Science Analyst propose une explication alternative à l’hypothèse de l’assemblage de la nanotechnologie par CEM – par Sage Hana.

Bon, me voilà encore captif de l’actualité. Mais, vous allez voir, on va vite s’en débarrasser.

Vous serez peut-être tombés sur la vidéo de l’interview du Dr David Nixon par Maria Zee (ici en version mal sous-titrée), où il montre l’auto-assemblage de « nanorobots » dans des gouttes du produit de Pfizer, et/ou l’interview de Karen Kingston par Stew Peters (non sous-titrée) où il/elle explique à peu près la même chose, brevets à l’appui. Comme, après m’être fait passé pour un idiot pour m’être rué sur cette histoire de gain de fonction de l’Omicron, explication ici, je deviens de plus en plus prudent avec ce genre de « révélations », j’ai attendu que quelqu’un de manifestement qualifié en fasse l’analyse. Comme chez le médecin, un deuxième avis.

Ce deuxième avis vient de quelqu’un de très qualifié. J’ai lu tout son Substack, le gars est vraiment très pointu – c’est ce qu’on appelle communément « une tête ». C’est Sage Hana – que j’aime vraiment beaucoup et dont je tente de traduire l’humour le mieux possible – qui, après avoir fait un article autour de la vidéo de Nixon et demandé l’avis de ses lecteurs, publie la réponse de Science Analyst, un point de vue assez intéressant concernant cette histoire de nanotechnologie, à garder en mémoire aussi quand on lit la présentation de Mme Latypova.

Notes: 1. les enchiladas, tacos et autres plats mexicains sont un running gag de Sage Hana; 2. le Dr Aseem Malhotra est un celèbre cardiologue britannique; 3. méfiez-vous de Karen Kingston comme de la peste et de Stew Peters comme du choléra en temps de pénurie de papier toilette; 4. vous savez tous que CEM est l’abréviation de « champs électromagnétiques ».

Source.


Science Analyst propose une explication alternative à l’hypothèse de l’assemblage de la nanotechnologie par CEM

Sage Hana

29 octobre

Compte-rendu du Fonds pour la Statue du Dr Aseem Malhotra:

  • Les enchiladas demeurent une force sous-estimée, qu’il faut craindre dans l’actuel Classement des Aliments Mexicains.
  • Le mystère à résoudre: les injections expérimentales d’ARNm destinées à éliminer le troupeau contiennent-elles des nanoparticules d’oxyde de graphène qui s’assemblent dans l’organisme en réponse aux fréquences électromagnétiques (CEM)?

C’est une théorie que j’entends défendre depuis quelque temps déjà.

Récemment, Maria Zee a diffusé une interview du Dr David Nixon dévoilant des images vidéo d’un prétendu assemblage de nanotechnologies sous un microscope. Nixon suggère que ce processus d’assemblage semble dépendre de, ou être lié à, l’exposition aux CEM.

Mon bref article et l’intégralité de la vidéo source sont ici.

https://rumble.com/v1prv94-world-first-robotic-arms-assembling.html

Je l’ai présenté à fin de discussion et réfutation.

J’en ai eu.

Ce qui est excellent.

Je veux savoir ce qui est vrai. Je veux savoir ce qui est vrai.

Science Analyst a gracieusement offert son expertise et des explications contradictoires, que je publie maintenant dans leur intégralité.

Merci, Analyst!


Science Analyst

Désolé pour la longueur de cette réponse, mais voici ma description complète. Ce truc est un poison, mais pour des raisons bien différentes de ce qui est dit dans la vidéo. Cette personne est clairement un débutant dans l’analyse au microscope. Je ne veux pas l’insulter, mais l’encourager à étudier davantage les faits.

Je vois une courte vidéo de cristaux en mouvement. Selon Nixon, c’est de la nanotechnologie (parce que ça bouge?). Et plus tard, il parle du réseau 5G. Un sujet que je connais bien. J’ai conçu des puces et la 5G nécessite une puce à 1M de transistors, une énorme antenne et un système de batterie. Très facile à voir, même à l’œil nu, et très visible au microscope. Donc techniquement, il n’y a aucune raison de penser qu’un cristal en mouvement puisse faire ça. Il est clair que c’est autre chose qui se passe. Mais permettez-moi de l’expliquer encore plus en détail:

On voit des mouvements comme celui-ci dans la plupart des lames de microscope, parce que le chauffage des lampes sous le microscope provoque un mouvement des fluides. Et peut provoquer la croissance ou la dissolution de cristaux. Ces réactions sont très dépendantes de la température, et tous les chimistes le savent. Parfois, on trouve même de la vie biologique sur les lames. Solution: faire appel à de vrais experts plutôt qu’à des débutants. On peut aussi regarder des vidéos sur YouTube sur la croissance des cristaux et s’informer à ce sujet. Il existe de nombreux cristaux différents. Certains se ressemblent vraiment beaucoup. Avez-vous déjà vu un cristal de neige se former? Ça ressemble aussi à un circuit.

Observez les cristaux de cholestérol. Ils sont carrés et ressemblent à un circuit. Il s’agit probablement d’une variante de ce produit chimique (le lipide des NPL?). Vous trouverez ces cristaux sur Google. Il existe probablement des experts en la matière qui pourront vous éclairer. Il y a aussi des experts en chimie qui savent quels cristaux se forment sous un microscope et sont capables de reconnaître de quels matériaux il s’agit.

À propos de la nanotechnologie. -> Je peux vous garantir qu’il n’y a absolument aucune nano-technologie avancée dans les diapositives montrées. Aucune. Pour toutes les raisons suivantes: (1) La nano-technologie n’est pas capable de s’auto-assembler, elle nécessite une machine de la taille d’une maison pour simplement parvenir à la précision nécessaire. Dans une salle blanche stérile, avec des matériaux purs à 100% et des contrôles de qualité minutieux. Donc pas dans un corps vivant dans un environnement pollué. (2) La nanotechnologie nécessite de nombreux fils et circuits pour exécuter la fonction la plus simple. Et de l’énergie. Et un système de contrôle. Il n’y en a rien de tout ça ici. Et dans le cas de la 5G (ou du Bluetooth), il en faut même des millions et une énorme antenne. (3) Les nanotechnologies, telles qu’elles sont présentées dans les conférences et les brevets, ne sont que de la science-fiction destinée à recueillir des fonds. En pratique, elles ne permettent d’accomplir que des tâches extrêmement simples moyennant un contrôle minutieux en laboratoire. C’est facile à vérifier en suivant les liens vers des démonstrations dans le monde réel. Les chercheurs y déplacent une spirale dans le corps à l’aide d’énormes champs magnétiques. C’est un peu comme faire bouger une marionnette en plaçant sa main à l’intérieur. Cela rend-il la marionnette intelligente ou vivante? Non, ça reste la même bête marionnette. (4) Les circuits doivent être parfaitement corrects, à 100%. Et pour remplir leurs fonctions, ils ont des millions de fils et de transistors. Une petite erreur et le circuit est totalement foutu.

On injecte au gens des objets artificiels dangereux, qui ressemblent à des virus et qui causent des ravages à long terme dans le corps. Associés à toutes sortes d’autres ingrédients toxiques pour les conserver (comme de l’antigel). Et des produits chimiques qui « activent » le système immunitaire ou l’endommagent carrément. Il ne devrait pas non plus se trouver de composants solides dans les injections. Tout cela constitue un mélange toxique, mais il n’y a aucune nanotechnologie dans aucune de ces vidéos (et j’ai vu 90% d’entre elles).

Conclusion: Il est absolument impossible que quelque chose de ce genre puisse s’auto-assembler dans le corps. Il faut de grosses machines pour projeter des circuits sur différentes couches chimiques au cours de centaines de processus chimiques purs à 100%. Si quelque chose s’auto-assemble, il ne peut s’agir que d’un processus chimique ou biologique de base.

Sur une note positive: je suis curieux de voir exactement quels processus chimiques et biologiques sont en jeu, mais il ne s’agit pas de « nanotechnologies auto-assemblées ». Et de telles théories facilitent beaucoup trop la tâche de Pfizer et de Gates.


Nous devrions peut-être tous partager des vidéos et des images des choses similaires. Cela pourrait nous aider à comprendre ce que nous regardons.

Voir aussi ici. [NdT. c’est un article en anglais de Science Analyst, que je n’ai pas tellement de temps pour traduire. Essayez mon article précédent du Pr Martin Pall.]


Postscriptum de Sage

C’était excellent et très convaincant. Merci à Science Analyst.

Je m’intéresse également aux réfutations des réfutations, aux théories alternatives et aux explications qui brisent le paradigme du « Pourquoi pas les deux? »

Oui, c’est compliqué.

Oui, les gens s’énervent.

Oui, les gens suivent la voie de l’ingénierie sociale « Arrêtez de chercher partout ».

*Remarque: je n’arrêterai pas de chercher partout. Pour ça, comptez sur moi.

C’est comme ça.

Ce n’est pas comme si la Science et les Experts n’avaient pas des points de vue radicalement divergents et semblaient être largement incapables d’admettre qu’ils se sont trompés.

(Ou qu’ils ont été cooptés, ou qu’ils ont été allègrement poussés à coups de pied dans l’Opération, parce que… quelque chose).

C’est un problème.

Je veux savoir ce qui se passe. Et c’est tout.

Interview de Alexandra Latypova au Comité Corona (traduction).

Vu l’importance et la qualité des informations contenues dans cette interview, j’ai mis en attente tous mes articles en préparation pour me consacrer à sa transcription complète (texte ici) et à sa traduction ci-dessous, qui m’ont pris plus de vingt heures. Je remercie évidemment Alexandra Latypova pour son travail précieux et considérable, le Comité Corona pour lui avoir donné la parole, Sage Hana pour l’avoir mentionnée sur son Substack et tout particulièrement mon épouse pour l’incroyable patience dont elle a fait preuve pendant que j’étais accaparé par cette tâche.

Pour plus de clarté, j’ai inclus dans le texte une capture des diapositives PowerPoint présentées lors de l’interview. Je n’ai pas traduit le texte qui y figure puisqu’il est expliqué dans le texte juste en-dessous par Mme Latypova.

Addendum 27/10: le document en fichier pdf est consultable ou téléchargeable ci-dessous.

Je vous remercie de le lire et de bien vouloir le diffuser. Je vous rappelle que je ne suis présent nulle part sur les réseaux sociaux, que je ne fais aucune promotion de ce blog (non-monétisé) et que je dépens entièrement de mes lecteurs pour que ce genre de travail soit utile à d’autres.

NOTE 08/02/23: il y a d’autres articles de Sasha sur ce blog ici, ici et ici.

Source de la vidéo. Source de la session complète.


Viviane Fischer: Nous avons une nouvelle invitée. Il s’agit de Mme Alexandra Latypova. Elle a longtemps travaillé comme cadre dans l’industrie pharmaceutique. Bonjour.

Alexandra Latypova: Bonjour à tous.

Viviane Fischer: Bonjour, ravie de vous recevoir. Ce serait bien que vous vous présentiez un peu. Quelles sont les points les plus importants de votre carrière que vous aimeriez partager avec notre public?

Alexandra Latypova: Mon expérience professionnelle est dans le domaine de la recherche et du développement pharmaceutiques. J’ai travaillé pendant environ 25 ans dans ce secteur, à différents postes. Au début, j’ai fait de l’analyse de données, puis j’ai travaillé dans le domaine des essais cliniques et des technologies qui sont utilisées dans les essais cliniques pour évaluer divers médicaments, comme les technologies d’imagerie, l’électrophysiologie et de nombreuses autres techniques. J’ai cofondé plusieurs organismes de recherche clinique. Ce sont des entreprises sous-traitantes des sociétés pharmaceutiques, qui travaillent dans le domaine des essais cliniques. J’ai ainsi travaillé pour environ 60 sociétés pharmaceutiques dans le monde entier, principalement aux États-Unis et en Europe, mais aussi en Asie. Pfizer a été mon client et a été, en fait, mon investisseur à deux reprises. Nous avons travaillé en collaboration en matière de R&D sur les technologies susceptibles d’être utilisées dans les essais cliniques. J’ai également travaillé directement avec la FDA dans le domaine des évaluations de la sécurité cardiovasculaire et j’ai participé aux consortiums industriels de la FDA sur les méthodologies d’évaluation de la sécurité cardiovasculaire dans la recherche clinique et préclinique. J’ai pris ma retraite de l’industrie il y a quelques années et je ne travaillais plus lorsque l’arnaque Covid est arrivée. Je m’en suis tout de suite inquiétée quand j’ai compris que ça se passait très mal, que les pratiques et les politiques mises en place n’avaient aucun sens. J’ai entrepris d’examiner la situation de plus près. J’ai d’abord analysé les données du VAERS du CDC, parce qu’elles sont accessibles au public, et ensuite, jusqu’à ce jour, j’ai travaillé sur divers documents rendus disponibles par des actions en justice relatives à la liberté d’information. J’examine ces documents et je collabore avec divers groupes pour tenter de leur fournir une expertise et une interprétation du contenu de ces documents afin que diverses actions puissent être entreprises par le public et par les cabinets d’avocats.

Viviane Fischer: Vous avez donc manifestement beaucoup d’expérience dans ce domaine. Ce qui en ressort, c’est que de votre point de vue, toutes les mesures de protection et les réglementations précédemment en vigueur, sur lesquelles le public s’est appuyé pendant des années – et dont il présumait qu’elles continueraient à être mises en œuvre – ont été fondamentalement supprimées. Pourriez-vous peut-être nous en dire plus à ce sujet?

Alexandra Latypova: Voilà le plus gros mensonge sur ces prétendus vaccins. Ce ne sont pas des vaccins, ce ne sont même pas des produits pharmaceutiques, ce que j’expliquerai dans ma présentation. Voilà le mensonge qui nous a été vendu au niveau mondial, à savoir que c’est un médicament, mais ce n’est pas un médicament. Et lorsqu’on a dit au public qu’il s’agissait d’un médicament, d’un vaccin, tout le monde s’est attendu à ce que toutes les garanties auxquelles nous sommes habitués en matière de médicaments soient en place, mais ça n’a pas été le cas. En fait, ces garanties ne peuvent même pas légalement s’appliquer à ces produits, même si c’est sujet à caution. On ne peut pas passer un contrat pour commettre un crime, or ils ont passé un contrat pour commettre un crime et ils commettent ce crime en ce moment même. Et ils le qualifient de légal mais cela reste à voir – et je l’expliquerai dans ma présentation. J’ai quelques diapositives, si je peux les partager?

Wolfgang Wodarg: Partagez simplement votre écran.

Alexandra Latypova: Ma présentation aujourd’hui traitera de ces injections et plus particulièrement de la fraude en matière de réglementation et de fabrication, problème spécifique sur lequel peu de gens se sont penchés et sur lequel je me suis concentrée. Il n’implique pas seulement la FDA, mais aussi l’AEM (Agence Européenne des Médicaments), toutes ces agences, et surtout le Département d’État américain. Ce programme est entièrement dirigé par le Département d’Etat américain. C’est une action militaire, un programme militaire, qui a effectivement suspendu toutes les règles et réglementations de sécurité dans le monde entier. Et ils sont de connivence avec les fabricants de produits pharmaceutiques pour la diffusion de ces produits mortels dans le monde entier.

Jusqu’à présent, nous disposons d’un résumé de très haut niveau de toutes les preuves concernant les injections Covid 19 actuelles et je pense que la plupart d’entre nous seront d’accord sur ces points. Ils ont été couverts par votre commission d’enquête de manière assez exhaustive.

Tout d’abord, ces produits ont été conçus pour être toxiques. De nombreuses publications en expliquent la raison ainsi que les nombreux mécanismes de dommages incorporés dans ces produits. Ils interfèrent avec les processus génétiques qui ont lieu en permanence dans notre corps. Les fabricants affirment qu’une sorte de protéine utile est exprimée, mais ce n’est pas ainsi que fonctionne le corps humain. Ils ne font que détruire le système immunitaire, ce qui entraîne diverses conséquences catastrophiques. Nous savons maintenant que ces produits ne sont absolument pas sûrs. Le nombre de morts et de blessés dans le monde entier est tout simplement effroyable. Il dépasse tous les chiffres antérieurs les plus élevés repris dans les anciennes bases de données accessibles au public. Pourtant, aucun responsable n’y prête attention ou, lorsque ce point leur est soumis, ils le nient purement et simplement et embrouillent le public. Ce produit n’a aucune efficacité. Je n’ai vu nulle part quelqu’un qui puisse démontrer que ces injections offrent une protection durable. Ce n’est pas vrai. Les gouvernements veulent maintenant que les gens se fassent injecter tous les 3 ou 4 mois. C’est tout à fait grotesque pour un produit désigné sous le nom de vaccin et ces produits n’offrent absolument aucune protection contre la maladie du Covid.

Ma présentation d’aujourd’hui sera principalement axée sur le mode de fabrication, sur la manière dont le cadre en place permet de commettre cette fraude, comment ce cartel s’est formé, qui sont les participants à ce cartel et quel est leur rôle exact. La question de la fabrication déficiente a été très peu évoquée, mais ce produit est totalement non conforme parce qu’il n’a pas à l’être. C’est un prototype, ce n’est pas un produit pharmaceutique, il est donc très peu conforme à son étiquette et il est extrêmement variable. Il n’est pas conforme aux bonnes pratiques de fabrication et on ne voit aucune application des bonnes pratiques de fabrication dans les pays où de telles lois existent. Les gouvernements poursuivent manifestement une politique malfaisante. Nous savons qu’ils mentent, nous savons qu’ils dissimulent, qu’ils embrouillent les familles des personnes tuées ou blessées par ces injections. Toutes ces actions font apparaître très, très clairement leur intention de nuire. A ce stade, tout doit être considéré comme intentionnel. Tous les dommages et les décès doivent être considérés comme totalement intentionnels.

Parlons maintenant de la fabrication, pour illustrer ce que sont les bonnes pratiques de fabrication. Aux États-Unis, il s’agit d’un ensemble de lois, de règles et de règlements qui figurent dans le code des règlements fédéraux. C’est un ensemble de lois très complet qui couvre les normes de haute qualité, de cohérence et de pureté pour les médicaments, les vaccins, ainsi que les aliments et les boissons – fabriqués en masse. On s’attend à ce que chaque lot de chaque nouveau produit soit à peu près identique au lot précédent du même produit, qu’il soit conforme à son étiquette, qu’il ne contienne pas d’impuretés ni de substances toxiques. Dans le cas de ces injections Covid 19, on s’attend également à ce qu’elles soient interchangeables entre différentes marques, bien qu’aucun test n’ait été effectué pour le démontrer. Ces règles et réglementations existent dans d’autres pays où elles sont très similaires. Aux États-Unis, elles ont été élaborées entre les années 1900 et 1960 et constituent un ensemble très complet. C’était en réaction au grand nombre de personnes empoisonnées et tuées par des produits mal fabriqués à l’époque et, en fait, c’est un crime grave que d’introduire un produit frelaté, un produit qui n’est pas conforme à ces règles dans le commerce inter-États aux États-Unis ou au niveau international.

Quand je me suis mise à examiner ces injections Covid 19, je voulais comprendre de quoi elles avaient l’air par rapport à quelque chose de plus traditionnellement conforme à nos bonnes pratiques de fabrication. Comme il s’agissait d’un prétendu vaccin, j’ai décidé de le comparer aux vaccins antigrippaux traditionnels et j’ai pris toutes les données de la base de données VAERS qui couvraient les vaccins antigrippaux traditionnels. Je les ai reportées sur ce graphique. Sur l’axe des X, figurent tous les numéros de lot des vaccins contre la grippe. Il s’agit d’une douzaine de fabricants, de différents produits, tous des vaccins antigrippaux injectables, et sur l’axe Y, figurent les événements indésirables graves et les décès. Je n’inclus jamais la somme des événements indésirables, qui peuvent inclure de nombreuses questions administratives et des problèmes potentiellement mineurs, je me concentre donc sur les événements graves et les décès. En ce qui concerne les événements graves et les décès, comme vous pouvez le voir, ce sont des produits très cohérents, ils ne varient jamais beaucoup. La moyenne est d’environ 3 ou 4 événements indésirables graves par lot. Puis, nous trouvons quelques valeurs aberrantes – nous ne trouvons ici que 2 valeurs aberrantes sur de nombreuses années et la plus importante était de 37 rapports par lot. C’est à peu près ce à quoi ressemble un vaccin conforme aux bonnes pratiques de fabrication, et c’est ce à quoi on devrait s’attendre.

Lorsque j’ai examiné les injections Covid 19, le tableau était radicalement différent, ce qui est extrêmement alarmant. Il est tellement catastrophique qu’il aurait dû constituer un signal d’alarme pour tout organisme de réglementation à tous les niveaux – fédéral, étatique et local. Nous disposons tous d’organismes de réglementation établis à tous les niveaux du gouvernement, capables de signaler des problèmes d’anomalies ou des schémas anormaux pour tous les produits relevant de leur juridiction et d’effectuer alors leur rappel. Mais personne ne l’a fait. On observe une énorme variation d’un lot à l’autre pour toutes ces injections Covid 19. J’ai d’ailleurs ici tous les lots vérifiés par le CDC, on dispose de la liste complète des lots émis aux États-Unis avec numéros de lot exacts, dates de fabrication et dates d’expiration. Ces données sont donc toutes valides et pourtant on voit que les variations sont des centaines de milliers de fois plus importantes que celles du vaccin contre la grippe, qui sont toutes sous cette ligne rouge ici, et elles sont toutes beaucoup plus élevées. La fourchette va de 1.500 événements indésirables graves pour un seul lot à certains lots qui en ont très peu et il y a aussi une énorme différence – vous pouvez le constater visuellement – entre les différents fabricants. Nous avons Janssen ici, Moderna ici, et puis Pfizer – regardez ça. C’était extrêmement alarmant et en fait, une alerte a été émise très tôt dans le déploiement par le comté d’Orange, en Californie. Ils ont détecté le 18 janvier 2021, soit quelques semaines seulement après le déploiement massif de ces injections, un lot de Moderna qui, selon eux, a généré un nombre important d’événements indésirables. Cependant, personne d’autre ne s’en est alarmé. L’affaire a fait la une des journaux, mais aucune autre autorité sanitaire n’a reçu la moindre notification. Le fabricant n’a pas arrêté la production de ce lot, ne l’a pas rappelé, personne parmi les autorités sanitaires n’a imposé un rappel et ce lot a continué à être vendu dans tous les États-Unis jusqu’à son épuisement en mars. Il a également généré un millier d’événements indésirables graves et près de 60 décès. Tout cela doit donc être considéré comme intentionnel, car les autorités l’ont signalé, elles ont constaté qu’il générait des effets indésirables anormaux. Personne n’a pourtant fait quoi que ce soit pour l’arrêter et on a continué à l’administrer aux gens.

Viviane Fischer: Dans cette représentation de Pfizer, il semble que lorsqu’il y a un lot toxique, il est très toxique.

Alexandra Latypova: Ceux-là, oui, les chiffres sont extrêmement élevés, ils sont extrêmement toxiques. Ces lots provoquent en général aussi beaucoup de décès, je n’ai pas détaillé les décès ici, mais oui. Ces énormes lots générent beaucoup de décès, mais ce n’est pas toujours le cas. Parfois, même un petit lot peut générer un nombre anormal de décès. Ils varient également au niveau de la létalité, comme vous pouvez le voir. On observe donc d’énormes variations à tous les niveaux.

Wolfgang Wodarg: Vous allez certainement nous parler de la raison de ces variations.

Alexandra Latypova: Oui, nous avons trouvé de nombreuses raisons. Les gens nous ont souvent dit : « Vous êtes des conspirationnistes, c’est juste parce que la taille des lots est différente », mais en fait, elles ne sont pas si différentes. Nous avons reçu récemment des informations dans le cadre d’une demande d’accès à l’information (FOIA) et on nous a fourni la liste de toutes les expéditions de produits Pfizer aux États-Unis par numéro de lot et par nombre de doses. Lorsque je les ai représentés par date de fabrication, ici sur l’axe des X, et qu’on ne compte que les décès – ici, c’est plus facile à voir – en ajustant pour la taille des lots – ici, j’ai ajusté par 1.000 doses – on obtient cette image très étrange. La variabilité est énorme – ceux-ci sont jusqu’à 12 fois supérieurs à ceux-là. Et notez la dispersion, surtout au début de l’année. Cette variabilité a ensuite diminué et la toxicité a diminué mais la variabilité est toujours inacceptable dans cette partie du graphique. C’est juste qu’elle est éclipsée par cette partie du graphique. Rien de tout cela ne devrait se produire. La relation attendue devrait ressembler à une ligne plate, zéro ou aussi proche de zéro que possible. Mais ici nous avons une relation statistique définie, en relation avec la date de fabrication pour Pfizer. Pensez-y, il ne devrait pas y avoir de différence dans la toxicité d’un produit en fonction de sa date de fabrication, et la même relation existe même entre les codes alphanumériques de Pfizer et Moderna. Ils se regroupent également – je ne le montre pas ici – mais ils se regroupent également autour de différents codes alphanumériques. Nous savons aujourd’hui quelles lettres et quels chiffres correspondent à quel niveau de toxicité. Nous pouvons en informer les gens et nous le faisons d’ailleurs sur notre site Internet.

Voilà la situation, absolument alarmante et absolument évidente, évidente depuis le début et qu’aucune autorité sanitaire n’a jamais remarquée. C’est extrêmement inquiétant et encore une fois, cela indique un acte intentionnel.

Viviane Fischer: Je ne sais pas si vous allez y venir, mais j’ai une question, avant que j’oublie. Au début, il y avait les personnes âgées et les malades, des personnes peut-être déjà malades, qui se faisaient vacciner et ensuite les personnes plus jeunes ont été admises. Quand on voit le nombre de réactions jusqu’au 21 avril, se pourrait-il que la variabilité soit due à des réactions plus intenses, en raison du groupe d’âge qui a été vacciné? Reviendrez-vous sur cette question plus tard ?

Alexandra Latypova: Oui, j’ai en fait une diapositive à ce sujet dans mes diapositives de sauvegarde. Cette question a été posée fréquemment et voici la réponse – c’est d’ailleurs mon collègue allemand qui l’a écrite et elle est basée sur des données allemandes. L’âge n’a pas autant d’influence qu’on le pense. La différence entre les lots à faible létalité et les lots à forte létalité était de 12 fois. Il y avait quelques personnes âgées, mais n’oubliez pas qu’au début du déploiement, il y avait aussi des travailleurs de la santé, donc il n’y a pas eu que des personnes âgées. L’âge moyen a toujours été assez bas. Il n’était pas dans les quatre vingt ans, il était beaucoup plus bas. Mais ici, mon collègue allemand a effectué une analyse de l’influence de l’âge sur les décès et les événements indésirables et il s’avère que l’âge n’a qu’un pouvoir explicatif partiel, il n’explique pas tout – il explique en fait très peu. L’âge peut expliquer quelque chose comme 18%, 13% mais il n’explique pas le reste. Et vous pouvez le constater visuellement. Si on soumet à l’examen les lots expédiés en Allemagne qui ont occasionné des événements indésirables graves et des décès, et qu’on les représente ici, on peut voir par exemple ici – on le voit très clairement sur ce graphique – que l’âge est inférieur à 60 ans, peut-être 58 ans, et on voit cette dispersion verticale des résultats des événements indésirables. Cela signifie que pour le même âge, il y a des lots qui étaient moins toxiques et d’autres beaucoup plus toxiques. C’est une dispersion énorme et on la trouve presque constamment, comme vous pouvez le voir. Et comme vous pouvez le voir ici, à 60 ou 70 ans, il y a un lot très peu toxique et un autre à environ 80 ans, très toxique, dispersé un peu partout. Les données regroupées dans ce nuage nous disent simplement que l’âge n’explique pas tout – il explique une toute petite partie.

Viviane Fischer: D’accord, merci beaucoup.

Alexandra Latypova: [Permettez-moi de revenir en arrière.] Il y a aussi d’autres schémas de variabilité étrange, qui restent inexpliqués. Un autre de mes collègues a établi ce graphique pour les États-Unis. On observe des anomalies géographiques très étranges en termes de toxicité de ces produits. Ainsi, lorsqu’on examine les données du VAERS, elles représentent des populations vaccinées à 100%, de sorte que les politiques des gouverneurs locaux ne jouent aucun rôle ici. Tous ceux qui ont été vaccinés sont couverts par ce système. Si on examine le nombre de décès pour cent mille personnes vaccinées dans l’État, on obtient ce tableau assez étrange lui aussi. Par exemple, le Dakota du Sud est le pire État de l’Union en ce moment. Il compte 33 décès pour cent mille personnes vaccinées et l’État suivant est le Kentucky, avec seulement 24 décès pour cent mille personnes vaccinées. Et puis il y a des États comme l’Utah et la Californie, par exemple, avec seulement 1,7 et 1,9, ce qui représente un écart considérable. Encore une fois, il n’y a aucun moyen d’expliquer cela par la démographie normale des États. En fait, la Californie a une piètre démographie si on considère les populations de sans-abri et de toxicomanes, etc. C’est donc inexplicable à ce stade et personne ne semble s’en préoccuper. Mais pour moi, cela signifie simplement que le produit est extrêmement variable et que ce qu’ils envoient à ces différents États l’est aussi.

Etant donné cette variabilité de la fabrication, le fabricant fournit des produits très, très variables et cela crée ces anomalies étranges quelle que soit la façon dont on les considère. Je me suis ensuite penchée sur les documents réglementaires que j’ai pu obtenir et j’ai examiné plusieurs dossiers de ce que l’on appelle des résumés non cliniques. Ils ont été mis à disposition par le biais de la loi sur la liberté d’information et ils concernaient Pfizer et Moderna. Ces résumés contenaient – leurs propres résumés des études sur animaux qu’ils avaient réalisées et que la FDA a ensuite utilisées pour approuver le produit injectable de Pfizer et le Spikevax de Moderna.

Pour des raisons de temps, je parlerai surtout de Moderna, mais les deux sont très similaires. J’ai d’abord examiné Moderna et j’ai découvert quelque chose de très étrange. Moderna a apparemment deux numéros de médicament de recherche, ce qui me semble étrange car, selon les règles, il ne peut y avoir qu’un seul numéro de médicament de recherche pour chaque nouvelle entité moléculaire. Ce numéro permet de soumettre une demande à la FDA et à un processus similaire dans les agences européennes. Ce numéro ouvre une demande et ensuite, en tant que promoteur, vous recueillez toutes les données relatives aux études sur les animaux, puis aux études cliniques, et tous les résultats et tous les ensembles de données sont annexés à ce numéro. C’est un genre de numéro de référence qui constitue ensuite un dossier que l’on présente aux autorités de réglementation pour l’examen et l’approbation du produit. C’est ainsi que cela fonctionne partout dans le monde où ces systèmes sont utilisés, la Conférence Internationale pour l’Harmonisation. Dans le cas de Moderna, j’ai trouvé deux numéros. Je ne comprends toujours pas pourquoi, mais on n’a jamais répondu à ma question. Tout d’abord, cet autre numéro a été ouvert en premier, puis le numéro de Moderna en second. Le premier numéro appartient aux NIH. Ce sont les propriétaires, les National Institutes of Health, et plus précisément la division de la microbiologie et des maladies infectieuses, la DMID, et sur le plan organisationnel, ce groupe dépend d’Anthony Fauci. Ils sont donc propriétaires de ce numéro, ils ont ouvert ce numéro pour Moderna en février 2020 et ils ont également réalisé – c’est peut-être encore le cas – de nombreuses études sur animaux pour Moderna. Parce qu’ils détiennent ces deux numéros, cela signifie qu’ils sont copropriétaires de ce produit et qu’ils détiennent les droits sur les revenus et les bénéfices dérivés de ce produit. Il s’agit d’une situation tout à fait anormale et d’un énorme conflit d’intérêts, car elle va bien au-delà d’une relation idéale plus standard où, disons, un fabricant privé peut obtenir une licence pour un brevet des NIH ou un brevet d’une institution universitaire et leur verser ensuite de petites redevances lorsque cette technologie est utilisée dans des produits ultérieurs sur le marché. Mais ici, c’est différent, c’est le NIH qui obtient des revenus et des bénéfices sur ce produit – ou du moins qui en a les droits – et il faut également noter que, bien sûr, le NIH et Anthony Fauci en particulier sont ceux qui ont imposé tous ces obligations draconiennes et la coercition de la population pour injecter ce produit à tout le monde. Alors comment se fait-il qu’ils en profitent directement? J’ai soulevé cette question à plusieurs reprises. Personne ne l’a jamais abordée, mais je pense qu’il faudrait en parler davantage.

Ensuite, j’ai examiné les dossiers de Pfizer et de Moderna pour ce qui concerne les tests standard d’expériences précliniques ou animales. Pour vous en donner un aperçu, ce sont des essais de très, très haut niveau, chacun de ces encadrés regroupe en fait de nombreuses études. Pour un médicament, un vaccin ou tout autre produit biologique normal, il faut d’abord l’évaluer dans le cadre d’expérimentations animales avant de pouvoir l’administrer aux humains dans le cadre d’un essai clinique hautement contrôlé. Ceci afin d’exclure les risques majeurs et de s’assurer que le produit est suffisamment sûr pour être administré à l’homme en tant que produit expérimental. Les catégories de tests de sécurité précliniques comprennent trois éléments principaux: la pharmacologie, la pharmacologie de sécurité et la pharmacocinétique. La pharmacologie comprend deux domaines. Le premier est la pharmacologie primaire: il faut au minimum essayer de démontrer le mécanisme d’action déclaré pour le produit. Par exemple, si le fabricant prétend que « ce produit va créer une protéine de pointe qui va ensuite créer un antigène », cela doit être démontré dans ces études. Ensuite, tout effet hors cible. Si en faisant cela, il fait autre chose, il faut aussi le montrer ou l’exclure ou au moins avoir une idée des potentiels effets hors cible qui peuvent se produire. Les interactions médicamenteuses sont également très importantes, surtout si le produit est censé être administré à absolument tout le monde. Chez beaucoup de personnes qui prennent déjà plusieurs médicaments, ils peuvent interagir de manière inconnue, donc il faut au moins avoir une idée des interactions potentielles et des contre-indications pour d’autres produits. La catégorie suivante consiste à examiner la façon dont le produit est distribué dans l’organisme lorsqu’il est injecté – c’est ce qu’on appelle la pharmacocinétique. Dans la pharmacocinétique, on évalue beaucoup de choses, mais les plus importantes sont l’absorption, la distribution, le métabolisme, les études d’excrétion – ce sont les études standard. Ensuite, la toxicologie, qui est très, très importante. La toxicologie signifie que si le produit est détecté dans une certaine zone – disons qu’il pénètre dans le tissu cardio-vasculaire, dans le tissu hépatique, dans le cerveau ou dans d’autres organes – il faut alors faire une étude toxicologique spécifique pour ces organes et déterminer l’exposition maximale, l’exposition dans le temps, quand il disparaît, la dose maximale tolérée et où commence la toxicité, parce que l’objectif est de développer ce que l’on appelle une fenêtre thérapeutique, où l’on peut administrer le médicament à un niveau suffisamment élevé pour qu’il provoque une réponse souhaitable, mais aussi suffisamment bas pour qu’il ne franchisse pas le seuil de la toxicité. C’est la partie la plus importante de toutes ces expériences, il s’agit de trouver cet espace. Et cet espace n’a d’ailleurs jamais été trouvé pour ces produits. Un autre domaine est bien sûr la toxicologie de la reproduction, j’en parlerai plus en détail.

Dans le cas de Moderna et de Pfizer, la stratégie utilisée est très similaire. Ils n’ont pas fait d’études ADME (absorption, distribution, métabolisme, excrétion), ils n’ont pas fait de pharmacologie secondaire, puis ils se sont eux-mêmes dispensés de tout ce domaine de la pharmacologie de sécurité en disant aux régulateurs que cela ne s’appliquait pas à eux en raison des directives de l’OMS de 2005 pour les vaccins, ce qui est une affirmation totalement absurde car ces produits ne sont pas des vaccins et, surtout qu’en 2005, ils n’étaient pas considérés comme des vaccins, mais comme des thérapies géniques. Cette affirmation ridicule a été acceptée sans réserve par la FDA et, dans le cas précis de Moderna, j’ai découvert qu’environ 50% de toutes les études incluses dans leur dossier non clinique contenaient des tests pour des produits totalement non-pertinents. Ils ont simplement compilé les données de tout un tas de produits qui avaient échoué auparavant et qui étaient en cours de développement, ils les ont annexés à ce paquet et ils ont dit « Oh, c’est applicable Spikevax ». Ce n’est pas applicable à Spikevax. Tous les tests doivent être effectués avec la formulation exacte qui sera utilisée dans le produit clinique final, c’est-à-dire l’ARNm qui sera incorporé dans Spikevax et la nanoparticule lipidique identique à celle qui sera dans Spikevax. Rien de tout cela n’a été fait. C’était un méli-mélo de différentes études de différentes années. Par exemple, pour la distribution, ils ont inclus une étude de 2017 pour un cytomégalovirus, une concoction de 6 ARNm différents. Aucun d’entre eux n’est l’ARNm présent dans Spikevax. Ensuite, les études de toxicologie n’ont pas été faites. Il n’y a eu qu’une seule étude toxicologique, non-GOP – non conforme aux bonnes pratiques de laboratoire – et elle n’a pas été achevée, même au moment où l’emballage a été rédigé. Et il n’y a eu qu’une seule étude GOP en toxicologie reproductive, j’en parlerai. La génotoxicité et la cancérogénicité n’ont été évaluées que pour un seul composant, le produit chimique SM102, et seulement dans le cadre d’une expérience sur une lignée cellulaire in vitro. C’est totalement inacceptable, mais la FDA, soit dit en passant, n’a pas considéré que cela posait problème, elle l’a accepté sans rechigner. Et ce, tant pour Pfizer que pour Moderna. Pour moi, cela signifie qu’il y a collusion entre le régulateur et ces fabricants, et en fait, je crois que le régulateur, la FDA, leur a ouvert la voie. Ils leur ont dit comment soumettre les documents, parce que c’est une violation complète de toute [directive]. Si on considère les lignes directrices de la FDA, on constate qu’elles sont toutes violées. C’est tellement inacceptable que si un fabricant essayait de faire pareil et que la FDA suivait ses propres règles, rien de tout cela ne passerait. Pourtant, d’une manière ou d’une autre, on leur déroule le tapis rouge et ils se pointent avec leurs conneries en disant que « Jimmy dit que la FDA leur a dit de faire comme ça ». [NdT. référence à une nouvelle de O. Henry, A Retrieved Reformation]

Moderna a également fait cette affirmation vraiment bizarre – que tous deux font maintenant – et qui est en train de s’inscrire dans la pratique réglementaire en ce moment même. Voici une diapositive de Moderna présentée à la conférence de JP Morgan en 2018. Ils affirmaient que leur produit est une plateforme – soit dit en passant, toutes les startups de tous les secteurs affirment que leur produit est une plateforme, donc cela ne veut absolument rien dire. Ils affirment qu’ils possèdent une plateforme qui leur permet de fabriquer ces nanobulles lipidiques et de mettre l’ARNm qu’ils souhaitent dans cette nanobulle lipidique et que si cela a fonctionné une fois, cela fonctionnera encore et encore. Je ne vais pas m’attarder sur ce point, mais quoi qu’il en soit, il s’agit d’une affirmation très dangereuse. Ils disent essentiellement que leur produit n’a pas besoin d’être testé. Seul le vecteur de distribution doit être testé. Ça revient à dire: « Les camions qui transportent de la nourriture et celui qui transporte des explosifs sont parfaitement identiques. N’y prêtez pas attention. » Parce que cette allégation en elle-même n’aurait jamais passé les pratiques réglementaires normales telles qu’elles sont conçues et les réglementations telles qu’elles sont écrites, ils ont dû fabriquer la crise pour la faire passer par l’autorisation d’utilisation d’urgence, afin qu’ils puissent effectivement mettre ce produit sur le marché – et c’est ce qu’ils ont fait. [Moderna] n’a pas testé le Spikevax et Pfizer n’a pas non plus testé son produit BNT162. Le seul test est celui du vecteur, ainsi que toutes sortes de tests évasifs pour ne pas tester directement cette combinaison de produits. Aujourd’hui, les deux entreprises affirment avoir une plateforme et la FDA les autorise à réaliser une étude sur huit souris et à mettre immédiatement le produit sur le marché. Cela pose bien sûr de nombreux problèmes. Tout d’abord, qui voudrait d’un produit qui a été testé sur huit souris? Je n’en sais rien. Le second est que maintenant la FDA, Pfizer et Moderna forment un cartel. Ils ont établi un cartel où Pfizer et Moderna peuvent faire une étude sur huit souris et rien d’autre. Tous ceux qui souhaitent travailler dans le domaine de l’ARNm, par exemple, toutes les autres start-ups, qui se disent « Oh mon Dieu, la révolution de l’ARNm a eu lieu et nous allons tous devenir riches », devraient y réfléchir à deux fois, car ils doivent désormais se conformer à toutes les réglementations pour faire approuver leurs plateformes. Mais Pfizer et Moderna peuvent se contenter d’études sur huit souris. En agissant de la sorte, ils ont ruiné l’ensemble de l’industrie, la recherche et le développement pharmaceutiques, et ils ont établi un cartel entre le gouvernement et l’industrie pharmaceutique et ont imposé leurs spécifications.

Je voudrais ensuite aborder spécifiquement l’étude de toxicologie reproductive réalisée par Moderna. Il s’agissait d’une petite étude sur une quarantaine de rats et je n’en couvrirai pas la conception. La moitié des rats étaient vaccinés, l’autre moitié non. À propos, on n’a pas vacciné de rats mâles, nous ne savons donc rien de ce qui advient de la reproduction des mâles et personne n’a abordé cette question. Ils n’ont vacciné que les femelles et ont fini par constater un fort transfert d’anticorps de celles-ci au fœtus et de celles-ci au petit – et les niveaux étaient élevés. Ils disent « anticorps » comme si c’était une bonne chose, mais si les anticorps sont transférés, l’ARNm et les protéines de pointe le sont aussi. Nous savons maintenant que les protéines de pointe étaient présentes dans le lait maternel, par exemple, et que l’ARNm spécifiquement était présent dans le lait maternel. Ces éléments, l’ARNm et les protéines de pointe, franchissent toutes sortes de barrières, comme le placenta, le cerveau et le sang, et se retrouvent donc dans le bébé, sans que l’on connaisse bien leurs effets. Nous savons qu’ils sont dangereux et que les bébés ont évidemment un petit corps et qu’ils sont en plein développement. Cela pose donc des risques élevés pour le bébé en développement et rien de tout cela n’a été étudié par qui que ce soit. En outre, les mères ont présenté une toxicité pendant la gestation et cette toxicité coïncidait avec le jour où elles exprimaient les niveaux les plus élevés d’antigènes, ce qui est manifestement lié à la vaccination. On les vaccine, elles présentent une toxicité élevée. Ils ont prétendu que ces effets étaient transitoires et pas si graves, mais les rats ont perdu leur fourrure et ne pouvaient plus utiliser leurs pattes arrière. Mais Moderna a déclaré: « Ne vous inquiétez pas, ils étaient en pleine forme ». Je ne vois pas comment un animal qui perd sa fourrure peut être en pleine forme. Comme je n’ai pas accès aux rapports complets, il ne s’agit que des résumés de Moderna, de leurs propres mots sur leurs études, je ne peux pas vous dire exactement ce qui s’est passé, mais il me semble qu’ils édulcorent beaucoup de choses. Le plus important, c’est qu’ils ont découvert que la progéniture des rats présentait des malformations squelettiques. Voici leur propre langage : « ARNm 1273 » – c’est le Spikevax de Moderna – « les variations liées à l’examen du squelette comprenaient une augmentation statistiquement significative du nombre de rats avec une ou plusieurs côtes ondulées et un ou plusieurs nodules de côtes » – c’est-à-dire des côtes supplémentaires. Il s’agit de malformations squelettiques graves qui ont augmenté de manière statistiquement significative chez les bébés des mères vaccinées. C’est un signal de sécurité aussi clair qu’il est possible, dans le cadre d’études standard pour l’évaluation de la toxicité sur le plan du développement. Il est donc évident que c’est lié au vaccin et que ce produit cause des dommages à la fois aux mères et à leurs bébés en développement.

Cependant, la FDA a directement menti sur l’étiquette et les documents réglementaires au nom de Moderna. La FDA a indiqué dans son résumé de pharmacologie et de toxicologie non cliniques, qui fait partie de l’étiquetage du Spikevax, qu’il n’y avait pas de malformations ou de variations fœtales liées au vaccin. Et cela a été caché, secret, pendant un an – plus d’un an en fait – jusqu’à ce que cela soit rendu public par une ordonnance du tribunal et jusqu’à ce que je le lise. Nous n’aurions jamais su et ils continueraient à vouloir l’injecter aux femmes enceintes dans le monde entier – et ils continuent. Ils étaient au courant, mais ils l’ont sciemment imposé aux femmes enceintes. Rappelez-vous les campagnes omniprésentes: la publicité du CDC, la publicité de la FDA, on aurait dit des vendeurs de produits pharmaceutiques, annonçant que ce produit est totalement sûr pendant la grossesse et les poussant – et même obligeant les femmes enceintes si elles étaient des travailleuses de la santé, des policières ou des enseignantes. Pour moi, c’est un crime, c’est un crime horrible qu’ils ont commis. Et nous savons maintenant qu’il y a énormément d’événements indésirables tels que fausses couches, problèmes chez les bébés, des bébés qui meurent, des bébés allaités qui meurent et tout cela est enregistré dans le VAERS. Et encore une fois, ils le nient et tentent d’embrouiller tout le monde.

J’aimerais ensuite vous parler de la véritable nature de ce produit, de la raison pour laquelle cette variabilité existe à mon avis et de ce que nous avons découvert en effectuant divers tests directs sur des flacons et en examinant de plus près les processus de fabrication. Comme vous le savez, chaque produit a son étiquette et même si Pfizer a essayé de dissimuler cette information pendant un certain temps, elle est maintenant disponible. Nous savons qu’ils déclarent certains ingrédients tels que BNT162b2, c’est leur séquence d’ARNm, et que le reste est constitué de lipides, de nanoparticules lipidiques, ils décrivent la composition des nanoparticules lipidiques, de ces ALC et ainsi de suite, de cholestérol et d’autres produits qui l’équilibrent en produit injectable. Ils déclarent également des quantités très précises de chacun d’entre eux par flacon et par dose – car n’oubliez pas qu’ils sont expédiés dans des flacons multidoses et que chaque dose est préparée manuellement par l’administrateur du vaccin sur le site, de manière totalement incontrôlée et en dehors de toute conformité aux bonnes pratiques de fabrication. Néanmoins, chaque dose est censée contenir 30 microgrammes d’ARNm, par exemple, et d’autres composants également décrits de manière très précise. Mais ce que j’ai découvert en lisant les documents de fabrication de Pfizer soumis à l’AEM, c’est qu’aucun test n’a été conçu pour tester les ingrédients, en particulier au niveau du flacon – et ne parlons même pas du niveau de la dose. Ce qu’ils décrivent comme tests au niveau du flacon est essentiellement le poids du flacon au moment du remplissage et certains paramètres d’intégrité comme la façon dont il est bouché et ainsi de suite. Mais il n’y a aucun test qui stipulait « nous allons prélever un échantillon aléatoire de quelques flacons de chaque lot ou de chaque ligne au fur et à mesure de leur sortie, puis nous allons les ouvrir et nous allons voir s’ils contiennent ou non 225 microgrammes d’ARN ». Rien de tout cela n’a eu lieu. Tous les tests de spécification des ingrédients sont conçus au niveau du lot – et le lot est un produit en vrac, une étape de fabrication en amont. Selon les réglementations gouvernementales actuelles, ces tests doivent exister au niveau de la dose, au niveau de la dose unitaire du médicament lorsqu’il est administré au patient – et ils ne le font pas, je vais en parler plus loin. Jusqu’à présent, nos conclusions sont les suivantes – et il s’agit de tests aléatoires sur des flacons dans le monde entier: nous avons constaté que pas un seul flacon n’est conforme à son étiquette ou à toute autre étiquette des fabricants.

Des tests indépendants des flacons ont été effectués par de nombreuses équipes. Cet article a été récemment publié dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research. Je connais certains des auteurs et je suis en correspondance avec eux. Ces équipes de chercheurs et chercheurs indépendants du monde entier – de 16 pays, je crois – ont eu accès à certains des flacons, principalement Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Janssen – mais également à d’autres. Le résumé des conclusions générales est que tous ces produits sont complètement différents, ils diffèrent de leurs étiquettes, mais il y a quelques résultats constants. Par exemple, lorsqu’ils parviennent à isoler et à séquencer l’ARN des flacons, la séquence d’ARN n’est pas conforme à l’étiquette. Nous n’avons toujours pas trouvé une seule concordance avec ce que Pfizer indique dans sa composition. Ensuite, on trouve des quantités énormes d’impuretés d’ADN et de protéines – des quantités gigantesques, je vais vous le montrer. On trouve aussi systématiquement d’autres impuretés en grande quantité et il s’agit de métaux lourds et rares. On ne connaît ni l’origine ni le but de ces matériaux présents dans les flacons. Parmi ces métaux, on trouve des choses comme du cobalt, du chrome et de l’aluminium, qui sont très toxiques pour le corps et neurotoxiques. Des éléments rares comme du thulium, ce qui est étrange, et de l’antimoine ont même été trouvés dans des fioles de Moderna. L’antimoine est un métal utilisé dans la fabrication de semi-conducteurs, il est extrait en Chine. On se demande bien ce qu’il fait dans les flacons de Moderna, qui sont censés être produits dans le Massachusetts. On trouve également des inclusions, des contaminations avec des structures d’origine également inconnue. Elles ressemblent à des taches et à des particules inexplicables et elles sont de grande taille parce qu’on les découvre au microscope optique standard, ce qui signifie qu’elles ne sont pas à l’échelle nanométrique, elles sont plus grandes que ça. Quant aux cristaux, ils sont très caractéristiques: plats et de forme très carrée ou rectangulaire, avec des arêtes vives. Fibres et rubans également très caractéristiques, des rubans plats. Il y a un assemblage, un processus d’auto-assemblage – probablement chimique – dont le mouvement est visible immédiatement à partir de l’état congelé, qui a été filmé dans des vidéos à prise unique, de sorte que ce processus est très bien documenté. Les chercheurs prennent des précautions et des mesures pour exclure toute salissure environnementale sur les lames. Ils effectuent des expériences contrôlées, ce qui permet de réaliser des études de grande qualité. Toutes les études ne sont pas de haute qualité mais certaines études de haute qualité ont révélé toutes ces choses que je suis en train de résumer. Il est possible qu’il y ait différentes formes de graphène dans ces flacons et aussi des choses comme, par exemple, des restes de billes magnétiques. Vous vous souvenez de tous ces gens qui avaient comme des magnets de frigo collés sur leurs bras après l’injection? C’est de cela qu’il s’agit. Les billes magnétiques sont utilisées dans la purification de l’ARN lors de la fabrication. Elles ont été laissées dans les flacons, n’ont pas été retirées et ont ensuite été injectées à des personnes.

Voici un exemple de séquençage de l’ARN d’un flacon de Pfizer. Ici, les chercheurs nous montrent que la première ligne verte est la séquence déclarée par Pfizer et tout ceci, d’ailleurs, est calculé en poids et c’est ainsi que Pfizer procède également, ou plutôt en fonction de la longueur de la molécule. La première séquence est cette séquence BNT, c’est la séquence déclarée par Pfizer, et elle est censée ressembler à cette ligne verte. Les trois autres que l’on voit sont des correspondances possibles, mais aucune d’entre elles ne correspond réellement. Il y a quelques fragments et des éléments supplémentaires à la fin, mais le début est manquant. Voilà ce qui flotte dans cette fiole. Ce qui est très inquiétant, ce sont ces petits fragments d’ARN supplémentaires, et ils ont même été décrits par les régulateurs dans les documents de l’Agence Européenne des Médicaments comme des impuretés liées au processus, et ils s’en sont inquiétés. Et ils ont raison de s’en inquiéter. Je les ai appelés ARN shrapnel, il y a beaucoup de noms pour les décrire, micro ARN, petit ARN interférent, et bien d’autres encore, mais vous pouvez les considérer comme du shrapnel. Quand le verre se casse, il se brise en gros morceaux et en petits morceaux de manière imprévisible – comme ici. Ils ne le nient pas. La FDA les a considérés comme une préoccupation théorique, ce n’est pas une préoccupation théorique. Les micro-ARN ont été spécifiquement désignés comme une catégorie d’arme biologique utilisable parce qu’ils interfèrent avec les processus génétiques normaux. Il n’est pas nécessaire qu’ils codent pour des protéines, ils n’ont pas besoin d’avoir une longueur pour coder pour quoi que ce soit, ils peuvent quand même interférer avec les processus cellulaires de manière spectaculaire et ils peuvent de toute façon détériorer le système immunitaire et le détruire à un tel point qu’avec le temps, il se produira divers types de dysfonctionnements, notamment et spécifiquement des cancers, des maladies neurodégénératives et toutes sortes d’anomalies. Voilà ce qu’il y a dans les flacons. Comme vous pouvez le voir, la proportion de composants contenant de gros morceaux d’ARN qui ne correspondent pas et tous ce shrapnel d’ARN est presque du 50/50.

Les chercheurs ont ensuite examiné plusieurs flacons de Pfizer et Moderna et ils ont trouvé de grandes quantités d’ADN. Et l’ADN est également une impureté liée au processus, il provient du début du processus où l’ARN est transcrit à partir d’une matrice d’ADN. C’est une matière première ou un intrant dans le processus. Cette matrice d’ADN n’est jamais transcrite à 100%, il reste donc une impureté liée à ce processus et il faut l’éliminer. Et ici, il est clair qu’elle n’a pas été éliminée car on a trouvé de l’ADN dans trois flacons de BioNtech et un flacon de Moderna. Dans ce test – et là encore Pfizer utilise un test similaire – vous pouvez voir, à gauche, une bande d’étalonnage des différentes tailles d’ADN possibles, qui correspondent à ce qui se trouve dans le flacon. Vous voyez ces bandes de différentes tailles qui ont été trouvées dans les flacons. Ici, c’est un peu éparpillé entre différentes tailles. Ils ont donc trouvé de l’ADN de différentes tailles dans ces flacons.

Ils ont ensuite calculé le poids de l’ADN et il s’avère qu’il y en a une quantité énorme dans chaque flacon. Pfizer a déclaré que les critères d’acceptation des flacons étaient fixés à hauteur de 10 nanogrammes d’ADN par dose. Mais ce qui a été calculé ici à partir de l’analyse réelle est jusqu’à 2000 [fois] cette quantité. C’est vraiment, vraiment, vraiment inquiétant. J’ai également trouvé ces lots spécifiques dans le VAERS – bien qu’ils proviennent d’Europe et que le VAERS ne soit pas complet pour l’Europe – mais je les ai trouvés dans le VAERS et j’ai trouvé pour ces lots des rapports d’événements indésirables graves et de décès dans le VAERS.

Une autre image a été fournie par mon collègue, Shimon Yanovitz, d’Israël. Ils ont fait des tests et cette image est prise sous un microscope standard. Ils ont examiné les flacons à partir de leur état de congélation totale, puis ont attendu qu’ils dégèlent et ont photographié ce processus. Ce qu’ils ont trouvé, c’est ce que nous voyons sur la ligne du haut, immédiatement à partir de l’état congelé, imagé sous un microscope standard. On peut constater la présence de nombreux types différents d’inclusions et de taches et d’autres particules. Et ce ne sont pas des nanoparticules, car au microscope standard, on voit des structures beaucoup plus grandes. Leur nature n’est pas claire. Puis, 20 à 30 minutes après décongélation, ils ont refait des photos et regardez, elles ont changé de composition. Ça évolue, grandit et s’assemble. Ça s’agglomère en quelque sorte, quelque chose se passe, une sorte de chimie en mouvement constant qui se rassemble et fusionne dans ces autres structures et de nouvelles apparaissent même, comme ces fibres qui apparaissent sur ces images. C’est très étrange, c’est inexplicable et ça n’a pas sa place dans ce type de produit. La question est: pourquoi est-ce là?

Ces structures ne sont pas rares. Un autre collègue m’a fourni cette image et il m’a dit qu’il s’agissait d’une seule goutte du produit Pfizer. Après 72 heures de repos, ils l’ont examinée à un grossissement de 100X, et on y voit la quantité de substance, elle en est littéralement remplie – et c’est juste une goutte. Elle est remplie de ces structures étranges, certaines ressemblent à des particules, d’autres à des morceaux carrés plus grands, et on ne comprend pas bien ce qu’on voit, mais il y en a beaucoup, ça bouillonne littéralement.

Wolfgang Wodarg: Question : Est-ce que ça pourrait être des cristaux de cholestérol ?

