Les sept heures de déposition de Fauci: ce qu’on en sait jusqu’à présent – par le Brownstone Institute.

Je vous propose quelques articles qui passent en revue des personnalités du monde médical, en commençant par le plus tristement célèbre. On trouve quelques répétitions inutiles dans celui-ci, et il oublie de mentionner les millions de morts causés par les « mesures ». Il y a d’autres articles que je publierais (conditionnel) si j’avais plus de temps mais il se passe pas mal de choses en ce moment.

Fauci inaugure une nouvelle tactique après l’amnistie pandémique: l’amnésie pandémique.

Source.


Les sept heures de déposition de Fauci: ce qu’on en sait jusqu’à présent

Brownstone Institute

22 novembre 2022

Aucune transcription n’est encore disponible et aucun journaliste n’a été admis. Mais grâce aux procureurs généraux qui ont intenté le procès, aux plaignants et à leur avocat, ainsi qu’aux autres parties impliquées dans le procès contre l’administration Biden, nous disposons de quelques informations sur la déposition d’Anthony « Je suis la Science » Fauci. Ce dernier a été la figure de proue de la réponse à la pandémie et il est accusé de collusion avec Big Tech pour faire taire la dissidence, en violation du Premier Amendement. 

La question de savoir si la déposition devait être publique a elle-même fait l’objet d’un débat juridiques. Le Ministère de la Justice a fait opposition à la publication de tout enregistrement et de toute information personnelle identifiable par crainte de harcèlement public, et cette exigence a été satisfaite. En conséquence, on ne dispose pas (encore) de transcription et on sent une grande réticence, même de la part des personnes présentes, à révéler l’intégralité des propos tenus. Les grands médias nationaux n’ont montré aucune volonté de s’intéresser à pour cette affaire. 

On dispose néanmoins d’informations par le biais de tweets sans ambigüité et d’un article rédigé par l’un des plaignants. Le fait marquant majeur est que Fauci est atteint d’un sévère cas d’amnésie. Le procureur général de la Louisiane, Jeff Landry, a rapporté que pendant sept heures, Fauci a essentiellement éludé toute question précise, répondant qu’il ne se rappelait pas clairement les détails qui pouvaient mettre en lumière son implication dans la censure de la parole. 

« Wow! Ça a été stupéfiant de passer 7 heures avec le Dr Fauci. L’homme qui, à lui seul, a détruit l’économie américaine en s’appuyant sur ‘la science’. Tout ça pour découvrir qu’il ne se souvient pratiquement de rien concernant sa réponse au Covid! »

Et ce, malgré les centaines de pages et les nombreuses déclarations publiques qui semblent confirmer que la Maison Blanche et de nombreuses agences gouvernementales ont collaboré très étroitement avec Google, Facebook, Twitter et d’autres, pour contrôler le récit durant près de deux ans. Une collaboration qui perdure probablement encore aujourd’hui. 

C’est Eric Schmitt, Procureur Général du Missouri et à présent Sénateur élu, qui a intenté le procès aux côtés du Procureur Général de Louisiane. Schmitt a tweeté « quelques éléments à retenir de la déposition de Fauci: Fauci savait que la théorie de la fuite du laboratoire était fondée, mais comme elle risquait de lui être reprochée, il a immédiatement cherché à la discréditer; il a défendu les mesures de confinement; le commun des mortels n’est pas en mesure de déterminer la meilleure solution pour lui-même. »

Il écrit également: « Au cours de la déposition de Fauci cette semaine, la sténographe a éternué. Fauci a exigé qu’elle porte un masque. Voilà, en novembre 2022, la mentalité de l’homme qui a verrouillé notre pays et détruit un nombre incalculable de vies et de moyens de subsistance. Les experts ont fait pareil. La dissidence a été censurée. En Amérique. Plus jamais ça ».

Le plaignant Aaron Kheritary, Chercheur Principal et Associé de Brownstone, explique ce qui suit:

MISE À JOUR: extrait de la déposition d’hier de Fauci dans l’affaire MO contre Biden. Fauci a confirmé avoir envoyé en février 2020 Clifford Lane, son adjoint au NIAID, en tant que représentant américain pour la délégation de l’OMS en Chine. Lane a convaincu Fauci que nous devrions imiter les mesures de confinement de la Chine. 

Le PCC avait annoncé que la Chine avait maîtrisé le virus grâce à des mesures de confinement draconiennes – une affirmation que l’on sait maintenant mensongère. Compte tenu de l’habitude de la Chine de falsifier les informations, Lane et Fauci auraient dû faire preuve de scepticisme face à cette affirmation. Les confinements constituaient une pratique totalement expérimentale et inédite. 

Comme l’a dit notre avocat, @Leftylockdowns1, Fauci « était apparemment prêt à baser son plaidoyer en faveur du confinement sur les observations d’un seul homme s’appuyant sur les rapports d’un dictateur ». Ce n’est pas exactement le niveau de preuve d’un essai randomisé en double aveugle, ni un quelconque niveau de preuve. 

Quelques jours après le retour de Lane, l’OMS a publié son rapport faisant l’éloge de la stratégie de la Chine: « L’utilisation intransigeante et rigoureuse par la Chine de mesures non pharmaceutiques [confinement] pour contenir la transmission du virus COVID-19 dans de multiples contextes offre des leçons essentielles pour une réponse mondiale ». 

« Cette réponse de santé publique plutôt unique et inédite de la Chine a permis d’inverser la progression des cas », affirme le rapport. Mon collègue @jeffreyatucker du @brownstoneinst a donné un aperçu ironique du rapport ému de l’OMS: « J’ai eu une vision du futur, et c’est Wuhan. » 

Le confinement s’est rapidement diffusé de la Chine vers l’Occident, vu qu’un nombre troublant d’apologistes occidentaux, en plus de l’OMS, se sont également penchés sur la réponse au covid du Parti Communiste Chinois. 

Les États-Unis et le Royaume-Uni ont emboité le pas au confinement de l’Italie, qui avait suivi la Chine, et tous les pays du monde, hormis une poignée, ont immédiatement suivi notre exemple. Quelques semaines plus tard, le monde entier était confiné. 

Depuis le début, la base factuelle de cette catastrophe politique mondiale était très mince. Nous vivons maintenant les conséquences de cette catastrophe. 

Jim Hoft, de Gateway Pundit, a ajouté des citations directes de Fauci confirmant pleinement le rapport de Brownstone sur le voyage éclair des NIH en Chine en février 2020:

John Sauer, « Et M. Lane, au retour de ce voyage, a dit que la gestion des Chinois était très structurée, organisée; exact?.. Avez-vous discuté avec M. Lane de ses impressions sur ce voyage lorsqu’il est revenu du voyage de l’OMS ? »

Dr Fauci: « La réponse est oui… Le Dr Lane a été très impressionné par la façon dont, du point de vue de la santé publique clinique, les Chinois géraient l’isolement, la recherche des contacts, la construction d’installations pour soigner les gens, et je pense que c’est ce qu’il voulait dire en parlant de [leur] gestion très structurée et organisée. »

Sauer: « Il a donc tiré la conclusion qu’il pourrait être nécessaire de prendre des mesures extrêmes, selon ses termes, pour imposer une distanciation sociale afin de maîtriser l’épidémie; exact? »

Fauci: « C’est ce que cela implique, oui… Il a discuté avec moi du fait que les Chinois avaient adopté une méthode très organisée pour tenter de contenir la propagation à Wuhan et ailleurs. Il n’a pas eu l’occasion d’aller à Wuhan, mais il était à Pékin, et je crois dans d’autres villes – au moins à Pékin – et il a mentionné leur manière très organisée, bien réglée de gérer l’épidémie.

Sauer: « Et donc sa réaction a été plutôt positive. Y a-t-il des leçons à tirer pour les États-Unis dans leur réponse à l’épidémie? »

Fauci: « Je crois que le Dr Lane est arrivé à la conclusion que, lorsqu’on est confronté à une maladie respiratoire fortement répandue, un moyen très courant et efficace de freiner la propagation rapide de la maladie est de mettre en œuvre des mesures de distanciation sociale… Le Dr Lane est un clinicien très avisé, et j’ai toutes les raisons de croire que son évaluation de la situation était précise et correcte. »

Pour être clair, ce que Fauci décrit ici, c’est une réponse politique qui consistait à souder les portes des appartements des gens et à exercer un contrôle totalitaire sur leurs déplacements, comme mise en œuvre « très organisée » et « bien réglée » de « mesures de distanciation sociale ».

Réfléchissez à ça. 

Hoft a fourni en outre les observations les plus détaillées à ce jour. Je cite ici l’intégralité de son rapport: 

  • Fauci est un menteur habile. Comme nous l’avons constaté depuis des mois dans ses commentaires publics, il ment quand il sent qu’il peut s’en tirer ou quand il sent qu’il n’y aura pas de conséquences significatives.
  • Fauci a fréquemment menti, à moins et jusqu’à ce qu’il soit confronté à des faits alternatifs. Par exemple, il a prétendu qu’il ne connaissait pas Ralph Baric (créateur du virus COVID) ou Peter Daszak (qui a négocié la subvention du NIAID de Fauci au laboratoire de biologie chinois de Wuhan), jusqu’à ce qu’il soit confronté à la preuve que son propre chef de cabinet lui a envoyé un courriel mentionnant que Daszak et Baric faisaient partie de l’équipe de Fauci!
  • Fauci a prétendu qu’il n’avait pas connaissance que son équipe de communication ne se coordonnait pas avec les entreprises de médias sociaux pour empêcher la « mal-information et la désinformation » jusqu’à ce qu’il soit forcé d’admettre qu’il avait effectivement connaissance de certains cas de coordination.
  • Fauci a continué à faire valoir l’affirmation, aujourd’hui démentie, selon laquelle le COVID-19 était un virus d’origine naturelle.
  • Fauci a déclaré que la désinformation et la mal-information (les informations avec lesquelles il n’est pas d’accord) mettent des vies en danger.
  • Fauci a refusé de donner une définition de la recherche sur le « gain de fonction », affirmant que ce terme était trop large pour être défini.
  • FAIT AMUSANT: jusqu’à TRÈS récemment, la fille de Fauci travaillait pour Twitter.
  • FAIT AMUSANT: Fauci est un hypocondriaque. Dans un moment bizarre et surprenant de sa déposition, Fauci a déchargé une partie de sa frustration sur la pauvre sténographe. La sténographe qui transcrivait la déposition a éternué, et Fauci a interrompu la déposition et a réprimandé la sténographe: « C’EST QUOI VOTRE PROBLÈME? Vous souffrez d’une maladie respiratoire parce qu’à l’ère du COVID, je suis inquiet à l’idée d’être près de vous. » Sténographe: « Je ne suis pas malade, j’ai juste des allergies. Mais je peux porter un masque. » Fauci: « Ok. Merci, parce que ce que je ne veux surtout pas, c’est attraper le COVID. » [NdT. ce qui précède semble indiquer/confirmer que Fauci est un véritable psychopathe) (à noter que (1) Fauci lui-même n’a porté de masque à aucun moment de la déposition, et (2) il était apparemment assis à plusieurs mètres de la journaliste judiciaire).
  • FAIT AMUSANT: lors d’un autre spasme d’hypocondrie de Fauci, Fauci a ostensiblement fait une moue répobatrice au procureur général de la Louisiane Jeff Landry après que Landry ait éternué dans la veste de son costume.
  • Stratégie de jeu. Chaque fois qu’il aborde un sujet difficile, il refuse malhonnêtement de définir les termes clés afin d’éviter d’être coincé et de devoir rendre des comptes. Par exemple, lorsqu’il a abordé le sujet de la recherche sur le « gain de fonction », il a refusé de reconnaître la signification de ce terme, objectant qu’il s’agissait d’un terme si large qu’il ne pouvait être défini.
  • Fauci a affirmé à plusieurs reprises qu’il « ne se rappelait pas » ou « n’arrivait pas à se souvenir », et a tenté de soutenir ces déclarations invraisemblables en faisant valoir le grand volume de courriels qu’il recevait ou les questions ou études qui atterrissaient sur son bureau. La quasi-totalité de ces affirmations n’est tout simplement pas crédible, car les incidents en question étaient soit récents, soit survenus au cours des trois dernières années, et ils étaient tous porteurs d’une forte connotation politique.
  • L’autre méthode de mensonge de Fauci consistait simplement à prétendre qu’il ne comprenait pas quelque chose, en espérant que l’avocat qui posait la question ne pourrait pas le prendre en défaut. Par exemple, il a manifestement menti à un moment donné lorsqu’il a prétendu ne pas savoir ce qu’était Meta (société mère de Facebook), jusqu’à ce qu’il soit forcé d’admettre qu’il savait en fait ce qu’était Meta.
  • Autre tactique de Fauci: lorsqu’il était forcé d’admettre qu’il avait fait une communication ou examiné un document clé à un moment clé, ou qu’il connaissait ou travaillait avec un individu clé, il essayait de minimiser chaque fait négatif en (1) minimisant l’importance de la communication, (2) suggérant que bien qu’il ait examiné le document clé, il ne l’a pas vraiment lu attentivement, ou (3) suggérant, avec une fausse humilité, qu’il n’était pas un expert dans le domaine X et qu’il ne comprenait donc pas pleinement l’étude scientifique en question, ou (4) affirmant que, bien qu’il « connaissait » la personne en question, il ne la connaissait pas vraiment bien car il rencontrait de nombreux médecins et scientifiques dans le cadre de son travail.
  • Autre tactique de tromperie de Fauci: jeter ses subordonnés par-dessus bord. Fauci est un champion de la survie dans le milieu de la bureaucratie. L’une des façons dont il a survécu aussi longtemps est de ne s’attribuer que le mérite des victoires et de rejeter les pertes sur ses infortunés subordonnés. Cette tendance s’est poursuivie lors de sa déposition, dans laquelle il a effrontément affirmé que, bien qu’il soit à la tête du NIAID et de son budget de 6 milliards de dollars, il n’a jamais eu connaissance de ce que ses subordonnés directs faisaient juste sous son nez. Fauci est disposé à rendre des comptes, tant qu’il a un subordonné à sacrifier.
  • Fauci a affirmé que l’hydroxychloroquine était « dangereuse » et avait des effets secondaires « toxiques »… Fauci a affirmé que l’HCQ était inefficace dans le traitement du COVID, mais n’a pas pu citer une seule étude pour étayer son affirmation. Fauci a également rejeté la liste des 371 études sur l’HCQ et son efficacité dans le traitement de la maladie lorsqu’on lui a présenté cette liste.
  • Fauci a admis avoir menti au public. Dans l’un des moments les plus étonnants de sa déposition, Fauci a admis qu’il avait sciemment fait de fausses déclarations de santé publique au début de la pandémie, en déconseillant aux gens d’utiliser des masques afin de les dissuader d’épuiser les stocks de masques.
  • Fauci a admis qu’il tenait ses idées de confinement de la Chine Communiste qui a mis en place ses confinements extrêmes en janvier 2020.

Jenin Younes, avocat des plaignants qui travaille avec la New Civil Liberties Alliance, a écrit sur Twitter: « Une de mes citations préférées de la déposition de Fauci aujourd’hui:  » Mon travail quotidien est très prenant, je dirige un institut de six milliards de dollars. Je n’ai pas le temps de me préoccuper de choses comme la Déclaration de Great Barrington. »

Gardez à l’esprit que nous disposons des archives complètes des courriels, dans lesquels Fauci s’attribue le mérite de s’être « prononcé très fermement et publiquement contre la Déclaration de Great Barrington« . 

En conclusion, nous avons ici un compte rendu révélateur de l’étonnant témoignage de Fauci, qui n’est choquant, pour ceux qui ont suivi cette affaire de près depuis le tout début, que parce qu’il confirme le degré de trahison que nous soupçonnions depuis longtemps d’être à la source de toute cette histoire de confinement aux États-Unis. Nous avons également eu confirmation que l’expression « distanciation sociale » n’est rien d’autre qu’un euphémisme désignant une attaque massive à la chinoise contre tout ce que nous appelions autrefois en Occident la liberté. 

Décès du Dr Vladimir Zelenko.

Source.

Le Dr Vladimir « Zev » Zelenko, l’homme qui a découvert et mis en œuvre le traitement précoce contre le Covid, qui a littéralement sauvé des millions de vies dans le monde, est décédé hier [30 juin] au terme d’un combat de quatre ans contre un cancer rare. Né à Kiev, en Ukraine, en 1973, il avait 48 ans lorsqu’il est décédé.

Zelenko était animé d’une foi inébranlable et décrivait souvent son cancer comme un don divin. Il l’a décrit un jour en ces termes:

« Mon cancer est ce qui m’a préparé à la pandémie de COVID-19. Sans lui, je n’aurais pas cultivé ma passion à rechercher des réponses que d’autres disaient introuvables, et sans lui, je n’aurais pas pu résister à la persécution et au ridicule dont j’ai été la cible pour avoir osé traiter des patients. J’ai regardé la mort dans les yeux et je me suis préparé à rencontrer Dieu. Je ne crains rien sur cette terre. »

Je sais exactement ce qu’il ressentait. Et vous seriez surpris du nombre de héros de la pandémie que j’ai rencontrés et qui m’ont dit quelque chose de similaire.

Zelenko a cru jusqu’au bout que Dieu avait conçu pour lui une tâche particulière sur cette terre, et que les prières de millions de personnes l’avaient maintenu en vie suffisamment longtemps pour qu’il puisse remplir cette mission.

Bon vent, Dr. Zev.


Dr. Vladimir “Zev” Zelenko, the man who discovered and implemented the early treatment for covid that literally saved millions of lives worldwide, passed away yesterday after a four-year battle with a rare cancer. Born in Kiev, Ukraine in 1973, he was 48 when he passed.

Zelenko had an unshakeable faith, and often described his cancer as a divine gift. Once he described it like this:

“My cancer is what prepared me for the COVID-19 pandemic. Without it, I would not have developed my passion for searching for answers that others said couldn’t be found, and without it I could not have held to the persecution and ridicule I received for daring to treat patients. I have looked death in the eye and I have been made ready to meet God. I fear nothing on this earth.”

I know just how he felt. And you’d be surprised how many of the heroes of the pandemic who I’ve met told me something similar.

Zelenko believed until the end that God had created a special mission for him on this earth, and that the prayers of millions had kept him alive long enough to fulfill that mission.

Godspeed, Dr. Zev.

Le rebond du Dr Fauci sous Paxlovid! – par Igor Chudov.

Encore un article amusant et instructif (comme les jeux de mon enfance) d’Igor Chudov, qui n’est pas médecin comme je l’avais erronément écrit précédemment, mais journaliste – mes excuses. Il commence d’ailleurs à jouir d’une certaine notoriété à cet égard – aux Etats-Unis, je suis à ma connaissance toujours le seul à le publier en français – entièrement méritée à mon avis.

Concernant le contenu de son article: ce bon Dr Fauci a-t-il vraiment reçu quatre injections, a-t-il vraiment contracté le Covid et s’est-il vraiment traité au Paxlovid? No lo sè. Si ce n’est pas le cas, ça serait un coup de relations publiques, dont l’objectif serait soit d’offrir une porte de sortie, loin de la foule déchaînée, à quelqu’un qui a de bonnes raisons de vouloir échapper à l’examen de ses pairs, et des quelques mécontents de l’opération Sars-Cov-2, soit de normaliser l’absurdité du processus vaccin>maladie>boosters>re-maladie>antiviral>re-re-maladie>re-antiviral-etc. – c’est-à-dire de ce que le grand public est censé juger « normal ». De la science, quoi. A ce propos, une petite anecdote: je suis au garage moto cet après-midi et j’entends un vieux monsieur expliquer que sa belle-fille est « prise des bronches » (belgicisme, il me semble) mais que le docteur a dit qu’il est heureux qu’elle soit vaccinée, sinon ça aurait été pire. Voilà le résultat de deux ans et demi de propagande ininterrompue. Ce brave homme, qui n’a vraisemblablement jamais entendu parler ni de Fauci, ni de la FDA, récite fidèlement leur mantra débile – à la dame au comptoir, qui n’avait pas non plus l’air très en forme…

Quoiqu’il en soit, que l’histoire de Fauci soit vraie ou non, ça fait tellement plaisir de voir se défaire un peu la tête de ce monstre glauque qu’il ne faudrait pas bouder son plaisir.

Je suis avec un article du Dr Paul Alexander, un auteur sur Substack habituellement assez indigeste – il se répète quinze fois par article et semble s’adresser à un lectorat d’analphabètes – qui pour une fois se lâche un peu et balance à tout va. Il nous expliquera en quoi vont consister les quelques années à venir… Et il le tient de fonctionnaires de la Santé Publique.

Note: les articles qui figurent en lien dans l’historique sont tous en anglais. Si ça intéresse quelqu’un de les lire traduits, faites signe.

Source.


Traduction

Le rebond du Dr Fauci sous Paxlovid!

Il fallait s’y attendre

Igor Chudov

29 juin

Je ne suis pas le premier sur Substack à écrire à ce sujet, mais je voulais en parler vu que j’ai écrit quelques articles sur le Paxlovid.

Le Dr Fauci a reçu deux doses de booster. Ses quatre doses de vaccins sûrs et efficaces ne l’ont bien sûr pas empêché d’attraper le Covid. Confronté à une infection au Covid, il a pris du Paxlovid et a sincèrement cru qu’il s’en sortirait.

Regardez-le se donc vanter du succès de son vaccin et du Paxlovid:

Fauci affirme qu’il a survécu à sa sévère infection Covid uniquement grâce à sa quadruple injection: « Je pense que si ce n’était pas le cas, je ne serais pas en train de vous parler avec une aussi bonne mine. »

Devinez quoi? Le Paxlovid n’aura pas marché pour le Dr Fauci. Après s’être senti bien pendant quelques jours, il subit maintenant un rebond de son infection Covid.

Le Dr Anthony Fauci déclare qu’il a connu un rebond des symptômes du Covid après avoir pris un antiviral de Pfizer, le Paxlovid, dont les études montrent maintenant qu’il n’est PAS efficace pour les personnes vaccinées.
Le Dr Anthony Fauci a déclaré qu’il en était à sa deuxième cure de Paxlovid après avoir été à nouveau testé positif au Covid-19.
Selon les propres données de Pfizer, le médicament est limité dans ses capacités à combattre le Covid-19 chez une personne vaccinée.
En mai 2022, les CDC ont émis un avertissement sur le risque de symptômes de rebond du Covid-19 après la prise de Paxlovid.
L’avertissement a noté qu’aucun des cas de rebond signalés n’a vu les patients souffrir d’un cas grave de Covid-19, bien que Fauci ait décrit ses symptômes comme étant « bien pires ».
Une étude de l’UC de San Diego a révélé que les patients qui présentaient des symptômes de rebond du Covid souffraient du fait que le Paxlovid n’atteignait pas suffisamment de cellules infectées.
Lors de la même conférence où il a annoncé le rebond, Fauci a appelé à une campagne nationale de vaccination « agressive ».

Il se sent  » bien plus mal  » en phase de rebond qu’en phase initiale. Voilà pour ce qui est du fait que le Paxlovid atténue le Covid!

Dans l’annonce de son rebond du Covid, Fauci a déclaré que ses symptômes étaient bien pires après avoir été testé positif pour la deuxième fois.

Et que fait-il maintenant? Il prend ENCORE PLUS de Paxlovid – un deuxième traitement, pour être exact. Et ce, malgré le fait que la FDA, l’agence de son propre gouvernement, fait tout pour discréditer les personnes qui font un rebond sous Paxlovid et ne recommande pas de second traitement. Peu importe, le Dr Fauci est manifestement au-dessus des recommandations de la FDA.

Si nous croyons quoi que ce soit de ces nouvelles, et je comprendrais que certains de mes abonnés s’y refusent, le rebond de Fauci sous Paxlovid indiquerait que

  1. Fauci est réellement vacciné
  2. Fauci ne prend pas d’ivermectine ou d’hydroxychloroquine, qui n’occasionnent pas de rebond.

Historique de quelques articles sur le Paxlovid

Mon premier article a fait beaucoup de bruit.

Brian Mowrey a expliqué en quoi le Paxlovid est un bouton SNOOZE [NdT. le bouton « veille » sur les réveille-matin] biomoléculaire, et non un bouton STOP.

J’ai allégué que Pfizer savait que le Paxlovid n’était pas efficace chez les personnes vaccinées, car Pfizer a EXCLU les personnes vaccinées de son essai EPIC-SR à mi-parcours.

La FDA a ignoré la souffrance des victimes du Paxlovid telles que le Dr Fauci et a discrédité ceux qui ont souffert d’un rebond, en disant qu’elles ne représentent que 1 à 2% des cas (mais oui, c’est ça).

J’ai dénoncé le Paxlovid comme étant le nouveau modèle commercial frauduleux de Pfizer (qui en vend de plus en plus alors qu’il ne fonctionne pas et fait croire à ces personnes qui répandent le COVID qu’elles vont bien) et j’ai expliqué que la FDA et Pfizer mentaient sur le taux de rebond, qui était plutôt de 12%, même pour les personnes non vaccinées.

Enfin, une étude scientifique réalisée en Israël a montré que le Paxlovid ne fonctionne absolument PAS chez les personnes vaccinées, ce qui explique clairement pourquoi Pfizer ne voulait pas les inclure dans les essais cliniques.

Pfizer a finalement reconnu sa défaite et admis que le Paxlovid ne fonctionne pas chez les patients à risque standard.

Mais, avec l’audace qui le caractérise, Albert Bourla, PDG de Pfizer, a déclaré que la moitié des gens sont « à haut risque », et que Pfizer continuera donc à promouvoir ce médicament de charlatans auprès de patients vaccinés et confiants, qui ne se doutent de rien.

Un deuxième traitement au Paxlovid?

Le Dr Fauci fait quelque chose que la FDA n’a jamais recommandé: prendre un deuxième traitement de Paxlovid. Cela fonctionnera-t-il? Pour répondre à cette question, rappelez-vous que le Paxlovid est un bouton SNOOZE. Tout ce qu’il fait c’est d’empêcher une certaine enzyme « protéase » de cliver les brins d’ARN viraux pendant 5 jours, ce qui interrompt l’infection.

Le Paxlovid a fonctionné chez la plupart des personnes non vaccinées dont le système immunitaire fonctionnait encore et restait capable de monter une réponse appropriée au Sars-Cov-2 en cinq jours, ce qui permettait de neutraliser le rebond dans 88% des cas.

Cependant, les personnes vaccinées ont connu beaucoup plus de rebonds, du fait que leur réponse biologique n’était pas assez rapide pour réagir après la fin du SNOOZE de cinq jours du Paxlovid.

La solution du Dr Fauci est d’appuyer une nouvelle fois sur le bouton « snooze » du Paxlovid, ce qui rapporte 530 dollars de plus à Pfizer. Si son système immunitaire, endommagé par la quadruple vaccination, est incapable de former une réponse dans les cinq jours suivants, il pourrait connaître un DEUXIÈME REBOND. Fauci est en territoire inconnu, car à ma connaissance, deux traitements au Paxlovid avec un rebond entre les deux n’ont jamais été essayés sur personne.

Il faut savoir que le Paxlovid est composé de deux éléments assez toxiques – le ritonavir et le nirmatrelvir – et qu’en prenant un double traitement, Fauci risque une toxicité hépatique, ainsi que d’autres toxicités. A l’âge de 81 ans, deux traitements de Paxlovid pourraient se révéler trop lourds pour lui.

Dans tous les cas, Anthony Fauci a déjà réussi à transformer son infection d’une semaine en une infection de trois semaines, grâce au Paxlovid.

J’espère que Pfizer accordera au moins une remise au Dr Fauci. Ils lui doivent bien ça.


Texte original

Dr Fauci’s Paxlovid Rebound!

It was Expected to Happen

Igor Chudov

Jun 29

I am not the first on Substack to write about this, but I want to discuss it since I wrote a few articles on Paxlovid.

Dr. Fauci is double boosted. The four doses of safe and effective vaccines, of course, did not prevent him from catching Covid. Facing a Covid infection, he took Paxlovid and sincerely believed that he would be alright.

Watch him brag about the success of his vaccine and Paxlovid:

Guess what? Paxlovid did not work for Dr. Fauci. After feeling fine for a few days, he is now having a rebound of his Covid infection.

He is feeling “much worse” during the rebound than he felt in the beginning. So much for saying that Paxlovid makes Covid milder!

And what is he doing now? Taking MORE Paxlovid — a second course, to be exact. This is despite the agency of his own government, FDA, gaslighting Paxlovid rebounders and not recommending a second course. Never mind, Dr. Fauci is obviously above FDA’s recommendations.

If we believe any of this news, and I would understand if some of my subscribers did not, Fauci’s Paxlovid rebound makes it very likely that

  1. Fauci is actually vaccinated
  2. Fauci is not taking Ivermectin or hydroxychloroquine, which do not give rebounds

History of Some Paxlovid Articles

My first article started quite a bit of noise.

Brian Mowrey explained how Paxlovid is a biomolecular SNOOZE button, not a STOP button.

I alleged that Pfizer knew that Paxlovid did not work in vaccinated people, because Pfizer KICKED OUT vaccinated people out of its EPIC-SR trial midstream.

FDA dismissed the suffering of Paxlovid victims like Dr. Fauci and gaslit the rebounders, saying they are only 1-2% of cases (yeah right).

I exposed Paxlovid as a new dishonest business model for Pfizer (selling more and more of it as it fails to work and makes people COVID spreaders thinking they are fine) and explained that FDA and Pfizer were lying about the rebound rate, which was more like 12% even for unvaccinated people.

Finally, a scientific study from Israel illustrated that Paxlovid totally does NOT work in vaccinated people, making it obvious why Pfizer did not want them included in clinical trials.

Pfizer finally admitted defeat and acknowledged that Paxlovid does not work in standard-risk patients.

But, with characteristic chutzpah, Pfizer CEO Albert Bourla declared that half of all people are “high risk”, so Pfizer will still push this snake oil medication onto unsuspecting trusting vaccinated patients.

Second Course of Paxlovid?

Dr. Fauci is doing something that the FDA never recommended — he is taking another course of Paxlovid. Will it work? To answer this question, remember that Paxlovid is a SNOOZE button. It simply stops a certain “protease” enzyme from cleaving viral RNA strands for 5 days, thus suspending infection.

Paxlovid worked in most unvaccinated people whose immune systems still functioned and could mount a proper response to Sars-Cov-2 in five days, thus quashing the rebound in 88% of cases.

However, vaccinated people had many more rebounds, because they did not have a biological response quick enough to respond after the five-day SNOOZE from Paxlovid ended.

So, Dr. Fauci’s solution is to press the Paxlovid snooze button again, giving Pfizer another $530. If his immune system, damaged by quadruple vaccination, is unable to form a response in yet five more days, he may end up having a SECOND REBOUND. Fauci is in uncharted territory, because to my knowledge, two Paxlovid courses with a rebound in between, were never tried on anybody.

Be aware that Paxlovid is made of two somewhat toxic components — ritonavir and nirmatrelvir — and by taking a double course, Fauci risks liver toxicity and other toxicity. Being 81 years old, two courses of Paxlovid may be too much for him.

In any case, Anthony Fauci already managed to turn his one-week infection into a three-week infection, thanks to Paxlovid.

I hope that Pfizer at least gives Dr. Fauci a discount. They owe him one.

Mythologie du vaccin contre la variole et la variole du singe, aegrescit medendo – par DoorlessCarp.

Voici le fruit d’un monumental travail de recherche et de recoupement d’information sur le sujet. Espérant qu’il sera utile à beaucoup, l’auteur (et le traducteur) compte(nt) sur le lecteur pour le partager. Les termes médicaux employés dans les extraits d’articles sont parfois un peu pointus mais rien n’empêche de les survoler, pour n’en retenir que le principe général – quoique je recommande de faire l’effort. Je suis certain que la partie historique intéressera tout le monde.

Bonne lecture.

PS: « aegrescit medendo » signifie que le remède est pire que la maladie.


Traduction

Mythologie du vaccin contre la variole et la variole du singe, aegrescit medendo

Le remède est pire que la maladie

DoorlessCarp🐭

3 juin

Tous les extraits utilisés dans l’article suivant sont destinés à des fins de recherche et d’éducation non commerciales uniquement et peuvent être soumis aux droits d’auteur de leurs propriétaires respectifs.

Introduction

La première partie de ce Substack retrace l’histoire de la vaccination antivariolique.

La deuxième partie examine la sécurité et l’efficacité d’un candidat vaccin contre la variole du singe et les mécanismes de la cardiomyopathie induite par le vaccin.

La troisième partie conclut sur le thème « L’avenir de la vaccination contre la variole », qui examine des solutions différentes de celle qui est actuellement adoptée.

Première partie: la variole

Si la célèbre découverte d’Edward Jenner a sans aucun doute sauvé de nombreuses vies, elle a également contribué à de nombreux décès pour diverses raisons.

Son effet n’a pas vu la mortalité nette dans la population diminuer au fil du temps, mais au contraire, augmenter (mais où avons-nous déjà vu ça?).

Les principales causes en étaient les suivantes:

  • Les enfants immunodéprimés et mal nourris étaient incapables de produire une réponse immunitaire efficace. Cela revenait à pousser sur une corde.
  • Le virus vivant de la variole bovine pouvait être aussi mortel pour ces personnes que la variole elle-même.
  • Les bonnes pratiques de fabrication (BPF) étaient encore inconnues à l’époque. Les préparations vaccinales variaient en termes de qualité et de variants utilisés, et pouvaient même être contaminées par des spores d’anthrax. En outre, il arrivait souvent que le vaccin provienne de la variole elle-même, et non de la variole bovine…

Pour ceux qui ne l’ont pas lu, je peux recommander l’excellent « Dissolving Illusions: Disease, Vaccines, and The Forgotten History » [Dissiper les illusions : La maladie, les vaccins et l’histoire oubliée] (2013) de Suzanne Humphries MD, dont il convient d’inclure plusieurs citations dans ce Substack.

À bien des égards, nous n’avons pas vraiment progressé depuis l’ère victorienne:

Des vésicules fraîches se sont ensuite formées autour des boutons de vaccination, coalesçant avec eux et provoquant leur propagation. Elles se sont également développées sur le visage, la tête, le corps et dans la bouche, ce qui a empêché l’enfant de téter, et il est mort épuisé le 45e jour après la vaccination.

– Cas d’un enfant sain après la vaccination, 13 mars 1891

Essayez la revaccination – elle ne vous fera jamais de mal,

Car la revaccination a cette grande vertu:

Si elle vous blesse ou vous tue quand vous la recevez,

Nous sommes tous prêts à refuser d’y croire.

– Extrait d’une circulaire signée « The Doctors », 1876.

Et toute immunité acquise, si le vaccin ne vous tuait pas dès la première injection, n’était pas éternelle:

…on observe que tous les enfants non revaccinés âgés de plus d’un an et demi, ou à peu près, et toutes les personnes revaccinées dont la revaccination date de plus de trois ans, c’est-à-dire la grande majorité de la population entière, ne sont pas protégés.{106}

Un autre praticien, le Dr Olesen, a affirmé que la revaccination devait être effectuée chaque année.

Une vaccination récente et réussie constitue une protection absolue contre la variole. La protection dure de six à douze mois et souvent beaucoup plus longtemps. La revaccination est conseillée une fois par an.

Depuis la fin des années 1700, la profession médicale soutient la vaccination, même s’il n’y a jamais eu d’essai où un groupe a été vacciné et comparé à un autre groupe de même taille qui n’a pas été vacciné{109}.

Le CDC admet que, même aujourd’hui, le niveau d’anticorps qui protège contre l’infection par la variole est inconnu.{110} À l’époque où les auteurs de Dissolving Illusions étaient enfants aux États-Unis, on considérait les enfants comme vaccinés et immunisés simplement en révélant la cicatrice de la vaccination des années après l’intervention.

La normalisation et la pureté des vaccins antivarioliques n’étaient pas au rendez-vous, même après l’éradication de la variole aux États-Unis. Les déclarations du Dr Beddow Bayly en 1952 devraient amener chacun à se demander comment un tel vaccin aurait pu être responsable de l’éradication d’une quelconque maladie:

Quand on se rappelle que la lymphe vaccinale est dérivée, en premier lieu, soit d’un cadavre de variole, soit du pis ulcéré d’une vache, soit des plaies coulantes des talons d’un cheval malade, le choix dépendant du pays d’origine et de la firme qui le fabrique, il n’est guère étonnant qu’elle ait des effets néfastes profonds sur la constitution humaine. Il y a quelques années, le Lancet déclarait qu' »aucun praticien ne sait si la lymphe qu’il emploie provient de la variole, de la variole du lapin, de la variole de l’âne ou de la variole de la mule » {117}. Notre propre Ministère de la Santé a longtemps avoué son ignorance complète de la source ultime de sa propre réserve de lymphe; mais l’année dernière, le Dr A. Downie a déclaré dans le British Medical Journal que « la souche du virus de la vaccine utilisée pour la préparation de routine de la lymphe dans ce pays [l’Angleterre] est censée avoir été dérivée d’un cas de variole à Cologne au cours du siècle dernier ». Ceci, bien sûr, détruit toute la théorie de la vaccination avec la variole de la vache.{118}

Lorsque Jenner publia en 1798 son article revendiquant l’immunité à vie contre la variole et promouvant sa technique, de nombreux médecins qui avaient vu la variole succéder à la variole bovine contestèrent sa doctrine lors d’une réunion de la Medico-Convivial Society.

Mais il [Jenner] eut à peine le temps d’en parler qu’ils en rirent. Les docteurs des vaches auraient pu lui citer des centaines de cas où la variole avait suivi la variole bovine…{122}

En 1799, le Dr Drake, un chirurgien de Stroud, en Angleterre, a mené une expérience pour tester la nouvelle préparation préventive de Jenner en utilisant un vaccin obtenu directement d’Edward Jenner. Les enfants furent ensuite soumis à une inoculation de variole pour voir si le procédé de la variole bovine avait été efficace.

Chez trois d’entre eux, un garçon de dix-sept ans et deux des enfants Colborne (l’un âgé de quatre ans, l’autre de quinze mois), les vésicules de la variole atteignirent une maturité précoce et furent croûtées dans les délais habituels. On inocula la variole au jeune homme le 20 décembre, soit le huitième jour de sa vaccination, et aux deux enfants le 21, soit encore le huitième jour. Ils développèrent tous la variole, à la fois les pustules locales et l’éruption générale avec de la fièvre.{123}

Le Dr Hughes, un autre médecin de Stroud, rapporta que les enfants avaient ensuite développé la variole et suggéra que la technique de vaccination avait échoué. Jenner reçut le rapport mais décida d’ignorer les résultats.

Le comportement humain ne varie jamais:

Les chirurgiens et les médecins étaient bien payés pour pratiquer la vaccination et y voyaient une nouvelle source de revenus. Il est donc assez significatif qu’un si grand nombre de médecins aient écrit à des revues médicales pour relater leurs expériences. Cependant, tout comme aujourd’hui, les croyants ont ignoré les voix des dissidents médicaux, ce qui a conduit les gens ordinaires à s’exprimer dans les médias non spécialisés.

Un taux de létalité de 33 % indique une efficacité nulle. Ce n’est peut-être pas surprenant si la variole était la source de la lymphe:

Lors de l’épidémie de variole de 1844, environ un tiers des vaccinés ont contracté une forme bénigne de variole, mais environ 8% des vaccinés sont quand même morts, et près des deux tiers ont eu une maladie grave {131}.

Une lettre adressée à un journal en 1850 affirmait qu’il y avait plus d’admissions à l’hôpital antivariolique de Londres en 1844 que pendant l’épidémie de variole de 1781, avant le début de la vaccination. L’auteur notait également qu’un tiers des décès dus à la variole concernait des personnes qui avaient été vaccinées auparavant.

L’expérience quotidienne montre malheureusement que la situation a changé : la variole, malgré la vaccination, augmente rapidement… Il y a eu plus d’admissions à l’hôpital antivariolique de Londres en 1844 que lors de la célèbre épidémie de variole de 1781, avant l’introduction de la vaccination. Je choisirai également les rapports du Registrar de l’un des districts de campagne (Bradford) pour montrer le peu de protection qu’offrait la vaccination au cours du dernier trimestre de cette année 1844: 118 [181 ?] décès dus à la variole ont été enregistrés, dont 60, soit près d’un tiers, avaient été vaccinés.{132}

Plus les choses changent, plus elles restent les mêmes:

En 1898, le Dr Wilder a également noté que pendant la pandémie de 1871-1872, les vaccinés ont souvent contracté une variole grave plus rapidement que les non-vaccinés.

Jamais, cependant, la foi en la vaccination n’a subi un choc aussi rude que lors de la grande épidémie de variole de 1871 et 1872. Tous les pays d’Europe furent frappés par une épidémie plus grave que celle qui avait été observée au cours des trois siècles précédents. En Angleterre, le nombre de décès dus à la maladie est passé de 2.620 en 1870 à 23.126 en 1871 et 19.064 en 1872, pour retomber à 2.634 en 1873. Sur le continent, en particulier en France et en Allemagne, l’épidémie fut encore plus grave. En Bavière, par exemple, la population vaccinée était plus nombreuse que dans n’importe quel autre pays d’Europe du Nord, à l’exception de la Suède, qui connut la plus grande épidémie jamais connue.

Ce qui est encore plus significatif, c’est que de nombreuses personnes vaccinées dans quasiment toutes les régions ont été attaquées par la variole avant que les personnes non vaccinées ne contractent la maladie.{139}

La résistance à la vaccination s’étant naturellement accrue, des obligations furent promulguées:

En 1840, alors que les médecins et les citoyens se rendaient compte que la vaccination n’était pas ce qu’on leur promettait, les refus de vaccination ont pris de l’ampleur. Les gouvernements ont adopté diverses lois pour obliger les gens à se faire vacciner. En Angleterre, la vaccination a été rendue obligatoire en 1853, et des lois plus strictes ont été adoptées en 1867. Aux États-Unis, le Massachusetts a créé un ensemble de lois générales sur la vaccination en 1855.

Cela a-t-il fonctionné? Pas vraiment.

En fait, plus de personnes sont mortes de la variole dans les 20 ans qui ont suivi les lois strictes d’obligation vaccinale que dans les 20 années précédentes.

…la variole, après avoir presque entièrement disparu de notre communauté pendant les trente ou quarante ans qui ont suivi l’introduction de la vaccination en 1800, a progressivement repris pied à Boston, où elle a continué à sévir presque sans interruption, bien qu’avec une intensité variable, de 1839, lorsque la maladie a pris pour la première fois la forme d’une épidémie distincte, jusqu’en 1873. Pendant cette période de trente-cinq ans, l’évolution de la variole a été marquée par une succession de paroxysmes épidémiques, généralement entrecoupés d’intervalles de plusieurs années, pendant lesquels un nombre variable de cas sporadiques a témoigné de la présence plus ou moins constante de la maladie. La dernière épidémie, celle de 1872-1873, ayant été fatale à 1.040 personnes, est la plus sévère qu’ait connue Boston depuis l’introduction de la vaccination.{142}

Le même schéma d’épidémies plus graves devait se répéter dans les populations fortement vaccinées du monde occidental.

Nombre total de décès en Angleterre et au Pays de Galles dus à la variole et à d’autres effets de la vaccination de 1859 à 1922.
Décès dus à la variole en Angleterre et au Pays de Galles par rapport aux décès dus à la vaccination antivariolique de 1906 à 1922.

Assainissement et alimentation, comme toujours:

Le taux de mortalité de la variole a diminué après 1872, mais rien ne prouve que la vaccination y soit pour quoi que ce soit. Au début des années 1900, les décès dus à la variole ont pratiquement disparu d’Angleterre (graphique 4.5). Il est intéressant de noter que le schéma des décès dus à la variole reflétait presque parfaitement celui d’une maladie beaucoup plus meurtrière, la scarlatine, une maladie bactérienne à médiation par toxine. Il existait un vaccin contre la scarlatine à base de toxine, qui n’a jamais été utilisé à grande échelle car il avait de graves conséquences pour bon nombre de ses bénéficiaires. Un déclin marqué de la mortalité due à la scarlatine s’est produit bien avant l’utilisation de tout antibiotique.

Taux de mortalité de la variole et de la scarlatine en Angleterre et au Pays de Galles de 1838 à 1922.

En examinant les graphiques, certains pourraient penser que le vaccin a simplement nécessité plus de temps pour produire ses effets. Mais après 1872, les taux de couverture vaccinale, qui atteignaient près de 90%, ont lentement diminué. Les taux de couverture ont chuté à seulement 40% en 1909 (graphique 4.6). Malgré la baisse des taux de vaccination, le nombre de décès dus à la variole est resté faible et a pratiquement disparu après 1906. La vaccination antivariolique a toujours eu une corrélation positive avec les épidémies dans les pays qui ont recueilli des données dans le vain espoir de faire la preuve de la valeur du vaccin.

Taux de mortalité par variole en Angleterre et au Pays de Galles par rapport aux taux de couverture vaccinale contre la variole de 1872 à 1922.

Tout comme aujourd’hui, de nombreux cas poignants de décès évitables d’enfants. La soumission ne fonctionnait pas et c’est ainsi que la vaccination obligatoire fut abandonnée en Angleterre:

Après la pandémie de 1872, davantage de personnes perdirent confiance dans la vaccination. Ils se demandèrent si l’amélioration de l’assainissement, de l’hygiène, des conditions de logement, de l’alimentation et l’isolement des cas ne constituaient pas le meilleur moyen de lutter contre la variole. Ces idées, qui entraient en conflit avec la profession médicale et les lois gouvernementales, culminèrent dans une grande manifestation en 1885 contre la vaccination obligatoire dans la petite ville industrielle de Leicester, en Angleterre. Les gens en avaient assez. Le vent était sur le point de tourner contre la profession médicale et la loi.

Bien que la vaccination contre la variole ait été utilisée depuis 1800, le gouvernement ne commença pas à l’appliquer avant les premières lois de 1840 et 1853. La loi de 1853 mit en place le dispositif gouvernemental permettant d’exiger que chaque enfant soit vacciné dans les trois mois suivant sa naissance.

Grâce à une série d’actes juridiques au fil des ans, le gouvernement britannique avait, au moment de la manifestation de Leicester, fait du refus de la vaccination antivariolique un crime passible d’amendes ou d’emprisonnement.

Les sanctions frappaient de manière disproportionnée les pauvres qui, s’ils n’avaient pas les moyens de payer l’amende pour non-respect de la loi sur la vaccination, voyaient le montant du règlement récupéré de force par la saisie et la vente de leurs meubles. Extrait du Leicester Mercury, janvier 1884:

Un homme nommé Arthur Ward a eu deux enfants blessés par la vaccination et a refusé d’en soumettre un autre à l’opération. Une amende a été imposée et le 24 novembre, deux officiers de police ont réclamé l’amende ou, à défaut, la contravention des biens. Le mari était parti au marché et la pauvre femme n’avait pas d’argent pour payer. Les biens se trouvant au rez-de-chaussée ont été jugés insuffisants pour couvrir le montant, et les agents ont exigé de monter à l’étage. La femme ayant refusé, une altercation a eu lieu, et les officiers ont tenu des propos très durs, menaçant d’emmener son mari en prison, terrifiant Mme Ward. À cette époque, elle était enceinte, et le choc subi par son organisme, ainsi que la peur, étaient d’une telle nature que les symptômes qui s’ensuivirent conduisirent à un accouchement prématuré, et le 26 décembre, elle donna naissance à un enfant mort-né. Elle ne s’est jamais remise et est décédée la semaine dernière. Le médecin qui a soigné Mme Ward a déclaré que, bien qu’il soit partisan de la vaccination, il ne pense pas qu’il soit du devoir d’un professionnel d’appliquer les lois de la manière scandaleuse et brutale dont elles sont imposées {193}.

