Tentative de dissimulation des données DMED par le Pentagone – par Thomas Renz.

Note du 27/11: attention, le contenu de cet article a depuis été démenti par Matthew Crawford ici (en anglais). Comme je le relaye dans ce récent article, « les premiers dénonciateurs avaient commis une erreur élémentaire en comparant l’année 2021 aux années précédentes: ils ont en fait comptabilisé chaque visite en cabinet au lieu de chaque diagnostic. Donc, pour tous ceux nouvellement diagnostiqués avec, disons, une myocardite, chacune de leurs visites au système de santé militaire, ainsi que celles de tous les autres diagnostiqués avec une myocardite, a été (plus ou moins) comptabilisée et comparée au nombre total de personnes diagnostiquées avec une myocardite au cours des années précédentes. »


Suite de cet article, au sujet des données de facturation médicale fuitées du Ministère de la Défense américain.

Le Pentagone réagit à cette publication en expliquant le plus sérieusement du monde que les données de base (2016-2020) utilisées pour la comparasion avec l’année 2021 étaient faussées par un problème [glitch] informatique. Mes anciens lecteurs se souviendront que ce genre d’excuse surréaliste a déja été employée pour expliquer depuis 2001 la disparition pure et simple de 21 trillions de dollars du budget de l’armée. On se souviendra aussi de la tendance à utiliser les forces armées comme cobaye pour ensuite en nier les conséquences, notamment lors de la guerre du Golfe, où les effets secondaires du vaccin contre l’anthrax avaient été rebaptisés Gulf War Syndrome.

Première remarque, on nous prend vraiment pour des cons, ce qui n’est pas un scoop. On a encore droit au niveau mensonge de gosse – encore plus énorme que le coup du passeport du terroriste intact après le 11 septembre. Deuxièmement, ce n’est pas ici Pfizer qui ment sur la qualité de son produit, ni une vaseuse histoire d’espion chinois ou de hackers russes qui auraient compromis/falsifié des données informatiques, c’est le Pentagone lui-même qui camoufle des informations cruciales pour la sécurité nationale des Etats-Unis.

Petite mise à jour sur la situation Russie-Ukraine: l’armée russe vient de déplacer 5.200 wagons de matériel militaire. Pour donner une idée, c’est le double du record précédent de 2.600 wagons. Si les analystes non-alignés, qui nous expliquent que c’est juste un exercice, ont raison – et donc qu’il n’y aura pas d’invasion – c’est une démonstration de force assez inédite, qui suffirait peut-être à détruire toute notion de supériorité tactique de l’OTAN.

Dans le cas contraire, le moment pour une intervention militaire ne serait pas tellement mal choisi. Non seulement la menace de sanctions économiques n’a strictement aucun poids mais on peut imaginer en se basant sur les données de l’article ci-dessous, que l’armée US se trouve dans un état épouvantable (détaillé dans le rapport du Lieutenant Colonel Theresa Long), situation qui n’est pas sans rappeler ce qu’avait théorisé le Dr Merritt il y a un an à propos du virus: une guerre de cinquième génération, avec la nuance que ce n’est pas l’ennemi qui déploie l’arme furtive sur la cible mais sa propre autorité militaire. Ça ferait donc partie du processus de démantèlement des Etats-Unis, organisé de l’intérieur. C’est ce que constate Jim Stone dans cet article et ce que confirme Catherine Austin-Fitts dans celui-ci.

La suite des événements nous éclairera à ce sujet.

Pendant ce temps, on a droit aux deux narratifs d’usage, les pro- et les anti-, dont l’objectif est de nous vendre une opposition entièrement fabriquée entre peuples essentiellement similaires, qui auraient tout pour vivre en paix s’ils n’étaient pas manipulés depuis le sommet, un peu comme les Français et les Allemands lors des deux précédentes « guerres mondiales », voulues et financées des deux côtés par la Banque.

Source.


Traduction

Les données DMED des lanceurs d’alerte de Renz révèlent des pics incroyablement inquiétants de lésions dues aux vaccins dans tous les domaines.

Augmentation de 279% des fausses couches
Augmentation de 487% des cas de cancers du sein
Augmentation de 1048% des cas de lésions du système nerveux
Augmentation de 155 % des cas de malformations congénitales
Augmentation de 350% des cas d’infertilité masculine
Augmentation de 369% des cas de cancer du testicule
Augmentation de 2181% des cas d’hypertension artérielle
Augmentation de 664% des cas de tumeurs malignes
Augmentation de 680% des cas de sclérose en plaques
Augmentation de 551 % des cas de syndrome de Guillain-Barré
Augmentation de 468% des cas d’embolie pulmonaire
Augmentation de 302% des cas de tachycardie
Augmentation de 452% des cas de migraine
Augmentation de 471% des cas d’infertilité féminine
Augmentation de 437% des cas de troubles de la fonction ovarienne
Augmentation de 269% des cas d’infarctus du myocarde
Augmentation de 291% des cas de paralysie de Bell
Augmentation de 467% des cas d’embolie pulmonaire

Lors du panel organisé par le Sénateur Ron Johnson intitulé Covid-19 : A Second Opinion, l’avocat Tom Renz a révélé des informations provenant de la Base de Données d’Epidémiologie Médicale de la Défense (Defense Medical Epidemiology Database – DMED) qui montrent une augmentation radicale des lésions du personnel militaire depuis que les injections du vaccin Covid-19 ont été imposées à l’armée américaine. Regardez l’intégralité du panel du Sénateur Johnson ici

L’avocat Tom Renz déclare : « Les données des lanceurs d’alerte, cette base de données DMED, ont fourni un genre de groupe de contrôle. Il s’agit de dossiers militaires remontant à plusieurs années qui attribuent des codes médicaux pour divers problèmes médicaux auxquels nos militaires sont confrontés, comme des cancers, des fausses couches, des troubles neurologiques, etc. Ces dossiers fournis par trois médecins militaires, des héros à mes yeux, constituent un historique de ce qu’était la santé des militaires américains avant 2021, année de la sortie du vaccin Covid. Ce que nous voyons est assez troublant. De 2016 à 2020, toutes les fluctuations des conditions médicales restent cohérentes. Mais en 2021, lorsque la variable du vaccin est imposée, le nombre de cancers, de fausses couches, d’infertilité, etc. augmente de plusieurs centaines à plusieurs milliers de pour cent. Permettez-moi d’être très clair. Ces vaccins blessent et parfois même tuent nos militaires, et ceux qui, dans le public, se laissent convaincre par le slogan « sûr et efficace ». Ces chiffres le prouvent sans l’ombre d’un doute ».

Depuis les révélations de Renz au panel du Sénateur Johnson, plusieurs médias ont relayé ces données accablantes.

Horowitz: Des dénonciateurs partagent des données médicales du Ministère de la Défense qui ouvrent grand le débat sur la sécurité des vaccins – TheBlaze

L’avocat Thomas Renz: les fausses couches et les cancers ont augmenté de 300%, les problèmes neurologiques de 1000% au cours de l’année écoulée ‘ American Greatness (amgreatness.com)

Choc: RENZ DÉVOILE D’AUTRES DONNÉES DES LANCEURS D’ALERTE A PROPOS DES EFFETS DU VACCIN SUR OAN-TV AVEC DAN BALL (rumble.com)

Nous avons vu l’aiguille et les dégâts causés – American Thinker

DMED change la donne en matière de sécurité des vaccins – Ricochet

L’avocat Thomas Renz: les fausses couches et les cancers ont augmenté de 300 %, les problèmes neurologiques de 1000% l’année dernière – The Ohio Star

Une semaine plus tard, une fois la vérité accablante révélée, le DOD et la Trusted News Initiative, ainsi que les organisations de fact checking ont décidé de tenter de manipuler les chiffres pour dissimuler la vérité: les vaccins sont mortels et causent des lésions graves à des taux alarmants. L’avocat Renz déclare: « Pour croire ces tout nouveaux chiffres du DOD, il faut croire que le DOD a sous-déclaré tous les cas dans cette base de données militaire d’environ 20 millions de cas par an, pendant 5 ans. Ils, le DOD, prétendent maintenant qu’ils ont sous-déclaré les cas de 1000% pendant 5 ans. » Renz ajoute « Oui, mes amis, c’est à cela que ressemble une dissimulation. »

Horowitz: Un porte-parole militaire affirme que 5 années aléatoires du système de surveillance médicale du DOD ont été affectées par un énorme glitch – TheBlaze

Politifact qualifie de ‘fausses’ les données médicales chocs du DoD en raison d’un ‘problème dans la base de données’ ‘ American Greatness (amgreatness.com)

Les tentatives de dissimulation des fact checkers

PolitiFact: Les chiffres étaient basés sur des données erronées, selon un porte-parole de l’armée.

Fact check: Le Pentagone affirme que les chiffres des lésions causées par le vaccin COVID n’étaient pas basés sur des données exactes.

Vous trouverez ci-dessous une comparaison côte à côte des chiffres fournis par nos lanceurs d’alerte à l’avocat Tom Renz, et des nouveaux chiffres mis à jour par le DOD.

Les graphiques datés du 19 janvier 2022 [à gauche], qui montrent d’énormes pics de lésions en 2021, sont les données originales authentiques des lanceurs d’alerte.

Les graphiques datés du 31 janvier 2022 [à droite] sont les nouveaux chiffres créés par le Ministère de la Défense qui ont modifié 5 années de données pour cacher la vérité.

Par exemple :


Texte original

Renz Whistleblowers DMED DATA Reveals Incredibly Disturbing Spikes in Vaccine Injuries Across the Board

279% SPIKE in Miscarriages
487% SPIKE in Breast Cancer
1048% SPIKE in the Nervous System
155% SPIKE in Birth Defects
350% SPIKE in Male Infertility
369% SPIKE in Testicular Cancer
2181% SPIKE in Hypertension
664% SPIKE in Malignant Neoplasms
680% SPIKE in Multiple Sclerosis
551% SPIKE in Guillain-Barre Syndrome
468% SPIKE in Pulmonary Embolism
302% SPIKE in Tachycardia
452% SPIKE in Migraines
471% SPIKE in Female Infertility
437% SPIKE in Ovarian Dysfunction
269% SPIKE in Myocardial infarction
291% SPIKE in Bell’s palsy
467% SPIKE in Pulmonary Embolism

At Senator Ron Johnson’s panel Covid-19: A Second OpinionAttorney Tom Renz revealed Whistleblower information from the Defense Medical Epidemiology Database (DMED) which showed a radical increase in injury to military personnel since the Covid-19 vaccine injections were demanded of the U.S. Military.  Watch Entire Sen. Johnson Panel Here

Attorney Tom Renz says “The Whistleblower data, this DMED database, has provided a control group of sorts. It’s military records dating back several years that supply medical codes for various medical issues that our military face such as cancers, miscarriages, neurological disorders etc. These records provided by three military doctors, heroes in my world, show a historical baseline of what the health of the American military was like before 2021, the year the Covid vaccine was released. What you see is quite disturbing. From 2016 to 2020 all variations of medical conditions stay consistent. But in 2021, when the variable of the vaccine is mandated, the spike in cancers, miscarriages, infertility, you name it, jumps by factors of hundreds to thousands of percent. Let me be crystal clear. These vaccines are injuring and sometimes even killing our military, and those in the public that are buying the ‘safe and effective’ marketing. These numbers prove it beyond a shadow of a doubt.”

Since Renz revelations at Senator Johnson panel, several news outlets have been reporting this damning data.

Horowitz: Whistleblowers share DOD medical data that blows vaccine safety debate wide open – TheBlaze

Lawyer Thomas Renz: Miscarriages and Cancers Up 300%, Neurological Problems Up 1000% in Past Year › American Greatness (amgreatness.com)

Shocking: RENZ UNLOADS MORE VACCINE INJURY WHISTLEBLOWER DATA ON OAN-TV WITH DAN BALL (rumble.com)

We’ve seen the needle and the damage done – American Thinker

DMED Is a Game-changer on Vaccine Safety – Ricochet

Lawyer Thomas Renz: Miscarriages and Cancers Up 300 Percent, Neurological Problems Up 1000 Percent in Past Year – The Ohio Star

A week later, once the damning truth was revealed, the DOD and the Trusted News Initiative, as well as Fact Check organizations decided to attempt to manipulate the numbers to cover-up the truth; the vaccines are deadly and cause severe injury at alarming rates. Attorney Renz says “To believe these brand-new DOD numbers you have to believe that the DOD under-reported all cases on this military database by around 20 million per year, for 5 years. They, the DOD, are now claiming that they have been underreporting cases by 1000% for 5 years.”
Renz adds “Yes, my friends, this is what a cover-up looks like.”

Horowitz: Military spokesman claims 5 random years of DOD medical surveillance system were plagued by a giant glitch – TheBlaze

Politifact Rates Shocking DoD Medical Data as ‘False’ Because of a ‘Glitch in the Database’ › American Greatness (amgreatness.com)

The Cover-up Stories from the Fact Checkers

PolitiFact | Numbers were based on faulty data, military spokesperson says
Fact Check: DOD Whistleblowers’ ‘Mind Blowing COVID Vaccine Injury Numbers’ Were NOT Based On Accurate Data, Pentagon Says | Lead Stories

Below you will find a side-by-side comparison of the numbers our Whistleblowers gave Attorney Tom Renz, and the new updated numbers the DOD created.
The graphs dated 1/19/2022 which show huge spikes in injuries in 2021 are the original Whistleblower authentic data.

The graphs dated 1/31/2022 are the new DOD creative numbers which changed 5 years’ worth of data to hide the truth.

 For Example:

Pourquoi les États de l’OTAN commettent-ils un Hara Kiri énergétique? – par F. William Engdahl.

Source.

Pourquoi les États de l’OTAN commettent-ils un Hara Kiri énergétique?

12/01/2022, Auteur: F. William Engdahl

Le paradoxe est grand dans la position militaire de plus en plus agressive des États-Unis et de l’OTAN à l’égard de la Russie et de la Chine, si on la compare aux politiques économiques clairement suicidaires de l’Agenda vert des États-Unis et des États de l’UE et de l’OTAN. On assiste à une transformation étonnante des économies des pays industriels les plus avancés du monde, qui prend de l’ampleur. Le point central de cette transformation est l’énergie, et l’exigence absurde d’une énergie « zéro carbone » d’ici 2050 ou même avant. Il est impossible, à l’heure actuelle et peut-être même jamais, d’éliminer le carbone de l’industrie énergétique. Mais cette exigence signifie la destruction des économies les plus productives du monde. Sans base énergétique industrielle viable, les pays de l’OTAN ne sont plus qu’une farce militaire. On ne peut pas parler d’énergie « renouvelable » dans le cas du solaire, de l’éolien et du stockage sur batterie. Il faut plutôt parler d’énergie non fiable. C’est là l’un des délires scientifiques les plus colossaux de l’histoire.

Le 31 décembre, le nouveau gouvernement de coalition allemand a fermé définitivement trois des six centrales nucléaires restantes. Cette décision a été prise à un moment où les réserves de gaz naturel sont extrêmement faibles, à l’aube d’un hiver difficile, et où toute vague de froid intense peut entraîner des pannes d’électricité. En raison du refus allemand d’autoriser l’importation d’un deuxième gazoduc russe, Nord Stream 2, l’Allemagne est confrontée à une augmentation de 500% du prix au comptant de l’électricité par rapport à janvier 2021.

La crise énergétique de l’UE était prévue

En 2011, lorsque la chancelière Merkel a annoncé la fin anticipée de la production d’énergie nucléaire, sa fameuse Energiewende, pour sortir du nucléaire et passer aux sources renouvelables, 17 centrales nucléaires fournissaient de manière fiable 25 % de toute l’énergie électrique du pays. Les trois centrales restantes doivent maintenant fermer d’ici fin 2022. Dans le même temps, le programme d’énergie verte du gouvernement depuis 2016 a entraîné la suppression de 15,8 GigaWatts de production de charbon à partir de janvier 2022. Pour compenser le fait que le solaire et l’éolien, malgré une propagande élogieuse, ne comblent pas le vide, le réseau électrique allemand doit importer une quantité importante d’électricité des voisins de l’UE, la France et la République tchèque, ironiquement issue en grande partie de leurs centrales nucléaires. L’Allemagne enregistre aujourd’hui le coût de l’électricité le plus élevé de tous les pays industrialisés en raison de l’Energiewende.

L’approvisionnement en électricité nucléaire en provenance de France pose désormais un problème. En décembre, EDF, l’agence nucléaire publique française, a annoncé la fermeture de quatre réacteurs pour inspection et réparation, suite à la découverte de dommages dus à la corrosion. Le président Macron, confronté aux élections d’avril, tente de jouer les champions du nucléaire dans l’UE en s’opposant à la forte position antinucléaire de l’Allemagne. Mais le pont nucléaire est vulnérable et il est peu probable que la France fasse de nouveaux investissements majeurs dans le nucléaire, malgré les déclarations récentes, alors qu’elle prévoit de fermer douze réacteurs dans les prochaines années, en même temps que des centrales au charbon, laissant la France et l’Allemagne vulnérables aux futures pénuries d’énergie. Le programme France 2030 de Macron prévoit d’investir un maigre 1,2 milliard de dollars dans la technologie nucléaire des petites centrales.

Mais la question du nucléaire n’est pas la seule mouche dans la soupe énergétique de l’UE. Tous les éléments du plan énergétique actuel de l’UE sont conçus pour ruiner une économie industrielle moderne, et les architectes qui financent généreusement les groupes de réflexion verts comme l’Institut de Potsdam en Allemagne le savent. Amener l’éolien et le solaire, les deux seules options sérieuses mises en œuvre, à remplacer le charbon, le gaz et le nucléaire, est tout simplement dit, impossible.

Moulins à vent et folie des foules

Pour l’Allemagne, un pays dont l’ensoleillement est loin d’être optimal, l’éolien est la principale alternative. Le problème de l’éolien, comme l’hiver 2021 l’a montré de façon spectaculaire, est que le vent ne souffle pas sans arrêt, et de façon imprévisible. Cela implique des coupures de courant ou un appoint fiable, ce qui implique le charbon ou le gaz naturel puisque le nucléaire est éliminé. Les éoliennes sont évaluées de manière trompeuse en termes de capacité théorique brute lorsque des États comme l’Allemagne se félicitent des progrès réalisés dans le domaine des énergies renouvelables.

En réalité, ce qui compte, c’est l’électricité effectivement produite sur une période donnée ou ce que l’on appelle le facteur de capacité ou le facteur de charge. Pour le solaire, le facteur de capacité n’est généralement que de 25% environ. Le soleil en Europe du Nord ou en Amérique du Nord ne brille pas 24 heures sur 24. Le ciel n’est pas non plus toujours sans nuages. De même, le vent ne souffle pas toujours et n’est guère fiable. L’Allemagne se targue de produire 45 % d’énergie renouvelable brute, mais cette affirmation occulte la réalité. Dans une étude réalisée en 2021, l’Institut Frauenhofer estime que l’Allemagne doit multiplier par six à huit son parc solaire actuel pour atteindre l’objectif de 100% de réduction des émissions de carbone en 2045. Le rapport indique que les 54 GW bruts actuels de capacité solaire devraient atteindre 544 GW d’ici 2045. Cela signifierait une superficie de 3.568.000 acres ou 1,4 million d’hectares, soit plus de 16.000 kilomètres carrés de panneaux solaires fixes répartis dans tout le pays. Ajoutez à cela de grandes stations éoliennes. C’est la recette du suicide.

On commence à reconnaître l’imposture de l’éolien et du solaire en tant qu’option raisonnable et sans carbone. Le 5 janvier dernier, en Alberta (Canada), où le gouvernement construit frénétiquement des sites éoliens et solaires, par une journée de grand froid avec des températures avoisinant les -45° C, les 13 installations solaires de l’Alberta connectées au réseau, d’une capacité de 736 mégawatts, fournissaient 58 mégawatts à celui-ci. Les 26 parcs éoliens, d’une capacité nominale combinée de 2.269 mégawatts, fournissaient 18 mégawatts au réseau. Le total des énergies renouvelables atteignait un misérable 76 mégawatts sur un total théorique de 3.005 mégawatts d’énergie supposée verte et renouvelable. Le Texas, lors des fortes chutes de neige de février 2021, a connu les mêmes problèmes avec l’énergie solaire et éolienne que l’Allemagne. De plus, lorsqu’il neige, les fermes solaires ne servent à rien.

De même, pour atteindre le niveau zéro de carbone à partir de sources renouvelables, d’énormes surfaces de terre doivent être recouvertes de réflecteurs solaires ou consacrées à des parcs éoliens. Selon une estimation, la superficie nécessaire pour accueillir les 46 480 centrales solaires photovoltaïques envisagées aux États-Unis est de 650 720 miles carrés, soit près de 20 % des 48 premiers territoires américains. Cela correspond à la superficie du Texas, de la Californie, de l’Arizona et du Nevada réunis. Rien que dans l’État américain de Virginie, une nouvelle loi verte, la Virginia Clean Economy Act (VCEA), a entraîné une augmentation considérable des demandes de projets solaires, pour un total de 780 miles carrés de dalles solaires à ce jour. Comme le souligne David Wojick, cela représente environ 500 000 acres de campagne, de terres agricoles ou de forêts détruites et pavées, avec quelque 500 projets distincts couvrant une grande partie de la Virginie rurale, qui nécessiteront un nombre stupéfiant de 160 millions de panneaux solaires, provenant pour la plupart de Chine et tous destinés à se transformer en centaines de tonnes de déchets toxiques.

Des millions d’emplois?

L’administration Biden et le tsar des énergies renouvelables John Kerry ont faussement prétendu que leur programme vert ou « Build Back Better » se traduirait par des millions de nouveaux emplois. Ils omettent de dire que ces emplois seront créés en Chine, de loin premier producteur de panneaux solaires et en situation de quasi-monopole après avoir détruit la concurrence américaine et européenne il y a dix ans avec des panneaux bon marché subventionnés fabriqués en Chine. De même, la majeure partie de l’énergie éolienne est produite en Chine par des entreprises chinoises. Pendant ce temps, la Chine utilise des volumes records de charbon et reporte à 2060 sa promesse d’atteindre l’objectif « zéro carbone », dix ans plus tard que l’UE et les États-Unis. Elle refuse de mettre en péril sa domination industrielle au profit d’une théorie climatique fondée sur des données fausses et des mensonges alléguant que le CO2 est sur le point de détruire la planète. La fédération syndicale allemande DGB a récemment estimé que depuis 2011, ce pays avait perdu quelque 150 000 emplois dans le seul secteur des énergies renouvelables, principalement parce que les panneaux solaires fabriqués en Chine ont anéanti les principales entreprises solaires allemandes. Et l’Allemagne est le pays de l’UE le plus écolo. Parce que, par définition, les énergies renouvelables moins denses en énergie que sont l’éolien et le solaire font grimper les coûts de base de l’électricité, elles suppriment plus d’emplois dans l’économie globale qu’elles n’en créent.

L’effondrement industriel de l’OTAN

Parce que l’énergie solaire et l’énergie éolienne sont en réalité beaucoup plus coûteuses que les hydrocarbures conventionnels ou l’électricité nucléaire, elles font augmenter le coût global de l’énergie électrique pour l’industrie, ce qui oblige de nombreuses entreprises à fermer ou à déménager. Les fraudes statistiques officielles sont le seul moyen de le cacher. L’Europe et l’Amérique du Nord auront besoin d’énormes volumes d’acier et de béton pour construire les millions de panneaux solaires ou de parcs éoliens attendus. Cela nécessite d’énormes quantités de charbon conventionnel ou d’énergie nucléaire. Combien de stations de recharge de voitures électriques seront nécessaires pour recharger à domicile 47 millions de voitures électriques allemandes? Combien de demande électrique supplémentaire?

Un des plus importants groupes de réflexion sur l’énergie verte aux États-Unis, RethinkX, a publié en 2021 une étude de propagande sur les énergies renouvelables intitulée Rethinking Energy 2020-2030: 100% Solar, Wind, and Batteries is Just the Beginning [Repenser l’énergie 2020-2030: 100% de solaire, d’éolien et de batteries n’est que le début]. Leur réponse aux problèmes de faible capacité de l’éolien et du solaire est de construire 500% ou même 1000% de plus que prévu pour compenser le faible facteur de capacité de 25%. Ils déclarent de manière absurde, sans aucune preuve concrète, « Notre analyse montre que l’électricité 100% propre issue de la combinaison du solaire, de l’éolien et des batteries (SEB) est à la fois physiquement possible et économiquement abordable sur l’ensemble du territoire continental des États-Unis ainsi que dans l’écrasante majorité des autres régions peuplées du monde d’ici 2030… cette surabondance de production d’énergie propre – que nous appelons super puissance – sera disponible à un coût marginal proche de zéro pendant la majeure partie de l’année… ». Cette déclaration est présentée sans un iota de données ou d’analyse concrète de faisabilité scientifique, simplement sous forme d’affirmation dogmatique.

Le défunt architecte canadien de l’Agenda 21 des Nations unies, Maurice Strong, un ami pétrolier milliardaire de David Rockefeller, était Sous-Secrétaire des Nations unies et Secrétaire Général de la conférence du Jour de la Terre à Stockholm en juin 1972. Il était également membre du conseil d’administration de la Fondation Rockefeller. Plus que quiconque, il est responsable de l’agenda de désindustrialisation de l' »économie durable » sans carbone. Lors du Sommet de la Terre de l’ONU à Rio en 1992, il a ouvertement énoncé le programme brutal des partisans de l’eugénisme radical tels que Gates et Schwab: « Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent? N’est-il pas de notre responsabilité de le provoquer? » Ce programme est dans une large mesure la Grande Réinitialisation d’aujourd’hui.

La guerre maintenant?

Si les économies autrefois avancées et à forte densité énergétique des pays membres de l’OTAN en Europe et aux États-Unis continuent sur cette voie suicidaire, leur capacité à organiser une défense ou une attaque militaire convaincante se transformera en mirage. Récemment, la présidente corrompue de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré que l’industrie high-tech de la défense allemande et ses fournisseurs ne devraient pas recevoir de financement bancaire parce qu’ils ne sont pas assez « verts » ou « durables ». Il semblerait que les banques aient déjà compris le message. Au même titre que le pétrole et le gaz, la production de défense est désormais visée. Von der Leyen, lorsque elle était Ministre de la Défense allemande, a été sévèrement critiquée pour avoir permis à la défense allemande de sombrer dans des proportions catastrophiques.

Dans leur poursuite unilatérale de l’Agenda 2030 et du programme « zéro carbone », l’administration Biden et l’UE mettent leur industrie sur le chemin de la destruction bien avant la fin de cette décennie. Est-ce que cela détermine également l’agenda actuel de l’OTAN envers la Russie en Ukraine, au Belarus, en Arménie et maintenant au Kazakhstan? Si les puissances de l’OTAN savent qu’elles ne disposeront pas de l’infrastructure industrielle militaire de base dans un avenir proche, pensent-elles qu’il est préférable de provoquer une éventuelle guerre avec la Russie maintenant, afin d’éliminer une résistance potentielle à leur programme de désindustrialisation? Outre la Chine, la Russie est le seul pays capable de porter un coup dévastateur à l’OTAN en cas de provocation.

Psychose de la formation des masses ou folie des foules

En 1852, l’historien anglais Charles Mackay a écrit un classique intitulé Memoirs of Extraordinary Popular Delusions and the Madness of Crowds [Mémoires sur les délires populaires extraordinaires et la folie des foules], qui donne un éclairage inédit sur l’hystérie de masse à l’origine des Grandes Croisades religieuses du 12e siècle, de la Chasse aux Sorcières ou de la Tulipomanie hollandaise et de nombreux autres délires populaires. Il permet de mieux comprendre la ruée irrationnelle mondiale vers le suicide économique et politique.

Les mêmes acteurs clés à l’origine des obligations de vaccination de masse COVID pour un vaccin expérimental non prouvé modifiant les caractéristiques génétiques et des confinements qui s’ensuivent dans le monde entier, notamment Bill Gates et le pape François, sont à l’origine de la Grande Réinitialisation du Forum Economique Mondial de Klaus Schwab et de sa folie verte zéro carbone de l’Agenda 2030 des Nations Unies, afin de faire accepter au monde des mesures économiques draconiennes sans précédent.

