La pathologisation de la raison, de la logique et du savoir mettra fin à la civilisation occidentale – par James Lyons-Weiler.

James Lyons-Weiler est un des premiers médecins à avoir pris la parole en public pour dénoncer les absurdités et dangers de la campagne de mesures sanitaires et vaccinations Covid-19. Je n’avais pas encore publié cet auteur sur ce blog, non par manque d’intérêt mais par manque de temps. Pour faire suite à mon article précédent qui traite du mécanisme bureaucratique de la prise de pouvoir mondiale via cartel Big Pharma, je vous propose aujourd’hui cette intéressante publication, une de celles qui aborde le mieux le sujet des nouvelles « mesures », c’est-à-dire la militarisation de la psychologie en mode communiste, dont l’objectif est d’encadrer et de faire passer en force les mesures « sanitaires » – donc, selon toute définition, la fin de la civilisation occidentale. Je ne saurai trop vous recommander à cet égard la lecture du bouquin de Vladimir Boukovski, « Et le vent reprend ses tours » (lisez au moins l’article en lien!) qui vous donnera une perspective historique sur les méthodes décrites dans cet article – je n’ai pas lu « Cette lancinante douleur de la liberté », du même auteur (cité dans mon article précédent), sûrement aussi intéressant.

Le point de vue du Dr Lyons-Weiler s’articule sur l’éthique de sa profession mais il s’agit en définitive d’une question de décision individuelle. Je suivrai donc cet article avec ma propre conclusion personnelle. A mon avis, un très mauvais exemple à suivre.

Source.


Traduction

La pathologisation de la raison, de la logique et du savoir mettra fin à la civilisation occidentale

Conformément ce qu’on trouve dans le manuel du PCC, selon certains, vous êtes désormais un malade mental si vous remettez en question le récit officiel. À partir de 2021, votre cerveau constitue le champ de bataille. Protégez-le à tout prix.

James Lyons-Weiler

17 mai

Un article complet gratuit, comme toujours, riche en liens vers des documents de référence.

Deux ans avant le COVID-19, j’avais prévenu que Big Pharma allait manœuvrer via nos institutions pour rendre obligatoires les médicaments psychotropes dans la population générale. Avec cet article, je tire à nouveau la sonnette d’alarme. Cette bataille concerne nos droits, oui, et nos cerveaux en constituent le champ de bataille.

Le savoir fondamental – la base de notre compréhension de la réalité – n’est pas seulement en voie de décomposition. Il est détruit, systématiquement, par ceux qui profitent grassement de l’ignorance imposée par la censure et la police de la pensée. Sans liberté d’expression, il ne peut y avoir de liberté de pensée. C’est l’un des arguments que Benjamin Franklin faisait valoir, sous le nom de Silence Dogood, lorsqu’il écrivait dans New England Courant (1722):

« Sans Liberté de Pensée, il ne peut y avoir de Sagesse, ni de Liberté Publique, sans la Liberté de Parole, qui est le Droit de chaque Homme, dans la mesure où par elle, il ne blesse pas ou ne contrarie pas le Droit d’un autre: Et c’est le seul Contrôle qu’elle doit subir, et les seules Limites qu’elle doit connaître.

« Ce Privilège sacré est si essentiel aux Gouvernements libres, que la Sécurité de la Propriété et la Liberté de Parole vont toujours de pair; et dans ces misérables Pays où un Homme ne peut s’approprier sa Langue, il ne peut guère s’approprier autre chose. Quiconque veut renverser la Liberté d’une Nation, doit commencer par soumettre la Liberté de Parole; une Chose terrible pour les Traîtres publics ».

Les réalités dont moi-même, et d’autres, avons fait état dès février 2020, sont aujourd’hui des faits évidents pour presque toute personne réfléchie. Au cours des deux dernières années, vos processus de pensée – votre compréhension – de la réalité des campagnes de désinformation sur le COVID-19, les vaccins COVID-19 et les traitements COVID-19 ont été pathologisés dans la littérature biomédicale dans une mesure difficile à imaginer. Cet article de #PopularRationalism fait la chronique de ce gaslighting [manipulation] en détail, cataloguant et caractérisant leurs diverses méthodes de pathologisation de la dissidence.

Le nombre d’articles, d’études, de lettres à la rédaction et de rapports de médias en ligne qui reflètent des processus de pensée de scepticisme rationnel et d’analyse critique de messages clairement frauduleux est stupéfiant.

Depuis le début de l’année 2020, des centaines de personnes déterminées à propager leur croyance et leur foi dans les messages trompeurs à facettes multiples de Fauci ont tenté de pathologiser (c’est-à-dire de faire passer pour une maladie psychiatrique clinique) la vigilance face au risque vaccinal. La vigilance face au risque vaccinal est l’une des expressions que j’ai proposées pour contrecarrer l’étiquette « anti-vaccinisme »; elle a été popularisée en 2015 par un commentaire de Del Bigtree sur The Highwire. La vigilance face au risque vaccinal correspond à la connaissance du risque vaccinal associée à la connaissance des programmes destinés à minimiser la perception du risque par le public.

Il semble exister de multiples méthodes pour pathologiser la vigilance face au risque vaccinal – et avec celle-ci, la pathologisation des meilleurs outils dont notre société dispose pour établir les bases rationnelles et scientifiques d’un avenir stable. D’après mon examen approfondi de la question, ces méthodes sont les suivantes:

  • L’attribution de signes de maladie mentale au scepticisme à l’égard des vaccins. Parmi les meilleurs exemples, citons un rapport publié en avril 2020 par l’Université de Manchester, au Royaume-Uni, qui affirmait que les enfants de malades mentaux étaient moins susceptibles d’être vaccinés. L’article affirmait qu’étant donné qu’1/4 des mères au Royaume-Uni sont atteintes de maladies mentales, 1/4 des enfants au Royaume-Uni pourraient poser un risque. Le rapport ne semble pas autrement s’alarmer de ses propres statistiques selon lesquelles 1/4 des mères au Royaume-Uni souffriraient de troubles mentaux.
  • La psychologie de salon. Cela est illustré par des articles qui énumèrent – et apparemment inventent de toutes pièces – des « faits » concernant ceux qui comprennent mieux que d’autres les risques et le manque de bénéfices des vaccins COVID-19 – comme « The 9 psychological barriers that lead to COVID-19 vaccine hesitancy and refusal » [Les 9 barrières psychologiques qui conduisent à l’hésitation et au refus du vaccin COVID-19] paru dans The Conversation (29 septembre 2021). Parmi les barrières « psychologiques » énumérées? La méfiance à l’égard des ingrédients. « Crise de confiance ». « Dépendance et évitement des conflits ». « Sentiment de rejet et d’exclusion ». « Anxiété et déni ». « Sentiment d’impuissance ». Lisez l’article et voyez si vous êtes d’accord avec moi – ce ne sont pas des barrières psychologiques. « Sentiment de rejet et d’exclusion? » Oui, en gros, si on se fait virer de son travail ou exclure de sa communauté par la majorité des gens vaccinés, qui maintenant continuent à attraper et à propager le COVID-19, on ressentira en premier un sentiment de rejet et d’exclusion parce que c’est bien ce qui nous arrive. Toute crise de confiance est en réalité un problème pour ceux qui perpétuent l’arnaque.
  • « Études » attribuant directement la vigilance face au risque vaccinal à une maladie mentale. Un bon exemple se trouve dans l’article de synthèse « Psychological factors affecting COVID-19 vaccine hesitancy » [Facteurs psychologiques influant sur l’hésitation à recevoir le vaccin COVID-19] (mai 2021, Irish Journal of Medical Science). Les auteurs écrivent:
    « Le concept d' »hésitation vaccinale » est considéré par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) comme « l’une des dix principales menaces pour la santé mondiale. » On se pose la question de savoir si l’épidémie de COVID-19, qui peut être définie comme une situation d’urgence globale, permettra de résoudre le problème du rejet des vaccins, une préoccupation pour la santé publique depuis quelques décennies [3]. La plupart des publications actuelles sur l’hésitation et la résistance aux vaccins se concentrent sur les causes évidentes exprimées par des individus contre un vaccin particulier ou contre les programmes de vaccination en général [4]. L’identification des processus psychologiques qui distinguent les individus hésitants et résistants aux vaccins des individus réceptifs aux vaccins constituera une approche directrice [5]. Cette approche peut également offrir la possibilité d’adapter les messages de santé publique en fonction des tendances psychologiques de ces individus [6]. À ce jour, de nombreuses structures psychologiques ont été étudiées en rapport avec l’hésitation vaccinale. Par exemple, les croyances altruistes [7]; les traits de personnalité que sont le névrosisme et la conscienciosité [8]; les croyances conspirationnistes, religieuses et paranoïaques [9]; la méfiance à l’égard des membres autorisés de la société tels que les représentants du gouvernement, les scientifiques et les professionnels de la santé ont été associés à des attitudes négatives envers les vaccins [12]. »
    Notez que les cibles désignées sont « les structures psychologiques ». Les auteurs omettent d’explorer ou de relayer la légitimité du fondement de l’un ou l’autre de ces facteurs, notamment la méfiance bien méritée envers ce qu’ils appellent les « membres autorisés de la société »… des autorités dont il a été démontré qu’elles ont tout faux sur pratiquement toutes les connaissances qu’elles ont tenté de revendiquer. Leur panoplie de prétendues psychoses liées au risque vaccinal est elle-même déconnectée de la réalité: la plupart de leurs exemples montrent chez eux un biais de confirmation basé sur une fausse présomption de sécurité des vaccins.
    Un autre exemple est l’article paru dans BMJ Open qui établit un lien entre « l’hésitation vaccinale » et les traumatismes de l’enfance. Je vais d’abord résumer la façon dont j’interprète les résultats: Les personnes qui ont subi un traumatisme dans leur enfance sont moins faciles à manipuler. Ce n’est pas une surprise. Encore une fois, les auteurs préconisent une manipulation de la perception, sans s’attaquer à ce qui fait problème dans les vaccins ou aux études qui occultent l’efficacité des traitements précoces:
    « Il est urgent de mieux comprendre comment accroître leur confiance dans les systèmes de santé et leur respect des recommandations sanitaires. Si l’on ne réfléchit pas à la meilleure façon d’impliquer ces personnes, certaines risquent d’être effectivement exclues des interventions de santé publique, de rester exposées à des risques d’infection plus élevés et de poser un risque potentiel de transmission à d’autres. » –BMJ
    On peut citer d’autres exemples, notamment ceux d’un Numéro Spécial du Journal Vaccines du MDPI, consacré aux “Aspects psychologiques de l’adoption du vaccin COVID-19: Principes et stratégies empiriques« , sous la direction de Efrat Neter (Israël) et Karen Morgan (Royaume-Uni). Leur article stipule, entre autres, que:
    « Comme vous le savez tous, le développement d’un vaccin contre le COVID19 est notre meilleur espoir de lutter efficacement contre l’épidémie mondiale actuelle.
    Cependant, il ne suffit pas de mettre au point un vaccin efficace (ou plusieurs): Encore faut-il que les gens reçoivent réellement le vaccin. Afin de parvenir à une compréhension plus approfondie des connaissances scientifiques récentes qui s’appliquent à d’éventuels vaccins liés au COVID-19 (c’est moi qui souligne), ce numéro spécial se concentrera sur les questions essentielles, les défis, les réussites et les nouvelles façons de considérer la prise d’un vaccin contre le COVID-19.« 
