Le Molnupiravir, médicament anti-Covid: chimiothérapie génétiquement toxique? – par Stephanie Brail.

Suite de l’article précédent et complément d’infos.

Juste pour prévenir: dans la première partie de l’article, qui ne traite pas spécifiquement du médicament, l’auteur (ou on dit l’autrice maintenant?) cite plusieurs fois Alex Jones, à savoir la tête de gondole de l’opposition contrôlée aux Etats-Unis. Inconvénient mineur, à mon avis, par rapport aux infos qui y figurent. J’ai donc conservé cette partie pour cette raison – et pour la photo d’une grenouille très sympa.

Voici donc une autre boule de neige qui pourrait bien contribuer à l’avalanche qui se prépare. « Dark winter« , vous vous souvenez? On relève sa capuche, on met ses gants et on y va.

Courageusement, parce que, même si tout ça est très grave, ce n’est que le début…

Source.


Traduction

Le Molnupiravir, médicament anti-Covid: chimiothérapie génétiquement toxique?

Ou arme biologique libérée, capable de détruire l’ensemble de l’écosystème?

Stephanie Brail

5 décembre

Une diatribe classique d’Alex Jones sur les produits chimiques dans l’eau qui rendraient « les grenouilles homosexuelles » a fait l’objet d’innombrables memes et même d’un remix qui a fait 16 millions de vues sur YouTube.

Il est facile de se moquer de Jones, mais certaines de ses prédictions semblent se réaliser, ce qui a inspiré le dicton « Alex Jones a toujours raison« . [NdT. ce qui est également un slogan d’un autre personnage dans la sphère complotiste francophone, également opposition contrôlée, c’est-à-dire un des nombreux « spooks » ou agents du renseignement, dont le rôle est d’orienter le discours vers des notions de « liberté », de vendre de fausses solutions et de fournir une soupape émotionnelle aux mécontents]

La réalité qui se cache derrière la célèbre diatribe d’Alex est que des produits chimiques ont infiltré nos réserves d’eau, notamment de nombreux médicaments de consommation courante. La liste de ces produits chimiques va des pesticides aux hormones, en passant par les contraceptifs et les médicaments de chimiothérapie. [NdT. il est à noter, et j’y reviendrai, que la majorité des médicaments, y compris les formules très simples comme les anti-douleurs de base, contiennent des perturbateurs endocriniens – des oestrogènes – et de l’oxyde de graphène]

Pourraient-ils rendre les grenouilles homosexuelles? Peut-être pas homosexuelles à proprement parler, mais voici ce que les pesticides peuvent faire aux grenouilles1 (à cliquer pour lire la note de bas de page)

« Les résultats montrent que les pesticides qui utilisent ce mécanisme d’action peuvent causer des dommages permanents, tels qu’une baisse de la fertilité chez les grenouilles exposées au stade de têtard. Cela corrobore des recherches antérieures qui démontrent que les substances perturbatrices du système endocrinien présentes dans l’environnement peuvent avoir un impact négatif sur les amphibiens. L’utilisation de la substance linuron [NdT. désherbant fortement utilisé dans le désherbage des cultures des apiacées dont fait partie la carotte, classé parmi les CMR (Cancérigène, Mutagène et Reprotoxique) et interdit en Belgique depuis 2018] n’est pas autorisée en Suède, mais elle est utilisée dans d’autres parties de l’UE et en Amérique du Nord », explique Cecilia Berg, écotoxicologue et chef de projet.

Les médicaments se retrouvent également dans nos réserves d’eau. Vous souhaitiez éviter de prendre des médicaments psychotropes tels que le Prozac? C’est bien dommage, car il se peut que vous en consommiez contre votre volonté, étant donné que votre voisin peut en évacuer chaque jour dans son urine.

Extrait de The Effects of Drug Production on the Environment [Les effets de la production de médicaments sur l’environnement]:

Voici quelques-unes des façons les plus courantes dont les médicaments contaminent l’environnement:

– Pendant le processus de fabrication, des résidus de médicaments peuvent s’infiltrer dans les eaux de surface.

– Les médicaments sont métabolisés par les humains, puis excrétés en quantités infimes dans les égouts. Cette pollution se retrouve inévitablement dans l’approvisionnement en eau après avoir traversé les systèmes de traitement.