Alexandra Latypova: En partie, peut-être, mais ceux qui sont carrés, rectangulaires, ne ressemblent pas à des cristaux. Nous avons par ailleurs observé des images normales de cristaux de cholestérol et ceci ne correspond pas, ils ne ressemblent pas à ça. Ils ressemblent à autre chose et il y a encore davantage de structures beaucoup plus grandes et très bizarres qui ressemblent à des chariots sur roues, c’est difficile à décrire. Il y a aussi des choses circulaires attachées à des choses carrées attachées à un genre de fibre. Si on les compare aux cristaux de sel et aux cristaux de cholestérol, ils ne sont pas pareils. On attend toujours les explications des fabricants, qui restent extrêmement silencieux à ce sujet.

Et nous avons également découvert – ce qui est presque une bonne nouvelle pour les victimes – nous avons découvert que lorsque ce produit est endommagé, il est plus sûr. La diapositive de gauche vient en fait d’Allemagne. Un rapport récent a été publié par l’une de ces équipes de recherche, qui s’appelle le German Working Group. Ils ont effectué un certain nombre de tests, bien menés, sérieux et de grande qualité, sur ces produits. L’un de ces tests portait sur la qualité de la pégylation du produit. Ils disposaient de différents lots Pfizer – chaque point ici représente un lot – et ils ont examiné le degré de polymérisation, l’homogénéité de la polymérisation de ces nanobulles. Le rôle du PEG est de protéger les bulles et de les maintenir séparées. Si les petites molécules sont toutes homogènes, comme une mosaïque, le PEG les protège très bien. En revanche, si ces molécules sont trop petites ou trop grandes, ces nanobulles peuvent se briser. Si elles se brisent, l’ARNm s’échappe, interagit avec l’eau et se dégrade. Les chercheurs ont découvert que ce phénomène est associé au degré d’inhomogénéité. Ainsi, la fréquence à laquelle ces bulles peuvent se briser est associée à moins d’événements indésirables, ce qui est moins dangereux pour la victime. Et puis j’ai découvert précédemment dans mon analyse des documents de Pfizer qu’une fois que l’ARNm s’échappe et se brise, s’il y a plus d’ARNm brisé dans le lot – et c’est aussi le cas pour d’autres lots de Pfizer – il est aussi moins mortel, donc plus sûr. C’est une bonne nouvelle parce qu’il est évident qu’ils ne sont pas en mesure de rendre ce produit stable, ils ne peuvent pas le fabriquer selon leurs propres spécifications et cela se révèle être une bénédiction parce qu’il ne tue pas autant de personnes qu’ils le souhaitaient.

Wolfgang Wodarg: Avez-vous des informations concernant la dépendance à la température de stockage? Parce que j’imagine que si on stocke le produit non congelé pendant une longue période à une température plus élevée, il y a plus de dégradation et la toxicité diminue. Est-ce possible?

Alexandra Latypova: Oui, absolument. Durant le stockage, le transport, ça se détériore à toutes les étapes, même lorsqu’on le secoue. La consigne donnée à l’administrateur est la suivante: « Ne secouez pas le flacon, retournez-le plusieurs fois ». Si on le secoue, bien sûr, il y aura plus de casse. Ça ne rendra pas le produit bénin, mais il sera quand même un peu plus sûr.

Wolfgang Wodarg: Donc si on veut montrer aux gens que ce n’est pas si dangereux, qu’on ne voulait pas qu’ils s’alarment des effets de toxicité, il suffirait de prévoir des températures un peu plus élevées, c’est plus facile. On se sert de cet effet secondaire.

Alexandra Latypova: Oui, dans les documents de Pfizer, ils utilisent également cette méthode pour dégrader l’ARN à des fins de test. C’est très bien documenté. Encore quelques diapositives, c’est assez court, mais en fait nous abordons une partie très intéressante. Nous en avons parlé, nous avons dit que les tests effectués directement à partir des flacons ou directement à partir des lots montrent que ce produit est conçu pour être toxique, conçu pour être mortel parce que c’est l’inverse qui arrive quand il est endommagé et n’est pas conforme à ses spécifications.

Ce que j’ai découvert plus tard… Je me suis mise à réfléchir et à me documenter sur la fabrication de l’ARNm, je n’en savais pas grand-chose au début. J’ai maintenant établi des contacts avec un certain nombre d’experts et je comprends mieux la situation. Je dispose de nombreux documents, notamment de Pfizer, sur la fabrication de ce produit. D’après ce que j’ai appris, je suis franchement d’avis aujourd’hui qu’il est impossible de fabriquer ce produit à l’échelle que ces personnes déclarent. C’est un autre élément du mensonge et de la fraude. Tout d’abord, la fabrication d’ARNm est un véritable défi, même à l’échelle du laboratoire. Si on veut en fabriquer quelques microgrammes, c’est un vrai défi et les gens qui l’ont réalisé me l’ont décrit. Les rendements sont faibles, il y a plusieurs étapes de fabrication et chaque étape donne un rendement inférieur à 100%. Et à chaque étape, on perd en stabilité du produit. Par exemple, un processus en 5 étapes avec un rendement optimiste de 80%, se traduit à la fin par 30% du produit final et 70% d’impuretés à éliminer. Et si le rendement est de 60%, il ne restera que 7% et il faudra éliminer 93% d’impuretés. De plus, il faut évidemment augmenter à l’échelle toutes les matières premières nécessaires pour atteindre une cible donnée, un poids donné du produit. Les ARNm sont très fragiles, surtout ceux qui sont utilisés actuellement dans les injections, ce sont de grandes chaînes. Auparavant, le seul produit approuvé sur le marché qui utilisait de l’ARN en utilisait un très court, appelé petit ARN interférent. Il a une longueur d’environ 100 nucléotides. Celui utilisé par Pfizer et Moderna fait 4.000 et plus de 4.000 nucléotides. Il est donc très long et plus il est long, plus il est fragile. Il n’est pas stable. Il a subi de nombreuses modifications pour le rendre plus stable, c’est pourquoi il n’est pas humain, c’est une séquence étrange, mais qui reste instable. Il doit aussi être encapsulé et avoir une queue et ce sont deux processus distincts. Chacun de ces processus détériore également le produit, donc il n’y a pas de capsulage complet, ni de queue complète. Les PNL dont nous avons déjà parlé, les nanoparticules lipidiques, peuvent également se briser pour diverses raisons, notamment une imperfection de la pégylation, et lorsqu’elles se brisent, l’ARNm se brise également. Comme nous l’avons vu précédemment, il existe un grand nombre d’impuretés liées au processus et d’autres qui peuvent être introduites par de mauvaises pratiques et qui doivent être éliminées. Mais on ne peut rien retirer de manière agressive de ce produit car il est très fragile. On ne peut donc pas utiliser les mêmes techniques de centrifugation, de filtration, de mélange qu’on utilise dans la fabrication de produits chimiques. Les fabricants prétendent maintenant – j’ai des archives qui montrent que ces lots font en moyenne quelque chose comme 200 à 300 litres, ce qui dépasse déjà l’imagination, pour un seul lot. Récemment, j’ai obtenu des documents qui montrent qu’un lot de Pfizer a produit 12.000.000 de doses, ce qui représente environ 900 litres d’ARNm. À ce moment-là, mes collègues ont éclaté de rire et m’ont dit: « Je ne savais même pas que l’on produisait des sacs biologiques de cette taille ». Pourquoi faire ça? Je ne comprends pas ce qui se passe. Est-ce qu’ils diluent trop, est-ce qu’ils mélangent plusieurs lots, est-ce qu’ils étiquettent mal, est-ce qu’ils réactivent simplement un ancien produit? Je ne sais pas. Tout est possible parce que, comme je le développerai bientôt, aucune règle ne s’applique à eux. Lorsque l’on a affaire à une échelle de cette ampleur, la disponibilité des matières premières est sujette à caution. Là encore, mes collègues se demandent s’ils sont en mesure d’obtenir les enzymes à cette échelle, car il faut tout multiplier par les rendements pour atteindre l’objectif final. De plus, ces lots sont produits simultanément à cette échelle et à cette vitesse par de nombreuses entreprises. Je ne sais pas si c’est possible ou non. Pfizer signalait déjà une instabilité chimique même avec 37 litres. Dans les documents de l’Agence Européenne des Médicaments de Pfizer, il est dit que la réaction enzymatique pour fabriquer de l’ARN s’arrêtait déjà à ce niveau parce qu’à de grands volumes, les produits chimiques ne s’équilibrent pas de la même manière qu’à de petits volumes. Maintenant, même si on arrive à produire quelque chose de ce genre en grande quantité, ce qui se passe, c’est que le produit devient super hétérogène. Il y a des problèmes dans les petits lots, mais dans les grands lots, on trouve des lipides dans l’eau. Et les lipides flottent dans un énorme volume, donc ils commencent à se séparer et ont tendance à aller vers le haut et à former des amas. On a donc de l’ARNm en quantité très irrégulière qui flotte dans un grand volume d’autres éléments, dont l’eau. Ensuite, cet énorme volume doit être conditionné dans des récipients de 0,45 millilitre, des flacons, et bien sûr, il y aura une multitude de flacons vierges ou presque vierges qui ne contiendront pas du tout d’ARNm. Il peuvent contenir des contaminations métalliques ou autres et on se retrouve alors avec des injections mortelles d’ARNm super concentrées. Et cela explique le fait que la plupart des gens sont apparemment en forme après ces injections – du moins au début. Ils peuvent développer quelque chose plus tard, ils peuvent avoir le Covid, cela augmente la probabilité d’avoir le Covid. Mais on voit aussi des gens qui meurent dans les minutes qui suivent l’injection. Voilà ce qui se passe, la dure réalité, à cause de l’énorme hétérogénéité des flacons.

Wolfgang Wodarg: Il n’est pas possible de l’homogénéiser ensuite, de le conserver comme le lait, qui est très homogène. Le lait naturel ne l’est pas, il y a la crème en haut et l’eau en bas. Ils ont des procédés techniques pour homogénéiser le tout, mais ils ne peuvent pas le faire sans perturber, sans détruire l’ARN, n’est-ce pas?

Alexandra Latypova: Oui, exactement. Avec le lait, c’est peut-être possible, mais même dans ce cas, si on regarde du lait homogénéisé au microscope, on voit des grumeaux et d’autres éléments. On ne peut pas faire ça avec ce produit parce que ça le brise. Et il se brise tout au long du processus et toutes les impuretés qu’ils ne peuvent pas éliminer y restent en permanence. C’est un énorme gâchis, un gâchis complet. À mon avis, il est impossible de fabriquer ce produit en respectant les bonnes pratiques de fabrication et je soupçonne qu’ils le savaient parce qu’ils ont essayé pendant 20 ans de mettre ce produit sur le marché et qu’ils sont toujours arrivés jusqu’au stade, peut-être, des études humaines précoces, mais c’est tout. Et ils n’ont pas pu aller plus loin à cause des problèmes de sécurité et parce que je soupçonne qu’ils ne parvenaient pas à rendre le produit constant. Ils le savaient et ils ont décidé « Ok, maintenant nous allons le faire passer par cette grosse arnaque ». Je vais vous expliquer comment ils l’ont inscrit dans leur contrat. Je suis pratiquement sûre que ces produits ne peuvent pas être fabriqués conformément à l’étiquette, à l’échelle et à la vitesse prévues, et les fabricants le savent très bien, c’est pourquoi ils ne le font pas.

Examinons la structure de cette organisation, l’organisation globale, la vue d’ensemble. Voici leur organigramme, il est orienté sur le côté mais il s’agit quand même d’un organigramme et il provient de la réunion du Comité Consultatif sur les Vaccins et les Produits Biologiques Associés du 22/10/2020. C’est toute l’opération Warp Speed qui se réunit et décrit sa structure organisationnelle. Remarquez deux ou trois choses. Qui dirige cette opération? C’est le Ministère de la Défense des États-Unis, Chef des Opérations. Qui est le chef scientifique? C’est le HHS et la FDA. Ensuite, évidemment, cette partie du tableau, c’est la partie supérieure et ce sont les personnes en charge: le gouvernement américain, le Ministère de la Défense et le HHS. Ces autres personnes ne sont pas responsables, mais elles reçoivent d’énormes sommes d’argent, donc elles sont contentes et elles assurent la continuité du projet. En outre, la partie supérieure comprend la fabrication, l’approvisionnement, la production, la distribution et les essais cliniques. De nombreux contrats on été conclus par le Ministère de la Défense et le Ministère de la Santé avec tous ces fabricants de vaccins, et ils révèlent beaucoup de choses sur la structure. Ces contrats sont disponibles par le biais des divulgations de la Commission des valeurs mobilières et des échanges aux actionnaires et j’en ai lu beaucoup. Ils révèlent la structure par laquelle le gouvernement a pris le contrôle de l’industrie pharmaceutique en lui octroyant d’énormes sommes d’argent et en signant ces contrats très restrictifs qui contrôlent tout. Mais le gouvernement conçoit les essais cliniques, le gouvernement conçoit tout et la FDA se contente d’approuver – en fait, la FDA fait partie du gouvernement. Voyons qui fabrique vraiment ces produits.

Voici une autre diapositive Power Point de la même réunion. C’est l’opération Warp Speed/BARDA. BARDA est une agence militaire de développement de produits biologiques et ils déclarent « Bien, voici notre panel de fabrication de vaccins ». Encore une fois, par le biais de ces contrats – et il y a des contrats disponibles pour toutes les entités listées ici – par le biais de ces contrats, il est très clair que ce qu’ils appellent les initiatives de soutien aux vaccins décrivent en réalité qui fabrique effectivement les vaccins. Par exemple, Emergent Biosolutions, que j’ai entouré ici, est l’un des centres de fabrication que le BARDA a mis en place il y a longtemps. Les contrats que j’ai lus remontent à 2012, date à laquelle Emergent a été établi comme fabricant de vaccins, le fabricant de vaccins de la Défense pour les vaccins contre la grippe à l’époque. Ils ont également déclaré « Nous allons construire cette prétendue capacité de pointe », ce qui signifie que d’énormes sommes d’argent ont été versées. Le contrat s’étend de 2012 à 2037, avec différentes options, puis en 2020, ils ont mis en œuvre une option pour les vaccins Covid. Emergent fabriquait les vaccins d’AstraZeneca et de Janssen, dont elle était le fournisseur. Et, soit dit en passant, ils ne respectaient aucune règle de bonnes pratiques de fabrication. Il y a aussi d’autres entités très importantes comme Ology. Aujourd’hui, elle a été convertie en cette nouvelle entité monstrueuse, appelée National Resilience Company, et il s’agit essentiellement pour le Ministère de la Défense d’acheter un ensemble d’usines de fabrication à des sociétés pharmaceutiques et d’établir sa propre structure de fabrication. Ça représente des millions de mètres carrés, ils ont d’énormes sommes d’argent et ils fabriquent ces produits. Texas A&M, également. Celle-ci semble fabriquer des produits comme Novavax, car elle utilise une sorte de lignée d’insectes – je ne sais pas ce que cela signifie. Il y en a beaucoup d’autres. Une fabrication complexe exige – il ne s’agit pas seulement de fabriquer quelque chose – il faut aussi disposer d’un personnel qualifié, de tout l’équipement nécessaire, de fournitures, de produits à usage unique, d’un accès aux matières premières, c’est une infrastructure énorme qu’il faut mettre en place et ce n’était pas possible. Ce n’est pas comme si on pouvait aller voir Ford Motor Company et leur dire : « Voici 10 milliards de dollars, j’ai besoin de 1 million de nouvelles voitures en 6 mois ». Même Ford, dont la production est déjà établie, en est incapable, car il n’est même pas possible d’obtenir les matières premières à temps. Maintenant, imaginez le même scénario si le gouvernement va voir Ford, General Motors et Toyota et leur dit de le faire simultanément. Aucune somme d’argent ne permettra de produire ce miracle en 6 mois. Ça n’a pas été le cas. Ils ont juste donné de l’argent à ces entreprises et leur ont ensuite ordonné de se tourner vers les entreprises qu’ils avaient déjà établies depuis longtemps pour fabriquer le produit. Ce sont elles qui fabriquent le produit et ces personnes ne sont qu’une façade. Ils assurent certains aspects de la fabrication, mais pour l’essentiel, c’est ici que ça se passe. Et tout cela est contrôlé par le Ministère de la Défense. Plus précisément, les contrats ne prévoient aucune exigence en matière de responsabilité – permettez-moi de passer à la page suivante.

La mauvaise nouvelle est qu’il s’agit d’un produit du Ministère de la Défense à part entière. Les gens ne le comprennent pas. On a l’impression que c’est une opération militaire, on le dit partout. Il s’agit en fait d’une opération militaire de A à Z. Ce n’est pas seulement qu’ils ont fait appel à une distribution militaire pour des raisons de rapidité, d’acheminement vers différents États et d’utilisation de la réfrigération. Non, ce n’est pas comme ça que ça fonctionne. Tous ces contrats sont passés avec le Ministère de la Défense. Il y en a des centaines, qui concernent toutes sortes d’entreprises. Tous les contrats sont passés avec le Ministère de la Défense, le Ministère de la Défense est l’acheteur, le Ministère de la Défense leur octroie d’énormes sommes d’argent. Comme je l’ai dit, ils disposent déjà d’une base de fabrication établie. Par exemple, le premier contrat pour Pfizer se montait à 10 milliards de dollars pour livrer 100 millions de doses de vaccin et jusqu’à 500 millions au total, et il était prévu des primes pour une livraison plus rapide, ce qui me fait dire « Pourquoi en produisent-ils 900 litres? Eh bien, parce qu’ils n’ont pas de comptes à rendre et qu’ils reçoivent des primes s’ils livrent toutes ces doses à temps ». C’est l’une des raisons. Et il était impossible de les livrer à temps, sauf en faisant appel aux fournisseurs déjà établis du Ministère de la Défense. Et il n’est question de responsabilité que celle des entreprises de faire des efforts raisonnables, quoi que cela signifie. Mais le contrat prévoit une microgestion extrême à chaque étape des opérations. De même, les essais cliniques sont conçus par le gouvernement, et non par le fabricant de produits pharmaceutiques. Les interactions réglementaires sont complètement prises en charge par le gouvernement. Par exemple, les entreprises pharmaceutiques ne peuvent en aucun cas discuter de manière indépendante avec la FDA. S’ils ont une réunion, il faut que les représentants du Ministère de la Défense y assistent. Pour moi, cela signifie qu’il ne s’agit pas d’une relation sans lien de dépendance, mais d’un contrôle total de leur relation par le Ministère de la Défense.

Autre chose, la distribution du produit. Le produit est expédié au Ministère de la Défense. Toutes les doses de vaccin aux USA sont expédiées au Ministère de la Défense. Elles ne sont pas envoyées à des distributeurs pharmaceutiques indépendants, agréés et réglementés, comme c’est le cas pour tous les produits pharmaceutiques normaux. Elles sont retirées de ce système pour être placées dans cette boîte noire de distribution réservée au Ministère de la Défense. Et en fait, les contrats avec les vaccinateurs stipulent explicitement que ce produit est la propriété du Ministère de la Défense ou du gouvernement américain jusqu’à ce qu’il soit injecté à la personne. Et qu’il est interdit de tester les flacons de manière indépendante, d’obtenir un accès indépendant aux flacons, ce qui est qualifié de détournement de la propriété du gouvernement. Ils interdisent de tester les flacons et comme je l’ai déjà dit, ni les fabricants, ni les régulateurs ne testent les flacons. Personne ne teste les flacons et personne n’est autorisé à le faire. Dans le même contrat, il y a une clause qui les exonère tous de toute responsabilité tant qu’ils suivent leurs ordres et cette même clause décrit le produit comme une application civile et militaire. Il existe aussi des contrats conclus par les États-Unis avec d’autres pays comme l’Union Européenne, le Brésil et l’Albanie. Les contrats de l’Union Européenne sont encore largement expurgés mais j’ai vu un contrat albanais non expurgé et on nous a dit que toutes les clauses du contrat étaient identiques. Ces contrats interdisent explicitement le test des flacons par des gouvernements étrangers ou qui que ce soit sur place. Et en fait, ils indemnisent aussi Pfizer pour absolument tout, et fournissent une immense couverture de responsabilité. Le gouvernement est obligé de renoncer à toutes les règles et réglementations et aux bonnes pratiques de fabrication, aux pratiques de distribution, à tous les contrôles existants, pour garantir l’indemnisation de Pfizer. De plus, ils ne peuvent pas modifier leurs lois nationales pour qu’il en soit autrement. Donc, en signant ce contrat, ils ont abandonné leur souveraineté nationale à une société pharmaceutique. C’est totalement ridicule. C’est ainsi qu’ils évitent toute forme de responsabilité et qu’ils interdisent les tests de lots, les tests de flacons. Mais on peut interdire tout ce qu’on veut. Comme vous l’avez vu, il se déploie une vaste activité secrète de tests et nous avons déjà trouvé toutes ces réponses. Nous avons découvert que ces produits sont corrompus, contaminés, qu’ils ne sont pas du tout conformes à ce que dit l’étiquette, qu’ils sont extrêmement toxiques et qu’ils le sont à dessein. Mais ceci vous explique comment ils peuvent tous s’en tirer et comment ils peuvent tout simplement ignorer toute règle: parce que ces règles ne s’appliquent pas à eux, c’est un produit militaire, fabriqué par l’armée, pour l’armée, distribué par l’armée et injecté aux gens et ce que c’est sous couvert de secret total.

En conclusion, je tiens à souligner que ces injections ne sont absolument pas des produits pharmaceutiques et que les gens devraient cesser de les considérer comme tels. Ils auraient dû cesser de les considérer comme des vaccins depuis longtemps, mais ils devraient cesser de les considérer comme des produits pharmaceutiques, des médicaments ou quoi que ce soit qui ait le moindre rapport avec ceux-ci. Ce ne sont pas des produits pharmaceutiques. La collusion entre le gouvernement américain, le Ministère de la Défense et l’industrie pharmaceutique a abouti à cette violation de toutes les règles et garanties établies. Ces produits sont mortels de par leur conception, intentionnellement, et il est impossible de les produire selon les bonnes pratiques de fabrication. Ces gens qui prétendent « Nous pouvons recoder vos gènes et guérir n’importe quelle maladie », c’est de la foutaise pure et simple. Personne ne le peut. Toute cette révolution de l’ARNm est, à mon avis, une escroquerie. Il faut les faire cesser immédiatement, mener une enquête approfondie et traduire les responsables en justice, leur demander des comptes. Tant que cela ne sera pas fait, nous ne pourrons pas avancer et je suis tout à fait d’accord avec l’intervenante précédente lorsqu’elle dit « Ce n’est pas que toutes les obligations sont terminées et que maintenant nous allons tous partir en vacances et oublier tout cela ». Non, parce qu’ils continuent de plus belle. Ils convertissent tous les vaccins existants en plateforme ARNm. Et devinez quoi, ils ne se limiteront pas aux vaccins, ils vont commencer à produire toutes sortes de médicaments utilisant cette plateforme parce que maintenant ils le peuvent. Maintenant, ils peuvent se contenter de faire une étude sur huit souris et déclarer que c’est sûr et efficace. C’est la raison pour laquelle nous devons nous focaliser davantage sur ce sujet et nous focaliser en particulier sur les poursuites judiciaires afin de traduire les responsables en justice.

Viviane Fischer: On pourrait naïvement penser que si cette opération est si gigantesque et qu’il est si important pour eux de fournir ces vaccins à tout le monde que […] pour cette tâche logistique gigantesque, il faut impliquer les militaires en raison de leur expérience logistique et de leurs contacts. Pourrait-il y avoir – je suppose que non – mais pourrait-il y avoir une réponse naïve à la question de savoir pourquoi l’armée est impliquée à ce point?

Alexandra Latypova: Oui, c’est une réponse naïve, mais si l’objectif était valable, si l’objectif était innocent et consistait à faire en sorte que les gens guérissent de cette maladie, alors les directives de sécurité devraient être suivies et elles ne le sont pas du tout. On ne peut donc pas dire « parce que c’est un tel désastre, nous devons tout faire de travers et causer davantage de décès au cours du processus, mais ce n’est pas grave ». Ce n’est pas logique selon moi. Cela ne fait que provoquer un énorme gâchis. Je ne vois aucun avantage à procéder de cette façon. Ce n’est pas comme si l’armée avait une sorte de capacité plus miraculeuse que les fabricants privés. Les fabricants privés fabriquent beaucoup de produits, des produits de très haute qualité à des vitesses fulgurantes. Ils possèdent en fait une expérience incroyable dans ce domaine. Le rôle de l’armée n’est pas plus crucial que celui des fabricants privés dans ce domaine.

Wolfgang Wodarg: On dirait que les militaires sont tout simplement aveugles au fait qu’ils aident à tirer sur leur propre peuple.

Alexandra Latypova: Exactement et nous avons beaucoup de courageux dénonciateurs au cœur des opérations militaires, qui ont été harcelés, comme Theresa Long par exemple [NdT. voir ici] , qui a essayé d’arrêter ces agissements. Ils attirent l’attention sur ce problème, ils le signalent et ils disent « Je ne le donnerai pas à mes gens, je ne le donnerai pas aux soldats de ma base ». Ils sont confrontés à de lourdes répercussions, mais ils continuent à prendre la parole et à expliquer que c’est mal et qu’il ne faut pas le faire. Oui, cela porte préjudice à nos forces armées en ce moment même, car ils exercent une pression sur les soldats et surtout sur les pilotes. Cela leur cause du tort et c’est une autre raison pour laquelle cela devrait être arrêté.

Wolfgang Wodarg: Je me demande juste, qu’est-ce qui se passe au niveau de l’OTAN? Vous avez parlé de l’Union Européenne mais l’Union Européenne a juste comme rôle d’obtenir l’argent, de collecter l’argent et de fournir de l’argent à l’industrie. Mais la fonction des militaires qui travaillent ensemble et coopèrent au sein de l’OTAN, il devrait y avoir des recommandations pour les troupes allemandes en Allemagne qui sont membres de l’OTAN. Si c’est une affaire de taille qui émane du Ministère de la Défense et que nous sommes partenaires au sein de l’OTAN, nous avons observé que lorsque tout a commencé, lorsqu’ils ont commencé à distribuer les flacons, c’est l’armée allemande qui s’est rendue dans les institutions et ce sont des médecins de haut niveau qui ont administré les flacons. Il n’y avait pas de médecins normaux mais c’était une action où l’armée allemande était employée pour s’occuper de la distribution, qui était en charge de garder tout ça. Et normalement, quand l’armée allemande fait quelque chose, le Parlement doit décider de tout ce que l’armée fait. Je ne me souviens d’aucune décision du Parlement allemand.

Alexandra Latypova: Exactement. Le Ministère américain de la Défense s’est adressé à l’armée allemande, mais je suis sûre qu’il s’est adressé à toutes les autres armées de l’OTAN et leur a dit:  » Voilà, vous allez injecter ça à vos gens. Au fait, vous ne pouvez pas savoir ce qu’il y a dedans ». Comment cela pourrait-il être acceptable? Et c’est bien cela qui se passe et c’est bien le crime qui est commis. Ils ont contracté tout cela, ils ont créé cette structure légale sur papier mais, devinez quoi, il n’est pas légal de contracter pour tuer et blesser des gens. Pour cette raison, il faut enquêter et arrêter ça.

Wolfgang Wodarg: Il est essentiel que tout cela soit dit ouvertement. Il est essentiel que cela soit documenté. C’est essentiel que tout le monde le sache. Merci beaucoup, beaucoup, beaucoup pour votre travail. C’est remarquable.

Alexandra Latypova: Merci de m’avoir invitée. Tout le monde peut me joindre par votre intermédiaire si quelqu’un a des questions ou souhaite voir les documents originaux. Tout ce que je montre est disponible publiquement. Tout provient de documents accessibles au public.

Viviane Fischer: Il faudrait que nous publiions une liste de tous ces documents. Je pense que ce serait important afin que tout le monde puisse les consulter, ou peut-être avez-vous une source. Je suis en fait assez choquée par le fait que cela montre que tout est lié. Il ne s’agit pas de gens qui se dépêchent pour être les premiers sur le marché et qui font ensuite de petites ou de plus grosses erreurs dans le processus de production. La façon dont vous l’avez présenté ici indique qu’il s’agit d’un effort bien orchestré.

Wolfgang Wodarg: Une opération internationale sous contrôle.

Alexandra Latypova: Une opération internationale sous contrôle, exactement. De plus, les fournisseurs que je vous ai énumérés, les fabricants, sont présents dans le monde entier. Beaucoup d’entre eux sont présents en Allemagne également, mais aussi en Belgique, en Italie et un peu partout, en Inde et en Chine. La Chine participe massivement, je n’ai pas eu le temps d’en parler, mais tout est connecté dans le monde entier.

Viviane Fischer: Quel rôle joue la Russie dans tout cela ?

Alexandra Latypova: Je n’ai pas vu de mention de la Russie dans ces contrats. Ce que j’ai vu, c’est que la Chine, l’Allemagne, les États-Unis sont connectés et investissent dans les mêmes entités, puis le Ministère de la Défense leur donne 10 milliards de dollars, ce qui signifie qu’il a donné dix milliards de dollars à une entité dont le PCC est actionnaire. Ils sont incontestablement en lien. Je n’ai vu aucune mention de la Russie, mais ils ont leurs propres vaccins, ils font la même chose mais en parallèle, ils jouent le même jeu mais dans un bac à sable différent.

Wolfgang Wodarg: C’est une question très intéressante car il y a ce conflit en Ukraine, il y a le conflit sur l’énergie. Je pense que c’est une très, très grande partie d’échecs et que toutes ces puissances essaient d’en tirer le meilleur parti pour elles-mêmes. Il serait donc très intéressant d’en savoir plus sur les projets de la Russie. Ils gagnent beaucoup avec l’énergie, ils viennent de couper une ligne mais ils la vendent de l’autre côté à d’autres nations. C’est un jeu très global très difficile et très compliqué à comprendre. Je pense que si nous continuons à chercher, nous apprendrons beaucoup de choses à ce sujet et nous devons apprendre beaucoup de choses pour que de telles choses ne se reproduisent plus jamais.

Alexandra Latypova: Oui, exactement.

Viviane Fischer: Merci beaucoup. Je pense que nous devons vraiment creuser ce sujet. C’est vraiment choquant et étonnant. Merci beaucoup pour votre travail.

Alexandra Latypova: Merci de m’avoir invitée. Passez une bonne soirée.

Interview de Alexandra Latypova au Comité Corona (transcription complète en anglais).

La traduction française est ici.

Source de la vidéo. Source de la session complète.


Viviane Fischer: We have a new guest. It’s Mrs Alexandra Latypova. She’s a former pharmaceutical industry executive. Hello.

Alexandra Latypova: Hi everybody.

Viviane Fischer: Hello, nice to see you. It would be great if you could maybe introduce yourself a little bit. What’s the most important things that you would like to share about your CV with our audience?

Alexandra Latypova: My experience is in pharmaceutical research and development. I spent about 25 years in the industry in various roles. Early on it was data analysis and later on I started working in clinical trials and in technologies that are used in clinical trials for various drug assessments such as imaging technologies, electrophysiology and many other techniques. I co- founded several clinical research organizations. These are companies that are contractors to pharmas, working in clinical trials. I worked eventually for approximately 60 pharmaceutical companies all over the world, mostly in the US and Europe but also in Asia. And Pfizer was my client and in fact they were my investor twice and we had an R&D collaboration around these technologies that can be used in clinical trials. And I also worked directly with FDA in the areas of cardiovascular safety assessments and participated in FDA industry consortia around methodologies to perform cardiovascular safety assessments in clinical and preclinical research. I retired from the industry a few years back and I wasn’t working when this whole Covid scam started. I became immediately concerned due to my knowledge that things were going very wrong, that the practices and policies that were being put in place just didn’t make any sense. I started looking into the situation more closely. I worked initially by analyzing CDC VAERS data set because it’s publicly available and then later on, now, I work on various documents that become available through freedom of information lawsuits. I review these documents and I collaborate with various groups trying to provide them expertise and interpretation of what’s in these documents so that various actions can be taken by public and also by law firms.

Viviane Fischer: So you have a lot of experience in this field, obviously. What results from all of this is that you think that all safeguards and regulations that were used, that the public relied on for years – and also assumed that they would continue to be in place – are basically abandoned. Could you maybe elaborate on that?

Alexandra Latypova: That’s the biggest lie about these so-called vaccines. They’re not vaccines, they’re not even pharmaceuticals and I will explain [that] in my presentation. But that’s the lie that was sold to everyone globally that this is a medicine but it’s not a medicine. And once the public was told this is a medicine, a vaccine, everybody’s expectation was that all these safeguards that we’re used to for medicines were in place and they were not. And they actually do not even legally apply to these products although that’s a question. You cannot contract for a crime, they have contracted for a crime and they’re committing it as we speak. And they’re calling it legal but it remains to be seen – and I can explain in my presentation. I have some slides if I can share?

Wolfgang Wodarg: Just share your screen.

Alexandra Latypova: The topic of my presentation today is to talk about these injections and specifically about regulatory and manufacturing fraud because not a lot of people have addressed this particular issue and this has been my focus.Through this investigation I realized that there’s a deep collusion between manufacturers, global regulatory agencies. It’s not just FDA, it’s EMA, all of them, and especially with the US Department of State. This entire program is headed by the US Department of State. This is a military action, a military program that has suspended all safety rules and regulations everywhere in the world effectively. And they’re colluding with pharmaceutical manufacturers to drive these deadly products throughout the world.

So far, this is overall a very high level summary of all evidence for these Covid 19 injections that we have today and I think most of us here will agree on these points. They were covered in your investigative committee also quite extensively.

So, first of all these products are toxic by design. There’s been numerous publications explaining how that is and overall the numerous mechanisms of injury designed into these products. They interfere with your genetic processes that are ongoing in your body all the time. While the manufacturers a claiming that there’s some sort of helpful protein that gets expressed, that’s not how the human body works. It really just breaks down the immune system leading to all sorts of catastrophic consequences. We now know that there is no safety of these products. The death and injury toll is simply horrific all over the world. It exceeds all previous high numbers from old publicly available databases. Yet nobody in authority is paying attention to it or when that point is brought up to them, they just plain deny it and gaslight the public. There is no efficacy of this product. I’ve yet to see anywhere that somebody could show a lasting protection from these injections. They don’t. Now the governments want people get injected every 3 to 4 months. That’s just ridiculous for something that’s called a vaccine and there’s absolutely no protection against Covid illness that these products can provide.

Now the focus of my presentation today will be mostly on manufacturing and how this fraud is committed from the framework, how this cartel formed, who are the participants of the cartel and what exactly they are doing. The bad manufacturing, few people have addressed it but this product is completely non-conformant because it doesn’t have to conform. It’s a prototype, it’s not a pharmaceutical so it’s highly non-conforming to its label and it’s extremely variable. It does not conform to good manufacturing practices and there is no enforcement of good manufacturing practices anywhere in the world where such laws exist. There is obviously malignant policy from the governments. We know that they’re lying, we know that they’re covering up, they’re gaslighting the families of killed and injured by these shots. They demonstrated very, very clear intent to harm through all these actions. At this point everything should be deemed intentional. All the injury and death toll should be deemed completely intentional.

Now let’s talk about manufacturing to just bring out the point what is good manufacturing practices. In the US, it’s a set of laws and rules and regulations which is in the code of federal regulations. It’s a very extensive set of laws that covers high quality, consistency, purity standards for drugs, vaccines, also covers food and beverage – mass produced. The expectation is that every batch of every new product is about the same as the previous batch of the same product and that they conform to the label, they don’t have impurities and they don’t have anything toxic. There’s also, in the case of these Covid 19 injections, the expectation that they’re even interchangeable between different brands although no testing have been done to demonstrate that. These rules and regulations exist in other countries and they’re very similar. In the US they were developed somewhere between the 1900’s and 1960’s and there’s a very extensive set of them. It was in response to a lot of people being poisoned and killed by badly produced products at the time and in fact it’s a severe crime to introduce an adulterated product, a product doesn’t comply to these rules into interstate commerce in the US or internationally.

When I first started looking at these Covid 19 injections, I wanted to understand how they look like versus something that was more traditionally compliant with our good manufacturing practices. Because we were talking about an alleged vaccine, I decided to compare it with the traditional flu vaccines and I took all the data from VAERS database that coved traditional flu vaccines. I plotted it on this graph. On the X axis we have all the lot numbers for flu vaccines. This is about a dozen manufacturers, different products, all injectable flu vaccines, and on the Y axis I have serious adverse events and deaths. I never include all adverse events because there’s a lot of administrative issues and maybe minor things so I just want to focus on serious and death. As far as serious and death, as you can see, these are very consistent products are they never vary much. The average is around maybe 3 or 4 serious adverse events per lot. Then we have some outliers – we only have 2 outliers here over many years and the largest was 37 reports per lot. This is approximately how a product in compliance with good manufacturing practices would look like for a vaccine product and that should be the expectation.

When I looked up the Covid 19 injections, the picture was dramatically different and this is extremely alarming. It’s so bad that it should have been a flag right away for any regulator on any level – federal state, local. We all have established regulators at all levels of the government that can flag issues with abnormalities, abnormal patterns with any products in their jurisdiction and then a recall can be issued. But nobody did that. We see this huge variation between lot to lot for all these Covid 19 injections. Here, by the way, I have all the verified lots from CDC, we have a complete list of lots that were issued in the United States with correct lot numbers, manufacture dates and expiration dates. So all of these are valid and yet you can see they are hundreds and thousands of times larger in variation compared to flu vaccine, which is all under this red line here, and all of these are so much higher. We have the range of up to 1 500 serious adverse events and that’s for a lot and then we have some lots that have very few and then we have a huge difference even between – you can visually see it – between different manufacturers. We have Janssen here, Moderna all these here, and then Pfizer – look at this. This was incredibly alarming and in fact there was one flag issued very early on in the rollout by Orange County, California. They detected on 1/18/2021, so just couple of weeks after the mass roll out of these injections, they detected one lot from Moderna that they said generated a substantial number of adverse events. However nobody else was alerted. This was in the news but no other health authorities were issued any communication. The manufacturer did not stop this lot, did not recall it, nobody from the health authorities forced a recall and this lot was continued to be sold all over the United States until it ran out in March. It also generated about a thousand of serious adverse events and close to 60 deaths. So all of those should be deemed intentional because the authorities did flag it, they did find that it was generating abnormal adverse events. Yet nobody did anything to stop it and they continued pushing it into people.

Viviane Fischer: In this Pfizer representation there, it seems if there’s a toxic lot, then it’s very toxic.

Alexandra Latypova: These ones, yes, they’re extremely high and they’re extremely toxic. Usually these ones generate a lot of deaths as well so I didn’t itemize death here but yes. We see these large lots generating a lot of deaths but it’s not always. Sometimes even a small one will generate abnormal number of deaths. They also vary by lethality as you can see. So there’s huge variation all over the place.

Wolfgang Wodarg: So you will for sure tell us something about the reason for those variations.

Alexandra Latypova: Yes, we found many reasons. People often told us, « You guys are conspiracists and that’s all just because of the size of the lots are different » and actually they are not that different. We later received just recently – there was FOIA data request information came out and they provided all the shipments of Pfizer products in the US by lot number and what number of doses. When I plotted them by date of manufacture here on the X axis, and we’re just looking at deaths – here it’s easier to see – so when adjusting for the lot size – here I adjusted by 1000 doses – we see this very strange picture. There is a huge variable – these are up to 12 times different from these. And look at the dispersion especially at the beginning of the year. Then this variability declined and toxicity declined but the variability is still unacceptable in this part of the graph. It’s just that it gets dwarfed by this part of the graph. All of this should not be there. The expected relationship should be like flat line, zero and as close to zero as possible. But here we have a definite statistical relationship, for Pfizer it’s both between the date of manufacture. Think about it, you should not have any difference in toxicity of a product depending on the date it was manufactured and also, the same relationship exists between even the alphanumeric codes for Pfizer and Moderna. They also cluster – I’m not showing it here – but they also cluster around different alphanumeric codes. We know which letters and numbers stand for what level of toxicity today. And we can tell it to people and in fact we have been, on our website.

That’s the situation that absolutely is alarming and absolutely obvious, has been obvious from the start and no health authority ever noticed it. That’s extremely concerning and again that points to intentional act.

Viviane Fischer: I don’t know if you’re going to come to that but I have a question, before I forget. In the beginning there was the elderly and the sick, already sick people maybe, who got vaccinated and then we had the younger people who were admitted. So when you see that until April 21 could it be that this has the variability because of more intense reactions, because of the age group that got vaccinated? Are you going to come to that question later?

Alexandra Latypova: Yeah, I have a slide on this in my backup slides in fact. That question was asked frequently and here is the answer – this is by the way by my German colleague and this is based on German data. Age doesn’t influence this as much as you think. We had 12 times difference which between the low lethality lots and high lethality lots. There were some older people but remember in the early roll out there were also healthcare workers so it was never just old people. The average age has always been fairly low. It’s not in the eighties, it’s much less. But here my colleague from Germany did analysis looking at the influence of age over these effects of death and these adverse events and it turns out age has only partial explanatory power, does not explain all of – it actually explains very little of it. So here we have something like 18, 13 percent explained by the age and the rest is not explained. And you can visually see it. If you did different tests on the lots that were shipped to Germany with the severe adverse events and deaths and you plotted them here, you can see for example here, it very clearly can be seen on this graph, the age here is less than 60, so this is maybe 58 year old, and you can see this vertical dispersion of the results of the adverse events. This means that for the same age they have the lots that were less toxic and far more toxic. This is a huge dispersion and it goes almost everywhere, you can see that. And you can see here 60 or 70 even, so there is this very not toxic and this is around 80 years and very highly toxic and it goes all over the place. So because the data exists in this cloud, it just tells you age doesn’t explain it – it explains a little bit.

Viviane Fischer: Okay, thanks so much.

Alexandra Latypova: [Let me go back.] And there are also other patterns of a strange variability also still unexplained. Another one of my colleagues put together this chart for the US. We have very strange geographic abnormalities in terms of how toxic these products are. So when we look at data in VAERS, that’s all 100 percent vaccinated populations so policies of local governors do not play a role here. Everyone who got vaccinated is covered by this. We look at death per hundred thousand vaccinated people in the state then we see this picture which is also quite strange. For example South Dakota is the worst state in the Union right now. It has 33 deaths per hundred thousand vaccinated people and the next worst state is Kentucky with just 24 per hundred thousand vaccinated people. And then we have states like Utah and California for example with only 1.7 and 1.9 so that’s a huge range. Again, there’s no way to explain this by normal demographics of the states. In fact, California has poor demographics if you think about homeless and drug addicted populations and so forth. So that’s unexplainable right now and nobody seems to be concerned about this. But to me it just says that the product is gigantically variable and whatever they’re shipping to these different states is extremely variable, too.

So given this variability of manufacturing, the manufacturer is producing highly, highly variable products and that creates these strange patterns abnormalities whichever way you look. I started next looking at the regulatory documents that I could get and I reviewed several packages of what’s called non-clinical summaries. They became available through FOIA and these were for Pfizer and for Moderna and those summaries contained – their own summaries of animal studies that they performed and that the FDA then used for approval of Pfizer’s injection product and Moderna’s Spikevax.

I’m going to talk mostly about Moderna for the interest of time but they are very, very similar both of them. First I looked at Moderna and I found a very strange thing about Moderna. Moderna apparently has two investigational new drug numbers which is strange to me because by rules, by regulations, there’s supposed to be only one investigational new drug number for each new molecular entity. And that number opens your application with the FDA and the similar process in European agency. That number opens your application and then you as a sponsor collect all the data for animal studies and then clinical studies and all the results and all the data sets, they get appended to that number. It’s like a case number and then that becomes a dossier that you use with the regulators to review and approve your product. And that works like this everywhere in the world where we use these systems, International Conference for Harmonization. And in Moderna’s case I saw two numbers. I still don’t know how this works but that’s my question that was never addressed. First of all that other number was opened first and then Moderna’s number second. The first number belongs to the NIH. They are the owners, National Institutes of Health and specifically it’s a division of microbiology and infectious diseases, DMID, and organizationally that group reports to Anthony Fauci. So they own this number, they opened this number for Moderna in February 2020 and then they also did – it may be on going – they’re performing a lot of animal studies for Moderna. Because they have these two numbers, that means that they are co-owners of this product and they have the rights for revenues and profits derived from this product. This is highly abnormal and a huge conflict of interest because this is well beyond a more standard ideal relationship where, let’s say, private manufacturer can license a patent from NIH or a patent from an academic institution and then they pay them small royalties when that technology is used in subsequent products on the market. But this is different, this is NIH actually getting revenues and profits from this product – or at least has the rights to – and also we should note that, of course, NIH and Anthony Fauci specifically were in charge of all these draconian mandates, coercion of people into injecting this product into everyone. So how is this that they’re then profiting from it directly? I’ve raised this question many times. This has never been addressed by anyone but I think people need to speak about it more.

Next I reviewed the packages for both Pfizer and Moderna with respect to what the standard testing would be in preclinical or animal experiments. And just to give you an overview, this is very, very high level, each of these boxes contains numerous studies. For a normal drug or vaccine or any product, biological, what you need to do is assess them in animal experiments first before you can give it to humans in a highly controlled clinical trial setting. This is in order to exclude major risks and make sure that the product is safe enough to then be given as experimental product to humans. And the categories of safety testing in preclinical will include three major components: pharmacology, safety pharmacology and pharmacokinetics. Pharmacology includes a couple of areas. One is primary pharmacology: you have to at least try to demonstrate mechanism of action that you declare for your product. For example, if the manufacturer is claiming « This product will create spike protein and then that’ll create an antigen », that needs to be demonstrated in those studies. Then secondary, any off target effects. So if while doing that, it’s doing something else, you also have to show that or exclude it or at least have some idea what potential off-target effects may happen. Then drug interactions also are an important part, especially if the product is supposed to be given to absolutely everyone then a lot of people already taking multiple drugs, they can interact in unknown ways so at least some idea needs to be given to what potential interactions and are there any counter indications for other products. Then the next category is to see how the product gets distributed through the body when you inject it – and that’s called pharmacokinetics. In pharmacokinetics we assess many things but important ones are absorption, distribution, metabolism, excretion studies, those are standard. Then very, very important ones are toxicology. Toxicology means that if your product is detected in a certain area, let’s say, it gets into cardio-vascular tissue or it gets into liver tissue or it gets into the brain, in other organs, you need to then do the toxicology study for those particular organs and figure out what is the maximum exposure, what’s the exposure over time, when does it clear, what’s the maximum tolerated dose, where the toxicity starts because we want to develop what’s called a therapeutic window where you can give the drug high enough so that it elicits desirable response but it’s also low enough so that it doesn’t cross the threshold of toxicity. That’s the most important part of all these experiments, it’s to find that space. And that space was never found for these products, by the way. Also an other area here of course is reproductive toxicology, I’ll talk about it some more.

What happened with both Moderna and Pfizer, they use very similar strategy here. They did not do ADME studies, they did not do any secondary pharmacology, then they waived for themselves this whole area of safety pharmacology and they told the regulators that it doesn’t apply to them because of 2005 WHO guidance for vaccines, which is an absolutely preposterous claim because these products are not vaccines and especially in 2005, they were not considered vaccines, they were gene therapies. That ridiculous claim was accepted wholesale by the FDA and in Moderna’s case specifically, what I found is that about 50 percent of all the studies that they included into this non-clinical package contains tests for completely irrelevant articles. They just compiled a whole bunch of previously failed products that they had in the pipeline, appended them to this and they said « Oh, it applies to Spikevax ». It doesn’t apply to Spikevax. All the tests need to be performed with the exact formulation that you’re going to use in the ultimate clinical product, meaning your mRNA that’s going to go into the Spikevax and the lipid nanoparticle exactly as it going to be in the Spikevax. None of this was done at all. This was a hodgepodge of different studies from different years. For example, bydistribution, they included a study from 2017 for a cytomegalovirus and it was a concoction of 6 different mRNAs. None of them are the mRNA that’s in Spikevax. Then toxicology studies were not done. There was only one non-GOP – non good laboratory practice compliant – toxicology study and it wasn’t completed even at the time that the package was written. And there was only one GOP study in reproductive toxicology, I’ll talk about that. Genotoxicity, carcinogenicity was assessed only for one component, this chemical SM102 and only an in vitro-like cell line experiment. That’s completely unacceptable but the FDA, by the way, did not find any problem with this, completely accepted it. And that was for both Pfizer and Moderna. To me that told that there is a collusion between the regulator and these manufacturers, and in fact I believe the regulator, FDA, drove this road. They told them how to submit the documents because this is in complete violation of any [guidance]. If you look at the FDA guidances, it violates all of them. That is just so bad that if a manufacturer tried to do that and the FDA was following its own rules, none of this would fly. Yet somehow it just gets red carpet and they just waltz in with this garbage and that « Jimmy says the FDA told them to do it this way ».

Moderna also made this really bizarre claim – which now both of them are making – and now it’s being enshrined into regulatory practice as we speak. This is a slide from Moderna from JP Morgan conference in 2018. They were claiming that their product is a platform – which, by the way, every start up in every industry claims that their product is a platform so this means absolutely nothing. They’re claiming they have a platform where they can make these lipid nano bubbles and they can put whatever mRNA they desire into this lipid nano bubble and if it worked once, it will work again and again. I won’t dignify this but anyway, this is a very dangerous claim. They’re saying essentially [that] their product doesn’t need to be tested. Only the delivery vehicle needs to be tested. It’s like saying « Well, the truck that’s carrying food and the truck that’s carrying explosives is completely the same thing. Don’t pay attention. » Because this claim by itself would have never passed through normal regulatory practices as they are designed and regulations as they’re written, what they needed to do is to manufacture the crisis to push it through emergency use authorization, so that they could actually put this on the market – and they did. [Moderna] did not test the Spikevax and Pfizer didn’t test their BNT162 product either. The only test is [of the] delivery vehicle and all kinds of evasive tests not to actually test directly this combination of things. And now they’re both claming « We have a platform » and now FDA is allowing them to do a study in eight mice and then immediately put the product on the market. This has of course many problems. First of all, who wants the product which was tested on eight mice? I don’t know. The second is that now FDA, Pfizer and Moderna are a cartel. They established a cartel where for Pfizer and Moderna, they can do eight mice study and that’s it. For everybody else who even wants to work in mRNA, for example, any other startup – they’re all thinking « Oh my God, this mRNA revolution happened and we’re all going to be rich », they should think again because now they have to comply with all regulations to approve their platforms. But Pfizer and Moderna can only do eight mice study. So they have ruined the entire industry, pharmaceutical research and development by doing this and they have established government-pharma cartel by doing exact these specs.

Next I want to specifically address the reproductive toxicology study that Moderna did. It was a small study in about 40 rats and I’m not going to cover design. They had half of them vaccinated, half of them not vaccinated. By the way, the male rats were never vaccinated so we don’t know what happens with the male reproduction at all and nobody has addressed that. They only vaccinated females and then eventually they found that there was a strong transfer of antibodies from them to fetus and from them to pup – and the levels were high. They’re saying « antibodies » like it’s a good thing but if antibodies transferred, so did mRNA and spike proteins. We now know that spike proteins were found in breast milk, for example, and mRNA specifically was found in breast milk. These things, mRNA and spike proteins, they pass all sorts of barriers such as placenta, such as brain and blood so they will end up in the baby and it’s not clear what it does. We know it’s dangerous and the babies obviously have a small body and it’s developing. So this poses high risks to the developing baby and none of this was studied by anyone. Also, mothers experienced toxicity during gestation and it coincided with the day when they were expressing the highest levels of antigens so obviously this is related to the vaccination. They vaccinate them, they experience high toxicity. They were claiming that these effects were transient and not so bad but rats lost fur and they couldn’t use their hind legs. But Moderna said « Don’t worry, they were thriving ». I’m not sure how the animal is thriving when they’re losing fur. Because I don’t have access to full reports, this is only Moderna’s own summaries, their own words about their studies, I cannot tell you exactly what happened there but it looks to me like they’re whitewashing a lot of stuff. The most important thing was that they found that rats offspring had skeletal malformations. Here’s their own language: « mRNA 1273 » – that’s Moderna Spikevax – « related variations in skeletal examination included statistically significant increase in the number of rats with one or more of wavy ribs and one or more rib nodules » – which is extra ribs. Those are severe skeletal malformations and they were statistically significantly increased in the babies of the vaccinated mothers. That’s as clear safety signal as you get and those are standard studies for assessment of developmental toxicity.They also correlated that with maternal toxicity during the gestation on the same day. So obviously it’s related to the vaccine and obviously this product is causing damage to both mothers and their developing babies.

However FDA directly lied on the label and the regulatory documents on behalf of Moderna. What the FDA put in their summary for non-clinical pharmacology and toxicology which is part of labeling for Spikevax is that there were no vaccine-related fetal malformations or variations. And that was hidden, secret, for a year – more actually than a year – until it was released through court order and until I read it. We would have never known and they would continue pushing this on pregnant women worldwide and they’re continuing. They knew about this but they were knowingly forcing this on pregnant women. Remember the campaigns that were everywhere: CDC advertising, FDA advertising like pharma sales reps, just advertising this is totally safe in pregnancy and pushing everyone – and even forcing pregnant women if they were health care workers or police or school teachers. To me, it’s a crime, it’s a horrible crime what they did. And we know now that there are huge adverse events related to miscarriages to problems with babies, babies dying, lactating babies dying and that’s all recorded in VAERS. And again they’re denying it and gaslighting everyone.

Next I want to talk about what’s really happening with this product, why this variability exists in my opinion and what we’ve found through various now direct testing of vials and examination more closely on the manufacturing processes. So, as you know, each product has its label and even though Pfizer was trying to hide this particular information for a while, now it’s available. We know that they are declaring certain ingredients such as BNT162b2, it’s their mRNA sequence and then the rest of it is lipids, lipid nano, it describes lipid nano bubble composition, these ALC’s and so forth, cholesterol, and then some other products that balance it into injectable product. They’re also declaring quite precise quantities of each on the per vial and per dose level – because remember, they get shipped in multi-dose vials and then each dose gets prepared by the vaccine administrator at the site manually, in completely uncontrolled manner and outside of any good manufacturing practice compliance. Nevertheless each dose is supposed to contain 30 micrograms of mRNA, for example, and then some other components also very precisely described. But what I found by reading manufacturing documents for Pfizer specifically that were submitted to EMA, no tests were designed for testing of the ingredients especially at the vial level – and forget about the dose level. What they were describing as tests at the vial level were basically the vial weight at filling and some integrity parameters like how well it’s capped and so forth. But there were no test that said « We’re going to take random sampling of a few vials from each lot or from each line as it comes off and then we’re going to open them and we’re going to see if it does contain 225 micrograms of RNA or not ». None of that exists. All the ingredients specification tests are designed at the batch level – and the batch is a bulk product, it’s upstream manufacturing step. Per current government regulations, these tests need to exist at the dose level, at the unit dose level as it’s dispensed to the patient – and they’re not doing it, I’ll talk more about this. So far, our findings is that – and this is from random vial testing all over the world – so far we found that not a single vial conforms to this label or any other label of the manufacturers.

So what has been going on is independent testing of vials by many teams. This paper was recently published in the International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research. I know some of the authors and I am in correspondence with them and these teams of researchers and independent researchers all over the world – 16 countries, I believe – have gotten access to some of the vials, mostly Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Janssen – but there’s some other ones as well. The summary of overall findings is that all these products are completely different, they differ from the labels, but there are some consistent findings. For example, when they’re able to isolate and sequence RNA from the vials, RNA sequence does not conform to the label. We have yet to find a match to what Pfizer says it should be. Then there are huge DNA impurities and protein impurities – gigantic amounts, I’ll show you that. There are also consistently other impurities found in large quantities and they constitute heavy and rare metals. It’s unknown origin or purpose of these materials inside the vials. Metals includes things like cobalt and chromium and aluminum which are very toxic to the body and neurotoxic. Rare things like thulium, which is bizarre, and antimony even was found in Moderna vials. Antimony is a metal used in semiconductor manufacturing, mined in China. It’s not clear what it’s doing in Moderna’s vials which is supposed to be produced in Massachusetts. There are also inclusions found, contaminations with structures of also unknown origin. They look like unexplainable blobs and particles and they’re large because people find them under standard optical microscope which means that they’re not nano scale, they’re larger than that. And crystals, they’re very characteristic: flat and very square and rectangular shapes with sharp edges. Also very characteristic fibers and ribbons, flat ribbons. There is assembly, a self-assembly process – chemical probably – movement visible immediately from the frozen state and this was videoed in single-take videos and so there’s very good documentation of it. Researchers take precautions and steps to exclude environmental dirt on the slides. They do controlled experiments so there are some high quality studies. Not all studies are high quality but some high quality studies found all these things – that’s what I’m summarizing. There is possibly different forms of graphene in these vials and also things like, for example, leftover magnetic beads. Remember though all those people who had like fridge magnets stuck to their arms post injection? That’s what it is. Magnetic beads are used in purification of RNA in manufacturing. They were left in the vials, not removed and then subsequently injected into people.

