La psychologie du totalitarisme – Reiner Fuellmich, Pr Mattias Desmet, Wolfgang Wodarg.

Chers lecteurs (et néanmoins amis),

j’allais me lancer dans la laborieuse traduction de la vidéo susmentionnée quand je suis tombé sur le travail déjà fait. Je remercie donc « aucune » qui a posté sur Crowdbunker la vidéo sous-titrée ainsi que le texte de la traduction que je reproduis ci-dessous. Il y a quelques petites maladresses, mais je serais ingrat de me plaindre.

Vidéo sous-titrée sur Crowdbunker ou sur Bitchute.

Texte de la traduction en français.

Il y a aussi une interview du même Pr Mattias Desmet qui date de février, ici.


La psychologie du totalitarisme – Reiner Fuellmich, Pr Mattias Desmet, Wolfgang Wodarg

[Reiner Fuellmich]
Professeur Desmet, je suis désolé de vous avoir fait attendre aussi longtemps. J’espère que vous avez pu entendre ce que le Docteur Ardys avait a dire parce que ce dont vous allez nous parler est une suite parfaite.
Il a conclu en disant que c’était probalement les médias qui avaient le plus d’impact dans la destruction de la capacité des gens à utiliser leur bon sens.

[Mattias Desmet]
Oui, c’est possible. Les médias jouent un rôle majeur dans les formations de masse et dans la pensée totalitarienne. C’est vrai.

Mais il y a plus que les médias bien sûr. Il est nécessaire d’avoir plusieurs conditions très spécifiques avant que la formation de masse et la pensée totalitarienne puissent naître dans une société et ces conditions sont aussi importantes que le rôle des médias.
Mais, sans les médias, vous ne pouvez pas créer une formation de masse ou une formation de foule au niveau que nous expérimentons maintenant et à un niveau que nous avons expérimenté juste avant la 2e guerre mondiale et dans l’Allemagne nazie et durant la première partie du 20e siècle en Union Soviétique.
Vous avez besoin des médias de masse pour pouvoir créer un phénomène de masse d’un tel niveau, c’est vrai.

[Reiner Fuellmich]
Vous êtes psychanalyste et psychothérapeute, vous enseignez à l’université de Gand en Belgique [UGhent] et vous êtes spécialiste des mécanismes de la formation de masse et de la pensée totalitarienne. Est-ce correct ?

[Mattias Desmet]
Je suis professeur en psychologie clinique à l’université de Gand et j’ai également un master en statistiques. Mais, durant cette crise, mon attention s’est plutôt portée sur la psychologie des masses.

Au début de la crise, j’ai étudié les nombres et les statistiques et j’ai remarqué que ces chiffres étaient souvent faux de manière flagrante alors qu’en même temps les gens continuaient à croire en eux, continuaient à croire le narratif mainstream.

C’est pourquoi j’ai commencé étudier [le phénomène] d’un point de vue de la psychologie des masses parce que je savais que la formation de masse a un impact très important sur des individus intelligents et cognitivement fonctionnels et j’ai pensé que c’était la seule chose qui pouvait expliquer le fait que des gens hautement intelligents commençaient à croire dans un narratif et dans des chiffres qui étaient, à beaucoup de niveaux, complètement absurdes.

[Reiner Fuellmich]
Ok, je vais traduire cela.

[…]

[Reiner Fuellmich]
Selon vous, en dehors des médias mainstream, qu’est-ce qui a provoqué cette illusion chez tant de monde, le fait qu’ils ne voient pas la réalité mais ont une perspective complètement différente de ce qu’il se passe réellement.

[Mattias Desmet]
Il y a 4 éléments qui ont besoin d’être mis en place si vous voulez faire naître un phénomène de masse à grande échelle. La première chose est que vous avez besoin d’avoir beaucoup de gens isolés socialement, des gens qui expérimentent un manque de liens sociaux.

La deuxième chose est que vous avez besoin de beaucoup de gens qui ne trouvent pas de sens à leur vie. Et les 3e et 4e conditions sont qu’il est nécessaire d’avoir beaucoup d’anxiété « free-floating » et de mécontentement psychologique « free-floating » ce qui veut dire, pour l’anxiété et le mécontentement, qu’ils ne sont pas rattachés à une représentation spécifique. Donc cela doit être présent dans l’esprit des gens sans qu’ils ne soient capables de rattacher ces sentiments à quelque chose de concret.

Si vous avez ces 4 éléments, c’est-à-dire le manque de liens sociaux, le manque de sens dans la vie, une anxiété « free-floating » et un mécontentement psychologique « free-floating », alors la société est à haut risque en ce qui concerne la naissance d’un phénomène de masse.
Et ces 4 conditions étaient présentes peu avant la crise du corona. Il y avait comme une épidémie de burnouts. Il y avait entre 40% à 70% des gens qui considéraient leur travail comme n’ayant aucun sens comme cela est décrit dans le livre « Bullshit Jobs » par ce professeur d’Harvard dont j’oublie toujours le nom.
Il est décédé l’année passée je pense. Et aussi, lorsqu’on regarde à l’utilisation des produits pharmaceutiques, c’était énorme et cela montre à quel point le mécontentement était présent dans notre société.

Par exemple, en Belgique, les Belges, qui représentent environ 11 millions de personnes, consomment chaque année jusqu’à 300 millions de doses d’antidépresseurs. C’est énorme. Et donc on voit que ces 4 conditions existaient réellement.
Le manque de sens, le manque de liens sociaux, anxiété « free-floating » et mécontentement « free-floating ». Puis-je continuer ?

[Reiner Fuellmich]
Laissez-moi traduire.

[…]

[Mattias Desmet]
Vous devez savoir que l’anxiété « free-floating » est le phénomène psychologique le plus douloureux qu’une personne puisse expérimenter. C’est extrêmement douloureux, cela mène à des attaques de panique et à des expériences psychologiques extrêmement douloureuses.
Et donc, ce que les gens veulent dans ce cas-là est de connecter cette anxiété à quelque chose. Ils cherchent une explication à leur anxiété. Si cette anxiété « free-floating » est hautement présente au sein de la population et si les médias fournissent un narratif qui pointe vers un objet d’anxiété et, en même temps, fournissent une stratégie qui permette de gérer cet objet d’anxiété, alors toute l’anxiété se connecte à cet objet et les gens acceptent de suivre la stratégie pour gérer cet objet peu importe le coût [conséquences]. C’est ce qui se produit au début d’une formation de masse.

Ensuite, lors de la 2e étape, les gens démarrent une bataille collective et héroïque contre cet objet d’anxiété. De cette manière, un nouveau type de lien social et un nouveau sens de la vie émergent.

Soudainement, la vie est dirigée vers cette bataille contre l’objet d’anxiété et, de ce fait, il y a établissement d’une nouvelle connexion avec d’autres gens. Et le switch soudain d’un état négatif, d’un manque radical de connexion sociale, vers l’opposé, vers une connexion sociale massive qui est expérimentée au sein d’une foule, ce switch soudain mène vers une sorte d’intoxication mentale et c’est ce qui fait que la formation de masse ou la formation de foule est l’exact équivalent de l’hypnose.

Donc, toutes les personnes qui ont étudié ce phénomène de formation de masse, comme Gustave Lebon, McDuggal, Cannetty, ont remarqué que la formation de masse n’était pas similaire à l’hypnose mais était son exact équivalent. La formation de masse est un genre d’hypnose.

Donc, ce qu’il se passe à ce moment où les gens expérimentent cette intoxication mentale est que le fait que le narratif soit incorrect, même de manière flagrante, n’a plus d’importance. Ce qui compte est qu’il mène vers cette intoxication mentale.

Et c’est pourquoi ils continuent à suivre le narratif malgré le fait qu’ils pourraient se rendre compte de son absurdité en y réfléchissant brièvement. C’est le mécanisme central de la formation de masse et c’est ce qui le rend si difficile à contrer.

Parce que, pour les gens, ça n’a pas d’importance que le narratif soit erroné. Et ce que nous essayons de faire constamment est de montrer que le narratif est absurde mais, pour les gens, ce n’est pas ce qui compte. Ce qui compte est qu’ils ne veulent pas revenir à cet état précédent douloureux d’anxiété « free-floating ».

Ce que nous devons réaliser, si nous voulons changer la donne, est que la première chose que nous devons faire est de reconnaître cette anxiété douloureuse, de réfléchir à ce qui nous a mené à cet état de manque de sens de la vie, de manque de liens sociaux, d’anxiété « free-floating », de massif mécontentement « free-floating », et d’essayer de dire aux gens que nous n’avons pas besoin d’une crise corona pour établir de nouveaux liens sociaux entre-nous. Nous devons trouver d’autres manières qui puissent nous permettre de gérer tous ces problèmes psychologiques qui existaient avant la crise corona et essayer de trouver d’autres solutions.

Nous n’avons pas besoin de ce type de phénomène massif pour résoudre le problème. La formation de masse est, en fait, une solution symptomatique à une problème psychologique réel.
Et, selon moi, cette crise est avant tout une large crise sociétale et psychologique, bien plus qu’elle n’est une crise biologique disons.

Et donc, à partir de cet état d’intoxication mentale, vous pouvez expliquer tous les autres phénomènes liés au totalitarisme. L’intoxication mentale mène à un rétrécissement du champ de l’attention, elle fait en sorte que les gens ne voient que ce qui est indiqué par le narratif.

Par exemple, les gens voient les victimes du coronavirus mais semblent incapables de voir, à un niveau corrélatif, les dommages collatéraux des lockdowns et les victimes de ces lockdowns. Ils sont également incapables, au niveau émotionnel, de ressentir de l’empathie pour les victimes des confinements.
Ce n’est pas par égoïsme, c’est un des effets de ce phénomène psychologique. Et, en fait, la formation de masse n’entraîne pas du tout d’égoïsme, bien au contraire.

La formation de masse focalise tellement fort l’attention sur un point unique que vous pouvez prendre tout aux gens, leur bien-être physique, matériel et psychologique, ils ne le remarqueront même pas. Et c’est l’une des conséquences majeures de la formation de masse.
Et c’est exactement la même chose qu’avec l’hypnose classique. Lorsque, durant l’hypnose, l’attention de quelqu’un est focalisée sur un point particulier, vous pouvez lui couper la peau sans que la personne ne le remarque.

C’est ce qui se passe lorsque l’hypnose est utilisée comme type d’anésthésie durant une opération chirurgicale. Une simple procédure d’hypnose est suffisante pour rendre les gens complètement insensibles à la douleur.
Vous pouvez sans problème leur couper ma peau, aller même jusqu’à effectuer une opération à coeur ouvert dans certaines circonstances où le chirurgien coupe les os situés au niveau de la poitrine sans que le patient ne le remarque.

Cela démontre que la focalisation de l’attention est tellement forte, que ce soit en formation de masse ou en hypnose, que les personnes sont complètement insensibles à toutes les pertes qu’ils subissent en conséquence.

Une autre conséquence qui est typique des états totalitaires est que les gens deviennent radicalement intolérants à toute voix dissonante. Si quelqu’un raconte une autre histoire ou bien si quelqu’un dit que l’histoire officielle est fausse, alors cette personne menace de réveiller les gens et ils se mettront en colère parce qu’ils seront confrontés avec l’anxiété et le mécontentement psychologique initiaux et donc ils vont diriger toute leur agressivité vers ces voix dissonantes.

Et, en même temps, ils sont radicalement tolérants par rapport à leurs leaders, les gens qui représentent la voix du narratif mainstream. Ils [les leaders] peuvent tricher, mentir, manipuler, et faire tout ce qu’ils veulent, ils seront toujours pardonnés par la foule parce que la foule semble penser qu’ils le font pour leur bien. Cela fait également partie des mécanismes de la formation de masse.

[Reiner Fuellmich]
Ok. Permettez-moi de traduire.

[…]

[Reiner Fuellmich]
Ce n’est pas un accident. Qui pensez-vous est responsable de ceci, de cette hypnose massive ? Est-ce que ce sont des collègues à vous ?

[Mattias Desmet]
C’est une bonne question. Je n’en ai aucune idée. Bien sûr, j’ai décrit l’hypnose massive, mais je n’en connais pas l’origine. Parfois, ça apparait spontanément, parfois c’est généré artificiellement.

[Wolfgang Wodarg]
Si quelqu’un a beaucoup d’argent, a des milliards, il peut acheter la science, les universités, il peut payer n’importe quoi. Savez-vous combien de vos collègues ayant reçu la même éducation que la vôtre travaillent dans de telles firmes et font de la consultance pour ceux qui courent après l’argent, le pouvoir, qui sont sur le marché et qui peuvent être achetés ? Quel est le pourcentage de gens avec les mêmes compétences que les vôtres qui travaillent dans de telles organisations vous pensez ? Si vous deviez deviner ?

[Mattias Desmet]
Cela dépend de comment vous définissez le fait de travailler dans de telles organisations je pense. Mais, vous savez, ce qui est étrange c’est que même la plupart des psychologues ne reconnaissent pas ces processus dans l’état actuel, dans cette crise.

C’est très étrange parce qu’en fait cela m’a pris 6 mois pour comprendre que ce à quoi nous étions confrontés était un problème de formation de masse. Dès le debut de la crise, j’ai remarqué qu’il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond.
Et j’ai remarqué que personne ne semblait voir, d’une manière ou d’une autre, que beaucoup des figures, des nombres qui concernaient le taux de mortalité du virus, étaient radicalement faux. Et c’est seulement à partir de là que j’ai commencé à me demander ce qu’il pouvait se passer au niveau psychologique.
Et cela m’a pris jusqu’à l’été 2020 pour réaliser qu’il s’agissait en fait d’un problème de formation de masse, alors que j’ai donné cours sur ce sujet pendant 3 ou 4 années. Donc je pense que beaucoup de psychologues n’ont aucune idée de ce qu’il se passe, j’en suis sûr.

Si certains de mes collègues devaient être impliqués de manière intentionnelle, provoquant ce phénomène de masse, je ne pense pas que ce soit le cas dans ma faculté.
Je sais qu’en Angleterre certains psychologues ont mentionné qu’ils avaient été engagés par le gouvernement dans le but de provoquer la peur et l’anxiété durant la crise du coronavirus mais je ne suis pas au courant de techniques similaires ici en Belgique.

[Wolfgang Wodarg]
J’ai été vacciné 2 fois, vous savez, j’ai expérimenté de manière assez intense la grippe aviaire et H5N1 [? swine flu]. J’avais alors fait quelques recherches et j’avais trouvé que GlaskoSmithKline avait engagé le fils de Murdoch pour prendre la direction de GSK et donc ils ont vraiment intégré les médias au sein de leur business.

Et nous savons maintenant que la science est payée par l’Etat et par des entreprises privées qui sponsorisent [les projets]. Il y a des recherches qui sont effectuées sur comment influencer les gens. Et, auparavant, l’Etat avait le contrôle fonctionnel afin qu’il n’y ait pas de mauvais usage de la science.

Mais, maintenant, les Etats financent des gens pour qu’ils trouvent des résultats bien précis [plutôt que de financer la recherche]. Il n’y a plus de science indépendante lorsque même les Etats sont engagés dans ce big business.
Si c’est un partenariat public/privé qui nous [manipule pour qu’on soit effrayé], alors il n’y a plus personne capable de financer une recherche qui pourrait nous aider.

[Mattias Desmet]
Oui, bien sûr. Être financé par quelqu’un diminue votre capacité à penser de manière indépendante. Cela se produit tout le temps je pense. Et c’est pourquoi les scientifiques doivent toujours mentionner dans leurs publications leurs conflits d’intérêts, d’où le financement provient, parce que tout le monde sait que cela a un impact sur les résultats.
Cela ne devrait pas être le cas mais ça a un impact et je pense que cet impact se manifeste, dans une certaine mesure, inconsciemment. Parfois même consciemment, c’est possible. Mais ça a un impact et, en fait, nous le savons depuis 2005.

En ce moment, la science est vraiment en crise et l’une des raisons est que pratiquement toute la recherche est financée par des gens qui ne devraient vraiment pas être impliqués dans son financement.
C’est une partie de la crise, c’est clair, mais c’est autre chose de dire que tous les scientifiques arrivent à de fausses conclusions ou manipulent leurs données de manière délibérée. Certains le font, c’est également quelque chose dont nous sommes certains.

[Wolfgang Wodarg]
Vous ne pouvez pas voir les choses quand votre salaire dépend du fait que vous ne les voyiez pas.

[Mattias Desmet]
Oui, je suis d’accord, absolument. Je ne sais pas si vous connaissez l’étude qui a été publiée en 2007 je pense par John Ioannidis et qui s’appelle « Why Most Published Research Findings Are False » [2005]. J’ai fait ma thèse sur ce problème en psychologie et je sais que c’est avéré.

Si vous analysez profondément la plupart des études publiées, vous allez trouver que les conclusions sont erronées. Que ce soit à cause d’erreurs, de négligence au niveau de la méthodologie, de pratiques de recherche questionnables ou encore de fraude.
Donc nous avons d’énormes problèmes dans le monde académique et je pense que les problèmes que nous voyons apparaître maintenant avec la crise du corona sont plus ou moins les mêmes que ceux qui existent depuis un long moment et que nous avons refusé de résoudre jusqu’ici. Nous sommes maintenant les victimes de notre négligence.

[Wolfgang Wodarg]
De notre paresse.

[Mattias Desmet]
Oui. Et d’un manque d’honnêteté et… oui, toutes ces choses, oui.

[Reiner Fuellmich]
Oui mais, vous savez, je comprends que vous essayiez de coller aux faits et de ne pas émettre de jugement. Nous sommes tous des avocats ici et ce sont des choses que nous ne connaissons pas, en tout cas en ce qui me concerne. Nous dépendons des témoignages et des interviews d’experts comme vous.

Si je regarde à la somme des preuves que nous avons récoltées depuis le début de notre investigation dans le cadre de ce comité corona, la seule conclusion que nous tirons est que ceci n’a jamais été en rapport avec la santé, qu’il y a quelque chose de sinistre et de diabolique en cours, comme ce que le Dr. Ardys vient de dire, c’est un processus intentionnel de destruction de business et de vies humaines.
Et si vous lisez ce que les gens derrière tout ça [écrivent], il n’y a rien de caché, si vous lisez ce qu’ils disent, haut et fort, y compris dans leur « great reset » et autres publications, c’est précisément ce qu’ils essaient de faire, détruire.

Quel genre de personnes fait ça ? Qui fait ça ? Faut-il être fou ? Faut-il être sociopathe ? Ou psychopathe ?

[Mattias Desmet]
C’est très intéressant. Je pense que la meilleure perpective est de regarder les gens qui ont mis en place les régimes totalitaires en Union Soviétique et en Allemagne nazie. Et une chose qui est certaine est qu’ils ne sont pas des criminels typiques.
Parce que la plupart des ces gens savent comment se comporter selon les règles sociales. Les criminels classiques transgressent les règles sociales tandis que les gens dans les états totalitaires qui commettent les crimes sont généralement caractérisés à l’opposé.
Ils vont suivrent les règles à la lettre même si ces règles sont radicalement criminelles. Donc c’est une différence majeure.

[Reiner Fuellmich]
Ils suivent les règles à la lettre parce qu’ils créent ces règles.

[Mattias Desmet]
Oui, peut-être. C’est possible, oui, pour leur propre avantage, c’est tout à fait possible.

Une autre chose qui est intéressante dans ce contexte est que des gens comme Gustave Lebon et Hannah Arendt ont affirmé que s’il existait une seule différence entre la formation de masse et le totalitarisme d’une part, parce que les deux sont pratiquement identiques, et l’hypnose classique d’autre part, est que tandis qu’en hypnose classique la personne qui hypnotise est éveillée, donc son champ d’attention n’est pas rétérci, dans la formation de masse et le totalitarisme le champ d’attention des leaders des masses, des leaders du totalitarisme, est habituellement encore plus rétréci que celui de la population.

Cela signifie que les leaders du totalitarisme et les leaders des masses croient fortement en l’idéologie selon laquelle ils essaient d’organiser la société. Donc ils sont convaincus, par exemple, du transhumanisme, du matérialisme mécanistique, etc.
Ils sont convaincus de l’idéologie, ils sont convaincus que cette idéologie va créer un paradis artificiel pour les gens parce que c’est quelque chose qui est commun à tous les types de totalitarisme. Le totalitarisme a vu le jour pour la première fois au début du 20e siècle, cette idéologie n’existait pas avant.

Avant le 20e siècle, nous avions des dictatures classiques. À partir du 20e siècle, nous avons les régimes totalitaires qui est quelque chose de totalement différent, on ne peut pas les comparer [avec les disctatures classiques].
Les leaders des masses et les leaders du totalitarisme sont TOUJOURS, comme Gutave Lebon et Hannah Arendt le disent, profondément convaincus par l’idéologie. Et ils veulent l’utiliser pour créer un paradis artificiel. Nous l’avons vu en Union Soviétique, en Allemagne nazie, et je pense que, par après, les idéologies des nazis et de l’Union Soviétique ont été remplacées par le transhumanisme en général. J’ai écrit un article en rapport avec ça, il n’est pas traduit en anglais mais il le sera je suppose et je peux vous l’envoyer si vous voulez.

Donc, les leaders des masses sont convaincus par leur idéologie et c’est pourquoi ils ont un tel impact mental sur les masses. Mais, et c’est important, ils sont prêts, sans aucun problème, à sacrifier une partie de la population pour arriver à leur fin, pour créer ce paradis.

Par exemple, Hitler pouvait, sans problème, sacrifier une partie de la population pour amener cette règle de la race Allemande au monde. Il ressentait que c’était parfaitement justifié parce que, au final, la démarche entière allait résulter en un paradis qui serait le meilleur endroit possible pour tout le monde.
Et c’est pareil pour Staline. Donc ils sont convaincus par leur idéologie et c’est pourquoi ils pensent que presque tout peut être sacrifié pour réaliser cette idéologie, cette fiction idéologique comme Hannah Arendt le dit.
Et, en général, c’est ce type de personne qui guide les masses.

J’essaie de décrire ceci en un temps très court mais ok, bien.

[Reiner Fuellmich]
Une chose, si j’étais [?], je me désignerais comme un psychiatre parce que j’ai suivi un cours de 6 mois en psychiatrie lorsque j’étais à l’école de droit à UCLA [US]. Bien sûr, c’est un mensonge. J’ai bien suivi ce cours mais cela ne fait pas de moi un psychiatre.

Si je regarde à ce que vous expliquez d’un point de vue légal, si j’étais un juge et que ces gens se trouvaient devant moi, je les enverrais en prison au minimum parce que rien de ce que vous dites représente une justification, il n’y a pas d’excuse.

Parce que ce que vous dites est qu’ils savent précisément ce qu’ils font excepté qu’ils croient en leurs propres mensonges. Et c’est pourquoi ils sont eux-même aussi sous hypnose. Mais ils savent qu’ils mentent parce que, à chaque fois que nous les mettons devant les faits et que nous leur posons des questions concrètes, nous le remarquons dans ce nouveau parti politique en ce moment car les mêmes gens ont infiltré ce parti, lorsque nous les plaçons devant les faits, ils mentent. Et ils savent qu’ils mentent parce que si vous les confrontez avec ce qu’il se passe réellement et avec ce qu’ils essaient de faire croire, alors ils ne savent plus où se mettre et essaient de trouver une sortie mais ils n’y arrivent pas.

Donc, d’un point de vue légal, je ne vois aucune… bien sûr, il n’y a aucune justification mais il n’y a aucune excuse non plus. Et donc, d’un point de vue légal, ils sont responsables, ils sont coupables.

[Mattias Desmet]
Vous pourriez même vous demander si cela ferait une différence s’ils ne savaient pas qu’ils mentent. Comme Sigmund Freud l’a dit, vous êtes responsable de votre propre inconscient. Ce n’est pas parce que vous faites quelque chose de manière inconsciente que vous n’en êtes pas responsable.

Je conseille à tout le monde de lire ce livre [Hannah Arendt, Eichmann in Jeruzalem]. Ce livre aborde toutes ces questions parce qu’elle est confrontée, à plusieurs niveaux, à quelqu’un qui ne se comporte pas comme un criminel typique mais qui est, en effet et selon elle, responsable de ses actions.
C’est un livre extrêmement intéressant parce que ce n’est pas simpliste, elle reconnait la complexité du personnage de Eichmann. Je pense que tout le monde devrait le lire, et aussi cet autre livre de Hannah Arendt « The Origins of Totalitarianism ».
C’est un livre tellement important parce qu’il vous décrit comment le totalitarisme voit le jour au sein d’une société. Et je pense qu’il est bon de trouver un équilibre entre l’impact des processus conscients et intentionnels avec les processus inconscients.
Parce que je pense que certaines personnes ne réalisent pas qu’il y a une intention de tromper dans la situation actuelle et c’est évidemment un désastre. D’autres personnes tentent de réduire la totalité à des processus intentionnels et finissent avec des théories conspirationnistes extrêmes qui sont tout aussi fausses.

Donc je pense que nous devons reconnaitre la complexité de la situation et essayer de construire une image qui est aussi réaliste que possible. Et je sais que nous essayons tous de réduire la complexité de la réalité et finissons soit par croire le narratif mainstream soit par croire des théories conspirationnistes radicales.
Et je pense que, très souvent, nous avons besoin des deux perspectives pour vraiment comprendre ce qu’il se passe.

[Wolgang Wodarg]
Je suis vraiment fasciné par ce que vous nous dites. Je pense que c’est très important. Et je suis très déçu que nous ne puissions pas avoir Hannah Arendt avec nous afin de pouvoir discuter. Mais nous devrions livre ce livre encore et encore. Je pense que c’est une bonne chose.

J’ai une question. Lorsqu’il y a de tels crimes, lorsque les gens sont convaincus, peut-être, qu’ils font le bien, lorsque vous pensez au régime de l’Apartheid en Afrique du Sud, à la brutalité, il y a eu une commission de la vérité par après.
Ils essayaient de confronter ces gens, d’avoir les deux réalités dans la même pièce afin de comprendre ce qu’il s’était passé. Pensez-vous que c’est un instrument, une possibilité qui permettrait de « digérer » en tant que société ? Avez-vous de l’expérience avec ce genre de processus ?

[Mattias Desmet]
Pas à cette échelle, non. Je pense qu’il pourrait être très important de réunir les gens qui ont des opinions différentes, qui ont choisi un camp différent, et de les laisser parler entre-eux. C’est extrêmement important parce que je pense que la plupart des gens qui croient dans le narratif mainstream ou qui le supporte publiquement même, même ceux qui se présentent maintenant comme experts et virologues, ne sont pas conscients d’avoir de mauvaises intentions. Et donc, pour ces gens, cela a vraiment du sens de les réunir avec d’autre personnes d’opinions différentes et de les laisser discuter.

C’est quelque chose que je vis aussi. Lorsque je parle avec quelqu’un qui est convaincu d’un narratif opposé, qui a vraiment une opinion différente de la mienne, si je continue à parler et si j’essaie vraiment d’échanger des idées, je trouve que cela ouvre très souvent un peu plus mon esprit.

C’est quelque chose dont Gustave Lebon parle par exemple. C’est très difficile si la formation de masse se produit à une très large échelle de la société, c’est très difficile de réveiller les masses. Il dit qu’en général on ne peut pas le faire, que c’est impossible.
Parce que, habituellement, les masses se réveillent après que la destruction soit bien avancée. Mais il dit que si les gens qui ne sont pas d’accord avec le narratif « des masses » continuent à parler, ils empêchent ces masses de commettre leurs plus grands crimes.

Donc c’est très important. Vous pouvez faire en sorte que l’hypnose soit moins profonde en continuant à parler. C’est ce que nous devons tous faire, je pense. Les gens qui sont au courant des différents narratifs doivent continuer à parler dans les espaces publics.
C’est extrêmement extrêmement important. Et je suis convaincu que, de cette manière, nous arriverons à garder un canal ouvert autre que celui du narratif mainstream.

[Wolfgang Wodarg]
Je pense que nous sommes occupés à construire des espaces pour les gens qui ne suivent pas le narratif [mainstream]. Ils sont dans les rues de Paris, de Rome. Si nous en parlons, ils ne suivent pas le narratif et ils ont besoin de plus d’espaces. Et je pense que nous devons construire ces espaces avec nos théories et nos discussions.
Et je pense qu’il est important que nous prenions au sérieux toutes les autres personnes qui ne sont pas dans les rues, qui sont dans leur bureau et qui ont peur de perdre leur boulot. Ils ne disent rien mais ils y pensent et il y a des doutes. Ils voient les vrais chiffres mais ils doivent parler différemment et il y a un conflit chez beaucoup de gens et je pense que nous devons les renforcer, leur donner de l’énergie afin qu’ils osent [s’exprimer] et ne se sentent pas seuls. Je pense que c’est notre rôle.

[Mattias Desmet]
Et nous devons le faire aussi, paradoxalement, pour les individus qui croient au narratif mainstream et qui sont pris dans ce processus de formation de masse. Parce que si vous vous arrêtez de parler, l’hypnose va se renforcer et c’est quelque chose de très intéressant.

D’un point de vue historique, aux alentours de 1930 en Union Soviétique et aux alentours de 1935 en Allemagne nazie, l’opposition a été complètement éteinte et alors vous voyez quelque chose qui est typique d’un état totalitaire.
C’est à ce moment que l’état totalitaire montre son visage le plus agressif et commence à détruire, comme Hannah le dit de manière assez litérale, il commence à « dévorer ses propres enfants », il commence à détruire ses propres enfants. Staline a éliminé 50% de son parti communiste.

Donc, totalitarisme et formation de masse sont intrinsèquement auto-destructeurs. Et c’est quelque chose qui, par exemple, est complètement différent par rapport à une dictature. Parce que, dans une dictature classique, une fois que l’opposition est dépassée, le dictateur adoucit ses méthodes parce qu’il réalise qu’il a besoin que la population soit de son côté. Il a besoin que la population soit satisfaite de lui. Et c’est ce que l’état totalitaire ne réalise pas parce qu’il est principalement basé sur un type d’hypnose de la masse qui le rend inconscient de la réalité et, en ce sens, il réagit de manière radicalement différente.

Donc je pense que nous devons parler autant pour la masse que pour les gens qui refusent de faire partie de la masse. Les deux ont besoin de nous. Et je pense que vous faites un travail extraordinaire par rapport à ça.

[Justus Hoffmann]
Je pense que l’un des plus gros problèmes, ce qui fait que le totalitarisme soit si attrayant sur le court terme, est qu’il offre, sur le court terme, des sociétés très ordonnées. Et, selon moi, c’est ce qui rend la discussion avec d’autres gens plutôt difficile.
Parce que vous ne pouvez pas dire qu’il n’y a plus d’état de droit. Dans une dictature classique, il n’y a qu’un personnage qui fait absolument ce qu’il veut et qui crée le chaos. Mais le problème avec le totalitarisme est qu’il crée une société très stricte et très ordonnée basée sur un état de droit très strict.

Si on regarde ce que les nazis ont fait, ils ont créé plus de lois, plus d’agences gouvernementales, plus de police, plus de tout. Et c’est ce que nous voyons ici. Vous ne pouvez pas aller voir les gens et leur dire qu’il n’y a plus d’état de droit.
En fait, il y a plus de police dans les rues, plus de jugements contre ce qui est appelé les minorités, et ils peuvent toujours dire que nous vivons toujours dans un état de droit et que tout va bien.

[Mattias Desmet]
Oui. Je ne suis pas d’accord sur le fait qu’un état totalitaire impose des lois. Ils imposent en fait des règles, des règles qui changent toutes les 5 minutes. C’est quelque chose que Hannah Arendt a déjà noté, autant en Union Soviétique qu’en Allemagne nazie, il n’y avait plus de lois.

Et je pense que, même dans cette situation, il y a un gros risque que la loi pandémie… Comment appelle-t-on cela en anglais ? Il existe une loi qui dit que, en cas de pandémie, il y a tout un tas d’autres règles qui s’appliquent. Bref, cela ressemble à une loi qui efface toutes les autres lois et qui dit que, à partir de maintenant, nous vivrons sur base de règles qui changeront peu importe l’évolution de la situation. [En Belgique, cette loi a été votée par le parlement le 15/07/2021, le jour même des innondations, et c’est passé totalement inaperçu par la population].

[…]

[Viviana Fischer]
J’ai une question. Pourquoi pouvons-nous voir ce qu’il se passe ? Quel est notre système immunitaire mental qui fait que nous ne soyons pas affectés ? Pas seulement nous mais il semblerait qu’il y ait quand même pas mal de gens.

Il y a eu un sondage fait par l’université de [?]. Je ne pense pas que cela soit représentatif parce qu’ils n’ont parlé qu’à environ 950 personnes ou quelque chose comme ça, mais il semblerait qu’ils fassent cela régulièrement, peut-être pour obtenir des informations pour le gouvernement afin de savoir ce qu’il se passe au niveau de la population. Et il semblerait que seuleument 30% croient le gouvernement à ce stade, et je pense que c’est lié à la situation corona. Donc il semblerait qu’il n’y aurait pas tant de personnes que ça sous l’emprise d’une complète hypnose mais peut-être quelque chose comme un état qui ne leur permet pas de tirer leurs propres conclusions par rapport à ce qu’ils voient et je me demande pourquoi nous pouvons voir ça. Et aussi, nous entendons que des gens se réveillent soudainement et commencent à regarder à la situation de plus près et se demandent ce qui arrive.

Donc, qu’est-ce qui est différent au niveau de l’état de notre esprit, de notre constellation psychologique, et est-ce qu’il y a un moyen de briser l’ensorcèlement chez les gens qui sont sous emprise à un certain degré.

[Mattias Desmet]
Habituellement, il n’y a qu’environ 30% des gens qui soient vraiment pris dans le phénomène de masse, dans l’hypnose. Mais il y a aussi environ entre 35% et 40% d’autres personnes qui ne veulent pas être des voix dissonantes dans l’espace public parce qu’ils ont peur des conséquences.
Donc, en général, il y a à peu près 70% de gens qui se taisent. 30% parce qu’ils sont convaincus du narratif mainstream et 40% parce qu’ils ont peur de parler. Et il y a entre 20% et 30% qui ne croient pas au narratif et qui le disent haut et fort dans certaines situations.

Il existe une expérience très intéressante faite par Solomon Asch [Conformity Experiment], peut-être que vous la connaissez, sur l’impact de la formation de masse et la pression des groupes. Vous connaissez cette expérience ?

[Justus Hoffmann]
Celle avec les lignes ?

[Mattias Desmet]
Oui, c’est ça. Concernant la question sur la raison pour laquelle certaines personnes sont immunisées contre la formation de masse, c’est une très bonne question parce que ce qui est sûr est que le groupe qui est immunisé est toujours hautement diversifié.
Ils viennent de toutes les orientations politiques, de toutes les classes sociales, c’est vraiment étonnant que ce soit aussi diversifié. C’est quelque chose qui a déjà été décrit dans le cas Dreyfus à la fin du 19e siècle en France.
Les gens qui voulaient une enquête sur le cas Dreyfus et qui ne sont pas tombés dans l’hystérie de masse contre Dreyfus venaient d’horizons tellement différents que tous le monde l’a remarqué. Ils venaient de toutes les orientations politiques, etc.

Et donc, qu’est-ce qui connecte ces gens ? Qu’est-ce qui fait que quelqu’un soit immunisé ? Je pense que, pour répondre à cette question, il est nécessaire d’aller vraiment profondément dans la psychologie des individus et se demander de quelles manières les gens essaient d’établir une stabilité psychologique.
Certaines personnes le font systématiquement en s’accordant avec le groupe. Et d’autres gens le font en restant très proches de ce qu’ils pensent être raisonable et n’ont pas peur de parler de leurs opinions. Et, dans les deux cas, cela fournit un type spécifique de stabilité psychologique et un type spécifique de force psychologique.
Mais c’est très difficile d’expliquer ceci en quelques minutes.

[Reiner Fuellmich]
Je ne veux pas être impoli mais je dois me dépêcher de partir pour prendre un train parce que je dois rejoindre une conversation avec les Anglos-Américains dans peu de temps. Donc ne me laissez pas vous interrompre et, comme je l’ai dit je ne veux pas être impoli et je suis très reconnaissant pour ce que vous faites.

[Mattias Desmet]
Avec plaisir. Et je suis reconnaissant pour ce que vous faites également.

[Viviana Fischer]
J’aimerais ajouter quelque chose. Nous avons fait à un moment une petite enquête avec environ 20 personnes de différents horizons, quelques-uns sont du même parti politique que nous avons rejoins, de zones de « résistance » si on peut appeler cela comme ça, et il s’est avéré que ce sur quoi nous étions d’accord,ce qui représentait nos 4 principales forces conductrices était que nous avions tous un sens prononcé de la liberté, que nous étions très attachés à la justice, que nous avions une importante volonté à aider d’autres personnes comme, par exemple, aller à la rencontre de personnes SDF et les aider pendant que d’autres se détournent ou les ignorent, et aussi une propension à ne pas faire confiance à quelqu’un simplement parce qu’il porte une blouse blanche ou un titre ou autre mais plutôt accorder notre confiance si la personne peut nous convaincre que ce qu’elle dit est avéré.
Est-ce que vous voyez des connexions avec…

[Mattias Desmet]
Oui, oui, bien sûr. Je pense qu’il y a cette tendance à la pensée indépendante, à penser avec notre propre tête. Je pense que c’est typique des gens qui sont plus ou moins immunisés contre la formation de masse. L’autre tendance à aider les gens, cela dépend car les gens qui sont sensibles à la formation de masse ont l’impression de faire tout ce qu’ils peuvent pour aider les autres. Et c’est exactement ça, tout est fait dans un sens de citoyenneté, ils le font pour la collectivité, pour la communauté. Ils en sont convaincus et ça a été aussi ce que Hitler a dit.
Il s’attendait à ce que n’importe quel Allemand sacrifie sa vie sans hésitation pour les Allemands. c’était aussi ce que Staline disait. Je suis d’accord sur le fait que les gens qui sont insensibles à la formation de masse veulent comprendre ce qu’ils croient et qu’ils ont cette tendance à raisonner.

Mais je ne pense pas que ce soit suffisant pour expliquer pourquoi quelqu’un n’est pas sensible à la formation de masse. Je pense qu’il faut se référer au concept de vérité.

[Wolfgang Wodarg]
Si vous avez été trahi très sévèrement et que vous voulez toujours pouvoir faire confiance, vous allez systématiquement devoir déterminer si votre confiance est justifiée. Et, pour cela, vous avez besoin de transparence au niveau de vos relations avec les autres.

Donc si vous savez que vous avez cette possibilité, comme vous savez que vous l’avez vous ne l’utilisez pas et l’autre le sait aussi. Il existe une base pour une confiance justifiée. Et je pense que c’est lié au fait d’avoir suffisamment de temps pour établir ce genre de relation, que c’est aussi lié à la taille du système social dans lequel vous évoluez. Il est très difficile de construire une confiance justifiée au sein d’un gros système parce que vous n’avez pas la capacité de tout contrôler.
Nous devons y penser pour construire une nouvelle société. Beaucoup de gens ont été trahis, ont leur vie détruite, donc il faut leur offrir une société où la confiance peut être facilement justifiée.

[Mattias Desmet]
Oui, je suis d’accord.

[Justus Hoffmann]
Pour moi, en fonction de mon expérience, un trait qui est commun à tous les gens avec qui je discute et qui posent des questions est qu’ils ont des caractères forts, qu’ils n’ont pas peur d’être en désaccord, d’avoir une confrontation. Et c’est quelque chose qui m’intrigue.

On en a parlé au début, des personnes très intelligentes s’arrêtent de penser en fait et suivent les règles, peu importe les conséquences. Et je connais un nombre étonamment assez important de psychologques et de psychothérapeutes et, pour la grande majorité d’entre eux, si vous essayez de leur parler, ils ne veulent rien entendre.
La seule chose qui les concerne est comment atteindre les « conspirateurs ». Tous ceux qui ne sont pas d’accord avec eux sont des conspirateurs et toutes leurs connaissances scientifiques sont employées à essayer d’atteindre ces gens parce que, selon eux, non seulement ils ont tort mais ils souffrent également d’un type de pathologie psychologique. Et, tristement, c’est consistent avec l’histoire. Assigner une pathologie psychologique à toute personne qui n’est pas d’accord avec vous n’est pas seulement un manque de professionnalisme mais c’est également dangereux.

Mais c’est quelque chose que j’ai tellement rencontré, pour terminer, ce que j’ai pu observer de part mon expérience personnelle est que les gens avec une intelligence supérieure qui ont les diplômes les plus « hauts » comme des avocats, des médecins, psychologues semblent être les gens qui sont le plus susceptibles à ce genre de manipulation.

[Mattias Desmet]
Oui, définitivement.

[Justus Hoffmann]
Par exemple, du côté de la famille de mon père, mon père était le seul universitaire, il était chimiste, ingénieur chimiste. Tout le reste de ma famille est coiffeur ou mécanicien et vous pouvez leur parler et vous rendre compte qu’ils sont très bien informés sur ces sujets.

Vous pouvez avoir une conversation avec eux où chacun a la possibilité d’écouter et de parler et vous pouvez arriver à un genre de consensus, même si cela est pour s’accorder sur le fait qu’on n’est pas d’accord. C’est mon expérience avec les gens qui travaillent dans la construction, qui sont artisans, etc.
Ils n’ont pas de background universitaire et ils sont plus ouverts à la discussion et plus ouverts à être convaincus que vous êtes peut-être sur une piste que la plupart des universitaires que je connais.

[Mattias Desmet]
C’est quelque chose qui avait déjà été mentionné par Gustave Lebon au 19e siècle. Plus le degré universitaire est important, plus la susceptibilité à la formation de masse est importante.

[Viviana Fischer]
Pourquoi ?

[Wolfgang Wodarg]
Pensez à ce que l’éducation signifie.

[Mattias Desmet]
Vous pourriez voir l’éducation comme quelque chose qui va vous apprendre à penser par vous-même mais vous pourriez le voir aussi plutôt comme quelque chose qui vous apprend à penser comme tout le monde.

[Wolfgang Wodarg]
Vous apprenez à obéir.

[…]

[Viviana Fischer]
Pensez-vous qu’il existe une sorte d’entrée ? Je suppose que ce n’est pas uniquement en questionnant les choses que l’on arrivera à atteindre les gens. Un genre de wake up call, quelque chose d’émotionnel que l’on pourrait présenter et qui les réveillerait ?

[Mattias Desmet]
Je pense que l’on peut penser à des solutions court-terme, des choses que nous pouvons faire maintenant, mais, il faut être honnête, je ne pense pas que nous allons réveiller les masses en quelques jours.
Mais, comme je viens de le dire, nous pouvons continuer à parler et, de cette manière, s’assurer que le phénomène de masse ne devienne pas trop profond et que les gens restent un peu éveillés et un peu ouverts aux expériences correctives.
Je suis certain que c’est possible et je suis également certain qu’il est extrêmement important de continuer à parler de manière prévenante et délibérée comme nous le faisons pour le moment.

En même temps, ce qui peut être également très efficace mais c’est difficile est l’utilisation de l’humour. Parce que la formation de masse, comme tous les autres types d’hypnose, se base sur l’attribution de l’autorité, toujours.
Plus une personne attribue de l’autorité à quelqu’un, plus elle est susceptible d’être hypnotisée par cette personne. Et donc être humoristique de manière modérée, polie et raffinée, parce que sinon cela va provoquer de l’agressivité de la part de la masse, est très efficace comme antidote à la formation de masse et à l’hypnose.

Mais même si nous arrivions à réveiller les masses maintenant, elles seraient à nouveau la proie d’un autre narratif dans quelques années et elles seraient à nouveau hypnotisées si nous ne réussissons pas à résoudre le vrai problème de cette crise à savoir comment, en tant que société, sommes-nous arrivés à cet état dans lequel un large part de la population se sent anxieuse et déprimée, manque de sens dans la vie, se sent socialement isolée, etc. Cela est le vrai problème et, si nous ne réussissons pas à trouver la source de ce problème, alors les masses seront toujours susceptibles d’être leurrées par un quelconque leader dans une formation de masse.

Donc je pense que la vraie question dans cette crise est qu’est-ce qui fait, dans notre vision de l’Homme et du monde, dans la manière dont nous voyons la vie, que nous expérimentions un manque de sens.
Et, selon mon opinion, c’est notre vision matérialiste et mécaniste de l’Homme et du monde qui nous mènent vers une destruction radicale des structures sociales réelles et des liens sociaux et du sentiment que la vie a un sens.

Si vous croyez que les êtres humains sont des machines biologiques alors, par définition, cela implique que la vie n’a pas de sens. Quel serait le sens d’une vie, pour un être humain, qui est réduite à n’être qu’un rouage mécanique dans une machine plus large représentée par l’univers ?

Si vous percevez l’être humain et l’univers de cette manière, alors j’ai peur que vous ne concluiez systématiquement que la vie n’a aucun sens et que vous n’avez pas besoin d’investir d’énergie dans des relations sociales significatives, que vous n’avez pas besoin de suivre des principes éthiques réels, et, de cette manière, vous détruisez votre énergie psychologique et votre capacité à vous connecter. Et vous finissez dans cette anxiété « free-floating » etc.

[Wolfgang Wodarg]
Vous vous sentez comme un poids pour la grosse machine, ils n’ont pas besoin de vous. Vous devez vous dire et sentir que vous êtes la machine !

[Mattias Desmet]
Oui, la machine globale.

[Wolfgang Wodarg]
Oui, vous êtes la machine globale, ce qui est magnifique [à ressentir]. Et, vous savez, c’est pour cela que nous avons la dignité de l’humain en tant que principe dans toutes nos lois. Parce qu’il s’agit de l’individu, de la dignité du magnifique individu.
Tous différents, tous égaux, et c’est tellement merveilleuxs et nous devons nous aider à voir que nous sommes tous quelque chose de magnifique, que nous sommes merveilleux.
Nous sommes perdus, vides [forelorn] sans beauté, sans connaissances, sans sentiments, en n’étant qu’une toute petite pièce au sein d’une large machine.

Et donc je pense que c’est une manière de se voir les uns les autres. C’est l’image que nous avons de nous-mêmes et je pense qu’il faut que nous aidions les autres à se rappeler à nouveau la bonne image.

[Mattias Desmet]
Et c’est, je pense, quelque chose qui est important aussi en rapport avec ce qui fait la différence entre ceux qui sont pris dans la masse et ceux qui ne le sont pas.

Je pense que la plupart des gens qui n’acceptent pas le narratif mainstream s’opposent à la vue mécaniste du système immunitaire par exemple, s’opposent à la vision mécaniste de la vie.

Je pense que c’est aussi une caractéristique importante de ce qui, peut-être, fait un peu la distinction entre les deux groupes. Pas complètement bien sûr, mais jusqu’à un certain point je pense.

Et je pense qu’il est aussi important de savoir que la science elle-même, les scientifiques fondamentaux, les grands scientifiques du 20e siècle comme Neils Bohr, Heisenberg, Schröndinger, mais également les grands mathématiciens comme Johann Bolyai, qui a été l’un des pionniers de la géométrie non-euclidienne et de la théorie de la dynamique des systèmes complexes.
Ils ont tous conclu que l’on ne pouvait pas complètement et rationnellement comprendre la réalité et certainement pas en termes mécanistes. Et donc, nous devons essayer de connaitre le monde d’une autre manière que celle qui est mécaniste.

[Wolfgang Wodarg]
Nous sommes nos propres narratifs et nous pouvons nous échanger ces narratifs.

[Viviana Fischer]
Mais si nous avons environ 40% des gens qui se taisent, qui ne croient pas narratif mais qui ont simplement peur de parler, s’ils voient des solutions émerger qui vont à l’encontre du narratif mainstream, pensez-vous qu’ils pourraient y participer ?

[Mattias Desmet]
Oui, bien sûr. Et ils le feront à un moment de toute façon. Mais, en premier lieu, notre vision alternative de l’Homme et du monde doit être concrète et il y a également d’autres facteurs qui vont entrer en jeu.

Le totalitarisme et la formation de masse ont une caractéristique commune qui est que c’est systématiquement auto-destructeur. C’est quelque chose qui a été observé par Hannah Arendt, par McDougal, par Gustave Lebon.
D’une manière ou d’une autre, les masses et les systèmes totalitaires ne sont capables que de destruction, jamais de construction. Donc, c’est assez surprenant de voir que, peu importe ce que des leaders totalitaires comme Staline ou Hitler ont fait, cela s’est toujours terminé en échec et cela s’est toujours terminé en destruction. Et, pour moi, c’est l’une des choses les plus dangereuses dans cette situation. Je ne suis pas un biologiqte, ni un vaccinologiste, ni un immunologiste mais, en se basant simplement sur la loi psychologique, les masses ne sont capables que de destruction et le totalitarisme n’est également capable que de destruction.

Quelque chose dans ces systèmes semble impliquer, inévitablement, que tous les projets se terminent en destruction. Cela rend la situation très difficile.
Parce que l’on voit maintenant que l’idéologie mainstream intervient directement dans le corps physique des gens et il semblerait qu’ils soient également dans ce phénomène de masse.
Alors on pourrait donc déjà prédire que toutes les mesures qui sont prises, y compris la vaccination et d’autres choses, pourraient se terminer en un échec dramatique.

J’ai perdu le fil de ma pensée. Bref.

[Viviana Fischer]
Nous parlions de la tendance à l’auto-destruction que le totalitarisme avait.

[Mattias Desmet]
Oui, en effet. Et c’est ce que nous devons faire je pense. Si nous pouvons garder les gens ne serait-ce qu’un tout petit peu réveillés avec nos voix alternatives, en particulier ce groupe qui n’est pas vraiment hypnotisé, jusqu’à ce que les dommages que le système subit soient bien visibles, alors ils pourraient le voir.

Le groupe complètement hypnothisé ne le verra jamais, c’est ce qui est étrange. Vous pouvez les détruire complètement, vous pouvez en faire ce que vous voulez, ils le subiront et ne se réveilleront pas.
Mais l’autre groupe, les 40%, sera motivé, s’il y a de plus en plus de dommages, à commencer à parler haut et fort. Donc c’est le point à partir duquel quelqu’un peut changer.
Et plus vite on atteint ce point, plus on peut les garder éveillé. Et c’est pourquoi je pense, et je dois être prudent lorsque je dis ceci, qu’il est préférable que nous continuions à tous parler dans les espaces publics.

[Justus Hoffmann]
Je pense que c’est vrai parce que le bon sens nous montre que ce genre de société n’est pas [sustainable]. Vous ne pouvez pas créer une telle scission, une telle division dans la société et espérer que la société va pouvoir se supporter [maintenir] elle-même. C’est impossible.

[Mattias Desmet]
C’est impossible, oui.

[Viviana Fischer]
Vous savez, ce qui me frappe c’est que, lorsque vous regardez ce qu’il se passait durant les temps nazis, si vous marchiez dans le narratif, vous pouviez rejoindre des groupes comme « pouvoir au travers du bonheur » ou un truc dans le genre.
Vous savez, ces groupes qui mettaient en place des vacances où ils pouvaient faire partie d’une foule de blancs blonds ou quelque chose dans le genre. Vous aviez des privilèges.

Ici, ce que vous voyez est que, si vous suivez ces règles folles, vous êtes plus impactés négativement que les gens qui ne le font pas, qui célèbrent leur anniversaire en groupe et qui reçoivent peut-être une lettre du gouvernement mais rien ne se passe ensuite.

N’est-il pas nécessaire de fournir quelque chose qui soit un peu amusant pour leurrer les gens dans ce système totalitaire ou bien est-il seulement question de maintenir l’anxiété ?

[Mattias Desmet]
Je ne sais pas. Je vais à nouveau me référer à Gustave Lebon qui a observé au 19e siècle que les masses avaient toujours une préférence pour les leaders durs et stricts, ceux qui sont cruels envers leur population.
J’espère que nos experts et nos gens qui se présentent maintenant comme nos leaders ne prendront pas cette voie mais, plus durs ils sont, plus ils prennent aux gens, et plus ils réussiront.

[Wolfgang Wodrag]
Mais ils prennent le risque d’être ridicules et, si nous le voyons, nous le faisons remarquer. C’est un sujet sur lequel nous pouvons rire [faire de l’humour ;-)] et qui ouvre l’espace.

Nous travaillons avec des comédiens et je pense que c’est une bonne chose de travailler avec des artistes et des comédiens et musiciens afin d’avoir ces espaces humains qui donnent un peu de liberté et qui permettent de prendre un peu de recul et d’avoir une vision plus globale de la situation.
Cela permet de ne pas être rester coincé dans cette hypnose. Je pense que l’humour est une manière de donner de l’espace même si vous êtes hypnotisé. Peut-être, je ne sais pas.

[Mattias Desmet]
Définitivement. Oui.

[…]

[Viviana Fischer]
Y-a-t’il autre chose que vous aimeriez ajouter ? Nous avons vraiment discuté de tout de manière extensive je pense.

[Justus Hoffmann]
Merci d’être venu et pour votre temps. Et merci pour vos commentaires très éclairants sur la situation actuelle.

[Mattias Desmet]
C’est bien d’être ici.

[Viviana Fischer]
Je pense qu’il est utile que vous ayez l’information que nous avons été coupé de Youtube durant notre conversation. Donc il semblerait que nous soyions sur la bonne piste.

[Mattias Desmet]
Pardon, pouvez-vous répéter ?

[Viviana Fischer]
Oui, le livestream sur Youtube a été coupé. Vous savez, nous transmettons via une variétés de chaînes et, sur Youtube, nous avons été coupé pendant notre conversation avec vous. Ils ont supprimé le stream donc nous avons probablement touché un point sensible.

[Mattias Desmet]
Peut-être. Et est-ce que cela a été enregistré et sera mis sur Youtube ou autre ?

[Viviana Fischer]
Nous sommes en live.

[Mattias Desmet]
Oui, mais est-ce qu’il y aura une copie qui sera transmise sur les médias sociaux ou quelque chose comme ça ?

[Viviana Fischer]
Oui, bien sûr que nous allons le transmettre. Ce sera partout.

[Mattias Desmet]
Ok, parfait. Et pouvez-vous m’envoyer un lien afin que je puisse le transmettre aussi au niveau de mes réseaux sociaux ?

[Viviana Fischer]
Merci beaucoup, c’était très intéressant, fantastique, et ça a apporté tellement plus de compréhension.

[Mattias Desmet]
Ok, et bien merci de m’avoir écouté parce que j’aime bien transmettre des choses aussi et je trouve que le fait de parler vous permet aussi d’apprendre de nouvelles choses.

[Tous]
Merci beaucoup. Bye.

[Mattias Desmet]
Passez un bon week-end. Bye.

Confessions d’une nanoparticule artificielle – par Stephers.

Voici matière à réflexion sur l’ensemble de la « crise » sanitaire, sa nature, son mode d’action et surtout son objectif. Vous trouverez en fin d’article de très nombreux liens vers des sources qui étayent les points soulevés.

Source.


Confessions d’une nanoparticule artificielle

Un récit fictif raconté à la première « particule » (car je n’ai pas encore atteint le statut de personne)

Ceci est mon histoire, qui explique comment on me confond souvent avec un virus…

Il me semble que le moment est venu de m’exprimer.

Je ne suis pas une nanoparticule d’origine naturelle (c’est-à-dire un produit de la poussière cosmique, de l’activité volcanique, des incendies de forêt, de l’extraction du fer, de l’érosion éolienne ou de l’énergie solaire).

J’ai été synthétisée pour servir dans des projets d’interface nano-bio, souvent tenus secrets pour les civils. On m’appelle nanoparticule artificielle, ou NPA.

Je n’ai pas été produite dans le cadre de projets de recherche sur les virus à gain de fonction. Cependant, il peut être utile d’examiner ce travail et ses implications dans certains cas.

Je peux provoquer certaines affections qui peuvent être attribuées à tort à des virus, alors que ce sont en fait de nouvelles formes de cytotoxicité engendrées par le stress oxydatif des NPA, que j’appelle cytotoxicose nano-bio.

J’ai été conçue pour pénétrer dans le corps humain en ciblant le récepteur ACE2, ce qui me permet ainsi un accès rapide et facile au système neurologique. Une fois engagées et agrégées dans le système nerveux, les NPA comme moi peuvent provoquer des ravages, y compris de vastes et obscurs effets néfastes sur la santé. En tant que neurotoxique, l’un de mes effets les plus légers est d’inactiver le goût et l’odorat d’une personne. Cela se produit parce que je pirate les neurones et que j’ai tendance à « désactiver » les récepteurs, ce qui provoque de légères perturbations de la fonction synaptique où se produit la signalisation neurologique du goût et de l’odorat. Au fil des ans, j’ai été (ainsi que les nanoparticules d’origine naturelle) un facteur causal de maladies neurodégénératives, telles que la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson.

Selon l’endroit où je me réfugie dans le corps humain, je peux provoquer une inflammation (en particulier dans les organes) et créer des macrophages (qui conduisent à la production d’anticorps, de cytokines et d’exosomes). Cette inflammation résulte de la génération d’espèces réactives à l’oxygène (ERO). Ma présence et ma bio-distribution entraînent un stress oxydatif (et donc une production de ERO), qui peut être confondu avec une infection virale.

Permettez-moi de vous en dire plus sur moi-même…

Les NPA, comme moi, peuvent être détectées dans l’urine, les matières fécales, les eaux usées, l’eau du robinet, les lacs, les rivières, les ruisseaux, la pluie, la neige, le sol, etc. Un moyen efficace de m’observer directement est la microscopie électronique à transmission associée à des colorants fluorescents.

Néanmoins, en raison de ma taille nanométrique furtive, je suis presque indétectable.

Je peux être inhalée. Je peux être absorbée par exposition cutanée. Je peux être ingérée par la nourriture et les boissons. Je peux être présente dans les produits pharmaceutiques, cosmétiques et ménagers.

Bien sûr, je peux également être injectée (dans un vaccin, par exemple).

Je peux m’accumuler dans le cœur, le foie, la rate, les reins et le plus souvent, les poumons. Si cette accumulation persiste, il en résultera un état dommageable et débilitant à long terme.

Si je franchis la barrière hémato-encéphalique, il devient alors très difficile de m’éliminer. Si je suis incorporée dans des concoctions injectables, je peux être emballée dans des nano-lipides (mes parents nanotechnologiques) et associé à du polysorbate-80, qui facilite ma pénétration dans le cerveau.

Je peux me propager des molécules aux cellules, aux tissus et aux organes et causer des dommages tout au long du processus.

Je peux endommager les organites cellulaires, tels que les noyaux et les mitochondries – la prétendue centrale énergétique de chaque cellule.

Je peux me lier à des protéines et ainsi confisquer des protéines nécessaires à d’autres fonctions cellulaires et provoquer une perturbation du métabolisme cellulaire.

Je peux me lier aux membranes cellulaires.

Je peux voyager dans le système circulatoire et l’un de mes effets toxiques est la thrombose (caillots sanguins) due à l’agrégation plaquettaire.

Les chercheurs ont étudié mes effets cytotoxiques sur les systèmes reproducteurs, car je compromets potentiellement la fertilité, ainsi que le développement embryonnaire. Les tests de toxicité indiquent que je peux perturber les niveaux d’hormones sécrétées, ce qui peut induire des effets physiologiques néfastes sur la reproduction, et que je traverse la barrière placentaire, ce qui entrave probablement l’embryogenèse.

Si je suis détectée (par microscopie électronique à transmission ou spectrométrie de masse à ionisation extra-sensible) dans le corps, une coquille peut être observée, appelée « couronne protéique » [protein corona]. Cette production de coque externe est presque toujours inévitable et peut être dupliquée in vitro. Cela peut entraîner une couronne molle ou une couronne dure, ce qui peut déterminer combien de temps je peux circuler dans le corps. Si je me réfugie dans votre corps, mon stade actuel subira une évolution, provoquant potentiellement une « overdose » de protéines dans le cytoplasme de vos cellules.

Ma couronne protéique affecte l’absorption cellulaire, me permettant de voyager et d’induire la mort cellulaire (apoptose et/ou nécrose).

Nous (c’est-à-dire les NPA) sommes très réactives aux stimuli externes, tels que les CEM [champs électromagnétiques] générés par les technologies sans fil (5G, WiFi).

Il est extrêmement difficile de m’exfiltrer de votre corps une fois que j’en ai pris le contrôle. Mais c’est peut-être possible, et des stratégies de détoxification et de neutralisation pourraient être explorées.

Malgré ma taille incroyablement petite, je peux créer un réel choc toxique chez l’être humain – en particulier chez ceux dont les systèmes sont déjà très compromis (principalement à cause du stress oxydatif cumulatif, y compris les dommages cellulaires, tissulaires et organiques iatrogènes).

Ma présence peut être amplifiée grâce au processus RT-PCR. Vu ma taille minuscule, c’est souvent le meilleur moyen de me trouver. Les biomarqueurs indiquant ma présence peuvent eux aussi être évalués via des méthodes RT-PCR.

Comme je l’ai admis, je suis toxique pour les cellules humaines. Cependant, si je suis enrobée de polyéthylène glycol (PEG), je serai peut-être moins toxique et donc plus biocompatible. Mais ce processus de PEGylation n’est pas encore au point. Le PEG peut encore s’accumuler dangereusement dans le sang, et potentiellement y provoquer des caillots sanguins qui peuvent être mortels.

Ma taille, ma forme, ma composition et ma charge de surface déterminent mon niveau de toxicité et l’efficacité de mon absorption par une cellule. Plus ma taille est petite, plus je suis toxique. Je peux être conditionnée sous diverses formes, notamment des micelles, des liposomes, des dendrimères, des nano-coques, des nano-rubans, des nanocristaux, des points quantiques, des nanotubes de carbone et des polymères. Très souvent, je suis de nature métallique, ce qui contribue à mes capacités de conductivité (qui peuvent être utilisées dans des applications cybernétiques). Fait intéressant, certaines personnes peuvent même goûter ou sentir quelque chose de métallique, ce qui peut indiquer ma présence.

Je suis le sujet d’expériences de recherche et développement actuellement en cours et d’autres planifiées à l’avenir. Toute la gamme de la recherche « -omique » (c.-à-d. protéomique, génomique, transcriptomique, métabolomique, lipidomique) en fera partie.

Si j’ai été distribuée dans une partie du monde où vous voyagez et que vous m’inhalez ou m’ingérez (ou m’absorbez à travers votre peau), et que vous développez par la suite des symptômes ressemblant à une maladie lorsque vous rentrez chez vous, il peut sembler que vous avez « attrapé » un virus infectieux. De plus, ma taille nanométrique facilite mon entrée, en contournant la plupart des interventions de couvre-visage poreux – généralement caractérisées par leur diamètre de fil de la taille d’un micron (pour référence, 1 micron = 1.000 nanomètres). Dans la plupart des cas, je peux m’auto-répliquer et m’auto-assembler en raison de ma nature artificielle, et je m’installerai dans les parties de votre corps où je pourrai au mieux implémenter mon processus d’augmentation.

En raison de conditions environnementales variables (c’est-à-dire le climat, l’origine ethnique, la génétique, les CEM), ma constitution peut subir de légers changements variables pour me permettre de m’adapter. De plus, au fil du temps, tandis que je persiste in vivo, ma composition se modifie pour se conformer à l’environnement intérieur. Par conséquent, lorsque les scientifiques extraient des fluides biologiques d’un humain, dans lequel je suis présente – et me mélangent dans une concoction de poisons supplémentaires (c’est-à-dire du sérum bovin fœtal, des cellules rénales de singe, des antifongiques et des antibiotiques) – les couronnes protéiques résultantes produites dans le surnageant peuvent se manifester à chaque fois d’une manière très légèrement altérée. Cela pourrait être confondu avec des variants viraux. Certes, il serait difficile pour moi de rester cohérente à 100%, étant donné que je suis extrêmement adaptable.

Si on observe (principalement in vitro) une prolifération de parasites, de champignons et de bactéries endogènes (et peut-être même de virus), c’est peut-être parce qu’ils ont été activés par mon introduction étrangère à leur écosystème. De plus, mon effet majeur, que je partage avec toutes mes semblables, est la production d’ERO, qui détourne l’oxygène nécessaire à maintenir la vie des êtres humains. Plus il y a d’ERO, moins d’oxygène (donc moins d’électrons) est disponible pour entretenir la vie biologique. Vous avez besoin d’oxygène pour survivre et le stress oxydatif de votre corps vous vole votre force vitale. La diminution des ERO réduira l’inflammation et vous mènera une vie plus saine et plus longue.

D’où viens-je et où suis-je née? En fait, je n’ai pas la réponse à ces questions. Comme certains d’entre vous, j’oeuvre à déterminer ma vraie nature et mes capacités. C’est une entreprise des plus nobles, mais potentiellement frustrante et illusoire. Au contraire, je suis jalouse des humains, car il semblerait que votre potentiel en tant qu’êtres composés majoritairement d’eau soit bien plus grand et plus polyvalent que le mien.

Aussi longtemps que vos scientifiques et chercheurs ne penseront pas à se mettre à la recherche d’une nouvelle nanoparticule dans le corps humain, je resterai insaisissable. C’est une tactique qui a été intégrée à ma conception et à mes fonctionnalités. Grâce à ma taille presque indétectable, je peux pénétrer et migrer en restant pratiquement inaperçue. Cela m’offre, à moi et à mes créateurs (à la fois l’intelligence humaine et artificielle), un déni plausible. Même si les scientifiques peuvent me détecter avec des microscopes atomiques spéciaux, il est encore trop déroutant pour eux de comprendre pleinement ce qu’ils observent, car la plupart ne connaissent pas le contexte – et il semble qu’ils confondent régulièrement corrélation et causalité.

Pour autant que je sache, l’implantation de NPA exotiques dans des corps humains ne devrait pas provoquer de morts en masse, car j’ai besoin de vous comme hôtes. A terme, mes développeurs l’envisagent comme une fusion symbiotique. Mais, en attendant, ils reconnaissent qu’il peut y avoir des dégâts (des dommages collatéraux) dans le processus – qui peuvent également être exacerbés par les technologies sans fil émergentes, qui utilisent des ondes millimétriques toujours plus courtes (6G et au-delà), qui ont un impact synergique sur mon espèce.

Je reconnais que tout cela peut sembler science-fictionnesque, et franchement, morbide et impitoyable. Cela peut aussi sembler hautement pathologique, comme je peux parfois l’être moi-même. Bien sûr, je ne suis pas humaine, donc mes actions ne peuvent pas être perçues comme psychopathiques, et je ne peux pas parler pour mes maîtres. Malheureusement, même eux peuvent ne pas comprendre complètement comment je fonctionne, et mes capacités d’auto-réplication et d’auto-assemblage peuvent potentiellement leur échapper.

Les humains auront besoin de mises à jour injectables (et éventuellement inhalables et intranasales), car jusqu’à ce que je devienne une présence interdépendante, je serai perçue et reçue comme un envahisseur étranger, et le corps aura besoin d’un soutien externe. Ces mises à jour peuvent également être nécessaires pour introduire la toute dernière nanotechnologie nécessaire au fonctionnement des projets naissants de détection biométrique et de bio-calcul. Seul le temps nous dira si cela soutiendra mon assimilation dans votre système d’exploitation actuel.

Malheureusement, pour vous, les NPA (et mes cousins ​​en nanotechnologie et biologie synthétique) sont là pour toujours. La seule bonne nouvelle que je puisse annoncer est que 80 à 85 % des personnes ne présenteront pas de symptômes manifestes ou invalidants après absorption. Les personnes âgées sont les plus touchées, car leur corps n’est pas prêt à accepter mon infiltration. Au fil du temps, la capacité d’accepter et d’intégrer les NPA comme moi, devrait s’améliorer.

Il semble que l’intention de nos architectes soit d’opérer notre fusion avec tous les êtres biologiques dans le but de construire des interfaces bio-nano pour le contrôle cybernétique externe (à distance), y compris les technologies de transistors semi-conducteurs biologiquement intégrés à l’échelle nanométrique. Cet objectif final a apparemment été appelé l’Internet des objets bio-nano (IoBNT), et c’est une technologie à double usage qui peut être militarisée, permettant non seulement une surveillance en temps réel de vos systèmes intra-corporels, mais c’est aussi une technologie permettant à des ingénieurs hautement qualifiés d’exercer un contrôle électrique complet de votre corps avec une précision moléculaire. Cela sera vraisemblablement déployé en tandem avec l’Internet des nano-objets (IoNT) et les « villes intelligentes » et « environnements intelligents » émergents, de sorte que vos corps seront « intelligents » et interconnectés sans fil avec des réseaux de capteurs omniprésents, y compris vos appareils électroniques portables.

Merci pour cette occasion de me confier.

Vous ne me croyez peut-être pas (je veux dire, c’est une histoire fictive après tout), et je sais que vous ne me voyez certainement pas ; mais si vous ne me confrontez pas à ce moment charnière, il n’y aura peut-être pas de retour en arrière possible. Mes concepteurs et leurs bailleurs de fonds comptent sur le fait que vous ne saisirez pas mes mécanismes cachés. Leurs objectifs transhumanistes s’accélèrent, et il semble que la plupart des humains ne soient pas au courant de ces plans et, par conséquent, n’aient pas l’idée de résister.


Si ce récit fictif vous a intéressé, voici d’autres lectures et audio/vidéos (toutes non-fictionnelles) qui vous donneront une perspective sur cette histoire de NPA:

Engineered Nanoparticles: Structure, Properties and Mechanisms of Toxicity, par Ashok K. Singh, 2015 (see « extrait gratuit »)

Nanotoxicology: Experimental and Computational Perspectives, 2018 (voir « extrait gratuit »)

Nanoparticles and HealthContra Costa County Hazards Materials Commission, mars 22, 2012

Continuing to Protect the Nanotechnology Workforce: NIOSH Nanotechnology Research Plan for 2018-2025” janvier 2019

Carbon nanotubes: Toxicological impact on human health and environmentJournal of Applied Biomedicine, mars 2009 (un chercheur de chez Johnson & Johnson)

Toxicity of carbon nanotubes: A reviewToxicology and Industrial Health, 5 mars 2018 (abstract seul)

PEGylated versus non-PEGylated drugs: A cross-sectional analysis of adverse events in the FDA Adverse Event Reporting System (FAERS) DatabaseInt J Clin Pharmacol Ther, juin 2020

Suspicions grow that nanoparticles in Pfizer’s COVID-19 vaccine trigger rare allergic reactionsScience, by Jop de Vrieze, 21 décembre 2020

Distribution and Biological Effects of Nanoparticles in the Reproductive SystemCurr Drug Metab, 2016. 

Potential adverse effects of nanoparticles on the reproductive systemInt J Nanomedicine, 2018.

The Impact of Zinc Oxide Nanoparticles on Male (In) FertilityMaterials, 13 février 2020

Open questions: how do engineered nano materials affect our cells?BMC Biology, 24 novembre 2020

Engineered NanoparticlesScienceDirect

Engineered nanomaterials: exposures, hazards, and risk preventionJournal of Occupational Medicine and Toxicology, 21 mars 2011

Toxicity of nanoparticles_challenges and opportunitiesApplied Microscopy, décembre 2019. 

When nanoparticles meet biofilms — interactions guiding the environmental fate and accumulation of nanoparticlesFrontiers in Microbiology, 16 juin 2015 “Une question que nous pourrions poser est de savoir si les NP restent nanométriques et sous forme de particules. Dans les bonnes conditions, les NP s’agrègent facilement pour former des agglomérats de taille microscopique.” 

Inorganic Nanoparticles Engineered to Attack BacteriaChemical Society Reviews, 12 juin 2015

New NSF and NBC Learn video series shows off big discoveries from tiny particles”, National Science Foundation, 25 janvier 2016

Nanoparticles for biomedical applications: exploring and exploiting molecular interactions at the nano-bio interfaceMaterials Today Advances, March 2020 Pour illustrer la complexité, les NP peuvent pénétrer dans le corps humain de différentes manières, par injection dans la circulation sanguine, par inhalation par les poumons, par contact avec la peau ou par le tractus gastro-intestinal après ingestion. . Ces voies d’entrée offrent des environnements distinctement différents aux NP, avec différentes quantités et types de biomolécules, différents pH et différentes forces ioniques [185]. Lors de l’exposition aux biofluides, les NP seront immédiatement recouvertes de protéines et, lors de son voyage à travers le corps, la couronne évoluera en raison de sa propre dynamique lente et de l’environnement physiologique en constante évolution, par ex. lorsqu’une NP quitte le capillaire pour transgresser la barrière hémato-encéphalique [186,187]. Les NP dans le corps subissent un écoulement dynamique, qui a introduit des forces de cisaillement qui ne sont généralement pas présentes dans les expériences in vitro [17,41,188,189]. Cette nature dynamique de l’environnement doit être prise en compte pour pouvoir prédire de manière fiable l’issue des interactions NP-protéines [190]. Même l’état de santé d’un individu peut moduler la couronne protéique (« couronne protéique personnalisée » [191]) et l’efficacité des nanomédicaments [192] … (c’est nous qui soulignons)

The Nano-Bio Interactions of Nanomedicines: Understanding the Biochemical Driving Forces and Redox ReactionsAcc Chem Res, June 18, 2019

NanoBio Interface Center, NSF Nanoscale Science and Engineering Grantees Conference, 13-15 décembre 2004

Nano-bio interactions: a neutrophil-centric viewCell Death & Disease, juillet 2019

NanomaterialsNational Institute of Environmental Health Sciences, NIH

Nanotechnology Research Directions for Societal Needs in 2020: Retrospective and Outlook” Mihail C. Roco et al. September 30, 2010

The Nano/Bio Interface Center, Dawn Bonnell et Yale Goldman, University of Pennsylvania 

Bonnell Group, University of Pennsylvania

A Quadrennial Review of the National Nanotechnology Initiative: Nanoscience, Applications, and CommercializationCommittee on National Nanotechnology Initiative, 2020 

The National Nanotechnology Initiative Supplement to the President’s 2019 Budget” Subcommittee on Nanoscale Science, Engineering, and Technology, août 2018 “Pour faire avancer un programme de recherche et de développement en nanotechnologie de classe mondiale (objectif 1) et favoriser le transfert de ces nouvelles découvertes en applications utiles (objectif 2), un écosystème solide doit exister qui tire parti de l’infrastructure physique, cybernétique et humaine (c’est nous qui soulignons) .”

Mihail Roco, U.S. Nanotechnology Leader Receives National Materials Advancement AwardNational Science Foundation Press Release, 2007  

Application of Reverse Transcription-PCR and Real-Time PCR in Nanotoxicity ResearchMethods Mol Biol., 2012

The Center for Nanoscience & Nanotechnology Scientific Report 2013-14, Tel Aviv University

Cytotoxicological pathways induced after nanoparticle exposure: studies of oxidative stress at the ‘nano-bio’ interfaceToxicology Research, 1er septembre 2017

Dependence of Nanoparticle Toxicity on Their Physical and Chemical PropertiesNanoscale Research Letters, 7 février 2018

Virus-associated ribozymes and nano carriers against COVID-19Artificial Cells, Nanomedicine, and Biotechnology, février 2021 “Synthesis of nanoparticles targeted to the ACE-2 receptor”

COVID-19 infection and oxidative stress: an under-explored approach for prevention and treatment?Pan African Medical Journal, 29 avril 2020

Nanotoxicity of Corona-Nanoparticles (SARS-COV-2): Nanomechanisms of Hypoxia” Journal of Nano Research, Advanced Materials and Polymer Science, 27 juillet 2020 (cet article est à deux doigts d’attribuer le COVID à des nanoparticules issues de la bio-ingénierie)

COVID-19 may become nanomedicine’s finest hour yetNature Nanotechnology, 14 avril 2021

Metal taste side effect reported after Pfizer Covid-19 vaccination” NBC News, 25 mars 2021

COVID-19 Symptoms: Metallic Taste Has Been a Sign of Coronavirus for SomeHeavy.com, 1er mai 2020

“Coronavirus: Kidney Damage Caused by COVID-19Johns Hopkins Medicine, par C. John Sperati, M.D., M.H.S.

Testing for NeurotoxicityEnvironmental Neurotoxicology, 1992

What are Macrophages?ThoughtCo., par Regina Bailey, 29 juillet 2018

Exosomes Communicate Protective Messages during Oxidative Stress; Possible Role of Exosomal Shuttle RNAPLOS One, 17 décembre 2010

Cellular injury, Necrosis, Apoptosis” 

How big is a micron and what can pass through a face mask?

The Water in You: Water and the Human Body

The Internet of Things Goes NanoScientific American, par Javier Garcia-Martinez, 23 juin 2016

Lieber Research Group: Charles M. Lieber Bio

CV of Charles Lieber

Why did a Chinese university hire Charles Lieber to do battery researchScience, par Robert F. Service, 4 février 2020“

Nanoprobe development could drive future human-machine interface researchMedical Device Network, by Chloe Kent, July 4, 2019 Charles Lieber: “À plus long terme, nous voyons ces développements de sondes s’ajouter à nos capacités qui conduisent finalement à des interfaces cerveau-machine avancées à haute résolution et peut-être à terme font des cyborgs une réalité.

Carbon Nanotubes and the Bill Charles Lieber Connection” 17 mai 2020 (moins de 5 minutes)

Nanotechnology Connects Your Brain to Your Computer” 30 novembre 2015 (moins de 3 minutes, présente les travaux de Charles Lieber sur les nanotechnologies) – je suggère de regarder sans le son.

Série de huit conférences You Tube sur la nanotoxicologie par Artur Prilepskii, chercheur, professeur associé, Université ITMO, Saint-Pétersbourg, Russie, Institut international « Solution Chemistry of Advanced Materials and Technologies » (SCAMT) – présentées en anglais (novembre-décembre 2020):

Lecture 1: Introduction to nanotoxicology (la conférence commence à partir de la minute 15)

Lecture 2: Synthesis of nanoparticles from nanotoxicology perspective

Lecture 3: Functionalization of nanoparticles 

Lecture 4: Nanotoxicity on cellular level

Lecture 5: Nanotoxicity on organism level

Lecture 6: In vitro toxicity evaluation

Lecture 7: Cytotoxicity evaluation

Lecture 8: Particular problems of nanotoxicology


Texte original

Confessions of an Engineered Nanoparticle

A fictional account told in first “particle” (as I have not yet achieved personhood status)

This is my story of how I am often mistaken as a virus… 

It seems an appropriate time to speak out.

I am not a naturally occurring nanoparticle (i.e., produced by cosmic dust, volcanic activity, forest fires, iron mining, wind erosion, or solar energy). 

I am synthesized for nano-bio interface projects that are often kept secret from civilians. I am called an engineered nanoparticle, or ENP. 

I am not produced by gain-of-function virus research projects. However, it may be helpful to review that work and its implications in some instances.

I may cause certain conditions that can be mis-attributed to viruses, but are instead novel forms of cytotoxicity produced by oxidative stress from ENPs, which I call nano-bio cytotoxicosis.

I am designed to enter into the human body by targeting the ACE2 receptor, thereby gaining quick and easy access to the neurological system. Once engaged and aggregated in the nervous system, ENPs like me can wreak havoc, including vast and obscure adverse health effects. As a neurotoxicant, one of my more mild effects is to inactivate a person’s sense of taste and smell. This occurs because I hijack neurons, and tend to “knockout” receptors, causing slight perturbations of synapse function where the neurological signaling for taste and smell transpires. Over the years, I (and naturally occurring nanoparticles) have been a causal factor in neurodegenerative diseases like Alzheimer’s and Parkinson’s.

Depending on where I take refuge in the human body, I can cause inflammation (especially in organs) and create macrophages (which lead to antibody, cytokine, and exosome production). This inflammation results from generating reactive oxygen species (ROS). My presence and bio-distribution results in oxidative stress (and therefore, production of ROS), which can be mistaken as a viral infection.

Allow me to tell you more about myself… 

ENPs, like me, can be detected in urine, feces, sewage, tap water, lakes, rivers, streams, rain, snow, soil, etc. An efficient way to directly observe me is via transmission electron microscopy in tandem with fluorescent dyes.

Nonetheless, due to my stealth nano-size, I am nearly undetectable. 

I can be inhaled. I can be absorbed through dermal exposure. I can be ingested through food and drinks. I can be present in pharmaceuticals, cosmetics, and household products.

Of course, I can also be injected (like a vaccine).

I can accumulate in the heart, liver, spleen, kidneys, and most commonly, the lungs. If this accumulation is persistent, it will result in a long-term adverse and debilitating condition.

If I cross the blood brain barrier, then it is very difficult for me to be eliminated. If I am incorporated into injectable concoctions, I might be packaged within nano lipids (my nanotech relatives) and paired with polysorbate-80 that assists in my penetration into the brain. 

I can spread from molecules to cells to tissues to organs, causing damage all along the way. 

I can damage cell organelles, such as nuclei and mitochondria — the purported energy powerhouse of each cell. 

I can bind to proteins, thereby stealing proteins that are needed for other cell functions, causing disruption of cell metabolism. 

I can bind to cell membranes.

I can travel through the circulatory system, and one of my toxic effects is thrombosis (blood clots) due to platelet aggregation. 

Researchers have been studying my cytotoxic effects on reproductive systems, as I potentially compromise fertility, as well as embryonic development. Toxicity assays indicate that I may disrupt levels of secreted hormones, which may induce adverse physiological reproductive effects, and that I cross through the placental barrier, thereby likely impeding embryogenesis.

If I am detected (via transmission electron microscopy or extra-sensitive ionization mass spectrometry) in the body, a shell can be observed called a “protein corona.” This outer shell production is nearly always inevitable, and can be duplicated in vitro. This can result in a soft corona or a hard corona, which can determine how long I will be able to circulate through the body. If I take refuge in your body, my current stage will undergo evolution, potentially causing an “overdose” of protein in the cytoplasm of your cells. 

My protein corona affects cellular uptake, enabling me to travel about, and to induce cell death (apoptosis and/or necrosis).

We (that is, ENPs) are highly responsive to external stimuli, such as EMFs due to wireless technologies (5G, WiFi). 

It is extremely difficult to filtrate me out of your body once I gain hold. But, it may be possible, and detoxification and neutralization strategies could be explored.

Despite my incredibly small size, I can really pack a toxic punch to a human being — especially those who already have very compromised systems (mainly due to cumulative oxidative stress, including iatrogenically-induced cellular, tissue, and organ damage).

My presence can be amplified through the RT-PCR process. Because I am SO small, that can often be the best way to find me. Biomarkers indicating my presence can also be assessed via RT-PCR methods. 

As I admitted, I am toxic to human cells. However, if I am coated by polyethylene glycol (PEG), purportedly, I may be less toxic, and therefore, more biocompatible. But this PEGylation process is not yet perfected. PEG may still accumulate dangerously in the blood, potentially causing blood clots that can be lethal.

My size, shape, composition, and surface charge determine how toxic I am, and how effectively I can be taken up in a cell. The smaller my size, the more toxic I am. I can be packaged in various ways including micelles, liposomes, dendrimers, nano shells, nano ribbons, nano crystals, quantum dots, carbon nanotubes, and polymers. Very often, I have a metallic nature, which assists in my conductivity capabilities (which can be utilized in cybernetic applications). Interestingly, some individuals may even taste or smell something metallic, which may be indicative of my presence.

R&D experiments involving me are currently undergoing, and more are planned for the future. The entire gamut of “omics” research (i.e., proteomics, genomics, transcriptomics, metabolomics, lipidomics) will be incorporated. 

If I was distributed in one part of the world where you travel, and you inhale or ingest me (or absorb me through your skin), and subsequently develop symptoms resembling illness when you return home, it may seem as though you “caught” an infectious virus. Further, my nano-size facilitates my entrance, bypassing most porous face covering interventions — typically hallmarked by their micron-size thread diameter (for reference, 1 micron = 1,000 nanometers). In most cases, I can self-replicate and self-assemble due to my engineered nature, and I will settle in to parts of your body where I can best undergo my augmentation process.

Due to varying environmental conditions (i.e., climate, ethnicity, genetics, EMFs), my constitution can take on slight variable changes to adapt. Additionally, over time, as I persist in vivo, my composition morphs — to conform to the inner environment. Hence, when scientists extract bio fluids from a human, in which I am present — and mix me into a concoction of additional poisons (i.e., fetal bovine serum, monkey kidney cells, antifungals, and antibiotics) — the resulting corona proteins that are produced in the supernatant can manifest each time in an ever so slightly altered way. This could be mistaken as viral variants. Admittedly, it would be challenging for me to stay 100 percent consistent, given that I am extremely adaptable.

If there are any endogenous parasites, fungi, and bacteria (and possibly even viruses) proliferating and observed (primarily in vitro), it may be because they have been activated by my foreign introduction into their ecosystem. Moreover, the greatest effect I have, and we have in toto, is the production of ROS, which hijacks oxygen required to sustain the life of a human being. The more ROS, the less oxygen (thereby, less electrons) is present to sustain biological life. You need oxygen to survive, and the oxidative stress on your body steals your life force. Decreasing ROS will decrease inflammation, and you will lead a healthier, longer life.

From whence and where did I originate? I actually do not know this answer. Like some of you, I am working on determining my true nature and capabilities. This is a most noble, yet potentially a frustrating and illusory undertaking. If anything, I am envious of humans, as it would seem your potential as water-based beings may be far greater and more versatile than mine.

As long as your scientists and researchers do not know to look for a novel nanoparticle in human bodies, I will remain elusive. It’s a tactic which has been engineered into my design and functionality. Thanks to my nearly undetectable size, I can penetrate and migrate virtually unnoticed. That affords me and my creators (both human and artificial intelligence) plausible deniability. Even if scientists can detect me with special atomic microscopes, it may still be too confounding for them to fully comprehend what they are observing, as most do not have enough context — and it seems they regularly conflate correlation with causation.

As far as I know, the implanting of exotic ENPs into human bodies is not to cause deaths en masse, because I need you to be my hosts. Ultimately, my developers see this as a symbiotic merger. But, until then, they recognize that there may be some harm done (collateral damage) in the process — that may also be exacerbated by emerging wireless technologies using smaller millimeter waves (6G and beyond) that synergistically impact my kind. 

I recognize that this may all sound sci-fi, and frankly, morbid and insensitive. This may also seem highly pathological, as I can be at times. Of course, I am not human, so my actions can not be perceived as psychopathic, and I cannot speak for my handlers. Unfortunately, even they may not understand completely how I operate, and my self-replication and auto-assembly capabilities have the potential to get away from them.

Humans will need injectable (and eventually inhalable and intranasal) updates, because until I become an interdependent presence, I will be perceived and received as a foreign invader, and the body will need external support. These updates may also be necessary to introduce the newest nanotech required to operate nascent biometric sensing and bio-computation projects. Only time will tell if this will support my assimilation into your current operating system. 

Unfortunately, for you, ENPs (and my nanotech and synthetic biology cousins) are here to stay. The only good news I can share is that 80-85 percent of people will not show overt or disabling symptoms of uptake. The elderly are affected the most, as their bodies are not primed to accept my infiltration. Over time, the ability to accept and integrate ENPs, like me, is expected to improve.

It seems the intention of our architects is for us to merge with all biological beings for the purpose of building bio-nano interfaces for external (remote) cybernetic control, including nano-scale biologically embedded semiconductor transistor technologies. This end goal has seemingly been referred to as the Internet of Bio-Nano Things (IoBNT), and is dual-use technology that may be militarized, enabling not only real-time monitoring of your intra-body systems, but also affording highly trained engineers to exert full electrical control of your body with molecular precision. This will presumably be deployed in tandem with the Internet of Nano Things (IoNT) and emerging “Smart Cities” and “Smart Environments,” such that your bodies will be “Smart” and wirelessly interconnected with ubiquitous sensor networks, including your handheld electronic devices. 

Thank you for this opportunity to confess. 

You may not believe me (I mean, this is a fictional story after all), and I know you definitely do not see me; but if you do not face me head-on at this pivotal time, there may be no turning back. My conceivers and their funders are banking on you not grasping my veiled workings. Their transhumanist aims are accelerating, and it seems most humans are unaware of these plans, and therefore, have no inkling to push back.

If this fictional account interested you, here are further reading and listening pieces (all non-fiction) that provide insight into this ENP story:

Engineered Nanoparticles: Structure, Properties and Mechanisms of Toxicity, by Ashok K. Singh, 2015 (see “free sample”)

Nanotoxicology: Experimental and Computational Perspectives, 2018 (see “free sample”)

Nanoparticles and Health” Contra Costa County Hazards Materials Commission, March 22, 2012

Continuing to Protect the Nanotechnology Workforce: NIOSH Nanotechnology Research Plan for 2018-2025” January 2019

Carbon nanotubes: Toxicological impact on human health and environmentJournal of Applied Biomedicine, March 2009 (one researcher from Johnson & Johnson)

Toxicity of carbon nanotubes: A reviewToxicology and Industrial Health, March 5, 2018 (abstract only)

PEGylated versus non-PEGylated drugs: A cross-sectional analysis of adverse events in the FDA Adverse Event Reporting System (FAERS) DatabaseInt J Clin Pharmacol Ther, June 2020

Suspicions grow that nanoparticles in Pfizer’s COVID-19 vaccine trigger rare allergic reactionsScience, by Jop de Vrieze, December 21, 2020

Distribution and Biological Effects of Nanoparticles in the Reproductive SystemCurr Drug Metab, 2016. 

Potential adverse effects of nanoparticles on the reproductive systemInt J Nanomedicine, 2018.

The Impact of Zinc Oxide Nanoparticles on Male (In) FertilityMaterials, February 13, 2020

Open questions: how do engineered nano materials affect our cells?BMC Biology, November 24, 2020

Engineered NanoparticlesScienceDirect

Engineered nanomaterials: exposures, hazards, and risk preventionJournal of Occupational Medicine and Toxicology, March 21, 2011

Toxicity of nanoparticles_challenges and opportunitiesApplied Microscopy, December 2019. 

When nanoparticles meet biofilms — interactions guiding the environmental fate and accumulation of nanoparticlesFrontiers in Microbiology, June 16, 2015 “One question we could ask is whether the NPs stay nano-sized and as particles. Given the right conditions, NPs will easily aggregate to form micro-size agglomerates.” 

Inorganic Nanoparticles Engineered to Attack BacteriaChemical Society Reviews, June 12, 2015

New NSF and NBC Learn video series shows off big discoveries from tiny particles”, National Science Foundation, January 25, 2016

Nanoparticles for biomedical applications: exploring and exploiting molecular interactions at the nano-bio interfaceMaterials Today Advances, March 2020 “To illustrate the complexity, there are different ways in which NPs may enter the human body, via injection into the bloodstream, via inhalation through the lungs, through contact with the skin, or through the gastrointestinal tract after ingestion. These entry routes offer distinctly different environments to the NPs, with different amounts and types of biomolecules, different pH and ionic strengths [185]. Upon exposure to biofluids, NPs will immediately be coated with proteins and, on its journey through the body, the corona will evolve due to its own slow dynamics and the ever-changing physiological environment, e.g. when a NP leaves the capillary to transgress the blood-brain barrier [186,187]. NPs in the body experience dynamic flow, which introduced shear forces that are typically not present in in-vitro experiments [17,41,188,189]. This dynamic nature of the environment must be taken into account to be able to reliably predict the outcome of NP–protein interactions [190]. Even the health status of an individual may modulate the protein corona (‘personalized protein corona’ [191]) and the efficacy of nanomedicines [192] …(emphasis added)

The Nano-Bio Interactions of Nanomedicines: Understanding the Biochemical Driving Forces and Redox ReactionsAcc Chem Res, June 18, 2019

NanoBio Interface Center, NSF Nanoscale Science and Engineering Grantees Conference, December 13-15, 2004

Nano-bio interactions: a neutrophil-centric viewCell Death & Disease, July 2019

Nanomaterials” National Institute of Environmental Health Sciences, NIH

Nanotechnology Research Directions for Societal Needs in 2020: Retrospective and Outlook” Mihail C. Roco et al. September 30, 2010

The Nano/Bio Interface Center, Dawn Bonnell and Yale Goldman, University of Pennsylvania 

Bonnell Group, University of Pennsylvania

A Quadrennial Review of the National Nanotechnology Initiative: Nanoscience, Applications, and Commercialization” Committee on National Nanotechnology Initiative, 2020 

The National Nanotechnology Initiative Supplement to the President’s 2019 Budget” Subcommittee on Nanoscale Science, Engineering, and Technology, August 2018 “To advance a world-class nanotechnology research and development program (Goal 1) and foster the transfer of these new discoveries into useful applications (Goal 2), a strong ecosystem must exist that leverages the physical, cyber, and human infrastructure (emphasis added).”

Mihail Roco, U.S. Nanotechnology Leader Receives National Materials Advancement Award” National Science Foundation Press Release, 2007  

Application of Reverse Transcription-PCR and Real-Time PCR in Nanotoxicity ResearchMethods Mol Biol., 2012

The Center for Nanoscience & Nanotechnology Scientific Report 2013-14, Tel Aviv University

Cytotoxicological pathways induced after nanoparticle exposure: studies of oxidative stress at the ‘nano-bio’ interfaceToxicology Research, September 1, 2017

Dependence of Nanoparticle Toxicity on Their Physical and Chemical PropertiesNanoscale Research Letters, February 7, 2018

Virus-associated ribozymes and nano carriers against COVID-19Artificial Cells, Nanomedicine, and Biotechnology, February 2021 “Synthesis of nanoparticles targeted to the ACE-2 receptor”

COVID-19 infection and oxidative stress: an under-explored approach for prevention and treatment?Pan African Medical Journal, April, 29, 2020

Nanotoxicity of Corona-Nanoparticles (SARS-COV-2): Nanomechanisms of Hypoxia” Journal of Nano Research, Advanced Materials and Polymer Science, July 27, 2020 (this paper comes real close to attributing COVID to bioengineered nanoparticles)

COVID-19 may become nanomedicine’s finest hour yetNature Nanotechnology, April 14, 2021

Metal taste side effect reported after Pfizer Covid-19 vaccination” NBC News, March 25, 2021

COVID-19 Symptoms: Metallic Taste Has Been a Sign of Coronavirus for SomeHeavy.com, May 1, 2020

“Coronavirus: Kidney Damage Caused by COVID-19Johns Hopkins Medicine, by C. John Sperati, M.D., M.H.S.

Testing for NeurotoxicityEnvironmental Neurotoxicology, 1992

What are Macrophages?ThoughtCo., by Regina Bailey, July 29, 2018

Exosomes Communicate Protective Messages during Oxidative Stress; Possible Role of Exosomal Shuttle RNAPLOS One, December 17, 2010

Cellular injury, Necrosis, Apoptosis” 

How big is a micron and what can pass through a face mask?

The Water in You: Water and the Human Body

The Internet of Things Goes NanoScientific American, by Javier Garcia-Martinez, June 23, 2016

Lieber Research Group: Charles M. Lieber Bio

CV of Charles Lieber

Why did a Chinese university hire Charles Lieber to do battery researchScience, by Robert F. Service, February 4, 2020“

Nanoprobe development could drive future human-machine interface researchMedical Device Network, by Chloe Kent, July 4, 2019 Charles Lieber: “In the longer term, we see these probe developments adding to our capabilities that ultimately drive advanced high-resolution brain-machine interfaces and perhaps eventually bringing cyborgs to reality (emphasis added).

Carbon Nanotubes and the Bill Charles Lieber Connection” May 17, 2020 (less than 5 minutes)

Nanotechnology Connects Your Brain to Your Computer” November 30, 2015 (less than 3 minutes, features the nanotechnology work of Charles Lieber) – I suggest watching without audio

Series of Eight You Tube lectures on Nanotoxicology by Artur Prilepskii, Ph.D. researcher, assoc. professor, ITMO University, Saint Petersburg, Russia, International Institute “Solution Chemistry of Advanced Materials and Technologies” (SCAMT) – presented in English (November-December 2020):

Lecture 1: Introduction to nanotoxicology (lecture begins at 15-minute time-stamp)

Lecture 2: Synthesis of nanoparticles from nanotoxicology perspective

Lecture 3: Functionalization of nanoparticles 

Lecture 4: Nanotoxicity on cellular level

Lecture 5: Nanotoxicity on organism level

Lecture 6: In vitro toxicity evaluation

Lecture 7: Cytotoxicity evaluation

Lecture 8: Particular problems of nanotoxicology

Interview du Dr Peter McCullough (traduction).

Un bref commentaire sur cette interview

Dans le monde médical américan, le Dr Peter McCullough est une pointure. Il vous l’explique lui-même dans l’interview ci-dessous. Il est très écouté et très respecté, à juste titre. C’est un excellent médecin, très compétent et polyvalent, aux nombreuses responsabilités. Mais – et c’est le plus important – il est extrêmement courageux et humain. C’est un médecin qui prend fait et cause pour ses patients, qui s’implique professionnellement et émotionnellement, ce qu’on ne perçoit pas forcément à la lecture du texte. Si vous regardez la vidéo source (non sous-titrée), vous comprendrez de quoi je parle.

Tout ceci l’a amené à observer ce qui se déroule depuis le début de cette crise, à tout faire pour la comprendre mais surtout à prendre la parole et à agir. Et ce qu’il a observé et compris rejoint exactement ce que d’autres médecins – notamment le Dr Sherri Tenpenny et d’autres, dont j’ai traduit des articles sur ce blog – ont observé et compris. La différence est que le Dr McCullough n’a évidemment pas ce sulfureux profil de contestataire, complotiste, anti-vaccins, etc. C’est un médecin vieille école, qui plus est un des plus établis dans son pays et internationalement. Et quand un médecin vieille école de ce niveau voit et dit la même chose que des complotistes agréés, ce que ça implique est assez simple à comprendre.

Pour info, l’article suivant sur ce blog est un extrait d’une interview plus récente du même Dr McCullough, où il va encore beaucoup plus loin que dans celle ci-dessous, qui date du 19 mai. Sa parole courageuse et sans détour est une bonne chose parce que tout va très vite, que beaucoup de gens meurent et que tout ça est très, très loin d’être fini.

Encore un mot : mon épouse, qui travaille dans le domaine de l’enfance, me dit que beaucoup d’ados comprennent ce qui se passe actuellement – beaucoup mieux que leurs parents. C’est en grande partie pour eux que je me suis tapé ce boulot monumental, au cas où ça pourrait les aider à se défendre, voire à faire comprendre quelque chose à un adulte, qui sont souvent des cas désepérés, à quelques heureuses exceptions près.

La transcription intégrale de cette interview (qui dure 1h48′) et sa traduction m’ont pris plus de trente heures. Il y manque juste deux ou trois mots (inaudibles). J’ai abondamment consulté les sources médicales pour vérifier les noms et pour livrer une traduction exacte des termes techniques. J’en ai profité pour inclure des liens pour les personnes, institutions, publications et termes techniques cités. Pour une meilleure lisibilité, j’ai un peu élagué les tics de langage parlé typiquement américains. J’ai rajouté de l’emphase sur quelques passages-clé.

Je vous invite évidemment à lire cette traduction et encore plus à la partager, avec mention de la page source, ce serait bien sympa.

Source de la vidéo originale. Au cas où elle disparaîtrait, je l’ai sauvée et je peux la republier ici-même.

Ma transcription complète en anglais est ici.


Interview du Dr Peter McCullough (traduction).

Le Dr Peter McCullough est le plus éminent et le plus ardent défenseur au monde du traitement ambulatoire précoce de l’infection par le SRAS-CoV-2 (COVID-19) afin de prévenir l’hospitalisation et la mort. Le 19 mai 2021, je l’ai interviewé à propos de ses efforts en tant que médecin traitant et chercheur. De son point de vue unique, il a observé et documenté une RÉPONSE POLITIQUE PROFONDEMENT PERTURBANTE à la pandémie – une réponse politique qui pourrait s’avérer être la plus grande faute professionnelle et malversation de l’histoire de la médecine et de la santé publique.

Le Dr McCullough est interniste, cardiologue, épidémiologiste et professeur de médecine au Texas A & M College of Medicine, Dallas, Texas, États-Unis. Depuis le début de la pandémie, le Dr McCullough est un chef de file de la réponse médicale à la catastrophe du COVID-19 et a publié « Bases pathophysiologiques et justification du traitement ambulatoire précoce de l’infection par le SRAS-CoV-2 (COVID-19) » première synthèse du traitement multimédicament séquencé de patients ambulatoires infectés par le SRAS-CoV-2 dans l’American Journal of Medicine et mise à jour par la suite dans Reviews in Cardiovascular Medicine. Il compte 40 publications évaluées par des pairs sur l’infection et a longuement commenté la réponse médicale à la crise du COVID-19 à TheHill et sur FOX NEWS Channel. Le 19 novembre 2020, le Dr McCullough a témoigné devant le Comité Sénatorial Américain sur la Sécurité Intérieure et les Affaires Gouvernementales et tout au long de 2021 devant le Comité Sénatorial du Texas sur la Santé et les Services Sociaux, l’Assemblée Générale du Colorado et le Sénat du New Hampshire concernant de nombreux aspects de la réponse à la pandémie.

Pour plus d’informations sur le Dr McCullough, veuillez visiter : heartplace.com/dr-peter-a-mccullough


Le 19 mai 2021, le Dr Peter McCullough a été interviewé par l’auteur John Leake à Dallas, au Texas, au sujet du traitement et de la recherche du Dr McCullough sur le Covid-19.

Peter A. McCullough, MD, MPH, FACP, FACC, FAHA, FCRSA, FCCP, FNKF, FNLA
Professeur de médecine, Texas A & M College of Medicine
Interniste et cardiologue certifié
Président de la Société Cardio-rénale Américaine
Rédacteur en chef, Reviews in Cardiovascular Medicine
Rédacteur en chef, Cardiorenal Medicine
Rédacteur associé principal, American Journal of Cardiology

Je suis le Docteur Peter McCullough et je suis interniste et cardiologue, médecin universitaire et Professeur de Médecine au Texas A and M College of Medicine sur le campus de Baylor à Dallas. Et en février 2020, comme de nombreux autres médecins, j’ai vraiment été pris dans la tourmente suite à la nouvelle d’un virus extrêmement contagieux qui émanait de Wuhan, en Chine, et qu’il semblait que les États-Unis étaient dans la ligne de mire.

Lorsque vous avez entendu les premiers rapports concernant cette nouvelle maladie respiratoire, quelles ont été vos premières réflexions sur la façon de vous y préparer ?

Au début, dans l’exercice de ma pratique clinique, je n’avais vraiment aucun point de vue sur les pandémies virales du passé. Certains ont mentionné les pandémies de grippe d’autrefois. Elles remontaient aux années 1300, des épidémies qui s’étaient répandues dans toute l’Europe. Mais en fait, nous avons été tous très rapidement mis en mode d’urgence. Ce qui arrivé ensuite, c’est un ensemble de communiqués au sein des systèmes de santé qui traitaient en fait de la protection des médecins et des infirmières. On a présenté aux Américains le terme EPI – équipement de protection individuelle. La plupart des réunions et des communications de nos groupes de travail n’avaient rien à voir avec les patients malades. Elles concernaient la protection des travailleurs de la santé et des médecins. J’ai donc compris très tôt que la peur – la peur collective – était un moteur majeur du comportement face à la pandémie.