Pour ce faire, il faut une population assez docile et physiquement faible pour être embrigadée, ce que le professeur de psychologie belge, le Dr Mattias Desmet, et le Dr Robert Malone appellent la psychose de formation des masses, une psychose des foules, une sorte d’hypnose de masse qui fait fi de la raison. Il est clair que le mythe du Réchauffement Climatique et l’agenda de la pandémie de corona nécessitent tous deux une telle hypnose de masse – un « délire populaire extraordinaire ». Sans l’hystérie de peur du COVID, nous n’aurions jamais permis à l’agenda vert d’aller tellement loin que nos réseaux électriques sont au bord du black-out et nos économies au bord de l’effondrement. Le but ultime de la pandémie de COVID-OMS et de l’Agenda Vert est une marche vers la Grande Réinitialisation dystopique de Schwab de l’ensemble de l’économie mondiale au profit d’une dictature d’une poignée de sociétés mondiales comme BlackRock ou Google-Alphabet.

F. William Engdahl est consultant en risques stratégiques et conférencier, il est diplômé en politique de l’Université de Princeton et est un auteur à succès sur le pétrole et la géopolitique, exclusivement pour le magazine en ligne « New Eastern Outlook« .


Texte original

Why Do NATO States Commit Energy Hara Kiri?

12.01.2022 Author: F. William Engdahl

There is a great paradox in the increasingly aggressive US and NATO military stance towards Russia, and China, when measured against the clearly suicidal national Green Agenda economic policies of the USA as well as the EU NATO states. An astonishing transformation of the economies of the world’s most advanced industrial economies is underway and gaining momentum. The heart of the transformation is energy, and the absurd demand for “zero carbon” energy by 2050 or before. To eliminate carbon from the energy industry is not at this time, or perhaps ever, possible. But the push for it will mean tearing apart the world’s most productive economies. Without a viable industrial energy base, NATO countries become a military joke. We cannot speak of “renewable” energy for solar, wind and battery storage. We must speak of Unreliable Energy. It is one of the most colossal scientific delusions in history.

On December 31 the new German coalition government shut down three of the remaining six nuclear power plants permanently. They did so at a point where natural gas in reserves were extremely low entering hard winter, and when any severe cold front could lead to power blackouts. Because of the German refusal to allow import of a second Russian gas pipeline, Nord Stream 2, Germany is facing a 500% increase in the spot price of electricity compared with January 2021.

EU Energy Crisis Preplanned

In 2011 when Chancellor Merkel declared an early end to nuclear power, her infamous Energiewende, to phase out nuclear and go to renewable sources, 17 nuclear plants reliably supplied 25% of all electric power to the country. Now the remaining 3 plants must close by end 2022. At the same time the Green Energy agenda of the government since 2016 has closed 15.8 GigaWatts of coal generation as of January 2022. To make up for the fact that solar and wind, despite glowing propaganda, do not fill the gap, Germany’s electric grid must import significant electricity from EU neighbors France and Czech Republic, ironically much of it from their nuclear plants. Germany today has the highest electricity cost of any industrial nation as a result of the Energiewende.

There is now a problem with the supply of nuclear electricity from France. In December EDF the French state nuclear agency announced a total of four reactors would shut for inspection and repairs following discovery of corrosion damage. President Macron facing April elections is trying to play the nuclear champ in the EU opposing Germany’s strong anti-nuclear position. But the nuclear bridge is vulnerable and France is unlikely to make any major new investment in nuclear, despite recent claims, with plans to shut down twelve reactors in the next few years, along with coal, leaving both France and Germany vulnerable to future energy shortages. Macron’s France 2030 program calls for investing a pitiful $1.2 billion in small plant nuclear technology.

But the nuclear issue is not the only fly in the EU energy soup. Every aspect of the current EU energy plan is designed to wreck a modern industrial economy, and the architects who generously fund green think tanks like the Potsdam Institute in Germany know it. To bring wind and solar, the only two serious options being implemented, to replace coal, gas and nuclear, is simply said, not possible.

Wind Mills and Madness of Crowds

For Germany, a country with less than optimal sunshine, wind is the leading alternative. One problem with wind as the winter of 2021 dramatically showed, is that it does not always blow, and unpredictably so. That means blackouts or reliable backup, which means coal or natural gas as nuclear is being forced out. Wind mills are misleadingly rated in terms of gross theoretical capacity when states like Germany want to boast of renewable progress.

In reality what counts is actual electricity produced over time or what is called capacity factor or load factor. For solar, capacity factor is typically only about 25%. The sun in northern Europe or North America doesn’t shine 24 hours a day. Nor are skies always cloudless. Similarly wind doesn’t always blow and is hardly reliable. Germany boasts of 45% gross renewable energy but that hides the reality. Frauenhofer Institute in a 2021 study estimated Germany must install at least six to eight times present solar to reach 2045 100% carbon free goals, something the government refuses to estimate costs for, but private estimates are in the trillions. The report says from the present gross 54 GW solar capacity as much as 544 GW by 2045 is needed. That would mean a land space of 3,568,000 acres or 1.4 million hectares, more than 16,000 square kilometers of solid solar panels across the country. Add major wind stations to that. It is a suicide recipe.

The fraud of wind and solar as a sensible carbon free option is beginning to be realized. This January 5, Alberta Canada where the government is furiously building wind and solar sites, a severe cold day with temperatures near 45 F minus, Alberta’s 13 grid-connected solar facilities, rated at 736 megawatts, were contributing 58 megawatts to the grid. The 26 wind farms, with a combined rated capacity of 2,269 megawatts, was feeding the grid 18 megawatts. The total from renewables was a piddly 76 megawatts out of a theoretical 3,005 megawatts of supposedly green, renewable energy. Texas during the severe snow of February 2021 had similar problems with solar and wind as did Germany. Also when it snows solar farms are worthless.

As well to reach zero carbon from renewable sources huge acreages of land must be paved with solar reflectors or dedicated to wind farms. By one estimate, the amount of land needed to accommodate the 46,480 solar PV plants envisioned for the US is 650,720 square miles, almost 20% of the US lower 48 territories. This is the areas of Texas, California, Arizona and Nevada combined. Alone in the US state of Virginia a new green law, the Virginia Clean Economy Act (VCEA) has created an enormous rise in solar project applications to date for 780 square miles of solar slabs so far. As David Wojick points out, that is about 500,000 acres of countryside, farmland or forests destroyed and paved over with some 500 separate projects blanketing much of rural Virginia that will need a staggering 160 million solar panels, mostly from China and all destined to become hundreds of tons of toxic waste.

Millions of Jobs?

The Biden administration and Renewables czar John Kerry have falsely claimed their Green Agenda or Build Back Better will mean millions of new jobs. They omit to say the jobs will be in China which produces far the most solar panels, a near monopoly after they destroyed the USA and EU competition a decade ago with cheap subsidized panels Made in China. Similarly most of wind power is made in China by Chinese companies. Meanwhile China uses record volumes of coal and postpones its pledge for zero carbon a full decade after the EU and USA to 2060. They are not willing to jeopardize their industrial dominance to a climate theory based on fake data and lies that CO2 is about to destroy the planet. The German trade union federation DGB recently estimated that since 2011 that country had lost some 150,000 jobs in the renewable sector alone, mainly as China-made solar panels destroyed leading German solar companies. And Germany is the most green-crazy EU country. Because by definition the less energy-dense renewables of wind or solar drive basic electricity costs far higher, they kill more jobs in the overall economy than they ever add.

NATO Industrial Collapse

Because solar and wind are in reality far more costly than conventional hydrocarbon or nuclear electricity, they drive up overall cost of electric power to industry forcing many companies to close or move elsewhere. Only official statistical fraud hides this. Europe and North America will need huge volumes of steel and concrete to build the expected millions of solar panels or wind parks. That needs huge amounts of conventional coal or nuclear energy. How many E-car electric charging stations will be needed to home-charge 47 million German E-cars? How much more electric demand?

A significant Green Energy think tank in the US, RethinkX ,issued a propaganda study for renewables in 2021 titled Rethinking Energy 2020-2030: 100% Solar, Wind, and Batteries is Just the Beginning. Their answer to the problems of low capacity for wind and solar is to build 500% or even 1000% more than envisioned to make up for the low 25% capacity factor. They make the absurd claim, with no concrete proof that, “Our analysis shows that 100% clean electricity from the combination of solar, wind, and batteries (SWB) is both physically possible and economically affordable across the entire continental United States as well as the overwhelming majority of other populated regions of the world by 2030… this superabundance of clean energy output – which we call super power – will be available at near-zero marginal cost throughout much of the year .” That statement is presented without an iota of data or concrete scientific feasibility analysis, merely dogmatic assertion.

The late Canadian architect of the UN Agenda 21, Maurice Strong, a billionaire oil chum of David Rockefeller was Undersecretary of the United Nations and Secretary General of the June 1972 Stockholm Earth Day conference. He was also a trustee of the Rockefeller Foundation. He more than perhaps anyone else, is responsible for the de-industrialization agenda of the zero carbon “sustainable economy.” At the UN Rio Earth Summit in 1992 he openly stated the blunt agenda of the radical eugenics advocates such as Gates and Schwab: “Isn’t the only hope for the planet that the industrialized civilizations collapse? Isn’t it our responsibility to bring that about?” That agenda is very much the Great Reset today.

War Now?

If the once-advanced, energy-intensive economies of NATO member countries in Europe and the USA continue on this suicidal journey, their ability to mount a convincing military defense or offense will become a mirage. Recently the corrupt German EU Commission President, Ursula von der Leyen, declared that the high-tech German defense industry and its suppliers should not receive bank credit because they were not “green” or “sustainable” enough. Reportedly banks have already gotten the message. Along with oil and gas now defense production is targeted. Von der Leyen as German Defense Minister was widely blamed for allowing German defense to collapse to a catastrophic state.

In their now one-sided pursuit of their insane Agenda 2030 and Zero Carbon agenda, the Biden Administration and the EU are putting their industry on a deliberate road to destruction well before the end of this decade. Is this in turn driving the current NATO agenda towards Russia in Ukraine, Belarus, Armenia and now Kazakhstan? If the NATO Powers that Be know they will lack the basic in depth military industrial infrastructure in the near future, do they think it better to provoke a possible war with Russia now, to eliminate a potential resistor to their de-industrial agenda? Other than China, Russia holds the only potential to deal a devastating blow to NATO if provoked.

Mass Formation Psychosis or Madness of Crowds

In 1852 English historian Charles Mackay wrote a classic titled Memoirs of Extraordinary Popular Delusions and the Madness of Crowds, giving a little-known insight to the mass hysteria behind the religious Great Crusades of the 12th Century, the Witch Mania or the Dutch Tulip Mania and numerous other popular delusions. It is relevant to understand the global irrational rush to economic and political suicide.

The same key actors behind the mass COVID vaccine mandates for an unproven experimental genetic-altering vaccine and the ensuing lockdowns globally, including Bill Gates and Pope Francis, are behind the Klaus Schwab World Economic Forum Great Reset and its UN Agenda 2030 green zero carbon madness, to get the world to accept unprecedented draconian economic measures.

This will require a docile and physically weak population to be railroaded, what Belgian psychology professor Dr. Mattias Desmet and Dr Robert Malone call Mass Formation Psychosis, a crowd psychosis, a kind of mass hypnosis that ignores reason. It is clear that both the myth of Global Warming and the corona pandemic agenda require such a mass hypnosis—an “extraordinary popular delusion.” Without the COVID fear hysteria we would never allow the Green Agenda to get so far that our very electric grids are on the verge of blackouts and our economies on verge of breakdown. The ultimate goal of both the COVID WHO pandemic and the Green Agenda is a march to Schwab’s dystopian Great Reset of the entire world economy to the benefit of a corporate dictatorship by a handful of global corporations like BlackRock or Google-Alphabet.

F. William Engdahl is strategic risk consultant and lecturer, he holds a degree in politics from Princeton University and is a best-selling author on oil and geopolitics, exclusively for the online magazine “New Eastern Outlook”.

2021: Augmentation des décès dus au COVID, disparition des décès dus à la grippe, plus de 400.000 décès supplémentaires au total par rapport à 2020 – par par Brian Shilhavy.

J’avais publié ici l’estimation de Steve Kirsch du facteur de sous-déclaration des décès à la base de données américaine VAERS, facteur calculé par Jessica Rose, mentionné dans l’article ci-dessous. Je rappelle aussi que j’avais publié le 15 juillet – c’est-à-dire six mois plus tôt – une étude préalable de ce même facteur ici, calculé par un lecteur de Miles Mathis.

Côté Europe, je publie régulièrement les chiffres officiels des décès signalés à la base de données européenne, Eudravigilance, qui étaient en septembre 2021 de 23.252 décès 2.189.537 dommages physiques et s’élèvent au 1 janvier 2022 – un peu plus de trois mois plus tard – à 36.257 décès et 3.244.052 dommages physiques – vous trouverez le détail ici (en anglais). Pour rappel, ces chiffres émanent uniquement des pays membres de l’Union Européenne, c’est-à-dire 27 pays, et ne tiennent compte d’aucun facteur de sous-déclaration.

Il n’existe d’ailleurs, à ma connaissance, aucun calcul du facteur de sous-déclaration pour ces chiffres. Je pense néanmoins que, après lecture de l’article qui suit, vous pouvez déjà vous faire une idée approximative du chiffre réel.

Source.

Traduction

2021: Augmentation des décès dus au COVID, disparition des décès dus à la grippe, plus de 400.000 décès supplémentaires au total par rapport à 2020.

par Brian Shilhavy
Rédacteur en chef, Health Impact News

Fin 2020, nous expliquions comment le CDC avait été pris en flagrant délit de manipulation des statistiques de décès pour faire apparaître les « décès par COVID » comme beaucoup plus élevés qu’ils ne l’étaient en réalité.

En novembre 2020, nous avions publié un article reprenant le graphique ci-dessus, qui montrait que, sur base des propres statistiques du CDC de janvier à septembre 2020, le total des décès projetés pour l’année était en passe d’être à peu près le même que celui des trois années précédentes, 2017 – 2019. Voir :

Les statistiques montrent que le nombre de personnes décédées aux États-Unis en 2020 sera le MEME que les années précédentes, malgré le COVID.

Lorsqu’on a fait passer le message que la saison grippale semblait avoir disparu en 2020, le CDC a décidé d’arrêter de suivre les statistiques sur la grippe.

Voici une capture d’écran du site web du CDC de la page qui l’annonçait, mais je ne crois pas que cette page figure encore sur le site du CDC:

Caractères en rouge: En raison de la pandémie de Covid-19 en cours, ce système suspendra la collecte de données pour la saison grippale 2020-21. Les données des saisons précédentes sont disponibles sur FluView Interactive.

Voir :

Le CDC, selon une décision sans précédent, cesse de suivre la grippe pour la saison 2020-21.

Le 3 février 2021, nous avions publié un article qui présentait une étude publiée dans la revue Science, Public Health Policy & the Law, selon laquelle le CDC aurait violé la loi fédérale en gonflant les statistiques de mortalité du COVID-19.

L’étude est intitulée « COVID-19 Data Collection, Comorbidity & Federal Law : A Historical Retrospective » [« Collecte des données Covid, comorbidité et droit fédéral: une rétrospective historique »].

Dans ce même article, nous avions publié une capture d’écran d’une page qui figurait sur le site du CDC le 30 décembre 2020 et qui indiquait que le nombre total de décès aux États-Unis, toutes causes confondues, au 30 décembre 2020, était de 2.902.664 décès. Voir :

Étude : Les CDC ont enfreint la loi fédérale en manipulant les statistiques de décès du COVID.

Cependant, au début de l’année 2021, cette page a disparu du site web du CDC et une toute nouvelle section a été mise en place sur le site web du CDC pour suivre les décès, et le nombre total de décès pour 2020 a été révisé à 3.389.094, soit une différence de 486.430 décès.

Aujourd’hui, un an plus tard, il apparaît que ces décès supplémentaires attribués à l’année 2020 ont simplement été pré-ajoutés pour dissimuler les décès qui seraient causés par les « vaccins » expérimentaux COVID-19 pour 2021.

Voici ce que déclare le CDC aujourd’hui, au moment de la publication de cet article:

Comme vous pouvez le constater, selon le CDC, les décès dus à la grippe ont pratiquement disparu, puisqu’ils sont passés de leur nombre déjà historiquement bas de 8.785 en 2020, à seulement 932 en 2021.

Et malgré le fait que des centaines de millions d’Américains aient reçu des injections de thérapie génique expérimentale COVID-19 en 2021, les décès dus au COVID, selon le CDC, sont passés de 385.443 en 2020 à 444.951 en 2021.

Et si on prend le nombre de décès total du CDC pour 2020, le 30 décembre 2020, avant qu’ils ne révisent leurs chiffres, on obtient une augmentation du nombre total de décès aux États-Unis en 2021 qui représente plus de 400.000 décès supplémentaires par rapport à 2020.

Et nous devons conclure que la majorité d’entre eux étaient des décès dus à des lésions provoquées par le vaccin COVID-19.

Selon le Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) des CDC, si l’on exclut les rapports étrangers, le VAERS indique 9.778 décès signalés suite à des injections COVID-19 en 2021. (Source.)

Le Dr Jessica Rose, PhD, a déterminé que le facteur de sous-déclaration au VAERS pour les rapports sur le vaccin COVID-19 est de 41X. Voir:

Détermination du facteur de sous-déclaration au VAERS

Lorsqu’on multiplie par 41 les 9.778 décès signalés suite à des injections COVID-19 pour 2021, on obtient 400.898 décès suite à des injections COVID-19.

Bingo!

Cette preuve est par ailleurs corroborée par la récente admission que les taux de décès observés dans les demandes d’indemnisation d’assurance-vie ont connu une hausse sans précédent de 40% chez les personnes âgées de 18 à 64 ans en 2021. Voir :

Crise en Amérique: Les décès augmentent de 40% chez les personnes âgées de 18 à 64 ans selon les demandes d’indemnisation de l’assurance-vie pour 2021, après le lancement du vaccin COVID-19.

Nous assistons à une réduction de la population mondiale, sous nos yeux, et la masse continue de penser que c’est juste une « théorie du complot ».


Texte original

2021: COVID Deaths Increase, Flu Deaths Disappear, 400,000+ More Total Deaths than 2020

by Brian Shilhavy
Editor, Health Impact News

At the end of 2020, we reported how the CDC was caught manipulating the death statistics to make “COVID deaths” appear to be much higher than they actually were.

In November of 2020, we published an article with the above chart showing that based on the CDC’s own statistics from January through September of 2020, the total projected deaths for the year were on pace to be about the same as the previous three years, 2017 – 2019. See:

Statistics Show that the Number of People who Died in the U.S. in 2020 will be the SAME as Previous Years, in Spite of COVID

When word got out that the flu season seemed to vanish in 2020, the CDC proceeded to stop tracking influenza statistics.

Here is a screenshot from the CDC website of the page that announced this, but I do not believe this page is found on the CDC website anymore:

See:

In Unprecedented Move CDC Stops Tracking Influenza for 2020-21 Flu Season

On February 3, 2021, we published an article highlighting a study published in the journal Science, Public Health Policy & the Law that claimed the CDC violated federal law by inflating COVID-19 fatality statistics.

The study is titled “COVID-19 Data Collection, Comorbidity & Federal Law: A Historical Retrospective.”

In that same article that we published, we published a screenshot of a page that existed on the CDC website on December 30, 2020 that showed the total deaths in the U.S.  from all causes as of December 30, 2020, as being 2,902,664 deaths. See:

Study: CDC Broke Federal Law by Manipulating COVID Death Statistics

Just after the first of the year in 2021, however, this page disappeared from the CDC website, and an entirely new section was put up on the CDC’s website that tracked deaths, and the total deaths for 2020 were revised to be 3,389,094, a difference of 486,430 deaths.

Now, one year later, it appears that those additional deaths attributed to 2020 were basically being pre-added to cover up the deaths that were going to be caused by the experimental COVID-19 “vaccines” for 2021.

Here is what the CDC is currently reporting today, at the time of publication of this article:

As you can see, according to the CDC, flu deaths have all but disappeared, as they dropped from their already record low number of 8,785 in 2020, to only 932 in 2021.

And in spite of the fact that hundreds of millions of the American population were injected with the experimental gene-therapy shots for COVID-19 in 2021, COVID deaths, according to the CDC, increased from 385,443 in 2020 to 444,951 in 2021.

And if we use the CDC’s number of total deaths for 2020 on December 30, 2020 before they revised their numbers, we have an increase in total deaths in the U.S. in 2021 that is an increase of over 400,000 deaths that occurred in 2020.

And we have to conclude that the majority of those were COVID-19 vaccine injury deaths.

According to the CDC’s Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS), if we exclude the foreign reports, VAERS shows 9,778 reported deaths following COVID-19 injections in 2021. (Source.)

Dr. Jessica Rose, PhD. has determined that the VAERS under-reporting multiplier for COVID-19 vaccine reports is 41X. See:

Determining the VAERS Under-Reporting Multiplier

When we multiply the reported 9,778 deaths following COVID-19 injections for 2021 by 41, we get 400,898 deaths following COVID-19 shots.

Bingo!

This evidence is further corroborated by the recent admission that life insurance claims death rates skyrocketed an unprecedented 40% among those between the ages of 18 and 64 in 2021. See:

Crisis in America: Deaths Up 40% Among Those Aged 18-64 Based on Life Insurance Claims for 2021 After COVID-19 Vaccine Roll Outs

We are watching the world’s population be reduced right in front of our eyes, while the masses continue to think it is all a “conspiracy theory.”

Pourquoi veulent-ils « vacciner » les enfants? – Robert F. Kennedy Jr (interview).

Voici la transcription/traduction d’une interview récente (c’est en fait un extrait) de RFK Jr. Dans la première partie, il aborde la raison pour laquelle les enfants sont ciblés par les compagnies pharmaceutiques dans leurs campagnes de vaccination. Dans la deuxième partie, il aborde la question des risques posés par l’aluminium comme adjuvant.

Il existe des enjeux supplémentaires derrière ces deux questions, notamment la toxicité des épandanges atmosphériques de nanoparticules d’aluminium pour lutter contre le « changement climatique », que j’aborderai dans de futurs articles.

Source.


Traduction

Que pensez-vous du fait d’administrer ce vaccin Covid aux enfants? Je suis canadienne et je pense que c’est maintenant une obligation pour aller à l’école au Canada.

Ils doivent l’administer aux enfants parce qu’ils ne peuvent pas commercialiser ce vaccin sans bouclier de protection légale. Je poursuis en justice les compagnies pharmaceutiques, c’est mon métier. Et je suis au courant de beaucoup d’activités criminelles de Pfizer, et de Moderna. S’ils allaient de l’avant et commercialisaient un vaccin qui finirait par tuer ou par causer des lésions aux gens et que je puisse les poursuivre en justice, ils seraient foutus. Ils ne commercialiseront donc jamais un vaccin, ne permettront jamais aux gens de recevoir un vaccin – un vaccin approuvé – sans exemption préalable en matière de responsabilité. Les vaccins autorisés en cas d’urgence bénéficient d’une protection en matière de responsabilité en vertu de la loi PREP et de la loi CARES. Si on accepte un vaccin autorisé pour utilisation d’urgence, on ne peut pas les poursuivre en justice. Une fois qu’ils sont approuvés, on peut les poursuivre à moins qu’ils ne parviennent à le faire recommander pour les enfants.

Quoi?

Parce que tous les vaccins recommandés, officiellement recommandés, pour les enfants bénéficient d’une exemption de responsabilité même si c’est un adulte qui reçoit ce vaccin. C’est pourquoi ils ciblent les enfants. Ils savent qu’il tuera et causera des lésions à un grand nombre d’enfants, mais ils doivent le faire pour bénéficier de cette exemption de responsabilité. Et ils savent qu’il causera du tort aux enfants. Lors de l’étude de Pfizer, ils ne l’ont testé que sur 1.300 enfants. Et l’une d’entre eux, nous le savons maintenant, était une jeune fille nommée Maddie Garay. Nous ne le savons que parce qu’elle et sa famille se sont manifestées et ont raconté ce qui s’est passé. Maddie Garay a reçu le vaccin et a immédiatement été victime de crises d’épilepsie, elle est maintenant en fauteuil roulant à vie et a besoin d’une sonde d’alimentation pour se nourrir. Comme Pfizer n’a testé le vaccin que sur 1.300 enfants, ils ne peuvent procéder que par extrapolation. Un enfant sur 1.300 subira ce type de lésions – des lésions pires que la mort. Pfizer n’a pas signalé ces lésions. Au lieu de cela, ils ont dit qu’elle avait mal au ventre. C’est ce qu’ils ont déclaré à la FDA. Ils ont menti.

Et ils le savent… Voici ce que l’étude du Lancet a révélé. L’étude du Lancet a révélé que les chercheurs n’ont pas pu trouver un seul enfant dans le monde qui soit mort, un enfant en bonne santé, qui soit mort du Covid. La plupart des enfants qui sont morts, pas beaucoup – je pense que le Royaume-Uni n’a eu que 25 décès d’enfants dus au Covid confirmés par PCR, dans notre pays, nous en avons eu moins de 400 – tous ces enfants présentaient de graves comorbidités, la plupart d’entre eux étaient vraiment extrêmement obèses et souffraient de diabète ainsi que de beaucoup d’autres comorbidités. Les enfants en bonne santé ne meurent pas du Covid. Alors pourquoi leur faire subir une intervention dont on sait qu’elle peut les tuer, qui provoque des myocardites et des décès chez les enfants dans le monde entier? Nous le savons. Pourquoi vouloir faire subir cette intervention à un enfant? Ce n’est pas pour l’enfant. Il n’y a pas la moindre justification de protection pour l’enfant. Ils disent « Nous le lui administrons pour qu’il ne tombe pas malade », mais il n’y a aucune preuve. Les enfants ont tendance à intérioriser cette maladie, ils ne toussent pas et n’éternuent pas. Ils ont tendance à l’intérioriser. Il n’y a aucune preuve qu’ils la transmettent à qui que ce soit et de toute façon, il se pose un gros problème éthique si on parle de tuer un enfant ou de mettre un enfant en danger pour sauver une personne âgée. Il y a là un dilemme éthique qui doit être abordé.

Mais il n’y a aucun argument pour justifier le fait de l’administrer à un enfant pour sa propre santé – la véritable raison, pour moi, est évidente. Je ne peux pas lire dans les pensées mais, après avoir écrit ce livre et étudié l’industrie pharmaceutique depuis 18 ans, il est évident que la raison pour laquelle ils adminstrent ce médicament aux enfants vient de leur besoin de protection en matière de responsabilité, qui ne peut être obtenue qu’en rendant [ce vaccin] obligatoire pour les enfants. Pfizer a obtenu une autorisation, une homologation, pour vendre son vaccin aux États-Unis, mais c’est une ruse. Ils ont créé un nouveau vaccin à partir du même vaccin. Ils ont pris le même flacon et y ont apposé une étiquette différente et l’ont appelé Cominarty. Celui qui a été approuvé est celui avec l’étiquette Cominarty bien qu’il soit identique au vaccin BioNTech que nous recevons tous, qui est approuvé pour une autorisation d’utilisation d’urgence. Ils ne mettront pas le Cominarty à disposition des Américains. Pourquoi? Pour qu’on ne puisse pas les poursuivre en justice. C’est le seul approuvé et ils ne le vendront pas ici parce que nous pourrions les poursuivre en justice. Ils attendent qu’il soit approuvé pour les enfants et dès qu’il sera mandaté pour les enfants, ils obtiendront une exemption de responsabilité, ils le donneront à tout le monde et nous ne pourrons pas les poursuivre en justice.

Et de quel vaccin s’agit-il?

Ce sont les vaccins Pfizer. Il y a une version approuvée et une version pour utilisation d’urgence et elles sont identiques.

Je vois, ok.

L’un d’entre eux a une étiquette différente et celui qui a cette étiquette est le seul approuvé mais il n’est pas disponible dans notre pays, ils ne permettront à aucun Américain de le recevoir parce que si c’était le cas, on pourrait les poursuivre en justice.

Est-il disponible dans d’autres pays ?

Je pense qu’il est disponible en Europe, ils ont là-bas un système d’exemption de responsabilité que je ne connais pas bien.

Vous avez déclaré que les vaccins qui vous semblaient les plus dangereux étaient ceux qui contenaient de l’aluminium. Premièrement, pourquoi y a-t-il de l’aluminium dans ces vaccins? Et deuxièmement, quel genre de danger cela représente-t-il?

Dans l’histoire de la vaccinologie, les vaccins étaient à l’origine tous des vaccins à virus vivants. Le vaccin contre la polio était un virus vivant et celui contre la variole était un virus vivant. Ce que l’on a découvert, c’est que si on donne à quelqu’un… un vaccin à virus vivant est une mutation du virus qui le rend moins mortel. Donc on l’administre aux gens, on les rend un peu malades et ils acquièrent une immunité à vie. Ça c’était la théorie. Le problème, c’est que les virus mutaient souvent à l’intérieur de la personne et se retrouvaient ensuite dans ses selles. La version mutée devenait plus pathogène et plus virulente et se propageait. Aujourd’hui, 70% des cas de polio dans le monde proviennent de souches vaccinales. Elles proviennent d’individus vaccinés. Les personnes vaccinées peuvent excréter le virus et infecter d’autres personnes.

