Les demandes d’indemnités aux assurances allemandes sont l’indice de millions de lésions vaccinales non déclarées – par Daniel Horowitz.

Voici une récente mise à jour des nombres, par le très actif Dr Horowitz. Les nombres astronomiques qu’il cite sont eux aussi un indice: il s’agit bien d’une guerre, ce que confirme le fait qu’elle soit pilotée par des organisations militaires et que ses acteurs soient exemptés à l’avance de toute responsabilité civile – il n’y a donc aucune base légale pour un Nuremberg 2.0.

Certains éléments récents indiquent aussi qu’il s’agit d’une guerre génétique. Il faudra donc ouvrir le très épais dossier de l’histoire de l’eugénisme, ce que je ferai dès que j’ai le temps.

Vous noterez au passage que pendant que les exécutants médicaux américains (Brix, Fauci, Wolenski) tentent de couvrir leurs arrières en disant maintenant ce qu’on savait depuis le début, ça commence à déballer au niveau juste en-dessous – notamment le nouveau président de la Société Australienne des Professionnels de la Santé, Christopher Neil dont il est question ici.

Certains médecins qui ont insisté pour injecter leurs patients gardent probablement sous leur lit une valise prête, juste au cas où. Ils ont raison.

Source.


Traduction

Les demandes d’indemnités aux assurances allemandes sont l’indice de millions de lésions vaccinales non déclarées

Daniel Horowitz

Et si une personne sur 23 vaccinée avec le produit biologique COVID présentait une réaction indésirable suffisamment forte pour justifier une demande d’indemnisation? Songez que 5,31 milliards de personnes dans le monde ont reçu au moins une injection, et que des centaines de millions en ont reçu trois ou quatre, et vous comprendrez que nous naviguons en eaux inconnues en ce moment de l’histoire de l’humanité.

Selon les données de Techniker Krankenkasse, la plus grande compagnie d’assurance médicale allemande, il y a eu un total de 437 593 demandes d’assurance facturées sous les quatre différents codes de diagnostic de lésions vaccinales en 2021. Pour mettre ces nombres en perspective, le nombre total de facturations relatives à un code de lésion vaccinale au cours des deux années précédentes était de 13 777 et 15 044, respectivement. Comme le note le Daily Skeptic, étant donné que TK assure 11 millions de personnes, cela signifie que 1 personne sur 23, soit 4,3 %, a reçu un traitement médical facturé pour lésion due au vaccin. Et cela en supposant que les 11 millions de personnes ont été vaccinées. Le taux de vaccination de base en Allemagne est de 78%, et comme la plupart des personnes non vaccinées sont des enfants, le taux de lésion par personne vaccinée est probablement encore plus élevé (5,1%).

Si l’on met de côté les facteurs de confusion [NdT. ici], juste pour vous donner une estimation approximative et vous donner une idée de l’ampleur du problème, un taux de 4,3% de lésions au niveau clinique, si on l’extrapole aux 223 millions de personnes vaccinées aux États-Unis, équivaudrait à environ 9,6 millions d’Américains touchés. Si ce chiffre semble déraisonnable, il faut se rappeler que ces données s’harmonisent presque parfaitement avec l’enquête du ministère israélien de la santé, qui a révélé un taux de 4,5% d’effets secondaires neurologiques chez les seules personnes ayant reçu des injections de rappel (et non la totalité des doses, dont le nombre est probablement plus élevé).

Ces données, et leur extrapolation à la population américaine, sont encore plus crédibles si l’on examine les données du VAERS. Le nombre total d’hospitalisations, de visites de soins d’urgence ou de visites chez le médecin signalées au VAERS (uniquement pour les États-Unis) pour les injections de COVID au 5 août est de 337 579.

Un facteur de sous-déclaration d’environ 28 donnerait 9,6 millions de lésions de niveau clinique. Le Dr Jessica Rose, spécialiste du VAERS [Vaccine Adverse Events Reporting System], a estimé, en se basant sur des taux indépendants d’anaphylaxie tirés d’une étude du Mass General, que le facteur de sous-déclaration du VAERS pouvait atteindre 41 pour les événements indésirables graves. [NdT. article connexe de Jessica sur le calcul du taux de sous-déclaration des avortements spontanés]

Il est évident que les codes de facturation des lésions dues aux vaccins, les données du VAERS concernant les visites chez le médecin et l’enquête du ministère israélien de la santé ne portent pas exactement sur les mêmes données, mais elles semblent toutes converger vers un coefficient de pourcentage de lésions bien supérieur à celui des légers symptômes typiques auxquels on peut attendre après une injection. De plus, il est possible de vérifier de manière indépendante et plus précise les données de facturation allemandes en utilisant les mêmes codes de diagnostic de lésions vaccinales utilisés par l’armée américaine. Les quatre codes figurant dans les données de facturation de la TK allemande pour 2021 sont les suivants:

  • T.88.0: Infection consécutive à une vaccination
  • T.88.1: Autres complications après immunisation
  • U.12.9: Effets indésirables après immunisation par Covid-19
  • Y.59.9: Complications dues aux vaccins ou aux substances biologiques

J’ai demandé à une source militaire ayant accès à la base de données épidémiologiques médicales de la Défense (Defense Medical Epidemiology Database – DMED) de me fournir des données équivalentes sur les lésions dues aux vaccins. Bien que certains de ces codes n’aient pas donné de résultat, voici les données pour T50.B95, « Effet indésirable d’un autre vaccin viral ». [NdT. pour plus d’infos sur la base DMED, un précédent article du Dr Horowitz ici, un autre de Thomas Renz ici]

Le coefficient multiplicateur est de 11,6, ce qui n’est pas aussi spectaculaire que celui de 30 en Allemagne, mais il ne concerne qu’un seul code. En outre, il est probable que la population militaire présente un taux de base plus élevé d’effets indésirables signalés annuellement par rapport à la population civile, car elle reçoit chaque année beaucoup plus de vaccins individuels.

Lorsque l’on utilise les codes de la CIM [Classification Internationale des Maladies] pour extrapoler l’étendue des lésions dues aux vaccins, il faut garder à l’esprit que ces chiffres sous-estiment probablement de manière substantielle le total des effets indésirables. La plupart des médecins vouent au vaccin une vénération qui tient de la ferveur religieuse, et la mise en cause du vaccin dans une maladie ou une lésion particulière fait l’objet d’une stigmatisation virulente. Le fait que les codes de facturation médicale laissent entrevoir un degré de lésion aussi cataclysmique est donc stupéfiant. De plus, il n’existe pas de codes de facturation pour les décès, qui sont clairement sous-déclarés.

Le fait que les injections soient encore disponibles, et a fortiori imposées au public dans de nombreuses circonstances, représente historiquement la plus grande violation du code de Nuremberg. Le problème n’est même plus le fait qu’il s’agisse d’une expérience sur l’humanité entière. Les données sont disponibles et la dangerosité des injections a été prouvée. Celles-ci ne sont donc même plus expérimentales.

Dans une lettre sans appel, le nouveau président de la Société Australienne des Professionnels de la Santé, Christopher Neil, s’est clairement dressé contre le fait que les médecins australiens soient muselés sitôt qu’ils veulent prendre la parole ou proposer un consentement éclairé. « En effet, après 17 mois et suite à de multiples formes de pression visant à administrer les injectables COVID-19 à diverses catégories d’âge, une quantité colossale de données est maintenant disponible pour informer plus complètement et plus précisément les cliniciens sur ces produits », a écrit le Dr Neil aux Collèges et Associations Australiens de Médecine, de Santé et de Science, ainsi qu’aux membres du Parlement. « Cette littérature comprend plus d’un millier d’études évaluées par des pairs faisant état des préjudices constatés dans le monde entier, jusqu’en décembre 2021. »

Neil ne fait qu’énoncer l’évidence: le nombre de rapports d’événements indésirables est astronomique. « Pour être clair, la TGA [Therapeutic Goods Administration, l’équivalent de la FDA en Australie] a reçu plus de rapports d’événements indésirables entre 2021 et juin 2022 pour les vaccins COVID-19, qu’elle n’en a reçu pour tous les autres vaccins au cours des 50 années précédentes. »

Si on ne retient que les données du VAERS et du système EudraVigilance de l’Agence Européenne des Médicaments, on dénombre au total 76 253 morts et 6 033 218 blessés, à la mi-juillet. Ces chiffres sont en eux-mêmes époustouflants, mais si l’on tient compte d’un facteur de sous-déclaration de 41, on obtient un total de près de 1,9 million de morts et 247 millions de blessés! Ce chiffre incroyable mais également révoltant de 247 millions de lésions équivaudrait à 4,6% de toutes les personnes vivant sur le troisième caillou du système solaire à avoir été injectées, soit presque exactement le taux de lésions extrapolé à partir des données de facturation médicale allemandes!

Certains se demandent si Steve Deace et moi-même n’avons pas dramatisé en qualifiant cette situation de Quatrième Reich et en exigeant un procès de Nuremberg. Mais au fur et à mesure que les jours passent et que se dévoile la profonde horreur de cette affaire, le public voudra savoir pourquoi on n’a pas exigé dès le premier jour de se conformer au Code de Nuremberg.


Texte original

German insurance claims hint at millions of unreported vaccine injuries

Daniel Horowitz

August 15, 2022

What if 1 in 23 individuals jabbed with the COVID bioproduct experienced an adverse reaction strong enough to trigger an insurance claim? Now consider the fact that 5.31 billion people in the world received at least one jab, with hundreds of millions receiving three or four jabs, and you will realize we are in uncharted waters in human history.

