Les géographies du génocide pharmaceutique – par Toby Rogers.

Autre article de Toby Rogers, dont la deuxième partie est consacrée au Dr Mattias Desmet. J’ai déjà publié (ici et ici) ce que mon compatriote décrypte des événements actuels, ce sera donc une redite pour ceux qui l’ont déjà lu. J’ai laissé cette partie de l’article pour les autres.

Dans la première partie, Toby Rogers part du postulat que l’opération en cours est le fait de Big Pharma. Il en décrit très bien la mécanique mais n’en évoque pas du tout les commanditaires. Il faudra donc faire le travail de relier soi-même les points, notamment avec le secteur financier – voir l’interview récente de Ernst Wolff.

A propos de relier les points, on trouve déjà dans ce que j’ai publié ici quelques ingrédients – médicaux, économiques, politiques, psychologiques et même militaires – pour recomposer la recette du Grand Reset. Comme annoncé précédemment, il en manque encore au moins deux essentiels, que je n’ai abordés que briévement: l’écologique et le spirituel. Les vacances approchent, vous les aurez pour Noël.


Traduction

Les géographies du génocide pharmaceutique

Toby Rogers

9 décembre

J’ai cherché la métaphore ou l’analogie parfaite pour décrire les événements en cours. Mais je me suis rendu compte que, même s’il existe des similitudes avec des périodes historiques antérieures, les événements en cours sont à bien des égards sans précédent. La tâche qui nous attend est donc d’identifier les caractéristiques de ce génocide, son fonctionnement, ses similitudes et ses différences avec le passé, afin de trouver les leviers permettant de renverser le système.

Principes d’orientation

Tout d’abord, quelques principes d’orientation pour guider la conversation :

Les meilleures preuves disponibles suggèrent que le SARS-CoV-2 est un virus chimère à gain de fonction fabriqué par l’homme qui s’est échappé d’un laboratoire d’armes biologiques. Des chercheurs américains et chinois spécialisés dans les armes biologiques sont impliqués.

Les vaccins contre les coronavirus n’empêchent pas l’infection, la transmission ou les conséquences délétères pour la santé, y compris la mort. Après près de 500 millions de doses aux États-Unis, la mortalité toutes causes confondues et les décès dus au COVID-19 ont augmenté. Doubler la vaccination, avec trois, quatre, ou une infinité de doses, voire des doses reformulées, n’arrêtera pas la pandémie. Ce virus a toujours été un mauvais candidat pour un vaccin et les ARNm et les vecteurs adénoviraux ne sont ni une grande avancée, ni une panacée.

L’industrie pharmaceutique sait tout ce qui précède. La CIA, la NSA, les NIH et les hauts responsables du Pentagone le savent aussi.

Les idiots utiles du gouvernement ne comprennent pas nécessairement ce qui précède, même si ce sont eux qui exécutent les ordres. Seule une poignée d’élus le comprend.

Si les vaccins causent des dommages en chiffres nets, qu’ils sont déployés dans le monde entier et que chaque échec d’un vaccin ne fait qu’entraîner davantage de vaccinations, alors cette situation doit être considérée comme un génocide.

Fauci, la FDA, les CDC, les NIH et l’AMA bloquent tous l’accès à des traitements sûrs et efficaces. C’est un crime contre l’humanité et une preuve évidente d’intention génocidaire. Toutes les études relatives à tous les traitements en vente libre sont répertoriées (ici).

L’industrie pharmaceutique a pris le contrôle des médias et du système politique et met en œuvre les politiques antiscientifiques les plus draconiennes depuis le Troisième Reich. Le totalitarisme est la forme de gouvernement préférée de Pharma, qui travaille d’arrache-pied pour créer un système de gouvernance totalitaire mondial sous son contrôle.

Géographie du génocide pharmaceutique

Que savons-nous des contours du génocide de Pharma jusqu’à présent ?

Il s’agit du premier génocide auto-infligé de l’histoire de l’humanité. Oui, les gens à Masada et Jonestown se sont suicidés [NdT. petite erreur classique de l’auteur, il s’agissait en fait de deux « psyops« ] plutôt que de se rendre à un adversaire plus puissant. Mais il s’agissait de groupes beaucoup plus petits (moins de 1.000 personnes dans chaque cas). Il y a aujourd’hui des éléments de comportement sectaire, mais les personnes qui participent joyeusement à leur propre disparition ne se considèrent pas comme possédées par une ferveur idéologique. Certes, les accusés du procès-spectacle de Moscou ont participé à leurs propres confessions scénarisées, mais cela concernait moins de 100 personnes et faisait probablement partie d’un accord visant à épargner l’exécution de leurs familles. Ce qui rend ce génocide unique et sans précédent, c’est la participation enthousiaste des victimes elles-mêmes.

