Voici le premier d’une série d’articles qui fait le point, scientifique et officiel, sur les méthodes de traitement des effets psycho-physiologiques du Covid, identiques à ceux des injections et généralement moins sévères.
Pour mettre en perspective le présent article, je connais personnellement quelqu’un récemment pris en charge dans une clinique de traitement psychiatrique suite à des crises comportementales sévères – identifiées comme bipolarité – qui ont débuté juste après ses injections. Cette personne, ainsi que tous les patients hospitalisés à cet endroit avec ce même type de symptômes, notamment le fameux brouillard cérébral, ont toutes montré des signes immédiats et spectaculaires d’amélioration (on parle ici de quelques minutes) dès les premières prises de nicotine sous forme de tablettes à mâcher, traitement que la personne précitée avait entrepris de sa propre initiative et qui a été ensuite relayé par l’équipe soignante, vu son efficacité, aux autres patients, en synergie avec le plus traditionnel carbonate de lithium.
Les autres suppléments préconisés, qui feront l’objet de prochains articles – et dont j’ai pu également observer en direct l’efficacité – sont la N-acétylcystéine (un supplément alimentaire naturel, précurseur du gluthation, utilisé traditionnellement pour favoriser l’expectoration) en cours d’interdiction aux USA, la vitamine D et le zinc – hélas souvent commercialisé sous forme de composé sec, alors que seul le gluconate de zinc (en rupture de stock chez les fournisseurs en Belgique depuis des mois) garantit une bonne disponibilité physiologique. J’ai observé, en direct toujours, des cas Covid sévères commencer à se remettre après prise d’une seule dose de 2 ml.
Quelle que soit la cause des effets neurologiques (protéine de pointe/oxyde de graphène), l’important est de constater, au moins de façon empirique, qu’ils sont réversibles, ce qui pourrait se révéler très utile dans le cadre des thérapeutiques potentielles à mettre en oeuvre pour le traitement des personnes souffrant d’effets secondaires, psychiatriques ou autres, des injections. C’est ce que se propose de faire, notamment, Reiner Fuellmich dans la clinique qu’il vient d’acheter à cet effet en Allemagne.
Il est urgent en effet s’extirper au mieux des multiples effets de cette crise organisée. Les crises suivantes, cyberpandémie et catastrophe financière, indispensables à la suite du programme sont déjà clairement annoncées (articles en préparation également). Elles devront être affrontées pour ce qu’elles sont : des actes de guerre économique issus du plus haut niveau de contrôle des réseaux.
J’aborderai bientôt aussi et surtout la guerre ultime qui se joue actuellement contre la planète, elle aussi camouflée, en « crise » climatique.
Traduction
L’Institut de Recherche en Santé de Galicia Sur étudie l’efficacité du traitement au lithium chez les patients atteints de COVID-19.
● Le Groupe de Neurosciences Translationnelles de l’Institut de Recherche en Santé Galicia Sur a déjà lancé l’étude avec 10 patients présentant un coronavirus très sévère et une pathologie psychiatrique, avec des résultats très positifs.
● Ils attendent actuellement l’autorisation de l’Agence Espagnole des Médicaments pour réaliser un essai clinique plus important et plus définitif.
● Le lithium a la capacité d’inhiber la réplication de plusieurs types de virus, d’augmenter la réponse immunitaire, de prévenir et de diminuer l’activité inflammatoire, qui est la cause des problèmes chez les patients les plus sévères.

Le Chuvi et l’Institut de Recherche sur la Santé de Galice Sud (Instituto de Investigación Sanitaria Galicia Sur) étudient l’efficacité du traitement au lithium chez les patients atteints de Covid-19. Pour le moment, ils ont étudié et testé 10 patients très graves infectés par le SRAS-CoV2 et présentant une pathologie psychiatrique, et les résultats sont très positifs et encourageants.
Ces conclusions préliminaires ont conduit à l’activation d’un projet d’essai clinique plus vaste et plus définitif visant à inclure tous les autres patients infectés par le virus, et pas seulement ceux présentant une pathologie psychiatrique.
Ainsi, dès le début de l’urgence sanitaire, le Service des Neurosciences de l’IIS Galicia Sur (Grupo de Neurociencia Traslacional do IIS Galicia Sur), en collaboration avec CIBERSAM, a commencé à travailler sur une nouvelle thérapie pour le COVID19. Selon José Manuel Olivares, chef du Service de Psychiatrie de l’Espace Sanitaire de Vigo (Servicio de Psiquiatría do Área Sanitaria de Vigo) et directeur du Service des Neurosciences de l’IIS Galicia Sur, « le traitement, basé sur l’administration de carbonate de lithium de manière rigoureusement contrôlée par l’équipe médicale, a commencé à être mis en œuvre chez des patients très sévères présentant des symptômes psychiatriques pouvant être traités par le lithium, montrant une amélioration très rapide, non seulement de ces symptômes, mais aussi du tableau clinique causé par le virus ».
