Nouvelles du front.

Je lis les nouvelles pour que vous n’ayez pas à le faire

« Les recherches de nombreux commentateurs ont déjà jeté beaucoup d’obscurité sur cette question, et il est probable que, si elles se poursuivent, nous ne saurons bientôt plus rien du tout à son sujet. »

Mark Twain

Injections, climat, économie, énergie, transmaoïsme et maintenant Gaza: excepté ceci sur OffGuardian, personne ne semble faire le lien entre cette dernière opération et les précédentes. C’est pourtant simple. Le lien, c’est le basculement dans le communisme – alias le « plus grand complot de l’Histoire ». Nous vivions dans l’abondance économique, énergétique et agricole1. Le pouvoir politique n’avait plus vraiment de raison d’être, la suite pouvant être gérée par une simple bureaucratie. On a donc créé de nouvelles crises.

Au-dessus du politique, il y a une technocratie, aux commandes depuis des siècles: une technocratie d’abord financière qui cède graduellement le pas à une technocratie digitale. Sa force c’est l’information: celle qu’elle récolte, celle qu’elle cache, celle qu’elle manipule et celle qu’elle crée selon ses besoins. Il lui est donc nécessaire de contrôler la science, l’histoire, l’économie, etc. ce qui est plus facile si on dispose d’un outil universel. Cet outil, c’est le communisme. Le Grand Reset, le Green New Deal, la taxe carbone, la monnaie digitale et ce genre de projets délirants – j’allais oublier les pandémies – en sont la version actuelle et le Forum Économique Mondial, les nouveaux bolchéviques. Ils servent à remplacer les régimes stables – c’est-à-dire de droite ou théocratiques – dans le chemin du « progrès » par du marxisme politique, économique, idéologique et maintenant sanitaire, qui leur permettent de tout contrôler et de tout piller. Vous aurez remarqué, et j’ai assez écrit et publié d’autres auteurs sur le sujet.

Mais…

On ne passe d’un modèle à l’autre d’un claquement de doigts – même si on est très pressé, ce qu’ils sont manifestement. Il faut encore parfois sortir de la boîte quelques vieux outils, un peu usés, un peu salissants, certes, mais tellement efficaces. Les guerres, par exemple.

Bon, Gaza2. Question infos, les deux camps ne se privent pas de raconter tout et n’importe quoi. Exemple: Scott Ritter démonte ici (cité par Peter Lincoln puisque je n’ai pas accès au site web de RT) cette histoire d’hôpital détruit par un missile israëlien.

… on peut avancer l’hypothèse suivante.

Une cellule du Hamas a été contrainte de quitter son abri souterrain et de prendre position dans le parking de l’hôpital Al-Ahli. La déclaration de Naftali concernant le Hamas « lançant des roquettes à partir d’hôpitaux » et « utilisant des civils comme boucliers humains » implique également un aperçu de la méthodologie opérationnelle des personnes ciblées.

Cette spécificité suggère que les Israéliens utilisaient des renseignements très précis, tels que la capacité d’intercepter et de suivre les communications associées à une cellule ou à un dirigeant spécifique du Hamas.

Mais pourquoi le Hamas supprimerait-il les preuves qu’Israël a effectivement mené la frappe sur l’hôpital? Si une roquette Mikholit était en fait le coupable, le Hamas disposerait sans aucun doute des preuves matérielles nécessaires pour étayer cette conclusion. L’un des problèmes que pourrait poser la publication de telles informations est qu’elle modifie le scénario d’une manière qui pourrait être gênante pour le Hamas. Dans l’état actuel des choses, le Hamas contrôle un récit qui se prête commodément à l’indignation mondiale suscitée par les bombardements aveugles d’Israël sur Gaza et le massacre de civils qu’ils ont entraîné. L’indignation suscitée par ces actions israéliennes s’est cristallisée autour de l’incident de l’hôpital Al-Ahli. Elle s’est manifestée par des manifestations dans le monde entier qui, au fur et à mesure qu’elles se déroulent, profitent clairement au Hamas.

