Serait-ce cet homme qui a créé le COVID-19 dans le laboratoire américain de Fauci? – par Will Jones.

Très probablement.

Voici une introduction très bien écrite et lisible à l’article de Jim Haslam que je promets depuis des mois et que je publierai juste après. L’hypothèse en est qu’il s’agit d’une fuite accidentelle. C’est tout à fait possible. Si c’est le cas, je me demande si ce ne serait pas encore plus inquiétant.


Serait-ce cet homme qui a créé le COVID-19 dans le laboratoire américain de Fauci?

par Will Jones

30 janvier 2024

Le virologue américain Ralph Baric a créé le virus SARS-CoV-2 du COVID-19 dans son laboratoire de l’université de Caroline du Nord, dans le cadre de ses travaux liés à la proposition de financement DEFUSE de 2018. Voilà l’histoire qui fait le tour de l’internet depuis quelques mois (et pas seulement dans les médias alternatifs) et qui semble très accablante pour Baric et ceux qui sont liés à ses recherches. Les détails du projet DEFUSE ont été divulgués pour la première fois par le major Joseph Murphy, un employé de l’agence de recherche militaire américaine DARPA, au cours de l’été 2021, et d’autres détails concernant des versions antérieures ont été révélés ce mois-ci grâce aux demandes d’archives publiques de l’organisation U.S. Right to Know (USRTK).

Dans le cadre du programme DEFUSE, Baric proposait de créer un virus qui était, à toutes fins utiles, le SARS-CoV-2. Cette proposition comprenait l’insertion d’un site de clivage de la furine dans une protéine de pointe du coronavirus, une commande de l’enzyme de restriction BsmBI, la recherche d’un domaine de liaison qui infecterait les récepteurs humains ACE2 et l’exigence d’un génome viral différent d’environ 25% de celui du SARS.

Le virus SARS-CoV-2 contient un site de clivage de la furine dans sa protéine de pointe, son génome comprend l’enzyme de restriction BsmBI, il possède un domaine de liaison au récepteur finement ajusté pour infecter le récepteur humain ACE2 et son génome est différent d’environ 25% de celui du SARS. Un certain nombre de virologues ont déclaré que ces caractéristiques donnent la preuve irréfutable que le SARS-CoV-2 est un virus modifié.

Baric a obtenu un brevet pour ces nouveaux virus en 2018, au moment même où il mettait au point DEFUSE. Dans le programme DEFUSE, il proposait d’infecter des chauves-souris sauvages chinoises avec ses virus nouvellement brevetés.

Nombreux sont ceux qui estiment que la question de la fuite du laboratoire est donc ainsi réglée.

Mais ce n’est pas là toute l’histoire. En effet, la proposition DEFUSE de Baric n’a pas obtenu le financement de la DARPA. Et si l’on souligne à juste titre que, avec ou sans financement, une grande partie du travail était déjà en cours, c’est ce qui est arrivé ensuite dans le cadre de la proposition gagnante de la DARPA qui rend l’histoire vraiment intéressante.

Le chercheur américain Jim Haslam a réalisé un travail incroyable sur sa page Substack Reverse engineering the origins of SARS-CoV-2, documentant tous les va-et-vient au sein de la communauté des virologues en rapport avec la création de ce virus particulier et la dissimulation qui s’en est suivie. Ce qui suit doit beaucoup à ses recherches méticuleuses, les éventuelles erreurs m’étant imputables.

L’offre gagnante de la DARPA en 2018 – pour un projet appelé PREEMPTincluait le Dr Vincent Munster (photo ci-dessus), grand spécialiste du virus de la chauve-souris, basé au Laboratoire Rocky Mountain des NIH d’Anthony Fauci. La proposition PREEMPT de Munster et le projet DEFUSE de Baric, en perte de vitesse, reposaient tous deux sur la même idée de base: tenter de prévenir une future pandémie (hypothétique) en utilisant un virus modifié pour vacciner les chauves-souris à partir desquelles on pense qu’un tel virus est susceptible de se diffuser. L’idée étant, bien sûr, que les chauves-souris vaccinées ne seraient plus un réservoir pour le virus, ce qui permettrait de « désamorcer » ou d’« anticiper » [preempting] la propagation zoonotique. Ça semble dingue? Absolument – beaucoup trop d’ingérence dans la nature et trop de confiance dans la capacité des vaccins à prévenir l’infection et la transmission du virus. Mais dingue ou pas, c’est ce que les scientifiques ont proposé, et la proposition PREEMPT de Munster a gagné, tandis que la proposition DEFUSE a perdu.

La principale différence entre la proposition DEFUSE de Baric et la proposition PREEMPT de Munster – outre le fait que la proposition de Munster coûtait environ 4 millions de dollars de moins, soit 10 millions de dollars – réside dans le fait qu’au lieu de pulvériser un virus-vaccin non transmissible dans les grottes de chauves-souris, le plan de Munster prévoyait la transmission du virus-vaccin entre les chauves-souris par l’intermédiaire d’aérosols. Il s’agissait donc d’un vaccin auto-diffusant, capable (en théorie) de toucher toutes les chauves-souris sans que l’homme n’ait à découvrir toutes leurs grottes et à les pulvériser. Les risques d’un tel projet auraient dû être évidents. D’ailleurs, Baric lui-même, qui s’était fait très discret après la fuite de son projet DEFUSE à la mi-2021, a refait surface à la mi-2023 pour dire qu’un travail de ce type impliquant l’ingénierie de virus-vaccins transmissibles était « trop délicat » pour lui.

Après que le financement de la DARPA a été accordé à Munster, Fauci a volé au secours de Baric avec un programme exceptionnel de 82 millions de dollars appelé CREID, attribué à l’été 2019, dans lequel les équipes de Baric et de Munster coopéreraient à la recherche sur le concept de Munster de vaccins auto-diffusants pour chauves-souris. Fin 2018, Baric et Munster avaient déjà coopéré sur un projet visant à infecter des chauves-souris frugivores égyptiennes avec un virus similaire à celui du SARS.

Ce qui s’est exactement passé ensuite n’est pas documenté publiquement, nous devons donc combler certaines lacunes. Il semble que Munster ait pris le vaccin breveté de Baric contre le virus du SARS et en ait fabriqué une version transmissible dans son laboratoire de Rocky Mountain (la version de Baric n’était pas censée être transmissible). Qu’est-ce qui le prouve? Le plus révélateur est peut-être que, comme l’observe Jim Haslam, le SARS-CoV-2 ne se transmet efficacement que chez cinq mammifères connus, et ces cinq mammifères – le cerf américain, la souris sylvestre, le hamster syrien, le vison américain et la chauve-souris frugivore égyptienne – se trouvent tous dans le laboratoire de Munster (et de Fauci) à Rocky Mountain, dans le Montana. Le SARS-CoV-2 n’infecte pas les animaux de laboratoire courants dans les laboratoires chinois ou présents dans l’Institut de virologie de Wuhan, tels que les chauves-souris chinoises en fer à cheval. Cela suggère que le SARS-CoV-2 a acquis sa transmissibilité dans un contexte de laboratoire américain et non chinois ou d’ailleurs.

Le virus-vaccin ayant été rendu transmissible dans le Montana, il aurait ensuite été envoyé à l’Institut de virologie de Wuhan (IVW) pour y être testé sur des chauves-souris chinoises, qui n’étaient pas disponibles dans les laboratoires américains. Il n’y a guère de doute quant à l’identité de la personne qui aurait effectué ces tests à l’IVW, puisqu’il n’y avait qu’une seule scientifique disposant des relations et de l’expertise nécessaires. Le Dr Danielle Anderson, surnommée Dani par ses collègues, est devenue célèbre en juin 2021 en tant que « dernière et unique scientifique étrangère du laboratoire de Wuhan » lorsqu’elle s’est exprimée publiquement pour plaider en faveur d’une origine zoonotique. Dani était membre de la commission Lancet sur les origines, présidée par Jeffrey Sachs, qui l’a dissoute en octobre 2021, frustré par le manque de coopération des virologues occidentaux comme Dani. Dani était basée par intermittence à l’IVW dans le laboratoire de haute sécurité BSL4 (pas le laboratoire BSL2 de Shi Zhengli), mais elle ne travaillait pas pour l’IVW. Elle travaillait pour Duke-NUS, l’école de médecine de l’université Duke de Caroline du Nord, basée à Singapour, sous la direction du Dr Linfa Wang, virologue. Linfa et Anderson ont participé à la proposition DEFUSE de Baric, et Duke-NUS a ensuite été partenaire du projet CREID de Fauci.

Le rôle d’Anderson dans DEFUSE était de tester des virus-vaccins sur des chauves-souris chinoises « capturées dans leur milieu naturel » et captives à l’IVW. On peut donc raisonnablement supposer que c’est elle qui a été chargée de tester le vaccin de Munster sur lesdites chauves-souris chinoises. Cela expliquerait comment le virus est arrivé à Wuhan.

En d’autres termes, cela expliquerait comment un virus-vaccin non transmissible conçu par Ralph Baric à l’UNC conformément à la proposition DEFUSE est devenu un virus transmissible qui a fini par être libéré à Wuhan. Plus précisément, parce qu’il s’est échappé par le biais d’une infection contractée en laboratoire lors des tests effectués par Anderson sur des chauves-souris chinoises dans son laboratoire BSL4 à l’IVW, Dani elle-même ou un de ses collègues devenant le « patient zéro ».

Certes, nous n’avons pas de preuves directes de ce fait – nous n’avons pas de preuves directes qu’un vaccin Munster-Baric contre le virus du SARS-2 était testé sur des chauves-souris chinoises à l’IVW en 2019, ni que le Dr Anderson ou un collègue a été infectée par ce vaccin dans ce laboratoire. De nombreux éléments indiquent cependant que c’est un scénario probable.

Nous savons, par exemple, que Baric et Munster proposaient tous deux de vacciner les chauves-souris chinoises à l’aide d’un virus modifié, dans le cas de Baric avec un site de clivage de la furine inséré pour augmenter l’infectivité. Nous savons que la proposition PREEMPT de Munster, dans laquelle le virus-vaccin serait auto-diffusant, a remporté le financement de la DARPA, battant la proposition DEFUSE de Baric pour un virus-vaccin non auto-diffusant, et qu’en 2019, les deux équipes ont été réunies dans le cadre d’une subvention de 82 millions de dollars accordée par le NIAID de Fauci.

Nous savons que le SARS-CoV-2 se transmet sans difficulté chez les animaux de laboratoire du laboratoire Rocky Mountain de Munster, mais pas chez les animaux de laboratoire de l’IVW. Nous pouvons donc en conclure que l’expérience du Dr Anderson visant à infecter des chauves-souris chinoises avec le nouveau virus à l’IVW a vraisemblablement échoué. C’est peut-être la raison pour laquelle elle a quitté Wuhan à la fin du mois de novembre, date limite pour l’« examen de la valeur scientifique » du CREID.

Nous savons également que l’endroit où Dani et ses collègues vivaient dans le centre de Wuhan était un épicentre précoce de l’épidémie de SARS-CoV-2, d’après les données des médias sociaux.

Il semble également que le superviseur de Dani, Linfa Wang, ait rapidement compris que le SARS-CoV-2 était l’un de ses virus. Cela expliquerait pourquoi il a démissionné de son poste de directeur du programme des maladies infectieuses émergentes de Duke, poste qu’il occupait depuis près de dix ans, le jour même de la publication du génome, le 10 janvier 2020. La raison de sa démission abrupte n’a jamais été révélée. Quatre jours plus tôt, il avait déclaré au New York Times qu’il était frustré que les scientifiques chinois ne soient pas autorisés à lui parler de l’épidémie. Il mettait en garde contre toute panique, arguant que le virus ne se propageait probablement pas entre humains parce que les professionnels de la santé n’avaient pas contracté la maladie. Mais en privé, craignait-il que le virus provienne de son laboratoire – est-ce la raison pour laquelle il a immédiatement démissionné lorsque le génome a été publié? Il est difficile de comprendre ce qui aurait pu l’amener à démissionner si soudainement à ce moment-là, et l’absence d’explication renforce les soupçons. Plus tard, il a qualifié le 10 janvier de « jour le plus important de l’épidémie de COVID-19 », car c’est à ce moment-là que le génome a été publié.

Si Linfa anticipait les mauvaises nouvelles, c’est peut-être parce que Dani et lui étaient au courant de la fuite au moment où elle s’est produite. L’analyse des relevés de téléphones portables a révélé une fermeture apparente du laboratoire BSL4 du Dr Anderson entre le 7 et le 24 octobre 2019 (identifiée par l’absence d’utilisation de téléphones portables dans les environs). Rien de plus n’a été révélé sur cet incident ni sur ce qui se cache derrière, mais si cela dénote une infection acquise en laboratoire dont Anderson et Linfa (et probablement d’autres personnes) étaient au courant, cela expliquerait beaucoup de choses.

La prise de conscience qu’il s’agissait d’un virus conçu aux États-Unis pourrait également être à l’origine de la panique qui a poussé le gouvernement chinois à boucler Wuhan peu après la publication du génome.

Depuis 2021, Ralph Baric s’est lancé dans le développement de vaccins contre le SARS-CoV-2 et d’autres coronavirus, allant même jusqu’à imaginer une « vaccination en anneau », comme dans le cas d’Ebola, pour tenter d’enrayer l’épidémie. Est-ce sa façon de se racheter, même si elle est malavisée? Je me demande si on ne décèle pas également une allusion de sa part à ceux qui, selon lui, sont réellement responsables de la débâcle, lorsqu’il faisait remarquer que « les gouvernements, plutôt que les scientifiques », sont les principaux responsables du choix des expériences risquées de gain de fonction à financer et à mener – une référence peut-être à la manière dont l’ingénierie « audacieuse » de Munster sur les virus-vaccins transmissibles a été choisie au détriment de sa version non-transmissible.

« Il semble que la science américaine va être détruite pour une pandémie qui a commencé en Chine », déclarait-il à Dan Werb du Time, retombant dans le déni. Lorsque Werb lui suggéra qu’en dépit des « théories du complot », de nombreuses personnes étaient heureuses qu’il soit devenu un scientifique, il répondit: « Bon nombre d’entre elles auraient probablement souhaité que je ne le sois pas devenu. Soyons honnêtes. »

Est-ce là ce qui s’apparenterait le plus à une confession?

Vol au-dessus d’un nid de poulets – par le Dr Ah Kahn Syed.

Comme le dit l’expression anglaise, voici comment on fabrique la saucisse. Ça se passe en Australie – une des cibles majeures de l’opération Covid – et ça montre bien comment s’articulent campagne de presse et pseudo-événement, mécanisme dont l’auteur – déjà publiée sur ce blog ici, ici, ici – décrit ici les rouages.

Avant d’aborder cette histoire de H5N1, bref récapitulatif du Covid? Vous pouvez l’encadrer:

Au départ, le SARS-CoV-2 n’est pas une « arme biologique » mais, un vaccin auto-diffusant pour chauve-souris conçu pour être bénin pour les personnes en bonne santé mais extrêmement contagieux. Vu la très haute visibilité de ses symptômes dans la population, c’était le candidat parfait pour artificiellement créer et prolonger une « pandémie » – le virus original ainsi que tous ses variants étant issus de laboratoires. Vu sa faible létalité – un virus vraiment mortel ne créant pas de pandémie, il tue trop vite les propagateurs – celle-ci a dû être boostée par les interdictions de traitement précoce (ce qui a aussi laissé le champ libre à l’autorisation d’utilisation d’urgence des « vaccins »), tests PCR trafiqués, chiffres bidouillés et certificats de décès « avec Covid » et protocoles hospitaliers mortels.

C’était une répétition générale pour la « pandémie » suivante. Elle a démontré que quasiment tous les médecins hospitaliers étaient prêts à appliquer sans rechigner des protocoles mortels et que la vaste majorité de la population, qui ne sait rien de son propre système immunitaire, était prête à se plier à des injonctions délirantes dictées par des décrets illégaux, et à persécuter les réfractaires.

Bref, tout est prêt pour la « pandémie » suivante, celle qui « attirera l’attention ».

Ouvrez l’oeil.

Note: « the chicken have come home to roost » – les poulets sont revenus se reposer au bercail – est une expression qui signifie que les conséquences finissent toujours par se manifester.


Vol au-dessus d’un nid de poulets

La grippe aviaire à Geelong ne peut signifier qu’une chose: « les poulets de l’Antarctique sont revenus se reposer au bercail ». Il faudrait être fou pour croire à toute autre explication.

Dr Ah Kahn Syed

10 juin 2024

Un rapport gouvernemental privé obtenu cette semaine en réponse à des questions sur la décision d’abattre plus de 500 000 poulets dans l’État de Victoria, en Australie, montre que les personnes qui ont pris cette décision ne disposaient d’aucune preuve vérifiable de l’existence d’un foyer infectieux à haut risque.

Les élevages de poulets prétendument infectés étaient si éloignés de toute source aviaire possible qu’il était peu probable, voire impossible, que cela se soit produit sans une intervention délibérée ou une manipulation des tests.

Le CSIRO, l’équivalent australien de l’Institut de virologie de Wuhan, est la source « épidémique » potentielle la plus proche et ce n’est pas la première fois qu’il est impliqué dans l’émergence de « nouveaux » virus.

L’abattage des poulets semble être une crise fabriquée de toutes pièces.

Cette semaine, j’ai reçu une copie d’un document gouvernemental envoyé en réponse à des questions sur cet événement inhabituel en Australie – l’abattage de 500 000 poulets:

On pourrait penser que ce n’est pas très grave – après tout, notre sécurité alimentaire est primordiale, donc si une voléé de poulets est infectée, il faut réagir rapidement et l’abattre, non?

Pas si vite. La grippe aviaire est ainsi nommée parce qu’elle touche les oiseaux. Et tout comme la FDA nous a dit que nous n’étions pas des chevaux (bien qu’elle ait dû retirer ce tweet et cette page web à la suite d’une décision de justice), nous ne sommes pas non plus des oiseaux. Ainsi, sauf circonstances rares et improbables (ou si un scientifique psychopathe décide de l’adapter à l’homme), la grippe aviaire ne présente aucun risque pour la population humaine. Et une fois le poulet passé dans les friteuses d’un KFC, toute trace de la grippe aviaire aura de toute façon disparu depuis longtemps.

Vous n’êtes pas un cheval. Vous n’êtes pas une vache. Sérieusement, les gars. Arrêtez.
Pourquoi il ne faut pas prendre d’ivermectine pour soigner ou prévenir le COVID-19
L’utilisation de l’ivermectine pour soigner le COVID-19 peut être dangereuse et même mortelle. La FDA n’a pas approuvé ce médicament pour cet usage.

Quel événement catastrophique a-t-il nécessité l’abattage d’un demi-million de poulets (c’est-à-dire les tuer, non pas pour les manger, mais pour les éliminer avant qu’ils n’entrent dans la chaîne alimentaire)?

Apparemment, une épidémie de grippe aviaire H7N31 s’est déclarée dans trois élevages, tandis qu’un autre élevage situé à 100 km de là a été touché par une souche différente de H7, la H7N9. Selon WAHIS (l’agence de surveillance des épizooties), il s’agit des seuls foyers apparus cette année en Australie, et ce presque aussi loin au Sud qu’il est possible.

Près d’un endroit appelé Geelong (dans le même État que Melbourne).

Carte des foyers de grippe aviaire H7 dans le sud de l’Australie, tous les sites se trouvant dans un rayon de 100 km autour de Geelong, siège du CSIRO.

Les personnes attentives auront remarqué que la ville de Geelong présente l’intérêt d’abriter la version australienne de l’Institut de virologie de Wuhan, le CSIRO. Il s’agit bien sûr d’une pure coïncidence, car un foyer infectieux d’origine aviaire peut provenir d’autres sources que celle d’une création par un institut scientifique réputé pour la manipulation l’identification de « nouveaux » virus de chauve-souris.

Comme la plupart des grippes aviaires sont censées provenir d’Asie, voici une jolie carte de l’itinéraire que les oiseaux infectés emprunteraient pour arriver à Geelong. Une longue distance à parcourir, ce qui explique peut-être pourquoi il n’y a pas de H5N1 (grippe aviaire asiatique) « naturelle » en Australie2. Et si des maladies infectieuses arrivaient d’Asie, on les constaterait d’abord dans le Queensland ou les Territoires du Nord.

En fait, la plupart des oiseaux asiatiques ont tendance à ne jamais migrer vers l’Australie, ce qui explique en partie pourquoi les oiseaux australiens sont différents de ceux des autres pays, avec notamment des bizarreries telles que le kookaburra, le cygne noir, le casoar et l’ibis (communément appelé bin chook [poulet des poubelles] en raison de son étonnante faculté à trouver de la nourriture dans les poubelles publiques).

Par conséquent, si l’Australie doit contracter la grippe aviaire H5N1 de manière naturelle, ce ne sera pas chose aisée…

À moins que…

Les petits malins responsables de la grippe aviaire arrivent par la porte de derrière, depuis l’Antarctique.

Bien entendu, le service national de radiotélévision australien ABC a pris une longueur d’avance grâce à cette vidéo de prebunking [NdT. « prebunking » = « debunking » avant l’événement] étonnamment intelligente, qui montre des images de cadavres d’oiseaux mises en scène en mode CNN, afin de faire croire que la situation y est vraiment grave.

Et si vous n’êtes VRAIMENT pas convaincu à quel point c’est MORTEL, on ne vous montre pas seulement des rangées de pélicans morts sur la neige, ON COLORIE « 100 MILLIONS DE TUÉS » EN ROUGE – un rappel du tableau de bord du COVID.

Voilà. Alors, vous avez peur? Non? Très bien, on continue. C’est Jo Sillince, PDG du « Australian Chicken Growers Council », qui prend le relais, figurant à la fois dans l’article de la chaîne ABC pour expliquer à quel point tout cela est effrayant ET dans la vidéo ci-dessus pour expliquer que le danger principal vient de l’Antarctique.

Joanne Sillince, PDG du Conseil australien des éleveurs de poulets (Image ABC)

Si vous n’êtes toujours pas effrayés par Joanne ou par ABC, vous feriez mieux de l’être parce que LA GRIPPE AVIAIRE VIENT D’ANTARCTIQUE POUR TUER NOS POULETS.

Sans vouloir énoncer l’évidence, faire venir la grippe aviaire depuis l’Antarctique n’est pas chose aisée. Voyez-vous, les principaux itinéraires de migration des oiseaux ne comportent pas vraiment de trajet de l’Antarctique à l’Australie.

Et même si l’un ou l’autre albatros antarctique en venait à s’égarer dans les cafés de Melbourne, il aurait eu bien du mal à attraper la grippe aviaire asiatique dans les étendues enneigées de l’Antarctique.

Et puis il y a les pingouins. Pour ceux qui l’ignorent, les pingouins sont des oiseaux. Ils sont capables de voler, mais uniquement dans le milieu fluide de l’eau (la plupart des oiseaux volent dans le milieu fluide de la vapeur d’eau, c’est-à-dire dans l’air). Ils pourraient donc atteindre la côte sud de l’Australie et y déposer leurs fientes grouillantes de grippe aviaire – mais s’aventurer plus loin leur demanderait une longue marche. Si on avait aperçu une famille de pingouins sur la route de Geelong, il y a fort à parier qu’on en aurait parlé dans les journaux.

Avant de nous pencher sur ce qui se trame derrière tout ceci, je me dois de donner quelques informations sur Michelle Wille, amie et multiple co-auteur d’Edward Holmes, lui-même multiple co-auteur des scientifiques d’EcoHealth dont il est question plus loin.

Michelle est la scientifique en chef dans la vidéo « Antarctic Chickens » ci-dessus et en gros, c’est elle qui dirige les campagnes des « virus effrayants » en Australie, pompant au passage des montants colossaux de financement pour la « préparation aux pandémies » qui ne préviennent en réalité jamais les pandémies.

Elle tente ici de nous affoler avec un article paru dans The Conversation, qui accueillait le même Eddie Holmes il y a deux ans avec une histoire similaire nous expliquant que nous étions tous fous de penser que le COVID provenait d’un laboratoire. Sauf qu’il s’avère que c’était bien le cas.

Poulets, canards, phoques et vaches: une souche dangereuse de grippe aviaire frappe à la porte de l’Australie

Voyez-vous comment ça fonctionne?

  1. On crée un virus en utilisant soit un virus existant, soit un nouveau virus, soit un virus manipulé.
  2. On crée la panique autour du virus, même s’il n’est pas très dangereux (voire pas du tout).
  3. On crée un théoricien de la conspiration qui servira de bouc émissaire et sera publiquement ridiculisé si quelqu’un pose des questions sur la création du virus.
  4. On répéte l’opération, en récoltant au passage des millions de dollars de fonds publics pour « prévenir » le prochain virus terrifiant qui ne sera pas du tout prévenu.

Les explications délirantes

Alors, pourrait-il y avoir une autre explication que des poulets de l’Antarctique qui survolent l’océan Austral et infectent leurs congénères des régions tempérées?

Eh bien, étant donné que le CSIRO se trouve dans le voisinage même de la majorité des foyers, cela pourrait donner l’idée d’y jeter un coup d’œil pour voir si, peut-être, ils auraient pu avoir un lien avec un foyer H7N3 voisin, ou si, finalement, un foyer H7N3 a une quelconque importance.

Examinons donc les deux scénarios (qui ne s’excluent pas mutuellement), mais auparavant, un petit rappel de la signification du titre pour ceux qui n’ont pas l’âge pour se souvenir de l’un des films les plus récompensés de tous les temps.

J’ai envisagé de le sous-titrer, mais je le laisserai tel quel pour l’instant.

Jack Nicholson dans « Vol au-dessus d’un nid de coucou ».

Explication délirante n°1 (le terrifiant virus inter-espèce)

Dans ce scénario, une souche de grippe spécifique et terrifiante s’est échappée du CSIRO et s’est retrouvée dans l’exploitation, tuant quelques oiseaux, ce qui a nécessité un confinement.

Ça vous rappelle quelque chose?

Peut-être a-t-il fallu revêtir des combinaisons blanches et souder la porte du poulailler, et qu’on verra bientôt des vidéos de poulets (autres que ceux de l’Antarctique) tomber raide morts sur le sentier de la ferme. Avec des masques.

Le problème, c’est que le CSIRO a un passé. Il a été impliqué à juste titre comme co-contributeur aux origines du SARS-CoV-2 de Wuhan dans l’exposé de Sharri Markson il y a deux ans, que vous pouvez voir dans ce clip de 10 minutes de Sky News.

Bien entendu, si une institution est impliquée dans la manipulation de virus afin de les « modifier » dans un but spécifique, on peut s’attendre à ce qu’elle soit affiliée à l’un de ces programmes DURC, c’est-à-dire « Dual Use Research of Concern », ce qui signifie en langage OMS « nous disons que nous fabriquons des vaccins, mais en réalité nous travaillons avec l’armée américaine pour faire, vous voyez, des trucs militaires américains ».

Et, si c’était bien le cas, on trouverait probablement des traces de leur implication dans les institutions suivantes, financées par l’armée américaine par l’intermédiaire de la DARPA (la progéniture de l’opération Paperclip dont nous avons parlé récemment)

Ouf! Pas de mention de CSIRO, juste les suspects habituels, UC Davis, EcoHealth (l’organisation de Peter Daszak impliquée dans l’origine du COVID) et Metabiota 3, l’organisation liée au Rosemont Seneca de Hunter Biden. Rien que des gens très sympathiques. Et tous chapeautés par cette organisation au nom si doux:

« OneHealth Institute ».

Tout est lié au OneHealth Institute, qui opère dans le monde entier

Tout cela fait très « objectifs durables » – alias fascisme mondial – sous couvert de « santé mondiale ». Sauf que ces gens veulent être en charge de votre santé mondiale, que vous y consentiez ou non.

La personne impliquée dans la création du virus COVID à l’Institut de virologie de Wuhan était communément appelée « BatWoman »; son équivalent au CSIRO serait Gary Crameri.

On pouvait autrefois le regarder parler de la fabuleuse réussite du CSIRO, qui avait à l’époque trouvé « l’origine du virus du SARS », mais ABC a supprimé la vidéo en 2020 4, probablement parce qu’elle contenait des éléments qui impliquaient Crameri ou le CSIRO dans la recherche sur le gain de fonction (DURC). On peut encore entendre ce que Gary avait à raconter puisque ABC a oublié d’effacer le son. [NdT. le clip sonore original est ici, j’en ai fait la traduction ci-dessous]

TONY EASTLEY: Les scientifiques pensent avoir trouvé l’origine du virus mortel connu sous le nom de SARS (syndrome respiratoire aigu sévère). L’équipe, qui comprend des chercheurs de Geelong, a trouvé un parent très proche du virus dans des échantillons fécaux de chauves-souris fer à cheval de Chine.

Le virus du SARS a tué 774 personnes entre 2002 et 2003, et les scientifiques affirment que la découverte de son origine permettra d’éviter une nouvelle épidémie.

Gary Crameri, du CSIRO (Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation), s’entretient ici avec notre journaliste Cameron Best.

GARY CRAMERI: Nous avons découvert deux nouveaux virus du SARS chez des chauves-souris en fer à cheval en Chine. Nous en avons isolé un et identifié un autre, et à ce jour, ils sont les plus proches parents identifiés du virus original du SARS.

CAMERON BEST: Cela fait plusieurs années que vous soupçonnez la chauve-souris d’être en cause. Qu’est-ce qui vous a fait franchir le pas?

GARY CRAMERI: Cela fait environ huit ans que nous recherchons ce virus spécifique chez les chauves-souris et, bien que de nombreux groupes aient fait de même partout dans le monde, ce virus spécifique est capable d’infecter directement l’homme, comme le virus original du SARS. C’est donc la clé de ces nouveaux virus.

CAMERON BEST: S’agit-il d’une étape vers la découverte d’un vaccin?

GARY CRAMERI: À ce stade, les vaccins pour le SARS ne sont pas une priorité. Il n’est apparu qu’à deux reprises, en 2002 et 2003, mais il est important de comprendre la dynamique et l’origine de ces virus.

CAMERON BEST: Le SARS et d’autres virus continueront-ils à causer des décès dans le monde?

GARY CRAMERI: Écoutez, je ne pense pas qu’il y ait beaucoup de doutes sur le fait que le SARS… le potentiel existe pour qu’il réapparaisse. Si les conditions et les circonstances s’y prêtent, il est probable qu’il réapparaîtra.

Nous pensons que les chauves-souris sont des animaux anciens – elles ont plus de 80 millions d’années – et nous pensons qu’elles ont évolué avec ces virus, et que ces virus et les chauves-souris ont potentiellement développé une relation productive. Mais lorsque ces virus se propagent à d’autres mammifères tels que l’homme, alors oui, ils peuvent être très dévastateurs.

Il s’agit d’une niche clé dans notre écosystème; les chauves-souris insectivores ont un rôle énorme à jouer dans le contrôle des populations d’insectes. Nos renards volants, ici en Australie et en Asie, jouent un rôle majeur dans la pollinisation; ce ne sont donc pas des animaux dont nous pouvons nous passer.

Nous vivons en harmonie avec eux, et nous devons continuer, ils ne représentent pas un risque majeur pour nous au quotidien. Ce n’est que dans des circonstances atypiques que ces choses se produisent.

TONY EASTLEY: Gary Crameri, du CSIRO, parlait à Cameron Best.

Bien entendu, il n’y a aucune raison de croire ou de confirmer que les « chauves-souris chinoises » ont créé le SARS, pas plus qu’un pangolin et une chauve-souris n’ont créé le « COVID »5, mais ce qu’on sait, c’est que Gary Crameri était l’un des auteurs de cet article fondamental et on voit ici qui en sont les autres auteurs:

Pour ceux qui l’ignorent, Lin-Fa Wang et Peter Daszak sont les principaux moteurs de l’Ecohealth Alliance (le principal protagoniste impliqué dans la création du COVID) avec Zeng-Li Shi de Wuhan. Bien entendu, les auteurs déclarent « ne pas avoir de conflits d’intérêts », mais à l’époque, recevoir de l’argent des sources de financement de l’armée américaine (USAID et PREDICT) n’était probablement pas considéré comme un « conflit », probablement parce qu’à l’époque, très peu de gens savaient que l’armée américaine continuait à commettre des crimes de guerre en manipulant des agents pathogènes en violation de la Convention sur les armes biologiques (CIAB).

Si on lit la note ci-dessus à la fin de leur article, il est également utile de savoir que le « State Key Program » est le flux de financement scientifique du PCC (Parti communiste chinois).

Des recherches plus approfondies sur Lin-Fa Wang montrent que sa principale affiliation est l’université Duke à Singapour, d’où il dirige le programme PREPARE, essentiellement la version asiatique du programme PREDICT, similaire au programme PREEMPT. Il s’agit essentiellement de programmes qui font transiter des centaines de millions de dollars du contribuable américain via l’USAID et la DARPA (la progéniture cauchemardesque de Paperclip) vers des scientifiques qui prélèvent (prétendument) des échantillons sur le derrière des chauves-souris sans jamais créer un seul médicament utile aux personnes qui les financent.

L’un des nombreux flux de financement de l’armée américaine vers le CSIRO pour la « préparation à la pandémie », qui ne serait probablement pas nécessaire si l’armée américaine cessait de fabriquer des virus.

Notez que la subvention DARPA susmentionnée incluait une société liée au CSIRO appelée « Autonomous Therapeutics » qui fabrique de l’« ARN crypté », ce qui n’a rien d’effrayant et n’évoque en rien du matériel militaire, n’est-ce pas?

Mais ce que cet organisme n’est clairement pas, c’est un fabricant de vaccins, un schéma récurrent.

▶L’argent public va à des organisations militaires clandestines
▶L’armée paie des institutions académiques pour mener des « recherches virales » afin de « se préparer à une pandémie ».
▶Une pandémie plus ou moins grave se produit chaque année.
▶La recherche virale s’intensifie en conséquence de la « pandémie ».
▶Pour « contrer la pandémie », on impose au public de nouveaux vaccins qui n’auraient jamais vu le jour si on n’avait pas fabriqué de virus.
▶Les bénéfices des vaccins vont aux scientifiques et aux entreprises pharmaceutiques qui ont bénéficié d’argent public pour faire de la recherche.

Joli travail de blanchiment d’argent pour qui sait s’y prendre. C’est ce qu’on appelle du « double dipping ». [NdT. le fait de recevoir illégalement des financements de deux sources différentes]

Les scientifiques des NIH ont récolté 710 millions de dollars en droits des fabricants de médicaments – et ont tenté de le cacher.

Toutes les institutions et personnes impliquées sont bien sûr très copines entre elles et elles insistent bien sur le fait de leur importance. Voici Colin Carlson, de l’UC Davis (encore), qui déclare « n’avoir aucun conflit d’intérêts » bien que son institut soit financé par la Fondation Rockefeller, qui est essentiellement BigPharma, et bien qu’il ait reçu 100 millions de dollars de l’USAID pour la « préparation aux pandémies » sous l’égide de « OneHealth » (alias Ecohealth)6.

Colin J. Carlson, qui a déclaré « ne pas avoir d’intérêts concurrents » dans cet éditorial grotesque, mais dont le département est financé par la fondation Rockefeller.

Maintenant que vous savez qui sont les principaux acteurs de ce racket de « préparation à la pandémie », il est bon de savoir que l’équipe du CSIRO a coutume de « trouver des virus » qui sont ensuite utilisés pour créer de « nouveaux vaccins ». Ces mêmes personnes l’ont fait avec le virus Hendra (découvert comme par hasard en Australie en 1994 et apparu dans des épidémies très sporadiques de type Ebola) et pour lequel l’« équipe Hendra » du CSIRO a remporté un prix pour la création d’un vaccin, commercialisé par Zoetis (la branche vétérinaire de Pfizer) en 2013. Le vaccin lui-même a été autorisé en 2012, un an seulement (comme par hasard) après une augmentation soudaine et spectaculaire du nombre de cas sur une période de 8 semaines en 2011, où il y a eu plus de cas que lors des 20 années précédentes.

Bien sûr, le vaccin était « sûr et efficace » (à moins que vous ne demandiez l’avis des propriétaires de chevaux) et pour une maladie rare, mais il a été imposé de force aux entraîneurs de chevaux. Ça vous rappelle quelque chose? Pas de vaccin = pas de service vétérinaire.

De plus, quand on cherche un peu, on y retrouve les mêmes acteurs: Linfa Wang et Gary Crameri, ainsi que la directrice du département, Deborah Middleton.

Ce sont ces mêmes personnes (auxquelles s’ajoute Hume Field d’Ecohealth) qui, en 2012, ont acessoirement « découvert une nouvelle souche de virus similaire à celui du Hendra chez les chauves-souris », qu’ils ont appelé le virus Cedar.

Le virus Cedar était non seulement totalement nouveau, mais ces mêmes personnes, encore, l’ont breveté. Ce qui signifie qu’il était également synthétique (car on ne peut pas breveter une chose qui existe dans la nature si elle n’est pas manipulée d’une manière ou d’une autre pour la rendre différente). Bien entendu, c’est une pure coïncidence que ce groupe ait également créé une lignée cellulaire de chauve-souris totalement nouvelle deux ans plus tôt, en ajoutant les oncogènes SV40 et hTERT aux cellules de chauve-souris.

Et d’où venait le financement de ce projet « créons une lignée de cellules de chauve-souris dans laquelle nous pourrons faire passer des virus »? De l‘armée américaine bien sûr 7, par l’intermédiaire d’un certain Chris Broder et du NIAID (l’organisation de Tony Fauci). Ce genre d’histoire ne s’invente pas.

Et pourquoi est-ce que je vous parle de toutes ces personnes liées au CSIRO et à OneHealth?

C’est parce que la semaine dernière, alors que ABC nous abreuvait de guano sur les poulets de l’Antarctique, une réunion se tenait sur le « risque urgent de grippe aviaire H5N1 en Australie » – le décor ayant préalablement été planté par l’abattage d’oiseaux en raison d’une « épidémie » d’une grippe aviaire totalement différente (H7, vous vous souvenez?).

Et qui était l’hôte de cette réunion? One Health bien sûr, habilement déguisé en « Centre pour les maladies infectieuses et la microbiologie », qui n’est en réalité qu’un vaste réseau de groupes de microbiologie aux intérêts spécifiques coordonnés avec ceux de OneHealth.

Les principaux acteurs y étaient présents, y compris le Dr Michelle Wille, la personne qui, dans la vidéo d’ABC, nous dit que l’effrayante grippe aviaire provient des poulets de l’Antarctique ou de Dieu sait quoi d’autre. La voici encore, lauréate d’un prix pour son travail avec Eddie Holmes en 20208:

Pourriez-vous donner un aperçu simple et bref du sujet traité dans votre document?
Notre article vise à rassembler et à synthétiser toutes les études sur les coronavirus chez les oiseaux sauvages. On sait depuis longtemps que les oiseaux sont d’importants réservoirs de coronavirus, le virus de la bronchite infectieuse étant le premier coronavirus décrit. Toutefois, ce n’est qu’au cours des deux dernières décennies que nous avons commencé à rechercher ces virus chez les oiseaux sauvages. En compilant la littérature, nous avons cherché à révéler la diversité des virus et à démêler la gamme d’hôtes et l’écologie de ces virus. Grâce à ce travail, nous avons révélé d’importants biais dans les travaux réalisés jusqu’à présent, le manque de cohérence dans les méthodes de détection et de caractérisation, et le manque général d’outils pour la sérologie et l’isolement des virus ». – Dr Michelle et Prof Edward

Pour s’assurer que tout le monde chante la même partition, OneHealth dispose désormais de son propre département au sein de NSW Health (le principal organisme de santé en Australie qui dirige la plupart des politiques) – mais vous ne le trouverez pas. Il n’existe que dans certains documents, comme le programme ci-dessus (le programme complet est affiché dans les notes de bas de page)9.

La directrice de OneHealth-NSW Health est Keira Glasgow, qui a participé à ce panel.

Keira Glasgow, directrice de la branche One Health de la Nouvelle-Galles du Sud, a déclaré que ce cas faisait suite à des détections récentes de MVE (https://health.nsw.gov.au/news/Pages/20230203_00.aspx…) chez des moustiques et des poulets sentinelles dans certaines parties de l’ouest et du sud de la Nouvelle-Galles du Sud, où une surveillance est exercée.

Frank Wong, du CSIRO, fait également partie de ce panel et montre ici au public à quel point le H5N1 (celui qui ne pourrait pas vraiment atteindre l’Australie sans l’aide extérieure des « scientifiques ») est effrayant.

Notez l’idée de « bond inter-espèce » où la grippe aviaire se transforme soudain en pathogène à haut risque pour les mammifères. Ce n’est possible qu’avec l’aide d’organismes tels que le CSIRO. Ce n’est possible que dans les films et dans les laboratoires. Ça se prépare en laboratoire, où les virus sont soumis à des passages répétés dans des types de cellules spécifiques, comme celles que le CSIRO a créées à cette fin. Par exemple, le « variant britannique du COVID » (N501Y) a été créé de cette manière en 202010.

Il y a deux choses importantes à noter à ce stade:

  1. La souche de grippe « effrayante » est la H5N1, mais elle ne peut pas atteindre l’Australie à moins que quelqu’un ne l’y introduise – ou ne l’y fabrique.
  2. La souche pas-si-effrayante est le H7N3, le prétexte utilisé par le gouvernement pour abattre 500 000 poulets.

Le second, le H7N3, est essentiellement endémique et nous l’aborderons donc dans la section suivante.

Mais le H5N1 est problématique et, étant donné que l’Australie est naturellement protégée contre ce virus, la pire chose serait que le CSIRO fasse des expériences sur le H5N1 vivant.

Eh bien, il est trop tard. Ils le font déjà. Extrait de notre rapport gouvernemental:

Q: Des expériences ont-elles été menées à l’aide de virus H5N1, H7N9 ou H7N3 vivants, ou de clones de ces trois souches de grippe, au CSIRO au cours de la période 2021-24?

R: Au cours de la période concernée, le personnel du CSIRO a mené, dans des conditions de confinement biologique élevé et dans le respect de mesures réglementaires strictes, des travaux expérimentaux sur des virus vivants avec une gamme de sous-types H5N1 afin d’améliorer notre compréhension du virus. Aucune expérience n’a été réalisée avec des virus vivants H7N3 ou H7N9.

Bingo.

Le CSIRO, qui a été profondément impliqué dans la découverte, la manipulation et la synthèse de virus à haut risque, nous dit maintenant que le H5N1 va arriver en Australie.

Pourtant, comme il n’est pas possible qu’il arrive naturellement en Australie, nous allons prendre le risque de l’y amener par le biais de la « science », en menant des études à haut risque sur un virus qui n’a nul besoin d’être étudié en Australie.

La seule conclusion possible est que tout foyer de H5N1 en Australie peut désormais être considéré comme provenant du CSIRO.

À ce stade, l’infirmière Ratched doit vérifier que vous avez bien pris vos médicaments et que vous ne risquez pas de vous rebeller en lisant la prochaine partie, qui présente l’explication la plus probable de ce qui s’est vraiment passé à Victoria (et non de ce qui pourrait se passer).

Explication délirante n°2 (le virus endémique)

Cette explication est beaucoup plus simple, mais elle montre comment fonctionne la propagande. Si vous avez bien tout suivi, vous vous êtes rendu compte que tout le battage médiatique s’articule autour de l’effrayant H5N1, qui n’existe pas en Australie (du moins pas de manière significative), qui ne peut pas infecter les humains sans manipulation préalable et pour lequel des « vaccins » sont déjà en cours d’acheminement 🙄.

Pourtant, l’abattage de 500 000 oiseaux a été effectué principalement sur la base d’un foyer de H7N3 près de Geelong. C’est-à-dire une grippe aviaire H7.