Suite à ces résultats, un projet a été conçu en collaboration avec les groupes Maladies Infectieuses (Enfermedades Infecciosas) et Microbiologie et Maladies Infectieuses (Microbiología e Infectología), et en association avec le Groupe Catalan de l’Institut de Recherche Biomédicale August Pi i Sunyer (Grupo Catalán do Instituto de Investigacións Biomédicas August Pi i Sunyer), pour lequel un financement a été demandé à l’Institut de Santé Carlos III (Instituto de Salud Carlos III) et au Fonds Covid-19 Supera(Fondo Supera Covid-19), et qui est en attente d’approbation par l’Agence espagnole des médicaments et des produits de santé (Agencia Española de Medicamentos e Productos sanitarios – AEMPS).
Essai clinique
« Cependant, bien que les résultats obtenus ne soient pas généralisables, étant donné que cette étude a été réalisée avec un petit nombre de patients et avec des caractéristiques très spécifiques, nous ne pouvons pas confirmer la véritable efficacité du lithium tant que nous n’aurons pas réalisé un essai clinique contrôlé, ainsi que certaines données de laboratoire qui indiqueront la capacité réelle du lithium dans le traitement des effets causés par le virus dans le corps », explique Olivares.
Ils attendent actuellement l’autorisation de l’Agence Espagnole des Médicaments pour réaliser un essai clinique avec un plus grand nombre de patients et ainsi proposer ce traitement comme l’un des traitements de choix en cas de COVID19.
Propriétés du lithium
Le lithium est un traitement utilisé depuis 70 ans pour divers symptômes et troubles mentaux, tels que le trouble bipolaire, la dépression résistante, certaines formes d’irritabilité et d’agitation, etc.
On sait depuis longtemps qu’il inhibe la réplication de plusieurs types de virus, dont certains sont similaires au SRAS-CoV-2. Cela a été démontré dans plusieurs études avec des virus tels que le VIH, l’herpès ou plus récemment avec le SARS-CoV1 (le prédécesseur de l’actuel coronavirus).
Une autre de ses propriétés est sa capacité à augmenter la réponse immunitaire, en augmentant les niveaux de lymphocytes, ainsi qu’en prévenant et en diminuant l’activité inflammatoire, qui est la principale cause de problèmes chez les patients les plus graves, pouvant même entraîner la mort.
Phases de l’étude
Carlos Spuch, chercheur principal du groupe Neurosciences Translationnelles (Neurociencia Traslacional), explique la méthodologie de cette étude : » la première étape pour tester l’hypothèse de l’efficacité du lithium comme traitement chez les patients atteints du Covid-19 a été de vérifier qu’il n’y avait pas de patients de l’aire de santé de Vigo infectés par le virus qui suivaient un traitement régulier au carbonate de lithium pour soulager leurs symptômes psychiatriques. Cependant, cela ne peut en aucun cas être considéré comme une preuve que le lithium prévient l’infection par le virus. Nous devons élargir la population étudiée. »
L’étape suivante a consisté à étudier l’effet du lithium chez un petit nombre de patients COVID19-positifs admis à l’hôpital Álvaro Cunqueiro et qui suivaient le traitement habituel avec des antirétroviraux (hydroxychloroquine et kaletra). Chez certains de ces patients, divers troubles psychiatriques apparaissent, tels que l’irritabilité, des altérations de l’humeur, l’agressivité ou des états maniaques qui nécessitent également l’intervention de spécialistes en psychiatrie. Dans ces cas, le lithium était la prescription psychiatrique appropriée et a donc été ajouté au traitement antirétroviral. Ces patients ont été choisis pour le traitement et le suivi dans cette recherche.
« Nous avons observé qu’après la première administration de lithium, les paramètres inflammatoires étaient significativement réduits, et que l’activité du système immunitaire était renforcée en augmentant le taux de lymphocytes, comme le prédisait l’hypothèse générée par les données disponibles dans la littérature scientifique. Le résultat final est que ces patients, qui étaient très gravement malades, ont réussi à se remettre du COVID19 » – assure José Manuel Olivares.
« Les résultats obtenus chez ces patients ont été soumis pour publication à une revue internationale à la fin du mois d’avril, et sont actuellement en cours d’examen ; nous espérons les publier prochainement.
Texte original
El Instituto de Investigación Sanitaria Galicia Sur investiga la eficacia del tratamiento con litio en pacientes con COVID-19
● El Grupo de Neurociencia Traslacional del Instituto de Investigación Sanitaria Galicia Sur ya inició el estudio con 10 pacientes con coronavirus muy graves y con patología psiquiátrica, con unos resultados muy positivos
● En este momento están pendientes de la autorización de la Agencia Española do Medicamento para realizar un ensayo clínico más amplio y definitivo
● El litio tiene la capacidad de inhibir la replicación de varios tipos de virus, de aumentar la respuesta inmunológica, y de prevenir y disminuir la actividad inflamatoria, que es la causante de los problemas en los pacientes más graves
El Chuvi y el Instituto de Investigación Sanitaria Galicia Sur investigan la eficacia del tratamiento con litio en pacientes con Covid-19. Por el momento, han estudiado y testado a 10 pacientes muy graves infectados por el SARS-CoV2 y con patología psiquiátrica, e los resultados son muy positivos y esperanzadores.
