DRACO dans les oubliettes – par Spartacus.

Pour ceux qui se demanderaient ce que prennent contre le Covid les sympathiques personnages qui veulent absolument vous injecter le « vaccin » et qui savent parfaitement que le produit en question est une mauvaise idée, voici une bonne hypothèse et un excellent article de Spartacus.

Pour rappel, Spartacus avait rédigé ce papier assez cinglant et très bien sourcé, et celui-ci non moins intéressant – ainsi que des dizaines d’autres sur son Substack, que je n’ai pas le temps de traduire. Ne vous prenez pas la tête avec les termes médicaux, le principe de base est assez limpide. Comme je l’expliquais dans cet article, vous commencez à avoir l’entraînement. Pour les plus curieux (ou les médecins), j’ai scrupuleusement traduit tous ceux qui ont un équivalent en français (certains n’en ont pas) et donné une brève définition ou un lien pour quelques termes clé. Vous commencez aussi à vous familiariser avec la soupe alphabétique des diverses organisations étatiques médicales et paramilitaires américaines, dont je n’ai traduit le nom que des plus relevantes. Ici c’est principalement le NIAID (Institut national des allergies et des maladies infectieuses), la DARPA (Agence pour les projets de recherche avancée de défense) et la DTRA (Agence pour l’atténuation des menaces de défense). Vous trouverez facilement les autres sur le Net.

Source.


Traduction

DRACO dans les oubliettes

Ils avaient un remède il y a plus de dix ans, mais pas pour vous

Spartacus

2 août

Oligomérisateur de la Caspase activée par l’ARN double brin

Le 27 juillet 2011, un article a été publié dans PLOS ONE [NdT. ici] décrivant une nouvelle protéine biologique antivirale. Il s’appelait DRACO, un acronyme pour Double-stranded RNA Activated Caspase Oligomerizer [Oligomérisateur de la caspase activée par l’ARN double brin].

PLOS – Thérapies antivirales à large spectre

À l’heure actuelle, il existe relativement peu de thérapies antivirales, et la plupart de celles qui existent sont hautement spécifiques aux agents pathogènes ou présentent d’autres inconvénients. Nous avons développé une nouvelle approche antivirale à large spectre, appelée Double-stranded RNA (dsRNA) Activated Caspase Oligomerizer (DRACO), qui induit sélectivement l’apoptose dans les cellules contenant l’ARNdb [l’ARN double brin] viral, tuant rapidement les cellules infectées sans nuire aux cellules non infectées. Nous avons créé les DRACOs et démontré qu’ils sont non toxiques dans 11 types de cellules de mammifères et efficaces contre 15 virus différents, dont le flavivirus de la dengue, les arénavirus Amapari et Tacaribe, le bunyavirus Guama et la grippe H1N1. Nous avons également démontré que les DRACOs peuvent sauver des souris atteintes de la grippe H1N1. Les DRACOs ont le potentiel pour devenir des thérapies ou des prophylaxies efficaces pour de nombreux virus cliniques et prioritaires, en raison de la sensibilité à large spectre du domaine de détection de l’ARNdb, de l’activité puissante du domaine d’induction de l’apoptose [NdT. l’apoptose (ou mort cellulaire programmée) est le processus par lequel des cellules déclenchent leur autodestruction en réponse à un signal] et du nouveau lien direct entre les deux, que les virus n’ont jamais rencontré.

[…]

Financement: Ce travail est financé par la subvention AI057159 (http://www.niaid.nih.gov/Pages/default.aspx) du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) et du New England Regional Center of Excellence for Biodefense and Emerging Infectious Diseases (NERCE-BIED), avec un financement antérieur de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), de la Defense Threat Reduction Agency (DTRA), et du Director of Defense Research & Engineering (DDR&E). Les bailleurs de fonds n’ont joué aucun rôle dans la conception de l’étude, la collecte et l’analyse des données, la décision de publier ou la préparation du manuscrit. Les opinions, interprétations, conclusions et recommandations sont celles des auteurs et ne sont pas nécessairement approuvées par le gouvernement des États-Unis.

Cette recherche a été effectuée aux Draper Labs du MIT et a été financée par le NIAID, la DARPA et la DTRA. Le Pentagone était à la recherche d’un antivirus à large spectre capable de guérir n’importe quelle infection virale, au cas où les soldats seraient exposés à un agent pathogène inconnu pour lequel il n’existe aucun vaccin (c’est-à-dire un agent de guerre biologique). La solution du Dr Todd Rider a consisté à créer une protéine chimérique composée d’un domaine de détection de l’ARNdb fusionné bout à bout avec un domaine d’induction de l’apoptose. Ces protéines biologiques ont été produites par cultivation dans un bioréacteur dans des bactéries E. Coli transfectées avec des plasmides pour produire des protéines DRACO, de la même façon que l’insuline recombinante est produite.

Il est possible de formuler différents types de DRACO, comme la protéine kinase R et le facteur d’activation de la protéase apoptotique-1, PKR et FADD, RNaseL et Apaf-1, etc. Les DRACOs ont tous le même mécanisme d’action. Ils tirent parti du fait que de nombreux virus, y compris les coronavirus, produisent de longs brins d’ARNdb lorsqu’ils infectent les cellules et se répliquent. Même les virus dont le génome contient de l’ARN à simple brin, comme le SARS-CoV-2, le font. En revanche, les cellules saines ne contiennent pas du tout de longs brins d’ARNdb.