Leicester, 23 mars 1885:

En raison des conséquences graves et parfois mortelles de la procédure, et du soutien indéfectible du gouvernement à la vaccination forcée par le biais d’amendes et d’emprisonnements, la population a été incitée à se révolter. En grand nombre, ils sont descendus dans les rues de Leicester pour protester. Au moment de la manifestation, on comptait des milliers de poursuites judiciaires contre des parents qui refusaient de faire vacciner leurs enfants.

L’opposition générale à l’application des clauses obligatoires des lois sur la vaccination qui existe à Leicester a culminé hier dans une grande manifestation, qui a été menée avec grand succès. La prise de position des habitants de la ville à l’égard de cette question est due à des causes diverses. A l’heure actuelle, plus de 5.000 personnes sont convoquées pour avoir refusé de se conformer à la loi…. les convocations émises au cours de l’année 1884 ne dépassaient pas sept, soit un peu plus d’une convocation tous les deux mois, tandis qu’à l’heure actuelle, quarante-cinq convocations sont entendues et réglées chaque semaine. Mais même la disposition de quarante-cinq prévenus chaque semaine ne suffit pas à répondre aux exigences de l’affaire, et le nombre de contrevenants et d’objecteurs augmente plus vite que les affaires ne peuvent être traitées.{194}

La foule qui s’est rassemblée à Leicester venait de plusieurs comtés d’Angleterre et comprenait des personnes de toutes professions.

La manifestation… attira des délégués de toutes les régions du pays, tandis que de nombreuses lettres de sympathie furent reçues non seulement d’Angleterre, d’Écosse et d’Irlande, mais aussi de Jersey, de France, de Suisse, de Belgique, d’Allemagne et d’Amérique. La plupart des grandes villes du royaume ont envoyé leurs propres bannières, celles du Yorkshire, d’Irlande et d’Écosse étant très en vue. Les anti-vaccinationnistes de Jersey ont envoyé une bannière très élaborée indiquant que les lois avaient été défaites quatre fois dans cette ville, tandis que la bannière belge portait cette inscription en français : « Ni les amendes ni l’emprisonnement n’empêcheront que le vaccin soit un poison et que les lois sur la vaccination soient une infamie » {195}.

Les organisateurs de la manifestation ont estimé le nombre de participants entre 80.000 et 100.000. M. Butcher, conseiller municipal de Leicester, a présidé et félicité la foule pour ce spectacle magnifique et bien organisé. Il a déclaré:

…la conduite exemplaire des milliers de personnes qui ont participé à la manifestation a montré qu’elles étaient déterminées à n’utiliser que des moyens justes et constitutionnels pour obtenir l’abrogation des lois.{200}

Il s’est ainsi adressé à l’auditoire:

De nombreuses personnes présentes ont été victimes de ces Lois, et tout ce qu’elles demandent, c’est qu’à l’avenir on les laisse tranquilles, elles et leurs enfants. Ils ne sont pas venus au monde pour servir de cobayes à l’éradication d’une maladie particulière. Une grande partie du public, qui ne cesse de croître, est d’avis que le meilleur moyen de se débarrasser de la variole et d’autres maladies semblables est de faire usage de beaucoup d’eau, de manger de bons aliments, de vivre dans des maisons claires et aérées, et de veiller à ce que la Corporation garde les rues propres et les égouts en ordre. Si l’on s’occupait de ces questions, il n’y aurait rien à craindre de la variole ni d’aucune autre maladie du même genre; si on les néglige, ni la vaccination ni aucune autre prescription d’un Acte du Parlement ne pourrait les sauver.{201}

Les habitants de Leicester prévalurent et mirent fin à ce cauchemar pseudo-scientifique, les lois sur la vaccination obligatoire furent finalement abrogées:

Des milliers de personnes courageuses lancèrent une rébellion historique qui permit de contrer avec succès la croyance médicale dominante et le pouvoir autoritaire du gouvernement. La profession médicale proclama que les habitants de Leicester souffriraient grandement de leur décision de se détourner de la vaccination. Ils prévoyaient que cette ville non vaccinée, avec ses « matières hautement inflammables »{206}, souffrirait de la « redoutable maladie »{207} qui se répandrait comme « un feu grégeois dans une prairie »{208} et décimerait la population.

Mais les dirigeants de Leicester restèrent fidèles à ce qu’ils savaient être juste et réussirent à mettre en œuvre leur plan d’assainissement, d’hygiène et d’isolement – plutôt que la vaccination. Leur grande entreprise allait mettre à l’épreuve les notions mêmes de liberté de choix, d’autodétermination et le fondement même d’une croyance médicale erronée.

Pour connaître l’histoire complète et de nombreuses autres études de cas, je vous recommande de lire le livre.

Partie 2: La variole du singe

« Nous avons décidé de devenir une grande firme pharmaceutique. »
« Comme l’a jadis conseillé l’expert en affaires, Willie Sutton, ‘Parce que c’est là qu’on trouve l’argent’. »
« Il faisait référence au cambriolage des banques. » « Oui, et alors? »

Je n’entrerai pas ici dans les méandres de la virologie, car il s’agit pour l’instant d’un exercice de propagande médiatique, de promotion des vaccins et de l’OMS, d’un rien du tout avec un indice R inférieur à 1 et transmis de la même manière que le VIH, en fait une MST spécifique à un genre.

Comme pour le Covid-19, pour la plupart des gens, la clade importée d’Afrique de l’Ouest se présente comme une maladie relativement bénigne, auto-limitante, avec un taux de létalité inférieur à 1, y compris pour les personnes présentant des comorbidités, c’est-à-dire qu’il est en fait assez difficile d’en mourir, et encore plus de la contracter. (1)

Cependant, il existe des preuves de sa création en laboratoire ou d’un potentiel gain de fonction, et il est possible qu’il fonctionne comme une arme binaire, l’autre composant étant l’immunosuppression médiée par les « vaccins » à coronavirus, il faut donc le surveiller du point de vue de son taux de transmission. Pour que cela devienne un problème, il faudrait qu’il se propage par aérosol plutôt que directement de personne à personne.

@Kevin_McKernan:

Il y a quelque chose de suspect dans les séquences de la variole du singe.

50 mutations, c’est beaucoup trop pour un virus ADN de 2018.

On trouve également une délétion qui laisse penser à un passage en série.

https://virological.org/t/discussion-of-on-going-mpxv-genome-sequencing/802

Et ce fil ajouté le 5 juin ’22:

L’EPIDEMIE DE VARIOLE DU SINGE (MPXV22) PROVIENT-ELLE D’UN LABORATOIRE?
La géographie, la transmissibilité, le nombre et le type de mutations le suggèrent fortement.
Avertissement: ceci est une analyse PRELIMINAIRE, un premier coup d’oeil, une invitation à ouvrir le débat! J’espère me trompter. Mais les données…

https://threadreaderapp.com/thread/1532852045614665732.html

Du point de vue des laboratoires pharmaceutiques, les vaccins antivarioliques sont interchangeables avec les vaccins contre la variole du singe.

Les vaccins antivarioliques ont également été associés à des taux très élevés de myocardite:

En 2015, des médecins militaires américains ont décrit une étude portant sur 1 081 jeunes soldats en bonne santé ayant reçu un vaccin antivariolique dans le cadre de leur service militaire. [Le vaccin antivariolique n’est pas utilisé dans la population civile] Il est connu pour provoquer un taux élevé d’effets secondaires, notamment des myo- et péri-cardites, des crises cardiaques et des insuffisances cardiaques.

Ils ont constaté que:

– 5 soldats, soit 0,046% (environ 1 sur 216 personnes vaccinées) ont développé un cas clinique de myo ou de péricardite. C’est plus de 200 fois le taux attendu!

– Mais 31 autres personnes vaccinées ont présenté des taux élevés d’enzymes cardiaques.

En additionnant ces deux groupes (36 sur 1081 soldats), nous constatons qu’un soldat sur 30 a présenté une inflammation cardiaque diagnostiquée en laboratoire. Les 31 autres ne se sont pas plaints de symptômes. Mais dans l’armée, se plaindre n’est jamais payant.

Ils étaient eux aussi exposés à un risque élevé d’arythmie cardiaque et/ou de réduction de la fonction cardiaque, et peut-être même à un risque plus élevé d’infarctus du myocarde.

Nous ne savons pas dans quelle mesure les myo/péricardites légères ou subaiguës sont fréquentes chez les jeunes Américains après l’administration des vaccins Covid, car les agences sanitaires américaines n’ont pas réalisé d’étude similaire, n’ont pas exigé une telle étude des fabricants de vaccins (alors qu’il incombe à la fois à la FDA de la demander et aux fabricants de la réaliser), et la FDA et les CDC ont gardé secrètes les bases de données qui pourraient au moins permettre d’identifier les cas « cliniques », ceux qui se sont plaints et ont demandé des soins médicaux.

Les CDC ou la FDA auraient également pu passer un contrat avec ce groupe de médecins militaires pour réaliser une étude similaire sur les personnes ayant reçu le vaccin Covid.

Le Dr Michael Nelson, deuxième auteur de cette étude, a été nommé membre du comité consultatif de la FDA pour les vaccins Covid. Mais il est resté muet sur les similitudes potentielles entre les effets secondaires du vaccin Covid et ceux du vaccin antivariolique, et n’a pas mentionné publiquement cette étude lorsqu’il s’est exprimé lors des réunions du VRBPAC.

En 2003, un autre groupe de médecins militaires et civils (comprenant au moins 2 fanatiques du vaccin comme coauteurs: Greg Poland et John Grabenstein) a publié une étude sur les soldats américains soumis au vaccin antivariolique, dans laquelle ils n’ont pas soigneusement recherché les cas. Quelle était la fréquence de la myocardite dans leur étude ? Un cas sur 12 818 soldats. Ils ont trouvé 400 fois moins de cas que les auteurs de l’étude de 2015. Le texte complet peut être téléchargé ici en pdf.

Dans quelle mesure les CDC et la FDA recherchent-ils des cas de myo-péricardite liés au vaccin Covid? Nous n’avons entendu parler d’aucune étude prospective lors des réunions du VRBPAC et de l’ACIP (les comités consultatifs des vaccins de la FDA et des CDC) en juin.

Ci-dessous le résumé, et ici le texte complet de l’étude militaire de 2015:

« De nouvelles douleurs thoraciques, une dyspnée et/ou des palpitations sont apparues chez 10,6 % des personnes ayant reçu le vaccin SPX et 2,6 % des personnes ayant reçu le vaccin TIV dans les 30 jours suivant la vaccination (risque relatif (RR) 4,0, IC 95 % : 1,7-9,3). Parmi les 1 081 vaccinés par le SPX ayant fait l’objet d’un suivi complet, 4 hommes caucasiens ont été diagnostiqués avec une myocardite probable et 1 femme avec une péricardite présumée. Cela indique un taux d’incidence post-SPX plus de 200 fois supérieur au taux de surveillance de la myocardite/péricardite de la population de référence avant le SPX (RR 214, IC 95 % 65-558). De plus, 31 personnes ayant reçu le vaccin SPX et ne présentant pas de symptômes cardiaques spécifiques ont vu leur taux de cTnT (>99e percentile) augmenter de plus de 2 fois par rapport à la ligne de base (pré-SPX) pendant la fenêtre de risque de myocardite/péricardite clinique et répondant à une définition de cas proposée pour une possible myocardite subclinique. Ce taux est 60 fois plus élevé que le taux d’incidence des cas cliniques manifestes. Aucun cas clinique ou possible de myocardite subclinique n’a été identifié dans le groupe vacciné par le TIV. »

Si vous pensez qu’un cas sur trente est incroyablement élevé, une étude finlandaise sur des recrues militaires publiée en 1978 a révélé le même taux de 3 % après la vaccination contre la variole et le DTC, sur la base de modifications de l’ECG.

Les vaccins Covid pourraient également être à l’origine de taux élevés similaires d’inflammation cardiaque. Mais aujourd’hui, qui fait le compte?

Et cela a-t-il incité les militaires à cesser de vacciner contre la variole, une maladie éradiquée en 1977? Non. Les vaccinations militaires contre la variole ont continué.

Nass, Meryl MD, Quelle est la fréquence de la myocardite? Cela dépend énormément de la façon de regarder. Pour le vaccin antivariolique chez les recrues militaires, 1 sur 30 présentait une myo ou une péricardite clinique ou subclinique/PLOS One, (mercredi 7 juillet 2021)
https://anthraxvaccine.blogspot.com/2021/07/how-common-is-myocarditis-it-hugely.html

Considérons maintenant « JYNNEOS », le vaccin contre la variole du singe du moment. Il s’agit d’un vaccin antivariolique vivant, non répliquant, à 2 doses, réaffecté.

Se faire « immuniser » avec ce vaccin est une décision très personnelle, basée sur votre situation et les développements épidémiologiques futurs. Je présente ici les preuves et je conseille personnellement une extrême prudence.

Le mémorandum dénote un parti pris désormais trop familier et manquait de données de sécurité ou d’efficacité immunologique à long terme.

Extraits du mémorandum d’examen clinique de la BLA, une demande de licence biologique (BLA) datée du 25/10/2018 et téléchargeable sur:

https://www.fda.gov/media/131870/download

Jynneos est une tentative de créer un vaccin antivariolique plus sûr (« MVA-BN »). Pour une maladie éradiquée.

Et qui pourraient être ces « bioterroristes » auxquels ils font référence?

La variole est une maladie infectieuse très contagieuse causée par le virus de la variole, dont le taux de mortalité est de 30 à 40 %. La variole a été déclarée officiellement éradiquée en 1980. Après la déclaration officielle d’éradication de la variole, les programmes de vaccination de routine contre la variole ont été interrompus, ce qui a eu pour conséquence qu’une majorité croissante de la population mondiale n’est pas immunisée contre la variole. La dissémination intentionnelle du virus de la variole, un agent reconnu pour son potentiel bioterroriste, pourrait donc avoir des effets dévastateurs. Le seul vaccin antivariolique actuellement homologué, l’ACAM2000, est un vaccin antivariolique vivant, répliquant le virus de la vaccine. L’ACAM2000 est contre-indiqué chez les personnes gravement immunodéprimées dont on ne s’attend pas à ce qu’elles tirent bénéfice du vaccin. L’utilisation de l’ACAM2000 fait également l’objet de restrictions chez les personnes présentant un risque élevé de variole en raison d’effets secondaires graves, tels que la vaccine progressive chez les personnes moins gravement immunodéprimées pour lesquelles le vaccin n’est pas contre-indiqué, l’eczéma vaccinatum chez les personnes atteintes de dermatite atopique, la myopéricardite chez les personnes n’ayant jamais reçu le vaccin antivariolique, la vaccine fœtale chez les femmes enceintes et la propagation du virus vaccinal au-delà du site de vaccination (vaccine généralisée) ou aux contacts des personnes vaccinées. Il existe donc un besoin médical non satisfait pour un vaccin antivariolique présentant un meilleur profil de sécurité.

La variole du singe est une zoonose virale rare dont les symptômes sont similaires à ceux observés chez les patients atteints de variole. Bien qu’elle soit cliniquement moins grave que la variole, elle peut être mortelle. Le taux de létalité dans les épidémies de variole du singe se situe entre 1 et 10 %. Depuis l’éradication de la variole en 1980 et l’arrêt de la vaccination contre la variole, le virus de la variole du singe est devenu le principal orthopoxvirus. La variole du singe survient sporadiquement dans la forêt tropicale humide d’Afrique centrale et occidentale. Une épidémie de variole du singe a été confirmée pour la première fois aux États-Unis en 2003. Il n’existe pas de traitement spécifique ou de vaccin approuvé pour la variole du singe, mais l’Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) recommande d’utiliser ACAM2000 pour la prévention de la variole du singe chez les personnes présentant un risque élevé d’exposition (par exemple, les travailleurs de laboratoire qui manipulent le virus de la variole du singe).

BN (également appelé le demandeur dans le document) a proposé une série primaire de deux doses à utiliser chez les personnes n’ayant jamais reçu de vaccin antivariolique et une dose de rappel unique à utiliser chez les personnes ayant déjà reçu un vaccin antivariolique (série primaire du vaccin antivariolique réplicatif ou MVA-BN). Ils ont soumis 22 essais cliniques pour étayer l’efficacité et l’innocuité de MVA-BN en vue d’une autorisation de mise sur le marché. Parmi ces 22 essais cliniques, 7 sont considérés comme essentiels par l’équipe de révision pour soutenir l’indication et l’utilisation proposées. Des rapports d’études cliniques complets ont été soumis à la BLA pour ces 7 études:

– POX-MVA-006: Un essai pivot de non-infériorité de phase 3 comparant MVA-BN à ACAM2000 pour étayer l’innocuité et l’efficacité de MVA-BN chez des sujets sains n’ayant jamais reçu de vaccin.

– POX-MVA-013: Essai de phase 3 contrôlé par placebo sur l’uniformité des lots pour établir l’uniformité de la fabrication de MVA-BN et pour confirmer l’innocuité de MVA-BN.

– POX-MVA-008: Un essai de phase 2 pour soutenir l’utilisation de MVA-BN chez les personnes atteintes de dermatite atopique.

– POX-MVA-011: Un essai de phase 2 pour soutenir l’utilisation de MVA-BN chez les personnes infectées par le VIH.

– POX-MVA-005 et -23: Un essai de phase 2 et son extension, respectivement, pour soutenir l’utilisation de MVA-BN chez les personnes ayant déjà été vaccinées.

– POX-MVA-024: Un essai de phase 2 pour soutenir l’utilisation de MVA-BN chez les personnes âgées de 65 ans et plus.

Tout commence donc sur une note positive pour se dégrader ensuite rapidement. L’objectif initial d’efficacité n’est que de 50%. La sécurité et l’efficacité ne sont pas évaluées prioritairement par rapport à un groupe témoin non vacciné mais par rapport à l’ACAM2000, est-ce pour donner l’impression qu’il est plus sûr?

Les anticorps ne sont pas synonymes d’immunité. Ils relèvent qu’il n’existe pas de quantification connue de la réponse des anticorps qui démontrerait l’immunité:

Au cours des discussions sur la voie d’homologation de MVA-BN, nous avons convenu que l’approche la plus appropriée pour l’homologation de MVA-BN serait de démontrer l’efficacité du vaccin par rapport à l’ACAM2000 en utilisant un critère primaire de non infériorité des titres d’anticorps neutralisants spécifiques de la vaccine. La marge de non-infériorité a été fixée au préalable à 0,5. Étant donné que les antigènes du vaccin et la compétence de réplication sont différents pour MVA-BN et ACAM2000, et qu’une réponse d’anticorps neutralisants de la vaccine permettant de prédire la protection contre la variole n’a pas été établie, nous avons considéré que la démonstration de l’efficacité du vaccin dans des modèles animaux montrant une protection contre un défi orthopoxviral pertinent (par exemple la variole du singe chez les PNH) serait essentielle pour soutenir la comparaison de non-infériorité immunologique.

Et il n’est pas nécessaire de l’essayer contre une espèce différente de la variole puisque la variole du singe est suffisamment proche et qu’il a fonctionné sur les singes. Je ne suis pas sûr que ce soit comme ça que ça marche, c’est une conjecture.

L’indication proposée à l’origine par le demandeur ne comprenait pas la variole du singe. Au cours de l’examen de cette demande, nous avons reçu des demandes de renseignements de la part de parties prenantes externes du gouvernement américain, qui souhaitaient savoir si les données disponibles pour MVA-BN permettaient d’étayer une indication pour la prévention de la variole du singe. Nous avons déterminé que les données sur l’immunogénicité de MVA-BN obtenues chez l’homme ainsi que les données sur les primates non humains (PNH) déjà soumises à la BLA 125678/0 appuient l’indication pour la prévention de la variole du singe, puisque les études cliniques et non cliniques ont fourni de multiples pistes de preuves que la réponse immunitaire à MVA-BN fournit une protection contre différents orthopoxvirus, et spécifiquement contre la variole du singe dans le modèle de défi des PNH. Par conséquent, nous avons recommandé d’inclure l’indication de la variole du singe dans l’étiquetage du produit.

Certains participants à l’essai ont été suivis pendant 6 mois, mais la fibrose myocardique peut prendre des années avant de devenir symptomatique et réduit malgré cela l’espérance de vie naturelle. Ces articles méritent d’être lus dans leur intégralité dans le contexte de la myo et de la péricardite médiées par le « vaccin » Covid-19. Les capillaires à petite lumière sont particulièrement susceptibles d’être obstrués et l’infiltration des lymphocytes T aggrave les lésions myocardiques.

Résumé

Les lésions cardiaques dues à diverses causes peuvent aboutir à une finalité commune de remodelage pathologique et de fibrose, favorisant le développement de l’insuffisance cardiaque. La cardiomyopathie dilatée est une cause importante d’insuffisance cardiaque et résulte souvent d’une myocardite déclenchée par un virus. Les monocytes et les cellules de type monocyte représentent un sous-ensemble majeur de cellules infiltrant le cœur au niveau du site de la lésion. Ces cellules issues de la moelle osseuse favorisent non seulement la lésion tissulaire à court terme, mais aussi l’angiogenèse et le dépôt de collagène à long terme. Elles jouent donc un rôle essentiel dans la fibrose tissulaire typique qui se développe dans le ventricule dilaté au cours du processus de remodelage pathologique. Des découvertes récentes suggèrent que les cellules de type monocyte infiltrant le cœur contiennent en effet un pool de progéniteurs, qui représentent la source cellulaire à la fois pour l’accumulation de monocytes différenciés pendant la phase inflammatoire aiguë et pour la fibrose myocardique médiée par le facteur de croissance transformant bêta pendant les stades chroniques ultérieurs de la maladie. Il est évident qu’un équilibre délicat entre les cytokines pro-inflammatoires et profibrotiques dicte le destin des progéniteurs infiltrant le cœur dérivés de la moelle osseuse et influence directement le phénotype morphologique du cœur affecté. Dans la présente brève présentation, nous faisons le point sur ces mécanismes et discutons de leur importance dans le remodelage pathologique et la progression de l’insuffisance cardiaque après une myocardite.

Kania G, Blyszczuk P, Eriksson U. Mechanisms of cardiac fibrosis in inflammatory heart disease. Trends Cardiovasc Med. 2009 Nov;19(8):247-52. doi : 10.1016/j.tcm.2010.02.005. PMID : 20447565.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20447565/

Le remodelage cardiaque en détail. Il s’agit de la phase post « crise cardiaque » (infarctus du myocarde ou IM) mais elle est applicable dans le contexte des mécanismes partagés de la fibrose myocardique :

Résumé

La mort cellulaire ischémique au cours d’un infarctus du myocarde entraîne une réponse réparatrice multiphase dans laquelle le tissu endommagé est remplacé par une cicatrice fibrotique produite par des fibroblastes et des myofibroblastes. Cela induit également des changements géométriques, biomécaniques et biochimiques dans la paroi ventriculaire indemne, provoquant un processus de remodelage réactif qui inclut une fibrose interstitielle et périvasculaire. Bien que la fibrose réparatrice initiale soit cruciale pour prévenir la rupture de la paroi ventriculaire, une réponse fibrotique exagérée et une fibrose réactive en dehors de la zone lésée sont préjudiciables car elles entraînent une altération progressive de la fonction cardiaque et finalement une insuffisance cardiaque. Dans cette présentation, nous résumons les connaissances actuelles sur les mécanismes de la fibrose cardiaque réparatrice et réactive en réponse à l’infarctus du myocarde, nous discutons de la possibilité d’induire une régénération cardiaque par reprogrammation directe des fibroblastes et des myofibroblastes en cardiomyocytes, et nous passons en revue les stratégies thérapeutiques actuelles et potentielles pour inhiber la fibrose cardiaque.

La réponse fibrotique après un infarctus peut être classée en deux types de fibrose, à savoir la fibrose de remplacement et la fibrose réactive, qui sont toutes deux médiées par les fibroblastes et les myofibroblastes. La fibrose de remplacement, c’est-à-dire la formation de cicatrices, est un processus essentiel pour empêcher la rupture de la paroi ventriculaire après une agression ischémique (van den Borne et al. 2010 ; Shinde et Frangogiannis 2014). Cependant, l’augmentation du stress mécanique post-IM, associée à des médiateurs hormonaux et paracrines, induit également l’expansion du tissu conjonctif dans des zones éloignées de l’infarctus. Cette fibrose réactive dans la zone limite de l’infarctus et dans le myocarde non lésé éloigné entraîne une altération de la compliance des chambres et une augmentation de la rigidité ventriculaire, compromettant ainsi le débit cardiaque.

Outre leur effet sur la contractilité cardiaque, il a été démontré que la cicatrice fibreuse et la fibrose interstitielle interfèrent avec la fonction électrique normale du cœur, prédisposant ainsi à l’arythmie (pour une présentation, voir Francis Stuart et al. 2015). La cicatrice compacte peut constituer une zone isolée non excitable qui fixe l’arythmie réentrante et conduit à une tachycardie ventriculaire soutenue (Ripplinger et al. 2009). Dans la fibrose interstitielle, le réseau de collagène fibrillaire non conducteur entre les feuillets de cardiomyocytes pourrait favoriser la tachycardie réentrante en induisant une activité ectopique focale et en ralentissant ou en bloquant la conduction (Francis Stuart et al. 2015). De plus, le couplage électronique des myofibroblastes et des cardiomyocytes pourrait jouer un rôle dans l’arythmogenèse induite par la fibrose (Kohl et Gourdie 2014). Sans surprise, la fibrose cardiaque a été identifiée comme un facteur de risque autonome dans l’insuffisance cardiaque : elle prédispose les patients atteints d’insuffisance cardiaque à la mort cardiaque subite et augmente la mortalité globale indépendamment de la fraction d’éjection (Gulati et al. 2013).

Après la mise en place d’une matrice à base de collagène sur le site de l’infarctus, les facteurs de croissance et les protéines matricellulaires favorisant la survie et l’activité des myofibroblastes sont épuisés (van den Borne et al. 2010 ; Shinde et Frangogiannis 2014). En réponse, la majorité des myofibroblastes sont éliminés de la zone cicatrisée, probablement par apoptose. En outre, les cellules vasculaires meurent, et la microvasculature temporaire est désintégrée. On ne sait pas encore si une signalisation inhibitrice active est impliquée dans la suppression de la réponse fibrotique. Pendant la phase de maturation de l’IM, le renouvellement du collagène par les myofibroblastes restants se poursuit, et le collagène de type III est remplacé par du collagène de type I. Le collagène de type I est encore modifié par la réticulation catalysée par la lipoxygénase. L’expression des quatre isoformes de lipoxygénase est accrue dans la zone de l’infarctus et dans la zone limite 3 à 7 jours après l’infarctus (Gonzalez-Santamaria et al. 2016). L’inhibition de la lipoxygénase à l’aide d’un inhibiteur pharmacologique ou d’un anticorps neutralisant réduit l’expansion de l’infarctus et améliore la fonction cardiaque 28 jours après l’infarctus (Gonzalez-Santamaria et al. 2016). La réticulation des fibres de collagène entraîne une augmentation de la résistance à la traction et une contraction de la cicatrice, ce qui modifie la géométrie de la chambre et contribue au remodelage des zones éloignées de la paroi ventriculaire (van den Borne et al. 2010). Dans une réaction normale de cicatrisation, tous les myofibroblastes sont éliminés de la zone cicatrisée, mais dans le cœur, on a constaté qu’ils persistaient dans la cicatrice de l’infarctus même des décennies après l’agression (Willems et al. 1994). La raison de la présence continue de myofibroblastes dans la cicatrice de l’infarctus n’est pas connue, mais il est possible qu’ils soient nécessaires au maintien continu de la matrice extracellulaire dans un environnement en constante contraction (van den Borne et al. 2010).

Fibrose réactive: remodelage du myocarde distant

Le plus souvent, ce n’est pas la perte de cardiomyocytes nécrosés lors d’un infarctus qui provoque l’insuffisance cardiaque, mais le remodelage ultérieur de la paroi ventriculaire gauche non infarcie. Dans le remodelage pathologique, l’expansion de la matrice extracellulaire médiée par les fibroblastes s’accompagne d’une croissance hypertrophique des cardiomyocytes, car les cellules tentent de compenser l’augmentation de la charge de travail en augmentant leur taille afin d’améliorer la fonction cardiaque et de diminuer la tension de la paroi ventriculaire (Heineke et Molkentin 2006). L’augmentation de l’épaisseur causée par l’hypertrophie des cardiomyocytes et la rigidité attribuable à un excès de collagène réticulé et à la contraction tonique du tissu fibreux médiée par les myofibroblastes compromettent la fonction diastolique du cœur (Weber et al. 2013). Ce processus de remodelage est progressif et conduit finalement au développement de l’insuffisance cardiaque.

Les mécanismes exacts et la régulation de la fibrose réactive ne sont pas clairs, et les études systématiques examinant les caractéristiques des fibroblastes dans le myocarde non infarci font défaut (Shinde et Frangogiannis 2014). L’un des facteurs favorisants est le stress mécanique accru dans la paroi ventriculaire gauche non infarcie; ce stress induit également l’activation du TGF-β latent dans le myocarde non infarci. En outre, les myofibroblastes activés qui persistent dans la cicatrice de l’infarctus continuent de sécréter des facteurs pro-fibrotiques qui pourraient traverser les zones éloignées du myocarde en induisant l’activation et la prolifération des fibroblastes locaux et une augmentation du dépôt de collagène dans le compartiment interstitiel (fibrose interstitielle) et dans l’adventice des vaisseaux coronaires (fibrose périvasculaire ; Weber et al. 2013). Les facteurs pro-fibrotiques initiant et entretenant la réponse fibrotique réactive sont décrits dans la section suivante.

Alors que la fibrose interstitielle rigidifie le myocarde et entraîne ainsi une dysfonction diastolique et systolique, la fibrose réactive dans l’adventice des artères et artérioles coronaires (fibrose périvasculaire) peut provoquer un rétrécissement de la lumière du vaisseau et a été associée à une altération du flux sanguin coronaire (Dai et al. 2012). Cela pourrait diminuer l’apport en oxygène au myocarde, compromettant ainsi la survie des cardiomyocytes et les prédisposant à la mort cellulaire ischémique.

Plus:

Talman, V., & Ruskoaho, H. (2016). Fibrose cardiaque dans l’infarctus du myocarde – de la réparation et du remodelage à la régénération. Cell and tissue research, 365(3), 563-581. https://doi.org/10.1007/s00441-016-2431-9

Sur l’amyloïdose cardiaque. Ceci est plus pertinent pour l’infiltration des protéines de pointe mais mérite certainement d’être abordé dans le contexte de la transfection Covid-19 (2). Informations diagnostiques utiles également :

Amyloïdose cardiaque à chaînes légères

L’amylose à chaînes légères est la conséquence d’un trouble de la prolifération de plasmocytes clonaux dans lequel des chaînes légères d’immunoglobulines mal repliées se déposent sous forme de fibrilles amyloïdes dans plusieurs organes, y compris le cœur dans environ la moitié des cas. Le dysfonctionnement cardiaque dans l’amylose à chaînes légères résulte d’une infiltration extracellulaire du myocarde, mais il existe souvent aussi des preuves d’un effet cardiotoxique exercé par les agrégats de chaînes légères pré-fibrillaires. La gravité du dysfonctionnement cardiaque est le principal déterminant de la morbidité et de la mortalité (3).

L’amylose à chaînes légères est le type d’amylose cardiaque le plus fréquemment diagnostiqué. Un ou plusieurs systèmes d’organes vitaux peuvent être touchés, généralement les reins, le foie, les systèmes nerveux périphérique et autonome et les tissus mous. Le cœur est fréquemment touché et est le seul organe cliniquement impliqué chez certains patients.

La présentation clinique reflète le dépôt multisystémique variable de l’amyloïde. Les résultats de l’examen peuvent refléter l’infiltration amyloïde dans les tissus mous et les petits vaisseaux et comprennent la macroglossie, le pupura périorbital, l’hypertrophie de la glande submandibulaire et la dystrophie des ongles. La fatigue et la perte de poids sont fréquentes. L’infiltration hépatique ou splénique peut provoquer une organomégalie palpable. Le dysfonctionnement rénal est fréquent, se présentant généralement sous la forme d’une protéinurie à portée néphrotique.

L’amylose cardiaque précoce est un défi diagnostique majeur. Les caractéristiques classiques de l’insuffisance cardiaque congestive « droite » peuvent ne pas être évidentes avant que la maladie cardiaque ne soit très avancée. Une pression veineuse jugulaire élevée, un troisième bruit cardiaque, une hépatomégalie et un œdème périphérique peuvent être très subtils ou absents chez les patients qui ont déjà commencé les diurétiques.

La neuropathie périphérique est relativement fréquente et se manifeste par une paresthésie ou une dysesthésie typiquement répartie en  » gants et chaussettes « . La neuropathie autonome est un indice diagnostique important, se manifestant par une hypotension orthostatique, une alternance de diarrhée et de constipation et un dysfonctionnement érectile.

Les immunoglobulines monoclonales ou les chaînes légères libres peuvent être identifiées dans le sérum et/ou l’urine d’au moins 95% des patients à l’aide de tests sensibles, mais elles passent souvent inaperçues lors d’une électrophorèse sérique de routine. L’absence d’un clone détectable est problématique pour le diagnostic et le suivi de la réponse au traitement.

Martinez-Naharro, A., Hawkins, P. N., & Fontana, M. (2018). L’amyloïdose cardiaque. Clinical medicine (Londres, Angleterre), 18(Suppl 2), s30-s35. https://doi.org/10.7861/clinmedicine.18-2-s30

Revenons à l’application de Jynneos. Les titres d’anticorps étaient des critères d’évaluation communs dans les essais, même s’il n’y a pas de seuil d’efficacité connu ou d’évaluation de la possibilité de fonctionner réellement contre la variole du singe.

Ils le savent et l’affirment, mais ils ont néanmoins poursuivi les essais, par exemple l’essai POX-MVA-005:

POX-MVA-005 était un essai de phase 2 visant à comparer l’immunogénicité de deux doses de MVA-BN chez des sujets sains n’ayant jamais été vaccinés et une dose unique de MVA-BN chez des sujets sains ayant déjà été vaccinés avec la première génération de vaccins antivarioliques il y a plus de 25 ans. Le critère d’évaluation principal était le taux de séroconversion spécifique de la vaccine, calculé à partir des titres d’anticorps spécifiques ELISA deux semaines après la dernière vaccination. L’étude a porté sur 549 sujets n’ayant jamais été vaccinés contre la vaccine et 204 sujets ayant déjà été vaccinés avec la première génération de vaccins antivarioliques.

Les études POX-MVA-005/023 et POX-MVA-011 ont utilisé un test de séroneutralisation [Plaque Reduction Neutralization Test – PRNT], et les études POX-MVA-008 et POX-MVA-024 ont utilisé un test de séroneutralisation. [Le dosage] du test de séroneutralisation utilisé dans ces études n’était pas suffisamment validé et n’a pas été accepté par les examinateurs du Centre d’Evaluation et de Recherche sur les Produits Biologiques [Center for Biologics Evaluation and Research – CBER]. Le problème du dosage du PRNT nous a empêchés de tirer toute conclusion concernant l’efficacité du vaccin parmi les populations étudiées, y compris pour l’utilisation d’une dose de rappel unique chez les personnes ayant reçu le vaccin antivariolique. De plus, les principaux critères d’évaluation de ces études étaient le taux de séroconversion déterminé par le test ELISA à base de marqueurs MVA [Modified Vaccinia Ankara], qui n’est pas considéré comme cliniquement significatif pour déduire l’efficacité du vaccin. Par conséquent, les données obtenues à partir de ces études n’étaient pas suffisantes pour appuyer l’efficacité vaccinale de deux doses de MVA-BN [Modified Vaccinia Ankara-Bavarian Nordic] spécifiquement chez les personnes infectées par le VIH ou les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, ni pour appuyer l’homologation d’une dose unique (ou pour informer le moment de l’administration d’une dose de rappel unique) chez les personnes ayant déjà reçu un vaccin antivariolique. Cependant, il était raisonnable de conclure que le schéma à 2 doses de MVA-BN serait aussi efficace chez les personnes ayant été vaccinées contre la variole que chez les personnes n’ayant jamais été vaccinées contre la variole, de sorte que les personnes ayant été vaccinées contre la variole ont été incluses dans l’indication approuvée pour le schéma à 2 doses. De même, il n’y a pas de raison physiologique de suspecter une diminution de l’efficacité du MVA-BN chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, et le rapport bénéfice/risque du MVA-BN peut encore être favorable chez les personnes infectées par le VIH. Par conséquent, il n’y a aucune raison d’exclure spécifiquement les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou infectées par le VIH de l’indication générale d’utilisation de ce vaccin.

C’est ça le secret. Nous inventons tout au fur et à mesure.

Ce qui suit est totalement inacceptable, étant donné qu’une troponine élevée est un indicateur de lésion myocardique, qui peut être asymptomatique pendant des mois ou des années jusqu’à ce qu’elle se manifeste par un arrêt cardiaque ou une maladie cardiaque.

La « pharmacovigilance post-commercialisation » signifie que vous devenez le participant involontaire d’un essai, avec peu de chances que le produit soit retiré, même si le profil de sécurité réalisé est épouvantable:

4.6 Pharmacovigilance

Bien qu’aucun signal de sécurité concernant des événements cardiaques n’ait été identifié dans les études, on a signalé que jusqu’à 18,4 % des sujets de deux des 22 essais cliniques présentaient une élévation anormale et asymptomatique de la troponine I après la vaccination. Ces élévations de troponine-I n’étaient pas accompagnées de modifications cliniquement significatives de l’ECG ou d’autres résultats de l’évaluation cardiologique et leur signification clinique était incertaine. Nous trouvons acceptable le plan proposé par le demandeur pour évaluer les données cardiaques signalées spontanément dans le cadre du plan de pharmacovigilance de routine après la commercialisation.

Lymphadénopathie = gonflement des ganglions lymphatiques, un marqueur d’une immunité supprimée et/ou de troubles auto-immuns (3).

Arthralgie = douleur articulaire, une autre condition associée aux troubles auto-immuns, tout comme la troponine élevée et la péri & myocardite.

Notez les pourcentages de catégorie 3.

Groupe 1 = Jynneos

Groupe 2 = ACAM2000

10,9 % des candidats Jynneos analysés présentaient une induration de catégorie 3, vraisemblablement au niveau du site d’injection, mais ils ne l’expliquent pas davantage. Imaginez un gonflement et une douleur de type « piqûre d’abeille » :

Induration : « Durcissement localisé des tissus mous du corps. La zone devient ferme, mais pas aussi dure qu’un os. »

« Les événements de catégorie 3 sont graves et interfèrent avec la capacité d’une personne à faire des choses basiques comme manger ou s’habiller. Les événements de grade 3 peuvent également nécessiter une intervention médicale.4 »

Aegrescit medendo.

6.1.10.1 Populations inscrites/analysées

Ensemble d’analyse intégral (Full Analysis Set – FAS)

Le FAS a été défini comme l’ensemble des sujets ayant reçu au moins une dose du vaccin de l’essai et pour lesquels on disposait de données sur l’innocuité ou l’immunogénicité après la vaccination.

L’analyse de l’innocuité et les analyses secondaires d’immunogénicité de soutien ont été effectuées sur le FAS.

Diapositives d’une présentation de l’Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) [Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation]. Malgré les données des essais et leur propre évaluation, ils ont réussi à faire supprimer tout risque de péri ou myocardite de la notice:

Conseils cliniques pour l’utilisation de JYNNEOS. Réunion de l’ACIP le 3 novembre 2021

https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-11-2-3/02-Orthopoxviruses-Petersen-508.pdf

Virus vaccinal: Virus de la vaccine compétent pour la réplication / Virus de la vaccine déficient pour la réplication,
Vaccinia Ankara Modifié
« Prise »: Une « prise » se produit / Pas de « prise » après la vaccination
Inoculation par inadvertance et auto-inoculation: Risque existant / Aucun risque
Effet indésirable grave: Risque existant / Moins de cas prévus
Effets indésirables cardiaques: Myopéricardite chez 5,7 pour 1.000 primo-vaccinés /
On pense que le risque est plus faible que celui pour ACAM2000
Efficacité: Efficacité évaluée par la FDA en comparant la réponse immunologique et la « prise » au Dryvax* / Évaluée par la FDA en comparant la réponse immunologique à ACAM2000 et par des études animales
Administration: Par voie percutanée par une technique de ponction multiple en une seule dose / Par voie sous-cutanée en 2 doses, à 28 jours d’intervalle
* ACAM2000 et Dryvax sont tous deux dérivés de la souche de vaccine du NYC Board of Health ; ACAM2000 est un vaccin antivariolique de « deuxième génération » dérivé d’un clone de Dryvax, purifié et produit à l’aide d’une technologie moderne de culture cellulaire.

Une fois dans le programme, attendez-vous à être pourchassé pour recevoir des boosters tous les 2 ans au risque de subir des dommages cardiaques cumulatifs:

Recommandations proposées pour JYNNEOS® par rapport à ACAM2000
Population recommandée: Personnes à risque professionnel pour les orthopoxvirus (c’est-à-dire le personnel des laboratoires de recherche, les laboratoires de diagnostic, les membres des équipes d’intervention).
Populations proposées: Personnes qui administrent ACAM2000 ou qui soignent des patients infectés ou vaccinés par un virus capable de se répliquer.
Populations pour lesquelles un rappel est recommandé à des intervalles spécifiques: Les personnes qui présentent un risque continu ou soutenu d’orthopoxvirus [Remarque : les équipes d’intervention ne présentent pas de risque continu et ne recevront des rappels qu’au moment d’un épisode de variole ou de variole du singe].
Fréquence des rappels: Personnes travaillant avec la variole et la variole du singe: Tous les 3 ans (auparavant tous les ans) / Tous les 2 ans
Fréquence des rappels: Personnes travaillant avec des orthopoxvirus moins virulents / Au moins tous les 10 ans

Ceux qui en ont le plus besoin sont ceux qui en bénéficient le moins. Bon retour dans l’Angleterre victorienne:

3. Conditions associées à l’immunosuppression
▪ Les conditions comprennent une infection par le virus de l’immunodéficience humaine/syndrome d’immunodéficience acquise, une leucémie, un lymphome, une tumeur maligne généralisée, une transplantation d’organe solide, un traitement par agents alkylants, antimétabolites, radiations, inhibiteurs du facteur de nécrose tumorale, corticostéroïdes à forte dose, être un receveur avec une greffe de cellules souches hématopoïétiques <24 mois après la greffe ou ≥24 mois mais avec une maladie du greffon contre l’hôte ou une rechute de la maladie, ou avoir une maladie auto-immune avec une immunodéficience comme composante clinique.
▪ Les personnes immunodéprimées, y compris celles recevant un traitement immunosuppresseur, peuvent avoir une réponse immunitaire diminuée à JYNNEOS en raison de leur statut immunodéprimé.

Alors là, c’est NON:

4. Grossesse
▪ Les données humaines disponibles sur JYNNEOS administré aux femmes enceintes sont insuffisantes pour informer des risques associés au vaccin pendant la grossesse.
▪ Cependant, les modèles animaux, y compris les rats et les lapins, n’ont montré aucune preuve d’un effet nocif sur un fœtus en développement.
5. Enfants âgés de moins de 1 an
▪ La vaccination des nourrissons âgés de <1 an est contre-indiquée pour ACAM2000.
▪ JYNNEOS n’est pas autorisé pour les personnes <18 ans et n’a pas été rigoureusement évalué dans cette population.
▪ La prudence est de mise lorsqu’on envisage d’administrer ACAM2000 ou JYNNEOS à des enfants et des adolescents âgés de moins de 18 ans.

Tout comme la protéine de pointe exprimant la transfection est déficiente en réplication. Là aussi c’est NON:

6. Allaitement
▪ La sécurité et l’efficacité de JYNNEOS n’ont pas été évaluées chez les femmes qui allaitent.
▪ On ne sait pas si JYNNEOS est excrété dans le lait maternel et on ne dispose pas de données permettant d’évaluer l’impact de JYNNEOS sur la production de lait ou la sécurité de JYNNEOS chez les nourrissons allaités.
▪ Cependant, le vaccin JYNNEOS est déficient en réplication et ne devrait donc pas présenter de risque de transmission aux nourrissons allaités.
▪ La prudence est de mise lorsqu’on envisage l’administration de .
JYNNEOS aux femmes qui allaitent

A partir de l’application jusqu’à 2,1%, c’est-à-dire 1 sur 50, ont présenté un événement indésirable cardiaque d’intérêt particulier (EIIP). C’est plus de 10 fois le taux du placebo. Et 127 autres cas n’ont pas atteint le seuil de 2 fois la limite supérieure de la normale (LSN). Le VIH, la maladie d’Alzheimer et les symptômes associés aux maladies auto-immunes étaient fortement corrélés:

Donc les études de troponine étaient plus sensibles, c’est ça l’explication?

Qui a fait l’évaluation de la péricardite suspectée, pourquoi était-elle « peu probable qu’elle soit liée au vaccin MVA-BN »?

Des EIIP cardiaques ont été signalés chez 1,3% (95/7.093) des receveurs du MVA-BN et chez 0,2% (3/1.206) des receveurs du placebo qui n’avaient jamais été vaccinés contre la variole. Des EIIP cardiaques ont été signalés chez 2,1% (16/766) des receveurs du MVA-BN qui avaient déjà reçu le vaccin antivariolique. La proportion plus élevée de receveurs du vaccin MVA-BN ayant subi des EIIP cardiaques provient de 28 cas d’élévation post-vaccination asymptomatique de la troponine-I dans deux études: POX-MVA011, qui a recruté 482 sujets infectés par le VIH et 97 sujets sains, et POX-MVA-008, qui a recruté 350 sujets atteints de dermatite atopique et 282 sujets sains. 127 cas supplémentaires d’élévation asymptomatique post-vaccination de la troponine-I au-dessus de la LSN mais pas au-dessus de 2 fois la LSN ont été documentés chez les receveurs de MVA-BN tout au long du programme de développement clinique, dont 124 dans les études POX-MVA-011 et POX-MVA-008. Les proportions de sujets présentant des élévations de troponine-I (> LSN) étaient similaires entre les sujets sains (13,7%) et les sujets infectés par le VIH (11,5%) dans l’étude POX-MVA-011 et entre les sujets sains (18,9%) et les sujets atteints de dermatite atopique (18,0%) dans l’étude POX-MVA-008.

Dans l’ensemble, le nombre de sujets présentant des EIIP dans ce programme de développement clinique était relativement faible. A l’exception d’un cas de péricardite suspecté qui a été évalué comme n’étant probablement pas lié au MVA-BN et d’augmentations isolées légères à modérées des niveaux de troponine avec une signification clinique inconnue, aucun autre EIIP cardiaque n’a été rapporté. Parmi les 22 études, toutes les études, à l’exception des études POXMVA-008 et POX-MVA-011, comptaient peu de sujets présentant une élévation de la troponine-I après la vaccination. Le demandeur postule que la proportion accrue de sujets présentant une élévation de la troponine I après la vaccination est liée à l’utilisation d’un test de troponine plus sensible. Dans ces deux études, 188 sujets ont été évalués pour la troponine-I avec un dosage de troponine « conventionnel », et 934 sujets ont été évalués pour la troponine-I avec un dosage de troponine « haute sensibilité ». Le test de troponine « haute sensibilité » utilisé dans ces deux études n’a pas été approuvé par la FDA. Parmi les 188 sujets dont la troponine-I a été évaluée avec le test de troponine « conventionnel », aucun sujet n’a signalé une élévation de la troponine-I après la vaccination, tandis que 144 des 934 sujets dont la troponine-I a été évaluée par le test de troponine « haute sensibilité » ont signalé une élévation de la troponine-I après la vaccination. Tous les sujets présentant des taux élevés de troponine-I ont fait l’objet d’un bilan cardiologique et aucune anomalie cardiaque cliniquement significative n’a été identifiée parmi ces sujets. Comme il n’y avait pas de contrôle par placebo dans ces deux études, la pertinence clinique de la proportion accrue de sujets présentant une troponine-I subclinique, mais anormale, est inconnue.