Estas conclusiones preliminares motivaron la activación de un proyecto de ensayo clínico más amplio y definitivo que incluya al resto de pacientes infectados por el virus, no sólo a los que presentan alguna patología psiquiátrica.
Así, desde el comienzo de la emergencia sanitaria el Grupo de Neurociencia Traslacional do IIS Galicia Sur, en colaboración co CIBERSAM, comenzó a trabajar en una nueva terapia para a COVID19. Según explica el jefe del Servicio de Psiquiatría do Área Sanitaria de Vigo y director do área de Neurociencias do IIS Galicia Sur, José Manuel Olivares, “el tratamiento, basado en la administración de carbonato de litio de forma rigurosamente controlada por el equipo médico, comenzó a llevarse a cabo en pacientes muy graves con sintomatología psiquiátrica susceptible de ser tratada con litio, presentando una mejoría muy rápida, no solo de dicha sintomatología, sino del cuadro clínico provocado por el virus”.
Tras estos resultados se diseñó un proyecto en colaboración con los grupos de Enfermedades Infecciosas e Microbiología e Infectología, y en asociación con el Grupo Catalán do Instituto de Investigacións Biomédicas August Pi i Sunyer, para el que se solicitó financiación al Instituto de Salud Carlos III y al Fondo Supera Covid-19, y que está pendiente de aprobación por la Agencia Española de Medicamentos e Productos sanitarios (AEMPS).
Ensayo clínico
“Sin embargo, los resultados obtenidos, aunque no son generalizables, dado que este estudio se efectuó con un reducido número de pacientes e con unas características muy concretas, por el que non podemos confirmar de modo taxativo cual es la verdadera eficacia do litio mientras no realicemos un ensayo clínico controlado, junto con unos determinados datos de laboratorio que nos indiquen la capacidad real do litio en el tratamiento de los efectos que causa el virus en el organismo”, explica Olivares.
En estos momentos están a la espera de la autorización de la Agencia Española do Medicamento para llevar a cabo un ensayo clínico con más pacientes y así proponer este tratamiento como uno de los preferentes en casos de COVID19.
Propiedades del litio
El litio es un tratamiento que se emplea desde hace 70 años en distintos síntomas y cuadros mentales, como el trastorno bipolar, depresión resistente, determinados cuadros de irritabilidad y agitación, etcétera.
Desde hace tiempo se sabe que tiene capacidad de inhibir la replicación de varios tipos de virus, algunos de ellos similares al SARS-CoV-2. Esto se demostró en varios estudios realizados con virus como el VIH, el herpes o más recientemente co SARS-CoV1 (el antecesor del actual coronavirus).
Otra de sus propiedades es la capacidad para aumentar la respuesta inmunológica, incrementando los niveles de linfocitos; así como la de prevenir y disminuir la actividad inflamatoria, que es la causante principal de los problemas en los pacientes más graves, llevándolos incluso a la muerte.
Fases del estudio
Carlos Spuch, Investigador Senior del grupo de Neurociencia Traslacional, explica la metodología de este estudio, “el primer paso para testar la hipótesis de la eficacia del litio como tratamiento en pacientes Covid-19 fue comprobar que en el Área Sanitaria de Vigo no hubiese ningún paciente infectado por el virus que estuviese siguiendo un tratamiento habitual de carbonato de litio para aliviar sus síntomas psiquiátricos. Sin embargo, esto no se puede tomar de ninguna manera como una evidencia de que el litio impide contagiarse del virus. Tenemos que ampliar la población de estudio”.
El siguiente paso fue estudiar el efecto del litio en un número pequeño de pacientes COVID19 positivos ingresados en el Hospital Álvaro Cunqueiro y que seguían el tratamiento habitual con antirretrovirales (hidroxicloroquina y kaletra). En alguno de estos enfermos aparecen diversas afecciones psiquiátricas, como irritabilidad, alteraciones del estado de ánimo, agresividad o estados maníacos que requiren también de la intervención de los especialistas de Psiquiatría. En estos casos, el litio era la prescrición psiquiátrica adecuada, por lo que se añadía al tratamiento antirretroviral. Estos pacientes fueron los escogidos para el tratamiento y seguimiento de esta investigación.
“Observamos como tras la primera administración de litio, se redujeron significativamente los parámetros inflamatorios, y se potenció la actividad del sistema inmune aumentando el nivel de linfocitos, como predecía la hipótesis generada a través de los datos disponibles de la literatura científica. El resultado final es que estos pacientes, que estaban muy graves, consiguieron recuperarse de la COVID19” —asegura José Manuel Olivares.
“Los resultados obtenidos en estos pacientes fueron enviados para su publicación a una revista internacional a finales de abril, y están en fase de revisión; confiamos en que se publiquen en breve”.