Vaccins Covid et immunodépression chez les bébés: un terrain d’enquête fertile – par El Gato Malo.

Préambule

Cinq articles à la suite (dont trois de Igor Chudov) concernant la fertilité des parents et la santé des enfants, quatre sous l’angle de leur santé physique et un sur le plan éducationnel et mental. Je pourrais y ajouter celui-ci, qui liste un certain nombre de morts « inexpliquées » d’enfants vaccinés – mais j’ai mes limites question temps.

Le premier article ci-dessous est de El Gato Malo, qui expose très bien les faits mais a un peu de mal avec l’intention. Comme je le prédisais au début de la « vaccination », il est plus rentable pour réduire la population de stériliser que d’éliminer, l’un n’empêchant d’ailleurs pas l’autre: les bébés qui ont quand même réussi à naître, contre l’avis de Pfizer et des autorités de régulation des médicaments, auront ensuite à affronter, après les hépatites fulgurantes, les infections respiratoires aigües.

L’autre procédé connexe, qui est de pourrir au maximum la vie des candidats parents par la guerre, la pauvreté, la disette/famine, et le grand classique qui consiste à mettre les gens à la rue – ce à quoi s’emploient méthodiquement quelques gouvernements européens, notamment Belgique et France – se montre assez efficace, exception faite des éternels assistés professionnels, qui continuent dans tous les contextes à produire en série des enfants dont ils n’ont ni l’intention ni la compétence de s’en occuper. Ceux-ci iront contribuer à saturer le réseau de placement, plongé aujourd’hui, comme tant d’autres, dans un état de chaos indescriptible, considérablement aggravé par les conséquences des confinements – évidemment.

Tout ceci nous pousse donc inexorablement vers une situation similaire à certains pays du tiers-monde (à titre indicatif, la population totale en Afrique – donc les naissances moins les décès – augmente de un million tous les 23 jours, explosion démographique actuellement impossible à gérer avec les seules ressources du continent). La solution du réseau mondialiste, comme préconisée depuis des décennies par son leader Henry Kissinger, consistera à leur couper l’aide alimentaire, sous le prétexte courant de guerre en Ukraine/mauvaises récoltes/rupture des réseaux d’approvisionnement, et bien entendu, du manque de pétrole, qui sert en ce moment à tout, sur tous les continents, notamment de justification sourde à la grande opération de « dépopulation » en cours. J’ai trouvé à ce sujet des articles qui expliquent calmement que c’est pour nous éviter le pire – guerres civiles et diverses formes de violences post-apocalyptiques hollywoodiennes – qu’on prévoit de nous « réduire » avant la pénurie totale d’énergie. Vous pourrez lire ici qu’il s’agit en fait d’un acte de compassion des maîtres de ce monde envers le troupeau, avant le grand changement tant attendu, dont se félicite ici une dame qui se nomme Christyl Rivers, porteuse d’un Doctorat en Ecopsychologie (?).

A ce propos, je traiterai ensuite brièvement la situation énergétique – avec un article qui ne fait pas la promotion de l’euthanasie planétaire – après quoi je me lance comme promis et assez logiquement dans l’analyse du grand projet de destruction artificielle du climat par géoingénierie, point de bascule programmé de cette civilisation. Pour notre bien, toujours.

Pendant ce temps, comme vous pourrez encore le lire dans les articles de cette (relativement) courte série et dans les nombreux autres que j’ai publiés récemment, la stérilisation va déjà bon train dans les pays riches, selon une stratégie identique à celle employée au Kenya par l’OMS/UNICEF via vaccins anti-tétaniques au βhCG – on ne change pas une équipe qui gagne. Vous pouvez regarder le documentaire sur Children Health Defence. Il n’est qu’en anglais pour le moment mais je suis certain que quelqu’un se dévouera pour le sous-titrer.

Je n’écris pas ce dimanche l’article promis ici – j’ai oublié mes notes au boulot. De toute manière, j’ai assez de mauvaises nouvelles à annoncer pour occuper mon week-end et vous à lire pour tenir la semaine.

Note: les « cygnes noirs » (black swans) désignent en anglais un événement imprévisible ou imprévu, qui a généralement des conséquences extrêmes. C’est assez d’actualité, en effet.

Source.


Traduction

Vaccins Covid et immunodépression chez les bébés: un terrain d’enquête fertile

Encore un cygne noir qui fait office de canari dans une mine de charbon?

El Gato Malo

30 juin

Il y a tellement de « cygnes noirs » ces derniers temps qu’on pourrait se demander si les cygnes blancs ne se sont pas éteints.