C’est le premier génocide mondial simultané. Les génocides précédents étaient dirigés du centre (Europe et États-Unis) vers la périphérie (Afrique, Amérique latine et Asie). Puis, au XXe siècle, les génocides étaient dirigés vers des groupes ciblés à l’intérieur d’un pays – les Juifs, les LGBT [NdT. re-petite erreur, l’appellation est très récente et englobe les trans, qui n’existaient pas à l’époque], les communistes, les Tsiganes et les Roms en Allemagne; et les Juifs et les adversaires politiques en Union Soviétique. Ce génocide est inhabituel parce que nous assistons à l’autodestruction volontaire de la bourgeoisie dans le monde développé.

C’est le premier exemple de totalitarisme sans nationalisme. Le totalitarisme et le nationalisme ont toujours fait bon ménage – l’Allemagne, l’Union Soviétique, la Chine, le Cambodge et la Corée du Nord en sont quelques exemples. Mais les États-nations n’existent plus (sauf en tant que récit fantaisiste destiné à distraire les gueux). Fauci a développé cette arme biologique en collaboration avec les Chinois, censément notre plus grand adversaire militaire. Les forces du totalitarisme ne sont pas confinées à un pays en particulier, elles résident en fait dans chaque pays. Ce sont les élites contre tous les autres, dans le monde entier, simultanément. En l’absence d’États-nations, il est difficile de savoir vers qui se tourner pour chercher des alliés puissants susceptibles de contrer l’industrie pharmaceutique.

Cette fois, le génocide est privatisé – dirigé par des consultants en gestion et des entrepreneurs privés. Ce n’est donc pas exactement le modèle fasciste classique où l’État et le secteur privé se comportent comme un seul homme. C’est plutôt le secteur corporatif qui tient le haut du pavé et qui dirige l’État comme une marionnette.

Cette fois, le génocide est monétisé. L’industrie pharmaceutique vous extorquera jusqu’au dernier dollar, à vous et à votre famille, avant de vous laisser mourir. Les nazis ont installé des usines de munitions et de caoutchouc dans les camps de concentration afin de tirer parti du travail des esclaves. Mais l’objectif de Pharma dans ce génocide est de drainer la richesse de chaque personne du monde développé, et ce sans qu’elle ait à quitter son domicile.

Cette fois, le génocide est décentralisé. Les confinements transforment chaque domicile en un mini ghetto de facto. Certes, les Australiens ont mis en place des camps d’internement. Mais ils sont chers et hautement visibles – donc difficiles à appliquer à l’échelle d’une population entière. Je doute qu’il y ait des trains cette fois-ci. Les fascistes vont plutôt faire en sorte que les gens se rendent en voiture dans des centres d’empoisonnement décentralisés.

Cette fois, le génocide sera lent. Les fascistes ont appris leur leçon après la Seconde Guerre mondiale et ne se battront plus jamais sur deux fronts. En lieu et place, il semble que l’industrie pharmaceutique soit satisfaite d’augmenter la mortalité toutes causes confondues de 5% à 15% chaque année et de maintenir cette tendance pendant des décennies jusqu’à ce qu’elle atteigne son objectif de contrôle total d’une population beaucoup plus réduite.

Cette fois, le génocide est silencieux. Il n’y aura pas de parades militaires, pas de soldats dans les rues, et pas de guerre visible s’ils peuvent l’éviter. La vie semblera normale et sous cette surface placide, les gens mourront à un rythme accéléré (c’est déjà le cas).

Formation de masses

Dans les années 1950 et 1960, le médecin néerlandais Joost Meerloo a réalisé un travail extraordinaire sur les origines du totalitarisme. Beaucoup d’entre vous ont déjà visionné cette brillante vidéo de vingt minutes de l’Académie des Idées,  » Psychose de masse : comment une population entière devient mentalement malade « , qui résume certains des travaux de Meerloo:

Mattias Desmet, Professeur de Psychologie Clinique à l’Université de Gand, produit l’un des meilleurs travaux sur la montée actuelle du totalitarisme. Le Dr Desmet étudie ce que l’on appelle la « formation de masses », c’est-à-dire les conditions nécessaires pour générer des illusions collectives et une participation volontaire aux systèmes totalitaires. Il fournit un bon résumé de ses réflexions dans les quinze premières minutes de cette vidéo:

Le Dr Desmet soutient que « la formation de masses est un phénomène spécifique qui émerge dès lors que certaines conditions sont réunies » :

Ces conditions sont :

  1. Un manque de liens sociaux ;
  2. Un manque de sens ;
  3. Une anxiété ambiante (qui n’est liée à aucune représentation mentale) ; et
  4. La frustration et l’agressivité ambiantes.

(Il est évident que notre société moderne réunissait toutes ces conditions avant le COVID).