Here is an example of the RNA sequencing from a Pfizer vial. Here researchers showing the first green line is the declared Pfizer sequence and all of this, by the way, is by weight and that’s how Pfizer does it, too, or rather by length of the molecule. The first sequence is this BNT sequence, that’s Pfizer declared sequence, and it’s supposed to be like this green line. The next three you can see, those a possible matches but none of them actually match.There are some pieces of it and then some extra stuff at the end but the beginning is missing. And that’s what’s floating in that vial. What’s very concerning is these additional small RNA fragments and they were even described by the regulators in European Medicines Agency documents as process-related impurities and they were concerned about it. And they should be concerned about it. I call them shrapnel RNA, there are many, many names for them, microRNA, small interfering RNA, all kinds of things but you can think of it as shrapnel. When the glass breaks, it breaks into large pieces and small pieces and they’re all inpredictable – it’s like this. They’re not denying it. FDA dismissed them as a theoretical concern, it’s not a theoretical concern. MicroRNA’s have been designated specifically as a class of a biological weapon that can be used because they are interfering with the normal genetic processes. They do not have to code for proteins, they do not have to have a a length to code for anything but they can still interfere with the cellular processes dramatically and they can still aggravate the immune system and break it down to such a degree that over time you will have various types of malfunctions including cancer specifically and neurodegenerative diseases and all sorts of abnormalities. So this is in the vials. You can see, it’s almost half and half how much of this component has larger pieces of RNA that don’t match and then all these shrapnel RNA’s.

Then the researchers looked at several Pfizer and Moderna vials and they found large quantities of DNA. And DNA is also a process-related impurity, it comes from the beginning of the process where RNA is transcribed from a DNA matrix. It’s a raw material or input into the process. This DNA matrix is always not 100 percent transcribed, you have remaining impurity from this process and it needs to be removed. And here it clearly wasn’t removed because in three BioNtech vials and one Moderna vial they found DNA. In this test – and again Pfizer uses a similar test – you can see, this is a calibration band on the left of different sizes of DNA that are possible and these are matched with what’s in the vial. You can see that there are these stripes of different sizes that were found in the vials. Here it’s kind of smeared amongst different sizes. So they found DNA and they found it in various sizes in these vials.

And then they calculated the weight of it and it turns out that there’s huge amount of it in each vial. Pfizer themselves declared that acceptance criteria for the vials is such that the DNA can be present there only up to about 10 nanograms per dose. But what’s calculated here from the actual analysis is up to 2000 [times] that amount. That’s really, really, really concerning. Also I found these batches specifically in VAERS – although they come from Europe so VAERS is not complete for Europe – but I found them in VAERS and I found reports for serious adverse events and death for them in VAERS.

Another image was provided by my colleague, Shimon Yanovitz from Israel. They did some testing and this is under standard microscope. They were looking at the vials from completely frozen state and then waiting for them to unfreeze and photographing that process. What they found is, on the top line, here we see immediately from frozen state, this is imaged under standard microscope and you can see how many different types of inclusions and and blobs and some sort of particles are there. And they’re not nanoparticle because under standard microscope we’re seeing much larger structures. It’s not clear what they are. Then after some 20, 30 minutes after unfreezing, they photographed again and look, they changed to all these compositions. That’s what’s evolving and growing and self assembling. They kind of agglomerate, there’s something going on, some kind of chemistry that’s constantly moving and then collecting and coalescing in these other structures and even new ones appearing like these fibers, that one up in these images. It’s very strange, that’s unexplained and that should not be in this type of product. It’s a question, why do we have this?

These structures are not rare. Another colleague provided this image for me and they said that this is just from one drop of Pfizer product. After it sat for 72 hours they examined that at 100X magnification and you can see how much of the stuff, it’s basically just filled – and this is just one drop. It’s filled with this, with these strange structures, some are like particles and some like larger square pieces and it’s not clear what’s going on but there’s a lot of it, it’s kind of steaming with it.

Wolfgang Wodarg: Question: Could this be cholesterol crystals?

Alexandra Latypova: Some of them might be but the ones that are like square, rectangular, they don’t look like crystals. We’re also looking at normal images of cholesterol crystals and they don’t match that, they don’t look like that. They look like something else and there are even more much larger and weird structures that look like carts on wheels, it’s hard to describe. They also have circular things attached to square things attached to some fibers. We’re comparing to salt crystals and cholesterol crystals and, no. Some of it maybe but most of it not.This still remains to be explained by the manufacturers who are keeping extremely silent about it.

And what we also found – and this is almost good news for the victims – we found that when this product is broken, it’s safer. The slide on the left actually came from Germany. A recent report was published by one of these research teams, it’s called the German Working Group. And they did a number of very good, solid and high quality tests for these products. One of these tests was looking out the pegylation quality of the product. They had different Pfizer batches – each dot here is a batch – and they looked at the degree of polymerization, how homogeneous was the polymerization of these nano bubbles. The PEG is there to protect the bubble and to keep them separated. If you have small molecules and they’re all homogeneous, it’s like a mosaic, it protects these really well. When you have smaller and larger ones, that can lead to breakage of these nano bubbles. If it breaks then the mRNA will escape, get interacting with water and will also degrade. What they found is that this associates with degree of inhomogeneity. So how often those bubbles can break is associated with fewer adverse events so it’s safer for the victim. And then I found previously in my analysis of Pfizer documents that once mRNA escapes and breaks, if you have more broken mRNA in your batch – and these are also batches from Pfizer different that these – it’s also less deadly, so it’s safer. That’s just good news because obviously they cannot make this product stable, they cannot make it to their own specification and that turns out to be a saving grace because it doesn’t kill as many people as they were intending to.

Wolfgang Wodarg: Do you have information about the the dependence on storage temperature? Because I can imagine if you store it not frozen for a longer time in a higher temperature that there’s more degradation and that the toxicity will diminish then. Is it possible?

Alexandra Latypova: Yes, absolutely. So, storage, transportation, it breaks in all steps and even shaking. They’re saying to the administrator, the instruction is « Do not shake the vial, you have to invert it a couple of times ». If you shake it, of course, you’re gonna get more broken pieces. They’re not benign but they’re a bit safer.

Wolfgang Wodarg: So if you want to just show the people that is not so dangerous, that you don’t want the people to be alerted by toxicity effects, you just care for a little bit higher temperatures, it’s easier. You use the side effect.

Alexandra Latypova: Yeah, in Pfizer documents they use that method to degrade RNA as well for testing purposes. It’s very well documented. A couple more slides, a short part but actually we’re getting into a very interesting part. We talked about this, we [said] the tests directly from vials or directly from batches show that this product is designed to be toxic, designed to be deadly because it actually is the opposite when it’s broken and doesn’t conform to its specification.

What I found later… I started thinking about and reading more about the manufacturing of mRNA and I didn’t know much about it at the beginning. I now have connected with a number of experts and I understand it better and I have a lot of documents including from Pfizer about how this product is being made. What I learned from it is I frankly have an opinion today that it cannot be made at the scale that these people are claiming. That’s also part of a lie and part of a fraud. First of all, mRNA manufacturing is a challenge even in the lab scale. If you want to make some micrograms of it, it’s a challenge and people who have done it, they’ve described it to me. It has low yields so there are multiple steps of making it and each step creates some sort of not 100 percent yield. And you lose stability of the product at every step. For example, if you have a 5 step process and it has an optimistic yield of 80 percent, then at the end you have 30 percent of the final product and 70 percent of impurities that you need to remove. And if you have a yield of something like 60 percent you only have 7 percent, then you need to remove 93 percent of impurities. Also, of course, you will have to scale up all of your raw materials to achieve some sort of a target that you need, some sort of a weight of the product that you need. mRNA is very fragile, especially the ones that they are using now in these injections, they are large chains. Previously the only approved product on the market that’s using RNA is using a very small one, it’s called small interfering RNA. It’s something like 100 nucleotides in length. The ones that are in Pfizer and Moderna are 4000 and higher than 4000 nucleotides. So it’s very large and the larger it is, the more fragile it is. It’s not stable. They modified it with numerous modifications to make it more stable so that’s why it’s not human it’s just some strange sequence but it still is unstable. Also it needs to be capped and has a tail and those two are separate processes. Each one of them breaks the product as well, so it’s not in complete capping, it’s incomplete tails. LNPs we already discussed, they’re lipid nanoparticles, they can also break because of various things including pegylation imperfection and when they break mRNA also breaks. As we’ve seen before, there are large impurities process-related and some others can be introduced through bad practices and they need to be removed. But you can not aggressively remove anything from this product because it’s very fragile. So you cannot use the same centrifugation, filtration, mixing techniques that they use in chemical manufacturing. Now manufacturers are claiming – I have records that show that on average these batches are something like 200 to 300 liters which already stretches imagination, that’s for batch. Recently I obtained records that showed one batch of Pfizer was manufactured with 12 000 000 doses in it, which means it’s around 900 liters of mRNA. My colleagues at this point started laughing and they said « I don’t even know that there are bio bags that big being produced ». Why are they doing this? I don’t know what’s going on. Are they overdiluting, are they mixing multiple batches, are they mislabeling, are they just reenabling an old product? I don’t know. Any of this can be possible because, as I will discuss shortly, they have no rules that apply to them. When we’re talking about scale like this, the availability of raw materials is questionable. Again my colleagues are questioning « Can they get the enzymes at this scale? » because again you have to have everything multiplied by the yields to reach your final target. Also, these batches are produced simultaneously by numerous companies at the scale and the speed. I don’t know whether this is possible or not. Pfizer was already reporting chemical instability even at 37 liters. That was in the Pfizer European Medicines Agency documents that they said that enzymatic reaction to make RNA was already stopping at that level because at large volumes, chemicals don’t balance the same way as they [do] at small volumes. Now even if you can produce something like this at a large volume, what happens is it the product becomes super heterogeneous. We have problems in the small batch but when the batch is large, you have lipids in water. And lipids are floating in a huge volume so they start separating and they tend to go to the top and they also tend to form into clumps. Now you have the mRNA in very unstraighted quantities floating around in a large volume of other stuff including water. Then that huge volume needs to be filled into 0.45 milliliter containers, vials, and of course you will have a whole bunch of vials that are blanks or near blanks that don’t contain much of the mRNA at all. It may contain metal contaminations or whatever and then you will have some super concentrated mRNA deadly shots. And that explains the reality where we see most people seemingly fine after these injections – at least at the beginning. They may develop something later on, they might get Covid, this increases probability of getting Covid. But then we see also some people drop dead within minutes of injection. That’s what happens, this is the reality of this, because there’s this huge heterogeneity of the vials.

Wolfgang Wodarg: It’s not possible to homogenize it afterwards, to keep it like milk, it’s very homogene. The natural milk is not, you have the cream up and you have the water down. They have technical process to homogenize the whole thing but you cannot do it without disturbing, without destroying the RNA, isn’t it?

Alexandra Latypova: Right, exactly. With milk it’s maybe possible but even then if you look at homogenized milk in a microscope, you’ll see clumps and stuff. These products can not because they will break it. And it continues breaking throughout the whole process and all the impurities that they can’t remove stay continuously. It’s a huge mess, a complete mess. In my opinion, this product can not be made to good manufacturing practices and I suspect that they knew about it because they’ve tried for 20 years to put this on the market and they always ran out to, maybe, early human studies but that’s it. And then they couldn’t get any further because of the safety issues and because I suspect they couldn’t make it consistent. They knew that and then they decided « Okay, well now we have to push it through this big scam ». I’ll explain how they put it in their contract form. I’m pretty sure that these products cannot be made in conformity to the label at the scale and at the speed and the manufacturers are well aware of it and that’s why they’re not doing it.

Let’s look at the structure of this organization, the overall organization, the big picture. This is their organizational chart, it’s turned on the side but it’s still an organizational chart and this is from Vaccines and Related Biologics Advisory Committee meeting from 10/22/2020. This is all the operation Warp Speed meeting together and describing their organizational structure. Notice a couple of things. Who is in charge of this operation? It’s the US Department of Defense, Chief Operating Officer. Who is chief scientific officer? It’s HHS and FDA. Then obviously this part of the chart, it’s the top part and these are people in charge: US government, Department of Defense and HHS. These people are not in charge although they’re getting huge amounts of money so they’re happy and they’re keeping the plans going. Also, the top part includes manufacturing, supply, production, distribution, clinical trials. Now there are many contracts available that were made by the Department of Defense, HHS with all of these vaccine manufacturers and they reveal a lot of things about the structure. The contracts are available through Securities and Exchange commission disclosures to shareholders and I read a lot of them. It does reveal the structure where the government took over pharmaceutical industry by giving them huge amounts of money and signing these very restrictive contracts that control everything. But the government designs the clinical trials, the government designs everything about it and then the FDA just approves it – well, FDA is part of the government. Let’s see who is really making these products.

Here’s from the same meeting, another Power Point slide. This is Operation Warp Speed/BARDA. BARDA is a military biologics development agency and they’re saying « Well, here’s our vaccine manufacturing portfolio ». Again, through these contracts – and there are contracts for all of these entities listed here available – through these contracts it’s very clear that what they’re calling vaccine supporting efforts is in fact what’s manufacturing the vaccines. For example Emergent Biosolutions which I circled here, it’s one of the centers for manufacturing that BARDA set up a long time ago. The contracts that I read go back to 2012 where Emergent was established as a vaccine manufacturer, the Defense vaccine manufacturer extensively for flu vaccines at the time. They also said « We’re going to build this so-called surge capacity » so there were huge amounts of money given. The contract is from 2012 to 2037 in different options and then in 2020 they executed option to do Covid vaccines. Emergent was manufacturing both AstraZeneca’s and Janssen’s vaccines and they were supplier for them. And they were not following any good manufacturing practice rules, by the way. There are also other entities that are very important like Ology. Now it’s been converted into this new monstrous, it’s called National Resilience Company and this is DOD essentially buying a bunch of manufacturing plants from pharma companies and establishing their own manufacturing base. It’s millions of square feet, they have huge amounts of money and they’re manufacturing these products. Texas A&M, also another one. That one seems to be manufacturing for things like Novavax because they use some sort of insect line – I don’t know what that means. You can also see a lot of others. Complex manufacturing requires – it’s not just making something – it’s also having qualified staff, having all the equipment that you need, having supplies, disposables, access to raw materials, it’s a huge infrastructure that you need to have in place and it was not possible. It’s not like you can go to Ford Motor Company and tell them here’s 10 000 000 000 bucks, I need a 1 000 000 new cars in 6 months. Even Ford with already established manufacturing can’t do that because you can’t even secure raw materials in time. Now imagine the same scenario happens when the government goes to Ford, General Motors and Toyota and tells them all simultaneously to do that. No amount of money will produce this miracle in 6 months. It wasn’t. They just gave money to these companies and then directed them to go to these companies that they already established for a long time to produce the product. This is who is making the product and these guys are just a front. They have some aspects of manufacturing but for the most part it’s being done here. And all of this is controlled by the Department of Defense. Specifically the contracts included no accountability – let me go to the next page.

The bad news is that this is a Department of Defense product entirely. People don’t realize it. It seems like it’s a military operation, gets thrown around. It is actually military operation from A to Z. It’s not just that they used some military distribution for just speed and getting it to different states and using refrigeration. No, that’s not how it works. All of these contracts are with DOD. There are hundreds of them with all kinds of companies. All the contracts are with DOD, DOD is the purchaser, DOD gives them huge amounts of money. As I said, they already have established manufacturing base. For example the first contract for Pfizer was for $10 000 000 000 to deliver 100 000 000 doses of vaccine and up to 500 000 000 and there were bonuses for faster delivery which to me says « Why are they making 900 liters of it? Well, because they’re not accountable and they have bonus if they ship all these doses on time ». That’s one of the reasons. And there was no capacity to fulfill them on time except if you use the already established DOD vendors. And there’s no accountability other than the companies to make reasonable efforts, whatever that means. But the contract is extremely micromanaging on every step of operations. Also clinical trials are designed by the government, not by this pharma manufacturer. Regulatory interactions are completely taken over by the government. For example pharma cannot independently talk to the FDA in any way. If they have a meeting, the Department of Defense representatives needs to be in that meeting. That to me says it’s not an arm’s length relationship, it’s a total control of their relationship by the DOD.

Now another thing, the distribution of the product. The product gets shipped to the DOD. All of the vaccine doses in the US get shipped to the Department of Defense. They do not get shipped to independent and licensed and regulated pharmaceutical distributors as all normal pharmaceuticals go to. They’re taken out of that system also into this black box of DOD-only distribution. And in fact the contracts with the vaccinators explicitly state that this product is the Department of Defense property or US government property until it gets injected into the person. And that you can not independently test the vials, you cannot get independent access to the vials and it’s called diversion of government property. They’re prohibiting to test the vials and as I said before, the manufacturers are not testing the vials, neither regulators are testing the vials. Nobody’s testing the vials and you’re not allowed to. In the same contract, there’s a clause that exempts them all from any liability as long as they follow their orders and that same clause describes the product as civilian and military application. There’s also some ex-US contracts with other countries like European Union and Brazil and Albania became available. European Union contracts are still largely redacted but I’ve seen an unredacted Albanian contract and we were told that all the contract clauses were the same. Those contracts explicitly prohibit testing of the vials by foreign governments or anyone there. And in fact they also indemnify Pfizer for anything, provide huge liability cover. The government is forced to waive all the rules and regulations and good manufacturing practices, distribution practices, any controls that exist, in order to indemnify Pfizer. Also, they cannot change their national laws to make it otherwise. So by signing this contract they signed away their national sovereignty to a pharmaceutical company. How ridiculous is that? That’s how they’re avoiding all this liability and they’re prohibiting batch testing, prohibiting vial testing. However you can prohibit all you want. As you’ve seen, there is a large covert testing activity that’s been going on and we’ve found all these answers already. We found that these products are dirty, contaminated, do not conform at all to what the label says and they’re hugely toxic and they’re toxic by design. But this explains to you how they can all get away with it and how they can just not follow any rules: because these rules do not apply to them, this is a military product, made by the military, for the military, distributed by the military and injected into people and it’s a total secret what that is.

So in conclusion what I would like to say is that these injections are definitely not pharmaceuticals and people should stop thinking of them as [such]. They should have stopped thinking about them as vaccines a long time ago but they should stop thinking about them as pharmaceutical or medicine or anything that has to do with that. They are not. US government/DOD/pharma collusion enabled this violation of all established rules and safeguards. These products are deadly by design, intentional, and they cannot be produced according to good manufacturing practices. These people who are claiming « We can recode your genes and cure any disease », it’s total garbage that they’re making. Nobody can do that. That whole mRNA revolution, it’s a scam in my opinion, and they should all be stopped immediately and this should be investigated properly and we should bring those responsible to justice, to accountability. Until that happens, we cannot move on from this and I completely agree with the previous speaker when she said « It’s not that all mandates are over and now let’s all go on vacation and we can forget about it ». No, because they’re doing it more and more. They’re converting all existing vaccines into the mRNA platform. And guess what, this is not going to stop at the vaccines, they’re gonna start producing all kinds of medicines with this platform because now they can. Now they can only do eight mice study and declare it safe and effective. That’s why we have to focus on this more and focus especially on prosecution and bring those responsible to justice.

Viviane Fischer: Naively one could think if this operation is so giant and it’s so important for them to bring these vaccines to everyone that […] for this giant logistical task, we need to get the military involved because they have logistic experience and they have all these contacts. Could there be – I guess not – but could there be a naïve answer to why the military is so much involved?

Alexandra Latypova: Yes, it is a naïve answer but then if the purpose of it was a good purpose, a benign purpose to try to make people heal and cure this disease then the safety guidelines should be followed and they don’t follow a single one of them. So you can’t just say « Well, because it’s such a disaster we have to do everything wrong and produce more death in the process and that’s okay ». It’s not logical in my opinion. It just creates one huge mess. I don’t see any benefit of doing it that way. It’s not like the military has some kind of a more miraculous capability versus private manufacturers. Private manufacturers make lots of products, very high quality products at huge speeds. They have in fact incredible experience in this. The military is not critically required here [more] than the domestic way to do this.

Wolfgang Wodarg: It looks as if the military is just blind that they help shooting their own people.

Alexandra Latypova: Exactly and we do have a lot of very brave whistleblowers inside the military operations, who were stalked, like Theresa Long for example who was trying to stop this. And they’re bringing this up to attention and they’re reporting this and they’re saying « I will not give it to my to my people, I will not give it to the soldiers in my base ». They’re facing huge repercussions but they’re still speaking up and explaining how this is wrong and you shouldn’t do it. Yes, it is damaging our military also as we speak because they’re pushing it on the soldiers and pushing it on the pilots especially. It’s hurting them and that’s another reason why it should be stopped.

Wolfgang Wodarg: I just ask myself, what is it with NATO? You spoke about the European Union but the European Union just has the role to get the money, to collect the money and provide the industry with money. But the function of the military which is working together cooperating in the NATO, there should be some advice for German troops in Germany who are member of the NATO. If it is a big thing coming from the Department of Defense and we are partners in NATO so we had this observation that when the whole thing started, when they started to distribute the the vials, that was the German army going to institutions and there were some higher doctors who applied then the vials. There were no normal doctors but this was an action where the German army was employed to care for the distribution, who was in charge of keeping all this stuff. And normally when the German army does something, the Parliament has to decide on everything the army does. I don’t remember any decision of the German parliament.

Alexandra Latypova: Exactly. The US Department of Defense just went to the German army but I’m sure they went to all other NATO militaries and they said « Here, you will inject it into your people. By the way, you can’t know what’s in it ». How is this okay? And that’s what’s going on and that’s the crime that’s being committed. They’ve contracted all this, they created this legal on paper structure but, guess what, it’s not legal to contract for killing and injuring people. For that reason, this needs to be investigated and stopped.

Wolfgang Wodarg: It is so important that we have all of this outspoken. It’s so important that it’s documented. It’s so important that everyone could know. Thank you very, very, much for your work. It’s great.

Alexandra Latypova: Thank you for inviting me, guys. Anyone can reach me through you if anybody has questions or wants to see the actual documents. All I’m showing is available publicly. It’s from publicly available materials.

Viviane Fischer: We have to we have to publish a list of all these documents. I think that would be important so everyone can really look at that or maybe you have a source. I’m actually pretty shocked because this makes it seem like it’s all connected. It’s not people rushing along for being the first in the market and then maybe doing little mistakes or larger mistakes in the production process. It seems to be well orchestrated kind of effort in the way that you presented here.

Wolfgang Wodarg: International controlled operation.

Alexandra Latypova: International controlled operation, exactly. Also, these suppliers that I was showing, the manufacturers, they’re all over the world. A lot of them are in Germany as well and then in Belgium and Italy and all over, India and China. China is participating in a large way, here I didn’t have time to cover but it’s all connected all over the world.

Viviane Fischer: What role does Russia play in this?

Alexandra Latypova: I haven’t seen that Russia in these contracts. What I’ve seen is definitely China, Germany, US connection and investments into the same entities and then DOD giving them $10 000 000 000, you just gave ten billion dollars to something that where CCP is an equity holder. Those are definitely connected. I have not seen Russia there at all but they have their own vaccines.They’re making the same thing but in parallel – playing the same game but in a different sandbox.

Wolfgang Wodarg: This is a very interesting question because we have this Ukraine conflict, we have the conflict with energy. I think it’s a very, very big chess game and it’s a very big game where all those powers are trying to get the best out of it for themselves. So it would be very interesting to get to know more how are the plans of Russia? They are earning a lot with the energy, they just cut down one line but they sell it on the other side to other nations. It’s a very global play which is very difficult and very complicated to understand. I think if we go on trying to find out, we can learn a lot about this and we have to learn a lot about this so that such thing can never happen again.

Alexandra Latypova: Yeah, exactly.

Viviane Fischer: Well thanks ever so much. I think we have to really dig deep into this. It’s pretty shocking and amazing. Thanks so much for your hard work.

Alexandra Latypova: Thank you for inviting me. Have a good evening.

Nos ancêtres ont voté pour que vous ayez le droit de mourir – par Monica Hughes.

Comme Monica Hughes, je trouve aussi un tsunami de textes bien écrits sur Substack, ce qui me met aussi en retard pour écrire les miens. Voici un de ses articles récents, qu’elle a tout de même réussi à finir. Vous comprendrez pourquoi je tenais à le traduire quand vous le lirez. Il reprend quelques points essentiels déjà évoqués sur ce blog, par moi ou par d’autres, et reflète assez fidèlement ce que pas mal de « résistants » (je n’ai pas trouvé d’autre terme) vivent et ressentent aujourd’hui.

Accessoirement (enfin, presque), j’y trouve – enfin! – une réponse plausible à la question que je posais ici, protéine de pointe ou oxyde de graphène? Les deux, mon capitaine.

Extrait du texte: « … les colloïdes du vaccin Covid fusionnent en l’espace d’une heure environ pour former des composants de plus en plus grands, et […] ces structures finissent par dépasser largement les 15 um, pour devenir extrêmement plates et fines, avec des bords tranchants. […] on constate également qu’elles réagissent à un champ magnétique. » (c’est moi qui souligne)

Et voilà.

Source.


Traduction

Nos ancêtres ont voté pour que vous ayez le droit de mourir

Quelques réflexions sur l’avenir à court et moyen terme

Monica Hughes, PhD

24 avril

Je trouve parfois un vrai tsunami de textes bien écrits sur Substack, que je lis et auxquels je répond, ce qui me met en retard pour écrire les miens. Ça a été le cas cette semaine. Mon TDA [NdT. trouble déficitaire de l’attention] ne facilite pas les choses.

J’ai découvert les interviews de Byram Bridle sur les vaccins Covid début 2021, bien avant ses interviews sur la bio-distribution en mai 2021. C’est à ce moment-là qu’il a commencé à susciter une réaction extrêmement négative chez ses détracteurs.

Son récent article se concentre sur la biodistribution des PNL [particules nano-lipidiques] et la considère comme une raison à elle seule justifiant le retrait de ces vaccins. Il existe de nombreuses autres raisons justifiant le retrait de ces vaccins, mais la question de la biodistribution des PNL en particulier constitue une approche pertinente et complète du problème.

Un moratoire sur les « vaccins » à ARNm est nécessaire

J’ai énormément de respect pour Bridle. Voici un commentaire que j’ai laissé sous son article:

Merci de faire la lumière sur ces questions. À court terme, cela ne changera rien. La bataille sera longue et devra être menée sur de multiples fronts. Essayez de ne pas vous décourager.

C’est intéressant de suivre les découvertes des uns et des autres. Découvrir votre travail et celui d’autres personnes au long de l’année dernière a été un des facteurs décisifs qui m’a convaincue de quitter la Nouvelle-Zélande.

La quantité d’informations présentement à passer au crible est phénoménale, mais un fait que je trouve particulièrement inquiétant est que, alors que les vaccins ne devraient rien contenir de plus grand que 15 um, il semble que ça fasse partie des possibilités.

Je ne connais personne d’autre qui se soit penché sur ce problème, mais je l’ai moi-même relevé parce que, à l’époque où je dirigeais mon entreprise de fabrication de toxines de Coley (pour une utilisation limitée en tant que médicament non approuvé, autorisé dans diverses juridictions à travers le monde), je passais mon produit dans un filtre en polyester à pores de 15 um pour réduire le risque de réaction allergique, de sarcoïdose, etc.

Des équipes néo-zélandaises ont effectué des travaux qui démontrent que les colloïdes du vaccin Covid fusionnent en l’espace d’une heure environ pour former des composants de plus en plus grands, et que ces structures finissent par dépasser largement les 15 um, pour devenir extrêmement plates et fines, avec des bords tranchants. L’ensemble du processus a été répété plusieurs fois. À un stade précoce donné du développement de ces structures, on constate également qu’elles réagissent à un champ magnétique.

Ce qui se produit sur une lame de microscope n’est pas nécessairement identique à ce qui se produit dans le corps. Néanmoins, c’est inquiétant.

S’il me reste de l’argent après cette débâcle (je n’en ai pas), j’en parierais une bonne partie sur l’idée que les vaccins contiennent du graphène, utilisé comme vecteur génétique, et que sa présence débouche sur l’assemblage de ces structures (que ce soit voulu ou non).

Un point assez ironique. Mon entreprise individuelle, qui a sauvé quelques vies au cours de son activité, a été fermée sans même la moindre visite d’un régulateur. Pendant ce temps, Pfizer reste en activité.

Le monde tourne à l’envers.

Je suis désolée de le dire mais il est devenu impossible de faire machine arrière à ce stade. Cependant, si votre article touche davantage de personnes lambda et les amène à s’interroger sur la poursuite de l’utilisation des vaccins Covid, sûrs et efficaces, ça aura servi à quelque chose. Nous avons tous notre rôle à jouer.

D’un point de vue plus large, je pense que de nombreux scientifiques apolitiques – j’entends par là des personnes qui se disaient plutôt apolitiques avant la pandémie de Covid, qui sont d’éminents experts dans leur domaine et fournissent des informations précieuses et pointues – traversent actuellement un processus de deuil, pour ainsi dire: ils pensaient vivre dans un monde donné, et découvrent qu’ils vivent en fait dans un monde complètement différent.

Ça ne se limite pas au seul monde scientifique, je pense que ça se manifeste chez beaucoup d’autres, qui passent en alternance par les différentes phases du modèle de deuil de Kubler-Ross. Par ailleurs, les modes marchandage/colère/déni/dépression/acceptation ne se déroulent pas selon un continuum de progression linéaire.

Pour ma part, je suis principalement en phase d’acceptation depuis huit ans, en passant parfois brièvement par les autres phases. Lorsque l’on perd sa maison, sa carrière, sa famille et son pays (dans mon cas, j’ai perdu certains de ces éléments deux fois), l’esprit se libère et se met à envisager des perspectives moins agréables sur la nature du monde, parce qu’après avoir plus que la plupart des gens fait l’expérience des limites du supportable, on comprend que l’on est probablement capable de survivre à de futurs chocs physiques et émotionnels.

J’ai vraiment pensé qu’en m' »échappant » en Nouvelle-Zélande en 2015, sa culture moins corrompue et sa gouvernance plus transparente me mettraient mieux à l’abri des prédations d’Etat.

J’avais tort.

Malgré la tyrannie médicale que j’avais subie aux États-Unis, il ne m’était tout simplement pas venu à l’esprit qu’une secte pharmaceutique mondiale tenterait de s’emparer de toute la planète.

Quelle idiote j’étais.

Conway Judge: Quelle histoire fascinante. Comment et pourquoi vous êtes-vous intéressée aux toxines de Coley et lancée dans leur production?

Monica Hughes, PhD: C’est une longue histoire! Pour soigner son cancer, mon mari a reçu ce traitement au Mexique en 2014. Elles sont produites depuis des décennies par différentes sociétés en Amérique Latine et étaient produites par une firme canadienne jusqu’à ce que son PDG prenne sa retraite en 2015. Je m’y intéresse depuis 2014 mais quand personne ne s’est proposé de prendre la relève pour remplacer MBVax, j’ai décidé de me lancer et j’ai créé ma propre firme fin 2018.

Conway Judge: Et vous dites que les bureaucrates vous en ont empêchée avant même qu’elle se mette en route? Désolé d’etre aussi curieux mais tout ça m’intrigue. Quel genre de bureaucrates?

Monica Hughes, PhD: Un avocat américain très insistant, en phase terminale, m’en a réclamé en tentant de me faire croire qu’il était légal d’en envoyer là-bas. Il a ensuite fait pression à plusieurs reprises sur Medsafe [NdT. l’autorité de règlementation des médicaments en Nouvelle-Zélande] pour y avoir accès. Il était très déterminé et souffrait très probablement de maladie mentale (c’est une longue histoire). Le fait que je n’acceptais d’en fournir qu’à des médecins dans les pays où il était légal de le faire était une façon détournée de les faire classer sans ambiguïté comme médicament. L’ironie de l’histoire c’est que si j’en avais fourni sans restriction à n’importe quel client dans le monde, on m’aurait laissée tranquille pendant un certain temps. Mais Medsafe est montée d’un cran et, me semble-t-il, a outrepassé ses limites en voulant règlementer hors de sa juridiction. Je n’en avais jamais fourni à aucun médecin néo-zélandais mais ils m’ont signifié que je n’avais pas non plus le droit d’en exporter. Je pense que j’aurais pu m’opposer en justice à leur décision mais je ne disposais ni des ressources financières ou sociales ni de l’énergie psychologique pour le faire, et j’étais particulièrement découragée par tout ce qui se passait autour du Covid, et j’ai donc décidé de tout simplement quitter la Nouvelle-Zélande.

Le statut légal des toxines de Coley est très ambigu. Tout le monde pense qu’elles sont illégales mais ce n’est pas mon avis. J’écrirai davantage à ce propos à un autre moment.

Conway Judge: C’est très dommage de voir que votre entreprise a capoté avant même de commencer, surtout pour des raisons bassement bureaucratiques. Il ne doit pas y avoir beaucoup d’autres personnes qui ont fait l’expérience d’avoir tenté un tel projet. Ça doit probablement vous donner une bonne compréhension de ce qui se passe en ce moment.

Monica Hughes, PhD: Oui. Je dois avouer que ça m’avait surpris mais c’est exactement ce que le Covid nous a démontré. On devrait dire merci au Covid. Lol.

En fait j’avais déjà pris ma « pilule rouge » [NdT. expression des anglophones, qui signifie « affronter les faits choquants », contraire de « blue pill », ceux qui refusent de le faire] en voyant le comportement de l’industrie de la santé face à la maladie de mon mari et j’ai décidé de l’emmener directement au Mexique plutôt que de le faire soigner aux Etats-Unis.

Je pensais que la Nouvelle-Zélande serait un peu plus honnéte, comme le Canada, qui en produisait auparavant.

Non.

Contrairement à de nombreux scientifiques, j’ai refusé de me spécialiser après mon doctorat en 2008. Politiquement, je suis dans le camp libertaire depuis vingt ans, et anarchiste depuis six ans.

J’étais plutôt radicale avant 2016, mais après avoir observé une foule de gens à un rassemblement de soutien à Gary Johnson en 2016 scander « JE CROIS QUE NOUS POUVONS GAGNER!!! », j’ai refermé mon ordinateur portable et décidé que j’en avais fini avec la politique. Si la politique pouvait changer une bande de tièdes supporters libertariens de Johnson en une foule enragée, je ne voulais plus rien avoir à faire avec la politique.

J’ai juré de ne plus jamais voter.

En relation avec tout ce qui précède, être une veuve sans enfant qui a dépassé l’âge de procréer et a abandonné l’université pour le secteur privé fait clairement de moi quelqu’un de totalement décalé par rapport à la masse.

J’aime les principes de motivation des Hashashin: assassiner le roi, et assassiner ensuite chaque nouveau roi, jusqu’à ce que la seule personne prête à porter la couronne soit l’idiot du village. J’aime attaquer les vaches sacrées de la plupart des gens, y compris la CONstitution [NdT. jeu de mots sur base de « con », qui signifie en anglais escroquerie], la religion, l’État, le dernier régime à la mode (qu’il s’agisse de végétalisme ou de carnisme), etc. Pas parce que je suis intrinsèquement nihiliste. Mais parce que je me suis déjà délibérément confrontée à toutes les idées délirantes possibles au cours des 30-35 dernières années, et que la plupart d’entre elles m’ennuient à mourir.

Ce n’est pas que je n’ai plus rien à apprendre. Je suis sûre que si, mais j’en suis à un stade de ma vie où je suis prête à dépenser le peu d’argent qu’il me reste dans une Toyota MR2, à passer l’été à rouler à fond, et quand l’inflation, la dépression, les Russes, la crise du pétrole et les voyous qui se déchaînent dans les rues seront devenus intolérables, je déciderai si je suis vraiment capable de subsister avec le riz et les haricots que j’ai achetés l’été dernier, et les produits du jardin que je prendrai plaisir à cultiver cet été, tout en me demandant si je suis prête à tuer les lapins qui les grignotent dans la cour.

Ou s’il ne serait pas plus facile de conduire le runabout à moteur central [NdT. référence à la Toyota MR2, gamme de voitures de sport à deux places, à moteur central et à propulsion arrière] à travers le pays d’est en ouest, puis de sauter de la falaise la plus proche, avec mon dernier chocolat et mon dernier verre de vin de luxe à la main, en criant, comme dans Thelma et Louise, « WOO HOO! Quel voyage! »

Mouais. Je ne suis pas vraiment Howard Beale, mais il est parfois intéressant d’observer comment l’histoire se répète, et comment ceux qui parmi nous s’agitent contre le réseau de contrôle sont peut-être eux aussi cyniquement utilisés par les Diana Christensen du monde [NdT. référence au film « Network », que vous devriez avoir vu].

Sommes-nous en train de jouer leur jeu?

Mon message à tous, pour ce qu’il vaut, est de se prémunir de la désillusion. Il n’y aura jamais de redevabilité, ni de  » Nuremberg 2 « , ni de  » pendez-les tous à un réverbère « , ni rien de tout cela. Nuremberg Un n’a pas marché. Les nazis ont été intégrés au gouvernement américain dans le cadre de l’opération Paperclip, et ont dirigé le monde au cours des 70 dernières années. [NdT. ce que je vous rappelais ici]

Je crois que le meilleur scénario envisageable est simplement que le peuple reconquière son pouvoir financier, tout comme l’information a été reconquise lors de la révolution Internet il y a 20 ans. Peut-être le bitcoin est-il une création du Renseignement. Je pense bien que c’est le cas, en fait. Est-ce important? L’internet est une création de l’Armée.

Cela prendra du temps, après quoi la civilisation entamera un nouveau cycle dans lequel les psychopathes qui voudront manipuler le nouveau système passeront les 50 années suivantes à trouver le moyen d’y parvenir. Le Quatrième Tournant et tout le bordel [NdT. « Le Quatrième Tournant » (1997) est un livre de William Strauss et Neil Howe qui postule qu’une révolution sanglante a lieu une fois par siècle aux Etats-Unis].

Si cela devait arriver, il se pourrait que les humains soient plus libres qu’ils ne l’ont jamais été depuis le paléolithique.

Et bien que je sois anarchiste, je ne m’engagerai pas, pour l’instant, dans ce qui ne sera probablement rien de plus une nouvelle forme de rêverie collectiviste, car je sais qu’en fin de compte, l’homme moderne ne surmontera pas sa passion pour la contrainte et les ordres. Nous ne sommes pas si nombreux à aspirer à une véritable liberté.

Je n’ai aucune idée du temps que ça mettra ou des retombées que ça aura. Je ne sais pas non plus si la chose est certaine. Les États-nations vont-ils complètement disparaître? Je n’en ai aucune idée. Combien de personnes mourront? Aucune idée non plus.

Difficile de savoir comment ça finira. Il y a plusieurs issues possibles.

J’aime bien prendre le Vénézuéla comme exemple potentiel. Leur population à diminué de 5% ces 5 dernières années. C’est beaucoup mais on est loin des 95% que les Cassandre se plaisent à prédire. Où sont-ils passés? Ils sont tous morts? Ils ont franchi la frontière? Il n’y a pas eu assez de naissances pour compenser les décès? Je ne sais pas.

Est-ce que ce qui arrive au Vénézuéla pourrait arriver aux Etats-Unis? Oui, évidemment. Est-ce que ça pourrait être pire qu’au Vénézuéla et combien de temps ça durerait dans ce cas?

Difficile de comprendre ce qui se passe réellement. Il y a une grosse pénurie de main d’oeuvre aux Etats-Unis. Est-ce parce que les gens n’ont plus envie de travailler après avoir reçu leur chèque de 1.200$ d’aide sociale ou est-ce parce qu’on a déjà tué un certain nombre de millenials [NdT. personne devenue adulte aux environs de l’an 2000] à coup de vaccins et qu’on tente de le cacher? Je ne sais pas. Probablement un peu des deux.

L’issue de tout ça dépend de plusieurs choses. La population américaine est loin d’être aussi résiliente que celle du Vénézuéla ou de la Russie. Donc pour la majorité des Américains, oui, comme vous le dites, survivre à un plan quinquennal staliniste ou maoïste sera une rude épreuve.

Ceci dit, un grand nombre de personnes ont six mois de nourriture stockés dans leur graisse corporelle. Ils ont aussi des animaux de compagnie. Ils ne mourront pas instantanément. Ils pourraient bien mourir de froid en premier.

L’incertitude vient du fait que les régimes très oppresseurs (l’ex-Union Soviétique, la Corée du Nord, le Vénézuéla) dépendaient des importations de l’Occident pour se maintenir et c’est ainsi qu’ils ont tenu le coup aussi longtemps.

Que se passera-t-il si personne n’est là pour maintenir l’Occident? Voilà la vraie question, dont la réponse nous dira à quelle vitesse et jusqu’où nous allons sombrer.

Un grand nombre de gens – peu importe s’ils sont dans les villes, les banlieues ou les campagnes – seront contraints à accepter le revenu universel, la tyrannie digitale, la monnaie numérique des banques centrales, comme vous préférerez l’appeler… mais ça aussi finira par s’effondrer. Parce qu’ils gonfleront aussi la masse monétaire numérique (c’est ce qu’a fait le Vénézuéla!)

Tout ce que nous lisons semble sortir directement de Atlas Shrugged [NdT. le bouquin dystopique de Ayn Rand, traduit en français par « La grève »].

Mais la question à laquelle je n’ai pas de réponse, c’est combien de gens mourront et combien de temps ça durera. Et je me suis déjà souvent trompée dans mes prédictions.

Pour les enfants un peu lents du fond de la classe, le problème ne se limite pas aux masques et aux obligations d’injection. Ils vont bientôt créer délibérément des crises telles que des pénuries de nourriture et d’énergie. Si ça ne marche pas, ils tenteront de vous prendre tout votre argent.

Mais il est absolument certain qu’ils n’admettront jamais que les conjabs [NdT. les injections frauduleuses] sûres et efficaces tuent des gens. Allons donc! Le CDC fait maintenant des pubs grotesques qui expliquent comment « arrêter les caillots sanguins ».

Même Trump refuse de faire marche arrière sur les merveilleux vaccins, ces stupéfiants vaccins, les plus rapides et les meilleurs de tous les vaccins de l’histoire, croyez-moi:

Trump persiste à vouloir s’attribuer le mérite des vaccins de son projet Warp Speed, en tant que « père du vaccin ». Il tellement narcissique qu’il refuse d’admettre que les vaccins tuent. Et il attribue à la propagande des Démocrates le fait que nombre de ses adeptes refusent le vaccin.

Alors oui. Que Trump aille se faire foutre, lui aussi. Il n’en a rien à caler de vous.

S’il ressort un seul point positif de cette pandémie, c’est la destruction complète de l’arnaque qu’est la médecine moderne, et de TOUS les politiciens. Peut-être qu’après un siècle de toute cette merde incroyablement destructrice, on va enfin pouvoir revenir à la réalité.

https://rumble.com/v11vnhh-trump-on-vaccines-i-think-the-other-side-actually-poisoned-people-on-it.html

Au mieux, ils reformuleront les vaccins et tenteront de  » vendre  » ceux-ci aux gens. Si la « prochaine pandémie », dont ce bon vieux Billy Boy parle sans cesse, est le H5N1, de nombreuses personnes feront effectivement la queue pour les recevoir:

Et à part le vaccin contre la variole, les vaccins contre la grippe sont les plus dangereux de tous. Pourtant les gens les prennent depuis des décennies. Si nous en arrivons aujourd’hui à un moment propice, c’est parce que les vaccins Covid sont BEAUCOUP plus dangereux. Quoiqu’il en soit, ça ne s’arrêtera que si les Américains les refusent en masse. Impossible de prédire quand ça aura lieu. Mais ce petit jeu pourrait encore durer longtemps. Je prédis qu’après ça, ils sortiront des vaccins à ARN messager auto-réplicatif « mis à jour » qu’ils présenteront comme plus sûrs.

Cette escroquerie peut durer encore très longtemps.

Ce qu’ils visent c’est le contrôle total. Comment le savons-nous? Par leur volonté de censurer tout le monde à un niveau jamais atteint de mémoire récente. Ça a commencé avec Trump, qui comptait des dizaines de millions d’abonnés. Maintenant, après à peine plus d’un an, ils en sont à jouer à Wack-a-mole [NdT. ce jeu très intellectuel où on tape avec un marteau sur des taupes] avec des comptes Twitter qui n’ont que quelques centaines d’abonnés. Ça suffit pour comprendre tout ce qu’il y a à comprendre.

Alors faites-vous à l’idée et préparez-vous à l’affronter:

« On ne mène pas d’étude randomisée pour déterminer la gamme de températures auxquelles il faut cuire les bébés avant de les consommer. »

Ce n’est peut-être pas aussi manifeste, mais on ne mène pas d’étude randomisée pour déterminer la gamme de dosage « sûre » des nouvelles immunothérapies pour les cancéreux en phase terminale après qu’ils aient reçu de force les thérapies standard qui ont détruit leur système immunitaire.

L’interdiction du droit des cancéreux en phase terminale de recevoir des thérapies expérimentales est en place depuis la fin des années 1960 aux Etats-Unis et environ 600.000 cancéreux en phase terminale meurent chaque année rien qu’aux Etats-Unis.

Le peuple tolère son statut d’esclave de l’Etat depuis de nombreuses décennies.

On entend beaucoup de gens clamer sur un ton moralisateur: « Nos ancètres sont morts pour que vous ayez le droit de voter! »

Ce qui signifie en réalité « Nos ancètres ont voté pour que vous ayez le droit de mourir! »

Voilà le monde à l’envers que ces malades ont créé. Interdiction d’interventions médicales utiles, et obligation d’interventions inutiles et non désirées.

J’espère que nous déciderons tous que ça vaut la peine de continuer à vivre, comme Kaylee. Mais je n’ai pas particulièrement peur de mourir. C’est la façon dont je continue à « vivre » ou à me battre qui m’importe le plus.


Texte original

Our Ancestors Voted for Your Right to Die

Some Thoughts About the Near- to Medium-Term Future

Monica Hughes, PhD

Apr 24

Sometimes there’s just an overwhelming tsunami of good writing on Substack, and my own gets delayed as I enjoy reading and responding to it all. This has been one of those weeks. My ADD doesn’t help.

I discovered Byram Bridle’s interviews about the covid vaccines sometime in early 2021, well before his bio-distribution interviews in May 2021. That’s when he started to attract extremely negative attention from his detractors.

His recent article tackles the biodistribution of the LNPs as a particular reason why the vaccines should be stopped. There are many other reasons they should be stopped, too, but this particular LNP angle is quite a good and comprehensive take on the issue.

A Moratorium on mRNA ‘Vaccines’ is Needed

I have a tremendous amount of respect for Bridle. Here’s a comment that I left on his article:

To segue into a broader observation, I think many non-political scientists — by that I mean people who have admitted to being rather un-political before the covid pandemic, and are deep experts in their field and the source of much valuable, specialized information — are going through a sort of grief process in which they thought they were living in a particular world, but it turns out they are living in quite another.

Even more broadly than scientists, I think this is resulting in a rotation between the various phases of the Kubler-Ross model of grief among many. The bargaining/anger/denial/depression/acceptance modes are not a linear continuum of progression, either.

I’ve been in the acceptance phase for most of the past 8 years but I briefly come in and out of others. When you lose your house, your career, your family, and your country (in my case, I lost some of those twice) it frees your mind up to consider some less pleasant possibilities about the nature of the world, because you’ve already tested the limits of what you can endure more than most, and you know you’re likely to survive the physical and emotional blows again.

I did think that in “escaping” to New Zealand in 2015, I would be safer from the predations of the state in a less corrupt culture with more transparent governance.

I was wrong.

Despite the medical tyranny I’d been through in the US, it just didn’t really occur to me that a global pharmaceutical cult would try to take over the entire globe.

Silly me.

Unlike many scientists, I resisted specialization after the PhD in 2008. Politically, I’ve also been on the libertarian side of things for 20 years, and an anarchist for six of those.

I was pretty radical before 2016, but when I saw a mob of people at a Gary Johnson rally in 2016 shout, over and over again, “I BELIEVE THAT WE CAN WIN!!!” I slapped my laptop shut and decided I was done with politics. If politics could turn a bunch of lukewarm libertarian-lite Johnson supporters into a crazed mob, then I wanted nothing to do with politics.

I vowed never to vote again.

In combination with all of the above, as a childless widow now past childbearing age who abandoned academia for the private sector, this honestly makes me just plain weird in comparison to most people.

I’m fond of the motivating principles of the Hashashin: assassinate the king, and keep on assassinating each new king, until the only person willing to wear the crown is the village idiot. I enjoy attacking most peoples’ sacred cows, including the CONstitution, religion, the state, the latest fad diet (whether it’s veganism or carnism), etc. This isn’t because I’m inherently nihilistic. It’s because I’ve already deliberately exposed myself to every possible fruitcake idea over the past 30-35 years, and most of it bores me to tears.

It’s not that I’ve got nothing left to learn. I’m sure that I do, but I’m at the stage in life where I’m ready to blow my remaining wad of cash on a Toyota MR2, spend the summer driving the hell out of it, and when the inflation and the depression and the Russians and the oil crisis and the punks running wild in the streets become too much, I can decide whether I’m really up for subsisting on the rice and the beans I bought *last* summer, and the garden produce I’ll enjoy tending *this* summer, all as I contemplate whether I’m willing to shoot the bunnies in the yard who are snacking on it.

Or, whether it would be easier to just drive the mid-engine runabout across the country from east to west coast, and then off the nearest cliff, the last of my luxurious chocolate and wine in hand, screaming, Thelma and Louise-style, “WOO HOO! What a ride!”

Yeah. I’m not really Howard Beale but sometimes it’s interesting to observe how history repeats, and how perhaps those of us who are agitating against the control grid are also perhaps being cynically used by the Diana Christensen’s of the world.

Are we playing into their hand?

My message to everyone, for what it’s worth, is to guard yourself against disappointment. There’s never going to be any accountability, any “Nuremberg Two”, any “lampposts through and through”, or any of the rest of it. Nuremberg One didn’t work. The Nazis were brought into the US government under Operation Paperclip, and have been running the world for the last 70 years.

I believe the best possible scenario is that the people will simply take their power back at the financial level, just as information was taken back in the internet revolution 20 years ago. Maybe Bitcoin is a spook creation. I suspect it might be, actually. Does it matter? The internet was a military one.

It will take time, and then civilization will begin a new cycle where the psychopaths who want to game the new system will spend the next 50 years figuring out how to do it. Fourth Turnings and all that.

If this can happen, humans might actually be more free than at any previous time since the paleolithic.

And while I am an anarchist, I will, for the time being, not engage in what is only likely to be a new type of collectivist daydreaming, because I know that at the end of the day, modern humans aren’t going to get over their love affair with being pushed around and told what to do. There aren’t that many of us who actually yearn to be truly free.

I have no idea how long this will take or what the fallout is going to be. I also don’t know whether it’s certain. Will we lose nation states altogether? I have no idea. How many people will die? Also no idea.

For the slow kids in the back, this isn’t just about masks and injection mandates. Next they will deliberately create crises like food and energy shortages. If that doesn’t work, they’ll try to take all your money.

But for damned sure they are not going to ever admit that the safe and effective conjabs are killing people. Come on! The CDC is running ridiculous ads now on how to “Stop the Clot.”

Not even Trump is backing down from the beautiful vaccines, the amazing vaccines that were faster and better than any other vaccines in history, believe me:

At best, they’ll reformulate the vaccines and attempt to “sell” people on those. If the “next pandemic” that good ole Billy Boy is always talking about is H5N1, then many people will indeed line up for them:

They’re gunning for total control. How do we know? Because they are trying to censor the hell out of everyone to an extent that has never been done before in recent memory. It started with Trump who had tens of millions of followers. Now in just over a year, they’re down to playing whack a mole with Twitter accounts that only have a few hundred followers. This really tells you everything you need to know.

So just come to terms with it and get ready for it:

That’s the upside-down world these sickos have created. Denial of useful medical interventions, and forcing of useless, unwanted ones.

I hope we will all decide that life is worth continuing to pursue, just like Kaylee. But I’m not particularly afraid to die. It’s how I continue to “live” or kick the can that I care more about.

Chimères.

Bon alors, oxyde de graphène ou virus?

Je n’ai rien publié depuis une semaine mais je vous assure que je bosse beaucoup pour ce blog, en plus de mon travail à plein temps, de mes cinq chats et de mes trois chiens. Je remercie encore mon épouse d’assumer plus que son dû pour me permettre de trouver le temps de lire et rédiger.

Mes lecteurs réguliers auront remarqué que mes récents articles concernent surtout la protéine de pointe et plus du tout l’oxyde de graphène. Ils savent aussi que je tolère assez mal les « négationnistes » du Covid.

Une petite mise à jour s’impose, ainsi qu’un petit tour d’horizon de ce qu’on « sait ».

Virus?

L’essentiel de ce que je relaie s’articule donc autour du concept coronavirus/protéine de pointe, et bien entendu des injections qui introduisent violemment cette dernière dans l’organisme – en théorie. Il existe une frange dont l’argument est de contester l’existence du virus, puisque celui-ci n’a effectivement jamais été isolé. Une des figures les plus connues de cette tendance est le Dr Stefan Lanka, virologue, connu pour avoir contesté l’existence de tous les virus. L’intéressante critique que Lanka avait faite de la théorie virale à l’époque du VIH est reprise aujourd’hui notamment par le Dr Sam Bailey, le Dr Andrew Kaufman et le Dr Thomas Cowan. Ils sont loin d’être les seuls, mais ce sont eux qui ont eu le plus de visibilité sur la toile – raison pour laquelle je n’inclus pas de lien, vous les trouverez facilement.

Leur point de vue en très bref résumé: étant donné les conditions pour le moins douteuses de culture, d’identification, d’isolation et de reproductibilité de la pathogenèse des virus, on ne peut affirmer qu’ils sont causatifs de maladie, ni qu’ils existent en tant qu’entités indépendantes. Les postulats de Koch ne sont pas satisfaits. Les éléments que la virologie désigne sous l’appellation « virus » sont d’après le Dr Lanka des résidus cellulaires, et d’après le Dr Kaufman, des exosomes. Tout se tient dans leur analyse, jusqu’au moment où il s’agit de désigner le véritable mécanisme de pathogenèse et de contagion. Leur solution est d’attribuer les symptômes des maladies à des processus de détoxification et d’ignorer purement et simplement le phénomène de contagion, que tout le monde aura pourtant eu l’occasion d’observer. Comme toujours, les défenseurs d’une théorie alternative commettent la même erreur, en pire, que ceux qu’ils contestent en tentant de justifier un phénomène complexe par une explication simpliste et susceptible de séduire les amateurs de théories alternatives. Ce n’est pas à proprement parler de l’opposition contrôlée mais ça remplit la même case.

De la théorie de Lanka, il reste des remarques judicieuses, par exemple que les omniprésentes représentations graphiques des virus sont des créations d’artistes, vu qu’il n’en existe aucune photographie légitime. L’explication officielle qui lui est opposée est que, les virus n’existant pas en tant qu’entité indépendante mais uniquement comme « parasite » cellulaire, on ne peut en obtenir une image. La froide vérité est que la virologie suit le modèle essai/erreur (surtout erreur) que l’ensemble des sciences a adopté depuis plus d’un siècle, selon une méthodologie digne du Professeur Shadoko – je vous recommande à ce propos cet épisode des Shadoks, qui devrait vous rappeler ce que nous subissons depuis deux ans – et qu’elle s’engage aujourd’hui dans un processus de modélisation qui rompt son dernier lien avec la réalité. Ce n’est pas moi qui fait ici une assertion gratuite: les chercheurs de très haut niveau sont les premiers à dire que plus ils avancent, plus ils réalisent ce qui reste à découvrir – en gros, qu’ils ne savent quasiment rien. Je vous ai déjà orientés vers ce bouquin (en anglais) de Dewey B. Larson, « The case against the nuclear atom« , dont la longue introduction épistémologique dit exactement la même chose. Si vous ne devez lire qu’un ouvrage scientifique, c’est celui-là.

Je précise que le Dr Lanka, dont j’ai suivi avec intérêt le parcours depuis vingt ans, est aujourd’hui devenu complètement fou. Il promeut la Nouvelle Médecine Germanique, du Dr Hamer, théorie d’une stupidité confondante. Son avenir consiste désormais à donner des interviews à des professeurs de yoga et des conférences devant dix personnes dans des magasins bio, hormis la tribune qui lui est offerte, à lui et au Dr Kaufmann, dans le Comité Corona de Reiner Fuellmich, qui manque parfois cruellement de discernement. J’y reviens dans un prochain article.

Oxyde de graphène?

Ricardo Delgado Martin, la cheville ouvrière de La Quinta Columna, dont j’ai publié plusieurs articles, est le premier à avoir signalé la présence d’oxyde de graphène dans les fioles des injections Covid. J’ai également publié sur ce sujet un long article du créateur de Kokopelli et deux articles de Stephers (ici et ici).

La Quinta Columna a procédé à l’analyse de fioles de « vaccins » des quatres fabricants principaux et en a déduit la présence d’oxyde de graphène. Assez étrangement, ils ont ensuite a élaboré la théorie suivante: il y avait déjà de l’oxyde de graphène dans les vaccins anti-grippaux des années 2018 et 2019, vaccins administrés à 80% des résidents des maisons de repos en Espagne, pays où la majorité des antennes 5g sont concentrées autour de ces établissements. Selon eux toujours, les premiers « cas » auraient été ainsi volontairement provoqués fin 2019 par l’irradiation des personnes injectées par des ondes millimétriques, qui, concentrées par l’oxyde de graphène, auraient donné les symptômes du Covid, point de départ de la panique autour d’une pandémie virale inexistante – voir paragraphe précédent. La Quinta Columna a également en son temps relayé les histoires de magnétisme (ce que j’ai également fait ici) et de bébés mutants, qui ont depuis totalement disparu des sujets traités sur les réseaux.