Voici comment cela fonctionne:

  1. Des protéines DRACO sont injectées dans le sujet.
  2. Les protéines utilisent des peptides pénétrant dans les cellules (comme le TAT du VIH) [NdT. ici] pour traverser les membranes cellulaires et entrer dans les cellules.
  3. Si aucun ARNdb viral n’est présent, la protéine ne fait rien.
  4. Si un ARNdb viral est présent, le domaine de détection de l’ARNdb (comme la PKR) [NdT. protéine kinase R] se lie à l’ARNdb.
  5. Plusieurs DRACOs se lient côte à côte à l’ARNdb viral.
  6. Les domaines exposés d’induction de l’apoptose des DRACOs (comme l’Apaf-1) [NdT. ici] se lient et réticulent les procaspases et forcent la cellule infectée à s’autodétruire.

Les DRACOs sont comme de petites mines limpet [NdT. ici] protéiques qui pénètrent dans les cellules infectées et commandent à ces cellules de subir une apoptose immédiatement si elles trouvent des signes d’infection virale, mais ne sont pas toxiques pour les tissus sains. Cela a été prouvé expérimentalement sur des modèles de souris. Ils ont injecté du DRACO à des souris, puis leur ont injecté de grandes quantités de virus de la grippe. Rien n’est arrivé aux souris traitées au DRACO lorsqu’elles ont été exposées au virus de la grippe. Elles allaient bien. En fait, ils ont disséqué les souris saines traitées au DRACO et ont confirmé que les protéines du DRACO n’étaient pas toxiques pour les cellules non infectées.

Les protéines DRACO ont conféré une protection pratiquement inébranlable contre les virus qui a duré jusqu’à une semaine après l’injection. Tous les virus. Voyez-vous, les virus ont des moyens de supprimer les voies d’apoptose dans les cellules, transformant les cellules infectées en véritables zombies qui n’arrivent pas à s’éliminer avant d’avoir répliqué des tonnes de particules virales. C’est un vrai bordel. Cependant, une protéine qui combine un domaine de détection de l’ARNdb avec un domaine d’induction de l’apoptose contourne complètement les astuces et les failles que les virus ont développées pour empêcher l’apoptose. Les virus ne voient pas venir le DRACO. Il détruit complètement la cellule au moment où la réplication virale commence, arrêtant immédiatement l’infection alors qu’elle ne touche encore qu’une petit nombre de cellules. Si le DRACO est administré tardivement, il y a effectivement plus d’apoptose et plus d’inflammation, en raison de la plus grande population de cellules affectées. S’il est administré de manière prophylactique, avant l’infection, les virus ne peuvent pas du tout se répliquer dans les populations de cellules traitées au DRACO, que ce soit in vitro ou in vivo. Il y met un terme complet.

Maintenant, avec de tels résultats, la chose logique à faire serait de procéder à d’autres tests sur les animaux, de confirmer (ou de réfuter) les effets de façon expérimentale et, éventuellement, de procéder à des essais sur les humains. Après tout, en théorie, le DRACO pourrait être combiné à la surveillance et à la recherche des contacts pour arrêter complètement la propagation d’un agent pathogène avant même qu’il n’ait la chance de devenir une pandémie. S’il fonctionnait, et s’il avait des effets secondaires minimes, il serait devenu un outil inestimable dans la boîte à outils du contrôle des épidémies.

Ce n’est pas ce qui s’est passé.

Un remède mis sur la touche

En 2014, Todd Rider a demandé deux millions de dollars de subventions supplémentaires à la Fondation Templeton pour poursuivre ses travaux. Cependant, lors d’une réorganisation de la Fondation Templeton, la subvention est tombée à l’eau, et il s’est retrouvé sans rien. Ayant désespérément besoin d’argent, il a lancé une paire de campagnes Indiegogo pour financer ses recherches, qui ont également échoué.

Business Insider – La découverte médicale potentiellement énorme de cet homme ne trouve pas de financement, alors il tente quelque chose de désespéré.

Il a lancé une campagne Indiegogo le 13 octobre dernier afin de récolter 100 000 dollars, une somme suffisante pour relancer ses travaux, bien qu’elle ne représente qu’une fraction de ce dont il a réellement besoin. Mais après deux mois, il n’était qu’à mi-chemin, et la campagne a donc été récemment prolongée.

Il est impossible de savoir, à ce stade précoce, si le DRACO est capable de tout ce que Rider espère – s’il sera vraiment capable de rechercher et de détruire une grande variété de virus à l’intérieur d’une personne malade.

Et maintenant, nous ne le saurons peut-être jamais.

À peu près au même moment, Ken Gabriel, un ancien du DARPA et de Google, a pris la tête des Draper Labs du MIT.

PRWeb – Ken Gabriel, ancien cadre de la DARPA et de Google, va diriger le Draper Lab.

Ken Gabriel a été professeur titulaire au Robotics Institute et au Département d’Ingénierie Électrique et Informatique de l’Université Carnegie Mellon. Il a également été directeur de programme et directeur de bureau à la DARPA, où il a conçu et dirigé des projets qui ont fait passer les MEMS [NdT. ici] du laboratoire aux applications pratiques. Au début de sa carrière, il a été professeur invité à l’Université de Tokyo, chercheur au Naval Research Laboratory et chercheur principal chez AT&T Bell Laboratories. Gabriel a notamment été nommé Technology Pioneer par le Forum Economique Mondial de Davos et nommé au Senior Executive Service, et a reçu le prix Carlton Tucker pour son Excellence dans l’Enseignement du Massachusetts Institute of Technology (MIT). Ken Gabriel est titulaire de diplômes SM et ScD en génie électrique et en informatique du MIT.