« Pas détecté de risque accru de myopéricardite », était-ce le même, un peu moindre peut-être? C’est une formulation trompeuse, jusqu’à 18% des groupes VIH, MA et dermatite atopique (eczéma) ayant des niveaux élevés de troponine est une preuve solide d’un risque élevé de péri ou myocardite subclinique ou de future cardiomyopathie induite par la fibrose, en plus des EIIP dans d’autres groupes:

7. Trois facteurs de risque cardiaque majeurs connus ou plus
▪ Les facteurs de risque cardiaque majeurs comprennent l’hypertension, le diabète, l’hypercholestérolémie, une maladie cardiaque à l’âge de 50 ans chez un parent du premier degré et le tabagisme.
▪ Les études cliniques n’ont pas détecté de risque accru de myopéricardite chez les receveurs de JYNNEOS.
▪ Les personnes présentant une cardiopathie sous-jacente ou ≥3 facteurs de risque cardiaque majeurs doivent être conseillées sur le risque théorique de myopéricardite étant donné l’étiologie incertaine de la myopéricardite associée aux vaccins antivarioliques compétents pour la réplication.

Ici, ils mettent en garde contre la maladie aggravée par la vaccination (vaccine-associated enhanced disease – VAED). Merci.

Conseils pour réduire au minimum le risque d’exposition professionnelle
▪ De nombreuses personnes présentant des contre-indications à la vaccination avec ACAM2000 (par exemple, dermatite atopique, conditions d’immunodépression, allaitement ou grossesse) peuvent recevoir la vaccination avec JYNNEOS.
▪ Cependant, ces personnes peuvent présenter un risque accru de maladie grave si une infection professionnelle survient malgré la vaccination.
▪ Les personnes présentant un état d’immunodépression peuvent être moins susceptibles de présenter une réponse efficace après toute vaccination, y compris après JYNNEOS, même si JYNNEOS peut être administré en toute sécurité à ces personnes.

Il n’existe aucune preuve solide que Jynneos ait un quelconque effet (hormis celui de tuer les cardiomyocytes).

Faites-nous confiance, d’accord, nous sommes des experts:

Test de titre
▪ En tant que vaccin déficient en réplication, JYNNEOS ne produit pas de lésion au site du vaccin (également appelée  » prise « ) qui peut être utilisée comme marqueur de réussite de la vaccination.
▪ Le test de routine de titre n’est pas recommandé après la vaccination avec JYNNEOS pour confirmer l’administration réussie du vaccin étant donné que des taux élevés de séroconversion ont été démontrés dans les essais cliniques.
▪ Cependant, un test de titre pourrait être envisagé au cas par cas après consultation des autorités de santé publique pour certaines personnes présentant des conditions d’immunodépression ou travaillant avec des orthopoxvirus plus virulents (par exemple, le virus de la variole et le virus de la variole du singe) afin de confirmer qu’une réponse immunitaire a été obtenue.

« Faux sentiment de sécurité »:

Test de titre
▪ Un corrélat de protection n’a pas été établi et il n’y a pas de niveau de titre d’anticorps connu qui assure une protection.
▪ Les résultats des tests de titre doivent être interprétés avec prudence dans de tels cas pour éviter de donner un faux sentiment de sécurité.

Il manque quelque chose? Des événements de risque cardiaque que vous estimez de façon peu convaincante « inférieurs » et qui ne sont pas au niveau du placebo?

Notice de JYNNEOS
Mises en garde et précautions

▪ Réactions allergiques sévères
– Un traitement médical approprié doit être disponible pour gérer les éventuelles réactions anaphylactiques après l’administration de JYNNEOS
– Les personnes ayant présenté une réaction allergique sévère à la suite d’une dose précédente de JYNNEOS ou à la suite d’une exposition à l’un des composants de JYNNEOS peuvent présenter un risque accru de réactions allergiques graves après l’administration de JYNNEOS
– Le risque de réaction allergique grave doit être mis en balance avec le risque de maladie due à la variole ou à la variole du singe
▪ Altération de l’immunocompétence
– Les personnes immunodéprimées, y compris celles recevant un traitement immunosuppresseur, peuvent présenter une réponse immunitaire diminuée à JYNNEOS
▪ Limitations de l’efficacité du vaccin.
– La vaccination par JYNNEOS peut ne pas protéger tous les receveurs.
Quand je lis un article où il manque des mots,
je complète les mots manquants dans ma tête pendant que je lis.

Ainsi, vu l’efficacité non confirmée contre la variole du singe chez l’homme, les titres d’anticorps à des niveaux inconnus à long terme, l’absence d’études sur les lymphocytes T ou les lymphocytes B mémoires et un profil de risque biaisé, sans données de sécurité à long terme, qui incite à n’administrer le produit qu’aux personnes les plus vulnérables (sauf si elles sont immunodéprimées), on pourrait s’attendre à ce que le Jynneos soit retiré du marché ou strictement limité.

Ce n’est pas tout à fait ce qui s’est passé:

Après confirmation que la variole du singe est arrivé aux États-Unis, le gouvernement a commandé des millions de doses d’un vaccin qui protège contre le virus.

Bavarian Nordic, la société de biotechnologie qui fabrique le vaccin, a annoncé que les États-Unis avaient passé une commande de 119 millions de dollars, avec la possibilité d’acheter 180 millions de dollars supplémentaires s’ils le souhaitent. Si cette deuxième option était exercée, cela représenterait environ 13 millions de doses.

La commande permettra de convertir les vaccins antivarioliques existants, qui sont également efficaces contre la variole du singe, en versions lyophilisées, qui ont une durée de conservation plus longue. Les vaccins convertis seront fabriqués en 2023 et 2024, précise la société.

Bavarian Nordic collabore avec le gouvernement américain depuis 2003 pour développer, fabriquer et fournir des vaccins antivarioliques. À ce jour, l’entreprise a fourni près de 30 millions de doses au Ministère de la Santé et des Services Sociaux.

Les États-Unis ne sont pas le seul pays à constituer des stocks de vaccins. Jeudi, Bavarian Nordic a déclaré qu’un pays européen non identifié avait conclu un contrat pour obtenir le vaccin.

« Bien que les circonstances entourant les cas actuels de variole du singe en Europe restent à élucider, la vitesse à laquelle ils ont évolué, combinée au potentiel d’infections au-delà du cas initial non détecté, exige une approche rapide et coordonnée de la part des autorités sanitaires, et nous sommes heureux de leur apporter notre aide dans cette situation d’urgence », a déclaré Paul Chaplin, président et PDG de Bavarian Nordic dans un communiqué.

Le gouvernement américain passe une commande de 119 millions de dollars pour 13 millions de vaccins lyophilisés contre la variole du singe, (19 mai 2022)

https://fortune.com/2022/05/19/monkeypox-vaccine-purchase-2022-us-government/

BAVARIAN NORDIC FABRIQUERA LES PREMIÈRES DOSES LYOPHILISÉES DE VACCIN ANTIVARIOLIQUE À LA SUITE DE L’EXERCICE D’UNE OPTION CONTRACTUELLE PAR LE GOUVERNEMENT AMÉRICAIN.

– Option de 119 millions USD exercée pour la fabrication de JYNNEOS® lyophilisé en 2023 et 2024.

– Il s’agit de la première série d’options d’une valeur totale de 299 millions USD pour convertir le stock de vaccin actuel, acheté précédemment par BARDA, en environ 13 millions de doses de JYNNEOS® lyophilisées.

https://www.bavarian-nordic.com/investor/news/news.aspx?news=6569

4 juin ’22:

Vaccine et réactivation du VIH latent

L’histoire de la vaccination antivariolique nous réserve une autre surprise.

Ce billet opportun a éveillé mon intérêt:

Hein, quoi? J’ai pu trouver une source pour ce contenu:

[NdT. pas le temps de tout traduire, sorry]

https://www.hivireland.ie/wp-content/uploads/1987_Print_Media_005_May_11th_to_15th-WebSize.pdf

De grands noms sont cités dans ces articles. Que ce soit par la réutilisation d’aiguilles contaminées ou par la réactivation virale (ou les deux?), la théorie du complot devient plausible, voire suffisamment plausible pour parrainer des recherches sur la seconde hypothèse.

Nous verrons pourquoi plus tard.

Le mécanisme clé qui sous-tend l’hypothèse est mis en évidence:

L’objectif principal du projet est d’étudier les interactions entre le virus de la vaccine et le VIH-1 et l’hôte; en particulier, les réponses de l’organisme atopique à l’infection par le virus de la vaccine et l’effet du potentiel redox sur la réactivation du VIH-1 latent seront étudiés. La recherche devrait fournir une base pour de nouvelles approches thérapeutiques et vaccinales utilisables dans les infections par ces virus.

Objectifs de la recherche:

– Développer un modèle de souris d’eczéma vaccinatum chez les souris Nc/Nga ou dans un autre modèle de souris de dermatite atopique, et étudier les réponses immunitaires de l’organisme atopique au virus de la vaccine.

– Tester l’effet antiviral de dérivés sélectionnés de l’acide éthacrynique et d’autres agents ayant un effet anti-poxviral in vivo ; en culture tissulaire, étudier le mécanisme d’action exact des agents, le type de mort cellulaire des cellules infectées de différentes origines embryonnaires et son importance pour l’induction des réponses immunitaires lors de l’infection par le virus de la vaccine.

– Caractériser le mécanisme moléculaire d’action des agents modulateurs d’oxydoréduction sur la réactivation du VIH-1 latent et vérifier les résultats obtenus in vitro dans des cultures de tissus ainsi que dans des lymphocytes périphériques primaires de donneurs sains et de patients VIH+ ex vivo.

Vous trouverez de plus amples informations sur le site www.phenogenomics.cz ou sur le lien suivant

https://biocev.lf1.cuni.cz/

Contenu de la recherche:

Notre principal objectif de recherche est d’étudier les interactions virus-hôte, à savoir les interactions entre le virus de la vaccine et le VIH-1. Cette recherche devrait fournir la base de nouvelles approches thérapeutiques et vaccinales utilisables dans les infections par ces virus et d’autres.

Contrairement à une idée répandue, il est toujours nécessaire de comprendre la pathogenèse de l’infection par les poxvirus et les complications post-vaccinales, ainsi que de développer des vecteurs de vaccination sûrs et/ou des médicaments efficaces contre les poxvirus. Nos recherches portent principalement sur la réponse d’un organisme atopique à la vaccine et à d’autres virus. Nous avons développé notre propre modèle d’eczéma vaccinatum chez des souris atopiques Nc/Nga, nous l’avons utilisé pour caractériser les réponses immunitaires et pour comparer les risques et les efficacités des vaccinations avec la souche WR du virus de la vaccine, le Dryvax et le MVA non répliqué. Dans ce modèle atopique, nous continuons à étudier les réponses immunitaires déréglées vis-à-vis du virus de la vaccine et d’autres virus.

La latence du VIH dans les cellules réservoirs est le principal obstacle à la guérison du VIH/SIDA. Notre objectif est d’identifier, de caractériser et de développer de nouveaux agents pour réactiver le VIH-1 latent. Nous avons décrit un potentiel de réactivation de l’arginate d’hème et nous avons identifié plusieurs autres agents réactivant le VIH-1 in vitro dans des cultures de tissus. Nous nous concentrons actuellement sur la confirmation des résultats dans les lymphocytes périphériques primaires de patients VIH + et dans des modèles de latence primaires. Nous avons l’intention de patienter avec les combinaisons de médicaments sélectionnées et de rechercher un partenaire stratégique pour poursuivre le développement du nouveau traitement contre le VIH.

Potentiel de coopération

Nous sommes ouverts aux nouveaux doctorants et à tout type de collaboration/échange avec des chercheurs intéressés par l’étude des réponses immunitaires d’un organisme atopique vis-à-vis de la vaccine et d’autres virus. Afin de poursuivre le développement de nouveaux agents efficaces pour la réactivation du VIH latent, nous sommes à la recherche d’un investisseur stratégique.

MUDr. Zora Mělková, Ph.D., Étude des interactions du virus Vaccinia avec l’hôte et réactivation du VIH-1 latent, (Année ?).

https://www.biocev.eu/en/research/cellular-biology-and-virology.4/study-of-vaccinia-virus-interactions-with-the-host-and-reactivation-of-the-latent-hiv-1.52

Sur les vaccins contre le VIH basés sur la variole, comme le montre la dernière coupure de presse, co-écrite par rien de moins que Luc Montagnier:

Résumé

Les séquences codant pour les protéines centrales p55, p25 et p18 du virus de l’immunodéficience humaine (VIH-1) ont été insérées dans le génome du virus de la vaccine. L’infection de cellules cultivées avec les virus recombinants vivants a conduit à l’expression de protéines qui ont été reconnues par les sérums d’individus séropositifs. L’immunisation de souris avec le virus recombinant exprimant la protéine p25 du VIH et le précurseur p55 a produit des niveaux élevés d’anticorps dirigés contre les antigènes correspondants du VIH. Les données obtenues sont discutées en termes d’utilisation possible de ces virus recombinants vivants dans le développement d’une stratégie vers un vaccin contre le SIDA.

Rautmann G, Kieny MP, Brandely R, Dott K, Girard M, Montagnier L, Lecocq JP. Protéines centrales du VIH-1 exprimées à partir de virus de la vaccine recombinants. AIDS Res Hum Retroviruses. 1989 Apr;5(2):147-57. doi : 10.1089/aid.1989.5.147. PMID : 2713165.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/2713165/

Glutathion peroxydase, réactivation du HERV et Vaccinia, cette fois dans un rôle protecteur:

…Il est démontré que le risque réduit de mélanome dû au BCG et à la vaccine, ainsi qu’à certaines causes communes de maladies infectieuses, est associé à des déterminants antigéniques présentant des homologies de séquence avec l’antigène HERV-K-MEL. Ce dernier est le produit d’un pseudo-gène qui est étroitement associé au gène env du rétrovirus humain endogène K (HERV-K). Une réaction immunitaire suppressive semble inhiber l’expression de gènes rétroviraux endogènes, tels que le gène env du HERV-K, qui pourraient autrement entraîner une transformation maligne des années, voire des décennies plus tard. La protéine env de HERV-K possède des séquences d’acides aminés homologues avec la protéine de liaison à l’élément sensible à l’oxygène (OREBP), un facteur nucléaire humain qui contrôle l’expression de la glutathion peroxydase. La formation de cette enzyme et d’autres enzymes redox, nécessaires au maintien de niveaux appropriés du potentiel redox intracellulaire normal, semble être supprimée par la protéine homologue OREBP. La présente hypothèse est conforme au concept selon lequel la dérégulation immunitaire due à des impacts environnementaux négatifs est un facteur de risque non seulement pour certains troubles auto-immuns, comme décrit précédemment, mais aussi pour certaines malignités telles que le mélanome.

Bernd Krone et al, Protection contre le mélanome par la vaccination avec le Bacille Calmette-Guérin (BCG) et/ou la vaccine : une hypothèse basée sur l’épidémiologie sur la nature d’un facteur de risque de mélanome et son contrôle immunologique, Eur J Cancer, (2005 Jan).

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15617995/

Le VIH est très sensible au potentiel REDOX de la cellule (5). La clé ici est que Vaccinia code une glutaredoxine fonctionnelle.

Qu’est-ce que c’est? La réponse courte:

« Les glutaredoxines (également connues sous le nom de Thioltransférase) sont de petites enzymes redox d’environ cent résidus d’acides aminés qui utilisent le glutathion comme cofacteur. Chez l’homme, cette enzyme réparatrice de l’oxydation est également connue pour participer à de nombreuses fonctions cellulaires, notamment la signalisation redox et la régulation du métabolisme du glucose.[4][5] Les glutaredoxines sont oxydées par les substrats et réduites de manière non enzymatique par le glutathion.(6) »

Résumé

Il a été démontré précédemment que le virus Vaccinia (VV) code pour une glutaredoxine fonctionnelle, le produit du gène o2l, qui est synthétisé tard dans l’infection, après le début de la réplication de l’ADN. Nous rapportons ici qu’un cadre de lecture ouvert dans le génome du VV, appelé g4l, code une protéine dont la séquence est similaire à celle des glutaredoxines et qui possède des activités thioltransférase et déhydroascorbate réductase. La protéine G4L peut être détectée dans les cellules infectées dès 4 heures après l’infection et est exprimée de manière constitutive jusqu’à 24 heures après l’infection. Une protéine homologue à G4L et conservant le centre actif prédit de la glutaredoxine est codée par le virus Molluscum Contagiosum (MCV) récemment séquencé, alors que la protéine O2L n’est pas conservée, ce qui suggère que l’activité glutaredoxine de G4L peut être impliquée dans la réplication de tous les poxvirus.

Gvakharia BO, Koonin EK, Mathews CK. Le gène G4L du virus Vaccinia encode une seconde glutaredoxine. Virologie. 1996 Dec 15;226(2):408-11.

doi: 10.1006/viro.1996.0669. PMID: 8955061.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/8955061/

Comment la glutarédoxine peut-elle réactiver des virus latents, dont le VIH?

Le premier point à noter est que les voies de signalisation du cancer sont également activées:

Résumé

Bien que l’utilisation d’antioxydants pour le traitement du cancer et du VIH/SIDA ait été proposée depuis des décennies, de nouvelles connaissances issues de la recherche sur l’oxydoréduction ont suggéré un scénario très différent. Ces nouvelles données montrent que les principaux systèmes antioxydants cellulaires, les systèmes de la thiorédoxine (Trx) et du glutathion (GSH), favorisent en fait la croissance du cancer et l’infection par le VIH, tout en supprimant une réponse immunitaire efficace. D’un point de vue mécanique, ces systèmes contrôlent à la fois les voies redox et NO (homéostasie nitroso-redox), qui sous-tendent les défenses immunitaires innées et cellulaires. La double inhibition des systèmes Trx et GSH tue de manière synergique les cellules néoplasiques in vitro et chez la souris et diminue la résistance aux traitements anticancéreux. De même, la population de cellules réservoirs du VIH, qui constitue le principal obstacle à la guérison du SIDA, est extrêmement sensible à l’oxydoréduction et pourrait être ciblée sélectivement par les inhibiteurs de la Trx et du GSH. L’inhibition de la Trx et du GSH peut conduire à une reprogrammation de la réponse immunitaire, faisant pencher la balance entre le système immunitaire et le cancer ou le VIH en faveur du premier, permettant ainsi l’élimination des cellules malades. Ainsi, les thérapies basées sur l’inhibition des voies de la Trx et du GSH représentent une approche prometteuse pour la guérison du cancer et du SIDA et méritent d’être étudiées plus avant.

Benhar, M., Shytaj, I. L., Stamler, J. S., & Savarino, A. Double ciblage des systèmes de la thiorédoxine et du glutathion dans le cancer et le VIH. The Journal of clinical investigation, 126(5), 1630-1639. (2016)

https://doi.org/10.1172/JCI85339

Ce qui nous ramène à la vaccination contre la variole du singe.

Jynneos est un MVA. Exprime-t-il aussi la glutaredoxine en quantité?

Veuillez me corriger si je lis mal l’article sur le génome, mais la réponse semble être oui.

C’est logique car pour générer une immunité, il faut un haut degré d’homologie, c’est-à-dire l’expression de protéines.

Les virus de la vaccine modifiés pour exprimer des gènes étrangers sont des vecteurs pour la production de protéines recombinantes, le plus courant étant un système d’administration d’antigènes pour les vaccins[3]. Les préoccupations concernant la sécurité du virus de la vaccine ont été prises en compte par le développement de vecteurs basés sur des virus de la vaccine atténués. L’un d’entre eux, le virus Modified vaccinia Ankara (MVA), est une souche hautement atténuée du virus de la vaccine qui a été développée vers la fin de la campagne d’éradication de la variole par Anton Mayr à Munich, en Allemagne. Produite entre 1953 et 1968 par plus de 500 passages en série du virus de la vaccine (à partir d’une souche sauvage découverte par l’Institut turc du vaccin d’Ankara) dans des cellules de poulet[4] (fibroblaste d’embryon de poulet), la MVA a perdu environ 10 % du génome de la vaccine et, avec lui, la capacité de se répliquer efficacement dans les cellules de primates. Un vecteur recombinant à base de MVA pour la vaccination avec différents gènes rapporteurs fluorescents a été développé par Antonio Siccardi, qui indiquent le progrès de la recombinaison génétique avec le transgène d’un antigène (vert, incolore, rouge) [5] [6].

…Par rapport aux virus de la vaccine qui se répliquent, le MVA fournit des niveaux similaires ou supérieurs d’expression de gènes recombinants, même dans les cellules non permissives.

… Le MVA est un virus de la vaccine atténué et ne se réplique pas dans le corps humain aussi efficacement que la vaccine. Cependant, on ignore pour l’instant si le MVA peut induire les mêmes effets secondaires que la vaccine.

Modified vaccinia Ankara

https://en.m.wikipedia.org/wiki/Modified_vaccinia_Ankara#:~:text=The%20Modified%20Vaccinia%20Ankara%20

G4L est le gène qui exprime la glutaredoxine, et il est conservé dans le MVA et donc dans le Jynneos, avec des implications potentielles pour la santé publique.

Notez la référence à la variole bovine:

Résumé

La séquence complète de l’ADN génomique de la souche vaccinale hautement atténuée modified vaccinia Ankara (MVA) a été déterminée. Le génome de MVA a une longueur de 178 kb, ce qui est significativement plus petit que le génome de la souche vaccinia Copenhagen, qui est de 192 kb. Les 193 cadres de lecture ouverts (open reading frames – ORF) cartographiés dans le génome du MVA correspondent probablement à 177 gènes, dont 25 sont divisés et/ou ont subi des mutations entraînant des protéines tronquées. La région génomique terminale gauche du MVA contient quatre grandes délétions et une grande insertion par rapport à la souche Copenhagen. En outre, de nombreux ORF de cette région sont fragmentés, ne laissant que huit gènes structurellement intacts et donc vraisemblablement fonctionnels. L’ADN inséré code pour un groupe de gènes que l’on trouve également dans la souche vaccinia WR et dans le virus de la variole bovine, et comprend un gène hautement fragmenté homologue au gène de la gamme d’hôtes du virus de la variole bovine, ce qui constitue une preuve supplémentaire qu’un virus semblable à la variole bovine était l’ancêtre de la vaccine. De manière surprenante, la région centrale conservée du génome contient également quelques gènes fragmentés, dont l’ORF F5L, codant pour une protéine membranaire majeure, et les ORF F11L et O1L, codant pour des protéines de 39,7 et 77,6 kDa, respectivement. La région génomique terminale droite porte trois grandes délétions : tous les gènes classiques d’évasion immunitaire poxvirale et tous les gènes de type ankyrine situés dans cette région sont fragmentés, à l’exception de ceux codant pour le récepteur de l’interleukine-1β et la protéine de type ankyrine B18R de 68 kDa. Ainsi, le phénotype atténué du MVA est le résultat de nombreuses mutations, affectant particulièrement les protéines interactives avec l’hôte, dont les gènes ankyrin-like, mais impliquant également certaines protéines structurelles.

Lien vers le pdf:

G.Antoine, F.Scheiflinger, F.Dorner, F.G.Falkner, The Complete Genomic Sequence of the Modified Vaccinia Ankara Strain : Comparaison avec d’autres orthopoxvirus, (1998),

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0042682298991231

L’infection par le COVID-19 peut-elle être renforcée/réactivée de la même manière? Il semble que non car, contrairement au VIH, il se développe dans un environnement oxydatif.(7)

L’immunisation contre la vaccine peut encore la favoriser indirectement par d’autres voies, comme l’épuisement des cellules T ou la réactivation d’autres virus latents, ce qui affaiblit le système immunitaire. Les défis antigéniques répétés ne sont pas à encourager.

En rapport avec la vaccination Vaccinia, un excellent article sur le renforcement des infections virales par les anticorps, notamment pourquoi les tentatives répétées de créer des vaccins efficaces contre le VIH et les coronavirus continuent d’échouer :

Résumé

Des exemples d’augmentation de la sensibilité à l’infection virale ou de pathogénie virale aberrante induite par un vaccin ont été documentés pour des infections par des membres de différentes familles de virus. Plusieurs mécanismes, dont beaucoup sont encore mal compris, sont à la base de ce phénomène. La mise au point de vaccins contre les infections à lentivirus en général, et contre le VIH/SIDA en particulier, n’a guère été couronnée de succès. Certains vaccins lentiviraux expérimentaux se sont même révélés contre-productifs : ils ont rendu les sujets vaccinés plus sensibles à l’infection au lieu de les protéger. En ce qui concerne l’augmentation de la sensibilité à l’infection par certains virus comme le coronavirus félin, le virus de la dengue et le virus de l’immunodéficience féline, il a été démontré que la facilitation de l’infection par les anticorps (antibody-dependent enhancement – ADE) joue un rôle important. D’autres mécanismes peuvent être impliqués, soit en l’absence de l’ADE, soit en combinaison avec celui-ci. Par conséquent, le renforcement induit par le vaccin a été un obstacle majeur au développement de certains vaccins contre les flavi-, corona-, paramyxo- et lentivirus. De même, les récents échecs dans le développement d’un vaccin contre le VIH peuvent être attribués, au moins en partie, à l’induction d’une susceptibilité accrue à l’infection. Il pourrait bien y avoir un équilibre délicat entre l’induction d’une immunité protectrice d’une part et l’induction d’une susceptibilité accrue d’autre part. Le présent article passe en revue les mécanismes actuellement connus de l’augmentation de la sensibilité à l’infection virale induite par le vaccin ou de la pathogenèse virale aberrante.

Mots clés: Vaccin, Amélioration, ADE, VIH, Lentivirus.

W. Huisman,1 B.E.E. Martina, G.F. Rimmelzwaan, R.A. Gruters, et A.D.M.E. Osterhaus, Renforcement des infections virales par le vaccin, Vaccine. 2009 Jan 22 ; 27(4) : 505-512, publié en ligne le 18 novembre 2008. doi : 10.1016/j.vaccine.2008.10.087

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7131326/#__ffn_sectitle

L’avenir de la vaccination contre la variole du singe

Cette étude de 2011 souligne également les défauts majeurs de l’approche Jynneos et recommande des essais d’efficacité qui pourraient également bénéficier à une population à risque réel, imaginez ça!

Les nouveaux vaccins candidats ont été évalués chez l’homme pour leur immunogénicité, mais depuis l’éradication de la variole, tous les essais d’efficacité ont été réalisés sur des modèles animaux. Par conséquent, aucun des produits récemment développés pour la prévention et le traitement de l’infection par le virus de la variole n’a été testé sur le terrain chez l’homme, et ont été fabriqués et déposés dans le stock de biodéfense sur la base d’études animales et de la présomption qu’ils fonctionneront chez l’homme en cas de crise.

Bien que l’on sache que l’immunité médiée par les cellules T est importante pour éliminer les infections par poxvirus, la protection est fortement associée aux réponses en anticorps. Cela est dû au fait que la complexité et le coût d’un essai vaccinal de phase I sont considérablement plus élevés si la cryoconservation des cellules mononucléaires du sang périphérique (peripheral blood mononuclear cells – PBMC) est nécessaire. Pour les essais de phase I des vaccins candidats contre le poxvirus, le prélèvement de sérum pour la recherche d’anticorps induits par le vaccin serait suffisant.

Il est difficile, long et coûteux de le faire correctement, et l’efficacité visée devrait être de 80% pour que cela en vaille la peine, et non de 50%.

Il est beaucoup plus rapide, plus facile et moins coûteux de sauter toutes ces inepties de sécurité et d’efficacité des phases II et III et de signer l’autorisation de distribution massive:

Passer de la phase I des tests d’innocuité et d’immunogénicité à un essai d’efficacité de phase IIb ou III ajouterait un nouveau niveau de complexité, non seulement en raison de la taille de l’étude, mais aussi parce que le lieu de l’étude passerait de Kinshasa au district de Sankuru, dans la partie centrale de la RDC, où il y a peu d’établissements de soins de santé et peu de routes, ce qui rend l’accès difficile et crée des défis logistiques pour la gestion de la livraison des produits biologiques et des échantillons cliniques. La réalisation d’études épidémiologiques a nécessité un système élaboré de véhicules, de motos, de bicyclettes et de déplacements à pied pour accéder aux populations et transporter les échantillons diagnostiques. Même avec une incidence annuelle proche de 0,2% (chez les enfants de 5 à 19 ans), un essai d’efficacité contrôlé par placebo avec un an de suivi nécessiterait environ 20.000 sujets pour détecter une efficacité du vaccin de 80% avec une puissance de 80%. Il faudrait moins de sujets si la période de suivi pouvait être prolongée, à condition que l’on s’attende à un maintien de l’immunité.

Avantages des essais cliniques du vaccin dans les zones endémiques de la variole du singe (MPX)

La réalisation d’essais cliniques en RDC présenterait un certain nombre d’avantages pour différentes parties prenantes. Tout d’abord, les populations du bassin du fleuve Congo qui sont les plus touchées par la maladie en bénéficieraient. Les études cliniques permettraient d’attirer l’attention sur le problème de la variole du singe, d’améliorer les connaissances générales sur la prévention de la variole du singe et, éventuellement, d’améliorer les connaissances sur d’autres problèmes de santé en renforçant l’infrastructure de la santé publique. Il y aurait également des avantages intangibles qui accompagnent les activités d’essais cliniques, notamment la stimulation des économies locales. Deuxièmement, la population congolaise en général et le système de santé congolais en bénéficieraient car un essai de vaccin interventionnel nécessiterait un investissement dans l’infrastructure réglementaire. En outre, il permettrait d’accroître la capacité de recherche en augmentant le nombre de chercheurs actifs et le personnel. Avec une efficacité de 85% au taux d’incidence actuel, environ une infection par le virus de la variole du singe pourrait être évitée pour 600 personnes vaccinées.

Les développeurs de vaccins antivarioliques alternatifs et les parties prenantes dans le domaine de la biodéfense et des maladies infectieuses émergentes tireraient profit de la possibilité d’évaluer sur le terrain des vaccins antivarioliques candidats contre un orthopoxvirus virulent. Cet avantage ne doit pas être sous-estimé car l’inoculation de la vaccine vivante est le seul vaccin antivariolique dont l’efficacité a été prouvée chez l’homme. Tous les autres vaccins candidats seront provisoirement approuvés en appliquant la Règle des Animaux (20). Le fait de disposer de données sur l’efficacité chez l’homme conférerait un avantage de sélection significatif à un vaccin candidat par rapport à un autre.

En fin de compte, les auteurs se demandent si tout cela vaut la peine? Pourquoi ne pas simplement administrer des antiviraux aux rares cas qui se présentent et éduquer les groupes à risque sur les pratiques sûres? Pourquoi pas, en effet.

C’est la méthode Leicester de réponse à l’incidence et de quarantaine ciblée, mise à jour pour le 21e siècle:

Alternatives à la vaccination antivariolique

Compte tenu des risques d’effets indésirables, du coût et des considérations logistiques associés à la vaccination antivariolique, il convient également d’envisager d’autres stratégies pour lutter contre la variole du singe chez l’homme. Une alternative à la vaccination pourrait être le traitement des cas incidents avec une thérapie antivirale pour réduire la morbidité et la transmission, et en donnant accès aux antibiotiques pour le traitement des infections bactériennes secondaires. Le diagnostic clinique de la variole du singe étant relativement facile, des antiviraux efficaces et des soins cliniques de soutien pourraient être des options plus pratiques que la vaccination à l’heure actuelle.

La réduction de la fréquence de l’infection humaine par la variole du singe pourrait également être obtenue par l’éducation sanitaire sur la manipulation des espèces réservoirs animales potentielles afin de prévenir la transmission de l’animal à l’homme et par la quarantaine ou l’isolement des contacts afin de prévenir la propagation interhumaine. La définition des facteurs sous-jacents à l’augmentation de l’incidence, et leur impact sur la transmission primaire par rapport à la transmission secondaire, est donc une direction cruciale pour les recherches en cours. En outre, une meilleure compréhension de la mortalité et des complications associées à l’infection par la variole du singe doit être évaluée. La poursuite de la surveillance active de la maladie dans les régions endémiques, associée à des études sur les ménages et les contacts avec un suivi à long terme, permettrait de répondre à ces questions importantes.

D’autres études sont également nécessaires pour identifier les hôtes intermédiaires et les réservoirs animaux. La vaccination antivariolique ne modifiera pas le réservoir ni la quantité de virus de la variole du singe trouvés dans les espèces d’amplification. L’introduction de la variole du singe dans les populations humaines dépend du contact avec des espèces infectées. Par conséquent, la vaccination seule ne sera pas efficace pour contrôler la propagation géographique de la variole du singe, car elle est déterminée par les mouvements d’animaux et largement motivée par la perte d’habitat naturel.

Rimoin, A. W., & Graham, B. S. (2011). Whither monkeypox vaccination. Vaccine, 29 Suppl 4(Suppl 4), D60-D64.

https://doi.org/10.1016/j.vaccine.2011.09.004

« Wally, je te nomme responsable des tests de notre nouveau médicament dans un essai clinique randomisé à grande échelle. »
« Certainement. Quel résultat veux-tu que je te fournisse? »
« Tu es limite trop parfait pour ce boulot. » « Merci. »

Et merci de m’avoir lu.

Références:

1: WHO, Monkeypox – United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland, (May 18th 2022),

https://www.who.int/emergencies/disease-outbreak-news/item/2022-DON383

2: Norris, J, Misfolded spike protein could explain complicated COVID-19 symptoms, (May 26, 2022),

https://www.medicalnewstoday.com/articles/misfolded-spike-protein-could-explain-complicated-covid-19-symptoms

3: Lymphadenopathy at the crossroad between immunodeficiency and autoinflammation: An intriguing challenge, (2021),

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8374228/#__ffn_sectitle

4: Side Effects in Clinical Trials

https://dipg.org/dipg-research/clinical-trials-for-dipg/side-effects/

5: Bhaskar A, Munshi M, Khan SZ, Fatima S, Arya R, Jameel S, Singh A. Measuring glutathione redox potential of HIV-1-infected macrophages. J Biol Chem. 2015 Jan 9;290(2):1020-38. doi: 10.1074/jbc.M114.588913. Epub 2014 Nov 18. PMID: 25406321; PMCID: PMC4294471.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25406321/

6: Glutaredoxin

https://en.wikipedia.org/wiki/Glutaredoxin#:~:text=Glutaredoxins%20(also%20known%20as%20Thioltransferase,and%20regulation%20of%20glucose%20metabolism.

7: Jaswinder Singha, Rajinder S.Dhindsab, Vikram Misrac, Baljit Singhd, SARS-CoV2 infectivity is potentially modulated by host redox status, (2020),

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2001037020304839


Texte original

Smallpox & monkeypox vaccine mythology, aegrescit medendo

The cure is worse than the disease

DoorlessCarp🐭

Jun 3

Any extracts used in the following article are for non commercial research and educational purposes only and may be subject to copyright from their respective owners.

Introduction

This Substack reviews the history of smallpox vaccination in part 1.

The safety & efficacy of a vaccine candidate against monkeypox and mechanisms of vaccine induced cardiomyopathy are reviewed in part 2.

It concludes with “Whither monkeypox vaccination” which discusses different approaches to the currently adopted one.

Part 1: Smallpox

Whilst Edward Jenner’s famous discovery undoubtedly saved many lives, it also contributed to many deaths for various reasons.

The net effect was that at the population level net mortality didn’t fall over time, if anything it went up (where have we seen that before?)

The main causes were:

  • Immunosuppressed, malnourished children were unable to mount an effective immune response. It was like pushing on a string.
  • The live cowpox virus could be as lethal to these individuals as smallpox itself.
  • Good Manufacturing Practice (GMP) was a thing of the future. Vaccine preparations varied in quality and variant used, and could even be contaminated with anthrax spores. It was also often traceable back to smallpox itself, not cowpox…

For those who haven’t read it I can recommend the excellent “Dissolving Illusions: Disease, Vaccines, and The Forgotten History” (2013) by Suzanne Humphries MD, and it is appropriate to include several quotes in this Substack.

In many ways we haven’t really progressed from the Victorian era:

Fresh vesicles subsequently formed around the vaccination pocks coalescing with them and causing them to spread. They developed also on the face, head, body, and in the mouth, the later prevented the child from suckling, and it died exhausted on the 45th day after vaccination.

– Case of a healthy child after vaccination, March 13, 1891

Try revaccination—It never will hurt you,

For revaccination has this one great virtue:

Should it injure or kill you whenever you receive it,

We all stand prepared to refuse to believe it.

– From a circular signed “The Doctors,” 1876

And any acquired immunity, if the vax didn’t kill you first time round, wasn’t lifelong:

…it is observed that all un-revaccinated children over one and a-half years of age, or thereabouts, and all revaccinated persons whose revaccinations are more than three years old, i.e., the vast majority of the entire population—are unprotected.{106}

Another practitioner named Dr. Olesen claimed that revaccination should be done annually.

Recent successful vaccination is an absolute protection against smallpox. Protection lasts from six months to twelve months and often much longer. Revaccination is advisable once a year.

Since the late 1700s, the medical profession has supported vaccination, even though there was never a trial where one group was vaccinated and compared to another group of the same size that was not vaccinated.{109}

The CDC admits that, even now, the level of antibody that protects against smallpox infection is unknown.{110} When the authors of Dissolving Illusions were growing up in the United States, children were considered vaccinated and immune simply by revealing the scar of vaccination years after the procedure.

The standardization and purity of smallpox vaccines was lackluster even after the eradication of smallpox from the United States. Dr. Beddow Bayly’s 1952 statements should leave everyone wondering how such a vaccine could have possibly been responsible for eradication of any disease:

When we recall that vaccine lymph is derived, in the first place, either from a smallpox corpse, the ulcerated udder of a cow, or the running sores of a sick horse’s heels, the choice depending upon the country of its origin and the firm which manufactures it, it is hardly to be wondered at that it has far-reaching ill effects on the human constitution. Years ago, the Lancet declared that “no practitioner knows whether the lymph he employs is derived from smallpox, rabbit-pox, ass-pox, or mule-pox.”{117} Our own Ministry of Health has long confessed to complete ignorance of the ultimate source of its own supply of lymph; but last year Dr. A. Downie stated in the British Medical Journal that “the strain of vaccinia virus used for the routine preparation of lymph in this country [England] is believed to have been derived from a case of smallpox in Cologne during the last century.” That, of course, disposes of the whole theory of cow-pox vaccination.{118}

When Jenner published his paper in 1798 claiming lifelong immunity to smallpox and promoting his technique, many doctors who had seen smallpox follow cowpox challenged his doctrine at a meeting of the Medico-Convivial Society.

But he [Jenner] no sooner mentioned it than they laughed at it. The cow doctors could have told him of hundreds of cases where smallpox had followed cow-pox…{122}

In 1799 Dr. Drake, a surgeon from Stroud, England, conducted an experiment to test Jenner’s new preventive using vaccine obtained directly from Edward Jenner. The children were then challenged with a smallpox inoculation to see if the cowpox procedure had been effective.

In three of them, a lad aged seventeen and two of the Colborne children (one four years, the other fifteen months), the cowpox vesicles came to early maturity and were scabbed under the usual time. The lad was inoculated with smallpox on the 20th December, being the eight day from his vaccination, and the two children on the 21st, being again the eight day. They all developed smallpox, both the local pustules and the general eruption with fever.{123}

Dr. Hughes, another doctor from Stroud, reported that the children subsequently developed smallpox and suggested that the vaccination technique failed. Jenner received the report but decided to ignore the results.

Human behaviour never changes:

Surgeons and doctors were paid well to perform vaccination and embraced it as a new form of income. It is therefore quite significant that so many doctors wrote to medical journals about their experiences. However, just like today, the believers ignored the voices of the medical dissenters, which led to ordinary people speaking out in the lay media.

A case fatality rate of 33% indicates zero efficacy. Perhaps not surprising if smallpox was the source of the lymph:

In the 1844 smallpox epidemic, about one-third of the vaccinated contracted a mild form of smallpox, but roughly 8 percent of those vaccinated still died, and nearly two-thirds had severe disease.{131}

A letter to a newspaper in 1850 claimed there were more admissions to the London SmallPox Hospital in 1844 than during the smallpox epidemic of 1781 before vaccination began. The author also noted that one-third of the deaths from smallpox were in people who had previously been vaccinated.

Daily experience now unhappily shows an altered state of things: small pox, in spite of vaccination, is rapidly on the increase… There were more admissions to the London SmallPox Hospital in 1844 than in the celebrated smallpox epidemic of 1781 before vaccination was introduced. I shall also select the Registrar’s returns of one of the country districts (Bradford) to show how little protection vaccination afforded in the last quarter of that year, 1844: 118 [181?] deaths from smallpox were recorded, 60, or nearly one-third, of which had been vaccinated.{132}

The more things change, the more they stay the same:

In 1898 Dr. Wilder also noted that during the 1871–1872 pandemic, the vaccinated often contracted severe smallpox more rapidly than the nonvaccinated.

Never, however, did the faith in vaccination receive so rude a shock as in the Great SmallPox Epidemic of 1871 and 1872. Every country in Europe was invaded with a severity greater than had ever been witnessed during the three preceding centuries. In England, the number of deaths from the disease was increased from 2,620 in 1870 to 23,126 in 1871 and 19,064 in 1872, falling again to 2,634 in 1873. Upon the Continent, particularly in France and Germany, the visitation was even more severe. In Bavaria, for example, with a population vaccinated more than any other country of Northern Europe, except Sweden, which experienced the greatest that had ever been known.

What was even more significant, many vaccinated persons in almost every place were attacked by smallpox before any unvaccinated persons took the disease.{139}

As resistance to vaccination understandably grew, mandates were enacted:

In 1840, as doctors and citizens realized that vaccination was not what it was promised to be, vaccine refusals increased. Governments passed various laws to force people to be vaccinated. Vaccination was made compulsory in England in 1853, with stricter laws passed in 1867. In the United States, Massachusetts created a set of comprehensive vaccination laws in 1855.

Did this work? Not exactly.

In fact, more people died from smallpox in the 20 years after the strict compulsory laws than in the 20 years prior.

…smallpox, after having almost wholly disappeared from our community during the thirty or forty years which followed the introduction of vaccination in 1800, gradually regained its foothold in Boston, where it continued to prevail almost uninterruptedly, although with varying intensity, from 1839, when the disease for the first time assumed the form of a distinct epidemic, up to 1873. During this period of thirty-five years the course of smallpox has been marked by a succession of epidemic paroxysms, generally by intervals of several years, during which a varying number of sporadic cases has testified to the more or less constant presence of the disease. The latest epidemic that of 1872-1873, having proved fatal to 1040 persons, was the most severe that has been experienced in Boston since the introduction of vaccination.{142}

The same pattern of more severe epidemics was to be repeated throughout highly vaccinated populations in the Western world.

England and Wales total deaths from cowpox and other effects of vaccination from 1859 to 1922.
England and Wales smallpox deaths vs. smallpox vaccination deaths from 1906 to 1922.

Sanitation and nutrition, every time:

The death rate for smallpox declined after 1872, but there is no evidence that vaccination had anything at all to do with it. In the early 1900s, death from smallpox all but vanished from England (Graph 4.5). Interestingly, the pattern of smallpox deaths mirrored almost perfectly a much bigger killer—scarlet fever, a bacterial toxin-mediated disease. There was a scarlet fever toxin vaccine, which was never widely used because it had severe consequences to many of its recipients. A marked decline in scarlet fever death occurred long before any antibiotic was used.

England and Wales smallpox and scarlet fever mortality rates from 1838 to 1922.

Some may look at the graphs and think that the vaccine just needed longer to have its effect. But after 1872, vaccination coverage rates slowly declined from a high of nearly 90 percent. Coverage rates plummeted to only 40 percent by 1909 (Graph 4.6). Despite declining vaccination rates, smallpox deaths remained low, vanishing to near zero after 1906. Smallpox vaccination has always correlated positively to epidemics in the countries that collected data in the vain hope of proving the vaccine’s worth.

England and Wales smallpox mortality rate vs. smallpox vaccine coverage rates from 1872 to 1922.

Just as now, many harrowing cases of needless child deaths. Being compliant didn’t work and how compulsory vaccination was halted in England:

After the 1872 pandemic, even more people lost confidence in vaccination. They began asking the question as to whether better sanitation, hygiene, improved housing, nutrition, and isolation of cases were the best ways to deal with smallpox. These ideas, which clashed with the medical profession and governmental laws, culminated in a large demonstration in 1885 against compulsory vaccination in the small manufacturing town of Leicester, England. People had had enough. The tide was about to turn against both the medical profession and the law.

Although vaccination for smallpox had been used since the year 1800, the government did not begin to enforce it until the first acts in 1840 and 1853. The 1853 law set the governmental machinery in place to require every child to be vaccinated within three months of birth.

Through a series of legal acts over the years, the British government had, by the time of the protest in Leicester, made refusing smallpox vaccination a crime punishable by fines or imprisonment.

The penalties fell disproportionately on the poor who, if they could not afford to pay the fine for noncompliance with the vaccination law, would have the settlement forcibly offset by seizure and sale of their furniture. From the Leicester Mercury, January 1884:

A man named Arthur Ward had two children injured through vaccination and refused to submit another one to the operation. A fine was imposed and on 24th November two police officers called for the penalty, or in default to ticket the goods. The husband was out at the market, and the poor woman had no money to pay. The goods downstairs were considered insufficient to cover the amount, and the officers demanded to go upstairs. The woman refused to allow this, and an altercation took place, and harsh language was used by the officers, who threatened to take her husband to prison, terrifying Mrs. Ward. At that time she was pregnant, and the shock to the system, and the fright, were of such a character that symptoms ensued which ultimately led to a premature confinement, and on 26th December she gave birth to a still-born child. She never recovered and last week she expired. The doctor who had attended Mrs. Ward said that although he believed in vaccination he did not think it was the duty of any professional man to carry out the laws in the outrageous and brutal manner in which they were enforced.{193}

Leicester, March 23, 1885:

Because of the serious and sometimes fatal results of the procedure, and the government’s steadfast support of forced vaccination through fines and imprisonment, the people were motivated to revolt. In great numbers, they took to the streets of Leicester to protest. At the time of the demonstration, thousands of prosecutions were being brought against parents who refused vaccination for their children.

The widespread opposition to the enforcement of the compulsory clauses of the Vaccination Acts which exists in Leicester culminated yesterday in a great demonstration, which was carried out very successfully. The position which the inhabitants of the town have assumed with regard to this question is due to a variety of causes. At the present moment there are over 5,000 persons being summoned for refusing to comply with the law.… summonses issued in the year 1884 only reached seven, or a little over one summons in every two months, while at the present moment forty-five summonses are being heard and disposed of every week. But even the disposal of forty-five defendants every week is not sufficient to meet the requirements of the case, and the defaulters and the objectors increase faster than the cases can be dealt with.{194}

The crowd gathered in Leicester from a number of different counties in England and included people of all professions.

The demonstration… drew delegates from all parts of the country, while many letters of sympathy were received not only from England, Scotland, and Ireland, but from Jersey, France, Switzerland, Belgium, Germany, and America. Most of the large towns in the kingdom sent special banners, the Yorkshire, Irish, and Scotch being very prominent. The anti-vaccinationists in Jersey sent a very elaborate banner setting forth that the Acts had been four times defeated there, while the Belgium banner had this inscription in French—“Neither fines nor imprisonment will prevent vaccine being a poison nor the vaccination laws an infamy.”{195}

Organizers of the event estimated the number at attendance to have been between 80,000 and 100,000. Mr. Councillor Butcher of Leicester presided and congratulated the crowd on the magnificent and elaborate display. He said:

…the exemplary conduct of the many thousands of people who had attended the demonstration showed that they were determined only to use fair and constitutional means to bring about a repeal of the Acts.{200}

He addressed the audience:

Many present had been sufferers under the Acts, and all they asked was that in the future they and their children might be let alone. They lived for something else in this world than to be experimented upon for the stamping out of a particular disease. A large and increasing portion of the public were of opinion that the best way to get rid of smallpox and similar diseases was to use plenty of water, eat good food, live in light and airy houses, and see that the Corporation kept the streets clean and the drains in order. If such details were attended to, there was no need to fear smallpox, or any of its kindred; and if they were neglected, neither vaccination nor any other prescription by Act of Parliament could save them.{201}

The people of Leicester prevailed and brought this pseudoscientific nightmare to a close, the compulsory vaccination laws were eventually repealed:

Thousands of brave people set off a historical rebellion that successfully countered a prevailing medical belief and heavy-handed government rule. The medical profession proclaimed that the Leicester residents would suffer greatly for their decision to turn their backs on vaccination. They prognosticated that this unvaccinated town with its “highly flammable material”{206} would suffer with the “dread disease”{207} that would spread like “wild-fire on a prairie”{208} and decimate the population.