Si le Hamas devait produire des preuves attestant que l’attaque n’était pas le résultat d’un bombardement israélien aveugle, mais qu’elle avait été menée à l’aide d’une roquette Mikholit, la situation changerait radicalement. Loin d’être un cas de massacre gratuit, l’attaque revêtirait plutôt le caractère d’une action israélienne délibérée contre une cellule du Hamas dont l’existence et les activités ne seraient pas rendues publiques par le Hamas – surtout si les faits se prêtent à un récit selon lequel le Hamas utiliserait les civils palestiniens entassés sur le parking de l’hôpital comme boucliers humains.

Les sensibilités opérationnelles des deux parties conduiraient, dans un tel scénario, Israël et le Hamas à dissimuler la vérité sur ce qui s’est passé à l’hôpital Al-Ahli, une collusion perverse avec un fait commun: la volonté des deux parties de traiter le peuple palestinien comme des pions tragiques dans une lutte de pouvoir plus large entre deux puissances opposées qui sont toutes deux criminellement indifférentes au carnage humain qui en résulte.

Israël et le Hamas mentent donc entre leurs dents – c’est la guerre! – avec deux versions sur mesure du même événement: une pour énerver les pro-Palestiniens, l’autre pour exciter les pro-Israëliens. Comme je l’ai déjà rappelé, les juifs et le musulmans sont parfaitement capables de vivre en paix, sauf si on monte sciemment les uns contre les autres. Pour ce faire, on donne aussi à lire aux miliciens israëliens ce genre de littérature – des passages du Talmud assez gratinés – lors de leur formation. C’est un premier point. Je signale au passage que l’hôpital en question est chrétien

Deuxième point (traité dans mon article précédent) l’apparition d’une cinquième colonne dans l’armée israëlienne, qui défend les droits de la communauté trans, une des chevilles ouvrières de l’anti-sionisme. Il y aurait donc comme un paradoxe: dans l’armée israëlienne – dont la vocation est de défendre son État – une faction milite pour un groupe qui veut abattre cet État.

Exemple: Ita Segev est un trans h/f israëlien exilé aux States. Voici son pamphlet:

Israël produit les hormones dont j’ai besoin, mais je soutiens la libération de la Palestine

« Une grande partie de la communauté transgenre aux États-Unis est obligée de choisir entre nos transitions affirmatives et la revendication de liberté de nos frères et sœurs palestiniens. »

18 mai 2018

Je suis une femme trans israélienne qui a désespérément besoin que la Palestine soit libre. J’en ai besoin parce que je refuse d’accepter que le massacre de manifestants pacifiques à Gaza soit le fait de mon peuple. J’en ai besoin parce que je comprends que la libération des transgenres et la libération des Palestiniens sont liées.

Il y a environ 10 mois, j’ai décidé de commencer un traitement hormonal substitutif et de procéder ainsi à une transition médicale. De nombreuses raisons ont motivé cette décision, mais l’une d’entre elles était la prise de conscience que le fait d’avoir grandi en tant qu’Israélien et trans à Jérusalem, tout en étant censé devenir un homme sioniste, avait laissé des séquelles dans mon corps. J’avais besoin d’aide pour guérir, et j’ai senti que le fait de grandir dans un corps plus rond et plus tendre m’aiderait à me connecter à l’enfant féminin épris de justice qui est en moi, et que le fait d’avoir un tel corps m’aiderait à grandir depuis ce lieu de douceur.

J’étais déjà ancrée dans mon identité israélienne antisioniste. Après avoir déménagé à New York, j’ai été ravie de découvrir que le mouvement Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS) me permettait de travailler de manière non violente et tangible sous la direction des Palestiniens pour mettre fin à l’occupation israélienne de la Palestine. Pourtant, je continuais à souhaiter secrètement un moment qui me soulagerait des difficultés de mon passé. Et j’ai décidé que ce serait le moment de commencer les hormones.