– Les produits pharmaceutiques vétérinaires sont excrétés dans les sols et les eaux de surface par les animaux de pâturage.

– Les médicaments utilisés pour le bétail peuvent être disséminés par le biais du fumier qui sert d’engrais.

– Les médicaments non utilisés sont souvent déversés dans les réserves d’eau publiques par le biais des éviers, des toilettes et des décharges.

– Lors du processus de fabrication, des polluants directs sont émis dans l’atmosphère.

Qu’est-il arrivé au Mouvement de la Pharmacie Verte?

La question de la contamination pharmaceutique est un problème majeur, auquel les médias n’ont jamais vraiment prêté attention depuis que le problème a commencé à faire parler de lui il y a quelques années.

Il a été question d’un mouvement de pharmacie verte pour aider à contrer certains des problèmes écologiques posés par la médecine moderne. Mais pas suffisamment. L’idée d’une « pharmacie verte » semble avoir été reléguée au second plan par la dominance du changement climatique dans le discours environnemental.

J’ai une formation en protection de l’environnement et j’ai fait du bénévolat pour une organisation de Los Angeles appelée Heal the Bay afin de recueillir des échantillons d’eau dans les collines de Malibu. Les fosses septiques des maisons cossues des célébrités étaient responsables d’un taux de contamination bactérienne atrocement élevé sur les plages de Malibu, dont les scores de pollution (F) étaient souvent pires que ceux de la sordide baie de Venice Beach, où je vivais à l’époque.

Ce fut probablement ma première leçon en matière d’hypocrisie verte.

J’ai même tenu brièvement un blog environnemental, axé en partie sur la technologie, mais il n’avait pas recueilli beaucoup de lecteurs, alors je l’ai abandonné. J’étais trop en avance sur la vague. À la fin des années 2000, j’ai écrit un article cinglant sur le fait qu’il fallait éviter de se focaliser sur le sujet du « changement climatique », tant il était source de division et éclipsait des problèmes environnementaux bien plus tangibles, tels que la pollution visible de l’eau et de l’air, des questions sur lesquelles la gauche et la droite pourraient éventuellement trouver un terrain d’entente.

Depuis lors, le fossé s’est encore creusé et le seul problème environnemental « critique » est le changement climatique. Bien sûr, une grande île en plastique flotte dans le Pacifique, et Fukushima continue de déverser ses radiations dans la mer. Notre infrastructure nucléaire vieillissante laisse échapper des poisons dans l’environnement… Vous avez entendu parler de la crise due à la contamination [des eaux par la fuite des réservoirs] Red Hill à Hawaï? Je ne l’ai découverte que par accident.

Mais qui se soucie de tout ça? Le changement climatique, le changement climatique, le changement climatique!

Je suis en désaccord général avec la droite sur les questions environnementales, car je pense que l’ensemble de notre écosystème (et pas seulement le climat) est soumis à un stress énorme dû à l’activité humaine. Cela dit, je suis en désaccord avec la gauche qui pense que le « changement climatique » est le problème numéro un ou le seul sur lequel il faut se concentrer.

Le changement climatique c’est du virtue signalling [signalement vertueux] facile, en plus d’être un excellent moyen pour les gouvernements de renforcer leur contrôle sans jamais régler les nombreux problèmes réels de pollution de l’environnement auxquels nous sommes confrontés.

En y regardant de près, on remarque que les récits sur le changement climatique tournent généralement autour de la notion de contrôle, exactement comme pour la pandémie de Covid. Le « changement climatique » crée également un nouveau « marché boursier » potentiellement lucratif, qui se décline en crédits carbone… le changement climatique, c’est donc la manière de coopter l’environnementalisme pour prendre le contrôle et gagner de l’argent.

Mais atténuer les dommages que les médicaments causent à l’environnement? Ça n’a rien de rentable et ça ne mène à aucun système de contrôle évident. Pas étonnant donc que ce soit ignoré.

Cela dit, ne commettez pas l’erreur de soutenir que le changement climatique n’existe pas. C’est le même genre d’erreur commise par les personnes qui affirment que « le Covid n’existe pas ». Vous vous retrouvez piégé dans cet argument et finissez par passer pour un platiste au lieu de diriger et de contrôler le récit. [NdT. j’ai souvent dénoncé le problème, qui vient soit de personnes mal informées, soit de l’opposition contrôlée qui tente de pourrir le débat]

Le déni est une position défensive.

