Sauvez Wally : remontons l’histoire de la protéine de pointe jusqu’à un lama – par Stephers.

Bonjour à tous.

Un deuxième essai de Stephers (le premier est ici, j’en traduirai d’autres), qui figure également sur le site Piece of Mindful, sur le même sujet – les nanoparticules dans le cadre du Covid et des injections – sous l’angle d’une enquête très approfondie, très sourcée et qui donne pas mal de noms. La nanoparticule de son article précédent a ainsi retrouvé ses parents!

C’est assez touffu à la première lecture mais permettra une nouvelle fois au lecteur patient de s’affranchir des fausses pistes et autres cul-de-sac dans le labyrinthe du narratif officiel et alternatif. Bref, d’y voir plus clair.

Il est plus que temps.

Source.


Traduction

Sauvez Wally : Remontons l’Histoire de la Protéine de Pointe jusqu’à un Lama

Je dédie cet essai préliminaire à ceux de mes amis et de ma famille qui ont reçu une injection COVID (sans consentement éclairé approprié); et à toutes les personnes assises aux places les moins chères du fond de la salle, qui ne pourront peut-être pas entendre mes paroles, noyées dans le tintamarre de la recherche sur le gain de fonction (GdF), des fuites de laboratoire et des fuites de courrier électronique.

ALERTE SPOILER : Lorsque je fais ici référence à une «protéine de pointe», ce n’est PAS parce que je soutiens l’idée qu’une protéine est issue d’un virus, ou que je pense qu’elle est «excrétée» ou fonctionne de la manière postulée par les personnes référencées ci-dessous (qui soutiennent toutes qu’il existe un virus SARS-CoV-2).

On a eu droit récemment à beaucoup de drames (et à juste titre) à propos de la protéine de pointe du prétendu virus SARS-CoV-2, et plus précisément, a propos de ce qui est décrit comme l’expression de la protéine de pointe synthétique à la suite d’injections COVID.

Il semble que le Dr Byram Bridle, le Dr Joseph Mercola (voir ici et ici), Judy Mikovits, Stephanie Seneff [NdT. son rapport traduit et publié ici], le Dr Russell Blaylock et le Dr Sherri Tenpenny [NdT. idem ici] conviennent tous que la protéine de pointe – à tout le moins, celle qui est produite pour/par les injections — est une toxine (voir note de fin 1). Le consensus général parmi eux est qu’il s’agit d’une arme biologique. En effet, Tenpenny a souligné (interview en lien ci-dessus) que la protéine de pointe (et non pas « le virus ») est l’arme biologique, en se basant sur une étude d’un « pseudovirus inoffensif » qui a été conjugué à des protéines de pointe, et a toutefois causé des dommages artériels pulmonaires.

Je constate avec plaisir que nous pouvons tous aller de l’avant vu que nous sommes d’accord sur le fait qu’il s’agit d’une arme biologique créée en laboratoire; cependant, pourquoi tant de personnes conservent-elles leur vision en tunnel et demeurent-elles obsédées par la recherche de GdF? Pourrait-il y avoir d’autres laboratoires faisant des recherches connexes – peut-être de la R&D sur les protéines, ou plus précisément, de la R&D sur les «protéines de pointe» (sans virus)? Et quel rôle les synchrotrons jouent-ils dans tout cela? Au cours votre lecture, j’amènerai sur ce sujet un retournement de situation, j’espère donc que vous me suivrez jusque là, tandis que je vous invite maintenant au prélude…

En ce qui concerne la prochaine étape du développement des vaccins COVID (voir ici, ici et ici), vous en entendrez peut-être bientôt parler: les nanocorps de lama. Une courte présentation du «Whiteboard Doctor» (publiée en juillet 2020) intitulée «Llamas and COVID-19: Nanobodies Inhibit SARS-CoV-2 Virus Binding and Infection», explique une étude parue dans Nature en juillet 2020, qui s’intéresse à la technologie des nanocorps de lama – appliquée à la fameuse protéine de pointe.

La R&D sur les médicaments à base de nanocorps utilise un minuscule nanocorps, qui est un anticorps à domaine unique, ou un fragment d’un anticorps. Comme un anticorps, il est censé être capable de se lier aux antigènes. Le caplacizumab est le premier médicament à base de nanocorps, selon son fabricant Ablynx (acquis par Sanofi en 2018). Ce nanocorps précis est spécifiquement conçu pour le traitement d’un trouble rare de la coagulation sanguine appelé Purpura Thrombotique Thrombocytopénique aqueux (PTTa) – qui prendra de plus en plus d’importance au fur et à mesure que vous lirez ce qui suit. En septembre 2018, le caplacizumab a été approuvé en Europe pour les adultes, et il a reçu l’approbation de la FDA pour les adultes aux États-Unis en février 2019.

En bref, le PTTa est une maladie sanguine rare qui affecte les plaquettes sanguines et entraîne la formation de caillots sanguins dans les petits vaisseaux sanguins du corps, ce qui peut ralentir le flux sanguin vers les organes, notamment le cœur, le cerveau et les reins. En provoquant l’agglutination des plaquettes, le PTTa peut également provoquer des saignements excessifs et une anémie.

Il y a un an, si j’avais demandé à mes lecteurs s’ils avaient entendu parler de PTTa, il n’y aurait probablement pas eu une seule main levée (la mienne incluse). Cependant, si je vous demandais maintenant si vous avez entendu (même vaguement) parler de thrombose ou de thrombocytopénie, lèveriez-vous la main? Quelqu’un a dit COVID?

En conséquence, on a beaucoup parlé dans les médias (à la fois grand public et alternatifs) d’un trouble de la coagulation sanguine ultra-rare appelé purpora de thrombocytopénie thrombotique (PTT) dans le contexte du COVID et également des injections COVID (Thrombose et Thrombocytopénie Induites par le Vaccin, ou TTIV).

Les TTIV apparemment inexplicables furent la raison présumée du bref retrait en avril 2021 du produit de bio-ingénierie J&J (voir ici et ici). Malgré les inquiétudes concernant la coagulopathie (coagulation du sang) exprimées par la communauté médicale, y compris la toxicologue, le Dr Janci Chunn Lindsay [NdT. que j’ai également traduite et publiée ici], le déploiement de l’injection de J&J reprit après sa brève interruption. Il convient de noter que la thrombose a également été corrélée à l’utilisation du dispositif AstraZeneca.

Au cours des deux derniers mois, le débat agité autour de la protéine de pointe et de son rôle potentiel dans la formation de caillots sanguins s’est intensifié. Voir ici pour une analyse détaillée, publiée le 3 juin 2021 par le médecin écossais, le Dr Malcolm Kendrick. Le Dr Kendrick explique : « … il se peut que la protéine de pointe elle-même crée la plupart des caillots sanguins. Ici, dans l’article « La sous-unité spike 1 du SARS-CoV-2 induit une hypercoagulabilité », « Lorsque la totalite du sang a été exposée à des protéines de pointe, même à de faibles concentrations, les érythrocytes (globules rouges) ont montré une agglutination, des plaquettes hyperactivées ont été observées, avec une propagation membranaire et la formation de microparticules dérivées des plaquettes.» Traduction. Introduisez les protéines de pointe du SARS-CoV2 dans la circulation sanguine, et cela le fait coaguler – rapidement. Ce qui est inquiétant. » Kendrick poursuit: «C’est inquiétant parce que le but de la vaccination contre le SARS-CoV2 est de forcer les cellules à fabriquer la ou les protéines de pointe, puis de les envoyer dans la circulation sanguine… Nous savons qu’un pourcentage très élevé des personnes qui meurent après le… COVID-19… meurent des suites de caillots sanguins. On sait aussi qu’ils peuvent aussi souffrir de myocardites sévères (inflammation du muscle cardiaque)… Nous savons que la protéine de pointe peut stimuler la formation de caillots sanguins à elle seule… Nous savons qu’un certain nombre de personnes sont mortes de caillots sanguins après la vaccination… Ma préoccupation à ce stade est que, oui, nous avons identifié des manifestations très rares de la coagulation du sang… si rares qu’il est peu probable que quoi que ce soit d’autre – à part un nouveau vaccin – ait pu les causer. Je n’avais jamais vu de cas et je n’en avais même jamais entendu parler avant l’arrivée du COVID19. Et j’ai passé des années à étudier le système de coagulation du sang, la vascularite, etc.« 

Si le COVID, et les injections COVID – et la protéine de pointe (à elle seule) – provoquent tous potentiellement une destruction vasculaire, y compris la coagulation du sang (et le TTP en particulier), peut-être pouvons-nous alors en déduire qu’il existe un dénominateur commun entre les trois qui interfère avec les plaquettes sanguines et le fonctionnement vasculaire.