J’ai donc attendu le nouvel an juif pour me rendre à la pharmacie et entamer cette phase de ma transition. J’ai imaginé le petit rituel que je ferais en prenant cette première pilule de couleur sarcelle – nouvelle année, nouvelle juive, nouvelle moi. Mais lorsque la pharmacie m’a remis les flacons contenant mes médicaments, j’ai regardé l’étiquette portant la mention « produit par Teva Pharmaceuticals » et mon cœur s’est arrêté.

Teva, un mot qui signifie « nature » en hébreu, est une entreprise pharmaceutique appartenant à Israël dont j’ai vaguement entendu parler en tant que participant à l’économie de l’occupation. Je me suis dit qu’il devait s’agir d’une erreur.

« Excusez-moi », ai-je dit lorsque je suis retournée voir mon pharmacien. « Cet œstrogène est produit par une entreprise israélienne et je suis une partisane du BDS. Pourrais-je, s’il vous plaît, obtenir une ordonnance d’un autre fabricant? »

Le pharmacien s’est empressé de répondre: « C’est le seul fabricant que nous vendons ».

J’étais sous le choc. Comment était-ce possible? En rentrant chez moi, j’ai envoyé un texto à toutes mes sœurs trans médicalisées et je leur ai posé une question simple: « Qui fabrique vos hormones? » Beaucoup d’entre elles ne le savaient pas. Il faut beaucoup de luttes et de questionnements pour que de nombreuses personnes trans mettent la main sur ce médicament qui sauve des vies, et une fois que c’est le cas, nous voulons démarrer immédiatement et mettre un terme aux questions relatives à la validité de notre identité et de nos choix. Mais mes sœurs ont entendu l’urgence de mon appel et se sont renseignées. Au fur et à mesure que les réponses arrivaient, toutes [les hormones] provenaient soit de Teva, soit d’une entreprise qu’une recherche rapide sur Google permettait d’identifier comme étant liée à Teva.

Comment cette seule entreprise israélienne a-t-elle pu jouer un rôle aussi important sur le marché des hormones transgenres? [NdT. c’est une excellente question] Comment mon corps s’est-il retrouvé une fois de plus comme un champ de bataille, un règlement, un pion permanent dans ce jeu sioniste?

Plus tard, j’ai pris contact avec un étudiant trans juif et antisioniste du Mills College, Daryn Copland, qui m’a contactée en ligne. Il m’a dit qu’il avait consacré l’année dernière ses recherches à la compréhension des liens entre la production d’hormones transgenres aux États-Unis et en Israël. Il m’a dit qu’il avait lui aussi découvert que sa testostérone était fabriquée par Teva et qu’il voulait comprendre ce que nous devrions faire à ce sujet en tant que personnes transgenres qui soutiennent le mouvement BDS.

Il ne s’agissait plus seulement pour moi de me sentir libre dans mon corps. Une grande partie de la communauté trans aux États-Unis est obligée de choisir entre nos transitions qui affirment notre vie et la demande de liberté de nos frères et sœurs palestiniens.

Après le déchirement nécessaire pour accepter d’être une fois de plus complice du régime que je veux si désespérément démanteler, j’ai trouvé le pouvoir d’avoir une plateforme pour faire quelque chose à ce sujet.

C’est pourquoi Daryn et moi essayons de lancer une ressource en ligne ouverte qui répertorie les entreprises affiliées à Teva. Nous espérons trouver d’autres fabricants pour nos frères et sœurs transgenres, sans jamais négliger les besoins de notre communauté en matière de prix bas et de forte demande. Plus important encore, j’espère que toutes les personnes trans, GNC et queer qui lisent ceci nous aideront à faire passer le message haut et fort – le sionisme a essayé de lier la libération trans à l’oppression palestinienne, mais nous refusons d’accepter cela comme notre réalité.