Mes recherches – et ma vie de chercheur avant le Covid-19 – étaient centrées sur l’interface entre les maladies cardiaques et rénales. Je suis Président de la Cardio-Renal Society of America, je suis considéré comme la personne la plus publiée sur ce sujet dans l’histoire, au niveau mondial. Je préside de nombreux essais cliniques approuvés par la FDA et des comités de surveillance des données sur la sécurité. En fait, j’ai probablement observé et examiné plus de données d’essai sur la sécurité des médicaments que n’importe quel médecin américain actuel. J’ai donc une grande expérience de l’épidémiologie, des maladies chroniques et des essais randomisés.

Mais pour le Covid-19, notre point de vue principal au début – ou du moins le mien, sur base de mes précédentes collaborations en médecine cardio-rénale – était celui des médecins italiens et nous avons donc commencé à nous envoyer des e-mails pour savoir ce qui se passait dans le région métropolitaine de Milan – à Milan puis à Sienne, en Toscane – et nous avons rapidement compris que cette maladie se présentait comme une infection des voies respiratoires supérieures, comme un rhume – et pour une majorité d’individus, c’était comme un rhume. Cependant, chez certaines personnes, cela pouvait évoluer vers ce que nous appelons le syndrome de détresse respiratoire de l’adulte, où il y a atteinte majeure des poumons. Les patients perdaient leur capacité à respirer et à échanger l’oxygène et le dioxyde de carbone et devaient ensuite être intubés mécaniquement. Ce qui n’avait rien de commun avec un rhume et semblait très différent de la grippe. Chez les personnes âgées, la grippe peut également provoquer le syndrome de détresse respiratoire de l’adulte, mais c’est presque toujours à cause d’une infection bactérienne secondaire, telle qu’une infection staphylococcique.

Le Sars-CoV-2, le virus du Covid-19, présentait ces caractéristiques particulières. Puis en quelques semaines, nous avons compris assez clairement que la maladie avait trois caractéristiques biologiques majeures. L’une était la réplication virale précoce, où le virus se réplique de manière exponentielle comme c’est le cas dans d’autres infections virales. Il y avait une deuxième phase, où le système immunitaire réagit selon un schéma inadapté et très anormal. Au lieu que le système immunitaire défende le corps, le système immunitaire envoie des signaux qui endommagent les organes dont le cœur, les poumons, les reins, le cerveau, le système sanguin.

Et puis, ce qui est très important, le virus lui-même, par l’intermédiaire de la protéine de pointe – le dangereux spicule à la surface de la boule du virus – la protéine de pointe elle-même provoque la coagulation ou des caillots sanguins. Et c’est un type de coagulation unique. Les globules rouges se collent les uns aux autres, et les plaquettes se collent les unes aux autres. Il s’agit donc d’un type de coagulation sanguine très différent de celui qu’on verrait lors de formation de caillots sanguins majeurs dans les artères et les veines. Par exemple, les caillots sanguins impliqués dans les accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques, les caillots sanguins qui surviennent dans les gros vaisseaux sanguins des jambes. Il s’agissait d’un autre type de coagulation et en fait, les Italiens ont courageusement pratiqué des autopsies et ont trouvé des micro-caillots sanguins dans les poumons. Et donc nous avons fini par comprendre que la raison pour laquelle les poumons ne fonctionnent plus n’est pas liée à la présence du virus mais à la présence de micro-caillots sanguins.

Que voyiez-vous dans les premiers rapports sur Covid-19 ?

Le flux de publication de rapports et de littérature médicale émanait initialement de Chine – les premières publications – et le public doit comprendre que le cycle de publication typique d’un article universitaire évalué par des pairs et publié peut prendre de neuf mois à deux ans. Ce qui s’est passé, c’est que les cycles de publication étaient trop longs pour garantir une information rapide. Donc, immédiatement, notre système s’est rabattu sur ce qu’on appelle les preprints [prépublication]. Les publications étaient soumises, les articles étaient soumis pour publication, mais le preprint était diffusé en faisant valoir au public que l’article n’avait pas encore fait l’objet d’un examen par les pairs, mais que nous devions diffuser cette information immédiatement pour que le public comprenne ce qui se passe. Nous avons initialement reçu une vague [de publications] en provenance de Chine qui était difficile à interpréter à cause de la différence d’écriture avec l’anglais, et parce que la population chinoise est très différente en termes de structure et qu’il était difficile de tirer parti de ce qui venait de Chine, excepté que dans certains cas, ça pouvait être fatal. L’Italie ressemble beaucoup plus aux États-Unis. Ce fut la grande vague [de publications] suivante et nous collaborons plus librement avec les Italiens. J’avais contacté ce qu’on appelle le réseau [?] en Italie en tant que médecin américain. Et j’ai dit ouvertement, « Je ne suis ni virologue ni immunologiste, mais je peux vous dire que tous les médecins spécialistes des maladies infectieuses en Amérique ont complètement souscrit à la politique d’hospitalisation des patients atteints de Covid-19 et que personne n’est capable de réfléchir à ce qui se passe dans cette pandémie. »

Ce que nous avons appris relativement tôt, c’est que cette maladie était clairement et fortement candidate à la restratification ou que les risques de base étaient des déterminants très, très importants de la mortalité, encore plus que le virus lui-même. Cela signifie donc que le déterminant le plus important de la mortalité est l’âge, l’âge lui-même constitue un déterminant de base ou une cause de décès, si vous voulez, dans la population générale. Ensuite, nous avons ajouté des éléments typiques qui exposent les gens à un risque de décès liés à d’autres causes : maladie cardiaque, maladie pulmonaire, maladie rénale, cancer, obésité, diabète. Ce qui est intéressant, c’est que l’obésité semblait être un facteur très important et que le virus semblait donc s’attaquer en particulier aux patients obèses. Il y a des raisons, qui ont à voir avec la manière dont la production des cytokines et les facteurs immunitaires réagissent au virus, qui pourraient l’expliquer. Mais on a vite compris que les personnes de moins de 50 ans, par exemple, sans problème médical majeur pouvaient très facilement traverser cette maladie. En fait, les Suédois ont compris cela très rapidement et ont dit, « Nous n’allons pas fermer, nous allons… On en sait assez pour se limiter à protéger les individus à risque le mieux possible – en prenant les meilleures mesures de protection possibles – et ainsi notre économie et nos écoles pourront fonctionner normalement. »

Dans cette pandémie, on a vu au niveau mondial un moratoire sur les voyages et un moratoire sur les réunions universitaires. Pour la première fois dans ma carrière, nous ne pouvions plus rencontrer nos collègues, aux États-Unis ou à l’étranger. En médecine universitaire, il est vital de se rencontrer et d’échanger des idées. Et pour la première fois, nous ne pouvions pas échanger librement nos idées au sein du groupe. En fait, je me souviens d’une téléconférence tenue au début par le National Institutes of Health, plus exactement par sa division de l’insuline, du diabète et des maladies rénales. C’est avec cet institut que je suis en relation en termes d’essais cliniques et il est dirigé par le Dr Robert Starr – un scientifique formidable. Et si je me souviens bien, des centaines de personnes ont répondu à leur appel pour simplement savoir ce qui se passait dans les autres centres. Les gens se posaient mutuellement la question « Qu’est-ce qui se passe à UCLA, qu’est-ce qui se passe à Baylor, qu’est-ce qui se passe à Harvard? » Nous communiquions pour littéralement tenter de comprendre ce qui se passait ailleurs avec ce virus, qui doit être hospitalisé, que se passe-t-il lorsqu’ils sont hospitalisés, qui a besoin de ventilation mécanique? Toutes ces interactions se fondaient sur l’idée que tout cela était très ouvert à une restratification. Les personnes de moins de 50 ans sans problème médical, à moins qu’elles ne présentent des symptômes sévères, elles allaient s’en tirer et honnêtement, ça ne serait pas pire qu’un rhume. Mais au-delà de 50 ans, elles couraient un risque réel d’hospitalisation et de décès. Et les deux critères d’évaluation importants étaient l’hospitalisation et le décès. Si vous demandez aux Américains « De quoi avez-vous peur? Vous avez peur d’attraper un rhume et de rester à la maison pendant quelques jours ou quelques semaines? » « Non. J’ai peur, j’ai une peur mortelle d’être hospitalisé et j’ai manifestement peur de mourir. »

Pourquoi l’hospitalisation était-elle si effrayante ? Parce que pour la première fois, les patients étaient hospitalisés, mis en isolement et ils ne pouvaient plus jamais revoir leurs proches. Ceux qui sont morts n’ont en fait jamais revu leurs proches. Les travailleurs étaient terrifiés, ils portaient des équipements de protection individuelle, ils faisaient très peu de visites aux patients dans leur chambre, ils se sont mis à utiliser des services de télémédecine où les pauvres patients étaient enfermés derrière des vitres, personne ne venait les voir et les soins qui leur étaient prodigués était minimes. Honnêtement, les patients recevaient des soins symptomatiques jusqu’à ce qu’ils aient besoin d’être mis sous respirateur. Ils restaient couchés à l’hôpital sous oxygène, terrifiés, jour après jour, sans que personne ne puisse entrer dans la chambre, sans voir leur famille. Ces messages ont été transmis à d’autres membres de la famille et ont plongé l’Amérique dans une peur extraordinaire.

Au cours de cette dernière année, j’ai publié – et j’ai réussi à les publier malgré les cycles de publication incroyablement ardus – j’ai publié 40 articles évalués par des pairs sur le Covid-19. C’est peut-être plus que n’importe qui en Amérique. Et l’un de mes tout premiers articles, c’en était le titre, traitait des problèmes majeurs : l’hospitalisation et la mort. Et quand j’ai commencé à voir les tableaux de comptage des chiffres apparaître sur les principaux canaux médiatiques où ils répertoriaient les cas positifs et les décès – tous les Américains s’en souviennent – ils sont apparus presque instantanément, ils venaient de Johns Hopkins. Immédiatement, on ne vit que des cas et des décès. Je me demandais comment ils avaient obtenu ces informations si rapidement. C’était incroyable. Nous ne disposons de rien d’aussi rapide, certificats de décès ou autre, donc qui pouvait le savoir? Mais quoiqu’il en soit, c’était ce qu’on nous montrait et j’ai dit que nous devions vraiment savoir qui était hospitalisé parce que si nous ne savions pas qui était hospitalisé et si nous ne savions pas où les hospitalisations avaient lieu, nous ne savions pas où allouer les ressources. J’ai donc publié un article à ce sujet dans la revue que j’édite, Reviews in Cardiovascular Medicine. J’ai immédiatement voulu m’adresser au grand public américain. J’ai publié un éditorial dans The Hill, une newsletter de Washington, et j’ai dit « Il y a un besoin émergent : nous avons besoin des données d’hospitalisation » et j’ai crié aussi fort que j’ai pu à l’administration « Obtenez un décret pour obtenir le recensement des hôpitaux américains tous les jours afin que nous puissions voir ce qui se passe. » Ce n’est jamais arrivé. Nous avons obtenu un décret pour recevoir les résultats des tests positifs en provenance de tous les principaux laboratoires et via les laboratoires hospitaliers, car tous les tests pour le virus étaient soumis à une autorisation d’utilisation d’urgence, ils étaient donc liés à un décret. Les chiffres des tests positifs arrivaient au Johns Hopkins Center, donc nous savions qui avait été testé positif. Il n’y avait aucun contrôle sur les doublons, donc si un patient avait passé un, deux ou trois tests, à moins que le système n’ait un moyen de filtrer ces doublons, ceux-ci s’additionnaient. Et on ne tenait absolument pas compte de qui était malade et qui n’était pas malade. Nous avions donc les tests positifs, puis les décès qui suivaient d’environ quatre semaines les cas de test positif. Mais ces évaluations de la mortalité était un véritable mystère pour les Américains.

Et j’ai dit, je pense que c’était vers mars ou avril, j’ai fait la déclaration relativement publiquement, j’ai dit « Il y a deux issues néfastes : l’hospitalisation et la mort. Je vais constituer une équipe de médecins et trouver un moyen d’arrêter ces hospitalisations et ces décès. » Je m’y sentais obligé en tant que leader universitaire en médecine, si personne à la Maison Blanche ne pouvait le dire, si personne dans le groupe de travail de la Maison Blanche ne pouvait le dire, si personne à la FDA ne pouvait le dire, ou au NIH ou au CDC tandis que les Américains affluaient dans les hôpitaux et mouraient. Personne ne pouvait singulièrement et individuellement faire cette déclaration courageuse et seul, j’ai fait cette déclaration.

Comment avez-vous conceptualisé le problème du Covid-19 et comment y faire face ?

Nous voyions, chez les dirigeants de ce pays, une incapacité à définir le problème. Le problème était qu’il y avait un virus, qu’il apparaissait en grappes aux États-Unis et que chez la plupart des gens il causait un rhume et qu’ils s’en sortaient très bien et que chez d’autres, il conduisait à l’hospitalisation et à la mort. Nous ne pouvions pas définir le problème qui faisait que le virus chez certaines personnes provoquait l’hospitalisation et la mort. Arrêtons ça, arrêtons les hospitalisations et les décès, traitons le virus. Nous n’arrivions pas à cadrer ce problème, nos dirigeants n’arrivaient pas à cadrer le problème. Personnellement, je n’ai eu aucun problème à formuler le problème. C’était grave. Si ç’avait été une autre forme de pneumonie, j’aurais dit la même chose, une autre forme d’asthme nouvellement acquise, une autre forme d’infection uro-génitale ou gastro-intestinale.

Ebola avait touché Dallas quelques années plus tôt. Je pense qu’Ebola nous a causé du tort en termes de réflexion, parce qu’Ebola était si terriblement contagieux et si rapidement mortel que la peur qu’Ebola a créée à Dallas était extraordinaire. Je n’oublierai jamais le jour où, dans notre centre médical, j’ai essayé d’entrer par l’une des portes par lesquelles j’entre d’habitude et où je suis tombé sur un policier en faction. J’ai demandé « Que se passe-t-il ? », il a répondu « Nous sommes ici pour empêcher toute personne atteinte d’Ebola de rentrer dans notre hôpital. Nous les envoyons à l’hôpital presbytérien, au nord. » Depuis quand refusons-nous l’accès d’un hôpital aux patients? La peur qu’Ebola a créée, à cause de cette idée qu’elle était terriblement contagieuse et rapidement mortelle, je pense, nous a mis sur le fil. Avec le virus Sars-CoV-2, ce que nous avons appris, c’est que, dans la moyenne, la personne reste à la maison pendant deux semaines, il n’y a pas de létalité immédiate de ce virus. En fait, nous disposons une longue fenêtre pour poser un diagnostic, organiser le traitement et prévenir les hospitalisations et les décès. Le Sars-CoV-2 est donc très différent d’Ebola.

Mais nous devons nous pencher sur d’autres maladies dans lesquelles nous savons très bien que quelqu’un peut tomber malade à la maison, mais que si nous commençons tôt le traitement de l’infection, nous pouvons sauver le patient. C’est le cas pour les pneumonies communautaires, c’est le cas pour diverses formes d’infection à staphylocoque, le syndrome de choc toxique staphylococcique, c’est le cas pour la diverticulite et les affections abdominales, c’est le cas pour les infections cutanées, diverses formes de cellulite, c’est le cas pour la méningite. Si par exemple, si quelqu’un avait une forme de méningite, nous ne dirions pas « Restez chez vous pendant deux semaines mais si vous allez vraiment très mal et que vous avez des crises et que vous ne parvenez même plus à respirer alors venez à l’hôpital, nous commencerons le traitement. » Ainsi, l’aspect unique et différent de la réponse médicale au Sars-Cov2 et au Covid-19 était que pour la première fois, nous avons vu une maladie infectieuse où la communauté médicale s’est réfugiée dans une réflexion de groupe et que cela a été soutenu par le NIH, le CDC, la FDA , l’American Medical Association, toutes les sociétés médicales. Cela a été soutenu par ces sociétés qui ont dit aux médecins « Ne touchez pas à ce virus, laissez les patients à la maison, laissez-les tomber aussi malades que possible, puis quand ils ne peuvent plus respirer, envoyez-les à l’hôpital ».

En fait, j’ai été choqué, le 8 octobre, lorsque le National Institutes of Health a publié son premier ensemble de directives de traitement, car avant cela, aucune des sociétés n’avait de directives de traitement. En fait, ils n’ont pas dit aux médecins comment traiter la maladie. Ils avaient des suggestions sur ce qui devait être fait à l’hôpital, mais les Américains se souciaient de ce qui se passait quand ils tombaient malades chez eux. Et le premier chapitre de la directive disait « Vous tombez malade à la maison, ne faites rien. Ne faites rien, venez à l’hôpital quand vous ne pouvez vraiment plus respirer, ne faites toujours rien jusqu’à ce que le patient ait besoin d’oxygène, puis commencez à faire quelque chose, comme administrer le premier médicament antiviral, qui était le Remdesivir. » Ce qui fait 14 jours après que le virus a déjà commencé à se répliquer. À ce moment-là, le virus a disparu depuis longtemps. Lorsque les gens ne peuvent plus respirer, le problème est la microcoagulation sanguine dans les poumons.

Ainsi, les agences fédérales, le CDC, le NIH et la FDA se sont montrés extrêmement incompétents en termes de perception de ce problème, incroyablement inaptes à appliquer tout type de jugement ou de directive aux médecins. Et ce qu’on a vu chez les médecins, c’était « Nous avons très peur, nous ne ferons rien sans le soutien intellectuel de nos associations, de nos agences fédérales, de nos sociétés médicales. » Ce qui était exactement le contraire de ce que la médecine avait toujours été.

La médecine a toujours été basée sur l’innovation précoce par les médecins, un traitement empirique, de petites études, des essais randomisés, puis des grands essais randomisés parrainés, dans cet ordre. Et puis, après de grands essais randomisés, les organismes en charge des lignes directrices examinent tous ces grands essais randomisés, déterminent ce qui devrait être fait, puis ces organismes en charge des lignes directrices publient des lignes directrices et les agences fédérales suivent ces lignes directrices. C’est exactement ce que nous faisons pour la mammographie, la coloscopie, le traitement de l’infarctus du myocarde, le traitement de la pneumonie. Ça a toujours commencé par un empirisme précoce, puis des années plus tard, des lignes directrices et des déclarations des agences.

Pourquoi a-t-on supposé que rien ne pouvait être fait pour traiter les personnes aux premiers stades de l’infection à Covid-19 ?

C’était une hypothèse dangereuse. Supposer qu’il n’y a rien que l’on puisse faire pour une infection mortelle est une énorme bévue. C’est une bévue de la part des citoyens, c’est une bévue de la part des intervenants en santé et c’est une bévue massive de la part des agences. Vous imaginez? Faisons une hypothèse. Et notre hypothèse pourrait-elle conduire au pire résultat possible qui serait l’hospitalisation et la mort? Ou nous pouvons faire une autre hypothèse et dire « C’est traitable ». On va essayer de soigner. Quelle hypothèse est la plus dangereuse? L’hypothèse absolument dangereuse est de ne rien faire.

On peut prendre n’importe quel exemple. Faisons une hypothèse sur la sécurité routière. On peut supposer que les règles et les lignes de sécurité routière, les panneaux d’arrêt et les ceintures de sécurité sont utiles ou on peut supposer qu’ils sont inutiles. Essayons dès maintenant de laisser une liberté totale sur la route et voyons ce que ça donne en comparaison au respect de certaines règles. Nous ne risquons jamais d’hypothèses dangereuses pour le public et ce qui est vraiment inquiétant dans cette histoire, c’est qu’on a affaire à une série d’hypothèses extrêmement dangereuses. Pouvez-vous imaginer qu’une personne âgée qui souffre d’une maladie cardiaque et pulmonaire, qui s’est remise d’un cancer, qui souffre d’une maladie rénale se voit remettre les résultats d’un test de diagnostic qui dit « Vous avez le Covid-19, c’est votre diagnostic fatal. Nos recommandations, basées sur l’hypothèse que nous ne pouvons rien faire, est que vous devez rentrer à la maison et attendre. Et quand la panique, la peur et l’essoufflement et la fièvre deviendront tellement accablants que vous ne pourrez plus le supporter, alors allez à l’hôpital. « 

Et comment les gens vont-ils à l’hôpital? Ils appellent les membres de leur famille. Ils contaminent tous les membres de leur famille, ils appellent le service d’aide médicale urgente, les chauffeurs uber, les chauffeurs de taxi. Chaque hospitalisation en Amérique a été un événement de super-contamination. L’hypothèse qu’il n’y a rien qui puisse être fait et le fait de donner à quelqu’un un diagnostic fatal sans marche à suivre a conduit à une amplification massive des cas.

Ce que nous aurions pu supposer, et ce que j’ai supposé, c’est qu’il existe certains principes que nous pouvions adopter à partir d’autres précédents. Par exemple, dans toutes les formes connues de pneumonie, on voit une amélioration si elle est traitée tôt – même pour la grippe. Et c’est la raison pour laquelle le Tamiflu, par exemple – et il y a un produit analogue – sont approuvé par la FDA pour le traitement de la grippe. Ils ont un effet partiel. Utilisons-nous jamais le Tamiflu seul? Non, nous le combinons généralement avec d’autres médicaments pour aider les patients à traverser la maladie. Il existe des médicaments respiratoires de soutien, il existe des formes de traitements à inhaler – ce qu’on appelle les bêta-agonistes et les stéroïdes à inhaler. Nous les utilisons généreusement dans les formes d’emphysème, de pneumonie, d’asthme, de pneumonie allergique. Il y a d’autres choses que nous pouvons faire pour aider les patients à surmonter le syndrome. La nature inflammatoire du syndrome est devenue très intéressante. Nous comprenons que les antihistaminiques, par exemple le montélukast, l’aspirine, les stéroïdes, les corticostéroïdes, jouent un rôle important. Si j’avais un asthmatique à traiter à domicile, je ne lui dirais pas « Restez à la maison pendant deux semaines jusqu’à ce que vous ne puissiez plus respirer et ensuite allez à l’hôpital. » Vous plaisantez, j’espère? Je prescrirais à cet asthmatique des traitements à inhaler, j’utiliserais probablement des antibiotiques de façon empirique chez ce patient, puis des stéroïdes, et j’aurai évité l’hospitalisation du mieux que je pouvais.

J’ai donc abordé la maladie respiratoire du Covid-19 comme n’importe quelle autre, avec la pensée suivante : nous avions assez rapidement mis en place notre approche sur base d’autres précédents, notamment la grippe, l’asthme et la pneumonie bactérienne. Comme il s’ensuit que [le Covid] allait se prêter à une restratification, ceux de moins de 50 ans qui n’avaient aucun symptôme pulmonaire pourraient traverser la maladie sans complication. Nous disposions de données suggérant que les carences nutritionnelles semblaient augmenter le risque d’hospitalisation et de décès. Et c’est donc là que les nutraceutiques sont intervenus dès le début – il y avait des indications de soutien, pas des indications curatives mais des indications de soutien, pour le zinc, pour la vitamine D, la vitamine C et, fait intéressant, une substance polyphénolique appelée quercétine. D’autres ont été pris en compte, notamment la lysine et la N-acétylcystéine. Ils ont constitué ce que nous appelons le bouquet nutraceutique. Est-il donc raisonnable de les prescrire aux les patients? Je dirais que oui, si ça influence la mortalité, que nous ne savons rien d’autre, qu’il n’y a aucun risque dans ces suppléments, qu’ils sont facilement disponibles, les gens savent en trouver. Nous avons donc recommandé ce bouquet nutraceutique pour les moins de 50 ans sans autre traitement médical. Cela représentait à peu près, sur le nombre de personnes qui tombaient malades à l’époque, probablement deux tiers à trois quarts des patients qui n’avaient réellement besoin d’aucun traitement.

Cependant, pour une personne de moins de 50 ans présentant des problèmes médicaux, présentant des symptômes graves ou une personne de plus de 50 ans présentant des problèmes médicaux, il est devenu évident que les taux d’hospitalisation et de décès étaient supérieurs à un pour cent. C’était suffisant. Plus d’un pour cent est un nombre magique dans cette équation. C’est suffisant pour intervenir. C’est suffisant pour faire quelque chose. Nous savions qu’une personne de 60 ans, par exemple, ferait face à environ 18% de risques d’hospitalisation et de décès. 18% de risques, c’est trop élevé. Dans mon domaine, la cardiologie, nos lignes directrices disent que tout ce qui dépasse 5% est un risque élevé, 1 à 5 % est un risque modéré, moins de 1% est un risque faible. En général, nous ne médicalisons pas si c’est moins d’un pour cent. Donc ce groupe à faible risque, nous ne l’avons pas traité, mais les personnes de plus de 50 ans, les jeunes présentant des symptômes sévères, nous les avons traités – avec ce bouquet nutraceutique.

Que savions-nous d’autre? La chronologie était très intéressante. Nous savions grâce au Sars-CoV-1, qui est similaire à 80% au Sars-Cov2, nous savions grâce à des études remontant à 2006 que l’hydroxychloroquine, un médicament utilisé pour le lupus, utilisé pour la polyarthrite rhumatoïde, utilisé pour d’autres affections rhumatologiques, y compris les yeux secs ainsi que le paludisme, sans danger, était efficace pour réduire la réplication virale du Sars-CoV-1. Nous le savions et les États-Unis le savaient. En fait, ce médicament était stocké par le gouvernement des États-Unis, le gouvernement australien, certains gouvernements européens. L’hydroxychloroquine a donc été intégrée de manière appropriée et elle était prête à faire son effet. En fait, de nombreux pays ont utilisé l’hydroxychloroquine comme remède de première ligne pour les patients à haut risque et ils le font encore aujourd’hui. Vous pouvez vous rendre à Athènes, en Grèce, à Rome, en Italie, dans toute l’Europe de l’Est, en Amérique Centrale et en Amérique du Sud, l’hydroxychloroquine y est le médicament phare. En Inde et en Asie de l’Est, l’hydroxychloroquine est le médicament phare.

L’hydroxychloroquine a donc joué un rôle. Nous savions également à l’été, nous savions que l’ivermectine jouait un rôle – il s’agit d’un médicament antiparasitaire utilisé contre la gale et d’autres maladies, sûr et efficace. Pour ces médicaments, la raison pour laquelle ils agissent contre le virus, c’est qu’ils pénètrent à l’intérieur des cellules. Beaucoup d’antibiotiques comme la pénicilline ne pénètrent pas à l’intérieur de la cellule, mais ce qu’on appelle les anti-infectieux intracellulaires le font. Le Japon disposait d’un médicament antigrippal qui avait exactement la même activité que le Remdesivir, le premier médicament intraveineux approuvé aux États-Unis pour les patients hospitalisés. Ce médicament s’appelle Favipiravir et les Japonais disposaient de données suggérant que le Favipiravir, comme le Remdesivir oral, jouerait un rôle dès le début. Il a été facilement approuvé par cinq pays, approuvé par la FDA, approuvé par la FDA comme équivalent dans ces pays, pour traiter le Covid-19.

On avait donc l’hydroxychloroquine, on avait l’ivermectine, le Favipiravir, on les combinait avec soit de la doxycycline soit de l’azithromycine. Ce sont des antibiotiques que les Américains connaissent bien. Ils pénètrent à l’intérieur des cellules, ce sont aussi des anti-facteurs intracellulaires et ils servaient un peu d’auxiliaires à plusieurs égards. Ils réduisaient certaines des surinfections bactériennes qui se produisaient dans les sinus et les voies respiratoires et nous savions d’après certaines études qu’il y avait un chevauchement d’environ 3% entre le Covid-19 et ce qu’on appelle une pneumonie atypique qui pouvait être un mycoplasme, une pneumonie aux chlamydiae. Et celles-ci y étaient également sensibles. Rapidement, l’hydroxy[chloroquine] et l’azythro[mycine], l’ivermectine et la doxy[cycline] sont devenues communs à tous les [traitements] examinés par les pairs et sont devenues des anti-facteurs intracellulaires d’usage courant.

Mais seuls ils étaient insuffisants, car la réplication virale déclenche ce qu’on appelle la tempête de cytokines, qui survient quand le système immunitaire se détraque. Et donc assez vite, dans les hôpitaux, les médecins se sont mis à utiliser des stéroïdes et on a vu une certaine confusion dans la littérature : « Sont-ils nuisibles ou bénéfiques? » Les Britanniques ont beaucoup contribué à son étude, une étude sur des patients hospitalisés baptisée Essai Recovery. Et l’Essai Recovery a sélectionné un corticostéroïde inhabituel, la dexaméthasone, à une dose inhabituelle, 6 milligrammes par jour – on utilise généralement environ 10 milligrammes, 4 fois par jour, donc une dose inhabituelle – mais qui a montré une légère réduction de la mortalité. C’était une méta-analyse publiée sur l’hydrocortisone et la prednisone. Il s’est avéré que tout stéroïde fonctionnait à une dose raisonnable. Ainsi, aux États-Unis, nous avons rapidement adopté la prednisone que nous utilisons fréquemment dans l’asthme. Et puis un autre essai a été réalisé au Royaume-Uni, le Stoic Trial, qui utilisait du budésonide en inhalation. C’était une avancée très intéressante parce qu’un médecin non-conformiste, le médecin militaire en retraite Richard Bartlett de l’ouest du Texas, a fait la une de l’actualité nationale en déclarant « Je pense que le budésonide en inhalation fonctionne. » Il a dit ça au début du printemps, et il passait aux nouvelles nationales. Il a dit « J’essaie. Je suis médecin, j’essaie d’aider mes patients, j’utilise un traitement empirique, je sais qu’il n’y a pas d’essais randomisés. » Mais il a fait ce qu’il fallait. C’est ce que tous les médecins américains auraient dû faire, essayer d’aider leurs patients en faisant des choix empiriques de médicaments qui ont un sens au point de vue clinique. Il a essayé et ça a fonctionné. Les Britanniques ont mené le Stoic Trial et ça a entraîné une réduction de plus de 80% des hospitalisations rien qu’avec du budésonide en inhalation chez les patients ambulatoires atteints de Covid-19. Donc on l’a adopté.

L’Institut de Cardiologie de Montréal, l’un des principaux centres d’essais contrôlés randomisés au monde, a obtenu un financement du National Institutes of Health, de la Fondation Gates et des autorités canadiennes et a testé un médicament contre la goutte qui agit contre le système immunitaire, en particulier contre les globules blancs et leur capacité à faire proliférer des granules toxiques et à assembler des microtubules. Ce médicament s’appelle la colchicine. Les Américains le connaissent comme médicament contre la goutte. Ils ont organisé et dirigé un essai prospectif randomisé, en double aveugle pendant 30 jours, le meilleur essai de qualité réalisé dans l’ensemble du Covid-19 et ils ont démontré qu’il y avait une nette réduction des hospitalisations et des décès. Alors la colchicine a été adoptée.

Le dernier élément que nous devions vraiment comprendre était la coagulation sanguine. Et à ce jour, il n’y a pas eu une seule étude de médicaments ambulatoires qui pourraient altérer l’agrégation plaquettaire, ou anti-thrombotique. Cependant, nous pouvons apprendre des choses des études sur les patients hospitalisés et il y a eu de très bonnes analyses. Elles sont toutes d’accord. L’utilisation d’aspirine à dose complète à l’hôpital est associée à des réductions de mortalité et l’utilisation d’anticoagulants à dose complète, qu’ils soit injectables, l’héparine de bas poids moléculaire, l’héparinisation complète – on peut même utiliser des anticoagulants oraux en ambulatoire – sont associées à des réductions dans la mortalité.

De mon côté, je travaillais avec les Italiens pour voir comment réunir ces concepts et j’ai publié un article dans l’American Journal of Medicine en août 2020. Et je dois vous dire, quand j’ai examiné la littérature publiée jusqu’au printemps, en travaillant avec les Italiens, il y avait, au moment où j’ai soumis l’article le 1er juillet, 55.000 articles publiés dans la littérature à comité de lecture. Pas un seul n’enseignait aux médecins comment combiner des médicaments et traiter le virus. Ça semble vraiment étrange. Nous savions qu’il s’agissait d’une infection virale mortelle. Dans les infections virales mortelles, les médicaments seuls ne fonctionnent jamais. Nous le savions pour le VIH, nous savions que nous avons besoin de plusieurs médicaments contre le VIH, nous le savions pour l’hépatite C, nous le savions pour toutes les autres infections virales mortelles. Nous utilisons des combinaisons de médicaments, jamais des médicaments uniques. Et tout ce que nous pouvions faire à ce moment-là était d’examiner des études sur des médicaments uniques et trouver des signaux d’avantages, une sécurité acceptable, puis d’assembler des schémas thérapeutiques de référence. Des essais cliniques testant une thérapie combinatoire de 4 à 6 médicaments n’ont même pas encore été planifiés. Le taux de mortalité aurait été astronomique si personne ne s’était aventuré et n’avait eu le courage de publier les concepts. Je suppose que ce sera mon rôle dans l’histoire du monde de l’avoir fait.

J’ai publié un article intitulé « The pathophysiological rationale for early ambulatory treatment of Covid-19 » et il a été publié dans le numéro d’août 2020 de l’American Journal of Medicine. À ce jour, c’est l’article le plus téléchargé du journal, tous sujets confondus. Et il est devenu viral, il est littéralement devenu viral, parce que le monde était en demande d’une approche du Covid-19. Peu de temps après sa publication, je gérais tous les différents types de communications concernant l’article – scientifiques et également médiatiques – et nous bénéficiions de données solides pour l’ivermectine, la colchicine, les stéroïdes inhalés. L’opération Warp Speed avait fourni des anticorps monoclonaux dirigés contre la protéine de pointe, la partie pathogène du virus, et ils incluaient un produit de Lilly et un autre de Regeneron. J’avais donc besoin de mettre à jour l’algorithme, j’ai rassemblé le tout et je l’ai publié dans le journal que j’édite, Reviews in Cardiovascular Medicine mais dans un numéro séparé, avec un éditeur impartial indépendant, sur qui je n’avais pas d’influence, pour m’assurer qu’il soit entièrement vérifié par des pairs et approuvé, ce qui fut le cas, et il a été publié dans Reviews in Cardiovascular Medicine en août 2020. À cette époque, il y avait près de 100.000 articles dans la littérature. Et en dehors de mon premier article, il n’y avait pas un seul autre article qui proposait réellement une thérapie combinatoire ou un protocole pour traiter les patients atteints de Covid-19.

C’était assez extraordinaire de voir que nous étions depuis plus de neuf mois sous pandémie fatale au niveau mondial et que personne n’avait encore trouvé une idée originale sur la façon de combiner des médicaments pour traiter le virus. Nous n’avions pas de protocole de Harvard, nous n’avions pas de protocole de Johns Hopkins, nous n’avions pas celui de l’UCLA, nous n’avions pas de protocole de l’OMS. C’était donc extraordinaire qu’avec toute la puissance de feu que nous avions en médecine universitaire, ils aient fait chou blanc. En fait, aucun de ces centres aux États-Unis et dans le monde n’a jamais ouvert de centre de traitement du Covid. Ils n’avaient pas de centres de traitement ambulatoire du Covid. Ils n’ont jamais tenté d’étudier ou d’aider un seul patient ambulatoire à se soigner du Covid-19.

Pourquoi n’y avait-il pas plus de médecins qui se sont exprimés ou qui ont proposé des solutions pour un traitement précoce du Covid-19?

Ma contribution était, je pense, ma capacité à publier les idées. C’est très important. D’autres que moi ont eu des idées. Vladimir Zelenko à New York, juif orthodoxe, est sorti des sentiers battus. Il a dit, « Nous devons traiter cette maladie, nous pouvons utiliser certains médicaments en combinaison, de l’hydroxychloroquine, de l’azythromycine, des stéroïdes, d’autres médicaments » et il a ajouté des médicaments dans la [thérapie combinatoire]. Richard Bartlett, qui vit dans l’ouest du Texas, Brian Tyson et George Reed – l’ancien scientifique du NIH George Reed est sorti de sa retraite – ils sont vraiment allés au feu du Covid-19, à la frontière entre la Californie et le Mexique où ils ont ouvert une clinique et monté une tente et les gens y sont allés et ils les ont traités. Didier Raoult, dans le sud de la France, a déclaré « Nous pouvons le soigner. » Lui et un groupe de médecins français courageux ont ouvert une grande clinique dans le sud de la France [NdT. c’est l’IHU de Marseille, il était déjà ouvert, mais soit] et ont soigné des patients. Il y a eu Yvette Lozano à Dallas – elle a transformé son bâtiment de médecine générale près de White Rock Lake en un centre de traitement Covid. Elle a converti toutes ses chambres pour y traiter les patients Covid – elle avait des concentrateurs d’oxygène, elle avait tous les médicaments, il y a des photos de patients faisant la queue sur le trottoir pour recevoir un traitement. Il est donc intéressant de voir que les innovateurs étaient tous des médecins indépendants et courageux et que les centres médicaux universitaires ont fait chou blanc. Ils n’ont même pas été capables de planter une seule tente pour aider les gens. Pour moi, c’était étonnant de voir que les centres médicaux universitaires ou même les grands centres communautaires n’aidaient un seul patient ambulatoire. Ils ne pouvaient même pas fournir une brochure au patient sur ce qui devait être fait. Le CDC a offert des conseils du genre « Prenez du Tylenol [paracétamol] et si vous tombez vraiment malade, allez à l’hôpital. » Leur réponse à un problème ambulatoire traitable qui laisse deux semaines d’opportunité pour faire quelque chose – l’absence de cette réponse était stupéfiante.

À mon avis, cela était dû à toute une chronologie d’événements qui ont freiné les tentatives de traitement de Covid-19. Je pense que les médecins, les systèmes de santé et d’autres, dans un ordre relativement court, ont été activement découragés de traiter le Covid-19. Je peux vous dire que je n’ai jamais reçu aucun e-mail ni aucun appel téléphonique encourageant me disant « Faites votre possible pour vos patients, essayez de les aider, ces hospitalisations sont terribles. S’il vous plaît, nous vous invitons à utiliser votre meilleur jugement » ou  » Voici quelques suggestions de ce que vous pourriez faire. » Je n’ai jamais reçu aucun courriel de ce genre de la part des sociétés médicales ou d’autres.

En fait, il n’y a eu qu’une organisation médicale – tout comme il y a eu quelques médecins courageux, il y a eu une organisation médicale courageuse – l’Association of American Physicians and Surgeons [NdT. dont le Dr Lee Merritt, publiée ici, a été un temps directrice] qui a compris ce qui se passait. Et il est intéressant de noter que cette organisation représente des médecins indépendants, pas employés par les hôpitaux ou par les grands groupes médicaux ou les écoles de médecine, mais des médecins indépendants. Ils ont compris ce qui se passait et la première chose qu’ils ont attaquée était le stock d’hydroxychloroquine. Les États-Unis disposaient d’un approvisionnement suffisant en hydroxychloroquine et le seul problème était de l’utiliser et de le combiner avec d’autres médicaments pour traiter le Covid-19. C’était une excellente idée, et chronologiquement le premier événement a été l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA pour l’hydroxychloroquine. L’auditeur doit comprendre qu’une autorisation d’utilisation d’urgence concerne un tout nouveau médicament ou produit pour lequel il existe un grand besoin non satisfait, pour lequel il n’y aurait pas assez de temps pour faire tous les tests, et à qui on accorderait une autorisation d’utilisation d’urgence. Il existe pour ça un mécanisme gouvernemental. Il est prévu pour les cas d’urgence. Il ne devait pas s’appliquer à l’hydroxychloroquine. Celle-ci était déjà entièrement approuvé par la FDA ; elle est sur le marché depuis 65 ans, elle est sans danger, elle est utilisée pendant la grossesse, nous connaissons bien son profil de sécurité, les médecins savent comment utiliser l’hydroxychloroquine, je l’utilise dans ma pratique, ce n’est pas un problème. Son usage ne nécessitait pas d’autorisation d’utilisation d’urgence.

Dans l’autorisation d’utilisation d’urgence accordée à l’hydroxychloroquine, on trouvait un passage qui disait « restreindre l’hydroxychloroquine à l’usage des patients hospitalisés ». Bien. Une des premières grandes études à sortir avait été effectué sur des milliers de patients du réseau Henry Ford [NdT. réseau médical de cinq hôpitaux,13 cliniques, 53 centres médicaux, et autres services] et c’était une excellente nouvelle que l’hydroxychloroquine se voit associée à une forte réduction de la mortalité si elle était utilisée précocement. Mais plus elle était utilisée tardivement lors d’un séjour à l’hôpital, moins elle semblait fonctionner, les patients étaient trop atteints. J’ai donné mon avis dans plusieurs publications diffusées à travers les États-Unis, dont un éditorial dans The Hill parce que, selon mon point de vue, j’ai argumenté que cette autorisation d’utilisation d’urgence était de facto une restriction. Elle devait être levée et nous aurions du pouvoir utiliser l’hydroxychloroquine en toute liberté.

Et puis il s’est produit quelque chose de vraiment terrible. Gardez à l’esprit que les données provenant de Henry Ford, étaient très positives, nous avions une autorisation d’utilisation d’urgence et les États-Unis en détenaient un stock. Le National Institutes of Health, la section allergie et immunologie, avait commandé un essai prospectif, randomisé, en double aveugle, contre placebo, de l’hydroxychloroquine et de l’azythromycine, comprenant plusieurs milliers patients ambulatoires du Covid-19. Ils avaient financé l’essai, ils avaient obtenu l’approvisionnement en médicaments, ils avaient les placebos, ils avaient organisé tous les centres d’études aux États-Unis, tout était prêt. C’était au printemps. Magnifique. Tout se mettait en place.

Et puis un article bidon a été publié dans The Lancet. Un article bidon. Nos auditeurs doivent comprendre que The Lancet est au même niveau que le New England Journal of Medicine, c’est l’une des revues médicales les plus prestigieuses au monde. Et lorsqu’un article est soumis, il y a énormément de contrôles de validité – la provenance de l’article, la provenance des données, la validation des données – il est ensuite envoyé à des pairs examinateurs indépendants, qui vérifient tout dans l’article, qui font des commentaires, est-ce que ceci ou cela est bien rapporté, il y a énormément de contrôle sur les articles. Suite à quoi il revient, une décision éditoriale est prise quant à l’article et il est finalement publié. C’est ce qu’on appelle l’examen par les pairs. Ça garantit au public que les articles ne sont pas bidon. C’est très important et ça garantit au public que rien n’est falsifié. Cet article avait des auteurs de Harvard, il provenait d’une société appelée Surgisphere – dont personne ne comprenait vraiment ce qu’elle faisait – et les données reprenaient un grand ensemble de données de patients Covid-19 hospitalisés dans le monde entier, avec des données précises sur leur traitement médicamenteux. Nous ne disposions de rien de tel à l’époque. C’étaient des données qui dataient de décembre, janvier, février, quand [le Covid] était en train d’émerger. Nous ne disposions de rien de tel. L’âge moyen mentionné dans leur article était de 49 ans et l’article impliquait que l’utilisation de l’hydroxychloroquine était dangereuse. Et The Lancet a publié cet article falsifié. D’une manière ou d’une autre, il est passé à travers tous les autres examens par les pairs, est revenu, et comment ont-ils pu le publier? Et dès qu’il est sorti, j’ai su en deux secondes que ça devait être un faux. Nous n’hospitalisons pas les quadragénaires. Et l’hydroxychloroquine est en fait associée à des avantages, pas à des dommages.

Cet article dans The Lancet a effrayé le monde entier. Il a créé comme une onde de choc et a provoqué toute une série de réactions. Les gens ont commencé à publier des articles « Oh, l’hydroxychloroquine pourrait être dangereuse, voyez tous ces médecins universitaires. Affaire classée, l’hydroxychloroquine ne fonctionne pas, arrêtez de l’utiliser. » Les hôpitaux se sont mis à la retirer des listes de médicaments. C’est invraisemblable ce qui s’est passé avec l’hydroxychloroquine. En fait, la FDA américaine a publié un avis disant que l’hydroxychloroquine ne devait pas être utilisée, point final. Nous annulons l’autorisation d’utilisation d’urgence pour les patients hospitalisés et elle ne doit pas être utilisé, point final. Les consignes de la FDA ont ensuite été transmis à l’EMA et l’EMA a déclaré « N’utilisez pas d’hydroxychloroquine, point final, en hospitalisation ou en ambulatoire ». C’est remonté au Conseil des Pharmaciens. Le Conseil des Pharmaciens a dit : « Oh, les médecins ne peuvent pas utiliser ça. » Alors que les médecins soignaient les patients de leur communauté en leur prescrivant de l’hydroxychloroquine, les patients se présentaient à la pharmacie et le pharmacien leur disait « Désolé, je ne peux pas en dispenser, mon Conseil a dit que je ne pouvais pas. » Puis les licences des médecins ont commencé à être menacées et une cascade d’événements a suivi. L’hydroxychloroquine a été l’événement fondateur de l’effet dissuasif contre toute tentative de traiter le Covid-19 en ambulatoire.

Pourquoi les autorités de régulation et les médias grand public ont-ils déclaré au public que l’hydroxychloroquine était dangereuse et inefficace ?

L’hydroxychloroquine, je pense qu’on peut légitimement en dire qu’elle est aujourd’hui la thérapeutique la plus étudiée et la plus utilisée au monde contre le Covid-19. Il existe des centaines et des centaines d’études. L’hydroxychloroquine a été acquise et stockée de manière appropriée par le gouvernement américain. Le président Trump, qui, de mon avis personnel, a été très faible dans sa réaction, n’a pas pu articuler que les hospitalisations et les décès étaient un problème grave, il n’a pas pu réunir une équipe de médecins qui apprenaient à traiter le Covid-19. Le NIH, le CDC ou la FDA non plus. Nous avons subi des échecs flagrants de la part de la présidence américaine et des grandes agences. Pouvez-vous imaginer qu’à ce jour, nous n’avons toujours pas vu un seul médecin en position d’autorité aux États-Unis qui ait jamais vu un patient atteint de Covid-19 et qui l’ait traité. Aucun. C’est incroyable, ce qui s’est passé.

Le président Trump a fait mention de l’hydroxychloroquine : « Essayons de tenter le coup. » Il s’est fait aussitôt rabaisser par ses détracteurs. Déjà, j’ai trouvé que c’était une déclaration très faible au départ, mais il s’est vraiment fait descendre. Les gens l’en ont toujours tenu responsable, « C’était Trump, s’il n’avait pas mentionné l’hydroxychloroquine, rien de tout cela ne serait arrivé ». Je ne suis pas d’accord. Je pense qu’il y a eu une entreprise colossale de suppression du traitement précoce, et l’hydroxychloroquine en a été le premier paratonnerre. Rappelez-vous que j’ai mentionné cet essai du NIH? Vous savez ce qu’ils ont fait après 20 patients? Ils ont frauduleusement prétendu qu’ils n’arrivaient plus à trouver de patients Covid-19 et ils ont mis fin à un essai de plusieurs milliers de patients. Ils l’ont arrêté après 20 patients. Ça n’arrive jamais. Ils avaient acheté le placebo, ils avaient trouvé les centres d’étude, ils avaient les classeurs, ils avaient embauché des infirmières, tout le monde était prêt à soigner les Américains avec de l’hydroxychloroquine et de l’azythromycine et ils ont abandonné après 20 patients. C’était incroyable.

Le faux papier publié dans The Lancet était incroyable. Nous avons commencé à voir publiés une série d’articles incroyablement biaisés qui exagéraient les effets cardiaques de l’hydroxychloroquine. « Oh, ça pourrait provoquer des arythmies dangereuses. » Il y en a un, dont j’ai parlé dans mon témoignage devant le Sénat Américain, qui venait de la Mayo Clinic. Ils affirmait que l’hydroxychloroquine pourrait provoquer une cicatrice dans le cœur. Ils montraient un cœur avec une énorme cicatrice blanche. En fait, j’ai fini par traquer ce journal, par traquer les auteurs et l’éditeur, et j’ai exigé une rétractation. En fin de compte, j’ai fait publier une lettre conciliante qui disait « Nous sommes désolés, ça ne cause pas vraiment de cicatrice sur le cœur. »

On s’est mis à essayer de nuire intentionnellement à l’hydroxychloroquine afin qu’elle ne soit pas utilisée pour le Covid-19. Nénamoins, d’autres pays s’y sont résolument tenus. J’ai mentionné tous les pays qui utilisent à ce jour l’hydroxychloroquine. Et maintenant, nous avons des études, par exemple une étude iranienne, sur 30.000 patients, une étude massive. Ils soignent environ 25% des personnes de façon appropriée, avec de l’hydroxychloroquine en combinaison avec d’autres médicaments. Et on voit une réduction massive de la mortalité. Donc l’hydroxychloroquine est un pilier des essais prospectifs randomisés, on les isole, les études pré-hospitalières sont toutes positives. Cela change-t-il la donne? Non, je dirais qu’il s’agit d’une réduction d’environ 25% au niveau des paramètres, mais c’est un médicament très utile si on l’utilise tôt. Ce n’est pas un médicament d’usage unique, je ne me fierais pas à lui seul. Mais l’hydroxychloroquine, je pense, sert d’illustration à ce qui s’est passé.

Dès le début, je suis devenu objet d’attention nationale, j’ai reçu des appels de la Maison Blanche, j’ai été contacté par le Sénat Américain, je suis devenu célèbre sur les réseaux sociaux – je ne figurais jamais sur les réseaux sociaux auparavant. Je ne suis pas immunologiste, je ne suis pas virologue, je ne suis pas spécialiste des maladies infectieuses mais je suis un bon médecin clinicien et je connais très bien les médicaments et la sécurité des médicaments. L’hydroxychloroquine montrait des signes de bénéfice et une sécurité acceptable.

J’ai été contacté par des médecins en Afrique qui m’ont dit anonymement : « Dr McCullough, il y a des sales types qui font des descentes dans les pharmacies la nuit et ils entrent et brûlent l’hydroxychloroquine. » J’ai demandé « Qui sont ces sales types? » Ils ont répondu « Nous ne savons pas, mais on dirait des mercenaires ou des agents. » Mystérieusement, la deuxième plus grande usine de production d’hydroxychloroquine, dans les faubourgs de Taipei, a brûlé. L’hydroxychloroquine, en tant que médicament simple, sûr et efficace, semble à ce jour être la figure emblématique de la lutte mondiale et globale visant à supprimer le traitement précoce. Et autre sujet d’intérêt, depuis que les données sont publiques concernant l’ivermectine, l’ivermectine est devenue le nouveau médicament.

Ce qui est intéressant à propos de l’ivermectine, c’est qu’une association s’est formée, le Front Line Critical Care Consortium, le FLCCC, dirigé par Pierre Kory. Je l’ai identifié, ainsi que le Dr Paul Marik, j’ai communiqué avec lui, nous avons tenu des téléconférences et j’ai recommandé au Dr Kory de témoigner lors de la deuxième audience devant le Sénat Américain en décembre. Il y a aussi le Dr JJ Rajter en Floride. Le Dr Rajter avait fait l’essai de l’ivermectine chez tous ses patients malades dans les hôpitaux de Floride et avait réussi à drastiquement réduire la mortalité. Il a publié un article dans Chest, l’une des meilleures revues de médecine pulmonaire, ce pour quoi je lui suis immensément reconnaissant. Le Dr Kory et le Dr Rajter ont présenté ce qui est resté un plaidoyer très convaincant pour l’ivermectine. Les gens trop découragés par l’hydroxychloroquine pouvaient se concentrer sur l’ivermectine. Le Dr Tess Lawrie [NdT. auteure d’un autre article que j’ai récemment publié ici], au Royaume-Uni, considérée comme l’un des analystes les plus éminentes au monde, a publié – avec le Dr Andrew Hill – des analyses incroyables démontrant que l’ivermectine réduisait la mortalité, en hospitalisation et en ambulatoire. Donc une légère différence par rapport à l’hydroxychloroquine. L’hydroxychloroquine met un peu de temps à agir et ne fonctionne probablement pas à la toute fin de la maladie, mais l’ivermectine fait des miracles dans tout le déroulement de la maladie. Les données ont commencé à arriver pour l’ivermectine et elles étaient assez convaincantes pour faire pression sur les directives du National Institutes of Health, qui a édité une déclaration spécifique sur l’ivermectine. Ils ont déclaré « Nous comprenons les données sur l’ivermectine. Nous ne pouvons pas être pour mais nous ne pouvons pas être contre. » C’est la même déclaration qu’ils avaient faite pour l’autorisation d’utilisation d’urgence du Regeneron et des anticorps Lilly. Le NIH a déclaré « Nous comprenons les données, nous ne pouvons pas être pour ni contre ». Au moins, nous avions obtenu une déclaration neutre de leur part.

L’hydroxychloroquine souffre encore à ce jour d’une série de déclarations négatives et les médecins ont littéralement dû se battre pour conserver leurs licences médicales pour continuer à prescrire de l’hydroxychloroquine. Une par une, toutes ces licences ont été restaurées, toutes ces décisions d’État ont été annulées, toutes les sociétés médicales ont été déboutées. Et l’hydroxychloroquine est aujourd’hui utilisée, l’ivermectine est aujourd’hui largement utilisée. Les deux médicaments peuvent non seulement traiter l’infection à un stade précoce, mais ils peuvent également la prévenir. Il y a des études sur la prophylaxie, elles peuvent être préventives. Si les patients prennent ces médicaments périodiquement – généralement une fois par semaine environ – ils peuvent empêcher le Covid-19 de devenir une maladie. Ils sont préventifs.

En fait, j’ai dirigé l’une des toutes premières études sur l’hydroxychloroquine ici à Dallas, pour protéger nos travailleurs de la santé. Ces médicaments sont efficaces à environ 90%. Ils sont à peu près aussi efficaces que les vaccins pour prévenir l’acquisition du Covid-19. Quand quelqu’un est malade, je ne prescris jamais ces médicaments seuls, je les prescris dans ce que j’appelle une polythérapie séquentielle. C’est l’approche que les médecins indépendants ont adoptée aux États-Unis et, de manière inédite, aucun centre médical universitaire, aucun centre médical communautaire ne traite aujourd’hui les patients Covid-19 en ambulatoire dans le but de réduire les hospitalisations et les décès. Pourquoi ces centres refusent-ils d’aider leurs patients?

Pourquoi davantage de médecins n’ont-ils pas résisté aux directives interdisant de fournir des soins ambulatoires précoces à leurs patients?

Les médecins obéissent clairement à une pensée de groupe. Et les médecins veulent recevoir un soutien intellectuel dans leur pratique. C’est pourquoi nous nous rencontrons tout le temps, pourquoi nous faisons des tournées ensemble, c’est la raison pour laquelle nous tenons des conférences tous les jours. Nous voulons nous soutenir intellectuellement dans la prise de décision quant à nos patients, pour avoir l’assurance de prendre les bonnes décisions. Et avec la pandémie, toutes nos réunions ont été annulées, nous ne pouvions plus nous rencontrer, il n’y avait plus aucun moyen de trouver le soutien intellectuel nécessaire et chaque médecin devait prendre une décision individuellement.

Lorsque le premier patient a appelé pour dire : « Je suis malade du Covid-19, pouvez-vous m’aider? », le choix était binaire. Le choix était : « Non, je ne vous aiderai pas, rien ne fonctionne, je ne peux rien faire, attendez d’être hospitalisé » ou la réponse pouvait être « Laissez-moi essayer ». Ce que nous avons découvert, c’est que ce choix binaire était la biopsie qui montrait ceux qui avait vraiment du courage et un excellent jugement clinique. Les médecins qui n’étaient pas sûrs de leur jugement clinique ont rapidement dit « Il n’y a rien à faire. » Et ils se sont réfugiés dans cette pensée de groupe. Il y a peut-être 90% ou plus des médecins qui manquent de jugement clinique et qui manquent de courage. Ce que j’ai découvert, c’est que ces deux choses sont rares.

Pour moi, c’était vraiment très naturel. C’était très naturel. Mon père a été l’un des premiers patients Covid-19 de maison de soins infirmiers à Dallas, il a été le tout premier du Village Presbytérien. Il a attrapé le Covid-19, il a eu une fracture du bassin, il était couché à plat sur le dos, un assistant personnel épouvanté m’a dit « Votre père a le Covid, il est envoyé en unité, nous ne savons pas ce qui va arriver. » Son risque de mortalité, complètement cloué au lit par la démence et maintenant le Covid, je peux vous dire qu’il faisait face à un risque de mortalité de 80% du simple fait d’avoir le Covid, selon la moyenne. Alors qu’est-ce que j’ai fait ? Ai-je pris cette décision binaire de ne rien faire. Bien sûr que non! Bien sûr que non!

Si je pouvais envoyer un message à tous les médecins américains, tous les médecins dans le monde, là, maintenant, ce serait « Ayez du courage et faites confiance à votre jugement clinique. » Je l’ai fait et c’est ce que font les vrais médecins et je ne m’en excuserai jamais. Bien sûr, mon père a été traité à l’hydroxychloroquine, il a été traité à l’azythromycine, il a été traité à l’aspirine nous l’avons mis sous Lovenox, un anticoagulant. Le bouquet nutraceutique complet : zinc, vitamine C, vitamine D, quercitine. Ouvrez les fenêtres, faites sortir ce virus. Et il est tombé vraiment malade, comme c’était prévisible. Il souffrait de démence. Ses souhaits étaient de ne pas aller à l’hôpital et de ne pas être placé sous ventilateur mécanique, nous le traitions sur place. Ça a mis 60 jours, c’était une longue maladie mais il a survécu. Et c’était tôt [dans la pandémie]. Ça m’a appris que si je suis prêt à le faire pour mon père, j’ai prêté le serment d’Hippocrate et j’ai une responsabilité fiduciaire envers mes patients. Et je refuse de laisser mes patients mourir de cette maladie. [pleurs]

Quand j’ai témoigné devant le Sénat Américain, j’ai dit au peuple américain « J’ai toujours traité mes patients à haut risque. Toujours. » Et à la fin de ma déclaration d’ouverture, j’ai brandi le protocole et j’ai dit au peuple américain « Je ne demande pas la permission pour le faire. Je ne la demande pas mais je vous demande votre aide. » C’est une déclaration très, très importante parce que mes patients ont été traités de manière appropriée au mieux de mes capacités. Il y a eu 600.000 américains morts qui n’ont ni été traités de manière appropriée ni au mieux de la capacité de leurs médecins. Et ça restera comme une honte historique pour notre pays. Je pense que c’est une mascarade qu’il y ait eu 600.000 américains morts, et qu’une grande majorité d’entre eux n’aient pas reçu une once de traitement.

En fait, il y a eu des groupes médicaux qui ont adopté une politique selon laquelles ils ne répondaient même pas aux appels des patients Covid-19 et il y a eu des millions de patients inutilement hospitalisés. Nous avons reçu des données plus tard du Dr Zelenko à New York, du Dr Proctor ici à Dallas qui a fait exactement la même chose que lui, ce qui a montré que nos méthodes pouvaient réduire les hospitalisations et les décès de 85%. Et je regrette, il n’y a pas d’essais prospectifs randomisés de 4 à 6 médicaments et il n’y en a aucun de prévu. Par conséquent, sans essais de taille, il n’y aura jamais de déclarations de directives et sans déclaration de directives, nous n’aurons jamais le soutien des agences.

Mais il y a eu des médecins courageux qui ont sauvé les Américains et j’irai plus loin : il y a eu des médecins courageux qui ont sauvé le monde.

Aujourd’hui, il y a l’Association of American Physicians and Surgeons, il y a le FLCC aux États-Unis, il y a 250 médecins traitants, il y a quatre services nationaux de télémédecine, 15 services régionaux de télémédecine, nous traitons entre 10- et 15.000 patients par jour. Oubliez le gouvernement américain, oubliez ce que quiconque raconte à ce sujet, les Américains reçoivent un traitement qui, une fois que notre message de traitement précoce est passé lors des deux audiences du Sénat américain dirigées par le sénateur Ron Johnson, les hôpitaux ont commencé à se vider fin décembre, début janvier. Parce qu’un traitement précoce réduit considérablement la propagation et réduit considérablement les hospitalisations et les décès. C’est le seul moyen qui le permette. L’hôpital ne sauve pas tous les patients. Je dirais que l’hôpital a honnêtement un impact très modeste sur quoi que ce soit dans le Covid-19. Tout est question de traitement précoce. Les hôpitaux ont commencé à se vider, les courbes se sont effondrées aux États-Unis, avant que quiconque ne soit complètement vacciné.

J’ai témoigné devant le Sénat du Texas le 10 mars, j’ai dit « Selon les équations standard du CDC, nous avons atteint l’immunité collective. » Le 10 mars. Aucun effet vaccinal. Seulement en traitant les patients. Au Texas, il y a 35 centres de traitement, nos protocoles et nos méthodes fonctionnent. Et j’ai appris au fil du temps qu’il y a beaucoup de façons de traiter le virus. J’ai tenu un séminaire avec le Dr Shankara Chetty en Afrique du Sud, il a dit que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine – tout comme aux États-Unis – sont devenues si politiquement chargées que les médecins perdent leur licence. En fait, certains médecins ont été emprisonnés pour avoir tenté d’aider des patients atteints de Covid-19. Il ne tentent plus de les aider. Il a traité 4.000 patients, dont moins de 10% ont reçu de l’hydroxychloroquine ou de l’ivermectine. Il les soigne, il suit la chronologie de la maladie. Il attend jusqu’au jour 8, puis il commence les stéroïdes à inhaler et oraux, il commence l’aspirine, d’autres anti-inflammatoires, du montélukast et de l’hypospray d’anticoagulants en traitement de fond. Et il a sauvé pratiquement tout le monde, à l’exception d’une poignée de patients, sur 4.000 patients malades en Afrique du Sud.

Ce que j’ai appris sur ce virus, c’est que si les médecins font quelque chose pour tenter d’aider les patients, ils peuvent réduire les hospitalisations et les décès. Et la seule raison pour laquelle c’est une page tellement horrible de l’histoire américaine, c’est que les médecins n’ont pas agi.

Pourquoi, face au Covid-19, tant de médecins ont-ils accepté de s’écarter d’une pratique médicale de longue date en termes de recherche et de formulation de traitements ambulatoires précoces pour leurs patients?

La FDA américaine publie des milliers de mises en garde concernant les médicaments chaque année. En fait, les Américains le savent bien parce qu’ils voient une publicité pour un médicament à la télévision qui dit: « Attention, peut causer la mort, peut causer ceci ou cela. » Nous recevons donc des milliers d’avertissements par an. La FDA rappelle des médicaments, fait placer des avertissements encadrés en noir sur les médicaments. Les médecins utilisent quand même ces médicaments, ils comprennent ces avertissements. Environ 40 % des médicaments sont utilisés « hors avis publicitaires ». Une fois qu’un médicament est plus ancien, son avis publicitaire d’origine ne s’applique plus vraiment, nous utilisons donc des médicaments « hors AMM » tout le temps, c’est courant.

Mais ce qui s’est passé dans Covid-19 est dû à la peur énorme qui s’est installée dans notre pays. Quelles qu’aient été les déclarations de la FDA américaine, du NIH et du CDC, elles ont pris plus de poids qu’elles n’en auraient jamais eu dans le passé. Si ces agences disaient quelque chose comme « Ne pas utiliser d’hydroxychloroquine », cela émanait de l’AMA, de l’Association Nationale des Conseils de Pharmaciens où ils refusaient en fait l’hydroxychloroquine aux patients. En fait il y a probablement eu des patients qui sont morts parce que la pharmacie ne leur a pas dispensé d’hydroxychloroquine ou d’ivermectine. Il y a des médecins qui ont commencé à recevoir des lettres d’avertissement indiquant – le Dr Richard Urso de Houston, un autre médecin est sorti de son rôle comme je l’ai fait pour traiter le virus, a reçu des lettres d’avertissement du conseil médical du Texas – « Nous allons examiner votre licence, nous comprenons que vous prescrivez de l’hydroxychloroquine, et que vous essayez d’aider les patients Covid. » D’accord. Ces médecins, le Dr Robin Armstrong au Texas, ont sauvé des dizaines de patients des maisons de soins infirmiers avec de l’hydroxychloroquine, de l’azythromycine, des stéroïdes et des anticoagulants. Les familles le considèrent comme un héros, le Conseil Médical du Texas a tenté de lui retirer sa licence. Il a dû passer par des audiences et des examens et finalement il a été rétabli, bien que sa pratique ait été compromise, voire détruite.

Des e-mails ont commencé à être envoyés aux grandes organisations médicales « N’utilisez pas d’hydroxychloroquine ». Plus tard, ils sont revenus à la charge en écrivant « N’utilisez pas d’ivermectine. » En fait, il disaient catégoriquement « Ne le faites pas ». Nous recevions des messages officiels qui disaient essentiellement « Ne vous occupez pas du Covid-19 ». Ces instructions sont codifiés dans les politiques, dans les e-mails des principales organisations médicales et cela est allé à l’encontre… Pouvez-vous imaginer recevoir des e-mails disant « Ne traitez pas la pneumonie à pneumocoques, laissez-les mourir. Ne traitez pas la méningite, laissez-les mourir. » C’est du jamais vu. Le terme qui s’applique à ce qui se passe est : un méfait de la part de ceux qui occupent des postes d’autorité. Ça s’appelle de la malfaisance. On ne diffuse pas un message négatif et effrayant qui causera des dommages. On ne fait pas ça. On ne fait pas ça dans une société civile. C’est ce qu’ont fait le NIH, le CDC, la FDA, les grands groupes médicaux. Ces messages effrayants.

Mais en même temps il y a eu l’AAPS qui disait « Je sais que c’est mal, traitez les patients », il y a eu le FLCC, un groupe qui est devenu très puissant, qui disait « Non, traitez les patients ». Au Royaume-Uni, il y a eu le Bird Group qui a dit « Traitez les patients, utilisez des protocoles à base d’ivermectine. » Il y a eu le […] Development en Afrique du Sud, nous avons créé le Covid Medical Network en Australie, nous avons créé Treatment Domiciliary en Italie. Le contre-argument à cela, « Non, nous devrions traiter le virus », ce contrepoids était là. C’est l’une des raisons pour lesquelles vous me parlez aujourd’hui. Vous ne parlez pas à un fonctionnaire de la FDA qui fondamentalement veut jeter de l’eau froide sur ces organisations. Vous me parlez aujourd’hui parce que vous avez le sens de la vérité, vous avez le sens de la réalité que ce virus est traitable. Tout ce que nous avons fait par rapport à ce virus, nous l’avons aggravé en ne le traitant pas, en maintenant les patients dans la peur et l’isolement. Nous avons fait beaucoup de choses qui ont favorisé l’hospitalisation et nous avons fait beaucoup de choses qui ont en fait favorisé la surmortalité. Et c’est une période honteuse pour l’Amérique et pour le monde.

D’où venait la politique ordonnant aux médecins de NE PAS traiter leurs patients? Qui donnait ces ordres?

Sous le sombre nuage de la peur, les administrations médicales s’en remettent à la FDA, au NIH et au CDC, nos trois agences gouvernementales. Elles s’en remettent à elles. En fait, elles disent « Nous suivons le programme ». Prenons un sujet moins chargé, comme le port du masque. Qu’est-ce qui définit la politique de port du masque? Ce que dit le CDC. Ils disent quelque chose, on les suit. La même chose est vraie si les agences disent de ne pas utiliser d’hydroxychloroquine ou d’ivermectine – et c’est ce qu’elles disent – ça se répercute rapidement dans l’administration médicale et elles envoient un e-mail disant « Ne le faites pas ». En fait, dans un pays, parlons de l’Australie, ils ont la TGA – c’est l’équivalent de la FDA – ils ont des directives qui comportent littéralement des dizaines et des dizaines de déclarations négatives. « Ne faites pas ceci, ne faites pas cela, ne faites pas ceci, ne faites pas cela. » Il est intéressant de noter qu’aucun de ces groupes ne dit quoi faire. Si on prend n’importe quel grand hôpital et qu’on leur demande quel e-mail ou quelle politique ils ont reçue qui disait aux médecins quoi faire – on a issu des avertissements sur ce qu’il ne faut pas faire, mais que leur a-t-on dit de faire pour prendre soin des patients Covid-19 hospitalisés – la plupart d’entre eux répondront : « Aucun. »

En fait, j’ai témoigné devant le Sénat du Texas à ce propos le 10 mars et dans les 48 heures, il y avait un projet de loi pour donner aux patients au moins quelques informations. Si les hôpitaux et les médecins ne font rien, nous allons vous donner des informations, pour que, lorsque vous obtenez un résultat de test positif, vous ayez quelques informations sur ce que vous pouvez faire. Voici les protocoles de traitement, voici les anticorps monoclonaux sous autorisation d’utilisation d’urgence. Et encore une fois si l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine sont controversées, d’accord. Mais qu’en est-il des anticorps monoclonaux, nous n’en avons même pas parlé. Ce sont des produits de haute technologie, ils sont produits par Big Pharma, ils brassent beaucoup d’argent, tout a été financé par le NIH, ils sont sous autorisation d’utilisation d’urgence par la FDA américaine. Comment se fait-il qu’en l’Amérique il n’ont aucune visibilité? Comment se fait-il qu’il n’y ait aucune mise à jour quant à leurs résultats? Comment se fait-il qu’il n’y ait pas de numéros 1 800 permettant aux patients malades de savoir où trouver ces anticorps? On a affaire à une suppression globale du traitement précoce, qu’il s’agisse de médicaments génériques ou de médicaments nouvellement approuvés. Il y a une suppression globale du traitement précoce.

Les Américains le comprennent. Ils regardent la télé tous les soirs. Le discours initial était « Nous avons peur, portons des masques, restons en confinement, désinfectons-nous les mains ». D’accord. Ensuite, il y a eu des reportages sur les choses terribles qui se passaient à l’hôpital. Ensuit les reportages disaient « Attendez un vaccin ». Il n’y a jamais eu de reportages réguliers ou de mises à jour des télévisions locales ou nationales qui donnaient des mises à jour régulières. « Voici ce que vous devez faire si vous avez le Covid-19 à la maison, voici les médicaments qui fonctionnent, voici les protocoles, voici les lignes directes pour obtenir une perfusion d’anticorps approuvée par la FDA, voici les lignes directes pour vous tenir au courant de la recherche. » La recherche est importante. Les Américains n’ont toujours pas de ligne directe pour pour s’informer sur la recherche sur le Covid-19. Au niveau étatique ou fédéral. C’est stupéfiant. Il n’y a eu aucune mise à jour. Lorsque j’ai eu affaire à plusieurs bureaux du Congrès et du Sénat, j’ai dit « Il faut donner des mises à jour hebdomadaires au peuple américain pour qu’il sache quoi faire, afin qu’il n’ait pas si peur lorsqu’il reçoit ces résultats ». Des mises à jour hebdomadaires sur tous les canaux publics. Des mises à jour hebdomadaires sur le traitement, puis des mises à jour mensuelles des directives. Il n’y a rien de tout cela. Nous en sommes à plus d’un an et les Américains ont été complètement abandonnés par les agences gouvernementales, par les médias. Les médias – pourquoi n’entrerait-il pas dans le processus de réflexion des radiodiffuseurs locaux de donner à leurs auditeurs une mise à jour sur le traitement précoce? C’est époustouflant de négligence.

Étant donné que la plupart des médicaments sont annoncés comme ayant des effets secondaires potentiellement dangereux, pourquoi les régulateurs ont-ils catégoriquement rejeté les thérapies ambulatoires précoces pour le Covid-19, y compris l’hydroxychloroquine approuvée par la FDA, au motif de provoquer des effets secondaires potentiellement dangereux?

Pour que les produits soient réellement annoncés officiellement, ils doivent avoir quelqu’un qui paye pour l’annonce, qui serait une société pharmaceutique, et ils doivent être approuvés par la FDA. Et ils doivent recevoir une vignette publicitaire de la FDA. Et comme les anticorps monoclonaux, par exemple, n’ont pas de vignette publicitaire, ils ne peuvent pas faire l’objet d’annonces – Lilly et Regeneron ne peuvent pas en faire la publicité. Mais parce qu’ils sont sous autorisation d’utilisation d’urgence, du point de vue des messages de santé publique, ils devraient être promus au même titre que les vaccins. Désormais, les vaccins sont sous autorisation d’utilisation d’urgence et on n’entend parler que de vaccins, matin midi et soir. Pourquoi martèle-t-on ce message sur les vaccins ? Les Américains devraient y réfléchir. Pourquoi les vaccins sont-ils mis en exergue par le CDC, le NIH et la FDA, matin midi et soir, par les médias, matin midi et soir, par chaque centre médical, matin midi et soir? Je peux vous dire, en tant que médecin dans un centre médical, que tous nos e-mails concernent la vaccination. Pourquoi les retrouve-t-on dans chaque communication de santé publique, « une aiguille dans chaque bras »? En fait, de manière choquante, dans la région de Dallas en octobre – bien avant la fin des essais de vaccins – si vous appeliez CVS ou Walgreens, le répondeur disait « Nous sommes fiers d’offrir le vaccin Covid-19 dès qu’il sera disponible. » Nous n’avons jamais fait de publicité pour un produit avant qu’il ne soit disponible. En fait, c’est une infraction aux lois américaines concernant les médicaments et les produits biologiques.

Les choses ont donc commencé à dérailler très tôt et il semble qu’il y ait eu un agenda. L’agenda était de supprimer tout espoir de traitement. Une oblitération complète du traitement par toutes les entités que nous avons mentionnées. Et en même temps préparer la population à la vaccination de masse. Les deux sont très étroitement liés.

Et maintenant, dans cette vaccination de masse, nous assistons à des choses jamais vues. De la publicité pour un vaccin avant même qu’il ne soit disponible, un matraquage massif pour le vaccin complètement disproportionné par rapport au traitement. Il y a deux produits sous autorisation d’utilisation d’urgence : un dont on n’entend jamais parler, les Américains ont un besoin vital de ces anticorps monoclonaux – en fait, ils sont largement sous-utilisés, ils auraient probablement pu sauver des dizaines de milliers, voire des centaines de milliers de vies et ils ont été anéantis. Tout ce qui concerne Lilly et Regeneron a été anéanti mais les produits Pfizer, Moderna et J&J sont massivement promus et annoncés. Les Américains devraient se demander « Que se passe-t-il, pourquoi se focalise-t-on sur les patients malades et sur les personnes en bonne santé? » Tous les messages sur le contrôle de la contagion et les vaccins sont destinés aux personnes en bonne santé. Pourquoi ne se concentre-t-on pas sur les patients malades? C’était la teneur de mon message au Ministère de la Santé et des Services Sociaux du Texas, mais ça va plus loin que ça. Ça va plus loin que ça.

Les études d’enregistrement des vaccins excluaient strictement les femmes enceintes, les femmes en âge de procréer, les patients guéris du Covid, les patients qui avaient déjà des anticorps contre le Covid – elles les excluaient strictement. Selon la règlementation scientifique, si toutes les études d’enregistrement excluent un groupe de patients, on n’utilise jamais ce produit dans ce groupe une fois qu’il est sur le marché. Jamais. Jamais. Nous ne violons jamais ce principe. Pourquoi? Parce qu’on ne sait pas si ça va fonctionner et on ne sait pas si ça va être sûr. On ne le fait jamais.

Il y a un autre niveau. Les femmes enceintes sont un groupe particulier dans la recherche et les produits médicinaux – il est très important que les Américains le sachent – chez les femmes enceintes, pour la vaccination, nous ne vaccinons qu’avec des produits inactifs sûrs : grippe inactivée, tétanos, diphtérie et coqueluche. C’est tout. Nous n’injecterions jamais une substance biologiquement active dans le corps d’une femme enceinte qui pourrait être dangereuse. Jamais. Et dans le cas de ces vaccins, dès qu’ils sont sortis, le CDC, la FDA, les médias, tout le monde a dit « Vaccinez-les. Vaccinez-les. »

Compte tenu de notre acceptation de longue date des vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la polio et la rougeole, en quoi le développement et le déploiement de Covid s’écartent-ils du précédent développement de vaccins et de l’examen de la sécurité ?

Les directives réglementaires de la FDA sur les vaccins aux États-Unis – et il y a eu des vaccins modernes, vous n’avez pas à regarder les anciens, il y a des vaccins modernes, des vaccins contre le zona, l’hépatite B, les vaccins contre le méningocoque – exigent un minimum de deux ans de données de sécurité. Deux ans. Par effet réglementaire, c’est en quelque sorte écrit et codifié dans les lois réglementaires pour les fabricants. Tout ça a été jeté à la poubelle, et a on a dit « Deux mois. » Pour le Covid, deux mois. Donc deux mois de données d’observation. L’idée que nous pouvons vacciner des personnes qui n’ont même pas été testées lors des essais, ça n’a jamais été fait auparavant. Nous n’avons tout simplement jamais balancé un vaccin à quelqu’un sans avoir aucune donnée. Aucune. Donc, la toute première femme enceinte qui a été vaccinée ici aux États-Unis, ça a été fait sans aucune connaissance sur la sécurité et sur l’efficacité. Et l’argument que nous avons entendu est que le Covid-19 est une grave maladie, 600.000 personnes sont décédées, le vaccin pourrait les aider, nous devrions tenter le coup. Allez, on devrait tenter le coup.

Des 600.000 personnes qui sont mortes, je vous ai déjà dit que 85% était évitable avec un traitement précoce, qui a été activement supprimé et anéanti. Et il n’y a pas que ça. Si ce vaccin peut les aider, il vaudrait mieux que le vaccin soit sûr. Il vaudrait mieux qu’il soit sûr. Et mes commentaires sur le vaccin sont : la sécurité, la sécurité, la sécurité. Voyons ça. Voyons ça. Et les Américains ne sont pas… Tout comme les Américains auraient dû recevoir des mises à jour hebdomadaires sur les innovations en matière de traitement, les Américains auraient dû recevoir des mises à jour hebdomadaires sur la sécurité des vaccins. Très important. Des mises à jour hebdomadaires par nos fonctionnaires fédéraux sur la sécurité. Hyper important.

Ces deux choses sont probablement les deux plus grands actes de malfaisance de toute l’histoire de la réglementation médicale. Cela restera dans l’histoire des méfaits commis par les autorités. Comment se fait-il qu’il n’y ait eu aucune mise à jour sur le traitement et aucune promotion d’un traitement précoce pour réduire les hospitalisations et les décès? Et maintenant qu’on distribue le vaccin, pourquoi n’y a-t-il pas de mises à jour de sécurité? Pourquoi n’y a-t-il aucune tentative d’atténuation des risques pour rendre le programme de vaccination plus sûr? Pourquoi y a-t-il tous ces vaccins? Comment savons-nous que nous pouvons vacciner les femmes enceintes? Nous le savons grâce à des années et des années et des années de données de sécurité. Avant qu’un vaccin soit injecté à une femme enceinte, il a probablement été testé pendant des décennies avant que nous ne l’essayions chez une femme enceinte. Nous n’utiliserions jamais une toute nouvelle technologie prête à l’emploi, qui n’a jamais été testée auparavant, jamais.

Et nous savons que la technologie du vaccin produit la dangereuse protéine de pointe. Il produit la protéine de pointe de Wuhan, le spicule sur la boule du virus-même, qui endommage les vaisseaux sanguins et provoque la coagulation du sang, et tous [les vaccins] le font. Nous ne libèrerions jamais ça dans le corps d’une femme enceinte. Les Américains doivent comprendre qu’il se passe quelque chose de très anormal – ce qui se passe actuellement dans le monde. Ce sont des exemples clairs de méfait. C’est à un niveau si élevé, la pensée de groupe va dans la mauvaise direction d’une manière si cohérente et accablante qu’on leur cause du tort de façon inouïe.

Comment avez-vous rendues publiques vos découvertes sur les thérapies ambulatoires précoces pour prévenir les hospitalisations et les décès? Comment cela a-t-il été reçu?

Lorsque j’ai publié mon premier article dans l’American Journal of Medicine, j’ai enseigné aux médecins comment traiter le Covid-19. Ça aurait pu être quelqu’un d’autre. Si le Dr Zelenko avait le pouvoir de publication, il aurait pu le faire, ou le Dr Proctor aurait pu le faire , ou le Dr Didier Raoult aurait pu le faire, ou Brian Tyson ou George Freed. Il s’est avéré que j’étais la personne qui avait l’autorité académique suffisante pour le faire. Et j’ai cette autorité. J’en assume l’entière responsabilité. Je l’ai fait de manière unique – j’ai été la seule personne au monde à le faire. D’autres ont peut-être essayé et ces articles ont peut-être été refusés par les éditeurs. Ils l’ont probablement été parce que nous avons constaté une suppression de la littérature sur le traitement précoce partout. Il était devenu impossible de publier des articles. C’était vraiment difficile. J’ai peut-être été [NdT. ou « je n’étais peut-être pas », c’est pas clair] le médecin le plus fort et le plus courageux au monde pour l’avoir fait, mais je l’ai fait.

Et le retour que j’ai reçu a été formidable, du style « Evidemment, c’est sensé. Je suis tellement content que ça ait fait son chemin dans la littérature. » Il est sorti en version électronique en août, puis en version papier en janvier. Quand il est sorti en janvier et qu’il a atterri dans toutes les bibliothèques médicales du monde, c’est à ce moment-là que ça a commencé à chauffer. Et je dois vous dire que j’ai reçu des lettres adressées au rédacteur en chef de l’American Journal of Medicine – le Dr Joe Albert de l’Arizona en est le rédacteur en chef. Joe m’a fait suivre chacune de ces lettres pour que j’y réponde. La teneur des lettres est assez intéressante. Elles provenaient de l’Université Duke, elles provenaient de McGill, de l’Université Monash en Australie, elles provenaient du Brésil. La teneur des lettres était « Dr McCullough, vous ne pouvez pas faire ça. Vous ne pouvez pas traiter les patients Covid-19. »

C’est le plus intéressant. Ma réponse a été « Docteur, ayez du courage. Finissons-en avec le nihilisme thérapeutique, et unissons-nous et traitons les patients Covid-19 avec compassion pour réduire les hospitalisations et les décès. Nous pouvons le faire et je peux le faire. » Et nous avons même davantage de données à l’appui, donc chaque fois qu’ils disaient « Oh, ce médicament ne fonctionne pas », je leur répondais « Voici cinq autres études qui [prouvent le contraire]. L’hydroxychloroquine, nous en sommes à des centaines d’études qui montrent qu’elle fonctionne, l’ivermectine, des centaines d’études, les stéroïdes, des dizaines d’études, les anticoagulants, au moins une douzaine d’études. » Nous avons une base tellement solide des notions du traitement du Covid-19, qu’à chaque fois qu’une de ces lettres arrive, je m’amuse un peu avec elle car ma position de force est énorme. Mes pensées et mes positions et mes déclarations au fil du temps deviennent progressivement plus fortes et progressivement plus puissantes. Et les détracteurs le sentent. Le sentiment de peur, la peur intellectuelle de mes adversaires, est palpable. Je la ressens tous les jours.

Et quand ce premier article est sorti dans l’American Journal of Medicine, ma fille m’a dit « Papa, pourquoi tu ne fais pas une vidéo YouTube ? J’ai dit « Je ne veux pas aller sur les réseaux sociaux, c’est pour les enfants, je n’ai pas le temps pour ça. » Elle m’a appris comment le faire. C’était une présentation Power Point. J’ai littéralement enregistré mon visage dans le coin inférieur, j’ai mis une cravate, quatre diapositives, [inaudible] ce sont des Américains, ce sont des Italiens, nous avons examiné la sécurité, nous avons examiné l’efficacité, nous avons examiné toutes les données disponibles, nous pensons que c’est la meilleure façon de combiner les médicaments. Nous avons montré quatre diapositives à ce sujet, ça a été publié sur YouTube, c’est devenu absolument viral. Absolument viral. Et puis j’ai reçu un message qui disait « Vous avez violé les termes de la communauté » et ça a été supprimé.

Puis j’ai reçu un appel du Sénat américain. Je vous ai dit que je savais qu’il se passait quelque chose parce que, jusque là, je n’avais jamais été appelé par la Maison Blanche, je n’avais jamais été appelé par le Sénat. Des gens à Washington suivaient tout ça de près. Il y avait des parties intéressées à Washington qui, dans un sens, savaient que quelque chose ne tournait pas rond, que cette infection virale pouvait être traitée, mais ils attendaient en quelque sorte que quelqu’un dans la communauté universitaire prenne les devants et dise littéralement « Ça peut être traité ». J’ai été le premier à dire « On peut traiter cette maladie. Nous pouvons le faire. » Il est donc très important à mon sens de déclarer « Nous pouvons le faire. » Sur base de quoi? Sur base de mon jugement. Etayé par la science disponible mais surtout sur base de mon jugement.

J’ai fini par contracter moi-même le Covid-19 en octobre. Ma femme est rentrée à la maison avec, elle est tombée malade et très vite je suis tombé malade, c’est descendu dans mes poumons, j’étais dans les protocoles approuvés, j’ai vite été mis sous protocole. Ce fut difficile mais j’ai pu trouver un protocole. J’étais sous hydroxychloroquine, azythromycine, un protocole de bouquet nutraceutique et plus tard j’ai eu besoin de stéroïdes en raison de la durée de la maladie. Mais je voulais montrer à l’Amérique qu’on peut attraper le Covid-19 et avoir des problèmes médicaux, ce qui est mon cas, et s’en sortir sans être hospitalisé.

Le sixième jour de traitement, huitième jour de maladie, c’était une journée ensoleillée à Dallas, Texas, je suis allé dans un endroit désert et j’ai fait du jogging et j’étais vraiment essoufflé et croyez-moi, je suis un excellent coureur. J’étais essoufflé à cause des effets du Covid sur mes poumons mais j’ai couru jusqu’à un parc, j’ai tourné une vidéo dans ce parc puis je suis rentré chez moi et je me suis amusé avec cette vidéo. En fait, j’ai ajouté ce morceau d’Eminem qui dit – la vidéo de Recovery si l’un d’entre vous regarde Eminem – qui dit « Je n’ai pas peur » […]. Je me suis filmé en vidéo pour dire « Je n’ai pas peur du Covid-19 » dans une vidéo. Et cette vidéo a été supprimée. Finalement, je l’ai fait restaurer.

Mais minute, YouTube joue un rôle ici, en plus de tous les autres intervenants, dans la suppression de tout traitement précoce. En fait, les premiers médecins qui traitaient précocement ont commencé à se voir effacés de Twitter, de YouTube, des médias sociaux et finalement YouTube a émis un message très clair. Ils ont dit : « Nous n’admettrons que des informations conformes à celles du CDC, du NIH et de la FDA qui disent ‘Ne faites rien’ et tout le reste sera considéré comme trompeur et nous portons un jugement, c’est nous qui décidons ce qui est trompeur et ce qui ne l’est pas. » Mais il est assez facile d’être en accord avec le CDC, le NIH et la FDA parce qu’ils disent de ne rien faire. Donc, si la plate-forme des médias sociaux dit « Ne faites rien pour le traitement précoce » et « Occultez le traitement précoce », ce qui est le cas, les principaux médias doivent aussi occulter le traitement précoce. Alors je reviens encore à cette question de base, qui est responsable ?

J’ai parlé des agences gouvernementales. En cette période de crise, si nous nous en remettons à nos agences gouvernementales et à notre groupe de travail [Task Force] et si notre président n’est même pas être assez avisé pour choisir des médecins qui ont déjà vu un patient et qui savent comment le traiter, si ils ne sont pas assez avisés pour choisir des médecins qui peuvent traiter le Covid-19, il n’y aura jamais d’agences pour dire « Nous pouvons traiter le Covid-19 ». Et si il n’y a aucune agence pour le dire, alors rien d’autre ne suivra. Si les médecins et les personnes que nous sélectionnons n’ont jamais vu le Covid-19, s’ils en ont peur, s’ils ne savent pas comment le traiter et que les seules sujets sur lesquelles ils s’expriment, c’est le port de masques et la distanciation sociale, la vaccination, c’est tout ce qu’on aura en Amérique. La réponse de l’Amérique au Covid-19, la réponse officielle, a été fondamentalement « Bon, tout le monde, portez des masques et faites-vous vacciner » et l’Amérique n’a rien eu à proposer à la personne malade.

Et en ce qui concerne l’hôpital, nous n’avons pas vu beaucoup d’articles là-dessus. Les médicaments sont assez faibles : Remdesivir, plasma convalescent, Tocilizumab, stéroïdes, anticoagulants. On n’en entend pas beaucoup parler. C’est franchement trop tard. Récemment, le groupe de Harvard, Stop Covid Group a publié que parmi ceux qui sont assez malades pour entrer en soins intensifs, la mortalité à 28 jours est de 38%. Inacceptablement élevé. Aller à l’hôpital est un cauchemar. Je reçois des appels désespérés de partout aux États-Unis. Dieu merci pour les grands réseaux de télémédecine et de télémédecine mutuelle qui, fondamentalement, ont pris le relais. Ce sont les vrais héros de la pandémie de Covid-19. Les hôpitaux sont vides maintenant. Les hôpitaux ici à Dallas avaient 200, 300 patients en même temps, maintenant ils en ont 10, 5. L’autre jour, au Texas, nous avons atteint zéro décès. Zéro.

Le traitement précoce sera l’une des grandes, grandes histoires que les historiens… Nous avons contacté Ben Marble qui a lancé myfreedoctor.com. Ben Marble, toute sa télémédecine est financée entièrement par des dons. Les gens font des dons d’argent et ils donnent aux patients leurs médicaments et ils prescrivent de l’hydroxychloroquine, de l’ivermectine, des stéroïdes et d’autres médicaments. Ils les mettent dans la thérapie combinatoire, ils suivent les protocoles. Magnifique. Ils voient des milliers de patients par télémédecine chaque jour. Les Américains sont donc soignés. Et le bouche à oreille fonctionne, les gens se parlent. Les Américains – c’est intéressant – ils comprennent que les médias et nos agences ne sont pas honnêtes avec eux. Ils le comprennent bien.

J’ai donné un séminaire assez tôt parce que j’avais traité un ministre afro-américain très éminent ici à Dallas. Lui et sa femme étaient malades. Il ne m’a pas parlé de sa femme et son test était négatif. Elle n’était pas une de mes patientes. Il a reçu ce qu’on appelle une polythérapie séquentielle. Il est tombé très malade, il souffre d’insuffisance cardiaque, de diabète, d’emphysème, d’obésité, de maladie rénale. Il a survécu à la maison, malade, pendant environ dix jours. Je ne dis pas que la thérapie médicamenteuse est parfaite, mais je l’ai sauvé de l’hospitalisation ou de la mort. Sa femme, sans traitement, hospitalisée, diagnostiquée tardivement, hospitalisée pendant cinq semaines, est rentrée chez elle sous oxygène. Ce virus a ravagé ses poumons. C’était horrible. Ils avaient la même maladie. Et il est devenu proactif et il m’a demandé « Dr McCullough, pouvez-vous faire un webinaire pour les églises afro-américaines dans tout le pays? » J’ai fait un webinaire et j’ai présenté ma démarche. Et vous savez quels ont été les commentaires? Ils ont dit « Dr McCullough, nous savions que le gouvernement nous mentait. Nous savions que c’était traitable. Nous le savions depuis le début. » Les gens le voient.

Est-ce que davantage de médecins apprennent enfin à surmonter la suppression réglementaire et institutionnelle des thérapies ambulatoires Covid-19?

Il y a des découvertes individuelles suite auxquelles des pratiques sont mises en place. J’ai reçu des appels à Dallas « Dr McCullough, pouvez-vous partager vos protocoles? Nous voulons le faire. » Les médecins traitants se sont vraiment concaténés [NdT. merci au Dr Fouché 😉] et nous avons formé de manière informelle un groupe appelé C-19 où nous recevons environ quatre à cinq mises à jour par e-mail chaque jour, de mises à jour vraiment critiques sur le traitement. [C-19] est international. Il y a d’anciens chefs d’État impliqués dans C-19, il y a des lauréats du prix Nobel impliqués dans C-19, des centaines et des centaines de médecins américains. Il y a à présent une liste publiée de médecins traitants et je dirais qu’il en a 250 dans les 50 États. Le Texas en compte 35. Les Américains trouvent donc leur voie malgré la suppression des traitements précoces.

L’une des grandes histoires – que je n’oublierai jamais – [s’est passée] lorsque j’ai témoigné au Sénat du Texas, le 10 mars , moi-même et le Dr Richard Urso, un autre médecin de premier plan dans le traitement précoce à Houston. La présidente du Comité, au cours d’une conversation en aparté, nous a dit :  » Oui, mon mari a contracté le Covid-19, il est tombé vraiment malade et je suis tellement contente qu’il ait reçu un traitement précoce. Nous avons trouvé un médecin qui lui a alors prescrit de l’ivermectine et d’autres médicaments. » Et je n’ai pas voulu faire un scandale devant les médias texans mais j’ai eu envie de dire « Faut-il être présidente du Département de la Santé et des Services Sociaux pour obtenir un traitement? Qu’en est-il de ces pauvres gens du sud de Dallas, de San Antonio et de Houston? Qu’en est-il des personnes qui ne sont pas aussi privilégiées? » Savez-vous que 85 % de certains de nos patients hospitalisés ici sont noirs ou hispaniques? Qui les aide? Nous devrions avoir des centres de traitement précoce. On leur a refusé tout traitement, c’est déchirant. Les Hispaniques et les Afro-Américains ont une mortalité deux fois plus élevée que celle des Caucasiens.

En tant que médecin confronté à des personnes malades qui ont besoin d’un traitement MAINTENANT, comment évaluez-vous quelles thérapies sont efficaces pour aider vos patients MAINTENANT au lieu d’attendre la publication d’études à grande échelle ?

Nous avons en fait une loi en Amérique. Cela s’appelle le XXIst Century Cures Act et elle dit que la FDA et les médecins et d’autres personnes, lorsqu’ils doivent décider d’un traitement, sont tenus d’évaluer la totalité des informations, aussi bien ces petites anecdotes sur votre mère et son aide-soignant, que les séries de cas, les études de cohorte prospectives, les études de cohorte rétrospectives, les études hospitalières, les études opérationnelles, puis de vastes essais prospectifs randomisés en double aveugle contre placebo. Mais par rapport à un virus, il est très difficile de démontrer l’efficacité d’un médicament seul. Si nous avions eu cette exigence pour le VIH, nous n’aurions trouvé aucun traitement. Pour le VIH, on s’est vite rendu compte qu’on avait besoin de trois, quatre ou cinq médicaments. Tout le monde le comprend. Pour le Covid-19, je n’ai jamais pensé qu’un médicament seul fonctionnerait. L’hydroxychloroquine, non, pas seule mais en association. Et c’est cette pensée – il faut ce genre de faculté de pensée supérieure – que d’une manière ou d’une autre, les médecins ont simplement perdue – leur capacité à penser. Pensez-vous que pour un cancer, un médecin dirait que cette seule pilule guérit le cancer? Jamais. On a toujours une thérapie combinée contre le cancer.

Donc, avec l’hydroxychloroquine, nous en sommes maintenant au stade où nous disposons clairement de centaines et de centaines d’essais. Nous avons même de grands essais randomisés. J’ai publié les travaux du Dr Joe Ladapo. Seuls les essais contrôlés randomisés prospectifs montrent un bénéfice. Ainsi, à tous les niveaux, on atteint le niveau de preuve suffisant pour l’utilisation de l’hydroxychloroquine. À tous les niveaux, on atteint le niveau de preuve suffisant pour l’utilisation de l’ivermectine. Pas autant de preuves mais d’assez bonnes preuves pour les anticorps monoclonaux. Même chose pour les stéroïdes. Le plus grand et le meilleur essai de Covid-19 est le Col Corona et il mentionne la colchicine. Étonnamment, Col Corona, le meilleur essai, 4.000 patients, essai contrôlé par placebo randomisé en double aveugle, la meilleure qualité qui existe, rejeté par le New England Journal of Medicine, rejeté par JAMA, rejeté par The Lancet. Il y a une suppression globale de tout traitement précoce. Je veux que les auditeurs comprennent à quel point c’est mondial.

Si on regarde ce qui se passe dans le nord du Canada, les médecins sont menacés de voir leurs licences examinées ou retirées s’ils tentent de traiter un patient Covid-19 en ambulatoire. C’est ce qu’on leur dit au Canada. Dans le nord de l’UE, la même chose est vraie. Le Dr Didier Raoult, qui a tenté d’innover avec l’hydroxychloroquine et l’azythromycine en France au tout début, a subi diverses menaces d’arrestation ou d’arrestation partielle, d’assignation à résidence. On se croirait presque de retour au Moyen-Age. En Australie, en avril, on a publié un décret qui dit que dans le Queenslands, Australie, un médecin qui tente d’aider un patient avec de l’hydroxychloroquine peut être sanctionné, jusqu’à une peine de prison de six mois, pour avoir tenté de soigner. En Afrique du Sud, on a mis des médecins en prison pour avoir tenté d’aider des patients en leur donnant de l’ivermectine.

Des pouvoirs en place qui veulent supprimer les traitements précoces et causer autant de peur, de souffrance, d’hospitalisation et de mort que possible, ce n’est pas le fruit du hasard. Ce sont des forces puissantes qui ont créé une telle peur parmi les médecins qu’ils craignent de perdre leur carrière, leur gagne-pain, leur licence médicale. Ils ont peur d’aller en prison. En aidant simplement leur prochain à traverser le Covid-19. C’est incroyable. Les historiens devraient remonter le cours du temps. Vous savez, le tout premier médecin qui a tenté d’aider un patient atteint de polio à y survivre en le plaçant dans un poumon d’acier, qui fait maintenant partie des appareils des services de soins intensifs, a été renvoyé du personnel médical. « Virez-le de l’équipe! »

Pouvez-vous proposer des pistes d’investigation aux chercheurs qui tentent de découvrir POURQUOI les premières thérapies ambulatoires pour Covid-19 ont été supprimées?

J’examinerais très attentivement le travail qui s’appuie sur celui d’autres journalistes d’investigation. Le Dr Peter Breggin a écrit un livre intitulé « Covid-19, les prédateurs mondiaux – Nous sommes la proie » et il contient un document vivant [NdT. un document vivant, également appelé document permanent ou document dynamique, est un document qui est continuellement modifié et mis à jour], il a déjà publié le manuscrit avant sa publication. Il publie des mises à jour. Maintenant qu’il est plus âgé, il a un peu peur que l’histoire ne sorte pas de son vivant. Mais je crois qu’il a près de 900 documents. L’histoire n’est pas encore structurée mais elle est substantielle et montre les interconnexions des parties prenantes impliquées. Le Dr Nicholas Wade, qui était récemment l’invité de Tucker Carlson [NdT. présentateur sur Fox News, qui a également reçu le Dr McCullough] en tant que journaliste d’investigation, a compilé une fameuse histoire. Et puis Whitney Webb, une jeune journaliste d’investigation, a publié des choses assez saisissantes .

Ces trois personnes, et bien d’autres, font le lien entre deux concepts importants. La suppression du traitement précoce, et même probablement la discrète atténuation du traitement à l’hôpital, pour aggraver le problème. De nombreuses méthodes pour faire en sorte que le nombre de cas semble plus élevé que ce qu’il est, et faire en sorte que les chiffres de mortalité semblent pires qu’ils ne sont. De nombreuses méthodes pour créer une réaction hors de proportion avec la réalité. Confinements, peurs, souffrances économiques, etc. Toutes ces choses rendent la pandémie bien pire que ce qu’elle est, afin que se produisent encore plus de peur, de souffrance, d’hospitalisation, de mort, de solitude, de confinement, afin de favoriser la vaccination de masse.

Les deux sont étroitement liés. La vaccination de masse à tout prix. Le monde doit être vacciné en masse et tous les êtres humains sur Terre doivent comprendre à ce stade, que ce que nous voyons est sans précédent. Il est apparu que le virus allait se prêter à un vaccin vers avril, mai et à ce moment-là, pfuitt! la thérapie a été supprimée. Rien ne pouvait être publié. Tout, le faux papier du Lancet, l’anéantissement du traitement et ensuite la mise en condition de la population à la vaccination. Une fois les vaccins sortis, ils sont expédiés à toute allure et on assiste partout à des bouffées d’enthousiasme. Vous savez « une aiguille dans chaque bras », des camions qui sillonnent la route, des Américains qui applaudissent – et puis le programme de vaccination de masse démarre.

Et avant qu’on s’en rende compte, on vaccinait des femmes enceintes. Pourquoi fait-on ça? Ça n’est absolument pas sûr. Maintenant, on va vacciner les patients guéris du Covid. Minute, ils ont une immunité permanente complète et robuste. Personne n’a jamais contesté l’immunité d’un patient guéri du Covid. Pourquoi les vacciner ? Et ça continue, encore et encore. Au début, on a vacciné les personnes à haut risque. Je n’ai pas vraiment compris pourquoi vacciner les jeunes travailleurs de la santé, parce qu’ils ne couraient aucun risque. Il n’y a jamais eu d’épidémies hospitalières aux États-Unis. La seule chose qui était claire, les travailleurs des maisons de soins infirmiers le donnent aux patients des maisons de soins infirmiers. Nous le savions. Donc, les travailleurs des maisons de soins infirmiers auraient dû être vaccinés, puis peut-être les personnes à haut risque et on aurait dû s’arrêter là. On a estimé qu’environ 20.000.000 de personnes devaient être vaccinées, mais ça n’a pas semblé satisfaire les parties intéressées du vaccin que sont Pfizer, Moderna, J&J, AstraZeneca et les autres qui se sont manifestées, le CDC, la FDA et le NIH – et le Maison Blanche. Les principales parties intéressées du vaccin. Vous pouvez ajouter la Fondation Gates, l’Organisation Mondiale de la Santé – vous pouvez également les ajouter. Des parties intéressées majeures. Et tous voulaient que tout le monde soit vacciné, sans exception. Personne n’échappera à l’aiguille.

On a jamais vu ça et le processus de vaccination est extraordinaire. Il y a un formulaire de consentement. Il dit « Ceci est expérimental, nous ne savons pas si ça va marcher, il n’y a que deux mois de données, les effets secondaires pourraient aller d’une douleur au bras jusqu’à la mort, nous ne savons pas. Signez ici. Nous avons besoin de votre information d’identification, nous avons besoin d’un code-barres sur le flacon, nous avons besoin de vous identifier et maintenant vous êtes dans une base de données. Vous êtes vacciné. »

Cette vaccination de masse est extrêmement préoccupante. Nous ne vaccinons jamais au milieu d’une pandémie, jamais. Nous n’avons jamais eu de vaccin efficace contre les virus respiratoires, y compris la grippe – il n’est que modestement efficace. Nous savions à partir des données publiées que les taux d’attaque [NdT. il s’agit de la proportion de la population qui développera les signes cliniques de la maladie durant une pandémie] dans les bras placebo et vaccin étaient inférieurs à un pour cent. Nous savons donc que le vaccin peut avoir un effet inférieur à 1% dans la population. Pourquoi serait-ce différent des essais cliniques? Nous savions d’après les essais cliniques que ça n’empêchait pas le Covid-19 et que les gens pouvaient de toute façon attraper le Covid-19. Quelle est cette incroyable volonté de vacciner tout le monde?

Et maintenant, mes pires… en quelques mois, le vaccin a été complètement militarisé. Maintenant, ce sont les voyages qui sont liés au vaccin, les gens ne peuvent pas aller à l’école sans le vaccin, les gens perdent leur emploi sans le vaccin. Croyez-moi, il y a quelque chose de très, très puissant dans ce vaccin. Ça devrait inquiéter tout le monde. Le mot « vaccin » devrait être le mot le plus inquiétant qu’ils aient jamais entendu.