Et en voici d’autres, cette fois en provenance d’Australie qui, par une heureuse symétrie métaphorique, est le pays d’où viennent les véritables cygnes noirs.

Hélas, celui-ci semble être d’une race beaucoup, beaucoup plus méchante.

Quelque chose semble se passer très, très mal ICI.

Des « bébés de la pandémie » sans immunité se retrouvent en soins intensifs partout en Australie pour des maladies respiratoires.
Augmentation du nombre de « bébés de la pandémie » non immunisés admis en soins intensifs
Les enfants présentent des « co-infections » au Covid et à d’autres maladies respiratoires.
Le VRS (virus respiratoire syncytial) tue 120.000 jeunes enfants chaque année dans le monde.
Les cas en Nouvelle-Galles du Sud ont explosé, passant de 355 par semaine il y a seulement trois semaines à 3.775 par semaine.
Il n’existe pas de vaccin contre le VRS, mais ses symptômes sont presque identiques à ceux de la grippe et du Covid.

Un nombre inquiétant de « bébés de la pandémie », non immunisés contre les virus respiratoires, se retrouvent gravement malades en soins intensifs.

Les médecins ont révélé que les enfants nés pendant la pandémie de Covid-19 ont besoin de soins intensifs « parce qu’ils sont confrontés à des virus qu’ils n’avaient jamais rencontrés auparavant », comme la grippe, le VRS et le Covid.

Les enfants sont nés et ont grandi alors qu’il n’y avait pratiquement aucun autre virus en circulation en Australie, à part le Covid-19.

Le Dr Philip Britton, pédiatre spécialiste des maladies infectieuses à l’hôpital pour enfants de Westmead, a déclaré qu’une analyse des admissions dans les unités de soins intensifs montre que les bébés sont testés positifs pour la grippe et le Covid en même temps.

« Au cours du dernier mois ou à peu près, nous avons constaté quatre fois plus d’admissions d’enfants à l’hôpital pour la grippe que pour le Covid », a déclaré le Dr Britton au Daily Telegraph.

5% des bébés qui ont à la fois le Covid et la grippe se retrouvent aux soins intensifs. C’est un chiffre terrifiant.

Et cela aboutit à une explosion de pathologies graves chez des bébés chez lesquels on ne s’attendrait pas à les voir:

Environ la moitié des enfants n’avaient aucun problème de santé préexistant, et le nombre élevé d’admissions met le système hospitalier sous pression.

Certains des « bébés de la pandémie » présentent une inflammation de la poitrine, du cerveau et du cœur causée par la grippe, le Covid et le VRS.

Le VRS – virus respiratoire syncytial – est une cause majeure d’infections pulmonaires chez les enfants et peut entraîner une pneumonie ou une bronchiolite, particulièrement dangereuse chez les jeunes nourrissons.

Dans les cas graves, les bébés et les jeunes enfants, dont les minuscules voies respiratoires ne sont pas encore complètement formées et qui ont du mal à faire face à l’infection, peuvent en mourir.

« Parmi les enfants qui se portaient bien jusqu’à présent… Il ne s’agit pas seulement d’une infection thoracique, certains d’entre eux peuvent être touchés par la grippe au niveau du cœur et du cerveau », a déclaré le Dr Britton au Daily Telegraph.

Une alerte au VRS a été lancée il y a trois semaines alors qu’il n’y avait que 355 cas par semaine en Nouvelle-Galles du Sud, mais trois semaines plus tard, ce chiffre est passé à 3.775 en une semaine.

Environ un cinquième de ces enfants ont développé une bronchiolite potentiellement mortelle, et 40% d’entre eux ont été hospitalisés.

Il est possible, voire plausible, de voir des bébés sur-isolés à la fonction immunitaire affaiblie, mais le fait qu’ils soient colonisés par plusieurs virus à la fois d’une manière différente de tout ce que j’ai jamais observé auparavant (bien que cela soit complexe et peut-être une fonction des tests comme cela A ÉTÉ DISCUTÉ (bien qu’il s’agisse des voies inférieures et non supérieures)) semble plus cohérent avec une suppression immunitaire, et non avec un problème de développement, d’autant plus que ce problème d’isolement n’est ni nouveau ni localisé, contrairement à ces conséquences.

A peu près personne n’a eu la grippe et le Covid en même temps. Le Covid était un facteur de concurrence virale massive.

Et soudain, ces bébés sont infectés par 2 ou 3 virus à la fois (peut-être rares, peut-être pas bien testés auparavant), mais surtout, on observe un pic important du taux de soins intensifs.

