Par ici la sortie.

Note du 21/02: suite de cet article ici.

Le cirque Corona replie la tente.

L’orchestre joue encore une dernière ritournelle, tandis que le public est gentiment dirigé vers la sortie. On range les chaises. On compte la recette.

Et les morts.

Ils ont fait le bilan de cette guerre-spectacle et comme dans toutes les guerres, ils ont examiné le chiffres des « pertes acceptables ». Pas les pertes acceptables maximum. Comme pour tout ce qu’ils ont dit, il faut en comprendre l’inverse: les pertes acceptables minimum. Voir notamment les chiffres publiés ici. Il faudra aussi y ajouter les vieux et les handicapés exécutés dans leurs homes, à la seringue, dont on entend plus beaucoup parler, ceux qui sont morts chez eux, ceux qu’on a tués dans les hôpitaux à coup de protocole inutile et dangereux et les effets retard encore à venir des injections (ici), dont la stérilité n’est pas le moindre. Et comment compter le nombre d’enfants qui ne naîtront jamais?

Ils ont dû juger que cette phase de l’opération avait donné tout ce qu’on pouvait en attendre. Quelqu’un a diffusé « omicron », qui n’est rien d’autre qu’un vaccin transmissible, et il n’est pas impossible que ce soit eux, pour clore cet épisode de leur guerre. Ils gardent comme outil la génération suivante de tests, dans lesquels ils ont déjà déplacé leurs pions. Ils commencent maintenant à revenir subrepticement sur leur discours pour se calquer sur ce que les « dissidents » clament depuis deux ans: les chiffres ne sont pas totalement exacts, les tests PCR ne sont finalement pas fiables, les « vaccins » ne sont pas tellement efficaces, les « boosters » ne doivent pas forcément être administrés aux enfants, etc. Puisqu’ils ont tous les droits, ils ont aussi celui de défaire officiellement l’édifice de mensonges qui leur a servi à mettre en place leur artillerie sanitaire, à éliminer leurs cibles et à persécuter les bonnes volontés. Comme ils l’ont toujours fait dans la dernière phase de toutes leurs guerres, ils se posent en sauveurs, tout en continuant à infliger le maximum de dégâts tout au long de leur manoeuvre de repli.

Si nous ne prenons pas les choses en main, il n’y aura pas de tribunal, pas de procès, pas de jugement, pas de sentence, comme cela leur a été promis par quelqu’un de vraisemblablement très haut placé. Si nous ne prenons pas les choses en main, ils passeront à l’étape suivante du programme, la cyberpandémie, qui leur permettra de parachever le camouflage du plus grand vol de l’Histoire et de nous mettre en esclavage.

Mais nous allons faire mieux que reprendre les choses en main.

Nous allons reprendre en main notre destin.

Et ils n’en font pas partie.

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