Ken Gabriel a également des liens avec le Wellcome Trust, qui se trouve juste à côté de Tavistock et a des liens avec Sequoia Capital. Il est le directeur de l’exploitation de Wellcome Leap. [NdT. Wellcome Leap est raccourci en « leap », qui signifie « saut » ou « bond » et est employé plus bas dans ce sens par l’auteur et Whitney Webb]

Wellcome Leap – Wellcome Leap renforce son équipe de direction et annonce la nomination de Ken Gabriel, ancien président-directeur général de Draper, au poste de directeur de l’exploitation.

Wellcome Leap (« Leap »), un projet de pointe à but non lucratif fondé par le Wellcome Trust pour accélérer les innovations au service de la santé humaine mondiale, a annoncé aujourd’hui que l’ancien directeur par intérim de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) des États-Unis, Kaigham « Ken » Gabriel, a été nommé directeur de l’exploitation de l’organisation.

Ken dirigera les opérations de Leap alors que l’organisation entreprend des programmes audacieux et non conventionnels et les finance à grande échelle. Avec un financement initial de 300 millions de dollars, les programmes de Leap cibleront des défis complexes en matière de santé humaine dans le but de parvenir à des solutions scientifiques et technologiques révolutionnaires d’ici dix ans.

« Le mélange rare d’expérience de Ken à travers les disciplines et les secteurs sera essentiel pour construire Leap à l’échelle mondiale et remplir notre mission », a déclaré Regina E. Dugan, PDG de Wellcome Leap. « Il est dévoué à l’innovation révolutionnaire et je suis ravie de travailler avec lui. »

Whitney Webb a réalisé un reportage détaillé sur Wellcome Leap et ses intentions transhumanistes.

Unlimited Hangout – Un « bond » vers la destruction de l’humanité

Un organisme britannique à but non lucratif lié à la corruption mondiale pendant la crise du COVID-19, et ayant des liens historiques et actuels avec le mouvement eugéniste britannique, a lancé l’année dernière un équivalent du DARPA axé sur la santé mondiale. Cette initiative est passée largement inaperçue dans les médias grand public et indépendants.

Le Wellcome Trust, qui a sans doute été le second après Bill Gates dans sa capacité à influencer les événements pendant la crise du COVID-19 et la campagne de vaccination, a lancé son propre équivalent mondial de l’agence de recherche secrète du Pentagone l’année dernière, officiellement pour lutter contre les « défis sanitaires les plus pressants de notre époque. » Bien qu’elle ait été conçue pour la première fois en 2018, cette initiative particulière du Wellcome Trust a été filialisée en mai dernier avec un financement initial de 300 millions de dollars. Elle a rapidement attiré deux anciens cadres de la DARPA, qui avaient auparavant servi dans les hautes sphères de la Silicon Valley, pour gérer et planifier son portefeuille de projets.

Ce DARPA sur la santé mondiale, connu sous le nom de Wellcome Leap, vise à trouver des « solutions scientifiques et technologiques révolutionnaires » d’ici à 2030, en mettant l’accent sur les « défis complexes de la santé mondiale ». Le Wellcome Trust est ouvert sur la manière dont Wellcome Leap appliquera les approches de la Silicon Valley et des sociétés de capital-risque au secteur de la santé et des sciences de la vie. Sans surprise, leurs trois programmes actuels sont prêts à développer des technologies médicales incroyablement invasives et axées sur la technologie, et dans certains cas ouvertement transhumanistes, y compris un programme exclusivement axé sur l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA), de capteurs mobiles et de technologies portables de cartographie cérébrale pour les enfants de trois ans et moins.

Odysee – Le « Wellcome Leap » [bond] vers le transhumanisme – Whitney Webb sur The Corbett Report

Whitney Webb d’UnlimitedHangout.com nous rejoint une fois de plus, cette fois pour discuter de son dernier article, « Un « bond » vers la destruction de l’humanité ». Même si vous êtes familier avec l’agenda transhumaniste, ce que les anciens de la DARPA et de la Silicon Valley, au sein de la toute nouvelle Wellcome Leap, prévoient de faire dans leur quête pour transformer l’espèce humaine au cours de la prochaine décennie va vous étonner.

Tout est lié au même programme transhumaniste du FEM, du Club de Rome et de Rockefeller: l’augmentation des capacités humaines, le marquage et le suivi des personnes, l’extraction des données de santé de leur corps, l’utilisation des données cérébrales pour la pré-criminalité, la manipulation des personnes à distance, etc.

La Superclasse veut que les gens soient intégrés à l’Internet des Corps, que nous le voulions ou non. La vaccination obligatoire n’est qu’un prétexte. Ce qu’ils veulent vraiment, c’est une marge de manœuvre illimitée pour imposer des injections de n’importe quoi, en utilisant des virus pandémiques comme prétexte.

Il est bon de rappeler aux lecteurs que la DARPA travaille sur une interface cerveau-machine à base de nanoparticules qui pourrait être utilisée pour contrôler l’esprit, et que cette technologie progresse rapidement.

