L’ARNm est un agent cancérigène de classe 1 – par le Dr Ian Brighthope.

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L’ARNm est un agent cancérigène de classe 1

Aujourd’hui, au nom de mes amis professionnels et de mes collègues médecins, je déclare que les vaccins ARNm sont des cancérigènes de classe 1. L’ARNm est également un mutagène à large spectre. L’ARNm doit être interdit au niveau international.

Ian Brighthope

17 avril 2024

Cancérogènes

Les agents cancérogènes sont des substances, des organismes ou des agents capables de provoquer un cancer en altérant les mécanismes cellulaires, génétiques et épigénétiques de l’organisme, entraînant la transformation de cellules normales en cellules cancéreuses[2][7]. Ces agents peuvent être des substances chimiques, des virus ou même certains types de radiothérapies utilisées pour traiter le cancer[1]. Les agents cancérogènes peuvent être présents naturellement dans l’environnement, comme les rayons ultraviolets du soleil ou certains virus, ou être générés par les activités humaines, comme les gaz d’échappement des automobiles et la fumée de cigarette[2].

Le processus de cancérogénicité, également connu sous le nom de cancérogenèse ou de genèse des tumeurs, implique de multiples étapes au cours desquelles les cellules normales subissent une série de changements aux niveaux cellulaire, génétique et épigénétique, entraînant une division cellulaire anormale et la formation d’un cancer[16]. Ce processus se caractérise par:

1. Initiation: La première étape consiste à endommager directement l’ADN à l’intérieur d’une cellule par l’agent cancérigène, ce qui conduit à un ADN anormal qui ne fonctionne pas correctement. Ces dommages peuvent être causés par des substances chimiques, des virus ou des radiations[1]

2. Promotion: À la suite d’une lésion de l’ADN, l’organisme tente de réparer l’ADN endommagé. Cependant, les dommages causés par l’agent cancérigène interfèrent parfois avec les processus de réparation, ce qui entraîne d’autres anomalies[16].

3. Progression: Au fil du temps, l’accumulation d’altérations génétiques et épigénétiques perturbe l’équilibre normal entre la prolifération cellulaire et la mort cellulaire programmée (apoptose), ce qui entraîne une division cellulaire incontrôlée et l’évolution des cellules cancéreuses[16].

Les substances cancérogènes ne provoquent pas nécessairement le cancer dans tous les cas ou dans toutes les circonstances. Des facteurs tels que la quantité et la durée de l’exposition, le patrimoine génétique de l’individu et l’exposition à d’autres facteurs environnementaux jouent un rôle important pour déterminer si une personne exposée à un agent cancérigène développera finalement un cancer[1][5]. En outre, toutes les mutations provoquées par les substances cancérogènes ne conduisent pas au cancer; seules certaines mutations dans des gènes spécifiques qui régulent la croissance cellulaire, l’apoptose et la réparation de l’ADN peuvent entraîner une prolifération cellulaire incontrôlée et un cancer[16].

Les substances cancérogènes peuvent être classées, en fonction de leur mode d’action, en substances cancérogènes génotoxiques et non génotoxiques. Les cancérogènes génotoxiques interagissent directement avec l’ADN et/ou l’appareil cellulaire, affectant l’intégrité du génome, tandis que les cancérogènes non génotoxiques exercent leurs effets par des mécanismes qui n’impliquent pas de dommages directs à l’ADN[12]. Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) classe les substances cancérogènes en catégories en fonction de la solidité des preuves de leur cancérogénicité pour l’homme, allant de « cancérogène pour l’homme » (groupe 1) à « non classable quant à sa cancérogénicité pour l’homme » (groupe 3)[7].

En résumé, les substances cancérogènes sont des agents susceptibles de provoquer un cancer par le biais d’un processus à plusieurs étapes impliquant l’altération des mécanismes cellulaires et génétiques, conduisant à la transformation de cellules normales en cellules cancéreuses. Le potentiel cancérogène d’une substance dépend de divers facteurs, notamment le type d’exposition, les prédispositions génétiques et la présence d’autres facteurs de risque.

Du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC)

Les monographies du CIRC identifient les facteurs susceptibles d’augmenter le risque de cancer chez l’homme, y compris les facteurs liés au mode de vie.5-7 Des groupes de travail interdisciplinaires composés d’experts scientifiques examinent les études publiées et évaluent le poids de la preuve qu’un agent peut augmenter le risque de cancer. Les agents sont ensuite classés comme cancérogènes, probablement ou peut-être cancérogènes, ou non cancérogènes pour l’homme, en fonction de la solidité des preuves.

Les preuves de la cancérogénicité des agents provenant d’études sur l’homme sont classées en quatre catégories par le groupe de travail du CIRC:90

  • Preuves suffisantes de cancérogénicité (classification la plus élevée du CIRC pour la cancérogénicité): Le groupe de travail considère qu’une relation de cause à effet a été établie entre l’exposition à l’agent et le cancer chez l’homme. Cela signifie qu’une relation positive a été observée entre l’exposition et le cancer dans des études où le hasard, les biais et les facteurs de confusion ont pu être exclus avec une confiance raisonnable.
  • Preuves limitées de cancérogénicité (association positive): Une association positive a été observée entre l’exposition à l’agent et le cancer, pour laquelle une interprétation causale est jugée crédible par le groupe de travail, mais le hasard, le biais ou la confusion n’ont pas pu être écartés avec un degré de confiance raisonnable.
  • Preuves de cancérogénicité insuffisantes: Les études disponibles sont d’une qualité, d’une cohérence ou d’une puissance statistique insuffisantes pour permettre de conclure à la présence ou à l’absence d’une association causale entre l’exposition et le cancer, ou aucune donnée sur le cancer chez l’homme n’est disponible.
  • Preuves suggérant l’absence de cancérogénicité: Il existe plusieurs études adéquates couvrant toute la gamme des niveaux d’exposition auxquels l’homme est susceptible d’être exposé, qui sont toutes cohérentes et ne montrent pas d’association positive entre l’exposition à l’agent et l’un des cancers étudiés, quel que soit le niveau d’exposition observé.

Le groupe de travail du CIRC prend également en compte l’ensemble des preuves afin de parvenir à une évaluation globale de la cancérogénicité de l’agent pour l’homme. La classification d’un agent dans l’un des quatre groupes suivants est une question de jugement scientifique qui reflète la force des preuves dérivées d’études chez l’homme et chez l’animal de laboratoire, ainsi que de données mécanistiques et d’autres données pertinentes:90

  • Cancérogène du groupe 1: L’agent est cancérogène pour l’homme. Cette catégorie est utilisée lorsqu’il existe des preuves suffisantes de cancérogénicité chez l’homme.
  • Groupe 2: Groupe 2A (probablement cancérogène pour l’homme) ou Groupe 2B (peut-être cancérogène pour l’homme). Cette catégorie comprend les agents pour lesquels, à un extrême, le degré de preuve de cancérogénicité chez l’homme est presque suffisant, ainsi que ceux pour lesquels, à l’autre extrême, il n’y a pas de données humaines mais pour lesquels il existe des preuves de cancérogénicité chez les animaux de laboratoire.
  • Groupe 3: l’agent ne peut être classé quant à sa cancérogénicité pour l’homme. Cette catégorie est le plus souvent utilisée pour les agents pour lesquels les preuves de cancérogénicité sont insuffisantes chez l’homme et insuffisantes ou limitées chez les animaux de laboratoire.
  • Groupe 4: l’agent n’est probablement pas cancérogène pour l’homme. Cette catégorie est utilisée pour les agents pour lesquels il existe des preuves suggérant l’absence de cancérogénicité chez l’homme et chez les animaux de laboratoire.

Remarque : cette prise de position n’inclut pas les agents pour lesquels les preuves de cancérogénicité sont insuffisantes ou les preuves suggérant une absence de cancérogénicité, ni les agents qui ont été classés dans une catégorie inférieure au groupe 1 par le groupe de travail du CIRC.

Fonds mondial de recherche sur le cancer (WCRF) et Institut américain de recherche sur le cancer (AICR)

Le rapport 2007 du WCRF et de l’AICR intitulé Food, Nutrition, Physical Activity and the Prevention of Cancer: a Global Perspective (Alimentation, nutrition, activité physique et prévention du cancer: une perspective mondiale) et les mises à jour ultérieures spécifiques aux tumeurs sont basés sur des analyses systématiques de la littérature scientifique concernant l’alimentation, la nutrition et l’activité physique.8-15 Un groupe d’experts a jugé et classé les preuves comme convaincantes, probables, limitées ou peu susceptibles d’affecter le risque de cancer, et a élaboré des recommandations visant à réduire l’incidence du cancer.

Les groupes d’experts du WCRF et de l’AICR se sont prononcés sur la causalité de la maladie en se fondant sur l’évaluation d’analyses systématiques de la littérature menées de manière indépendante. Le groupe d’experts du WCRF et de l’AICR a classé les preuves en cinq catégories:8

  • Preuves convaincantes: Il s’agit du niveau le plus élevé attribué par le groupe d’experts du WCRF et de l’AICR, pour des preuves suffisamment solides pour étayer un jugement sur une relation causale convaincante, qui justifie des objectifs et des recommandations visant à réduire l’incidence du cancer.
  • Preuves probables: Il s’agit du deuxième niveau le plus élevé attribué par le groupe d’experts du WCRF et de l’AICR, pour des preuves suffisamment solides pour étayer un jugement sur une relation causale probable, qui justifierait généralement des objectifs et des recommandations visant à réduire l’incidence du cancer.
  • Limité – preuves suggestives: Ces critères s’appliquent aux preuves qui sont trop limitées pour permettre un jugement causal probable ou convaincant, mais où il existe des preuves suggérant une direction d’effet.
  • Limité – pas de conclusion: Les preuves sont si limitées qu’aucune conclusion ferme ne peut être tirée. Cette catégorie est destinée à autoriser toute exposition pour laquelle les données sont suffisantes pour justifier l’examen du groupe, mais pour laquelle les preuves sont insuffisantes pour permettre un classement plus définitif.
  • Effet substantiel sur le risque improbable: Les preuves sont suffisamment solides pour permettre de juger qu’il est peu probable qu’une exposition particulière à un aliment, à une nutrition ou à une activité physique ait une relation causale substantielle avec un résultat cancéreux.

Remarque: cette prise de position n’inclut pas les agents pour lesquels le groupe d’experts a jugé que les preuves étaient limitées – pas de conclusion ou effet substantiel sur le risque improbable.

COMMENTAIRE:

Décidez vous-mêmes du niveau de cancérogénicité qui caractérise l’ARNm.

Professeur Ian Brighthope

Cliquez pour l’article complet:

[NdT. un des auteurs est le Dr Fukushima, publié ici et ici]

Augmentation de la mortalité par cancer ajustée à l’âge après la troisième dose de vaccin à base de nanoparticules lipidiques d’ARNm au cours de la pandémie de COVID-19 au Japon

Résumé
Au cours de la pandémie de COVID-19, la surmortalité, notamment par cancer, est devenue préoccupante au Japon, où la population vieillit rapidement. Cette étude visait donc à évaluer l’évolution des taux de mortalité corrigés de l’âge (TMA) pour différents types de cancer au Japon pendant la pandémie de COVID-19 (2020-2022). Les statistiques officielles du Japon ont été utilisées pour comparer les TMA annuels et mensuels observés avec les taux prédits sur la base des chiffres antérieurs à la pandémie (2010-2019) à l’aide d’une analyse de régression logistique. Aucune surmortalité significative n’a été observée au cours de la première année de la pandémie (2020). Toutefois, une surmortalité par cancer a été observée en 2021 après la vaccination de masse avec la première et la deuxième dose de vaccin, et une surmortalité significative a été observée pour tous les cancers et certains types spécifiques de cancer (notamment le cancer de l’ovaire, la leucémie, le cancer de la prostate, le cancer des lèvres/de la bouche/du pharynx, le cancer du pancréas et le cancer du sein) après la vaccination de masse avec la troisième dose en 2022. Les TMA pour les quatre cancers les plus meurtriers (poumon, colorectal, estomac et foie) ont affiché une tendance à la baisse jusqu’à la première année de la pandémie en 2020, mais le taux de diminution s’est ralenti en 2021 et 2022. Cette étude examine les explications possibles de ces augmentations des taux de mortalité par cancer ajustés en fonction de l’âge.

La littérature sur le TURBO CANCER augmente rapidement – 6 nouveaux articles sur le Turbo Cancer dû au vaccin COVID-19 publiés en avril 2024 – 26 au total – le barrage se rompt et il emportera Pfizer et Moderna avec lui.

CONCLUSION

Des augmentations statistiquement significatives des taux de mortalité ajustés en fonction de l’âge pour tous les cancers et certains types spécifiques de cancer, à savoir le cancer de l’ovaire, la leucémie, le cancer de la prostate, le cancer des lèvres/de la bouche/du pharynx, le cancer du pancréas et le cancer du sein, ont été observées en 2022 après que les deux tiers de la population japonaise eurent reçu la troisième dose ou une dose ultérieure du vaccin ARNm-NPL contre le SARS-CoV-2. Ces augmentations particulièrement marquées des taux de mortalité de ces cancers sensibles aux ERα peuvent être attribuées à plusieurs mécanismes de la vaccination ARNm-NPL plutôt qu’à l’infection par COVID-19 elle-même ou à une réduction des soins anticancéreux due au confinement.

Commentaire du Dr John Campbell:

N’ayez pas peur de la maladie X – par le Dr Kevin Stillwagon.

Deuxième article du même auteur, clair, concis et plein de bon sens. Merci, Docteur.

Source.


N’ayez pas peur de la maladie X,

…car la peur est leur arme.

N’ayez pas peur de la maladie X. Tout ce qui fuit ou est libéré d’un laboratoire doit pénétrer à l’intérieur de vous pour causer des dommages. Vous disposez de mécanismes de défense naturels pour empêcher que quelque chose ne pénètre à l’intérieur de votre corps. Il s’agit notamment de la muqueuse de la barrière épithéliale et des cellules immunitaires qui protègent cette barrière. Essayer d’empêcher l’agent associé à la maladie X de pénétrer dans la barrière épithéliale par des mesures de confinement, de distanciation sociale et de masquage ne fonctionnera pas [NdT. en fait, les masques augmentent le risque de contamination des voies respiratoires inférieures – j’ai un exemple vécu]. C’est ce qu’ont prouvé les mesures draconiennes auxquelles les gens se sont laissés prendre lors de la panique du covid.

Lorsque l’agent pénètre dans le mucus qui recouvre la barrière épithéliale, il peut être détecté à l’aide de diverses méthodes, mais cela ne signifie rien. Il n’est pas à l’intérieur de votre corps. Les gens sont tombés dans le panneau avec le test PCR covid. Ne tombez pas à nouveau dans ce panneau. Des millions de personnes ont été testées positives mais n’ont jamais été malades parce que l’agent était à l’extérieur d’elles et non à l’intérieur. Si vous êtes si effrayé à l’idée que quelque chose soit présent dans votre morve, rincez-la avec un lavage nasal.

J’utilise le mot « agent », car il peut s’agir de n’importe quoi: un virus, une bactérie, une toxine ou du matériel génétique astucieusement enveloppé dans une nanoparticule lipidique ou une autre enveloppe artificielle.

Si l’agent traverse le mucus et fusionne avec la membrane cellulaire qui constitue la barrière épithéliale, ce qu’il contient peut pénétrer dans la cellule épithéliale. Dans ce cas, les personnes dont le système immunitaire est correctement régulé possèdent des récepteurs de type Toll qui signalent aux cellules immunitaires, par le biais de diverses cytokines, d’éliminer les cellules épithéliales et toutes les parties de l’agent de manière non inflammatoire. Les cellules épithéliales sont remplacées par de nouvelles cellules et l’agent ne pénètre jamais à l’intérieur du corps.

Si un agent traverse la barrière épithéliale et pénètre dans le sang, la lymphe ou les espaces interstitiels, nous disposons encore de mécanismes pour l’empêcher de pénétrer dans d’autres cellules tissulaires. Mais si le système immunitaire est déréglé, il peut réagir de manière excessive et endommager les cellules tissulaires, ce qui entraîne une morbidité et une mortalité excessives. C’est la réponse immunitaire qui peut être dommageable et mortelle, et non l’agent envahisseur.

Notre expérience avec le covid nous a appris que nous pouvons faire en sorte que la réponse immunitaire reste régulée et que nous pouvons également gérer l’inflammation et les lésions tissulaires qui peuvent survenir en cas de dérèglement du système immunitaire. N’oublions pas cette leçon. Si nous l’oublions, nous cédons à la peur.

La peur est leur arme. Elle vous conduira à prendre la décision de vous faire injecter l’agent, une partie de l’agent, ou le message visant à produire une partie de l’agent, en franchissant directement la barrière protectrice. Vous vous infectez délibérément, pensant que cela vous protégera d’une manière ou d’une autre. Ce n’est pas le cas. Cela fait exactement le contraire en déréglant le système immunitaire et en affaiblissant les mécanismes naturels conçus par Dieu pour vous protéger.

Merci de m’avoir lu et de rester intelligent.

L’ARNm personnalisé arrive à grands pas – par le Dr Kevin Stillwagon.

« Ils » nous ont balancé des turbo-cancers mais heureusement, ils ont la solution. Ou pas.

Au fait, ça concerne qui exactement? Le désormais célèbre parlementaire britannique Andrew Bridgen nous explique cette petite scène. C’est de l’humour british pince-sans-rire. Ou pas.

En février, j’ai été menacé par le gouvernement. Un ministre très, très haut placé, qui était un de mes amis et qui m’a fait entrer en politique, s’est approché de moi dans le salon de thé – et c’est sa parole contre la mienne – il s’est approché de moi et m’a chuchoté à l’oreille: « Tu peux parler autant que tu veux, Andrew. Tu es vacciné, tu vas bientôt mourir d’un cancer ». Quel genre de personne est capable de dire ce genre de chose?

I was threatened in February by the government. A very, very senior Minister who used to be a friend of mine, he got me into politics, came up to me in the tea room – and it’s his word against mine – but I mean, he came up and whispered in my ear « You can speak up all you want to, Andrew. You’re vaccinated, you’re going to be dead of cancer soon ». What sort of person would say that to anybody?

Le cancer de Kate Middleton et celui de son beau-père ne sont pas non plus d’heureux présages.

Wait and see…

Source.


L’ARNm personnalisé arrive à grands pas,

…mais cela guérira-t-il le cancer comme on le prétend?

Dr Kevin Stillwagon

18 janvier 2024

Moderna, sponsorisé par Merck, a mené des essais expérimentaux sur son « vaccin » anti-cancer ARNm-1457/V940. Voici comment il est censé fonctionner: les chercheurs prélèvent sur une personne des cellules cancéreuses de la tumeur et procèdent à un séquençage génétique à la recherche de protéines anormales. Lorsqu’ils trouvent ces protéines anormales, ils en choisissent une et concoctent un ARNm codé pour que les cellules humaines normales fabriquent cette protéine. Ils injectent ensuite cet ARNm à la personne cancéreuse. L’idée est de créer une réponse immunitaire contre cette protéine. En fin de compte, les cellules T cytotoxiques seront capables de reconnaître les cellules cancéreuses qui contiennent cette protéine et de les détruire, éliminant ainsi le cancer. Ça a l’air bien, non?

Ok, réfléchissons un peu. L’ARNm doit être introduit dans les cellules. Comment font-ils? Exactement de la même manière qu’avec les injections covid… en encapsulant l’ARNm dans des nanoparticules lipidiques qui se diffuseront PARTOUT. Il y aura alors des cellules normales tout au long du système vasculaire et dans les tissus organiques, y compris le cerveau, qui produiront la protéine anormale. La réaction du système immunitaire sera de détruire ces cellules normales. En fonction de l’endroit où cette destruction a lieu et de l’ampleur de cette destruction, dont rien ne peut être prédit, diverses pathologies surviendront.

Pendant que la protéine anormale est fabriquée, les cellules T-helper, qui sont constamment à la recherche de protéines anormales, seront activées. Elles activeront à leur tour les cellules T cytotoxiques, qui se cloneront elles-mêmes. Ces cellules T cytotoxiques ont le pouvoir de détruire les cellules qui portent ou contiennent la protéine anormale. Les cellules cancéreuses seront assurément détruites, mais les cellules saines qui fabriquent la protéine anormale seront également attaquées.

Ils ne s’y prennent pas de la bonne façon. Ils apprendront à leurs dépens qu’il ne faut pas fabriquer davantage de protéines anormales, mais renforcer la capacité du système immunitaire à reconnaître les protéines anormales déjà produites par les cellules cancéreuses.

Voici ce qui nous attend ensuite. Ils vont vous convaincre qu’ils peuvent concocter de l’ARNm pour coder des protéines NORMALES, comme l’insuline, l’injecter à des personnes qui ne peuvent pas produire d’insuline et guérir le diabète. Cela semble bien, mais n’oubliez pas qu’ils doivent faire pénétrer cet ARNm dans vos cellules. Pour ce faire, ils utilisent une bulle de graisse non toxique astucieusement enveloppée de cholestérol et de DSPC, des graisses corporelles normales, afin qu’elle soit acceptée par toutes les cellules de l’organisme. À l’intérieur de cette bulle de graisse se trouvent de plus petites bulles de graisse qui contiennent l’ARNm. Malheureusement, ces petites bulles de graisse sont toxiques, restent sur place après la libération de l’ARNm, peuvent s’accumuler dans certains tissus et perturber les mitochondries de ces cellules, affectant ainsi leurs fonctions. Ce problème a été abordé dans mon Substack, ici.

L’insuline codée par l’ARNm injecté est donc une protéine normale, ce qui signifie que le système immunitaire n’attaquera probablement pas les cellules qui la fabriquent. Mais un autre problème se pose. Des cellules de l’organisme produisent maintenant de l’insuline alors qu’elles ne devraient pas en produire. La manipulation de la production d’insuline dans des cellules non productrices d’insuline pourrait avoir des conséquences.

Tout d’abord, la production d’insuline est étroitement régulée par le système endocrinien. Cette régulation pourrait facilement être perturbée, entraînant des déséquilibres dans l’homéostasie du glucose et des effets indésirables potentiels. Deuxièmement, les cellules ont des fonctions spécialisées et le fait de modifier leurs fonctions pour produire de l’insuline peut interférer avec leurs rôles normaux. Troisièmement, même si la protéine produite est une protéine normale, l’ARNm qui code pour cette protéine n’a pas sa place dans certaines cellules. Les récepteurs de type Toll peuvent identifier la présence de cet ARNm et demander la destruction de ces cellules. Enfin, si divers types de cellules fabriquent trop d’insuline, l’organisme pourrait ne pas être en mesure de réguler sa production, ce qui entraînerait une hypoglycémie (baisse du taux de sucre dans le sang).

La technologie de l’ARNm ne nous sauvera pas des maladies chroniques que nous nous infligeons et ne préviendra pas non plus les maladies transmissibles. Nous devons cesser d’essayer d’être plus malins que Dieu, sinon nous allons au-devant de graves problèmes.

Merci de m’avoir lu et de rester intelligent.

Les injections d’ARN auto-amplifiant arrivent: le danger inavoué – par Klaus Steger.

Un article tiré de Epoch Times, qui est essentiellement une publication (virtuelle) anti-communisme chinois et un dépliant publicitaire permanent pour Trump, dont, à propos et à mon humble avis, la réinvestiture ne fait plus le moindre doute. J’y reviendrai.

Quoique moins amusant que le précédent, l’article est scientifiquement mieux détaillé – son auteur n’est pas n’importe qui – et reprend en plus des infos déjà développées précédemment sur ce blog, qui pourront éventuellement servir aux néophytes.

Note de traduction: je n’ai pas pu confirmer l’abréviation française de ARN modifié en « ARNmod », je vous la livre donc telle quelle. L’abréviation anglaise, « modRNA » est évidemment la raison d’être du nom de Moderna. L’abréviation de ARN auto-amplifiant en « ARNa » est exacte.

Source.


Les injections d’ARN auto-amplifiant arrivent: le danger inavoué

Klaus Steger

29 novembre 2023

La prochaine génération d’injections à base d’ARN contiendra de l’ARN auto-amplifiant (ARNa). Si le terme « ARN auto-amplifiant » semble effrayant, c’est qu’il devrait l’être. Il évoque sans doute des images d’expériences scientifiques échappant à tout contrôle.

Comme nous l’avons vu dans un article précédent, les « vaccins à ARNm » ne sont pas fabriqués avec de l’ARN messager, mais avec de l’ARN modifié (« ARNmod »). Ces prétendus vaccins sont en fait des produits de thérapie génique (PTG), car l’ARNmod modifie le logiciel de nos cellules. Nous n’avons aucune possibilité d’influencer l’ARNmod (ou l’ARNa) une fois qu’il a été injecté.

Qu’est-ce qui distingue l’ARNa de l’ARNmod?

Le terme « auto-amplifiant » est explicite: l’ARNa se réplique de manière répétée, ce qui n’est pas naturel, puisque l’ARNm naturel est toujours (sans exception) transcrit à partir de l’ADN (c’est ce qu’on appelle le « dogme central de la biologie moléculaire »).

Par rapport à l’ARNmod, une petite quantité d’ARNa entraîne une augmentation de la quantité d’antigènes produits; une injection d’ARNa peut suffire à générer suffisamment d’anticorps contre un virus.

L’ARNa et l’ARNmod constituent tous deux le plan d’une protéine virale qui, après avoir pénétré dans nos cellules, sera produite par notre machinerie cellulaire (c’est-à-dire les ribosomes).

Les scientifiques ont créé la séquence ARNmod génétiquement modifiée en remplaçant les uridines naturelles par des méthyl-pseudouridines synthétiques afin de générer une quantité maximale d’antigène viral. Cette modification est à la base des vaccins COVID-19 de Pfizer-BioNTech et de Moderna.

Contrairement à l’ARNmod, l’ARNa ne contient pas de méthyl-pseudouridines, mais des uridines. Pourquoi? Étant donné que l’ARNa se réplique lui-même et que les méthyl-pseudouridines synthétiques ne sont pas disponibles dans nos cellules, l’ARNa doit s’appuyer sur les uridines naturelles qui existent dans nos cellules. Nos cellules produiront des protéines étrangères en utilisant leur propre machinerie cellulaire et leurs propres ressources naturelles – la principale raison pour laquelle ces cellules finissent par s’épuiser.

Cependant, cela pose un problème important: l’ARNm est très instable et n’a donc qu’une courte durée de vie, trop courte pour que notre système immunitaire produise suffisamment d’anticorps. La solution à ce problème est la deuxième différence entre l’ARNmod et l’ARNa.

Contrairement à l’ARNmod, l’ARNa contient une séquence supplémentaire pour la réplicase, car l’ARNa détruit (par les RNases) doit être remplacé par un nouvel ARNa.

Étant donné que l’ARNm naturel ne se répliquera jamais de lui-même, l’ARNa constitue sans aucun doute un ARN génétiquement modifié (ARNmod).

En d’autres termes, l’ARNa n’est qu’un autre type d’ARN modifié.

Pourquoi passer à l’ARNa?

L’ARNa est la solution politique: la même quantité (ou même plus) d’antigène en une seule injection! On expliquera probablement au public qu’en raison des mutations régulières du virus, des injections de rappel [boosters] annuelles adaptées continueront d’être nécessaires.

De nombreuses études précliniques et cliniques appliquant la technologie de l’ARNa ont déjà été entreprises. Une revue publiée en 2023 dans le journal Pathogens présente les vaccins à ARNa comme des « vaccins à ARNm améliorés ». La revue Vaccines a publié un résumé de cinq années de résultats d’études sur l’ARNa. Une fois les études cliniques requises terminées, l’utilisation de ces nouveaux vaccins pourra être approuvée. On peut s’attendre à ce que ce processus soit aussi rapide que pour les vaccins COVID-19. Le processus d’approbation sera simplifié, car on pourrait faire valoir que la technique (ARNmod dans des nanoparticules lipidiques) est déjà approuvée et que seule la séquence de l’ARNmod est différente. Par conséquent, ces nouveaux vaccins à ARNa pourraient être injectés à tout moment à un public non averti.

Alors que BioNTech a réalisé des expériences avec l’ARNa (BNT162c2) mais s’est finalement concentré sur l’ARNmod (BNT162b2), Arcturus Therapeutics a été le premier à annoncer (en 2022) que son candidat vaccin COVID-19 ARCT-154 à ARNa – aujourd’hui le vaccin ARNa le plus avancé dans les essais – a atteint le critère d’efficacité primaire dans une étude de phase 3.

Dans l’étude d’Arcturus Therapeutics, les participants ont reçu deux doses, chacune contenant 5 microgrammes d’ARNa. C’est beaucoup moins que les concentrations d’ARNmod utilisées par Pfizer-BioNTech (30 microgrammes par injection) et Moderna (100 microgrammes par injection).

Les injections d’ARNa ne résoudront pas les problèmes posés par les injections d’ARNmod

Comme nous l’avons découvert avec l’ARNmod, la protéine de pointe est un poison pour notre organisme. Nous savons que l’ARNmod entraîne la production d’une plus grande quantité de protéine de pointe que celle qui serait disponible lors d’une infection naturelle, et nous savons que des injections répétées entraînent une tolérance immunitaire.

Par rapport à l’ARNmod, une petite quantité d’ARNa entraîne une augmentation de la quantité d’antigènes produits.

La « dose » d’antigène viral produite par les vaccins actuels et futurs à base d’ARN varie considérablement d’un individu à l’autre, en fonction du type de cellule produisant l’antigène désiré, de la prédisposition génétique, des antécédents médicaux et d’autres facteurs. Ce seul fait devrait interdire l’utilisation d’injections à base d’ARN comme vaccins pour les personnes en bonne santé.

Un autre pas en avant douteux: de l’ARNa linéaire à l’ARNa circulaire

Les enzymes dégradant l’ARN (RNases) étant connues pour agir aux deux extrémités de l’ARN linéaire, les scientifiques ont essayé d’empêcher ces enzymes de faire leur travail naturel – dégrader les ARNm qui ne sont plus nécessaires – et ont créé un ARN circulaire. Cela a permis d’accroître la stabilité et l’efficacité de la traduction, puis la production d’une quantité accrue de l’antigène désiré.

Mais s’agit-il vraiment d’un nouveau pas en avant? Considérons l’effet négatif de la présentation prolongée d’antigènes. En raison de l’augmentation des niveaux d’antigène, une injection d’ARNa – qu’il soit linéaire ou circulaire – peut entraîner des effets indésirables comparables à des injections répétées (de rappel) d’ARNmod.

La présentation à long terme d’un antigène est connue pour provoquer une tolérance immunitaire

Après avoir été vacciné, notre corps produit des anticorps, principalement des immunoglobulines G (IgG), comprenant des IgG1 et des IgG4.

Les personnes vaccinées présentent un changement de classe d’anticorps à partir de la troisième injection COVID-19 (le premier rappel ou booster). Ils passent des anticorps IgG1 inflammatoires (qui combattent la protéine de pointe) aux anticorps IgG4 non inflammatoires (qui tolèrent la protéine de pointe). Des niveaux élevés d’anticorps IgG4, à long terme, épuisent le système immunitaire, provoquant une tolérance immunitaire. Cela peut expliquer les « percées » de COVID-19, la réduction de la réponse immunitaire à d’autres infections virales et bactériennes et la réactivation d’infections virales latentes. Cela peut également être à l’origine de maladies auto-immunes et d’une croissance incontrôlée du cancer.

Notamment, les réponses IgG4 à long terme ont été associées de manière significative aux injections à base d’ARN, alors que les personnes ayant contracté une infection par COVID-19 avant la vaccination n’ont pas présenté d’augmentation des niveaux d’IgG4, même lorsqu’elles ont reçu une injection après l’infection.

Cette observation discrédite clairement la politique de l’Organisation Mondiale de la Santé selon laquelle – en supposant que les gens n’ont pas d’immunité contre les nouveaux virus (ignorant complètement la réalité de l’immunité croisée) – les gens devraient être vaccinés avant qu’ils n’entrent en contact avec le virus.

Les injections à base d’ARN sont reconnues comme des produits de thérapie génique

De manière incompréhensible, les injections à base d’ARN destinées à protéger contre les maladies infectieuses ont été appelées « vaccins », ce qui a permis de les exclure de la réglementation stricte applicable aux produits de thérapie génique (PTG). Une fois de plus, cela s’est produit sans fournir au public la moindre justification scientifique.