But the leaders of Leicester held steadfast to what they knew was right and successfully implemented their plan of sanitation, hygiene, and isolation—instead of vaccination. Their grand experiment would test the very notions of freedom of choice, self-determination, and the heart of a flawed medical belief.

For the full story and many other case studies I recommend reading the book.

Part 2: Monkeypox

I won’t be going into great virological depth here as currently it’s something of a media hyped, vaccine/WHO promoting propaganda exercise, a nothingburger with an R number less than 1 and transmitted in a similar fashion to HIV, effectively a gender specific STD.

Just like with Covid-19 for most people the imported West African clade presents as a comparatively mild, self limiting disease with a case fatality ratio of less than 1, including all those with comorbidities, ie its actually quite difficult to die from, let alone catch in the first place.1

However there is evidence of a lab based origin or potential gain of function work, and there is the possibility it could function like a binary weapon, the other component being immunosuppression mediated by Coronavirus “vaccines”, so it’s one to watch for transmission rates. That would require aerosol spread rather than direct person to person to become an issue.

@Kevin_McKernan:

There is something fishy about the monkey pox sequences.

50 mutations is too many for a 2018 DNA virus.

There is also a deletion which hints at serial passaging.

https://virological.org/t/discussion-of-on-going-mpxv-genome-sequencing/802

And this thread added 5th June ‘22:

https://threadreaderapp.com/thread/1532852045614665732.html

From the pharma viewpoint, smallpox vaccines are interchangeable with monkeypox vaccines.

Smallpox vaccines have also been associated with very high rates of myocarditis:

In 2015, US military physicians described a study of 1,081 healthy young soldiers who received a smallpox vaccine as part of their military service.  [Smallpox vaccine is not used in the civilian population.]  It is known to cause a high rate of side effects, including myo- and peri-carditis, heart attacks and heart failure.

They found:

– 5 soldiers or 0.046% (about 1 in 216 vaccine recipients) developed a clinical case of myo or pericarditis.  This is over 200 times the expected rate!

– But an additional 31 vaccine recipients had elevated cardiac enzymes

Adding these 2 groups together (36 out of 1081 soldiers) we find that one in 30 soldiers had lab-diagnosed cardiac inflammation.  The 31 didn’t complain of symptoms.  But in the military, it never pays to complain.  

They too were at elevated risk of a cardiac arrhythmia and/or reduced cardiac function, and may have been at higher risk of a myocardial infarction.

We don’t know how common mild or subacute myo/pericarditis is in young Americans after Covid vaccines, because the US health agencies have neither performed a similar study, demanded such a study from the vaccine manufacturers (while it is the responsibility of both FDA to request and the manufacturers to perform), and the FDA and CDC have kept the databases hidden that might help at least identify the « clinical » cases, the ones who complained and sought medical care.  

The CDC or FDA could also have contracted with this group of military physicians to perform a similar study of Covid vaccine recipients.

Dr. Michael Nelson, this study’s second author, was made a member of the FDA vaccine advisory committee for Covid vaccines.  But he has been mum about the potential similarities between the covid and smallpox vaccine side effects, and didn’t publicly mention this study when he spoke at the VRBPAC meetings.

In 2003, another group of military and civilian physicians (including at least 2 vaccine zealots as coauthors: Greg Poland and John Grabenstein) published a study of US soldiers receiving smallpox vaccine, in which they did not look carefully for cases.  How common was myocarditis in their study?  One case in 12,818 soldiers.  They found 400 times fewer cases than the authors of the 2015 study.  The full text can be downloaded here as a pdf.

How hard are CDC and FDA looking for Covid vaccine myo-pericarditis cases? We heard about no prospective studies at the VRBPAC and ACIP (the FDA and CDC vaccine advisory committees’) meetings in June.

Below is the abstract, and here is the full text of the 2015 military study:

« New onset chest pain, dyspnea, and/or palpitations occurred in 10.6% of SPX-vaccinees and 2.6% of TIV-vaccinees within 30 days of immunization (relative risk (RR) 4.0, 95% CI: 1.7-9.3). Among the 1081 SPX-vaccinees with complete follow-up, 4 Caucasian males were diagnosed with probable myocarditis and 1 female with suspected pericarditis. This indicates a post-SPX incidence rate more than 200-times higher than the pre-SPX background population surveillance rate of myocarditis/pericarditis (RR 214, 95% CI 65-558). Additionally, 31 SPX-vaccinees without specific cardiac symptoms were found to have over 2-fold increases in cTnT (>99th percentile) from baseline (pre-SPX) during the window of risk for clinical myocarditis/pericarditis and meeting a proposed case definition for possible subclinical myocarditis. This rate is 60-times higher than the incidence rate of overt clinical cases. No clinical or possible subclinical myocarditis cases were identified in the TIV-vaccinated group.« 

If you think one in thirty is impossibly high, a Finnish study of military recruits published in 1978 found the same 3% rate after smallpox and DTP vaccination, based on EKG changes. 

Covid vaccines may be causing similar high rates of cardiac inflammation too.  But today, who’s counting?

And did this cause the military to stop vaccinating for smallpox, a disease wiped out in 1977?  No.  Military smallpox vaccinations continued.

Nass, Meryl MD, How common is myocarditis? It hugely depends how hard you look. For smallpox vaccine in military recruits, 1 in 30 had clinical or subclinical myo or pericarditis/PLOS One, (Wednesday, July 7, 2021)
https://anthraxvaccine.blogspot.com/2021/07/how-common-is-myocarditis-it-hugely.html

Now we consider “JYNNEOS”, the monkeypox vaccine of the hour. It’s a repurposed 2 dose live, non-replicating smallpox vaccine.

To get “immunised” with it is very much a personal decision based on your circumstances and future epidemiological developments. I present the evidence here and personally would advise extreme caution.

The memorandum wreaks of a now all too familiar bias and lacked long term safety or immunological efficacy data.

Extracts from the BLA Clinical Review Memorandum, a Biologics License Application (BLA) dated 10/25/2018 and downloadable from:

https://www.fda.gov/media/131870/download

Jynneos is an attempt at a safer smallpox vaccine (“MVA-BN”). For an eradicated disease.

And who might these “bioterrorists” be they refer to?

Smallpox is a highly contagious infectious disease caused by variola virus with a mortality rate of 30-40%. Smallpox was declared officially eradicated in 1980. Following the official declaration of smallpox eradication, routine vaccination 3 programs against smallpox were discontinued, leading to a growing majority of the world’s population lacking immunity to smallpox. The intentional release of variola virus, a recognized agent of potential bioterrorist intent, could therefore have devastating effects. The only currently licensed smallpox vaccine, ACAM2000, is a live, replicating vaccinia virus based smallpox vaccine. ACAM2000 is contraindicated in severely immunocompromised individuals who are not expected to benefit from the vaccine. ACAM2000 is also limited to use in individuals at high risk of smallpox because of severe side effects, such as progressive vaccinia in less severely immunocompromised individuals for whom the vaccine is not contraindicated, eczema vaccinatum in individuals with atopic dermatitis, myopericarditis in smallpox vaccine naïve individuals, fetal vaccinia in pregnant women, and spread of vaccine virus beyond the vaccination site (generalized vaccinia) or to contacts of vaccinees. Therefore, an unmet medical need exists for a smallpox vaccine with an improved safety profile.

Monkeypox is a rare viral zoonosis with symptoms similar to those seen in smallpox patients. Although it is clinically less severe than smallpox, it can be fatal. Case fatality in monkeypox outbreaks has been between 1% and 10%. With the eradication of smallpox in 1980 and subsequent cessation of smallpox vaccination, monkeypox virus has emerged as the most important orthopoxvirus. Monkeypox occurs sporadically in central and western Africa’s tropical rainforest. A monkeypox outbreak was first confirmed in the U.S. in 2003. There is no specific treatment or approved vaccine for monkeypox although Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) recommends that ACAM2000 be used for prevention of monkeypox in individuals at high risk of exposure (e.g., lab workers who handle monkeypox virus).

BN (also referred to as the applicant throughout the document) proposed a 2- dose primary series for use in smallpox vaccine naïve individuals and a single booster dose for use in individuals previously vaccinated with a smallpox vaccine (replicating smallpox vaccine or MVA-BN primary series). They submitted 22 clinical trials to support the effectiveness and safety of MVA-BN for licensure. Among these 22 clinical trials, 7 clinical trials are considered essential by the review team to support the proposed indication and usage. Full clinical study reports were submitted to the BLA for these 7 studies:

• POX-MVA-006: A pivotal Phase 3 non-inferiority trial comparing MVA-BN with ACAM2000 to support safety and effectiveness of MVA-BN in vaccinia naïve healthy subjects

• POX-MVA-013: A placebo-controlled Phase 3 lot consistency trial to establish manufacturing consistency of MVA-BN as well as to support safety of MVA-BN

• POX-MVA-008: A Phase 2 trial to support use of MVA-BN in individuals with atopic dermatitis

• POX-MVA-011: A Phase 2 trial to support use of MVA-BN in HIV-infected individuals

• POX-MVA-005 and -23: A Phase 2 trial and its extension trial, respectively, to support use of MVA-BN in vaccinia experienced individuals

• POX-MVA-024: A Phase 2 trial to support use of MVA-BN in individuals 65 years of age and older

So it starts on a high note, but things go downhill fast from there. Starting efficacy target is only 50%. Safety and efficacy isn’t assessed primarily against an unvaccinated control but against ACAM2000, is this to make it look safer?

Antibodies do not equal immunity. They do pick up that there is no known quantified antibody response to demonstrate immunity:

During the discussions of licensure pathway for MVA-BN, we agreed that the most appropriate approach to licensure for MVA-BN would be to demonstrate vaccine effectiveness compared to ACAM2000 using a primary endpoint of noninferior vaccinia specific neutralizing antibody titers. The non-inferiority margin was pre-specified at 0.5. Given that vaccine antigens and replication competence are different for MVA-BN vs. ACAM2000, and that a vaccinia neutralizing antibody response that predicts protection against smallpox has not been established, we considered that demonstrating vaccine efficacy in animal models showing protection against relevant orthopoxvirus challenge (e.g., monkeypox in NHPs) would be critical to support the immunologic non-inferiority comparison.

And no need to actually trial it against a different species to smallpox as monkeypox is close enough and it worked on monkeys. I’m not sure that’s how it works, its conjecture.

The applicant’s original proposed indication did not include monkeypox. During the review of this submission, we received inquiries from external stakeholders in the US government asking whether the available data for MVA-BN would support an indication for prevention of monkeypox. We determined that immunogenicity data for MVA-BN obtained in humans together with the non-human primate (NHP) data already submitted to BLA 125678/0 support the indication for prevention of monkeypox, since the clinical and non-clinical studies provided multiple lines of evidence that the immune response to MVA-BN provided protection against different orthopoxviruses, and specifically monkeypox in the NHP challenge model. Therefore, we recommended including the monkeypox indication in the product labeling.

They followed up some trial participants for 6 months, but myocardial fibrosis can take years to become symptomatic and still shortens your natural lifespan. These papers are worth reading in full in the context of Covid-19 “vaccine” mediated myo and pericarditis. Small lumen capillaries are particularly prone to obstruction and T-cell infiltration mediates further myocardial injury.

Abstract

Heart injury from many causes can end up in a common final pathway of pathologic remodeling and fibrosis, promoting heart failure development. Dilated cardiomyopathy is an important cause of heart failure and often results from virus-triggered myocarditis. Monocytes and monocyte-like cells represent a major subset of heart-infiltrating cells at the injury site. These bone marrow-derived cells promote not only tissue injury in the short term but also angiogenesis and collagen deposition in the long term. Thus, they are critically involved in the typical tissue fibrosis, which evolves in the dilating ventricle during the process of pathologic remodeling. Recent findings suggest that heart-infiltrating monocyte-like cells indeed contain a pool of progenitors, which represent the cellular source both for accumulation of differentiated monocytes during the acute inflammatory phase and for transforming growth factor-beta-mediated myocardial fibrosis during the later chronic stages of disease. Obviously, a delicate balance of proinflammatory and profibrotic cytokines dictates the fate of bone marrow-derived heart-infiltrating progenitors and directly influences the morphologic phenotype of the affected heart. In this minireview, we provide an update on these mechanisms and discuss their significance in pathologic remodeling and heart failure progression after myocarditis.

Kania G, Blyszczuk P, Eriksson U. Mechanisms of cardiac fibrosis in inflammatory heart disease. Trends Cardiovasc Med. 2009 Nov;19(8):247-52. doi: 10.1016/j.tcm.2010.02.005. PMID: 20447565.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20447565/

Cardiac remodelling in detail. This is post “heart attack” (myocardial infarction or MI) but is applicable in the context of the shared mechanisms of myocardial fibrosis:

Abstract

Ischemic cell death during a myocardial infarction leads to a multiphase reparative response in which the damaged tissue is replaced with a fibrotic scar produced by fibroblasts and myofibroblasts. This also induces geometrical, biomechanical, and biochemical changes in the uninjured ventricular wall eliciting a reactive remodeling process that includes interstitial and perivascular fibrosis. Although the initial reparative fibrosis is crucial for preventing rupture of the ventricular wall, an exaggerated fibrotic response and reactive fibrosis outside the injured area are detrimental as they lead to progressive impairment of cardiac function and eventually to heart failure. In this review, we summarize current knowledge of the mechanisms of both reparative and reactive cardiac fibrosis in response to myocardial infarction, discuss the potential of inducing cardiac regeneration through direct reprogramming of fibroblasts and myofibroblasts into cardiomyocytes, and review the currently available and potential future therapeutic strategies to inhibit cardiac fibrosis.

The fibrotic response after an MI can be classified into two types of fibrosis, namely replacement and reactive fibrosis, both of which are mediated by fibroblasts and myofibroblasts. Replacement fibrosis, i.e. scar formation, is a pivotal process to prevent the rupturing of the ventricular wall after an ischemic insult (van den Borne et al. 2010; Shinde and Frangogiannis 2014). However, the increased mechanical stress post-MI, together with hormonal and paracrine mediators, also induces the expansion of connective tissue in areas remote to the infarction. This reactive fibrosis in the infarct border zone and in the remote uninjured myocardium leads to altered chamber compliance and increased ventricular stiffness thereby compromising cardiac output.

In addition to its effect on cardiac contractility, both the fibrous scar and interstitial fibrosis have been shown to interfere with the normal electrical function of the heart thus predisposing to arrhythmia (for a review, see Francis Stuart et al. 2015). The compact scar may serve as an insulated non-excitable area that anchors re-entrant arrhythmia leading to sustained ventricular tachycardia (Ripplinger et al. 2009). In interstitial fibrosis, the non-conducting fibrillar collagen network between cardiomyocyte sheets might promote re-entrant tachycardia through inducing focal ectopic activity and through slowing or blocking of conduction (Francis Stuart et al. 2015). Additionally, the electronic coupling of myofibroblasts and cardiomyocytes might play a role in fibrosis-induced arrhythmogenesis (Kohl and Gourdie 2014). Not surprisingly, cardiac fibrosis has been identified as an autonomous risk factor in HF: it predisposes HF patients to sudden cardiac death and increases overall mortality independently of the ejection fraction (Gulati et al. 2013).

Following the establishment of a collagen-based matrix at the infarct site, the growth factors and matricellular proteins promoting the survival and activity of myofibroblasts are depleted (van den Borne et al. 2010; Shinde and Frangogiannis 2014). In response, the majority of myofibroblasts are removed from the scarred area, possibly through apoptosis. Moreover, the vascular cells die, and the temporary microvasculature is disintegrated. Whether active inhibitory signaling is involved in suppressing the fibrotic response is unclear. During the maturation phase of MI, collagen turnover by the remaining myofibroblasts continues, and type III collagen is replaced with type I collagen. Type I collagen is further modified by LOX-catalyzed cross-linking. The expression of all four LOX isoforms is increased in the infarct area and in the border zone at 3–7 days post-MI (Gonzalez-Santamaria et al. 2016). This correlates with significant accumulation of mature collagen fibers and extensive remodeling, and LOX inhibition with a pharmacological inhibitor or a neutralizing antibody reduces infarct expansion resulting in improved cardiac function at 28 days post-MI (Gonzalez-Santamaria et al. 2016). Cross-linking of the collagen fibers leads to increased tensile strength and contraction of the scar, which alters the geometry of the chamber and contributes to remodeling in the remote areas of the ventricular wall (van den Borne et al. 2010). In a normal wound healing response, all myofibroblasts are cleared from the scarred area, but in the heart, they have been found to persist in the infarct scar even decades after the insult (Willems et al. 1994). The reason for the continuous myofibroblast presence in the infarct scar is not known but is possibly necessary for the continuous maintenance of the ECM in the continuously contracting environment (van den Borne et al. 2010).

Reactive fibrosis: remodeling of remote myocardium

Most often it is not the necrotic cardiomyocyte loss during MI that causes heart failure but the subsequent remodeling of the non-infarcted left ventricular wall. In pathological remodeling, the fibroblast-mediated expansion of the ECM is accompanied by the hypertrophic growth of cardiomyocytes as the cells try to compensate for the increased workload by growing in size in order to increase cardiac function and decrease ventricular wall tension (Heineke and Molkentin 2006). The increased thickness caused by cardiomyocyte hypertrophy and stiffness attributable to excessive cross-linked collagen and the tonic contraction of fibrous tissue mediated by myofibroblasts compromise the diastolic function of the heart (Weber et al. 2013). This remodeling process is progressive and eventually leads to the development of heart failure.

The exact mechanisms and regulation of reactive fibrosis are unclear, and systematic studies examining the characteristics of fibroblasts in the non-infarcted myocardium are lacking (Shinde and Frangogiannis 2014). One promoting factor is the increased mechanical stress in the non-infarcted left ventricular wall; this stress also induces the activation of latent TGF-β in the non-infarcted myocardium. In addition, the persisting activated myofibroblasts in the infarct scar continue to secrete pro-fibrotic factors that might traverse to the remote areas of the myocardium inducing activation and proliferation of local fibroblasts and increased collagen deposition in the interstitial compartment (interstitial fibrosis) and in the adventitia of coronary vessels (perivascular fibrosis; Weber et al. 2013). Pro-fibrotic factors initiating and sustaining the reactive fibrotic response are described in the next section.

Whereas interstitial fibrosis stiffens the myocardium and thereby leads to diastolic and systolic dysfunction, reactive fibrosis in the adventitia of the coronary arteries and arterioles (perivascular fibrosis) can cause narrowing of the vessel lumen and has been associated with impaired coronary blood flow (Dai et al. 2012). This might decrease the oxygen supply to the myocardium thereby compromising the survival of cardiomyocytes and predisposing them to ischemic cell death.

More:

Talman, V., & Ruskoaho, H. (2016). Cardiac fibrosis in myocardial infarction-from repair and remodeling to regeneration. Cell and tissue research, 365(3), 563–581. https://doi.org/10.1007/s00441-016-2431-9

On cardiac amyloidosis. This is more relevant to spike protein infiltration but certainly worth covering within the context of Covid-19 transfection2. Useful diagnostic information too:

Cardiac AL amyloidosis

Light chain amyloidosis is consequent on a clonal plasma cell proliferative disorder in which misfolded immunoglobulin light chains are deposited as amyloid fibrils in multiple organs, including the heart in about half of cases. Cardiac dysfunction in AL amyloidosis results from extracellular infiltration of the myocardium, but there is often also evidence for a cardiotoxic effect exerted by pre-fibrillar light chain aggregates. The severity of cardiac dysfunction is the major determinant of morbidity and mortality.3

Light chain amyloidosis is the most commonly diagnosed type of cardiac amyloidosis. One or many vital organ systems may be involved, commonly the kidneys, liver, peripheral and autonomic nervous systems and soft tissues. The heart is frequently affected and is the only clinically involved organ in some patients.

Clinical presentation reflects the varying multisystem deposition of amyloid. Examination findings may reflect soft tissue and small vessel amyloid infiltration and include macroglossia, periorbital pupura, submandibular gland enlargement and nail dystrophy. Fatigue and weight loss are common. Hepatic or splenic infiltration may cause palpable organomegaly. Renal dysfunction is common, usually presenting as nephrotic range proteinuria.

Early cardiac amyloidosis is a major diagnostic challenge. The classical features of ‘right-sided’ congestive heart failure may not be evident until cardiac disease is very advanced. Elevated jugular venous pressure, a third heart sound, hepatomegaly and peripheral oedema may be very subtle or absent in patients who have already started diuretics.

Peripheral neuropathy is relatively common, presenting with paraesthesia or dysaesthesia typically in a ‘glove and stocking’ distribution. Autonomic neuropathy is an important diagnostic clue, manifesting as orthostatic hypotension, alternating diarrhoea and constipation and erectile dysfunction.

Monoclonal immunoglobulin or free light chains can be identified in the serum and/or urine of at least 95% of patients using sensitive assays, but are often missed in routine serum electrophoresis. The absence of a detectable clone is problematic for diagnosis and monitoring response to treatment.

Martinez-Naharro, A., Hawkins, P. N., & Fontana, M. (2018). Cardiac amyloidosis. Clinical medicine (London, England), 18(Suppl 2), s30–s35. https://doi.org/10.7861/clinmedicine.18-2-s30

Back to the Jynneos application. Antibody titres were common endpoints in the trials, even though there is no known threshold of efficacy or assessment of whether they could actually work against monkeypox.

They know this and state this but proceeded nonetheless as per, for example, trial POX-MVA-005:

POX-MVA-005 was a Phase 2 trial to compare immunogenicity of two doses of MVA-BN in vaccinia-naïve healthy subjects and a single dose of MVA-BN in vaccinia-experienced healthy subjects who were vaccinated with the first generation of smallpox vaccines over 25 years ago. The primary endpoint was vaccinia-specific SCR derived from the ELISA specific antibody titers two weeks after the last vaccination. The study enrolled 549 vaccinia-naïve subjects and 204 subjects who were previously vaccinated with the first generation of smallpox vaccines.

Studies POX-MVA-005/023 and POX-MVA-011 used of PRNT, and Studies POX-MVA-008 and POX-MVA-024 used of PRNT. of PRNT used in these studies were insufficiently validated and were not accepted by CBER assay reviewers. The PRNT assay issue precluded us from making any conclusion regarding vaccine effectiveness among the study populations, including for use of a single booster dose in smallpox vaccine experienced individuals. In addition, the primary endpoints for these studies were SCR determined by MVA-based ELISA, which is not considered clinically meaningful for inferring vaccine effectiveness. Therefore, the data obtained from these studies were not sufficient to support vaccine effectiveness of two doses of MVA-BN specifically in HIV-infected individuals or individuals with AD subjects, nor to support licensure of a single dose (or to inform timing of a single booster dose) in individuals previously vaccinated with a smallpox vaccine. However, it was reasonable to conclude that the 2-dose regimen of MVA-BN would be as effective in smallpox vaccine experienced individuals as compared to smallpox vaccine naïve individuals, so smallpox vaccine experienced individuals were included in the approved indication for the 2-dose regimen. Similarly, there is no physiologic reason to suspect decreased effectiveness of MVA-BN in individuals with AD, and benefit-risk of MVA-BN may still be favorable in HIV-infected individuals. Therefore, there is no reason to specifically exclude individuals with AD or infected with HIV from the general indication for use of this vaccine.

The following is totally unacceptable, given that elevated troponin is an indicator of myocardial injury, which may be asymptomatic for months or years until it presents as cardiac arrest or heart disease.

“Post-marketing pharmacovigilance” means that you become the unwitting trial participant, with little chance of the product being pulled regardless of how dreadful the realised safety profile is:

4.6 Pharmacovigilance

Although no safety signal regarding cardiac events has been identified from the studies, up to 18.4% of subjects in two of the 22 clinical trials were reported to have abnormal, asymptomatic troponin-I elevations following vaccination. These troponin-I elevations were not accompanied by clinically significant ECG changes or other findings on cardiology evaluation and were of uncertain clinical significance. We find the applicant’s proposed plan to assess spontaneously reported cardiac data as part of the routine post-marketing pharmacovigilance plan acceptable.

Lymphadenopathy = swollen lymph nodes, a marker of suppressed immunity and/or autoimmune disorders3.

Arthralgia = joint pain, another condition associated with autoimmune disorders, just as elevated troponin and peri & myocarditis is.

Note the grade 3 percentages.

Group 1 = Jynneos

Group 2 = ACAM2000

10.9% of the Jynneos candidates analysed had grade 3 induration, presumably at the injection site but they don’t break it down further. Think “bee sting” sort of swelling and pain:

Induration: “Localized hardening of soft tissue of the body. The area becomes firm, but not as hard as bone.”

“Grade 3 events are serious and interfere with a person’s ability to do basic things like eat or get dressed. Grade 3 events may also require medical intervention.4

Aegrescit medendo.

6.1.10.1 Populations Enrolled/Analyzed

Full Analysis Set (FAS)

FAS was defined as all subjects who had received at least one dose of trial vaccine and for whom any post vaccination safety or immunogenicity data were available.

The safety analysis and secondary supportive immunogenicity analyses were performed on the FAS.

Slides from a presentation by the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP). Despite the trials data and their own assessment they managed to get any risk of peri or myocarditis removed from the package insert:

Clinical guidance for the use of JYNNEOS. ACIP Meeting November 3 , 2021

https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-11-2-3/02-Orthopoxviruses-Petersen-508.pdf

Once on the program, expect to be chased for boosters every 2 years with risk of cumulative cardiac damage:

Those who need it the most benefit the least. Welcome back to Victorian England:

That’s a NO then:

Just like spike protein expressing transfection is replication deficient. That’s also a NO:

From the application up to 2.1%, that’s 1 in 50, had a cardiac adverse event of special interest (AESI). That’s over 10 times the placebo rate. And they had another 127 cases that didn’t meet the threshold of 2 times the upper limit of normal (ULN). HIV, Alzheimer’s Disease and autoimmune associated symptoms were strong correlates:

So the troponin studies were more sensitive, is that the explanation?

Who made the assessment about the suspected pericarditis, why was it “unlikely related to MVA-BN”?

Cardiac AESIs were reported to occur in 1.3% (95/7,093) of MVA-BN recipients and 0.2% (3/1,206) of placebo recipients who were smallpox vaccine-naïve. Cardiac AESIs were reported to occur in 2.1% (16/766) of MVA-BN recipients who were smallpox vaccine-experienced. The higher proportion of MVA-BN recipients who experienced cardiac AESIs was driven by 28 cases of asymptomatic post-vaccination elevation of troponin-I in two studies: POX-MVA011, which enrolled 482 HIV-infected subjects and 97 healthy subjects, and POX-MVA-008, which enrolled 350 subjects with atopic dermatitis and 282 healthy subjects. An additional 127 of asymptomatic post-vaccination elevation of troponin-I above the ULN but not above 2 times the ULN were documented in MVA-BN recipients throughout the clinical development program, 124 of which occurred in studies POX-MVA-011 and POX-MVA-008. Proportions of subjects with troponin-I elevations (> ULN) were similar between healthy (13.7%) and HIV-infected (11.5%) subjects in POX-MVA-011 and between healthy (18.9%) and atopic dermatitis (18.0%) subjects in POX-MVA-008.

Overall, the number of subjects with AESIs in this clinical development program was relatively low. Except for one case of suspected pericarditis that was assessed as unlikely related to MVA-BN and isolated mild to moderate increases of troponin levels with unknown clinical significance, there were no other reported cardiac AESIs. Among the 22 studies, all the studies except for studies POXMVA-008 and POX-MVA-011 had few subjects with post-vaccination elevation of troponin-I. The applicant postulates that the increased proportion of subjects with post-vaccination elevation of troponin-I is related to the use of a more sensitive troponin assay. Among these two studies, 188 subjects were assessed for troponin-I with a ”conventional” troponin assay, and 934 subjects were assessed for troponin-I with a “high sensitivity” troponin assay. The “high sensitivity” troponin assay used in these two studies was not cleared by FDA. Among the 188 subjects whose troponin-I was assessed with the “conventional” troponin assay, no subject reported post-vaccination elevation of troponin-I, while 144 out of 934 subjects whose troponin-I was assessed by the “high sensitivity” troponin assay reported post-vaccination troponin-I elevation. All subjects with elevated troponin-I levels underwent a cardiologist workup and no clinically meaningful cardiac abnormality was identified among these subjects. Since there was no placebo control in these two studies, the clinical relevance of the increased proportion of subjects with subclinical, yet abnormal troponin-I is unknown.

“Not detected an increased risk of myopericarditis”, was it the same, a bit less maybe? This is misleading wordage, up to 18% of the HIV, AD & atopic dermatitis (eczema) groups having elevated troponin levels is strong evidence of elevated risk of subclinical peri or myocarditis or future fibrosis induced cardiomyopathy, in addition to the AESI’s in other groups:

Here they are warning of vaccine-associated enhanced disease (VAED). Thanks.

There is no strong evidence that Jynneos is actually doing anything (apart from killing cardiomyocytes).

Trust us, OK, we’re experts:

“False sense of security”:

Something missing? Cardiac risk events which you unconvincingly “believe to be lower” and not at placebo levels?

So with unconfirmed efficacy against actual monkeypox in humans, antibody titres at unknown levels long term, with no T or memory B-cell studies and a skewed risk profile with no long term safety data leaning towards administering to only the most vulnerable (apart from if they immunocompromised) then you would expect Jynneos to be withdrawn or strictly restricted.

That’s not quite how it worked out:

Following confirmation that monkeypox has made its way to the U.S., the government ordered millions of doses of a vaccine that protects against the virus.

Bavarian Nordic, the biotech company that makes the vaccine, has announced a $119 million order placed by the U.S., with the option to buy $180 million more if it wants. Should that second option be exercised, it would work out to approximately 13 million doses.

The order will convert existing smallpox vaccines, which are also effective against monkeypox, into freeze-dried versions, which have a longer shelf life. The converted vaccines will be manufactured in 2023 and 2024, the company says.

Bavarian Nordic has worked with the U.S. government since 2003 to develop, manufacture and supply smallpox vaccines. To date, it says, it has supplied nearly 30 million doses to the Department of Health and Human Services.

The U.S. isn’t the only country stocking up on the vaccine. On Thursday, Bavarian Nordic said an unidentified European country had secured a contract to obtain the vaccine.

“While the full circumstances around the current monkeypox cases in Europe remain to be elucidated, the speed of which these have evolved, combined with the potential for infections beyond the initial case going undetected, calls for a rapid and coordinated approach by the health authorities, and we are pleased to assist in this emergency situation,” said Paul Chaplin, president and CEO of Bavarian Nordic in a statement.

U.S. government places $119 million order for 13 million freeze-dried Monkeypox vaccines, (May 19, 2022)

https://fortune.com/2022/05/19/monkeypox-vaccine-purchase-2022-us-government/

BAVARIAN NORDIC TO MANUFACTURE FIRST FREEZE-DRIED DOSES OF SMALLPOX VACCINE UPON EXERCISE OF CONTRACT OPTION BY THE U.S. GOVERNMENT

  • USD 119 million option exercised for the manufacturing of freeze-dried JYNNEOS® in 2023 and 2024
  • This represents the first set of options with a total value of USD 299 million to convert the existing bulk vaccine, previously purchased by BARDA, to approximately 13 million freeze-dried JYNNEOS doses

https://www.bavarian-nordic.com/investor/news/news.aspx?news=6569

4th June ‘22:

Vaccinia and latent HIV reactivation

Smallpox vaccination history has another surprise in store.

This timely post piqued my interest:

Wait, what? I was able to find a source for this and related content:

https://www.hivireland.ie/wp-content/uploads/1987_Print_Media_005_May_11th_to_15th-WebSize.pdf

Some big names quoted in these articles. Whether by contaminated needle reuse or viral reactivation (or both?), the conspiracy theory becomes plausible, indeed plausible enough to sponsor research into the latter.

We see why later.

The key mechanism behind the hypothesis is hi-lighted:

The main focus of the project consists in the studies of interactions of vacccinia virus and HIV-1 with the host; specifically responses of the atopic organism towards infection with vaccinia virus and the effect of redox potential on reactivation of the latent HIV-1 will be studied. The research should provide a basis for new therapeutic and vaccination approaches usable in infections with these viruses.

Research Objectives:

– To develop a mouse model of eczema vaccinatum in Nc/Nga mice or in a different mouse model of atopic dermatitis, and to study immune responses of the atopic organism to vaccinia virus.

– To test the antiviral effect of selected derivatives of the ethacrynic acid and other agents with the anti-poxviral effect in vivo; in tissue culture, to study the exact mechanism of action of the agents, the type of cell death of the infected cells of different embryonic origin and its significance for induction of the immune responses in infection with vaccinia virus

To characterize the molecular mechanism of action of redox-modulating agents on reactivation of the latent HIV-1 and to verify the results obtained in vitro in tissue cultures also in primary peripheral lymphocytes of healthy donors and HIV+ patients ex vivo.

Further information can be found at www.phenogenomics.cz or at the link

https://biocev.lf1.cuni.cz/

Content of the research:

Our primary research focus is to study virus-host interactions, namely interactions between vaccinia virus and HIV-1. The research should provide the basis for new therapeutic and vaccination approaches usable in infections with these and other viruses.

Contrary to a common belief, the need to understand pathogenesis of poxvirus infection and post-vaccination complications as well as to develop safe vaccination vectors and/or drugs effective against poxviruses still remains. The main focus of our research is the response of an atopic organism towards vaccinia and other viruses. We have developed our own model of eczema vaccinatum in atopic Nc/Nga mice, used it to characterize immune responses and to compare the risks and efficiencies of vaccinations with vaccinia virus strain WR, Dryvax and non-replicating MVA. In this atopic model, we continue to study the disregulated immune responses towards vaccinia and other viruses.

HIV latency in reservoir cells is the main obstacle to cure HIV/AIDS. Our goal is to identify, characterize and develop new agents to reactivate latent HIV-1. We have described a reactivation potential of heme arginate and we identified several other HIV-1-reactivating agents in vitro in tissue cultures. We are currently focusing on confirmation of the results in primary peripheral lymphocytes of HIV + patients and in primary latency models. We intend to patient selected drug combinations and to seek for a strategic partner to further develop the new HIV treatment.

Potential for Cooperation

We are open to new PhD students and to any type of collaboration/exchange with researchers interested in studying the immune responses of an atopic organism towards vaccinia and other viruses. To further develop new agents effective a reactivation of latent HIV, we are seeking for a strategic investor.

MUDr. Zora Mělková, Ph.D., Study of Vaccinia Virus Interactions with the Host and Reactivation of the Latent HIV-1, (Year ?).

https://www.biocev.eu/en/research/cellular-biology-and-virology.4/study-of-vaccinia-virus-interactions-with-the-host-and-reactivation-of-the-latent-hiv-1.52

On smallpox based HIV vaccines, as per the last newspaper cutout, co-authored by no less than Luc Montagnier:

Abstract

The sequences encoding the core proteins p55, p25, and p18 of the human immunodeficiency virus (HIV-1) have been inserted into the vaccinia virus genome. Infection of cultured cells with the live recombinant viruses led to the expression of proteins that were recognized by sera from HIV-seropositive individuals. Immunization of mice with the recombinant virus expressing the HIV p25 protein and the p55 precursor yielded high levels of antibodies directed against the corresponding HIV antigens. The data obtained are discussed in terms of the possible use of these live recombinant viruses in the development of a strategy toward an AIDS vaccine.

Rautmann G, Kieny MP, Brandely R, Dott K, Girard M, Montagnier L, Lecocq JP. HIV-1 core proteins expressed from recombinant vaccinia viruses. AIDS Res Hum Retroviruses. 1989 Apr;5(2):147-57. doi: 10.1089/aid.1989.5.147. PMID: 2713165.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/2713165/

Glutathione peroxidase, HERV reactivation and Vaccinia, this time in a protective role:

…The reduced risk of melanoma due to BCG and vaccinia, as well as certain common causes of infectious disease, is shown to be associated with antigenic determinants exhibiting sequence homologies with the HERV-K-MEL-antigen. The latter is a product of a pseudo-gene that is closely associated with the env-gene of the endogenous human retrovirus K (HERV-K). A suppressive immune reaction appears to inhibit the expression of endogenous retroviral genes, such as the HERV-K env-gene, that could otherwise result in malignant transformation years or even decades later. The HERV-K env-protein has homologous amino acid sequences with the human nuclear factor Oxygen Responsive Element Binding Protein (OREBP) that controls the expression of glutathione peroxidase. The formation of this and other redox-enzymes, needed to maintain appropriate levels of the normal intracellular redox potential, seems to be suppressed by the OREBP-homologous protein. The present hypothesis is in accordance with the concept that immune dysregulation due to adverse environmental impacts is a risk factor not only for some autoimmune disorders, as previously described, but also for certain malignancies such as melanoma.

Bernd Krone et al, Protection against melanoma by vaccination with Bacille Calmette-Guerin (BCG) and/or vaccinia: an epidemiology-based hypothesis on the nature of a melanoma risk factor and its immunological control, Eur J Cancer, (2005 Jan).

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15617995/

HIV is very sensitive to the REDOX potential of the cell (5). The key here is that Vaccinia encodes a functional glutaredoxin.

What are these? Short answer:

« Glutaredoxins (also known as Thioltransferase) are small redox enzymes of approximately one hundred amino-acid residues that use glutathione as a cofactor. In humans this oxidation repair enzyme is also known to participate in many cellular functions, including redox signaling and regulation of glucose metabolism.[4][5] Glutaredoxins are oxidized by substrates, and reduced non-enzymatically by glutathione.6« 

Abstract
Vaccinia virus (VV) was previously shown to encode a functional glutaredoxin, the product of the o2l gene, which is synthesized late in infection, after the onset of DNA replication. Here we report that an open reading frame in the VV genome designated as g4l encodes a protein that has sequence similarity to glutaredoxins and possesses thioltransferase and dehydroascorbate reductase activities. G4L protein in infected cells can be detected as early as 4 hr after infection and is constitutively expressed up to 24 hr postinfection. A protein homologous to G4L and retaining the predicted glutaredoxin active center is encoded by the recently sequenced Molluscum Contagiosum virus (MCV), whereas O2L protein is not conserved, suggesting that the glutaredoxin activity of G4L may be involved in replication of all poxviruses.

Gvakharia BO, Koonin EK, Mathews CK. Vaccinia virus G4L gene encodes a second glutaredoxin. Virology. 1996 Dec 15;226(2):408-11.

doi: 10.1006/viro.1996.0669. PMID: 8955061.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/8955061/

How might glutaredoxin reactivate latent viruses including HIV?

First point of note is the cancer signalling pathways being activated too:

Abstract
Although the use of antioxidants for the treatment of cancer and HIV/AIDS has been proposed for decades, new insights gained from redox research have suggested a very different scenario. These new data show that the major cellular antioxidant systems, the thioredoxin (Trx) and glutathione (GSH) systems, actually promote cancer growth and HIV infection, while suppressing an effective immune response. Mechanistically, these systems control both the redox- and NO-based pathways (nitroso-redox homeostasis), which subserve innate and cellular immune defenses. Dual inhibition of the Trx and GSH systems synergistically kills neoplastic cells in vitro and in mice and decreases resistance to anticancer therapy. Similarly, the population of HIV reservoir cells that constitutes the major barrier to a cure for AIDS is exquisitely redox sensitive and could be selectively targeted by Trx and GSH inhibitors. Trx and GSH inhibition may lead to a reprogramming of the immune response, tilting the balance between the immune system and cancer or HIV in favor of the former, allowing elimination of diseased cells. Thus, therapies based on silencing of the Trx and GSH pathways represent a promising approach for the cure of both cancer and AIDS and warrant further investigation.

Benhar, M., Shytaj, I. L., Stamler, J. S., & Savarino, A. Dual targeting of the thioredoxin and glutathione systems in cancer and HIV. The Journal of clinical investigation, 126(5), 1630–1639. (2016)

https://doi.org/10.1172/JCI85339

Which brings us back to monkeypox vaccination.

Jynneos is an MVA. Is it expressing glutaredoxin too in quantity?

Please correct me if I’m reading the genome paper incorrectly, but the answer appears to be yes.

It makes sense as in order to generate immunity then you need a high degree of homology, ie protein expression.

Vaccinia viruses re-engineered to express foreign genes are vectors for production of recombinant proteins, the most common being a vaccine delivery system for antigens.[3] Concerns about the safety of the vaccinia virus have been addressed by the development of vectors based on attenuated vaccinia viruses. One of them, the Modified vaccinia Ankara (MVA) virus, is a highly attenuated strain of vaccinia virus that was developed towards the end of the campaign for the eradication of smallpox by Anton Mayr in Munich, Germany. Produced between 1953 and 1968 by more than 500 serial passages of vaccinia virus (from a wild strain discovered by the Turkish vaccine institute of Ankara) in chicken cells[4] (chicken embryo fibroblast), MVA has lost about 10% of the vaccinia genome and with it the ability to replicate efficiently in primate cells. A recombinant MVA-based vector for vaccination with different fluorescent reporter genes was developed by Antonio Siccardi, which indicate the progress of genetic recombination with the transgene of an antigen (green, colorless, red).[5][6]

Compared to replicating vaccinia viruses, MVA provides similar or higher levels of recombinant gene expression even in non-permissive cells.


…MVA is an attenuated vaccinia virus and does not replicate in the human body as efficiently as vaccinia. However, whether or not MVA can induce the same side effects as vaccinia is not known at this time.

Modified vaccinia Ankara

https://en.m.wikipedia.org/wiki/Modified_vaccinia_Ankara#:~:text=The%20Modified%20Vaccinia%20Ankara%20

G4L is the gene that expresses glutaredoxin, and it’s conserved in MVA and therefore in Jynneos, with potential public health implications.

Note the reference to cowpox:

Abstract

The complete genomic DNA sequence of the highly attenuated vaccinia strain modified vaccinia Ankara (MVA) was determined. The genome of MVA is 178 kb in length, significantly smaller than that of the vaccinia Copenhagen genome, which is 192 kb. The 193 open reading frames (ORFs) mapped in the MVA genome probably correspond to 177 genes, 25 of which are split and/or have suffered mutations resulting in truncated proteins. The left terminal genomic region of MVA contains four large deletions and one large insertion relative to the Copenhagen strain. In addition, many ORFs in this region are fragmented, leaving only eight genes structurally intact and therefore presumably functional. The inserted DNA codes for a cluster of genes that is also found in the vaccinia WR strain and in cowpox virus and includes a highly fragmented gene homologous to the cowpox virus host range gene, providing further evidence that a cowpox-like virus was the ancestor of vaccinia. Surprisingly, the central conserved region of the genome also contains some fragmented genes, including ORF F5L, encoding a major membrane protein, and ORFs F11L and O1L, encoding proteins of 39.7 and 77.6 kDa, respectively. The right terminal genomic region carries three large deletions: all classical poxviral immune evasion genes and all ankyrin-like genes located in this region are fragmented except for those encoding the interleukin-1β receptor and the 68-kDa ankyrin-like protein B18R. Thus, the attenuated phenotype of MVA is the result of numerous mutations, particularly affecting the host interactive proteins, including the ankyrin-like genes, but also involving some structural proteins.

Link to pdf:

G.Antoine, F.Scheiflinger, F.Dorner, F.G.Falkner, The Complete Genomic Sequence of the Modified Vaccinia Ankara Strain: Comparison with Other Orthopoxviruses, (1998),

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0042682298991231

Can COVID-19 infection be enhanced/reactivated in the same way? It appears not as, unlike HIV it thrives in an oxidative environment.(7)

Vaccinia immunisation may still promote it indirectly via other pathways such as T cell exhaustion or reactivation of other latent viruses, chipping away at your immune system. Repeated antigenic challenge is not to be encouraged.

Related to Vaccinia vaccination, an excellent paper on vaccine mediated antibody dependent enhancement of viral infections, especially why repeated attempts at creating effective HIV & coronavirus vaccines keep failing:

Abstract

Examples of vaccine-induced enhancement of susceptibility to virus infection or of aberrant viral pathogenesis have been documented for infections by members of different virus families. Several mechanisms, many of which still are poorly understood, are at the basis of this phenomenon. Vaccine development for lentivirus infections in general, and for HIV/AIDS in particular, has been little successful. Certain experimental lentiviral vaccines even proved to be counterproductive: they rendered vaccinated subjects more susceptible to infection rather than protecting them. For vaccine-induced enhanced susceptibility to infection with certain viruses like feline coronavirus, Dengue virus, and feline immunodeficiency virus, it has been shown that antibody-dependent enhancement (ADE) plays an important role. Other mechanisms may, either in the absence of or in combination with ADE, be involved. Consequently, vaccine-induced enhancement has been a major stumble block in the development of certain flavi-, corona-, paramyxo-, and lentivirus vaccines. Also recent failures in the development of a vaccine against HIV may at least in part be attributed to induction of enhanced susceptibility to infection. There may well be a delicate balance between the induction of protective immunity on the one hand and the induction of enhanced susceptibility on the other. The present paper reviews the currently known mechanisms of vaccine-induced enhancement of susceptibility to virus infection or of aberrant viral pathogenesis.

Keywords: Vaccine, Enhancement, ADE, HIV, Lentivirus

W. Huisman,1 B.E.E. Martina, G.F. Rimmelzwaan, R.A. Gruters, and A.D.M.E. Osterhaus,Vaccine-induced enhancement of viral infections, Vaccine. 2009 Jan 22; 27(4): 505–512., Published online 2008 Nov 18. doi: 10.1016/j.vaccine.2008.10.087

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7131326/#__ffn_sectitle

Whither monkeypox vaccination

This study from 2011 also calls out the major flaws in the Jynneos approach and recommends efficacy trials which may also benefit a population at genuine risk, imagine that!

New candidate vaccines have been evaluated in humans for immunogenicity, but since smallpox is eradicated, all efficacy testing has been conducted in animal models. Therefore, none of the products recently developed for the prevention and treatment of variola virus infection have been field-tested in humans, and have been manufactured and deposited into the biodefense stockpile based on animal studies and the presumption they will work in humans in the event of a crisis.

Although T cell-mediated immunity is known to be important for clearing poxvirus infections, protection is strongly associated with antibody responses. This is noted because the complexity and cost of a Phase I vaccine trial is significantly higher if cryopreservation of peripheral blood mononuclear cells (PBMCs) is required. For Phase I testing of candidate poxvirus vaccines, serum collection for vaccine-induced antibody would be sufficient.

Its difficult, time consuming and expensive to do properly, and their target efficacy would be 80% to make it worthwhile, not 50%.

Its a lot quicker, easier and cheaper to just skip all this Phase II & III safety and efficacy nonsense and just sign it off for mass distribution:

Advancing from Phase I safety and immunogenicity testing to a Phase IIb or Phase III efficacy trial would add a new level of complexity not only because of the size, but because the study location would shift from Kinshasa to the Sankuru District in the central part of DRC where there are few health care facilities and few roads making access difficult and creating logistical challenges for managing the delivery of biological products and clinical samples. Performance of epidemiological studies required an elaborate system of vehicles, motorcycles, bicycles, and foot travel to access populations and transport diagnostic samples. Even with an annual incidence approaching 0.2% (in 5–19 year old children), a placebo-controlled efficacy trial with one year of follow-up would require about 20,000 subjects to detect a vaccine efficacy of 80% with 80% power. Fewer subjects would be needed if the follow-up period could be extended, provided immunity was expected to be maintained.