    Pourquoi ne pas plutôt résoudre les problèmes relatifs aux vaccins? Il ne fait guère de doute que la revue ne publiera jamais un article qui rapporte les faits suivants: (a) que l’hypothèse explicite de la justification du Numéro Spécial est frauduleuse (voir c19study.com), (b) le fait de manipuler les gens pour qu’ils acceptent un vaccin pire qu’inutile est discutable et hautement contraire à l’éthique, et en fait irresponsable – comme le prouvent toutes les données du monde réel sur l’efficacité négative, et les résultats du Dr Fantini sur la facilitation de l’infection par anticorps.
    Voici un autre exemple  » d’étude  » qui met en avant des facteurs psychologiques derrière la vigilance face au risque vaccinal (pardon, je veux dire  » l’hésitation vaccinale « ): Pas de vaccination psychologique: L’hésitation vaccinale est associée à des réactions psychiatriques négatives chez les Israéliens ayant reçu le vaccin COVID-19. Les auteurs affirment que leurs résultats démontrent que chez les personnes vaccinées, des niveaux plus élevés d’hésitation vaccinale étaient liés à un niveau plus élevé d’anxiété, de dépression et de détresse péritraumatique. C’est une « étude » étrange parce que la véritable vigilance face au risque vaccinal n’est pas représentée dans leur échantillon (les participants à l’étude étaient tous vaccinés), et les auteurs semblent avoir aboli la loi de la causalité: si des personnes vaccinées deviennent « hésitantes face au vaccin » et souffrent d’une anxiété nouvelle, d’une dépression nouvelle ou d’une détresse péritraumatique, ne peut-on pas raisonnablement considérer le vaccin comme un facteur contribuant à ces états mentaux? Les conclusions complètes des auteurs:
    « Les résultats démontrent que chez les personnes vaccinées, des niveaux plus élevés d’hésitation vaccinale étaient liés à un niveau plus élevé d’anxiété, de dépression et de détresse péritraumatique. Ces résultats soutiennent l’idée que le fait d’avoir des attitudes ambivalentes à l’égard de la vaccination est lié à la morbidité de la santé mentale (Fusick et al., 2020). En outre, il semble que le fait de recevoir des vaccins COVID-19 n’élimine pas l’effet de l’hésitation vaccinale sur la morbidité psychiatrique, et que certains individus qui déclarent une hésitation vaccinale continuent, malgré leur décision de recevoir le vaccin, à manifester des niveaux cliniques d’anxiété, de dépression et de stress, peut-être en raison de leurs craintes concernant la sécurité et les effets à long terme du vaccin (Palamenghi et al., 2020). »
    Quelle contorsion de la logique. La logique la plus élémentaire et la plus simple nous dit que lorsqu’on annonce à des personnes vaccinées qu’elles continueront à devoir se masquer, qu’elles devront continuer à se faire vacciner encore et encore, après leur avoir promis un retour à la normale, beaucoup, si ce n’est la plupart des gens, se sentiront angoissés, mis au pied du mur et manipulés.
  • Ré-ré-étiquetage. Les articles décrivant la résistance aux vaccins comme une « hésitation vaccinale » sont bien connus, mais saviez-vous qu’on tente de changer cette terminologie en « anxiété vaccinale »?
    Voici un article de septembre 2021 qui suggère que « les manifestants anti-vaccins sont habités par une anxiété existentielle« , citant un psychologue de l’Université Acadia (Joseph Hayes) qui suggère également que la meilleure façon de convaincre les personnes qui protestent contre les obligations vaccinales du COVID-19 est de « promouvoir l’idée que se faire vacciner aidera les gens à retrouver leurs libertés d’avant la pandémie » ainsi que « la valeur personnelle ou le caractère héroïque » de la vaccination. Bien sûr, nous savons tous maintenant que les vaccins COVID-19 n’empêchent pas la propagation du SARS-CoV-2, et Hayes n’est pas au courant des conclusions du Dr Fantini selon lesquelles la vaccination contre le variant de Wuhan pourrait, après Bêta, entraîner la facilitation de l’infection par anticorps. Hayes est un psychologue qui étudie certains aspects intéressants de la façon dont les gens réagissent aux menaces, mais il n’est ni vaccinologue, ni épidémiologiste, ni virologue, ni biologiste de l’évolution. Cette personne entend parler de choses qui dépassent son domaine d’expertise, fait la promotion de la manipulation, et décrit la notion de liberté individuelle comme une incitation à s’exposer à des risques qui étaient, en septembre 2021, tout à fait évidents.
    Cette tendance à rebaptiser le scepticisme rationnel en « anxiété » associe des cas d’anxiété clinique existante (établie) au refus du vaccin. Voici un article d’Ilene Rush, essayiste indépendante et auteur de fiction: « Comment gérer l’anxiété liée au vaccin contre le coronavirus« . Elle écrit que « Alors que la vaccination généralisée offre le meilleur espoir de mettre fin à la pandémie de COVID-19, des facteurs de stress liés à la santé mentale (appelons-les anxiété liée au vaccin COVID) découragent certaines personnes de se faire vacciner. » Rush cite ainsi Thea Gallagher, PsyD, professeur adjoint et directeur de la clinique externe du Centre de Traitement et d’Étude de l’Anxiété (Clinic at the Center for the Treatment and Study of Anxiety – CTSA) de la Perelman School of Medicine de l’Université de Pennsylvanie : « La meilleure façon de combattre l’hésitation vaccinale causée par l’anxiété est de s’appuyer sur des données fiables » – en d’autres termes, il faut accepter le récit malgré les études frauduleuses qui « montrent » prétendument que l’ivermectine n’est pas efficace; malgré le fait que les données d’Israël, du comté de Barnstable et d’ailleurs ont montré une efficacité négative, et malgré (encore) les résultats remarquables du Dr Fantini qui montrent que la facilitation de l’infection par anticorps se manifeste depuis décembre 2020 – dès le début du programme de vaccination.
    Mme Gallagher pense détenir la solution à l’anxiété vaccinale. D’abord, elle préconise de citer des « sites fiables » pour obtenir des « informations valables »…
    « Parmi les sites fiables qu’elle recommande pour obtenir des informations valables figurent les Centers for Disease Control, qui s’efforcent de publier des données claires aussi rapidement que possible. Vous pouvez également vous référer à un spécialiste des maladies infectieuses de confiance, comme le Dr Anthony Fauci, ou à un expert en vaccins, comme Paul Offit, MD. Ou encore, contactez votre propre médecin ou un spécialiste des maladies infectieuses en qui vous avez confiance pour parler de vos craintes. »
    Je doute que le sophisme invoqué ici ait besoin d’être expliqué.
    Elle propose ensuite d’autres « conseils » pour « combattre l’anxiété » suscitée par le vaccin COVID, notamment, littéralement, selon ses indications, en restreignant votre pensée (bien sûr):
