Une catastrophe terrestre se prépare – par Ben Davidson.

Quatrième de la série. Il est prêt depuis longtemps, je ne vous fais pas attendre davantage. L’introduction est ici.

Au fait, si rien d’autre, ceci devrait rappeler que la source majeure de modification climatique se trouve dans les émissions électromagnétiques du soleil. Davidson évalue l’impact climatique de l’activité humaine à 5% au grand maximum – j’ai suivi une de ses conférences sur sa chaîne qui détaille précisément son calcul.

L’article suivant – les premières pages de « The Adam and Eve Story » – donnera une vision plus concrète de la catastrophe annoncée ici. Je le publie incessamment, en laissant un peu de temps à mes lecteurs pour digérer ce qui suit.

Note de traduction: j’ai transcrit et traduit la narration, j’ai juste la flemme – et pas trop le temps – de recréer un fichier de sous-titres pour l’afficher sous la vidéo, que vous devrez regarder en V.O. (les sous-titres traduits automatiquement sont nuls, référez-vous à mon texte).

Source.


Une catastrophe terrestre se prépare – TOUTES les preuves

Pour la première fois, toutes les preuves rassemblées en un même lieu. L’histoire complète du cycle des catastrophes de la Terre.

La Terre connaît de longues périodes de tranquillité, rythmées par la lente érosion du vent, de la pluie et de la géologie. Ces périodes sont ponctuées par une catastrophe récurrente. Nous arrivons à la fin de l’une de ces périodes de calme, et une catastrophe se prépare.

En recoupant des millénaires de preuves, des siècles d’études et les capacités modernes de la technologie, nous sommes en mesure de fournir toutes les preuves du cycle des catastrophes sur Terre, et nous disposons de tous les outils pour suivre le prochain cycle.

La Terre est sur le point de subir un événement qui ne lui est plus arrivé depuis des milliers d’années. Les pôles magnétiques se déplacent. L’intensité du champ magnétique terrestre diminue. Des modifications magnétiques se produisent dans tout le système solaire et sur le soleil. Nous allons vous présenter l’histoire de ce cycle de catastrophes, qui nous touchera bientôt à nouveau.

Il y a plusieurs aspects à cette histoire, que nous allons tous aborder ici. Commençons par le déplacement des pôles. Il est bien réel et il va se produire. En fait, il est déjà en train de se produire. Tous les 12 000 ans se produisent de grands déplacements des pôles magnétiques, appelés excursions géomagnétiques. Des événements plus mineurs se produisent également, selon des demi-cycles de 6 000 ans. L’événement de la Chine a été confirmé au début de l’année. Les événements les plus étudiés sont: le dernier en date, il y a 12 000 ans – l’excursion géomagnétique de Göteborg – et un événement exceptionnellement puissant, il y a environ 40 000 ans, appelé Laschamp. Il en va de même pour les autres événements.

On trouve des informations sur tous ces événements dans les revues scientifiques. Ce phénomène se produit très régulièrement, et il est actuellement en train de se répéter. Le déplacement du champ magnétique terrestre a commencé dans les années 1850, mais il a davantage progressé depuis l’an 2000 qu’au cours des quelque 150 ans qui l’ont précédé. Ce changement s’accélère et continuera de s’accélérer.

Par le passé, ces événements ont coïncidé avec des changements climatiques majeurs, des éruptions volcaniques et un stress de la biosphère qui entraîné l’extinction d’espèces. Après des décennies de débats contradictoires dans les milieux scientifiques, une étude concluante a été publiée dans la plus importante revue de géophysique mondiale. Ces excursions magnétiques provoquent l’extinction de nombreuses espèces et mettent à rude épreuve l’ensemble de la chaîne alimentaire. En plus des éruptions volcaniques et des changements climatiques, l’irradiation spatiale supplémentaire pose des problèmes de navigation aux oiseaux, aux mammifères et aux créatures marines.

