Criminels.

C’est Albert Bourla, le PDG de Pfizer, qui le dit, dans un anglais à peine compréhensible digne d’un parrain mafieux analphabète, dont je vous donne un aperçu dans la traduction:

« Mais il y a une toute petite partie des professionnels qu’ils circulent exprès de la désinformation de façon à ce qu’ils égareront ceux qu’ils ont des inquiétudes. Ces [incompréhensible], ils ne sont pas des gens mauvais, ils sont des criminels parce qu’ils ont littéralement coûtéré des millions de vies. »

« But there is a very small part of professionals which they circulate on purpose misinformation so that they will mislead those that they have concerns. Those [incomprehensible] are criminals, they’re not bad people, they’re criminals because they litteraly costed millions of lives. »

Rappelons ici et ici et ici le nombre de morts – qui a évidemment augmenté depuis, je ferai la mise à jour – sans parler de ceux qu’on a pas encore comptés, de ceux qui vont suivre – impossible à estimer à ce stade – des centaines de milliers de fausses couches et de morts nés (ici et ici), et de tous les handicapés à vie de l’injection Covid, fabriquée notamment par la firme qu’il dirige, tellement intègre qu’elle a déjà été condamnée à 4.660.896.333 de dollars de « réparations » en vingt ans.

Mais d’après M. Bourla, ce sont des gens comme le Dr Peter McCullough ou le Dr Vladimir Zelenko les criminels.

Johnson & Johnson, l’autre fabricant de « vaccins » au-dessus de tout soupçon : 5 milliards de dollars de réparation pour leur participation à l’épidémie d’overdoses aux opioïdes.

Merck, fabricant du Molnupiravir, dont nous reparlerons très bientôt:

L’enquête fédérale aux États-Unis permet de démontrer rapidement que l’accroissement notable de la mortalité cardio-vasculaire sous Vioxx© avait été repérée par les expérimenteurs de Merck dès les premières études épidémiologiques, mais que sur ordre ces résultats ont été manipulés afin de ne pas nuire à la carrière prometteuse du produit.

En 2011 le groupe Merck Pharmaceuticals reconnait officiellement (selon un communiqué de presse du Département américain de la Justice) avoir eu connaissance de ces effets et avoir illégalement omis de préciser une partie des effets secondaires de l’anti-douleur (Vioxx)9.

Des chercheurs et des responsables de l’entreprise ont de manière complice caché les preuves du fait que ce médicament avait, lors de ses essais cliniques, provoqué un nombre alarmant de crises cardiaques10.

Les dirigeants, employés, chercheurs ou médecins de Merck n’ont pas été traduits en justice11. En échange, Merck a plaidé coupable et a payé une amende pour avoir violé la loi sur les produits alimentaires, cosmétiques et de santé dans le cadre de sa mise sur le marché du Vioxx11. Le directeur général de Merck (Raymond Gilmartin), responsable du dossier Vioxx, a néanmoins reçu un salaire de près de quarante millions de dollars lors de sa dernière année d’emploi dans le groupe12, après quoi, Gilmartin n’a pas été poursuivi ni emprisonné mais accueilli à la Harvard Business School pour y donner des cours sur la responsabilité sociale des entreprises13.

Et cætera.

Les fabricants de « vaccins » sont payés mille dollars par seconde pour commettre ce qui n’est pas un génocide mais un pandémocide, avec la complicité des institutions de santé (ici et ici, notamment), des gouvernements achetés et de ceux qui les servent.

Mort, destruction, vol, mensonge, l’arrogance et les insultes en plus, apparemment ils n’en auront jamais assez.

Et vous?

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