    •  » Freinez votre imagination (c’est moi qui souligne): L’anxiété liée au vaccin COVID est souvent alimentée par des scénarios imaginaires qui envisagent tout ce qui pourrait mal tourner. Par exemple, si vous craignez de vous faire vacciner par crainte d’une réaction allergique, consultez les faits: une étude sur le vaccin Pfizer a montré que des réactions allergiques surviennent environ 11,1 fois par million de patients. Sachez qu’avant de recevoir un vaccin, vous devez remplir un questionnaire sur vos antécédents de réactions allergiques à des injections antérieures. (c’est moi qui souligne). De plus, on vous demandera de demeurer au centre de vaccination pendant 15 à 30 minutes pour s’assurer que aucune réaction ne se produise. « (JLW: « Freinez votre imagination » signifie « n’utilisez pas les pouvoirs d’inférence logique que nous utilisons normalement: Si cela arrive aux autres, cela peut m’arriver à moi ».
      En ce qui concerne l’allergie, il est ironique de constater que cette dame est médicalement négligente si on se réfère au tableau 4 du CDC. Si vous suivez ses conseils, vous serez tout de même vacciné, sans avoir à vous soucier des problèmes chroniques à long terme liés à l’anaphylaxie qui survient chez certaines personnes après la vaccination).
    •  » Faites une analyse risques-avantages: Penser au vaccin en termes de risques par rapport aux avantages peut aider à recadrer votre anxiété liée au vaccin COVID puisque les risques de contracter le COVID-19 sont bien pires que tout risque posé par les vaccins. « Rappelez-vous que les femmes enceintes reçoivent actuellement le vaccin parce que les risques du coronavirus sont bien pires que de se faire vacciner », déclare Mme Gallagher.
      Elle ignore ici le fait que toute analyse risque-bénéfice sur les vaccins et la santé publique exige une correspondance parfaite entre le discours relatif au risque et le risque réel lui-même. Tout indique que le déni du risque, des blessures et des décès liés aux vaccins et la minimisation de la perception du risque sont les modes opératoires utilisés pour accroître l’utilisation des vaccins.
    • Restez dans l’instant présent: En termes pratiques, M. Gallagher suggère d’établir un programme clair : prévoyez comment et quand vous vous rendrez au centre de vaccination, comment vous vous ferez vacciner, comment vous vous assiérez après pour attendre toute réaction négative.  » Travaillez sur ce que vous devez faire pour franchir chaque étape et évitez d’anticiper le pire « , conseille-t-elle.
      Après vous avoir dit de renoncer à vos propres prévisions, elle vous explique ensuite ce que vous êtes autorisé à faire en matière d’imagination, de prévision et de planification. Incroyable.
      Elle recommande ensuite une thérapie, complétant ainsi le message de pathologisation (si vous n’êtes pas d’accord avec le discours dominant, il y a quelque chose qui ne tourne pas rond chez vous et vous avez besoin d’une aide clinique):
      « Si l’anxiété continue à vous empêcher de vous faire vacciner, ou si vous avez fait toutes les recherches nécessaires auprès de sources fiables et que vous avez encore trop peur pour vous faire vacciner, ou si vous avez pris un rendez-vous et que vous l’avez évité, alors vous avez peut-être besoin de consulter un thérapeute », dit-elle.
  • Mettre l' »anxiété liée aux vaccins » sur le compte de la « désinformation ». Le Journal of Family Medicine and Primary Care a publié une lettre à la rédaction intitulée  » La désinformation induit des anxiétés et des peurs affectant les programmes de vaccination  » rédigée par deux auteurs. Ces auteurs attribuent « l’hésitation à se faire vacciner » au fait que
    « des niveaux élevés de dispositions psychologiques telles que (i) la sensibilité aux aiguilles et au sang (anxiété), (ii) le besoin de résolution cognitive (manque de tolérance à l’ambiguïté) et (iii) le désir de pureté morale (sentiments de dégoût) sont liés à la désinformation et à l’hésitation vaccinale. Les personnes des deux premiers groupes étaient plus sensibles à la désinformation sur les vaccins, et le troisième groupe était moins susceptible d’être affecté par la désinformation. Si le refus ou l’hésitation à se faire vacciner peuvent être associés aux facteurs mentionnés, certains facteurs émotionnels peuvent être à l’origine de l’hésitation, comme le fait de choisir de subir les conséquences négatives du rejet plutôt que les effets indésirables de la vaccination. »
    et ils suggèrent que
    « La psychologie sociale peut jouer un rôle important dans la transformation des attitudes et de la perception des gens, en leur rappelant les normes sociales qui définissent que les gens considèrent que se faire vacciner est une norme et en utilisant les théories de la psychologie sociale pour modifier le comportement des gens. »
    Encore une fois, leur solution consiste à gérer la perception du risque, mais ne fait rien pour atténuer le risque réel. Tout ce qu’ils ont à proposer, c’est le négationnisme. Et dans celui-ci, le fait de « subir les conséquences négatives du rejet plutôt que les effets indésirables de la vaccination  » est présenté comme un risque de propagation du COVID-19. Si les gens comprennent les risques, le coût des « conséquences négatives du rejet » cité doit être considéré comme faible par rapport au coût des effets indésirables aigus et chroniques. Comment cela pourrait-il être le cas, si le monde est entièrement noyé dans la désinformation sur les risques liés aux vaccins?
  • Amalgamer la raison et la logique fondées sur la connaissance des droits personnels avec les processus de pensée affectifs. Le NYTimes et la revue Becker Hospital ont tous deux exhumé une étude de 2017 intitulée « Association of moral values with vaccine hesitancy » (association des valeurs morales avec l’hésitation vaccinale) qui faisait état d’associations significatives entre les notions de pureté et de liberté et l’hésitation. Plutôt que d’applaudir la connaissance des parents de leurs droits au consentement éclairé et des droits constitutionnels à l’autonomie corporelle, Becker’s Hospital Review explique qu’ « Il s’agit de croyances, pas de connaissances: Un ensemble de traits psychologiques lié au scepticisme à l’égard des vaccins » et le New York Times rapporte que « Le scepticisme à l’égard des vaccins était considéré comme un problème de connaissances. Il s’agit en fait de croyances viscérales. L’identification de ces traits psychologiques pourrait aider les responsables de la santé à convaincre la minorité non négligeable d’Américains qui ne veulent pas d’un vaccin contre le coronavirus. Le simple partage de l’information n’a pas fonctionné.« 
