Une étude révèle que la moitié des personnes vaccinées ne cessent jamais de produire de la protéine de pointe – par Igor Chudov.

Je marque une courte pause dans ma série sur le transmaoïsme (que vous devriez lire) pour retrouver ce bon vieil Igor et son style inimitable – avec une question à la fin – et juste après, Sasha, qui a d’encore moins bonnes nouvelles.

Note: les liens renvoient vers des articles et textes non-traduits. Si intérêt, je veux bien faire le travail, il suffit de demander (envoi sous pli discret).

Source.


Une étude révèle que la moitié des personnes vaccinées ne cessent jamais de produire de la protéine de pointe

Le vaccin Covid, un cadeau QUI DURE

Igor Chudov

1er septembre

Rappelez-vous quand on nous disait que « le vaccin reste dans le bras » et que « la protéine de pointe sans danger n’est produite que pendant quelques jours ». Ils nous disaient qu’ils en étaient sûrs, bien qu’aucune donnée ne vienne confirmer leurs affirmations.

Malheureusement, il apparaît qu’ils nous ont menti. Les données sont maintenant disponibles et elles prouvent que ces affirmations sont fausses!

Une brillante étude scientifique menée par Brogna et al, qui vient d’être publiée, a détecté la présence de la protéine de pointe chez des personnes vaccinées contre le COVID six MOIS après la vaccination – et a exclu la possibilité d’une contamination croisée des données expérimentales avec des infections par le COVID circulant à l’état sauvage.

Détection de la protéine de pointe recombinante dans le sang des personnes vaccinées contre le SARS-CoV-2: mécanismes moléculaires possibles

Résumé: La pandémie de SARS-CoV-2 a incité au développement et à l’utilisation de vaccins de nouvelle génération. Parmi ceux-ci, les vaccins à base d’ARNm consistent en des solutions injectables d’ARNm codant pour la protéine de pointe recombinante, qui se distingue de la protéine de type sauvage par des variations spécifiques d’acides aminés introduites pour maintenir la protéine à l’état préfusé. Ce travail présente une approche protéomique qui révèle la présence de la protéine de pointe recombinante chez les sujets vaccinés, quel que soit le titre de l’anticorps.
Conception de l’expérience: l’examen d’échantillons biologiques par spectrométrie de masse a été utilisé pour détecter la présence de fragments spécifiques de la protéine de pointe recombinante chez les sujets ayant reçu des vaccins à base d’ARNm.
Résultats: le fragment spécifique de la PP-Spike a été trouvé dans 50% des échantillons biologiques analysés, et sa présence était indépendante du titrage de l’IgG anti-SARS-CoV-2. Les durées minimale et maximale pendant lesquelles la PP-Spike a été détectée après la vaccination étaient respectivement de 69 et 187 jours.

Ce qu’ont fait les scientifiques

Les auteurs de l’étude ont utilisé un test sensible, appelé spectrométrie de masse, pour détecter une séquence d’acides aminés spécifique qui n’existe que dans la protéine de pointe induite par le vaccin.

Pour rappel, les vaccins COVID à ARNm contiennent le code génétique nécessaire à la production de la « protéine de pointe », un composant du virus SARS-CoV-2 qui permet au virus de pénétrer et d’infecter les cellules humaines. Au cours du processus de pénétration, appelé « fusion », la protéine de pointe virale change de forme, devenant une sorte de lance qui pénètre la surface de la cellule.

La seule modification apportée par Pfizer et Moderna a consisté à « stabiliser par préfusion » la protéine de pointe codée par le vaccin afin d’éviter qu’elle ne change de forme et qu’elle soit plus stable dans le corps humain. (Pour en savoir plus, cliquez ici).

Les scientifiques ont décidé de rechercher ce composant protéique spécifique, génétiquement modifié.

Conception de l’expérience: l’examen d’échantillons biologiques par spectrométrie de masse a été utilisé pour détecter la présence de fragments spécifiques de la protéine de pointe recombinante chez les sujets ayant reçu des vaccins à base d’ARNm.

Le substitut, qui utilise deux acides aminés proline, est appelé « PP » par les auteurs de l’étude (PP signifie proline-proline). Ils sont italiens et n’ont peut-être pas réalisé que « PP » sonnait mal [NdT. « pipi » en anglais], si bien que dans la plupart des ouvrages en anglais, la séquence est appelée « 2P ». L’humour de niveau maternelle mis à part, les auteurs de l’étude se concentrent sur le composant de la protéine de pointe qui n’existe que dans le vaccin COVID et qui n’est PAS présent dans le virus Sars-Cov-2 existant naturellement.