Or, le H7 est un tout autre genre d’oiseau de l’Antarctique [NdT. il y a un jeu de mots en anglais, intraduisible]. Selon un article récent rédigé par les mêmes personnes que celles mentionnées ci-dessus (Michelle Wille, Eddie Holmes, Frank Wong) et menant des recherches dans les mêmes institutions (CSIRO et autres, avec un financement du gouvernement australien et des subventions du NIAID), le virus H7 semble être pratiquement endémique en Australie.

Voici l’article:

Voici, selon l’article, la répartition des types, qui montre une répartition assez forte des types H7 parmi les différentes souches détectées.

Le supplément contient un joli graphique qui montre la probabilité de séquencer un génome particulier à partir d’un échantillon « testé positif » par PCR.

Probabilité d’obtenir des séquences complètes du virus H7N3 à partir d’oiseaux australiens, en corrélation avec l’infectiosité. Les valeurs de Ct supérieures à 28 représentent principalement des « résidus »

C’est très instructif et ça montre que plus le test PCR est positif (par une valeur Ct faible), plus il est probable que l’échantillon produise une séquence valide. Ce fait était également bien connu lors du « COVID », lorsque le CDC a imposé que, pour un « test COVID » positif, toute valeur de Ct supérieure à 28 était pratiquement inutile pour le séquençage génétique11.

Pour la même raison, la plupart des échantillons infectieux sont trouvés lorsque la valeur Ct est bien inférieure à 25 cycles. En effet, le test PCR peut détecter des fragments d’ARN non infectieux qu’il ne peut différencier des particules activement infectieuses. Toutefois, plus la valeur est faible, plus les particules infectieuses sont susceptibles d’être intactes et donc infectieuses.

Plus le seuil de Ct est élevé (au-dessus de la valeur de Ct où le test est considéré comme positif), plus il est probable que l’on détecte des résidus non infectieux. Comme vous pouvez le voir sur le graphique, le point à partir duquel le test passe de « probablement infectieux » à « détection de résidus » se situe quelque part autour de 30-35 au maximum.

Il a donc été demandé au gouvernement quelles valeurs il utilisait pour détecter la grippe du poulet de l’Antarctique dans les élevages d’oiseaux où il l’avait isolée.

Voici ce qui a été répondu:

Des informations concernant les 6 questions suivantes ont été demandées au CSIRO, au Commonwealth Department of Agriculture, Forestry and Fisheries (DAFF) et à Agriculture Victoria:

  1. Combien d’animaux ont été testés sur chacun des trois sites (Terang, Meredith et Lethbridge)?
  2. Combien de poulets ont été testés positifs sur chaque site?
  3. Combien de cas individuels de H7N9 et de H7N3 ont été découverts sur chaque site?
  4. Combien de décès (dus à l’infection et non à l’abattage) ont été enregistrés sur chaque site?

Questions 1 à 4: Il est préférable d’adresser ces questions à Agriculture Victoria, car le CSIRO ne dispose pas de ces informations.

  1. Si la PCR était la principale modalité de test, sait-on encore à quelle valeur de Ct les tests ont été effectués ou déclarés positifs?

Les valeurs de Ct pour les tests PCR en temps réel doivent être interprétées dans le contexte du système de test pour lequel elles ont été validées et ne fournissent pas de comparateur absolu en dehors de ce contexte. Les tests utilisés par le Centre australien de préparation aux maladies du CSIRO, qui sont validés dans le cadre de notre système de qualité accrédité ISO 17025, sont considérés comme positifs pour une valeur de Ct de 40 ou moins, négatifs pour une valeur de Ct supérieure à 45 et indéterminés entre ces valeurs. D’autres laboratoires établiront toutefois leurs propres valeurs limites conformément à leurs propres systèmes d’accréditation.

Ainsi, le CSIRO et le DAFF ne savent pas où les tests ont été effectués, qui les a effectués, combien de poulets étaient positifs, à quelles valeurs Ct ils étaient positifs et combien sont effectivement morts de la grippe du poulet de l’Antarctique.

Poulets panda de l’Antarctique. Ils n’existent pas en vrai.

Même sans savoir si leurs tests ont une quelconque valeur, ni même si des poulets ont été malades ou sont morts à la suite de l’apparition d’un virus endémique, qui n’affecte en rien les êtres humains…

Le gouvernement, guidé par le CSIRO et probablement par OneHealth, a décidé de tuer plus de 500 000 poulets.

Et personne ne sait qui a signé l’ordre.

Ce qui rappelle beaucoup le COVID, comme nous l’avions expliqué plus tôt cette année, où le « test COVID » a entraîné des changements dans le protocole de la pandémie qui ont presque certainement tué plus de personnes que celles qui seraient mortes si aucun test n’avait été effectué et si les patients avaient été traités pour les conséquences de l’infection, telles que la pneumonie bactérienne, comme ils l’avaient été pendant des décennies.

Et tout comme le COVID avec ses protocoles et directives anonymes issus du « MAGICapp » de l’OMS, personne ne sait qui a pris la décision.

Selon leurs propres termes et après une seconde demande:

Q: Veuillez indiquer le nom du service ou le contact qui peut fournir des informations sur la décision d’abattre les oiseaux.

R: Agriculture Victoria fait partie du Ministère de l’énergie, de l’environnement et de l’action climatique (DEECA) du gouvernement de l’État de Victoria et est responsable de la réglementation des menaces et des urgences en matière de biosécurité dans l’État. Il est probable qu’il s’agisse du meilleur contact pour obtenir ces informations. Les coordonnées des personnes à contacter sont indiquées sur la page web « Contact us« .

Conclusion

Et voilà. Personne ne sait rien, mais un demi-million de poulets ont été tués et il y a maintenant une pénurie d’œufs. Qui l’aurait cru?

Pourtant, pour justifier cet abattage, OneHealth et ses organisations affiliées ont été recrutées pour faire la propagande d’une autre grippe pandémique qui n’a jamais atteint l’Australie et qui n’affecte pas naturellement la population humaine, juste pour semer la confusion dans l’esprit du public.

Ces mêmes organisations sont payées des centaines de millions de dollars par le public pour continuer à faire peur et justifier leur existence, alors qu’il est possible – voire probable – que toutes les « pandémies » de ce siècle ont été précipitées par les actions de ces mêmes organisations.

Il faut que ça cesse. S’ils détruisent l’approvisionnement alimentaire, il pourraient au moins avoir la décence de produire sur demande des preuves vérifiables de leur réaction excessivement zélée.

En attendant, tous ceux d’entre nous que le gouvernement a réduits au silence et traités de « conspirationnistes cinglés » peuvent retourner au nid de coucou pour y recevoir de l’infirmière Ratched leur prochaine dose de médicaments .

Pour leur propre sécurité, bien sûr.


  1. À ce jour, trois exploitations ont été touchées par le virus H7N3. Une autre exploitation, située à 100 km de là, a été touchée par le H7N9. Il s’agit dans les deux cas de souches H7 de la grippe aviaire. ↩︎
  2. https://www.abc.net.au/news/2024-06-08/who-says-australia-human-case-of-bird-flu-followed-india-travel/103954424 ↩︎
  3. Archive https://archive.is/ZLgH1 ( notez que cet article est plutôt complaisant mais qu’il a quand même du mal à justifier les liens entre l’armée américaine et Hunter Biden par l’intermédiaire de Metabiota). ↩︎
  4. Archive https://archive.is/Sh6HW ↩︎
  5. Comme expliqué ici, y compris la proposition DEFUSE examinée par le comité restreint COVID au début de cette année ↩︎
  6. La brochure de PREDICT: https://www.arkmedic.info/api/v1/file/60b87213-e838-4333-baad-2c878350f1e0.pdf ↩︎
  7. Archive https://archive.is/qVk6S ↩︎
  8. Archive https://archive.is/Fonpu ↩︎
  9. Dépliant pour le webinaire CIDMPH OneHealth sur la grippe aviaire ↩︎
  10. Gu et al. Adaptation du SARS-CoV-2 chez les souris BALB/c pour tester l’efficacité du vaccin. Septembre 2020. Cet article montre comment il est possible de prendre un virus et de le faire passer dans des cellules de souris suffisamment de fois pour obtenir une mutation qui lui permette de survivre dans cette espèce. À la suite de la publication de ce protocole, le N501Y est arrivé au Royaume-Uni. À l’époque, Astrazeneca essayait de trouver un modèle de souris pour tester son vaccin.
    https://www.science.org/doi/10.1126/science.abc4730 ↩︎
  11. Notez que ce document, ou du moins toute référence à celui-ci, a été supprimé des archives du CDC. ↩︎

H5N2, et ta soeur?

Le H5N1 vous présente sa frangine mexicaine.

ZeroHedge republie cet article bien pourri de Michael Snyder, un catastrophiste professionnel – qui en fait des bouquins pour nous les gueux. S’il n’est pas déjà salarié par la CIA, je leur envoie une lettre de recommandation. Cette merveille aurait davantage sa place dans The Atlantic ou quelque autre officine du Renseignement mais, en bon rouage de l’opposition contrôlée1,Tyler Durden, (qui écrit pourtant souvent des choses sensées que je traduis sur ce blog), doit probablement de temps à autre polluer le puits s’il veut conserver sa place/son compte en banque/sa vie. Ça ne mérite pas d’être relayé in extenso ici, je vous torche vite fait un résumé (ce qui est entre parenthèses est de ma plume, si j’ose dire):

Un Monsieur mexicain est tombé mort (!) de la grippe avaire mais pas celle qui a frappé trois autres personnes aux États-Unis (le déjà terrifiant H5N1, qui peut faire couler le nez et même rougir les yeux). Non, c’est le H5N2 (sûrement encore plus terrible parce que +1)! Mais attendez, il y a pire. Les américains l’ont attrapé en trayant des vaches qui ont la grippe avaire, parce qu’on leur a fait un test (de même qu’on peut attraper la maladie de la vache folle à la pêche aux canards – ce n’est plus une barrière inter-espèces, c’est une passoire) mais le Monsieur mexicain n’avait pas eu de contact avec des oiseaux ou d’autres animaux donc aurait-il pu l’attraper… d’un autre être humain? Ça fait peur parce que déjà qu’on ne sait pas ce que ferait une pandémie « potentiellement catastrophique » de H5N1 (qui se déclarerait juste maintenant, malgré que le virus circule depuis au moins 146 ans), on sait encore moins ce que ferait une pandémie de H5N2, ce qui fait encore plus peur (selon le principe hautement scientifique: moins on en sait, plus on a peur).

L’OMS, toujours sur la balle, a fait un communiqué sur le Monsieur mexicain: il avait 59 ans, il avait de multiples co-morbidités (ce qui me rappelle confusément quelque chose) et était cloué au lit depuis trois semaines quand soudain (si on peut dire) il s’est mis à souffrir de fièvre, souffle court, diarrhée, nausées et malaises. Et comment sait-on qu’il avait la grippe aviaire H5N2, le Monsieur? On lui a fait un test PCR, évidemment (quelle question!)

L’auteur s’interroge ensuite: oui mais s’il l’a attrapé d’un autre être humain, alors il a aussi pu contaminer (musique) d’autres êtres humains? Des centaines, des milliers? demande-t-il (je rappelle que le mec était cloué au lit).

Pendant ce temps, le H5N1 (vous suivez?) continue « d’alarmer les experts » (un métier particulièrement angoissant, je serais eux je ferais démineur), surtout maintenant qu’on a trouvé (personnes sensibles, s’abstenir) 11 souris contaminées, toujours au Mexique. Ouaip, PCR. Des souris! Elles sont partout! Comme les rats porteurs de la peste bubonique! (je vous jure que j’invente pas)

Les chercheurs, jamais pris en défaut, ont fait une étude qui montre que les souris ont pu attraper le H5N1 en buvant… du lait cru! (que j’ai entendu qualifier sur une radio américaine par un célèbre médecin de l’ère Covid de « raw sewage » – d’eaux d’égoût. La FDA n’aime pas beaucoup le lait cru, elle envoie de temps en temps des unités de policiers – obèses – dans les magasins de produits fermiers.)

L’auteur rappelle que la grippe aviaire a déjà tué des centaines de millions d’oiseaux (ou plus probablement aucun, c’est la magie du PCR) et que maintenant qu’elle a contaminé des vaches laitières, des chats et des souris, les scientifiques pensent (pour nous) que ce n’est qu’une question de temps avant qu’elle déclenche une pandémie chez les humains, et que maintenant que le Monsieur est mort du H5N2, la peur va déferler sur le monde pire qu’avec le Covid. Masques! Confinements! Vaccins!

Enfin, vous avez compris.

Bon, c’est assez gênant pour ZeroHedge mais le meilleur est, comme souvent, dans les commentaires – ce site a les meilleurs lecteurs sur la planète. Florilège:

Mesdames et Messieurs, jeunes gens, nous vous présentons le variant « Élections ».

Oui, les élections auront lieu dans 5 mois.

3 mois de battage médiatique, puis 2 mois pour aplatir la république.

Pour la machine Marxiste Démocrate, le Mexique est l’endroit idéal où lâcher sur la population son nouveau virus créé en laboratoire.

Il sera ensuite importé aux États-Unis par la frontière et se répandra dans tout le pays.

En novembre, ils pourront décréter un confinement et truffer l’élection de faux bulletins « postaux » qu’ils trouveront à 4 heures du matin et qu’ils scanneront 5 fois chacun.

Quelle est la probabilité qu’un type de 59 ans avec co-morbidités et malade depuis trois semaines soit testé pour le H5N2? En plus, au Mexique.

Quelle chance qu’ils aient eu sous la main ces tests PCR fiables à 100% dans ce trou à rats qu’est le Mexique – pour un paysan obèse morbide qui a attrapé un rhume de cerveau et a crevé… sans « aucune exposition à des animaux d’élevage » – bien que le pays tout entier soit un répugnant zoo géant… le simple fait de poser le pied au Mexique vous expose automatiquement à des centaines d’espèces inconnues…

Le CDC recommande de courir dans tous les sens en agitant les deux bras en l’air et en poussant des cris de panique.

Un représentant du gouvernement mexicain a annoncé ce matin, lors de la conférence de presse d’AMLO, que même si l’un des tests effectués sur la personne décédée s’était révélé positif pour le virus, le patient était mort d’autres maladies liées au diabète et à l’insuffisance rénale, et que l’OMS avait fait preuve d’irresponsabilité en déclarant que le décès était dû au virus H5N2.

À 682 cycles, on peut passer au travers de l’ADN/ARN du dinosaure et du poisson marcheur et enfin trouver et amplifier le virus qui l’a tué.

Savez-vous combien de temps il faut à un virus pour évoluer à l’état sauvage sans que des humains le bidouillent?

Environ 700 ANS.

Cela signifie que CHAQUE nouveau virus dont vous entendez parler est FABRIQUÉ PAR L’HOMME. Commencez à vous occuper des salopards qui FABRIQUENT cette merde!

Quand les gens vont-ils se réveiller?

« Quand les gens vont-ils se réveiller? »

… Quand ils seront à genoux, face au fossé peu profond qu’ils viendront de creuser, avec le canon d’un pistolet sur la nuque.

Donc, toujours au même moment.

Nouvelle présidente du Mexique, nouvelle grippe.

Le Mexicain diabétique et obèse de 59 ans qui vit sur la plage de Papagayo meurt et tout le monde panique?

Des analyses de la qualité de l’eau ont révélé que la plage de Papagayo, à Acapulco, était la plus sale du Mexique, avec 198 coliformes fécaux pour 100 millilitres d’eau. Toute valeur supérieure à 200 est considérée comme dangereuse pour la baignade.

Papagayo est la pire des six plages d’Acapulco figurant sur la liste des 10 plages les plus sales établie par Semarnat.

Voilà ce qui arrive quand on laisse des meurtriers s’en tirer une première fois. Ils recommencent.

La prochaine personne qui mourra dans un accident de voiture sera déclarée morte du H5N2.

Les fientes d’oiseaux sur le pare-brise le prouveront.

Euh, non. Bien sûr, les personnes qui sont « à jour » de boosters et qui n’en sont pas encore mortes courront partout en hurlant, les cheveux en feu, mais tous les autres hausseront les épaules et continueront à vivre leur vie pendant que les médias à la solde de Pharma essaieront désespérément d’attiser l’hystérie « nous allons tous mourir! » 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Il sera divertissant de les voir essayer de faire revenir Fauci, Birx et tous les autres médecins de plateaux télé qui colportent l’idée de « faire confiance à la science ». Nous ne nous laisserons pas berner une nouvelle fois.

Ce sera intéressant d’observer le déroulement de la prochaine PANDEMIE™. Je doute que beaucoup la prennent au sérieux, et une bonne moitié dira carrément aux marionnettistes d’aller se faire voir. Bien sûr, 30 à 40% de la population se conformeront à la loi par réflexe, mais le reste posera problème. L’OMS le sait et fait tout son possible pour prendre le contrôle et être en mesure d’emprisonner et de punir sans limites ceux qui n’acceptent pas de se plier à leurs conneries. Ça va être très amusant!!!

Un simple rhume justifie désormais l’arrêt de la civilisation et une averse signifie que la fin est proche en raison du changement climatique. Idiocratie.

Mince, 65 000 000 de personnes meurent chaque année, soit 178 000 par jour… 1 décès, PANIQUE!

Rappelez-vous que Big Pharma avait atteint son niveau le plus bas juste avant…?

Quelqu’un s’est enrichi suite à cette nouvelle…

Très clairement, le Covid était une escroquerie américaine visant à s’emparer, en partie, des richesses du Royaume-Uni et de l’Europe.

Lorsque votre idéologie a échoué, qu’elle a détruit l’économie et l’âme de votre propre pays et qu’il ne vous reste plus que les armes d’un État militaire fasciste, il est inévitable que vous essayiez de consommer vos alliés. Surtout lorsque vous êtes si faible et incompétent que vous n’êtes plus en mesure de vaincre vos ennemis.

La seule organisation sur la planète disposant de l’infrastructure nécessaire pour mettre en œuvre un plan international aussi vaste que le Covid était la CIA/NSA, l’État sécuritaire américain.

La réponse à la pandémie définit en fait les limites de l’empire américain: plus on est proche du cœur de l’empire, plus le taux de mortalité est élevé et plus les mesures de confinement sont strictes. Les cinq États les plus touchés, à savoir le Royaume-Uni, les États-Unis, la Nouvelle-Zélande, l’Australie et le Canada, ont été les plus durement éprouvés, car la CIA contrôle entièrement leurs services de sécurité. En revanche, l’Afrique n’a pratiquement pas été touchée par l’idiotie du Covid.

Ne vous inquiétez pas les gars, je suis sûr à 100% que McDonnie peut accélérer la mise en place d’un autre vaccin… même depuis sa cellule de prison.

Mettez un masque sur votre téléviseur pour éviter la contagion.

Et pour finir, la question la plus importante, que je me posais aussi:

Je ne comprends pas très bien comment il a pu tomber raide mort alors qu’il était déjà alité depuis longtemps, mais bon…

Il s’est affaissé dans son matelas. L’affaissement est considéré comme une chute. C’est de la science.

Je vous quitte, je vais chercher les oeufs de mes poules. Souhaitez-moi bonne chance!


  1. À propos d’opposition contrôlée, Alex Jones Bill Hicks prend sa retraite – prétendument pour cause de saisie de ses biens pour indemniser les parents des enfants victimes de l’attentat de Sandy Hook (pas du tout suspect), suite à un procès bidon organisé par la CIA pour faire peur au mougeon complotiste moyen. À mon avis, vu l’âge (réel) de Hicks, la supercherie « Alex Jones » devenait un peu difficile à maintenir, même à coups de chirurgie, et puis il faut faire taire toute critique réaliste de Trump, pour ne laisser la place qu’à celles, très rigolotes, de son agence publicitaire, le parti Démocrate. Salut, Bill, remets le bonjour à tes collègues de Langley de ma part! ↩︎

L’escroquerie de la pandémie de grippe aviaire: des vaccins pour 33 milliards de poulets? Le rationnement numérique de la nourriture? La fin de l’agriculture animale? – par Alexis Baden-Mayer.

Voici un brillantissime article d’un auteur qui publie peu mais toujours à bon escient et qui va toujours droit au but.

L’opération grippe aviaire ne concerne évidemment pas que les États-Unis – pour l’Europe voir notamment ici, ici, ici et ici. Voir aussi, si ce n’est déjà fait, mes traductions précédentes sur l’élevage des poulets ici et ici.

Source.


L’escroquerie de la pandémie de grippe aviaire: des vaccins pour 33 milliards de poulets? Le rationnement numérique de la nourriture? La fin de l’agriculture animale?

La menace exagérée d’une pandémie de grippe aviaire humaine est une mystification destinée à « réinitialiser » notre système alimentaire.

Alexis Baden-Mayer

11 avril 2024

Si la grippe aviaire devenait soudainement transmissible de personne à personne, il y aurait toutes les raisons de soupçonner des recherches sur les armes biologiques à gain de fonction.

Mais tout le battage médiatique autour de la question de savoir si la grippe aviaire se transformera en pandémie humaine pourrait bien n’être qu’une distraction.

Certaines sociétés pharmaceutiques tireraient assurément profit d’une pandémie humaine de grippe aviaire, mais l’industrie pourrait gagner encore plus d’argent en « prévenant » une pandémie humaine par la vaccination des animaux d’élevage, en particulier des 33 milliards de poulets que compte la planète.

Jusqu’à présent, la réponse du gouvernement à la grippe aviaire a consisté à tuer des millions de poulets – 85,87 millions d’oiseaux tués depuis 2022.

Du point de vue du bien-être des animaux, c’est d’une cruauté sans nom. Du point de vue de l’agriculture durable, c’est insensé. Du point de vue de la justice alimentaire, cela se traduit par une hausse vertigineuse des prix des denrées alimentaires, une augmentation du nombre de personnes souffrant de la faim et une détérioration de la qualité des aliments.

On nous expliquera que la seule alternative aux massacres est la vaccination (et probablement uniquement de dangereuses injections expérimentales d’ARNm), mais les défenseurs du bien-être animal, les agriculteurs biologiques régénératifs et les experts en sécurité des vaccins sont plus claivoyants que cela.

Les laboratoires pharmaceutiques seraient-ils prêts à créer une véritable crise alimentaire rien que pour l’opportunité de vacciner 33 milliards de poulets?

Probablement, mais beaucoup de mauvais acteurs verraient une crise alimentaire comme une opportunité.

Les plus grandes entreprises du secteur de la viande aimeraient consolider leur contrôle du système alimentaire en se débarrassant des derniers agriculteurs familiaux indépendants.

Le Forum économique mondial, les milliardaires et les entreprises de biotechnologie aimeraient remplacer les vraies fermes par de faux aliments.

Ces mêmes mondialistes sont constamment à la recherche de bonnes raisons pour amener les pays à abandonner leur souveraineté nationale en matière de politique de santé publique au profit de l’Organisation mondiale de la santé.

Il se peut qu’ils veuillent reprendre leur idée de passeport vaccinal et utiliser des cartes d’identité numériques pour rationner la nourriture, comme l’a fait l’Iran, puis remplacer le dollar par une monnaie numérique de banque centrale qui fonctionnerait comme un système de crédit social.

Seul le temps nous le dira. En attendant, nous devons protéger le monde que nous aimons. Tant que c’est encore possible, achetez votre nourriture directement auprès des exploitations agricoles familiales locales, en espèces!

Pour en savoir plus, lisez la suite.

Si vous êtes prêt à passer à l’action, dites à vos législateurs de s’opposer à la prise de pouvoir de l’Organisation mondiale de la santé.

Sept choses à savoir sur la grippe aviaire

1. Si la grippe aviaire devient soudainement transmissible de personne à personne, il faut soupçonner des recherches sur les armes biologiques à gain de fonction.

Alors même que les responsables de la « santé publique » s’emploient à multiplier les cas humains (il y a fort à parier que n’importe quel ouvrier agricole, après avoir respiré du fumier toute la journée, serait malade et aurait le nez plein de virus), ils insistent actuellement sur le fait qu’il n’y a pas de transmission de personne à personne, que le risque pour la santé publique est faible et que les aliments provenant d’animaux dont le test est positif peuvent être consommés en toute sécurité.

Mais, comme l’a rapporté Christian Westbrook en 2022, l’ancien directeur du CDC, Robert Redfield, a prédit à la télévision nationale que la grippe aviaire se transmettrait à l’homme et serait hautement mortelle, déclenchant une « grande pandémie » face à laquelle le COVID-19 n’était qu’un simple échauffement.

Je soupçonne qu’il ne s’agit là que d’un discours alarmiste utilisé comme excuse pour poursuivre l’abattage massif d’oiseaux asymptomatiques et, à un moment donné, « nécessiter » la vaccination de milliards d’animaux.

Toutefois, je ne serais pas totalement surpris si le message de « faible risque pour la santé publique » émanant actuellement des agences américaines de réglementation passait soudainement à « c’est une urgence » lorsqu’elles décideront que le moment est propice.

Cela ressemblerait au déploiement du COVID, où le message de l’Organisation mondiale de la santé de janvier 2020 « pas de preuve évidente de transmission interhumaine » est passé en mars 2020 à « trouver, isoler, tester et traiter chaque cas et tracer chaque contact », ce qui a conduit à des confinements à l’échelle mondiale et à une course à la vaccination.

Comme dans le cas des attaques sous faux drapeau, une période d’inaction inexplicable, que l’on pourra plus tard accuser d’être à l’origine d’une métastase incontrôlable nécessitant des mesures draconiennes, pourrait très bien faire partie d’un scénario de plandémie réussi.

Si c’est le cas, il y aurait toutes les raisons de mettre en cause la recherche sur les armes biologiques de type « gain de fonction ».

J’ai étudié l’histoire de la recherche sur les armes biologiques à gain de fonction pour la grippe aviaire et, comme je l’ai écrit en 2022 dans « Stop à la pandémie de grippe aviaire », le virus H5N1 adapté à l’homme a une origine très curieuse.

Le premier foyer humain de H5N1 s’est déclaré à Hong Kong en 1997, l’année de ce que les Britanniques appellent la « rétrocession de Hong Kong », lorsque la souveraineté sur Hong Kong a été transférée du Royaume-Uni à la Chine.

C’est au cours de cette année « politiquement sensible » que Kennedy Shortridge, un scientifique australien qui dirigeait le laboratoire de référence de l’Organisation mondiale de la santé à l’université de Hong Kong, a confirmé des cas humains de grippe aviaire hautement pathogène.

Shortridge étudiait depuis 1975 la manière dont les virus de la grippe aviaire pouvaient se propager à l’homme. Avant de découvrir le virus H5N1, il avait déjà dressé le sinistre pronostic de son émergence. Comme l’a rapporté Frank Ching dans « Bird Flu, SARS and Beyond » (La grippe aviaire, le SARS et au-delà):

Dès 1982, Shortridge avait qualifié le sud de la Chine, où les hommes et les animaux domestiques vivent en étroite proximité, d’« épicentre de l’origine des pandémies ». Dix ans plus tard, il qualifiait la Chine méridionale de « soupe de virus » et avertissait que la grippe pandémique était une zoonose, c’est-à-dire qu’elle pouvait être transmise de l’animal à l’homme. En 1995, il avertissait que la grippe en Chine méridionale ne pouvait pas être qualifiée d’infection « émergente », car elle était constamment à l’affût. « Le terme ‘insaisissable’ serait plus approprié », écrivait-il.

Un exemple du penchant de Shortridge pour de telles prédictions se trouve dans son article du Lancet de 1995 intitulé « The next pandemic influenza virus? » (Le prochain virus grippal pandémique?). Curieusement, le virus H5N1 est apparu deux ans plus tard, en 1997, dans la ville où Shortridge travaillait, Hong Kong.

À l’époque, le passage naturel d’un virus de la grippe de la volaille à l’homme était considéré comme tellement improbable que les scientifiques ont d’abord soupçonné une contamination du laboratoire de Shortridge d’être à l’origine du diagnostic hautement improbable du H5N1.

Cette contamination ne pouvait se produire que si Shortridge avait déjà travaillé avec le H5N1 en laboratoire, ce qui était effectivement le cas. Le magazine Time a rapporté que « dans une étude antérieure, menée avec une grande discrétion, son laboratoire avait découvert que les habitants des zones rurales de Hong Kong possédaient des anticorps contre tous les virus connus de la grippe aviaire ».

C’est le collègue de Shortridge, Yuen Kwok-Yung, qui avait pris en charge les patients de Hong Kong atteints du virus H5N1 et qui avait mis au point un test de diagnostic rapide, la RT-PCR, pour analyser les sécrétions respiratoires de ces patients. Comme ils l’ont publié dans le Lancet, c’était la première fois qu’un virus purement aviaire était isolé chez des personnes souffrant d’une maladie respiratoire et la première fois qu’un test PCR était utilisé pour le diagnostic rapide de ces patients dans un contexte clinique.

Le virus H5N1 de Hong Kong de 1997 était unique à tous égards.

Selon le magazine Time, « sur le gène H, à un point appelé site de clivage, on a trouvé une mutation révélatrice, du même type que celle que l’on trouve dans d’autres virus aviaires hautement pathogènes. … Le virus… comportait des régions identiques à certaines parties d’un virus aviaire qui avait frappé les poulets de Pennsylvanie en 1983 ».

Selon le L.A. Times, « la partie H5 provient d’un virus présent chez l’oie. Le fragment N1 provient d’un deuxième virus, celui de la caille. Les autres gènes de la grippe proviennent d’un troisième virus, également présent chez la caille ».

Le virus H5N1 n’avait jamais provoqué de maladie chez l’homme avant que ce potentiel n’ait été étudié en laboratoire pendant plusieurs années.

Anthony Fauci finançait depuis 1990 les travaux de Yoshihiro Kawaoka et de Ron Fouchier visant à faire passer la grippe aviaire à l’homme, et leurs travaux étaient liés à ceux de Shortridge à Hong Kong. Pendant les sept années qui ont précédé la première épidémie humaine de H5N1 en 1997, Fauci a financé les recherches de Kawaoka sur le gain de fonction de la grippe aviaire à l’hôpital de recherche pour enfants St. Jude et le mentor de Kawaoka, Robert G. Webster, travaillait et publiait avec Shortridge. Chaque année, Webster passait trois mois à travailler avec Shortridge à l’université de Hong Kong, selon ce profil de Webster qui mentionne Kawaoka comme son protégé.

Le lien le plus étrange entre Shortridge et les laboratoires de Webster est que Yoshihiro Kawaoka avait étudié le virus aviaire qui a frappé les poulets de Pennsylvanie en 1983 et qui était le plus proche parent connu du H5N1 de Hong Kong de 1997. Selon le magazine Time:

Webster a chargé un jeune scientifique, Yoshihiro Kawaoka, d’essayer de comprendre comment le virus s’est transformé en un pathogène aussi « chaud ». Kawaoka, aujourd’hui professeur de virologie à l’université du Wisconsin, à Madison, a comparé la structure génétique des virus de la première et de la deuxième vague et n’a trouvé qu’un seul changement, extrêmement subtil, dans le gène H. Les deux virus ne différaient que par un seul nucléotide, sur les 1 700 nucléotides qui composent le gène.

En 1997, Fauci a récompensé Shortridge et l’équipe de Webster pour l’épidémie de H5N1 de Hong Kong en créant et en finançant le Centre d’excellence St. Jude pour la recherche et la surveillance de la grippe, qui continue à fonctionner aujourd’hui aux États-Unis, au Canada, au Bangladesh, en Chine, en Colombie et en Égypte.

Webster a été l’un des premiers scientifiques à réaliser des gains de fonction, en publiant la création réussie d’un virus recombinant en 1973. Comme l’écrit Lyle Fearnley dans « Wild Goose Chase »:

Pour qu’une pandémie de grippe se déclare, il faut une nouvelle forme du virus, capable d’échapper aux réponses immunitaires cultivées par les populations humaines lors des précédentes épidémies de grippe. L’Américain Robert Webster avait déjà montré que de tels nouveaux virus pouvaient être produits expérimentalement en laboratoire: en prenant des virus dérivés de différentes espèces, il a co-infecté un seul hôte animal, un processus qui, selon Webster et ses coauteurs, a encouragé les deux virus à échanger du matériel génétique et à créer des formes « recombinantes ».

On trouve également un lien avec Fouchier, par l’intermédiaire de son mentor au Centre médical Erasmus de Rotterdam, aux Pays-Bas, Jan De Jong, également collègue et collaborateur de Shortridge et Webster.

Robert G. Webster, collègue et mentor de Kawaoka, et Jan De Jong, collègue et mentor de Fouchier, ont été les premiers scientifiques en dehors de Hong Kong à recevoir des échantillons de la grippe H5N1 de 1997 du laboratoire de Shortridge.

On attribue souvent à De Jong le mérite d’avoir identifié la grippe de Hong Kong de 1997 comme étant le H5N1, mais il l’a fait à l’aide d’un « panel de réactifs pour tous les types de souches de grippe connus à ce jour » qui avaient été apportés du laboratoire de Webster à Memphis au Centre national de lutte contre la grippe à Rotterdam.

Kawaoka et Fouchier appartiennent à l’ère post-Convention sur les armes biologiques, dans laquelle la militarisation des agents pathogènes est appelée par euphémisme « recherche sur le gain de fonction », mais leurs collègues plus âgés, De Jong, Shortridge et Webster, étaient en âge de travailler avant 1972 et leurs mentors appartenaient à l’ère pré-Convention sur les armes biologiques, où les virologues fabriquaient ouvertement et en toute connaissance de cause des virus à des fins militaires.

Shortridge et Webster ont été formés par Frank Macfarlane Burnet, qui a fait partie du Comité de développement des nouvelles armes et des nouveaux équipements du Ministère australien de la défense dans les années 1940 et 1950. La Fédération des scientifiques américains énumère certaines des recommandations les plus effrayantes de Burnet:

Burnet … a déclaré que l’Australie devrait développer des armes biologiques qui fonctionneraient en Asie tropicale sans se propager aux centres de population plus tempérés de l’Australie.

« En ce qui concerne spécifiquement la situation australienne, la contre-offensive la plus efficace face à une menace d’invasion par des pays asiatiques surpeuplés consisterait à détruire par des moyens biologiques ou chimiques les cultures vivrières tropicales et à disséminer des maladies infectieuses capables de se propager dans les régions tropicales, mais pas dans les conditions australiennes. »

… Selon Burnet, le climat tempéré de l’Australie pourrait lui conférer un avantage militaire significatif.

« La principale contribution de la recherche locale en ce qui concerne l’Australie pourrait être d’étudier de manière intensive les possibilités de guerre biologique sous les tropiques contre des troupes et des populations civiles ayant un niveau d’hygiène relativement faible et une résistance élevée aux maladies infectieuses courantes. »

[Dans] sa Note sur la guerre sous un angle biologique, il suggère que la guerre biologique pourrait être une arme puissante pour aider à défendre une Australie peu peuplée… [il] exhorte le gouvernement à encourager les universités australiennes à mener des recherches dans les domaines de la science biologique en rapport avec les armes biologiques.

« La principale utilisation stratégique de la guerre biologique pourrait bien être d’administrer le coup de grâce à un ennemi virtuellement vaincu et de l’obliger à se rendre, de la même manière que la bombe atomique l’a fait en 1945. Son utilisation présente l’énorme avantage de ne pas détruire le potentiel industriel de l’ennemi, qui peut alors être récupéré intact. La guerre biologique ouverte pourrait être utilisée pour forcer la reddition par des mesures psychologiques plutôt que par des mesures destructrices directes ».

***

Dans un rapport … Burnet a conclu que « dans un pays à faible niveau d’hygiène, l’introduction d’un agent pathogène intestinal exotique, par exemple par contamination de l’eau, pourrait entraîner une diffusion à grande échelle ».

« L’introduction de la fièvre jaune dans un pays où les moustiques vecteurs s’y prêtent pourrait se transformer en une épidémie invalidante avant que des mesures de contrôle ne soient mises en place. »

[ Et] … « les possibilités d’une attaque sur les réserves alimentaires de l’Asie du Sud-Est et de l’Indonésie à l’aide d’agents de la fièvre aviaire devraient être examinées par un petit groupe d’étude ».

Une autre étape importante dans la chronologie de la grippe aviaire s’est produit en février 2009 lorsque la société pharmaceutique Baxter a combiné la grippe H3N2, qui infecte généralement les humains, avec la grippe aviaire hautement pathogène H5N1 dans un « matériel viral expérimental » qui a été accidentellement distribué à des sous-traitants en République tchèque, en Slovénie et en Allemagne. L’erreur a été découverte lorsque le matériel a tué des furets lors d’un test effectué par des chercheurs qui pensaient travailler avec une grippe saisonnière commune. Baxter n’a jamais expliqué ce qui s’est passé.

Une pandémie de grippe porcine H1N1 a débuté le mois suivant, en mars 2009. Le gouvernement américain a passé des contrats avec Baxter pour la production de vaccins contre la grippe porcine, malgré l’incident de contamination par le H5N1. « Par coïncidence », Baxter avait déposé un brevet pour son vaccin H1N1 l’année précédente.

En août 2009, un homme du nom de Joseph Moshe a été violemment arrêté lors d’un événement spectaculaire connu sous le nom de « Westwood standoff ». Tout cela est vrai, mais je n’ai pas été en mesure de confirmer les informations selon lesquelles il s’agirait d’un scientifique israélien spécialisé dans les armes biologiques, ni l’affirmation suivante selon laquelle il aurait été arrêté pour avoir dénoncé la production d’armes biologiques par Baxter en Ukraine:

Deux jours avant son arrestation, le 13 août 2009, Joseph Moshe avait appelé le Dr A. True Ott sur Republic Broadcasting, prétendant être un microbiologiste qui voulait fournir des preuves à un procureur des États-Unis concernant des vaccins contre la grippe porcine H1N1 contaminés produits par Baxter BioPharma Solutions.

Il a déclaré que le laboratoire ukrainien de Baxter produisait en fait une arme biologique déguisée en vaccin. Il a affirmé que le vaccin contenait un adjuvant (additif) conçu pour affaiblir le système immunitaire et répliquait l’ARN du virus responsable de la pandémie de grippe espagnole de 1918, à l’origine d’une maladie et d’une mort massive à l’échelle mondiale, la peste…

Joseph Moshe est un bio-scientifique travaillant pour une unité du Mossad. Il est citoyen israélien.

Lorsqu’une maladie mortelle a frappé l’Ukraine plus tard dans l’année, en octobre 2009, des rumeurs ont circulé selon lesquelles il s’agissait du virus H5N1 propagé par des vaccins ou des pulvérisations aériennes. La version officielle était qu’il s’agissait du même H1N1 que celui dont souffraient d’autres pays, mais que la transmissibilité et les symptômes étaient beaucoup plus graves.

Si la grippe aviaire commençait à se propager d’une personne à l’autre pour la première fois, les observateurs du gain de fonction tourneraient à juste titre leur regard vers les laboratoires de Kawaoaka et Fouchier et scruteraient le code génétique du nouveau virus à la recherche de similitudes avec ceux qu’ils avaient publiés.

Mais, comme le rapporte Dilyana Gaytandzhieva dans « Potential pandemic bird flu modified to be more dangerous in new risky NIH research » (La grippe aviaire pandémique potentielle modifiée pour être plus dangereuse dans de nouvelles recherches risquées des NIH), Anthony Fauci a créé un réseau mondial de grippe aviaire à gain de fonction connu sous le nom de Centre d’excellence pour la recherche et la surveillance de la grippe (Center of Excellence for Influenza Research and Surveillance, CEIRS) et les grippes aviaires militarisées qu’il a commandées peuvent être trouvées dans des laboratoires du monde entier.

2. Dépenser des millions de dollars pour tuer des millions de poulets ne fonctionne pas.

La pandémie de grippe aviaire dure depuis des décennies, mais elle ne touchait que les volailles, de sorte que la cruauté, le gaspillage et l’illogisme de la réponse à la grippe aviaire n’ont guère attiré l’attention.

Dans le cas du COVID, les personnes asymptomatiques dont le test est positif sont censées être mises en quarantaine.

Dans le cas de la grippe aviaire, les troupeaux asymptomatiques mais positifs sont détruits en masse.

Joel Salatin, cité dans un article récent du Dr Joseph Mercola, explique pourquoi c’est si insensé:

« La politique d’extermination massive sans tenir compte de l’immunité, sans même chercher à savoir pourquoi certains oiseaux prospèrent alors que tous les autres meurent, est insensée. Les principes les plus fondamentaux de l’élevage et de la reproduction des animaux exigent que les éleveurs opèrent une sélection en vue d’obtenir des systèmes immunitaires sains ». …

La réponse est relativement simple. Il faut sauver les oiseaux qui survivent à l’infection et les faire se reproduire. Ainsi, les générations futures bénéficieront d’une immunité naturelle. « Si un troupeau est infecté par l’IAHP [influenza aviaire hautement pathogène], il faut laisser celle-ci suivre son cours. Elle tuera ceux qu’elle tuera, mais au bout de quelques jours, on verra clairement qui sont les survivants. Ce sont eux qu’il faut garder et intégrer dans un programme d’élevage », écrit Salatin.

C’est ce qu’a fait Will Harris, de White Oak Pastures. Il élève des animaux sains en plein air. Dans une vidéo récente, il explique que les agriculteurs biologiques régénératifs n’ont aucune raison de craindre la grippe aviaire.

Les massacres n’ont aucun sens, c’est pourtant ce qui se passe depuis 25 ans dans le cadre d’un programme national et depuis les années 1980 au niveau des États.

Depuis 2000, il existe un programme national visant à tester les volailles d’élevage dans le cadre du programme « U.S. Avian Influenza Clean » du National Poultry Improvement Plan (plan national d’amélioration de la volaille). Il existait des programmes de dépistage universel de la grippe aviaire au niveau des États avant la mise en place du programme national.

L’influenza aviaire hautement pathogène était considérée comme une menace pour l’élevage d’œufs, de poulets et de dindes, mais l’influenza aviaire hautement pathogène n’existait pas aux États-Unis, de sorte que le programme testait l’influenza aviaire faiblement pathogène [IAFP], qui ne provoque que peu ou pas de signes cliniques chez les oiseaux infectés.

Même s’ils n’étaient pas malades, les oiseaux dont le test était positif pour l’influenza aviaire faiblement pathogène étaient abattus, car les sous-types H5/H7 de l’influenza aviaire faiblement pathogène pouvaient muter en influenza aviaire hautement pathogène.

Une épidémie survenue en 1983-1984 a entraîné la destruction de plus de 17 millions d’oiseaux pour un coût de près de 56 millions de dollars. L’implication du tristement célèbre Yoshihiro Kawaoka dans cet incident et le fait que celui-ci ait précédé l’épidémie politiquement suspecte de Hong Kong en 1997, au cours de laquelle des cas humains de grippe aviaire ont été recensés, suggèrent que cette histoire est plus complexe que la plupart des gens ne l’imaginent.

En 1996-1997, un certain nombre d’élevages d’œufs de table en Pennsylvanie ont été testés positifs au virus H7N2 de la grippe aviaire, non pathogène pour les poulets, mais le Ministère de l’agriculture de Pennsylvanie a ordonné le dépeuplement de neuf volées.

En 2002, près de 4 millions d’oiseaux ont été abattus sous l’autorité de l’État et du gouvernement fédéral en Virginie et au Texas à la suite de l’apparition de l’IAFP H7 (en Virginie) et de l’IAFP H5 (au Texas). L’APHIS du Ministère américain de l’agriculture a indemnisé les propriétaires de volailles et les éleveurs sous contrat à raison de 10 dollars par oiseau, dépensant ainsi près de 40 millions de dollars pour cette opération.

En 2006, le programme national de test et de destruction a été étendu aux volailles commerciales en plus des volailles de reproduction.

Dépenser des millions de dollars pour tuer des millions d’oiseaux par ailleurs en bonne santé chaque fois qu’un troupeau était testé positif pour l’influenza aviaire faiblement pathogène n’a pas permis de contenir l’influenza aviaire hautement pathogène.