Revenons au sujet des lamas et à une discussion plus détaillée sur les nanocorps – dans le contexte du COVID.

Les lamas appartiennent à un groupe de mammifères appelés camélidés, qui comprend également les chameaux et les alpagas. Ils produisent des anticorps beaucoup plus petits que les anticorps humains (environ la moitié de leur taille, selon Andrzej Joachimiak, scientifique du Laboratoire National Argonne), appelés nanocorps.

Les « adorables » lamas utilisés dans les expérimentations actuelles sur les nanocorps ont en fait des noms. L’un des lamas au cœur de l’étude des nanocorps de camélidés s’appelle « Wally« . Le 9 mars 2021, Andre Salles du Laboratoire National Argonne écrivait : « Isoler ces minuscules nanocorps est délicat, car le corps en génère un nombre énorme et seule une petite fraction est destinée à combattre un virus particulier. C’est exactement le problème que Yi Shi, professeur de biologie cellulaire à l’Université de Pittsburgh, essaie de résoudre. Dans un article publié dans Science, Shi et ses collègues ont dévoilé une nouvelle méthode de spectroscopie de masse avancée pour analyser ces nanocorps à partir d’échantillons de sang de lama. Le résultat… est un grand ensemble de nanocorps qui se lient bien au virus SARS-CoV-2… L’expérience de Shi a commencé avec un lama, celui nommé Wally parce qu’il ressemble à (et porte donc le même nom que) son Labrador noir. L’équipe a vacciné Wally contre le SARS-CoV-2, a attendu deux mois que des nanocorps soient générés, puis… a utilisé leur nouvelle méthode pour analyser les nanocorps, les identifier et les quantifier. Ils se sont retrouvés avec 10 millions de séquences de nanocorps.« 

Salles explique: «Ces nanocorps peuvent rester à température ambiante pendant six semaines et sont suffisamment petits pour pouvoir être aérosolisés, ce qui signifie que les produits thérapeutiques conçus à partir d’eux peuvent être inhalés directement dans les poumons au lieu de se déplacer dans la circulation sanguine (c’est nous qui soulignons)… « Avec cette méthode, nous pouvons découvrir des milliers de nanocorps distincts à ultra-haute affinité pour une liaison spécifique à l’antigène », a déclaré Shi. «Ces nanocorps peuvent ou non fournir un traitement pour le COVID-19, mais la technologie utilisée pour les isoler sera importante à l’avenir…’ … ‘ À partir des structures cristallines déterminées à partir des données collectées à l’APS [Advanced Photon Source] et au Stanford Synchrotron Radiation Lightsource (SSRL), nous avons pu identifier les sites de liaison des nanocorps sur le domaine de liaison du récepteur SARS-CoV-2 ‘, a déclaré [ Ian] Wilson. ‘Les informations structurelles aux rayons X, combinées aux données de microscopie cryoélectronique, ont été utilisées pour aider à concevoir des anticorps multivalents encore plus puissants pour prévenir l’infection par COVID-19. Le travail structurel aux rayons X a été grandement facilité par un accès immédiat à l’APS.’ Seul le temps (et d’autres tests) dira si les différents nanocorps se traduiront par des traitements efficaces contre le COVID-19. Mais si c’est le cas, nous en serons redevables à cet adorable lama.« 

L’APS est décrit comme suit [NdT. accrochez-vous et tentez de suivre]: « L’Advanced Photon Source est une Installation du Bureau Scientifique du Département de l’Energie [DOE] américain sous contrôle du Bureau Scientifique du DOE [U.S. Department of Energy (DOE) Office of Science User Facility operated for the DOE Office of Science] par le Laboratoire National Argonne. Un financement additionnel des faisceaux utilisés pour la recherche COVID-19 à l’APS provient des National Institutes of Health (NIH) et du le DOE Office of Science Biological and Environmental Research… soutenu par le DOE Office of Science par le biais du National Virtual Biotechnology Laboratory (c’est nous qui soulignons), un consortium de laboratoires nationaux du DOE axé sur la réponse au COVID-19 avec un financement fourni par le Coronavirus CARES Act.« 

Voici le rebondissement de l’intrigue (si vous êtes toujours là)… Devinez où la protéine de pointe utilisée dans le développement des vaccins COVID a été conçue?.. Attendez… Au Laboratoire National d’Argonne – et en utilisant le même Advanced Photon Source (APS)! Selon cet article de décembre 2020 (rédigé par Andre Salles d’Argonne), c’est Jason McLellan et ses collègues qui ont développé l’énigmatique protéine de pointe. Incidemment, ils ont déposé un brevet pour une version de la protéine de pointe en octobre 2017, et la demande a été approuvée en mars 2021. Comme expliqué par Salles de chez Argonne:

« cinq des vaccins, dont ceux développés par Pfizer/BioNTech et Moderna, contiennent des mutations génétiques qui augmentent leur efficacité, mutations basées sur des travaux remontant à plus de 10 ans, effectués grâce aux ressources de l’Advanced Photon Source (APS)(c’est nous qui soulignons) »

«Elles ont été développés par Jason McLellan, maintenant professeur agrégé à l’Université du Texas à Austin, et Barney Graham, actuellement directeur adjoint du Vaccine Research Center de l’Institut national des Allergies et des Maladies Infectieuses, qui fait partie des National Institutes of Health (NIH)… « 

« En 2013, McLellan et ses collègues, dont Nianshuang Wang, qui travaille maintenant chez Regeneron Pharmaceuticals, ont commencé à travailler avec Graham et sa collègue du NIH Kizzmekia Corbett sur un vaccin contre le coronavirus du Syndrome Respiratoire du Moyen-Orient (Middle East Respiratory Syndrome, MERS-CoV)… Cette fois, ils effectuèrent une partie de leur travail au Centre de Biologie Structurale (Structural Biology Center – SBC) de l’APS… « 

« McLellan et Graham sont tous deux des utilisateurs de longue date de l’APS (c’est nous qui soulignons), et leur travail pour comprendre le RSV et le MERS-CoV a conduit à une technique efficace pour neutraliser les deux virus », a déclaré Bob Fischetti d’Argonne, chef de groupe et conseiller en sciences de la vie auprès du directeur de l’APS. « Les travaux sur la structure réalisés à l’APS ont joué un rôle clé dans la découverte de cette technique, et l’on voit aujourd’hui à quel point elle peut être importante… « 

«Lorsque le SARS-CoV-2 est apparu, McLellan, Wang et l’étudiant diplômé Daniel Wrapp, maintenant à l’Université du Texas à Austin, se sont joints à Graham et Corbett pour voir si la même technique pourrait servir à inhiber la propagation de ce nouveau virus. Et une fois qu’ils ont pu examiner la structure de la protéine de pointe, ils ont découvert que c’était le cas… « 