Le problème est que je connais personnellement plusieurs personnes qui ont fait le Covid (dont deux très sérieux) sans avoir jamais reçu aucun des vaccins antigrippaux en question, ni aucun autre, et qui n’ont jamais été à proximité de quelque antenne 5g que ce soit. Je peux aussi, dans au moins un cas, retracer l’origine de la contamination de personne à personne.

Autre problème, d’autres personnes qui ont publié ensuite ce type d’analyse au microscope ne sont pas crédibles. Il s’agit du Dr Robert Young, qui ne fait apparemment que reprendre le dossier de La Quinta Columna en y apposant son nom, d’anonymes qui se font nommer The Scientists Club, d’une équipe de néo-zélandais, le Dr Shelton et l’avocate Sue Grey, difficiles à prendre au sérieux vu le manque de rigueur de leur étude, et d’autres qui donnent également ce genre d’impression.

J’ajoute enfin que la totalité de l’histoire diffusée autour de la découverte d’hydroxyde de graphène dans les injections par un certain Andreas Noack, supposément expert en la matière, sent le hoax à plein nez, hoax dont l’objectif serait d’être le clou dans le cercueil de toute cette histoire, contre laquelle Whitney Webb met en garde dans cet article.

Mais

Dans le dossier oxyde de graphène, une autre analyse semble légitime, celle présentée par une équipe autrichienne à Viviane Fischer du Comité Corona – ce qui interroge sur le fait que l’organisation de Reiner Fuellmich ne l’a pas utilisée pour attaquer les firmes pharmaceutiques dans ce qui serait un procès gagné d’avance, mais je digresse.

Et le Dr Sam Bailey donne sur sa chaîne la parole au Dr Robin Wakeling, qui fournit une présentation assez convaincante et très professionnelle de sa propre analyse du contenu d’une fiole de Pfizer.

… ou alors?

Tenant à m’assurer au préalable qu’il n’est pas un Alex Jones du pauvre, je n’ai jusqu’à présent relayé ici aucune des émissions de Stew Peters. Etait annoncé pour vendredi dernier (donc le 8 avril) un long documentaire intitulé « Watch the Water« , autour d’une interview du Dr Bryan Ardis, un médecin américain – proche du Dr Peter McCullough (que j’ai publié ici et ici) – qui donne des conférences sur les dangers des protocoles hospitaliers Covid et bien entendu des injections. La diffusion de ce documentaire, annoncé comme particulièrement explosif, est finalement reportée à lundi, 18h (EST) donc une heure du matin ici. Selon la bande-annonce, le Dr Ardis reprend l’analyse du Pr Bing Liu, assassiné alors qu’il menait des recherches sur l’origine du Covid, et en conclut que l’agent contaminant n’est pas un virus mais un poison distribué dans l’eau du réseau public. Je suis plutôt sceptique mais je regarderai le documentaire en question et ne manquerai pas de vous tenir au courant de ce que j’en pense.

Je rappelle que je posais la question du mode de contamination à l’origine du Covid il y a deux ans ici. Le Dr Lee Merritt a depuis posé une question du même ordre: la protéine de pointe étant le pathogène, a-t-elle pu être distribuée seule, par exemple sous forme de spores? La question mérite d’être posée pour une simple raison. Ceux qui parlent d’arme biologique ne semble jamais tenir compte que la recherche militaire a quarante ans d’avance sur le secteur civil, ce que rappelle ici le Dr Igor Shepherd qui a oeuvré de longues années dans ce domaine, côté soviétique.

D’après ce qui précède, mes propres observations et les centaines de témoignages que j’ai lus ou recueillis personnellement, ma conclusion, purement empirique et temporaire à ce stade, est que:

  • le Covid est bien une maladie spécifique – ou un ensemble de symptômes – et potentiellement très dangereuse;
  • les premiers cas de Covid remontent à plusieurs mois, voire plusieurs années avant décembre 2019;
  • le comptage des morts a certes été frauduleux mais il a occulté d’autres conséquences majeures, que l’on commence à évaluer et sur lesquelles je reviens bientôt (dégâts au système immunitaire et autres atteintes vasculaires, cardiaques, cérébrales, etc.) qui ont sans doute causé d’autres décès et rendent le comptage initial impossible et faussent le calcul du taux de mortalité;
  • la question de l’origine virale est intéressante tant qu’elle ne sert pas à nier l’existence du Covid, ni le fait qu’il y a eu contamination et contagion;
  • aucun test n’est fiable;
  • toutes les mesures prises (confinements, masques, protocoles hospitaliers, injections) ont été soit inefficaces, soit dangereuses, soit mortelles.

L’intuition d’une mère sur la transmission des injectés aux non-injectés – par Stephers.

Voici un troisième article signé Stephers (le premier ici, le deuxième ici) publié sur Piece of Mindful, qui traite de la transmission entre injectés et non-injectés, sujet dont on n’entend étrangement plus guère parler. Il n’est pas impossible que le phénomène se soit dissipé, mais rien n’est moins certain.

L’article date de mai de cette année et fait partie d’une longue et passionnante série, dont c’est le neuvième volet. J’aimerais trouver le temps d’en traduire d’autres mais j’ai déjà énormément de pain sur la planche. Rien ne vous empêche d’y jeter un oeil.

Source.

Traduction

Neuvième partie : À l’écoute ~ L’intuition d’une mère sur la transmission des injectés aux non-injectés

Neuvième partie de la série, « Des singes, des souris et des hommes : des corps naturels aux robots numérisés »

Mon instinct maternel m’amène à penser qu’un élément relativement nouveau a été ajouté au projet dystopique, anti-vie, destructeur de la nature et dangereux qui est en cours… Étant donné l’abondance de rapports anecdotiques de femmes (à la fois injectées et non injectées avec des dispositifs médicaux relatifs au COVID) présentant des irrégularités menstruelles, et de femmes enceintes souffrant de fausses couches inexpliquées, j’ai entrepris de vérifier les connaissances quant à la méthode potentielle de transmission. Ce que j’ai découvert, dans le contexte des nanoparticules artificielles (NPA), peut s’appliquer aux sujets de préoccupation plausibles qui ont fait surface au cours du mois dernier.

C’est pourquoi de nombreux chercheurs s’interrogent, spéculent, voire débattent entre eux sur le mode de transmission d’une personne injectée à une autre, non injectée. Ces esprits brillants tentent également de définir précisément ce qui est transmis. Veuillez lire ici (Makia Freeman avance que le recâblage du code génétique pourrait affecter les champs physiques et énergétiques), et regarder ici (entre les minutes 28 et 37, le Dr Carrie Madej suggère que les personnes injectées pourraient agir comme des antennes sans fil), ici (David Icke émet l’hypothèse que les personnes injectées pourraient diffuser une fréquence), et ici (cinq éminents médecins soulignent qu’il s’agit d’une forme de transmission indéterminée, mais pas d’une excrétion virale) [NdT. traduction partielle par moi, ici] à cet égard.

La question centrale que je voudrais aborder est la suivante : Si les NPA sont présentes dans ces nouvelles injections expérimentales – censées traiter une nouvelle pathologie appelée COVID – peuvent-elles être transmises à des personnes non injectées et, si oui, par quel mécanisme?

Dans mon récit « fictif » publié, « Confessions d’une nanoparticule artificielle » [NdT. traduit et publié ici], j’ai évoqué le fait que les injections peuvent incorporer des NPA. Pour un cadre supplémentaire, consultez cette astucieuse analyse d’octobre 2009 sur PreventDisease.com qui explore l’immersion des nanoparticules dans les vaccins, y compris les dangers et les programmes potentiels à long terme, tels que le « contrôle de la population mondiale« . Selon l’article de 2009, « Grâce à la nanotechnologie, les chercheurs ont pu créer des pores artificiels capables de transmettre des matériaux nanométriques à travers des membranes. » L’article poursuit : « Aussi mensongers soient-ils, les pouvoirs mondiaux et les cartels pharmaceutiques ont dû impérativement promouvoir l’efficacité des vaccinations et adopter des politiques nationales de préparation aux pandémies qui rendent les vaccinations obligatoires. En 2005, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a élaboré des règlements sanitaires internationaux qui lieraient les 194 pays membres à des directives d’urgence en cas de pandémie qui pourraient appliquer cette obligation. Sans la mise en place de ces procédures de santé publique (et de campagnes de propagande en faveur des vaccins), il n’y aurait que peu ou pas de coopération volontaire de la part du public à relever ses manches et à accepter les inoculations. La participation du public est un outil essentiel qui permettra bientôt aux grandes entreprises pharmaceutiques d’injecter à des milliards de personnes l’outil de surveillance le plus efficace jamais conçu.« 

Avant de poursuivre ma brève explication, j’encourage les lecteurs à consulter la troisième partie (sur les vaccins auto-disséminants), la quatrième partie (sur les phéromones) et la sixième partie (sur les nanorobots) de cette série intitulée « Des singes, des souris et des hommes : Des corps naturels aux robots numérisés ». En faisant converger une grande partie de ces informations, on peut mieux comprendre comment les NPA fonctionnent d’une manière qui est unique aux matériaux nanométriques avancés, et comment ces caractéristiques peuvent s’appliquer à la transmission.

Il est intéressant de noter que cet article universitaire publié par le Dr Yuval Elani en septembre 2020, « Interfacing Living and Synthetic Cells as an Emerging Frontier in Synthetic Biology« , peut également contribuer à fournir un très intéressant contexte pour mieux comprendre la méthodologie naissante combinant l’architecture biologique et biotechnologique (biologie synthétique), y compris l’ingénierie des protéines, et ses implications. Comme le décrit le Dr Elani, « la forme prédominante de cellules artificielles comprend des capsules de la taille d’une cellule, telles que des liposomes, des polymères, des coacervats, des protéinosomes et des particules d’hydrogel, qui servent de structures. Ces compartiments peuvent être fonctionnalisés avec des composants biomoléculaires, notamment des canaux transmembranaires, des enzymes, des éléments du cytosquelette, des circuits génétiques et des mécanismes de transcription/translation. Ce faisant, les caractéristiques cellulaires peuvent être imitées. Il s’agit notamment des processus et des comportements cellulaires (par exemple, les cascades de signalisation, la communication, la motilité, la production d’énergie, la réplication et le calcul) ainsi que des motifs architecturaux (par exemple, les membranes, les organites et les tissus). » La principale conclusion de cet article est qu’en déployant ces « micromachines », le mélange de composants vivants et synthétiques donnera naissance à de nouveaux modes de fonctionnement et de réponse jamais observés auparavant chez les humains. Il faudra utiliser un nouveau langage, tel que « hybridation intégrée », « bioréacteurs hybrides » et « cascades de signaux synthétiques », pour décrire la communication artificielle émergente.

Les anciens paradigmes ne seront plus suffisants pour comprendre ce qui peut se produire par l’ajout de systèmes cellulaires et moléculaires synthétiques, introduits par des tactiques de bio-ingénierie qui prolifèrent beaucoup trop rapidement pour que nous puissions les comprendre, et encore moins les réglementer correctement ou les autoriser volontairement.

Je tire la sonnette d’alarme pour ceux qui sont encore analphabètes en matière de « bio-nano », car les bio-nano-colonisateurs continueront à envahir notre forme biologique intacte de leur édifice synthétique et bio-informatique – c’est-à-dire jusqu’à ce que nous comprenions leur méthode de colonisation numérique ascendante et que nous l’arrêtions dans son élan par des actions pacifiques mais audacieuses.

Bien que les NPA puissent migrer par la voie aérienne et par exposition cutanée (et par ingestion), le plus important est de comprendre qu’ils ne sautent pas (ou ne sont pas  » excrétés « ) littéralement d’une personne à l’autre. Au contraire, ils peuvent émettre des signaux qui sont non seulement incohérents pour le corps humain dans lequel ils pénètrent, mais qui peuvent également envoyer des signaux perturbateurs (un peu comme un instrument de musique mal accordé ou une station de radio mal réglée) à ceux qui ne sont pas injectés. Pensez à un métronome détraqué, pour ainsi dire. Dans ce cas, leur transmission peut ne pas se faire par contact physique, mais plutôt par des propriétés piézoélectriques et par des phénomènes d’excitation ou un champ évanescentincompatible avec l’opérabilité naturelle et biologique.

Essentiellement, les NPA, qui présentent des caractéristiques électromécaniques et de conductivité uniques, peuvent agir par le biais de divers processus, tels que la nanopiézotronique (ou la nanophotonique, les forces ioniques, la capacité électrostatique, ou peut-être une forme de transfert d’énergie par résonance, comme la résonance plasmonique de surface, ou la plasmo-électricité), qui peuvent expliquer cette cascade perturbatrice de signaux entre êtres humains (qui, jusqu’à récemment, avec l’introduction de composants biologiques synthétiques implantables et de nanomatériaux artificiels, ainsi que de champs électromagnétiques omniprésents), communiquaient entre eux exclusivement par voie piézoélectrique et biologiquement programmée (y compris par chimiosignalisation via les phéromones) – un peu comme la détection du quorum chez les bactéries.

Les lecteurs voudront peut-être regarder le documentaire « Resonance Beings of Frequency« , qui montre comment les humains transmettent des fréquences naturelles entre eux, car nous sommes des êtres à résonance sympathique unique qui sont syntonisés ensemble (un peu comme des diapasons accordés de manière similaire). Je vous encourage également à lire mon article de juin 2020 sur la synchronisation des humains par le biais de la résonance cardiaque. L’exposition aux CEM induits artificiellement (et maintenant, les NPA qui peuvent se trianguler avec les drones, la 5G ou les radiofréquences) peut nous influencer négativement en interrompant notre flux naturel d’impulsions électriques.

Dans son protocole publié dans le cadre de l’essai clinique de la concoction expérimentale COVID (voir p. 67-69), Pfizer mentionne l’observation et l’étude de femmes enceintes et de femmes allaitantes (non injectées) qui ont été exposées par inhalation ou par contact cutané aux participants à l’essai qui ont été injectés. Bien que la transmission des NPA se manifeste généralement par des signaux émis de manière électromécanique, il peut y avoir deux exceptions à ce mode de transmission (comme le montrent les études), dans la mesure où les NPA peuvent être transmis directement d’une mère à un fœtus à travers le placenta (voir ici et ici), et où ils peuvent être transmis directement d’une mère à un bébé pendant l’allaitement (voir ici sous « Allaitement : résumé des risques »).

Je vous invite à consulter les références à la fin de cet article, qui pourraient permettre d’élucider le fonctionnement de la transmissibilité (souvent activée par l’intelligence artificielle) des NPA lorsqu’ils sont introduits dans la population humaine. Il est intéressant de noter que l’un des principaux chercheurs financés par le DARPA dans le domaine des nanomatériaux semi-conducteurs-piézoélectriques est Zhong Lin Wang, de Georgia Tech, qui est l’auteur de plusieurs des études mentionnées.

En outre, Coventor, une société de Lam Research, est une entreprise innovante de premier plan dans le domaine de la nanoélectronique, y compris les capteurs et actionneurs électrostatiques intégrés dans les tissus biologiques (BioMEMS). Elle a reçu des fonds de la DARPA pour ses travaux sur l’application des BioMEMS à la médecine et à la sécurité intérieure. Je rappelle aux lecteurs que j’ai fait référence à Lam Research dans mon premier essai (en avril 2020) sur POM, en relation avec le premier décès américain signalé dû au COVID de Patricia Dowd, employée depuis 28 ans par ladite société. Bien qu’il ait fallu plus d’un an pour rassembler la plupart des pièces du puzzle COVID, il semble que j’aie bouclé la boucle.

Compte tenu de ce que j’ai appris sur la technologie des dispositifs de détection intelligents sans fil à l’échelle nanométrique, biologiquement intégrés (qui peuvent présenter des capacités de transduction piézoélectrique), je trouve curieux que le capital-risqueur Moncef Slaoui, qui est un scientifique en chef dans le domaine de la bioélectronique (voir ici, ici, ici et ici à propos de ses collaborateurs) ait été choisi comme chef initial de l’opération Warp Speed. En plus de siéger au conseil d’administration de Moderna – et je rappelle ici le premier volet de ma série dans lequel je mettais en avant l’A*STAR de Singapour – Slaoui a été membre du conseil consultatif de l’A*STAR. En 2016, alors que Slaoui était président de Global Vaccines chez GSK, il affirmait :  » Cet accord avec Verily pour établir Galvani Bioelectronics signale une étape cruciale dans le cheminement bioélectronique de GSK, qui associe santé et technologie pour concrétiser une vision commune de thérapies électriques miniaturisées et de précision. Ensemble, nous pouvons rapidement accélérer le rythme des progrès dans ce domaine passionnant, afin de développer des médicaments innovants qui parlent véritablement le langage électrique du corps. » L’opération « Warp Speed » pourrait-elle servir de tremplin à l’implantation et à la mise en œuvre massives d’électrothérapies militarisées (introduites sans consentement éclairé), conçues pour être interconnectées et s’interfacer avec le cloud? Quel meilleur moyen d’insérer des réseaux bioélectroniques « intelligents » omniprésents et programmables – sensibles aux champs électromagnétiques – que par injection (sous couvert d’une thérapie médicale)?

À toutes les autres mamans : Protégez-vous et protégez vos bébés adorés (petits et grands) – et pour l’amour de Dieu, écoutez votre intuition de mère! Ne vous laissez pas berner par ce qui pourrait aboutir à une communication interpersonnelle mécaniste et dégénérée, définie par des 0 et des 1. Puissiez-vous diriger vos familles en accord avec le rythme inné et la pulsation sacrée de Mère Nature. L’humanité a besoin de nous maintenant, plus que jamais.

Inspired by Alison McDowell

Note d’avertissement : Actuellement, alors que ma position sur la transmissibilité des personnes injectées aux personnes non injectées (spécifiquement en ce qui concerne les injections liées au COVID) évolue, j’ai le sentiment que la plupart des effets indésirables attribuables à la signalisation incohérente pourraient être temporaires et non létaux. Cependant, je suggère la prudence pour certaines populations (principalement les femmes enceintes et les femmes allaitantes qui allaitent actuellement leurs bébés) lorsqu’elles entrent en contact étroit avec des personnes qui ont été injectées avec de nouveaux dispositifs médicaux expérimentaux (voir notes de fin de document 1 et 2). C’est peut-être le moment pour les jeunes mères de s’éloigner temporairement du contact direct avec ceux qui ont été pénétrés par cette impérieuse piqûre.

Note anecdotique : Pour la petite histoire, j’ai allaité mes enfants pendant de nombreuses années, et j’ai arrêté il y a plus de 10 ans. Par la suite, ma capacité à produire du lait a cessé. Lorsque j’étais en période d’allaitement actif et que je passais de longues périodes de la journée sans allaiter, j’éprouvais fréquemment une sensation physique dans mes seins, appelée  » let-down » [NdT. je n’ai pas trouvé la traduction en français, sorry]. Inutile de dire que je me souvenais très peu de cette sensation, jusqu’à la semaine dernière, où – sans crier gare – j’ai ressenti cette même sensation. Ce n’est pas normal. Cela a duré environ 10 secondes. J’avais fait des courses alimentaires plus tôt dans la journée. Je ne peux que supposer que la plupart des gens qui faisaient les courses (ainsi que le personnel du supermarché) ont été injectés avec des produits biologiques expérimentaux contenant des nanotechnologies. C’était une journée de shopping animée. Lorsque j’ai ressenti ce « let-down » – que je n’avais pas ressenti depuis plus de 10 ans pour de bonnes raisons – je n’ai pu m’empêcher de le constater et de le noter mentalement. Ensuite, en écoutant un essai vidéo présenté par David Icke (également lié ci-dessus), il a noté (au bout de 5 minutes) exactement le même symptôme chez une autre femme. J’avais entendu de nombreux récits de première et de seconde main faisant état d’irrégularités menstruelles (que j’ai également connues), mais pas de let-down. J’ai donc pensé qu’il s’agissait d’un cas isolé. Mais, au vu de cet autre rapport, je soupçonne que mes hormones ont été influencées par le signal piézoélectrique que mon corps a reçu lorsqu’il était entouré de personnes injectées – ce qui n’est clairement pas cohérent avec mon âge et mon état physique actuels. Non, mon corps ne s’est pas mis à produire du lait tout à coup – mais la sensation était présente. Puis j’ai trouvé ce document, « L’utilisation de la piézoélectricité pour une augmentation rapide du lait en cas de lactation insuffisante« . Prenez cette information, et mon histoire, comme vous voulez. Je ne peux pas l’ignorer.

Notes en fin de texte :

1) En ce qui concerne les nanoparticules et les hormones artificielles, il a été rapporté en avril 2020 que des chercheurs financés par la DARPA au MIT étaient capables de contrôler à distance la libération d’hormones chez l’homme en injectant de nouveaux nanomatériaux magnétiques qui modulent les canaux ioniques.

2) Un avertissement supplémentaire peut être déduit des études liées aux nanoparticules de carbone solubles dans l’eau qui ont été utilisées en Inde pour empêcher les larves de moustiques d’atteindre la maturité. On soupçonnait que le mécanisme était la suppression d’une hormone spécifique.

Références:

«Communications nanoparticulaires : des signaux chimiques dans la nature aux réseaux de capteurs sans fil» Nanotechnology Perceptions, mars 2014.

« Plus généralement, la nécessité de transmettre des informations entre deux entités distinctes a toujours existé, tant dans le règne animal que dans la société humaine. Il existe de nombreuses méthodes permettant de coder, transporter et décoder des données. Dans la société humaine, les moyens de communication courants sont la distribution de paquets physiques (courrier), la parole (ondes acoustiques), la modulation d’ondes électromagnétiques à différentes fréquences (ondes radio dans l’air et ondes optiques dans les fibres) et l’observation visuelle de mouvements physiques (signaux de main, de drapeau ou de fumée). Dans le règne animal, les produits chimiques peuvent également être utilisés pour transmettre des messages très simples. Cette signalisation chimique peut exister au niveau cellulaire, mais aussi dans un environnement extérieur. »

« Une bonne question est de savoir pourquoi nous consacrerions notre temps et nos ressources à l’étude de la communication chimique. Il y a, bien sûr, la curiosité scientifique : mieux comprendre comment les organismes se transmettent des signaux entre eux. On peut se poser des questions importantes, comme celle de savoir si une rupture de la signalisation entraînera l’effondrement des colonies. Par ailleurs, la signalisation chimique peut également inciter les ingénieurs à concevoir des systèmes de communication à base de produits chimiques. À l’échelle microscopique, les robots de microchirurgie et d’administration de médicaments devront probablement communiquer entre eux (figure 1), ce qui n’est pas possible avec les ondes électromagnétiques classiques. Cela est principalement dû à la taille de l’antenne et aux contraintes d’énergie de transmission des systèmes de communication basés sur les ondes électromagnétiques. Les particules nanométriques peuvent émettre à un niveau de dépense énergétique relativement faible et se propager aux robots voisins. Cet article abordera ces défis plus en détail par la suite. Dans cette section, nous examinerons comment les organismes se transmettent des signaux en utilisant des molécules chimiques dans la nature, et comment cela peut être élargi pour former un système de communication général. »

« Nano-réseaux : Une nouvelle frontière dans les communications » IEEE, par Ian F. Akyildiz (résumé uniquement)

« De nouvelles nano-antennes basées sur des nanomatériaux ainsi que sur la bande térahertz sont étudiées pour la communication électromagnétique dans les nanoréseaux. En outre, des mécanismes de communication moléculaire sont présentés pour les réseaux à courte portée basés sur la signalisation ionique et les moteurs moléculaires, pour les réseaux à moyenne portée basés sur les bactéries flagellées et les nanorods, ainsi que pour les réseaux à longue portée basés sur les phéromones et les capillaires. Enfin, les défis de recherche ouverts tels que le développement de composants de réseau, la théorie de la communication moléculaire et les nouvelles architectures et protocoles, qui doivent être résolus afin d’ouvrir la voie au développement et au déploiement des nanoréseaux au cours des deux prochaines décennies, sont présentés (c’est moi qui souligne).« 

« Nano-réseaux : Une nouvelle frontière dans les communications » Communications of the ACM, novembre 2011 (texte intégral)

« Réduction de l’échelle des paradigmes de communication existants. Les outils fournis par les nanotechnologies permettent d’étendre à l’échelle nanométrique des techniques de communication bien connues. Tout d’abord, les nanotubes de carbone et les nanorubans de graphène ont été proposés comme nano-antennes électromagnétiques.6 Une nano-antenne à base de graphène n’est pas une simple réduction d’une antenne classique, mais il existe plusieurs phénomènes quantiques qui affectent la propagation des ondes électromagnétiques sur le graphène. Par conséquent, la fréquence de résonance de ces nanostructures peut être jusqu’à deux ordres de grandeur inférieure à celle de leurs homologues non carbonés. Cependant, leur efficacité de rayonnement peut également être altérée en raison de ce phénomène. Deuxièmement, les nanotubes de carbone ont également été proposés comme base d’un nano-émetteur-récepteur électromécanique ou nano-radio5, capable de moduler et de démoduler une onde électromagnétique au moyen d’une résonance mécanique. Cette technique a été prouvée expérimentalement en réception, mais nécessiterait des sources d’énergie nanométriques très élevées pour une transmission active. »

« Bande térahertz : communications à ultra large bande dans les nanoréseaux. En se concentrant sur l’utilisation de nano-antennes à base de graphène et en pensant à la taille maximale attendue d’une nanomachine, la bande térahertz (0,1THz-10THz) entre en jeu. En effet, nous avons récemment montré qu’une nano-antenne à base de graphène d’un micromètre de long résonnerait dans la bande susmentionnée.6 Cette gamme de très hautes fréquences, située entre les micro-ondes et le rayonnement infrarouge lointain, a récemment attiré l’attention de la communauté scientifique en raison de ses applications dans les contrôles de sécurité et les systèmes d’imagerie à l’échelle nanométrique. Dans notre cas, nous considérons la bande térahertz comme une très grande fenêtre de transmission qui peut supporter des taux de transmission très élevés à courte distance, c’est-à-dire jusqu’à quelques térabits par seconde pour des distances inférieures à un mètre, ou comme plusieurs fenêtres de transmission de plus de 10 gigahertz de large chacune, comme nous l’avons récemment montré.Pour l’instant, on ne sait pas très bien comment des nanomachines aux capacités limitées peuvent exploiter les propriétés de cette immense bande, mais plusieurs options nous viennent à l’esprit. »

« . … nous avons proposé l’utilisation de phéromones pour la communication moléculaire dans des nanoréseaux à longue portée, par exemple, pour des distances de transmission d’environ un mètre. Les phéromones sont des molécules de composés chimiques libérées par des plantes, des insectes et d’autres animaux qui déclenchent des comportements spécifiques chez les membres récepteurs de la même espèce et dont la propagation repose également sur le processus de diffusion moléculaire. »

 » Nanoantenne – Une étude  » Journal international de recherche technologique sur les énergies renouvelables, janvier 2015.

« Une autre application des nano-antennes est la création de circuits et d’ordinateurs plus compacts et plus rapides qui utilisent des paquets de lumière, au lieu d’électrons, pour transporter les signaux. De tels circuits photoniques pourraient être utilisés pour un nouveau type de capteurs sensibles qui détectent de minuscules traces de produits chimiques et de matériaux biologiques, ce qui les rendrait utiles pour des applications telles que l’analyse de l’ADN d’un patient pour le diagnostic médical, la surveillance de la qualité de l’air pour le contrôle de la pollution et la détection de substances dangereuses pour la sécurité intérieure (c’est moi qui souligne).« 

NanopiezotronicsAdvanced Materials, par Zhong Lin Wang, 2007

« Le nouveau domaine de la nanopiézotronique » Materials Today, par Zhong Lin Wang, mai 2007

« Progrès récents en piézotronique et tribotronique » Nanotechnology, 25 janvier 2019 (résumé uniquement)

« Cette étude met en lumière les avancées en piézotronique et tribotronique en mettant l’accent sur les théories fondamentales, les matériaux à l’échelle nanométrique, les dispositifs fonctionnels et les simulations. Nous mettons principalement l’accent sur leur application pour les semi-conducteurs de troisième génération. Les concepts et les résultats présentés dans cette revue montrent que la piézotronique et la tribotronique faciliteront le développement des MEMS/NEMS, de la détection auto-alimentée, de l’interface homme-ordinateur et de l’électronique active portable (c’est moi qui souligne). »

« Qu’est-ce que la nanophysique : Enquête sur les sujets de cours » par Branislav K. Nikolić, Département de physique et d’astronomie, Université du Delaware.

« Réponse piézoélectrique des nanotubes de carbone multiparois » Materials, 21 avril 2018.

« Nanotubes de carbone : propriétés et application » Materials Science and Engineering: R: Reports, 15 janvier 2004, par Valentin N. Popov (résumé uniquement)

« Évaluation de la sécurité des nanocomposites de nanotubes de carbone : Défis et Perspectives » JSM Nanotechnology & Nanomedicine, par Tian Xia

« Transfert d’énergie par résonance de chimioluminescence basé sur le graphène pour un immunodosage homogène » ACS Nano, 24 avril 2012 (résumé uniquement).

« Les physiciens découvrent une force inattendue agissant sur les nanoparticules dans le vide » Science Alert, par Fiona MacDonald, 11 avril 2017.

« Nanotablette lipidique nanobiologique » Phys.org, par Thamarasee Jeewandara, 5 mars 2019

« Nanotubes de carbone » (décrit les NTC comme « probablement le meilleur émetteur de champ d’électrons connu »).

« Nanoparticules lipidiques dans les vaccins COVID-19 : Le nouveau mercure des antivax » Science-Based Medicine, par David Gorski, 15 février 2021 (Note : lire entre les lignes)

« Comparaison de la toxicité des nanocristaux de semi-conducteurs chez les souris gestantes et les primates non humains » Nanotheranostics, 2019.

« Nanoparticules de ZnO intégrées dans une matrice de polyéthylène-glycol (PEG) comme éléments sensibles de jauge de contrainte » Journal of Nanoparticle Research, novembre 2014.

« Appel à contributions : Numéro spécial sur : La conception et la fabrication de microscopes et de dispositifs à l’échelle nanométrique pour des applications dans les domaines de l’énergie, de l’environnement et de la médecine » ASME Journal of Nanotechnology in Engineering and Medicine.

« Électromécanique couplée hybride BEM/FEM » Coventor (A Lam Research Company)

Profil professionnel de Debjyoti Banerjee (précédemment chef d’équipe en microfluidique/MEMS chez Coventor)

« Google s’associe à GlaxoSmithKline pour développer des « médicaments bioélectroniques » How Africa

Verily Leadership (Notez la biographie ci-dessous du co-fondateur, Brian Otis)

« En tant que collaborateur de Verily, Brian repousse la frontière de l’innovation en matière de dispositifs médicaux, en dirigeant les efforts de découverte et de prototypage rapide de l’entreprise. Il a rejoint Verily après avoir travaillé au Département d’Ingénierie Electrique de l’Université de Washington où il était professeur associé. Auparavant, Brian a occupé des postes au Kelly Tremblay Brain and Behavior Laboratory de l’Université de Washington, au Ralph Freeman Neuroscience Lab de l’UC-Berkeley, au Berkeley Wireless Research Center, à Intel Corporation et aux laboratoires Agilent. Il a obtenu son MS et son doctorat en Génie électrique dans le domaine des circuits intégrés à faible puissance pour les capteurs sans fil à l’Université de Californie, Berkeley. »

« Le programme de nanoparticules de Verily trouve son tournant avec Verve » par Mark Audeh, responsable du programme de nanoparticules, Verily, 7 mai 2019.

« L’un des premiers programmes de Verily, à l’époque où elle faisait encore partie de Google X, était celui des nanoparticules. À l’époque, nous voulions voir si les nanoparticules pouvaient être conçues pour trouver et s’attacher à des types particuliers de cellules et être détectées et mesurées par un dispositif corporel une fois que les nanoparticules ont trouvé leurs cibles… En théorie, les nanoparticules peuvent être conçues pour délivrer des thérapies spécifiques à des cellules ou des tissus individuels… »

« … le manque de reproductibilité des nanoparticules était un problème récurrent pour nous… De nombreuses particules disponibles dans le commerce avec lesquelles nous avons travaillé au départ étaient insuffisamment caractérisées et présentaient des propriétés incohérentes… Bien qu’il existe des thérapies à base de nanoparticules, elles ne servent qu’à modifier la solubilité, la toxicité ou la pharmacodynamique d’un médicament… »

« Nous avons vu une opportunité de contribuer de manière significative à ce domaine, en développant une synthèse à haut débit et une plateforme de criblage pour concevoir des bibliothèques de nanoparticules bien caractérisées avec des propriétés prévisibles à l’échelle (c’est moi qui souligne). »

« Une telle plateforme nous permettrait de… générer une quantité considérable de données sur les nouvelles formulations de nanoparticules, ce qui nous aiderait à mieux comprendre leur comportement et à améliorer leur conception future… ».

« … Nous avons également investi dans une instrumentation optimisée pour une caractérisation approfondie à haut débit et la saisie de données sur toutes les particules que nous produisons afin de développer une image claire des caractéristiques physiques et de la composition chimique des particules (c’est-à-dire la taille, la charge, la stabilité) et l’impact qu’elles ont sur les comportements biologiques, y compris l’évaluation de la liaison à des types de cellules spécifiques, la toxicité, la pénétration dans les tissus, etc. (c’est moi qui souligne). »

« En plus de ce criblage in vitro à haut débit, nous avons mis au point une méthode exclusive de « codage à barres » de formulations uniques de particules afin de mener des études in vivo d’une manière que nous estimons plus rapide et plus efficace. Actuellement, les particules sont suivies in vivo essentiellement par fluorescence, ce qui rend difficile l’étude de plusieurs particules à la fois. En intégrant des « codes-barres » d’ADN uniques dans les particules, nous pouvons les suivre avec précision in vivo en utilisant le séquençage de l’ADN. Cela signifie que nous devrions être en mesure d’étudier de nombreuses formulations uniques dans un seul modèle in vivo, en suivant indépendamment la localisation et la stabilité de chaque formulation. Nous ne faisons que commencer ce travail d’évaluation de la biologie des formulations in vivo (c’est moi qui souligne). »

« En rassemblant toutes ces informations sur la chimie, les caractéristiques physiques, les résultats des essais in vitro et les résultats des études in vivo, nous construisons un pipeline d’analyse de données pour concevoir et synthétiser plus efficacement les particules à l’avenir (c’est moi qui souligne). »

« Verily, I swear. Google Life Sciences porte un nouveau nom » STAT, par Charles Piller, 7 décembre 2015

Profil d’entreprise d’Andrew Conrad, fondateur et PDG de Verily, une société Google Life Sciences

«Nano liposomes dans les nouveaux systèmes d’administration de médicaments : une étude» Nanotechnology, février 2016

«Lipide cationique ionisable pour l’administration d’ARN» (brevet)

«Les nanoparticules lipidiques permettant les thérapies géniques : des concepts à l’utilité clinique» Nucleic Acid Therapeutics, juin 2018

« Nanotoxicité : un obstacle clé à la traduction clinique de la nanomédecine basée sur les siRNA » Nanomedicine (Lond), février 2014.

« Les charges positives peuvent faciliter l’interaction avec la surface cellulaire chargée négativement [35,36]. Les dommages cellulaires peuvent être causés par des interactions directes entre les groupes cationiques et les composants cellulaires, ou indirectement par des espèces oxydatives réactives (ROS) formées en présence de matériaux cationiques. La toxicité cellulaire qui en résulte peut se manifester de manière aiguë ou différée [37]. Il convient de noter que le mécanisme par lequel les nanomatériaux cationiques provoquent la cytotoxicité n’est pas encore bien compris et qu’un mécanisme alternatif a été proposé [38]. D’autres dommages évidents comprennent la « surcharge lysosomale » de nanoporteurs peu biodégradables, qui entraîne l’accumulation de vacuoles autophagiques visibles et la mort cellulaire apoptotique [39] (c’est moi qui souligne). »

Publié le par Stephers

Publié dans Biology, Control of the herd, COVID-19, Crimes Against Humanity, DARPA, Engineering, Fighting Medical Fascism, Health and Nutrition, Medical Fascism, Pursuit of truth, Vaxxing, Zombie


Texte original

Part 9: Tuned In ~ A Mother’s Intuition on Transmission from the Jabbed to the Un-Jabbed

Part 9 of the Series, “Of Monkeys, Mice and Men: From Natural Bodies to Digitized Bots”

My maternal instinct leads me to sense a relatively new feature has been added to the dystopian, anti-life, nature-defeating and dangerous game afoot . . . Given the abundance of anecdotal reports from women (both injected and non-injected with medical devices pertaining to COVID) exhibiting menstrual irregularities, and pregnant women enduring unexplained miscarriages, I have been occupied with ascertaining knowledge about the potential method of transmission. What I have uncovered, within the context of engineered nanoparticles (ENPs), may be applicable to plausible concerns that have surfaced in the past month. 

Accordingly, multiple researchers have been questioning, speculating, and even debating amongst themselves with respect to the mode of passage from one jabbed person to another, who is unjabbed. These bright minds are also attempting to hone in on precisely what is being transmitted. Please read here (Makia Freeman posits that re-wiring genetic code may be affecting physical and energetic fields), and watch here (from the 28 to 37 minute timestamps, Dr. Carrie Madej suggests injected people may be acting as wireless antennae), here (David Icke hypothesizes the jabbed may be broadcasting a frequency), and here (five prominent physicians emphasize this is an undetermined form of transmission, but not viral shedding) in this regard.

The central question I would like to address is as follows: If ENPs are present in these new, experimental injections — purportedly addressing a new condition called COVID — are they able to be transmitted to non-injected individuals; and if so, by what mechanism?

In my published “fictional” account, “Confessions of an Engineered Nanoparticle,” I discussed that injections may incorporate ENPs. For additional framework, review this astute analysis from October 2009 at PreventDisease.com exploring the immersion of nanoparticles in vaccines, including the dangers and the potential long-term agendas, such as “control of the global populace.” From the 2009 article, “Through nanotechnology, researchers have . . . been able to create artificial pores able to transmit nanoscale materials through membranes.” The article continued, “However fraudulent, it was an imperative for world powers and pharmaceutical cartels to promote the effectiveness of vaccinations and enact national pandemic preparedness policies which mandate vaccinations. In 2005 the World Health Organization (WHO) developed international health regulations that would bind all 194 member countries to pandemic emergency guidelines which could enforce such a mandate. Without these procedures of public health (and propagandized vaccine campaigns) in place, there would be little or no voluntary cooperation from the public to roll up their sleeves and accept the inoculations. Public participation is an essential tool that will soon allow big pharma to inject the most effective surveillance tool ever designed into billions of people.” 

Before proceeding with my brief explanation, I encourage readers to review Part 3 (on self-spreading vaccines), Part 4 (on pheromones), and Part 6 (on nanorobots) in this current series, “Of Monkeys, Mice and Men: From Natural Bodies to Digitized Bots.” By converging much of that information, one may get closer to comprehending how ENPs operate in ways that are unique to advanced nano-sized materials, and how these features may apply to transmission. 

Significantly, this academic paper published by Dr. Yuval Elani in September 2020, “Interfacing Living and Synthetic Cells as an Emerging Frontier in Synthetic Biology,” may also help to provide rich context to understand the nascent methodology combining biological and biotechnological (synthetic biology) architecture, including protein engineering, and its implications. As described by Dr. Elani, “The most dominant form of artificial cells involve cell‐sized capsules, such as liposomes, polymersomes, coacervates, proteinosomes and hydrogel particles, which act as the chassis. These compartments can be functionalised with biomolecular components, including transmembrane channels, enzymes, cytoskeletal elements, gene circuits, and transcription/translation machinery. In doing so, cellular characteristics can be mimicked. These include cellular processes and behaviours (e.g. signalling cascades, communication, motility, energy generation, replication, and computation) as well as architectural motifs (e.g. membranes, organelles, and tissues).” The main takeaway from this paper is that by deploying these “micromachines,” the intermingling of living and synthetic components will give rise to new modes of function and responses never before observed in humans. This will require new language, such as “embedded hybridization,” “hybrid bioreactors,” and “synthetic signaling cascades,” to depict the emergent engineered communication.

Old paradigms will no longer be sufficient to comprehend what may arise through the addition of synthetic cellular and molecular systems, introduced by bio-engineering tactics that are proliferating much too rapidly for us to understand, let alone properly regulate, or willingly permit.

I am sounding the alarm to those who remain illiterate in “bio-nano” speak, as the bio-nano colonizers will continue to invade our pristine biological form with their synthetic, bio-computing edifice — that is, until we grasp their method of bottom-up digitized colonization and stop it in its tracks through peaceful, yet bold action

While ENPs may migrate through the air and through dermal exposure (and via ingestion), what is most important to grasp is that they may not literally be jumping from one person to another (or “shedding”). Instead, they may emit signals that are not only incoherent to the human body in which they penetrate, but may also send out disruptive signals (much like a mis-tuned musical instrument or un-tuned, fuzzy radio station) to those who are not injected. Think of a metronome gone rogue, so to speak. In this case, their transmission may not be through physical contact, but rather, through piezoelectric and excitation properties or an evanescent fieldnot compatible with natural, biological operability. 

Essentially, ENPs, which exhibit unique electromechanical and conductivity characteristics, can operate through various processes, such as nanopiezotronics (or nanophotonics, ionic forces, electrostatic capacitance, or perhaps a form of resonance energy transfer, such as surface plasmon resonance, or plasmoelectrics), that may account for this resulting disruptive cascade of signaling among human beings (who, until recently with the introduction of implantable synthetic biological components and engineered nanomaterials, along with pervasive EMFs), engaged in exclusively biologically-programmed piezoelectric interpersonal communication (including chemosignaling via pheromones) — akin to quorum sensing among bacteria.

Readers may want to view the documentary, “Resonance Beings of Frequency,” portraying how humans convey natural frequencies amongst each other, as we are beings of unique sympathetic resonance who are entrained together (much like similarly-tuned tuning forks). I also encourage reading my post from June 2020 discussing the synchronization of humans via heart entrainment. Exposure to artificially-induced EMFs (and now, ENPs that may triangulate with drones, 5G, or radiofrequencies) may adversely influence us by interrupting our natural flow of electrical impulses.

As per Pfizer, in their published protocol for the clinical trial of the experimental COVID concoction (see p. 67-69), they mention observing and studying pregnant women and lactating women (unjabbed) who were exposed via inhalation or skin contact to trial participants who were jabbed. While ENP transmission is typically exhibited by electromechanically emitted signals, there may be two exceptions to this method of transmission (as evidenced in studies), in that ENPs may be able to be transmitted directly from a mother to a fetus through the placenta (see here and here), and they may be able to pass directly from a mother to a baby while breast-feeding (see here under “Lactation: Risk Summary”).

Please review my end references to this post that may further elucidate the (often smart-enabled) transmissible workings of ENPs when introduced into the human population. Of significant interest, one leading DARPA-funded researcher in the area of semiconductor-piezoelectric nanomaterials is Zhong Lin Wang, of Georgia Tech, who authored several of the linked studies. 

Additionally, a premier corporate innovator in the field of nanolectronics, including biologically-embedded electrostatic sensors and actuators (BioMEMS), is Coventor, a Lam Research company, which has received DARPA funding for its efforts in the application of BioMEMS to medicine and homeland security. I remind readers that I referenced Lam Research in my first essay (in April 2020) at POM, in relation to the first reported U.S. death from COVID of Patricia Dowd, a 28 year-long employee at said company. While it has taken over a year to put most of the COVID puzzle pieces together, it seems I may have come full circle.

Given what I have learned about the technology of nano-scale, biologically embedded, wireless intelligent sensing devices (that may exhibit piezoelectric transducer capabilities), I find it curious that venture capitalist Moncef Slaoui, who is a chief scientist in bioelectronics (see here, here, here, and here regarding his collaborators) was selected as the initial leader of Operation Warp Speed. In addition to serving on the Board of Moderna — and evoking the first installment in my series in which I highlighted Singapore’s A*STAR — Slaoui served as a member of A*STAR’s Advisory Board. In 2016, when Slaoui was Chairman of Global Vaccines at GSK, he asserted, “This agreement with Verily to establish Galvani Bioelectronics signals a crucial step forward in GSK’s bioelectronics journey, bringing together health and tech to realise a shared vision of miniaturised, precision electrical therapies. Together, we can rapidly accelerate the pace of progress in this exciting field, to develop innovative medicines that truly speak the electrical language of the body.” Could Operation Warp Speed be serving as the jump-start for the mass implantation and implementation of weaponized electroceuticals (introduced without informed consent), designed to be interconnected and to interface with the cloud?What better way to insert pervasive and programmable “smart” bioelectronic networks — that are electromagnetically sensitive — than through injection (under the guise of a medical therapy)?  

To all fellow moms out there: Protect yourselves and your beloved babies (young and old) — and for goodness sakes, listen to your mothers’ intuition! Do not allow yourselves to be tricked into accepting what may eventually result in mechanistic and degenerate interpersonal communication, defined by 0s and 1s. May you lead your families in tune with the innate rhythm and sacred pulse of Mother Nature. Humanity needs us now, more than ever. 

Inspired by Alison McDowell

Cautionary note: At this time, while my position on transmissibility from injected individuals to non-injected individuals (specifically with respect to COVID-related jabs) is evolving, I sense that most adverse effects attributable to incoherent signaling may be temporary and non-lethal. However, I suggest caution for particular populations (mainly pregnant women and lactating women currently nursing their babies) when coming in close contact with individuals who have been jabbed with new experimental medical devices (see Endnotes 1 and 2). Perhaps, this may be a time for young mothers to temporarily recede from direct contact from those who have been penetrated by the impetuous prick.

Anecdotal note: As background history, I breast-fed my children for many years, and stopped more than 10 years ago. Subsequently, my ability to lactate discontinued. When I was actively nursing, and would go through longer bouts of time during the day without breast-feeding, I would frequently get a physical feeling in my breasts, referred to as “let-down.” Needless to say, I could barely recall that feeling, until last week, when — out of the blue — I felt this very sensation. This is not normal. It lasted for about 10 seconds. I had been food shopping earlier in the day. I can only guess that most of the people shopping (as well as the supermarket staff) have been jabbed with experimental nanotech-laced biologics. It was a busy shopping day. When I felt that “let-down”— which I have not felt for 10+ years for good reason — I could not help but register, and mentally note it. Then, when listening to a video essay presented by David Icke (also linked above), he noted (at the 5-minute time stamp) the very same symptom presenting in another woman. I had been hearing many first and second-hand reports of menstrual irregularities (which I have also been experiencing), but not let-down. So, I thought it was a one-off. But, given this other report, I suspect that my hormones were influenced by piezoelectric signaling my body received when present among jabbed people — that is clearly not coherent with my current age and physical status. No, my body did not begin lactating out of nowhere — but the feeling was there. Then I found this document, “The use of Piezoelectricity for Rapid Increase of Milk for Insufficient Lactation.” Take this information, and my story, as you will. I cannot ignore it.

Endnotes:

1) On the topic of engineered nanoparticles and hormones, it was reported in April 2020 that DARPA-funded researchers at MIT were able to remotely control hormone release in humans by injecting novel magnetic nanomaterials that modulated ion channels.

2) An additional warning may be implied from studies related to water-soluble carbon nanoparticles that were utilized in India to prevent mosquito larvae from reaching maturity. It was suspected that the mechanism was suppression of a specific hormone.

References:

Nanoparticle communications: from chemical signals in nature to wireless sensor networksNanotechnology Perceptions, March 2014. 

“More generally, the need to convey information between two separated entities has always existed, in both the animal kingdom and in human society. There are many methods in which data can be encoded, transported and decoded. In human society, common ways of communicating include delivering physical packets (mail), speech (acoustic waves), modulating electromagnetic waves at various frequencies (radio waves in air, and optical waves in fibres), and visual observation of physical movements (hand, flag, or smoke signals). In the animal kingdom, chemicals can also be used to convey very simple messages. This chemical signalling can exist on a cellular level, and also in an external environment.”

“A good question is, why would we devote our time and resources to study chemical communication? There is, of course, scientific curiosity: to better understand how organisms signal to each other. Important questions can be asked, such as will a breakdown of signalling cause collapses in colonies? Aside from this, chemical signalling can also inspire engineers to design chemical-based communication systems. On a microscopic scale, microsurgery and drug delivery robots will likely need to communicate with each other (Fig. 1), and this cannot be achieved with conventional electromagnetic waves. This is primarily due to the antenna size and transmission energy constraints of electromagnetic wave-based communication systems. Nanosized particles can be emitted at a relatively low energy expenditure level, and allowed to propagate to neighbouring robots. This article will discuss such challenges in greater detail lateron. In this section, we will examine how organisms signal using chemical molecules in nature, and how this can be extended to form a general communications system.”

Nanonetworks: A new frontier in communications” IEEE, by Ian F. Akyildiz (abstract only) 

“Novel nano-antennas based on nano-materials as well as the terahertz band are investigated for electromagnetic communication in nanonetworks. Furthermore, molecular communication mechanisms are presented for short-range networking based on ion signaling and molecular motors, for medium-range networking based on flagellated bacteria and nanorods, as well as for long-range networking based on pheromones and capillaries. Finally, open research challenges such as the development of network components, molecular communication theory, and new architectures and protocols, which need to be solved in order to pave the way for the development and deployment of nanonetworks within the next couple of decades are presented (emphasis added).”

Nanonetworks: A New Frontier in Communications” Communications of the ACM, November 2011 (full text)

Downscaling existing communication paradigms. The tools provided by nanotechnology are enabling the extension of well-known communication techniques to the nanoscale. First of all, carbon nanotubes and graphene nanoribbons have been proposed for electromagnetic nano-antennas.6 A graphene-based nano-antenna is not just a mere reduction of a classical antenna, but there are several quantum phenomena that affect the propagation of electromagnetic waves on graphene. As a result, the resonant frequency of these nanostructures can be up to two orders of magnitude below that of their non-carbon-based counterparts. However, their radiation efficiency can also be impaired because of this phenomenon. Second, carbon nanotubes have also been proposed as the basis of an electromechanical nano-transceiver or nano-radio,5 able to modulate and demodulate an electromagnetic wave by means of mechanical resonation. This technique has been experimentally proved in reception, but would require very high nanoscale power sources for active transmission.

Terahertz Band: Ultra-broadband communications in nanonetworks. Focusing on the use of graphene-based nano-antennas and thinking of the expected maximum size of a nanomachine, the Terahertz Band (0.1THz-10THz) enters the game. Indeed, we have recently shown that a one-micrometer-long graphene-based nano-antenna would expectedly resonate in the aforementioned band.6 This very high-frequency range, in between the microwaves and the far-infrared radiation, has recently caught the attention of the scientific community because of its applications in security screening and nanoscale imaging systems. In our case, we think of the Terahertz Band as a very large transmission window that can support very high transmission rates in the short range, that is, up to a few Terabits per second for distances below one meter, or as several transmission windows more than 10 gigahertz-wide each as we’ve recently shown.For the time being, it is not clear how nanomachines with limited capabilities can exploit the properties of this huge band, but several options come to mind.”

“. . . we proposed the use of pheromones for molecular communication in long-range nanonetworks, such as, for transmission distances approximately one meter. Pheromones are molecules of chemical compounds released by plants, insects, and other animals that trigger specific behaviors among the receptor members of the same species and whose propagation relies also on the molecular diffusion process.”  

Nanoantenna — A ReviewInternational Journal of Renewable Energy Technology Research, January 2015 

“Another application of the nanoantennas is to create more compact, faster circuits and computers that use packets of light, instead of electrons for carrying signals. Such photonic circuits could be used for a new type of sensitive sensors which detect tiny traces of chemicals and biological materials, making them useful for applications including analyzing a patient’s DNA for medical diagnostics, monitoring air quality for pollution control and detecting dangerous substances for homeland security (emphasis added).”

NanopiezotronicsAdvanced Materials, by Zhong Lin Wang, 2007 

The new field of nanopiezotronicsMaterials Today, by Zhong Lin Wang, May 2007

Recent progress in piezotronics and tribotronicsNanotechnology, January 25, 2019 (abstract only)

“This review highlights advances in piezotronics and tribotronics with focus on fundamental theories, nanoscale materials, functional devices and simulations. Our emphasis is mainly about their application for third-generation semiconductor. The concepts and results presented in this review show that the piezotronics and tribotronics will facilitate the development of MEMS/NEMS, self-powered sensing, man-computer interfacing, and active wearable electronics (emphasis added).”

What is Nanophysics: Survey of Course Topics” by Branislav K. Nikolić, Department of Physics and Astronomy, University of Delaware

Piezoelectric Response of Multi-Walled Carbon NanotubesMaterials, April 21, 2018

Carbon nanotubes: properties and applicationMaterials Science and Engineering: R: Reports, January 15, 2004, by Valentin N. Popov (abstract only)

Safety Assessment of Carbon Nanotube Nanocomposites: Challenges and PerspectivesJSM Nanotechnology & Nanomedicine, by Tian Xia

Graphene-based chemiluminescence resonance energy transfer for homogenous immunoassayACS Nano, April 24, 2012 (abstract only)

Physicists Discover an Unexpected Force Acting on Nanoparticles in a VacuumScience Alert, by Fiona MacDonald, April 11, 2017

Nano-bio-computing lipid nanotabletPhys.org, by Thamarasee Jeewandara, March 5, 2019

Carbon Nanotubes” (describes CNTs as “probably the best electron field-emitter known”)

Lipid nanoparticles in COVID-19 vaccines: The new mercury to antivaxxersScience-Based Medicine, by David Gorski, February 15, 2021 (Note: read between the lines)

Comparing Semiconductor Nanocrystal Toxicity in Pregnant Mice and Non-Human PrimatesNanotheranostics, 2019

ZnO nanoparticles embedded in polyethylene-glycol (PEG) matrix as sensitive strain gauge elementsJournal of Nanoparticle Research, November 2014

Call for Papers: Special Issue on: Design and Fabrication of Microscope and Nanoscale Devices for Application in Energy, Environment, and MedicineASME Journal of Nanotechnology in Engineering and Medicine

Hybrid BEM/FEM Coupled Electromechanics” Coventor (A Lam Research Company)

Business profile for Debjyoti Banerjee (previously a team leader in microfluidics/MEMS at Coventor)

Google Partners With GlaxoSmithKline to Develop ‘Bioelectronic Medicines’How Africa

Verily Leadership (Note the bio below of Co-founder, Brian Otis)

“As a Fellow at Verily, Brian pushes the frontier of medical device innovation, leading the company’s discovery and rapid prototyping efforts. He joined Verily from the University of Washington Department of Electrical Engineering where he was an Associate Professor. Previously, Brian held positions at the University of Washington Kelly Tremblay Brain and Behavior Laboratory, the UC-Berkeley Ralph Freeman Neuroscience Lab, The Berkeley Wireless Research Center, Intel Corporation and Agilent Laboratories. He received his MS and PhD in Electrical engineering in the field of low power integrated circuits for wireless sensors from the University of California, Berkeley.”

Verily’s nanoparticle program finds its swerve with Verve” by Mark Audeh, Nanoparticle Program Lead, Verily, May 7, 2019

“One of the first programs at Verily, back when it was still a part of Google X, was our nanoparticle program. At the time, we wanted to see whether nanoparticles could be designed to find and attach to particular types of cells and to be detected and measured by a body-worn device once the nanoparticles found their targets . . . Theoretically, nanoparticles can be engineered to deliver specific therapies to individual cells or tissues . . .

. . . nanoparticle irreproducibility was an ongoing problem for us . . . Many commercially available particles we worked with initially were insufficiently characterized and exhibited inconsistent properties . . . While nanoparticle-based therapeutics exist, they only serve to alter the solubility, toxicity, or pharmacodynamics of a drug . . .” 

We saw an opportunity to contribute meaningfully in this area, by developing a high-throughput synthesis and screening platform to engineer libraries of well-characterized nanoparticles with predictable properties at scale (emphasis added).

Such a platform would allow us to . . . generate a considerable amount of data on novel nanoparticle formulations that will help us better understand their behavior and improve future design . . .

. . . We have also invested in and optimized instrumentation for in-depth, high throughput characterization and data capture on all of the particles we produce to develop a clear picture of the physical characteristics and chemical composition of the particles (i.e. size, charge, stability) and the impact they have on biological behaviors.This includes assessing binding to specific cell types, toxicity, tissue penetration, and so on (emphasis added).”

In addition to this high throughput in vitro screening, we have developed a proprietary method of ‘barcoding’ unique particle formulations to conduct in vivo studies in what we anticipate will be a faster and more efficient manner. Currently, particles are tracked in vivo largely using fluorescence, making it challenging to study more than one at a time. By embedding unique DNA “barcodes” in the particles, we can track them with precision in vivo using DNA sequencing. This means we should be able to study many unique formulations in a single in vivo model, tracking each formulation’s location and stability independently. We are just beginning this work of assessing the biology of formulations in vivo (emphasis added).

By gathering all of this information on the chemistry, the physical characteristics, in vitro assay results, and in vivo study results, we are building a data analysis pipeline to more efficiently design and synthesize particles in the future (emphasis added).