En 2015, des foyers de virus H5 de l’IAHP (y compris les virus H5N2 et H5N8) ont été signalés dans des élevages commerciaux de volailles dans 21 États américains. Selon l’étude mal intitulée « When poultry take a sick leave: Response costs for the 2014-2015 highly pathogenic avian influenza epidemic in the USA«  (Quand les volailles prennent un congé maladie: coûts de la réponse à l’épidémie d’influenza aviaire hautement pathogène de 2014-2015 aux États-Unis), 879 millions de dollars ont été dépensés pour tuer 51 millions d’oiseaux.

En 2016, 414 000 oiseaux ont été abattus après avoir été testés positifs à la grippe aviaire hautement pathogène H7N8 dans l’Indiana.

En 2017, l’IAHP a été détectée dans le Tennessee; 253 000 oiseaux atteints d’IAFP ont été abattus dans quatre États, dont l’Alabama, le Kentucky et la Géorgie.

En 2020, un troupeau de dindes de Caroline du Sud comptant 32 577 oiseaux a été détruit après la détection de l’IAHP.

3. L’abattage d’oiseaux asymptomatiques est cruel.

En 2021, la Humane Society of the United States, Mercy for Animals et Farm Sanctuary ont contesté le plan d’intervention du Ministère de l’agriculture des États-Unis en cas de grippe aviaire et ont obtenu un accord à l’amiable. Selon Farm Sanctuary:

Le programme cruel et irresponsable de l’USDA s’appuie sur le « dépeuplement » (l’abattage massif d’animaux innocents) et encourage son emploi pour contenir les épidémies de grippe aviaire plutôt que de faire quoi que ce soit pour remédier aux conditions stressantes et surpeuplées des élevages industriels qui rendent ces épidémies pratiquement inévitables.

L’USDA a tenté de rejeter l’action en justice, mais un juge fédéral californien a ordonné en mars 2021 que l’affaire suive son cours, et les parties sont finalement parvenues à un accord à l’amiable. Si cette victoire ne mettra pas immédiatement un terme aux massacres d’oiseaux dans les fermes industrielles et n’empêchera pas l’agence de dépenser des centaines de millions de dollars du contribuable pour renflouer l’agro-industrie lorsque les troupeaux sont « dépeuplés », elle obligera l’USDA à produire une étude d’impact environnemental (Environmental Impact Statement – EIS) sur les effets dévastateurs d’un plan qui consiste à tuer des millions d’oiseaux et à se débarrasser de leurs corps dans des fosses non revêtues ou en les brûlant.

Nous espérons que l’agence se rendra compte de l’absurdité de son programme et adoptera une alternative visant à prévenir les épidémies de grippe aviaire en s’attaquant aux horribles conditions de surpeuplement dans les élevages industriels, comme nous le suggérons dans notre action en justice. L’adoption d’une telle solution pourrait mettre un terme au massacre insensé de dizaines de millions d’animaux et permettre aux contribuables d’économiser des centaines de millions de dollars.

En janvier 2023, l’USDA a publié un avis d’intention de préparer une déclaration d’impact environnemental pour la grippe aviaire hautement pathogène, mais n’a encore pris aucune autre mesure.

Entre-temps, nous sommes au cœur de la plus grande destruction de troupeaux de l’histoire, qui dure depuis 2022, avec 85,87 millions d’oiseaux tués au 10 avril 2024.

Ces oiseaux ne meurent pas de la grippe. Ils sont asymptomatiques, ils sont massacrés et plus on tue d’oiseaux, plus il y a de cas d’IAHP.

Le fait que le gouvernement et ses sténographes dans les médias ne mentionnent jamais le nombre d’oiseaux morts de la grippe par rapport au nombre d’oiseaux tués en raison d’un test positif indique qu’il s’agit d’une escroquerie. Comme on n’entend jamais parler d’oiseaux qui meurent de la grippe, on ne peut que supposer que tous les oiseaux abattus sont asymptomatiques.

4. Les éleveurs ne se plaignent pas de l’abattage d’oiseaux asymptomatiques, car ils sont payés pour le faire.

Le gouvernement garantit aux éleveurs et aux entreprises avicoles les prix du marché et les coûts d’élimination lorsqu’ils détruisent leurs volées. Il est difficile de ne pas y voir une incitation perverse dans un secteur qui s’est développé d’une manière qui ne peut que faire chuter les prix.

L’Environmental Working Group indique que les plus grands élevages de poulets ont augmenté de 17%, passant de 6 332 élevages de 500 000 volailles ou plus en 2012 à 7 406 élevages en 2022.

Ces exploitations ont produit 24% de poulets de plus en 2022 qu’en 2012, soit près de 1,4 milliard de plus.

Dans le même temps, le nombre d’exploitations élevant des poulets de chair a diminué entre 2012 et 2022, passant de 32 935 exploitations en 2012 à 31 877 en 2022, soit une baisse de 3%.

Davantage d’oiseaux ont été concentrés dans moins d’élevages de poulets de chair car, alors que le nombre d’élevages a diminué de 3%, le nombre d’animaux a augmenté de 8%, passant de près de 8,5 milliards d’oiseaux en 2012 à près de 9,2 milliards en 2022.

L’élevage est une entreprise notoirement à haut risque et à faible marge, et les éleveurs de volailles sont des serfs sur leurs propres terres, captifs de contrats terriblement abusifs avec les entreprises de production de poulets. Face à un test positif pour l’IAHP, aucun éleveur ne serait en mesure de refuser un rachat en échange de la destruction de sa volée.

C’est la raison pour laquelle on n’entend pas les éleveurs de volailles se plaindre de cette situation.

5. Les entreprises de production d’œufs et de poulets ne se plaignent pas; elles bénéficient de prix plus élevés. Elles se moquent de savoir si les gens ont faim.

Le COVID a fait augmenter la faim. La stratégie cruelle et inutile de la grippe aviaire, qui consiste à tuer les oiseaux asymptomatiques, pourrait provoquer une crise alimentaire encore plus grave. D’ores et déjà, les prix augmentent.

Yahoo rapporte que « les œufs ont grimpé à 3 dollars la douzaine en 2024, soit le double du coût de 1,45 dollar en février 2020. Cependant, les prix sont en baisse par rapport à 2023, lorsqu’une douzaine d’œufs coûtait 4,82 dollars, selon les statistiques de USA Today. »

Fox News précise que « le prix de la poitrine de poulet désossée a augmenté de 26%, passant de 3,26 $ la livre en janvier 2021 à 4,11 $ la livre en février 2024. »

La faiblesse de l’offre se traduit par une hausse des prix et une baisse de la qualité.

Chick-fil-A abandonne un engagement vieux de dix ans, celui de ne jamais utiliser d’antibiotiques, sous prétexte qu’elle ne peut tout simplement pas se procurer suffisamment de poulet sans antibiotiques. Est-ce qu’ils veulent dire « au bon prix »?

6. L’augmentation du prix des œufs et du poulet et la baisse de leur qualité pourraient rendre les aliments Frankenfood plus compétitifs.

Alors que les défenseurs de la cause animale font pression sur l’USDA pour qu’il investisse dans des élevages plus respectueux de l’environnement afin de maintenir les troupeaux en bonne santé, les végétaliens adeptes de Frankenfood [NdT. = aliments Frankenstein, artificiellement produits] se réjouissent de l’IAHP, malgré les massacres, et célèbrent ce qu’ils considèrent comme le triomphe inévitable des organismes synthétiques génétiquement modifiés sur l’élevage des animaux.

L’élevage industriel est horrible et il est difficile d’éprouver de la sympathie pour les personnes travaillant dans ce secteur, mais la biologie synthétique et la viande produite en laboratoire ne valent pas mieux. Ce changement laisserait le contrôle du système alimentaire entre les mains des mêmes entreprises et des mêmes investisseurs milliardaires mal intentionnés – mais avec une emprise plus forte – et je ne m’étonnerais pas qu’ils exagèrent, exacerbent ou même planifient une crise de la grippe aviaire pour atteindre leur objectif, qui est de pousser les derniers agriculteurs indépendants à la faillite et de remplacer les vraies fermes par de la fausse nourriture.

Si cela vous semble impossible, regardez « The Hostile Takeover of Food Production » (La prise de contrôle hostile de la production alimentaire), une interview que Christian Westbrook de Ice Age Farmer a réalisée avec le Dr Frédéric Leroy, un professeur belge de science alimentaire et de biotechnologie. [NdT. exceptionnellement intéressante, que je traduirai (de l’anglais) si j’ai le temps – elle fait deux heures!]

Ils confirment que ce ne sont pas des végétaliens idéalistes qui conduisent la transition des vraies fermes vers les faux aliments, mais un réseau bien coordonné et très puissant de super-riches dont l’objectif n’est rien moins que la domination du monde. C’est à cette même conclusion que je suis arrivé lorsque j’ai passé en revue l’histoire du mouvement de la fausse viande pour ma présentation sur le complot visant à mettre fin à l’agriculture.

En 2019, le Forum économique mondial a prévu qu’un tiers de l’approvisionnement mondial en viande serait remplacé par de la fausse viande dans les 10 ans, que ce chiffre doublerait dans 20 ans pour atteindre 60%, et que « l’effet déstabilisant des nouvelles méthodes biotechnologiques ne se limitera pas à la viande, mais s’étendra au lait, au blanc d’œuf, à la gélatine et aux produits à base de poisson ».

Le Forum économique mondial et la Fondation Bill & Melinda Gates ont coorganisé la répétition de haut niveau du COVID 2019, l’événement 201, organisé par le Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire. Cet exercice sur table, tombé à point et sinistrement prédictif, a été financé par l’Open Philanthropy du cofondateur de Facebook, Dustin Moskovitz.

Nous avons donc toutes les raisons de nous inquiéter du fait que, lors de sa réunion annuelle à Davos cette année, le Forum économique mondial s’est « préparé à la maladie X ». [NdT. voir ici]

L’abattage massif d’oiseaux asymptomatiques a lentement réduit l’offre d’œufs et de poulets et fait grimper les prix.

La grippe aviaire pourrait-elle servir de prétexte à l’arrêt total de l’élevage?

Du point de vue de ceux qui y trouvent des intérêts commerciaux et des milliardaires qui soutiennent le Forum économique mondial, ce serait le moyen idéal de forcer le passage de vraies fermes à de faux aliments.

De plus, le rationnement de la nourriture pourrait être le moyen le plus facile pour eux d’amener les gens à adopter l’identification numérique en prévision de l’imposition de la monnaie numérique de banque centrale (MNBC).

Comme l’a rapporté Christian Westbrook en 2022, cela s’est déjà produit en Iran (« IRAN: Digital Food Rationing rolls out using Biometric IDs amid food riots » – IRAN: le rationnement alimentaire numérique mis en place à l’aide de cartes d’identité biométriques dans le cadre d’émeutes provoquées par la faim).

7. Avec 33 milliards de poulets à vacciner dans le monde, les laboratoires pharmaceutiques vont s’enrichir rapidement, mais beaucoup d’autres mauvais acteurs voient des opportunités dans une crise alimentaire.

Il existe un chevauchement important entre les personnes, les entreprises et les institutions impliquées dans la recherche sur les armes biologiques à gain de fonction et celles qui participent à la campagne visant à remplacer les vraies fermes par de la fausse nourriture. Ce qui les lie, c’est la technologie. Les mêmes techniques de génie génétique et de biologie synthétique sont utilisées pour créer les Frankenfoods et les Frankenpathogènes.

Les liens entre ces deux mondes sont bien illustrés par Ginkgo Bioworks, la principale société de génie génétique et de biologie synthétique, et la société d’organismes préférée de Bayer (Monsanto).

Si vous voulez avoir peur, très peur, de ce que cela signifie pour l’humanité, consultez le rapport de risque SEC de Ginkgo [NdT. article très instructif du même auteur, qui s’auto-traduit automatiquement en français si vous êtes dans un pays francophone; SEC = Security Exchange Commission]. On dirait le scénario d’un film catastrophe sur une pandémie.

Lisez ensuite l’étude menée par Ginkgo Bioworks, qui prévoit que les infections entre animaux et humains pourraient causer 12 fois plus de décès d’ici à 2050.

Enfin, pensez au fait que Ginkgo Bioworks est un partenaire du Forum économique mondial, lancé avec le soutien d’Open Philanthropy et dans lequel Bill Gates a investi.

Wow, plutôt curieux. Tout ce qu’il manque, c’est Johns Hopkins, et on se retrouve avec toute l’équipe de l’événement 201.

Oh, attendez… ouaip, toujours en 2019, le Johns Hopkins Center for Health Security et Ginkgo Bioworks ont organisé une réunion à Washington, DC, afin de planifier l’action du gouvernement pour renforcer l’industrie de la biotechnologie. La réunion a été financée par Open Philanthropy.

Le président Joe Biden a donné force de loi aux demandes du groupe par décret en 2022. Le même jour, le président a nommé le Dr Renee Wegrzyn, vice-présidente du développement commercial de Ginkgo, à la tête de la nouvelle Agence des projets de recherche avancée pour la santé (une agence dont Whitney Webb a prévenu qu’elle « pourrait faire des États-Unis une dictature numérique »). Enfin, Jason Kelly, fondateur et PDG de Ginkgo, préside désormais la Commission de sécurité nationale sur les biotechnologies émergentes.

Ginkgo Bioworks est un profiteur de la pandémie qui s’est tourné vers l’argent facile des tests COVID en 2020, mais il est devenu un véritable acteur dans l’histoire du COVID lorsqu’il a acheté Metabiota en 2022.

La fusion Ginkgo-Metabiota ressemblait beaucoup à la fusion Bayer-Monsanto, en ce sens qu’elle constituait un excellent moyen de se défaire d’un nom tristement célèbre.

Le conseiller de Metabiota était Jeffrey Epstein. Ses bailleurs de fonds étaient des milliardaires de la technologie, le Pentagone et la CIA. Son cabinet de lobbying était le Rosemont Seneca de Hunter Biden. Ses projets consistaient à bâcler la réponse à Ebola en 2014, à mettre en place des laboratoires biologiques pour la grippe aviaire en Ukraine et à collecter des coronavirus de chauve-souris en Chine pour Ralph Baric avec EcoHealth Alliance et l’Institut de virologie de Wuhan.

Lorsque Ginkgo a racheté Metabiota, elle n’a pas seulement fait disparaître son nom tristement célèbre, mais aussi son fondateur Nathan Wolfe, un scientifique ami de Jeffrey Epstein et de Ghislaine Maxwell, qui était un Young Global Leader du Forum économique mondial. Wolfe, qui a été impliqué dans tous les pires scandales et photographié avec toutes les pires personnes, n’a peut-être pas obtenu un emploi chez Ginkgo Bioworks après la fusion, contrairement à Nita Madhav, que Wolfe avait embauchée chez Metabiota en 2015 et dont il est devenu le PDG en 2019, qui en a obtenu un.

Aujourd’hui, Nita Madhav dirige Concentric by Ginkgo, désormais connue sous le nom de Ginkgo Biosecurity, qui n’est en fait que Metabiota sous un nouveau nom. Ginkgo Biosecurity gère le système de suivi des épidémies de Metabiota et il existe toujours un lien entre le site web de Metabiota et ce système de suivi.

Chez Ginkgo Biosecurity, Madhav fait ce pour quoi elle a été engagée par Wolfe chez Metabiota: utiliser l’« intelligence artificielle » pour « prédire » les pandémies. Voici la manière Ô combien scientifique dont ils ont procédé, d’après une interview de Madhav accordée à l’émission Marketplace de NPR le 4 février 2020 (!):

« L’entreprise d’IA Metabiota évalue une maladie – ses symptômes, son taux de mortalité et la disponibilité des vaccins – et interroge ensuite les gens pour savoir à quel point cette maladie les effraie. Elle a découvert que ce coronavirus avait un indice ‘d’effroi’ élevé ».

Comme le sait Madhav, Metabiota ne se contentait pas de « prédire » les pandémies, elle contribuait à les créer. L’entreprise était aux côtés d’EcoHealth Alliance et de l’Institut de virologie de Wuhan, dans le sud de la Chine, pour collecter les coronavirus de chauve-souris qu’ils enverraient à Ralph Baric pour ses tristement célèbres expériences de gain de fonction en 2015 et qui seraient plus tard révélés comme les plus proches parents connus du SARS-CoV-2 en 2020.

Parmi les investisseurs de Metabiota figuraient Rosemont Seneca de Hunter Biden, Google et la Fondation Bill et Melinda Gates. L’ordinateur portable de Hunter Biden a révélé qu’il avait fait pression sur l’administration de son père pour que Metabiota obtienne de gros contrats du Pentagone en Ukraine, où l’entreprise mettait en place des laboratoires biologiques de recherche sur la grippe aviaire avec Black & Veatch et travaillait sur un mystérieux « projet scientifique ukrainien » financé par le gouvernement avec la société gazière Burisma, qui payait Hunter plus de 80 000 dollars par mois pour siéger au conseil d’administration de l’entreprise.

C’est lorsque les médias ont enfin commencé à en parler, parce que la Russie ne cessait de l’évoquer dans le contexte de la guerre en Ukraine, que Ginkgo Bioworks a racheté Metabiota et enterré son nom entaché de scandale.

À peu près à la même époque, Ginkgo Bioworks a adopté un système orphelin de dissimulation des origines COVID, géré par l’Agence des projets de recherche avancée sur le renseignement, appelé FELIX (Finding Engineering-Linked Indicators). L’objectif de FELIX était de prouver que le SARS-CoV-2 n’avait pas été génétiquement modifié en laboratoire, mais ses « conclusions » mal référencées ont été publiées prématurément en janvier 2020. Ginkgo a ressuscité le projet sans tambour ni trompette en 2022.

Il est très étrange que Ginkgo ait obtenu une nouvelle subvention gouvernementale importante en 2022, étant donné qu’elle avait fait l’objet d’une enquête cinglante de Scorpion Capital juste l’année précédente. Le rapport de Scorpion citait un ancien employé de Ginkgo qui affirmait que Ginkgo surfacturait et fraudait régulièrement le gouvernement et qu’il avait été témoin de ce qui s’était passé à la Defense Advanced Research Projects Agency du Pentagone: « J’ai eu l’impression que cela se produisait tout le temps. Je les ai vus le faire littéralement. J’ai vu la feuille de calcul. »

Soutenant que les actions de Ginkgo ne valaient rien, le rapport Scorpion indiquait clairement que les capacités techniques de Ginkgo Bioworks n’avaient rien de spécial :

« La biologie synthétique est un terme vide de sens et pourrait tout aussi bien être un synonyme d’escroquerie cotée en bourse. Permettez-nous de proposer une définition plus précise: l’utilisation d’outils de génie génétique répandus depuis 50 ans pour modifier des cellules de levure afin qu’elles excrètent principalement des intrants industriels de faible valeur tels que des arômes, des parfums et des ingrédients médicamenteux. C’est l’essence même de cette mystérieuse usine – Ginkgo n’est rien d’autre qu’un ORC [organisme de recherche sous contrat] spécialisé dans l’ingénierie des souches, et un ORC de mauvaise qualité selon ses propres « clients » apparentés. Avant que les promoteurs d’actions ne revendiquent le terme de « biologie synthétique », il s’agissait et il s’agit toujours d’ingénierie microbienne ou d’ingénierie des souches ».

Il semble que Scorpion avait raison. Initialement proposée à 11,15 dollars en 2021, l’action Ginkgo valait 1,12 dollar à la clôture du marché le 10 avril 2024.

Alors pourquoi Ginkgo Bioworks est-elle la société d’ingénierie microbienne préférée des milliardaires, du Pentagone et de la CIA? Peut-être convient-il à ces derniers de s’associer à une société qui ne craint ni la fraude ni les jeux de passe-passe, qui n’a pas de véritables clients et dont l’action est en chute libre? Si le projet est de lancer une épidémie de grippe aviaire qui entraînera la faillite des exploitations familiales indépendantes et réduira l’offre alimentaire, tout en faisant grimper les prix des denrées et en détournant l’activité des vraies fermes vers la fausse viande, Ginkgo est peut-être le partenaire idéal? Plus ils sont corrompus et vulnérables, moins ils seront susceptibles de s’y opposer, quelle que soit la manière dont le gouvernement décide d’utiliser leurs services.

Une pandémie de grippe aviaire pourrait aider Ginkgo à redresser la barre. L’entreprise pourrait obtenir plus d’argent du gouvernement pour effectuer des tests de dépistage de la grippe aviaire. Ils pourraient même obtenir des projets spéciaux de l’ancienne vice-présidente de Ginkgo, Renee Wegrzyn, à l’ARPA-H.

J’espère que je me trompe, que la synergie entre les OGM et le gain de fonction et la trinité impie de Pharma, Frankenfoods et Pandémies, n’a rien à voir avec le fait que la grippe aviaire devienne une crise ou la façon dont elle sera gérée si c’est le cas.

En attendant, j’observe les acteurs décrits dans cet article à la recherche d’indices sur ce qui pourrait se passer ensuite. Le 8 avril 2024, Concentric by Ginkgo a tweeté cet article de Nature, « Épidémie de grippe aviaire chez les vaches américaines: pourquoi les scientifiques sont inquiets« .

Que sait Moderna que Pfizer ne sait pas? – par Sasha Latypova.

Source.


Que sait Moderna que Pfizer ne sait pas?

Sasha Latypova

29 mai 2024

D’après mes sources internes chez Moderna, malgré l’absence de demande réelle, ils augmentent la production…

à toute vapeur avec des échéances délirantes pour parvenir à faire fonctionner les sites de résilience avant la fin de l’année. Ceux-ci prendront en charge le CV19, le RSV et la grippe.

Je ne sais pas trop pourquoi ils sont si pressés de faire fonctionner ces sites, à moins qu’ils ne sachent quelque chose.

Les sites de résilience sont situés au Canada, au Royaume-Uni et en Australie. Il y a également quelque chose en cours en Suisse, mais je ne connais pas encore tous les détails.

Je ne sais pas pourquoi les dirigeants ont des délais si serrés pour faire fonctionner ces sites, à moins qu’ils ne sachent qu’une nouvelle « pandémie » se profile à l’horizon.

Ils développent également le site de Rovi en Espagne. C’est sur ce site qu’a été produit le vaccin CV19 envoyé au Japon, où il a été interrompu pour cause de contamination, et qui a tué quelques personnes.

La production a repris, mais je ne sais pas exactement à quoi elle est destinée, bien qu’il s’agisse d’un produit ancien. Le Covid, le RSV et la grippe sont des produits anciens. Un nouveau processus de fabrication est en cours de développement.

The Endpoints News a rapporté en mars que tout en signalant une baisse significative des revenus en 2024 (diminution de 2 milliards de dollars par rapport à 2023)….

Dans son rapport sur les résultats de l’année 2023 le mois dernier, Moderna a déclaré que les ventes de vaccins Covid-19 ont atteint le bas de la fourchette des estimations – 6,1 milliards de dollars, à l’exclusion des revenus de l’alliance de vaccins Gavi. Cela représentait environ 48 % du marché américain à l’automne 2023. Moderna s’attend à ce que les ventes du vaccin Covid-19 atteignent 4 milliards de dollars cette année.

… Moderna s’attend néanmoins à un marché de 10 milliards de dollars pour le VRS (le projet est de vacciner chaque femme enceinte et chaque enfant plusieurs fois, et d’encourager les vaccins pour les personnes de plus de 50 ans). L’entreprise prévoit également un marché de 7 milliards de dollars pour les vaccins ARNm contre la grippe, et compte en outre facturer un prix supérieur de 50 dollars par injection (les prix actuels se situent entre 15 et 30 dollars).

À l’époque, Moderna s’attendait à ce que l’examen de la FDA pour le vaccin contre le VRS soit terminé le 12 mai 2024. Cela n’a pas été le cas. La FDA a envoyé à Moderna une notification indiquant qu’elle avait pris du retard et qu’il fallait s’attendre à une réponse d’ici la fin du mois de mai. Moderna veut lancer le poison contre le VRS en juin.

Voici les dernières nouvelles publiées sur le VRS:

https://investors.modernatx.com/news/news-details/2024/Moderna-Announces-Update-on-Investigational-RSV-Vaccine/default.aspx

la grippe:

https://investors.modernatx.com/news/news-details/2024/Moderna-Advances-Multiple-Vaccine-Programs-to-Late-Stage-Clinical-Trials/default.aspx

Je pense que l’investissement de Moderna dans la fabrication est inspiré par ces nouvelles tragiques:

Un ver de terre meurt de la grippe aviaire H1N5. Les responsables de la santé très inquiets pourraient déclarer l’état d’urgence.
[NdT. c’est une blague, évidemment]

Il faut vacciner tous les vers de terre! À 50 dollars par ver! Nous ne pouvons pas laisser la grippe aviaire gagner! Quel fabuleux marché potentiel!

Mes sources secrètes m’ont communiqué le processus de fabrication actuel de Moderna, du moins une partie. Tout cela est « numérique » et piloté par l’IA selon la direction de Moderna:

J’offre une récompense de 100 dollars à toute personne qui pourra déchiffrer ce que ça signifie ou comment ça marche. Le fournisseur de ce système est mentionné dans le tableau – BioPharm Engineered Systems. Mon hypothèse de travail actuelle est qu’il s’agit d’un chaudron de sorcière avec des boutons et une interface utilisateur graphique. Que quelqu’un me convainque du contraire, s’il vous plaît! Quoi qu’il en soit, c’est ce qui est développé en urgence sur les « sites de résilience » de Moderna d’ici à la fin de l’année.

Pendant ce temps, à Pfizerland, la situation est très différente:

Pfizer ne semble pas avoir reçu la note de service concernant les fabuleux nouveaux marchés pandémiques du VRS, de la grippe et du covid, et au lieu de poursuivre leur développement, ils réduisent leurs coûts de 1,5 milliard de dollars supplémentaires et diminuent leur production. Selon Endpoints News:

Plusieurs mois après avoir lancé une stratégie d’économie de 4 milliards de dollars, Pfizer prévoit une nouvelle série de réductions de coûts de 1,5 milliard de dollars, ainsi que d’autres réductions probables à l’avenir.

Selon un porte-parole de Pfizer, ces réductions incluent la diminution de la base de production de l’entreprise, une branche des activités de Pfizer qui avait connu une croissance substantielle pendant la pandémie de Covid-19. « Ce programme se concentrera sur la rationalisation de nos méthodes de travail, la réduction de la complexité et l’augmentation de la productivité au sein de Pfizer Global Supply », a déclaré le porte-parole.

Dans un dépôt de titres, Pfizer a qualifié le plan d’économies d’ « initiative en plusieurs phases » qui « s’étendra sur plusieurs années et devrait inclure des gains d’efficacité opérationnelle, des modifications de la structure du réseau et des améliorations de la gamme de produits ».

Voici mes conseils sur la façon de se préparer aux pandémies:

Œuvre du jour: Thunder Mountain, aquarelle, 7×7 in.

Témoignage de Zoé, codeuse médicale pendant le Covid.

Un témoignage recueilli dans leur autobus itinérant par l’équipe du Children’s Health Defense de RFK Jr. Les passages sur les exécutions par protocole et vaccins, à la fin, sont assez violents. Vous êtes prévenus.

La transcription et la traduction sont de moi, la vidéo originale est ici. Diffusez, svp!

Note: traduction revue et (considérablement) améliorée le 21/06.

Traduction

Zoé: J’allais dire que c’est l’endroit le plus étrange qu’on puisse imaginer pour ce genre d’événement.

Hôte: Nous sommes en direct maintenant. Très bien, chers spectateurs, nous recevons une invitée très spéciale. Elle est un peu nerveuse parce que je pense que ce qu’elle aura à dire est important. Commencez donc par nous dire votre nom.

Zoé: Zoé.

Hôte: D’accord, Zoé. Et que faites-vous dans la vie?

Zoé: Je suis codeuse médicale.

Hôte: Et qu’est-ce que cela signifie?

Zoé: J’appelle ça le service de renseignement central de l’hôpital ou la vue à l’échelle de SimCity. Il s’agit d’examiner les dossiers médicaux, tous les types de dossiers médicaux, tous les diagnostics, et de convertir cette information en un code qui est ensuite transmis à l’assurance. C’est ainsi que les hôpitaux et les postes sont payés. Donc, si je fais bien mon travail, les postes et les hôpitaux gagnent un maximum d’argent et ils ne sont pas poursuivis pour fraude.

Hôte: D’accord. Nous devons commencer par la question de ce qui s’est passé avec les protocoles COVID des hôpitaux, car c’est le sujet dont nous avons le plus entendu parler au cours de notre tournée. Qu’avez-vous vu?

Zoé: J’ai remarqué qu’il n’y avait pratiquement pas de patients lorsque l’urgence pandémique a été déclarée et qu’il fallait deux semaines pour aplanir la courbe. Il n’y avait aucun patient à l’hôpital à ce moment-là. Ils ont commencé à affluer lentement, après des mois et des mois d’attente. Les décrets gouvernementaux ont exigé que nous créions des lits supplémentaires dans les hôpitaux, ce qui veut dire que nous avons renvoyé chez eux des patients avant qu’ils ne soient prêts à rentrer, ce que nous n’avions jamais fait auparavant parce que cela représente un risque financier. Si ces patients revenaient, c’était à nous de payer leurs soins. C’est un règlement de l’assurance-maladie. La situation était donc très inhabituelle.

Il y avait des enjeux financiers parce qu’en avril, il y a eu une mise à jour des codes, ce qui n’était jamais arrivé auparavant. Il fallait trouver un moyen de mesurer l’évolution du COVID. Il s’agissait donc de recenser la maladie, de recenser le COVID, et c’est le système de codes qui est en principe le système de recensement de base. Il n’y avait alors aucune pratique standardisée. Même notre hôpital a déclaré qu’il n’y avait pas de code de cas standardisé et qu’il était donc impossible de savoir ce qui se passait, même si l’urgence avait déjà été déclarée. Et il était clair que [les chiffres] du HHS et de l’OMS et toutes ces cartes qui nous montraient tous les foyers ne correspondaient absolument pas à ce que nous voyions à l’hôpital, ce que même l’administration admettait. Ils ont donc créé leur propre carte. C’est en quelque sorte la raison pour laquelle le diagnostic COVID a été publié.

Mais c’est aussi à ce moment-là que sont apparues les primes. Il fallait un diagnostic pour obtenir la prime de 20% pour les patients COVID. Tout patient admis avec un diagnostic COVID ramenait donc d’une prime de 20%. S’ils étaient mis sous Remdesivir, c’était une nouvelle technologie, et les codes des nouvelles technologies donnent droit à une prime supplémentaire de 20% en raison du risque lié à une technologie non éprouvée.

Gilead avait donc sollicité le paiement d’un bonus pour le Remdesivir, une nouvelle technologie. Un nouveau code a donc été créé pour le Remdesivir en avril. C’est ce qui a effectivement donné lieu aux protocoles hospitaliers. En effet, les patients se rétablissaient lorsqu’ils étaient traités avec de l’hydrochloroquine, issue de l’opération Warp Speed et du stock national d’hydroxychloroquine. Les hôpitaux en ont reçu gratuitement à la fin du mois de mars. Et puis trois jours plus tard, quelques jours plus tard, le 1er avril, le nouveau diagnostic est sorti, le bonus pour le Remdesivir est sorti et ce fut un véritable coup d’arrêt. On a arrêté l’azithromycine et l’hydroxychloroquine et on est passé directement au Remdesivir, qui donnait droit à la prime.

Et bien sûr, il y avait une prime de 20% pour la mise sous respirateur des patients. Les tests PCR faisaient également l’objet de primes. Je l’ai remarqué pour avoir longtemps travaillé dans un laboratoire hospitalo-universitaire. Ma mère était technologue médicale, ça a été sa profession toute ma vie. À l’époque où je travaillais dans un laboratoire, j’ai effectué des tests rapides de dépistage de la grippe, comme on les appelait à l’époque, en 2004. C’était le prototype du test PCR COVID-19. Il s’agit essentiellement d’un test PCR, mais la méthodologie est un peu différente question seuil des cycles.

Lorsque le test COVID-19 a été diffusé, une série d’événements ont suivi. Il était accompagné de primes et d’incitations qui n’étaient pas évidentes à discerner à première vue. En fait, la loi CARES a permis de financer tous les tests PCR COVID-19. Normalement, les tests coûtent de l’argent aux hôpitaux, qui n’aiment donc pas beaucoup faire de tests de diagnostic pour identifier un virus ou faire des cultures, ou quoi que ce soit dans le genre. En fait, ils entament le traitement avant de savoir à quel agent pathogène ils ont affaire, quitte à procéder à une identification plus tard, après avoir commencé à administrer un antibiotique ou tout autre traitement préliminaire. Au départ, pour les tests PCR, je ne sais pas si vous vous en souvenez, on avait installé une sorte de tente où les gens pouvaient aller passer un test PCR, mais à l’époque, il fallait avoir des symptômes. On ne pouvait pas simplement… On nous a dit qu’il y avait une pénurie de tests et il a fallu, je ne sais pas, environ un mois pour qu’ils se mettent à dépister tout le monde.

Lorsque l’on est passé de la situation où il fallait présenter des symptômes pour avoir droit au test PCR, où pratiquement aucun patient ne le passait, à une situation où le test est devenu largement disponible, le CDC a déclaré que chaque hôpital pouvait effectuer ses propres tests. Nous les avons donc réalisés en interne et les hôpitaux n’ont plus eu à les envoyer à un autre laboratoire et à attendre une semaine avant d’obtenir les résultats. 80% de nos patients sont alors devenus positifs au COVID, qu’ils présentent ou non des symptômes.

Cela n’était jamais arrivé auparavant, ce test n’avait jamais été utilisé pour le dépistage, il avait toujours été utilisé comme un test de confirmation – il fallait que le patient présente des symptômes et que le médecin ne sache pas à quel type de maladie il avait affaire, puis il effectuait des tests pour comprendre pourquoi le traitement n’améliorait pas l’état du patient. Cette politique a donc changé du tout au tout et il y a eu une prime à la prise en charge des patients COVID. C’est donc en fin de compte…

Hôte: Nous avons reçu des gens qui nous disaient qu’ils allaient se faire soigner pour une jambe cassée ou quelque chose de complètement différent, et ils étaient…

Zoé: À 100%.

Hôte: … avant même de s’en rendre compte, envoyés dans un service COVID, pour cette raison, et nous avons reçu une infirmière qui nous a dit…

Zoé: Oui, parce que dans les hôpitaux, on dépistait les patients pour le COVID. Ils arrivaient pour une ablation de la vésicule biliaire, une jambe cassée, un accident de moto ou de voiture, ou n’importe quoi d’autre. Et pendant qu’ils étaient à l’hôpital, on effectuait le dépistage et s’ils étaient positifs au COVID-19, on commençait aussitôt le traitement et on les mettait sous respirateur assez rapidement, on les mettait sous Remdesivir, puis ils souffraient d’insuffisance rénale et d’œdème pulmonaire et ils déclinaient rapidement, et rien de ce que l’hôpital pouvait faire n’aurait pu les sauver. Je n’ai jamais rien vu de tel. Ce n’est pas ainsi qu’évolue un cas normal de grippe ou de pneumonie. Avant 2020, si les patients se présentaient à l’hôpital avec la grippe ou une pneumonie, ils avaient tendance à se rétablir dans les trois jours et à rentrer chez eux. Il n’y avait pratiquement jamais d’hospitalisation pour une grippe. Pour une pneumonie, oui. La grippe, presque jamais. Et si cela arrivait, c’était pour des patients âgés avec beaucoup d’autres problèmes, comme une insuffisance organique, une insuffisance cardiaque ou un cancer, la grippe n’étant que leur dernier problème dans la liste. Ce n’était pas juste la grippe.

En ce qui concerne le COVID, j’ai remarqué que c’était au départ des patients âgés qui présentaient des symptômes, puis des personnes de plus en plus jeunes, parce que je ne faisais même plus attention au fait qu’ils soient positifs ou non au COVID, je faisais plutôt attention à savoir si ce patient était arrivé à l’hôpital avec des symptômes. Avait-il un quelconque rhume, grippe ou pneumonie avant d’arriver à l’hôpital? […] Que l’on travaille sur place ou à distance, dans presque tous les hôpitaux, il y a une sorte d’intranet pour les employés avec une page d’accueil personnelle que tout le monde voit en se connectant à son ordinateur. C’est là que les messages sont diffusés, que la direction diffuse ses messages. C’est là que se trouvait notre tableau des cas, le nombre de nos cas de COVID. À un moment donné, ils ont publié un message disant que les réglages FIO2 des respirateurs avaient tué des gens et qu’on ne savait pas comment traiter le COVID. « Nous avons essayé ces réglages de respirateurs en pensant que nous allions traiter le COVID, mais apparemment, le réglage FIO2 tuait en fait les patients sous respirateur. Nous allons donc arrêter. Nous avons compris que cela ne fonctionnait pas et nous allons donc ajuster le réglage et nous sommes vraiment navrés. » J’ai été choquée, car je commençais déjà à entendre des rumeurs selon lesquelles des patients mouraient sous respirateur à l’hôpital, ce qui me semblait logique, car nous n’avions jamais eu de cas de grippe ou de pneumonie où quelqu’un restait sous respirateur pendant un mois sans que nous puissions le sauver. Cela ne s’était jamais produit auparavant. D’habitude, après 24 à 48 heures, on parle de débrancher le respirateur ou de transférer le patient de l’hôpital à un établissement de soins infirmiers de longue durée.

Hôte: D’accord, revenons un peu en arrière. J’aimerais revenir sur les tests PCR. Dans cet autobus, une infirmière nous a dit qu’à l’arrivée du patient, on lui disait, d’en haut, qui que soit la personne en haut, de faire des tests répétés jusqu’à ce qu’elle obtienne un résultat positif.

Zoé: Oui, c’est ce qu’ils faisaient. C’était comme de jouer à la roulette et les médecins écrivaient même dans la documentation: « Je ne comprends pas. C’est comme si le patient n’avait rien que je puisse traiter. Je continue à faire des tests PCR. Il sont toujours positifs et le patient n’a rien d’anormal », voilà ce qui arrivait. Ils faisaient six, sept, huit tests et le résultat était positif, mais le patient ne présentait rien d’anormal et le médecin n’y comprenait rien. Parfois, ils effectuaient quatre ou cinq tests avec des résultats négatifs, puis ils obtenaient un résultat positif qu’ils prenaient en compte pour traiter le patient pour le COVID. C’était comme de jouer à la roulette.

Même les médecins, différents médecins, consignaient dans la documentation: « Je ne suis pas sûr de faire confiance à ce test, alors refaisons-le pour voir ce qu’on obtient cette fois-ci. »

Hôte: Parlons maintenant du Remdesivir. Expliquez-moi encore une fois comment nous en sommes venus à prescrire pour les personnes atteintes du COVID un machin en autorisation d’utilisation d’urgence qui paralyse leurs organes, ce que nous avons entendu maintes et maintes fois.

Zoé: C’était vraiment intéressant. Je ne sais pas comment il a été approuvé. Je n’étais pas au courant. J’ai fait des recherches plus tard, mais lorsque le nouveau code de diagnostic est apparu, ainsi que le code pour le Remdesivir qui donnait droit à une prime de 20%, nous avons commencé à le prescrire, l’hôpital disposait d’un protocole pour le Remdesivir. Ils savaient qu’il provoquait des lésions rénales. Le protocole l’indiquait d’emblée, il cause des lésions rénales. Mais toute la propagande, et je l’appelle propagande à dessein, disait que le COVID-19 provoquait également une insuffisance rénale et, à l’hôpital, l’insuffisance rénale est très fréquente. Nous l’appelons AKI (acute kidney injury) et c’est donc quelque chose que nous voyons quotidiennement – c’est normal, et nous le traitons. En voyant cela, il était donc normal de se dire: « C’est tout simplement une insuffisance rénale, c’est assez fréquent », surtout lorsqu’on a commencé à nous programmer en nous disant que le COVID provoquait une insuffisance rénale. Mais le Remdesivir provoque également une insuffisance rénale et il fallait faire passer au patient une consultation sur les maladies infectieuses et une consultation sur les maladies rénales avant de le mettre sous Remdesivir. S’il souffrait d’une maladie rénale chronique de stade trois ou plus, il se voyait exclu du traitement par Remdesivir. Nous devions documenter un formulaire d’autorisation et un formulaire de consentement éclairé et les consigner dans leur dossier médical. Ensuite, on administrait le Remdesivir, parfois une seule dose, parfois plusieurs, mais [les patients] finissaient tous par souffrir d’insuffisance rénale après quelques jours.

Certains patients sont rentrés chez eux avec des prescriptions de dialyse à domicile, d’autres se sont retrouvés sur une liste de transplantation rénale, d’autres encore se sont retrouvés avec une maladie rénale chronique après avoir reçu du Remdesivir – s’ils avaient survécu – et beaucoup de patients se sont retrouvés avec une pneumonie COVID, qui est apparemment due au fait que le Remdesivir provoque l’arrêt des reins et que lorsque les reins s’arrêtent – ils régulent les niveaux de fluides – et lorsque le corps ne peut pas se débarrasser du liquide, celui-ci s’accumule et remonte de la région de l’abdomen, traverse le diaphragme et peut atteindre les poumons, ce que nous appelions des épanchements pleuraux ou ce qui, à la radiographie, ressemble à ce que nous appellerions une pneumonie. Nous l’avons donc appelée pneumonie COVID, mais si l’on compare la radiographie thoracique d’un patient souffrant d’œdème pulmonaire à celle d’un patient souffrant de pneumonie COVID, les deux sont presque identiques. Et les prestataires, même s’ils savaient que le Remdesivir présentait ce risque pour les reins, n’ont jamais fait le lien avec le fait que les patients pouvaient souffrir d’insuffisance rénale à cause de l’administration du médicament. Ils pensaient simplement qu’il s’agissait du COVID.

Hôte: Mais ce n’est qu’une question d’argent. Dès qu’ils ont vu qu’ils recevaient des primes pour les tests PCR…

Zoé: Oui.

Hôte: C’est l’argent, c’est l’argent qui a tout changé, tout a complètement changé.

Zoé: Tout, oui.

Hôte: D’accord. Je dois vous poser une autre question. Nous avons vu des centaines de cas de décès liés au protocole COVID et vous êtes assise en ce moment même dans le mémorial où vous pouvez les voir tous.

Zoé: Je sais.

Hôte: Ils étaient tous non vaccinés, alors la première chose, et c’est ce que nous essayons de comprendre, c’est que des gens se sont présentés à l’hôpital et que la première chose qu’on leur a demandée, c’est: « Êtes-vous vacciné ou non vacciné? » En d’autres termes, avez-vous reçu le vaccin COVID ou non?

Zoé: Dans mon hôpital, on ne demandait pas cela. C’était presque impossible à déterminer au début. C’était comme s’ils ne voulaient pas que nous le sachions. Et je sais, grâce au codage médical que je pratique aux urgences, que l’une des choses sur lesquelles nous devons recueillir des informations est la suivante: si un patient a été blessé, quelle en est la cause? Il existe en fait un code pour cela. S’il y a effet secondaire d’un vaccin, il est censé exister un code pour le vaccin à l’origine de la blessure. C’est ainsi que l’on peut trouver cette information, comme les chercheurs peuvent le faire dans le cadre d’une étude. Si on connaît le code à rechercher, on peut extraire tous les dossiers médicaux qui présentent ce symptôme particulier avec cette cause et on peut monter une étude sur la base de ces informations, ou on peut solliciter le CDC ou l’OMS pour obtenir ces données. C’est là tout l’intérêt du codage international, qui permet de recueillir ces données. Mais au début, on ne demandait pas cela en amont. Il m’était presque impossible de le savoir. J’ai dû consulter les notes. Je devais littéralement parcourir 40 ou 50 pages de notes pour trouver l’endroit où le patient avait dit à l’infirmière ou au médecin: « J’ai reçu le vaccin COVID ».

