L’idéologie du genre est une dangereuse absurdité – par Brad.

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L’idéologie du genre est une dangereuse absurdité

Elle a un impact pernicieux sur la société en général et sur la vie des femmes et des enfants en particulier

Brad

24 avril 2023

En moins d’une décennie, l’idéologie du genre est passée d’un concept marginal et bizarre de la philosophie postmoderne, présent principalement dans les branches obscures de la « théorie queer » universitaire, à un puissant mouvement politique à l’origine d’importants changements sociaux. Une grande partie de ce mouvement a des relents de théologie. Les militants transgenres font preuve d’un zèle évangélique et traitent essentiellement l' »identité de genre » d’une personne transgenre comme une sorte d’âme séculière inviolable. Il suffit qu’une personne ait la révélation qu’elle est du sexe opposé pour qu’elle devienne magiquement du sexe opposé par un simple acte de foi. Ainsi, la rhétorique du mouvement fourmille d’affirmations ontologiques: les gens sont du genre qu’ils préfèrent être. Telle est la revendication.

Cela a conduit à la formation d’un groupe identitaire distinct qui fonctionne sur le mode du grief et de la victimisation et qui dépend d’une validation et d’une confirmation permanentes de la part d’un public extérieur. Tout débat et toute discussion critique sont considérés comme une menace pour cette affirmation publique et sont souvent limités ou carrément censurés au motif qu’ils « remettent en question le droit des personnes trans à exister ». Ironiquement, alors que les droits des transgenres sont promus au nom de la tolérance, leur application est souvent extrêmement intolérante, non seulement à l’égard des critiques, mais aussi à l’égard de toute forme de discussion. Cette insécurité omniprésente souligne le comportement de plus en plus autoritaire des militants trans.

Le « transgendérisme » s’est révélé bien plus influent que ne pourrait le laisser penser un simple décompte des personnes transgenres. Comme le note Joanna Williams de Civitas, le fait que le transgendérisme soit passé d’une niche à un courant dominant en dit plus sur le reste de la société que sur les personnes transgenres. Le mouvement, qui est dirigé par une minuscule communauté d’activistes radicaux ineptes, qui ne sont souvent pas eux-mêmes transgenres, est accepté et promu par des personnes en position de pouvoir dans les domaines des médias, de l’éducation, de l’université, du travail social, de la médecine, du droit et du gouvernement local et national. La crise de l’autorité provoquée par l’apparition cataclysmique d’Internet a eu pour conséquence que des institutions qui faisaient auparavant autorité n’ont plus confiance en leur propre capacité à diriger, et ont ainsi décidé que la communauté transgenre était un groupe victimisé qui pouvait servir en tant que source d’autorité morale, même si elle effaçait les droits fondés sur le sexe et compromettait le bien-être des enfants.

Comme le dit Williams, ce n’est pas une coïncidence si l’expansion des droits des transgenres a coïncidé avec l’expansion de la réglementation étatique et institutionnelle en matière de discours et de comportement. Cette évolution souligne la différence significative entre le transgendérisme et le mouvement des droits des homosexuels. Alors que ce dernier militait pour une plus grande liberté vis-à-vis de l’État et pour le droit des personnes à déterminer leur vie sexuelle sans être limitées par la loi, le mouvement transgenre exige la reconnaissance et la protection de l’État en obligeant toutes les personnes extérieures au groupe identitaire à se plier à leur fiction. À une époque antérieure, être radical signifiait « se révolter contre l’autorité » et exiger plus de liberté vis-à-vis de l’État et de l’autorité institutionnelle; aujourd’hui, en revanche, être radical signifie être un pieux petit mouton qui bêle en faveur de plus de restrictions à la liberté d’expression au nom de la prévention de tout préjudice.


Les enfants subissent les conséquences négatives de la normalisation de l’idéologie du genre.