Les organismes de réglementation ont donc très tôt exprimé leur préférence pour les vaccins à virus inactivés. Le problème est que les vaccins à virus inactivés ne provoquent pas la même réponse robuste et durable en anticorps. En vaccinologie, pour obtenir une homologation, il faut montrer que la protection du vaccin dure un certain temps et qu’il suscite une réponse robuste chez les personnes concernées. Les vaccinologues ont donc découvert très tôt que s’ils ajoutent au vaccin un ingrédient extrêmement toxique, le corps associe cette substance toxique à l’antigène viral et à la prochaine apparition de cet antigène, il déclenchera une réponse immunitaire robuste. Il existe un dicton, un mantra en vaccinologie selon lequel plus l’adjuvant est toxique, plus la réponse est robuste. Les vaccinologues et les virologues du monde entier se sont donc mis à la recherche des éléments les plus toxiques de l’univers à ajouter aux vaccins pour provoquer ces réponses. L’aluminium et le mercure étaient des ajouts très, très répandus. Ils en ont ajouté, ils ont dit que c’était un conservateur sauf qu’il n’était pas utilisé comme conservateur, il était en réalité utilisé comme adjuvant, ce que le NIH a admis. Le mercure est l’élément non radioactif le plus toxique de l’univers connu. Il est 1.000 fois plus neurotoxique que le plomb. Pourquoi injecter du plomb à votre enfant si on peut lui injecter quelque chose de 1.000 fois pire que le plomb?

Le mercure a été retiré de la plupart des vaccins américains, à l’exception du vaccin contre la grippe, en 2003. Il fallait trouver quelque chose d’horriblement toxique pour remplacer le mercure, alors on a utilisé l’aluminium. Le problème des vaccinologues est qu’ils ne s’intéressent pas aux maladies chroniques et qu’ils ne connaissent rien à la toxicologie. Et ils n’aiment pas les toxicologues parce que ceux-ci leur diraient: « D’accord, l’aluminium prolonge la durée d’efficacité du vaccin, les anticorps produits par le vaccin durent plus longtemps, mais qu’advient-il de l’aluminium dans le corps? Quel est son sort? Est-il excrété ou atteint-il les organes, en particulier le cerveau? » Et il s’avère que c’est exactement ce qui se produit. Il se retrouve dans le cerveau, y reste pendant des décennies et y provoque une inflammation.

Nous le savons par une série d’études menées par le NIH dans les années 80 et par l’une d’entre elles, en particulier celle de Thomas Burbacher, mais il y a beaucoup, beaucoup d’autres études qui montrent que l’aluminium… Chris Shaw et Chris Exley, qui sont en quelque sorte les experts mondiaux en matière de toxicité de l’aluminium, ont étudié les cerveaux d’enfants atteints d’autisme et d’autres maladies neurologiques et ont découvert qu’ils étaient chargés de mercure – pardon, d’aluminium – et que l’aluminium y était présent à des niveaux que l’on retrouve chez un adulte atteint de la maladie d’Alzheimer et sur le cadavre d’un adulte atteint de la maladie d’Alzheimer. Shaw a examiné, je pense, 10 cadavres d’enfants et a fait ce constat.

Il y a quelque chose que tout le monde devrait savoir, c’est que l’aluminium provoque une réponse allergique et c’est pourquoi il est utile. En associant de l’aluminium à l’antigène viral, le corps produit une réponse allergique à cet antigène viral, qu’il s’agisse de la polio, de l’hépatite B ou du VPH ou autre. Mais ce que nous savons aujourd’hui, ce que la science nous apprend, c’est que l’aluminium induit également des réponses allergiques à tout ce qui se trouve dans l’environnement ambiant. Si on utilise de l’huile d’arachide dans l’excipient du vaccin et que l’on y ajoute de l’aluminium, on risque de développer une allergie à vie aux arachides. S’il y a une efflorescence de fléole des prés la semaine où on reçoit ce vaccin à l’aluminium, on risque ensuite d’avoir une allergie à vie à la fléole des prés et c’est pourquoi probablement… Il existe deux études de Mosen et Cowings [NdT. pas trouvé la référence] qui montrent que les enfants qui reçoivent des vaccins à l’aluminium ont un taux de rhinite allergique 30 fois plus élevé que les enfants qui ne reçoivent pas ces vaccins.

Toutes ces épidémies d’allergies alimentaires datent de l’époque où nous avons commencé à administrer cet aluminium à ces enfants. Comme mes enfants souffrent de ces allergies, je suis l’un des fondateurs du Food Allergy Network, le plus grand groupe de recherche sur les allergies alimentaires. Ce groupe rassemble des scientifiques du monde entier, qui induisent des allergies alimentaires chez les rats et cherchent ensuite à les traiter. Comment induisent-ils une allergie chez le rat? Ils prennent l’adjuvant d’aluminium du vaccin contre l’hépatite B, ajoutent une molécule de latex et ce rat aura ensuite une allergie permanente au latex; ils ajoutent une molécule d’arachide et ce rat aura ensuite une allergie permanente à l’arachide; ils ajoutent une molécule de produits laitiers et ce rat aura ensuite une allergie permanente aux produits laitiers. Vous vous demandez pourquoi toute cette génération d’enfants est allergique à toutes sortes de choses? C’est parce qu’on les a rendus allergiques en leur injectant de l’aluminium.

C’est fou, c’est fou. Merci beaucoup, beaucoup d’être venu.

Oui. J’espère que vous ne couperez pas mes meilleurs arguments au montage.

Je ne couperai rien du tout. Tout ça sera publié.

Je suis curieux de voir ce qu’ils vous réservent. Merci beaucoup, Miguela.

Merci beaucoup de votre présence. Au revoir.


Transcription originale

Okay, so what are your views on giving this Covid vaccine that they’ve made to kids? You know, I’m from Canada and I think that they’re implementing that in order to go to school in Canada.

Well they have to give it to kids because – here’s why. They cannot market this vaccine without having immunity shield. I mean, I sue pharmaceutical companies for a living. And I have enough criminal activity I know about Pfizer at this point, and Moderna. If they went ahead and marketed a vaccine where they end up killing people or injuring them and I can sue them, they’d be through. So they’re never going to market a vaccine, allow people access to a vaccine – an approved vaccine – without getting liability protection. Now the emergency use authorization vaccines have liability protection under the PREP Act and under the CARES act. So as long as you take an emergency use, you can’t sue them. Once they get approved, now you can sue them unless they can get it recommended for children.

What?

Because all vaccines that are recommended, officially recommended, for children get liability protection even if an adult gets that vaccine. That’s why they’re going after kids. They know this is going to kill and injure a huge number of children but they need to do it for the liability protection. And here’s how they know that it’s going to hurt the kids. During the Pfizer study, they only tested it on 1,300 children. And one of those we now know was a girl called Maddie Garay. And we only know about this because she and her family came forward and told us what happened. Maddie Garay got the vaccine, she immediately went into seizures, she is now in a wheelchair for life and she needs a feeding tube to eat. Because Pfizer only tested it on 1,300 kids, it is stuck with the extrapolation. One out of every 1,300 kids is going to be injured like that – an injury worse than death. Pfizer did not report her injury. Instead it said she had a stomach ache. So that’s what they reported to the FDA. They lied.

And they know that… Here’s what the Lancet study showed. The Lancet study show that the researchers could not find a single child in the world who died, a healthy child who died from Covid. Many children who died, you know, not a lot – I think the UK had only like 25 PCR-confirmed Covid deaths in children, we, in this country, we had under 400 – but all those children had severe comorbidities, most of them were really extremely obese and had diabetes as well as a lot of other comorbidities. Healthy kids do not die from Covid. So why would you give them an intervention that we know can kill them, that is causing myocarditis and death in children all over the world right now? We know that. Why would you ever give a child that intervention? You’re not doing it for the child. There’s no pretense it’s going to help that child. What they’ll say is « We’re giving it to him so he doesn’t get granny sick » but there’s no evidence. Children tend to internalize this disease, they’re not coughing and sneezing with it. They tend internalize it. There’s no evidence that they’re passing it to anybody and anyway there’s a big ethical problem of of killing a kid or putting a child at risk to save every old person. There is an ethical dilemma there that people need to be talking about.

But there’s no argument that you’re giving this to the child for his own health, you’re giving it to the child – I mean the real reason, you know, to me is obvious. I can’t read minds, you know, but having written this book and having studied the pharmaceutical industry for 18 years, it’s pretty evident that their rationale for giving it to kids is they need the liability protection and you can only get that if you mandate it for children. You know, Pfizer did get an authorization, a license to sell its vaccine in the United States but what it did is a trick. It created a new vaccine out of the same vaccine. The same vial, they put a different label on it and called it the Cominarty. And the one that got approved is the one with the Cominarty label although it’s identical to the BioNTech vaccine that we’re all taking which is emergency use authorization. The Cominarty, they will not make it available to Americans. Why? So you can’t sue them. And so it is the only one approved and they will not sell it here because we can sue them. What they’re waiting for is it’s approved for children and as soon as it gets mandated for children they’ll have liability protection and they’ll give it to the rest of us and we won’t be able to sue them.

And which vaccine is that?

They’re Pfizer vaccines. There’s an approved version and there’s an emergency use version and they’re identical.

I see, okay.

One of them has a different label and that one with that label is the only one that is approved but you cannot get it in our country, they’re not gonna allow any American to get it because if you get it you can sue them.

Can you get it in other countries?

I think you can get it in Europe, they have other liability protection over there which I’m not familiar with.

So you mentioned that the vaccines you thought were the most dangerous were the ones with aluminum in them. One, why is there aluminum in there in the first place? An two, what kind of danger with that pose to people?

In the history of vaccinology, vaccines originally were all live virus vaccines. The polio vaccine was a live virus and the smallpox was a live virus. What they found is that if you give somebody… a live virus vaccine is a mutation of virus that is less deadly. So you give the people, you make them a little bit sick and they get a lifetime immunity. That was the theory. The problem is that viruses were oftentimes mutating inside of the person and then they would, you know, end up in their feaces. The mutated version would develop more pathogenicity and more virulence and would spread. So today 70 percent of the polio cases in the world are vaccine strain. They’re coming from vaccinated individuals. Vaccinated individuals can shed the virus and infect other people.

So the regulatory agencies early on expressed a preference for dead virus vaccines. The problem is that dead virus vaccines do not provoke the same robust durable antibody response. In vaccinology, in order to get a license you need to show that the vaccine lasts a certain amount of time and that it is, you know, that it has a powerful anybody response. So vaccinologists discovered early on that if they add an ingredient to the vaccine that is horrendously toxic, that the body associates that toxic material with the viral antigen and the next time it sees that antigen, it will mount a robust immune response. And there is a saying, a mantra in vaccinology that the more toxic the adjuvant, the more robust the response. So there was a surge among vaccinologists and virologists around the globe for the most toxic elements in the universe to add to vaccines and to provoke these responses. And, you know, aluminum, I mean mercury was a very, very ubiquitous addition. They put it in, they say it is a preservative but it didn’t act as a preservative, it was really there as an adjuvant and the NIH admitted that to us. The mercury is the most toxic element in the universe known to man that is not radioactive. It’s 1,000 times more neurotoxic than lead. Why would you ever dream of injecting your child with lead while you’re injecting him with something that is 1,000 times worse than lead.

And mercury was removed from most American vaccines except for the flu vaccine in 2003. And they needed to replace another, you know, the mercury with something else that was horribly toxic so they used aluminum. The problem is with vaccinologists, they don’t look at chronic disease and they don’t know anything about toxicology. And they don’t like toxicologists because the toxicologists would come in and say, « Yes, that aluminum is making the vaccine last longer, you know, the antibody effected with vaccine lasts longer but what’s happening to the aluminum in your body? You know, what is the fate of it? Is it being excreted or is it going to your organs, particularly to your brain? » And as it turns out, that’s exactly what it’s doing. It’s going your brain and it’s staying in your brain for decades and causing inflammation.

We know this because there is a series of studies that NIH did during the 80’s and one of them particularly by Thomas Burbacher but there’s many, many other studies that show that the aluminum… There’s studies by Chris Shaw, Chris Exley, who are kind of the world’s experts on aluminum toxicity, they’re looking at the brains of children who have autism and other neurological diseases and they’re finding that they are loaded with mercury – with aluminum – and that the aluminum is, you know, at levels you see in an adult with Alzheimer’s and the cadaver of an adult with Alzheimer’s. Shaw looked at, I think, 10 kids cadavers and found this.

Here’s something that people should know, it’s that aluminum provokes an allergic response and that’s why it’s valuable. So if you put the aluminum in with the viral antigen, your body now mounts an allergic response to that viral antigen whether it’s polio or hepatitis B or, you know, HPV or whatever. But what we now know, the science suggests, is that the aluminum also creates allergic responses to anything that’s in the ambient environment. So if you have a peanut oil excipient in that vaccine and you put aluminum in it, now you could have a lifetime allergy to peanuts. If there’s a Timothy weed outbreak the week that you get that aluminum vaccine, you now may have a lifetime allergy to Timothy weed and that’s why probably… You know, there’s two studies by Mosen and Cowings (?) which show that children who are vaccinated with aluminum vaccines have 30 times the rate of allergic rhinitis as kids who don’t.

And, you know, all of these food allergy epidemics date to the time that we started giving these kids this aluminum. And because my kids have these allergies, I’m one of the founders of the Food Allergy Network which is the biggest food allergy research group. That group has scientists from all over the world who are giving food allergies to rats and then figuring out how to treat them. How do they give the allergy to the rat? They take the aluminum adjuvant from the hepatitis B vaccine, add a latex molecule and now that rat has a permanent latex allergy, you add a peanut molecule and now that rat has a permanent peanut allergy, you add a dairy every molecule and now it has a permanent dairy allergy. You wonder why this whole generation of children is allergic to stuff. It’s because we’ve been inducing allergies by pumping them full of aluminum.

That’s crazy, it’s crazy, yeah. Thank you very, very much for coming on.

Yeah. I hope you won’t edit out my best arguments.

I won’t edit anything. This entire thing is going up.

Well, I want to see what they do to you. Thank you very much Miguela.

Thank you very much for coming on. Bye.

Un rapport du gouvernement britannique admet que 23,5 millions de personnes en Angleterre n’ont PAS reçu une seule dose du vaccin Covid-19.

Je commence ici une série de quatre articles orientés chiffres. Depuis le début de cette guerre, la distorsion des chiffres et une tactique prévalente. Il y a une raison à ça, autre que la simple manipulation, sur laquelle je reviendrai dans l’article qui viendra après les trois suivants.

On parle dans l’article ci-dessous des chiffres bidouillés du nombre de vaccinés au Royaume-Uni. Comme souvent sur The Exposé, l’auteur manque un peu de rigueur puisque le nombre de personnes éligibles au « vaccin » est en fait de 15,3 millions – c’est d’ailleurs dit dans l’article. Quoiqu’il en soit, la manoeuvre ici consiste à faire passer les non-injectés pour une minorité dangereuse alors que c’est l’inverse qui est vrai. Nous sommes très nombreux et nous représentons une forme de salut pour l’ensemble de la communauté. Ne perdons jamais ça de vue.

Dernière minute, à confirmer: on me signale qu’un document fuité démontre une manoeuvre identique en France. On peut imaginer que c’est le cas dans d’autre pays – notamment les Etats-Unis, où la réalité du terrain, notamment dans les emplois du secteur médical, ne colle pas aux chiffres annoncés. Toujours en France et dans le secteur médical également, on me dit que – tenez-vous bien – le personnel injecté n’a pas droit au congé maladie en cas de Covid. Encore un exemple de la « logique » prévalente: les injectés n’ont pas le Covid même quand ils ont le Covid et les non-injectés ont le Covid même quand ils n’ont pas le Covid. Jusqu’où descendront-ils? Ils descendront aussi bas que nous les laisserons descendre: on parle maintenant d’isolation de tous les non-vaccinés en France.

Source.


Traduction

Un rapport du gouvernement britannique admet que 23,5 millions de personnes en Angleterre n’ont PAS reçu une seule dose du vaccin Covid-19.

The Exposé, 17 décembre 2021

Pendant des mois, le public britannique a été trompé par des récits selon lesquels il n’y aurait que 5 millions de personnes au Royaume-Uni qui auraient refusé d’accepter l’offre du vaccin Covid-19. Mais aujourd’hui, nous pouvons révéler que c’est un mensonge.

En effet, un rapport officiel du gouvernement britannique prouve que rien qu’en Angleterre, il y a environ 23,5 millions de personnes qui n’ont pas reçu une seule dose de vaccin Covid-19.

C’est en septembre dernier que le public britannique a appris que 5 millions de Britanniques avaient jusqu’à présent refusé les vaccins expérimentaux. Sir Patrick Vallance, conseiller scientifique en chef du Royaume-Uni et ancien président de GlaxoSmithKline, a annoncé lors d’un briefing télévisé sur le Covid-19 qu' »il y a plus ou moins cinq millions de personnes éligibles aux vaccins actuellement et qui n’ont pas été vaccinées ».

Il s’avère que ces « plus ou moins » représentent environ 10,3 millions de personnes supplémentaires rien qu’en Angleterre à la date du 17 décembre 2021, ce qui porte le total des personnes éligibles au vaccin Covid-19 à 15,3 millions, et à 23,5 millions si l’on inclut tous les enfants de moins de 12 ans.

La population de l’Angleterre est d’environ 56 millions d’habitants, et selon « Statista », les chiffres de 2020 montrent qu’environ 3,23 millions d’entre eux sont âgés de 4 ans et moins, et 3,54 millions sont âgés de 5 à 9 ans.

Le site Statista indique également un chiffre d’environ 3,44 millions d’enfants âgés de 10 à 14 ans. Si l’on divise ce chiffre par cinq et qu’on le multiplie par deux, on peut calculer le nombre d’enfants de 10 et 11 ans [NdT. calcul très approximatif] et partant, la population totale de l’Angleterre éligible à une injection Covid-19, c’est-à-dire tous les enfants de plus de 12 ans.

Cette équation donne un total de 1,38 million, donc en Angleterre, il y a environ 8,2 millions d’enfants de moins de 12 ans, et 47,8 millions de personnes éligibles à la vaccination Covid-19.

Ce qui nous amène au rapport de surveillance des vaccins de la semaine 50 de l’Agence de Sécurité Sanitaire du Royaume-Uni (UKHSA – UK Health Security Agency).

L’Agence de Sécurité Sanitaire du Royaume-Uni a récemment remplacé Public Health England et est parrainée par le Département de la Santé et des Soins Sociaux et dirigée par le Dr Jenny Harries.

Dans son Rapport de Surveillance des Vaccins hebdomadaire, elle publie une section sur « l’impact sur la population » des vaccins Covid-19, et il est intéressant de noter qu’au 12 décembre 2021, la prise vaccinale globale en Angleterre pour la dose 1 était de 67,9% et pour la dose 2 de 62,2%.

Le rapport indique aussi clairement que le taux de prise de la dose 3 était de 31,4 %.

L’impact du programme de vaccination sur la population est évalué en tenant compte de la couverture vaccinale, des preuves de l’efficacité du vaccin et des derniers indicateurs de surveillance de la maladie Covid-19.
La couverture vaccinale nous renseigne sur la proportion de la population qui a reçu 1, 2 et 3 doses de vaccins Covid-19. En décembre 2021, la prise vaccinale globale en Angleterre pour la dose 1 était de 67,9% et pour la dose 2 de 62,2%. La prise globale du vaccin en Angleterre chez les personnes ayant reçu au moins 3 doses était de 31,4%. Conformément au déploiement du programme, la couverture est la plus élevée dans les groupes d’âge les plus âgés.
Source – Page 3

Voici comment ces pourcentages se traduisent en termes de population réelle de l’Angleterre –

Comme nous pouvons le voir ci-dessus, selon le rapport de l’Agence Britannique de Sécurité Sanitaire, 32,4 millions de personnes ont reçu une seule dose, 29,7 millions de personnes ont reçu une deuxième dose, et 15 millions de personnes ont reçu une troisième dose au 12 décembre 2021.

Cela signifie qu’il y a 23,5 millions de personnes [NdT. en fait, 15,3 millions] qui ont refusé de participer à la plus grande expérience grandeur nature jamais réalisée, et non pas seulement 5 millions comme on l’a prétendu pendant des mois et comme on l’a invoqué dans des articles discriminatoires tels que celui du journaliste Andrew Neil.

Il est temps de punir les cinq millions de réfractaires au vaccin au Royaume-Uni: ils nous font courir le risque de nouvelles restrictions, dit Andrew Neil. Alors pourquoi ne restreindrait-on pas leurs libertés?

« Il y a encore 5 millions d’adultes britanniques non vaccinés, qui par peur, ignorance, irresponsabilité ou pure stupidité refusent de se faire injecter. En agissant ainsi, ils ne se mettent pas seulement en danger, mais ils mettent aussi en danger tous les autres », écrivait Andrew Neil pour le Daily Mail.

« S’ils contractent le Covid, ce sont eux qui mettront le plus de pression sur le NHS [Système de Santé Publique – National Health Service], en privant ceux d’entre nous qui souffrons d’affections graves non liées au Covid du traitement auquel nous avons droit. Nous payons tous un lourd tribut à ce noyau dur de non-vaccinés ».

Non seulement Andrew Neil colporte le mensonge selon lequel il n’y aurait que 5 millions de Britanniques non vaccinés, mais il colporte également le mensonge selon lequel ce sont eux qui mettent le plus de pression sur le NHS.

Parce que les données officielles trouvées dans plusieurs rapports de surveillance des vaccins de l’UKHSA montrent que c’est la population vaccinée qui représente la majorité des hospitalisations liées au Covid-19 depuis au moins le 16 août 21.

Selon les rapports suivants –

Entre le 16 août et le 5 décembre, la population non vaccinée a été à l’origine de 11.767 hospitalisations dues au virus Covid-19. Mais la population vaccinée a représenté près du double, avec 19.730 hospitalisations, dont 18.406 dans la population vaccinée par la 2e dose/3. Cela signifie que la population vaccinée a été à l’origine de 63% des hospitalisations liées au Covid-19 depuis août 2021.

La situation est encore pire pour la population vaccinée en ce qui concerne les décès.

Entre le 16 août 21 et le 5 décembre 21, 3.070 décès dus au virus du Covid-19 ont été enregistrés dans la population non vaccinée en Angleterre, contre 12.058 décès dans la population vaccinée au cours de la même période. Cela représente une différence de 293%.

Le public est gavé de mensonges, et encore de mensonges, et encore de mensonges.


Texte original

UK Government report admits there are 23.5 Million people in England who have NOT had a single dose of a Covid-19 Vaccine

The Exposé, December 17, 2021

For months the British public have been deceived with tales that there are just 5 million people in the United Kingdom who have refused to take up the offer of a Covid-19 vaccine. But today we can reveal that this is a lie.

It is a complete fabrication that has no doubt been used to make those who have refused the jab feel as if they are part of a minority, because an official UK Government report proves that in England alone there are approximately 23.5 million people who have not had a single dose of a Covid-19 vaccine.

It was back in September that the British public were told there were 5 million Brits who had so far refused the experimental jabs. Sir Patrick Vallance, the UK’s Chief Scientific Advisor and former president of GlaxoSmithKline, announced in a televised Covid-19 briefing that “There are five million or so people who are eligible for vaccines now who haven’t been vaccinated,”.

Well it turns out the “or so” make up approximately another 10.3 million people in England alone as of December 17th 2021, bringing the grand total of people eligible to have the Covid-19 jab to 15.3 million, and 23.5 million when including all children under the age of 12.

The population of England is approximately 56 million, and according to ‘Statista’ the 2020 figures show that approximately 3.23 million of those are aged 4 and under, and a further 3.54 million are aged between 5 and 9.

The Statists site also states that approximately 3.44 million are between the ages of 10 and 14, so if we divide that number equally by five and then times by two we can roughly work out the number of 10 and 11 year old children and work out the total population of England eligible for a Covid-19 injection, which is of course everyone over the age 12.

That equation totals 1.38 million, therefore in England, there are approximately 8.2 million children under the age of 12, and 47.8 million eligible for Covid-19 vaccination.

Which brings us to the UK Health Security Agency Week 50 Vaccine Surveillance Report.

The UK Health Security Agency recently replaced Public Health England and is sponsored by the Department for Health and Social Care and headed by Dr Jenny Harries.

Within their weekly Vaccine Surveillance Report they publish a section on ‘Population impact’ of the Covid-19 vaccines, and it interestingly states that ‘by 12th December 2021, the overall vaccine uptake in England for dose 1 was 67.9% and for dose 2 was 62.2%.’

The report also clearly states that uptake for dose 3 was 31.4%.

As we can see from the above according to the UK Health Security Agency report, 32.4 million people have had a single dose, 29.7 million people have had a second dose, and 15 million people have had a third dose as of December 12th 2021.

This means there are 23.5 million people who have refused to partake in the largest real-world experiment ever conducted, not just 5 million that has been claimed for months and used to write discrimatory articles such as this one from journalist Andrew Neil –

“There are still 5 million unvaccinated British adults, who through fear, ignorance, irresponsibility or sheer stupidity refuse to be jabbed. In doing so they endanger not just themselves but the rest of us.” wrote Andrew Neil for the Daily Mail.

“If they contract Covid, it is they who will put the biggest strain on the NHS, denying the rest of us with serious non-Covid ailments the treatment that is our right. We are all paying a heavy price for this hard core of the unvaccinated”.

Not only is Andrew Neil peddling the lie that there are just 5 million unvaccinated Brits, he’s also peddling the lie that they are putting the biggest strain on the NHS.

Because official data found within several UKHSA Vaccine Surveillance reports shows that it is the vaccinated population who have accounted for the majority of Covid-19 hospitalisations since at least 16 Aug 21.

According to the following reports –

Between Aug 16 and Dec 05, the unvaccinated population accounted for 11,767 Covid-19 hospitalisations. But the vaccinated population accounted for nearly double the amount, recording 19,730 hospitalisations, with 18,406 of those being among the 2/3 dose vaccinated population. This means the vaccinated population have accounted for 63% of Covid-19 hospitalisations since August 2021.

It gets even worse for the vacinated population when it comes to deaths though.

Between 16 Aug 21 and 05 Dec 21 there were 3,070 Covid-19 deaths among the unvaccinated population in England, compared to 12,058 deaths among the vaccinated population during the same time frame. That is a 293% difference.

The public are being fed lie, after lie, after lie.

Féodalisme génocidaire high-tech au niveau mondial – par Toby Rogers.

En attendant un nouveau florilège d’infos et d’autres articles actuellement en préparation, voici une récente intervention de Robert Kennedy Jr. Après la publication de son bouquin, « The Real Anthony Fauci » – qu’il serait difficile de résumer ici mais faites une petite recherche, on en parle sur le Net – RFK Jr continue sa tournée mondiale. J’avais à l’époque transcrit, traduit et publié son discours du 28 août 2020 à Berlin, voici celui du 13 novembre de cette année à Milan – en mode typiquement constitutionaliste américain, très orienté « liberté » – que Toby Rogers a publié sur son Substack, assorti d’une courte introduction. Vous aurez reconnu la dame qui « chauffe la salle » au début, c’est Catherine Austin-Fitts (publiée ici, ici, ici et ici).

Je publie ensuite un autre article récent de Toby Rogers.

Source.


Féodalisme génocidaire high-tech au niveau mondial

Le récent discours de RFK Jr. à Milan jette une nouvelle lumière sur le rôle de la CIA dans la planification des pandémies.

Toby Rogers

27 novembre

Il y a encore un élément de cette débâcle qui, selon moi, ne tient pas debout. La recherche sur le gain de fonction n’est qu’un euphémisme pour désigner la recherche sur les armes biologiques. La recherche sur le gain de fonction n’a jamais engendré un produit pharmaceutique utile pour le grand public, mais elle a engendré de nombreuses armes biologiques. La recherche sur les armes biologiques est en cours depuis la Première Guerre Mondiale – tous les grands pays industrialisés disposent d’un programme d’armes biologiques (voir Bitten : The Secret History of Lyme Disease and Biological Weapons).