Les détails des questions réglementaires relatives aux vaccins à base d’ARN font l’objet d’excellentes analyses exhaustives par Guerriaud & Kohli et Hélène Banoun.

En 2014, Uğur Şahin, déjà PDG de BioNTech, a coécrit un article publié dans Nature sur le développement d’une nouvelle classe de médicaments, les « thérapies à base d’ARNm ». Les auteurs ont écrit: « On s’attendrait à ce que la classification d’un médicament à base d’ARNm soit un produit biologique, une thérapie génique ou une thérapie cellulaire somatique. »

En 2021, l’auteur d’une correspondance publiée dans Genes & Immunity a décrit les vaccins à base d’ARN créés par Moderna et Pfizer-BioNTech comme « une percée dans le domaine de la thérapie génique » et « une grande opportunité pour la FDA et l’EMA de réviser le pipeline de développement des médicaments afin de le rendre plus flexible et moins long ».

Deux éléments d’information inquiétants viennent d’être révélés:

  • L’ADN contaminant résulte du changement de procédé de fabrication opéré par Pfizer-BioNTech après la fin de l’essai clinique C4591001 sur le BNT162b2 (Comirnaty). Initialement (processus 1), l’ARNmod de Pfizer-BioNTech était produit par transcription in vitro à partir d’ADN synthétique et amplifié par PCR (réaction en chaîne de la polymérase). Cependant, pour augmenter la production (voir les réponses rapides à cette étude du BMJ), l’ADN codant pour l’ARNmod a été cloné dans des plasmides bactériens (processus 2). En d’autres termes, l’essai clinique a été réalisé avec des lots du processus 1, mais les populations du monde entier ont reçu des lots du processus 2.

Cela signifie que les personnes qui ont consenti à être vaccinées se sont vu injecter une substance différente de celle qui avait été approuvée par les organismes de réglementation et à laquelle elles avaient consenti.

Il est désormais irréfutable que les injections de COVID-19 à base d’ARN contiennent de l’ADN.

La technologie à base d’ARN – en particulier lorsqu’elle est appliquée comme vaccin à des individus sains – est injustifiable et contraire à l’éthique. Indépendamment du nombre tragique d’effets indésirables ou de taux de mortalité excessifs, c’est la technique qui est en cause, et les mêmes problèmes se poseront pour tous les futurs « vaccins » à base d’ARN.

  1. La technologie des « vaccins » à base d’ARN va à l’encontre de l’idée centrale de l’évolution au cours des derniers millions d’années. Alors que l’ARNmod et l’ARNa injectés produisent des antigènes sans discontinuer, la courte durée de vie de l’ARN messager naturel (ARNm) est en fait une condition préalable à des fonctions cellulaires saines et spécifiques. (La courte durée de vie de l’ARNm permet à nos cellules de s’adapter aussi rapidement que possible à des circonstances changeantes et d’éviter la production de protéines inutiles).
  2. Le principe de la technologie des « vaccins » à base d’ARN, selon lequel toutes les cellules de notre corps doivent produire une protéine virale étrangère, va à l’encontre des principes biologiques fondamentaux, comme la distinction entre nos propres cellules et les envahisseurs étrangers, et aura pour conséquence que notre système immunitaire attaquera nos propres cellules.
  3. L’ARN peut être transcrit à l’envers en ADN même sans la présence de (l’enzyme) transcriptase inverse (c’est-à-dire par des éléments LINE1 présents dans notre génome/ADN). La contamination par de l’ADN (dans les vaccins à base d’ARN) est la règle plutôt que l’exception. Comme l’ARN et l’ADN peuvent tous deux être intégrés dans le génome humain, les soi-disant « vaccins » basés sur la technologie de l’ARN sont en fait des produits de thérapie génique.

Il n’est en aucun cas justifié de soumettre à des contrôles stricts les PTG à base d’ARN destinés à un usage médical, mais d’exclure de ces réglementations les PTG à base d’ARN, appelés vaccins, même s’ils sont destinés à la majeure partie de la population humaine. Même en cas d’urgence, personne ne devrait être contraint de se faire injecter une substance quelconque, et encore moins par des hommes politiques.

Qu’est-ce que le COVID-19 nous a appris sur la science, la politique et la société?

Pendant de nombreuses années, les scientifiques ont rêvé de manipuler le « logiciel » humain, c’est-à-dire l’ADN ou l’ARN. D’un point de vue éthique, la manipulation de l’ADN a toujours été taboue. Rétrospectivement, le COVID-19 pourrait marquer l’avènement des « vaccins » à base d’ARN et la fin du tabou de la manipulation de l’ADN humain.

Dans un commentaire publié en 2023 dans le Journal of Evaluation in Clinical Practice, les auteurs écrivent que dès les premiers jours de la pandémie, il était évident que certains scientifiques influents et leurs alliés politiques diabolisaient les points de vue scientifiques divergents et les preuves offrant une seconde opinion. En dépit de preuves contradictoires, les responsables politiques nationaux « ont assuré le public qu’ils adoptaient les politiques relatives au COVID-19 en « suivant la science ». Cependant, le consentement scientifique n’a été obtenu qu’en supprimant le débat scientifique.

N’oubliez pas: lorsque les questions sont autorisées, c’est de la science; lorsqu’elles ne le sont pas, c’est de la propagande.

De soi-disant « experts » choisis par les politiciens nous ont dit que nous devions être vaccinés pour pouvoir combattre un nouveau virus respiratoire. Cela contredit la science du système immunitaire humain. Notre système immunitaire est dynamique et peut éliminer un virus qu’il n’a jamais rencontré; il peut également développer une immunité croisée pour identifier des variants, même si le virus mute. Cependant, comme les vaccins à base d’ARN ne produisent qu’un seul antigène, notre système immunitaire est privé de la possibilité de développer une immunité croisée contre les variants du virus. Cela s’applique en particulier aux virus respiratoires qui présentent un taux de mutation élevé. À long terme, cela entraînera une augmentation de la fréquence et de la gravité des maladies infectieuses. Les responsables politiques soucieux de protéger la population contre les infections futures seraient donc bien inspirés de proposer des programmes de santé qui renforcent le système immunitaire avant les infections saisonnières.

Les scientifiques n’ont pas la moindre idée de la manière de diriger l’ARNmod ou l’ARNa vers un type de cellule spécifique ou de la manière d’arrêter la traduction de l’ARN administré. Cependant, ils continuent d’étudier la manière d’augmenter la stabilité de l’ARN injecté et la quantité d’antigènes générés. Le développement actuel de la technologie des vaccins à base d’ARN rappelle le poème « L’apprenti sorcier », écrit par le poète allemand Johann Wolfgang von Goethe il y a plus de 200 ans:

« Les esprits, que j’ai négligemment élevés, ne sont pas envoûtés par mon pouvoir. »


Klaus Steger – Auteur (Ph.D.)

Klaus Steger, docteur en biologie moléculaire, concentre ses recherches sur la régulation génétique et épigénétique de l’expression des gènes au cours du développement normal et aberrant des spermatozoïdes. Au cours des 30 dernières années, ses projets de recherche ont été continuellement financés par la Fondation allemande de la recherche, tandis qu’il dirigeait plusieurs laboratoires de technologie génétique appliquant régulièrement des technologies basées sur l’ARN. Il a été professeur d’anatomie et de biologie cellulaire à l’université de Giessen, en Allemagne, pendant 23 ans avant de prendre sa retraite cette année. Il est titulaire d’un doctorat en sciences naturelles de l’université de Ratisbonne.

Les injections à venir: le Japon approuve de nouveaux vaccins Covid sur base des données relatives aux anticorps – par Guy Gin.

Deux articles sur ce sujet – voici le premier et le plus amusant.

Source.


Les injections à venir: le Japon approuve de nouveaux vaccins Covid sur base des données relatives aux anticorps

Guy Gin

30 nov. 2023

De l’ARNm maison

Après s’être fait injecter pendant des années de l’ARNm fabriqué à l’étranger, les Covidiens japonais patriotes vont enfin avoir la possibilité d’introduire dans leur circulation sanguine des nanoparticules lipidiques de fabrication nationale. D’après NHK World.

Un groupe d’experts du Ministère japonais de la santé a déclaré qu’un vaccin contre le coronavirus mis au point par Daiichi Sankyo pouvait être utilisé pour les inoculations au Japon. Il s’agirait du premier vaccin COVID fabriqué au Japon et utilisable dans la pratique.

Seriez-vous surpris d’apprendre que la majorité des membres du panel porte encore des masques?

Le groupe d’experts s’est réuni lundi. Les experts ont déclaré qu’ils confirmaient l’efficacité du vaccin et qu’ils n’avaient aucune inquiétude sérieuse quant à sa sécurité.

Banzaï! Malheureusement, l’article ne donne aucun détail sur l’efficacité que les experts ont apparemment confirmée. Heureusement, Daiichi-Sankyo avait déjà publié un communiqué de presse annonçant joyeusement que le critère principal avait été atteint dans l’essai de phase 3 de son vaccin Covid (DS-5670). Le DS-5670 a-t-il donc atteint une efficacité de 95%, comme ceux de Pfizer/BioNTech et de Moderna ?

Les principaux critères d’évaluation de l’essai de vaccination de rappel [boosters] étaient la moyenne géométrique du titre d’anticorps neutralisants dans le sang et la réponse immunitaire contre le SARS-CoV-2 (sous-variant omicron BA.5) quatre semaines après la vaccination expérimentale. Les résultats sur les critères d’évaluation dans le groupe DS-5670 étaient plus élevés que ceux du groupe témoin (vaccin bivalent adapté à l’omicron et approuvé au Japon), démontrant statistiquement la non-infériorité du DS-5670.

En d’autres termes, le DS-5670 a produit plus d’anticorps contre le BA.5 que le vaccin bivalent de Pfizer/BioNTech ou de Moderna, dont l’efficacité n’a jamais été démontrée. Combien de plus? On ne sait pas encore.

Les résultats détaillés de l’essai de vaccination de rappel seront présentés lors de conférences universitaires et dans des publications.

Vous vous dites peut-être: « Minute. Vous êtes en train de me dire que le Japon vient d’approuver une toute nouvelle injection de Covid basée sur des titres d’anticorps non publiés? » Ouaip, c’est exactement ce que je suis en train de vous dire.

Mais Daiichi-Sankyo utilise la même plate-forme d’ARNm que Pfizer/BNT et Moderna. Ce n’est donc pas comme si le Ministère de la Santé, du Travail et des Affaires Sociales (MSTAS) leur donnait le feu vert pour une nouvelle technologie.

L’ascension des réplicons

En revanche, le Ministère de la Santé, du Travail et des Affaires Sociales donne son feu vert à une nouvelle technologie pour Meiji Seika Pharma1. Extrait du communiqué de presse de l’entreprise.

Meiji Seika Pharma Co., Ltd. a annoncé aujourd’hui qu’elle avait reçu l’approbation pour la fabrication et la commercialisation de « Kostaive™ pour injection intramusculaire » (ARCT-154), un vaccin ARNm auto-amplifiant contre le COVID-19, de la part du Ministère de la Santé, du Travail et des Affaires Sociales (MSTAS) au Japon.

Il s’agit de la première approbation au monde d’un vaccin à ARNm auto-amplifié. Qu’est-ce qu’un vaccin à ARNm auto-amplifié? Un vaccin à ARNm qui s’auto-amplifie, évidemment.

L’ARNm contenu dans Kostaive est conçu pour s’auto-amplifier une fois délivré dans les cellules, de sorte qu’il génère une forte réponse immunitaire et offre la possibilité d’une protection de longue durée tout en utilisant des doses d’ARNm inférieures à celles des vaccins ARNm existants.

En d’autres termes, vos cellules peuvent devenir des usines à ARNm encore plus efficaces. L’image et la description ci-dessous sont tirées d’un article de la revue d’immunologie Cell, au titre inquiétant: « Rise of the RNA machines – self-amplification in mRNA vaccine design » (L’ascension des machines à ARN – l’auto-amplification dans la conception des vaccins à ARNm). Il convient de noter que l’ARNm auto-amplifié peut également être appelé ARN réplicon.

Une fois libéré dans la cellule, l’ARNm est traduit pour produire la protéine en question. Contrairement à l’ARNm, l’ARN réplicon code avec la protéine d’intérêt, des gènes d’auto-amplification (représentés en bleu) qui amplifient l’ARN réplicon. Cette amplification intracellulaire se traduira par la suite par des niveaux d’expression plus élevés de la protéine en question.

Je ne prétends pas être un expert en la matière, mais je doute que cela puisse résoudre le problème de la surproduction de protéines de pointe [NdT. ma traduction ici] observé avec la plateforme ARNm d’origine. C’est d’ailleurs ce que suggère l’article de Cell.

À l’heure actuelle, les principaux défis liés à l’autorisation mondiale sont les problèmes de sécurité potentiels concernant le caractère réplicatif de ces vaccins… Par exemple, les vaccins à réplicon pourraient persister chez les personnes immunodéprimées, car la clairance pourrait être moins efficace.

Étant donné qu’aucun autre vaccin à ARNm auto-amplifié n’a été approuvé auparavant, le MSTAS a au moins exigé que l’entreprise réalise un essai contrôlé randomisé à grande échelle pour tester l’efficacité réelle du vaccin contre les infections et les maladies graves, n’est-ce pas? Haha, non. Revenons au communiqué de presse.

Dans les essais cliniques de phase III pour la vaccination de rappel menés au Japon, 5 μg de Kostaive™ ont suscité des titres d’anticorps neutralisants plus élevés (p<0,05) et plus durables contre la souche originale, ainsi que le sous-variant Omicron BA 4-5, par rapport à 30 μg de COMIRNATY ®, un vaccin ARNm conventionnel homologué ciblant le COVID-19.

Au moins, cette fois-ci, une préimpression est disponible (ici). Alors que l’essai de phase 3 pour le Comirnaty de Pfizer/BNT a débuté avec environ 40 000 participants non vaccinés, celui-ci n’en comptait que 828, qui avaient tous reçu trois injections auparavant. Un essai à si petite échelle ne peut clairement pas nous dire si la nouvelle plateforme pose les mêmes problèmes de sécurité que la plateforme originale, et encore moins des problèmes différents (ce qui est en quelque sorte le but). Mais il est intéressant de noter que Kostaive (ARCT-154) a tout de même réussi à amplifier les taux de frissons, de maux de tête et de myalgies (douleurs musculaires) par rapport à Comirnaty, et ce malgré une posologie six fois moindre. C’est la magie de l’auto-amplification, je suppose.

Taux de réactions locales sollicitées et d’événements indésirables systémiques dans les deux groupes de l’étude en fonction de la gravité

Cependant, la version de Kostaive utilisée dans l’essai ciblait le virus de type sauvage qui a disparu de la circulation au début de 2021, de sorte que Meiji Seika Pharma ne commercialisera pas cette version. Au lieu de cela, l’entreprise prévoit de commercialiser une version actualisée de Kostaive en 2024 et mène actuellement un autre essai de phase 3 sur une version bivalente, en comparant à nouveau les titres d’anticorps.

Ainsi, non seulement le MSTAS a approuvé un vaccin utilisant une nouvelle technologie sur la base des titres d’anticorps, mais il ne l’a même pas approuvé sur la base des titres d’anticorps du vaccin qui sera effectivement mis sur le marché. L’ancienne définition de « réglementation », comme celles de « sûr » et « efficace », semble être morte du Covid.

Il semble que ce soit l’un des héritages durables de la pandémie de Covid-19: les organismes de réglementation ont abandonné toute prétention à faire correctement leur travail et se contentent d’approuver sans broncher toute demande d’autorisation émanant d’entreprises favorisées sur la base de données essentiellement dénuées de sens. Malgré ce qu’ils prétendent, les experts du MSTAS n’ont pas confirmé que les nouveaux vaccins offraient un quelconque avantage à qui que ce soit d’autre que les fabricants de vaccins, mais ils ont confirmé qu’eux-mêmes n’en offraient certainement pas.


  1. Comme Pfizer, Meiji Seika Pharma fabriquera son injection sous licence: « Meiji Seika Pharma a obtenu de CSL Seqirus les droits exclusifs de distribution de Kostaive™ (ARCT-154) au Japon le 11 avril 2023. » ↩︎

L’«enfant-vedette» des vaccins COVID en Israël meurt à 8 ans d’un arrêt cardiaque soudain – par John-Michael Dumais.

Je pique ceci sur le site de Children’s Health Defense de RFK Jr, en congé pour cause de campagne électorale. J’ai quelques disparités de vue avec le gars, mais c’est l’article le plus complet sur le sujet. Comme mentionné de façon pas très claire, il y a effectivement une disparité ethnique dans la capacité de liaison de l’ACE2 avec la protéine de pointe – ce dont parlait RFK Jr dans une vidéo qui l’a fait aussitôt taxé d’antisémitisme, ce qui n’a aucun sens puisqu’il est le premier à défendre bec et ongles l’action militaire israëlienne sur Gaza.

L’étude dont parlait RFK Jr est celle-ci, évaluée par des pairs et publiée sur le site des NIH. Résumé:

La sensibilité des différentes populations à l’infection par le SARS-CoV-2 n’est pas encore comprise. Ici, nous avons combiné l’analyse des variantes de codage de l’ACE2 dans différentes populations et des calculs de chimie computationnelle pour étudier les effets sur l’interaction SARS-CoV-2/ACE2. La variante ACE2-K26R, qui est la plus fréquente dans la population juive ashkénaze, diminue l’attraction électrostatique SARS-CoV-2/ACE2. Au contraire, ACE2-I468V, R219C, K341R, D206G, G211R ont augmenté l’attraction électrostatique; classés par force de liaison de la plus faible à la plus forte. Les variantes susmentionnées sont les plus fréquentes dans les populations d’Asie orientale, d’Asie du Sud, d’Afrique et d’Amérique africaine, d’Europe, d’Europe et d’Asie du Sud, respectivement.

Comme vous le remarquerez, les noms des auteurs sont Fedaa Ali, Menattallah Elserafy, Mohamed H. Alkordi et Muhamed Amina. On peut aussi noter que les populations les plus exposées sont les Européens et les Sud-asiatiques. Avantage ethnique ou non, ça n’aura pas eu beaucoup d’influence sur le sort de milliers d’israëliens, dont le pauvre gosse sujet de cet article. La vidéo de la « pub » Pfizer est dans l’article mais je vous préviens, ça déchire l’âme.

Entre violence militaire et expérimentations médicales, la facture de ces salopards commence à s’alourdir. Tous ces salopards: le Hamas a aussi « encouragé » l’injection.

NB: Pour info, je publie beaucoup parce que je suis coincé à la maison suite à un problème cardiaque – ce qui est assez ironique – encore non identifié. Je consulte un spécialiste ce jeudi. Si vous n’avez plus de nouvelles, vous saurez pourquoi. Je compterai alors sur vous pour me raconter la suite, un peu plus tard et dans un autre lieu, probablement plus calme.

Source.


L’«enfant-vedette» des vaccins COVID en Israël meurt à 8 ans d’un arrêt cardiaque soudain

Yonatan Moshe Erlichman, âgé de huit ans, qui figurait dans une publicité israélienne de 2020 faisant la promotion des vaccins COVID-19 pour les enfants, est décédé le mois dernier d’un arrêt cardiaque soudain. Israël, un « laboratoire pour Pfizer », a montré un signal de sécurité significatif pour la myocardite peu de temps après l’introduction des vaccins.

John-Michael Dumais

24 octobre

Un garçon israélien de 8 ans, présenté dans une vidéo de promotion du vaccin COVID-19, est mort subitement le mois dernier d’un arrêt cardiaque.

Yonatan Moshe Erlichman, fils et petit-fils d’éminents médecins israéliens, s’est presque noyé dans la baignoire après que son cœur se soit arrêté la veille de Yom Kippour. Bien que les ambulanciers aient réussi à le réanimer, il est décédé quelques jours plus tard, le 28 septembre.

En 2020, Erlichman est apparu dans une vidéo avec Shuski, décrit comme « une marionnette « enfant » amicale », exhortant les téléspectateurs à se faire vacciner contre le COVID-19 dès qu’il serait disponible.

Décrivant Erlichman comme « enfant-vedette » de la campagne vaccinale israélienne, LifeSiteNews a partagé la vidéo sponsorisée par le gouvernement mettant en scène le garçon, diffusée juste avant l’introduction des vaccins COVID-19 en Israël.

Voici une traduction partielle du tweet (via Google Translate):

« Cela ne vous choque pas? Où sont les gros titres? Les enquêtes? Combien d’enfants devront encore mourir sur l’autel doré?

« Et en particulier, il y a déjà deux études contrôlées qui montrent que les vaccins ARNm causent des problèmes cardiaques … Jusqu’à quand refuserez-vous de l’admettre?

« Rappelez-vous qu’à tout moment, cela peut arriver à vos enfants et petits-enfants bien-aimés.

Un autre tweet demandait pourquoi l’histoire n’était pas diffusée dans les journaux télévisés, mais seulement dans la presse locale et religieuse. La personne a indiqué que la famille était « morte de peur et essayait de ne pas ébruiter l’affaire ».

La famille du garçon a publié la déclaration suivante:

« Notre Yonatan Moshe est décédé il y a peu de temps. La veille de Yom Kippour, Yonatan a fait un arrêt cardiaque chez nous, et depuis lors, nous nous sommes battus à ses côtés après qu’il se soit effondré. Nous remercions tous ceux qui nous sont chers et qui ont été à nos côtés dans les derniers jours de sa vie. »

Netanyahu s’est vanté de faire d’Israël un « laboratoire pour Pfizer »

Israël est l’un des pays les plus vaccinés à l’ARNm, plus de 70% de ses habitants de plus de 16 ans ayant reçu au moins deux doses en avril 2021.

En novembre 2020, le gouvernement israélien a signé un accord avec Pfizer pour acquérir 8 millions de doses de son vaccin COVID-19, que le gouvernement a commencé à distribuer en décembre 2020.

En échange de la réception du vaccin avant les autres pays, Israël a accepté de fournir à Pfizer des données épidémiologiques pour aider le fabricant de vaccins à évaluer l’efficacité et la réactogénicité du vaccin.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré qu’il avait pu faire d’Israël « le laboratoire de Pfizer » parce que « 98% de notre population possède des dossiers médicaux numérisés » qui – combinés à la « base de données génétiques » de son pays – faciliteraient l’établissement de rapports détaillés sur l’impact du vaccin sur les citoyens du pays.

Avec ces données, « il est possible de créer une industrie biotechnologique inédite… voire inimaginable », a-t-il déclaré.

Netanyahu: « Israël 🇮🇱 est devenu le laboratoire de Pfizer ».

Le ministère israélien de la santé l’a nié. Pfizer l’a nié. Mais nous avons enfin la confirmation officielle du Premier ministre que, dans le cadre de l’accord, Israël a été transformé en laboratoire de Pfizer.

Le Dr Sabine Hazan, spécialiste en gastro-entérologie à Ventura, en Californie, s’est exprimée sur l’accord conclu par M. Netanyahu avec Pfizer:

Oui, et on peut créer une arme pour éliminer toute une population. Qui a donné à Netanyahu le droit de décider pour toute une population? Les gens n’auraient-ils pas dû pouvoir voter avant de servir de cobayes? Ils croyaient tous qu’un vaccin était une solution, mais ce n’était pas le cas. Taux de mortalité néonatale ⬆️

À la lumière de la mort d’Erlichman et en écho au tweet de Hazan, le Dr Robert Malone a exprimé la semaine dernière son inquiétude quant au fait qu’une base de données génétique et médicale combinée pourrait faciliter le développement d’armes biologiques capables de cibler des groupes ethniques spécifiques.

Il a noté que « le virus du SARS-CoV-2 modifié semble être plus grave chez les populations spécifiques qui ont plus de récepteurs ACE2 à la surface de leurs cellules » et a demandé: « S’agit-il d’une arme biologique? ».

Les CDC n’ont pas publié en temps voulu les données de 2021 sur la myocardite en Israël

Les informations fournies l’année dernière à Children’s Health Defense (CHD) par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) à la suite d’une demande en vertu de la loi sur la liberté de l’information montrent que les CDC ont reçu en février 2021 un rapport du Ministère israélien de la santé sur la myocardite post-injection.

Le rapport indiquait: « Nous observons un grand nombre de cas de myocardite et de péricardite chez de jeunes individus peu après l’administration du vaccin COVID-19 de Pfizer. Nous aimerions discuter de cette question avec un expert du CDC ».

Bien qu’un important signal de sécurité concernant la myocardite ait été visible aux États-Unis et en Israël quelques mois seulement après la mise à disposition des vaccins COVID-19, les CDC n’ont alerté le public qu’en mai 2021, après que la moitié de la population américaine éligible ait déjà reçu le vaccin.

En juin 2021, Israël a publié un rapport officiel confirmant l’existence d’une myocardite liée à l’ARNm chez les jeunes hommes, en particulier ceux âgés de 16 à 24 ans, avec un taux jusqu’à 25 fois supérieur à celui généralement observé au centre médical Hadassah.

Une étude israélienne de septembre 2022 a révélé que l’incidence de la myocardite dans les 30 jours suivant la deuxième injection de Pfizer était 2,35 fois plus élevée que chez les personnes non vaccinées, le risque pour les hommes âgés de 16 à 19 ans s’élevant à près de 1 sur 1 000.

Crédit: RFK Jr. et Brian Hooker, Ph.D., « Vax-Unvax: Let the Science Speak » (Vax-Unvax: laissons parler la science)

Bien que l’étude israélienne ait rapidement souligné que le risque de myocardite était plus faible après la troisième injection de Pfizer (premier booster), le Dr Peter McCullough a averti la semaine dernière, lors d’une audition du Novel Coronavirus Southwestern Intergovernmental Committee au Sénat de l’Arizona, que les effets de la myocardite post-vaccinale peuvent être retardés de plusieurs années.

Après avoir résumé les données scientifiques relatives à l’effet de la protéine de pointe sur le cœur, y compris les rapports d’autopsie après injection, McCullough a cité l’histoire d’un athlète décédé lors d’un test d’effort cardiaque deux ans après avoir été vacciné.

Dr. McCullough: Les vaccins COVID-19 ne sont pas sûrs pour l’utilisation humaine

Témoignant devant le Sénat de l’État de l’Arizona, le Dr @P_McCulloughMD
a déclaré, en tant que médecin praticien, qu’il a pu constater directement les complications liées aux vaccins COVID-19. Il a précédemment déclaré: « Avant le COVID-19, j’ai vu deux cas de myocardite sur toute ma carrière […]. Aujourd’hui, je vois deux cas par jour à la clinique ».

Deux organisations importantes, le Conseil Mondial de la Santé et l’Association des Médecins et Chirurgiens Américains, ont demandé le retrait des vaccins COVID-19 du marché, contredisant ainsi l’idée selon laquelle tous les médecins et agences soutiennent universellement les vaccins.

Des États, comme l’Idaho et la Floride, envisagent de prendre des mesures indépendantes pour retirer les vaccins si le gouvernement fédéral n’agit pas. Le droit d’agir ainsi relève de la compétence des États en matière de sécurité des produits de consommation. Si les agences fédérales ne répondent pas aux préoccupations relatives à la sécurité des vaccins, les États peuvent intervenir par l’intermédiaire du bureau du Procureur général ou de comités de surveillance.

Bien que la nouvelle du décès d’Erlichman n’ait pas précisé si et quand le garçon avait été vacciné, il a probablement reçu les injections d’ARNm de Pfizer en 2021, comme la majorité des Israéliens.

Cette tragédie souligne l’avertissement de McCullough concernant les risques souvent cachés et à long terme de la myocardite post-vaccinale.

En juin, les scientifiques de CHD ont demandé une enquête sur le CDC et la U.S. Food and Drug Administration concernant la suppression des preuves liant les vaccins à ARNm à la myocardite et à la péricardite.

Le ministère israélien de la santé a dissimulé des données sur les effets indésirables

Dans une vidéo divulguée en juin 2022 d’une présentation Zoom par une équipe de recherche mandatée par le Ministère israélien de la santé, l’un des orateurs a averti: « Nous devrons penser à la fois médical et légal – comment présenter nos résultats pour éviter les poursuites judiciaires. Pourquoi? Parce qu’il y a eu beaucoup d’effets secondaires, [mais] que nous avons dit: ‘D’accord, ça existe et les rapports existent, mais faites-vous vacciner quand même’ ».

Le chercheur dans la vidéo fait part de ses préoccupations concernant les effets indésirables à long terme, y compris un taux plus élevé d’effets après des doses répétées de vaccin.

Deux mois plus tard, le Ministère publiait un rapport affirmant qu’il n’avait trouvé aucun nouveau signal de sécurité qui « n’était pas déjà connu ». Il manipulait également les données pour montrer un pourcentage d’effets indésirables inférieur à celui observé.

L’épidémiologiste de Yale Harvey Risch, M.D., Ph.D., a discuté des données israéliennes supprimées dans un épisode de l’émission « Ask Dr Drew »:

« Nous avons assisté à une suppression majeure des effets indésirables par les agences gouvernementales »

Le Dr Harvey Risch, épidémiologiste à Yale, s’exprime sur la vidéo divulguée d’une équipe de recherche israélienne qui a étouffé les effets indésirables, et sur une nouvelle déclaration mensongère d’un conseiller du gouvernement israélien auprès de la FDA.

L’«enfant-vedette» du vaccin en Argentine est décédé l’année dernière

La tragédie d’Erlichman fait écho à l’histoire de Santino Godoy Blanco, un petit garçon argentin décédé l’année dernière à l’âge de 4 ans et qui aurait également servi d’«enfant vedette» national dans des publicités vantant les mérites des vaccins COVID-19 pour les enfants.

🇦🇷 L’enfant vedette de la campagne 💉 argentine est #mort subitement d’une « pneumonie bilatérale »

Santino Godoy Blanco (3 ans) a été transporté d’urgence à l’hôpital en raison de fièvre et de vomissements.

Avant de mourir, sa maman dit qu’il a enlevé son masque et lui a donné des petits bisous parce qu’il ne pouvait plus parler 😥.

Un « fact check » de USA Today a contesté l’article, jugeant fausse l’affirmation selon laquelle les apparitions de Blanco visaient à promouvoir les vaccins COVID-19, et affirmant au contraire – à juste titre – que les publicités concernaient les vaccins contre la rougeole, la rubéole, les oreillons et la poliomyélite.

Blanco est décédé d’une infection pulmonaire associée à une double pneumonie, ce qui, selon les fact-checkers, n’avait « aucun rapport avec la vaccination en général ou les vaccins COVID-19 en particulier ».

Cependant, les fact-checkers ont négligé des données de 2017 liant les vaccins pour enfants à un risque accru de pneumonie.

Dans leur livre « Vax-Unvax : Let the Science Speak », Brian Hooker, PhD, directeur principal de la science et de la recherche chez CHD, et Robert F. Kennedy Jr, président de CHD en congé, ont partagé des données d’étude montrant que les enfants vaccinés courent un risque cinq fois plus élevé de souffrir d’une pneumonie que les enfants non vaccinés.

Crédit: RFK Jr. et Brian Hooker, Ph.D., « Vax-Unvax: Let the Science Speak » (Vax-Unvax: laissons parler la science)

Après la mort de Blanco, le gouvernement argentin a retiré la campagne de vaccination de toutes les plateformes.


John-Michael Dumais est rédacteur en chef de The Defender. Il a été écrivain et organisateur communautaire sur une variété de questions, y compris la peine de mort, la guerre, la liberté en matière de santé et tout ce qui concerne la pandémie de COVID-19.


La technologie de la thérapie génique à ARNm: futile, mortelle, mais extrêmement rentable (première partie) – par Sasha Latypova.

Nous vivons aujourd’hui dans une nation où les médecins détruisent la santé, les avocats détruisent la justice, les universités détruisent le savoir, les gouvernements détruisent la liberté, la presse détruit l’information, la religion détruit la morale et nos banques détruisent l’économie. Et tout cela par amour de l’argent, de la domination mondiale et de leur propre divinité.

James Filbird, 28 juillet

Source.


La technologie de la thérapie génique à ARNm: futile, mortelle, mais extrêmement rentable – Première partie

Est-il acceptable de faire des expériences sur des enfants qui « vont mourir de toute façon »?

Sasha Latypova

28 juillet

Cet article fait suite à mon article précédent [NdT. traduit ici] .

Bien que stupéfiante de stupidité et de futilité, cette histoire de fratricide/suicide par la science s’est au moins jouée entre deux adultes consentants. L’histoire suivante concerne des enfants.