« ‘Être capable de résoudre la structure de la protéine de pointe du SARS-CoV-2 (c’est nous qui soulignons) et savoir qu’elle était dans la conformation souhaitée dans les trois semaines suivant la publication de la séquence (c’est nous qui soulignons) était essentiel pour faire avancer rapidement les programmes de développement de vaccins et de découverte d’anticorps‘, a déclaré Graham… « 

«Les premiers résultats de leurs travaux, une mutation appelée S-2P, se trouve maintenant dans les vaccins contre le SARS-CoV-2 développés par Moderna, Pfizer/BioNTech, Novavax, Johnson & Johnson et CureVac, a confirmé McLellan (c’est nous qui soulignons). Les vaccins de Pfizer et de Moderna utilisent l’ARN messager (ARNm) pour ordonner aux cellules humaines de fabriquer le mutant de la protéine de pointe contre laquelle le système immunitaire développe ensuite des anticorps.« 

Selon Robert Fischetti d’Argonne, « Cette recherche a été effectuée sans aucune idée de l’importance qu’elle aurait pour nous en 2020.« 

Alors, imaginez un peu. . . Le chercheur principal, Jason McLellan, qui a affirmé avoir créé la protéine de pointe synthétique (écoutez à environ 9 minutes), apparemment fabriquée et exprimée dans le corps par les prétendus « vaccins » (en raison d’instructions de génie génétique codées par soit des ARN messagers soit par l’ADN d’adénovirus), semble également avoir « des années d’expérience de travail avec des nanocorps de camélidés », actuellement proposés pour traiter le COVID et son symptôme notable de thrombose (qui est également l’effet secondaire de plus en plus signalé suite aux injections). Pour rappel, le phénomène de coagulation du sang est attribué par plusieurs chercheurs et médecins à… comprenez bien… la PROTÉINE DE POINTE ! Parallèlement, Jason McLellan et son collègue, Daniel Wrapp, ont reçu un Golden Goose Award 2020 pour l’un de leurs nanocorps de lama (appelé VHH72, qu’ils avaient « caractérisé à l’aide des lignes de faisceau SBC de l’APS« ) actuellement en cours de développement pour le traitement du COVID. »

Je pense que ce contexte est de la plus haute importance pour saisir l’ensemble de cette opération COVID (ou protéine modifiée, sans virus). Comme toujours, examinez le schéma problème, réaction, solution. N’oubliez pas non plus que le Laboratoire National Argonne mène depuis longtemps des recherches classifiées et abrite le Centre pour les Matériaux à l’Echelle Nanométrique (Center for Nanoscale Materials, CNM), ainsi que plusieurs générations de supercalculateurs, dont le prochain Aurora, «qui sera le premier supercalculateur exascale au monde.« 

Ne trouvez-vous pas étrange que le laboratoire qui a créé la protéine de pointe (synthétique) ait tout naturellement développé les nanocorps dont on présume qu’ils pourraient «neutraliser» ladite protéine ? De plus, la technologie des nanocorps de camélidés susmentionnée a déjà été utilisée contre à la thrombose (depuis 2018). Bon, si on était un « théoricien du complot », ce ne serait pas vraiment une surprise, n’est-ce pas? Mais quelles sont les implications potentielles (au-delà de celle évidente du profit, reflétée principalement dans les spin-outs biotechnologiques financés par le capital à risque), et y a-t-il des intentions cachées ?

Comme je l’ai dit ici à plusieurs reprises, cette mystérieuse protéine de pointe a été la cible de beaucoup de commentaires critiques dans les médias alternatifs, mais ceux-ci ont négligé d’expliquer l’origine de la protéine de pointe synthétique (utilisée dans les injections) et comment elle a été fabriquée.

Je propose que soient étudiés la science de la protéomique et ses laboratoires associés – et je commencerais par le Laboratoire National Argonne. Je souhaiterais également ajouter l’Institute for Protein Design (IPD) de l’Université de Washington à cette enquête ciblée (voir leur Conseil Consultatif ici). L’IPD a annoncé le 2 juin 2021 son intention de déployer un nouveau vaccin à nanoparticules contre le COVID : « Notre candidat vaccin contre le SARS-CoV-2 a été créé avec des techniques de conception de vaccins basées sur la structure inventées dans le laboratoire King [à] l’IPD. Il est basé sur une nanoparticule de protéine auto-assemblante conçue par ordinateur (c’est nous qui soulignons) qui affiche 60 copies d’une région clé de la protéine de pointe virale. »

Savons-nous à quoi sert réellement cette protéine modifiée, dérivée in silico, en particulier lorsqu’elle est fabriquée à l’intérieur d’un corps humain-hôte?

Même en leur attribuant de bonnes intentions – avec leurs modèles, leurs séquences cibles, leurs algorithmes d’apprentissage automatique et leur méthodologie de prédiction de la structure des protéines – les concepteurs de protéines peuvent-ils être assurés que leur protéine « bien élevée » se comportera in vivo comme prévu?

Nous devrons peut-être rester en rester au stade de la spéculation (et rester vigilants) pour l’instant, mais cet article de juin 2020 dans Nature Biotechnology – qui présente l’ingénierie des protéines de novo [NdT. nouvellement synthétisée] « galvanisée » par l’IPD de l’Université de Washington (mis en évidence ci-dessus) – peut nous donner quelques éléments de réflexion: « C’est stimulant de penser que nous arrivons maintenant au stade où nous sommes capables construire de nouvelles choses qui peuvent être utiles dans le monde », dit-il [David Baker, directeur de l’IPD]. Baker pense que la technologie de conception de protéines de novo a franchi un cap, passant de la création de protéines fonctionnelles mais simples à la construction de machines moléculaires complexes capables d’effectuer des opérations conditionnelles. Ne se limitant plus à décrire et à copier les protéines naturelles, les concepteurs de protéines ont appris à construire des ensembles de protéines qui peuvent changer de conformation à la demande ou exécuter des instructions en plusieurs étapes, telles que basculer entre deux états… Mère Nature a créé des outils incroyables, mais ces solutions sont le résultat de pressions évolutives, notamment la nécessité de conserver le patrimoine génétique en fabriquant des protéines qui remplissent de multiples fonctions. Alors qu’une protéine naturelle peut être la solution à laquelle l’évolution est arrivée, il se peut bien qu’elle ne soit pas l’outil le plus efficace pour une tâche conçue par un humain. La création de nouvelles protéines, dit Baker, permet aux outils d’être spécifiquement dirigés, ainsi que modulaires et personnalisables pour d’autres utilisations.« 

Le jeu vidéo compétitif « Foldit » de Baker (basé sur son logiciel de modélisation moléculaire Rosetta) – dans lequel les membres du public peuvent simuler et manipuler leurs propres protéines – en dit long. Ça devrait alarmer nos lecteurs et nous ramène aux avertissements prémonitoires d’Alison McDowell selon lesquels notre vie (dans ce cas, la vie biologique dans ses éléments de base) serait non seulement numérisée, mais ludifiée.

Si vous la construisez (une protéine synthétique, voire hybride), ils (l’État de biosécurité militarisé) viendront (?).

Est-ce ainsi que la Simulation du Monde Conscient (Sentient World Simulation, SWS) commence à se construire, comme je l’ai avancé en avril 2020 ?

Étonnamment, sur leur site Web, Argonne déclare entre parenthèses (je souligne) :

(Les chercheurs de l’APS ne travaillent pas avec le virus vivant, mais avec des cristaux issus de protéines simulées.)

Alors, le laboratoire Argonne qui a synthétisé une glycoprotéine (prétendument à partir d’un virus) a-t-il jamais eu physiquement en sa possession ledit virus? Cette question semble-t-elle familière à la plupart des lecteurs de POM [NdT. Piece of Mindful, le site où figure cet article]?