Essayer de mettre cela sur le compte du « confinement » est une explication totalement insatisfaisante. Si c’était le cas, pourquoi cela ne s’est pas produit il y a un an?

Hum, que s’est-il passé au moment précis où ces bébés ont été conçus ou au cours de leur premier trimestre [de gestation], qu’aucun autre bébé avant eux n’avait connu?

Pour savoir ce qui a touché les bébés nés au premier et au deuxième trimestre de 2022, examinons la période allant du deuxième trimestre de l’année dernière à aujourd’hui, en nous concentrant sur le troisième trimestre.

(Il s’agit d’une vaccination complète, la première dose a été administrée environ 6 semaines plus tôt, nous sommes donc juste sur la cible pour les naissances actuelles jusqu’aux enfants de 6 mois).

Ce vaccin a été fortement conseillé aux femmes enceintes.

Et il n’a pas vraiment été testé au préalable.

Soyons parfaitement clairs: il s’agit d’une hypothèse et la corrélation ne prouve PAS la causalité (il est également possible que ces données soient exagérées). Mais il ne serait pas sage d’ignorer une telle corrélation, surtout quand on sait déjà que les vaccins Covid présentent une forte affinité avec les ovules et le sperme et qu’ils ont des effets sur la fertilité.

(Effets du vaccin Pfizer sur le nombre total de spermatozoïdes mobiles chez les donneurs de sperme) [NdT. ma traduction ici]

Nous ne cherchons pas ici à établir des associations au hasard, nous avons une raison a priori de suspecter certains résultats et les affirmations selon lesquelles « ces vaccins sont sans danger pour les femmes enceintes » se sont révélées dangereusement infondées. Nous avons constaté des niveaux élevés de fausses couches qui, comme tant d’autres choses qui ont fini par se produire, étaient qualifiées d' »impossibles ».

Nous assistons également à une chute très inquiétante des taux de natalité mondiaux, particulièrement marquée au premier trimestre 2022, exactement au moment où l’on s’y attendrait s’il s’agissait d’une suppression de la fertilité par les vaccins.

L’association de ces deux problèmes suggère l’existence d’un lien.

Et si les vaccins peuvent affecter les spermatozoïdes, les ovules et les taux de natalité, ils peuvent aussi affecter les bébés.

Les données sont encore circonstancielles et quelque peu disparates, mais elles sont également frappantes. Les confinements n’expliquent pas cela, pas plus que le Covid passé.

C’est un indicateur majeur d’infertilité. Le PREMIER rapport sur le taux de natalité en Allemagne depuis le début du déploiement. Souvenez-vous que les données sur le taux de natalité arrivent avec 9 mois de retard. Si c’est pire au prochain trimestre, on est dans un scénario à la « Children of Men ».

(SOURCE)

Nouveau tableau du taux de natalité. Excepté davantage d’évolution négative en rouge depuis le début de l’année 2022, j’ai ajouté un nouveau tableau pour les pays qui ne publient pas de données mensuelles/trimestrielles mais que certaines régions publient, ce qui permet de faire une estimation.
La Suisse doit être un des pays les plus pollués sur la planète, vu la chute drastique récente de leur taux de natalité.
Les chiffres des naissances vivantes en Suisse, de 2016 à avril 2022. Les lignes graphiques correspond à la prise de produits injectables au cours de 2021, par groupe d’âge. Les barres rouges correspondent aux naissances vivantes jusqu’à ce jour, en 2022. Le décalage par rapport à la période de vaccination maximale est de neuf mois.

Nous avons affaire dans de nombreux endroits à un événement sigma à deux chiffres [NdT. tout événement extrêmement rare, au-delà du sixième écart-type d’une distribution normale, est appelé événement six-sigma; la probabilité qu’un tel événement se produise est d’environ [2* 10^(-9)], soit deux fois sur un milliard] , ce qui est censé être impossible, même une seule fois. Que ça se produise une douzaine de fois, c’est comme réussir un yahtzee 1.000 fois de suite. [NdT. un yahtzee se produit lorsque les cinq dés sont identiques]

Cela implique un facteur externe largement répandu, nous essayons juste d’établir ce qu’il est.

Nous savons que ces vaccins sont immuno-suppresseurs et qu’ils provoquent toutes sortes de problèmes de ce type et de fixation immunitaire chez les personnes vaccinées. Ces mêmes effets pourraient-ils passer de la mère à l’enfant et être à l’origine du phénomène du « bébé de la pandémie »?

Cela semble très possible.

Je n’irais certainement pas jusqu’à dire que c’est prouvé, mais il y a beaucoup de données convaincantes qui émergent de ces deux sources: la biologie et l’expérience sociétale statistique.