Université Rice – Activation sans fil de circuits cérébraux ciblés en moins d’une seconde

Les chercheurs ont utilisé le génie génétique pour exprimer un canal ionique spécial sensible à la chaleur dans les neurones qui poussent les mouches à déployer partiellement leurs ailes, un geste d’accouplement courant. Les chercheurs ont ensuite injecté des nanoparticules magnétiques qui pouvaient être chauffées par un champ magnétique appliqué. Une caméra aérienne a observé les mouches qui se déplaçaient librement dans une enceinte surmontée d’un électro-aimant. En modifiant le champ magnétique d’une manière spécifique, les chercheurs ont pu chauffer les nanoparticules et activer les neurones. Une analyse de la vidéo des expériences a montré que les mouches ayant subi des modifications génétiques adoptaient la posture de l’aile déployée dans la demi-seconde environ qui suivait le changement de champ magnétique.

M. Robinson a déclaré que la capacité d’activer des cellules génétiquement ciblées à des moments précis pourrait constituer un outil puissant pour l’étude du cerveau, le traitement des maladies et le développement d’une technologie de communication directe cerveau-machine.

On ne peut pas disposer d’une telle technologie sans un cadre juridique et de droits civils qui la prenne en compte, car elle expose le public à des dérives épouvantables.

Les éthiciens sont déjà très préoccupés par les implications de la neurotechnologie. C’est pourquoi Rafael Yuste, le scientifique dont les travaux ont inspiré l’initiative BRAIN de la DARPA, a créé la Fondation des Droits Neuronaux [Neurorights Foundation]:

Fondation des Droits Neuronaux

Jonathan Moreno est très préoccupé par la militarisation de la neurotechnologie. Il a écrit un livre en 2012 intitulé « Guerres de l’esprit: les sciences du cerveau et l’armée au 21e siècle » [Mind Wars: Brain Science and the Military in the 21st Century]. Il a également écrit un article sur le sujet qui a été republié dans le Bulletin des Scientifiques Atomiques [Bulletin of the Atomic Scientists]:

Bulletin des Scientifiques Atomiques – Quand les neurosciences mènent aux neuroarmes

Le droit international proscrit fermement l’utilisation des neuroarmes, qui ciblent le cerveau et le système nerveux central et peuvent être de nature chimique, biologique ou toxique. La Convention sur les Armes Chimiques (CAC) interdit la production, l’acquisition, le stockage, la conservation et l’utilisation d’armes chimiques. Cette interdiction relativement simple est toutefois affaiblie par la disposition de la convention autorisant l’utilisation d’agents chimiques pour certaines activités de maintien de l’ordre, comme la lutte antiémeute. La Convention sur les Armes Biologiques et les Toxines (CABT) est plus large dans son interdiction: elle interdit l’utilisation d’agents biologiques ou de toxines comme armes, quels que soient leur mode ou leur méthode de production. Mais contrairement à la Convention sur les Armes Chimiques, la Convention sur les Armes Biologiques et les Toxines ne prévoit aucun mécanisme d’inspection des installations nationales pour déterminer si l’interdiction est respectée.

Les neuro-armes représentent donc un défi à la fois pour la CAC, en raison de sa portée limitée, et pour la CABT, en raison de l’absence de mécanisme d’inspection. À la lumière de ces limitations, il ne serait pas surprenant de voir les gouvernements se tourner vers des agents incapacitants exotiques au cours de la prochaine décennie, afin de renforcer leur capacité à répondre aux menaces non conventionnelles, mobiles ou intégrées aux populations civiles. Certains de ces utilisateurs d’armes neurologiques peuvent être des régimes autocratiques désireux de réprimer la dissidence ou la rébellion, mais comme nous l’avons vu, les armées des nations riches et démocratiques ont également intérêt à utiliser des armes chimiques non létales pour tenter d’affronter des insurgés ou des groupes terroristes.

Tenter de contrer la menace terroriste sans blesser les non-combattants est sans doute une intention bien placée, mais elle ouvre une voie vers l’enfer en menaçant de saper près d’un demi-siècle de travail pour maintenir l’engagement de la communauté mondiale à faire respecter l’interdiction des armes biologiques, et la destruction durement acquise (bien qu’incomplète) des stocks d’armes chimiques dans le monde. Les installations qui peuvent créer des agents biochimiques non létaux ne sont pas très différentes de celles qui peuvent créer des agents létaux – et peuvent être identiques si la seule différence entre une arme létale et non létale est la dose.

Lorsque nous évoquons des choses comme le programme N3, nous parlons de la technologie permettant de priver des milliards de personnes de leur autonomie et de leurs droits fondamentaux du jour au lendemain et de les transformer, sans ironie, en drones Borg.

Non, ce n’est pas une hyperbole ou une exagération comique. Quand je dis drones Borg, je veux dire drones Borg.

Encore une fois, comme je l’ai dit dans des articles précédents sur les progrès récents de la biotechnologie, la Convention sur les Armes Chimiques et la Convention sur les Armes Biologiques et les Toxines n’interdisent pas la recherche sur les neurotechnologies de contrôle mental. Tout ce dont on a besoin, c’est d’un bioéthicien qui approuvera un projet en déclarant qu’il ne tue ni ne neutralise, et qu’il ne s’agit donc pas d’une toxine ou d’un agent interdit.

Les lois et les traités n’ont pas du tout suivi le rythme des avancées technologiques dans ce domaine.

Le retour de DRACO

Rick Kiessig est le directeur et le PDG de la société néo-zélandaise Kimer Med, une startup dont l’objectif est de faire revivre le concept de DRACO pour les consommateurs. Il pense que les sociétés pharmaceutiques ont évité de développer le DRACO parce qu’il cannibaliserait les ventes de leurs autres produits, plus lucratifs.