Le psychothérapeute James Caspian souligne qu’il y a vingt ans, la personne type qui cherchait à changer de sexe était un homme d’une quarantaine d’années. Aujourd’hui, le profil type du transgenre a radicalement changé. Les enfants sont de plus en plus nombreux à s’identifier comme trans, 43% de la population trans ayant moins de 25 ans1. Selon Reuters, 15 000 enfants âgés de 6 à 17 ans ont reçu un diagnostic de dysphorie de genre en 2017. Ce chiffre est passé à 42 000 en 2021. Mais plus que tout autre groupe démographique, ce sont les adolescentes qui sollicitent de l’aide pour leur identité de genre: ces dernières années, le nombre de filles orientées vers un traitement a augmenté de 4 400%.

Les raisons de ce phénomène font l’objet de nombreux débats.

Ce que nous savons avec certitude, c’est que depuis une dizaine d’années, le nombre de jeunes filles souffrant d’anxiété et de dépression a explosé. Abigail Shrier a rassemblé de nombreuses preuves montrant que les jeunes filles sont enclines à attribuer leur angoisse à une cause à la mode. Avant que le transgendérisme ne devienne un mouvement, une infime partie de la population se débattait avec son identité de genre pendant des années, voire des décennies, avant d’opérer une transition progressive pour vivre comme un membre du sexe opposé. En fait, avant 2012, il n’existait aucune littérature scientifique sur les filles âgées de onze à vingt et un ans ayant développé une dysphorie de genre. Mais aujourd’hui, les filles prennent la décision de s’engager dans une vie de dépendance hormonale et de subir des opérations chirurgicales défigurantes de manière beaucoup plus soudaine, une condition connue sous le nom de dysphorie de genre à apparition rapide (Rapid Onset Gender Dysphoria, ROGD en anglais).

L’une des caractéristiques spécifiques de la dysphorie de genre à apparition rapide est la contagion: souvent, des groupes de filles d’une même classe, d’une même école ou d’une même ville découvrent simultanément leur identité transgenre et s’engagent ensemble dans le « voyage de la transition ». C’est comme si elles étaient captives d’un « engouement » – un enthousiasme culturel qui se propage comme un virus. Il est intéressant de noter que les procès des sorcières de Salem au XVIIe siècle, les troubles nerveux du XVIIIe siècle, l’épidémie de neurasthénie au XIXe siècle, l’anorexie mentale, la mémoire refoulée, la boulimie et la contagion des coupures au XXe siècle concernent tous le même protagoniste, qui amplifie et propage sa propre douleur: l’adolescente.

Le Dr Lisa Littman, gynécologue-obstétricienne devenue chercheuse en santé publique, a mené une étude qui a rassemblé 256 rapports détaillés de parents analysant l’incidence élevée de la dysphorie de genre dans les groupes d’amies adolescentes. Voici quelques-unes de ses conclusions:

  • Les adolescentes avaient un âge moyen de 16,4 ans.
  • La grande majorité d’entre elles ne présentaient aucun indicateur de dysphorie de genre pendant l’enfance.
  • Une majorité d’entre elles présentaient également un ou plusieurs diagnostics psychiatriques et près de la moitié s’automutilaient avant l’apparition de la dysphorie de genre.
  • Près de 70% des adolescentes appartenaient à un groupe de pairs dans lequel au moins une amie s’était révélée transgenre. Dans certains groupes, c’était le cas de la majorité des amies. La prévalence de l’identification transgenre au sein de certains groupes d’amies des jeunes filles était plus de 70 fois supérieure au taux attendu.
  • Parmi les parents qui connaissaient le statut social de leurs enfants, plus de 60% ont déclaré que leur annonce avait donné un coup de pouce à leur popularité.
  • Plus de 65% des adolescentes ont découvert leur identité transgenre après une période d’immersion prolongée dans les médias sociaux.