Verily, I swear. Google Life Sciences debuts a new nameSTAT, by Charles Piller, December 7, 2015

Business profile of Andrew Conrad, Founder and CEO of Verily, a Google Life Sciences company

Nano Liposomes in Novel Drug Delivery Systems: a reviewNanotechnology, February 2016

Ionizable cationic lipid for RNA delivery” (patent)

Lipid Nanoparticles Enabling Gene Therapies: From Concepts to Clinical UtilityNucleic Acid Therapeutics, June 2018

Nanotoxicity: a key obstacle to clinical translation of siRNA-based nanomedicine” Nanomedicine (Lond), February 2014.

“The positive charges can facilitate interaction with the negatively charged cell surface [35,36]. Cellular damage can be caused by direct interactions between the cationic groups and cellular components, or indirectly by reactive oxidative species (ROS) formed in the presence of cationic materials. The resulting cell toxicity can be manifested in an acute or delayed manner [37]. It should be noted that the mechanism about how cationic nanomaterials cause cyto-toxicity is still not well understood and an alternative mechanism has been proposed [38]. Other obvious damage includes ‘lysosomal overload’ of poorly biodegradable nanocarriers, which results in the accumulation of visible autophagic vacuoles and apoptotic cell death [39] (emphasis added).”

Posted on by Stephers

Posted in Biology, Control of the herd, COVID-19, Crimes Against Humanity, DARPA, Engineering, Fighting Medical Fascism, Health and Nutrition, Medical Fascism, Pursuit of truth, Vaxxing, Zombie

La lettre de Spartacus : tout ce que vous devriez savoir sur la « crise » Covid.

SOMMAIRE

  • Physiopathologie et traitements du COVID-19
  • Transmission du COVID-19
  • Dangers des vaccins COVID-19
  • Conspiration criminelle autour du COVID-19
  • Développement des vaccins COVID-19 et liens avec le transhumanisme
  • Conclusions

Attention : quelques détails assez curieux (par exemple la notion que les « vaccins » éviteraient de faire une forme grave de la maladie alors que c’est exactement le contraire) pourraient indiquer une opération de limited hangout, comme à peu près tout ce qui est publié sur le sujet. Sinon, la majorité des infos semble solide. A vous de faire le tri.

Source.

Lisez, diffusez, résistez.


Traduction

Bonjour,

Je m’appelle Spartacus, et j’en ai assez.

Nous avons été forcés de regarder l’Amérique et le monde libre s’enfoncer dans un déclin inexorable à cause d’une attaque de guerre biologique. Nous, ainsi que d’innombrables autres personnes, avons été victimisés et désorientés par des opérations de propagande et de guerre psychologique menées par une élite non-élue et non-responsable contre le peuple américain et nos alliés.

Notre santé mentale et physique a énormément souffert au cours de la dernière année et demie. Nous avons ressenti la morsure de l’isolement, du verrouillage, du masquage, des quarantaines, et d’autres actes complètement absurdes d’un théâtre sanitaire qui n’ont absolument rien fait pour protéger la santé ou le bien-être du public de la pandémie actuelle de COVID-19.

Maintenant, nous regardons l’establishment médical injecter un véritable poison à des millions de nos concitoyens Américains sans la moindre résistance.

On nous a dit que nous serions licenciés et privés de nos moyens de subsistance si nous refusions de nous faire vacciner. Ça a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.

Nous avons passé des milliers d’heures à analyser les images qui fuitaient de Wuhan, les documents scientifiques de sources primaires ainsi que les traces écrites laissées par l’establishment médical.

Ce que nous avons découvert choquerait n’importe qui.

Nous allons d’abord résumer nos découvertes, puis nous les expliquerons en détail. Les références seront placées à la fin.

Résumé :

  • Le COVID-19 est une maladie du sang et des vaisseaux sanguins. Le SRAS-CoV-2 infecte la paroi des vaisseaux sanguins humains, ce qui provoque un épanchement pulmonaire.
  • Les protocoles de traitement actuels (par exemple, la ventilation invasive) sont activement nuisibles aux patients, ils accélèrent le stress oxydatif et provoquent de graves lésions pulmonaires induites par le respirateur (ventilator-induced lung injuries – VILI). L’utilisation continue de respirateurs en l’absence de tout bénéfice médical prouvé constitue un meurtre de masse.
  • Les contre-mesures existantes sont inadéquates pour ralentir la propagation de ce qui est un virus aérosolisé et potentiellement transmis par les eaux usées et constituent une forme de théâtre médical.
  • Diverses interventions non-vaccinales ont été supprimées à la fois par les médias et par l’establishment médical en faveur des vaccins et des médicaments brevetés coûteux.
  • Les autorités ont nié l’utilité de l’immunité naturelle contre le COVID-19, malgré le fait que l’immunité naturelle confère une protection contre toutes les protéines du virus, et pas seulement contre une.
  • Les vaccins feront plus de mal que de bien. L’antigène sur lequel ces vaccins sont basés, SRAS-CoV- 2, est une protéine toxique. Le SRAS-CoV-2 peut présenter un ADE, ou facilitation de l’infection par anticorps (antibody-dependent enhancement) ; les anticorps actuels pourraient ne pas neutraliser les futures souches, mais au contraire les aider à infecter les cellules immunitaires. De plus, le fait de vacciner pendant une pandémie avec un vaccin qui fuit [NdT. qui permet une fuite immunitaire] supprime la pression évolutive qui pousse un virus à devenir moins mortel.
  • Il existe une vaste et effroyable conspiration criminelle qui lie directement Anthony Fauci et Moderna à l’Institut de Virologie de Wuhan.
  • Les chercheurs du vaccin COVID-19 sont directement liés à des scientifiques impliqués dans la technologie de l’interface cerveau-ordinateur (« lacet neuronal »). L’un d’entre eux a été inculpé pour avoir reçu des subventions de la Chine.
  • Des chercheurs indépendants ont découvert de mystérieuses nanoparticules à l’intérieur des vaccins qui ne sont pas censées s’y trouver.
  • L’ensemble de la pandémie est utilisé comme une excuse pour une vaste transformation politique et économique de la société occidentale qui enrichira les déjà riches et transformera le reste d’entre nous en serfs et en intouchables.

Physiopathologie et traitements du COVID-19 :

Le COVID-19 n’est pas une pneumonie virale. Il s’agit d’une endothélite vasculaire virale qui s’attaque à la paroi des vaisseaux sanguins, en particulier aux petits capillaires alvéolaires pulmonaires, entraînant l’activation et la destruction des cellules endothéliales, une coagulopathie, une septicémie, un œdème pulmonaire et des symptômes de type SDRA. Il s’agit d’une maladie du sang et des vaisseaux sanguins. Du système circulatoire. Toute pneumonie qu’elle provoque en est une conséquence secondaire.

Dans les cas graves, cela entraîne une septicémie, des caillots sanguins et une défaillance de plusieurs organes, y compris des lésions hypoxiques et inflammatoires de divers organes vitaux, comme le cerveau, le cœur, le foie, le pancréas, les reins et les intestins.

Parmi les résultats de laboratoire les plus courants dans le COVID-19, on trouve une élévation du taux de D-dimères, un temps de prothrombine élevé, une protéine C-réactive élevée et un taux d’hémoglobine élevé, une neutrophilie, une lymphopénie, une hypocalcémie et une hyperferritinémie, correspondant essentiellement à un profil de coagulopathie et d’hyperactivation du système immunitaire/épuisement des cellules immunitaires.

Le COVID-19 peut se présenter sous presque n’importe quelle forme, en raison du tropisme important du SRAS-CoV-2 pour divers tissus dans les organes vitaux de l’organisme. Bien que sa présentation initiale la plus courante soit une maladie respiratoire et des symptômes de type grippal, il peut se présenter sous la forme d’une inflammation cérébrale, d’une maladie gastro-intestinale, voire d’une crise cardiaque ou d’une embolie pulmonaire.

Le COVID-19 est plus grave chez les personnes présentant des comorbidités spécifiques, telles que l’obésité, le diabète et l’hypertension. Cela est dû au fait que ces conditions impliquent un dysfonctionnement endothélial, qui rend le système circulatoire plus sensible à l’infection et aux lésions par ce virus particulier.

La grande majorité des cas de COVID-19 sont bénins et ne provoquent pas de maladie significative. Dans les cas connus, il existe une règle dite des 80/20, selon laquelle 80 % des cas sont bénins et 20 % sont graves ou critiques.

Cependant, ce ratio n’est correct que pour les cas connus, et non pour toutes les infections. Le nombre d’infections réelles est beaucoup, beaucoup plus élevé. Par conséquent, le taux de mortalité et de morbidité est plus faible. Cependant, le COVID-19 se propage très rapidement, ce qui signifie qu’un nombre important de patients gravement malades et en état critique apparaissent dans un court laps de temps.

Chez ceux qui présentent une septicémie critique induite par le COVID-19, une hypoxie, une coagulopathie et un SDRA, les traitements les plus courants sont l’intubation, l’injection de corticoïdes et les anticoagulants. Ce n’est pas le traitement approprié pour le COVID-19. En cas d’hypoxie sévère, les changements métaboliques cellulaires provoquent la décomposition de l’ATP en hypoxanthine, qui, lors de la réintroduction de l’oxygène, fait que la xanthine oxydase produit des tonnes de radicaux très nocifs qui attaquent les tissus. C’est ce qu’on appelle une lésion d’ischémie-reperfusion, et c’est pourquoi la majorité des gens qui sont mis sous respirateur meurent. Dans la mitochondrie, l’accumulation de succinate due à la septicémie fait exactement la même chose ; quand l’oxygène est réintroduit, il produit des radicaux superoxyde. N’en doutez pas, l’intubation tue les gens qui ont le COVID-19.

Le stade final du COVID-19 est une peroxydation lipidique sévère, où les graisses dans le corps commencent à « rouiller » à cause des dommages causés par le stress oxydatif. Cela entraîne une auto-immunité. Les lipides oxydés apparaissent comme des corps étrangers pour le système immunitaire, qui reconnaît et forme des anticorps contre les OSE, ou épitopes spécifiques de l’oxydation (oxidation-specific epitopes). De plus, les lipides oxydés alimentent directement les récepteurs de reconnaissance des formes, déclenchant encore plus d’inflammation et en appelant encore plus de cellules du système immunitaire inné qui libèrent encore plus d’enzymes destructeurs. Ce phénomène est similaire à la pathophysiologie du lupus.

La décomposition de la pathologie est la suivante :

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 se lie à l’ACE2. L’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 est une enzyme qui fait partie du système rénine-angiotensine-aldostérone, ou SRAA. Le SRAA est un système de contrôle hormonal qui modère volume de liquide dans le corps et dans la circulation sanguine (c’est-à-dire l’osmolarité) en contrôlant la rétention et l’excrétion du sel. Cette protéine, l’ACE2, est omniprésente dans toutes les parties du corps qui sont en relation avec le système circulatoire, en particulier dans les cellules endothéliales vasculaires et les péricytes, les astrocytes du cerveau, les tubules rénaux et les podocytes, les cellules des îlots pancréatiques, les cellules épithéliales du canal biliaire et de l’intestin, ainsi que les canaux séminifères des testicules, toutes ces cellules pouvant être infectées par le SRAS-CoV-2, et pas seulement les poumons.

Le SRAS-CoV-2 infecte une cellule de la manière suivante : la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 subit un changement de conformation au cours duquel les trimères du S1 se retournent et s’étendent, se verrouillant sur l’ACE2 lié à la surface d’une cellule. La TMPRSS2, ou protéase transmembranaire sérine 2 (transmembrane protease serine 2), arrive et coupe les têtes de la protéine de pointe, exposant la sous-unité S2 en forme de tige à l’intérieur. Le reste de la protéine de pointe subit un changement de conformation qui fait qu’elle se déplie comme une échelle à coulisse, s’encastrant dans la membrane cellulaire. Puis, elle se replie sur elle-même, rapprochant la membrane virale et la membrane cellulaire. Les deux membranes fusionnent, et les protéines du virus migrent à la surface de la cellule. La nucléocapside du SRAS-CoV-2 entre dans la cellule, dégorgeant son matériel génétique et commençant le processus de réplication virale, détournant les structures de la cellule pour produire plus de virus.

Les protéines de pointe du SRAS-CoV-2 incorporées dans une cellule peuvent en fait provoquer la fusion des cellules humaines, formant ainsi des syncytia/CGM (cellules géantes multinucléaires). Elles ont également d’autres effets pathogènes et nocifs. Le SRAS-CoV- 2, comme la protéine d’enveloppe, agissent comme des canaux ioniques calciques, introduisant du calcium dans les cellules infectées. Le virus supprime la réponse naturelle à l’interféron, ce qui entraîne une inflammation retardée. La protéine N du SRAS-CoV-2 peut également activer directement l’inflammasome NLRP3. Elle supprime également la voie antioxydante Nrf2. La suppression de l’ACE2 par la liaison avec la protéine de pointe entraîne une accumulation de bradykinine qui serait autrement décomposée par l’ACE2.

Cet influx constant de calcium dans les cellules entraîne (ou s’accompagne) d’une hypocalcémie notable, ou faible taux de calcium dans le sang, en particulier chez les personnes présentant des carences en vitamine D et un dysfonctionnement endothélial préexistant. La bradykinine régule à la hausse l’activité de l’AMPc, du GMPc, de la COX et de la phospholipase C. Il en résulte une sécrétion de prostaglandine et une augmentation considérable de la signalisation calcique intracellulaire, ce qui favorise une libération très agressive de ERO (espèces réactives de l’oxygène) et une diminution de l’ATP. La NADPH oxydase libère du superoxyde dans l’espace extracellulaire. Les radicaux superoxydes réagissent avec l’oxyde nitrique pour former du peroxynitrite. Le peroxynitrite réagit avec la tétrahydrobioptérine nécessaire à la synthase d’oxyde nitrique endothéliale, le détruisant et « découplant » les enzymes, ce qui amène la synthase de l’oxyde nitrique (NOS) à synthétiser davantage de superoxyde à la place. Ce processus se déroule dans une boucle de rétroaction positive jusqu’à ce que la biodisponibilité de l’oxyde nitrique dans le système circulatoire soit épuisée.

L’oxyde nitrique gazeux produit en permanence par la eNOS remplit de nombreuses fonctions importantes, mais il est aussi antiviral contre les coronavirus de type SRAS, en empêchant la palmitoylation de la protéine de pointe virale et en rendant plus difficile sa liaison aux récepteurs de l’hôte. La perte de NO permet au virus de commencer à se répliquer en toute impunité dans l’organisme. Les personnes qui présentent un dysfonctionnement endothélial (c’est-à-dire hypertension, diabète, obésité, vieillesse, race afro-américaine) ont des problèmes d’équilibre redox au départ, ce qui donne un avantage au virus.

En raison de la libération extrême de cytokines déclenchée par ces processus, le corps convoque une grande quantité de neutrophiles et de macrophages alvéolaires dérivés de monocytes dans les poumons. Les cellules du système immunitaire inné sont les défenseurs de première ligne contre les agents pathogènes. Elles agissent en engloutissant les envahisseurs et en essayant de les attaquer avec des enzymes qui produisent de puissants oxydants, comme la SOD (superoxyde dismutase) et la MPO (myéloperoxydase). La superoxyde dismutase prend du superoxyde et produit du peroxyde d’hydrogène, et la myéloperoxydase prend du peroxyde d’hydrogène et des ions de chlore et produit de l’hypochlorite, qui est beaucoup, beaucoup plus réactif que l’hypochlorite de sodium de l’eau de Javel.

Les neutrophiles peuvent jouer un sale tour. Ils peuvent aussi éjecter ces enzymes dans l’espace extracellulaire, où ils vont continuellement cracher du peroxyde et de l’hypochlorite dans le sang. C’est ce qu’on appelle la formation de pièges extracellulaires pour les neutrophiles (NET), ou, lorsqu’elle devient pathogène et contre-productive, la NETose. Dans les cas graves et critiques du COVID-19, il y a en fait une NETose assez sévère.

L’acide hypochloreux qui s’accumule dans la circulation sanguine commence à réagir avec le fer de l’hème et à le concurrencer comme site de fixation de l’oxygène. Les globules rouges perdent leur capacité à transporter l’oxygène, et le visage de la personne atteinte devient bleu. Le fer, le peroxyde d’hydrogène et le superoxyde non libérés dans la circulation sanguine subissent les réactions de Haber-Weiss et de Fenton, produisant des radicaux hydroxyles extrêmement réactifs qui arrachent violemment les électrons des graisses et de l’ADN environnants, les oxydant sévèrement.

Cet état n’est pas inconnu de la science médicale. Son nom exact est septicémie aiguë.

Nous savons que c’est ce qui se passe dans le COVID-19 parce que les gens qui sont morts de cette maladie ont des signatures de ferroptose dans leurs tissus, ainsi que d’autres marqueurs de stress oxydatif tels que la nitrotyrosine, le 4-HNE, et le malondialdéhyde.

Lorsque vous intubez une personne atteinte de cette maladie, vous déclenchez une bombe à radicaux libres en alimentant les cellules en O2. C’est un cercle vicieux, car nous avons besoin d’oxygène pour fabriquer de l’adénosine triphosphate (c’est-à-dire pour vivre), mais l’O2 est aussi le précurseur de tous ces radicaux nuisibles qui conduisent à la peroxydation des lipides.

Le traitement correct de la septicémie grave liée au COVID-19 est la ventilation non invasive, les stéroïdes et les perfusions d’antioxydants. La plupart des médicaments réadaptés pour le COVID-19 qui présentent un quelconque avantage pour le sauvetage des patients gravement malades sont des antioxydants. La N-acétylcystéine, la mélatonine, la fluvoxamine, le budésonide, la famotidine, la cimétidine et la ranitidine sont tous des antioxydants. L’indométhacine empêche l’oxydation par le fer de l’acide arachidonique en isoprostanes. Il existe de puissants antioxydants, comme l’apocynine, qui n’ont même pas encore été testés sur les patients COVID-19 et qui pourraient défaire les neutrophiles, prévenir la peroxydation lipidique, rétablir la santé endothéliale et restaurer l’oxygénation des tissus.

Les scientifiques qui connaissent un tant soit peu la neutrophilie pulmonaire, le SDRA et la biologie redox ont compris ou supposé beaucoup de tout cela depuis mars 2020. En avril 2020, des scientifiques suisses ont confirmé que le COVID-19 était une endothélite vasculaire. A la fin de 2020, les experts avaient déjà conclu que le COVID-19 provoque une forme de septicémie virale. Ils savent également que la septicémie peut être traitée efficacement avec des antioxydants. Aucune de ces informations n’est particulièrement nouvelle, et pourtant, dans la plupart des cas, elle n’a pas été prise en compte. Les médecins continuent à utiliser techniques d’intubation préjudiciables avec des réglages PEEP élevés malgré une compliance pulmonaire élevée et une mauvaise oxygénation, tuant un nombre incalculable de patients gravement malades par faute médicale.

En raison de la manière dont ils sont construits, les essais contrôlés randomisés ne montreront jamais aucun avantage pour aucun antiviral contre le COVID-19. Ni le Remdesivir, ni le Kaletra, ni la HCQ, ni l’Ivermectine. La raison en est simple : pour les patients qu’ils ont recrutés pour ces études, comme la ridicule étude RECOVERY d’Oxford, l’intervention est trop tardive pour avoir un quelconque effet positif.

L’évolution clinique du COVID-19 est telle qu’au moment où la plupart des personnes consultent un médecin pour hypoxie, leur charge virale a déjà diminué au point de devenir presque nulle. Si quelqu’un a été exposé depuis environ 10 jours et qu’elle est déjà symptomatique depuis cinq jours, il ne reste pratiquement plus de virus dans son organisme, mais seulement des lésions et des dérèglements cellulaires qui ont déclenché une réponse hyperinflammatoire. C’est dans ce groupe que les essais cliniques pour les antiviraux ont recruté, presque exclusivement.

Dans ces essais, on donne des antiviraux à des patients gravement malades qui n’ont pas de virus dans leur corps, mais seulement une réponse hyperinflammatoire retardée, puis on affirme de manière absurde que les antiviraux n’ont aucune utilité dans le traitement ou la prévention du COVID-19. Ces essais cliniques ne recrutent pas de personnes pré-symptomatiques. Ils ne ne testent pas la prophylaxie pré-exposition ou post-exposition.

C’est comme si on utilisait un défibrillateur pour choquer uniquement les personnes en arrêt cardiaque, et qu’on prétendait ensuite de manière absurde que les défibrillateurs n’ont aucune utilité médicale lorsque les patients refusent de se relever d’entre les morts. L’intervention est trop tardive. Ces essais d’antiviraux montrent un biais de sélection systématique et flagrant. Ils fournissent un traitement qui est futile pour la cohorte spécifique qu’ils enrôlent.

L’Inde est allée à l’encontre des instructions de l’OMS et a rendu obligatoire l’utilisation prophylactique de l’Ivermectine. Ils ont presque complètement éradiqué le COVID-19. L’Association du Barreau Indien de Mumbai a porté des accusations criminelles contre le scientifique en chef de l’OMS, le Dr Soumya Swaminathan, pour avoir recommandé de ne pas utiliser l’Ivermectine.

L’ivermectine n’est pas un « vermifuge pour chevaux ». Oui, elle est vendue sous forme de pâte vétérinaire comme vermifuge pour les animaux. Elle est également disponible sous forme de pilule pour les humains depuis des décennies, en tant que médicament antiparasitaire.

Les médias ont prétendu de façon fallacieuse que parce que l’Ivermectine est un médicament antiparasitaire, elle n’a aucune utilité en tant qu’antivirus. Cette affirmation est inexacte. L’Ivermectine a une utilité en tant qu’antiviral. Elle bloque l’importine, empêchant l’importation nucléaire, inhibant efficacement l’accès viral aux noyaux cellulaires. De nombreux médicaments actuellement sur le marché ont plusieurs modes d’action. L’ivermectine est l’un de ces médicaments. Elle est à la fois antiparasitaire et antivirale.

Au Bangladesh, l’ivermectine coûte 1,80 $ pour un traitement complet de 5 jours. Le Remdesivir, qui est toxique pour le foie, coûte 3.120 $ pour un traitement de 5 jours. Des milliards de dollars de Remdesivir totalement inutile ont été vendus à nos gouvernements aux frais du contribuable, et il s’est avéré totalement inutile pour traiter l’hyperinflammation du COVID-19. Les médias ont à peine couvert cette affaire.

L’opposition à l’utilisation de l’Ivermectine générique n’est pas fondée sur la science. Elle est purement motivée par des raisons financières et politiquement motivée. Une intervention non-vaccinale efficace mettrait en danger l’approbation précipitée de la FDA de vaccins et de médicaments brevetés pour lesquels l’industrie pharmaceutique s’apprête à rafler des milliards et des milliards de dollars de ventes sur une base continue.

La majorité du public est scientifiquement analphabète et ne peut pas comprendre ce que tout cela signifie, à cause d’un système éducatif pathétique qui les a mal éduqués. Vous seriez chanceux de trouver 1 personne sur 100 qui ait la moindre idée de ce que tout cela signifie.

Transmission du COVID-19 :

Le COVID-19 est transmis par voie aérienne. L’OMS a soutenu la Chine en affirmant que le virus n’était transmis que par gouttelettes. Notre propre CDC a affirmé de manière absurde qu’il était principalement transmis par contact de personne à personne, ce qui, étant donné sa propagation rapide de Wuhan au reste du monde, aurait été physiquement impossible.

La croyance ridicule que le contact fomite-à-visage est un mode de transmission primaire a conduit à l’utilisation de protocoles de désinfection des surfaces qui ont entraîné une perte de temps, d’énergie, de productivité et de désinfectant.

Les directives de distanciation sociale de six pieds [NdT. environ 1,80m] sont absolument inutiles. La distance minimale de sécurité pour se protéger d’un virus aérosolisé est de plus de 6 mètres d’une personne infectée, pas moins. En réalité, aucun transport public n’est sûr.

Les masques chirurgicaux ne protègent pas des aérosols. Le virus est trop petit et le média filtrant a des mailles trop larges pour le filtrer. Ils peuvent capter les gouttelettes respiratoires et empêcher le virus d’être expulsé par une personne malade, mais ils ne filtrent pas un nuage d’aérosols infectieux si quelqu’un entre dans ce nuage.

Le niveau minimum de protection contre ce virus est littéralement un respirateur P100, un PAPR/CAPR, ou un respirateur 40 mm de l’OTAN, idéalement associé à une combinaison intégrale en Tyvek ou Tychem, des gants et des chaussons, dont tous les trous et interstices ont été scotchés.

Le SRAS-CoV-2 vivant peut être détecté dans les écoulements d’eaux usées et il peut y avoir une transmission oro-fécale. Au cours de l’épidémie de SRAS en 2003, lors de l’incident d’Amoy Gardens, des centaines de personnes ont été infectées par des matières fécales en aérosol provenant des siphons de sol de leurs appartements.

Dangers des vaccins COVID-19 :

Les vaccins contre le COVID-19 ne sont pas stérilisants et ne préviennent pas l’infection ou la transmission. Ce sont des vaccins « fuyants ». Cela signifie qu’ils suppriment la pression évolutive exercée sur le virus pour qu’il devienne moins mortel. Cela signifie également que les vaccinés sont des porteurs parfaits. En d’autres termes, ceux qui sont vaccinés sont une menace pour les non-vaccinés, et non l’inverse.

Tous les vaccins COVID-19 actuellement utilisés ont subi un minimum de tests, avec des essais cliniques. Bien qu’ils semblent limiter les maladies graves, le profil de sécurité à long terme de ces vaccins reste inconnu.

Certains de ces soi-disant « vaccins » font appel à une nouvelle technologie non testée qui n’a jamais été utilisée dans des vaccins auparavant. Les vaccins traditionnels utilisent des virus affaiblis ou tués pour stimuler une réponse immunitaire. Ce n’est pas le cas des vaccins Moderna et Pfizer-BioNTech. Ils sont censés consister en une injection intramusculaire contenant une suspension de nanoparticules lipidiques remplies d’ARN messager. Ces nanoparticules génèrent une réponse immunitaire en fusionnant avec les cellules de l’épaule du sujet vacciné, en subissant une endocytose, en libérant leur ARNm dans ces cellules, puis en utilisant les ribosomes de ces cellules pour synthétiser in situ des protéines de pointe modifiées du SRAS-CoV-2.

Ces protéines de pointe modifiées migrent ensuite vers la surface de la cellule, où elles sont ancrées en place par un domaine transmembranaire. Le système immunitaire adaptatif détecte la protéine virale non humaine exprimée par ces cellules, puis forme des anticorps contre cette protéine. Cela est censé conférer une protection contre le virus, en entraînant le système immunitaire adaptatif à reconnaître et à produire des anticorps contre la protéine de pointe du virus réel. Les vaccins de J&J et d’AstraZeneca ont une action similaire, mais utilisent un vecteur adénoviral pour la transmission du matériel génétique au lieu d’une nanoparticule lipidique. Ces vaccins ont été produits ou validés à l’aide de lignées cellulaires fœtales HEK-293 et PER.C6, ce à quoi les personnes ayant certaines convictions religieuses peuvent fortement s’opposer.

La protéine de pointe du SRARS-CoV-2 est une protéine hautement pathogène en elle-même. Il est impossible de surestimer le danger que représente l’introduction de cette protéine dans le corps humain.

Les fabricants de vaccins prétendent que le vaccin reste dans les cellules de l’épaule et que la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 produite et exprimée par ces cellules à partir du matériel génétique du vaccin est inoffensif et inerte, grâce à l’insertion de prolines dans la séquence de la protéine de pointe pour la stabiliser dans la conformation de préfusion, empêchant la protéine de pointe de devenir active et de fusionner avec d’autres cellules. Cependant, une étude pharmacocinétique réalisée au Japon a montré que les nanoparticules lipidiques et l’ARNm du vaccin Pfizer ne sont pas restées dans l’épaule et se sont en fait bioaccumulées dans de nombreux organes différents, y compris les organes reproducteurs et les glandes surrénales, ce qui signifie que la protéine de pointe modifiée est exprimée littéralement partout. Ces nanoparticules lipidiques peuvent déclencher une anaphylaxie chez quelques malchanceux, mais ce qui est bien plus inquiétant, c’est l’expression non régulée de la protéine de pointe dans diverses lignées de cellules somatiques éloignées du site d’injection et les conséquences inconnues qui en découlent.

L’ARN messager est normalement consommé juste après sa production dans l’organisme, étant traduit en protéine par un ribosome. L’ARNm du vaccin COVID-19 est produit en dehors du corps, bien avant qu’un ribosome ne le traduise. Entre-temps, il peut accumuler des dommages s’il est mal conservé. Lorsqu’un ribosome tente de traduire un brin d’ARNm endommagé, il peut se bloquer. Lorsque cela se produit, le ribosome devient inutile pour la traduction des protéines car il a maintenant un morceau d’ARNm coincé en lui, comme une carte de dentelle [NdT. Une carte de dentelle est une carte avec tous les trous perforés, principalement utilisées comme blagues pour perturber les lecteurs de cartes] dans un vieux lecteur de cartes perforées. Le tout doit être nettoyé et de nouveaux ribosomes doivent être synthétisés pour le remplacer. Dans les cellules dont la rotation des ribosomes est faible, comme les cellules nerveuses, cela peut entraîner une réduction de la synthèse des protéines, des effets cytopathiques et des neuropathies.

Certaines protéines, y compris la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, ont des sites de clivage protéolytique qui ressemblent à de petites lignes en pointillé indiquant « coupez ici », qui attirent les protéases d’un organisme vivant (essentiellement des ciseaux moléculaires) pour les couper. Il est possible que la S1 soit clivée protéolytiquement de la S2, ce qui fait que la S1 active s’échappe dans la circulation sanguine tout en laissant la « tige » de la S2 intégrée dans la membrane de la cellule qui a exprimé la protéine.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 possède une région superantigénique (SAg), qui peut favoriser une inflammation extrême.

Une étude a montré que les anticorps anti-protéine de pointe fonctionnent comme des auto-anticorps et attaquent les cellules de l’organisme. Les personnes qui ont été vaccinées avec les vaccins COVID-19 ont développé des caillots sanguins, une myocardite, le syndrome de Guillain-Barré, la paralysie de Bell et des poussées de sclérose en plaques, ce qui indique que le vaccin favorise les réactions auto-immunes contre les tissus sains.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 ne se lie pas seulement à l’ACE2. On soupçonne qu’elle possède des régions qui se lient à la basigine, aux intégrines, à la neuropiline-1 et aux lipopolysaccharides bactériens. La protéine de pointe du SRAS-CoV-2, par elle-même, peut potentiellement se lier à n’importe lequel de ces éléments et agir comme un ligand pour eux, déclenchant une activité cellulaire non spécifiée et probablement très inflammatoire.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 contient un insert d’ERAR inhabituel qui forme un site de clivage de la furine. La furine est une protéase humaine omniprésente, ce qui en fait une propriété idéale pour la protéine de pointe, lui conférant un degré élevé de tropisme cellulaire. Aucun coronavirus sauvage de type SRAS apparenté au SRAS-CoV-2 ne possède cette caractéristique, ce qui le rend très suspect, et pourrait être un signe de manipulation humaine.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 possède un domaine de type prion qui accroît son pouvoir infectieux.

Le RBD S1 de la protéine de pointe peut se lier aux protéines de liaison à l’héparine et favoriser l’agrégation amyloïde. Chez l’homme, cela pourrait conduire à la maladie de Parkinson, à la démence à corps de Lewy, à la maladie d’Alzheimer prématurée, ou à diverses autres maladies neurodégénératives. Ceci est très préoccupant car la protéine de pointe S1 du SRAS-CoV-2 est capable de causer des dommages et de traverser la barrière hémato-encéphalique et de pénétrer dans le cerveau. Elle est également capable d’augmenter la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique à d’autres molécules.

Le SRAS-CoV-2, comme d’autres bêtacoronavirus, peut présenter un ADE de type Dengue, ou une facilitation de l’infection par anticorps. Pour ceux qui l’ignorent, certains virus, dont les bêta-coronavirus, présentent une caractéristique appelée ADE. Il existe aussi ce qu’on appelle le péché antigénique originel (Original Antigenic Sin), dans lequel on observe que l’organisme préfère produire des anticorps basés sur des souches virales déjà rencontrées plutôt que sur des souches nouvellement rencontrées.

Dans le cas de l’ADE, les anticorps d’une infection antérieure deviennent non-neutralisants en raison de mutations dans les protéines du virus. Ces anticorps non-neutralisants agissent alors comme des chevaux de Troie, permettant au virus vivant et actif d’être d’être attiré dans les macrophages par l’intermédiaire de leurs récepteurs Fc, ce qui permet au virus d’infecter des cellules immunitaires qu’il n’aurait pas été capable d’infecter auparavant. C’est ce qui s’est produit avec la dengue ; lorsqu’une personne est atteinte de la dengue, qu’elle se rétablit et qu’elle contracte une autre souche, elle peut devenir très, très malade.

Si quelqu’un est vacciné avec un ARNm basé sur la protéine de pointe de la souche initiale de Wuhan du SRAS-CoV-2, et qu’elle est ensuite infectée par une nouvelle souche mutée du virus, elle peut tomber gravement malade. En d’autres termes, il est possible que les vaccins sensibilisent une personne à la maladie.

Il existe un précédent dans l’histoire récente. Le vaccin Dengvaxia de Sanofi contre la dengue a échoué parce qu’il a provoqué une sensibilisation immunitaire chez des personnes dont le système immunitaire n’avait jamais été exposé à la dengue.

Chez les souris immunisées contre le SRAS-CoV et exposées au virus, un proche parent du SRAS-CoV-2, elles ont ont développé une immunosensibilisation, une immunopathologie Th2 et une infiltration d’éosinophiles dans leurs poumons.

On nous a dit que les vaccins à ARNm du SRAS-CoV-2 ne peuvent pas être intégrés dans le génome humain, car l’ARN messager ne peut pas être retransformé en ADN. Cette affirmation est fausse. Il existe des éléments dans les cellules humaines humains appelés rétrotransposons LINE-1, qui peuvent effectivement intégrer l’ARNm dans un génome humain par transcription inverse endogène. Comme l’ARNm utilisé dans les vaccins est stabilisé, il reste dans les cellules plus longtemps, ce qui augmente les chances que cela se produise. Si le gène de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 est intégré dans une partie du génome qui n’est pas silencieuse et qui exprime une protéine, il est possible que les personnes qui reçoivent ce vaccin puissent exprimer continuellement la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 à partir de leurs cellules somatiques pour le reste de leur vie.

En inoculant aux gens un vaccin qui amène leur organisme à produire la protéine de pointe in situ, on leur inocule une protéine pathogène. Une toxine qui peut causer des inflammations à long terme, des problèmes cardiaques, et un risque accru de cancers. A long terme, elle peut aussi potentiellement mener à une maladie neurodégénérative.

Absolument personne ne devrait être obligé de recevoir ce vaccin, en aucune circonstance, et en fait, la campagne de vaccination doit être arrêtée immédiatement.

Conspiration criminelle autour du COVID-19 :

Le vaccin et le virus ont été fabriqués par les mêmes personnes.

En 2014, il y a eu un moratoire sur la recherche sur le gain de fonction du SRAS qui a duré jusqu’en 2017. Cette recherche n’a pas été arrêtée. Au contraire, elle a été externalisée, les subventions fédérales étant blanchies par des ONG.

Ralph Baric est un virologue et un expert du SRAS à l’UNC Chapel Hill en Caroline du Nord.

C’est à lui qu’Anthony Fauci faisait référence lorsqu’il a insisté, devant le Congrès, sur le fait que si des recherches sur les gains de fonction étaient menées, elles étaient menées en Caroline du Nord.

C’était un mensonge. Anthony Fauci a menti devant le Congrès. C’est un crime.

Ralph Baric et Shi Zhengli sont collègues et ont co-écrit des articles ensemble. Ralph Baric a encadré Shi Zhengli dans ses techniques de manipulation de gain de fonction, particulièrement le passage en série, qui résulte en un virus qui semble être d’origine naturelle. En d’autres termes, des armes biologiques indéniables. Le passage en série dans souris humanisées hACE2 a pu produire quelque chose comme le SRAS-CoV-2.

Le financement de la recherche sur le gain de fonction menée à l’Institut de Virologie de Wuhan provient de Peter Daszak. Peter Daszak dirige une ONG appelée EcoHealth Alliance. EcoHealth Alliance a reçu des millions de dollars de subventions du National Institutes of Health/National Institute of Allergy and Infectious Diseases (c’est-à-dire Anthony Fauci), de la Defense Threat Reduction Agency (qui fait partie du Département de la Défense des États-Unis), et de l’Agence des États-Unis pour le Développement International (USAID). Les NIH/NIAID ont contribué à hauteur de quelques millions de dollars, et la DTRA et l’USAID ont chacune contribué à hauteur de dizaines de millions de dollars à cette recherche. Au total, cela représente plus de cent millions de dollars.

EcoHealth Alliance a sous-traité ces subventions à l’Institut de virologie de Wuhan, un laboratoire chinois avec des antécédents très douteux en matière de sécurité et un personnel mal formé, afin qu’il puisse mener des recherches sur le gain de fonction, non pas dans leur luxueux laboratoire P4, mais dans un laboratoire de niveau 2 où les techniciens ne portaient rien de plus sophistiqué qu’un filet à cheveux, des gants en latex et un masque chirurgical, au lieu des combinaisons à bulles utilisées pour travailler avec des virus dangereux. Les scientifiques chinois de Wuhan ont rapporté s’être régulièrement fait mordre et uriner dessus par des animaux de laboratoire. La raison pour laquelle quiconque voudrait externaliser ce travail dangereux et délicat vers la République Populaire de Chine, un pays tristement célèbre pour les accidents industriels et les explosions massives qui ont coûté des centaines de vies, me dépasse complètement, à moins que le but ne soit de déclencher une pandémie intentionnellement.

En novembre 2019, trois techniciens de l’Institut de Virologie de Wuhan ont développé des symptômes correspondant à une maladie de type grippal. Anthony Fauci, Peter Daszak, et Ralph Baric ont su immédiatement ce qui s’était passé, car des canaux de retour existent entre ce laboratoire et nos scientifiques et officiels.

Le 12 décembre 2019, Ralph Baric a signé un accord de transfert de matériel (essentiellement, un NDA) pour recevoir du matériel lié au vaccin à ARNm du coronavirus dont Moderna et les NIH sont copropriétaires. Ce n’est qu’un mois plus tard mois plus tard, le 11 janvier 2020, que la Chine nous a prétendument envoyé la séquence de ce qui allait devenir connu sous le nom de SRAS-CoV-2. Moderna prétend, de manière plutôt absurde, avoir développé un vaccin fonctionnel à partir de cette séquence en moins de 48 heures.

Stéphane Bancel, l’actuel PDG de Moderna, était auparavant PDG de bioMérieux, une multinationale française spécialisée dans les technologies de diagnostic médical, fondée par un certain Alain Mérieux. Alain Mérieux a joué un rôle déterminant dans la construction du laboratoire P4 de l’Institut de Virologie de Wuhan.

La séquence présentée comme la plus proche parente du SRAS-CoV-2, RaTG13, n’est pas un vrai virus. Il s’agit d’une contrefaçon. Elle a été créée en entrant une séquence génétique à la main dans une base de données, afin de créer une histoire de couverture pour l’existence du SRAS-CoV-2, qui est très probablement une chimère à gain de fonction produite à l’Institut de Virologie de Wuhan et qui a fait l’objet d’une fuite accidentelle ou d’une diffusion intentionnelle.

Le réservoir animal du SRAS-CoV-2 n’a jamais été découvert.

Il ne s’agit pas d’une « théorie » de la conspiration. Il s’agit d’une véritable conspiration criminelle, dans laquelle des personnes liées au développement du mRNA-1273 de Moderna sont directement liées à l’Institut de Virologie de Wuhan et à et leur recherche sur le gain de fonction, avec très peu de degrés de séparation, voire aucun. La trace écrite est bien établie.

La théorie de la fuite en laboratoire a été supprimée parce qu’en tirant sur ce fil, on en conclut inévitablement qu’il y a suffisamment de preuves circonstancielles pour lier Moderna, les NIH, l’Institut de Virologie de Wuhan, et à la fois le vaccin et la création du virus. Dans un pays sain d’esprit, cela aurait immédiatement conduit à la plus grande affaire RICO et de meurtre de masse au monde. Anthony Fauci, Peter Daszak, Ralph Baric, Shi Zhengli et Stéphane Bancel, ainsi que leurs complices, auraient été inculpés et poursuivis dans toute la mesure de la loi. Au lieu de cela, des milliards de dollars de nos impôts ont été attribués aux coupables.

Le FBI a fait une descente chez Allure Medical à Shelby Township au nord de Detroit pour avoir facturé à l’assurance des « cures frauduleuses de COVID-19 ». Le traitement qu’ils utilisaient ? De la vitamine C en intraveineuse. Un antioxydant. Ce qui, comme décrit ci-dessus, est un traitement tout à fait valable pour la septicémie induite par le COVID-19, et fait d’ailleurs maintenant partie du protocole MATH+ proposé par le Dr Paul E. Marik.

La FDA a interdit la ranitidine (Zantac) en raison d’une supposée contamination par la NDMA (N-nitrosodiméthylamine). La ranitidine n’est pas seulement un bloqueur de H2 utilisé comme antiacide, mais elle a également un puissant effet antioxydant, éliminant les radicaux hydroxyles. Cela lui confère une utilité dans le traitement du COVID-19.

La FDA a également tenté de retirer des rayons la N-acétylcystéine, un complément d’acide aminé inoffensif et un antioxydant, en obligeant Amazon à le retirer de sa vitrine en ligne.

Cela nous laisse avec une question effrayante : est-ce que la FDA a sciemment supprimé les antioxydants utiles pour traiter la septicémie due au COVID-19 dans le cadre d’une conspiration criminelle contre le public américain ?

L’establishment coopère avec les pires criminels de l’histoire de l’humanité et leur facilite la tâche, suppriment activement les traitements et thérapies non-vaccinales afin de nous contraindre à nous faire injecter les produits de ces criminels dans nos corps. C’est absolument inacceptable.

Développement des vaccins COVID-19 et liens avec le transhumanisme :

Cette section traite de certains aspects plus spéculatifs de la pandémie et de la réaction de l’establishment médical et scientifique à celle-ci, ainsi que les liens troublants entre les scientifiques impliqués dans la recherche de vaccins et les scientifiques dont les travaux impliquent la fusion de la nanotechnologie et des cellules vivantes.

Le 9 juin 2020, Charles Lieber, un chercheur en nanotechnologie de Harvard ayant des décennies d’expérience, a été inculpé par le DOJ (Département de la Justice) pour fraude. Charles Lieber a reçu des millions de dollars de subventions de la part du Département de la Défense des États-Unis, plus précisément des groupes de réflexion militaires DARPA, AFOSR et ONR, ainsi que des NIH et du MITRE. Sa spécialité est l’utilisation de nanofils de silicium à la place d’électrodes de type patch clamp pour surveiller et moduler l’activité intracellulaire, un sujet sur lequel il travaille à Harvard depuis vingt ans. On a prétendu qu’il travaillait sur des batteries à nanofils de silicium en Chine, mais aucun de ses collègues ne se souvient qu’il ait jamais travaillé sur la technologie des batteries; toutes ses recherches portent sur la bionanotechnologie, ou le mélange des nanotechnologies avec les cellules vivantes.

L’accusation porte sur sa collaboration avec l’Université de Technologie de Wuhan. Il avait fait coup double, contre les termes de ses subventions du Ministère de la Défense, et pris de l’argent du plan « Mille talents » de la RPC, un programme que le gouvernement chinois utilise pour corrompre les scientifiques occidentaux afin qu’ils partagent des informations exclusives sur la R&D qui peuvent être exploitées par l’APL pour obtenir un avantage stratégique.

Les articles de Charles Lieber décrivent l’utilisation de nanofils de silicium pour les interfaces cerveau-ordinateur, ou la technologie du « lacet neuronal ». Ses articles décrivent comment les neurones peuvent endocytoser des nanofils de silicium entiers ou des parties de ceux-ci, surveillant et même modulant l’activité neuronale.

Charles Lieber était un collègue de Robert Langer. Ensemble, avec Daniel S. Kohane, ils ont travaillé sur un article décrivant des échafaudages de tissus artificiels qui pourraient être implantés dans un cœur humain pour surveiller son activité à distance.

Robert Langer, ancien élève du MIT et expert en nanotechnologies d’administration de médicaments, est l’un des cofondateurs de la société Moderna. Sa valeur nette s’élève aujourd’hui à 5,1 milliards de dollars américains grâce aux ventes du vaccin mRNA-1273 de Moderna.

Les bibliographies de Charles Lieber et de Robert Langer décrivent essentiellement des techniques d’amélioration de l’homme, c’est-à-dire le transhumanisme. Klaus Schwab, fondateur du Forum Economique Mondial et l’architecte de ce que l’on appelle le « Great Reset », parle depuis longtemps, dans ses livres, du « mélange de la biologie et des machines ».

Depuis ces révélations, des chercheurs indépendants ont découvert que les vaccins COVID-19 pouvaient contenir des nanoparticules d’oxyde de graphène réduit. Des chercheurs japonais ont également trouvé des contaminants inexpliqués dans les vaccins COVID-19.

L’oxyde de graphène est un anxiolytique. Il a été démontré qu’il réduit l’anxiété des souris de laboratoire lorsqu’il est injecté dans leur cerveau. En effet, étant donné la propension de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 à compromettre la barrière hémato-encéphalique et à augmenter sa perméabilité, il s’agit de la protéine parfaite pour préparer le tissu cérébral à l’extravasation de nanoparticules de la circulation sanguine vers le cerveau. Le graphène est également hautement conducteur et, dans certaines circonstances, paramagnétique.

En 2013, sous l’administration Obama, la DARPA a lancé l’initiative BRAIN ; BRAIN est un acronyme pour Brain Research Through Advancing Innovative Neurotechnologies®. Ce programme implique le développement de technologies d’interface cerveau-ordinateur (brain-computer interface – BCI) pour l’armée, notamment des systèmes non invasifs et injectables qui causent des dommages minimes au tissu cérébral lorsqu’ils sont retirés. En principe, cette technologie serait utilisée pour soigner les soldats blessés souffrant de lésions cérébrales traumatiques, pour le contrôle direct par le cerveau de membres prosthétiques, et même de nouvelles capacités telles que le contrôle des drones par l’esprit.

Plusieurs méthodes ont été proposées pour y parvenir, notamment l’optogénétique, la magnétogénétique, les ultrasons, les électrodes implantées et la stimulation électromagnétique transcrânienne. Dans tous les cas, l’objectif est d’obtenir une capacité de lecture ou de lecture-écriture sur les neurones, soit en les stimulant et en les sondant, soit en les rendant particulièrement sensibles à la stimulation et au sondage.

Cependant, l’idée d’une utilisation généralisée de la technologie BCI, comme le dispositif Neuralink d’Elon Musk, soulève de nombreuses inquiétudes quant au respect de la vie privée et à l’autonomie personnelle. La lecture des neurones est déjà problématique en soi. Les interfaces cerveau-ordinateur sans fil peuvent interagir avec l’infrastructure GSM sans fil actuelle ou future, ce qui pose des problèmes de sécurité des données neurologiques. Un pirate informatique ou un autre acteur malveillant pourrait compromettre ces réseaux pour obtenir des données sur le cerveau des gens, puis les exploiter à des fins malveillantes.

Cependant, un dispositif capable d’écrire dans les neurones humains, et pas seulement de les lire, présente une autre série de problèmes éthiques encore plus graves. Une BCI capable d’altérer le contenu de l’esprit d’une personne à des fins inoffensives, comme la projection d’un affichage « tête haute » sur le centre visuel du cerveau ou l’envoi de sons dans le cortex auditif, serait aussi théoriquement capable de modifier l’humeur et la personnalité, ou peut-être même de subjuguer la volonté d’une personne, la rendant totalement obéissante à l’autorité. Cette technologie serait le rêve éveillé d’un tyran. Imaginez des soldats qui tireraient sur leurs propres compatriotes sans hésiter, ou des serfs impuissants qui se contentent de vivre dans de véritables niches à chiens.

Les BCI pourraient être utilisées pour modifier sans scrupule la perception de choses aussi fondamentales que les émotions et les valeurs, changer les seuils de satiété, de bonheur, de colère, de dégoût, etc. des gens. Ce n’est pas sans conséquence. L’ensemble des comportements d’une personne pourrait être modifié par une BCI, y compris des choses telles que supprimer son appétit ou son désir pour pratiquement tout ce qui figure dans la hiérarchie des besoins de Maslow.

Tout est possible lorsqu’on dispose d’un accès direct au cerveau d’une personne et à son contenu. Une personne obèse pourrait être dégoûtée à la vue de la nourriture. Quelqu’un qui est involontairement célibataire pourrait avoir sa libido désactivée pour qu’elle ne désire même pas de sexe du tout. Quelqu’un qui est raciste pourrait être forcé à se réjouir de cohabiter avec des personnes d’autres races. Quelqu’un de violent pourrait être forcé à être doux et soumis. Ces choses peuvent sembler bonnes à un tyran, mais pour les gens normaux, l’idée d’un tel dépassement de l’autonomie personnelle est consternante.

Pour les riches, les lacets neuronaux seraient une aubaine inégalée, leur donnant la possibilité d’augmenter leur intelligence avec des neuroprothèses (c’est-à-dire un « exocortex »), et de donner des ordres irrésistibles directement dans l’esprit de leurs serviteurs dotés d’un BCI, même s’il s’agit d’ordres physiques ou sexuels abusifs qu’ils auraient normalement refusés.

Si le vaccin est une méthode pour introduire subrepticement une BCI injectable dans le corps de millions de personnes à leur insu ou sans leur consentement, alors nous assistons à la montée en puissance d’un régime tyrannique sans équivalent, jamais vu auparavant sur cette planète, un régime qui a l’intention de priver chaque homme, femme, et enfant de son libre arbitre.

Nos défauts sont ce qui nous rend humains. Une utopie obtenue en supprimant le libre arbitre des gens n’est pas une utopie du tout. C’est un cauchemar monomaniaque. En outre, les gens qui nous gouvernent sont des types de la Triade noire à qui on ne peut confier un tel pouvoir. Imaginez être battu et agressé sexuellement par un riche et puissant psychopathe et être forcé de sourire et d’en rire parce que votre lacet neural ne vous donne pas d’autre choix que d’obéir à votre maître.

Les élites vont de l’avant avec cette technologie sans laisser aux gens la possibilité de s’interroger sur les ramifications sociales ou éthiques, ou d’établir des cadres réglementaires qui garantissent que nos choix personnells et notre autonomie ne seront pas supplantés par ces dispositifs. Ils font cela parce qu’ils rêvent secrètement d’un avenir où ils pourront vous traiter pire qu’un animal et où vous ne pourrez même pas vous défendre. Si ce plan diabolique est autorisé à se poursuivre, cela signifiera la fin de l’humanité telle que nous la connaissons.

Conclusions :

La pandémie actuelle a été produite et perpétuée par l’establishment, par l’utilisation d’un virus conçu dans un laboratoire de guerre biologique chinois lié à l’APL, avec l’aide de l’argent des contribuables américains et de l’expertise française.

Cette recherche a été menée sous l’euphémisme absolument ridicule de recherche à « gain de fonction », qui est censée être effectuée afin de déterminer quels virus ont le plus grand potentiel de propagation zoonotique et de vacciner ou de protéger de manière préventive.

La recherche à « gain de fonction/gain de menace », aussi appelée Dual-Use Research of Concern ou DURC, est une recherche sur les armes biologiques sous un autre nom, à consonance plus agréable, simplement pour éviter le tabou de l’appeler par son nom réel. Il s’agit depuis toujours de recherche sur les armes biologiques. Les personnes qui mènent cette recherche comprennent parfaitement qu’ils prennent des agents pathogènes sauvages qui ne sont pas infectieux pour les humains et les rendent plus infectieux, souvent grâce à des subventions de groupes de réflexion militaires qui les encouragent à le faire.

Les virologues qui mènent ce type de recherche sont des ennemis de leurs semblables, comme les pompiers pyromanes. La recherche sur le gain de fonction n’a jamais protégé personne d’une quelconque pandémie. En fait, elle en a maintenant déclenché une, ce qui signifie que son utilité pour la prévention des pandémies est en fait négative. Elle aurait dû être interdite mondialement, et les fous qui l’exécutent auraient dû être mis dans des camisoles de force depuis longtemps.

Que ce soit à cause d’une fuite ou d’une diffusion intentionnelle de l’Institut de Virologie de Wuhan, une souche mortelle de SRAS est maintenant endémique à travers le monde, après que l’OMS, le CDC et les fonctionnaires aient d’abord minimisé les risques, puis aient intentionnellement provoqué une panique et des blocages qui ont mis en danger la santé des gens et leurs moyens de subsistance.

Cela a ensuite été utilisé par la classe aristocratique complètement dépravée et psychopathe qui nous gouverne comme excuse pour forcer les gens à accepter un poison injecté qui peut être un agent de dépeuplement, un agent de contrôle/pacification de l’esprit sous forme de « poussière intelligente » injectable, ou les deux à la fois. Ils pensent qu’ils peuvent s’en tirer en utilisant la stigmatisation sociale du refus du vaccin. Ils ont tort.

Leurs motivations sont claires et évidentes pour quiconque y a prêté attention. Ces mégalomanes ont pillé les fonds de pension du monde libre. Wall Street est insolvable et a connu une crise de liquidités depuis la fin de l’année 2019. L’objectif est maintenant d’exercer un contrôle physique, mental et financier total sur l’humanité avant que nous réalisions à quel point nous avons été extorqués par ces maniaques.

La pandémie et sa réponse ont servi de multiples objectifs pour l’élite :

  • Dissimuler une dépression provoquée par le pillage usuraire de nos économies mené par des capitalistes rentiers et des propriétaires absents qui ne produisent absolument rien qui ait une quelconque valeur pour la société. Au lieu d’avoir un Occupy Wall Street Part II très prévisible, les Elites et leurs laquais ont pu se montrer à la télévision et se présenter comme des sauveurs sages et tout-puissants au lieu de la cabale maraudeuse de méprisables pirates terrestres qu’ils sont.
  • Détruire les petites entreprises et éroder la classe moyenne.
  • Transférer des milliers de milliards de dollars de richesses du public américain dans les poches des milliardaires et d’intérêts particuliers.
  • S’engager dans des délits d’initiés, acheter des actions dans des sociétés de biotechnologie et ruiner les commerces de détail et les agences de voyage, dans le but de faire disparaître le commerce et le tourisme en face-à-face et de les remplacer par le commerce électronique et la servitisation.
  • Créer un casus belli pour une guerre avec la Chine, nous encourager à l’attaquer, gaspiller les vies et l’argent américains et nous conduire au bord de l’armageddon nucléaire.
  • Établir des cadres technologiques et de biosécurité pour le contrôle des populations et des « villes intelligentes » technocratiques-socialistes où les mouvements de chacun sont suivis de façon despotique, tout cela en prévision l’automatisation généralisée, le chômage, et les pénuries alimentaires, en utilisant le faux prétexte d’un vaccin pour forcer la coopération.

Chacune de ces choses constituerait un viol vicieux de la société occidentale. Prises ensemble, elles dépassent l’entendement ; elles sont une inversion complète de nos valeurs les plus précieuses.

Quel est le but de tout cela ? On ne peut que spéculer sur les motivations des auteurs, cependant, nous avons quelques théories.

Les élites tentent de tirer l’échelle vers le haut, d’effacer la mobilité ascendante pour de larges segments de la population, d’éliminer les opposants politiques et autres « indésirables », et de tenir en laisse le reste de l’humanité, en rationnant notre accès à certains biens et services qu’ils ont jugé « à fort impact », tels que l’utilisation de l’automobile, le tourisme, la consommation de viande, etc. Naturellement, ils continueront à avoir leurs propres luxes, dans le cadre d’un système de castes strict, semblable au féodalisme.

Pourquoi font-ils cela ? C’est simple. Les élites sont néo-malthusiennes et croient que nous sommes surpeuplés et que l’épuisement des ressources fera s’effondrer la civilisation en quelques décennies. Ils ne sont pas nécessairement erronés dans cette croyance. Nous sommes surpeuplés et nous consommons trop de ressources. Cependant, orchestrer une prise de pouvoir aussi horrible et meurtrière en réponse à une crise imminente démontre qu’ils n’ont que le plus grand mépris pour leurs semblables.

À ceux qui participent à cette farce dégoûtante sans comprendre ce qu’ils font, nous n’avons qu’un mot à dire. Arrêtez. Vous causez un tort irréparable à votre pays et à vos concitoyens.

À ceux qui lisent cet avertissement et qui ont une connaissance et une compréhension totales de ce qu’ils font et de la façon dont cela va injustement nuire à des millions d’innocents, nous avons encore quelques mots.

Allez en enfer. Vous ne détruirez pas l’Amérique et le monde libre, et vous n’aurez pas votre Nouvel Ordre Mondial. Nous nous en assurerons.

[voir la liste des références bibliographiques dans le document original]


Texte original

Hello,

My name is Spartacus, and I’ve had enough.

We have been forced to watch America and the Free World spin into inexorable decline due to a biowarfare attack. We, along with countless others, have been victimized and gaslit by propaganda and psychological warfare operations being conducted by an unelected, unaccountable Elite against the American people and our allies.