Puis il affirme qu' »un récit est diffusé par les médias de masse qui concentre l’anxiété et l’agressivité sur un certain objet » (dans ce cas, un virus).

« Lorsque les gens prennent part à la stratégie visant à traiter l’objet de l’anxiété, un nouveau type de lien social et un nouveau type de construction de sens émergent. » Desmet désigne ainsi un « nouveau type de solidarité ».

Ce nouveau récit invente un combat héroïque contre l’objet de l’anxiété, ce qui conduit à une « ivresse mentale de la connexité » et à des sentiments (apaisants) d’ordre et de contrôle.

Plus le récit est absurde, plus il fonctionne comme un rituel, car il montre que les participants appartiennent à un groupe.

Et grâce à ce processus, les gens en viennent à participer, à soutenir et à s’identifier aux systèmes totalitaires.

Je trouve cette analyse du Dr Desmet brillante et elle explique une grande partie de ce que nous vivons actuellement.

Voici le problème que cela me pose. Le journaliste demande au Dr. Desmet « Que peut-on faire? » Et il répond que les systèmes totalitaires dépassent toujours leurs limites et s’autodétruisent, donc implicitement, nous devons juste rester en retrait, survivre et attendre que ça se produise.

Il y a là un fond de vérité, mais ça laisse de côté beaucoup de choses. Bien sûr, les systèmes totalitaires sont insoutenables à long terme. Mais des millions de personnes meurent dans l’intervalle.

En outre, les nazis ne se sont pas autodétruits – l’armée américaine, l’armée de l’air britannique et l’armée russe ont détruit les nazis au prix de millions de vies.

Il a fallu 80 ans à l’URSS pour « s’autodétruire » + une opposition massive très sophistiquée qui a développé ses compétences pendant des décennies.

La Corée du Nord ne s’est toujours pas autodétruite.

Et la Chine s’est transformée en un État capitaliste totalitaire moderne que de nombreux barons de la technologie semblent vouloir exporter dans le monde entier.

Je pense que l’antidote doit correspondre aux quatre conditions que Desmet décrit au début. Notre alternative doit être :

  1. Plus de connectivité sociale ;
  2. Plus de création de sens (par la spiritualité, le travail honnête, le temps passé avec la famille et les amis, et l’expérience de la nature) ;
  3. Identifier correctement la source de notre anxiété comme étant notre culture de la précipitation et aider les gens à emprunter la rampe de sortie vers une économie parallèle ; et
  4. Identifier correctement la source de notre frustration et de notre agressivité comme étant le système prédateur du capitalisme monopolistique et aider les gens à emprunter la rampe de sortie vers une économie parallèle basée sur le respect mutuel.

Une dernière pensée pour l’instant… ce que la pandémie m’a révélé, c’est que la tendance au totalitarisme fait partie de la condition humaine. Adam Curtis, dans sa série documentaire en trois parties intitulée The Living Dead, affirme que le monde a tiré les mauvaises leçons des procès de Nuremberg. Je pense que Curtis a raison lorsqu’il affirme que c’était une erreur de dire que seuls les nazis étaient mauvais – la leçon de la Seconde Guerre mondiale aurait plutôt dû être que l’ombre du mal réside dans le cœur de tous les hommes.

C’est donc à ça que nous sommes confrontés. Ça donne à réfléchir. Mais je pense que la cartographie précise de ce que nous combattons est essentielle pour construire la résistance et travailler au démantèlement du régime génocidaire de Pharma.

Bénédictions à tous les guerriers. 🙏✊


Texte original

The geographies of the Pharma genocide

Toby Rogers

Dec 9

I’ve been searching for the perfect metaphor or analogy to describe what’s going on. But then I realized that while there are some similarities to prior historical periods, in many ways what’s happening now is unprecedented. So the task before us is to identify the features of this genocide, how it works, and how it’s similar to or different from the past — so that we can look for points of leverage to overthrow the system.

This is the first simultaneous global genocide. Prior genocides were directed from the core (Europe and the United States) to the periphery (Africa, Latin America, and Asia). Then in the 20th century, genocides were directed toward targeted groups within a country — Jews, LGBT, communists, Gypsies, and Roma in Germany; and Jews and political adversaries in the Soviet Union. This genocide is unusual because we are witnessing the bourgeoisie across the developed world willingly destroying itself.

This is the first example of totalitarianism without nationalism. Totalitarianism and nationalism have always gone hand in hand — Germany, the Soviet Union, China, Cambodia, and North Korea are some examples. But nation states do not exist anymore (except as a fanciful narrative to distract the peasants). Fauci developed this bioweapon in collaboration with the Chinese, supposedly our biggest military adversary. The forces of totalitarianism are not confined to any one particular country, rather they reside within every country. This is the elites vs. everyone else, across the whole world, simultaneously. In the absence of nation states it’s difficult to know where to turn to look for powerful allies to push back against Pharma.

