism) were talking about how an mRNA vaccine was going to save us, despite all the obvious proof to the contrary. That they were holding daily press conferences to drum up the fear made it clear they were not serious about the covid, but did have an agenda for which they needed people to be afraid. No rancher wants to spook the herd, but they do want to make some noise over here to get them to go over there. So, I set to work sharing the straight dope, the real information. My audience doubled in the following year as people were skeptical, and looking for what the corporate ranch hands were not telling them.

Of course, as was to be expected, all our efforts had little to no effect on the tidal wave of destruction. They imposed their lock downs. They beat the war drums. They pied their pipe and led their blind and trusting cattle into the pens to brand them with their corporate marks. They told their lies in their media outlets and the vast majority of the people lined right up and marched as they’d been trained to since kindergarten. The guy leading the cow into the slaughter house does not say I’m gonna kill you you fucking heifer. He coos its gonna be alright sweetheart. He has to for his own sake. As that guy on the FDA panel approving the shot for kids said, we won’t know how many kids it is going to kill until it has killed them. Then he approved it.

How many people, adults and children, have they killed in the past two years? We may never have good data, but it is clearly into the millions by now, especially if we include all the people who killed themselves as the pressures of the lock downs mounted and the ones killed by ventilators and other malpractice.

What is more, now they’ve got their new controls in place.

As we all saw with nine eleven and the patriot act and subsequent wars, it was all built on lies. Even if we accept the government’s story that the towers were taken down by Saudi terrorists, what the fuck were we doing in Afghanistan and Iraq? They had nothing to do with the event itself, even in the government’s official narrative, and the truth was available at the time for anybody who cared to find it. It wasn’t that hard. It was in magazines and on the radio. But the obvious lies got told, the war drums got beat, the blood lust rose, the world moved, the innocents were murdered en masse. And the security state put in place as a result via the patriot act and similar legislation has not been dismantled. In fact, one of its prime architects is now president of the republic.

Over the past two years, the truth about covid was available all along. It clearly disproved the popular story, made a total mockery of it. Anybody privy to the truth could not help but laugh maniacally at the nonsense people were spewing on the televisions, and believing from their armchairs. There were a handful of people who sat up and took notice for the first time, and have since joined the ranks of the informed, leaving the ranks of the mindlessly entertained. Yet our numbers could increase ten fold and still remain an insignificant minority, unable to sway the popular mind, let alone public policy.

The power grab is complete, or at least this stage of it. They got what they wanted. Maybe not all of it, but significant progress was made towards the end goal of the transhumanist biosecurity one world government, a goal most clearly enunciated publicly by the World Economic Forum. They did not get everything they wanted, but theirs is a long game. They must be happy with the progress they made in the past two years. The principles have been established.

The short attention span social media warriors may have grown weary of talking about covid, the daily white house briefings are long a thing of the past, the corporate black magic manipulators of the popular mind are talking about other things. And the control system continues to do what it has planned all these years with no real opposition. In many countries, the restrictions remain in place. In others there has been some loosening. People are still lining up for their boosters, though their numbers are declining. Pediatric cardiology clinics are now a thing. Pharma is trotting out whole categories of new drugs to treat the damage done by the shots. Futbol players continue to collapse on the pitch, dying of heart attacks. Fifteen players had to drop out the Miami Open tennis tournament recently, as one example among thousands. The stories of death continue to roll in. A small handful make the connection in their minds, realizing the vaccines did it. The ranks of the vax suspicious grow slowly while the death toll mounts rapidly.

As the death and destruction continue, I feel a strange peace flowing through me. I would not say I am at peace with what is happening. It is more like the world is at a distance, down a long tunnel, or a dream I can barely remember as I rub the sleep from my eyes. It has become so surreal that I no longer know what to say, what to think, how to connect to a world in which I do not know who is going to drop next.

As much as I can imagine things that a large group of us could do to guide the future of humanity in some direction other than the transhumanist biosecurity one world government or a mad max like scenario, I have no way of getting such a large group together, let alone getting them to act in such a way.

On a more personal level, I feel I have done what I can to warn people. My reach was small, just a few thousand friends and followers on face book. Guys like Kennedy and Malone and Bigtree reached millions with each tweet or each show or each interview.

How much further will the truth spread? How much affect will it have? How much will we gather to make conscious decisions about the nature of our collective society going forward and how much will we just have to wait for the existing institutions to collapse? Or will they adapt and survive to continue tormenting and murdering us? Habit energy is strong. As a physician I’ve watched it kill many people who otherwise could have made the necessary changes in their lives to extend them by decades. How much more entrenched is the habit energy of society as a whole, and how much and how many will it take down with it?

The answers to these questions are being played out as we write. One hopeful change is that, where before, three percent of kids in the u.s. were home schooled, that number recently hit twenty percent. So, there is hope and positive progress.

Whatever the final answers end up being, for me, it is time to move on. I feel an urge to begin contributing in some positive, creative way to the new world we all feel being birthed, we all know we must create.

Yet I struggle with a new direction. Maybe my most pressing uncertainty is how deeply the destruction will cut. How much of society will be destroyed in the coming years as a result of further deaths. Will it end later this year with just a few million worldwide having died from the shots. Will the deaths continue for years to come, reaching into the billions. How many will go down. How much longer will it take. How much longer will they still be getting their shots. How many will be severely maimed and crippled even though they may survive a few years or decades longer.

Already in the u.s. the death rate among working age people has gone up by at least forty percent by some calculations, as much as eighty four percent in some age groups by an analysis of government data. At the same time, we are seeing major staffing shortages across industries and regions. There are many factors at play in those shortages, so I do not want to lay all the blame at the feet of the shots, but at the least, in a tight market they are turning the screws that much tighter. How much tighter will they turn them as the answers to the questions of the previous paragraph make themselves known? Which industries and companies will survive such a tsunami of death?

And what of the other changes, some of which I’ve already begun to write about?

In a way, I suppose it does not matter. To create, we simply move forward, dealing with whatever challenges arise. So I turn my attention to this new dawn, this breaking of the new day for humanity. What dreams will we hold on to from this dark night of the soul as we open our eyes to the possibilities ahead? What are those possibilities? What spiritual transformations are we going through? What new myths are being born, as Joseph Campbell might ask. What will be the material of this new world? Will we be building with mud and clay, with steel, with hemp? Will we be using our hands or three dimensional printers? What resources will be at hand? What resources can we cultivate?

I do not want to appear too utopian, but we can at the least ask what we would like to bring forth into the world, and do what we can now to bring it.

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Thank you for joining me in the conversation,

Sincerely,

Elliott Freed

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