Le véritable objectif du promoteur SV40 dans les injections Covid – par Sasha Latypova.

Ça fait un moment qu’on a découvert la présence de SV40 dans des fioles de Pfizer. J’attendais que quelqu’un sorte un article bien écrit à ce sujet – et, ô surprise, c’est Sasha. Le voici. À l’origine du #plasmidgate, Kevin Mc Kernan, généticien de très haut niveau, dont Sasha mentionne ici une interview – que je traduirai ensuite.

Dans l’interview en lien de Sasha par Jane Ruby sont soulevées d’autres questions: celle de la présence (démontrée) d’hydrogel dans d’autres produits injectables (notamment les anesthésiants dentaires) et celle encore plus épineuse de la proximité avec les personnes injectées, déjà évoquée ici de façon très tranchée par le Dr Palevski – sur base d’observations empiriques, sans les résultats des analyses menées depuis – le problème que personne n’a encore voulu affronter. Il faudra pourtant bien.

Source.


Le véritable objectif du promoteur SV40 dans les injections Covid

La transfection de cellules humaines et de cellules du microbiome avec de l’ADN étranger et d’autres charges utiles

Sasha Latypova

1 septembre 2023

L’analyse et le séquençage par Kevin McKernan de l’ADN des flacons de Pfizer et de Moderna ont révélé une « contamination » (à mon avis, intentionnelle) des flacons avec de très grandes quantités de plasmides ADN, un code ADN circulaire qui encode la molécule d’ARN souhaitée. Les plasmides ADN sont utilisés pour cultiver l’ADN dans des cuves de cellules e.coli, car ces cellules bactériennes captent les plasmides et se répliquent rapidement. L’ADN est ensuite récolté en tuant les e.coli avec des antibiotiques, en « coupant » les plasmides en brins et en purifiant l’ADN. C’est la raison pour laquelle les plasmides contiennent également des gènes de résistance aux antibiotiques, qui permettent à la matrice d’ADN de survivre au lavage antibiotique. Lorsque la fabrication de l’ADN se faisait à l’échelle du nanogramme ou du microgramme, cela ne posait pas de problème majeur, mais lorsque l’ADN est fabriqué par kilogrammes, il ne faut pas s’étonner de la recrudescence de diverses infections graves résistantes aux antibiotiques, qui migrent dans l’écosystème, dans l’eau, dans le sol, chez les animaux, etc. Cette abomination mise à part, après l’étape de purification de l’ADN, l’e.coli et tous les plasmides restants sont censés être retirés du produit. Une fois que l’ARNm est produit par une réaction chimique à partir de la matrice d’ADN, il doit à nouveau être purifié et tout ADN résiduel non traduit doit être éliminé. Il est clair que cela n’est pas le cas dans la fabrication des injections covid.

  • Les contaminants plasmidiques à ADNdb provenant d’e.coli modifiés (~10-100x au-dessus de la limite acceptable):
    • Peuvent transfecter des cellules humaines et des cellules du microbiome
    • Contiennent des gènes résistants aux antibiotiques
    • Promoteur SV40 (objectif – transfection du noyau cellulaire**) – non déclaré dans les documents réglementaires
    • Codé pour la protéine de pointe
  • Délivre une combinaison de:
    • ARNm chimique synthétique + morceaux brisés (miARN)
    • Plasmides ADN – réplication à l’intérieur de cellules humaines/cellules bactériennes du microbiome intestinal
    • Septicémie? Dysbiose? Cancer? Myocardite? Stérilité? Malformations congénitales? D’autres cas de Covid?

En plus d’être extrêmement problématique en raison des grandes quantités d’ADN trouvées dans les flacons, la découverte la plus alarmante a été celle de la présence du promoteur SV40 dans la séquence du plasmide ADN. Cet élément n’a pas été divulgué par Pfizer aux autorités de réglementation. Ils ont donc codé un « gène furtif » dans la séquence! Cela correspond exactement à la définition d’une arme biologique donnée par l’armée de l’air (groupe JASON):

Souligné: « l’utilisation de thérapie génique comme arme »
« cette même technologie pourrait être subvertie pour l’insertion de gènes pathogènes. »

J’ai récemment discuté de ce sujet avec le Dr Jane Ruby.

La vidéo complète est disponible ici. Mon intervention commence à 18 minutes.

Le laboratoire de l’université de Rochester (NY) que j’ai mentionné dans l’interview est celui-ci (laboratoire du Dr Dean). Voici quelques citations tirées de la page de ce laboratoire, c’est moi qui souligne:

Il est clair que sans la translocation de l’ADN plasmidique dans le noyau, aucune expression génétique ou « thérapie génique » ne peut avoir lieu. Mon laboratoire continue d’identifier et de caractériser de nouvelles séquences d’ADN qui favorisent l’importation nucléaire de vecteurs non viraux, à la fois dans des cellules en culture et in vivo, ainsi que des séquences qui favorisent le trafic cytoplasmique et intranucléaire.

Au cours des 15 dernières années, les travaux de notre laboratoire ont porté sur le ciblage nucléaire et l’entrée de l’ADN plasmidique. En utilisant des cellules en culture, nous avons montré que les plasmides sont capables de pénétrer dans les noyaux des cellules en l’absence de division cellulaire et de la rupture de l’enveloppe nucléaire qui l’accompagne.