Hôte: […] Permettez-moi donc de revenir au point précédent. Les gens disent qu’ils se présentent à l’hôpital et que la première chose qu’on leur demandait, c’est s’ils avait reçu le vaccin COVID ou non. S’ils avaient reçu le vaccin COVID, on les dirigeait d’un côté, s’ils n’avaient pas reçu le vaccin COVID, on les dirigeait ailleurs. Et des centaines et des centaines de personnes disent la même chose, dans différents États, il y a donc anguille sous roche. Ceux qui ne sont pas vaccinés sont directement placés dans un service COVID, Remdesivir, ventilation, mort. Très peu s’en sortent. Les vaccinés, dont certains reçoivent du Remdesivir, ne semblent jamais mourir, ils sont renvoyés chez eux et meurent peut-être d’autre chose, mais ils ne sont pas tués par les protocoles de l’hôpital. C’est ce que nous avons vu et une infirmière est venue nous dire que lorsqu’il y avait un décès chez une personne non vaccinée, il n’y avait pas dans la liste déroulante d’option pour indiquer qu’il s’agissait d’une personne non vaccinée…

Zoé: J’ai entendu la même chose et j’ai entendu dire que ça faisait partie du système Epic et c’est avec ce système que j’ai travaillé. En fait, j’ai travaillé sur le système Epic au sein de l’hôpital, j’ai aidé à le développer et à déterminer le genre de données que les médecins sont censés inscrire dans le dossier médical, cela faisait partie de mon travail. Je comprends donc parfaitement et j’ai entendu le témoignage de cette infirmière et je le crois tout à fait. Cependant, j’ignore quand ce changement s’est produit, car j’ai quitté l’hôpital en avril 2021 à cause des obligations vaccinales. J’ai refusé d’être vaccinée et de subir le test PCR, alors qu’on commençait à faire de la propagande même dans les messages sur l’intranet de l’hôpital, qui disait: « C’est vous le problème, vous travaillez à domicile, vous ne voyez jamais de patients mais c’est vous qui filez le COVID à grand-mère, vous devez vous faire vacciner ». L’assurance-maladie incite les hôpitaux à vacciner leur personnel sous peine de perdre des sommes considérables. Ils ont donc été incités à tenir ce discours et je savais que je n’obtiendrais pas d’exemption, alors j’ai démissionné à ce moment-là. C’était assez tôt. Le vaccin a été distribué en janvier – ou le 6 décembre en fait – mon hôpital a commencé à distribuer le vaccin le 6 décembre 2020 par le biais du drive-in et j’ai démissionné en avril 2021. Pendant cette période de quatre mois, il n’y avait ni listes déroulantes, ni questionnaire. Je l’aurais forcément constaté dans mon travail de tous les jours parce que je devais déterminer si le patient était positif au COVID ou non, et je devais examiner chaque dossier dans lequel je l’inscrivais, parce que c’était exigé par notre hôpital.

Hôte: Alors croyez-vous que les gens… les gens disent que leurs proches ont été tués dans des hôpitaux avec le protocole COVID – ce qui ne devrait évidemment jamais arriver. Les croyez-vous?

Zoé: À 100%. Je savais qu’on tuait des gens. Je savais qu’on tuait des gens à l’hôpital. La nuit, je pleurais jusqu’à ce que je m’endorme. Même en pensant à mon discours d’aujourd’hui – désolée. [pleurs] Il y avait tellement de morts. C’était pratiquement insupportable. Les hôpitaux sont devenus l’endroit où les gens allaient mourir et non plus l’endroit où les gens allaient se faire soigner. Ils séparaient les nouveau-nés de leur mère. Ils laissaient les gens mourir seuls sans pouvoir faire leurs adieux. Ils les droguaient et les attachaient et les gens mouraient sans avoir pu dire adieu à leur famille. Certains d’entre eux ont eu droit à un coup de fil. D’autres n’ont eu droit à rien. Certains sont morts bizarrement au milieu de la nuit, en présence d’une équipe réduite, des gens qui se portaient bien jusqu’à ce moment-là, puis tout d’un coup, du jour au lendemain, « Oh, ils sont morts, je ne sais pas ce qui s’est passé », ce qui n’était jamais arrivé avant le déploiement du protocole COVID en 2020. Alors oui, quand on dit qu’on a tué des gens, je suis d’accord. Et je disais aux gens, probablement à partir d’avril, de ne pas aller à l’hôpital, « on est en train d’y tuer des gens, évitez d’y aller, je ne comprends pas ce qui se passe. » Je ne savais pas ce qui se passait. Honnêtement, je ne savais pas que c’étaient les respirateurs, je ne savais pas que c’était le Remdesivir jusqu’à ce que je me penche sur la question plus tard et que j’arrive à relier tous les points. Mais je savais qu’on tuait des gens.

Hôte: Qu’en est-il des lésions dues aux vaccins? Qu’avez-vous constaté chez les personnes qui se sont fait vacciner?

Zoé: Des lésions massives… Je ne savais pas qu’il était possible pour un humain de mourir de façon aussi horrible et aussi rapide avant qu’on ne lance les injections d’ARNm. C’était de la folie pure. Je n’ai jamais rien vu de tel. Les patients, les plus atteints, étaient ceux qui, sous le nom de septicémie, souffraient d’une défaillance multiviscérale instantanée. En quelques heures, les patients mouraient d’une défaillance du foie, des poumons, des reins, d’une défaillance simultanée, d’une défaillance respiratoire. C’était comme si… d’après les dossiers de l’équipe d’urgence qui les a trouvés, c’est comme si leur corps essayait de tout rejeter. Dans certains cas, la famille était là 30 minutes avant, et une heure plus tard, ils étaient morts. [pleurs]

Et puis il y avait des patients qui arrivaient avec des crises d’épilepsie comme je n’en avais jamais vu auparavant. Nous ne parvenions pas à contrôler certains d’entre eux. Certains jours, les patients faisaient des crises qu’aucun médicament n’arrêtait et il fallait finalement les euthanasier.

On parlait d’encéphalite ou d’encéphalopathie, puis, plus tard, l’organisation d’information sur le codage AHIMA a admis qu’il s’agissait d’une « encéphalite associée au COVID-19 ». Il y avait des caillots sanguins, des accidents vasculaires cérébraux. Les caillots étaient insensés. Je n’avais jamais vu de tels caillots auparavant. Ni les radiologues d’intervention, qui travaillent sur des angiopathies et dans différents champs d’application qui leur permettent de faire des interventions cardiaques et de poser des endoprothèses dans l’artère carotide en cas d’accident vasculaire cérébral. Normalement, il est rare de poser plus d’une endoprothèse et ils ont documenté des interventions à plusieurs endroits à la fois. Il y avait des cas de crises cardiaques comme ça, où ils avaient besoin d’endoprothèses en quantités massives, ce qui ne leur était jamais arrivé. Des personnes d’une vingtaine d’années, qui faisaient de la randonnée, qui étaient en parfaite santé et qui couraient des marathons, ont soudain dû être amputées d’une jambe à cause d’un énorme caillot sanguin qui partait de leur hanche et descendait tout le long de leur jambe, qui ne pouvait pas être sauvée. Voilà ce qui se passait.

Il y a eu des cas de gangrène spinale du jour au lendemain, ce que je n’avais jamais vu auparavant, et on ne peut pas amputer la colonne vertébrale. En cas de gangrène, on coupe normalement les tissus qui meurent de cette manière, afin d’éviter toute infection supplémentaire, mais là ils ne savaient pas quoi faire. Tout ce qu’ils pouvaient faire, c’est remplacer cette partie de la colonne vertébrale par un implant – c’est le mieux qu’ils pouvaient faire.

Oui, c’était vraiment intense et je n’ai pas remis en question les vaccins autant que j’aurais dû. J’ai commencé à m’interroger sur le vaccin contre la grippe en 2004, mais avec la pression exercée pour se faire vacciner contre le COVID-19, j’ai commencé à étudier les risques et j’ai su que je ne voulais rien avoir à faire avec ce truc expérimental à base d’ARNm. Et lorsque j’ai commencé à m’intéresser aux experts qui disaient que ce vaccin potentiel pouvait avoir des effets, que les recherches le démontraient, j’ai examiné les essais de vaccins et ce qui arrivait aux patients, le Guillain-Barré et les accidents vasculaires cérébraux qui se produisaient. J’ai donc su ce qu’il fallait surveiller lorsque le vaccin a été mis sur le marché mais les médecins étaient stupéfaits. Ils n’arrivaient pas à faire le lien. Mais pour moi, en connaissant les causes ou les symptômes potentiels d’une lésion due à ce vaccin, nous avons eu à 100% tout ce que je viens de décrire. Mais les médecins ne vous le diront jamais, ils diront simplement qu’il s’agissait d’un accident vasculaire cérébral, d’une crise cardiaque, d’un caillot de sang et ils ne feront jamais le lien entre les deux.

Hôte: Y a-t-il quelque chose qui vous inciterait à recevoir un vaccin, quel qu’il soit, à l’avenir ?

Zoé: Il faudrait qu’ils me tuent. Rien, rien ne me fera accepter un vaccin. Plus aucun type de vaccin. Plus de vaccins.

Hôte: Avez-vous eu le COVID ?

Zoé: Non, je n’ai jamais eu le COVID. J’ai eu un rhume une fois en quatre ans, j’appelle ça un rhume parce que ça ressemblait à un rhume. Je n’ai pas perdu mon odorat. Je n’étais même pas très mal en point, j’ai juste eu des reniflements pendant quelques jours. Ce n’était vraiment pas très grave. Mais je prends du zinc, de la vitamine C et du glutathion tous les jours, je mange sainement et j’essaie de prendre soin de moi, alors…

Hôte: Voulez-vous ajouter quelque chose à votre histoire? Voulez-vous dire quelque chose d’autre?

Zoé: Je ne sais pas.

Hôte: Emmèneriez-vous quelqu’un que vous aimez à l’hôpital?

Zoé: Non. C’est une question très difficile parce que j’aimerais dire non à 100%, mais il y a des exceptions où si on a une blessure grave ou un bras cassé, un médecin holistique ne pourra pas le soigner de la même façon selon le type de fracture. Il ne sera peut-être pas en mesure d’établir un diagnostic. Mais si on se présente à moi avec une aiguille, quelle qu’elle soit, je n’ai pas du tout confiance, je ne fais pas confiance aux tests PCR, je ne laisserai pas un médecin essayer de me diagnostiquer sur base de ces tests. Il faudrait que je connaisse le médecin ou l’équipe soignante de cet hôpital. Il faudrait que je les évalue. Et mon père aura probablement besoin de soins bientôt, alors je fais de mon mieux pour essayer de le garder à la maison.

Hôte: Avez-vous retrouvé un emploi?

Zoé: Non, je n’ai pas travaillé depuis trois ans. J’ai essayé de ne pas retourner dans le secteur des soins de santé parce que je savais que je n’obtiendrais pas d’exemption. J’essaie d’y retourner maintenant et ils exigent toujours… il est même indiqué dans certaines descriptions de poste que le COVID-19 sera toujours exigé et qu’il y a très peu d’exemptions permises et que tous les autres vaccins sont toujours exigés. Il y a donc peu de chances que j’obtienne un emploi dans le secteur de la santé vu cette exigence.

Je voulais cultiver des produits alimentaires et peut-être travailler avec des animaux comme je le faisais avant de me lancer dans les soins de santé, mais il est très difficile d’y accéder. Il n’y a pas grand-chose sur le marché et je suis une femme, alors apparemment je ne suis pas du bon genre pour me lancer dans l’agriculture, le travail avec les animaux ou la culture des légumes, je ne sais pas.

Hôte: Nous allons arrêter ici. Écoutez, merci d’être si courageuse. Est-ce la première fois que vous en parlez publiquement?

Zoé: Oui.

Hôte: Merci de l’avoir fait. C’est une information très importante que vous nous donnez. Nous vous en sommes très reconnaissants. Merci.


Transcription

Zoe: I was going to say this is like the strangest location for this particular event I can think of.

Host: We’re live now. Okay. All right everybody. So we have a very special guest here with us now. A little nervous because what she’s going to say I think is, you know, important. So tell us your name first.

Zoe: Zoe.

Host: Okay, Zoe. And what do you do?

Zoe: I’m a medical coder.

Host: And what does that mean?

Zoe: I call it the central intelligence of the hospital or the SimCity level view. What it is is you look at medical records, every kind of medical record, all the diagnostics, and you take that information and you put it into a code which goes to insurance. And that’s how hospitals and positions get paid. So if I do my job right, then the position and the hospital make the most money and they don’t get sued for fraud.

Host: Okay. We have to start with what on Earth went on with the hospital COVID protocols because we’ve had more stories of that than anything else as we tour around. So what were you seeing?

Zoe: I noticed there was hardly any patients when they called the emergency pandemic and there was two weeks to flatten the curve. We didn’t have patients in the hospital at that time. They slowly started to trickle in maybe after months and months of that. We were told to basically create beds for hospitals with the executive orders, which meant we sent patients home before they were actually ready to go home, which we had never done before because that’s a financial liability. We can actually… if patients come back, we would have to pay for their care. It’s a Medicare rule. So that was definitely very different.

There was some financial stuff that happened because in April they had a code update, which they had never done before. They had to come up with a way to track COVID. So it was all about tracking the disease, tracking COVID, and the code system is supposed to be the main tracking system. So no one had any standardized practice. Even our hospital said there’s no standardized case number so we can’t even tell what’s going on, even though there had already been declared an emergency. And you could see the HHS and the WHO and all of those case maps that showed us all the outbreaks, well, definitely didn’t match up with what we were seeing in the hospital and even the admin admitted that. So they created their own map. So that was sort of why the COVID diagnosis came out.

But that’s when the bonuses came out too. They had to have that diagnosis in order to get the 20% bonus for COVID patients. So any patient that was admitted that had a COVID diagnosis, they got a 20% bonus for that. If they were put on Remdesivir, that was a new technology and new tech codes can apply for an additional 20% bonus in payment because of the risk of an unproven technology.

So Remdesivir, Gilead had actually applied for a new tech bonus payment for Remdesivir. So the new code was created for Remdesivir in April. And that’s actually what launched the hospital protocols. Because people were actually doing well when they were treating them with hydrochloroquine, which came from Operation Warp Speed actually, and the national stockpile of hydroxychloroquine. Hospitals got a free donation of that right at the end of March. And then three days later, a few days later, April 1st, the new diagnosis came out, the bonus for Remdesivir came out and it was like a line in the sand. We stopped azithromycin and hydroxychloroquine and we went straight to Remdesivir where we got the bonus.

And then of course we got a 20% bonus for putting patients on a ventilator also. Also the other part of that was the PCR tests. So I noticed it – I actually worked in a hospital university lab for a long time. My mom was a medical technologist, that was her profession my whole life. And I had actually run at one point the rapid, they used to call it a rapid flu test way back in like 2004 when I was working in a lab. And that was the prototype for the COVID-19 PCR test. It’s basically a PCR test, but it’s not quite the same methodology of how you do the cycle threshold thing.

So when the COVID-19 test came out, there was a whole thing that happened with that too. And that sort of came with bonuses and incentives also that were not super easy to see on the surface. But what happened was the CARES Act provided money for all the COVID-19 PCR testing. So normally testing cost hospitals money and so they don’t like to do a whole lot of diagnostic testing to identify a virus or do cultures or anything necessarily. They actually start treatment before they know what pathogen they’re dealing with and then they may do identification later after they start an antibiotic or whatever preliminary treatment they’re going to do. Initially with PCR tests, I don’t know if you remember, they had like a tent set out where people could go and get PCR testing, but you had to have symptoms at that time. You couldn’t just… They were saying there was like a shortage of testing and it took, I don’t know, maybe a month or so until they started screening everybody.

Well, when they went from you had to have symptoms to get the PCR test, there was hardly any patients that had it, and then when they switched to now it’s readily available, the CDC says that every hospital can do their own testing. And so we brought it in-house and hospitals didn’t have to send it to a different lab and wait a week to get the results back, then we could do it all the time. So then 80% of our patient population became COVID positive, whether they had symptoms or not.

And that had never happened before that, we had never used that test as a screen before, it had always been like a confirmatory test – like you had to have symptoms and the doctor had to not know which kind of disease they were dealing with and then they do some sort of test to figure out why aren’t you getting better with the treatment. So that policy completely changed and there was a bonus to getting the COVID patients. So that’s ultimately…

Host: We had people telling us they’re going for a broken leg or something completely different and then they would be…

Zoe: 100%.

Host: … before they knew it on a COVID ward because they would, and then we had a nurse telling us…

Zoe: Yeah, because they would screen patients in the hospital for COVID. They would come in for gallbladder removal or broken leg or a motorcycle accident or car accident or anything else. And while they were in the hospital, they would do the screen and if they came up COVID-19 positive, that’s when they would start the treatment and they would put them on the ventilator fairly soon, they would start the Remdesivir and then they would have kidney failure and pulmonary edema and they would just circle the drain and it was like nothing that the hospital could do would save them. I’ve never seen anything like that. That is not how a normal flu case would progress and that’s not how a normal pneumonia case would progress. Before 2020, if patients came into the hospital with the flu or with pneumonia, they would tend to get better within three days and go home. Hardly ever would we have an inpatient admission for flu. Pneumonia, yes. Flu almost never. And if they did, I mean they were elderly and they had a lot of other things like organ failure or heart failure or cancer going on and flu was just the last thing that was going on after a bunch of other things. It wasn’t just flu.

But for COVID, at first it was elderly patients that I noticed that had symptoms and then it started to get to be younger and younger people that actually had symptoms because I wasn’t even paying attention anymore to if they were COVID positive or not. I was paying attention to, did this patient come into the hospital with symptoms? Did they have some sort of cold or flu type thing or pneumonia type thing going on before they came into the hospital? Because at some point the hospital sent out, like we have, whether you work on site or whether you work remote in almost any hospital, they have some sort of like an intranet for employees and it’s like your very own home page that everyone sees when you log in every time you go to the computer. So that’s where they put the messaging, the leaders put the messaging. So that’s where like our case chart would be, how many COVID cases we had. At one point they sent out a message that said the FIO2 settings on the ventilators had been killing people and we don’t know how to treat COVID so we were trying these ventilator settings thinking that that was how we were going to treat COVID but apparently the FIO2 setting was actually killing people on the vents. So we’re going to stop doing that. We learned that that was not working and so we’re going to adjust it and we’re sorry. And I was shocked by that because I had already started to hear rumors that patients were being killed on ventilators in the hospital which made sense to me because we had never had a flu case or a pneumonia case where someone’s on a vent for a month and we can’t save them. That had never happened before. Usually maybe 24 to 48 hours and they’re talking, let’s pull the plug or you know get them out of the hospital and get them into some long-term nursing care setting.

Host: Okay, let’s just go back a little bit. I want to go back to PCR tests. We had a nurse on this bus telling us that the patient would come in and they would be told from above, whoever the above person is, to keep testing until they got a positive.

Zoe: Yeah, they did that. It was like they were playing roulette and the doctors would even put in the documentation: « I don’t understand this. It’s like the patient doesn’t have anything I can treat. I keep doing the PCR test. It keeps coming up positive and they have nothing wrong », that would happen. They would do like six, seven, eight tests and it would be positive but the patient would have nothing wrong with them and the doctor would be really confused. Sometimes they would do, you know, four or five tests and they would get a bunch of negatives and then they would get one positive and they would take the positive and then treat the patient for COVID. So it was like playing roulette.

Even the doctors, different doctors were documenting: « I’m not sure I trust this test so let’s just run it again and see what I get this time. »

Host: Now let’s talk about Remdesivir. Talk me through once more how we came to prescribing an emergency use authorization thing for people with COVID that shuts down their organs which is what we’ve been hearing over and over again.

Zoe: It was really interesting. I don’t know how it came to be approved. I wasn’t privy to that. I looked it up later but when the new diagnosis code came out and also the code for Remdesivir which created the 20% bonus for it, we started prescribing it and the hospital had a protocol about Remdesivir. They knew that it caused kidney damage. It said right up front, it causes kidney damage. But the thing is all the propaganda, and I call it propaganda intentionally, was saying COVID-19 also causes kidney failure and in the hospital kidney failure is a very common thing. We call it AKI or acute kidney injury and so that was something that we saw every day – it was normal, a normal thing that we would treat. So it would be normal for us to see that and think, « Well we’re just dealing with kidney failure, it’s just something that happens to people sometimes » and especially when they started programming us with, well, COVID causes kidney failure. But Remdesivir also caused kidney failure and they had to do an infectious disease consult and a renal consult before a patient could go on Remdesivir and if they had chronic kidney disease stage three or higher, they would be disqualified from receiving Remdesivir. And we had to document like a permission slip and a informed consent form and put that all in their medical record and then they would administer the Remdesivir and sometimes there was one dose, sometimes there was a few doses but they all ended up with kidney failure within a few days.

Some patients ended up going home with home dialysis prescriptions, some patients ended up on a kidney transplant list, some patients ended up with chronic kidney disease after they were given Remdesivir – if they survived – and a lot of patients ended up with COVID pneumonia which is apparently Remdesivir causes the kidneys to shut down and when the kidneys shut down, they regulate fluid levels and when you can’t get rid of fluid in the body, it builds up and it comes up from the abdomen area and then it goes through the diaphragm and it can get into the lungs which we were calling pleural effusions or which we also on x-ray, it looks like what we would call pneumonia. So we called it COVID pneumonia but if you look at the chest x-ray of a patient with pulmonary edema versus COVID pneumonia, they’re almost identical. And providers, even though they knew Remdesivir had this risk to the kidneys, they never connected that that might be causing patients to have kidney failure after they administered it. They just thought it was COVID.

Host: But it’s just the money. I mean the minute they saw they got bonuses from the PCR tests…

Zoe: Yeah.

Host: It was money, it was money, it changed, the whole thing changed.

Zoe: The whole thing, yeah.

Host: Right. I have to ask you another question. So we’ve had hundreds of COVID protocol deaths situations and you’re sitting in the memorial right now and you can see them all.

Zoe: I know.

Host: They’re all unvaccinated so the first, this is the thing we’re trying to get to the bottom of, we have people that come in and the first thing that’s asked in hospitals « Are you vaccinated or unvaccinated? » In other words did you take the COVID shot or did you not?

Zoe: They weren’t asking that in my hospital. It was almost impossible to figure out at first. It was like they didn’t want us to know. And I know from the medical coding thing working with emergency room that one of the things that we need to gather information on is if a patient was injured, where did that come from? There’s actually a code for that. If there’s a side effect of a vaccine, there’s supposed to be a code for which vaccine the injury came from. And that’s how they can look it up, like researchers can look it up as part of a study. If you know which code to look for you can pull every medical record that has that particular symptom with that cause and you can put a study together with that information, you can solicit the CDC or the WHO to get that data. That’s the whole point of coding internationally, it’s to capture that data. But they weren’t asking that on the front end at first. It was almost impossible for me to find out. I had to look into the notes. I had to go through literally 40, 50 pages sometimes of notes to find where the patient told the nurse or the doctor « I received the COVID vaccine ».

Host: […] So let me go back to where we were. What people are saying, they’re saying that they’re going in, the first thing they’re asked is if they’ve taken the COVID shot or not. If they have taken the COVID shot, they go one way, if they haven’t taken the COVID shot they go another way. And this is hundreds and hundreds of people saying the same thing in different states so there’s something going on. So the ones that are not vaccinated get taken straight into a COVID ward, Remdesivir, vent, death. Very few got out of that. The vaccinated, some of them do get Remdesivir but they never seem to die, they get sent home and maybe they die at home of something else but they’re not killed by the hospital protocols. That’s what we’ve seen and one nurse came and told us that when there was a death from the unvaccinated, there was no drop down to put in that this was an unvaccinated…

Zoe: I had heard that too and I had heard that that was in the Epic system and that’s what I worked with. I actually worked in the Epic system, like within the hospital helping to develop that and figure out, you know, which kind of things do we want to prompt the doctor to put in the medical record, that was part of my job. So totally understand and I had heard that nurse actually give that testimony and I can totally believe that. However I wonder when that switch happened because I quit working for the hospital in April of 2021 over the vaccine mandates. I would not be vaccinated and I would not be PCR tested and they were even starting to put propaganda in the hospital messaging on the intranet saying « It’s you that’s the problem, you’re working from home, you never see patients but you’re the one giving COVID to grandma so you need to get vaccinated ». And there’s a Medicare incentive that they actually get money if they vaccinate their staff and there’s a massive amount of money they would lose out on if they didn’t vaccinate their staff. So they were incentivized to say that and I knew I wasn’t going to be able to get an exemption so I quit at that time. That was pretty early on. They might have switched it after that because I feel like from… so the vaccine went out in January – or December 6 actually – December 6, 2020 was when my hospital started giving out the vaccine through the drive-through and then I quit in April 2021. So that was only a four month period and during that time they didn’t have drop downs, they didn’t have a questionnaire because that’s something that I would have had to look at in my everyday job because I had to identify, is this patient COVID positive, are they not, and I had to look at, you know, every single record that I put that on with, our hospital wanted us to verify that.

Host: So do you believe that people were… the people are saying that their loved ones were killed in hospitals with COVID protocol and that should never happen obviously. Do you believe them?

Zoe: 100%. I knew they were killing people. I knew they were killing people in the hospital. I would cry myself to sleep at night. Even thinking about giving my speech today – sorry. [cries] There was so much death. It was almost unbearable. Hospitals became the place where people go to die instead of the place where people go to get better. They separated newborns from their moms. They let people die alone without being able to say goodbye. They drugged them and they strapped them down and people died without being able to say goodbye to their family. Some of them just got a phone call. Some didn’t get anything. Some of them just weirdly died in the middle of the night when there was a skeleton crew on and they had been doing fine up until that point and then just all of a sudden, overnight, they just « Oh they crashed, I don’t know what happened » and that had never happened before the COVID protocol rolled out in 2020. So yeah, when they say they killed people I agree with them. And I told people from probably April on, don’t go to the hospital, they’re killing people in there, stay away, I don’t know what’s wrong. I didn’t know what was doing it. I honestly didn’t know it was the vents, I didn’t know it was the Remdesivir until I looked into it later and I was able to kind of connect all the dots. But I knew they were killing people.

Host: What about vaccine injury? The ones that actually took the shots, what did you see there?

Zoe: Massive… I didn’t know it was possible for a human to die so horrifically and so quickly before they rolled out the mRNA injections. It was insane. I’ve never seen anything like that. Patients, the worst of them, were the ones, they called it sepsis but it was like instant multi organ failure – like within hours patients would die of liver, lung, kidney, all-at-once failure, respiratory failure. It was like… there’s some of the records that emergency crew that found them, it’s like their body tried to reject everything. And some of these cases, like their family would be there 30 minutes before and then within an hour they’re dead. [cries]

And then there were patients coming in with seizures like I’ve never seen before. We couldn’t control some of them. Days patients would be seizing and no medications would stop it and eventually they kind of had to be put down.

They called it encephalitis or encephalopathy and then later on they even the coding information organization AHIMA admitted « COVID-19 associated encephalitis ». There were blood clots, strokes. The clots were insane. Never seen clots like that before. Even the interventional radiologists that were going in with, you know, they have angiopathies and, you know, different scopes where they can do like heart interventions and put stents in like a carotid artery if you have a stroke going to your brain. Normally it’s rare to have more than one stent go in and they were documenting, you know, multiple locations all at once. They had heart attack cases that were like that, where they, you know, they needed massive amounts of stents that they never needed before. There were people in their 20s that have been hiking, that were totally healthy had been running marathons, that suddenly needed a leg amputated because they had a massive blood clot going from their hip all the way down to their leg and it couldn’t be saved. So that happened.

There were some cases of overnight spinal gangrene which I’ve never seen before and you can’t amputate, you know, the spine. When it goes gangrenous normally they cut out tissue that’s dying like that, so it prevents further infection and they didn’t know what to do. The only thing they could do was, you know, basically replace that part of their spine with an implant – that’s the best they could do.

Yeah, it was really intense and I didn’t question the vaccines as much as I should have. I started to about the flu shot way back in 2004 but with the pressure to get the COVID-19 shot I started looking into what it could do and I knew I didn’t want anything to do with this experimental mRNA thing. And when I started looking into the experts that were saying, well this is what this potential vaccine could do, this is what the research says, I was looking at the vaccine trials and what’s happening to those patients and the Guillain-Barré that was happening and the strokes that were happening. And so I kind of knew to look for that when the vaccine came out and the doctors were, you know, baffled. They weren’t connecting the dots. But to me, knowing what the potential causes or potential symptoms of a vaccine injury could be, we 100% had all the things that I just described. But doctors would never tell you that, they would just say it’s a stroke, it’s a heart attack, it’s a blood clot and they would never connect the two.

Host: Is there anything that would make you take a vaccination of any kind ever again?

Zoe: They would have to kill me. Nothing, nothing would make me take it. Not any more kinds. No more vaccines.

Host: Did you have Covid?

Zoe: Nope, I’ve never had Covid. I had a cold once in four years, I call it a cold because it felt just like a cold. I didn’t have like, I lost my sense of smell. It felt just, I wasn’t even really down that bad, I just, you know, got the sniffles for a couple days. Really it wasn’t that bad. But I take zinc and vitamin C and glutathione every day and I eat clean, try and take care of myself so…

Host: Is there anything else you want to add to the story? Anything else you want to say?

Zoe: I don’t know.

Host: Would you take someone you love into hospital?

Zoe: No. I mean, that’s a really hard question because I want to say 100% no, but there are some exceptions where, you know, if you have a massive injury where your arm is broken, you know, like a holistic doctor isn’t going to be able to set it in the same way depending on what kind of a break it is. You might not be able to do the diagnostics. But them coming at me with a needle of any kind, I don’t really trust it, I don’t trust PCR tests, I’m not going to let a doctor try and diagnose me based on that. I would have to know the doctor or the care team of that hospital. I would have to vet them. And my dad’s, you know, probably going to need care soon so I’m working as best I can to try and keep him at home.

Host: Are you employed again?

Zoe: No, I have not worked in three years. I have tried not to go back into health care because I knew I wasn’t going to get an exemption. I’m kind of trying to go back into it now and they’re still requiring – it even says right in some of the the job descriptions that covid-19 is still going to be required and there are very limited exemptions allowed and then all the other vaccines are still required. So probably not a good chance that I would get a job in health health care if that’s part of it.

I wanted to grow food and maybe work with animals like I did before I went into health care but that’s been really hard to get into. There’s not a lot out there and I’m a woman so apparently I’m the wrong gender to start farming or working with animals or growing vegetables, I don’t know.

Host: We’ll stop. Listen, thank you for being so brave. And is this the first time you’ve spoken publicly about that?

Zoe: Yes.

Host: Thank you for doing that. It’s very important information that you have. We really appreciate it. Thank you.

L’ARNm est un agent cancérigène de classe 1 – par le Dr Ian Brighthope.

Source.


L’ARNm est un agent cancérigène de classe 1

Aujourd’hui, au nom de mes amis professionnels et de mes collègues médecins, je déclare que les vaccins ARNm sont des cancérigènes de classe 1. L’ARNm est également un mutagène à large spectre. L’ARNm doit être interdit au niveau international.

Ian Brighthope

17 avril 2024

Cancérogènes

Les agents cancérogènes sont des substances, des organismes ou des agents capables de provoquer un cancer en altérant les mécanismes cellulaires, génétiques et épigénétiques de l’organisme, entraînant la transformation de cellules normales en cellules cancéreuses[2][7]. Ces agents peuvent être des substances chimiques, des virus ou même certains types de radiothérapies utilisées pour traiter le cancer[1]. Les agents cancérogènes peuvent être présents naturellement dans l’environnement, comme les rayons ultraviolets du soleil ou certains virus, ou être générés par les activités humaines, comme les gaz d’échappement des automobiles et la fumée de cigarette[2].

Le processus de cancérogénicité, également connu sous le nom de cancérogenèse ou de genèse des tumeurs, implique de multiples étapes au cours desquelles les cellules normales subissent une série de changements aux niveaux cellulaire, génétique et épigénétique, entraînant une division cellulaire anormale et la formation d’un cancer[16]. Ce processus se caractérise par:

1. Initiation: La première étape consiste à endommager directement l’ADN à l’intérieur d’une cellule par l’agent cancérigène, ce qui conduit à un ADN anormal qui ne fonctionne pas correctement. Ces dommages peuvent être causés par des substances chimiques, des virus ou des radiations[1]

2. Promotion: À la suite d’une lésion de l’ADN, l’organisme tente de réparer l’ADN endommagé. Cependant, les dommages causés par l’agent cancérigène interfèrent parfois avec les processus de réparation, ce qui entraîne d’autres anomalies[16].

3. Progression: Au fil du temps, l’accumulation d’altérations génétiques et épigénétiques perturbe l’équilibre normal entre la prolifération cellulaire et la mort cellulaire programmée (apoptose), ce qui entraîne une division cellulaire incontrôlée et l’évolution des cellules cancéreuses[16].

Les substances cancérogènes ne provoquent pas nécessairement le cancer dans tous les cas ou dans toutes les circonstances. Des facteurs tels que la quantité et la durée de l’exposition, le patrimoine génétique de l’individu et l’exposition à d’autres facteurs environnementaux jouent un rôle important pour déterminer si une personne exposée à un agent cancérigène développera finalement un cancer[1][5]. En outre, toutes les mutations provoquées par les substances cancérogènes ne conduisent pas au cancer; seules certaines mutations dans des gènes spécifiques qui régulent la croissance cellulaire, l’apoptose et la réparation de l’ADN peuvent entraîner une prolifération cellulaire incontrôlée et un cancer[16].

Les substances cancérogènes peuvent être classées, en fonction de leur mode d’action, en substances cancérogènes génotoxiques et non génotoxiques. Les cancérogènes génotoxiques interagissent directement avec l’ADN et/ou l’appareil cellulaire, affectant l’intégrité du génome, tandis que les cancérogènes non génotoxiques exercent leurs effets par des mécanismes qui n’impliquent pas de dommages directs à l’ADN[12]. Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) classe les substances cancérogènes en catégories en fonction de la solidité des preuves de leur cancérogénicité pour l’homme, allant de « cancérogène pour l’homme » (groupe 1) à « non classable quant à sa cancérogénicité pour l’homme » (groupe 3)[7].

En résumé, les substances cancérogènes sont des agents susceptibles de provoquer un cancer par le biais d’un processus à plusieurs étapes impliquant l’altération des mécanismes cellulaires et génétiques, conduisant à la transformation de cellules normales en cellules cancéreuses. Le potentiel cancérogène d’une substance dépend de divers facteurs, notamment le type d’exposition, les prédispositions génétiques et la présence d’autres facteurs de risque.

Du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC)

Les monographies du CIRC identifient les facteurs susceptibles d’augmenter le risque de cancer chez l’homme, y compris les facteurs liés au mode de vie.5-7 Des groupes de travail interdisciplinaires composés d’experts scientifiques examinent les études publiées et évaluent le poids de la preuve qu’un agent peut augmenter le risque de cancer. Les agents sont ensuite classés comme cancérogènes, probablement ou peut-être cancérogènes, ou non cancérogènes pour l’homme, en fonction de la solidité des preuves.

Les preuves de la cancérogénicité des agents provenant d’études sur l’homme sont classées en quatre catégories par le groupe de travail du CIRC:90

  • Preuves suffisantes de cancérogénicité (classification la plus élevée du CIRC pour la cancérogénicité): Le groupe de travail considère qu’une relation de cause à effet a été établie entre l’exposition à l’agent et le cancer chez l’homme. Cela signifie qu’une relation positive a été observée entre l’exposition et le cancer dans des études où le hasard, les biais et les facteurs de confusion ont pu être exclus avec une confiance raisonnable.
  • Preuves limitées de cancérogénicité (association positive): Une association positive a été observée entre l’exposition à l’agent et le cancer, pour laquelle une interprétation causale est jugée crédible par le groupe de travail, mais le hasard, le biais ou la confusion n’ont pas pu être écartés avec un degré de confiance raisonnable.
  • Preuves de cancérogénicité insuffisantes: Les études disponibles sont d’une qualité, d’une cohérence ou d’une puissance statistique insuffisantes pour permettre de conclure à la présence ou à l’absence d’une association causale entre l’exposition et le cancer, ou aucune donnée sur le cancer chez l’homme n’est disponible.
  • Preuves suggérant l’absence de cancérogénicité: Il existe plusieurs études adéquates couvrant toute la gamme des niveaux d’exposition auxquels l’homme est susceptible d’être exposé, qui sont toutes cohérentes et ne montrent pas d’association positive entre l’exposition à l’agent et l’un des cancers étudiés, quel que soit le niveau d’exposition observé.

Le groupe de travail du CIRC prend également en compte l’ensemble des preuves afin de parvenir à une évaluation globale de la cancérogénicité de l’agent pour l’homme. La classification d’un agent dans l’un des quatre groupes suivants est une question de jugement scientifique qui reflète la force des preuves dérivées d’études chez l’homme et chez l’animal de laboratoire, ainsi que de données mécanistiques et d’autres données pertinentes:90

  • Cancérogène du groupe 1: L’agent est cancérogène pour l’homme. Cette catégorie est utilisée lorsqu’il existe des preuves suffisantes de cancérogénicité chez l’homme.
  • Groupe 2: Groupe 2A (probablement cancérogène pour l’homme) ou Groupe 2B (peut-être cancérogène pour l’homme). Cette catégorie comprend les agents pour lesquels, à un extrême, le degré de preuve de cancérogénicité chez l’homme est presque suffisant, ainsi que ceux pour lesquels, à l’autre extrême, il n’y a pas de données humaines mais pour lesquels il existe des preuves de cancérogénicité chez les animaux de laboratoire.
  • Groupe 3: l’agent ne peut être classé quant à sa cancérogénicité pour l’homme. Cette catégorie est le plus souvent utilisée pour les agents pour lesquels les preuves de cancérogénicité sont insuffisantes chez l’homme et insuffisantes ou limitées chez les animaux de laboratoire.
  • Groupe 4: l’agent n’est probablement pas cancérogène pour l’homme. Cette catégorie est utilisée pour les agents pour lesquels il existe des preuves suggérant l’absence de cancérogénicité chez l’homme et chez les animaux de laboratoire.

Remarque : cette prise de position n’inclut pas les agents pour lesquels les preuves de cancérogénicité sont insuffisantes ou les preuves suggérant une absence de cancérogénicité, ni les agents qui ont été classés dans une catégorie inférieure au groupe 1 par le groupe de travail du CIRC.

Fonds mondial de recherche sur le cancer (WCRF) et Institut américain de recherche sur le cancer (AICR)

Le rapport 2007 du WCRF et de l’AICR intitulé Food, Nutrition, Physical Activity and the Prevention of Cancer: a Global Perspective (Alimentation, nutrition, activité physique et prévention du cancer: une perspective mondiale) et les mises à jour ultérieures spécifiques aux tumeurs sont basés sur des analyses systématiques de la littérature scientifique concernant l’alimentation, la nutrition et l’activité physique.8-15 Un groupe d’experts a jugé et classé les preuves comme convaincantes, probables, limitées ou peu susceptibles d’affecter le risque de cancer, et a élaboré des recommandations visant à réduire l’incidence du cancer.

Les groupes d’experts du WCRF et de l’AICR se sont prononcés sur la causalité de la maladie en se fondant sur l’évaluation d’analyses systématiques de la littérature menées de manière indépendante. Le groupe d’experts du WCRF et de l’AICR a classé les preuves en cinq catégories:8

  • Preuves convaincantes: Il s’agit du niveau le plus élevé attribué par le groupe d’experts du WCRF et de l’AICR, pour des preuves suffisamment solides pour étayer un jugement sur une relation causale convaincante, qui justifie des objectifs et des recommandations visant à réduire l’incidence du cancer.
  • Preuves probables: Il s’agit du deuxième niveau le plus élevé attribué par le groupe d’experts du WCRF et de l’AICR, pour des preuves suffisamment solides pour étayer un jugement sur une relation causale probable, qui justifierait généralement des objectifs et des recommandations visant à réduire l’incidence du cancer.
  • Limité – preuves suggestives: Ces critères s’appliquent aux preuves qui sont trop limitées pour permettre un jugement causal probable ou convaincant, mais où il existe des preuves suggérant une direction d’effet.
  • Limité – pas de conclusion: Les preuves sont si limitées qu’aucune conclusion ferme ne peut être tirée. Cette catégorie est destinée à autoriser toute exposition pour laquelle les données sont suffisantes pour justifier l’examen du groupe, mais pour laquelle les preuves sont insuffisantes pour permettre un classement plus définitif.
  • Effet substantiel sur le risque improbable: Les preuves sont suffisamment solides pour permettre de juger qu’il est peu probable qu’une exposition particulière à un aliment, à une nutrition ou à une activité physique ait une relation causale substantielle avec un résultat cancéreux.

Remarque: cette prise de position n’inclut pas les agents pour lesquels le groupe d’experts a jugé que les preuves étaient limitées – pas de conclusion ou effet substantiel sur le risque improbable.

COMMENTAIRE:

Décidez vous-mêmes du niveau de cancérogénicité qui caractérise l’ARNm.

Professeur Ian Brighthope

Cliquez pour l’article complet:

[NdT. un des auteurs est le Dr Fukushima, publié ici et ici]

Augmentation de la mortalité par cancer ajustée à l’âge après la troisième dose de vaccin à base de nanoparticules lipidiques d’ARNm au cours de la pandémie de COVID-19 au Japon

Résumé
Au cours de la pandémie de COVID-19, la surmortalité, notamment par cancer, est devenue préoccupante au Japon, où la population vieillit rapidement. Cette étude visait donc à évaluer l’évolution des taux de mortalité corrigés de l’âge (TMA) pour différents types de cancer au Japon pendant la pandémie de COVID-19 (2020-2022). Les statistiques officielles du Japon ont été utilisées pour comparer les TMA annuels et mensuels observés avec les taux prédits sur la base des chiffres antérieurs à la pandémie (2010-2019) à l’aide d’une analyse de régression logistique. Aucune surmortalité significative n’a été observée au cours de la première année de la pandémie (2020). Toutefois, une surmortalité par cancer a été observée en 2021 après la vaccination de masse avec la première et la deuxième dose de vaccin, et une surmortalité significative a été observée pour tous les cancers et certains types spécifiques de cancer (notamment le cancer de l’ovaire, la leucémie, le cancer de la prostate, le cancer des lèvres/de la bouche/du pharynx, le cancer du pancréas et le cancer du sein) après la vaccination de masse avec la troisième dose en 2022. Les TMA pour les quatre cancers les plus meurtriers (poumon, colorectal, estomac et foie) ont affiché une tendance à la baisse jusqu’à la première année de la pandémie en 2020, mais le taux de diminution s’est ralenti en 2021 et 2022. Cette étude examine les explications possibles de ces augmentations des taux de mortalité par cancer ajustés en fonction de l’âge.

La littérature sur le TURBO CANCER augmente rapidement – 6 nouveaux articles sur le Turbo Cancer dû au vaccin COVID-19 publiés en avril 2024 – 26 au total – le barrage se rompt et il emportera Pfizer et Moderna avec lui.

CONCLUSION

Des augmentations statistiquement significatives des taux de mortalité ajustés en fonction de l’âge pour tous les cancers et certains types spécifiques de cancer, à savoir le cancer de l’ovaire, la leucémie, le cancer de la prostate, le cancer des lèvres/de la bouche/du pharynx, le cancer du pancréas et le cancer du sein, ont été observées en 2022 après que les deux tiers de la population japonaise eurent reçu la troisième dose ou une dose ultérieure du vaccin ARNm-NPL contre le SARS-CoV-2. Ces augmentations particulièrement marquées des taux de mortalité de ces cancers sensibles aux ERα peuvent être attribuées à plusieurs mécanismes de la vaccination ARNm-NPL plutôt qu’à l’infection par COVID-19 elle-même ou à une réduction des soins anticancéreux due au confinement.

Commentaire du Dr John Campbell:

Ce ne sont ni les virus, ni le changement climatique, ni le cancer – par Miriam Finch.

Cet article de Miriam Anne Finch traite de la vraie raison de la soumission à la tyrannie – voir également le précédent. J’avais un article en suspens sur ce thème précis – avec, comme d’habitude, pas le temps de le finir – où j’en arrivais exactement à la même conclusion. Y’a pas de raison, je lui pique donc le sien. Comme nos pensées sont assez similaires, il y en aura d’autres.