Timothy Yu, de l’hôpital pour enfants de Boston, l’un des hôpitaux pédiatriques les plus célèbres et les plus prestigieux du pays, a réalisé une percée scientifique en concevant une « thérapie génique ciblée » pour un seul patient! Nous sommes officiellement entrés dans la nouvelle ère technologique des traitements à N = 1. Bien sûr, ce conte de fées pour gogos de la science est promu sous diverses formes depuis des décennies, mais bon, maintenant on y est, enfin!

Selon Endpoint News:

Timothy Yu a provoqué une onde de choc dans le monde de la thérapie génétique il y a quatre ans après avoir révélé qu’il avait mis au point – en moins d’un an – un traitement adapté à la mutation génétique unique d’une jeune fille.

La patiente, Mila, souffrait d’une maladie potentiellement mortelle appelée ataxie-télangiectasie (A-T), d’immunodéficiences graves et d’une neurodégénérescence du cervelet, la partie du cerveau qui contrôle les mouvements.

Il n’existe pas de médicaments qui s’attaquent à la cause sous-jacente de la maladie, et peu de nouveaux traitements sont à l’étude, en partie parce que la maladie est très rare et en partie parce que l’enzyme vitale est trop grosse pour être codée dans les vecteurs viraux largement utilisés dans les thérapies de remplacement de gènes.

Yu ne s’est toutefois pas laissé décourager et a mis au point un traitement pour Mila en utilisant CRISPR et ce que l’on appelle la « commutation d’épissage » pour préparer un oligonucléotide antisens qui serait injecté dans la moelle épinière de la pauvre petite fille. Les représentants pharmaceutiques journalistes d’Endpoint appellent cela « ce qui se rapproche le plus d’un remède » :

Il y a aussi la question du timing. Mila, qui souffrait d’une maladie neurodégénérative mortelle appelée maladie de Batten, est décédée malgré le traitement parce que son état avait déjà trop évolué.

« Si une personne est déjà très gravement malade et qu’elle se trouve à un stade trop avancé, il sera très difficile pour nous de faire quelque chose ».

Pourquoi n’y ont-ils pas pensé avant d’expérimenter sur une enfant en phase terminale?

Les enfants « immunodéprimés » ou gravement malades sont-ils un terrain propice à l’ARNm/CRISPR et à d’autres formes d’expériences génétiques?

Quel enfant n’est pas « immunodéprimé », sérieusement, après plus de 70 injections de santé de la part du CDC? À titre d’exemple, pour le gouvernement russe, la « population vulnérable » adulte comprend désormais tous ceux qui n’ont pas encore reçu d’injections de concoctions génétiques. Si vous pensez que le gouvernement américain ne tentera pas le même tour de passe-passe pour cibler vos enfants, c’est que vous ne pensez pas comme un mondialiste.

Interrogeons les experts. Lorsque Glenn Beck lui demande si les injections d’ARNm sont acceptables pour les enfants, le Dr Malone répond bien sûr que non, sauf…

[NdT. extrait vidéo sur la page source, non reproductible ici]

… pour les enfants gravement malades, car « ils vont mourir de toute façon », selon le Dr Steven Hatfill, un expert en armes biologiques ayant des liens étroits avec la communauté du renseignement. L’interview complète est disponible ici, le clip a été réalisé à 1:18:03.

Cette position sur la bioéthique est fréquemment adoptée par l’élite scientifique militaire, universitaire, biotechnologique et des armes biochimiques. Ils le font si souvent qu’ils ne s’en rendent plus compte, car cela devient une seconde nature pour toutes les personnes impliquées.

Lorsqu’une personne est en phase terminale d’une maladie et que l’on s’attend à ce qu’elle meure, il est contraire à l’éthique d’expérimenter sur elle, à moins qu’il n’y ait des preuves très solides que le traitement expérimental sera bénéfique pour EUX (pas pour leur grand-mère, ni pour les scientifiques de Boston Children’s, ni pour leur département de propriété intellectuelle, ni pour leur bilan financier). En général, il n’est pas acceptable de justifier cela par la « recherche d’un remède », car il s’agit d’une raison trop générique. Il en va de même, par exemple, pour la fabrication de nouvelles armes contre-mesures de biodéfense (profession de Steven Hatfill) pour la « préparation à la pandémie » – ce n’est qu’un récit fantaisiste pour justifier le racket du gouvernement et la suppression de nos droits. La preuve d’un éventuel bénéfice direct pour le sujet expérimental ne doit pas être théorique, elle doit reposer sur une base empirique suffisante. Elle nécessite également un consentement éclairé, que les enfants ne peuvent légalement pas fournir, ce dernier point en faisant une question éthique particulièrement épineuse.

La justification donnée dans le clip ci-dessus est que les « vaccins » à ARNm sont acceptables pour les enfants gravement malades parce qu’ils courent un risque élevé de décès, vraisemblablement à cause du covid (quoi que cela puisse être). Est-ce vraiment le cas? Existe-t-il un ensemble de données fiables montrant que c’est effectivement vrai? Existe-t-il des données fiables montrant que les injections de « vaccins » ARNm ont amélioré l’état de santé, la qualité de vie et/ou la survie, par exemple, des enfants atteints de cancer?

La réponse est non. De telles données n’existent pas. Le nombre d’enfants susceptibles d’être décédés à cause du covid est infiniment petit, et le travail de manipulation des données est si énorme qu’il est impossible aujourd’hui de tirer cette conclusion avec un quelconque degré de certitude. Cette affirmation n’est pas fondée sur la science – il s’agit d’un culte de la « biodéfense » qui se perpétue par le biais de la mythologie.

Nous sommes censés SUPPOSER que ces enfants tireraient bénéfice d’une concoction composée de saloperies secrètes de la DARPA non conformes aux BPF et contaminées par des quantités massives d’ADN plasmidique et de métaux toxiques. Parce que, voyez-vous, ils sont « immunodéprimés ». Petite remarque: ils sont toujours incapables de définir ce qu’est une fonction immunitaire normale, mais ils savent avec certitude quand elle est « compromise ».

Pourquoi injecter ces enfants, alors que nous savons que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine ont des décennies d’antécédents en matière de sécurité, et qu’elles constituent à la fois une prophylaxie et un traitement efficace des symptômes du covid?

Revenons à Mila – elle a fait l’objet d’expériences et est morte après ces expériences, mais personne ne semble s’en préoccuper. Ses parents l’ont apparemment vendue au laboratoire des enfants de Boston par désespoir et par foi en la science. Les parents d’enfants en phase terminale et tous ceux qui les entourent sont conditionnés à répéter le discours de « l’espoir d’un remède » et « cela aidera à trouver un remède pour d’autres » afin de soutenir la collecte de fonds du monde universitaire pour de nouvelles expériences futiles mais mortelles. Il n’y aura pas d’attribution de sa mort à l’expérience, ni de discussion sur l’éthique de la torture d’une enfant déjà souffrante pendant les derniers mois qu’elle a passés dans ce monde.

Bien entendu, les comités d’examen institutionnels approuvent ces expériences sur des enfants mourants, sur base des mêmes motivations que le Boston Children’s et que Yu.

Ces motivations incluent de généreuses subventions pour jouer aux scientifiques et rédiger des publications prestigieuses vantant les mérites des thérapies géniques, espérer des prix Nobel et breveter la propriété intellectuelle qu’ils concéderont à des sociétés pharmaceutiques moyennant royalties ou à la DARPA/BARDA pour la fabrication d’armes de destruction massive. La fillette est morte (elle « allait mourir de toute façon ») et ils sont les héros qui ont tenté de la sauver à l’aide de formules magiques, de charlatanisme et en enfonçant de grosses aiguilles dans sa moelle épinière. Comme si cette enfant n’avait pas assez souffert. Mais c’est une réussite! Yu jure que son traitement a fonctionné! C’est l’autre chose qui l’a tuée.

Et maintenant, Yu et un « consortium à but non lucratif » néerlandais appelé Center for RNA Therapeutics salivent à l’idée de s’attaquer à 25-30 patients dans le cadre d’une escroquerie similaire. Si cela vous semble bien peu, sachez qu’une autre thérapie de merde génique, l’hémophilie-A Roctavian de BioMarin, a récemment reçu l’approbation de la FDA après moult retards et un précédent rejet par la FDA, pour un prix de 2,9 millions de dollars par traitement! BioMarin l’annonce comme presque curative, affirmant une réduction de 97% de l’utilisation du facteur VIII (traitement standard). L’étiquette de la FDA ne mentionne cependant qu’une diminution de 52% du nombre moyen de saignements.

« Ce que nous avons appris aujourd’hui, c’est que cela ne fonctionne pas chez tout le monde. Cela ne dure pas éternellement », a déclaré Henry Fuchs, président de la R&D mondiale de BioMarin, à Endpoints News lors d’une interview préalable. « Notre point de vue est qu’il fonctionne chez un nombre suffisant de personnes et pendant suffisamment longtemps. »

Oh.

Ils espèrent facturer près de 3 millions de dollars au moins tous les 6 mois à 2 ans pour chaque patient jusqu’à la fin de leur vie, pourquoi seraient-ils mécontents? Les paiements aux médecins pour qu’ils imposent ce traitement à leurs patients se chiffreront à des centaines de milliers de dollars, de sorte que l’on peut être certain qu’ils veilleront à ce que le traitement soit utilisé fréquemment. BioMarin espère que ses revenus passeront de 2,1 milliards de dollars actuellement à 4-5 milliards de dollars très bientôt.

Futile mais extrêmement rentable, telle est la nature de l’escroquerie des « médicaments orphelins » pour les « maladies génétiques rares ». C’est la raison pour laquelle les plus hauts responsables de la FDA s’y intéressent de près, comme nous le verrons dans la deuxième partie de cet article. Restez à l’écoute.

Art du jour: Esquisse en plein air, huile sur panneau.

Les illusions perdues du Covid.

Pour en finir une bonne fois pour toutes avec le Sars-CoV-2

Mauvaise nouvelle, on en finira pas.

Il est là pour toujours. Il a été conçu pour ça.

Et ce ne sera pas la première maladie artificielle à circuler dans la société humaine – pensez VIH et maladie de Lyme.

Vous aurez bientôt – la traduction me prend un temps considérable – un article qui semble indiquer que le Sars-CoV-2 original était un vaccin vivant pour chauves-souris et que c’était bien une fuite de laboratoire, probablement accidentelle, ce dernier point étant celui sur lequel on n’aura jamais de réponse claire et définitive. Le Covid serait donc l’effet secondaire de ce vaccin. On a donc vacciné contre un vaccin (ça s’appelle en rajouter une couche), avec un produit injectable présentant les mêmes effets secondaires en pire, vu son mode d’action, sa fabrication foireuse et ses additifs plus que suspects, produit qui a accessoirement créé, en modifiant leur défenses immunitaires, des milliards de cultures ambulantes de variants.

Quoiqu’il en soit, vaccin vivant, virus, exosome ou arme biologique, le Sars-CoV-2 est un vecteur d’information plus ou moins dangereux selon – comme dans toutes les maladies – l’état immunitaire du sujet, le facteur déterminant de cette proto-pandémie, celui qui a déterminé la létalité de la première vague. D’après moi, ce vecteur a fait le tour des populations, a contaminé un grand nombre de personnes en tuant les plus fragiles – exactement comme un vaccin – pour ensuite assez vite dégénérer. Le fait que cet incident ait été qualifié de pandémie tient uniquement au fait de son énorme amplification dans les médias de masse.

De son côté, la « résistance » minimise systématiquement le fait que la première vague du Covid était effectivement meurtrière – s’appuyant sur le fait que la mortalité annoncée alors dans les médias est quasi invisible dans les statistiques – ce qui était déjà le cas de la « grippe espagnole ». Au coeur de ce chaos informationnel, je pratique le simple bon sens et je me fie en premier à mes observations personnelles. J’ai reçu à l’époque (début 2020) le témoignage direct de quelques cas foudroyants, des décès trois jours après les premiers symptômes, comparables à certains décès post-injection. Et non, ce n’était pas une question de protocole hospitalier puisqu’il n’y avait justement aucun protocole à l’époque.

Ensuite, le terme « génocide » est un peu excessif, la létalité des injections – si on ne compte pas la réduction d’espérance de vie – étant pour l’instant de un pour mille. On pourrait parler au pire d’un meurtre de masse, mais ce ne sera pas non plus considéré comme tel. Selon le cadre légal, c’est une mesure d’urgence sous forme de décrets et contrats gouvernementaux avec des compagnies pharmaceutiques qui ont fait ce qu’elles font d’habitude: mettre sur le marché un produit après avoir évalué la balance bénéfice/risque pour elles. Selon le cadre militaire, c’est une opération, avec un pourcentage de pertes acceptables – ils ont donc aussi fait ce qu’ils font d’habitude. Selon le cadre du réseau des assurances, le fait d’accepter l’injection est assimilé à un suicide. Elles ont donc également fait ce qu’elles font d’habitude, couvrir leurs arrières sur base de prévisions très pragmatiques.

Prémédité ou non, le Covid était surtout l’occasion de faire passer l’adoption universelle de la plateforme ARNm, que les maladies émergentes, réelles ou fictives, aideront – sous l’égide de l’OMS – à consolider, adaptant ainsi le troupeau humain aux nouvelles technologies « vaccinales » avec, comme lors de toute révolution technologique, des dommages collatéraux, inchiffrables à ce stade.

Enfin, l’aspect surveillance. On assiste à un grand déballage d’arguments et à une confrontation entre la « résistance », les think tanks globalistes (dont le FEM est la tête de rayon) et les autorités politiques, autour du risque totalitaire que posent les nouvelles possibilités de surveillance sanitaire (passeport sanitaire, pouvoirs de l’OMS, etc.) C’est un faux débat. D’une part, de façon très typique on met sur la place publique une question déjà résolue: le niveau de surveillance actuel est en effet infiniment supérieur à ce qui est admis. D’autre part, même s’il était encore plusieurs fois supérieur au niveau actuel, ce serait encore insuffisant pour maintenir – c’est là la vraie question – un système devenu ingérable, qui ne peut survivre que par le contrôle total des populations – opérations psychologiques, propagande des médias de masse, endoctrinement scolaire, drogues, et bien entendu l’IA, dont la menace qu’elle pose pour la « démocratie » est un autre faux débat, la démocratie étant un genre de légende urbaine – ce qui ne devrait aujourd’hui plus faire aucun doute.

Les événements de ces trois dernières années ne révèlent finalement rien de tellement nouveau sur le pouvoir, qui a fait ce qu’il fait d’habitude, c’est-à-dire beaucoup de théatre. Ce qu’ils révèlent, c’est un état de santé épouvantable chez les peuples des pays riches, leur niveau d’ignorance crasse et leur dangereuse naïveté devant le spectacle qu’on leur propose.

« L’illusion de la liberté durera aussi longtemps qu’il sera rentable de la maintenir. Lorsque l’illusion deviendra trop coûteuse à entretenir, ils enlèveront le décor, ouvriront les rideaux, rangeront les tables et les chaises et on verra le mur de briques au fond du théâtre ».

Frank Zappa

Un article édifiant de 2017 sur Moderna!

Un très grand merci à John et Adam, à qui je pique (encore une fois) une info de leur meilleur podcast de l’univers, NoAgenda n°1561.

C’est un article qui date de début 2017, publié sur Statnews, une vitrine des technologies médicales destinée aux investisseurs et actionnaires. On y parle de Moderna, de ses projets en cours à l’époque et de ses perpectives d’avenir. Lire ça aujourd’hui donne le vertige et permet, comme vous allez le voir, de comprendre beaucoup de choses qui se sont passées depuis. J’ai (difficilement) résisté à la tentation de souligner les passages qui devraient déclencher votre système d’alarme, mais je fais confiance à votre radar personnel pour les repérer.

Afin de ménager la sensibilité du lecteur, je n’ai pas inclus la photo de Stéphane Bancel.

Note de traduction: « In need of a Hail Mary », littéralement, « qui a besoin d’un Ave Maria », décrit une situation inextricable que seul un miracle peut sauver. Nous connaissons tous aujourd’hui le nom de ce « miracle ».

Source.


Moderna, financée à grands frais, se heurte à des problèmes de sécurité dans sa tentative audacieuse de révolutionner la médecine

Par Damian Garde

10 janvier 2017

SAN FRANCISCO – Moderna Therapeutics, la société privée la plus valorisée dans le domaine de la biotechnologie, a rencontré des problèmes de sécurité inquiétants avec sa thérapie la plus ambitieuse, a appris STAT – et mise maintenant sur une nouvelle technologie mystérieuse pour maintenir à flot sa promesse insolente de réinventer la médecine moderne.

Il y a exactement un an, Stéphane Bancel, PDG de Moderna, parlait de l’avenir « incroyable » de son entreprise devant une foule debout lors de la conférence annuelle J.P. Morgan Healthcare Conference. Il promettait que le traitement de Moderna pour une maladie rare et débilitante connue sous le nom de syndrome de Crigler-Najjar, développé en collaboration avec le géant de la biotechnologie Alexion Pharmaceuticals, entrerait en phase d’essai chez l’homme en 2016.

Il devait s’agir de la première thérapie utilisant une nouvelle technologie audacieuse qui, selon Bancel, produirait des dizaines de médicaments au cours de la décennie à venir.

Mais le traitement de Crigler-Najjar a été indéfiniment postposé, a déclaré une porte-parole d’Alexion à STAT. Il ne s’est jamais avéré suffisamment sûr pour être testé chez l’homme, selon plusieurs anciens employés et collaborateurs de Moderna qui ont travaillé en étroit contact sur ce projet. Incapable de faire avancer cette technologie, Moderna a dû se concentrer sur le développement d’une poignée de vaccins, se tournant vers un domaine moins lucratif qui pourrait ne pas suffire à justifier la valorisation de près de 5 milliards de dollars de l’entreprise.

« Il n’y a que des vaccins en ce moment, et les vaccins sont un produit d’appel » [NdT. Un produit d’appel (ou leader) est une stratégie de prix qui consiste à vendre un produit à un prix inférieur à son coût de marché afin de stimuler d’autres ventes de biens ou de services plus rentables], a déclaré un ancien dirigeant de Moderna. « Moderna est aujourd’hui une entreprise de vaccins de plusieurs milliards de dollars, et je ne vois pas comment cela pourrait durer. »

M. Bancel n’a pas mentionné le médicament Crigler-Najjar lorsqu’il s’est exprimé lundi devant une salle tout aussi bondée lors de la conférence J.P. Morgan de cette année.

Sa présentation s’est plutôt concentrée sur quatre vaccins que l’entreprise fait passer par la première phase des essais cliniques: deux ciblent des souches de grippe, un troisième est destiné au virus Zika, et le quatrième reste secret. M. Bancel a parcouru des graphiques de données issues d’études sur les animaux avant de se hâter de vanter le bilan de Moderna et d’évoquer les vaccins anticancéreux de la société, dont les essais cliniques sont prévus dans le courant de l’année.

Lorsque STAT a interrogé Bancel au sujet de Crigler-Najjar après la présentation, il nous a renvoyés à Alexion.

Besoin d’un Ave Maria

Fondée en 2012, Moderna a atteint le statut de licorne – une valorisation d’un milliard de dollars – en seulement deux ans, plus rapidement qu’Uber, Dropbox et Lyft, selon CB Insights. Le principe de l’entreprise: à l’aide de brins d’ARN messager sur mesure, connus sous le nom d’ARNm, elle vise à transformer les cellules du corps en usines à médicaments ad hoc, les obligeant à produire les protéines nécessaires au traitement d’une grande variété de maladies.

Mais l’ARNm est une technologie délicate. Plusieurs grandes entreprises pharmaceutiques ont essayé et abandonné l’idée, peinant à introduire l’ARNm dans les cellules sans déclencher de graves effets secondaires.

M. Bancel a promis à plusieurs reprises que les nouvelles thérapies de Moderna allaient changer le monde, mais l’entreprise a refusé de publier la moindre donnée sur ses véhicules à ARNm, suscitant le scepticisme de certains scientifiques et une réprimande de la part des rédacteurs de la revue Nature.

Le retard indéfini du projet Crigler-Najjar est révélateur de problèmes de sécurité persistants et inquiétants pour tout traitement à base d’ARNm qui doit être administré en doses multiples, couvrant presque tout ce qui n’est pas un vaccin, ont déclaré d’anciens employés et collaborateurs.

Lundi, l’entreprise a dévoilé une nouvelle technologie qui, selon elle, permet de délivrer l’ARNm de manière plus sûre. Elle s’appelle V1GL. Le mois dernier, M. Bancel a parlé à Forbes d’une autre nouvelle technologie, le N1GL.

Mais dans les deux cas, l’entreprise n’a fourni aucun détail. Ce manque de précision a inévitablement soulevé des questions.

Trois anciens employés et collaborateurs proches du processus ont déclaré que Moderna s’efforçait toujours de mettre au point de nouvelles technologies d’administration dans l’espoir de trouver quelque chose de plus sûr que ce qu’elle avait déjà. (Même M. Bancel a reconnu, dans une interview accordée à Forbes, que la méthode d’administration utilisée pour les premiers vaccins de Moderna « n’était pas très bonne »).

N1GL et V1GL sont-ils meilleurs? L’entreprise n’a produit aucune donnée permettant de répondre à cette question. Lorsque STAT a posé des questions sur les nouvelles technologies, Bancel a renvoyé les questions aux dépôts de brevets de l’entreprise.

Les trois anciens employés et collaborateurs ont déclaré qu’ils pensaient que le N1GL et le V1GL étaient des découvertes très récentes, qui n’en étaient qu’aux premiers stades des essais, ou bien que de nouveaux noms avaient été donnés à des technologies que Moderna possédait depuis des années.

« Il faudrait que [la technologie] soit miraculeuse, qu’elle soit sauvée par une sorte d’Ave Maria, pour qu’elle puisse atteindre son objectif dans les délais impartis », a déclaré un ancien employé. « Soit [Bancel] est extrêmement confiant dans le fait que cela va fonctionner, soit il commence à s’inquiéter du fait que l’absence de progrès l’oblige à présenter quelque chose ».

Les anciens employés et collaborateurs qui ont parlé à STAT ont requis l’anonymat parce qu’ils avaient signé des accords de non-divulgation – que Moderna, une entreprise très secrète, exige même de certains candidats à l’emploi.

L’année dernière, une enquête de STAT a révélé que Bancel avait fait fuir les meilleurs talents de Moderna avec une culture de récrimination et un environnement de travail caustique, y compris des licenciements sur le champ pour des expériences qui n’avaient pas abouti.

L’entreprise, basée à Cambridge, dans le Massachusetts, semble avoir redoré son blason auprès de nombreux employés de base, et a été saluée par Science Magazine et le Boston Globe, mais Moderna a perdu plus d’une douzaine de scientifiques et de gestionnaires de haut niveau au cours des quatre dernières années, en dépit de ses vastes ressources financières.

Un bug dans le logiciel

M. Bancel, qui dirige pour la première fois une entreprise de biotechnologie, a rejeté les questions concernant le potentiel de Moderna. Il décrit l’ARNm comme un moyen simple de développer des traitements pour des dizaines de maladies. Comme il l’a déclaré à STAT au cours de l’été, « l’ARNm est comme un logiciel: il suffit de faire tourner la manivelle pour que de nombreux produits entrent en phase de développement ».

Il semble toutefois évident que le logiciel a connu des bugs.

Les patients atteints de la maladie de Crigler-Najjar sont dépourvus d’une enzyme hépatique essentielle à la décomposition de la bilirubine, une substance jaunâtre qui apparaît dans l’organisme lors de la décomposition des globules rouges. Sans cette enzyme, la bilirubine prolifère dans le sang, entraînant la jaunisse, la dégénérescence musculaire et même des lésions cérébrales.

Aux yeux de Moderna, cette maladie, qui touche un million de personnes, semblait être un candidat idéal pour une thérapie par ARNm. La société a créé une chaîne d’ARNm qui coderait pour l’enzyme manquante, pensant qu’elle avait trouvé un excellent point de départ pour prouver que la technologie pouvait être utilisée pour traiter des maladies rares.

Mais les choses se sont progressivement effondrées l’année dernière.

Chaque médicament possède ce que l’on appelle une fenêtre thérapeutique, c’est-à-dire la zone scientifique idéale où un traitement est suffisamment puissant pour avoir un effet sur une maladie, mais pas au point d’exposer les patients à un risque trop élevé. Pour l’ARNm, cette fenêtre s’est révélée impossible à trouver.

Pour protéger les molécules d’ARNm des défenses naturelles de l’organisme, les développeurs de médicaments doivent les envelopper dans une enveloppe protectrice. Pour Moderna, cela signifiait placer sa thérapie Crigler-Najjar dans des nanoparticules composées de lipides. Pour ses chimistes, ces nanoparticules représentaient un défi de taille: une dose trop faible ne permet pas d’obtenir suffisamment d’enzymes pour agir sur la maladie; une dose trop importante rend le médicament trop toxique pour les patients.

Dès le départ, les scientifiques de Moderna savaient que l’utilisation de l’ARNm pour stimuler la production de protéines serait une tâche ardue. Ils ont donc parcouru la littérature médicale à la recherche de maladies qui pourraient être traitées avec de petites quantités de protéines supplémentaires.

« Et la liste des maladies est très, très courte », a déclaré l’ancien employé qui a décrit Bancel comme ayant besoin d’un « Ave Maria ».

Crigler-Najjar était le candidat le plus évident.

Pourtant, Moderna n’a pas réussi à faire fonctionner sa thérapie, ont déclaré d’anciens employés et collaborateurs. La dose sûre était trop faible et les injections répétées d’une dose suffisamment forte pour être efficace ont eu des effets inquiétants sur le foie dans les études animales.

Le médicament, ALXN1540, a depuis été ajourné, Moderna travaillant sur de « nouvelles et meilleures formulations » qui pourraient plus tard faire l’objet d’essais chez l’homme, a déclaré Alexion dans un communiqué envoyé par courrier électronique.

Une valorisation énorme mais une filière modeste

L’échec de son premier traitement, le plus avancé, jette le doute sur les autres objectifs de Moderna dans le domaine des maladies rares.

Il remet également en question la valorisation de Moderna, estimée à 4,7 milliards de dollars par Pitchbook. La société a levé près de 2 milliards de dollars en espèces auprès d’investisseurs et de partenaires. Mais elle l’a fait en promettant une technologie révolutionnaire suffisamment sûre pour délivrer des doses répétées d’ARNm.

Les médicaments qu’elle propose actuellement, en revanche, sont plus modestes et reposent sur des administrations uniques d’ARNm. Outre les quatre vaccins, la société dispose d’un essai clinique de stade précoce ciblant les maladies cardiaques, lancé le mois dernier par son partenaire AstraZeneca. Le traitement consiste en une dose unique et n’utilise pas l’enveloppe délicate des nanoparticules.

Les vaccins sont loin d’être aussi lucratifs que le secteur des maladies rares que Moderna espérait dominer. Le marché est également beaucoup plus encombré; au moins sept vaccins contre le Zika, par exemple, sont en cours d’essai clinique ou devraient entrer en phase d’essai d’ici l’automne prochain.

Moderna dispose d’environ 1,3 milliard de dollars de liquidités, selon Bancel. Mais comme elle prévoit de dépenser plus de 300 millions de dollars par an pour investir dans sa technologie, elle devra un jour ou l’autre lever des fonds supplémentaires. L’étape la plus logique serait l’introduction en bourse, et l’année dernière, Moderna a réorganisé ses activités pour se préparer à une première offre publique.

Toutefois, compte tenu de son évaluation actuelle, l’introduction en bourse de Moderna serait la plus importante de l’histoire de la biotechnologie, ce qui laisse certains investisseurs perplexes quant à la manière dont le portefeuille de vaccins de la société pourrait justifier un tel chiffre. Si Moderna choisit de rester privée, il n’est pas certain qu’elle puisse lever davantage de fonds sans recourir à un redoutable « down round », au cours duquel les nouvelles actions sont vendues à un prix inférieur aux dernières.

Tant que Moderna n’aura pas démontré que sa technologie permet de traiter une maladie en toute sécurité, il sera difficile de répondre à ces questions.

« Mes amis me demandent s’ils sont comme Theranos, et je leur réponds que non [NdT. Theranos était une entreprise américaine dans le domaine des technologies de la santé dont les dirigeants ont été inculpés en 2018 pour fraude massive]; je pense que c’est une vraie idée », a déclaré un ancien collaborateur de Moderna. « La question est de savoir si cela peut fonctionner ».

Bancel ne fournit pas les données qui permettraient de répondre à cette question. Mais il affiche une confiance sans bornes.

« Je suis sûr que dans cinq ans, nous considérerons 2017 comme le point d’inflexion du décollage de Moderna », a-t-il déclaré lors de la présentation de lundi. « Nous avons la possibilité de transformer la médecine et nous n’abandonnerons pas tant que nous n’aurons pas atteint notre but et que nous n’aurons pas eu un impact sur les patients.

Risque de maladie à prions lié à l’ARNm dans l’alimentation – par The Underdog.

Ça fait quelques semaines que plusieurs personnes, notamment Thomas Renz et Todd Calender, tirent la sonnette d’alarme par rapport à l’injection du bétail américain avec des produits à ARNm. J’attendais que quelqu’un de plus sérieux publie quelque chose là-dessus, c’est fait. The Underdog effectue en coulisses un énorme boulot, notamment l’interpellation de diverses figures politiques et scientifiques. J’avais projeté de l’aider mais je suis moi-même débordé, raison de mon absence de ce blog depuis trois semaines.

Le problème de ces injections d’ARMm au bétail concerne surtout les États-Unis pour l’instant, mais au cas où ça devrait se propager en Europe, mieux vaut être prévenus trop tôt que trop tard. Comme par hasard, ce risque émerge à l’heure où on projette de réduire drastiquement la consommation de viande animale…

Notes de traduction: 1) Pour illustrer le problème de traduction d’ARNm déficient, l’auteur a inclus des exemples de « Chinglish », c’est-à-dire d’anglais foireux tel qu’on le trouve dans les pays asiatiques, que je n’ai pas re-traduit en français. 2) Le sous-titre ‘Beef’s what’s for dinner, the power of cheese, and milk does a body good’ provient de slogans publicitaires américains destinés à encourager la consommation de viande et de produits laitiers. Une autre époque…

Source.


Risque de maladie à prions lié à l’ARNm dans l’alimentation

« Du bœuf au menu, le fromage donne des forces et le lait fait du bien à l’organisme »

The Underdog

6 mai

Il est apparu que Pfizer avait trafiqué les échantillons de Western Blot fournis à l’EMA (Agence Européenne des Médicaments) comme « preuve » de la stabilité de leur ARNm. Les fuites de l’EMA montrent au contraire que l’ARNm est instable. [NdT. Sasha explique tout ça ici]

L’ARNm transporte le code vers les sites de synthèse des protéines (connus sous le nom de ribosomes dans le cytoplasme) afin d’induire la fabrication des protéines. Par conséquent, des erreurs dans l’ARNm entraîneront probablement des erreurs dans la synthèse des protéines.

Pour faire une analogie grossière, considérez l’instabilité de l’ARNm comme ces consignes chinoises mal traduites qui accompagnent un produit et qui n’ont que peu ou pas de sens.

L’organisme s’efforcera d’exécuter ces instructions avec diligence, qu’elles soient logiques ou non. Ce ne sont pas des correcteurs, l’organisme ne s’attend pas à recevoir des instructions erronées de Pfizer, alors pourquoi « corrigerait-il » l’ARNm qui lui parvient ?

Il ne le fait donc pas, et les mauvaises instructions se traduisent par de mauvaises exécutions.

Pourquoi un risque de faible probabilité est très élevé

Si l’on considère le nombre de milliards d’ARNm administrés à chaque injection et le nombre d’ARNm reçus collectivement, la roulette de l’instabilité est lancée sur chacun d’entre eux.

Ainsi, même s’il y a, disons, une chance sur mille milliards que quelqu’un reçoive un ARNm avec des instructions erronées qui codent pour une protéine mal repliée, s’il y a 50 milliards de morceaux d’ARNm par dose, il suffit de 20 injections de doses pour que la chance sur mille milliards soit atteinte. C’est donc beaucoup plus probable qu’on ne le pense.

Pourquoi une synthèse protéique erronée pose problème

Si l’ARNm instable code pour la production d’une protéine mal repliée, ce qui est hautement probable dans les scénarios dits de « faible » probabilité, lorsqu’il s’insère dans le ribosome cytoplasmique, il lui demande de se mettre à fabriquer ces protéines mal repliées.