D’où la déclaration du parlementaire israëlien qui taxait la communauté LGBT de menace pire pour son pays qu’ISIS ou le Hezbollah – l’ironie suprême étant qu’Israël soit menacé par un mouvement inspiré par Marx et Engels. Ce même parlementaire omet d’autres personnes qui constituent aussi une « menace existentielle » pour son pays, probablement plus immédiate.

Amir Weitmann, fondateur et président du groupe parlementaire libertaire au sein du parti Likoud du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, menace ici la Russie de représailles, en direct sur RT, ce qui amuse beaucoup le présentateur, à juste titre. D’abord, des représailles avec quoi? Des « missiles nucléaires »? Les lasers de son nouveau Iron Dome, tout juste capables d’arrêter les pétard-fusées du Hamas? Ensuite, ce Monsieur promet qu’Israël assurera la victoire des Ukrainiens contre les Russes, c’est-à-dire d’un pays allié à l’Allemagne nazie contre celui qui a libéré les camps de concentration. Dans le numéro de cirque qu’est le monde politique, il arrive que certains clowns se mettent à croire à leurs propres délires. C’est vraiment dangereux. Comme le rappelait Gonzalo Lira, les Russes ne mentent jamais (sauf, bien entendu, sur leur « arsenal nucléaire »): s’ils disent qu’ils ont de quoi détruire l’Europe en quelques minutes, c’est le cas. Cet énergumène paranoïaque pense sans doute qu’Israël ferait le poids parce qu’ils ont les USA comme allié. Voyons ça.

Question armement, les Russes ont le Khinzal (qui vole à Mach 10), le Zircon (hypersonique également) et des avions capables de le lancer, le K-300P Bastion-P (système de missiles de défense côtier), il y a des missiles anti-navires Yakhont en Syrie et Dieu sait quoi d’autre encore en Iran et autour, j’en passe et des meilleures. Enfin, vous voyez le tableau.

Le Pentagone a envoyé des porte-avions dans la zone, et des troupes sont prêtes à être déployées. Certains pensent que ce ne sont pas des mesures dissuasives mais que tout cela sera utilisé sur d’autres cibles que le Hamas – la Syrie (j’en doute) ou l’Iran (c’est plus vraisemblable). D’autres pensent que, vu l’armement Russe présent dans la région, tout ce bel équipement ferait un « sitting duck » idéal, coulé six minutes après le premier signe d’agression.

La Russie est capable de mener une guerre qui n’a rien à voir avec le conflit en Ukraine, dont l’objectif était d’annexer un partie du pays, pas de le détruire – une « Opération Militaire Spéciale ». Comparativement, les États-Unis n’ont jamais été en guerre3, ils se sont contentés d’aller ici et là incinérer des pauvres pour voler leur pétrole, défendre leurs propres intérêts commerciaux et tester leurs armes très onéreuses, histoire de les vendre ensuite. Leur grande victoire, la « libération » de l’Europe en 1945, était une mise en scène – meurtrière, mais une mise en scène – où le gros de l’armée allemande avait été stratégiquement placé plus au Nord, histoire de laisser le passage ouvert – ce qui me rappelle quelque chose tout à coup.

Le boulot de l’administration Biden de démolition contrôlée du dollar, d’appauvrissement général, spécialement des zones démocrates, et évidemment de « dépopulation » fait de l’État fédéral des États-Unis de facto une dictature communiste, qui risque d’imploser d’un moment à l’autre – beaucoup de discours de sécession dans les commentaires des forums. Il y manque juste une défaite militaire cuisante, qu’ils pourraient bien récolter d’ici peu, et c’en sera fini de son Empire – le Forum Économique Mondial est très explicite sur ce point. Et ce sera encore une mise en scène, et leurs alliés les suivront dans l’abîme. Pour citer Henry Kissinger: « Être un ennemi de l’Amérique peut être dangereux, mais être son ami est fatal ».