Source.


Ce ne sont ni les virus, ni le changement climatique, ni le cancer.

Miri AF

16 janvier 2024

Ce ne sont pas les armes nucléaires, les terroristes kamikazes ou les extraterrestres.

Ce n’est même pas Dieu, pas en tant que tel.

C’est la peur. C’est elle le moteur de toutes les opérations psychologiques, de toutes les supercheries et de tous les programmes obscurs qui saturent notre réalité, et c’est elle qui permet de les utiliser si efficacement comme armes contre la population.

Ce dont les gens sont amenés à avoir peur, en fin de compte, n’a pas vraiment d’importance, et fluctue avec le temps (ooh, c’est le changement climatique!) – mais le fondement psychologique reste exactement le même.

C’est pourquoi il est fondamentalement important, lorsque l’on s’attaque à la tyrannie sous toutes ses formes, de reconnaître que « le dernier truc en date » que l’on conditionne les gens à craindre (et qui est par conséquent utilisé pour modifier radicalement leur comportement), n’est pas ce sur quoi il faut se focaliser, pour la simple et évidente raison que, si on se concentre uniquement sur « le truc », et non sur la trame de la peur elle-même, la population apeurée reportera simplement sa terreur sur autre chose, et restera tout autant sous l’emprise des autorités despotiques, et de leurs diverses programmations fondées sur la peur.

Je soulève ce point aujourd’hui suite à une nouvelle dispute que j’ai eue avec la brigade « pas de virus ». Bien que je sois persuadée (comme je l’ai dit clairement à maintes reprises) que la virologie standard est erronée et que le modèle de « contagion » de la maladie n’est pas exact, je pense également que l’importance de la thèse «  »pas de virus » a été largement surestimée, au point qu’elle paralyse désormais ses partisans les plus zélés et les amène à l’inaction sur tous les autres fronts, car ils pensent que « c’est la seule chose qui compte »: par exemple, en réfutant le modèle viral, c’est tout le château de cartes qui s’écroule.

Ce qui est terriblement malavisé et faux, car même si on réfute les virus en tant que responsables de problèmes de santé (et donc en tant que moyens d’effrayer les gens), les seigneurs de l’ombre disposent toujours, pour n’en citer que quelques-uns:

  • du cancer
  • du changement climatique
  • de la guerre nucléaire
  • des terroristes
  • des extraterrestres
  • de Dieu (comme dans les régimes ultra-religieux tels que l’Afghanistan qui contrôlent les populations en disant « vous devez faire telle ou telle chose ou Dieu sera en colère »).

Les classes dirigeantes n’ont pas besoin de se limiter aux virus pour susciter la peur, alors qu’elles disposent d’une large panoplie d’autres trucs hyper-terrifiants avec lesquels manipuler et contrôler les gens. Ainsi, même s’il était prouvé de manière concluante et universellement acceptée que les virus ne causent pas de maladies, cela ne mettrait nullement un terme au programme tyrannique de contrôle mondial.

En outre, comme je l’ai expliqué dans cet article, les thèses « virus » et « pas de virus » sont loin d’être aussi distinctes que certaines personnes semblent le penser, elles sont en fait extrêmement similaires, elles utilisent simplement un vocabulaire différent pour décrire la même chose; par exemple, ce que les adeptes des « virus » appellent infection, les adeptes du « pas de virus » l’appellent désintoxication; ce que les adeptes des virus appellent « contagion » (le phénomène observable de plusieurs personnes dans le même environnement qui tombent malades en même temps), les adeptes du « pas de virus » l’appellent « influence » (les corps « s’influencent » mutuellement pour accomplir certaines fonctions en même temps, comme cela se produit avec la synchronisation menstruelle), et ainsi de suite.

Au sein de la « communauté pour la vérité », où ce débat fait rage, les deux camps s’accordent à dire que ces processus – qu’on les appelle infections ou désintoxications – ne sont pas à craindre (il s’agit soit de l’élimination d’un virus par le corps, soit de la désintoxication de poisons, donc dans les deux cas, ils sont bénéfiques); qu’ils doivent être traités avec des remèdes naturels (repos, liquides, vitamine C, etc.); et, surtout, que les interventions telles que confinements, masques, tests et vaccins sont dangereuses et inutiles, et doivent être évitées à tout prix.

Ces points de vue, une fois réduits à l’essentiel, sont donc extrêmement similaires, les différences tenant davantage à la sémantique qu’à des points de vue radicalement différents.

Pour connaître mon point de vue complet sur la question, voir ici, mais ce que je veux souligner aujourd’hui, c’est qu’il est crucial de comprendre, non seulement que la question du « pas de virus » n’est pas « le point essentiel qui fera s’effondrer tout le régime », mais aussi que ce « point essentiel » n’existe pas – pas dans le sens de « si nous pouvions convaincre les gens sur ce point… » ils deviendraient soudainement invulnérables au contrôle de l’État.

En effet, même si l’on parvient à réfuter « le dernier truc en date » utilisé pour susciter la peur au sein de la population, des manipulateurs chevronnés – ce que sont assurément les classes dirigeantes – trouveront simplement (et facilement) un nouveau croquemitaine pour terroriser les gens, ce qu’ils font d’ailleurs depuis des temps immémoriaux.

Ils le font parce que la peur est connue pour être de loin le moyen le plus efficace de contrôler les gens. Peu importe de QUOI ils ont peur, ce qui compte c’est qu’ils en aient peur, de quoi dépendra largement du contexte culturel. Par exemple, si on veut (comme le font généralement les propriétaires d’esclaves) que la population se couvre le visage pour induire la mentalité dissociative de l’esclave que crée notoirement le fait de se couvrir le visage, si on préside un califat religieux strict comme l’Afghanistan, il sera alors possible de semer la peur dans la population en disant:

« Couvrez-vous le visage ou vous risquez la colère de Dieu et une damnation infernale pour l’éternité! »

En revanche, si on cherche à contrôler des Occidentaux majoritairement laïques qui en sont venus à vénérer La Science (TM), on optera pour:

« Couvrez-vous le visage parce que La Science l’a dit et que vous risquez de contracter des virus maléfiques si vous ne le faites pas! »

Le « truc » spécifique dont on dit aux gens d’avoir peur est différent (les virus, Dieu), mais la psychologie sous-jacente et le résultat final (une population craintive, docile et obéissante qui fait ce que les autorités lui disent de faire) sont exactement les mêmes.

La peur étant si extraordinairement efficace pour modifier radicalement le comportement des gens, il faut se demander de quoi, en fin de compte, les gens ont si peur.

Le « dernier truc en date » dont ils ont peur change sans arrêt – mais la peur elle-même reste exactement la même.

Pourquoi ont-ils si peur des « virus », du cancer, des divinités en colère ou de toute autre chose citée au début de cet article?

Quelle est la cause fondamentale de toute cette peur?

C’est la peur de la mort. La raison pour laquelle nous avons peur de la mort (alors que cette peur n’est pas universelle ni partagée par tous les êtres) est que l’on nous a menti de manière épique sur ce qu’elle est: nous sommes maintenus dans l’ignorance et donc terrifiés.

Imaginez, si vous le voulez bien, qu’il existe un groupe de personnes nées avec un trouble neurologique qui les empêche de dormir. Bien qu’ils n’aient jamais connu le sommeil, ils ont entendu de leurs gouvernements et de leurs écoles de sinistres histoires à ce sujet – qu’il existe un phénomène terrifiant qui peut affliger les gens, où ils perdent soudainement toute conscience pendant des heures et des heures après la tombée de la nuit. Ils deviennent aveugles, sourds et muets, et complètement vulnérables, ne se contrôlant pas et ne maîtrisant pas ce qui se passe autour d’eux.

De plus, dans cette prison sensorielle de paralysie et d’inconscience, leur cerveau commencerait à évoquer des illusions hallucinogènes toutes puissantes, des illusions parfois abjectement terrifiantes qui pousseraient la personne à crier de terreur, tandis qu’elle serait paralysée et incapable d’échapper aux horreurs de son esprit…

Pouvez-vous imaginer à quel point cette idée vous effraierait si vous n’aviez jamais connu le sommeil? A quel point ce serait hideux, à quel point ce serait pétrifiant? Comment, si un « expert » venait vous dire qu’il y a quelque chose appelé « mélatonine » qui circule dans l’air et qui peut vous « infecter » et vous faire dormir, vous feriez tout pour l’éviter? Vous seriez ridiculisé et méprisé par les « pro-sommeil » qui ne tiendraient pas compte de ces inquiétudes et insisteraient sur le fait qu’il n’y a rien à craindre du sommeil.

En réalité, nous savons tous que le sommeil est un état totalement inoffensif qui ne justifie aucune réaction de peur – même si la description qui en est faite dans le paragraphe ci-dessus est techniquement vraie. Nous sommes inconscients, nous sommes paralysés, nous sommes dans un état altéré, privés du contrôle de nous-mêmes que nous avons en état d’éveil – et pourtant nous n’en avons pas peur.

Évidemment, ce que je veux dire, c’est que nous pourrions dire la même chose de la mort, comme l’ont fait de nombreuses cultures: il n’y a rien à craindre, c’est juste un autre type d’expérience, tout comme l’expérience du sommeil est un type d’expérience différent de celui de l’éveil.

La peur de la mort – de quoi que ce soit – est basée sur l’inconnu: on a souvent dit que la peur provient de l’ignorance, ce qui ne veut pas dire de la stupidité, mais d’un manque de connaissances issu d’un manque d’expérience.

Évidemment, par définition, aucun d’entre nous n’a jamais connu la mort, mais de nombreuses personnes au cours de l’histoire ont connu des « expériences de mort imminente« , et le consensus général de ceux qui ont vécu de telles expériences est qu’il n’y a pas lieu d’avoir peur de la mort – et les seules personnes qui ont une expérience désagréable ou traumatisante de la mort sont celles qui ont mené une vie négative, au sens où elles ne respectent pas les normes morales ancestrales qui consistent à ne pas maltraiter ou exploiter autrui.

C’est à peu près ce que disent la plupart des grandes religions et des cultures avancées: il y aura des conséquences posthumes négatives pour vous si vous faites de mauvais choix dans cette vie. Je les crois: je pense simplement que les religions doivent distiller les choses en termes très simples pour plaire à un éventail de personnes aussi large que possible. Les religions doivent être accessibles à tous, et pas seulement aux penseurs profonds et brillants. Elles diront donc des choses comme « sois bon et tu iras au paradis; sois mauvais et tu iras en enfer », parce que c’est quelque chose que tout le monde peut comprendre. Je pense que ce qui se passe réellement est plus complexe et nuancé que cela, et je ne le comprends pas entièrement (je ne suis pas sûre que nous soyons censés le comprendre), mais oui, dans l’ensemble, il semble que la façon dont on fait l’expérience de la mort dépend de ce que l’on fait ici-bas.

Je ne prétends certainement pas avoir une vision unique du « sens de la vie » (bien que j’aie écrit un article portant ce titre… ma conclusion était que ça a à voir avec les chats), mais la vie semble être une sorte de test, et la façon dont on passe ce test sera examinée d’une manière ou d’une autre après la mort.

Chaque individu sera soumis à beaucoup de tests différents, et tout le monde n’est pas testé de la même manière, mais le chapitre « Covid » a été un test majeur pour chacun d’entre nous.

Les personnes qui se sont conformées aux programmes gouvernementaux fondés sur la peur exigeant des masques, des tests et des vaccinations – et en particulier celles qui ont fait pression sur les autres pour qu’elles fassent de même – ont échoué à ce test, à des degrés divers.

Si l’on extrapole, chaque fois que nous nous soumettons à un programme fondé sur la peur, quel qu’il soit – et quelle que soit la « peur du jour » vendue – nous échouons au test. Nous sommes ici pour affronter et surmonter les états limitatifs de basse vibration comme la peur, et non pour fonder notre vie sur eux. La peur, de diverses manières, nourrit nos ennemis – et ils nous le disent tout le temps (par exemple dans le film pour enfants « Monsters Inc« , étrangement révélateur, où des monstres venus d’un autre monde terrorisent des enfants pour se nourrir de leurs cris. Ce qui bloque l’approvisionnement en énergie des monstres, c’est lorsque les enfants cessent d’être effrayés et se mettent plutôt à rire).

Notez bien que la conscience pertinente d’un danger est un concept complètement différent de la peur. Je suis consciente, comme la plupart d’entre nous, que traverser une route représente un danger potentiel, et c’est pourquoi je regarde des deux côtés avant de le faire – une précaution pertinente pour atténuer le risque. Mais je n’ai pas « peur » de traverser les routes. De même, je n’ai pas « peur » des masques ou des vaccins – je ne tremble pas de terreur si je passe devant un cabinet médical où je sais qu’il y sont stockés – mais je suis consciente qu’ils sont dangereux, alors je les évite et je préviens les autres des dangers qu’ils représentent.

Bien sûr, il y a beaucoup de choses dangereuses dans le monde dont nous devons évaluer les risques avant de décider si ou comment nous allons les aborder – mais cela ne signifie jamais que nous devons en avoir peur, la peur étant l’émotion la plus inutile et la plus paralysante de toutes – et celle qui semble nourrir et enhardir les entités obscures.

La peur est bien pire que la colère (une émotion très injustement dénigrée) car, canalisée correctement, la colère peut être incroyablement galvanisante et catalyser l’action positive et le changement rationnel, alors que la peur ne fait qu’inhiber. Elle empêche la personne d’agir positivement et inhibe l’esprit rationnel – la raison précise pour laquelle les personnes craintives croient que des morceaux de mouchoirs détrempés qui claquent sur leur visage les protègent des maladies mortelles et que les fléaux virulents ne peuvent pas les atteindre s’ils se tiennent debout sur des cercles et mangent des oeufs à l’écossaise.

Ces croyances sont aussi ridicules que les absurdités superstitieuses les plus médiévales, mais les superstitions étaient très populaires à l’époque des ténèbres pour une raison bien précise: lorsque les gens sont suffisamment effrayés, ils sont prêts à croire tout ce qui peut les aider à apaiser leur peur.

Et, comme nous l’avons dit, quelle est la peur ultime? De toute évidence, c’est celle de la mort – depuis toujours.

La question que nous devons donc nous poser est la suivante: et si nous étions libérés de cette peur ultime? Et si nous ne craignions vraiment et sincèrement pas la mort?

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les « élites » ont tant de mal à éradiquer l’islam, ce qu’elles essaient assurément de faire par tous les moyens (elles veulent éradiquer toutes les religions, pour instaurer leur dystopie d’un monde unique « sans pays, sans possessions, sans religions »).

C’est parce que beaucoup de musulmans n’ont pas peur de la mort, croyant qu’ils seront récompensés au paradis, etc. C’est pourquoi les terroristes internationaux appelés gouvernements mondiaux qui bombardent sans cesse les pays islamiques pour les réduire en miettes n’obtiennent pas l’effet escompté de les démoraliser et de les soumettre, et l’islam reste plus fort que jamais dans le monde – parce que la menace « nous vous tuerons si vous ne vous soumettez pas » ne fonctionne pas. (C’est également la raison pour laquelle les guerres mondiales n’ont pas réussi à détruire le christianisme et que les ingénieurs sociaux ont dû se tourner vers la guerre psychologique).

Je ne suggère pas que nous devions tous devenir musulmans, ou adeptes d’une religion particulière, pour nous débarasser de notre peur de la mort, mais que les cultures qui (à juste titre) ne la craignent pas (même si leurs raisons de ne pas la craindre ne sont pas toujours exactes à 100%) sont dans une position beaucoup plus forte – beaucoup mieux immunisée contre la tyrannie de l’État – que les cultures qui la craignent.

Nos cultures laïques et athées sont absolument terrifiées par la mort, car la croyance largement répandue en Occident est que « c’est tout ce qu’il y a » – que lorsque l’on meurt, c’est comme éteindre la télévision à la fin d’un film: Fin. Le noir total. C’est terminé, les amis.

Évidemment, pour ceux qui le croient, la peur de la mort sera extraordinaire. Les classes dirigeantes ont intentionnellement conçu un modèle de la mort du style « éteindre la télé » afin d’induire une peur maximale de la mort dans la population, et ainsi réussir à mettre en œuvre toutes leurs opérations psychologiques fondées sur la peur.

Si vous ne craigniez pas la mort, si vous la considériez simplement comme faisant partie de la vie – comme le repos (ce n’est peut-être pas une coïncidence si cette expression [repos éternel] a été utilisée pendant si longtemps comme euphémisme pour désigner la mort) – comment les seigneurs de l’ombre parviendraient-ils à vous manipuler et à vous contrôler avec des virus, le cancer, le changement climatique ou quoi que ce soit d’autre?

(C’est la raison pour laquelle le fait que les gens croient ou non aux virus n’a pas d’importance, comme le pensent les partisans du « pas de virus » : ce qui compte, c’est qu’ils les craignent. De nombreuses personnes anti-restriction croient que les virus propagent des maladies, y compris certains activistes très prolifiques et louables, mais elles ne les craignent pas non plus et ne sont donc pas susceptibles d’être soumises à la tyrannie de l’État. Ce n’est pas la « croyance dans les virus » qui pousse les gens à se plier à la tyrannie, c’est la PEUR des virus. Il en va de même pour tout le reste: ce ne sont pas les croyances qui importent, mais plutôt le fait que ces croyances amènent à vivre dans la peur).

Pour en revenir au sommeil, il est remarquable de constater le peu d’attention que la culture lui accorde, alors que nous passons tant de temps à dormir. Une personne passe en moyenne vingt-six ans de sa vie à dormir.

Imaginez que vous ayez une relation qui dure vingt-six ans, un travail ou un enfant de cet âge, et que vous n’en parliez jamais?

Contrairement au travail, aux relations et à d’autres choses qui occupent une grande partie de notre temps, le sommeil n’est pas vraiment un sujet de conversation dans notre culture, ni les mystérieuses profondeurs de notre inconscient dont nous faisons l’expérience dans cet état (en particulier les expériences mystiques telles que les rêves prophétiques et lucides) – et peut-être est-ce ainsi parce que l’expérience du sommeil – être inconscient et « ne pas être soi-même » – est trop similaire à la mort. Nous ne pouvons pas expliquer le phénomène du sommeil et des rêves de manière directe et logique, en nous référant à La Science (TM), alors nous l’ignorons largement et nous l’excluons du récit culturel. Même s’il s’agit d’un aspect tout à fait normal et non-effrayant de la vie quotidienne.

La mort fait également partie de la vie quotidienne. Des milliers de personnes meurent chaque jour, nous mourrons tous, et la plupart de nos ancêtres historiques sont déjà morts. Elle ne devrait donc pas être si effrayante et perçue uniquement comme négative. Ça n’a pas de sens. Si nous ne considérons pas la naissance et la vie uniquement comme des expériences effrayantes et négatives (même si elles peuvent certainement présenter ces aspects), pourquoi verrions-nous la mort de cette manière?

Bien sûr, ne pas craindre la mort ne signifie pas s’y précipiter ou ne pas vouloir utiliser son temps ici aussi efficacement que possible – tout comme ne pas craindre le sommeil ne signifie pas que l’on veuille dormir tout le temps ou s’endormir très tôt dans la journée.

J’aime dormir et rêver (il m’arrive de faire des rêves lucides, qui sont plutôt splendides), mais ce n’est certainement pas tout ce que je veux faire (même si l’on peut pardonner à ceux qui ont vécu avec moi à l’adolescence de penser le contraire).

Je ne veux donc pas mourir maintenant, ni avant de nombreuses années, tout comme je ne veux pas m’endormir à 15 heures – il est trop tôt et il y a encore trop de choses à faire.

Et ce n’est pas parce que je sais que je finirai par être fatiguée et par m’endormir que je vis ma vie en redoutant ce moment ou en prenant des mesures extrêmes pour l’éviter.

Je pense que j’ai suffisamment martelé l’analogie entre le sommeil et la mort et que vous avez compris, mais le point essentiel que j’essaie d’illustrer est que nous devons nous concentrer sur la véritable racine de la peur des gens, qui n’est pas les virus, les extraterrestres, le changement climatique ou même Dieu – c’est la mort. Et une incompréhension fondamentale de celle-ci, créée intentionnellement et agressivement promue par les classes dirigeantes.

Comme je l’ai raconté dans mon article « Le sens de la vie« , mon merveilleux chat, Tiger, est mort il y a quelques mois. Il n’était pas âgé – il venait d’avoir neuf ans – mais il s’était blessé d’une manière ou d’une autre lorsqu’il était dehors, ce qui était évident à la manière dont il bougeait et vocalisait lorsqu’il est rentré, et il était rentré à la maison pour mourir. Je l’ai su parce qu’il s’est glissé sous l’escalier du grenier, où il faisait très sombre et très calme – ce qu’il n’avait jamais fait auparavant – et je savais que c’est ce que font les chats lorsqu’ils savent qu’ils vont mourir: trouver une cachette paisible pour passer tranquillement de vie à trépas.

Et le fait est qu’il n’a pas eu peur. Moi, oui, et je l’ai emmené d’urgence chez le vétérinaire, car être confronté à la mort est évidemment dévastateur pour ceux qui restent, mais Tiger, l’être confronté à la mort lui-même, n’était pas du tout effrayé. Il était totalement détendu et acceptait la situation, et lorsque j’ai passé la main sous l’escalier pour le caresser, il a ronronné et posé sa patte sur ma main.

Les animaux sont instinctifs et savent qu’ils n’ont pas à craindre la mort. C’est pourquoi les seigneurs de l’ombre n’ont jamais dépensé des milliards de livres sterling pour essayer de réorganiser socialement les chats et d’en faire des esclaves muselés (vous imaginez essayer de museler un chat? Mon Dieu…). Cela ne fonctionnerait pas, car il n’y a pas de peur de la mort à exploiter.

Ainsi, lorsque l’on tente de démanteler les différents récits fondés sur la peur, il faut se demander quelle est la peur sous-jacente, car elle est toujours la même: un désir désespéré de nier notre propre mortalité.

Une fois cette peur vaincue, aucune opération psychologique – peste, cancer, terroristes, extraterrestres, etc. – n’a plus le moindre pouvoir.

Il semble que les êtres humains soient piégés dans une boucle de peur depuis des millénaires, et c’est ce qui permet en fin de compte aux classes dirigeantes de continuer à exploiter, à dominer et à contrôler.

Par conséquent, la première étape pour les renverser et renverser leur emprise sur nous est d’imaginer un monde libéré de la peur ultime: que, bien que nous ne voulions pas mourir prématurément et que nous prenions des précautions raisonnables pour l’éviter (comme ne pas marcher sur la route sans regarder, ou ne pas faire confiance à des criminels en série pour nous injecter des sérums expérimentaux qu’ils ont fabriqués à la hâte), nous ne vivions pas non plus dans la peur de notre destin inévitable.

Si nous commençons à imaginer cette possibilité et à en discuter avec d’autres, nous commençons à faire de réels progrès vers un monde libre et libéré.

Il suffit de regarder les chats, les êtres libres par excellence. Ils vivent exactement comme ils l’entendent, insensibles à toute tentative de les rassembler ou de les enfermer (c’est pourquoi ceux qui ont des tendances narcissiques et contrôlantes ne les aiment pas). Et regardez comme ils ne craignent pas la mort et comme ils l’acceptent calmement lorsque leur heure est venue.

Comme toujours, nous avons beaucoup à apprendre d’eux et, comme je l’ai déjà dit, je ne sais pas quel est le sens de la vie, mais je suis presque sûre qu’il a quelque chose à voir avec les chats…

« La dissimulation de Wuhan » de RFK Jr – par Pete Lincoln.

Voici un article qui traîne dans mes tiroirs depuis un moment. J’hésitais à le publier: il est long et laborieux mais les amateurs d’enquêtes journalistiques apprécieront – les autres, je ne sais pas. Si vous manquez de temps ou de patience, vous pouvez passer directement à la Conclusion mais vous louperiez à mon avis une opportunité unique de comprendre le fonctionnement du système. Chapeau à Pete Lincoln pour cet énorme boulot – et merci à votre traducteur maison.

Le point de départ de l’article est le bouquin de Robert F Kennedy Jr, dont Lincoln cite ici des extraits en y apportant des commentaires très bien sourcés. Je compléterai avec un autre travail d’enquête assez copieux lui aussi – et très bien écrit – l’article de Jim Haslam qui y est cité.

Je le publie au moment où RFK Jr se révèle être, Ô surprise, un autre rouage de la grande opération de camouflage qui entoure le sac de noeud du Sars-Cov-2. Je reviendrai sur ce personnage dans un article que j’écrirai dès que j’ai le temps – dont je n’ai jamais assez.

Note de traduction: je traduis ici l’expression « limited hangout » par « révélations sous contrôle » – faute de mieux, il n’y a pas d’équivalent en français. La définition officielle est: « une forme de propagande dans laquelle une partie sélectionnée d’un scandale, d’un acte criminel, d’une information sensible ou classifiée, etc. est révélée ou fait l’objet d’une fuite, sans que toute l’histoire soit racontée. L’intention peut être d’établir une crédibilité en tant que dénonciateur de quelque chose ou de quelqu’un en se livrant à des critiques tout en les couvrant par l’omission de nombreux détails » – donc, à peu près tout ce à quoi a eu droit dans toute l’affaire Sars-CoV-2. Le nom du site de Whitney Webb, « Unlimited Hangout », est donc un manière d’affirmer qu’elle n’est pas contrôlée – ce qui n’est pas tout à fait exact. Pour une métaphore visuelle de cette méthode, imaginez un trappeur en traîneau qui jette un morceau de viande aux loups qui le poursuivent. Vous êtes les loups.

Source.


« La dissimulation de Wuhan » de RFK Jr

Révélations sous contrôle

Pete Lincoln

11 déc. 2023

Je viens de lire le livre de RFK Jr. Plus de 600 pages sans compter les notes. Je m’y suis mis tardivement car le 5 décembre on annonçait que la version Kindle ne serait pas disponible avant le 19 décembre, pour que je découvre le 8 décembre qu’elle était disponible depuis le 6 décembre.

Il est probable que le livre ait plusieurs auteurs, mais peu importe, c’est son nom qui est indiqué en tant qu’auteur, donc quand je dis « il », c’est de lui qu’il s’agit.

Si je cite quelque chose sans lien ni indication contraire, c’est un extrait de ce livre.

Je cite également des extraits du travail de Jim Haslam, que vous pouvez trouver ici:

https://substack.com/@jimhaslam

Les 18 premiers chapitres, soit environ 1/3 du livre, sont excellents

La bureaucratie médicale et scientifique américaine… Le programme américain d’armes biologiques se situe au confluent des sombres ambitions du complexe militaro-industriel et du complexe médico-industriel, composé en grande partie de la technocratie scientifique fédérale, de l’industrie pharmaceutique et des armées de chercheurs universitaires qui reçoivent des fonds de ces entités.

Le cartel des armes biologiques – communément appelé industrie de la Préparation et de la Réponse aux Pandémies (Pandemic Preparedness and Response, PPR) – opère dans le plus grand secret, à l’abri des regards ou des critiques de la presse, à l’abri de toute responsabilité juridique, et donc à l’abri de toute obligation de rendre des comptes.

Elle s’appuie sur une coalition qui comprend l’armée, les universités, les revues médicales, les médias grand public et les organismes de réglementation de la santé publique, dans le cadre d’une collaboration corrompue et secrète visant à transformer la médecine, qui est une profession de guérison, en une profession de meurtre. Son pivot est une alliance sinistre entre les agences américaines d’espionnage et de santé publique et l’armée chinoise. Elle est devenue le point d’appui des ambitions mondialistes du néoconservatisme visant à renforcer les élites milliardaires et à déposséder les pauvres de leur pouvoir, de leurs droits et à en faire des marchandises.

Il fait un bon travail sur l’historique des agissements malfaisants et de l’influence des nazis sur les programmes d’armes biologiques dans le cadre de l’opération « Paper Clip », ainsi que sur la dégénérescence morale des scientifiques et des professionnels de la santé qui s’en est suivie.

Dans son introduction, il affirme à juste titre:

Anthony Fauci et le milliardaire Bill Gates […] étaient des hommes de paille d’une entreprise bien plus vaste: un complexe militaro-médico-industriel dirigé par des éléments de la CIA et du Pentagone…

Bien que j’aie commencé la lecture avec peu d’attentes et en prévoyant que le livre serait un « Limited Hangout » (révélation sous contrôle), je me suis retrouvé très tôt à me demander s’il allait vraiment exposer l’opération COVID. Malheureusement, il n’y fait qu’allusion.

Kennedy semble prendre le parti de dire que la Chine a créé une arme biologique qu’elle a libérée accidentellement, au contraire d’un virus naturel qui a été libéré accidentellement. Je suis d’accord pour dire que le virus a été créé. Mais il n’explore jamais la possibilité que le virus ait été fabriqué aux États-Unis et envoyé en Chine, où il a été libéré accidentellement ou délibérément. Lorsque les policiers trouvent un cadavre, supposent-ils seulement qu’il s’agit d’un accident ou d’une mort naturelle? Non, ils excluent d’abord la possibilité d’un crime, surtout s’il y a un mobile.

Les empreintes digitales de la CIA sont omniprésentes dans les études sur le gain de fonction financées par les États-Unis au laboratoire de Wuhan, dans les préparatifs de la gestion militarisée d’une pandémie de coronavirus (bien avant que les experts en maladies infectieuses ne considèrent un tel événement comme possible), dans la création des vaccins COVID, y compris le Moderna, et dans l’opération « Warp Speed ».

L’agence a conçu des contre-mesures draconiennes et intrusives qui ont fait fi de la santé publique et des protocoles bien établis et qui, au lieu de cela, se sont concentrées sur l’imposition de contrôles autoritaires. Il n’est donc pas surprenant que la communauté du renseignement ait contribué à orchestrer la dissimulation.

Il présente tous les éléments nécessaires à l’existence d’un complot visant à créer une pandémie dans le but de gérer militairement une pandémie de coronavirus.

Considérons enfin l’incitation paradoxale qui permet à toutes les entités – Pharma, Ministère de la Défense, CIA et NIH – d’accroître leur pouvoir et leur budget si l’une des créatures à gain de fonction s’échappe et, plus encore, si elles peuvent en imputer la responsabilité à une puissance étrangère telle que les Chinois.

et

En 2001, un membre du programme biologique américain a diffusé de l’anthrax, ce qui a débouché sur des dépenses de 5 800 milliards de dollars et sur l’adoption du Patriot Act. Les agences de renseignement ont soudain acquis un pouvoir inimaginable d’espionnage des Américains et ont repris la course à l’armement biologique. « Si une agence gouvernementale peut accroître son pouvoir par une action relevant de sa compétence, elle finira toujours par la mettre en œuvre », déplore le Dr Robert Malone.

Pourtant, à la fin, il se contente de dire que c’est un accident de la part de la Chine, avec l’aide de dupes involontaires ou d’acteurs traîtres motivés par l’appât du gain, sans explorer une cause plus malfaisante.

Ce qui est peut-être dissimulé ici, ce n’est pas qu’un virus ait fui d’un laboratoire chinois, mais que le virus et la pandémie aient été fabriqués. Il ne fait aucun doute qu’une fuite de virus pandémique dans un laboratoire se produira un jour ou l’autre, mais ils ne voulaient pas attendre que survienne un accident. Ils ne rajeunissaient pas. Le compteur semble avoir démarré en 2017 (voir ma chronologie à la fin), c’est à ce moment-là que tout est passé à la vitesse supérieure avec la prédiction de Fauci.

Mais il ne s’agit pas seulement de la CIA. Depuis le 11 septembre, de nombreuses agences (Ministère de la Défense, Ministère de la Santé, CIA, Ministère de la Sécurité intérieure, etc) sont imbriquées les unes dans les autres et travaillent de concert.

Après l’adoption du Patriot Act, la CIA a travaillé avec le NIAID, le Pentagone, le DTRA et des entreprises militaires pour développer et gérer des dizaines, voire des centaines, de laboratoires biologiques aux États-Unis, en Ukraine, en Géorgie et en Afrique.

Comme je l’ai montré précédemment, au cours des années qui ont immédiatement suivi l’adoption du Patriot Act, le Pentagone a canalisé la plupart de ses recherches sur les armes biologiques via le NIAID et son directeur, le Dr Anthony Fauci.

La CIA est un bouc émissaire tout désigné puisqu’elle est intouchable et qu’une grande partie de son travail est de toute façon désormais effectuée par des contractants privés et des ONG.

Venons-en donc au Limited Hangout, qui est le récit semi-officiel contrôlé ou le contre-récit.

[En] août 2021, une enquête républicaine du Congrès a conclu que le virus s’était échappé du laboratoire de Wuhan « quelque temps avant le 12 septembre 2019 » et que les autorités chinoises savaient qu’une pneumonie respiratoire de type SARS se préparait à Wuhan et qu’elles essayaient déjà à cette date de contrôler à la fois le virus et le narratif.

Le raid effectué par le gouvernement le 12 septembre au laboratoire de Wuhan suggère que les fonctionnaires soupçonnaient déjà l’IVW d’être la source potentielle de la contagion.

Plus tard dans la nuit, entre 2 et 3 heures du matin, les autorités chinoises ont supprimé les bases de données virales en ligne de l’IVW, y compris quelque vingt-deux mille échantillons de pathogènes non publiés et des séquences génomiques collectées sur vingt ans, en partie grâce au financement des NIH.

Selon des sources de renseignement américaines, les requêtes de recherche de termes liés à la maladie et les discussions sur les symptômes caractéristiques du COVID-19 ont explosé dans le trafic Internet émanant de Wuhan; l’augmentation de ces deux signaux a précédé de quatre mois le début officiel de la pandémie de COVID-19 en Chine, au mois de décembre.

Le 9 mai 2020, NBC News a rapporté qu’une analyse des données de géolocalisation des téléphones portables par les services de renseignement américains avait révélé qu’un « événement dangereux » avait entraîné la fermeture de l’IVW du 7 au 24 octobre.

L’assistant de recherche de Shi Zhengli, Ben Hu, et leurs collègues scientifiques de Wuhan ont été hospitalisés avec des symptômes du COVID à Wuhan en novembre 2019. Ces trois personnes sont probablement le véritable « patient zéro ».

Le Sunday Times de Londres a récemment publié un article de recherche approfondi le 10 juin 2023, corroborant cette série d’événements, en particulier la mystérieuse maladie respiratoire qui a hospitalisé trois « biologistes qualifiés dans la trentaine et la quarantaine » de l’Institut de Wuhan en novembre 2019.

Les enquêteurs du département d’État américain qui ont été à l’origine de l’article se sont montrés « très confiants »😂.

Certains de ces paragraphes ne sont pas dans l’ordre pour des raisons de clarté et de concision.

Ok. Avez-vous mal à la tête après avoir lu ceci? Moi, oui.

Pour résumer: Le 12 septembre 2019, heure de Pékin (11 septembre, HNE), la Chine apprend qu’un nouveau virus est en circulation, deux mois avant qu’un patient zéro ne soit découvert ou, plus précisément, près de quatre mois avant qu’elle ne confirme qu’il s’agit bien d’un nouveau virus, et le département d’État américain conclut avec une certitude inébranlable que ces travailleurs de l’IVW étaient le patient zéro.

Cela vous semble-t-il cohérent avec une dissémination accidentelle par le laboratoire?

Une explication plausible, si elle est seulement vraie, est que les services de renseignements militaires chinois ont découvert qu’il existait un complot bioterroriste étranger visant à diffuser délibérément un virus à Wuhan à partir de l’IVW. Pour ceux qui l’ignorent, la Chine soupçonnait fortement le SARS d’être une arme biologique américaine libérée en Chine et conçue pour cibler les Asiatiques et les Chinois.

Parmi les affirmations les plus étranges des scientifiques militaires figure leur théorie selon laquelle le SARS-CoV-1, le virus à l’origine de l’épidémie de SARS de 2003, était une arme biologique fabriquée par l’homme, délibérément lâchée sur la Chine par des « terroristes ».

L’article de 263 pages a été publié en 2015 par la Chinese Military Medical Science Press, une maison d’édition appartenant au gouvernement chinois et gérée par le Département général de la logistique de l’Armée Populaire de Libération (APL).

L’ancien secrétaire d’État Mike Pompeo et son principal conseiller pour la Chine, Miles Yu, y ont fait référence en passant dans leur article d’opinion du Wall Street Journal de février sur les laboratoires chinois, en écrivant: Une étude de l’APL de 2015 a traité l’épidémie de coronavirus du SARS de 2003 comme « arme génétique contemporaine » lancée par des forces étrangères.

https://archive.ph/2021.06.01-233329/https://amp.theaustralian.com.au/nation/politics/chinese-military-scientists-discussed-weaponising-sars-coronaviruses/news-story/850ae2d2e2681549cb9d21162c52d4c0

Si vous pensez que c’est ridicule, dans son document d’orientation de 2000 intitulé Rebuilding America’s Defenses (Reconstruire les défenses de l’Amérique), le groupe de réflexion Project for the New American Century (PNAC – Projet pour le nouveau siècle américain) a décrit les armes biologiques ethniques comme un « outil politiquement utile » que les États-Unis pourraient être incités à développer et à utiliser.

N’oubliez pas non plus que RFK Jr a fourni le lien vers un document montrant que le virus original de Wuhan semblait ne pas affecter autant certains groupes (dont l’un est chinois).

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32664879/

Ce n’est certainement pas le cas d’Omicron, qui est en fait un Sars-Cov-3 et qui a peut-être été conçu séparément pour remédier à ce problème.

Bien entendu, le SARS s’est éteint. Pourquoi? Il était instable et a muté jusqu’à devenir insignifiant. En outre, il ne se transmettait pas très bien tant que le patient n’était pas très malade, de sorte qu’il y a eu très peu de transmission en dehors des hôpitaux.

Leçon apprise.

Il convient de souligner qu’un an avant le SARS, un brevet a été obtenu par le « parrain » du coronavirus, Ralph Baric. Ralph Baric est professeur de microbiologie et d’immunologie à la Gillings School of Global Public Health de l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill.

Le brevet relatif au procédé de fabrication du vaccin est utilisé pour les porcs, mais il peut également s’appliquer aux vaccins humains fabriqués à partir des mêmes procédés.

Ralph Baric – 2001.

ASSEMBLAGE DIRECTIONNEL DE GRANDS GÉNOMES ET CHROMOSOMES VIRAUX

Le brevet relatif à ce procédé a été déposé le 19 avril 2002 (brevet n° 7279327).

Plusieurs mois après le dépôt de ce brevet, l’épidémie de SARS s’est déclarée en Asie.

« Ce brevet, délivré sous le nom de brevet américain 7279327 … expose clairement, par un séquençage génétique très spécifique, le fait que nous savions que le récepteur ACE, le domaine de liaison ACE2, la protéine de pointe S-1 et d’autres éléments de ce que nous connaissons aujourd’hui comme ce fléau pathogène, n’étaient pas seulement conçus, mais pouvaient être modifiés synthétiquement en laboratoire en utilisant rien de plus que les technologies de séquençage génétique.

Prendre un code informatique et le transformer en pathogène, ou un intermédiaire du pathogène, et cette technologie a été financée exclusivement, dans les premiers temps, comme un moyen d’exploiter le coronavirus comme vecteur pour distribuer le vaccin contre le VIH ».

2002 – AVANT l’apparition du premier SARS-CoV, Ralph Baric publiait un travail révolutionnaire qui marquait une étape importante dans l’étude des divers mécanismes des virus naturels et dans la recherche sur le gain de fonction.

Dans son article, le groupe Baric décrit la création d’un clone synthétique d’un coronavirus murin naturel.

En fait, les auteurs ont « traduit » le virus ARN dans le langage de l’ADN (à l’aide de la transcriptase inverse), ce qui leur a permis de manipuler son génome à l’aide des outils de génie génétique existants.

Après avoir créé sept segments de provirus à ADNc, les auteurs les ont assemblés « sans discontinuité », puis ont retranscrit leur construction en ARN, qui s’est ensuite transformé en particules virales dans d’autres cellules.

https://journals.asm.org/doi/epub/10.1128/JVI.76.21.11065-11078.2002

2003 – Après l’apparition de la première épidémie de SARS-CoV, le groupe Baric s’est mis à l’œuvre. Dès l’été, ils ont soumis un article sur la recréation synthétique du SARS-CoV:

À l’aide d’un panel d’ADNc contigus couvrant l’ensemble du génome, nous avons assemblé un ADNc complet de la souche SARS-CoV Urbani et avons sauvé des virus SARS clonés moléculairement qui contenaient les mutations marqueurs attendues, insérées dans les clones constitutifs.

Les virus recombinants se sont répliqués aussi efficacement que le virus de type sauvage et ont tous deux été inhibés par un traitement à l’inhibiteur de la cystéine protéinase…

La disponibilité d’un ADNc complet du SARS-CoV fournit un modèle pour la manipulation du génome viral, ce qui permet de développer et de tester rapidement et rationnellement des candidats vaccins et thérapeutiques contre cet important agent pathogène humain.

Aujourd’hui, un laboratoire qualifié peut répéter ces étapes en l’espace de quelques semaines.

Ce travail a été soutenu par les subventions AI23946, GM63228 (à R.S.B.) et AI26603 (à M.R.D.) des National Institutes of Health. La recherche a été soutenue par le Carolina Vaccine Institute de l’Université de Caroline du Nord, Chapel Hill.

https://www.pnas.org/content/100/22/12995

Revenons au Sars-Cov-2.

Qui pourrait être à l’origine de ce complot visant à libérer un virus synthétique à Wuhan, et comment cela est-il réalisable exactement?

Disons par exemple que la CIA ait recruté quelqu’un à l’IVW pour le libérer (un virus conçu aux États-Unis mais testé sur des souris/chauves-souris à l’IVW) en sachant qu’il s’agissait d’un virus faiblement pathogène qui n’affecterait de toute façon que les personnes âgées en fin de vie, et en lui disant qu’il serait utilisé à des fins politiques d’ingénierie sociale et qu’elle serait bien payée. Je suis sceptique sur ce point, mais c’est possible. Après tout, nous avions une personne à l’intérieur de l’IVW en novembre 2019 (Dani Anderson) qui était associée à la proposition DEFUSE et travaillait avec Eco Health Alliance .

Dani, une immunologiste des chauves-souris de classe mondiale payée par le NIAID, était à l’intérieur du BSL4 de Wuhan.

https://www.bloomberg.com/news/features/2021-06-27/did-covid-come-from-a-lab-scientist-at-wuhan-institute-speaks-out

Il est également possible que le virus modifié ait été envoyé à l’IVW pour y être testé et expérimenté par Ralph Baric ou Eco Health Alliance, et qu’on leur ait dit ou laissé entendre qu’il ne pouvait pas infecter les cellules humaines, de sorte qu’il a été envoyé dans leur laboratoire BSL-2 pour les travaux de laboratoire. C’est dans ce laboratoire que Shi Zheng Li a effectué la plupart de ses travaux sur les virus de type Sars, vu qu’ils n’infectent pas facilement l’homme et ne se transmettent pas facilement. Un virus comme le Sars-CoV-2 est très certainement susceptible de s’échapper d’un laboratoire de niveau de sécurité 2 par le biais d’une infection du personnel de laboratoire

Ma théorie est que les plus hautes sphères du PCC ont approuvé ce plan pour les mêmes raisons que les dirigeants des puissances occidentales, mais que les services de renseignement militaires chinois en ont eu vent et, faisant fi de l’approbation de leurs patrons, ont procédé à une enquête en conséquence. Comme je l’ai dit, ce n’est qu’une théorie.

Le fait qu’ils n’aient pas mis aux arrêts tout le personnel de l’IVW laisse penser qu’ils étaient convaincus qu’il s’agissait d’une attaque étrangère et, persuadés que la base de données de virus était utilisée par des scientifiques étrangers qui se servaient des séquences de virus contenues dans la base de données pour fabriquer des armes biologiques, ils ont judicieusement ordonné la fermeture de la base de données.