Pour s’assurer que leur découverte n’est pas fallacieuse, les scientifiques ont inclus un groupe de contrôle composé de personnes n’ayant jamais reçu le vaccin COVID:

Le groupe d’étude, originaire du sud de l’Italie, était composé de 40 sujets, dont 20 avaient été vaccinés avec le cycle complet du vaccin ARNm à partir d’avril 2022, car ils faisaient partie du secteur de la santé, et 20 n’avaient pas été vaccinés et présentaient un test nasopharyngé négatif pour le COVID-19 et aucun titre d’anticorps. Vingt autres personnes non vaccinées ont été ajoutées, qui étaient positives pour le COVID-19.

Les trois groupes ont été examinés.

Il est apparu que seules les personnes du sous-groupe vacciné étaient porteuses de la protéine de pointe dérivée du vaccin. Pire encore, la protéine de pointe du vaccin a été trouvée six mois après la dernière dose!

Le fragment PP-Spike spécifique a été trouvé dans 50% de l’échantillon biologique analysé (figures 1C-E et 2). Cette présence était indépendante du titre des anticorps IgG SARS-CoV-2. Les titres d’anticorps avaient une moyenne géométrique de 629,86 BAU/mL (figure 1E). Le délai minimum de détection de la PP-Spike était de 69 jours après la vaccination, tandis que le délai maximum était de 187 jours. Tous les contrôles (échantillons provenant d’individus non vaccinés) étaient négatifs. Le groupe de contrôle (20 personnes non vaccinées) a également été testé après avoir contracté le COVID-19 et s’est révélé négatif pour la PP-spike.

L’étude n’indique nulle part que la production de la protéine de pointe s’arrête après 187 jours – la limite supérieure du temps après la vaccination était un artefact de la conception de l’étude.

Cette image explique la conception de l’étude et montre l’emplacement de la séquence d’acides aminés de la « protéine de pointe 2P stabilisée »:

Les auteurs expliquent le mécanisme probable de la production persistante de protéines de pointe:

Sur la base des résultats obtenus, des hypothèses peuvent être émises concernant les mécanismes moléculaires possibles de la persistance de « SpikePP ». En particulier, trois hypothèses sont possibles et sont illustrées à la figure 3.

1. Il est possible que l’ARN soit intégré ou re-transcrit dans certaines cellules.

2. Il est possible que les pseudo-uridines à une position de séquence particulière, comme décrit dans l’article, induisent la formation d’une protéine de pointe qui est toujours active de manière constitutive. Mais cela semble très peu probable en tant qu’hypothèse.

3. Il est possible que la particule d’ADN contenant l’ARN soit récupérée par des bactéries normalement présentes au niveau du sang. En fait, l’existence de microbes sanguins chez les individus en bonne santé clinique a été prouvée au cours des 50 dernières années. En effet, des preuves indirectes par des analyses radiométriques ont suggéré l’existence de microbes vivants sous la forme de rhinocytaires [25]. En outre, l’observation du marqueur PP-Spike chez des individus vaccinés plus de 30 jours après le vaccin chez environ 50 % des sujets pourrait s’expliquer par la large biodiversité des microbiotes eucaryotes et procaryotes identifiés dans le sang par les technologies de séquençage de la prochaine génération [25].

En conclusion, la possibilité de détecter la présence de fragments spécifiques de la protéine de pointe recombinante ouvre de nouveaux scénarios pour le contrôle de la présence et de la demi-vie de la protéine de pointe vaccinale chez les personnes vaccinées. A l’heure actuelle, ces premières observations se limitent à l’évaluation de la présence de la protéine vaccinale dans le but d’aider à la décision individuelle d’administrer des doses de rappel ou de temporiser.

Notez la possibilité de mauvaise augure: « l’ARNm peut être intégré ou retranscrit ». C’est quoi, ça?

Le vaccin Covid devient une partie de l’ADN humain?

Il convient de noter la phrase ci-dessus: « Il est possible que l’ARNm soit intégré ou retranscrit dans certaines cellules« . Ce qu’on appelle la transcription inverse, c’est-à-dire l’intégration de l’ARNm du vaccin dans le génome de l’ADN humain dans certaines cellules affectées, a été initialement rejetée sans preuve par la « science COVID », jusqu’à ce qu’elle soit démontrée lors d’expériences in vitro: Les pires craintes se réalisent: L’ARNm de Pfizer se transcrit en ADN.

Si tel est le cas, il existe une possibilité inquiétante que la production de la protéine de pointe COVID ne s’arrête jamais. A titre d’exemple, le virus VIH, qui cause le SIDA, effectue également une transcription inverse et s’intègre dans l’ADN humain, de sorte que les cellules reprogrammées des malades produisent des copies du VIH à l’infini. C’est pourquoi le VIH ne peut être guéri, mais seulement combattu par des médicaments.