Je rappelle aux lecteurs que cette protéine est synthétique et d’échelle nanométrique, et est donc une nanoparticule artificielle (NPA) – ce qui nous ramène à mon précédent article d’avril 2021, « Confessions of an Engineered Nanoparticle » [NdT. « Confession d’une nanoparticule artificielle », à lire absolument, que j’ai traduit et publié ici]. J’y avais également indiqué que la NPA était responsable de la thrombose due à l’agrégation plaquettaire. Quand j’ai écrit ça, si vous vous en souvenez, j’ai exprimé (par la voix d’une NPA) que je ne savais pas d’où venait les NPA. Ai-je maintenant ma réponse? Hypothétiquement, si j’étais une NPA orpheline qui raconte une histoire fictive, je dirais que j’ai peut-être trouvé mes parents biologiques, et il semble qu’ils aient des noms et qu’ils aient une maison – ainsi qu’un puissant accélérateur de particules utilisant de puissantes lignes de faisceaux!

La NPA (que j’ai postulée être la cause du COVID) était-elle depuis le début la «protéine de pointe» bio-fabriquée? Ou plutôt, vice versa : la « protéine de pointe » est-elle simplement une NPA emballée dans le jargon de la virologie?

Alors que les magiciens ont hypnotisé beaucoup de gens avec leur « hypothèse de fuite de laboratoire » (basée sur des recherches GdF anciennes et obsolètes), je garderai un œil sur les laboratoires (ici chez moi aux États-Unis et de l’autre côté de l’Océan) qui jouent avec des lignes de faisceaux, avec la cristallographie de protéines et avec la technologie de conception de protéines synthétiques – d’autant plus qu’ils revendiquent ouvertement la production de la célèbre protéine de pointe, utilisée pour développer les injections COVID actuellement achetées par les États-Unis. Dans ce cas, je pourrais bien les croire sur parole.

Soyons clairs, cependant, lorsque les scientifiques admettent s’amuser avec ces protéines (et en « cartographier la structure »), en utilisant leur technologie d’accélérateur de particules à haute puissance, ils ne se contentent pas d’imager et d’identifier ce qui est déjà présent (en utilisant de vagues expressions vernaculaires telles que « déterminé la structure » ​​ou « résolu la structure »). Ces puissants rayons X de nouvelle génération et potentiellement cytotoxiques (apparemment 10.000 milliards de fois plus puissants que les rayons X médicaux) peuvent littéralement produire et synthétiser de nouvelles particules (de façon similaire au phénomène dont nous avons discuté à plusieurs reprises, qui implique l’ajout de produits chimiques toxiques ajoutés aux cellules dans une boîte de Pétri, entraînant des effets cytopathiques), car les électrons à haute énergie sont excités par les interactions photoniques. L’interaction photonique qui s’ensuit est appelée effet photoélectrique et confère de l’énergie cinétique (ou des particules chargées) à l’échantillon observé, produisant des nanostructures, qui sont ensuite utilisées dans des applications biotechnologiques avancées.

Dans le même ordre d’idées, voici un court extrait d’un intrigant article d’avril 2021 du Laboratoire National Argonne : « En utilisant l’APS, les chercheurs ont pu utiliser des lasers pour créer un nouvel état de la matière [avec des phénomènes structurels, électroniques et magnétiques émergents] (c’est nous qui soulignons) et obtenir une image complète de sa structure en utilisant la diffraction à rayons X. En 2019, l’équipe, dirigée conjointement par Argonne et la Pennsylvania State University, a rapporté ses découvertes dans un article de couverture de Nature Materials, notamment que les tourbillons peuvent être manipulés grâce à des impulsions lumineuses. Les données ont été recueillies sur plusieurs lignes de faisceaux APS : 7-ID-C, 11-ID-D, 33-BM et 33-ID-C. » L’article poursuit: « Bien que ce nouvel état de la matière, désigné supercristal, n’existe pas à l’état naturel (c’est nous qui soulignons), il peut être créé en éclairant de fines couches de deux matériaux distincts soigneusement conçues par l’utilisation de lumière », a déclaré Venkatraman Gopalan, professeur de Science et d’Ingénierie des Matériaux et de Physique à Penn State. »

Je répéte ce qui a été dit plus haut :

(Les chercheurs de l’APS ne travaillent pas avec le virus vivant, mais avec des cristaux issus de protéines simulées.)

Encore un peu de magie.

Certes, je ne comprends pas complètement comment les nanocristaux sont synthétisés par l’usage de l’accélérateur et de la technologie de cristallographie qui lui est associée, car ça dépasse le cadre de mon exploration actuelle. Néanmoins, je sens bien que c’est un vrai prodige, et j’invite les lecteurs à m’apporter les éclairages pertinents. Pendant que certains chercheurs se consacraient (d’après moi) à répéter le plus ancien tour de passe-passe connu en virologie – cultiver des entités à partir de débris cellulaires dans des boîtes de Pétri et les appeler des « virus » – de zélés manipulateurs de synchrotrons ont du bien s’en amuser en s’en mettant plein les poches.

À tout le moins, un fait me semble évident : les protéines peuvent être générées en grande quantité, sont facilement accessibles et sont des nanodispositifs très appropriés pour la biodétection et le ciblage cellulaire (y compris le génie génétique/génomique et la biologie synthétique). Tout ce qu’on appelle un virus, ne remplit pas le contrat – pour le projet de Web Spatial émergent [NdT. un autre article de Stephers que je vais traduire et publier ici]. Alors autant arrêter de concentrer nos efforts là-dessus. À l’inverse, la protéomique armée et pilotée par l’IA semble beaucoup plus adaptée et adaptable aux très inquiétants projets 4RI [Quatrième Révolution Industrielle], incorporant des réseaux de neurones profonds (pour la biologie computationnelle), des biobanques, des biopuces (pour la fluidique fonctionnelle) et l’intégration aux blockchains.

Vous vous souvenez de ce film déchirant de 1993, « Sauvez Willy »? Je pense que nous devrions lancer une campagne pour SAUVER WALLY!!! (comprenez bien que je parle métaphoriquement, car dans un sens, nous sommes tous des Wally.) Peut-être que si nous sauvons Wally le lama de nouvelles expérimentations scientifiques, nous pourrons arrêter de nouvelles expérimentations sur la population humaine – le tout prétendument contre un virus qui n’a toujours pas été trouvé dans sa version pure à l’intérieur de quiconque! En plus de libérer Wally, on pourrait aussi jouer à « Où est Waldo? » Jusqu’à présent, certains chercheurs enquêteurs ont fait la chasse au virus, sont allés scruter tous les coins et recoins des laboratoires, et il n’a pas encore été trouvé. Alors où est le virus? Où est Waldo – ou Waldo était-il la protéine de pointe (une nanoparticule artificielle, née d’un synchrotron?) depuis le début?

Je suggère qu’il n’y a peut-être jamais eu besoin d’un virus (seulement d’une séquence informatisée, qui a été largement partagée et jamais remise en question); mais, plutôt, qu’il y avait besoin d’une protéine synthétique attachée à des produits nanométriques avancés non divulgués (de l’oxyde de graphène?) ou à des gadgets (transistors à nanofils?). Nous devons jeter ce dangereux conjugué de protéines (peut-être magnétique ou nanoélectronique) – et les véhicules sériques biotechnologiques dans lesquels il se déplace – à l’égout, une fois pour toutes.

Tragiquement, dans l’intervalle, nous assistons à de nombreux effets indésirables plus graves et potentiellement mortels des injections (y compris des jeunes atteints de myocardite) – et peut-être chez les très jeunes enfants qui sont les prochains à recevoir ce périlleux vaccin. Tenez les enfants loin de ce vaccin… Tenez-les très loin. Nos enfants ont besoin de notre protection contre cette invasion corporelle, peut-être perpétrée pour des objectifs très louches – qui restent à découvrir et à révéler en entier.

