Et je vis l’une de ses têtes comme blessée à mort, mais sa plaie mortelle fut guérie; et toute la terre en étant dans l’admiration alla après la bête.
S’il parvient à rester en vie, il vient juste de gagner la présidence.
Et voilà… J’étais prêt à passer une journée bien tranquille – soleil, nature, promenade – et il faut que ce truc sorte juste aujourd’hui? Bon, on va faire court et direct. Je complèterai plus tard si nécessaire. Première salve, si j’ose dire.
[19/07: Vous pouvez lire le reste de l’article mais ce n’est même plus la peine. Dans son récent discours, le principal intéressé vient de faire s’écrouler toute l’opération en une seule phrase:
« Lorsque j’ai entendu un sifflement sonore et que j’ai senti quelque chose me frapper très, très fort à l’oreille droite, je me suis dit: « Ouah, qu’est-ce que c’était? Ce ne peut être qu’une balle. » J’ai porté ma main droite à mon oreille et l’ai abaissée. Ma main était couverte de sang, du sang partout ».
Vous pouvez passer en revue toutes les photos et les vidéos de ce moment précis, il n’y a pas une goutte de sang sur sa main.
Merci « Donald », et bonne et heureuse présidence!]
[16/07: Miles a finalement publié un papier sur le truc, qui dit essentiellement la même chose que moi, avec quelques détails supplémentaires sur des aspects techniques, que je vais rajouter ici, plutôt que de traduire le tout]
Première question que je pose toujours, est-ce que ça s’est vraiment passé? Est-ce qu’un tireur isolé a vraiment fait feu sur Trump? Je vous balance l’information brute, on fera le tri ensuite.
Photos de l’intéressé:

[16:07: (Miles) Ensuite, il y a cette photo miraculeuse de la balle qui passe à côté de Trump.
On vous prend vraiment pour des cons si vous est censés gober cette photo photoshoppée. Cette photo aurait été prise par un photographe du NYT. Ça tombe plutôt bien. Quelle était donc sa vitesse d’obturation? Eh bien, ils ont vu venir la question, car on nous dit qu’il utilisait un Sony A1 à 1/8000s. Étant donné que Trump n’est pas connu pour se déplacer à une vitesse de 1000 pieds par seconde, on ne voit pas bien pourquoi le photographe utiliserait cette vitesse d’obturation. Mais admettons que ce soit vrai. À cette vitesse d’obturation, quelle serait la distance parcourue par la balle? Comme il s’agit d’un AR15, la balle aurait ralenti à environ 2000 pieds par seconde. Il suffit donc de faire une multiplication. La trajectoire de la balle devrait être de ¼ de pied, soit 3 pouces. Non, elle est d’environ un pied, ce qui est quatre fois trop long. Il est évident que la balle devrait se déplacer à l’équivalent de 8000 images/seconde pour créer une trace d’un pied de long sur une pellicule ouverte à 1/8000s. Tout le monde peut faire ce calcul. 8000/8000 = 1.
Ensuite, il y a la réaction de la foule derrière Trump, alors que huit balles sifflent autour d’elle. Ils restent plantés là comme des idiots, la plupart d’entre eux ne courant pas et ne se baissant même pas. C’est parce qu’ils savent que les coups de feu ne sont que des balles à blanc.]


[16/07: (Miles) Ensuite, on a ce travail de grimage foireux, où une maquilleuse cachée derrière l’estrade a étalé du faux sang sur Trump lorsqu’il s’est agenouillé. Ce n’est pas du tout convaincant, car les traces de sang ont l’air d’avoir été tracées au marqueur rouge. À part ça, elle a étalé une substance rouge sur son oreille, qu’elle n’a pas non plus eu le temps de rendre réaliste. Tout ce qu’elle a fait, c’est colorer son oreille en rouge. Et où est l’impact de la balle? Il semble qu’il manque un impact de balle. Si une balle avait emporté ne serait-ce qu’un centimètre du bord de l’oreille, celle-ci saignerait abondamment et on verrait du sang ruisseler du lobe de l’oreille sur sa chemise et sa veste. Il m’est arrivé de gratter des croûtes sur mon oreille qui saignaient plus que ça, et ça a dû probablement vous arriver aussi.]

Précisons qu’en cas de vraie fusillade, les Services Secrets ne laissent jamais dépasser la tête de la cible avant de l’avoir évacuée.
[16/07: je rajoute celle ci-dessous puisque ça fait partie de l’enfumage général auquel on peu s’attendre dans ce genre d’opération. La première est celle qui circule sur les réseaux sociaux (« Un autre impact de balle! Il portait un gilet pare-balles, ça lui a sauvé la vie! »). La deuxième est la photo originale, où on voit que c’est juste une ombre sur la veste du garde du corps.]