Une protéine mal repliée porte d’autres noms, dont vous avez peut-être déjà entendu parler:

  • Prions (maladies à prions, telles que la démence à corps de Lewy et la maladie de Creutzfeldt-Jakob)
  • Prionoïdes (structures semblables aux prions)

Les prions forment une catégorie spéciale d’agents pathogènes. Ils sont un peu la version « infectieuse » des protéines mal repliées; ils se déplacent pour « recruter » et mal replier d’autres protéines. Considérez-les comme les zombies dans un film, qui transforment d’autres humains en zombies.

Ces prions « construisent » ensuite des structures en forme de plaques sur certains éléments, se collant les uns aux autres et à d’autres parties du corps, comme du chewing-gum usagé sur des sièges d’autobus. Comme ils ne quittent jamais le site auquel ils s’accrochent, le foie ne peut jamais les éliminer.

C’est un peu comme le cholestérol qui s’accumule sur les parois des vaisseaux sanguins et les durcit. Sauf que ces prions s’accumulent dans des endroits comme le cerveau et interfèrent avec les voies de signalisation des neurones.

[NdT. même recommandation que d’habitude, utilisez la traduction automatique de YouTube]

En d’autres termes, ils brûlent, court-circuitent, bloquent et interfèrent avec les circuits électriques de l’organisme. Par exemple, dans le cas de la démence à corps de Lewy, cela peut entraîner des oublis, des problèmes de neurones moteurs (difficultés à mouvoir certaines parties du corps) et des déficits cognitifs (incapacité à raisonner, à faire des choix, etc.).

Les autres maladies qu’elle peut provoquer comprennent la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson. La maladie est généralement mortelle et n’a pas de remède connu (au moment de la rédaction de cet article). En 2016, « l’hypothèse principale, à l’heure actuelle, est que ces prions atypiques apparaissent spontanément chez le bétail« , et en 2019, 85% des cas de maladies à prions ont été jugés « spontanés ».

Autrement dit, on ne sait pas ce qui cause la maladie à prion dans la majorité des cas. Leur meilleure hypothèse est que la maladie « surgit de nulle part ». On considère qu’il s’agit d’une rareté de type « 1 sur un million », donc si elle se produit plus fréquemment que cela, il y a un problème.

Une variante similaire de la protéine est connue sous le nom d' »amyloïde » et conduit à l' »amyloïdose », où la protéine amyloïde forme une structure similaire à une plaque. Une matière amyloïdogène est un élément qui favorise la formation d’amyloïdes.

Des protéines amyloïdogènes ont été trouvées dans les protéomes du SARS-CoV et du SARS-CoV-2, et il apparaît que la protéine de pointe du SARS-CoV-2 – pour laquelle l’ARNm code – est également amyloïdogène.

Un autre auteur sur Substack a expliqué comment la réponse immunitaire au SARS-CoV-2 pouvait également contribuer à l’amyloïdose [NdT. Walter Chestnut, qui a écrit sur ce sujet une tonne d’article que je m’étais juré de traduire sans avoir jamais trouvé le temps]. Dans une boucle autoréférentielle, les protéines alimentaires – telles que l’œuf – sont utilisées dans les injections d’ARNm.

Pourquoi les injections d’ARNm chez les bovins posent problème

En mémoire des victimes de l’ESB humaine (vMCJ)
Pensées éternelles
Fondation ESB Humaine

Vous n’êtes peut-être pas au courant de « l’épidémie » d’ESB (encéphalopathie spongiforme bovine) qui s’est déclarée au Royaume-Uni et en Europe. L’ESB est une maladie à prions; vMCJ signifie « variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob », une maladie à prions bien connue.

Directives
Tremblante: comment repérer et signaler la maladie
Comment repérer la tremblante, que faire en cas de suspicion et quelles sont les mesures à prendre pour empêcher sa propagation.

Les bovins – ou les vaches – ont été nourris avec des protéines de viande provenant d’autres animaux, tels que l’agneau, qui étaient soupçonnés être porteurs de la tremblante, la variante ovine des encéphalopathies spongiformes transmissibles.

Le Japon annulera l’interdiction d’importation de boeuf anglais imposée après la crise de l’ESB

Obéissant au simple bon sens, le Royaume-Uni et d’autres pays ont interdit de nourrir d’autres animaux avec les restes d’animaux morts, ce qui a considérablement réduit l’épidémie. L’ESB était si grave que des pays comme le Japon ont interdit l’importation de produits bovins britanniques jusqu’en 2019.

Il est toutefois choquant de constater qu’en 2021, l’UE a levé l’interdiction de nourrir les animaux avec des restes d’autres animaux, malgré la persistance des risques, au nom de la concurrence économique.

L’UE lève l’interdiction de nourrir le bétail domestique avec des restes d’animaux
L’autorisation d’utiliser des protéines animales transformées dans l’alimentation des porcs et des volailles, interdite depuis la crise de l’ESB, permettra de faire face à la concurrence extracommunautaire, selon la Commission

Cela signifie que la méthodologie utilisée pour briser la chaîne de causalité n’est plus applicable et qu’une fois de plus, le bétail infecté par des prions peut réinfecter d’autres animaux d’élevage dans d’autres secteurs d’activité. Cela signifie également que toute viande exportée par l’UE vers d’autres pays risque d’être contaminée, tout comme les pays importateurs.

Ne peut-on pas simplement traiter la viande par la chaleur?

Le Daily Beagle a étudié les méthodes de traitement possibles de la maladie à prions, mais contrairement aux infections bactériennes ou virales, la chaleur n’a aucun effet sur les prions présents dans les aliments.

Pour en savoir plus, le Daily Beagle s’est entretenu avec David Dunford de la Food Standards Agency britannique, chargée de lutter contre les contaminants dans l’approvisionnement alimentaire, au sujet de l’impact du traitement thermique sur la maladie à prions et sur les références appropriées.

David a indiqué que…

[…] en chauffant à 115°C, les prions de l’ESB ont conservé un taux élevé d’infectivité, tandis que les taux d’infectivité d’autres souches de prions ont été inactivés (Langeveld et al. 2021) […]

En d’autres termes, même à des températures extrêmes supérieures au point d’ébullition, l’ESB restait dangereuse. Les lecteurs pourraient se demander ce qui se passerait si l’on faisait cuire l’animal plus longtemps, comme dans un rôti au four.

Une autre étude a montré que le fait de chauffer des souches de prions de l’ESB à 98°C pendant 2 heures ne réduisait que très faiblement, voire pas du tout, l’infectiosité (Marin-Moreno et al. 2019).

Les longues durées de températures élevées n’ont donc aucun impact sur les prions. Qu’en est-il de l’eau bouillante?

[…] Les agents de l’ESB ne sont pas détruits par l’eau bouillante et ne sont pas inactivés par un chauffage à 121°C pendant 15 minutes (Collee, JG. & Bradley, R. 1997).

Ainsi, tous les moyens conventionnels de traitement thermique dont disposent la plupart des particuliers ne détruiront pas les prions présents dans la viande ou d’autres denrées alimentaires de ce type.

Comment résoudre le problème? David remarque que le seul moyen de prévenir les maladies à prions est de retirer purement et simplement les parties contaminées et de les détruire:

C’est pourquoi il existe des contrôles à l’abattoir, tels que l’élimination des parties du bétail les plus susceptibles d’être porteuses de l’ESB, afin de minimiser le risque que les consommateurs reçoivent de la viande contaminée.

Comme nous l’avons constaté, le problème est bien plus grave. Contrairement aux injections de Pfizer, que l’on peut simplement refuser, la contamination par l’ARNm entraînant un mauvais pliage des protéines chez les bovins (et même chez d’autres animaux élevés pour la consommation) n’est pas une chose que l’on peut éviter en refusant simplement une injection.

Si une vache (qui n’est pas vaccinée par l’ARNm) mange les restes d’une autre vache (qui l’est et contracte une maladie à prions), la vache consommatrice sera infectée, ainsi que toute autre personne qui mangera cette vache, en plus de la vache d’origine.

Il en va de même pour les autres animaux. Les prions sont inter-espèces; ils peuvent infecter les moutons, les vaches, les oiseaux et même les humains. Ils n’ont pas besoin de cellules pour infecter, car ils ne font que « recruter » d’autres protéines compatibles, ce qui leur permet de franchir plus facilement la barrière des espèces.

Les prions débarquent également dans le lait et le fromage

Une étude a détecté de l’ARNm dans le lait maternel humain provenant des injections d’ARNm. En 2005, on soupçonnait que les prions pouvaient être transmis par le lait, ce qui a été confirmé en 2007.

Une étude met en évidence le risque d’ESB dans le lait
06-fév-2007, par Chris Mercer
Les craintes selon lesquelles les vaches atteintes d’ESB pourraient transmettre la maladie à l’homme par l’intermédiaire des protéines présentes dans leur lait ont été renforcées par une nouvelle étude, qui a encouragé une analyse plus stricte des produits laitiers.

Alors que des « preuves » ont été présentées en 2016 pour tenter de démontrer leur innocuité, un rapport de l’UE publié en 2020 a estimé que ces « preuves » étaient discutables, car elles étaient basées sur des souris et non sur des vaches.

b. La preuve expérimentale de l’innocuité du lait bovin en ce qui concerne le risque d’ESB a été remise en question parce que ces expériences ont été réalisées sur des souris; il a été considéré que ces tests pouvaient avoir sous-estimé tout risque possible en raison de la barrière entre espèces, de la vache à la souris. Il a été noté que le lait avait le potentiel de transmettre des maladies à prions telles que l’ESB parce qu’il contient une part importante de leucocytes.

Le rapport ne mentionne pas l’expérience de 2007 susmentionnée. Des cas d’ESB ont été découverts chez des vaches laitières, comme les cas canadiens de 2007, le cas californien de 2012 et le cas irlandais de 2015.

Une autre étude a révélé que les vaches laitières à haut rendement présentaient un risque plus élevé que les vaches laitières conventionnelles:

[…] une petite catégorie de troupeaux très intensifs, avec des rendements laitiers annuels supérieurs à 10 000 kg, était significativement plus à risque que les autres troupeaux.

Au Japon, en 1996, on a découvert que les vaches atteintes d’ESB avaient consommé le même substitut de lait. En effet, l’aliment pour animaux à base de viande et d’os qui a finalement été interdit est un « substitut de lait ».

Les agences qui vous disent que les injections d’ARNm et d’adénovirus génétiquement modifiés sont « sûres et efficaces » en s’appuyant sur des tests frauduleux sont les mêmes qui vous disent que le lait est exempt d’ESB, bien qu’elles ne sachent pas ce qui cause 85% des cas.

Même en dépit des allégations de « sécurité », il était conseillé en 2007 de jeter le lait de toute façon. Tout produit provenant d’un animal malade doit être jeté conformément à la loi de la FDA sur les aliments, les médicaments et les produits cosmétiques (Food, Drug, and Cosmetic Act).

Les règles britanniques interdisent également la vente pour la consommation humaine, mais autorisent le veau à boire ce lait.

La loi britannique stipule que le lait dérivé de bovins atteints d’ESB ou soupçonnés d’être atteints d’ESB ne doit pas être vendu, fourni ou utilisé pour la consommation humaine ou animale, à l’exception de l’alimentation du veau de la vache.

Sécurité du lait en ce qui concerne les EST: état des lieux

L’affirmation selon laquelle le lait est sûr a été faite alors qu’une étude réalisée en 2011 sur la tremblante du mouton, une autre maladie à prions, a révélé que la tremblante pouvait être transmise par le lait de la brebis.

Les moutons atteints de tremblante et de mammite transmettent des prions infectieux par le lait

Cette étude était particulièrement approfondie (contrairement à l’étude sur les souris), car elle congelait quotidiennement des échantillons de lait et appliquait des mesures de biosécurité strictes aux agneaux importés (de Nouvelle-Zélande, pays exempt de tremblante) afin d’éviter toute contamination croisée. Sur les 8 agneaux nourris avec du lait de brebis infectées par la tremblante, au moins 50% ont développé la tremblante:

Sur les 8 agneaux nourris au lait de brebis infectées par le MV/la tremblante [NdT. MV: virus Maëdi-Visnia], 1 a été sacrifié prématurément et 4 ont développé des signes cliniques de tremblante entre 23 et 28 mois p.i. (Tableau 1).

En d’autres termes, si les prions peuvent être transmis par le lait – comme le suggèrent l’étude sur les vaches laitières à haut rendement et l’étude sur la tremblante – le veau (autorisé à être nourri selon les règles britanniques) sera également infecté, ce qui perpétuera la chaîne.

Une autre étude réalisée en 2008 a suggéré l’existence d’une souche plus virulente, dite « lymphotrope ».

Ces résultats suggèrent que chez l’homme, la souche BASE est une souche d’ESB plus virulente et probablement lymphotrope.

Le terme « lymphotrope » signifie qu’elle a une préférence pour les lymphocytes, cellules présentes dans le lait. Selon une étude:

En dehors des lymphocytes de petite et de grande taille, aucun autre leucocyte n’est habituellement présent dans le lait normal.

Si le lait peut être porteur de prions, cela signifie également que le fromage – fabriqué à partir de lait et contenant donc des protéines laitières – est également à risque, étant donné que ni le traitement thermique ni le temps n’arrêtent la maladie du prion.

Un cas récent d’ESB dans le Somerset, au Royaume-Uni, en 2021, provenait également d’une vache laitière, de même qu’un autre cas non spécifié en 2023 dans les Cornouailles. La maladie n’a pas disparu. En fait, en 2022, le gouvernement britannique a adressé un questionnaire aux agriculteurs en raison de l’incidence notable de l’ESB.

Des cas d’ESB au Royaume-Uni donnent lieu à une enquête chez les fermiers

Le bœuf, le lait ou le fromage seront-ils refusés s’ils proviennent de bovins ayant reçu des injections d’ARNm dans le cadre d’une « thérapie génique », l’ARNm étant instable et provoquant une synthèse de protéines mal repliées?

Les injections d’ARNm débarquent chez les bovins

Il convient de garder à l’esprit que des injections d’ARNm sont probablement prévues pour divers animaux considérés comme une source de nourriture, y compris les moutons, les oiseaux (les poulets, par exemple) [les œufs, qui contiennent des protéines d’œuf, sont-ils menacés?] et même les chèvres pour le fromage de chèvre. Le présent article se concentre sur les bovins, mais l’attention du public devrait se porter sur d’autres animaux.

Le commissaire Sid Miller, du Département de l’Agriculture du Texas, a indiqué qu’il:

[…] travaille à l’élaboration d’une évaluation factuelle et scientifique des risques associés à cette technologie. […]

En ce qui concerne l’impact des injections d’ARNm.

D’ores et déjà, on voit apparaître des articles de presse qui tentent de devancer les craintes en niant vaguement les risques non pris en compte des problèmes d’instabilité de l’ARNm, comme celui publié par le Cowboy State Daily:

Un vaccin pour le bétail basé sur la technologie du vaccin COVID-19 suscite des inquiétudes, mais un biologiste affirme que ces craintes ne sont pas fondées
L’utilisation d’un vaccin pour le bétail utilisant la même technologie que le vaccin COVID-19 n’a pas été approuvée, mais certains législateurs s’apprêtent à mettre en place des règles d’étiquetage pour les aliments provenant d’animaux ayant reçu le vaccin. Un biologiste moléculaire a déclaré que le vaccin ne peut pas se retrouver dans les aliments étiquetés.

À l’heure actuelle, aucun pro-vaccin n’a été en mesure de répondre aux questions du Daily Beagle concernant l’instabilité de l’ARNm, les pourcentages d’intégrité des vaccins et la manière dont cette instabilité est atténuée, si tant est qu’elle le soit. Les Western Blots frauduleux destinés à simuler la stabilité expliquent le fait qu’il n’y ait pas de réponse.

WASHINGTON (5 avril 2023) – Aujourd’hui, la National Cattlemen’s Beef Association (NCBA) a publié une déclaration concernant les fausses informations qui circulent sur les médias sociaux au sujet de l’utilisation de vaccins à ARNm chez les bovins:
« Aucun vaccin à ARNm n’est actuellement autorisé pour une utilisation chez les bovins aux États-Unis. Les agriculteurs et les éleveurs vaccinent le bétail pour traiter et prévenir de nombreuses maladies, mais à l’heure actuelle, aucun de ces vaccins ne fait appel à la technologie de l’ARNm. »

La National Cattlemen’s Beef Association (NCBA) a affirmé que les vaccins à ARNm n’étaient actuellement pas utilisés chez les bovins, bien qu’ils vaccinent les vaches, mais sans ARNm.

Aucune preuve de leur non-utilisation n’est fournie, ce qui changera probablement à l’avenir, étant donné que les sociétés pharmaceutiques prévoient de substituer la « thérapie génique » de l’ARNm au type actuel de vaccins:

Pfizer présente l’ARNm comme une alternative aux vaccins antigrippaux actuels
par Anna Brown, jeudi 20 avril 2023 6:59 am
Pfizer affirme que son programme de vaccination contre la grippe à base d’ARNm, en collaboration avec BioNTech, pourrait remplacer les technologies de vaccination actuelles.

D’autres éleveurs ont condamné explicitement les injections d’ARNm. Par exemple, Glenn Elzinga, d’Alterspring Ranch, a déclaré qu’il refuserait de manger quoi que ce soit de « vacciné » à l’ARNm:

Mais soyons clairs: moi, Glenn Elzinga, auteur de cet article, éleveur et propriétaire du ranch Alderspring, je ne souhaite pas manger de produits animaux vaccinés à l’ARNm. Pour le dire simplement, je n’en mangerai pas.

S’agit-il pour autant d’un « vaccin »?

Dans les documents déposés par Moderna auprès de la SEC, qui sont légalement tenus à l’honnêteté, l’ARNm est décrit en tant que « thérapie génique »:

Actuellement, l’ARNm est considéré comme un produit de thérapie génique par la FDA. Contrairement à certaines thérapies géniques qui modifient irréversiblement l’ADN cellulaire et pourraient être à l’origine d’effets secondaires, les médicaments à base d’ARNm sont conçus pour ne pas modifier l’ADN cellulaire de manière irréversible; toutefois, les effets secondaires observés en thérapie génique pourraient avoir un impact négatif sur la perception des médicaments à base d’ARNm, malgré les différences de mécanisme.

Dépôt de Moderna auprès de la SEC

De même, BioNTech, fabricant pour Pfizer, admet également que l’ARNm est considéré comme une thérapie génique, ce qui laisse supposer qu’il pourrait être reclassé:

Bien que nous prévoyions de soumettre des BLA [Biologics License Applications, Demandes de licences de produits biologiques] pour nos produits candidats à base d’ARNm aux États-Unis et dans l’Union Européenne, les thérapies à base d’ARNm ont été classées comme des médicaments de thérapie génique, d’autres juridictions pourraient considérer nos produits candidats à base d’ARNm comme de nouveaux médicaments, et non comme des produits biologiques ou des médicaments de thérapie génique, et exiger des demandes de mise sur le marché différentes.

Dépôt de BioNTech auprès de la SEC

Bien que Glenn Elzinga laisse entendre qu’il n’existe pas de travaux de ce type pour les injections d’ARNm chez les animaux, Tiba Biotech avait déjà conclu, le 28 septembre 2022, un accord pour l’ARNm de la fièvre aphteuse avec le gouvernement de la Nouvelle-Galles du Sud, un gouvernement régional d’Australie:

Le gouvernement de la Nouvelle-Galles du Sud et la société américaine Tiba Biotech ont signé un accord pour un vaccin à ARNm contre la fièvre aphteuse.

28 septembre 2022, Tiba Biotech

Pall Thordarson, de l’Université de la Nouvelle-Galles du Sud, a déclaré que le but était de permettre à l’Australie de devenir une « puissance mondiale dans l’écosystème de l’ARN ». Je suppose qu’ils ne sont pas au courant des problèmes d’instabilité de l’ARNm?

L’accord conclu entre Tiba Biotech et les agences de recherche animale et de biosécurité de la Nouvelle-Galles du Sud, du Queensland et de l’État fédéral fera progresser notre vision commune, à savoir faire de l’Australie une puissance mondiale dans l’écosystème de l’ARN.

Professeur Pall Thordarson, directeur de l’Institut de l’ARN de l’Université de Nouvelle-Galles du Sud et chef de l’Alliance des biosciences de l’ARN de la Nouvelle-Galles du Sud.

Tiba travaille avec le CEPI, un organisme pro-vaccin, à la prévention de [insérer ici le nom d’une maladie rentable]:

Tiba et la CEPI s’efforcent d’anticiper la prochaine pandémie
Tiba Biotech LLC et la CEPI (Coalition for Epidemic Preparedness Innovations) ont annoncé le 12 janvier qu’ils allaient s’associer pour évaluer la technologie de la prochaine génération de vaccins à ARN de la compagnie biotechnologique basée à Cambridge, MA, en tant qu’outil de préparation à la prochaine épidémie ou pandémie mondiale – qu’ils ont appelée « maladie X ».

Comme nous l’Histoire nous l’a appris, les fabricants de vaccins ont été responsables d’un grand nombre d’épidémies.

Source du virus: Site de Pirbright
Virus: O1 BFS1860 (foyer britannique de 1967)
3 souches utilisées sur le site de Pirbright :
IAH1 (v. petites quantités, Institut de Recherche en Santé Animale)
IAH2 (v. petites quantités, Institut de Recherche en Santé Animale)
MAH (lots de 6 000 litres pour la production de vaccins, Merial Animal Health)
L’épidémiologie moléculaire révèle les voies de transmission
(Cottam et al, 2008, PLoS Pathogens 4(4): e1000050 )

Si l’aspect « fièvre aphteuse » du développement de Tiba Biotech semble vaguement familier aux lecteurs du Daily Beagle, c’est parce que nous en avons parlé dans notre article intitulé « Les fabricants de vaccins sont à l’origine des épidémies« , à propos de la fièvre aphteuse de 2007 causée par Merial, le laboratoire de recherche sur les vaccins.

MERIAL, qui fait désormais partie de BOEHRINGER INGELHEIM, élargit son portefeuille de vaccins canins avec l’introduction de RECOMBITEK® Oral Bordetella
Boehringer Ingelheim obtient un contrat pour une banque de vaccins destinée à protéger le bétail américain contre la fièvre aphteuse

Merial a été absorbé par Boehringer Ingelheim et a vendu des vaccins contre la fièvre aphteuse au gouvernement américain en 2020 – une maladie qu’il avait provoquée.

Dans ce cas, les fabricants de vaccins ont donc provoqué l’épidémie de fièvre aphteuse et vendent maintenant des vaccins à ARNm contre la fièvre aphteuse au gouvernement australien. Pour cela, ils devraient être poursuivis au pénal.

Comment peut-on lutter?

Outre les poursuites pénales?

Le Missouri a examiné le projet de loi 1169 de la Chambre des représentants, dont la description est la suivante:

Crée des dispositions relatives à l’obligation d’information pour certains produits.

Le résumé mentionne l’obligation d’étiquetage pour un « produit potentiel de thérapie génique« :

Ce projet de loi précise que tout produit qui agit comme une thérapie génique ou qui est exposé à des procédés qui pourraient avoir pour conséquence que le produit agisse potentiellement comme une thérapie génique ou qui pourrait éventuellement avoir un impact, modifier ou introduire du matériel génétique ou un changement génétique chez l’utilisateur du produit ou certaines autres personnes doit être étiqueté de manière visible avec les mots « Produit de thérapie génique potentiel », et des mesures raisonnables doivent être prises pour s’assurer qu’un acheteur ou un utilisateur potentiel est informé de la présence de cette étiquette. Si l’on sait qu’un produit est un produit de thérapie génique, il doit être étiqueté de manière visible avec la mention « Produit de thérapie génique ».

Elle ne semble pas avoir été adoptée. Il n’existe pas de dispositions similaires dans d’autres États, bien que l’étiquetage des OGM soit obligatoire sur les denrées alimentaires et que de nombreux produits alimentaires américains soient désormais étiquetés comme contenant des produits issus de la bio-ingénierie.

Par exemple, Janey Maxwell a publié des images sur Twitter (nous les avons recadrées et mises en évidence):

Mc Fly a posté cette photo:

Et capejim a posté cette photo [elle a été supprimée depuis]. Nous l’avons recadrée et mise en évidence:

De toute évidence, même avec étiquetage, les aliments issus de la bio-ingénierie sont de plus en plus répandus dans l’alimentation américaine.

Le grand public, dans tous les pays, devra agir pour que les législateurs interdisent la technologie instable de l’ARNm, faute de quoi il ne s’agira bientôt plus seulement de refuser les injections, mais aussi de refuser de s’alimenter.

Le Culte Biosécuritaire de la Pandémie en Attente – par Sasha Latypova.

Si ce n’est fait, lisez l’article précédent, de Spartacus, qui donne quelques pistes sur les aspects futurs bio-machin-truc du « projet ». Considérez celui-ci comme une deuxième partie.

Voici ce qu’en pense Sasha Latypova, qui rejoint d’assez près ce que j’en pense. J’ai un truc à finir de rédiger sur le sujet, une mise à jour de ce que je serine depuis plus de deux ans ici.

Un de nos points communs majeurs est de ne pas être très impressionnés par les instigateurs du projet, de petites frappes incompétentes qui, après avoir pillé (notamment) les fonds de pension, tentent de liquider Mamy en lui injectant du bouillon d’onze heures – et s’il lui venait l’idée d’y survivre, en reculant l’âge de sa retraite. Mes lecteurs français apprécieront…

Sasha me rejoint aussi sur le fait que la majorité des organes de contrôle (connus aux États-Unis sous le terme « alphabet soup« , en référence à leurs acronymes) et des gouvernements sont des mafias; et également sur cet étrange penchant du peuple pour les histoires, belles ou moches, vraies ou fausses, que je fais dans ce cas, comme elle et bien d’autres, mon possible pour démonter, la vérité étant une forme de salut et la nature sa source première.

La peinture en fin de texte est de l’autrice.

Source.


Le Culte Biosécuritaire de la Pandémie en Attente

Visualisez la catastrophe. Mieux que ça.

Sasha Latypova

11 mars

Yuval Noah Harari est l’un des principaux idéologues du cartel criminel des aspirants à un gouvernement mondial unique et le porte-parole préféré du Forum Économique Mondial. Son message principal semble être que les humains peuvent être capturés, contrôlés et « piratés » ou manipulés par la technologie et ainsi réduits en esclavage pour servir l’uber-classe de contrôle des peuples du FEM et de l’OMS. C’est un lecteur qui m’a signalé cette vidéo. Dans cette conférence Ted de 2015, Harari postule que les humains, par opposition aux animaux, sont uniques dans leur capacité à croire à des histoires fictives, et qu’ils peuvent donc être contrôlés par la narration, par la fiction, tant que tout le monde croit à la même histoire. Selon lui, l’idée que les humains ont une âme et un libre arbitre est « révolue ». Par conséquent, cette méthode permet d’amener les gens à participer à leur propre disparition (y compris en faisant la queue pour se faire injecter du poison) par le biais d’un lavage de cerveau de masse et d’un contrôle du narratif.

Les êtres humains se laissent séduire par des conneries en tout genre et, en fait, ils semblent en raffoler. Nous aimons les bonnes histoires, les histoires imaginatives, les histoires d’ambition, les aventures de héros, les romances, les whodunit (le genre de ce substack), ou les histoires de science-fiction sur les avancées technologiques. Les histoires de science-fiction sont très populaires. Elles sont en fait tellement populaires que le grand public et la plupart des professionnels ne parviennent plus à distinguer la science légitime des récits de science-fiction imaginaires, ce qui est ressorti clairement des années de fausse « pandémie mondiale » actuelle.

En parlant du narratif de la pandémie, nous aimons aussi les histoires qui font peur! Les perspectives imminentes de fausses catastrophes invisibles semblent ne jamais passer de mode. Voici un excellent livre que je recommande sur ce sujet [NdT. moi aussi], écrit par Patrick Moore, un des fondateurs de Greenpeace. Je cite:

Il y a quelque temps, je me suis rendu compte que la grande majorité des histoires alarmistes sur l’état présent et futur de la planète, et de l’humanité dans son ensemble, sont basées sur des sujets qui sont soit invisibles, soit extrêmement éloignés, soit les deux à la fois. Ainsi, la grande majorité des gens n’ont aucun moyen d’observer et de vérifier par eux-mêmes la véracité de ces affirmations prédisant ces prétendues catastrophes et menaces dévastatrices. Au lieu de cela, ils doivent s’en remettre aux activistes, aux médias, aux politiciens et aux scientifiques – qui ont tous un très grand intérêt financier et/ou politique dans le sujet – pour leur dire la vérité. Cela ouvre la voie à l’invention de récits tels que l’affirmation selon laquelle « les émissions de CO2 provenant de la combustion de combustibles fossiles sont à l’origine d’une situation d’urgence climatique ».

Personne ne peut voir ou sentir ce que fait le CO2 car il est invisible, inodore, insipide, silencieux et ne peut être ressenti par le toucher. Par conséquent, il est difficile de réfuter de telles affirmations parce qu’il n’y a rien à pointer du doigt pour démontrer de manière tangible la fausseté de ces affirmations.

Les narratifs surutilisés posent un léger problème. Le narratif sur le changement climatique est de plus en plus difficile à soutenir, car Greta a dépassé sa date de péremption en tant qu’enfant acteur, les ours polaires refusent de coopérer et continuent de se multiplier, et les glaciers ne fondent pas comme Al Gore l’avait promis. Les ovnis et les extraterrestres ne nous mèneront pas non plus bien loin.

De nouveaux narratifs de peur doivent être établis: le narratif de nouveaux virus « émergents » est dans les cartons depuis des années. Des virus invisibles et effrayants qui peuvent surgir de la jungle à tout moment et qui sont à portée d’avion d’infecter la moitié de la planète avec un nouvel agent pathogène mortel! Plus palpitante encore est la perspective que des scientifiques maléfiques fabriquent de nouveaux virus mortels et super propagateurs dans des laboratoires qui peuvent « fuir ».

Merci, Sage Hana, d’avoir réalisé ce mix tape 🙂 qui illustre bien mon propos.

La mafia gouvernementale (HHS, NIH, DOD, DARPA, BARDA, DTRA, etc.) et ses vassaux du monde universitaire, de l’industrie biopharmaceutique et des médias se gavent à l’auge de la « biodéfense » depuis des décennies. Quoi de mieux qu’une menace invisible pour justifier l’impression et la dépense de tonnes d’argent pour des méga-contrats de défense/recherche, tout en prenant l’avion pour participer à des événements champagne-caviar internationaux et se décerner mutuellement des prix scientifiques diversifiés-inclusifs-durables?

Dans son récent article pour le Epoch Times, la journaliste Debbie Lerman souligne le temps et l’argent consacrés par le cartel militaro-industriel à l’escroquerie de la « biodéfense et de la préparation aux pandémies ». Des montants mirobolants sont décrits dans un article du Lancet qu’elle cite en référence: « La recherche sur la biodéfense deux décennies plus tard: l’investissement en valait-il la peine? »

Avant 2001, le financement annuel de la biodéfense aux États-Unis était estimé à 700 millions de dollars. À la suite des incidents de 2001, l’augmentation du financement de la biodéfense dans le monde entier a été largement stimulée par la prise de conscience que de nombreux pays n’étaient pas préparés à des attaques bioterroristes. L’attaque américaine Amerithrax de 2001 a révélé des lacunes dans la disponibilité des contre-mesures médicales via le stock national stratégique (SNS), le système de réseau d’intervention des laboratoires, l’infrastructure de santé publique et la communication. De nombreux programmes de financement ont été associés au gouvernement fédéral américain. Un programme d’un milliard de dollars a été mis en œuvre aux États-Unis en 2002 sous la forme de subventions à la préparation au bioterrorisme, de financement de la recherche en biodéfense et de stockage de contre-mesures médicales au sein du Ministère de la Santé et des Services sociaux. D’autres efforts notables de financement de la biodéfense aux États-Unis après 2001 comprennent le programme Biowatch (2001) du Ministère de la Sécurité Intérieure (DHS), le programme de préparation des Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC), le projet Bioshield (2004) du DHS, la Commission pour la Recherche et le Développement Avancés en Biomédecine (Biomedical Advanced Research and Development Authority – BARDA; 2006), et le Centre National de Bio et d’Agrodéfense (National Bio and Agro Defense Facility; 2014). Ces programmes portent généralement sur des questions autres que la biodéfense, telles que la santé publique, la sécurité nationale et internationale et les soins de santé, ce qui accroît leur impact. Le financement total de la biodéfense aux États-Unis a augmenté de façon spectaculaire, passant de environ 700 millions de dollars en 2001 à environ 4 milliards de dollars en 2002; le pic de financement en 2005 s’élevait à près de 8 milliards de dollars et s’est poursuivi avec des dépenses moyennes régulières d’environ 5 milliards de dollars.