{Remerciements : Remerciez le commentateur régulier de POM, OregonMatt, pour ses commentaires et ses idées pratiques, pendant que cet essai prenait forme. Merci également au commentateur de POM, Diego, pour avoir offert des informations relatives à l’oxyde de graphène, qui m’a renseigné plusieurs hyperliens ; à mes amis proches qui m’ont envoyé des sujets pertinents; et à MT pour le support technique (et émotionnel – je plaisante) lors des pannes régulières de WordPress.}

Notes spéculatives :

1) Une (pas si) petite mise en garde en ce qui concerne cette infâme « protéine de pointe »: je n’implique pas qu’une protéine est la toxine en soi, mais plutôt un des composants d’une toxine conjuguée. Des composants supplémentaires (non divulgués), ou une combinaison de ceux-ci, peuvent être à l’origine de la toxicité. Comme nous ne connaissons pas les autres composants, j’ai choisi de faire référence à ce qu’on appelle la « protéine de pointe » en tant que toxine d’intérêt.

2) Je reste inébranlable dans ma conviction que ce conjugué de protéine d’échelle nanométrique, et les injections associées, sont capables d’un accès rapide au cerveau (en fin de compte, pour établir l’interface cerveau-machine) ; et il se peut que la thrombose (coagulation du sang) soit le mécanisme de défense inné du corps activé par certaines personnes afin de protéger le cerveau. Il se pourrait que le système vasculaire interne soit naturellement conçu pour capturer le nanocristal étranger dans sa vaste structure en réseau (qui entraîne une couronne biomoléculaire?), séquestrant ainsi les plaquettes et entraînant de multiples caillots sanguins.

Notes :

1) Voici les liens vers leurs biographies respectives : Bridle, Mercola, Mikovits, Seneff, Blaylock et Tenpenny.

2) Une étude d’août 2020, « Les pseudo-virions de pointe du SARS-CoV-2 conjugués à points quantiques permettent le suivi de la liaison et de l’endocytose de l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 » démontre qu’il n’y a AUCUN virus nécessaire. Cette étude semble impliquer qu’une nanoparticule artificielle (conjuguée à une protéine de pointe artificielle qui cible les récepteurs ACE2) fait parfaitement l’affaire. Alors que l’étude liée affirme que les points quantiques ne sont pas toxiques, d’autres recherches semblent le contredire.

Pour une exploration plus approfondie :

« L’oxyde de graphène touche le sang : interactions in vivo de matériaux 2D bio-coronés » Nanoscale Horizons, 1er mars 2019

« L’oxyde de graphène est le sujet brûlant de la recherche biomédicale et pharmaceutique de la décennie actuelle. Cependant, ses interactions complexes avec les composants du sang humain compliquent la transition des résultats in vitro prometteurs aux paramètres cliniques. Même si l’oxyde de graphène est composé des mêmes atomes que nos organes, tissus et cellules, sa nature bidimensionnelle provoque des interactions uniques avec les protéines sanguines et les membranes biologiques et peut entraîner des effets graves comme la thrombogénicité et l’activation des cellules immunitaires. Dans cette revue, nous décrirons le parcours de l’oxyde de graphène après injection dans la circulation sanguine, des interactions initiales avec les protéines plasmatiques à la formation de la «couronne biomoléculaire» et à la biodistribution. Nous considérerons le lien entre les propriétés chimiques de l’oxyde de graphène (et ses dérivés fonctionnalisés/réduits), la liaison aux protéines et la réponse in vivo. Nous résumerons également les données sur la biodistribution et la toxicité au vu des connaissances actuelles sur l’influence de la couronne biomoléculaire sur ces processus. Notre objectif est de faire la lumière sur les problèmes non résolus concernant la couronne d’oxyde de graphène afin de jeter les bases du développement futur de la technologie d’administration de médicaments.

« Les bases du vaccin Covid-19 posées à Dartmouth » NH Business Review, par Jeff Feingold, 7 janvier 2021

« Notre objectif était de déterminer la première structure tridimensionnelle d’une protéine de pointe de coronavirus », se souvient McLellan, désormais professeur agrégé de Biosciences Moléculaires à l’Université du Texas à Austin. «Nous voulions ces informations afin de pouvoir concevoir davantage de vaccins basés sur la structure. Cela impliquait d’utiliser ces structures pour faire de l’ingénierie des protéines et identifier les substitutions ou les mutations que nous pourrions faire dans les protéines qui rendraient les pointes plus stables. »

« À propos de SBC » Division des sciences des rayons X du Laboratoire National Argonne

Ce bref extrait explique la technologie référencée par Jason McLellan dans le lien ci-dessus :

« Le Centre de Biologie Structurale d’Argonne est le leader mondial dans la résolution des structures des protéines, utilisées par les chercheurs du monde entier pour développer de nouveaux médicaments et procédures de diagnostic.« 

« Le Centre de Biologie Structurale (Structural Biology Center, SBC) gère une installation nationale d’utilisateurs pour la cristallographie macromoléculaire. Situé dans le secteur 19 de l’Advanced Photon Source au Laboratoire National Argonne, le SBC fournit à la communauté scientifique deux lignes de faisceaux expérimentales : un dispositif d’insertion, 19-ID, et un aimant de courbure, 19-BM. « 

« Longhorns dans le combat contre le COVID-19 : Jason McLellan » 16 avril 2020 (voir la vidéo ci-dessus) [NdT. les longhorns sont des bovidés assez redoutables]

«Structure et conception des pointes de SARS-CoV-2» 5 février 2021 (voir la vidéo ci-dessus)

Posté le par Stephers

Posté dans Biology, COVID-19, Crimes Against Humanity, Engineering, Genetic engineering, Germ theory, Pursuit of truth, Science, Vaxxing, Virology … for real


Texte original

Free Wally: Tracing the Spike Protein Drama to a Llama

I dedicate this exploratory essay to my friends and family who received a COVID injection (without proper informed consent); and to all the individuals way back in the cheap seats, who may not be able to hear what I am saying, due to the drowned-out noise of Gain-of-Function (GOF) research, lab leaks, and e-mail leaks.

SPOILER ALERT: When I refer to a “spike protein” herein, it is NOT because I support the notion that a protein arose from a virus, nor do I think it “sheds” or operates in the way that has been postulated by individuals referenced below (all of whom maintain that there is a SARS-CoV-2 virus).

There has been much recent drama (and rightly so) centered around the spike protein of the purported SARS-CoV-2 virus, and more specifically, what is being described as the expression of the synthetic spike protein as a result of COVID injections.

It seems that Dr. Byram Bridle, Dr. Joseph Mercola (see here and here), Judy Mikovits, Stephanie Seneff, Dr. Russell Blaylock, and Dr. Sherri Tenpenny all agree that the spike protein — at the very least, the one that is being produced for/by the injections — is a toxin (see Endnote 1). The general consensus among them is that it is a bioweapon. Indeed, Tenpenny emphasized (interview linked above) that the spike protein is the bioweapon (not “the virus”), based on a study of a “harmless pseudovirus” that was conjugated with spike proteins, yet caused pulmonary arterial damage.

I am content knowing we can all move forward in agreeing this may be a lab-created bioweapon; however, why do so many still have tunnel vision, remaining fixated on GOF research? Could there be other labs doing related research — perhaps protein R&D, or even more precisely, “spike protein” R&D (sans virus)? And how do synchrotrons factor in to all of this? As you read further, I offer a plot twist in this regard, so I hope you can stay tuned as I set up the prelude . . . 