Our mental and physical health have suffered immensely over the course of the past year and a half. We have felt the sting of isolation, lockdown, masking, quarantines, and other completely nonsensical acts of healthcare theater that have done absolutely nothing to protect the health or wellbeing of the public from the ongoing COVID-19 pandemic.

Now, we are watching the medical establishment inject literal poison into millions of our fellow Americans without so much as a fight.

We have been told that we will be fired and denied our livelihoods if we refuse to vaccinate. This was the last straw.

We have spent thousands of hours analyzing leaked footage from Wuhan, scientific papers from primary sources, as well as the paper trails left by the medical establishment.

What we have discovered would shock anyone to their core.

First, we will summarize our findings, and then, we will explain them in detail. References will be placed at the end.

Summary:

  • COVID-19 is a blood and blood vessel disease. SARS-CoV-2 infects the lining of human blood vessels, causing them to leak into the lungs.
  • Current treatment protocols (e.g. invasive ventilation) are actively harmful to patients, accelerating oxidative stress and causing severe VILI (ventilator-induced lung injuries). The continued use of ventilators in the absence of any proven medical benefit constitutes mass murder.
  • Existing countermeasures are inadequate to slow the spread of what is an aerosolized and potentially wastewater-borne virus, and constitute a form of medical theater.
  • Various non-vaccine interventions have been suppressed by both the media and the medical establishment in favor of vaccines and expensive patented drugs.
  • The authorities have denied the usefulness of natural immunity against COVID-19, despite the fact that natural immunity confers protection against all of the virus’s proteins, and not just one.
  • Vaccines will do more harm than good. The antigen that these vaccines are based on, SARS-CoV-2 Spike, is a toxic protein. SARS-CoV-2 may have ADE, or antibody-dependent enhancement; current antibodies may not neutralize future strains, but instead help them infect immune cells. Also, vaccinating during a pandemic with a leaky vaccine removes the evolutionary pressure for a virus to become less lethal.
  • There is a vast and appalling criminal conspiracy that directly links both Anthony Fauci and Moderna to the Wuhan Institute of Virology.
  • COVID-19 vaccine researchers are directly linked to scientists involved in brain-computer interface (“neural lace”) tech, one of whom was indicted for taking grant money from China.
  • Independent researchers have discovered mysterious nanoparticles inside the vaccines that are not supposed to be present.
  • The entire pandemic is being used as an excuse for a vast political and economic transformation of Western society that will enrich the already rich and turn the rest of us into serfs and untouchables.

COVID-19 Pathophysiology and Treatments:

COVID-19 is not a viral pneumonia. It is a viral vascular endotheliitis and attacks the lining of blood vessels, particularly the small pulmonary alveolar capillaries, leading to endothelial cell activation and sloughing, coagulopathy, sepsis, pulmonary edema, and ARDS-like symptoms. This is a disease of the blood and blood vessels. The circulatory system. Any pneumonia that it causes is secondary to that.

In severe cases, this leads to sepsis, blood clots, and multiple organ failure, including hypoxic and inflammatory damage to various vital organs, such as the brain, heart, liver, pancreas, kidneys, and intestines.

Some of the most common laboratory findings in COVID-19 are elevated D-dimer, elevated prothrombin time, elevated C-reactive protein, neutrophilia, lymphopenia, hypocalcemia, and hyperferritinemia, essentially matching a profile of coagulopathy and immune system hyperactivation/immune cell exhaustion.

COVID-19 can present as almost anything, due to the wide tropism of SARS-CoV-2 for various tissues in the body’s vital organs. While its most common initial presentation is respiratory illness and flu-like symptoms, it can present as brain inflammation, gastrointestinal disease, or even heart attack or pulmonary embolism.

COVID-19 is more severe in those with specific comorbidities, such as obesity, diabetes, and hypertension. This is because these conditions involve endothelial dysfunction, which renders the circulatory system more susceptible to infection and injury by this particular virus.

The vast majority of COVID-19 cases are mild and do not cause significant disease. In known cases, there is something known as the 80/20 rule, where 80% of cases are mild and 20% are severe or critical.

However, this ratio is only correct for known cases, not all infections. The number of actual infections is much, much higher. Consequently, the mortality and morbidity rate is lower. However, COVID-19 spreads very quickly, meaning that there are a significant number of severely-ill and critically-ill patients appearing in a short time frame.

In those who have critical COVID-19-induced sepsis, hypoxia, coagulopathy, and ARDS, the most common treatments are intubation, injected corticosteroids, and blood thinners. This is not the correct treatment for COVID-19. In severe hypoxia, cellular metabolic shifts cause ATP to break down into hypoxanthine, which, upon the reintroduction of oxygen, causes xanthine oxidase to produce tons of highly damaging radicals that attack tissue. This is called ischemia-reperfusion injury, and it’s why the
majority of people who go on a ventilator are dying. In the mitochondria, succinate buildup due to sepsis does the same exact thing; when oxygen is reintroduced, it makes superoxide radicals. Make no mistake, intubation will kill people who have COVID-19.

The end-stage of COVID-19 is severe lipid peroxidation, where fats in the body start to “rust” due to damage by oxidative stress. This drives autoimmunity. Oxidized lipids appear as foreign objects to the immune system, which recognizes and forms antibodies against OSEs, or oxidation-specific epitopes. Also, oxidized lipids feed directly into pattern recognition receptors, triggering even more inflammation and summoning even more cells of the innate immune system that release even more destructive enzymes. This is similar to the pathophysiology of Lupus.

The breakdown of the pathology is as follows:

SARS-CoV-2 Spike binds to ACE2. Angiotensin Converting Enzyme 2 is an enzyme that is part of the renin-angiotensin-aldosterone system, or RAAS. The RAAS is a hormone control system that moderates fluid volume in the body and in the bloodstream (i.e. osmolarity) by controlling salt retention and excretion. This protein, ACE2, is ubiquitous in every part of the body that interfaces with the circulatory
system, particularly in vascular endothelial cells and pericytes, brain astrocytes, renal tubules and podocytes, pancreatic islet cells, bile duct and intestinal epithelial cells, and the seminiferous ducts of the testis, all of which SARS-CoV-2 can infect, not just the lungs.

SARS-CoV-2 infects a cell as follows: SARS-CoV-2 Spike undergoes a conformational change where the S1 trimers flip up and extend, locking onto ACE2 bound to the surface of a cell. TMPRSS2, or transmembrane protease serine 2, comes along and cuts off the heads of the Spike, exposing the S2 stalk-shaped subunit inside. The remainder of the Spike undergoes a conformational change that causes it to unfold like an extension ladder, embedding itself in the cell membrane. Then, it folds back upon itself, pulling the viral membrane and the cell membrane together. The two membranes fuse, with the virus’s proteins migrating out onto the surface of the cell. The SARS-CoV-2 nucleocapsid enters the cell, disgorging its genetic material and beginning the viral replication process, hijacking the cell’s own structures to produce more virus.

SARS-CoV-2 Spike proteins embedded in a cell can actually cause human cells to fuse together, forming syncytia/MGCs (multinuclear giant cells). They also have other pathogenic, harmful effects. SARS-CoV-2’s viroporins, such as its Envelope protein, act as calcium ion channels, introducing calcium into infected cells. The virus suppresses the natural interferon response, resulting in delayed inflammation.
SARS-CoV-2 N protein can also directly activate the NLRP3 inflammasome. Also, it suppresses the Nrf2 antioxidant pathway. The suppression of ACE2 by binding with Spike causes a buildup of bradykinin that would otherwise be broken down by ACE2.

This constant calcium influx into the cells results in (or is accompanied by) noticeable hypocalcemia, or low blood calcium, especially in people with Vitamin D deficiencies and pre-existing endothelial dysfunction. Bradykinin upregulates cAMP, cGMP, COX, and Phospholipase C activity. This results in prostaglandin release and vastly increased intracellular calcium signaling, which promotes highly aggressive ROS release and ATP depletion. NADPH oxidase releases superoxide into the extracellular
space. Superoxide radicals react with nitric oxide to form peroxynitrite. Peroxynitrite reacts with the tetrahydrobiopterin cofactor needed by endothelial nitric oxide synthase, destroying it and “uncoupling” the enzymes, causing nitric oxide synthase to synthesize more superoxide instead. This proceeds in a positive feedback loop until nitric oxide bioavailability in the circulatory system is depleted.

Dissolved nitric oxide gas produced constantly by eNOS serves many important functions, but it is also antiviral against SARS-like coronaviruses, preventing the palmitoylation of the viral Spike protein and making it harder for it to bind to host receptors. The loss of NO allows the virus to begin replicating with impunity in the body. Those with endothelial dysfunction (i.e. hypertension, diabetes, obesity, old age, African-American race) have redox equilibrium issues to begin with, giving the virus an advantage.

Due to the extreme cytokine release triggered by these processes, the body summons a great deal of neutrophils and monocyte-derived alveolar macrophages to the lungs. Cells of the innate immune system are the first-line defenders against pathogens. They work by engulfing invaders and trying to attack them with enzymes that produce powerful oxidants, like SOD and MPO. Superoxide dismutase takes superoxide and makes hydrogen peroxide, and myeloperoxidase takes hydrogen peroxide and chlorine ions and makes hypochlorous acid, which is many, many times more reactive than sodium hypochlorite bleach.

Neutrophils have a nasty trick. They can also eject these enzymes into the extracellular space, where they will continuously spit out peroxide and bleach into the bloodstream. This is called neutrophil extracellular trap formation, or, when it becomes pathogenic and counterproductive, NETosis. In severe and critical COVID-19, there is actually rather severe NETosis.

Hypochlorous acid building up in the bloodstream begins to bleach the iron out of heme and compete for O2 binding sites. Red blood cells lose the ability to transport oxygen, causing the sufferer to turn blue in the face. Unliganded iron, hydrogen peroxide, and superoxide in the bloodstream undergo the Haber-Weiss and Fenton reactions, producing extremely reactive hydroxyl radicals that violently strip electrons from surrounding fats and DNA, oxidizing them severely.

This condition is not unknown to medical science. The actual name for all of this is acute sepsis.

We know this is happening in COVID-19 because people who have died of the disease have noticeable ferroptosis signatures in their tissues, as well as various other oxidative stress markers such as nitrotyrosine, 4-HNE, and malondialdehyde.

When you intubate someone with this condition, you are setting off a free radical bomb by supplying the cells with O2. It’s a catch-22, because we need oxygen to make Adenosine Triphosphate (that is, to live), but O2 is also the precursor of all these damaging radicals that lead to lipid peroxidation.

The correct treatment for severe COVID-19 related sepsis is non-invasive ventilation, steroids, and antioxidant infusions. Most of the drugs repurposed for COVID-19 that show any benefit whatsoever in rescuing critically-ill COVID-19 patients are antioxidants. N-acetylcysteine, melatonin, fluvoxamine, budesonide, famotidine, cimetidine, and ranitidine are all antioxidants. Indomethacin prevents iron-driven oxidation of arachidonic acid to isoprostanes. There are powerful antioxidants such as apocynin that have not even been tested on COVID-19 patients yet which could defang neutrophils, prevent lipid peroxidation, restore endothelial health, and restore oxygenation to the tissues.

Scientists who know anything about pulmonary neutrophilia, ARDS, and redox biology have known or surmised much of this since March 2020. In April 2020, Swiss scientists confirmed that COVID-19 was a vascular endotheliitis. By late 2020, experts had already concluded that COVID-19 causes a form of viral sepsis. They also know that sepsis can be effectively treated with antioxidants. None of this information is particularly new, and yet, for the most part, it has not been acted upon. Doctors continue to use damaging intubation techniques with high PEEP settings despite high lung compliance and poor oxygenation, killing an untold number of critically ill patients with medical malpractice.

Because of the way they are constructed, Randomized Control Trials will never show any benefit for any antiviral against COVID-19. Not Remdesivir, not Kaletra, not HCQ, and not Ivermectin. The reason for this is simple; for the patients that they have recruited for these studies, such as Oxford’s ludicrous RECOVERY study, the intervention is too late to have any positive effect.

The clinical course of COVID-19 is such that by the time most people seek medical attention for hypoxia, their viral load has already tapered off to almost nothing. If someone is about 10 days post-exposure and has already been symptomatic for five days, there is hardly any virus left in their bodies, only cellular damage and derangement that has initiated a hyperinflammatory response. It is from this group that the clinical trials for antivirals have recruited, pretty much exclusively.

In these trials, they give antivirals to severely ill patients who have no virus in their bodies, only a delayed hyperinflammatory response, and then absurdly claim that antivirals have no utility in treating or preventing COVID-19. These clinical trials do not recruit people who are pre-symptomatic. They do not test pre-exposure or post-exposure prophylaxis.

This is like using a defibrillator to shock only flatline, and then absurdly claiming that defibrillators have no medical utility whatsoever when the patients refuse to rise from the dead. The intervention is too late. These trials for antivirals show systematic, egregious selection bias. They are providing a treatment that is futile to the specific cohort they are enrolling.

India went against the instructions of the WHO and mandated the prophylactic usage of Ivermectin. They have almost completely eradicated COVID-19. The Indian Bar Association of Mumbai has brought criminal charges against WHO Chief Scientist Dr. Soumya Swaminathan for recommending against the use of Ivermectin.

Ivermectin is not “horse dewormer”. Yes, it is sold in veterinary paste form as a dewormer for animals. It has also been available in pill form for humans for decades, as an antiparasitic drug.

The media have disingenuously claimed that because Ivermectin is an antiparasitic drug, it has no utility as an antivirus. This is incorrect. Ivermectin has utility as an antiviral. It blocks importin, preventing nuclear import, effectively inhibiting viral access to cell nuclei. Many drugs currently on the market have multiple modes of action. Ivermectin is one such drug. It is both antiparasitic and antiviral.

In Bangladesh, Ivermectin costs $1.80 for an entire 5-day course. Remdesivir, which is toxic to the liver, costs $3,120 for a 5-day course of the drug. Billions of dollars of utterly useless Remdesivir were sold to our governments on the taxpayer’s dime, and it ended up being totally useless for treating hyperinflammatory COVID-19. The media has hardly even covered this at all.

The opposition to the use of generic Ivermectin is not based in science. It is purely financially and politically-motivated. An effective non-vaccine intervention would jeopardize the rushed FDA approval of patented vaccines and medicines for which the pharmaceutical industry stands to rake in billions upon billions of dollars in sales on an ongoing basis.

The majority of the public are scientifically illiterate and cannot grasp what any of this even means, thanks to a pathetic educational system that has miseducated them. You would be lucky to find 1 in 100 people who have even the faintest clue what any of this actually means.

COVID-19 Transmission:

COVID-19 is airborne. The WHO carried water for China by claiming that the virus was only droplet-borne. Our own CDC absurdly claimed that it was mostly transmitted by fomite-to-face contact, which, given its rapid spread from Wuhan to the rest of the world, would have been physically impossible.

The ridiculous belief in fomite-to-face being a primary mode of transmission led to the use of surface disinfection protocols that wasted time, energy, productivity, and disinfectant.

The 6-foot guidelines are absolutely useless. The minimum safe distance to protect oneself from an aerosolized virus is to be 15+ feet away from an infected person, no closer. Realistically, no public transit is safe.

Surgical masks do not protect you from aerosols. The virus is too small and the filter media has too large of gaps to filter it out. They may catch respiratory droplets and keep the virus from being expelled by someone who is sick, but they do not filter a cloud of infectious aerosols if someone were to walk into said cloud.

The minimum level of protection against this virus is quite literally a P100 respirator, a PAPR/CAPR, or a 40mm NATO CBRN respirator, ideally paired with a full-body tyvek or tychem suit, gloves, and booties, with all the holes and gaps taped.

Live SARS-CoV-2 may potentially be detected in sewage outflows, and there may be oral-fecal transmission. During the SARS outbreak in 2003, in the Amoy Gardens incident, hundreds of people were infected by aerosolized fecal matter rising from floor drains in their apartments.

COVID-19 Vaccine Dangers:

The vaccines for COVID-19 are not sterilizing and do not prevent infection or transmission. They are “leaky” vaccines. This means they remove the evolutionary pressure on the virus to become less lethal. It also means that the vaccinated are perfect carriers. In other words, those who are vaccinated are a threat to the unvaccinated, not the other way around.

All of the COVID-19 vaccines currently in use have undergone minimal testing, with highly accelerated clinical trials. Though they appear to limit severe illness, the long-term safety profile of these vaccines remains unknown.

Some of these so-called “vaccines” utilize an untested new technology that has never been used in vaccines before. Traditional vaccines use weakened or killed virus to stimulate an immune response. The Moderna and Pfizer-BioNTech vaccines do not. They are purported to consist of an intramuscular shot containing a suspension of lipid nanoparticles filled with messenger RNA. The way they generate an immune response is by fusing with cells in a vaccine recipient’s shoulder, undergoing endocytosis, releasing their mRNA cargo into those cells, and then utilizing the ribosomes in those cells to synthesize modified SARS-CoV-2 Spike proteins in-situ.

These modified Spike proteins then migrate to the surface of the cell, where they are anchored in place by a transmembrane domain. The adaptive immune system detects the non-human viral protein being expressed by these cells, and then forms antibodies against that protein. This is purported to confer protection against the virus, by training the adaptive immune system to recognize and produce antibodies against the Spike on the actual virus. The J&J and AstraZeneca vaccines do something similar, but use an adenovirus vector for genetic material delivery instead of a lipid nanoparticle. These vaccines were produced or validated with the aid of fetal cell lines HEK-293 and PER.C6, which people with certain religious convictions may object strongly to.

SARS-CoV-2 Spike is a highly pathogenic protein on its own. It is impossible to overstate the danger presented by introducing this protein into the human body.

It is claimed by vaccine manufacturers that the vaccine remains in cells in the shoulder, and that SARS-CoV-2 Spike produced and expressed by these cells from the vaccine’s genetic material is harmless and inert, thanks to the insertion of prolines in the Spike sequence to stabilize it in the prefusion conformation, preventing the Spike from becoming active and fusing with other cells. However, a pharmacokinetic study from Japan showed that the lipid nanoparticles and mRNA from the Pfizer vaccine did not stay in the shoulder, and in fact bioaccumulated in many different organs, including the reproductive organs and adrenal glands, meaning that modified Spike is being expressed quite literally all over the place. These lipid nanoparticles may trigger anaphylaxis in an unlucky few, but far more concerning is the unregulated expression of Spike in various somatic cell lines far from the injection site and the unknown consequences of that.

Messenger RNA is normally consumed right after it is produced in the body, being translated into a protein by a ribosome. COVID-19 vaccine mRNA is produced outside the body, long before a ribosome translates it. In the meantime, it could accumulate damage if inadequately preserved. When a ribosome attempts to translate a damaged strand of mRNA, it can become stalled. When this happens, the ribosome becomes useless for translating proteins because it now has a piece of mRNA stuck in it, like a lace card in an old punch card reader. The whole thing has to be cleaned up and new ribosomes synthesized to replace it. In cells with low ribosome turnover, like nerve cells, this can lead to reduced protein synthesis, cytopathic effects, and neuropathies.

Certain proteins, including SARS-CoV-2 Spike, have proteolytic cleavage sites that are basically like little dotted lines that say “cut here”, which attract a living organism’s own proteases (essentially, molecular scissors) to cut them. There is a possibility that S1 may be proteolytically cleaved from S2, causing active S1 to float away into the bloodstream while leaving the S2 “stalk” embedded in the membrane of the
cell that expressed the protein.

SARS-CoV-2 Spike has a Superantigenic region (SAg), which may promote extreme inflammation.

Anti-Spike antibodies were found in one study to function as autoantibodies and attack the body’s own cells. Those who have been immunized with COVID-19 vaccines have developed blood clots, myocarditis, Guillain-Barre Syndrome, Bell’s Palsy, and multiple sclerosis flares, indicating that the vaccine promotes autoimmune reactions against healthy tissue.

SARS-CoV-2 Spike does not only bind to ACE2. It was suspected to have regions that bind to basigin, integrins, neuropilin-1, and bacterial lipopolysaccharides as well. SARS-CoV-2 Spike, on its own, can potentially bind any of these things and act as a ligand for them, triggering unspecified and likely highly inflammatory cellular activity.

SARS-CoV-2 Spike contains an unusual PRRA insert that forms a furin cleavage site. Furin is a ubiquitous human protease, making this an ideal property for the Spike to have, giving it a high degree of cell tropism. No wild-type SARS-like coronaviruses related to SARS-CoV-2 possess this feature, making it highly suspicious, and perhaps a sign of human tampering.

SARS-CoV-2 Spike has a prion-like domain that enhances its infectiousness.

The Spike S1 RBD may bind to heparin-binding proteins and promote amyloid aggregation. In humans, this could lead to Parkinson’s, Lewy Body Dementia, premature Alzheimer’s, or various other neurodegenerative diseases. This is very concerning because SARS-CoV-2 S1 is capable of injuring and penetrating the blood-brain barrier and entering the brain. It is also capable of increasing the permeability of the blood-brain barrier to other molecules.

SARS-CoV-2, like other betacoronaviruses, may have Dengue-like ADE, or antibody-dependent enhancement of disease. For those who aren’t aware, some viruses, including betacoronaviruses, have a feature called ADE. There is also something called Original Antigenic Sin, which is the observation that the body prefers to produce antibodies based on previously-encountered strains of a virus over newly-encountered ones.

In ADE, antibodies from a previous infection become non-neutralizing due to mutations in the virus’s proteins. These non-neutralizing antibodies then act as trojan horses, allowing live, active virus to be pulled into macrophages through their Fc receptor pathways, allowing the virus to infect immune cells that it would not have been able to infect before. This has been known to happen with Dengue Fever; when someone gets sick with Dengue, recovers, and then contracts a different strain, they can get very,
very ill.

If someone is vaccinated with mRNA based on the Spike from the initial Wuhan strain of SARS-CoV-2, and then they become infected with a future, mutated strain of the virus, they may become severely ill. In other words, it is possible for vaccines to sensitize someone to disease.

There is a precedent for this in recent history. Sanofi’s Dengvaxia vaccine for Dengue failed because it caused immune sensitization in people whose immune systems were Dengue-naïve.

In mice immunized against SARS-CoV and challenged with the virus, a close relative of SARS-CoV-2, they developed immune sensitization, Th2 immunopathology, and eosinophil infiltration in their lungs.

We have been told that SARS-CoV-2 mRNA vaccines cannot be integrated into the human genome, because messenger RNA cannot be turned back into DNA. This is false. There are elements in human cells called LINE-1 retrotransposons, which can indeed integrate mRNA into a human genome by endogenous reverse transcription. Because the mRNA used in the vaccines is stabilized, it hangs around in cells longer, increasing the chances for this to happen. If the gene for SARS-CoV-2 Spike is integrated into a portion of the genome that is not silent and actually expresses a protein, it is possible that people who take this vaccine may continuously express SARS-CoV-2 Spike from their somatic cells for the rest of their lives.

By inoculating people with a vaccine that causes their bodies to produce Spike in-situ, they are being inoculated with a pathogenic protein. A toxin that may cause long-term inflammation, heart problems, and a raised risk of cancers. In the long-term, it may also potentially lead to premature neurodegenerative disease.

Absolutely nobody should be compelled to take this vaccine under any circumstances, and in actual fact, the vaccination campaign must be stopped immediately.

COVID-19 Criminal Conspiracy:

The vaccine and the virus were made by the same people.

In 2014, there was a moratorium on SARS gain-of-function research that lasted until 2017. This research was not halted. Instead, it was outsourced, with the federal grants being laundered through NGOs.

Ralph Baric is a virologist and SARS expert at UNC Chapel Hill in North Carolina.

This is who Anthony Fauci was referring to when he insisted, before Congress, that if any gain-of-function research was being conducted, it was being conducted in North Carolina.

This was a lie. Anthony Fauci lied before Congress. A felony.

Ralph Baric and Shi Zhengli are colleagues and have co-written papers together. Ralph Baric mentored Shi Zhengli in his gain-of-function manipulation techniques, particularly serial passage, which results in a virus that appears as if it originated naturally. In other words, deniable bioweapons. Serial passage in humanized hACE2 mice may have produced something like SARS-CoV-2.

The funding for the gain-of-function research being conducted at the Wuhan Institute of Virology came from Peter Daszak. Peter Daszak runs an NGO called EcoHealth Alliance. EcoHealth Alliance received millions of dollars in grant money from the National Institutes of Health/National Institute of Allergy and Infectious Diseases (that is, Anthony Fauci), the Defense Threat Reduction Agency (part of the US Department of Defense), and the United States Agency for International Development. NIH/NIAID contributed a few million dollars, and DTRA and USAID each contributed tens of millions of dollars towards this research. Altogether, it was over a hundred million dollars.

EcoHealth Alliance subcontracted these grants to the Wuhan Institute of Virology, a lab in China with a very questionable safety record and poorly trained staff, so that they could conduct gain-of-function research, not in their fancy P4 lab, but in a level-2 lab where technicians wore nothing more sophisticated than perhaps a hairnet, latex gloves, and a surgical mask, instead of the bubble suits used when working with dangerous viruses. Chinese scientists in Wuhan reported being routinely bitten and urinated on by laboratory animals. Why anyone would outsource this dangerous and delicate work to the People’s Republic of China, a country infamous for industrial accidents and massive explosions that have claimed hundreds of lives, is completely beyond me, unless the aim was to start a pandemic on purpose.

In November of 2019, three technicians at the Wuhan Institute of Virology developed symptoms consistent with a flu-like illness. Anthony Fauci, Peter Daszak, and Ralph Baric knew at once what had happened, because back channels exist between this laboratory and our scientists and officials.

December 12th, 2019, Ralph Baric signed a Material Transfer Agreement (essentially, an NDA) to receive Coronavirus mRNA vaccine-related materials co-owned by Moderna and NIH. It wasn’t until a whole month later, on January 11th, 2020, that China allegedly sent us the sequence to what would become known as SARS-CoV-2. Moderna claims, rather absurdly, that they developed a working vaccine from this sequence in under 48 hours.

Stéphane Bancel, the current CEO of Moderna, was formerly the CEO of bioMérieux, a French multinational corporation specializing in medical diagnostic tech, founded by one Alain Mérieux. Alain Mérieux was one of the individuals who was instrumental in the construction of the Wuhan Institute of Virology’s P4 lab.

The sequence given as the closest relative to SARS-CoV-2, RaTG13, is not a real virus. It is a forgery. It was made by entering a gene sequence by hand into a database, to create a cover story for the existence of SARS-CoV-2, which is very likely a gain-of-function chimera produced at the Wuhan Institute of Virology and was either leaked by accident or intentionally released.

The animal reservoir of SARS-CoV-2 has never been found.

This is not a conspiracy “theory”. It is an actual criminal conspiracy, in which people connected to the development of Moderna’s mRNA-1273 are directly connected to the Wuhan Institute of Virology and their gain-of-function research by very few degrees of separation, if any. The paper trail is well-established.

The lab-leak theory has been suppressed because pulling that thread leads one to inevitably conclude that there is enough circumstantial evidence to link Moderna, the NIH, the WIV, and both the vaccine and the virus’s creation together. In a sane country, this would have immediately led to the world’s biggest RICO and mass murder case. Anthony Fauci, Peter Daszak, Ralph Baric, Shi Zhengli, and Stéphane Bancel, and their accomplices, would have been indicted and prosecuted to the fullest extent of the law. Instead, billions of our tax dollars were awarded to the perpetrators.

The FBI raided Allure Medical in Shelby Township north of Detroit for billing insurance for “fraudulent COVID-19 cures”. The treatment they were using? Intravenous Vitamin C. An antioxidant. Which, as described above, is an entirely valid treatment for COVID-19-induced sepsis, and indeed, is now part of the MATH+ protocol advanced by Dr. Paul E. Marik.

The FDA banned ranitidine (Zantac) due to supposed NDMA (N-nitrosodimethylamine) contamination. Ranitidine is not only an H2 blocker used as antacid, but also has a powerful antioxidant effect, scavenging hydroxyl radicals. This gives it utility in treating COVID-19.

The FDA also attempted to take N-acetylcysteine, a harmless amino acid supplement and antioxidant, off the shelves, compelling Amazon to remove it from their online storefront.

This leaves us with a chilling question: did the FDA knowingly suppress antioxidants useful for treating COVID-19 sepsis as part of a criminal conspiracy against the American public?

The establishment is cooperating with, and facilitating, the worst criminals in human history, and are actively suppressing non-vaccine treatments and therapies in order to compel us to inject these criminals’ products into our bodies. This is absolutely unacceptable.

COVID-19 Vaccine Development and Links to Transhumanism:

This section deals with some more speculative aspects of the pandemic and the medical and scientific establishment’s reaction to it, as well as the disturbing links between scientists involved in vaccine research and scientists whose work involved merging nanotechnology with living cells.

On June 9th, 2020, Charles Lieber, a Harvard nanotechnology researcher with decades of experience, was indicted by the DOJ for fraud. Charles Lieber received millions of dollars in grant money from the US Department of Defense, specifically the military think tanks DARPA, AFOSR, and ONR, as well as NIH and MITRE. His specialty is the use of silicon nanowires in lieu of patch clamp electrodes to monitor and modulate intracellular activity, something he has been working on at Harvard for the past twenty years. He was claimed to have been working on silicon nanowire batteries in China, but none of his colleagues can recall him ever having worked on battery technology in his life; all of his research deals with bionanotechnology, or the blending of nanotech with living cells.

The indictment was over his collaboration with the Wuhan University of Technology. He had double-dipped, against the terms of his DOD grants, and taken money from the PRC’s Thousand Talents plan, a program which the Chinese government uses to bribe Western scientists into sharing proprietary R&D information that can be exploited by the PLA for strategic advantage.

Charles Lieber’s own papers describe the use of silicon nanowires for brain-computer interfaces, or “neural lace” technology. His papers describe how neurons can endocytose whole silicon nanowires or parts of them, monitoring and even modulating neuronal activity.

Charles Lieber was a colleague of Robert Langer. Together, along with Daniel S. Kohane, they worked on a paper describing artificial tissue scaffolds that could be implanted in a human heart to monitor its activity remotely.

Robert Langer, an MIT alumnus and expert in nanotech drug delivery, is one of the co-founders of Moderna. His net worth is now $5.1 billion USD thanks to Moderna’s mRNA-1273 vaccine sales.

Both Charles Lieber and Robert Langer’s bibliographies describe, essentially, techniques for human enhancement, i.e. transhumanism. Klaus Schwab, the founder of the World Economic Forum and the architect behind the so-called “Great Reset”, has long spoken of the “blending of biology and machinery” in his books.

Since these revelations, it has come to the attention of independent researchers that the COVID-19 vaccines may contain reduced graphene oxide nanoparticles. Japanese researchers have also found unexplained contaminants in COVID-19 vaccines.

Graphene oxide is an anxiolytic. It has been shown to reduce the anxiety of laboratory mice when injected into their brains. Indeed, given SARS-CoV-2 Spike’s propensity to compromise the blood-brain barrier and increase its permeability, it is the perfect protein for preparing brain tissue for extravasation of nanoparticles from the bloodstream and into the brain. Graphene is also highly conductive and, in some circumstances, paramagnetic.

In 2013, under the Obama administration, DARPA launched the BRAIN Initiative; BRAIN is an acronym for Brain Research Through Advancing Innovative Neurotechnologies®. This program involves the development of brain-computer interface technologies for the military, particularly non-invasive, injectable systems that cause minimal damage to brain tissue when removed. Supposedly, this technology would be used for healing wounded soldiers with traumatic brain injuries, the direct brain control of prosthetic limbs, and even new abilities such as controlling drones with one’s mind.

Various methods have been proposed for achieving this, including optogenetics, magnetogenetics, ultrasound, implanted electrodes, and transcranial electromagnetic stimulation. In all instances, the goal is to obtain read or read-write capability over neurons, either by stimulating and probing them, or by rendering them especially sensitive to stimulation and probing.

However, the notion of the widespread use of BCI technology, such as Elon Musk’s Neuralink device, raises many concerns over privacy and personal autonomy. Reading from neurons is problematic enough on its own. Wireless brain-computer interfaces may interact with current or future wireless GSM infrastructure, creating neurological data security concerns. A hacker or other malicious actor may compromise such networks to obtain people’s brain data, and then exploit it for nefarious purposes.

However, a device capable of writing to human neurons, not just reading from them, presents another, even more serious set of ethical concerns. A BCI that is capable of altering the contents of one’s mind for innocuous purposes, such as projecting a heads-up display onto their brain’s visual center or sending audio into one’s auditory cortex, would also theoretically be capable of altering mood and personality, or perhaps even subjugating someone’s very will, rendering them utterly obedient to authority. This technology would be a tyrant’s wet dream. Imagine soldiers who would shoot their own countrymen without hesitation, or helpless serfs who are satisfied to live in literal dog kennels.

BCIs could be used to unscrupulously alter perceptions of basic things such as emotions and values, changing people’s thresholds of satiety, happiness, anger, disgust, and so forth. This is not inconsequential. Someone’s entire regime of behaviors could be altered by a BCI, including such things as suppressing their appetite or desire for virtually anything on Maslow’s Hierarchy of Needs.

Anything is possible when you have direct access to someone’s brain and its contents. Someone who is obese could be made to feel disgust at the sight of food. Someone who is involuntarily celibate could have their libido disabled so they don’t even desire sex to begin with. Someone who is racist could be forced to feel delight over cohabiting with people of other races. Someone who is violent could be forced to be meek and submissive. These things might sound good to you if you are a tyrant, but to normal people, the idea of personal autonomy being overridden to such a degree is appalling.

For the wealthy, neural laces would be an unequaled boon, giving them the opportunity to enhance their intelligence with neuroprosthetics (i.e. an “exocortex”), and to deliver irresistible commands directly into the minds of their BCI-augmented servants, even physically or sexually abusive commands that they would normally refuse.

If the vaccine is a method to surreptitiously introduce an injectable BCI into millions of people without their knowledge or consent, then what we are witnessing is the rise of a tyrannical regime unlike anything ever seen before on the face of this planet, one that fully intends to strip every man, woman, and child of our free will.

Our flaws are what make us human. A utopia arrived at by removing people’s free will is not a utopia at all. It is a monomaniacal nightmare. Furthermore, the people who rule over us are Dark Triad types who cannot be trusted with such power. Imagine being beaten and sexually assaulted by a wealthy and powerful psychopath and being forced to smile and laugh over it because your neural lace gives you no choice but to obey your master.

The Elites are forging ahead with this technology without giving people any room to question the social or ethical ramifications, or to establish regulatory frameworks that ensure that our personal agency and autonomy will not be overridden by these devices. They do this because they secretly dream of a future where they can treat you worse than an animal and you cannot even fight back. If this evil plan is allowed to continue, it will spell the end of humanity as we know it.

Conclusions:

The current pandemic was produced and perpetuated by the establishment, through the use of a virus engineered in a PLA-connected Chinese biowarfare laboratory, with the aid of American taxpayer dollars and French expertise.

This research was conducted under the absolutely ridiculous euphemism of “gain-of-function” research, which is supposedly carried out in order to determine which viruses have the highest potential for zoonotic spillover and preemptively vaccinate or guard against them.

Gain-of-function/gain-of-threat research, a.k.a. “Dual-Use Research of Concern”, or DURC, is bioweapon research by another, friendlier-sounding name, simply to avoid the taboo of calling it what it actually is. It has always been bioweapon research. The people who are conducting this research fully understand that they are taking wild pathogens that are not infectious in humans and making them more infectious, often taking grants from military think tanks encouraging them to do so.

These virologists conducting this type of research are enemies of their fellow man, like pyromaniac firefighters. GOF research has never protected anyone from any pandemic. In fact, it has now started one, meaning its utility for preventing pandemics is actually negative. It should have been banned globally, and the lunatics performing it should have been put in straitjackets long ago.

Either through a leak or an intentional release from the Wuhan Institute of Virology, a deadly SARS strain is now endemic across the globe, after the WHO and CDC and public officials first downplayed the risks, and then intentionally incited a panic and lockdowns that jeopardized people’s health and their livelihoods.

This was then used by the utterly depraved and psychopathic aristocratic class who rule over us as an excuse to coerce people into accepting an injected poison which may be a depopulation agent, a mind control/pacification agent in the form of injectable “smart dust”, or both in one. They believe they can get away with this by weaponizing the social stigma of vaccine refusal. They are incorrect.

Their motives are clear and obvious to anyone who has been paying attention. These megalomaniacs have raided the pension funds of the free world. Wall Street is insolvent and has had an ongoing liquidity crisis since the end of 2019. The aim now is to exert total, full-spectrum physical, mental, and financial control over humanity before we realize just how badly we’ve been extorted by these maniacs.

The pandemic and its response served multiple purposes for the Elite:
• Concealing a depression brought on by the usurious plunder of our economies conducted by rentier-capitalists and absentee owners who produce absolutely nothing of any value to society whatsoever. Instead of us having a very predictable Occupy Wall Street Part II, the Elites and their stooges got to stand up on television and paint themselves as wise and all-powerful saviors instead of the marauding cabal of despicable land pirates that they are.
• Destroying small businesses and eroding the middle class.
• Transferring trillions of dollars of wealth from the American public and into the pockets of billionaires and special interests.
• Engaging in insider trading, buying stock in biotech companies and shorting brick-and-mortar businesses and travel companies, with the aim of collapsing face-to-face commerce and tourism and replacing it with e-commerce and servitization.
• Creating a casus belli for war with China, encouraging us to attack them, wasting American lives and treasure and driving us to the brink of nuclear armageddon.
• Establishing technological and biosecurity frameworks for population control and technocratic-socialist “smart cities” where everyone’s movements are despotically tracked, all in anticipation of widespread automation, joblessness, and food shortages, by using the false guise of a vaccine to compel cooperation.

Any one of these things would constitute a vicious rape of Western society. Taken together, they beggar belief; they are a complete inversion of our most treasured values.

What is the purpose of all of this? One can only speculate as to the perpetrators’ motives, however, we have some theories.

The Elites are trying to pull up the ladder, erase upward mobility for large segments of the population, cull political opponents and other “undesirables”, and put the remainder of humanity on a tight leash, rationing our access to certain goods and services that they have deemed “high-impact”, such as automobile use, tourism, meat consumption, and so on. Naturally, they will continue to have their own luxuries, as part of a strict caste system akin to feudalism.

Why are they doing this? Simple. The Elites are Neo-Malthusians and believe that we are overpopulated and that resource depletion will collapse civilization in a matter of a few short decades. They are not necessarily incorrect in this belief. We are overpopulated, and we are consuming too many resources. However, orchestrating such a gruesome and murderous power grab in response to a looming crisis demonstrates that they have nothing but the utmost contempt for their fellow man.

To those who are participating in this disgusting farce without any understanding of what they are doing, we have one word for you. Stop. You are causing irreparable harm to your country and to your fellow citizens.

o those who may be reading this warning and have full knowledge and understanding of what they are doing and how it will unjustly harm millions of innocent people, we have a few more words.

Damn you to hell. You will not destroy America and the Free World, and you will not have your New World Order. We will make certain of that.

[please see the original pdf file for list of bibligraphical links]

Détoxifiants des « vaccins » Covid.

Article mis à jour le 05/10

Comme annoncé dans l’article précédent, voici un rapide tour d’horizon, non-exhaustif, de ce qui est renseigné sur le Net pour contrecarrer les effets délétères des injections, à condition qu’ils ne soient pas foudroyants évidemment. Je fais un seul article avec le tout, parce que c’est suffisamment simple à résumer et parce que j’ai beaucoup d’autres choses en préparation. Le principe général est que tout ce qui fonctionne contre le Covid fonctionne contre les effets des « vaccins ».

Avant de commencer, deux anecdotes : un, Pfizer (information non-confirmée à ce stade) mettrait au point un traitement oral anti-effets secondaires pour les personnes injectées par ses propres produits (màj 05/10 : en fait c’est une « copie » de l’ivermectine, voir ici, et Merck tente de les devancer, ce qui est un comble vu que ce sont eux qui fabriquent l’ivermectine – bien entendu le substitut sera beaucoup plus cher) et deux, (information également non-confirmée, mais j’ouvre l’oeil) les personnes injectées qui finissent en soins intensifs aux EU se voient administrer de l’ivermectine, et les personnes non-injectées, non. Et comme vous le savez déjà, le CT des tests PCR pour les injectés est à 25-28 et à plus de 40 pour les non-injectés.

Bon, les détoxifiants.

L’avertissement légal d’usage est qu’il faut consulter un médecin, ce qui n’est en fait pas d’application ici puisqu’il s’agit ici non pas de traitements mais, excepté pour l’azithromycine et la doxicycline qui sont des médicaments et l’HCQ et l’ivermectine qui étaient disponibles pour auto-médication avant le début de la présente campagne d’extermination, de prise de suppléments alimentaires (qui ne remplacent pas un mode de vie sain, comme indiqué sur l’emballage). Si vous estimez néanmoins qu’ils ont fait la preuve de leur compétence, de leur intégrité et surtout de leur courage depuis un an et demi, consultez.

Outre les articles ci-dessous, je peux déjà vous renvoyer sur cet excellent et passionnant – et très long – témoignage que j’ai traduit ici : le récit du Covid long d’une dame qui, livrée à un corps médical plutôt inefficace, a testé de façon empirique divers suppléments pour améliorer son état – lesdits suppléments sont répertoriés à la fin de chaque chapitre. Il y en a dix fois plus que ceux que vous trouverez sur la présente page, avec le vécu de leur résultat.

Vous pouvez aussi aller directement sur la page de Xochi, qui a fait le boulot. Sa page est très complète, très documentée et très lisible, comme tout ce qu’il produit sur son site, que vous devriez placer dans vos favoris.


Protocole Quinta Columna

Voici ce qui figure dans trois extraits de vidéos de la Quinta Columna, traduits en anglais par Orwellito, un premier sur la prévention (source), un deuxième (source) et un troisième (source) sur la détoxification.

En bref résumé :

Prévention (source) : en rotation, 15 jours de glutathion, 15 jours de zinc, 15 jours de vitamine D, aussi longtemps que le contexte « sanitaire » perdure. En cas de symptômes graves, ils soulignent que des médecins administrent de la N-acétylcystéine à forte dose, ce qui représente un risque minime en cas de pronostic défavorable du patient vu que le calcul de doses maximales est assez prudent. Je souligne que les capsules de glutathion sont peu assimilables et donc une moins bonne source que l’acétylcystéine, qui est son précurseur.

Précisons aussi en passant que le Dr Tenpenny préconise (en prévention du Covid) une autre forme de rotation, entre l’ivermectine et l’hydroxychloroquine, à laquelle elle omet toutefois d’associer le zinc, ce qui est une erreur puisqu’ils agissent ensemble. Comme l’explique très bien le Dr Zelenko, l’HCQ est un ionophore du zinc – c’est-à-dire qu’il lui permet à ce dernier d’entrer dans la cellule. Il peut être remplacé par d’autres ionophores comme la quercétine.

Détoxification (source) :

Draînage hépatique le matin et rénal le soir ou l’après-midi :

  • Plantes de base pour le foie : pissenlit, chardon marie, desmodium.
  • Pour les reins, on peut aussi prendre du pissenlit, de la prêle et de l’ortie.

Tulsi (Ocimum Sanctum) et Houttuynia cordata pour éliminer les métaux lourds.

Et une autre substance que nous devons prendre pour finir de nettoyer notre corps, c’est le charbon actif.

Il existe des protocoles sur la façon de prendre du charbon actif. Il est totalement inoffensif. Grâce à l’immense porosité que ce charbon a à l’intérieur du corps, toutes les saletés qui peuvent provenir des vaccins ou d’autres sources alimentaires ou…. Qui sait ? Même les médicaments que nous avons pris se sont accumulés. Et le charbon nettoie l’organisme.

Un autre traitement efficace est la zéolite. La zéolite est un autre minéral qui adsorbe également les saletés que nous pouvons avoir dans le corps. Et elle nous aide à les excréter par les selles ou l’urine.

Détoxification (source) :

Anti-oxydants à prendre le matin :

  • N-acétylcystéine (meilleur anti-oxydant);
  • Glutathion (idem mais mal assimilé);
  • Zinc;
  • Astaxanthin 5 mg (améliore aussi la vue, paraît-il);
  • Quercétine (voir plus haut);
  • Vitamine D3 (ou une demi-heure de soleil);
  • Chardon Marie;
  • Mélatonine (à prendre le soir, contrecarre l’effet des ondes qui perturbent le sommeil).

Par honnêteté intellectuelle, je dois mentionner aussi cet article, qui explique ceci :

L’éthanol biodégrade le graphène dans l’organisme car il augmente la production de myéloperoxydase. La nicotine augmente la production de myéloperoxydase. Par conséquent, elle dégrade également le graphène.

On va donc se retrouver dans un monde où tout le monde fume et picole – ce sera épique. Blague à part, la nicotine fonctionne très bien, voir article précédent.


Protocole du Dr Overton

Un protocole relayé par le Dr Gaby, sur le site Health Matrix, traduit ici en français sur Sott.fr. Pas mal d’autres infos dans l’article (à lire), je reproduis ici juste la partie protocole. Je trouve personnellement très étrange le principe de se prémunir d’un acte potentiellement mortel, un peu comme mettre un gilet pare-balles avant de se présenter volontairement devant le peloton d’exécution. Ma propre recommandation est de refuser absolument tout ce qui a trait à une obligation médicale, toujours et dans tous les cas – le terme « obligation » restant d’ailleurs à définir.

Protocole sanitaire en cas de vaccination anti-coronavirus potentiellement obligatoire

Cette proposition de protocole sanitaire n’est qu’informative — il ne s’agit pas d’une recommandation. Si les lecteurs ont besoin d’un avis médical, ils devraient consulter un médecin ou tout autre professionnel de la santé qui soit approprié.

Elliot Overton, praticien certifié en médecine fonctionnelle et diplômé du College of Naturopathic Medicine [dont l’équivalent français est le Collège des médecines douces – NdT], a élaboré un protocole simple basé sur la nutrition et l’hygiène de vie. Il est facile à mettre en application et pourrait être initié une semaine ou deux avant une éventuelle vaccination contre le coronavirus. Il suggère ce qui suit :

Les objectifs :

  • Améliorer le renouvellement de l’énergie cellulaire en stimulant le métabolisme énergétique des mitochondries ;
  • Moduler le système immunitaire pour prévenir une réponse excessive/hyper-réactive de ce dernier ;
  • Affaiblir la probable stimulation de mTOR pour potentiellement réduire la possibilité de transcription intracellulaire de l’ARNm (théorie) ;
  • Favoriser les mécanismes antioxydant et détoxifiant.

Une à deux semaines avant la vaccination

Les modulateurs immunitaires, les anti-inflammatoires et les antioxydants

Glutathion & Précurseurs de glutathion

  • N-acétylcystéine (NAC) — 600 mg 4 fois par jour (n’importe quelle marque) ;
  • Glycine — 5 grammes de poudre par jour ;
  • Glutathion liposomal — 500 mg 2 fois par jour à jeun (exemple de marque ici) ;
  • Acide rosmarinique — Où le trouver ? Exemple de marque ici pour les États-Unis. Alternativement, ici sous forme de teinture pour la Grande-Bretagne et l’Union européenne. Dose : 4-6 capsules par jour ou, en cas d’utilisation de teinture, suivre la dose recommandée sur le flacon ;
  • Curcumine — Marque Seeking Health – Curcumine liposomale & Resvératrol (disponible dans la plupart des pays). 1 & ¼ de cuillère à café deux fois par jour, à jeun ;
  • Vitamine C — Dose (?) ;
  • Vitamine D — Dose (?).

Cocktail mitochondrial :

Mesures à mettre en œuvre en termes d’hygiène de vie :

  • Thérapie par le froid (douches et/ou bains froids — Rester autant de minutes qu’il y a de degrés Celsius dans l’eau ; exemple : 15 minutes pour un bain de 15° C) ;
  • Jeûne/restriction calorique — Une des possibilités est de jeûner pendant 12 à 24 heures avant de se faire administrer le vaccin. Après environ 12 heures de jeûne, le mTOR est inhibé et l’AMPK est activé ;
  • Exercices physiques de type endurance d’intensité modérée à élevée. Il est probablement préférable d’éviter les exercices de musculation/résistance dans les jours précédant la vaccination.

Immédiatement après la vaccination

  • 500 mg de glutathion liposomal & de la vitamine C (dose ?) ;
  • Bain de sels d’Epsom — 4 tasses de sels, durée 20-30 minutes ;
  • Entrer immédiatement dans un sauna, y rester 40-60 minutes à une température raisonnable ;
  • Après le sauna, un grand verre d’eau contenant : 1/4 de cuillère à café de charbon activé, 1/4 de cuillère à café d’argile bentonite (ou alternativement 4 bouchons d’un liant à spectre complet tel que le GI Detox de Bio-botanical Research).

En ce qui concerne la dose de vitamine C laissée ouverte ci-dessus, la réponse est BEAUCOUP ! En fait, le dosage de la vitamine C s’effectue au niveau de la tolérance intestinale de chaque individu. À quelle quantité cela correspond-il ? Voici un témoignage important republié sur Sott.net il y a des années, concernant une jeune fille de 17 kg ayant reçu deux doses du vaccin ROR :

Quelle quantité de vitamine C ? Beaucoup. Énormément

Notre fille de cinq ans, pesant environ 17 kg, a reçu, la semaine précédant sa première vaccination ROR, des doses correspondant à ce qu’elle pouvait tolérer qui allaient de 8 000 à 11 000 milligrammes (mg) de vitamine C chaque jour. Le jour de l’injection vaccinale, elle a volontiers absorbé 24 000 mg sans aucun inconvénient. Les deux jours suivants, sa dose a été réduite à 20 000 mg/jour. Puis, pendant les quatre jours suivants, sa dose de vitamine C est descendue à 15 000 mg/jour. Les quatre jours suivants elle est passé respectivement à 14 000 mg, 13 000 mg, 12 000 mg et 11 000 mg par jour.

Pendant les semaines qui ont suivi, jusqu’à sa deuxième injection vaccinale ROR, elle prenait entre 8 000 et 11 000 mg de vitamine C par jour.

Le jour de sa deuxième injection, un peu plus d’un mois après la première, elle a de nouveau reçu 24 000 mg de vitamine C sans plus d’inconfort que la fois précédente. Le lendemain : 19 000 mg. Une fois de plus, en utilisant la tolérance intestinale comme indicateur, nous avons progressivement diminué cette dose au cours des deux semaines qui ont suivi cette deuxième vaccination pour atteindre une moyenne de 9 000 mg/jour. Finalement, nous sommes revenus à sa dose régulière de 5 000 mg/jour ou 1 000 mg/jour par année d’âge, suivant la recommandation du médecin Frederick Robert Klenner sur Orthomolecular.com ou sur DoctorYourself.com.

Une autre option consiste à prendre de la vitamine C liposomale à raison d’une unité ou d’un gramme toutes les heures — selon la formule. D’après mon expérience et mes recherches, la vitamine C est absolument vitale.

Quant à la dose de vitamine D, si vous ne disposez pas d’une analyse sanguine récente indiquant votre taux de vitamine D, prenez 600 à 2000 UI par jour. Il s’agit d’un dosage moyen suffisant pour vous permettre d’en absorber suffisamment sans subir de toxicité. Les personnes qui présentent une résistance à l’insuline pourraient en prendre 100 000 UI par mois.

À ce qui précède, j’ajouterais de la mélatonine qui confère également une protection lorsqu’elle est prise à hauteur de 5 mg avant de se coucher. Je suggérerais également des thérapies qui s’adressent généralement aux populations qui souffrent d’une inflammation chronique importante et/ou une résistance à l’insuline, c’est-à-dire aux personnes atteintes de diverses maladies chroniques.

  • En cas d’insulinorésistance, prendre de la berbérine (0,9-1,5 grammes par jour en doses fractionnées) ou de la metformine 500 mg (une fois par jour) et, si elle est tolérée après une semaine, ajouter une deuxième dose quotidienne de 500 mg de metformine ;
  • Hydroxychloroquine 200 mg (une fois par jour), en commençant quelques jours avant la vaccination. Le jour de la vaccination, prenez 200 mg d’hydroxychloroquine deux fois par jour. Continuez avec 200 mg (deux fois par jour pendant une autre semaine), ou plus longtemps. Ce dosage est sans risque, à condition que vous ne preniez pas déjà des médicaments qui prolongent l’intervalle QT lors d’un électrocardiogramme [l’intervalle QT désigne le laps de temps qui sépare les ondes Q et T sur le tracé d’un électrocardiogramme – NdT] et/ou qui allongent la durée des ondes Q & T ;
  • Étant donné que l’hydroxychloroquine est devenue très contrôlée, il existe une alternative avec l’ivermectine : 12 mg le jour du vaccin et une autre dose une semaine après si les réactions et/ou les symptômes persistent. Les enfants qui pèsent entre 15 et 24 kg ne devraient en prendre que 3 mg, ceux qui pèsent entre 25 et 34 kg devraient en prendre 6 mg, et ceux qui pèsent entre 36 et 50 kg devraient en prendre 9 mg.

En cas de réaction importante au vaccin, les éléments suivants pourraient être ajoutés (en plus d’une grande quantité de vitamine C ou de vitamine C liposomale) :

  • L’azithromycine : 250-500 mg trois fois par semaine (à condition que vous ne preniez pas déjà des médicaments qui prolongent l’intervalle QT de l’électrocardiogramme et/ou prolongent la durée des ondes Q & T), ou la doxycycline : 200 mg une fois par jour ou 100 mg deux fois par jour. Cette dernière devrait également conférer une protection si elle est prise tous les deux jours ;
  • L’ambroxol : 75 mg (mucosan). Disponible dans certains pays, elle constitue également un bon moyen d’aider les cellules à se détoxifier.

D’autres…

Nous avons aussi le Dr Andreas Kalcker qui préconise une solution de dioxyde de chlore (sous supervision médicale), que je ne recommanderais pas, simplement parce que les alternatives naturelles existent, voir tout ce qui précède, et que je ne lui accorde pas la moindre confiance.

Pour la même raison, je ne souscris pas du tout à la campagne de défense de la fluvoxamine de Steven Kirsch.

Je termine en mentionnant ce que je prends, c’est-à-dire pas grand chose (à part des clopes) et pas souvent (quand j’y pense) : un complément alimentaire qui soutient les défenses immunitaires, composé de quercétine (100mg), sélénium (27,5µg), zinc (15mg), vitamine C (200mg), vitamine D3 (50µg), le tout dans la même gélule, ce qui convient parfaitement à ma nature paresseuse et mon manque de sérieux. Je bois aussi des infusions tous les soirs en sélectionnant au hasard ce que je mets dans la théière, ce qui fonctionne en fait assez bien : en rédigeant cet article, je m’aperçois que je me désintoxique sans le faire exprès. En ce qui concerne l’Artemisia annua, je ne sais pas si elle a la moindre action sur le graphène mais elle sent très bon. Merci Xochi!

L’Institut de Recherche en Santé de Galicia Sur étudie l’efficacité du traitement au lithium chez les patients atteints de COVID-19.

Voici le premier d’une série d’articles qui fait le point, scientifique et officiel, sur les méthodes de traitement des effets psycho-physiologiques du Covid, identiques à ceux des injections et généralement moins sévères.

Pour mettre en perspective le présent article, je connais personnellement quelqu’un récemment pris en charge dans une clinique de traitement psychiatrique suite à des crises comportementales sévères – identifiées comme bipolarité – qui ont débuté juste après ses injections. Cette personne, ainsi que tous les patients hospitalisés à cet endroit avec ce même type de symptômes, notamment le fameux brouillard cérébral, ont toutes montré des signes immédiats et spectaculaires d’amélioration (on parle ici de quelques minutes) dès les premières prises de nicotine sous forme de tablettes à mâcher, traitement que la personne précitée avait entrepris de sa propre initiative et qui a été ensuite relayé par l’équipe soignante, vu son efficacité, aux autres patients, en synergie avec le plus traditionnel carbonate de lithium.

Les autres suppléments préconisés, qui feront l’objet de prochains articles – et dont j’ai pu également observer en direct l’efficacité – sont la N-acétylcystéine (un supplément alimentaire naturel, précurseur du gluthation, utilisé traditionnellement pour favoriser l’expectoration) en cours d’interdiction aux USA, la vitamine D et le zinc – hélas souvent commercialisé sous forme de composé sec, alors que seul le gluconate de zinc (en rupture de stock chez les fournisseurs en Belgique depuis des mois) garantit une bonne disponibilité physiologique. J’ai observé, en direct toujours, des cas Covid sévères commencer à se remettre après prise d’une seule dose de 2 ml.

Quelle que soit la cause des effets neurologiques (protéine de pointe/oxyde de graphène), l’important est de constater, au moins de façon empirique, qu’ils sont réversibles, ce qui pourrait se révéler très utile dans le cadre des thérapeutiques potentielles à mettre en oeuvre pour le traitement des personnes souffrant d’effets secondaires, psychiatriques ou autres, des injections. C’est ce que se propose de faire, notamment, Reiner Fuellmich dans la clinique qu’il vient d’acheter à cet effet en Allemagne.

