L’objectif principal est de soutenir le pétrodollar fiduciaire, et l’empire mondialiste qui s’en nourrit, par tous les moyens, y compris en réduisant l’humanité à un lourd esclavage. Des ennemis invisibles sont nécessaires pour que les gens ne viennent pas brouiller les cartes, car sans une conformité aveugle, tous ces projets n’aboutiraient à rien. Le climat, comme le COVID, est donc un exercice préliminaire de conformité et de rééducation des masses. En substance, le monde naturel est appelé à devenir notre ennemi, dont nous devons être sauvés (par la monétisation et la réglementation). À l’époque où je côtoyais des « costards », le projet était de promouvoir l’agenda vert en sachant pertinemment qu’il ne parviendrait pas à satisfaire les besoins en énergie, idéalement en échouant de manière assez catastrophique pour créer une dépendance totale à l’égard de l’État.
John Dee, 28 juillet
Voici un démenti succint de la plus récente intox médiaclimatique, vue depuis les États-Unis. Désolé, il y est beaucoup question de CO2 (l’ennemi invisible) mais c’est pour une bonne cause.
Pas facile de taper avec des moufles mais je reviens juste après pour parler de dépopulation.
Le mythe d’une planète surchauffée
Les températures élevées de cette année s’inscrivent dans une lente tendance au réchauffement, sur une planète où le nombre de décès dus au froid est bien plus élevé que celui dû à la chaleur, et où nous avons besoin de combustibles fossiles pour nous protéger des deux
Alex Epstein
28 juillet
Mythe: les températures élevées de cette année montrent que les combustibles fossiles rendent déjà la Terre invivablement chaude.
Vérité: les températures élevées de cette année s’inscrivent dans une lente tendance au réchauffement sur une planète où les décès dus au froid sont bien plus nombreux que ceux dus à la chaleur, et où nous avons besoin de combustibles fossiles pour nous protéger des deux.
Le mythe d’une planète surchauffée détruit en quatre points
- Les décès liés au froid > les décès liés à la chaleur
- La Terre se réchauffe lentement, et moins dans les régions chaudes.
- Les combustibles fossiles nous protègent des températures dangereuses
- Les politiques anti-combustibles fossiles augmentent les risques liés au froid et à la chaleur.
- Les principaux médias présentent les températures de cet été comme invivablement chaudes et proposent comme solution l’adoption rapide de politiques de lutte contre les combustibles fossiles.
En réalité, le froid est un problème bien plus important que la chaleur, et les politiques anti-carburants fossiles nous mettront encore plus en danger.1

- Toute personne qui commente de manière responsable les températures estivales doit reconnaître 4 faits:
- Les décès liés au froid > les décès liés à la chaleur
- La Terre se réchauffe lentement, et moins dans les régions chaudes.
- Les combustibles fossiles nous protègent des températures dangereuses
- Les politiques anti-combustibles fossiles augmentent les risques liés au froid et à la chaleur.
- Décès liés au froid > décès liés à la chaleur
- Lorsque nos dirigeants discutent du réchauffement de la planète, ils considèrent que le réchauffement est manifestement mauvais. Mais alors qu’ils décrivent la planète comme étant déjà « trop chaude », le fait est que beaucoup plus d’êtres humains meurent du froid que de la chaleur.
- Étude après étude, on constate que les décès dus au froid sont 5 à 15 fois plus nombreux que ceux dus à la chaleur. Sur tous les continents, le froid est plus dangereux que la chaleur. Même dans de nombreux pays que nous considérons comme particulièrement chauds, comme l’Inde, les décès liés au froid dépassent largement ceux liés à la chaleur.2

- Le fait que beaucoup plus d’êtres humains meurent de froid que de chaleur signifie que dans un avenir prévisible, même sans tenir compte des avantages des combustibles fossiles en matière de chauffage et de réfrigération, le réchauffement climatique alimenté par les combustibles fossiles sauvera plus de vies par le froid qu’il n’en prendra par la chaleur.3