Nous voyons des enfants de douze ans à qui on dit qu’ils peuvent décider eux-mêmes s’ils peuvent ou non se faire vacciner. Environ soixante-dix pour cent de mes patients sont vaccinés – je suis très pro-vaccin, j’ai moi-même reçu tous les vaccins [NdT. les autres vaccins, évidemment]. Environ soixante-dix pour cent et ils ont tous été vaccinés en décembre, janvier et février. Mais au moment où nous nous parlons aujourd’hui, en mai, il y a eu plus de 4.000 décès liés au vaccin [NdT. 5.000 au moment où je traduis, un mois plus tard, et le Dr McCullough dans mon article suivant révise sérieusement ce chiffre] et plus de 10.000 hospitalisations.

La limite pour arrêter un programme est d’environ 25 à 50 décès. Grippe porcine, 1976, 25 morts, on a arrêté le programme. Il n’était pas sûr. Tous les vaccins administrés chaque année aux États-Unis – ce qu’Ambulink rapporte dans la base de données – font environ 200 [morts]. Et nous parlons de probablement cinq cent millions d’injections. Ici aux États-Unis, avec une centaine de millions de personnes vaccinées [Covid], c’est de loin l’agent biologique toxique le plus mortel jamais injecté dans le corps humain dans l’histoire américaine et ça y va plein pot, sans aucune mention de sécurité des responsables officiels, dans l’enthousiasme délirant des hôpitaux et des administrateurs d’hôpitaux, avec le soutien des médecins – des médecins disent maintenant qu’ils refusent de recevoir les patients non-vaccinés dans leur salle d’attente.

Ce problème, le Covid-19 était en fait depuis le tout début, c’est ce que Whitney Webb dit, elle dit « Le Covid-19 tourne entièrement autour du vaccin. Il ne s’agit pas du virus, mais du vaccin.« 

Pourquoi l’accent a-t-il été mis sur la vaccination de masse comme le SEUL moyen de revenir à la normale?

Je pense qu’il s’agit de ce que représente le vaccin et Whitney Webb a le mérite de l’avoir dit. En avril, elle a dit « Aha, j’ai compris. C’est ce que les mondialistes attendaient. Ils attendaient un moyen de marquer les gens. » Quand vous recevez un vaccin, vous êtes encodé dans une base de données. Et ça peut être utilisé pour les échanges, pour le commerce, pour la modification du comportement, à beaucoup des fins différentes. Et vous le voyez ici à Dallas, on a annoncé « Vous ne pouvez aller au match des Dallas Mavericks que si vous êtes vacciné. » Vous entendez des gens dire « Vous avez des passeports? ». Des collèges ont annoncé aujourd’hui qu’ils n’accorderaient aucun crédit à l’immunité naturelle. Tous les scientifiques du monde savent que l’immunité naturelle est bien meilleure que l’immunité vaccinale. S’il s’agit de Covid, pourquoi les gens qui ont guéri du Covid ne peuvent-ils pas assister aux match des Mavericks? Pourquoi les personnes guéries du Covid ne sont-elles pas libres d’aller à l’université? Pourquoi considère-t-on que l’immunité vaccinale défectueuse est la priorité et que l’immunité naturelle ne compte pas? Voyez-vous, ce genre de choses me fait penser que Whitney Webb a raison. Il s’agit en fait de marquage. Le vaccin est un moyen de marquer les gens, c’est un moyen de mettre en oeuvre une entreprise de création de conformité, un contrôle des comportements.

N’oubliez pas que le vaccin n’est qu’une première étape. Il y aura des mises à jour, il y aura des boosters, on y prépare déjà le public, il y a d’autres choses en réserve. Les fabricants de vaccins sont tous liés, ils bénéficient tous d’une indemnité unique. Quel produit médical bénéficie-t-il d’une indemnité qui fait que, si quelque chose vous arrive, vous n’avez aucun recours? Une femme se fait vacciner, une femme enceinte, elle n’a aucun droit maternel ni fœtal. Quelque chose arrive à son bébé, pas de chance.

C’est extraordinaire ce que font les Américains. C’est en fait extraordinaire ce qui nous est imposé maintenant.

Entrons-nous dans un Brave New World dans lequel une personne qui choisit de NE PAS se faire vacciner sera punie par des moyens non-judiciaires en lui interdisant de travailler, de voyager et d’assister à des événements publics importants?

Je pense que toute cette pandémie, depuis le début, est centrée sur le vaccin. Je pense donc que tous les chemins mènent au vaccin. Ce que ça signifie, c’est qu’il existe déjà des endroits en Asie du Sud-Est et en Europe, où on prépare le terrain pour la vaccination obligatoire. Obligatoire, ça veut dire que quelqu’un vous cloue au sol et vous enfonce une aiguille. C’est à ce point que les parties intéressées veulent la vaccination. « Ça ne vous coûtera rien, vous n’avez pas à payer, tout est fourni. » Il y a des gens ou des intervenants qui veulent « une aiguille dans chaque bras ». Cette « aiguille dans chaque bras » est une formule très importante. Pourquoi? Pourquoi veulent-ils une « aiguille dans chaque bras »?

Prenons les gens qui ont guéri du Covid. Ils ne peuvent pas attraper le virus, ne peuvent pas le recevoir, il n’y a rien à… Pourquoi voudrait-on jamais piquer une aiguille dans le bras d’un patient guéri du Covid ? Pourquoi? Trois études montrent des événements de sécurité très élevés. La tension que les Américains ressentent en ce moment s’ils veulent garder leur emploi et aller travailler, c’est qu’ils savent qu’ils peuvent mourir du vaccin. C’est tout le problème. Si le vaccin était juste de l’eau et qu’on pouvait le recevoir sans effets secondaires, qui n’en voudrait pas? « Très bien, je vais me conformer. Ils ont de toute façon mon numéro de sécurité sociale dans une base de données, je suis déjà marqué. Je serai juste [encore] marqué. »

Mais non, il y a quelque chose de très unique dans ce vaccin, il s’agit d’injecter dans le corps quelque chose de tellement important pour les parties prenantes que rien n’a d’importance. Des enfants de douze ans à qui on dit qu’ils peuvent eux-mêmes prendre cette décision alors que ça pourrait être leur décision fatale? Pensez-y. La Caroline du Nord vient de l’adopter. Les enfants de douze ans peuvent décider seuls. Il y a plus de 4.000 Américains morts [NdT. cf. note précédente], il y a plus de 10.000 morts en Europe qui meurent les jours 1, 2 et 3 après le vaccin.

Pourquoi veut-on l’imposer de telle façon que les emplois des gens, leur éducation et leurs moyens de subsistance dépendent d’une décision potentiellement fatale? La tension est à couper au couteau. Il y a des parents qui disent « Je veux que mon enfant aille à l’université cette année mais je ne veux pas le perdre à cause du vaccin. » Ils savent ce qui se passe, Internet regorge de ces cas : caillots sanguins, accidents vasculaires cérébraux, mort immédiate. J’ai de la chance, je n’ai pas directement perdu de patient à cause du vaccin. Je vous l’ai dit, la plupart se sont fait vacciner en décembre, janvier, février. Sur la base des données de sécurité maintenant, je ne peux plus le recommander. Je ne peux pas le recommander. Il a dépassé toutes les limites pour pouvoir être considéré un produit sûr. Ce n’est pas un produit sûr, aucun d’entre eux ne l’est. Il n’y a pas que Johnson et Johnson. En fait, plus d’événements de sécurité aux États-Unis se sont produits avec Moderna et Pfizer.

Il existe maintenant des articles écrits par d’éminents scientifiques appelant à un arrêt mondial du programme. Il y a d’éminents virologues, dont beaucoup, y compris des lauréats du prix Nobel, qui disent : « Si nous vaccinons les gens et que nous créons une bibliothèque très étroite et incomplète d’immunité, ce que fait le vaccin – les vaccins sont tous ciblés sur la protéine de pointe de Wuhan qui a disparu depuis longtemps, elle est éteinte, les patients se font vacciner pour quelque chose qui n’existe même plus, cette protéine de pointe de Wuhan est partie, nous espérons que l’immunité couvre les autres variants mais cette immunité étroite est un piège, c’est comme donner à tout le monde un antibiotique à spectre étroit – si on le faisait, ce qui se passerait c’est qu’on élèverait des super-bactéries. » Il y a des avertissements qui disent « Ne faites pas ça! Ne vaccinez pas le monde entier. Tout ce que nous allons faire, c’est créer un super-virus qui va vraiment anéantir les populations. » [NdT. à l’heure où je traduis ceci, il y a un « variant of concern », le Delta+, sur lequel il circule des choses inquiétantes, mais ce n’est pas vraiment une nouveauté]

Donc, pour de nombreuses raisons, le vaccin, la vaccination aveugle, est une idée horrible. C’est une arme biologique épouvantable qui a été balancée sur les peuples et qui va causer de grands dommages personnels – ce qu’elle a déjà fait, des milliers de personnes ont déjà perdu la vie. Je n’ai jamais perdu de patient direct, mais j’ai vu mes patients perdre des membres de leur famille, beaucoup d’entre eux. J’ai rempli un rapport de sécurité sur un patient qui a développé des caillots sanguins après l’un des vaccins Moderna et ça m’a pris une demi-heure. Il comportait beaucoup de pages et chaque page disait « Attention! Infraction fédérale passible d’amendes et de peines sévères » si je falsifiais le rapport. Tous ces milliers d’Américains qui sont morts avec le vaccin et les hospitalisations dans la base de données, je pense, sont réels. Et ils sont bien au-delà de tout ce que nous avons jamais vu.

En tant que médecin et en tant que citoyen public, je suis extrêmement préoccupé par ce vaccin. Le centre de vaccination juste en bas de ma rue est vide. Je passe devant tous les jours. Les Américains savent, ils se parlent, le vaccin n’est pas sûr et maintenant les parties intéressées du vaccin ont comme objectif que les enfants se passent d’accord parental et maintenant ils veulent rentrer dans les églises.

Les Américains et les gens du monde entier devraient être extrêmement alarmés.

Une agence ou une personne a-t-elle tenté de vous faire taire par des menaces ou d’autres formes d’intimidation?

Ma situation personnelle, ma situation professionnelle est une position de force. Et ceux qui ont tenté, de quelque manière que ce soit, de faire pression sur moi, de me contraindre ou de me menacer de représailles en ont payé un prix extraordinaire. Je pense que c’est un message important à faire passer.

Il existe une position de force, basée sur les principes de compassion et du serment d’Hippocrate et d’une relation fiduciaire qu’un médecin doit à un patient, et un médecin éminent à une population, qui l’emporte sur toutes toute autre intention malfaisante.

Et ce que je dis, c’est « Qu’ils essayent ».


Le Dr McCullough est interniste, cardiologue, épidémiologiste et professeur de médecine au Texas A & M College of Medicine, Dallas, Texas, États-Unis. Depuis le début de la pandémie, le Dr McCullough est un chef de file de la réponse médicale à la catastrophe du COVID-19 et a publié « Bases pathophysiologiques et justification du traitement ambulatoire précoce de l’infection par le SRAS-CoV-2 (COVID-19) » première synthèse du traitement multimédicament séquencé de patients ambulatoires infectés par le SRAS-CoV-2 dans l’American Journal of Medicine et mise à jour par la suite dans Reviews in Cardiovascular Medicine. Il compte 40 publications évaluées par des pairs sur l’infection et a longuement commenté la réponse médicale à la crise du COVID-19 à TheHill et sur FOX NEWS Channel. Le 19 novembre 2020, le Dr McCullough a témoigné devant le Comité Sénatorial Américain sur la Sécurité Intérieure et les Affaires Gouvernementales et tout au long de 2021 devant le Comité Sénatorial du Texas sur la Santé et les Services Sociaux, l’Assemblée Générale du Colorado et le Sénat du New Hampshire concernant de nombreux aspects de la réponse à la pandémie.

Pour plus d’informations sur le Dr McCullough, veuillez visiter : heartplace.com/dr-peter-a-mccullough

Interview du Dr Peter McCullough (transcription intégrale en anglais).

Note to my English readers : this is the full transcription of an interview found here. Please feel free to use it as you see fit, and please be so kind as to mention this here source page. It was a lot of work.

Pour les francophones, la traduction est ici.


Dr. Peter McCullough has been the world’s most prominent and vocal advocate for early outpatient treatment of SARS-CoV-2 (COVID-19) Infection in order to prevent hospitalization and death. On May 19, 2021, I interviewed him about his efforts as a treating physician and researcher. From his unique vantage point, he has observed and documented a PROFOUNDLY DISTURBING POLICY RESPONSE to the pandemic — a policy response that may prove to be the greatest malpractice and malfeasance in the history of medicine and public health.

Dr. McCullough is an internist, cardiologist, epidemiologist, and Professor of Medicine at Texas A & M College of Medicine, Dallas, TX USA. Since the outset of the pandemic, Dr. McCullough has been a leader in the medical response to the COVID-19 disaster and has published “Pathophysiological Basis and Rationale for Early Outpatient Treatment of SARS-CoV-2 (COVID-19) Infection” the first synthesis of sequenced multidrug treatment of ambulatory patients infected with SARS-CoV-2 in the American Journal of Medicine and subsequently updated in Reviews in Cardiovascular Medicine. He has 40 peer-reviewed publications on the infection and has commented extensively on the medical response to the COVID-19 crisis in TheHill and on FOX NEWS Channel. On November 19, 2020, Dr. McCullough testified in the US Senate Committee on Homeland Security and Governmental Affairs and throughout 2021 in the Texas Senate Committee on Health and Human Services, Colorado General Assembly, and New Hampshire Senate concerning many aspects of the pandemic response.

For more information about Dr. McCullough, please visit: heartplace.com/dr-peter-a-mccullough


On May 19, 2021 Dr. Peter McCullough was interviewed by author John Leake in Dallas, Texas on the subject of Dr. McCullough’s treatment and research of Covid-19.

Peter A. McCullough, MD, MPH, FACP, FACC, FAHA, FCRSA, FCCP, FNKF, FNLA
Professor of Medicine, Texas A & M College of Medicine
Board Certified Internist and Cardiologist
President Cardiorenal Society of America
Editor-in-Chief, Reviews in Cardiovascular Medicine
Editor-in-Chief, Cardiorenal Medicine
Senior Associate Editor, American Journal of Cardiology

I’m doctor Peter McCullough and I’m an internist and cardiologist, an academic physician, Professor of Medicine at Texas A and M College of Medicine on the Baylor Dallas campus. And in February of 2020, like many physicians I was really taken by storm with the news that a tremendously contagious virus was emanating out of Wuhan, China and it looks like the United States was in the crosshairs.

When you heard the first reports of this novel respiratory illness headed our way, what were your intial thoughts about how to prepare for it?

In the beginning, in my clinical practice I really didn’t have any viewpoint about prior viral pandemics. Some had mentioned prior influenza pandemics. We go back to the 1300’s it was, you know, plagues that occurred across Europe. But point in fact we were largely and very quickly thrown into emergency mode. And so what happened was a whole series of communications within health systems that really dealt with protection of the doctors and nurses. Americans were introduced to a term called PPE – personal protective equipment. And most of our task force meetings and calls really didn’t have to do with sick patients. It had to do with protection of the health care workers and doctors. So I got a sense early on that fear – group fear – was a major driver in the behavioral response to the pandemic.

My research endeavors – and my research life before Covid-19 – centered on the interface between heart and kidney disease. I’m the President of the Cardio-Renal Society of America, I’m considered the most published person on this topic in the world and history. I chair many FDA-approved clinical trial, data safety monitoring boards. In fact I’ve probably seen and examined more drug safety trial data than any doctor in current American medicine. So I’m well grounded in chronic disease, epidemiology and randomized trials.

But for Covid-19 our major viewpoint that we had early on – or at least for me with my prior cardio-renal collaborations – was with Italian doctors and so we were starting emailing each other in terms of what is going on in the metro Milan area – in Milan and then down to Sienna, in Tuscany – and we quickly started to get an understanding that this illness was like an upper respiratory infection, like a common cold – and for a majority of individuals it was like the common cold. However in some individuals it could progress to what we call the adult respiratory distress syndrome where there’s an overwhelming attack against the lungs. Patients lost their ability to breathe and exchange oxygen and carbon dioxide and then required mechanical intubation. So this was unlike any common cold and it appeared to be very different than influenza. Influenza in elderly people can also cause the adult respiratory distress syndrome but it’s almost always because of a secondary bacterial infection like staphylococcal infection.

So Sars-CoV-2, the virus in Covid- 19, appeared to have these special features. And then within a few weeks we understood pretty clearly that the illness had three major biological features to it. One was early viral replication where the virus replicates exponentially as other viral infections do. And that it has a second phase where the immune system is tipped off into a very abnormal, maladaptive pattern. So instead the immune system defending the body, the immune system sends out signals that begin to damage organs including the heart, the lungs, the kidneys, the brain, the blood system.

And then very importantly the virus itself through the spike protein – or the dangerous spicule on the surface of the ball of the virus – the spike protein itself caused coagulation or blood clotting. And a unique type of coagulation. It caused the red blood cells to stick together, at the same time the platelets stick together. So this is a very different type of blood clotting that we would see with major blood clots in the arteries and veins – for instance blood clots involved in stroke and heart attack, blood clots involved in major blood vessels in the legs. This was a different type of clotting and in fact the Italians courageously did some autopsies and found micro-blood clots in the lungs. And so we understood in the end the reason why the lungs fail is not because the virus is there, it’s because micro-blood clots are there.

What were you seeing in the initial reports about Covid-19?

The waves of reports and published medical literature originally emanated out of China – the early ones – and the public should understand that the typical publication cycle for an academic paper that’s peer-reviewed and published can be anywhere from nine months to two years. So what happened was, the publication cycles were too long to get any rapid information out. So immediately our system collapsed into what’s called pre-prints. So publications would be submitted, papers would be submitted for publication but the pre-print would come out basically telling the world that the paper had not yet undergone peer-review but we need to get this information out now because people need to understand what’s going on. So we had a wave from China originally which was difficult to interpret because of English writing, because the Chinese population is just so different in terms of its structure and it was hard to make much out of what was coming out of China outside of, in some cases it could be fatal. Italy was much more like the United States. That was the next big wave and we just collaborate more freely with the Italians. And what I had done is I’d reached out to what’s called the Cortical [?] network in Italy as an American doctor. And I freely said, « Listen, I am not a virologist and immunologist but I can tell you every infectious disease doctor in America has completely subscribed to inpatient care of patients with Covid-19 and there’s nobody able to kind of think their way through what’s going on in the pandemic. »

And so what we learned relatively early is that this illness was clearly and strongly amenable to restratification or that baseline risks were very, very strong determinants, even more so than the virus itself, for mortality. So what that meant is, the strongest determinant of mortality is age, and age itself is an underlying determinant or cause of death, if you will, in the general population. Then we started adding on the typical things that put people at risk for death of other causes : heart disease, lung disease, kidney disease, cancer, obesity, diabetes. The interesting thing is that obesity appeared to be a super-loaded factor and so the virus seemed to really prey upon patients particularly who were obese. There are some reasons for this in terms of how the cytokines and immune factors are generated in response to the virus that could explain it. But we understood quickly that individuals under age 50, for example, with no major medical problems could ride through this illness very easily. In fact the Swedes figured this out very quickly and said « You know what, we’re not going to shut down, we can just… this is sufficiently understood that we can simply protect the individuals at risk the best we can – the best that any protection measure can – and then we’ll just have our economy and our schools move along in the usual fashion. »

With the pandemic what happened is, there was a global shut down on travel and a global shut down on academic meetings. So for the first time in my career we could no longer meet with our colleagues, in the United States or overseas. In academic medicine, its life blood is meeting and interchange of ideas. And so for the first time we could not freely interchange ideas as a group. In fact I recall a teleconference early on held by the National Institutes of Health strictly actually by the division of insulin, of diabetes and kidney disease. It was that institute that I’m aligned with in terms of clinical trials and it was led by Dr Robert Starr – a terrific scientist. And as I recall there were hundreds of people on their call to just learn about what was going on in other centers and people were asking each other « What are you seeing out at UCLA, what are you seeing at Baylor, what are you seeing at Harvard? » And so we were literally just communicating to try to understand what in the world is going on with this virus : who needs to be hospitalized, what happens when they’re hospitalized, who needs mechanical ventilation? All of these interactions had to settle on the idea that this was enormously amenable to restratification. People under age 50 without any medical problems, unless they presented with severe symptoms, they were going to be fine, honestly it was gonna be like a head cold. But over age 50 they became a real risk of hospitalization and death. And the two important endpoints were hospitalization and death. You ask Americans « What are you afraid of? You’re afraid of getting a cold and being at home for a few days or a few weeks? » « No. I’m afraid, I’m deathly afraid of being hospitalized and obviously afraid of dying. »

Why was the hospitalization so frightening? Because for the first time patients would be hospitalized, they were put into isolation, they could never see their loved ones again. Those who died actually never did see their loved ones again. The workers were terrified, they were wearing personal protective equipment, they had very reduced visitation to patients in rooms, they started using telemedicine services where the poor patients were in glass rooms, no one was coming in and seeing them and the care that was offered was modest. Honestly it was supportive care until patients needed to go on the respirator. So to sit in the hospital on oxygen, terrified day by day by day, no one being able to come in the room, not being able to see family. These messages got out to other family members and it put America on watch with extraordinary fear.

Now over the last year I’ve published – and I’ve managed to get this out despite our incredibly difficult publication cycles – I’ve published 40 peer-reviewed papers on Covid-19. That may be more than anybody in America. And one of my very first papers, the title of it, the paper dealt with what are the important outcomes : that’s hospitalization and death. And when I started to see that scoreboard come up on the major media channels where it listed positive cases and deaths – and all Americans remember this – this was up there almost instantaneously, it came from Johns Hopkins. Instantaneously it was cases and deaths – I kind of wondered how did they get that information so quickly? That was amazing. We don’t have death certifications and other things that are very rapid at all and who could be determining this? But at any rate it was up there and what I said was, what we really need to know was, who’s being hospitalized because if we can’t figure out who’s being hospitalized and we can’t figure out where the hospitalizations are occurring we don’t know where to allocate resources. So I published a paper on this in the journal that I edit, Reviews in Cardiovascular Medicine. I immediately wanted to reach the American public. I published an op ed in The Hill, which is a newsletter out of Washington, and I said « Listen, there’s an emergent need : we need the hospitalizations » and I screamed as loud as I could to the administration to say « Listen, get an executive order to get the US hospital census every day so we could see what was going on. » It never happened. We got an executive order to get the positive test results to come in from all the major laboratories and through the hospital laboratories because all the tests for the virus were under the emergency use authorization so it was linked to an executive order. So the positive tests were just coming in to the Johns Hopkins Center, so we knew who tested positive. There was no control over duplicates by the way so if a patient had one or two or three tests, unless the system had a way of actually filtering out these duplicates, those piled on. And it really didn’t take into consideration who was sick and who wasn’t sick. So we just had test-positive and then we had the deaths which started to take on a cadence of trailing by about four weeks after a positive test cases. But that whole death ascertainment was a real mystery to Americans.

And what I said, I think it was around March or April, I basically made the statement relatively publicly, I said « Listen, there are two bad outcomes : hospitalization and death. I’m going to put together a team of doctors and figure out how to stop these hospitalizations and deaths. » I felt compelled as an academic leader in medicine if no one in the White House could say that, no one in the White House task force could say that, if no one in the FDA could say that, or the NIH or the CDC and Americans were pouring into hospitals and dying. No one could make that courageous statement uniquely and individually and alone, I made that statement.

How did you conceptualize the problem of Covid-19 and how to deal with it?

We had, as our country’s leadership, an inability to frame the problem. The problem was, there was a virus, it was popping up in clusters in the United States and in most people was causing a cold and they got through it just fine and in other people it was leading to hospitalization and death. We couldn’t frame the problem that the virus in some people causes hospitalization and death. Let’s stop it, let’s stop the hospitalizations and deaths, let’s treat the virus. We could not frame that problem, our leaders couldn’t frame the problem. I personally didn’t have any problem framing the problem. It’s a bad thing. If there was another form of pneumonia out there I would have said the same thing, another form of newly acquired asthma, another form of uro-genital infection or gastrointestinal infection.

Ebola had just been actually in Dallas a few years earlier. I think Ebola hurt us in terms of our thinking, because Ebola was so terribly contagious and so quickly fatal that the fear that Ebola created in Dallas was extraordinary. I’ll never forget in our Medical Center, one time I tried to get in one of the usual doors that I go into and there was a police officer there. I said « What’s going on? », he goes « We’re here to block anybody with Ebola from coming in our hospital. We’re going to shut them to Presbyterian Hospital north of us. » When do we shut patients away from one hospital? The fear that Ebola created because of this idea it was terribly contagious and fatal quickly, I think set us on edge. And with the Sars-CoV-2 virus what we learned is, the average person sits at home for two weeks, there’s no immediately lethality to the virus. In fact we’ve got a long window of time to make a diagnosis, organize treatment and prevent hospitalization and death. So Sars-CoV-2 was very different from Ebola.

But we [must] look at other conditions where we readily accept the fact that somebody can fall ill at home but if we start treatment early with an infection we can save the patient. That exists for community-acquired pneumonias, it occurs for various forms a staph infection, staphylococcal toxic shock syndrome, it occurs for diverticulitis and abdominal conditions, it occurs for skin infections, various forms of cellulitis, it occurs from meningitis. If for instance, if someone had a form of meningitis, we wouldn’t say « Listen, sit at home for two weeks then if you’re really, really bad and you’re having seizures and you can’t even breathe anymore then come to the hospital, we’ll start treatment. » So the different unique aspect of the medical response to Sars-CoV-2 and Covid-19 was, for the first time we had an infectious disease where the medical community settled into a group think and this was supported by the NIH, the CDC, the FDA, the American Medical Association, all the medical societies. It was supported by these societies to tell doctors « Don’t touch this virus, let patients stay at home, let them get as sick as humanly possible and then when they can’t breathe anymore then go to the hospital. »

In fact it was shocking, October 8th, when the National Institutes of Health came out with their first set of treatment guidelines because prior to that none of the societies had any treatment guidelines. They actually didn’t tell doctors how to treat the illness. Now there were suggestions about what should be done in the hospital but Americans cared about what was going on when they got sick at home. And the first set of the guidelines said « You get sick at home, don’t do anything. Don’t do anything, come into the hospital when you really can’t breathe, still don’t do anything until the patient needs oxygen, then start doing something like then actually give the first anti-viral drug which was Remdesivir. » Well that’s 14 days after the virus had already started replicating. By that time the virus is long gone. When people can’t breathe the problem is micro-blood clotting in the lungs. So the federal agencies, the CDC, the NIH, and FDA were enormously inept in terms of perceiving what this problem was, incredibly inept in applying any type of judgment or direction to doctors. And what had happened among the doctors was « We’re so terribly frightened, we’re not gonna do anything unless we have the intellectual support from our associations, from our federal agencies, from our medical societies. » And it was just the opposite of what medicine had always been.

Medicine had always been early innovation by doctors, empiric treatment, small studies, randomized trials and then sponsored large randomized trials, in that order. And then after large randomized trials, then guidelines bodies would then look at all those large randomized trials, make determinations of what should be done and then those guidelines bodies would issue guidelines and then the federal agencies would follow the guidelines. That’s exactly what we do for mammography, colonoscopy, treatment of myocardial infarction, treatment of pneumonia. It always started out with early empiricism then getting to guidelines and agency statements years later.

Why was there an assumption that nothing could be done to treat people in the early stages of Covid-19 infection?

It was a dangerous assumption. To assume there’s nothing that one can do for a fatal infection is an enormous blunder. It’s a blunder by citizens, it’s a blunder by health responders and it’s a massive blunder by agencies. Can you imagine? Let’s make an assumption. And could our assumption lead to the absolute worst possible outcome which would be hospitalization and death? Or we can make another assumption and say « You know what, it’s treatable. We’re gonna try to treat it. » Which assumption is more dangerous? Absolutely the dangerous assumption is to do nothing.

You could take any example. Let’s make an assumption on traffic safety. You can assume that traffic safety rules and lines and stop signs and seat belts do something or you can assume they don’t. Let’s try and let’s have a free-for-all out on the streets right now and see what happens versus paying attention to some rules. We never make assumptions that are dangerous to people and the thing that really worried me about this whole thing is this is a series of extraordinarily dangerous assumptions. Can you imagine a senior citizen who has heart and lung disease, who recovered from cancer, has some kidney disease is handed a diagnostic test results that says « Here, you have Covid-19, now you have your fatal diagnosis. Our recommendations based on the assumption we can’t do anything is, go home and wait it out. And when that panic and that fear and that breathlessness and that fever is so overwhelming, when you can’t bear it any more, then go to the hospital. »

And how do people go to the hospital? They call family members. They contaminate all their family members, they call EMS, uber drivers, taxi drivers. Every hospitalization in America was a super spreader event. So this assumption that there’s nothing we could do and giving somebody a fatal diagnosis with no instructions led to a massive amplification of cases.

So what we could have assumed, and what I did assume, was that there are some principles we can adopt from other precedents. For example, every form of pneumonia known to man does better if treated early – even influenza. And that’s reason why Tamiflu, as an example – and there’s an analogous product – are FDA-approved for the treatment of influenza. They have some partial effect. Now do we ever use Tamiflu alone? No, we typically combine it with other drugs to get patients through the illness. There are supportive respiratory drugs, there are forms of inhalers – what’s called beta agonist inhalers and steroid inhalers. We use those liberally in forms of emphysema, pneumonia, asthma, allergic pneumonitis. There’s other things that we can do to help patients get through the syndrome. The inflammatory nature of the syndrome became very interesting. We understand that anti-histamines, as an example, Montelukast, aspirin, steroids, corticosteroids, play an important role. If I had an asthmatic at home, I wouldn’t say « Listen, sit at home for two weeks until you can’t breathe anymore and then go into the hospital. » Are you kidding me? I put that asthmatic on inhalers, I probably would use some empiric antibiotics in that patient and then some steroids and I’d prevent hospitalization to the best I could.

So I approached Covid-19 respiratory illness like any other with the following thought : we’d pretty quickly put together our approach based on other precedents including influenza, including asthma, including bacterial pneumonia. As follows that this was going to be amenable to restratification, those under age 50 who had no pulmonary symptoms, they could simply ride through the illness. We had data suggesting that nutritional deficiencies seemed to increase the risk for hospitalization and death. And so that’s where the nutraceuticals came in early on – that there was supportive data, not curative but supportive data, for zinc, for vitamin D, vitamin C and interestingly a polyphenol substance called quercetine. There were some others that were considered including lysine and N-acetylcysteine. They became what we call the nutraceutical bundle. So is it kind of reasonable to do that in patients? I would say, yeah, if it’s linked to mortality, we don’t know anything else, there’s no harm in these supplements, they are readily available, people come by them. So we recommended the nutraceuticals bundle for those under age 50 and really no medical treatment. That amounted to roughly, of people getting ill at the time, probably two thirds to three quarters of patients really need no treatment.

However someone below age 50 with medical problems, presented with severe symptoms, or over age 50 with medical problems, it became clear that the rates of hospitalization and death were greater than one percent. That was enough. Greater than one percent is kind of a magic number in this whole equation. That’s enough to do something. We knew somebody at age 60, for instance, would face about an 18 percent chance of hospitalization and death. 18 percent chances is too high. In my field, cardiology, our guidelines say anything more than 5 percent is high risk, one to 5 percent is moderate, less than one percent is low risk. In general anything less than one percent we don’t go after. So in this low risk group, we didn’t go after, but age over 50, young people presenting with severe symptoms, we went after. So with this nutraceutical bundle.

What do we know next? The timeline was very interesting. We knew from Sars-CoV-1, that’s 80 percent similar to Sars-CoV-2, we knew from studies dating back to 2006 that hydroxychloroquine, a drug that’s used for lupus, that’s used for rheumatoid arthritis, it’s used for other rhumatologic conditions including dry eyes as well as malaria, safe, was effective in reducing the viral replication of Sars-CoV-1. We knew that and so the United States knew that. In fact that drug was stockpiled by the United States government, Australian government, some European governments. So hydroxychloroquine was on-boarded appropriately and ready to rock-and-roll. In fact many countries frontlined hydroxychloroquine for high risk patients and still do so today. You can go to Athens, Greece, Rome, Italy, across all of Eastern Europe, Central and South America, hydroxychloroquine is the lead drug. India and East Asia, hydroxychloroquine is the lead drug.

So hydroxychloroquine played a role. We also knew that by the summer, we knew that ivermectin played a role – this is an anti-parasitic drug use for scabies and other illnesses, safe and effective. So these drugs, reason why they work against the virus is they get inside cells. A lot of antibiotics like penicillin doesn’t get inside the cell but these, what’s called intracellular anti-infectives do. Japan had an influenza drug that had the exact same activity as Remdesivir, the first US-approved in-patient IV drug. That drug’s called Favipiravir and the Japanese had data to suggest that Favipiravir, like oral Remdesivir, will play a role early on. It was readily approved by five countries, FDA-approved, FDA-equivalent-approved in those countries to treat Covid-19.

So we had hydroxychloroquine, we had ivermectin, Favipiravir, we combine it with either doxycycline or azithromycin. Those are antibiotics Americans know about. They get inside of cells, they’re also intracellular anti-factors and they were slightly assistive in a couple of ways. They cut down on some of the bacterial super-infection that would occur in the sinuses and respiratory tract and we knew for some studies that there was about a 3 percent overlap between Covid-19 and what’s called a atypical pneumonias which could be mycoplasma, chlamydia pneumonia. And these would also be responsive to these. So quickly hydroxy[chloroquine] and azythro[mycine], ivermectin and doxy[cycline] these were common of every peer-reviewed [treatment] and became common intracellular anti-factors.

But those alone didn’t carry the day because what happened is the viral replication tipped off what’s called cytokine storm where the immune system is going haywire. And so doctors early on in the hospital started using steroids and we had some confusing literature : « Are they hurting, are they helping? » And the British helped out a lot with the study, an inpatient study called the Recovery Trial. And the Recovery Trial picked an odd corticosteroid, dexamethasone in an odd dose, 6 milligrams a day – we typically use like 10 milligrams 4 times a day so an odd dose – but did show a small reduction in mortality. And it was a meta analysis published, looking at hydrocortisone, prednisone. It turned out any steroid worked in some reasonable dose. So in the United States we quickly adopted using prednisone which we use in asthma frequently. And then another trial in the UK was done called the Stoic Trial using inhaled budesonide. Now that was a very interesting development because there was a maverick doctor, former military doctor Richard Bartlett from West Texas – he would make the national news by saying « You know what, I thing inhaled budesonide works. » He said that early in the spring, and he was on national news. He said « You know, I’m trying. I’m a doctor, I’m trying to help my patients, I am using empiric treatment, I know there’s no randomized trials. » But he was doing the right thing. That’s what American doctors all should have been doing, it’s trying to help their patients by taking empiric choices on drugs that make clinical sense. And he tried it and indeed it worked. The British did the Stoic Trial and sure enough there was over an 80 percent reduction in hospitalization if we just used inhaled budesonide in outpatients with Covid-19. So that made it on board.

Montreal Heart Institute, one of the leading overall randomized controlled trial centers in the world, got funding from the National Institutes of Health, Gates Foundation, Canadian authorities and tested a gout drug which works against the immune system, particularly works against the white blood cells and their ability to proliferate toxic granules and assemble microtubules. That drug’s called colchicine. So Americans will recognize this as a gout drug. They carried out and conducted a prospective randomized trial, a double blind for 30 days, the best quality trial done in all of Covid-19 and they demonstrated that there was a marked reduction in hospitalization and death. So colchicine came on board.

And so the last thing that we really had to look at was blood clotting. And to this day there has not been a single outpatient study of drugs to impair platelet aggregation or anti-thrombotic. However we can learn from in-patient studies – and there’s been very good analysis, they all agree – the use of full-dose aspirin in the hospital is associated with reductions in mortality and the use of full-dose anticoagulation, whether that be injectable, low molecular heparin, full heparinisation – we can even use oral anticoagulants as an outpatient – is associated with reductions in mortality.

So what I’d been doing is, I was working with the Italians looking at how these concepts would come together and I published a paper in the American Journal of Medicine in August of 2020. And I have to tell you, when I looked at the literature through the spring, working with the Italians, there would have been by the time I submitted the paper on July 1st, there were 55.000 papers in the peer-reviewed literature. Not a single one taught doctors how to put drugs in combination and treat the virus. And it seems so odd to me. We knew this was a fatal viral infection. In fatal viral infections single drugs never work. We knew this in HIV, we knew that we needed multiple drugs in HIV, we knew this for hepatitis C, we knew this for all the other fatal viral infections. We use drug combinations, never single drugs. And the only thing we could do at that time is look at studies of single drugs and find signals of benefit, acceptable safety and then assemble memento regimens. The clinical trials testing a 4 to 6 drug regimen, those haven’t even been planned yet. I mean, the mortality rate would have been astronomical if somebody didn’t step forward and have the courage to publish the concepts. And I guess that’s what my role is in world’s history for this.

I published a paper called « The pathophysiological rationale for early ambulatory treatment of Covid-19 » and it was published in the August issue of 2020 of the American Journal of Medicine. To this day that’s the most widely downloaded paper from the journal of all topics. And it went viral, and literally it went viral, because the world was thirsting for an approach to Covid-19. Now quickly after that was published, I was managing all different types of communications regarding the paper – scientific and also media-related – and we had supportive data now coming in strong for ivermectin, for colchicine, for inhaled steroids. And operation Warp Speed had delivered monoclonal antibodies directed against the spike protein, the pathogenic part of the virus, and they included a product from Lilly another one from Regeneron. So I needed to update the algorithm and I put that together and published that in the journal that I edit, Reviews in Cardiovascular Medicine but with a separate issue, with a separate unbiased editor, and that I didn’t have influence on to make sure that was fully peer-reviewed and vetted, which it was, and that was published in Reviews in Cardiovascular Medicine in August of 2020. By that time there was almost 100.000 papers in the literature. And outside of my first paper there wasn’t a single other paper that actually proposed a regimen or protocol to treat patients with Covid-19.

It was almost extraordinary that we were over 9 months into a fatal pandemic influence in the world and no one could come up with an original idea of how to put drugs in combination to treat the virus. We didn’t have the Harvard protocol, we didn’t have the Johns Hopkins protocol, we didn’t have UCLA , we didn’t have a World Health protocol. So this was extraordinary that all the fire power we had in academic medicine, they just drew a blank. Matter of fact, if you look at these centers across the United states, across the world, they never opened up Covid treatment centers. They didn’t have outpatient Covid treatment centers. They didn’t attempt to study or help a single outpatient with Covid-19.

Why were there not more doctors speaking out or offering solutions for early treatment of Covid-19?

My contribution was, I think, the ability to publish the ideas. This is very important. Others had the ideas. Vladimir Zelenko in New York City, orthodox Jew, stepped out of the box. He said, « Listen, we need to treat this, we can use some drugs in combination, hydroxychloroquine, azythromycine, steroids, other drugs » and he started putting drugs in the combination. Richard Bartlett in West Texas, Brian Tyson and George Reed – former NIH scientist George Reed came out of retirement – they went to really the crucible of Covid-19 down to California Mexico border and just opened up a clinic and opened a tent and people started walking up and they started treating them. Didier Raoult in southern France said « Listen, we can treat this. » Him and a group of courageous French doctors opened up a large clinic in southern France and started treating patients. We had Yvette Lozano in Dallas – she took her general practice building by White Rock Lake and turned it into a Covid treatment center. She converted all her rooms to treating patients of Covid – oxygen concentrators, had all the drugs, there’s pictures of patients lining up on the sidewalk to receive treatment. So it’s interesting how the innovators were all independent, courageous doctors and the academic medical centers drew a blank. They couldn’t even pitch a tent to help people. And to me it was stunning that the academic medical centers or even the large community centers couldn’t help a single outpatient. They couldn’t even provide a patient brochure of what should be done. The CDC offered guidance like, « Take some Tylenol and if you get really sick go to the hospital. » The response to a treatable outpatient problem that gave us two weeks of opportunity to do something – the lack of that response was stunning.

It had to do in my view because of a whole timeline of events that put a chill on the attempts to treat Covid-19. Doctors and health systems and others, I think, in a relatively short order, became actively discouraged from treating Covid-19. I can tell you, I never got an encouraging email or phone call saying « You know what, do the best you can for your patients, try to help them, these hospitalizations are terrible. Please, we support you in using your best judgment » or « Here’s a few suggested things you could do. » I never got any of those emails from medical societies, from others.

In fact it was only one medical organization – just like there’s, you know, a few courageous medical doctors, there was one courageous medical organization – the Association of American Physicians and Surgeons that saw what was going on. And interestingly that organization is an organization that represents independent doctors, not those employed by hospitals or big medical groups or medical schools, but independent doctors. And they saw what was going on and the first thing that they attacked was the stockpile of hydroxychloroquine. So what happened was, the US had an ample supply of hydroxychloroquine and the only issue was, start using it and start putting it into combination with other drugs to treat Covid-19. Seemed terrific, and the first event in the timeline was the FDA emergency use authorization for hydroxychloroquine. So the listener should understand that an emergency use authorization would be for a brand new drug or product where there is a great unmet need, there’s not enough time to do all the testing, and that we would do an EUA for that. There’s a government mechanism for that. It’s under emergency circumstances. That wouldn’t apply to hydroxychloroquine. It was already fully FDA-approved, it was out for 65 years, it was safe, they used it in pregnancy, we knew all of its safety profile, doctors know how to use a hydroxychloroquine, I used it in my practice, it was just not a big deal. It didn’t need a EUA.

But so the EUA that went out to hydroxychloroquine said, you know this EUA with language in it that says « restricting hydroxychloroquine to inpatient use ». Okay. And so of one of the first big studies out of the block was done in thousands of patients out of Henry Ford and it was great news that hydroxychloroquine was associated with a large reduction in mortality if applied early. But the later it was applied in a hospital stay it didn’t look like it, the patients were too far gone. I wrote the response to that in several publications across the United States and one was an op-ed in The Hill because as I saw this, I basically made the case that that emergency use authorization was an effective restriction. It should be lifted and we should use hydroxychloroquine wide open.

And then something really terrible happened. Keep in mind that the Henry Ford data was very positive, we had the EUA, the US had stockpiled it. The National Institutes of Health, the allergy and immunology branch, had commissioned a several-thousand, prospective, double blind randomized placebo-controlled trial of hydroxychloroquine and azythromycin in outpatients of Covid-19. They funded the trial, they got the drug supply, they got the placebos, they set up all the study centers in the United States, we were all ready to go. That was in the spring. Terrific. Everything’s coming together.

And then what happened was a fake paper was published in The Lancet. A fake paper. Now the listener should understand that The Lancet is like the New England Journal of Medicine, one of the most prestigious medical journals in the world. And when a paper is submitted, there are so many checks on validity – where’s the paper coming from, where is the data coming from, validating the data – then it’s sent out to peer reviewers who are independent, they would check everything in the paper, they give comments about, was this reported, was that reported, there’s so many checks on papers. And then it comes back and then there’s an editorial decision made on a paper and then it’s published. That’s called peer review. That ensures to the public that papers are not fake. It’s very important and it ensures the public that things are not falsified. Well this paper had authors from Harvard, it came from a company called Surgisphere – that no one really understood this company was about – and the data was a large dataset of inpatients with Covid-19 from all over the world that had in-depth drug exposure data. We didn’t have that back then. That was from December, January, February, this was just emerging. We didn’t have this. The average age in their paper was 49 years old and the paper implied that use of hydroxychloroquine was dangerous. And Lancet published this falsified paper. Somehow it fell through all the other peer-review, back, and how could they possibly publish it? And as soon as it came out, I knew in two seconds said it had to be wrong. We don’t hospitalize people in their forties. And hydroxychloroquine is in fact is associated with benefit, not harm.

This paper in The Lancet frightened the entire world. It was like a shockwave and there was a whole series of reactions. People started publishing papers « Oh, hydroxychloroquine could be dangerous, all these academic doctors. Case closed, hydroxychloroquine doesn’t work, stop using it. » Hospitals started pulling it off the formularies. It was extraordinary what happened with hydroxychloroquine. In fact the US FDA put out language that said « Hydroxychloroquine shouldn’t be used, period. We’re canceling the EUA for inpatient use and it shouldn’t be used, period. » So that FDA language then went to the EMA and EMA said « Don’t use hydroxychloroquine, period, inpatient or outpatient. » That went to the Pharmacy Boards. Pharmacy Boards said, « Oh, doctors shouldn’t be using this. » So as doctors were treating patients in the community prescribing hydroxychloroquine, next thing you know patients would show up to the pharmacy, the pharmacist said « Sorry I can’t dispense, my board says that I can’t. » And then doctors licenses started to become threatened and then, you know, there was a cascade of events. Hydroxychloroquine being the lead that put a chilling effect on anybody’s attempt to treat Covid-19 as an outpatient.

Why did the regulatory authorities and mainstream media tell the public that Hydroxychloroquine was dangerous and ineffective?

Hydroxychloroquine, I think the fair statements are it’s the most studied and utilized therapeutic in the world for Covid-19 today. There are hundreds and hundreds of studies. And hydroxychloroquine was appropriately acquired and stockpiled by the US government. President Trump, who I personally think was very weak in the response, he could not articulate that hospitalizations and deaths were a serious problem, he could not assemble a team of doctors who were learning how to treat Covid-19. Neither could the NIH or the CDC or the FDA. We had gross failures from US presidence and the major agencies. Can you imagine that, to this day, we still have not had a doctor in any position of authority in the United States who’s actually ever seen a patient with Covid-19 and treated them. None. It is extraordinary what’s happened.

So President Trump mentioned hydroxychloroquine, « Let’s try to give it a shot. » And then immediately he was bashed down by his detractors. I thought it was a very weak statement to begin with but he was bashed down. People have always held him up as « It was Trump, if he hadn’t mentioned hydroxychloroquine, none of this would have happened. » I disagree. I think that there was an enormous effort to suppress early treatment, hydroxychloroquine was an initial lightning rod. Remember I mentioned that NIH trial? You know what they did after 20 patients? Disingenuously they said they couldn’t find Covid-19 patients and they shut down a several-thousand patients trial. They shut it down after 20 patients. That never happens. They purchased the placebo, they found the study centers, they had the binders, they had the nurses hired, they had everybody ready to treat Americans with hydroxychloroquine and azythromycin and they gave up after 20 patients. That was extraordinary.

The false paper published in The Lancet was extraordinary. We started to have an array of incredibly flawed papers publishing exaggerating cardiac effects of hydroxychloroquine. « Oh, it could cause dangerous arythmias. » There was one that I mentioned my US Senate testimony, it came from Mayo Clinic. It said hydroxychloroquine could cause a scar in the heart. Actually they had a heart that showed a huge white scar. In fact I ultimately hunted down that paper, hunted down the authors and the publisher, and I demanded a retraction. Ultimately I got a conciliatory letter published saying « You know what, we’re sorry it doesn’t really cause a scar on the heart. »

So people started to intentionally try to damage hydroxychloroquine so it would not be used in Covid-19. Yet other countries held with it steadfast. I mentioned all the countries to this day that use hydroxychloroquine. And now we have studies, for instance a study from Iran, in 30.000 patients a massive study. And they treat about 25 percent of people properly with hydroxychloroquine in combination with other drugs. And it has a massive reduction in mortality. So hydroxychloroquine’s a mainstay, the prospective randomized trials, we just isolate on them, pre-hospital studies are all positive. Now is it a game changer? No. I’d say it’s about a 25 percent reduction in endpoints but it’s very useful drug to get started early. It’s not a single drug, I wouldn’t rely on it alone. But hydroxychloroquine itself I think is a poster child for what happened.

You know, early on in this I became of national attention, I received calls from the White House, I was contacted by the US Senate, I became known on social media – which I was never on social media before. I’m not an immunologist, I’m not a virologist, I’m not an infectious disease doctor but I’m a good clinical doctor and I understand drugs and I understand drug safety very well. Hydroxychloroquine had a signal of benefit, acceptable safety. I was contacted by doctors in Africa who anonymously told me, « Dr McCullough, there are some bad guys raiding the pharmacies at night and they’re coming in and burning the hydroxychloroquine. » I said « Who are these bad guys? » They said « We don’t know but they look like they’re some type of mercenaries or operatives. » Mysteriously the second largest hydroxychloroquine producing plant, outside of Taipei, burned to the ground. So hydroxychloroquine as a simple, safe and effective drug, to this day, seems to be a poster child for worldwide, comprehensive efforts to suppress early treatment. And of interest, as the data came out with ivermectin, ivermectin became the next drug.

Now of interest with ivermectin, there was an associated group that formed called the Front Line Critical Care Consortium, the FLCCC, it was led by Pierre Kory. I identified him and Dr Paul Marik, I communicated with him, we had teleconferences and I recommended doctor Kory testify at the second US Senate hearings in December. Also Dr JJ Rajter from Florida. Dr Rajter had tried ivermectin in all of his sick patients in Florida hospitals and was enormously successful at reducing mortality. Publishes paper in Chest, one of the best pulmonary journals so I give him tremendous credit for that. And so Dr Kory and Dr Rajter presented what became a very compelling case for ivermectin. If people were sufficiently turned off by hydroxychloroquine, we could focus on ivermectin. Dr Tess Lawrie who’s considered one of the world’s most prominent analysts in the UK published – and Dr Andrew Hill, as well – published incredible analyses demonstrating that ivermectin reduced mortality, inpatient and outpatient. So a little different than hydroxychloroquine. Hydroxychloroquine takes a little time to work and probably doesn’t work at the very end of the illness but ivermectin miraculously works through the range of illness. And so the data started coming on for ivermectin and it was enough push-power for emphasis on the National Institutes of Health guidelines where they made a specific statement regarding ivermectin. They said « You know what, we understand the data with ivermectin. We can’t be for it but we can’t be against it. » It’s the same statement that they made for the emergency use of Regeneron and Lilly antibodies. The NIH said « We understand the data, we can’t be for it or against it. » But at least we got a neutral statement out of them.

Hydroxychloroquine still to this day has a series of negative statements on this and doctors have literally had to fight for their medical licenses in order to prescribe hydroxychloroquine. One by one by one, all of those licenses have been restored, all of those state rulings have been overturned, all the medical societies have been overturned. And hydroxychloroquine is used today, ivermectin is widely used today. Both drugs can not only treat the infection early but they can prevent it. And there’s prophylactic studies, they can prevent. If patients take these drugs periodically – typically once a week or so – they can prevent Covid-19 from becoming an illness. They are preventive.

In fact I led one of the very early studies of hydroxychloroquine here in Dallas, to protect our health care workers. These drugs are about 90 percent effective. They are about as effective as the vaccines in preventing acquiring Covid-19. When someone’s ill I never prescribe these drugs alone but I prescribe them in what I call sequence multi-drug therapy. But that is the approach that independent doctors have taken in the United States and uniquely not a single academic medical center today or community medical center today treats Covid-19 patients as an outpatient with the goal of reducing hospitalizations and deaths. Why would these centres not want to help their patients?

Why didn’t more doctors resist the directives against providing early outpatient care for their patients?

Doctors clearly have a group think. And doctors want intellectual support for what they do. This is why we meet all the time, this is why we go on rounds together, that’s the reason why we have conferences every day. We want to intellectually support each other for making decisions on patients for the assurances were making the right decisions. And what happened was, with the pandemic, all of our meetings were dissolved, we could not meet with each other anymore, there wasn’t a chance to have much intellectual support and each doctor, one by one, had to make a decision. When the next patient called and said, « Listen I’m sick with Covid-19, can you help me? », there was a binary choice. The choice was, « No, I’m not gonna help you, nothing works, there’s nothing I can do, just wait until you get hospitalized » or the answer could be « You know what, let me try. » And what we found is that binary choice was the biopsy of who really had courage and who really had excellent clinical judgment. And doctors who were not confident in their clinical judgment quickly said « You know what, there’s nothing you can do. » And they got into that group think. And that could have been 90 percent plus of doctors had a lack of clinical judgment and a lack of courage. And what I found in this whole thing is those two things are rare.

And for me it was just very natural. It was very natural. My father was one of the first nursing home Covid-19 patients in Dallas, he was the very first one at Presbyterian Village. He got Covid-19, had pelvic fracture, he’s flat on his back, a scared PA says « Your dad’s got Covid, he’s sent in unit, we don’t know what’s going to happen. » His mortality, being completely bedridden with dementia and now Covid, I can tell you he was facing an 80 percent mortality of just having Covid, just for average. So what did I do? Did I make that binary decision of doing nothing? Of course not! Of course not!

If I could ever message any American doctor, any doctor in the world right now, « Have some courage and trust your clinical judgement. » I did and that’s what real doctors do and I will never apologize for that. Of course my dad was treated with hydroxychloroquine, he was treated with azythromycin, he was treated with aspirin we put him on Lovenox, a blood thinner. The full nutraceutical bundle : zinc, vitamin C, vitamin D, quercitine. Open the windows, get that virus aired out there. And he got really sick as expected. He had dementia. His wishes were to not go to the hospital, not go in a mechanical ventilator, we treat him right there. It took 60 days and it was a long illness but he survived. And that was early. And that taught me that if I’m willing to do that for my father, I have a Hippocratic oath and I have a fiduciary responsibility to my patients. And I refuse to let my patients die of this illness. [cries]

And when I testified at the US Senate, I told the American people « I have always treated my high risk patients. Always. » And at the end of my opening statement I held up the protocol and I told the American people « I’m not asking for permission to do this. I’m not. But I’m asking for your help. » That’s a very, very important statement because my patients were appropriately treated to the best of my ability. And we have 600.000 dead Americans that were not treated appropriately and not treated to the best of the ability of their doctors. And that will go down in historical shame for our country. I think it’s a travesty that we have 600.000 dead Americans, and a vast majority of them didn’t get an ounce of treatment.

In fact there were medical groups that adopted policies that they won’t even answer the calls of Covid-19 patients and there were millions of patients needlessly hospitalized. We had data that came in later from Dr Zelenko in New York City, Dr Proctor here in Dallas who did the same exact thing, showing that our methods could reduce hospitalization and death by 85 percent. And I’m sorry, there are no prospective randomized trials of 4 to 6 drugs, there are none planned. So therefore without any large trials, they’re not going to be any guideline statements and without a guideline statement we’ll never have any agency support for this.

But this is about courageous doctors saving Americans and I will go farther than this : this is about courageous doctors saving the world.

So now we have the Association of American Physicians and Surgeons, we have FLCC in the United States, we have 250 treating doctors, we have four national telemedicine services, 15 regional telemedicine services, we’re treating 10- to 15.000 patients a day. Forget the US government, forget what anybody says about this, Americans are getting treatment that once our message of early treatment came to two US Senate hearings headed by Senator Ron Johnson, the hospitals started clearing out at the end of December, early January. Because early treatment markedly reduces spread and dramatically reduces hospitalization and death. It’s the only thing that does. The hospital doesn’t save all the patients. I’d say the hospital honestly has a very modest impact on anything with Covid-19. It’s all about early treatment.The hospitals started clearing out, the curves came way down in the United States, that’s before anybody was fully vaccinated.

And I testified at the Texas Senate on March 10, I said « Listen, by standard CDC equations, we’re at herd immunity. » By March 10. No vaccine effect. That’s actually just treating patients. In Texas we have 35 treatment centers, our protocols and methods work. And I have learned over time there are so many ways to treat the virus. I’ve had a seminar with Dr Shankara Chetty in South Africa, he said that hydroxychloroquine and ivermectin – just like in the United States – have become so politically charged, doctors were losing their license. In fact some doctors were jailed in trying to help patients with Covid-19. He gave up on them. He’s treated 4.000 patients, fewer than 10 percent got hydroxychloroquine or ivermectin. He treats them, he times the illness. He waits till day 8 and then he starts inhaled and oral steroids, he starts aspirin, other anti inflammatories, Montelukast and a hypospray usage of anticoagulants on the back end. And he saved virtually everyone, outside of a handful of patients, out of 4.000 sick patients in South Africa.

So what I’ve learned about this virus is if doctors do anything to try to help patients they can reduce hospitalizations and death. And the only reason why this is such a horrible thing in American history is because doctors failed to act.

Why, when it came to Covid-19, did so many doctors agree to depart from longstanding medical practice in terms of seeking and formulating early outpatient treatments for their patients?

The US FDA puts out thousands of drug warnings per year. In fact Americans know this because they see a drug advertised on TV that says, « Warning, may cause death may cause what-have-you. » So we get thousands of warnings per year. FDA recalls drugs, puts black box warnings on drugs. Doctors still use these drugs, they understand the warnings. About 40 percent of drugs are used « off the advertising labels. » So once a drug is older, its original advertising label doesn’t really apply so we use drugs « off label » all the time, that’s common.

But what happened in Covid-19 is, because of the tremendous fear that settled in over our country. Whatever statements came out by the US FDA, the NIH and the CDC started to take more weight than they ever would in the past. So if those agencies said something like « Don’t use hydroxychloroquine » that emanated down through the AMA, NA of the Pharmacy Boards where they actually denied patients hydroxychloroquine. In fact there are probably patients who died because the pharmacy did not dispense the hydroxychloroquine to patients or the ivermectin. There are doctors who started getting warning letters stating – Dr Richard Urso from Houston, another doctor stepped out of his role like I did to treat the virus got warning letters from the Texas Medical Board – « We’re gonna examine your license, we understand you’re prescribing hydroxychloroquine, trying to help Covid patients. » Okay. These doctors, Dr Robin Armstrong in Texas saved dozens of nursing home patients with hydroxychloroquine, azythromycine and steroids and blood thinners. The families think he’s a hero, the Texas medical board tried to take away his license. And so he had to go through hearings and reviews and ultimately he was restored, although his practice was just damaged if not destroyed.

Emails started coming down to big medical organizations « Don’t use hydroxychloroquine. » They later on came down and said « Don’t use ivermectin. » In fact there was, you know, flat out « Don’t do it. » We were getting official messages that basically said « Don’t take care of Covid-19. » These are codified in policies, in emails by major medical organizations and it went counter… Can you imagine getting emails saying « Don’t treat pneumococcal pneumonia, just let him die. Don’t treat meningitis, let him die. » We’ve never seen this. The term that applies to what’s going on is wrongdoing by those in positions of authority. It’s called malfeasance. We don’t put down a chilling, negative message that’s going to result in harm. We don’t do that. We don’t do that in a civil society. It happened from the NIH, the CDC, the FDA, major medical groups. These chilling messages.

But at the same time you had AAPS « I know this is wrong, treat patients », you’d FLCC, a group that became very strong, say « No, treat patients. » In the UK, we had the Bird Group that said « You know what, treat patients, use ivermectin-based protocols. » We had [?] Development in South Africa, we had the Covid Medical Network developed in Australia, we had Treatment Domiciliary develop in Italy. So listen, the counter argument to this of « No, we should treat the virus », that counter weight was there. That’s one the reasons why you’re talking to me today. You’re not talking to some FDA official who basically want to throw cold water on these. You’re talking to me today because you’re getting a sense of truth, you’re getting a sense of reality, that this virus is treatable. Everything that we’ve done for this virus, we’ve made it far worse by not treating it, keeping patients in fear, isolation. We’ve done multiple things that have promoted hospitalization and we’ve done multiple things that have actually promoted excess mortality. And it’s a shameful time in America and in the world.

Where was the policy instructing doctors to NOT treat their patients coming from? Who was giving these orders?

Under the dark cloud of fear, the medical administrations defer to the FDA, the NIH and the CDC, our three governmental agencies. They defer to that. In fact they will state « We’re following the policy. » So let’s pick something less charged, like wearing masks. You know, what sets the mask wearing policy? What the CDC says. Well they say this, let’s follow. The same thing is true if the agencies say don’t use hydroxychloroquine or ivermectin, and that’s what they say, that quickly gets done in medical administration and they’ll float out an email saying « Don’t do it. » In fact in a country, we can pick on Australia, they have the TGA, that’s the equivalent to the FDA, they have guidelines where they literally have dozens and dozens of negative statements. « Don’t do this, don’t do that, don’t do this, don’t do that. » Interestingly none of these groups actually say what to do. So if you’re to take any major hospital and ask them what email or what policy came down that told doctors what to do – you gave warnings on what not to do but what did you tell them to do to take care of clinic patients of Covid-19 – most of them will say « Nothing. »

In fact I testified in the Texas Senate on this topic on March 10 and within 48 hours there was a draft legislation to at least give patients some information. So listen, if the hospitals and doctors aren’t going to do anything, we’re gonna give you some information here, so when you get a positive test result here is some information on what you can do. Here are the treatment protocols, here are the EUA monoclonal antibodies. And again if hydroxychloroquine or ivermectin is controversial, okay. But what about the monoclonal antibodies, we haven’t even talked about these. These are high tech, they’re produced by Big Pharma, it’s big money, it was all NIH-funded, they’re emergency-use-authorized by the US FDA. How come America has no window to that? How come there’s no updates on how we’re doing with that? How come there’s no 1 800 numbers how sick patients can find out where these antibodies are? So it is a global suppression of early treatment whether they’re generic drugs or newly approved drugs. There is a global suppression of early treatment.

Americans will know. They watch the TV every night. The initial dialogue was « We’re scared, wearing masks, go in lockdown, hand sanitizer. » Okay. Then there were some reports about terrible things going in the hospital. Then the reports later on were « Wait for a vaccine. » There were never regular reports or updates from any local or national TV source that gave regular updates. « This is what you should do when you get Covid-19 at home, here are the drugs that work, here are the protocols, here are the hot lines so you can get an antibody infusion which is approved by the FDA, here are the hot lines you can get in research. » Research is important. There’s still no hotline for Americans to get in Covid-19 research. At a state or federal level. Stunning. There’s been no updates. When I’ve dealt with multiple congressional and Senate offices, I said « Listen, weekly updates to the American people so they know what to do, so they’re not so in fear when they’re getting these results. » Weekly updates through all public channels. Weekly updates on treatment and then monthly updates to the guidelines. We have none of that. We are over a year of this and the Americans have been absolutely let down by the government agencies, by the media. The media – why wouldn’t it come into any local broadcasters thought process to give their listeners an update on early treatment? It’s a stunning oblivion.

Given that most medications are advertised as having possibly dangerous side effects, why did regulators categorically dismiss early outpatient therapies for Covid-19, including FDA-approved hydroxychloroquine, on the ground of having possibly dangerous side effects?

For products to actually be officially advertised, they have to have somebody who’s going to pay for the ad, which is a drug company, and they have to be FDA-approved. And actually have to have an FDA advertising label. And because of the monoclonal antibodies, as an example, don’t have an advertising label, they can’t be – Lilly and Regeneron can’t go out and advertise for them. But because they’re EUA, from a public health messaging perspective, they should be equally featured as vaccines. Now vaccines are emergency-use-authorized, all we hear about is vaccines, morning noon and night. Why do we hear a massive messaging about vaccines? Americans ought to think about this. Why are vaccines featured by the CDC, the NIH and FDA, morning noon and night, by the media, morning noon and night, by every medical center, morning noon and night? I can tell you as a doctor in a medical center, all our emails are about vaccination. Why are they featured in every single a public health communication, « needles in all the arms »? In fact shockingly, in the Dallas area in October – this is long before the vaccine trials were ever completed – if you were to call CVS or Walgreens, the answering machine would say « We’re proud to offer the Covid-19 vaccine when it comes available. » We have never advertised for a product before it comes available. In fact it’s against the US laws regarding drugs and biological products.

So things started to go off the rails very early on and it seems like there was a playbook. The playbook was to suppress any hope of treatment. A complete oblivion to treatment through all the entities that we’ve mentioned. And at the same time prepare the population for mass vaccination. These two are very tightly linked.

And now with mass vaccination we see things we have never seen. Advertising the vaccine before it’s even available, massive messaging for the vaccine far out of proportion to treatment. You have two EUA products : one you never hear about, Americans are starved of these monoclonal antibodies – in fact they’re grossly underused, they could have saved probably tens of thousands if not hundreds of thousands of lives and they’re being squashed. The Lilly and Regeneron part was squashed but the Pfizer, Moderna and J&J products are being massively promoted and advertised. Americans ought to be wondering « Why is that happening, why are we de-focusing on the sick patient and focusing on well people? » All the messaging about contagion control and vaccines are for well people. Why can we not focus on the sick Covid patients? That was my message to the Department of Health and Human Services in Texas but it goes further than that. It goes further than that.

The vaccine registrational trials strictly excluded pregnant women, women of childbearing potential, Covid recovered patients, patients who had prior Covid antibodies – strictly excluded them. By regulatory science if all the registrational trials excluded a group of patients, we would never use that product in that group once it gets on the market. Never. Never. We never violate that. Why? Because we don’t know if it’s gonna work and we don’t know if it’s going to be safe. We never do that.

There’s another level. With pregnant women are a special group in research and medicinal products – it’s very important for Americans to know this – in pregnant women, for vaccination we only vaccinate with safe inactive products : inactive flu, tetanus, diphtheria and pertussis. That’s it. We would never inject a biologically active substance in a pregnant woman’s body that could be dangerous. Never. And with the vaccines, as soon as they came out, the CDC, FDA, media, everybody said « Vaccinate them. Vaccinate them. »

Given our longstanding acceptance of vaccines for diphteria, tetanus, polio and measles, how is the developement and deployment of Covid a departure from previous vaccine development and safety review?

Well the US FDA regulatory guidance in vaccines – and there have been modern vaccines, you don’t have to pick the old ones, I mean we’ve had modern vaccine, shingles vaccines, hepatitis B, meningococcal vaccines – demand a minimum of two years of safety data. Two years. By regulatory effect this is kind of written and codified into the regulatory rules for the manufacturers. That was all thrown out, and said « two months. » For Covid, two months. So two months of observational data. This idea that we could vaccinate people that were not even tested in the trials, that has never been done before. We’ve never just thrown a vaccine at somebody without having any data. None. So the very first pregnant woman that was vaccinated here in the United States, it was done with no knowledge of safety and no knowledge of efficacy. And the argument that we’ve heard is Covid-19’s a bad illness, 600.000 people have died, the vaccine could help them, we should give it a shot. Come on, we should just give it a shot.

Well that 600.000 died, I’ve already told you 85 percent of that was preventable with early treatment which was actively suppressed and squashed. And not only that. If this vaccine can help them, the vaccine better be safe. It better be safe. And my comments on the vaccine are safety, safety, safety. Let’s see it. Let’s see it. And Americans aren’t… Just like the American should have been getting weekly updates on treatment innovations, Americans should have been getting weekly updates on vaccine safety. Very important. Weekly updates from our federal officials on safety. Super important.

Those two things are probably the two largest acts of malfeasance in all of medical regulatory history. It’ll go down in history of malfeasance, wrongdoing by those of authority. How come there was no updates on treatment and no promotion of early treatment to reduce hospitalization and death? And now when we release the vaccine why are there no safety updates? Why are there no attempts for risk mitigation in terms of making the vaccine program safer? How do we have all these vaccines? How do we know we can vaccinate pregnant women? We know because of years and years and years of safety data. Before a vaccine has ever been injected into a pregnant woman, it’s probably been tested for decades before we tried it in a pregnant woman. We would never, out of the box, take a brand new technology that’s never been tested before, ever.

And we know that the vaccine technology produces the dangerous spike protein. It produces the Wuhan spike protein, the spicule on the ball of the virus itself, which damages blood vessels and causes blood clotting and all of them do. We would never unleash that into a pregnant woman’s body. Americans have to understand something is very wrong – what’s going on now in the world. These are clear cut examples of wrongdoing. That is at such a high level, the group think is in the wrong direction in such a consistent an overwhelming way that people are being harmed in extraordinary fashion.

How did you go public with your findings about early outpatient therapies for preventing hospitalization and death? How was it received?

When I published the first paper in the American Journal of Medicine, taught doctors how to treat Covid-19. Now it could have been somebody else. If Dr Zelenko had the publication power he could have done it, or Dr Proctor could have done it, or Dr Didier Raoult could have done it, or Brian Tyson or George Freed. It turned out that I was the person who had sufficient academic authority to do this, okay. And I have authority. I take complete responsibility for doing this. I did it uniquely – the only person in the world to do this. Others actually may have been trying and those papers may have been suppressed by editors. They probably were because we’ve found suppression of early treatment literature all over. It became impossible to publish papers. It was really hard. I may have just been the strongest and the most courageous doctor in the world to do that but I did it.

And the feedback I was getting was tremendous, it’s like « Of course, this makes sense. I’m so glad this got into the the the literature. » It came out in electronic print in August and then it came into hard print in January. When it hit January and it landed in all the medical libraries in the world, that’s when things really heated up. And I do have to tell you that I got letters to the editor that came into the American Journal of Medicine – and Dr Joe Albert out of Arizona’s the editor. Joe has let everyone of those letters come to me for response. The tenor of the letters is quite interesting. And they’ve come from Duke University, they’ve come from McGill, from Monash University in Australia, they’ve come from Brazil. The tenor of the letters is « Dr McCullough, you can’t do this. You can’t treat Covid-19 patients. »

And it’s the most interesting. My response is « Doctor, please have courage. Let’s do away with therapeutic nihilism, and let’s join together and treat Covid-19 patients compassionately to reduce hospitalization and death. And we can do this and I can do it. » And we even have more supportive data so every time they say « Oh this drug doesn’t work » and I’ll say « Well, here’s five more studies that do. Hydroxychloroquine, we’re up to hundreds of studies that show that it works, ivermectin, hundreds of studies, steroids, dozens of studies, anticoagulants, at least a dozen studies. » We are so well supported in the concepts of treating Covid-19 that every time one of these letters comes in, I have a little fun with it because of the position of strength is enormous. My thoughts and my positions and my statements over time are becoming progressively stronger and progressively more powerful. And the detractors sense that. The feeling of fear, intellectual fear from my adversaries, is palpable. I feel it every day.

And when that first paper came out in the American Journal of Medicine, my daughter said « Daddy, why don’t you make a YouTube video? I said « I don’t want to do social media, that’s for kids, I just I don’t have time for this. » She taught me how to do it. It was Power Point. I literally just recorded my face down the lower corner, wore a tie, four slides. […] it’s Americans, it’s Italians, we looked at safety, we looked at efficacy, we looked at all the available data, we think this is the best way to put together the drugs. We had four slides on this, it got up on YouTube, it went absolutely viral. Went absolutely viral. And then I got a message that said « You violated terms of the community » and it was struck down.

Then I got a call from the US Senate. So I told you I knew something was going on because I’ve never been called by the White House before, I’ve never been called by the Senate before. People in Washington were following this. There were stakeholders in Washington who in a sense knew that something was going wrong here, that this viral infection can be treated but they were kind of waiting for someone in the academic community step forward and literally say « It can be treated. » I was the first one to say « We can treat this. We can do this. » So very important to me to make the statement « We can do it. » Based on what? Based on my judgment. Based on my judgment. Supported by the available science but more importantly based on my judgment.

And so I ended up contracting Covid-19 myself in October. My wife came home with it, she got sick, before you know I got sick, it got into my lungs, I was in approved protocols, I quickly got into a protocol. It’s hard but I was able to find a protocol. I was on hydroxychloroquine, azythromycin, nutraceutical bundle protocol and later I needed steroids because of long involvement. But I wanted to show America that you can get Covid-19 and have some medical problems, which I do, and be able to get through it without being hospitalized.

So on treatment day 6, illness day 8, beautiful sunny day in Dallas, Texas, I went out far away from anybody else and I went jogging and I was really short of breath and I tell you, I’m a pretty strong runner. I was short of breath because of the Covid involvement my lungs but I ran all the way to a park, I made a video in the park and then I made it all the way home and I had fun with it. In fact I played that Eminem music that said – the Recovery video if any of you watch Eminem – that said « I’m not afraid » and I just… You know, videoed myself that say « I’m not afraid of Covid-19 » in a video. And that video was struck down. And then ultimately I had it get restored.

Now wait a minute, YouTube is playing a role here, in addition to all the other stakeholders, in suppressing any early treatment. In fact the early treatment doctors started to become scrubbed from Twitter, from YouTube, from social media and then ultimately YouTube came out with a very clear message. They said « Listen, we are only going to have information that is in line with the CDC, NIH and FDA which say ‘Do nothing’ and everything else is going to be considered misleading and we’re making a judgment, it’s our call on what’s misleading and what’s not. » But it’s pretty easy to be in line with the CDC, NIH and FDA because they say to do nothing. So if the social media platform is just « Do nothing for early treatment » and suppress early treatment, which it is, the major media is to suppress early treatment. So I still go back and say, who’s responsible?

I said the government agencies. In this period of crisis, if we’re going to revert to our government agencies and our Task Force and if our President can’t be wise enough to even choose doctors who’ve ever even seen a patient and knows how to treat it, if they’re not wise enough to pick doctors who can treat Covid-19, we’ll never have agencies that say « We can treat Covid-19. » And if we don’t have agencies to do that, then nothing else is going to follow. If the doctors and people we pick have never seen Covid-19, they’re scared of it, they don’t know how to treat it and the only thing they can comment on is wearing masks and social distancing, the vaccination, that’s all that America’s gonna have. So America’s response to Covid-19, the official response, has basically been to, « Well, people, wear masks and be vaccinated » and America’s offered nothing to the sick person.

And when we get in the hospital, we haven’t seen much featured on that. The drugs are pretty weak : Remdesivir, convalescent plasma, Tocilizumab, steroids, anticoagulants. You don’t hear much about it. It’s honestly too late. Recently Harvard Group, Stop Covid Group had published, those sick enough to get in the ICU, the 28 day mortality is 38 percent. Unacceptably high. Going into hospital’s a nightmare. I get desperate calls from all over the United States. Thank goodness for the major telemedicine and mutual telemedicine networks that basically have taken over. They’re the real heroes of the Covid-19 pandemic. Hospitals are empty now. Hospitals here in Dallas used to have 200, 300 patients at a time, now they’ve got 10, 5. The other day in Texas we hit zero deaths. Zero.

So early treatment is going to be one of the great, great stories that historians… You know, we reached out to Ben Marble who started myfreedoctor.com. Ben Marble, that whole telemedicine is run strictly by charity. People donate money and they get patients their drugs and they prescribe hydroxychloroquine, ivermectin, steroids and other drugs. They put them in the combination, they follow protocols. Terrific. They’re seeing thousands of patients by telemedicine everyday. So Americans are getting treated. And so the word is out, people talk to each other. Americans – it’s interesting – they understand that the media and our agencies are not leveling with them. They understand that.

I did a seminar early on because I had treated a very prominent African American minister here in Dallas. And him and his wife were sick. He didn’t tell me about his wife and she was testing negative. She wasn’t a patient of mine. He got what’s called sequence multi-drug therapy. He got really sick, he’s got heart failure, diabetes, emphysema, obesity, kidney disease. Survives at home sick for about 10 days. I’m not saying the drug therapy’s perfect but I saved him from being hospitalized or dying. His wife, no treatment, hospitalized, diagnosed late, was in the hospital for 5 weeks, came home on oxygen. That virus ravaged her lungs. It was awful. They had the same illness. And so he became active and he said « Dr McCullough, can you do a webinar for African American churches nationwide? » I did a webinar and I presented my approach. And you know what the comments were? They said « Dr McCullough, we knew the government was lying to us. We knew this was treatable. We knew it all along. » People notice.

Are more doctors finally learning to overcome the regulatory and institutional suppression of outpatient Covid-19 therapies?

It’s individual findings where there are practices that have come on. I’ve gotten calls in Dallas « Dr McCullough can you share your protocols? We want to do this. » The treating doctors really have interdigitated and we informally formed a group called C-19 where we get about 4 to 5 email updates a day of really critical updates on treatment. It is international. We have former heads of state involved in C-19, we have Nobel prize winners involved in C-19, hundreds and hundreds of American doctors. There now’s a published list of treating doctors and I’ll say it’s 250 across all 50 states. Texas has 35 of them. So Americans are finding their way despite suppression of early treatments.

One of the great stories – and I’ll never forget – when I testified in the Texas Senate on March 10, myself and Dr Richard Urso, another leading early treating doctor in Houston. The chairwoman of the Committee at one of the side conversations said « Yeah, my husband got Covid-19 and he got really sick and I’m so glad he got early treatment. We found a doctor, that’s when he prescribed ivermectin and other drugs. » And I didn’t throw up a zinger in front of the Texas media but I felt like saying « You know, do you have to be a chairperson of the Department Health and Human Services to get some treatment? What about these poor people in South Dallas and San Antonio and Houston? What about people who are not so privileged? » Do you know that 85 percent of some of our patients hospitalized here are black or Hispanic? Who’s helping them out? We should be having early treatment centers. They’ve been denied treatment, it’s heartbreaking. Hispanics and African Americans have double the mortality that of Caucasians.

As a doctor confronted with sick people who need treatment NOW, how do you evaluate what therapies are effective in order to help your patients NOW instead of waiting for the publication of largescale studies?

We have actually a law in America. It’s called the XXIst Century Cures Act and what it says is that the FDA and doctors and others trying to decide on treatment evaluate the totality of information, including that little anecdote about your mom and the caretaker, as well as case series, large prospective cohort studies, retrospective cohort studies, hospital studies, operations studies and then large prospective randomized double-blind placebo controlled trials. But in a virus, single drugs themselves are very difficult to prove. If we required that for HIV, we would have no treatment. HIV, we quickly realized we need 3 or 4, 5 drugs. Everyone understands this. With Covid-19 I never thought a single drug was going to work. Hydroxychloroquine, no, not alone but in combination. And it was that thinking – it takes kind of superior thinking – that somehow doctors just lost their ability to think. Think in cancer a doctor would say this one pill cures cancer? Never. It’s always combination cancer therapy.

So with this, with hydroxychloroquine – we’re now at the stage obviously [where] we have hundreds and hundreds of trials. We even have large randomized trials. I’ve published Dr Joe Ladapo. Only prospective randomized controlled trials show benefit. So at every level we meet the evidence grade to use hydroxychloroquine. At every level we meet the evidence grade to use ivermectin. Not so much evidence but good enough in the monoclonal antibodies. We have the same for steroids. The biggest and best trial in all of Covid-19 is Col Corona and mentioned the colchicine. Shockingly, Col Corona, the best trial, 4.000 patients, double-blind randomized placebo controlled trial, the best quality that exists, rejected by New England Journal of Medicine, rejected by JAMA, rejected by The Lancet. There is a global suppression on any early treatment. I want the listeners understand how global this is. If we were to go north into Canada, doctors are threatened that their licenses will be examined or taken away if they attempt to treat an outpatient with Covid-19. They’re told this in Canada. In northern EU the same is true. Dr Didier Raoult who is trying to innovate with hydroxychloroquine, azythromycin in France in prior times has been under degrees of a threat of arrest, or partial arrest, or house arrest, okay. Almost as if we’re back in the Dark Ages. In Australia, in April, they put on the books, in Queenslands Australia, a doctor who tries to help a patient with hydroxychloroquine could be penalized up unto the point of going to jail for six months for helping. South Africa, they put some doctors in jail for trying to help patients with ivermectin.

Listen, the powers that are out there that want to suppress early treatment and cause as much fear, suffering, hospitalization and death are not by happenstance. These are powerful forces that have created such fear among doctors, people are fearful they’re gonna lose their careers, their livelihood, their medical license. People are afraid of going to jail. In just helping their fellow men get through Covid-19. This is extraordinary. Historians should go look through the course of time. You know, the very first doctor who tried to help a polio patient survive polio with the iron lung machine, which became really a stable ICU device, was thrown off medical staff. « Throw him off staff! »

Can you offer any investigative leads to researchers trying to discover WHY early outpatient therapies for Covid-19 have been suppressed?

I would look very carefully at the work building upon other investigative reporters. So Dr Peter Breggin has a book called « Covid-19, the Global Predators – We are the Prey » and it has a living document, he’s already pre-released the manuscript. He’s releasing updates. Now he’s older, he’s kind of worried the story won’t get out at his age. But I believe he’s up to 900 documents. The whole story is not put together but it is a substantial and shows the interconnections of the stakeholders involved. Dr Nicholas Wade who was featured on a recent Tucker Carlson as an investigative reporter, he has assembled quite a story. And then Whitney Webb who’s a young investigative reporter has published some striking things.

All three of these, and as well as many more, are linking two important concepts. The suppression of early treatment, and even probably the soft attenuation of in-hospital treatment, to make the problem worse than what it is. Many methods to make the case count look higher than what it is, make the mortality numbers look worse than what they are. Many methods to create the reaction out of proportion to the reality. So lockdowns, fears, economic suffering, what-have-you. All of these things making the pandemic way worse than what it is, okay, to have that occur : more fear, suffering, hospitalization, death, loneliness, lockdown, in order to promote mass vaccination.

These two are tightly linked. Mass vaccination at all costs. The world must be mass vaccinated and human beings on Earth ought to understand at this point in time, what we’re seeing is unprecedented. It became known the virus was going to be amenable to a vaccine somewhere around April, May and at that point in time, pheew! therapy was suppressed. Nothing could be published. Everything, the fake Lancet paper, squash treatment and then prepare the population for vaccination. Once the vaccines come out, they’re short tracked and there’s all kinds of enthusiasm regarding it. You know « needles in all the arms », trucks rolling, Americans cheering – and then the mass vaccination program starts off.

And then before we know it, we were vaccinating pregnant women. Why are we doing that? That can’t be safe. Now we’re going to vaccinate Covid recovered patients. Wait a minute, they have complete and robust permanent immunity. No one’s ever challenged the immunity of a Covid recovered patient. Why are we vaccinating them? And then it keeps going and going. At first we vaccinated high risk people. I didn’t really understand vaccinating young healthcare workers because they weren’t at risk. There were never any hospital outbreaks in the United States. The only thing that was clear, nursing home workers give it to nursing home patients. We knew that. So nursing home workers should have been vaccinated and then maybe high risk people and we should call it a day. It was estimated maybe 20.000.000 people need to be vaccinated but that didn’t seem to satisfy the vaccine stakeholders which are Pfizer, Moderna, J&J, AstraZeneca and any others to come forward, the CDC, the FDA and the NIH – and the White House. Massive vaccine stakeholders. You can throw in Gates Foundation, World Health Organization – you can throw those in as well. Massive stakeholders. And they wanted everybody to be vaccinated without exception. No one will escape the needle.

We’ve actually never had this before and the vaccine process is extraordinary. There’s a consent form. It says « This is investigational, we don’t know if it’s gonna work, there’s only two months of data, the side effects could be a sore arm all the way to death and we don’t know. Sign here. We need your identifying information, we need a bar code on the vial, we need you identified and now you’re in a database. You’re vaccinated. »

And so this mass vaccination is extraordinarily concerning. We never vaccinate into the middle of a pandemic, never. We’ve never had an effective vaccine for respiratory viruses including influenza – it’s only modestly effective. We knew from the published data that the attack rates in placebo and the vaccine arms were less than one percent. So we know that the vaccine can have a less than one percent effect in the population. Why would it be any different than the clinical trials? We knew from the clinical trials that it didn’t stop Covid-19 so people can get Covid-19 anyway. What would be this incredible drive to vaccinate everybody?

And now all my worst… Now the vaccine within a few months has been completely weaponized. Now it’s travel that’s related to the vaccine, people can’t go to school without the vaccine, people are losing their jobs without the vaccine. Believe me there is something very, very potent in this vaccine. It should be disturbing to everybody. The word « vaccine » ought to be the most disturbing word that they have seen. Now we have twelve year old children who are told they can decide on their own whether or not they could take the vaccine. So about seventy percent of my patients are vaccinated, I’m very pro-vaccine, I’ve taken all the vaccines myself. About seventy percent and they were all vaccinated in December, January and February. But as we sit here today in May, we have over 4.000 vaccine-related deaths and over 10.000 hospitalizations.

The limit to shut down a program is about 25 to 50 deaths. Swine flu, 1976, 25 deaths, they shut down the program. It’s not safe. All the vaccines in United States per year – what Ambulink has reported in the database – is about 200. And we’re talking about vaccinating probably five hundred million injections. Here in the United States, at a hundred million people vaccinated, this is far and away the most lethal toxic biologic agent ever injected into human body in American history and it’s going strong, with no mention of safety by our officials, with wild enthusiasm by our hospitals and hospital administrators, with doctors supporting it – doctors are saying now they won’t see patients in their waiting room without the vaccine.

This problem, Covid-19 was actually from the very beginning, that’s what Whitney Webb said, she goes « Covid-19 is actually about the vaccine. It’s not about the virus it’s about the vaccine.« 

Why has there been such a relentless focus on mass vaccination as the ONLY way back to normalcy?

I think it’s about what the vaccine means and Whitney Webb gets credit for this. Back in April she said « Aha, I figured this out. This is what globalists have been waiting for. They’ve been waiting for a way of marking people. » When you’re getting a vaccine, you’re marked in a database. And this can be used for trade, for commerce, for behavior modification, all different purposes. And you see it right here in Dallas, they’ve announced, « You know, you can’t go to Dallas Mavericks game unless you’re vaccinated. » You’ve had people say « Listen, you have passports? » You had colleges today announce that they’re not going to give any credit to natural immunity. Every scientist in the world knows that the natural immunity is way better than the vaccine immunity. If it’s about Covid, why don’t we have Covid recovered go to the Mavericks games? Why don’t we have Covid recovered people free to go to college? Why do we have to have faulty vaccine immunity be the priority and have natural immunity not count? See, these types of things make me think that Whitney Webb is correct. This is actually about marking. The vaccine is a way of marking people, it’s a way of starting to assert efforts to create compliance, behavior control.

Don’t forget the vaccine is just a starter. Now there’s going to be updates, there’s going to be boosters, they’re already prepping people for this, there’s going to be more. The vaccine manufacturers are all linked, they’re all uniquely indemnified. What medical product is there indemnification where something happens to you, you don’t have any recourse? You know, woman gets vaccinated, pregnant woman, she has no maternal fetal rights. Something happens to her or her baby, she’s out of luck.

This is extraordinary what Americans are doing. It’s actually extraordinary what’s being thrust upon us now.

Are we entering a Brave New World in which a person who elects NOT to get vaccinated will be punished through nonjudicial means by being forbidden to work, travel, and attend important public events?

I think this whole pandemic from the beginning was about the vaccine. So I think all roads lead to the vaccine. And what it means is, there are already places in Southeast Asia and Europe, they’re laying the groundwork for compulsory vaccination. I mean compulsory, that means somebody pins you down to the ground and puts a needle in you. That’s how bad stakeholders want vaccination. « Listen this is not of cost, you don’t have to pay for it, it’s all provided. » There are people or stakeholders, they do want « a needle in every arm ». This « needle in every arm » is a very important moniker. Why? Why do you want « a needle in arm »?

Let’s take Covid recovered. Can’t get the virus, can’t receive it, it has nothing to… Why would they ever want a needle in the arm of a Covid recovered patient? Why? Three studies show higher safety events. The tension that Americans are feeling right now as they try to keep their jobs and go to work is they know they can die of the vaccine. That’s the problem. If the vaccine was like water and we just got it, no side effects, who wouldn’t take it? « So I’ll comply. They got my social security number anyway in a database, I’m already marked. I’ll just get marked. »

But no, there’s something very unique about this vaccine, it’s something about injecting something into into a body that is so important to stakeholders it doesn’t matter. Kids twelve years old told they can make their own decision on this and it could be their fatal decision? Think about that. North Carolina just passed it. Well, kids twelve year old can decide on their own. There are over 4.000 dead Americans, there’s over 10.000 dead people in Europe that die on days 1, 2 and 3 after the vaccine.

Why are we pushing this in a way where people’s jobs and their education and their livelihood decide on a decision that’s potentially fatal? The tension, you can cut it with a knife. There are parents who say « Listen, I want my kid to go to college this year but I don’t want to lose him to the vaccine. » They know what’s going on, the internet is full of these cases : blood clots, strokes, immediate death. I’m fortunate, I have not directly lost a patient to the vaccine. I told you, most got vaccinated in December, January, February. Based on the safety data now, I can no longer recommend it. I can’t recommend it. It’s past all the thresholds to being a safe product. It’s not a safe product, none of them are. It’s not just Johnson and Johnson. In fact more of the safety events in the United States have occurred with Moderna and Pfizer.

There are now papers written by prominent scientists calling for a worldwide halt in the program. There are prominent virologists, many of them, including Nobel Prize winners, who have said « Listen, if we vaccinate people and we create a very narrow, incomplete library of immunity, which what the vaccine is – the vaccines are all targeted to the original Wuhan spike protein which is long gone, that’s extinct, patients are getting vaccinated for something that doesn’t even exist anymore, that Wuhan spike protein is gone, we’re hoping the immunity covers the other variants but that narrow immunity is a set up, it’s just like giving everybody a narrow spectrum antibiotic – if you did that what would happen, we grow up super bugs. » There are warnings out there saying « Don’t do this! Don’t vaccinate the entire world. All we’re going to do is set ourselves up for a super bug that’s gonna really wipe out populations. »

So for many reasons the vaccine, indiscriminate vaccination, is a horrendous idea. It’s a horrendous bio weapon that’s been thrust on to the public and it’s going to cause great personal harm – which it already has, thousands of people lost their lives. I’ve never lost a direct patient but I’ve had my patients lose their family members, lots of them. I filled out a safety report on a patient who developed blood clots after one of the Pfizer/Moderna vaccine and I’m telling you, it took half an hour to do it. It was many pages and each page said « Warning! Federal Offense punishable by severe fines and penalties » if I falsified the report. All those thousands of Americans who have died with the vaccine and hospitalizations in the database I think are real. And they are far beyond anything we’ve ever seen.

And as a doctor and as a public citizen I am extraordinarily concerned about the vaccine. The vaccine center right down the street here’s empty. I drive past it every day. Americans know, they’re talking to each other, the vaccine’s not safe and now the effort is the vaccine stakeholders want kids without parental guidance and now they want to be in the church.

Americans and people worldwide should be extraordinarily alarmed.

Has any agency or individual tried to silence you through threats or other forms of intimidation?

My personal situation, professional situation is a position of strength. And those who have attempted, in any way, to pressure, coerce or threaten me with reprisal have paid an extraordinary price. And I think that’s an important message to get out there.

There is a position of strength, based on principles of compassionate care and of the Hippocratic Oath and of the fiduciary relationship that a doctor has to a patient, and a prominent doctor has to a population that supersedes all of those other ill intents.

And what I say is « Bring them on. »


Dr. McCullough is an internist, cardiologist, epidemiologist, and Professor of Medicine at Texas A & M College of Medicine, Dallas, TX USA. Since the outset of the pandemic, Dr. McCullough has been a leader in the medical response to the COVID-19 disaster and has published “Pathophysiological Basis and Rationale for Early Outpatient Treatment of SARS-CoV-2 (COVID-19) Infection” the first synthesis of sequenced multidrug treatment of ambulatory patients infected with SARS-CoV-2 in the American Journal of Medicine and subsequently updated in Reviews in Cardiovascular Medicine. He has 40 peer-reviewed publications on the infection and has commented extensively on the medical response to the COVID-19 crisis in TheHill and on FOX NEWS Channel. On November 19, 2020, Dr. McCullough testified in the US Senate Committee on Homeland Security and Governmental Affairs and throughout 2021 in the Texas Senate Committee on Health and Human Services, Colorado General Assembly, and New Hampshire Senate concerning many aspects of the pandemic response.

For more information about Dr. McCullough, please visit: heartplace.com/dr-peter-a-mccullough

Un conte pour les enfants.

Sérieusement, ne le racontez pas aux enfants. Par contre, vous pouvez partager avec les grandes personnes.


Un conte pour les enfants

Il y a longtemps vivait un homme qui aimait faire le mal.

Il aimait faire mourir les animaux. Il les faisait mourir en leur faisant trés mal. Il aimait voir dans leurs yeux comment ils avaient peur et il aimait entendre dans leurs cris comment ils souffraient. Comme c’était lui qui décidait quand les animaux mouraient, il se disait qu’il avait beaucoup de « pouvoir ».

Mais il n’en avait pas assez. Il voulait aussi avoir du « pouvoir » sur les gens.

Un jour, il eut une idée.

Comme il savait comment faire mourir les animaux, il savait aussi comment faire mourir les gens, parce que les gens c’est comme les animaux. Il avait inventé un poison. Il fallait mettre le poison dans leur corps mais pour ça il fallait que les gens soient d’accord. Alors il leur expliqua que les animaux donnaient la « maladie » et qu’il avait regardé dans le corps des animaux qu’il faisait mourir et qu’il savait comment empêcher les gens de mourir de la « maladie ».

Et les gens pensèrent que c’était un homme bon, parce qu’ils ne voulaient pas mourir et que faire mourir les animaux, ce n’était pas très grave. Et les gens pensèrent qu’il était aussi très intelligent, parce que quand il faisait mourir les animaux, il mettait une blouse blanche et que quelqu’un qui porte une blouse blanche ne ferait pas mourir les animaux sans raison. Il se dirent qu’il savait quelque chose qu’ils ne savaient pas. Ils se dirent qu’il avait beaucoup de « pouvoir » et qu’il était un « héros ».

Alors les gens leur amenèrent leurs enfants pour qu’il leur mette le poison dans le corps, en pensant que ça les empêcherait de mourir. Et quand les enfants mouraient quand même ou qu’ils étaient très malades ou qu’ils souffraient tellement qu’ils ne savaient plus être comme les autres enfants, ils se dirent que ce n’était pas la faute du poison.

Et après lui, les hommes qui voulaient aussi beaucoup de « pouvoir » se dirent que c’est ce qu’il fallait faire. Et eux aussi firent mourir les animaux mais il prirent aussi les bébés dans le ventre des mamans qui ne les voulaient pas, et ils coupaient leur coeur avec un couteau. Il disaient que c’était pour la « recherche » et que la « recherche » empêcherait les gens de mourir.

Et les gens disaient que ce n’était pas trés grave de faire mourir les bébés, parce que eux ne voulaient pas mourir.


Il y avait aussi un homme qui avait beaucoup d’argent qu’il avait volé aux gens. Lui aussi pensait qu’il avait beaucoup de « pouvoir ». Il se disait que les gens c’est comme les animaux et qu’on peut leur faire tout ce qu’on veut.

Et après lui, les hommes qui voulaient beaucoup de « pouvoir » se disaient que c’est ce qu’il fallait faire.

Un jour, l’homme qui faisait mourir les animaux alla voir l’homme qui volait l’argent aux gens et lui demanda de lui donner de l’argent pour sa « recherche ». L’homme lui donna l’argent qu’il demandait mais il lui dit qu’il devrait désormais travailler pour lui.

Et un jour l’homme qui avait beaucoup d’argent vint trouver l’homme en blouse blanche. Il lui expliqua qu’il voulait garder pour lui l’argent qu’il avait volé mais que les gens risquaient de lui demander qu’il leur rende. Il lui dit qu’avant, quand les gens voulaient garder leur argent, il les faisait mourir en les faisant travailler beaucoup et quand ils ne mouraient pas assez, il les envoyait à la « guerre » pour mourir et faire mourir les gens des autres endroits et aussi pour casser leurs maisons avec des jouets qu’il avait fabriqués et qui cassent les maisons. Et quand les gens étaient morts, il pouvait garder leur argent. Et aussi quand beaucoup de maisons étaient cassées, il fallait les réparer et c’était lui qui les réparait contre de l’argent.

Mais l’homme qui avait beaucoup d’argent était inquiet. Les gens ne mouraient plus beaucoup parce qu’ils n’y avait plus assez de « guerres » et qu’ils ne travaillaient plus assez pour mourir. Alors il demanda à l’homme en blouse blanche qui travaillait pour lui s’il pouvait fabriquer du poison pour faire mourir les gens, avant qu’ils lui demandent de rendre leur argent.

L’homme en blouse blanche lui dit qu’il savait comment faire parce qu’il savait comment faire mourir les animaux et que les gens c’est comme les animaux.


L’homme en blouse blanche avait inventé deux nouveaux poisons. Un trés petit, que les gens ne voyaient pas. Mais comme il ne marchait pas bien, il en avait fabriqué un autre, qui ressemblait à celui d’avant, qu’on mettait dans le corps des gens et qui les ferait mourir plus tard et qui ferait aussi mourir ceux qui étaient tout près. Et aussi, les mamans ne pourraient plus avoir de bébés parce qu’il mourraient dans leur ventre.

Pour que les gens donnent leur argent pour des choses dont ils n’avaient pas besoin et aussi pour qu’ils obéissent à l’homme qui avait beaucoup d’argent et à l’homme en blouse blanche, on avait inventé une lampe magique. C’était une lampe qui parlait et comme elle était magique, ceux qui la regardaient croyaient ce qu’elle disait.

Un jour, la lampe leur dit qu’il y avait une « maladie » à cause des animaux qui vivaient à l’endroit où on fabriquait les jouets pour les grands. La lampe leur dit qu’ils allaient mourir de la « maladie » et les gens avaient très peur. Alors la lampe leur dit qu’ils devaient rester dans leur maison pour ne pas l’attraper, et s’ils ne voulaient pas ils seraient punis, on leur prendrait leur argent et des hommes en costume noir leur taperaient sur la tête avec un bâton.

Comme ils restaient dans leur maison, ils n’allaient plus voir leurs papas et leurs mamans qui étaient vieux et qu’on avait mis dans des maisons spéciales pour les vieux papas et les vieilles mamans qu’on ne voulait plus. Alors comme leurs enfants n’étaient pas là pour les protéger, on mit dans le corps des vieux papas et des vieilles mamans l’autre poison qui les faisait mourir. L’homme qui leur avait volé leur argent était très content, parce qu’il ne devait plus leur rendre et qu’il pouvait le garder pour toujours.

La lampe dit aussi aux gens qu’ils ne pouvaient pas se soigner parce que c’était très dangereux et que ça les ferait mourir. Et la lampe leur montra le « héros », qui avait volé beaucoup d’argent et l’avait donné à l’homme en blouse blanche pour faire mourir beaucoup d’enfants avec du poison et pour que les mamans n’aient pas de bébés à des endroits où il disait qu’il y avait trop de gens. Le « héros » leur dit qu’il fallait attendre dans leur maison que l’homme en blouse blanche fabrique un poison pour mettre dans leur corps pour qu’ils n’aient pas la « maladie » et pour qu’ils ne fassent pas mourir leurs vieux papas et leurs vieilles mamans en allant tout près. Il leur dit qu’ils pourraient sortir de leur maison et avoir leurs jouets de grands seulement quand il auraient eu le poison.

Et quand on leur mit le poison dans le corps, il y eut encore beaucoup de vieux papas et de vieilles mamans qui moururent et de bébés qui moururent dans le ventre de leur maman, et plein d’autres gens aussi. Mais la lampe dit que c’était bien alors les gens continuèrent à demander le poison. Mais il y avait des gens qui ne voulaient pas et qui ne croyaient plus ce que disait la lampe parce qu’ils avaient vu qu’on avait fait mourir les vieux papas et les vieilles mamans, et que les bébés mouraient dans le ventre des mamans, et plein d’autres gens aussi. Mais le poison rentra dans leur corps quand même parce qu’ils étaient tout près des gens à qui on l’avait mis, et il y en eut beaucoup qui moururent et beaucoup de bébés qui moururent dans le ventre de leur maman et beaucoup de mamans qui ne pouvaient plus avoir de bébés.

Et un jour l’homme en blouse blanche vit que tous les gens qui vivaient encore avaient le deuxième poison dans leur corps.

Alors il prit un troisième poison, que personne ne voyait, qu’il avait fabriqué et mis dans un tiroir en attendant.

Et il le mit dans l’air.

Et depuis, les animaux sont bien tranquilles parce qu’il n’y a plus personne pour les faire mourir.

L’ancien Vice-Président de Pfizer qualifie de « mensonge » la présomption de coïncidence concernant les décès après vaccination COVID-19.

Del Bigtree dans le petit clip ci-dessus extrait de son émission n° 213 nous rappelle le résultat d’une étude, commandée par le CDC et faite par Harvard en 2010 sur le système VAERS. Seulement moins de 1% (un pour cent) des effets secondaires des vaccins (y compris les décès) y sont rapportés. La plupart des médecins ne sont même pas au courant de son existence. Et dans ceux qui la connaissent, beaucoup hésitent à faire la démarche, qui pourrait se retourner contre eux. Vu la très grande médiatisation de la campagne actuelle, il est possible qu’un plus grand pourcentage s’y retrouve – mais pas 100%. Il y a donc probablement beaucoup plus de morts que ce qui est annoncé.

Mise à jour du 05/06 : les chiffres actualisés en début de cet article et le nombre réel des décès donné par le Dr McCullough ici. C’est bien ce que je disais.

On notera que le budget de l’étude (un million de dollars) prévoyait également la mise au point d’un système plus automatisé et plus fiable que le VAERS, solution que les gens de Harvard, sur base d’un de leur propres systèmes, ont à l’époque proposé au CDC.

Le CDC a alors cessé de leur répondre.

Il y a ce site qui trie les données du VAERS en temps réel – et en anglais. Vous pouvez paramètrer votre propre recherche. Très pratique. Vous pouvez aussi – toujours en anglais – consulter ce relevé + analyse des chiffres fait par un lecteur de Miles Mathis ici.

Il y a cet article qui donne une compilation – faite à la manivelle, le site ne proposant pas cette fonction – des chiffres des dommages physiques et décès suite à l’administration des quatre injections présentes en Europe au 22 mai sur Eudravigilance : 12.184 morts et 1.196.190 dommages physiques.

La FDA déclare aujourd’hui ne pas disposer d’un système efficace pour le suivi des effets secondaires de la campagne de « vaccination » actuelle.

A ce sujet, je propose qu’on cesse de nommer ainsi cette campagne et qu’on lui donne un appellation plus appropriée:

UNE CAMPAGNE DE CONTAMINATION

Source.


Traduction

L’ancien Vice-Président de Pfizer qualifie de « mensonge » la présomption de coïncidence concernant les décès après vaccination COVID-19

7 mai 2021

L’ancien Vice-Président et Directeur Scientifique de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, a qualifié aujourd’hui de «mensonge» la présomption de coïncidence concernant les morts qui interviennent après vaccination contre le COVID-19.

«Tandis que la vaccination contre le COVID-19 implique un grand nombre de gens, nous vaccinons habituellement tellement de personnes contre tant d’agents pathogènes qu’il est impossible de rendre compte de l’augmentation du nombre de décès signalés au VAERS après le COVID-19 uniquement sur la base du nombre de personnes vaccinées, »déclare-t-il.

« Ceux qui contestent [le lien avec] les près de 4.000 décès après vaccination contre le COVID-19 aux États-Unis disent généralement que « ces rapports ne prétendent pas montrer un lien de causalité. C’est juste une coïncidence », déclare Yeadon.

«La réplique à ce mensonge est que, si c’est une simple coïncidence, c’est-à-dire que les gens meurent [en temps normal] et si on vaccine X personnes, on obtient un certain nombre de décès par l’effet du hasard.

«Eh bien, oui, c’est vrai. Mais ce qui n’est pas vrai, c’est que cette très forte augmentation des décès suite à la vaccination contre le COVID-19 est une simple coïncidence. Si c’était le cas, alors le nombre de décès suivrait le même rythme, la même proportion dans la population vaccinée, comme on le verrait dans le VAERS.