Pendant la Guerre Froide, le programme américain d’armes biologiques était destiné à vaincre les Soviétiques et à contrer toute attaque contre les Américains. Mais sous la houlette de Fauci, les États-Unis et la Chine coopèrent dans le domaine de la recherche sur les armes biologiques. A première vue, ça n’a aucun sens. La Chine n’est-elle pas notre adversaire militaire le plus puissant? Si oui, pourquoi mettons-nous au point des armes biologiques en collaboration? Et si la Chine est en fait une alliée dans la mise au point d’armes biologiques, qui est alors au juste l’ennemi ciblé?

Il me semble que l’on peut affirmer que les États-nations n’existent plus (ou que les États-nations n’existent que sous forme de récit officiel destiné à garder le contrôle sur les gueux dans chaque pays). Sous le capitalisme monopoliste mondial, il n’y a que deux classes: les élites et tous les autres (nous). Les élites du monde entier ont plus de points communs entre elles qu’avec les citoyens lambda de leur pays de naissance (les milliardaires sont des milliardaires – peu importe qu’ils aient gagné leur argent via des monopoles d’État en Chine ou des monopoles illégaux aux États-Unis). Et c’est apparemment nous qui sommes visés par les armes biologiques. La seule menace pour les milliardaires serait que des milliards de personnes se révoltent et leur confisquent leurs biens. Mais les gueux ne peuvent pas se rebeller s’ils sont malades chroniques et dépendent du cartel pour leur survie.

Tout cela a fait tilt en lisant la transcription du récent discours de RFK Jr. à Milan, en Italie. Il y met en lumière le rôle de la CIA dans la planification des pandémies au cours des 20 dernières années. Il explique que la CIA ne s’occupe pas de santé publique, elle renverse les gouvernements, et le gouvernement qu’elle renverse en ce moment, c’est Nous le Peuple.

Transcription du discours de Milan de RFK, Jr:

TRANSCRIPTION

Aucun gouvernement dans l’histoire de l’humanité n’a jamais renoncé volontairement au pouvoir. Le pouvoir qu’ils nous ont pris au cours des 20 derniers mois, ils ne nous le rendront jamais. Ils ont supprimé notre liberté d’expression, ils ont fermé les églises, ils ont supprimé les procès par jury contre les entreprises, quelle que soit leur négligence, quelle que soit leur imprudence, quelle que soit la gravité de vos préjudices, vous ne pouvez pas poursuivre cette entreprise.

Ils ont supprimé nos droits à la propriété aux États-Unis. Ils ont fermé un million d’entreprises pendant un an, sans compensation équitable et sans procédure régulière. Ils ont supprimé notre droit à ne pas subir de perquisitions, de saisies et de surveillance sans mandat de la part du gouvernement. Aux États-Unis, tous ces droits sont énumérés dans notre Déclaration des Droits de la Constitution des États-Unis. Et parmi les plus importants de ces droits, après le droit à la libre expression, qui a disparu, il y a le droit de pouvoir participer à l’élaboration des lois.

Ainsi, lorsque le gouvernement veut adopter une loi, il doit la publier, la proposer, en expliquer les fondements scientifiques, faire l’analyse coûts-avantages de cette loi et l’expliquer au public, puis recueillir des commentaires, auxquels tout le public peut contribuer, et enfin tenir une audience au cours de laquelle les opposants à la loi, comme moi, présentent leurs propres scientifiques, experts et études scientifiques, le tout dans la transparence. Tous ces garde-fous ont été effacés. Aujourd’hui, la loi est ce qu’un homme dit qu’elle est, le plus grand médecin des États-Unis, Anthony Fauci.

Au mois de mars 2020, Tony Fauci a dit au monde que les masques ne fonctionnent pas, qu’ils sont scientifiquement sans valeur, et deux mois plus tard, il a ordonné à tous les Américains de porter un masque. Il ne nous a pas présenté les études scientifiques qui l’auraient fait changer d’avis, il nous a simplement dit, c’est la nouvelle loi, faites ce qu’on vous dit.

Tous ces droits pour lesquels les fondateurs de notre pays sont morts, ont sacrifié leurs biens, leurs moyens de subsistance, pour nous donner la Déclaration des Droits, tous ces droits ont été oblitérés en 20 mois, enlevés au peuple américain – mais pas seulement au peuple américain. C’est un coup d’état global contre les démocraties libérales à travers la planète.

Et tous ces droits qui nous ont été retirés, ces gouvernements ont dit que ce n’était qu’à titre temporaire. Ils ont dit que ça ne durerait que deux semaines. En vérité, vous voyez tous ce qui se passe: ils ne les rendront jamais à moins que nous les y contraignions.

Le Passeport Vert est leur coup d’état. Le Passeport Vert est leur moyen de consolider leur pouvoir sur vos vies. Le Passeport Vert n’est pas une mesure de santé publique. C’est un outil de contrôle totalitaire de vos transports, de votre compte bancaire, de vos déplacements, de tous les aspects de votre vie.

Et ce n’est pas une idée nouvelle. C’est la même idée que celle utilisée en Allemagne en 1937. Ils ont émis un laissez-passer pour les gens qu’ils voulaient contrôler. Et quand le gouvernement sud-africain de l’apartheid a voulu contrôler la population noire d’Afrique du Sud, quelle a été la chose la plus basique qu’il ait faite? Il a émis un Passeport Vert.

Je veux que vous demandiez à tous les gens, les journalistes et la presse qui sont ici aujourd’hui: si le passeport vert est une question de santé publique, pourquoi n’est-il pas délivré par le Ministère de la Santé? Il est émis par le Ministère des Finances. Est-ce qu’ils nous prennent pour des demeurés?

Parce que c’est un moyen de contrôler votre argent. Une fois que vous aurez ce passeport vert et qu’ils auront créé la monnaie numérique, si quelqu’un vous dit de ne pas quitter Milan et que vous partez en voyage à Bologne, votre argent ne fonctionnera pas à Bologne. Si le gouvernement vous dit de ne pas acheter de pizza, il pourra faire en sorte que votre argent ne permette pas d’acheter de la pizza dans une pizzeria. Ils pourront contrôler tous les aspects de votre vie.

Ils nous disent que nous avons besoin d’un Passeport Vert pour garantir que tout le monde se fasse vacciner. Mais ils l’admettent: le vaccin n’empêche pas la transmission, le vaccin ne vous empêche pas de contracter la maladie, le vaccin n’arrête pas la pandémie. Alors pourquoi devons-nous nous faire vacciner si le vaccin n’empêche pas la transmission?

Je vais vous en parler deux minutes – je vais parler des vaccins. Les gens disent que je suis contre les vaccins. Je ne suis pas contre les vaccins. Je suis seulement contre les mauvais vaccins.

Je ne vais pas vous dire ce que pense Robert Kennedy. Je vais vous dire ce que Pfizer a dit à la FDA des États-Unis.

Pfizer est la société dont le vaccin est approuvé aux États-Unis. Et Pfizer était censé mener une étude de trois ans, mais ils l’ont réduite à six mois. Et ensuite ils ont donné des vaccins à tous ceux du groupe de contrôle. Pourquoi ont-ils fait ça? Pourquoi ont-ils arrêté l’étude après six mois? Parce qu’ils ont appris que les anticorps disparaissent en six mois et que le vaccin n’offre plus de protection. Ils ont donc dû mettre fin à l’étude au bout de six mois. Ils n’ont pas pu faire ce qu’ils avaient prévu (trois ans). Ils ont rassemblé tous leurs dossiers relatifs à ces six mois et les ont remis à la FDA. Le tableau le plus important est celui qui vous indique la mortalité toutes causes confondues. Combien de personnes sont mortes dans le groupe vacciné, combien sont mortes dans le groupe placebo pendant cette période de six mois. Ce tableau est appelé « s4 ». Vous pouvez tous le consulter.

Voici ce que disent les chiffres. Il y avait 22.000 personnes dans le groupe vacciné. En six mois, une personne est morte du COVID. Dans le groupe placebo, le groupe témoin, il y avait 22.000 personnes, deux sont mortes du COVID en six mois. Cela a permis à Pfizer de dire au public américain que le vaccin est efficace à 100% parce que deux est 100% de plus qu’un.

La plupart des Américains et des Italiens, lorsqu’ils entendent dire que le vaccin est « efficace à 100% », pensent que s’ils prennent le vaccin, ils auront 100 % de chances de ne pas mourir du COVID. Ce n’est pas ce que cela signifie. Cela signifie qu’il faut administrer 22.000 vaccins pour protéger une seule personne de mourir du COVID. Cela signifie qu’ils ont intérêt à s’assurer que le vaccin lui-même ne tue pas une seule personne, car s’il en tue une, ça annule tout le bénéfice.

Et voici le plus important. Dans le groupe vacciné, 20 personnes sont mortes en six mois, de toutes causes, soit 20 personnes sur 22.000. Dans le groupe témoin, seules 14 personnes sont mortes sur 22.000. Cela signifie que si vous recevez le vaccin, vous avez 48 % plus de risques de mourir au cours des six mois suivants que si vous ne le recevez pas.

Ce sont les chiffres de Pfizer, pas les miens. Voici comment les gens sont morts. Dans le groupe témoin, une personne est décédée d’une crise cardiaque au cours des six mois. Dans le groupe vacciné, cinq personnes sont mortes d’une crise cardiaque au cours des six mois. Cela signifie que si vous recevez le vaccin, vous courez un risque supplémentaire de 500% de mourir d’une crise cardiaque dans les six mois. Cela signifie également que pour chaque personne qui est sauvée de la mort par le COVID, le vaccin tue quatre personnes par crise cardiaque.

Tout ça ne constitue pas une bonne politique de santé publique. La santé publique est censée sauver des vies. Mais il s’agit de contrôle, de contrôle de notre société et de contrôle de nos enfants. Et la seule raison pour laquelle les gens ne comprennent pas ce que je viens de dire et qu’ils soutiennent encore le vaccin est la manipulation par la peur.

Ce sont des calculs mathématiques simples. Tout le monde peut les vérifier. Si vous le vérifiez, vous aurez plus peur de ce vaccin que du COVID.

Mais le gouvernement et les compagnies pharmaceutiques ont une méthode pour éteindre le cerveau des gens afin de les empêcher de faire des calculs simples. Ce procédé est la peur. La peur nous empêche d’exercer notre esprit critique. Elle nous pousse à croire que faire simplement ce qu’on nous dit est le seul moyen de sauver nos vies.

C’est ce qu’on appelle le syndrome de Stockholm. Les ravisseurs enferment un pays entier pendant un an, et les gens leur sont reconnaissants et pensent que la seule garantie de s’en sortir vivants est une obéissance absolue.

J’ai une dernière remarque à faire, la voici. Combien de personnes ici ont entendu parler de l’Evénement 201?

Si vous n’en avez pas entendu parler, vous devriez aller le regarder sur Youtube. L’Evénement 201 était une simulation d’une pandémie de coronavirus qui s’est tenue à New York en octobre 2019. Nous savons maintenant que le COVID circulait à Wuhan le 12 septembre 2019, donc un mois plus tard, une simulation de pandémie de coronavirus a lieu à New York.

Les gens qui ont participé à cet événement venaient des grandes entreprises de médias sociaux, des entreprises de médias, de Johnson & Johnson, la plus grande entreprise de vaccins, et il était organisé par trois personnes: 1) Bill Gates, 2) George Fu Gao, le directeur du CDC chinois, et 3) Avril Haines, la directrice adjointe de la CIA.

Avril Haines est aujourd’hui l’espionne numéro un des États-Unis, elle est à la tête de l’Agence de Sécurité Nationale de Joe Biden, elle est donc passée de l’Evénement 201 à la fonction d’espionne numéro un de notre pays.

Qui savait que la CIA est une agence de santé publique? Ce fut une surprise pour moi.

Parce que la CIA ne travaille pas dans le domaine de la santé publique. La CIA fait des coups d’états. Entre 1947 et 2000, la CIA a participé à 73 coups d’État, la plupart contre des démocraties, soit un tiers des pays du monde. Si vous regardez l’Evénement 201, il n’y a eu aucune discussion sur la santé publique. Personne ne s’est demandé comment fournir de la vitamine D à tout le monde? Comment aider les gens à perdre du poids? Comment faire en sorte qu’ils mangent bien? Comment réaffecter les médicaments pour soigner les gens? Comment mettre les malades en quarantaine? Comment préserver les droits constitutionnels? Pas un mot n’a été dit sur la santé publique.

Au lieu de cela, ils ont discuté de la manière d’utiliser la pandémie comme prétexte pour mettre en place des contrôles totalitaires et déconstruire la démocratie. Ils ont passé un quart de la journée à discuter de la manière de s’assurer que personne ne soit autorisé à diffuser la rumeur selon laquelle la pandémie de coronavirus aurait été générée en laboratoire.

Nous étions en octobre 2019! Et ils parlaient de comment verrouiller la population, comment la forcer à accepter des vaccins expérimentaux, comment s’assurer qu’il ne viendrait pas à l’idée des Noirs de résister. Parce que dans notre pays, les Noirs se méfient beaucoup de l’establishment médical, et ils étaient profondément inquiets de cette résistance.

En faisant des recherches pour mon livre, j’ai appris que cet événement, l’Evénement 201, n’était pas un événement unique. Nous avons trouvé vingt simulations distinctes de pandémie à partir de 2000. Elles avaient une chose en commun – dans la plupart d’entre elles, Bill Gates était impliqué, Tony Fauci était impliqué – mais dans chacune d’entre elles, la CIA était impliquée. La CIA en a écrit le scénario, des responsables de haut niveau de la CIA ont participé à chacune de ces simulations de pandémie.

Et elles ont impliqué des centaines de milliers de personnes. Elles ont été menées secrètement. Elles faisaient appel à des travailleurs de première ligne, elles formaient la police, les systèmes hospitaliers et les services publics en Europe, en Italie, en Allemagne, au Canada, en Australie, tous en même temps, pour réagir à une pandémie, mais il ne s’agissait pas d’une réponse de santé publique. Il s’agissait d’une réponse visant à utiliser la pandémie à d’autres fins.

Ils se sont donc entraînés encore et encore et encore: comment utiliser la pandémie comme prétexte à l’imposition de contrôles totalitaires et à l’anéantissement de la démocratie libérale sur toute la planète.

L’une des expériences qu’ils ont utilisées s’appelle l’expérience de Milgram – c’était une expérience de la CIA en 1967 – et ce que la CIA a découvert, c’est que si un responsable médical autoritaire ordonne aux gens de faire quelque chose de mal, quelque chose qui viole leur conscience, qui viole leurs valeurs fondamentales, 67% des gens obéiront à l’autorité plutôt qu’à leurs valeurs. Et 67% des gens seront hypnotisés par la peur et obéiront à une position d’autorité, à une figure d’autorité. Mais 33% des gens n’obéiront pas. Et vous êtes ces 33%.

Et notre tâche aujourd’hui est de quitter cet endroit et d’aller tendre la main à nos frères et sœurs, les personnes encore hypnotisées, et de leur dire que nous allons nous battre pour leur liberté jusqu’à ce qu’ils soient capables de se battre eux-mêmes pour cette liberté. En quittant cet endroit aujourd’hui, nous devons tendre la main à tous nos frères et sœurs, les 67% qui sont encore hypnotisés, et nous devons leur dire que leur amour de la liberté doit être plus fort que la peur d’un microbe.

Cette année, nous avons assisté à la destruction de la Constitution américaine. Cette Constitution a été écrite par un groupe de personnes qui ont compris qu’il y a des choses pires que la mort. Et ils ont mis leurs vies en danger, leurs biens, leurs carrières, leurs moyens de subsistance, pour se battre pour la liberté, et pour se battre pour ces droits que nous avons perdus au cours des 20 derniers mois.

Et maintenant c’est notre travail, c’est le travail de chacun dans cette foule, de sortir et de se battre, de résister, résister, résister, résister, et de récupérer notre gouvernement, récupérer nos vies, récupérer notre liberté, pour nos enfants, pour notre pays, et pour toutes les générations futures.

Et je peux vous dire ceci: je me tiendrai à vos côtés, et si je dois mourir pour ça, je mourrai bottes aux pieds.

J’adore RFK Jr. et ce discours est absolument génial. Il a invariablement eu raison pour tout ce qui concerne la pandémie depuis deux ans et tout ce qui concerne l’autisme depuis vingt ans. Je crois qu’il ferait un grand Président, au vu de sa perspicacité et de ses réussites. Mais j’avoue que je n’aime pas la chute de son discours. Oui, nous sommes tous prêts à mourir les bottes aux pieds. Mais je préfère vivre et vaincre et profiter des fruits de notre travail. Alors trouvons un moyen d’y parvenir.

Mise à jour: Il y a une vidéo du discours!

Coup de chapeau à Susan Carlson pour la transcription et le lien vers la vidéo!!!


Texte original

High tech global genocidal feudalism

RFK Jr.’s recent speech in Milan shines a new light on the role of the CIA in pandemic planning

Toby Rogers

Nov 27

There is still a piece of this whole debacle that does not make sense to me. Gain of function research is just a euphemism for bioweapons research. Gain of function research has never produced a useful consumer pharmaceutical product but it has produced a lot of bioweapons. Bioweapons research has been going on since the first World War — every major industrialized nation has a bioweapons program (check out Bitten: The Secret History of Lyme Disease and Biological Weapons).

During the Cold War the U.S. bioweapons program was designed to defeat the Soviets and counteract any attack on Americans. But under Fauci, the U.S. and China are collaborating on bioweapons research. At first this makes no sense. Isn’t China our biggest military adversary? If so why are we developing bioweapons together with them? And if China is our ally in developing bioweapons then who exactly is the enemy they are targeting?

I think a strong case can be made that nation-states no longer exist (or nation-states only exist as an official narrative to keep the peasants in line in each country). Under global monopoly capitalism there are just two classes — the elites and everyone else (us). Elites around the world have more in common with each other than they do with the average citizens in their country of birth (billionaires are billionaires — it does not matter whether they made their money from state monopolies in China or illegal monopolies in the U.S.). And the bioweapons apparently are targeting us. The only threat to the billionaires is if billions of people rise up and seize their assets. But the peasants cannot rebel if they are chronically ill and dependent on the cartel for survival.

It all clicked when reading the transcript of RFK Jr.’s recent speech in Milan, Italy. He shines a light on the role of the CIA in pandemic planning over the last 20 years. He explains that the CIA does not do public health, they overthrow governments, and the government they are overthrowing right now is We the People.

RFK, Jr transcript from Milan speech:

TRANSCRIPT

No government in the history of mankind has ever relinquished power voluntarily. The power that they have taken away from us over the past 20 months they will never give back. They have taken away our freedom of speech, they have closed the churches, they have taken away jury trials against companies, no matter how negligent they, no matter how reckless they are, no matter how grievous your injury, you cannot sue that company.

They have taken away our property rights in the United States. They closed a million businesses for a year with no just compensation and no due process. They have taken away our right to be free of warrantless searches and seizures and surveillance by the government. In the United States all of those rights are enumerated in our Bill of Rights of the United States Constitution. And among the most important of those rights, after the right to free expression, which is gone, is the right to be able to participate in rule-making.

So, when the government wants to pass a law, it has to publish the law, propose the law, it has to explain the scientific basis for that law, it has to do a cost-benefit analysis of that law and explain it to the public, and then we have comments, that all the public can participate in, and then we have a hearing where people oppose the law, like myself, and bring in our own scientists and experts and scientific studies and it’s all transparent. All of those safeguards have been obliterated. Today, the law is what one man says it is, the top doctor in the United States, Anthony Fauci.

In one month, in March of 2020, Tony Fauci told the world masks don’t work, they’re scientifically worthless, two months later he ordered every American to put on a mask. He didn’t give us any scientific studies that made him change his mind, he simply told us, that’s the new law, do what you’re told.

All of these rights that the Founders of our country died for, sacrificed their properties, their livelihoods, to give us the Bill of Rights, and all of these rights over 20 months have been obliterated, taken from the American people — but not just the American people. This is a global coup d’état against liberal democracies across the planet.

And all of these rights that were taken away from us, these governments said it was only temporary. They said it would only be two weeks. In truth, you can all see what is happening: They will never give them back unless we make them.

And the Green Pass is their coup d’état. The Green Pass is how they consolidate their power over your lives. The Green Pass is not a public health measure. It is a tool for totalitarian control of your transportation, your bank account, your movement, every aspect of your life.

And this is not a new idea. This is the same idea they used in Germany in 1937. They issued a pass for people they wanted to control. And when the South African apartheid government wanted to control the black population of South Africa, what was the most important thing they did? They issued a green pass.

I want you to ask all of people and journalists and press who are here today. If the Green Pass is about public health, why is it not issued by the health ministry? It’s being issued by the financial ministry. Do they think that we are stupid?

Because this is a way to control your money, Once you have that Green Pass and they have the digital currency, if somebody tells you, Do not leave Milan, and you go on a trip to Bologna, your money won’t work in Bologna. If the government tells you not to buy pizza, they can make it so that your money won’t buy pizza at a pizza store. They can control every aspect of your life.

They tell you that we need a Green Pass to make sure everybody gets vaccinated. But they admit it: the vaccine does not prevent transmission, the vaccine does not prevent you from getting the disease, the vaccine doesn’t stop the pandemic. So why do we need to get vaccinated if the vaccine doesn’t stop transmission?

I’m gonna tell you for two minutes — I’m going to talk about the vaccines. People say I’m against vaccines. I’m not against vaccines. I’m only against bad vaccines.

I’m not going to tell you what Robert Kennedy thinks. I’m going to tell you what Pfizer told the United States FDA.

Pfizer is the company that has an approved vaccine in the United States. And Pfizer was supposed to have a three-year-study, but they cut it to 6 months. And then they gave vaccinations to all of the controls. Why did they do that? Why did they end the study in 6 months? Because they learned that the antibodies disappear in 6 months and the vaccine no longer provides protection. So they had to end it in 6 months. They could not do what they planned (3 years). They took all of their records for that 6 months and they gave them to FDA. The most important table is the table that tells you All Cause Mortality. How many people died in the vaccine group, how many died in the placebo group during that 6-month period. That table is called “s4.” You can all look it up.

Here’s what the numbers say. There were 22,000 in the vaccine group. Over 6 months, one died from COVID. In the placebo group, the control group, there were 22,000 people, two died from COVID in six months. That allowed Pfizer to tell the American public that the vaccine is 100% effective because two is 100% of one.

Most Americans and most Italians when they hear that the vaccine is « 100% effective », what they think is that if they take the vaccine, I have 100% of not dying from COVID. That’s not what it means. What it means is they have give 22,000 vaccines to protect one person from dying of COVID. That means they better make sure that the vaccine itself does not kill one person even, because if it kills one person then you cancel out the entire benefit.

Here’s the important thing. In the vaccine group, 20 people died over 6 months from all causes — 20 people of the 22,000. In the control group, only 14 people died of 22,000. That means that if you take the vaccine, you are 48% more likely to die over the next 6 months than if you don’t.

These are Pfizer’s numbers, not mine. Here’s how the people died. In the control group, one person died of a heart attack over the 6 months. In the vaccine group, 5 people died of heart attacks over the 6 months. That means if you get the vaccine you have a 500% risk of a fatal heart attack within 6 months. It also means that for every one person who is saved from dying of COVID, the vaccine is killing 4 people from heart attacks.

This is not a good public health policy. Public health is supposed to save lives. But this is about control and controlling our society and controlling our children. And the only reason that people don’t understand what I just said and that people still support the vaccine is one reason: the manipulation of fear.

This is simple mathematics. Anybody can look it up. If you look it up you will be more scared of that vaccine than you are of COVID.

But the government and the pharmaceutical companies have a method for turning off people’s brains so that they can no longer do simple mathematics. That device is fear. Fear stops us from exercising critical thinking. It allows us to believe that if we just do what we’re told then that that is the only way to save our lives.

It’s called the Stockholm Syndrome. And the captors, they lock down a whole country for a year, and people become grateful to their captors and think the only way we can leave here alive is if we have absolute obedience.

I’m going to make one more point and that’s this. How many people here have heard of Event 201?

If you haven’t heard of it, you should go look at it on Youtube. Event 201 was a simulation of a corona virus pandemic that occurred in New York City in October 2019. We now know that COVID was circulating in Wuhan on September 12, 2019, so a month later, there is a simulated corona virus pandemic in New York.

The people who came to that were the big social media companies, the media companies, Johnson & Johnson, the biggest vaccine company, and it was hosted by three people: 1) Bill Gates, 2) George Fu Gao who’s the head of the Chinese CDC, and 3) Avril Haines, the deputy director of the CIA.

Avril Haines is today the top number one spy in the United States, She is the head of Joe Biden’s National Security Agency, so she went from Event 201 to becoming the top spy in our country.

Who knew that the CIA is a public health agency? It came as a surprise to me.

Because the CIA does not do public health. The CIA does coup d’états. Between 1947 and the year 2000, the CIA was engaged in 73 coup d’états, most of them against democracies, one-third of the countries in the world. If you look at Event 201, there was no discussion of public health. Nobody was talking about how do we get Vitamin D to all the people? How do we get people to lose weight? How do we make sure they eat good food? How do we repurpose medicines to treat people? How do we quarantine the sick? How do we preserve Constitutional rights? Not a word was said about public health.

Instead, what they were talking about is how do we use the pandemic as a pretext to clamp down totalitarian controls and to deconstruct democracy. They spent one-quarter of the day talking about how to make sure nobody’s allowed to spread the rumor that the coronavirus pandemic is laboratory-generated.

This is October 2019! And they talk about how to lock down the population, how to force them to take experimental vaccines, how to make sure that Black people don’t start resisting. Because in our country, Blacks are very suspicious of the medical establishment, and they were deeply concerned about that resistance.

When I researched my book, what I learned was that this event, Event 201, was not a one-time occurrence. We found 20 separate pandemic simulations beginning in 2000. One thing they had in common — most of them Bill Gates was involved in, Tony Fauci was involved in — but every one of them the CIA was involved in. The CIA wrote the script, high-level CIA officials participated in every one of those pandemic simulations.

And they involved hundreds of thousands of people. They were conducted secretly. They used frontline workers, they were training police, and hospital systems and utilities in Europe, in Italy, in Germany, in Canada, in Australia, all at the same time, to do a response to a pandemic, but it was not a public health response. It was a response to use the pandemic for something else.

So they practiced again and again and again: How to use the pandemic as a pretext for imposing totalitarian controls and for obliterating liberal democracy across the planet.

One of the experiments that they used, they found, is called the Milgram experiment — it was a CIA experiment in 1967 — and what the CIA found is that if a powerful medical official orders people to do something wrong, something that violates their conscience, that violates their basic values, 67% of people will obey authority over their values. And 67% of the people will be hypnotized by fear into obeying a position of authority, a figure of authority. But 33% of the people will not obey. And you are the 33%.

And our job is to go out from here today and reach out to our brothers and sisters, the people who are still hypnotized, and tell them that we are going to fight for their freedom until they are able to fight for it themselves. We need to reach out when we leave here today to all of our brothers and sisters, the 67% who are still hypnotized, and we have to tell them that you need to love your freedom more than you are scared of a germ.

This year we saw the destruction of the American Constitution. That Constitution was written by a group of people who understood that there are worse things than dying. And they put their lives on the front line, their property, their careers, their livelihoods, to fight for freedom, and to fight for those rights that we have lost in the previous 20 months.

And now it’s our job now, it is the job of everybody in this crowd, to go out and fight back, to resist, resist, resist, resist, and to reclaim our government, to reclaim our lives, to reclaim our liberty, for our children, for our country, and for all future generations.

And I can tell you this. I will stand side by side with you, and if I have to die for this, I’m going to die with my boots on.

I adore RFK Jr. and this speech is absolute genius. He has been consistently correct about the pandemic for two years and correct about autism for 20 years. I believe he would make a great President based on this record of insight and achievement. But I confess, I don’t love this dismount. Yes, we are all prepared to die with our boots on. However I want to live and I want to win and enjoy the fruits of our labors. So let’s find a way to make that happen.

Update: There’s video of the speech!

Hat tip to Susan Carlson for the transcript and link to the video!!!

La FDA demande à un juge fédéral de lui accorder jusqu’à l’année 2076 pour divulguer intégralement les données de Pfizer sur le vaccin COVID-19 – par Aaron Siri.

Source.

Traduction

La FDA demande à un juge fédéral de lui accorder jusqu’à l’année 2076 pour divulguer intégralement les données de Pfizer sur le vaccin COVID-19

Le gouvernement fédéral affranchit Pfizer de toute responsabilité. Il lui donne des milliards de dollars. Il oblige les Américains à recevoir ses produits. Mais ne vous laisse pas voir les données prouvant sa sécurité et son efficacité. Pour qui le gouvernement travaille-t-il?