Je passe à l’attaque. On peut discuter de la réalité du changement climatique jusqu’à la fin des temps, ça ne changera pas grand-chose. Moi, je veux complètement changer de débat.

Parlons de la façon dont nos politiques de santé publique peuvent aggraver la situation et potentiellement nuire non seulement aux personnes mais aussi à l’environnement.

Je trouve plutôt ironique que la gauche ait pleinement adhéré au narratif des vaccins, car la vaccination de masse dans son ensemble crée des déchets environnementaux sous la forme de sous-produits chimiques issus de leur production, ainsi que des déchets de seringues.

L’immunité naturelle est beaucoup plus respectueuse de l’environnement, pourtant vous entendrez rarement un écologiste suggérer qu’il vaudrait mieux encourager l’immunité naturelle chez ceux qui ont un risque presque nul de Covid grave.

Nous devrions souligner ce fait, le plus souvent possible.

Pire encore, certains scientifiques tentent de concevoir un moyen d’introduire des vaccins dans notre alimentation, ce qui signifie que les vaccins eux-mêmes pourraient entrer dans l’environnement général et nuire non seulement aux personnes mais aussi à la faune sauvage. Ce n’est pas nouveau, d’ailleurs. Les vaccins comestibles sont à l’essai depuis plus de vingt ans.

Nous devons nous attaquer à ce problème, et ce dès hier.

Molnupiravir: pire que vous ne le pensiez

Entre en scène le Molnupiravir. C’est le médicament contre le Covid qui « change la donne », sur lequel les médias se pâment tout en faisant passer l’ivermectine pour un poison.

Le Royaume-Uni va être le premier pays à utiliser le Molnupiravir, qui sera très bientôt administré aux patients vulnérables et âgés.

Si vous pensiez que les hormones synthétiques présentes dans l’environnement étaient néfastes, attendez d’entendre les effets du Molnupiravir.

Je ne peux pas parler de ce sujet en lui rendant pleinement justice. Je vous recommande donc, lorsque vous aurez terminé de lire ce texte, de vous rendre sur le site Unglossed et de lire l’article Doppelgänger de Brian Mowrey.

Je vais tenter ici de résumer ses principaux arguments en langage clair:

Le molnupiravir peut « s’insinuer dans l’ARNm viral et provoquer des erreurs de réplication et de traduction » et « s’insinuer dans l’ARN nucléaire ».

Les erreurs de réplication virale peuvent entraîner de nouveaux variants… mais c’est peut-être là le moindre des problèmes. Mowrey mentionne le potentiel de « protéines mal repliées » qui pourraient se propager partout dans le corps. Nous parlons ici potentiellement de prions.

Genre, prions de la vache folle.

Les problèmes d’auto-immunité posent également question.

Le Molnupiravir peut aussi pénétrer les mitochondries des cellules et perturber ainsi le métabolisme cellulaire, ce qui pourrait entraîner la mort des cellules.

Le médicament pourrait potentiellement entrer en concurrence avec les produits chimiques naturels qui produisent les membranes cellulaires et les structures protéiques nécessaires au métabolisme des cellules humaines.

Voici le pire:

Le molnupiravir, que nous appellerons « M » pour faire court en termes d’action chimique, pourrait rivaliser avec les processus cellulaires naturels, et être accidentellement répliqué dans l’ADN lors du son processus de réparation de ce dernier. Mowrey écrit : « Là, M sera probablement mal interprété par la polymérase comme étant T au lieu de C, ce qui entraînera une défaillance métabolique cellulaire conduisant à l’apoptose, ou à la carcinogenèse – la conversion en cellules cancéreuses. »

(Apoptose est un terme sophistiqué pour « mort cellulaire »).