Qui sait? Cela semble plus plausible qu’une dissémination accidentelle d’un laboratoire. Quoi qu’il en soit, cela vaut la peine d’y réfléchir. Imaginez ce qui devrait se passer pour qu’il s’agisse d’une dissémination accidentelle d’un laboratoire.

Scénario 1 – Alors que les mondialistes anticipent avec impatience une pandémie de coronavirus, l’IVW découvre, après 15 ans, un virus similaire à 99% au Sars-Cov-2 chez des chauves-souris et y insère un SCF (site de clivage de la furine), dans un nouveau laboratoire de niveau de sécurité 4 (BSL-4) mis en service 18 mois plus tôt, qui, parfaitement adapté à l’homme, s’échappe ensuite de ce laboratoire au moment où Dani Anderson, employée d’Eco-Health Alliance Partner (Lin-Fa Wang), s’y trouve comme par hasard.

Avant de poursuivre, voici une brève présentation de Linfa Wang et Dani Anderson et de leurs affiliations.

En 2012, Danielle Anderson et Linfa Wang ont été recrutés dans le réseau de biodéfense du NIAID par l’intermédiaire de l’université de Duke. Ils ont tous deux déménagé à Duke-Singapour où un laboratoire animal BSL3 a été construit.

Danielle Anderson a travaillé sous la direction de Linfa Wang, professeur et directeur du programme des maladies infectieuses émergentes à l’école de médecine Duke-NUS, à Singapour.

Linfa est un citoyen australien né à Shanghai qui a obtenu un doctorat en biochimie (biologie moléculaire) à l’université de Californie à Davis en 1986.

Duke est un partenaire clé du programme P3 (Pandemic Prevention Platform) de la DARPA. La première étape du programme Duke/DARPA consiste à découvrir des virus potentiellement dangereux et à « développer des méthodes pour favoriser la propagation virale, afin que le virus puisse être utilisé pour des études en aval ».

Duke est située en Caroline du Nord, à seulement 10 miles de l’UNC de Ralph Baric.

L’université Duke est partenaire de l’université chinoise de Wuhan, ce qui a donné lieu à l’ouverture de l’université Duke Kunshan (DKU), basée en Chine.

Duke-NUS de Singapour figure sur la liste des sous-traitants du CREID du département d’État et travaille en étroite collaboration avec Eco Health Alliance, le NIAID, le Naval Medical Research Center-Asia et l’IVW.

Linfa Wang a démissionné le 10 janvier 2020 (avec effet en août), le jour même où la Chine a publié les séquences de Sars-Cov-2 et s’est attelé à la mise au point d’un test d’anticorps pour le COVID.

https://www.telegraph.co.uk/global-health/science-and-disease/pioneering-antibody-test-could-pave-way-mass-travel/

Plus d’informations ici.

Retour aux Scénarios Improbables.

Scénario 2: les mondialistes anticipent avec impatience une pandémie de coronavirus

a) L’IVW découvre sans le savoir le Sars-Cov-2 à partir d’un échantillon de chauve-souris, qui se trouve être le premier sarbecovirus de ce type avec un SCF qui n’infecte pas les chauves-souris (alors pourquoi se trouve-t-il dans un échantillon de chauve-souris) et qui est accidentellement libéré, presque parfaitement adapté à des hôtes humains.

b) L’IVW découvre le Sars-Cov-2 mais, contrairement au RaTG13, ne l’ignore pas malgré qu’il ne soit pas assez proche du virus du SARS. Ils le font ensuite passer en série sur des souris aux poumons humanisés pour qu’il s’adapte aux poumons humains, bien que l’institut de recherche médicale de l’armée chinoise n’ait obtenu de telles souris humanisées qu’à l’été 2019, où il aurait fallu les envoyer d’urgence à Wuhan. Et puis, bien sûr, l’IVW libère accidentellement le virus.

En avril 2020, sept mois après que le COVID-19 a commencé à circuler, vingt-trois scientifiques chinois – dont sept de l’Académie des Sciences Médicales Militaires, l’institut de recherche médicale de l’armée chinoise – se sont vantés d’avoir utilisé la technologie CRISPR d’édition de gènes pour concevoir des souris aux poumons humanisés afin de faciliter le développement de souches de coronavirus susceptibles d’infecter les humains.

En juin 2021, Vanity Fair a rapporté que les enquêteurs du Conseil de la Sécurité Nationale (NSC) des États-Unis ont déterminé qu' »il est devenu clair que les souris avaient été modifiées au cours de l’été 2019, avant même le début de la pandémie ».

On pourrait dire que Ralph Baric a peut-être envoyé des souris humanisées à l’IVW. Peut-être devrions-nous le lui demander? Pourquoi le Congrès ne l’a-t-il pas interrogé?

L’IVW dispose de souris transgéniques ACE2 humaines, mais cela n’est pas aussi efficace si l’on souhaite adapter le virus pour qu’il infecte plus efficacement les êtres humains.

Des scientifiques américains avaient mis au point des souris humanisées en 2002. Des scientifiques financés par les NIH, comme Ralph Baric, utilisaient des souris humanisées pour tester l’infectiosité humaine de leurs agents pathogènes améliorés depuis près de vingt ans!

Mais attendez, ça devient encore plus intéressant.

En janvier 2020, alors que les scientifiques se préparaient à étudier la nouvelle maladie dangereuse [la séquence n’a été obtenue que le 10 janvier], tous les regards étaient tournés vers l’ACE2, une protéine qui se trouve à la surface de nombreux types de cellules du corps humain, notamment les cellules du cœur, de l’intestin, des poumons et de la cavité nasale. Le SARS-CoV-2, le coronavirus responsable du COVID-19, s’accroche au récepteur ACE2 et l’utilise pour pénétrer dans les cellules et commencer à se développer, ce qui entraîne une infection.

Les chercheurs ont cependant découvert que le SARS-CoV-2 ne peut pas s’accrocher à la version murine du récepteur ACE2. Pendant un certain temps, cette différence a rendu les études sur les souris pratiquement inutiles dans la lutte contre la pandémie.

Les choses ont changé grâce à l’équipe du laboratoire Baric, qui a déjà produit des modèles de souris pour d’autres coronavirus comme le SARS-CoV et le MERS-CoV.

En modifiant deux positions d’acides aminés dans le génome viral, ils ont généré un virus adapté à la souris, capable d’infecter des souris de laboratoire standard avec le COVID-19.

31 août 2020

Des chercheurs, dont plusieurs virologues et microbiologistes de la Gillings School of Global Public Health de l’UNC, décrivent le modèle SARS-CoV-2 adapté à la souris dans un article publié le 27 août dans la revue Nature, qui a fait l’objet d’une procédure de publication accélérée.

C’est du travail rapide Ralph, tu as développé un modèle de souris SARS-Cov-2, sans doute en fabriquant le SARS-Cov-2 en laboratoire par génétique inverse à partir de la séquence fournie par la Chine (qui n’envoyait pas d’échantillons), en constatant qu’il n’infectait pas les souris de laboratoire standard, puis en déterminant les acides aminés à modifier pour qu’ils le fassent, en le testant et en rédigeant l’article, en le soumettant et en le faisant publier en moins de 8 mois. D’aucuns pourraient penser que vous auriez déjà pu le faire en 2019.

Revenons-en au livre. Comme mentionné, il commence par nous parler de l’influence nazie sur notre programme d’armes biologiques et de la façon dont les militaires, la CIA, les universitaires (scientifiques) et les laboratoires pharmaceutiques travaillent ensemble et sont si moralement corrompus qu’ils ont expérimenté sur des civils et des soldats américains pendant plus de 20 ans avant que l’affaire ne soit divulguée et qu’on y mette un terme.

Vous pensez que ces psychopathes ont simplement disparu?

Le livre ignore largement des choses comme le DOMANE de Malone (2019), les laboratoires Rocky Mountain, Dani Anderson, l’accord de transfert de matériel Moderna/Baric (2019), le réseau CREID (2020), le transfert du stock de vaccins du CDC à la BARDA (dirigée par Rick Bright) (2019), ou l’estimation du coût de la pandémie par les conseillers économiques de la Maison Blanche (jusqu’à 4 trillions de dollars), l’expulsion du personnel du CDC de Chine (2019).

Je traite de tout cela ici.

OPERATION COVID

Il mentionne Linfa, mais affirme qu’il s’agit d’un ressortissant chinois et la plupart des lecteurs supposeront qu’il s’agit simplement d’un scientifique de l’IVW travaillant pour Shi Zhengli.

Le Dr Fauci décrit Shi et ses complices, Ben Hu et Lin-Fa Wang, comme des « scientifiques chinois très respectables ».

Les courriels montrent que Daszak et Ralph Baric ont entrepris d’étouffer l’affaire avec l’aide de Lin-Fa Wang, collègue de Shi Zhengli, ressortissant de la RPC et président du conseil scientifique du Centre des Maladies Infectieuses Emergentes de l’Institut de Virologie de Wuhan.

Sérieusement Robert, c’est quoi ce délire?

Il mentionne brièvement la fermeture de Fort Detrick en juillet 2019 pour plusieurs mois en raison de problèmes de sécurité, mais ne mentionne pas les épidémies de pneumonie dans les maisons de retraite de Virginie au même moment.

Il mentionne également les Jeux militaires de Wuhan, mais n’explique pas l’absence de rapports sur les tests sérologiques effectués sur le personnel militaire envoyé à Wuhan une fois que l’épidémie a été connue.

Il mentionne le Crimson Contagion Exercise en 2019, mais pas SPARS, Clade X et MARS, qui ont tous eu lieu entre 2017 et 2019, après la prédiction de Fauci. Et pourtant, il se fait que nous ne disposions toujours pas de stocks de masques et d’EPI [équipement de protection individuel]. Tous ces préparatifs ont eu lieu entre 2017 et 2019.

Il mentionne que la plupart des exercices appelaient à un contrôle plus strict de l’information, mais il ne mentionne pas que le Complexe Industriel de Contrôle de la Censure était en cours de construction avec CISA-2018, GEC-2017 des départements d’État, Newsguard-2018. Et en 2015, Poynter reçoit 382 997 dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates pour influencer la couverture médiatique des initiatives mondiales en matière de santé. En 2017, l’Institut Poynter reçoit 1,3 million de dollars du réseau Omidyar et de l’Open Society Foundations pour soutenir le fact-checking.

Il mentionne également l’implication de l’armée dans la technologie de l’ARNm et le sommet sur la santé de 2019 de l’Institut Milkin, qui a débattu de l’accélération de l’approbation des vaccins (Anthony Fauci de l’Institut National des Allergies et des Maladies Infectieuses (NIAID) de l’Institut National de la Santé et Rick Bright de BARDA, qui a précédemment travaillé pour PATH, financé par Gates, y ont participé).

Il mentionne également l’achat par la Fondation Bill & Melinda Gates de 3 millions d’actions de BNT en septembre 2019 avant de les revendre à leur apogée pour un retour sur investissement de 900% (sans impôt).

Encore une coïncidence.

Il ne mentionne pas la décision prise par la Maison Blanche en janvier, avant l’arrivée du COVID aux États-Unis, de tenir toutes les réunions du Département de la Santé et des Affaires sociales (HHS) sur la préparation du COVID dans un cadre classifié. Une décision étrange [NdT. comparable au « Conseil de Défense » français].

Il mentionne en revanche que le PanCAP du Conseil de Sécurité National a été mis à jour en 2018, puis modifié et approuvé par le Conseil de Sécurité National le 13 mars 2020 et que le PanCAP a défini la politique du gouvernement fédéral en matière de COVID. La principale raison pour laquelle il a agi de la sorte semble être qu’il voulait faire disparaître le nom d’Avril Haines:

Le groupe de travail était initialement dirigé par le Secrétaire à la Santé et aux Services sociaux et coordonné par le [Conseil de Sécurité Nationale] NSC ». La directrice du Renseignement national, Avril Haines, est actuellement la conseillère officielle du NSC en matière de renseignement.

Ce qu’il omet de préciser, c’est que le PanCAP modifié prévoyait des « confinements » et que ceux-ci ont été annoncés trois jours plus tard. Il ne mentionne pas non plus que la FEMA (qui dépend du Ministère de la Sécurité intérieure) a pris le relais du Ministère de la Santé en avril et, enfin, qu’Avril Haines n’est devenue directrice du Renseignement national qu’en 2021.

Passons maintenant à DEFUSE. Il en parle assez longuement dans deux chapitres.

Le premier problème est qu’il ne mentionne pas que la proposition a été faite en réponse à l’appel d’offres du DARPA pour son programme PREEMPT (PREventing EMerging Pathogenic Threats Program). Au lieu de cela, il dit:

Daszak a mis au point un projet ambitieux visant à militariser un arsenal de coronavirus, croyant apparemment que la proposition pourrait intéresser la DARPA ou les grands pontes du Pentagone.

Il cite ensuite Steven Quay.

En fait, depuis 1992, au moins quatorze publications ont décrit l’ajout d’un site de clivage de la furine à un virus qui n’en avait pas, y compris une étude de l’IVW. 14 fois sur 14, cela rend les virus plus méchants ».

Quay ne fournit aucune référence pour cette étude que l’IVW était censé réaliser. J’ai essayé en vain de la localiser en utilisant Google et le site corrompu Duck Duck Go.

Il ne mentionne nulle part que l’Université du Montana faisaient la même chose. En 2006, des chercheurs de l’Université du Montana ont inséré un site de clivage de la furine dans un coronavirus bovin (cerf) au même endroit que celui du Sars-Cov-2.

« Nous avons introduit un site de reconnaissance de la furine sur des résidus basiques uniques dans la région jonctionnelle S1-S2 putative. Nous montrons que le clivage de la furine à la position R667 modifiée génère des sous-unités S1 et S2 distinctes et potentialise l’activité de fusion membranaire.

Cet effet sur l’activité de fusion cellule-cellule par la glycoprotéine S n’est cependant pas reflété dans l’infectivité des lentivirus pseudotypés portant la glycoprotéine clivée. L’absence d’effet du clivage de la furine sur l’infectivité du virion reflète celle observée pour la glycoprotéine S normalement clivée du coronavirus murin « 

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16519916/

Le clivage de la furine n’a pas rendu le coronavirus bovin plus infectieux. Mais dans le cas de SARS-Cov-2, sa perte l’atténue.

https://www.nature.com/articles/s41586-021-03237-4

Il est intéressant de noter que l’université d’État du Montana se trouve à trois heures de route du laboratoire de Fauci dans les Rocky Mountains.

Quoi qu’il en soit, une lecture attentive de la proposition DEFUSE montre que c’est Baric qui devait être responsable des travaux sur le SCF, et non l’IVW.

Il décrit ensuite le refus de la DARPA.

La DARPA a néanmoins rejeté la demande de financement de Daszak, en invoquant le fait qu’EcoHealth n’avait pas pris en compte les questions éthiques, juridiques et sociales du projet.

La véritable raison est que la DARPA a accordé la subvention à une autre personne qui effectuait un travail similaire sur un virus différent, parce que cela coûtait 4 millions de dollars de moins. Je parlerai de cette personne plus tard, mais c’était un gars du Montana qui travaillait en dehors du laboratoire Rocky Mountain de Fauci, à l’université d’État du Montana.

Il poursuit en soulignant, à juste titre, que les travaux décrits dans la proposition auraient pu être menés à bien de toute façon.

Le Dr Jonathan Couey fait également remarquer que le fait que Fauci et les NIH aient rejeté la proposition de Daszak n’est pas pertinent. La proposition elle-même est la preuve que le travail avait peut-être déjà été effectué, car c’est ainsi que la recherche moderne est menée et financée.

Il pointe ensuite du doigt la Chine.

Enfin, il est tout à fait possible que la proposition ait abouti à la création finale du COVID-19 par les Chinois.

Il s’agit là d’une conclusion surprenante, car il avait déjà envisagé la possibilité que les travaux de Baric étaient en cours et peut-être même achevés. Daszak avait d’autres sources de financement privées possibles, telles que la Fondation Bill et Melinda Gates et le Wellcome Trust.

Mais si la Chine a créé le virus, pourquoi publierait-elle la séquence RaTG13 montrant sa grande similarité avec Sars-Cov-2? Cela semble assez stupide, comme un voleur qui aurait laissé ses empreintes digitales partout lors d’un cambriolage et qui aurait envoyé sa carte d’empreintes digitales à la police.

Mais il en donne la raison.

RaTG13 était encore suffisamment éloigné génétiquement du virus COVID-19 – de 3,8% – pour ne pas être le géniteur immédiat dudit virus. L’article de Shi prétend ainsi disculper le laboratoire de Wuhan en tant que point de départ de la pandémie.

C’est vrai, mais cela ne tient pas compte d’un point. La protéine de pointe de RaTG13 est identique à 98,4% à celle du Sars-Cov-2. L’essentiel de la différence réside dans les protéines non structurelles qui ne font pas partie du virus.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8033097/

Cela signifie que le Sars-Cov-2 avait une ossature différente, naturelle ou non, avec une protéine de pointe similaire à celle du RaTG13, plus le SCF qui a été inséré par génétique inverse.

Cela exclut qu’il s’agisse d’un virus naturel, car quelles sont les chances qu’un nouveau virus apparaisse 7 ans après le premier échantillonnage de RaTG13, avec presque la même protéine de pointe et un SCF jamais vu auparavant dans les sarbecovirus, dont l’ossature est très différente? Les probabilités contraires sont astronomiques. 28 protéines subissent des mutations, dont certaines très importantes, mais la protéine de pointe est pratiquement inchangée, à l’exception d’une insertion improbable? C’est impossible!

Ce que Shi Zheng Li a fait, c’est exposer le fait que le virus a été fabriqué par l’homme et qu’il n’est pas d’origine naturelle. C’est pourquoi Fauci et Baric ont été pris de panique lorsqu’ils ont appris que l’article était sur le point d’être publié, et qu’ils ont dû immédiatement se mettre au travail pour renforcer la thèse des origines naturelles, ce qui a donné naissance à l’article frauduleux sur les origines proximales.

Il est parfaitement impossible que Shi Zheng Li ait publié cette séquence, ou qu’elle ait été autorisée à le faire par le général de l’APL qui a pris en charge l’IVW, si le virus provenait de son laboratoire. Cela prouve qu’il n’y a pas d’origine naturelle et jette la suspicion sur la seule personne capable de réaliser cette ingénierie complexe (créer des chimères n’est pas si complexe). Bien entendu, ils n’ont pas compris que les Américains pouvaient être assez naïfs pour croire qu’il était facile de créer un nouveau coronavirus.

On peut donc se demander d’où vient ce coronavirus. Son ossature représente près de 90% du virus, et aucun virus de ce type n’existait dans aucune base de données. Bien sûr, on pourrait faire valoir qu’un tel virus existait, mais qu’il était caché ou qu’il se trouvait dans une base de données supprimée. Le virus constituant son ossature n’aurait rien été sans la protéine de pointe de type RatG13, alors pourquoi avoir choisi ce virus et comment savaient-ils que la protéine de pointe RaTG13 associée à un SCF fonctionnerait avec ce virus? Ce n’est pas possible, pas sans de nombreux essais et erreurs avec d’autres virus.

Il est plus probable que Sars-Cov-2 soit un virus consensuel composé de parties de virus étroitement apparentés et conçu par un Génie des Coronavirus. Le livre mentionne même cette technique.

En 2008, Baric a téléchargé quatre séquences incomplètes de coronavirus à partir d’un ensemble de données GenBank qui avait été téléchargé en 2005 par des scientifiques chinois. Baric a utilisé ses talents de magicien pour donner vie, dans son laboratoire, à une nouvelle séquence d’ARN générée par ordinateur.

À partir de cet ensemble de quatre séquences partielles, Baric a créé un coronavirus de chauve-souris synthétique « consensuel ». Il a remplacé une petite partie de la protéine de pointe par une section du virus du SARS de 2003 qui se lie aux récepteurs ACE2 humains, ce qui confère au nouveau virus une fonctionnalité spécifique de verrouillage et donne au clone synthétique de Baric la capacité d’infecter les tissus humains.

Dans cette série d’expériences, Baric a fait preuve d’une précision chirurgicale qui démontre sa maîtrise incontestée des méthodes de génétique inverse et de clonage infectieux mises au point par Vincent Racaniello et David Baltimore avec le poliovirus.

En fait, la proposition de projet DEFUSE, dont nous avons de bonnes raisons de penser qu’elle était en cours en 2018 lorsque son offre a été rejetée, prévoyait également l’élaboration d’une séquence consensuelle.

… [Le Sars-Cov-2 ] était: un vaccin vivant atténué hybride (VVA) pour chauve-souris. Cela explique pourquoi le SARS2 était si contagieux mais pas aussi mortel. Un vaccin animal (p. ex. SARS2) serait conçu pour sembler naturel à l’espèce locale (chauve-souris chinoise) en utilisant une séquence « consensuelle« , que Dani et Linfa ont tous deux référencée à l’UNC en 2019.

Cet article l’explique clairement. [NdT. article de Jim Haslam en cours de traduction]

Les propositions de la DARPA, qui ont fuité jusqu’au groupe d’analyse des origines des pandémies Drastic, montrent que l’équipe avait prévu de prendre des séquences de coronavirus naturels et de les utiliser pour créer une toute nouvelle séquence qui était une moyenne de toutes les souches.

La demande de subvention, soumise en 2018, stipule ce qui suit: « Nous compilerons les données de séquence/ARNseq d’un panel de souches étroitement apparentées et comparerons les génomes complets, en recherchant des PN (polymorphismes nucléotidiques) uniques représentant des erreurs de séquençage. »

« Les génomes candidats consensuels seront synthétisés commercialement à l’aide de techniques établies et d’ARN de longueur génomique et d’électroporation pour récupérer les virus recombinants. »

Un collaborateur de l’OMS, qui a demandé à ne pas être nommé par crainte de représailles, a expliqué la proposition:

« Cela signifie qu’ils prendraient diverses séquences de coronavirus similaires et créeraient une nouvelle séquence qui serait essentiellement la moyenne de ces séquences. Il s’agirait d’une nouvelle séquence virale, qui ne correspondrait pas à 100 % à quoi que ce soit. »

Ils auraient ensuite synthétisé le génome viral à partir de la séquence informatique, créant ainsi un génome viral qui n’existe pas dans la nature mais qui semble naturel puisqu’il s’agit de la moyenne de virus naturels.

« Ils placent ensuite cet ARN dans une cellule et en extraient le virus. Cela crée un virus qui n’a jamais existé dans la nature, avec une nouvelle ‘ossature’ qui n’existe pas dans la nature mais qui est très, très similaire puisqu’il s’agit de la moyenne des ossatures naturelles ».

La source a indiqué qu’il était intéressant de noter que le seuil pour générer une telle séquence moyenne était constitué par des virus dont la divergence génétique entre eux n’était que de 5%.

L’année dernière, des scientifiques de l’Institut de Virologie de Wuhan ont déclaré avoir trouvé une souche nommée RaTG13 dans des excréments de chauve-souris dans une grotte de la province du Yunnan en 2013, qui correspondait à 96,1% au Sars-CoV-2. Cela signifie que RaTG13 aurait pu être inclus dans un ensemble de génomes viraux pour aider à créer une séquence moyenne.

Bien que la demande de subvention ait été rejetée en 2018, la base de données de Wuhan sur les souches virales a été mise hors ligne avant l’épidémie de Covid, quelque 18 mois plus tard, ce qui signifie qu’il est impossible de vérifier sur quels virus l’équipe travaillait ou avait créés. Les scientifiques de Wuhan ont toujours nié avoir créé le Sars-CoV-2 en laboratoire.

La source de l’OMS ajoute: « Si le Sars-CoV-2 provient d’une séquence consensuelle artificielle composée de génomes ayant plus de 95% de similitude entre eux, je prédis que nous ne trouverons jamais dans la nature de très bonne correspondance et que nous n’aurons qu’un tas de correspondances étroites sur certaines parties de la séquence, ce qui est jusqu’à présent ce que nous observons. »

Les experts ont déclaré que si l’objectif ultime de la proposition était de créer un vaccin pan-coronavirus, la construction d’un virus moyen « idéal » aurait été un bon point de départ.

http://web.archive.org/web/20211006101612/https://www.telegraph.co.uk/world-news/2021/10/05/wuhan-us-scientists-planned-create-new-coronaviruses-funding/

Ils ont donc créé un pan-coronavirus à partir de séquences consensuelles. Mais il n’y avait pas assez de séquences publiées suffisamment proches du Sars-Cov-2 pour le faire, de sorte que l’ingénierie par consensus n’était pas envisageable. De plus, comment auraient-ils pu savoir qu’ils voulaient obtenir quelque chose comme le Sars-Cov-2, à moins d’être un génie comme Ralph Baric, le Parrain des Coronavirus?

À l’heure actuelle, aucune donnée solide et exploitable ne permet d’affirmer que le virus a été conçu et qu’il a échappé au confinement. La pathogenèse du SARS-CoV-2 étant si complexe, l’idée que quelqu’un puisse le fabriquer est presque ridicule.

Quand on pense à la diversité des souches liées au SARS qui existent dans la nature, il n’est pas difficile d’imaginer une souche qui présenterait les caractéristiques biologiques complexes et imprévisibles du SARS-CoV-2.

En tant que scientifiques, nous avons tendance à faire des expériences, à lire la littérature et à penser que nous comprenons le fonctionnement de la nature. Nous faisons des déclarations définitives sur la manière dont les coronavirus sont censés émerger des réservoirs animaux, sur la base d’un ou deux exemples. Mais la nature a de nombreux secrets et notre compréhension est limitée. Ou, comme on dit dans Game of Thrones, « Tu ne sais rien, Jon Snow ».

https://www.technologyreview.com/2021/07/26/1030043/gain-of-function-research-coronavirus-ralph-baric-vaccines

Bien sûr, Ralph sait probablement qu’il est le seul à pouvoir créer un tel virus, c’est probablement pourquoi il parle de « presque ridicule » et qu’il n’exclut pas la possibilité d’une dissémination accidentelle en laboratoire.

Mais chose étrange: lorsque Ralph fait une présentation au Congrès en février 2020 pour décrire le Sars-Cov-2, il ne mentionne pas le SCF. Une omission intéressante.

Une hypothèse est que Ralph avait connaissance de séquences non publiées qui pouvaient être utilisées pour construire le Sars-Cov-2 avec une séquence consensusuelle. Il a ensuite inséré un SCF, comme le demandait DEFUSE.

L’insertion du SCF est nécessaire parce que les chauves-souris disposent également de furine et d’ACE2, mais pour des raisons inconnues, les virus ne se répliquent pas toujours très rapidement en raison du système immunitaire unique des chauves-souris.

Il aurait ensuite envoyé un certain nombre de ces virus candidats à Wuhan pour les tester sur des chauves-souris et des souris afin de les sélectionner et de poursuivre le projet. N’oubliez pas qu’il s’agit principalement d’essais et d’erreurs, et qu’ils utilisent l’IVW pour ces tests parce qu’ils sont moins chers et qu’ils ont des chauves-souris (dont le CDC n’autoriserait pas l’importation).

L’IVW aurait probablement rapporté que l’un de ces candidats avait anéanti leurs souris transgéniques à ACE2 humain et n’avait pas très bien infecté les chauves-souris, ce qui le rendait inutile pour un vaccin vivant pour chauves-souris, mais parfait pour un vaccin humain autodiffusant.

Ce qui s’est passé ensuite est du ressort de n’importe qui (faites appel à votre imagination). De jeunes travailleurs de laboratoire dans un BSL-2 pourraient facilement être infectés de manière asymptomatique et libérer le virus dans la communauté.

Made in USA, donc, mais un accident.

Sauf bien entendu si Ralph savait que le virus envoyé pouvait infecter et se transmettre chez l’homme et que, sachant que l’IVW effectuait ce travail dans un BSL-2, il se serait probablement échappé du laboratoire.

Revenons aux virus qui auraient pu être utilisés pour la séquence de consensus. Tout d’abord, il y a eu RaTG13. Il a été collecté en 2013, partiellement séquencé en 2016, et entièrement séquencé et nommé en 2018. ll n’était pas particulièrement proche du SARS et n’était donc pas considéré comme très intéressant jusqu’à ce que le Sars-Cov-2 soit séquencé et qu’il soit trouvé similaire à 96,1%. C’est l’histoire que l’on nous raconte.

Il est possible que Baric ait disposé de la séquence avant sa publication en 2020, mais nous n’en sommes pas sûrs.

Ensuite, nous trouvons trois autres virus collectés en Chine en 2019-2020 par des scientifiques qui ne font pas partie de l’IVW.

Bien que RaTG13, prélevé sur une chauve-souris Rhinolophus affinis au Yunnan (Zhou et al., 2020b), présente la plus grande similarité génétique moyenne avec le SARS-CoV-2, des antécédents de recombinaison signifient que trois autres virus de chauve-souris – RmYN02, RpYN06 et PrC31 – sont plus proches dans la majeure partie du génome du virus (en particulier l’ORF1ab) et partagent donc un ancêtre commun plus récent avec le SARS-CoV-2 (Li et al., 2021; Lytras et al., 2021; Zhou et al., 2021).

Aucun de ces trois virus plus proches n’a été collecté par l’IVW et tous ont été séquencés après le début de la pandémie (Li et al., 2021; Zhou et al., 2020a, 2021).

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0092867421009910

RmYN02 a été collecté entre mai et juillet 2019 au Yunnan par le professeur Alice C. Hughes du Jardin botanique tropical de Xishuangbanna, et séquencé par Weifeng Shi de l’Université médicale de Shandong, sur la base d’une analyse de 302 échantillons de fèces prélevés sur 227 chauves-souris qui ont été collectés dans le comté de Mengla, dans la province du Yunnan, en Chine, publié le 8 juin 2020. Le co-auteur est le tristement célèbre Eddie Holmes, originaire d’Australie, un ami proche de Jeremy Farrar qui a dirigé le Proximal Origins Group.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7211627/

Puis nous avons eu les échantillons BANAL du Laos qui ont été publiés en 2021 avec Eddie « Sherlock » Holmes et Linfa « Batman » Wang, tous deux originaires d’Australie, qui ont déclaré que le dossier Origines Naturelles était clos. Ces échantillons auraient été prélevés dans une grotte de chauve-souris au Laos au plus fort de la pandémie, en septembre 2020.

…la découverte de trois coronavirus chez des chauves-souris vivant dans des grottes calcaires au Laos renforce considérablement les preuves existantes que le virus n’a pas été créé, déclare Holmes.

Les trois virus, présentés dans une préimpression sur Research Square le 17 septembre, sont les plus proches parents du SARS-CoV-2 découverts à ce jour, et ce sont les premiers découverts qui sont presque identiques dans cette région clé.

« La partie centrale et fonctionnelle du SARS-CoV-2 a une origine naturelle », déclare Linfa Wang, chercheur sur le coronavirus de la chauve-souris à l’école de médecine Duke-NUS de Singapour. « C’est prouvé. »

Sur le plan de l’évolution, plusieurs décennies séparent ces virus de chauve-souris – appelés BANAL, car les chercheurs les ont trouvés dans des écouvillons anaux de chauve-souris [NdT. de « bat » et « anal »] – du SARS-CoV-2, de sorte que les nouveaux virus n’ont pas pu être à l’origine de la pandémie.

Mais l’étude élargit encore l’arbre généalogique du SARS-CoV-2 et soulève de nouvelles questions sur la manière dont il est apparu. Et les virus BANAL pourraient bien constituer une menace pour l’homme lui-même, avertit Wang. « Ce virus pourrait être le SARS-CoV-3 », déclare-t-il.

Pour l’étude, une équipe de chercheurs de l’Université nationale du Laos, en collaboration avec des collègues de l’Institut Pasteur, qui a une antenne au Laos, a prélevé des échantillons sur 645 chauves-souris provenant de quatre sites différents.

Dans le terrain karstique du district de Feuang, ils ont trouvé des chauves-souris de trois espèces différentes du genre Rhinolophus qui étaient infectées par des virus dont la séquence génétique était identique à 96,8% à celle du SARS-CoV-2.

https://www.science.org/content/article/close-cousins-sars-cov-2-found-cave-laos-yield-new-clues-about-pandemic-s-origins

Selon Jim Haslam, le Centre de recherche médicale du gouvernement américain en Asie. (NMRC-A), en soutien au système mondial de surveillance et de réponse aux infections émergentes du Ministère de la Défense (DoD-GEIS), avait collecté des échantillons de chauves-souris dans la grotte de chauves-souris, exactement au même endroit, en 2017. Le NMRC-A est également basé à Singapour et a financé les recherches de Linfa sur les chauves-souris en 2019.

Ces séquences de coronavirus n’ont jamais été publiées.

Si les séquences de ces virus similaires au Sars-Cov-2 étaient connues avant les dates présumées de collecte/séquençage, une telle séquence consensuelle aurait pu être utilisée pour construire l’ossature du Sars-Cov-2, comme Ralph l’avait fait il y a 15 ans pour construire une ossature synthétique à partir de virus similaires au SARS.

RALPH BARIC

RFK Jr mentionne souvent Ralph et lui consacre un chapitre entier.

Ralph est connu pour être le Parrain des Coronavirus, sur lesquels il travaille depuis près de 40 ans. Son mentor à l’USC était le Père des Coronavirus, un Taïwanais qui est revenu à Taïwan juste au moment de l’arrivée du Sars en 2003.

Michael Lai (賴明詔), chercheur américain du Howard Hughes Medical Institute, est retourné à Taïwan pour diriger la lutte contre les coronavirus.

https://www.taipeitimes.com/News/taiwan/archives/2003/05/19/0000211168

Ralph les a conçus au cours des 20 dernières années, lorsque les outils sont devenus disponibles. Il a été l’un des pionniers de la génétique inverse et des techniques « no-seeum » [NdT. équivalent français de « ni vu ni connu », qui désigne une technologie permettant de reproduire des clones viraux sans les traces typiques des autres techniques de laboratoire – voir cette page sur ResearchGate qui mentionne un papier de Baric], et a été le premier à créer un nouveau coronavirus avec des séquences virales consensuelles.

C’est cet homme qui m’intéresse. Pas Daszak ou Shi, dont l’expertise porte sur les crevettes et les chauves-souris. Pourtant, aucun des enquêteurs du Congrès n’a demandé à Ralph Baric de témoigner.

Depuis 1986, les NIH et le NIAID ont accordé à Ralph Baric la somme astronomique de 230 millions de dollars, répartis en 200 subventions, dont un grand nombre pour ses expériences fondamentales sur le gain de fonction.

Il mentionne l’article de Baric de 2006 (publié en 2007), mais oublie cette partie.

Des armes biologiques synthétiques ou recombinantes seront-elles mises au point pour être utilisées comme armes biologiques? Si l’objectif principal est de tuer et d’inspirer la peur aux populations humaines, les agents pathogènes naturels constituent probablement une source plus fiable de matériel de départ (…).

Si la notoriété, la peur et l’orientation des politiques des gouvernements étrangers sont les principaux objectifs, la dissémination et la découverte ultérieure d’une arme biologique dérivée d’un virus synthétique bénéficieront d’une couverture médiatique considérable, inspireront la peur et la terreur aux populations humaines et exerceront de fortes pressions sur les responsables gouvernementaux pour qu’ils réagissent de la manière prévue.

Voici ce que RFK Jr a dit à propos de ce document:

En décembre 2007, le Dr Baric a publié un article extraordinairement franc qui expliquait l’objectif qu’il poursuivait en menant de telles expériences et qui ouvrait la voie à toutes les recherches futures sur le gain de fonction.

Dans une autre section du livre, où il est fait référence au même document, mais cette fois en tant que document datant de 2006,

Dans son document de 2006, Baric souligne que pour mériter le qualificatif d' »arme de destruction massive », une arme biologique doit être capable de « tuer, blesser ou neutraliser l’ennemi, susciter la peur et dévaster les économies nationales ».

Il est amusant de constater que RFK Jr n’a pas trouvé aussi fascinante que moi la partie où Ralph décrit un virus synthétique destiné à terroriser les populations plutôt qu’à les tuer.

Baric décrit les caractéristiques idéales d’une arme biologique efficace:

Traditionnellement, les préoccupations en matière de guerre biologique se sont concentrées sur un groupe relativement limité et sélectionné d’agents pathogènes naturels considérés comme présentant un ensemble de caractéristiques souhaitables:

1) hautement pathogènes, -[NON]

2) facilement disponibles, -[OUI]

3) faciles à produire, -[OUI]

4) pouvant être militarisés, -[OUI]

5) stables, -[OUI]

[Les éléments ci-dessous sont également – OUI]

6) infectieux à faible dose,

7) facilement transmissible,

[et]

8) inspirant la peur – [OUI]

Dans un article publié en 2018, Baric étudiait la façon de rendre le virus assez stable pour l’empêcher de muter jusqu’à disparaître, comme le SARS.

Article de 2018 de Baric:

« Évaluation d’un coronavirus résistant à la recombinaison en tant que plateforme vaccinale largement applicable et rapidement réalisable »

Un candidat vaccin vivant atténué doit démontrer une stabilité phénotypique dans les populations hôtes infectées. Par conséquent, pour tester sa résistance au retour à la virulence, CRG3 a été soumis à cinq passages en série indépendants, en parallèle avec le SARS-CoV sauvage, chez des souris BALB/c âgées de 14 mois

Collectivement, ces résultats ont démontré que cette région du génome du SARS-CoV est intrinsèquement instable lorsqu’elle est soumise à une pression de réplication, en particulier chez les animaux âgés, et ont indiqué qu’un virus aux TRN [NdT: Transcriptional Regulatory Networks ou réseaux de régulation transcriptionnelle] recombinés nécessiterait des mutations stabilisatrices supplémentaires pour pouvoir être utilisé comme candidat vaccinal.

Avec l’identification continue de pools zoonotiques de CoVs qui ressemblent génétiquement aux CoV létaux humains et animaux, souvent avec seulement quelques points de pourcentage de différence entre les séquences zoonotiques et les séquences humaines létales, la nécessité d’une plate-forme d’atténuation universelle et rapidement applicable pour la conception de vaccins vivants atténués contre les CoV est soulignée.

Dans ce rapport, nous avons décrit la conception et la mise en œuvre d’une stratégie d’atténuation du CoV qui peut être facilement et rapidement adaptée à n’importe quel génome de CoV. La présence de 8 à 9 TRS [NdT. Transcription Regulatory Sequence, ou séquence régulatrices de transcription] caractérisées dans tout génome de CoV, dont les CS [NdT. Core Sequences, qui sont l’origine minimum de réplication] sont de 6 à 7 nts [nucléotides] chacun, constitue une cible trop vaste et trop complexe pour que la réversion du site primaire soit un événement probable. Comme la plupart des événements de recombinaison unique découplent les réseaux d’expression des TRN, ces recombinants seraient létaux. Par conséquent, cette stratégie d’atténuation, lorsqu’elle est associée à des allèles capables de résister aux événements de sélection qui conduisent à la réversion du second site, pourrait mettre les vaccins vivants atténués contre le CoV à portée de la réalisation face à la menace toujours croissante de nouvelles épidémies humaines et animales basées sur le CoV.

Les chercheurs ont utilisé une nouvelle séquence (UGGUCGC), le leader de transcription TRS, pour tenter de réduire davantage la recombinaison dans les modèles animaux et d’en faire un vaccin vivant potentiel.

Selon Jim Haslam, cette

séquence leader TRS se trouve à partir du nucléotide 1465 dans le SARS-CoV-2 et pourrait aboutir, si elle était utilisée, à une nouvelle transcription de l’ARN viral qui supprime une partie de la protéine nsp2 de la polyprotéine de l’ORF 1ab.

Elle se trouve également au nucléotide 1446 dans le RaTG13, l’un des virus découverts dans la grotte du Yunnan en 2013, qui a été proposé comme précurseur du SARS-CoV-2. Cette séquence n’est présente dans cette zone chez aucun autre coronavirus. Cette nouvelle séquence TRS se trouve également à l’extrémité 3′ des transcriptions de l’ARN de la protéine de pointe virale du SARS-CoV.

On voit donc que le Sars-Cov-2 a été conçu comme un virus vivant atténué autodiffusant. Lorsqu’il est redevenu virulent (Delta), on y a remédié avec un autre vaccin (Omicron) qui a probablement été testé à Porto Rico en 2020, dont la présence y a été signalée par les auteurs japonais Tanaka et Miyazawa [NdT. voir mon article traduit ici].

https://zenodo.org/record/8216373

Le Sars-Cov-2 est synthétique et non naturel, et il n’est pas particulièrement pathogène (taux de létalité/infection 0,2%, probablement moins si le traitement est précoce avec IVM et HCQ, et des suppléments de vitamine D3/C).

L’objectif principal de la pandémie n’était pas de tuer, même si cela en faisait partie, en particulier les personnes âgées qui bénéficient de la sécurité sociale et de pensions de retraite, mais de nous terroriser.

Le Sars-Cov-2 n’a pas été conçu comme une arme de guerre biologique, c’était une arme de bio-terroristes destinée à effrayer les gens pour leur faire accepter une autre arme biologique par injection, à savoir les vaccins Covid-19 (ARNm/ADN).

LE RÉSEAU CREID

En mai 2020, Fauci, au lieu d’être licencié, a reçu un nouveau JOUET alors que beaucoup d’entre nous étaient confinés.

https://www.rti.org/impact/centers-for-research-in-emerging-infectious-diseases-creid-coordinating-center

CREID (prononciation irlandaise de Believe) [croire]

DEFUSE

En août 2020

Le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (« Institut national des allergies et des maladies infectieuses », NIAID), l’un des National Institutes of Health (Instituts nationaux de la santé), a annoncé aujourd’hui qu’il avait accordé 11 subventions d’une valeur totale d’environ 17 millions de dollars pour la première année, afin de créer les Centers for Research in Emerging Infectious Diseases (« Centres de recherche sur les maladies infectieuses émergentes ») (CREID).

Ce réseau mondial comprendra des recherches multidisciplinaires sur la manière dont les virus et autres agents pathogènes émergent de la faune et de la flore et se propagent pour provoquer des maladies chez l’homme, ainsi que sur le lieu de leur apparition. Le NIAID a l’intention de fournir environ 82 millions de dollars sur 5 ans pour soutenir le réseau.

https://www.niaid.nih.gov/news-events/niaid-establishes-centers-research-emerging-infectious-diseases

Vous pensez peut-être que la date mai 2020 implique que cela n’a rien à voir avec le Sars-Cov-2? Eh bien, regardez qui est derrière chacun de ces projets. Les mêmes personnes.

Apparemment, un collègue virologue, Robert Garry, affirme que le financement du CREID était déjà prévu depuis 2019, car il faut du temps pour régler officiellement tous les détails.

Fauci a déclaré que son projet CREID était « en cours d’élaboration des années avant l’élimination de USAID Predict (en 2019) et qu’il a été créé en réponse à l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest en 2014 et à l’épidémie de Zika en 2016″. Il a déclaré: « Oui, il est similaire à Predict, mais ce n’est pas l’annulation de Predict qui l’a inspiré. »

Le projet a été attribué au même groupe d’universités et de laboratoires qui collaboraient auparavant avec Wuhan: UC Davis, Duke, UNC, EcoHealth et UTMB Galveston.

Sans le Sars-Cov-2, le CREID aurait-il pu être approuvé? Ce virus autodiffusant est vraiment prodigieux, il reproduit même le financement des Scientifiques qui l’ont conçu.

Lorsque Daszak a soumis la proposition DEFUSE à la DARPA, qui avait sollicité des propositions dans le cadre du programme PREEMPT, celle-ci a été attribuée à un autre groupe de l’université d’État du Montana qui faisait la même chose, mais en Afrique, avec un autre virus de chauve-souris (Lassa) et pour un montant inférieur de 4 millions de dollars à celui de la proposition DEFUSE. Il est probable que l’étude était déjà en cours, car ceux qui accordent ces subventions aiment voir des données préliminaires.