Ce serait différent s’il s’agissait d’un phénomène inoffensif dont ces jeunes filles se débarrassent en grandissant, mais beaucoup d’entre elles endommagent leur corps de manière irréversible. Une analyse Komodo des demandes d’assurance a révélé qu’entre 2017 et 2021, 14 726 mineurs ont commencé un traitement hormonal, tandis qu’au moins 776 mastectomies ont été pratiquées aux États-Unis sur des patientes âgées de 13 à 17 ans ayant reçu un diagnostic de dysphorie de genre. Quiconque affirme que ce genre de choses ne se produit pas – un refrain courant des #alliés progressistes – ment. Et ces chiffres n’incluent pas les procédures qui ont été payées de leur poche.

La culture américaine ne tolère pas seulement ce qui équivaut à la stérilisation2 des enfants, elle encourage la lobotomie sexuelle au nom de la scientologie du genre. L’internet, en particulier les médias sociaux et YouTube, est considéré comme un moyen efficace de diffuser la ROGD auprès d’une génération de jeunes filles équipées de smartphones. Des vidéos circulent en ligne, présentant le changement de sexe comme une proposition simple et attrayante. Par ailleurs, la musique populaire, les romans pour enfants, les films et les séries télé offrent tous des représentations positives des jeunes transgenres et du processus de transition.

Sans parler des programmes scolaires. L’idéologie transgenre est désormais officiellement enseignée et sanctionnée dans le cadre de l’enseignement primaire et secondaire, et Libs of TikTok a parfaitement mis en évidence le fait que les enseignants progressistes se chargent eux-mêmes de la diffuser de manière informelle. Dès la maternelle, on présente aux enfants le « Genderbread Person«  [NdT. personnage dérivé du Gingerbread Man, le bonhomme en pain d’épice qui fait partie de la tradition américaine destinée aux enfants] et le « Gender Unicorn«  [NdT. littéralement, la licorne du genre]. Les enseignants lisent des extraits de I Am Jazz [NdT. l’histoire d’un enfant transgenre basée sur l’expérience réelle de Jazz Jennings, qui est devenue le porte-parole des enfants transgenres du monde entier], et les plus petits apprennent qu’ils peuvent avoir un « cerveau de fille dans un corps de garçon » ou vice versa.

Il devrait être évident qu’il s’agit d’un problème. Les progressistes sèment intentionnellement la confusion des genres dans le but d’endoctriner les jeunes. Ce sont des pensées d’adultes que l’on fait entrer dans la tête des enfants; ils ne pensent pas à cela tout seuls. Alors que les enfants s’efforcent inconsciemment de faire reconnaître et de légitimer leur détresse interne, ils apprennent que changer de genre est un moyen d’accéder à la séduction de l’acceptation sociale, de la popularité et de l’appartenance à la catégorie avant-gardiste des LGBTQ – la conséquence évidente du fait de considérer la dysphorie de genre comme une identité à célébrer plutôt que comme une psychopathologie3.

Les personnes transgenres sont valorisées en tant que victimes d’un monde cruel et en tant que penseurs avant-gardistes poussant courageusement à repousser les limites de la société, et le processus de transition est à la fois glorifié et romantisé. Une boucle de rétroaction se crée: plus les enfants transgenres sont portés aux nues et « affirmés », plus les enfants en viennent à considérer qu’être transgenre n’est pas seulement socialement acceptable, mais aussi une solution à leurs problèmes personnels d’identité; plus il y a d’enfants qui adoptent le manteau de l’idéologie du genre, plus il y a de discussions sur les enfants transgenres.