As for what is next in the COVID vaccine pipeline (see here, here, and here), you may soon be hearing about it: llama nanobodies. A short presentation by the “Whiteboard Doctor” (posted July 2020) titled, “Llamas and COVID-19: Nanobodies Inhibit SARS-CoV-2 Virus Binding and Infection,” elucidates a July 2020 Nature study, that highlighted llama nanobody technology — applied to the infamous spike protein.

Nanobody-based drug R&D uses a tiny nanobody, which is a single-domain antibody, or a fragment of an antibody. Like an antibody, purportedly, it is able to bind to antigens. Caplacizumab is the first nanobody-based medicine, according to its manufacturer, Ablynx (acquired by Sanofi in 2018). This particular nanobody is designed specifically for the treatment of a rare blood clotting disorder called aqcuired Thrombotic Thrombocytopenic Purpura (aTTP) — which will become increasingly significant as you read below. In September 2018, Caplacizumab was approved in Europe for adults, and it received FDA approval for adults in the U.S. in February 2019. 

As brief background, aTTP is a rare blood disorder that affects blood platelets, and results in blood clots in small blood vessels in the body, which can slow the blood flow to the organs, including the heart, brain, and kidneys. By causing platelets to clump together, aTTP can also cause excess bleeding and anemia.   

A year ago, if I had asked readers if they heard of aTTP, most likely there would not have been a show of hands in the affirmative (me included). However, if I asked you now if you have heard (even vaguely) of thrombosis or thrombocytopenia, would you raise your hand? Can you say COVID, anyone?

Accordingly, there has been increased media exposure (both mainstream and alternative) of an ultra rare blood clotting disorder called thrombotic thrombocytopenia purpora (TTP) within the context of COVID and also COVID injections (Vaccine induced Thrombosis and Thrombocytopenia, or VITT). 

The seemingly inexplicable VITT was the alleged reason for the swift pause in April 2021 of the J&J bioengineered product (see here and here). Despite concerns of coagulopathy (blood clotting) voiced from the medical community, including toxicologist Dr. Janci Chunn Lindsay, the J&J injection roll-out was resumed following its brief hiatus. It should be noted that thrombosis has also been correlated with uptake of the AstraZeneca device.

In the past couple months, dramatic discussion of the spike protein, and its potential role in causing blood clotting, has intensified. See here for a detailed analysis published on June 3, 2021 by Scottish physician, Dr. Malcolm Kendrick. Dr. Kendrick explained: “ . . . it may be that the spike protein itself creates most of the blood clots. Here from the paper ‘SARS-CoV-2 spike S1 subunit induces hypercoagulability.’ When whole blood was exposed to spike protein even at low concentrations, the erythrocytes (red blood cells) showed agglutination, hyperactivated platelets were seen, with membrane spreading and the formation of platelet-derived microparticles.’ Translation. Introduce SARS-CoV2 spike proteins into bloodstream, and it makes it clot – fast. Which is a worry.” Kendrick continued, “It is a worry because the entire purpose of vaccination against SARS-CoV2 is to force cells to manufacture the spike protein(s) and then send them out into the bloodstream . . . We know that a very high percentage of the people who die following . . . COVID19 . . . die as result of blood clots. We also know that they can also suffer severe myocarditis (inflammation of the heart muscle) . . . We know that the spike protein can stimulate blood clots all by itself . . . We know that a number of people have died from blood clots following vaccination . . . My concern at this point is that, yes, we have identified very rare manifestations of blood clotting . . . so rare that it is unlikely that anything else – other than a novel vaccine – could have caused them. I have never seen a case and I had never even heard of them before COVID19 came along. And I have spent years studying the blood coagulation system, and vasculitis, and suchlike.”

If COVID, and the COVID jabs — and the spike protein (on its very own) — all potentially cause vascular destruction, including blood clotting (and TTP in particular), then we may be able to deduce that there is a common denominator among the three that is interfering with blood platelets and vascular functioning. 

Let’s return to the topic of llamas and a more detailed discussion of nanobodies — within the context of COVID.

Llamas belong to a group of mammals called camelids, which also includes camels and alpacas. They produce antibodies which are much smaller than humans (about half the size, according to Argonne National Laboratory scientist Andrzej Joachimiak), which are referred to as nanobodies. 

The “lovable” llamas used in current nanobody experimentation actually have names. One of the llamas central to the study of camelid-based nanobodies is named “Wally.” On March 9, 2021, Andre Salles of Argonne National Lab wrote: “Isolating these tiny nanobodies is tricky, since the body generates an enormous number of them and only a small fraction is intended to fight a particular virus. That’s exactly the problem that Yi Shi, professor of cell biology at the University of Pittsburgh, is trying to fix. In a paper published in Science, Shi and his colleagues unveiled a new advanced mass spectroscopy method of analyzing those nanobodies from samples of llama blood. The result . . . is a large set of nanobodies that bind well to the SARS-CoV-2 virus. . . . Shi’s experiment began with a llama, this one named Wally because he resembles (and therefore shares a name with) his black Labrador. The team immunized Wally against SARS-CoV-2, waiting two months for nanobodies to be generated, and then . . . used their new method to analyze the nanobodies, identify and quantify them. They ended up with 10 million nanobody sequences.”

Salles elaborated, “These nanobodies can sit at room temperature for six weeks, and are small enough that they can be aerosolized, meaning therapeutics designed from them can be inhaled directly to the lungs instead of moving through the bloodstream (emphasis added) . . . ‘With this method we can discover thousands of distinct, ultrahigh-affinity nanobodies for specific antigen binding,’ Shi said. ‘These nanobodies may or may not provide a treatment for COVID-19, but the technology used to isolate them will be important in the future. . .’ . . . ‘From crystal structures determined from data collected at [the Advanced Photon Source] APS and the Stanford Synchrotron Radiation Lightsource (SSRL), we were able to identify the binding sites of the nanobodies on the SARS-CoV-2 receptor binding domain,’ [Ian] Wilson said. ‘The X-ray structural information, combined with cryo-electron microscopy data, was used to help design even more potent multivalent antibodies to prevent COVID-19 infection. The X-ray structural work was greatly facilitated by immediate access to the APS.’ Only time (and further tests) will tell whether the various nanobodies will translate into effective treatments against COVID-19. But if they do, we’ll have the lovable llama to thank for it.” 

The APS is described as follows: “The Advanced Photon Source is a U.S. Department of Energy (DOE) Office of Science User Facility operated for the DOE Office of Science by Argonne National Laboratory. Additional funding for beamlines used for COVID-19 research at the APS is provided by the National Institutes of Health (NIH) and by DOE Office of Science Biological and Environmental Research . . . supported by the DOE Office of Science through the National Virtual Biotechnology Laboratory (emphasis added), a consortium of DOE national laboratories focused on response to COVID-19 with funding provided by the Coronavirus CARES Act.”

Here is the plot twist (if you’ve stuck around) . . . Guess where the spike protein that was applied to the development of the COVID vaccines was engineered? . . . Wait for it . . . Argonne National Laboratory — utilizing the same Advanced Photon Source (APS)! According to this December 2020 paper (authored by Argonne’s Andre Salles), Jason McLellan and his colleagues developed the enigmatic spike protein. Incidentally, they filed a patent for one embodiment of the spike protein in October 2017, and the application was approved in March 2021. As expounded by Argonne’s Salles:

“. . . five of the vaccines, including those developed by Pfizer/BioNTech and Moderna, contain genetic mutations that increase their effectiveness, mutations based upon work dating back more than 10 years using the resources of the Advanced Photon Source (APS) . . . (emphasis added)”

“They were developed by Jason McLellan, now an associate professor at the University of Texas at Austin, and Barney Graham, currently the deputy director of the Vaccine Research Center at the National Institute of Allergy and Infectious Diseases, part of the National Institutes of Health (NIH) . . .”