- Tout article sur le réchauffement et la mortalité humaine devrait évidemment mentionner que les décès dus au froid sont la principale source de mortalité liée à la température.
Or, pratiquement aucun article sur le réchauffement ne le mentionne!
Ce niveau d’ignorance et/ou de malhonnêteté est intolérable.
- Une grande partie de la communauté médicale s’est comportée de manière particulièrement honteuse en traitant le réchauffement comme une catastrophe.
Voyez comment la prestigieuse revue The Lancet [NdT. qui nous avait déjà très bien renseignés sur le danger mortel de l’hydroxychloroquine] a considérablement exagéré la menace des décès dus à la chaleur en présentant chaque décès dû à la chaleur comme 5 fois plus important que chaque décès dû au froid sur ce diagramme à barres!4

- La Terre se réchauffe lentement – et moins dans les régions chaudes
- Jusqu’à présent, nous avons enregistré un réchauffement d’environ 1°C à partir d’un point de départ froid dans l’histoire de la Terre, il y a 150 ans. Le réchauffement futur sera limité par la diminution de « l’effet de serre » – et se concentrera dans les régions les plus froides.5
Si nous nous rappelons que le froid tue plus que la chaleur, et si nous comparons le réchauffement moyen de ~1° C (~2° F) qui s’est produit au cours des 150 dernières années avec la large gamme de températures auxquelles nous sommes confrontés chaque jour/mois/année, nous ne devrions pas être effrayés du tout.
Les catastrophistes climatiques ont donc recours à des tromperies pour nous effrayer.6

- La tromperie de la « compression de l’axe des ordonnées ».
Pour donner l’impression que le lent réchauffement que nous avons connu est effrayant, les catastrophistes climatiques ont coutume de montrer le réchauffement, non pas sur une échelle de température humaine, mais sur un axe des ordonnées comprimé, où 1°C semble énorme. Cela revient à mesurer une prise de poids sur une échelle où 1 livre semble énorme.

- La tromperie des « records de chaleur ».
Nous entendons constamment des affirmations alarmistes selon lesquelles nous vivons ou sommes sur le point de vivre « l’année la plus chaude jamais enregistrée ».
Mais étant donné que les relevés ont commencé à une époque froide et que nous connaissons un lent réchauffement, il est évident que nous pouvons nous attendre à un nouveau record chaque année. Et alors?7

- Étant donné que nos relevés de température sont limités, nous alarmer au sujet d’une « année la plus chaude jamais enregistrée » au cours d’une période de réchauffement lent, c’est comme si un médecin avertissait un patient qui a pris 1/10e de livre de muscle qu’il s’agit de son « année la plus lourde jamais enregistrée ».
- La tromperie de « l’année la plus chaude jamais enregistrée ».
Les catastrophistes climatiques assimilent souvent de manière absurde un mois ou une année « les plus chauds jamais enregistrés » – ce qui fait référence aux moins de 200 ans pour lesquels nous disposons de relevés de température détaillés – à « les plus chauds jamais enregistrés ».
Même si la Terre a été 25°F plus chaude pendant des millions d’années!8

Je ne veux pas que les générations futures se souviennent de ce moment et se demandent pourquoi nous n’avons pas fait tout ce qui était en notre pouvoir pour lutter contre le changement climatique.
- La tromperie consistant à « traiter les extrêmes locaux comme des extrêmes mondiaux ».
Compte tenu de la lenteur du réchauffement climatique, les variations locales de température ont tendance à être beaucoup plus importantes que les variations globales. Pour nous effrayer, les catastrophistes prennent les températures locales les plus chaudes et les présentent comme globales, de sorte que nous pensons qu’il fait très chaud partout. - L’attention portée par les médias nationaux au Texas lorsque ce pays a été « anormalement » chaud, sans tenir compte des nombreux endroits qui ont été « anormalement » frais, est un exemple de cette façon de traiter les extrêmes locaux comme s’il s’agissait d’un phénomène mondial.9