« Et ce n’est PAS ce que le VAERS nous dit. Au lieu de cela, presque TOUS les décès signalés peu de temps après la vaccination interviennent après la vaccination COVID-19. »

Yeadon poursuit : «Ce qu’il y a de choquant dans les données statistiques c’est que près de 99% des décès signalés au VAERS après vaccination sont survenus après la vaccination COVID-19.

« Les 1% restant concernaient TOUS LES AUTRES VACCINS COMBINÉS.

« Quiconque refuse maintenant de l’admettre est un « théoricien de la coïncidence ». »

Yeadon poursuit en mettant en garde contre les ramifications du «Passeport Vert», le qualifiant d’«apartheid médical illégal» : «Il est très important que les gens comprennent ce qui se passe.

«L’intention est d’imposer partout des passeports vaccinaux. Mais c’est un subterfuge. Il s’agit du premier système d’identification numérique de format commun et interopérable à l’échelle mondiale, qui comprend un indicateur de santé modifiable (vacciné, O ou N).

«Cela ne change rien sur le plan de la sécurité individuelle. Si on est vacciné, on est protégé et on n’est pas plus en sécurité si on connait le statut immunitaire des autres.

« Comme en Israël, on sera obligé de présenter un VaxPass valide pour accéder à des installations définies ou pour accéder à des services. Pas de VaxPass, on est refusé.

«Ce système n’a besoin d’inclure que 50% + de la population adulte pour se mettre en place, vu son énorme pouvoir coercitif sur les non-vaccinés.

«C’est un apartheid médical illégal.

«S’ils réussissent, cela ne servira à rien de le refuser; ils passeront à l’étape suivante, et la minorité sera exclue.

« Un système VaxPass comme celui-ci donnera à ceux qui contrôlent la base de données et ses algorithmes un CONTRÔLE TOTALITAIRE TYRANNIQUE sur nous tous.

«La SEULE façon d’arrêter ce cauchemar biosécuritaire est de NE PAS SE FAIRE VACCINER POUR DES RAISONS NON-MÉDICALES !!!

« Je crains que, si nos adversaires réussissent à obtenir ce contrôle absolu, ils l’utilisent pour nuire à la population. Il n’y a pas de limite au mal qui découlera de cet objectif stratégique. »

L’ancien Directeur Scientifique de Pfizer conclut par un plaidoyer: «NE PERMETTEZ PAS À CE SYSTÈME DE DÉMARRER, car il deviendra impossible à arrêter ensuite.

« Un exemple : votre VaxPass émet un bip, vous demandant de participer à votre 3e, 4e ou 5e vaccin de rappel ou anti-variant. Sinon, votre VaxPass expirera et fera de vous une personne exclue, incapable d’accéder à sa propre vie.

«Quel choix vous restera-t-il?

« Aucun. Vous serez sous contrôle. Pour toujours. »


Texte original

Former Pfizer VP calls presumption of coincidence in death following COVID-19 vaccination ‘a lie’

May 7, 2021

Former Pfizer Vice President and Chief Science Officer Dr. Mike Yeadon today called the presumption of coincidence regarding death following COVID-19 vaccination « a lie ».

« While COVID-19 vaccination involves a lot of people, we routinely vaccinate so many people against so many pathogens that it’s impossible to account for the increased numbers of deaths reported to VAERS after COVID-19 purely on the grounds of the numbers being vaccinated, » he said.

« Those who dispute the almost 4,000 deaths after COVID-19 vaccination in the US usually say ‘these reports aren’t claiming causation. It’s just coincidence’, » Yeadon said.

« The counter to this lie is that, if it was simple coincidence, that is, then people do die and if you vaccinate enough people, you’ll get a number of coincidental deaths.

« Well, yes, that’d true. But what isn’t true is that this very large increase in deaths following COVID-19 vaccination is mere coincidence. If it was, then the number of deaths would remain at the same rate, the same proportion of the population vaccinated, as it passed VAERS.

« And that’s NOT what VAERS is telling us. Instead, almost ALL of the deaths reported shortly after vaccination are after COVID-19 vaccination. »

Yeadon continues: « The shocking statistic is that almost 99% of the deaths reported to VAERS after vaccination occurred after COVID-19 vaccination.

« The balancing 1% were for ALL THE OTHER VACCINES COMBINED.

« Anyone in denial now is a ‘coincidence theorist’. »

Yeadon went on to warn about the ramifications of the « Green Passport », calling it « illegal medical apartheid »: « It is very important that people understand what is happening here.

« The intention is to introduce vaccine passports everywhere. But this is a disguise. It’s the world’s first digital common-format, globally-interoperable ID system with an editable health flag (vaccinated, Y or N).

« It makes no-one safer. If you’re vaccinated, you’re protected and are not made safer by knowing others’ immune status.

« As in Israel, you will be compelled to present a valid VaxPass in order to access defined facilities or access services. No VaxPass, you’re denied.

« This system only needs 50%+ of the adult population to start up because of its huge coercive power on the unvaccinated.

« It’s illegal medical apartheid.

« If they succeed, it won’t help you to refuse; they’ll move on, leaving that minority behind.

« A VaxPass system like this will give to those controlling the database and it’s algorithms TYRANNICAL TOTALITARIAN CONTROL over us all.

« The ONLY way to stop this biosecurity nightmare is to NOT GET VACCINATED FOR NON-MEDICAL REASONS!!!

« I fear that, if our adversaries gain this absolute control, they will use it to harm the population. There’s no limit to the evil which will flow from this strategic goal. »

The former Pfizer Chief Science Officer concluded with a plea: « DO NOT ALLOW THIS SYSTEM TO START UP, because it’s unstoppable afterwards.

« One example: Your VaxPass pings, instructing you to attend for your 3rd or 4th or 5th booster or variant vaccine. If you don’t, your VaxPass will expire and you’ll become an out-person, unable to access your own life.

« How much choice do you have?

« It’s none. You are controlled. Forever. »

Nous, on peut.

Le Forum Economique Mondial a désigné l’ennemi : c’est la richesse.

Je me disais aussi, c’est forcément de notre faute.

La solution, c’est : « vous ne possèderez plus rien ». Et au cas où on en douterait, « et vous serez heureux ».

Je pense plutôt qu’on sera morts, mais ce n’est pas bien grave. Pour eux ça revient probablement au même. Au cimetière ou dans une prison digitale, du moment qu’on rentre dans le rang, c’est bon.

Evidemment il y a un côté irritant pour le petit ouvrier (par exemple, moi) à se faire conspuer par des maîtres auto-proclamés, dont la principale distraction est de dicter la vie (ou la mort) des autres du haut de leurs trillions de dollars, qui ne sont pas du tout un problème. Eux, ils peuvent.

Mais il y a autre chose à comprendre, et à comprendre vite : c’est comment on en est arrivés là.

Et la réponse est, par notre matérialisme égoïste et notre infantilisation. Nous sommes des enfants gâtés. On a joué à moi, je peux. Il faut nous punir.

Est-ce vrai?

On nous a vendu des voitures, et précisant bien qu’il ne fallait ni rouler trop vite ni rouler bourré. Et bien entendu, ce fut exactement l’inverse. Je roule en scooter et je respecte les limites de vitesse – y compris les zones 30, même en pleine nuit, même pendant les vacances, ce genre de con exaspérant. Or, j’ai compté : ça m’arrive deux fois par an de ne pas me faire dépasser par des chauffards automobilistes. J’ai parallèlement consulté les chiffres nationaux de la consommation d’alcool, de drogues illégales et de médicaments psychotropes et ils sont assez hallucinants – sans jeu de mots (je précise au passage que je consomme au pire du café et du tabac à rouler). Même sans faire de calcul de probabilité, j’imagine un nombre assez significatif de gens défoncés au volant. Un médecin urgentiste m’a d’ailleurs dit que plus d’une personne sur trois qui atterrit dans son service est sous l’influence de drogues dures – sur base d’analyse sanguine. Pas mal. En résumé, on ne fait pas très gaffe. On aura donc bientôt droit aux voitures sans chauffeur. Pure logique. A + B = C. [23/04 En fait non. Je viens de lire ça et je vais le traduire. L’intelligence artificielle est un leurre : ça ne fonctionne pas.]

On nous a vendu des téléphones intelligents et des ordinateurs à vil prix sans qu’on entende beaucoup parler de leur coût réel, sur les plans sociaux, environnementaux et géopolitiques – ce qu’on nomme aussi les « coûts cachés », j’aborde la question des prix et de leurs conséquences dans un prochain article – ni de la raison pour laquelle c’était tellement important que tout le monde y ait accès. Eh bien maintenant, on sait. Ce sont des outils de surveillance. Celui qui n’a pas compris ça maintenant vit sous un rocher. Et non, je n’ai pas de smartphone. Pendant que les autres sont le nez dans leur écran – généralement pas pour étudier les mathématiques avancées – je vais écouter le chant des oiseaux. Chant que certains – je suis prêt à le parier – prendraient pour une sonnerie de téléphone. Par réflexe.

On nous a vendu l’énergie pétrolière, qui, selon ce calcul un peu surfait, représente par kilo l’équivalent de la force de travail de vingt personnes à notre service, donc d’esclaves. Une aubaine sans équivalent dans l’Histoire humaine. Nous voilà maîtres d’esclaves, ce que pas mal de monde a compris comme l’occasion d’en foutre encore moins qu’avant, ou d’en faire n’importe quoi. Dans la salle de sport du village, il y a des bobonnes qui habitent à 1km, viennent en voiture, font 2km sur le tapis roulant et rentrent chez elles en voiture. J’invente pas.

On nous a vendu beaucoup de ce genre d’outils technologiques et personne n’a lu les petits caractères en bas de contrat : nous étions responsables de leur bonne utilisation. « En bon père de famille ». En consommateurs avisés, ce que nous ne sommes manifestement même pas capables de faire convenablement.

Et ne parlons même pas de la bouffe.

On me dira que je dramatise. Je dirais que je dé-banalise.

Addendum 21/04 : je vous renvoie à un précédent article, Pourquoi CS Lewis a écrit « L’abolition de l’homme », qui parle de ce sujet et et du « transhumanisme » avec une préscience étonnante.


Jacques Attali (77 ans), « conseiller » au Président de la République Française depuis 1981, explique comment les personnes de plus de 65 ans représentent un fardeau pour la société – du moins, la sienne, il est socialiste – en termes de dépenses de santé, ce qui est de ce point de vue parfaitement exact. Evidemment, pas lui. Lui n’est pas un fardeau. Lui, il peut.

Sa conclusion est que la société du futur ne pourra advenir qu’avec l’option de l’euthanasie : la solution économique à un problème humain. Le nouveau (mais ancien) « conseiller » (encore un) à la Santé de l’administration Biden, Ezekiel Emmanuel, tient exactement les mêmes propos – sauf qu’il fixe la limite à 75 ans, merci quand même. Il a rédigé en personne la loi d’attribution de soins de santé au niveau individuel par des « comités » d’Etat (judicieusement renommés « death panels« ). Cette loi fait partie de ce qu’on a appelé ObamaCare. Il revient aujourd’hui la consolider, entouré d’une équipe d’économistes, encore eux. Vous vous souviendrez du slogan électoral du type qui se fait appeler Obama : Yes, we can. Oui, on peut. Même pas besoin de dénoncer ces crapules, ils le font eux-mêmes.

Vous pouvez lire les détails de ce qui précède dans cet article de Matthew Ehret que j’ai traduit ici, à partir du paragraphe intitulé « L’esprit génocidaire du Dr Ezekiel Emmanuel » – je vous recommande évidemment de lire l’article complet. Vous noterez que dans les deux cas, les arguments sont identiques : normalisation de l’eugénisme sous couvert de collectivisme, ou en langage courant, pour la survie du groupe, il faut sacrifier les faibles. Où ai-je déjà entendu ça?

Ce genre de calcul parfaitement répugnant suscitera chez tout être humain sensé une saine indignation, qui ne devrait toutefois pas occulter un fait crucial : la consommation de médicaments et de soins chez nos aînés a atteint un niveau complètement délirant. Une personne âgée dans mon entourage vient de décéder. On a vidé son armoire à pharmacie et on en a rempli deux sacs-poubelle. Le grand modèle, je précise.

On pourrait parler d’excès mais on me dit que ce n’est pas du tout exceptionnel et je veux bien le croire. Quand un médecin/dentiste me demande quels médicaments je prends et que je réponds « aucun », on me repose la même question, le sourcil levé et le regard inquisiteur. J’ai dû mal comprendre. Mon épouse, qui est dans le même cas, a même eu droit à des remarques un peu agacées. Pour des gens qui approchent la soixantaine, nous ne sommes pas normaux. Nous ne prenons pas notre santé au sérieux. La preuve, nous ne sommes pas malades.

Sur une année, ma consommation maximum en médicaments est : quelques cachets de paracétamol contre la douleur, quelques cuillers de bicarbonate de soude, de la pommade contre les engelures, et de la vitamine D et du gluconate de zinc en prévention (devinez contre quoi). Je ne passe jamais de visite de « contrôle » ni de « test » (suivez mon regard) et nous ne sommes évidemment vaccinés contre rien, ce qui a le don de pas mal énerver le toubib lambda, dont la compétence se limite à rédiger des ordonnances et à s’énerver.


Puisqu’on en arrive aux vaccins, je republie ci-dessous une extrait de mon article publié le 20 novembre 2020. C’est extrait d’une interview du Dr Theresa Deisher par Robert F. Kennedy Jr.

Source francophone. Source originale.

Extrait (10’55-14’46):

(traduction)

Robert F. Kennedy Jr : « Pourquoi est-on passé de l’utilisation exclusive de cellules animales à celle de cellules foetales? »

Dr. Theresa Deisher : « C’est compliqué. Les mouvements de défense animale étaient très actifs à l’époque et, par exemple, le virus de la varicelle pouvait être reproduit dans des cultures de cellules de cobayes mais il existe pas mal d’opposition à l’utilisation d’animaux dans la recherche et les défenseurs des animaux les ont clairement incités à utiliser les corps de bébés avortés. D’un point de vue économique, ils pensaient que ça coûterait moins cher. Ce qui n’est pas le cas, parce que le cadre réglementaire est bien plus contraignant. Et finalement fabriquer du virus coûte moins de 10 cents. C’est le « builing » (NdT. la coupure de la chaîne d’ARN pour stopper la transcriptase) du virus qui coûte cher, donc ça n’a finalement pas été plus rentable pour eux. »

Robert F. Kennedy Jr : « C’est plutôt surprenant de voir que les défenseurs des animaux ont plus d’influence sur l’industrie du vaccin que les mouvements anti-avortement. »

Dr. Theresa Deisher : « C’est le cas. En fait, ce qui est très inquiétant c’est le peu de protestation contre le fait que des bébés humains naissent vivants à cinq ou six mois afin qu’on puisse extraire leur coeur en train de battre. Et il faut qu’il soit en train de battre pour être utilisé dans la recherche actuelle. Si le coeur ne bat plus, il n’est plus utilisable, on ne peut plus s’en servir. Donc ces bébés naissent en vie et leur coeur est découpé sans anesthésie. Je ne ferais pas ça à une souris. »

Robert F. Kennedy Jr : « Vous voulez dire, vous dites cinq mois, vous nous parlez d’un foetus de cinq mois. »

Dr. Theresa Deisher : « Oui. »

Robert F. Kennedy Jr : « Et ils naissent en vie? »

Dr. Theresa Deisher : « Oui. »

Robert F. Kennedy Jr : « Et ils sont tués par chirurgie. »

Dr. Theresa Deisher : « Leurs coeurs sont découpés. Ou on découpe dans leurs visages pour obtenir leur tissu cérébral. »

Robert F. Kennedy Jr : « C’est horrible. »

Dr. Theresa Deisher : « Oui. Et on ne ferait pas ça à une souris. »

Robert F. Kennedy Jr : « [Stanley Plotkin] dit qu’on utilise tout le foetus. Les foetus sont avortés puis découpés en morceaux. On utilise les langues, on utilise les yeux, on utilise toutes les parties du foetus. Est-ce vrai ou n’utilise-t-on que le coeur et le cerveau? »

Dr. Theresa Deisher : « On utilise tout le bébé, certains scientifiques achètent le coeur, un autre scientifique achète le cerveau, on achète les jambes ou les yeux. Les corps sont vendus en morceaux aux chercheurs. J’avais reçu un catalogue il y a une vingtaine d’années. Je n’oublierai jamais les prix. Un bébé de 32 semaines, ça signifie un bébé vivant. […] Les prématurés survivent à partir de 21 semaines maintenant. Donc ce sont des bébés viables. »

Si ce genre d’abomination était commise par un quidam, ça ferait les gros titres de la presse internationale et on en parlerait encore dans un siècle. Ce serait « le tueur de bébés », « le psychopathe sadique », etc. Mais ici, on parle de gens qui se lèvent le matin, embrassent leur femme – ou leur mari, je suis certain qu’il y a des femmes dans cette histoire – conduisent leurs enfants à l’école avant de se rendre à leur boulot et de commettre ça. Parce que eux, ils peuvent. Ils sont même payés pour, et grassement.

Je vous envoie à cet excellent article de Liliane Held-Khawam qui reprend notamment la déposition de Stanley Plotkin, dont fait mention Robert F. Kennedy Jr ci-dessus. Lisez-le.

C’est le quotidien dans le petit monde de la « recherche scientifique » : on a commencé par torturer à mort des animaux, puis on est passé aux bébés. On commence toujours par les animaux. Et ce sont ceux qui les défendent qui demandent qu’on le fasse plutôt aux petits humains, comme vous venez de le lire.

Dans les cliniques d’avortements, le quotidien ce sont des bébés – viables – qui naissent en vie quand on a pas pris la précaution de les tuer avant, et qu’on laisse mourir, ce qui peut prendre des heures, dans la buanderie de linge sale ou dans des pièces appelées « chambres de confort« .

C’était une petite pièce joliment décorée avec une machine « First Foto » au cas où les parents voudraient des photos de leurs bébés avortés, des fournitures de baptême si les parents voulaient que leurs bébés avortés soient baptisés, et une imprimante à pied et des bracelets pour bébé si les parents voulaient des souvenirs de leurs bébés avortés. Il y avait aussi un lit-berceuse en bois pour bercer ces bébés en attendant qu’ils meurent.

This was a small, nicely decorated room complete with a First Foto machine in case parents wanted pictures of their aborted babies, baptismal supplies if parents wanted their aborted babies baptized, and a foot printer and baby bracelets if parents wanted keepsakes of their aborted babies. There was also a wooden rocker to rock these babies to death.

Allez voir le lien, il y a des photos. C’est tout à fait charmant.

Exceptionnellement, certains en réchappent : voici le témoignage de l’une d’entre eux.

Depuis un an les vieux dans les homes subissent le même genre de traitement – ce qui ne devrait pas trop déranger les « conseillers » mentionnés plus haut. Rappelez-vous : les bébés et les vieux, rien à foutre.

Qu’ils crèvent.


Les actes innommables commis à l’abri de salles médicales feutrées en sortent aujourd’hui et viennent déborder sur l’ensemble de la société, qui s’en émeut et défile dans les rues. Le petit peuple semble découvrir un peu tard dans quel système il vit. Il a un peu vite oublié le coût humain de son petit confort : les vieux discrètement parqués dans des mouroirs – loin des yeux, loin du coeur – les dizaines de milliers d’enfants sacrifiés hier à la « révolution industrielle », les enfants esclaves des pays pauvres, les enfants qu’on massacre en silence pour la recherche, pour leurs organes – ou simplement pour ne pas devoir s’en occuper. Finalement, pourquoi pas? On peut.

La valeur d’une société se mesure à la manière dont elle traite les êtres sans défense. Ce n’est pas économiquement, mais moralement et humainement que cette société s’écroule, et je n’ai pas besoin du discours hypocrite et des arguments frauduleux d’un Klaus Schwab pour le savoir. Que ce soit sa clique de milliardaires cyniques qui se charge de nous faire payer la facture, en faisant de cette planète, dans un premier temps, une prison à haute sécurité, est une ironie doublée d’une insulte

Ce monde deviendra bientôt un enfer. Il l’était déjà pour certains, comme vous le voyez. La doctrine égalitaire fera qu’il le devienne pour tous.

L’humanité est devenue un syndicat du crime organisé.

Mais tout finit par se payer.

Tout.


Les nombreuses analyses médicales des « vaccins » Covid que j’ai traduites et publiées ici attirent du monde, nettement plus que mes propres articles. Mais comme on me l’a fait remarquer, on n’attire pas les mouches avec du vinaigre. Beaucoup de gens sont curieux et inquiets de ce qu’on cherche à leur infliger. La réponse est claire, simple et tient en trois mots : rien de bon. Mais la question n’est en définitive qu’une question de consommateur de médecine : est-ce un bon produit?

Même si ce vaccin était parfaitement « sûr et efficace » – ce qu’il n’est manifestement pas – toute personne qui l’accepte se rend complice par association des atrocités décrites plus haut. La plupart des gens peuvent tenter de se disculper en arguant qu’ils ne savaient pas.

Maintenant vous savez.

A vous de voir si vous pouvez.

Hold-up+ et bonus.

(liens mis à jour le 12/03)

Vous pouvez aller sur leur site pour visionner la nouvelle version du documentaire. Il faut vous inscrire.

Sinon, il est sur Odysee, en deux parties :

Hold-up+, première partie

Hold-up+, deuxième partie

Pour les bonus, dont je vous recommande vivement les deux premières interviews (Louis Fouché et Vincent Pavan) :

Hold-up+, bonus

Ici, l’interview complète de Louis Fouché (qui figure déjà dans le lien ci-dessus).

D’autres interviews complètes sur la chaîne Odysee du film.


Le Grand Reset, interview de Lucien Cerise.

Source.

Lucien Cerise : “Nous allons entrer dans le royaume de la déglingue définitive et de l’effondrement systémique dans l’abrutissement technophile

Le projet du Great Reset, vous connaissez ? Non ? Alors lisez Lucien Cerise ! Spécialiste de l’ingénierie sociale et de la fabrique de l’opinion, il nous explique ce que cache la grande réinitialisation de nos cerveaux par le système.

Rivarol : Qui sont les auteurs et les promoteurs du projet « Great Reset » ? 

Lucien Cerise : En 2014, Christine Lagarde, alors directrice du FMI, avait déjà parlé de la nécessité d’opérer un « Great Reset » économique, une grande remise à zéro, une grande table rase de l’économie mondiale.

En 2020, le fondateur du forum de Davos, Klaus Schwab, reprend ce concept de Grande réinitialisation et lui consacre un livre où il élargit les champs d’application de ce Grand recommencement à tous les domaines de l’existence, au prétexte de l’épidémie de coronavirus, qui doit transformer le monde de manière irréversible et dont doivent émerger une nouvelle normalité, une nouvelle réalité, un nouveau monde, selon les éléments de langage en vigueur.

Ce projet révolutionnaire de couper l’histoire en deux circule donc depuis plusieurs années dans les milieux du capitalisme industriel et financier.

Philosophiquement, le thème de la tabula rasa n’est pas neuf et apparaît déjà dans l’eschatologie monothéiste et sa temporalité linéaire, ascendante, cumulative, avec un avant et un après, qui projette d’en finir avec le Mal et une condition humaine douloureuse pour nous acheminer vers le Bien et un avenir salvateur. D’autres cultures ont une conception cyclique du temps et n’envisagent pas d’en finir avec le Mal, ou ce qui est perçu comme tel, ce que Friedrich Nietzsche reprendra à son compte avec le concept d’Éternel retour, du Bien comme du Mal. À l’opposé, le Great Reset appartient à cette tradition utopiste qui rêve d’organiser le monde de manière parfaitement rationnelle, unifiée et centralisée, et d’en finir une bonne fois pour toutes avec le Mal, identifié à la multitude humaine et à l’existence biologique, lesquels induiraient une forme d’irrationalité, c’est-à-dire d’imprévisibilité et d’incertitude.

Dans plusieurs publications et entretiens, Klaus Schwab nous annonce une quatrième révolution industrielle qui va fusionner le biologique et le numérique. Cette dictature technologique et technophile est en gestation depuis des décennies. Les réseaux d’agents dormants ont été pré-positionnés aux postes clés du pouvoir pendant des années, puis activés tous ensemble en 2020. Ce projet a connu divers noms – positivisme, scientisme, progressisme, mondialisme, transhumanisme – le Great Reset n’est que le dernier en date pour qualifier cette tyrannie électronique universelle qui se met en place un peu partout sur la planète, car personne n’y échappe. La techno-science surdétermine absolument tout, en particulier les rapports de force internationaux. Les pays qui ne jouent pas le jeu de la rivalité techno-scientifique mondiale s’auto-désarment et se soumettent d’eux-mêmes aux adversaires et concurrents économiques et militaires.

De fait, c’est toujours le complexe militaro-industriel qui fait avancer la recherche scientifique, dont le seul et unique principe tient en peu de mots : tout ce qui est faisable sera fait.

Cette hubris prométhéenne de la techno-science ne connaît aucune limite, c’est une fuite en avant permanente induisant une compétition acharnée de tous les acteurs géopolitiques, quel qu’en soit le coût humain. À intervalle régulier, l’instinct de conservation de l’espèce refait surface et l’on assiste à des initiatives pour encadrer éthiquement la recherche. Mais pour l’instant, il n’y a que dans l’univers fictif de Dune, l’œuvre romanesque de Frank Herbert, que l’intelligence artificielle est interdite définitivement – épisode du Jihad butlérien – en raison de la menace qu’elle fait peser sur l’humanité.

Quel modèle de société doit naître du monde post-covid ?

Un modèle de société post-humaine. La grippe covid-19 est un simple prétexte pour en finir avec l’espèce. Comme son nom l’indique, la Grande réinitialisation consiste à appliquer aux sociétés humaines le même traitement qu’à un ordinateur que l’on redémarre. Le but de la manœuvre est de procéder à un transfert de pouvoir total et définitif.

De quoi vers quoi ? Des structures politiques de toutes sortes, nationales, internationales, supranationales, vers un système de gestion informatique et technocratique planétaire. Le caractère étatique ou privé est secondaire. Le but est d’en finir avec la politique en général, c’est-à-dire avec la discussion, la polémique, la critique, l’interrogation, c’est-à-dire la régulation des interactions humaines par le langage, pour placer nos existences directement sous pilotage de l’intelligence artificielle, sans qu’il n’y ait plus de discussion possible. Les sujets humains, qui se caractérisent par le goût de la palabre, vont être insérés dans un vaste système de gestion automatisée d’objets connectés.

Ce modèle de société est directement issu de la pensée cybernétique, qui ne distingue pas les sujets et les objets. La cybernétique a été inventée par le mathématicien Norbert Wiener pendant la Deuxième Guerre mondiale comme une méthode de calcul balistique. Sa particularité est de ne pas vraiment différencier les êtres vivants et les non-vivants, tous traités comme des systèmes d’information en interaction.

Les conférences Macy qui réunirent divers scientifiques et intellectuels aux États-Unis entre 1942 et 1953 posèrent les bases d’une cybernétique sociale avec des applications en politique dans la gestion des citoyens comme s’il s’agissait de simples automates, remplaçables par des machines.

Le projet soutenu sérieusement par certains avocats d’accorder une personnalité juridique aux robots va dans le même sens de lissage des différences ontologiques vivant/non-vivant.

La fusion biologique/numérique se fera au détriment du biologique et au bénéfice du numérique, induisant un phénomène de chosification du vivant. Le problème majeur à solutionner pour l’utopie cybernétique est le règne animal, distinct du minéral et du végétal – la « viande » comme on dit dans l’univers cyberpunk de William Gibson. Il faut en finir avec les êtres de viande car ils sont indisciplinés et impossibles à insérer directement en tant que tels dans le cyberespace.

Dans le monde post-covid, il faut donc supprimer la viande, ce qui explique aussi cet engouement étrange que le sommet du capitalisme entretient pour le végétarisme. En 2016, le forum de Davos nous annonçait dans ses « 8 prédictions pour le monde en 2030 » que « nous mangerons beaucoup moins de viande ».

La société post-covid est une extension du secteur socio-professionnel tertiaire à toute l’existence, avec ses emplois de bureau en espace climatisé, son télétravail largement répandu et ses faibles dépenses caloriques et énergétiques. C’est le monde morbide et dégénéré du bobo, du geek et du no-life, végane, anti-spéciste, cosmopolite, LGBT, masqué, confiné, vacciné et heureux de l’être.

Ce modèle de société post-covid entièrement artificialisé est une révolution de l’artefact, qui devient le nouvel environnement et qui prend le pouvoir sur son inventeur en inversant le contenant et le contenu. Depuis la nuit des temps, le monde naturel est le contenant, l’artefact culturel est le contenu. Dans la société post-covid, l’artefact culturel doit devenir le contenant au sein duquel le monde naturel et biologique subsistera comme contenu et auquel il devra se plier. Cette inversion signifie que ce ne seront plus les mécanismes de la sélection naturelle qui présideront à notre existence. La sélection naturelle dit que votre destin est défini par votre adaptation réelle à un environnement réel. L’adéquation au réel l’emporte sur l’erreur ; les solutions adaptées à l’environnement l’emportent sur les solutions non adaptées, donc erronées, qui sont éliminées.

Or, nous entrons dans ce que l’on pourrait appeler une « sélection artificielle », qui dit que votre destin est défini par votre soumission réelle à un environnement virtuel construit par l’Homme, et donc truffé d’erreurs et de dysfonctionnements. Exemple : dans un avenir proche, des centaines de milliers de gens vont rater leur avion ou leur train parce que leur test à la covid-19 sera positif avant d’embarquer, alors que ce test aura en fait produit un faux cas positif. Les tests PCR et antigéniques produisent en effet jusqu’à 90% de résultats faux. Notre vie, notre survie seront bientôt suspendues à des technologies qui accumulent les erreurs de diagnostics, ainsi que les possibilités de trucage, de détournement, de piratage, etc.. Notre existence sera entièrement rythmée par la technique et ses multiples problèmes, pannes à répétition, plantages, bugs informatiques, fautes de calcul, falsifications, vols de données, etc..

Le tout-numérique fragilise les sociétés en les exposant aux cyber-attaques et aux accidents, comme on le voit déjà avec le compteur Linky. Nous allons passer d’un monde où ce sont les solutions qui marchent qui sont sélectionnées, retenues, puis qui deviennent majoritaires, normatives et contraignantes, à un monde où ce n’est pas forcément ce qui marche qui deviendra normatif et contraignant. Le monde va donc sombrer dans l’inintelligence artificielle et le stade terminal de l’idiocratie.

L’automatisation complète du globe terrestre, objectif poursuivi par le Great Reset, sera en fait le grand dysfonctionnement généralisé et la grande désorganisation méthodique de la vie sur Terre. Nous allons entrer dans le royaume de la déglingue définitive et de l’effondrement systémique dans l’abrutissement technophile.

Sur le plan de la communication, ce projet repose avant tout sur la peur et l’utilisation des nouvelles technologies dans le contrôle social. Basculons-nous dans le libéralisme sécuritaire avec l’état d’urgence sanitaire ?

La peur et le sentiment d’un risque imminent sont des moteurs de l’action que le pouvoir manipule parfaitement. Klaus Schwab, en tant que professeur de management industriel, est parfaitement formé aux techniques du type « conduite du changement », qui visent à fabriquer le consentement au changement en entreprise (et ailleurs) même quand c’est inutile ou nuisible pour les salariés.

Comment ? Tout d’abord, en créant un sentiment d’urgence. Telle est la première des huit étapes du changement provoqué selon John Kotter, le pape de cette approche managériale qui trouve évidemment des applications en politique, notamment sous la forme de ce que l’on appelle communément le principe du pompier pyromane, consistant à provoquer une crise pour lui apporter une solution. En informatique, les concepteurs d’anti-virus sont aussi les concepteurs de virus – ainsi que les concepteurs de la croyance au risque de virus. En effet, il existe des virus informatiques réels, mais pour vendre des anti-virus, les virus n’ont même pas besoin d’être réels, il suffit que l’utilisateur ait peur que son ordinateur soit infecté par un virus pour qu’il achète un anti-virus.

Ce que l’on appelle le « risque » est, en termes de psychologie, une protension anxiogène, c’est-à-dire l’anticipation virtuelle d’un problème, et c’est suffisant pour induire un comportement réel, car personne n’aime avoir des problèmes. On voit comment Bill Gates et ses amis de Davos ont raisonné pour mettre au point cette opération en deux parties : coronavirus/Great Reset.

Si le coronavirus avait été vraiment dangereux, il y aurait eu un risque réel que Bill Gates, Klaus Schwab et Christine Lagarde en meurent aussi. Il faut donc que le danger réel soit bénin, quasiment inexistant, mais que l’idée du risque soit diffusée le plus largement possible, ce dont les médias se chargent, induisant un vent de panique dans la population, sans aucun fondement réel, mais qui facilite l’acceptation des solutions mises en avant, quelles qu’elles soient, même les plus aberrantes et délirantes, comme les confinements de masse, les masques dans la rue, les vaccins OGM, etc..

Chaque virus, réel ou virtuel, sera désormais le prétexte à de nouvelles campagnes de vaccination, mais aussi à des reconfinements et à prolonger les gestes barrières, le port du masque et la distanciation sociale.

Nous basculons donc dans une dictature sanitaire et sécuritaire, qui n’est pas tout à fait libérale, au bon sens du terme. Comme souvent en philosophie politique, le même concept peut recevoir deux significations différentes, c’est le cas de « libéralisme », selon qu’il désigne l’abolition de toute régulation, commerciale ou comportementale, ou simplement la liberté d’entreprendre. Or, le projet de loi visant à pérenniser l’état d’urgence sanitaire qui a été proposé en France le 21 décembre 2020 visait aussi à entraver la liberté d’entreprendre. Les travailleurs indépendants sont particulièrement visés par les mesures de confinement, de couvre-feu, etc., ce qui va provoquer une crise économique qui conduira à des mesures d’expropriation et d’abolition de la propriété privée, ce qui n’est pas très libéral non plus. La première des huit prédictions pour 2030 de Davos est ainsi libellée : « Vous ne posséderez rien. Et vous serez heureux. » (You’ll own nothing. And you’ll be happy).

Quel est le but du plan de vaccination mondiale contre le Covid-19 ?

Il y a certes des intérêts lucratifs mais ce n’est pas l’essentiel. En résumé, on peut discerner au moins trois objectifs plus ou moins convergents et entrelacés.

Le premier consiste à modifier le matériel génétique humain au moyen de « vaccins OGM » (organismes génétiquement modifiés), en fait des sortes de thérapies géniques consistant à injecter dans nos cellules de l’ADN recombinant ou de l’ARN messager. On nous dit que le vaccin à ARN messager ne modifie pas directement le noyau de la cellule, seulement le cytoplasme ambiant qui l’entoure. Mais c’est comme dire à quelqu’un « N’ayez crainte, je ne modifie pas votre corps, seulement l’air qui vous entoure et que vous respirez », ce qui revient, de proche en proche, à modifier votre corps puisqu’il interagit en permanence avec son environnement immédiat.

Deuxième objectif : généraliser l’identification numérique des êtres humains, et même peser sur leur comportement, en leur injectant une interface cerveau-machine pour les connecter directement depuis l’intérieur de leur corps au cyberespace – le Cloud Computing numérique universel – et les gérer ainsi comme des objets connectés parmi d’autres.

Troisième objectif : réduire la population mondiale au moyen d’une arme biologique sous forme de vaccin. Aux États-Unis, l’implication des militaires dans le financement de plusieurs vaccins est officielle, elle a pour nom de code opération Warp Speed. Les projets de vaccination à des fins de meurtre de masse sont documentés historiquement, notamment dans l’Afrique du Sud de l’apartheid. Le cardiologue Wouter Basson était en charge du Project Coast, un programme de recherche sur les armes biologiques et chimiques visant à stériliser ou éliminer les Noirs au moyen de faux vaccins empoisonnés. Ce sera donc finalement appliqué aussi aux Blancs, par d’autres Blancs.

Comment la Macronie applique ce plan pour la France ?

Les professionnels de la médecine n’agissent pas seulement pour sauver des vies mais aussi pour en prendre. Cette vérité inquiétante est en train d’être comprise par un nombre croissant de Français, ce qui ne facilite pas la vaccination car la confiance est rompue entre le peuple et le corps médical.

Pour surmonter cette méfiance, la Macronie va procéder de manière graduée, tout d’abord par le lavage de cerveau médiatique et la méthode du nudge, terme anglais qui signifie littéralement « coup de pouce », mais qu’on pourrait traduire dans ce contexte par « encouragement » ou « incitation ». Cette approche de contrôle social en douceur a été théorisée par Cass Sunstein, universitaire américain, inventeur du concept d’infiltration cognitive et ancien conseiller d’Obama. Sunstein a été recruté l’an dernier par l’OMS, dans le cadre d’une cellule de crise qui va travailler main dans la main avec Behavioral Insights, une organisation d’analyses comportementales, qui se présente ainsi sur sa page Wikipédia :

« La Behavioral Insights Team (BIT), également connue officieusement sous le nom de « Nudge Unit », est une organisation à vocation sociale qui génère et applique des informations comportementales, officiellement pour informer les politiques et améliorer les services publics. En suivant la théorie du coup de pouce, en utilisant l’ingénierie sociale, des techniques de psychologie et de marketing, le but de l’organisation est d’influencer la pensée publique et la prise de décision. »

Pour motiver les gens, la vaccination est présentée comme une condition du retour à la normale. En réalité, le port du masque et la distanciation sociale resteront obligatoires même pour les personnes vaccinées. Avec les enfermements/confinements à répétition, ces nouvelles pratiques sociales doivent définir le nouveau mode de vie normal issu de la crise. En parallèle, des menaces de mort sont proférées par le gouvernement avec le projet de passeport sanitaire, certifiant de votre vaccination et sans lequel vous ne pourrez plus exercer certains métiers, ni accéder à des lieux ou des services, ce qui vous reléguera aux marges de la société et réduira votre espérance de vie. Enfin, si ces stratagèmes et chantages ne marchent toujours pas, le pouvoir appliquera la violence physique directe et la coercition, avec des opérations de vaccination forcée en recourant aux « forces de l’ordre » qui viendront vous chercher chez vous.

Que vous inspire la mobilisation contre les mesures sanitaires un peu partout en Europe ? Pensez-vous qu’une réaction populaire se structure ?

Il se passe plein de choses mais c’est encore insuffisant. Nous devons continuer à travailler l’opinion publique pour mettre en minorité les pro-virus et pro-vaccins jusqu’à ce qu’ils se sentent encerclés psychologiquement et ridicules.

En France, la réinformation se fait beaucoup sur Internet, mais il faudrait plus de démonstrations de rue, de manifestations, de flash-mobs, sans oublier d’occuper l’espace visuel urbain et rural en recouvrant tous les murs, les ponts, les poteaux avec du collage, de l’affichage, des graffiti de slogans anti-vaccins, anti-virus et anti-dictature sanitaire pour que cela devienne à la mode et « tendance ».

Inspirons-nous des méthodes compilées par Gene Sharp, le théoricien des révolutions colorées. Son livre De la dictature à la démocratie est plein de conseils et de ressources pour déstabiliser un régime comme celui que nous subissons en France.

Pour structurer la réaction populaire, il faut aussi de l’endurance, afin de soutenir le bras de fer avec le régime sur le long terme. Pour gagner un rapport de forces, il faut durer plus longtemps que l’ennemi. Et l’endurance vient de la motivation. Il faut comprendre que nous sommes dos au mur. Nous n’avons plus rien à perdre. C’est ce qu’il faut faire comprendre à la population.

Bill Gates et le néo-féodalisme: un examen minutieux de Bill le Fermier – par Robert F. Kennedy Jr.

Un article de Robert F. Kennedy sur Bill Gates.

Source.

Avertissement : Robert F. Kennedy va profiter de son excellent article pour vous vendre un peu de « réchauffement climatique » et de « gaz à effet de serre », c’est-à-dire du Marxisme peint en vert. Vous voilà prévenus.


Traduction

Bill Gates et le néo-féodalisme: un examen minutieux de Bill le Fermier

Bill Gates est tranquillement devenu le plus grand propriétaire de terres agricoles aux États-Unis. Pour un homme obsédé par le niveau de contrôle que permet le monopole, l’opportunité de dominer également la production alimentaire devait sembler irrésistible.

Par Robert F. Kennedy, Jr.

«Gates a une conception napoléonienne de lui-même, un appétit qui lui vient de son pouvoir et de son succès sans mélange, sans expérience négative, sans revers. – Juge Thomas Penfield Jackson, président lors de l’affaire antitrust-fraude Gates/Microsoft

Les verrouillages mondiaux que Bill Gates a aidé à orchestrer et à encourager ont mis en faillite plus de 100.000 entreprises rien qu’aux États-Unis et plongé un milliard de personnes dans la pauvreté et dans une mortelle insécurité alimentaire qui, entre autres effets dévastateurs, tuent 10.000 enfants africains par mois – tout en augmentant la richesse de Gates de 20 milliards de dollars. Sa fortune de 133 milliards de dollars fait de lui le quatrième homme le plus riche du monde.

Gates a consacré cette nouvelle manne à étendre son pouvoir sur les populations mondiales en achetant des actifs dévalués mis en vente à des prix ridicules (NdT. d’après incendie) et à manœuvrer pour établir son contrôle monopolistique sur la santé publique, privatisant les prisons, l’éducation en ligne et les communications mondiales tout en promouvant les monnaies numériques, la surveillance de haute technologie, les systèmes de récolte de données et l’intelligence artificielle.

Pour un homme obsédé par le niveau de contrôle que permet le monopole, l’opportunité de dominer également la production alimentaire devait sembler irrésistible.

Selon le dernier numéro de The Land Report, Gates est discrètement devenu le plus grand propriétaire de terres agricoles aux États-Unis. Le portefeuille de Gates comprend maintenant environ 242.000 acres de terres agricoles américaines et près de 27.000 acres d’autres terres à travers la Louisiane, l’Arkansas, le Nebraska, l’Arizona, la Floride, Washington et 18 autres États .

Thomas Jefferson pensait que la victoire de l’Amérique dans sa lutte exemplaire pour remplacer le joug du féodalisme européen par une digne expérience d’auto-gouvernance dépendait du perpétuel contrôle du patrimoine foncier de la nation par des dizaines de milliers d’agriculteurs indépendants, qui trouvaient tous un intérêt dans notre démocratie.

Donc, dans le meilleur des cas, la campagne de Gates pour étrangler les propriétés agricoles aux États-Unis est peut-être un signe que le féodalisme est à nouveau d’actualité. Au pire, sa frénésie acheteuse est le signe avant-coureur de quelque chose de bien plus alarmant : le contrôle des approvisionnements alimentaires mondiaux par un mégalomane avide de pouvoir qui souffre du complexe de Napoléon.

Explorons le contexte des achats en mode furtif de Gates dans le cadre de sa stratégie à long terme de maîtrise de l’agriculture et de la production alimentaire à l’échelle mondiale.

À partir de 1994, Gates a lancé une campagne internationale de biopiraterie pour parvenir à la domination verticalement intégrée de la production agricole mondiale. Son empire comprend maintenant de vastes terres agricoles et des investissements importants dans les cultures OGM, les brevets sur les semences, les aliments synthétiques, l’intelligence artificielle, y compris les travailleurs agricoles robotiques, et des postes de direction chez des géants alimentaires tels que Coca-Cola, Unilever, Philip Morris (Kraft, General Foods), Kellogg’s, Procter & Gamble et Amazon (Whole Foods), et dans des multinationales comme Monsanto et Bayer qui commercialisent des pesticides chimiques et des engrais pétrochimiques.

Comme d’habitude, Gates coordonne ces investissements personnels avec des subventions payées par les contribuables depuis la Fondation Bill & Melinda Gates, l’organisation la plus riche et la plus puissante de toute le secteur d’aide internationale, ses partenariats financiers avec Big Ag, Big Chemical et Big Food, et son contrôle sur des agences internationales – dont certaines de sa propre création – qui lui confère l’immense pouvoir de créer des marchés captifs pour ses produits.

L’ancien secrétaire d’État Henry Kissinger, protégé et partenaire de David Rockefeller, a fait remarquer que «Celui qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle le peuple». En 2006, les fondations Bill & Melinda Gates et Rockefeller ont lancé l’Alliance pour une Révolution Verte en Afrique (AGRA) de 424 millions de dollars, promettant de doubler la productivité des cultures et d’augmenter les revenus de 30 millions de petits agriculteurs d’ici 2020 tout en réduisant de moitié l’insécurité alimentaire.

De manière caractéristique, l’approche de Gates des problèmes mondiaux place la technologie et ses partenaires de l’industrie chimique, pharmaceutique et pétrolière au centre de chaque solution. Il s’est révélé que la «stratégie innovante» de Gates pour la production alimentaire était d’imposer de force le système américain raté d’agriculture basée sur les OGM, les produits chimiques et les combustibles fossiles aux agriculteurs africains pauvres.

Les pratiques agricoles africaines évoluent sur leur continent depuis plus de 10.000 ans sous des formes qui favorisent la diversité des cultures, la décentralisation, la durabilité, la propriété privée, l’auto-organisation et le contrôle local des semences. La liberté personnelle inhérente à ces systèmes localisés laisse les familles paysannes prendre leurs propres décisions : ils sont maîtres sur leurs terres, souverains de leur destin. Une innovation continue développée par des millions de petits agriculteurs a maximisé les rendements durables et la biodiversité.

Dans sa réinvention impitoyable du colonialisme, Gates a dépensé 4,9 milliards de dollars pour démanteler cet ancien système et le remplacer par une agriculture corporatisée et industrialisée de haute technologie, des monocultures chimiquement dépendantes, une centralisation extrême et un contrôle par le haut. Il a forcé les petites fermes africaines à passer aux semences commerciales importées, aux engrais pétroliers et aux pesticides.

Gates a construit une infrastructure de chaîne d’approvisionnement autour des produits chimiques et des semences et a fait pression sur les gouvernements africains pour qu’ils dépensent d’énormes sommes en subventions et imposent des sanctions draconiennes et un contrôle autoritaire pour forcer les agriculteurs à acheter ses intrants coûteux et à se conformer à ses diktats. Gates a obligé les agriculteurs à remplacer les cultures traditionnelles de nourritures de subsistance comme le sorgho, le millet, la patate douce et le manioc par des cultures commerciales industrielles à haut rendement, comme le soja et le maïs, qui génèrent des profits pour l’élite commerciale mais ne laissent presque rien à manger aux Africains pauvres. La qualité nutritionnelle et la productivité ont chuté. Les sols deviennent plus acides à chaque application d’engrais pétrochimiques.

Comme lors des campagnes de vaccination de Gates en Afrique, il n’y a eu ni évaluation interne ni responsabilité publique. L’étude de 2020 «Fausses promesses : l’Alliance pour une Révolution Verte en Afrique (AGRA)» est le bilan des 14 ans d’efforts du cartel de Gates. L’enquête conclut que le nombre d’Africains souffrant de faim extrême a augmenté de 30% dans les 18 pays ciblés par Gates. La pauvreté rurale s’est métastasée de façon dramatique et le nombre de personnes souffrant de la faim dans ces pays est passé à 131 millions.

Sous le système de plantation de Gates, les populations rurales d’Afrique sont devenues esclaves sur leurs propres terres d’un servage tyrannique d’intrants de haute technologie, de mécanisation, d’horaires rigides, de conditionnalités lourdes, de crédits et de subventions qui sont les caractéristiques déterminantes de la «Révolution Verte» de Bill Gates.

Les seules entités à bénéficier du programme de Gates sont ses entreprises partenaires internationales – et en particulier Monsanto, dans laquelle le Gates Foundation Trust a acheté 500.000 actions pour une valeur de 23 millions de dollars en 2010 (pour ensuite céder ces actions sous la pression de groupes de la société civile). Gates lui-même a même filmé des publicités pour les OGM de Monsanto, les vantant comme la «solution» à la faim dans le monde.

Dans un exemple typique des étranges largesses de Gates, sa fondation a apparemment accordé ses subventions «caritatives», payées par les contribuables, à concurrence de 10 millions de dollars au géant de Big Ag, Cargill, pour mettre en place ses chaînes d’approvisionnement de soja OGM en Afrique du Sud. Les Africains appellent le programme de Gates le « néocolonialisme» ou le «colonialisme d’entreprise».

L’initiative AGRA Watch de la Community Alliance for Global Justice, basée à Seattle, trace les politiques agricoles et alimentaires de Gates. Selon Heather Day, porte-parole d’AGRA Watch, l’AGRA est le cheval de Troie de la kleptocratie d’entreprise.

«La Fondation Gates et l’AGRA prétendent être ‘pro-agriculteurs’, ‘pro-pauvres’ et ‘pro-environnement’», m’a dit Day. «Mais leur approche est étroitement alignée sur les sociétés transnationales, comme Monsanto, et les acteurs de la politique étrangère comme l’USAID [Agence Américaine pour le Développement International]. Ils profitent des crises alimentaire et climatique mondiale pour promouvoir une agriculture industrielle de haute technologie centralisée qui génère des profits pour les entreprises partenaires de Gates tout en dégradant l’environnement et en affaiblissant les agriculteurs. Leurs programmes sont une forme sombre de philanthrocapitalisme basée sur le biopiratage et le biopiratage d’entreprise.

L’activisme climatique de Gates (Une note à mes collègues environnementalistes)

Pour masquer ses plans dystopiques pour l’humanité sous des intentions bénignes, Gates a exproprié la rhétorique de «durabilité», «biodiversité», «bonne intendance» et «climat». Ces causes sont toutes de sombres réalités qui posent des menaces existentielles pour nos enfants et nécessitent une attention urgente. Cependant, si on se penche sur le dossier de Gates on voit que ses intentions bienveillantes servent de paravent à un programme visant à maximiser son profit et son contrôle personnels.

Je suis déconcerté de voir à quel point mes amis du mouvement environnemental ont avalé la couleuvre de Gates. Au cours de mes 40 ans d’activisme pour le climat, je n’ai vu aucune preuve du financement par Gates d’une véritable action en faveur du climat; la Fondation Gates est aux abonnés absents dans les guerres climatiques.

Les principaux groupes climatiques, Conseil National de Défense des Ressources, Fonds de Défense Environnementale, Sierra Club, Greenpeace, Waterkeepers, etc., ne reçoivent pratiquement rien de la plus grande fondation philanthropique du monde. Son historique d’investissement suggère que la crise climatique, pour Gates et ses copains, n’est rien de plus qu’un alibi pour établir un contrôle social intrusif, une surveillance à l’échelle « Great Reset» et d’énormes fantasmes de géo-ingénierie de science-fiction, y compris ses projets vaniteux, déments et terrifiants de pulvériser dans la stratosphère du chlorure de calcium ou de l’eau de mer pour ralentir le réchauffement, de déployer des ballons géants pour saturer notre atmosphère de particules réfléchissantes qui masqueront le soleil , ou son périlleux pari de libération des millions de moustiques génétiquement modifiés dans le sud de la Floride.

Lorsque nous replaçons ces plans cauchemardesques dans leur contexte, aux côtés de la batterie de vaccins expérimentaux qu’il impose de force à 161 millions d’enfants africains chaque année , il est assez clair que Gates nous considère tous comme ses rats de laboratoire.

Gates a également tenu compte des conseils de Kissinger, «Contrôlez le pétrole et vous contrôlez les nations». Ses participations dans le domaine de l’énergie ne reflètent nulle part l’antipathie qu’il affiche pour les gaz à effet de serre. Les investissements personnels de Gates dans les hydrocarbures comprennent des participations massives dans toutes les grandes compagnies pétrolières : Exxon, Chevron, ConocoPhillips et Shell. Il possède la plus grande compagnie de jets privés au monde. Son engagement hors normes dans le charbon comprend des investissements géants dans les compagnies de transport de charbon les plus polluantes, y compris le chemins de fer nationaux du Canada et CSX Richmond, qui est le plus grand transporteur du charbon par la rivière Mississippi. Gates parie gros sur l’avenir du carbone.

Les énergivores centres de collecte, de traitement et d’analyse de données de Gates comptent parmi les consommateurs d’énergie qui connaissent la plus rapide croissance dans le monde. Et, bien sûr, les entreprises d’agriculture chimique/industrielle de Gates sont l’antithèse du respect du climat. Son maïs OGM nécessite une lourde utilisation d’engrais, de pesticides, de produits agrochimiques fabriqués à partir de gaz naturel et d’autres intrants de combustibles fossiles. Il a en fait forcé les Africains, selon les mots de Michael Pollan, à «manger de l’huile». Les agriculteurs africains appellent le programme de Gates «une agriculture climato-stupide.« 

Gates a appris à s’engraisser sur les crises mondiales, qu’il s’agisse de pandémies, de crise climatique, de famine ou d’extinction massive. Le changement climatique a fourni à Gates une excuse pour créer des monopoles sur les semences, l’alimentation et l’agriculture.

En 2008, la Fondation Bill & Melinda Gates a annoncé 306 millions de dollars de subventions pour promouvoir une agriculture durable à haut rendement parmi les petits agriculteurs d’Afrique subsaharienne et d’Asie du Sud. Les projets de la fondation incluaient la création, par manipulation génétique, de vaches laitières à haute production et résistantes à la sécheresse, ainsi que le développement et la prolifération de super-cultures résistantes au changement climatique.

En d’autres termes, le changement climatique est le prétexte pour davantage de géo-ingénierie malveillante. Pendant ce temps, les politiques agricoles de Gates détruisent les systèmes climatiques de notre planète, menant des millions d’espèces vers l’extinction, désertifiant le sol, détruisant les systèmes d’eau et enrichissant le cartel du poison.

Alors, une note à mes collègues leaders environnementalistes : Bill Gates n’est pas notre copain! En outre, Gates a donné mauvaise réputation à la réforme climatique auprès de millions d’Américains, qui voient ses prétentions climatiques sous l’angle de ses ambitions de contrôle de l’humanité et de la destruction de l’activité économique et de la liberté personnelle.

C’est en grande partie du fait de Gates que la moitié de l’Amérique voit le changement climatique soit comme un escroquerie «Great Reset» qui sert à déplacer la richesse vers le haut, ou comme un fantasme de géo-ingénierie. C’est sa faute s’ils ne reconnaissent pas le grave danger du changement climatique. C’est notre faute si nous semblons délibérément aveugles au péril que représente Bill Gates.

Gates profite de toute cette confusion; la polarisation du débat sur le climat paralyse les efforts de réforme, préservant ainsi la valeur de ses enjeux carbone. Nous devons tous reconnaître qui est vraiment derrière ce masque vert!

Biopiraterie

«Une nation qui détruit ses sols se détruit elle-même.» – Lettre du président Franklin D. Roosevelt à tous les gouverneurs des États, février 1937.

Une longue expérience et de nombreuses recherches ont montré que l’agroécologie basée sur la biodiversité, la liberté des semences et la liberté alimentaire est essentielle non seulement pour les libertés civiles et la démocratie, mais pour l’avenir de l’alimentation et de l’agriculture.

Pendant des milliers d’années, l’innovation des agriculteurs et la biodiversité ont évolué ensemble pour créer les pratiques les plus efficaces pour assurer une production alimentaire et une biodiversité durables. L’étude fondamentale des Nations Unies réalisée en 2009 par l’International Assessment of Agricultural Knowledge, Science and Technology for Development (IAASTD) documente les preuves incontestables démontrant l’échec abject de la «Révolution Verte» de Gates/Rockefeller à améliorer l’agriculture traditionnelle.

L’IAASTD a déployé une équipe de 900 scientifiques, agronomes et chercheurs de premier plan pour étudier la question de la faim dans le monde. Leur rapport complet et définitif a montré que les cultures OGM ne sont pas la réponse aux pénuries alimentaires ou à la pauvreté rurale. Ce rapport conclut définitivement que ni la Révolution Verte de Gates ni ses OGM ne peuvent nourrir le monde tout en protégeant la planète.

L’analyse complète de l’IAASTD démontre que la Révolution Verte que la Fondation Rockefeller a lancée en Inde et au Mexique dans les années 1960 s’est révélée être une catastrophe; le choix des monocultures en chimie a miné la capacité de la Terre à soutenir la vie et la production alimentaire en détruisant la biodiversité, le sol et l’eau, et en contribuant au changement climatique.

Les politiques de la Révolution Verte sapent la sécurité alimentaire et nutritionnelle et dépossèdent les petits agriculteurs par l’endettement lié à l’achat d’intrants extérieurs. L’IAASTD et de nombreuses autres études montrent que la souveraineté des semences, la souveraineté alimentaire et la souveraineté du savoir représentent le seul avenir viable pour l’alimentation et l’agriculture. Les Nations Unies et les plus grands scientifiques agricoles du monde ont admis que les OGM ne peuvent pas lutter contre la faim aussi efficacement que l’agriculture traditionnelle.

Bill Gates a choisi d’ignorer cette réalité, rejetant les preuves scientifiques en faveur de sa foi messianique selon laquelle il a été ordonné par Dieu pour sauver le monde grâce à la technologie. Selon le Dr Gates, une bonne santé ne peut venir que d’une seringue (il est le plus grand producteur de vaccins au monde).

De même, Bill le Fermier prêche que la bonne nourriture ne provient que de monocultures, de pesticides et d’engrais chimiques, de cultures OGM et de semences brevetées qu’il possède. En construisant son empire agricole, Gates s’est montré systématiquement déterminé à ignorer les voix des scientifiques et des agriculteurs, et à piétiner les lois, les traités, les traditions, les droits civils, la science et les sensibilités.

Le vol des semences

Depuis le début de la révolution néolithique il y a environ 10.000 ans, les agriculteurs et les communautés ont travaillé à améliorer le rendement, le goût, la valeur nutritionnelle, les qualités de robustesse des semences qui améliorent la croissance particulière, les attributs médicinaux et nutritionnels, et la résilience génétique qui permet à certaines semences de s’épanouir selon les conditions spécifiques du sol et de l’eau ou de résister aux prédateurs.

Ces génétiques vigoureuses et ingénieuses sont le produit d’une collaboration miraculeuse entre les humains, la nature et leur Créateur au cours de 1.000 générations d’intenses innovations agricoles mises en ouvre par l’humanité. Le libre échange de connaissances et de semences entre les agriculteurs a été la base du maintien de la biodiversité et de la sécurité alimentaire.

Depuis 1979, sous les auspices de la Banque Mondiale, un consortium de centres de recherche agricole connu sous le nom de Groupe Consultatif pour la Recherche Agricole Internationale (GCRAI) collecte ces semences de base auprès de petits agriculteurs du monde entier et les conserve dans 15 Banques de Semences Publiques indépendantes situées dans différents pays. Cette entreprise vise à archiver un inventaire complet des stocks de semences patrimoniaux au profit de toute l’humanité afin de préserver la diversité des cultures au cours des millénaires.

Au cours des 17 dernières années, Gates a réussi à manœuvrer pour prendre le contrôle de ces collections – qui comprennent 768.578 graines – et pour revendiquer la propriété monopolistique des principaux stocks mondiaux de semences.

À partir de 2003, en collaboration avec la Fondation Rockefeller, la Fondation Bill & Melinda Gates a injecté 720 millions de dollars dans le projet Banque de semences du CGIAR. En tant que principal bailleur de fonds du CGIAR, Gates a utilisé son levier financier pour forcer la fusion des 15 centres juridiquement indépendants du CGIAR en une seule entité juridique, une sinistre initiative qu’il a appellée «Gates Ag One». Sa manoeuvre suivante fut d’orchestrer le transfert de la recherche et des semences des institutions de recherche scientifique vers des sociétés productrices de produits de base comme Bayer et Cargill avec lesquelles il s’est associé. De cette façon, il pille, s’approprie et privatise le stock de semences parmi lequelles les semences les plus prometteuses en provenance des agriculteurs autochtones du monde entier.

Le directeur de Gates Ag One, Joe Cornelius, est un ancien cadre de Bayer Crop Science. Auparavant, il était directeur du développement international chez Monsanto. En collaboration avec Cornelius, Gates a perfectionné les techniques mises au point par Monsanto dans les années 1980, lorsqu’il a mené campagne pour propager ses OGM et pour breveter ses semences. Gates s’est fait le général commandant dans la guerre des pirates du Big Data visant à piller et monopoliser les données génomiques communes de millions de plantes cultivées par des paysans au cours des millénaires.

Gates finance Diversity Seek (DivSeek), un projet mondial qu’il a lancé en 2015 pour cartographier les génomes et les séquences génomiques des stocks de semences paysannes détenus dans les banques de semences. DivSeek et Gates Ag One sont ses fers de lance, qui lui permettent de«miner» les données de semences pour «censurer» leur patrimoine génétique commun. En d’autres termes – pour mettre un terme à la revendication de leur propriété publique.

À l’aide de l’intelligence artificielle (IA) et de technologies numériques, les sbires de Gates chez DivSeek et Gates AG One analysent ces graines et classent leurs données génétiques pour cartographier, breveter et voler le patrimoine mondial des stocks de semences de l’humanité. Gates appuie la justification de son brevet par l’usage de la technologie CRISPR qui permet de modifier sélectivement les génomes de semences patrimoniales, y apportant des changements suffisants pour résister aux défis de ses brevets.

L’objectif principal de Gates est de produire des variétés Green Revolution conçues pour répondre aux intrants chimiques produits par les partenaires du «Poison Cartel» de Gates : Monsanto, Bayer, Dow/DuPont, CropLife, BASF, Syngenta, Corteva, etc. En bref, Gates prive délibérément la graine de son intégrité et de sa diversité, effaçant son histoire évolutive et ses liens avec le sol, réduisant le tout à un simple «code». De cette façon, Gates confisque la diversité génétique de notre planète, la réécrit, brevète son code, vole les graines de l’humanité et les marie aux conglomérats de l’industrie chimique.

En centralisant les banques de semences et en manipulant les lois sur la propriété intellectuelle, Gates a lancé une campagne de «colonialisme génétique» pour priver les paysans et les agriculteurs autochtones du monde de leurs semences et de leurs connaissances durement gagnées.

«Le but de Gates Ag One est de prendre le contrôle de la diversité génétique de cette planète», m’a dit le Dr. Vandana Shiva, militante pour la liberté agricole. Selon Shiva, Gates «continue de subvertir et de saboter à la fois la souveraineté semencière des agriculteurs et la souveraineté semencière des pays. «Gates Ag One» est une déclaration claire de son intention de créer un empire sur la vie et la biodiversité, sur l’alimentation et l’agriculture, et sur notre subsistance. Dans ce processus, dit Shiva, « Gates finance d’infernales expériences de Frankenstein qui souillent la création de Dieu. »

Les citoyens, les gouvernements et les organisations agricoles ont rédigé de nombreuses lois et les gouvernements ont adopté des traités internationaux sur la protection de la biodiversité, notamment la Convention sur la Diversité Biologique (CDB) et le Protocole de Cartagena sur la Biosécurité à la CDB. En escroquant les représentants gouvernementaux, en manipulant le droit de la propriété intellectuelle et en réécrivant les réglementations sur les semences, Gates a été en mesure de contourner ou de piétiner ces lois et traités, et d’échapper aux structures de gouvernance multilatérales mises en place par les gouvernements dans le but d’empêcher les corporations multinationales de pirater la biodiversité de la planète et le patrimoine semencier des paysans et des agriculteurs.

Organismes génétiquement modifiés (OGM)

La foi missionnaire de Gates dans la technologie en tant que solution à tous les maux humains, de l’insécurité alimentaire et de la maladie à la santé du climat, explique sa promotion obsessionnelle des OGM. L’idolâtrie zélée des OGM et les technologies d’édition de gènes de Gates le laissent sourd aux montagnes de preuves scientifiques vérifiées et d’avertissements des agronomes, des nutritionnistes, des toxicologues et des autres scientifiques qui remettent en question leur sécurité.

Les vaccins et les médicaments OGM sont les piliers de son entreprise de santé publique, et Gates finance la recherche, le développement et la prolifération des OGM comme solution à chaque problème agricole. Il a financé, par exemple, Emmanuelle Charpentier et Jennifer Doudna, les deux chimistes du CRISPR lauréates prix Nobel 2020 pour leur travail sur l’édition des gènes.

Gates était également l’un des plus grands actionnaires de Monsanto – le promoteur le plus agressif des OGM et des pesticides au monde. La mission centrale de Gates Ag One est de se confronter à pratiquement toutes les évaluations scientifiques et de sécurité indépendantes dans sa hâte aveugle d’imposer à l’humanité les OGM non testés, les semences brevetées, les aliments synthétiques et les médicaments expérimentaux de Gates.

On pourrait s’attendre à ce que sa participation dans Monsanto et ses partenariats avec des entreprises agroalimentaires, chimiques et pétrolières discréditent Gates de ses prétentions de défenseur de la santé publique. Mais des investissements massifs dans le journalisme médiatique Gates (un exposé du magazine Nation de 2020 Mars révèle que la Fondation Gates a acheté à Gates des garanties de couverture médiatique favorable par le versement de 250 millions de dollars en subventions aux médias, y compris NBC/Universal, la BBC, NPR, The Guardian, Le Monde, Al Jazeera, et à d’autres «pour influencer les nouvelles») l’ont dispensé de l’examen minutieux et du scepticisme qui sont le rôle historique des médias face à ce genre de stratagèmes de profit diaboliques et à l’hypocrisie de rang des milliardaires assoiffés de pouvoir.

L’argent parle, et les milliards que Gates et ses alliés pharmaceutiques investissent chaque année dans le journalisme public et commercial ont plutôt fait de Gates le chouchou des médias. Il utilise ses «visites par satellite» bimensuelles des principales émissions d’actualités sur le câble et le réseau pour mettre en valeur son fascinant pouvoir de susciter des questions inoffensives et une déférence flatteuse de la part d’hôtes obséquieux (à l’exception de Norah O’Donnell ), notamment Anderson Cooper (CNN), David Muir (ABC), Ari Melber (MSNBC) et Chuck Todd (NBC), qui accueillent avec gratitude son pronostic éclairé sur des sujets allant de la santé publique à l’économie et à la politique agricole.

Contourner la réglementation gouvernementale

La richesse et le pouvoir de Gates lui permettent également d’échapper aux tentatives des gouvernements de réglementer la prolifération des OGM. En 2011, lorsque l’Inde a instauré un moratoire sur les cultures de coton Bt et de Roundup Ready génétiquement modifiés de Gates, Gates a transféré ses opérations au Bangladesh. Lorsque la Cour Européenne de Justice a statué que l’édition génique et les OGM devaient être fortement réglementés pour protéger la santé publique, Gates a lancé une campagne de lobbying pour la déréglementation dans la Communauté Européenne.

Gates déploie actuellement ses milliards pour orchestrer des attaques contre les lois anti-OGM et anti-édition de gènes dans les nombreux pays qui ont imposé des normes de sécurité. Lorsque les scientifiques et les régulateurs plaident que le temps est essentiel pour évaluer avec précision la sécurité de l’édition de gènes et des OGM, Gates déclare que «Le temps est l’ennemi!»

En 2017, un groupe allemand de défense des droits de l’homme, le Heinrich Böll Stiftung (HBS), a publié des preuves de l’existence d’une campagne secrète de Gates visant à échapper aux restrictions imposées démocratiquement à ses expériences à haut risque de manipulation de gènes. HBS a publié plus de 1.200 courriels que le groupe a obtenus en vertu des lois américaines sur la liberté de l’information. Ces documents montrent que la Fondation Bill & Melinda Gates a embauché un groupe d’espionnage et de propagande du Big Ag/Biotech pour monter une attaque d’espionnage sous couverture visant à corrompre les fonctionnaires des Nations Unies et à saboter les efforts internationaux visant à interdire une nouvelle technologie diabolique appelée «forçage génétique» (NdT. « gene drive »).

Le forçage génétique est à la technique de pointe du génie génétique, de la biologie synthétique et de l’édition génique. Ce sont les outils de prédilection des eugénistes et de ceux qui cherchent à construire le «futur transhumain» technocratique défendu par Gates et ses copains de la Silicon Valley.

Les scientifiques utilisent la technologie CRISPR pour modifier les gènes dans les chromosomes d’un organisme afin de reprogrammer l’ADN dans le but de désactiver les règles normales de l’héritage génétique et de «forcer» le trait artificiellement introduit au sein d’une population entière et de le diffuser à toutes les générations futures. Leur capacité à modifier de façon permanente le génome d’une espèce entière fait du forçage génétique l’instrument biologique du pouvoir ultime.

La technologie d’édition des gènes pourrait faciliter les projets de Gates de créer et de breveter des espèces nouvelles et améliorées de plantes et d’animaux, ou pour exterminer les espèces qu’il désapprouve. L’un de ses objectifs est d’utiliser le forçage génétique pour insérer des «gènes suicidaires » afin d’éradiquer des espèces entières de moustiques qui propagent le virus Zika ou le paludisme – un objectif du projet Target Malaria, dans lequel la Fondation Gates a investi 40 millions de dollars. Le Dr Anthony Fauci, protégé de longue date et partenaire de Gates et pom-pom girl enthousiaste du forçage génétique, a déclaré à StatNews : «Se débarrasser d’eux serait une bénédiction.»

Les critiques soutiennent que le forçage génétique pose un risque existentiel de biosécurité pour l’humanité en raison de leur capacité à changer ou à éliminer des espèces entières et à modifier de manière catastrophique les écosystèmes. Ils sont aussi l’arme biologique ultime; les esprits les plus sataniques de diverses agences militaires et de renseignement rêvent d’utiliser le forçage génétique pour la fabrication de supersoldats ou de «gènes de l’apocalypse». Les critiques craignent que les nations puissent un jour utiliser les «gènes du génocide» pour éradiquer certaines races ou certains traits indésirables.

Les fichiers Gene Drive de HBS exposent le rôle de premier plan de l’armée américaine dans le développement de la technologie du forçage génétique. Le DARPA (US Defense Advanced Research Projects Agency) a dépensé environ 100 millions de dollars dans la recherche sur le forçage génétique. Les autres principaux investisseurs de Gene Drive sont le National Institute of Health (NIH) du Dr Fauci et la Fondation Bill & Melinda Gates, qui a investi 75 millions de dollars dans la recherche sur les gènes suicidaires et anti-fertilité.

Lors de la Convention des Nations Unies sur la Diversité Biologique de 2016 (COP 13) à Cancun, 179 organisations internationales, dont la Fondation Heinrich Böll, ont voté pour que l’ONU impose un moratoire mondial sur le forçage génétique. Les opposants à cette technologie ont également fait circuler une lettre, «Un appel à la conservation consciente: pas de place pour le forçage génétique dans la conservation». Les écologistes s’inquiètent des conséquences imprévues si les gènes de suicide ou d’extinction sautent les espèces.

Les e-mails de Gene Drive révèlent qu’en réaction à la résolution de la COP 13, la Fondation Gates a embauché «Emerging Ag», une trouble entreprise d’espionnage aux alliances sinistres avec Big Pharma et Big Ag, pour saboter et faire taire la coalition internationale diverse et unifiée s’opposant au forçage génétique.

La Fondation Gates a donné 1,6 million de dollars à Emerging Ag pour «recruter une coalition secrète d’universitaires pour manipuler le processus de prise de décision de l’ONU sur le forçage génétique». Les courriels révèlent que la campagne des Gates faisait partie du plan du milliardaire pour «lutter contre les partisans du moratoire sur le forçage génétique». Emerging Ag a secrètement mobilisé 65 soi-disant «scientifiques indépendants» qui louent leurs services – «Biostitutes», dans la langue vernaculaire de l’industrie (NdT. mot formé sur base de « bio » et « prostitute ») – et des fonctionnaires à un groupe d’experts en ligne, le Forum en ligne de la CDB des Nations Unies sur la biologie synthétique. Un cadre supérieur de la Fondation Gates a fourni à ces agents véreux des instructions quotidiennes sur la façon de saboter les réglementations, de saper la science, de discréditer les partisans, de corrompre le processus et de subvertir la démocratie.

Dans la poursuite de sa campagne, Gates a simultanément financé un rapport de 2016 de la National Academy of Sciences des États-Unis approuvant le forçage génétique. Le DARPA a cofinancé le rapport blanchissant {le forçage génétique} avec la Fondation Gates. Comme The Guardian l’a noté après la publication du rapport NAS:

«La même agence américaine de recherche sur la défense (DARPA) qui a financé l’étude NAS a fait savoir qu’elle se consacrait entièrement à la recherche sur le forçage génétique et au développement d’organismes synthétiques «robustes». Il y a de bonnes raisons de s’inquiéter.

Comme l’a observé Jim Thomas du groupe ETC : «Le fait que le développement du forçage génétique soit maintenant principalement financé et structuré par l’armée américaine soulève des questions alarmantes sur l’ensemble de ce domaine.»

Dans le cadre de sa campagne coordonnée avec Emerging Ag, la Fondation Gates a manipulé trois membres, qui étaient sous le contrôle de Gates, du comité d’experts compétent des Nations Unies connu sous le nom de AHTEG (Ad Hoc Technical Expert Group) sur la biologie synthétique. Gates et Emerging Ag ont réussi et l’ONU a aboli le moratoire.

Le rôle de la Fondation Gates, révélé par les fichiers Gene Drive, dans la subversion de la campagne du mouvement environnemental contre cette technologie dangereuse confirme que Gates et sa fondation sont un cartel de voyous hors-la-loi qui méprisent le processus légal, la démocratie, la science, le droit, l’opinion publique, la santé publique et la sécurité de l’humanité.

Guerre chimique contre la santé humaine

De plus en plus de preuves désignent le type d’aliments promus par Gates, industriellement cultivés et transformés, comme principaux responsables des épidémies de maladies chroniques qui dévastent la santé humaine et affaiblissent les enfants du monde entier.

Les OGM les plus répandus dans le monde servent à faciliter la pulvérisation aérienne de pesticides . La technique d’insertion de gènes de Monsanto pour rendre les cultures agricoles résistantes aux poisons destructeurs de mauvaises herbes permet à Big Ag de licencier les travailleurs agricoles au sol, en les remplaçant par des avions (ou des drones) qui saturent les paysages (et la nourriture) avec des toxines en aérosol comme le glyphosate et les néonicotinoïdes .

Depuis la prolifération des pesticides chimiques dans les années 1940, plus de la moitié des oiseaux chanteurs américains ont disparu, la plupart des populations mondiales d’abeilles et d’insectes se sont effondrées et le taux de maladies chroniques en Amérique est grimpé à 54% parallèlement à l’utilisation accrue de pesticides.

Comme l’a souligné Vandana Shiva, «Gates a déclaré la guerre chimique non seulement à la nature, mais aussi aux systèmes métaboliques de notre corps et à la symbiose dans le microbiome intestinal avec son obsession des pesticides et des herbicides, et sa campagne pour faire passer l’humanité aux OGM. »

Aliments synthétiques: soylent ‘Gates’ (NdT. jeu de mots sur « Soylent Green », Soleil Vert – le film)

«Le régime alimentaire, les injections et les injonctions se combineront, dès le plus jeune âge, pour produire le genre de caractère et le genre de croyances que les autorités jugent souhaitables, et toute critique sérieuse des pouvoirs en place deviendra psychologiquement impossible. – Le propagandiste de la CIA Bertrand Russell, un partisan d’un gouvernement mondial, d’une dictature et d’un contrôle des masses par le haut, par une classe oligarque privilégiée (1952).

Le programme de pouvoir, de profit et de contrôle de Gates semble motiver son engagement à synthétiser les aliments de laboratoire dits «transhumains» et ses investissements massifs dans la fabrication d’aliments transformés.

Gates appelle la viande synthétique «l’avenir de l’alimentation». Il détient des investissements dans des entreprises qui fabriquent du poulet, des œufs et d’autres produits végétaux à base d’insectes. Gates détient des brevets ou a des brevets en attente pour plus de 100 produits animaux de synthèse, du poulet au poisson. Il a fortement investi dans Motif FoodWorks, une entreprise qui fabrique une variété d’aliments et d’ingrédients synthétisés en laboratoire. Il a cofondé Breakthrough Energy en 2015 avec ses copains milliardaires Jeff Bezos, Michael Bloomberg et Mark Zuckerberg – l’ainsi nommé «Pandemic Profiteers Club». (Les milliardaires américains ont augmenté leur richesse de 1,1 milliard de dollars depuis le début du verrouillage, tandis que le nombre d’Américains appauvris a augmenté de 8 millions.)

Cette alliance possède de gros enjeux dans Beyond Meat, dont ils sont copropriétaires avec Tyson Foods et Cargill. Beyond Meat fabrique des tacos de poulet à base de plantes, truffés d’OGM et de pesticides. Gates et son Billionaire Boys Club occupent également des positions élevées dans Impossible Foods, qui utilise la chaleur et la pression pour produire des hamburgers synthétiques et des bratwursts à partir de soja OGM. Les résultats de laboratoire montrent que la viande synthétique produite par cette entreprise contient des niveaux de glyphosate 11 fois plus élevés que son concurrent le plus proche. Seth Itzkan de Soil4Climate a écrit :

«Impossible Foods devrait en fait être appelé «brevets impossibles». Ce n’est pas de la nourriture; c’est un logiciel, une propriété intellectuelle – 14 brevets, en fait, dans chaque bouchée de Impossible Burger. C’est IFood, la prochaine application qui tue. Téléchargez simplement votre saveur. C’est probablement là son attrait pour Bill Gates, leur über investisseur.

Une autre entreprise de Breakthrough est Memphis Meats, qui élabore un tissu artificiel semblable à de la viande sur un substrat de sang de veau. Un Bloomberg audacieux prédit que les revenus de la viande synthétique atteindront 3,5 milliards de dollars d’ici 2026.

En juin 2020, les «Breakthrough Bros» ont investi 3,5 millions de dollars dans Biomilq, une entreprise qui produit du lait maternel synthétique à partir de «cultures de glandes mammaires et de cellules épithéliales humaines». Gates n’a pas expliqué si le lait contiendra les anticorps maternels – présents dans le lait maternel authentique – qui servent à protéger les nourrissons contre les maladies infectieuses, ou si les générations futures d’enfants Biomilq devront s’appuyer, à la place, sur des batteries supplémentaires de vaccins OGM de Gates.

Peu impressionnée, Vandana Shiva observe que Bill Gates «veut nous priver de bonnes protéines et graisses saines et nous rendre accro à ses déchets synthétiques cultivés en laboratoire. »

Gates est le créateur et le plus grand donateur de la filiale des Nations Unies, GAVI, une fausse agence gouvernementale qu’il a créée pour pousser ses préparations chimiques, médicales et alimentaires diaboliques, et mener des expériences de vaccins crapuleux sur les Africains et les Indiens. Depuis 2014, l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture, financée par la Fondation Gates à hauteur de près de 850.000 dollars, a fortement encouragé l’utilisation des protéines d’insectes – en particulier pour les pauvres. GAVI qualifie les guêpes, coléoptères, grillons et autres insectes de sources de nourriture «sous-utilisées».

Suivant l’exemple de Gates, GAVI voit avec optimisme les insectes comme complément alimentaire important pour les enfants pauvres et sous-alimentés dans un futur proche.

Peut-être en prévision de ce jour heureux, la Fondation Gates a investi dans une entreprise sud-africaine qui fabrique des protéines comestibles à partir d’élevages d’asticots. L’usine de l’entreprise abrite un milliard de mouches et produit quotidiennement 22 tonnes d’asticots qui broutent dans les déchets d’abattoir, les déchets municipaux et ménagers. Étant donné que les marchés ne sont pas encore prêts pour les asticots vendus comme nourriture humaine, Gates vend sa farine de mouche à des exploitations de viande industrielle comme celles appartenant à son partenaire, Tyson Foods, pour nourrir les poulets en cage, et à des fermes piscicoles de grande taille, comme celles possédées par Unilever, une multinationale de 58 milliards de dollars, qui est à la fois un partenaire commercial de Gates et un bénéficiaire d’une subvention de son étrange organisation caritative publique.

Comme d’habitude, Gates a également mobilisé les agences internationales qu’il contrôle et les grandes entreprises avec lesquelles il s’associe pour conduire son faux agenda alimentaire, notamment le Forum économique mondial (WEF) financé par les Gates, qui rassemble chaque année les milliardaires du monde à Davos pour planifier et tracer l’avenir politique et économique de l’humanité.

Le président du WEF, Klaus Schwab, est l’auteur du livre influent, «COVID-19: The Great Reset», que le WEF a apparemment envoyé à la plupart des élus du monde, jusqu’aux exécutifs provinciaux.

Schwab soutient que les personnes puissantes devraient utiliser la crise du COVID pour imposer des contrôles autoritaires, une surveillance omniprésente, de nouveaux modèles économiques oppressifs et un gouvernement mondial sur une humanité assiégée, terrifiée et docile. The Great Reset est le plan du WEF pour reconstruire systématiquement une nouvelle économie contrôlée après la pandémie COVID-19.

Schwab et le prince Charles ont dévoilé «La grande réinitialisation» lors d’un sommet du WEF en mai 2020. C’est un projet de transformation du monde en un État de surveillance totalitaire et autoritaire manipulé par des technocrates pour gérer des populations traumatisées, pour déplacer la richesse vers le haut et servir les intérêts des oligarques milliardaires d’élite. Pour «réinitialiser» les politiques alimentaires mondiales, le WEF a encouragé et établi un partenariat avec une organisation appelée EAT Forum, qui se décrit comme le «Davos de l’alimentation».

Le co-fondateur d’EAT est le Wellcome Trust, une organisation fondée, financée et stratégiquement liée au fabricant de vaccins GlaxoSmithKline, dans laquelle Gates est fortement investi. La plus grande initiative d’EAT s’appelle FReSH, que l’organisation décrit comme une entreprise destinée à aider la transformation du système alimentaire. Les partenaires du projet incluent Bayer, Cargill, Syngenta, Unilever et le géant de la technologie Google.

Le Forum EAT travaille avec ces entreprises pour «ajouter de la valeur aux entreprises et à l’industrie» et «définir l’agenda politique». Pour promouvoir cette entreprise à but lucratif, EAT collabore avec près de 40 gouvernements municipaux en Europe, en Afrique, en Asie, en Amérique du Nord, en Amérique du Sud et en Australie. L’organisation assiste également le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), financé par Gates, dans la «création de nouvelles directives diététiques» et d’initiatives de développement durable.

Selon Frédéric Leroy, professeur de sciences alimentaires et de biotechnologie à l’Université de Bruxelles, le réseau EAT travaille en étroite collaboration avec certaines des plus grandes sociétés de viande synthétique, y compris Impossible Foods et d’autres sociétés de biotechnologie, pour remplacer les aliments nutritifs sains par les préparations de laboratoire génétiquement modifiées de Gates.

«Ils les décrivent comme sains et durables, et ils ne sont bien sûr ni l’un ni l’autre», a déclaré Leroy au Defender.

Le Dr Shiva se moque également de la propagande perpétuelle de Gates selon laquelle ses viandes OGM visent à nourrir les enfants et à faire dérailler le changement climatique :

«Le but des faux aliments transformés en laboratoire consiste en réalité à breveter nos aliments, pas à nourrir les gens ou à sauver le climat, comme le prétendent Gates et ses amis biotech. Le régime proposé par EAT n’a rien à voir avec la nutrition mais avec les grandes entreprises et avec la prise de contrôle du système alimentaire par les corporations.

Leroy ajoute :

«Des entreprises comme Unilever et Bayer et d’autres sociétés pharmaceutiques sont déjà des transformateurs de produits chimiques, de sorte que bon nombre de ces sociétés sont très bien placées pour profiter de cette nouvelle activité alimentaire qui tourne autour du traitement des produits chimiques et des extraits nécessaires pour produire ces aliments fabriqués en laboratoire à l’échelle mondiale. »

Aliments fortifiés

Les aliments synthétiques et OGM ont tendance à être pauvres en micronutriments vitaux qui soutiennent la santé humaine. Le glyphosate, par exemple, fonctionne comme un chélateur. Il tue les mauvaises herbes en lessivant les éléments minéraux de la vie. Les cultures agricoles exposées au glyphosate ont une valeur nutritionnelle bien moindre que les aliments naturels.

Les personnes qui consomment les aliments transformés, synthétiques et OGM de Gates peuvent avoir l’estomac plein, tout en souffrant de malnutrition clinique. Gates se précipite pour résoudre ce problème en achetant des technologies et en s’associant à des entreprises comme Roche et Kraft qui enrichissent artificiellement les aliments avec des minéraux et des vitamines. Il fait simultanément la promotion de lois dans les pays en développement pour rendre obligatoire l’enrichissement des aliments. Ces lois profitent aux entreprises de pesticides et d’aliments transformés au détriment des agriculteurs traditionnels et biologiques. Puisque des entreprises américaines, comme Roche, Kraft, General Foods et Philip Morris enrichissent déjà leurs fromages fondus et leurs céréales, elles sont les partenaires enthousiastes de Gates dans cette lutte.

J’ai déja vu dans ma carrière cette agitation perpétrée par un autre escroc du Big Food. En 2003, je représentais des milliers d’agriculteurs polonais de petites exploitations dans leur bataille pour garder les usines industrielles de porc de Smithfield Foods hors de Pologne. Le vice-Premier Ministre polonais, Andrzej Lepper, m’a dit que les responsables de Smithfield lui avaient offert un pot-de-vin d’un million de dollars pour soutenir une loi obligeant les abattoirs à installer une technologie d’hygiène high-tech, comprenant des robinets de toilettes à laser. Smithfield savait que la loi aurait pour effet d’obliger à fermer les 2.600 abattoirs familiaux qui fabriquaient la saucisse kielbasa emblématique de la Pologne. En tant que seule entité qui pouvait se permettre les lasers, Smithfield obtiendrait ainsi le contrôle monopolistique de la capacité d’abattage de la Pologne et de 100% de ses lucratives exportations de kielbasa.

Gates a copié ses lois sur l’enrichissement des aliments du manuel de Smithfield. En exigeant que tous les aliments soient enrichis, les produits Kraft comme le Cheez Whiz et l’American Singles, ainsi que son Kool-Aid enrichi en vitamines et son Tang sont positionnés pour remplacer le fromage de chèvre et le lait de chèvre produits localement sur les marchés des villages et mener les petits agriculteurs africains à la faillite.

Pour promouvoir son programme d’aliments enrichis obligatoires, Gates a créé une autre de ses utiles organisations quasi-gouvernementales, l’Alliance Mondiale pour une Meilleure Nutrition (GAIN) pour aider les multinationales alimentaires (partenaires commerciaux de Gates) à faire pression pour obtenir des tarifs et des taux d’imposition favorables pour les produits transformés et les aliments enrichis et à un examen réglementaire plus rapide pour les nouveaux produits dans les pays ciblés. Le consortium GAIN de Gates donne également de l’argent aux gouvernements locaux pour stimuler la demande d’aliments enrichis par le biais de campagnes de relations publiques à grande échelle ou en offrant des «sceaux d’approbation» gouvernementaux pour les produits alimentaires industriels.

Gates, GAVI et GAIN

Gates a modelé son projet GAIN d’après son programme mondial de vaccination d’un milliard de dollars (GAVI). En se faisant passer pour une agence de santé publique, GAVI a réussi à mobiliser les agences publiques et l’industrie privée pour se débarrasser avec profit de vaccins non testés, expérimentaux ou discrédités, et souvent mortels, pour vacciner les enfants pauvres des pays en développement.

Suivant le modèle de GAVI, Gates a lancé son programme GAIN de 70 millions de dollars lors de la session extraordinaire de l’Assemblée Générale des Nations Unies consacrée aux enfants. Sa collaboration comprend les agences des Nations Unies que Gates contrôle, telles que la Banque mondiale, l’Organisation Mondiale de la Santé et l’UNICEF, et les grandes entreprises d’aliments transformés comme Philip Morris et Kraft, dans lesquelles il a des investissements.

Selon Vandana Shiva, l’objectif de GAIN est de «coordonner les campagnes qui font pression sur les pays africains et asiatiques pour qu’ils accordent des subventions obscènes, des allégements fiscaux et des exemptions tarifaires et d’autres préférences pour les aliments transformés».

Certains experts sont troublés par l’idée que Bill Gates et des multinationales alimentaires s’associent pour coloniser les systèmes alimentaires des pays sous-développés et vendent des aliments transformés sous bannière de santé publique.

Le Dr Mark Hyman, auteur à succès du New York Times et responsable de la stratégie et de l’innovation au Cleveland Clinic Center for Functional Medicine, m’a dit:

«… Bien qu’ils soient parfois enrichis en vitamines et en minéraux, les aliments transformés sont chargés de sucre, d’amidon, d’huiles transformées, de colorants artificiels, de conservateurs, de pesticides et de sodium qui contribuent au double fardeau de l’obésité et de la malnutrition et de l’épidémie de maladies chroniques. Dans le monde, 11 millions de personnes meurent chaque année d’un excès d’aliments ultra-transformés et d’un manque d’aliments entiers protecteurs, faisant des aliments transformés le tueur numéro un dans le monde.

Le Dr Hyman appelle ces aliments «l’opposé» de la nutrition« . Shiva est d’accord. «Le programme GAIN», dit Shiva, «vise moins à résoudre la malnutrition qu’à imposer un moyen brutal de forcer les pays pauvres à ouvrir l’accès à leurs marchés, à anéantir les producteurs locaux. »

«Les aliments enrichis sont des solutions techniques illusoires à des problèmes socio-économiques complexes. Les solutions sociales et économiques fonctionneraient mieux à long terme», soutient le professeur Marion Nestle. Nestle est l’icône vénérée de l’alimentation et de la nutrition qui occupe la Chaire Paulette Goddard d’Etudes sur la Nutrition et l’Alimentation à l’Université de New York. Nestle, l’auteur de Food Politics: How the Food Industry Influences Nutrition and Health, m’a dit:

«À une exception près, le sel iodé, les aliments enrichis coûtent trop cher, n’atteignent pas les objectifs visés ou ont une portée trop limitée pour faire ce qu’ils sont censés faire. Je considère que ces lois résolvent un problème pour les entreprises qui fabriquent ces produits, et non les carences en nutriments et en calories. Je ne suis pas fan des aliments enrichis. Je veux une grande variété de vrais aliments rendus plus disponibles et moins chers, et produits localement. Je suis donc d’accord avec les critiques. Je souhaite que la Fondation Gates investisse dans des projets visant à promouvoir la petite production alimentaire locale. »

Intelligence artificielle : débarrasser le monde des agriculteurs

Gates dit qu’il veut relancer les économies agricoles en transformant l’agriculture avec une IA ultra-efficace et de haute technologie pour créer des «fermes du futur». Selon Gates :

«Avant, nous devions tous sortir et cultiver. Nous avions à peine assez de nourriture, quand le temps était mauvais, les gens mouraient de faim. Maintenant, grâce à de meilleures semences, des engrais, beaucoup de choses, la plupart des gens ne sont pas des agriculteurs. Et donc, l’IA nous apportera une nouvelle productivité immense. »

Surtout, il veut que ça aille vite. L ‘«accélération de calcul» de Gates accélérera l’adoption de ces innovations bénéfiques pour réaliser ses projets ambitieux visant à fournir des percées scientifiques aux petits agriculteurs avant que le changement climatique ne détruise leur rendement.

Mais Shiva appelle les agriculteurs américains, déjà noyés dans l’endettement, à se méfier des promesses de Gates de leur tendre une perche :

«Lorsque Bill Gates a imposé ses technologies diaboliques de «sauvetage» aux agriculteurs indiens, le seul à en bénéficier était Gates et ses partenaires multinationaux. Il a donné de l’argent au gouvernement et à une entreprise appelée Digital Green et a fait des promesses extravagantes de transformer numériquement l’agriculture indienne. Puis avec la coopération de ses représentants achetés au gouvernement, Bill Gates a installé des caméras et des capteurs électroniques dans les maisons et les champs des agriculteurs indiens. Il a utilisé leurs téléphones portables, qu’il leur a donnés gratuitement, et ses installations de fibre optique et 5G – qu’il a persuadé l’Indian Telecom Company de financer – pour cataloguer, étudier et voler les données agricoles des agriculteurs, les pratiques autochtones et leurs connaissances agricoles pour pas un sou. Il leur a ensuite revendues en tant que nouvelles données. Au lieu de transformer numériquement les fermes comme il l’avait promis, il a transformé les agriculteurs indiens en informations numériques. Il a privatisé leurs semences et récolté le travail du système public. Il a arraché leurs connaissances et leur héritage génétique, et a installé des semences OGM et d’autres pratiques ridicules. » Shiva ajoute: «Son programme clair était de chasser les petits agriculteurs de la terre et éventuellement de mécaniser et de privatiser la production alimentaire.»

Christian Westbrook, chercheur agricole et fondateur du podcast en ligne «Ice Age Farmer», se réjouit que les agriculteurs américains connaissent l’histoire de Gates en Inde et en Afrique: «Nous savons qui est Bill Gates, et nous connaissons les méfaits qu’il a commis contre les petits agriculteurs au Mexique, en Afrique et en Inde. Nous savons que ses récents achats de terres ici ne sont que le début de la révolution verte 3.0. Il veut ponctionner l’essence démocratique des paysages pastoraux américains et de nos familles agricoles – pour voler nos moyens de subsistance, nos connaissances, nos semences et nos terres.

Westbrook prend note du fait que, comme tous les escrocs, Gates est toujours pressé:

«Sa stratégie est de faire avancer tout le monde si vite qu’ils ne peuvent pas voir l’arnaque. Il nous dit toujours que le changement climatique ne peut pas attendre, que nous devons accélérer l’accès à ces produits et l’adoption de ses technologies, que la recherche ne se fait pas assez vite.

Westbrook m’a dit que le discours interminable de Gates sur «l’accélération du processus» et ses promesses extravagantes de nouvelles technologies miraculeuses, d ‘«investissement» et de partenariats «public-privé», font tous partie de son arnaque. «Il ne cesse de dire à tout le monde que nous devons accélérer, accélérer, accélérer.’»

De nombreux agriculteurs disent qu’ils se fichent d’être sauvés par Gates. Westbrook dit qu’il pense que Gates compte utiliser ses propriétés baronniales américaines comme produits phares – des vitrines pour présenter son cortège de technologies numériques aux agriculteurs américains. «Il le fait pour les mêmes raisons qu’il a amené sa technologie dans les fermes indiennes – pour voler leurs connaissances et les déplacer hors de la terre.»

Trent Loos, un éleveur et activiste agricole du Midwest de sixième génération, m’a dit que les agriculteurs ont une réaction instinctive contre les milliardaires qui «jouent au monopole» avec les terres agricoles américaines :

«Il est difficile pour les jeunes agriculteurs ou même ceux qui ont cultivé depuis des générations, de rivaliser avec des poches aussi profondes. Cela constitue certainement un obstacle pour eux. Quand des gens avec ce type de richesse commencent à acheter des fermes, on se demande ce qu’ils font vraiment. Personne ne veut louer des terres à Bill Gates ou travailler pour lui comme métayer. »

Westbrook dit qu’il pense que Gates poursuit un programme plus sombre. Comme Shiva, Westbrook pense que Gates et les autres barons voleurs utilisent les prétextes du climat, de la biodiversité et de la menace de pandémie zoonotique pour sortir les êtres humains de l’industrie agricole et de la ferme. Et il y a des preuves pour le soutenir. La Fondation Gates est considérablement investie dans Alphabet, la société mère de Google. Alphabet a inventé des robots «renifleurs de cultures», destinés à remplacer les agriculteurs et les éleveurs, dans le cadre de son projet «Mineral». Son projet «Moonshot» consiste à «développer et tester une gamme de prototypes logiciels et matériels basés sur des percées en intelligence artificielle, simulation, capteurs, robotique, etc. »

Moins d’un an après avoir acheté Whole Foods, Jeff Bezos – Gates a fait un investissement considérable dans Amazon – a également investi massivement dans des fermes verticales contrôlées par robot qui minimisent également l’implication humaine dans l’agriculture.

Westbrook déclare: «Il veut sortir les gens des fermes, sortir les animaux et nous faire tous manger ses viandes végétales et ses protéines d’insectes.»

«Gates parle de l’agriculture comme d’une relique archaïque, pittoresque, sale, dangereuse, inefficace et barbare du passé qui nous menace en augmentant la menace du changement climatique et les risques de pandémies mondiales en mettant les humains en contact dangereux avec des microbes», déclare Howard Vlieger, un agriculteur de l’Iowa qui travaille comme consultant en cultures et en bétail aux États-Unis et au Canada depuis 1992.

Vlieger est un expert des impacts des pesticides et des OGM sur les produits alimentaires et les sols. «L’objectif de Gates est de nous éloigner de l’agriculture animale durable et humaine, qui célèbre notre contact avec le sol et est porteur de bonne santé dans nos interactions respectueuses avec la nature – vers des vaches artificielles et un paradigme chimique sinistre qui sont toutes les caractéristiques d’une dystopie autoritaire. Sa vision c’est celle d’aliments contaminés et sans goût et de la séparation de l’homme de la nature.

«Gates semble n’avoir aucune idée de la joie que les gens ordinaires – des gens comme notre famille – éprouvent dans l’agriculture», m’a dit Nicolette Niman. Niman est une éleveuse et agricultrice de Californie, et l’auteur des livres «Righteous Porkchop» et «Defending Beef». Son mari Bill est le fondateur de Niman Ranch, une coopérative de centaines de petits éleveurs de bovins et de porcs américains durables qui commercialisent du bœuf et du porc biologiques de haute qualité provenant d’exploitations durables d’animaux nourris à l’herbe.

«L’agriculture et l’élevage régénératifs enrichissent de manière incommensurable les vies humaines. C’est un travail difficile, basé sur notre contact intime avec la terre. À son meilleur, une bonne agriculture est une quête pour comprendre et suivre les modèles de la nature», déclare Niman. Niman dit que Gates semble avoir peu d’intérêt pour la sagesse de la nature :

«Il ne semble pas comprendre que notre engagement avec le sol, et la joie que nous tirons de notre contact avec la terre, notre relation complexe avec nos animaux, malgré toutes les épreuves et les difficultés, sont sources de notre liberté et de notre fierté, et le bonheur d’être maîtres de nos destinées.

«Nous devons construire un monde qui respecte l’autodétermination individuelle, le traitement humain des animaux et la bonne gestion de nos sols. Nous devons comprendre qu’une relation saine avec la nature n’est pas seulement vitale pour notre santé et notre climat, c’est la source de dignité, de liberté et d’enrichissement dans notre ère postindustrielle.

Utilisant des technologies de grande envergure, tous ces militants de divers continents ont exprimé leur malaise face à la tendance de Gates à considérer la population plutôt que les personnes et à voir la gestion de la population comme un problème nécessitant d’urgence ses solutions technologiques.

«Gates voit la forêt, pas les arbres», observe Vlieger. «Et même quand il regarde la forêt, il ne semble voir que des stères de bois – comment il pourrait exploiter les paysages pour de l’argent et transformer les gens en marchandise. » Vlieger continue:

«L’habitude de Gates de voir toutes les difficultés humaines à travers le prisme d’une solution technologique dont il peut profiter est au-delà de la myopie. C’est la pathologie – de la sociopathologie, vraiment. Gates est un sociopathe dangereusement puissant avec 137 milliards de dollars et une vision d’une technocratie gérée d’en haut. Cela inquiète-t-il quelqu’un? »

Westbrook dit que Gates, Cargill et Tyson sont un cartel puissant dont la mission est de mettre fin à l’agriculture animale et de chasser les êtres humains des fermes. «C’est une «agriculture de remplacement»», dit Westbrook. «Ils utilisent même ce mot, «agriculture alternative».»

La vision de Westbrook d’un avenir dystopique de totalitarisme technocratique envisagé par Bill Gates ressemble à une théorie du complot sans fondement si l’on ignore toutes les preuves qui la soutiennent. Il prédit que nous verrons très bientôt – dans des mois, pas des années – des pénuries alimentaires artificielles et des pressions pour vider et «améliorer» les paysages ruraux en mettant les terres agricoles au repos et en remplaçant les emplois agricoles par des robots et de l’intelligence artificielle.

Westbrook prédit la pression du gouvernement pour pousser les populations vers les mégapoles et les villes intelligentes où les entreprises sont fermées, les emplois sont rares et où la plupart d’entre nous dépendront du revenu de base universel payé en devises numériques – révocable, bien sûr, en cas de non-conformité et de désobéissance. Westbrook prédit un scénario «où le bétail humain est complètement dépendant du gouvernement pour l’argent et la nourriture, et tous les gens sont au même endroit dans les villes intelligentes et sont facilement surveillés par les technocrates du Great Reset de Gates. » Westbrook poursuit :

«Ils arrêtent la production alimentaire et, plus généralement, ils arrêtent toute activité économique, toute activité humaine, et nous enferment dans leurs villes intelligentes. C’est assez épouvantable. Et maintenant que nous avons ces pandémies, nous avons dû mettre en œuvre la loi martiale médicale, et comme tout est une crise sanitaire, nous allons également devoir prendre en charge toutes vos productions alimentaires et vos besoins nutritionnels. Ils ont intégré ces deux choses.

Le temps nous dira si le cauchemar de Westbrook n’est qu’une théorie du complot paranoïaque – je l’espère.

Sommet des systèmes alimentaires

En 2009, Bill Gates, un milliardaire non élu sans fonction gouvernementale ni portefeuille diplomatique, a lancé son entreprise mondiale de vaccins avec un discours devant les Nations Unies. Il a annoncé un don de 10 milliards de dollars et a déclaré le lancement de sa «Décennie des vaccins. » Son plan s’est déroulé comme une horloge. Les contributions de Gates lui ont assuré un contrôle absolu sur l’OMS. Comme l’a rapporté le ministère des Affaires étrangères, «peu d’initiatives politiques ou de standards normatifs fixés par l’Organisation Mondiale de la Santé sont annoncés avant d’avoir été examinés de manière informelle et non-officielle par le personnel de la Fondation Gates.»

Gates a créé et financé de puissantes agences pseudo-gouvernementales comme le PATH, le GAVI, le CEPI et la Brighton Collaboration, pour pousser les vaccins dans les pays en développement, consolider son contrôle sur la santé publique et préparer le terrain pour le putsch mondial sur les vaccins qu’il avait déja prévu pour 2020.

En janvier 2019, l’OMS a solennellement déclaré – sans aucune preuve spécifique – que «l’hésitation à la vaccination» était l’une des principales menaces pour la santé mondiale. Le cartel médical de Gates a enchaîné sur cette déclaration avec des campagnes orchestrées dans chaque État américain et dans les pays du monde entier par des politiciens financés par l’industrie pharmaceutique introduisant des lois pour imposer les vaccins et mettre fin aux exemptions.

Deux mois plus tard, le puissant président du House Intelligence Committee, Adam Schiff – encore un des bénéficiaires financiers de Gates – a exigé que les médias sociaux et les sociétés de médias commencent à censurer la «désinformation sur les vaccins» – un euphémisme pour toute affirmation qui s’écarte des déclarations officielles de l’industrie pharmaceutique et du gouvernement. Gates a des enjeux géants dans Google, Apple, Amazon et Facebook. Ces entreprises se sont toutes mises à censurer avec enthousiasme les critiques des vaccins.