Mais le phénomène des enfants transgenres a un côté plus sombre. Les militants exploitent ce groupe vulnérable pour promouvoir leurs propres intérêts. En se concentrant sur les « jeunes », ils cachent un programme d’adultes derrière une préoccupation pour le sort des enfants, ce qui leur confère une certaine autorité morale. L’existence et la visibilité croissante des enfants transgenres apportent des preuves à leur affirmation selon laquelle les personnes transgenres sont nées ainsi et que « le genre est un spectre », indépendamment du sexe anatomique. Cela leur permet de faire passer des conneries métaphysiques pour des faits scientifiques. De plus, le fait d’utiliser des enfants comme visage du transgendérisme aide les activistes à détourner les critiques et les questions, et légitime les demandes qu’ils adressent au reste de la société. (« Pensez aux enfants! »)

L’orthodoxie actuelle, telle que promue par les activistes trans, est que la meilleure pratique pour les enfants identifiés comme transgenres est le « gender-affirming care » (les soins d’affirmation du genre) – c’est-à-dire l’acceptation totale et non critique que l’enfant est vraiment du genre qu’il prétend être, en considérant comme un indicateur infaillible les sentiments de l’enfant et en commençant immédiatement un régime d’hormones et de bloqueurs de la puberté. Il n’est pas nécessaire de préciser que ce n’est pas dans leur intérêt. Il n’est pas nécessaire d’être un psychologue de bonne foi pour comprendre qu’un jeune qui en vient à se considérer comme transgenre peut présenter des problèmes sociaux ou émotionnels antérieurs à ses préoccupations d’identité de genre, ou qu’il est simplement sous l’influence d’une contagion par ses pairs. Ce que signifie réellement l’affirmation du genre, c’est le sacrifice des besoins psychologiques et émotionnels de l’enfant au nom d’une position politique et idéologique. C’est l’abdication de la responsabilité des adultes à l’égard des enfants.

Ce n’est pas sorcier: nous devons protéger les jeunes contre les encouragements à la transition tant qu’ils ne sont pas suffisamment mûrs sur le plan émotionnel pour en comprendre pleinement les conséquences.


La couverture médiatique des questions transgenres est disproportionnée par rapport au nombre réel de personnes transgenres. Cela est dû en grande partie au fait que le transgendérisme n’est pas seulement un mouvement porté par des personnes souffrant de dysphorie de genre, mais une communauté politique et sociale bien définie d’activistes qui prêchent l’idéologie du genre. Tous ceux qui souscrivent à la foi progressiste et pratiquent le culte de l’église Woke sont désormais tenus de défendre leurs intérêts. Et ces personnes ne sont que trop heureuses de s’y plier. Maintenant que les principales victoires en matière de droits civiques de la fin du vingtième siècle sont pratiquement acquises, les agitateurs doivent se tourner vers de nouveaux domaines pour opérer un changement, car le progressisme se résume au désir aveugle de déraciner tout ce qui existe actuellement.

Les militants du mouvement se sont donné beaucoup de mal pour présenter le fait qu’ils ont réussi à forcer la société à accepter l’idéologie du genre comme l’effet d’un changement radical de l’opinion publique, mais en réalité il ne s’agit que d’un nouvel exemple d’une minorité tyrannique qui contraint les autres à se conformer à une folie. La raison du pourquoi ces crétins messianiques préfèrent que les changements sociaux soient imposés du haut vers le bas, plutôt que de devoir faire l’effort de gagner les gens à leurs idées est que ces idées ne peuvent se suffire à elles-mêmes et ne résistent pas au moindre examen.

Et les nouvelles normes et mœurs pour lesquelles le mouvement exige l’obéissance du reste de la société ont depuis longtemps dépassé le stade de l’absurde. Nous en sommes arrivés au point où il n’est plus nécessaire de subir une opération chirurgicale ou de recevoir un diagnostic de dysphorie de genre pour être transgenre. L’ensemble de la catégorie sexuelle a été ouverte à tout homme qui se dit de sexe féminin.