    Considérer la connaissance de ses propres droits comme des « croyances psychologiques profondément ancrées » est une considération sans appel. Elle obéit au modèle dans lequel l’une des parties à un débat tente d’orienter la discussion vers le domaine émotionnel en provoquant son adversaire. L’approche du NYTimes reprise par Becker Hospital Review est subtile: qualifier la connaissance des droits d’une personne d' »intuition morale » – affective, non fondée sur le fait de la loi – afin de pouvoir la dépeindre comme fallacieuse.
    Tiré du texte de Becker:
    « En 2018, des scientifiques ont trouvé des schémas similaires dans un large échantillon de personnes hésitant à se faire vacciner dans 24 pays.
    À la base, il y a ces intuitions morales – ces sentiments instinctifs – et elles sont très fortes’, a déclaré Jeff Huntsinger, PhD, un psychologue social à l’Université Loyola de Chicago… ‘Il est très difficile de les neutraliser avec des faits et des informations. On ne peut pas les raisonner de cette façon.' »
    Vous voulez dire que vous ne pouvez pas combattre les faits avec des mensonges, Jeff?
    Pour faire simple, le programme de manipulation de la perception des risques liés aux vaccins a échoué. Chacune des ressources citées partait de la fausse prémisse « Tout le monde sait que les vaccins COVID-19 sont le meilleur moyen de revenir à la normale » ou d’une formule similaire – certaines dataient même d’avant la mise au point des vaccins – pour ensuite dépeindre comme mentalement déficient quiconque montre l’une des compréhensions personnelles suivantes de l’équation risques/bénéfices:
    (a) le risque relatif de la vaccination est plus élevé que le bénéfice personnel de la vaccination, ou
    (b) le risque de la vaccination n’est pas suffisamment connu et/ou le bénéfice personnel potentiel n’est pas suffisamment connu, ou
    (c) ma perception et ma compréhension du risque de la vaccination ou du bénéfice de la vaccination ont été manipulées, et je n’ai donc pas confiance dans les allégations de bénéfice > risque, ou
    (d) ma perception et ma compréhension du risque ou du bénéfice de la vaccination reposent sur des informations solides, car j’ai fait preuve de diligence raisonnable et trouvé d’autres preuves ignorées par ceux qui promulguent le récit officiel.
    Toute personne assumant ces positions dispose d’un argument parfaitement rationnel pour refuser les vaccins COVID-19 en se basant sur des connaissances, la logique et la raison. Où vous situez-vous? Envoyez un commentaire ci-dessous.
    Tout ceci est un élément de la grande bataille pour le contrôle de notre pensée.
    Les oligarques aux commandes qui ont remplacé la médecine allopathique occidentale par le système de Santé Publique considèrent comme nécessaire la bataille visant à faire de la pensée rationnelle et de l’inférence un trouble psychologique, faute de quoi leurs chers programmes de vaccination ne pourront pas se poursuivre. Ils jouent la carte de l’incompréhension face à la spirale descendante de la confiance du public envers le CDC. Comme je l’ai expliqué ailleurs, chaque personne blessée, chaque parent ou enfant tué par des vaccins éveille davantage de personnes à la responsabilité légitime de faire ses propres choix de santé sur la base d’informations vérifiées. La confiance du public dans les « autorités » a disparu parce que celles-ci ont trahi cette confiance, à maintes reprises; l’utilisation de propagande ouverte à propos du COVID-19 a fortement renforcé la méfiance à l’égard des CDC, de l’industrie pharmaceutique et des médias.
    Leur avant-dernière tactique est la suivante: « maintenant, si vous n’êtes pas d’accord avec les récits dominants, vous êtes un malade mental ».
    Leur dernière tactique sera d’accuser les personnes qui décident de ne pas se faire vacciner de mettre en danger la santé mentale et la vie des autres. Il s’agit d’une tactique tirée du « premier programme de santé mentale » de la Chine, qui habilite le PCC à poursuivre un individu accusé de mettre en danger la santé mentale d’autrui.
    Une fois achevée la pathologisation de la logique et de la raison, nous verrons une nouvelle société dans laquelle les gens ne pourront pas aller à l’école, travailler, se marier, avoir des enfants, etc. à moins de passer le test de « croyance et compréhension normatives » de l’État. Ils seront bourrés de psychotropes, soumis à une rééducation visant à « normaliser » leurs processus cognitifs. L’utilisation de médicaments psychotropes aux États-Unis atteint des sommets – en 2012, l’APA a indiqué qu’un citoyen américain adulte sur cinq, soit 20 %, utilise aujourd’hui au moins une forme de médicaments psychotropes. Depuis, cette estimation a fluctué chaque année, jusqu’en 2021, date à laquelle les CDC ont indiqué qu’un Américain adulte sur cinq utilisait au moins une forme de médicament psychotrope « dans le contexte du COVID-19 » (soit une augmentation de 6,5 % par rapport aux années précédentes). Il ne fait aucun doute que l’industrie pharmaceutique est en train de ronger son frein pour trouver des moyens de faire figurer le reste d’entre nous – les 80% qui ne prennent pas encore de médicaments psychotropes – sur leur liste de consommateurs.
    Pendant ce temps, l’Organisation Mondiale de la Santé a fait de l’un de ses 30 points sur les considérations de santé mentale un décret selon lequel tous devraient « Assurer la disponibilité des médicaments psychotropes essentiels et génériques à tous les niveaux de soins de santé« .
    Le fait d’associer le scepticisme rationnel à un état clinique traitable n’est qu’un premier pas vers l’application clinique de modes de cognition spécifiques. C’est ce que nous ont enseigné de nombreuses œuvres de science-fiction, notamment le Brave New World d’Aldous Huxley et 1984 de George Orwell.
    De toute évidence, les mondialistes et leurs alliés de la Santé Publique n’ont pas été notifiés. Ces histoires dystopiques de science-fiction ont été présentées par leurs auteurs comme des avertissements, et non comme des recommandations.
    Vous aimez ce que vous avez lu? Envisagez de suivre des cours d’un semestre complet avec le Dr Lyons-Weiler et d’autres professeurs de l’IPAK-EDU! Les inscriptions sont ouvertes pour le trimestre d’été et les semestres d’automne! Vous ne le regretterez pas!