Ce n’est pas tout :

Comme pour les cellules infectées par un virus dans le premier exemple, l’apoptose des cellules contenant du M ne ferait que libérer les A/U/T/G/C [NdT. les cinq bases azotées qui composent l’EDN et l’ARN, à savoir, A = adénine; U = uracile; T = thymine; G = guanine; C = cytosine] et les éléments de M dans l’organisme, où ils pourraient être récupérés ou excrétés. M, contrairement à la plupart des médicaments, ne sera probablement jamais vraiment « métabolisé » à partir de ses formes actives potentielles. Il ne fera qu’alterner entre les formes 2/3phosphate+1/2OHchose+, rebondir de cellule en cellule, et répéter les mêmes interactions jusqu’à ce qu’il soit dégradé. La « demi-vie » de M – le moment où il cesse d’être disponible sous des formes activement utilisables – dans le monde réel est probablement impossible à évaluer.

Ce qu’il veut dire par là, c’est que les cellules mutées, sous l’action de M, risquent de faire perdurer indéfiniment le cercle vicieux dans votre corps. Mais ce n’est pas le pire:

Le M excrété, par exemple, pourrait pénétrer le génome microbiotique (bactéries de l’intestin et d’ailleurs), produisant potentiellement des bactéries mutantes. Même après la mort des cellules bactériennes due à des mutations létales lors de la réparation de l’ADN et de la division cellulaire, M pourrait être recyclé dans d’autres bactéries. Ces dernières pourraient, bien entendu, transmettre M à d’autres organismes, ce qui pourrait entraîner une « carcinogenèse et une infertilité induites par M dans la nature » dans tous les domaines de la vie.

Le M cellulaire non excrété, circulant en liberté, une fois réduit à des niveaux inférieurs, pourrait finir par être incorporé dans des virus ARN et ADN viables, et transmis par le destinataire initial.

L’homme deviendrait en définitive le vecteur d’une certaine quantité de M qui « infectera » l’ensemble du cycle nucléoside-métabolique de la Terre, jusqu’à sa dégradation finale.

En d’autres termes, le Molnupiravir pourrait devenir une sorte de « virus » environnemental à part entière… appelons-le « malware » avec un M. [NdT. Un malware, ou logiciel malveillant, est un terme générique utilisé pour désigner une variété de logiciels hostiles ou intrusifs]

Ce malware commencerait par endommager votre corps, puis serait excrété dans l’écosystème et, à partir de là, s’auto-propagerait, provoquant cancer et infertilité non seulement chez les humains, mais aussi chez les animaux et la faune.

Tout ça est vraiment, vraiment très grave.

Il y a quelques années, les abeilles ont été menacées d’extinction par le Syndrome d’Effondrement des Colonies, qui est un euphémisme pour « génocide des abeilles », par des causes inconnues. Les pesticides ont clairement été considérés comme responsables de ce phénomène, mais quels effets nos produits pharmaceutiques en libre circulation pourraient-ils avoir sur les colonies d’abeilles?

Les abeilles ne sont pas les seules à être menacées. Cet été, dans la région de Washington DC et dans plusieurs États, des oiseaux chanteurs sont morts d’une maladie mystérieuse. Etant donné la présence de symptômes neurologiques et de crises d’épilepsie, je suggère que cela pourrait être dû à une sorte de poison ou de maladie environnementale… plutôt qu’à un climat trop chaud ou trop froid. [NdT. certains ont également désigné la 5g comme cause possible]

Serions-nous même capables de déterminer si les déchets médicamenteux ont un impact sur ces animaux?

Est-ce qu’ils nous le diraient?

Alex Jones avait-il raison à propos des grenouilles?

Au fait, c’est quoi exactement, le Molnupiravir?

Le Molnupiravir est un analogue nucléosidique. Selon ScienceDirect, « les analogues nucléosidiques sont une classe pharmacologique de composés ayant des propriétés cytotoxiques, immunosuppressives et antivirales. »

Cytotoxique, ce qui signifie qu’ils tuent les cellules. Immunosuppressifs, ce qui signifie qu’ils suppriment le système immunitaire.