Le TikToker Trans Tara, qui a menacé de tirer sur des femmes si elles lui demandaient de quitter les toilettes pour femmes, présente toute une série de fétiches écœurants et dangereux, y compris le fait de porter des couches et de se déguiser en enfant.
Pourtant, cet homme est autorisé à utiliser les toilettes des femmes parce qu’il est protégé par les lois sur l’auto-identification?
ATTENTION : Un homme biologique de 18 ans, qui s’identifie comme « trans », est entré dans les vestiaires du lycée @sunprairiek12 et s’est DOUCHÉ NU à côté de QUATRE FILLES DE PREMIÈRE ANNÉE.
L’homme biologique a exposé ses organes génitaux masculins aux filles de 14 ans, choquées et horrifiées.
Le district:
– N’A PAS CONTACTÉ LES PARENTS DES JEUNES FILLES
– n’a pas contacté le coordinateur du Titre IX
– n’a pas déposé la plainte requise au Titre IX
– n’a pas soutenu les jeunes filles et ne les a pas aidées à surmonter cette expérience traumatisante
– n’a pas agi en tant que « rapporteur obligatoire » et n’a pas signalé l’éventuelle violation de la loi 948.10 du Wisconsin (attentat à la pudeur sur des mineurs).

Si n’importe quel homme peut prétendre être une femme et que nous devons le traiter comme tel, le mot « femme » n’a plus de sens et les droits des femmes cessent d’exister. Il faut être délibérément obtus pour ne pas comprendre que le fait de considérer le genre comme une simple question d’auto-identification crée un conflit direct entre les protections fondées sur le sexe pour les femmes et les droits fondés sur l’identité de genre. Je suis absolument stupéfait que tant de femmes continuent de voter Démocrate alors que la ligne officielle du parti est que les droits fondés sur le sexe l’emportent sur les droits fondés sur l’identité de genre.

Ce sont des sujets dont il faut parler. Mais toute discussion sur les questions transgenres est condamnée comme « menace » par les activistes. Ils sont même allés jusqu’à affirmer qu’il s’agissait d’un « génocide ». En fait, ils en sont tellement convaincus que, pour eux, limiter le débat et la liberté d’expression fait partie d’une croisade plus globale en faveur de la justice. Lorsque la définition du préjudice s’étend non seulement au physique mais aussi au psychologique, y compris à la détresse émotionnelle, faire taire les mots blessants et contraindre les gens à jouer le jeu de la fiction devient une question de « sécurité ». D’où la police du langage – y compris le fait de forcer les gens à utiliser des pronoms en contradiction avec la réalité – et les tactiques de censure de la part des activistes transgenres.

Cela va bien plus loin que d’exiger des gens qu’ils évitent de léser ou de discriminer légalement les personnes transgenres; il s’agit d’exiger qu’ils participent à une réalité alternative qui repose entièrement sur le fait que le public maintienne un regard positif sur l’idéologie du genre et sur le mouvement transgenre.

Refusez de participer à cette absurdité. Ne permettez pas que votre langage et votre comportement soient contrôlés. Ne jouez pas un rôle dans l’affirmation de l’idéologie du genre et dans le déracinement de vérités ancestrales. Ne laissez pas les idéologues transgenres remodeler le monde en remettant en cause les conventions et le bon sens pour des raisons identitaires. Défendez la réalité empirique.


  1. Les nouvelles lignes directrices relatives aux soins de santé pour les transgenres, publiées par l’Association Professionnelle Mondiale pour la Santé des Transgenres, suppriment toute limite d’âge inférieure claire pour les bloqueurs de puberté, les hormones transsexuelles et l’ablation d’organes sains, autorisant ainsi tout traitement individuel à tout âge. Ce qui est aussi dément que cela en a l’air. ↩︎
  2. Un effet secondaire des bloqueurs de puberté et des traitements hormonaux. ↩︎
  3. Et lorsqu’on enseigne aux enfants que le sexe est fondé sur l’identité plutôt que sur la biologie, les catégories sexuelles peuvent facilement être confondues avec les stéréotypes régressifs de la masculinité et de la féminité. Cela conduit les garçons efféminés et les filles masculines à croire que quelque chose ne tourne pas rond chez eux, ce qui doit être corrigé par une transition vers le sexe opposé. ↩︎

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