Texte original

The Pathologization of Reason, Logic and Knowledge Will End Western Civilization

Pulling a page from the CCP playbook, according to some, now you’re mentally ill if you question the official narrative. From 2021 onward, your brain is the battlefield. Protect it at all costs.

James Lyons-Weiler

May 17

A free full article, as always, full of links to reference material.

Two years before COVID-19, I warned that Pharma would work via our institutions toward mandating psychotropic medicines for the general population. With this article, I am ringing that alarm bell again. This a battle over rights, yes, and our brains are the battlefield.

Foundational knowledge – the basis of our understanding of reality – is not just in decay. It is being destroyed, systematically, by those who profit massively from imposed ignorance via censorship and the thought police. Without freedom of speech, there can be no freedom of thought. That’s one of the points that Benjamin Franklin made, writing as Silence Dogood, when he penned in the New England Courant (1722):

“Without Freedom of Thought, there can be no such Thing as Wisdom; and no such Thing as publick Liberty, without Freedom of Speech; which is the Right of every Man, as far as by it, he does not hurt or controul the Right of another: And this is the only Check it ought to suffer, and the only Bounds it ought to know.

“This sacred Privilege is so essential to free Governments, that the Security of Property, and the Freedom of Speech always go together; and in those wretched Countries where a Man cannot call his Tongue his own, he can scarce call any Thing else his own. Whoever would overthrow the Liberty of a Nation, must begin by subduing the Freeness of Speech; a Thing terrible to Publick Traytors.”

The realities that I, and others, had been reporting on as early as February 2020 are now vividly obvious as fact to nearly any thinking individual. During the past two years, your thought processes – your knowledge – your understanding – of the reality of disinformation campaigns about COVID-19, COVID-19 vaccines, and COVID-19 treatments has become pathologized in the biomedical literature to an extent that is difficult to imagine. This #PopularRationalism article chronicles that gaslighting in detail cataloging and characterizing their various methods of pathologizing dissent.

The number of articles, studies, letters to the editor, and online medium reports that represent thought processes of rational skepticism and critical analysis of clearly fraudulent messaging is stunning.

From early 2020 onward, hundreds of individuals bent on spreading their belief and faith in Fauci’s multifaceted misleading messaging attempted to pathologize (that is, turn into clinical psychiatric disease) vaccine risk awareness. Vaccine risk awareness is one of phrases I offered to counter the label “anti-vaccinism”; it was made popular in 2015 by a mention by Del Bigtree on The Highwire. Vaccine risk awareness is the knowledge of vaccine risk coupled with the knowledge of programs designed to minimize the public’s perception of risk).

There seem to be multiple approaches to the pathologization of vaccine risk awareness – and with it the best tools we have as a society for a rational and scientific basis for a stable future. Based on my deep dive into the issues, these include:

  • Association of mental illness with vaccine skepticism. The best examples of this include an April 2020 report from the UK’s University of Manchester that claimed that children of mentally ill others are less likely to be vaccinated. The article claimed that since 1/4 of mothers in the UK are mentally ill, 1/4 of the children in the UK could be a risk. The report did not seem to be bothered by their own statistic that 1/4 of mothers in the UK are mentally ill.
  • Armchair Psychology. This is exemplified by articles that list – and apparenly just make up out of thin air – “facts” about those who understand better than others the risks and lack of benefit of COVID-19 vaccines – such as “The 9 psychological barriers that lead to COVID-19 vaccine hesitancy and refusal” from TheConversation (Sept 29, 2021). Among the “psychological” barriers listed? Mistrust of ingredients. “Crisis of confidence”. “Dependency and conflict avoidance”. “Sense of rejection and exclusion”. “Anxiety and denial”. “Feeling of helplessness”. Read the article and see if you agree with me – these are not psychological barriers. “Sense of rejection and exclusion?” Yes, pretty much if you’re fired from your job or excluded from your community by the majority who vaccinated – and who now still get and spread COVID-19, you’re going to initially feel a sense of rejection and exclusion because that’s what the f- happened to you. Any crisis of confidence is really a problem for those perpetuating the con.
  • “Studies” attributing vaccine risk awareness directly to mental illness.
    A good example is the review article “Psychological factors affecting COVID-19 vaccine hesitancy” (May 2021, Irish Journal of Medical Science). The authors write:
    “The concept of “vaccine hesitancy” is seen by the World Health Organization (WHO) as “one of the top ten threats to global health.” It is wondered whether the COVID-19 outbreak, which can be defined as a global and emergency situation, will solve the vaccine rejection problem that is worrying for public health for the last few decades [3]. Most of the current literature on vaccine hesitancy and resistance focuses on the clear causes individuals exhibit against a particular vaccine or vaccination programs in general [4]. Identifying psychological processes that distinguish vaccine-hesitant and resistant individuals from vaccine-sensitive individuals will be a guiding approach [5]. This approach may also provide the opportunity to adapt public health messages in accordance with the psychological tendencies of these individuals [6]. To date, many psychological structures have been investigated in relation to vaccine hesitancy. For example, altruistic beliefs [7]; personality traits neuroticism and conscientiousness [8]; conspiracy, religious, and paranoid beliefs [9]; distrust of authorized members of society such as government officials, scientists, and healthcare professionals have been associated with negative attitudes towards vaccines [12].”
    Note the target is “psychological structures”. The authors fail to explore or relay the legitimacy of the basis of any of these factors, notably the well-earned mistrust of what they call “authorized members of society”… the authorities who have been shown to be wrong on just about every knowledge claim they have tried to make. Their mixed bag of alleged vaccine-risk related psychoses themselves are detached from reality: most are examples of confirmation bias based the false presumption of vaccine safety.
    Another example is the article in BMJ Open that linked “vaccine hesitancy” to childhood trauma. I’ll summarize how I interpret the results first: People who have experienced childhood trauma are less easy to gaslight. No surprise there. Again, the authors suggest perception manipulation, not correcting what’s wrong with the vaccines or the studies hiding early treatment efficacy:
    “A better understanding of how to increase their trust in health systems and compliance with health guidance is urgently required. Without consideration of how best to engage such individuals, some risk being effectively excluded from population health interventions, remaining at higher risks of infection and posing a potential transmission risk to others.”  -BMJ
    Other examples include those in an entire Special Issue of the MDPI Journal Vaccines to “Psychological Aspects of COVID-19 Vaccine Uptake: Principles and Empirical Strategies”, with Editors Efrat Neter (Israel) and Karen Morgan (UK). Their call for papers reads, in part:
    “As you are all well aware, developing a vaccine for COVID19 is our best hope for successfully confronting the current global epidemic. However, coming up with an effective vaccine (or several of them) is not enough: People need to actually take the vaccine. To achieve a more extensive understanding of recent scientific knowledge as it applies to possible COVID19-related vaccines (emphasis added), this Special Issue will focus on the critical issues, challenges, successes, and new ways of thinking about uptake of a COVID-19 vaccine.”
    How about fixing what’s wrong with the vaccines? There is little doubt that the journal would ever publish any paper that reports the facts (a) that the explicit assumption for the justification of the Special Issue has been shown to be false (see c19study.com), (b) the fact that manipulating people into taking a worse-than-useless vaccine moot and is highly unethical and is, indeed reckless – as evidenced by all of the real-world data on negative efficacy, and Dr. Fantini’s results on antibody dependent enhancement.
    Another example of a “study” that points to psychological factors determining vaccine risk awareness (I’m sorry, I meant “vaccine hesitancy”) is: No psychological vaccination: Vaccine hesitancy is associated with negative psychiatric outcomes among Israelis who received COVID-19 vaccination. The authors claim that their results demonstrate that among vaccinated individuals, higher levels of VH were related to higher level of anxiety, depression and peritraumatic distress. It’s a weird “study” because, well, true vaccine risk awareness is not represented in their sample (the study participants were all vaccinated), and the authors seem to have suspended the law of causality: if people are vaccinated and become “vaccine hesitant” and have new anxiety, new depression, or are suffering from peritraumatic distress, might one reasonably look to the vaccine as a potential contributor to these mental states? The authors’ full conclusions:
    “The results demonstrate that among vaccinated individuals, higher levels of VH were related to higher level of anxiety, depression and peritraumatic distress. These findings support the notion that holding ambivalent attitudes toward vaccination are related to mental health morbidity (Fusick et al., 2020). Furthermore, it seems that receiving COVID-19 vaccinations does not eliminate the effect of VH on psychiatric morbidity, and that some individuals who report VH continue, despite their decision to receive the vaccine, to demonstrate clinical levels of anxiety, depression, and stress, possibly due to their fears regarding its safety and long-lasting effects (Palamenghi et al., 2020).”
    What a contortion of logic. Basic, simple logic tells us that when people who are vaccinated are told they will still need to mask; they will still need to vaccinate over and over, after being promised a return to normal – well, many if not most people would feel distressed, put-upon and otherwise gas-lit.
  • Re-Re-Labeling. Articles describing vaccine resistance various as “vaccine hesitancy” are well known, but do you know of the attempt to shift that terminology to “vaccine anxiety”?
    Here’s an article from September, 2021, that proposed that “Anti-vaccine protesters fueled by existential anxiety”, citing a psychologist from Acadia University (Joseph Hayes) who also suggest that the best way to convince people protesting COVID-19 vaccine mandates was to “promote the idea that getting vaccinated will help people regain the freedoms they had before the pandemic” and also “‘the personal value or heroic nature’ of getting vaccinated”. Of course, we all now know that COVID-19 vaccines do not stop the spread of SARS-CoV-2, and Hayes does not know about Dr. Fantini’s findings that vaccination against the Wuhan variant could, after Beta, lead to antibody-dependent enhancement. Hayes is a psychologist who studies some interesting aspects of how people respond to threats, but he is none of the following: a vaccinologist, an epidemiologist, a virologist, an evolutionary biologist. This person is willing to speak about things beyond his area of expertise, offering a clearly manipulative manner, holding personal freedom out as bait for self-exposure to risks that were, in Sept 2021, abundantly evident.
    This move to recast rational skepticism as “anxiety” associates existing (established) clinical anxiety with vaccine refusal. Here’s an article from Ilene Rush, a freelance essayist and fiction writer: “How to Handle Coronavirus Vaccine Anxiety”. She offers “While widespread vaccination offers the best hope to end the COVID-19 pandemic, mental health stressors (call it COVID vaccine anxiety) are making some people less willing to receive a shot.” Rush cites Thea Gallagher, PsyD, assistant professor and director of Outpatient Clinic at the Center for the Treatment and Study of Anxiety (CTSA) in the Perelman School of Medicine at the University of Pennsylvania thusly: “The best way to combat vaccine hesitancy from anxiety is with reputable data” – in other words, accept the narrative in spite of fraudulent studies allegedly “showing” that ivermectin is not effective; in spite of the fact that the data from Israel, Barnstable County and elsewhere showed negative efficacy, and in spite (again) of Dr. Fantini’s remarkable results that show that ADE has been occurring since December 2020 – right from the start of the vaccine program.
    Gallagher believes that she has the solution for vaccine anxiety. First, she says cite “reliable sites” for “valid information”…
    “‘Among reliable sites she recommends for valid information are the Centers for Disease Control, which works to put out clear data as quickly as possible. Or, refer to a trusted infectious disease specialist such as Dr. Anthony Fauci or a vaccine expert such as Paul Offit, MD. Or contact your own doctor or an infectious disease doctor you trust to talk about your fears.”
    I doubt the fallacy invoked here needs to be explained.