Aaron Siri

17 novembre

La FDA a demandé à un juge fédéral de faire patienter le public jusqu’en 2076 pour révéler toutes les données et informations sur lesquelles elle s’est appuyée pour homologuer le vaccin COVID-19 de Pfizer. Ce n’est pas une faute de frappe. Elle demande 55 ans pour fournir ces informations au public.

Comme expliqué dans un article précédent, la FDA a promis à plusieurs reprises une « transparence totale » en ce qui concerne les vaccins COVID-19, notamment en réaffirmant « l’engagement de la FDA en matière de transparence » lors de l’homologation du vaccin COVID-19 de Pfizer.

Cette promesse en tête, en août et dans la foulée de l’approbation du vaccin, plus de 30 universitaires, professeurs et scientifiques des plus prestigieuses universités du pays ont demandé les données et informations soumises à la FDA par Pfizer pour l’homologation de son vaccin COVID-19.

La réponse de la FDA? Elle n’a rien présenté. Par conséquent, en septembre, mon cabinet a intenté une action en justice au nom de ce groupe contre la FDA pour exiger ces informations. A ce jour, presque trois mois après avoir homologué le vaccin de Pfizer, la FDA n’a toujours pas publié une seule page. Pas une seule.

En revanche, il y a deux jours, la FDA a demandé à un juge fédéral de lui accorder jusqu’en 2076 pour produire toutes ces informations. La FDA a demandé au juge de lui permettre de présenter les plus de 329 000 pages de documents fournis par Pfizer à la FDA pour l’homologation de son vaccin au rythme de 500 pages par mois, ce qui signifie que la présentation ne sera pas terminée avant 2076. La promesse de transparence de la FDA est, pour le dire gentiment, un ramassis d’illusions.

Il a fallu à la FDA exactement 108 jours entre le moment où Pfizer a commencé à présenter les dossiers pour l’homologation (le 7 mai 2021) et celui où la FDA a homologué le vaccin de Pfizer (le 23 août 2021). Si l’on prend la FDA au mot, elle a procédé à un examen et à une analyse intenses, solides, approfondis et complets de ces documents afin de s’assurer que le vaccin de Pfizer était sûr et efficace pour son homologation. Alors qu’elle peut effectuer cet examen intense des documents de Pfizer en 108 jours, elle demande maintenant plus de 20 000 jours pour mettre ces documents à la disposition du public.

Donc, mettons les choses au clair. Le gouvernement fédéral affranchit Pfizer de toute responsabilité. Lui donne des milliards de dollars. Oblige les Américains à recevoir ses produits. Mais ne vous laissera pas accéder aux données prouvant la sécurité et l’efficacité de son produit. Pour qui le gouvernement travaille-t-il?

La leçon à retenir, une fois de plus, est que les droits civils et individuels ne devraient jamais être subordonnés à une procédure médicale. Tous ceux qui veulent se faire vacciner et booster devraient être libres de le faire. Mais personne ne devrait être contraint par le gouvernement à prendre part à une procédure médicale. Et certainement pas une procédure pour laquelle le gouvernement veut cacher jusqu’en 2076 l’ensemble des informations sur lesquelles repose son autorisation de mise sur le marché!


Texte original

FDA Asks Federal Judge to Grant it Until the Year 2076 to Fully Release Pfizer’s COVID-19 Vaccine Data

The fed gov’t shields Pfizer from liability. Gives it billions of dollars. Makes Americans take its product. But won’t let you see the data supporting its safety/efficacy. Who does the gov’t work for?

Aaron Siri

Nov 17

The FDA has asked a federal judge to make the public wait until the year 2076 to disclose all of the data and information it relied upon to license Pfizer’s COVID-19 vaccine.   That is not a typo.   It wants 55 years to produce this information to the public. 

As explained in a prior article, the FDA repeatedly promised “full transparency” with regard to Covid-19 vaccines, including reaffirming “the FDA’s commitment to transparency” when licensing Pfizer’s COVID-19 vaccine. 

With that promise in mind, in August and immediately following approval of the vaccine, more than 30 academics, professors, and scientists from this country’s most prestigious universities requested the data and information submitted to the FDA by Pfizer to license its COVID-19 vaccine. 

The FDA’s response?  It produced nothing.  So, in September, my firm filed a lawsuit against the FDA on behalf of this group to demand this information.  To date, almost three months after it licensed Pfizer’s vaccine, the FDA still has not released a single page.  Not one.

Instead, two days ago, the FDA asked a federal judge to give it until 2076 to fully produce this information.  The FDA asked the judge to let it produce the 329,000+ pages of documents Pfizer provided to the FDA to license its vaccine at the rate of 500 pages per month, which means its production would not be completed earlier than 2076.  The FDA’s promise of transparency is, to put it mildly, a pile of illusions. 

It took the FDA precisely 108 days from when Pfizer started producing the records for licensure (on May 7, 2021) to when the FDA licensed the Pfizer vaccine (on August 23, 2021).   Taking the FDA at its word, it conducted an intense, robust, thorough, and complete review and analysis of those documents in order to assure that the Pfizer vaccine was safe and effective for licensure. While it can conduct that intense review of Pfizer’s documents in 108 days, it now asks for over 20,000 days to make these documents available to the public. 

So, let’s get this straight. The federal government shields Pfizer from liability.  Gives it billions of dollars.  Makes Americans take its product.  But won’t let you see the data supporting its product’s safety and efficacy.  Who does the government work for? 

The lesson yet again is that civil and individual rights should never be contingent upon a medical procedure.  Everyone who wants to get vaccinated and boosted should be free to do so.  But nobody should be coerced by the government to partake in any medical procedure.  Certainly not one where the government wants to hide the full information relied upon for its licensure until the year 2076!

Bienvenue dans la nouvelle économie – par James Corbett.

Source (article complet). Source (partielle, sur Corbett Report).


Traduction

Bienvenue dans la nouvelle économie

par James Corbett
corbettreport.com
14 novembre 2021

Nous plongeons à corps perdu dans la plus grande transition économique de l’histoire. Nous n’avons même pas à spéculer sur ce point. En 2015, Christina Figueres – à l’époque la principale responsable du dossier du changement climatique à l’ONU – nous a carrément dit que c’était l’objectif final des Grands Réinitialisateurs et de leur culte du changement climatique:

« C’est probablement la tâche la plus difficile que nous nous soyons jamais donnée, qui consiste à transformer intentionnellement le modèle de développement économique, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité. C’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que nous nous donnons pour tâche – dans un laps de temps défini – [de tenter] de changer intentionnellement le modèle de développement économique qui prévaut depuis au moins 150 ans, depuis la révolution industrielle. »

À part Patrick Wood (et The Corbett Report, bien sûr), peu de gens ont relevé ou se sont interrogés sur ces mots. Il ne pouvait s’agir que d’un énième cancan des baratineurs incompétents du quartier général de l’alarmisme climatique, non?

Avance rapide jusqu’en 2021 et nous entendons le Prince Charles répéter cette menace de transformer l’économie mondiale en termes encore plus vifs. Passant de l’alarmisme du COVID à l’alarmisme climatique (exactement comme prévu), Sa Bassesse Royale nous avertit que la « menace existentielle » du changement climatique exigerait que les pays non seulement transforment leurs économies mais se mettent sur un « pied de guerre » et montent une « campagne de style militaire » contre l’Homme-ours-porc:

 » Nous devons ici mener une vaste campagne de style militaire pour fédérer la force du secteur privé au niveau mondial. Avec des trillions à sa disposition, bien au-delà du PIB mondial et avec le plus grand respect au-delà même des gouvernements des dirigeants du monde, ce secteur incarne la seule perspective réelle de réaliser une transition économique fondamentale. »

Je sais que tout le monde préférerait fermer les yeux, laisser le biais de normalité reprendre le dessus et faire comme si ce n’étaient que des déclarations rhétoriques vides de sens. Mais c’est la vérité: Christina Figueres et le Prince Charles, individuellement, ne dirigent rien. Le monde ne tourne pas autour de leurs discours. Mais depuis plusieurs années, et avec une intensité croissante ces derniers mois, les individus réellement aux commandes du monde de la finance internationale ont entrepris de construire le réseau d’organisations, d’instruments et de mécanismes permettant d’accomplir cette « transition économique fondamentale ».

Et, malheureusement, pas un individu sur mille ne prête attention à cette refonte complète de la finance internationale. Rectifions cela tout de suite, voulez vous?

Le contexte

J’espère que vous avez déjà saisi l’arnaque climatique, mais si ce n’est pas le cas, voici un résumé de la situation : Les Nations Unies, le Forum Économique Mondial et l’oligarchie bancaire internationale n’essaient pas de sauver notre Mère la Terre, et ils ne comptent pas non plus vous protéger des dieux de la météo. Comme toute personne attentive devrait l’avoir compris, ils ne font que détourner vos inquiétudes saines et naturelles pour l’environnement et de vous manipuler pour vous faire adhérer à leur programme politique.

Si vous avez gobé le battage médiatique sur le changement climatique et que vous pensez que le CO2 produit par l’homme est le thermostat magique qui fait monter ou descendre la « température moyenne mondiale » (quoi que cela veuille dire), très bien.

… Enfin, vous avez tort, bien sûr. En réalité, les criminels du climategate ont recours à une pseudoscience infalsifiable pour vous duper et vous faire adhérer à leur culte du cargo. Ils trafiquent les historiques de température pour refroidir le passé et réchauffer le présent. Ils s’appuient sur des modèles bancals et font mentir les statistiques pour vous faire gober leur histoire de « ciel qui nous tombe sur la tête ». Et ils font des prédictions alarmistes grotesques sur l’apocalypse climatique à venir, tout en admettant ouvertement que leur mouvement n’a rien à voir avec la protection de l’environnement et tout à voir avec l’économie.

Pire encore, ils ont convaincu leur culte de fidèles que tous ceux qui remettent en question ces mensonges (comme votre serviteur) sont des complices des grandes compagnies pétrolières et se fichent de l’environnement. La vérité, bien sûr, est que – comme je me suis échiné à l’expliquer dans mon travail, encore et encore et encore – ce sont les grands milliardaires du pétrole et leurs copains banksters qui dirigent ce programme d’écoblanchiment [NdT. « greenwashing, voir ici] et détournent le public des VRAIS problèmes environnementaux que les milliardaires provoquent eux-mêmes, ce qui entrave la véritable science environnementale.

… Mais bon. Je comprends. Vous vous souciez de la protection de l’environnement naturel et vous avez été convaincu qu’Al Gore et ses compagnons du climategate sont super sincères quant à la menace existentielle que représente le dioxyde de carbone. OK.

Quelle que soit votre opinion quant au réchauffement climatique d’origine humaine, il y a quelque chose que tout le monde doit comprendre: les banksters et les oligarques internationaux de la superclasse ne brandissent pas la menace du changement climatique parce qu’ils se préoccupent de notre Mère la Terre. Ils exploitent cyniquement cette peur pour concrétiser leur objectif centenaire de mise en place d’un système technocratique de contrôle total de notre vie quotidienne. Ceci nous mènera vers un système de rationnement du carbone dans lequel chacune de nos actions, chacune de nos transactions et chacun de nos mouvements seront mesurés en termes d' »empreinte carbone » (ou « empreinte alimentaire carbone« ) et seront réduits si nécessaire, selon le bon vouloir des technocrates.

Et, oh oui, au fait, ces mêmes contrôleurs technocrates en herbe élaborent une structure financière et bancaire internationale complète pour placer le contrôle de la Terre entre leurs mains. J’allais presque omettre ce détail.

Bien sûr, si vous avez suivi mon travail sur le front de la finance climatique au fil des ans, vous savez déjà tout de l’escroquerie climatique de 100 trillions de dollars, à savoir :

Et vous connaissez le Fonds pour Environnement Mondial (FEM), qui se présente comme « le plus grand fonds fiduciaire multilatéral visant à permettre aux pays en développement d’investir dans la nature » et qui se targue d’avoir cofinancé des programmes sur le changement climatique et la biodiversité à hauteur de 117 milliards de dollars. Vous savez également que le FEM a été conçu comme une « Banque Mondiale de la Conservation » et a été lancé par Edmund de Rothschild lors d’un « Congrès Mondial de la Nature » où d’autres orateurs se sont plaints de « la chair à canon qui, malheureusement, peuple la terre ».

Mais ce que vous ne savez peut-être pas (parce que je n’en ai pas encore parlé), c’est qu’un autre mécanisme international de financement du climat de plusieurs milliards de dollars a été créé dans le sillage de l’Accord de Paris de 2015 sur le changement climatique : le Fonds Vert pour le Climat. Ce fonds avait l’objectif ambitieux de faire aboutir les 100 milliards de dollars de financement climatique que les nations développées du monde se sont engagées à verser pour apaiser les dieux de la météo chaque année d’ici 2020.

Eh bien, nous sommes en 2021. Engrangent-ils déjà 100 milliards par an? Pas vraiment. Jusqu’à présent, le total des promesses de contribution au fonds s’élève à seulement 10 milliards de dollars, dont 2 milliards seulement ont été versés.

Il suffira de dire que le Fonds Vert pour le Climat a été un flop colossal pour les banquiers jusqu’à présent. Mais ne vous inquiétez pas pour eux. Ils sont de retour avec une nouvelle arnaque: GFANZ!

Les dernières nouvelles

Il est possible de se faire une idée de la direction que prendra la finance internationale dans les années 2020 à partir des bribes de « nouvelles » décousues et fragmentées qui se glissent dans les bulletins financiers des médias de masse :

La Nouvelle-Zélande va obliger les banques à rendre compte de leur impact sur le climat.

Janet Yellen admet que le prix de la grande réinitialisation « Net Zero » sera de 150 trillions de dollars.

La nouvelle norme de reporting climatique des entreprises « change la donne ».

Mais pour vraiment comprendre ce qui se passe en réalité, nous devons nous en remettre directement à la bouche du cheval. Et dans ce cas, les chevaux sont le supergophère des banquiers Mark Carney et le gardien de la finance Michael Bloomberg. Ils ont récemment uni leurs forces pour déclarer dans les pages de (où d’autre?) Bloomberg que « [Pour] lutter contre le changement climatique, [nous devrons] mettre les marchés au travail« .

Parmi l’air brassé habituel et les paroles creuses qui forment inévitablement la trame de tels articles, vous trouverez une référence à un autre véhicule de financement climatique, la Glasgow Financial Alliance for Net Zero, ou GFANZ. Lancé lors de la récente « Conférence des Parties » de l’ONU à Glasgow (COP26), ce groupe se targue de l’objectif le plus ambitieux à ce jour: organiser les actifs de 450 grandes institutions financières dans 45 pays et les engager à atteindre une économie « à zéro émission ». Et la valeur de ces actifs? 130 trillions de dollars.

Whitney Webb fait un excellent travail de décorticage de ce nouvel organisme dans son dernier rapport intitulé « UN-Backed Banker Alliance Announces « Green » Plan to Transform the Global Financial System » [Une alliance de banquiers soutenue par l’ONU annonce un plan « vert » pour transformer le système financier mondial]. Comme l’observe Webb :

« Dans le cadre de la COP26, GFANZ – un groupe clé de cette conférence – publie un plan visant à augmenter « les flux de capitaux privés vers les économies émergentes et en développement ». D’après le communiqué de presse de l’alliance, ce plan se concentre sur « le développement de plates-formes nationales pour connecter les énormes capitaux privés engagés dans le programme zéro émission avec les projets nationaux, l’augmentation des financements mixtes par le biais des BMD [banques multilatérales de développement] et le développement de marchés mondiaux du carbone crédibles et de haute intégrité ». Le communiqué de presse note que cet « énorme capital privé » est l’argent que les membres de l’alliance cherchent à investir dans les pays émergents et en développement, estimé à plus de 130 trillions de dollars, et que – afin de déployer ces trillions d’investissement – « le système financier mondial est en voie de transformation » par cette même alliance en coordination avec le groupe qui les a convoqués, les Nations Unies ».

Pour comprendre ce que cela signifie, il faut se tourner vers le dernier rapport d’étape du GFANZ, dans lequel Carney (qui préside cette alliance bancaire) écrit :

« Seule la finance privée classique peut être à la hauteur de l’ampleur de l’action climatique nécessaire à la transition vers l’objectif zéro émission, y compris dans les marchés émergents et les pays en développement. Nous ne pouvons pas atteindre le niveau zéro émission dans une niche. Nous devons au contraire assurer la transition de l’ensemble du système financier, parallèlement à chaque secteur de nos économies. Pour mobiliser les capitaux nécessaires, GFANZ développe les outils et les méthodologies des meilleures pratiques afin que le climat soit au cœur de chaque décision financière. Il s’agit notamment de favoriser une convergence vers le haut autour des plans de transition zéro émission des entreprises et des institutions financières, de soutenir les cadres et les paramètres permettant de mesurer l’alignement sur le zéro émission des portefeuilles et des secteurs, de créer de nouveaux cadres pour liquider les actifs bloqués de manière responsable, transparente et conforme à l’Accord de Paris, et de mobiliser les énormes capitaux nécessaires à la transition zéro émission dans les marchés émergents et les pays en développement. »

Bien que cela ressemble à un charabia surfait et rempli de mots à la mode, ces termes ont des références concrètes dans le monde financier. Les « cadres et paramètres permettant de mesurer l’alignement sur le zéro émission des portefeuilles et des secteurs », par exemple, renvoient à des initiatives telles que la Task Force on Climate-related Financial Disclosures [Groupe de travail sur les informations financières relatives au climat], une entité du Conseil de Stabilité Financière qui élabore des normes internationales pour la communication des risques liés au climat. Dans le cadre de ces nouvelles normes, les multinationales et les organismes financiers devront consacrer des ressources considérables pour se conformer à des exigences de rapports spécifiques sur les intrants et les extrants énergétiques de tous leurs produits et services et s’engager dans des mesures d’atténuation des risques climatiques qui impliquent (naturellement) une dîme obligatoire aux dieux de la météo (c’est-à-dire à des organismes comme le GFANZ).

Pour le dire clairement, nous nous dirigeons vers un monde dans lequel les banksters seront en mesure d’utiliser la façade du changement climatique pour « éliminer la souveraineté nationale, privatiser les « actifs naturels » (par exemple, les écosystèmes, les processus écologiques) du monde en développement, et imposer des politiques de plus en plus technocratiques conçues par les institutions de gouvernance mondiale et les groupes de réflexion à des populations de plus en plus privées de leurs droits ».

C’est là tout le sens de la « menace » du changement climatique actuellement mise en avant par tous les gouvernements, toutes les grandes organisations internationales et toutes les grandes entreprises. Cela a autant à voir avec la sauvegarde de l’environnement que le battage médiatique autour de l’escroquerie sanitaire a à voir avec la santé des gens. Il s’agit en réalité de prendre le plus grand contrôle possible sur le monde naturel et d’extraire le maximum de capital de chaque centimètre carré de la planète.

Nous ferions mieux de prendre conscience rapidement de ce stratagème, ou de nous habituer à vivre dans l’économie cauchemardesque néo-féodale et rationnée en carbone que ces banksters sont en train de mettre en place au nom du réchauffement climatique.

Cet éditorial hebdomadaire fait partie de la lettre d’information The Corbett Report Subscriber.

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Texte original

Welcome to the New Economy

by James Corbett
corbettreport.com
November 14, 2021

We are plunging headlong into the greatest economic transition in history. We don’t have to speculate about that, either. Back in 2015, Christina Figueres—at that time the UN’s top climate change official—straight up told us that this was the end goal of the Great Resetters and their climate change cult:

« This is  probably the most difficult task we have ever given ourselves, which is to intentionally transform the economic development model, for the first time in human history. This is the first time in the history of mankind that we are setting ourselves the task of intentionally—within a defined period of time—[attempting] to change the economic development model that has been reigning for at least 150 years, since the industrial revolution. »

Other than Patrick Wood (and The Corbett Report, of course), few noted or wondered at these words. Surely it was just more hot air from the bumbling bloviators at climate alarmism headquarters, right?

Fast forward to 2021 and we can listen to Prince Charles repeating this threat to transform the global economy in even stronger terms. Pivoting from the COVID scaremongering to climate scaremongering (exactly as predicted), His Royal Lowness warned that the « existential threat » of climate change would require that countries not only transform their economies but put themselves on a « war-like footing » and mount a « military-style campaign » against ManBearPig:

« Here we need a vast military-style campaign to marshal the strength of the global private sector. With trillions at its disposal, far beyond global GDP and with the greatest respect beyond even the governments of the world’s leaders, it offers the only real prospect of achieving fundamental economic transition. »

I know people would like to close their eyes, let the normalcy bias kick in, and pretend that these are just empty rhetorical statements. It’s true: Christina Figueres and Prince Charles, individually, run nothing. The world does not run on their pronouncements. But for the last several years, and with increasing intensity in recent months, the people who do control the world of international finance have begun constructing the web of organizations, instruments and mechanisms for accomplishing this « fundamental economic transition. »

And, sadly, not one person in a thousand is paying attention to this complete overhaul of international finance. Let’s rectify that right now, shall we?

The Background

I hope that you’ve figured out the climate swindle by now, but if not, here it is in a nutshell: The UN, the WEF and the international banking oligarchy are not trying to save Mother Earth, nor are they going to protect you from the weather gods. As anyone who has been paying attention should know by now, they are simply using your healthy, natural concern for the environment as a handy tool to manipulate you into supporting their politial agenda.

If you have bought into the climate change hype and you think that man-made CO2 is the magical thermostat that is dialing the « global average temperature » (whatever that means) up or down, fine.

. . . I mean, you’re wrong, of course. In reality, the climategate criminals are using unfalsifiable pseudoscience to deceive you into joining their cargo cult. They are manipulating the temperature record to cool the past and warm the present. They are relying on flawed models and lying with statistics to trick you into believing their sky-is-falling narrative. And they are making ridiculous alarmist predictions about the coming climate apocalypse, all the while openly admitting that their movement has nothing to do with environmental protection and everything to do with economics.

Worse yet, they have convinced their cult of true believers that anyone who questions these lies (like yours truly) is a shill for Big Oil and doesn’t care about the environment. The truth, of course, is that—as I’ve been at pains to explain in my work over and over and over—it is the big oil billionaires and their bankster cronies who are steering this greenwashing agenda and misdirecting the public away from the REAL environmental problems that the billionaires themselves are causing, hindering real environmental science in the process.

. . . But fine. I get it. You care about protecting the natural environment and you’ve been convinced that Al Gore and his cadre of climategate companions are super cereal about the existential threat of carbon dioxide. OK.

Regardless of your position on manmade global warming, one thing that everyone needs to understand is that the banksters and the international oligarchs of the superclass are not pushing the climate change threat because they care about Mother Earth. They are cynically using this scare to achieve their century-old quest to implement a technocratic system of total control over our daily lives. This is leading toward the carbon ration system where every single action you take, every transaction you undertake and every move you make will be measured for its « carbon footprint » (or « carbon foodprint« ) and reduced as necessary at the whim of the technocrats.

And, oh yeah, by the way, these same would-be technocratic controllers are constructing an entire international financial and banking structure to consolidate control of the earth in their hands. Almost forgot that part.

Of course, if you’ve been following my work on the climate finance front over the years you’ll already know all about the $100 trillion climate swindle, namely:

And you’ll know about the the Global Environment Facility (GEF), which bills itself as « the largest multilateral trust fund focused on enabling developing countries to invest in nature » and boasts of its support in co-financing over $117 billion in climate change and biodiversity programs. You’ll also know that the GEF was envisioned as a « World Conservation Bank » and was launched by Edmund de Rothschild at a « World Wilderness Congress » where other speakers complained about « the cannon fodder, unfortunately, that populates the earth. »

But what you might not know (because I haven’t covered it yet) is that yet another multi-billion dollar international climate finance facility was created in the wake of the 2015 Paris Agreement on climate change: the Green Climate Fund. This fund had the ambitious goal of facilitating the $100 billion of climate financing that the developed nations of the world pledged to contribute to appeasing the weather gods every single year by 2020.

Well, it’s 2021. Are they raking in a hundred billion a year by now? Hardly. So far, total pledges to the fund amount to a mere $10 billion, and only $2 billion of that has actually been disbursed.

Suffice it to say the Green Climate Fund has been a colossal flop for the banksters so far. But don’t worry about them. They’re back with a fresh new scam: GFANZ!

The Latest

You can garner a sense of where international finance is heading in the 2020s from the disjointed, fragmented bits of « news » that slither into the MSM finance feeds:

New Zealand to make banks report climate impact

Janet Yellen Admits The « Net Zero » Grand Reset Price Tag Will Be $150 Trillion

New corporate climate reporting standard ‘a game-changer’

But in order to really understand what’s going on here we have to go straight to the horse’s mouth. And in this case, the horses are bankster supergopher Mark Carney and financial gatekeeper Michael Bloomberg. The two recently joined forces to opine in the pages of (where else) Bloomberg that « [In Order] To Fight Climate Change, [We Will Have To] Put Markets to Work. »

Amongst the usual hot air and empty rhetoric that inevitably form the fabric of such pieces, you’ll find reference to yet another climate financing vehicle, the Glasgow Financial Alliance for Net Zero, or GFANZ. Launched at the recent UN « Conference of the Parties » in Glasgow (COP26), this group boasts the most ambitious goal yet: to organize the assets of 450 major financial institutions across 45 countries and commit them toward achieving a « net zero » economy. And the value of those assets? A cool $130 trillion.

Whitney Webb does a great job breaking down this new body in her latest report, « UN-Backed Banker Alliance Announces “Green” Plan to Transform the Global Financial System. » As Webb observes:

« As part of COP26, GFANZ— a key group at that conference—is publishing a plan aimed at scaling “private capital flows to emerging and developing economies.” Per the alliance’s press release, this plan focuses on “the development of country platforms to connect the now enormous private capital committed to net zero with country projects, scaling blended finance through MDBs [multilateral development banks] and developing high integrity, credible global carbon markets.” The press release notes that this “enormous private capital” is money that alliance members seek to invest in emerging and developing countries, estimated at over $130 trillion, and that—in order to deploy these trillions in investment—“the global financial system is being transformed” by this very alliance in coordination with the group that convened them, the United Nations. »

In order to understand what this means, we have to turn to the latest GFANZ progress report, in which Carney (who is chairing this banking alliance) writes:

« Only mainstream private finance can match the scale of climate action needed for the net-zero transition, including in emerging markets and developing countries. We cannot get to net zero in a niche. Rather, we must transition the entire financial system, alongside every sector of our economies. To mobilise the capital needed, GFANZ is developing the best practice tools and methodologies so that the climate is at the heart of every financial decision. These include driving upward convergence around corporate and financial institution net-zero transition plans, supporting frameworks and metrics to measure portfolio and sectoral net-zero alignment, creating new frameworks to wind down stranded assets responsibly in a way that is transparent and Paris-aligned, and mobilising the enormous capital required for the net-zero transition in emerging markets and developing countries. »

While this certainly sounds like a bunch of overheated, buzzword-laden gobbledegook, these terms do have actual referents in the financial world. The « frameworks and metrics to measure portfolio and sectoral net-zero alignment, » for instance, refers to initiatives like the Task Force on Climate-related Financial Disclosures, a creature of the Financial Stability Board that is developing international standards for reporting of climate-related risks. Under these new standards, multinational corporations and financial bodies would have to devote considerable resources to complying with mandates for specific reporting on the energy inputs and outputs of all of their products and services and engage in climate risk mitigation that (naturally) involves obligatory tithes to the weather gods (i.e. bodies like GFANZ).

To cut to the chase, this is heading toward a world in which the banksters will be able to use the cover of climate change to « eliminate national sovereignty, privatize the ‘natural assets’ (e.g., ecosystems, ecological processes) of the developing world, and force increasingly technocratic policies designed by global governance institutions and think tanks on ever more disenfranchised populations. »

This is the point of the climate change « threat » that is being pushed by every government, every major international body and every major corporation right now. It has as much to do with saving the environment as the hype about the scamdemic has to do with keeping people healthy. Instead, it is all about seizing as much control over the natural world as possible and squeezing every ounce of capital out of every square inch of the planet.

We better wise up to this scheme quickly, or get used to living in the carbon-rationed, neofeudal nightmare economy that these banksters are bringing about in the name of global warming.

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Nouvelles en vrac.

Etant donné que j’ai des traductions à terminer, des articles à rédiger, trois cent onglets ouverts sur FireFox en permanence et un sous-titrage d’une conférence de Nikki Florio qui n’avance pas, je vous présente les quelques nouvelles ci-dessous sous forme résumée.