De même, les cellules humaines dans lesquelles le code génétique du vaccin COVID a été rétrotranscrit pourraient produire à l’infini la protéine de pointe tout au long de la vie des personnes concernées.

Cela explique-t-il la tolérance immunitaire associée aux IgG4?

[NdT. pour plus d’infos, j’ai traduit ceci]

La tolérance immunitaire, qui est une tendance de l’organisme à ignorer les agents pathogènes persistants au lieu d’opposer une réaction immunitaire vigoureuse, pourrait expliquer pourquoi les personnes vaccinées sont plus susceptibles de contracter des infections répétées et de se débarrasser plus lentement du virus.

La tolérance immunitaire est parfaitement acceptable vis-à-vis des allergènes, des irritants qui ne se répliquent pas et qui existent de manière persistante. Le fait d’ignorer les allergènes, plutôt que de souffrir d’un rhume des foins gênant, explique pourquoi la tolérance immunitaire est une excellente réponse à des irritants environnementaux tels que le pollen ou la poussière.

En revanche, la tolérance immunitaire est mortelle quand il s’agit de résister à des agents pathogènes vivants qui se répliquent!

Un organisme immunotolérant est comparable à une victime de vol tolérante, qui assiste passivement au saccage de sa maison sans opposer de résistance. Le vol peut sembler « bénin », mais les voleurs s’enfuient avec le butin – et ils reviendront encore. Et encore.

Plus d’informations ici: La tolérance immunitaire aux IgG4 provoquée par les boosters explique la surmortalité et le « Covid chronique ».

Le billet susmentionné explique la tolérance immunitaire, pourquoi elle est mauvaise par rapport au Covid-19, et comment elle fonctionne.

Ce que l’article ci-dessus n’a pas entièrement exploré, c’est la raison pour laquelle la vaccination induit une tolérance immunitaire.

L’étude de Brogna et al. dont nous discutons ici nous montre le mécanisme de développement de la tolérance immunitaire à la protéine de pointe. La raison en est que la protéine de pointe, produite indéfiniment, ressemble pour l’organisme vacciné à un « irritant environnemental » au lieu d’être perçue comme un dangereux intrus.

Ils auraient dû faire ces tests avant d’imposer ces vaccins

J’apprécie grandement le travail minutieux et difficile de Brogna et de ses coauteurs, qui ont soigneusement examiné la présence de la protéine de pointe chez les personnes vaccinées, utilisé correctement des sujets témoins pour exclure le COVID-19 en tant que cause alternative, etc.

Je n’apprécie pas la « science Covid », qui a menti sur l’innocuité et l’efficacité des vaccins COVID. Alors que nous entrons dans notre neuvième vague de Covid et que les personnes vaccinées sont infectées et réinfectées, les vaccins se sont révélés inefficaces. Pire encore, ils se sont révélés dangereux, comme le montrent cette étude et de nombreuses autres.

Malheureusement, les vaccins contre le COVID ne sont pas dotés d’un interrupteur, et il n’existe aucun moyen d’arrêter cette production persistante de protéines de pointe.

Un espoir pour les personnes vaccinées

Je ne voudrais pas terminer ce billet sur une note négative. Je tiens à souligner que l’étude n’a trouvé que la MOITIÉ des personnes vaccinées souffrant de la présence continue de la protéine de pointe vaccinale dans leur sang. L’autre moitié, heureusement, se porte bien.

Par conséquent, toutes les personnes vaccinées peuvent espérer ne pas faire partie des individus souffrant de cette production continue de protéines de pointe. C’est un espoir pour tous ceux d’entre nous qui ont été vaccinés ou dont les proches l’ont été.

Curieusement, de même que la moitié seulement des personnes vaccinées continuent à être testées positives pour la protéine de pointe six mois après la vaccination, la moitié seulement des personnes vaccinées développent une tolérance immunitaire. Un processus peut aller de pair avec l’autre!

Ceci n’est pas un billet anti-science

Certains pourraient m’accuser d’être anti-scientifique simplement parce que j’ai parlé de façon négative des charlatans qui ont fait la promotion des vaccins COVID non éprouvés. Loin de là, j’aime la vraie science et je suis toujours heureux de mettre en lumière des recherches importantes qui sauvent des vies, comme l’étude que j’ai citée.

J’ai bon espoir que cette période d’obscurité que traverse la science, causée par le conformisme, la corruption et les idéologies radicalement anti-humaines, prenne fin et que la recherche se recentre sur l’homme, et s’ouvre à la critique et au progrès.

Pensez-vous que la science sera au service de l’homme à l’avenir?

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