Benefits of vaccine clinical trials in areas endemic for MPX

Performing clinical trials in the DRC would have a number of benefits for distinct constituencies. First, the people of the Congo River Basin who are primarily affected by the disease would benefit. Clinical studies would call attention to the problem of MPX, improve general knowledge about MPX prevention, and potentially improve knowledge about other health conditions by strengthening the public health infrastructure. There would also be intangible benefits that accompany clinical trial activities including stimulation of local economies. Secondly, Congolese people in general and the Congolese health system would benefit because an interventional vaccine trial would require investment in the regulatory infrastructure. In addition, it would expand research capacity by increasing the number of active investigators and staff. With an efficacy of 85% at the current incidence rate, approximately one MPX infection could be prevented for every 600 persons vaccinated.

Vaccine developers of alternative smallpox vaccines and stakeholders in the area of biodefense and emerging infectious diseases would derive benefit from the opportunity to evaluate candidate smallpox vaccines in the field against a virulent orthopoxvirus. This benefit should not be underestimated because live vaccinia inoculation is the only smallpox vaccination that has proven efficacy in humans. All other candidate vaccines will be provisionally approved by applying The Animal Rule 20. Having human efficacy data would provide a significant selection advantage for one candidate vaccine over another.

In the end the authors ask themselves if its all worthwhile? Why not just administer antivirals to the rare cases that crop up and educate at risk groups about safe practices? Why not indeed.

Its the Leicester Method of incidence response & focused quarantine updated for the 21st Century:

Alternatives to smallpox vaccination

Given the risks of adverse events, cost and logistical considerations associated with smallpox vaccination, alternate strategies should also be considered for control of human MPX. An alternative to vaccination could be treatment of incident cases with antiviral therapy to reduce the morbidity and transmission, and by providing access to antibiotics for treatment of secondary bacterial infections. Clinical diagnosis of MPX is relatively easy, thus effective antivirals and supportive clinical care may be more practical options than vaccination at this time.

Reducing the frequency of human MPX infection could be also be accomplished through health education on handling potential animal reservoir species to prevent animal-to-human transmission and by quarantine or contact isolation to prevent human-to-human spread. Defining the factors underlying increased incidence, and their impact on primary versus secondary transmission, is thus a crucial direction for on-going research. Additionally, a better understanding of the mortality and complications associated with monkeypox infection should be assessed. Continued active disease surveillance in endemic regions coupled with household and contact studies with long term follow up would address these important questions.

Further studies are also needed to identify intermediate hosts and animal reservoirs. Smallpox vaccination will not modify the reservoir nor the amount of MPX virus found in amplification species. Introduction of MPX into human populations is dependent upon contact with infected species, thus vaccination alone will not be effective in controlling the geographic spread of MPX as it is determined by the movement of animals and driven largely by the loss of natural habitat.

Rimoin, A. W., & Graham, B. S. (2011). Whither monkeypox vaccination. Vaccine, 29 Suppl 4(Suppl 4), D60–D64.

https://doi.org/10.1016/j.vaccine.2011.09.004

And thank you for reading.

References:

1: WHO, Monkeypox – United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland, (May 18th 2022),

https://www.who.int/emergencies/disease-outbreak-news/item/2022-DON383

2: Norris, J, Misfolded spike protein could explain complicated COVID-19 symptoms, (May 26, 2022),

https://www.medicalnewstoday.com/articles/misfolded-spike-protein-could-explain-complicated-covid-19-symptoms

3: Lymphadenopathy at the crossroad between immunodeficiency and autoinflammation: An intriguing challenge, (2021),

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8374228/#__ffn_sectitle

4: Side Effects in Clinical Trials

https://dipg.org/dipg-research/clinical-trials-for-dipg/side-effects/

5: Bhaskar A, Munshi M, Khan SZ, Fatima S, Arya R, Jameel S, Singh A. Measuring glutathione redox potential of HIV-1-infected macrophages. J Biol Chem. 2015 Jan 9;290(2):1020-38. doi: 10.1074/jbc.M114.588913. Epub 2014 Nov 18. PMID: 25406321; PMCID: PMC4294471.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25406321/

6: Glutaredoxin

https://en.wikipedia.org/wiki/Glutaredoxin#:~:text=Glutaredoxins%20(also%20known%20as%20Thioltransferase,and%20regulation%20of%20glucose%20metabolism.

7: Jaswinder Singha, Rajinder S.Dhindsab, Vikram Misrac, Baljit Singhd, SARS-CoV2 infectivity is potentially modulated by host redox status, (2020),

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2001037020304839

Guide de détoxification des protéines de pointe.

Je publie ceci pour quelqu’un en particulier et bien entendu pour toutes les personnes qui pourraient en avoir besoin. Je traduirai également les autres guides publiés sur le même site référencés dans le texte, à toutes fins utiles.

Je rappelle aussi l’utilité de lire ce très long témoignage, publié sur ce blog il y a un an, de cette dame très courageuse et tenace qui a fait un Covid long à partir de mars 2020 et qui recensait déjà un nombre impressionnant de contre-mesures au Covid que l’on (re)découvre seulement maintenant.

Source.


Guide de détoxification des protéines de pointe

Posté le 30 novembre 2021, Mis à jour le 3 mai 2022

À propos de ce guide

Ceci est un guide évolutif contenant des informations nouvelles sur la façon d’éliminer de l’organisme les protéines de pointe d’origine virale et vaccinale. Les listes de plantes médicinales et d’autres médicaments et compléments ont été compilées dans le cadre d’une collaboration entre des médecins internationaux, des scientifiques et des praticiens de la médecine holistique.

Les infections à Covid-19, les vaccins Covid-19 et la question des effets nocifs des protéines de pointe étant nouveaux, ce guide s’appuie sur des recherches médicales établies et émergentes ainsi que sur l’expérience clinique de médecins internationaux et de praticiens de la santé holistique ; il évoluera au fur et à mesure de l’apparition de nouvelles preuves.

Les médicaments et les suppléments exempts de brevet inclus dans ce guide peuvent présenter une disponibilité différente dans le monde.

Qui pourrait bénéficier de ces informations?

Si vous avez contracté le Covid-19, si vous avez récemment reçu une injection Covid-19 ou si vous présentez des symptômes qui pourraient être liés à la transmission du vaccin Covid-19 (également appelée excrétion), vous pourriez bénéficier de l’utilisation d’un ou plusieurs éléments de notre liste de médicaments et de suppléments pour réduire la charge en protéine de pointe. La protéine de pointe, qui fait partie du virus Covid-19 et qui est produite dans notre corps après l’inoculation, peut circuler dans notre corps et endommager les cellules, les tissus et les organes.

De nombreuses personnes n’ont pas réussi à trouver de l’aide pour une maladie liée à la protéine de pointe (également appelée « spikopathie ») [NdT. de « spikopathy », intraduisible autrement] auprès des services de santé existants. Ces informations sont pertinentes si vous avez eu des réactions indésirables après une injection, si vous avez été victime de Covid Long ou si vous souffrez du Syndrome Post-Injection Covid (SPIC).

Remarque importante : ce guide est uniquement destiné à des fins éducatives. Si vous êtes malade après la vaccination, veuillez demander l’aide d’un médecin ou d’un praticien de santé holistique. Pour obtenir des informations sur les maladies consécutives à l’injection de Covid, consultez le guide post-injection du WCH.

La protéine de pointe est présente dans tous les variants du SARS-CoV-2. Elle est également produite dans votre organisme lorsque vous recevez une injection de Covid-19. Même si vous n’avez pas eu de symptômes, que vous n’avez pas été testé positif au Covid-19 ou que vous n’avez pas présenté d’effets secondaires après une injection, il se peut que des protéines de pointe persistent dans votre organisme. Afin de les éliminer après une injection ou une infection, les médecins et les praticiens holistiques suggèrent quelques actions simples.

On pense que le fait de débarrasser l’organisme des protéines de pointe (ce qui sera appelé détoxification dans la suite du texte) dès que possible après une infection ou un vaccin peut protéger contre les dommages causés par les protéines de pointe restantes ou en circulation.

Dans ce guide, nous aborderons plusieurs caractéristiques clés de ces affections qui peuvent être ciblées au cours d’une détoxification :

  • La protéine de pointe
  • Les récepteurs ACE2
  • L’interleukine 6 (IL-6)
  • La furine
  • La sérine protéase

Informations importantes sur la sécurité avant de commencer une détoxification

N’entreprenez pas une cure de détoxification aux protéines de pointe sans la supervision d’un professionnel de la santé de confiance. Veuillez noter les points suivants:

  • Le thé aux aiguilles de pin, le neem [margousier], la consoude, l’Andrographis paniculata – Ne doivent PAS être consommés pendant la grossesse.
  • Magnésium – Un surdosage est possible, et il est plus difficile à détecter lors de la consommation de magnésium liposomal. Par conséquent, envisagez un mélange de magnésium liposomal et conventionnel, ou seulement du magnésium conventionnel.
  • Zinc – Lorsque vous consommez une multivitamine qui contient déjà du zinc, veillez à ajuster la quantité de zinc consommée dans les autres compléments.
  • Nattokinase – Ne pas prendre si vous utilisez des anticoagulants, si vous êtes enceinte ou si vous allaitez.
  • Tenez toujours compte du dosage – Lorsque vous prenez une multivitamine, n’oubliez pas d’ajuster la quantité de chaque complément en conséquence. (Par exemple, si votre multivitamine contient 15 mg de zinc, vous devez réduire votre supplémentation en zinc de cette quantité).
  • Millepertuis – Ce médicament interagit avec de nombreux médicaments. Il ne doit pas être pris sans l’avis de votre médecin si vous prenez d’autres médicaments.

Mesures proactives et de soutien

Pratiquement toutes les maladies sont plus faciles à gérer à un stade précoce. Après tout, il est nettement préférable d’éviter complètement une crise de santé que d’y réagir. Comme le dit le proverbe, mieux vaut prévenir que guérir.

Une alimentation saine est essentielle pour soutenir le système immunitaire.

Conseils

  • Modifiez votre régime alimentaire de manière à réduire la consommation d’aliments pro-inflammatoires. Un régime pauvre en histamine est recommandé. Évitez les aliments transformés et les OGM.
  • Les aliments figurant dans le tableau 1 peuvent également être intégrés au régime alimentaire quotidien avant de contracter le Covid-19 ou de recevoir une piqûre de Covid-19, si vous choisissez quand même de le faire.
  • Le jeûne intermittent : La pratique du jeûne intermittent consiste à mettre en place des horaires de repas qui alternent entre des périodes de jeûne volontaire et de non-jeûne. En général, les personnes qui pratiquent le jeûne intermittent consomment toutes leurs calories quotidiennes dans un délai de 6 à 8 heures chaque jour. Cette méthode de régime est utilisée pour induire l’autophagie, qui est essentiellement un processus de recyclage qui a lieu dans les cellules humaines, où les cellules dégradent et recyclent les composants. L’autophagie est utilisée par l’organisme pour éliminer les protéines cellulaires endommagées et peut détruire les virus et les bactéries nuisibles après une infection.
  • La consommation quotidienne d’une multivitamine est conseillée. Elle fournit un apport de base en vitamine A, vitamine E, iode, sélénium, oligo-éléments et autres, en plus de la vitamine C et de la vitamine D3.
  • La thérapie thermique, comme les saunas et les bains chauds, est considérée comme un bon moyen de détoxification des protéines de pointe.

Qu’est-ce que la protéine de pointe?

Le virus du SARS-CoV-2 contient une protéine en pointe à sa surface. Si vous avez vu des images du coronavirus, il s’agit des protubérances semblables à celles du soleil que l’on voit souvent à l’extérieur du virus.

Lors d’une infection naturelle, les protéines de pointe jouent un rôle clé en aidant le virus à pénétrer dans les cellules de votre corps. Une région de la protéine, appelée S2, fusionne l’enveloppe virale à votre membrane cellulaire. La région S2 permet également à la protéine de pointe du coronavirus d’être facilement détectée par le système immunitaire, qui produit alors des anticorps pour cibler et se lier au virus.

Les protéines de pointe sont également produites par l’organisme après une injection Covid-19, et leur fonctionnement est similaire: elles sont capables de fusionner avec les membranes cellulaires. En outre, comme elles sont fabriquées dans vos propres cellules, celles-ci sont ensuite ciblées par votre système immunitaire dans le but de détruire la protéine de pointe. Ainsi, la réponse de votre système immunitaire aux protéines de pointe peut endommager les cellules de votre corps.

De nouvelles preuves montrent également que dans le noyau de nos cellules, la protéine de pointe altère la capacité de nos cellules à réparer l’ADN.

Pourquoi devrais-je envisager de me détoxifier de la protéine de pointe?

La protéine de pointe provenant d’une infection naturelle ou d’un vaccin Covid endommage les cellules de notre corps. Il est donc important de prendre des mesures pour s’en détoxifier du mieux que l’on peut.

La protéine de pointe est une partie hautement toxique du virus, et la recherche a établi un lien entre la protéine de pointe induite par le vaccin et les effets toxiques. La recherche sur la protéine de pointe se poursuit.

La protéine de pointe du virus a été liée à des effets indésirables, tels que: caillots sanguins, brouillard cérébral, pneumonie organisée et myocardite. Elle est probablement responsable d’un grand nombre des effets secondaires du vaccin Covid-19 discutés dans le guide post-injection du WCH.

Une étude japonaise sur la biodistribution du vaccin Pfizer a révélé que, dans les 48 heures suivant la vaccination, les particules du vaccin avaient voyagé vers divers tissus de l’organisme et n’étaient pas restées au point d’injection, avec des concentrations élevées dans le foie, la moelle osseuse et les ovaires.

Les preuves émergentes sur la spikopathie suggèrent que des effets liés à l’inflammation et à la coagulation peuvent se produire dans tout tissu dans lequel la protéine de pointe s’accumule. En outre, des études évaluées par des pairs sur des souris ont révélé que la protéine de pointe est capable de traverser la barrière hémato-encéphalique. Ainsi, chez l’homme, elle pourrait potentiellement entraîner des dommages neurologiques si elle n’est pas éliminée de l’organisme.

Comment réduire votre charge en protéines de pointe

L’aide aux personnes atteintes de Covid Long et de maladies post-vaccinales est un domaine nouveau et émergent de la recherche et de la pratique en matière de santé. Les listes suivantes contiennent des substances qui peuvent être utiles. Cette liste a été compilée par des médecins internationaux et des praticiens holistiques ayant des expériences diverses dans l’aide aux personnes souffrant de Covid-19 et de maladies post-vaccinales.

Heureusement, il existe une multitude de solutions naturelles et facilement accessibles pour réduire la charge protéique de votre corps.

Certains « inhibiteurs de liaison protéique » empêchent la liaison de la protéine de pointe aux cellules humaines, tandis que d’autres neutralisent la protéine de pointe afin qu’elle ne puisse plus causer de dommages aux cellules humaines.

Inhibiteurs de la protéine de pointe: Prunella vulgaris, aiguilles de pin, émodine, neem, extrait de feuille de pissenlit, ivermectine.

Neutralisateurs de protéines de pointe: N-acétylcystéine (NAC), glutathion, thé de fenouil, thé d’anis étoilé, thé d’aiguilles de pin, millepertuis, feuille de consoude, vitamine C.

  • Il a été démontré que l’ivermectine se lie à la protéine de pointe, ce qui la rend potentiellement inefficace pour se lier à la membrane cellulaire.
  • Plusieurs plantes présentes dans la nature, notamment les aiguilles de pin, le fenouil, l’anis étoilé, le millepertuis et la feuille de consoude, contiennent une substance appelée acide shikimique, qui peut contribuer à neutraliser la protéine de pointe. L’acide shikimique peut aider à réduire plusieurs effets néfastes possibles de la protéine de pointe, et on pense qu’il contrecarre la formation de caillots sanguins.
  • Des doses orales régulières de vitamine C sont utiles pour neutraliser toute toxine.
  • Le thé aux aiguilles de pin a de puissants effets antioxydants et contient des concentrations élevées de vitamine C.
  • La nattokinase (voir tableau 1), une enzyme dérivée du plat de soja japonais « Natto », est une substance naturelle dont les propriétés peuvent contribuer à réduire l’apparition de caillots sanguins.

Qu’est-ce que le récepteur ACE2?

Le récepteur ACE2 est situé dans la paroi cellulaire, dans les parois des poumons et des vaisseaux sanguins, et dans les plaquettes. La protéine de pointe se fixe aux récepteurs ACE2.

Il a été proposé que de fortes concentrations de protéine de pointe puissent se lier à nos récepteurs ACE2 et y rester, bloquant ainsi le fonctionnement régulier de ces récepteurs dans divers tissus. La perturbation de ces récepteurs a été associée à une multitude d’effets indésirables dus à l’altération du fonctionnement des tissus.

  • Si les protéines de pointe se lient à la paroi cellulaire et restent en place, elles peuvent inciter le système immunitaire à attaquer les cellules saines et éventuellement déclencher une maladie auto-immune.
  • La protéine de pointe pourrait se fixer aux récepteurs ACE2 situés sur les plaquettes sanguines et les cellules endothéliales qui tapissent les vaisseaux sanguins, ce qui pourrait entraîner des saignements ou une coagulation anormale, deux phénomènes liés à la thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin (TTIV).

Comment détoxifier vos récepteurs ACE2

Substances qui protègent naturellement les récepteurs ACE2:

  • Ivermectine
  • Hydroxychloroquine (avec du zinc)
  • Quercétine (avec du zinc)
  • Fisétine

Des données suggèrent que la liaison de l’ivermectine au récepteur ACE2 empêche la protéine de pointe de se lier à lui.

Qu’est-ce que l’interleukine 6?

L’interleukine 6, ou IL-6, est une protéine cytokine principalement pro-inflammatoire. Cela signifie qu’elle est naturellement produite par l’organisme en réponse à une infection ou à une lésion tissulaire et qu’elle déclenche la réponse inflammatoire.

Pourquoi cibler l’IL-6?

Certaines substances naturelles aident le processus de détoxification post-injection en ciblant l’interleukine 6.

Des preuves scientifiques montrent que les cytokines telles que l’IL-6 sont présentes à des niveaux beaucoup plus élevés chez les personnes infectées par le Covid que chez les personnes non infectées.

L’IL-6 a été utilisée comme biomarqueur de la progression du Covid. Des taux accrus d’IL-6 ont été constatés chez des patients souffrant de dysfonctionnement respiratoire. Une méta-analyse a révélé une relation fiable entre les niveaux d’IL-6 et la gravité du Covid. Les niveaux d’IL-6 ont été inversement liés au nombre de cellules T chez les patients en soins intensifs.

Les cytokines pro-inflammatoires telles que l’IL-6 sont également exprimées après la vaccination, et des études suggèrent qu’elles peuvent atteindre le cerveau.

Les inhibiteurs de l’IL-6 ont d’ailleurs été recommandés par l’OMS pour les cas graves de Covid, pour lesquels ils ont été décrits comme pouvant sauver des vies.

Comment se détoxifier de l’IL-6

Les listes suivantes de substances naturelles, dont plusieurs compléments alimentaires anti-inflammatoires de base, peuvent être utilisées pour prévenir les effets indésirables de l’IL-6 en inhibant son action.

Inhibiteurs de l’IL-6 (anti-inflammatoires): Boswellia serrata (encens) et extrait de feuilles de pissenlit.

Autres inhibiteurs de l’IL-6: Cumin noir (Nigella sativa), curcumine, huile de poisson et autres acides gras, cannelle, fisétine (flavonoïde), apigénine, quercétine (flavonoïde), resvératrol, lutéoline, vitamine D3 (avec vitamine K2), zinc, magnésium, thé au jasmin, épices, feuilles de laurier, poivre noir, muscade et sauge.

Qu’est-ce que la furine?

La furine est une enzyme, qui clive les protéines et les rend biologiquement actives.

Pourquoi cibler la furine?

Il a été démontré que la furine sépare la protéine de pointe et permet ainsi au virus de pénétrer dans les cellules humaines.

Un site de clivage de la furine est présent sur la protéine de pointe du Covid, ce qui rendrait le virus plus infectieux et transmissible.

Les inhibiteurs de la furine agissent en empêchant le clivage de la protéine de pointe.

Comment se détoxifier de la furine

Substances qui inhibent naturellement la furine:

  • Rutine
  • Limonène
  • Baicaline
  • Hespéridine

Qu’est-ce que la sérine protéase?

La sérine protéase est une enzyme.

Pourquoi cibler la sérine protéase?

L’inhibition de la sérine protéase peut empêcher l’activation de la protéine de pointe et réduire l’entrée du virus dans les cellules, réduisant ainsi le taux d’infection ainsi que sa gravité.

Comment se détoxifier de la sérine protéase

Les substances qui inhibent naturellement la sérine protéase et peuvent aider à réduire les niveaux de protéines de pointe dans l’organisme:

  • Thé vert
  • Tubercules de pomme de terre
  • Algues bleu-vert
  • Fèves de soja
  • N-Acétyl Cystéine (NAC)
  • Boswellia (encens)

Que prendre? Quelle quantité prendre? D’où provient-il? Où se le procurer?

Tableau 1. Médicaments et compléments qui peuvent être envisagés

SubstanceSource(s) naturelle(s)Où se procurerDose recommandée
IvermectineBactéries du sol (avermectine) Sur ordonnance
0,4mg/kg par semaine pendant 4 semaines, puis par mois
*Vérifiez les instructions de l’emballage pour déterminer s’il existe des contre-indications avant l’utilisation.
HydroxychloroquineSur ordonnance200 mg par semaine pendant 4 semaines
*Vérifier les instructions de l’emballage pour déterminer s’il y a des contre-indications avant l’utilisation.
Vitamine CAgrumes (par exemple, oranges) et légumes (brocoli, chou-fleur, choux de Bruxelles)Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne6 à 12 g par jour (répartis équitablement entre l’ascorbate de sodium (plusieurs grammes), la vitamine C liposomale (3 à 6 g) et le palmitate d’ascorbyle (1 à 3 g).
Prunella Vulgaris (communément appelé auto-guérison)Plante d’auto-guérisonSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne7 onces (207ml) par jour
Aiguilles de pin PinSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneConsommez du thé 3 fois par jour (consommez également l’huile/résine qui s’accumule dans le thé).
NeemArbre margousierSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneSelon les instructions de votre praticien ou de votre préparation
Extrait de feuille de pissenlitPissenlitSupplément (thé de pissenlit, café de pissenlit, teinture de feuilles) : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne  Teinture selon les instructions de votre praticien ou de votre préparation.
N-Acetyl Cysteine (NAC)Aliments riches en protéines (haricots, lentilles, épinards, bananes, saumon, thon)Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneJusqu’à 1200mg par jour (en doses fractionnées)
Thé de fenouilFenouilSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneAucune limite supérieure. Commencez par une tasse et surveillez la réaction de votre corps.
Thé d’anis étoiléArbre à feuilles persistantes de Chine (Illicium verum)Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne
Aucune limite supérieure. Commencez par une tasse et surveillez la réaction de votre corps.
MillepertuisMillepertuis (plante)Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneComme indiqué sur le supplément
Feuille de consoudeSymphytum, genre de planteSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneComme indiqué sur le supplément
Nattokinase Natto (plat japonais à base de soja)Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneComme indiqué sur le supplément
Boswellia serrata  Arbre Boswellia serrataSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneComme indiqué sur le supplément
Cumin noir (Nigella Sativa)Famille des plantes à bouton d’orÉpiceries, magasins de produits diététiques 
CurcumineCurcumaÉpiceries, magasins de produits diététiques 
Huile de poissonPoissons gras et huileuxÉpiceries, magasins de produits diététiquesJusqu’à 2000 mg par jour
CannelleGenre d’arbre CinnamomumÉpicerie 
Fisétine (Flavonoïde)Fruits: fraises, pommes, mangues
Légumes: oignons, noix, vin
Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneJusqu’à 100 mg par jour (à consommer avec des graisses)
ApigénineFruits, légumes et herbes
persil, camomille, épinards, céleri, artichauts, origan
Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne50mg par jour  
Quercétine (Flavonoïde)Agrumes, oignons, persil, vin rougeSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneJUsqu’à 500mg deux fois par jour, à prendre avec du zinc
ResveratrolCacahuètes, raisins, vin, myrtilles, cacaoSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneJusqu’à 1500mg par jour pendant 3 mois maximum
LutéolineLégumes: céleri, persil, feuilles d’oignon
Fruits: peau de pomme, fleurs de chrysanthème
Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne100-300mg par jour (Recommandations typiques du fabricant)
Vitamine D3Poissons gras, huiles de foie de poissonSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne5000 – 10,000 IU par jour 
Vitamine KLégumes à feuilles vertesSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online90-120mcg par jour (90 pour les femmes, 120 pour les hommes)
ZincViande rouge, volaille, huîtres, céréales complètes, produits laitiers.Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne11-40mg par jour  
MagnesiumLégumes verts, céréales complètes, noixSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneJusqu’à 350mg par jour 
Thé au jasminFeuilles de jasmin commun ou de plantes SampaguitaÉpiceries, magasins de produits diététiquesJusqu’à 8 tasses par jour
Epices Épicerie 
Feuilles de laurierPlants de laurierÉpicerie 
Poivre noirPlante Piper nigrumÉpicerie 
Noix de muscadeGraines d’arbre Myristica fragransÉpicerie 
SaugePlants de saugeÉpicerie 
RutineSarrasin, asperges, abricots, cerises, thé noir, thé vert, thé aux fleurs de sureau.Supplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online500-4000mg par jour  (consulter un professionnel de la santé avant de prendre des doses plus élevées)
LimonèneL’écorce des agrumes tels que les citrons, les oranges et les limes.Supplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneJusqu’à 2000mg par jour
BaicaleineGenre de plante ScutellariaSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne100-2800mg  
HespéridineAgrumesSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligneJusqu’à 150mg deux fois par jour
Thé vertFeuilles de la plante Camellia sinensisÉpicerieJusqu’à 8 tasses de thé par jour ou selon les indications du supplément. 
Tubercules de pommes de terrePommes de terreÉpicerie 
Algues bleu-vertCyanobactériesSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne1-10 grammes par jour
Andrographis PaniculataPlante chiretta verteSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne400mg x 2 par jour

*Vérifier les contradictions
Extrait de chardon-marieSilymarineSupplément : magasins d’aliments naturels, pharmacies, magasins de compléments alimentaires, en ligne200mg x 3 par jour
Soja (biologique)Fèves de sojaÉpiceries, magasins de produits diététiques 

La plupart de ces articles sont facilement trouvables dans les épiceries locales ou sous forme de compléments alimentaires dans les magasins d’aliments naturels.

Remarque: Cette liste n’est pas exhaustive et d’autres substances, comme la serrapeptase et l’huile de CBD, ont également été suggérées. Le World Council for Health continuera à mettre à jour ce document à mesure que de nouvelles informations apparaîtront.

Certains praticiens holistiques recommandent également des substances pour nettoyer l’organisme des métaux après la vaccination, comme la zéolite et le charbon actif. Le WCH préparera en temps voulu des conseils sur la façon de se détoxifier des métaux.

Les dix principaux éléments essentiels de la détoxification des protéines de pointe:

  • Vitamine D
  • Vitamine C
  • NAC (N-acétylcystéine)
  • Ivermectine
  • Graine de nigelle
  • Quercétine
  • Zinc
  • Magnésium
  • Curcumine
  • Extrait de chardon-marie

Pour plus d’informations et des protocoles spécifiques, voici quelques sites web qui peuvent vous intéresser:

Cliquez ici pour télécharger un guide PDF de la Caring Healthcare Workers Coalition.


Texte original

Spike Protein Detox Guide

Posted on November 30, 2021, Updated on May 3, 2022

About this guide

This is an evolving guide with emerging information on how to clear viral and vaccine-induced spike proteins from the body. The lists of herbal and other medicines and supplements have been compiled in a collaboration between international doctors, scientists, and holistic medical practitioners. 

As Covid-19 infections, Covid-19 vaccines, and the issue of spike protein harms are new, this guide is informed by established and emerging medical research as well as the clinical experience of international medical doctors and holistic health practitioners; it will evolve as new evidence emerges.

The patent-free medicines and supplements included may have differing availability around the world. 

Who might benefit from this information?

If you have had Covid-19, have recently had a Covid-19 injection, or are experiencing symptoms that may be related to Covid-19 vaccine transmission (also called shedding), you may benefit from using one or more items from our list of medicines and supplements to reduce spike protein load. The spike protein, which is both a part of the Covid-19 virus and is produced in our bodies after inoculation, can circulate around our bodies causing damage to cells, tissues, and organs. 

Many people have been unable to find help for spike protein related illness (also called spikopathy) through existing healthcare services. This information is relevant if you have experienced adverse reactions after a jab, have Long Covid, or have post Covid-Injection Syndrome (pCoIS).

Important Note: This guide is for education only. If you are ill after vaccination, please seek help from a medical doctor or an holistic health practitioner. For information on post Covid-injection illnesses, see the WCH post-injection guide

The spike protein can be found in all SARS-CoV-2 variants. It is also produced in your body when you get a Covid-19 injection. Even if you have not had any symptoms, tested positive for Covid-19, or experienced adverse side effects after a jab, there may still be lingering spike proteins inside your body. In order to clear these after the jab or an infection, doctors and holistic practitioners are suggesting a few simple actions.  

It is thought that cleansing the body of spike protein (referred to as a detox from here on) as soon as possible after an infection or jab may protect against damage from remaining or circulating spike proteins. 

In this guide, we will discuss several key features of these conditions that can be targeted during a detox: 

  • The spike protein
  • ACE2 receptors
  • Interleukin 6 (IL-6)
  • Furin
  • Serine protease

Important Safety Information Before Beginning a Detox

Please do not undertake a spike protein detox without supervision from your trusted health practitioner. Please note the following: 

  • Pine needle tea, neem, comfrey, Andrographis paniculata –  Should NOT be consumed during pregnancy.
  • Magnesium –  Overdosing is possible, and it is more difficult to detect when consuming liposomal magnesium. Therefore, consider a mixture of liposomal and conventional magnesium, or just conventional magnesium. 
  • Zinc – When consuming a multivitamin that already includes zinc, be sure to adjust the quantity of zinc consumed in other supplements.
  • Nattokinase – Do not take while using blood thinners or if you are pregnant or nursing.
  • Always consider dosing – When taking a multivitamin, remember to adjust the amount of individual supplements accordingly. (e.g. If your multivitamin contains 15mg of zinc, you should reduce your zinc supplementation by that amount.) 
  • St John’s Wort – This medicine interacts with many pharmaceutical drugs. It should not be taken if you are on other medication without advice from your doctor.

Proactive and supportive measures

Virtually all conditions are more easily managed in their early stages. After all, it is certainly preferable to avert a health crisis entirely than it is to react to one. As the saying goes, an ounce of prevention is worth a pound of cure. 

A healthy diet is vital to support a healthy immune system. 

Tips

  • Alter your diet so as to reduce consumption of pro-inflammatory food items. A low histamine diet is recommended. Avoid processed foods and GMOs.
  • The food items found in Table 1 may also be incorporated into daily diets prior to contracting Covid-19 or receiving a Covid-19 jab, if you still choose to do so.
  • Intermittent fasting: The practice of intermittent fasting involves implementing meal timing schedules that switch back and forth between periods of voluntary fasting and non-fasting. Commonly, those who practice intermittent fasting consume all of their daily calories within 6-8 hours each day. This method of dieting is used to induce autophagy, which is essentially a recycling process that takes place in human cells, where cells degrade and recycle components. Autophagy is used by the body to eliminate damaged cell proteins and can destroy harmful viruses and bacteria post-infection. 
  • Daily consumption of a multivitamin is advised. It provides a basic supply of vitamin A, vitamin E, iodine, selenium, trace elements, and more in addition to vitamin C and vitamin D3.
  • Heat therapy, such as taking saunas and hot baths, are considered a good way of detoxing spike protein.

What is the spike protein?

The SARS-CoV-2 virus contains a spike protein on its surface. If you’ve seen images of the coronavirus, it is the sun-like protrusions often pictured on the outside of the virus. 

During a natural infection, spike proteins play a key role in helping the virus enter the cells of your body. A region of the protein, known as the S2, fuses the viral envelope to your cell membrane. The S2 region also allows for the coronavirus spike protein to be easily detected by the immune system, which then makes antibodies to target and bind the virus.

Spike proteins are also produced by your body after taking a Covid-19 jab, and they function similarly in that they are able to fuse to cell membranes. In addition, since they are made in your own cells, your cells are then targeted by your immune system in an effort to destroy the spike protein. Thus, your immune system’s response to spike proteins can damage your body’s cells.

Emerging evidence is also showing that in the nucleus of our cells the spike protein impairs our cells’ ability to repair DNA.

Why should I consider detoxing from the spike protein?

The spike protein from a natural infection or a Covid vaccine causes damage to our body’s cells, so it is important to take action to detoxify from it as best as we are able.

The spike protein is a highly toxic part of the virus, and research has linked the vaccine-induced spike protein to toxic effects. Spike protein research is ongoing.

The virus spike protein has been linked to adverse effects, such as: blood clots, brain fog, organising pneumonia, and myocarditis. It is probably responsible for many of the Covid-19 vaccine side effects discussed in the WCH post-injection guide.

A Japanese biodistribution study for the Pfizer vaccine found that, in the 48 hours post-vaccination, vaccine particles had travelled to various tissues throughout the body and did not stay at the injection site, with high concentrations found at the liver, bone marrow, and ovaries. 

Emerging evidence on spikopathy suggests that effects related to inflammation and clotting may occur in any tissue in which the spike protein accumulates. In addition, peer-reviewed studies in mice have found that the spike protein is capable of crossing the blood-brain barrier. Thus, in humans it could potentially lead to neurological damage if it is not cleared from the body.

How to reduce your spike protein load

Supporting people with Long Covid and post-vaccine illness is a new and emerging field of health research and practice. The following lists contain substances that may be useful. This list has been compiled by international doctors and holistic practitioners with diverse experiences in helping people recover from Covid-19 and post-injection illness. 

Luckily, there are a host of easily attainable, natural solutions to reduce your body’s spike protein load.

Some “Protein Binding Inhibitors” inhibit the binding of the spike protein to human cells, while others neutralize the spike protein so that it can no longer cause damage to human cells.

Spike Protein Inhibitors: Prunella vulgaris, pine needles, emodin, neem, dandelion leaf extract, ivermectin

Spike Protein Neutralizers: N-acetylcysteine (NAC), glutathione, fennel tea, star anise tea, pine needle tea, St. John’s wort, comfrey leaf, vitamin C

  • Ivermectin has been shown to bind to the spike protein, potentially rendering it ineffective in binding to the cell membrane.
  • Several plants found in nature, including pine needles, fennel, star anise, St. John’s wort, and comfrey leaf, contain a substance called shikimic acid, which may help to neutralize the spike protein. Shikimic acid may help to reduce several possible damaging effects of the spike protein, and is believed to counteract blood clot formation
  • Regular oral doses of vitamin C are useful in neutralizing any toxin.
  • Pine needle tea has powerful antioxidant effects and contain high concentrations of vitamin C.
  • Nattokinase (see Table 1), an enzyme derived from the Japanese soybean dish ‘Natto’, is a natural substance whose properties may help to reduce the occurrence of blood clots.

What is the ACE2 receptor?

The ACE2 receptor is located in the cell wall, in lung and blood vessel linings, and in platelets. Spike protein attaches to ACE2 receptors. 

It has been proposed that large concentrations of spike protein may bind to our ACE2 receptors and effectively ‘sit there’, blocking the regular functioning of these receptors in various tissues. The disruption of these receptors has been associated with a multitude of adverse effects through altered tissue functioning

  • If spike proteins bind to the cell wall and ‘stay put’, they could trigger the immune system to attack healthy cells and possibly trigger autoimmune disease. 
  • The spike protein could attach to ACE2 receptors located on blood platelets and the endothelial cells lining the blood vessels, which may lead to abnormal bleeding or clotting, both of which are linked to Vaccine-induced Thrombotic Thrombocytopenia (VITT).

How to detox your ACE2 receptors

Substances that naturally protect the ACE2 receptors:

  • Ivermectin
  • Hydroxychloroquine (with zinc)
  • Quercetin (with zinc)
  • Fisetin 

Evidence suggests the binding of ivermectin to the ACE2 receptor prevents the spike protein from binding with it instead. 

What is Interleukin-6?

Interleukin 6, or IL-6, is a primarily pro-inflammatory cytokine protein. This means it is naturally produced by the body in response to infection or tissue damage and initiates the inflammatory response. 

Why target IL-6?

Some natural substances help the post-jab detoxification process by targeting Interleukin 6.

Scientific evidence shows that cytokines such as IL-6, are found in far higher levels among those infected with Covid when compared to uninfected individuals.

IL-6 has been used as a biomarker for Covid progression. Increased levels of IL-6 have been found in patients with respiratory dysfunction. Meta-analysis has revealed a reliable relationship between IL-6 levels and covid severity. IL-6 levels have been inversely related with T-cell count in ICU patients

Pro-inflammatory cytokines such as IL-6 are also expressed post-vaccination, and studies suggest that they may reach the brain

Il-6 inhibitors have in fact been recommended by the WHO for severe Covid cases, for which they have been described as life-saving. 

How to detox from IL-6

The following lists of natural substances, including several basic anti-inflammatory food supplements, can be used to prevent the adverse effects of IL-6 by inhibiting its action.

IL-6 Inhibitors (anti-inflammatories): Boswellia serrata (frankincense) and dandelion leaf extract 

Other IL-6 inhibitors: Black cumin (Nigella sativa), curcumin, fish oil and other fatty acids, cinnamon, fisetin (flavonoid), apigenin, quercetin (flavonoid), resveratrol, luteolin, vitamin D3 (with vitamin K2), zinc, magnesium, jasmine tea, spices, bay leaves, black pepper, nutmeg, and sage

What is furin?

Furin is an enzyme, which cleaves proteins and makes them biologically activate. 

Why target furin?

Furin has been shown to separate the spike protein and thus allow the virus to enter human cells. 

A furin cleavage site is present on the Covid spike protein, which is thought to make the virus more infectious and transmissible. 

Furin inhibitors work by preventing cleavage of the spike protein

How to detox from furin

Substances that naturally inhibit furin:

  • Rutin
  • Limonene
  • Baicalein
  • Hesperidin

What is serine protease?

Serine protease is an enzyme.

Why target serine protease?

Inhibiting serine protease can prevent spike protein activation and also reduce viral entry to cells, hence reducing infection rate as well as severity

How to detox from serine protease

Substances that naturally inhibit serine protease and may help to reduce spike protein levels in the body:

  • Green tea
  • Potato tubers
  • Blue green algae
  • Soybeans
  • N-Acetyl Cysteine (NAC)
  • Boswellia (frankincense)

What to Take? How much to take? Where does it come from? Where to get it?

Table 1. Medicines and supplements that can be considered
SubstanceNatural Source(s)Where to GetRecommended Dose
IvermectinSoil bacteria (avermectin) On prescription
0.4mg/kg weekly for 4 weeks, then monthly
*Check package instructions to determine if there are contraindications prior to use
HydroxychloroquineOn prescription200mg weekly for 4 weeks *Check package instructions to determine if there are contraindications prior to use
Vitamin CCitrus fruits (e.g. oranges) and vegetables (broccoli, cauliflower, brussel sprouts)Supplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online6-12g daily (divided evenly between sodium ascorbate (several grams), liposomal vitamin C (3-6g) & ascorbyl palmitate (1 – 3g)
Prunella Vulgaris (commonly known as self-heal)Self-heal plantSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online7 ounces (207ml) daily
Pine Needles Pine treeSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineConsume tea 3 x daily (consume oil/resin that accumulates in the tea also)
NeemNeem treeSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineAs per your practitioner’s or preparation instructions
Dandelion Leaf ExtractDandelion plantSupplement (dandelion tea, dandelion coffee, leaf tincture): natural food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online  Tincture as per your practitioner’s or preparation instructions
N-Acetyl Cysteine (NAC)High-protein foods (beans, lentils, spinach, bananas, salmon, tuna)Supplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineUp to 1200mg daily (in divided doses)
Fennel Tea  Fennel plantSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineNo upper limit. Start with 1 cup and monitor body’s reaction.
Star Anise TeaChinese evergreen tree (Illicium verum)Supplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online
No upper limit. Start with 1 cup and monitor body’s reaction.
St John’s WortSt John’s wort plantSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineAs directed on supplement
Comfrey LeafSymphytum plant genusSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineAs directed on supplement
Nattokinase Natto (Japanese soybean dish)Supplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineAs directed on supplement
Boswellia serrata  Boswellia serrata treeSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineAs directed on supplement
Black Cumin (Nigella Sativa)Buttercup plant familyGrocery stores, health food stores 
CurcuminTurmericGrocery stores, health food stores 
Fish OilFatty/oily fishGrocery stores, health food storesUp to 2000mg daily
CinnamonCinnamomum tree genusGrocery store 
Fisetin (Flavonoid)Fruits: strawberries, apples, mangoes Vegetables: onions, nuts, wineSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineUp to 100mg daily (Consume with fats)
ApigeninFruits, veg & herbs parsley, chamomile, vine-spinach, celery, artichokes, oreganoSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online50mg daily  
Quercetin (Flavonoid)Citrus fruits, onions, parsley, red wineSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineUp to 500mg twice daily, Consume with Zinc
ResveratrolPeanuts, grapes, wine, blueberries, cocoaSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineUp to 1500mg daily for up to 3 months
LuteolinVegetables: celery, parsley, onion leaves
Fruits: apple skins, chrysanthemum flowers
Supplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online100-300mg daily (Typical manufacturer recommendations)
Vitamin D3Fatty fish, fish liver oilsSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online5000 – 10,000 IU daily 
Vitamin KGreen leafy vegetablesSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online90-120mcg daily  (90 for women, 120 for men)
ZincRed meat, poultry, oysters, whole grains, milk productsSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online11-40mg daily  
MagnesiumGreens, whole grains, nutsSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineUp to 350mg daily 
Jasmine TeaLeaves of common jasmine or Sampaguita plantsGrocery store, health food storesUp to 8 cups per day
Spices Grocery store 
Bay LeavesBay leaf plantsGrocery store 
Black PepperPiper nigrum plantGrocery store 
NutmegMyristica fragrans tree seedGrocery store 
SageSage plantGrocery store 
RutinBuckwheat, asparagus, apricots, cherries, black tea, green tea, elderflower teaSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online500-4000mg daily  (consult healthcare provider before taking higher-end doses)
LimoneneRind of citrus fruits such as lemons, oranges, and limesSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineUp to 2000mg daily
BaicaleinScutellaria plant genusSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online100-2800mg  
HesperidinCitrus fruitSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, onlineUp to 150mg twice daily
Green TeaCamellia sinensis plant leavesGrocery storeUp to 8 cups of tea a day or as directed on supplement 
Potatoes tubersPotatoesGrocery store 
Blue Green AlgaeCyanobacteriaSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online1-10 grams daily
Andrographis PaniculataGreen chiretta plantSupplement: health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online400mg x 2 daily

*Check for contradictions
Milk Thistle ExtractSilymarinSupplement; Health food stores, pharmacies, dietary supplement stores, online200mg x 3 daily
Soybeans (organic)SoybeansGrocery store, health food stores 

Most of these items are easily accessible in local grocery stores or as nutritional supplements in health food stores.

Note: This list is not comprehensive and other substances, such as serrapeptase and CBD oil, have also been suggested. The World Council for Health will continue to update this document as new information emerges.

Some holistic practitioners also recommend substances to cleanse the body of metals after vaccination, such as zeolite and activated charcoal. The WCH will prepare guidance on how to detox from metals in due course.

Top ten spike protein detox essentials:

  • Vitamin D 
  • Vitamin C
  • NAC (N-acetylcysteine)
  • Ivermectin 
  • Nigella seed
  • Quercetin
  • Zinc 
  • Magnesium 
  • Curcumin
  • Milk thistle extract

For more information and specific protocols, here are a few websites that may be of interest: 

Click here to download a PDF guide from Caring Healthcare Workers Coalition.

Nos ancêtres ont voté pour que vous ayez le droit de mourir – par Monica Hughes.

Comme Monica Hughes, je trouve aussi un tsunami de textes bien écrits sur Substack, ce qui me met aussi en retard pour écrire les miens. Voici un de ses articles récents, qu’elle a tout de même réussi à finir. Vous comprendrez pourquoi je tenais à le traduire quand vous le lirez. Il reprend quelques points essentiels déjà évoqués sur ce blog, par moi ou par d’autres, et reflète assez fidèlement ce que pas mal de « résistants » (je n’ai pas trouvé d’autre terme) vivent et ressentent aujourd’hui.

Accessoirement (enfin, presque), j’y trouve – enfin! – une réponse plausible à la question que je posais ici, protéine de pointe ou oxyde de graphène? Les deux, mon capitaine.

Extrait du texte: « … les colloïdes du vaccin Covid fusionnent en l’espace d’une heure environ pour former des composants de plus en plus grands, et […] ces structures finissent par dépasser largement les 15 um, pour devenir extrêmement plates et fines, avec des bords tranchants. […] on constate également qu’elles réagissent à un champ magnétique. » (c’est moi qui souligne)

Et voilà.

Source.


Traduction

Nos ancêtres ont voté pour que vous ayez le droit de mourir

Quelques réflexions sur l’avenir à court et moyen terme

Monica Hughes, PhD

24 avril

Je trouve parfois un vrai tsunami de textes bien écrits sur Substack, que je lis et auxquels je répond, ce qui me met en retard pour écrire les miens. Ça a été le cas cette semaine. Mon TDA [NdT. trouble déficitaire de l’attention] ne facilite pas les choses.

J’ai découvert les interviews de Byram Bridle sur les vaccins Covid début 2021, bien avant ses interviews sur la bio-distribution en mai 2021. C’est à ce moment-là qu’il a commencé à susciter une réaction extrêmement négative chez ses détracteurs.

Son récent article se concentre sur la biodistribution des PNL [particules nano-lipidiques] et la considère comme une raison à elle seule justifiant le retrait de ces vaccins. Il existe de nombreuses autres raisons justifiant le retrait de ces vaccins, mais la question de la biodistribution des PNL en particulier constitue une approche pertinente et complète du problème.

Un moratoire sur les « vaccins » à ARNm est nécessaire

J’ai énormément de respect pour Bridle. Voici un commentaire que j’ai laissé sous son article:

Merci de faire la lumière sur ces questions. À court terme, cela ne changera rien. La bataille sera longue et devra être menée sur de multiples fronts. Essayez de ne pas vous décourager.

C’est intéressant de suivre les découvertes des uns et des autres. Découvrir votre travail et celui d’autres personnes au long de l’année dernière a été un des facteurs décisifs qui m’a convaincue de quitter la Nouvelle-Zélande.

La quantité d’informations présentement à passer au crible est phénoménale, mais un fait que je trouve particulièrement inquiétant est que, alors que les vaccins ne devraient rien contenir de plus grand que 15 um, il semble que ça fasse partie des possibilités.

Je ne connais personne d’autre qui se soit penché sur ce problème, mais je l’ai moi-même relevé parce que, à l’époque où je dirigeais mon entreprise de fabrication de toxines de Coley (pour une utilisation limitée en tant que médicament non approuvé, autorisé dans diverses juridictions à travers le monde), je passais mon produit dans un filtre en polyester à pores de 15 um pour réduire le risque de réaction allergique, de sarcoïdose, etc.