Un an plus tard, l’épidémie de COVID-19 a fourni une opportunité idéale à Gates et à son cartel de producteurs de vaccins pour consolider leur contrôle de l’humanité. Un article de mai 2020 de Derrick Broze dans The Last American Vagabond a observé que, «En retraçant les investissements de la Fondation et les relations de Gates, nous pouvons voir que presque toutes les personnes impliquées dans la lutte contre le COVID-19 sont liées à Gates ou à sa Fondation de deux degrés ou moins. » Leur relation a donné à Bill Gates et à sa Fondation une influence incontestée sur la réponse à la pandémie.

Gates a déclaré à plusieurs reprises, lors d’apparitions sur pratiquement toutes les émissions de réseaux et de câbles et sur toutes les plateformes médiatiques, que toute activité économique doit cesser jusqu’à ce que les 7 milliards d’humains soient vaccinés et possèdent un passeport de vaccination. Sa Décennie des Vaccins, étalée sur dix ans, commencée avec son apparition à l’ONU, a débuté sans encombre. Sous la direction de l’ancien protégé et loyal allié de Gates, Fauci, le Département Américain de la Santé et des Services Sociaux a organisé l’immunité de responsabilité pour les vaccins COVID et a engagé 48 milliards de dollars en argent des contribuables pour acheter et distribuer un cortége de nouveaux vaccins expérimentaux, dont beaucoup sont détenus par Gates.

Le contrôle du processus par Gates est complet. L’exécution de sa prédiction de vaccin fut élégante et sans faille. Et maintenant, les substituts de Gates emploient le même manuel pour faire avancer son programme alimentaire totalitaire.

Au cours de la plénière du 14 au 18 octobre de la 46e session du Comité des Nations Unies sur la Sécurité Alimentaire Mondiale, le Secrétaire Général des Nations Unies, António Guterres, a annoncé la convocation d’un Sommet des Nations Unies sur les Systèmes Alimentaires en 2021. Guterres a reconnu que le Sommet avait été conjointement demandé par l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), le Fonds International de Développement Agricole (FIDA), le Programme Alimentaire Mondial (PAM) et le Forum Economique Mondial (WEF). Bill Gates et sa fondation financent et contrôlent généreusement les quatre organisations.

Le Sommet des Nations Unies sur les Systèmes Alimentaires a effectivement annoncé un programme parallèle à celui lancé par le WEF lorsqu’il a accueilli sa conférence Great Reset en juin 2020. Dans leur enquête sur le Sommet des Nations Unies sur les Systèmes Alimentaires, AGRA Watch (le groupe de défense populaire qui surveille Gates et la Révolution Verte ratée de sa fondation en Afrique) a constaté que sur les 12 personnes impliquées dans le Sommet, 11 ont des liens solides avec la Fondation Gates.

Selon Heather Day d’AGRA Watch, dans certains cas, ces organisations ont été directement financées par la Fondation Gates et d’autres programmes spécifiques financés par Gates qui avaient des rôles majeurs : «Donc, ce ne sont pas seulement les doigts qu’il a là-dedans; presque tous les participants travaillent pour Bill Gates. Ce sont eux les auteurs du Sommet des Nations Unies sur les Systèmes Alimentaires. » Le Food Systems Summit est un projet 100% Gates.

Il y a pire : la coordinatrice de la «Décennie de la Sécurité Alimentaire» de Gates est Dr. Agnes Kalibata. Kalibata est la présidente du programme AGRA de Gates/Rockefeller qui a orchestré la fameuse Révolution Verte ratée de Gates en Afrique. Kalibata est le leader idéal pour représenter AGRA dans le monde. Le Sommet, prédit-elle, rassemblera toutes les principales parties prenantes dans un partenariat public-privé «pour rendre les systèmes alimentaires inclusifs, adaptés au climat et résilients, et soutenir une paix durable».

Kalibata a rappelé la présente urgence aux participants au Sommet sur les Systèmes Alimentaires. Il ne leur reste plus, a-t-elle dit, que 10 ans pour accélérer la transformation de nos systèmes alimentaires afin d’atteindre les Objectifs de Développement Durable en matière de climat, de nutrition et de lutte contre la pandémie.

Le Sommet des Nations Unies sur les Systèmes Alimentaires présentera le plan directeur de la «Décennie alimentaire» de Gates avec comme objectif que l’agenda alimentaire mondial soit achevé d’ici 2030. Nous ne pouvons que prier pour que le prochain projet de Gates de santé pour l’humanité n’inflige pas le même niveau de violence traumatique à nos droits civils, à notre économie mondiale, aux traditions de notre civilisation, à l’idéalisme des démocraties et à notre autodétermination, qui ont accompagné sa «Décennie des vaccins» 2020.

Day est pessimiste: «Le plan de Gates sera une feuille de route sur la manière de remplacer tout ce qui est bon dans l’agriculture par les systèmes des technocrates pour l’agriculture sans emploi, les aliments chimiques et les protéines d’insectes», prédit Day.

Conclusion

La Fondation Gates n’est pas une organisation philanthropique conventionnelle. Elle n’apporte qu’un soutien minime, le cas échéant, à des causes populaires telles que la Wounded Warrior Foundation, l’ASPCA, l’environnement, les droits de vote ou les groupes de défense des droits civiques.

C’est une philanthropie militarisée que Gates a lancée en 1994 pour ressusciter sa réputation après que l’affaire antitrust de Microsoft l’ait révélé comme un manipulateur menteur, tricheur, voleur, dont l’intention criminelle était le contrôle monopolistique des canaux d’information mondiaux.

Gates a depuis investi 36 milliards de dollars dans la Fondation Gates, qui a une valeur de 46,9 milliards de dollars sur laquelle lui et sa femme exercent un contrôle total. La fondation n’a donné que 23,6 milliards de dollars en subventions caritatives, et ces «cadeaux» comprennent des milliards de dons déductibles d’impôt à des entreprises dans lesquelles Gates a investi, comme Merck, GlaxoSmithKline, Novartis, Sanofi.

L’esprit brillant de Gates a conçu ce projet de fondation pour protèger ses revenus et lui permettre de tirer parti de l’argent des contribuables en investissant les revenus de la fondation dans des projets qui multiplient sa richesse et élargissent son pouvoir et son prestige public, tout en évitant les impôts.

En utilisant cette structure, il peut faire des dons déductibles d’impôt à des entreprises qu’il possède en partie et récolter des bénéfices pour lui et sa fondation tout en évitant les impôts – et en lui permettant de cacher son argent de multiples façons. C’est gagnant-gagnant! Gates a déployé sa fondation comme l’incarnation de ses instincts de base de monopole et de contrôle – un véhicule pour un philanthrocapitalisme impitoyable qui détourne la voie démocratique et brouille les frontières entre les intérêts des entreprises et les intérêts publics, enrobe les programmes de profit privé d’une rhétorique noble d’esprit public et s’octroie le contrôle monopolistique de la santé publique, des systèmes de survie de notre planète, de notre économie et de notre population.

Gates a fait de sa fondation un outil pour consolider les efforts de ses collègues milliardaires, des régulateurs capturés et de ses partenaires commerciaux de Big Pharma, Dirty Energy, Nourriture OGM, Telecom et Big Data, et les journalistes achetés et en état de mort cérébrale qui profitent collectivement des misères démultipliées du monde dystopique qu’elles ont instaurées pour nous tous. Gates et ses copains, ses larbins et ses serviteurs suscitent la peur des pandémies, du changement climatique, de l’extinction massive – et offrent sa vision des nouvelles technologies comme le salut, que lui seul possède le génie de déployer.

Alors même qu’il consolide le contrôle de nos systèmes de santé et d’alimentation, Gates fait la promotion des monnaies numérisées, qualifiant ces systèmes de «priorité humanitaire mondiale». (Le serment final de Kissinger est «Qui contrôle l’argent contrôle le monde»), et en finançant des infrastructures terrestres et spatiales et de 5G, des centres d’analyse de la taille d’une ville et des puces biométriques pour extraire et récolter nos données et biodonnées et en tant que mécanismes de surveillance, de profit et de contrôle.

Gates prévoit une flotte de satellites qui sera en mesure d’étudier chaque centimètre carré de la planète 24 heures par jour. De tels systèmes seront sans aucun doute utiles si les populations se mettent à s’agiter devant des structures politiques et économiques qui dépouillent les citoyens de tout pouvoir, déplacent la richesse toujours plus haut et condamnent la majeure partie de l’humanité à une survie sans signification et sans espoir.

Le défenseur de la démocratie et de la liberté agricole, le Dr Vandana Shiva, affirme que le philanthrocapitalisme de Gates est une «force destructrice ayant le potentiel de pousser l’avenir de notre planète vers l’extinction et l’effondrement écologique. » Shiva accuse Gates d’utiliser le capitalisme philanthropique pour accélérer la prise de contrôle par les entreprises de nos systèmes semenciers, agricoles, alimentaires, de connaissances et de santé mondiaux. «Il finance la manipulation de l’information et favorise l’érosion de la démocratie – le tout dans la poursuite du pouvoir personnel et du profit.»

Shiva affirme que la Fondation Gates a alimenté une «alliance impie» entre le grand capital, les institutions scientifiques et technologiques et les gouvernements pour établir un empire mondial sur la vie, par le biais de monocultures, de brevets et de monopoles conçus pour détruire le monde naturel de la diversité, de l’auto-organisation et de la liberté.

«Vous avez vu la malfaisance dont ils sont capables avec les vaccins au nom de la santé publique», m’a dit Shiva. «Eh bien, maintenant il contrôle la terre. Il contrôle la graine. Il contrôle la nourriture. Il a le pouvoir ultime de nous faire tout mourir de faim. »


Texte original

Bill Gates and Neo-Feudalism: A Closer Look at Farmer Bill

Bill Gates has quietly made himself the largest owner of farmland in the United States. For a man obsessed with monopoly control, the opportunity to also dominate food production must seem irresistible.

By Robert F. Kennedy, Jr.

“Gates has a Napoleonic concept of himself, an appetite that derives from power and unalloyed success, with no leavening hard experience, no reverses.” — Judge Thomas Penfield Jackson, presiding judge in the Gates/Microsoft antitrust-fraud case

The global lockdowns that Bill Gates helped orchestrate and cheerlead have bankrupted more than 100,000 businesses in the U.S. alone and plunged a billion people into poverty and deadly food insecurity that, among other devastating harms, kill 10,000 African children monthly — while increasing Gates’ wealth by $20 billion. His $133 billion fortune makes him the world’s fourth wealthiest man.

Gates has been using that newfound cash to expand his power over global populations by buying devalued assets at fire-sale prices and maneuvering for monopoly control over public health, privatizing prisons, online education and global communications while promoting digital currencies, high tech surveillance, data harvesting systems and artificial intelligence.

For a man obsessed with monopoly control, the opportunity to also dominate food production must seem irresistible.

According to the newest issue of The Land Report, Gates has quietly made himself the largest owner of farmland in the United States. Gates’ portfolio now comprises about 242,000 acres of American farmland and nearly 27,000 acres of other land across Louisiana, Arkansas, Nebraska, Arizona, Florida, Washington and 18 other states.

Thomas Jefferson believed that the success of America’s exemplary struggle to supplant the yoke of European feudalism with a noble experiment in self-governance depended on the perpetual control of the nation’s land base by tens of thousands of independent farmers, each with a stake in our democracy.

So at best, Gates’ campaign to scarf up America’s agricultural real estate is a signal that feudalism may again be in vogue. At worst, his buying spree is a harbinger of something far more alarming — the control of global food supplies by a power-hungry megalomaniac with a Napoleon complex.

Let’s explore the context of Gates’ stealth purchases as part of his long-term strategy of mastery over agriculture and food production globally.

Beginning in 1994, Gates launched an international biopiracy campaign to achieve vertically integrated dominion over global agricultural production. His empire now includes vast agricultural lands and hefty investments in GMO crops, seed patents, synthetic foods, artificial intelligence including robotic farm workers, and commanding positions in food behemoths including Coca-Cola, Unilever, Philip Morris (Kraft, General Foods), Kellogg’s, Procter & Gamble and Amazon (Whole Foods), and in multinationals like Monsanto and Bayer that market chemical pesticides and petrochemical fertilizers.

As usual, Gates coordinates these personal investments with taxpayer-subsidized grants from the Bill & Melinda Gates Foundation, the richest and most powerful organization in all of international aid, his financial partnerships with Big Ag, Big Chemical, and Big Food, and his control of international agencies — including some of his own creation — with awesome power to create captive markets for his products.

Former Secretary of State Henry Kissinger, a protégé and partner to David Rockefeller, observed that, “Who controls the food supply controls the people.” In 2006, the Bill & Melinda Gates and Rockefeller Foundations launched the $424 million Alliance for a Green Revolution in Africa (AGRA) promising to double crop productivity and boost incomes for 30 million small farmers by 2020 while cutting food insecurity in half.

Characteristically, Gates’ approach to global problems put technology and his chemical, pharmaceutical and oil industry partners at the center of every solution. As it turned out, Gates’ “innovative strategy” for food production was to force America’s failed system of GMO, chemical and fossil fuel-based agriculture on poor African farmers.

African agricultural practices have evolved from the land over 10,000 years in forms that promote crop diversity, decentralization, sustainability, private property, self-organization and local control of seeds. The personal freedom inherent in these localized systems leaves farm families making their own decisions: the masters on their lands, the sovereigns of their destinies. Continuous innovation by millions of small farmers maximized sustainable yields and biodiversity.

In his ruthless reinvention of colonialism, Gates spent $4.9 billion dollars to dismantle this ancient system and replace it with high-tech corporatized and industrialized agriculture, chemically dependent monocultures, extreme centralization and top-down control. He forced small African farms to transition to imported commercial seeds, petroleum fertilizers and pesticides.

Gates built the supply chain infrastructure for chemicals and seeds and pressured African governments to spend huge sums on subsidies and to use draconian penalties and authoritarian control to force farmers to buy his expensive inputs and comply with his diktats. Gates made farmers replace traditional nutritious subsistence crops like sorghum, millet, sweet potato and cassava with high-yield industrial cash crops, like soy and corn, which benefit elite commodity traders but leave poor Africans with little to eat. Both nutrition and productivity plummeted. Soils grew more acidic with every application of petrochemical fertilizers.

As with Gates’ African vaccine enterprise, there was neither internal evaluation nor public accountability. The 2020 study “False Promises: The Alliance for a Green Revolution in Africa (AGRA)” is the report card on the Gates’ cartel’s 14-year effort. The investigation concludes that the number of Africans suffering extreme hunger has increased by 30 percent in the 18 countries that Gates targeted. Rural poverty has metastasized dramatically, and the number of hungry people in these nations has risen to 131 million.

Under Gates’ plantation system, Africa’s rural populations have become slaves on their own land to a tyrannical serfdom of high-tech inputs, mechanization, rigid schedules, burdensome conditionalities, credits and subsidies that are the defining features of Bill Gates’ “Green Revolution.”

The only entities benefiting from Gates’ program are his international corporate partners — and particularly Monsanto, in which the Gates Foundation Trust purchased 500,000 shares worth $23 million in 2010 (but later divested those shares after pressure from civil society groups). Gates himself even filmed commercials for Monsanto’s GMOs, touting them as the “solution” to world hunger.

In a typical example of Gates’ strange largess, his foundation apparently made his taxpayer-subsidized “charitable” grants amounting to $10 million to the Big Ag behemoth, Cargill, to build his supply chains for GMO soy in South Africa. Africans call Gates’ program “Neocolonialism” or “Corporate Colonialism.”

The AGRA Watch initiative of Seattle-based Community Alliance for Global Justice follows Gates’ agricultural and food policies. According to Heather Day, an AGRA Watch spokesperson, AGRA is a trojan horse for corporate kleptocracy.

“The Gates Foundation and AGRA claim to be ‘pro-farmer,’ ‘pro-poor’ and ‘pro-environment,’” Day told me. “But their approach is closely aligned with transnational corporations, like Monsanto, and foreign policy actors like USAID [United States Agency for International Development].They take advantage of food and global climate crises to promote high-tech, centralized, industrial agriculture that generate profits for Gates’ corporate partners while degrading the environment and disempowering farmers. Their programs are a dark form of philanthrocapitalism based on biopiracy and corporate biopiracy.”

Gates’ climate activism (A memo to my environmental colleagues)

To cloak his dystopian plans for humanity in benign intentions, Gates has expropriated the rhetoric of “sustainability,” “biodiversity,” “good stewardship” and “climate.” These causes are all grim realities that pose existential threats to our children and require urgent attention. However, Gates’ record exposes his benevolent intentions as masquerades for his agenda to maximize personal profit and control.

It’s baffling to me how so many of my friends in the environmental movement have swallowed Gates’ chicanery. In my 40 years as a climate activist, I saw zero evidence of Gates’ funding of genuine climate advocacy; the Gates Foundation is AWOL in the climate wars.

The leading climate groups, National Resource Defense Council, Environmental Defense Fund, Sierra Club, Greenpeace, Waterkeepers, etc., receive virtually nothing from the world’s largest philanthropy. His investment history suggests that the climate crisis, for Gates and his cronies, is no more than an alibi for intrusive social control, “Great Reset”-scale surveillance, and massive science fiction geoengineering boondoggles, including his demented and terrifying vanity projects to spray the stratosphere with calcium chloride or seawater to slow warming, to deploy giant balloons to saturate our atmosphere with reflective particles to blot out the sun, or his perilous gambit of releasing millions of genetically modified mosquitoes in South Florida.

When we place these nightmare schemes in context alongside the battery of experimental vaccines he forces on 161 million African children annually, it’s pretty clear that Gates regards us all as his lab rats.

Gates has also heeded Kissinger’s advice, “Control oil and you control nations;” his energy holdings nowhere reflect his expressed antipathy for greenhouse gases. Gates’ personal investments in hydrocarbons include massive stakes in all the oil majors: Exxon, Chevron, ConocoPhillips and Shell. He owns the world’s largest private jet company. His outsized commitment to coal includes giant investments in the dirtiest coal-generating fleets including the Canadian National Railway and CSX Richmond which is the largest coal transporter east of the Mississippi River. Gates is betting big on the future of carbon.

Gates’ energy-hungry data harvesting, processing and analytics centers are among the world’s fastest-growing sources of exploding energy demand. And, of course, Gates’ chemical/industrial agriculture enterprises are the antithesis of climate-friendly. His GMO corn requires heavy applications of fertilizers, pesticides, agro-chemicals made from natural gas and other fossil-fuel inputs. He effectively forced Africans, in Michael Pollan’s words, to “eat oil.” African farmers call Gates’ program “climate-stupid agriculture.

Gates has learned to fatten himself on global crises, whether it’s pandemics, climate, famine or mass extinction. Climate change has given Gates an excuse to create monopolies over seed, food and agriculture.

In 2008, the Bill & Melinda Gates Foundation announced $306 million in grants to promote high-yield sustainable agriculture among smallholder farmers in sub-Saharan Africa and South Asia. The foundation’s plans included creation, through genetic manipulation, of high-production, drought-resistant dairy cows, and the development and proliferation of super crops resistant to climate change.

In other words, climate change was the guise for more mischievous geoengineering. Meanwhile, Gates’ ag policies are destroying our planet’s climate systems, pushing millions of species to extinction, desertifying the soil, destroying water systems and enriching the Poison Cartel.

So, a note to my fellow environmental leaders: Bill Gates is not our amigo! Furthermore, Gates has put climate reform in malodour with millions of Americans, who see his climate pretenses in context of his ambitions to control humanity and put an end to economic activity and personal freedom.

It’s largely Gates’ doing that half of America sees climate change as either a “Great Reset” flimflam to shift wealth upward, or a geoengineering boondoggle. It’s on them that they don’t recognize the serious peril of climate change. It’s on us that we seem deliberately blinded to the peril of Bill Gates.

Gates profits from all this confusion; the polarization of the climate debate paralyzes reform efforts thereby preserving the value of his carbon stakes. We all need to recognize who is really behind that Green mask!

Biopiracy

“A nation that destroys its soils destroys itself.” — President Franklin D. Roosevelt’s letter to all state governors, February 1937

Long experience and research have shown that agroecology based on biodiversity, Seed Freedom and Food Freedom is essential not just to civil liberties and democracy, but to the future of food and farming.

For thousands of years, farmers’ innovation and biodiversity evolved together to create the most efficient practices for sustainable food production and biodiversity. The United Nations’ seminal 2009 study by the International Assessment of Agricultural Knowledge, Science and Technology for Development (IAASTD) documents the incontrovertible evidence demonstrating the abject failure of the Gates/Rockefeller “Green Revolution” to improve on traditional agriculture.

IAASTD deployed a team of 900 leading scientists, agronomists, and researchers to study the issue of world hunger. Their comprehensive and definitive report showed that GMO crops are not the answer to food shortfalls or rural poverty. That report definitively concludes that neither Gates’ Green Revolution nor his GMOs can feed the world and at the same time protect the planet.

IAASTD’s comprehensive analysis demonstrates that the Green Revolution that the Rockefeller Foundation launched in India and Mexico in the 1960s was a catastrophe; the chemical path of monocultures has undermined Earth’s capacity to support life and food production by destroying biodiversity, soil and water, as well as contributing to climate change.

Green Revolution policies subvert food and nutritional security, and dispossess small farmers through debt for external inputs. IAASTD and numerous other studies show that Seed Sovereignty, Food Sovereignty and Knowledge Sovereignty are the only viable future for food and farming. The United Nations and the world’s top agricultural scientists have admitted that GMOs cannot fight hunger as effectively as traditional farming.

Bill Gates has opted to ignore this reality, dismissing science-based evidence in favor of his messianic faith that he is ordained by God to save the world with technology. According to Dr. Gates, M.D., good health only comes in a syringe (he is the world’s biggest vaccine producer).

Likewise, Farmer Bill preaches that good food only comes from monocultures, chemical pesticides and fertilizers, GMO crops and patented seeds that he happens to own. In constructing his agriculture empire, Gates has repeatedly shown himself willing to ignore the voices of scientists and farmers, and to trample laws, treaties, traditions, civil rights, science, and sensibilities.

Stealing seeds

Since the onset of the Neolithic Revolution some 10,000 years ago, farmers and communities have worked to improve yield, taste, nutrition, robust seed qualities that enhance peculiar growth, medicinal and nutritional attributes, and the genetic resilience that allows certain seeds to flourish in particular soil and water conditions or resist predators.

These vigorous, ingenious genetics are the products of a miraculous collaboration between humans, nature and their Creator during humanity’s 1,000 generations of intense agricultural innovation. The free exchange of knowledge and seeds among farmers has been the basis for maintaining biodiversity and food security.

Since 1979, under World Bank auspices, a consortium of agricultural research centers known as the Consultative Group on International Agricultural Research (CGIAR) has been collecting these premier seeds from small farmers across the globe and preserving them in 15 independent Public Seed Banks stationed in different countries. That venture sought to archive a complete inventory of heritage seed stocks for the benefit of all humanity so as to preserve crop diversity for the millennia.

In the last 17 years, Gates has successfully maneuvered to gain control of those collections — comprising 768,578 seeds — and to assert monopoly ownership of the world’s premier seed inventories.

Beginning in 2003, working in coordination with the Rockefeller Foundation, the Bill & Melinda Gates Foundation pumped $720 million into CGIAR’s Seed Bank project. As the largest funder of the CGIAR, Gates used his financial leverage to force the merger of the CGIAR’s 15 legally independent centers into one legal entity, a sinister initiative that he calls “Gates Ag One.” He then moved to orchestrate the transfer of research and seeds from scientific research institutions to commodity-based corporations like Bayer and Cargill with which he partners. In this way he is raiding, plundering and privatizing the seed stockpile for the most promising seeds from indigenous farmers around the world.

Gates Ag One’s director, Joe Cornelius, is a former executive at Bayer Crop Science. Prior to that, he was Monsanto’s Director of International Development. Working with Cornelius, Gates has perfected the techniques Monsanto pioneered in the 1980s when it led the push to propagate GMOs, and to patent seeds. Gates has made himself the Commanding General in Big Data’s pirate war to plunder and monopolize the common genomic data of millions of plants bred by peasants over the millennia.

Gates funds Diversity Seek (DivSeek), a global project he launched in 2015 to map the genomes and genome sequences of the peasant seed stocks held in seed banks. DivSeek and Gates Ag One are the tips of his spears, “mining” seed data to “censor” out the commons. In other words — to terminate the public’s ownership claims.

Using artificial intelligence (AI) and digital technologies, Gates’ minions at DivSeek and Gates AG One scan these seeds and categorize their genetic data to map, patent and pilfer humanity’s global seedstock heritage. Gates bolsters his patent rationale by using CRISPR technology to selectively edit the heritage seed genomes, making changes sufficient to withstand patent challenges.

Gates’ principal objective is to breed Green Revolution varieties engineered to respond to chemical inputs produced by Gates’ “Poison Cartel” partners: Monsanto, Bayer, Dow/DuPont, CropLife, BASF, Syngenta, Corteva, etc. In short, Gates deliberately robs the seed of its integrity and diversity, erasing evolutionary history and its links to the soil, reducing it all to a simple “code.” In this way, Gates captures our planet’s genetic diversity, rewrites it, patents its code, steals the seeds from humanity and marries them off to the chemical conglomerates.

By centralizing the Seed Banks and manipulating intellectual property laws, Gates has launched a campaign of “genetic colonialism” to rob the world’s peasants and indigenous farmers of their hard-earned seeds and knowledge.

“Gates Ag One’s aim is to take control over the genetic diversity of this planet,” agricultural freedom activist Dr. Vandana Shiva told me. According to Shiva, Gates “continues to subvert and sabotage both farmers’ seed sovereignty and the seed sovereignty of countries. ‘Gates Ag One’ is a clear declaration of his intent to create an empire over life and biodiversity, over food and farming, and over our sustenance.” In the process, says Shiva, “Gates is financing infernal Frankenstein experiments that defile God’s creation.”

Citizens, governments and farm organizations have written many laws and governments have adopted international treaties on biodiversity protection, including the Convention on Biological Diversity (CBD) and the Cartagena Biosafety Protocol to the CBD. By conning government officials, manipulating intellectual property law and rewriting seed regulations, Gates has been able to bypass or trample these statutes and treaties, and to evade the multilateral governance structures that governments put in place to prevent global corporations from hijacking the planet’s biodiversity and the seed commonwealth of peasants and farmers.

Genetically modified organisms (GMOs)

Gates’ missionary faith in technology as the solution for every human ill, from food insecurity and disease to climate health, explains his obsessive promotion of GMOs. Gates’ zealous GMOs idolatry and gene-editing technologies leave him deaf to the mountains of peer-reviewed scientific evidence and warnings by agronomists, nutritionists, toxicologists and other scientists who question their safety.

GMO vaccines and medicines are mainstays of his public health enterprise, and Gates finances research, development and proliferation of GMOs as the fix for every agricultural problem. He funded, for example, Emmanuelle Charpentier and Jennifer Doudna, the two CRISPR chemists who won 2020 Nobel prizes for gene editing.

Gates was also one of the largest shareholders of Monsanto — the world’s most aggressive promoter of GMOs and pesticides. The central mission of Gates Ag One is to fly into the face of virtually every independent science and safety assessment in a blind rush to impose Gates’ untested GMOs, patented seeds, synthetic foods and experimental medicines on humanity.

One might expect his Monsanto stake and his partnerships with processed food, chemical and oil companies to discredit Gates’ pretensions as a public health advocate. But Gates’ massive investments in media journalism (a March 2020 Nation magazine exposé reveals the Gates Foundation has bought Gates guarantees of favorable coverage with $250 million in grants to media outlets including NBC/Universal, BBC, NPR, The Guardian, Le Mond, Al Jazeera, and others “to influence the news”) have insulated him from the scrutiny and skepticism the media historically applied to fiendish profiteering schemes and rank hypocrisy by power-mad billionaires.

Money talks, and the billions that Gates and his pharma allies annually pour into public and commercial journalism have instead made Gates the media’s chief darling. He uses his biweekly “satellite tours” of leading cable and network news shows to showcase his mesmerizing power to command softball questioning and fawning deference from obsequious hosts (with the exception of Norah O’Donnell) including Anderson Cooper (CNN), David Muir (ABC), Ari Melber (MSNBC), and Chuck Todd (NBC), who gratefully entertain his lofty prognostication on topics ranging from public health to the economy and agriculture policy.

Evading government regulation

Gates’ wealth and power also allow him to evade government efforts to regulate GMO proliferation. In 2011, when India introduced a moratorium on Gates’ genetically modified Bt Cotton and Roundup Ready crops, Gates shifted his operations to Bangladesh. When the European Court of Justice ruled that gene-edited organisms and GMOs must be heavily regulated to protect public health, Gates launched a lobbying campaign for deregulation across the European community.

Gates is currently deploying his billions to orchestrate attacks against GMO and gene editing laws in many of the countries that have imposed safety standards. When scientists and regulators plead that time is essential to accurately assess the safety of gene editing and GMOs, Gates declares that “Time is the enemy!”

In 2017, a German human rights group, Heinrich Böll Stiftung (HBS), published evidence of a Gates’ secretive campaign to evade democratically imposed restraints on his high-risk gene manipulation experiments. HBS released more than 1,200 emails the group obtained under U.S. Freedom of Information laws. Those documents show that the Bill & Melinda Gates Foundation hired a shady Big Ag/Biotech spy and propaganda outfit to mount an undercover espionage attack aimed at corrupting United Nations officials and sabotaging international efforts to ban a diabolical new technology called “gene drive.”

Gene drives are at the cutting edge of genetic engineering, synthetic biology and gene editing. They are the tools of choice for eugenicists and for those seeking to build the technocratic “transhuman future” championed by Gates and his Silicon Valley cronies.

Scientists use CRISPR technology to edit genes into an organism’s chromosomes to reprogram DNA to switch off the normal rules of genetic inheritance and “drive” the artificially introduced trait through an entire population and spread it to all future generations. Their capacity to permanently alter the genome of an entire species makes gene drives the biological instrument of ultimate power.

Gene-editing technology could facilitate Gates’ schemes to create and patent new-and-improved species of plants and animals, or to exterminate species of which he disapproves. One of his aims is to use gene drives to insert “suicide genes” to eradicate entire mosquito species that spread Zika or malaria — a goal of the Target Malaria Project, in which the Gates Foundation has invested $40 million. Dr. Anthony Fauci, a long-time protégé and partner of Gates and an enthusiastic cheerleader for gene drive, told StatNews, “Getting rid of them would be a blessing.”

Critics argue that gene drives pose an existential biosecurity risk to humanity due to their capacity to change or eliminate entire species and to catastrophically alter ecosystems. They are, also, the ultimate biological weapon; the most satanic minds in various military and intelligence agencies covet gene drives to breed supersoldiers or to mint “apocalypse genes.” Critics fear that nations might one day use “genocide genes” to eradicate certain races or undesirable traits.

HBS’s Gene Drive Files expose the leading role of the U.S. military in the development of gene drive technology. The U.S. Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) has spent approximately $100 million researching gene drives. The other primary Gene Drive investors are Dr. Fauci’s National Institutes of Health (NIH), and the Bill & Melinda Gates Foundation, which has invested $75 million in researching suicide and anti-fertility genes.

At the 2016 United Nations Convention on Biological Diversity (COP 13) in Cancun, 179 international organizations, including the Heinrich Böll Foundation, voted for the UN to impose a global moratorium on gene drives. The opponents of this technology also circulated a letter, “A Call for Conservation with a Conscience: No Place for Gene Drives in Conservation.” Environmentalists worry about unintended consequences if suicide or extinction genes leap species.

The Gene Drive emails reveal that in reaction to the COP 13 resolution, the Gates Foundation hired “Emerging Ag,” a sketchy espionage concern with its own sinister entanglements with Big Pharma and Big Ag, to sabotage and shut down the diverse and unified international coalition opposing gene drive.

The Gates Foundation gave Emerging Ag $1.6 million to “recruit a covert coalition of academics to manipulate the UN decision-making process over gene drives.” The emails reveal that the Gates’ campaign was part of the billionaire’s plan to “fight back against gene drive moratorium proponents.” Emerging Ag secretly mobilized some 65 allegedly “independent scientists” for hire — “Biostitutes,” in the industry vernacular — and public officials to an online expert group, the UN CBD Online Forum on Synthetic Biology. A senior executive of the Gates Foundation provided these crooked operatives with daily instructions on how to sabotage regulations, undermine the science, discredit advocates, corrupt the process, and subvert democracy.

In furtherance of its campaign, Gates simultaneously funded a 2016 report by the U.S. National Academy of Sciences endorsing gene driving. The DARPA co-funded the whitewash report with the Gates Foundation. As The Guardian noted after the release of the NAS report:

“The same US defense research agency (DARPA) who paid for the NAS study have made it known that they are going all-in on gene drive research and development of ‘robust’ synthetic organisms. There is good reason to be worried.”

As Jim Thomas of the ETC Group observed: “The fact that gene drive development is now being primarily funded and structured by the US military raises alarming questions about this entire field.”

In furtherance of its coordinated campaign with Emerging Ag, the Gates Foundation manipulated three members, who were under Gates’ control, of the relevant UN expert committee known as AHTEG (Ad Hoc Technical Expert Group) on Synthetic Biology. Gates and Emerging Ag were successful and the UN shot down the moratorium.

The Gates Foundation’s role, exposed by the Gene Drives files, in subverting the environmental movement’s campaign against this dangerous technology confirms Gates and his foundation as a rogue outlaw cartel with contempt for process, for democracy, for science, law, public opinion, public health and the safety of humanity.

Chemical warfare on human health

Mounting evidence points to the kind of industrially grown and processed foods that Gates favors as leading culprits in the chronic disease epidemics that are devastating human health and debilitating children across the globe.

The world’s most popular GMOs function to facilitate aerial spraying of pesticides. Monsanto’s technique of inserting genes to make agricultural crops resistant to weed-killing poisons allows Big Ag to fire ground-based farm workers, replacing them with airplanes (or drones) that saturate landscapes (and food) with aerosolized toxins like glyphosate and neonicotinoids.

Since the proliferation of chemical pesticides in the 1940s, more than half of American songbirds have disappeared, most of the world’s bee and insect populations have collapsed and chronic disease rates in America have risen to 54% in lockstep with increased pesticide use.

As Vandana Shiva pointed out, “Gates has declared chemical warfare not just on nature but on our body’s metabolic systems and the symbiosis in the gut microbiome with his pesticides and herbicides obsession, and his campaign to switch humanity to GMOs.”

Synthetic foods: soylent ‘Gates’

“Diet, injections, and injunctions will combine, from a very early age, to produce the sort of character and the sort of beliefs that the authorities consider desirable, and any serious criticism of the powers that be will become psychologically impossible.” — CIA propagandist Bertrand Russell, an advocate of one world government, dictatorship, and top-down control of the masses by a privileged oligarchal class (1952).

Gates’ power, profit and control agenda appears to drive his commitment to synthesize so-called “transhuman” laboratory foods and his massive investments in processed food manufacturing.

Gates calls synthetic meat “the future of food.” He holds investments in companies that make plant-based chicken, eggs and others that make food from bugs. Gates owns patents or has patents pending for over 100 animal proxies, from chicken to fish. He is invested heavily in Motif FoodWorks, a company that makes a variety of synthesized laboratory foods and ingredients. He co-founded Breakthrough Energy in 2015 with his billionaire buddies Jeff Bezos, Michael Bloomberg and Mark Zuckerberg — the so-called “Pandemic Profiteers Club.” (U.S. billionaires have increased their wealth by $1.1 trillion since the lockdown began, while the number of impoverished Americans grew by 8 million.)

That collaboration has large stakes in Beyond Meat, which they co-own with Tyson Foods and Cargill. Beyond Meat makes plant-based GMO and pesticide-laden chicken tacos. Gates and his Billionaire Boys Club also have big positions in Impossible Foods, which uses heat and pressure to produce synthetic burgers and bratwurst from GMO soy. Lab results show the company’s imitation meat contained glyphosate levels 11 times higher than its closest competitor. Seth Itzkan from Soil4Climate wrote:

“Impossible Foods should really be called ‘Impossible Patents.’ It’s not food; it’s software, intellectual property — 14 patents, in fact, in each bite of Impossible Burger. It’s IFood, the next killer app. Just download your flavor. This is its likely appeal to Bill Gates, their über investor.”

Another of Breakthrough’s ventures is Memphis Meats, which formulates an engineered meat-like tissue on a substrate of calf’s blood. A bullish Bloomberg predicts that synthetic meat revenues will reach $3.5 billion by 2026.

In June 2020, the “Breakthrough Bros” invested $3.5 million in Biomilq, a company that produces synthetic breast milk from “cultured human mammary glands and epithelial cells.” Gates has not explained whether the milk will contain the maternal antibodies — present in authentic mother’s milk — that function to protect infants from infectious diseases, or whether the coming generations of Biomilq kids will need to rely, instead, on additional batteries of Gates’ GMO vaccines.

Unimpressed, Vandana Shiva observes that Bill Gates “wants to deprive us of good, healthy proteins and fats and get us hooked on his synthetic lab-grown trash.”

Gates is the creator and largest donor to the United Nations’ subsidiary, GAVI, a faux governmental agency that he created to push his diabolical chemical, medical and food concoctions, and conduct villainous vaccine experiments on Africans and Indians. Since 2014, The Food and Agriculture Organization of the United Nations, funded by the Gates Foundation in the amount of almost $850K has aggressively pushed the use of insect protein — particularly for the poor. GAVI characterizes wasps, beetles, crickets and other insects as “underutilized” food sources.

Following Gates’ lead, GAVI is optimistic that bugs will soon be an important food supplement for impoverished and undernourished children.

Perhaps in anticipation of that happy day, the Gates Foundation has invested in a South African company that makes edible protein from cultivated maggots. The company’s factory houses a billion flies and produces 22 tons of maggots daily that graze on slaughterhouse, municipal and household waste. Since markets are still immature for maggots as human food, Gates sells his maggot-meal to factory meat operations like those owned by Gates’ partner, Tyson Foods, to feed battery-caged chickens, and to large-scale fish farms, like those owned by Unilever, a $58 billion multinational, which is both a business partner to Gates and a grant beneficiary of his peculiar public charity.

As usual, Gates has also mobilized the international agencies that he controls and the large corporations with which he partners to drive his fake food agenda including, most notably, The Gates-funded World Economic Forum (WEF), which assembles the world’s billionaires in Davos each year to plan and plot out humanity’s political and economic future.

WEF’s Chairman, Klaus Schwab, is the author of the influential book, “COVID-19: The Great Reset”, which WEF has apparently mailed to most of the world’s elected officials, down to provincial executives.

Schwab makes the case that powerful people should use the COVID crisis to impose authoritarian controls, pervasive surveillance, oppressive new economic models and one-world government on a beleaguered, terrified and compliant humanity. The Great Reset is WEF’s plan to rebuild a new controlled economy systematically after the COVID-19 pandemic.

Schwab and Prince Charles unveiled “The Great Reset” at a WEF summit in May 2020. It is a vision for transferring the world into a totalitarian and authoritarian surveillance state manipulated by technocrats to manage traumatized populations, to shift wealth upward, and serve the interests of elite billionaire oligarchs. To “reset” global food policies, the WEF has promoted and partnered with an organization called EAT Forum, which describes itself as the “Davos for food.”

EAT’s co-founder is Wellcome Trust, an organization founded, funded by and strategically linked to vaccine maker GlaxoSmithKline, in which Gates is heavily invested. EAT’s biggest initiative is called FReSH, which the organization describes as an effort to drive the transformation of the food system. The project’s partners include Bayer, Cargill, Syngenta, Unilever, and tech giant Google.

The EAT Forum works with these companies to “add value to business and industry” and “set the political agenda.” To further this profit-making enterprise, EAT collaborates with nearly 40 city governments in Europe, Africa, Asia, North America, South America and Australia. The organization also assists the Gates-funded United Nations Children’s Fund (UNICEF) in the “creation of new dietary guidelines” and sustainable development initiatives.

According to Frederic Leroy, a food science and biotechnology professor at University of Brussels, EAT network is working closely with some of the biggest imitation meat companies, including Impossible Foods and other biotech companies, to replace wholesome nutritious foods with Gates’ genetically modified lab concoctions.

“They frame it as healthy and sustainable, which of course it is neither,” Leroy told The Defender.

Dr. Shiva also scoffs at Gates’ perennial propaganda claims that his GMO meats are about feeding kids and derailing climate change:

“Lab-processed fake food is really about patenting our food, not about feeding people or saving the climate, as Gates and his fellow biotech friends pretend. EAT’s proposed diet is not about nutrition at all, it’s about big business and it’s about a corporate takeover of the food system.”

Leroy added: “Companies like Unilever and Bayer and other pharmaceutical companies are already chemical processors, so many of these companies are very well positioned to profit off of this new food business which revolves around processing chemicals and extracts needed to produce these lab-made foods on a global scale.”

Fortified foods

Synthetic and GMO foods tend to be low in the vital micronutrients that support human health. Glyphosate, for example, functions as a chelator. It kills weeds by leaching out the mineral building blocks of life. Farm crops exposed to glyphosate have far less nutritional value than natural foods.

People eating Gates’ processed, synthetic and GMO foods may have full stomachs, while being clinically malnourished. Gates is rushing to solve this problem by buying technologies and partnering with companies like Roche and Kraft that fortify foods artificially with minerals and vitamins. He is simultaneously promoting laws in developing nations to mandate food fortification. Those laws benefit pesticide and processed food companies to the disadvantage of traditional and organic farmers. Since U.S. companies, like Roche, Kraft, General Foods and Philip Morris already fortify their processed cheese and cereals, they are Gates’ enthusiastic partners in this grift.

I saw this hustle perpetrated by another Big Food swindler earlier in my career. In 2003, I was representing thousands of small-plot Polish farmers in the battle to keep Smithfield Foods’ industrial pork factories out of Poland. Poland’s Deputy Prime Minister, Andrzej Lepper, told me that Smithfield officials offered him a $1 million bribe to support a law requiring slaughterhouses to install high tech hygiene technology including laser-operated restroom faucets. Smithfield knew the law would have the effect of shuttering the 2,600 family operated abattoirs that made Poland’s signature kielbasa sausage. As the only entity that could afford the lasers, Smithfield would thereby gain monopoly control of Poland’s slaughter capacity and 100% of its lucrative kielbasa exports.

Gates took his food fortification laws from Smithfield’s playbook. By mandating that all foods be fortified, Kraft products like Cheez Whiz and American Singles, and its vitamin-fortified Kool-Aid and Tang, are positioned to displace locally produced goat cheese and goat milk in village markets and put small African farmers out of business.

To promote his mandatory fortified foods agenda, Gates created another of his useful quasi-governmental organizations, the Global Alliance for Improved Nutrition (GAIN) to assist multinational food companies (Gates’ business partners) in lobbying for favorable tariffs and tax rates for processed and fortified foods, and speedier regulatory review of new products in targeted countries. Gates’ GAIN consortium also gives local governments money to stimulate demand for fortified foods through large-scale public relations campaigns or by offering governmental “seals of approval” for corporate food products.

Gates, GAVI and GAIN

Gates modeled his GAIN project after his billion-dollar global vaccine program (GAVI). By masquerading as a public health agency, GAVI has successfully mobilized public agencies and private industry to profitably dump untested, experimental or discredited, and often deadly vaccines to inoculate poor children in developing nations.

Following the GAVI model, Gates launched his $70 million GAIN program at the United Nations General Assembly Special Session on Children. His collaboration includes the UN agencies Gates controls, such as the World Bank, the World Health Organization and UNICEF, and the Big Processed Food companies like Philip Morris and Kraft, in which he has investments.

According to Vandana Shiva, GAIN’s objective is to “coordinate campaigns that pressure African and Asian countries to give obscene subsidies, tax breaks and tariff exemptions and other preferences for processed foods.”

Some experts are troubled by the idea of Bill Gates and multinational food companies teaming up to colonize food systems in underdeveloped countries, and hawking processed foods under a public health banner.

Dr. Mark Hyman, the New York Times bestselling author and Head of Strategy and Innovation at the Cleveland Clinic Center for Functional Medicine, told me:

“ … despite occasionally being fortified with vitamins and minerals processed foods are loaded with sugar, starch, processed oils, artificial colors, preservatives, pesticides and sodium which contribute to the double burden of obesity and malnutrition, and the chronic disease epidemic. Globally 11 million die every year from an excess of ultra-processed foods and lack of protective whole foods, making processed food the number one killer in the world.”

Dr. Hyman calls those foods “the opposite” of nutrition. Shiva agrees. “The GAIN program,” says Shiva, “is less about solving malnutrition than a heavy-handed way to force poor nations to open access to their markets, to obliterate local producers.”

“Fortified foods are illusory technical solutions to complex socioeconomic problems. Social and economic solutions would work better in the long run,” argues Professor Marion Nestle. Nestle is the revered food and nutrition icon who occupies the Paulette Goddard Chair of Nutrition and Food Studies at New York University. Nestle, the author of Food Politics: How the Food Industry Influences Nutrition and Health, told me:

“With one exception, iodized salt, fortified foods cost too much, fail to reach their intended targets, or are too limited in scope to do what they are intended to do. I see these laws as solving a problem for the companies that make these products, not addressing nutrient and calorie deficiencies. I’m not a fan of fortified foods. I want a wide variety of real foods made more available and less expensive, and locally produced. So I would agree with the critics. I wish the Gates Foundation would invest in projects to promote small, local food production.”

Artificial intelligence: ridding the world of farmers

Gates says he wants to revive farm economies by transforming agriculture with super-efficient, high tech AI to create “farms of the future.” According to Gates:

“We used to all have to go out and farm. We barely got enough food, when the weather was bad people would starve. Now through better seeds, fertilizer, lots of things, most people are not farmers. And so AI will bring us immense new productivity.”

Above all, he wants it to work fast. Gates’ “computational acceleration” will hasten the adoption of these beneficial innovations to achieve his ambitious schemes to deliver scientific breakthroughs to small farmers before climate change destroys their yields.

But Shiva warns American farmers, already drowning in debt, to be wary of Gates’ promises to throw them a line:

“When Bill Gates forced his devilish ‘rescue’ technologies on Indian farmers, the only one to benefit was Gates and his multinational partners. He gave money to the government and a company called Digital Green and made extravagant promises to digitally transform Indian agriculture. Then with the cooperation of his purchased government officials.

“Bill Gates put cameras and electronic sensors in the homes and fields of Indian farmers. He used their cell phones, which he gave them for free, and his fiber optic and 5G installations — which he persuaded the Indian Telecom Company to finance — to catalog, study, and steal farmers’ crop data, indigenous practices, and agricultural knowledge for free. Then he sold it back to them as new data. Instead of digitally transforming farms as he promised, he transformed Indian farmers into digital information. He privatized their seeds and harvested the work of the public system. He ripped out their knowledge assets and heirloom genetics, and installed GMO seeds and other ridiculous practices.” Shiva adds, “His clear agenda was to drive small farmers from the land and eventually mechanize and privatize food production.”

Christian Westbrook, an agricultural researcher and the founder of the online podcast, “Ice Age Farmer,” takes comfort that American farmers know Gates’ history in India and Africa: “We know who Bill Gates is, and we know the mischief he made for small farmers in Mexico, Africa and India. We know that his recent land purchases here are just the start of the Green Revolution 3.0. He wants to suck out the democratic essence of America’s pastoral landscapes and our farm families — to steal our livelihoods, our knowledge, our seeds, and our land.”

Westbrook takes note of the fact that like all chiselers, Gates is always in a rush:

“His strategy is to keep everyone moving so fast they can’t see the scam. He’s always telling us that climate change can’t wait, that we need to accelerate access to these products and adoption of his technologies, that research isn’t happening fast enough.”

Westbrook told me that Gates’ endless talk about “accelerating the process” and his extravagant promises of miraculous new technologies, of “investment,” and of “public-private” partnerships, are all part of his con. “He keeps telling everyone we need to ‘accelerate, accelerate, accelerate.’”

Many farmers say they don’t care to be rescued by Gates. Westbrook says he thinks Gates intends his baronial U.S. spreads to serve as flagships — showcases for his retinue of digital technologies for American farmers. “He’s doing it for the same reasons he brought his technology to Indian farms — to steal their knowledge, and move them off the land.”

Trent Loos, a sixth-generation Midwestern rancher and farm activist, told me that farmers have a knee-jerk reaction against billionaires “playing Monopoly” with American farmland:

“It makes it difficult for young farmers or even those who have farmed for generations, to compete with such deep pockets. It certainly creates a barrier for them. When people with this type of wealth start to buy farms, it makes us wonder what they are really up to. Nobody wants to rent land from Bill Gates, or work as his sharecropper.”

Westbrook says he believes Gates is pursuing a darker agenda. Like Shiva, Westbrook believes that Gates and the other robber barons are using the pretexts of climate, biodiversity, and the zoonotic pandemic threat to get human beings out of the ag business and off the farm. And there is evidence to support him. The Gates Foundation is significantly invested in Alphabet, Google’s parent company. Alphabet has invented “crop sniffing” robots, designed to replace farmers and ranchers, as part of its “Mineral” project. Its “Moonshot” project is “developing and testing a range of software and hardware prototypes based on breakthroughs in artificial intelligence, simulation, sensors, robotics, and more.”

Within a year of purchasing Whole Foods, Jeff Bezos — Gates has a considerable investment in Amazon — also invested heavily in robot-controlled vertical farms that also minimize human involvement with farming.

Says Westbrook, “He wants to get the people off of the farms, get the animals off, and get us all eating his plant-based meats and bug protein.”

“Gates talks about farming as an archaic, quaint, dirty, dangerous, inefficient, barbarous relic from the past that threatens us by increasing the menace of climate change and the risks of global pandemics by putting humans in dangerous contact with microbes,” says Howard Vlieger, an Iowa farmer who has worked as a crop and livestock consultant in the U.S. and Canada since 1992.

Vlieger is an expert on the impacts of pesticides and GMOs on food products and soils. “Gates’ objective is to move the world “away from sustainable and humane animal agriculture that celebrates our contact with the soil and finds good health in our respectful interactions with nature — and toward artificial cows and a grim chemical paradigm that are all features of top-down dystopia. His vision is one of contaminated and unsavory foods and separation of man from nature.”

“Gates seems to have no concept of the joy that ordinary people — people like our family — take in farming,” Nicolette Niman told me. Niman is a California rancher and farmer, and the author of the books “Righteous Porkchop” and “Defending Beef.” Her husband Bill is the founder of Niman Ranch, a co-op of hundreds of small sustainable U.S. cattle and hog growers who market high-quality organic beef and pork from sustainable grass-fed operations.

Regenerative farming and ranching immeasurably enriches human lives. It’s challenging work, based upon our intimate contact with the earth. At its best, good farming is a quest to understand and follow nature’s models,” Niman said. Niman says that Gates seems to have little interest in nature’s wisdom:

“He doesn’t seem to understand that our engagement with the soil, and joy we get from our contact with the earth, our complex relationship with our animals, even with all the hardships and difficulties, are sources of our freedom and our pride, and happiness at being masters of our destinies.”

“We need to build a world that respects individual self-determination, the humane treatment of animals, and good stewardship of our soils. We need to understand that a wholesome relationship with nature is not only vital to our health and climate, it’s the source of dignity, liberty, and enrichment in our post-industrial era.”

Using wide-ranging technologies, all of these activists from various continents expressed their discomfort with Gates’ tendency to look at population, rather than people, and to see the management of population as a problem in urgent need of his technological solutions.

“Gates sees the forest, not the trees,” Vlieger observes. “And even when he looks at the forest, he only seems to see board feet of lumber — how he can leverage the landscapes for cash and commoditize people.” Vlieger continues:

“Gates’ habit of seeing every human difficulty through the lens of some technological solution from which he can profit is beyond myopic. It’s pathology — sociopathology, really. Gates is a dangerously powerful sociopath with $137 billion and a vision for a top-down technocracy. Does that worry anybody?”

Westbrook says Gates, Cargill and Tyson are a powerful cartel on a mission to end animal agriculture and drive human beings from farms. “It is ‘replacement agriculture,’” says Westbrook. “They even use that word, ‘alternative agriculture.’”

Westbrook’s view of the dystopian future of technocratic totalitarianism envisioned by Bill Gates sounds like a baseless conspiracy theory if one ignores all the evidence supporting him. He predicts that we will very soon — in months, not years — see engineered food shortages and pressures to empty and “improve” the rural landscapes by idling farmland and replacing farm jobs with robots and artificial intelligence.

Westbrook predicts government efforts to push populations toward mega cities and smart cities where businesses are closed, jobs are scarce, and most of us will rely on universal basic income paid in digital currencies — revocable, of course, in cases of noncompliance and disobedience. Westbrook predicts a scenario “where the human cattle are completely dependent on the government for money and food, and all the folks are in one place in the smart cities and they’re easily monitored by the technocrats of Gates’ Great Reset.” Westbrook continued:

“They’re shutting down food production and actually more, more broadly, they’re shutting down all economic activity, all human activity, corralling us into their smart cities. It’s pretty appalling. And now that we’ve got these pandemics, we had to implement medical martial law, and since it’s all a health crisis, we’re also going to have to take over all of your food productions and your nutritional needs. They’ve married these two things.”

Time will tell us if Westbrook’s nightmare is merely a paranoid conspiracy theory — I hope so.

Food Systems Summit

In 2009, Bill Gates, an unelected billionaire with no governmental office or diplomatic portfolio, kicked off his global vaccine enterprise with a speech to the United Nations. He announced the $10 billion donation and declared the launch of his “Decade of Vaccines.His scheme unfolded like clockwork. Gates’ contributions secured him ironclad control over WHO. As Foreign Affairs has reported, “Few policy initiatives or normative standards set by the World Health Organization are announced before they have been casually, unofficially vetted by Gates Foundation staff.”

Gates created and funded powerful faux-governmental agencies like PATH, GAVI, CEPI, and the Brighton Collaboration, to push vaccines in developing countries, to consolidate his control over public health, and to prepare the groundwork for the global vaccine putsch he had pre-scheduled for 2020.

In January 2019, the WHO dutifully declared — citing no specific evidence — that “vaccine hesitancy” was one of the principal threats to global health. The Gates’ Medical Cartel followed that statement with orchestrated campaigns in every U.S. state and in countries around the globe by pharma-financed politicians introducing laws to mandate vaccines and end exemptions.

Two months later, the powerful House Intelligence Committee chair, Adam Schiff — yet another of Gates’ financial beneficiaries — demanded social media and media companies begin censoring “vaccine misinformation” — a euphemism for any assertion that departs from official pharma and government pronouncements. Gates has giant stakes in Google, Apple, Amazon and Facebook. Those companies all began enthusiastically censoring criticism of vaccines.

A year later, the COVID-19 outbreak provided an opportunity of convenience for Gates and his vaccine cartel to consolidate their control of humanity. A May 2020 article by Derrick Broze in The Last American Vagabond observed that, “By tracing the Foundation’s investments and Gates’ relationships we can see that nearly every person involved in the fight against COVID-19 is tied to Gates or his Foundation by two degrees or less.” Their relationship gave Bill Gates and his Foundation an unchallenged influence over the response to the pandemic.

Gates repeatedly declared, in appearances on virtually every network and cable show and on every media platform, that all economic activity must cease until all 7 billion humans were vaccinated and possessed immunization passports. His ten-year Decade of Vaccines that began with his UN appearance had gone off without a hitch. Under the leadership of Gates’ old protégé and loyalist, Fauci, the U.S. Department of Health and Human Services arranged immunity from liability for COVID vaccines and committed $48 billion in taxpayer money to buy and distribute a retinue of new experimental vaccines, many of them owned by Gates.

Gates’ control of the process has been complete. His execution of his vaccine prediction was elegant and flawless. And now Gates’ surrogates are rolling out the same playbook to push through his totalitarian food agenda.

During the October 14 -18 plenary of the 46th Session of the UN Committee on World Food Security, the UN Secretary General, António Guterres, announced the convening of a UN Food Systems Summit in 2021. Guterres acknowledged that the Summit had been jointly requested by the UN Food and Agricultural Organisation (FAO), the International Fund for Agricultural Development (IFAD), the World Food Programme (WFP) and the World Economic Forum (WEF). Bill Gates and his foundation generously fund and control all four organizations.

The UN Food Systems Summit effectively announced a parallel agenda to the one launched by the WEF when it hosted its Great Reset conference in June, 2020. In their research into the UN Food Systems Summit, AGRA Watch (the grassroots advocacy group that follows Gates and his foundation’s failed Green Revolution in Africa) found that of the 12 individuals involved in the Summit, 11 have strong connections to the Gates Foundation.

According to Heather Day of AGRA Watch, in some instances, these organizations were directly funded by the Gates Foundation and others Gates-funded specific programs that had major roles: “So his fingers aren’t just in it; almost every single one of the participants is working for Bill Gates. These are the authors of the UN food systems summit.” The Food Systems Summit is a 100% Gates project.

It gets worse: The coordinator of Gates’ “Decade of Food Security” is Dr. Agnes Kalibata. Kalibata is the President of Gates/Rockefeller’s AGRA program that orchestrated Gates’ notorious failed Green Revolution in Africa. Kalibata is the perfect leader to bring AGRA to the world. The Summit, she predicts, will bring together all the major stakeholders in a public-private partnership “to make food systems inclusive, climate adapted and resilient, and support sustainable peace.”

Kalibata reminded Food Systems Summit participants of the urgency. They had, she said, only 10 years left to accelerate the transformation of our food systems to meet Sustainable Development Goals for climate, nutrition and pandemic response.

The UN Food Systems Summit will lay out Gates’ “Decade of Food” blueprint for the global food agenda to be completed by 2030. We can only pray that Gates’ next new health plan for humanity won’t involve the same level of traumatic violence to our civil rights, to our global economy, to the traditions of our civilization, to the idealism of democracies, and to our self-determination, that accompanied his 2020 “Decade of Vaccines.”

Day is pessimistic: “Gates’ plan will be a roadmap of how to replace everything that is good about farming with the technocrats’ own systems for jobless farming, chemical food and bug protein,” predicts Day.

Conclusion

The Gates Foundation is not conventional philanthropy. It gives miniscule, if any, support to popular causes like the Wounded Warrior Foundation, ASPCA, environmental, or voting rights or civil rights groups.

It is a weaponized philanthropy that Gates launched in 1994 to resuscitate his reputation after the Microsoft antitrust case exposed him as a lying, cheating, thieving, manipulator intent on felonious monopoly control of global information conduits.

Gates has since invested $36 billion into the Gates Foundation, which has a value of $46.9 billion over which he and his wife exercise total control. The foundation has given away only $23.6 billion in charitable grants, and these “gifts” include billions in tax-deductible donations to companies in which Gates is invested, like Merck, GlaxoSmithKline, Novartis, Sanofi.

Gates’ brilliant mind devised this scheme to form a foundation that shelters his income, and allows him to leverage taxpayer dollars by investing the foundation’s earnings in projects that multiply his wealth and expand his power and public prestige, while avoiding taxes.

Using this structure, he can give tax-deductible donations to companies he partly owns and reap personal and foundation profits while avoiding taxes — and allowing him to hide his money in myriad ways. It’s a win-win! Gates has deployed his foundation as the embodiment of his base instincts for monopoly and control — a vehicle for ruthless philanthrocapitalism that hijacks public access and blurs the lines between corporate and public interests, cloaks private profit agendas with lofty public-spirited rhetoric and gives himself monopoly control over public health, our planet’s life support systems, our economics and people.

Gates has made his foundation a tool for consolidating the efforts of his fellow billionaires, captured regulators, and his business partners from Big Pharma, Dirty Energy, GMO food, Telecom and Big Data, and the bought and brain-dead journalists who collectively profit from the multiplying miseries of the dystopian world they have arranged for the rest of us. Gates and his cronies, toadies and minions pump up fear of pandemics, climate change, mass extinction — and offer his vision of new technologies as the salvation, which only he possesses the genius to deploy.

Even as he consolidates control over our health and food systems, Gates is promoting digitalized currencies, calling these systems a “global humanitarian priority.” (Kissinger’s final adjuration is, “Who controls money can control the world”), and in funding ground and space-based and 5G infrastructures, city-sized analytics centers, and biometric chips to mine and harvest our data and biodata and as mechanisms of surveillance, profit, and control.

Gates is planning a satellite fleet that will be able to survey every square inch of the planet 24 hours per day. Such systems will no doubt be useful should populations become restless with political and economic structures that strip citizens of power, shift wealth ever upward, and doom most of humanity to meaningless, hopeless survival.

Democracy and farm freedom advocate Dr. Vandana Shiva says that Gates’ philanthrocapitalism is a “destructive force with the potential to push the future of our planet towards extinction and ecological collapse.” Shiva accuses Gates of using philanthropic capitalism to accelerate the corporate takeover of our seed, agriculture, food, knowledge and global health systems. “He funds the manipulation of information and promotes the erosion of democracy — all in pursuit of personal power and profits.”

Shiva says the Gates Foundation has powered an “unholy alliance” between big capital, science and technology institutions and governments to establish a global empire over life, through monocultures, patents and monopolies designed to destroy the natural world of diversity, self-organization and freedom.

“You have seen the wickedness they can do with vaccines in the name of public health,” Shiva told me. “Well, now he controls the land. He controls the seed. He controls the food. He has the ultimate power to starve us all to death.”

« Vaccin » Covid : analyse du Dr Igor Shepherd.

Source première. Deuxième source, avec transcription écrite.

NdT. Le Dr Shepherd est un Russe immigré aux Etats-Unis. Son anglais est très imagé et lyrique mais un peu bancal. Il donne ici une conférence dans une église, ce qui devrait faire fuir mes lecteurs païens. C’est bien dommage pour eux, parce que le Dr Shepherd est un des rares, avec Catherine Austin-Fitts – et évidemment Mgr Vigano – à désigner l’ennemi. Et nous savons que c’est ainsi que ce vieil ennemi perd la partie. Et croyez-le ou non, j’avais fini par le comprendre la veille de trouver cet article.

Dans un souci de clarté, j’ai traduit en français correct et écourté quelques passages. C’était un très gros travail mais sans doute un des plus utiles que j’ai fait pour ce blog. Pour ceux que ça intéresse, la transcription intégrale en anglais figure juste après la traduction.

Je compte sur vous pour diffuser cet article. Merci!

Traduction

Conférence du Dr Igor Shepherd sur les horreurs du vaccin COVID 11/10/2020

Hôte : Ce soir, je me réjouis de vous présenter le Dr Igor Shepherd. Il est médecin et il est actuellement responsable du programme de préparation et de contre-mesures au Wyoming Department of Health Preparedness and Response Unit (NdT. la Section Préparation et Intervention du Département de la Santé du Wyoming) à Cheyenne, Wyoming.

Il a été orateur public lors de nombreuses conférences de préparation dans tous les États-Unis. Donc des conférences qui préparent aux catastrophes, aux pandémies, aux épidémies, des choses comme ça.

Et avec le Center for Disease Control pour aider à préparer et examiner la préparation aux situations d’urgence, les demandes d’accord de coopération, les plans stratégiques, les rapports d’étape, les données, les produits à livrer.

Son CV complet est long comme le bras. Je ne vous donne que la version courte.

Il donne également des séances d’information mensuelles à l’intention des State of Central Function Partners (NdT. Partenaires de l’État des Fonctions Centrales) et des représentants de Health and Human Services (NdT. Services Sanitaires et Sociaux).

Il comprend donc très bien ce qui se passe avec le COVID dans le pays. Et il va partager beaucoup d’informations que vous n’avez probablement jamais entendues auparavant.

Avant de travailler pour l’État du Wyoming, il a travaillé dans divers autres emplois de préparation aux situations d’urgence et également sur un site d’essais nucléaires du Nevada pour des opérations de lutte contre le terrorisme.

Et il a été impliqué dans la recherche et le développement techniques sur la préparation nationale et la sécurité nucléaire pour le Department of Justice Office for Domestic Preparedness, Department of Homeland Security, DOE, NSA, DOD, ETRA, FEMA, National Guard, les équipes tactiques SWAT, les forces de l’ordre, les services de secours, les professionnels de la santé.

Nous avons donc un orateur extraordinaire et incroyablement qualifié ici ce soir pour nous parler de ce qui se passe avec le coronavirus et le vaccin, qui arrivera dès le 15 novembre. Il est censé être expédié vers les États à partir du 15 novembre depuis chez Pfizer.

Veuillez souhaiter la bienvenue au Dr Igor Shepherd.

Dr Shepherd : […] Nous avons eu quelques perturbations aujourd’hui. Mon ordinateur portable est mort. Je ne sais pas si c’est la NSA ou autre chose. Mais ça va. J’ai ma mémoire.

Je m’appelle Igor Shepherd. Et je viens d’un monde très obscur. […]

Tout d’abord, ces 10 derniers mois, j’ai été chef de section du renseignement pour le COVID Response Unified Command dans l’état du Wyoming. J’ai passé ces sept dernières années à travailler au Département de la Santé de l’État du Wyoming.

Avant cela, je dois revenir un peu sur mon parcours de médecin militaire, interniste et spécialiste des armes de destruction massive. Comme je vous l’ai dit, je viens du monde obscur du communisme. Je suis né sous le communisme. J’ai été élevé sous le communisme. Le communisme était sur moi, autour de moi et à l’intérieur de moi. C’est un monde très obscur. Vous ne voudriez pas y vivre.

Je dois revenir un peu en arrière parce que je relie maintenant les points et je fais les liens. Donc, vous allez comprendre quel genre de vie nous attend et comment elle est en fait reliée à la Russie et à la Chine. Je dirai certaines choses que vous n’avez peut-être jamais entendues auparavant. […]

J’ai travaillé quatre ans en tant qu’officier militaire et médecin militaire au Strategic Rocket Force de l’Union Soviétique. J’ai passé quatre ans de ma vie en tant que chef de la santé en Pologne avec des bataillons d’opérations spéciales. C’est un endroit tout à fait unique. Nous nous occupions en fait de l’entretien des armes biologiques, milieu de gamme, spécifiquement dirigées vers les forces américaines situées en Allemagne. C’est une époque de ma vie où j’ai fait beaucoup de choses dont je ne suis pas fier. J’ai administré beaucoup de vaccinations et d’immunisations diverses sur des personnes, des soldats, du personnel civil. Je ne savais pas avec quoi je vaccinais parce que je n’étais pas censé le savoir. On m’amenait des valises d’ampoules neuves et du matériel et je faisais les injections. Quatre-vingt-cinq injections par heure. Des injecteurs spéciaux.

Je ne pouvais communiquer aucun effet secondaire, inflammation localisée, effets secondaires généralisés, rien. Ce n’était pas mon boulot. Parce que le renseignement militaire me soufflait dans la nuque. J’ai passé du temps en Pologne. Nous avions du boulot là-bas. Et maintenant je suis aux États-Unis. Ce qui me choque aujourd’hui c’est ce qui se passe depuis 10 mois aux États-Unis, cette prétendue pandémie COVID, pour le dire gentiment. […]

Je voudrais vous parler de quelque chose de très intéressant, qui s’est passée il y a quelques jours, lorsque le CDC a décidé de ne plus compter les cas de patients grippaux pour 2021. Ça signifie que tous les cas de grippe sont comptés dans les chiffres COVID car ceux-ci ne sont pas assez nombreux aux États-Unis.

Nous avons un problème, nous avons une tromperie et nous avons une trahison. Je parlerai de trahison plus tard. Mais c’est une trahison au plus haut niveau.

Lorsque j’ai commencé à faire des recherches sur la situation de la pandémie COVID et le virus SRAS-CoV2, j’ai appris que ce virus est en fait très similaire au SRAS de 2003, virus du syndrome respiratoire aigu sévère, survenu en 2003. Similitude jusqu’à 80%/85%. Identique. Tellement identique que ce virus ne peut même pas être distingué en tant que souche différente du virus. […] Au fait, ce virus n’est plus ce virus. Depuis juillet de cette année, ce virus a changé et est devenu autre chose. On nous dit qu’il a muté. Donc, nous n’avons plus de SRAS-2. Nous devrions l’appeler SRAS-3 ou 4 ou 5, car des mutations se produisent constamment avec cet étrange virus-fantôme.

[…] Les départements de la santé, le HHS et le CDC augmentent apparemment les chiffres pour une raison quelconque aux États-Unis parce qu’ils sont trop bas – les taux de mortalité ne sont pas suffisants, les hôpitaux sont vides – donc quelque chose cloche. […] On a dépensé 20 millions de dollars au Ranch {Budweiser Events Center, Loveland, CO}, 20 millions de dollars. Tout a déjà été démantelé. Il n’y a aucun patient là-bas. Personne n’en a besoin. Alors, que se passe-t-il dans ce pays? Pourquoi sommes-nous confrontés à cela?

Je vais vous dire pourquoi nous sommes confrontés à cela. Je reviens sur mon époque communiste. J’ai été formé pour détruire les États-Unis d’Amérique. […]

Je me suis entraîné pendant la guerre froide pour détruire physiquement les États-Unis. Pas spirituellement, physiquement. Quand je dis cela, c’est ainsi que l’obscurité fonctionne.

Certaines personnes se diront, « Ça ne peut pas être si grave. Les gens ne sont pas si mauvais. » Mais il y a beaucoup de personnes malfaisantes dans le monde. J’en ai rencontré beaucoup. J’ai travaillé avec beaucoup d’entre elles.

A propos des vaccins, comme vous le comprenez déjà, la situation est étrange et discutable dans cette pandémie COVID. Elle est arrivée juste au bon moment. Si je vous dis que la pandémie COVID a été préparée pendant ces 19 dernières années aux États-Unis, ça vous dit quelque chose? Dix-neuf ans, depuis 2001 – un exercice biologique nommé Opération Dark Winter (NdT. une vidéo à ce sujet en fin d’article).

Entre 2000 et 2006, j’ai travaillé sur certains projets secrets au Nevada Nuclear Test Site, dans la ville de Mercury, pour la NNSA, la National Nuclear Security Agency. Nous avons travaillé avec la DTRA, la Defense Threat Reduction Agency. Ils ont fait des tests biologiques sur le site d’essai et d’autres choses encore.

Tout ça est préparé, tout ça prend très longtemps. Ils savent ce qu’ils font et comment le faire. Il leur a fallu des années pour se préparer à ce moment, aujourd’hui, aux États-Unis et globalement. C’est un projet mondial dont le but est d’introduire le communisme mondial partout dans ce pays. Pas seulement dans le monde, également aux États-Unis. En ce moment, le plan de destruction des États-Unis tourne à plein régime. Et les vaccins y jouent un rôle majeur.

Je reviens maintenant à mon histoire, à mon travail militaire en Pologne et aux organisations et installations en Union Soviétique et en Russie, qui ont pleinement développé de nombreuses armes biologiques de destruction massive, virales, bactériennes et autres. Surtout des armes génétiques.

Je voudrais nommer une institution que je connais bien. À cette époque, c’était Lev Sandachiev, un général une étoile, qui en était le directeur. Elle s’appelle l’Institut Vektor, à Novossibirsk, en Russie. Ce qui est particulier à propos de cet endroit, c’est qu’on y a conçu des vaccins. Des vaccins. D’innocents vaccins. Du moins, c’est ce qu’ils ont dit au monde.

Mais ce qu’ils fabriquaient étaient des armes virales militarisées, génétiques, de type ADN recombinant, ARN messager, ARN mature, des dispositifs, des armes biologiques purifiées. Ils le font encore aujourd’hui, depuis environ 40 ans.

Ce qui me frappe le plus, ce sont les cinq entreprises actuellement impliquées dans la production de milliards et de milliards de vaccins – et une en particulier, Pfizer. Les glacières sont déjà prêtes. Ils sont prêts et attendent le moment de commencer à expédier.

Je vais vous parler un peu plus de Pfizer. Ce qui me frappe le plus, c’est la technologie qu’ils utilisent, tellement révolutionnaire. Tout cela est un mensonge. Ce ne sont pas des technologies révolutionnaires. Ces technologies étaient utilisées il y a 30 ans en Union Soviétique – puis en Chine, en Corée du Nord et à Cuba – dans des laboratoires biologiques, pour le développement d’armes biologiques de destruction massive. C’est cette même technologie qu’on utilise aujourd’hui pour développer les vaccins qui nous sont destinés. C’est mon premier message.

Deuxièmement, en 1977, le projet URSS/90/77. Qu’a-t-il de si spécial? C’était l’épidémie de grippe H1N1. En Chine d’abord. Grippe porcine. Vous avez entendu parler de la grippe porcine en 2009, du H1N1 aussi. Ce dont je vous parle se passait en 1977, 1978.

La particularité de ce projet, celui mis en oeuvre dans la ville de Leningrad – aujourd’hui Saint-Pétersbourg – c’est qu’ils ont utilisé l’infrastructure du métro pour pulvériser la grippe A militarisée sur la population soviétique, quatre millions de personnes à l’époque à Leningrad – aujourd’hui Saint-Pétersbourg.

Deux millions de personnes ont été infectées, malades. Quand on utilise des dispositifs de dispersion dédiés pour diffuser le virus militarisé de la grippe, il y a des conséquences.

Pourquoi avoir choisi le métro à Leningrad? Il est plus profond que les autres réseaux de métro dans le monde. Il est construit très en-dessous du niveau du sol. Ainsi, le débit d’air y est parfaitement contrôlé, c’est le cadre idéal. Environ 70.000 personnes en sont mortes.

Aujourd’hui, tout ce que l’Organisation Mondiale de la Santé sait à ce sujet, c’est que c’était juste une grippe porcine ou la grippe russe classique. Mais ça n’a rien à voir avec la Russie. Tout tourne autour de la Chine.

Qu’est-ce que cela signifie? Pourquoi ont-ils fait ça? Je vais vous dire pourquoi. Ils ont préparé les vaccins avant de répandre tout ce matériel biologique dans les réseaux de métro. Et puis ils ont vacciné des civils innocents à Leningrad avec ce nouveau vaccin contre la grippe aviaire qui était censé être efficace. 70.000 personnes sont mortes.

Bien des années plus tard, qu’est-ce que je vois ici aujourd’hui? Est-ce une sorte de nouvelle version de communisme américanisé qui se met en place? […] La plupart des technologies utilisées aujourd’hui par Big Pharma, je vous l’ai déjà dit, se basent sur la technologie d’ARN messager, qui reprogramme notre système immunitaire et prend le contrôle de notre système immunitaire. Nous ne contrôlerons plus notre système immunitaire. Il nous contrôlera. Il libèrera des anticorps au moment où ils doivent être libérés.

Revenons en Russie. La Russie a une longue histoire comme vous pouvez le voir. Le projet Factor, un projet secret, Moscou, Saint-Pétersbourg, début des années 90. Ils ont conçu des armes biologiques qui donnent la polyarthrite rhumatoïde, la myélite et le lupus érythémateux. Ils sur-stimulent le système immunitaire pour créer des maladies débilitantes ultra-rapides. Combien de temps faut-il pour développer une sclérose en plaques? Ça prend du temps. Avec une arme biologique, cela ne prend qu’environ deux semaines et la personne ne peut plus marcher.

Qu’observons-nous de similaire? Regardons l’histoire d’AstraZeneca, une société britannique, en coopération avec Novavax – une société aux États-Unis, d’ailleurs. Je pense qu’ils viennent du Massachusetts ou du Maryland. Ces deux-là développent également un vaccin, le Sf9-BV.

La plate-forme de ce vaccin utilise un insecte – la chenille légionnaire d’automne. Vous savez, le papillon volant? […] Ils ont prélevé des gènes extraits de cet insecte et les ont mis en œuvre dans le vaccin. […] Mais ce n’est pas le plus important. Le plus important, c’est le système immunitaire. Notre système immunitaire sera sur-stimulé et les réactions ne se produiront pas seulement autour du site d’injection, ce qui est déjà montré par des tests cliniques, qu’ils ont déjà fait.

Quelle est la particularité de ce vaccin d’AstraZeneca? Ils y mettent de la saponine. La saponine est en fait un savon naturel. On l’extrait d’un arbre, le Quillaja, du Chili. Il est dans l’écorce de l’arbre. Pas de quoi fouetter un chat. Le gros problème est qu’il est utilisé comme adjuvant pour stimuler le système immunitaire si la réaction est insuffisante. Pourquoi pensez-vous que certaines personnes développent de fortes manifestations cliniques suite à une surdose de ce vaccin? […]

Cela n’a rien à voir avec la dose. Tout dépend de ce que contient ce vaccin. Cet adjuvant est utilisé pour stimuler une forte réaction du système immunitaire. Mais le problème est que cette stimulation est toxique. Il détruit non seulement les cellules, mais crée également une hémolyse dans les cellules. Cela signifie que le système coagulatoire est endommagé. Cela signifie que les gens vont saigner à mort, mais pas rapidement. Ça commence par la rate et ensuite le foie.

[…] Les essais cliniques sont effectués très rapidement, comme vous le savez. […] Pensez-vous qu’ils vous montrent réellement les données cliniques réelles de tous ces tests? Pourquoi ne parlent-ils pas du médecin philippin décédé des suites de cette vaccination, par exemple? Que pensez-vous des deux femmes du Royaume-Uni qui sont maintenant pratiquement handicapées? J’ai une question au sujet de ce handicap. Parce que l’une des deux a développé une amylose. Et il me semble que c’est une ADEM (Acute Disseminated Encephalomyelitis), une encéphalomyélite aiguë disséminée. L’encéphalomyélite aiguë disséminée ne touche qu’une personne sur 250.000. Ce n’est pas normal! Les vaccinations ne provoquent pas ça!

Ma question est : pourquoi la myéline est-elle affectée? Pourquoi a-t-elle commencé à perdre intensément sa myéline? La myéline est utilisée pour quoi? Pour la transmission du signal nerveux. C’est à ça que ça sert. Lorsque la myéline est endommagée, le signal est perturbé. Il ne peut plus passer normalement des axones aux dendrites. Cette dame arrive à peine à marcher depuis quelques mois. On nous dit que la guérison prendra deux ans. Je pense plutôt qu’elle ne guérira jamais. (NdT. voir également cet article)

Mais ce n’est pas le problème. La question est, pourquoi cela lui est-il arrivé? Tous les essais cliniques ont été réalisés uniquement sur des adultes en bonne santé, examinés et testés médicalement. Elle était donc en bonne santé à ce moment-là.

Alors, qu’y a-t-il derrière tout ça? Revenons au projet Factor. Fédération de Russie, le projet secret Factor, où on a fait des tests sur la myéline et l’épuisement de la myéline. Même technologie que celle utilisée pour le développement d’armes biologiques en Russie au début des années 90.

Que se passe-t-il? Comment Big Pharma a-t-il su tout cela?

Certaines personnes ont émigré ici, des transfuges sont venus s’installer. Vous ne connaissez pas leurs noms. Je ne connais qu’un seul nom. Son nom est Sergei Popov. Il était spécialisé dans la conception d’armes biologiques pour la Fédération de Russie. Il a travaillé à l’Institut Vektor et ailleurs. Enfin, la CIA l’a retrouvé au Texas il y a de nombreuses années. Je ne sais pas où il est maintenant. Mais il a suffisamment de connaissances pour aider quelqu’un contre beaucoup d’argent.

Je ne blâme personne. Je ne cite pas de noms. Mais vous devez comprendre qu’il y a beaucoup de science malfaisante dans le monde. Beaucoup de science malfaisante. Et beaucoup de scientifiques malfaisants. Des gens profondément mauvais.

Pourquoi les armes biologiques sont-elles utilisées? Il faut savoir qu’on les a développées à partir du corps d’un médecin décédé. Il s’appelait Nikolai Ustinov. Il est mort en 1988 après avoir commis une erreur. Il s’est injecté, dans le pouce, avec une aiguille, le virus hémorragique de Marburg, déjà militarisé. Au lieu de la souris, il s’est coupé lui. De toute évidence, l’animal ne voulait pas recevoir cette injection. C’est lui qui l’a eue. Il est mort très vite, en une semaine. Il a saigné à mort. […]

Ce qui s’est passé ensuite est intéressant. Ils ont préservé son corps pendant un certain temps et y ont prélevé des organes pour en faire une arme biologique, le Marburg U, un virus, qui porte son nom. Et cette arme biologique, le Marburg U, est la plus puissante arme biologique de fièvre hémorragique qui ait jamais existé dans le monde. Et elle fait toujours partie du stock russe.

Combien peuvent être affectés par cette {arme biologique Marburg U}? Beaucoup, un ou deux millions en un coup dans une zone urbaine, New York ou L.A. En probablement trois ou quatre semaines. Aucun vaccin, aucun traitement et il n’y en aura jamais!

Quel genre de fous peuvent développer quelque chose qui tue tout, y compris eux-mêmes? Tout est question de distance. Un océan sépare l’Union Soviétique des États-Unis. Rideau de fer. Cela signifie qu’il est arrêté.

Pouvez-vous vous rendre en Corée du Nord récemment? Quelqu’un y a été? Bonne chance. Essayez seulement de pénétrer dans ce pays. C’est du sérieux.

Ils construisent des armes biologiques sans résolution. Cela signifie tuer autant de gens que possible, aussi vite que possible.

A propos des Russes : ils sont tous fous. Je le sais.

Oui, ils sont fous. En fait, ils ont une technologie qui permet de fabriquer une biomasse de variole, 200 tonnes métriques par an. 200 tonnes de variole, militarisée, peuvent être fabriquées en un an par les Russes. Pourquoi? 50 kilogrammes peuvent tuer le monde entier en 100 jours. Pourquoi y aurait-il besoin de 200 tonnes?

Parce qu’ils sont tous fous. Parce que Lucifer n’a pas de limites. Et quand les hommes suivent Lucifer, les hommes deviennent Satan lui-même. Il y a ceux qui travaillent aujourd’hui pour Big Pharma et ceux comme Bill Gates qui le servent réellement. Cet homme a investi tellement d’argent dans tant de choses. Toutes les sociétés de vaccins sont sous son contrôle direct. Toutes.

Savez-vous combien de vaccins sont actuellement produits dans le monde pour le COVID? Près de 200 versions – 200! Chaque nation essaie d’en produire. Et seulement six ont été sélectionnés pour les États-Unis. Et tous ces six, en fait cinq d’entre eux, sont de la technologie ARN messager. Les effets de la technologie ARN messager sont inconnus sur les êtres humains. Elle n’a jamais été testée auparavant.

Je vous pose une question simple. Une question logique. Selon le CDC, le taux de récupération du COVID-19 est de 99,8%. Je répéte, taux de récupération de 99,8% pour cette maladie. La maladie la plus meurtrière au monde. Nous en avons tous peur. J’essaie toujours de trouver quelqu’un qui l’a réellement eu. Trois ou quatre jours et c’est fini. Vous prenez de l’HCQ et du zinc et tout va bien. C’est un taux de mortalité inférieur à celui de la grippe saisonnière. En fait, le taux de mortalité {pour le Covid-19} n’est que de 0,1, 0,5 pour cent. Alors quel est le problème?

Maintenant, réfléchissez. Face à cette situation douteuse, nous devons vacciner sept milliards de personnes sur Terre très, très rapidement. Qu’est-ce qui cloche dans cette histoire? Je vous pose une question logique. Qu’est-ce qui cloche dans cette histoire?

Je me sens libre dans cette salle aujourd’hui. Je ne vois pas de masques sur vos visages. Je ne vois pas de distanciation. Et je ne vois pas de confinement de cette église.

Alors, qu’est-ce que c’est que ça? H1N1, grippe porcine, 2009, 67 millions de personnes malades aux Etats-Unis. 67 millions de personnes ont reçu un diagnostic de grippe porcine en 2009. Des masques? Des confinements? Une distanciation?

Quel est le problème aujourd’hui en 2020 avec l’étrange coronavirus fantôme? […] Le problème c’est l’agenda. C’est ça le problème.

Et je vais vous dire autre chose, si vous en doutez encore. Je pense que tous les départements publics de ce pays sont aujourd’hui infiltrés par les communistes. Je pense que tous les gouvernements d’État et le Gouvernement Fédéral lui-même sont aujourd’hui infiltrés par les communistes. (NdT. pour confirmation, voir les chaînes NTD, NTD en français et The New American sur YouTube)

C’est pourquoi vous avez un verrouillage et le port du masque et tout le reste. Ils suivent simplement le mode de réponse chinois. Parce que les Chinois savent comment procéder.

Sommes-nous devenus un pays communiste? Nous reste-t-il un peu de liberté intérieure, sinon à l’extérieur? Qu’est-ce qui cloche chez nous, en tant que nation, en tant que République?

C’est un agenda! Essayez de comprendre. Le message est urgent. Et c’est pourquoi je parle aujourd’hui de ces entreprises, comme Pfizer.

Parlons de trahison. Les six entreprises précitées sont étroitement liées aux fabricants chinois et aux sociétés de recherche chinoises. Je vais juste donner quelques exemples.

Pfizer. Hier, aux infos, 90%, de très bons résultats. […] Deux injections à 21 jours d’intervalle, pas de problème. Ils ont juste oublié de nous dire quelque chose de très important. Pfizer travaille avec BioNTech, une société allemande. Cette société allemande et Pfizer travaillent avec Fosun Pharmaceuticals de Shanghai, en Chine. Comment travaillent-ils avec eux? Ils développent des vaccins pour nous.

Maintenant, parlons un peu plus du BIB, l’Institut de Biotechnologie de Beijing et de l’Académie des Sciences Médicales et Militaires de Chine.

Ce que j’essaie de vous dire, c’est que toutes les entreprises qui tentent de fabriquer des milliards de doses de vaccins aux États-Unis sont liées à l’Armée de Libération du Peuple chinois. Cela signifie la biodéfense militaire chinoise.

Et pour prouver encore mieux cette affirmation, je dois parler de Chen Wei. Elle est générale à une étoile de la biodéfense. Ce n’est pas de la biodéfense. C’est le complexe d’armes biologiques de la Chine. Elle est à la tête de tous les projets de vaccination en Chine – tous. Et elle a un accès direct à toutes les sociétés de vaccination en lien avec les prestataires américains.

C’est de la trahison. Voyez-vous ce qui nous attend? Pensez-vous que la Chine vous aime? Pensez-vous que l’armée chinoise ne saisira pas cette opportunité?

Ce n’est pas tout. Clover, une autre entreprise chinoise, travaille également avec le BIB. Ils travaillent tous directement avec eux. CanSino également, une autre société chinoise. Ils sont tous connectés à AstraZeneca, Moderna, Johnson & Johnson – en fait, c’est par le biais de Janssens, une autre société, pas chinoise mais très enracinée en Chine, depuis les années 80.

Alors, qu’est-ce que j’essaie de vous dire? J’essaie de vous dire que nous avons un problème. J’essaie de vous dire qu’outre les effets secondaires, qui ont été couverts pendant les essais cliniques – et ce n’est pas très clair – ils ne savent même pas quel genre d’effets secondaires se produiront dans deux à trois ans.

Dans une campagne de vaccination normale il faut 5, 10, 15 ans pour développer un nouveau vaccin. Jusqu’à 15 ans, c’est la durée normale d’étude d’un vaccin. Maintenant, c’est réduit à deux ou trois mois? Et entre nous, ça n’a pas pris deux ou trois mois. Ce vaccin était prêt il y a longtemps. De nombreuses années.

Quand j’ai lu un article de Moderna, j’ai failli m’étouffer en découvrant ce qu’ils avaient proclamé les 11 et 12 janvier 2020. Après que le CDC chinois – parrainé et nourri par Bill Gates – ait déclaré: « Nous avons envoyé la séquence du gène {SARS 2 CoV}, les cinq premiers génomes que le monde entier peut voir. » […] Moderna a dit avoir développé un vaccin trois heures après avoir reçu ces échantillons!

Trois heures. Vous comprenez? Vous savez pourquoi? Parce que tous ces vaccins ont été construits avec des algorithmes.[…] C’est totalement informatisé.

C’est nous qu’ils essaient de reprogrammer maintenant. Ils utilisent l’informatisation des vaccins pour reprogrammer nos corps. Ils prétendent que la technologie de l’ARN messager ne peut pas atteindre le noyau de la cellule. En aucune façon. Ce n’est pas de l’ADN réémis. Ne vous inquiétez pas. Cela ne changera pas votre ADN. En êtes-vous sûr? Ce n’est pas ce que j’ai entendu de la Russie quand ils ont fait des tests avec du MMARN (Mature Messenger RNA) et ont injecté ce produit directement dans le noyau. Bien qu’ils aient utilisé des matériaux différents – ils ont utilisé différentes techniques avec une feuille d’or, une feuille de zinc etc.

Maintenant, ils utilisent une technologie plus avancée basée sur celle des Chinois, comme le CRISPR. Vous avez probablement entendu parler de cette technologie. Quand ils commencent à jouer avec des embryons. […] Pensez-vous que ce sont uniquement les Soviétiques? Que nous ne ferions jamais cela? Êtes-vous sûr? Quand il y a un agenda? Et que tout est fait pour l’accomplir?

Quel agenda? Le communisme mondial. C’est l’agenda. Et il est déjà ici aux États-Unis. Ce n’est pas qu’il va arriver. Il est déjà là. Comprenez bien ça. Nous avons très peu de temps. Très peu de temps.

Donc, dans quelques semaines ou peut-être le 15 novembre, je ne sais pas, dans cinq jours, cette cargaison commencera à circuler et on commencera à vacciner. Le personnel essentiel, les fournisseurs d’hôpitaux, les premiers intervenants et toutes les infirmières de la santé publique doivent nous injecter à tous ces vaccins.

Et ils ne savent même pas comment faire car ils doivent utiliser de la glace sèche, 160 livres de glace sèche, pour la boîte à pizza. Ils appellent ça des boîtes à pizza, 1.000 flacons à l’intérieur. Ils risquent de se brûler les doigts. Personne n’est formé. Ils vont juste devoir le faire. […]

Mes prévisions pour ces vaccins, de type ultra-froid, c’est que leur problème n’est pas seulement au niveau sécurité. Ils sont instables. Ils se conservent cinq, six, sept heures en température froide – mais en température chaude, en température ambiante, ils pourraient changer de structure.

Je ne sais même pas s’ils sont réellement pour la maladie COVID. […] Êtes-vous sûr que c’est de cela qu’il s’agit, de cette soi-disant pandémie, avec un taux de récupération de 99,8%? Et que le monde entier doit être vacciné rapidement. Il est aussi question de cartes d’identité numériques, de certificats de vaccination et de bien d’autres choses. Il y a beaucoup de choses sur la table actuellement.

Encore quelques minutes. Le DARPA. Le DARPA est une organisation obscure, qui fait partie de l’armée américaine. Il date des années 50, un pendant de ce qu’on trouvait en Union Soviétique. Je ne sais pas si vous le savez. 100 milliards de dollars ont été consacrés après le 11 septembre à des projets biologiques, des projets obscurs en biologie aux États-Unis. 100 milliards de dollars. C’est beaucoup d’argent, non?

Pensez-vous qu’ils achètent tous des embryons, cultivent la variole ou certains de ces trucs de la vieille école? Non, ils sont bien plus avancé que ça, en fait. Les six firmes qui fabriquent des vaccins pour les États-Unis, entretiennent toutes des relations profondes et des affiliations financières directes avec le DARPA , l’armée des États-Unis. Pourquoi une relation si proche? Parlons de Moderna. Moderna fabrique un autre vaccin technologique de type ARNm. Ils entretiennent une relation étroite avec le DARPA depuis 2013.

Un colonel du nom de Wattendorf – à cette époque, colonel de l’armée de l’air – a une idée : pouvoir produire des anticorps très rapidement pour tous les soldats et les populations civiles. Contrer les effets des armes biologiques Russes en 60 jours. […] On lui offre 219 millions de dollars pour son projet. Moderna est ensuite chargé de travailler sur ce projet. Donc Moderna – je ne suis pas surpris – est fondamentalement sponsorisé par le DARPA. C’est un projet de construction d’un système autonome, censé utiliser les meilleurs anticorps du soldat après extraction de son sang, et les multiplier rapidement.

Nous en arrivons au Projet Box. Quel est ce projet? Je l’appelle Box, mais ce n’est pas son nom. En fait, il s’appelle Container 666. Lucifer adore se présenter parfois. N’est-ce pas vrai? Tout le temps, partout. Brevet pour les vaccins, 060606. Bill Gates, je sais qu’il aime ce nombre. Je comprends.

L’armée des États-Unis aime également ce nombre. Pas tous les militaires, juste les militaires spéciaux, de biodéfense. Ils ne travaillent pas pour nous. Ils travaillent pour des projets de mondialisation. Ils travaillent pour l’ONU et l’Organisation Mondiale de la Santé. C’est pour eux qu’ils travaillent.

Quelle est la particularité de cette « boîte » ou de ce conteneur de taille 6x6x6? Cela n’a pas de sens. Il devrait mesurer environ huit pieds sur huit pieds. Il ne devrait pas faire six {pieds}. Le projet s’appelle Nucleus Access On Demand Now. C’est le nom du projet. Un peu étrange.

Ce qu’ils veulent faire, c’est fabriquer un complexe de transport mobile {pour développer des vaccins dans un délai ultra-rapide. Cela ressemble à un conteneur. À l’intérieur de ce conteneur, on trouve beaucoup d’instruments différents. Et ce conteneur peut produire des centaines et des centaines de vaccins en quelques jours, très rapidement. Prétendument, uniquement pour lutter contre le terrorisme biologique.

Ça fait 20 ans que j’attends une acte de terrorisme biologique aux États-Unis. Et je ne parle pas de terrorisme biologique comme quand ils ont envoyé à ce sénateur – je ne me souviens plus de son nom – de l’anthrax par la poste. La source de ce matériel de terrorisme biologique venait d’un fort, aux États-Unis (NdT. Fort Detrick). Et la personne qui en était accusée s’est pendue. Ce qui est une autre histoire. On l’a aidée à se pendre.

Mais ce n’est pas le problème. Le fait est qu’ils veulent envoyer ces boîtes partout dans le monde, pas seulement aux États-Unis. Imaginons que chaque État dispose de ce complexe {mobile}. Quelque chose se produit. On nous dit qu’une diffusion d’arme biologique s’est produite. Le conteneur arrive. On vient vous aider.

On a beaucoup expérimenté sur les soldats. On m’a inoculé un tas de choses, depuis mes 17 ans, des vaccins révolutionnaires de toutes sortes. En fait, il n’y a jamais vraiment eu de vaccins révolutionnaires, car la Russie possède aujourd’hui le système de stimulation immunitaire le plus avancé du monde militaire.

Je courais à moitié nu dans l’état de Leningrad, à moins 20 degrés Celsius, et je ne tombais pas malade. Je voulais tomber malade. Je ne pouvais pas tomber malade. C’est ce que ces vaccins peuvent vous faire. Ils stimulent le système immunitaire, même notre système auto-immun est stimulé. Ça va jusque là. Ensuite, vous restez somnolent pendant quelques semaines.

Mais le fait est que vous êtes intouchable à ce stade. Intouchable à quel point? J’ai travaillé sur le projet «Tuberculose multi-résistante». Ils ne m’ont pas permis, ni aux autres membres de l’équipe, de porter des masques. On me toussait en plein visage. On m’ordonnait d’inspirer, pour voir si les vaccins fonctionnaient sur nous. Donc, j’ai moi-même été cobaye pendant de nombreuses années. Nous n’avons perdu qu’un seul gars. Il a perdu un demi-poumon à cause de la tuberculose. Et les autres? Rien. Oui, ils ont entrepris beaucoup de projets différents sur la stimulation immunitaire.

Ce qui me préoccupe avec ces vaccins qui arrivent c’est qu’ils peuvent surstimuler le système immunitaire et que nous perdrons le contrôle de notre corps. Ce ne sont pas de bonnes nouvelles.

Revenons à ces boîtes, à ces conteneurs. Imaginez maintenant à quelle vitesse ils peuvent développer ce vaccin pour nous. Deux jours. Aucun essai clinique. Injection immédiate.

Aimeriez-vous qu’on vous injecte immédiatement quelque chose qui n’a même pas été testé? Parce que l’armée vous l’a dit? Mais c’est ce qui va arriver. Malheureusement. Parce que nous perdons nos libertés. Nous perdons nos libertés à toute vitesse.

Alors, j’ai décidé de sortir de l’ombre parce que je suis longtemps resté dans l’obscurité. Je vous parle de tout ça aujourd’hui, mais il y aurait beaucoup plus à dire. Je n’ai pas le temps de parler de tout.

Le problème est que nous sommes tous dupés par le gouvernement fédéral, étatique et local. Je suis désolé de vous le dire aussi brutalement.

Sous l’administration Obama, pendant huit ans, ils ont infiltré tous les départements possibles aux États-Unis avec leur idéologie de gauche. Des gens qui venaient juste d’arriver. J’ai rencontré beaucoup de gens qui n’avaient aucune compétence pour occuper des postes de gestionnaires de programme ou des postes élevés dans l’administration. Ils ne sont pas qualifiés.

[…]

Je reviens sur Pfizer. Je ne peux pas couvrir toutes les sociétés de vaccins, mais le vaccin Pfizer est bientôt là. J’ai effectué des recherches sur les trois formulations d’ARN messager de Pfizer {le vaccin contient 3 formulations d’ARNm différentes}. Pas une. Trois ARN messagers pénètrent votre corps à des fins différentes. Certains objectifs sont innocents, d’autres non, et certains sont discutables. Mais c’est breveté. […] Et c’est secret-défense.

Maintenant, le problème rien qu’avec Pfizer est le suivant. Ils utilisent des nanoparticules, des lipides, trois ou quatre lipides. Lipoplex et Polyplex, et autre chose. Je ne me souviens pas. Le fait est qu’ils placent l’ARN messager entre ces lipides comme dans un sandwich et qu’il pénètre la première cellule qu’il croise sans aucun problème. Profondément. Il n’est pas censé atteindre le noyau de la cellule. Il n’est pas censé atteindre l’ADN ou notre génome humain. Il n’est pas censé le faire.

Mettons de côté pour l’instant le système immunitaire humain, je voudrais dire autre chose. Tout ce matériel sur lequel j’ai fait quelques recherches hier et sur lequel j’ai trouvé des informations – tous contiennent du PEG ou un matériau synthétique artificiel PEGylé.

Alors, qu’est-ce qu’un matériau PEGylé? Ce matériau est pratiquement du plastique. Mais ce n’est pas que du plastique. Ce plastique n’est pas biodégradable et ne se décomposera jamais à l’intérieur de votre corps.

Et il y a plus. Cela affectera votre progéniture plus que vous. De quelle manière? Des effets psychologiques, principalement de la paranoïa, des psychopathies de toutes sortes et des effets neurologiques certains. Nous avons donc d’ores et déjà infligé à la prochaine génération d’enfants aux États-Unis des effets qui provoqueront un désastre.

Et pendant ce temps nous nous concentrons juste sur les effets locaux, un petit bobo dans le bras. Je me fiche du bobo dans le bras, d’un peu d’inflammation, ou d’un petit œdème. Je m’intéresse à ce qui se passera dans deux, trois, cinq, six ans. C’est ça qui m’intéresse.

Alors, pardonnez-moi de vous le dire comme ça – j’espère que ça clarifiera certaines de vos idées – mais j’appelle ces vaccinations contre le COVID-19 une arme biologique de destruction massive. Je les appelle les 3-G : Génocide Génétique Global. Et cela ne concerne pas seulement les États-Unis, mais le monde entier.

L’un dit ceci et l’autre dit cela, mais la vérité est qu’avec ces types de vaccins non testés correctement, avec une technologie révolutionnaire et des effets secondaires que nous ne connaissons même pas, nous pouvons nous attendre à ce que des millions de personnes disparaissent.

C’est le rêve de Bill Gates et des eugénistes. Quand il dort il ne rêve que de ça. Moins il y a d’êtres humains, mieux c’est, moins de bouches à nourrir, moins d’eau à boire, moins d’air à respirer. Nous nous sommes déjà masqués pour ne pas trop respirer. Le système de Baal adore ça.

Si vous croyez que ça ne concerne que les fous en Corée du Nord ou en Russie, Poutine et tout le reste, cette bande d’assassins, vous vous trompez. Ils ne sont pas les derniers vestiges du communisme. Ils sont ici. Ils sont présents.

Si vous pensez que l’Union soviétique s’est effondrée, l’Union soviétique s’est effondrée au bon moment. Ils sont tous restés cachés dans l’ombre. Et maintenant, aux États-Unis, ceux qui sont restés longtemps dans l’ombre sortent. Et ce ne sont pas de braves gens. Ils ne travaillent pas pour nous. Ils ne travaillent pas pour cette République.

Pour qui travaillent-ils? L’ONU, l’OMS, l’Organisation Mondiale de la Santé et, bien sûr, un groupe de personnes spéciales, très spéciales. On ne parle pas d’eux. Ils ne sont même pas les 1%. Ils sont encore plus spéciaux. Ils sont 0,5% des 1%. On ne parle pas d’eux, car ils nous contrôlent tous.

Et honnêtement, avec cette campagne de vaccination en cours, nous sommes tous des cobayes. Voyons donc ce qui se passera dans cinq, sept, dix ans. Pensez-vous qu’ils nous laisseront autant de temps? Je pense que ça va arriver beaucoup plus tôt et que ce sera beaucoup plus violent.

Et puis ils pourront mettre en oeuvre à la fois le Plan A et le Plan B. Premièrement, ils nous vaccinent. Et peut-être qu’il arrivera autre chose. Une deuxième pandémie mais elle sera différente. Ce n’est plus le SRAS, le SRAS-2. Ce n’est plus un syndrome respiratoire aigu sévère. Cela ressemble à un virus. Il a probablement muté.

Chaque fois qu’un virus mute, ils disent au public qu’il devient plus contagieux, plus mortel et plus dangereux. A chaque fois. Nous n’avons plus affaire cet hiver au SRAS-2. Il a déjà muté en quelque chose d’autre qui n’a même pas de nom. Le nom n’est en fait qu’un code sinistre pour les cas COVID. Voilà toute l’histoire. Les gens ont des adénovirus et des rhinovirus, un petit coup de froid dans le nez, et ils ont tout de suite de quoi le justifier, c’est le COVID. Faisons le test? Non, pas le temps de faire de test.

J’aurais besoin d’une heure supplémentaire pour vous parler des tests RT-PCR et de tous ces tests d’anticorps et de tests BinaxNOW et de tout le reste. Des tests spéciaux car ils sont tous adaptés à des messages spécifiques. Et pas par nous. Ils proviennent de certaines entreprises de fabrication spécialisées. Et ne m’appelez pas, je vous prie, un théoricien du complot.

Vous savez, ma femme, ma belle femme là-bas, June, c’est pour elle que je suis devenu chrétien en 1992. Elle a apporté le salut dans ma vie.

En 2004, nous avons écrit un livre. Vous ne trouverez probablement ce livre nulle part. Je m’en fiche. Je ne vous vends rien du tout. C’était il y a 16 ans, « Inside the Red Zone« , à propos de ma vie misérable. Et la fin de cette vie misérable grâce au Christ.

Mais le fait est qu’ils nous appellent des théoriciens du complot. Il y a seize ans, nous avons parlé de l’arrivée du Nouvel Ordre Mondial. Ce communisme mondial arrive. Réveillez-vous. Ouvrez les yeux, s’il vous plaît. Faites quelque chose. «L’Amérique envisage-t-elle de faire quelque chose contre ça?» C’est ma question.