Ces changements peuvent se produire très rapidement. En fait, même si le prochain se produisait demain, il ne serait déjà plus le plus rapide de l’histoire, alors qu’il dure depuis plus de 150 ans. Lorsqu’il atteindra son point culminant, il évoluera 100 fois plus vite qu’aujourd’hui, voire encore plus vite, et il ne nous restera que quelques mois, voire quelques semaines. Cette histoire se compose de milliers d’éléments, qui se conjuguent pour brosser un avenir effrayant pour notre planète, et ce sont les roches, les sédiments, les fossiles et la lave refroidie qui en témoignent.

Nous allons maintenant voir que cet événement semble frapper l’ensemble du système solaire. Examinons rapidement la situation au niveau galactique. La galaxie abrite une nappe de courant électrique ondulant, tout comme les étoiles, notre soleil et les sphères aimantées dans un laboratoire. Dans notre galaxie, la hauteur, l’amplitude et la longueur d’onde de ces ondes ont été analysées et, en tenant compte d’une vitesse d’environ 600 à 800 kilomètres par seconde du flux radio sortant, elle devrait atteindre notre système solaire tous les 12 000 ans environ. Cette nappe de courant contient le point d’inversion magnétique galactique, et non l’équateur galactique comme beaucoup le croient à tort. C’est ce renversement magnétique galactique, attendu tous les 12 000 ans environ, qui impacte notre système solaire et qui est la force motrice du cycle de catastrophes terrestres de 12 000 ans.

Où en sont ces changements dans le système solaire? Les vents les plus violents de Vénus sont maintenant plus puissants et plus rapides – en fait 33% plus rapides. Des études de la Terre ont montré que l’activité solaire, qui est modulée par le champ magnétique terrestre, contribue à la vitesse des vents à toutes les altitudes, de sorte qu’un changement magnétique sur Vénus serait l’explication de ces vents. Mars a connu plus de changements climatiques que la Terre, une activité sismique accrue, et on pense même aujourd’hui qu’elle possède un manteau actif et vivant, alors qu’on a longtemps pensé que toute la planète était morte. Les études sur le champ magnétique terrestre et l’activité solaire dont nous disposons montrent que ceux-ci sont liés au climat à long terme de la Terre et à son activité sismique, de sorte qu’il serait logique qu’un changement magnétique sur Mars soit ici en cause. Un changement magnétique majeur pourrait même avoir réveillé le manteau de Mars – les experts avaient raison lorsqu’ils pensaient que la planète était morte, et ils ont encore raison aujourd’hui. Il est difficile d’expliquer tous les changements survenus sur Mars par un phénomène unique, si ce n’est un événement magnétique planétaire.

Les nuages de Jupiter montrent de nombreux changements, notamment au niveau de la Grande Tache Rouge, mais le changement le plus intéressant a trait aux signaux radio provenant de ses champs magnétiques. Il s’agit d’une indication directe que ces champs magnétiques sont en train de changer, ce qui expliquerait également les anomalies de ses nuages, car nous savons que sur Terre, les conditions solaires et géomagnétiques ont un impact sur les nuages.

L’orbite trentenaire de Saturne est excentrique et tous les 30 ans, à son point le plus proche du Soleil, une super-tempête se forme dans l’hémisphère nord en raison de l’apport accru d’énergie solaire dans le système. Cette tempête vient de se produire avec 10 ans d’avance, pour la première fois depuis l’invention du télescope. Pourquoi? Un déplacement magnétique sur Saturne permettrait à davantage d’énergie solaire de pénétrer le système – la quantité qui mettait avant 10 ans de plus pour produire une telle tempête.

L’activité aurorale record sur Uranus, ainsi que son activité orageuse record, sont également un indice d’un changement des conditions magnétiques. Les champs magnétiques planétaires empêchent le vent solaire de pénétrer dans l’atmosphère, et un changement du magnétisme d’Uranus entraînerait une augmentation du plasma solaire et de l’activité aurorale.