Des équipes néo-zélandaises ont effectué des travaux qui démontrent que les colloïdes du vaccin Covid fusionnent en l’espace d’une heure environ pour former des composants de plus en plus grands, et que ces structures finissent par dépasser largement les 15 um, pour devenir extrêmement plates et fines, avec des bords tranchants. L’ensemble du processus a été répété plusieurs fois. À un stade précoce donné du développement de ces structures, on constate également qu’elles réagissent à un champ magnétique.

Ce qui se produit sur une lame de microscope n’est pas nécessairement identique à ce qui se produit dans le corps. Néanmoins, c’est inquiétant.

S’il me reste de l’argent après cette débâcle (je n’en ai pas), j’en parierais une bonne partie sur l’idée que les vaccins contiennent du graphène, utilisé comme vecteur génétique, et que sa présence débouche sur l’assemblage de ces structures (que ce soit voulu ou non).

Un point assez ironique. Mon entreprise individuelle, qui a sauvé quelques vies au cours de son activité, a été fermée sans même la moindre visite d’un régulateur. Pendant ce temps, Pfizer reste en activité.

Le monde tourne à l’envers.

Je suis désolée de le dire mais il est devenu impossible de faire machine arrière à ce stade. Cependant, si votre article touche davantage de personnes lambda et les amène à s’interroger sur la poursuite de l’utilisation des vaccins Covid, sûrs et efficaces, ça aura servi à quelque chose. Nous avons tous notre rôle à jouer.

D’un point de vue plus large, je pense que de nombreux scientifiques apolitiques – j’entends par là des personnes qui se disaient plutôt apolitiques avant la pandémie de Covid, qui sont d’éminents experts dans leur domaine et fournissent des informations précieuses et pointues – traversent actuellement un processus de deuil, pour ainsi dire: ils pensaient vivre dans un monde donné, et découvrent qu’ils vivent en fait dans un monde complètement différent.

Ça ne se limite pas au seul monde scientifique, je pense que ça se manifeste chez beaucoup d’autres, qui passent en alternance par les différentes phases du modèle de deuil de Kubler-Ross. Par ailleurs, les modes marchandage/colère/déni/dépression/acceptation ne se déroulent pas selon un continuum de progression linéaire.

Pour ma part, je suis principalement en phase d’acceptation depuis huit ans, en passant parfois brièvement par les autres phases. Lorsque l’on perd sa maison, sa carrière, sa famille et son pays (dans mon cas, j’ai perdu certains de ces éléments deux fois), l’esprit se libère et se met à envisager des perspectives moins agréables sur la nature du monde, parce qu’après avoir plus que la plupart des gens fait l’expérience des limites du supportable, on comprend que l’on est probablement capable de survivre à de futurs chocs physiques et émotionnels.

J’ai vraiment pensé qu’en m' »échappant » en Nouvelle-Zélande en 2015, sa culture moins corrompue et sa gouvernance plus transparente me mettraient mieux à l’abri des prédations d’Etat.

J’avais tort.

Malgré la tyrannie médicale que j’avais subie aux États-Unis, il ne m’était tout simplement pas venu à l’esprit qu’une secte pharmaceutique mondiale tenterait de s’emparer de toute la planète.

Quelle idiote j’étais.

Conway Judge: Quelle histoire fascinante. Comment et pourquoi vous êtes-vous intéressée aux toxines de Coley et lancée dans leur production?

Monica Hughes, PhD: C’est une longue histoire! Pour soigner son cancer, mon mari a reçu ce traitement au Mexique en 2014. Elles sont produites depuis des décennies par différentes sociétés en Amérique Latine et étaient produites par une firme canadienne jusqu’à ce que son PDG prenne sa retraite en 2015. Je m’y intéresse depuis 2014 mais quand personne ne s’est proposé de prendre la relève pour remplacer MBVax, j’ai décidé de me lancer et j’ai créé ma propre firme fin 2018.

Conway Judge: Et vous dites que les bureaucrates vous en ont empêchée avant même qu’elle se mette en route? Désolé d’etre aussi curieux mais tout ça m’intrigue. Quel genre de bureaucrates?

Monica Hughes, PhD: Un avocat américain très insistant, en phase terminale, m’en a réclamé en tentant de me faire croire qu’il était légal d’en envoyer là-bas. Il a ensuite fait pression à plusieurs reprises sur Medsafe [NdT. l’autorité de règlementation des médicaments en Nouvelle-Zélande] pour y avoir accès. Il était très déterminé et souffrait très probablement de maladie mentale (c’est une longue histoire). Le fait que je n’acceptais d’en fournir qu’à des médecins dans les pays où il était légal de le faire était une façon détournée de les faire classer sans ambiguïté comme médicament. L’ironie de l’histoire c’est que si j’en avais fourni sans restriction à n’importe quel client dans le monde, on m’aurait laissée tranquille pendant un certain temps. Mais Medsafe est montée d’un cran et, me semble-t-il, a outrepassé ses limites en voulant règlementer hors de sa juridiction. Je n’en avais jamais fourni à aucun médecin néo-zélandais mais ils m’ont signifié que je n’avais pas non plus le droit d’en exporter. Je pense que j’aurais pu m’opposer en justice à leur décision mais je ne disposais ni des ressources financières ou sociales ni de l’énergie psychologique pour le faire, et j’étais particulièrement découragée par tout ce qui se passait autour du Covid, et j’ai donc décidé de tout simplement quitter la Nouvelle-Zélande.

Le statut légal des toxines de Coley est très ambigu. Tout le monde pense qu’elles sont illégales mais ce n’est pas mon avis. J’écrirai davantage à ce propos à un autre moment.

Conway Judge: C’est très dommage de voir que votre entreprise a capoté avant même de commencer, surtout pour des raisons bassement bureaucratiques. Il ne doit pas y avoir beaucoup d’autres personnes qui ont fait l’expérience d’avoir tenté un tel projet. Ça doit probablement vous donner une bonne compréhension de ce qui se passe en ce moment.

Monica Hughes, PhD: Oui. Je dois avouer que ça m’avait surpris mais c’est exactement ce que le Covid nous a démontré. On devrait dire merci au Covid. Lol.

En fait j’avais déjà pris ma « pilule rouge » [NdT. expression des anglophones, qui signifie « affronter les faits choquants », contraire de « blue pill », ceux qui refusent de le faire] en voyant le comportement de l’industrie de la santé face à la maladie de mon mari et j’ai décidé de l’emmener directement au Mexique plutôt que de le faire soigner aux Etats-Unis.

Je pensais que la Nouvelle-Zélande serait un peu plus honnéte, comme le Canada, qui en produisait auparavant.

Non.

Contrairement à de nombreux scientifiques, j’ai refusé de me spécialiser après mon doctorat en 2008. Politiquement, je suis dans le camp libertaire depuis vingt ans, et anarchiste depuis six ans.

J’étais plutôt radicale avant 2016, mais après avoir observé une foule de gens à un rassemblement de soutien à Gary Johnson en 2016 scander « JE CROIS QUE NOUS POUVONS GAGNER!!! », j’ai refermé mon ordinateur portable et décidé que j’en avais fini avec la politique. Si la politique pouvait changer une bande de tièdes supporters libertariens de Johnson en une foule enragée, je ne voulais plus rien avoir à faire avec la politique.

J’ai juré de ne plus jamais voter.

En relation avec tout ce qui précède, être une veuve sans enfant qui a dépassé l’âge de procréer et a abandonné l’université pour le secteur privé fait clairement de moi quelqu’un de totalement décalé par rapport à la masse.

J’aime les principes de motivation des Hashashin: assassiner le roi, et assassiner ensuite chaque nouveau roi, jusqu’à ce que la seule personne prête à porter la couronne soit l’idiot du village. J’aime attaquer les vaches sacrées de la plupart des gens, y compris la CONstitution [NdT. jeu de mots sur base de « con », qui signifie en anglais escroquerie], la religion, l’État, le dernier régime à la mode (qu’il s’agisse de végétalisme ou de carnisme), etc. Pas parce que je suis intrinsèquement nihiliste. Mais parce que je me suis déjà délibérément confrontée à toutes les idées délirantes possibles au cours des 30-35 dernières années, et que la plupart d’entre elles m’ennuient à mourir.

Ce n’est pas que je n’ai plus rien à apprendre. Je suis sûre que si, mais j’en suis à un stade de ma vie où je suis prête à dépenser le peu d’argent qu’il me reste dans une Toyota MR2, à passer l’été à rouler à fond, et quand l’inflation, la dépression, les Russes, la crise du pétrole et les voyous qui se déchaînent dans les rues seront devenus intolérables, je déciderai si je suis vraiment capable de subsister avec le riz et les haricots que j’ai achetés l’été dernier, et les produits du jardin que je prendrai plaisir à cultiver cet été, tout en me demandant si je suis prête à tuer les lapins qui les grignotent dans la cour.

Ou s’il ne serait pas plus facile de conduire le runabout à moteur central [NdT. référence à la Toyota MR2, gamme de voitures de sport à deux places, à moteur central et à propulsion arrière] à travers le pays d’est en ouest, puis de sauter de la falaise la plus proche, avec mon dernier chocolat et mon dernier verre de vin de luxe à la main, en criant, comme dans Thelma et Louise, « WOO HOO! Quel voyage! »

Mouais. Je ne suis pas vraiment Howard Beale, mais il est parfois intéressant d’observer comment l’histoire se répète, et comment ceux qui parmi nous s’agitent contre le réseau de contrôle sont peut-être eux aussi cyniquement utilisés par les Diana Christensen du monde [NdT. référence au film « Network », que vous devriez avoir vu].

Sommes-nous en train de jouer leur jeu?

Mon message à tous, pour ce qu’il vaut, est de se prémunir de la désillusion. Il n’y aura jamais de redevabilité, ni de  » Nuremberg 2 « , ni de  » pendez-les tous à un réverbère « , ni rien de tout cela. Nuremberg Un n’a pas marché. Les nazis ont été intégrés au gouvernement américain dans le cadre de l’opération Paperclip, et ont dirigé le monde au cours des 70 dernières années. [NdT. ce que je vous rappelais ici]

Je crois que le meilleur scénario envisageable est simplement que le peuple reconquière son pouvoir financier, tout comme l’information a été reconquise lors de la révolution Internet il y a 20 ans. Peut-être le bitcoin est-il une création du Renseignement. Je pense bien que c’est le cas, en fait. Est-ce important? L’internet est une création de l’Armée.

Cela prendra du temps, après quoi la civilisation entamera un nouveau cycle dans lequel les psychopathes qui voudront manipuler le nouveau système passeront les 50 années suivantes à trouver le moyen d’y parvenir. Le Quatrième Tournant et tout le bordel [NdT. « Le Quatrième Tournant » (1997) est un livre de William Strauss et Neil Howe qui postule qu’une révolution sanglante a lieu une fois par siècle aux Etats-Unis].

Si cela devait arriver, il se pourrait que les humains soient plus libres qu’ils ne l’ont jamais été depuis le paléolithique.

Et bien que je sois anarchiste, je ne m’engagerai pas, pour l’instant, dans ce qui ne sera probablement rien de plus une nouvelle forme de rêverie collectiviste, car je sais qu’en fin de compte, l’homme moderne ne surmontera pas sa passion pour la contrainte et les ordres. Nous ne sommes pas si nombreux à aspirer à une véritable liberté.

Je n’ai aucune idée du temps que ça mettra ou des retombées que ça aura. Je ne sais pas non plus si la chose est certaine. Les États-nations vont-ils complètement disparaître? Je n’en ai aucune idée. Combien de personnes mourront? Aucune idée non plus.

Difficile de savoir comment ça finira. Il y a plusieurs issues possibles.

J’aime bien prendre le Vénézuéla comme exemple potentiel. Leur population à diminué de 5% ces 5 dernières années. C’est beaucoup mais on est loin des 95% que les Cassandre se plaisent à prédire. Où sont-ils passés? Ils sont tous morts? Ils ont franchi la frontière? Il n’y a pas eu assez de naissances pour compenser les décès? Je ne sais pas.

Est-ce que ce qui arrive au Vénézuéla pourrait arriver aux Etats-Unis? Oui, évidemment. Est-ce que ça pourrait être pire qu’au Vénézuéla et combien de temps ça durerait dans ce cas?

Difficile de comprendre ce qui se passe réellement. Il y a une grosse pénurie de main d’oeuvre aux Etats-Unis. Est-ce parce que les gens n’ont plus envie de travailler après avoir reçu leur chèque de 1.200$ d’aide sociale ou est-ce parce qu’on a déjà tué un certain nombre de millenials [NdT. personne devenue adulte aux environs de l’an 2000] à coup de vaccins et qu’on tente de le cacher? Je ne sais pas. Probablement un peu des deux.

L’issue de tout ça dépend de plusieurs choses. La population américaine est loin d’être aussi résiliente que celle du Vénézuéla ou de la Russie. Donc pour la majorité des Américains, oui, comme vous le dites, survivre à un plan quinquennal staliniste ou maoïste sera une rude épreuve.

Ceci dit, un grand nombre de personnes ont six mois de nourriture stockés dans leur graisse corporelle. Ils ont aussi des animaux de compagnie. Ils ne mourront pas instantanément. Ils pourraient bien mourir de froid en premier.

L’incertitude vient du fait que les régimes très oppresseurs (l’ex-Union Soviétique, la Corée du Nord, le Vénézuéla) dépendaient des importations de l’Occident pour se maintenir et c’est ainsi qu’ils ont tenu le coup aussi longtemps.

Que se passera-t-il si personne n’est là pour maintenir l’Occident? Voilà la vraie question, dont la réponse nous dira à quelle vitesse et jusqu’où nous allons sombrer.

Un grand nombre de gens – peu importe s’ils sont dans les villes, les banlieues ou les campagnes – seront contraints à accepter le revenu universel, la tyrannie digitale, la monnaie numérique des banques centrales, comme vous préférerez l’appeler… mais ça aussi finira par s’effondrer. Parce qu’ils gonfleront aussi la masse monétaire numérique (c’est ce qu’a fait le Vénézuéla!)

Tout ce que nous lisons semble sortir directement de Atlas Shrugged [NdT. le bouquin dystopique de Ayn Rand, traduit en français par « La grève »].

Mais la question à laquelle je n’ai pas de réponse, c’est combien de gens mourront et combien de temps ça durera. Et je me suis déjà souvent trompée dans mes prédictions.

Pour les enfants un peu lents du fond de la classe, le problème ne se limite pas aux masques et aux obligations d’injection. Ils vont bientôt créer délibérément des crises telles que des pénuries de nourriture et d’énergie. Si ça ne marche pas, ils tenteront de vous prendre tout votre argent.

Mais il est absolument certain qu’ils n’admettront jamais que les conjabs [NdT. les injections frauduleuses] sûres et efficaces tuent des gens. Allons donc! Le CDC fait maintenant des pubs grotesques qui expliquent comment « arrêter les caillots sanguins ».

Même Trump refuse de faire marche arrière sur les merveilleux vaccins, ces stupéfiants vaccins, les plus rapides et les meilleurs de tous les vaccins de l’histoire, croyez-moi:

Trump persiste à vouloir s’attribuer le mérite des vaccins de son projet Warp Speed, en tant que « père du vaccin ». Il tellement narcissique qu’il refuse d’admettre que les vaccins tuent. Et il attribue à la propagande des Démocrates le fait que nombre de ses adeptes refusent le vaccin.

Alors oui. Que Trump aille se faire foutre, lui aussi. Il n’en a rien à caler de vous.

S’il ressort un seul point positif de cette pandémie, c’est la destruction complète de l’arnaque qu’est la médecine moderne, et de TOUS les politiciens. Peut-être qu’après un siècle de toute cette merde incroyablement destructrice, on va enfin pouvoir revenir à la réalité.

https://rumble.com/v11vnhh-trump-on-vaccines-i-think-the-other-side-actually-poisoned-people-on-it.html

Au mieux, ils reformuleront les vaccins et tenteront de  » vendre  » ceux-ci aux gens. Si la « prochaine pandémie », dont ce bon vieux Billy Boy parle sans cesse, est le H5N1, de nombreuses personnes feront effectivement la queue pour les recevoir:

Et à part le vaccin contre la variole, les vaccins contre la grippe sont les plus dangereux de tous. Pourtant les gens les prennent depuis des décennies. Si nous en arrivons aujourd’hui à un moment propice, c’est parce que les vaccins Covid sont BEAUCOUP plus dangereux. Quoiqu’il en soit, ça ne s’arrêtera que si les Américains les refusent en masse. Impossible de prédire quand ça aura lieu. Mais ce petit jeu pourrait encore durer longtemps. Je prédis qu’après ça, ils sortiront des vaccins à ARN messager auto-réplicatif « mis à jour » qu’ils présenteront comme plus sûrs.

Cette escroquerie peut durer encore très longtemps.

Ce qu’ils visent c’est le contrôle total. Comment le savons-nous? Par leur volonté de censurer tout le monde à un niveau jamais atteint de mémoire récente. Ça a commencé avec Trump, qui comptait des dizaines de millions d’abonnés. Maintenant, après à peine plus d’un an, ils en sont à jouer à Wack-a-mole [NdT. ce jeu très intellectuel où on tape avec un marteau sur des taupes] avec des comptes Twitter qui n’ont que quelques centaines d’abonnés. Ça suffit pour comprendre tout ce qu’il y a à comprendre.

Alors faites-vous à l’idée et préparez-vous à l’affronter:

« On ne mène pas d’étude randomisée pour déterminer la gamme de températures auxquelles il faut cuire les bébés avant de les consommer. »

Ce n’est peut-être pas aussi manifeste, mais on ne mène pas d’étude randomisée pour déterminer la gamme de dosage « sûre » des nouvelles immunothérapies pour les cancéreux en phase terminale après qu’ils aient reçu de force les thérapies standard qui ont détruit leur système immunitaire.

L’interdiction du droit des cancéreux en phase terminale de recevoir des thérapies expérimentales est en place depuis la fin des années 1960 aux Etats-Unis et environ 600.000 cancéreux en phase terminale meurent chaque année rien qu’aux Etats-Unis.

Le peuple tolère son statut d’esclave de l’Etat depuis de nombreuses décennies.

On entend beaucoup de gens clamer sur un ton moralisateur: « Nos ancètres sont morts pour que vous ayez le droit de voter! »

Ce qui signifie en réalité « Nos ancètres ont voté pour que vous ayez le droit de mourir! »

Voilà le monde à l’envers que ces malades ont créé. Interdiction d’interventions médicales utiles, et obligation d’interventions inutiles et non désirées.

J’espère que nous déciderons tous que ça vaut la peine de continuer à vivre, comme Kaylee. Mais je n’ai pas particulièrement peur de mourir. C’est la façon dont je continue à « vivre » ou à me battre qui m’importe le plus.


Texte original

Our Ancestors Voted for Your Right to Die

Some Thoughts About the Near- to Medium-Term Future

Monica Hughes, PhD

Apr 24

Sometimes there’s just an overwhelming tsunami of good writing on Substack, and my own gets delayed as I enjoy reading and responding to it all. This has been one of those weeks. My ADD doesn’t help.

I discovered Byram Bridle’s interviews about the covid vaccines sometime in early 2021, well before his bio-distribution interviews in May 2021. That’s when he started to attract extremely negative attention from his detractors.

His recent article tackles the biodistribution of the LNPs as a particular reason why the vaccines should be stopped. There are many other reasons they should be stopped, too, but this particular LNP angle is quite a good and comprehensive take on the issue.

A Moratorium on mRNA ‘Vaccines’ is Needed

I have a tremendous amount of respect for Bridle. Here’s a comment that I left on his article:

To segue into a broader observation, I think many non-political scientists — by that I mean people who have admitted to being rather un-political before the covid pandemic, and are deep experts in their field and the source of much valuable, specialized information — are going through a sort of grief process in which they thought they were living in a particular world, but it turns out they are living in quite another.

Even more broadly than scientists, I think this is resulting in a rotation between the various phases of the Kubler-Ross model of grief among many. The bargaining/anger/denial/depression/acceptance modes are not a linear continuum of progression, either.

I’ve been in the acceptance phase for most of the past 8 years but I briefly come in and out of others. When you lose your house, your career, your family, and your country (in my case, I lost some of those twice) it frees your mind up to consider some less pleasant possibilities about the nature of the world, because you’ve already tested the limits of what you can endure more than most, and you know you’re likely to survive the physical and emotional blows again.

I did think that in “escaping” to New Zealand in 2015, I would be safer from the predations of the state in a less corrupt culture with more transparent governance.

I was wrong.

Despite the medical tyranny I’d been through in the US, it just didn’t really occur to me that a global pharmaceutical cult would try to take over the entire globe.

Silly me.

Unlike many scientists, I resisted specialization after the PhD in 2008. Politically, I’ve also been on the libertarian side of things for 20 years, and an anarchist for six of those.

I was pretty radical before 2016, but when I saw a mob of people at a Gary Johnson rally in 2016 shout, over and over again, “I BELIEVE THAT WE CAN WIN!!!” I slapped my laptop shut and decided I was done with politics. If politics could turn a bunch of lukewarm libertarian-lite Johnson supporters into a crazed mob, then I wanted nothing to do with politics.

I vowed never to vote again.

In combination with all of the above, as a childless widow now past childbearing age who abandoned academia for the private sector, this honestly makes me just plain weird in comparison to most people.

I’m fond of the motivating principles of the Hashashin: assassinate the king, and keep on assassinating each new king, until the only person willing to wear the crown is the village idiot. I enjoy attacking most peoples’ sacred cows, including the CONstitution, religion, the state, the latest fad diet (whether it’s veganism or carnism), etc. This isn’t because I’m inherently nihilistic. It’s because I’ve already deliberately exposed myself to every possible fruitcake idea over the past 30-35 years, and most of it bores me to tears.

It’s not that I’ve got nothing left to learn. I’m sure that I do, but I’m at the stage in life where I’m ready to blow my remaining wad of cash on a Toyota MR2, spend the summer driving the hell out of it, and when the inflation and the depression and the Russians and the oil crisis and the punks running wild in the streets become too much, I can decide whether I’m really up for subsisting on the rice and the beans I bought *last* summer, and the garden produce I’ll enjoy tending *this* summer, all as I contemplate whether I’m willing to shoot the bunnies in the yard who are snacking on it.

Or, whether it would be easier to just drive the mid-engine runabout across the country from east to west coast, and then off the nearest cliff, the last of my luxurious chocolate and wine in hand, screaming, Thelma and Louise-style, “WOO HOO! What a ride!”

Yeah. I’m not really Howard Beale but sometimes it’s interesting to observe how history repeats, and how perhaps those of us who are agitating against the control grid are also perhaps being cynically used by the Diana Christensen’s of the world.

Are we playing into their hand?

My message to everyone, for what it’s worth, is to guard yourself against disappointment. There’s never going to be any accountability, any “Nuremberg Two”, any “lampposts through and through”, or any of the rest of it. Nuremberg One didn’t work. The Nazis were brought into the US government under Operation Paperclip, and have been running the world for the last 70 years.

I believe the best possible scenario is that the people will simply take their power back at the financial level, just as information was taken back in the internet revolution 20 years ago. Maybe Bitcoin is a spook creation. I suspect it might be, actually. Does it matter? The internet was a military one.

It will take time, and then civilization will begin a new cycle where the psychopaths who want to game the new system will spend the next 50 years figuring out how to do it. Fourth Turnings and all that.

If this can happen, humans might actually be more free than at any previous time since the paleolithic.

And while I am an anarchist, I will, for the time being, not engage in what is only likely to be a new type of collectivist daydreaming, because I know that at the end of the day, modern humans aren’t going to get over their love affair with being pushed around and told what to do. There aren’t that many of us who actually yearn to be truly free.

I have no idea how long this will take or what the fallout is going to be. I also don’t know whether it’s certain. Will we lose nation states altogether? I have no idea. How many people will die? Also no idea.

For the slow kids in the back, this isn’t just about masks and injection mandates. Next they will deliberately create crises like food and energy shortages. If that doesn’t work, they’ll try to take all your money.

But for damned sure they are not going to ever admit that the safe and effective conjabs are killing people. Come on! The CDC is running ridiculous ads now on how to “Stop the Clot.”

Not even Trump is backing down from the beautiful vaccines, the amazing vaccines that were faster and better than any other vaccines in history, believe me:

At best, they’ll reformulate the vaccines and attempt to “sell” people on those. If the “next pandemic” that good ole Billy Boy is always talking about is H5N1, then many people will indeed line up for them:

They’re gunning for total control. How do we know? Because they are trying to censor the hell out of everyone to an extent that has never been done before in recent memory. It started with Trump who had tens of millions of followers. Now in just over a year, they’re down to playing whack a mole with Twitter accounts that only have a few hundred followers. This really tells you everything you need to know.

So just come to terms with it and get ready for it:

That’s the upside-down world these sickos have created. Denial of useful medical interventions, and forcing of useless, unwanted ones.

I hope we will all decide that life is worth continuing to pursue, just like Kaylee. But I’m not particularly afraid to die. It’s how I continue to “live” or kick the can that I care more about.

Pourquoi nous sommes dans la merde.

Une petite anecdote en préambule de mon article à venir – encore quelques traductions à terminer d’ici là.

Il y a une trentaine d’années, j’ai rencontré un médecin-chercheur qui donnait à l’époque des stages sur l’instinctothérapie, lorsque c’était la mode. Il s’appelait Jacques Fradin et était assez pointu sur le sujet: il s’était entouré d’une équipe pluridisciplinaire (par exemple, des paléobotanistes) et bénéficiait de la confiance du gouvernement de l’époque, qui lui envoyait même des hauts dignitaires mal en point pour les retaper autrement que par l’allopathie. C’était un scientifique assez solide et le sujet était passionnant mais, cher lecteur, ce n’est pas de ça que je voulais vous parler ici.

En effet, ce bon docteur nous avait expliqué un comportement qu’il avait fréquemment observé dans sa pratique – et que j’ai moi-même observé depuis lors sous diverses formes, dans beaucoup d’autres domaines. Le voici: le patient vient consulter le médecin pour divers symptômes très gênants. Le médecin lui prescrit des remèdes pour soulager lesdits symptômes et lui fait comprendre que, puisque la responsabilité de son état de santé incombe avant tout au patient, pour retrouver une santé durable il doit corriger certains aspects de son mode de vie (alimentation, hygiène de vie, etc.). Il complète donc son traitement avec une marche à suivre à plus long terme et lui propose de le revoir quelque temps après.

Lors de sa visite suivante, le patient se plaint des mêmes symptômes, qui se sont souvent aggravés entretemps. Le médecin lui demande s’il a bien pris ses remèdes et surtout s’il a suivi ses recommandations d’ordre plus général. La réponse à cette dernière question est invariablement non, puisque ça allait mieux avec les remèdes. A ce stade, lesdits remèdes sont donc devenus insuffisants, et il faut recourir à des mesures plus sévères pour endiguer la progression de la maladie.

Cette société est malade depuis un moment et les remèdes ne fonctionnent plus… Il va falloir prendre des mesures plus sévères.

Nous-mêmes.

Rétropédalage du CDC américain.

Joyce Kamen est la fille du Dr Jack Kamen, le docteur qui a mis au point le système d’obturation des canules pour trachéotomie qui porte son nom. Ce petit médecin des familles aura ainsi sauvé un nombre incalculable de vies. Joyce en parle ici. En digne héritière de son papa, elle a aussi publié un article sur la trahison du Dr Andrew Hill, d’un niveau de malfaisance qui fait froid dans le dos. Je traduirai et publierai les deux sur ce blog (même si je n’ai pas le temps).

Joyce nous explique dans l’article ci-dessous comment, après avoir imposé un protocole de soins conçu pour tuer des centaines de milliers de gens, le CDC retourne sa veste, en recommandant maintenant le traitement précoce du Covid. En anglais, on appelle ça « adding insult to injury »: ajouter l’insulte à la blessure. Sauf que tout ça est évidemment plus grave que des « blessures ».

Je vous l’avais annoncé ici, et c’est exactement ce qui est en train de se produire. Ils retournent tous leur veste, et en plus ils se foutent de nos gueules.

L’Imperial College, où sévit Neil Ferguson, qui avait promis 500.000 morts rien qu’au Royaume-Uni dans l’étude qui a servi d’alibi à tous les gouvernements pour imposer deux ans de mesures totalement inutiles à autre chose qu’à la destruction de leurs économies nationales, publie maintenant des études qui montrent que les masques ne servent absolument à rien, ce qu’on sait depuis des décennies et ce que rappellent tous les scientifiques sérieux depuis le début de l’épidémie.

Une étude de Johns Hopkins (ceux qui ont co-organisé le Event 201 censé prévoir toutes les mesures nécessaires en cas d’épidémie) annonce que les mesures prises par les gouvernements, qui ont engendré des dégâts humains incalculables, n’auront finalement réduit la mortalité que de 0,2%.

Ecoutez Scott Gottlieb, l’ancien de la FDA recyclé chez Pfizer, qui explique que le CDC n’était malheureusement pas équipé pour indiquer la marche à suivre – après avoir interdit aux médecins de soigner les malades – et que tout est donc de la faute de ceux qui les ont écoutés. Le CDC est donc innocent.

Présentatrice: Les lignes directrices du CDC ont semé la confusion, elles ont été déconcertantes, elles ont semblé définir la  » science telle que nous la connaissons  » à certains égards, mais je suppose que c’est la réalité et que c’est probablement la raison pour laquelle ils ont modifié ces lignes directrices pour refléter exactement ce que nous voyons actuellement. Enfin, je ne comprends pas pourquoi ils n’ont pas dit cela à l’époque, mais sachant que nous allons avoir, disons, un pour cent de la population infectée, 10 % infectés à un moment donné, comme nous l’avons vu ces dernières semaines, est-ce que c’est ce que le CDC a vu et savait? C’est pour cela que nous avons reçu ce genre de conseils insensés?

Gottlieb: Je pense que les directives du CDC reflètent la réalité: une grande partie de la propagation actuelle est le fait de personnes qui sont légèrement symptomatiques ou asymptomatiques et qui ne transmettent pas leurs infections; imposer toutes les réglementations et les restrictions sur le petit pourcentage de personnes qui se font diagnostiquer et s’isolent ne va pas permettre de contrôler cette épidémie. Tout comme nous ne faisons pas de recherche de contacts en ce moment. Beaucoup d’écoles ne recommandent pas la mise en quarantaine des élèves lorsqu’il y a un cas dans la classe, parce qu’il y a tellement d’infections et qu’il est impossible de contrôler l’épidémie par les infections que l’on transmet. Je pense qu’en ce qui concerne les conseils du CDC de manière plus générale, la réalité est que le CDC n’est pas une agence habituée à parler au public. Ils émettent généralement leurs recommandations aux prestataires par le biais des agences de santé publique. Dans le cas de cette épidémie, ils ont été mis dans une position où ils ont dû émettre des recommandations aux consommateurs. Ce n’est pas quelque chose qu’ils font habituellement. Je pense que nous avons commis une erreur ces deux dernières années en nous tournant vers le CDC pour savoir comment vivre notre vie. Nous aurions vraiment dû nous tourner vers les autorités locales pour ce genre de conseils. Je crois qu’en fin de compte, il faut réformer le CDC. Nous avons besoin d’une sorte d’agence fédérale de santé publique capable de faire ça. Mais le CDC n’était pas cette agence et il est très difficile pour une agence de s’auto-organiser, de se réformer dans le cadre d’une crise. Le CDC a été incapable de le faire.

Host: The CDC guidelines have been confusing, they’ve been befuddling, they have seemed to define « science as we know it » in some ways but I guess this is the reality and this is probably why they changed those guidelines to reflect exactly what we were seeing right now. I mean, I don’t understand why they didn’t say that at the time but knowing that you’re going to have, what do you say, one percent of the population being infected, having 10% infected at any point in time as we’ve been moving through the last several weeks, is that what the CDC saw and knew? Is that why we’ve gotten this kind of crazy guidance?

Gottlieb: I think the CDC guidelines reflect the reality that a lot of the spread right now is being done by people who are mildly or asymptomatic and aren’t turning over their infections and sort of impose all the regulations and restrictions on the small percentage of people are actually getting diagnosed and self isolating isn’t going to control this epidemic. Just like we’re not doing contact tracing right now. A lot of schools aren’t making recommendations to quarantine students when there’s a case in the class because there’s just so much infection that you’re not going to be driving this epidemic by the infections that you’re turning over. I think with respect to the CDC guidance more generally, the reality is that the CDC is not an agency accustomed to talking to the public. They usually issue their recommendations through public health agencies to providers. In this epidemic they were thrust into a position of having to issue by and large recommendations to consumers. It’s not something they do. I think we made a mistake all along for the last two years looking to the CDC for guidance on how we were going to live our lives. We really should have been looking to more local authorities for that kind of guidance. I mean, ultimately you need to reform the CDC. We need some kind of federal public health agency capable of doing this. But CDC was not that agency and it’s very hard for an agency to self-organize, to reform itself in the setting of a crisis. CDC has been unable to do that.

Le CDC est avant tout une bureaucratie, ce qui permet de diluer les responsabilités jusqu’au point où elles ne signifient plus rien. Mais ne vous y trompez pas, ces gens sont responsables.

Et coupables.

Que ce soit aux Etats-Unis, en France ou ailleurs ce sont toujours les mêmes procédés. Partout, tout le temps. Et ils s’en tirent toujours à bon compte. Mais les organismes de régulation, les gouvernements, les politiciens, les administrations, les médecins complices et les médias sont coupables.

Tous!

Source.


Traduction

Il n’aura fallu que 30 minutes à LinkedIn pour supprimer mon message. Mais vous méritez de le voir quand même.

Il n’y a pas de rideau assez grand pour occulter l’aube qui se lève sur ce crime.

Joyce Kamen

13 février

Mon message sur LinkedIn – imprimé dans son intégralité ci-dessous – a été retiré de la plateforme en 30 minutes à peine. Il faut leur reconnaître le mérite d’avoir été très rapides à la détente. Une simple pression et PAN! Disparu.

Ce qu’ils (et d’autres géants des médias sociaux) ne veulent pas que vous voyiez ou sachiez est dans ce post. Mais ce que les chercheurs de la Frontline COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) et de nombreux autres experts médicaux de renom dans le monde crient depuis deux ans ne parvient que maintenant aux oreilles des agences de santé publique américaines. Deux ans trop tard. Ils veulent à présent vous faire croire qu’ils sont de votre côté depuis le début. Mais est-ce vrai?

A vous de décider.

Posté le 12 février sur LinkedIn à 18h30. Retiré à 19h00.

OH MON DIEU.

Avec deux ans de retard pour les centaines de milliers de personnes qui ont péri – le plus souvent inutilement – le CDC dit enfin aux citoyens de suivre un TRAITEMENT PRÉCOCE contre le COVID. Sans s’excuser ni exprimer le moindre remords, ils ont publié hier le graphique et le lien ci-dessous et ont conseillé de « consulter votre prestataire de soins pour obtenir un traitement précoce ».

Les médecins/experts en COVID du FLCCC crient sur tous les toits depuis DEUX ANS qu’un traitement combiné précoce est essentiel pour arrêter la progression de la maladie. Ils ont présenté les alternatives. Mais le CDC ne recommande un traitement précoce que maintenant, parce que Merck et Pfizer ont mis sur le marché deux nouveaux antiviraux – tous deux difficiles à obtenir, inabordables pour beaucoup, pour lesquels les données d’études sont insuffisantes et qui peuvent présenter des problèmes de sécurité importants. [NdT. j’ai publié ça et ça sur ces deux médicaments]

Le problème est le suivant: si le traitement précoce du COVID est essentiel MAINTENANT comme le dit le CDC, pourquoi n’était-il pas essentiel ces deux dernières années, alors que certains des experts américains en soins intensifs les plus renommés et les plus publiés demandaient à être entendus sur l’importance du traitement précoce? Ces experts désignaient les composants extrêmement sûrs qui pouvaient assurer la sécurité des personnes, et ils étaient à ce titre censurés et menacés de perdre leur gagne-pain par les responsables de la santé publique et les grands médias. [NdT. voir les innombrables articles sur ce blog (sommaire ici), notamment l’interview de Peter McCullough]

MAINTENANT, CDC? Vous recommandez maintenant un traitement précoce? Alors que près d’un million d’Américains sont morts ces deux dernières années de souches plus virulentes que celle d’Omicron – qui est maintenant en déclin?? Maintenant seulement, alors que Big Pharma a jeté ses chiens dans la bataille?

MAINTENANT, vous lancez un appel aux gens pour qu’ils demandent un traitement précoce, comme pour laisser entendre que vous vous souciez, ou éprouvez de la compassion pour ceux qui en auraient vraiment eu besoin il y a deux ans?

Pour ma part, je n’ai pas besoin d’attendre que l’histoire de la gestion de cette pandémie par les responsables américains soit écrite pour connaître le premier paragraphe de ce récit tragique. Il se lira comme suit :

« Le COVID-19 a toujours été une maladie traitable – si elle est traitée à temps. Dès le début, les meilleurs experts en soins américains ont supplié les autorités de santé publique de les écouter et d’agir. Mais jusqu’à ce que cela devienne rentable, les responsables américains ont décidé de laisser plutôt les gens mourir. Et c’est ainsi qu’ils sont morts… par dizaines de milliers. »


Le CDC a publié cette information sur son site Web en janvier.

Ils ont publié le graphique ci-dessous le 11 février 2022.

Graphique du CDC publié sur Twitter le 11 février 2022 – deux ans après que de nombreux experts médicaux, y compris des médecins du FLCCC, leur aient dit qu’un traitement précoce était essentiel pour réduire les hospitalisations et les décès.

C’était beaucoup trop tard pour beaucoup trop de gens.


Texte original

It Only Took LinkedIn 30 Minutes to Remove My Post. But You Deserve to See it Anyway.

There isn’t a blackout shade big enough to block out the daylight that’s dawning on this crime.

Joyce Kamen

Feb 13

My LinkedIn post —printed in its entirety below —was yanked off of the platform in a scant 30 minutes. Gotta give them credit for being so quick on the trigger. One good squeeze and KABOOM! Off it went.

What they (and other social media giants) don’t want you to see or know is in this post. But what the scholars of the Frontline COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) and many other highly regarded medical experts around the world have been screaming for two years is just now making it to the ears of America’s public health agencies. Two years too late. They just want you to think that they’ve been on your side all along. But have they?

You decide.

Posted on February 12 on LinkedIn at 6:30 PM. Taken down at 7:00 PM.

OMG.

Two years too late for the hundreds of thousands who have perished —mostly unnecessarily—the CDC is finally telling citizens to TREAT EARLY for COVID. With no apologies or expressions of remorse, they posted the graphic and link below just yesterday and advised “see your healthcare provider about getting early treatment.”

The physician/ COVID experts of the FLCCC have been shouting to the rooftops for TWO YEARS that early combination treatment is essential to stop the progression of disease. They laid out the options. But the CDC is only recommending early treatment now because Merck and Pfizer have introduced two new anti-viral$ to the market —both of which are not easily obtainable, are unaffordable for many, have insufficient study data and may have significant safety issues.

The point is this: If getting early treatment for COVID is essential NOW as the CDC says, why wasn’t it essential for the past two years when some of America’s most renowned and highly published critical care experts were begging to be heard on the importance of early treatment? The experts were naming the highly safe components that could keep people safe, and being censored and threatened with the loss of their livelihoods by public health officials and major media for doing it.

NOW CDC? Now you’re recommending early treatment? When nearly a million Americans died from more virulent strains in the last two years than Omicron —which is now waning?? Only now when Big Pharma has put its designer dogs in the fight?

NOW you emerge with a plea for people to get early treatment as if to imply that you care or have compassion for those who really could have used it two years ago?

I, for one, do not have to wait until the history of how American officials managed this pandemic is written to know the first paragraph in the tragic tale. It will read as follows:

“COVID-19 was always a treatable disease —if treated early. From the very beginning, America’s top care experts begged public health authorities to listen to them and act. But until it became profitable, American officials determined that people had to die instead. And so they did die…by the tens of thousands.”


The CDC posted this information on their website in January.

They posted the graphic below on February 11, 2022.

CDC graphic posted on Twitter, February 11, 2022—two years after numerous medical experts, including FLCCC physicians, told them that early treatment was essential to lower hospitalizations and deaths

PAXLOVID et Molnupiravir: A éviter – par Steve Kirsch.

Comme le disent les anglophones, « Just when you thought it couldn’t get any worse« : juste au moment où on se disait que ça ne pouvait pas être pire.

Je profite de mes vacances pour vous traduire quelques articles-clé très récents. Ça sera, pour vous comme pour moi, une avalanche de nouvelles infos. De quoi occuper vos vacances (ou votre congé de maladie/quarantaine) et risquer de semer encore un peu plus de confusion cognitive et émotionnelle (très important). Sauf que ces infos sont en réalité parfaitement cohérentes avec tout ce qui précède et tout ce qui se profile, si on fait le boulot de tenter d’y voir clair – en filtrant les nombreuses intox, ce que je sais faire – et de dégager un schéma.

Virus, vaccins, médicaments, ondes millimétriques, catastrophes non-naturelles, destruction écologique, inflation, destruction monétaire, pénuries, famine sont les éléments d’un arsenal de guerre dont les effets sont impossibles à concevoir mais dont les premières contre-mesures sont l’information et la réflexion.

Gardons donc la tête froide et notre cortex bien oxygéné (Note pour moi-même: Ne pas oublier de promener les chiens). Je vous donne l’avalanche d’infos et le Saint-Bernard en prime.

Chaussons nos raquettes, allons-y!

Source.


Traduction

PAXLOVID et Molnupiravir: A éviter

Mon avis sur ces médicaments est assez simple: à éviter.

Steve Kirsch

23 décembre

Que peut-on dire de la qualification de la FDA pour l’approbation d’autorisations d’utilisation d’urgence aux médicaments COVID? Eh bien, jusqu’à présent, pour être honnête, elle est plutôt merdique.

Les trois premiers médicaments Covid approuvés sous autorisation d’utilisation d’urgence étaient le Remdesivir, le Baricitinib et le Tofacitinib. Tous ont été approuvés pour un usage en d’utilisation d’urgence, ont montré une efficacité lamentable et sont accompagnés d’avertissements encadrés en noir et d’effets secondaires tels que défaillance d’organes, caillots sanguins, infections graves et malignité.

PAXLOVID

Le PAXLOVID a été récemment approuvé par la FDA sans qu’ait eu lieu la moindre réunion ou divulgation externe. Il n’y a eu aucune possibilité de participation du public. Tout s’est déroulé essentiellement à huis clos.

Le Dr Ryan Cole explique le mécanisme d’action du médicament après l’infection: le virus du Covid pénètre dans la cellule et la réquisitionne en la forçant à fabriquer des protéines. La présence d’enzymes protéases est nécessaire pour que le virus puisse achever le cycle qui lui permet de s’emparer de la cellule. Le PAXLOVID ou tout autre médicament de la catégorie des « inhibiteurs de protéase » inhibe ou diminue l’action de l’enzyme protéase, ce qui interfère avec l’action du virus. L’ivermectine est l’inhibiteur de protéase le plus efficace et le plus éprouvé sur le marché. Tout comme le Paxlovid, l’ivermectine diminue l’action de l’enzyme protéase mais… les avantages de l’ivermectine dans le traitement du Covid sont évidents et ne sont pas présents dans le Paxlovid. Les actions supplémentaires de l’ivermectine comprennent un effet anticoagulant et un effet anti-inflammatoire, deux facteurs observés dans les infections Covid. L’hydroxychloroquine est également un inhibiteur de protéase et fonctionne également contre le COVID.

Alors pourquoi le PAXLOVID? Parce qu’il provient d’une grande entreprise pharmaceutique, qu’il est moins éprouvé que d’autres médicaments en termes de sécurité et qu’il a été approuvé sans l’avis des comités externes ni du public. Si tout cela n’inspire pas confiance, alors je ne sais pas ce qui pourrait inspirer confiance.

Vous devriez demander à votre médecin de vous expliquer pourquoi les inhibiteurs de protéase disponibles dans le commerce ne fonctionnent pas, alors que celui-ci fonctionne. Tenez-moi au courant de sa réponse.

Le PAXLOVID a besoin d’être associé à un médicament contre le VIH/SIDA, le Ritonavir, qui empêche la dégradation du PAXLOVID afin de lui permettre d’inhiber ou de diminuer l’action de l’enzyme qui interrompt le cycle de vie viral. Le Dr Cole signale que le Ritonavir présente également ses propres avertissements encadrés en noir et que dans la liste de ses effets secondaires figurent des problèmes hépatiques, pancréatiques et cardiaques potentiellement mortels.

Selon le communiqué de presse de Pfizer, le PAXLOVID réduit les hospitalisations et les décès de 89%. Ainsi, dans le groupe de traitement, 5 personnes sur 697 ont été hospitalisées sans décès, contre 44 sur 682 hospitalisées avec 9 décès ultérieurs.

En quoi cela est-il comparable au protocole de Fareed et Tyson? Eh bien, le protocole de Fareed et Tyson comptait 10 fois plus de patients traités par leur combinaison de médicaments et pourtant, ils ont eu moins d’hospitalisations (4) et le même nombre de décès (0).

Il est donc nettement préférable de suivre le protocole de Fareed et Tyson.

Molnupiravir

Tout d’abord, lorsque ce médicament fonctionne, son efficacité est faible, seulement 50%. Les essais randomisés comportaient deux groupes et, dans le deuxième groupe, l’état des personnes qui avaient reçu le médicament s’est aggravé. Et puis, il y a le problème de l’apparition de cancers et de maladies à prions. Pour en savoir plus, consultez la section Molnupiravir de cet article [NdT. j’ai traduit cet article en entier ici] et cet article.

En conclusion

Évitez ces médicaments.

Les traitements précoces basés sur des médicaments réaffectés montrent un historique de sécurité et d’efficacité supérieur à ces deux médicaments chéris de la FDA.

Mais grâce aux NIH, vous n’entendrez jamais parler de protocoles de traitement précoce, à moins que vous ne viviez en Floride.


Texte original

PAXLOVID and Molnupiravir: Avoid

My opinion on these drugs is pretty simple: avoid.

Steve Kirsch

Dec 23

How good is the FDA at EUA approval for COVID drugs? Well, so far, to be honest, pretty shitty.

The first three Covid drugs approved under EUA were Remdesivir, Baricitinib, and Tofacitinib. All were EUA approved for inpatient use (in hospital) only, demonstrate dismal effectiveness and are replete with black box warnings and side effects such as organ failure, blood clots, serious infections and malignancy.

PAXLOVID

PAXLOVID was recently approved by the FDA without any external meetings or disclosure. There was no opportunity for public input. Essentially all done behind closed doors.

Dr. Ryan Cole on the drug’s mechanism of action after infection explains, the Covid virus enters the cell and commandeers the cell forcing it to produce proteins. Protease enzymes must be present for the virus to successfully complete the cycle before taking the cell over. PAXLOVID or any drug classified as a ‘Protease Inhibitor’ will inhibit or decrease the Protease enzyme interfering with the virus. Ivermectin is the most successful and proven protease inhibitor in production. Just as with Paxlovid, ivermectin decreases the protease enzyme but…the benefits of ivermectin in Covid treatment are obvious and not present in paxlovid. Additional actions of ivermectin include anti-coagulant action and anti-inflammatory actions, both observed in Covid infections. Hydroxychloroquine is also a protease inhibitor and also works against COVID.

So why PAXLOVID? Because it’s from big pharma, is less proven than other drugs in terms of safety, and was approved without input from the external committees and the public. If that doesn’t inspire confidence, then I don’t know what does.

You should ask your doctor to explain to you why the off-the-shelf protease inhibitors don’t work, while this one does. Let me know what he says.

PAXLOVID requires combination with an HIV/AIDS drug, Ritonavir, preventing the breakdown of the PAXLOVID so it may inhibit or decrease the enzyme interrupting the viral life cycle. Dr. Cole reports Ritonavir also has its own black box warning and side effects include life-threatening liver, pancreas and heart issues.

According to Pfizer’s press release, PAXLOVID reduces hospitalization/death by 89%. So in the treatment group we had 5 of 697 hospitalized with no deaths compared to 44/682 hospitalized with 9 subsequent deaths.