Vaccidents

Le comportement des automobilistes, qui n’était déjà pas parfait avant, s’est considérablement dégradé depuis le début de la campagne d’injection, selon les témoignages assez éloquents de chauffeurs de poids lourds et de policiers que j’ai lus récemment. Des conducteurs qui dérivent sans raison d’une file à l’autre, des crashes inexplicables dans des lignes droites sur des routes parfaitement sûres, etc.

Soyez prudents.

Pénurie organisée

En Belgique, les institutions telles que les maisons d’hébergement, centres pour sans-abri reçoivent depuis des semaines de la part de la Banque Alimentaire des dons de nourriture en quantité astronomique, avec des dates de péremption très éloignées. Ces dons proviennent des grandes chaînes de distribution et ne sont pas des invendus : beaucoup de ces articles sont manquants dans les rayons des grandes surfaces, notamment les pâtes alimentaires.

Au même moment, toutes les enseignes font des promotions extraordinaires sur une très large gamme d’articles (moins x%, 1+1 gratuit…), même les plus coûteux comme la télé/hifi, gros électroménager, etc. A titre d’exemple, on offre une télé gratuite (valeur 500€) à l’achat d’un téléphone de moins de 300€. Parallèlement, on annonce une grève générale du personnel dans ce secteur, qui n’a obtenu qu’une indexation de 0,2% de son salaire – contre 2% dans les autres secteurs – et en est légitimement mécontent.

De ces simples observations, on peut dégager deux tendances concomitantes.

D’une part, un déstockage massif et une offre sur-stimulée par des prix artificiellement bas en bout de chaîne. En Chine et au Royaume-Uni, le gouvernement va même jusqu’à créer une ruée artificielle des consommateurs en menaçant des centaines de milliers de citoyens de confinement imminent par des avertissements sur leur smartphones leur recommandant également de stocker les denrées nécessaires.

D’autre part, on sait qu’il existe des goulots d’étranglement dans la production (manque de pièces et de matière première) et la distribution (coûts exorbitants et manque de personnel dans le transport, situation de fermeture des détaillants).

On crée donc de toute pièce une situation de surconsommation dans un contexte de sous-production qui ne peut qu’aboutir à une pénurie et à une flambée des prix.

Faut-il rappeler que le même genre de procédé a été utilisé pour créer la crise Covid: pseudo-situation épidémique aggravée par l’interdiction des traitements, pseudo-crise hospitalière aggravée par la non-utilisation des cliniques privées et la fermeture des services non-Covid, pseudo-létalité du virus aggravée par des protocoles dangereux et inefficaces, etc.

C’est signé.

Facebook et censure

Grande mascarade autour des pratiques malsaines de l’annexe de la CIA la célèbre plateforme sociale : ses algorithmes sèmeraient les graines de la discorde chez ses utilisateurs, en leur suggérant des liens haineux/de désinformation, à tel point que le non-événement du 6 janvier – « l’attaque » du Capitole – serait en partie de leur faute.

C’est une agente du renseignement ancienne employée de la firme qui se pose en lanceuse d’alerte, et vient témoigner de ce scandale (10.000 copies de documents internes à l’appui) devant un Congrès américain qui, dûment indigné devant le danger pour la « démocratie » américaine (je rappelle que les Etats-Unis sont une République Constitutionnelle, c’est-à-dire l’opposé d’une démocratie), propose de réguler l’activité du site, clause de responsabilité incluse, l’objectif de cette mise en scène étant in fine de « réguler » tout le Web, évidemment.

Soins intensifs à Anvers

Interview du Dr Kristiaan Deckers de l’hôpital GZA à St-Augustinus, diffusée sur une chaîne flamande:

En ce moment, ils pensent de manière beaucoup plus radicale à l’Hôpital Universitaire de Gand (?). Ceux qui pensent que l’unité de soins intensifs est pleine de patients vaccinés n’ont plus raison. « En ce moment, ici, nous voyons qu’une majorité de patients sont des cas de percées infectieuses (« breakthrough cases »). C’est très différent de ce qui se passait il y a quelques semaines, lorsque la majorité des patients de l’unité de soins intensifs n’étaient pas encore vaccinés, mais ce n’est plus le cas. Les patients de l’USI de nos hôpitaux à GZA, je l’ai vérifié hier, sont tous vaccinés. »

Une infirmière qui travaille au service Covid d’un grand hôpital de la ville de Liège me confirme la même chose: 100% de patients injectés dans son service.

Hors milieu hospitalier, j’ai reçu le récit de cas de Covid récents qui permettent de faire une comparaison. Personne non-injectée: cinq jours d’infection; personne injectée: cinq semaines.

Le fait que l’infection soit plus sévère et plus durable chez les personnes injectées indiquent vraisemblablement le résultat de la facilitation de l’infection par anticorps, ou antibody-dependent enhancement, que plusieurs médecins décrivaient il y a des mois au fil des nombreux articles publiés sur ce blog et sur lequel on colle maintenant la nouvelle étiquette « percées infectieuses » ou breakthrough cases.

Ne les croyez pas.

Grippe cardiaque et AVC des enfants

On annonce dans les médias que la grippe de cet hiver risque d’être très meurtrière puisque son absence lors de la saison dernière (attribuée au port du masque, au lavage des mains et à la distanciation sociale) provoquerait un relatif déficit immunitaire dans la population. Bien entendu, on recommande la vaccination anti-grippale.

On rappelle aussi dans ces mêmes médias que la grippe multiplie par six (ancienne étude) le risque de crise cardiaque.

L’aggravation des infections de type grippal et l’augmentation du nombre de crises cardiaques sont donc imputées à l’avance à ces deux facteurs, ce qui permettrai d’exclure d’emblée la possibilité qu’elles soient dues à des effets secondaires des injections Covid.

Dans la même veine, on voit sur le Net des photos de placards sur des autobus canadiens (neuf affiches en tout, ce n’est pas une campagne massive) qui informent que « Les enfants aussi ont des AVC ». Ces affichages sont l’initiative d’une organisation nommée Achieving Beyond Brain Injury, créée par deux parents dont les enfants de 10 et 14 ans ont souffert d’AVC. Il s’agirait donc d’une pure coïncidence si ces affiches, qui préviennent d’un phénomène atypique et rarissime, sont apparues parallèlement à l’injection des adolescents, et à présent des 5-11 ans.

Nous verrons bientôt s’ils sont rarissimes.

Fauci et les Beagles

Le Dr Fauci est éclaboussé par le scandale des Beagles de laboratoire. Pour rendre quelqu’un vraiment antipathique, quoi de mieux que d’en faire un tueur de chiens? Ça semble en tout cas beaucoup plus émouvant auprès du grand public que la mort de quelques centaines de milliers de vieux – au Rivotril dans leur home ou au respirateur et/ou au Remdesivir à l’hôpital. Sans même évoquer l’hécatombe de centaines de milliers de séropositifs, à doses massives d’AZT, il y a quarante ans.

Ce pseudo-scandale canin pourrait fournir à Fauci une meilleure porte de sortie qu’un procès pour crime contre l’Humanité. Le même procédé vient d’être employé pour le gouverneur de New-York, Andrew Cuomo, qui se retire la tête haute suite à des accusations de harcèlement sexuel, après avoir organisé dans son Etat, comme le rappelle le Dr Zelenko, la mort de milliers de ses administrés.

Rappelons les paroles du Dr Zelenko à son sujet: « Qu’il brûle en Enfer. »

Liberté

Ben McClintock, de Defending Utah, explique parfaitement dans cette conférence (en anglais) le fait que la liberté d’un peuple est fonction de sa moralité. La liberté étant la principale revendication du moment, je me pencherai dans un article prochain sur ce qui se passe actuellement sur le front de la moralité.

Hackers, un

Rien de nouveau mais au cas où vous l’auriez loupé : un hacker russe rentre dans le système informatique qui liste les personnes injectées (qui ont toutes une adresse Mac) et y consulte les données sur un de ses camarades en temps réel.

Le système l’informe que son camarade est endormi.

[MàJ. 29/05/22: un de mes lecteurs calé en informatique m’informe que c’est un fake total]

Hackers, deux

Voici un truc rigolo. Adolf Hitler, Bob l’Éponge, même combat.

Lien

Pour le reste de l’actualité, je vous recommande Covidémence, qui fait le boulot – sans oublier de rester rigolo également.

Dix signaux d’alarme dans l’analyse risques-bénéfices de la FDA concernant la demande d’autorisation d’urgence de Pfizer d’injection de son produit à ARNm à des enfants américains âgés de 5 à 11 ans – par Toby Rogers.

Source.


Traduction

Dix signaux d’alarme dans l’analyse risques-bénéfices de la FDA concernant la demande d’autorisation d’urgence de Pfizer d’injection de son produit à ARNm à des enfants américains âgés de 5 à 11 ans

Le document d’information de la FDA est un ramassis grotesque de pseudo-science et doit être retiré immédiatement

Toby Rogers

25 octobre 2021

Par où faut-il commencer pour examiner la grotesque analyse risque-bénéfice de la FDA concernant le « vaccin » à ARNm COVID-19 de Pfizer chez les enfants âgés de 5 à 11 ans?

Commençons par mes compétences. J’ai fait une année de statistiques dans l’une des meilleures universités d’arts libéraux d’Amérique (Swarthmore). J’ai suivi une année d’études supérieures en statistiques dans le programme de maîtrise classé numéro 1 pour l’analyse des politiques (UC Berkeley). Et j’ai un Doctorat en économie politique de l’une des meilleures universités du monde (Université de Sydney). Mes recherches sont centrées sur la corruption dans l’industrie pharmaceutique. Je lis des études scientifiques en rapport avec les vaccins presque tous les jours depuis 5 ans. Au début de ma carrière, j’ai travaillé de manière professionnelle à déconstruire des analyses coûts-avantages de très mauvaise qualité préparées par des sociétés qui tentaient d’obtenir des allégements fiscaux, des contrats et d’autres concessions de la part des autorités locales. Il convient de dire que j’ai beaucoup étudié les analyses risques-bénéfices et que je suis mieux équipé que la plupart des gens pour lire un de ces documents.

L’analyse risques-bénéfices effectuée par la FDA dans le cadre de la demande d’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) présentée par Pfizer pour administrer son vaccin COVID-19 à des enfants âgés de 5 à 11 ans est l’un des documents les plus minables que j’aie jamais vus.

Commençons par le début :

🚩 Les taux d’incidence du COVID-19 chez les enfants âgés de 5 à 11 ans sont si bas qu’il y a eu ZERO cas de COVID-19 sévère et ZERO cas de décès dus au COVID dans le groupe de traitement (n= 1 518) ou le groupe témoin (n= 750). Ainsi, toutes les affirmations que vous lisez dans la presse sur le fait que le vaccin Pfizer est « efficace à 90 % » chez les enfants sont dénuées de sens, car elles font référence à des cas bénins dont les enfants se remettent généralement rapidement (et qui leur confèrent une immunité robuste à large spectre). Il n’y a donc littéralement aucune urgence dans cette population qui puisse faire l’objet d’une demande d’autorisation d’utilisation en urgence. La demande de Pfizer devrait être exclue d’emblée si la FDA suivait réellement les données scientifiques et ses propres règles. Nous reviendrons sur ce sujet plus loin.

🚩 L’essai clinique de Pfizer sur les enfants était intentionnellement sous-dimensionné pour dissimuler les effets néfastes. C’est une astuce bien connue de l’industrie pharmaceutique. La FDA les a même interpellés à ce sujet au début de l’été et a demandé à Pfizer d’étendre l’essai, mais Pfizer les a ignorés parce qu’ils le peuvent. (Pfizer a truqué l’essai en important des données d’une autre étude, mais cette autre étude ne surveillait les effets indésirables que pendant 17 jours, de sorte que les nouvelles données ont pollué les résultats au lieu de les clarifier). En d’autres termes, si le taux de certains effets secondaires spécifiques chez les enfants à la suite de cette injection est de 1 sur 5 000 et que l’essai ne porte que sur 1 518 personnes dans le groupe de traitement, il est peu probable que ce dommage particulier soit détecté lors de l’essai clinique. Voilà pour le « Sûr et Efficace(TM) ».

🚩 Pfizer n’a recruté que des « participants âgés de 5 à 11 ans sans preuve d’une infection antérieure par le SRAS-CoV-2″. L’injection d’ARNm de Pfizer annule-t-elle l’immunité naturelle et laisse-t-elle le sujet dans une situation pire que si on ne faisait rien, comme le montrent ces données du gouvernement Britannique? Pfizer n’en a aucune idée car les enfants ayant déjà été infectés par le SRAS-CoV-2 ont été exclus de cet essai. Cela a été fait à dessein. Les auteurs de pollutions toxiques ont appris à ne pas poser les questions auxquelles ils ne veulent pas de réponses, de peur de se retrouver face à des preuves de leur culpabilité dans un futur procès.

Selon une analyse d’Alex Berenson :

« Ce que déclarent les Britanniques, c’est qu’ils ont découvert que le vaccin interfère avec la capacité innée de l’organisme, après l’infection, à produire des anticorps contre la protéine de pointe, mais aussi contre d’autres parties du virus. Plus précisément, les personnes vaccinées ne semblent pas produire d’anticorps contre la protéine de la nucléocapside, l’enveloppe du virus, qui est un élément crucial de la réponse des personnes non vaccinées. Cela signifie que les personnes vaccinées seront beaucoup plus vulnérables aux mutations de la protéine spike MÊME APRÈS AVOIR ÉTÉ INFECTÉES ET REMISES SUR PIED une fois (ou plus d’une fois, probablement). Cela signifie également que le virus est susceptible de sélectionner des mutations qui vont exactement dans cette direction, car celles-ci lui procureront en fait une immense population vulnérable à infecter. Et c’est probablement une preuve supplémentaire que les vaccins peuvent interférer avec le développement d’une immunité robuste à long terme après l’infection. »

🚩 Pfizer a-t-il PERDU LE CONTACT avec 4,9% des participants à ses essais cliniques? Le document risque-bénéfice de la FDA indique: « Parmi les participants de la Cohorte 1, 95,1% avaient un suivi de sécurité ≥2 mois après la dose 2 au moment de la coupure des données du 6 septembre 2021. » Alors que sont devenus ces 4,9 % qui n’ont pas été soumis à un suivi de sécurité 2 mois après la dose 2? Faisaient-ils partie du groupe de traitement ou du groupe témoin? Nous n’en avons aucune idée car Pfizer ne le dit pas. Compte tenu de la faible taille de l’essai, le fait de ne pas avoir suivi 4,9% des participants fausse potentiellement les résultats.

🚩 La période de suivi était intentionnellement trop courte. Il s’agit d’une autre astuce bien connue de l’industrie pharmaceutique conçue pour dissimuler les dommages. La cohorte 1 semble avoir été suivie pendant 2 mois, la cohorte 2 n’a été surveillée sur le plan des effets indésirables que pendant 17 jours. De nombreux effets néfastes des vaccins, notamment le cancer et les troubles auto-immuns, mettent beaucoup plus de temps à se manifester. Comme le dit le vieil adage, « on peut faire vite ou on peut faire bien, mais on ne peut pas faire les deux ». Pfizer a choisi la rapidité.

🚩 Le modèle risques-bénéfices créé par la FDA ne prend en compte qu’un seul dommage connu de l’injection d’ARNm de Pfizer – la myocardite. Mais nous savons que les effets néfastes avérés de l’injection d’ARNm de Pfizer vont bien au-delà de la myocardite et comprennent l’anaphylaxie, la paralysie de Bell, la crise cardiaque, la thrombocytopénie/faible taux de plaquettes, l’invalidité permanente, le zona et le syndrome de Guillain-Barré (SGB), pour n’en citer que quelques-uns. Le cancer, le diabète, les perturbations endocriniennes et les troubles auto-immuns sont susceptibles d’apparaître plus tard. Mais la FDA ne se préoccupe de rien de tout cela car elle a un vaccin à vendre, alors elle ignore tous ces facteurs dans sa modélisation.

🚩 Pfizer élimine intentionnellement le groupe témoin dès qu’il le peut en vaccinant tous les enfants qui ont initialement reçu le placebo. Ils prétendent qu’ils le font pour des « raisons éthiques ». Mais tout le monde sait que le véritable objectif de Pfizer est d’éliminer tout groupe de comparaison afin qu’il n’y ait pas d’études de sécurité à long terme. Effacer le groupe de contrôle est un acte criminel et pourtant Pfizer, Moderna, J&J et AZ le font de manière standard avec la bénédiction de la FDA/CDC.

🚩 Compte tenu de tout ce qui précède, comment diable la FDA a-t-elle pu prétendre à un quelconque bénéfice de cette injection? Vous feriez mieux de vous asseoir pour ce passage, car c’est une perle! Voici la phrase clé :

L’efficacité du vaccin a été déduite d’un pontage immunitaire d’un taux de 50 % de titres d’anticorps neutralisant du SRAS-CoV-2 (NT50, test de microneutralisation mNG du SRAS-CoV-2).

Attendez, quoi? Je vais vous expliquer. Il y a eu ZERO cas de COVID-19 sévère dans l’essai clinique d’enfants âgés de 5 à 11 ans. Pfizer et la FDA ont donc simplement ignoré tous les résultats sanitaires réels (ils étaient obligés, il n’y a pas d’urgence, donc la demande est caduque). AU LIEU DE CELA, Pfizer s’est rabattu sur la recherche d’anticorps dans le sang. En général, les anticorps sont un piètre indicateur de l’immunité. Et les anticorps dans le sang de ces enfants de 5 à 11 ans ne nous apprennent rien car, encore une fois, il n’y a eu aucun cas de COVID-19 grave dans cette étude (aucun dans le groupe traité, aucun dans le groupe témoin). Pfizer a donc dû faire preuve de créativité! La solution qu’ils ont trouvée est le « pontage immunitaire ». Pfizer a examiné le niveau d’anticorps dans les analyses de sang provenant d’une autre étude portant sur des personnes âgées de 16 à 25 ans, a déterminé le niveau d’anticorps qui semblait être protecteur dans cette population, puis a estimé combien d’enfants âgés de 5 à 11 ans avaient des niveaux similaires d’anticorps dans le sang, et a ensuite calculé le nombre de cas, d’hospitalisations, d’admissions en soins intensifs et de décès qui seraient évités à l’avenir par cette injection dans la population des 5 à 11 ans, en se basant sur les niveaux d’anticorps et les résultats de santé de la population des 16 à 25 ans. Si cette logique torturée vous donne mal à la tête, c’est normal, car une telle chicanerie est sans précédent dans une analyse risques-bénéfices.

Alors, lorsque la FDA emploie cette logique torturée au début de son document d’information, tous les calculs qui en découlent seront totalement faux. Pas seulement faux, mais grotesques et criminellement faux.

Tout le scénario se résume au tableau 14 de la page 34 du document sur les risques et les bénéfices de la FDA. Et là, les drapeaux rouges rappliquent à la vitesse grand V.

🚩 Le modèle de la FDA n’évalue les bénéfices de la protection vaccinale que sur une période de 6 mois après l’administration de deux doses. De plus, il suppose une efficacité constante du vaccin pendant cette période. Ceci est problématique à plusieurs égards.

Premièrement, la réduction des cas bénins chez les enfants n’est pas le résultat clinique souhaité. Comme le souligne le Dr Geert Vanden Bossche, la vaccination de masse transforme les enfants en excréteurs de variants plus infectieux.

« Les personnes jeunes et en bonne santé ne doivent en aucun cas être vaccinées, car cela ne fera qu’éroder leur immunité innée protectrice contre les coronavirus (CoV) et autres virus respiratoires. Leur immunité innée les protège normalement/naturellement en grande partie et leur confère une sorte d’immunité de groupe dans la mesure où elle dilue la pression infectieuse des CoV au niveau de la population, alors que la vaccination de masse les transforme en excréteurs de variants plus infectieux. Les enfants/jeunes qui contractent la maladie développent généralement une maladie légère à modérée et continuent donc à contribuer à l’immunité de groupe en développant une immunité large et durable. Si on est vacciné et qu’on attrape la maladie, on peut aussi développer une immunité à vie, mais pourquoi prendre le risque de se faire vacciner, surtout quand on est jeune et en bonne santé? Premièrement, il y a le risque d’effets secondaires potentiels ; deuxièmement, il y a le risque toujours croissant que les anticorps vaccinaux ne soient plus fonctionnels tout en continuant à se lier au virus, ce qui augmente la probabilité d’une facilitation de l’infection par anticorps ou même d’une maladie grave… ».

Deuxièmement, nous savons que l’efficacité du vaccin dans le mois qui suit la première dose est négative parce qu’il supprime le système immunitaire et qu’il commence à s’affaiblir après 4 mois, de sorte que toutes les estimations de la FDA sur l’efficacité du vaccin sont surévaluées.

Troisièmement, les effets néfastes de la myocardite provoquée par ces vaccins se manifesteront probablement au fil des ans. Robert Malone, l’inventeur de la technologie mRNA, note que la FDA admet que les enfants seront injectés deux fois par an pour toujours (d’où le délai de six mois dans le modèle risques-bénéfices de la FDA). Mais les risques d' »événements indésirables tels que la cardiomyopathie seront cumulatifs ». Donc tout modèle qui ne prend en compte qu’un délai de six mois cache le véritable taux d’événements indésirables.

🚩 La FDA/Pfizer jouent aux dés avec leurs estimations de myocardite. Tout d’abord, ils considèrent les myocardites « excédentaires » (c’est-à-dire causées par l’injection) en utilisant les données de la base de données privée « Optum health claim database » au lieu du système public VAERS (p. 32). Il est donc impossible pour le public de vérifier leurs affirmations. Ensuite, lorsqu’il s’agit d’estimer combien d’enfants atteints de myocardite induite par le vaccin seront hospitalisés et admis aux soins intensifs, ils utilisent le Vaccine Safety Datalink (voir page 33). Pourquoi passer d’une base de données à une autre pour ces estimations? Enfin, il n’y a pas d’explication sur la façon dont ils ont calculé les décès « excédentaires » dus à la myocardite, ils ont donc simplement indiqué 0. Drapeau rouge, drapeau rouge, drapeau rouge.

La FDA estime qu’il y aura 106 cas supplémentaires de myocardite pour 1 million d’enfants de 5 à 11 ans ayant subi une double injection. Il y a 28 384 878 enfants âgés de 5 à 11 ans aux États-Unis. L’administration Biden veut leur injecter à tous des doses d’ARNm de Pfizer et a déjà acheté suffisamment de doses pour cet objectif (même si seulement 1/3 des parents veulent vacciner leurs enfants avec cette injection). Donc (si l’administration Biden obtient ce qu’elle veut) 106 cas de myocardite en excès pour 1 million x 28,38 millions de personnes, soit 3 009 cas de myocardite excédentaires post-vaccination si le vaccin Pfizer est approuvé.

Et au fil des années suivantes, beaucoup de ces enfants mourront. Le Dr Anthony Hinton (« Chirurgien Consultant avec 30 ans d’expérience dans le NHS ») souligne que la myocardite a un taux de létalité de 20% après 2 ans et de 50% après 5 ans.

La FDA a donc tout faux : elle veut prévenir le COVID léger chez les enfants, ce qui réduit l’immunité collective, et elle ment carrément sur les dommages causés par la myocardite.

J’ai pris la liberté de corriger le tableau 14 de la FDA avec des données réelles et de les étendre sur 5 ans. Cela donne ceci :

Une étude réalisée par Harvard Pilgrim Healthcare pour le Ministère Américain de la Santé et des Services Sociaux a estimé que le VAERS ne recueille que 1% des dommages réels causés par les vaccins. Steve Kirsch a réalisé une modélisation élaborée qui établit à 41 le facteur de sous-déclaration des décès dus au vaccin COVID-19 (donc multipliez les chiffres ci-dessus par 41). Et la myocardite n’est qu’un des nombreux effets néfastes possibles des vaccins COVID-19. Le Dr Jessica Rose a récemment calculé un facteur de sous-déclaration de 31 pour tous les événements indésirables graves survenant après la vaccination.

Conclusion

Le vaccin de Pfizer échoue à toute évaluation honnête de risques/bénéfices liés à son utilisation chez les enfants âgés de 5 à 11 ans. L’analyse risques-bénéfices de la FDA du vaccin à ARNm de Pfizer chez les enfants de 5 à 11 ans est bancale. Elle utilise une logique torturée (qui serait rejetée par n’importe quelle revue académique digne de ce nom) afin d’atteindre un résultat prédéterminé qui n’est aucunement fondé sur la science. Le document d’information de la FDA est une œuvre de fiction et doit être retiré immédiatement. Si la FDA poursuit cette mascarade grotesque, elle causera des dommages irréparables aux enfants et les dirigeants de la FDA seront un jour poursuivis pour crimes contre l’humanité.


Vous voulez partager vos préoccupations avec les membres du VRBPAC? Voici un lien vers un article avec un contexte supplémentaire ainsi que toutes leurs coordonnées :


[Mise à jour :]

🚩 Un lecteur avisé a signalé qu’à la page 14, la FDA explique que Pfizer a modifié les ingrédients de son vaccin à ARNm. Ils écrivent :

Pour fournir un vaccin présentant un profil de stabilité amélioré, le vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 à utiliser chez les enfants de 5 à 11 ans utilise un tampon trométhamine (Tris) au lieu de la solution saline tamponnée au phosphate (PBS) utilisée dans la formulation précédente et exclut le chlorure de sodium et le chlorure de potassium.

Je suis profondément sceptique quant à ce compte rendu (je doute que cela ait quelque chose à voir avec un « profil de stabilité amélioré ») et j’invite d’autres personnes à se prononcer sur ce point. Je rappelle également que la trométhamine a une histoire longue et trouble et j’invite les lecteurs à approfondir la question (je serai heureux de publier des liens supplémentaires dès qu’ils seront disponibles).

L’analyse risque-bénéfice erronée de la FDA a été rédigée par :

Hong Yang
Biologiste
DHHS/FDA/CBER/OBE
Building, WO71, Room 5338
Arrêt postal : HFM-210
Silver Spring MD 20993-0002
téléphone : (240) 402-8836
fax : (301) 595-1240
Hong.Yang@fda.hhs.gov

et

Richard Forshee
Directeur associé
DHHS/FDA/CBER/OBE
Building, WO71, Room 5342
Silver Spring MD 20993-0002
téléphone : (240) 402-8631
fax : (301) 595-1240
Richard.Forshee@fda.hhs.gov

Il s’agit d’un article vivant. La FDA ne donne que deux jours au public pour examiner les documents des réunions. J’ai donc dû publier cet article immédiatement. Si vous repérez des erreurs, faites-le moi savoir et je les corrigerai. Si vous trouvez d’autres failles dans l’analyse risques-bénéfices de la FDA, veuillez les poster dans les commentaires afin que je puisse les ajouter.

Une révolution est en marche. ✊


Texte original

Ten red flags in the FDA’s risk-benefit analysis of Pfizer’s EUA application to inject American children 5 to 11 with its mRNA product

The FDA briefing document is preposterous junk science and it must be withdrawn immediately

Toby Rogers

October 25, 2021

Where to even begin with the FDA’s preposterous risk-benefit analysis of Pfizer’s mRNA COVID-19 “vaccine” in children ages 5 to 11?

Let’s start with my bona fides. I have a year of undergraduate statistics at one of the best liberal arts colleges in America (Swarthmore). I have a year of graduate statistics at the masters program rated #1 for policy analysis (UC Berkeley). And I have a Ph.D. in political economy from one of the top universities in the world (University of Sydney). My research focus is on corruption in the pharmaceutical industry so I’ve read scientific studies in connection with vaccines nearly every day for 5 years. Earlier in my career I worked professionally tearing apart shoddy cost-benefit analyses prepared by corporations that were trying to get tax breaks, contracts, and other concessions from local government. Suffice it to say I’ve thought a lot about risk-benefit analysis and I’m better equipped than most to read one of these documents.

The FDA’s risk-benefit analysis in connection with Pfizer’s Emergency Use Authorization (EUA) application to inject children ages 5 to 11 with their COVID-19 vaccine is one of the shoddiest documents I’ve ever seen.

Let’s take it from the top:

🚩 COVID-19 rates in children ages 5 to 11 are so low that there were ZERO cases of severe COVID-19 and ZERO cases of death from COVID in either the treatment (n= 1,518) or control group (n= 750). So any claims you see in the press about the Pfizer vaccine being “90% effective” in children are meaningless because they are referring to mild cases from which children usually recover quickly (and then have robust broad spectrum immunity). So there is literally no emergency in this population for which one could apply for Emergency Use Authorization. Pfizer’s application should be dead on arrival if the FDA actually followed the science and their own rules. We will return to this topic below.