Neptune vient de connaître une inversion de tempête, ce qui n’est pas anodin. Tout comme les ouragans terrestres, les tempêtes de Neptune suivent des schémas. Imaginons maintenant qu’un ouragan se forme au large de la Floride et qu’il traverse l’Atlantique en direction de l’est pour toucher l’Afrique. Impossible, n’est-ce pas? C’est pourtant ce qui vient de se produire sur Neptune. Et la dominante électrique de la tempête neptunienne suggère que sa cause est une inversion électromagnétique.

Enfin, Pluton a perdu 20% de son atmosphère en moins de deux ans, bien plus que ce que l’on pourrait attendre du gel de l’hiver plutonien. Comment une planète peut-elle perdre son atmosphère aussi rapidement? De la même manière que Mars l’a perdue il y a longtemps.
Lors d’un changement majeur, le champ magnétique s’effondre.

Nous avons ainsi la preuve d’un changement magnétique sur toutes les planètes, et oui, nous en avons également une pour le champ du Soleil. On observe un déplacement notable du champ magnétique coronal et un changement correspondant de la chimie de l’hélium. Si le renversement magnétique galactique a un impact sur l’ensemble du système solaire, nous devrions observer ces changements magnétiques sur toutes les planètes et sur le Soleil, et c’est exactement le cas.

Mais la nappe de courant galactique devrait également transporter des poussières, des ions, des gaz neutres et avoir un impact sur les champs magnétiques à grande échelle qui entourent l’ensemble du système solaire. Que constate-t-on?

Les scientifiques observent plus d’ions interstellaires que prévu. C’est le premier point.

Les scientifiques observent également plus d’hydrogène énergétiquement neutre que prévu. C’est le deuxième point.

Et comme le montrent plusieurs études récentes, la quantité de poussière augmente dans le système solaire interne. C’est le troisième point.

Les scientifiques remarquent également des changements phénoménaux dans le ruban IBEX [Interstellar Boundary Explorer, ici et ici, en anglais], l’empreinte magnétique interstellaire sur l’héliosphère extérieure entourant le système solaire. Soit quatre points sur quatre en matière de chimie et de magnétisme à grande échelle, auxquels s’ajoutent les changements magnétiques sur les planètes du système solaire et sur le Soleil – un changement au niveau de tout le système solaire.

L’histoire de la Terre, les observations modernes, le système solaire et la physique galactique chantent tous la même chanson.

Mais ce n’est pas tout. Si la nappe de courant galactique se déplace radialement vers l’extérieur à partir du centre galactique, n’aurions-nous pas dû voir les étoiles les plus proches du centre de la galaxie être touchées? En raison de la distance entre les étoiles, nous ne pouvons observer que les plus proches, le système de Proxima Centauri et l’étoile de Barnard. Il y a aussi l’étoile A.D. Leo [ici], qui se trouve à peu près à la même distance du centre de la galaxie que nous, mais à plusieurs années-lumière au nord. Ces trois étoiles ont connu des explosions à des niveaux superéruptifs ou supérieurs. L’étoile de Barnard en premier, car elle est la plus éloignée. Proxima a ensuite connu une activité éruptive record. Et récemment, il en a été de même pour A.D. Leo.

Il aurait été intéressant de disposer des technologies les plus modernes il y a 60 ou 80 ans, pour observer l’activité d’étoiles plus éloignées, mais toutes celles que nous avons surveillées de cette manière à l’ère moderne ont connu l’augmentation à laquelle on pourrait s’attendre si la nappe galactique les avait touchées en premier. Et elles l’ont fait dans le bon ordre, en ligne droite vers le Soleil, et notre système solaire est le suivant sur cette trajectoire.

Jusqu’à présent, toutes ces histoires se complètent. Alors, penchons-nous un peu plus sur l’idée d’explosion stellaire. L’une des preuves récurrentes de ces cycles est la découverte sur Terre d’isotopes typiques de nova, qui ne peuvent être produits que lors d’un épisode de nova stellaire. Or, il se trouve qu’on les retrouve dans les microtectites et les fossiles correspondant au cycles de catastrophes terrestres de 12 000 ans.