Légèrement inférieures à la moyenne. [-0.05°F]
53 jours sur 92 inclus dans le calcul.
Profitez-vous de cet été confortable dans la vallée de l’Ohio, le centre du littoral atlantique et les Carolines? 🌡️✅
Cette semaine, nous allons rendre cette carte un peu plus jaune dans l’Iowa et les Grands Lacs, et peut-être effacer ce bleu foncé de Lexington à D.C. 📈
- Pour avoir une idée plus précise des vagues de chaleur, il suffit de consulter l’indice annuel de vague de chaleur de l’EPA [NdT. Agence de Protection de l’Environnement américaine], qui indique que « les données à plus long terme montrent que les vagues de chaleur des années 1930 restent les plus graves jamais enregistrées dans l’histoire des États-Unis ».
Les « rapports » d’aujourd’hui ne vous donneront aucune indication sur ce point.10

- La tromperie consistant à « traiter le réchauffement dû à El Niño comme un réchauffement global ».
Au réchauffement lent de la planète, nous subissons un réchauffement supplémentaire dû au passage de La Niña à El Niño. Il s’agit d’un phénomène temporaire, et non d’une tendance climatique, mais les catastrophistes l’exploitent pour exagérer le réchauffement climatique.11

- Jusqu’à présent, le réchauffement a été lent et bénin. Mais le réchauffement futur rendra-t-il le monde incroyablement chaud?
Non, compte tenu de deux faits presque universellement reconnus par les climatologues: 1) la diminution de l’impact du CO2 sur le réchauffement et 2) la concentration du réchauffement dans les régions plus froides.
- L’impact du CO2 sur le réchauffement diminue (« logarithmiquement ») à mesure que sa concentration augmente.
Chaque nouvelle molécule de CO2 que nous ajoutons à l’atmosphère a un effet de réchauffement moindre que la précédente. Le réchauffement diminuera à mesure que les émissions augmenteront – la seule question est de savoir à quel rythme.12

Même les « scénarios » les plus invraisemblables du GIEC anti-carburants fossiles prévoient une diminution du réchauffement et un monde très vivable avec une population croissante.13

- Le réchauffement climatique se concentre dans les régions les plus froides du monde (comme l’Arctique), aux heures les plus froides de la journée et pendant les saisons les plus froides.
Cela signifie qu’à l’avenir, le réchauffement se produira davantage dans des situations froides où il permettra de sauver des vies que dans des situations chaudes où il causera des problèmes.14