Lifespan – Rick Kiessig parle de VTose, un antiviral à large spectre

Le Dr Todd Rider, l’inventeur du DRACO, a constaté que les subventions gouvernementales et les financements de type NIH liés aux produits pharmaceutiques se limitent en grande partie à deux grands domaines: soit la recherche fondamentale, soit l’étape finale de la mise sur le marché d’un nouveau médicament. Cependant, ils n’aiment apparemment pas financer la partie intermédiaire (où nous sommes actuellement), qui implique des essais cliniques.

Il a également estimé que pour obtenir des investissements de la part des entreprises pharmaceutiques, il faudrait démontrer l’efficacité du produit contre des virus commercialement intéressants, comme l’herpès, et c’est pourquoi c’était l’un des objectifs de ses campagnes de crowdfunding 2015/2016.

Mon point de vue est un peu plus cynique. Les entreprises pharmaceutiques disposent d’un certain nombre de médicaments pour traiter les maladies virales (antiviraux et autres). Nombre de ces médicaments nécessitent une utilisation régulière pendant une longue période, car ils ne font pas disparaître le virus, ils ne font qu’éloigner temporairement les symptômes tant que l’on continue à les prendre.

Macabre conclusion

Si vous avez suivi nos articles précédents, vous savez que le NIH, l’USAID et la DTRA sont complices du préjudice causé aux Américains en raison du financement de l’EcoHealth Alliance et de ses recherches sur le gain de fonction qui ont sans aucun doute conduit à la création du SARS-CoV-2. Ils ont également financé le DRACO, mais l’ont mystérieusement abandonné après que son efficacité ait été prouvée.

On ne peut que spéculer, mais de mon point de vue, il semble qu’ils voulaient un antidote à leur future arme biologique basée sur le SARS. Quelque chose que les VIP et les officiels pourraient utiliser en secret, tout en laissant le public pourrir et mourir, souffrant des séquelles à long terme du COVID-19 ou des effets secondaires des vaccins à peine testés, hautement toxiques et induisant une auto-immunité.

Il serait très simple de produire clandestinement du DRACO en quantité suffisante pour que les VIP puissent l’utiliser. Tout ce dont on a besoin, c’est de quelques bioréacteurs, de quelques colonnes de chromatographie, de quelques E. Coli et des plasmides du DRACO à transfecter avant de les cultiver. Il s’agit essentiellement du même équipement de laboratoire nécessaire pour produire de l’insuline recombinante. Cet équipement pourrait être caché dans le coin d’un bunker ou d’un immeuble commercial anodin, n’occupant pas plus de quelques centaines de pieds carrés tout au plus. D’énormes lots, suffisants pour des milliers de personnes, pourraient être fabriqués même dans un laboratoire relativement petit.

Nous savons avec certitude que le DRACO est synthétisé en Chine, où des recherches sont en cours sur son efficacité contre le virus du Syndrome dysgénésique et respiratoire porc (SDRP).

Elsevier – Un criblage à haut débit pour les gènes essentiels à l’infection par le SDRP à l’aide d’un système basé sur le piggyBac

[NdT. Le transposon PiggyBac (PB) est un élément génétique mobile qui se transpose efficacement entre les vecteurs et les chromosomes par un mécanisme de « couper-coller »]

L’oligomérisateur de la caspase activée par l’ARN double brin [Double-stranded RNA activated caspase oligomerizer – DRACO] est une protéine synthétique qui comprend trois parties: la protéine kinase R (PKR 1-181), qui peut détecter l’ARNdb; le facteur 11-97 d’activation de la protéase apoptotique (Apaf 11-97), qui peut aider à induire sélectivement l’apoptose dans les cellules contenant l’ARNdb viral; et le domaine 4 de transduction de la protéine (PTD-4), qui peut aider à transporter les protéines dans les cellules (Guo et al., 2015). En bref, DRACO peut tuer rapidement les cellules infectées par le virus, mais n’affecte pas les cellules non infectées. Les éléments d’ADN codant pour DRACO ont été synthétisés par General Biosystems (Anhui, Chine) et clonés dans le vecteur d’expression pET-28a (+). Le plasmide recombinant pET-28a-DRACO a été identifié par PCR, digestion par enzyme de restriction et séquençage. Ensuite, la protéine DRACO a été exprimée et purifiée avec succès in vitro.

Ils avaient le remède bien avant de lâcher sur nous le COVID-19.

Pas une zoonose naturelle. Pas une fuite de laboratoire. Des crimes intentionnels contre l’humanité.

-Spartacus

Cet article est sous licence CC BY-SA 4.0. Pour consulter une copie de cette licence, visitez http://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/.


Texte original

DRACO Down the Memory Hole

They had a cure over a decade ago, but not for you

Spartacus

Aug 2

Double-stranded RNA Activated Caspase Oligomerizer

On July 27th, 2011, a paper was published in PLOS ONE describing a novel protein biologic antiviral. It was called DRACO, an acronym for Double-stranded RNA Activated Caspase Oligomerizer.

PLOS – Broad-Spectrum Antiviral Therapeutics

Currently there are relatively few antiviral therapeutics, and most which do exist are highly pathogen-specific or have other disadvantages. We have developed a new broad-spectrum antiviral approach, dubbed Double-stranded RNA (dsRNA) Activated Caspase Oligomerizer (DRACO) that selectively induces apoptosis in cells containing viral dsRNA, rapidly killing infected cells without harming uninfected cells. We have created DRACOs and shown that they are nontoxic in 11 mammalian cell types and effective against 15 different viruses, including dengue flavivirus, Amapari and Tacaribe arenaviruses, Guama bunyavirus, and H1N1 influenza. We have also demonstrated that DRACOs can rescue mice challenged with H1N1 influenza. DRACOs have the potential to be effective therapeutics or prophylactics for numerous clinical and priority viruses, due to the broad-spectrum sensitivity of the dsRNA detection domain, the potent activity of the apoptosis induction domain, and the novel direct linkage between the two which viruses have never encountered.