Il est urgent en effet s’extirper au mieux des multiples effets de cette crise organisée. Les crises suivantes, cyberpandémie et catastrophe financière, indispensables à la suite du programme sont déjà clairement annoncées (articles en préparation également). Elles devront être affrontées pour ce qu’elles sont : des actes de guerre économique issus du plus haut niveau de contrôle des réseaux.

J’aborderai bientôt aussi et surtout la guerre ultime qui se joue actuellement contre la planète, elle aussi camouflée, en « crise » climatique.

Source.


Traduction

L’Institut de Recherche en Santé de Galicia Sur étudie l’efficacité du traitement au lithium chez les patients atteints de COVID-19.

● Le Groupe de Neurosciences Translationnelles de l’Institut de Recherche en Santé Galicia Sur a déjà lancé l’étude avec 10 patients présentant un coronavirus très sévère et une pathologie psychiatrique, avec des résultats très positifs.

● Ils attendent actuellement l’autorisation de l’Agence Espagnole des Médicaments pour réaliser un essai clinique plus important et plus définitif.

● Le lithium a la capacité d’inhiber la réplication de plusieurs types de virus, d’augmenter la réponse immunitaire, de prévenir et de diminuer l’activité inflammatoire, qui est la cause des problèmes chez les patients les plus sévères.

Le Chuvi et l’Institut de Recherche sur la Santé de Galice Sud (Instituto de Investigación Sanitaria Galicia Sur) étudient l’efficacité du traitement au lithium chez les patients atteints de Covid-19. Pour le moment, ils ont étudié et testé 10 patients très graves infectés par le SRAS-CoV2 et présentant une pathologie psychiatrique, et les résultats sont très positifs et encourageants.

Ces conclusions préliminaires ont conduit à l’activation d’un projet d’essai clinique plus vaste et plus définitif visant à inclure tous les autres patients infectés par le virus, et pas seulement ceux présentant une pathologie psychiatrique.

Ainsi, dès le début de l’urgence sanitaire, le Service des Neurosciences de l’IIS Galicia Sur (Grupo de Neurociencia Traslacional do IIS Galicia Sur), en collaboration avec CIBERSAM, a commencé à travailler sur une nouvelle thérapie pour le COVID19. Selon José Manuel Olivares, chef du Service de Psychiatrie de l’Espace Sanitaire de Vigo (Servicio de Psiquiatría do Área Sanitaria de Vigo) et directeur du Service des Neurosciences de l’IIS Galicia Sur, « le traitement, basé sur l’administration de carbonate de lithium de manière rigoureusement contrôlée par l’équipe médicale, a commencé à être mis en œuvre chez des patients très sévères présentant des symptômes psychiatriques pouvant être traités par le lithium, montrant une amélioration très rapide, non seulement de ces symptômes, mais aussi du tableau clinique causé par le virus ».

Suite à ces résultats, un projet a été conçu en collaboration avec les groupes Maladies Infectieuses (Enfermedades Infecciosas) et Microbiologie et Maladies Infectieuses (Microbiología e Infectología), et en association avec le Groupe Catalan de l’Institut de Recherche Biomédicale August Pi i Sunyer (Grupo Catalán do Instituto de Investigacións Biomédicas August Pi i Sunyer), pour lequel un financement a été demandé à l’Institut de Santé Carlos III (Instituto de Salud Carlos III) et au Fonds Covid-19 Supera(Fondo Supera Covid-19), et qui est en attente d’approbation par l’Agence espagnole des médicaments et des produits de santé (Agencia Española de Medicamentos e Productos sanitarios – AEMPS).

Essai clinique

« Cependant, bien que les résultats obtenus ne soient pas généralisables, étant donné que cette étude a été réalisée avec un petit nombre de patients et avec des caractéristiques très spécifiques, nous ne pouvons pas confirmer la véritable efficacité du lithium tant que nous n’aurons pas réalisé un essai clinique contrôlé, ainsi que certaines données de laboratoire qui indiqueront la capacité réelle du lithium dans le traitement des effets causés par le virus dans le corps », explique Olivares.

Ils attendent actuellement l’autorisation de l’Agence Espagnole des Médicaments pour réaliser un essai clinique avec un plus grand nombre de patients et ainsi proposer ce traitement comme l’un des traitements de choix en cas de COVID19.

Propriétés du lithium

Le lithium est un traitement utilisé depuis 70 ans pour divers symptômes et troubles mentaux, tels que le trouble bipolaire, la dépression résistante, certaines formes d’irritabilité et d’agitation, etc.

On sait depuis longtemps qu’il inhibe la réplication de plusieurs types de virus, dont certains sont similaires au SRAS-CoV-2. Cela a été démontré dans plusieurs études avec des virus tels que le VIH, l’herpès ou plus récemment avec le SARS-CoV1 (le prédécesseur de l’actuel coronavirus).

Une autre de ses propriétés est sa capacité à augmenter la réponse immunitaire, en augmentant les niveaux de lymphocytes, ainsi qu’en prévenant et en diminuant l’activité inflammatoire, qui est la principale cause de problèmes chez les patients les plus graves, pouvant même entraîner la mort.

Phases de l’étude

Carlos Spuch, chercheur principal du groupe Neurosciences Translationnelles (Neurociencia Traslacional), explique la méthodologie de cette étude :  » la première étape pour tester l’hypothèse de l’efficacité du lithium comme traitement chez les patients atteints du Covid-19 a été de vérifier qu’il n’y avait pas de patients de l’aire de santé de Vigo infectés par le virus qui suivaient un traitement régulier au carbonate de lithium pour soulager leurs symptômes psychiatriques. Cependant, cela ne peut en aucun cas être considéré comme une preuve que le lithium prévient l’infection par le virus. Nous devons élargir la population étudiée. »

L’étape suivante a consisté à étudier l’effet du lithium chez un petit nombre de patients COVID19-positifs admis à l’hôpital Álvaro Cunqueiro et qui suivaient le traitement habituel avec des antirétroviraux (hydroxychloroquine et kaletra). Chez certains de ces patients, divers troubles psychiatriques apparaissent, tels que l’irritabilité, des altérations de l’humeur, l’agressivité ou des états maniaques qui nécessitent également l’intervention de spécialistes en psychiatrie. Dans ces cas, le lithium était la prescription psychiatrique appropriée et a donc été ajouté au traitement antirétroviral. Ces patients ont été choisis pour le traitement et le suivi dans cette recherche.

« Nous avons observé qu’après la première administration de lithium, les paramètres inflammatoires étaient significativement réduits, et que l’activité du système immunitaire était renforcée en augmentant le taux de lymphocytes, comme le prédisait l’hypothèse générée par les données disponibles dans la littérature scientifique. Le résultat final est que ces patients, qui étaient très gravement malades, ont réussi à se remettre du COVID19 » – assure José Manuel Olivares.

« Les résultats obtenus chez ces patients ont été soumis pour publication à une revue internationale à la fin du mois d’avril, et sont actuellement en cours d’examen ; nous espérons les publier prochainement.


Texte original

El Instituto de Investigación Sanitaria Galicia Sur investiga la eficacia del tratamiento con litio en pacientes con COVID-19

●  El Grupo de Neurociencia Traslacional del Instituto de Investigación Sanitaria Galicia Sur ya inició el estudio con 10 pacientes con coronavirus muy graves y con patología psiquiátrica, con unos resultados muy positivos

●  En este momento están pendientes de la autorización de la Agencia Española do Medicamento para realizar un ensayo clínico más amplio y definitivo

●  El litio tiene la capacidad de inhibir la replicación de varios tipos de virus, de aumentar la respuesta inmunológica, y de prevenir y disminuir la actividad inflamatoria, que es la causante de los problemas en los pacientes más graves

El Chuvi y el Instituto de Investigación Sanitaria Galicia Sur investigan la eficacia del tratamiento con litio en pacientes con Covid-19. Por el momento, han estudiado y testado a 10 pacientes muy graves infectados por el SARS-CoV2 y con patología psiquiátrica, e los resultados son muy positivos y esperanzadores.

Estas conclusiones preliminares motivaron la activación de un proyecto de ensayo clínico más amplio y definitivo que incluya al resto de pacientes infectados por el virus, no sólo a los que presentan alguna patología psiquiátrica.

Así, desde el comienzo de la emergencia sanitaria el Grupo de Neurociencia Traslacional do IIS Galicia Sur, en colaboración co CIBERSAM, comenzó a  trabajar en una nueva terapia para a COVID19. Según explica el jefe del Servicio de Psiquiatría do Área Sanitaria de Vigo y director do área de Neurociencias do IIS Galicia Sur, José Manuel Olivares, “el tratamiento, basado en la administración de carbonato de litio de forma rigurosamente controlada por el equipo médico, comenzó a llevarse a cabo en pacientes muy graves con sintomatología psiquiátrica susceptible de ser tratada con litio, presentando una mejoría muy rápida, no solo de dicha sintomatología, sino del  cuadro clínico provocado por el virus”.

Tras estos resultados se diseñó un proyecto en colaboración con los grupos de Enfermedades Infecciosas e Microbiología e Infectología, y en asociación con el Grupo Catalán do Instituto de Investigacións Biomédicas August Pi i Sunyer, para el que se solicitó financiación al Instituto de Salud Carlos III y al Fondo Supera Covid-19, y que está pendiente de aprobación por la Agencia Española de Medicamentos e Productos sanitarios (AEMPS).

Ensayo clínico

“Sin embargo, los resultados obtenidos, aunque no son generalizables, dado que este estudio se efectuó con un reducido número de pacientes e con unas características muy concretas, por el que non podemos confirmar de modo taxativo cual es la verdadera eficacia do litio mientras no realicemos un ensayo clínico controlado, junto con unos determinados datos de laboratorio que nos indiquen la capacidad real do litio en el tratamiento de los efectos que causa el virus en el organismo”, explica Olivares.

En estos momentos están a la espera de la autorización de la Agencia Española do Medicamento para llevar a cabo un ensayo clínico con más pacientes y así proponer este tratamiento como uno de los preferentes en casos de COVID19.

Propiedades del litio

El litio es un tratamiento que se emplea desde hace 70 años en distintos síntomas y cuadros mentales, como el trastorno bipolar, depresión resistente, determinados cuadros de irritabilidad y agitación, etcétera.

Desde hace tiempo se sabe que tiene capacidad de inhibir la replicación de varios tipos de virus, algunos de ellos similares al SARS-CoV-2. Esto se demostró en varios estudios realizados con virus como el VIH, el herpes o más recientemente co SARS-CoV1 (el antecesor del actual coronavirus).

Otra de sus propiedades es la capacidad para aumentar la respuesta inmunológica, incrementando los niveles de linfocitos; así como la de prevenir y disminuir la actividad inflamatoria, que es la causante principal de los problemas en los pacientes más graves, llevándolos incluso a la muerte.

Fases del estudio

Carlos Spuch, Investigador Senior del grupo de Neurociencia Traslacional, explica la metodología de este estudio, “el primer paso para testar la hipótesis de la eficacia del litio como tratamiento en pacientes Covid-19 fue comprobar que en el Área Sanitaria de Vigo no hubiese ningún paciente infectado por el virus que estuviese siguiendo un tratamiento habitual de carbonato de litio para aliviar sus síntomas psiquiátricos. Sin embargo, esto no se puede tomar de ninguna manera como una evidencia de que el litio impide contagiarse del virus. Tenemos que ampliar la población de estudio”.

El siguiente paso fue estudiar el efecto del litio en un número pequeño de pacientes COVID19 positivos ingresados en el Hospital Álvaro Cunqueiro y que seguían el tratamiento habitual con antirretrovirales (hidroxicloroquina y kaletra). En alguno de estos enfermos aparecen diversas afecciones psiquiátricas, como irritabilidad, alteraciones del estado de ánimo, agresividad o estados maníacos que requiren también de la intervención de los especialistas de Psiquiatría. En estos casos, el litio era la prescrición psiquiátrica adecuada, por lo que se añadía al tratamiento antirretroviral. Estos pacientes fueron los escogidos para el tratamiento y seguimiento de esta investigación.

“Observamos como tras la primera administración de litio, se redujeron significativamente los parámetros inflamatorios, y se potenció la actividad del sistema inmune aumentando el nivel de linfocitos, como predecía la hipótesis generada a través de los datos disponibles de la literatura científica. El resultado final es que estos pacientes, que estaban muy graves, consiguieron recuperarse de la COVID19” —asegura José Manuel Olivares.

“Los resultados obtenidos en estos pacientes fueron enviados para su publicación a una revista internacional a finales de abril, y están en fase de revisión; confiamos en que se publiquen en breve”.

Sauvez Wally : remontons l’histoire de la protéine de pointe jusqu’à un lama – par Stephers.

Bonjour à tous.

Un deuxième essai de Stephers (le premier est ici, j’en traduirai d’autres), qui figure également sur le site Piece of Mindful, sur le même sujet – les nanoparticules dans le cadre du Covid et des injections – sous l’angle d’une enquête très approfondie, très sourcée et qui donne pas mal de noms. La nanoparticule de son article précédent a ainsi retrouvé ses parents!

C’est assez touffu à la première lecture mais permettra une nouvelle fois au lecteur patient de s’affranchir des fausses pistes et autres cul-de-sac dans le labyrinthe du narratif officiel et alternatif. Bref, d’y voir plus clair.

Il est plus que temps.

Source.


Traduction

Sauvez Wally : Remontons l’Histoire de la Protéine de Pointe jusqu’à un Lama

Je dédie cet essai préliminaire à ceux de mes amis et de ma famille qui ont reçu une injection COVID (sans consentement éclairé approprié); et à toutes les personnes assises aux places les moins chères du fond de la salle, qui ne pourront peut-être pas entendre mes paroles, noyées dans le tintamarre de la recherche sur le gain de fonction (GdF), des fuites de laboratoire et des fuites de courrier électronique.

ALERTE SPOILER : Lorsque je fais ici référence à une «protéine de pointe», ce n’est PAS parce que je soutiens l’idée qu’une protéine est issue d’un virus, ou que je pense qu’elle est «excrétée» ou fonctionne de la manière postulée par les personnes référencées ci-dessous (qui soutiennent toutes qu’il existe un virus SARS-CoV-2).

On a eu droit récemment à beaucoup de drames (et à juste titre) à propos de la protéine de pointe du prétendu virus SARS-CoV-2, et plus précisément, a propos de ce qui est décrit comme l’expression de la protéine de pointe synthétique à la suite d’injections COVID.

Il semble que le Dr Byram Bridle, le Dr Joseph Mercola (voir ici et ici), Judy Mikovits, Stephanie Seneff [NdT. son rapport traduit et publié ici], le Dr Russell Blaylock et le Dr Sherri Tenpenny [NdT. idem ici] conviennent tous que la protéine de pointe – à tout le moins, celle qui est produite pour/par les injections — est une toxine (voir note de fin 1). Le consensus général parmi eux est qu’il s’agit d’une arme biologique. En effet, Tenpenny a souligné (interview en lien ci-dessus) que la protéine de pointe (et non pas « le virus ») est l’arme biologique, en se basant sur une étude d’un « pseudovirus inoffensif » qui a été conjugué à des protéines de pointe, et a toutefois causé des dommages artériels pulmonaires.

Je constate avec plaisir que nous pouvons tous aller de l’avant vu que nous sommes d’accord sur le fait qu’il s’agit d’une arme biologique créée en laboratoire; cependant, pourquoi tant de personnes conservent-elles leur vision en tunnel et demeurent-elles obsédées par la recherche de GdF? Pourrait-il y avoir d’autres laboratoires faisant des recherches connexes – peut-être de la R&D sur les protéines, ou plus précisément, de la R&D sur les «protéines de pointe» (sans virus)? Et quel rôle les synchrotrons jouent-ils dans tout cela? Au cours votre lecture, j’amènerai sur ce sujet un retournement de situation, j’espère donc que vous me suivrez jusque là, tandis que je vous invite maintenant au prélude…

En ce qui concerne la prochaine étape du développement des vaccins COVID (voir ici, ici et ici), vous en entendrez peut-être bientôt parler: les nanocorps de lama. Une courte présentation du «Whiteboard Doctor» (publiée en juillet 2020) intitulée «Llamas and COVID-19: Nanobodies Inhibit SARS-CoV-2 Virus Binding and Infection», explique une étude parue dans Nature en juillet 2020, qui s’intéresse à la technologie des nanocorps de lama – appliquée à la fameuse protéine de pointe.

La R&D sur les médicaments à base de nanocorps utilise un minuscule nanocorps, qui est un anticorps à domaine unique, ou un fragment d’un anticorps. Comme un anticorps, il est censé être capable de se lier aux antigènes. Le caplacizumab est le premier médicament à base de nanocorps, selon son fabricant Ablynx (acquis par Sanofi en 2018). Ce nanocorps précis est spécifiquement conçu pour le traitement d’un trouble rare de la coagulation sanguine appelé Purpura Thrombotique Thrombocytopénique aqueux (PTTa) – qui prendra de plus en plus d’importance au fur et à mesure que vous lirez ce qui suit. En septembre 2018, le caplacizumab a été approuvé en Europe pour les adultes, et il a reçu l’approbation de la FDA pour les adultes aux États-Unis en février 2019.

En bref, le PTTa est une maladie sanguine rare qui affecte les plaquettes sanguines et entraîne la formation de caillots sanguins dans les petits vaisseaux sanguins du corps, ce qui peut ralentir le flux sanguin vers les organes, notamment le cœur, le cerveau et les reins. En provoquant l’agglutination des plaquettes, le PTTa peut également provoquer des saignements excessifs et une anémie.

Il y a un an, si j’avais demandé à mes lecteurs s’ils avaient entendu parler de PTTa, il n’y aurait probablement pas eu une seule main levée (la mienne incluse). Cependant, si je vous demandais maintenant si vous avez entendu (même vaguement) parler de thrombose ou de thrombocytopénie, lèveriez-vous la main? Quelqu’un a dit COVID?

En conséquence, on a beaucoup parlé dans les médias (à la fois grand public et alternatifs) d’un trouble de la coagulation sanguine ultra-rare appelé purpora de thrombocytopénie thrombotique (PTT) dans le contexte du COVID et également des injections COVID (Thrombose et Thrombocytopénie Induites par le Vaccin, ou TTIV).

Les TTIV apparemment inexplicables furent la raison présumée du bref retrait en avril 2021 du produit de bio-ingénierie J&J (voir ici et ici). Malgré les inquiétudes concernant la coagulopathie (coagulation du sang) exprimées par la communauté médicale, y compris la toxicologue, le Dr Janci Chunn Lindsay [NdT. que j’ai également traduite et publiée ici], le déploiement de l’injection de J&J reprit après sa brève interruption. Il convient de noter que la thrombose a également été corrélée à l’utilisation du dispositif AstraZeneca.

Au cours des deux derniers mois, le débat agité autour de la protéine de pointe et de son rôle potentiel dans la formation de caillots sanguins s’est intensifié. Voir ici pour une analyse détaillée, publiée le 3 juin 2021 par le médecin écossais, le Dr Malcolm Kendrick. Le Dr Kendrick explique : « … il se peut que la protéine de pointe elle-même crée la plupart des caillots sanguins. Ici, dans l’article « La sous-unité spike 1 du SARS-CoV-2 induit une hypercoagulabilité », « Lorsque la totalite du sang a été exposée à des protéines de pointe, même à de faibles concentrations, les érythrocytes (globules rouges) ont montré une agglutination, des plaquettes hyperactivées ont été observées, avec une propagation membranaire et la formation de microparticules dérivées des plaquettes.» Traduction. Introduisez les protéines de pointe du SARS-CoV2 dans la circulation sanguine, et cela le fait coaguler – rapidement. Ce qui est inquiétant. » Kendrick poursuit: «C’est inquiétant parce que le but de la vaccination contre le SARS-CoV2 est de forcer les cellules à fabriquer la ou les protéines de pointe, puis de les envoyer dans la circulation sanguine… Nous savons qu’un pourcentage très élevé des personnes qui meurent après le… COVID-19… meurent des suites de caillots sanguins. On sait aussi qu’ils peuvent aussi souffrir de myocardites sévères (inflammation du muscle cardiaque)… Nous savons que la protéine de pointe peut stimuler la formation de caillots sanguins à elle seule… Nous savons qu’un certain nombre de personnes sont mortes de caillots sanguins après la vaccination… Ma préoccupation à ce stade est que, oui, nous avons identifié des manifestations très rares de la coagulation du sang… si rares qu’il est peu probable que quoi que ce soit d’autre – à part un nouveau vaccin – ait pu les causer. Je n’avais jamais vu de cas et je n’en avais même jamais entendu parler avant l’arrivée du COVID19. Et j’ai passé des années à étudier le système de coagulation du sang, la vascularite, etc.« 

Si le COVID, et les injections COVID – et la protéine de pointe (à elle seule) – provoquent tous potentiellement une destruction vasculaire, y compris la coagulation du sang (et le TTP en particulier), peut-être pouvons-nous alors en déduire qu’il existe un dénominateur commun entre les trois qui interfère avec les plaquettes sanguines et le fonctionnement vasculaire.

Revenons au sujet des lamas et à une discussion plus détaillée sur les nanocorps – dans le contexte du COVID.

Les lamas appartiennent à un groupe de mammifères appelés camélidés, qui comprend également les chameaux et les alpagas. Ils produisent des anticorps beaucoup plus petits que les anticorps humains (environ la moitié de leur taille, selon Andrzej Joachimiak, scientifique du Laboratoire National Argonne), appelés nanocorps.

Les « adorables » lamas utilisés dans les expérimentations actuelles sur les nanocorps ont en fait des noms. L’un des lamas au cœur de l’étude des nanocorps de camélidés s’appelle « Wally« . Le 9 mars 2021, Andre Salles du Laboratoire National Argonne écrivait : « Isoler ces minuscules nanocorps est délicat, car le corps en génère un nombre énorme et seule une petite fraction est destinée à combattre un virus particulier. C’est exactement le problème que Yi Shi, professeur de biologie cellulaire à l’Université de Pittsburgh, essaie de résoudre. Dans un article publié dans Science, Shi et ses collègues ont dévoilé une nouvelle méthode de spectroscopie de masse avancée pour analyser ces nanocorps à partir d’échantillons de sang de lama. Le résultat… est un grand ensemble de nanocorps qui se lient bien au virus SARS-CoV-2… L’expérience de Shi a commencé avec un lama, celui nommé Wally parce qu’il ressemble à (et porte donc le même nom que) son Labrador noir. L’équipe a vacciné Wally contre le SARS-CoV-2, a attendu deux mois que des nanocorps soient générés, puis… a utilisé leur nouvelle méthode pour analyser les nanocorps, les identifier et les quantifier. Ils se sont retrouvés avec 10 millions de séquences de nanocorps.« 

Salles explique: «Ces nanocorps peuvent rester à température ambiante pendant six semaines et sont suffisamment petits pour pouvoir être aérosolisés, ce qui signifie que les produits thérapeutiques conçus à partir d’eux peuvent être inhalés directement dans les poumons au lieu de se déplacer dans la circulation sanguine (c’est nous qui soulignons)… « Avec cette méthode, nous pouvons découvrir des milliers de nanocorps distincts à ultra-haute affinité pour une liaison spécifique à l’antigène », a déclaré Shi. «Ces nanocorps peuvent ou non fournir un traitement pour le COVID-19, mais la technologie utilisée pour les isoler sera importante à l’avenir…’ … ‘ À partir des structures cristallines déterminées à partir des données collectées à l’APS [Advanced Photon Source] et au Stanford Synchrotron Radiation Lightsource (SSRL), nous avons pu identifier les sites de liaison des nanocorps sur le domaine de liaison du récepteur SARS-CoV-2 ‘, a déclaré [ Ian] Wilson. ‘Les informations structurelles aux rayons X, combinées aux données de microscopie cryoélectronique, ont été utilisées pour aider à concevoir des anticorps multivalents encore plus puissants pour prévenir l’infection par COVID-19. Le travail structurel aux rayons X a été grandement facilité par un accès immédiat à l’APS.’ Seul le temps (et d’autres tests) dira si les différents nanocorps se traduiront par des traitements efficaces contre le COVID-19. Mais si c’est le cas, nous en serons redevables à cet adorable lama.« 

L’APS est décrit comme suit [NdT. accrochez-vous et tentez de suivre]: « L’Advanced Photon Source est une Installation du Bureau Scientifique du Département de l’Energie [DOE] américain sous contrôle du Bureau Scientifique du DOE [U.S. Department of Energy (DOE) Office of Science User Facility operated for the DOE Office of Science] par le Laboratoire National Argonne. Un financement additionnel des faisceaux utilisés pour la recherche COVID-19 à l’APS provient des National Institutes of Health (NIH) et du le DOE Office of Science Biological and Environmental Research… soutenu par le DOE Office of Science par le biais du National Virtual Biotechnology Laboratory (c’est nous qui soulignons), un consortium de laboratoires nationaux du DOE axé sur la réponse au COVID-19 avec un financement fourni par le Coronavirus CARES Act.« 

Voici le rebondissement de l’intrigue (si vous êtes toujours là)… Devinez où la protéine de pointe utilisée dans le développement des vaccins COVID a été conçue?.. Attendez… Au Laboratoire National d’Argonne – et en utilisant le même Advanced Photon Source (APS)! Selon cet article de décembre 2020 (rédigé par Andre Salles d’Argonne), c’est Jason McLellan et ses collègues qui ont développé l’énigmatique protéine de pointe. Incidemment, ils ont déposé un brevet pour une version de la protéine de pointe en octobre 2017, et la demande a été approuvée en mars 2021. Comme expliqué par Salles de chez Argonne:

« cinq des vaccins, dont ceux développés par Pfizer/BioNTech et Moderna, contiennent des mutations génétiques qui augmentent leur efficacité, mutations basées sur des travaux remontant à plus de 10 ans, effectués grâce aux ressources de l’Advanced Photon Source (APS)(c’est nous qui soulignons) »

«Elles ont été développés par Jason McLellan, maintenant professeur agrégé à l’Université du Texas à Austin, et Barney Graham, actuellement directeur adjoint du Vaccine Research Center de l’Institut national des Allergies et des Maladies Infectieuses, qui fait partie des National Institutes of Health (NIH)… « 

« En 2013, McLellan et ses collègues, dont Nianshuang Wang, qui travaille maintenant chez Regeneron Pharmaceuticals, ont commencé à travailler avec Graham et sa collègue du NIH Kizzmekia Corbett sur un vaccin contre le coronavirus du Syndrome Respiratoire du Moyen-Orient (Middle East Respiratory Syndrome, MERS-CoV)… Cette fois, ils effectuèrent une partie de leur travail au Centre de Biologie Structurale (Structural Biology Center – SBC) de l’APS… « 

« McLellan et Graham sont tous deux des utilisateurs de longue date de l’APS (c’est nous qui soulignons), et leur travail pour comprendre le RSV et le MERS-CoV a conduit à une technique efficace pour neutraliser les deux virus », a déclaré Bob Fischetti d’Argonne, chef de groupe et conseiller en sciences de la vie auprès du directeur de l’APS. « Les travaux sur la structure réalisés à l’APS ont joué un rôle clé dans la découverte de cette technique, et l’on voit aujourd’hui à quel point elle peut être importante… « 

«Lorsque le SARS-CoV-2 est apparu, McLellan, Wang et l’étudiant diplômé Daniel Wrapp, maintenant à l’Université du Texas à Austin, se sont joints à Graham et Corbett pour voir si la même technique pourrait servir à inhiber la propagation de ce nouveau virus. Et une fois qu’ils ont pu examiner la structure de la protéine de pointe, ils ont découvert que c’était le cas… « 

« ‘Être capable de résoudre la structure de la protéine de pointe du SARS-CoV-2 (c’est nous qui soulignons) et savoir qu’elle était dans la conformation souhaitée dans les trois semaines suivant la publication de la séquence (c’est nous qui soulignons) était essentiel pour faire avancer rapidement les programmes de développement de vaccins et de découverte d’anticorps‘, a déclaré Graham… « 

«Les premiers résultats de leurs travaux, une mutation appelée S-2P, se trouve maintenant dans les vaccins contre le SARS-CoV-2 développés par Moderna, Pfizer/BioNTech, Novavax, Johnson & Johnson et CureVac, a confirmé McLellan (c’est nous qui soulignons). Les vaccins de Pfizer et de Moderna utilisent l’ARN messager (ARNm) pour ordonner aux cellules humaines de fabriquer le mutant de la protéine de pointe contre laquelle le système immunitaire développe ensuite des anticorps.« 

Selon Robert Fischetti d’Argonne, « Cette recherche a été effectuée sans aucune idée de l’importance qu’elle aurait pour nous en 2020.« 

Alors, imaginez un peu. . . Le chercheur principal, Jason McLellan, qui a affirmé avoir créé la protéine de pointe synthétique (écoutez à environ 9 minutes), apparemment fabriquée et exprimée dans le corps par les prétendus « vaccins » (en raison d’instructions de génie génétique codées par soit des ARN messagers soit par l’ADN d’adénovirus), semble également avoir « des années d’expérience de travail avec des nanocorps de camélidés », actuellement proposés pour traiter le COVID et son symptôme notable de thrombose (qui est également l’effet secondaire de plus en plus signalé suite aux injections). Pour rappel, le phénomène de coagulation du sang est attribué par plusieurs chercheurs et médecins à… comprenez bien… la PROTÉINE DE POINTE ! Parallèlement, Jason McLellan et son collègue, Daniel Wrapp, ont reçu un Golden Goose Award 2020 pour l’un de leurs nanocorps de lama (appelé VHH72, qu’ils avaient « caractérisé à l’aide des lignes de faisceau SBC de l’APS« ) actuellement en cours de développement pour le traitement du COVID. »

Je pense que ce contexte est de la plus haute importance pour saisir l’ensemble de cette opération COVID (ou protéine modifiée, sans virus). Comme toujours, examinez le schéma problème, réaction, solution. N’oubliez pas non plus que le Laboratoire National Argonne mène depuis longtemps des recherches classifiées et abrite le Centre pour les Matériaux à l’Echelle Nanométrique (Center for Nanoscale Materials, CNM), ainsi que plusieurs générations de supercalculateurs, dont le prochain Aurora, «qui sera le premier supercalculateur exascale au monde.« 

Ne trouvez-vous pas étrange que le laboratoire qui a créé la protéine de pointe (synthétique) ait tout naturellement développé les nanocorps dont on présume qu’ils pourraient «neutraliser» ladite protéine ? De plus, la technologie des nanocorps de camélidés susmentionnée a déjà été utilisée contre à la thrombose (depuis 2018). Bon, si on était un « théoricien du complot », ce ne serait pas vraiment une surprise, n’est-ce pas? Mais quelles sont les implications potentielles (au-delà de celle évidente du profit, reflétée principalement dans les spin-outs biotechnologiques financés par le capital à risque), et y a-t-il des intentions cachées ?

Comme je l’ai dit ici à plusieurs reprises, cette mystérieuse protéine de pointe a été la cible de beaucoup de commentaires critiques dans les médias alternatifs, mais ceux-ci ont négligé d’expliquer l’origine de la protéine de pointe synthétique (utilisée dans les injections) et comment elle a été fabriquée.

Je propose que soient étudiés la science de la protéomique et ses laboratoires associés – et je commencerais par le Laboratoire National Argonne. Je souhaiterais également ajouter l’Institute for Protein Design (IPD) de l’Université de Washington à cette enquête ciblée (voir leur Conseil Consultatif ici). L’IPD a annoncé le 2 juin 2021 son intention de déployer un nouveau vaccin à nanoparticules contre le COVID : « Notre candidat vaccin contre le SARS-CoV-2 a été créé avec des techniques de conception de vaccins basées sur la structure inventées dans le laboratoire King [à] l’IPD. Il est basé sur une nanoparticule de protéine auto-assemblante conçue par ordinateur (c’est nous qui soulignons) qui affiche 60 copies d’une région clé de la protéine de pointe virale. »

Savons-nous à quoi sert réellement cette protéine modifiée, dérivée in silico, en particulier lorsqu’elle est fabriquée à l’intérieur d’un corps humain-hôte?

Même en leur attribuant de bonnes intentions – avec leurs modèles, leurs séquences cibles, leurs algorithmes d’apprentissage automatique et leur méthodologie de prédiction de la structure des protéines – les concepteurs de protéines peuvent-ils être assurés que leur protéine « bien élevée » se comportera in vivo comme prévu?

Nous devrons peut-être rester en rester au stade de la spéculation (et rester vigilants) pour l’instant, mais cet article de juin 2020 dans Nature Biotechnology – qui présente l’ingénierie des protéines de novo [NdT. nouvellement synthétisée] « galvanisée » par l’IPD de l’Université de Washington (mis en évidence ci-dessus) – peut nous donner quelques éléments de réflexion: « C’est stimulant de penser que nous arrivons maintenant au stade où nous sommes capables construire de nouvelles choses qui peuvent être utiles dans le monde », dit-il [David Baker, directeur de l’IPD]. Baker pense que la technologie de conception de protéines de novo a franchi un cap, passant de la création de protéines fonctionnelles mais simples à la construction de machines moléculaires complexes capables d’effectuer des opérations conditionnelles. Ne se limitant plus à décrire et à copier les protéines naturelles, les concepteurs de protéines ont appris à construire des ensembles de protéines qui peuvent changer de conformation à la demande ou exécuter des instructions en plusieurs étapes, telles que basculer entre deux états… Mère Nature a créé des outils incroyables, mais ces solutions sont le résultat de pressions évolutives, notamment la nécessité de conserver le patrimoine génétique en fabriquant des protéines qui remplissent de multiples fonctions. Alors qu’une protéine naturelle peut être la solution à laquelle l’évolution est arrivée, il se peut bien qu’elle ne soit pas l’outil le plus efficace pour une tâche conçue par un humain. La création de nouvelles protéines, dit Baker, permet aux outils d’être spécifiquement dirigés, ainsi que modulaires et personnalisables pour d’autres utilisations.« 

Le jeu vidéo compétitif « Foldit » de Baker (basé sur son logiciel de modélisation moléculaire Rosetta) – dans lequel les membres du public peuvent simuler et manipuler leurs propres protéines – en dit long. Ça devrait alarmer nos lecteurs et nous ramène aux avertissements prémonitoires d’Alison McDowell selon lesquels notre vie (dans ce cas, la vie biologique dans ses éléments de base) serait non seulement numérisée, mais ludifiée.

Si vous la construisez (une protéine synthétique, voire hybride), ils (l’État de biosécurité militarisé) viendront (?).

Est-ce ainsi que la Simulation du Monde Conscient (Sentient World Simulation, SWS) commence à se construire, comme je l’ai avancé en avril 2020 ?

Étonnamment, sur leur site Web, Argonne déclare entre parenthèses (je souligne) :

(Les chercheurs de l’APS ne travaillent pas avec le virus vivant, mais avec des cristaux issus de protéines simulées.)

Alors, le laboratoire Argonne qui a synthétisé une glycoprotéine (prétendument à partir d’un virus) a-t-il jamais eu physiquement en sa possession ledit virus? Cette question semble-t-elle familière à la plupart des lecteurs de POM [NdT. Piece of Mindful, le site où figure cet article]?

Je rappelle aux lecteurs que cette protéine est synthétique et d’échelle nanométrique, et est donc une nanoparticule artificielle (NPA) – ce qui nous ramène à mon précédent article d’avril 2021, « Confessions of an Engineered Nanoparticle » [NdT. « Confession d’une nanoparticule artificielle », à lire absolument, que j’ai traduit et publié ici]. J’y avais également indiqué que la NPA était responsable de la thrombose due à l’agrégation plaquettaire. Quand j’ai écrit ça, si vous vous en souvenez, j’ai exprimé (par la voix d’une NPA) que je ne savais pas d’où venait les NPA. Ai-je maintenant ma réponse? Hypothétiquement, si j’étais une NPA orpheline qui raconte une histoire fictive, je dirais que j’ai peut-être trouvé mes parents biologiques, et il semble qu’ils aient des noms et qu’ils aient une maison – ainsi qu’un puissant accélérateur de particules utilisant de puissantes lignes de faisceaux!

La NPA (que j’ai postulée être la cause du COVID) était-elle depuis le début la «protéine de pointe» bio-fabriquée? Ou plutôt, vice versa : la « protéine de pointe » est-elle simplement une NPA emballée dans le jargon de la virologie?

Alors que les magiciens ont hypnotisé beaucoup de gens avec leur « hypothèse de fuite de laboratoire » (basée sur des recherches GdF anciennes et obsolètes), je garderai un œil sur les laboratoires (ici chez moi aux États-Unis et de l’autre côté de l’Océan) qui jouent avec des lignes de faisceaux, avec la cristallographie de protéines et avec la technologie de conception de protéines synthétiques – d’autant plus qu’ils revendiquent ouvertement la production de la célèbre protéine de pointe, utilisée pour développer les injections COVID actuellement achetées par les États-Unis. Dans ce cas, je pourrais bien les croire sur parole.

Soyons clairs, cependant, lorsque les scientifiques admettent s’amuser avec ces protéines (et en « cartographier la structure »), en utilisant leur technologie d’accélérateur de particules à haute puissance, ils ne se contentent pas d’imager et d’identifier ce qui est déjà présent (en utilisant de vagues expressions vernaculaires telles que « déterminé la structure » ​​ou « résolu la structure »). Ces puissants rayons X de nouvelle génération et potentiellement cytotoxiques (apparemment 10.000 milliards de fois plus puissants que les rayons X médicaux) peuvent littéralement produire et synthétiser de nouvelles particules (de façon similaire au phénomène dont nous avons discuté à plusieurs reprises, qui implique l’ajout de produits chimiques toxiques ajoutés aux cellules dans une boîte de Pétri, entraînant des effets cytopathiques), car les électrons à haute énergie sont excités par les interactions photoniques. L’interaction photonique qui s’ensuit est appelée effet photoélectrique et confère de l’énergie cinétique (ou des particules chargées) à l’échantillon observé, produisant des nanostructures, qui sont ensuite utilisées dans des applications biotechnologiques avancées.

Dans le même ordre d’idées, voici un court extrait d’un intrigant article d’avril 2021 du Laboratoire National Argonne : « En utilisant l’APS, les chercheurs ont pu utiliser des lasers pour créer un nouvel état de la matière [avec des phénomènes structurels, électroniques et magnétiques émergents] (c’est nous qui soulignons) et obtenir une image complète de sa structure en utilisant la diffraction à rayons X. En 2019, l’équipe, dirigée conjointement par Argonne et la Pennsylvania State University, a rapporté ses découvertes dans un article de couverture de Nature Materials, notamment que les tourbillons peuvent être manipulés grâce à des impulsions lumineuses. Les données ont été recueillies sur plusieurs lignes de faisceaux APS : 7-ID-C, 11-ID-D, 33-BM et 33-ID-C. » L’article poursuit: « Bien que ce nouvel état de la matière, désigné supercristal, n’existe pas à l’état naturel (c’est nous qui soulignons), il peut être créé en éclairant de fines couches de deux matériaux distincts soigneusement conçues par l’utilisation de lumière », a déclaré Venkatraman Gopalan, professeur de Science et d’Ingénierie des Matériaux et de Physique à Penn State. »

Je répéte ce qui a été dit plus haut :

(Les chercheurs de l’APS ne travaillent pas avec le virus vivant, mais avec des cristaux issus de protéines simulées.)

Encore un peu de magie.

Certes, je ne comprends pas complètement comment les nanocristaux sont synthétisés par l’usage de l’accélérateur et de la technologie de cristallographie qui lui est associée, car ça dépasse le cadre de mon exploration actuelle. Néanmoins, je sens bien que c’est un vrai prodige, et j’invite les lecteurs à m’apporter les éclairages pertinents. Pendant que certains chercheurs se consacraient (d’après moi) à répéter le plus ancien tour de passe-passe connu en virologie – cultiver des entités à partir de débris cellulaires dans des boîtes de Pétri et les appeler des « virus » – de zélés manipulateurs de synchrotrons ont du bien s’en amuser en s’en mettant plein les poches.

À tout le moins, un fait me semble évident : les protéines peuvent être générées en grande quantité, sont facilement accessibles et sont des nanodispositifs très appropriés pour la biodétection et le ciblage cellulaire (y compris le génie génétique/génomique et la biologie synthétique). Tout ce qu’on appelle un virus, ne remplit pas le contrat – pour le projet de Web Spatial émergent [NdT. un autre article de Stephers que je vais traduire et publier ici]. Alors autant arrêter de concentrer nos efforts là-dessus. À l’inverse, la protéomique armée et pilotée par l’IA semble beaucoup plus adaptée et adaptable aux très inquiétants projets 4RI [Quatrième Révolution Industrielle], incorporant des réseaux de neurones profonds (pour la biologie computationnelle), des biobanques, des biopuces (pour la fluidique fonctionnelle) et l’intégration aux blockchains.

Vous vous souvenez de ce film déchirant de 1993, « Sauvez Willy »? Je pense que nous devrions lancer une campagne pour SAUVER WALLY!!! (comprenez bien que je parle métaphoriquement, car dans un sens, nous sommes tous des Wally.) Peut-être que si nous sauvons Wally le lama de nouvelles expérimentations scientifiques, nous pourrons arrêter de nouvelles expérimentations sur la population humaine – le tout prétendument contre un virus qui n’a toujours pas été trouvé dans sa version pure à l’intérieur de quiconque! En plus de libérer Wally, on pourrait aussi jouer à « Où est Waldo? » Jusqu’à présent, certains chercheurs enquêteurs ont fait la chasse au virus, sont allés scruter tous les coins et recoins des laboratoires, et il n’a pas encore été trouvé. Alors où est le virus? Où est Waldo – ou Waldo était-il la protéine de pointe (une nanoparticule artificielle, née d’un synchrotron?) depuis le début?

Je suggère qu’il n’y a peut-être jamais eu besoin d’un virus (seulement d’une séquence informatisée, qui a été largement partagée et jamais remise en question); mais, plutôt, qu’il y avait besoin d’une protéine synthétique attachée à des produits nanométriques avancés non divulgués (de l’oxyde de graphène?) ou à des gadgets (transistors à nanofils?). Nous devons jeter ce dangereux conjugué de protéines (peut-être magnétique ou nanoélectronique) – et les véhicules sériques biotechnologiques dans lesquels il se déplace – à l’égout, une fois pour toutes.

Tragiquement, dans l’intervalle, nous assistons à de nombreux effets indésirables plus graves et potentiellement mortels des injections (y compris des jeunes atteints de myocardite) – et peut-être chez les très jeunes enfants qui sont les prochains à recevoir ce périlleux vaccin. Tenez les enfants loin de ce vaccin… Tenez-les très loin. Nos enfants ont besoin de notre protection contre cette invasion corporelle, peut-être perpétrée pour des objectifs très louches – qui restent à découvrir et à révéler en entier.

{Remerciements : Remerciez le commentateur régulier de POM, OregonMatt, pour ses commentaires et ses idées pratiques, pendant que cet essai prenait forme. Merci également au commentateur de POM, Diego, pour avoir offert des informations relatives à l’oxyde de graphène, qui m’a renseigné plusieurs hyperliens ; à mes amis proches qui m’ont envoyé des sujets pertinents; et à MT pour le support technique (et émotionnel – je plaisante) lors des pannes régulières de WordPress.}

Notes spéculatives :

1) Une (pas si) petite mise en garde en ce qui concerne cette infâme « protéine de pointe »: je n’implique pas qu’une protéine est la toxine en soi, mais plutôt un des composants d’une toxine conjuguée. Des composants supplémentaires (non divulgués), ou une combinaison de ceux-ci, peuvent être à l’origine de la toxicité. Comme nous ne connaissons pas les autres composants, j’ai choisi de faire référence à ce qu’on appelle la « protéine de pointe » en tant que toxine d’intérêt.

2) Je reste inébranlable dans ma conviction que ce conjugué de protéine d’échelle nanométrique, et les injections associées, sont capables d’un accès rapide au cerveau (en fin de compte, pour établir l’interface cerveau-machine) ; et il se peut que la thrombose (coagulation du sang) soit le mécanisme de défense inné du corps activé par certaines personnes afin de protéger le cerveau. Il se pourrait que le système vasculaire interne soit naturellement conçu pour capturer le nanocristal étranger dans sa vaste structure en réseau (qui entraîne une couronne biomoléculaire?), séquestrant ainsi les plaquettes et entraînant de multiples caillots sanguins.

Notes :

1) Voici les liens vers leurs biographies respectives : Bridle, Mercola, Mikovits, Seneff, Blaylock et Tenpenny.

2) Une étude d’août 2020, « Les pseudo-virions de pointe du SARS-CoV-2 conjugués à points quantiques permettent le suivi de la liaison et de l’endocytose de l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 » démontre qu’il n’y a AUCUN virus nécessaire. Cette étude semble impliquer qu’une nanoparticule artificielle (conjuguée à une protéine de pointe artificielle qui cible les récepteurs ACE2) fait parfaitement l’affaire. Alors que l’étude liée affirme que les points quantiques ne sont pas toxiques, d’autres recherches semblent le contredire.

Pour une exploration plus approfondie :

« L’oxyde de graphène touche le sang : interactions in vivo de matériaux 2D bio-coronés » Nanoscale Horizons, 1er mars 2019

« L’oxyde de graphène est le sujet brûlant de la recherche biomédicale et pharmaceutique de la décennie actuelle. Cependant, ses interactions complexes avec les composants du sang humain compliquent la transition des résultats in vitro prometteurs aux paramètres cliniques. Même si l’oxyde de graphène est composé des mêmes atomes que nos organes, tissus et cellules, sa nature bidimensionnelle provoque des interactions uniques avec les protéines sanguines et les membranes biologiques et peut entraîner des effets graves comme la thrombogénicité et l’activation des cellules immunitaires. Dans cette revue, nous décrirons le parcours de l’oxyde de graphène après injection dans la circulation sanguine, des interactions initiales avec les protéines plasmatiques à la formation de la «couronne biomoléculaire» et à la biodistribution. Nous considérerons le lien entre les propriétés chimiques de l’oxyde de graphène (et ses dérivés fonctionnalisés/réduits), la liaison aux protéines et la réponse in vivo. Nous résumerons également les données sur la biodistribution et la toxicité au vu des connaissances actuelles sur l’influence de la couronne biomoléculaire sur ces processus. Notre objectif est de faire la lumière sur les problèmes non résolus concernant la couronne d’oxyde de graphène afin de jeter les bases du développement futur de la technologie d’administration de médicaments.

« Les bases du vaccin Covid-19 posées à Dartmouth » NH Business Review, par Jeff Feingold, 7 janvier 2021

« Notre objectif était de déterminer la première structure tridimensionnelle d’une protéine de pointe de coronavirus », se souvient McLellan, désormais professeur agrégé de Biosciences Moléculaires à l’Université du Texas à Austin. «Nous voulions ces informations afin de pouvoir concevoir davantage de vaccins basés sur la structure. Cela impliquait d’utiliser ces structures pour faire de l’ingénierie des protéines et identifier les substitutions ou les mutations que nous pourrions faire dans les protéines qui rendraient les pointes plus stables. »

« À propos de SBC » Division des sciences des rayons X du Laboratoire National Argonne

Ce bref extrait explique la technologie référencée par Jason McLellan dans le lien ci-dessus :

« Le Centre de Biologie Structurale d’Argonne est le leader mondial dans la résolution des structures des protéines, utilisées par les chercheurs du monde entier pour développer de nouveaux médicaments et procédures de diagnostic.« 

« Le Centre de Biologie Structurale (Structural Biology Center, SBC) gère une installation nationale d’utilisateurs pour la cristallographie macromoléculaire. Situé dans le secteur 19 de l’Advanced Photon Source au Laboratoire National Argonne, le SBC fournit à la communauté scientifique deux lignes de faisceaux expérimentales : un dispositif d’insertion, 19-ID, et un aimant de courbure, 19-BM. « 

« Longhorns dans le combat contre le COVID-19 : Jason McLellan » 16 avril 2020 (voir la vidéo ci-dessus) [NdT. les longhorns sont des bovidés assez redoutables]

«Structure et conception des pointes de SARS-CoV-2» 5 février 2021 (voir la vidéo ci-dessus)

Posté le par Stephers

Posté dans Biology, COVID-19, Crimes Against Humanity, Engineering, Genetic engineering, Germ theory, Pursuit of truth, Science, Vaxxing, Virology … for real


Texte original

Free Wally: Tracing the Spike Protein Drama to a Llama

I dedicate this exploratory essay to my friends and family who received a COVID injection (without proper informed consent); and to all the individuals way back in the cheap seats, who may not be able to hear what I am saying, due to the drowned-out noise of Gain-of-Function (GOF) research, lab leaks, and e-mail leaks.

SPOILER ALERT: When I refer to a “spike protein” herein, it is NOT because I support the notion that a protein arose from a virus, nor do I think it “sheds” or operates in the way that has been postulated by individuals referenced below (all of whom maintain that there is a SARS-CoV-2 virus).

There has been much recent drama (and rightly so) centered around the spike protein of the purported SARS-CoV-2 virus, and more specifically, what is being described as the expression of the synthetic spike protein as a result of COVID injections.

It seems that Dr. Byram Bridle, Dr. Joseph Mercola (see here and here), Judy Mikovits, Stephanie Seneff, Dr. Russell Blaylock, and Dr. Sherri Tenpenny all agree that the spike protein — at the very least, the one that is being produced for/by the injections — is a toxin (see Endnote 1). The general consensus among them is that it is a bioweapon. Indeed, Tenpenny emphasized (interview linked above) that the spike protein is the bioweapon (not “the virus”), based on a study of a “harmless pseudovirus” that was conjugated with spike proteins, yet caused pulmonary arterial damage.

I am content knowing we can all move forward in agreeing this may be a lab-created bioweapon; however, why do so many still have tunnel vision, remaining fixated on GOF research? Could there be other labs doing related research — perhaps protein R&D, or even more precisely, “spike protein” R&D (sans virus)? And how do synchrotrons factor in to all of this? As you read further, I offer a plot twist in this regard, so I hope you can stay tuned as I set up the prelude . . . 

As for what is next in the COVID vaccine pipeline (see here, here, and here), you may soon be hearing about it: llama nanobodies. A short presentation by the “Whiteboard Doctor” (posted July 2020) titled, “Llamas and COVID-19: Nanobodies Inhibit SARS-CoV-2 Virus Binding and Infection,” elucidates a July 2020 Nature study, that highlighted llama nanobody technology — applied to the infamous spike protein.

Nanobody-based drug R&D uses a tiny nanobody, which is a single-domain antibody, or a fragment of an antibody. Like an antibody, purportedly, it is able to bind to antigens. Caplacizumab is the first nanobody-based medicine, according to its manufacturer, Ablynx (acquired by Sanofi in 2018). This particular nanobody is designed specifically for the treatment of a rare blood clotting disorder called aqcuired Thrombotic Thrombocytopenic Purpura (aTTP) — which will become increasingly significant as you read below. In September 2018, Caplacizumab was approved in Europe for adults, and it received FDA approval for adults in the U.S. in February 2019. 

As brief background, aTTP is a rare blood disorder that affects blood platelets, and results in blood clots in small blood vessels in the body, which can slow the blood flow to the organs, including the heart, brain, and kidneys. By causing platelets to clump together, aTTP can also cause excess bleeding and anemia.   

A year ago, if I had asked readers if they heard of aTTP, most likely there would not have been a show of hands in the affirmative (me included). However, if I asked you now if you have heard (even vaguely) of thrombosis or thrombocytopenia, would you raise your hand? Can you say COVID, anyone?

Accordingly, there has been increased media exposure (both mainstream and alternative) of an ultra rare blood clotting disorder called thrombotic thrombocytopenia purpora (TTP) within the context of COVID and also COVID injections (Vaccine induced Thrombosis and Thrombocytopenia, or VITT). 

The seemingly inexplicable VITT was the alleged reason for the swift pause in April 2021 of the J&J bioengineered product (see here and here). Despite concerns of coagulopathy (blood clotting) voiced from the medical community, including toxicologist Dr. Janci Chunn Lindsay, the J&J injection roll-out was resumed following its brief hiatus. It should be noted that thrombosis has also been correlated with uptake of the AstraZeneca device.

In the past couple months, dramatic discussion of the spike protein, and its potential role in causing blood clotting, has intensified. See here for a detailed analysis published on June 3, 2021 by Scottish physician, Dr. Malcolm Kendrick. Dr. Kendrick explained: “ . . . it may be that the spike protein itself creates most of the blood clots. Here from the paper ‘SARS-CoV-2 spike S1 subunit induces hypercoagulability.’ When whole blood was exposed to spike protein even at low concentrations, the erythrocytes (red blood cells) showed agglutination, hyperactivated platelets were seen, with membrane spreading and the formation of platelet-derived microparticles.’ Translation. Introduce SARS-CoV2 spike proteins into bloodstream, and it makes it clot – fast. Which is a worry.” Kendrick continued, “It is a worry because the entire purpose of vaccination against SARS-CoV2 is to force cells to manufacture the spike protein(s) and then send them out into the bloodstream . . . We know that a very high percentage of the people who die following . . . COVID19 . . . die as result of blood clots. We also know that they can also suffer severe myocarditis (inflammation of the heart muscle) . . . We know that the spike protein can stimulate blood clots all by itself . . . We know that a number of people have died from blood clots following vaccination . . . My concern at this point is that, yes, we have identified very rare manifestations of blood clotting . . . so rare that it is unlikely that anything else – other than a novel vaccine – could have caused them. I have never seen a case and I had never even heard of them before COVID19 came along. And I have spent years studying the blood coagulation system, and vasculitis, and suchlike.”

If COVID, and the COVID jabs — and the spike protein (on its very own) — all potentially cause vascular destruction, including blood clotting (and TTP in particular), then we may be able to deduce that there is a common denominator among the three that is interfering with blood platelets and vascular functioning. 

Let’s return to the topic of llamas and a more detailed discussion of nanobodies — within the context of COVID.

Llamas belong to a group of mammals called camelids, which also includes camels and alpacas. They produce antibodies which are much smaller than humans (about half the size, according to Argonne National Laboratory scientist Andrzej Joachimiak), which are referred to as nanobodies. 

The “lovable” llamas used in current nanobody experimentation actually have names. One of the llamas central to the study of camelid-based nanobodies is named “Wally.” On March 9, 2021, Andre Salles of Argonne National Lab wrote: “Isolating these tiny nanobodies is tricky, since the body generates an enormous number of them and only a small fraction is intended to fight a particular virus. That’s exactly the problem that Yi Shi, professor of cell biology at the University of Pittsburgh, is trying to fix. In a paper published in Science, Shi and his colleagues unveiled a new advanced mass spectroscopy method of analyzing those nanobodies from samples of llama blood. The result . . . is a large set of nanobodies that bind well to the SARS-CoV-2 virus. . . . Shi’s experiment began with a llama, this one named Wally because he resembles (and therefore shares a name with) his black Labrador. The team immunized Wally against SARS-CoV-2, waiting two months for nanobodies to be generated, and then . . . used their new method to analyze the nanobodies, identify and quantify them. They ended up with 10 million nanobody sequences.”

Salles elaborated, “These nanobodies can sit at room temperature for six weeks, and are small enough that they can be aerosolized, meaning therapeutics designed from them can be inhaled directly to the lungs instead of moving through the bloodstream (emphasis added) . . . ‘With this method we can discover thousands of distinct, ultrahigh-affinity nanobodies for specific antigen binding,’ Shi said. ‘These nanobodies may or may not provide a treatment for COVID-19, but the technology used to isolate them will be important in the future. . .’ . . . ‘From crystal structures determined from data collected at [the Advanced Photon Source] APS and the Stanford Synchrotron Radiation Lightsource (SSRL), we were able to identify the binding sites of the nanobodies on the SARS-CoV-2 receptor binding domain,’ [Ian] Wilson said. ‘The X-ray structural information, combined with cryo-electron microscopy data, was used to help design even more potent multivalent antibodies to prevent COVID-19 infection. The X-ray structural work was greatly facilitated by immediate access to the APS.’ Only time (and further tests) will tell whether the various nanobodies will translate into effective treatments against COVID-19. But if they do, we’ll have the lovable llama to thank for it.” 

The APS is described as follows: “The Advanced Photon Source is a U.S. Department of Energy (DOE) Office of Science User Facility operated for the DOE Office of Science by Argonne National Laboratory. Additional funding for beamlines used for COVID-19 research at the APS is provided by the National Institutes of Health (NIH) and by DOE Office of Science Biological and Environmental Research . . . supported by the DOE Office of Science through the National Virtual Biotechnology Laboratory (emphasis added), a consortium of DOE national laboratories focused on response to COVID-19 with funding provided by the Coronavirus CARES Act.”

Here is the plot twist (if you’ve stuck around) . . . Guess where the spike protein that was applied to the development of the COVID vaccines was engineered? . . . Wait for it . . . Argonne National Laboratory — utilizing the same Advanced Photon Source (APS)! According to this December 2020 paper (authored by Argonne’s Andre Salles), Jason McLellan and his colleagues developed the enigmatic spike protein. Incidentally, they filed a patent for one embodiment of the spike protein in October 2017, and the application was approved in March 2021. As expounded by Argonne’s Salles:

“. . . five of the vaccines, including those developed by Pfizer/BioNTech and Moderna, contain genetic mutations that increase their effectiveness, mutations based upon work dating back more than 10 years using the resources of the Advanced Photon Source (APS) . . . (emphasis added)”

“They were developed by Jason McLellan, now an associate professor at the University of Texas at Austin, and Barney Graham, currently the deputy director of the Vaccine Research Center at the National Institute of Allergy and Infectious Diseases, part of the National Institutes of Health (NIH) . . .”