The genocide this time is privatized — directed by management consultants and private contractors. So it is not exactly the classic fascist model of the state and the corporate sector behaving as one. Rather the corporate sector has the upper hand and is directing the state like a marionette.

The genocide this time is monetized. Pharma will squeeze every last dollar from you and your family before letting you expire. The Nazis stationed munitions and rubber factories at concentration camps to make use of slave labor. But Pharma’s goal in this genocide is to drain the wealth from every person in the developed world, from the comfort of your own home.

The genocide this time is decentralized. Lockdowns turn your house into a mini de facto ghetto. Yes the Australians have internment camps. But they are expensive and highly visible — thus difficult to scale up to a whole population. I doubt there will be trains this time. Rather the fascists will get people to drive themselves to decentralizing poisoning centers.

The genocide this time is slow. The fascists learned their lesson after World War II and will never fight a two front war again. Instead it seems that Pharma is happy to increase all cause mortality by 5% to 15% every year and keep it going for decades until they reach their goal of total control over a much smaller population.

The genocide this time is silent. There will be no military parades, no soldiers in the streets, and no visible war if they can help it. Life will look normal and underneath the placid surface people will die at an accelerated rate (this is already happening).

Mass Formation

In the 1950s and 1960s Dutch doctor Joost Meerloo did extraordinary work on the origins of totalitarianism. Many of you have seen this brilliant twenty-minute Academy of Ideas video, “Mass Psychosis: How an entire population becomes mentally ill” that summarizes some of Meerloo’s work:

Mattias Desmet, Professor of Clinical Psychology at Ghent University is doing some of the best work on the current rise of totalitarianism. Dr. Desmet studies what’s called “Mass Formation” — the conditions that produce collective delusions and willing participation in totalitarian systems. He provides a good summary of his views in the first fifteen minutes of this video:

Dr. Desmet argues that “mass formation is a specific phenomenon that emerges if certain conditions are met”:

The conditions are:

  1. A lack of social connectedness;
  2. A lack of meaning;
  3. Free-floating anxiety (that is unconnected to any mental representation); and
  4. Free-floating frustration and aggression.

(Obviously our modern society met all of these conditions prior to COVID.)

And then he argues that “a narrative is distributed via mass media that focuses anxiety and aggression on a certain object” (in this case a virus).

“When people start to participate in the strategy to deal with the object of anxiety a new kind of social bond and a new kind of meaning-making emerges.” Desmet calls it a “new kind of solidarity.”

This new narrative creates a heroic battle with the object of anxiety which leads to a “mental intoxication of connectedness” and (calming) feelings of order and control.

The more absurd the narrative the better it functions as a ritual because it shows that the participants belong to a group.

And through this process, people come to participate in, support, and identify with totalitarian systems.

I think Dr. Desmet’s analysis is brilliant and it explains so much of what we are experiencing right now.

Here’s the problem I have. The interviewer asked Dr. Desmet what “what can be done?” And he answers that totalitarian systems always overreach and destroy themselves, so by implication we just have to stand back, survive, and wait for that to happen.

That has a kernel of truth but it leaves out a lot. Sure, totalitarian systems are unsustainable in the long term. But millions of people die in the meantime.

Furthermore, the Nazis did not destroy themselves — the U.S. Army, the British Air Force, and the Russian Army destroyed the Nazis at the cost of millions of lives.

It took the USSR 80 years to “destroy itself” + a massive very sophisticated opposition that developed their skills over decades.

North Korea still has not destroyed itself.

And China has morphed into a modern capitalist totalitarian state that many tech robber barons seem to want to export to the whole world.

I think the antidote needs to match the four conditions that Desmet describes in the beginning. Our alternative must be:

  1. More social connectedness;
  2. More meaning-making (through spirituality, honest work, time with family & friends, and experiencing nature);
  3. Properly identifying the source of our anxiety as our hurry up culture and helping people take the off-ramp to a parallel economy; and
  4. Properly identifying the source of our frustration and aggression as the predatory system of monopoly capitalism and helping people take the off-ramp into a parallel economy based on mutual respect.

One last thought for now… what the pandemic has revealed to me is that the tendency toward totalitarianism is part of the human condition. Adam Curtis in his three-part documentary series The Living Dead argues that the world drew the wrong lessons from the Nuremberg trials. I think Curtis is correct when he asserts that it was a mistake to argue that the Nazis were uniquely evil — rather the lesson of World War II should have been that the shadow of evil resides in the hearts of all men.

So that’s what we’re up against. It’s sobering af. But I think a clear map of what we are dealing with is essential as we build the resistance and work to dismantle the genocidal Pharma regime.

Blessings to all of the warriors. 🙏✊

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