Funding: This work is funded by grant AI057159 (http://www.niaid.nih.gov/Pages/default.aspx) from the National Institute of Allergy and Infectious Diseases and the New England Regional Center of Excellence for Biodefense and Emerging Infectious Diseases, with previous funding from the Defense Advanced Research Projects Agency, Defense Threat Reduction Agency, and Director of Defense Research & Engineering. The funders had no role in study design, data collection and analysis, decision to publish, or preparation of the manuscript. Opinions, interpretations, conclusions, and recommendations are those of the authors and are not necessarily endorsed by the United States government.

This research was performed at MIT’s Draper Labs and was funded by NIAID, DARPA, and DTRA. The Pentagon were after a broad-spectrum antivirus that could cure any viral infection, in case soldiers were exposed to an unknown pathogen for which no vaccine existed (i.e. a biowarfare agent). Dr. Todd Rider’s solution was to come up with a chimeric protein consisting of a dsRNA detection domain fused end-to-end with an apoptosis induction domain. These protein biologics were produced by being cultured in a bioreactor in E. Coli bacteria transfected with plasmids to produce DRACO proteins, similar to how recombinant insulin is produced.

It is possible to formulate different types of DRACOs, such as Protein Kinase R and Apoptotic protease activating factor-1, PKR and FADD, RNaseL and Apaf-1, et cetera. DRACOs all have the same mechanism of action. They take advantage of the fact that many viruses, including coronaviruses, produce long strands of dsRNA when they infect cells and replicate. Even viruses with ssRNA genomes like SARS-CoV-2 do this. Healthy cells, on the other hand, don’t have any long strands of dsRNA in them at all.

This is how it works:

  1. DRACO proteins are injected into the subject.
  2. The proteins use cell-penetrating peptides (like HIV TAT) to cross cell membranes and enter cells.
  3. If there is no viral dsRNA present, the protein does nothing.
  4. If there is viral dsRNA present, the dsRNA detection domain (such as PKR) binds to the dsRNA.
  5. Multiple DRACOs bind side-by-side to the viral dsRNA.
  6. The exposed apoptosis induction domains of the DRACOs (such as Apaf-1) bind and crosslink procaspases and force the infected cell to self-destruct.

DRACOs are like little protein limpet mines that enter infected cells and command those cells to undergo apoptosis immediately if they find signs of viral infection, but are non-toxic to healthy tissue. This was proven experimentally in mouse models. They injected mice with DRACO, and then injected them with large quantities of influenza virus. Nothing happened to the DRACO treated mice when they were exposed to influenza. They were fine. In fact, they dissected the healthy DRACO-treated mice and confirmed that the DRACO proteins were non-toxic to uninfected cells.

DRACO proteins conferred practically ironclad protection against viruses that lasted up to a week after injection. All viruses. You see, viruses have ways of suppressing apoptosis pathways in cells, turning infected cells into practical zombies that can’t quite eliminate themselves before they replicate tons of viral particles. It makes a real mess. However, a protein that combines a dsRNA detection domain with an apoptosis induction domain completely bypasses the tricks and loopholes that viruses evolved to prevent apoptosis. Viruses don’t see DRACO coming. It completely destroys the cell the moment viral replication starts, shutting down the infection immediately while it’s still in a small population of cells. If DRACO is administered late, there is indeed more apoptosis and more inflammation, due to the larger population of affected cells. If it is administered prophylactically, before infection, viruses can’t even replicate in DRACO-treated cell populations at all, whether in vitro or in vivo. It puts a complete halt to it.

Now, with results like these, the logical thing to do would be to engage in more animal testing, experimentally confirm (or refute) the effects, and, eventually, proceed to human trials. After all, in theory, DRACO could be combined with surveillance and contact tracing to completely arrest the spread of a pathogen before it even had a chance to become a pandemic. If it worked, and if it had minimal side effects, it would have become an invaluable tool in the epidemic control toolbox.

That wasn’t what happened.

A Sidelined Cure

In 2014, Todd Rider sought $2 million in additional grant funding from the Templeton Foundation to continue his work. However, during a reorganization at the Templeton Foundation, the grant fell through, and he was left with nothing. Desperate for money, he started a pair of Indiegogo campaigns to fund his research that also failed.

Business Insider – This man’s potentially huge medical breakthrough can’t get funding, so he’s trying something desperate

He launched an Indiegogo campaign on October 13 to raise $100,000, enough to restart his work, though just a fraction of what he truly needs. But after two months, he was only halfway there, so the campaign was recently extended.

It’s impossible to know at this early stage if DRACO can do everything that Rider hopes it will — whether it will really be able to seek and destroy a wide variety of viruses inside a sick person.

And now we may never find out.

Around the same time, Ken Gabriel, an ex-DARPA and ex-Google guy, took over as head of MIT’s Draper Labs.