En 2019, le marché mondial de la biodéfense était évalué à 12,2 trillions de dollars et devrait croître à un taux de croissance annuel composé de 5,8% entre 2020 et 2027, pour atteindre une valeur de marché projetée de 19,8 trillions de dollars en 2027. Des facteurs tels que les ressources financières gouvernementales et privées soutenues par la menace imminente du bioterrorisme et l’apparition récente d’épidémies naturelles d’agents pathogènes liés au bioterrorisme, notamment Coxiella burnetii, le virus Ebola (EBOV), SARS-CoV-1, SARS-CoV-2, la grippe et le virus Lassa, sont probablement les principaux facteurs qui contribuent à l’expansion constante du marché mondial de la biodéfense.

Et à quoi ces milliards ont-ils été consacrés? Dans un résumé de 2003 intitulé « Rôle élargi en matière de biodéfense pour les Instituts Nationaux de la Santé » (« Expanded Biodefense Role for the National Institutes of Health »), le Dr Anthony Fauci expose sa vision de la biodéfense:

« … l’objectif dans les 20 prochaines années est de passer du « virus au médicament » (« bug to drug ») en moins de 24 heures. Cela permettrait de relever le défi des bioagents issus du génie génétique ».

Au fil du temps, le mastodonte du cartel gouvernement-industrie, qui ne cesse de s’agrandir, a su tirer parti de nombreux événements. Au cours des 20 dernières années, l’élaboration des politiques a de plus en plus visé à mettre en place des réglementations pour maximiser les pouvoirs des autorités en éradiquant simultanément les lois et les contrôles constitutionnels existants afin de les libérer de toute responsabilité et d’instaurer de facto une loi martiale. Chaque politique a été mise en place après de prétendus « événements » qui ont été utilisés pour introduire de nouvelles « lois ». Il est légitime de penser que l’inverse a pu se produire: les événements ont été organisés pour justifier de nouvelles « lois ». Après chaque « attaque », une nouvelle législation plus autoritaire a été élaborée et mise en place pour s’adapter aux objectifs du programme totalitaire.

Le narratif de la biodéfense/biosécurité articulé par Fauci est bien entendu totalement bidon. Les pandémies virales n’existent pas dans la réalité, malgré des décennies de trafic international très dense et très fréquenté (vous avez connu Ryan Air?)

D’accord, les virus terrifiants ne surgiront peut-être pas naturellement de la jungle, mais ils « émergeront » certainement un jour du laboratoire d’un Dr Maléfique? Voici Ralph Baric qui « prédisait » en 2016 que le virus 1 SARS CoV de Wuhan était prêt à « émerger » de son laboratoire de l’UNC Chapel Hill. Notre Congrès est toujours à la recherche d’une « fuite » à Wuhan. Allô! Congrès! Quelqu’un pourrait-il lire ceci?

Des sommes colossales d’argent, des investisseurs, des ressources, des projets, des études, des subventions de recherche, des conférences, des tables rondes, des conférences Ted, des comités politiques, des lois du Congrès, beaucoup d’activités juridiques et de lobbying, des exercices de simulation sur table – toute une industrie de 19 milliards de dollars par an est en attente de LA GRANDE FUITE un jour. Les milliers d’adultes qui participent à ce jeu de fiction doivent finir par y croire pleinement afin de surmonter une dissonance cognitive massive et destructrice de l’âme. Ceux qui ne le supportent pas du fait de leur sens moral démissionnent et vont travailler ailleurs. Ce qui n’était au départ qu’un scénario de film de série B (Dustin Hoffman poursuivant un singe échappé avec des chars et des hélicoptères) se transforme, grâce à l’alignement des incitations économiques individuelles et des narratifs, en une idéologie, puis en une religion à part entière. C’est ainsi qu’est née une secte dangereuse: le Culte de l’Église Biosécuritaire de la Pandémie en Attente.

Les nombreux investisseurs étatiques, militaires et privés qui ont soutenu le narratif de la biodéfense, y compris la Fondation Bill & Melinda Gates, parmi des centaines de fonds privés, souverains et à but non lucratif qui ont déversé tout cet argent dans la « biodéfense », attendent le retour sur investissement!

Extrait du même article du Lancet:

Quinze ans plus tard, alors qu’aucune plateforme aussi fantaisiste n’est en vue, la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) a publié en 2017 un plan de contre-mesures médicales actualisé intitulé « Supprimer la menace virale: Deux mois pour empêcher la pandémie X de s’installer« . Au lieu des 24 heures de Fauci entre le virus et le médicament, ce projet nous dit que « la DARPA vise à développer une plateforme intégrée de bout en bout qui utilise des séquences d’acide nucléique pour arrêter la propagation des infections virales en soixante jours ou moins. »

Si la Grande Pandémie ne se manifeste pas, la secte va essayer de l' »assister ».

De nombreuses tentatives ont été faites pour déclencher des pandémies à partir de « foyers » locaux: SARS1, MERS, zika, ebola – mais rien ne s’est propagé. Des personnages comme Michael Callahan, un agent de la CIA épidémiologiste du type Indiana Jones, toujours « premier sur les lieux » des « épidémies » exotiques, pourchassant des patients potentiels atteints d’ebola à travers la jungle avec des fléchettes tranquillisantes « vaccins », ne semblent pas suffire à provoquer une pandémie. Même la propagande médiatique de type « fear porn » (pornographie de la peur) s’essouffle. Ils jouent avec des soupes de « virus chimériques » dans des boîtes de Petri financées par des milliards de subventions des NIH, financent de nombreux laboratoires sous contrat en Chine, en Ukraine, au Moyen-Orient, mais rien de simultanément dangereux et hautement transmissible n’en résulte. Pourquoi?

Vous pouvez croire en des milliards d’années d’évolution, mais l’explication que je préfère est que la conception de Dieu est parfaite et ne peut donc pas être améliorée. Toutes les formes de vie, de l’homme aux micro-organismes, sont dans un état d’équilibre dynamique parfait en ce moment, comme le dictent les lois physiques. Les agents biologiques pathogènes sont eux aussi parfaitement optimisés pour cet état, grâce à des milliards d’années de travail ou à la conception géniale de Dieu, selon ce que vous voulez croire. Ils sont soit contagieux (terme flou car la science fournit des explications vagues et contradictoires sur les mécanismes de contagion), soit mortels, auquel cas ils ne se propagent pas beaucoup. Rendre artificiellement un agent biologique pathogène à la fois plus mortel et plus transmissible est impossible, car si c’était possible, ça se serait déjà produit dans la nature, et nous ne serions plus là pour en discuter sur l’internet. Si les techniques de laboratoire le permettaient, elles auraient déjà été déployées avec succès par un État ou un acteur non étatique depuis 1969, date à laquelle la recherche sur les agents pathogènes biologiques a véritablement pris son essor. Il existe aujourd’hui plus d’un millier de laboratoires de « biodéfense » dans le monde, dont beaucoup se trouvent dans des pays du tiers monde où les normes de sécurité sont laxistes ou inexistantes, voire dans des régions déchirées par la guerre comme l’Ukraine, et pourtant rien d’important ne « fuit » nulle part. En tout cas, rien n’a fuité et ne s’est répandu dans le monde avant que l’OMS ne décide que le covid devait le faire.

Les « pathogènes émergents » de laboratoire semblent avoir besoin de beaucoup d’aide pour émerger, c’est-à-dire pour être synthétisés, fabriqués à grande échelle et déployés, et même dans ce cas, ils ne sont pas particulièrement dangereux (sauf en cas d’exposition très importante) et peuvent être traités. Les toxines biologiques sont connues pour être instables, se dénaturer rapidement et être un peu plus persistantes à l’intérieur, mais elles ne constituent pas un danger mortel de masse. Comme toute toxine chimique, elles présentent un danger individuel/localisé. Ces substances ne sont pas des « particules vivantes qui se reproduisent », pas plus que ne l’est le sumac vénéneux – oui, vous pouvez l’attraper par votre chien et le donner aux membres de votre famille, et cette saleté restera sur vos vêtements et il est difficile de s’en débarrasser! Mais le poison du sumac vénéneux n’est pas un virus infectieux qui « saute » du chien à l’homme, c’est une toxine biologique contenue dans des huiles végétales.

À mon avis, l’explosion récente du train dans l’Ohio est beaucoup plus dangereuse pour un plus grand nombre de personnes, sur une zone plus étendue et une période plus longue que n’importe quelle « fuite de laboratoire d’armes biologiques ».

Tous les agents pathogènes biologiques naturels sont déjà parfaitement optimisés et équilibrés et ne peuvent pas être « modifiés », malgré les récits de science-fiction sur le « logiciel de vie » piratable et l’épissage des gènes. Aucune forme de vie complexe ne peut être « modifiée génétiquement » et rester viable, car cette modification perturbera son équilibre vivant et la fera dévier de l’état d’équilibre parfait actuel. Dans les organismes pluricellulaires, il faut modifier toutes les cellules (ce qui n’est pas possible avec une seule injection) et continuer à les modifier toutes à perpétuité. Une fois le liquide « modificateur de gènes » injecté, l’organisme essaie frénétiquement de comprendre ce qui vient de se passer (la FDA parle d' »immunogénicité »), tente d’annuler l’agression en éliminant les cellules endommagées (la FDA parle de « réactogénicité ») et, si l’agression a été suffisamment importante ou en cas d’injections multiples, l’organisme s’autodétruit (le CDC parle de « désinformation »).

Ces narratifs sur la « modification génétique » sont carrément stupides! Tout ce qui peut résulter de ces tentatives, c’est soit que l’organisme vainc et élimine l’assaut du matériel étranger à l’intérieur des cellules, soit qu’il en résulte des dommages locaux/systémiques, conduisant à des lésions ou à la mort. C’est la raison pour laquelle toutes les technologies ARNm/ADN ont échoué malgré plus de 20 ans de tentatives et des milliards de dollars investis par le culte biosécuritaire de l’apocalypse.

Les partisans de la modification génétique réduisent le corps humain à un « seau de gènes séquencés », mais ne peuvent même pas expliquer comment il fonctionne normalement en tant qu’être vivant. Ils excluent la possibilité d’une âme humaine, d’un esprit et d’un libre arbitre, mais ne peuvent ni expliquer ni définir l’état normal de la vie. Pourtant, ils prétendent pouvoir la contrôler et la modifier! Ils ne comprennent pas ce que sont les humains, ce qui constitue une source d’échec majeure lorsqu’ils tentent de « capturer, contrôler et soumettre » les humains, que ce soit par la force brute, comme dans les siècles de guerre précédents, ou par le « contrôle par un narratif fictif » de 5e génération de Harari.

Ne tombez pas dans le piège des cultes apocalyptiques et de leurs faux narratifs. Si nous n’avons pas peur de rechercher la vérité, nous ne pouvons être ni capturés, ni contrôlés, ni asservis. Une fois que vous aurez compris cela, vous verrez Harari non pas comme un technocrate puissant, mais comme ce qu’il est vraiment – un clown à la voix pleurnicharde, qui débite des narratifs ineptes pour le compte de ses maîtres. Ils ont de toute façon déjà échoué, car vous connaissez la vérité.

La quête perpétuelle de la vérité garde les humains dans un équilibre dynamique parfait entre eux et avec la nature – libres, dotés d’une âme, comme l’a voulu notre Créateur.

La peinture de ce jour: Une rose, huile sur panneau, 8×10 in.

État actuel des connaissances sur l’excrétion de l’ARNm et de la spike produite par les vaccins à ARNm anti-Covid-19; possibilité de contamination de l’entourage des personnes vaccinées par ces produits – par Hélène Banoun, PhD.

L’excrétion est 100% réelle. Ma petite amie et un collègue de travail sont non-vaccinés et sont allés faire une « microscopie de sang vivant » qui montre très clairement des nanoparticules lipidiques contenant de l’ARNm dans leur sang. Le nombre de particules est très faible par rapport à celui des personnes ayant reçu un vaccin, bien sûr, mais il devrait être de ZERO!!!!. Le microbiologiste/technicien voit couramment ce phénomène et dit qu’il s’agit très certainement d’une excrétion et qu’il est presque impossible de l’éviter. Les gens reçoivent maintenant cinq injections et en veulent d’autres 🤦‍♂️🤦‍♂️🤦‍♂️🤦‍♂️. Nous sommes foutus.

Steve B, lien vers le commentaire

Pour changer, un article rédigé en français, par une française. Vu que c’est un tour d’horizon du sujet, c’est assez long.

Cette saloperie est auto-diffusante. Ces gens sont dangereux.

Alors, une amnistie pandémique?

Source.


État actuel des connaissances sur l’excrétion de l’ARNm et de la spike produite par les vaccins à ARNm anti-Covid-19; possibilité de contamination de l’entourage des personnes vaccinées par ces produits

Résumé

La campagne massive de vaccination contre le COVID-19 est la première utilisation de vaccins à ARNm à l’échelle mondiale. Les vaccins à ARNm correspondent exactement à la définition de la thérapie génique des agences réglementaires américaines et européennes. La réglementation exige des études d’excrétion de ces médicaments et de leurs produits (les protéines traduites). Ces études n’ont pas été faites pour les vaccins à ARNm (ni pour les vaccins à adénovirus). De nombreux témoignages font état de symptômes et de pathologies identiques aux effets indésirables des vaccins à ARNm chez des personnes non vaccinées en contact avec des personnes fraîchement vaccinées. Il est donc important de faire le point sur l’état des connaissances concernant l’excrétion éventuelle des nanoparticules vaccinales ainsi que de l’ARNm et de son produit, la protéine spike.

Les nanoparticules lipidiques porteuses de l’ARNm du vaccin se répandent après l’injection dans tout le corps selon les études animales disponibles et l’ARNm du vaccin (nu ou dans les nanoparticules ou dans des exosomes naturels) est retrouvé dans la circulation sanguine ainsi que la spike vaccinale sous forme libre ou encapsulée dans des exosomes (démontré dans des études humaines). Il a été démontré que les nanoparticules lipidiques (ou leur équivalent naturel, les exosomes ou vésicules extracellulaires VEs) sont capables d’être excrétées par les fluides corporels (sueur, expectoration, lait maternel) et de passer la barrière transplacentaire. Ces VEs sont également capables de pénétrer par inhalation et à travers la peau (saine ou lésée) ainsi que par voie orale via le lait maternel (et pourquoi pas lors des rapports sexuels via le sperme, car cela n’a pas été étudié). Il est urgent de faire respecter la législation sur la thérapie génique qui s’applique aux vaccins à ARNm et de mener des études sur ce sujet alors que la généralisation des vaccins à ARNm est envisagée.

Publié 14 novembre 2022 Infectious Diseases Research https://doi.org/10.53388/IDR20221125022

Mots-clés: Vaccin COVID-19, excrétion vaccinale, effets indésirables du vaccin Covid, nanoparticules lipidiques, LNP, vaccin ARNm, exosome, voie d’excrétion des exosomes, thérapie génique, protéine spike, voies d’excrétion des LNP, pénétration des exosomes.

Hélène Banoun PhD

Pharmacien biologiste

Ancien chercheur Inserm

Membre du Conseil Scientifique Indépendant (France)

*Correspondance: Hélène Banoun, Pharmacien biologiste, Ancien chercheur Inserm, helene.banoun@laposte.net.

L’auteur ne déclare aucun conflit d’intérêt.

Aucun soutien financier n’a été obtenu.

Abréviations

VE: vésicules extracellulaires ou exosomes

LNP: nanoparticule lipidique synthétique

PEG: polyéthylène glycol

siRNA small interfering RNA, miRNA: microRNA, contrôlent expression des gènes

RBD: receptor binding domain (de spike protéine)

Introduction

Pourquoi s’intéresser à cette hypothèse, qui peut paraître conspirationniste?

L’expression « excrétion vaccinale » désigne classiquement l’excrétion éventuelle d’un virus par une personne fraîchement vaccinée contre ce virus; ceci n’est valable que pour les vaccins à virus vivants atténués (ROR, varicelle, rotavirus, grippe par pulvérisation nasale).

Aucun vaccin COVID-19 n’utilise cette formule. Par conséquent, il n’y a aucun risque qu’une personne vaccinée transmette un virus vaccinal. Cependant, les vaccins COVID-19 à base d’ARNm sont les premiers à être utilisés commercialement chez l’homme à l’échelle mondiale et aucune étude n’a été menée concernant l’excrétion éventuelle du vaccin lui-même (nanoparticules lipidiques contenant l’ARNm) de l’ARNm du vaccin ou du produit du vaccin, la protéine spike traduite par les cellules du vacciné.

La vaccination anti- Covid a débuté en décembre 2020. Le premier témoignage publié d’excrétion vaccinale que j’ai vu date de décembre 2021, celui du Dr Ray Sahelian [1]: il rapportait des cas de collègues médicaux ou scientifiques ayant observé des symptômes proches de ceux des effets indésirables du vaccin après avoir été en contact avec des personnes fraîchement vaccinées; il proposait une excrétion des produits du vaccin par la peau et les voies respiratoires et demandait des études complémentaires.

Au début, ce type de témoignage ne me paraissait pas très crédible, mais ils se sont accumulés et en octobre 2021 j’ai reçu un témoignage d’un groupe de soignants français : ils ont observé un accident vasculaire cérébral chez un enfant de 7 ans sans facteur de risque et dont les parents avaient été fraîchement vaccinés. Il existe des groupes Telegram répertoriant des témoignages de patients et de médecins. Tous ces témoignages font état de symptômes ou d’affections signalés dans les bases de données d’effets indésirables des vaccins COVD-19 : les effets indésirables des vaccins ARNm contre la COVID-19 sont désormais reconnus par les agences réglementaires (voir les bases de données VAERS et Eudravigilance, ainsi que l’ANSM, France).

Les vaccins sont tous basés sur la protéine spike qui a depuis été reconnue comme la principale responsable de la pathogénicité du SRAS-CoV-2 [2,3,4,5,6]. Par conséquent, dans le cas où le vaccin ou son produit (la spike) passerait du vacciné au non-vacciné, les effets indésirables du vaccin devraient être retrouvés chez certaines personnes non vaccinées en contact avec des personnes vaccinées. L’exploration des pathologies liées au vaccin dans les classes d’âge non vaccinées en contact avec des personnes vaccinées pourrait donner des indications dans le sens d’une excrétion vaccinale mais elle ne donne pas de résultats significatifs (non publié). Comme il y a plus de 400 pathologies liées aux effets indésirables des vaccins dans les bases de données de déclaration de pharmacovigilance (voir par exemple les données britanniques, les données de notification spontanée pour le vaccin Pfizer en mai 2021 [7]), ce grand nombre dilue les signaux qui pourraient apparaître dans les groupes d’âge non vaccinés.

En revanche, l’analyse des données européennes, israéliennes et américaines montre que pour le groupe d’âge 0-14 ans non vacciné, la plupart des associations entre la mortalité et la vaccination chez l’adulte sont positives : la surmortalité dans les groupes d’âge non vaccinés au début des campagnes de vaccination pourrait s’expliquer par un phénomène de transmission du vaccin ou de ses produits. Ce schéma de corrélations positives augmente de la semaine de la vaccination à la semaine 18 après la vaccination, puis disparaît. Il indique des effets négatifs indirects de la vaccination des adultes sur la mortalité des enfants âgés de 0 à 14 ans au cours des 18 premières semaines suivant la vaccination. [8]

Quelle est la plausibilité biologique de la transmission du vaccin ou de ses produits du vacciné au non-vacciné?

Pour répondre à cette question, il faut explorer la possibilité et les voies d’excrétion du vaccin ou de ses produits et les voies de leur pénétration éventuelle.

En ce qui concerne le vaccin et ses produits, il peut s’agir de la transmission de spike circulant chez le vacciné (sous forme libre ou incluse dans des exosomes ou vésicules extracellulaires – VE), de la transmission de l’ARNm nu circulant ou encapsulé dans les nanoparticules lipidiques (LNP) complètes.

Il convient donc d’étudier la capacité des LNPs, de l’ARNm et de la spike vaccinale à être excrétés par différentes voies possibles, puis la capacité des mêmes produits à pénétrer par différentes voies dans l’organisme de personnes non vaccinées en contact étroit avec des personnes vaccinées.

L’excrétion des LNPs contenant de l’ARNm, l’excrétion de l’ARNm modifié codant pour la spike, et l’excrétion de la spike produite par les vaccinés n’ont pas été étudiées dans la phase d’essai des vaccins, contrairement aux recommandations des régulateurs concernant les thérapies géniques. Les études pharmacocinétiques des nanoparticules en général n’ont pas exploré l’excrétion des transporteurs ou des molécules transportées. Ce domaine devrait être exploré.

Les documents de Pfizer obtenus par FOIA [9] montrent que seule l’excrétion de certains composants des LNP (ALC-0315 et ALC-0159) a été étudiée dans l’urine et les fèces de rats injectés par voie IM.

Réglementation concernant l’excrétion des thérapies géniques par les organismes de réglementation.

Avant les vaccins à ARNm, il n’existait pas de réglementation des essais cliniques sur l’ARNm, alors que les produits de thérapie génique font l’objet d’une réglementation stricte. Il est difficile de justifier que les vaccins à ARNm ne soient pas considérés de la même manière que les thérapies géniques en ce qui concerne cette réglementation, en effet la seule différence est qu’ils sont censés protéger contre une maladie et non la guérir. Les thérapies géniques sont destinées à un petit nombre de personnes en mauvaise santé, alors que les vaccins sont utilisés à grande échelle sur des personnes en bonne santé: il serait donc judicieux de leur appliquer des règles plus strictes. Toutefois, la description des produits de thérapie génique fournie par les agences de réglementation inclut de fait les vaccins à ARNm et à adénovirus.

Le document de la FDA de 2015 sur les études d’excrétion des produits géniques [10] concerne les thérapies géniques qui sont définies comme « tous les produits qui exercent leurs effets par transcription et/ou traduction de matériel génétique transféré et/ou par intégration dans le génome de l’hôte et qui sont administrés sous forme d’acides nucléiques, de virus ou de micro-organismes génétiquement modifiés », en ce sens les vaccins ARNm sont bien des produits de thérapie génique et auraient dû être soumis à ces études d’excrétion.

Des études d’excrétion doivent être menées pour chaque VBGT (produits de thérapie génique à base de virus ou de bactéries), d’abord chez l’animal mais aussi chez l’homme, surtout lorsqu’il existe un risque de transmission à des personnes non traitées. Selon ce document, les études d’excrétion clinique ne sont pas des études autonomes mais sont intégrées dans la conception d’un essai de sécurité ou d’efficacité.

Le terme « excrétion » fait référence à la libération de produits VBGT par le patient par l’une ou l’ensemble des voies suivantes: matières fécales (fèces) ; sécrétions (urine, salive, fluides nasopharyngés, etc.), ou à travers la peau (pustules, lésions, plaies).

Les directives du NIH [11] fournissent des principes de biosécurité spécifiquement pour les « molécules d’acide nucléique synthétiques, y compris celles qui sont chimiquement ou autrement modifiées mais qui peuvent s’apparier avec des molécules d’acide nucléique naturelles »; il s’agit de molécules de plus de 100 nucléotides ayant le potentiel d’être transcrites ou traduites. Ce document d’avril 2019 porte sur les acides nucléiques synthétiques modifiés et non modifiés. Toute expérience impliquant le transfert délibéré d’un acide nucléique à un humain doit être précédée de l’approbation du comité de biosécurité institutionnel (ce qui est confirmé ici [12]), mais l’approbation n’a pas été donnée en raison de l’autorisation d’urgence accordée aux vaccins à ARNm.

Sur la base d’un document de l’EMA sur l’excrétion des produits génétiques [13], les vaccins à ARNm répondent à la définition des PGMT (médicaments de thérapie génique), mais leur désignation en tant que « vaccin » leur a permis d’échapper aux exigences des essais cliniques pour les produits génétiques qui concernent en particulier le potentiel d’excrétion, la biodistribution, la pharmacodynamique, la génotoxicité, la mutagenèse insertionnelle (page 36: Des études pharmacocinétiques doivent être réalisées lorsqu’une protéine est excrétée dans la circulation sanguine). L’expression de la séquence d’acide nucléique (sa traduction en protéine) doit également être étudiée (page 37). L’excrétion est définie comme la dissémination du vecteur par les sécrétions et/ou les fèces et doit être abordée dans des modèles animaux (page 30).

Ainsi, selon la réglementation des agences américaine et européenne, les vaccins à ARNm correspondent à la définition des produits de thérapie génique et auraient dû faire l’objet d’études d’excrétion par tous les fluides sécrétés (urine, salive, expectoration, fluides nasopharyngés, sperme, lait maternel), les fèces et la peau (saine ou lésée). Ces études auraient dû concerner les nanoparticules contenant l’ARNm, l’ARNm nu et le produit du vaccin après traduction (la protéine spike).

Un exemple d’étude d’excrétion correspondant à cette régulation des produits géniques se trouve dans un rapport soumis à l’EMA pour autoriser un médicament destiné à traiter une maladie orpheline; il s’agit d’un produit à base de LNPs dont la composition est proche de celle des vaccins à ARNm. Ici les LNPs contiennent du siRNA. La réglementation impose des études approfondies pour cette thérapie génique, contrairement à celles des vaccins à ARNm qui sont similaires. Cependant, les études sur l’excrétion de ces LNPs donnent peu d’informations. Chez l’animal, la radioactivité des LNPs se retrouve dans les urines (50%) et dans les fèces (entre 10% et 24%). Chez l’homme, aucune étude avec des LNPs radioactifs n’a été réalisée, mais les composants des LNPs sont retrouvés dans l’urine pour moins de 1% des concentrations plasmatiques. On suppose que l’élimination se fait par les fèces mais cela n’a pas été prouvé. Il n’y a pas eu d’études sur l’excrétion dans le lait ou d’autres fluides corporels[14].

Référence à une éventuelle excrétion du vaccin dans les documents de Pfizer

Le protocole de l’essai de phase I/II/III de Pfizer sur les vaccins à ARNm COVID-19 (qui a débuté en mai 2020) mentionne la possibilité de passage du produit étudié par inhalation ou contact cutané et de passage par le sperme d’un homme exposé par inhalation ou contact cutané et de passage par le lait maternel; la possibilité d’une réaction indésirable au vaccin suite à ces expositions est également mentionnée.[15] Les données de Pfizer indiquent clairement qu’une femme enceinte peut être exposée à « l’intervention étudiée en raison d’une exposition environnementale. » L’exposition environnementale peut se produire par « inhalation ou contact avec la peau ». Voici quelques exemples d’exposition environnementale pendant la grossesse:

  • Un membre de la famille ou un fournisseur de soins de santé de sexe féminin signale qu’elle est enceinte après avoir été exposée à l’intervention étudiée par inhalation ou par contact cutané.
  • Un membre de la famille ou un prestataire de soins de santé de sexe masculin qui a été exposé à l’intervention étudiée par inhalation ou contact cutané expose ensuite sa partenaire féminine avant ou autour de la période de conception. »

Cela signifie clairement que tout contact, y compris le contact sexuel avec une personne ayant reçu les vaccins, expose ceux qui n’ont pas reçu les vaccins à « l’intervention », c’est-à-dire à l’ARNm. L’exposition pendant l’allaitement devait également être immédiatement notifiée pendant l’essai: on suppose que l’investigateur craint qu’une mère qui allaite puisse transmettre l’ARNm expérimental à son bébé si elle a reçu le vaccin directement ou si elle est « exposée à l’intervention de l’étude par inhalation ou contact avec la peau. »

Structure et fonction des vésicules extracellulaires (VEs) ou exosomes et des nanoparticules lipidiques (LNPs)

Les vésicules extracellulaires naturelles (VE ou exosomes) sont générées par la plupart des cellules vivantes, ce sont des protéolipides bicouches sphériques dont la taille varie de 20 à 4000 nm et elles peuvent contenir diverses molécules (lipides, protéines et acides nucléiques, comme les ARN de signalisation). Les VEs sont des transporteurs naturels dans le corps humain et sont impliquées dans les communications intercellulaires, elles peuvent servir de transporteur pour différentes molécules qui peuvent ainsi passer de cellule en cellule, entraînant une réponse marquée de la part de la cellule cible [16]. Les LNPs synthétiques des vaccins ARNm ont la même structure que les exosomes naturels qu’elles cherchent à imiter [17, 18]. Les exosomes produits naturellement peuvent transporter de l’ARNm du vaccin ou de la spike, comme nous le verrons plus loin. Les LNPs ont la capacité (comme les exosomes naturels) de fusionner avec les membranes cellulaires et de libérer leur chargement dans le cytosol.

Les LNPs utilisés pour les vaccins à ARNm sont des systèmes lipidiques de taille nanométrique (moins de 1 micromètre) composés de 2 ou plusieurs (généralement 4) lipides à des proportions variables. La composition lipidique la plus typique utilisée pour les systèmes ARNm-LNP est constituée d’un lipide cationique/ionisable, d’un « lipide auxiliaire » phospholipidique, de cholestérol et/ou d’un lipide associé au poly(éthylène glycol) (PEG). Les LNPs peuvent être administrés par voie IM, sous-cutanée, intradermique, intratrachéale, orale, ophtalmique et même topique. Les LNPs injectés par toutes ces voies sont capables d’aboutir à la traduction de l’ARNm en protéine pendant plusieurs jours [19]. La taille des LNPs dans les vaccins à ARNm COVID-19 se situerait entre 60 et 100 nm [20]. Le trafic de VEs naturelles est bidirectionnel pendant la grossesse (les VEs traversent la barrière fœto-maternelle et les cellules utérines sécrètent constamment des exosomes) et les VEs peuvent être utilisées pour délivrer des médicaments au fœtus pendant la grossesse [21].

Les VEs présentent un avantage potentiel pour une utilisation dans les thérapies vaccinales car elles sont les transporteurs naturels d’antigènes du corps et peuvent circuler dans les fluides corporels pour distribuer les antigènes même aux organes distaux[16].

On sait peu de choses sur la pharmacocinétique des vaccins à ARNm.

Les nanoparticules chez les animaux

Selon une étude réalisée par des chercheurs indépendants des fabricants de vaccins à ARNm, chez la souris, les LNPs porteuses d’ARNm injectées par voie IM passent du site d’injection aux ganglions lymphatiques puis à la circulation générale, s’accumulant principalement dans le foie et la rate. Les LNPs passent d’abord dans la circulation lymphatique puis dans la circulation sanguine (les LNPs de moins de 200 nm passent directement dans la lymphe tandis que celles de 200 à 500 nm sont transportées dans la lymphe par les cellules dendritiques). Une injection directe involontaire dans un vaisseau sanguin peut également se produire lors d’une injection IM [22].

Les nanoparticules chez l’homme

L’exposition du corps humain aux nanoparticules peut se produire accidentellement par inhalation, contact avec la peau ou ingestion. En cas d’inhalation, les voies de transfert possibles des nanoparticules sont la circulation sanguine (systémique), les vaisseaux lymphatiques, le tractus gastro- intestinal et le système nerveux central et/ou périphérique [23].

L’excrétion des LNPs enrobées de PEG se fait principalement par les fèces et l’urine et principalement par les fèces lorsqu’elles ont un diamètre > 80 nm. Les LNPs peuvent être excrétées par la salive, la sueur et le lait maternel [24].

Les LNPs de taille <5nm sont rapidement excrétées par le rein. Les nanoparticules dont la taille est comprise entre 5 et 200 nm ont tendance à avoir une circulation sanguine étendue. Les LNPs plus grandes ont une circulation sanguine prolongée et une excrétion rénale faible. En raison de la taille des LNPs, l’inhalation est la voie d’entrée la plus directe dans le système pulmonaire. L’exposition peut être intentionnelle, comme dans le cas des nanoparticules de ciblage ou thérapeutiques, ou non intentionnelle, par inhalation ou exposition cutanée, en raison du nombre croissant d’applications industrielles des nanoparticules [25].