🚩 Pfizer’s clinical trial in kids was intentionally undersized to hide harms. This is a well known trick of the pharmaceutical industry. The FDA even called them out on it earlier this summer and asked Pfizer to expand the trial and Pfizer just ignored them because they can. (Pfizer fudged it by importing data from a different study but this other study only monitored adverse outcomes for 17 days so if anything the new data polluted rather than clarified outcomes). To put it simply, if the rate of particular adverse outcome in kids as a result of this shot is 1 in 5,000 and the trial only enrolls 1,518 in the treatment group then one is unlikely to spot this particular harm in the clinical trial. Voilà “Safe & Effective(TM)”.

🚩 Pfizer only enrolled “participants 5-11 years of age without evidence of prior SARS-CoV-2 infection.” Does the Pfizer mRNA shot wipe out natural immunity and leave one worse-off than doing nothing as shown in this data from the British government? Pfizer has no idea because children with prior SARS-CoV-2 infection were excluded from this trial. This was by design. Toxic polluters have learned to not ask questions that they do not want the answers to, lest they wind up staring at their own smoking gun in a future court case.

According to an analysis by Alex Berenson:

“What the British are saying is they are now finding the vaccine interferes with your body’s innate ability after infection to produce antibodies against not just the spike protein but other pieces of the virus. Specifically, vaccinated people don’t seem to be producing antibodies to the nucleocapsid protein, the shell of the virus, which are a crucial part of the response in unvaccinated people. This means vaccinated people will be far more vulnerable to mutations in the spike protein EVEN AFTER THEY HAVE BEEN INFECTED AND RECOVERED ONCE (or more than once, probably). It also means the virus is likely to select for mutations that go in exactly that direction because those will essentially give it an enormous vulnerable population to infect. And it probably is still more evidence the vaccines may interfere with the development of robust long-term immunity post-infection.” 

🚩 Did Pfizer LOSE CONTACT with 4.9% of their clinical trial participants? The FDA risk-benefit document states: “Among Cohort 1 participants, 95.1% had safety follow-up ≥2 months after Dose 2 at the time of the September 6, 2021 data cutoff.” So what happened with those 4.9% who did not have safety follow-up 2 months after Dose 2? Were they in the treatment or control group? We have no idea because Pfizer isn’t saying. Given the small size of the trial, failing to follow up with 4.9% of the participants potentially skews the results.

🚩 The follow up period was intentionally too short. This is another well-know trick of the pharmaceutical industry designed to hide harms. Cohort 1 appears to have been followed for 2 months, cohort 2 was only monitored for adverse events for 17 days. Many harms from vaccines including cancer and autoimmune disorders take much longer to show up. As the old saying goes, “you can have it quick or you can have it done right, but you cannot have both.” Pfizer chose quick.

🚩 The risk-benefit model created by the FDA only looks at one known harm from the Pfizer mRNA shot — myocarditis. But we know that the real world harms from the Pfizer mRNA shot go well beyond myocarditis and include anaphylaxis, Bell’s Palsy, heart attack, thrombocytopenia/ low platelet, permanent disability, shingles, and Guillain-Barré Syndrome (GBS) to name a few. Cancer, diabetes, endocrine disruption, and autoimmune disorders may show up later. But the FDA does not care about any of that because they have a vaccine to sell so they just ignore all of those factors in their model.

🚩 Pfizer intentionally wipes out the control group as soon as they can by vaccinating all of the kids who initially got the placebo. They claim that they are doing this for “ethical reasons”. But everyone knows that Pfizer’s true aim is to wipe out any comparison group so that there can be no long term safety studies. Wiping out the control group is a criminal act and yet Pfizer, Moderna, J&J, and AZ do this as standard practice with the blessing of the FDA/CDC.

🚩 Given all of the above, how on earth did the FDA claim any benefits at all from this shot? You should probably sit down for this part because it’s a doozy! Here’s the key sentence:

Vaccine effectiveness was inferred by immunobridging SARS-CoV-2 50% neutralizing antibody titers (NT50, SARS-CoV-2 mNG microneutralization assay). 

Wait, what!? I’ll explain. There were ZERO cases of severe COVID-19 in the clinical trial of children ages 5 to 11. So Pfizer and the FDA just ignored all of the actual health outcomes (they had to, there is no emergency, so the application is moot). INSTEAD Pfizer switched to looking at antibodies in the blood. In general, antibodies are a poor predictor of immunity. And the antibodies in the blood of these 5 to 11 year old children tell us nothing because again, there were zero cases of severe COVID-19 in this study (none in the treatment group, none in the control group). So Pfizer had to get creative! What they came up with is “immuno-bridging”. Pfizer looked at the level of antibodies in the bloodwork of another study, this one involving people 16 to 25 years old, figured out the level of antibodies that seems to be protective in that population, then figured out how many kids ages 5 to 11 had similar levels of antibodies in their blood, and then came up with a number for how many cases, hospitalizations, ICU admissions, and deaths would be prevented by this shot in the 5 to 11 population in the future, based on the antibody levels and health outcomes from the 16 to 25 year old population. If your head hurts from that tortured logic, it should, because such chicanery is unprecedented in a risk-benefit analysis.

So when the FDA uses this tortured logic at the beginning of their briefing document, all of the calculations that stem from this will be flat out wrong. Not just wrong but preposterous and criminally wrong.

The whole ballgame comes down to Table 14 on page 34 of the FDA’s risk-benefit document. And there the red flags come fast and furious.

🚩 The FDA model only assesses the benefits of vaccine protection in a 6-month period after completion of two doses. Furthermore it assumes constant vaccine efficacy during that time period. This is problematic on several counts.

First, reducing mild cases in children is not a desired clinical outcome. As Dr. Geert Vanden Bossche points out, mass vaccination turns kids into shedders of more infectious variants.

« Under no circumstances should young and healthy people be vaccinated as it will only erode their protective innate immunity towards Coronaviruses (CoV) and other respiratory viruses. Their innate immunity normally/ naturally largely protects them and provides a kind of herd immunity in that it dilutes infectious CoV pressure at the level of the population, whereas mass vaccination turns them into shedders of more infectious variants. Children/ youngsters who get the disease mostly develop mild to moderate disease and as a result continue to contribute to herd immunity by developing broad and long-lived immunity. If you are vaccinated and get the disease, you may develop life-long immunity too but why would you take the risk of getting vaccinated, especially when you’re young and healthy? Firstly, there is the risk of potential side effects; secondarily, there is the ever increasing risk that your vaccinal antibodies will no longer be functional while still binding to the virus, thereby increasing the likelihood of ADE or even severe disease…. »

Second, we know that vaccine efficacy in the month after the first dose is negative because it suppresses the immune system and it begins to wane after 4 months so all of the FDA’s estimates of vaccine efficacy are inflated.

Third, the harms of myocarditis from these shots will likely unfold over the course of years. Robert Malone, the inventor of mRNA technology notes that the FDA is admitting that children will be injected twice a year forever (hence the six month time frame in the FDA risk-benefit model). But the risks of “adverse events such as cardiomyopathy will be cumulative.” So any model that only looks at a six month time frame is hiding the true adverse event rate.

🚩 The FDA/Pfizer play fast and loose with their estimates of myocarditis. First they estimate “excess” (read: caused by the shot) myocarditis using data from the private “Optum health claim database” instead of the public VAERS system (p. 32). So it’s impossible for the public to verify their claims. Then, when it comes to estimating how many children with vaccine-induced myocarditis will be hospitalized and admitted to the ICU they use the Vaccine Safety Datalink (see page 33). Why switch to a different database for those estimates? Finally, there is no explanation for how they calculated “excess” myocarditis deaths, so they just put 0. Red flag, red flag, red flag.

The FDA estimates that there will be 106 extra myocarditis cases per 1 million double-jabbed children 5-11. There are 28,384,878 children ages 5 to 11 in the U.S. The Biden administration wants to inject Pfizer mRNA shots into all of them and has already purchased enough doses to do just that (even though only 1/3rd of parents want to jab their kids with this shot). So (if the Biden administration has its way) 106 excess myocarditis cases per 1 million x 28.38 million people would be 3,009 excess myocarditis cases post-vaccination if the Pfizer vaccine is approved.

And over the course of several years many of those children will die. Dr. Anthony Hinton (“Consultant Surgeon with 30 years experience in the NHS”) points out that myocarditis has a 20% fatality rate after 2 years and a 50% fatality rate after 5 years.

So the FDA has it exactly backwards — they want to prevent mild COVID in children which reduces herd immunity and they just flat out lie about the harms from myocarditis.

I’ve taken the liberty to correct the FDA’s Table 14 with actual real world data and extended it over 5 years. It looks like this:

A study by Harvard Pilgrim Healthcare for the U.S. Department of Health and Human Services estimated that VAERS only captured 1% of actual vaccine injuries. Steve Kirsch has done elaborate modeling that puts the Under-Reporting Factor of COVID-19 vaccine deaths at 41 (so multiply the above numbers by 41). And myocarditis is just one of a multitude of possible harms from COVID-19 vaccines. Dr. Jessica Rose recently calculated an Under-Reporting Factor of 31 for all severe adverse events following vaccination.

Conclusion

The Pfizer vaccine fails any honest risk-benefit assessment in connection with its use in children ages 5 to 11. The FDA’s risk-benefit analysis of Pfizer’s mRNA vaccine in children ages 5 to 11 is shoddy. It used tortured logic (that would be rejected by any proper academic journal) in order to reach a predetermined result that is not based in science. The FDA briefing document is a work of fiction and it must be withdrawn immediately. If the FDA continues with this grotesque charade it will cause irreparable harms to children and the FDA leadership will one day be prosecuted for crimes against humanity.


Want to share your concerns with the members of the VRBPAC? Here’s a link to an article with additional context and all of their contact information: 


[Updated to add:]

🚩 An astute reader pointed out that on page 14, the FDA explains that Pfizer has changed the ingredients in their mRNA vaccine. They write:

To provide a vaccine with an improved stability profile, the Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine for use in children 5-11 years of age uses tromethamine (Tris) buffer instead of the phosphate-buffered saline (PBS) as used in the previous formulation and excludes sodium chloride and potassium chloride.

I’m deeply skeptical of this account (I doubt this has anything to do with an “improved stability profile”) and invite others to weigh in on this. I also recall that tromethamine has a long and troubled history and invite readers to dig into this further (I’m happy to post additional links as they become available).


The FDA’s flawed risk-benefit analysis was written by:

Hong Yang
Biologist
DHHS/FDA/CBER/OBE
Building, WO71, Room 5338
Mail stop: HFM-210
Silver Spring MD 20993-0002
phone: (240) 402-8836
fax: (301) 595-1240
Hong.Yang@fda.hhs.gov

and

Richard Forshee
Associate Director
DHHS/FDA/CBER/OBE
Building, WO71, Room 5342
Silver Spring MD 20993-0002
phone: (240) 402-8631
fax: (301) 595-1240
Richard.Forshee@fda.hhs.gov


This is a live article. The FDA only gives the public 2 days to review meeting materials so I had to publish this article immediately. If you spot any errors please let me know and I will correct them. If you find additional flaws in the FDA’s risk-benefit analysis please post them in the comments so that I may add them.

A revolution is coming. ✊

Ce qui se passe réellement en Chine – par Charles Hugh Smith.

Deuxième article de Charles.

Source.


Traduction

Ce qui se passe réellement en Chine

23 septembre 2021

Des pertes seront subies et des sacrifices imposés à ceux qui ne comprennent pas que l’État chinois ne pourra plus absorber les pertes liées aux excès spéculatifs.

Commençons par stipuler que personne en dehors du cercle restreint du président Xi ne sait vraiment ce qui se passe en Chine, et donc mes commentaires ici sont des observations systémiques, et non des revendications de connaissances d’initiés.

De nombreux observateurs occidentaux ont noté la centralité de la doctrine marxiste-léniniste-maoïste dans les écrits du président Xi. Cela revient un peu à invoquer les Pères fondateurs de l’Amérique pour soutenir les politiques actuelles [américaines]: si vous essayez de modifier la politique de l’État en Chine, vous devez l’expliquer dans le contexte de l’histoire et des doctrines du Parti Communiste chinois. Peu importe si les idéaux ne sont pas atteints ; ce qui importe, c’est d’établir une continuité et une résonance avec l’histoire de la Chine, les doctrines fondamentales du communisme chinois et le leadership du PCC fondé sur ces doctrines.

Cela dit, nous devons veiller à ne pas trop lire dans les évocations doctrinales telles que la prospérité commune, qui sont des ancrages conceptuels et des slogans utiles, mais ne donnent pas l’histoire complète.

Ce qui se passe réellement en Chine n’est ni marxiste ni capitaliste – c’est tout simplement la cupidité humaine non idéologique, l’orgueil démesuré et la pensée magique qui se manifestent sous la forme d’un aléa moral incontrôlé. L’aléa moral [NdT. Un effet pervers qui peut apparaître dans ce type de situations est qu’un agent, isolé d’un risque, se comporte différemment que s’il était totalement lui-même exposé au risque] – la séparation du risque et des conséquences, lorsque les spéculateurs font des paris de plus en plus risqués parce qu’ils savent que les pertes seront couvertes par l’État – est effectivement la nouvelle Religion d’État en Chine : tout le monde est absolument convaincu que chaque parieur, en particulier tous les spéculateurs riches, puissants et bien connectés, sera renfloué par le gouvernement central.

La cupidité ne connaît aucune limite lorsqu’un spéculateur est protégé du risque [NdT. voir aussi les firmes pharmaceutiques, même cas de figure], car les gens ont un appétit insatiable pour les paris risqués lorsque les gains leur reviennent et que les pertes sont couvertes par le gouvernement.

C’est l’histoire fondamentale d’Evergrande : la garantie implicite du gouvernement chinois a permis un aléa moral quasi illimité qui a ensuite alimenté une explosion de la spéculation financée par la dette, sans aucun lien avec les risques réels, les ventes, le rendement du capital, etc.

Les États-Unis et la Chine ont tous deux été un paradis utopique de l’aléa moral au cours des 30 dernières années. Aux États-Unis, la Réserve Fédérale renflouait toute perte ou baisse dans l’orgie de la bulle de la dette et des actifs.

En Chine, la politique implicite était que les pertes structurelles des entreprises d’État et les excès spéculatifs du développement rapide seraient tolérés tant que la croissance réelle de l’emploi, des salaires, des bénéfices et des modes de vie serait forte. La création de grandes quantités de monnaie d’emprunt était nécessaire pour soutenir la croissance, et le fait qu’elle soutienne également les excès spéculatifs était accepté comme faisant partie du prix d’un progrès explosif, tout comme les dommages environnementaux.

Après 30 ans, l’équation a changé en Chine : la dette dans le secteur bancaire officiel et dans le secteur bancaire parallèle informel a explosé, de même que les excès purement spéculatifs, tandis que la « bonne croissance » a stagné. C’est le problème de l’incitation à l’aléa moral : les bénéfices de la spéculation, de la corruption et de la fraude dépassent de loin les maigres profits des entreprises légitimes. Alors où mettre les milliards empruntés? Dans Evergrande et d’autres conglomérats de spéculation.

Quelque chose d’autre a changé au cours de ces 30 années de développement rapide: les inégalités sont montées en flèche, et comme les inégalités et la corruption se renforcent mutuellement, la corruption a également atteint de nouveaux sommets avec la montée en flèche des inégalités.

Un troisième facteur est apparu après 30 ans de promotion de la technologie et de la spéculation : le pouvoir des grandes entreprises technologiques et des financiers chinois a commencé à empiéter sur le contrôle du Parti Communiste.

Ces trois facteurs ont gonflé une bulle de dettes, d’actifs et de spéculation d’une ampleur considérable. Le président Xi a compris ce que la Réserve Fédérale et les autres banques centrales occidentales n’ont pas compris : Soit vous éclatez la bulle lorsque vous avez encore un certain contrôle sur elle, soit vous la laissez se développer et éclater lorsque vous avez perdu tout contrôle.

En termes systémiques, lorsque le risque et la fragilité atteignent des niveaux instables dans des systèmes étroitement liés, il est impossible de contrôler une implosion du système de l’ampleur d’une supernova.

Xi a observé la montée en flèche du pouvoir des Big Tech, des financiers incités par l’aléa moral et des crypto-monnaies et a conclu que l’État devait agir de manière décisive pour écraser ces rivaux, quel qu’en soit le coût. Cela fait la différence entre la Chine et l’État américain, qui est incapable d’imposer des sacrifices, des limites ou des coûts à l’élite parasitaire qui domine son économie et son ordre politique.

Xi a vu le danger que représentait le fait que les grandes entreprises technologiques et les financiers puissent acheter toute l’influence dont ils avaient besoin auprès des fonctionnaires corrompus du PCC et de l’État, et il a compris que c’était le moment crucial de l’histoire : soit il écrasait les grandes entreprises technologiques et les financiers/spéculateurs, soit il risquait de perdre le contrôle au profit de leurs intérêts.

Le PCC et Xi veulent conserver le contrôle, quel qu’en soit le coût pour les nouveaux riches, les élites parasites, la classe moyenne ambitieuse et même les fidèles du Parti qui ont trop souvent et trop glorieusement profité de la corruption et de l’aléa moral.

Des pertes seront subies et des sacrifices seront imposés à ceux qui ne comprennent pas que l’État chinois ne pourra plus absorber les pertes liées aux excès spéculatifs. Ceux qui ne comprennent pas que le règne des élites parasites du secteur privé et des fonctionnaires du Parti corrompus à l’excès en Chine est terminé pourraient méditer avec profit ce proverbe chinois : « Celui qui se mêle aux ordures sera mangé par les cochons ».


Texte original

What’s Really Going On in China

September 23, 2021

Losses will be taken and sacrifices enforced on those who don’t understand the Chinese state will no longer absorb the losses of speculative excess.

Let’s start by stipulating that no one outside President Xi’s inner circle really knows what’s going on in China, and so my comments here are systemic observations, not claims of insider knowledge.

Many western observers have noted the centrality of Marxist-Leninist-Maoist doctrine in President Xi’s writings. This is somewhat akin to invoking America’s Founding Fathers to support one’s current policies: if you’re trying to modify state policy in China, you have to explain it in the context of the Chinese Communist Party’s history and doctrines. Never mind if the ideals were not met; what’s important is establishing continuity and resonance with the history of China, the core doctrines of Chinese Communism and the CCP’s leadership based on those doctrines.

That said, we should be careful not to read too much into doctrinal evocations such as common prosperity, which are useful conceptual anchors and slogans but not the full story.

What’s actually happening in China isn’t Marxist or Capitalist–it’s plain old non-ideological human greed, hubris and magical thinking manifesting as moral hazard running amok.. Moral hazard— the separation of risk and consequence, as speculators make increasingly risky bets because they know any losses will be covered by the state–is effectively the new State Religion in China: everyone is absolutely confident that every punter, especially all the rich, powerful, well-connected speculators–will be bailed out by the central government.

Greed knows no bounds when a speculator is insulated from risk, for people have an insatiable appetite for risky bets when the gains will be theirs to keep but any losses will be covered by the government.

This is the fundamental story of Evergrande: the implicit backstop of the Chinese government enabled near-infinite moral hazard which then fueled an explosion of debt-funded speculation with essentially zero connection to real-world risks, sales, return on capital, etc.

Both the U.S. and China have been a utopian Paradises of moral hazard for the past 30 years. In the U.S., the Federal Reserve would bail out any losses / declines in the debt-asset bubble orgy.

In China, the implicit policy was that the structural losses in state-owned enterprises (SOEs) and the speculative excesses of rapid development would be tolerated as long as real growth in employment, wages, profits and lifestyles was strong. Creating vast amounts of debt-money was necessary to support growth, and that it also supported speculative excesses was accepted as part of the price of explosive progress, much like environmental damage.

After 30 years, the equation in China has changed: debt in the official banking sector and in the informal shadow-banking sector has soared along with purely speculative excesses while « good growth » has stagnated. That’s the problem with incentivizing moral hazard: the profits from speculation, corruption and fraud far outweigh the puny profits earned by legitimate enterprises. So where do you put the borrowed billions? In Evergrande and other conglomerates of speculation.

Something else changed in 30 years of rapid development: inequality skyrocketed, and since inequality and corruption are mutually-reinforcing, corruption also reached new heights as inequality skyrocketed.

A third factor emerged after 30 years of touting technology and speculation: the power of Chinese Big Tech and financiers began encroaching on the control of the Communist Party.

All three factors inflated a debt-asset-speculative bubble of profound proportions, and President Xi grasped what the clueless Federal Reserve and other western central banks have not: Either pop the bubble when you still have some control over it or let it expand and pop when you’ve lost all control.

In systems terms, when risk and fragility reach unstable levels in tightly-bound systems, there’s no controlling the supernova-like implosion of the system.

Xi observed the skyrocketing power of Big Tech, moral-hazard-incentivized financiers and cryptocurrencies and concluded that the state must move decisively to crush these rivals, regardless of cost. This separates China from the American state, which is incapable of enforcing any sacrifices, limits or costs on the parasitic elite which dominates its economy and political order.

Xi saw the danger of Big Tech and financiers being able to buy whatever influence they needed from corrupt CCP and state officials, and he realized that this is the crucial moment in history: either crush Big Tech and the financiers / speculators or risk losing control to their interests.

Control is something the CCP and Xi want to retain, regardless of the cost to the nouveaux riche, the parasitic elites, the aspirational middle class and even the Party regulars who have supped too often and too gloriously at the corruption / moral hazard trough.

Losses will be taken and sacrifices enforced on those who don’t understand the Chinese state will no longer absorb the losses of speculative excess. Those who don’t understand the reign of parasitic private-sector elites and excessively corrupt party officials in China is over might profitably ponder this Chinese proverb: « Whoever gets mixed up with garbage will be eaten by pigs. »

Tromperie et fraude dans la recherche médicale – par Usman Jaffer, Alan E.P. Camer.

Un excellent petit – enfin, pas trop long – article qui faisait un tour d’horizon du sujet en 2006.

Détail cocasse: comme indiqué dans les Remerciements, « Cet article a été soumis à l’origine en tant qu’essai pour l’achèvement du cours de MSc en sciences chirurgicales à l’Imperial College, Londres. »

L’Imperial College de Londres, là où enseigne un certain Neil Ferguson, le parangon historique de la tromperie et de la fraude statistique.

Je publierai (encore une fois, si j’ai le temps) quelques articles publiés par les NIH et le CDC américains, tous deux indiscutablement au coeur de la fraude Covid/vaccins (voir l’interview du Dr McCullough que j’ai transcrite ici et traduite ici), qui donnent toutes les infos nécessaires pour comprendre que c’est bien une énorme fraude, que les remèdes sont officiellement connus depuis longtemps et que toutes les certitudes ayant trait à la contagion sont en fait purement spéculatives. On y trouve même un article très intéressant sur les effets des nanoparticules et leurs symptômes, qui dit exactement la même chose que les « complotistes ». Comme quoi, toujours lire la littérature de « l’ennemi ».

Je n’ai pas reproduit ci-dessous les références bibliographiques et les liens qui s’y rapportent dans le texte ne fonctionnent pas sur cette page (flemme). Pour les curieux, voir sur la page source originale.

Mention légale : « Ceci est une traduction non officielle d’un article paru dans une publication d’Elsevier. Elsevier n’a pas cautionné cette traduction. »

Source.

Traduction

Tromperie et fraude dans la recherche médicale

Usman Jaffer, Alan E.P. Cameron

The Ipswich Hospital, Ipswich, UK

Disponible en ligne le 29 mars 2006.

Résumé

La tromperie et la fraude dans la recherche médicale constituent un problème sérieux pour la crédibilité de la littérature publiée. Bien que l’estimation de sa prévalence soit difficile, les incidences rapportées sont alarmantes. Le spectre du problème s’étend de ce qui peut sembler être un don d’auteur [NdT. c’est-à-dire la faveur de signature d’un article faite à un collègue] plutôt inoffensif à la fabrication complète de données. Parmi les facteurs susceptibles d’avoir favorisé la fraude et la tromperie figurent le gain financier, la gloire personnelle, l’environnement scientifique concurrentiel et l’orgueil scientifique. La fraude et la tromperie sont difficiles à détecter et sont généralement mises en évidence par des dénonciateurs. Bien que la plupart des cas puissent être traités au niveau institutionnel, des organismes de réglementation tels que le Comité d’Ethique des Publications (Committee on Publication Ethics – COPE) et le Comité d’Ethique de la Recherche Médicale (Medical Research Ethics Committee – MREC) ont été créés pour surveiller et tenter de remédier au problème.

Mots clés

Fraude; Tromperie; Recherche médicale; Ethique médicale

Introduction

La fraude et la tromperie dans la recherche médicale corrompent le bilan scientifique et conduisent à de fausses conclusions. Elles entraînent une perte de confiance du public dans la recherche médicale et les médecins. La fraude dans la recherche médicale touche toutes les catégories d’investigateurs.

Le cas le plus célèbre en Grande-Bretagne est sans doute celui de Malcolm Pearce, maître de conférences à la St George’s Hospital Medical School, et de Geoffrey Chamberlain, professeur et chef du département.1 En 1994, ils ont publié un article dans le British Journal of Obstetrics and Gynaecology, dont Pearce était le rédacteur en chef adjoint et Chamberlain le rédacteur en chef. L’article revendiquait le succès de la réimplantation d’une grossesse extra-utérine. Dans le même numéro, Pearce avait publié un essai contrôlé randomisé. Quelques mois plus tard, un chercheur junior de leur département a alerté les autorités que le cas de réimplantation était une œuvre de fiction et que les patientes randomisées dans l’essai n’existaient pas. L’affaire a conduit à la démission de Chamberlain et à la radiation de Pearce du registre médical. L’histoire a fait la une du journal Daily Mail.

Bien qu’il s’agisse d’un cas plutôt sensationnel, la fraude et la tromperie dans la recherche médicale ont une « pathogénie » et se manifestent de plusieurs manières. Dans cet article, la nature et les causes de la fraude et de la tromperie dans la recherche médicale sont examinées, ainsi que les solutions potentielles au problème.

Définitions de la fraude et de l’erreur

Selon le Comité d’Ethique Publique (COPE), le principe sous-jacent à l’inconduite est l’intention d’amener autrui à considérer comme vrai ce qui ne l’est pas.2 L’inconduite n’implique donc pas seulement un acte ou une omission particulière, mais aussi l’intention du chercheur, de l’auteur, du rédacteur, du réviseur ou de l’éditeur concerné.

Bien qu’une erreur honnête soit très différente d’une fraude délibérée, il ne suffit pas de dire que toute activité humaine, y compris la recherche, est sujette à l’erreur. Les archives scientifiques sont autant menacées par des erreurs honnêtes que par des fraudes délibérées. Il est donc de la responsabilité des auteurs de vérifier leur travail et d’en assurer l’exactitude.

Prévalence de la fraude et de la tromperie

Il est difficile d’estimer directement la prévalence de la fraude et de la tromperie dans la littérature médicale, mais des enquêtes par questionnaire permettent d’en avoir une idée indirecte. Une étude nord-américaine a révélé que 36% des étudiants en doctorat et en post-doctorat étaient au courant d’un cas d’inconduite scientifique ; en outre, 15% étaient prêts à faire tout ce qui était nécessaire pour obtenir une subvention ou publier un article.3 Une autre enquête auprès des biostatisticiens membres de la Société Internationale de Biostatistique Clinique (International Society for Clinical Biostatistics), qui peuvent être considérés comme impartiaux et dans une position privilégiée pour observer la fraude et la tromperie, a révélé que 51% des répondants avaient connaissance de projets frauduleux. Différentes formes de fraude, telles que la fabrication et la falsification de données, la communication trompeuse de résultats, la suppression de données et la conception ou l’analyse trompeuse, ont été observées dans des proportions assez similaires.4 Ces preuves réfutent de manière assez convaincante l’idée que la fraude ou la tromperie dans la recherche médicale est une activité relativement mineure et isolée. Elle est en effet très répandue.

Pratiques potentiellement douteuses dans la recherche médicale

Plagiat

Le plagiat peut aller de l’utilisation non référencée d’idées publiées ou non publiées d’autrui à la soumission sous un « nouvel » auteur d’un article complet, parfois dans une autre langue2.

Contrefaçon

La falsification est l’invention d’une partie ou de la totalité des données de recherche rapportées, y compris la description d’expériences qui n’ont jamais été réalisées.5 Des cas de falsification ont été largement médiatisés dans le passé.6, 7 Bien que la falsification soit la forme la plus évidente de fraude et de tromperie dans la recherche médicale, elle n’est en aucun cas le seul type d’inconduite.