PRWeb – Ken Gabriel, former DARPA, Google Executive, to Lead Draper Laboratory

Gabriel has been a tenured professor in both the Robotics Institute and the Department of Electrical and Computer Engineering at Carnegie Mellon University. He also served as a program manager and office director at DARPA, where he conceived and led projects that took MEMS out of the laboratory into practical applications. Earlier in his career he was a visiting professor at the University of Tokyo, a research scientist at the Naval Research Laboratory and a research principal investigator at AT&T Bell Laboratories. Gabriel’s honors include being named a Technology Pioneer by the World Economic Forum at Davos and named to the Senior Executive Service, and awarded the Carlton Tucker Prize for Excellence in Teaching from the Massachusetts Institute of Technology (MIT). Gabriel holds SM and ScD degrees in Electrical Engineering and Computer Science from the MIT.

Ken Gabriel also has links to the Wellcome Trust, who are right next door to Tavistock and have links to Sequoia Capital. He is the COO of Wellcome Leap.

Wellcome Leap – Wellcome Leap Bolsters Leadership Team, Announces Former President & CEO of Draper Ken Gabriel as Chief Operating Officer

Wellcome Leap (“Leap”), an advanced projects non-profit founded by the Wellcome Trust to accelerate innovations that benefit global human health, today announced that former U.S. Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) acting director Kaigham ‘Ken’ Gabriel has been appointed as Chief Operating Officer (COO) of the organization.

Ken will lead operations at Leap as the organization undertakes bold, unconventional programs and funds them at scale.With initial funding of $300 million, Leap’s programs will target complex human health challenges with the goal of achieving breakthrough scientific and technological solutions within a decade.

“Ken’s rare blend of experience across disciplines and sectors will be key to building Leap globally and delivering on our mission,” said Regina E. Dugan, CEO of Wellcome Leap. “He’s devoted to breakthrough innovation and I’m stoked to work with him.”

Whitney Webb has extensive coverage on Wellcome Leap and their transhumanist intentions.

Unlimited Hangout – A “Leap” toward Humanity’s Destruction

A UK nonprofit with ties to global corruption throughout the COVID-19 crisis as well as historical and current ties to the UK eugenics movement launched a global health-focused DARPA equivalent last year. The move went largely unnoticed by both mainstream and independent media.

The Wellcome Trust, which has arguably been second only to Bill Gates in its ability to influence events during the COVID-19 crisis and vaccination campaign, launched its own global equivalent of the Pentagon’s secretive research agency last year, officially to combat the “most pressing health challenges of our time.” Though first conceived of in 2018, this particular Wellcome Trust initiative was spun off from the Trust last May with $300 million in initial funding. It quickly attracted two former DARPA executives, who had previously served in the upper echelons of Silicon Valley, to manage and plan its portfolio of projects. 

This global health DARPA, known as Wellcome Leap, seeks to achieve “breakthrough scientific and technological solutions” by or before 2030, with a focus on “complex global health challenges.” The Wellcome Trust is open about how Wellcome Leap will apply the approaches of Silicon Valley and venture capital firms to the health and life science sector. Unsurprisingly, their three current programs are poised to develop incredibly invasive tech-focused, and in some cases overtly transhumanist, medical technologies, including a program exclusively focused on using artificial intelligence (AI), mobile sensors, and wearable brain-mapping tech for children three years old and younger. 

Odysee – The « Wellcome Leap » into Transhumanism – Whitney Webb on The Corbett Report

Whitney Webb of UnlimitedHangout.com joins us once again, this time to discuss her latest article, « A “Leap” toward Humanity’s Destruction. » Even if you’re familiar with the transhumanist agenda, what the ex-DARPA, ex-Silicon Valley old hands at the newly created Wellcome Leap are planning to do in their quest to transform the human species in the coming decade will blow your mind.

Everything ties right back into the same WEF/Club of Rome/Rockefeller transhumanist agenda; human augmentation, cattle-tagging and tracking people, pulling health data right out of their bodies, using brain data for precrime, manipulating people remotely, et cetera.

The Overclass want people to be brought onto the so-called Internet of Bodies, whether we like it or not. Mandatory vaccination is just an excuse. What they really want is unlimited leeway to mandate injections of anything, using pandemic viruses as a pretense.

It is worth reminding readers that DARPA are working on a nanoparticle-based BCI that could be used for mind control, and that this technology is advancing rapidly.

Rice University – Wireless activation of targeted brain circuits in less than one second

The researchers used genetic engineering to express a special heat-sensitive ion channel in neurons that cause flies to partially spread their wings, a common mating gesture. The researchers then injected magnetic nanoparticles that could be heated with an applied magnetic field. An overhead camera watched flies as they roamed freely about an enclosure atop an electromagnet. By changing the magnet’s field in a specified way, the researchers could heat the nanoparticles and activate the neurons. An analysis of video from the experiments showed flies with the genetic modifications assumed the wing-spread posture within approximately half a second of the magnetic field change.

Robinson said the ability to activate genetically targeted cells at precise times could be a powerful tool for studying the brain, treating disease and developing direct brain-machine communication technology.

You can’t have technology like this without a legal and civil rights framework that accounts for it, because it opens the public up to hideous abuse.

Ethicists are already very deeply concerned about the implications of neurotechnology. That’s why Rafael Yuste, the scientist whose work inspired DARPA’s BRAIN Initiative, started the Neurorights Foundation:

Neurorights Foundation

Jonathan Moreno is very concerned about the weaponization of neurotechnology. He wrote a book in 2012 entitled Mind Wars: Brain Science and the Military in the 21st Century. He also wrote an article on the matter that was republished in the Bulletin of the Atomic Scientists:

Bulletin of the Atomic Scientists – When neuroscience leads to neuroweapons

International law strongly proscribes the use of neuroweapons, which target the brain and central nervous system and can be chemical, biological, or toxin-producing in nature. The CWC bans the production, acquisition, stockpiling, retention, and use of chemical weapons. This relatively straightforward prohibition is undercut, however, by the convention’s provision allowing chemical agents to be used for certain law enforcement activities, like riot control. The BTWC is more sweeping in its prohibition: It bans biological agents or toxins from being used as weapons, whatever their mode or method of production. But unlike the CWC, the BTWC has no mechanism for inspecting national facilities to determine whether the prohibition is being upheld.