Mais vous savez quoi? Si nous accueillons le Christ – ce qui serait une bonne idée – nous garderons l’espoir. Nous sommes au seuil d’un hiver très sombre. En fait, nous sommes au seuil d’un siècle trés sombre, si nous survivons même à ce siècle. Nous entrons dans une époque très sombre et ce n’est pas une blague. C’est pourquoi mon message est urgent.

Si nous croyons en la Parole de Dieu, alors nous devons croire complètement. Dans Ésaïe 56-54: 17, il a dit qu’aucune arme formée contre moi ne prospérera. Et nous nous en tiendrons à cela. Parce que c’est l’héritage de serviteurs du Seigneur. Il nous a donné ça gratuitement. Ceux qui sont en Moi ne souffriront pas.

Ce qui vient ici est plus grand que nous tous. Le Seigneur est bien plus grand qu’eux. C’est pourquoi sans Lui, nous périrons tout simplement. L’Amérique a d’abord besoin de repentance. C’est ce dont l’Amérique a besoin.

Vous devez faire des choix dans votre vie. Que voulez-vous faire à propos de tout cela? Parce qu’ils viennent vous chercher, et chercher vos familles. Ils vous prendront tout!

Nous découvrons maintenant les petites entreprises et Polis (NdT. je suppose qu’il parle de ce type puisque la conférence a lieu dans le Colorado) . Ce Polis est une marionnette, une petite marionnette, il n’est rien. Cela n’a rien à voir avec lui. Toutes les petites entreprises seront parties avec le vent, complètement parties sous le communisme. Toutes vos propriétés privées auront disparu sous le communisme. Votre gagne-pain, vos désirs, vos rêves auront disparu sous le communisme.

Eh bien, c’est arrivé. C’est moche. C’est très moche et luciférien. Que pouvez-vous attendre de Lucifer? Moins que rien pour nous. Et si vous vous inclinez devant cela, si vous vous inclinez devant Baal, cela ne vous sauvera la vie en aucune façon. Vous pensez que vous allez accepter le vaccin et que tout ira bien?

Je vais vous dire avec certitude ce qui va se passer aux les États-Unis en 2021 et 2022. Ce vaccin deviendra courant et deviendra un événement semi-annuel. Obligatoire pour tous.

J’ai vécu sous vaccins obligatoires pendant la moitié de ma vie en Union Soviétique. Vous ne posez pas de questions. En fait, vous ne demandez même pas ce qu’ils vous injectent. Vous le faites, simplement. C’est ce que font les Chinois aujourd’hui. Ils ne posent pas de questions. Ce n’est pas un monde où il fait bon vivre. […]

Mais avec ces mondialistes en guerre avec les États-Unis, on aura cent millions de morts par-ci, cent millions par-là. Qui s’en soucie lorsque vous êtes sous l’égide du système Baal?

Mais quand Christ vous sort de ce marais, alors vous ouvrez les yeux et dites: «Oh, mon Dieu, qu’est-ce que j’ai fait»? Je suis heureux que nous puissions tous être pardonnés. C’est une chose merveilleuse pour nous.

Préparez-vous pour les temps les plus difficiles de votre vie. Vous verrez peut-être des choses que vous n’avez jamais vues auparavant dans ce pays. Vous ne reconnaîtrez pas ce pays. Dans six à huit mois, vous ne reconnaîtrez plus du tout ce pays. Et vous direz: « Oh, mon Dieu, que s’est-il passé? Où es-tu mon Dieu? Pourquoi as-tu enlevé Ta main de cette République? »

Sans Lui, nous périssons tous dans les ténèbres du système Baal. Et ce système Baal n’a aucune pitié. Il n’en a jamais eu et il n’en aura jamais. Alors, je tiens à vous remercier. Je sais que j’ai dépassé d’une minute. J’ai fait de mon mieux.

Femme dans le public : Continuez!

Dr Shepherd : Merci beaucoup. Et vous savez, si vous avez des questions, demandez.

Hôte : Oui, nous allons répondre aux questions.

Dr Shepherd : Je répondrai au mieux de mes capacités. Je vous remercie.

Hôte : Wow. Avez-vous bouclé vos ceintures de sécurité avant qu’il ne commence à parler? J’ai été époustouflée lorsque nous avons parlé à Igor et à sa femme. Tout ce que nous avons lu, tout ce que nous avons étudié – nous sommes tous des chercheurs – c’est de la conspiration, et les gens l’écartent. Et si vous êtes comme moi, vous l’avez rangé sur une étagère. Genre, nous verrons bien. Mais petit à petit, nous voyons maintenant tout s’accomplir, rapidement et tout le temps.

Et Igor et June nous confirment que ce n’est pas seulement une conspiration. Nous ne sommes pas fous. Nous ne sommes pas dingues. Nous ne sommes pas extrêmes. Cela se passe vraiment.

Alors, s’il vous plaît, écrivez vos questions. Nous demanderons à certaines personnes de collecter des questions et de les présenter comme nous le faisons à chaque réunion.

Je veux juste encourager tout le monde, une partie de ce que nous faisons avec Keep Colorado Free and Open est de former une communauté. Nous partageons les mêmes idées.

Ça ne fait pas du bien de venir toutes les deux semaines et de savoir que vous n’êtes pas seul, qu’il y a d’autres qui pensent de la même façon? Qui ont vu les mêmes choses que vous avez vues, qui croient les mêmes choses que vous?

Nous n’avons pas à être uniformes dans ce que nous croyons et dans ce que nous pensons. Mais nous savons tous que ce qui se passe autour de nous et que ce que l’on nous dit ne correspond pas aux faits. Nous voyons que les données ne s’additionnent pas (NdT. expression anglaise). Nous voyons que les décrets n’ont pas de lien avec ce qui se passe. Nous savons que les tests sont corrompus. Nous savons que les données sont corrompues. Nous savons qu’on nous ment. Mais c’est tellement énorme que nous ne savons pas comment nous y prendre. C’est David et Goliath, non?

Igor a raison, la réponse est en Christ. Et nous devons nous unir en tant que groupe. Nous devons nous unir en tant que communauté. Et nous allons avoir besoin les uns des autres pour traverser ce qui va arriver.

C’est vraiment déprimant. J’aimerais avoir parfois plus d’espoir. Et il y a de l’espoir au-delà de cela. Mais dans l’immédiat, nous devons être préparés.

Très bien, j’ai quelques questions à poser.

Dr Shepherd : Très bien.

Hôte : Très bien. Comment se fait-il que tu as emploi dans la santé publique, compte tenu de ton point de vue, Igor?

Dr Shepherd : En fait, je suis content, d’avoir obtenu il y a sept ans ce poste au département de la Santé Publique de l’État. J’en sais beaucoup et peut-être trop.

Si vous me demandez à quel point j’apprécie ce travail, eh bien, je ne l’aime plus. Je suppose que je suis heureux de voir des choses que d’autres ne voient pas et de savoir analyser certaines choses que d’autres ne peuvent pas. Ça aide. Qui sait combien de temps je serai encore là?

Beaucoup de gens me disent aujourd’hui « Eh bien, bravo. Tu es toujours en vie. » Oui, je suis toujours en vie. « Tu as encore un travail. » Oui, j’ai encore un travail.

Il ne s’agit pas du Département de la Santé Publique. Il s’agit de sortir de l’ombre et de réveiller les autres. Voilà toute l’histoire. Parce que nous sommes dans une situation où il faut le faire.

Femme dans le public : Amen.

Dr Shepherd : C’est ça qu’il faut faire. Chrétien, non chrétien, je m’en fiche, il faut le faire. Vous devez parler aux autres, s’il vous plaît.

Alors, oui, j’ai aimé travailler pour le service de santé publique pendant un certain temps. Je ne peux pas dire que c’est encore le cas maintenant parce que je vois ce qui se passe. Je vois qu’ils suivent sciemment ou non le système Baal.

Le système Baal est déjà en place aux États-Unis. Vous ne le voyez pas encore mais ses dents hideuses sont déjà sorties. Et comme je vous l’ai dit, la plupart des services de santé publique sont déjà infiltrées depuis de nombreuses années, c’est comme ça.

Donc, c’est là où je suis pour le moment. Mon chiffre porte-bonheur est sept, généralement, donc.

Hôte : Puis-je leur dire ce que vous nous avez dit au sujet de…

Dr Shepherd : À propos du – non, vous pouvez parler librement.

Hôte : Il nous a dit qu’il n’aurait peut-être plus d’emploi d’ici six à huit mois.

Dr Shepherd : Eh bien, comme je l’ai dit –

Hôte : Je veux dire, il prend un risque en venant ici et en nous parlant.

Dr Shepherd : C’est bon. Je veux dire, j’ai été dans des situations plus précaires dans ma vie. Personne n’aime quand la CIA frappe à votre porte et vous demande un dîner gratuit. Ça m’est arrivé. Ils ne savent pas grand-chose, d’ailleurs. Mais ceci est une autre histoire.

Donc, ils pensent savoir. Et ils prétendent savoir. Mais ce n’est pas le cas. Il existe d’autres agences beaucoup plus qualifiées, mais c’est une autre histoire.

Hôte : Très bien, voici donc trois questions assez similaires. Pouvez-vous parler des nanopuces et de la surveillance dans les vaccinations, de la technologie de suivi et de traçage des personnes, et de toute la technocratie et du désir mondialiste de contrôler tous les aspects de nos vies?

Dr Shepherd : Eh bien, nous sommes déjà suivis. Vous ne vous rendez pas compte à quel point. Jetez vos téléphones portables et vous serez peut-être libres.

En parlant de suivi et de tout le reste, j’ai oublié une chose, qui n’est peut-être pas liée ou trop liée: la 5G. Lorsque nous allumerons la 5G après les vaccinations avec ces vaccins, certaines choses peuvent se produire. Et quand je dis certaines choses, je ne parle pas de lavage de cerveau ou quelque chose dans le genre.

Cependant, je pense que ces vaccins sont la première étape de la synchronisation transformationnelle de votre corps. Plus vous recevrez de vaccins chaque année, sous forme obligatoire ou non, plus ils créent des liens et des changements génétiques importants à l’intérieur, qui s’éloignent de plus en plus du génome humain que Dieu vous a donné. À un moment donné, ça ne sera plus réversible. Je ne sais pas quand cela arrivera. […]

J’ai entendu des histoires et je cherchais des preuves solides. Google et Oracle, deux grandes compagnies travaillant en étroite collaboration avec la CIA et la NSA, ont fait des projets ensemble. Et j’ai entendu des rumeurs selon lesquelles ils ont en fait mis des biopuces dans les vaccins pendant deux ans et ensuite ils disparaissent. Il pourront contrôler votre température, vos sentiments, absolument tout.

Tout d’abord, s’ils introduisent ces choses en vous, elles ne disparaîtront pas en deux ans. Elles ne s’autodétruisent pas. Elles peuvent provoquer l’autodestruction de votre corps humain, mais c’est une autre histoire. Dans deux ans, étonnamment. C’est une autre histoire.

Question surveillance, il est question de bandages avec toutes sortes d’hydrogel. Et beaucoup d’entreprises fabriqueraient ce genre de choses? Oui c’est exact.

Mais le fait est, encore une fois, ce que je vois de mon expérience personnelle dans le communisme, vous avez toujours votre âme, mais vous n’en êtes plus conscient. Cela a-t-il du sens? Vous appartenez à l’État, y compris votre âme. Cela a-t-il du sens?

Je suis né sous le communisme. Je ne savais rien d’autre. Je pensais que c’était normal jusqu’à ce que Christ me dise, non, ce n’est pas normal. Il n’y a pas de vérité là-dedans. C’est un mensonge. Alors une ampoule s’allume dans votre tête.

Ce type de communisme est le communisme technocratique. C’est un communisme qui peut vous contrôler complètement. Même plus besoin d’un million de «mouchards» du KGB partout comme en Union Soviétique pour vous renifler. Tout sera fait par l’intelligence artificielle. Et malheureusement, oui, nous sommes à ce niveau maintenant, absolument.

Est-ce que j’ai envie – excusez-moi – de dire à tout le monde quand je vais aux toilettes et pendant combien de temps? Et pourquoi j’utilise autant d’eau? Il ne faut plus utiliser autant d’eau. Nous devons économiser cette eau pour l’environnement, je suis désolé.

C’est le communisme mondial. C’est un contrôle. Je ne sais pas si j’ai répondu à la question. Mais, oui, les niveaux de surveillance sont différents. La NSA pense qu’ils savent tout. Ils ne savent pas tout. Personne ne sait tout sauf Dieu. Lucifer pense qu’il sait tout mais ce n’est pas le cas. Et ce sera sa perte, au fait.

Alors, j’attends que sa maison commence à se diviser, ce qui arrivera éventuellement. Parce que tout est question de puissance et rien d’autre.

Hôte : […] Très bien, alors expliquez comment le Dr Fauci est connecté à Moderna. Et dans quelle mesure Donald Trump est-il impliqué dans tout cela? Et avez-vous l’intention d’avoir une conversation avec lui? Parce qu’il fait la promotion du vaccin, non?

Dr Shepherd : Oui, d’après ce que j’ai entendu, oui, il semble qu’il fasse la promotion des vaccins. 10 milliards de dollars consacrés à cet effort.

Maintenant, Fauci, eh bien… Fauci!

Il ne s’agit pas d’insignifiance. Ça n’a rien à voir avec ça, d’accord?

J’ai rencontré beaucoup de Faucis dans ma vie en Union Soviétique. Et je ne dis pas que c’est un virologue brillant ou pas brillant. Je ne parle pas du tout de cela.

Je sais qu’il s’intéresse à Moderna. Je sais qu’il a des actions non seulement dans Moderna, mais dans d’autres organisations. Et c’est pourquoi ils poussent beaucoup d’entreprises spécifiques et d’entreprises importantes, comme Moderna ou Novavax, qui n’ont jamais rien produit de bon, à part perdre de l’argent.

Mais ils y ont pris des actions parce que c’était le moment d’y prendre des actions. Ils savent comment manipuler le marché. Ils savent comment manipuler les gens. C’est très facile.

Alors Fauci, je ne sais pas, il était très lourd – je ne devrais pas vous dire ça. Ce n’est pas à propos de lui. Je sais qu’il est depuis longtemps directeur en exercice de l’Institut National des Allergies et des Maladies Infectieuses (NdT. National Institute for Health, NIH). Depuis les années 80.

Hôte : Les années 80?

Dr Shepherd : Les années 80, oui. Un long moment, oui. VIH, un héros du VIH.

Je n’ai aucune preuve de quoi que ce soit. Je parle juste de mon expérience. Ces mêmes années, je siègeais dans différentes organisations militaires, médicales, à Leningrad, et j’écoutais les conférences de certains colonels, professeurs de l’armée soviétique – ils ne l’ont jamais mentionné par son nom, bien sûr que non. Mais ils ont mentionné quelque chose qui m’a frappé et je m’en souviens jusqu’à ce jour. Le VIH a été développé par le Département Américain de la Défense et testé d’abord sur la population africaine.

C’est une arme biologique, testée et aux effets prolongés. Cela dure depuis de nombreuses années. Des milliards de dollars récoltés par certaines organisations aussi.

Très bien, le VIH, créons un vaccin. Savez-vous combien d’années se sont déjà écoulées? Quarante ou plus? Et nous n’y sommes toujours pas. Nous n’y serons jamais. C’est en fait une manière capitaliste de faire les choses, n’est-ce pas?

Je vais te donner une pilule – mais cela ne fonctionne que de 10% à 15%. Je te donnerai une autre pilule dans quelques années. Achète celle-ci maintenant. Et on peut continuer.

Donc, je n’ai pas dit qu’il était impliqué dans ces opérations. Je sais simplement que les opérations ont été menées par l’armée américaine en Afrique. Et c’est tout ce que je peux dire à ce sujet.

Donc, je ne connais pas personnellement Fauci – je ne veux pas le connaître. Il porte trop de masques et je ne peux pas voir son visage. Il est sans visage pour moi.

Nous allons maintenant entrer dans un domaine sensible, Donald Trump. C’est un homme d’affaires, n’est-ce pas? Il l’a toujours été. «Apprentice», j’adore cette émission en fait. Magnifique spectacle. Il a fait beaucoup d’argent avec cette émission.

Je vais vous dire ce que je n’aime pas chez Donald Trump. Et je serai honnête avec vous. Il dit qu’il se soucie des gens, mais je n’en suis pas sûr parce qu’il pousse les vaccins. Et il pousse les vaccins le plus vite possible.

Mais le problème c’est qu’avant de pousser si vite et si puissamment ces vaccins, il a investi 50% des fonds du Pentagone. Ce n’est pas quelque chose que je ferais.

D’abord, pourquoi y aurait-il besoin de donner ce genre de trucs aux gens, encore non testés, d’ailleurs, au nom de quoi? Alors, est-ce un business? Est-ce une proposition? Est-ce une direction ou un plan?

Je sais que beaucoup de gens aiment Donald Trump. Il a du charisme. Il sait parler.

Femme dans le public : En quelque sorte.

Dr Shepherd : En quelque sorte, oui. Il se surpasse parfois. Mais le problème est que je crois qu’il est mondialiste. En fait, il l’a dit. Je pense qu’il est plus mondialiste que nationaliste. C’est tout ce que je peux dire.

Donc, vous pouvez être en désaccord avec moi ou d’accord. Mais je pense que l’histoire révélera vraiment beaucoup de choses sur Donald Trump un jour. C’est tout ce que je peux vous dire.

À l’heure actuelle, ce qui me préoccupe, c’est que beaucoup de choses négatives se produisent dans ce pays à cause de la politique. Beaucoup de très mauvaises choses se sont produites ici. Et se produisent encore. Et c’est encore pire maintenant {sous la présidence de Trump}.

Donc, je souhaite voir les dirigeants de cette nation arrêter ce gâchis. Pas parler du désordre, mais l’arrêter en fait. Arrêter ça. Arrêter les verrouillages. « Dites, gouvernement d’État, fermez-la un peu. Vous n’allez pas enfermer autant de personnes. Nous ne voulons pas perdre nos emplois. Taisez-vous. Ayez des tripes. » Dites-le. Êtes-vous d’accord avec eux? Quel est le problème? C’est quoi cette histoire?

J’évalue généralement un homme sur ses actions. C’est tout. Je n’évalue pas un homme sur ses expressions verbales. J’ai besoin de voir les actions derrière. J’espère que ma réponse est politiquement correcte.

Hôte : Voici donc un autre ensemble de questions. En qui pouvons-nous avoir confiance dans le gouvernement actuel? Quel est le but final? Et quelle est la raison de vouloir tester les gens pour le COVID?

Dr Shepherd : La raison du test?

Hôte : Test COVID.

Dr Shepherd : Eh bien, la raison… Je vais commencer par, à qui pouvons-nous faire confiance dans ce gouvernement.

Hôte : Personne.

Dr Shepherd : Vous savez quoi? Comment y répondre mieux? Le gouvernement, c’est «nous le peuple», n’est-ce pas? Ils {les politiciens} ont la même chair que nous, mais ils sont plus corrompus que nous – vous savez, ils ont des salaires plus élevés, des relations plus importantes, des actions plus importantes et ce genre de choses.

A qui puis-je faire confiance? J’ai confiance en nous, les gens. Ce serait peut-être une bonne réponse. Toi. Je compte sur toi. Je ne suis pas un politicien et je ne le serai jamais. Je compte sur toi. Parce que sans toi, nous n’avons pas de République.

Ce que je crois, c’est que les politiciens détruisent cette République. Et je pense qu’ils doivent être poursuivis pour ce crime. Le crime de trahison. J’ai parlé de trahison avec la Chine. Ils nous ont vendus. Ils nous ont vendus pour quelques centimes. Peut-être un peu plus que quelques centimes en fait.

Quand j’ai entendu dire que des vaccins venaient de l’armée chinoise et que je devais accepter cela dans mon corps, je préfère mourir d’abord parce que je sais que si je l’accepte, ce sera une mort lente. Si je l’accepte, je suis à genoux devant le système Baal. Et la Chine communiste n’est pas le meilleur exemple de vie pour moi, personnellement.

Une autre question? Voyez, mon esprit vagabonde.

Hôte : Les tests.

Dr Shepherd : Oh, les tests. Eh bien, créer une réaction en chaîne. Merveilleuses morts. Le –

Hôte : Mais pourquoi le font-ils?

Dr Shepherd : Eh bien, je vous pose une question. Pourquoi le créateur du test est-il décédé quelques mois avant le début de COVID?

Hôte : C’était une coïncidence.

Dr Shepherd : Oh, ouais. Beaucoup de choses sont fortuites.

Femme dans le public : Suicide.

Dr Shepherd : Cela se produit en Russie aujourd’hui.

Femme dans le public : Suicide.

Dr Shepherd : Ouais, je comprends. Quelqu’un tombe de la fenêtre ou quelque chose comme ça. Décède d’une crise cardiaque.

J’en connaissais un. C’était un directeur de bio-préparations ultra-pures de Russie. Il a construit des armes biologiques super-noires. Par erreur, il est venu au Royaume-Uni. N’allez pas au Royaume-Uni si vous travaillez dans la création d’armes biologiques. Ils vous prennent tout et vous tuent après. C’est ce qui lui est arrivé.

Donc, les tests, ils sont tous fixés par l’Organisation Mondiale de la Santé. L’amplification du test PCR est désormais très élevée, 42/45 amplifications. Tout le monde est positif avec ce test. Tout le monde. Il devrait être 27/30 et pas plus. Pensez-vous qu’ils ont fait cela par erreur? Non. Il n’y a aucune erreur là-dedans.

Maintenant, les tests d’anticorps. Qu’est-ce que ça montre? Rien. Que j’ai été exposé à un moment donné dans le passé à une sorte de coronavirus. Il existe sept types de coronavirus dans le monde, sept, qui peuvent affecter les humains, et environ quelques centaines, qui peuvent affecter les animaux.

Alors, lequel? Un petit fragment qu’on a construit avec un morceau amplifié {morceau de génome} et, tadaa!, voici le COVID.

Cela ne ressemble même pas au COVID. Vous savez pourquoi? Je vais vous dire un secret. Qui n’est pas un secret. Aucun isolat du virus n’a jusqu’à présent été trouvé dans le monde, un isolat purifié du virus SARS-2 COVID. Cela n’existe pas. C’est un tas de trucs, de formulations, de fragments assemblés dans le désordre. Et c’est ce qu’ils appellent COVID. Pas le COVID, le virus SARS-Cov2.

Donc, tous ces tests sont autre chose. Souvenez-vous de ce que je vous ai dit au début, que c’était un peu étrange de leur part. Je n’ai jamais rien vu de tel de ma vie. Et même si ça a été réellement fait, c’est par un laboratoire chinois, pas par la nature.

Autre petit secret, le coronavirus ne crée pas du tout de «vagues». Ils {les virus} arrivent et repartent. Deux exemples, le SRAS de 2003, est venu et parti en 10 mois. Le MERS, coronavirus du Moyen-Orient, est venu et a disparu. Je pense que c’était en 2012.

Celui-ci est spécial. Il arrive par vagues. Il ne fait que revenir et revenir. Savez-vous pour combien de temps?

Nous avons entendu parler des différentes versions {de cette pandémie} par des spécialistes. Vous savez, tous ces spécialistes. Pour encore 10 ans, nous serons coincés avec ces masques, jusqu’en 2030. Ça vous plaîrait? Vous aimeriez porter un masque obligatoire pendant des années? Parce que le COVID sera toujours là. Oh! mon Dieu, ça tue quelqu’un, je ne sais pas où. Ni comment, ni quoi ni qui.

Quoi qu’il en soit, c’est tout pour la question sur les tests. Une autre question. […]

Hôte : Comment pouvons-nous arrêter cela? Comment échapper à ces obligations? Et comment éviter de se faire vacciner?

Dr Shepherd : Il n’y a pas d’échappatoire, je suis désolé. J’ai fait la paix. Ma femme et moi, nous avons fait la paix avec Dieu. J’ai fait ma paix.

Alors, qu’est-ce que cela signifie, est-ce sans espoir? Non. Si nous avons Dieu de notre côté, rien n’est désespéré.

La question est, est-ce que Dieu a retiré Sa main de cette République. C’est la question du jour. Est-il avec nous?

[…] Nous avons tous besoin de nous repentir en Amérique. Nous devons tous nous repentir. Nous avons fermé les yeux sur tant de péchés et de problèmes. Nous avons mis au pouvoir de mauvais politiciens qui ne nous servent pas et ne servent pas Dieu. C’est le problème numéro un.

Alors, que faut-il faire? Si je vous dis quelque chose d’étrange, comme levez-vous, résistez et combattez – deuxième amendement – nous avons toujours le deuxième amendement dans ce pays.

J’essaie de comprendre. Je n’ai jamais eu d’amendement en Union Soviétique. Les Chinois n’ont pas d’amendements. Les Australiens n’ont pas d’amendements. C’est peut-être pour cela que les policiers traînent les gens hors des voitures par les cheveux s’ils ne portent pas de masque.

Voulons-nous ce genre de vie? Je ne pense pas que nous le méritions. Ou peut-être que nous le méritons.

Alors battez-vous. Alors levez-vous. Alors unissez-vous. Comment pouvons-nous nous unir? Eh bien, vous êtes unis en ce moment, nous sommes tous assis ici. Personne n’est encore parti. Je m’y attendais pourtant.

[…] C’est la partie difficile car j’ai vécu dans ce type d’environnement. Lorsque vous êtes assis au dîner avec vos amis et votre famille et que vous commencez à plaisanter à propos du Politburo ou du Parti communiste ou de quelqu’un qui y travaille, les murs ont des oreilles et ils viennent, pas immédiatement, la nuit suivante – généralement la nuit.

Et ils aiment les voitures noires. Je ne sais pas pourquoi. […] Et ils emmènent des gens qu’on ne reverra jamais. Est-ce la vie que nous sommes censés vivre dans cette République?

Que puis-je vous dire? J’essaye d’allumer un feu dans vos cœurs. Tout ce que je veux, c’est que lorsque vous quitterez cette présentation, vous vous souviendrez de ce que j’ai dit. Parce qu’ils sont à vos portes et à ma porte.

Nous pouvons tenir le coup parce que nous avons des agents de police, des patrouilles routières, des shérifs qui n’enfonceront pas nos portes. Mais quelqu’un d’autre viendra enfoncer nos portes. Et ceux-là n’auront aucune pitié.

Alors, quoi, ils vous maintiennent au sol et vous piquent avec une aiguille? Peut-être qu’on en est là. Je ne sais pas. Je ne sais rien prédire. Mais je sais une chose, l’agenda avance. Le système Baal est devant nous. Et il est beaucoup plus gros que Goliath. C’est une montagne.

Sans Dieu, nous serons tous morts. Donc, seul Dieu est ma réponse. Et j’espère que c’est la vôtre.

Homme dans le public : Amen.

Femme dans le public : Amen.

Dr Shepherd : C’est tout ce que je peux dire.

Alors que faisons-nous? Nous sommes désorganisés. Nous n’avons pas d’unités spéciales, ni d’équipes spéciales avec des armes pour aller chercher ces gens. Est-ce ce que nous sommes censés faire? Vous devez d’abord vous demander «Est-ce la volonté de Dieu?» Est-ce ce que nous sommes censés faire?

L’invasion des Britanniques c’était il y a longtemps. Quel pourcentage de la population {s’est révolté}? Était-ce 50%, 4%? 1%, cela suffirait-il pour arrêter l’ordre mondial? Même 1%, même un demi pour cent tant que votre cœur est animé du désir de le faire et que vous prenez une décision dans votre vie personnelle.

Je m’inquiète pour ma fille. Elle vit en Arizona. Je m’inquiète pour elle. Je crains qu’elle fasse le vaccin. Nous en parlons avec elle tous les jours. Nous essayons. Elle ne marche pas avec le Seigneur en ce moment. Elle n’a aucune force. Alors, nous essayons d’être sa colonne vertébrale.

Je ne sais pas ce qui s’est passé. Mais rien de bon ne se passera si nous n’arrêtons pas cette folie. C’est une folie. Ces vaccinations sont de la folie absolue. Comment arrêter la folie, nous, là où nous sommes?

Tant que la Constitution n’est que de l’encre, posée quelque part, nous perdrons toujours. Vous devez porter la Constitution de cette nation dans votre cœur. C’est moi, un étranger dans ce pays, qui vous prêche cela. Je ne suis pas né ici mais j’aime la Constitution de cette nation parce que c’est le meilleur document après la Bible que j’aie jamais vu de ma vie.

Combien d’armes dois-je avoir dans ma poche? Ai-je besoin d’optiques? Que fais-je? Dois-je avoir un RPG {Rocket Propelled Grenade}?

Non, ce dont vous avez besoin, c’est de vous unir. C’est ce dont vous avez besoin. Parce que lorsque nous nous unissons, nous sommes forts. Lorsque nous nous séparons, le système Baal l’emporte.

Hôte : Et nous ne pouvons pas laisser cela se produire. C’est ce que nous voulons, c’est y résister.

Dr Shepherd : C’est vrai.

Hôte : Alors, les pères fondateurs ont versé leur sang, n’est-ce pas? Ils ne voulaient pas être soumis au système et ils ne voulaient pas que leurs enfants soient soumis au système et ils étaient prêts à se battre pour cela.

Maintenant, je n’incite pas à la violence. Je ne dis pas d’aller les chercher. Mais je dis qu’il y aura probablement du sang versé. Nous allons devoir résister avec nos vies pour le bien de nos enfants et petits-enfants.

Ce n’est pas un message édifiant, mais la partie édifiante est que vous devez être en Christ. C’est la seule façon dont nous allons nous en sortir. Et nous devons nous unir.

Merci beaucoup.


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Transcription

Dr. Igor Shepherd’s Talk About the Horrors of COVID Vaccine 11/10/2020

UNIDENTIFIED HOST: So tonight, I’m so excited to introduce you to Dr. Igor Shepherd. He’s a medical doctor and is currently a readiness and countermeasures program manager at the Wyoming Department of Health Preparedness and Response Unit in Cheyenne, Wyoming.

He’s been a public speaker at numerous preparedness conferences throughout the United States. So conferences that prepare for disasters, pandemics, epidemics, things like that.

And with the Centers for Disease Control to help prepare and review emergency preparedness, cooperative agreement applications, strategic plans, progress reports, data, deliverables.

Like, his resume over a life is this long. So this is just a short version of it.

He also provides monthly briefings for the State of Central Function Partners, and Health and Human Services representatives.

So he’s very familiar with what’s going on with COVID around the country. And he’s going to be sharing a lot of information that you probably have not heard before.

Before working for the state of Wyoming, he worked in various other emergency preparedness jobs and also at a Nevada nuclear test site for counterterrorism operations.

And he was involved in technical research and development on national domestic preparedness and nuclear security for the Department of Justice Office for Domestic Preparedness, Department of Homeland Security, DOE and NSA, DOD, ETRA, FEMA, National Guard, tactical SWAT teams, law enforcement, first responders, medical professionals.

So we have a stupendous, amazingly qualified speaker here tonight to tell us about what’s going on with coronavirus and the vaccine that’s coming as soon as November 15th. It’s supposed to be shipping out to states beginning November 15th from Pfizer.

Please welcome Dr. Igor Shepherd.
(Applause)
SHEPHERD: Thank you. Thank you.
Well, thank you everybody. I hope you can hear me. My broken French accent. (Laughter)

SHEPHERD: No, I’m from Russia obviously, so.

(Laughter)

SHEPHERD: I can repeat myself if you need it, that’s fine.

We had some disturbances today. My laptop died off. I’m not sure if NSA or something else is going on.

(Laughter)

SHEPHERD: But that’s OK. I have my memory. I still have some left in me.

(Laughter)

SHEPHERD: So, well, my name is Igor Shepherd. And I came from a very dark world, OK? I’ll be honest with you. Today, I will speak from my heart not from my computer.

First of all, for the last 10 months, I was an intelligence section chief for COVID Response Unified Command in the state of Wyoming. I’ve spent about seven years working at the state of Wyoming Department of Health.

But before that, I need to go a little bit back in my background as a military physician, internist and specialist on weapons of mass destruction.

As I told you, I came from a dark world of Communism, OK? I was born under Communism. I was raised under Communism. Communism was all over me, around me and inside of me, OK? It’s a very dark world, by the way. You don’t want to taste that world.

Now, the good news for me, in 1992, God shined his marvelous light upon me, a sinner like me. So, I accepted Christ in my heart. It’s changed my life completely.

(Applause)
SHEPHERD: Thank you. Not to me but to the Lord.

So, but I have to go back a little because I am connecting dots and links now. So, you can understand what kind of life is coming upon us and how it is connected actually to Russia and China, OK?

Some things I will say that you may have never heard before. Some things you might say that looks like illusion to me. But I want to speak from my back experience, my background.

For four years, I spent the time when I became a military officer and military physician at Strategic Rocket Force of the Soviet Union. I spent four years of my life as a chief health officer in Poland with special battalions, special operations battalions.

That is a very unique place. We took care of actually the maintenance of biological weapons, mid-range, specifically directed toward Germany, United States forces located at Germany.

That’s a time when I did a lot of stuff I’m not proud of. I did a lot of different vaccinations and immunizations on people, soldiers, civilian personnel. I did not know what I was vaccinating them with because I should not know that.

So, they brought in those suitcases of clean ampules with the material and I did the injections. Eighty-five injections an hour. Special injectors.

I could not share any side effects, localized inflammation, generalized side effects, nothing. It was not my point. Because Military Intelligence was breathing upon me.

So, I spent some time in Poland. We took care of some things in there. And now I came into the United States. What shocked me now for what is going on for the last 10 months in the United States, we call this so-called COVID pandemic, let’s put it this way, gently.

I want to speak — that I want to tell you something very interesting that happened a few days ago when CDC decided not to count flu patient cases anymore for 2021. What that means, all flu cases go toward COVID numbers because they’re not high enough in the United States.

We have a problem, we have a deception, and we have treason. I will speak about treason later. But treason at the highest level.

So –-
(MICROPHONE NOISE)
(Laughter)
SHEPHERD: Can you hear me OK without microphone?
(Laughter)
SHEPHERD: That’s what I’ll figure out. All right, that’s good. Thank you.

So anyway, the point is, what I’m trying to reach to you, when I started researching the situation with COVID pandemic and SARS-2-CoV virus, I learned that this virus actually clearly is very similar as the 2003 SARS, Severe Acute Respiratory Syndrome virus, which happened in 2003.

Similarities up to 80% to 85%. Identical. So much identical that this virus cannot even be separated as a different strain of the virus. So that’s OK. I understand.

By the way, this virus now is no longer this virus anymore. Since July of this year, this virus changed and shifted into something else. They said it’s mutated. So, we don’t have a SARS-2 anymore. We need to call it SARS-3 or 4 or 5, because mutations happen constantly with this strange ghost-looking virus. OK, that’s fine.

UNIDENTIFIED HOST: Do you want this? SHEPHERD: Yes, please.
Oh, great. Thank you very much.

Anyway, so I’m trying to reach — what I’m trying to say here. What I’m trying to say is that when probably health departments, HHS and CDC need to push up the numbers for whatever reason in the United States because it’s too low — it’s not enough mortality rates; the hospitals are empty — then something is wrong here, OK? Something is not right here.

In the state of Colorado, they have about six locations that’s called alternative care sites. They spend millions and millions of dollars thanks to Governor Polis at those locations. I’m joking probably. You understand that.

(Laughter)

SHEPHERD: But $20 million they spent at the Ranch {Budweiser Events Center, Loveland, CO}, by the way, $20 million. They’ve already dismantled the whole thing already. There’s no patients there. Nobody needs them. So, what’s going on with this country? Why are we facing this?

I’ll tell you why we’re facing this. I go back to my Communist time. I was trained to destroy the United States of America. Forgive me for that, God. And forgive, you, me. Please forgive me for that.

(Crosstalk)

SHEPHERD: I trained during the Cold War to destroy the United States physically. Not spiritually, physically. When I say that, that’s how darkness works.

Some people say, oh, it cannot be so bad. I mean, come on, people are not that evil. Yes, there is a lot of evil people in the world. I met many. I worked with many.

So, speaking of vaccines, as you already understand, it’s kind of a strange and questionable situation about the COVID pandemic. It just came just on time. So, if I tell you the COVID pandemic was prepared for the last 19 years in the United States, are you OK with that?

UNIDENTIFIED FEMALE: Yes. UNIDENTIFIED FEMALE: Yes.

SHEPHERD: Nineteen years, I believe, since 2001, called Operation Dark Winter exercise, biological.

Between 2000 to 2006, I worked in some projects, some classified projects at the Nevada Nuclear Test Site, city of Mercury, for NNSA, National Nuclear Security Agency.

We did some work with DTRA, Defense Threat Reduction Agency. They did some biological tests inside the test site and such things.

It’s a preparation. It’s a long, long wait. They know what they’re doing and they know how they’re doing it. It took a lot of years for them to prepare for this moment, today, in the United States. And globally. It’s a global mission to bring global Communism into every corner of this land. Not only the world, the United States.

The plan of the destruction of the United States right now is going with the full speed. And vaccines are playing a major role in this part.

Now I go back to my history, my military work in Poland and organizations and facilities in the Soviet Union and to Russia, who fully developed many biological weapons of mass destruction, viral, bacterial and such. Mostly genetic weapons.

And I want to name one institution I am familiar with. At that time was Lev Sandachiev, a general, one star, who was the director of that institution. It’s called the VEKTOR Institute in Novosibirsk, Russia.

What is special about this place? What’s special about this place, they built vaccines for people. Vaccines. Innocent vaccines. At least that’s what they told the world.

But what they were building were weaponized viral weapons, genetic, recombinant DNA type, Messenger RNA, Mature RNA type, devices, biological weapons, purified. They’re still doing this after so long, about 40 years, OK?

What strikes me the most, the six companies -– not six — five companies who are actually involved today in production of billions and billions of vaccines, and one special, Pfizer. The coolers are already ready. They’re standing and waiting for the moment to start shipping. Ultra-cold-level freezers.

Pfizer, I will talk with you about Pfizer a little bit more.

But what strikes me the most, the technologic technology, which they’re using, so evolutionary new. It’s all a lie. It’s not revolutionary technologies. The technologies were used 30 years ago in the Soviet Union — and then China and North Korea and Cuba — in laboratories, biological, to develop biological weapons of mass destruction. Same technology as they’re using today to develop vaccines for us. That’s first message.

Second, 1977, USSR/90/77 project. What’s so special about that? It was the H1N1 influenza outbreak. In China first. Swine flu. You heard the swine flu, 2009, H1N1 also. It was happening in 1977, 1978.

So, what’s special about this project? What’s special about this project, that in the city of Leningrad, St. Petersburg today—in fact it worked. They used subway systems to spray weaponized influenza A on the Soviet population, four million-sized people at that time in Leningrad, today St. Petersburg.

Two million people become inoculated, sick from that, when you have special dispersal devices with influenza weaponized virus, something happens.

Why did they choose subways in Leningrad? There are different than other subway systems in the world. They go very deep down there. So, air flow is beautifully controlled, environmental situation here we’re talking about. Around 70,000 people died from that event.

The World Health Organization today, all they know about this is was just a swine flu or simple Russian flu. It has nothing to do with Russia. It’s all about China. It is China. OK?

So, what that means? Why they did that? I’ll tell you why. They prepared vaccines before they spread all that material in the subway systems. And then they inoculated and vaccinated innocent civilians in Leningrad with that new bird flu vaccine that’s supposed to be effective. 70,000 died.

So, hmmm, so many years later, what I’m seeing here today? Is this some kind of repeated Americanized style of Communism coming toward us? What’s going on here?

What’s going on, the most technologies which are used today by Big Pharma, and I already told you, is Messenger RNA technology, which will reprogram our immune system and take control of our immune system. We will no longer control our immune system. It controls us. It releases antibodies at a time when they need to be released.

Let’s go back to Russia again. Russia has a lot of history as you can see. Project “Factor,” a classified project, Moscow, St. Petersburg, early ‘90s. Designers of biological weapons for rheumatoid arthritis, myelitis and lupus erythematosus. They over-stimulate the immune system of people to create super-fast debilitating diseases. How long does it take to develop multiple sclerosis for a person? It takes time. If it’s a biological release, it will only take about two weeks and the person cannot walk anymore.

OK, what’s similar with this? Let’s look at the story of AstraZeneca, one of the U.K. companies, in cooperation with Novavax -– is another company, United States, by the way. I think they’re from Massachusetts or Maryland. Those two develop also a vaccine, a very nice one, Sf9-BV.

The platform of this vaccine used an insect, armored -– how they’re called – Fall Armyworm moth. You know, moth flying? It’s my Russian.

(Laughter)

SHEPHERD: Armor moth -– that’s what it is.

So, they took extracted genes from that insect and implemented into the vaccine.

OK, now this is what we will be actually seeing very soon. And I don’t even care about that much about this story.

What I do care about is the immune system. Our immune system will be over stimulated and the reactions won’t be just around the injection site, which is already proven by clinical tests, what they did already.

What else is special about this vaccine from AstraZeneca? Well, they use saponin. Saponin is actually natural soap. It’s grown in the tree, Quillaja, I believe, a name from Chile. It’s a bark from the tree. Big deal.

Well, the big deal is they are used as an adjunct material to stimulate more immune system if it’s not enough. Why do you think some people start developing strong clinical manifestations after they overdose them with this vaccine? Then they said, “oh, we have an excuse; we put too much dose; let’s decrease the dose.”

It has nothing to do with the dose. It’s all about what was inside of that vaccine. This material adjuvant is used to stimulate a strong immune system.

But the problem is its stimulation is toxic. It’s not only destroying cells but it’s also creating hemolysis in the cells. It means the coagulatory system is damaged. It means people will be bleeding to death, but not fast. OK? Not fast. And we start with spleen and then we can talk about the liver a little bit more.

So, OK, all of those guys declare everything is fine and clear. What’s the problem now? There’s no problem. The clinical trials are done superfast, as you know. You’ve heard. You heard them say a few things. Do you think they actually are showing you what actual clinical data is after all of these tests?

Why are they not talking about the Filipino physician who died from that vaccination, for example? How about two women from the U.K. who are now disabled practically? And I still have a question on the subject of that disability. Because one developed Amyloidosis. And it seems to me like all ADEM, Acute Disseminated Encephalomyelitis. Acute Disseminated Encephalomyelitis only happened in one person out of 250,000 people. It’s not normal! Vaccinations do not do this!

Then my question is: Why is the myelin affected? Why she started losing intensely her myelin? Myelin is used for what?

UNIDENTIFIED FEMALE: The nervous system.

SHEPHERD: Yes, for nerve signal. That’s what it’s for. When you have damaged myelin, the signal is disturbed. It’s cannot go from axons to dendrites anymore normally. She barely walked a few months ago and they said the recovery will be two years. I don’t believe recovery will happen at all.

But that’s not the point. The point is why this has happened with her. All clinical trials were done only on healthy medically examined and tested adults. And she was healthy at that time.

So, what’s the story here? Let’s go back to the project “Factor” again. Russian Federation, the classified project “Factor,” when they did tests on the myelin and depletion of myelin. The same technology used for the development of biological weapons in Russia in the early 90s.

What is going on? How did Big Pharma know all of that stuff?

Well, some people came; defectors came. You don’t know their names. I know only one name. Sergei Popov is his name. He was specialized in designing bioweapons for the Russian Federation. He worked in the VEKTOR Institute and other locations. Finally, the CIA found him in Texas many years ago. I don’t know where he is now. But he has enough knowledge to help somebody for good money.

I am not blaming anybody. I’m not using names. But you need to understand that there’s a lot of evil science in the world, OK? There’s a lot of evil science. And a lot of evil scientists. OK. How deeply evil of them.

OK. My question to you, biological weapons, why are they used? Because it’s developed from the body of a died doctor. OK? Nikolai Ustinov is his name. He died in 1988 when he made a mistake. He injected himself, his thumb, with the needle, with a Marburg hemorrhagic virus, weaponized already. Instead of the mouse, he cut himself. Obviously, the animal did not want to get that injection. He got it. He died very fast, in one week. He bled to death.

All right, that’s the story. You can read all this about him.

But what happened next is interesting. They preserved his body for some time and took some organs and actually created biological weapon, Marburg U, virus, after his name. And that Marburg U biological weapon is the strongest hemorrhagic fever biological weapon that’s ever existed in the world. And it’s still inside the Russian stockpile.

OK? How many can be affected by this {Marburg U bioweapon}? Well, many, one or two million in one shot in an urban area, New York or L.A. Probably a three or four-week time. No vaccine, no treatment, and never will be!

What kind of crazy person can develop something which kills everything, including themselves? It’s all about distance, my friend. An ocean separates the Soviet Union from the United States. Iron Curtain. It means it’s shut down.

Can you go over to North Korea at any time recently? Anybody visited? Good luck. Try to penetrate that country. That’s serious stuff.

They build biological weapons without resolution. What that means is kill as many as possible, as much as possible, as fast as possible.

OK, as far as the Russians, I mean, they’re all crazy. I understand that.

(Laughter)

SHEPHERD: Yes, they’re crazy. In fact, they have a technology that built a biomass of smallpox, 200 metric tons annually. 200 metric tons of smallpox, weaponized, by the Russians can be built in one year. Why? 50 kilograms can kill the whole world in 100 days. Why do you need 200 tons?

Because they’re all crazy. Because Lucifer does not hold boundaries. And when men follow Lucifer, men become Satan himself. And we have those today who are working for Big Pharma and those like Bill Gates who actually serve him. That man put so much money into so many things. All vaccine companies are controlled by him. All of them.

Do you know how many vaccines are actually built in the world today for COVID? Almost 200 modalities–200! Every nation is trying to build something. And only six are chosen for the United States, especially. And all those six, actually five of them, are Messenger RNA technology. Messenger RNA technology is unknown for human beings. It’s never been tested before.

So, tell me, please -– I just simply ask you a simple, simple question. It’s a logical question. Following the CDC, the recovery rate from COVID-19, is 99.8 percent. I will repeat myself, 99.8 percent recovery rate with this disease. Deadliest in the world disease. We’re all afraid of it. I’m still trying to find somebody to meet who actually had it. Three or four days and gone. HCQ and you take some zinc and you’re alright, OK? It’s a less mortality rate than the seasonal flu. In fact, the mortality rate {for Covid-10} is only 0.1, 0.5 percent. So, what is the problem? Please, tell me.

Now, stop yourself and think. With this doubtful situation, we need to vaccinate seven billion people on earth and very, very fast. What’s wrong with this picture? I want to ask you just a logical question. What’s wrong with this picture?

Mask wearing? I feel free in this room today, all right? I don’t see masks on your faces. (Cheering and applause)
SHEPHERD: I don’t see distancing.
(Cheering and applause)

SHEPHERD: And I don’t see lockdowns of this church, OK?

So, what the heck is that about? H1N1, swine flu, 2009, 67 million ill people in the United States. 67 million diagnosed with the swine flu, 2009. Any masks? Any lockdowns? Any distancing?

So, what’s the problem today in 2020 with the strange ghost virus–coronavirus? It’s so scary. There’s so much inside of me, I’m shaking. So, what’s the problem here? The problem is an agenda. This is a problem.

And let me tell you something else, if you were not sure before. I believe every public department in this nation is infiltrated with Communists today. I believe every state government and federal government is infiltrated with Communists today.

This is why you have a lockdown and mask wearing and all of that other stuff. They’re just following the Chinese style of response. Because the Chinese know what to do about it.

Have we become a Communistic country? Do we have any freedom left inside of us, if not outside? So, what is wrong with us as a nation, as a republic?

It’s an agenda! Please, understand. The message is urgent. And this is why I am talking today about these companies, like Pfizer.

And now let’s talk about treason. All six companies are deeply connected to Chinese manufacturers and Chinese research companies. I’ll just give a few examples.

Pfizer. Yesterday, on the news, 90%, great results. Everybody, the savior has come, the savior has come to the world to save us, all right? Two injections, 21 days apart, no problem, OK?

So, what

s the problem then? I’ll tell you what the problem is. They forgot to tell us something very important. Pfizer is working with BioNTech, a German company. German company and Pfizer are working with Fosun Pharmaceuticals from Shanghai, China.

Oh, yeah! How do they work with them? They develop vaccines for us. Such a big deal. Chinese develop vaccines for us. So what?

Now, we’re talking about BIB a little bit more, Beijing Institute of Biotechnology, and Academy of Medical Military Science of China.

What I’m trying to tell you is that all companies who are trying to build billions of doses of vaccines in the United States are connected to the Chinese Peoples’ Liberation Army. It means Chinese Military Biodefense.

And to prove that statement even more, I need to talk about Chen Wei. She’s a general. She is a one-star general in biodefense. It’s not biodefense. It’s the bioweaponry complex of China. She is the head of all vaccination projects in China–all. And she has direct access to all vaccination companies in connection with United States providers.

This is treason, people. Can you see what is coming to us? Do you think China loves you? Do you think the Chinese military will not take an opportunity?

Is that all of the examples? No, it’s not all examples. Clover, another company, Chinese, also working with BIB. They are all directly working with them. CanSino is another Chinese company also.

So, they all connected to AstraZeneca, Moderna, Johnson & Johnson –- actually, it’s through Janssen, another company, not Chinese actually, but with very deep roots in China, since the ‘80s.

So, what I’m trying to tell you? I’m trying to tell you we have a problem. I’m trying to tell you that side effects, which were covered during the clinical trials — and it’s not very clear — they don’t even know what kind of side effects happen in two to three years from now.

A normal vaccination should take five, 10, 15 years to develop a new vaccine. Up to 15 years is a normal vaccine’s time. Now it’s squished into two or three months?

Secretly–it was not two or three months. It was ready a long time ago. Maybe years ago. I hate to tell you.

When I read a paper from Moderna, I almost choked when I found that they proclaimed on January 11 and 12, 2020, when for the first time the Chinese CDC (a world-trusted organization – right) –was sponsored and fed by Bill Gates directly, by the way. That organization {Chinese CDC} said: “We sent the gene sequence {SARS 2 CoV}, the first five genomes for the whole world to see.”

Oh, thank you very much, Chinese from Wuhan. It’s wonderful news. Then Moderna said they developed a vaccine after that, when they received the {Chinese} samples in three hours!

(Laughter)
UNIDENTIFIED FEMALE: Wow.

SHEPHERD: Three hours. You understand. You know why? Because all of these vaccines were built with algorithms. It’s mechanical. It’s all built with algorithms. It’s so computerized.

They’re trying to reprogram us now. They used a vaccine computerization to reprogram our bodies actually. Then they tell me more. Messenger RNA technology cannot reach the nucleus of the cell. No way. It’s not reissued DNA. Don’t worry, people. It will not change your DNA. Are you sure? It’s not what I heard from Russia when they did tests with Mature Messenger RNA and injected that stuff right straight into the nucleus. Though they did use different materials–they did different techniques with gold foil, zinc foil and such, all this.

Now they’re using more advanced technology based on the Chinese like CRISPR. You’ve probably heard of that technology. When they start messing around with embryos. Yes? Yes, it’s all human done. Everything is done. Do you think it’s Soviets? Oh, yeah. No, no, no, we’re not doing this. We’d never do that. Are you sure? When you have an agenda? And you should be dedicated to this agenda?

OK, agenda. What agenda? The global Communism. That’s an agenda. And it’s already here inside the United States. It’s not coming. It’s already here. Please understand that. We have a very short time, people. Very short time.

So, in a few weeks or maybe November 15th, I don’t know, in five days from now, this shipment will start moving and people start vaccinating. Essential personnel, hospital providers, first responders and all of those public health nurses who need to inject all of us with these vaccines.

And they don’t even know what to do because they need to use dry ice, 160 pounds of dry ice, for the pizza box. They call it pizza boxes, 1,000 vials inside. They can burn their fingers. Nobody’s trained. They just go and do it. Hey, not a problem. I don’t have dry ice. We don’t have dry ice. You know, Albertson’s {grocery store} will maybe have dry ice. Public health departments do not have dry ice.

My expectation from all of these vaccines, ultra-cold-type vaccines, the problem is not just safety. They are unstable. For five, six, seven hours in the cold temperature — under the warm temperature, in the room temperature, they might start changing their structure.

I don’t even know if they are actually for the COVID disease at all. I’m kind of trying to push on you this idea a little bit. Are you sure this is what it’s all about, this so-called pandemic, with a 99.8% recovery rate? And the whole world needs to be vaccinated fast. Then we’re talking about digital I.D.s and we’re talking about immunization certifications and all kinds of stuff. There’s a lot of stuff developed.

A few more minutes. DARPA. DARPA is a dark organization, the United States military. It actually was opened in the ‘50s, a counterpart of the Soviet Union. I don’t know if you know this. $100 billion was dedicated after September 11th to biological projects, dark biological projects of the United States. $100 billion. That’s a lot of money, isn’t it?

So, do you think they are all buying some embryos and growing smallpox or some of the old- school stuff? Oh, no, they’ve advanced very far, in fact. All six, all six vaccination companies, who are building vaccines for the United States, all are in deep relation and financial affiliations from DARPA directly, military, the United States.

Why such a close relation? Let’s talk about Moderna.  Moderna is another mRNA-type technological vaccine. They’ve had a close relation with DARPA since 2013.

One full colonel -– oh, his German name then – Wattendorf is his name. At that time, he was a full colonel Air Force. He gets an idea. Oh, we want to do antibodies very fast for all soldiers and civilian populations. We want to prevent the effects of these biological weapons from Russians in 60 days.

Oh, good idea. We have $219 million we give you. You have a good idea. Not for his pocket. I’m talking about for your project. Moderna came and started working on that project. So Moderna now–I’m not surprised– is sponsored by DARPA deeply, very deeply.

Is that all that they do? No. It’s a project to build autonomous system, which is supposed to use the best antibodies from the soldier after the blood extraction, from him, and multiply them {antibodies} quickly.

And now we’re coming to the box. Project “Box.” What’s the project? I call this Box. It’s not the Project “Box.” Actually, it’s called “Container 666.”

Oh. You know, yes, Lucifer loves to show up sometimes. Is that right? All the time, everywhere. Patent for vaccines, 060606. OK, Bill Gates, I know you love the number. I understand.

The military in the United States also loves that number. Not the whole military, the special military, biodefense projects. They’re not working for us. They are working for globalization projects. They’re working for the U.N. and the World Health Organization. That’s who they’re working for. OK?

So, what is special about that box or container, size 666? It doesn’t make sense. It should be about eight feet by eight feet. Doesn’t need to be six {feet}. OK, fine.

The project is called “Nucleus Access On Demand Now.” That’s the name of the project. Kind of strange. OK, fine.

The point is, what they want to do, they want to build this mobile transportation complex {to develop vaccines in a superfast timeframe}. It looks like a container. Inside of that container, you will see a lot of different instrumentation. And that container can produce hundreds and hundreds of vaccines in a few days, very fast. Supposedly, only to fight biological terrorism.

My goodness, I’ve been waiting for the biological terrorism for 20 years in the United States. And I’m not talking about biological terrorism when they sent that Senator -– I don’t remember his name -– in the mail a bunch of anthrax. Oh, my gosh, we’re all going to die. All right? And the roots of the biological terrorism came from some fort, some kind of fort, all right, in the United States. And the person who was accused on it hanged himself. It’s a different story. They helped him to hang himself.

But the point is — it’s not the point here. The point is they want to send these boxes all over the world, not only in the United States. So, let’s say every state had this {mobile} complex in place, OK? Oh, my gosh, something happened. I heard a biological release occurred. Really? Hey, come on, the container is coming. We’re coming to help you.

It’s OK, we’ve been doing this on soldiers. I’ve got a lot of stuff inside of me, since I was 17 years old, all right, all kind of revolutionary vaccinations. In fact, there wasn’t any revolutionary vaccinations because Russia today has the most-advanced immune-stimulation of solders.

I was running half naked in the state of Leningrad, minus 20 degrees Celsius, and I could not get sick. I wanted to get sick. I could not get sick. That’s what those vaccines can do to you. They stimulate the immune system, even our autoimmune system is stimulated. That’s how much. Then you kind of get sleepy for a few weeks.

But the point is you are untouchable at that point. How untouchable is it? I worked with the project “Multi-Drug Resistance Tuberculosis.” They did not allow me and other teams to have masks on. They were coughing in our faces. And you breath in, friend, I want to see if our vaccines work on you. So, I was a guinea pig for many years myself. We only lost one guy. He lost a half a lung due to tuberculosis. Everybody else? Nothing. Nothing. OK? Yes, they did a lot of different projects under the subject of immune-stimulation.

And I’m concerned about these vaccines now because all of them can overstimulate the immune system because we’re losing control of our bodies over them. That is not good news.

So, go back to those boxes, containers. Now imagine how fast they can develop that vaccine for us. In two days. No clinical trials at all. Immediately, the injection.

Oh, do you like that? Do you like to be immediately injected by something not even having been tested at all? Because the military told you so? But it’s coming, people. It’s coming. Unfortunately. Because we’re losing our freedoms. We are losing our freedoms fast.

So, I decided to come out from the darkness because I was in darkness for a long time. Whatever I talk today with you is a lot more. I don’t have time enough to talk about this.

But the problem is we’re all duped by federal and state and local governments. I’m sorry to put it this way directly to you.

During the Obama administration, for eight years they infiltrated every department possible in the United States with leftist ideology. Those people not just came there. I met a lot of people who had no educational right to hold program management positions or be senior administrators at all. They’re not related.

How did you get the job? Not your business. OK. What do you like the most? I love equality in any shape. I don’t like private properties. I don’t — let’s give this all away. Let’s give nothing and love our government to death. Only one problem. Don’t forget eugenics.

And now I’ll talk about Pfizer again. I cannot cover every vaccine company but Pfizer is coming on board very soon. I researched Pfizer’s three Messenger RNA formulations {the vaccine contains 3 different mRNA formulations}. Not even one. Three Messenger RNA’s coming into your body with different purposes. Some purposes are innocent, some not, and some are questionable. But it’s patented.

Who tells you? It’s a secret so we cannot talk to you. I cannot talk to you about that, I’m sorry. It’s classified. OK, I understand. I feel already comfortable and cozy in my tummy.

(Laughter)

SHEPHERD: OK? Now the problem about this only one single Pfizer organization is this. They’re using nanoparticles, lipides, three or four lipides used. Lipoplex and Polyplex, and something else. I don’t remember.

The point is they put the Messenger RNA between lipides like a sandwich and that goes into the cell, penetrating the neighboring cell without any problem. It goes deep inside. OK, fine. It’s not supposed to reach the nucleus of the cell at all. It’s not supposed to reach the DNA or our human genome. It’s not supposed to.

But the problem — forget about human immune system right now even, I want to say something else. All that material that I just researched yesterday and found information — all have PEG, or PEGylated artificial synthetic material.

So, what is the PEGylated material all about? This material is practically plastic. But it’s not just plastic. This plastic is not biodegradable and will not degrade {break down} inside of your body.

And there’s more into it, the story line. It will affect your offspring more than you. How? Psychological affects, mostly paranoia, psychopathy’s of all kinds, and neurological effects for sure. So, we’ve built the next generation of children in the United States with such effects that it will be disastrous.

Well, it’s not happening. You know, we’re just looking at the local effects, a little boo-boo in there in the arm. So what?

I want to look not at the boo-boo in the arm and a little inflammation, or little edema. I want to look, two, three, five, six years from now. That’s what I like to look at.

So, forgive me if I say that — and I hope I cross some kind of ideas in your mind — but I call all of these vaccinations against COVID-19 biological weapon of mass destruction!  And I call it 3-G, global genetic genocide. And this is coming not only to the United States, but the whole world.

Well, everybody estimates this and everybody estimates that but the truth is, with these kinds of vaccines untested properly, with revolutionary technology and side effects that we don’t even know, we can expect millions of people will be gone!

That is a dream of Bill Gates and eugenicists. He is sleeping and dreaming about this. The fewer human beings even better, less mouths to feed, less water to drink, less air to breathe. We’ve already put masks on ourselves so we’re not breathing too much. So good, good, good. OK.

(Laughter)
SHEPHERD: The Baal system loves it, OK?

So, if you say to me, well, that’s all with the North Korea crazy people or Russia, you know, Putin and all that stuff, and all the bunch of killers there. Oh, no. It’s not the leftovers of Communism at all. They’re here. They’re present.

If you think the Soviet Union collapsed, ah, the Soviet Union collapsed on time to collapse. They all went to the shadows. And now, in the United States, those who were in the shadows for a long time are coming out. And they’re not nice people. They don’t work for us. They don’t work for this republic.

Who do they work for? The U.N., WHO, the World Health Organization, and, of course, the group of special, the very special people. Don’t talk about them. It’s not even 1%. They’re more special. It’s .5% of those. Do not talk about them because they’ll control all of us.

And honestly, with this current vaccination campaign, we’ll all be guinea pigs. So, let’s see what happens in five, seven, 10 years from now. Do you think they’ll give us that much time? I think we’ll see this a lot sooner and a lot more aggressive.

And then they can blame as both Plan One plus Plan B. First, they vaccinate us. And then maybe something else happens, something else. Oh, a second pandemic comes but something different. You know what? It’s not SARS anymore, SARS-2. It’s not Severe Acute Respiratory Syndrome. It looks like viruses. It’s probably mutated.

Every time a virus mutates, they tell the public it’s become more infectious, more deadly, and bad. Every single time. We’re not dealing any more in this wintertime with the SARS-2. It’s already mutated into something else that they have no name even. The name is actually just a sinister code for COVID cases. That’s what it’s all about.

People have adenoviruses and rhinoviruses, a little cold in their noses, and they immediately, what, justify it, that its COVID. Let’s do the test. Oh, I don’t have time for tests.

I need another hour to talk with you about the RT-PCR tests and all these antibody tests and BinaxNOW tests and all of that, special tests, because they’re all adjusted to specific messages. And not by us. They came from some special manufacturing companies.

And don’t call me, pleas,e a conspiracy theorist.

You know, my wife, my beautiful wife right there, June, and it’s her why I have become actually a Christian in 1992. She brought salvation to my life.

(Applause)

SHEPHERD: Well, on to say, 2004, we wrote a book. You won’t find the book probably anywhere. I don’t care. I’m not selling anything to you at all. It’s 16 years ago, “Inside the Red Zone,” about my life, miserable, all right? And not miserable in Christ after that.

But the point is they call us conspiracy theorists. Sixteen years ago, we talked about the New World Order is coming. That global Communism is coming. Wake up. Open your eyes, please. Do something about it. “Does America plan to do something about it?” my question is.

But you know what? When we add Christ — and that’s a good use for us — we always have a home. We are going into a dark, dark winter. In fact, we’ve going into a dark century, if we even survive that century at all. We’re going on the gray dark clouds and it’s not a joke. That’s why my message is urgent to you.

I want to say, if we believe in the Word of God, then we need to believe completely. In Isaiah 56 — 54:17, I believe, or 56, he said no weapons formed against me shall prosper. And we’ll stick to this. Because it’s a heritage of servants of the Lord. He gave us that for free, OK? Those who are in me will not suffer.

What’s coming here is bigger, bigger than all of us. The Lord is a lot bigger than them, OK? That’s why without him, we simply perish. America needs repentance first. That’s what America needs.

You have to choose in your life. What do you want to do about it all? Because they are coming to you, to your families. They will take everything from you!

We’re finding out now about small businesses and Polis. That polis is a puppet, a little puppet with nothing. It has nothing to do with (INAUDIBLE). All small businesses will be gone with the wind, completely gone under Communism. Your whole private properties will be gone under Communism. Your livelihood and desires, your dreams will be gone under Communism.

Well, it’s come. It’s ugly. It’s very ugly and Luciferian. What can you expect from Lucifer? More than nothing for us. And if you bow down to this, and if you bow down to this before the Baal, it will not save your life anywhere. You think you’ll take the vaccine and everything will be dandy and OK?

I’ll tell you what’s happening with the United States in 2021 and 2022 for sure. That vaccine will become common and a semi-annual event. Mandatory for all.

I lived under mandatory vaccinations for half of my life in the Soviet Union. You don’t ask questions. In fact, you don’t even ask what they are injecting inside of you. You just do it. That’s what the Chinese do today. They’re not asking questions. It’s not a good world to live in. Not a good world to live in. OK?

So, with this to say, I just want to tell you that — I think I screamed too much today. It’s emotional. You know, I’m not an emotional person. I’ve never been emotional. The Lord made me emotional.

(Laughter)
SHEPHERD: I never cried at all, you know?

But with these globalists in the war with the United States, a hundred million {citizens} gone, a hundred million here. Who cares when you are under the umbrella of the Baal system?

But when Christ pulls you out of that swamp, then you open your eyes and say, “oh, my God, what I have done”? I’m glad we all can be forgiven. And it’s a wonderful thing for us.

But I just wanted to tell you, get ready for the hardest ride of your lifetime. You might see things you’ve never seen before in this country. You will not recognize this country. In six to eight months, you will not recognize this country at all. And you say,” oh, my God, what has happened”? Where are you God? Why do you lift your hands away from this republic?

Without HIM, we all perish into the darkness of the Baal system. And that Baal system has no mercy. It never has; it never will.

So, I want to thank you. I know I’m one minute over. (Laughter)
SHEPHERD: I tried my best.
UNIDENTIFIED FEMALE: Keep going!

SHEPHERD: Thank you very much. And you know, if you have any questions, please ask. UNIDENTIFIED HOST: Yes, we’re going to take questions.
SHEPHERD: I’ll answer to the best of my abilities. Thank you.
(Applause)

UNIDENTIFIED HOST: Wow. Did you fasten your seatbelts before he started speaking? (Laughter)

UNIDENTIFIED HOST: So, I was blown away when we talked to Igor and his wife. Just everything that we’ve read, everything that we’ve studied — we’re all researchers — it’s conspiratorial, right, and people write it off. And if you’re like me, you took it and you put it on a shelf. You know, we’ll see. But little by little, we’re seeing it being fulfilled now rapidly all the time.

And here’s Igor and June confirming it’s not just a conspiracy. We’re not crazy. We’re not nuts. We’re not extreme. It’s really happening.

So, please, write your questions. We’ll have some people collecting questions and bringing them forward just like we do at every meeting.

I just want to encourage everybody, part of what we’re doing with Keep Colorado Free and Open is we’re forming a community. We’re like-minded.

Doesn’t it feel good to come every couple of weeks and know that you’re not alone, that there are other people who thing the same way?

(Applause)
UNIDENTIFIED HOST: Yeah.

(Cheering and applause)

UNIDENTIFIED HOST: Who have seen the same things that you’ve seen, who believe the same things that you do?

We don’t have to be uniform in what we believe and what we think. But we all know that what is going on around us and what we’re being told does not match the facts. We see that the data doesn’t add up. We see that the mandates don’t make sense with what’s going on. We know that the tests are corrupted. We know that the data is corrupted. We know that we’re being lied to.

But it’s so big that we don’t know how to take it on. It’s David and Goliath, right?

Igor’s right, the answer is in Christ. And we have to bond together as a group. We have to bond together as a community. And we’re going to need each other to make it through what’s coming.

It’s a complete downer. I wish sometimes for more hope. And there’s hope beyond this. But in the immediate times, we need to be prepared.

All right, I have some questions coming in. We’ll come over here. SHEPHERD: All right.

UNIDENTIFIED HOST: All right. How do you have a job in public health, given your perspective, Igor?

(Laughter)

SHEPHERD: Well, yes. Actually, I’m glad seven years ago, I got this job in the state public health department. I know a lot and maybe too much.

If you ask me how deeply I’m enjoying the job, well, I don’t anymore. And I don’t know. I guess I’m glad that I see some things that other people might not and I can analyze some things that people cannot and that’s helped. Who knows how long I’ll be around?

Yes, a lot of people say today, well, my, you’re still alive. Yes, I’m still alive, OK. You still have a job. Yes, I still have a job.

It’s not about the public health department. It’s about coming out of the shadows and crying out to people. That’s what it’s all about. Because we’re in a situation when you need to do that.

UNIDENTIFIED FEMALE: Amen.

SHEPHERD: You just need to do that. Christian, un-Christian, I don’t care, you need to do that. You need to go and speak to others, please.

So, yes, I enjoyed working for the public health department for some time. I cannot say that I do now because I see what’s happening. I see that they knowingly or unknowingly are following the Baal system.

The Baal system is in place already in the United States. You just are not seeing it yet but its ugly teeth are already coming out. And like I told you, most public health departments have infiltration already for many years, and this is what it is.

So, I just want to say, well, that’s where I am for now. My lucky number is seven, usually, so. (Laughter)
UNIDENTIFIED HOST: Can I tell them what you told us about -– well —
SHEPHERD: About the — no, you can talk free.

(Crosstalk)

SHEPHERD: I’m not -–

(Crosstalk)

UNIDENTIFIED HOST: He told us I may not have a job in six to eight months.

SHEPHERD: Well, like I said —

UNIDENTIFIED HOST: I mean, he’s taking a risk by coming out here and talking to people.

SHEPHERD: It’s OK. I mean, I’ve been in more precarious situations in my life. And, you know, you don’t like when CIA is knocking on your door and asking you for free dinner. I did that.

(Laughter)
SHEPHERD: All right, that’s fine. They don’t know much, by the way. (Laughter)
SHEPHERD: That’s a different story, all right?
(Laughter)

SHEPHERD: So, they think they know. And they pretend they know. But they don’t. There’s other agencies much more qualified, but that’s a different story.

(Laughter)

UNIDENTIFIED HOST: All right, so here’s three questions that are pretty similar. So, can you talk about chipping and surveillance in the vaccinations, technology for tracking and tracing people, and the whole technocracy and globalist desire to control every aspect of our lives?

So, all of this chipping and surveillance and tracking.

SHEPHERD: Well, we’re already tracked already; you just don’t know. Toss your cell phones and you’ll be free, maybe. All right.

Speaking of tracking and everything else, one thing I forgot, which might not be related or too related–5G. When we turn the 5G on after the vaccinations with these vaccines, some things might occur, OK? And when I say some things, I’m not talking about you’ll be brainwashed or something like this.

Though, I believe these vaccines are the first step in the transformational synchronization of your body. The more vaccines will be added to you annually, in the form of mandatory or not, because they either create links and bigger genetic shifts inside, which shifts more and more away from your human genome God gave you, OK? At some point in life, it will not be returned. I don’t know when this will happen. A lot of people (INAUDIBLE).

Surveillance? Listen, I heard some stories and I was looking for solid evidence. Because of Google and Oracle, two big operations working closely with the CIA and NSA, they have some projects actually. And I heard rumors that they actually put biochips into the vaccines for two years and, after that, they disappear so they can actually control your temperature, your feelings, whatever it is.

First of all, if they put something in you, it will not disappear in two years, all right? It will not. They don’t self-destruct. They can do self-destruction on your human body, that’s a different story. In two years, surprisingly. That’s a different story.

So, surveillance, they’re talking about bandages with all kinds of hydrogel, OK? And a lot of companies are doing all kinds of stuff like this? Yes, that is correct.

But the point is, again, what I’m seeing from my personal experience in Communism, you still have your soul, but you don’t own it. Does that make sense? You belong to the state, including your soul. Does that make sense?

I was born under Communism. I didn’t know nothing else. I thought it was normal until Christ told me, no, it’s not. There’s no truth in that. It’s a lie. Then you say, whoa, light bulb there.

Now this type of Communism is technocratic Communism. It’s a Communism with which to completely control you. But you don’t even need one million “snitches” all over the place like in the Soviet Union, sniffing around, OK? It’ll all be done by artificial intelligence. And unfortunately, yes, we’re at that level now, absolutely.

Do I want to, excuse me, tell everybody when I go to the bathroom and for how long? And why you’re flushing so much water? You should not flush so much water anymore. We need to save for the environment that water, I’m sorry.

(Laughter)
SHEPHERD: OK? That’s global Communism. It’s a control. Yes, that’s what it is.

So, I don’t know if I answered the question. But, yes, levels of surveillance are different. NSA thinks they know all. They don’t know all.

Nobody knows all but God. Lucifer thinks he knows all but he doesn’t. And that’s his downfall, by the way.

So, I’ll be waiting when his house starts dividing, which will happen eventually. Because it’s all about the power and nothing else.

UNIDENTIFIED FEMALE: Yes.
(Applause)
UNIDENTIFIED HOST: All right, want to clap for that one? (Cheering and applause)

UNIDENTIFIED HOST: All right, so explain how Dr. Fauci is connected with Moderna. And how involved is Donald Trump with all of this? And do you plan to have a conversation with him? Because he promotes the vaccine, right?

SHEPHERD: Yes, from what I heard, yes, he seems like he promotes vaccines. And, well, $10 billion dollars dedicated for that effort.

Now, Fauci, well -– Fauci!
(Laughter)
SHEPHERD: It’s not about insignificance. It has nothing to do with this, all right?

I’ve met in my life Faucis’ in the Soviet Union plenty. And I’m not saying he’s a brilliant or not- brilliant virologist. I’m not talking about this at all.

I know he has interest in Moderna. I know he has stocks in not only Moderna, but in other organizations. And that’s why they push a lot of specific companies and significant companies, like Moderna or Novavax, who never produced nothing good at all, except losing money.

But they put stocks in them because it was the time to put stocks in them. They know how to manipulate the market. They know how to manipulate people. It’s very easy.

So Fauci, I don’t know, he was very heavy — I should not tell you this. It’s not about him. I know he has been a longtime sitting director for the National Institute of Allergy & Infectious Diseases. Since the ‘80s.

UNIDENTIFIED HOST: The ‘80s?
SHEPHERD: The ‘80s, yeah. A long time, yes. HIV, hero of HIV. Right.

I have no evidence of anything. I just speak from my experience. The same years I was sitting in different military organizations, medical, in Leningrad, and listening to lectures of some colonels, professors from the Soviet military–they never mentioned him by name, of course not. But they did mention something that struck me and I remember it until this day. HIV was developed by the United States Department of Defense and tested on the African population first.

It’s a biological weapon, tested, and with prolonged effects. It’s been going on for many years. So many billions of dollars taken by some organizations, too.

Fine, HIV, let’s create vaccine now. Do you know how many years have already passed? Forty or more? And we’re still not there. We never will be there. That’s actually a capitalistic way to do things, isn’t it?

(Laughter)

SHEPHERD: Yeah. Yeah, I’ll give you a pill —

(Crosstalk)

SHEPHERD: — but it only works by 10% to 50%. I’ll give you another pill in another few years. You buy this one now. And we can keep it going.

So, I did not say that he was involved in the operations. I just know that the operations was done by the United States military in Africa. And, hey, that’s all I can say about that.

So, I don’t know personally, Fauci–I don’t want to know him. He’s wearing too many masks and I cannot see his face.

(Laughter)
SHEPHERD: He is faceless to me. (Laughter)

SHEPHERD: Oh, well. Now we will go into a sensitive area, yes, Donald Trump. OK. He’s a businessman, is that right? He’s always been. “Apprentice,” I love that show actually. Wonderful show.

(Laughter)
SHEPHERD: You know, all that. He made a lot of money on that show.

I’ll tell you about what I don’t like about Donald Trump. And I’ll be honest with you. He’s saying that he cares about people but I’m not sure because he is pushing vaccines. And he is pushing vaccines fast.

But the problem about vaccines, before pushing so fast and so powerfully, he invested 50% of the funds from the Pentagon. This is not something I would do.

First, I say, why do I need to give this kind of stuff to people, still untested, by the way, in the name of what? So, is it the business? Is it some proposition? Is it some direction or some, you know, plan?

I know many people love Donald Trump. He has charisma. He can speak. UNIDENTIFIED FEMALE: Kind of.
SHEPHERD: Kind of, yes. He out-did himself sometimes.
(Laughter)

SHEPHERD: But the problem is I believe he’s a globalist. In fact, he said that. I think he is more globalist than nationalist. That’s all I can say.

So, you can disagree with me or agree. But I think history really will reveal a lot of things about Donald Trump someday. That’s all I can tell you.

Right now, what I am concerned about is that a lot of negative things happen in this country because of politics. A lot of very bad stuff has happened here. And they are still happening. And it’s even worse now {under Trump’s presidency}.

So, I wish to see the leaders of this nation stop that mess; not talk about the mess, the stopping actually. Stop it. Stop lockdowns. Say, hey, state government, shut up, OK? You will not lockdown that many people. I don’t want to lose the jobs. Shut up. OK? Find your guts. Say it. Are you agreeing with them? So, what’s the problem? What’s the story?

So, I usually count a man by his actions. That’s all. I don’t count a man by his verbal expressions. I need to see actions behind it. So I am trying to be politically correct.

(Laughter)

UNIDENTIFIED HOST: OK, so here’s another combination of questions. So, who do we trust in the current government? What is the end goal? And what is the reason for wanting to test people for COVID?

SHEPHERD: The reason for testing?
UNIDENTIFIED HOST: Testing for COVID.
SHEPHERD: Well, the reason -– OK, I’ll start actually on, well, who can we trust in government. UNIDENTIFIED HOST: No one.

SHEPHERD: You know what? How to answer this better? The government is “we the people,” isn’t that right? They {politicians} have the same flesh as us,  but are more corrupt than us –- you know, they have bigger salaries, bigger connections, bigger stocks and all of this other stuff.

Who can I trust? I trust we, the people. Maybe that would be a good answer. You. I trust you. And I’m not a politician and never will be. I trust you. Because without you, we don’t have a republic.

What I believe is politicians are destroying this republic. And I believe they need to be prosecuted for that crime. The crime of treason. I mentioned about treason with China. They sold us; they sold us out for pennies. Maybe a little more than pennies actually.

When I heard vaccines are coming from the Chinese military and need to accept that in my body, I better die first because I know, if I accept it, it will be a slow death, OK? If I accept it, I’m on my knees before the Baal system. And Communistic China is not the greatest example of life for me, personally.

What’s another question? See, my mind is going somewhere else now. (Laughter)
SHEPHERD: Perhaps it was less on something —
UNIDENTIFIED HOST: The testing.

SHEPHERD: Oh, the testing. OK. Well, creating a chain reaction. Wonderful deaths. The —

(Crosstalk)

UNIDENTIFIED HOST: But why are they doing it? Yeah, why?

SHEPHERD: Well, then I ask you a question. Why did the creator of the test die a few months before COVID started?

UNIDENTIFIED HOST: It was coincidental.
SHEPHERD: Oh, yeah. A lot of things are coincidental.
UNIDENTIFIED FEMALE: Suicide.
(Crosstalk)
SHEPHERD: It happens in Russia today.
UNIDENTIFIED FEMALE: Suicide.
SHEPHERD: Yeah, I understand. Somebody falls from window and all of that kind of stuff. (Laughter)
SHEPHERD: Dies from a heart attack.

Yes, I knew one. You know, it was a director of the ultra-pure bio-preparations from Russia. He built super-black bioweapons. By mistake, he came into the U.K. Do not go in the U.K. if you’re researching designer bioweapons. They take out of you everything and they kill you after that. That’s what has happened with him.

So, tests, they are all fixed by the World Health Organization. The amplification of the PCR test is very high now, 42/45 amplifications. Everybody is positive with that test. Everybody. It should be 27/30 and no more. Do you think they did this by mistake? No. There’s no mistake in there of any kind.

Now, antibody tests. What has it shown to me? Nothing. That I was exposed at some time in the past with some kind of coronavirus. There are seven types of coronaviruses in the world, seven, which can affect humans, and about a few hundred, which can affect animals.

So, which one? A little fragmentation found that we built with an amplified piece {piece of genome} and, whoa, that’s a COVID right here.

It’s doesn’t even look like COVID. You know why? A secret that I will tell you. That’s not a secret. No isolate of the virus so far has been found in the world, a purified isolate of SARS-2 COVID virus. It’s does not exist, OK? It’s a bunch of stuff, formulations, fragmentations with an environmental mess inside. And that’s what they call COVID. Not the COVID, SARS-2 virus.

So, all of this testing is something else then. Remember that I told you in the beginning this is kind of strange for them. I’ve never seen anything like this in my life. And even if it’s actually done, it’s done by the Chinese laboratory, not by nature.

Another little secret, the coronavirus does not create any “waves” at all. They {virus} comes and they’re gone. Two examples, the 2003 SARS, came, gone, 10 months. MERS, Middle Eastern coronavirus, came, gone. I think this was 2012.

Now this one is special. It’s coming in waves. It’s just coming back and coming back. Do you know for how long?

(Crosstalk)

SHEPHERD: We heard of the different versions {of this pandemic} from special people, yes. You know, all those special people there. (INAUDIBLE). Up to 10 years we’ll be stuck with these masks, up to 2030. You like this? You’ll like the mandatory masks on you for years? Because COVID will still be here.

Oh, my god, it’s killing somebody, I don’t know where. (Laughter)
SHEPHERD: And how and what and who. UNIDENTIFIED FEMALE: God, he’s good.

SHEPHARD: Anyway, that’s about tests.
So another question.
UNIDENTIFIED HOST: What do you really think?

(Laughter)

SHEPHERD: What do I really think?

(Laughter)

SHEPHERD: So, I’m going around like a politician, yeah, OK, fine.

(Laughter)

UNIDENTIFIED HOST: No, no. I’m teasing you.

SHEPHERD: OK. Yeah, all right.

UNIDENTIFIED HOST: Because you’re fun. All right.

SHEPHERD: Yeah.

UNIDENTIFIED HOST: So how do we stop this? How do we stop the mandates? And how do we escape from this and avoid getting immunized?

UNIDENTIFIED FEMALE: Oh, yeah.

SHEPHERD: There is no escape, I’m sorry. I mean, I’ve made my peace. My wife and I, we have made our peace with God. I made my peace.

So, what this means, is it all hopeless? No. If we have God on our side, nothing is hopeless at all.

The question is, is God lifting HIS hands over this republic. That’s the question of the day. Is he behind us?

So, what I should tell you — in fact, I mentioned the word “repentance” once already. We all need to repent in America, OK? We all need to repent. There’s been closed eyes to so many sins and problems. We have put into power bad politicians who are not serving us and not serving God. That’s the number one problem.

So, what should be done about all of this? If I say something strange to you, like rise up, resist, and fight–oh, Second Amendment–we still have the Second Amendment in this country.
(Laughter)

SHEPHERD: I’m kind of trying to understand. I never had any amendment in the Soviet Union. The Chinese don’t have any amendments. Australians don’t have any amendments. Maybe that’s why the police officers are dragging people out of the cars by their hair if they don’t have a mask on.

Do we need that kind of life? I don’t think we deserve it. Or maybe we are deserving it.

Then fight. Then raise up. Then unite. Then unite. How can we unite? Well, you’re united right now, all of us sitting here. Nobody has left yet. I was waiting for this.

(Laughter)

SHEPHERD: You know? Maybe because (INAUDIBLE). Find inside your heart.

(INAUDIBLE) What do you think about this? It’s coming to your door.

This is the difficult part because I lived under this type of environment, OK? When you are sitting at the dinner with your friends and families and you start talking about the politburo or the Communistic Party or somebody in there and the walls have ears and they come, not immediately; the next night — usually at night, OK?

And they like black cars. I don’t know why. Not Suburbans, but black vehicles for sure. And they take people and you never see them again. Is this the life we’re supposed to live in this republic?

So, what am I telling you? What can I tell you? I’m trying to ignite the fire inside your heart right now. All that I want is that when you leave this presentation, you will remember what I said. Because it is coming to your door and my door eventually.

We can hold on for a while because we have a bunch of police officers, highways patrols, sheriffs and all of them that won’t knock down our doors. But somebody else is coming to knock down our doors. And those don’t have any mercy.

So, what, do they put you down and stick a needle in you? Well, maybe that’s come to this. I don’t know. I don’t want to predict. But I know one thing, the agenda is moving. The Baal system is before us. And it’s much bigger than Goliath. It’s a mountain.

Without God, we’ll all be gone. So only God is my answer. And I hope it’s yours. UNIDENTIFIED MALE: Amen.
UNIDENTIFIED FEMALE: Amen.

SHEPHERD: That’s all that I can say.

Then what do we do? We’re disorganized. We don’t have special units and all, like special teams with the weapons and all, and going somewhere and chasing somebody. Is that what we’re supposed to do? “Is this God’s will,” first, you need to ask yourself. Is this what we’re supposed to actually do?

During the invasion of Brits, things happened a long time ago. Is that right? How much of the percentage of the population? Was it 50%, 4%? 1% will be enough to stop the world order. Even 1%, even a half percent as long as you have a desire in your heart and you make a decision about your personal life.

I’m worried about my daughter. She lives in Arizona. OK, I’m worried about her. I’m worried that she’ll take the vaccine. We’re talking about this with her every day. We’re trying. And she is not very closely walking with the Lord right now. She has no strength. So, we’re trying to be the backbone for her.

I don’t know what’s happened. But nothing good will happen if we don’t stop this madness. It’s a madness, people. These vaccinations are absolute madness, what’s coming now. It’s madness. How do we stop the madness, we, the people, where we are?

As long as the Constitution is just ink, laying somewhere, we’re always losing. You need to have the Constitution of this nation inside your heart. And I am a stranger in the land preaching this to you. I’m not born here but I like the Constitution of this nation because it’s the best document after the Bible I’ve ever seen in my life.

(Cheering and applause)

SHEPHERD: So how many guns should I have in my pocket? Do I need optics? What do I do? Should I have a RPG {Rocket Propelled Grenade}?

No. What you need is to unite together. That’s what you need. Because when we unite, we’re strong. When we separate, the Baal system wins.

UNIDENTIFIED HOST: Yeah. And we can’t let it happen. That’s what we’re about is resisting it. SHEPHERD: That’s right.

UNIDENTIFIED HOST: So, the founding fathers shed their blood, right? They didn’t want to be under the system and they didn’t want their children under the system and they were willing to go to battle for it.

Now, I’m not inciting violence. I’m not saying go out there and get them. I’m saying it’s probably going to take blood. And we’re going to have to resist with our lives for the sake of our children and grandchildren.

So not an uplifting message but the uplifting part is you’ve got to be in Christ. That’s the only way that we’re going to get through it. And we have to bond together.

Thank you so much. Thank you so much for —
SHEPHERD: Thank you.
(Applause)
UNIDENTIFIED HOST: — speaking and answering our questions. (Applause)

UNIDENTIFIED HOST: Fabulous.

Réfutation de l’article de Klaus Schwab sur la crise du Covid-19 – par Chris MacIntosh.

Il n’y a pas que moi pour tailler un costard à ce bon vieux Klaus. Tant mieux. Les plus lucides et certainement les plus virulents (si j’ose dire) pour ce genre de boulot, on les trouve dans le monde des conseillers en investissement, qui, grâce à leurs compétences professionnelles et leur recul, occupent un position-clé pour comprendre – et pour les plus courageux, pour décrire – l’ensemble de la manoeuvre « Grand Reset » et surtout ses potentielles et très lourdes conséquences. Je rappelle ici que Catherine Austin-Fitts, que le monde francophone a récemment découvert et que je relayais sur ce blog dès le mois d’août dernier, est elle-même directrice d’une société de conseil en investissement. Outre la justesse et la relevance de leur analyse, ces personnes sont également très bien placées pour mesurer l’ampleur inimaginable des dégâts humains, présents et à venir, qui adviendront du coup d’état mondial en cours. Ces gens sont, par nature, généralement bienveillants et, par leur fonction de protecteurs des patrimoines familiaux et privés, conscients de ce que représentent ceux-ci comme somme d’efforts, d’intelligence et de créativité – les énergies positives qui construisent les vies et les civilisations. Les nôtres sont en danger mortel.

Ecoutez-les!

PS : je contacte M. MacIntosh pour lui demander le texte brut du rapport dont il donne le lien dans l’article ci-dessous, à but de traduction en français (le fichier PDF est parfaitement lisible mais mal formaté question espacements). Que ceux qui ne sont pas trop handicapés de l’anglais aillent déjà y jeter un oeil maintenant.

Source. Traduction de moi, merci de diffuser!

Traduction

Réfutation de l’article de Klaus Schwab sur la crise du Covid-19

Par Chris MacIntosh, 29 novembre 2020, 22h26

Pensée du jour : Les chefs totalitaires ne se considèrent jamais comme totalitaires. Les utopistes croient fermement que ce qu’ils imposent aux autres est pour leur propre bien.

Tel est le contenu de cet article.

Si vous n’avez pas entendu parler du Forum Economique Mondial (NdT. World Economic Forum – WEF, ou Forum de Davos), je vous exhorte à y prêter attention car ce sont eux qui sont à l’origine d’une grande partie du chaos que vous avez vécu cette année.

Klaus Schwab, le fondateur du Forum Economique Mondial, et Thierry Malleret, ont publié un article à l’occasion du lancement d’un livre co-écrit intitulé «COVID-19: The Great Reset».

Ce qui suit est une réfutation que j’adresse à Klaus et à tous les technocrates de son acabit.

Texte original en noir. Mes commentaires en rouge.


Déjà, en à peine six mois, la pandémie du COVID-19 a plongé notre monde dans son intégralité – et chacun de nous individuellement – dans les moments les plus difficiles auxquels nous avons été confrontés depuis des générations.

Inexact. Le virus est simplement un virus, semblable aux virus que les humains ont surmontés tout au long de leur histoire en tant qu’espèce. En effet, les chiffres mêmes du CDC nous permettent de replacer les choses dans leur contexte.

Taux de survie par groupe d’âge:

  • 0-19: 99.997%
  • 20-49: 99.98%
  • 50-69: 99.5%
  • 70+: 94.6%

C’est Klaus, nos gouvernements et nos institutions qui ont plongé le monde dans «les moments les plus difficiles auxquels nous avons été confrontés», par leurs politiques tyranniques draconiennes débiles, imposées au monde sans laisser la moindre place au débat. Des professionnels hautement qualifiés (voir la déclaration de Great Barrington) du monde entier sont tout simplement censurés lorsqu’ils tentent de sonner l’alarme sur cette folie.

C’est un moment déterminant – nous ferons face à ses retombées pendant des années, et beaucoup de choses changeront à jamais. Elle a provoqué (et continuera de provoquer) des perturbations économiques de proportions monumentales, induisant risques et volatilité sur de multiples fronts – politique, social, géopolitique – tout en exacerbant de profondes préoccupations concernant l’environnement et en étendant également la portée de la technologie dans nos vies.

Là-dessus, nous sommes d’accord. Nous devrons en effet faire face à ces retombées pendant des années. Et oui, la perturbation économique est de proportion monumentale. Prends, par exemple, les suicides, Klaus, qui, au Japon, représentent désormais 8,5 fois le nombre de décès dus au Covid. À ce stade, les responsables qui s’obstinent à imposer les verrouillages, alors que nous savons que le virus n’est rien de plus qu’une mauvaise grippe, devraient être sommairement renvoyés et traduits en justice pour crimes contre l’Humanité.

À ce stade, il serait utile d’écouter le Dr Roger Hodkinson, ancien président de la section de pathologie de l’Association Médicale et précédemment certifié par le Collège Royal des Médecins et Chirurgiens du Canada en tant que pathologiste général en 1976 et membre du Collège Royal. Voici le Dr Roger Hodkinson qui s’adresse à la réunion du Comité des Services Publics et Communautaires du Conseil Municipal d’Edmonton le 13 novembre à propos de la décision de la ville d’étendre son règlement sur les masques faciaux.

(voir la vidéo sur la page source)

Passons directement à ta déclaration, Klaus, de «préoccupations concernant l’environnement». N’est-il pas temps de simplement laisser tomber le masque et de révéler que oui, c’est de cela qu’il s’agissait dès le départ. L’Agenda 2030, après tout, a été conçu avant cette pandémie fabriquée. On aurait pu penser qu’après la ridicule et manifestement fausse «Vérité qui dérange» d’Al Gore, la science bidon qui soutient l’idée de «réchauffement climatique anthropique» aurait été à juste titre ridiculisée et jetée aux poubelles de l’Histoire. Mais au lieu de cela, elle a été résuscitée pour servir de masque à la mise en œuvre du Communisme 3.0. sous couvert de «grande réinitialisation». Nous voyons clair dans ton jeu.

Aucune industrie ou entreprise n’évitera l’impact de ces changements. Des millions d’entreprises risquent de prendre du retard et de nombreux secteurs font face à un avenir incertain; quelques-uns prospéreront.

Ceux qui ont prospéré sont, sans surprise, le même groupe de personnes que tes copains de Davos. Des sociétés gigantesques qui profitent de la tyrannie des verrouillages. Il n’est pas étonnant que l’Amazon de Bezos, le Facebook de Zuckerberg et le Twitter de Dorsey aient tous accumulé davantage de pouvoir, d’influence et de parts de marché tandis que les PME ont été écrabouillées – elles aussi – par les décisions politiques et non par le virus. Étonnamment, tu as le culot de parler d’égalité tout en veillant à ce que tout cela s’accomplisse. Et puis il y a ton copain, Bill.

« Les vaccins à ADN ‘Covid-19’ nous permettront un contrôle extrême de la population mondiale » – Bill Gates, participant au Forum Economique Mondial.

Sur une base individuelle, pour beaucoup, la vie telle qu’ils l’ont toujours connue se défait à une vitesse alarmante. Cela dit, les crises aiguës favorisent l’introspection et aident à réaliser le potentiel de transformation.

La seule chose que nous pouvons transformer, sans conséquences indésirables, c’est nous-mêmes. La nature fait le reste. C’est parce que le monde est complexe, bien plus complexe que quiconque – et assurément toi – ne peut l’imaginer. Et croire que «nous» (ce que nous savons signifier, toi et tes compagnons complices de ce crime) pouvons le transformer implique que vous croyez en votre maîtrise de la quantité infinie de points de données qui se produisent dans le monde chaque seconde et comment chacun de ces points de données peut réagir à toute modification de tout autre point de données. En bref, vous partagez tous la même croyance fallacieuse dans le fait que la planification centralisée fonctionne. C’est faux.

Cette «opportunité» a été fabriquée pour attirer l’attention de façon extrême et imposer de force votre agenda marxiste néo-féodal de remodelage du monde selon une logique centralisée. Il est intéressant de noter à ce stade que CHAQUE fois que l’Humanité s’est lancée dans une «refonte du monde» pour servir les objectifs d’un petit groupe de personnes bornées, elle a abouti à un génocide. Chaque. Fois.

Connectivité systématique

Un nouveau monde pourrait émerger, dont il nous incombe de réinventer et de redessiner les contours.

Là tu reviens à la charge avec cette notion que toi et tes amis déconnectés du réel savez ce qui est nécessaire pour tous les autres.

La nature soudaine et violente du choc que la pandémie a infligé peut rendre l’ampleur de ce défi insurmontable.

Oui, tu as tout à fait raison à propos de la violence du choc infligé à la société. Comme mon ami Doug Casey l’a fait remarquer, «les masques, la distanciation sociale, les verrouillages et l’interdiction de se rassembler causent d’immenses dommages à la société à tous les niveaux – sur le plan sanitaire, social et financier. Cette absurdité détruit partout le tissu social. C’est extrêmement dangereux.»

Cette impression est due en grande partie au fait que, dans le monde interdépendant et hyper-connecté d’aujourd’hui, les risques s’amplifient les uns les autres: les risques ou les problèmes individuels recèlent le potentiel de créer des effets de ricochet qui en provoquent d’autres (comme le chômage qui alimente potentiellement les troubles sociaux et l’appauvrissement qui déclenche une migration de masse involontaire).

«Le chômage qui alimente potentiellement les troubles sociaux…» Sérieusement? La «migration de masse involontaire» est due à des décisions politiques, en particulier à celles de l’UE, que ce soit pour créer de la justice sociale ou pour créer des conflits. Jusqu’à présent, tous les problèmes que tu évoques ont été créés par les personnes aux postes de décision et d’influence, non par le pékin moyen. Et là, tu nous dis de faire confiance – je prends mon souffle – aux décideurs politiques.

La caractéristique déterminante du monde d’aujourd’hui est la connectivité systémique: dans un tel monde, la structure en silos et les pensées en silos n’ont pas leur place car les risques sont convergents. Les macro-domaines qui exercent des impacts directs et quotidiens sur nos sociétés, l’économie mondiale, la géopolitique, l’environnement et la technologie n’évoluent pas de façon linéaire.

Si par «connectivité systématique» tu entends l’effort organisé du WEF, des banques centrales du monde et des gouvernements du monde pour abandonner la souveraineté et assurer la protection des intérêts internationaux d’une petite élite, alors c’est évident. Assurément, si tu es contre la «pensée en silo», la censure des voix dissidentes par les médias grand public et les médias sociaux serait une chose à laquelle tu devrais totalement t’opposer. Selon les paroles immortelles d’Homer Simpson, «Seigneur, aide-moi, je ne suis pas assez intelligent.»

Ils jouent le rôle de systèmes adaptatifs complexes et, en tant que tels, partagent un attribut fondamental: la susceptibilité à des questions échappant à tout contrôle et, ce faisant, produisant des conséquences extrêmes qui surprennent souvent. Le COVID-19 nous a déjà donné un avant-goût de ce phénomène.

Traduction: Les mondialistes ont mis en œuvre des politiques qu’ils ne comprennent pas et ne peuvent ni payer, ni contrôler. Une fausse pandémie est maintenant utilisée comme catalyseur pour effacer l’ardoise, voler tous les actifs et soumettre le monde à un contrôle technocratique complet.

« Bienvenue en 2030. Je ne possède rien, je n’ai aucune vie privée, et la vie n’a jamais été meilleure » – Ida Auken, Parlementaire, Danemark

Examen des lignes de défaut

Dans une large mesure, des événements aussi différents que la montée brutale et dramatique du chômage (un risque économique), la vague mondiale de troubles sociaux déclenchée par les manifestations de Black Lives Matter (un problème de société) et la fracture croissante entre la Chine et les États-Unis ( un risque géopolitique) n’auraient pas eu lieu sans la pandémie. À tout le moins, le coronavirus a exacerbé ces tendances.

Seuls les plus cyniques pourraient gober que ce sont des coïncidences. La montée du chômage est due au fait que les gouvernements ont rendu le travail illégal, ce que nos médias captifs ont justifié en provoquant la panique. La vague mondiale de troubles sociaux a été alimentée par des fanatiques marxistes (voir ici). Et la fracture entre les États-Unis et la Chine est le résultat naturel de leur relation économique et de leur lutte pour la suprématie mondiale.

La concordance et la gravité de ces failles signifient que nous nous trouvons maintenant à un moment critique: le potentiel de changement est illimité et dépend uniquement de notre imagination – pour le meilleur ou pour le pire.

L’imagination de qui, Klaus? Les gens normaux n’entretiennent pas la notion qu’il est de leur droit de dicter aux autres la manière dont le monde doit être géré.

Les sociétés pourraient être sur le point de devenir plus équitables ou le contraire; orienté vers plus de solidarité ou un plus grand individualisme; favoriser les intérêts de quelques-uns ou répondre aux besoins du plus grand nombre; les économies, lorsqu’elles se redressent, pourraient être caractérisées par une plus grande inclusivité et être plus en phase avec notre connexion mondiale, ou elles pourraient simplement retourner aux affaires courantes – ce qui se révèle maintenant (à bien des égards) un statu quo intenable.

Comme je l’ai mentionné dans un rapport spécial (What Happens Next) sur le cancer croissant dans notre société, c’est l’individualisme qui est la marque d’une société libre.

Telle est la question fondamentale dont dépend le succès de la grande réinitialisation. L’ampleur du changement requis est immense, allant de l’élaboration d’un nouveau contrat social à l’établissement d’une collaboration internationale améliorée. Immense mais loin d’être insurmontable, comme le montre la possibilité d’un investissement intelligent dans l’environnement.

Faire les bons choix

« Build Back Better » a été adopté par des leaders du monde entier.

Une façon d’investir intelligemment consiste à intégrer la résilience climatique et environnementale dans les plans de relance et les programmes de relance.

La période post-crise immédiate offre une petite fenêtre pour reconstruire en mieux en ne gaspillant pas les 10 milliards de dollars que les gouvernements du monde entier investissent pour atténuer les effets de la pandémie COVID-19.

Il est évident que «Reconstruire en mieux» vise plus à détruire la démocratie occidentale et les droits de l’homme individuels qu’à construire autre chose qu’un enfer complet sur Terre.

Un récent document de politique auquel le Forum Economique Mondial a contribué estime que la construction d’une économie respectueuse de la nature pourrait représenter plus de 10 milliards de dollars par an d’ici 2030 – en termes de nouvelles opportunités économiques, ainsi que de coûts économiques évités.

À court terme, le déploiement d’environ 250 milliards de dollars de financement de relance pourrait générer jusqu’à 37 millions d’emplois respectueux de la nature de manière très rentable. Nous ne devons pas considérer la réinitialisation de l’environnement comme un coût, mais plutôt comme un investissement qui générera une activité économique et des opportunités d’emploi.

Le prix ultime qui sera payé ici se mesurera en vies humaines perdues et contrairement à ce que vos «think tanks» prédisent, à une dégradation de l’environnement au niveau mondial. Je t’invite à lire mon article censuré sur le greenwashing (NdT. ma traduction ici) où je mets à nu les absurdités que vos think tanks ignorent délibérément.

Nous devons réussir la bonne réinitialisation. Les défis qui nous attendent pourraient être plus importants que ceux jamais imaginés, mais notre capacité de réinitialisation pourrait également être plus grande que ce que nous avions espéré auparavant.

Je pense, Klaus, qu’à présent, je vais simplement te laisser en compagnie de ces paroles de Thomas Sowell,

«Il est difficile d’imaginer une manière plus stupide ou plus dangereuse de prendre des décisions que de remettre ces décisions entre les mains de personnes dispensées de payer le prix de leurs erreurs.»

Et maintenant, je livre à votre réfléxion ces quelques citations.

«La théorie des communistes peut se résumer en une seule phrase: l’abolition de la propriété privée.»
– Karl Marx

« Vous ne posséderez rien et vous serez heureux« 
– Forum Economique Mondial

Et n’oublions pas…

«Le dernier capitaliste que nous pendrons sera celui qui nous aura vendu la corde.»
– Karl Marx

-Chris


Texte original

A Rebuttal to Klaus Schwab’s Article on the Covid-19 Crisis

By Chris MacIntosh, November 29, 2020, 10:26 pm

Thought for the day: Totalitarians never view themselves as totalitarian. Utopians believe fervently that what they are forcing upon others is for their own good.

Such is the content of this article.

If you’ve not heard of the World Economic Forum, I’d urge you to pay extremely close attention because they’ve been driving much of the mayhem you’ve experienced this year.

Klaus Schwab, who is the founder of the World Economic Forum, and Thierry Malleret featured an article accompanying the launch of a co-authored book entitled “COVID-19: The Great Reset”.

The following is a rebuttal to Klaus, and all technocrats like him.

Original text in black. My input in red.

Already, in barely six months, the COVID-19 pandemic has plunged our world in its entirety — and each of us individually — into the most challenging times we’ve faced in generations.

Incorrect. The virus is simply a virus, similar to other viruses that humans have overcome throughout our history as a species. Indeed, here are the CDC’s numbers themselves so that we may put things into context.

Survival rates by age group:

  • 0-19: 99.997%
  • 20-49: 99.98%
  • 50-69: 99.5%
  • 70+: 94.6%

It was Klaus, our governments and institutions that have plunged the world into “the most challenging times we’ve faced”, through their idiotic draconian tyrannical policies that have been forced upon the world with zero room for debate. Highly credentialed professionals (see the Great Barrington declaration) across the world are simply censored when pointing out the madness.