Mais la nappe de courant galactique peut-elle produire un phénomène récurrent de micro-nova sur le Soleil? Oui. En effet, les scientifiques savent que ces nova récurrentes sont déclenchées, ailleurs dans l’espace, de deux manières. L’une d’entre elles résulte d’un coup de fouet magnétique qui frappe l’étoile et l’autre se produit quand de la matière se déverse sur l’étoile, une accumulation appelée accrétion. Il se trouve que la nappe de courant galactique entraîne l’inversion magnétique galactique, donnant ainsi ce coup de fouet magnétique, et que les poussières supplémentaires, les particules neutres et les ions qui accompagnent cette nappe forment le matériau déversé sur l’étoile. Les deux méthodes connues pour créer une nova réunies en une seule au sein de la nappe de courant galactique.

Depuis la première étude sur les nova à prendre en compte l’influence du champ magnétique, nous savons que les isotopes fixés à la poussière ne peuvent pas quitter le vestige de la nova. Par conséquent, les isotopes qui arrivent sur Terre tous les 12 000 ans proviennent obligatoirement de notre étoile. Les isotopes nous indiquent tout ce dont nous avons besoin pour comprendre le fonctionnement de notre étoile. La nappe de courant galactique réunit les deux mécanismes connus, et les isotopes ne peuvent pas provenir d’une autre étoile. Les coïncidences s’accumulent.

Il se trouve que des événements de micro-nova solaire de multiples étoiles ont finalement résolu un problème de longue date de la physique galactique. On savait que la nappe de courant existait et qu’elle s’étendait à toute la galaxie, mais les modèles ne permettaient pas de déterminer comment elle se perpétuait à si grande distance. Or, il se trouve qu’en injectant l’énergie d’une nova directement dans le système magnétique de la galaxie, au niveau de la nappe de courant, elle trouve la puissance nécessaire pour persister et se maintenir. Ainsi, cette nappe de courant responsable d’explosions stellaires permet en fait de résoudre les problèmes de la physique galactique. L’année dernière, après avoir juré pendant de nombreuses années que ce n’était pas possible, que cela n’existait pas, les astronomes ont finalement admis l’existence des micro-novas. Ces événements récurrents au niveau du Soleil sont non seulement la seule explication à la présence d’isotopes sur Terre, ils sont non seulement potentiellement déclenchés de deux façons par la nappe de courant galactique, mais ils sont également nécessaires pour expliquer nos observations de la galaxie dans l’univers réel. Même histoire, domaines scientifiques différents.

Revenons donc à la Terre. Tous les catastrophistes de l’histoire ont prévu que la Terre basculerait, changerait d’axe et subirait des tsunamis massifs lorsque les océans se déchaîneraient. Einstein et plusieurs autres ont convenu que c’est la séparation de la croûte et du manteau qui provoquerait cette bascule. Mais ils ne parvenaient pas à comprendre comment.

Comment la croûte se déverrouille-t-elle? Nous savons maintenant, grâce aux preuves contemporaines, que la croûte est verrouillée par un équilibre thermoélectrique et les scientifiques savent déjà que l’influence solaire induit dans le manteau un courant électrique en traversant la frontière entre la croûte et le manteau.

La micro-nova solaire génère suffisamment de courant pour perturber les aspects thermiques et électriques de cet équilibre thermoélectrique, ce qui libère la croûte. La micro-nova est donc également l’élément essentiel permettant de compléter l’histoire des catastrophistes qui affirment que la Terre bascule, change d’axe et déclenche des tsunamis massifs.

