Le Covid était une opération de la NSA – par Elliott Freed.

Selon ma triste habitude, je publie un peu dans le désordre – du moins par rapport au programme annoncé. Vous verrez que ce n’est qu’un désordre apparent, le même qui règne sur mon bureau, mon navigateur, dans mes notes et ma vieille cervelle.

Voici non pas un, ni deux, mais trois articles de Elliott Freed en succession rapide, qui se complètent parfaitement. Après ça, décollez les yeux de vos écrans et profitez de ces premières magnifiques et généreuses journées de printemps – généreuses aussi en pollen, ce qu’auront remarqué les allergiques comme mon épouse, de retour de chez le pépiniériste les bras chargés de plants d’oeillet d’Inde (la liste de ses propriétés ici), dont le parfum lui a murmuré « c’est de moi dont tu as besoin, plante-moi dans ton jardin! »

Ce premier article, qui contrebalancera un peu cette très sévère critique de RFK Jr, parle du rôle du Renseignement dans la crise Covid – sujet déjà abordé par Katherine Watt et Sasha Latypova, donc simple rappel pour les lecteurs réguliers qui pourront directement passer à l’article suivant. Quoiqu’il en soit, je vous garantis l’extrême intérêt de ces lectures.

Je reprendrai l’analyse du rôle de RFK Jr et de celui du Dr Malone avec deux articles de Sage Hana et conclurai comme prévu cette série moi-même avec ce qui se passe réellement en coulisses de la grande opération en cours.

Je suivrai bientôt, c’est-à-dire dès que j’en aurai fini la (très longue) traduction, avec un article sur la véritable origine du SARS-CoV-2, qui vous laissera – excuse my French – sur le cul (original ici). La gestion de la « crise » Covid était en effet une opération militaire mais pas le virus.

Source.


Le Covid était une opération de la NSA

Une citation de RFK Jr.

Elliott Freed

16 mai

« Ce qui est étrange dans cette pandémie, c’est l’implication constante de la CIA, des agences de renseignement et de l’armée. Lorsque l’opération Warp Speed a été présentée au comité de la FDA appelé VRBPAC et qu’elle en a remis les organigrammes [NdT. cf. l’article susmentionné de Sasha], classifiés à l’époque, tout le monde a été choqué de voir qu’elle n’était gérée ni par le HHS, ni le CDC, ni le NIH, ni la FDA ni quelque agence de santé publique. Elle était gérée par la NSA, une agence d’espionnage qui a chapeauté et dirigé l’opération Warp Speed.

Les vaccins n’ont été développés ni par Moderna ni par Pfizer. Ils ont été développés par le NIH, qui en détient les brevets, au moins à 50%. Ils n’ont même pas été fabriqués par Pfizer ni par Moderna. Ils ont été fabriqués par des entreprises militaires. En fait, Pfizer et Moderna ont été payés pour apposer leur cachet sur ces vaccins comme s’ils provenaient de l’industrie pharmaceutique. Ce qui n’était pas le cas.

Dès le départ, il s’agissait d’un projet militaire.

J’ai dénombré 20 simulations différentes de coronavirus et de pandémies menées par le gouvernement. Elles ont commencé en 2001. La première a eu lieu juste avant les attaques à l’anthrax. Et chaque année, la CIA les a toutes sponsorisées. La dernière a été l’Événement 201 en octobre 2019. Et l’un des participants était Avril Haines, l’ancienne Directrice adjointe de la CIA, qui a organisé des opérations de dissimulation toute sa vie. Elle s’est occupée de Guantanamo Bay, entre autres. Elle est aujourd’hui Directrice du Renseignement National, ce qui fait d’elle l’officier le plus haut placé de la NSA – qui a géré la pandémie.

C’est donc une espionne qui organise ces simulations de pandémie et, dans chacune de ces simulations depuis 20 ans, ce n’est pas une réponse de santé publique qu’on simule. On ne réfléchit pas à des questions telles que: comment stocker de la vitamine D? Comment inciter les gens à sortir, à perdre du poids, à faire de l’exercice? Comment développer une grille d’information pour les 15 millions de médecins de première ligne dans le monde, afin de leur fournir des informations sur ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas? Rien de tout cela ne s’est produit. Nous avions une occasion incroyable de gérer une pandémie de manière intelligente, sensible et radicale contre la maladie, mais nous n’avons rien fait de tout cela.

À la place, tout s’est joué sur la façon d’utiliser une pandémie pour imposer la censure. Comment l’utiliser pour imposer le confinement?

À ce propos, tous les documents de préparation à la pandémie adoptés par les principales agences de santé publique, qu’il s’agisse du CDC, de l’OMS, de l’Agence de Santé européenne ou des services de santé nationaux de Grande-Bretagne, stipulaient qu’il ne fallait pas recourir à des confinements, qu’il fallait mettre les malades en quarantaine et protéger les personnes vulnérables. Et laisser tous les autres retourner au travail, car le confinement amplifie en fait l’impact de la maladie. En isolant les gens, on les rend plus vulnérables, on affaiblit leur système immunitaire. En les enfermant à l’intérieur, on propage le virus respiratoire.

Toutes les mesures qu’ils exercent visent à renforcer leur contrôle totalitaire ».

Robert F. Kennedy, Jr.

C’est en 2008 que j’ai entendu parler pour la première fois du projet de vaccination forcée de tous les habitants de la planète. Les personnes qui m’en ont parlé en avaient connaissance depuis les années 1990. Alex Jones et David Icke en parlent publiquement depuis au moins cette époque, comme d’autres. J’ai découvert par moi-même que l’objectif était l’insertion dans chaque individu de gènes modifiés, brevetés et propriété d’entreprises, afin de coloniser le génome, de s’approprier l’humanité et d’être en mesure de nous exploiter commercialement. La première fois que j’ai publié au sujet de ce programme, c’était sur Facebook en 2015.

Aujourd’hui, la vérité est révélée au monde entier.

On tente de la bloquer avec le projet de loi sénatoriale S686. Il s’agit officiellement du « Restrict Act« . Officieusement, on l’appelle le projet de loi sur l’interdiction de Tiktok. Si vous le lisez, vous constaterez qu’il s’agit du Patriot Act sous stéroïdes, adapté à l’ère numérique. Pour l’instant, le projet de loi n’avance pas très vite dans le processus législatif, mais restez vigilants.

https://www.congress.gov/bill/118th-congress/senate-bill/686/text

À partir de maintenant, considérez que tout ce que le gouvernement ou les entreprises, y compris la presse corporative, font ou disent fait partie d’une guerre de l’information.

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