L’ARNm

Persistance de l’ARNm viral après une infection virale

L’ARN viral de certains virus persiste longtemps dans le cerveau, les yeux, les testicules : ceci a été démontré pour le virus de la rougeole, le virus Ebola, Zika et Marburg. Le SRAS-CoV-2 persiste dans les voies respiratoires et l’intestin. Des ARN viraux sont également détectés dans les sécrétions, le sang ou les tissus. L’excrétion prolongée de ces ARN dans les voies respiratoires, les selles, la sueur, le liquide conjonctival et l’urine est courante. Des études ont montré que l’ARN viral complet peut persister à long terme. Cet ARN persistant peut être traduit en protéines même si aucun virus viable ne peut être assemblé. Chez les patients qui développent plus tard un COVID long, l’ARN viral est retrouvé dans le sang dans la phase aiguë de la maladie[26].

Sort de l’ARNm du vaccin

Des quantités énormes d’ARNm sont injectées par rapport à la circulation d’un virus lors d’une infection naturelle: jusqu’à 10 à 7 fois plus, selon le professeur Jean-Michel Claverie [27].

L’ARNm du vaccin est présent dès le premier jour et persiste dans la circulation sanguine pendant au moins 2 semaines après l’injection ; sa concentration commence à diminuer après 4 jours. Cette durée de vie est beaucoup plus longue que ne le prétendaient les fabricants sur la base de brèves études menées sur des rats. L’ARNm transporté est encapsulé dans les LNPs mais se retrouve dans le plasma (c’est-à-dire non associé aux globules blancs). Cet ARNm est capable d’être traduit en protéine spike dans les cellules et les tissus sensibles.[28] L’ARNm emballé dans les LNPs est capable de s’en échapper et de former des vésicules extracellulaires qui le transportent vers d’autres cellules: ces vésicules sont sécrétées après l’endocytose des LNPs chargés d’ARNm. Ces VEs protègent l’ARNm pendant le transport et le distribuent intact aux cellules réceptrices, l’ARNm est fonctionnel et peut alors être traduit en la protéine d’intérêt. La réponse inflammatoire est plus faible après une transfection avec des VEs qu’avec des LNPs. Les voies d’absorption des VEs diffèrent de celles des LNPs et ne sont pas susceptibles de déclencher la voie autophagique-lysosomique, car elles libèrent leur contenu dans le cytoplasme sans vraisemblablement subir de piégeage lysosomal. De plus, en raison de leur petite taille, les VEs peuvent échapper à une phagocytose rapide et transporter et délivrer couramment de l’ARN dans la circulation, traversant l’endothélium vasculaire jusqu’aux cellules cibles[29].

La présence de VEs dans tous les biofluides est attestée. Elles peuvent contenir des acides nucléiques. Dans la sueur, on trouve des VEs contenant des acides nucléiques provenant de bactéries, de virus, de champignons de la peau mais aussi de cellules humaines. Ces VEs peuvent également contenir des virus (hépatite C par exemple). On trouve des petits ARNm (20 à 200 pb) dans ces VEs de la sueur, ils sont fonctionnels (peuvent être traduits), les ARN sont protégés des nucléases cutanées dans les Ves [30].

A noter que l’ARN du vaccin comprend 4284 nucléotides (Pfizer) [31]. Il convient donc d’étudier la possibilité que des ARN de cette taille soient excrétés par la sueur.

Les VEs peuvent contenir des molécules « signaux » telles que les miRNA. Il est possible que les VEs contiennent des ARNm complets ; ceux-ci sont des médiateurs clés de la communication intracellulaire. Les analyses d’ARN du sang et de la sueur sont corrélées : les VEs trouvés dans la sueur reflètent la circulation des VEs dans le plasma. Des ARN nus sont également trouvés dans la sueur (non encapsulés dans les VEs). Les miRNA sont sélectivement sélectionnés et enrichis dans les VEs de la sueur à partir du sang et ne circulent pas passivement dans les fractions du sang ou de la sueur[32]. Une augmentation de la transpiration après le vaccin Covid a été constatée [33] et des personnes ayant reçu le vaccin se sont plaintes d’une augmentation de la transpiration, notamment la nuit [34].

La possibilité d’exsudation de VEs à partir de la peau a été démontrée: Les kératinocytes sont capables d’exsuder des VEs capables de transporter des miRNAs. Dans le psoriasis, les VEs excrétées par les kératinocytes passent de cellule en cellule : de kératinocyte à kératinocyte voisin. Chez les patients atteints de lichen planus (éruption inflammatoire), des VEs transportant des miARN sont excrétées dans la salive[35].

Des nanoparticules sont naturellement présentes dans les expectorations [36]: des exosomes contenant des ARN ont été isolés des expectorations de patients asthmatiques légers [37].

Passage de l’ARNm du vaccin dans le lait

De l’ARNm du vaccin est retrouvé dans le lait de 1/10 des femmes étudiées (4/40) la première semaine après la vaccination avec le vaccin à ARNm (que ce soit après la dose 1 ou après la dose 2). Les quantités peuvent atteindre 2ng/ml de lait. [38]. Cette quantité peut sembler faible par rapport aux 30 microgrammes d’ARNm injectés avec le vaccin, mais elle peut suffire à produire une quantité non négligeable de spike. En effet, un nourrisson fait plusieurs tétées par jour, pour environ 240 à 360 ml par jour et un total sur une semaine de 1680 à 2520ml dans la première semaine. Le nouveau-né, pesant entre 2 et 5kg, pourrait donc être exposé à une dose de 5 µg d’ARNm dans sa première semaine. Cela semble disproportionné comparativement aux 10µg injectés à des enfants de 5 à 11 ans qui pèsent respectivement 18 à 35 kg environ [39]. La méthode utilisée dans cette dernière étude est plus sensible que celle de Golan et al. qui n’ont pas trouvé d’ARNm dans le lait [40]. Cette même équipe avait également exploré le passage de l’ARNm vaccinal dans le lait en recherchant indirectement le PEG contenu dans les LNP. Le PEG a été recherché dans le lait de 13 femmes à différents moments après la vaccination: La figure 1 de l’article montre la détection du PEG du vaccin dans le lait entre 24 heures et une semaine après l’injection. Cependant, les auteurs ont conclu sans préciser que ces quantités n’étaient pas significatives [41].

Une autre étude a cherché à savoir si l’ARNm du vaccin COVID-19 pouvait être détecté dans le lait maternel exprimé de personnes allaitantes ayant reçu la vaccination dans les 6 mois suivant l’accouchement. La présence de l’ARNm a été étudiée sous forme libre et encapsulée dans des VEs. Les VEs ont été isolées par centrifugation du lait. L’ARN du vaccin a été trouvé dans les 48 heures suivant la vaccination et à des concentrations plus élevées dans les VEs que dans le lait entier. La plus forte concentration trouvée était de 17 pg/ml dans les VEs et la plus faible était de 1,3 pg/ml dans le lait entier. La présence prioritaire de l’ARNm dans les VE et non dans le lait entier peut expliquer pourquoi Golan et al. ne l’ont pas trouvé [42].

On sait depuis quelques années que l’ARNm encapsulé dans les VEs est protégé des sucs gastriques et peut transfecter les cellules intestinales [43, 44]. Une étude récente de Melnik et Schmitz confirme que les VEs du lait survivent aux conditions extrêmes du tractus gastro-intestinal, sont internalisées par endocytose, sont biodisponibles et peuvent transfecter des cellules intestinales[45].

Passage transplacentaire des nanoparticules?

Chez la souris, des LNPs du même type que celles utilisées dans les vaccins ARNm COVID-19 ont montré leur capacité à transfecter l’ARNm après injection dans une veine fœtale ou in utero [46].

Dans un essai d’immunisation des fœtus contre l’herpès néonatal chez des souris gravides par injection de LNPs chargées d’ARNm à la mère, il n’est pas discuté la possibilité que le passage transplacentaire des LNPs expliquerait aussi bien l’immunisation du fœtus que le passage des Ig induites chez la mère [47]. Des études ont montré qu’il est très possible que des nanoparticules de taille comparable à celles utilisées pour les vaccins à ARNm soient capables de passer par voie transplacentaire chez l’homme [48,49].

L’administration de thérapies à base de LNPs pendant la grossesse présente des risques qui doivent être étudiés. La détection du passage transplacentaire dépend de la sensibilité des méthodes de détection: pour certains types de nanoparticules, une embryotoxicité a été observée alors qu’aucune absorption par le fœtus n’a été observée; cette absorption ne semble pas corrélée avec le type, la taille ou la charge électrique de surface des nanoparticules. La translocation des LNP est susceptible de dépendre des différents stades de la grossesse. Au cours du premier trimestre, la barrière placentaire est très épaisse pour protéger l’embryon en développement et devient mince à terme lorsque de grandes quantités de nutriments sont nécessaires pour soutenir la croissance du fœtus. Cependant, chez les animaux, le transfert placentaire semble être plus élevé en début de grossesse. Il est nécessaire de développer des modèles humains pour les études de transfert placentaire en début de grossesse. La comparaison avec les études animales est essentielle, car le placenta est l’organe le plus spécifique à l’espèce [50,51]. Des LNPs de 240 nm sont capables de traverser la barrière placentaire humaine [52].

Toutes ces publications soulignent la difficulté d’extrapoler les études animales à l’homme concernant le passage transplacentaire des nanoparticules. D’après une revue de 2022 [53], les nanoparticules peuvent transiter par les mécanismes ordinaires de transport transcellulaire placentaire tels que la pinocytose, le transport actif, la diffusion facilitée et la diffusion passive. Les VEs à cargaison d’ARN sont également capables de traverser la barrière placentaire humaine. Les LNPs enrobées de PEG auraient une diffusion moindre à travers la barrière placentaire que les formulations à base de liposomes, mais sont capables de délivrer une partie de leur cargaison au fœtus. [54]

Toutes ces données ne permettent pas d’exclure que les LNPs provenant de vaccins à ARNm soient capables d’atteindre le fœtus d’une mère vaccinée pendant la grossesse.

Excrétion des LNPs dans le sperme?

Je n’ai pas trouvé d’études concernant la possibilité de passage des LNPs dans le sperme ; cependant, l’effet des nanoparticules sur la fertilité et la qualité du sperme a été largement étudié chez l’animal [55]. La toxicité des nanoparticules sur la fonction reproductive masculine est bien établie, il a été démontré que les nanoparticules d’or agissent uniquement en interagissant avec la surface des spermatozoïdes mais ne les pénètrent pas. Aucune donnée n’est disponible sur l’éventuelle pénétration des LNPs dans les spermatozoïdes.

Selon un document confidentiel de Pfizer obtenu par la FOIA [56] concernant des études pharmacocinétiques chez le rat, les LNPs se concentrent dans les ovaires et dans une moindre mesure dans les testicules.

Devenir de la protéine spike après traduction de l’ARNm

Un site d’information sponsorisé par le CDC, consulté le 21 juillet 2021, note que la durée de vie de la protéine spike dans le sang est  » inconnue et pourrait être de quelques semaines. « [57].

L’injection de LNPs contenant de l’ARNm modifié par la pseudouridine par voie IM, sous-cutanée et intradermique entraîne la production de protéines au site d’injection, la durée de traduction active est de 6 à 10 jours chez la souris. L’injection intradermique produit une quantité initiale de protéines plus faible mais sur une période de temps plus longue que la voie IM. Par la voie intradermique, la demi-vie de production des protéines est la plus longue par rapport aux autres voies d’injection (IM, sous-cutanée, IV, intrapéritonéale, intra-trachéale). Par voie IM, la majorité de la traduction cesse dans le foie au jour 2 post-injection mais dure jusqu’à 8 jours dans les muscles [58].

Chez l’homme, la protéine spike pourrait persister longtemps chez les vaccinés, la surveillance des effets indésirables du vaccin devrait donc être étendue [59]. La comparaison des concentrations de spike atteintes pendant la maladie et après la vaccination montre que pendant l’infection sévère par COVID-19, la concentration médiane observée est de 50 pg/ml avec des maximums à 1ng/ml. Au cours d’une infection sévère à Covid, des concentrations allant jusqu’à 135 pg/ml de spike S1 peuvent être détectées, le plus souvent entre 6 et 50 pg/ml. Après une vaccination avec un vaccin à ARNm, des concentrations allant jusqu’à 150 pg/ml sont couramment observées, mais peuvent atteindre 10 ng/ml chez les individus présentant une thrombocytopénie induite par le vaccin [60]. La même équipe [61] montre également que la protéine spike persiste longtemps sous forme libre: la spike induite par le vaccin circule dans le plasma dès J1 après la vaccination et jusqu’à 14 jours, le pic étant atteint à J5 avec 68 pg/mL de sous-unité S1 détectée ; la spike entière est détectée jusqu’à J15, avec un pic à 62 pg/mL. Après la deuxième dose, la spike libre n’est plus détectée car elle serait liée aux anticorps; l’étude ne détecte pas de complexes immuns anticorps-spike. Une autre équipe montre également qu’après la vaccination avec l’ARNm, la protéine spike passe dans le sang, persiste pendant plus d’une semaine et est complètement éliminée en 1 mois. L’augmentation de la concentration sanguine de spike après la vaccination est rapide (1 à 3 jours). [62]

Selon une autopsie, la spike vaccinale est retrouvée jusqu’à trois semaines après l’injection dans différents organes (cœur, cerveau, muscles, centres germinaux, …) et notamment dans l’endothélium des capillaires [63].

Exosomes circulants contenant la protéine spike

Après une infection par COVID-19, la spike circule sous forme d’exosomes (ou VEs). Les VEs sont libérés par les cellules dans l’environnement extracellulaire dans des conditions normales et pathologiques. Les VEs sont un outil important pour la communication intercellulaire, car elles servent de navettes pour le transfert de protéines, de lipides et d’ARN biologiquement actifs. Les VEs peuvent incorporer des protéines pathogènes et/ou des fragments d’ARN viral provenant de cellules infectées pour transporter du matériel vers des cellules cibles, un événement qui joue un rôle important dans les réponses aux infections virales. La protéine spike du SARS-CoV-2- ou les fragments dérivés étaient clairement présents dans les VEs des patients COVID-19. Des fragments dérivés de la spike sont présents dans les VEs de tous les patients COVID-19 [64].

La Spike circule également dans les VEs après une vaccination par ARNm chez l’homme. Des auteurs ont proposé qu’après l’internalisation des LNPs et la libération de l’ARNm, le tri et le trafic des antigènes puissent induire la libération de VEs contenant la protéine S. Les événements présentés se produiraient dans les surfaces apicales et/ou basolatérales des cellules polarisées (par exemple, épithéliales). [65] En effet, la spike du vaccin est spontanément enveloppée dans des VEs: La vaccination avec l’ARNm et la traduction de l’ARNm induit la production de VEs portant la spike et circulant dans le sang jusqu’à 4 mois après la vaccination. L’injection de ces VEs à des souris induit la synthèse d’anticorps anti-spike. [66]

La spike du vaccin a été trouvée dans les vésicules de kératinocytes du derme d’un patient présentant des lésions cutanées 3 mois après la vaccination avec le vaccin Pfizer-BioNTech. Ce patient avait une infection par le virus varicelle-zona. Une hypothèse plausible était que la stabilisation de l’ARN par la substitution méthyl-pseudouridine à tous les nucléotides d’uridine du vaccin Pfizer BNT162b2 pourrait entraîner une production à long terme de la spike codée à partir de n’importe quelle cellule, affectant de façon persistante le microenvironnement du système immunitaire protecteur, y compris la peau [67].

Toutes ces données indiquent que les LNPs vaccinales ou les VEs formées naturellement après la vaccination pourraient contenir de l’ARNm ou de la spike et être présentes dans les fluides corporels.

Ces nanoparticules sont-elles capables de passer de ces fluides dans l’organisme de personnes non vaccinées en contact avec des personnes fraîchement vaccinées?

Capacité des LNP ou des vésicules extracellulaires naturelles (VE ou exosomes) et de l’ARNm à pénétrer par différentes voies.

Utilisation de nanoparticules à des fins thérapeutiques par inhalation, voie transdermique, in utero et par voie conjonctivale.

Dans une revue consacrée à la sécurité des nanoparticules dans les applications biomédicales, on apprend que l’exposition aux LNPs peut se faire par ingestion, injection, inhalation et contact cutané. Certaines expositions ne sont pas intentionnelles, comme l’inhalation pulmonaire de NPs présentes dans l’environnement ou sur les sites de fabrication. [68]

Les nanosystèmes sont de plus en plus exploités pour l’administration topique et cutanée, notamment les peptides thérapeutiques, les protéines, les vaccins, les fragments de gènes ou les particules porteuses de médicaments [69]. Il a été démontré que l’administration intradermique d’ARNm codant pour le facteur de croissance endothélial vasculaire (VEGF) entraîne l’expression fonctionnelle de la protéine dans la peau, même en l’absence de nanoparticules lipidiques [70]. [70] Selon Palmer et al [71], dans une formulation de nanoparticules lipidiques, les liposomes augmentent le passage transdermique des molécules utilisées pour traiter les maladies de la peau. La pénétration cutanée des siRNA a été démontrée sous la forme de nanocarriers, ces siARNs transfectent les cellules et expriment le gène d’intérêt ciblé. Des nanocarriers ont été testés pour une utilisation en vaccination transdermique [72].

Les VEs sont utilisées pour délivrer des thérapies autres que les vaccins: des études cliniques sont en cours par voie locale (péridontite, ulcères, épidermolyse bulleuse) et par inhalation (essai en cours contre la maladie d’Alzheimer) [73]. Les LNPs avec une bicouche lipidique sont capables de passer la barrière cutanée et de transporter du matériel génétique. Ces particules peuvent pénétrer dans la peau par les follicules pileux ou directement dans les kératinocytes en raison de leur similitude avec les membranes cellulaires [74].

L’administration intranasale, orale, intraoculaire et sous-conjonctivale de VEs capables de transporter des médicaments a été testée avec succès. L’administration intranasale représente la deuxième voie la plus fréquemment rapportée. Elle est efficace pour transporter des médicaments dans le système nerveux central et les poumons. La plupart des effets protecteurs ont été obtenus de manière similaire pour l’administration intraveineuse et intranasale. L’administration orale a été décrite pour les VEs du lait bovin dans un modèle de souris. Six heures après l’administration, les VEs étaient localisées dans le foie, le cœur, la rate, les poumons et les reins. L’injection intraoculaire et sous-conjonctivale de VEs dérivées de MSC (cellules souches) a permis de délivrer des VEs dans la rétine dans un modèle de lapin de rétinopathie induite par le diabète. [75]

Les nanovésicules produites naturellement par les plantes sont morphologiquement et fonctionnellement identiques à leurs analogues mammaliens. Une revue sur les nanovésicules végétales rassemble les connaissances sur les mécanismes transdermiques, transmembranaires et de ciblage de ces vésicules. Des expériences sur des souris ont montré qu’il est possible de délivrer de l’ARN dans une tumeur cérébrale via ces nanovésicules introduites par voie intranasale. Ces nanovésicules seraient également capables de transporter efficacement leur chargement à travers la peau et dans les cellules cutanées. [76]

Les LNP sont un vecteur potentiel pour délivrer des molécules dans la chambre postérieure de l’œil: elles ont démontré d’excellentes caractéristiques de perméation oculaire et des capacités d’amélioration de la pénétration, tout en présentant une charge médicamenteuse élevée et des efficacités de piégeage. [77]

Nanoparticules dans les essais de vaccination et de thérapie génique (LNPs contenant des acides nucléiques) par voie respiratoire.

Les nanoparticules cargo d’acides nucléiques sont capables de transfecter les cellules des voies respiratoires chez l’animal et l’homme par administration locale (instillation ou nébulisation). Le projet DEFUSE [78], soumis par Eco Health Alliance en réponse à un appel à propositions de la DARPA, porte sur l’administration transcutanée de vaccins chez l’animal à l’aide de nanoparticules. À des fins thérapeutiques, la formulation des LNPs a été optimisée pour une pénétration pulmonaire par inhalation et il a été vérifié que l’ARNm est efficacement traduit dans le poumon après nébulisation (testé sur des souris) [79].

La voie intranasale a également été étudiée pour la vaccination avec des LNPs cargo d’ARNm ainsi que pour la thérapie génique de la fibrose kystique avec des ARNm encapsulés dans des LNPs par voie intranasale par instillation dans les narines des souris : l’ARNm transfectant les cellules nasales exprime la protéine d’intérêt dans les cellules qui ne l’exprimaient pas à cause d’un défaut génétique. [80]

Chez l’homme, des nanoparticules liposomales contenant de l’ADN administrées localement par nébulisation ont transfecté des cellules des voies respiratoires. Un récent essai de phase 2b sur l’administration de l’ADN du CFTR (cystic fibrosis transmembrane conductance regulator) à l’aide d’un système d’administration liposomal a montré qu’après des nébulisations mensuelles répétées pendant un an, les groupes de patients atteints de mucoviscidose ont connu une stabilisation de la fonction pulmonaire, tandis que le groupe placebo a connu un déclin[81].

Des essais cliniques pour la prévention de la grippe ont montré l’efficacité et la sécurité des vaccins à ARNm inhalés: L’ARNm nu ou l’ARNm enveloppé dans des particules lipidiques (notamment à base de PEG comme dans les vaccins ARNm anti-Covid), peut être inhalé sous forme d’aérosol et transfecter les cellules épithéliales pulmonaires [82].L’administration in utero de formulations de nanoparticules lipidiques contenant de l’ARNm peut être appliquée pour délivrer l’ARNm à des fœtus de souris, avec pour conséquence l’expression de la protéine dans le foie, les poumons et les intestins du fœtus [70].

Essai de LNPs pour une vaccination transcutanée

Dans une revue [72] sur la possibilité de vaccination transcutanée par LNPs, on apprend que la peau humaine non endommagée est imperméable aux micro et nanoparticules mais il existe des preuves d’une certaine pénétration cutanée dans les tissus viables (principalement dans le stratum spinosum de la couche épidermique, mais aussi éventuellement dans le derme) pour les très petites particules (moins de 10 nm). Lorsque l’on utilise des protocoles de pénétration de la peau intacte, il n’y a pas de preuve concluante de la pénétration de la peau dans les tissus viables pour les particules d’une taille primaire d’environ 20 nm et plus. Mais il n’y a pas d’informations appropriées pour la peau dont la fonction de barrière est altérée, par exemple la peau atopique ou la peau brûlée par le soleil. Quelques données sont disponibles sur la peau psoriasique. Il existe des preuves que certains effets mécaniques (par exemple, la flexion) sur la peau peuvent avoir un effet sur la pénétration des nanoparticules.

Mais il a été montré que les nanoparticules s’accumulent dans les ouvertures folliculaires, les glandes sébacées ou les plis cutanés. Une suspension aqueuse de nanoparticules ainsi qu’une formulation d’hydrogel de ces particules, appliquée sur la peau d’oreille de porc in vitro, pénétrait profondément dans les follicules pileux. Ces particules peuvent libérer différents composés encapsulés qui pénètrent ensuite dans la peau.

Il existe des preuves dans la littérature que la voie trans-folliculaire peut être utilisée : l’application topique de vecteurs d’expression plasmidiques nus sur la peau intacte de souris a induit des réponses immunitaires spécifiques de l’antigène. Les réponses cellulaires et en anticorps spécifiques de l’Ag HBs ont été induites dans le même ordre de grandeur que celles produites par l’injection i.m. du vaccin polypeptidique recombinant de l’Ag HBs. En revanche, aucune réponse immunitaire n’a pu être induite chez les souris nues :la présence de follicules pileux normaux était une condition préalable à l’induction d’une réponse. Les particules avaient une taille d’environ 150 nm. Les LNPs des vaccins ARNm mesurent entre 100 et 400 nm [22].

Un système qui a fait l’objet de tests cliniques par voie transdermqiue est le patch DermaVir contre le VIH-1/sida. Il contient un vaccin à ADN plasmidique (ADNp) codant pour tous les principaux antigènes du VIH-1 et pour la formation de particules de type viral). L’ADNp est formulé sous la forme de nanoparticules de polyéthylèneimine mannosylées (80-400 nm) semblables à celles des agents pathogènes. Cette étude a porté sur 12 personnes immunisées avec le vaccin: elles ont développé des niveaux plus élevés et plus larges de cellules T CD8+ par rapport au placebo, bien qu’il n’ait eu aucun effet sur le nombre de cellules T CD4+. [72]

L’ARN nu pourrait également être utilisé par passage cutané et par inhalation

Les oligonucléotides ARN peuvent pénétrer la peau intacte et conserver leur activité biologique, la pénétration à travers la peau ne dépend pas de la taille de la molécule étudiée (12,5 à 29,3 kDA) [83]. La faisabilité de l’ARN inhalé pour la transfection passive a également été démontrée dans un certain nombre d’études. L’ARN inhalé peut conduire à la synthèse de protéine spike après transfection et conduit ainsi à l’immunisation de l’individu. [84]

LNPs thérapeutiques et vaccinales dans la COVID-19

Étant donné que les LNPs vaccinales sont des VEs synthétiques, il n’est pas surprenant que des thérapeutiques et des vaccins COVID avec des VEs naturelles servant de vecteurs soient en expérimentation. La nébulisation de VEs pour une thérapie par inhalation a été testée pour la COVID-19. Actuellement, plus de soixante essais cliniques sont en cours pour étudier les effets des CSM (cellules souches mésenchymateuses) et des VEs (contenant ces CSM) chez les patients atteints de COVID-19. Un essai clinique de phase 1 visant à évaluer la sécurité et l’efficacité des VEs inhalées dérivées de CSM adipeuses allogéniques pour le traitement de la pneumonie COVID-19 a été achevé. 3 essais cliniques utilisent l’aérosol comme voie d’administration. En 2022, cette technique a montré son efficacité pour la thérapie par nébulisation chez les patients atteints de COVID-19. [85]

Vaccins à exosomes naturels contre le SARS-CoV-2: voie plantaire ou inhalation

Des vaccins à base de VEs porteuses d’ARNm ont été envisagés contre le SRAS-CoV-2 [86]. Des essais de vaccins injectés sous forme de VEs dans le coussinet plantaire de souris ont montré l’induction d’anticorps contre le spike [87]. Des VEs vectrices du RBD (domaine de liaison) de la spike sont capables de faire pénétrer par nébulisation et inhalation l’antigène dans les cellules pulmonaires de souris et d’induire une réponse immune. Ce sont des particules proches des virus (VLP-Virus Like Particles) obtenues naturellement à partie de cellules de poumon et qui transportent l’ARN de leur cellule mère ainsi que différentes protéines exprimées à leur surface. Par inhalation également, les VEs contenant de l’ARNm de la protéine spike sont capables d’immuniser des souris ou des primates non humains contre le SARS-CoV-2 et les VEs naturelles sont plus efficaces que les VEs synthétiques [89].

Observations réalisées après la campagne massive de vaccination pouvant soutenir l’excrétion du vaccin

Les scientifiques ont comparé des enfants non vaccinés vivant avec des parents non vaccinés avec des enfants également non vaccinés mais vivant avec des parents vaccinés. Les enfants de parents vaccinés ont des IgG anti-Covid dans le nez et la différence avec les enfants de parents non vaccinés est significative. Les auteurs pensent que cela est dû à l’excrétion d’anticorps par les gouttelettes: ce qui est transféré serait l’anticorps IgG lui-même dans les gouttelettes de salive. Mais il est possible que les enfants développent des IgG intranasales parce que d’autres sous-produits du vaccin ou exosomes sont excrétés par leurs parents vaccinés. Cela pourrait être dû aux nanoparticules lipidiques d’ARNm qui pourraient être excrétées et transférées par la salive, par expectoration ou par la peau. Les enfants développeraient une réaction immunitaire aux nanoparticules (ou sous-produits du vaccin) au lieu que les IgG soient transférées directement par les parents aux enfants. Les anticorps recherchés sont les IgG et IgA contre le RBD de la spike et pas contre la nucléocapside du virus, c’est dommage car les auteurs ont développé les 2 types de test [91] : cela ne permet pas de distinguer les enfants qui auraient été infectés naturellement par le virus (et auraient des anticorps anti-RBD et anti-N) des enfants qui auraient développé des anticorps suite à la vaccination de leurs parents (et n’auraient que des anti-RBD et pas d’anti-N car non induits par le vaccin).

Conclusion

Il existe de nombreux témoignages de personnes non vaccinées ayant présenté des symptômes identiques aux effets indésirables du vaccin après avoir été en contact avec des personnes fraîchement vaccinées. Une étude montre un excès de mortalité dans les classes d’âge non vaccinées au début des campagnes de vaccination, qui pourrait s’expliquer par un phénomène de transmission du vaccin ou de ses produits. Il est important de ne pas négliger ces témoignages car les études requises de pharmacocinétique et notamment d’excrétion du vaccin et de ses produits n’ont pas été réalisées malgré la réglementation en vigueur pour les thérapies géniques, qui incluent les vaccins à ARNm selon la définition de ces produits géniques. De plus, le doute sur la possible transmission du vaccin crée un climat malsain de suspicion des non-vaccinés envers les vaccinés: une clarification serait donc la bienvenue. Les vaccins sont tous basés sur la protéine spike, reconnue depuis comme la principale responsable de la pathogénicité du virus SRAS-CoV-2: si la transmission du vaccin ou du spike est possible, il est logique de retrouver les effets indésirables du vaccin chez des personnes non vaccinées en contact avec des personnes vaccinées.

On sait peu de choses sur la pharmacocinétique du vaccin. Les LNPs du vaccin sont très similaires aux VEs naturels ou exosomes, dont les scientifiques ont essayé d’imiter la structure et la fonction le plus fidèlement possible. D’après le peu d’études effectuées par les fabricants et des chercheurs indépendants, les LNPs des vaccins ARNm circulent dans le sang et s’accumulent dans la rate et le foie chez souris (et dans une moindre mesure dans de nombreux organes dont les ovaires et les testicules, la moelle osseuse,…). La traduction en protéine spike persiste 6 à 10 jours chez la souris au site d’injection et 8 jours dans les muscles.

La voie d’excrétion des LNPs varie en fonction de leur taille, dans le cas des LNP de vaccins ARNm l’excrétion devrait se faire principalement par les fèces mais aussi par l’urine. Les résultats quantitatifs de ces études suggèrent que d’autres voies d’excrétion que les fèces et l’urine devraient être explorées. Des études antérieures aux vaccins à ARNm suggèrent que l’excrétion des VEs est possible par la salive, la sueur et le lait maternel.

Des études ont montré qu’il est très possible que des nanoparticules de taille comparable à celles utilisées pour les vaccins à ARNm soient capables de passage transplacentaire chez l’homme. Les nanoparticules (VEs) sont naturellement présentes dans tous les fluides corporels (y compris les expectorations, la salive et la sueur) et dans les kératinocytes et peuvent transporter des acides nucléiques qui sont ainsi protégés des nucléases. Certains types d’ARN (miRNA) sont sélectivement sélectionnés et enrichis dans les VEs de la sueur à partir du sang.

Aucune étude n’a été trouvée concernant la possibilité de passage des LNPs dans le sperme; étant donnée la biodistribution dans tous les organes et fluides, un tel passage est a priori possible et devrait être exploré.

L’ARN viral de nombreux virus est présent dans le sang, les sécrétions et les tissus. L’ARNm des vaccins est injecté en quantités plusieurs fois supérieures à l’ARN viral produit lors de l’infection naturelle. Cet ARNm est retrouvé dans le sang dès le premier jour après l’injection et persiste jusqu’à 15 jours, il est capable de s’échapper des LNPs et d’être encapsulé dans des VEs, il est fonctionnel et peut être traduit en protéine. L’ARNm du vaccin nu ou encapsulé dans les VEs se retrouve dans le lait maternel dès la première semaine après l’injection; il est protégé des sucs gastriques et peut transfecter les cellules néonatales. L’ARN incorporé dans les VEs ou même nu est capable de transfecter des cellules par inhalation ou passage transdermique. L’administration intranasale, orale, transdermique intraoculaire et sous-conjonctivale de VEs porteuses de médicaments a été testée: Les LNPs peuvent être administrées par voie cutanée, intranasale, intraconjonctivale et par inhalation; des expériences ont montré que l’ARNm inclus dans ces LNPs est capable de transfecter des cellules. Des essais de vaccination contre la COVID par inhalation de VEs contenant de l’ARNm ou de la spike ont donné des résultats positifs chez les souris et les primates non humains. Les VEs naturelles sont plus efficaces que les VEs synthétiques.

La protéine spike traduite à partir de l’ARNm du vaccin persiste pendant des mois en grandes quantités chez les vaccinés; on la trouve sous forme libre dans le plasma et encapsulée dans les VEs qui se forment spontanément à partir des cellules où elle a été produite. Ces VEs peuvent délivrer leur cargaison à différents types de cellules, en particulier aux cellules fœtales des mères vaccinées. La spike peut être trouvé dans les kératinocytes de la peau.