Il est intéressant de noter que plusieurs scientifiques de l’époque d’Einstein ont également calculé ce qui se passerait si l’on parvenait à déverrouiller la croûte terrestre. Le poids de la glace dans la région polaire tendrait à se déplacer vers l’équateur, le point où la force centrifuge est la plus grande. Il se trouve que la Terre basculerait sous l’effet de cette grande masse de glace, de sorte que le Groenland se retrouverait à l’équateur, de même que la partie de l’Antarctique située au sud de l’Australie. Le golfe du Bengale dans l’Océan Indien et le Pérou se retrouveraient ainsi aux pôles nord et sud, ce qui correspond exactement à ce qu’avaient prédit il y a longtemps plusieurs autres catastrophistes qui ne disposaient pourtant pas des calculs mathématiques de l’époque d’Einstein relatifs à la masse de glace, ce qui est absolument stupéfiant.

Mais il ne s’agit pas seulement d’une double coïncidence. Les pôles magnétiques se déplacent déjà, comme nous l’avons mentionné, et sont prêts à se rencontrer pour entrer en collision dans le golfe du Bengale, le Pérou se retrouvant bien sûr du côté opposé de la planète. Si la planète s’incline comme on l’a prédit et comme le suggèrent les calculs ultérieurs, il se trouve que cela ramènera les pôles magnétiques au pôle géographique nord et au pôle géographique sud. Il s’agit peut-être de la plus grande coïncidence qui soit, mais elle n’en est qu’une de plus sur notre liste.

L’histoire devient encore plus intéressante lorsque l’on réalise que les textes religieux et les récits mythologiques décrivent exactement ces événements, depuis la Terre qui oscille comme un ivrogne jusqu’au soleil noir durant les jours d’obscurité, causé par les matériaux accumulés sur le soleil avant que survienne la micronova, en passant par les grandes vagues, les inondations, les incendies, les volcans et la disparition d’espèces.

Alors, de quelle manière ces anciens récits concordent-ils aujourd’hui avec la science? Non seulement avec la science, mais aussi avec l’humanité elle-même. La culture humaine d’aujourd’hui donne l’impression que le monde entier est devenu une gigantesque Sodome et Gomorrhe, avec une montée de la dégénérescence satanique et la perte des valeurs morales traditionnelles. Tout se passe exactement comme cela a été écrit. Ces textes prédisent donc ce que la science moderne prédit, jusqu’à la façon même dont les humains se comporteront. Honnêtement, combien de ces coïncidences sommes-nous censés ignorer?

Eh bien, ajoutons-en une autre. Il semble que ce soit exactement ce à quoi se préparent les gouvernements et les élites. Ces gens agissent au mépris de toute règle parce qu’ils savent qu’il n’y aura pas de compte à rendre. Ils dépensent comme s’il n’y avait pas de lendemain parce que, dans une perspective réaliste, il n’y en aura pas. Les gouvernements creusent des souterrains et des membres de l’élite, comme Elon Musk et Jeff Bezos, optimisent leurs options. Bezos est en train de creuser dans une montagne de la Sierra Diablos, juste en face de sa base de lancement Blue Origin. Quant à Elon Musk, il possède SpaceX et la Boring Company [société de forage]. Les célébrités et les milliardaires achètent des bunkers de l’apocalypse à un rythme surprenant. Même Andrew et Tristan Tate en construisent un en Roumanie.

La science commune est constituée d’un vecteur, d’une ligne de preuve, puis des meilleures estimations ou suppositions sur ce qu’elle signifie. Ceci n’est pas de la science commune. Ceci, c’est une histoire similaire qu’on retrouve dans l’histoire de la Terre, la paléoclimatologie, le paléomagnétisme, les fossiles, les sédiments, la physique du système solaire, l’astrophysique, la physique galactique, les observations modernes, les mathématiques, la religion, la culture et le mouvement des élites – tout concorde. N’écoutez pas ce qu’ils disent. Observez ce qu’ils font.

En parlant de mathématiques, le rythme des changements actuels suggère qu’il ne nous reste que 10 à 20 ans. Alors, admettrez-vous que ces montagnes de preuves chantent toutes la même chanson, ou vous laisserez-vous le monde vous distraire? Laisserez-vous l’incrédulité vous dissuader? Votre avenir et celui de vos enfants dépendent de votre réponse à cette question.

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