- Tous les rapports sur le réchauffement de la Terre devraient préciser non seulement que les êtres humains sont beaucoup plus menacés par le froid que par la chaleur, mais aussi que la Terre se réchauffe lentement – et moins dans les endroits chauds.
Le fait que pratiquement aucun rapport ne le reconnaisse montre que la plupart des « rapports » sont de la propagande.
- Les combustibles fossiles nous protègent des températures dangereuses.
Non seulement le réchauffement dû aux émissions de CO2 des combustibles fossiles est lent et, à bien des égards, bénéfique, mais l’énergie particulièrement rentable que nous tirons des combustibles fossiles nous protège à la fois du froid et de la chaleur. - La présentation du réchauffement des températures comme un énorme danger repose sur le raisonnement fallacieux qui consiste à ne considérer que les effets négatifs d’une chose (dans ce cas, le réchauffement), et non ses avantages.
Les opposants aux combustibles fossiles se rendent également coupables de ce type de raisonnement en ignorant les avantages des combustibles fossiles en termes de maîtrise de la température.
- La clé pour se protéger des températures dangereuses est de les maîtriser en produisant différentes formes de protection thermique, telles que l’isolation des bâtiments, le chauffage et l’air conditionné. Toutes ces choses nécessitent de l’énergie, ce qui signifie pour la plupart des gens qu’elles nécessitent des combustibles fossiles.
- Les combustibles fossiles sont la seule source d’énergie fiable et peu coûteuse qui, dans un avenir prévisible, peut fournir de l’énergie à des milliards de personnes – dans un monde où 3 milliards de personnes utilisent encore aujourd’hui moins d’électricité qu’un réfrigérateur américain typique.15
- Les pays en développement utilisent massivement les combustibles fossiles parce que c’est de loin le moyen le moins coûteux pour eux d’obtenir une énergie fiable. Le solaire et l’éolien, peu fiables, sont loin de faire le poids. C’est pourquoi la Chine et l’Inde ont des centaines de nouvelles centrales à charbon en cours de développement.16
- Les « études » qui affirment que le réchauffement futur rendra le monde invivablement chaud omettent la possibilité de maîtrise des températures. Par exemple, une évaluation utilisée par l’EPA suppose de manière absurde que si une ville comme Chicago devenait aussi chaude que certaines villes du Sud aujourd’hui, elle ne s’adapterait pas et souffrirait d’une mortalité massive due à la chaleur!17
- Les journalistes et les dirigeants devraient avoir le bon sens de considérer que si l’on s’intéresse aux effets secondaires de l’utilisation des combustibles fossiles sur la température, il faut également prendre en compte les énormes avantages qui en découlent en termes de maîtrise de la température.
Mais ce bon sens n’est presque jamais mis en pratique.
- Les politiques anti-combustibles fossiles augmentent les risques liés au froid et à la chaleur
- La disponibilité d’une énergie rentable est le principal facteur qui déterminera la sécurité des personnes face au froid et à la chaleur pour les décennies à venir.
Les politiques anti-carburants fossiles augmenteront le nombre de décès dus au froid et à la chaleur.
- Sur une planète où les gens meurent beaucoup plus de froid que de chaleur, mais où les deux constituent des menaces majeures, la clé de la sécurité est de rendre l’énergie aussi abordable et abondante que possible afin que le plus grand nombre puisse se payer un chauffage et une climatisation. Dans un avenir prévisible, cela signifie davantage de combustibles fossiles.
- Bien que des milliards de personnes aient besoin de combustibles fossiles pour se protéger du froid (surtout) et de la chaleur, les médias et les dirigeants actuels prétendent que la chaleur est le seul problème et que la solution consiste à suivre des politiques anti-combustibles fossiles censées refroidir la Terre.
C’est d’une malhonnêteté stupéfiante.
- Non seulement les politiques anti-carburants fossiles privent les gens de l’énergie dont ils ont besoin pour se protéger à la fois du froid et de la chaleur, mais ces politiques ne pourront pas refroidir la Terre avant au moins plusieurs décennies [NdT. pour le coût, voir ici, et pour l’impact réel (nul), voir ici], et seulement si le monde entier, y compris la Chine, les suit à la lettre.
- Même si une énergie net zéro à 100% n’est possible que dans quelques décennies (ce qui est absurde), cela n’aura même pas un impact minime sur le refroidissement tant que les émissions ne seront pas nulles (ou négatives) et que l’énergie du réchauffement actuel ne se dissipera pas.
Il est malhonnête de présenter les politiques de lutte contre les combustibles fossiles comme ayant un quelconque effet de refroidissement dans un avenir proche.18

- Les températures dangereusement froides et chaudes sont de loin les plus problématiques pour les pauvres. Ce dont ils ont besoin, c’est de plus d’énergie fossile pour la climatisation et le chauffage, et non d’une politique climatique et énergétique qui empêche la mise en place de véritables solutions à faibles émissions dans le futur et qui rend l’énergie coûteuse aujourd’hui.
- Quiconque donne des conseils sur la manière de gérer les températures élevées est tenu de donner des conseils qui aideront réellement les êtres humains dans un avenir prévisible. Prétendre que soutenir les politiques anti-carburants fossiles aidera les gens dans un avenir proche en refroidissant la Terre est un mensonge.
- C’est non seulement un mensonge que de prétendre que les politiques anti-carburants fossiles protégeront les gens dans un avenir proche en refroidissant la Terre, mais c’est aussi un mensonge mortel, car dans la pratique, cela signifie empêcher les gens d’acquérir l’air conditionné dont ils ont besoin pour faire face aux températures chaudes d’aujourd’hui et de demain.
- Le seul moyen moral et pratique de réduire les émissions de CO2 – un phénomène mondial – est l’innovation qui rend les énergies à faible teneur en carbone compétitives au niveau mondial. Tant que les combustibles fossiles seront l’option la plus compétitive, en particulier dans les pays en développement, ces derniers choisiront (à juste titre) d’émettre du CO2.19
- Réduire les émissions de CO2 d’une manière humaine et pratique signifie se concentrer sur la libération d’alternatives – en particulier la plus puissante, le nucléaire – pour essayer de réellement surpasser les combustibles fossiles à l’avenir.
Nous priver de combustibles fossiles aujourd’hui et prétendre que la Chine suivra est immoral et impraticable.
- En imputant aux « Républicains MAGA » pro-énergie fossile la responsabilité des températures élevées, Hillary Clinton esquive ces questions:
- le froid est plus dangereux que la chaleur
- le réchauffement est lent
- nous avons besoin de combustibles fossiles pour nous protéger du froid et de la chaleur
- les politiques anti-carburants fossiles ne refroidiront pas la Terre mais tueront des gens
- les émissions de CO2 sont mondiales