Photos des lieux:





Les petits films
… avec de vrais morceaux de témoins
… et Elon
Ce qu’en dit la presse (enfin, juste après le direct à la télé)




NB: en fait, ce ne sont pas des gaffes, les journalistes ont reçu en premier lieu l’ordre de ne pas parler de coups de feu, pour ne pas énerver les électeurs de Trump qui risqueraient de foutre le feu au pays – contrairement aux Antifa et à BLM, toujours d’une exquise courtoisie comme on le sait. Ils ont ensuite reçu l’ordre dans un deuxième mémo de pas s’étendre sur le sujet. Bref, juste de quoi bien enfoncer le clou des « médias fake news » ennemis de Trump.
Bon, résumons. C’était un meeting électoral à Butler, Pennsylvanie. Les deux témoins ci-dessus (qui ne sont pas des « acteurs de crise ») ont tenté en vain pendant cinq minutes de prévenir la police de la présence d’un type armé d’un fusil d’assaut sur le toit. Le gars aurait fait feu cinq fois, touché l’oreille de Trump dont l’opportun mouvement de tête l’a sauvé du pire, les autres tirs ont tué une personne et blessé deux autres avant que les snipers l’abattent (je n’ai pas mis la photo, assez glauque).
[16/07: (Miles) Vous me direz que l’une de ces personnes a été tuée. Corey Comperatore. Malheureusement, son histoire ne colle pas non plus. On nous dit qu’il était un ancien chef des pompiers du canton de Buffalo. Mais son profil LinkedIN ne mentionne pas qu’il était pompier. Il y est indiqué qu’il travaillait chez JSP à Butler depuis 30 ans.]
Le tireur isolé a été identifié: un petit gars du nom de Thomas Crooks, électeur Républicain enregistré – avec aussitôt une « théorie du complot » à l’usage des nationalistes qui surgit sur les réseaux sociaux que ce seraient en fait des Antifa qui ont fait le coup, histoire de bien noyer le poisson. Comme vous l’apprendrez dans cette très intéressante vidéo, la profession de son père est, par un pur hasard, « comportementaliste » et, autre hasard, le gamin apparaît comme figurant dans une publicité pour un fonds de pension de Blackrock pour enseignants, filmée il y a un an dans le collège de Bethel où il menait ses études. Le gamin était donc repéré depuis longtemps.
Pauvre gosse.
Tout ça sent le MK-Ultra à plein nez – qui permet de faire faire ce qu’on veut, à qui on veut, quand on veut, n’en doutez pas. Tout ce dont vous entendez parler aujourd’hui dans le domaine du contrôle neurologique était déjà au point il y a des décennies. La technologie des « voix dans la tête » était opérationnelle il y a septante (c’est soixante-dix, amis français) ans – j’ai dans mes fichiers une longue conférence de Gregg Lien, fils d’un des militaires responsables techniques de ce machin, qui en parle un instant, je retrouverai l’extrait en question (si j’ai le temps).
[16/07: (Miles a une autre théorie, dont je doute un peu – le gamin n’a pas le profil d’un agent, plutôt celui du pion sacrifiable – mais je vous la donne quand même) Il s’agit du tireur présumé, Thomas Matthew Crooks, dans une publicité de Blackrock datant de l’année dernière. Pour une raison non précisée, Blackrock a tourné sa publicité à l’école secondaire de Bethel Park, où Crooks était élève. Blackrock a maintenant admis qu’il s’agissait bien de lui, et a retiré la publicité de toute diffusion future. Ce fait est présenté comme une coïncidence extraordinaire, mais ce n’est pas le cas. Tout étudiant apparaissant dans cette publicité aurait été trié sur le volet par les réalisateurs. Ils ne tournent pas au hasard pour demander ensuite aux étudiants de signer une décharge. Je pense que Crooks est lié à quelqu’un de haut placé à Blackrock, et que c’était là son premier pied à l’étrier pour sa future carrière. Quelle carrière? La CIA, bien sûr. Sa fausse mort dans le cadre de cet événement sera son entrée idéale dans la CIA, puisqu’il a maintenant une couverture. La meilleure couverture qui soit: une fausse mort.]
Quant à la « faille de sécurité », elle est tout simplement impossible. Le narratif est que Trump a demandé un renforcement de la sécurité au DHS, qui lui a refusé – mais ça ne tient pas debout, il n’y avait quasiment rien à surveiller dans ce meeting. [16/07: (Miles) Si vous n’avez pas lu la version officielle des faits, celle-ci admet que les services secrets avaient déjà qualifié de dangereux le toit sur lequel le tireur était perché, de sorte qu’il aurait dû non seulement être interdit d’accès, mais aussi qu’un agent aurait dû s’y trouver physiquement. Les tireurs d’élite des bâtiments adjacents pouvaient le voir et l’avaient déjà repéré, mais ils n’auraient prétendument pas été autorisés à tirer en premier. Si vous croyez ça, vous croirez n’importe quoi. C’est la raison première de la présence des tireurs d’élite: empêcher un premier tir sur un ancien président. Des personnes dans la foule avaient également vu le tireur et prévenu les services secrets, mais ont été