Je pense que qualifier le Molnupiravir de « malware » n’est pas exagéré. Je laisse le dernier mot à Mowrey, qui a écrit ceci dans un billet complémentaire:

Les analogues nucléosidiques, comme je l’ai expliqué dans « Doppelgänger », ne sont pas des « antiviraux ». Le mécanisme de « réplication virale » qu’ils cherchent à saboter est intrinsèque au métabolisme cellulaire, à la réparation de l’ADN, à l’expression génétique, à la division cellulaire et à la longévité des spermatozoïdes. L’objectif de la ribavirine, du molnupiravir et de tous les autres analogues en cours de développement est essentiellement d’amputer tout le visage pour se débarasser du nez. Cela ne peut se faire sans inconvénients à court et à long terme, et sans risques profonds pour la fertilité. Il ne s’agit pas d’une plateforme « thérapeutique » – c’est une chimiothérapie qui cible le génome. Le fait que ce médicament spécifique ait été mis au point grâce au financement de l’Agence de Réduction des Menaces de la Défense américaine (Ridgeback et Merck n’ont pris le relais qu’après six ans de recherches financées par la DTRA24) est, au mieux, un accident opportun. [NdT. la DTRA, Defense Threat Reduction Agency, déjà citée par Robert Malone, notamment. Y a-t-il un seul aspect de toute cette histoire qui n’émane pas de la recherche militaire?]

Et pourtant, non seulement les « antiviraux » analogues nucléosidiques font encore aujourd’hui l’objet de recherches intensives, mais ils se trouvent dans un angle mort culturel, tant au sein de l’industrie que dans le grand public – ce sont des armes biologiques mortelles à l’échelle de l’anthrax, que l’on imagine à tort comme « similaires au Tamiflu ».

Des malware, effectivement.

Ressources:

Qigong médical et guérison spirituelle gratuits chaque semaine sur LearnItLive.

Podcast sur la santé holistique sur Odysee et Rumble

Chaîne Covid Vaccine Freedom sur Telegram

Chaîne de guérison holistique sur Telegram

Communauté de santé et de bien-être holistique sur Locals

Communauté de guérison holistique non censurée sur MeWe


(1): Attendez, il y a mieux. En réponse à la diatribe d’Alex Jones sur les grenouilles homosexuelles, certains universitaires ont protesté contre la caractérisation des grenouilles intersexuées, car cela est perçu comme un jugement négatif à l’encontre des personnes intersexuées. De Troubling Figures : Endocrine Disruptors, Intersex Frogs, and the Logics of Environmental Science, publié dans la revue Catalyst (c’est moi qui souligne) :

Les toxicologues environnementaux tirent la sonnette d’alarme sur les « mâles génétiques » qui sont « féminisés » par les pesticides, tant sur le plan morphologique que comportemental. Mais le caractère choquant de la grenouille exposée aux produits toxiques ne fonctionne que si l’on suppose que l’intersexualité est effectivement une pathologie. Bien que les organisations de défense de la justice pour les personnes intersexuées et les études scientifiques féministes rappellent au public que l’intersexualité est courante, indépendamment de la présence de produits chimiques perturbateurs endocriniens, la littérature scientifique insiste sur la nouveauté de ces résultats. Par exemple, Hayes et al. (2002) notent que  » ces anomalies [d’intersexualité] n’ont jamais été observées chez les animaux témoins dans les expériences actuelles ou dans plus de 10 000 observations d’animaux témoins dans notre laboratoire au cours des six dernières années  » (p. 5477). Le fait que de nombreux animaux n’ont pas de sexe facile à distinguer est cependant absent du débat public sur ces études (Roughgarden, 2004 ; Avise, 2011).

J’avoue que je n’ai pas lu cet article de manière très approfondie, mais il m’a semblé être un fouillis d’idées contradictoires. Par exemple, d’une part, les colons européens sont critiqués pour leur comportement colonialiste de « destruction des forêts », mais d’autre part, qualifier une espèce végétale invasive d' »invasive » est considéré comme un jugement négatif. Euh… il n’y aurait pas d’espèces invasives si le colonialisme n’avait jamais eu lieu.

Donc je me sens un peu confuse. L’auteur suggère-t-il ici que les produits chimiques perturbateurs endocriniens sont acceptables? Ou que si un perturbateur endocrinien provoque artificiellement l’intersexuation d’une personne, il ne s’agit pas d’une pathologie?

Je pense que nous pouvons trouver un juste milieu et dire que les perturbateurs endocriniens répandus dans l’environnement sont une mauvaise nouvelle, sans diaboliser les personnes (ou les grenouilles) qui ont pu être modifiées par inadvertance à cause desdits perturbateurs endocriniens.