En outre, nous avons démontré que des portions du promoteur SV40 72 pb sont nécessaires pour l’entrée nucléaire de l’ADN plasmidique dans toutes les cellules eucaryotes testées à ce jour ; les plasmides ne contenant pas cette séquence restent dans le cytoplasme jusqu’à la division cellulaire, tandis que les plasmides contenant le promoteur migrent vers le noyau en l’espace de quelques heures. Ces résultats démontrent que le transport de l’ADN dans le noyau est spécifique à la séquence.

Absolument stupéfiant, n’est-ce pas? En résumé: Pfizer a codé un « gène » non divulgué dans la matrice d’ADN à partir de laquelle l’ARNm est fabriqué pour les injections covid. Ils ont ensuite laissé d’énormes quantités de cette matière première dans le produit final. L’objectif de ce composant non divulgué est de s’assurer que ce à quoi il est attaché est acheminé non seulement dans la cellule, mais aussi dans le noyau de la cellule (où réside l’ADN humain). Rappelons toutefois que l’homme ne dispose pas de l’équivalent d’un ADN central dont la modification se répercuterait sur l’ensemble du corps. Le corps humain est constitué de trillions de cellules, chacune disposant d’un noyau contenant de l’ADN (à l’exception des globules rouges), et la majorité des cellules du corps sont constituées d’une variété de cellules non humaines (microbiome) avec leur propre ADN.

Les cellules microbiennes peuvent se répliquer rapidement, comme l’e.coli qui vit dans nos intestins et qui récupère les plasmides qui y aboutissent et peut ensuite répliquer la protéine de pointe, mourir, l’excréter, etc. En outre, le promoteur SV40 garantit que la « cargaison » sera acheminée jusqu’aux noyaux des cellules qui ne se divisent pas ou se divisent lentement, telles que les neurones, les cellules cardiaques, les cellules musculaires squelettiques et les cellules musculaires lisses. Ces dernières cellules sont celles qui tapissent le tractus gastro-intestinal, tous les vaisseaux sanguins, la vessie et l’utérus. Ces cellules ne se divisent normalement pas, car elles ont atteint le stade de la différenciation terminale, essentiel à la croissance et au fonctionnement normaux de l’organisme. Cependant, les cellules conservent la capacité de se diviser, soit pour des raisons fonctionnelles (cellules utérines pendant une grossesse normale) ou pathologiques (croissance cellulaire anormale menant au cancer). C’est la raison pour laquelle le promoteur SV40 est associé au cancer. Il introduit une cargaison étrangère dans le noyau de cellules qui ne se divisent normalement pas, mais qui peuvent entamer ce processus malin si elles ont été piratées par la cargaison étrangère.

Kevin McKernan a récemment été interviewé par Jan Jekielek du Epoch Times. Je recommande vivement cet entretien approfondi à tous ceux qui s’intéressent à ce sujet.

Voici une autre histoire déchirante impliquant le virus cancérigène SV40, un « contaminant » connu du vaccin contre la polio. Il s’agit ici du virus SV40 dans son intégralité, alors que la version actuelle contenue dans les vaccins antipoliomyélitiques n’en est qu’une partie « promotrice ».

sv40.org

Cette fondation a été créée par Raphaele et Michael Horwin, parents d’Alexander Horwin. Alexander est né le 7 juin 1996. Il a été vacciné contre la polio par voie orale en novembre 1997. Le 10 août 1998, on a diagnostiqué chez Alexander un cancer malin du cerveau, le médulloblastome. Alexander est décédé le 31 janvier 1999.

Quatre laboratoires indépendants (Baylor College of Medicine, University of Chicago, University of Texas Southwestern Medical Center, Temple University) ont utilisé des tests ADN (Polymerase Chain Reaction (PCR)) ou la micro-dissection au laser pour rechercher la présence de SV40 dans la tumeur d’Alexander. Tous les laboratoires ont constaté que le tissu tumoral contenait le virus.

En outre, le sang du cordon ombilical d’Alexander a été conservé et stocké par un laboratoire privé. Le sang du cordon est le sang partagé par Alexander et sa mère au moment de la naissance d’Alexander. Ce sang a été testé pour le SV40 par PCR. Il ne contenait pas de SV40.

Les parents d’Alexander ont été testés pour le SV40 par deux laboratoires indépendants (Baylor College of Medicine, University of Wales) à l’aide de plusieurs tests PCR. Tous les tests ont démontré que les parents n’étaient pas porteurs du virus.

Un site web à la mémoire d’Alexander est disponible à l’adresse suivante: www.ouralexander.org

Enfin, une étude récente menée par des chercheurs italiens a démontré sans l’ombre d’un doute qu’environ 50% des personnes vaccinées produisent la protéine de pointe de façon continue lorsqu’elle est mesurée 6 mois après la dernière injection. Igor Chudov
a écrit un très bon article à ce sujet [NdT. que j’ai traduit ici]. L’équipe italienne affirme également que ce phénomène est probablement dû au fait que 1) certaines cellules humaines sont transfectées et que l’ARN modifié est rétrotranscrit dans les génomes de ces cellules ou que 2) les cellules microbiennes présentes dans le sang absorbent le matériel étranger (il peut s’agir d’ARN ou de plasmides, ou des deux) et deviennent elles aussi des usines génératrices de protéine de pointe. Ou bien les deux se produisent à différents endroits du corps. Ce phénomène ne se produit pas chez les personnes non vaccinées, qu’elles soient ou non positives pour le Covid par PCR, de sorte qu’il ne s’agit absolument pas de ce que l’on désigne comme « infection par le Covid ».

La peinture du jour: Dusty Trail, huile sur panneau, 9×12 in.

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