    She then offers other “tips” to “combat anxiety” over the COVID vaccine, including, literally, per her direction, restricting your thought (of course):
    • “Check your imagination (emphasis added): COVID vaccine anxiety is often fueled by ‘what-if’s’—imagined scenarios of the many ways events can head south. For example, if you fear getting the vaccine because you might have an allergic reaction, consult the facts: one study of the Pfizer vaccine showed that allergic reactions occurred about 11.1 times per million patients. Know that before you receive a vaccine you must complete a questionnaire on your history of allergic reactions from earlier injections. (emphasis added). In addition, you will be asked to remain at the vaccination center for 15 to 30 minutes to assure a reaction does not occur. (JLW: “Check your imagination” means “do not use the powers of logical inference that we normally use: If it happens to others, it might happen to me”. Regarding allergy, ironically, she is medically negligent per CDC’s Table 4.
      Under her advice, you will still be vaccinated, with no concern over long-term chronic problems with anaphylaxis that occur in some people following vaccination).
    • “Run a risk-benefit analysis: Thinking of the vaccine in terms of risk vs. benefits may help reframe your COVID vaccine anxiety since the risks of contracting COVID-19 are much worse than any risk posed by vaccines. “Remember that pregnant women are currently receiving the vaccine because the risks of coronavirus are much worse than taking the shot,” says Gallagher.
      Here she ignores the fact that any risk-benefit analysis on vaccines and public health requires perfect correspondence between the messaging on risk and the actual risk itself, with all evidence pointing to vaccine risk, injury and death denialism and risk perception minimization as the M.O.s to increase vaccine uptake.
    • Stay in the moment: In practical terms, Gallagher suggests setting up a clear plan: map how and when you will get to the vaccination center, how you will get the shot, how you will sit afterward to wait for any negative reaction. “Work on what you need to do to follow through with each step and avoid anticipating the worst,” she advises.
      After telling you to shut down your own forecasting, she then wants to tell you the imagining – the forecasting and planning – you are allowed to do. Incredible.
      She then recommends therapy, completing the pathologization message (if you don’t agree the the mainstream narrative, there’s something wrong with you and you need clinical help):
      “If anxiety continues to keep you from getting a shot, or if you’ve researched everything from reliable sources and you’re still too scared to sign up for a vaccine, or if you’ve made an appointment and avoided it, then you might need to see a therapist for help,” she said.
  • Blaming “Vaccine Anxiety” on “Misinformation”. The Journal of Family Medicine and Primary Care published a Letter to the Editor entitled « Misinformation induced anxieties and fear affecting vaccination programs » by two authors. These authors attribute “vaccine hesitancy” to
    “high levels of psychological dispositions such as (i) needle/blood sensitivity (anxiety), (ii) need for cognitive closure (lack of tolerance to ambiguity), and (iii) desire for moral purity (feelings of disgust) are related with vaccine misinformation and hesitancy. The people on first two were more susceptible to vaccine misinformation, and the third was less likely to be affected by misinformation. While vaccine refusal or hesitancy may be associated with the mentioned factors, some emotional factors may cause hesitancy, such as choosing to suffer negative consequences of rejection rather than the adverse effects of getting vaccinated.”
    and they suggest that
    “Social psychology can play a significant role in transforming the attitudes and perception of people, reminding them of social norms where people see getting vaccination is a norm and using social psychological theories in altering the behaviour of people.”
    Again, their solution is to manage the perception of risk, but do nothing to mitigate actual risk. All they have is denialism. And in this one, the act of “suffer(ing the) negative consequences of rejection rather than the adverse effects of getting vaccinated is portrayed as a risk for spreading COVID-19. If people understand the risks, the cost of the cited “negative consequences of rejection” must be considered to be small compared to the cost of acute and chronic adverse reactions. How can this be so, if the world is blanketed and carpeted with disinformation about vaccine risk?
  • Conflating Reason and Logic Based on Knowledge of Personal Rights with Affective Thought Processes. The NYTimes and Becker Hospital review both dredged up a 2017 study “Association of moral values with vaccine hesitancy” that reported significant associations of purity and liberty with hesitancy. Rather than applaud parents’ knowledge of their rights to informed consent and the constitutional rights to bodily autonomy, Becker’s Hospital Review reported “It’s about beliefs, not knowledge: Set of psychological traits linked to vaccine skepticism” and the New York Times reported Vaccine Skepticism Was Viewed as a Knowledge Problem. It’s Actually About Gut Beliefs. Identifying those psychological traits may help health officials convince the sizable minority of Americans who don’t want a coronavirus vaccine. Simply sharing information hasn’t worked.”
    To consider knowledge of one’s own rights as “deeply held psychological beliefs” is beyond reproach. It’s consistent with the pattern in which one party in an argument attempts to move the discussion to an emotional realm by provoking their opponent. The approach by NYTimes parroted by Becker Hospital Review was subtle: label a person’s knowledge of rights as “moral intuition” – affective, not based on the fact of law – so they might portray them as spurious.
    From Becker:
    “In 2018, scientists found similar patterns in a broad sample of vaccine-hesitant people in 24 countries.
    ‘At the root are these moral intuitions — these gut feelings — and they are very strong,’ said Jeff Huntsinger, PhD, a social psychologist at Loyola University Chicago… ‘It’s very hard to override them with facts and information. You can’t reason with them in that way.’”
    You mean you can’t fight facts with falsehoods, Jeff?
    Put simply, the vaccine risk perception manipulation program has failed. Each of the resources cited started with the false premise “Everyone knows COVID-19 vaccines are the best way back to normal” or similar – some even before the vaccines were developed – and then went on to portray as mentally defective anyone who holds any of the following personal understanding of the risk/benefit equation:
    (a) the relative risk of vaccination is higher than the personal benefit of vaccination, or
    (b) the risk of vaccination of not sufficiently well-known and/or the potential personal benefit is not sufficiently well known, or
    (c) my perception and understanding of either the risk of vaccination or the benefit of vaccination has been manipulated, and I therefore do not trust any claim of benefit > risk, or
    (d) my perception and understanding of either the risk of vaccination or the benefit of vaccination is based on solid information because I did my due diligence and found other evidence ignored by those who promulgate the official narrative.
    Anyone with these positions has a perfectly rational argument for refusing COVID-19 vaccines based on knowledge, logic and reason. Where do you fall? Drop a comment below.
    This Is Part of a Larger Battle Over Our Minds
    The oligarchs in charge who have replaced Western allopathic medicine with Public Health see the battle to make rational thought and inference a psychological disorder as necessary, otherwise, their beloved vaccination programs will not be able to continue. They act befuddled in the face of the downward spiral in public trust of the CDC. As I’ve explained elsewhere, every injured person, every dead parent or child killed by vaccines awakens more people to the legitimate responsibility of making one’s own health choices based on verified information. The public trust in “authorities” is gone because they have betrayed that trust, time and again; the use of overt propaganda on COVID-19 has largely cemented distrust in the CDC, Pharma and MSM.
    Their second-to-last-best gambit is “now, if you disagree with the core narratives, you are mentally ill”.
    Their last-best gambit will be to accuse individuals who decide to not vaccinate of putting other people’s mental health and lives at risk. This is a tactic taken from China’s “first mental health program”, which empowers the CCP to prosecute an individual charged with endangering the mental health of others.
    Once the pathologization of logic and reason is complete, we’ll see a new society in which people will not be able to go to school, work, get married, have children, etc. unless they can pass the State’s “Normative Belief and Understanding” test. They will be drugged up, subjected to re-education to “normalize” their cognitive processes. The use of psychotropic medicine in the US is off the charts – in 2012, APA reported that one is five, or 20% of adult American citizens are now using at least one form of psychotropic medicines. That estimate has varied every year since then, until 2021 when CDC reported that 1 in 5 adult American citizens are using at least one form of psychotropic medicines “amid COVID-19” (allegedly up 6.5% from previous years). Pharma is not doubt chomping at the bit to find ways to get the rest of us – the 80% not yet on psychotropic medicines – on their consumer list.
    Meanwhile, the World Health Organization made one of its 30-points about mental health considerations a decree that all should “Ensure availability of essential, generic psychotropic medications at all levels of health care”.
    The association of rational skepticism with a treatable clinical conditions is just a first step toward clinical enforcement of specific modes of cognition. We’ve seen this in so many sci-fi pieces – from Aldous Huxley’s Brave New World and George Orwell’s 1984, among others.
    Evidently, the globalists and their allies in Public Health did not get the memo. These dystopian sci-fi stories were offered by their authors as warnings, not as prescriptions.
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