Texte original

Covid Drug Molnupiravir: Toxic Chemotherapy for the Genome?

Or a freefloating bioweapon that could destroy the entire ecosystem?

Stephanie Brail

Dec 5

There’s a classic Alex Jones rant about chemicals in the water turning “the friggin’ frogs gay” that has been memed to death and even turned into a remix with 16 million YouTube views and counting.

It’s easy to laugh at Jones, but some of his predictions seem to come true, spawning the saying “Alex Jones is always right.”

The reality behind Alex’s famous rant is that chemicals have been entering our water supply, including many of the common drugs we take. These chemicals include everything from pesticides to hormones from birth control to chemo drugs.

Could they be turning frogs gay? Perhaps not gay per se, but here’s what pesticides can do to frogs1 (click to read endnote)

“The results show that pesticides with this mechanism of action can cause permanent damage, such as reduced fertility in frogs exposed at the tadpole stage. This supports previous research showing that endocrine-disrupting substances in the environment may negatively impact amphibians. The substance linuron isn’t approved for use in Sweden, but it’s used in other parts of the EU and in North America,” says Cecilia Berg, ecotoxicologist and project leader.

Pharmaceutical drugs are also in our water supply. Did you want to avoid taking psychotropic drugs like Prozac? Too bad, because you might be consuming it even if you don’t want to, seeing as your neighbor may be peeing it out daily.

From The Effects of Drug Production on the Environment:

The Following Are Some of The Most Common Ways that Drugs Contaminate the Environment:

  • During the manufacturing process, drug residue may infiltrate surface waters.
  • Drugs are metabolized by humans and then excreted in trace quantities into the sewage system. This pollution inevitably finds its way into the water supply after going through treatment systems.
  • Veterinary pharmaceuticals are excreted in soils and surface waters by pasture animals.
  • The drugs used in livestock can be distributed using manure as a fertilizer.
  • Unused drugs are often dumped into public water supplies through sinks, toilets, and landfills.
  • During the manufacturing process, direct pollutants are emitted into the atmosphere.

What Happened to the Green Pharmacy Movement?

The issue of pharmaceutical contamination is a huge problem, and one that the media hasn’t really been paying much attention to since the problem first started getting some traction years ago.

There has been some discussion of a green pharmacy movement to help counter some of the ecological problems of modern medicine. But not enough. The idea of a “green pharmacy” seems to have taken a backseat to the dominating environmental narrative of climate change.

My background actually includes environmentalism, and I used to volunteer for a Los Angeles organization called Heal the Bay to collect water samples in the Malibu hills. The septic tanks of the posh celebrity homes were responsible for atrociously high bacterial counts at Malibu beaches, which often scored worse pollution scores (Fs) than seedy Venice Beach, where I lived at the time.

That was probably my first lesson in green hypocrisy.

I even had an environmental blog briefly, focused in part on technology, but it didn’t gain much readership, so I abandoned it. I was ahead of the curve. I wrote a scathing article in the late 2000s about how “climate change” was a terrible issue to focus on, since it was so divisive and overshadowing much more tangible environment problems such as visible pollution in the water and air, issues that maybe left and right could find some common ground on.

Since then, the divide has gotten even worse, and the only “critical” environmental issue is climate change. Sure, we have a big plastic island floating around the Pacific, and Fukushima is still spilling radiation into the sea. We have aging nuclear infrastructure leaking toxins into the environment…did you know about the Red Hill contamination crisis in Hawaii? I only found out about it by accident.

But who cares about all that? Climate change, climate change, climate change!

I’m in disagreement with the right regarding environmental issues as a whole, as I think our entire ecosystem (not just the climate) is under a tremendous amount of stress due to human activity. That said, I’m in disagreement with the left that “climate change” is the number one problem or the only thing we need to focus on.

Climate change is an easy virtue signal, in addition to being a great way for governments to take more control, without actually solving many of the real environment pollution problems we face.

If you pay attention, you’ll notice that climate change narratives generally center around control, much like the covid pandemic. “Climate change” also offers a potentially lucrative new “stock market” consisting of carbon credits…so climate change is environmentalism co-opted for control and money.

But mitigating the damage that pharmaceutical drugs are causing the environment? It’s not profitable and doesn’t lead to any obvious control systems. No wonder it’s ignored.