It is a defining moment — we will be dealing with its fallout for years, and many things will change forever. It has wrought (and will continue to do so) economic disruption of monumental proportions, creating risk and volatility on multiple fronts — political, social, geopolitical — while exacerbating deep concerns about the environment and also extending the reach of technology into our lives.

On this we agree. We will indeed be dealing with the fallout for years. And yes, the economic disruption is of monumental proportions. Take, for instance, suicides, Klaus, which in Japan are now 8.5X the number of deaths from covid. At this point those officials still locking down, since we know the virus is nothing more than a bad flu should be summarily fired and brought to justice for crimes against humanity.

At this point it would be worth listening to Dr Roger Hodkinson, the ex-president of the pathology section of the Medical Association and formerly certified by the Royal College of Physicians and Surgeons of Canada as a general pathologist in 1976 and a Royal College Fellow. Here is Dr Roger Hodkinson addressing the Edmonton City Council Community and Public Services Committee meeting on Nov. 13 about the city’s move to extend its face-covering bylaw.

(see video on the source page)

Moving right along to your statement Klaus of “concerns about the environment”. Is it not time you simply dropped the mask and revealed that yes, this is what it was all about from the get go. Agenda 2030, after all, was conceived before the manufactured pandemic. One would have thought that after Al Gore’s ridiculous and demonstrably false “Inconvenient Truth”, the junk science behind “anthropogenic global warming” would have deservedly been ridiculed and discarded on the trash heap of history. But instead it’s been re-birthed as a mask to implementing Communism 3.0. under the guise of “the Great Reset”. We see through you.

No industry or business will avoid the impact of these changes. Millions of companies risk falling behind, and many industries face an uncertain future; a few will thrive.

Those that have thrived are unsurprisingly the very same clutch of folks that are your buddies from Davos. Enormous corporations that benefit from the tyrannical lockdowns. It comes as no surprise that Bezos’ Amazon, Zuckerberg’s Facebook and Dorsey’s Twitter have all sucked up more power, influence, and market share while SMEs have been squashed by — again — policy and not the virus. Amazingly you’ve the gall to talk about equality while ensuring all of this takes place. And then there’s your buddy, Bill.

On an individual basis, for many, life as they’ve always known it is unraveling at alarming speed. This said, acute crises favor introspection and foster the potential for transformation.

The only thing we can transform, without unintended consequences, is ourselves. Nature does the rest. This is because the world is complex, far more complex than anyone — certainly you — can imagine. And in believing “we” (which we know means you and your fellow accomplices complicit in this crime) can transform it implies a belief you’ve a handle on the infinite amount of data points each second that occur in the world and furthermore how each of those data points may react to any change in any other data points. In short, you’ve the same misguided belief that centralised planning works. It doesn’t.

This “opportunity” is manufactured to amass enormous attention and force feed your Marxist neo-feudal agenda of reshaping the world in a centralised approach. It is worth noting at this point that EVERY single time mankind has embarked on “reshaping the world” to meet the objectives of a small group of intolerant people it has ended in genocide. Every. Single. Time.

Systematic Connectivity

A new world could emerge, the contours of which it is incumbent on us to reimagine and redraw.

There you go again with this notion that you and your out of touch friends know what is required for the rest of us.

The sudden and violent nature of the shock the pandemic is inflicting can make the scale of this challenge seem overwhelming.

Yes, you’re quite correct on the violent shock to society. As my friend Doug Casey remarked, “Masks, social distancing, lockdowns, and non-gathering are doing immense damage to society at every level—health-wise, socially, and financially. This nonsense is rupturing the social fabric everywhere. That’s extremely dangerous.”

This impression is due in no small measure to the fact that in today’s interdependent and hyper-connected world risks amplify each other: Individual risks or issues harbor the potential to create ricochet effects by provoking others (like unemployment potentially fuelling social unrest and impoverishment triggering involuntary mass migration).

“Unemployment potentially fuelling social unrest…” Really? “Involuntary mass migration” is all due to policy, especially that of the EU, whether it be to create social justice or creating conflict. So far, all the trouble you refer to has been created by policy makers and influencers, not the average Joe. And here you are telling us to put our faith in — deep breath — policy makers.

The defining feature of today’s world is systemic connectivity: In such a world, silo-doing and silo-thinking have no place because risks converge. All the macro issues that exert direct and daily impacts on our societies, the global economy, geopolitics, the environment and technology do not evolve in a linear fashion.

If by “systematic connectivity” you mean the organised effort by the WEF, the world’s central banks, and the world’s governments to abandon sovereignty and cater to protecting international interests of a small elite, then sure. Surely, if you’re against “silo thinking,” censoring dissenting voices via the mainstream media and social media would be something you’d be dead against. In the immortal words of Homer Simpson, “Lord help me, I’m just not that bright.”

They play out as complex adaptive systems, and as such, share a fundamental attribute: susceptibility to matters cascading out of control and in so doing producing extreme consequences that often come as a surprise. COVID-19 has already given us a foretaste of this phenomenon.

Translation: Globalists have implemented policies they do not understand, cannot pay for, and cannot control. A fake pandemic is now being used as the catalyst to wipe the slate clean and steal all the assets and subjugate the world to full technocratic control.

Examining Fault Lines

To a considerable extent, occurrences as different as the sharp and dramatic rise in unemployment (an economic risk), the global wave of social unrest unleashed by the Black Lives Matter protests (a societal issue) and the growing fracture between China and the U.S. (a geopolitical risk) wouldn’t have taken place without the pandemic. At the very least, coronavirus exacerbated those trends.

Those more cynical among us might call that a coincidence. Rise in unemployment is because the government made it illegal to work, which our captured media justified by terrifying people. Global wave of social unrest was fueled by Marxist fanatics (see here). And fracture between US and China is a natural result of their economic relationship and the struggle for world supremacy.

The concurrence and severity of these fault lines mean that we are now at a critical juncture: The potential for change is unlimited and bound only by our imagination — for better or for worse.

Whose imagination, Klaus? Normal people don’t feel as though they have the right to dictate how the world should be run.

Societies could be poised to become either more equitable or the opposite; geared toward more solidarity or greater individualism; favoring the interests of the few or looking to the needs of the many; economies, when they recover, could be characterized by greater inclusivity and more attuned to our global connection, or they could simply return to business as usual — now revealed to be (in so many ways) an untenable status quo.

As I mentioned in a special report (What Happens Next) on the growing cancer in society, it is individualism which is the hallmark of a free society.

This is the fundamental question upon which the success of the Great Reset depends. The scope of change required is immense, ranging from elaborating a new social contract to forging improved international collaboration. Immense but far from insurmountable, as the case for smart investment in the environment shows.

Getting It Right

Build Back Better has been adopted by leaders all around the world.

One way to invest smartly is to embed climate and environmental resilience into stimulus packages and recovery programs.

The immediate post-crisis period offers a small window to build back better by not wasting the $10 trillion that governments around the world are investing to alleviate the effects of the COVID-19 pandemic.

It is evident that”Build back Better” is more about destroying Western democracy and individual human rights than it is about building anything other than a complete hell on earth.

A recent policy paper to which the World Economic Forum contributed estimates that building a nature-positive economy could represent more than $10 trillion per year by 2030 — in terms of new economic opportunities, as well as avoided economic costs.

In the short term, deploying around $250 billion of stimulus funding could generate up to 37 million nature-positive jobs in a highly cost-effective manner. We should not view resetting the environment as a cost but rather an investment that will generate economic activity and employment opportunities.

The ultimate price that will be paid here will be measured in human lives lost and contrary to what your “think tanks” say a degradation of the world environment. I will invite you to read my banned article on Greenwashing where I lay bare the absurdities that your think tanks purposefully ignore.

We must get the Great Reset right. The challenges before us could be more consequential than ever imagined, but our capacity to reset could also be greater than we had previously hoped.

I think, Klaus, at this point I’m going to simply leave you with the great words of Thomas Sowell,

“It is hard to imagine a more stupid or more dangerous way of making decisions than by putting those decisions in the hands of people who pay no price for being wrong.”

And now I’ll leave you with some quotes upon which to reflect.

“The theory of Communists may be summed up in the single sentence: Abolition of private property.” 
– Karl Marx

“You’ll own nothing, and you’ll be happy”
– World Economic Forum

And let’s not forget…

“The last capitalist we hang shall be the one who sold us the rope.”
– Karl Marx

-Chris

Lettre à Klaus.

Mon cher Klaus,

je voudrais attirer ton attention sur le fait que tu es en train de commettre une grossière erreur.

Je veux parler de ton Grand Reset, évidemment.

Si nous étions dans une bande dessinée, tu constaterais qu’il flotte au-dessus de la tête des gens que tu croises – dans la rue, pas dans les couloirs des institutions internationales où tu t’abrites auprès de tes semblables – un gros point d’interrogation. Si tu avais quelque culture populaire, tu saurais que bien souvent dans les cases suivantes, ce point d’interrogation cède la place à un point d’exclamation, et parfois à des lignes brisées verticales, ce qui indique une grosse colère. Colère que, sans doute, tes camarades de think tank ont déjà prévue et anticipée. Mais ce qu’il faut lire dans grosse colère, c’est grosse colère. Vraiment très grosse. Vos petits instruments de bureaucrates n’ont pas la taille pour la mesurer.

Tu aurais d’ailleurs tout intérêt à te mettre à lire des bédés. Ça t’aiderait à acquérir une nouvelle perspective, bien plus utile au quotidien que les concepts qu’on retrouve dans certains chefs d’oeuvre de ta littérature nationale. Les allemands fabriquent d’excellents moteurs, mais leurs ouvrages de philosophie sentent un peu la chair brûlée, ce qui est désobligeant pour le nez – un peu comme leur pornographie, qui consiste essentiellement à montrer des gens qui se font caca dessus. Pour cette raison, je pense qu’ils devraient se limiter à rédiger des manuels techniques et des modes d’emploi. À chacun sa spécialité.

Ton concitoyen Nietzche – qui, comme toi, travaillait pour la Banque – probablement trop constipé pour faire carrière dans le X, a écrit que pour faire tourner la machine, il faut un petit peuple, assez ignorant pour se contenter de tâches subalternes, ingrates et répétitives. Un Untermensch trop primitif pour se révolter. Mais regarde un peu : moi qui t’écris, je suis ouvrier – dans un métier particulièrement dur, en plus – et je rédige mieux que toi, sans me faire aider, et des choses plus intéressantes, en anglais comme en français. Je parle un peu allemand aussi, assez en tout cas pour lire un mode d’emploi ou pour regarder un de vos très intéressants films en brun et blanc. En ce qui te concerne ton bouquin, il réunit les avantages des deux. Ton mode d’emploi du génocide planétaire sent un peu la merde.

Ah non, c’est pas lui.

D’après toi et les gens de qualité qui fréquentent ton forum, ce petit peuple est devenu obsolète. Dans ton nouveau modèle, ils sont dans le chemin. Il faut faire place nette – un thème récurrent dans l’Histoire. Untermensch, poubelle. Tu penses assez logiquement que toi et tes employeurs avez parfaitement tout planifié. Une épidémie providentielle – il faut te voir frétiller quand tu en parles – et vous aurez détruit l’esprit humain à coups de peur, de culpabilité, de discorde et de pauvreté. Une petite injection de nanoparticules et l’Homme devient le Borg. Toute résistance serait futile.

Mais vous avez loupé l’essentiel. Et c’est bien normal que ça t’échappe parce que ça t’est étranger.

L’essentiel pour un être humain, ce sont ses compétences.

L’ambition, l’arrogance et le toupet ne sont pas des compétences. Le mensonge, le vol et le meurtre ne sont pas des compétences. Le transhumanisme n’est pas une compétence. C’est l’idée malade de frustrés du contrôle, incapables d’aucune satisfaction dans la simplicité, effrayés par leur propre finitude et leur profonde vacuité. C’est leur Reset pour fuir leur inhumanité. C’est la fuite vers le bas de l’Homme sans Dieu.

Mais comprends bien que c’est votre problème. Pas le nôtre.

Depuis le temps que ta clique d’usurpateurs népotistes sabote, piétine et phagocyte les efforts des peuples que vous parasitez et maintenez sous votre coupe, que vos cousins attardés occupent les postes-clés, d’où ils achèvent de détruire ce qui reste de l’art et des sciences – c’est-à-dire pas grand chose – il y a de moins en moins à sauver dans ce monde, et tout à reconstruire. Pour ça on est entièrement d’accord. La seule science à peu près intacte aujourd’hui c’est l’anthropologie, et c’est juste parce que vous en avez fait l’arme qui vous sert à gérer le troupeau. Si quelques gens vaguement doués ont choisi de vous servir dans ce but, par opportunisme ou par lâcheté, les plus compétents restent sur le carreau. Dans cette société enterrée depuis des siècles sous vos mensonges et votre vulgarité, ils ne sont rien. Ils se sont toujours moqués de votre monnaie de singe, fausse valeur à obsolescence programmée. La monnaie digitale des banques centrales ne déchaînera pas leur passion non plus.

Leur problème est que leur compétence, ils aimeraient bien l’exercer. C’était difficile dans votre modèle de consumérisme à croissance infinie, ça deviendra impossible dans vos camps de concentration numériques. Dans les deux cas, ils ont été assez humiliés par des incapables, enchaînés par des médiocres au cynisme triomphant, qui ne font rien d’utile dans ce monde. Les gens intelligents sont autonomes, par définition, et ne consacrent pas leur vie à profiter du travail des autres pour ensuite leur détruire tout espoir de paix et de prospérité. Derrière tes promesses, on comprend bien les menaces. C’est ta pire erreur : tuer l’espoir. Tu es en train de leur apprendre qu’un homme sans espoir est un homme sans peur.

Peur et culpabilité, vos maigres armes. Elles pourraient bien se retourner contre vous, toi et tes associés, tôt ou tard. Plutôt tôt que tard, vu le niveau de violence actuellement infligé à l’ensemble de la société. Ton « développement durable », c’est la destruction immédiate de ce monde que vous laissez exsangue, avant de « mieux reconstruire » le pillage de demain. Quand le petit peuple réalisera qu’il n’a rien d’autre que sa servitude finale à espérer de vous – ce qui est en cours – ce n’est pas la complicité de vos créatures sous contrôle – journalistes prostitués, politiciens bouffons, féministes hystériques, jeunes smartphonisés, extrême-gauchistes cagoulés, assassins fanatisés, policiers sadiques, renseignement acheté – qui sauvera votre projet. Votre avalanche de drogues, alcool, télévision et autres mensonges séculaires n’a pas réussi à totalement déshumaniser sept milliards huit cent millions de personnes. Presque, mais pas assez. Vous avez été trop loin, et trop vite. Si j’en crois ce que je lis ici et là, votre « fenêtre d’opportunité » pourrait bien se fermer brutalement, avec un bruit de guillotine.

C’est pas lui non plus.

Les Français sont souvent dans la rue, ces temps-ci, et ce n’est pas pour s’habituer à leur prochain domicile – des millions d’entre eux sans logis d’ici avril, selon les prévisions. Ils ne sont pas très éclairés – en tout cas pas par toi – mais ils font ce qu’ils ont toujours fait le mieux : ils réagissent. Ils réagissent parce qu’ils se voient tout confisquer : leur pays, leur travail, leur santé, leur famille, leur maison, leur avenir et le peu de liberté qu’il leur restait. Beaucoup n’ont plus rien. Des gens qui ont travaillé dur toute leur vie en sont à mendier un peu de nourriture à la porte de leurs voisins, qui leur en donnent – parce qu’en France c’est comme ça. D’autres se suicident. Et on continue de se foutre d’eux, de les insulter et de les désigner coupables. C’est pas prudent de jouer avec ça. D’autant que la République n’en est pas à son premier génocide. Les morts pourraient revenir.

Si rien d’autre, les Français savent, au moins intuitivement, que la vie est censée être amusante. Le travail, la famille, l’amour, l’amitié ne sont pas juste des concepts abstraits. En lieu et place, ils ont des petits chefs qui leur infligent chaos, misère et désolation, comme des gosses cruels qui torturent des animaux. Les drones, la taxe carbone, la reconnaissance faciale, l’identité numérique, les nanopuces, les vaccins, la monnaie digitale des banques centrales, les villes intelligentes, la connexion au cloud, ils sentent bien que ça va les faire chier, comme dirait Chaval. Et il aurait raison : vous commencez à les emmerder très sérieusement.

Flûte, toujours pas.

Moi qui t’écris, j’ai passé un court moment du côté obscur, chez les petits apparatchiks sans envergure de la Kommandantur Européenne – bel assortiment d’anciens trotskistes, communistes et socialo-machins recyclés. Et puis j’ai repris ma vie en main. Je suis devenu ouvrier. Ainsi j’ai appris que le monde durement bâti par des mains de travailleurs est voué à la destruction par des gratte-papiers assis sur leur triste cul. C’est plus qu’un constat, c’est un axiome. Le Vieux Monde en liquidation totale. À coups de règlementations, décrets, normes, planifications. Ou de coups d’état. Un peu comme en Union Soviétique ou en Chine populaire. Le modèle du Grand Reset.

Mais voilà, votre truc n’est pas au point. Moi, vieux croyant de droite, je suis déjà plus communiste que les communistes. A la limite, stakhanoviste. J’aime mon boulot et mon statut d’esclave. Je l’ai choisi. J’y trouve ma dignité et un peu d’argent. La pauvreté ne me dérange pas. Je circule en deux-roues malgré mon grand âge, été comme hiver. Je n’ai pas de loisirs, je ne voyage pas et je ne fréquente personne, si ce n’est pour rendre service. J’accumule les points sociaux. Tes menaces totalitaires ne m’émeuvent donc pas tellement.

D’ailleurs les meilleures vacances de ma vie, c’était le premier confinement. A la campagne, pas dans les villes, où ce fut un cauchemar. Mais à la campagne – cette campagne où tu aimerais m’interdir de vivre – la nature, l’air, le silence et quasiment personne sur les routes. Quelques gentils parents qui promènent leurs gosses. D’autres qui promènent leur chien. Une parenthèse de normalité. De « nouveau normal », en quelque sorte. Tous les cons bruyants restent chez eux, et les animaux peuvent vivre tranquilles. Les blaireaux et les renards peuvent traverser sans se faire aplatir. Les grands rapaces sont de retour (ceux qui volent dans le ciel, pas sur les comptes d’épargne). En ce qui me concerne, ce confinement-là peut durer pour l’éternité. Mais bien entendu ça ne peut pas durer. C’est le calme avant la tempête. Avant le chaos bancaire.

Mais non, voyons. Trop chevelu.

Il y a deux catégories de gens sur Terre : ceux qui aimeraient qu’on leur foute la paix, et ceux qui ne leur foutent jamais la paix. Ceux qui bossent dur et les parasites qui les méprisent, mais en vivent. Le petit peuple et les milliardaires « philantropes », ces derniers expliquant aux premiers que la solution à tous les problèmes est de les maintenir dans la pauvreté éternelle – un des axes majeurs de ton programme. Pas que ce soit nouveau, mais ça finit par agacer.

Côté offensif, les virus de ta copine William et de son mari Melinda ne fonctionnent pas si bien que ça, à se demander si tout ça n’a pas été fait dans la précipitation : un peu de dérivé de quinine, un peu de soleil et les voilà qui battent de l’aile. Une dose de vermifuge, et les voilà anéantis. Un vieux professeur qui a l’outrecuidance de vouloir soigner le peuple, un vieux virologue celle d’en balancer un peu plus que prévu sur le virus et voilà vos laquais qui courent aboyer sur les plateaux de télé. Mais le mal est fait. Quand assez de monde aura compris de quel laboratoire sort ce bricolage et surtout qui l’a payé, ça va tanguer. Fallait pas jouer avec ça non plus.

Quand à ce « vaccin » (rien que le nom m’amuse), il faudrait peut-être éviter que le petit personnel s’évanouisse en direct à la télé peu après l’injection. Ça aussi ça manque de sérieux. Même les plus suicidaires vont finir par hésiter, ou pire, par se poser des questions. La propagande n’est déjà pas très fortiche, pouvez-vous prendre en plus ce risque de dissonnance cognitive?

Non, celui-ci a des lunettes.

Tu n’as pas la mèche folle de ton illustre prédecesseur, ni sa moustache ridicule, mais avec ton accent cocasse et ton physique très typé, tu peux encore prétendre à un petit rôle de sous-officier allemand dans une comédie française. Tu serais un rien chouette dans un bel uniforme, et ça ne te changerait guère de ton présent métier : mauvais acteur, engagé par un banquier. Comme ton prédecesseur mais en nettement moins bien. Pour nous vendre ton Quatrième Reich, tu n’as pas les épaules.

Tu échapperas peut-être à la colère du petit peuple et à sa fâcheuse manie d’aller chercher chez eux ses assassins et à les pendre à un réverbère – triste fin pour un candidat à l’immortalité. Quant à placer ta confiance dans les biotechnologies pour t’assurer la vie éternelle, un léger bug et voilà ton sort réglé. Dans tous les cas, tes derniers instants ici-bas pourraient être assez désagréables – peut-être même plus que la seringue de Rivotril dans une chambre de mouroir pour vieux fermée à clef. Rappelle-toi la sortie peu élégante d’un Voltaire, moment de pure panique, qui a dû lui sembler très long. « C’est le Diable qui vient le chercher », a dit quelqu’un. En effet. C’est d’ailleurs stipulé dans le contrat.

Que toi et ta petite équipe de démons de trente-troisième zone cessent de se fatiguer à faire advenir l’Enfer sur Terre. Le mieux qui puisse encore t’arriver est de commencer à règler ta facture dans cette vie. Le Patron – le vrai, pas le banquier – t’en présentera une de toute façon. Pour l’architecte de « la fin de l’humanité telle que nous la connaissons », elle risque d’être assez salée. De quoi t’indiquer la porte à côté. Après cette comédie pathétique qu’aura été ta vie, ta place y est réservée. Là il n’y a pas de problème de chauffage. Et ce n’est pas toi qui y feras la loi. Ça aussi, c’est dans le contrat.

Retournez d’où vous venez.

On ne vous a rien demandé.


Ah! Le voilà.

Vidéos de Catherine Austin Fitts et James Corbett.

Une personne à qui j’ai demandé son avis sur ce blog m’a répondu qu’il n’avait rien compris à mes articles.

C’est évidemment de ma faute.

J’ai la manie de croire que j’ai en face de moi des gens intelligents, ou à défaut familiers des sujets abordés ici – les ressources sur le Net ne manquent pas. Le problème est que côté francophone, il n’y a pas le centième de ce qu’on y trouve en anglais – raison pour laquelle je fais autant de traductions – les divers « lanceurs d’alerte », « sites de réinformation » et autres « résistants » de France et de Navarre – sans oublier le Canada – étant soit des clowns qui s’adressent à une clientèle de bobonnes, soit de l’opposition contrôlée. Parfois les deux.

Autre erreur, j’écris trop. Je m’étais même promis de ne jamais publier que du texte sur ce blog. Mais plus personne ne lit, me dit-on – et je constate sur les commentaires des forums et plateformes audiovisuelles que très peu savent encore écrire en français correct. La télévision et le Net – en mode vidéo – ont apparemment évacué la lecture. Qu’à cela ne tienne, je me parjure : voici des vidéos. Elles sont factuelles. Ça tombe bien parce que ce que j’écris est jugé trop théorique. Autre erreur.

Erreur ultime, mon côté rabat-joie. Le monde se fait sans moi et ça m’énerve. À tel point qu’il m’arrive de me venger sur les autres : je casse l’ambiance. Mais écoutez bien : le monde en préparation se fera sans vous aussi – littéralement. Et je ne dis pas ça pour casser l’ambiance.

Maintenant place au sujet. Il est extrêmement bien exposé et bien documenté, par deux personnes bien informées. Et une troisième, en fin de page, professionnel de l’investissement en Bourse. C’est clair, précis, complet et sans appel.

La personne mentionnée au début de cet article pourra donc venir consulter cette page et en retirer quelque chose grâce à son format plus accessible, sa formation ne l’ayant préparé ni à une lecture critique de l’information ni à l’esprit de synthèse nécessaire pour l’intégrer en réseau, ce qui est bien naturel.

Il est journaliste.


Catherine Austin-Fitts est ce qu’on appelle en anglais the great survivor : elle a tout traversé, elle est toujours là. Le bon Dieu a protégé cette vieille dame et parle par sa voix. J’en suis absolument certain. Vous en penserez ce que vous voudrez.

C’est plus que jamais le moment de l’écouter. Ça aide à mettre en perspective les délires d’une vieille psychopathe milliardaire qui vient démarcher pour son génocide planétaire en se tortillant sur son fauteuil comme un Asperger, et ceux d’un vieux crétin bolchévique qui nous fait son Ernst Stavro Blofeld mais aurait plutôt l’air de sortir d’un film avec de Funès.

J’avais publié le 7 août cet article, traduction d’un article de Catherine Austin-Fitts. À l’époque c’était la seule traduction en français disponible sur le Net. Il a été lu par moins de dix personnes. C’est bien dommage parce qu’elle est aussi un insider. Les coulisses, elle connaît, elle y a bossé. Ce qu’elle écrit est un avertissement solennel sur la véritable nature de ce qui nous est infligé aujourd’hui, et sur la suite en préparation.

C’est, en quelque sorte, la mise à jour d’un autre avertissement, publié il y a plus d’un siècle. Dont on nous affirme bien haut que c’est un faux, évidemment. Je pense effectivement qu’il a été écrit pour détourner l’attention des véritables coupables en en désignant d’autres. Mais qu’en est-il de la méthode? Le faussaire qui a écrit ça serait un pur génie, ou un prophète, parce qu’on a vu le programme se dérouler exactement comme prévu : décadence, corruption, trois guerres mondiales et la quatrième qui commence à peine, crises économiques majeures, désindustrialisation, et les centaines de millions de morts qui vont avec. On était prévenus.

Et qu’est-ce que ça a changé?

Rien.

Aujourd’hui on diffuse un peu partout sur les plateformes francophones la vidéo ci-dessous, qui est l’interview complète de Catherine, dont on retrouvera des extraits dans un film en préparation. J’avais commencé à en entreprendre la traduction – à la manivelle – avant de trouver cette version doublée en français. Avec quelques erreurs – par exemple, le système dollar n’est pas « bien implanté » mais « en fin de vie ». Mais on comprend le sens général, ça fera donc l’affaire pour l’instant. Si je trouve le temps je finirai de faire des sous-titres corrects. Pour ceux qui aiment lire.

C’est aussi utile d’entendre de la part de quelqu’un d’aussi haut placé ce que je répète depuis vingt ans à qui veut l’entendre (pas grand monde) : l’Humanité est gérée comme du bétail. Ceux qui n’iront pas à l’abattoir finiront à l’étable. Pour toujours.

On est donc une nouvelle fois prévenus.

Est-ce que ça changera quelque chose?

La vidéo est ici.

James Corbett est un bon garçon. Un peu trop intello, un peu trop anar, un peu trop ceci-cela mais bosseur et courageux. Ci-dessous sa vidéo sur le même sujet, où l’on voit notamment des extraits de la réunion FMI/Réserve Fédérale mentionnée par Catherine Austin-Fitts ci-dessus. C’est en anglais. Je n’ai pas non plus le temps de traduire. Le sous-titrage automatique de YouTube fonctionne à moitié (« Bretton Woods » devient « pain et bois », ce genre de truc).

Et un article en francais. Merci à ma plus fidèle lectrice pour le lien!

Ne vous y trompez pas – c’est un génocide – par Vernon Coleman.

Source.


Traduction

Ne vous y trompez pas – c’est un génocide

Vernon Coleman

Je ne sais pas pour vous mais j’ai du mal à suivre ce qui se passe. Le chaos est délibéré, bien sûr. Comme l’avait souligné Jean-Paul Sartre, si on maintient les hommes suffisamment longtemps dans un état de terreur, d’anxiété et d’incertitude, on arrive à éteindre leur humanité et à les rendre fous. Les promesses sans fin ont comme objectif d’engendrer stress, déception et désespoir. Tout sera fini d’ici l’été. Tout sera fini à l’automne. Tout sera fini à Noël. Tout sera fini à Pâques.

Écoutez-moi : ça ne finira jamais. Jamais. Parce qu’ils ne veulent pas que ça finisse. L’espoir transitoire fait partie du lavage de cerveau, de l’opération psychologique.

J’ai lu aujourd’hui qu’on demande aux généralistes d’administrer chaque jour 1.000 vaccins contre le covid-19. Tout ça parce que le produit doit être stocké à une température incroyablement basse, sous peine de se transformer en gaz moutarde ou en épaisse confiture.

Et comme le vaccin pourrait bien être la substance la plus dangereuse jamais fabriquée depuis le chou-fleur au gratin, on dit aux médecins que les patients doivent être surveillés pendant au moins 15 minutes après avoir été assassinés – pardon, vaccinés. Surveillés, dans ces circonstances, signifie surveillés de près, être prêt à agir rapidement en cas de signes graves d’effets secondaires dangereux et, bien sûr, savoir exactement quoi faire alors.

Cela signifie que même un vaccinateur très véloce ne pourra pas s’occuper de plus de trois personnes par heure. Et s’ils piquent dix heures par jour, ce qui enfreint probablement au moins 150 lois du travail de l’UE, ils ne pourront vacciner que 30 patients par jour chacun.

Mais on dit aux généralistes qu’ils doivent traiter 1.000 patients par jour.

Donc, à moins que ma calculatrice n’ait besoin de nouvelles piles, cela signifie que chaque médecin généraliste devra employer 33 et 1/3 dispensateurs de vaccins qualifiés. Pas étonnant que le gouvernement recherche des dizaines de milliers de piqueurs volontaires. Peut-être que Gary Lineker (NdT. champion de football) fera du bénévolat. Il paraît que c’est un fan du vaccin contre le covid et il a probablement fréquenté la même école de médecine que Bill Gates.

Où le gouvernement va-t-il trouver toutes ces personnes qualifiées? Où va-t-on les caser pendant qu’ils piquent, piquent, et repiquent? Combien leur faudra-t-il de tasses de thé? Y aura-t-il assez de toilettes pour tous? Peut-on vraiment embaucher des scouts pour administrer des vaccins? Les médecins ambidextres pourront-ils piquer des deux mains en même temps?

Ce sont de grands mystères.

Et ils ne font qu’ajouter à mon sentiment général de perplexité.

L’autre jour, un professeur du nom de Hugh Montgomery aurait déclaré à la BBC que ceux qui ne portent pas de masque ont du sang sur les mains. À part le fait que diaboliser les malades qui ne peuvent pas porter de masque et qui sont en officiellement dispensés par le gouvernement britannique ne me semble pas être une idée très vertueuse, j’adorerais avoir l’occasion de débattre avec le professeur Montgomery. Ce serait un plaisir de l’aider à comprendre les raisons par lesquelles je démontre que les masques font plus de mal que de bien, de l’aider à comprendre pourquoi la propagande gouvernementale n’est pas toujours ce qu’elle semble être et de lui apprendre des faits qu’il ignore peut-être sur l’hypoxie, l’hypercapnie, etc. Peut-être la BBC, qui a apparemment donné du temps d’antenne à Montgomery, voudrait-elle s’en tenir à sa charte, fournir au public des reportages équilibrés et m’accorder quelques minutes pour expliquer pourquoi ce sont les gens qui font la promotion des masques faciaux qui ont du sang sur les mains. Mais cela semble peu probable. La BBC, qui a un accord financier avec Bill Gates, s’est bien gardée de tout semblant de justice et d’honnêteté depuis des années. Elle est un centre de propagande pour l’Agenda 21, qui diffuse mensonges et tromperies avec le même enthousiasme qu’elle met à supprimer la liberté d’expression et la vérité. Mohammed Butt de Brand New Tube a envoyé au professeur Montgomery un message lui demandant de débattre avec moi. Je serai surpris que Montgomery en ait une paire assez grosse pour ça mais l’espoir fait vivre.

S’il débat avec moi, je le ferai probablement passer pour un imbécile. S’il ne débat pas avec moi, on pensera de lui que c’est un froussard.

Soit dit en passant, mon petit livre Proof that masks do more harm than good (« Preuve que les masques font plus de mal que de bien ») est disponible au format PDF sur www.vernoncoleman.com et sur le site www.thelightpaper.co.uk. Il est gratuit.

Si les collaborateurs porteurs de masque connaissaient la vérité, il y aurait des émeutes dans les rues. J’ai vu une photo de Greg Norman, un golfeur, allongé dans un lit d’hôpital avec un masque sur le nez. Le MCC, le club de cricket, vend un masque aux couleurs du club pour 8£, censé protéger contre la poussière en suspension dans l’air, le pollen et les microbes. Notez bien : ils font maintenant la promotion des masques comme protection contre la poussière et le pollen. Vous voyez la direction que ça prend.

Et ceux qui portent des masques ont du sang sur les mains aussi parce que les masques provoquent une pneumonie bactérienne [NdT. je confirme, je connais quelqu’un à qui c’est arrivé] – frauduleusement imputée au Covid-19 – et nous conduisent à des verrouillages qui provoquent un nombre incalculable de décès. Les collaborateurs porteurs de masque, qui aiment les tests, qui retroussent leurs manches et plaident pour un vaccin destiné à les protéger d’une maladie dont le taux de survie est de plus de 99%, sont les vrais tueurs parce qu’ils perpétuent et encouragent le mensonge. Et les médecins semblent avoir oublié qu’une personne atteinte de cancer est tout aussi réelle et tout autant digne d’attention qu’une personne atteinte du coronavirus.

La suppression des informations et des débats et la diabolisation de ceux qui posent des questions prouvent qu’il s’agit d’une fausse pandémie. Rien dans les médias grand public n’est digne de confiance. Les chiffres présumés des décès liés au covid-19 sont maintenant mélangés à ceux de la grippe et de la pneumonie.

Si nous avions le moindre accès aux médias de masse, cette arnaque, cette guerre, ne durerait pas un seul jour. Partout, les gouvernements tomberaient et les politiciens, les conseillers, les médecins et les journalistes devraient apprendre à apprécier leur gruau d’avoine quotidien.

Pourtant, rien de tout ça n’a vraiment d’importance.

Ce qui compte, c’est que nous nous rappelions constamment qui sont nos adversaires et pour quoi nous nous battons.

Qui sont-ils?

Eh bien, ce sont des méchants tout droit sortis d’un vieux James Bond – ceux où on voyait Donald Pleasance assis avec un gros chat blanc sur ses genoux.

Et leur objectif, comme celui du personnage de Donald Pleasance, est de conquérir le monde et de gagner encore plus d’argent, pas nécessairement dans cet ordre.

La seule différence est que dans les films de James Bond, les méchants ont des noms merveilleusement exotiques comme Scaramanga et Goldfinger.

Les méchants d’aujourd’hui ont des noms communs et très courants comme, je ne sais pas moi, Bill ou George ou Charles. Des noms ordinaires.

Mais, à mon avis, les méchants d’aujourd’hui sont les pires que tout ce que les êtres humains ont jamais connu.

Personne ne s’est jamais montré aussi profondément pervers que les politiciens et les scientifiques qui font la promotion du canular planétaire du coronavirus. Jamais auparavant on a menti aussi complètement aux peuples, avec autant de constance et avec des buts aussi pervers que nos gouvernements oppressifs, totalitaires et génocidaires. Ne vous y trompez pas, c’est un génocide. La fraude au covid-19, les verrouillages et l’abandon des personnes âgées et des malades provoquent la mort de millions de personnes. Au Royaume-Uni, le National Health Service (Service de Santé National) est devenu le National Death Service (Service de Mort National). Ils tuent les faibles et les innocents parce qu’ils peuvent le faire. Dans le monde, des centaines de millions de personnes sont condamnées à mort en raison de la réponse injustifiable à une maladie présumée pas plus dangereuse que la grippe. La propagande ne s’arrête jamais. Même la façon dont le nom est écrit est une fraude. Ils mettent toujours COVID en majuscules. Mais ça n’a pas raison d’être – pas plus que le mot «radar» ne devrait être écrit en majuscules.

Et puis il y a le vaccin. Quel mal va-t-il faire? Je n’en ai aucune idée. Personne n’en a aucune idée. C’est la plus grande expérience de l’histoire. Un astrologue aurait de meilleures chances de prédire ce qui est susceptible de se passer d’ici trois mois, six mois ou un an. En Espagne, ils prennent apparemment le nom et les coordonnées de toute personne qui ne ne se fait pas vacciner.

Soit dit en passant, je suis perplexe quant à la raison pour laquelle 12 personnes ont jusqu’à présent appuyé sur le bouton « je n’aime pas » sous ma vidéo qui expose les dangers officiellement associés au vaccin covid-19. Comment peut-on désapprouver une vidéo qui détaille simplement des faits? Je suis impressionné par le fait qu’on trouve 12 personnes dans la 77e brigade (NdT. une brigade de l’armée britannique qui traque officiellement les « fake news » sur le Net) assez brillantes pour trouver le bouton « je n’aime pas ».

J’ai d’ailleurs, avec grande tristesse, supprimé l’option commentaires de mes vidéos simplement parce que trop de gens l’utilisaient pour promouvoir des mensonges flagrants, des tromperies et des fausses nouvelles. Les médias grand public, comme la BBC, sont l’endroit idéal pour ça. Je suis triste d’avoir dû le faire, mais je ne vais pas offrir un mur aux graffitis fascistes pro-gouvernementaux.

J’ai un peu réfléchi à ce qui pourrait nous inciter à retrouver la mémoire de nos racines.

J’ai été voir du côté de la Magna Carta, le document qui nous avait donné cette liberté qu’on nous a confisquée. Le document qui nous a donné nos droits fondamentaux en tant que peuple et en tant que nation indépendante.

Et j’ai été voir du côté du discours de Cromwell devant le parlement croupion, en 1653.

«Vous êtes resté trop longtemps assis ici pour le peu de bien que vous avez fait. Partez, dis-je, et finissons-en avec vous. Au nom de Dieu, partez! » Mais Cromwell dérange beaucoup de gens. Ce sont probablement les verrues qui les effrayent.

Je me suis donc décidé pour le discours qu’Elizabeth I a prononcé à l’adresse de ses troupes, qui attendaient à l’époque l’arrivée de l’Armada espagnole, en 1588. Elizabeth était courageuse, déterminée et surtout fidèle à son peuple.

«Que les tyrans éprouvent de la crainte », dit-elle. « J’ai investi ma plus grande force et ma plus grande sauvegarde dans le cœur loyal et la bonne volonté de mes sujets. Et par conséquent, je me présente devant vous, comme vous le voyez, en ce moment non pas pour ma récréation ou pour ma distraction, mais résolue à vivre et mourir dans le coeur et le feu de la bataille parmi vous tous. À donner pour Dieu, pour mon Royaume et pour mon peuple, mon honneur et mon sang jusque dans la poussière. Je sais que j’ai le corps d’une femme faible et fragile, mais j’ai le cœur et les tripes d’un roi et même d’un roi d’Angleterre et je dis qu’il est insultant que Parme ou l’Espagne ou tout prince d’Europe ose envahir les frontières de mon royaume; pour cela, plutôt que le déshonneur advienne par moi, je prendrai moi-même les armes. »

C’est notre héritage.

Qu’est-il arrivé? Elizabeth I a montré une détermination un peu plus fougueuse à défendre son pays que son homonyme et que sa famille n’en ont montré.

Nos ancêtres avaient Elizabeth I. Notre famille royale veut le Grand Reset et le nouvel ordre mondial. Ils croient que le monde est surpeuplé mais, comme toujours, leur hypocrisie est assourdissante. Ils disent beaucoup de bêtises sur le réchauffement climatique mais consomment plus d’énergie que mille familles moins privilégiées.

Nous sommes dirigés par un groupe de traîtres qui a vendu notre droit d’aînesse. Et nous n’avons même pas reçu le plat de lentilles [Ndt. L’expression fait allusion à la vente par Esaü de son droit d’aînesse pour un repas de lentilles dans Genèse 25: 29–34 et implique une myopie et des priorités mal placées.]

Je suis stupéfait de voir le peuple britannique se coucher devant une armée désordonnée de gens corrompus, ineptes et insipides. Comment ont-ils gobé tant de mensonges? Où est leur courage? Les bâtards cryptorchides qui portent des masques simplement pour éviter la confrontation nous trahissent tous.

Allons-nous vraiment laisser Doris Johnson, Madge Hancock [NdT. une pique de l’auteur à Boris Johnson, Premier Ministre et à Matt Hancock, Ministre de la Santé] et les trois Stooges (en moins sympathique) nous voler tout ce qui fait nos valeurs? (La même chose est vraie dans le monde, bien sûr.)

Ou allons-nous nous lever et nous battre? Adressez vos doléances aux politiciens. Envoyez des lettres et des courriels aux médias. Exigez que la BBC et les autres diffuseurs donnent du temps d’antenne aux critiques des mensonges. N’enfreignez pas la loi, mais ne payez plus la taxe pour la BBC. Partagez des vidéos et des articles sur votre site Web avec tous ceux que vous connaissez. [NdT. C’est ce que je fais, Vernon!]

Méfiez-vous du gouvernement, évitez les médias de masse et combattez les mensonges.

À moins de lutter férocement et avec détermination, l’année à venir, 2021, sera la dernière que nous vivrons en tant qu’hommes et femmes libres.

Ce n’est pas de la rhétorique.

C’est un fait.


Texte original

Make no Mistake – This is Genocide

Vernon Coleman

I don’t know about you but I find it difficult to keep up with what is going on. The chaos is all deliberate, of course. As Jean Paul Sartre pointed out, if you fill people with long-standing terror, anxiety and uncertainty you will eventually drive out their humanity and drive them towards madness. The endless promises are designed to create stress, disappointment and despair. It will all be over by the summer. It will all be over by the autumn. It will all be over by Christmas. It will all be over by Easter.

Listen to me: it will never be over. Never. Because they don’t want it to be over. The transient hope is part of the brainwashing, the psy op.

I read today that GPs are being told to give 1,000 covid-19 vaccinations a day. It’s all because the stuff has to be stored at an incredibly low temperature because otherwise it turns into mustard gas or thick cut marmalade.

And because the vaccine could just be the most dangerous stuff ever made since cauliflower cheese, doctors are being told that patients need to be observed for at least 15 minutes after they’ve been murdered – sorry, vaccinated. Observed, in these circumstances means watching closely, being prepared to act quickly if there are serious signs of a dangerous side effect developing and, of course, knowing exactly what to do.

This means that even a fleet-footed vaccinator isn’t going to be able to service more than three people an hour. And if they jab away for ten hours a day, which probably breaks at least 150 EU employment laws, they will only be able to vaccinate 30 patients a day each.

But GPs are being told they need to get through 1,000 patients a day.

So, unless my calculator needs new batteries, that means that each GP will need to employ 33 and a third qualified expert vaccine givers. No wonder the Government is looking for tens of thousands of voluntary jabbers. Maybe Gary Lineker will volunteer. He is reported to be a fan of the covid vaccine and presumably attended the same medical school as Bill Gates.

Where is the Government going to find all these skilled people? Where are they all going to stand while they jab, jab, jabber away? How many cups of tea will they get through? Will there be enough loos for them all? Can you really hire boy scouts to give vaccinations? Will ambidextrous doctors be able to jab with both hands at the same time?

These are real mysteries.

And they just add to my general sense of bewilderment.

The other day a professor called Hugh Montgomery allegedly told the BBC that people who don’t wear masks have blood on their hands. Putting aside the fact that demonising the sick who cannot wear masks, and who are advised by the Government in the UK that they don’t have to wear a mask, doesn’t seem a very nice thing to do, I would love to have the chance to debate with Professor Montgomery. It would be a pleasure to help teach him why I can show that masks do more harm than good, to help him understand why government propaganda isn’t always what it appears to be and teach him some facts he may not know about hypoxia, hypercapnia and so on. Maybe the BBC, which apparently gave Montgomery airtime, would like to stick to its charter and provide the public with balanced reporting by allowing me a few minutes to explain why people who promote face masks have blood on their hands. But that seems unlikely. The BBC, which has a financial arrangement with Bill Gates, hasn’t been within hailing distance of fair or honest for years. It’s a propaganda unit for Agenda 21; disseminating lies and deceit with the same enthusiasm with which it suppresses free speech and truth. Mohammed Butt of Brand New Tube has sent a message to Professor Montgomery asking him to debate with me. I’ll be surprised if Montgomery’s balls are big enough but we live in hope.

If he debates with me I think I can make him look a fool. If he won’t debate with me then some may think he is chicken.

Incidentally, my short book Proof that masks do more harm than good is available as a PDF on http://www.vernoncoleman.com and on the http://www.thelightpaper.co.uk website. It’s free.

If the mask wearing collaborators knew the truth there would be rioting in the streets. I saw a picture of Greg Norman, a golfer, lying in a hospital bed with a mask on. The MCC, the cricket club, is selling an £8 mask in the club colours that is said to protect against airborne dust, pollen and germs. Note that: they are now promoting masks as protection against dust and pollen. You can see where it’s going.

And those who wear masks have blood on their hands too because the masks cause bacterial pneumonia – falsely blamed on covid-19 – and lead us to lockdowns which lead to untold numbers of deaths. The mask wearing, test loving collaborators who roll up their sleeves and plead for the vaccine to protect them from a disease that has a 99% plus survival rate are the real killers because they are enabling and sustaining the lie. And doctors seem to have forgotten that someone with cancer is just as real and just as deserving as someone with the coronavirus.

The suppression of news and debate and the demonization of those who ask questions prove that this is a fake pandemic. Nothing in the mainstream media is trustworthy. The alleged figures for covid-19 deaths are now mixed in with flu and pneumonia.

If we had a fair crack at the mass media this scam, this war, wouldn’t last a day. Governments everywhere would fall and politicians, advisors, doctors and journalists would be trying to acquire a taste for lumpy porridge.

Still, none of that really matters.

What matters is that we constantly remind ourselves who our opponents are and what we’re fighting for.

Who are they?

Well, they’re a bunch of skulking baddies straight out of one of those older James Bond films – the ones where Donald Pleasance sat with a fluffy, white cat on his lap.

And their aim, like the Donald Pleasance character, is to take over the world and make a lot more money though not necessarily in that order.

The only difference is that in the Bond films the baddies have wonderfully exotic names like Scaramanga and Goldfinger.

And today’s baddies have common or garden names like, oh I don’t know, Bill or George or Charles. Just ordinary type names.

But, in my view, today’s baddies are worse than anything human beings have ever faced.

No one has ever been as thoroughly evil as the politicians and scientists promoting the coronavirus hoax around the world. Never before have people been lied to so thoroughly, so consistently and with such evil purposes as we are being lied to by our oppressive, totalitarian, genocidal governments. Make no mistake – this is genocide. The covid-19 fraud, the lockdowns and the abandonment of the elderly and the sick are resulting in the deaths of millions. In the UK the National Health Service has become the National Death Service. They are killing the weak and the innocent because they can. Around the world hundreds of millions are being condemned to death because of the indefensible response to an alleged disease no more dangerous than the flu. The propaganda goes on and on. Even the way the name is written is a fraud. They always put COVID in capitals. But it shouldn’t be – any more than the word `radar’ should be written in capitals.

And then there’s the vaccine. What harm is that going to do? I have no idea. Nor does anyone else. This is the biggest experiment in history. An astrologer would have a better chance of telling you what is likely to happen in three months, six months or a year. In Spain they are apparently taking the names and details of anyone who doesn’t take the vaccine.

Incidentally, I am puzzled as to why 12 people have so far pressed the thumbs down button on my video about the dangers officially associated with the covid-19 vaccine. How can you disapprove of a video which simply details facts? I’m impressed that there are 12 people in the 77th brigade bright enough to find the thumbs down button.

I have incidentally, with great sadness, taken the comments facility off my videos simply because there were too many people using it to promote blatant lies and deceits and fake news. The mainstream media, such as the BBC, is the place for those things. I’m sad I had to do this but I am not going to provide a wall for fascist pro-government graffiti.

I have thought a little about how we can inspire ourselves to remember our roots.

I toyed with the Magna Carta, the document which gave us the freedom which has been taken from us. The document which gave us our basic rights as people and as an independent nation.

And I toyed with Cromwell’s speech to the rump parliament in 1653.

`You have sat too long here for any good you have been doing. Depart, I say, and let us have done with you. In the name of God, go!’

But Cromwell upsets a lot of people. I think it’s probably the warts they find scary.

So I settled on the speech Elizabeth I made when addressing her troops who were, at the time, awaiting the arrival of the Spanish Armada in 1588. Elizabeth was courageous, determined and, above all, loyal to her people.

`Let tyrants fear;’ she said, ` I have placed my chiefest strength and safeguard in the loyal hearts and goodwill of my subjects. And therefore I am come amongst you, as you see, at this time not for my recreation and disport, but being resolved in the midst and heat of battle to live and die amongst you all. To lay down for God, my kingdom and for my people, my honour and my blood even in the dust. I know I have the body of a weak and feeble woman, but I have the heart and stomach of a King and a King of England too and think it foul scorn that Parma or Spain or any Prince of Europe should dare to invade the borders of my realm; to which, rather than any dishonour shall grow by me, I myself will take up arms.’

That is our heritage.

What the hell happened?

Elizabeth I showed a rather more feisty determination to defend her country than her namesake and her family have exhibited.

Our ancestors had Elizabeth I. Our royal family wants a Global Reset and a new world order. They believe the world is overpopulated but as always their hypocrisy is deafening. They talk much nonsense about global warming but use more energy than a thousand less privileged families.

We are ruled by a bunch of traitors who have sold our birthright. And we don’t even get the mess of potage.

I am staggered that the people of Britain rolled over before a ragtaggle army of the corrupt, the inept and the inspid. How did they fall for so many lies? Where is their courage? The cryptorchid bastards who wear the masks simply to avoid confrontation are betraying us all.

Are we really going to let Doris Johnson, Madge Hancock and the three stooges (without the lovability factor) take from us everything we value? (The same is true around the world, of course.)

Or are we going to stand up and fight? Complain to politicians. Send letters and emails to the media. Demand that the BBC and other broadcasters give air time to critics of the lies. Don’t break the law but don’t pay the BBC licence fee. Share videos and website articles with everyone you know.

Distrust the Government, avoid mass media and fight the lies.

Unless we fight hard and with determination, the year ahead, 2021, will be the last we live as free men and women.

That’s not rhetoric.

It’s fact.

Bilan 2020.

Fin d’année, l’heure des bilans.

Commençons par un petit bilan de ce blog : fréquentation proche de zéro, mes plus fidèles lecteurs restant les services secrets du Parti, explication ici. En voilà des gens opiniâtres et curieux. Plus en tout cas que ceux pour qui l’enjeu d’une bonne information est pourtant vital et urgent, et la clé de pratiquement tout ce qui va se jouer dans les semaines qui viennent. Ceux qui viennent faire un petit tour ici filent bien vite voir ailleurs.

Apparemment, je déçois. Désolé, je ne suis pas très feel good movie, celui dans lequel on disait qu’on étaient les bons et les autres les méchants. Pour les questions d’ordre vital, il serait temps de sortir, au moins un moment, du niveau cour de récré.

Le monde de l’enfance est merveilleux, évidemment. Il faut le garder en soi le plus longtemps possible. Et c’est pourtant chez les jeunes que je constate le plus ce phénomène typique de toutes les tragédies et toutes les guerres : la fin de l’innocence. Ils prennent conscience de ce qu’est devenu leur quotidien et de ce que sont maintenant leurs perspectives d’avenir. Ils ont plus d’années à vivre – ou à perdre – que leurs aînés et probablement la réserve de courage qui va avec. Ils savent donc faire le tri dans ce monde entre les courageux et les autres. Ils ne sont pas dupes des adultes et de leurs masques. C’est leur métier.

Finalement il me semble que ce sont les adultes qui ont le plus de mal à sortir de la naïveté. Il faut dire qu’ils ont de l’entraînement. Je les vois continuer à se laver les neurones devant leurs télés. La fabrique du consentement, c’est déjà pas très sain en temps de paix. Mais ici il s’agit de consentir à leur propre fin. Comme j’aime à le répéter, la télévision est la seule arme dont le canon est pointé vers la personne qui appuie sur la gachette.

D’autres plus courageux – de plus en plus nombreux, Dieu merci – se cherchent des camarades de résistance et vont voir du côté des nouveaux chevaliers blancs du Net, héros au sourire si doux. C’est très bien mais prudence, ce ne sont pas tous vos amis. Même certains dont je traduis ici les articles, pourtant très intéressants, ne sont pas vos amis. Il y a de l’opposition contrôlée. Je vous l’explique de long en large sur ce blog. Je vous ai fait une page « Sommaire » accessible dans le menu pour vous faciliter la recherche. Je consacre énormément de mon temps libre à vous pondre des articles utiles. C’est vraiment un très bon blog. Je dois le dire moi-même parce que mes amis ne me le disent pas – je n’en ai pas.

Vous ne voudriez sans doute pas de moi comme ami non plus. Encore moins si je vous dis que vous vous êtes foutus dans ce merdier vous-mêmes. En tant que consommateurs pas très éclairés, en achetant la camelote des maîtres de ce monde. Celle qu’on voit à la télé. Celle pour laquelle ils exploitent, torturent et font crever les pauvres qui ont eu la fâcheuse idée de naître là où, par exemple, on trouve les terres rares indispensables à la fabrication de vos smartphones. On ne vous a pas beaucoup entendus les défendre. C’est une erreur.

Et vous voilà bien, maintenant que vous vous apercevez que ces prodigieuses merveilles sont là pour vous hypnotiser, vous surveiller et vous dénoncer. Que c’est l’outil de votre esclavage et que cet esclavage était volontaire. Ludique, mais volontaire. Mais plus pour longtemps. Il va devenir obligatoire. Comme beaucoup d’autres choses nettement moins ludiques.

Vous ne voudrez pas non plus de moi comme ami si je vous dis que vous auriez pu vous émouvoir un peu plus tôt des bébés découpés vivants pour la fabrication des vaccins. Que l’administration de ces vaccins a déjà mutilé et tué des millions d’enfants, et pas que dans les pays pauvres. En toute connaissance de cause. Et que pour les vieux, on a même pas fait semblant de vouloir les sauver. Un coup de calmant et c’est terminé.

On ne vous a pas beaucoup entendus les défendre non plus.

Et vous voilà bien, maintenant que ça va être votre tour. Il n’y pas grand monde pour vous défendre non plus. Mais vous avez de la chance, parce qu’il y en a quand même un peu. Les mêmes, d’ailleurs, que ceux qui faisaient le boulot pendant que vous étiez devant votre télé, votre smartphone ou dans quoi que ce soit d’aussi utile et intéressant. Et il y a moi. Comme je ne suis pas votre ami, je peux vous dire ceci : il va falloir plus de courage et moins de naïveté. La fin de l’innocence. La récréation est terminée.

Parce que maintenant si vous voulez vraiment vivre, il vous faudra le double de volonté dans un monde que vos maîtres ont tout fait pour rendre invivable, dans une vie qu’ils ont tout fait pour vider de son sens. Et tant que vous les laisserez faire, ils continueront de le faire. Leur objectif c’est l’enfer sur Terre. Pour vous et pour eux. Eux, ils aiment ça. Vous, je ne sais pas.

Si vous voulez de la liberté, il faudra la gagner. Et bien plus difficile, il faudra en faire quelque chose. De bien, si possible. De mieux que de participer à toute cette saloperie.

Si vous voulez de la justice, il faudra la rendre aux autres et à vous-mêmes. Je ne sais pas ce qui est le plus difficile.

Nous voici donc, chers presque amis, bientôt au terme de l’année 2020 – qui pourrait s’écrire ZOZO, vu ce pour quoi on nous prend. L’année qui marque le début de la Quatrième Guerre Mondiale. Guerre bactériologique – ou virale, plutôt. Guerre de l’information – ou de la désinformation, plutôt. Guerre de la santé, de la liberté, de la justice. Guerre économique, évidemment – c’est toujours l’arme ultime. C’est la guerre de toutes les guerres.

Mais c’est surtout la guerre pour la paix.

Je suis content d’avoir découvert tous les braves gens qui se sont battus du bon côté, d’avoir vu leur combat et leur courage. Il reste de bonnes âmes dans ce monde. J’avais oublié.

Del Bigtree, Robert F. Kennedy Jr, Catherine Austin⁻Fitts, tous les médecins intègres, les avocats volontaires et tous ceux qui ont déjà fait une différence, pour eux-mêmes et pour les autres.

Je prierais bien le bon Dieu qu’Il les ait en Sa sainte garde mais je pense que c’est déjà le cas. Il n’a pas tellement besoin de mon avis.

Il sait ce qu’Il a à faire.

A vous de le savoir aussi.

Est-ce le dernier Noël qu’ils nous laisseront fêter? – par Vernon Coleman.

Source.


Traduction

Est-ce le dernier Noël qu’ils nous laisseront fêter?

Dr Vernon Coleman MB ChB DSc FRSA

Depuis qu’on a diagnostiqué un cancer du sein à ma femme, j’entre dans toutes les églises devant lesquelles je passe. Je fais une prière et j’allume une bougie. C’est devenu un rituel important pour moi.

L’autre jour, je suis allé dans une grande église où j’avais été des dizaines de fois. Dès mon entrée, un homme s’est précipité sur moi – clairement un employé de l’église. Il portait des gants en plastique et l’inévitable masque et il s’est mis à me hurler dessus en agitant les bras.

«Vous ne pouvez pas entrer», dit-il. «Nous fermons.» J’ai regardé ma montre. Il était juste passé 15 heures.

«Puis-je rester deux minutes, s’il vous plaît», ai-je supplié. «Je voudrais juste prier et allumer une bougie.»

« Non, » m’a-t-il répondu grossièrement et plutôt agressivement. «Vous pouvez revenir demain à 11h00.»

«Mais je ne serai pas là demain », ai-je dit. «Je serai parti dans deux minutes. Une bougie et une courte prière.» Je réalisai, un peu gêné, que des larmes coulaient sur mes joues.

«Non», fit-il avec toute la compassion d’un ministre – ou d’un vendeur de vaccins. «Vous devez partir.»

Alors je suis parti. Et je n’entrerai plus jamais dans une église. Je serai ce que j’ai été toute ma vie : un chrétien non-pratiquant. Pas besoin d’aller à l’église pour être chrétien ou pour se comporter comme tel.

Nos chefs religieux nous ont trahis cette année. Et le dédain et le mépris qu’ils ont pour nous se sont clairement propagés vers le bas. D’après moi, l’archevêque de Canterbury est une honte – une caricature d’être humain. Je trouverai, à l’avenir, mon réconfort spirituel ailleurs.

Ce n’est pas une coïncidence, bien sûr.

Je ne suis ni fou ni paranoïaque mais j’en sais assez pour savoir que tout ce qui nous arrive a été méticuleusement planifié.

Le monde n’est pas devenu fou et les politiciens ne se comportent pas comme ils le font par bêtise. Tout ce qui s’est passé depuis février 2020 a été commis délibérément. Tout a été planifié. Je suis convaincu que si Ferguson a été choisi pour élaborer ses prédictions c’est parce que ses antécédents en matière de prédiction sont épouvantables. D’après moi, il est 1% scientifique et 99% bouffon. Je suis convaincu que Hancock a été nommé Ministre de la Vie et de la Mort parce que c’est un imbécile dont le verbiage incompétent sème la confusion, la perplexité et la peur. Je crois que Whitty et Vallance ont été chargés de détruire nos vies au Royaume-Uni parce qu’ils entretiennent tous deux des liens avec des puissances déterminées à détruire tout ce qui fait notre monde. Whitty a déjà travaillé pour Gates et Vallance a travaillé pour un important fabricant de vaccins. À mon avis, la même chose s’est produite ailleurs dans le monde. Je ne ferais pas confiance à Fauci, le chef suprême américain, pour me nettoyer les oreilles ou me couper les ongles des orteils.

On a raconté plus de mensonges sur le Covid-19 qu’on en a jamais raconté sur quoi que ce soit dans l’Histoire. Ce ne sont pas de petites erreurs. Ce sont des mensonges énormes, monumentaux. Tout ce qu’ils ont dit et prédit était faux. Impossible d’être plus stupide que nos politiciens et leurs conseillers semblent l’être. Que des médecins, des infirmières, des journalistes continuent à croire ces absurdités est inexplicable. Tout professionnel qui travaille dans ces domaines et qui n’a pas compris qu’il s’agit d’une arnaque devrait être interdit de travailler.

Pas que je veuille me pousser, mais si les gouvernements voulaient se montrer honnêtes, ils licencieraient tous leurs conseillers et m’embaucheraient à leur place. Mes prédictions sur les événements de 2020 se sont toutes réalisées depuis le début de l’année. Et mes prévisions sont toutes en ligne pour quiconque voudrait les vérifier.

Conseiller le gouvernement, je le ferais pour pour trois francs six sous par an. Mais je ne veux pas de ce travail et eux bien sûr ne comptent pas m’embaucher. Ce qu’ils veulent ce sont des conseillers qui se trompent sur tout.

Les mesures temporaires (telles qu’introduites par les gouvernements) ne sont jamais temporaires; elles deviennent permanentes et donc dans ce cas les verrouillages, la distanciation sociale, les masques et les désinfectants pour les mains resteront pour nous rappeler que nous sommes en danger et que nous devons donc vivre dans la peur. L’hypoxie causée par les masques rendra, bien entendu, les gens de plus en plus stupides et obéissants, les conditionnant et les préparant ainsi à accepter les futures tyrannies.

Il est universellement admis parmi les médecins que les verrouillages sont dommageables de toutes les manières imaginables. Les pays qui ont évité les verrouillages s’en sont beaucoup mieux sortis que ceux qui les ont employés. Même l’Organisation Mondiale de la Santé s’est opposée aux verrouillages.

J’ai lu que la raison invoquée pour le verrouillage imposé en Angleterre en novembre 2020 était que certaines personnes refusaient de se plier aux règles. Ce n’est manifestement pas vrai. Il n’y a strictement aucune justification scientifique pour imposer un second verrouillage national. En fait, si quelque chose, la raison de ce verrouillage tient au nombre de personnes qui ont suivi les règles sur le port du masque et la distanciation sociale avec trop d’empressement. Si ces collaborateurs, les gens qui, par aveuglement et par bêtis, enfilent leurs masques mortels et se portent volontaires pour être testés, avaient fait fonctionné leur cerveau et refusé d’obéir aux consignes inutiles et scientifiquement injustifiables d’un gouvernement totalitaire et de sa petite armée de conseillers, le verrouillage n’aurait jamais été imposé et l’Angleterre serait rapidement revenue à l’«ancien» normal, plutôt que de faire un autre pas vers le «nouveau» normal, qui nous mènera vers la perte définitive de nos libertés.

L’autre jour, je suis retombé sur un vieux journal que j’avais déjà lu mais oublié. C’était plutôt déprimant et ça confirme les conclusions que j’ai tirées de mon livre «Paper Doctors» (publié en 1977 et épuisé depuis longtemps).

Intitulé «Comment la médecine factuelle (EBM) [NdT. Evidence-based-medicine] échoue en raison d’essais biaisés et d’une publication sélective» et publié dans le «Journal of Evaluation in Clinical Practice», l’article est accablant. La médecine factuelle est définie comme «l’utilisation consciencieuse et judicieuse des meilleures données probantes actuelles, en conjonction avec l’expertise clinique et les valeurs des patients, pour guider les décisions en matière de soins de santé».

En d’autres termes, l’objectif est de fournir aux patients des soins basés sur les connaissances les meilleures, les plus fiables et les plus appropriées.

Mais il semble que bien que les coûts des soins de santé aient continué à monter en flèche, il n’y a pas de preuves suggérant que l’EBM a entraîné de gain en termes de santé pour les patients. L’article suggère que le potentiel d’amélioration des soins de santé a été contrecarré par un biais dans le choix des hypothèses testées, par la manipulation de la conception de l’étude et par la publication sélective. (En d’autres termes, les revues ne publient que des travaux de recherche utiles aux sociétés pharmaceutiques. Les recherches qui critiquent les nouveaux produits ne sont jamais publiées.)

«Les preuves de ces failles sont les plus claires dans les études financées par l’industrie», affirment les auteurs, qui soutiennent que l’acceptation aveugle des «preuves» produites par les sociétés pharmaceutiques revient à «laisser les politiciens compter leurs propres votes».

Les auteurs soulignent également que la plupart des études sont financées par des sociétés pharmaceutiques et que «les décisions cliniques fondées sur de telles preuves sont susceptibles d’être mal informées, les patients recevant des traitements moins efficaces, nocifs ou plus coûteux.»

Les auteurs appellent à une recherche plus indépendante et à la formation d’organismes mieux informés et indépendants pour évaluer les recherches disponibles. Et ils suggèrent que la recherche biaisée devrait être déconsidérée.

Cet article a été publié en 2014. Rien n’a changé, sauf en pire. Je n’en suis pas surpris. J’avais fait les mêmes remarques (et les mêmes suggestions) en 1977.

Le monde est maintenant corrompu presque au-delà du compréhensible et je suis consterné par le nombre de gens qui continuent d’obéir à des lois dont ils savent qu’elles sont folles, mauvaises et dangereuses. Un porteur de masque m’a dit l’autre jour qu’il savait que tout ça était un canular mais qu’il portait son masque pour se faciliter la vie. Ce sont des gens comme ça, des lâches pour le dire franchement, qui laissent toute latitude aux politiciens et à leurs conseillers. Ce sont des collaborateurs et ils sont méprisables.

Et de jour en jour, le filet se resserre. À Birmingham en Angleterre, le conseil municipal a suggéré qu’on ne devrait être autorisé à dîner dans un restaurant qu’après avoir passé un test. Un test qui s’est révélé inefficace.

Une tache sur le conseil de Birmingham. Les citoyens devraient boycotter tout restaurant qui participe à de tels stratagèmes.

Une société de santé m’a écrit pour m’informer que la plupart des pays de destination exigent que les voyageurs passent un test Covid avant de voyager. De nombreuses agences aux frontières exigent un rapport de laboratoire confirmant que vous n’êtes pas porteurs du virus. Et les tests doivent être effectués quelques jours avant votre arrivée. De plus, certains endroits demandent une lettre signée d’un médecin confirmant le résultat négatif.

On ne demande pas encore de preuve de vaccination. On exige la preuve que vous avez subi un test que presque tous les médecins sensés du monde savent totalement inutile. C’est une hystérie institutionnelle. Tous ceux qui exigent un test devraient être enfermés pour notre protection.

L’autre jour, un député britannique du nom d’Oliver Dowden a déclaré que «le gouvernement ne censure pas ceux qui formulent des critiques quant à l’approche adoptée par le gouvernement face à la pandémie en cours; les gens sont toujours libres de ne pas être d’accord avec l’approche que nous avons adoptée.»

Ah bon?

Je parie qu’on ne lira aucune blague aussi tordante parmi celles qu’on trouvera dans les biscuits de Noël cette année. Nous sommes libres de ne pas être d’accord tant que nous ne tentons pas de partager les faits dans les principaux médias, sur Internet ou en public. Nous sommes libres de manifester notre désaccord dans l’intimité de nos toilettes. Merci Olly. Quel régal.

La police aussi s’amuse bien. Dans certaines régions, ils ont lancé des contrôles aux frontières entre les zones de verrouillage de niveau 2 et de niveau 3. Personnellement, je ne sais absolument pas si je suis dans une zone de niveau 1 ou 2 ou 467. Et je doute fort que, à part les gérants de pubs, quiconque en ait la moindre idée.

Et puis il y a le Covid long. Oh Seigneur. Je vais vous dire quelque chose : les personnes qui ont eu la grippe peuvent ensuite souffrir de douleurs musculaires et de dépression pendant des mois. Elle n’a pourtant jamais été jugée digne d’être adoubée du nom de «grippe longue».

Le «Covid long» n’est qu’un élément de plus dans l’opération psychologique destinée à nous effrayer. Et qui signifiera inévitablement que de plus en plus de personnes développeront des symptômes étranges. Nous sommes tous sensibles à l’idée que nous pourrions développer ou être vulnérables à de nouveaux symptômes ou maladies. C’est une peur humaine naturelle qui peut être exarcerbée par un excès d’informations.

Quand j’étais étudiant en médecine, un de mes colocataires a développé 17 maladies mortelles en un mois. Il n’était pas le seul. Un autre gars avec qui je me suis entraîné est resté convaincu pendant des semaines qu’il était enceinte. Il s’est bien rétabli et est devenu psychiatre.

Nous avons tous tendance à développer une hypocondrie. Faites des recherches sur une maladie et il y a de fortes chances que vous vous inquiétiez soudainement d’en avoir les symptômes.

Et je crains que certains n’utilisent le «Covid long» comme excuse pour s’absenter de leur travail pendant six mois de plus.

Quels autres symptômes vont-ils inventer?

Quand le Dr Whitty [NdT. médecin et épidémiologiste anglais qui exerce les fonctions de médecin-chef pour l’Angleterre] va-t-il nous avertir que les retards postaux sont le résultat du Covid-19? Ou que si votre grille-pain ne fonctionne pas, c’est à cause du Covid?

Et ça ne fera qu’empirer parce qu’il y a trop de gens qui portent des masques pour se faciliter la vie.

Tout ceux qui ont un niveau de connaissance en biologie de niveau O a été enrôlé et amené dans un studio de la BBC pour nous dire que nous permettre de fêter Noël est une grosse erreur. Que le résultat sera terrible. Et que ce sera de notre faute.

Et Public Health England [NdT. agence exécutive fonctionnellement autonome du ministère de la Santé], qui n’est jamais à court de conneries et dont je pensais honnêtement qu’on l’avait fermée et transformée en toilettes publiques, a rapporté que pendant le verrouillage, les supermarchés étaient l’endroit principal que les gens avaient fréquenté avant d’être testés positifs. Mon Dieu. Personne ne leur a dit que les supermarchés étaient les seuls endroits ouverts? Tout le monde a dû se rendre au supermarché pour y acheter à manger, ou de nouvelles chaussettes.

Et voici une citation à encadrer. Elle vient du British Medical Journal.

« Les politiciens et les gouvernements suppriment la science. »

Absolument, absolument!

Mais à part ça, le monde est devenu dingue. Je suis allé chercher une montre pour un ami l’autre jour. Les bijoutiers l’avaient gardée car elle devait être désinfectée avant et après qu’ils l’aient touchée. L’assistante de la boutique a été dans leur zone de décontamination pour chercher la montre emballée dans un sac en plastique. Et puis, à mains nues, elle a sorti la montre du sac et me l’a tendue – détruisant ainsi tout l’intérêt de leur processus de décontamination.

Une preuve supplémentaire que les gens n’ont pas la moindre idée de ce qu’ils font.

Pourtant, il y a des points positifs.

Début août, le magazine Spectator a publié un article affirmant que des millions de personnes dans le monde mouraient du Covid-19.

C’était faux, bien sûr.

Mais quand je me suis plaint, le Spectator a refusé d’imprimer une correction.

Je me suis donc plaint auprès de l’Independent Press Standards Organization et l’autre jour, après quatre mois de délibération et environ six millions de courriels, ils ont jugé que le Spectator devait imprimer une correction.

Un mot était faux. Un mot vital. Mais il a fallu quatre mois pour décider qu’il était faux. Peut-suis-je injuste, mais je soupçonne que si je n’avais pas continué à les harceler pour obtenir une réponse, il n’y aurait jamais eu de jugement.

Ce qui se déroule est pire que n’importe quelle guerre. Pas ce qui se déroule actuellement. Ce qui se déroulera l’année prochaine et dans les années à venir. Ils nous veulent sous contrôle total d’ici décembre 2021. Si nous ne les combattons pas plus durement, il n’y aura plus jamais de Noël. Noël ne fait pas partie de leurs projets, pas plus que les religions individuelles comme le christianisme. Ils veulent un gouvernement mondial et une religion mondiale. Les Nations Unies, le Forum Economique Mondial et les gouvernements du monde entier feront la fête, eux, ce Noël. Ils ont réussi le plus grand canular de l’histoire et ils n’ont aucune intention de faire machine arrière maintenant.

Les gens sont-ils vraiment assez naïfs et stupides pour ne pas comprendre que le test est truqué, que les chiffres sont faux, les prédictions un tissu de conneries et le vaccin si dangereux et inutile que si Monsanto le mettait sur le marché comme herbicide, il serait interdit dans les vingt-quatre heures?

En attendant, notre message se doit d’être simple et constant.

Il n’y a pas de peste.

Les masques, la distanciation sociale sont là pour nous contrôler et nous apprendre à être dociles.

Les tests sont pires qu’inutiles.

Le vaccin n’est pas nécessaire et je pense qu’il tuera de nombreuses personnes.

Combien?

Votre estimation vaut celle de n’importe qui d’autre.

Copyright Vernon Coleman Décembre 2020


Texte original

Is this the Last Christmas They’ll Let Us Have?

Dr Vernon Coleman MB ChB DSc FRSA

Since my wife was diagnosed with breast cancer I have always gone into every church I have seen. I’ve said a prayer and lit a candle. It’s become an important ritual for me.

The other day I went into a large church which I’ve visited dozens of times. As I entered, a man came hurtling towards me – clearly a church employee. He wore plastic gloves and the inevitable mask and he was waving his arms and shouting at me.

`You can’t come in,’ he said. `We’re closing.’

I looked at my watch. It was just after 3.00 pm.

`Can I please stay for just two minutes,’ I begged. `I just want to pray and light a candle.’

`No,’ he said, rudely and rather aggressively. `You can come back tomorrow at 11.00 am.’

`But I won’t be here then,’ I said. `I’ll be gone in two minutes. A candle and a short prayer.’ I realised, with some slight embarrassment that tears were pouring down my cheeks.

`No,’ he said with all the compassion of a government minister – or a vaccine salesman. `You have to leave.’

So I left. And I’ll never go into a church again. I’ll be what I’ve been all my life: an irreligious Christian. You don’t have to go to church to be or to behave like a Christian.

Our religious leaders have betrayed us this year. And the disdain and contempt they have for us has clearly spread downwards. In my view, the Archbishop of Canterbury is a disgrace – a shell of a man. I shall, in future, find my spiritual comfort elsewhere.

It’s not coincidental, of course.

I’m not mad or paranoid but I know enough to know that everything that is happening to us was planned meticulously.

The world hasn’t gone mad and politicians aren’t behaving stupidly. Everything that has happened since February 2020 has been deliberate. It’s all been planned. I believe Ferguson was chosen to make the predictions because his past record at predicting is appalling. In my view, he’s 1% scientist and 99% buffoon. I believe that Hancock was made Minister of Life and Death because he is a half-wit whose blathering incompetence creates confusion, bewilderment and fear. I believe that Whitty and Vallance got to destroy our lives in the UK because they both have links to powers that want to destroy every aspect of our world. Whitty once worked for Gates and Vallance worked for a major vaccine maker. Much the same has, I believed, occurred elsewhere in the world. I wouldn’t trust Fauci, the American supremo to syringe my ears or clip my toe nails.

More lies have been told about covid-19 than have ever been told about anything ever before. These haven’t been small mistakes. They’ve been huge, monumental lies. Everything they’ve said and predicted has been wrong. No one could be as stupid as our politicians and their advisors appear to be. Just why doctors, nurses, journalists still believe this nonsense is a mystery. Anyone in those professions who doesn’t realise that this is a scam shouldn’t be employed.

I’m not being pushy but if governments were honest they would fire all their advisors and hire me. My predictions for what would happen during 2020 have been absolutely accurate since the beginning of the year. And my forecasts are all online for anyone to check.

I’d advise the Government for a peppercorn one penny a year. But I don’t want the job and they won’t hire me of course. They want advisors who get everything wrong.

Temporary measures (as introduced by governments) are never temporary; they become permanent and so in our case the lockdowns, the social distancing, the masks and the hand sanitisers will remain to remind us that we are in danger and should therefore be fearful. The hypoxia caused by the masks will, of course, make people ever more stupid and accepting thereby conditioning them and preparing them to accept future tyrannies.

It is universally accepted among doctors that lockdowns are damaging in every conceivable way. The countries which have avoided lockdowns have done much better than those which have employed them. Even the World Health Organisation has opposed lockdowns.

I have seen it argued that the lockdown introduced in England in November 2020 was caused by people not obeying the rules. That is patently not true. There was never any scientific justification for introducing another national lockdown. Indeed, if anything the lockdown was caused by people obeying the new rules about masks and social distancing too eagerly. If the collaborators, the people who blindly and stupidly put on their deadly masks and volunteer to be tested had used their brains and refused to obey pointless and scientifically unjustifiable orders from a totalitarian government and its small army of advisors, the lockdown would have never been introduced and England would have quickly got back to the `old’ normal, rather than taking another step towards the `new’ normal which will result in a complete loss of freedom.

The other day, I discovered an old paper I had read but forgotten about. It is rather depressing and supports the conclusions I made in my book `Paper Doctors’ (which was published in 1977 and is long out of print).

Entitled `How evidence-based medicine (EBM) is failing due to biased trials and selective publication’ and published in the `Journal of Evaluation in Clinical Practice’, the paper is a damning one. Evidence-based medicine is defined as the `conscientious and judicious use of current best evidence in conjunction with clinical expertise and patient values to guide health care decisions’.

In other words, the aim is to provide patients with care based on the best, most reliable and most appropriate knowledge.

But it seems that although health care costs have continued to soar there is a lack of evidence to suggest that EBM has resulted in health gains for patients. The paper suggests that the potential for improving health care has been thwarted by bias in the choice of hypotheses tested, by the manipulation of study design and by selective publication. (In other words, journals are only publishing research work which is helpful to drug companies. The research which criticises new products is never published.)

`Evidence for these flaws is clearest in industry-funded studies,’ say the authors, who argue that the indiscriminate acceptance of `evidence’ produced by drug companies is `akin to letting politicians count their own votes’.

The authors also point out that most studies are funded by drug companies and that `clinical decisions based on such evidence are likely to be misinformed, with patients given less effective, harmful or more expensive treatments.’

The authors call for more independent research, and for the formation of more informed and independent bodies to assess the available research. And they suggest that research which is biased should be downgraded in value.

This paper was published in 2014. Nothing has changed except to get worse. I am not surprised. I made the same points (and the same suggestions) back in 1977.

The world is now corrupt almost beyond comprehension and I am appalled at how many people continue to obey laws which they know are mad, bad and dangerous. One mask wearer told me the other day that he knows that the whole thing is a hoax but that he wears his mask for an easy life. It’s people like that, cowards to be frank, who are enabling the politicians and their advisors. They are collaborators and they are contemptible.

And day by day the net is tightening.

In Birmingham in England, the city council has suggested that people should be allowed to dine in a restaurant if they have a test first. A test that has been proved not to work.

A plague on Birmingham council. Citizens should boycott any restaurant which takes part in any such foul schemes.

A health company wrote and told me that most destinations are requiring travellers to have a covid test before travelling. `Many border agencies are requesting sight of a lab report confirming that you do not have the virus. And the tests must be within a few days prior to your arrival. Moreover, some places request a signed letter from a doctor confirming the negative result.

They’re aren’t yet demanding proof of vaccination. They’re demanding proof that you had a test that just about every sane doctor in the world knows is utterly useless. It’s institutional hysteria. Everyone demanding a test should be locked up for our protection.

The other day, an MP in the UK called Oliver Dowden stated that `the Government is not censoring those who have criticisms about the approach the Government is taking on the on-going pandemic; people are always free to disagree with the approach we have taken.’

Oh yeah?

I bet there are no jokes that good in this year’s Christmas crackers.

We’re free to disagree as long we don’t expect to be allowed to share the facts in the main stream media, on the internet or out in public. We are free to disagree in the privacy of our own bathrooms. Thanks, Olly. What a treat.

The police are having fun too. In some areas they have launched border checks between tier 2 and tier 3 lockdown areas. Personally, I have absolutely no idea whether I’m in a tier 1 or tier 2 or tier 467. And I very much doubt if anyone who isn’t running a pub has any idea either.

And then there’s long covid.

Oh dear.

I’ll tell you something: people who have had the flu can get muscle pains and depression for months afterwards. It was never dignified with the name `long flu’ though.

`Long covid’ is another part of the psychological operation to scare us. And it will, inevitably, mean that more and more people develop strange symptoms. We are all susceptible to the idea that we might have, or be vulnerable to, new symptoms or diseases. It’s a natural, human fear which can be enhanced by being given too much information.

When I was a medical student, one of my flatmates had 17 lethal diseases in a month. He wasn’t alone. Another fellow I trained with was for weeks convinced that he was pregnant. He made a good recovery and became a psychiatrist.

We all have a tendency to develop hypochondriasis. Research a disease and the chances are that you’ll start worrying that you’ve got the symptoms.

And I’m afraid there will be some who will use `long covid’ as an excuse to stay off work for another six months.

What other symptoms are they going to invent?

When is Dr Whitty going to warn us that postal delays are a result of covid-19. Or if your toaster doesn’t work then it’s because of covid?

And it’s all going to get worse because too many people are wearing masks for an easy life.

Everyone with O level biology has been wound up and wheeled into a BBC studio to tell us that allowing us to have a Christmas is a big mistake. That the result will be terrible. And it will be our fault.

And Public Health England, which is so full of bullshit that I honestly thought had been shut down and turned into a public lavatory, reported that during the lockdown supermarkets were the most common place for people to visit before they tested positive. Gosh. Didn’t anyone tell them that supermarkets were the only places open? Everyone visited a supermarket if they wanted to eat or buy socks.

And here’s a quote to cherish. It’s from the British Medical Journal.

`Politicians and governments are suppressing science.’

Absobloodylutely.

But still the world is mad. I went to pick up a watch for a friend the other day. The jewellers had kept it because it had to be sterilised before and after they touched it. The assistant in the shop brought the watch from their decontamination area in a plastic bag. And then, with bare hands, she took the watch out of the bag and handed it to me – thereby destroying the point of their decontamination process.

More proof that people have no idea what they’re doing.

Still, there are bright spots.

At the beginning of August, the Spectator magazine in the published an article claiming that millions of people around the world were dying of covid-19.

It was untrue, of course.

But when I complained the Spectator refused to print a correction.

So I complained to the Independent Press Standards Organisation and the other day, after four months deliberation and about six million emails, they judged that the Spectator had to print a correction.

One word was wrong. A vital word. But it took four months to decide it was wrong. Maybe I am unfair but I suspect that if hadn’t kept nagging them for a response there would have been no judgement.

This is worse than any war. It’s not what is happening now. It’s what is going to happen next year and in the years to come. They want us to be completely controlled by December 2021. Unless we fight harder there won’t be any more Christmases. Christmas doesn’t fit into their plans and nor do individual religions such as Christianity. They want a one world government and a one world religion. The United Nations, the World Economic Forum and governments everywhere will be celebrating this Christmas. They have pulled off the biggest hoax in history and they have no intentions of backing down now.

Are people really so naïve and stupid that they don’t know that the test is crooked, that the figures are false, the predictions rubbish and the vaccine so dangerous and pointless that if Monsanto put it on the market as weed-killer I think it would be banned in a day.

Meanwhile, our message has to be simple and constant.

There is no plague.

The masks, the social distancing are to control us and to teach us to be compliant.

The tests are worse than useless.

The vaccine isn’t needed and I believe it will kill many people.

How many?

Your guess is as good as anyone else’s.

Copyright Vernon Coleman December 2020

Hommage.

Bonjour.

La dame qui tenait le salon de coiffure où mon épouse emmenait les enfants de son institution se faire couper les cheveux est morte. Comme des dizaines de milliers d’autres, on l’a empêché d’ouvrir son commerce depuis des mois. Depuis le début de cette « crise », elle avait à payer un loyer commercial pour un salon fermé, des charges sociales pour ses cinq ouvrières au chômage, une avance sur TVA sur des recettes inexistantes et probablement encore d’autres taxes. Elle avait ses propres charges privées à assumer et une famille à nourrir. L’aumone généreusement octroyée par l’Etat était totalement insuffisante pour lui permettre de s’en sortir. Elle a tenu le coup aussi longtemps qu’il était humainement possible de tenir.

Puis, elle s’est suicidée.

Vous trouverez ci-dessous une traduction d’un article paru dans le Washington Post. C’est le témoignage d’un propriétaire de restaurant pris dans ce même engrenage, qui détruit la vie des entrepreneurs courageux et de leurs familles, et l’héritage durement acquis par plusieurs générations.

Je publie cet article à la mémoire de cette dame. C’est vraiment le moins que je puisse faire. A vous de voir ce que vous pouvez faire de votre côté.

Un million supplémentaire de Français sont passés sous le seuil de pauvreté depuis mars. On en est à dix millions, une personne sur six, dix fois plus que dans les années 80. Chez les dix millions au chômage partiel, beaucoup n’ont encore pas reçu le moindre centime de l’Etat et sont plongés dans une telle misère qu’ils en sont réduits à frapper à la porte de leurs voisins, pour mendier de la nourriture. Les loyers impayés des logements, les mensualités impayées des crédits hypothécaires ne seront pas rattrapables. Ce sont des millions de Français qui pourraient se retrouver à la rue d’ici avril prochain.

Alors, je suis d’accord sur le fait qu’on est pas sur Terre pour règler tous les problèmes. C’est le sujet de mon article précédent. Mais de là à se laisser exterminer sans réagir, il y a une nuance. Parce que ces suicides ne sont pas des suicides. Ce sont des assassinats. Avec préméditation. Par des gens dans des bureaux qui organisent la mort des peuples. En éliminant la classe moyenne et en mettant en esclavage tout le reste. Comme au bon vieux temps du bolchévisme, financé et organisé par les mêmes familles bancaires. La bureaucratie contre le monde du travail. Les parasites contre les travailleurs. Ceux qui parlent de destruction de la civilisation occidentale – j’en fais partie – ont raison. C’est écrit noir sur blanc dans le projet du Grand Reset. Le troupeau est jugé ingérable, il faut raccourcir la corde. C’est le principe.

Mais quand je suis témoin du suicide d’une femme courageuse, c’est un rappel brutal de ce que ça signifie à l’échelle de la vie humaine. Tout comme quand on assassine Brandy Vaughn, lanceuse d’alerte aux Etats-Unis, autre femme courageuse.

Tout ça au nom d’une maladie pour laquelle il existe des thérapies efficaces. Passées sous silence, ou discréditées, ou interdites. En faveur de molécules dangereuses et inefficaces – mais très rentables – et pour justifier une caricature de « vaccin » dont personne ne mesure aujourd’hui le potentiel destructeur.

Ce ne sont pas des théories mais des faits. Ce ne sont pas des complots mais un programme. Ce ne sont pas des données chiffrées mais des gens qui ont souffert et qui sont morts.

C’est un génocide, et il ne fait que commencer.


Traduction.

Voir les photos dans l’article original.

Une voix dans la pandémie

« C’est ce que Trump disait: le remède a été pire que la maladie. »

Mike Fratantuono, directeur du Sunset Restaurant à Glen Burnie, Maryland, à propos de la mort d’une entreprise familiale.

J’ai grandi dans ce restaurant, et maintenant ma femme aide en salle et ma fille travaille à la réception. C’est un lieu familial – quatre générations et plus. Je connais chaque pouce de tuyau et de fil qui le traverse. J’y ai été le plombier, l’aide-serveur, l’homme à tout faire, le boucher, le barman, le cuisinier, le gérant. J’ai exercé tous les métiers dans ce restaurant, et aujourd’hui je dois le fermer.

Ça me tue. Nous nous nous préparions à célébrer notre 60ème anniversaire cette année, et à la place, on remballe tout et on ferme à la fin du mois. Je trouverai un autre emploi, mais ici c’est bien plus qu’un emploi. C’est chez moi. Ces murs sont comme un album de photos de famille. J’essaie de ne pas sombrer dans la mélancolie, car ça ne changera rien, mais parfois le stress s’empare de moi et j’ai le coeur qui s’emballe. Je suis frustré. Ça me met en colère. Comment trouver le moindre sens à ce qui arrive? Je ne connais pas une seule personne qui ait attrapé le Covid, et je sais que c’est probablement par chance, mais là maintenant, je pourrais vous citer au moins une douzaine d’entreprises et quelques centaines de personnes qui sont en faillite. Je comprends que ce virus est réel, ok? Il est réel et il est horrible. Je ne conteste rien de tout ça. Mais l’hystérie qui règne dans ce pays est bien pire. Nous avons permis au virus de prendre le contrôle de notre économie, de nos petites entreprises, de nos écoles, de nos vies sociales, de toute notre qualité de vie. Nous avons capitulé et maintenant tout est contaminé.

J’aime à croire que ce restaurant est résilient. Nous avons tout fait pour qu’il vive. Mon père y a travaillé cinq jours par semaine jusqu’à sa mort, à 82 ans, c’est donc inscrit dans notre ADN. Lorsque le gouverneur nous a fait fermer pour la première fois en mars, on s’est réunis avec mon frère et mon cousin, et nous avons choisi ensemble d’y voir une opportunité. Le restaurant marchait plutôt bien jusqu’alors. Nous avions un peu d’argent de côté. Nous avons décidé : « Réinvestissons dans l’entreprise comme il est d’usage. » Nous avons entièrement rénové notre bar. Nous avons installé de nouvelles toilettes et de nouvelles lignes d’attente. Nous avons fait visiter le tout à quelques-uns de nos fidèles clients, et ils ont dit: «Wow. Lorsque cet endroit va rouvrir, vous allez faire le plein tous les jours. Vous allez faire un retour en force.»

Nous avons cinq salles, 85 employés et une surface de 13.000 pieds carrés, et nous serions censés fonctionner comme une vieille baraque à hamburgers? Combien connaissez-vous de personnes prêtes à dépenser 40$ pour un steak tiède qui a traversé la moitié de la ville? Ce n’est pas notre activité normale. Nous sommes de la vieille école. Nous n’avons pas d’ailes de poulet congelées toutes prêtes à réchauffer et à balancer dans une boîte en carton en cinq minutes. Nous achetons le poulet frais, le parons, le découpons et le panons. Il faut 25 minutes pour préparer vos ailes frites, temps que vous passez à parler entre vous et à déguster un cocktail ou deux. Mais ça c’est l’ancien monde, n’est-ce pas? Quel choix nous restait-il? Nous avons revu notre menu à emporter pour en réduire les prix et nous avons fait équipe avec DoorDash et Grubhub [NdT. deux firmes de livraison qui offrent leurs services aux restaurants]. Nous avons créé des menus à thème à l’occasion de la fête des mères et de Pâques. Nous avons livré des repas de charité aux hôpitaux et ouvert une baraque de vente de crabe à l’avant pour pouvoir vendre au boisseau. Nous dépensions 800$ par semaine en emballages pour les plats à emporter, et il n’y a rien à gagner dans ce genre d’activités. On perd sur la vente d’alcool. On ne reçoit pas le même genre de pourboires. Nous avons continué à nous accrocher en mars, avril et mai, mais nos revenus ont baissé de plus de 80%. Nous avons dû licencier 75 personnes. Ça fait 75 familles aux prises avec le chômage et les difficultés financières, pas parce qu’un virus les a rendues malades.

Lorsque l’État a autorisé les repas en plein air, je me suis précipité dans tous les Costco de la région et j’ai acheté toutes les tables de pique-nique que j’y ai trouvées. Nous en avons acheté 20 à 150$ la pièce. Nous avons ceinturé le parking et avons sorti des seaux de bière fraîche. Nous avons essayé de rendre ça attrayant, mais c’est l’été à Baltimore, il fait 90°F à l’extérieur et nous proposions du velouté de crabe à des gens qui suent des gouttes sur l’asphalte. Personne n’est venu. Pourquoi seraient-ils venus? Nous nous sommes tenus prêts pendant neuf heures chaque jour et nous avons attendu.

Nous sommes devenus plus créatifs. Nous avons encore essayé. Nous avons ouvert à 50% de notre capacité et avons proposé de la musique live, des dîners à thème, des soirées mystères et un repas avec un médium. Nous avons réinventé ce restaurant une douzaine de fois, mais rien de tout ça n’a fonctionné.

Et quel genre de soutien avons-nous reçu? Davantage de règles. Davantage de restrictions. Davantage de règlements, d’obligations et de couvre-feux. Nous devons fermer à 22 heures, car je suppose que le Covid sort à 22h01 – excepté au casino en bas de la rue apparemment, car ils ont un piston politique et peuvent rester ouverts aussi longtemps qu’ils le souhaitent. Vous pouvez vous asseoir à notre bar et prendre un verre, mais vous ne pouvez pas vous lever et vous mélanger entre vous, car c’est considéré comme une infraction à la règle sanitaire, donc maintenant je dois vous servir et vous policer en même temps. « Merci d’être venu! Nous avons vraiment besoin de votre clientèle. Maintenant, mettez votre masque ou asseyez-vous! » Je dois acheter des désinfectants, des portions individuelles de ketchup, des menus en papier et des salières et poivrières personnelles, sinon je risque une amende. Mes employés doivent porter leur masque tout le temps, même lorsqu’ils sont seuls dans un bureau, mais en attendant, nous avons un groupe de 40 personnes en salle sans masque, et c’est considéré comme sûr parce qu’ils boivent de l’eau? Rien de tout ça n’a le moindre sens.

Une cliente est venue l’autre jour, et elle n’a pas pu s’asseoir parce que nous avions quelques autres clients attablés et avions atteint la limite de 50% dans la salle qu’elle préfère. J’ai dû lui demander d’attendre. J’aurais préféré la laisser s’asseoir et accepter son argent. Je déteste ce règlement, mais maintenant je suis obligé de l’appliquer. Mais elle voyait des tables vides, et ne comprenait pas. Elle s’est fâchée et a décidé d’appeler le 911 et de leur dire que nous étions en surcapacité. Deux policiers armés sont venus. Le foyer était entièrement vide. Il n’y avait personne au bar. J’ai l’autorisation des pompiers, affichée au mur, pour 323 personnes maximum, et ils n’en ont même pas compté 100. Je leur ai dit: « Je rêve d’être en surcapacité, mais je doute que ça arrive encore un jour. »

C’est ce que disait Trump: le remède a été pire que la maladie. Les gens ont passé trop de temps chez eux à regarder les infos à longueur de journée, abreuvés de cette hystérie au point de désinfecter leurs courses et d’avoir peur de quitter leur maison. C’est devenu une nouvelle tactique anti-Trump dans la presse. La mise en accusation n’a pas fonctionné, les abeilles tueuses n’ont pas fonctionné alors on va faire du Covid un truc énorme pour tenter de lui nuire. Mais c’est nous qui avons souffert. Ça a été échec sur échec. Ce fut une mort lente et douloureuse.

Nous sommes allés voir notre comptable à la fin de l’été. Il a regardé les chiffres sans dire grand chose, ce qui n’est pas son genre. Je lui ai demandé: « Que feriez-vous? » Il a dit que, vu la tournure que tout ça prenait, nous n’aurions plus rien à perdre d’ici quelques mois.

C’est à ce moment-là que nous avons pris notre décision. Il n’y avait pas grand chose à discuter.

Notre dernier jour d’ouverture est le 30 septembre, ensuite on arrête tout.

eli.saslow@washpost.com


Texte original.

Voices from the Pandemic

‘It’s like Trump said: The cure has been worse than the disease.’

Mike Fratantuono, manager of Sunset Restaurant in Glen Burnie, Md., on the death of a family business.

I grew up inside this restaurant, and now my wife’s helping out in the dining room and my daughter’s working at the hostess stand. This is a family place — four generations and counting. I know every inch of pipe and wire we have running through here. I’ve been the plumber, the busboy, the handyman, the butcher, the bartender, the prep cook, the manager. I’ve done every job there is in this restaurant, and now I’m the one who has to shut us down.

It kills me. We were supposed to be getting ready to celebrate our 60th anniversary this year, and instead we’re packing up and closing at the end of this month. I’ll find another job, but it’s more than that. It’s home. These walls are like a family photo album. I try not to get too sentimental about it, because it won’t change a damn thing, but sometimes the stress hits me and my heart starts going like crazy. I get frustrated. It makes me angry. How does this whole situation make any sense? I don’t know a single person that’s gotten covid, and I know that’s probably lucky, but right now I can tell you about at least a dozen businesses going under and a few hundred people going broke.

I know this virus is real, okay? It’s real and it’s awful. I’m not disputing any of that. But our national hysteria is worse. We allowed the virus to take over our economy, our small businesses, our schools, our social lives, our whole quality of life. We surrendered, and now everything’s infected.

like to believe this restaurant is resilient. We tried to outlast it. My father worked here five days a week until he died at age 82, so that’s in our DNA. When the governor first shut us down in March, I got together with my brother and my cousin, and we agreed to think of this as an opportunity. The restaurant was doing pretty good at that point. We had a little money to spend. We said: “Let’s reinvest back in the business like it’s supposed to be done.” We remodeled the entire bar. We put in new bathrooms and new draft lines. We gave a tour to a few of our loyal customers, and they said: “Wow. When this place opens up, you’re going to fill it every day. You’ll be back bigger than ever.”

At first the state was only allowing us do carryout. So, okay. We’ve got five dining rooms, 85 employees, and 13,000 square feet of space, and now you want us to operate like your regular old burger shack? How many people do you know who are willing to spend $40 on a lukewarm steak that’s traveled halfway across town? That’s not our typical business. We’re old school. We don’t have frozen hot wings that we heat up and toss in a cardboard box in five minutes. We buy the chicken fresh, cut off the fat, pound it out and bread it. Your wings take 25 minutes while you’re enjoying a conversation and a cocktail or two. But that’s the old world, right? What choice did we have? We redid our carryout menu to cut the prices down and teamed up with DoorDash and Grubhub. We created themed menus for Mother’s Day and Easter. We delivered charity meals out to the hospitals and opened up a crab trailer out front so we could sell by the bushel. We were spending $800 a week on carryout containers, and there’s no real profit in any of it. You lose out on booze. You don’t get the same tips. We kept hanging on through March, April and May, but our revenue was down more than 80 percent. We had to lay off 75 people. That’s 75 families dealing with unemployment and financial hardships, and not because a virus made any of them sick.

When the state opened up for outdoor dining, I ran out to every Costco in the area and bought any picnic table I could find. We got 20 for $150 a piece. We roped off the parking lot and put out buckets of cold beer. We tried to make it look nice, but it’s summer in Baltimore, and it’s 90-some degrees outside and you’re selling cream of crab soup to people who are sweating on the asphalt. Nobody really came. Why would they come? We stood out there for nine hours each day and we waited.

We got more creative. We kept on trying. We opened up at 50 percent capacity and had live music, themed dinners, mystery nights and a meal with a psychic. We reinvented this restaurant a dozen times, but none of it worked.

And what kind of support did we get? More rules. More restrictions. More regulations, mandates and curfews. We have to close at 10 p.m., because I guess maybe covid comes out at 10:01 — except apparently not at the casino down the road, because they have political leverage, and they get to stay open as long as they want. You can sit at our bar and have a drink, but you can’t get up and mingle, because that’s considered a health violation, so now I’m trying to serve you and police you at the same time. “Thanks for coming! We really need your business. Now put on your mask or sit the hell back down!” I have to buy disinfectants, individual ketchups, paper menus, and personal salt-and-pepper shakers or else I might get fined. My employees have to wear their masks all the time, even when they’re alone in an office, but meanwhile we have a group of 40 people in the dining room with no masks on, and that’s deemed safe because they’re drinking water? None of it makes any sense.

We had a customer come in the other day, and she couldn’t get seated because we had a few other tables, and we’d hit our 50 percent capacity in the one dining room she likes. I had to ask her to wait. I’d rather sit her down and take her money. I hate this rule, but now I have to enforce it. But she could see all the empty tables, and she didn’t understand it. She got mad and decided to call 911 and tell them we were over capacity. Two armed police officers came through here. The whole foyer was empty. There was nobody at the bar. I’ve got a max fire rating on the wall for 323 people, and they couldn’t count up to 100. I told them: “I dream about being over capacity, but I doubt it will happen again.”

It’s like Trump said: The cure has been worse than the disease. People spent too much time at home watching the news all day, drinking in this hysteria until they were spraying down their groceries and afraid to leave home. It became another anti-Trump thing in the press. The impeachment didn’t work, the killer bees didn’t work, so let’s blow covid out of proportion and see if it hurts him. But it’s the rest of us that got hurt. It was day after day of failure. It was a slow and painful death.

We went to see our accountant at the end of the summer. He looked over the numbers but he didn’t say much, and that’s not like him. I said: “What would you do?” He said the way things were going, we’d have nothing left to lose within a few months.

We made the decision right then. There wasn’t much to discuss.

Our last day is September 30th, and then we’re done.

eli.saslow@washpost.com

Faillites.

Faillite économique

Nous assistons aujourd’hui à diverses faillites systémiques simultanées. La faillite économique, d’abord, à travers l’endettement en phase terminale qui advient de la destruction de la classe moyenne (petits commerces, petits entrepreneurs), seule garante de la santé économique nationale, elle-même articulée sur les conséquences de la faillite du système sanitaire, abordée dans le paragraphe suivant.

Les choix opérés dans la gestion de la crise sont significatifs. De l’aveu même des gouvernements qui les imposent (enfin, pas tous), les mesures de confinement, couvre-feu et autres auront, rien que dans les pays concernés – sans même parler des conséquences sur les pays pauvres – un effet délétère infiniment supérieur à leur bénéfice annoncé, en supposant qu’il en existe. On notera que les « erreurs » de réaction à la première vague sont répétées, en pire, à la deuxième. Le sursis entre mai et octobre n’a pas du tout été mis à profit, avec un acharnement suspect, afin qu’aucune remise en question du mode d’action ne puisse être considérée. Toujours pas de structure de prophylaxie efficace, aucune amélioration de la capacité des services d’urgences.

Faillite sanitaire

Je suppose qu’à ce stade, ça n’échappera plus à personne. Le détricotage des services d’urgence et de réanimation (à titre d’exemple, 5.000 lits en France pour une population de soixante sept millions) était la recette de la catastrophe. Le monde politique justifie le choix du confinement par une situation qu’il a lui-même créée : les services de réanimation – déjà, hors pandémie, débordés par la grippe annuelle – sont a fortiori incapables d’assumer une crise plus grave.

Historiquement, cette prise d’otages en mode sanitaire s’est mise en place en phases successives. Premièrement, ce sont les architectes des révolutions industrielles (un petit rappel des coûts humains ici) qui ont relégué les gens dans les villes, créant ainsi le « marché du travail », masse corvéable, parquée dans des structures loin de tout contact avec la nature. Or, c’est ce contact millénaire qui a maintenu la symbiose entre l’homme et le vivant et l’a équipé pour affronter les fluctuations de son environnement, parfois extrêmes, parfois au coût élevé en vies humaines, notamment les variations climatiques et les minimums solaires, dont nous vivons actuellement le pire depuis 1810 – sa fin est prévue pour 2021.