Spécifiquement contre les coronavirus, des essais de thérapie génique et de vaccination (notamment avec des ARNm) ont montré la possibilité de transfecter des cellules par voie transcutanée, nasale et par nébulisation à partir de LNPs et même d’ARNm nus. Des exosomes vecteurs de RBD (domaine de liaison) de la spike ou d’ARNm ont été testés par inhalation chez l’animal pour une immunisation anti-COVID-19.

Toutes ces études montrent que les VEs porteuses d’ARNm et de spike pourraient donc être excrétées par différents fluides corporels et pourraient pénétrer par voie transcutanée ou par inhalation chez des individus non vaccinés (ainsi que par le lait maternel chez les nourrissons et par passage transplacentaire chez les fœtus et pourquoi pas par le sperme). L’ARNm nu pourrait également être excrété et pénétrer.

Les vaccins à ARNm (et adénovirus) correspondent exactement à la définition de la thérapie génique donnée par les agences sanitaires (FDA, NIH et EMA). Selon les réglementations de ces agences, ces produits devraient faire l’objet d’études pharmacocinétiques supplémentaires (en particulier des études d’excrétion) de toute urgence au fur et à mesure que la généralisation de la technologie ARNm semble vouloir s’imposer. En effet, Sanofi lance l’essai clinique du premier candidat vaccin contre la grippe saisonnière à base d’ARNm [92] et Moderna lance l’essai de phase 3 du vaccin contre la grippe à base d’ARNm [93]. Pour ces vaccins anti-grippaux, l’autorisation d’urgence ne devrait pas pouvoir s’appliquer et l’obligation de ces études supplémentaires ne devrait pas être outrepassée.

Références

[voir le document original]

Le Grand Pardon aura-t-il lieu?

On chausse ses bottes et ses gants en caoutchouc et on replonge dans la fosse septique de l’actualité.

Le narratif autour du Covid est en train d’évoluer lentement mais sûrement. Le foutage de gueule entre dans une nouvelle phase, qui n’est pas moins spectaculaire que la précédente. Voici quatre histoires qui tournent autour de cette nouvelle manoeuvre. Pour la quatrième, je vous laisse juges mais dans tous les cas, accrochez-vous à vos chaussettes.

Le tout est assez long, ça m’a pris pas mal de temps, mais croyez-moi, ça en vaut la peine. Je ne sais pas dans quelle mesure on en parle sur le Net francophone, vu que, comme vous le savez, je passe beaucoup de temps à lire des dizaines d’articles en anglais, d’où le fait que je suis aussi souvent le premier à en parler. Ceci sera donc peut-être une exclusivité?

Bon, ça c’est fait.

Un article dans « The Atlantic » – un des torchons américains qui servent de vitrine idéologique à la CIA – signé Emily Oster, fait le buzz, notamment sur Substack (ici, ici, ici et ailleurs, c’est en anglais) depuis sa parution le 31 octobre. Cette dame est professeur(e?) d’économie à l’Université de Stanford. Le papier de Mme Oster s’intitule « Déclarons une amnistie pandémique ». Personnellement je ne trouve pas ce qu’elle dit tellement choquant. Le problème est plutôt ce qu’elle ne dit pas. Voici un extrait d’un article précité sur Substack:

Je suis certaine que d’autres auteurs de Substack se joindront à moi pour exprimer leur incrédulité face à l’audace et au culot de cette femme qui suggère que nous devrions pardonner et oublier les crimes commis contre l’humanité simplement parce que les gens étaient « dans le noir » et faisaient pipi dans leur culotte à cause d’une maladie manifestement moins dangereuse pour la majorité de la population qu’une mauvaise grippe. Je voudrais juste ajouter mon grain de sel ici. Ils ne se contentaient pas de salir leurs slips et leurs matelas; certains saisissaient activement l’occasion (en piétinant les droits de l’homme) d’accroître leur richesse et/ou leur pouvoir grâce à la panique hystérique sans précédent générée par l’apparition du SARS-CoV-2. Emily Oster les soutenait:

Faire honte à ceux qui ne se sont pas fait vacciner ne fonctionnera maintenant plus (peut-être plus jamais).
Alors que faire?
Une pression de la famille sur l’individu: peut-être exiger le vaccin pour ce que les gens veulent faire (voyages en avion/train dans le pays, travail, événements sportifs): oui.
On peut le faire sans honte.

Maintenant, elle veut que nous pardonnions, que nous oubliions et que nous allions de l’avant – sans le moindre soupçon d’excuses pour son comportement déplorable ni aveu de culpabilité!

[…] On ne détruit pas les droits de l’homme, on ne met pas à la poubelle cent ans de science épidémiologique et immunologique, on ne déchire pas le Code de Nuremberg, on ne tue pas et on ne blesse pas des millions de personnes parce qu’on « était dans le noir ».

De Igor:

Nous savons intuitivement que quelque chose s’est très mal passé.

Nous devons nous assurer que cela ne se reproduira plus jamais pour les générations suivantes. D’une manière ou d’une autre, nous devons créer une force de dissuasion contre les futurs fraudeurs. Nous n’obtiendrons pas cette dissuasion en accordant à chacun une « amnistie » sans même savoir qui a fait quoi.

Est-il possible que chacun ait agi dans notre intérêt et que les erreurs n’aient pas été intentionnelles? Les personnes qui demandent l’amnistie sont-elles des sympathisants désorientés ou des criminels du Covid, qui ont empoisonné des millions de personnes par malveillance, cupidité et mépris de la sécurité? Pour avoir la réponse, nous devons d’abord savoir ce qui s’est passé!

Ce n’est qu’après une enquête révélant ce qui a eu lieu que nous pourrons juger si une « amnistie » est appropriée et, si oui, pour qui. Pas avant.

Vous aurez compris que l’affaire de Mme Oster n’est pas gagnée. J’ajouterai juste que l’ironie de sa demande, assez mal venue dans le contexte, est que cette dame attend le Grand Pardon sans proposer la moindre réparation, contrairement à ce qui se pratiquait dans le monde d’avant, entre gens de bonne volonté et plus particulièrement dans le cadre de la confession chrétienne, qui incluait la notion de pardon divin – je précise ceci pour mes plus jeunes lecteurs, qui n’ont peut-être jamais entendu parler de cette notion. Seul Dieu peut pardonner.

Sur l’échelle du toupet, Mme Oster est déjà assez bien placée, mais on a trouvé mieux.


Toujours dans la catégorie buzz, nous avons un certain Richard Rowe. Même s’il fait partie de la même sphère que Mme Oster – les « pro-vaccins » – il existe deux différences majeures entre elle et lui. Premièrement, il est ouvertement vindicatif et insultant envers les non-injectés, et deuxièmement, il est mort.

Les captures d’écran et les extraits proviennent de cet article en anglais. Je ne garantis pas l’authenticité de l’information, vu que le décès est daté du 28 octobre et l’article du 26. C’est donc soit une erreur soit de l’enfumage. Si c’est de l’enfumage, c’est qu’on tente d’y faire passer un message, et c’est ce message qui m’intéresse ici.

Dans des captures d’écran de la page Facebook de Richard Rowe, chauffeur routier et candidat du district 23, le politicien pro-vaccins de 41 ans se moquait des anti-vaccins qui, selon lui, ont « contribué à tuer 700 000 Américains » avant de décéder lui-même le 28 octobre 2021.

« Je vais être très clair: je me fous complètement de ce qui arrive aux anti-vaccins. Je m’en fous. Laissez Darwin faire son travail. Ils ont aidé à tuer 700.000 Américains. Je n’ai ni pitié ni de larmes à verser pour aucun d’entre eux. Ça s’est tari à présent. Désolé. A ce stade. J’espère juste qu’ils ressentent 1/10e de la douleur qu’ils ont causé à tous les autres. Les enfants iront bien. EUX, ils vont souffrir. Et putain, je pense qu’ils l’ont bien mérité. »

En postant une photo montrant sa carte de vaccin Covid, Rowe a reconnu qu’il se faisait vacciner alors qu’il avait déjà contracté le Covid, et il écrivait: « J’ai déjà eu le COVID l’année dernière, donc je ne m’inquiète pas de l’attraper. Mais je veux conserver mon sentiment arrogant de supériorité morale et intellectuelle tout en me moquant des anti-vax Darwiniens. C’est en fait assez noble, en réalité. »

Fait intéressant, Rowe est décédé le mois suivant. Un de ses amis a déclaré qu’il était mort subitement en promenant son chien.

Voilà le genre de type qui me rappelle les gosses dont je parle ici, ignorants, sûrs d’eux-mêmes et très forts tant qu’ils sont en groupe. Ces personnages passaient plus ou moins inaperçus avant que les choses se gâtent, mais on a vu leurs vraies couleurs dès que le cadre leur a été propice.

Quel cadre?

Evidemment, la diabolisation initiale de refuseniks de l’injection, qui représentaient un danger pour les injectés (on a toujours pas compris pourquoi, mais plus c’est con mieux ça passe). Le cadre se construisait alors autour de la mythologie des « vaccinés » en tant que gens altruistes et responsables, avec une pincée de devoir patriotique – celui traditionnellement brandi par les assassins de sang froid qui envoient les peuples au massacre, c’est-à-dire les gouvernements. Les non-injectés étaient d’ailleurs plus ou moins considérés comme des déserteurs – après tout, c’est une guerre. Mais comme je le disais en début d’article, le cadre est en train de changer, et pas qu’un peu, maintenant que les chiffres de la catastrophe sanitaire commencent à progressivement filtrer sur la place publique – à titre d’exemple, le pourcentage officiel des hospitalisés Covid est de 99% de « vaccinés », ça la fout mal. A part pour les acharnés de l’ignorance, le narratif devient donc intenable. Il fallait donc réactualiser le cadre. Suivez bien parce que la manipulation est assez subtile et extrêmement perverse.

A présent, les « vaccinés » sont toujours des héros altruistes et patriotiques puisqu’ils ont rempli leur devoir. Sauf qu’il faudra désormais les considérer comme des héros tombés au champ d’honneur. Voyez-vous, les injections étaient finalement assez dangereuses mais puisque le Parti agissait pour le bien du peuple, ceux qui ont obéi sont par avance normalisés (j’y reviens plus loin) et bien entendu, amnistiés. C’est la nouvelle ligne du Parti. Oui, celui d’Orwell.

Pour ceux qui n’auraient pas prêté attention, quasiment tout l’Occident vit à présent sous dictature communiste, désignée par l’appellation « démocratie ». Quelle que soit la nature du régime, c’est une démocratie. C’est devenu le leitmotiv. Pour rappel et comme exemple, les Etats-Unis d’Amérique sont une République constitutionnelle, c’est-à-dire l’opposé exact d’une « démocratie ». Le fait que ce slogan soit devenu omniprésent acte tout simplement le fait que la République n’existe plus, et qu’elle a effectivement été remplacée par une dictature communiste. Depuis que Biden occupe la Maison Blanche, la formule/mantra répétée dans les médias est « menace pour la démocratie » – à propos de « l’insurrection » du 6 janvier, des Républicains MAGA (pro-Trump) et plus généralement des blancs, non-woke, non-cisgenrés, etc. Bref, comme dans 1984 de Orwell, à propos de tout ce qui ne suit pas exactement la ligne du Parti. C’est-à-dire à peu près tout.

Permettez-moi d’insister sur ce point – ou alors lisez les bouquins de Vladimir Boukovski. Ceux qui demanderont « la liberté ou la mort » dans une dictature communiste, auront la mort. C’est à peu près tout ce que le communisme a à offrir en guise de liberté. On a promis la liberté aux vaccinés, ils auront la mort. Il me semble que c’est assez clair. Il n’y a d’ailleurs même pas besoin de demander quoi que ce soit. Le fait qu’on vous le promet est amplement suffisant. Ce sont eux qui décident. Apparemment, ils ont décidé que mourir était un acte patriotique. Engagez-vous. Il y a trop de gens sur Terre.

Richard Rowe était donc un vrai démocrate: il a obéi au Parti. Et c’était un vrai patriote: il est mort.

On aurait pu lui dire que ce n’était vraiment pas la peine. La vraie vie, ce n’est pas se faire injecter de la merde pour faire partie du groupe. Mais bon, c’est trop tard.


Troisième élément du nouveau narratif Covid, pas vraiment récent mais qui prend maintenant tout son sens: les dignitaires du Parti, Biden, Fauci, et Wolenski, prétendument hyper-injectés, après avoir pendant des mois vendu le « clotshot » (injection à caillots, j’aime bien l’appellation) comme forteresse infranchissable pour le virus, font le Covid?

A moins d’être un incurable naïf, il est impossible de croire que ces personnages 1) ait reçu une quelconque injection Covid, 2) ne disposent pas de traitement prophylactiques qui les mettent à l’abri du Covid – vitamine D, ivermectine, hydroxychloroquine/zinc, voire DRACO, 3) avoueraient avoir contracté le Covid sans raison, puisque ça contredit tout ce qu’ils ont seriné pendant des mois sur le vaccin – et qu’ils y ajoutent une mauvaise pub pour le Paxlovid.

Alors, pourquoi?

J’ai déjà en partie répondu à la question dans l’article sur le rebond de Fauci: c’est de la normalisation. Il faut normaliser le fait que les vaccins sont inefficaces. Et ce n’est pas tout, on présente dans les médias américains le fait qu’un candidat démocrate (j’ai oublié son nom) a souffert d’un récent AVC comme humanisant. Ce qui, bien que le vaccin ne soit pas cité, normalise aussi le fait qu’il est dangereux. Le Parti honore ainsi ceux qui ont fait le sacrifice. Comme Richard Rowe.

Comme je le disais plus haut, le cadre change. Le narratif de la « protection » des autres grâce au vaccin n’est plus le discours dominant, il est subtilement remplacé par une espèce de culte du martyr des injectés. Un culte de mort, donc. Après la phase d’arrogance, d’agressivité et de mépris des injectés, on va donc se retrouver face à une foule de malades chroniques portés en héros par le Parti et, du fond de leur misère humaine, des gens probablement jaloux et revanchards, ou quelque chose dans le genre. Ma constatation personnelle de la majorité des injectés est que, hormis ceux qui le regrettent humblement, ce sont généralement des lâches sournois et hypocrites – le profil typique de ceux qui se réfugient dans le groupe. Ceux qui n’ont aucun état d’âme à pousser les autres à la flotte.

Tout ça est assez moche. Si vous pensez que ça ne peut pas être pire, attendez de lire la suite…


Je reviens temporairement sur ma décision de boycotter les déclarations du Dr Robert Malone. Vous allez en comprendre l’intérêt, et le lien étroit avec les points précédents.

Je remercie au passage John et Adam pour les clips sonores qui suivent, avec leur traduction, extraits du 1500ème épisode de No Agendafélicitations les gars! C’est extrait d’une des récentes allocutions de Malone, dont je ne trouve pas le fichier original sur le Net, sorry, mais dont je suis certain de l’authenticité. Le découpage des clips est moyen, mais on s’en contentera.

Je veux que vous compreniez la différence entre la charge utile et la plateforme. Nous parlons des principes fondamentaux de la pharmacologie de cette catégorie de produits. Et je veux que vous compreniez comment et pourquoi on les impose. Il s’agit plutôt pour moi d’essayer de vous donner un aperçu et une compréhension de ce qui se passe, vu à travers cette seule lentille qu’est la technologie ARNm. J’ai parlé de la formation des masses, du Forum Economique Mondial, de l’Etat administratif. Il y a tellement de variables en jeu que nous pourrions en parler pendant huit heures, mais je vais me concentrer sur l’ARN. Pourquoi les vaccins ARNm? Pourquoi est-ce qu’on les impose?

[…] pourquoi c’est universel et global. Et comprenez que ce que vous avez vécu ici en Virginie reflète ce que des gens à qui je parlais il y a une heure et demie lors d’une conférence à Padoue, en Italie, [vivent]. Les mêmes choses ont été vécues au Brésil, dans tout le monde occidental. Pourquoi cela a-t-il été imposé? Quel est le besoin non satisfait auquel on répond? Je ne cherche pas à savoir s’ils ont raison ou tort. Je veux juste que vous compreniez la logique sous-jacente, du moins à la surface. Le problème qui se pose est que la technologie permettant aux individus de concevoir des armes biologiques est devenue si triviale qu’un étudiant de dernière année qui travaille à partir de là, ou quelqu’un d’un niveau d’éducation similaire, qui peut s’auto-former, qui travaille dans son garage avec du matériel qu’il peut trouver sur eBay, peut facilement recréer les combinaisons de pathogènes les plus mortelles que notre gouvernement a développées dans le programme de guerre biologique que nous avons mené pendant des années. Et je ne dis pas que nous ne le faisons plus, nous le faisons sous un autre nom, nous l’appelons recherche défensive sur les armes biologiques, pas recherche offensive sur les armes biologiques et je ne vois pas bien la différence. Mais c’est le langage qui est imposé par le traité de guerre biologique qui a été signé. Il fuit comme une passoire, mais je veux que vous compreniez, et juste pour définir le cadre, qu’avec la technologie traditionnelle des vaccins, nous prévoyons avoir des vaccins – si tout va bien – pour tous les agents de guerre biologique déployés jusqu’à la fin de la deuxième Guerre Mondiale – donc la tularémie, la variole et tout le reste – des vaccins pour tous les agents de guerre biologique déployés jusqu’à la fin de la deuxième Guerre Mondiale. Et nous les aurons tous d’ici 2050, si tout va bien.

Nous sommes maintenant dans un environnement dans lequel un jeune adulte ou un dangereux individu, dans n’importe quelle partie du monde, est en mesure de créer des armes biologiques très puissantes. Clairement, nous n’avons pas la capacité d’y répondre efficacement. C’est là le besoin médical non satisfait sous-jacent. C’est le problème et nous devons être très clairs à ce sujet. Nous sommes très remontés et je ne défends en aucun cas la façon dont cela a été déployé. Je ne dis pas que cette solution est la meilleure. Je dis simplement qu’il y a un besoin médical non satisfait, c’est-à-dire une menace très importante. Ce n’est pas anodin, ce n’est pas le fruit de l’imagination de Cheney, que des agents de guerre biologique puissent être fabriqués. Jusqu’à présent, c’est nous qui avons réalisé la majeure partie de l’ingénierie et ce qui va sortir du prochain livre de Bobby [NdT. Robert f. Kennedy Jr?] va vous faire exploser les circuits au regard de ce que nous avons fait en Géorgie et en Ukraine. Ces choses sont en cours de réalisation et le problème est qu’une fois qu’elles sont lâchées, ce que nous avons tous vécu au cours des trois dernières années – cela fait presque trois ans maintenant, en fait c’était en septembre, fin septembre, les données montrent que le début de l’épidémie était au moins en septembre 2019, si ce n’est plus tôt – une fois que ces choses sont lâchées, elles peuvent déferler sur le monde et la technologie est maintenant avancée au point que les agents pathogènes peuvent être modifiés de manière à être relativement spécifiques pour différents groupes ethniques en fonction de leur génétique. Les agents pathogènes peuvent être modifiés et je peux vous dire que mes amis ou ceux qui étaient mes copains à la DETRA, Defense Threat Reduction Agency, division chimie/bio, sont extrêmement conscients que des agents peuvent être modifiés pour cibler des groupes ethniques.

Voilà le champ de bataille, voilà l’environnement réel dans lequel nous nous trouvons. Nous devons donc disposer d’une technologie permettant une réaction rapide et de capacités qui puissent être déployées au niveau de la population. Cette technologie de l’ARN est l’une de celles, avec les anticorps monoclonaux, dont le gouvernement pense depuis longtemps qu’elles ont un énorme potentiel pour permettre ce type de réponse rapide. En fait, ils préfèrent les anticorps monoclonaux. Le principe qu’ils aiment vraiment chez ces anticorps monoclonaux est qu’on peut administrer ces produits à un contingent de forces spéciales. Ils se rendent sur le théâtre des opérations, font leur travail, reviennent, vont voir leur femme, les anticorps monoclonaux disparaissent, c’est réglé. Le problème est que la technologie n’a tout simplement pas fonctionné. La technologie des anticorps monoclonaux est trop lourde, trop encombrante et nous avons appris au cours des trois dernières années que les virus et les agents pathogènes peuvent évoluer pour échapper à cette technologie assez rapidement parce qu’ils [les anticorps monoclonaux] sont assez spécifiques. Nous avons tous observé l’évolution virale en temps réel. Nous en avons fait l’expérience. Voilà donc le besoin médical non satisfait auquel on tente de répondre. Du moins, c’est la justification sous-jacente, à savoir qu’il existe un besoin non satisfait d’une technologie qui permettra désormais une réponse rapide aux agents pathogènes émergents et aux agents pathogènes modifiés, tels que les agents pathogènes issus de la guerre biologique ou du terrorisme.

La vérité est que DARPA, qui est la branche de développement opérationnel, en fait la CIA, est tombée amoureuse de la technologie de l’ARN il y a plus de dix ans et a décidé de la capitaliser et de l’imposer sur le marché. Et par exemple, ce sont eux qui ont capitalisé à travers In-Q-Tel, leur bras d’investissement, les nouvelles installations de fabrication d’ARN au Canada. C’est un programme de la CIA, il n’y a aucune ambiguïté là-dessus. Je ne révèle pas de secrets d’État. La technologie a été littéralement sortie de la poubelle parce qu’elle avait été supprimée par Merck après que je l’ai développée il y a plus de trente ans et elle a été perfectionnée de manière très agressive par DARPA. DARPA a financé et essentiellement construit Moderna. Ils continuent à imposer tout ça et ils le font à travers le gouvernement. Et ce que vous voyez, c’est le pouvoir de la communauté du renseignement et du nouveau complexe industriel de la biodéfense qui s’est développé depuis les attaques à l’anthrax, et cela va même au-delà, dans leur capacité à imposer leur programme au gouvernement. Quand on voit tout ce qui est documenté par Paul, tous ces contournements des procédures et des règles normales, cela arrive parce que, dans une large mesure, notre communauté du renseignement l’impose par le biais de la structure administrative de l’État.

Tous ces contournements des procédures et des règles normales se produisent parce que notre communauté du renseignement les impose par le biais de la structure administrative de l’État. Et pourquoi le font-ils? Je pense que si nous prenons un peu de recul et essayons de leur accorder pour un moment le bénéfice du doute, je pense qu’ils croient devoir l’appuyer, devoir faire accepter cette technologie parce qu’il n’y a pas d’alternatives et que la menace est si grave à leur avis, dans leur monde d’agents secrets, la menace est si grave qu’il faut que quelque chose existe et c’est ce quelque chose auquel ils se sont accrochés. Et je ne dis pas ça pour les défendre. Je dis ça pour essayer de vous aider à comprendre ce à quoi vous avez été soumis.

Ok, réfléchissons deux minutes.

Je suis assez de l’avis de Adam Curry sur le gars. Il s’est lentement forgé une place dans le contingent des médecins qui luttent contre l’Opération Covid/Injections, à travers ses nombreuses interventions (le podcast de Joe Rogan, le FLCCC, l’équipe de Robert F. Kennedy Jr, etc.) d’où il peut maintenant apporter son témoignage d’insider des services secrets. Ce témoignage.

Ce discours n’est pas vraiment nouveau de la part de Malone, il l’évoque déjà dans l’interview dont j’ai fait la transcription et la traduction. Le Dr Igor Shepherd, qui provient du même milieu en URSS, fait également référence à ce genre de recherche militaire, aux objectifs exactement similaires – quoiqu’au contraire du Dr Malone, il est extrêmement remonté contre ce genre de pratique.

Le Dr Malone a beau déclarer ici ne pas porter de jugement sur ceux qui mènent cette opération, la façon dont il présente cette dernière est plutôt biaisée: tout ça était pour notre bien, pour nous protéger de futures attaques biologiques – dont je ne consteste absolument pas le risque réel, j’ai publié ceci sur le sujet. Je rappelle juste qu’on attend toujours une vraie attaque « terroriste », de n’importe quelle nature. Pour autant que je sache, toutes les opérations de ce type proviennent de réseaux gouvernementaux, voire internationaux, et elles sont toujours liés au réseau du Renseignement, y compris et surtout l’Opération Covid. Pour se faire une idée supplémentaire de la bonne foi du Dr Malone, il cite ici comme source fiable Dick Cheney, ancien Vice-Président des Etats-Unis sous George W. Bush, qui, s’il n’est pas lui-même un des organisateurs des attentats sous faux drapeau du 11 septembre, a systématiquement menti sur tous ses aspects, notamment le fait que les attaques subséquentes à l’anthrax, que mentionne ici le Dr Malone comme point de départ du « complexe industriel de la biodéfense », utilisaient une souche issue de Fort Detrick, le centre de recherches biologiques de l’Armée américaine. Si ce n’est pas du faux drapeau, je ne sais pas ce qu’est du faux drapeau. Et c’est le faux drapeau qui nous a menés au Covid et aux injections. Katherine Watt s’est tapé le boulot monstrueux de passer en revue tous les aménagements légaux qui ont permis l’opération en cours, en toute impunité. Sa conclusion.

Parlons maintenant des hasards.

Sommes-nous censés croire que ces « révélations » interviennent par hasard juste après que Alexandra Latypova ait déjà levé le voile sur le nid de vipères du Renseignement à l’oeuvre derrière toute l’Opération?

Sommes-nous aussi censés croire que le timing de l’Opération est le fait du hasard? Que le SARS-CoV-2 est sorti juste à point pour camoufler l’effondrement économique et financier qui avait commencé quelques semaines auparavant, juste à point pour opérer le plus grand hold-up économique de l’Histoire (voir ici), juste à point pour lancer à plein le Grand Reset?

Puisque, au fond, c’était pour notre bien, sommes-nous censés accepter qu’il faudrait aussi accorder à nos bienfaiteurs une « amnistie pandémique »?

Les Américains ont une expression que j’aime bien: « You must think we’re little children« .

Vous nous prenez vraiment pour des gosses!


Nous sommes bien d’accord que David Icke fait partie de l’opposition contrôlée. Il n’empêche qu’il est très intéressant d’écouter ce qu’il dit – je vous le répète, il faut écouter tout le monde. Ça prend du temps mais c’est très instructif. Et voici ce qu’il disait en 1997:

[…] qu’ils allaient créer en laboratoire de nouveaux virus résistants aux médicaments, qu’ils allaient les utiliser pour éliminer la population, qu’ils allaient utiliser les vaccinations pour éliminer la population. Ils allaient également changer la façon dont les soins de santé traitaient les personnes âgées, de sorte que de plus en plus de personnes âgées meurent et ne vivent pas longtemps parce que, de leur point de vue extraordinairement malade, les personnes âgées leur sont inutiles. Et ce que nous voyons maintenant très clairement, c’est une tentative de jouer cette carte de l’immunisation mondiale de masse, avec l’excuse de ce virus fabriqué, pour avoir accès aux corps, aux systèmes informatiques corporels, dirais-je, de quasiment tout le monde sur la planète. Et ils ne font pas ça parce qu’ils veulent protéger les gens de quoi que ce soit de bizarre. La force qui dit « faites-vous vacciner » est la force qui a créé le virus contre lequel ils disent de se faire vacciner. [NdT. c’est également l’avis de Spartacus] Ils font cela pour avoir accès à la population mondiale pour des raisons très, très malveillantes. Et ce que les gens doivent comprendre, c’est que ces familles n’ont pas la même perspective que nous sur la vie et le respect. Elles voient les humains comme du bétail, rien de plus que du bétail, comme la plupart des humains voient le bétail. Elles n’ont donc aucune empathie pour les conséquences de leurs actions sur la population humaine. Donc quand les gens disent « ils ne feraient jamais ça, mon pote ». Non, non, vous ne feriez jamais ça. Ils le font tout le temps.


Et on termine en musique.

Aucun d’entre vous n’a voulu m’aider quand je faisais du pain
Maintenant, vous voulez tous m’aider à le manger
Je vois que vous êtes très bien nourris
Ce qui indique que vous n’en avez pas besoin

Assez parlé!
Assez parlé!

Arrêtez-vous et je vous dirai ce que demain vous réserve
Arrêtez-vous et je vous dévoilerai le projet que j’ai pour vous

Prenez tous les leaders du monde entier
Mettez-les ensemble sur un grand ring
Télévisez ça comme le spectacle le plus minable de la planète
Et laissez-les se battre comme des diables pour voir qui est le roi

Ramassez les morceaux quand le combat est terminé
Alors vous découvrirez que la vie peut vraiment être amusante

Le prochain truc que je vous dirai sera vrai
Le dernier truc que je vous ai dit était faux
Rappellez-vous de ne rien faire quand vous ne savez pas quoi faire

Vous vouliez un monde que vous pouviez comprendre
Mais quelque chose est arrivé pendant que vous dormiez
Vous vouliez une vie agréable dont vous pourriez vous vanter
Dommage qu’ils aient pris les parties que vous vouliez garder

Assez parlé!
Assez parlé!

Arrêtez-vous et je vous dirai ce que demain vous réserve
Arrêtez-vous et je vous dévoilerai le projet que j’ai pour vous

Prenez tous les leaders du monde entier
Mettez-les ensemble sur un grand ring
Télévisez ça comme le spectacle le plus minable de la planète
Et laissez-les se battre comme des diables pour voir qui est le roi

Ramassez les morceaux quand le combat est terminé
Alors vous découvrirez que la vie peut vraiment être amusante

Assez parlé!

DEVO, « Enough said » (1981), Paroliers : Gen. Boy / Gerald Casale / Mark Allen Mothersbaugh

Assez parlé!

Réponse de Spartacus aux dix questions de Sage Hana.

Spartacus est l’auteur de la (pas assez) célèbre lettre qui porte son nom, que j’ai traduite ici, et de nombreux autres articles indispensables sur son Substack, dont deux autres traduits ici et ici.

Voici ses réponses aux dix questions que Sage Hana avait rédigées à l’intention initiale du Dr Brian Mowrey (qui y a répondu ici, c’est en anglais) et des auteurs les plus pointus sur Substack, dont j’ai publié des articles pour la plupart: Vaccine Sherpa (c’est-à-dire Robert Malone), Arkmedic, Igor Chudov, Steve Kirsch, Dr Jessica Rose, Dr Marc Girardot, Dr Meryl Nass, A Midwestern Doctor, Geert Vanden Bossche, etc.

Avec sa lettre et ses autres articles, ce questionnaire et ses réponses complètent la lettre de Parrhesia que je viens de publier. A leur lecture, il se dégage quelque chose de vraiment intéressant à comprendre dans les événements présents pour le long terme.

Il n’y aura plus de crise énergétique: il y aura bien assez d’énergie pour ceux qui resteront.

Il n’y aura plus de crise du logement: les « villes intelligentes » sont prévues pour parquer ceux qui resteront, comme je l’avais prédit il y a plus de deux ans.

Puisque les « migrants » sont dispensés d’injection, le Grand Remplacement de ceux qui s’accrochent encore maintenant – et couleront – avec le navire en perdition aura bien lieu en Occident. C’est d’ailleurs subtilement annoncé par Ursula dans son discours de l’Etat de l’Union, sur lequel je reviendrai comme promis – brièvement, manque de temps.

Le gouvernement mondial sera ensuite infiniment plus aisé à mettre en place.

Et la Paix règnera.

Ou pas.

Source.


Spartacus répond au questionnaire SH-10

Nous sommes tous Spartacus. (Pas vraiment, ce type précis comme un Laser est une exception)

Sage Hana

14 octobre

Première partie: Qui est Spartacus?

Pour ceux d’entre nous qui, il y a un an, parcouraient Twitter à la recherche désespérée d’informations réelles sur le COVID, Spartacus est un personnage important.

C’est l’été dernier que j’ai commencé à me montrer très curieuse de ces nouveaux « vaccins ».

Je m’étais déjà rétablie d’un cas brutal de COVID au printemps 2020. [NdT. un témoignage très bien écrit sur ce qu’a été le Covid long en 2020 ici]

Je connaissais l’immunité naturelle et j’étais déconcertée par l’agressivité avec laquelle les nouvelles injections étaient promues. C’était le début du fascisme. On le sentait.

Après m’être fait les dents sur la folie de la vaccination de masse en cas de pandémie (Geert Vanden Bossche), puis avoir appris ce qu’étaient les signaux de sécurité immédiats et l’utilisation abusive des statistiques des essais (Dr Peter McCullough), j’ai ensuite interrogé un médecin/scientifique qui avait été envoyée à New York pour le déclenchement de la pandémie.