Peut-on affirmer avec certitude que le CREID de Fauci a financé DEFUSE? Non. Il n’y a aucune preuve de financement direct et même s’il y en avait un, il pourrait être dissimulé.

En 2018, sous le FASAB, les dépenses secrètes de sécurité nationale ont été légalisées et la destination des financements rendue opaque.

« SFFAS 56 – ACTIVITÉS CLASSIFIÉES » permet aux agences gouvernementales de « modifier » les états financiers publics et de déplacer les dépenses d’un poste à l’autre et de s’abstenir de dire aux contribuables si et quand les états financiers publics ont été modifiés. « 

http://files.fasab.gov/pdffiles/sffas_56_nr.pdf

Cependant, ces acteurs reçoivent de multiples subventions et il ne serait pas difficile de gonfler les coûts d’un projet pour couvrir les coûts d’un Projet « Obscur ».

DEFUSE

Avant de poursuivre, j’aimerais ajouter un peu de contexte à la proposition de projet DEFUSE que la DARPA a rejetée, prétendument parce qu’il s’agissait de gain de fonction, mais aussi parce qu’elle « n’en avait pas les moyens« .

L’offre d’EHA [EcoHealth Alliance] à la DARPA a été sollicitée par le projet Preempt de la DARPA. Comme le rapporte Jim Haslam, EHA a perdu face à l’équipe de Vincent Munster. Munster était le responsable technique d’un « nouveau vaccin pour animaux » qui n’a coûté que 10 millions de dollars. Munster a travaillé au laboratoire BSL4 Rocky Mountain de Fauci dans le Montana sur des virus, y compris des Coronavirus.

L’équipe DARPA Defuse, qui a perdu, a ensuite « fusionné » avec l’équipe DARPA Preempt, qui a gagné, dans le cadre du réseau CREID de Fauci, doté d’un budget de 82 millions de dollars. Le budget du NIAID de Fauci est deux fois plus important que celui de la DARPA.

L’équipe de l’Université d’État du Montana (MSU), qui a utilisé la méthode de Munster, a coûté 25% moins cher, soit 10 millions de dollars contre 14 millions de dollars. L’approche technique de Munster ne nécessitait pas l’équipement de terrain coûteux de Daszak, ni de médicaments, ni de suivi pour le déploiement d’un vaccin animal dans des endroits éloignés.

Ce projet non classifié relevait du domaine public, mais il impliquait des informations propriétaires, avec un certain degré d' »ambiguïté » à la lecture des communiqués de presse. Ce vaccin était « destiné à protéger les militaires américains et les communautés locales où ils opèrent » en Afrique. Mais ce « nouveau vaccin » n’était pas destiné aux troupes américaines, il était destiné aux chauves-souris africaines.

Le travail de Munster était de « créer le premier prototype au monde d’un vaccin autodiffusant conçu pour induire un niveau élevé d’immunité collective (chez les animaux sauvages) ».

[Ils créaient] le premier prototype au monde d’un vaccin autodiffusant conçu pour induire un niveau élevé d’immunité collective (protection au niveau de la population sauvage) contre le virus de Lassa (LASV) et le virus Ebola.

Cela n’est pas sans rappeler le projet DEFUSE, mais avec un virus différent, prétendument, mais était-il si difficile de réorienter le projet vers un autre virus (Sars-Cov-2) et une autre cible (les humains)?

Il est intéressant de noter que le cerf à queue blanche d’Amérique du Nord (White Tail Deer, Wtd) est devenu le premier « réservoir sauvage » de SARS2 répertorié sur la planète. Je suis certain qu’il y a des cerfs à queue blanche dans le Montana.

En juillet 2021, le Ministère de l’Agriculture américain a indiqué sur son site web que son service d’inspection phytosanitaire avait récemment achevé une étude montrant que des anticorps contre le SARS-CoV-2 avaient été détectés dans 33% des 481 échantillons de sérum de cerfs de Virginie prélevés entre janvier 2020 et 2021 dans les États de l’Illinois, du Michigan, de New York et de Pennsylvanie, et que parmi eux, 67% des échantillons prélevés dans le Michigan contenaient des anticorps.

Il s’agit de la première détection d’anticorps contre le SARS-CoV-2 dans la faune sauvage, et la présence de ces anticorps confirme qu’un grand nombre de cerfs de Virginie aux États-Unis ont déjà été exposés au virus.

https://www.aphis.usda.gov/aphis/newsroom/stakeholder-info/stakeholder-messages/wildlife-damage-news/deer-sars

Tromperie

Une grande partie de la discussion technique relative à la collaboration Baric-IVW comportait des mots militarisés et des affirmations exagérées accompagnées de liens qui n’étayaient pas ce qui était dit. Je ne donnerai que quelques exemples, mais leur auteur était probablement un larbin de la CIA. D’après ce que j’ai compris, Baric était un véritable homme d’affaires, qui ne donnait rien gratuitement. Juste après que tout le monde ait fait dans son froc à cause du Sars-Cov-2, provoquant ainsi une pénurie de papier hygiénique, Ralph proposait à ses amis de TwiV [NdT. « This week in Virology », webinaires sur YouTube auxquels participe Baric, par exemple ici] de leur vendre du papier hygiénique de son stock personnel pour 10 dollars le rouleau. Je soupçonne qu’il disait ça sérieusement.

Quoi qu’il en soit, il était très soucieux de protéger ses droits de propriété intellectuelle. L’IVW se montrait un partenaire utile en fournissant des séquences de chauves-souris et des plasmides, et il ne fait aucun doute qu’il y a eu des échanges techniques à la hauteur de la valeur qu’il y attachait, mais cela n’est pas très public.

Plus inquiétant encore, Baric a enseigné sa méthode « no-see-um » au Dr Shi Zhengli et à son équipe pendant la période de collaboration intensive sur la recherche sur les coronavirus entre 2014 et 2016. L’article de Baric et Shi publié en 2015, « A SARS-like Cluster of Circulating Bat Coronaviruses Shows Potential for Human Emergence »(Un groupe de coronavirus de chauve-souris circulants semblable au SARS montre un potentiel d’émergence humaine), décrit leurs efforts fructueux pour développer des techniques de génie génétique permettant de dissimuler les signes révélateurs des manipulations de laboratoire dans les coronavirus chimériques.

Il n’y a aucune preuve de cela. Il a cosigné un article en 2015 avec Shi parce qu’elle a fourni des plasmides et des séquences, mais elle-même affirme que le travail a été effectué par les laboratoires de Baric. Cela ne veut pas dire qu’elle n’avait pas la capacité de le faire. Baric lui-même a déclaré qu’il lui avait caché les séquences afin qu’elle ne puisse pas reproduire son travail.

Lors d’une interview réalisée au cours de l’été 2021, Baric lui-même a avoué qu’au moment où la pandémie a commencé, seuls deux ou trois laboratoires dans le monde utilisaient son protocole, dont son laboratoire de l’UNC et l’IVW.

Dans la source fournie, il ne mentionne pas l’IVW. Il existe de nombreux protocoles de génétique inverse utilisés par de nombreux laboratoires et il a publié sa méthode en 2000/2002 et l’a décrite dans des brevets.

En 2017, grâce au financement du Dr Fauci, les scientifiques chinois de l’IVW ont maîtrisé la technique d’ingénierie furtive du professeur de l’UNC. Dans un article publié cette année-là, l’un des étudiants diplômés de Shi, Zeng Lei-Ping, chercheur au laboratoire de Wuhan, a annoncé que les scientifiques chinois avaient réussi à reproduire l’astuce de Baric pour dissimuler l’intervention humaine.

Zeng s’est vanté que les chercheurs de l’IVW avaient adapté des hybrides de coronavirus de chauve-souris pour infecter les poumons humains, puis appliqué le système « no-see-um » de Baric pour enterrer toutes les preuves de leur manipulation.

Selon la source, il s’agissait d’une thèse. Elle n’a donc pas été financée par Fauci. Cependant, le même auteur a publié en 2016 un article utilisant la génétique inverse. Dans cet article, il décrit une approche hybride.

Dans cette étude, nous avons développé une méthode rapide et rentable pour la génétique inverse des coronavirus en combinant deux approches développées par d’autres. Notre méthode permet de diviser les génomes des coronavirus en plusieurs fragments et de les insérer dans un plasmide BAC en une seule étape. Les virus recombinants peuvent ensuite être sauvés efficacement par transfection directe des constructions BAC. Comme les génomes peuvent être divisés en plusieurs fragments courts, des mutations peuvent être introduites facilement dans les fragments individuels.

Méthode 1

Almazan F, Gonzalez JM, Penzes Z, Izeta A, Calvo E, Plana-Duran J, Enjuanes L. 2000. Engineering the largest RNA virus genome as an infectious bacterial artificial chromosome (Ingénierie du plus grand génome de virus à ARN en tant que chromosome artificiel bactérien infectieux). Proc Natl Acad Sci U S A 97:5516-5521. doi: 10.1073/pnas.97.10.5516. [PMC free article] [PubMed] [CrossRef] [Google Scholar].

Méthode 2

Yount B, Curtis KM, Baric RS. 2000. Strategy for systematic assembly of large RNA and DNA genomes : transmissible gastroenteritis virus model (Stratégie d’assemblage systématique de grands génomes d’ARN et d’ADN : modèle du virus de la gastroentérite transmissible). J Virol 74:10600-10611. doi: 10.1128/JVI.74.22.10600-10611.2000. [PMC free article] [PubMed] [CrossRef] [Google Scholar].

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4936131/

Cet article a été partiellement financé par le NIAID.

Ce travail a été financé conjointement par la Fondation Nationale des Sciences Naturelles de Chine (81290341, 31321001, et 81401672) et les Instituts Nationaux de la Santé (NIAID R01AI110964).

Ensuite…

En 2020, les chercheurs militaires chinois, après avoir bénéficié d’années de recherche financée par le NIAID et l’USAID, mettaient au point des coronavirus pandémiques susceptibles de se propager rapidement dans les populations mondiales et n’en étaient pas le moins du monde gênés. Même lorsque la pandémie de COVID-19 battait son plein, les scientifiques chinois faisaient publiquement l’apologie de ces capacités croissantes.

Aucune preuve apportée.

En avril 2020, sept mois après que le COVID-19 a commencé à circuler, vingt-trois scientifiques chinois – dont sept de l’Académie des Sciences Médicales Militaires, l’institut de recherche médicale de l’armée chinoise – se sont vantés d’avoir utilisé la technologie CRISPR d’édition de gènes pour créer des souris aux poumons humanisés afin de faciliter le développement de souches de coronavirus susceptibles d’infecter les humains.

En juin 2021, Vanity Fair a rapporté que les enquêteurs du Conseil de Sécurité Nationale (NSC) des États-Unis ont déterminé qu' »il est devenu clair que les souris avaient été modifiées au cours de l’été 2019, avant même le début de la pandémie ».

Félicitations, ils ont simplement reproduit ce que Baric avait fait 18 ans plus tôt

Des scientifiques américains ont mis au point des souris humanisées en 2002. Les scientifiques financés par les NIH, comme Ralph Baric, utilisaient des souris humanisées pour tester l’infectiosité humaine de leurs agents pathogènes améliorés depuis près de vingt ans!

Ensuite…

Le NIAID a aidé les Chinois à lancer leur programme en formant des scientifiques et des techniciens chinois sur place et à Galveston.

Duke a également lancé une collaboration de recherche visant à transférer à la Chine la technologie de pointe des NIH en matière d’armes biologiques.

La source fournie ne dit rien de tel. L’objectif de la formation était de leur apprendre à travailler en toute sécurité dans un laboratoire BSL-4 afin d’éviter les fuites.

https://www.utmb.edu/gnl/news/2020/04/16/the-galveston-national-lab-and-wuhan-institute-of-virology

PALANTIR – Avril Haines

Il tente de discréditer Avril Haines en l’associant à Palantir.

Palantir, une société de renseignement privée fondée en 2003 par Peter Thiel, cofondateur de PayPal.

Thiel a été l’un des plus grands soutiens de Trump entre 2017 et 2020.

Palantir est un sous-traitant du Pentagone et des agences de renseignement spécialisé dans l’extraction de données… La société « a facilité les déportations massives d’immigrés sous Trump ».

Pendant les confinements de la pandémie COVID, Palantir, peut-être le leader mondial des technologies et des programmes de police prédictive, a touché le pactole de la mise en œuvre des politiques oppressives de surveillance et de contrôle qui [avaient été] modélisées pendant la simulation Event 201, en engrangeant des contrats lucratifs avec la CIA.

Palantir est l’une des entreprises, avec Microsoft, Google et Amazon, qui a fourni une série de technologies de suivi des données, de surveillance et d’identification numérique au Ministère de la Sécurité Intérieure américain et aux Centres de Contrôle des Maladies, ainsi qu’aux gouvernements occidentaux pendant la pandémie de COVID.

Ces contrats ont été attribués pour la première fois en 2020, sous l’administration Trump.

L’entreprise a démontré qu’elle partageait le mépris de la CIA pour les traditions et les valeurs américaines en participant à une tentative de campagne de diffamation contre les militants anti-corporation et les journalistes qui remettaient en question les politiques du gouvernement, notamment le fouineur Glenn Greenwald.

Juste avant d’accepter le poste de première espionne américaine, Mme Haines a effacé de sa biographie le fait qu’elle était consultante rémunérée – à hauteur de 180 000 dollars par an – pour Palantir.

Peter Thiel ne soutient plus Trump. Je suppose qu’il pense que Haines surveille ses arrières.

Conclusion

Le livre est une révélation sous contrôle. Il vaut quand même la peine d’être lu pour sa première partie. J’attendrais cependant que le prix baisse.

Selon moi, le Sars-Cov-2 a été fabriqué par l’homme et probablement diffusé intentionnellement à des fins politiques par des mondialistes ancrés dans le gouvernement et l’État profond, en collaboration avec des universités et des entreprises du complexe militaro-industriel et du Forum Économique Mondial, avec un soutien bipartisan pour des raisons politiques, sociales et économiques.

Le virus n’était pas particulièrement pathogène afin de protéger les élites. Il a été atténué à la manière d’un vaccin à virus vivant, bien qu’il soit dangereux pour les personnes immunodéprimées telles les personnes âgées.

Afin d’augmenter le nombre de morts et de faire accepter la véritable arme biologique, à savoir le vaccin injecté, les protocoles de confinement et de traitement ont été mis au point et conçus pour tuer. Les élites éviteraient le vaccin, à l’exception de l’injection occasionnelle d’une solution saline à des fins de démonstration.

En 2020-2021, le gouvernement fédéral a proposé des incitations financières pour obtenir la participation de tous, l’argent a coulé à flots dans les États, les villes, les hôpitaux, les maisons de retraite, les scientifiques, les entreprises pharmaceutiques, les grandes entreprises (PPP), et les médias ont été récompensés par l’obéissance du public. Ils ont reçu du gouvernement un narratif de pornographie de la peur, suivi de milliards en publicité pour soutenir la narration gouvernementale et faire le marketing de la campagne de vaccination.

Ceux qui ont marché dans la combine ont empoché l’argent. Aucune travailleuse de rue n’a jamais trimé plus dur ni écarté les jambes plus largement que les hommes d’affaires qui voulaient leur part du gâteau.

La richesse des milliardaires est passée de 7,7 trillions en 2017 à 10,2 trillions en 2020 et 13,1 trillions en 2021.

Les bénéfices des entreprises sont montés en flèche malgré la fermeture de nombreuses petites entreprises et la réduction de la concurrence qui a fait grimper les prix du fait de la collusion.

Une surmortalité de 2 millions, principalement des personnes âgées, et la réduction de l’espérance de vie profitent à la sécurité sociale et aux fonds de pension.

Moyens, opportunités, motivations.

Le COVID fut Made in US et diffusé avec le soutien de la communauté internationale (y compris la Russie et la Chine) alors que chaque gouvernement complice suivait les mêmes protocoles DANGEREUX, bien qu’avec des modifications autorisées pour permettre à chaque nation de choisir entre des mesures dures ou douces.

La Gouvernance Mondiale est déjà là, elle n’a juste pas encore été annoncée. Les simulacres de conflits entre nations visent à vous empêcher de le comprendre et à maintenir le soutien au financement du Complexe Militaro-Industriel Universel. Le simumacre de confliet politique vise à ce que les gens se battent entre eux au lieu de combattre les élites qui contrôlent leur gouvernement par le biais des deux partis politiques corrompus.

Le livre de RFK Jr vise à vous empêcher de comprendre cette situation, même si, comme nous l’avons mentionné, il donne quelques informations utiles au début du livre.

Fin.

Lectures complémentaires

[NdT. trois articles en anglais de Pete]

Mystère de la séquence de l’ossature consensuelle utilisée pour construire le Sars-Cov-2

Le Sars-Cov-2 était-il un vaccin autodiffusant?

La machine de financement auto-reproductible de Fauci – CREID

Chronologie

L’activité du gouvernement américain et des acteurs privés dans la période précédant le COVID suggère que des préparatifs étaient en cours depuis plusieurs années, voire plus.

2017 – Fauci prédit une épidémie pendant le mandat de Trump.

2017 – Scénario d’exercice conjoint du G20 avec une contagion chinoise imaginaire baptisée MARS.

2017 – Exercice de table SPARS.

2017- Création du CEPI de Gates.

2017- DARPA – Plateforme de prévention des pandémies créée et financée par l’Agence des Projets de Recherche Avancée de la Défense (DARPA – Defense Advanced Research Projects Agency).

2017- Levée du moratoire sur le financement du gain de fonction.

2018 – Simulation CLADE X.

2018 – Plan de lutte contre la pandémie PanCAP 2.0 du Conseil de Sécurité Nationale.

2018 – Création de CISA [Cybersecurity and Infrastructure Security Agency]

2018 – Rejet de la proposition de subvention du projet DEFUSE de la DARPA.

Septembre 2018 – Trump publie le Mémorandum présidentiel sur la sécurité nationale 14 (NSPM 14).

Le NSPM 14 établit un comité chargé de mettre en œuvre la Stratégie Nationale de Biodéfense avec le Conseiller à la Sécurité Nationale comme chef de file pour la coordination des politiques et faciliter l’intégration des politiques pour les efforts fédéraux en matière de biodéfense.

2019 – Propositions de subventions pour le réseau CREID du NIAID par les mêmes personnes que celles impliquées dans DEFUSE.

Juillet 2019 – La Commission bipartisane sur la biodéfense organise un panel appelant à un « Projet Manhattan pour la biodéfense » avec Kadlec.

Juillet 2019 – Le dernier épidémiologiste du CDC à Pékin part alors que l’épidémie de pneumonie affecte les maisons de retraite pour anciens combattants.

Août 2019 – Le CDC ferme Fort Detrick pour 3 mois.

Septembre 2019 – Les conseillers économiques de la Maison Blanche estiment le coût de la pandémie.

Septembre 2019 – le GPMB, avec Fauci et Gao, avertit qu' »il existe une menace très réelle de pandémie d’un agent pathogène respiratoire à évolution rapide et hautement létale qui anéantirait près de 5% de l’économie mondiale ».

Action requise avant septembre 2020 – deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système.

Sept. 2019 – Gates investit dans BioNTech.

2019 – Le Centre d’Engagement Mondial (« Global Engagement Center », GEC), autorisé en décembre 2016, est rendu pleinement opérationnel par le Département d’État de Pompeo en 2019, suite à son transfert du poste de directeur de la CIA.

Oct 2019 – Événement 201.

Oct 2019 – La BARDA reçoit le Stock Pandémique du CDC.

Déc 2019 – Accord de transfert de matériel entre Moderna et Baric.

Déc 2019 – L’Agence Américaine de Réduction des Menaces de Défense annonce le lancement du programme DOMANE, Discovery of Medical Countermeasures Against Novel Entities (découverte de contre-mesures médicales contre des entités nouvelles).

Malone commence à travailler sur DOMANE avec les Lincoln Labs du MIT qui ont été rapidement mis au travail sur le COVID en janvier (bon timing).

Le mot Domane signifie couronne des rois en latin. En latin, corona signifie couronne. Un choix de nom intéressant puisque le virus de la couronne circule à Wuhan.

Janvier 2020 – La Maison Blanche ordonne que toutes les réunions COVID se tiennent dans un cadre classifié.

Janv. 2020 – La France interdit l’HCQ en vente libre depuis 60 ans et la rend accessible uniquement sur ordonnance.

Janv. 2020 – Michael Callahan, membre de la DARPA/CIA, revient de Wuhan pour travailler avec Kadlec.

Février 2020 – Malone dans l’émission de Rogan: « J’ai été le premier à acquérir, grâce à mes relations chinoises, le protocole chinois de traitement de ce virus. Je l’ai obtenu fin février et je l’ai envoyé à mes amis de la CIA et du DTRA ».

Mars 2020 – Malone publie un livre sur le traitement du COVID (écrit en février) après avoir lui-même contracté le COVID en février et assisté à l’événement de super propagation BIOGEN à Boston à la fin du mois de février. Le livre est rapidement retiré de la vente (censure d’Amazon ou désapprobation des hautes sphères?)

Mars 2020 – le PanCAP est adopté le 13 mars 2020 par le Conseil de Sécurité Nationale (NSC) et prévoit des mesures de confinement.

Confinements annoncé le 15 mars

La FEMA et le DHS deviendront par la suite les chefs de file de la mise en œuvre de la politique COVID du NSC.

Mars/avril-2020. Le CDC, sous la direction de Robert Redfield, modifie le décompte des décès dus au COVID afin d’inclure les décès pour lesquels le COVID n’est pas la cause sous-jacente et de permettre la détermination d’un cas de COVID en l’absence de test positif.

Mai 2020 – Trump annonce l’opération Warp Speed

Juin 2020 – Redfield affirme que les masques sont le meilleur vaccin.

Le nouveau mouvement eugéniste – 2ème partie – par le Dr Ah Kahn Syed.

J’atermoie (encore) mon propre article pour vous livrer celui-ci, du Dr Ah Kahn Syed, déjà publiée (c’est une dame) ici et ici. C’est assez long mais comme elle le dit elle-même, ça en vaut la peine. Je n’ai pas traduit la première partie. Ceci m’a déjà pris énormément de temps.

Le Dr Seyd est australienne, pays où les mesures coercitives (pandémie et « vaccin ») ont été parmi les plus sévères – mes lecteurs se souviendront que j’avais relayé à l’époque l’appel de détresse des communautés aborigènes devant une violence policière inouïe. C’est aussi là que l’idée de camps d’internement covid avait été poussée le plus loin, avec l’accord de la population générale. Par un curieux hasard, c’est aussi le pays premier consommateur d’anti-dépresseurs par tête de pipe (l’Islande est n°1 du fait que les prescriptions en hôpital y sont y comptées).

Le sujet vous sera familier, mais l’article présente de nouvelles informations, assez récentes, sur les pans futurs du même programme – eugéniste. Prétez une attention particulière au chapitre sur le PAM, qui fait le lien entre les injections covid et le programme de modification génétique…

Le Dr Seyd rappelle aussi le rôle dans ce dossier d’un certain Jeffrey Epstein, au cas où on aurait pas encore compris de quel genre de réseau international les scientifiques impliqués dans cette version actualisée de l’eugénisme sont le rouage.

Je sais que le grand public en a marre des infos sur les vaccins thérapies géniques et se laisse accaparer par les algorithmes des réseaux sociaux qui les bombardent, c’est le cas de le dire, d’histoires de Russie, Troisième Guerre mondiale et tout ce genre de distraction. Ce n’est pas là que se joue l’avenir. Il se joue aujourd’hui dans votre tête, bientôt dans vos gènes – si vous les laissez faire. Aux États-Unis, quelques représentants courageux tentent de faire purement et simplement interdire les « thérapies géniques » de masse au niveau de leur État. C’est un début.

Quelqu’un, qui en a comme moi assez de la folie du monde, m’a demandé si finalement le monde de demain – technocratique – ne serait quand même pas un peu meilleur. Je vous laisse juge.

Note de traduction: je n’ai pas pu remplacer toutes les vidéos incrustées de l’article original, sorry.

Source.


Le nouveau mouvement eugéniste – 2ème partie

Le réseau biotechnologique d’un trillion de dollars, qui veut modifier votre génome pour faire de vous une meilleure personne, et nous exclure des médias sociaux

Dr Ah Kahn Syed

30 mars 2024

J’espère que vous avez tous eu l’occasion de lire la partie 1. Dans le cas contraire, elle se trouve ici. Installez-vous confortablement pour la suite, ce n’est pas court, mais ça en vaut la peine.

Pour introduire ce qui va suivre, je vais essayer d’en donner un aperçu, comme l’ont fait quelques mèmes pendant le COVID, en décrivant les affirmations « sûres et efficaces » qui sont rapidement rétractées.

  • Ce n’est qu’un vaccin
  • Il reste dans le bras
  • Il ne dure que quelques jours
  • Il ne s’intègre pas dans le génome
  • Ce n’est pas une thérapie génique
  • Il n’y a pas d’ADN dans le vaccin
  • Il n’entre pas dans le noyau
  • Il est sans danger pendant la grossesse et n’atteint pas le placenta.
  • Il ne reste pas dans le bras, il se diffuse partout, mais c’est une bonne chose.
  • Il y a une contamination par des plasmides, mais seulement à petites doses et il n’y a aucune preuve qu’ils soient nocifs.
  • D’accord, il passe dans le placenta, mais cela signifie que le bébé est également protégé.

-[VOUS ÊTES ICI]-

  • D’accord, il s’agit d’une thérapie génique, mais nous l’utilisons depuis des années et elle s’est révélée sûre et efficace, sans aucun effet indésirable identifié après des milliards de doses.
  • La technologie NPL était toute nouvelle et n’avait pas encore été testée, mais elle s’est révélée sûre et efficace, sans aucun effet indésirable identifié après des milliards de doses.
  • La même technologie peut être utilisée pour l’édition de gènes CRISPR, qui est maintenant approuvée par la FDA et qui, combinée à la technologie NPL, peut être utilisée pour fournir un vaccin permanent qui n’aura jamais besoin d’être mis à jour avec des rappels et des injections répétées qui font bobo.

Car, comme nous le savons tous, ce sont les deux secondes d’une piqûre d’aiguille qui ont poussé la moitié de la population mondiale à rejeter la nouvelle thérapie jusqu’à ce que les obligations vaccinales entrent en vigueur – rien à voir avec le fait que la plupart des gens auraient rejeté une nouvelle thérapie génique s’ils avaient su de quoi il s’agissait réellement.

Non, Prof. Meghan Murthy, ce n’était pas la peur de l’aiguille. C’est la prise de conscience du fait que vous essayez de taguer le monde avec une thérapie génique pour laquelle personne n’a donné son consentement éclairé.

Et oui, il s’agissait bien de thérapie génique, même si les tribunaux tentent de brouiller les pistes en prétendant que les médecins qui non seulement ont été contraints de recevoir ce produit, mais ont été cooptés pour l’administrer sous de faux prétextes, n’ont pas qualité pour agir, et se retrouvent aujourd’hui visés par une plainte pour manquement à la déontologie. (voir aussi ici)

Et comment savons-nous qu’il s’agit d’une thérapie génique? Parce que la FDA1, Moderna, BioNtech et toutes les autres institutions qui savent de quoi il s’agit le disent. Extrait du document de 2024 de la FDA (copié dans la note de bas de page):

La thérapie génique humaine vise à modifier ou à manipuler l’expression d’un gène ou à altérer les propriétés biologiques de cellules vivantes à des fins thérapeutiques. La FDA considère généralement que les produits de thérapie génique humaine comprennent tous les produits dont les effets sont obtenus par transcription ou traduction du matériel génétique transféré, ou par modification spécifique des séquences génétiques de l’hôte (humain). Parmi les produits de thérapie génique, on peut citer les acides nucléiques, les micro-organismes génétiquement modifiés (virus, bactéries, champignons, etc.), les nucléases spécifiques utilisées pour l’édition du génome humain et les cellules humaines génétiquement modifiées ex vivo …. https://www.fda.gov/media/76647/download.

Et oui, nous avons déjà discuté de ce sujet, mais l’essentiel est que nous en arrivons bientôt à ce point:

« Oui, [le vaccin COVID] était une thérapie génique, mais personne ne l’a nié et, en tout état de cause, 6 milliards de doses ont été administrées sans aucun effet indésirable. Et maintenant, nous savons que l’édition de gènes est tout aussi sûre ».

Car c’est ce qui se passe depuis le début. Gaslighting 101. Parce que les nouveaux produits pharmaceutiques seront toujours sûrs si on s’assure qu’aucun article de recherche n’est autorisé à parler de leur dangerosité et si on harcèle, intimide et menace les médecins qui publient ces recherches.

(Censure scientifique – leçons NON apprises, article de Jessica Rose) [en anglais]

Maintenant que nous avons établi, au-delà de tout doute raisonnable, que les vaccins de thérapie génique (VTG) sont sûrs et efficaces et qu’aucun document ne montre qu’ils induisent le cancer par mutagénèse insertionnelle ou tout autre problème causant une surmortalité que nous constatons dans le monde réel, nous pouvons tous nous réjouir que l’édition de gènes CRISPR, qui apporte une solution permanente à votre problème génétique, soit le remplacement idéal de ces injections répétées qui font bobo, véritable raison pour laquelle les gens hésitaient à se faire vacciner (à part le racisme institutionnalisé, bien sûr).

Mais c’est quoi, CRISPR?

Rien à voir avec le bacon, les frites, les chips ou le poulet frit, même si son nom est manifestement destiné à susciter une émotion gratifiante sur le moment. Il s’agit d’une technique d’édition des gènes et des génomes.

CRISPR signifie « clustered regularly interspaced short palindromic repeats » (répétitions palindromiques courtes et régulièrement espacées), ce qui renvoie à un modèle spécifique d’ADN, cible de la technique d’édition de gènes qui nécessite également une protéine « Cas », par exemple Cas9. La protéine Cas forme un complexe avec un « ARN guide » pour guider l’endroit où l’ADN est coupé et, une fois coupé, un nouvel ADN peut être ajouté. Comme on faisait autrefois le montage d’une bande vidéo.

Voici une version plus grande du graphique ci-dessus pour l’expliquer, provenant du Genetic Literary Project (sur lequel nous reviendrons plus tard).

  1. La protéine Cas9 forme un complexe avec l’ARN guide dans la cellule
  2. Ce complexe se lie à une séquence d’ADN correspondante adjacente à un espaceur (segment jaune)
  3. Le complexe Cas-9-ArRN coupe le double brin d’ADN
  4. L’ADN programmé peut être inséré à l’endroit de la coupure

Autrefois, CRISPR était réservé à l’édition de gènes dans les cellules en laboratoire, mais avec les progrès de LaScience™, nous avons désormais la capacité de modifier le génome des cellules in vivo. Cela signifie qu’il est possible de modifier le génome d’organismes vivants, y compris les êtres humains.

Et il est évident que c’est totalement sûr et efficace – du moins c’est ce qu’on vous dira – parce qu’on a trouvé un moyen de contrôler toutes ces protéines hors cible (involontaires) qui pourraient survenir en découpant votre génome alors que vous êtes encore en vie. Et bien sûr, tous les problèmes connus associés au CRISPR in vivo auront déjà été résolus, tout comme ils l’ont été pour les vaccins à ARNm. C’est dommage pour les enfants qui sont déjà morts à cause des réactions immunitaires ou de mutagénèse insertionnelle:

Jesse Gelsinger, un jeune homme de 18 ans atteint d’une forme légère de la maladie génétique du déficit en ornithine transcarbamylase (OTC), a participé à un essai clinique qui a délivré un gène OTC non muté dans le foie par une injection dans l’artère hépatique du vecteur adénoviral recombinant hébergeant le gène thérapeutique. Malheureusement, Jesse est décédé quatre jours après le traitement (7). Le vecteur adénoviral a déclenché une réponse immunitaire beaucoup plus forte chez Jesse que chez d’autres patients, provoquant une série de défaillances d’organes multiples qui ont finalement conduit à son décès (8). Au moment de l’essai, les vecteurs adénoviraux étaient considérés comme raisonnablement sûrs. Cependant, au cours du développement préclinique, deux des singes rhésus traités avec la thérapie ont développé un schéma similaire de nécrose hépatocellulaire fatale (9). Peu après, un autre essai de thérapie génique a conduit au développement d’une leucémie chez plusieurs jeunes enfants, induite par l’oncogenèse insertionnelle de la thérapie (10). Ces essais ont été ouverts pour deux formes de SCID (SCID-X1 ou déficit en chaîne ɤ commune) et pour le déficit en adénosine désaminase (ADA). La thérapie a utilisé des vecteurs ɤ-rétroviraux pour délivrer ex vivo des transgènes thérapeutiques à des cellules souches hématopoïétiques CD34+ autologues, qui ont été réintroduites chez les patients (10). Cinq patients ont développé une leucémie secondaire liée à la thérapie, et l’un d’entre eux est décédé des suites de la maladie (11). Un examen plus approfondi a révélé l’intégration du gène thérapeutique dans le locus du proto-oncogène LMO2, ce qui a probablement entraîné le développement d’une leucémie (12). Des analyses ultérieures ont suggéré une fréquence plus élevée d’événements de mutagenèse insertionnelle avec les vecteurs ɤ-rétroviraux par rapport à d’autres vecteurs (13).

Bien sûr, CRISPR est tellement amusant que le laboratoire de Saha a conçu un jeu pour vous faire croire que l’introduire à grande échelle dans la population serait une idée sympa. Comme lâcher des chips chaudes du ciel. Qui n’aime pas les chips chaudes, n’est-ce pas?

Capture d’écran du jeu « CRISPR is fun » (CRISPR est amusant)

Pour citer leur article:

CRISPR – c’est l’une de ces nouvelles technologies scientifiques dont il est amusant de parler, car qui n’aurait pas envie d’imaginer un avenir meilleur rendu possible par la science? Mais quelle version de « meilleur » prévaudrait? Les « et si » rendus possibles par la technologie d’édition de gènes CRISPR font l’objet d’un débat intense au sein de la communauté scientifique internationale. Comme ces débats affectent déjà les décisions politiques, le public doit prendre en compte les ramifications éthiques de ce que CRISPR pourrait rendre possible.

Vous voyez le coup de coude? Vous vous souvenez de « l’intérêt supérieur » évoqué dans la première partie?

Bien sûr. Pourquoi ne voudrait-on PAS améliorer le patrimoine génétique du monde pour faire de nous de meilleurs humains, au lieu des humains merdiques que nous étions hier, n’est-ce pas?

Et à quel point ce graphique tiré de l’article sur le jeu du laboratoire de Saha ressemble-t-il au problème du chariot évoqué dans la première partie?

Capture d’écran de la « machine morale » du MIT. Il convient de noter la proximité géographique du MIT et de Harvard, qui sont à toutes fins utiles au même endroit.

CRISPR a besoin d’un PAM

Pour en revenir au sujet, pour que CRISPR puisse éditer vos gènes, il faut essentiellement :

(1) un PAM2 et
(2) une séquence de gène ARN correspondant à la zone ciblée du génome.

Le PAM est une minuscule séquence génétique (nGG où « n » est un nucléotide quelconque, par exemple CGG) qui existe à plusieurs endroits du génome. La séquence d’ARN est incluse pour cibler n’importe quelle partie de l’ADN qui vous intéresse, à condition qu’elle se trouve à côté d’un PAM. Il faut donc un PAM et un fragment d’ARN. Le PAM le plus réactif (parmi les quatre options AGG, CGG, TGG et GGG) est CGG.

Pour en savoir plus sur le PAM et son fonctionnement, je vous recommande de consacrer 5 minutes à cette vidéo fascinante qui montre à quel point la nature est intelligente et comment les bactéries ont appris à combattre les virus à l’aide de ce mécanisme de défense génomique antivirale.

[NdT. sorry, pas de traduction automatique sur cette vidéo]

Si vous préférez regarder un graphique, celui-ci montre le PAM et l' »ARN guide » ou ARNg (la séquence que le scientifique utilise pour faire correspondre la séquence de votre ADN qu’il veut couper).

  • Adaptation d’un mécanisme de défense contre un virus ou une bactérie.
  • Cas9 est une enzyme qui utilise l’ARN guide pour couper la séquence d’ADN cible.
  • La séquence génétique souhaitée pourrait être ajoutée au système de réparation de l’ADN personnalisé.

Ainsi, si on veut modifier le génome à un endroit précis, il faut trouver une séquence génétique unique à proximité d’un site PAM.

Vous serez heureux d’apprendre que la majorité de la population mondiale a reçu gratuitement de telles séquences PAM lorsqu’elle a consenti à recevoir un vaccin de thérapie génique recombinante offert par Pfizer, Moderna (et probablement Novavax aussi3).

En effet, ces vaccins contiennent des plasmides qui sont de l’ADN et peuvent facilement s’intégrer dans l’ADN de vos propres cellules, comme l’ont démontré de nombreux auteurs, et plus récemment Kevin McKernan et Hiroshi Arakawa, qui ont confirmé l’intégration de l’ADN plasmidique dans le chromosome 12 et le chromosome 9. J’ai prévenu que c’était probable ici.

La bonne nouvelle concernant cet événement d’intégration est que dans les deux cas présentés ci-dessus, il y a une séquence CRISPR-Cas9 PAM (CGG, AGG, GGG ou TGG) dans la séquence qui a été intégrée dans le génome. C’est une nouvelle fantastique pour ceux qui voudraient ensuite modifier le génome des bénéficiaires de leur médicament à l’endroit précis où ils ont ajouté de l’ADN!

Pour réaliser l’édition génétique d’un sujet à l’aide de CRISPR-Cas9, il faut une séquence génétique spécifique à l’endroit où l’on veut couper le génome, à côté d’une séquence PAM.

Il se trouve que le processus d' »optimisation des codons4 » de la séquence génétique des vaccins COVID (processus par lequel Pfizer, Moderna et Novavax ont décidé de créer une toute nouvelle séquence de 3822 nucléotides différente de la séquence génétique de la protéine de pointe de Wuhan, mais censée produire exactement la même séquence d’acides aminés) a entraîné une augmentation considérable du nombre5 de séquences PAM – en particulier du type CGG, le plus efficace. Quelle heureuse coïncidence!

Ainsi, l’événement d’intégration génomique résultant de ce que vous pensiez être un simple vaccin mais qui s’est révélé être une thérapie génique a commodément fourni les deux facteurs nécessaires à une édition génique ultérieure – de nombreuses séquences PAM et des séquences génomiques spécifiques qui n’étaient pas présentes dans le génome humain auparavant6.

En d’autres termes, 6 milliards de personnes sont potentiellement prêtes à recevoir un processus d’édition de gènes direct qui pourra remplacer votre vieille séquence de vaccin COVID par un nouveau gène rutilant pour n’importe quel prétexte.

Bien sûr, comme les personnes impliquées dans l’industrie de l’édition de gènes sont super sympa, il ne leur viendrait jamais à l’idée de faire ce genre de choses, n’est-ce pas?

Voyons qui ils sont… avant de supposer qu’ils ont tous agi de manière altruiste.

Le mastodonte de l’industrie de l’édition génétique

Il est essentiel de comprendre que l’édition de gènes est très coûteuse – plus d’un million de dollars par personne. Mauvaise nouvelle pour le consommateur, mais excellente nouvelle pour les entreprises qui en sont à l’origine et qui risquent de gagner non pas des milliards, mais des trillions de dollars si elles parviennent à administrer ce produit aux populations, comme elles l’ont fait avec les vaccins COVID.

Et vous savez quoi? Lorsque les vaccins COVID se vendaient comme des petits pains et avant que nous ayons été autorisés à découvrir qu’ils n’étaient pas ce qu’on nous avait promis, le prix des actions des quatre grandes sociétés CRISPR a grimpé en flèche. Il s’est ensuite effondré à la même vitesse lorsque les problèmes liés aux vaccins à ARNm ont commencé à être constatés.

Le cours des actions des quatre grandes sociétés d’édition de gènes – CRSP, EDIT, NTLA, SGMO – a fortement augmenté au milieu de l’année 2021 pour s’effondrer peu après.

Qui sont donc les acteurs qui se cachent derrière ces sociétés CRISPR et les technologies qui les sous-tendent?

La plus importante est Jennifer Doudna, co-inventrice de CRISPR.

Elle parle ici de sa vision utopique du monde, où des scientifiques d’élite comme elle peuvent modifier le génome des vaches pour qu’elles pètent moins, ce qui nous sauvera tous du changement climatique. Non, je ne plaisante pas.

Voici la partie importante dans ce qu’elle dit (à partir de 5:14):

Nous savons que les pays et les populations les plus pauvres sont les plus touchés par le changement climatique, et que c’est un problème créé par les plus riches. Le méthane est un élément important du problème. Il contribue largement à l’augmentation des températures mondiales depuis l’ère préindustrielle. La composition spécifique du microbiome du bétail peut réduire les émissions de méthane jusqu’à 80%. Mais pour y parvenir, il faut aujourd’hui des interventions quotidiennes très coûteuses, qui ne peuvent pas être mises en œuvre à grande échelle. Mais avec l’édition de précision du microbiome, nous avons la possibilité de modifier le microbiome d’un veau à la naissance, limitant ainsi l’impact de cet animal sur le climat tout au long de sa vie…

Notre technologie pourrait donc vraiment faire bouger l’aiguille dans notre lutte contre le changement climatique.

[NdT. Le Dr Sabine Hazan, spécialiste du microbiome, mentionnée plus loin, pourrait vous expliquer à quel point il est dangereux d’y modifier quoi que ce soit – elle a d’ailleurs étudié la question en particulier dans le cadre du SARS-CoV-2]

Jennifer Doudna, l’inventrice de l’ARN et détentrice d’un nombre obscène de brevets d’une valeur potentielle de plusieurs trillions de dollars, souhaite donc modifier le génome d’animaux (et vraisemblablement de « pauvres » humains) pour des causes politiques.

C’est très bien. Qui est le suivant? (Ne vous inquiétez pas, ça devient pire).

Voici un autre groupe de scientifiques impliqués dans la normalisation de l’édition de gènes, qui tentent de le présenter comme un traitement médical comme les autres. Peter Singer a rédigé l’avant-propos du « Handbook of Bioethical Decisions7«  (Manuel des décisions bioéthiques), qui devrait servir de guide aux scientifiques pour ne pas dépasser pas les limites de la manipulation des éléments de base de la vie de l’humanité. Par chance, Peter est également co-auteur de cet article « controversé » défendant l’eugénisme. Oui, vous avez bien lu, il défend l’eugénisme.

Youpi!

Peut-on défendre l’«eugénisme»?

Ces dernières années, le discours bioéthique autour du thème de l' »amélioration génétique » est devenu de plus en plus politisé. Nous craignons que l’accent soit trop mis sur la question sémantique de savoir si nous devrions qualifier d' »eugéniques » des pratiques particulières et des biotechnologies émergentes telles que CRISPR, plutôt que sur la question plus importante de savoir comment nous devrions les considérer du point de vue de l’éthique et de la politique. Nous abordons ici la question de savoir si l' »eugénisme » peut être défendu et comment les partisans et les détracteurs de cette amélioration doivent s’engager les uns envers les autres.

Son co-auteur, Jonathan Anomaly, a écrit un article sur la façon dont on devrait tous être traités comme des « biens publics », ce qui englobe habilement l’éthique totalitaire du « bien commun » avec le concept de l’homme en tant que propriété publique (voir la partie 1).

Résumé

La procréation est le problème ultime en matière de biens publics. Chaque nouvel enfant affecte le bien-être de nombreuses autres personnes, et certains enfants (mais pas tous) produisent une valeur non compensée dont profiteront les générations futures. Cet essai aborde les défis qui se posent lorsque l’on considère la procréation et l’éducation des enfants comme des biens publics. Il s’agit notamment de savoir si les choix individuels sont susceptibles de conduire à un résultat socialement souhaitable et si des changements dans les lois, les normes sociales ou l’accès au génie génétique et à la sélection des embryons pourraient améliorer le résultat global de nos choix en matière de procréation.

