On est repartis comme en 40. Les moyens changent (un peu), les objectifs demeurent.
On pique les vieux dans les maisons de retraite. Le Rivotril a fait son temps. On a un « vaccin ». Ils ne contribuent plus à la – excusez le gros mot – société. Ceux qui n’ont plus toute leur tête sont piqués de force. Comme en 40. Voir ici. Et ici, et ici. Vous pouvez aussi chercher un peu vous-mêmes. Eventuellement.
C’est l’hécatombe en Israël. Chez les vieux d’abord, chez tous les autres ensuite. Haim Yativ et le Dr Hervé Seligman vous l’expliquent ici.
Pour changer un peu de l’emprisonnement à la maison, on attend les camps de détention pour réfractaires. Ils sont prévus. Je pense qu’on n’attendra pas longtemps. Je rappelle qu’en 40 on tatouait les détenus des camps avec un numéro unique d’identification dont le registre était géré par la société IBM. Une identification électronique, en quelque sorte.
Avec le couvre-feu, les Ausweiss, les délations, la propagande d’Etat permanente, un psychopathe manipulé et une cohorte de lâches et de pourritures à la tête du pays, le tableau devrait être parfaitement clair.
Nous sommes en 1940. Tout ça ne fait que commencer.
L’Histoire ne se répète pas, mais elle bégaie.
« C’est effrayant. Les Dieux, c’est vous. Donc il s’adresse à nos futurs dirigeants. Et les inutiles, c’est nous. Donc ça veut dire que ce sont eux qui vont concocter les programmes pour décider de la façon dont on doit vivre, dont on aura le droit de vivre – ou de disparaître, peut-être.
C’est absolument effrayant. Et que ce soit dans le cadre de l’enseignement, à des jeunes filles, à des jeunes hommes qui sont déjà tellement confortés dans leur supériorité par notre système éducatif.
Il paraît qu’à l’Assemblée Nationale, il y a une députée qui s’est fait surnommer Bac-2, parce qu’elle est simplement aide-soignante. C’est vous dire le mépris de notre classe dirigeante. Donc si nous sommes les inutiles, si nous disparaissons ce n’est pas grave. Mais c’est vrai que déjà dans les maisons de retraite, nos aînés ont une espérance de vie résiduelle. Donc résiduelle, ça veut dire qu’ils font déjà du rab’. Donc on peut les faire disparaître, dans le silence, porte de chambre fermée.
Ça me donne juste envie de pleurer, je suis désolée. Mais c’est épouvantable.
Qu’est-ce qu’on a fait à nos aînés, qu’est-ce qu’on est en train de faire à nos enfants? Quand est-ce que les gens vont ouvrir les yeux et réagir?
Quand?
Quel prochain décret de loi faudra-t-il pour que les gens puissent protester et empêcher ça? Parce que c’est pas dans dix ans. C’était proposé l’année dernière et c’est ce qui arrive aujourd’hui.
Qu’est-ce que ça veut dire? On a pas besoin d’avoir Bac+10 pour savoir si c’est pas quelque chose de programmé. On a le droit de s’interroger, c’est notre devoir. Puisque maintenant on a la possibilité d’avoir accès à l’information, c’est tout ce qui nous reste. Moi je n’ai plus la télévision depuis quinze ans donc je suis désintoxiquée. Je vais chercher mes informations ailleurs. Tout le monde peut le faire. Tout le monde peut le faire.
J’ai envie de dire au gens, dans dix ans ou dans vingt ans, est-ce que vous pourrez regarder vos enfants dans les yeux, et leur dire que vous ne saviez pas?
En 45, c’était possible, bien que j’aie deux grand-mères qui savaient parfaitement ce qu’on faisait des juifs quand on les mettait dans des trains. Elles ne disposaient pas de l’information dont on peut disposer aujourd’hui. Donc nos enfants ne nous croiront pas. Et nos enfants seront en droit de nous poser la question, pourquoi on ne les a pas défendus.
Voilà, c’est tout ce que j’ai envie de dire parce que c’est abominable.
C’est tout.
C’est juste abominable. »
Nathalie Derivaux, sage-femme, Hold-up+, deuxième partie, 49’40 – 54’02