That said, don’t make the mistake of trying to argue that climate change isn’t real. It’s the same mistake that the “covid isn’t real” people are making. You get stuck in that argument and end up making yourself look like a flat earther instead of steering and controlling the narrative.

Denial is a defensive position.

I’m going on offense. You can argue whether climate change is real or not until you are blue in the face, but it won’t change a damn thing. But I’m looking to shift the narrative completely.

Let’s talk about how our public health policies might be making everything worse and potentially not just harming people but also the environment.

It’s rather ironic to me that the left has fully embraced the vaccine narrative, because mass vaccination as a whole creates environmental waste in the form of chemical byproducts during production as well as syringe waste.

Natural immunity is much more environmentally sound, and yet you’ll rarely hear an environmentalist suggesting we encourage natural immunity for those who are at an almost zero risk of severe covid.

We should be pointing that out, and frequently.

Worse, some scientists are trying to figure out how to put vaccines in our food supply, which means the vaccines themselves could enter into the general environment, harming not just people but wildlife. This isn’t a new thing, by the way. They have been testing edible vaccines for over twenty years.

We need to get in front of this, like yesterday.

Molnupiravir: Worse Than You Thought

Enter molnupiravir. This is the “game-changing” covid drug that the media has been swooning over while making ivermectin out to be some sort of poison.

The UK is set to be the first country to use molnupiravir, and will be given to vulnerable and elderly patients starting very soon.

If you thought synthetic hormones in the environment were bad, wait until you hear what molnupiravir does.

I can’t do this subject justice. So I recommend that when you are done reading this, head on over to Unglossed and read the article Doppelgänger by Brian Mowrey.

Here’s my attempt to summarize his main points in plain language:

Molnupiravir can “insinuate into viral mRNA, causing errors in replication and translation” and “insinuate into nuclear RNA.”

Errors in viral replication may mean new variants…but that may be the least of the problems. Mowrey mentions the potential for “misfolded proteins” that could go anywhere in the body. We’re potentially talking prions here.

You know, like mad cow prions.

Autoimmunity is also a concern.

Molnupiravir may also get into cell mitochondria, disrupting cellular metabolism, which could starve cells to death.

The drug could potentially compete with natural chemicals that produce cell membranes and protein structures necessary for human cell metabolism.

Here’s the kicker:

Molnupiravir, which we’ll call “M” for short in terms of its chemical action, could vie with natural cellular processes, and accidentally be replicated into DNA during DNA repair. Mowrey writes: “There, M will presumably be misread by polymerase as T instead of C, resulting in cellular metabolic failure leading to apoptosis, or carcinogenesis – conversion into cancer cells.”

(Apoptosis is a fancy term for “cell death.”)

That’s not all:

As with virally-infected cells in the first example, apoptosis of cells containing M would merely release A/U/T/G/C and M bits into the body, where they might be salvaged or excreted. M, unlike most drugs, is possibly not going to ever be truly “metabolized” out of potential active forms. It will only alternate between 2/3phosphate+1/2OHthing+ forms, bounce from cell to cell, and repeat the same interactions until degraded. The “half-life” for M – when it ceases to be available in actively employable forms – in the real world is probably unknowable.

What he means is that mutated cells, thanks to M, may keep the vicious cycle going indefinitely in your body. But that’s not the worst of it:

Excreted M, for example, could enter the microbiotic genome (bacteria in the gut and elsewhere), potentially producing mutant bacteria. Even upon the death of bacterial cells due to lethal mutations during DNA repair and cellular division, M could still be recycled to other bacteria. These bacteria could, of course, carry M to other organisms, conceivably resulting in “wild-caught M-induced carcinogenesis and infertility” throughout every kingdom of life.

Non-excreted, free-floating cellular M, once reduced to lower levels, could end up incorporated into viable RNA and DNA viruses, and transmitted from the original recipient.

Humans will merely be the vector for some amount of M to “infect” the entire nucleoside-metabolic cycle of the Earth, until finally degraded.

In other words, molnupiravir could turn into a sort of environmental “virus” of its own…let’s call it malware with an M.

That malware would first damage your body, then be excreted into the ecosystem, and from there, self-propagate, causing cancer and infertility not just in humans but in animals and wildlife.