« Traitement » et « élagage »

Le traitement consiste à ne retenir et à n’analyser que les résultats qui confirment l’hypothèse étudiée et à ignorer les données qui pourraient affaiblir les résultats. L’élagage consiste à lisser les irrégularités des données afin de rendre les résultats plus convaincants pour la publication. Ces infractions semblent légères par rapport au plagiat et à la falsification, mais elles constituent un premier pas pour le chercheur vulnérable sur la voie de la fraude et de la tromperie.

Mauvaise utilisation des techniques statistiques

En raison de la complexité de l’analyse statistique et de la difficulté qu’ont de nombreux chercheurs à la maîtriser, la fraude et la tromperie peuvent s’insinuer involontairement. Avec la facilité d’accès aux logiciels statistiques à menus et le manque de compréhension des hypothèses et des suppositions associées, des techniques inappropriées peuvent être employées et conduire à des recherches trompeuses.

Auteurs non-responsables

Les articles à auteurs multiples sont devenus de plus en plus courants au cours des dix dernières années, certains comptant jusqu’à 40 auteurs. Souvent, la qualité d’auteur a été accordée pour des raisons de reconnaissance plutôt qu’en raison d’une contribution scientifique directe à l’entreprise.

Il n’existe pas encore de définition universellement acceptée de la qualité d’auteur. Les directives du COPE stipulent que l’attribution de la qualité d’auteur doit équilibrer les contributions intellectuelles à la conception, au design, à l’analyse et à la rédaction par rapport à la collecte de données et aux autres travaux de routine. Elles précisent également que si aucune tâche ne peut être raisonnablement attribuée à une personne en particulier, celle-ci ne doit pas être créditée de la qualité d’auteur.

La qualité d’auteur a des conséquences importantes sur la responsabilité du matériel publié. Tous les auteurs ont la responsabilité de vérifier les données et de s’assurer de leur honnêteté. La plupart des revues demandent désormais aux auteurs de fournir une déclaration signée attestant qu’ils ont lu le manuscrit avant de le soumettre et qu’ils sont donc conscients de son contenu. Lorsque certains aspects d’un article dépassent les capacités d’un individu, la section concernée doit être vérifiée par une personne possédant l’expertise appropriée et n’ayant pas rédigé la contribution en question.

Publication redondante

Il y a publication redondante lorsque deux ou plusieurs articles, sans référence croisée, partagent la même hypothèse, les mêmes données, les mêmes points de discussion ou les mêmes conclusions.2 Bien que la publication antérieure d’un résumé dans les actes d’une réunion n’empêche pas une soumission ultérieure pour publication, une divulgation complète doit être faite au moment de la soumission. Une pratique quelque peu similaire, connue sous le nom de « découpage en tranches », permet la production de plusieurs articles par fragmentation d’un même ensemble de données.

Les conséquences de la fraude et de la tromperie

La fraude et la tromperie dans la recherche médicale peuvent entraîner deux problèmes majeurs pour la science en général. Premièrement, il y aura une érosion de la confiance dans la validité globale des découvertes scientifiques, ce qui pourrait entraîner un ralentissement du rythme de la recherche, les chercheurs passant de plus en plus de temps à essayer de confirmer le travail des autres plutôt que de s’en inspirer. Deuxièmement, la fraude ou la tromperie peut conduire à l’instauration d’une prise en charge des patients sur la base d’éléments qui ne reposent pas sur des faits scientifiques solides, ce qui pourrait ne pas avoir les effets bénéfiques escomptés, voire causer un préjudice aux patients.

Un cas important qui met en évidence ces deux aspects est celui de Mark Williams et Cameron Bowie.8 Les docteurs Bowie et Williams ont lancé une enquête sur les besoins des patients gravement handicapés dans la communauté. Les résultats ont été fascinants. Les personnes gravement handicapées qui n’étaient vues que par leur médecin généraliste et leur infirmière communautaire avaient beaucoup plus de besoins non satisfaits que celles qui étaient également vues par un travailleur social ou qui étaient en contact avec une organisation de patients. Les résultats ont fourni des preuves empiriques d’une évaluation médico-sociale inadéquate, et ont été rapportés, par coïncidence, juste au bon moment pour soutenir les propositions de soins communautaires du gouvernement. Plus tard, Williams a fait l’objet d’une enquête pour comportement frauduleux (notamment pour avoir menti sur ses qualifications) et a été radié du registre médical, ce qui a entraîné le retrait de toutes les recherches auxquelles il avait participé, y compris cette enquête.

Le Dr Bowie s’est plaint plus tard, au moment de la rétractation, que l’article avait été « déterminant » dans la réforme des soins communautaires et avait fait beaucoup de bien. Malheureusement, il n’avait pas examiné personnellement les données brutes et ne pouvait donc pas se porter garant de l’honnêteté de l’article, et n’avait donc pas d’autre choix que de le retirer.

Ce cas montre bien que tout degré de tromperie et de fraude peut avoir un effet désastreux sur la recherche médicale en général en raison de l’érosion de la confiance et de la méfiance à l’égard de la littérature scientifique.

Causes potentielles de fraude et de tromperie dans la recherche médicale

Les causes de la fraude et de la tromperie dans la recherche médicale peuvent être diverses. Dans les recherches financées généreusement par l’industrie, le gain financier peut être une motivation évidente. Dans les centres de recherche clinique, les motivations peuvent être plus complexes. La concurrence, évoquée ci-dessous, ou simplement le désir de célébrité peuvent être des facteurs contributifs.

Angell affirme que l’environnement sous haute pression dans lequel la recherche médicale est menée a donné lieu à la fraude et à la tromperie.9 Il souligne que, comme la promotion et le financement des médecins en médecine universitaire sont étroitement liés au nombre de leurs publications, les chercheurs se sentent poussés à publier aussi souvent que possible. Cette pression conduit, par exemple, à entreprendre des études insignifiantes parce qu’elles donnent des résultats rapides, à rapporter inutilement la même étude en plusieurs fois, à rapporter une étude plus d’une fois, à citer comme auteurs des personnes qui ne sont que marginalement impliquées dans l’étude ou même à faire de la contrefaçon pure et simple.

L’orgueil, qui consiste pour un chercheur à « savoir » quel devrait être le résultat d’une étude et à manipuler ou fabriquer les données pour confirmer cette conviction, peut conduire à la fraude. Le cas le plus célèbre est celui de William McBride, qui a été acclamé dans le monde entier pour avoir découvert que la thalidomide provoquait des malformations congénitales, mais ses études ultérieures, qui montraient la même chose pour le médicament debendox, ont été falsifiées. Il a ensuite admis avoir falsifié les données « dans l’intérêt de l’humanité ».

Angell propose en outre qu’un moyen efficace de réduire ces infractions et d’affirmer la suprématie de la substance sur le volume dans la recherche scientifique serait de plafonner le nombre de publications pouvant être prises en compte dans l’évaluation d’un candidat à une promotion ou à un financement. Chaque publication ferait alors l’objet d’une attention proportionnellement plus grande, tant de la part du chercheur que de ceux qui jugent le travail.

Dans le contexte américain, Petesdorf décrit un « syndrome pré-médical » dans la pathogenèse de la fraude et de la tromperie.10 Il affirme que la taille extraordinaire de la science (qui rend difficile la supervision des jeunes chercheurs) et la concurrence, tant professionnelle qu’économique, ont créé un terrain fertile pour la fraude. Petersdoft suggère que les solutions consistent à sélectionner plus soigneusement le personnel, à réduire les groupes de recherche trop importants et à examiner de plus près le travail à tous les niveaux – le laboratoire, le département universitaire et l’institution. Il suggère également que les institutions mettent en place des mécanismes pour enquêter sur les fraudes en matière de recherche lorsqu’elles sont découvertes.

Méthodes statistiques pour la détection de la fabrication de données

Diverses méthodes statistiques sont disponibles pour déterminer si des données sont susceptibles d’être fabriquées ou non.11 Ces techniques permettent de détecter des schémas « étranges » dans les données, y compris l’étude des valeurs aberrantes et centrales, la surdispersion, la sous-dispersion et les corrélations ou leur absence. Ces techniques reposent toutes sur le principe qu’il est assez difficile d’inventer des données plausibles, en particulier des données multivariées hautement dimensionnelles. La nature multicentrique des essais cliniques offre également la possibilité de vérifier la plausibilité des données soumises par un centre en les comparant aux données de tous les autres centres.

Par exemple, dans un essai randomisé en aveugle comparant deux groupes, les moyennes et les variances entre les valeurs de base peuvent être comparées entre les deux groupes. Des valeurs très différentes suggéreraient que les deux groupes n’ont pas pu être formés par répartition aléatoire. La préférence digitale a été décrite comme un test, bien qu’elle ne soit pas en soi une preuve de mauvaise conduite. Il est concevable que si l’on confie à deux personnes la tâche d’enregistrer les données du groupe de traitement et à une autre celle du groupe de contrôle, une préférence digitale puisse se produire. Cela ne pourrait pas se produire si le traitement en aveugle avait eu lieu.

Bien que les méthodes statistiques aient été décrites, peu d’exemples de leur application ont été publiés. En outre, les méthodes statistiques ne constituent pas à elles seules une preuve de la fabrication des données. Les méthodes statistiques peuvent toutefois être utilisées dans le cadre d’essais randomisés où les données brutes sont disponibles.

Dénonciation

La plupart des fraudes sont probablement détectées par les soupçons d’un collègue du service concerné. Lorsqu’on est témoin d’un comportement frauduleux de la part d’un collègue, il faut d’abord essayer d’évaluer s’il s’agit d’un acte délibéré ou accidentel. Dans ce dernier cas, il suffirait d’informer le collègue concerné.

Dans le cas d’un travail manifestement frauduleux, une lettre pourrait être envoyée au rédacteur en chef de la revue dans laquelle l’article a été publié, lettre qui pourrait ensuite être publiée sous forme d’erratum, idéalement avec le consentement de l’auteur fautif, afin de reconnaître publiquement sa culpabilité. S’il s’avère qu’il s’agit d’un comportement systématique et clairement négligent, il est fort probable que l’on souhaite en discuter avec un collègue expérimenté en qui l’on a confiance. S’il semble que l’affaire doive être poursuivie, l’étape suivante consistera à engager les procédures formelles de l’institution ou à consulter le COPE pour obtenir des conseils sur la manière de procéder. Cette question est particulièrement épineuse pour les membres juniors d’une équipe et peut avoir de graves conséquences personnelles.

La loi de 1998 sur la divulgation de l’intérêt public (Public Interest Disclosure Act) donne aux dénonciateurs le droit de se plaindre d’un licenciement abusif, à condition que les procédures correctes aient été suivies, mais elle ne protège pas l’emploi. Un système dans lequel l’emploi est protégé dans ces circonstances serait difficile à mettre en œuvre en raison de l’intimité des relations de travail dans une institution de recherche.

Lignes directrices et chiens de garde

Kassirer12 affirme que l’absence de programmes efficaces de responsabilisation et de réglementation entraînera l’adoption de mesures draconiennes par les organisations gouvernementales, ce qui limitera notre capacité à mener des recherches. Il préconise une autorégulation adéquate et rigoureuse pour rectifier les choses avant que la responsabilité ne soit retirée aux scientifiques.

Les États-Unis ont pris des mesures dans les années 1980 pour établir des limites d’acceptabilité pour la recherche médicale13, mais on a estimé que la prévalence de la fraude et de la tromperie en Grande-Bretagne était suffisamment faible pour ne pas nécessiter de directives explicites. Les gros titres qui ont suivi et d’autres initiatives qui ont donné naissance aux Uniform Requirements for Manuscripts Submitted to Biomedical Journals, communément appelées lignes directrices de Vancouver14 ont conduit à la création plus récente du COPE, fondé en 1997 par les rédacteurs en chef des journaux biomédicaux britanniques, notamment ceux du BMJ, de Gut et du Lancet2.

Le COPE a cinq objectifs déclarés : (1) donner des conseils sur les cas soumis par les rédacteurs en chef ; (2) organiser des réunions et publier un rapport annuel dans lequel ses membres ou des intervenants invités discutent des questions actuelles d’éthique de la publication et décrivent les cas portés à son attention ; (3) produire des conseils sur les bonnes pratiques ; (4) encourager la recherche ; (5) offrir un enseignement et une formation. Il n’a pas de statut juridique mais vise à provoquer un changement en faisant honte à l’establishment britannique pour qu’il réagisse de manière appropriée aux comportements inappropriés. On peut douter de la réussite de cette initiative ; d’après l’expérience américaine, Rennie15 fait remarquer qu’une méthode juridique plutôt que scientifique est nécessaire pour lutter contre la fraude, car les scientifiques ne sont pas formés à la résolution des conflits. Dans un éditorial du British Medical Journal (qui avait été touché par l’affaire Williams et Bowie, entre autres), Smith16 déclarait que « notre expérience avec le COPE montre clairement qu’une fois que les rédacteurs en chef commencent à prêter une attention sérieuse à l’inconduite, elle est là sous leurs yeux », et demandait la création d’un organisme national chargé de superviser toute la recherche scientifique. Le même numéro de la revue a consacré plusieurs articles au sujet de la fraude dans la recherche, ce qui indique la gravité du problème.

Gouvernance de la recherche

Les efforts visant à fournir un cadre national pour surveiller et réglementer les normes de comportement des chercheurs médicaux ont conduit à l’établissement de la gouvernance de la recherche pour le NHS et à des projets communs avec des partenaires (http://www.doh.gov.uk/research/whatsnew.htm ;). Le cadre de gouvernance a été publié par le Ministère de la Santé. Il fournit un registre des activités de recherche dans chaque institution, définit les normes, les mécanismes d’exécution et les dispositions de surveillance. La gouvernance de la recherche est liée à la soumission obligatoire aux comités d’éthique de la recherche médicale.17

Conclusions

La fraude et la tromperie dans le domaine de la recherche médicale sont très répandues et potentiellement très importantes. Son ampleur peut aller de ce qui peut sembler être un cadeau relativement inoffensif en tant qu’auteur pour un chef de service ou un collègue senior à la fabrication de données en masse. Grâce à la gouvernance de la recherche, les investigateurs doivent rester vigilants face aux dangers de la tromperie et de la fraude et doivent prendre des mesures réparatrices si nécessaire. La preuve d’une inconduite grave est souvent difficile à établir sans la présence d’un témoin oculaire, car les tests statistiques ne peuvent fournir une preuve définitive en soi. La communauté des chercheurs devrait décourager l’environnement dans lequel la publication à tout prix est acceptable. Les principes du comportement éthique devraient peut-être être introduits dans les programmes d’études des médecins et des scientifiques médicaux.

La fraude, qu’elle soit intentionnelle ou accidentelle, est trompeuse et dissimulée ; il sera donc difficile de prédire si les nouvelles directives et les nouveaux organismes de réglementation seront efficaces ; comme dans tant d’autres domaines de la vie, la confiance accordée aux auteurs sera toujours sujette à des abus.

Remerciements

Cet article a été soumis à l’origine en tant qu’essai pour l’achèvement du cours de MSc en sciences chirurgicales à l’Imperial College, Londres.


Texte original

Deceit and fraud in medical research

Usman Jaffer, Alan E.P. Cameron

The Ipswich Hospital, Ipswich, UK

Available online 29 March 2006.

Abstract

Deceit and fraud in medical research is a serious problem for the credibility of published literature. Although estimating its prevalence is difficult, reported incidences are alarming. The spectrum of the problem ranges from what may seem as rather innocuous gift authorship to wholesale fabrication of data. Potential factors which may have promoted fraud and deceit include financial gain, personal fame, the competitive scientific environment and scientific hubris. Fraud and deceit are difficult to detect and are generally brought to the fore by whistleblowers. Although most cases may be dealt with at an institutional level, regulatory organisations such as the Committee on Publication Ethics (COPE) and Medical Research Ethics Committee (MREC) have been established to monitor and try to remedy the problem.

Keywords

Fraud; Deceit; Medical Research; Medical Ethics

Introduction

Fraud and deceit in medical research corrupts the scientific record and leads to false conclusions. It leads to a loss in public trust in medical research and doctors. Fraud in medical research affects all grades of investigator.

Perhaps the most famous case in Britain was that of Malcolm Pearce, a senior lecturer at St George’s Hospital Medical School and Geoffrey Chamberlain, Professor and head of the department.1 In 1994 they published a paper in the British Journal of Obstetrics and Gynaecology, of which Pearce was assistant editor and Chamberlain editor. The paper claimed success in re-implanting an ectopic pregnancy. In the same issue, Pearce had published a randomised controlled trial. A few months later, a junior researcher in their department alerted authorities that the re-implantation case was a work of fiction and that the patients randomised in the trial did not exist. The affair led to Chamberlain resigning and Pearce being struck off the medical register. The story warranted front page attention in the Daily Mail newspaper.

Although this was a rather sensational case, fraud and deceit in medical research has a ‘pathogenesis’ and manifests itself in a number of ways. In this paper the nature and causes of fraud and deceit in medical research are examined as well as potential solutions to the problem.

Definitions of fraud and error

The committee on Public Ethics (COPE) holds that the principle underlying misconduct is intention to cause others to regard as true that which is not true.2 Misconduct, therefore, not only involves a particular act or omission, but also the intention of the researcher, author, editor, reviewer or publisher involved.

Although an honest mistake is very different from deliberate fraud, it is not enough to say that all human activity including research is prone to error. The scientific record is equally at risk from honest mistakes as from deliberate fraud. Hence it is the responsibility of the authors to check their work and ensure accuracy.

Prevalence of fraud and deceit

It is difficult to estimate the prevalence of fraud and deceit in the medical literature directly, but an indirect insight can be gained from questionnaire surveys. One North American study reported that 36% of doctoral and post-doctoral students were aware of an instance of scientific misconduct; furthermore, 15% were willing to do whatever was necessary to get a grant or publish a paper.3 Another survey of Biostatistician members of International Society for Clinical Biostatistics, who may be thought of as unbiased and in a prime position to observe fraud and deceit, revealed that 51% of respondents knew of fraudulent projects. Different forms of fraud such as fabrication and falsification of data, deceptive reporting of results, suppression of data, and deceptive design or analysis had been observed in fairly similar numbers.4 This evidence fairly convincingly debunks the idea that fraud or deceit in medical research is a relatively minor and isolated activity. It is indeed widespread.

Potentially dubious practices in medical research

Plagiarism

Plagiarism can range from the unreferenced use of others’ published or unpublished ideas to submission under ‘new’ authorship of a complete paper, sometimes in a different language.2

Forging

Forging is the invention of some or all of the research data that are reported, including the description of experiments that were never performed.5 Cases of forging have been well publicised in the past.6, 7 Although forging is the most obvious form of fraud and deceit in medical research, it is by no means the only type of misconduct.

‘Cooking’ and ‘trimming’

Cooking refers to retaining and analysing only those results that support the hypothesis being investigated and ignoring data which may weaken the results. Trimming involves smoothing the irregularities in the data to make the results look more convincing for publication. These offences seem mild in comparison to plagiarism and forging however they provide a first step for the vulnerable researcher down the road of fraud and deceit.

Misuse of statistical techniques

Owing to the complexity of statistical analysis and the difficulty many researchers have with it, fraud and deceit can creep in unwittingly. With the ready availability of menu driven statistical software and lack of understanding of associated hypotheses and assumptions, improper techniques may be employed leading to misleading research.

Irresponsible authorship

Multi-authored papers have become increasingly common over the past 10 years with some having up to 40 authors. Often ‘authorship’ has been granted for the need to accord recognition rather than due to any direct scientific contribution to the endeavour.

There is as yet no universally accepted definition of authorship. COPE guidelines state that the award of authorship should balance intellectual contributions to the conception, design, analysis and writing against the collection of data and other routine work. The guidelines go on to state that if there is no task that can be reasonably attributed to a particular individual then the individual should not be credited with authorship.

Authorship carries important implications for responsibility for the published material. All authors carry the responsibility to check data and ensure its honesty. Most journals now require authors to provide a signed statement that they have read the manuscript prior to submission and are thus aware of its contents. In cases where certain aspects of a paper are beyond an individual’s capabilities, the relevant section should be checked by someone with the appropriate expertise who has not written the particular contribution.

Redundant publication

Redundant publication occurs when two or more papers, without cross reference, share the same hypothesis, data, discussion points or conclusions.2 Although previous publication of an abstract during the proceedings of meetings does not preclude subsequent submission for publication, full disclosure should be made at the time of submission. A somewhat similar practice, known as “salami slicing” allows the production of multiple papers by fragmentation of the same data-set.

The consequences of fraud and deceit

Fraud and deceit in medical research may lead to two major problems for science in general. Firstly, there will be an erosion in trust in the overall validity of scientific discoveries which may lead to a slowing of the pace of research as investigators spend more and more time trying to confirm the work of others rather than building on it. And secondly, fraud or deceit may lead to patient management being instituted on evidence with a less than firm base in scientific fact and hence may not have the expected benefit and possibly cause harm to patients.

A prominent case which highlights both of these aspects is that of Mark Williams and Cameron Bowie.8 Drs Bowie and Williams instituted a survey of need of severely handicapped patients in the community. The results were fascinating. Those severely disabled people who were being seen only by their GP and community nurse had far more unmet needs than those who were also being seen by a social worker or who were in contact with a patient organisation. The results provided empirical evidence of inadequate medicosocial assessment, coincidentally reported at just the right time to back the government’s community care proposals. Later, Williams was investigated for fraudulent behaviour (including lying about his qualifications) and struck off the medical register which resulted in all the research he was involved in being withdrawn including this survey.

Dr Bowie lamented later at the time of retraction that the paper had been ‘seminal’ in community care reform and had done much good. Unfortunately he personally had not looked at the raw data and thus could not vouch for the honesty of the paper and so had no alternative but to withdraw it.

This case aptly demonstrates that any degree of deceit and fraud may have a disastrous effect on medical research in general owing to erosion of confidence and mistrust in the scientific literature.

Potential causes of fraud and deceit in medical research

There may be a variety of causes of fraud and deceit in medical research. In generously funded, industry supported research, clearly financial gain may be an incentive. In centres of clinical research, the motives may be more complex. Competition, discussed below, or simply the desire for fame may be contributing factors.

Angell argues that the highly pressurised environment in which medical research is carried out has given rise to fraud and deceit.9 He points out that because promotion and funding of physicians in academic medicine are closely linked to the number of their publications, investigators feel impelled to publish as frequently as possible. This pressure leads to, for instance, trivial studies being undertaken because they yield rapid results, needlessly reporting the same study in instalments, reporting a study more than once, and listing as authors people only marginally involved in the study or even to outright forging.

Hubris, where a researcher just ‘knows’ what the result of a study ought to be and manipulates or fabricates the data to confirm this belief, may lead to fraud. The most celebrated case is that of William McBride who gained worldwide acclaim for discovering that thalidomide caused birth defects but his subsequent studies showing the same for the drug debendox were falsified. He subsequently admitted forging the data “in the interests of humanity”.

Angell further proposes that an effective way to reduce these offences and affirm the supremacy of substance over volume in scientific research would be to place a ceiling on the number of publications that can be considered in evaluating a candidate for promotion or funding. Each publication would then receive commensurately more attention, both from the researcher and from those judging the work.

In the US setting, Petesdorf describes a “pre-med syndrome” in the pathogenesis of fraud and deception.10 He argues that the extraordinary size of science (which makes supervision of young investigators difficult), and competition, both professional and economic, has lead to fertile soil for fraud. Petersdoft suggests that solutions include more careful selection of personnel, reduction of excessively large research groups, and closer examination of work at all levels—the laboratory, the academic department, and the institution. He also suggests that institutions should have in place mechanisms to investigate research fraud when it is uncovered.

Statistical methods for the detection of data fabrication

Various statistical methods are available to investigate whether data is likely to be fabricated or not.11 The techniques detect ‘strange’ patterns in the data including studying outliers, inliers, overdispersion, underdispersion and correlations or lack thereof. These techniques all rest upon the premise that it is quite difficult to invent plausible data, particularly highly dimensional multivariate data. The multicentric nature of clinical trials also offers an opportunity to check the plausibility of the data submitted by one centre by comparing them with the data from all other centres.

For instance in a randomised blinded trial comparing two groups, means and variances between baseline values can be compared between the two groups. Values which differ greatly would suggest that the two groups could not have been formed by random allocation. Digit preference has been described as a test, although is not itself evidence of misconduct. It is conceivable that if two individuals were given the task to record data for the treatment group and another the data from the control group that digit preference may occur. This could not happen if blinding had taken place.

Although statistical methods have been described, few examples of their application have been published. Also, statistical methods alone are not proof of data fabrication. Statistical methods can however be used in the setting of randomised trials where raw data is available.

Whistleblowing

Most fraud is probably detected by the suspicions of a colleague in the relevant department. In the context of witnessing fraudulent behaviour by a colleague, one should first try to assess whether this is likely to be deliberate or accidental. In the latter case, all that would be necessary would be to inform the colleague involved.

In the case of clearly deliberately fraudulent work, a letter could be sent to the editor of the journal in which the paper appeared which could later be published as an erratum, ideally with the consent of the offending author as a public admission of culpability. If it becomes clear that this is a pattern of behaviour and clearly negligent in nature, one would most likely wish to discuss the matter with an experienced colleague whom one trusts. If it seems that the matter should be pursued, the next step would be to initiate the institution’s formal procedures or consult COPE for advice as to how to proceed. This is a particularly thorny issue for junior members of a team and could have serious personal consequences.

The 1998 Public Interest Disclosure Act gives whistleblowers the right to claim against wrongful dismissal, provided the correct procedures have been followed, but otherwise does not protect employment. A system where employment is protected under these circumstances would be difficult to implement owing to the intimacy of working relations in a research institution.

Guidelines and watchdogs

Kassirer12 argues that lack of effective accountability and regulatory programs will result in draconian measures being instituted by governmental organisations which will limit our ability to perform research. He advocates adequate and stringent self regulation to rectify matters before responsibility is taken out of the hands of scientists.

The US moved in the 1980s to establish acceptability limits to medical research,13 however it was thought that the prevalence of fraud and deceit in Britain was low enough not to require explicit guidance. Subsequent headline stories and other initiatives which produced the Uniform Requirements for Manuscripts Submitted to Biomedical Journals, commonly known as the Vancouver guidelines14 led to the more recent establishment of COPE, founded in 1997 by editors of British biomedical journals, including those of the BMJ, Gut and the Lancet.2

COPE has five stated aims: (1) to advise on cases brought by editors; (2) to hold meetings and publish an annual report in which its members or invited speakers discuss current issues of publication ethics and describe cases brought to its attention; (3) to produce guidance on good practice; (4) to encourage research; (5) to offer teaching and training. It does not have a legal standing but aims to cause change by shaming the British establishment into mounting a proper response to inappropriate behaviour. Whether this will be successful is dubious; from the US experience Rennie15 comments that a legal rather than scientific method is necessary to deal with fraud as scientists are not trained in conflict resolution. In an editorial in the British Medical Journal (which had been affected by the Williams and Bowie case amongst others) Smith16 stated that “our experience with COPE makes it clear that once editors begin to pay serious attention to misconduct it is there before their eyes”, and called for a national body to oversee all scientific research. The same issue of the journal devoted several articles to the subject of research fraud, indicating the seriousness of the problem.

Research governance

Efforts to provide a national framework to monitor and regulate standards of behaviour by medical researchers has led to the establishment of Research Governance for NHS and joint projects with partners (http://www.doh.gov.uk/research/whatsnew.htm;). The governance framework was published by the Department of Health. This provides a register of research activity in each institution, sets out standards, delivery mechanisms, and monitoring arrangements. Research governance links in with mandatory submission to the Medical Research Ethics Committees.17

Conclusions

Fraud and deceit in medical research is of significant prevalence and potentially widespread. Its scale can range from what may seem like a relatively innocuous gift authorship for a head of department or senior colleague to wholesale fabrication of data. Through Research Governance, investigators must maintain vigilance to the dangers of deceit and fraud and should take reparative steps when necessary. Proof of serious misconduct is often difficult to establish without ‘eye-witness’ evidence as statistical tests cannot provide definitive proof in themselves. The research community should discourage the environment where publication at any cost is acceptable. Perhaps the principles of ethical behaviour should be introduced into the curricula of doctors and medical scientists.

Fraud, whether intentional or accidental, is deceitful and concealed so it will be difficult to predict whether the new guidelines and regulatory bodies will be effective; as in so many other area of life, the trust extended to authors will always be open to abuse.

Acknowledgement

This paper was originally submitted as an essay towards completion of the MSc course in Surgical Sciences at the Imperial College, London.