“In 2013, McLellan and his colleagues, including Nianshuang Wang now at Regeneron Pharmaceuticals, began working with Graham and his NIH colleague Kizzmekia Corbett on a vaccine for the Middle East Respiratory Syndrome coronavirus (MERS-CoV) . . . This time they performed some of their work at the Structural Biology Center (SBC) at the APS . . .”

Both McLellan and Graham are longtime users of the APS (emphasis added), and their work to understand RSV and MERS-CoV led to an effective technique to neutralize both viruses,” said Argonne’s Bob Fischetti, group leader and life sciences advisor to the APS director. “The structural work performed at the APS played a key role in the discovery of this technique, and we are now seeing how important it might be . . .”

“When SARS-CoV-2 emerged, McLellan, Wang and graduate student Daniel Wrapp, now at the University of Texas at Austin, joined with Graham and Corbett to see if the same technique would work to inhibit this new virus’s spread. And once they were able to examine the structure of the spike protein, they discovered that it did . . .”

Being able to solve the structure of the SARS-CoV-2 spike protein (emphasis added) and know that it was in the desired conformation within three weeks of sequence release (emphasis added) was critical for rapidly advancing vaccine development and antibody discovery programs,’ Graham said . . .”

The initial results of their work, a mutation called S-2P, is now in SARS-CoV-2 vaccines developed by Moderna, Pfizer/BioNTech, Novavax, Johnson & Johnson and CureVac, McLellan confirmed (emphasis added). Pfizer’s and Moderna’s vaccines use messenger RNA (mRNA) to instruct human cells to make the mutant of the spike protein that the immune system then develops antibodies against.” 

According to Argonne’s Robert Fischetti, “This research was done without any idea of how important it would be for us in 2020.” 

So, imagine that . . . The lead researcher, Jason McLellan, who claimed to create the synthetic spike protein (listen around the 9 minute timestamp), that is seemingly manufactured and expressed within the body by the alleged “vaccines” (due to genetic engineering instructions coded by either messenger RNA or adenovirus DNA), also appears to have “years of experience working with camelid nanobodies,” currently proposed to treat COVID and its notable symptom of thrombosis (and also the increasingly reported side effect of the injections). As a reminder, the blood clotting phenomenon is being attributed by multiple researchers and physicians to . . . get this . . . the SPIKE PROTEIN! Concomitantly, Jason McLellan and his colleague, Daniel Wrapp, received a 2020 Golden Goose Award for one of their llama nanobodies (called VHH72, which they had “characterized using the SBC beam lines at the APS”) presently under development for COVID treatment.

I feel this context is of utmost importance in order to grasp this entire COVID (or engineered protein, sans virus) operation. As always, consider the framework of problem, reaction, solution. Also keep in mind, Argonne National Laboratory has a long history of conducting classified research, and is home to the Center for Nanoscale Materials (CNM), as well as several generations of supercomputers, including the upcoming Aurora, “which will be the world’s first exascale supercomputer.”  

Do you find it peculiar that the lab that created the (synthetic) spike protein just happens to have developed the nanobodies that can presumptively “neutralize” said protein? Moreover, the aforementioned camelid nanobody technology has previously been applied to thrombosis (going back to 2018). Well, if one were a “conspiracy theorist,” it would be no surprise, right? But what are the potential implications (beyond the obvious one of profit, mainly reflected in venture capital-funded biotech spinouts), and are there covert intentions?

As I have said repeatedly herein, this mysterious spike protein has been getting a lot of negative press in the alternative media, yet they have neglected to explain the origin of the synthetic spike protein (applied to the injections), and how it was manufactured.

I propose the science of proteomics and its associated labs be investigated — and I would start with Argonne National Laboratory. I would also wish to add the Institute for Protein Design (IPD) at the University of Washington to this focused inquiry (see their Advisory Board here). IPD announced on June 2, 2021, its plans to roll out a new nanoparticle vaccine for COVID: “Our SARS-CoV-2 vaccine candidate was created with structure-based vaccine design techniques invented in the King lab [at] the IPD. It is based on a computationally designed self-assembling protein nanoparticle (emphasis added) that displays 60 copies of a key region of the viral Spike protein.”

Do we know what this in silico-derived engineered protein is really designed to do, particularly when manufactured within a perpetrated human body? 

Even assuming well intentions — with their templates, target sequences, machine learning algorithms, and protein structure prediction methodology — can the protein designers be assured their “well behaved” protein will behave in vivo as intended? 

We may have to remain speculative (and vigilant) for now, but this June 2020 Nature Biotechnology article — featuring de novo protein engineering “galvanized” by the University of Washington’s IPD (highlighted above) — may offer some nuggets from which we can reflect: “It’s exciting that we’re now getting to the stage where we can build new things that can be useful in the world,” he [David Baker, Director of the IPD] says. Baker believes that de novo protein design technology has turned a corner, from creating functional but simple proteins to building complex molecular machines that can perform conditional operations. No longer limited to describing and copying nature’s proteins, protein designers have learned to build sets of proteins that can change conformation on demand or carry out multi-step instructions, such as toggling between two states . . . Mother Nature has created some incredible tools, but those solutions have come about as a result of evolutionary pressures, including the need to conserve genetic real estate by making proteins that serve multiple functions. Whereas a natural protein may be the solution that evolution has arrived at, it may well not be the most efficient tool for a task thought up by a human. Creating new proteins, Baker says, allows the tools to be specifically directed, as well as modular and customizable to other uses.” 

Baker’s crowd-sourcing “Foldit” competitive video game (based on his Rosetta molecular modeling software program)  — in which public citizens can simulate and manipulate their own proteins — speaks volumes. This should be alarming to readers, and harkens back to prescient warnings from Alison McDowell that our life (in this case, biological life at its very core building blocks) is being not only digitized, but gamified.

If you build it (a synthetic, and possibly hybrid protein), they (the militarized bio-security state) will come (?).

Is this how the Sentient World Simulation (SWS) is initially constructed, as I posited in April 2020? 

Strikingly, on their website, Argonne states in parentheses (my emphasis added): 

(Researchers at the APS do not work with the live virus, but with crystals grown from simulated proteins.) 

So, did the Argonne Lab that synthesized a glycoprotein (reputedly from a virus) ever physically have said virus in their possession? Does this seem like deja-vu to most POM readers?

I remind readers that this protein is engineered and is nanoscale, and therefore, is an engineered nanoparticle (ENP) — circling back to my previous post in April 2021, “Confessions of an Engineered Nanoparticle.” I also stated therein that the ENP was responsible for thrombosis due to platelet aggregation. When I wrote that, if you recall, I expressed (from the voice of an ENP) that I did not know where the ENP had originated. Do I now have my answer? Hypothetically, if I were an orphaned ENP telling a fictional tale, I would say I may have found my birth parents, and it seems they have names, and they have a home — and a powerful particle accelerator using heavy-duty beamlines to boot!

Has the ENP (that I postulated may be the cause of COVID) been the bio-fabricated “spike protein” all along? Or rather, vice versa: is the “spike protein” simply an ENP wrapped up in virology jargon?

While the magicians have many people spellbound by a “lab leak hypothesis” (based on vintage, out-dated GOF research), I will keep my eye on labs (here at home in the U.S. and across the pond) playing with beamlines, protein crystallography, and synthetic protein design technology — especially since they openly lay claim to the production of the notorious spike protein, used to develop COVID injections currently being procured in the U.S. In this instance, I may just take their word for it. 