How does that compare with the Fareed and Tyson protocol? Well, Fareed and Tyson had 10 times as many patients taking the drug combo and yet they had fewer hospitalizations (4) and the same number of deaths (0).

So you’re way better off with the Fareed and Tyson protocol.

Molnupiravir

First, the efficacy when it works is poor, only 50%. There were two groups in the randomized trials and in the second group, the people who got the drug ended up worse. And then there is the problem of causing cancer and prion disease. For more, see the Molnupiravir section of this article and this article.

Bottom line

Avoid these drugs.

Early treatments using repurposed drugs have a track record that is safer and more effective than either of two drugs that the FDA likes.

But thanks to the NIH, you’ll never hear about early treatment protocols unless you live in Florida.

La lettre de Spartacus : tout ce que vous devriez savoir sur la « crise » Covid.

SOMMAIRE

  • Physiopathologie et traitements du COVID-19
  • Transmission du COVID-19
  • Dangers des vaccins COVID-19
  • Conspiration criminelle autour du COVID-19
  • Développement des vaccins COVID-19 et liens avec le transhumanisme
  • Conclusions

Attention : quelques détails assez curieux (par exemple la notion que les « vaccins » éviteraient de faire une forme grave de la maladie alors que c’est exactement le contraire) pourraient indiquer une opération de limited hangout, comme à peu près tout ce qui est publié sur le sujet. Sinon, la majorité des infos semble solide. A vous de faire le tri.

Source.

Lisez, diffusez, résistez.


Traduction

Bonjour,

Je m’appelle Spartacus, et j’en ai assez.

Nous avons été forcés de regarder l’Amérique et le monde libre s’enfoncer dans un déclin inexorable à cause d’une attaque de guerre biologique. Nous, ainsi que d’innombrables autres personnes, avons été victimisés et désorientés par des opérations de propagande et de guerre psychologique menées par une élite non-élue et non-responsable contre le peuple américain et nos alliés.

Notre santé mentale et physique a énormément souffert au cours de la dernière année et demie. Nous avons ressenti la morsure de l’isolement, du verrouillage, du masquage, des quarantaines, et d’autres actes complètement absurdes d’un théâtre sanitaire qui n’ont absolument rien fait pour protéger la santé ou le bien-être du public de la pandémie actuelle de COVID-19.

Maintenant, nous regardons l’establishment médical injecter un véritable poison à des millions de nos concitoyens Américains sans la moindre résistance.

On nous a dit que nous serions licenciés et privés de nos moyens de subsistance si nous refusions de nous faire vacciner. Ça a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.

Nous avons passé des milliers d’heures à analyser les images qui fuitaient de Wuhan, les documents scientifiques de sources primaires ainsi que les traces écrites laissées par l’establishment médical.

Ce que nous avons découvert choquerait n’importe qui.

Nous allons d’abord résumer nos découvertes, puis nous les expliquerons en détail. Les références seront placées à la fin.

Résumé :

  • Le COVID-19 est une maladie du sang et des vaisseaux sanguins. Le SRAS-CoV-2 infecte la paroi des vaisseaux sanguins humains, ce qui provoque un épanchement pulmonaire.
  • Les protocoles de traitement actuels (par exemple, la ventilation invasive) sont activement nuisibles aux patients, ils accélèrent le stress oxydatif et provoquent de graves lésions pulmonaires induites par le respirateur (ventilator-induced lung injuries – VILI). L’utilisation continue de respirateurs en l’absence de tout bénéfice médical prouvé constitue un meurtre de masse.
  • Les contre-mesures existantes sont inadéquates pour ralentir la propagation de ce qui est un virus aérosolisé et potentiellement transmis par les eaux usées et constituent une forme de théâtre médical.
  • Diverses interventions non-vaccinales ont été supprimées à la fois par les médias et par l’establishment médical en faveur des vaccins et des médicaments brevetés coûteux.
  • Les autorités ont nié l’utilité de l’immunité naturelle contre le COVID-19, malgré le fait que l’immunité naturelle confère une protection contre toutes les protéines du virus, et pas seulement contre une.
  • Les vaccins feront plus de mal que de bien. L’antigène sur lequel ces vaccins sont basés, SRAS-CoV- 2, est une protéine toxique. Le SRAS-CoV-2 peut présenter un ADE, ou facilitation de l’infection par anticorps (antibody-dependent enhancement) ; les anticorps actuels pourraient ne pas neutraliser les futures souches, mais au contraire les aider à infecter les cellules immunitaires. De plus, le fait de vacciner pendant une pandémie avec un vaccin qui fuit [NdT. qui permet une fuite immunitaire] supprime la pression évolutive qui pousse un virus à devenir moins mortel.
  • Il existe une vaste et effroyable conspiration criminelle qui lie directement Anthony Fauci et Moderna à l’Institut de Virologie de Wuhan.
  • Les chercheurs du vaccin COVID-19 sont directement liés à des scientifiques impliqués dans la technologie de l’interface cerveau-ordinateur (« lacet neuronal »). L’un d’entre eux a été inculpé pour avoir reçu des subventions de la Chine.
  • Des chercheurs indépendants ont découvert de mystérieuses nanoparticules à l’intérieur des vaccins qui ne sont pas censées s’y trouver.
  • L’ensemble de la pandémie est utilisé comme une excuse pour une vaste transformation politique et économique de la société occidentale qui enrichira les déjà riches et transformera le reste d’entre nous en serfs et en intouchables.

Physiopathologie et traitements du COVID-19 :

Le COVID-19 n’est pas une pneumonie virale. Il s’agit d’une endothélite vasculaire virale qui s’attaque à la paroi des vaisseaux sanguins, en particulier aux petits capillaires alvéolaires pulmonaires, entraînant l’activation et la destruction des cellules endothéliales, une coagulopathie, une septicémie, un œdème pulmonaire et des symptômes de type SDRA. Il s’agit d’une maladie du sang et des vaisseaux sanguins. Du système circulatoire. Toute pneumonie qu’elle provoque en est une conséquence secondaire.

Dans les cas graves, cela entraîne une septicémie, des caillots sanguins et une défaillance de plusieurs organes, y compris des lésions hypoxiques et inflammatoires de divers organes vitaux, comme le cerveau, le cœur, le foie, le pancréas, les reins et les intestins.

Parmi les résultats de laboratoire les plus courants dans le COVID-19, on trouve une élévation du taux de D-dimères, un temps de prothrombine élevé, une protéine C-réactive élevée et un taux d’hémoglobine élevé, une neutrophilie, une lymphopénie, une hypocalcémie et une hyperferritinémie, correspondant essentiellement à un profil de coagulopathie et d’hyperactivation du système immunitaire/épuisement des cellules immunitaires.

Le COVID-19 peut se présenter sous presque n’importe quelle forme, en raison du tropisme important du SRAS-CoV-2 pour divers tissus dans les organes vitaux de l’organisme. Bien que sa présentation initiale la plus courante soit une maladie respiratoire et des symptômes de type grippal, il peut se présenter sous la forme d’une inflammation cérébrale, d’une maladie gastro-intestinale, voire d’une crise cardiaque ou d’une embolie pulmonaire.

Le COVID-19 est plus grave chez les personnes présentant des comorbidités spécifiques, telles que l’obésité, le diabète et l’hypertension. Cela est dû au fait que ces conditions impliquent un dysfonctionnement endothélial, qui rend le système circulatoire plus sensible à l’infection et aux lésions par ce virus particulier.

La grande majorité des cas de COVID-19 sont bénins et ne provoquent pas de maladie significative. Dans les cas connus, il existe une règle dite des 80/20, selon laquelle 80 % des cas sont bénins et 20 % sont graves ou critiques.

Cependant, ce ratio n’est correct que pour les cas connus, et non pour toutes les infections. Le nombre d’infections réelles est beaucoup, beaucoup plus élevé. Par conséquent, le taux de mortalité et de morbidité est plus faible. Cependant, le COVID-19 se propage très rapidement, ce qui signifie qu’un nombre important de patients gravement malades et en état critique apparaissent dans un court laps de temps.

Chez ceux qui présentent une septicémie critique induite par le COVID-19, une hypoxie, une coagulopathie et un SDRA, les traitements les plus courants sont l’intubation, l’injection de corticoïdes et les anticoagulants. Ce n’est pas le traitement approprié pour le COVID-19. En cas d’hypoxie sévère, les changements métaboliques cellulaires provoquent la décomposition de l’ATP en hypoxanthine, qui, lors de la réintroduction de l’oxygène, fait que la xanthine oxydase produit des tonnes de radicaux très nocifs qui attaquent les tissus. C’est ce qu’on appelle une lésion d’ischémie-reperfusion, et c’est pourquoi la majorité des gens qui sont mis sous respirateur meurent. Dans la mitochondrie, l’accumulation de succinate due à la septicémie fait exactement la même chose ; quand l’oxygène est réintroduit, il produit des radicaux superoxyde. N’en doutez pas, l’intubation tue les gens qui ont le COVID-19.

Le stade final du COVID-19 est une peroxydation lipidique sévère, où les graisses dans le corps commencent à « rouiller » à cause des dommages causés par le stress oxydatif. Cela entraîne une auto-immunité. Les lipides oxydés apparaissent comme des corps étrangers pour le système immunitaire, qui reconnaît et forme des anticorps contre les OSE, ou épitopes spécifiques de l’oxydation (oxidation-specific epitopes). De plus, les lipides oxydés alimentent directement les récepteurs de reconnaissance des formes, déclenchant encore plus d’inflammation et en appelant encore plus de cellules du système immunitaire inné qui libèrent encore plus d’enzymes destructeurs. Ce phénomène est similaire à la pathophysiologie du lupus.

La décomposition de la pathologie est la suivante :

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 se lie à l’ACE2. L’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 est une enzyme qui fait partie du système rénine-angiotensine-aldostérone, ou SRAA. Le SRAA est un système de contrôle hormonal qui modère volume de liquide dans le corps et dans la circulation sanguine (c’est-à-dire l’osmolarité) en contrôlant la rétention et l’excrétion du sel. Cette protéine, l’ACE2, est omniprésente dans toutes les parties du corps qui sont en relation avec le système circulatoire, en particulier dans les cellules endothéliales vasculaires et les péricytes, les astrocytes du cerveau, les tubules rénaux et les podocytes, les cellules des îlots pancréatiques, les cellules épithéliales du canal biliaire et de l’intestin, ainsi que les canaux séminifères des testicules, toutes ces cellules pouvant être infectées par le SRAS-CoV-2, et pas seulement les poumons.

Le SRAS-CoV-2 infecte une cellule de la manière suivante : la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 subit un changement de conformation au cours duquel les trimères du S1 se retournent et s’étendent, se verrouillant sur l’ACE2 lié à la surface d’une cellule. La TMPRSS2, ou protéase transmembranaire sérine 2 (transmembrane protease serine 2), arrive et coupe les têtes de la protéine de pointe, exposant la sous-unité S2 en forme de tige à l’intérieur. Le reste de la protéine de pointe subit un changement de conformation qui fait qu’elle se déplie comme une échelle à coulisse, s’encastrant dans la membrane cellulaire. Puis, elle se replie sur elle-même, rapprochant la membrane virale et la membrane cellulaire. Les deux membranes fusionnent, et les protéines du virus migrent à la surface de la cellule. La nucléocapside du SRAS-CoV-2 entre dans la cellule, dégorgeant son matériel génétique et commençant le processus de réplication virale, détournant les structures de la cellule pour produire plus de virus.

Les protéines de pointe du SRAS-CoV-2 incorporées dans une cellule peuvent en fait provoquer la fusion des cellules humaines, formant ainsi des syncytia/CGM (cellules géantes multinucléaires). Elles ont également d’autres effets pathogènes et nocifs. Le SRAS-CoV- 2, comme la protéine d’enveloppe, agissent comme des canaux ioniques calciques, introduisant du calcium dans les cellules infectées. Le virus supprime la réponse naturelle à l’interféron, ce qui entraîne une inflammation retardée. La protéine N du SRAS-CoV-2 peut également activer directement l’inflammasome NLRP3. Elle supprime également la voie antioxydante Nrf2. La suppression de l’ACE2 par la liaison avec la protéine de pointe entraîne une accumulation de bradykinine qui serait autrement décomposée par l’ACE2.

Cet influx constant de calcium dans les cellules entraîne (ou s’accompagne) d’une hypocalcémie notable, ou faible taux de calcium dans le sang, en particulier chez les personnes présentant des carences en vitamine D et un dysfonctionnement endothélial préexistant. La bradykinine régule à la hausse l’activité de l’AMPc, du GMPc, de la COX et de la phospholipase C. Il en résulte une sécrétion de prostaglandine et une augmentation considérable de la signalisation calcique intracellulaire, ce qui favorise une libération très agressive de ERO (espèces réactives de l’oxygène) et une diminution de l’ATP. La NADPH oxydase libère du superoxyde dans l’espace extracellulaire. Les radicaux superoxydes réagissent avec l’oxyde nitrique pour former du peroxynitrite. Le peroxynitrite réagit avec la tétrahydrobioptérine nécessaire à la synthase d’oxyde nitrique endothéliale, le détruisant et « découplant » les enzymes, ce qui amène la synthase de l’oxyde nitrique (NOS) à synthétiser davantage de superoxyde à la place. Ce processus se déroule dans une boucle de rétroaction positive jusqu’à ce que la biodisponibilité de l’oxyde nitrique dans le système circulatoire soit épuisée.

L’oxyde nitrique gazeux produit en permanence par la eNOS remplit de nombreuses fonctions importantes, mais il est aussi antiviral contre les coronavirus de type SRAS, en empêchant la palmitoylation de la protéine de pointe virale et en rendant plus difficile sa liaison aux récepteurs de l’hôte. La perte de NO permet au virus de commencer à se répliquer en toute impunité dans l’organisme. Les personnes qui présentent un dysfonctionnement endothélial (c’est-à-dire hypertension, diabète, obésité, vieillesse, race afro-américaine) ont des problèmes d’équilibre redox au départ, ce qui donne un avantage au virus.

En raison de la libération extrême de cytokines déclenchée par ces processus, le corps convoque une grande quantité de neutrophiles et de macrophages alvéolaires dérivés de monocytes dans les poumons. Les cellules du système immunitaire inné sont les défenseurs de première ligne contre les agents pathogènes. Elles agissent en engloutissant les envahisseurs et en essayant de les attaquer avec des enzymes qui produisent de puissants oxydants, comme la SOD (superoxyde dismutase) et la MPO (myéloperoxydase). La superoxyde dismutase prend du superoxyde et produit du peroxyde d’hydrogène, et la myéloperoxydase prend du peroxyde d’hydrogène et des ions de chlore et produit de l’hypochlorite, qui est beaucoup, beaucoup plus réactif que l’hypochlorite de sodium de l’eau de Javel.

Les neutrophiles peuvent jouer un sale tour. Ils peuvent aussi éjecter ces enzymes dans l’espace extracellulaire, où ils vont continuellement cracher du peroxyde et de l’hypochlorite dans le sang. C’est ce qu’on appelle la formation de pièges extracellulaires pour les neutrophiles (NET), ou, lorsqu’elle devient pathogène et contre-productive, la NETose. Dans les cas graves et critiques du COVID-19, il y a en fait une NETose assez sévère.

L’acide hypochloreux qui s’accumule dans la circulation sanguine commence à réagir avec le fer de l’hème et à le concurrencer comme site de fixation de l’oxygène. Les globules rouges perdent leur capacité à transporter l’oxygène, et le visage de la personne atteinte devient bleu. Le fer, le peroxyde d’hydrogène et le superoxyde non libérés dans la circulation sanguine subissent les réactions de Haber-Weiss et de Fenton, produisant des radicaux hydroxyles extrêmement réactifs qui arrachent violemment les électrons des graisses et de l’ADN environnants, les oxydant sévèrement.

Cet état n’est pas inconnu de la science médicale. Son nom exact est septicémie aiguë.

Nous savons que c’est ce qui se passe dans le COVID-19 parce que les gens qui sont morts de cette maladie ont des signatures de ferroptose dans leurs tissus, ainsi que d’autres marqueurs de stress oxydatif tels que la nitrotyrosine, le 4-HNE, et le malondialdéhyde.

Lorsque vous intubez une personne atteinte de cette maladie, vous déclenchez une bombe à radicaux libres en alimentant les cellules en O2. C’est un cercle vicieux, car nous avons besoin d’oxygène pour fabriquer de l’adénosine triphosphate (c’est-à-dire pour vivre), mais l’O2 est aussi le précurseur de tous ces radicaux nuisibles qui conduisent à la peroxydation des lipides.

Le traitement correct de la septicémie grave liée au COVID-19 est la ventilation non invasive, les stéroïdes et les perfusions d’antioxydants. La plupart des médicaments réadaptés pour le COVID-19 qui présentent un quelconque avantage pour le sauvetage des patients gravement malades sont des antioxydants. La N-acétylcystéine, la mélatonine, la fluvoxamine, le budésonide, la famotidine, la cimétidine et la ranitidine sont tous des antioxydants. L’indométhacine empêche l’oxydation par le fer de l’acide arachidonique en isoprostanes. Il existe de puissants antioxydants, comme l’apocynine, qui n’ont même pas encore été testés sur les patients COVID-19 et qui pourraient défaire les neutrophiles, prévenir la peroxydation lipidique, rétablir la santé endothéliale et restaurer l’oxygénation des tissus.

Les scientifiques qui connaissent un tant soit peu la neutrophilie pulmonaire, le SDRA et la biologie redox ont compris ou supposé beaucoup de tout cela depuis mars 2020. En avril 2020, des scientifiques suisses ont confirmé que le COVID-19 était une endothélite vasculaire. A la fin de 2020, les experts avaient déjà conclu que le COVID-19 provoque une forme de septicémie virale. Ils savent également que la septicémie peut être traitée efficacement avec des antioxydants. Aucune de ces informations n’est particulièrement nouvelle, et pourtant, dans la plupart des cas, elle n’a pas été prise en compte. Les médecins continuent à utiliser techniques d’intubation préjudiciables avec des réglages PEEP élevés malgré une compliance pulmonaire élevée et une mauvaise oxygénation, tuant un nombre incalculable de patients gravement malades par faute médicale.

En raison de la manière dont ils sont construits, les essais contrôlés randomisés ne montreront jamais aucun avantage pour aucun antiviral contre le COVID-19. Ni le Remdesivir, ni le Kaletra, ni la HCQ, ni l’Ivermectine. La raison en est simple : pour les patients qu’ils ont recrutés pour ces études, comme la ridicule étude RECOVERY d’Oxford, l’intervention est trop tardive pour avoir un quelconque effet positif.

L’évolution clinique du COVID-19 est telle qu’au moment où la plupart des personnes consultent un médecin pour hypoxie, leur charge virale a déjà diminué au point de devenir presque nulle. Si quelqu’un a été exposé depuis environ 10 jours et qu’elle est déjà symptomatique depuis cinq jours, il ne reste pratiquement plus de virus dans son organisme, mais seulement des lésions et des dérèglements cellulaires qui ont déclenché une réponse hyperinflammatoire. C’est dans ce groupe que les essais cliniques pour les antiviraux ont recruté, presque exclusivement.

Dans ces essais, on donne des antiviraux à des patients gravement malades qui n’ont pas de virus dans leur corps, mais seulement une réponse hyperinflammatoire retardée, puis on affirme de manière absurde que les antiviraux n’ont aucune utilité dans le traitement ou la prévention du COVID-19. Ces essais cliniques ne recrutent pas de personnes pré-symptomatiques. Ils ne ne testent pas la prophylaxie pré-exposition ou post-exposition.

C’est comme si on utilisait un défibrillateur pour choquer uniquement les personnes en arrêt cardiaque, et qu’on prétendait ensuite de manière absurde que les défibrillateurs n’ont aucune utilité médicale lorsque les patients refusent de se relever d’entre les morts. L’intervention est trop tardive. Ces essais d’antiviraux montrent un biais de sélection systématique et flagrant. Ils fournissent un traitement qui est futile pour la cohorte spécifique qu’ils enrôlent.

L’Inde est allée à l’encontre des instructions de l’OMS et a rendu obligatoire l’utilisation prophylactique de l’Ivermectine. Ils ont presque complètement éradiqué le COVID-19. L’Association du Barreau Indien de Mumbai a porté des accusations criminelles contre le scientifique en chef de l’OMS, le Dr Soumya Swaminathan, pour avoir recommandé de ne pas utiliser l’Ivermectine.

L’ivermectine n’est pas un « vermifuge pour chevaux ». Oui, elle est vendue sous forme de pâte vétérinaire comme vermifuge pour les animaux. Elle est également disponible sous forme de pilule pour les humains depuis des décennies, en tant que médicament antiparasitaire.

Les médias ont prétendu de façon fallacieuse que parce que l’Ivermectine est un médicament antiparasitaire, elle n’a aucune utilité en tant qu’antivirus. Cette affirmation est inexacte. L’Ivermectine a une utilité en tant qu’antiviral. Elle bloque l’importine, empêchant l’importation nucléaire, inhibant efficacement l’accès viral aux noyaux cellulaires. De nombreux médicaments actuellement sur le marché ont plusieurs modes d’action. L’ivermectine est l’un de ces médicaments. Elle est à la fois antiparasitaire et antivirale.

Au Bangladesh, l’ivermectine coûte 1,80 $ pour un traitement complet de 5 jours. Le Remdesivir, qui est toxique pour le foie, coûte 3.120 $ pour un traitement de 5 jours. Des milliards de dollars de Remdesivir totalement inutile ont été vendus à nos gouvernements aux frais du contribuable, et il s’est avéré totalement inutile pour traiter l’hyperinflammation du COVID-19. Les médias ont à peine couvert cette affaire.

L’opposition à l’utilisation de l’Ivermectine générique n’est pas fondée sur la science. Elle est purement motivée par des raisons financières et politiquement motivée. Une intervention non-vaccinale efficace mettrait en danger l’approbation précipitée de la FDA de vaccins et de médicaments brevetés pour lesquels l’industrie pharmaceutique s’apprête à rafler des milliards et des milliards de dollars de ventes sur une base continue.

La majorité du public est scientifiquement analphabète et ne peut pas comprendre ce que tout cela signifie, à cause d’un système éducatif pathétique qui les a mal éduqués. Vous seriez chanceux de trouver 1 personne sur 100 qui ait la moindre idée de ce que tout cela signifie.

Transmission du COVID-19 :

Le COVID-19 est transmis par voie aérienne. L’OMS a soutenu la Chine en affirmant que le virus n’était transmis que par gouttelettes. Notre propre CDC a affirmé de manière absurde qu’il était principalement transmis par contact de personne à personne, ce qui, étant donné sa propagation rapide de Wuhan au reste du monde, aurait été physiquement impossible.

La croyance ridicule que le contact fomite-à-visage est un mode de transmission primaire a conduit à l’utilisation de protocoles de désinfection des surfaces qui ont entraîné une perte de temps, d’énergie, de productivité et de désinfectant.

Les directives de distanciation sociale de six pieds [NdT. environ 1,80m] sont absolument inutiles. La distance minimale de sécurité pour se protéger d’un virus aérosolisé est de plus de 6 mètres d’une personne infectée, pas moins. En réalité, aucun transport public n’est sûr.

Les masques chirurgicaux ne protègent pas des aérosols. Le virus est trop petit et le média filtrant a des mailles trop larges pour le filtrer. Ils peuvent capter les gouttelettes respiratoires et empêcher le virus d’être expulsé par une personne malade, mais ils ne filtrent pas un nuage d’aérosols infectieux si quelqu’un entre dans ce nuage.

Le niveau minimum de protection contre ce virus est littéralement un respirateur P100, un PAPR/CAPR, ou un respirateur 40 mm de l’OTAN, idéalement associé à une combinaison intégrale en Tyvek ou Tychem, des gants et des chaussons, dont tous les trous et interstices ont été scotchés.

Le SRAS-CoV-2 vivant peut être détecté dans les écoulements d’eaux usées et il peut y avoir une transmission oro-fécale. Au cours de l’épidémie de SRAS en 2003, lors de l’incident d’Amoy Gardens, des centaines de personnes ont été infectées par des matières fécales en aérosol provenant des siphons de sol de leurs appartements.

Dangers des vaccins COVID-19 :

Les vaccins contre le COVID-19 ne sont pas stérilisants et ne préviennent pas l’infection ou la transmission. Ce sont des vaccins « fuyants ». Cela signifie qu’ils suppriment la pression évolutive exercée sur le virus pour qu’il devienne moins mortel. Cela signifie également que les vaccinés sont des porteurs parfaits. En d’autres termes, ceux qui sont vaccinés sont une menace pour les non-vaccinés, et non l’inverse.

Tous les vaccins COVID-19 actuellement utilisés ont subi un minimum de tests, avec des essais cliniques. Bien qu’ils semblent limiter les maladies graves, le profil de sécurité à long terme de ces vaccins reste inconnu.

Certains de ces soi-disant « vaccins » font appel à une nouvelle technologie non testée qui n’a jamais été utilisée dans des vaccins auparavant. Les vaccins traditionnels utilisent des virus affaiblis ou tués pour stimuler une réponse immunitaire. Ce n’est pas le cas des vaccins Moderna et Pfizer-BioNTech. Ils sont censés consister en une injection intramusculaire contenant une suspension de nanoparticules lipidiques remplies d’ARN messager. Ces nanoparticules génèrent une réponse immunitaire en fusionnant avec les cellules de l’épaule du sujet vacciné, en subissant une endocytose, en libérant leur ARNm dans ces cellules, puis en utilisant les ribosomes de ces cellules pour synthétiser in situ des protéines de pointe modifiées du SRAS-CoV-2.

Ces protéines de pointe modifiées migrent ensuite vers la surface de la cellule, où elles sont ancrées en place par un domaine transmembranaire. Le système immunitaire adaptatif détecte la protéine virale non humaine exprimée par ces cellules, puis forme des anticorps contre cette protéine. Cela est censé conférer une protection contre le virus, en entraînant le système immunitaire adaptatif à reconnaître et à produire des anticorps contre la protéine de pointe du virus réel. Les vaccins de J&J et d’AstraZeneca ont une action similaire, mais utilisent un vecteur adénoviral pour la transmission du matériel génétique au lieu d’une nanoparticule lipidique. Ces vaccins ont été produits ou validés à l’aide de lignées cellulaires fœtales HEK-293 et PER.C6, ce à quoi les personnes ayant certaines convictions religieuses peuvent fortement s’opposer.

La protéine de pointe du SRARS-CoV-2 est une protéine hautement pathogène en elle-même. Il est impossible de surestimer le danger que représente l’introduction de cette protéine dans le corps humain.

Les fabricants de vaccins prétendent que le vaccin reste dans les cellules de l’épaule et que la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 produite et exprimée par ces cellules à partir du matériel génétique du vaccin est inoffensif et inerte, grâce à l’insertion de prolines dans la séquence de la protéine de pointe pour la stabiliser dans la conformation de préfusion, empêchant la protéine de pointe de devenir active et de fusionner avec d’autres cellules. Cependant, une étude pharmacocinétique réalisée au Japon a montré que les nanoparticules lipidiques et l’ARNm du vaccin Pfizer ne sont pas restées dans l’épaule et se sont en fait bioaccumulées dans de nombreux organes différents, y compris les organes reproducteurs et les glandes surrénales, ce qui signifie que la protéine de pointe modifiée est exprimée littéralement partout. Ces nanoparticules lipidiques peuvent déclencher une anaphylaxie chez quelques malchanceux, mais ce qui est bien plus inquiétant, c’est l’expression non régulée de la protéine de pointe dans diverses lignées de cellules somatiques éloignées du site d’injection et les conséquences inconnues qui en découlent.

L’ARN messager est normalement consommé juste après sa production dans l’organisme, étant traduit en protéine par un ribosome. L’ARNm du vaccin COVID-19 est produit en dehors du corps, bien avant qu’un ribosome ne le traduise. Entre-temps, il peut accumuler des dommages s’il est mal conservé. Lorsqu’un ribosome tente de traduire un brin d’ARNm endommagé, il peut se bloquer. Lorsque cela se produit, le ribosome devient inutile pour la traduction des protéines car il a maintenant un morceau d’ARNm coincé en lui, comme une carte de dentelle [NdT. Une carte de dentelle est une carte avec tous les trous perforés, principalement utilisées comme blagues pour perturber les lecteurs de cartes] dans un vieux lecteur de cartes perforées. Le tout doit être nettoyé et de nouveaux ribosomes doivent être synthétisés pour le remplacer. Dans les cellules dont la rotation des ribosomes est faible, comme les cellules nerveuses, cela peut entraîner une réduction de la synthèse des protéines, des effets cytopathiques et des neuropathies.

Certaines protéines, y compris la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, ont des sites de clivage protéolytique qui ressemblent à de petites lignes en pointillé indiquant « coupez ici », qui attirent les protéases d’un organisme vivant (essentiellement des ciseaux moléculaires) pour les couper. Il est possible que la S1 soit clivée protéolytiquement de la S2, ce qui fait que la S1 active s’échappe dans la circulation sanguine tout en laissant la « tige » de la S2 intégrée dans la membrane de la cellule qui a exprimé la protéine.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 possède une région superantigénique (SAg), qui peut favoriser une inflammation extrême.

Une étude a montré que les anticorps anti-protéine de pointe fonctionnent comme des auto-anticorps et attaquent les cellules de l’organisme. Les personnes qui ont été vaccinées avec les vaccins COVID-19 ont développé des caillots sanguins, une myocardite, le syndrome de Guillain-Barré, la paralysie de Bell et des poussées de sclérose en plaques, ce qui indique que le vaccin favorise les réactions auto-immunes contre les tissus sains.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 ne se lie pas seulement à l’ACE2. On soupçonne qu’elle possède des régions qui se lient à la basigine, aux intégrines, à la neuropiline-1 et aux lipopolysaccharides bactériens. La protéine de pointe du SRAS-CoV-2, par elle-même, peut potentiellement se lier à n’importe lequel de ces éléments et agir comme un ligand pour eux, déclenchant une activité cellulaire non spécifiée et probablement très inflammatoire.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 contient un insert d’ERAR inhabituel qui forme un site de clivage de la furine. La furine est une protéase humaine omniprésente, ce qui en fait une propriété idéale pour la protéine de pointe, lui conférant un degré élevé de tropisme cellulaire. Aucun coronavirus sauvage de type SRAS apparenté au SRAS-CoV-2 ne possède cette caractéristique, ce qui le rend très suspect, et pourrait être un signe de manipulation humaine.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 possède un domaine de type prion qui accroît son pouvoir infectieux.

Le RBD S1 de la protéine de pointe peut se lier aux protéines de liaison à l’héparine et favoriser l’agrégation amyloïde. Chez l’homme, cela pourrait conduire à la maladie de Parkinson, à la démence à corps de Lewy, à la maladie d’Alzheimer prématurée, ou à diverses autres maladies neurodégénératives. Ceci est très préoccupant car la protéine de pointe S1 du SRAS-CoV-2 est capable de causer des dommages et de traverser la barrière hémato-encéphalique et de pénétrer dans le cerveau. Elle est également capable d’augmenter la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique à d’autres molécules.

Le SRAS-CoV-2, comme d’autres bêtacoronavirus, peut présenter un ADE de type Dengue, ou une facilitation de l’infection par anticorps. Pour ceux qui l’ignorent, certains virus, dont les bêta-coronavirus, présentent une caractéristique appelée ADE. Il existe aussi ce qu’on appelle le péché antigénique originel (Original Antigenic Sin), dans lequel on observe que l’organisme préfère produire des anticorps basés sur des souches virales déjà rencontrées plutôt que sur des souches nouvellement rencontrées.

Dans le cas de l’ADE, les anticorps d’une infection antérieure deviennent non-neutralisants en raison de mutations dans les protéines du virus. Ces anticorps non-neutralisants agissent alors comme des chevaux de Troie, permettant au virus vivant et actif d’être d’être attiré dans les macrophages par l’intermédiaire de leurs récepteurs Fc, ce qui permet au virus d’infecter des cellules immunitaires qu’il n’aurait pas été capable d’infecter auparavant. C’est ce qui s’est produit avec la dengue ; lorsqu’une personne est atteinte de la dengue, qu’elle se rétablit et qu’elle contracte une autre souche, elle peut devenir très, très malade.

Si quelqu’un est vacciné avec un ARNm basé sur la protéine de pointe de la souche initiale de Wuhan du SRAS-CoV-2, et qu’elle est ensuite infectée par une nouvelle souche mutée du virus, elle peut tomber gravement malade. En d’autres termes, il est possible que les vaccins sensibilisent une personne à la maladie.

Il existe un précédent dans l’histoire récente. Le vaccin Dengvaxia de Sanofi contre la dengue a échoué parce qu’il a provoqué une sensibilisation immunitaire chez des personnes dont le système immunitaire n’avait jamais été exposé à la dengue.

Chez les souris immunisées contre le SRAS-CoV et exposées au virus, un proche parent du SRAS-CoV-2, elles ont ont développé une immunosensibilisation, une immunopathologie Th2 et une infiltration d’éosinophiles dans leurs poumons.

On nous a dit que les vaccins à ARNm du SRAS-CoV-2 ne peuvent pas être intégrés dans le génome humain, car l’ARN messager ne peut pas être retransformé en ADN. Cette affirmation est fausse. Il existe des éléments dans les cellules humaines humains appelés rétrotransposons LINE-1, qui peuvent effectivement intégrer l’ARNm dans un génome humain par transcription inverse endogène. Comme l’ARNm utilisé dans les vaccins est stabilisé, il reste dans les cellules plus longtemps, ce qui augmente les chances que cela se produise. Si le gène de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 est intégré dans une partie du génome qui n’est pas silencieuse et qui exprime une protéine, il est possible que les personnes qui reçoivent ce vaccin puissent exprimer continuellement la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 à partir de leurs cellules somatiques pour le reste de leur vie.

En inoculant aux gens un vaccin qui amène leur organisme à produire la protéine de pointe in situ, on leur inocule une protéine pathogène. Une toxine qui peut causer des inflammations à long terme, des problèmes cardiaques, et un risque accru de cancers. A long terme, elle peut aussi potentiellement mener à une maladie neurodégénérative.

Absolument personne ne devrait être obligé de recevoir ce vaccin, en aucune circonstance, et en fait, la campagne de vaccination doit être arrêtée immédiatement.

Conspiration criminelle autour du COVID-19 :

Le vaccin et le virus ont été fabriqués par les mêmes personnes.

En 2014, il y a eu un moratoire sur la recherche sur le gain de fonction du SRAS qui a duré jusqu’en 2017. Cette recherche n’a pas été arrêtée. Au contraire, elle a été externalisée, les subventions fédérales étant blanchies par des ONG.

Ralph Baric est un virologue et un expert du SRAS à l’UNC Chapel Hill en Caroline du Nord.

C’est à lui qu’Anthony Fauci faisait référence lorsqu’il a insisté, devant le Congrès, sur le fait que si des recherches sur les gains de fonction étaient menées, elles étaient menées en Caroline du Nord.

C’était un mensonge. Anthony Fauci a menti devant le Congrès. C’est un crime.

Ralph Baric et Shi Zhengli sont collègues et ont co-écrit des articles ensemble. Ralph Baric a encadré Shi Zhengli dans ses techniques de manipulation de gain de fonction, particulièrement le passage en série, qui résulte en un virus qui semble être d’origine naturelle. En d’autres termes, des armes biologiques indéniables. Le passage en série dans souris humanisées hACE2 a pu produire quelque chose comme le SRAS-CoV-2.

Le financement de la recherche sur le gain de fonction menée à l’Institut de Virologie de Wuhan provient de Peter Daszak. Peter Daszak dirige une ONG appelée EcoHealth Alliance. EcoHealth Alliance a reçu des millions de dollars de subventions du National Institutes of Health/National Institute of Allergy and Infectious Diseases (c’est-à-dire Anthony Fauci), de la Defense Threat Reduction Agency (qui fait partie du Département de la Défense des États-Unis), et de l’Agence des États-Unis pour le Développement International (USAID). Les NIH/NIAID ont contribué à hauteur de quelques millions de dollars, et la DTRA et l’USAID ont chacune contribué à hauteur de dizaines de millions de dollars à cette recherche. Au total, cela représente plus de cent millions de dollars.

EcoHealth Alliance a sous-traité ces subventions à l’Institut de virologie de Wuhan, un laboratoire chinois avec des antécédents très douteux en matière de sécurité et un personnel mal formé, afin qu’il puisse mener des recherches sur le gain de fonction, non pas dans leur luxueux laboratoire P4, mais dans un laboratoire de niveau 2 où les techniciens ne portaient rien de plus sophistiqué qu’un filet à cheveux, des gants en latex et un masque chirurgical, au lieu des combinaisons à bulles utilisées pour travailler avec des virus dangereux. Les scientifiques chinois de Wuhan ont rapporté s’être régulièrement fait mordre et uriner dessus par des animaux de laboratoire. La raison pour laquelle quiconque voudrait externaliser ce travail dangereux et délicat vers la République Populaire de Chine, un pays tristement célèbre pour les accidents industriels et les explosions massives qui ont coûté des centaines de vies, me dépasse complètement, à moins que le but ne soit de déclencher une pandémie intentionnellement.

En novembre 2019, trois techniciens de l’Institut de Virologie de Wuhan ont développé des symptômes correspondant à une maladie de type grippal. Anthony Fauci, Peter Daszak, et Ralph Baric ont su immédiatement ce qui s’était passé, car des canaux de retour existent entre ce laboratoire et nos scientifiques et officiels.

Le 12 décembre 2019, Ralph Baric a signé un accord de transfert de matériel (essentiellement, un NDA) pour recevoir du matériel lié au vaccin à ARNm du coronavirus dont Moderna et les NIH sont copropriétaires. Ce n’est qu’un mois plus tard mois plus tard, le 11 janvier 2020, que la Chine nous a prétendument envoyé la séquence de ce qui allait devenir connu sous le nom de SRAS-CoV-2. Moderna prétend, de manière plutôt absurde, avoir développé un vaccin fonctionnel à partir de cette séquence en moins de 48 heures.

Stéphane Bancel, l’actuel PDG de Moderna, était auparavant PDG de bioMérieux, une multinationale française spécialisée dans les technologies de diagnostic médical, fondée par un certain Alain Mérieux. Alain Mérieux a joué un rôle déterminant dans la construction du laboratoire P4 de l’Institut de Virologie de Wuhan.

La séquence présentée comme la plus proche parente du SRAS-CoV-2, RaTG13, n’est pas un vrai virus. Il s’agit d’une contrefaçon. Elle a été créée en entrant une séquence génétique à la main dans une base de données, afin de créer une histoire de couverture pour l’existence du SRAS-CoV-2, qui est très probablement une chimère à gain de fonction produite à l’Institut de Virologie de Wuhan et qui a fait l’objet d’une fuite accidentelle ou d’une diffusion intentionnelle.

Le réservoir animal du SRAS-CoV-2 n’a jamais été découvert.

Il ne s’agit pas d’une « théorie » de la conspiration. Il s’agit d’une véritable conspiration criminelle, dans laquelle des personnes liées au développement du mRNA-1273 de Moderna sont directement liées à l’Institut de Virologie de Wuhan et à et leur recherche sur le gain de fonction, avec très peu de degrés de séparation, voire aucun. La trace écrite est bien établie.

La théorie de la fuite en laboratoire a été supprimée parce qu’en tirant sur ce fil, on en conclut inévitablement qu’il y a suffisamment de preuves circonstancielles pour lier Moderna, les NIH, l’Institut de Virologie de Wuhan, et à la fois le vaccin et la création du virus. Dans un pays sain d’esprit, cela aurait immédiatement conduit à la plus grande affaire RICO et de meurtre de masse au monde. Anthony Fauci, Peter Daszak, Ralph Baric, Shi Zhengli et Stéphane Bancel, ainsi que leurs complices, auraient été inculpés et poursuivis dans toute la mesure de la loi. Au lieu de cela, des milliards de dollars de nos impôts ont été attribués aux coupables.

Le FBI a fait une descente chez Allure Medical à Shelby Township au nord de Detroit pour avoir facturé à l’assurance des « cures frauduleuses de COVID-19 ». Le traitement qu’ils utilisaient ? De la vitamine C en intraveineuse. Un antioxydant. Ce qui, comme décrit ci-dessus, est un traitement tout à fait valable pour la septicémie induite par le COVID-19, et fait d’ailleurs maintenant partie du protocole MATH+ proposé par le Dr Paul E. Marik.

La FDA a interdit la ranitidine (Zantac) en raison d’une supposée contamination par la NDMA (N-nitrosodiméthylamine). La ranitidine n’est pas seulement un bloqueur de H2 utilisé comme antiacide, mais elle a également un puissant effet antioxydant, éliminant les radicaux hydroxyles. Cela lui confère une utilité dans le traitement du COVID-19.

La FDA a également tenté de retirer des rayons la N-acétylcystéine, un complément d’acide aminé inoffensif et un antioxydant, en obligeant Amazon à le retirer de sa vitrine en ligne.

Cela nous laisse avec une question effrayante : est-ce que la FDA a sciemment supprimé les antioxydants utiles pour traiter la septicémie due au COVID-19 dans le cadre d’une conspiration criminelle contre le public américain ?

L’establishment coopère avec les pires criminels de l’histoire de l’humanité et leur facilite la tâche, suppriment activement les traitements et thérapies non-vaccinales afin de nous contraindre à nous faire injecter les produits de ces criminels dans nos corps. C’est absolument inacceptable.

Développement des vaccins COVID-19 et liens avec le transhumanisme :

Cette section traite de certains aspects plus spéculatifs de la pandémie et de la réaction de l’establishment médical et scientifique à celle-ci, ainsi que les liens troublants entre les scientifiques impliqués dans la recherche de vaccins et les scientifiques dont les travaux impliquent la fusion de la nanotechnologie et des cellules vivantes.

Le 9 juin 2020, Charles Lieber, un chercheur en nanotechnologie de Harvard ayant des décennies d’expérience, a été inculpé par le DOJ (Département de la Justice) pour fraude. Charles Lieber a reçu des millions de dollars de subventions de la part du Département de la Défense des États-Unis, plus précisément des groupes de réflexion militaires DARPA, AFOSR et ONR, ainsi que des NIH et du MITRE. Sa spécialité est l’utilisation de nanofils de silicium à la place d’électrodes de type patch clamp pour surveiller et moduler l’activité intracellulaire, un sujet sur lequel il travaille à Harvard depuis vingt ans. On a prétendu qu’il travaillait sur des batteries à nanofils de silicium en Chine, mais aucun de ses collègues ne se souvient qu’il ait jamais travaillé sur la technologie des batteries; toutes ses recherches portent sur la bionanotechnologie, ou le mélange des nanotechnologies avec les cellules vivantes.

L’accusation porte sur sa collaboration avec l’Université de Technologie de Wuhan. Il avait fait coup double, contre les termes de ses subventions du Ministère de la Défense, et pris de l’argent du plan « Mille talents » de la RPC, un programme que le gouvernement chinois utilise pour corrompre les scientifiques occidentaux afin qu’ils partagent des informations exclusives sur la R&D qui peuvent être exploitées par l’APL pour obtenir un avantage stratégique.

Les articles de Charles Lieber décrivent l’utilisation de nanofils de silicium pour les interfaces cerveau-ordinateur, ou la technologie du « lacet neuronal ». Ses articles décrivent comment les neurones peuvent endocytoser des nanofils de silicium entiers ou des parties de ceux-ci, surveillant et même modulant l’activité neuronale.

Charles Lieber était un collègue de Robert Langer. Ensemble, avec Daniel S. Kohane, ils ont travaillé sur un article décrivant des échafaudages de tissus artificiels qui pourraient être implantés dans un cœur humain pour surveiller son activité à distance.

Robert Langer, ancien élève du MIT et expert en nanotechnologies d’administration de médicaments, est l’un des cofondateurs de la société Moderna. Sa valeur nette s’élève aujourd’hui à 5,1 milliards de dollars américains grâce aux ventes du vaccin mRNA-1273 de Moderna.

Les bibliographies de Charles Lieber et de Robert Langer décrivent essentiellement des techniques d’amélioration de l’homme, c’est-à-dire le transhumanisme. Klaus Schwab, fondateur du Forum Economique Mondial et l’architecte de ce que l’on appelle le « Great Reset », parle depuis longtemps, dans ses livres, du « mélange de la biologie et des machines ».

Depuis ces révélations, des chercheurs indépendants ont découvert que les vaccins COVID-19 pouvaient contenir des nanoparticules d’oxyde de graphène réduit. Des chercheurs japonais ont également trouvé des contaminants inexpliqués dans les vaccins COVID-19.

L’oxyde de graphène est un anxiolytique. Il a été démontré qu’il réduit l’anxiété des souris de laboratoire lorsqu’il est injecté dans leur cerveau. En effet, étant donné la propension de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 à compromettre la barrière hémato-encéphalique et à augmenter sa perméabilité, il s’agit de la protéine parfaite pour préparer le tissu cérébral à l’extravasation de nanoparticules de la circulation sanguine vers le cerveau. Le graphène est également hautement conducteur et, dans certaines circonstances, paramagnétique.

En 2013, sous l’administration Obama, la DARPA a lancé l’initiative BRAIN ; BRAIN est un acronyme pour Brain Research Through Advancing Innovative Neurotechnologies®. Ce programme implique le développement de technologies d’interface cerveau-ordinateur (brain-computer interface – BCI) pour l’armée, notamment des systèmes non invasifs et injectables qui causent des dommages minimes au tissu cérébral lorsqu’ils sont retirés. En principe, cette technologie serait utilisée pour soigner les soldats blessés souffrant de lésions cérébrales traumatiques, pour le contrôle direct par le cerveau de membres prosthétiques, et même de nouvelles capacités telles que le contrôle des drones par l’esprit.

Plusieurs méthodes ont été proposées pour y parvenir, notamment l’optogénétique, la magnétogénétique, les ultrasons, les électrodes implantées et la stimulation électromagnétique transcrânienne. Dans tous les cas, l’objectif est d’obtenir une capacité de lecture ou de lecture-écriture sur les neurones, soit en les stimulant et en les sondant, soit en les rendant particulièrement sensibles à la stimulation et au sondage.

Cependant, l’idée d’une utilisation généralisée de la technologie BCI, comme le dispositif Neuralink d’Elon Musk, soulève de nombreuses inquiétudes quant au respect de la vie privée et à l’autonomie personnelle. La lecture des neurones est déjà problématique en soi. Les interfaces cerveau-ordinateur sans fil peuvent interagir avec l’infrastructure GSM sans fil actuelle ou future, ce qui pose des problèmes de sécurité des données neurologiques. Un pirate informatique ou un autre acteur malveillant pourrait compromettre ces réseaux pour obtenir des données sur le cerveau des gens, puis les exploiter à des fins malveillantes.

Cependant, un dispositif capable d’écrire dans les neurones humains, et pas seulement de les lire, présente une autre série de problèmes éthiques encore plus graves. Une BCI capable d’altérer le contenu de l’esprit d’une personne à des fins inoffensives, comme la projection d’un affichage « tête haute » sur le centre visuel du cerveau ou l’envoi de sons dans le cortex auditif, serait aussi théoriquement capable de modifier l’humeur et la personnalité, ou peut-être même de subjuguer la volonté d’une personne, la rendant totalement obéissante à l’autorité. Cette technologie serait le rêve éveillé d’un tyran. Imaginez des soldats qui tireraient sur leurs propres compatriotes sans hésiter, ou des serfs impuissants qui se contentent de vivre dans de véritables niches à chiens.

Les BCI pourraient être utilisées pour modifier sans scrupule la perception de choses aussi fondamentales que les émotions et les valeurs, changer les seuils de satiété, de bonheur, de colère, de dégoût, etc. des gens. Ce n’est pas sans conséquence. L’ensemble des comportements d’une personne pourrait être modifié par une BCI, y compris des choses telles que supprimer son appétit ou son désir pour pratiquement tout ce qui figure dans la hiérarchie des besoins de Maslow.