Neuroweapons, thus, present a challenge for both the CWC, because of its limited scope, and the BTWC, because of its lack of an inspection mechanism. In light of these limitations, it would not be surprising to see governments turn to exotic incapacitating agents in the coming decade, in an attempt to strengthen their ability to respond to threats that are unconventional, mobile, or embedded within civilian populations. Some of these neuroweapon users may be autocratic regimes interested in repressing dissent or rebellion, but as we’ve seen, the militaries of rich, democratic nations also have an interest in using nonlethal chemical weapons in attempting to confront insurgents or terrorist groups.

Attempting to counter the threat of terrorism without harming noncombatants is arguably a well-placed intention, but it paves a road to hell by threatening to undermine almost half a century of work to keep the global community engaged in upholding the ban on biological weapons, and the hard-won (if incomplete) destruction of chemical weapons stockpiles around the world. Facilities that can create nonlethal biochemical agents aren’t too different from ones that can create lethal agents—and may be identical if the only difference between a lethal and nonlethal weapon is dose.

When we bring up things like the N3 program, we’re talking about the tech to strip basic autonomy and rights from billions of people overnight and unironically turn them into Borg drones.

No, that’s not hyperbole or comical exaggeration. When I say Borg drones, I mean Borg drones.

Again, as I stated in previous articles on recent advances in biotechnology, the Chemical Weapons Convention and Biological Weapons Convention do not bar research into mind control neurotech. All you need is a bioethicist who will sign off on a project and say that it’s neither killing nor incapacitating, and therefore is not a proscribed toxin or agent.

Laws and treaties have not kept up with the pace of technological advancement in this area at all.

DRACO Returns

Rick Kiessig is the Director and CEO of the New Zealand company Kimer Med, a startup focused on reviving the DRACO concept for consumer use. He believes that pharmaceutical companies have avoided developing DRACO because it would cannibalize sales from their other, more lucrative products.

Lifespan – Rick Kiessig Discusses VTose, a Broad-Spectrum Antiviral

Dr. Todd Rider, the inventor of DRACO, said he found that government grant and NIH-type funding related to pharmaceuticals is largely limited to two broad areas: either basic research or the final step of bringing a new drug to market. However, they apparently don’t like to fund the middle part (where we are now), which involves clinical trials.

He also felt that investment from pharma companies would require showing effectiveness against commercially interesting viruses, such as herpes, which is why that was one of the goals of his 2015/2016 crowdfunding campaigns.

My view is a bit more cynical. Pharma companies have a number of drugs to treat viral illness (antivirals and others). Many of those drugs require regular use for a long period of time, because they don’t make the virus go away, they just temporarily keep the symptoms at bay as long as you continue to take them.

Grim Conclusion

If you’ve been following along with our prior articles, you’d know that NIH, USAID, and DTRA are complicit in harming Americans due to their funding for EcoHealth Alliance and their GOF research which undoubtedly led to the creation of SARS-CoV-2. They also funded DRACO, but mysteriously abandoned it after it was proven to work.

One can only speculate, but from where I stand, it looks like they wanted an antidote to their forthcoming SARS-based bioweapon. Something for VIPs and officials to use in secret, while leaving the public to rot and die, suffering from long-term sequelae from COVID-19 or the side effects from the barely tested, highly toxic, autoimmunity-inducing vaccines.

It would be trivial to clandestinely produce DRACO in sufficient quantities for VIPs to use. All you need is a couple bioreactors, some chromatography columns, some E. Coli, and the DRACO plasmids to transfect into them before culturing. It’s basically all the same lab equipment needed to produce recombinant insulin. This equipment could be hidden in the corner of a bunker or a nondescript commercial building, occupying no more than several hundred square feet at the most. Huge batches sufficient for thousands of people could be manufactured even in a relatively small laboratory.

We know for a fact that DRACO is being synthesized in China, where there is ongoing research into its effectiveness in porcine reproductive and respiratory syndrome virus.

Elsevier – A high-throughput screen for genes essential for PRRSV infection using a piggyBac-based system

Double-stranded RNA activated caspase oligomerizer (DRACO) is a synthetic protein that includes three parts: protein kinase R (PKR 1–181), which can detect dsRNA; apoptotic protease-activating factor 11–97 (Apaf 11-97), which can help to selectively induce apoptosis in cells containing viral dsRNA; and protein transduction domain 4 (PTD-4), which can help to transport proteins into cells (Guo et al., 2015). In short, DRACO can rapidly kill virus-infected cells but does not affect uninfected cells. The DNA elements encoding DRACO were synthesized by General Biosystems (Anhui, China) and cloned into the expression vector pET-28a (+). The recombinant pET-28a-DRACO plasmid was identified by PCR, restriction enzyme digestion and sequencing. Then, the DRACO protein was successfully expressed and purified in vitro.

They had the cure long before they unleashed COVID-19 on us.

Not natural zoonosis. Not a lab leak. Intentional crimes against humanity.

-Spartacus

This article is licensed under CC BY-SA 4.0. To view a copy of this license, visit http://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/

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