“In 2013, McLellan and his colleagues, including Nianshuang Wang now at Regeneron Pharmaceuticals, began working with Graham and his NIH colleague Kizzmekia Corbett on a vaccine for the Middle East Respiratory Syndrome coronavirus (MERS-CoV) . . . This time they performed some of their work at the Structural Biology Center (SBC) at the APS . . .”

Both McLellan and Graham are longtime users of the APS (emphasis added), and their work to understand RSV and MERS-CoV led to an effective technique to neutralize both viruses,” said Argonne’s Bob Fischetti, group leader and life sciences advisor to the APS director. “The structural work performed at the APS played a key role in the discovery of this technique, and we are now seeing how important it might be . . .”

“When SARS-CoV-2 emerged, McLellan, Wang and graduate student Daniel Wrapp, now at the University of Texas at Austin, joined with Graham and Corbett to see if the same technique would work to inhibit this new virus’s spread. And once they were able to examine the structure of the spike protein, they discovered that it did . . .”

Being able to solve the structure of the SARS-CoV-2 spike protein (emphasis added) and know that it was in the desired conformation within three weeks of sequence release (emphasis added) was critical for rapidly advancing vaccine development and antibody discovery programs,’ Graham said . . .”

The initial results of their work, a mutation called S-2P, is now in SARS-CoV-2 vaccines developed by Moderna, Pfizer/BioNTech, Novavax, Johnson & Johnson and CureVac, McLellan confirmed (emphasis added). Pfizer’s and Moderna’s vaccines use messenger RNA (mRNA) to instruct human cells to make the mutant of the spike protein that the immune system then develops antibodies against.” 

According to Argonne’s Robert Fischetti, “This research was done without any idea of how important it would be for us in 2020.” 

So, imagine that . . . The lead researcher, Jason McLellan, who claimed to create the synthetic spike protein (listen around the 9 minute timestamp), that is seemingly manufactured and expressed within the body by the alleged “vaccines” (due to genetic engineering instructions coded by either messenger RNA or adenovirus DNA), also appears to have “years of experience working with camelid nanobodies,” currently proposed to treat COVID and its notable symptom of thrombosis (and also the increasingly reported side effect of the injections). As a reminder, the blood clotting phenomenon is being attributed by multiple researchers and physicians to . . . get this . . . the SPIKE PROTEIN! Concomitantly, Jason McLellan and his colleague, Daniel Wrapp, received a 2020 Golden Goose Award for one of their llama nanobodies (called VHH72, which they had “characterized using the SBC beam lines at the APS”) presently under development for COVID treatment.

I feel this context is of utmost importance in order to grasp this entire COVID (or engineered protein, sans virus) operation. As always, consider the framework of problem, reaction, solution. Also keep in mind, Argonne National Laboratory has a long history of conducting classified research, and is home to the Center for Nanoscale Materials (CNM), as well as several generations of supercomputers, including the upcoming Aurora, “which will be the world’s first exascale supercomputer.”  

Do you find it peculiar that the lab that created the (synthetic) spike protein just happens to have developed the nanobodies that can presumptively “neutralize” said protein? Moreover, the aforementioned camelid nanobody technology has previously been applied to thrombosis (going back to 2018). Well, if one were a “conspiracy theorist,” it would be no surprise, right? But what are the potential implications (beyond the obvious one of profit, mainly reflected in venture capital-funded biotech spinouts), and are there covert intentions?

As I have said repeatedly herein, this mysterious spike protein has been getting a lot of negative press in the alternative media, yet they have neglected to explain the origin of the synthetic spike protein (applied to the injections), and how it was manufactured.

I propose the science of proteomics and its associated labs be investigated — and I would start with Argonne National Laboratory. I would also wish to add the Institute for Protein Design (IPD) at the University of Washington to this focused inquiry (see their Advisory Board here). IPD announced on June 2, 2021, its plans to roll out a new nanoparticle vaccine for COVID: “Our SARS-CoV-2 vaccine candidate was created with structure-based vaccine design techniques invented in the King lab [at] the IPD. It is based on a computationally designed self-assembling protein nanoparticle (emphasis added) that displays 60 copies of a key region of the viral Spike protein.”

Do we know what this in silico-derived engineered protein is really designed to do, particularly when manufactured within a perpetrated human body? 

Even assuming well intentions — with their templates, target sequences, machine learning algorithms, and protein structure prediction methodology — can the protein designers be assured their “well behaved” protein will behave in vivo as intended? 

We may have to remain speculative (and vigilant) for now, but this June 2020 Nature Biotechnology article — featuring de novo protein engineering “galvanized” by the University of Washington’s IPD (highlighted above) — may offer some nuggets from which we can reflect: “It’s exciting that we’re now getting to the stage where we can build new things that can be useful in the world,” he [David Baker, Director of the IPD] says. Baker believes that de novo protein design technology has turned a corner, from creating functional but simple proteins to building complex molecular machines that can perform conditional operations. No longer limited to describing and copying nature’s proteins, protein designers have learned to build sets of proteins that can change conformation on demand or carry out multi-step instructions, such as toggling between two states . . . Mother Nature has created some incredible tools, but those solutions have come about as a result of evolutionary pressures, including the need to conserve genetic real estate by making proteins that serve multiple functions. Whereas a natural protein may be the solution that evolution has arrived at, it may well not be the most efficient tool for a task thought up by a human. Creating new proteins, Baker says, allows the tools to be specifically directed, as well as modular and customizable to other uses.” 

Baker’s crowd-sourcing “Foldit” competitive video game (based on his Rosetta molecular modeling software program)  — in which public citizens can simulate and manipulate their own proteins — speaks volumes. This should be alarming to readers, and harkens back to prescient warnings from Alison McDowell that our life (in this case, biological life at its very core building blocks) is being not only digitized, but gamified.

If you build it (a synthetic, and possibly hybrid protein), they (the militarized bio-security state) will come (?).

Is this how the Sentient World Simulation (SWS) is initially constructed, as I posited in April 2020? 

Strikingly, on their website, Argonne states in parentheses (my emphasis added): 

(Researchers at the APS do not work with the live virus, but with crystals grown from simulated proteins.) 

So, did the Argonne Lab that synthesized a glycoprotein (reputedly from a virus) ever physically have said virus in their possession? Does this seem like deja-vu to most POM readers?

I remind readers that this protein is engineered and is nanoscale, and therefore, is an engineered nanoparticle (ENP) — circling back to my previous post in April 2021, “Confessions of an Engineered Nanoparticle.” I also stated therein that the ENP was responsible for thrombosis due to platelet aggregation. When I wrote that, if you recall, I expressed (from the voice of an ENP) that I did not know where the ENP had originated. Do I now have my answer? Hypothetically, if I were an orphaned ENP telling a fictional tale, I would say I may have found my birth parents, and it seems they have names, and they have a home — and a powerful particle accelerator using heavy-duty beamlines to boot!

Has the ENP (that I postulated may be the cause of COVID) been the bio-fabricated “spike protein” all along? Or rather, vice versa: is the “spike protein” simply an ENP wrapped up in virology jargon?

While the magicians have many people spellbound by a “lab leak hypothesis” (based on vintage, out-dated GOF research), I will keep my eye on labs (here at home in the U.S. and across the pond) playing with beamlines, protein crystallography, and synthetic protein design technology — especially since they openly lay claim to the production of the notorious spike protein, used to develop COVID injections currently being procured in the U.S. In this instance, I may just take their word for it. 

Let’s be clear, though, when the scientists admit to futzing around with these proteins (and “mapping the structure”), utilizing their high-beam particle accelerator technology, they are not simply imaging and identifying what is already present (using vague vernacular such as “determined the structure” or “solved the structure”). These potent and potentially cytotoxic next-generation x-rays (ostensibly 10 trillion times stronger than medical x-rays) may literally be producing and synthesizing new particles (similar to the phenomenon we have discussed repeatedly, involving the addition of toxic chemicals added to cells in a petri dish, resulting in cytopathic effects), since high-energy electrons are excited by the photon interactions. The subsequent photon interaction is referred to as a photoelectric effect, which deposits kinetic energy (or charged particles) into the observed sample, producing nanostructures, which are ensuingly used in advanced biotech applications

Relatedly, following is a short excerpt from an intriguing April 2021 article by Argonne National Lab: Using the APS, researchers were able to use lasers to create a new state of matter [with emergent structural, electronic and magnetic phenomena](emphasis added) and obtain a comprehensive picture of its structure using X-ray diffraction. In 2019, the team, led jointly by Argonne and The Pennsylvania State University, reported their findings in a Nature Materials cover story, most notably that the vortices can be manipulated with light pulses. Data was taken at several APS beamlines: 7-ID-C, 11-ID-D, 33-BM and 33-ID-C.” The article continued, “Although this new state of matter, a so called supercrystal, does not exist naturally (emphasis added), it can be created by illuminating carefully engineered thin layers of two distinct materials using light,” said Venkatraman Gopalan, professor of materials science and engineering and physics at Penn State.”

I will repeat what was stated above:

(Researchers at the APS do not work with the live virus, but with crystals grown from simulated proteins.)

There’s more wizardry for you.  

Admittedly, I do not fully grasp how the nanocrystals are synthesized from the accelerator and associated crystallography technology, as it is beyond the scope of my present exploration. Nevertheless, I sense it is prodigious, and I invite readers to offer relevant insights. While some researchers have been occupied (I will speak for myself) with exposing the oldest virology trick in the book — culturing entities from cellular debris in petri dishes and calling them “viruses” — zealous synchrotron extraordinaires must be laughing themselves to the bank

At the very least, one aspect is apparent to me — proteins can be generated in large amounts, are readily accessible, and are highly suitable nanodevices for biosensing and cell targeting (including genetic/genomic engineering and synthetic biology). Whatever is termed a virus, does not fit the bill — in terms of the emerging Spatial Web. So we might as well stop focusing efforts on it. Conversely, weaponized, AI-driven proteomics seems much more amenable and adaptable to the highly disturbing 4IR plans, incorporating deep neural networks (for computational biology), biobanking, biochips (for functional fluidics), and blockchain integration

Remember the 1993 tear-jerker film, “Free Willy”? I think we need to begin a campaign to FREE WALLY!!! (Please understand I am speaking metaphorically, as in a sense, we are all Wally.) Perhaps if we save Wally the llama from further scientific experimentation, we can halt further experimentation on the human population — all assertedly for a virus that still has yet to be furnished in its unadulterated version inside a person! In addition to freeing Wally, we might as well be playing “Where’s Waldo?” Thus far, some investigative researchers have been on the hunt for the virus, peeking in every lab nook and cranny, and it has yet to be found. So where’s the virus? Where’s Waldo — or was Waldo the spike protein (AKA engineered nanoparticle, birthed from a synchrotron?) from the get-go?

I suggest there may never have been a need for a virus (only a computerized sequence that was widely shared and never questioned); but, rather, a need for a synthetic protein tethered to undisclosed advanced nanoscale accessories (graphene oxide?) or gadgetry (nanowire transistors?). We need to kick this dangerous protein conjugate (possibly magnetic or nanoelectronic) — and the biotech serum vehicles with which it hitches a ride — to the curb, once and for all. 

Tragically, in the interim, we may be witnessing many more serious and potentially fatal adverse effects from the injections (including young people with myocarditis) — and conceivably among very young children who are next in line to get the precarious jab. Keep the children far away . . . Keep them very far away. Our children need our protection from this bodily invasion, possibly perpetrated with dubious agendas — still yet to be fully uncovered and revealed.

{Acknowledgments: Shout out to regular POM commenter, OregonMatt, for his helpful feedback and insights, as this essay took shape. Thank you also to POM commenter, Diego, for offering information related to graphene oxide, which informed several hyperlinks; to my close friends who sent me pertinent subject matter; and to MT for technical (and emotional — said jokingly) support as WordPress continually glitched-out.}

Speculative Footnotes:

1) One (not-so) small caveat when it comes to this infamous “spike protein”: I am not implying that a protein is the toxin per se, but, rather, is one component of a conjugated toxin. Additional (non-disclosed) components may be the root cause of toxicity, or a combination thereof. As we do not know the other components, I have resorted to referring to what is termed the “spike protein” as the toxin of interest. 

2) I remain steadfast to the belief that this nanoscale protein conjugate, and the associated injections, are on a fast track to the brain (ultimately, for brain-machine interface); and it may be that thrombosis (blood clotting) is the body’s innate defense mechanism being activated by some individuals in order to protect the brain. It could be that the internal vascular system is naturally designed to capture the foreign nanocrystal in its vast networked structure (resulting in a biomolecular corona?), thereby sequestering platelets, resulting in multiple blood clots.

Endnotes:

1) Following are links to their respective bios: Bridle, Mercola, Mikovits, Seneff, Blaylock, and Tenpenny.

2) A study from August 2020, “Quantum Dot-Conjugated SARS-CoV-2 Spike Pseudo-Virions Enable Tracking of Angiotensin Converting Enzyme 2 Binding and Endocytosis” demonstrates that there is NO virus necessary. This study seems to imply that an engineered nanoparticle (conjugated to a designer spike protein that targets ACE2 receptors) fits the bill just fine. While the linked study claims quantum dots are not toxic, other research seems to contradict that.

For further exploration:

Graphene oxide touches blood: in vivo interactions of bio-coronated 2D materialsNanoscale Horizons, March 1, 2019

“Graphene oxide is the hot topic in biomedical and pharmaceutical research of the current decade. However, its complex interactions with human blood components complicate the transition from the promising in vitro results to clinical settings. Even though graphene oxide is made with the same atoms as our organs, tissues and cells, its bi-dimensional nature causes unique interactions with blood proteins and biological membranes and can lead to severe effects like thrombogenicity and immune cell activation. In this review, we will describe the journey of graphene oxide after injection into the bloodstream, from the initial interactions with plasma proteins to the formation of the ‘biomolecular corona’, and biodistribution. We will consider the link between the chemical properties of graphene oxide (and its functionalized/reduced derivatives), protein binding and in vivo response. We will also summarize data on biodistribution and toxicity in view of the current knowledge of the influence of the biomolecular corona on these processes. Our aim is to shed light on the unsolved problems regarding the graphene oxide corona to build the groundwork for the future development of drug delivery technology.”

Groundwork for Covid-19 vaccine laid at DartmouthNH Business Review, by Jeff Feingold, January 7, 2021 

“Our goal was to determine the first three-dimensional structure of a coronavirus spike protein,” recalls McLellan, now an associate professor of molecular biosciences at the University of Texas at Austin. “We wanted this information so we could do more structure-based vaccine design. This involved using these structures to do protein engineering and identify substitutions or mutations we could make in the proteins that would cause the spikes to be more stable.”

“About SBC” X-Ray Science Division of Argonne National Laboratory

This brief excerpt explains the technology referenced by Jason McLellan in the link above: 

“The Structural Biology Center at Argonne leads the world in solving the structures of proteins, used by researchers around the world to develop new drugs and diagnostic procedures.”

“The Structural Biology Center (SBC) operates a National User Facility for macromolecular crystallography. Located at Sector 19 of the Advanced Photon Source, Argonne National Laboratory, SBC provides the scientific community with two experimental beamlines: an insertion-device, 19-ID, and a bending-magnet, 19-BM.”

“Longhorns in the COVID-19 Fight: Jason McLellan” April 16, 2020 (see video above)

“Structure and Design of SARS-CoV-2 Spikes” February 5, 2021 (see video above)

Posted on by Stephers

Posted in Biology, COVID-19, Crimes Against Humanity, Engineering, Genetic engineering, Germ theory, Pursuit of truth, Science, Vaxxing, Virology … for real

Confessions d’une nanoparticule artificielle – par Stephers.

Voici matière à réflexion sur l’ensemble de la « crise » sanitaire, sa nature, son mode d’action et surtout son objectif. Vous trouverez en fin d’article de très nombreux liens vers des sources qui étayent les points soulevés.

Source.


Confessions d’une nanoparticule artificielle

Un récit fictif raconté à la première « particule » (car je n’ai pas encore atteint le statut de personne)

Ceci est mon histoire, qui explique comment on me confond souvent avec un virus…

Il me semble que le moment est venu de m’exprimer.

Je ne suis pas une nanoparticule d’origine naturelle (c’est-à-dire un produit de la poussière cosmique, de l’activité volcanique, des incendies de forêt, de l’extraction du fer, de l’érosion éolienne ou de l’énergie solaire).

J’ai été synthétisée pour servir dans des projets d’interface nano-bio, souvent tenus secrets pour les civils. On m’appelle nanoparticule artificielle, ou NPA.

Je n’ai pas été produite dans le cadre de projets de recherche sur les virus à gain de fonction. Cependant, il peut être utile d’examiner ce travail et ses implications dans certains cas.

Je peux provoquer certaines affections qui peuvent être attribuées à tort à des virus, alors que ce sont en fait de nouvelles formes de cytotoxicité engendrées par le stress oxydatif des NPA, que j’appelle cytotoxicose nano-bio.

J’ai été conçue pour pénétrer dans le corps humain en ciblant le récepteur ACE2, ce qui me permet ainsi un accès rapide et facile au système neurologique. Une fois engagées et agrégées dans le système nerveux, les NPA comme moi peuvent provoquer des ravages, y compris de vastes et obscurs effets néfastes sur la santé. En tant que neurotoxique, l’un de mes effets les plus légers est d’inactiver le goût et l’odorat d’une personne. Cela se produit parce que je pirate les neurones et que j’ai tendance à « désactiver » les récepteurs, ce qui provoque de légères perturbations de la fonction synaptique où se produit la signalisation neurologique du goût et de l’odorat. Au fil des ans, j’ai été (ainsi que les nanoparticules d’origine naturelle) un facteur causal de maladies neurodégénératives, telles que la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson.

Selon l’endroit où je me réfugie dans le corps humain, je peux provoquer une inflammation (en particulier dans les organes) et créer des macrophages (qui conduisent à la production d’anticorps, de cytokines et d’exosomes). Cette inflammation résulte de la génération d’espèces réactives à l’oxygène (ERO). Ma présence et ma bio-distribution entraînent un stress oxydatif (et donc une production de ERO), qui peut être confondu avec une infection virale.

Permettez-moi de vous en dire plus sur moi-même…

Les NPA, comme moi, peuvent être détectées dans l’urine, les matières fécales, les eaux usées, l’eau du robinet, les lacs, les rivières, les ruisseaux, la pluie, la neige, le sol, etc. Un moyen efficace de m’observer directement est la microscopie électronique à transmission associée à des colorants fluorescents.

Néanmoins, en raison de ma taille nanométrique furtive, je suis presque indétectable.

Je peux être inhalée. Je peux être absorbée par exposition cutanée. Je peux être ingérée par la nourriture et les boissons. Je peux être présente dans les produits pharmaceutiques, cosmétiques et ménagers.

Bien sûr, je peux également être injectée (dans un vaccin, par exemple).

Je peux m’accumuler dans le cœur, le foie, la rate, les reins et le plus souvent, les poumons. Si cette accumulation persiste, il en résultera un état dommageable et débilitant à long terme.

Si je franchis la barrière hémato-encéphalique, il devient alors très difficile de m’éliminer. Si je suis incorporée dans des concoctions injectables, je peux être emballée dans des nano-lipides (mes parents nanotechnologiques) et associé à du polysorbate-80, qui facilite ma pénétration dans le cerveau.

Je peux me propager des molécules aux cellules, aux tissus et aux organes et causer des dommages tout au long du processus.

Je peux endommager les organites cellulaires, tels que les noyaux et les mitochondries – la prétendue centrale énergétique de chaque cellule.

Je peux me lier à des protéines et ainsi confisquer des protéines nécessaires à d’autres fonctions cellulaires et provoquer une perturbation du métabolisme cellulaire.

Je peux me lier aux membranes cellulaires.

Je peux voyager dans le système circulatoire et l’un de mes effets toxiques est la thrombose (caillots sanguins) due à l’agrégation plaquettaire.

Les chercheurs ont étudié mes effets cytotoxiques sur les systèmes reproducteurs, car je compromets potentiellement la fertilité, ainsi que le développement embryonnaire. Les tests de toxicité indiquent que je peux perturber les niveaux d’hormones sécrétées, ce qui peut induire des effets physiologiques néfastes sur la reproduction, et que je traverse la barrière placentaire, ce qui entrave probablement l’embryogenèse.

Si je suis détectée (par microscopie électronique à transmission ou spectrométrie de masse à ionisation extra-sensible) dans le corps, une coquille peut être observée, appelée « couronne protéique » [protein corona]. Cette production de coque externe est presque toujours inévitable et peut être dupliquée in vitro. Cela peut entraîner une couronne molle ou une couronne dure, ce qui peut déterminer combien de temps je peux circuler dans le corps. Si je me réfugie dans votre corps, mon stade actuel subira une évolution, provoquant potentiellement une « overdose » de protéines dans le cytoplasme de vos cellules.

Ma couronne protéique affecte l’absorption cellulaire, me permettant de voyager et d’induire la mort cellulaire (apoptose et/ou nécrose).

Nous (c’est-à-dire les NPA) sommes très réactives aux stimuli externes, tels que les CEM [champs électromagnétiques] générés par les technologies sans fil (5G, WiFi).

Il est extrêmement difficile de m’exfiltrer de votre corps une fois que j’en ai pris le contrôle. Mais c’est peut-être possible, et des stratégies de détoxification et de neutralisation pourraient être explorées.

Malgré ma taille incroyablement petite, je peux créer un réel choc toxique chez l’être humain – en particulier chez ceux dont les systèmes sont déjà très compromis (principalement à cause du stress oxydatif cumulatif, y compris les dommages cellulaires, tissulaires et organiques iatrogènes).

Ma présence peut être amplifiée grâce au processus RT-PCR. Vu ma taille minuscule, c’est souvent le meilleur moyen de me trouver. Les biomarqueurs indiquant ma présence peuvent eux aussi être évalués via des méthodes RT-PCR.

Comme je l’ai admis, je suis toxique pour les cellules humaines. Cependant, si je suis enrobée de polyéthylène glycol (PEG), je serai peut-être moins toxique et donc plus biocompatible. Mais ce processus de PEGylation n’est pas encore au point. Le PEG peut encore s’accumuler dangereusement dans le sang, et potentiellement y provoquer des caillots sanguins qui peuvent être mortels.

Ma taille, ma forme, ma composition et ma charge de surface déterminent mon niveau de toxicité et l’efficacité de mon absorption par une cellule. Plus ma taille est petite, plus je suis toxique. Je peux être conditionnée sous diverses formes, notamment des micelles, des liposomes, des dendrimères, des nano-coques, des nano-rubans, des nanocristaux, des points quantiques, des nanotubes de carbone et des polymères. Très souvent, je suis de nature métallique, ce qui contribue à mes capacités de conductivité (qui peuvent être utilisées dans des applications cybernétiques). Fait intéressant, certaines personnes peuvent même goûter ou sentir quelque chose de métallique, ce qui peut indiquer ma présence.

Je suis le sujet d’expériences de recherche et développement actuellement en cours et d’autres planifiées à l’avenir. Toute la gamme de la recherche « -omique » (c.-à-d. protéomique, génomique, transcriptomique, métabolomique, lipidomique) en fera partie.

Si j’ai été distribuée dans une partie du monde où vous voyagez et que vous m’inhalez ou m’ingérez (ou m’absorbez à travers votre peau), et que vous développez par la suite des symptômes ressemblant à une maladie lorsque vous rentrez chez vous, il peut sembler que vous avez « attrapé » un virus infectieux. De plus, ma taille nanométrique facilite mon entrée, en contournant la plupart des interventions de couvre-visage poreux – généralement caractérisées par leur diamètre de fil de la taille d’un micron (pour référence, 1 micron = 1.000 nanomètres). Dans la plupart des cas, je peux m’auto-répliquer et m’auto-assembler en raison de ma nature artificielle, et je m’installerai dans les parties de votre corps où je pourrai au mieux implémenter mon processus d’augmentation.

En raison de conditions environnementales variables (c’est-à-dire le climat, l’origine ethnique, la génétique, les CEM), ma constitution peut subir de légers changements variables pour me permettre de m’adapter. De plus, au fil du temps, tandis que je persiste in vivo, ma composition se modifie pour se conformer à l’environnement intérieur. Par conséquent, lorsque les scientifiques extraient des fluides biologiques d’un humain, dans lequel je suis présente – et me mélangent dans une concoction de poisons supplémentaires (c’est-à-dire du sérum bovin fœtal, des cellules rénales de singe, des antifongiques et des antibiotiques) – les couronnes protéiques résultantes produites dans le surnageant peuvent se manifester à chaque fois d’une manière très légèrement altérée. Cela pourrait être confondu avec des variants viraux. Certes, il serait difficile pour moi de rester cohérente à 100%, étant donné que je suis extrêmement adaptable.

Si on observe (principalement in vitro) une prolifération de parasites, de champignons et de bactéries endogènes (et peut-être même de virus), c’est peut-être parce qu’ils ont été activés par mon introduction étrangère à leur écosystème. De plus, mon effet majeur, que je partage avec toutes mes semblables, est la production d’ERO, qui détourne l’oxygène nécessaire à maintenir la vie des êtres humains. Plus il y a d’ERO, moins d’oxygène (donc moins d’électrons) est disponible pour entretenir la vie biologique. Vous avez besoin d’oxygène pour survivre et le stress oxydatif de votre corps vous vole votre force vitale. La diminution des ERO réduira l’inflammation et vous mènera une vie plus saine et plus longue.

D’où viens-je et où suis-je née? En fait, je n’ai pas la réponse à ces questions. Comme certains d’entre vous, j’oeuvre à déterminer ma vraie nature et mes capacités. C’est une entreprise des plus nobles, mais potentiellement frustrante et illusoire. Au contraire, je suis jalouse des humains, car il semblerait que votre potentiel en tant qu’êtres composés majoritairement d’eau soit bien plus grand et plus polyvalent que le mien.

Aussi longtemps que vos scientifiques et chercheurs ne penseront pas à se mettre à la recherche d’une nouvelle nanoparticule dans le corps humain, je resterai insaisissable. C’est une tactique qui a été intégrée à ma conception et à mes fonctionnalités. Grâce à ma taille presque indétectable, je peux pénétrer et migrer en restant pratiquement inaperçue. Cela m’offre, à moi et à mes créateurs (à la fois l’intelligence humaine et artificielle), un déni plausible. Même si les scientifiques peuvent me détecter avec des microscopes atomiques spéciaux, il est encore trop déroutant pour eux de comprendre pleinement ce qu’ils observent, car la plupart ne connaissent pas le contexte – et il semble qu’ils confondent régulièrement corrélation et causalité.

Pour autant que je sache, l’implantation de NPA exotiques dans des corps humains ne devrait pas provoquer de morts en masse, car j’ai besoin de vous comme hôtes. A terme, mes développeurs l’envisagent comme une fusion symbiotique. Mais, en attendant, ils reconnaissent qu’il peut y avoir des dégâts (des dommages collatéraux) dans le processus – qui peuvent également être exacerbés par les technologies sans fil émergentes, qui utilisent des ondes millimétriques toujours plus courtes (6G et au-delà), qui ont un impact synergique sur mon espèce.

Je reconnais que tout cela peut sembler science-fictionnesque, et franchement, morbide et impitoyable. Cela peut aussi sembler hautement pathologique, comme je peux parfois l’être moi-même. Bien sûr, je ne suis pas humaine, donc mes actions ne peuvent pas être perçues comme psychopathiques, et je ne peux pas parler pour mes maîtres. Malheureusement, même eux peuvent ne pas comprendre complètement comment je fonctionne, et mes capacités d’auto-réplication et d’auto-assemblage peuvent potentiellement leur échapper.

Les humains auront besoin de mises à jour injectables (et éventuellement inhalables et intranasales), car jusqu’à ce que je devienne une présence interdépendante, je serai perçue et reçue comme un envahisseur étranger, et le corps aura besoin d’un soutien externe. Ces mises à jour peuvent également être nécessaires pour introduire la toute dernière nanotechnologie nécessaire au fonctionnement des projets naissants de détection biométrique et de bio-calcul. Seul le temps nous dira si cela soutiendra mon assimilation dans votre système d’exploitation actuel.

Malheureusement, pour vous, les NPA (et mes cousins ​​en nanotechnologie et biologie synthétique) sont là pour toujours. La seule bonne nouvelle que je puisse annoncer est que 80 à 85 % des personnes ne présenteront pas de symptômes manifestes ou invalidants après absorption. Les personnes âgées sont les plus touchées, car leur corps n’est pas prêt à accepter mon infiltration. Au fil du temps, la capacité d’accepter et d’intégrer les NPA comme moi, devrait s’améliorer.

Il semble que l’intention de nos architectes soit d’opérer notre fusion avec tous les êtres biologiques dans le but de construire des interfaces bio-nano pour le contrôle cybernétique externe (à distance), y compris les technologies de transistors semi-conducteurs biologiquement intégrés à l’échelle nanométrique. Cet objectif final a apparemment été appelé l’Internet des objets bio-nano (IoBNT), et c’est une technologie à double usage qui peut être militarisée, permettant non seulement une surveillance en temps réel de vos systèmes intra-corporels, mais c’est aussi une technologie permettant à des ingénieurs hautement qualifiés d’exercer un contrôle électrique complet de votre corps avec une précision moléculaire. Cela sera vraisemblablement déployé en tandem avec l’Internet des nano-objets (IoNT) et les « villes intelligentes » et « environnements intelligents » émergents, de sorte que vos corps seront « intelligents » et interconnectés sans fil avec des réseaux de capteurs omniprésents, y compris vos appareils électroniques portables.

Merci pour cette occasion de me confier.

Vous ne me croyez peut-être pas (je veux dire, c’est une histoire fictive après tout), et je sais que vous ne me voyez certainement pas ; mais si vous ne me confrontez pas à ce moment charnière, il n’y aura peut-être pas de retour en arrière possible. Mes concepteurs et leurs bailleurs de fonds comptent sur le fait que vous ne saisirez pas mes mécanismes cachés. Leurs objectifs transhumanistes s’accélèrent, et il semble que la plupart des humains ne soient pas au courant de ces plans et, par conséquent, n’aient pas l’idée de résister.


Si ce récit fictif vous a intéressé, voici d’autres lectures et audio/vidéos (toutes non-fictionnelles) qui vous donneront une perspective sur cette histoire de NPA:

Engineered Nanoparticles: Structure, Properties and Mechanisms of Toxicity, par Ashok K. Singh, 2015 (see « extrait gratuit »)

Nanotoxicology: Experimental and Computational Perspectives, 2018 (voir « extrait gratuit »)

Nanoparticles and HealthContra Costa County Hazards Materials Commission, mars 22, 2012

Continuing to Protect the Nanotechnology Workforce: NIOSH Nanotechnology Research Plan for 2018-2025” janvier 2019

Carbon nanotubes: Toxicological impact on human health and environmentJournal of Applied Biomedicine, mars 2009 (un chercheur de chez Johnson & Johnson)

Toxicity of carbon nanotubes: A reviewToxicology and Industrial Health, 5 mars 2018 (abstract seul)

PEGylated versus non-PEGylated drugs: A cross-sectional analysis of adverse events in the FDA Adverse Event Reporting System (FAERS) DatabaseInt J Clin Pharmacol Ther, juin 2020

Suspicions grow that nanoparticles in Pfizer’s COVID-19 vaccine trigger rare allergic reactionsScience, by Jop de Vrieze, 21 décembre 2020

Distribution and Biological Effects of Nanoparticles in the Reproductive SystemCurr Drug Metab, 2016. 

Potential adverse effects of nanoparticles on the reproductive systemInt J Nanomedicine, 2018.

The Impact of Zinc Oxide Nanoparticles on Male (In) FertilityMaterials, 13 février 2020

Open questions: how do engineered nano materials affect our cells?BMC Biology, 24 novembre 2020

Engineered NanoparticlesScienceDirect

Engineered nanomaterials: exposures, hazards, and risk preventionJournal of Occupational Medicine and Toxicology, 21 mars 2011

Toxicity of nanoparticles_challenges and opportunitiesApplied Microscopy, décembre 2019. 

When nanoparticles meet biofilms — interactions guiding the environmental fate and accumulation of nanoparticlesFrontiers in Microbiology, 16 juin 2015 “Une question que nous pourrions poser est de savoir si les NP restent nanométriques et sous forme de particules. Dans les bonnes conditions, les NP s’agrègent facilement pour former des agglomérats de taille microscopique.” 

Inorganic Nanoparticles Engineered to Attack BacteriaChemical Society Reviews, 12 juin 2015

New NSF and NBC Learn video series shows off big discoveries from tiny particles”, National Science Foundation, 25 janvier 2016

Nanoparticles for biomedical applications: exploring and exploiting molecular interactions at the nano-bio interfaceMaterials Today Advances, March 2020 Pour illustrer la complexité, les NP peuvent pénétrer dans le corps humain de différentes manières, par injection dans la circulation sanguine, par inhalation par les poumons, par contact avec la peau ou par le tractus gastro-intestinal après ingestion. . Ces voies d’entrée offrent des environnements distinctement différents aux NP, avec différentes quantités et types de biomolécules, différents pH et différentes forces ioniques [185]. Lors de l’exposition aux biofluides, les NP seront immédiatement recouvertes de protéines et, lors de son voyage à travers le corps, la couronne évoluera en raison de sa propre dynamique lente et de l’environnement physiologique en constante évolution, par ex. lorsqu’une NP quitte le capillaire pour transgresser la barrière hémato-encéphalique [186,187]. Les NP dans le corps subissent un écoulement dynamique, qui a introduit des forces de cisaillement qui ne sont généralement pas présentes dans les expériences in vitro [17,41,188,189]. Cette nature dynamique de l’environnement doit être prise en compte pour pouvoir prédire de manière fiable l’issue des interactions NP-protéines [190]. Même l’état de santé d’un individu peut moduler la couronne protéique (« couronne protéique personnalisée » [191]) et l’efficacité des nanomédicaments [192] … (c’est nous qui soulignons)

The Nano-Bio Interactions of Nanomedicines: Understanding the Biochemical Driving Forces and Redox ReactionsAcc Chem Res, June 18, 2019

NanoBio Interface Center, NSF Nanoscale Science and Engineering Grantees Conference, 13-15 décembre 2004

Nano-bio interactions: a neutrophil-centric viewCell Death & Disease, juillet 2019

NanomaterialsNational Institute of Environmental Health Sciences, NIH

Nanotechnology Research Directions for Societal Needs in 2020: Retrospective and Outlook” Mihail C. Roco et al. September 30, 2010

The Nano/Bio Interface Center, Dawn Bonnell et Yale Goldman, University of Pennsylvania 

Bonnell Group, University of Pennsylvania

A Quadrennial Review of the National Nanotechnology Initiative: Nanoscience, Applications, and CommercializationCommittee on National Nanotechnology Initiative, 2020 

The National Nanotechnology Initiative Supplement to the President’s 2019 Budget” Subcommittee on Nanoscale Science, Engineering, and Technology, août 2018 “Pour faire avancer un programme de recherche et de développement en nanotechnologie de classe mondiale (objectif 1) et favoriser le transfert de ces nouvelles découvertes en applications utiles (objectif 2), un écosystème solide doit exister qui tire parti de l’infrastructure physique, cybernétique et humaine (c’est nous qui soulignons) .”

Mihail Roco, U.S. Nanotechnology Leader Receives National Materials Advancement AwardNational Science Foundation Press Release, 2007  

Application of Reverse Transcription-PCR and Real-Time PCR in Nanotoxicity ResearchMethods Mol Biol., 2012

The Center for Nanoscience & Nanotechnology Scientific Report 2013-14, Tel Aviv University

Cytotoxicological pathways induced after nanoparticle exposure: studies of oxidative stress at the ‘nano-bio’ interfaceToxicology Research, 1er septembre 2017

Dependence of Nanoparticle Toxicity on Their Physical and Chemical PropertiesNanoscale Research Letters, 7 février 2018

Virus-associated ribozymes and nano carriers against COVID-19Artificial Cells, Nanomedicine, and Biotechnology, février 2021 “Synthesis of nanoparticles targeted to the ACE-2 receptor”

COVID-19 infection and oxidative stress: an under-explored approach for prevention and treatment?Pan African Medical Journal, 29 avril 2020

Nanotoxicity of Corona-Nanoparticles (SARS-COV-2): Nanomechanisms of Hypoxia” Journal of Nano Research, Advanced Materials and Polymer Science, 27 juillet 2020 (cet article est à deux doigts d’attribuer le COVID à des nanoparticules issues de la bio-ingénierie)

COVID-19 may become nanomedicine’s finest hour yetNature Nanotechnology, 14 avril 2021

Metal taste side effect reported after Pfizer Covid-19 vaccination” NBC News, 25 mars 2021

COVID-19 Symptoms: Metallic Taste Has Been a Sign of Coronavirus for SomeHeavy.com, 1er mai 2020

“Coronavirus: Kidney Damage Caused by COVID-19Johns Hopkins Medicine, par C. John Sperati, M.D., M.H.S.

Testing for NeurotoxicityEnvironmental Neurotoxicology, 1992

What are Macrophages?ThoughtCo., par Regina Bailey, 29 juillet 2018

Exosomes Communicate Protective Messages during Oxidative Stress; Possible Role of Exosomal Shuttle RNAPLOS One, 17 décembre 2010

Cellular injury, Necrosis, Apoptosis” 

How big is a micron and what can pass through a face mask?

The Water in You: Water and the Human Body

The Internet of Things Goes NanoScientific American, par Javier Garcia-Martinez, 23 juin 2016

Lieber Research Group: Charles M. Lieber Bio

CV of Charles Lieber

Why did a Chinese university hire Charles Lieber to do battery researchScience, par Robert F. Service, 4 février 2020“

Nanoprobe development could drive future human-machine interface researchMedical Device Network, by Chloe Kent, July 4, 2019 Charles Lieber: “À plus long terme, nous voyons ces développements de sondes s’ajouter à nos capacités qui conduisent finalement à des interfaces cerveau-machine avancées à haute résolution et peut-être à terme font des cyborgs une réalité.

Carbon Nanotubes and the Bill Charles Lieber Connection” 17 mai 2020 (moins de 5 minutes)

Nanotechnology Connects Your Brain to Your Computer” 30 novembre 2015 (moins de 3 minutes, présente les travaux de Charles Lieber sur les nanotechnologies) – je suggère de regarder sans le son.

Série de huit conférences You Tube sur la nanotoxicologie par Artur Prilepskii, chercheur, professeur associé, Université ITMO, Saint-Pétersbourg, Russie, Institut international « Solution Chemistry of Advanced Materials and Technologies » (SCAMT) – présentées en anglais (novembre-décembre 2020):

Lecture 1: Introduction to nanotoxicology (la conférence commence à partir de la minute 15)

Lecture 2: Synthesis of nanoparticles from nanotoxicology perspective

Lecture 3: Functionalization of nanoparticles 

Lecture 4: Nanotoxicity on cellular level

Lecture 5: Nanotoxicity on organism level

Lecture 6: In vitro toxicity evaluation

Lecture 7: Cytotoxicity evaluation

Lecture 8: Particular problems of nanotoxicology


Texte original

Confessions of an Engineered Nanoparticle

A fictional account told in first “particle” (as I have not yet achieved personhood status)

This is my story of how I am often mistaken as a virus… 

It seems an appropriate time to speak out.

I am not a naturally occurring nanoparticle (i.e., produced by cosmic dust, volcanic activity, forest fires, iron mining, wind erosion, or solar energy). 

I am synthesized for nano-bio interface projects that are often kept secret from civilians. I am called an engineered nanoparticle, or ENP. 

I am not produced by gain-of-function virus research projects. However, it may be helpful to review that work and its implications in some instances.

I may cause certain conditions that can be mis-attributed to viruses, but are instead novel forms of cytotoxicity produced by oxidative stress from ENPs, which I call nano-bio cytotoxicosis.

I am designed to enter into the human body by targeting the ACE2 receptor, thereby gaining quick and easy access to the neurological system. Once engaged and aggregated in the nervous system, ENPs like me can wreak havoc, including vast and obscure adverse health effects. As a neurotoxicant, one of my more mild effects is to inactivate a person’s sense of taste and smell. This occurs because I hijack neurons, and tend to “knockout” receptors, causing slight perturbations of synapse function where the neurological signaling for taste and smell transpires. Over the years, I (and naturally occurring nanoparticles) have been a causal factor in neurodegenerative diseases like Alzheimer’s and Parkinson’s.

Depending on where I take refuge in the human body, I can cause inflammation (especially in organs) and create macrophages (which lead to antibody, cytokine, and exosome production). This inflammation results from generating reactive oxygen species (ROS). My presence and bio-distribution results in oxidative stress (and therefore, production of ROS), which can be mistaken as a viral infection.

Allow me to tell you more about myself… 

ENPs, like me, can be detected in urine, feces, sewage, tap water, lakes, rivers, streams, rain, snow, soil, etc. An efficient way to directly observe me is via transmission electron microscopy in tandem with fluorescent dyes.

Nonetheless, due to my stealth nano-size, I am nearly undetectable. 

I can be inhaled. I can be absorbed through dermal exposure. I can be ingested through food and drinks. I can be present in pharmaceuticals, cosmetics, and household products.

Of course, I can also be injected (like a vaccine).

I can accumulate in the heart, liver, spleen, kidneys, and most commonly, the lungs. If this accumulation is persistent, it will result in a long-term adverse and debilitating condition.

If I cross the blood brain barrier, then it is very difficult for me to be eliminated. If I am incorporated into injectable concoctions, I might be packaged within nano lipids (my nanotech relatives) and paired with polysorbate-80 that assists in my penetration into the brain. 

I can spread from molecules to cells to tissues to organs, causing damage all along the way. 

I can damage cell organelles, such as nuclei and mitochondria — the purported energy powerhouse of each cell. 

I can bind to proteins, thereby stealing proteins that are needed for other cell functions, causing disruption of cell metabolism. 

I can bind to cell membranes.

I can travel through the circulatory system, and one of my toxic effects is thrombosis (blood clots) due to platelet aggregation. 

Researchers have been studying my cytotoxic effects on reproductive systems, as I potentially compromise fertility, as well as embryonic development. Toxicity assays indicate that I may disrupt levels of secreted hormones, which may induce adverse physiological reproductive effects, and that I cross through the placental barrier, thereby likely impeding embryogenesis.

If I am detected (via transmission electron microscopy or extra-sensitive ionization mass spectrometry) in the body, a shell can be observed called a “protein corona.” This outer shell production is nearly always inevitable, and can be duplicated in vitro. This can result in a soft corona or a hard corona, which can determine how long I will be able to circulate through the body. If I take refuge in your body, my current stage will undergo evolution, potentially causing an “overdose” of protein in the cytoplasm of your cells. 

My protein corona affects cellular uptake, enabling me to travel about, and to induce cell death (apoptosis and/or necrosis).

We (that is, ENPs) are highly responsive to external stimuli, such as EMFs due to wireless technologies (5G, WiFi). 

It is extremely difficult to filtrate me out of your body once I gain hold. But, it may be possible, and detoxification and neutralization strategies could be explored.

Despite my incredibly small size, I can really pack a toxic punch to a human being — especially those who already have very compromised systems (mainly due to cumulative oxidative stress, including iatrogenically-induced cellular, tissue, and organ damage).

My presence can be amplified through the RT-PCR process. Because I am SO small, that can often be the best way to find me. Biomarkers indicating my presence can also be assessed via RT-PCR methods. 

As I admitted, I am toxic to human cells. However, if I am coated by polyethylene glycol (PEG), purportedly, I may be less toxic, and therefore, more biocompatible. But this PEGylation process is not yet perfected. PEG may still accumulate dangerously in the blood, potentially causing blood clots that can be lethal.

My size, shape, composition, and surface charge determine how toxic I am, and how effectively I can be taken up in a cell. The smaller my size, the more toxic I am. I can be packaged in various ways including micelles, liposomes, dendrimers, nano shells, nano ribbons, nano crystals, quantum dots, carbon nanotubes, and polymers. Very often, I have a metallic nature, which assists in my conductivity capabilities (which can be utilized in cybernetic applications). Interestingly, some individuals may even taste or smell something metallic, which may be indicative of my presence.

R&D experiments involving me are currently undergoing, and more are planned for the future. The entire gamut of “omics” research (i.e., proteomics, genomics, transcriptomics, metabolomics, lipidomics) will be incorporated. 

If I was distributed in one part of the world where you travel, and you inhale or ingest me (or absorb me through your skin), and subsequently develop symptoms resembling illness when you return home, it may seem as though you “caught” an infectious virus. Further, my nano-size facilitates my entrance, bypassing most porous face covering interventions — typically hallmarked by their micron-size thread diameter (for reference, 1 micron = 1,000 nanometers). In most cases, I can self-replicate and self-assemble due to my engineered nature, and I will settle in to parts of your body where I can best undergo my augmentation process.

Due to varying environmental conditions (i.e., climate, ethnicity, genetics, EMFs), my constitution can take on slight variable changes to adapt. Additionally, over time, as I persist in vivo, my composition morphs — to conform to the inner environment. Hence, when scientists extract bio fluids from a human, in which I am present — and mix me into a concoction of additional poisons (i.e., fetal bovine serum, monkey kidney cells, antifungals, and antibiotics) — the resulting corona proteins that are produced in the supernatant can manifest each time in an ever so slightly altered way. This could be mistaken as viral variants. Admittedly, it would be challenging for me to stay 100 percent consistent, given that I am extremely adaptable.

If there are any endogenous parasites, fungi, and bacteria (and possibly even viruses) proliferating and observed (primarily in vitro), it may be because they have been activated by my foreign introduction into their ecosystem. Moreover, the greatest effect I have, and we have in toto, is the production of ROS, which hijacks oxygen required to sustain the life of a human being. The more ROS, the less oxygen (thereby, less electrons) is present to sustain biological life. You need oxygen to survive, and the oxidative stress on your body steals your life force. Decreasing ROS will decrease inflammation, and you will lead a healthier, longer life.

From whence and where did I originate? I actually do not know this answer. Like some of you, I am working on determining my true nature and capabilities. This is a most noble, yet potentially a frustrating and illusory undertaking. If anything, I am envious of humans, as it would seem your potential as water-based beings may be far greater and more versatile than mine.

As long as your scientists and researchers do not know to look for a novel nanoparticle in human bodies, I will remain elusive. It’s a tactic which has been engineered into my design and functionality. Thanks to my nearly undetectable size, I can penetrate and migrate virtually unnoticed. That affords me and my creators (both human and artificial intelligence) plausible deniability. Even if scientists can detect me with special atomic microscopes, it may still be too confounding for them to fully comprehend what they are observing, as most do not have enough context — and it seems they regularly conflate correlation with causation.

As far as I know, the implanting of exotic ENPs into human bodies is not to cause deaths en masse, because I need you to be my hosts. Ultimately, my developers see this as a symbiotic merger. But, until then, they recognize that there may be some harm done (collateral damage) in the process — that may also be exacerbated by emerging wireless technologies using smaller millimeter waves (6G and beyond) that synergistically impact my kind. 

I recognize that this may all sound sci-fi, and frankly, morbid and insensitive. This may also seem highly pathological, as I can be at times. Of course, I am not human, so my actions can not be perceived as psychopathic, and I cannot speak for my handlers. Unfortunately, even they may not understand completely how I operate, and my self-replication and auto-assembly capabilities have the potential to get away from them.

Humans will need injectable (and eventually inhalable and intranasal) updates, because until I become an interdependent presence, I will be perceived and received as a foreign invader, and the body will need external support. These updates may also be necessary to introduce the newest nanotech required to operate nascent biometric sensing and bio-computation projects. Only time will tell if this will support my assimilation into your current operating system. 

Unfortunately, for you, ENPs (and my nanotech and synthetic biology cousins) are here to stay. The only good news I can share is that 80-85 percent of people will not show overt or disabling symptoms of uptake. The elderly are affected the most, as their bodies are not primed to accept my infiltration. Over time, the ability to accept and integrate ENPs, like me, is expected to improve.

It seems the intention of our architects is for us to merge with all biological beings for the purpose of building bio-nano interfaces for external (remote) cybernetic control, including nano-scale biologically embedded semiconductor transistor technologies. This end goal has seemingly been referred to as the Internet of Bio-Nano Things (IoBNT), and is dual-use technology that may be militarized, enabling not only real-time monitoring of your intra-body systems, but also affording highly trained engineers to exert full electrical control of your body with molecular precision. This will presumably be deployed in tandem with the Internet of Nano Things (IoNT) and emerging “Smart Cities” and “Smart Environments,” such that your bodies will be “Smart” and wirelessly interconnected with ubiquitous sensor networks, including your handheld electronic devices. 

Thank you for this opportunity to confess. 

You may not believe me (I mean, this is a fictional story after all), and I know you definitely do not see me; but if you do not face me head-on at this pivotal time, there may be no turning back. My conceivers and their funders are banking on you not grasping my veiled workings. Their transhumanist aims are accelerating, and it seems most humans are unaware of these plans, and therefore, have no inkling to push back.

If this fictional account interested you, here are further reading and listening pieces (all non-fiction) that provide insight into this ENP story:

Engineered Nanoparticles: Structure, Properties and Mechanisms of Toxicity, by Ashok K. Singh, 2015 (see “free sample”)

Nanotoxicology: Experimental and Computational Perspectives, 2018 (see “free sample”)

Nanoparticles and Health” Contra Costa County Hazards Materials Commission, March 22, 2012

Continuing to Protect the Nanotechnology Workforce: NIOSH Nanotechnology Research Plan for 2018-2025” January 2019

Carbon nanotubes: Toxicological impact on human health and environmentJournal of Applied Biomedicine, March 2009 (one researcher from Johnson & Johnson)

Toxicity of carbon nanotubes: A reviewToxicology and Industrial Health, March 5, 2018 (abstract only)

PEGylated versus non-PEGylated drugs: A cross-sectional analysis of adverse events in the FDA Adverse Event Reporting System (FAERS) DatabaseInt J Clin Pharmacol Ther, June 2020

Suspicions grow that nanoparticles in Pfizer’s COVID-19 vaccine trigger rare allergic reactionsScience, by Jop de Vrieze, December 21, 2020

Distribution and Biological Effects of Nanoparticles in the Reproductive SystemCurr Drug Metab, 2016. 

Potential adverse effects of nanoparticles on the reproductive systemInt J Nanomedicine, 2018.

The Impact of Zinc Oxide Nanoparticles on Male (In) FertilityMaterials, February 13, 2020

Open questions: how do engineered nano materials affect our cells?BMC Biology, November 24, 2020

Engineered NanoparticlesScienceDirect

Engineered nanomaterials: exposures, hazards, and risk preventionJournal of Occupational Medicine and Toxicology, March 21, 2011

Toxicity of nanoparticles_challenges and opportunitiesApplied Microscopy, December 2019. 

When nanoparticles meet biofilms — interactions guiding the environmental fate and accumulation of nanoparticlesFrontiers in Microbiology, June 16, 2015 “One question we could ask is whether the NPs stay nano-sized and as particles. Given the right conditions, NPs will easily aggregate to form micro-size agglomerates.” 

Inorganic Nanoparticles Engineered to Attack BacteriaChemical Society Reviews, June 12, 2015

New NSF and NBC Learn video series shows off big discoveries from tiny particles”, National Science Foundation, January 25, 2016

Nanoparticles for biomedical applications: exploring and exploiting molecular interactions at the nano-bio interfaceMaterials Today Advances, March 2020 “To illustrate the complexity, there are different ways in which NPs may enter the human body, via injection into the bloodstream, via inhalation through the lungs, through contact with the skin, or through the gastrointestinal tract after ingestion. These entry routes offer distinctly different environments to the NPs, with different amounts and types of biomolecules, different pH and ionic strengths [185]. Upon exposure to biofluids, NPs will immediately be coated with proteins and, on its journey through the body, the corona will evolve due to its own slow dynamics and the ever-changing physiological environment, e.g. when a NP leaves the capillary to transgress the blood-brain barrier [186,187]. NPs in the body experience dynamic flow, which introduced shear forces that are typically not present in in-vitro experiments [17,41,188,189]. This dynamic nature of the environment must be taken into account to be able to reliably predict the outcome of NP–protein interactions [190]. Even the health status of an individual may modulate the protein corona (‘personalized protein corona’ [191]) and the efficacy of nanomedicines [192] …(emphasis added)

The Nano-Bio Interactions of Nanomedicines: Understanding the Biochemical Driving Forces and Redox ReactionsAcc Chem Res, June 18, 2019

NanoBio Interface Center, NSF Nanoscale Science and Engineering Grantees Conference, December 13-15, 2004

Nano-bio interactions: a neutrophil-centric viewCell Death & Disease, July 2019

Nanomaterials” National Institute of Environmental Health Sciences, NIH

Nanotechnology Research Directions for Societal Needs in 2020: Retrospective and Outlook” Mihail C. Roco et al. September 30, 2010

The Nano/Bio Interface Center, Dawn Bonnell and Yale Goldman, University of Pennsylvania 

Bonnell Group, University of Pennsylvania

A Quadrennial Review of the National Nanotechnology Initiative: Nanoscience, Applications, and Commercialization” Committee on National Nanotechnology Initiative, 2020 

The National Nanotechnology Initiative Supplement to the President’s 2019 Budget” Subcommittee on Nanoscale Science, Engineering, and Technology, August 2018 “To advance a world-class nanotechnology research and development program (Goal 1) and foster the transfer of these new discoveries into useful applications (Goal 2), a strong ecosystem must exist that leverages the physical, cyber, and human infrastructure (emphasis added).”

Mihail Roco, U.S. Nanotechnology Leader Receives National Materials Advancement Award” National Science Foundation Press Release, 2007  

Application of Reverse Transcription-PCR and Real-Time PCR in Nanotoxicity ResearchMethods Mol Biol., 2012

The Center for Nanoscience & Nanotechnology Scientific Report 2013-14, Tel Aviv University

Cytotoxicological pathways induced after nanoparticle exposure: studies of oxidative stress at the ‘nano-bio’ interfaceToxicology Research, September 1, 2017

Dependence of Nanoparticle Toxicity on Their Physical and Chemical PropertiesNanoscale Research Letters, February 7, 2018

Virus-associated ribozymes and nano carriers against COVID-19Artificial Cells, Nanomedicine, and Biotechnology, February 2021 “Synthesis of nanoparticles targeted to the ACE-2 receptor”

COVID-19 infection and oxidative stress: an under-explored approach for prevention and treatment?Pan African Medical Journal, April, 29, 2020

Nanotoxicity of Corona-Nanoparticles (SARS-COV-2): Nanomechanisms of Hypoxia” Journal of Nano Research, Advanced Materials and Polymer Science, July 27, 2020 (this paper comes real close to attributing COVID to bioengineered nanoparticles)

COVID-19 may become nanomedicine’s finest hour yetNature Nanotechnology, April 14, 2021

Metal taste side effect reported after Pfizer Covid-19 vaccination” NBC News, March 25, 2021

COVID-19 Symptoms: Metallic Taste Has Been a Sign of Coronavirus for SomeHeavy.com, May 1, 2020

“Coronavirus: Kidney Damage Caused by COVID-19Johns Hopkins Medicine, by C. John Sperati, M.D., M.H.S.

Testing for NeurotoxicityEnvironmental Neurotoxicology, 1992

What are Macrophages?ThoughtCo., by Regina Bailey, July 29, 2018

Exosomes Communicate Protective Messages during Oxidative Stress; Possible Role of Exosomal Shuttle RNAPLOS One, December 17, 2010

Cellular injury, Necrosis, Apoptosis” 

How big is a micron and what can pass through a face mask?

The Water in You: Water and the Human Body

The Internet of Things Goes NanoScientific American, by Javier Garcia-Martinez, June 23, 2016

Lieber Research Group: Charles M. Lieber Bio

CV of Charles Lieber

Why did a Chinese university hire Charles Lieber to do battery researchScience, by Robert F. Service, February 4, 2020“

Nanoprobe development could drive future human-machine interface researchMedical Device Network, by Chloe Kent, July 4, 2019 Charles Lieber: “In the longer term, we see these probe developments adding to our capabilities that ultimately drive advanced high-resolution brain-machine interfaces and perhaps eventually bringing cyborgs to reality (emphasis added).

Carbon Nanotubes and the Bill Charles Lieber Connection” May 17, 2020 (less than 5 minutes)

Nanotechnology Connects Your Brain to Your Computer” November 30, 2015 (less than 3 minutes, features the nanotechnology work of Charles Lieber) – I suggest watching without audio

Series of Eight You Tube lectures on Nanotoxicology by Artur Prilepskii, Ph.D. researcher, assoc. professor, ITMO University, Saint Petersburg, Russia, International Institute “Solution Chemistry of Advanced Materials and Technologies” (SCAMT) – presented in English (November-December 2020):

Lecture 1: Introduction to nanotoxicology (lecture begins at 15-minute time-stamp)

Lecture 2: Synthesis of nanoparticles from nanotoxicology perspective

Lecture 3: Functionalization of nanoparticles 

Lecture 4: Nanotoxicity on cellular level

Lecture 5: Nanotoxicity on organism level

Lecture 6: In vitro toxicity evaluation

Lecture 7: Cytotoxicity evaluation

Lecture 8: Particular problems of nanotoxicology