Les données du deuxième trimestre devraient nous en apprendre beaucoup plus (il est probable que nous devions également être très sélectifs par rapport au type de vaccin dans le cadre de cette analyse, car je sais que c’est un problème au niveau de l’ARNm, mais je n’en suis pas sûr pour les vaccins à adénovirus comme ceux d’AZ ou de JnJ, et je doute que ce soit un problème pour ceux qui utilisent un virus réel). [Ndt. cet article en anglais désigne pourtant la protéine de pointe comme élément constant des effets secondaires de tous les vaccins]

Un aspect inquiétant de ce problème est que ces types de maladies ont tendance à apparaître d’abord dans l’hémisphère sud. C’est actuellement l’hiver chez eux et leurs variants et leur évolution virale ont tendance à précéder et à se répandre dans le nord à la saison suivante (ce qui est utilisé dans la conception des vaccins contre la grippe).

Ils sont une sorte de canari dans la mine de charbon respiratoire.

Et cet oiseau n’a pas l’air en bonne santé.

Peut-être que c’est idiosyncratique ou mal rapporté, mais regardons les choses en face, les cygnes noirs se multiplient comme des lapins.

Ce qui signifie qu’on est dans une situation lapineuse.

Je n’irais pas jusqu’à dire que nous savons avec certitude de quoi il s’agit, mais cette question mérite une enquête sérieuse et MAINTENANT.

Le fait que ceci ne soit pas considéré comme une urgence absolue par toutes les agences de santé mondiales m’aurait complètement effaré il y a trois ans. Aujourd’hui, cela semble tout à fait normal.

Ce n’est pas une bonne normalité à laquelle on devrait s’acculturer.

C’est le genre de travail qui aurait dû être effectué bien avant de lancer un vaccin (et qui l’aurait toujours été par le passé). Cela est triplement vrai pour un vaccin dont la méthode d’action est aussi nouvelle.

Le fait que la question puisse même se poser est une condamnation sévère de l’ensemble du processus d’approbation et de commercialisation des médicaments (et des confinements).

On continuera à se faire maltraiter jusqu’à ce qu’on arrive à soustraire la politique de la science.

Vous n’en avez pas encore eu assez?


Commentaire de Igor Chudov sur cet article:

Un article génial! Les nouveau-nés ne sont jamais exposés à aucune maladie puisqu’ils viennent de naître. L’explication officielle « c’est à cause des confinements » n’a aucun sens puisque les bébés étaient de toute façon confinés DANS LA MATRICE.

Nous devons donc chercher ailleurs. Par exemple, dans les SYSTEMES IMMUNITAIRES INCAPACITÉS des nouveaux-nés, qui ont été incapacités parce que leurs mères ont été vaccinées et boostées avec le Covid Vaxx.

Le Covid Vaxx n’a jamais été testé sur les femmes enceintes.

Le réchauffement climatique sera-t-il l’explication officielle? Attendez, c’est déjà le cas!

https://igorchudov.substack.com/p/nejm-global-warming-causes-stillbirths [NdT. ma traduction ici]


Texte original

covid vaccines and immune suppression in babies: fertile ground for inquiry

another black swan playing canary in a coal mine?

el gato malo

Jun 30

there have been so many “black swans” lately that one might be forgiven for wondering if the white ones have gone extinct.

and here come some more this time from australia which, in a pleasing metaphoric symmetry, is from whence actual black swans hail.

alas, this one looks to be a much, much nastier breed.

something appears badly, badly wrong HERE

A concerning number of ‘pandemic babies’ with no immunity to respiratory viruses are ending up seriously ill in ICU.

Doctors have revealed children born during the Covid-19 pandemic are requiring intensive care ‘from encountering viruses they haven’t come across before’, such as influenza, RSV and Covid.

The children had been born and raised when there were virtually no other viruses circulating in Australia, other than Covid-19.

The Children’s Hospital at Westmead infectious diseases paediatrician Dr Philip Britton said an analysis of ICU admissions across shows babies are testing positive for influenza and Covid at the same time.

‘Over the last month or so, we have seen four times the admissions to hospital for flu in children as for Covid,’ Dr Britton told The Daily Telegraph.

a full 5% of babies that get both covid and flu are landing in the ICU. that’s a terrifying number.

and it’s exploding into severe pathologies in the sort of babies in which one would not expect to see it:

About half of the children had no pre-existing health conditions, with the elevated number of admissions putting pressure on the hospital system.

Some of the ‘pandemic babies’ are presenting with inflammation of the chest, brain and heart caused by influenza, Covid, and RSV.