ignorées.] De plus, les sociétés de sécurité privées sont à la hauteur de ce genre de boulot, au moins autant que les services d’État. La technologie dont ils disposent est saisissante. [15/07: Ainsi que le pognon dont dispose Trump. Et quelques drones à $200/pièce peuvent faire la différence.] Pour l’anecdote, j’ai lu le témoignage (perdu le lien, sorry) d’un ancien Marine qui a renoncé à fuir les États-Unis parce qu’il n’existe plus aucun endroit sur la planète qui ne puisse être surveillé – même en pleine nature. Avec ça, on a loupé pendant cinq minutes un type posté sur un toit avec un fusil d’assaut, à cent quarante mètres du futur Président? [16/07: Le plus beau, c’est qu’il y avait une échelle très opportunément laissée à côté du bâtiment, pour donner accès au toit où le prétendu tireur s’est posté, comme si ça avait pu échapper aux agents des Services Secrets qui ratissent les lieux avant l’événement] Il n’y a jamais de « faille de sécurité ». Il n’y en a pas eu le 11 septembre, ni le 7 octobre, ni ici. Il y a juste un scénario et des ordres de « stand down », ne pas intervenir.
Cet attentat sous faux drapeau [15/07: sorry, ce hoax], prévu et annoncé depuis longue date, notamment par Tucker Carlson (CIA), comme tout le bruit qu’on fait autour de Trump depuis quatre ans, est de la programmation prédictive et de la publicité. Les procès contre lui sont tous du théatre (voir ici, ici, ici et ici, merci Miles). Les présidents américains sont tous sélectionnés et mis en place par le Renseignement. Tous, y compris JFK, qui n’a jamais été assassiné. Désolé.
La mise en scène du « débat présidentiel » avait elle aussi comme objectif de justifier le retour de Trump – et discréditer « Joe Biden » – tout comme le délire absolu des Démocrates devait pousser même les plus rétifs dans les bras de la « droite ». Le type qui jouait le rôle de Biden en version sénile – à moins qu’on ait pour l’occasion sorti le vrai, s’il est encore en vie – est un acteur, comme déjà signalé dans un article précédent. Donald Trump est lui aussi – en plus de sa fonction de blanchisseur d’argent pour la Mafia new-yorkaise – un acteur professionnel, qui fait ici son come-back, en pourfendeur intrépide – il risque sa vie pour nous! – des méchants marxistes. Le pire, c’est que ça fonctionne assez bien: je lis sur Substack des commentaires quasi-messianiques de la part de gens qui se battent farouchement contre les injections Covid et viennent soudainement d’oublier la signature de Trump sur l’Opération Warp Speed, qui fait au bas mot vingt et un millions de morts et porté le coup fatal aux économies occidentales pour la plus grande joie de Blackrock, justement. Certains parlent de miracle. Hallucinant. Vous me connaissez, je les ai allumés.
C’est bien là tout le problème du peuple. Si on ne lui sert plus que du spectacle, c’est parce qu’il ne fait maintenant plus la différence avec la politique. Un chouette récit qui lui évite de voir que sous l’étiquette « droite » ou « gauche », il n’y a plus que divers étatistes chargés de maintenir un semblant de paix sociale en lui mentant entre leurs dents, totalement inféodés à la dette. Aucun n’aura jamais le courage d’annoncer la mauvaise nouvelle dont parlait ici le Colonel: leur pays n’existe plus, ils devront le reconstruire entièrement, eux-mêmes. Personne ne viendra le sauver.
Comme je l’annonce depuis trois ans, le véritable pouvoir – financier – a besoin de Trump comme devanture d’une politique économique « nationaliste » garante de leur investissement dans la zone US, c’est-à-dire de centre droit pour l’industrie et de centre gauche pour le social, hyper-interventionniste (il n’y a plus vraiment le choix) mais moins ouvertement communiste que la « gauche » – donc « d’extrême-droite ». Comme le RN…
Comme je l’annonce aussi depuis trois ans, les US vont très intelligemment effectuer le repli stratégique économique et militaire qui sauvera (temporairement) leur dollar, laissant l’Europe, totalement verrouillée par la bureaucratie de l’UE encaisser le choc dans ces deux domaines, face à une coalition BRICS qui représente aujourd’hui le meilleur investissement dans tous les secteurs traditionnels et ceux d’avenir, avec comme partenaire Israël dans les technologies de cybersécurité et espionnage industriel et surtout hors du carcan mortel du marxisme vert. Allez jeter un oeil sur le site d’information des BRICS et dites-moi ce que la vieille Europe aura à leur opposer. Son dernier espoir est de se rabibocher avec la Russie, dont elle pourrait à ce stade difficilement se passer, comme tente de le faire désespérément Viktor Orban, dernier chef d’État européen digne de ce nom.
Pour résumer, l’Europe va se retrouver à poil, ou pire. Aujourd’hui, contrairement à Donald Trump, elle vaut plus morte que vivante. On reparle dans mon prochain article de ce qui va lui arriver.