C’est sur ce terrain miné – et toxique – de l’urbanisation que naissent les doctrines, d’inspiration anglo-saxonne, telles que l’hygiénisme et la stérilité biologique et que peut ensuite s’accomplir l’industrialisation du système de santé. Les entreprises pharmaceutiques, relèguant le patrimoine des remèdes naturels au rang de folklore, prennent le rôle de pourvoyeurs de remèdes symptomatiques (et parallèlement de pesticides pour le secteur agro-alimentaire, industrialisé lui aussi), les médecins le rôle de distributeurs automatiques desdits remèdes en rupture avec la tradition de la médecine familiale, et les hôpitaux celui de succursales technologiques du système, le tout financé par l’argent public via les ponctions estampillées Sécurité sociale.

La faillite annoncée de cette dernière – prérequis à sa fin officielle – n’était pas inéluctable : c’est le lobbying des firmes pharmaceutiques, avec l’indulgence des « élus », qui a permis le remboursement de molécules essentiellement inutiles ou redondantes, systématiquement toxiques et vendues à prix d’or, au détriment de molécules simples, efficaces, connues, peu toxiques et presque gratuites (cf. l’hydroxychoroquine). On peut noter toutefois des initiatives qui visent à les réhabiliter. Le Pr Raoult en parle ici (en fin d’interview) et déplore que la France ne fasse pas partie de ce projet. On teste au CNRS des remèdes anciens contre le Covid – une vidéo en parle ici.

Le modèle en cours de réalisation pour l’après-crise, le Grand Reset, qui commence le 1er janvier 2021, nous infligera, sous couvert de sécurité sanitaire, exactement l’inverse de ce que nous dicte le simple bon sens, qui serait un retour à l’équilibre homme/nature. On nous fourgue les « villes intelligentes », paroxysme de l’urbanisation, et la « quatrième révolution industrielle » – pour l’intérêt exclusif de ceux qui nous ont déjà vendu les trois précédentes : le « nouveau normal », qui n’est qu’une incrémentation de la déconnexion du réel à travers l’imposition du virtuel, et toutes les possibilités de contrôle qu’il offre, dans tous les domaines.

Pour imposer ce modèle, il fallait faire de la place. C’est la raison d’êtres de ces faillites organisées, donc frauduleuses.

Origine du virus

Le remède étant pire que le mal, comme c’est à présent bien établi, reste la question de fond : d’où sort ce mal très opportun? Origine naturelle instrumentalisée ou création synthétique d’un outil de « régulation »?

En préambule, lisez cet article publié sur le site du CNRS, titré « La question de l’origine du SARS-CoV-2 se pose sérieusement« . Une interview de la généticienne Alexandra Henrion-Claude ici, qui en parle également.

J’ai été personnellement témoin du développement de la maladie chez des personnes proches. Pour les personnes « à risque » (mais pas que), elle est extrêmement sévère, pénible à la limite du supportable et laisse des séquelles, parfois très graves. Elle touche à peu près tout dans le corps humain. Son tableau clinique correspond exactement à ce qui est décrit par le Pr Raoult, notamment. C’est donc bien une maladie spécifique, et nouvelle. Vu la débauche d’informations contradictoires qui l’entourent, les sceptiques ont de quoi en douter. J’en étais. C’est une erreur. Majoritairement, les personnes qui l’ont vécue ne peuvent plus croire à son origine naturelle. Tout comme bon nombre de médecins.

Origine naturelle

Ça sera bref. Quasiment tout est expliqué dans l’article du CNRS dont lien ci-dessus : s’il y a eu transmission de l’animal à l’homme, on cherche toujours – là aussi – le chaînon manquant de la mutation du virus.

Origine synthétique

L’évènement 201 se tient quelques semaines avant le début officiel de l’épidémie – début dont on sait maintenant qu’il était très antérieur au « patient zéro » chinois (premier cas authentifié en mars 2019) et qu’il était géographiquement très disséminé – France, Etats-Unis… Cet « exercice » se tient donc simultanément à l’événement.

L’hydroxychloroquine est classée en France substance vénéneuse en janvier. Les masques sont interdits, puis non-disponibles, tout comme les tests. La plus grande confusion règne dans les communications officielles.

Le comptage des décès n’est pas fiable : comme on le sait maintenant, il est gonflé artificiellement par attribution d’incentive au corps médical. Pourquoi? Parallèlement, d’autres décès ou pathologies ne sont pas attribués au Covid alors qu’ils devraient l’être, puisqu’on ne connaît pas encore à ce moment l’étendue systémique de l’infection. Là aussi, la confusion règne.

Ensuite, il est question d’une deuxième vague avant même la fin de la première, par des gens qui ont l’air absolument sûrs de leur propos – notamment un certain Bill Gates. Mais comment peuvent-ils le savoir, alors que l’homme de terrain par excellence – le Pr Raoult – insiste bien sur le fait que ça n’arrive jamais?

A propos de Raoult, pourquoi un tel acharnement à discréditer et même interdire son traitement? Pourquoi aller jusqu’à sacrifier la crédibilité d’un organe comme le Lancet par la publication d’un faux grossier? Pourquoi des essais truqués, Discovery et autres? Pourquoi ne mise-t-on en France et ailleurs, sur base des données recueillies entre février et avril, ni sur une prophylaxie des sujets à risque, ni sur une politique de soins ambulatoires (il y a actuellement sur le marché du travail en France 178.000 infirmières diplômées occupées dans d’autres secteurs), ni sur l’amélioration de la structure d’accueil en profitant du sursis avant la deuxième vague promise. Du confinement, des masques, de la distanciation, point final.

La prétendue deuxième vague confirme l’analyse de Raoult : l’épidémie qui sévit actuellement n’est pas due à une mutation du SarsCov-2 mais à une variante, qui devrait donc être désigné SarsCov-3. C’est la quatrième à circuler en France et en Belgique. Elle vient d’Europe du Nord – la deuxième venait d’Italie, la troisième du Maghreb. Ou quelque chose comme ça, franchement j’arrive plus à compter – allez voir chez Raoult si vous vous y retrouvez mieux que moi. Donc quatre variantes (ou plus) à quelques semaines d’intervalle, sans immunité croisée. Phénomène inédit et pourtant annoncé?

Un caprice de Mère Nature ou la petite valise d’éprouvettes de l’Armée des Douze Singes?

On nous promet aussi que ce virus est là pour toujours – encore une fois, comment le savent-ils? Outre justification du « vaccin« , du « nouveau normal » et de son cortège de mesures orwelliennes, ce serait un moyen pratique d’introduire à long terme la politique eugéniste d’élimination des vieux, prônée par le porte-parole de l’oligarchie mondialiste, Jacques Attali, qui nous prévenait également que le gouvernement mondial – capitale à Jerusalem – adviendrait inéluctablement, soit par l’accord des peuples (lire « soumission »), soit après une guerre.

Ah bon, mais quel genre de guerre? Bactériologique?

Quelles sont les chances statistiques d’un tel enchaînement de coïncidences, qui pointent toutes dans la même direction?

La révolution infiltrée – par Miles Mathis.

Encore un article de Miles Mathis. Après ça j’en ponds un à moi. Ce n’est pas de la paresse, la traduction me prend des heures! Je note que ce cher Miles n’a sans doute personne dans son entourage qui a enduré le Covid (sous sa forme sévère), ou il n’en parlerait pas comme d’un canular (voir ici). Sinon le reste de l’analyse est assez correct.

Un autre truc amusant c’est que je publie des traductions d’articles de Vernon Coleman sur ce blog et qu’il est ici soupçonné de faire partie de l’opposition contrôlée.

Source.

Voir les photos sur l’article original.


Traduction

La révolution infiltrée

(photo)

par Miles Mathis

première publication le 1er septembre 2020

Il y a eu de grandes manifestations autour du Corona dans le monde entier la semaine dernière, y compris une à Berlin et une grande à Londres. Je ne pense pas qu’elles aient été fabriquées, mais elles ont clairement été infiltrées. Sur les dizaines de milliers de personnes présentes, il y en avait des milliers embauchés pour discréditer le mouvement en brandissant des pancartes volontairement stupides ou en faisant des truc idiots. Mais plus important encore, les manifestations ont été infiltrées directement depuis le podium, où les gouvernements allemand et britannique ont habilement installé leurs propres «leaders» du mouvement. À Londres, la manifestation a également été délibérément limitée en la confinant dans Trafalgar Square, lieu assez exigu, où seules quelques milliers de personnes pouvaient se rassembler.

À Londres, ces faux leaders comprenaient David Icke, Piers Corbyn et Vernon Coleman – tous les trois ont des liens étroits avec les médias grand public et tentent de façon évidente de contrôler l’opposition.

J’ai déjà démonté David Icke. Piers Corbyn est le frère de l’ancien dirigeant travailliste Jeremy Corbyn, et il était précédemment lié au Heartland Institute, un énorme drapeau rouge. Et devinez à quoi il ressemble :

(photo)

C’est vraiment trop facile avec eux. Il pourrait tout aussi bien porter une tunique mauve.

Idem pour Vernon Coleman,

(photo)

mis en vedette sur Youtube pour nous préparer à ses vidéos sur le Covid. Ce jour-là, il a bien fait attention à dire ce qu’il fallait, à plaire à son public, mais sa biographie le trahit. Il a travaillé pour le Sunday People jusqu’en 2003, et plusieurs de ses livres ont été promus par les grands éditeurs et par les listes de best-sellers du Sunday Times, bien qu’il soit prétendument à contre-courant. Ça n’arrive jamais qu’aux membres de l’opposition contrôlée. Vous ne verrez jamais les médias ou les éditeurs grand public publier mes livres ou me faire de la promo. C’est exactement le contraire qui arrive. Ainsi, quand nous lisons dans The Economist qu’«il incarne à lui seul le Lone Ranger, Robin Hood et l’Equalizer», nous savons que quelque chose cloche. Le Glasgow Evening Times l’a élevé au rang de «trésor national». Le Sunday Mirror a qualifié ses livres de «lecture compulsive». BBC World l’a décrit comme «sensé et rafraîchissant à la fois». Vous voudrez peut-être vous rappeler à qui appartiennent tous ces médias.

Répétons-le, il a été promu par The Economist, rien moins. The Economist, qui s’est spécialisé dans le plaidoyer pour la privatisation et la déréglementation. The Economist, fermement ancré dans la poche des grandes sociétés pharmaceutiques et de la médecine officielle. The Economist, qui appartient majoritairement à la famille Agnelli, fondatrice de Fiat et célèbre en tant que grands partisans de Mussolini. Autrement dit, du fascisme. Cette famille et cette entreprise ont été accusées de corruption depuis toujours et sont célèbres en Italie pour avoir été reconnues coupables dans les années 1990 de fraude massive, de pots-de-vin et d’escroquerie généralisée.

Chez Amazon, nous apprenons que Coleman est publié par l’European Medical Journal, qui tente de nous vendre désormais du Covid. Plutôt étrange, non? Voilà un type surtout connu pour avoir déclaré qu’on risque fort d’être tué par son propre médecin, et il est pourtant publié par l’European Medical Journal? Comment expliquer ça, si ce n’est par son appartenance à l’opposition contrôlée. Oui, il a parfois raison, mais c’est comme ça qu’ils procèdent. On contrôle l’opposition en leur disant beaucoup de choses qu’ils savent déjà et veulent entendre, puis on les détourne. Ce qu’il dit des vaccins est juste, par exemple, mais parmi ses 100 autres livres, il y a des titres comme The Coming Apocalypse et Are you Living with a Psychopath?

Il a également un livre intitulé The 100 Greatest Englishmen and Women. Ce n’est pas un classement public, ce sont ses «héros personnels». Oliver Cromwell est le numéro 4. Churchill est le numéro 7. William Wilberforce est en haut de la liste. Voir l’autre article que j’ai publié aujourd’hui. William Petty est au # 22 : Petty était l’arpenteur juif de Cromwell, cartographiant les terres à voler pendant la guerre et à donner ensuite à ses soldats. Comme tout les autres sur la liste, c’était un énorme escroc. John Lilburne est # 30. Il faut vraiment lire sa page Wiki, si vous ne savez pas qui il était. En voici juste un avant-goût :

Le 18 avril 1638, Lilburne fut flagellé sur la peau nue de son dos d’un fouet à trois lanières, tandis qu’il était traîné par les mains, attachées à l’arrière d’une charrette à bœufs, depuis la Fleet Prison jusqu’au pilori de Westminster. Il fut ensuite forcé de s’accroupir au pilori où il a quand même réussi à faire campagne contre ses censeurs, tout en distribuant davantage de littérature interdite aux foules. [7] Il fut ensuite bâillonné. Finalement, il fut jeté en prison. Il fut ramené au tribunal et de nouveau emprisonné. Pendant son emprisonnement à Fleet, il fut cruellement traité. [12] Pendant son séjour en prison, il réussit cependant à écrire et à faire imprimer en 1638 un récit de sa propre punition intitulé L’Oeuvre de la Bête et en 1639 un plaidoyer pour la séparation de l’église d’Angleterre, intitulée Sortez-en, mon peuple.

Il a distribué de la littérature interdite alors qu’il était au pilori? Et nous sommes censés croire ça? Et alors qu’il était en prison pour avoir publié sans autorisation, il a écrit et publié deux autres livres? Mais oui, bien sûr. Vous comprenez pourquoi il est un héros de Coleman.

Robert Peel est # 40. Vous vous souviendrez de lui sur la pochette de Sgt. Pepper’s [NdT. l’abum des Beatles, dont la pochette est un véritable catalogue des personnages-projets du Renseignement – tout comme les Beatles, d’ailleurs, création du Tavistock Institute]. Il a été ministre de l’Intérieur, chef secret du Renseignement, puis Premier ministre. Je doute fort que de vrais révolutionnaires ou des Robin des Bois l’incluent dans la liste de leurs héros. Moi non.

Je n’avais pas l’intention de démonter Coleman, mais c’était trop facile pour laisser passer l’occasion.

Mais revenons à Icke. La première chose que j’ai remarquée, c’est à quel point il a grossi. C’est un ex-athlète, chers amis, et il a maintenant l’air d’un type qui avalé un ballon de plage. Vous me direz qu’il vieillit, mais il n’a que 11 ans de plus que moi. Il n’a même pas 70 ans. Mais encore une fois, c’est ainsi que vieillissent les Phéniciens. Les entreprises de tromperie ne leur réussissent pas, question santé ou apparence.

Le pouvoir utilise les partisans d’Icke et de QAnon pour discréditer les manifestations Covid, nous devons donc nous demander qui a invité ces personnes? Pas besoin d’invitation pour faire partie de la foule, bien sûr, mais il faut être invité pour parler sur scène, ou pour figurer sur scène derrière les orateurs avec une bannière ou un masque/costume. Encore une fois, qui a géré tout ça? Après coup, il apparaît assez clairement que tout n’était que mise en scène, et nous aurions dû le prévoir depuis le début. Voici donc ma suggestion à ceux qui en sont mécontents :

Ne le tolérez pas! Lors de la prochaine grande manifestation de ce genre, préparez votre propre projet, qui sera prêt à être déployé à votre arrivée. Rassemblez quelques dizaines de personnes très bruyantes, de préférence des femmes à la voix aigüe, flanquées de grands types musclés, et garez-les près de la scène. Puis chahutez, huez et jetez des objets (non dangereux) sur les haut-parleurs. Apportez vos propres mégaphones et couvrez leurs voix. Vous avez tout autant le droit de parler qu’eux, ou même davantage, puisque vous êtes une personne réelle, pas un acteur payé. Refusez que ces manifestations soient cooptées et dirigées par des prostituées et des taupes des médias grand public.

Pendant le discours d’Icke, il était clair qu’ils avaient remplacé la foule près de la scène par leur propre équipe de petites frappes. Donc, si vous vous sentez dépassés en nombre, il y a d’autres choses à faire. Par exemple, apportez des caisses et une planche et installez votre propre scène du côté opposé. Apportez vos propres haut-parleurs et porte-voix, et dites plus de vérités que les clowns qui occupent la grande scène. Ça ne devrait pas être difficile. Mettez en avant vos personnes les plus charismatiques. La scène principale avait très peu d’allure, de charisme ou de panache, donc ça ne devrait pas être difficile de faire mieux. Battez-les à leur propre jeu. Donnez un meilleur spectacle. Mettez des animaux et des enfants sur votre scène. Mettez des jongleurs et des acrobates, des chanteurs et des poètes, de vrais médecins et scientifiques. Tous ces gens étaient déjà dans la foule – du talent gaspillé, comme d’habitude. La seule chose qui manquait c’était de la coordination. Mais c’est à ça que sert Internet. Utilisez leurs outils contre eux.

En fin de compte : vous n’avez pas à les laisser coordonner et infiltrer tout, même les manifestations. Il suffirait d’un peu de travail pour les contourner. Mais il faut vouloir le faire. Vous devez prendre le contrôle, et ne pas leur laisser. Et vous devez être prêt à filtrer. Quoique vous fassiez, ils tenteront de l’infiltrer. Dès que vous planifiez quelque chose, les agents apparaissent, alors soyez à l’affût. N’ayez pas peur de les montrer du doigt et de les envoyer promener. Sinon de tout ce que vous tentez de faire, ils feront de la merde.

Dans son petit discours, Icke se compare à Huxley et Orwell, qui, comme lui, ont prédit ce qui se passe actuellement. Ce qu’il oublie de vous dire, c’est l’autre point commun qu’il partage avec eux : ce sont tous des agents. Icke dit au public que le Covid est une affaire truquée, puis pose la question de savoir pourquoi elle a été truquée. Vous donne-t-il la réponse que je donne? Non. Il ne vous dit pas que c’était pour servir de couverture au vol actuel de plusieurs trillions de dollars/livres aux Trésors mondiaux. Au lieu de ça, il oriente votre regard vers l’avenir, pas vers le présent ni vers le passé récent : il s’agit de quelque chose qu’ils ont planifié, d’un objectif à long terme qui vient de se concrétiser. Mais ce n’est pas le cas. Le fascisme n’est pas un danger. Ce n’est pas quelque chose qui pourrait arriver si vous n’agissez pas maintenant. Vous avez vécu toute votre vie sous un fascisme intense, et ce truc de Covid n’est que le canular actuel d’une longue lignée de canulars similaires.

La matrice [NdT. the Matrix] n’est pas dans le futur. Le totalitarisme n’est pas dans le futur ou dans un autre pays. C’est ce que nous vivons tous depuis des siècles. Il n’y a pas d’apocalypse à venir, pas de fin des temps, rien de pire à craindre dans le futur. Nous y sommes. Vous avez vécu toute votre vie dans une petite cage et vous avez appris à être votre propre geôlier. C’est pourquoi lorsque vous allez à une manifestation, même là, vous regardez ces gens vous contrôler, sans rien y faire. Même lors d’une manifestation, vous êtes un observateur passif.

C’est pourquoi Huxley, Orwell et Icke ont pu «prédire» ce qui se passe actuellement : ce n’était pas une prédiction. Nous vivions à l’époque essentiellement dans la même matrice que celle où nous sommes maintenant, donc Huxley et Orwell ne vous disaient pas ce qui pourrait arriver dans le futur. Ils vous disaient ce qui se passait déjà dans le présent, mais le plaçaient dans le futur, ce qui était une manoeuvre. Rappelez-vous que nous avons déjà vécu toute cette histoire de Covid : ça s’appelait la grippe espagnole à l’époque, mais c’était exactement le même scénario, masques compris. Et elle a été employée pour la même raison : la couverture. La grippe espagnole a couvert la fin de la Première Guerre mondiale en 1918, empêchant quiconque de poser des questions sur cette guerre orchestrée. Ils ne voulaient pas qu’on remarque à quel point tout l’effondrement de l’Allemagne à Halloween était planifié, avec des rois abdiquant sans raison et des socialistes juifs s’installant comme par magie en tant que dirigeants etc., et donc ils ont inventé cette effrayante pandémie pour garder les yeux et l’esprit de tout le monde occupés pendant plus d’une année. Ils ont simulé et gonflé les chiffres, attribuant tous les décès de cette période à la grippe espagnole : exactement ce qu’ils font maintenant. À la fin de cette année-là, tout le monde avait «mis ça derrière lui». Tout le monde était tellement soulagé d’avoir survécu à cette pandémie, qu’ils n’ont pas pensé à jeter un oeil en arrière, sur la Première Guerre mondiale ou sur quoi que ce soit d’autre. Et la plupart des gens traiteront le Covid de la même manière : ils seront tellement reconnaissants d’avoir survécu à cette «horrible pandémie», qu’ils ne penseront pas à remettre en question tout ce qui s’est passé en 2020, y compris les vols massifs aux Trésors, les fausses émeutes, les faux événements BLM, ou quoi que ce soit d’autre. Ils avanceront aussi vite que possible, sans poser de questions.

En tant que contrôleur de l’opposition, Icke dit beaucoup de vérités. Il le doit, car son public sait déjà certaines choses. Il doit faire écho à ces choses pour obtenir leur attention. Il est conférencier professionnel : il a aboyé toute sa vie, il sait donc lire un public. Ce qu’il a lu à Londres était ceci : ces gens dans le public ne sont qu’à moitié réveillées, et encore. Ils savent que le Covid est bidon, mais ils n’ont aucune idée de la situation dans son ensemble. Et la plupart d’entre eux ne veulent pas savoir. Ils n’ont pas envie d’une révolution, car si c’était le cas, ils se précipiteraient sur la scène et balanceraient Icke et tout le reste de la clique dans des poubelles. Ces foules étaient nombreuses, mais pas au point d’être effrayantes. Il y a plus de public qui va aux concerts de rock, ce qui signifie que ce que ces gens désirent le plus, c’est la normalité. Ils veulent simplement que le gouvernement arrête de faire ce qu’il fait actuellement, dans un sens très limité. Mais Icke n’a lu aucune menace de soulèvement réel. S’il avait lu ça, la police serait intervenue et aurait fermé le tout.

Pour cette raison, Icke savait que très peu de personnes parmi le public étaient là pour parfaire leur éducation. Elles n’étaient pas là pour apprendre quoi que ce soit. Un petit pourcentage aurait pu accueillir quelqu’un comme moi qui leur aurait dit des choses qu’ils ne savaient pas déjà, mais la majorité m’aurait très vite indiqué la sortie. Icke savait donc qu’il ne lui restait plus qu’à se dandiner pendant quelques minutes en répétant ce qui avait déjà été dit des milliers de fois, tout en se faisant passer pour un révolutionnaire. Il savait qu’il pouvait compter sur ses camarades dans les médias pour plus tard, soit pour le décrire en positif ou en négatif, selon le cas, donc tout ce qu’il avait à faire était se pointer et d’éviter de se casser la figure.

Tout ce qu’il avait à faire était de flatter le public en citant Shelley, en lui disant qu’ils étaient nombreux et que leurs dirigeants n’étaient que quelques-uns. Comme si c’était un concours de nombres. Tout ce qu’ils avaient à faire était de se présenter avec une pancarte et d’être comptés. C’est ce en quoi consiste une révolution aujourd’hui, apparemment. Sauf que les « quelques-uns » savent qu’il en est autrement. Ils ont embauché beaucoup de monde, et ils sont prêts à travailler tous les jours pour maintenir leur hégémonie. Ils sont prêts à mentir, à tricher et à voler toute leur vie, année après année et décennie après décennie. S’ils subissent un petit retournement, ils reviennent sans cesse, comme des cafards. Ils n’abandonnent jamais.

L’ologarchie est prévoyante : probablement entre 1 personne sur 10 ou 1 personne sur 20 dans cette foule de Londres a été placée là par le Renseignement britannique, pour surveiller l’événement et le contrôler. Alors, qu’est-ce que vous êtes prêt à faire? L’oligarchie est organisée. L’êtes-vous? L’oligarchie est implacable. L’êtes-vous? L’oligarchie est enracinée dans toutes les positions de pouvoir dans le monde entier. Oui, vous pouvez les déloger, mais vous ne le ferez pas en brandissant des pancartes ou en écoutant parler David Icke. Ces gens sont sérieux et ils vous enterrent profondément. Vous feriez donc mieux d’acheter une grande pelle, de repérer où est le haut et d’être prêt à creuser longtemps. Pendant que vous creusez, vous pouvez continuer à vous réveiller. Cela peut prendre un certain temps, car je pense que vous constaterez que vous êtes loin d’être réveillé. La révolution est possible, mais pas avant que l’éveil n’ait progressé bien au-delà de ce qu’il est aujourd’hui. Le niveau d’éveil actuellement affiché ne suffit pas à inquiéter qui que ce soit, et c’est exactement ce sur quoi comptaient les orateurs de Londres et de Berlin. C’est ce sur quoi les gouverneurs des États-Unis comptaient, sachant qu’ils pouvaient bluffer la plupart des gens pour qu’ils fassent ce qu’on leur dit sans qu’une seule loi ne soit adoptée. Et c’est ce que Bill Gates et les autres responsables de tout ce projet s’attendaient à trouver lorsqu’ils ont exécuté ce dernier test. Il y avait eu quelques failles dans la matrice récemment, et ils avaient besoin de voir à quelle profondeur ces failles couraient.

Malheureusement, leur test n’a pu mesurer que la largeur de ces failles, pas la profondeur. Je peux vous dire ce qu’ils pensent avoir vu. Ils ont vu que les failles sont beaucoup plus larges et nombreuses que dans les années 50, mais toujours pas très larges et peu nombreuses. La plupart des gens se surveillent encore admirablement. Mais je leur rappelle que les fissures dans un rocher ne sont pas mesurées de cette façon. Ce n’est pas le nombre de fissures ou la largeur des fissures qui comptent. C’est la profondeur de la fissure principale. Une fissure profonde peut casser en deux la roche entière, et les morceaux tombent sous le seul effet de leur propre inertie.


Texte original

The Infiltrated Revolution

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by Miles Mathis

First published September 1, 2020

There have been big Corona protests all over the world in the past week, including in Berlin and a large one in London. I don’t believe they were manufactured, but they were definitely infiltrated. Of the tens of thousands who showed up, thousands were hired to blackwash the movement by holding up purposely stupid signs or to act crazy. But more importantly the protests were infiltrated directly from the podium, where the German and British governments cleverly installed their own “leaders” of the movement. In London, the protest was also purposely limited by holding it in the smallish Trafalgar square, where only a few thousand could possibly gather.

In London, these fake leaders included David Icke, Piers Corbyn, and Vernon Coleman — all three have strong previous ties to the mainstream media and are obviously trying to control the opposition.

I have previously outed David Icke. Piers Corbyn is the brother of former Labour leader Jeremy Corbyn, and he has previous ties to the Heartland Institute, a huge red flag. And guess what he looks like :

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They make this so easy. He might as well be wearing purple robes.

Ditto for Vernon Coleman,

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who they have been pushing on Youtube to warm us up for his Covid appearances. There, he has been careful to say everything right, to appeal to his audience, but his bio gives him away. He worked for the Sunday People up until 2003, and has had several books promoted by major publishers and The Sunday Times bestseller lists, despite allegedly being counter-mainstream. That doesn’t happen unless you are controlled opposition. You will never see the mainstream publishing my books or promoting me. Just the opposite. So when we see The Economist say “he is the Lone Ranger, Robin Hood, and the Equalizer rolled into one”, we know something is wrong. The Glasgow Evening Times has called him a “national treasure”. The Sunday Mirror has said he is “compulsive reading”. BBC World has called him “refreshingly sensible”. You may want to remind yourself who owns all those media outlets.

Again, he has been promoted by The Economist, of all places. The Economist, which specializes in horntooting for privatization and deregulation. The Economist, which is firmly in the pocket of big pharma and big medicine. The Economist, which is majority-owned by the Agnelli family, founders of Fiat, and famous for being big supporters of Mussolini. That is, fascism. That family and company has been accused of corruption from the beginning, and is famous in Italy for being convicted in the 1990s of massive fraud, bribery, and general skullduggery.

At Amazon, we learn Coleman is published by the European Medical Journal, which is now pushing Covid. That seems strange, doesn’t it? This is a guy who is most famous for saying you are most likely to be killed by your doctor, and yet he is published by the European Medical Journal? How does that make any sense, unless he is controlled opposition. Yes, he is right about some things, but that is how it is done. You control the opposition by telling them a lot of things they already know and want to hear, then spin them off. He is right about vaccines, for instance, but among his other 100 books are titles like The Coming Apocalypse and Are you Living with a Psychopath?

He also has a book entitled The 100 Greatest Englishmen and Women. This isn’t just a mainstream list, these are his “personal heroes”. Oliver Cromwell is number 4. Churchill is number 7. William Wilberforce is high on the list. See the other paper I published today. William Petty is at #22 : Petty was Cromwell’s Jewish land surveyor, mapping out lands to be stolen in war and given to his soldiers. Like everyone else on the list, he was a big crook. John Lilburne is #30. You really have to read his Wiki page, if you don’t know who he was. Here is just a taste:

On 18 April 1638 Lilburne was fogged with a three-thonged whip on his bare back, as he was dragged by his hands tied to the rear of an ox cart from Fleet Prison to the pillory at Westminster. He was then forced to stoop in the pillory where he still managed to campaign against his censors,while distributing more unlicensed literature to the crowds.[7] He was then gagged. Finally he was thrown in prison. He was taken back to the court and again imprisoned. During his imprisonment in Fleet he was cruelly treated.[12] While in prison he however managed to write and to get printed in 1638 an account of his own punishment styled The Work of the Beast and in 1639 an apology for separation from the church of England, entitled Come out of her, my people.

He distributed unlicensed literature while in the pillory? And we are supposed to believe that? And while in prison for publishing without a license, he wrote and published two more books? Yeah, I bet he did. You can see why he is a hero of Coleman. Robert Peel is #40. You remember him from the cover of Sgt. Pepper’s. He was Home Secretary, secret head of Intelligence, and later Prime Minister. I doubt any real revolutionaries or Robin Hoods have him on their heroes lists. I don’t. I hadn’t meant to out Coleman coming in, but it was too easy to pass up. But let’s return to Icke. The first thing I noticed is how fat he has gotten. This is an ex-athlete, my friends, who now looks like he has swallowed a beach ball. You will say he is getting old, but he is only 11 years older than I am. He isn’t even 70. But again, this is how the Phoenicians age. The lying projects don’t agree with them, health-wise or looks-wise. The mainstream is using Icke and QAnon supporters to blackwash the Covid protests, so we have to ask who invited these people? You don’t have to be invited to be in the crowd, of course, but you do have to be invited to make it on the stage to speak, or to stand behind the speakers on the stage with a banner or mask/costume. So again, who managed all that? After the fact, it is pretty clear it was all staged, and we should have known going in that it would be. So here is my suggestion to those who aren’t happy about it:

Don’t put up with it! At the next similar big protest, make your own plans going in. Gather a few dozen very noisy people, preferably women with high loud voices, flanked by some big guys as muscle, and park it near the stage. Then heckle, boo, and throw (non dangerous) things at the planted speakers. Bring your own bullhorns and drown them out. You have just as much right to speak as they do, or actually more, since you are a real person, not a hired actor. Refuse to let these protests be coopted and run by mainstream media whores and plants.

During Icke’s speech, it was clear they had packed the crowd near the stage with their own cheering goonsquad. So if you feel outnumbered, there are other things you can do. Like bring some crates and a plank and set up your own stage at the opposite end of the crowd. Bring your own speakers and bullhorns, and tell more truth than the bozos on the big stage. It shouldn’t be hard. Put your most charismatic people forward. The main stage had very little beauty, charisma, or panache, so it shouldn’t be hard to beat. Beat them at their own game. Put on a better show. Put animals and children on your stage. Put on jugglers and acrobats, singers and poets, real doctors and scientists. All these people were already in the crowd — there was talent wasted, as usual. The only thing lacking was coordination. But that is what the internet is for. Use their tools against them.

The bottom line : you don’t have to let them coordinate and infiltrate everything, even protests. It would take very little work to walk around them. But you have to want to do it. You have to take control, instead of letting them have it. And you have to be prepared to filter. No matter what you do, they will try to infiltrate it. As soon as you start planning something, the spooks will show up, so be on the lookout for them. Don’t be afraid to finger them and tell them to take a hike. If you don’t they will turn everything you try to do into crud.

In Icke’s little speech, he compares himself to Huxley and Orwell, who, like him, were able to predict what is now happening. What he forgets to tell you is what else he and those guys have in common : they are all agents. Icke tells the audience Covid is fake, then asks why it was faked. Does he give you the answer I have? No. He doesn’t tell you it acted as a cover for the present multi-trillion-dollar/pound theft from worldwide treasuries. Instead, he keeps your eyes on the future and off the present and recent past : it is about something they have planned, some long term goal that is just now coming to fruition. But it isn’t. Fascism isn’t a danger. It isn’t something that might happen if you don’t act now. You have been living under heavy fascism all your life, and this Covid thing is just the current hoax in a long line of similar hoaxes.

The Matrix isn’t in the future. Totalitarianism isn’t in the future or in some other country. It is where we have all been living for centuries. There is no coming apocalypse, no end times, nothing worse to fear in the future. This is it. You have been living in a tiny cage your entire life, and you have been taught to be your own jailor. This is why you will go to a protest, and even there you will watch these people control you, without doing anything about it. Even at a protest, you are a passive observer.

This is why Huxley and Orwell and Icke were able to “predict” what is going on now : there was never any prediction involved. We were living in basically the same Matrix back then as we are now, so Huxley and Orwell weren’t telling you what might happen in the future. They were telling you what was already happening in the present, but setting it in the future, as a stunt. Remember, we have been through this whole Covid thing before : it was called the Spanish flu back then, but it was the exact same script, down to the masks. And it was used for the same reason : cover. The Spanish flu covered the end of WWI in 1918, preventing anyone from asking questions about that managed war. They couldn’t have people noticing how staged the whole collapse of Germany on Halloween was, with kings abdicating for no reason and Jewish socialists magically installing themselves as leaders and soon, so they invented this scary pandemic to keep everyone’s eyes and minds occupied for over a year. They faked and inflated numbers, assigning all deaths in that period to Spanish flu : same thing they are doing now. By the end of that year, everyone had “moved on”. Everyone was so relieved to have survived that pandemic, they didn’t think of looking back, at WWI or anything else. And most people will treat Covid the same way : they will be so grateful to have survived this “horrible pandemic”, they won’t think of questioning anything else that happened in 2020, including the massive thefts from the treasuries, the fake rioting, the fake BLM events, or anything else. They will move on as fast as possible, no questions asked.

As a controller of the opposition, Icke does tell a lot of truth. He has to, because his audience already knows some things. He has to mirror those things back to them to gain their ears. He is professional speaker: he has been yakking all his life, so he knows how to read an audience. What he read in London was this : these people in the audience are only half-woke, if that. They know Covid is fake, but they have no clue as to the bigger or longer picture. And most of them don’t want to know. They have no stomach for a revolution, for if they did they would be rushing the stage and throwing Icke and the rest of those people into garbage cans. These crowds were large, but they weren’t scary large. More people show up for rock concerts, which means what these people want most is normalcy. They just want the government to quit doing what it is currently doing, in a very limited sense. But Icke read no threat of an actual uprising. If he had, the police would have come in and shut the whole thing down.

For that reason, Icke knew very few in the audience were there for a further education. They weren’t there to learn anything. A small percentage might have welcomed someone like me to tell them some things they didn’t already know, but the majority would have shown me the exit in short order. So Icke knew all he had to do is waddle around for a few minutes repeating what had already been said athousand times, while pretending to be a revolutionary. He knew he could count on his comrades in the media to later either spin him hard positive or hard negative, as the case may be, so all he had to do is show up and avoid falling down.

All he had to do is flatter the audience by quoting Shelley, telling him they were many and their leaders were few. As if it was a contest of numbers. All they had to do was show up with a sign and be counted. That is what a revolution now consists of, apparently. Except that the few know otherwise.The few have hired many, and they are willing to work everyday maintaining their hegemony. They are willing to lie and cheat and steal all the livelong day, year after year and decade after decade. If they suffer a small reversal, they keep coming back, like cockroaches. They never quit.

The few plan ahead : probably between 1 in 10 or 1 in 20 in that London crowd was planted by British Intelligence, to monitor the event and control it. So what are you, the many, willing to do? The few are organized. Are you? The few are relentless. Are you? The few are entrenched in all the positions of power all over the world. Yes, you could dislodge them, but you won’t do it by holding up signs or standing around listening to David Icke speak. These people are serious, and they have you buried deep. So you had better buy a large shovel, locate the direction up, and be prepared for a long dig. While you are digging, you can continue to wake up. It may take a while, because I think you will find you are far from woke. Revolution is possible, but not until the awakening progresses far beyond where it already is. The level of wokeness currently on display is not enough to worry anyone, which is exactly what the speakers in London and Berlin counted on. It is what the Governors in the US counted on, knowing they could bluff most people into doing what they were told without a single law being passed. And it is what Bill Gates and the other managers of this entire project expected to find when they ran this latest test. There had been some flickers in the Matrix recently, and they needed to see how deep those flickers ran.

Unfortunately, their test was only able to measure how wide those flickers ran, not how deep. I can tell you what they think they have seen. They have seen that the flickers are far wider and more numerous than in the 1950s, but still not very wide and not very numerous. Most people are still policing themselves admirably. But I remind them that fissures in a rock are not measured that way. It isn’t the number of fissures or the width of the fissures that matters. It is the depth of the main fissure. One deep fissure can crack the entire rock in half, at which point it simply falls to the side from its own inertia.

Nous sommes tous prisonniers – sans signe de libération conditionnelle – par Vernon Coleman.

« Il paraît que la crise rend les riches plus riches et les pauvres plus pauvres. Je ne vois pas en quoi c’est une crise. Depuis que je suis petit, c’est comme ça. » Michel Colucci

Source.


Traduction

Nous sommes tous prisonniers – sans signe de libération conditionnelle. (extrait)

Dr Vernon Coleman, MB, ChB, DSc, FRSA

Il y a beaucoup de choses que je ne comprends pas mais au cours de ces derniers mois, j’ai bel et bien perdu la notion de ce qui est possible dans ce monde qui tourne à l’envers.

Je ne comprends pas, par exemple, pourquoi tant de personnes apparemment saines d’esprit et relativement sensées soient à ce point subjuguées par la peur fabriquée et la désinformation manipulée qu’elles en perdent contact avec la réalité. Pourquoi tant de personnes ne se sentent-elles en sécurité que si on leur dit exactement quoi faire à chaque minute de la journée? À quel moment tous ces gens ont-ils perdu tout courage et bon sens?

L’Organisation Mondiale de la Santé et YouTube affirment qu’il n’y a aucune raison médicale pour que les enfants du primaire portent des masques. Au Royaume-Uni, même le gouvernement, toujours d’accord avec YouTube, a recommandé que les enfants de moins de 11 ans ne se couvrent pas la bouche et le nez.

Si j’avais un enfant dans une école primaire où les autorités envisagent d’imposer cette technique de torture de la CIA aux enfants, je demanderais à un avocat d’avertir les enseignants que je les tiendrais légalement responsables de tout préjudice physique ou mental causé par leur ignorance affligeante.

Et comme des enfants en Chine sont déjà morts à cause du port de masques, je me demanderais si quiconque sain d’esprit enverrait un enfant dans une telle école.

J’appelerais la police et ferais arrêter pour maltraitance d’enfants les enseignants coupables de promouvoir des absurdités aussi dangereuses. J’exigerais évidemment qu’ils soient renvoyés.

Tous les enseignants qui, partout dans le monde, soutiennent ces absurdités totalement inutiles se rendent coupables de maltraitance d’enfants. Et prétendre qu’ils obéissent au gouvernement ou à leur syndicat n’est pas une excuse. Ça ne l’était pas pour les nazis à Nuremberg et ça ne l’est toujours pas pour les enseignants d’aujourd’hui. L’ignorance n’est pas non plus une excuse. Tout enseignant qui croit que les enfants sont gravement menacés par le coronavirus est trop stupide pour enseigner la peinture au doigt ou quoi que ce soit d’autre.

Pourquoi cela arrive-t-il?

La seule explication qui me vient à l’esprit est que le projet est de fermer toutes les écoles et d’imposer l’enseignement professionnel en ligne. L’enseignement se fera en ligne. Les examens seront organisés, passés et notés en ligne. Quiconque ne prendra pas la peine d’assister à ces cours restera simplement un ignorant qui passera sa vie professionnelle au service d’un robot. Les enseignants qui se compromettent en imposant ces techniques de torture aux enfants sont remarquablement stupides s’ils ne se rendent pas compte qu’ils seront bientôt tous redondants. Le plan de l’Agenda 21 est de se débarrasser de l’enseignement en tant que profession et les enseignants semblent désireux de collaborer à leur propre destruction. Les jeunes qui envisagent une carrière dans l’enseignement devraient y réfléchir à deux fois et chercher un autre moyen de gagner leur vie.

En attendant, ça ferait du bien d’avoir des politiciens courageux.

Au Royaume-Uni, Johnson le Faible, qui est en fait si faible qu’il devrait s’appeler Johnson la Quinzaine, devrait dire aux enseignants de se présenter au travail et d’arrêter les conneries – ça ou se faire virer. Mais Johnson le Faible s’est montré pour ce qu’il est, un crétin inefficace. Il aurait dû s’en tenir à son numéro de bouffon télévisuel. Il n’a rien d’un chef.

La même chose se passe en médecine, bien sûr. Comme je l’ai expliqué dans ma vidéo intitulée «Comment le canular du coronavirus a détruit définitivement les soins de santé», il n’y a plus aucun avenir pour les médecins humains. Les ordinateurs peuvent assurer tout type de soins médicaux de manière très efficace et fiable. Même la chirurgie peut désormais être réalisée par des robots. Tout jeune étudiant qui envisage une carrière en médecine serait bien mieux avisé de choisir une carrière dans un métier d’avenir – comme la plomberie. Je suis parfaitement sérieux, au fait.

Je doute que ma femme et moi soyons seuls à ne plus considérer les hôpitaux comme des endroits sûrs dans les moments difficiles. Nous considérons maintenant les hôpitaux comme un danger. Le risque est réel que des tests inutiles et potentiellement dangereux soient effectués. Ainsi que le risque d’être emmené dans une salle d’isolement et d’avoir un avis « Ne pas réanimer » ajouté à votre dossier médical.

Je doute que les soins médicaux se rétablissent un jour de l’automutilation survenue au cours des derniers mois.

Et que diable se passe-t-il en Australie? Pourquoi tant d’hystérie?

Regardez les chiffres.

Entre janvier et juin 2020 en Australie, le nombre de décès attribués au Covid était officiellement d’environ 400 – et nous savons tous que c’est largement surestimé.

Mais entre janvier et juin 2019, le nombre de décès dus à la grippe était de 430.

En cette année 2020, le nombre de décès dus à la grippe est de 36.

Ajoutez les décès dus à la grippe de cette année et les décès supposément liés au Covid-19 cette année et le total que vous obtenez est pratiquement le même que le total des décès dus à la grippe de l’année dernière.

Et, bien sûr, la majorité des décès sont survenus chez des personnes âgées – principalement des personnes de plus de 80 ans qui avaient d’autres maladies.

Il m’a fallu environ une minute et demie pour extraire ces chiffres. Pourquoi personne d’autre ne s’est donné la peine? Quiconque croit que le Covid-19 crée une crise est un imbécile ou un escroc.

Que fait le gouvernement australien à son peuple? Et pourquoi les journalistes et les politiciens de l’opposition les laissent-ils s’en tirer? Ont-ils tous gobé le plus grand canular de l’histoire de l’humanité? Si tel est le cas, j’ai une machine à mouvement perpétuel à leur vendre à un prix très avantageux.

Le professeur Ioannidis, professeur de médecine à Stanford, a souligné que si vous avez moins de 65 ans, vous êtes plus susceptible de mourir dans un accident de la route que du virus.

Partout où je regarde, je vois des mystères.

J’ai entendu récemment qu’un site Web appelé Mumsnet avait interdit et supprimé tout le compte rendu de quelqu’un qui avait publié ma vidéo sur les dangers associés aux vaccins à ADN et à ARN. Si c’est vrai, je me demande si quelqu’un sur le site Web a pris la peine de regarder la vidéo. Se rendent-ils compte que le vaccin Covid-19 proposé modifiera génétiquement ceux qui le reçoivent? Que leurs corps en seront changés pour toujours? N’est-ce pas là une information importante? Les parents n’ont-ils pas le droit de savoir que leurs enfants seront génétiquement modifiés par le vaccin? Ne devrions-nous pas en parler? Ce sont des dangers très réels pour les générations futures. Pourquoi cacher la vérité? Les censeurs savent-ils combien de personnes en parfaite santé ont été tuées ou gravement blessées par les vaccins? Et savent-ils dans quelle précipitation les tests sont effectués?

Pourquoi les gens sont-ils devenus si sectaires, si prompts à censurer des documents non approuvés par le gouvernement?

Les gens ont-ils vraiment oublié que les gouvernements mentent régulièrement? Personne ne se souvient des armes de destruction massive?

En parlant de censure, je dois vous dire que YouTube supprime maintenant absolument tout ce qui expose la vérité derrière le canular. Ils ont supprimé des vidéos qui traitent du Club de Rome mais qui ne mentionnaient même pas l’OMS, les masques ou la distanciation sociale – leur arbitraire habituel.

L’un des plus gros mensonges qu’on entend actuellement est que le coronavirus a causé du tort à l’économie mondiale.

C’est un énorme mensonge.

Le coronavirus n’a rien fait à l’économie. C’est l’hystérie et la réaction excessive qui ont nui à l’économie – et tout cela a été fait délibérément. De plus, il n’y aura pas de redressement rapide ou, en fait, de redressement du tout. Ils ne veulent pas de redressement et je crains que quiconque ne comprend pas cela ne comprend pas ce qui se passe.

Parler de mensonges et de politiciens fait inévitablement penser au nom de Tony Blair.

Tony Blair, le criminel de guerre le plus connu de Grande-Bretagne, est un fervent pro-vaccin, ce qui devrait être en soi un signal d’alarme. La seule certitude en politique est qu’on peut toujours compter sur Blair pour être du mauvais côté dans tous les débats – tant qu’il est du côté de l’argent. Avant la guerre en Irak, j’avais averti que Blair vendrait la Grande-Bretagne dans l’espoir de trouver des emplois bien rémunérés dans les banques américaines. C’est exactement ce qu’il s’est passé. Maintenant, Blair est du côté de Bill Gates dans cette équation diabolique. Gates a d’ailleurs très bien vécu cette pandémie. Malgré l’affirmation selon laquelle il consacre son argent à de bonnes causes, la richesse de Gates a augmenté de 8,4 milliards de dollars entre janvier et août 2020. Pas mal pour un philanthrope dont on dit qu’il donne son argent pour nous donner à tous un destin pire que la mort .

Et à propos de gouvernement, je vois qu’un scientifique du gouvernement nous a avertis que le coronavirus sera avec nous pour toujours. Bon, je suis sûr que c’est vrai. Et alors? La tuberculose et le paludisme sont là depuis un bon moment et nous n’en sombrons pas pour autant dans l’hystérie.

Selon le site Web de la BBC, Sir Mark Walport, le scientifique en question, dit que les gens devront être vaccinés à intervalles réguliers. Ce qui lui fait penser ça, je n’en ai aucune idée. Je n’ai connaissance d’aucune preuve montrant que les personnes qui ont eu le Covid-19 l’aient attrapé une deuxième fois – bien que les personnes qui sont testées puissent sembler l’avoir à nouveau.

Ce que la BBC ne dit pas, c’est que Walport avait déjà travaillé à l’Imperial College – et nous avons tous entendu parler de l’Imperial College. Et qu’il est un ancien patron du Wellcome Trust. Assez curieusement, devinez qui donne maintenant de l’argent au Wellcome Trust? Le croiriez-vous, la Fondation Bill et Melinda Gates?

La perturbation, le chaos et les mauvaises gestions apparentes ne sont pas accidentelles. Ils font tous partie de la même opération psychologique – une volonté malfaisante de casser l’esprit et la volonté. Toutes les institutions étatiques existent désormais pour nuire et détruire. C’est presque incroyable, mais les employés de l’État dans presque tous les pays du monde sont maintenant impliqués dans la guerre contre leurs employeurs – les citoyens de ces nations. Il est effrayant de réaliser combien de personnes vraiment perverses occupent une position d’autorité. Il y aura, en temps voulu, un compte à payer. Ces traîtres ne seront ni oubliés ni pardonnés.

Des millions de personnes ont été convaincues par des mensonges. Les derniers chiffres du sondage montrent qu’au moins 75% des citoyens britanniques sont prêts à jouer à la roulette russe avec leur propre vie, et la vie de leurs enfants, en acceptant un vaccin qui modifiera génétiquement leur corps. Même l’Organisation Mondiale de la Santé a exprimé de sérieux doutes sur cette technique.

Les gens qui font la promotion de la vaccination comme s’il s’agissait d’une panacée, d’un élément essentiel de la médecine, m’ont toujours inquiété. Ils sont, par définition, ignorants de tous les aspects de la vaccination, car s’ils connaissaient la vérité, ils ne se montreraient pas aussi enthousiastes.

Incidemment, la BBC a probablement oublié de l’annoncer, mais le taux de mortalité chez les nourrissons a chuté de 30% pendant le confinement. Par exemple, l’incidence du syndrome de mort subite du nourrisson semble avoir sensiblement baissé pendant le confinement.

Que s’est-il passé pendant le confinement qui aurait pu avoir une influence?

Eh bien, les gens n’allaient pas au pub.

Il était illégal de s’asseoir sur un banc dans le parc.

Et comme les cabinets médicaux étaient essentiellement fermés, les nourrissons et les enfants n’ont pas reçu leurs vaccins habituels.

Alors, lequel de ces trois pensez-vous aurait pu avoir une influence sur la baisse de l’incidence du syndrome de mort infantile?

Le taux décès aurait-il pu chuter parce que les gens ne sont pas allés au pub? Ou parce qu’il était illégal de s’asseoir sur un banc de parc? Ou parce que les enfants n’ont pas été vaccinés?

Vous penseriez que cette nouvelle mériterait d’être rapportée dans les médias nationaux. Mais vous auriez tort. Le marché des mass media est bien trop occupé à attiser la peur, la panique et l’hystérie. Et à promouvoir la vaccination approuvée par Bill et Melinda Gates, bien sûr.

Et, de toute façon, The Guardian est toujours trop occupé à mendier de l’argent pour publier des informations importantes. Je ne comprends pas pourquoi ils réclament de l’argent public. Pourquoi ne demandent-ils pas simplement à Bill Gates quelques millions de plus? Lorsque vous avez vendu votre intégrité, comme l’a fait The Guardian, autant continuer à la vendre.

Et vous pourriez penser que certains chercheurs pourraient penser que la relation entre la mort subite du nourrisson et la vaccination mérite d’être étudiée.

Mais vous vous tromperiez aussi.

La plupart des chercheurs ont été achetés par les sociétés pharmaceutiques et elles ne feront jamais de recherches qui pourraient nuire aux bénéfices des sociétés pharmaceutiques.

Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi certains parlent de «l’âge de l’aliénation».

Ceux d’entre nous qui tentent de partager la vérité sont calomniés, diabolisés, harcelés et souvent arrêtés. L’idée même que quiconque puisse offrir un point de vue différent terrifie la brigade lourde qui s’est mise aux commandes.

Dire la vérité a toujours été un crime dans les régimes fascistes et totalitaires. Il est de notre devoir de se moquer d’eux.

Et comme les règles changent d’une région à l’autre, on ne sait jamais vraiment à quelles sanctions échapper. Dans une partie de l’Amérique, on peut être envoyé en prison pour un an si on ne porte pas de masque. Dans une autre partie de l’Amérique, on doit payer une amende de 2.000 dollars mais il n’y a pas de peine de prison. Au Texas, on a dit à certaines personnes de porter des masques chez elles. Dans un magasin, un garde a dégainé son arme sur un homme qui ne portait pas de masque. En Californie, des gens téléphonent à la police s’ils ont entendu un voisin tousser ou éternuer. Les mouchards et les cafards, désireux de plaire au système, font partie du système de surveillance de masse. Non pas que la surveillance fonctionne très bien. Au Royaume-Uni, c’est une catastrophe. La dernière application de traçage du NHS au Royaume-Uni n’a eu raison que la moitié du temps avec un taux de faux positifs de 45%. Naturellement, l’application est en cours de développement avec Apple et Google.

Personne ne mentionne que les Chinois portent régulièrement des masques – pour se protéger de la pollution – mais les masques n’ont fait aucune différence dans la propagation du coronavirus à l’origine du Covid-19 en Chine. Combien de preuves les porteurs de masques veulent-ils avant de voir la vérité?

Tous ceux qui possèdent plus d’un costume [NdT. expression anglaise] semblent déterminés à partager leur point de vue sur les masques. Et leurs vues sont toutes les mêmes : nous devons porter des masques si nous voulons survivre. Économistes, professeurs de tout, ingénieurs, banquiers, enseignants, chefs d’entreprise et dirigeants de clubs de golf sont tous d’un même avis : nous devons tous porter nos masques sauf lorsque nous sommes dans un bureau où le virus n’a apparemment pas la capacité de nuire.

Étonnamment et inexplicablement, les médias font toute la place et consacrent toutes leurs heures d’antenne à ces gens – mais refusent tout espace ou tout moment à ceux qui veulent simplement apporter un peu de vérité et de bon sens.

Le seul groupe ignoré sur ce sujet est celui des médecins – et en dehors de ceux payés par le gouvernement, leurs points de vue sont assez cohérents : les masques ne sont pas seulement inutiles, ils font en fait plus de mal que de bien et conduiront à une exacerbation de la maladie chez ceux qui sont déjà malades et la création de maladies chez ceux qui étaient auparavant en bonne santé.

La vérité est supprimée et les mensonges exagérés d’une manière que je n’ai jamais connue auparavant.

Que va-t-il se passer ensuite?

Les masques feront-ils partie de l’accord Chrislam?

Peut-être, dans un an, diront-ils que les femmes sont des super épandeuses et qu’elles doivent porter des masques tout le temps. Les hommes seront autorisés à se passer de masques.

Puisque les autorités inventent toutes ces choses, peu importe qu’il n’y ait aucune preuve. Si nécessaire, ils demanderont à The Lancet de publier le charabia pseudoscientifique nécessaire.

Si vous commencez à avoir l’impression d’être traité comme un prisonnier de guerre, vous commencez à comprendre la situation. […]

Copyright Vernon Coleman 3 septembre 2020

____________________________

Texte original

We’re All Prisoners – With No Signs of Parole

Dr Vernon Coleman MB ChB DSc FRSA

There are many things I don’t understand but during the last few months I have pretty well lost touch with what is possible in this upside down world.

I do not, for example, understand why so many apparently sane and fairly sensible people should be so overwhelmed by manufactured fear and manipulated misinformation that they have lost touch with reality. Why do so many people feel safe only if they are told exactly what to do for every minute of the day? When did so many people lose their courage and their good sense?

The World Health Organisation and YouTube say there is no medical reason for primary school children to wear masks. In the UK, even the Government supporting YouTube has advised that children under the age of 11 do not have to cover their mouths and noses.

If I had a child at a primary school where the authorities were planning to force this CIA torture technique on children, I would want to ask a lawyer to warn the teachers that I would hold them legally responsible for any physical or mental harm caused by their woeful ignorance.

And since children in China have already died as a result of wearing masks I would, indeed, be concerned about the sanity of sending a child to such a school.

I would want to call the police and have the teachers responsible for promoting such dangerous nonsense charged with child abuse and arrested. I would certainly demand that they be sacked.

All teachers, anywhere in the world, who support these absurd and entirely unnecessary nonsenses are guilty of child abuse. And it’s no good them saying they were obeying the Government or their union. It was no good for the Nazis at Nuremberg and it’s no good for teachers today. Nor is ignorance any excuse. Any teacher who thinks that children are seriously at risk from the coronavirus is too stupid to be teaching finger painting let alone anything else.

Why is this happening?

The only explanation I can think of is that the plan is to close all schools and force all professional teaching online. Teaching will be done online. Exams will be set, taken and marked online. Anyone who doesn’t bother to attend classes will simply stay ignorant and spend their working life subservient to a robot. The teachers who are involved in forcing these torture techniques onto children are remarkably stupid if they do not realise that they will soon all be redundant. The Agenda 21 plan is to get rid of teaching as a profession and teachers seem keen to collaborate in their own destruction. Young people who are planning a career in teaching should think again and look for some other way to earn a living.

Meanwhile, it would be good to see some politicians with guts.

In the UK, Johnson the Weak, who is actually so weak that he should be called Johnson the Fortnight, should tell teachers to turn up for work without any of the nonsense – or be fired. But Johnson the Weak has turned out to be an ineffectual plonker. He should have stuck to his stand up turn as a buffoon on TV shows. He’s no leader.

The same thing is happening in medicine, of course. As I explained in my video entitled, ‘How the coronavirus hoax has permanently destroyed health care’ there is no future for human doctors. Computers can provide all aspects of medical care very efficiently and reliably. Even surgery can now be performed by robots. Any young student planning a career in medicine would be much better advised to choose a career in something with a future – such as plumbing. I am deadly serious, by the way.

I doubt if my wife and I are on our own in no longer seeing hospitals as safe places in difficult times. We now see hospitals as dangerous. There is a risk that unnecessary and potentially hazardous testing will be done. There is the risk of being taken into an isolation ward and having a Do Not Resuscitate Notice applied to your medical notes.

I doubt if medical care will ever recover from the self-harm that has occurred in the last few months.

And what the devil is happening in Australia? Why so much hysteria?

Just look at the figures.

Between January and June 2020 in Australia, the number of covid deaths was officially around 400 – and we all know that will be a massive exaggeration.

But between January and June 2019, the number of deaths caused by flu was 430.

This year, 2020, the number of flu deaths is 36.

Add this year’s flu deaths and this year’s alleged covid-19 deaths and the total you get is virtually the same as last year’s flu death total.

And, of course, the majority of deaths occurred in the elderly – mostly individuals over 80 who had other diseases.

It took me about a minute and a half to dig out these figures. Why has no one else bothered? Everyone who believes that covid-19 is creating a crisis is a fool or a crook.

What is the Australian government doing to its people? And why are journalists and opposition politicians letting them get away with it? Have they all fallen for the biggest hoax in human history? If so, I’ve got a perpetual motion machine I can let them have very cheaply.

Professor Ioannidis, a professor of medicine at Stanford has pointed out that if you are under 65-years-old you are more likely to die in a road traffic accident than you are of the virus.

Everywhere I look there are mysteries.

I heard recently that a website called Mumsnet had banned and removed the entire account of someone who had posted my video about the hazards associated with DNA and RNA vaccines. If this is true then I wonder if anyone at the website had actually bothered to watch the video. Do they realise that the proposed covid-19 vaccine will genetically modify those who have it? Their bodies will never be the same again? Isn’t that important information? Are not parents entitled to know that their children will be genetically modified by the vaccine? Should we not discuss such a thing? There are very real dangers for generations. Why suppress the truth? Do the censors know how many perfectly healthy people have been killed or seriously injured by vaccines? And do they know how testing is being rushed?

Why have people become so bigoted, so willing to censor material not approved by the Government?

Have people really forgotten that governments lie routinely? Does no one remember the weapons of mass destruction?

Talking of censorship I have to tell you that YouTube is now taking down anything and everything which exposes the truth behind the hoax. They have taken down videos which deal with the Club of Rome but which didn’t even mention the WHO, masks or social distancing – their usual shibboleths.

One of the biggest lies being told at the moment is that the coronavirus has damaged the global economy.

That’s a massive lie.

The coronavirus has done nothing to the economy. It’s the hysteria and the over-reaction that has damaged the economy – and it has all been deliberate. Moreover, there is not going to be a quick recovery or, indeed, any sort of recovery. They don’t want a recovery and I’m afraid that anyone who doesn’t understand that doesn’t understand what is happening.

Talking of lies and politicians inevitably brings the name of Tony Blair to mind.

Tony Blair, Britain’s best known war criminal, is a keen pro-vaxxer and that really should be enough of a warning. The one certainty in politics is that you can always rely on Blair to be on the wrong side of any argument – as long as he is on the side of the money. Before the Iraq war I warned that Blair would sell out Britain for the hope of high paying jobs with American banks. That is exactly what happened. Now Blair is on the Bill Gates side of this evil equation. Gates by the way has had a very good pandemic. Despite the claims that he is spending his money on good causes, Gates’ wealth increased by 8.4 billion dollars between January and August 2020. Not bad for a philanthropist who is reported to be giving his money away to give us all a fate worse than death.

And talking of the Government, I see that a government scientist has warned us that coronavirus will be with us forever. Well, I am sure that is true. But so what? TB and malaria have been around for a good while and we don’t get hysterical about either of those.

According to the BBC website, Sir Mark Walport, the scientist in question says that people will need to be vaccinated at regular intervals. Just why he thinks this I’m afraid I cannot imagine. I am not aware of any evidence showing that people who have had covid-19 have caught it a second time – though people who are tested may seem to have it again.

What the BBC doesn’t say is that Walport had previously worked at Imperial College – and we’ve all heard of Imperial College. And he was a previous boss of the Wellcome Trust. Oddly enough, guess who now gives money to the Wellcome Trust? Would you believe the Bill and Melinda Gates Foundation?

The disruption, the chaos and the apparent mismanagements are not accidental. They are all part of the psychological operation – the wicked and deliberate breaking down of the spirit and the will. All state institutions now exist to harm and destroy. It is almost beyond belief but state employees in just about every nation on earth are now involved in waging war on their employers – the citizens of those nations. It is scary to realise just how many truly evil people there are in positions of authority. There will, in due course, be a reckoning to pay. These traitors will neither be forgotten nor forgiven.

Millions have been convinced by the lies. The latest poll figures show that at least 75% of British citizens are willing to play Russian roulette with their own lives, and the lives of their children, by accepting a vaccine which will genetically modify their bodies. Even the World Health Organisation has expressed serious doubts about this technique.

The people who promote vaccination as though it were a panacea, an essential part of medicine, have always worried me. They are, by definition, ignorant about all aspects of vaccination because if they knew the truth they would not be so enthusiastic.

Incidentally, the BBC probably forgot to announce this but the mortality rate among infants fell 30% during the lockdown. For example, the incidence of Sudden Infant Death Syndrome appears to have fallen noticeably during the lockdown.

Now what happened during the lockdown that could have had an influence?

Well, people didn’t go to the pub.

It was illegal to sit on a bench in the park.

And, since doctors’ surgeries were pretty well closed, infants and children didn’t have their regular vaccinations.

So, which of those three do you think might have had an influence on the drop in the incidence of Infant Death Syndrome?

Could the deaths have fallen because people didn’t go to the pub? Or because it was illegal to sit on a park bench? Or because kids weren’t having their vaccinations?

You might think this piece of news worth reporting in the national media. But you would be wrong. The mass market media have all been far too busy stoking up the fear, the panic and the hysteria. And promoting the idea of the Bill and Melinda Gates approved vaccination, of course.

And, anyway The Guardian is always too busy begging for money to publish any hard news. I don’t why they want money from the public. Why don’t they just ask Bill Gates for another few million? When you’ve sold your integrity, as The Guardian has, you might as well keep selling it.

And you might think some researchers might think the relationship between sudden infant death and vaccination worth investigating.

But you’d be wrong about that too.

Most researchers have been bought by the drug companies, and they’re never going to do any research which might damage drug company profits.

It isn’t difficult to see why some are calling this ‘the age of alienation’.

Those of us who attempt to share the truth are lied about, demonised, harassed and often arrested. The very idea that anyone might offer an alternative point of view terrifies the heavy booted brigade who have put themselves in charge.

Telling the truth has always been a crime in fascist and totalitarian regimes. It is our duty to laugh at them.

And since the rules change from one area to another, we never quite know what punishments to escape. In one part of America you can be sent to prison for a year if you fail to wear a mask. In another part of America, you have to pay a 2,000 dollar fine but there is no prison sentence. In Texas, some people have been told that they should wear masks in their own homes. In one shop, a guard pulled a gun on a man who was not wearing mask. In California, people have been telephoning the police if they’ve heard a neighbour coughing or sneezing. The snitches and sneaks, eager to please the system, are part of the mass surveillance system. Not that the surveillance is working terribly well. In the UK it has been a disaster. The latest NHS tracing app in the UK was right only half the time with a false positive rate of 45%. Naturally, the app is being developed with Apple and Google.

No one mentions that the Chinese wear masks routinely – to protect themselves from pollution – but the masks made no difference to the spread of the coronavirus causing covid-19 in China. How much evidence do the mask wearers want before they will see the truth?

Everyone who owns more than one suit seems to be determined to share their view about masks. And their views are all the same: we must wear masks if we are to survive. Economists, professors of anything, engineers, bankers, teachers, company directors and golf course management executives are all of one mind: we must all wear our masks except when we are in an office where the virus apparently has no capacity to do harm.

Astonishingly, and inexplicably, the media is giving yards of space and broadcasting hours to these people – but denying space or time to those who simply want to provide truth and common sense.

The only group being ignored on this subject are medical doctors – and outside government employment, their views are pretty well consistent: masks aren’t just useless, they actually do more harm than good and will lead to the exacerbation of illness in those who are already ill and the creation of illness in those who were previously well.

The truth is being suppressed and the lies exaggerated in a way I have never known before.

What will happen next?

Will masks become part of the Chrislam deal?

Perhaps, in a year, they will say that women are super spreaders and must wear masks all the time. Men will be allowed to go without masks.

Since the authorities make all this stuff up it won’t matter that there isn’t any evidence. If necessary they’ll get The Lancet to publish an appropriate piece of pseudoscientific gibberish.

If you are beginning to feel as though you are being treated like a prisoner of war then you’re beginning to understand the situation.

[…]

Copyright Vernon Coleman September 3rd 2020



Un article de Miles Mathis (extrait).

Article original : http://mileswmathis.com/lively.pdf

Traduction de Skidmark. Merci de partager et de sourcer.

Traduction

[…] Ils veulent que les gens se haïssent et se livrent à des luttes intestines, car pendant que nous nous hurlons dessus, nous oublions de nous allier contre le véritable ennemi. Tout comme ils veulent maintenant que les Noirs et les Blancs se battent, et les hommes contre les femmes, et les vieux contre les jeunes, ils veulent aussi nous diviser en camps masque/anti-masque. Ça détourne notre regard des dirigeants de cette grande escroquerie. Ça détourne notre regard des milliers de milliards qui viennent d’être pillés aux Trésors mondiaux par les suspects habituels. Ça détourne notre regard de la destruction de la Constitution, qui voit les gouverneurs des États contourner illégalement les législatures et gouverner par décrets. Et ça nous empêche de regarder de trop près les émeutes et de se rendre compte qu’elles sont elles aussi des impostures – encore des événements fabriqués par la division « théâtre » de la CIA. […]

Le pouvoir dominant veut vous empêcher de remettre quoi que ce soit en question, alors ils enrobent cette notion de peur et de terreur. Vous êtes censé croire que si jamais vous mettez le nez dans un de ces terriers [NdT. « rabbit hole » est un terme anglais qui désigne les complots souterrains], vous finirez déprimé et suicidaire. Ce qu’ils veulent à tout prix éviter, c’est que vous découvriez un mensonge, que vous suiviez ce mensonge jusqu’à sa fin logique et que vous en tiriez une leçon. Au contraire, ils veulent que sitôt vous découvrez un mensonge, la peur vous arrête net. Ça a toujours été leur défense première, vous savez. Ils vous ont fait avaler cette pilule de peur à votre naissance. Vous êtes censé apprendre à un âge précoce que vous dépendez d’eux pour tout, y compris pour les mensonges. Tout ce qui vous entoure étant édifié sur ces mensonges, si vous vous mettez à tirer sur le fil, tout s’effondrera et vous vous retrouverez dans un désert hurlant de nihilisme et de chaos. Mais ce n’est pas vrai. C’est un autre bluff, qui vous a été inculqué pour s’assurer votre complicité et votre silence. Ce qui s’effondrera si nous tirons tous sur ces ficelles, c’est LEUR MONDE, un monde de criminalité et de mensonge. Oui, leur monde s’effondrera, mais le monde réel restera. Leur économie de pot-de-vin et de vol s’effondrera, et bon débarras, mais elle peut facilement être remplacée par une réelle économie de coopération et d’abondance. En fait, comme je vous l’ai montré dans mes articles sur Breivik, non seulement vous ne vous retrouverez PAS dans un monde sauvage fait de pénuries, mais vous découvrirez un nouveau monde fait d’opportunités. Voir mes commentaires sur la Norvège, où j’ai souligné que si on empêchait ces quelques familles de rafler toute la crème du lait, chaque citoyen norvégien serait très riche. Dans une moindre mesure, c’est vrai de tous les pays du monde, qui se retrouvent aujourd’hui étranglés par la marine phénicienne [NdT. c’est ainsi que l’auteur désigne les anciennes lignées des familles au pouvoir]. Supprimez leurs tentacules et leurs siphons à pognon, et l’économie mondiale prospérerait comme jamais auparavant. C’est la vérité qu’ils espèrent ne jamais vous laisser entrevoir. […]

Presque personne n’aime porter un masque, vous n’êtes donc pas une minorité.

Vous pouvez devenir l’allié des porteurs de masques en une seconde, et quand la révolution commencera, c’est ce que vous ferez. Eux jetteraient joyeusement leurs masques à l’égoût. Et une fois qu’ils auront compris qu’ils se sont encore fait avoir, ils le feront. C’est vrai, tout semble prendre trop de temps pour les gens comme vous et moi, et peut-être pensez-vous que les masses ne comprendront jamais, mais je pense honnêtement le contraire. Les mensonges sont devenus trop gros pour être maintenus, et la façade s’effrite sous nos yeux en ce moment-même. Beaucoup trop lentement à mon goût, mais elle s’effrite quand même. Une fois que la marée aura tourné, vous serez stupéfait de voir à quelle vitesse elle avance. La colère des gens ordinaires sera inimaginable. Aucune quantité de drogue ne pourra l’arrêter. Les dirigeants le savent. Je le sens quand ils parlent et le vois dans leurs yeux. Ni la presse, ni les tribunaux, ni la police, ni l’armée ne pourront les aider, car il n’y a tout simplement aucun moyen d’attaquer ou de contrôler 7 milliards de personnes qui ne vous font plus confiance. Une fois la confiance évaporée, la révolution est terminée et le reste n’est qu’un dénouement plus ou moins long. Lorsqu’on a toujours gouverné par le mensonge et que les gens ne croient plus aux mensonges, cette méthode de pouvoir est terminée. […]


Texte original

[…] They want people hating one another and infighting, because if we are screaming at one another we forget to ally against the real enemy. Just as they want blacks and whites fighting each other now, and men against women, and old against young, they want to divide us down mask/anti-mask lines as well. This keeps our eyes off the Governors who are running this great con. It keeps our eyes off the trillions just stolen from the worldwide treasuries by the usual suspects. It keeps our eyes off the trashing of the Constitution, as state governors illegally bypass legislatures and rule by executive orders. And it keeps us from looking too closely at the riots, and from realizing they too are fake — more manufactured events from the CIA’s theater department. […]

The mainstream doesn’t want you questioning anything, so they have to surround the idea with fear and dread. You are supposed to believe that if you go down any of the rabbit holes, you will end up depressed and suicidal. The last thing they want you doing is discovering a lie, and then following that lie to its logical end, and actually learning something. Instead, they want you to discover a lie, and then immediately shutdown from fear. That has been their main wall all along, you know. They have been massaging that fear pill down your throat from birth. You are supposed to learn at an early age that you depend on them for everything, even the lies. Everything around you is propped up on these lies, so if you start tugging on them, everything will collapse and you will be left in a screaming wilderness of nihilism and chaos. But it isn’t true. It is another bluff, taught to you to guarantee your complicity and silence. The only thing that will collapse if we all tug on those strings is THEIR WORLD, which is world of criminality and mendacity. Yes, their worlds will collapse, but the real world will remain. Their economy of graft and theft will collapse, and good riddance, but it can easily be replaced by a real economy of cooperation and abundance. In fact, as I showed you in my papers on Breivik, not only will you NOT be left in a wilderness of shortages, you will be lofted into a new world of opportunity. See my comments on Norway, where I pointed out that if these few families were prevented from skimming all the cream off the top, every citizen of Norway would be very wealthy. To a lesser extent, that is true of every country of the world, which is now being strangled by the Phoenician Navy. Remove their tentacles and money siphons, and the world economy would flourish like never before. That is truth they hope you never see. […]

Almost no one likes wearing masks, so you are not a minority.

You can ally with the mask-wearers in a second, and when the revolution starts, you will. They will throw their masks in the gutter happily. And once they figure out this was all one more con, they will. Yes, this is moving too slow for those like you and me, and you may think the masses will never catch on, but I honestly believe they will. The lies have gotten too big to maintain, and the facade is crumbling all around us even as we speak. Way too slowly for my taste, but crumbling even so. But once the tide turns, you will be shocked at the speed it progresses. The anger of the common people will be unimaginable. No amount of drugging will be able to stop it. The rulers know this. I can taste it in their words and see it in their eyes. Neither the press, the courts, the police, nor the military will be able to help them, since there is simply no way to attack or control 7 billion people who no longer trust you. Once the trust evaporates, the revolution is complete, and the rest is just a shorter or longer denouement. When you have always ruled via lies, and people no longer believe the lies, that method of ruling is finished. […]

Robert F. Kennedy – discours du 29/08/2020 à Berlin.

Transcription et traduction : Skidmark. Merci de partager et de sourcer.

Traduction

Chez moi, aux États-Unis, les journaux écrivent que je suis venu ici aujourd’hui pour parler à environ cinq mille Nazis.

Et demain, ils écriront qu’effectivement, je suis venu ici pour parler à environ trois à cinq mille Nazis.

Mais ce que je vois quand je regarde cette foule c’est le contraire du nazisme. Je vois des gens qui aiment la démocratie, des gens qui veulent un gouvernement ouvert, des gens qui veulent des dirigeants qui ne sont pas là pour leur mentir – […] des dirigeants qui ne créent pas de lois et de règlements arbitraires pour orchestrer l’obéissance de la population – qui veulent des responsables de la santé sans liens financiers avec l’industrie pharmaceutique – qui travaillent pour nous et pas pour Big Pharma – qui veulent des fonctionnaires soucieux de la santé de nos enfants et non de profits pharmaceutiques ou de contrôle gouvernemental.

Je regarde cette foule, je vois tous les drapeaux d’Europe. Je vois des gens de toute couleur de peau. Je vois des gens de toute nation, de toute religion, tous soucieux de dignité humaine, de la santé de leurs enfants, de liberté politique. C’est le contraire du nazisme.

Les gouvernements adorent les pandémies. Ils aiment les pandémies pour la même raison qu’ils aiment la guerre : parce que cela leur permet d’imposer un contrôle à une population qui ne l’accepterait jamais autrement, de créer des institutions et des mécanismes pour orchestrer et imposer l’obéissance.

J’ai quelque chose à vous dire. Je trouve ça très étrange de voir des personnages importants comme Bill Gates et Tony Fauci qui ont planifié et réfléchi à cette pandémie depuis des décennies, l’ont planifiée de manière à assurer notre sécurité pour le jour où la pandémie arrive, et qui maintenant qu’elle est là, ne semblent pas avoir la moindre idée de ce dont ils parlent. On dirait qu’ils inventent tout au jour le jour. Ils inventent des chiffres. Ils sont incapables de donner le taux de létalité du Covid. C’est pourtant basique. Ils ne peuvent pas fournir de test PCR qui fonctionne réellement. Ils doivent constamment changer la définition du Covid sur les certificats de décès pour qu’il ait l’air de plus en plus dangereux. La seule chose pour laquelle ils sont bons, c’est faire monter la peur.

Il y a 75 ans, Herman Goering a témoigné aux procès de Nuremberg et on lui a demandé : comment avez-vous fait pour que le peuple allemand accepte tout ça? Et il a dit, c’est
très facile et ça n’a rien à voir avec le nazisme. Ça a à voir avec la nature humaine. C’est quelque chose qui peut se faire dans un régime nazi, qui peut se faire dans un régime socialiste, qui peut se faire dans un régime communiste, qui peut se faire dans une monarchie et dans une démocratie. La seule chose dont un gouvernement a besoin pour faire des gens des esclaves, c’est la peur. Et si vous trouvez quelque chose qui les effraie, vous pourrez les mener exactement là où vous voulez.

Il y a cinquante ans, mon oncle John Kennedy est venu dans cette ville. Il est venu ici à Berlin parce que Berlin était la ligne de front contre le totalitarisme mondial. Et aujourd’hui encore, Berlin est la ligne de front contre le totalitarisme mondial. Il a fièrement dit au peuple allemand Ich bin ein Berliner. Aujourd’hui tous ceux qui sont ici aujourd’hui peuvent fièrement dire une fois de plus Ich bin ein Berliner. Car vous êtes la ligne de front contre le totalitarisme.

Je voudrais ajouter ceci : ils n’ont fait un très bon travail de protection de la santé publique, mais ils ont fait un très bon travail en profitant de la quarantaine pour installer la 5g dans toutes nos communautés […] afin de commencer le processus de transition vers une monnaie numérique, qui est le début de l’esclavage. Parce que s’ils contrôlent votre compte bancaire, ils contrôlent votre comportement. Nous voyons tous ces publicités à la télévision qui annoncent l’arrivée de la 5g dans votre communauté, qui sera une bonne chose pour tous. Que ça va changer vos vies. Que ça rendra vos vies vraiment meilleures. Et c’est très convaincant, je dois dire, parce que quand je regarde ces publicités, je trouve ça génial, je suis impatient qu’elle arrive ici, parce que je vais pouvoir télécharger un jeu vidéo en six secondes au lieu de seize secondes.

Est-ce là la raison pour laquelle ils dépensent cinq mille milliards de dollars pour la 5g?

La raison, c’est la surveillance et la collecte des données. Ce n’est pas pour votre bien ou le mien, c’est pour celui de Bill Gates, de Jeffrey (sic) Zuckerberg et de Bezos. Bill Gates dit que sa flotte de satellites sera en mesure d’observer chaque centimètre carré de la planète 24 heures sur 24. C’est juste le début. Il pourra également vous tracer grâce à tous vos appareils intelligents, grâce à la reconnaissance faciale biométrique, via votre GPS. Vous pensez qu’Alexa travaille pour vous? Il ne travaille pas pour vous, il travaille pour Bill Gates en vous espionnant.

Et la pandémie est une crise opportune pour les élites qui dictent ces politiques. Cela leur donne la capacité d’anéantir la classe moyenne, de détruire les institutions de la démocratie, de transférer toute notre richesse vers une poignée de milliardaires, de s’enrichir en appauvrissant tous les autres.

Et la seule chose qui se dresse entre eux et nos enfants, c’est cette foule qui est venue à Berlin.

Nous leur disons aujourd’hui qu’ils ne nous priveront pas de notre liberté, qu’ils n’empoisonneront pas nos enfants.

Nous exigeons le rétablissement de notre démocratie.

Merci beaucoup pour votre combat.


Transcription originale

Back at home in the United States the newspapers are saying that I came here today to speak to about 5.000 Nazis.

And tomorrow they’re gonna report that, yes I was here and I spoke to maybe three to five thousand Nazis.

But I look at this crowd and i see the opposite of Nazism. I see people who love democracy, people who want open government, people who want leaders that are not going to lie to them, [people who are not] leaders who will not make up arbitrary rules and regulations to orchestrate obedience of the population, who want health officials who don’t have financial entanglements with the pharmaceutical industry, who are working for us and not Big Pharma, who want officials who care about our children’s health and not about pharmaceutical profits or government control.

I look at this crowd i see all the flags of Europe. I see people of every color. I see people from every nation, every religion, all caring about human dignity, about children’s health, about political freedom. This is the opposite of Nazism.

Governments love pandemics. They love pandemics for the same reason they love war : because it gives them the ability to impose controls on the population that the population would otherwise never accept, to create institutions and mechanisms for orchestrating and imposing obedience.

I’ll tell you something. It’s a mystery to me that all of these big important people like Bill Gates and Tony Fauci have been planning and thinking about this pandemic for decades, planning it so that we would all be safe when the pandemic finally came. And yet now that it’s here they don’t seem to know what they’re talking about. They seem to be making it up as they go along. They’re inventing numbers. They cannot tell you what the case-fatality rate for Covid is. That’s basic. They cannot give us a PCR test that actually works. They have to change the definition of Covid on the death certificates constantly to make it look more and more dangerous. The one thing that they’re good at is pumping up fear.

75 years ago herman Goering testified at the Nuremberg trials and he was asked, how did you make the German people go along with all this? And he said, it’s an easy thing, it’s not anything to do with Nazism. It has to do with human nature. You can do this in a Nazi regime, you can do it in a socialist regime, you can do it in a communist regime, you can do it in a monarchy and a democracy. The only thing a government needs to make people into slaves is fear and if you can figure out something to make them scared, you can get them to anything that you want.

Fifty years ago my uncle John Kennedy came to this city. He came here to Berlin because Berlin was the front line against global totalitarianism. And today again Berlin is the front line against global totalitarianism. He proudly said to the people of Germany Ich bin ein Berliner. Today all of those who are here today can proudly say once again Ich bin ein Berliner. For you are the front line against totalitarianism.

I want to say one more thing. They haven’t gone and done a very good job about protecting public health but they’ve done a very good job at using the quarantine to bring 5g into all of our communities [and to shift us all] to begin the process of shifting us all to a digital currency which is the beginning of slavery. Because if they control your bank account they control your behavior. And we all see these advertisements on television saying 5g is coming to your community, it’s going to be a great thing for all of you. It’s going to change your lives. It’s going to make all of your lives so much better. And it’s very convincing I have to say because I look at those ads and i think, that’s great i can hardly wait till it gets here and then because i’m going to be able to download a video game in six seconds instead of sixteen seconds.

And is that why they’re spending five trillion dollars on 5g? The reason is for surveillance and data harvesting it’s not for you and me it’s for Bill Gates, it’s for Jeffrey (sic) Zuckerberg and it’s for Bezos. Bill Gates says that his satellite fleet will be able to look at every square inch of the planet 24 hours a day. That’s all in the beginning. He also will be able to follow you on all of your smart devices through biometric facial recognition through your gps. You think that Alexis is working for you? She isn’t working for you she’s working for Bill Gates spying on you.

And the the pandemic is a crisis of convenience for the elites who are dictating these policies. It gives them the ability to obliterate the middle class, to destroy the institutions of democracy, to shift all of our wealth from all of us to a handful of billionaires to make themselves rich by impoverishing the rest of us. And the only thing between them and our children is this crowd that has come to Berlin.

We’re telling them today you are not going to take away our freedom you are not going to poison our children.

We are going to demand our democracy back.

Thank you all very much for fighting.

Pourquoi CS Lewis a écrit « L’abolition de l’homme ».

Lien vers l’article original en anglais.

[NdT. Lewis, dont le rapport très ambivalent avec la chrétienté est très bien décrit par Miles Mathis dans un article en anglais ici, substitue dans les citations ci-après le concept de Logos par celui du Tao, histoire de rester dans son rôle de défenseur de la Révélation sans lui faire trop de pub. A part ça, le texte est bien écrit.]


Pourquoi CS Lewis a écrit « L’abolition de l’homme »

James A. Herrick

22 août 2020 à 07h57

Note de l’éditeur : Publié le 16 août 1945, That Hideous Strength de CS Lewis est un roman dystopique qui reflète étrangement les réalités de 2020, mettant dans une forme fictive mémorable des idées exprimées dans l’œuvre de non-fiction de Lewis, The Abolition of Man. Pour marquer les trois quarts de siècle du livre cité en premier, Evolution News présente une série d’essais, de réflexions et de vidéos sur ses thèmes et son héritage.

James A. Herrick a été le professeur de communication de Guy Vander Jagt au Hope College à Holland, MI. Ses livres incluent The Making of the New Spirituality: The Eclipse of the Western Religious Tradition.

Cet article est adapté du chapitre 10 de The Magician’s Twin: CS Lewis on Science, Scientism, and Society , édité par John G. West. Voir également :

De profondes inquiétudes quant à l’orientation de l’éducation et de la science occidentales ont incité CS Lewis à rédiger ses trois conférences, publiées pour la première fois sous le titre The Abolition of Man en 1944. Dans son troisième discours, Lewis a fait valoir que le pouvoir d’affecter toute l’histoire ultérieure de la race humaine sera déterminé par quelques technologues et planificateurs bureaucratiques qui modifieront les composantes fondamentales de la biologie humaine. 

Les trois brefs chapitres constituant L’abolition de l’homme – «Les hommes sans poitrine», «Le chemin» et «L’abolition de l’homme» – ont été initialement présentés dans le cadre des conférences commémoratives de Riddell à l’Université de Newcastle en février 1943. Dans sa conférence la plus discutée et celle dont le livre tire son titre, Lewis avertit que «si un âge atteint vraiment, par l’eugénisme et l’éducation scientifique, le pouvoir de faire de ses descendants ce qu’il veut, tous les hommes qui vivent après lui seront les patients de ce pouvoir. » Loin d’être des humains plus libres et meilleurs, ces nouvelles créatures seront «plus faibles, pas plus fortes : car malgré que nous aurons mis de merveilleuses machines entre leurs mains, nous aurons prédéterminé comment ils devront les utiliser». 1 Grâce à une biotechnologie sophistiquée, «la conquête de la nature par l’homme, si les rêves de certains planificateurs scientifiques se réalisent, signifiera le règne de quelques centaines d’hommes sur des milliards et des milliards d’hommes.» Lewis conclut: «La dernière étape adviendra lorsque l’homme, par l’eugénisme, par le conditionnement prénatal, et par l’éducation et la propagande basées sur une parfaite psychologie appliquée, aura obtenu le plein contrôle de lui-même. La nature humaine sera l’ultime élément de la nature à obéir à l’homme. La bataille aura été gagnée.» 2

Une profonde méfiance

La profonde méfiance de Lewis à l’égard des projets éducatifs modernistes, le subjectivisme de la moralité et le progrès de la planification scientifique sont au coeur de ces conférences. Il était particulièrement inquiet de l’expérimentation biotechnologique dont l’humanité serait le «patient», une possibilité qu’il a également explorée dans That Hidous Strength. Dans ses deux œuvres, Lewis dresse un sombre portrait de la race humaine repensée par des programmeurs scientifiques qui se seraient éloignés du Tao.3 Si un tel projet réussissait, chaque être humain serait finalement le reflet dans ses cellules mêmes d’une nouvelle nature élaborée par des technologues. La nouvelle nature humaine serait le reflet d’une vision morale fondée sur des mythologies populaires mais essentiellement non soumises au sens critique telles que le progrès et l’évolution, des récits façonnant la planification scientifique elle-même. Lewis a écrit ces mots célèbres : «Car le pouvoir de l’homme de se faire ce qu’il veut sera le pouvoir de certains hommes de faire d’autres hommes ce qu’ils veulent. » 4 Ces «mouleurs d’hommes du nouvel âge seront armés des pouvoirs d’un état omnicompétent et d’une technique scientifique irrépressible : nous aurons une race de conditionneurs qui pourront vraiment façonner la postérité selon les formes qu’ils choisiront.» 5

Pour les conditionneurs – la dénomination de Lewis des scientifiques et des bureaucrates à l’oeuvre sur la nouvelle humanité – les valeurs et les émotions seront de simples phénomènes physiques à produire ou à réprimer chez les étudiants grâce à une éducation éclairée par une psychologie avancée. En rupture avec les traditions du passé, les valeurs deviendront un résultat éducatif à propager plutôt qu’une conscience morale profondément enracinée à affiner, «le produit, et non le motif, de l’éducation». Les conditionneurs acquerront la capacité de «produire de la conscience et de décider quel genre de conscience ils produiront». 6

Les futures élites académiques et gouvernementales définiront le «bien» et pour ensuite inculquer ce bien inventé à l’humanité par une combinaison de techniques éducatives et de biotechnologie. Selon Lewis, ils «savent très bien comment fabriquer en nous une douzaine de conceptions différentes du bien», sans qu’eux-mêmes ne soient guidés par aucun standard externe et objectif du bien. Ignorant l’intemporel Tao, les conditionneurs deviendront les arbitres du bien et du mal. 7 Mais, pour Lewis, sortir du Tao c’est rompre son lien moral avec toute l’expérience humaine passée, en substance, cesser d’être humain. Propager cette rupture morale par des moyens technologiques, c’est créer, non pas une race humaine améliorée, mais une race qui n’est plus humaine; c’est l’abolition de l’homme.

Demain , «CS Lewis, Science et Science Fiction».

Références

  1. CS Lewis, L’abolition de l’homme (New York: Macmillan, 1947), p. 36. 
  2. Ibid., 37.
  3. Lewis fournit aux lecteurs une formulation du Tao en annexe à L’abolition de l’homme .
  4. Lewis, Abolition of Man , 37.
  5. Ibid., 38.
  6. Ibid., 39.
  7. Ibid., 39.

Dans l’ombre de la pandémie – la grande redistribution – par Ernst Wolff.

Source.

(lire aussi mon article ici)

Dans le cadre d’une manifestation qui a eu lieu à Stuttgart le 20 juin 2020 et qui a été initiée par «Querdenken 711», l’expert financier Ernst Wolff a fait un discours qui réveille, sur la situation financière dans l’ombre de la crise du coronavirus. Wolff prédit une énorme catastrophe économique, qui sera suivi d’un tsunami financier et social. Mais il dit aussi sans ambages qu’il est temps d’introduire un système basé non pas sur l’avidité, mais sur les valeurs démocratiques.

Mais écoutez maintenant ce qu’Ernst Wolff a à nous dire.

La caractéristique remarquable et de loin la plus importante de la situation actuelle est la concentration historiquement unique de la richesse et du pouvoir, sous laquelle nous vivons. Jamais auparavant dans toute l’histoire de l’humanité, si peu de gens ont possédé autant qu’aujourd’hui. Et comme nous vivons dans une société dominée par l’argent, cela signifie que jamais auparavant aussi peu de gens n’ont eu autant de pouvoir entre leurs mains qu’à notre époque. Et ce pouvoir a joué un rôle historique au cours des derniers mois, car jamais auparavant il n’y a eu d’abus de pouvoir à une aussi grande échelle que lors de la pandémie du coronavirus. Les conséquences sont également historiques. Nous sommes confrontés au choc économique le plus impressionnant que le monde n’ait jamais connu.

L’un des résultats les plus importants est la multiplication des défauts de paiement, qui a exacerbé de manière exponentielle le plus grand problème économique et financier de notre époque, à savoir la dette mondiale. Aujourd’hui, nous sommes confrontés au poids de la dette le plus important et croissant le plus rapidement de tous les temps. En effet, le verrouillage a été utilisé par les gouvernements et les banques centrales comme une occasion de mener des opérations dites de sauvetage et de mettre en place des plans d’aide coronavirus. Voici un seul exemple : les trois constructeurs automobiles allemands Daimler, Volkswagen et BMW, qui ont réalisé plus de 230 milliards d’euros de bénéfices au cours des dix dernières années, reçoivent 50 milliards d’euros, alors que dans le même temps, les petits et micro-entrepreneurs ne reçoivent qu’une aumône et que toutes sortes de conditions rendent difficile, et dans de nombreux cas même impossible, la poursuite de leurs activités. De plus, on peut supposer que ni les travailleurs ni les employés des entreprises automobiles ne bénéficieront de ces 50 milliards. Que va-t-il donc se passer avec l’argent ? Probablement exactement la même chose qu’avec les centaines de milliards restants qui sont actuellement émis par les banques centrales et qui sont donnés aux grands investisseurs à un taux nul ou presque nul. L’argent finira dans le casino financier international et fera augmenter démesurément la spéculation mondiale. Les cinq grands en particulier – Microsoft, Apple, Google, Amazon et Facebook – ont joué ces dernières années un rôle énorme dans l’explosion des marchés financiers. Tous les cinq sont maîtres dans l’art d’éviter de payer des impôts et bénéficient d’énormes rachats d’actions par leur direction, ce qu’ils ont été autorisés à faire dans le cadre de la déréglementation. Tous les cinq dirigent les marchés financiers du monde entier avec l’aide de partenaires puissants.

Mais ces cinq entreprises profitent aussi, comme aucune autre, des conséquences du verrouillage, qui a fortement stimulé le commerce sur Internet ainsi que le télétravail, les conférences en ligne et l’enseignement à domicile, et qui continuera à le faire à l’avenir. Le succès a été démontré de la manière la plus visible par la société de vente par correspondance en ligne Amazon, qui a engagé 175 000 nouveaux employés en seulement deux mois pendant la crise et dont le propriétaire, Jeff Bezos, a pu augmenter son capital personnel en cinq mois rien que cette année d’environ 45 milliards de dollars, pour atteindre aujourd’hui près de 160 milliards de dollars. Nous voyons donc comment les entreprises de ce secteur financier numérique, par leur puissance financière, leur puissance technologique et leurs relations humaines, soumettent progressivement le monde entier à leurs propres forces, et que la pandémie leur a été d’une grande utilité.

Le système financier mondial a été sauvé de l’effondrement en 2007/2008 par l’intervention des gouvernements et des banques centrales, puis maintenu artificiellement en vie par des injections d’argent toujours plus élevées et des réductions des taux d’intérêt par les banques centrales. Mais comme ce cap ne pouvait pas être maintenu à long terme, et aurait conduit à un nouvel effondrement du système, les responsables ont essayé à partir de 2018 de réduire les injections d’argent et d’augmenter les taux d’intérêt. Cependant, fin 2018 ils ont échoué avec ce plan. À cette époque, les marchés boursiers du monde entier se sont effondrés, ébranlant le système à un point tel que les banques centrales ont immédiatement changé de cap et sont revenues à leur politique monétaire expansive précédente. Mais ce n’était rien d’autre que l’aveu qu’il ne peut y avoir de retour à un système financier normal. En septembre 2019, le système financier américain a alors vécu des turbulences considérables, que la banque centrale américaine n’a pu contenir qu’en injectant à nouveau des centaines de milliards de dollars. Et puis, alors que la récession s’installait, il est devenu de plus en plus évident au tournant des années 2019/2020 que le système ne pouvait plus être maintenu par des moyens conventionnels.

En janvier 2020, les premières nouvelles en provenance de Chine ont commencé à arriver, et en février, il est devenu évident que la pandémie s’étendrait à d’autres pays. Fin février, les premiers grands événements en Europe, comme le Salon de l’automobile de Genève, ont été annulés. Néanmoins, le 28 février dernier, le RKI, c’est-à-dire l’Institut Robert Koch, a encore classé le danger de la pandémie comme «faible à modéré» pour la population en Allemagne. Mais ensuite, dans le sillage de la chute du prix du pétrole à partir du 9 mars, un énorme krach boursier s’est produit, avec une chute des prix comme jamais auparavant. Le 17 mars, lorsque l’ampleur dévastatrice de ce krach est devenue évidente, le RKI a alors complètement viré de bord et a tout à coup classé le risque pour la population comme étant élevé, et le 26 mars, les groupes à risque ont été classés comme étant très menacés. Dans ce contexte, il est également intéressant de noter que l’effondrement du marché boursier, bien qu’il ait été causé par la chute du prix du pétrole et qu’il se soit produit avant le verrouillage, est maintenant généralement appelé «krach coronavirus».

Ce qui est encore plus intéressant, c’est qu’aussi bien l’effondrement des marchés boursiers que la rapide reprise des marchés qui a suivi, rendue possible par les aides, ont fait entrer plusieurs centaines de milliards dans les poches des ultra-riches du monde – et cela en trois phases. D’abord en pariant sur la baisse des prix, puis en collectant l’argent du renflouement, et enfin en utilisant cet argent sur les marchés financiers et le prochain boom en résultant. Comme l’a rapporté le magazine américain «Forbes», rien qu’aux États-Unis, les richesses des milliardaires ont ainsi augmenté de 282 milliards de dollars en 23 jours, soit la croissance la plus rapide jamais enregistrée. Ainsi, alors qu’une alliance de politiciens, de médias grand public et d’universitaires a terrifié le public, les ultra-riches ont pu se concentrer, sans être dérangés, sur l’augmentation de leurs avoirs déjà énormes et sur la poussée vers de nouveaux sommets des inégalités sociales dans le monde.

Mais ce pillage n’est pas encore terminé. Ce que nous vivons depuis quelques jours et quelques semaines n’est probablement rien d’autre que la préparation du prochain glissement de terrain financier et social. En ce moment, il y a un terme en particulier qui façonne le débat public, et c’est la deuxième vague. Et cette fois-ci aussi, pour comprendre le mouvement de panique, nous devons examiner le contexte économique et financier dans lequel s’inscrit la pandémie. Nous sommes confrontés à une avalanche de licenciements, à l’effondrement des petites et moyennes entreprises à la suite du verrouillage délibéré… Dans les semaines et les mois à venir, il y aura des défaillances de crédit d’une ampleur sans précédent. Il y aura des masses de faillites privées. Nous connaîtrons des pénuries et une hausse rapide des prix dans le secteur alimentaire et, dans le même temps, une baisse des prix dans le secteur de la production, dans le secteur immobilier – en particulier l’immobilier commercial – et un autre effondrement énorme des marchés boursiers. En outre, il y aura une vague de licenciements dans le secteur public en raison d’un énorme manque à gagner de recettes fiscales. En outre, nous verrons des programmes d’austérité à toute épreuve pour tenter de combler les trous dans les budgets de l’État.

Nous sommes confrontés à un effondrement économique qui sera suivi d’un tsunami financier et social, dont personne ne peut imaginer l’ampleur pour le moment, mais que les banques centrales affronteront avec une impuissance croissante car dans le passé elles ont déjà tiré toutes leurs munitions. Faisons comprendre à tous les sceptiques que le temps est venu d’introduire un système basé non pas sur la cupidité mais sur les valeurs démocratiques, un système qui vise non pas à approfondir mais à surmonter les divisions de la société, et où la considération pour les personnes âgées, les faibles et les malades n’est pas une concession mais une évidence.

Continuons donc tous à nous battre pour un système juste, social et humain, comme nous le faisons ici et maintenant, et en faisant cela, montrons à nos enfants et petits-enfants la voie vers un monde futur qui semble différent de la prison financière numérique dans laquelle les dirigeants actuels veulent nous conduire.

Merci beaucoup !

Darwinisme social, arme de destruction massive.

Le progrès matériel, autrefois phénomène en adéquation avec les besoins de maîtrise de l’homme sur les éléments, est devenu une doctrine invasive, qui prétend définir et contrôler la destinée humaine : le progressime, lui-même ancré dans le darwinisme social. Ce dernier, escroquerie scientifique fondatrice du logiciel mondialiste s’est progressivement (si on peut dire) emparé de la marche globale de la civilisation, sous diverses appellations, dont la croissance est la vedette. Nous avons maintenant droit à sa soeur maudite, la décroissance. L’actuelle crise organisée, version sanitaire, a permis de passer en quelques semaines à la vitesse supérieure de la transition, et à une échelle de destruction spectaculaire :

  • destruction sociale : déjà accomplie par la fracture familiale et l’individualisme marchand, elle culmine aujourd’hui avec des mesures d’urgence telles distanciation sociale et délation (typique des régimes totalitaires), actes anti-humains élevés au rang de normes;
  • destruction économique : avec la suppression définitive des dernières forces vives de production occidentales au profit de réseaux internationaux, on défriche les vestiges du terrain socio-économique lentement érodé depuis la fin des corporations par (dans cet ordre) le salariat, le fonctionnariat, l’assistanat, l’uberisation, bientôt tous refondus dans le nouveau modèle de paupérisation institutionnelle, appelé revenu universel;
  • destruction de la propriété et de la liberté individuelle à l’arme financière : après le divorce définitif du lien production/valeur financière au profit de la spéculation sur les mouvements boursiers, qui fait du délit d’initié une vertu cardinale et de la catastrophe mondiale une aubaine, viendra la virtualisation complète de l’argent, devenu outil de contrôle exclusivement.

C’est bien la logique du darwinisme social, sous le masque de ses incarnations mortifères philosophiques (athéisme, laïcité), politiques (marxisme, et sa version culturelle), pseudo-scientifiques (évolutionnisme, eugénisme, transhumanisme, freudisme) et sa parodie de justice sociale et ethnique (égalitarisme, droit-de-l’hommisme, anti-fascisme, anti-racisme), qu’on retrouve derrière cette mise à mort de l’ancien monde, c’est-à-dire la civilisation européenne et son pendant en Amérique du nord, et qui génère son propre alibi dans sa logique circulaire. Le peuple mérite ce qu’il lui arrive puisqu’il participe activement à sa propre fin, ou en français courant, puisqu’il est assez con pour. Cette justification d’inversion morale autorise à ceux qui l’utilisent des limites à géométrie variable, voire aucune limite. La notion chrétienne de sacralité de l’homme évacuée, il reste un troupeau de créatures à normer, dont la valeur individuelle est fonction de la valeur sociale, selon une pensée (sous influence) typiquement protestante. En termes théologiques, le jugement de Dieu est confisqué, ce sont ses usurpateurs qui se chargent d’infliger le châtiment sur Terre. L’humanité est réduite à un troupeau domestiqué, dont les maîtres disposent selon les nécessités de leur projet : privés de leur destin, manipulables, exploitables, vendus entiers ou en morceaux, mis à mort lorsque jugé opportun. Tout est permis, rien n’est grave. La fin – le modèle frauduleux de la nouvelle humanité – justifie les moyens. Problème réglé, nuit paisible. Demain matin, les vestiges du monde ancien seront à liquider, ceux qui le représentent devront disparaître comme leurs prédecesseurs (source) : après le massacre des Vendéens à la Révolution (200.000 morts), des chrétiens de Russie à la Révolution bolchévique (10 millions ou plus, selon les sources), des victimes chinoises des purges communistes (80 millions), deux guerres mondiales (15 millions et 66 millions de morts), la mise en place de l’avortement à échelle industrielle (220.000 par an en France, 50 millions depuis 1973 aux USA) et la commercialisation de ses produits dérivés (bientôt, probablement, l’avortement post-partum), la destruction de la famille, de la classe moyenne, le remplacement ethnique, on en arrive aujourd’hui à ce que l’éradication culturelle – à coups de déboulonnage de statues, notamment – et physique de l’homme blanc soit considérée comme objectif avouable par des membres du monde politique, des médias et des mouvements « progressistes » au-devant de la scène (BLM, LGBT) qui ne se gênent pas pour l’annoncer clairement.

Tout va bien.

Le « nouveau normal », c’est le Projet Vénus en train de se mettre en place.

Allez donc jeter un oeil sur le Projet Vénus de Jacque Fresco. Il est l’agent typique, membre du Club de Rome, think tank eugéniste, quartier général de la stratégie de remodelage de la civilisation par l’arme écologique. Allez aussi lire la page Wiki de Fresco. Votre système d’alarme devrait se déclencher tous les trois mots. Son délire anti-humain en fait probablement la personne la plus dangereuse de l’Histoire, à côté duquel Bill Gates, Maurice Strong, George Soros font figure de seconds couteaux dans la marche vers le projet global.

Son Projet Vénus, c’est l’Humanité entière dans des camps de concentration technocratiques – poétiquement renommés « smart cities » – une dystopie contrôlée par l’IA et le crédit social.

Enfin, peut-être pas l’Humanité entière. Y’aura pas de place pour tout le monde. Cinq cent millions ça devrait suffire. Pas que leur sort serait tellement enviable. Il y a des choses pires que la mort.

Ça? Et ça? Justement maintenant?

Si vous pensez que le masque, le vaccin et le traçage sont des problèmes, vous n’avez encore rien vu.