This is really, really bad.

Bees were being threatened with extinction a few years back via Colony Collapse Disorder, which is a euphemistic way of saying “bee genocide” by unknown causes. Pesticides have certainly been looked at as a culprit, but what effects might our free-floating pharmaceuticals also have on bee colonies?

It’s not just bees at risk. In and around Washington, DC and several states this summer, songbirds were dying of a mysterious illness. With neurological symptoms and seizures happening, I’m going to suggest that this might have been due to some type of environmental poison or disease…rather than the climate getting too hot or too cold.

Would we even be able to find out if drug waste is impacting these animals?

Would they tell us?

Was Alex Jones right about the friggin’ frogs?

What Exactly Is Molnupiravir Anyway?

Molnupiravir is a nucleoside analog. According to ScienceDirect, “Nucleoside analogs are a pharmacological class of compounds with cytotoxic, immunosuppressive, and antiviral properties.”

Cytotoxic, meaning they kill cells. Immunosuppressive, meaning they suppress the immune system.

I think calling molnupiravir “malware” is not too far off. I’ll leave the last word on this to Mowrey, who wrote this in a follow up post:

Nucleoside analogs, as I argued in “Doppelgänger,” are not “antivirals.” The mechanism of “viral replication” which they seek to sabotage is intrinsic to cellular metabolism, DNA repair, gene expression, cellular division, and sperm cell longevity. Ribavirin, Molnupiravir, and all other analogs in development, essentially seek to cut off the face to spite the nose. It cannot be done without short and long term harms, and profound risks to fertility. This is not a “therapeutic” platform – it is chemotherapy for the genome. It is an appropriate accident at best, that this particular drug was developed with funding from the US Defense Threat Reduction Agency (Ridgeback and Merck only took over after six years of DTRA-funded research24).

And yet not only are nucleoside analog “antivirals” still being aggressively researched, they reside within a cultural blindspot both within the industry and the public at large – they are lethal bioweapons on the scale of Anthrax, inaccurately imagined as “kind of similar to Tamiflu.”

Malware, indeed.

Resources:

Free Medical Qigong & Spiritual Healing weekly at LearnItLive

Holistic Health Podcast on Odysee and Rumble

Covid Vaccine Freedom Channel on Telegram

Holistic Healing Channel on Telegram

Holistic Health & Wellness Community at Locals

Uncensored Holistic Healing Community at MeWe


(1): Wait, it gets better. In response to the Alex Jones rant about gay frogs, some in academia took issue with the characterization of intersex frogs, because this is perceived as a negative judgement against intersex people. From Troubling Figures: Endocrine Disruptors, Intersex Frogs, and the Logics of Environmental Science, published in the journal Catalyst (emphasis mine):

Environmental toxicologists ring the alarm on “genetic males” being “feminized” by pesticides, both morphologically and behaviorally. But the shock value of the toxicant-exposed frog only functions under the assumption that intersex is indeed a pathology. Despite intersex justice organizing as well as feminist science studies scholarship reminding the public that intersex is common, irrespective of the presence of endocrine-disrupting chemicals, this scientific literature emphasizes the novelty of these findings. For instance, Hayes et al. (2002) note, “these abnormalities [of intersex] were never observed in control animals in the current experiments or in over 10,000 observations of control animals in our laboratory over the last 6 years” (p. 5477). Missing from the public discussion of these studies, however, is the fact that many animals lack easily distinguishable sexes in the first place (Roughgarden, 2004; Avise, 2011).

I confess I didn’t read this paper too thoroughly, but it seemed like a jumble of conflicting ideas. For example, on the one hand, European settlers are called out for their colonialist “destruction of the woods” but then labeling an invasive plant species “invasive” is described as a negative judgment. Umm…we wouldn’t have invasive species if it weren’t for colonialism in the first place.

So I’m a bit confused. Is the author here suggesting that endocrine-disrupting chemicals are OK? Or that if an endocrine disruptor artificially causes someone to become intersex, that this isn’t a pathology?

I think we can find a middle ground here and say that environmentally-prevalent endocrine disrupters are bad news, without demonizing people (or frogs) who may have been inadvertently changed due to said endocrine disruptors.

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s