Les pays BRICS sont une notion inventée par Goldmans-Sachs. Si on veut comprendre de quoi sera fait le monde demain, ils vous le disent aujourd’hui. C’est là, et en Afrique, qu’ils ont placé leurs billes: un nouvel Eldorado de main d’oeuvre à bas prix, démographiquement dans le vert, débordant de ressources à piller, avec tout le champ pour mettre en place les nouvelles technologies et des chantiers d’infrastructures monumentaux à la clé, qui seront confiés à la Chine – la Nouvelle Route de la Soie. Même pas besoin de guerre pour tout démolir avant de « développer ». L’affaire du siècle.

À l’ère de la « biosécurité », du « climat », de l' »identité digitale », du « genre » e tutti quanti, les guerres chaudes ne seront plus strictement nécessaires. Les affrontements militaires en Ukraine et au Moyen-Orient seront probablement parmi les derniers, les nouveaux moyens rendant obsolète l’utilisation d’un pays pour en mettre un autre à genoux – ou plus exactement, pour s’emparer des deux. Les pays qui ne se maintiennent que par la violence militaire – ce qui inclut les États-Unis et Israël – font tache et seront également voués à s’adapter ou à disparaître. S’il y a quelque chose à comprendre de ces trois dernières années, c’est que le complexe militaro-industriel a déjà déplacé ses billes dans la « biosécurité » et la « cybersécurité » beaucoup plus rentables que les armes conventionnelles et plus en phase avec le projet global.

Dans ce projet, les civils Palestiniens sont des victimes collatérales, hissées au rang de martyrs. Tous les médias américains les présentent comme tels, un discours assez nouveau pour eux et surtout le signe qu’Israël est dans le collimateur. Si « l’initié » de Hersh dit vrai, la cible serait son gouvernement. Si l’Iran entre dans l’équation, la cible sera l’État lui-même et les rêves de vengeance de M. Weitmann risquent d’être remis à plus tard.

Une personne sensée aurait depuis longtemps plié bagage et décampé de cette zone de guerre permanente. Elle aurait vu que le monde n’est pas peuplé de huit milliards de Nazis et que les juifs vivent en sécurité un peu partout dans le monde – en France, où cette branche de ma famille4 a très bien vécu ou dans le village voisin, où j’ai une vieille amie qui coule des jours paisibles. Nous avons une nature magnifique, et beaucoup d’oiseaux. Il n’en faut pas beaucoup plus pour être heureux. L’observation de la Nature est aussi un excellent remède contre l’orgueil et le narcissisme. On y réalise à quel point l’homme est futile et peu intelligent, souvent même pas capable d’agir dans son propre intérêt.

Eyal Neveh, militaire de carrière depuis 25 ans est probablement un type bien. Il aime ses huit enfants, il aime son pays. Il devrait toutefois se souvenir que si, comme il le dit, l’armée est dans son ADN, cet ADN a été compromis par la volonté de son propre gouvernement, qui se moque bien de lui, des ses camarades morts pour la patrie et de l’avenir des ses enfants. Pour encore citer Kissinger: « Les militaires ne sont que des animaux stupides et abrutis à utiliser comme des pions dans la politique étrangère ».

Beaucoup de commentateurs pensent qu’Israël est tombée dans un piège. En réalité, c’est le pays lui-même qui est un piège. Il a été créé pour des motifs purement géostratégiques, économiques, énergétiques – peu importe – par des gens qui se foutaient éperdument des juifs, tout comme les gens qui ont créé le National-Socialisme se foutaient éperdument du peuple Allemand.

D’ailleurs, ce sont les mêmes.

« Dans dix ans, il n’y aura plus d’Israël. »

Henry Kissinger, circa 2012?

  1. On produit encore chaque année de quoi nourrir 10 milliards d’êtres humains. ↩︎
  2. Au fait, pour ceux qui voudraient s’émouvoir du sort des peuples musulmans, je leur rappelle qu’il y a aussi une guerre au Soudan en ce moment-même. Just sayin’ ↩︎
  3. Je parle de guerres à l’étranger ↩︎
  4. Il y a des chrétiens, des orthodoxes et des juifs dans cette famille – et, j’ai honte de le dire, des socialistes. ↩︎

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