- De nombreuses personnes ont considéré, à juste titre, qu’il était inacceptable qu’Hillary accuse ses adversaires politiques d’être à l’origine des fortes chaleurs. Et ils ont raison. En même temps, elle ne fait que régurgiter des mensonges sur le climat qui sont devenus monnaie courante chez nos dirigeants.
Nous vous invitons à partager ces points de discussion pour réfuter ces mensonges.
- NYT – Heat Waves Grip 3 Continents as Climate Change Warms Earth
WaPo – Floods, fires and deadly heat are the alarm bells of a planet on the brink
The Atlantic – When Will the Southwest Become Unlivable?
Guardian – ‘Hell on earth’: Phoenix’s extreme heatwave tests the limits of survival ↩︎ - Zhao et al. (2021)
Bjorn Lomborg: Climate change and deaths from extreme heat and cold
Bjorn Lomborg on Twitter ↩︎ - Bjorn Lomborg – Climate Change Saves More Lives Than You’d Think ↩︎
- Masselot et al. (2023) – Excess mortality attributed to heat and cold: a health impact assessment study in 854 cities in Europe
Bjorn Lomborg on Twitter ↩︎ - NASA – GISS Surface Temperature Analysis (GISTEMP v4)
U.S. National Oceanic and Atmospheric Administration, climate.gov – Climate change rule of thumb: cold « things » warming faster than warm things ↩︎ - NASA – GISS Surface Temperature Analysis
NOAA National Centers for Environmental Information – Daily Summaries Station Details, NY, Central Park
NASA Climate Change – Vital Signs of the Planet, global temperature ↩︎ - Roy Spencer – UAH Global Temperature Update for June, 2023: +0.38 deg. C
NASA – GISS Surface Temperature Analysis (v4) ↩︎ - Bernie Sanders on Twitter
Westerhold et al. (2020) – An astronomically dated record of Earth’s climate and its predictability over the last 66 million years ↩︎ - Ryan Maue on Twitter ↩︎
- U.S. EPA – Climate Change Indicators: Heat Waves ↩︎
- CarbonBrief – Interactive: How much does El Niño affect global temperature? ↩︎
- La sensibilité du climat à l’équilibre est définie comme un réchauffement en °C par doublement des concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Le GIEC estime qu’elle se situe entre 2,5°C et 4°C. D’autres analyses suggèrent qu’elle est inférieure à 2°C.
Climate etc. – Important new paper challenges IPCC’s claims about climate sensitivity
Alex Epstein – Fossil Future: Why Global Human Flourishing Requires More Oil, Coal, and Natural Gas–Not Less ↩︎ - IPCC AR6, WG1 ↩︎
- NOAA – Climate change rule of thumb: cold « things » warming faster than warm things ↩︎
- Robert Bryce – A Question of Power: Electricity and the Wealth of Nations ↩︎
- Global Coal Plant Tracker by Global Energy Monitor ↩︎
- Testimony of Oren M. Cass before the House Committee on Science, Space, and Technology, May 16, 2018
Oren Cass – Doomsday Climate Economics Is a Joke ↩︎ - Testimony of Oren M. Cass before the House Committee on Science, Space, and Technology, May 16, 2018 ↩︎
- Alex Epstein – A pro-human, pro-freedom policy for CO2 emissions ↩︎