According to data from Techniker Krankenkasse, the largest German medical insurance company, there were a total of 437,593 insurance claims billed under the four diagnostic codes for vaccine injury in 2021. To put those numbers in perspective, the total numbers billed for a vaccine injury code in the two preceding years was 13,777 and 15,044, respectively. As the Daily Skeptic notes, given that TK insures 11 million people, that means 1 in 23, or 4.3%, had a medical treatment billed for vaccine injury. And that assumes all 11 million were vaccinated. The background vaccination rate in Germany is 78%, although most of the unvaccinated are children, so the rate of injury per vaccinated person is likely even higher (5.1%).

Putting aside confounding factors, but just to provide a rough estimate to open your mind to the scope of this problem, a 4.3% clinical level injury rate, if extrapolated for the 223 million vaccinated in the United Sates, would equal approximately 9.6 million injured Americans. While that number sounds unconscionable, remember that this data harmonizes almost perfectly with the Israeli health ministry survey that found a 4.5% rate of neurological side effects just from those who received booster shots (not total doses, which is likely more).

However, this data, and the extrapolation for the U.S. population, is even more credible when you look at the VAERS data. The total number of reported hospitalizations, urgent care visits, or doctor’s visits reported to VAERS (just for the U.S.) for the COVID shots as of Aug. 5 is 337,579.

An underreporting factor of roughly 28 would get you 9.6 million clinical-level injuries. Leading VAERS expert Dr. Jessica Rose estimated, using independent rates of anaphylaxis events from a Mass General study, an underreporting factor as high as 41 for serious adverse events in VAERS.

Obviously, vaccine injury billing codes, VAERS data for doctor visits, and the Israeli health ministry survey are not the exact same data point, but they all seem to coalesce around a rate of several percentage points of injury beyond the typical mild symptoms one would expect to experience from the shot. Moreover, we can actually independently verify the German billing data more precisely by using the same diagnostic codes for vaccine injury in the U.S. military. The four codes tabulated in the German TK billing data for 2021 are the following:

  • T.88.0: Infection following immunisation
  • T.88.1: Other complications after immunisation
  • U.12.9: Adverse effects after Covid-19 immunisation
  • Y.59.9: Complications due to vaccines or biological substances

I asked a source in the military with access to the Defense Medical Epidemiology Database (DMED) system to pull equivalent data on vaccine injury. While some of these codes did not come up, here is the data for T50.B95, “Adverse Effect of Other Viral Vaccine.”

The rate of increase is 11.6-fold, not as dramatic as the 30-fold increase in Germany, but this is just one code. Also, it’s likely that the military population would have a higher baseline background rate of reported adverse effects annually than a civilian population because they receive many more vaccines every year per capita.

When using ICD codes to extrapolate the scope of vaccine injury, keep in mind that these numbers likely substantially understate the total adverse events. Most doctors worship the vaccine with religious fervor, and there is a virulent stigma against implicating the vaccine for a particular malady or injury. So the fact that medical billing codes are hinting at this degree of cataclysmic injury is astounding. Moreover, there are no billing codes for death, which is clearly being underreported.

That the shots are still even being made available, much less coerced upon the public in many circumstances, represents the greatest violation of the Nuremberg Code of all time. It’s not even the fact that they are experimenting on all of humanity. The data is in and the shots have affirmatively been proven dangerous. They are no longer even experimental.

In a shocking letter, the incoming president of the Australian Medical Professionals Society, Christopher Neil, made it clear that Australian doctors must not be gagged in speaking out and offering informed consent. “Indeed, now 17 months later and after numerous forms of pressure to take up the COVID-19 injectables in various age categories, a tremendous amount of data is available to more fully and accurately inform clinicians about these products,” wrote Dr. Neil to the Australian Colleges and Associations of Medicine, Health, and Science, and members of Parliament. “This literature includes over one thousand peer reviewed studies reporting of the harms being seen around the world, up to December 2021.”

Neil observes the obvious – that the degree of adverse event reporting is sky-high. “To be clear, the TGA has received more Adverse Event reports in 2021 through June 2022 for the COVID-19 vaccines, than they have been seen for all other vaccines in the preceding 50-year period.”

If you just take the data from VAERS and the EudraVigilance system of the European Medicines Agency, there were a total of 76,253 dead and 6,033,218 injured, as of mid-July. That in itself is mind-blowing, but if you adjust for an underreporting factor of 41, that would total nearly 1.9 million deaths and 247 million injuries! Amazingly, yet sickeningly, 247 million injuries would equal 4.6% of all the people jabbed on this third rock from the sun – nearly exactly the extrapolated rate of injury from the German medical billing data! Some are asking whether Steve Deace and I were overly dramatic in calling this the Fourth Reich and demanding a Nuremberg trial. But as the days pass and the sheer horror of this becomes apparent, the public will want to know why there was no demand to abide by the Nuremberg Code from day one.

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