Let’s be clear, though, when the scientists admit to futzing around with these proteins (and “mapping the structure”), utilizing their high-beam particle accelerator technology, they are not simply imaging and identifying what is already present (using vague vernacular such as “determined the structure” or “solved the structure”). These potent and potentially cytotoxic next-generation x-rays (ostensibly 10 trillion times stronger than medical x-rays) may literally be producing and synthesizing new particles (similar to the phenomenon we have discussed repeatedly, involving the addition of toxic chemicals added to cells in a petri dish, resulting in cytopathic effects), since high-energy electrons are excited by the photon interactions. The subsequent photon interaction is referred to as a photoelectric effect, which deposits kinetic energy (or charged particles) into the observed sample, producing nanostructures, which are ensuingly used in advanced biotech applications

Relatedly, following is a short excerpt from an intriguing April 2021 article by Argonne National Lab: Using the APS, researchers were able to use lasers to create a new state of matter [with emergent structural, electronic and magnetic phenomena](emphasis added) and obtain a comprehensive picture of its structure using X-ray diffraction. In 2019, the team, led jointly by Argonne and The Pennsylvania State University, reported their findings in a Nature Materials cover story, most notably that the vortices can be manipulated with light pulses. Data was taken at several APS beamlines: 7-ID-C, 11-ID-D, 33-BM and 33-ID-C.” The article continued, “Although this new state of matter, a so called supercrystal, does not exist naturally (emphasis added), it can be created by illuminating carefully engineered thin layers of two distinct materials using light,” said Venkatraman Gopalan, professor of materials science and engineering and physics at Penn State.”

I will repeat what was stated above:

(Researchers at the APS do not work with the live virus, but with crystals grown from simulated proteins.)

There’s more wizardry for you.  

Admittedly, I do not fully grasp how the nanocrystals are synthesized from the accelerator and associated crystallography technology, as it is beyond the scope of my present exploration. Nevertheless, I sense it is prodigious, and I invite readers to offer relevant insights. While some researchers have been occupied (I will speak for myself) with exposing the oldest virology trick in the book — culturing entities from cellular debris in petri dishes and calling them “viruses” — zealous synchrotron extraordinaires must be laughing themselves to the bank

At the very least, one aspect is apparent to me — proteins can be generated in large amounts, are readily accessible, and are highly suitable nanodevices for biosensing and cell targeting (including genetic/genomic engineering and synthetic biology). Whatever is termed a virus, does not fit the bill — in terms of the emerging Spatial Web. So we might as well stop focusing efforts on it. Conversely, weaponized, AI-driven proteomics seems much more amenable and adaptable to the highly disturbing 4IR plans, incorporating deep neural networks (for computational biology), biobanking, biochips (for functional fluidics), and blockchain integration

Remember the 1993 tear-jerker film, “Free Willy”? I think we need to begin a campaign to FREE WALLY!!! (Please understand I am speaking metaphorically, as in a sense, we are all Wally.) Perhaps if we save Wally the llama from further scientific experimentation, we can halt further experimentation on the human population — all assertedly for a virus that still has yet to be furnished in its unadulterated version inside a person! In addition to freeing Wally, we might as well be playing “Where’s Waldo?” Thus far, some investigative researchers have been on the hunt for the virus, peeking in every lab nook and cranny, and it has yet to be found. So where’s the virus? Where’s Waldo — or was Waldo the spike protein (AKA engineered nanoparticle, birthed from a synchrotron?) from the get-go?

I suggest there may never have been a need for a virus (only a computerized sequence that was widely shared and never questioned); but, rather, a need for a synthetic protein tethered to undisclosed advanced nanoscale accessories (graphene oxide?) or gadgetry (nanowire transistors?). We need to kick this dangerous protein conjugate (possibly magnetic or nanoelectronic) — and the biotech serum vehicles with which it hitches a ride — to the curb, once and for all. 

Tragically, in the interim, we may be witnessing many more serious and potentially fatal adverse effects from the injections (including young people with myocarditis) — and conceivably among very young children who are next in line to get the precarious jab. Keep the children far away . . . Keep them very far away. Our children need our protection from this bodily invasion, possibly perpetrated with dubious agendas — still yet to be fully uncovered and revealed.

{Acknowledgments: Shout out to regular POM commenter, OregonMatt, for his helpful feedback and insights, as this essay took shape. Thank you also to POM commenter, Diego, for offering information related to graphene oxide, which informed several hyperlinks; to my close friends who sent me pertinent subject matter; and to MT for technical (and emotional — said jokingly) support as WordPress continually glitched-out.}

Speculative Footnotes:

1) One (not-so) small caveat when it comes to this infamous “spike protein”: I am not implying that a protein is the toxin per se, but, rather, is one component of a conjugated toxin. Additional (non-disclosed) components may be the root cause of toxicity, or a combination thereof. As we do not know the other components, I have resorted to referring to what is termed the “spike protein” as the toxin of interest. 

2) I remain steadfast to the belief that this nanoscale protein conjugate, and the associated injections, are on a fast track to the brain (ultimately, for brain-machine interface); and it may be that thrombosis (blood clotting) is the body’s innate defense mechanism being activated by some individuals in order to protect the brain. It could be that the internal vascular system is naturally designed to capture the foreign nanocrystal in its vast networked structure (resulting in a biomolecular corona?), thereby sequestering platelets, resulting in multiple blood clots.

Endnotes:

1) Following are links to their respective bios: Bridle, Mercola, Mikovits, Seneff, Blaylock, and Tenpenny.

2) A study from August 2020, “Quantum Dot-Conjugated SARS-CoV-2 Spike Pseudo-Virions Enable Tracking of Angiotensin Converting Enzyme 2 Binding and Endocytosis” demonstrates that there is NO virus necessary. This study seems to imply that an engineered nanoparticle (conjugated to a designer spike protein that targets ACE2 receptors) fits the bill just fine. While the linked study claims quantum dots are not toxic, other research seems to contradict that.

For further exploration:

Graphene oxide touches blood: in vivo interactions of bio-coronated 2D materialsNanoscale Horizons, March 1, 2019

“Graphene oxide is the hot topic in biomedical and pharmaceutical research of the current decade. However, its complex interactions with human blood components complicate the transition from the promising in vitro results to clinical settings. Even though graphene oxide is made with the same atoms as our organs, tissues and cells, its bi-dimensional nature causes unique interactions with blood proteins and biological membranes and can lead to severe effects like thrombogenicity and immune cell activation. In this review, we will describe the journey of graphene oxide after injection into the bloodstream, from the initial interactions with plasma proteins to the formation of the ‘biomolecular corona’, and biodistribution. We will consider the link between the chemical properties of graphene oxide (and its functionalized/reduced derivatives), protein binding and in vivo response. We will also summarize data on biodistribution and toxicity in view of the current knowledge of the influence of the biomolecular corona on these processes. Our aim is to shed light on the unsolved problems regarding the graphene oxide corona to build the groundwork for the future development of drug delivery technology.”

Groundwork for Covid-19 vaccine laid at DartmouthNH Business Review, by Jeff Feingold, January 7, 2021 

“Our goal was to determine the first three-dimensional structure of a coronavirus spike protein,” recalls McLellan, now an associate professor of molecular biosciences at the University of Texas at Austin. “We wanted this information so we could do more structure-based vaccine design. This involved using these structures to do protein engineering and identify substitutions or mutations we could make in the proteins that would cause the spikes to be more stable.”

“About SBC” X-Ray Science Division of Argonne National Laboratory

This brief excerpt explains the technology referenced by Jason McLellan in the link above: 

“The Structural Biology Center at Argonne leads the world in solving the structures of proteins, used by researchers around the world to develop new drugs and diagnostic procedures.”

“The Structural Biology Center (SBC) operates a National User Facility for macromolecular crystallography. Located at Sector 19 of the Advanced Photon Source, Argonne National Laboratory, SBC provides the scientific community with two experimental beamlines: an insertion-device, 19-ID, and a bending-magnet, 19-BM.”

“Longhorns in the COVID-19 Fight: Jason McLellan” April 16, 2020 (see video above)

“Structure and Design of SARS-CoV-2 Spikes” February 5, 2021 (see video above)

Posted on by Stephers

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