RSV – respiratory syncytial virus – is a major cause of lung infections in children and can lead to pneumonia or bronchiolitis, which is particularly dangerous in young infants.

Severe cases can kill babies and toddlers, whose tiny airways have not yet fully formed and who struggle to cope with the infection.

Among that group who are previously well … It’s not just a chest infection, some of these children can be impacted with the flu affecting the heart and the brain,‘ Dr Britton told The Daily Telegraph.

A warning was sounded about RSV three weeks ago when there were just 355 cases a week in NSW, but three weeks later that has rocketed up to 3,775 in a week. 

Around a fifth of those developed the potentially lethal bronchiolitis, with 40 per cent of them ending up in hospital.

over-isolated babies with lower immune function is possible, even plausible, but seeing them get colonized by multiple viruses at once in a manner unlike any i’ve seen before (though this is complex and possibly a function of testing as come HAVE ARGUED (though this is lower not upper tract)) seems more consistent with immune suppression, not failure to develop especially as this isolation issue is neither new nor localized, but this outcome is.

more or less no one got flu and covid at the same time. covid was a massive viral outcompete.

and suddenly, these babies are getting 2 and 3 viruses at once (possibly rare, possibly not well tested for previously) but more importantly, seeing a big spike in ICU rate.

trying to blame this on “lockdown” is a deeply unsatisfying explanation. if this were so, why did it not happen a year ago?

hmm, what was going on right around when these babies were conceived or in their first trimesters that no other babies before had experienced?

to be affecting babies born in q1-2 of 2022, we’re looking at the span from q2 last year to now with special focus on q3.

(this is full vaxx, first dose trended about 6 weeks earlier so we are right over the target here for current births to 6 mo olds)

this was pushed hard on pregnant women.

and it was not really tested beforehand.

let’s be very clear: this is a hypothesis and correlation does NOT prove causality. (it’s also possible this data is exaggerated) but, you’d be unwise to simply ignore a correlation like this, especially when we already know that covid vaccines were showing strong affinity for eggs, sperm, and having fertility effects.

(pfizer vaccine effects on total motile count in sperm donors)

we’re not randomly mining for association here, we have an a priori reason to suspect outcomes and the claims that “these vaccines are safe for pregnant women” have proven dangerously unfounded. we’ve seen high levels of miscarriage that, like so many things that turned out to happen here, were called “impossible.”

we’re also seeing a deeply unsettling drop in global birth rates that is hitting hard in Q1 2022, right where one would expect it if it were vaccine fertility suppression driven.

these two issue arising together are suggestive of linkage.

and if vaccines can affect sperm and eggs and birth rates, they can affect babies too.

the data is still circumstantial and somewhat patchwork, but it’s also stark. lockdowns did not do this and neither did past covid.

(SOURCE)

this is a double digit sigma event in many places. that’s basically supposed to be all but impossible even once. to happen a dozen times is like rolling yahtzee 1,000 times in a row.

it means there is a widespread external driver, we’re just trying to ascertain what it is.

we know these jabs are immuno-suppressive and are causing all manner of issues in the vaxxed along these lines and around immune fixation. could these same effects pass from mother to child and be driving the “pandemic baby” phenomenon?

it seems very possible.

i certainly would not call it proven, but there is quite a lot of provocative data coming from both directions: biology and statistical societal experience.

Q2 data should show us a great deal more. (we likely also need to be highly selective by vaccine type as we look at this as i know this is an issue for mRNA, but am not sure on the adenovirus vaxxes like AZ or JnJ and doubt it’s an issue in any using actual virus.)

a worrying aspect of this is that these sorts of disease issues tend to appear in the southern hemisphere first. it’s currently winter there and their variants and viral evolution tend to lead and spread to the north next season. (this gets used in flu vaxx design)

they are a sort of canary in the respiratory coal mine.

and this bird is not looking healthy.

maybe it’s idiosyncratic or misreported, but let’s face it, black swans are multiplying like rabbits.

and that means something bunny is going on here.

i would not go so far as to say that we know for sure what it is, but this issue warrants serious inquiry and NOW.

the fact that this is not an all hands on deck emergency at every global health agency would have shocked me to the bone 3 years ago. now it just seems par for the course.

that is not a good normal to which to acculturate.

this is the sort of work that should have been done LONG before going wide with a vaccine (and always would have in the past). this is triple true of one with such a novel method of action.

the fact that this is even a question is a nasty indictment of this whole drug approval and marketing process. (and for lockdowns)

the beatings will continue until you get politics out of science.

had enough yet?

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