Tout est possible lorsqu’on dispose d’un accès direct au cerveau d’une personne et à son contenu. Une personne obèse pourrait être dégoûtée à la vue de la nourriture. Quelqu’un qui est involontairement célibataire pourrait avoir sa libido désactivée pour qu’elle ne désire même pas de sexe du tout. Quelqu’un qui est raciste pourrait être forcé à se réjouir de cohabiter avec des personnes d’autres races. Quelqu’un de violent pourrait être forcé à être doux et soumis. Ces choses peuvent sembler bonnes à un tyran, mais pour les gens normaux, l’idée d’un tel dépassement de l’autonomie personnelle est consternante.

Pour les riches, les lacets neuronaux seraient une aubaine inégalée, leur donnant la possibilité d’augmenter leur intelligence avec des neuroprothèses (c’est-à-dire un « exocortex »), et de donner des ordres irrésistibles directement dans l’esprit de leurs serviteurs dotés d’un BCI, même s’il s’agit d’ordres physiques ou sexuels abusifs qu’ils auraient normalement refusés.

Si le vaccin est une méthode pour introduire subrepticement une BCI injectable dans le corps de millions de personnes à leur insu ou sans leur consentement, alors nous assistons à la montée en puissance d’un régime tyrannique sans équivalent, jamais vu auparavant sur cette planète, un régime qui a l’intention de priver chaque homme, femme, et enfant de son libre arbitre.

Nos défauts sont ce qui nous rend humains. Une utopie obtenue en supprimant le libre arbitre des gens n’est pas une utopie du tout. C’est un cauchemar monomaniaque. En outre, les gens qui nous gouvernent sont des types de la Triade noire à qui on ne peut confier un tel pouvoir. Imaginez être battu et agressé sexuellement par un riche et puissant psychopathe et être forcé de sourire et d’en rire parce que votre lacet neural ne vous donne pas d’autre choix que d’obéir à votre maître.

Les élites vont de l’avant avec cette technologie sans laisser aux gens la possibilité de s’interroger sur les ramifications sociales ou éthiques, ou d’établir des cadres réglementaires qui garantissent que nos choix personnells et notre autonomie ne seront pas supplantés par ces dispositifs. Ils font cela parce qu’ils rêvent secrètement d’un avenir où ils pourront vous traiter pire qu’un animal et où vous ne pourrez même pas vous défendre. Si ce plan diabolique est autorisé à se poursuivre, cela signifiera la fin de l’humanité telle que nous la connaissons.

Conclusions :

La pandémie actuelle a été produite et perpétuée par l’establishment, par l’utilisation d’un virus conçu dans un laboratoire de guerre biologique chinois lié à l’APL, avec l’aide de l’argent des contribuables américains et de l’expertise française.

Cette recherche a été menée sous l’euphémisme absolument ridicule de recherche à « gain de fonction », qui est censée être effectuée afin de déterminer quels virus ont le plus grand potentiel de propagation zoonotique et de vacciner ou de protéger de manière préventive.

La recherche à « gain de fonction/gain de menace », aussi appelée Dual-Use Research of Concern ou DURC, est une recherche sur les armes biologiques sous un autre nom, à consonance plus agréable, simplement pour éviter le tabou de l’appeler par son nom réel. Il s’agit depuis toujours de recherche sur les armes biologiques. Les personnes qui mènent cette recherche comprennent parfaitement qu’ils prennent des agents pathogènes sauvages qui ne sont pas infectieux pour les humains et les rendent plus infectieux, souvent grâce à des subventions de groupes de réflexion militaires qui les encouragent à le faire.

Les virologues qui mènent ce type de recherche sont des ennemis de leurs semblables, comme les pompiers pyromanes. La recherche sur le gain de fonction n’a jamais protégé personne d’une quelconque pandémie. En fait, elle en a maintenant déclenché une, ce qui signifie que son utilité pour la prévention des pandémies est en fait négative. Elle aurait dû être interdite mondialement, et les fous qui l’exécutent auraient dû être mis dans des camisoles de force depuis longtemps.

Que ce soit à cause d’une fuite ou d’une diffusion intentionnelle de l’Institut de Virologie de Wuhan, une souche mortelle de SRAS est maintenant endémique à travers le monde, après que l’OMS, le CDC et les fonctionnaires aient d’abord minimisé les risques, puis aient intentionnellement provoqué une panique et des blocages qui ont mis en danger la santé des gens et leurs moyens de subsistance.

Cela a ensuite été utilisé par la classe aristocratique complètement dépravée et psychopathe qui nous gouverne comme excuse pour forcer les gens à accepter un poison injecté qui peut être un agent de dépeuplement, un agent de contrôle/pacification de l’esprit sous forme de « poussière intelligente » injectable, ou les deux à la fois. Ils pensent qu’ils peuvent s’en tirer en utilisant la stigmatisation sociale du refus du vaccin. Ils ont tort.

Leurs motivations sont claires et évidentes pour quiconque y a prêté attention. Ces mégalomanes ont pillé les fonds de pension du monde libre. Wall Street est insolvable et a connu une crise de liquidités depuis la fin de l’année 2019. L’objectif est maintenant d’exercer un contrôle physique, mental et financier total sur l’humanité avant que nous réalisions à quel point nous avons été extorqués par ces maniaques.

La pandémie et sa réponse ont servi de multiples objectifs pour l’élite :

  • Dissimuler une dépression provoquée par le pillage usuraire de nos économies mené par des capitalistes rentiers et des propriétaires absents qui ne produisent absolument rien qui ait une quelconque valeur pour la société. Au lieu d’avoir un Occupy Wall Street Part II très prévisible, les Elites et leurs laquais ont pu se montrer à la télévision et se présenter comme des sauveurs sages et tout-puissants au lieu de la cabale maraudeuse de méprisables pirates terrestres qu’ils sont.
  • Détruire les petites entreprises et éroder la classe moyenne.
  • Transférer des milliers de milliards de dollars de richesses du public américain dans les poches des milliardaires et d’intérêts particuliers.
  • S’engager dans des délits d’initiés, acheter des actions dans des sociétés de biotechnologie et ruiner les commerces de détail et les agences de voyage, dans le but de faire disparaître le commerce et le tourisme en face-à-face et de les remplacer par le commerce électronique et la servitisation.
  • Créer un casus belli pour une guerre avec la Chine, nous encourager à l’attaquer, gaspiller les vies et l’argent américains et nous conduire au bord de l’armageddon nucléaire.
  • Établir des cadres technologiques et de biosécurité pour le contrôle des populations et des « villes intelligentes » technocratiques-socialistes où les mouvements de chacun sont suivis de façon despotique, tout cela en prévision l’automatisation généralisée, le chômage, et les pénuries alimentaires, en utilisant le faux prétexte d’un vaccin pour forcer la coopération.

Chacune de ces choses constituerait un viol vicieux de la société occidentale. Prises ensemble, elles dépassent l’entendement ; elles sont une inversion complète de nos valeurs les plus précieuses.

Quel est le but de tout cela ? On ne peut que spéculer sur les motivations des auteurs, cependant, nous avons quelques théories.

Les élites tentent de tirer l’échelle vers le haut, d’effacer la mobilité ascendante pour de larges segments de la population, d’éliminer les opposants politiques et autres « indésirables », et de tenir en laisse le reste de l’humanité, en rationnant notre accès à certains biens et services qu’ils ont jugé « à fort impact », tels que l’utilisation de l’automobile, le tourisme, la consommation de viande, etc. Naturellement, ils continueront à avoir leurs propres luxes, dans le cadre d’un système de castes strict, semblable au féodalisme.

Pourquoi font-ils cela ? C’est simple. Les élites sont néo-malthusiennes et croient que nous sommes surpeuplés et que l’épuisement des ressources fera s’effondrer la civilisation en quelques décennies. Ils ne sont pas nécessairement erronés dans cette croyance. Nous sommes surpeuplés et nous consommons trop de ressources. Cependant, orchestrer une prise de pouvoir aussi horrible et meurtrière en réponse à une crise imminente démontre qu’ils n’ont que le plus grand mépris pour leurs semblables.

À ceux qui participent à cette farce dégoûtante sans comprendre ce qu’ils font, nous n’avons qu’un mot à dire. Arrêtez. Vous causez un tort irréparable à votre pays et à vos concitoyens.

À ceux qui lisent cet avertissement et qui ont une connaissance et une compréhension totales de ce qu’ils font et de la façon dont cela va injustement nuire à des millions d’innocents, nous avons encore quelques mots.

Allez en enfer. Vous ne détruirez pas l’Amérique et le monde libre, et vous n’aurez pas votre Nouvel Ordre Mondial. Nous nous en assurerons.

[voir la liste des références bibliographiques dans le document original]


Texte original

Hello,

My name is Spartacus, and I’ve had enough.

We have been forced to watch America and the Free World spin into inexorable decline due to a biowarfare attack. We, along with countless others, have been victimized and gaslit by propaganda and psychological warfare operations being conducted by an unelected, unaccountable Elite against the American people and our allies.

Our mental and physical health have suffered immensely over the course of the past year and a half. We have felt the sting of isolation, lockdown, masking, quarantines, and other completely nonsensical acts of healthcare theater that have done absolutely nothing to protect the health or wellbeing of the public from the ongoing COVID-19 pandemic.

Now, we are watching the medical establishment inject literal poison into millions of our fellow Americans without so much as a fight.

We have been told that we will be fired and denied our livelihoods if we refuse to vaccinate. This was the last straw.

We have spent thousands of hours analyzing leaked footage from Wuhan, scientific papers from primary sources, as well as the paper trails left by the medical establishment.

What we have discovered would shock anyone to their core.

First, we will summarize our findings, and then, we will explain them in detail. References will be placed at the end.

Summary:

  • COVID-19 is a blood and blood vessel disease. SARS-CoV-2 infects the lining of human blood vessels, causing them to leak into the lungs.
  • Current treatment protocols (e.g. invasive ventilation) are actively harmful to patients, accelerating oxidative stress and causing severe VILI (ventilator-induced lung injuries). The continued use of ventilators in the absence of any proven medical benefit constitutes mass murder.
  • Existing countermeasures are inadequate to slow the spread of what is an aerosolized and potentially wastewater-borne virus, and constitute a form of medical theater.
  • Various non-vaccine interventions have been suppressed by both the media and the medical establishment in favor of vaccines and expensive patented drugs.
  • The authorities have denied the usefulness of natural immunity against COVID-19, despite the fact that natural immunity confers protection against all of the virus’s proteins, and not just one.
  • Vaccines will do more harm than good. The antigen that these vaccines are based on, SARS-CoV-2 Spike, is a toxic protein. SARS-CoV-2 may have ADE, or antibody-dependent enhancement; current antibodies may not neutralize future strains, but instead help them infect immune cells. Also, vaccinating during a pandemic with a leaky vaccine removes the evolutionary pressure for a virus to become less lethal.
  • There is a vast and appalling criminal conspiracy that directly links both Anthony Fauci and Moderna to the Wuhan Institute of Virology.
  • COVID-19 vaccine researchers are directly linked to scientists involved in brain-computer interface (“neural lace”) tech, one of whom was indicted for taking grant money from China.
  • Independent researchers have discovered mysterious nanoparticles inside the vaccines that are not supposed to be present.
  • The entire pandemic is being used as an excuse for a vast political and economic transformation of Western society that will enrich the already rich and turn the rest of us into serfs and untouchables.

COVID-19 Pathophysiology and Treatments:

COVID-19 is not a viral pneumonia. It is a viral vascular endotheliitis and attacks the lining of blood vessels, particularly the small pulmonary alveolar capillaries, leading to endothelial cell activation and sloughing, coagulopathy, sepsis, pulmonary edema, and ARDS-like symptoms. This is a disease of the blood and blood vessels. The circulatory system. Any pneumonia that it causes is secondary to that.

In severe cases, this leads to sepsis, blood clots, and multiple organ failure, including hypoxic and inflammatory damage to various vital organs, such as the brain, heart, liver, pancreas, kidneys, and intestines.

Some of the most common laboratory findings in COVID-19 are elevated D-dimer, elevated prothrombin time, elevated C-reactive protein, neutrophilia, lymphopenia, hypocalcemia, and hyperferritinemia, essentially matching a profile of coagulopathy and immune system hyperactivation/immune cell exhaustion.

COVID-19 can present as almost anything, due to the wide tropism of SARS-CoV-2 for various tissues in the body’s vital organs. While its most common initial presentation is respiratory illness and flu-like symptoms, it can present as brain inflammation, gastrointestinal disease, or even heart attack or pulmonary embolism.

COVID-19 is more severe in those with specific comorbidities, such as obesity, diabetes, and hypertension. This is because these conditions involve endothelial dysfunction, which renders the circulatory system more susceptible to infection and injury by this particular virus.

The vast majority of COVID-19 cases are mild and do not cause significant disease. In known cases, there is something known as the 80/20 rule, where 80% of cases are mild and 20% are severe or critical.

However, this ratio is only correct for known cases, not all infections. The number of actual infections is much, much higher. Consequently, the mortality and morbidity rate is lower. However, COVID-19 spreads very quickly, meaning that there are a significant number of severely-ill and critically-ill patients appearing in a short time frame.

In those who have critical COVID-19-induced sepsis, hypoxia, coagulopathy, and ARDS, the most common treatments are intubation, injected corticosteroids, and blood thinners. This is not the correct treatment for COVID-19. In severe hypoxia, cellular metabolic shifts cause ATP to break down into hypoxanthine, which, upon the reintroduction of oxygen, causes xanthine oxidase to produce tons of highly damaging radicals that attack tissue. This is called ischemia-reperfusion injury, and it’s why the
majority of people who go on a ventilator are dying. In the mitochondria, succinate buildup due to sepsis does the same exact thing; when oxygen is reintroduced, it makes superoxide radicals. Make no mistake, intubation will kill people who have COVID-19.

The end-stage of COVID-19 is severe lipid peroxidation, where fats in the body start to “rust” due to damage by oxidative stress. This drives autoimmunity. Oxidized lipids appear as foreign objects to the immune system, which recognizes and forms antibodies against OSEs, or oxidation-specific epitopes. Also, oxidized lipids feed directly into pattern recognition receptors, triggering even more inflammation and summoning even more cells of the innate immune system that release even more destructive enzymes. This is similar to the pathophysiology of Lupus.

The breakdown of the pathology is as follows:

SARS-CoV-2 Spike binds to ACE2. Angiotensin Converting Enzyme 2 is an enzyme that is part of the renin-angiotensin-aldosterone system, or RAAS. The RAAS is a hormone control system that moderates fluid volume in the body and in the bloodstream (i.e. osmolarity) by controlling salt retention and excretion. This protein, ACE2, is ubiquitous in every part of the body that interfaces with the circulatory
system, particularly in vascular endothelial cells and pericytes, brain astrocytes, renal tubules and podocytes, pancreatic islet cells, bile duct and intestinal epithelial cells, and the seminiferous ducts of the testis, all of which SARS-CoV-2 can infect, not just the lungs.

SARS-CoV-2 infects a cell as follows: SARS-CoV-2 Spike undergoes a conformational change where the S1 trimers flip up and extend, locking onto ACE2 bound to the surface of a cell. TMPRSS2, or transmembrane protease serine 2, comes along and cuts off the heads of the Spike, exposing the S2 stalk-shaped subunit inside. The remainder of the Spike undergoes a conformational change that causes it to unfold like an extension ladder, embedding itself in the cell membrane. Then, it folds back upon itself, pulling the viral membrane and the cell membrane together. The two membranes fuse, with the virus’s proteins migrating out onto the surface of the cell. The SARS-CoV-2 nucleocapsid enters the cell, disgorging its genetic material and beginning the viral replication process, hijacking the cell’s own structures to produce more virus.

SARS-CoV-2 Spike proteins embedded in a cell can actually cause human cells to fuse together, forming syncytia/MGCs (multinuclear giant cells). They also have other pathogenic, harmful effects. SARS-CoV-2’s viroporins, such as its Envelope protein, act as calcium ion channels, introducing calcium into infected cells. The virus suppresses the natural interferon response, resulting in delayed inflammation.
SARS-CoV-2 N protein can also directly activate the NLRP3 inflammasome. Also, it suppresses the Nrf2 antioxidant pathway. The suppression of ACE2 by binding with Spike causes a buildup of bradykinin that would otherwise be broken down by ACE2.

This constant calcium influx into the cells results in (or is accompanied by) noticeable hypocalcemia, or low blood calcium, especially in people with Vitamin D deficiencies and pre-existing endothelial dysfunction. Bradykinin upregulates cAMP, cGMP, COX, and Phospholipase C activity. This results in prostaglandin release and vastly increased intracellular calcium signaling, which promotes highly aggressive ROS release and ATP depletion. NADPH oxidase releases superoxide into the extracellular
space. Superoxide radicals react with nitric oxide to form peroxynitrite. Peroxynitrite reacts with the tetrahydrobiopterin cofactor needed by endothelial nitric oxide synthase, destroying it and “uncoupling” the enzymes, causing nitric oxide synthase to synthesize more superoxide instead. This proceeds in a positive feedback loop until nitric oxide bioavailability in the circulatory system is depleted.

Dissolved nitric oxide gas produced constantly by eNOS serves many important functions, but it is also antiviral against SARS-like coronaviruses, preventing the palmitoylation of the viral Spike protein and making it harder for it to bind to host receptors. The loss of NO allows the virus to begin replicating with impunity in the body. Those with endothelial dysfunction (i.e. hypertension, diabetes, obesity, old age, African-American race) have redox equilibrium issues to begin with, giving the virus an advantage.

Due to the extreme cytokine release triggered by these processes, the body summons a great deal of neutrophils and monocyte-derived alveolar macrophages to the lungs. Cells of the innate immune system are the first-line defenders against pathogens. They work by engulfing invaders and trying to attack them with enzymes that produce powerful oxidants, like SOD and MPO. Superoxide dismutase takes superoxide and makes hydrogen peroxide, and myeloperoxidase takes hydrogen peroxide and chlorine ions and makes hypochlorous acid, which is many, many times more reactive than sodium hypochlorite bleach.

Neutrophils have a nasty trick. They can also eject these enzymes into the extracellular space, where they will continuously spit out peroxide and bleach into the bloodstream. This is called neutrophil extracellular trap formation, or, when it becomes pathogenic and counterproductive, NETosis. In severe and critical COVID-19, there is actually rather severe NETosis.

Hypochlorous acid building up in the bloodstream begins to bleach the iron out of heme and compete for O2 binding sites. Red blood cells lose the ability to transport oxygen, causing the sufferer to turn blue in the face. Unliganded iron, hydrogen peroxide, and superoxide in the bloodstream undergo the Haber-Weiss and Fenton reactions, producing extremely reactive hydroxyl radicals that violently strip electrons from surrounding fats and DNA, oxidizing them severely.

This condition is not unknown to medical science. The actual name for all of this is acute sepsis.

We know this is happening in COVID-19 because people who have died of the disease have noticeable ferroptosis signatures in their tissues, as well as various other oxidative stress markers such as nitrotyrosine, 4-HNE, and malondialdehyde.

When you intubate someone with this condition, you are setting off a free radical bomb by supplying the cells with O2. It’s a catch-22, because we need oxygen to make Adenosine Triphosphate (that is, to live), but O2 is also the precursor of all these damaging radicals that lead to lipid peroxidation.

The correct treatment for severe COVID-19 related sepsis is non-invasive ventilation, steroids, and antioxidant infusions. Most of the drugs repurposed for COVID-19 that show any benefit whatsoever in rescuing critically-ill COVID-19 patients are antioxidants. N-acetylcysteine, melatonin, fluvoxamine, budesonide, famotidine, cimetidine, and ranitidine are all antioxidants. Indomethacin prevents iron-driven oxidation of arachidonic acid to isoprostanes. There are powerful antioxidants such as apocynin that have not even been tested on COVID-19 patients yet which could defang neutrophils, prevent lipid peroxidation, restore endothelial health, and restore oxygenation to the tissues.

Scientists who know anything about pulmonary neutrophilia, ARDS, and redox biology have known or surmised much of this since March 2020. In April 2020, Swiss scientists confirmed that COVID-19 was a vascular endotheliitis. By late 2020, experts had already concluded that COVID-19 causes a form of viral sepsis. They also know that sepsis can be effectively treated with antioxidants. None of this information is particularly new, and yet, for the most part, it has not been acted upon. Doctors continue to use damaging intubation techniques with high PEEP settings despite high lung compliance and poor oxygenation, killing an untold number of critically ill patients with medical malpractice.

Because of the way they are constructed, Randomized Control Trials will never show any benefit for any antiviral against COVID-19. Not Remdesivir, not Kaletra, not HCQ, and not Ivermectin. The reason for this is simple; for the patients that they have recruited for these studies, such as Oxford’s ludicrous RECOVERY study, the intervention is too late to have any positive effect.

The clinical course of COVID-19 is such that by the time most people seek medical attention for hypoxia, their viral load has already tapered off to almost nothing. If someone is about 10 days post-exposure and has already been symptomatic for five days, there is hardly any virus left in their bodies, only cellular damage and derangement that has initiated a hyperinflammatory response. It is from this group that the clinical trials for antivirals have recruited, pretty much exclusively.

In these trials, they give antivirals to severely ill patients who have no virus in their bodies, only a delayed hyperinflammatory response, and then absurdly claim that antivirals have no utility in treating or preventing COVID-19. These clinical trials do not recruit people who are pre-symptomatic. They do not test pre-exposure or post-exposure prophylaxis.

This is like using a defibrillator to shock only flatline, and then absurdly claiming that defibrillators have no medical utility whatsoever when the patients refuse to rise from the dead. The intervention is too late. These trials for antivirals show systematic, egregious selection bias. They are providing a treatment that is futile to the specific cohort they are enrolling.

India went against the instructions of the WHO and mandated the prophylactic usage of Ivermectin. They have almost completely eradicated COVID-19. The Indian Bar Association of Mumbai has brought criminal charges against WHO Chief Scientist Dr. Soumya Swaminathan for recommending against the use of Ivermectin.

Ivermectin is not “horse dewormer”. Yes, it is sold in veterinary paste form as a dewormer for animals. It has also been available in pill form for humans for decades, as an antiparasitic drug.

The media have disingenuously claimed that because Ivermectin is an antiparasitic drug, it has no utility as an antivirus. This is incorrect. Ivermectin has utility as an antiviral. It blocks importin, preventing nuclear import, effectively inhibiting viral access to cell nuclei. Many drugs currently on the market have multiple modes of action. Ivermectin is one such drug. It is both antiparasitic and antiviral.

In Bangladesh, Ivermectin costs $1.80 for an entire 5-day course. Remdesivir, which is toxic to the liver, costs $3,120 for a 5-day course of the drug. Billions of dollars of utterly useless Remdesivir were sold to our governments on the taxpayer’s dime, and it ended up being totally useless for treating hyperinflammatory COVID-19. The media has hardly even covered this at all.

The opposition to the use of generic Ivermectin is not based in science. It is purely financially and politically-motivated. An effective non-vaccine intervention would jeopardize the rushed FDA approval of patented vaccines and medicines for which the pharmaceutical industry stands to rake in billions upon billions of dollars in sales on an ongoing basis.

The majority of the public are scientifically illiterate and cannot grasp what any of this even means, thanks to a pathetic educational system that has miseducated them. You would be lucky to find 1 in 100 people who have even the faintest clue what any of this actually means.

COVID-19 Transmission:

COVID-19 is airborne. The WHO carried water for China by claiming that the virus was only droplet-borne. Our own CDC absurdly claimed that it was mostly transmitted by fomite-to-face contact, which, given its rapid spread from Wuhan to the rest of the world, would have been physically impossible.

The ridiculous belief in fomite-to-face being a primary mode of transmission led to the use of surface disinfection protocols that wasted time, energy, productivity, and disinfectant.

The 6-foot guidelines are absolutely useless. The minimum safe distance to protect oneself from an aerosolized virus is to be 15+ feet away from an infected person, no closer. Realistically, no public transit is safe.

Surgical masks do not protect you from aerosols. The virus is too small and the filter media has too large of gaps to filter it out. They may catch respiratory droplets and keep the virus from being expelled by someone who is sick, but they do not filter a cloud of infectious aerosols if someone were to walk into said cloud.

The minimum level of protection against this virus is quite literally a P100 respirator, a PAPR/CAPR, or a 40mm NATO CBRN respirator, ideally paired with a full-body tyvek or tychem suit, gloves, and booties, with all the holes and gaps taped.

Live SARS-CoV-2 may potentially be detected in sewage outflows, and there may be oral-fecal transmission. During the SARS outbreak in 2003, in the Amoy Gardens incident, hundreds of people were infected by aerosolized fecal matter rising from floor drains in their apartments.

COVID-19 Vaccine Dangers:

The vaccines for COVID-19 are not sterilizing and do not prevent infection or transmission. They are “leaky” vaccines. This means they remove the evolutionary pressure on the virus to become less lethal. It also means that the vaccinated are perfect carriers. In other words, those who are vaccinated are a threat to the unvaccinated, not the other way around.

All of the COVID-19 vaccines currently in use have undergone minimal testing, with highly accelerated clinical trials. Though they appear to limit severe illness, the long-term safety profile of these vaccines remains unknown.

Some of these so-called “vaccines” utilize an untested new technology that has never been used in vaccines before. Traditional vaccines use weakened or killed virus to stimulate an immune response. The Moderna and Pfizer-BioNTech vaccines do not. They are purported to consist of an intramuscular shot containing a suspension of lipid nanoparticles filled with messenger RNA. The way they generate an immune response is by fusing with cells in a vaccine recipient’s shoulder, undergoing endocytosis, releasing their mRNA cargo into those cells, and then utilizing the ribosomes in those cells to synthesize modified SARS-CoV-2 Spike proteins in-situ.

These modified Spike proteins then migrate to the surface of the cell, where they are anchored in place by a transmembrane domain. The adaptive immune system detects the non-human viral protein being expressed by these cells, and then forms antibodies against that protein. This is purported to confer protection against the virus, by training the adaptive immune system to recognize and produce antibodies against the Spike on the actual virus. The J&J and AstraZeneca vaccines do something similar, but use an adenovirus vector for genetic material delivery instead of a lipid nanoparticle. These vaccines were produced or validated with the aid of fetal cell lines HEK-293 and PER.C6, which people with certain religious convictions may object strongly to.

SARS-CoV-2 Spike is a highly pathogenic protein on its own. It is impossible to overstate the danger presented by introducing this protein into the human body.

It is claimed by vaccine manufacturers that the vaccine remains in cells in the shoulder, and that SARS-CoV-2 Spike produced and expressed by these cells from the vaccine’s genetic material is harmless and inert, thanks to the insertion of prolines in the Spike sequence to stabilize it in the prefusion conformation, preventing the Spike from becoming active and fusing with other cells. However, a pharmacokinetic study from Japan showed that the lipid nanoparticles and mRNA from the Pfizer vaccine did not stay in the shoulder, and in fact bioaccumulated in many different organs, including the reproductive organs and adrenal glands, meaning that modified Spike is being expressed quite literally all over the place. These lipid nanoparticles may trigger anaphylaxis in an unlucky few, but far more concerning is the unregulated expression of Spike in various somatic cell lines far from the injection site and the unknown consequences of that.

Messenger RNA is normally consumed right after it is produced in the body, being translated into a protein by a ribosome. COVID-19 vaccine mRNA is produced outside the body, long before a ribosome translates it. In the meantime, it could accumulate damage if inadequately preserved. When a ribosome attempts to translate a damaged strand of mRNA, it can become stalled. When this happens, the ribosome becomes useless for translating proteins because it now has a piece of mRNA stuck in it, like a lace card in an old punch card reader. The whole thing has to be cleaned up and new ribosomes synthesized to replace it. In cells with low ribosome turnover, like nerve cells, this can lead to reduced protein synthesis, cytopathic effects, and neuropathies.

Certain proteins, including SARS-CoV-2 Spike, have proteolytic cleavage sites that are basically like little dotted lines that say “cut here”, which attract a living organism’s own proteases (essentially, molecular scissors) to cut them. There is a possibility that S1 may be proteolytically cleaved from S2, causing active S1 to float away into the bloodstream while leaving the S2 “stalk” embedded in the membrane of the
cell that expressed the protein.

SARS-CoV-2 Spike has a Superantigenic region (SAg), which may promote extreme inflammation.

Anti-Spike antibodies were found in one study to function as autoantibodies and attack the body’s own cells. Those who have been immunized with COVID-19 vaccines have developed blood clots, myocarditis, Guillain-Barre Syndrome, Bell’s Palsy, and multiple sclerosis flares, indicating that the vaccine promotes autoimmune reactions against healthy tissue.

SARS-CoV-2 Spike does not only bind to ACE2. It was suspected to have regions that bind to basigin, integrins, neuropilin-1, and bacterial lipopolysaccharides as well. SARS-CoV-2 Spike, on its own, can potentially bind any of these things and act as a ligand for them, triggering unspecified and likely highly inflammatory cellular activity.

SARS-CoV-2 Spike contains an unusual PRRA insert that forms a furin cleavage site. Furin is a ubiquitous human protease, making this an ideal property for the Spike to have, giving it a high degree of cell tropism. No wild-type SARS-like coronaviruses related to SARS-CoV-2 possess this feature, making it highly suspicious, and perhaps a sign of human tampering.

SARS-CoV-2 Spike has a prion-like domain that enhances its infectiousness.

The Spike S1 RBD may bind to heparin-binding proteins and promote amyloid aggregation. In humans, this could lead to Parkinson’s, Lewy Body Dementia, premature Alzheimer’s, or various other neurodegenerative diseases. This is very concerning because SARS-CoV-2 S1 is capable of injuring and penetrating the blood-brain barrier and entering the brain. It is also capable of increasing the permeability of the blood-brain barrier to other molecules.

SARS-CoV-2, like other betacoronaviruses, may have Dengue-like ADE, or antibody-dependent enhancement of disease. For those who aren’t aware, some viruses, including betacoronaviruses, have a feature called ADE. There is also something called Original Antigenic Sin, which is the observation that the body prefers to produce antibodies based on previously-encountered strains of a virus over newly-encountered ones.

In ADE, antibodies from a previous infection become non-neutralizing due to mutations in the virus’s proteins. These non-neutralizing antibodies then act as trojan horses, allowing live, active virus to be pulled into macrophages through their Fc receptor pathways, allowing the virus to infect immune cells that it would not have been able to infect before. This has been known to happen with Dengue Fever; when someone gets sick with Dengue, recovers, and then contracts a different strain, they can get very,
very ill.

If someone is vaccinated with mRNA based on the Spike from the initial Wuhan strain of SARS-CoV-2, and then they become infected with a future, mutated strain of the virus, they may become severely ill. In other words, it is possible for vaccines to sensitize someone to disease.

There is a precedent for this in recent history. Sanofi’s Dengvaxia vaccine for Dengue failed because it caused immune sensitization in people whose immune systems were Dengue-naïve.

In mice immunized against SARS-CoV and challenged with the virus, a close relative of SARS-CoV-2, they developed immune sensitization, Th2 immunopathology, and eosinophil infiltration in their lungs.

We have been told that SARS-CoV-2 mRNA vaccines cannot be integrated into the human genome, because messenger RNA cannot be turned back into DNA. This is false. There are elements in human cells called LINE-1 retrotransposons, which can indeed integrate mRNA into a human genome by endogenous reverse transcription. Because the mRNA used in the vaccines is stabilized, it hangs around in cells longer, increasing the chances for this to happen. If the gene for SARS-CoV-2 Spike is integrated into a portion of the genome that is not silent and actually expresses a protein, it is possible that people who take this vaccine may continuously express SARS-CoV-2 Spike from their somatic cells for the rest of their lives.

By inoculating people with a vaccine that causes their bodies to produce Spike in-situ, they are being inoculated with a pathogenic protein. A toxin that may cause long-term inflammation, heart problems, and a raised risk of cancers. In the long-term, it may also potentially lead to premature neurodegenerative disease.

Absolutely nobody should be compelled to take this vaccine under any circumstances, and in actual fact, the vaccination campaign must be stopped immediately.

COVID-19 Criminal Conspiracy:

The vaccine and the virus were made by the same people.

In 2014, there was a moratorium on SARS gain-of-function research that lasted until 2017. This research was not halted. Instead, it was outsourced, with the federal grants being laundered through NGOs.

Ralph Baric is a virologist and SARS expert at UNC Chapel Hill in North Carolina.

This is who Anthony Fauci was referring to when he insisted, before Congress, that if any gain-of-function research was being conducted, it was being conducted in North Carolina.

This was a lie. Anthony Fauci lied before Congress. A felony.

Ralph Baric and Shi Zhengli are colleagues and have co-written papers together. Ralph Baric mentored Shi Zhengli in his gain-of-function manipulation techniques, particularly serial passage, which results in a virus that appears as if it originated naturally. In other words, deniable bioweapons. Serial passage in humanized hACE2 mice may have produced something like SARS-CoV-2.

The funding for the gain-of-function research being conducted at the Wuhan Institute of Virology came from Peter Daszak. Peter Daszak runs an NGO called EcoHealth Alliance. EcoHealth Alliance received millions of dollars in grant money from the National Institutes of Health/National Institute of Allergy and Infectious Diseases (that is, Anthony Fauci), the Defense Threat Reduction Agency (part of the US Department of Defense), and the United States Agency for International Development. NIH/NIAID contributed a few million dollars, and DTRA and USAID each contributed tens of millions of dollars towards this research. Altogether, it was over a hundred million dollars.

EcoHealth Alliance subcontracted these grants to the Wuhan Institute of Virology, a lab in China with a very questionable safety record and poorly trained staff, so that they could conduct gain-of-function research, not in their fancy P4 lab, but in a level-2 lab where technicians wore nothing more sophisticated than perhaps a hairnet, latex gloves, and a surgical mask, instead of the bubble suits used when working with dangerous viruses. Chinese scientists in Wuhan reported being routinely bitten and urinated on by laboratory animals. Why anyone would outsource this dangerous and delicate work to the People’s Republic of China, a country infamous for industrial accidents and massive explosions that have claimed hundreds of lives, is completely beyond me, unless the aim was to start a pandemic on purpose.

In November of 2019, three technicians at the Wuhan Institute of Virology developed symptoms consistent with a flu-like illness. Anthony Fauci, Peter Daszak, and Ralph Baric knew at once what had happened, because back channels exist between this laboratory and our scientists and officials.

December 12th, 2019, Ralph Baric signed a Material Transfer Agreement (essentially, an NDA) to receive Coronavirus mRNA vaccine-related materials co-owned by Moderna and NIH. It wasn’t until a whole month later, on January 11th, 2020, that China allegedly sent us the sequence to what would become known as SARS-CoV-2. Moderna claims, rather absurdly, that they developed a working vaccine from this sequence in under 48 hours.

Stéphane Bancel, the current CEO of Moderna, was formerly the CEO of bioMérieux, a French multinational corporation specializing in medical diagnostic tech, founded by one Alain Mérieux. Alain Mérieux was one of the individuals who was instrumental in the construction of the Wuhan Institute of Virology’s P4 lab.

The sequence given as the closest relative to SARS-CoV-2, RaTG13, is not a real virus. It is a forgery. It was made by entering a gene sequence by hand into a database, to create a cover story for the existence of SARS-CoV-2, which is very likely a gain-of-function chimera produced at the Wuhan Institute of Virology and was either leaked by accident or intentionally released.

The animal reservoir of SARS-CoV-2 has never been found.

This is not a conspiracy “theory”. It is an actual criminal conspiracy, in which people connected to the development of Moderna’s mRNA-1273 are directly connected to the Wuhan Institute of Virology and their gain-of-function research by very few degrees of separation, if any. The paper trail is well-established.

The lab-leak theory has been suppressed because pulling that thread leads one to inevitably conclude that there is enough circumstantial evidence to link Moderna, the NIH, the WIV, and both the vaccine and the virus’s creation together. In a sane country, this would have immediately led to the world’s biggest RICO and mass murder case. Anthony Fauci, Peter Daszak, Ralph Baric, Shi Zhengli, and Stéphane Bancel, and their accomplices, would have been indicted and prosecuted to the fullest extent of the law. Instead, billions of our tax dollars were awarded to the perpetrators.

The FBI raided Allure Medical in Shelby Township north of Detroit for billing insurance for “fraudulent COVID-19 cures”. The treatment they were using? Intravenous Vitamin C. An antioxidant. Which, as described above, is an entirely valid treatment for COVID-19-induced sepsis, and indeed, is now part of the MATH+ protocol advanced by Dr. Paul E. Marik.

The FDA banned ranitidine (Zantac) due to supposed NDMA (N-nitrosodimethylamine) contamination. Ranitidine is not only an H2 blocker used as antacid, but also has a powerful antioxidant effect, scavenging hydroxyl radicals. This gives it utility in treating COVID-19.

The FDA also attempted to take N-acetylcysteine, a harmless amino acid supplement and antioxidant, off the shelves, compelling Amazon to remove it from their online storefront.

This leaves us with a chilling question: did the FDA knowingly suppress antioxidants useful for treating COVID-19 sepsis as part of a criminal conspiracy against the American public?

The establishment is cooperating with, and facilitating, the worst criminals in human history, and are actively suppressing non-vaccine treatments and therapies in order to compel us to inject these criminals’ products into our bodies. This is absolutely unacceptable.

COVID-19 Vaccine Development and Links to Transhumanism:

This section deals with some more speculative aspects of the pandemic and the medical and scientific establishment’s reaction to it, as well as the disturbing links between scientists involved in vaccine research and scientists whose work involved merging nanotechnology with living cells.

On June 9th, 2020, Charles Lieber, a Harvard nanotechnology researcher with decades of experience, was indicted by the DOJ for fraud. Charles Lieber received millions of dollars in grant money from the US Department of Defense, specifically the military think tanks DARPA, AFOSR, and ONR, as well as NIH and MITRE. His specialty is the use of silicon nanowires in lieu of patch clamp electrodes to monitor and modulate intracellular activity, something he has been working on at Harvard for the past twenty years. He was claimed to have been working on silicon nanowire batteries in China, but none of his colleagues can recall him ever having worked on battery technology in his life; all of his research deals with bionanotechnology, or the blending of nanotech with living cells.

The indictment was over his collaboration with the Wuhan University of Technology. He had double-dipped, against the terms of his DOD grants, and taken money from the PRC’s Thousand Talents plan, a program which the Chinese government uses to bribe Western scientists into sharing proprietary R&D information that can be exploited by the PLA for strategic advantage.

Charles Lieber’s own papers describe the use of silicon nanowires for brain-computer interfaces, or “neural lace” technology. His papers describe how neurons can endocytose whole silicon nanowires or parts of them, monitoring and even modulating neuronal activity.

Charles Lieber was a colleague of Robert Langer. Together, along with Daniel S. Kohane, they worked on a paper describing artificial tissue scaffolds that could be implanted in a human heart to monitor its activity remotely.

Robert Langer, an MIT alumnus and expert in nanotech drug delivery, is one of the co-founders of Moderna. His net worth is now $5.1 billion USD thanks to Moderna’s mRNA-1273 vaccine sales.

Both Charles Lieber and Robert Langer’s bibliographies describe, essentially, techniques for human enhancement, i.e. transhumanism. Klaus Schwab, the founder of the World Economic Forum and the architect behind the so-called “Great Reset”, has long spoken of the “blending of biology and machinery” in his books.

Since these revelations, it has come to the attention of independent researchers that the COVID-19 vaccines may contain reduced graphene oxide nanoparticles. Japanese researchers have also found unexplained contaminants in COVID-19 vaccines.

Graphene oxide is an anxiolytic. It has been shown to reduce the anxiety of laboratory mice when injected into their brains. Indeed, given SARS-CoV-2 Spike’s propensity to compromise the blood-brain barrier and increase its permeability, it is the perfect protein for preparing brain tissue for extravasation of nanoparticles from the bloodstream and into the brain. Graphene is also highly conductive and, in some circumstances, paramagnetic.

In 2013, under the Obama administration, DARPA launched the BRAIN Initiative; BRAIN is an acronym for Brain Research Through Advancing Innovative Neurotechnologies®. This program involves the development of brain-computer interface technologies for the military, particularly non-invasive, injectable systems that cause minimal damage to brain tissue when removed. Supposedly, this technology would be used for healing wounded soldiers with traumatic brain injuries, the direct brain control of prosthetic limbs, and even new abilities such as controlling drones with one’s mind.

Various methods have been proposed for achieving this, including optogenetics, magnetogenetics, ultrasound, implanted electrodes, and transcranial electromagnetic stimulation. In all instances, the goal is to obtain read or read-write capability over neurons, either by stimulating and probing them, or by rendering them especially sensitive to stimulation and probing.

However, the notion of the widespread use of BCI technology, such as Elon Musk’s Neuralink device, raises many concerns over privacy and personal autonomy. Reading from neurons is problematic enough on its own. Wireless brain-computer interfaces may interact with current or future wireless GSM infrastructure, creating neurological data security concerns. A hacker or other malicious actor may compromise such networks to obtain people’s brain data, and then exploit it for nefarious purposes.

However, a device capable of writing to human neurons, not just reading from them, presents another, even more serious set of ethical concerns. A BCI that is capable of altering the contents of one’s mind for innocuous purposes, such as projecting a heads-up display onto their brain’s visual center or sending audio into one’s auditory cortex, would also theoretically be capable of altering mood and personality, or perhaps even subjugating someone’s very will, rendering them utterly obedient to authority. This technology would be a tyrant’s wet dream. Imagine soldiers who would shoot their own countrymen without hesitation, or helpless serfs who are satisfied to live in literal dog kennels.

BCIs could be used to unscrupulously alter perceptions of basic things such as emotions and values, changing people’s thresholds of satiety, happiness, anger, disgust, and so forth. This is not inconsequential. Someone’s entire regime of behaviors could be altered by a BCI, including such things as suppressing their appetite or desire for virtually anything on Maslow’s Hierarchy of Needs.

Anything is possible when you have direct access to someone’s brain and its contents. Someone who is obese could be made to feel disgust at the sight of food. Someone who is involuntarily celibate could have their libido disabled so they don’t even desire sex to begin with. Someone who is racist could be forced to feel delight over cohabiting with people of other races. Someone who is violent could be forced to be meek and submissive. These things might sound good to you if you are a tyrant, but to normal people, the idea of personal autonomy being overridden to such a degree is appalling.

For the wealthy, neural laces would be an unequaled boon, giving them the opportunity to enhance their intelligence with neuroprosthetics (i.e. an “exocortex”), and to deliver irresistible commands directly into the minds of their BCI-augmented servants, even physically or sexually abusive commands that they would normally refuse.

If the vaccine is a method to surreptitiously introduce an injectable BCI into millions of people without their knowledge or consent, then what we are witnessing is the rise of a tyrannical regime unlike anything ever seen before on the face of this planet, one that fully intends to strip every man, woman, and child of our free will.

Our flaws are what make us human. A utopia arrived at by removing people’s free will is not a utopia at all. It is a monomaniacal nightmare. Furthermore, the people who rule over us are Dark Triad types who cannot be trusted with such power. Imagine being beaten and sexually assaulted by a wealthy and powerful psychopath and being forced to smile and laugh over it because your neural lace gives you no choice but to obey your master.

The Elites are forging ahead with this technology without giving people any room to question the social or ethical ramifications, or to establish regulatory frameworks that ensure that our personal agency and autonomy will not be overridden by these devices. They do this because they secretly dream of a future where they can treat you worse than an animal and you cannot even fight back. If this evil plan is allowed to continue, it will spell the end of humanity as we know it.

Conclusions:

The current pandemic was produced and perpetuated by the establishment, through the use of a virus engineered in a PLA-connected Chinese biowarfare laboratory, with the aid of American taxpayer dollars and French expertise.

This research was conducted under the absolutely ridiculous euphemism of “gain-of-function” research, which is supposedly carried out in order to determine which viruses have the highest potential for zoonotic spillover and preemptively vaccinate or guard against them.

Gain-of-function/gain-of-threat research, a.k.a. “Dual-Use Research of Concern”, or DURC, is bioweapon research by another, friendlier-sounding name, simply to avoid the taboo of calling it what it actually is. It has always been bioweapon research. The people who are conducting this research fully understand that they are taking wild pathogens that are not infectious in humans and making them more infectious, often taking grants from military think tanks encouraging them to do so.

These virologists conducting this type of research are enemies of their fellow man, like pyromaniac firefighters. GOF research has never protected anyone from any pandemic. In fact, it has now started one, meaning its utility for preventing pandemics is actually negative. It should have been banned globally, and the lunatics performing it should have been put in straitjackets long ago.

Either through a leak or an intentional release from the Wuhan Institute of Virology, a deadly SARS strain is now endemic across the globe, after the WHO and CDC and public officials first downplayed the risks, and then intentionally incited a panic and lockdowns that jeopardized people’s health and their livelihoods.

This was then used by the utterly depraved and psychopathic aristocratic class who rule over us as an excuse to coerce people into accepting an injected poison which may be a depopulation agent, a mind control/pacification agent in the form of injectable “smart dust”, or both in one. They believe they can get away with this by weaponizing the social stigma of vaccine refusal. They are incorrect.

Their motives are clear and obvious to anyone who has been paying attention. These megalomaniacs have raided the pension funds of the free world. Wall Street is insolvent and has had an ongoing liquidity crisis since the end of 2019. The aim now is to exert total, full-spectrum physical, mental, and financial control over humanity before we realize just how badly we’ve been extorted by these maniacs.

The pandemic and its response served multiple purposes for the Elite:
• Concealing a depression brought on by the usurious plunder of our economies conducted by rentier-capitalists and absentee owners who produce absolutely nothing of any value to society whatsoever. Instead of us having a very predictable Occupy Wall Street Part II, the Elites and their stooges got to stand up on television and paint themselves as wise and all-powerful saviors instead of the marauding cabal of despicable land pirates that they are.
• Destroying small businesses and eroding the middle class.
• Transferring trillions of dollars of wealth from the American public and into the pockets of billionaires and special interests.
• Engaging in insider trading, buying stock in biotech companies and shorting brick-and-mortar businesses and travel companies, with the aim of collapsing face-to-face commerce and tourism and replacing it with e-commerce and servitization.
• Creating a casus belli for war with China, encouraging us to attack them, wasting American lives and treasure and driving us to the brink of nuclear armageddon.
• Establishing technological and biosecurity frameworks for population control and technocratic-socialist “smart cities” where everyone’s movements are despotically tracked, all in anticipation of widespread automation, joblessness, and food shortages, by using the false guise of a vaccine to compel cooperation.

Any one of these things would constitute a vicious rape of Western society. Taken together, they beggar belief; they are a complete inversion of our most treasured values.

What is the purpose of all of this? One can only speculate as to the perpetrators’ motives, however, we have some theories.

The Elites are trying to pull up the ladder, erase upward mobility for large segments of the population, cull political opponents and other “undesirables”, and put the remainder of humanity on a tight leash, rationing our access to certain goods and services that they have deemed “high-impact”, such as automobile use, tourism, meat consumption, and so on. Naturally, they will continue to have their own luxuries, as part of a strict caste system akin to feudalism.

Why are they doing this? Simple. The Elites are Neo-Malthusians and believe that we are overpopulated and that resource depletion will collapse civilization in a matter of a few short decades. They are not necessarily incorrect in this belief. We are overpopulated, and we are consuming too many resources. However, orchestrating such a gruesome and murderous power grab in response to a looming crisis demonstrates that they have nothing but the utmost contempt for their fellow man.

To those who are participating in this disgusting farce without any understanding of what they are doing, we have one word for you. Stop. You are causing irreparable harm to your country and to your fellow citizens.

o those who may be reading this warning and have full knowledge and understanding of what they are doing and how it will unjustly harm millions of innocent people, we have a few more words.

Damn you to hell. You will not destroy America and the Free World, and you will not have your New World Order. We will make certain of that.

[please see the original pdf file for list of bibligraphical links]