Heureusement pour le monde, ce ne sont pas seulement les Doudna, les Anomaly et les Singer du monde scientifique qui sont en charge de nos génomes. Le financement d’une grande partie de cette industrie provient de personnes telles que le tristement célèbre Jeffrey Epstein, qui a littéralement tenté de créer sa propre réserve eugénique.

Jeffrey Epstein espérait ensemencer la race humaine avec son ADN

On le voit ici en train de rencontrer les eugénistes « améliorateurs génomiques » à Harvard, dont les principaux scientifiques du CRISPR, George Church et Eric Lander (coup de chapeau à Jesse Matchey, qui a été exclu de Twitter pendant deux ans pour avoir dénoncé cette affaire).

Aussi ridicule que cela puisse paraître, Jeffrey Epstein a fondé et financé le sinistre « programme de dynamique évolutive » de Harvard – que la plupart appelleraient plus judicieusement « programme eugénique ». Il a passé beaucoup de temps avec des membres de la « Skeptics Society », que vous aurez vus dénigrer les « Antivaxxers » sur Twitter. Leur objectif est vraisemblablement de soutenir les actions des entreprises de biotechnologie, car si elles avaient autorisé les scientifiques dissidents à s’exprimer librement sur les médias sociaux, leurs actions se seraient effondrées.

Les « Skeptics » comprennent des personnes comme James Randi, qui a participé à une longue fraude par usurpation d’identité finalement poursuivie en justice, et Loren Pankratz qui a frauduleusement revendiqué une expertise afin de défendre des pédophiles devant les tribunaux8. La direction de facto du mouvement Skeptic a été confiée à David Gorski, qui mène aujourd’hui une campagne de haine sur de nombreux blogs contre les personnes qui tentent de dénoncer les conglomérats Epstein-Pharma, ainsi qu’à Richard Dawkins, qui n’a cessé de joyeusement défendre la « pédophilie légère« 9.

Jets privés, fêtes et eugénisme: le monde étrange des scientifiques de Jeffrey Epstein

Le financier milliardaire et délinquant sexuel condamné a fréquenté des présidents, des mannequins et des stars de cinéma. Mais il a également assouvi ses croyances peu orthodoxes en cultivant des scientifiques de haut niveau.

Pour illustrer l’arrogance de ces personnes, Lawrence Krauss, de la Skeptics Society, tient à jour sa page sur The Edge (une organisation médiatique fondée par Jeffrey Epstein10, voir ci-dessous), décrivant fièrement la réunion de 21 physiciens « Skeptics » sur l’île désormais tristement célèbre d’Epstein.

Lawrence Krauss, du groupe The Skeptics, en route vers l’île d’Epstein (Little St James) avec Stephen Hawking
[NdT. Hawking est mort depuis très longtemps (ici et ici), le type sur la photo est un double, pas très réussi]

L’un des principaux acteurs du lucratif mégalithe de CRISPR mentionné ci-dessus est George Church, avec 20 sociétés à son actif – ça illustre à quel point il est altruiste.

George Church est Professeur de Génétique à la Harvard Medical School et Professeur de Sciences et Technologies de la Santé à l’Université de Harvard et à l’Institut de Technologie du Massachusetts (MIT). Son travail de pionnier a contribué au développement des technologies de séquençage de l’ADN et d’édition du génome, ce qui lui a valu de nombreuses récompenses, dont le Bower Award 2011 et le Prize for Achievement In Science du Franklin Institute, ainsi que l’élection à l’Académie Nationale des Sciences et de l’Ingénierie. Il est coauteur de plus de 550 publications, de plus de 150 brevets et d’un livre intitulé « Regenesis: How synthetic biology will reinvent nature and ourselves » (« Régénèse: comment la biologie synthétique va réinventer la nature et nous-mêmes »). Il est également à l’origine du Projet de Génome Personnel et a créé plus de 20 entreprises.

George l’altruiste n’a bien sûr aucun intérêt à vous persuader (vous, le public) d’adopter cette technologie comme base de tous les traitements médicaux, ce qui lui permettrait d’obtenir des royalties pour l’un de ses innombrables brevets, parce qu’il est tellement altruiste.

En fait, il est tellement altruiste qu’il veut que la technologie d’édition de gènes soit accessible à tout le monde, « riche ou pauvre »11. Ce serait bien sûr une nouvelle fantastique pour les actions des sociétés d’édition de gènes, qui ont besoin de leur part de ces trillions de dollars. « Riche ou pauvre » signifie, comme dans le cas des vaccins à ARNm COVID, que les traitements sont « gratuits » (ce qui signifie en fait que vous recevrez ces traitements, obligatoirement ou non, payés par « le gouvernement »). Par « gouvernement », on entend le processus de blanchiment d’argent qui utilise les fonds publics et les détourne sans consultation ni transparence vers les sociétés pharmaceutiques comme celle de George. De manière très, très altruiste bien sûr.

George est également très heureux de vous inciter à faire don de votre génome à Nebula Genomics, l’une de ses nombreuses sociétés, pour un « séquençage du génome entier ». Imaginez ce qu’une telle entreprise pourrait faire de ces informations, défendant pendant ce temps l’idée de vivre éternellement grâce à l’édition du génome, selon cette interview troublante de Stephen Colbert. Dans cette interview, George semble heureux de ressusciter le génome d’un mammouth laineux et de l’insérer dans celui d’un autre animal (ou possiblement d’un être humain), comme dans L’île du Docteur Moreau, l’effrayant roman dystopique chimérique écrit par l’eugéniste HG Wells (également mentionné dans la partie 1).

L’autre personne mentionnée dans la réunion MIT/Epstein est Eric Lander, que certains d’entre vous reconnaîtront peut-être comme le type promu au cabinet présidentiel américain après la débâcle du COVID et avant qu’il trouve le temps de se débarrasser de ses millions de dollars d’actions dans le domaine des vaccins. Je suis sûr que ça n’aura pas du tout influencé l’exigence de vaccins obligatoires aux États-Unis.

Lander a conservé des actions d’un fabricant de vaccins plusieurs mois après son entrée en fonction

Il a finalement vendu les actions dans le délai imparti de 90 jours. Mais selon des fonctionnaires chargés de l’éthique, cela soulève des questions quant à ses activités de conseiller.

Pire encore, Eric Lander dirige également le Broad Institute à Boston, siège d’Editas – l’une des quatre grandes sociétés d’édition du génome qui se livrent depuis une décennie à une bataille de brevets avec l’empire de Jennifer Doudna sur la côte ouest.

Et vous aurez peut-être remarqué que George Church fait partie du « Genetic Literacy Project » (qui aime aussi Eric Lander), ce qui pourrait vous faire penser à une ONG sympa. Vous feriez erreur. Le projet compte des contributeurs tels qu’Eliza Dunn (la célèbre porte-parole médicale de Monsanto-Bayer qui aime nous dire à quel point le RoundUp et la modification génétique sont sans danger et que les agriculteurs indiens ne se sont pas vraiment suicidés en masse à cause de leurs produits). Et Kevin Folta, le « médecin durable qui lutte contre la désinformation », qui aimerait vous voir consommer des cultures d’OGM et fermer vos gueules.

Si vous êtes opposés à la désinformation dans le domaine des technologies de l’agriculture et de l’alimentation, pensez à devenir signataire de la déclaration contre la campagne alarmiste de @AmerAcadPeds contre les cultures biotechnologiques.

Les plus perspicaces d’entre vous remarqueront le lien vers « skepticalinquirer.org« , qui est en effet l’un des principaux journaux de la Skeptics Society, dont les membres comprennent Kevin Folta, Steven Pinker (affilié à Epstein), Steven Novella – Skeptic en chef, Richard Dawkins et David Gorski. On y trouve également Paul Offitt, le soi-disant indépendant mais désormais tristement célèbre membre principal du comité consultatif de la FDA sur les vaccins (VRBPAC), dont le surnom est « for profit » (pour le profit) en raison de ses nombreux conflits d’intérêts.

Ces réseaux vous incitent tous à accepter l’édition de gènes comme étant normale, sûre et sans risque de dommages collatéraux. Pourtant, ce n’est pas vous qui déciderez qui sera édité, ce qui sera édité, ni qui déciderez si l’édition est obligatoire.

Montrez-leur l’argent

Ces réseaux n’impliquent pas seulement les sociétés visibles prêtes à gagner des trillions. Quand autant d’argent est en jeu, les initiés comme moi ne sont qu’une mouche gênante qu’il faut écraser.

Et c’est littéralement ce qu’ils font. Voici un compte Twitter tristement célèbre qui non seulement publie sur Twitter des informations sur les actions de la biotech CRISPR, mais qui manipule ouvertement ces actions avec des phrases codées telles que « haircut coming in 2021 » (« coupe de cheveux à venir en 2021 ») et « send it 📉 » (« envoyez-le 📉 »), ce qui signifie qu’il faut vendre l’action à découvert.

Mais « .” (apparemment le diminutif de « Ryan », « Jason » et d’un tas d’autres pseudonymes) ne se contente pas d’afficher ses paris boursiers sur Twitter. Non, on a également découvert qu’il était l’auteur prolifique de « Community Notes », « Enterprising Desert Raven », qui publie robotiquement des notes sur Twitter pour tenter de saper tout message critique à l’égard des vaccins COVID ou, en fait, de toute thérapie génique ou de tout produit pharmaceutique. Le lien entre le compte anonyme de Ryan/Jason et « Enterprising Desert Raven » a été découvert en février, à l’occasion d’un bug sur Twitter qui faisait que si l’on bloquait un compte, la note communautaire appartenant à ce compte devenait invisible12.

Malheureusement pour Enterprising Desert Raven, cette manipulation incessante des opinions des scientifiques visant à etouffer des problèmes de sécurité d’un produit fabriqué par une société qui pourrait ainsi bénéficier de cette manipulation indue des médias sociaux pourrait raisonnablement être considérée comme une forme de fraude en matière de valeurs mobilières.

Pour enfoncer le clou, voici ses tweets en relation avec le cours de l’action $CRSP. C’est ce que l’on appelle une opération de « pump and dump ».

Le problème de gens qui comme Ryan s’intéressent aux actions biotechnologiques, ce sont bien sûr ces satanées souris qui interfèrent avec leur capacité à pomper et à vendre ou à manipuler le prix des actions des sociétés dont on a découvert qu’elles mentaient au sujet de la validité de leurs produits. Ils doivent donc s’attaquer à ces souris (les scientifiques) et les faire disparaître de Twitter, comme je l’ai montré en 2021.

Et il n’y a pas que moi. Les scientifiques qui ont utilisé leur vrai nom ont été pris pour cible, harcelés et menacés par des personnes ayant des intérêts directs dans la filière « créer une pandémie, créer la solution, gagner des milliards de dollars ».

Départ définitif de Twitter: Harcèlement de Peter Daszak

Chers collègues et amis de Twitter,

J’ai pris la décision difficile de quitter définitivement Twitter. Cette décision est motivée par des événements récents et par mon engagement envers mes patients, à la suite d’une situation complexe impliquant mes interactions récentes avec le Dr Peter Daszak. Nos divergences de vues sur les origines du COVID-19 ont conduit à des violations répétées et flagrantes de nombreuses limites éthiques et professionnelles de sa part. Au lieu de s’engager de bonne foi, il a utilisé sa notoriété et son autorité dans les milieux scientifiques pour attaquer ma personnalité et mes compétences, me menacer de poursuites judiciaires, déformer et dénaturer mes messages et mes commentaires, et inciter ses partisans à attaquer de façon répétée ma personnalité, mon éthique et mes compétences.

Le même réseau a donné lieu à ce post du compte twitter Jikkyleaks qui explique les tentatives de chantage et d’intimidation des réseaux pour réduire au silence les scientifiques qui s’expriment dans l’intérêt du public.

[NdT. je traduis en entier le texte de ce tweet, qui me semble d’intérêt public]

Jikkileaks

2 novembre 2023

Il est temps de suspendre l’activité de ce compte.

La lutte contre des entités corrompues dont je ne soupçonnais pas l’existence à ce point dans les allées du pouvoir a été un chemin difficile. Et contre la propagande incessante qui a apparemment usurpé la majeure partie, sinon la totalité, du monde universitaire et médical.

Ce compte a vu le jour parce que je savais qu’on nous avait menti en février 2020 sur l’origine du COVID et qu’avec l’aide d’autres personnes, nous avons été en mesure de le prouver.

Depuis lors, il y a eu un vrai brasier de mensonges que nous avons dû démêler, tout en montrant que nous étions de ceux qui s’efforçaient de défendre les valeurs de la vraie science, qui s’appuient sur la recherche de la vérité plutôt que la politique et la corruption.

Le moment est venu de me retirer, car deux choses se sont produites.

La première est que le public prend désormais conscience non seulement de ce qui est vrai, mais aussi de la manière de discerner ce qui est vrai de ce qui est faux. Je pense que c’était ma tâche et qu’une grande partie de ce travail a été accomplie.

Deuxièmement, les menaces proférées à mon encontre par des groupes ayant des liens avérés avec des groupes de pression pharmaceutiques se sont intensifiées. Les personnes impliquées savent qui elles sont et elles tentent de justifier leur activité en fabriquant une histoire de grand méchant loup dirigée contre nous. Mais ce n’est rien d’autre. Lorsque la poussière retombera et que le décompte effroyable des décès sera enfin effectué, les personnes premières responsables seront celles qui ont utilisé leurs ressources illimitées (soutenues par les sociétés pharmaceutiques et les ministères corrompus disposant de fonds et de pouvoirs illimités) pour réduire au silence ceux d’entre nous dont le seul crime était de mettre en évidence auprès du public des dangers scientifiquement prouvés des interventions qui pouvaient – et qui ont effectivement – causé des décès et des invalidités.

Ces groupes – principalement #shotsheard aux États-Unis et #muttoncrew au Royaume-Uni, avec leurs groupies sur les médias sociaux, tous coordonnés à partir d’un point central – ne sont qu’une extension des mêmes groupes qui ont fait exactement la même chose il y a 20 ans à propos du Vioxx (où 30 000 personnes sont mortes parce que des médecins et des scientifiques ont été réduits au silence par la menace) et avant cela de la thalidomide (où 20 000 enfants sont nés sans membres parce que des médecins et des scientifiques ont été réduits au silence par la menace).

Nous nous préoccupons de cette question, mais la majorité du public et le gouvernement ne semblent pas s’en préoccuper. Nous ne disposons d’aucune ressource et le gouvernement – en qui beaucoup d’entre vous avaient confiance – n’a jamais offert ni ressources ni protection à des comptes tels que le nôtre ou aux personnes qui en sont à l’origine. Au contraire, ils ont montré – aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Europe, au Canada et en Australie – que ce sont eux qui nous réduiront au silence. Dans certains cas, ils ont menacé de nous emprisonner.

Le public reste silencieux. La colère gronde, mais le gouvernement et les médias veilleront à ce que cette colère soit dirigée contre nous, qui vous ont montré où se trouvaient la corruption et les malversations dans des institutions qui devraient être au-dessus de tout soupçon. Je prédis qu’il n’y aura pas de manifestations publiques pour « protéger les dénonciateurs médicaux » ou « ramener Jikkyleaks ». Il n’y aura par exemple aucune manifestation publique devant la Cour suprême de Victoria où @realMarkHobart se battra pour le droit d’un médecin à protéger le droit fondamental et global à l’autonomie corporelle des patients. Il n’y aura pas de clameur pour que les organisations d’intimidation affiliées à l’industrie pharmaceutique soient poursuivies pour ce qu’elles ont fait au cours des 20 dernières années. Personne n’a été emprisonné pour le Vioxx – ou la thalidomide – parce que le public ne l’a pas exigé.

Les médias ont joué le rôle le plus important. Ils ont universellement dénigré les gens en les qualifiant d' »antivax » qui voulaient simplement conserver leurs droits humains tels qu’ils sont énoncés dans la déclaration des Nations unies sur les droits de l’homme. Au lieu de cela, ils ont protégé ceux-là mêmes qui ont créé cette pandémie (et, par extension, les pandémies précédentes). Plus important encore, ils n’ont pas donné la parole à ceux d’entre nous qui, grâce à leur expertise scientifique et médicale, ont tenté d’exprimer leurs inquiétudes et de plaider simplement pour le maintien du droit à l’autonomie corporelle.

Au lieu de cela, les médias ont donné une tribune à des personnalités comme David Gorski, Tony Fauci, Albert Bourla et Peter Daszak, comme s’ils étaient des saints et non le visage d’une mafia biomédicale mondiale. Leur groupe de soutien composé de sous-fifres qui menacent les scientifiques et les non-scientifiques, fouillent leurs dossiers personnels et traquent leurs maisons, leurs enfants et leurs employeurs, savent qui ils sont. Moi aussi. Tout est archivé.

Le résultat de cette collusion entre les laboratoires pharmaceutiques, le gouvernement et les médias (avec des sous-fifres qui agissent en leur nom contre une rémunération dérisoire) est la mort de millions de personnes, sans le moindre soupçon de culpabilité. Ils n’en sont pas à leur premier coup d’essai, mais cette fois-ci, au lieu de 30 000 morts, ils en ont fait 6 millions et ce n’est pas fini. Et le grand public n’a jamais sourcillé à l’heure où il aurait fally critiquer les entreprises biomédicales et les entités gouvernementales et militaires responsables et agissant de concert.

Le résultat restera donc le même. 6 millions de morts cette fois-ci. La prochaine fois, ce sera probablement plus. Et si le public se fie à nouveau aux médias pour le guider sans poser de questions, cela ne s’arrêtera jamais. Il y a trop d’argent à gagner et de pouvoir à obtenir. Pourquoi les personnes impliquées s’arrêteraient-elles alors qu’il n’y a pas eu une seule protestation auprès d’un régulateur, d’un gouvernement ou d’une institution académique, malgré le fait que des décès aient été connus et dissimulés sans aucune transparence de la part des agences gouvernementales – qui auraient dû être prêtes à tout pour publier tous les documents qu’elles possédaient afin de prouver à la population qu’elles étaient au-dessus de tout reproche.

La mise en veille de ce compte n’est que le symptôme d’une maladie si insidieuse qu’elle ne peut rester sans traitement. Une seule personne – ou une seule souris – ne peut pas traiter cette maladie. J’ai fait mon temps ici autant que je le pouvais et je dois maintenant me consacrer à d’autres voies, pour ce qu’elles valent.

Mais sans l’aide du public, nous ne pouvons rien faire de plus. L’apathie nourrit la corruption et seul le public en masse peut cesser de la nourrir.

À ceux qui ont soutenu ce compte, sachez que j’apprécie tout ce que vous avez fait et que des milliers, voire des millions, le font déjà ou le feront à terme.

Pour l’instant, je vais tirer ma révérence. Je continuerai pour l’instant à interagir avec les messages des autres comptes, les réponses et les DM existants. Mais il n’y aura plus de nouveaux messages, de révélations ou de #Gates sur cette plateforme jusqu’à ce que de véritables protections soient mises en place pour les lanceurs d’alerte.

Une seule mise en garde: si les menaces dirigées contre moi ou mon entourage persistent ou refont surface, je n’aurai pas d’autre choix que de revenir.

Je vous souhaite une bonne nuit. Que Dieu vous garde.

Et que la #mousearmy poursuive son combat pour la vérité et contre la corruption dans la science.

Évidemment qu’ils n’en sont pas à leur premier coup d’essai, nous l’avons déjà mentionné. Pourtant, personne n’a été emprisonné pour avoir exploité les régulateurs médicaux en tant que passeurs de drogue, ce qui a entraîné environ 30 000 décès rien qu’avec le Vioxx:

Le tribunal apprend comment le géant pharmaceutique Merck a tenté de « neutraliser » et de « discréditer » les médecins critiques à l’égard du Vioxx.

Le laboratoire pharmaceutique Merck a dressé une liste de médecins et de chercheurs influents qu’il souhaitait « neutraliser » et « discréditer » dans le cadre de la commercialisation du Vioxx (rofecoxib), un médicament contre l’arthrite, selon des témoignages entendus par un tribunal australien cette semaine.

Les détails des projets visant à « neutraliser » les médecins ont fait surface lors d’une action collective contre Merck au nom de centaines d’Australiens ayant subi des crises cardiaques ou des accidents vasculaires cérébraux après avoir pris le médicament, qui a été retiré du marché en 2004 en raison de préoccupations concernant sa sécurité.

Julian Burnside QC, qui représentait les plaignants, a lu des extraits de courriels envoyés entre des membres du personnel de Merck, dans lesquels il était question d’une « liste de médecins ‘à problèmes’ que nous devions, au minimum, neutraliser ». […]

La toile est vaste et profonde

Jusqu’à présent, cet article n’a fait qu’effleurer la surface des réseaux impliqués dans cette gigantesque prise de pouvoir de la mafia biotechnologique, où le prix se mesure en centaines de trillions de dollars.

Les quatre grandes sociétés d’édition de gènes forment un immense cartel qui englobe les principaux centres universitaires situés entre Boston (Harvard, Cambridge MA) sur la côte est et l’UCSF sur la côte ouest. Il s’agit des entreprises suivantes

INTELLIA – Fondée par Jennifer Doudna. Partenaire de Regeneron.
CRISPR – Fondée par Emmanuel Charpentier (partenaire de Jennifer Doudna pour les brevets).
BEAM – Fondée par David Liu et Feng Zhang.
EDITAS – Fondé par Feng Zhang et George Church.

Il s’agit essentiellement d’un monopole de plusieurs trillions de dollars entre les mains de cinq personnes. Il n’y a même pas d’indépendance entre les entités de la côte Est et de la côte Ouest, car Doudna elle-même a déménagé de l’une à l’autre pour créer l’entité de l’UCSF [NdT. Université de Californie à San Francisco, leur site explique que « le futur se joue ici »] connue sous le nom d’Innovative Genomics Institute. Pour confirmer les types de réseaux de manipulation des médias sociaux qui existent, l’inventeur de l’algorithme Community Notes (Jay Baxter) sur Twitter s’est trouvé lié à ce petit compte Twitter qui s’est révélé être un scientifique de l’IGI de Jennifer Doudna.

En d’autres termes, ces personnes sont intégrées dans les réseaux d’influence twitter dont le rôle est de s’assurer que personne n’est autorisé à parler des problèmes liés à leurs produits13 – exactement comme pour le Vioxx.

Harvard – la plaque tournante moderne de la fraude universitaire

Il n’y a pas que Jeffrey Epstein qui laisse une mauvaise odeur à Harvard. Au cours des deux dernières années, Harvard et les entités qui lui sont liées ont fait l’objet d’accusations viables de fraude académique, deux camps s’affrontant pour savoir qui salir le plus.

Outre la fraude impliquant le centre de cancérologie Dana Farber, la suspension de la professeure Francesca Gino sur la base d’une allégation de fraude de données concernant certains de ses articles de psychologie a fait scandale. Ce même scandale a épargné son coauteur masculin, Dan Ariely, qui a participé à la rédaction de ces mêmes articles. Le graphique suivant, impliquant certains des acteurs mentionnés ci-dessus ainsi que la tristement célèbre artiste satanique Marina Abramovic, peut donner une idée de la raison pour laquelle Ariely, mais pas Gino, a échappé à la persécution de Harvard14.

En fait, l’odeur nauséabonde qui règne à Harvard se répand dans les recoins de toutes les organisations qui lui sont affiliées. Rappelons que Brigham and Women’s est à l’origine du scandale Surgisphere, qui a faussement discrédité l’hydroxychloroquine. Il a finalement été démontré que l’hydroxychloroquine réduisait de plus de moitié la mortalité due au COVID, ce qui indique que les actions du cartel de Harvard ont pu entraîner littéralement des millions de décès inutiles. Si vous ne voyez toujours pas les liens entre Harvard, Dana Farber, le Broad Institute et Brigham & Women’s (Surgisphere15), une carte pourrait vous aider – ils sont littéralement à quelques pas les uns des autres.

N’oubliez pas qu’à Harvard, une femme professeur qui n’a jamais écrit pour le magazine de Jeffrey Epstein sera publiquement discréditée pour toute manipulation de données associée à ses articles. Mais si on fait partie du bon club, comme Ariely, on s’en sort apparemment bien.

Pour enfoncer le clou, les quatre auteurs de cette fraude aujourd’hui totalement discréditée et prouvée, qui a très certainement entraîné des décès, s’en sortent également.

D’où la question: Francesca Gino savait-elle quelque chose qui faisait d’elle une cible? C’est peut-être un sujet d’article pour un autre jour, mais Sabine Hazan pense que les souris semblent avoir flairé quelque chose.

sabine hazan md

Eh bien, eh bien, eh bien!! Encore des nouvelles sur les #poogates et #ginogate 🤯. La fausse étude de Surgiphere sur l’HCq avec soi-disant 96 000 patients était dans @TheLancet pour ceux qui ne s’en souviennent pas. Cette étude bidon a tué l’HCQ… Maintenant, il semble qu’il y ait une relation significative entre cette étude et le #Ginogate et le #muttoncrew … 🤯🤯 Le muttoncrew est-il payé pour rétracter des papiers pour tuer l’Hcq et l’IVM? Ça y ressemble certainement… Merci à la ligue des souris pour votre travail acharné à faire éclater la vérité…

Jikkileaks

Non, nous n’avons pas oublié le #GinoGate.

Pourquoi Brigham and Women’s, lié à la #Surgisphère, accueillerait-il une étude COVID fondée par…
Une jeune fille au pair sans aucune qualification scientifique?

Et pourquoi le site http://covid-19.study a-t-il été effacé?

Parce que c’était une mise en scène. Voilà pourquoi.

En attendant, si vous n’êtes pas tout à fait au courant de l’histoire de l’escroquerie de Surgisphere, vous ne pouvez faire mieux que de regarder cet exposé fantastique et instructif de notre très bon ami John Davidson. La réalisation de ce film repose uniquement sur les dons et la bonne volonté, alors n’hésitez pas à envoyer l’un ou l’autre à John à brokentruth.com.

[NdT. excellent documentaire avec de vrais sous-titres français (à sélectionner dans les Paramètres)]

CRIS-PR: la machine à propagande

Tout comme dans le cas du scandale Surgisphere (parfois appelé Lancetgate), une machine de relations publiques est nécessaire pour que les personnes raisonnables (dont la plupart ne veulent pas que leur génome soit modifié par des élites) acceptent la poussée vers le Saint-Graal économique que représente le CRISPR global. Et cette machine est profondément ancrée dans les institutions CRISPR.

Cet « article » de Nature datant de 2015 est le plus grand exemple d’opération de relations publiques déguisées en science que vous verrez jamais. « CRISPR germline engineering – the community speaks«  (« Ingénierie germinale CRISPR – la communauté s’exprime »)

Tous les acteurs sont là, et le meilleur se trouve dans les archives supplémentaires16 dans les notes de bas de page, mais voici quelques perles de personnes qui vous sont peut-être déjà familières:

J. Craig Venter: Je pense que l’ingénierie de la lignée germinale humaine est inévitable et qu’il n’y aura fondamentalement aucun moyen efficace de réglementer ou de contrôler l’utilisation de la technologie d’édition de gènes dans la reproduction humaine.

Jonathan Moreno: Les biologistes des populations ont suggéré il y a 40 ans qu’il serait souhaitable de créer une banque des caractéristiques qui ont été éliminées des populations, juste au cas où elles devraient être réintroduites dans le pool génétique.

Naldini: Le principal risque sociétal actuel est le contrecoup d’une opinion exagérée mais potentiellement répandue selon laquelle les technologies d’édition de gènes conduiront à des scénarios de science-fiction dans lesquels les humains seront reproduits sur mesure, ce qui entraînera toute une série d’effets imprévus.

Zhang: Où tracer la limite entre ce qui est un trait biologique acceptable pour l’édition de la lignée germinale et ce qui ne l’est pas?… À mesure que nous prenons confiance dans la sécurité de l’édition de la lignée germinale, devrions-nous autoriser cette édition pour supprimer les mutations qui ne causent pas de maladie à apparition précoce? Où tracer la limite?

Cohen: Le risque est plus grand si l’on autorise l’évolution vers des programmes discrétionnaires de « gènes sur mesure ». Le cauchemar de science-fiction d’un État totalitaire orwellien ou d’une société hitlérienne recourant au génie génétique pour obtenir uniquement les caractéristiques « souhaitables » pourrait finalement se produire, bien que nous soyons loin de cette capacité aujourd’hui.

Mais je pense – pour des raisons évidentes pour ceux qui suivent ce blog depuis 2021 – que ma citation préférée doit être celle-ci:

Kim: Dans un monde idéal, l’édition du génome germinal serait disponible et abordable pour tous. Aucun parent porteur d’une mutation génétique fatale ne transmettrait son gène défectueux à ses enfants. Dans une société inégalitaire, cependant, l’édition du génome germinal ne sera accessible qu’aux riches, ce qui entraînera une « fracture génétique », comme le prédit le film « GATTACA ».

Bien entendu, lorsque Nature a publié cet article en 2015, « la communauté » ne faisait référence qu’aux personnes déjà haut placées dans la hiérarchie des armes biologiques et de l’édition du génome, qui ont tout intérêt à ne pas laisser les scientifiques de base s’exprimer s’il y a risque de mettre en péril une industrie qui pèse des trillions de dollars.

Quelque huit ans plus tard, Nature a publié un article nous expliquant à quel point CRISPR est « sûr et efficace » et qu’il n’y a pas lieu de s’inquiéter. Bien entendu, la personne interviewée dans l’article se trouve être de l’UCSF, l’institut de Jennifer Doudna. Aucun conflit d’intérêt n’a été déclaré, parce que, enfin, tu vois, quoi.

CRISPR est-il sûr? L’édition du génome fait l’objet d’un premier examen par la FDA

Des conseillers de l’agence américaine de réglementation vont examiner le profil de sécurité d’un traitement de la drépanocytose basé sur le CRISPR.

Heureusement pour nous, et pour le bien commun, l’institut de Doudna peut maintenant fournir cette thérapie « sûre et efficace » de manière ciblée sans ces vecteurs adénoviraux gênants, tout comme les vaccins génétiques à ARNm étaient bien meilleurs que les bidules d’AstraZeneca, vous vous souvenez?

Voyez-vous ce qui se profile à l’horizon?

Livraison non virale ciblée d’éditeurs de génome in vivo

Le fumet du FEM omniprésent

L’une des choses que nous avons apprises au cours des quatre dernières années de biofascisme déguisé en « préparation à la pandémie », c’est que partout où l’on tente d’imposer des traitements médicaux à d’autres, on trouve le Forum Économique Mondial (FEM). Et CRISPR n’est pas différent.

Voici Haoyi Wang, du FEM, qui nous explique comment l’édition de gènes sera utilisée pour effectuer des changements génétiques multiples et permanents.

Et voici notre amie Jennifer Doudna qui vante les mérites de l’une de ses entreprises (Mammoth Biosciences) au nom du Forum Économique Mondial. Je parie que vous ne l’aviez pas vue venir.

Mammoth Biosciences est un innovateur global du Forum Économique Mondial à l’avant-garde de ces développements.
Voici cinq éléments que Trevor Martin, cofondateur et PDG de Mammoth, juge important de connaître sur l’évolution du domaine à l’ère du COVID-19.

Bien entendu, le Forum Économique Mondial, qui semble être à l’origine de tout [ce qui va mal] dans le monde, est « engagé dans l’amélioration de l’état du monde ».

Ils sont les arbitres autoproclamés de ce qui devrait se passer dans le monde et, heureusement, ils sont présents dans le domaine de l’édition du génome avec leur livre blanc ici17 et les articles « How gene editing is changing the world » (Comment l’édition de gènes change le monde) et « 5 things to know about CRISPR in the COVID era » (5 choses à savoir sur CRISPR à l’ère du COVID), avec la vidéo ci-dessus de Jennifer Doudna.

N’oubliez pas non plus qu’il s’agit du même Forum Économique Mondial qui vous a dit que « vous ne posséderez rien et serez heureux » d’ici 2030. Autrement connu sous le nom de fascisme mondial, parce qu’il est clair que quelqu’un possédera tout – c’est juste que ce ne sera pas vous.

[VIDÉO SUR LA PAGE SOURCE]

Ce qui signifie vraisemblablement que vous ne serez pas non plus propriétaire de votre génome.

Et pourquoi le seriez-vous? Vous serez heureux que Klaus Schwab en soit propriétaire, n’est-ce pas? Et Klaus et ses amis, qui suggèrent implicitement qu’ils devraient tout posséder, pourront décider de l’édition du génome qui rendra le monde (c’est-à-dire vous) meilleur.

La section ci-dessous de la vidéo du FEM intitulée « Les technologues partagent leurs visions de notre monde futur » vous l’explique avec des phrases accrocheuses telles que « Nous devons imaginer un nouvel âge », « Améliorer la biologie » et « Écrire un nouveau code pour la vie ».

Super.

Voici le passage sur l’édition de gènes [NdT. c’est au point 3], qui, soit dit en passant, reconnaît nonchalamment que les vaccins COVID-19 font partie de cette amélioration technologique de la population mondiale.

La vidéo parle ensuite de lunettes de réalité diminuée qui « vous permettront d’enlever des choses de votre vue, qu’il s’agisse d’ordures ou d’autres personnes ». Un message subliminal qui dit « les autres = ordures ».

Je suis sûr que ces acteurs du FEM sont des gens charmants dans le cadre d’un dîner – mais ce sont certainement les dernières personnes qu’on aimerait voir en charge de cette technologie.

Et si vous trouvez ça grave, écoutez ce type – Noah Harari, le transhumaniste en chef du Forum Économique Mondial – qui passe à la vitesse supérieure dans sa conférence TED, en nous disant que les droits de l’homme n’existent pas, parce qu’on ne peut ni les toucher, ni les sentir, ni les voir. Parce qu’ils ne sont pas une « réalité biologique », cela signifie que les droits de l’homme n’existent pas. Charmant.

Bien sûr, il poursuit en nous disant que Dieu n’existe pas, pas plus que les pays ou l’argent. Ce ne sont « que des histoires ». Il est nécessaire pour le FEM de vous faire avaler tout cela afin que vous abandonniez vos croyances en Dieu, au libre arbitre, aux droits de l’homme, aux États-nations et à la propriété. C’est l’utopie ultime du politburo fasciste-socialiste mondial – dépeinte dans tous les romans dystopiques – et ils l’habillent d’un langage presque raisonnable pour vous faire tomber dans le panneau.

Ne vous y fiez pas. C’est littéralement GATTACA, Brave New World et 1984 réunis, et ils18 sont assis à se marrer en voyant à quel point ils ont trompé la population.

On leur a filé à tous une thérapie génique, en l’appelant un vaccin.

À ce stade, il convient de souligner ce qui, je l’espère, sera la principale conclusion de cette série en deux parties:


La chose la plus importante à retenir de ces deux articles est qu’il n’y a aucune différence fondamentale ou juridique entre l’idée d’imposer un vaccin génétique à la population et celle d’imposer une technologie d’édition génétique à la population.

La loi a déjà été établie, si nous permettons à l’affaire Kassam contre Hazzard de rester incontestée.


Retour à la loi

Ce qui nous ramène au Dr Chris Rudge de la première partie de cette série. Oui, le même Chris Rudge qui a rédigé l’article essentiel pour justifier la décision du juge Beech-Jones de retirer les droits de l’homme à la population australienne.

L’un des experts mondiaux de l’histoire de la famille eugéniste Huxley est l’une des personnes qui s’occupe aujourd’hui de la législation du Commonwealth sur l’édition du génome. Cool.

Points à prendre en compte dans l’élaboration d’une politique nationale en matière d’édition du génome humain

L’article déclare sur un ton plutôt inquiétant:

Sur la base de notre analyse, nous soutenons que l’élaboration de politiques nationales en matière d’édition du génome devrait se concentrer sur cinq thèmes particuliers. Il s’agit (1) d’intégrer l’équité et d’autres valeurs et principes dans la politique d’édition du génome humain; (2) de veiller à ce que la thérapie, l’amélioration et les autres applications soient réglementées de manière appropriée; (3) de décider quels types de recherche sur l’édition du génome humain devraient être autorisés et soutenus, en reconnaissant les différents points de vue sur le statut de l’embryon humain; (4) de se préparer à un avenir où l’édition héréditaire du génome humain pourrait s’avérer sûre et efficace et (5) d’intégrer une participation publique significative dans la gouvernance de l’édition du génome humain.

Je vais répéter cette phrase:

(4) se préparer à un avenir où l’édition du génome humain héritable pourra se révéler sûre et efficace.

Ainsi, maintenant que l’édition héréditaire du génome va être « sûre et efficace » (définie sans aucun doute par les mêmes personnes qui ont déclaré que les vaccins de thérapie génique étaient sûrs et efficaces), rien n’empêche le cercle de justice dont font partie des personnes telles que Robert Beech-Jones, maintenant élevé à la Haute Cour, de déterminer que:

« Les vaccins de thérapie génique ont été jugés sûrs et efficaces par les autorités compétentes et, par conséquent, le droit de l’individu de refuser ces vaccins n’est pas suffisant pour l’emporter sur les exigences de l’ordre de santé publique imposant ces vaccins à tous les travailleurs en Australie »

Parce que personne ne les a empêchés de le faire en 2021. Alors pourquoi diable, après que le précédent a été établi par Beech-Jones et jugé légal en appel, quelqu’un devrait-il les empêcher d’apporter cette modification mineure à la loi désormais établie?

Au cas où vous ne l’auriez pas vu venir, voici à nouveau le juge Robert Beech-Jones prononçant son discours « la technologie usurpe vos droits », présenté dans la partie 1.

[VOIR VIDEO SUR LA PAGE SOURCE]

Et qui défiera ces juges, qui pensent que les droits de l’homme n’existent plus dans le cadre d’une situation fabriquée qui répond à un agenda particulier?

Personne. Parce qu’ils n’ont même pas besoin de répondre au public.

Voici la réponse de ce même juge aux questions du public lors des présentations de la commission royale australienne COVID cette semaine. Le juge Beech-Jones ayant refusé de répondre, la Cour a répondu à sa place. Et quelle a été leur réponse?

Chère Madame Dunstone

Enquête sur une commission royale COVID-19

Je vous écris en réponse à votre lettre du 21 mars 2024 adressée à l’honorable juge Robert Beech-Jones, lui offrant la possibilité de répondre à un « commentaire » fourni à la commission dans le cadre de son enquête. Le juge Beech-Jones ne souhaite pas répondre.

J’attire l’attention de la commission sur le fait que le jugement du juge Beech-Jones dans l’affaire Kassam v Hazard [2021] NSWSC 1320 a été rendu le 15 octobre 2021. L’article universitaire « Covid- 19 Vaccine Mandates: A Coercive but Justified Public Health Necessity » (Mandats de vaccination Covid- 19: une nécessité de santé publique coercitive mais justifiée) a été publié en juillet 2023 dans le volume 26 du University of New South Wales Law Journal, en même temps qu’un certain nombre d’autres articles. Le juge Beech-Jones a rédigé l’avant-propos de ce volume du Law Journal.

Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, leur réponse a été de se référer au document écrit par Wilson et Rudge pour défendre les mandats qui ont contraint la population à recevoir des vaccins de thérapie génétique comme condition pour se prévaloir des droits de l’homme déclarés dans l’article 23.1 de la déclaration des droits de l’homme de l’ONU qui stipule que:

Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.

Ce même Chris Rudge a reçu le soutien réciproque du juge Beech-Jones lors de son accession à la Haute Cour d’Australie, probablement en raison de son « excellent » travail d’abrogation des droits de l’homme des Australiens (et, par extension, du Commonwealth) qui, selon le Forum Économique Mondial, n’existent pas.

Donc, si vous pensez que le pouvoir judiciaire vous protégera contre l’obligation de prendre un produit de thérapie génique, quel que soit son nom, à l’avenir – pensez-y à deux fois.

La seule façon d’éviter cela est soit de renverser les principes de coercition légalisée validés dans l’affaire Kassam contre Hazzard, soit que les personnes qui s’apprêtent à gagner des trillions de dollars grâce à leurs produits brevetés acquièrent soudain une conscience éthique.

Laquelle de ces deux options est la plus probable, selon vous?

Bienvenue à Gilead GATTACA. Via Harvard.

/Fin


  1. FDA: Thérapie génique humaine: incorporation de l’édition du génome humain, janvier 2024
    https://www.arkmedic.info/api/v1/file/fed7dfdc-b524-47ca-b468-861975cd350b.pdf ↩︎
  2. Un « protospace adjacent motif » https://sg.idtdna.com/pages/Support/FAQs/what-is-a-pam-sequence-and-where-is-it-located ↩︎
  3. Novavax a été commercialisé en tant que « vaccin protéique », mais il est soumis au même problème de contamination par les plasmides que les produits de thérapie génique de Pfizer et de Moderna, car le plasmide ADN qui produit l’ARN à l’origine de la protéine n’a peut-être pas été décontaminé efficacement, et les autorités de réglementation n’ont pas pris la peine de le vérifier. ↩︎
  4. L’optimisation des codons est un processus par lequel les généticiens recréent une protéine (qui est une séquence d’acides aminés) en utilisant une séquence génétique (nucléotide) différente de la séquence génétique originale qui a produit la protéine, mais qui crée la même séquence d’acides aminés. Cela est possible parce qu’il n’y a que 20 acides aminés mais 64 combinaisons des 3 nucléotides qui codent pour chaque acide aminé, ce qui donne une redondance. Par exemple, l’arginine est codée par AGA ou AGG ; la glycine par GGA, GGT, GGC ou GGG. Ainsi, si vous avez une séquence de nucléotides AGAGGG et que vous la changez en AGGGGT, vous obtiendrez toujours les mêmes acides aminés et donc la même protéine (en théorie). Il y a cependant des conséquences à ce genre de bricolage et le résultat n’est pas toujours celui que l’on attend. ↩︎
  5. Un coup de chapeau à OpenVAET pour avoir mené d’une main de maître cette analyse avec moi. J’espère que nous aurons l’occasion de l’approfondir dans un autre article. ↩︎
  6. Vous pouvez le vérifier par vous-même en effectuant une analyse BLAST de la séquence Pfizer, Moderna ou Novavax par rapport au génome humain. Voici le résultat
    ↩︎
  7. Manuel des décisions bioéthiques – avant-propos de Peter Singer. ↩︎
  8. Transcription de la Cour et archives liées ici
    https://t.me/arkmedic/9103 ↩︎
  9. Richard Dawkins défend la pédophilie « légère », encore et encore »: Archivé ↩︎
  10. C’est pourquoi nous conservons des archives. L’article original a été réduit à un seul paragraphe par Buzzfeed News.
    https://archive.is/Gz1xr ↩︎
  11. George Church, pionnier de la génétique, soutient l’édition de gènes humains: tant qu’elle est ouverte à tous, riches ou pauvres: Archivé ↩︎
  12. Nommé #NotesGate et immortalisé dans le substack de Shez ici ↩︎
  13. Ce compte twitter a été au cœur du scandale #CRISPRgate dévoilé sur twitter en janvier dernier. ↩︎
  14. Si vous voulez en savoir plus, je vous suggère de suivre le hashtag #GinoGate sur twitter et surtout de suivre Jurassic Carl. ↩︎
  15. L’adresse officielle de la société Surgisphere est Chicago, mais l’auteur principal de l’article se trouve à Brigham and Women’s. ↩︎
  16. https://www.nature.com/articles/nbt.3227supplément.
    https://www.arkmedic.info/api/v1/file/d2442c61-ccbe-4038-b423-f62d047eeca3.pdf ↩︎
  17. Politique de données génomiques et cadre éthique du FEM à l’horizon 2020
    https://www.arkmedic.info/api/v1/file/93a94c24-a110-44a7-936b-0ec9cbf2367a.pdf ↩︎
  18. Le Forum Économique Mondial, le Council on Foreign Relations, le groupe Bilderberg et leurs entités apparentées qui contrôlent la masse monétaire mondiale par l’intermédiaire de « think tanks ». ↩︎