Il s’agissait d’un médecin urgentiste et chercheuse scientifique de la région de Denver.

Elle a traité de charlatan le Célèbre GVB et a fortement suggéré que Robert Malone était un égocentrique en quête d’attention.

Ce qui… 😅

Quoi qu’il en soit, elle a également craché des trucs clairement faux comme « Les vaccins sont efficaces à 94%, mieux que pour la polio! » et a raillé une enseignante en Californie pour avoir transmis le COVID à ses élèves, même si nous savions que les personnes injectées excrétaient également le virus.

Comment cela était-il possible? Que se passait-il dans la communauté médicale et scientifique?

Elle n’avait pas la moindre critique à formuler à l’égard d’Anthony Fauci, mais elle souffrait d’un cas grave de SDT (Syndrome de Diabolisation de Trump).

(Notez que ce Syndrome Fauci/Trump est jumelé de l’autre « côté » par l’univers parallèle Fauci/SHT, ou Syndrome de l’Héroïsation de Trump. L’Homme Orange fait fondre les cerveaux comme personne. 😅)

Quoi qu’il en soit, son SDT était clairement une variable confondante du mystère de ce qui se passe avec ce virus, ces injections, et notre monde qui bascule rapidement dans la folie.

Spartacus a surgi de nulle part et a balancé la vérité en direct dans une lettre ouverte sur tout ce qui concerne le COVID.

Si vous voulez la lire, les liens vers cette lettre sont dans ce billet. [NdT. ma traduction]

Je l’ai interrogé sur cette lettre l’autre jour sur son Stack, lien ci-dessous.

Auteur de la Newsletter de Sage, 5 octobre, Aimé par Spartacus

Spartacus, je m’enflamme! 🔥

Êtes-vous le vrai Spartacus, celui de la lettre sur le COVID qui a circulé l’année dernière?

Vous êtes quelqu’un de brillant. Vous comprenez ce que peu de gens semblent capables de comprendre. En particulier par rapport à beaucoup de docteurs et de scientifiques garde-barrières qui ont proliféré dans ce marécage pendant des décennies, qu’on voit encore maintenant en train de transiger sur le fait qu’ils côtoyaient des psychopathes.

10 octobre, modifié le 10 octobre, Auteur

Ouaip, c’était moi. J’en avais assez de voir tout ce qui se passait, et selon ce que moi et mes correspondants savions, il y avait des preuves accablantes de malversations, du haut en bas de l’échelle. J’ai rédigé la première version de la lettre en cinq jours environ, pendant ma pause au travail, et je l’ai postée sur DocDroid. Cela s’est révélé être une erreur, car DocDroid diffusait d’horribles publicités aux utilisateurs de téléphones portables, et certaines personnes ont donc mis en garde les autres en leur disant « ce lien vous filera un virus! »

Dans un premier temps, je ne me rendais compte de rien, car j’étais sur mon ordinateur de bureau avec un bloqueur de publicité sur mon navigateur. Je l’ai posté sur certains forums et envoyé par e-mail à quelques personnes, dont Robert Malone. Je ne m’attendais pas à ce qu’il le publie sur son Twitter.

https://archive.ph/gvOAC

Cela a mis en mouvement un certain nombre d’autres choses. Automatic Earth l’a reposté depuis son compte, puis ZeroHedge les a repostés, et à partir de là, plus d’un million de personnes l’ont vu. Quelqu’un s’est plaint de l’absence de citations en ligne. J’ai également remarqué que les gens se demandaient s’il fallait ou non le rediffuser pour des raisons de droits d’auteur. J’ai donc ajouté des citations en ligne, l’ai légèrement développé et l’ai publié sous Creative Commons, ce qui a donné lieu aux versions V2, V3 et V4.

Quelques jours après qu’il soit devenu viral sur ZeroHedge, CNBC a publié cette vidéo.

Soit ils n’ont effectué aucune recherche, soit ils mentent délibérément. En affirmant qu’il est impossible de faire passer une micropuce dans une aiguille de vaccin, ils sous-entendent que les dispositifs dont nous disposons aujourd’hui sont des « puces » à grande échelle visibles à l’œil nu. Ce n’est pas le cas. Elles sont beaucoup, beaucoup plus petites que cela. Plus petites qu’un virus, en fait.

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2590238521000679

La DARPA a été la force motrice de la technologie des vaccins à ARNm [NdT. voir cet article]. Faites une recherche sur ADEPT (Autonomous Diagnostics to Enable Prevention and Therapeutics) [Diagnostics Autonomes pour Permettre la Prévention et la Thérapeutique]:

Depuis ces dernières années, la DARPA est à la pointe d’un nouveau genre de contre-mesures contre les maladies infectieuses, appelées anti-corps génétiquement encodés. Leur action est de fournir aux cellules des instructions génétiques qui leur font produire un ou plusieurs anticorps hautement protecteus contre toute menace.

Ce sont également eux qui font pression pour la mise en place de la technologie d’interface cerveau-ordinateur sans fil, par le biais de l’initiative BRAIN et du programme N3. Regina Dugan, ancienne directrice de la DARPA, travaille aujourd’hui à Wellcome Leap, une émanation du Wellcome Trust. Elle a également travaillé chez Google et Facebook.

Qui, selon Andrew Huff, est l’un des bailleurs de fonds de EcoHealth Alliance? Le Wellcome Trust. [NdT. voir cet autre article de Spartacus]

Ils prennent très au sérieux cette affaire d’Internet des Corps, et ils ont passé des années à mettre en place toute l’infrastructure nécessaire. Ils ont également mis beaucoup de leur énergie à empoisonner le puits de la critique des vaccins et de la 5G au cours de la dernière décennie, afin de faire passer pour des excentriques tous ceux qui posent trop de questions pointues. L’establishment médical intimide et fait chanter les médecins en les menaçant de leur retirer leur licence, alors même que les gens tombent comme des mouches à cause des effets secondaires de ces vaccins. Les médias de masse, complètement contrôlés, diffusent des publicités et des messages d’intérêt public sur les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux chez les enfants, comme s’ils avaient tout prévu à l’avance.

Nous sommes face au mal incarné.

Deuxième partie: Les dix questions de Sage Hana

Les virus existent-ils?

  1. Oui, très certainement. La théorie du terrain ne résiste pas vraiment à l’examen scientifique. Les virus ne peuvent pas satisfaire aux postulats de Koch car on ne peut pas en faire une culture purifiée. Contrairement aux bactéries, qui sont très vivantes, les virus ne sont pas vivants, ce sont des instructions flottantes qui entrent dans les cellules vivantes. Ce sont obligatoirement des parasites cellulaires qui ont besoin de cellules vivantes pour se répliquer, c’est pourquoi on introduit généralement des cellules Vero, par exemple, dans les cultures avant de les infecter avec un virus. L’entrée virale et l’infection des cellules peuvent être vérifiées par marquage fluorescent, et les particules virales peuvent être observées en microscopie TEM ou SEM. Les virus sont incroyablement petits. Un globule rouge est 66 fois plus grand qu’un virion du SARS-CoV-2.

Un nouveau coronavirus a-t-il émergé fin 2019, entraînant une pandémie mondiale?

  1. Le SARS-CoV-2 est très similaire au SARS-CoV. Ses seules caractéristiques vraiment nouvelles sont le site de clivage de la Furine sur la protéine de pointe (qui améliore considérablement la transmission en raison de l’ubiquité des protéases Furine humaines qui peuvent la cliver et l’activer; oui, les protéases de l’organisme – comme la Furine et le TMPRSS2 – aident le virus) et quelques autres motifs suspects sur ses protéines. Le fait que la technologie de séquençage d’Illumina soit si largement utilisée pour analyser les échantillons – avec peu d’alternatives – est suspect, mais étant donné les centaines de milliers d’articles qui ont été publiés sur le virus jusqu’à présent, il serait grotesque de supposer que tout ceci n’était qu’un canular. Ayant moi-même contracté le COVID-19 et m’en étant généralement bien remis, je peux dire que cette maladie était assurément différente de la grippe. [NdT. je confirme]

Vous (Brian Mowrey, les questions lui étaient initialement destinées) avez jugé que le péché originel antigénique était faux ou inexact. Qui est/sont les principaux partisans de cette théorie et en quoi se sont-ils égarés?

  1. Le péché originel antigénique (Original Antigenic Sin – OAS) et la facilitation de l’infection par anticorps (Antibody Dependent Enhancement – ADE) sont incontestablement des phénomènes réels. Il suffit de voir ce qui se passe lorsqu’une personne attrape deux souches différentes de la dengue. On parle de facilitation de l’infection par anticorps lorsque les anticorps non-neutralisants de la première infection sont utilisés sur la seconde, et que les virions incomplètement neutralisés sont attirés dans les macrophages par leurs récepteurs Fc [NdT. mécanisme bien détaillé par le Dr Tenpenny ici], infectant les cellules immunitaires avec des virions de dengue vivants. Nous savons que les sarbecovirus et les merbecovirus ont un potentiel d’ADE similaire à celui de la dengue, ce qui fait de la vaccination des personnes avec un vaccin non stérilisant (c’est-à-dire qui permet la transmission de la maladie) et qui encourage l’émergence de variants d’échappement immunitaire, au mieux une course folle, au pire une erreur mortelle. C’est ce que nous constatons avec les vaccins actuels. Ils stimulent d’abord les réponses du système immunitaire inné, mais l’efficacité du système immunitaire adaptatif à repousser le SARS-CoV-2 semble baisser en dessous du seuil de référence après quelques mois. C’est tout sauf bon.

lié au n°3: Se sont-ils égarés en raison d’une erreur de bonne foi, ou de motifs sombres ou personnels?

  1. Je ne peux pas commenter cette question car je ne pense pas du tout qu’ils se soient égarés.

Les vaccins étaient-ils nécessaires pour le nouveau coronavirus appelé SARS-Cov2? (À ne pas prendre en compte si les questions n°1 et 2 la rendent inapplicable).

  1. Non, ils ne l’étaient pas. Au moment où ils ont commencé les campagnes de vaccination de masse, la grande majorité des gens étaient déjà séropositifs et avaient un certain degré d’immunité. Au mieux, ils voulaient juste utiliser des milliards de personnes comme cobayes pour la technologie de transfection de l’ARNm qui serait plus tard utilisée dans les vaccins contre le cancer, les traitements favorisant la longévité, et ainsi de suite. Au pire, ils empoisonnent les gens. Délibérément. Et ils ouvrent probablement la voie à une modification humaine généralisée en modifiant génétiquement et physiquement les cellules des gens afin de les rendre dociles et obéissants.

Lesquels sont les meilleurs: les chimichangas ou les tacos?

  1. Les enchiladas.

Sommes-nous au milieu d’une campagne de dépeuplement (abattage du troupeau), ou n’est-ce qu’une sombre théorie de la conspiration?

  1. Un grand nombre de personnes au pouvoir sont liées au FEM (Forum Economique Mondial), et le FEM est ouvertement néo-malthusien, tout comme le Club de Rome et les Rockefeller. Bill Gates, Yuval Noah Harari, Boris Johnson et des dizaines d’autres membres de la classe dirigeante ont ouvertement exprimé des opinions qui relèvent du contrôle de la population.
Yuval Noah Harari a exprimé tout haut la façon dont l’élite capitaliste considère la majeure partie de l’humanité: sacrifiable et excédentaire par rapport aux besoins. Le conseiller du Forum Economique Mondial a déclaré: « Nous n’avons tout simplement pas besoin de la majeure partie de la population » en ce début de XXIème siècle.

Je suis sûr à 90% qu’ils essaient de réduire la population, et les 10% restants sont juste de bonnes vieilles expérimentations sur l’être humain.

Pourquoi pensez-vous que les leaders mondiaux ont tous promu les injections expérimentales d’édition de gènes et l’ont fait de manière draconienne et fasciste?

  1. Parce qu’ils suivent tous exactement le même scénario.

A qui faites-vous confiance dans le monde de la science biomédicale pour opérer avec une pure rigueur scientifique?

  1. Personne. L’édition scientifique est l’une des choses les plus corrompues de la planète, où tout le monde est motivé par l’argent plutôt que par l’exactitude des faits. La seule fois où on sait que quelque chose est un tant soit peu exact, c’est lorsqu’il peut être reproduit dans au moins une douzaine d’autres articles. La psychologie, en tant que domaine, est catastrophique à cet égard [NdT. je traite bientôt ce sujet]. Pratiquement aucun de leurs résultats ne peut être reproduit.

Avez-vous déjà subi des pressions pour fausser les résultats, que ce soit de la part de collègues chercheurs ou de bailleurs de fonds?

  1. Pas moi, personnellement, mais je connais d’autres personnes qui en ont subi.

Question bonus:

Y a-t-il un seul élément de l’opération Injection 19 que nous pouvons considérer comme exact à plus de 99%? (sachant que la science n’est jamais figée)

Un seul élément?

Bonus: Les vaccins à ARNm sont un produit de biodéfense militaire créé avec le financement de la DARPA.

https://iceni.substack.com/p/humans-as-bioreactors

L’intérêt des vaccins à base d’acide nucléique est qu’ils peuvent être produits très rapidement pour contrer les nouveaux agents pathogènes dès leur apparition. La seule raison pour laquelle on pourrait l’envisager, et pour laquelle le Ministère de la Défense le finance, est qu’il anticipe une guerre biologique. S’ils anticipent la guerre biologique, alors qui libère des agents pathogènes (en violation de la Convention sur les Armes Biologiques) et pourquoi? C’est l’éléphant géant dans la pièce dont personne ne parle.


Merci, Spartacus!

Voici le billet de Brian Mowrey qui répond au SH-10:

https://unglossed.substack.com/p/the-sage-hana-questionnaire [NdT. je ne traduirai pas tout mais j’en citerai une partie dans un futur article]

C’est un vrai bonheur pour moi, et j’espère pour vous, les gars.

Les divergences de points de vue ne me posent aucun problème, comment pourrait-il ne pas y en avoir?

Nous semblons arriver à la pointe de nos connaissances et ceux qui coordonnent l’Opération nous mentent à chaque instant.

C’est ce que je voulais savoir il y a un an.

Il a été très difficile pour une profane de faire le tri entre la politique, le bal des héros, les mensonges et les diverses impulsions de raisonnement motivées par ceux qui émergent du ventre de la bête.

J’ai confiance dans le fait qu’à travers Spartacus et Brian, nous avons maintenant deux réponses inscrites au registre qui visent aussi droit au but qu’ils le peuvent selon leur compréhension de la situation.

Bénédictions et gratitude à eux deux.

Quand vous entendrez BNT162c(2), courez, ne marchez pas, COUREZ – par Jessica Rose.

Note: je n’ai pas trouvé l’acronyme officiel français de l’ARN auto-amplifiant (ou auto-réplicatif), du fait que tous ceux qui publient sur le sujet dans notre langue – comme ce journaliste belge dans cet article – utilisent le terme anglophone. Je le désigne donc empiriquement dans ma traduction par ARNaa. Si vous savez, faites un commentaire, merci.

Je n’ai pas inclus la photo de Jello Biafra de l’article original, vu que c’est une des rares fautes de goût de Jessica que je voulais absolument épargner à mes lecteurs.

Source.


Quand vous entendrez BNT162c(2), courez, ne marchez pas, COUREZ.

Il est déjà en phase « d’essais » cliniques

Jessica Rose

19 juin

Veuillez consulter le document intitulé:  » INVESTIGATOR’S BROCHURE BNT162/PF-07302048  » daté du 12 août 2020.

Il y a environ six mois, je pense, j’étais assise virtuellement en face d’une chercheuse canadienne qui développait une nouvelle technologie appelée ARN auto-amplifié (ARNaa). Si vous voulez, vous pouvez regarder cette interview ici. Mes hôtes sont des gens charmants. À l’époque, j’ai eu du mal à écouter ma co-interviewée parce que a) j’étais elle autrefois et b) je connais les dangers associés à ce qu’elle développe. A mon avis, elle, non.

J’ai revisionné cette interview en écrivant ces lignes et elle est bonne. A quel point suis-je diplomate?

« Pourquoi les meilleures solutions et avancées, sont-elles jetées dans les pires mains possibles? », Jello Biafra. On m’a envoyé une vidéo faite par Jello qui montre qu’il s’est complètement vendu. Comme c’est triste de voir mes héros tomber un par un. Qu’est-il arrivé au punk?

On prétend donc que cet ARN messager auto-amplifiant est génial car il faut en injecter moins. Mais voici le problème: il code pour sa propre enzyme réplicase – elle fabrique des copies de l’ARN (quel qu’il soit) une fois à l’intérieur des cellules. Cela vous semble-t-il problématique? A moi, oui. Et voici pourquoi. Si les autres gènes de l’ARNm codent pour des protéines destructrices (comme l’ARNm modifié de la protéine de pointe du SARS-nCoV-2), alors… d’une part, comment sera-t-il jamais possible d’arrêter ces ARN auto-amplifiants? Les réplicases sont-elles autolimitées ?

Si vous voulez mon avis, les personnes qui développent et promeuvent cette technologie ne se préoccupent que du profit, du « coût » et de la dose initiale. Ils prétendent que l’apparition d’événements indésirables est proportionnelle à la dose initiale d’ARN. Hmm. Anna affirme dans l’interview que les perturbations du cycle menstruel induites par les produits injectables COVID-19 à ARNm sont temporaires et peuvent également être provoquées par des infections virales. Elle affirme également que les personnes vaccinées ne contracteront pas de COVID-19 grave dans le cadre d’une hospitalisation. Vraiment? Ce point m’a échappé dans l’interview. Elle était à peu près sûre de ce fait que puisque vu que la plupart des personnes en Israël ont reçu des injections, cela expliquait pourquoi la majorité des hospitalisations dues au COVID-19 concernaient des injectés. Mais alors, si les injections étaient censées réduire la gravité, pourquoi se retrouveraient-ils à l’hôpital?

Sur l’ARNaa

Comme nous le savons tous maintenant, l’ARN messager contenu dans les produits COVID-19 Pfizer/BioNTech et Moderna est le mode de transmission de l’information permettant aux cellules de notre corps de fabriquer des tas et des tas de protéines de pointe modifiées. C’est ce que ces gens appellent maintenant l’ARNm « conventionnel ».(1) Eh bien! Ça n’aura pas traîné. Maintenant c’est une CONVENTION? Ah ouaaaaaaaaaaaaaaaais, d’accooooooord.

Vous voyez la partie surlignée en vert? C’est le code des gènes nsP1-4 qui suivent la traduction in situ et forment un complexe ARN polymérase dépendant (RdRP), ce qui entraîne l’accumulation d’antigènes dans la cellule. Les protéines non structurelles 1, 2, 3 et 4 (nsP1-4) sont essentielles à l’activité réplicative car elles forment le complexe RdRP.(2) L’ARNm modifié « conventionnel » n’est pas réplicatif car il ne comprend pas de RdRP (les RdRP prennent des morceaux d’ARN et en font des copies). Ces enzymes sont très spécifiques de l’ARN. Les UTRs [untranslated region – région non-traduite] aident à maintenir cette spécificité. Apparemment, aucune RdRP humaine n’en est capable pour les ARN conventionnels. En revanche, les ARNaa se répliquent. Et apparemment, encore une fois, le RdRP qui l’accompagne est le seul à permettre à ce phénomène de se perpétuer. La poule et l’œuf?

Voici quelques sources d’information sur cette technologie.(3) (4) (5) (6) (7) (8) (9)

Revenons au document. Veuillez passer à la page 13.

https://www.tga.gov.au/sites/default/files/foi-2183-09.pdf. Page 13.

Cet ARNaa était donc prévu au programme depuis le début. Ils n’ont même pas anticipé la possibilité que l’ARNm « conventionnel » puisse être un échec, parce que, si c’était le cas, imaginez à quel point cela nuirait au calendrier! Et devinez quoi, il est en train d’être testé en ce moment.

Que voulez-vous parier que les participants à ces essais n’ont AUCUNE idée qu’on leur injecte de l’ARN auto-amplifiant? Cette étude est en cours, avec une date d’achèvement primaire « estimée » à avril 2023 (date finale de collecte des données pour le critère d’évaluation primaire).

  • Le BNT162c2 sera administré selon un schéma Primaire/Boost (P/B). Le vaccin BNT162c2 sera également administré selon un schéma à dose unique (SD).
  • Expérimentation : BNT162c2 (P/B) – Partie A 18-55 ans
  • Niveaux de dose croissants
  • Intervention: Biologique: BNT162c2.
  • Le critère d’évaluation principal se situe 21 jours après l’injection.
  • Inscription réelle (soumise: 12 janvier 2022): 512
https://clinicaltrials.gov/ct2/show/record/NCT04380701?view=record

Il y a deux choses que je trouve complètement insensées:

  1. Que je n’ai pas entendu parler du fait que les RNAaa sont déjà en cours d’essai et
  2. Qu’on ne trouve aucune mention des ARNm auto-amplifiants dans la fiche technique de l’essai clinique. Il y a cependant une très longue liste de critères d’exclusion et une clause de consentement éclairé qui en fait partie.

Critères d’inclusion: Avoir donné son consentement éclairé en signant le formulaire de consentement éclairé (FCE) avant le début de toute procédure spécifique à l’essai.

Que voulez-vous parier que ce document à signer ne disait rien des ARN auto-amplifiants?

J’ai fait le rapprochement aujourd’hui en ouvrant le document FOIA joint en haut de cet article. Le 9 juin 2022 (il y a 10 jours), j’ai reçu un e-mail adressé à Robert Malone et à moi-même pour savoir ce qu’était le « BNT162c2 ». J’ai répondu à l’expéditeur que je n’en avais jamais entendu parler auparavant et Robert nous a renseigné sur l’essai clinique dont l’identifiant sur ClinicalTrials.gov est: NCT04380701.

Mais je ne savais toujours pas ce que c’était. Peut-être avait-il une NPL différente? Non, pas du tout.

C’est un type de technologie complètement différent. Encore une fois.

Quel est l’antigène codé? On ne vous le dira pas! Mais on va insister pour qu’on vous l’injecte. Sinon, vous êtes privé de soupe.

https://www.tga.gov.au/sites/default/files/foi-2183-09.pdf Page 18.

Même s’il existe des études évaluées par des pairs sur cette technologie, je ne saurais trop insister sur ce point: NOUS AVONS BESOIN DE DONNÉES À LONG TERME QUAND IL S’AGIT DE NOUVELLES TECHNOLOGIES. Pas 21 jours. Pas 365 jours. Nous avons besoin de plusieurs années. Nous ne sommes PAS dans une situation d’urgence et, par conséquent, nous avons le temps pour étudier attentivement et correctement la sécurité et l’efficacité de la technologie ARNaa. Comme nous aurions dû le faire depuis le début avec notre technologie ARNm devenue « conventionnelle » comme par magie.

Excusez-moi, je dois inclure cette capture d’écran. C’est trop magnifique. C’est tellement sûr. Injectez-moi tout de suite. Hé minute, je ne vois plus rien! Tout est devenu noir! Un peu comme la partie censurée des données de sécurité du produit. (Désolée pour cet humour très noir. Désolée. J’ai pas pu m’empêcher, encore une fois.)

https://www.tga.gov.au/sites/default/files/foi-2183-09.pdf. Page 62.

Oh, et ils mentionnent dans la section 7.2 Posologie et mode d’administration, que « le vaccin ne doit pas être injecté dans des zones où pourrait se trouver un tronc nerveux important ». Ok. C’est bon à savoir.

Et ceci m’a littéralement fait RIRE AUX ECLATS. Voyez donc.

7.11.2 Résultats non-cliniques à noter

Tous les candidats vaccins non cliniques et cliniques testés étaient immunogènes à hautement immunogènes dans les modèles non cliniques. Les données disponibles démontrent que BNT162b1, BNT162b2, BNT162b3 et BNT162c2 sont capables d’induire des réponses immunitaires robustes chez les souris, (sauf pour BNT162c2) les rats et les primates non humains.

Pourquoi ont-ils inclus BNT162c2 dans cette liste si elle n’y figure pas? Ou bien voulaient-ils dire pour les rats, et non pour les souris?

Donc, lorsque vous commandez un cheeseburger, parce que vous aimez le fromage, et qu’il est livré sans fromage, que vous vous plaignez, qu’on vous hurle que « cheeseburger » n’est qu’un mot et n’a rien à voir avec le fait qu’un hamburger ait du fromage, que faites-vous? Même logique, n’est-ce pas?

Si nous n’avons pas encore appris à ce jour qu’il faut faire preuve de prudence avec les thérapies génétiques, alors, vous savez quoi? Je ne sais même plus quoi dire.

Démence:
le fait de répéter sans cesse les mêmes actes en attendant des résultats différents.
  1. Bloom, K., van den Berg, F. & Arbuthnot, P. Self-amplifying RNA vaccines for infectious diseases. Gene Ther 28, 117–129 (2021). https://doi.org/10.1038/s41434-020-00204-y.
  2. Kääriäinen L, Ahola T. Functions of alphavirus nonstructural proteins in RNA replication. Prog Nucleic Acid Res Mol Biol. 2002;71:187–222.
  3. Maruggi, G., Ulmer, J. B., Rappuoli, R., & Yu, D. (2021). Self-amplifying mRNA-Based Vaccine Technology and Its Mode of Action. Current topics in microbiology and immunology, 10.1007/82_2021_233. Advance online publication. https://doi.org/10.1007/82_2021_233.
  4. Brito, L. A., Kommareddy, S., Maione, D., Uematsu, Y., Giovani, C., Berlanda Scorza, F., Otten, G. R., Yu, D., Mandl, C. W., Mason, P. W., Dormitzer, P. R., Ulmer, J. B., & Geall, A. J. (2015). Self-amplifying mRNA vaccines. Advances in genetics, 89, 179–233. https://doi.org/10.1016.
  5. Geall, A. J., Verma, A., Otten, G. R., Shaw, C. A., Hekele, A., Banerjee, K., Cu, Y., Beard, C. W., Brito, L. A., Krucker, T., O’Hagan, D. T., Singh, M., Mason, P. W., Valiante, N. M., Dormitzer, P. R., Barnett, S. W., Rappuoli, R., Ulmer, J. B., & Mandl, C. W. (2012). Nonviral delivery of self-amplifying RNA vaccines.
  6. McKay, P. F., Hu, K., Blakney, A. K., Samnuan, K., Brown, J. C., Penn, R., Zhou, J., Bouton, C. R., Rogers, P., Polra, K., Lin, P., Barbosa, C., Tam, Y. K., Barclay, W. S., & Shattock, R. J. (2020). Self-amplifying RNA SARS-CoV-2 lipid nanoparticle vaccine candidate induces high neutralizing antibody titers in mice. Nature communications, 11(1), 3523. https://doi.org/10.1038/s41467-020-17409-9. (Notice the conflicts here.)
  7. Ballesteros-Briones, M. C., Silva-Pilipich, N., Herrador-Cañete, G., Vanrell, L., & Smerdou, C. (2020). A new generation of vaccines based on alphavirus self-amplifying RNA. Current opinion in virology, 44, 145–153. https://doi.org/10.1016/j.coviro.2020.08.003.
  8. Blakney, A. K., McKay, P. F., Hu, K., Samnuan, K., Jain, N., Brown, A., Thomas, A., Rogers, P., Polra, K., Sallah, H., Yeow, J., Zhu, Y., Stevens, M. M., Geall, A., & Shattock, R. J. (2021). Polymeric and lipid nanoparticles for delivery of self-amplifying RNA vaccines. Journal of controlled release : official journal of the Controlled Release Society, 338, 201–210. https://doi.org/10.1016/j.jconrel.2021.08.029. (Notice the conflicts here.)
  9. Lundstrom K. (2020). Self-Amplifying RNA Viruses as RNA Vaccines. International journal of molecular sciences, 21(14), 5130. https://doi.org/10.3390/ijms21145130.

When you hear BNT162c(2), run, don’t walk, RUN away.

It’s already in the clinical ‘trials’

Jessica Rose

June 19

Please head to the document entitled: “INVESTIGATOR’S BROCHURE BNT162/PF-07302048” dated August 12, 2020.

About half a year ago, I suppose, I virtually sat across from a Canadian researcher who was developing a new technology called self-amplifying RNA (saRNA). If you want, you can watch that interview here. My hosts are lovely people. At the time, I found it difficult to listen to my co-interviewee because a) I used to be her and b) I know the dangers associated with what she is developing. It is my opinion that she did not.

I revisited this interview whilst writing this and it is good. How frikkin’ diplomatic am I?

“Why do the best solutions and advances, get thrown away into the worst possible hands?” Jello Biafra. I was sent a video made by Jello showing that he has completely sold out. How very sad how my heroes fall one-by-one. What happened to punk?

So the claim is that this self amplifying messenger RNA is awesome because you need to inject less of it. But here’s the thing: it encodes its own replicase enzyme – it makes copies of the RNA (whatever it is) once inside the cells. Does that sound problematic to you? To me, it does. And here’s why. If the other genes in the mRNA encode destructive proteins (like the modified mRNA of the SARS-nCoV-2 spike protein), then… for one, how will it ever be possible to turn off these self-amplifying RNAs? Are the replicases self-limiting?

If you ask me, the people developing and promoting this technology are concerned only about profit, ‘cost’ and initial dose. They claim that adverse event occurrences are proportional to the initial dose of RNA. Hmm. Anna claims in the interview that the menstrual cycle disruptions induced by the COVID-19 mRNA injectable products are temporary, and can also be brought on by viral infections. She also claimed that the vaccinated people won’t get severe COVID-19 in the context of hospitalization. Really? I missed out on that point in the interview. She was pretty sure that since most of the people in Israel had been injected, that this would explains why the majority of COVID-19 hospitalizations were in the context of the injected. But then, if the shots were meant to reduce severity, why would they ending up in the hospital?

On saRNA

So as we all know by now, the messenger RNA in the COVID-19 Pfizer/BioNTech and Moderna products, is the mode of delivery of information for the cells in our bodies to make lots and lots of modified spike proteins. That’s what these folks are now calling ‘conventional’ mRNA.(1) Well now! That was fast. Now it’s a CONVENTION? Aaaaaaaaaaalrightttttttyyyyy thennnn.

So do you see the highlighted bit in green? That’s the code for nsP1-4 genes that following in situ translation that form an RNA-dependent RNA polymerase (RdRP) complex resulting in accumulation of antigen within the cell. The nonstructural proteins 1, 2, 3, and 4 (nsP1-4) are essential for replicon activity as they form the RdRP complex.2 The ‘conventional’ modified mRNA is non-replicative because it does not include an RdRP (RdRPs these take pieces of RNA and make copies of it). These enzymes are very specific to the RNA. The UTRs help to maintain this specificity. Apparently, no human RdRP can do this for the conventional RNAs. The saRNAs do replicate, however. And apparently, again, the RdRP that comes with it, is the only one that will allow this to perpetuate. Chicken and an egg?

Here are a few sources of information about this technology.(3) (4) (5) (6) (7) (8) (9)

Onto the document. Please skip ahead to page 13.

https://www.tga.gov.au/sites/default/files/foi-2183-09.pdf. Page 13.

So this saRNA has been on the schedule the whole time. They didn’t even anticipate the possibility that the ‘conventional’ mRNA would be a failure, because, if it was, imagine how bad that would be for the schedule! And guess what, it’s being trialed now.

What do you want to bet that those trial participants have NO IDEA that they are being injected with self-amplifying RNA? This study is active with ‘estimated’ primary completion dateApril, 2023 (final data collection date for primary outcome measure).

  • BNT162c2 will be administered using a Prime/Boost (P/B) regimen. The vaccine BNT162c2 will also be administered using a Single dose (SD) regimen.
  • Experimental: BNT162c2 (P/B) – Part A 18-55 years of age
  • Escalating dose levels
  • Intervention: Biological: BNT162c2.
  • The primary endpoint is 21 days post injection.
  • Actual Enrollment (submitted: January 12, 2022): 512
https://clinicaltrials.gov/ct2/show/record/NCT04380701?view=record

I find two things to be insane:

  1. That I haven’t heard that the saRNAs are already being trialed and
  2. That there is no mention of self-amplifying mRNAs in the clinical trial data sheet. There is, however, a very long exclusion criteria list and an informed consent clause as part of it.

Inclusion criteria: Have given informed consent by signing the informed consent form (ICF) before initiation of any trial-specific procedures.

What do you want to bet that this document that required signing said nothing of self-amplifying RNAs?

I put this together today when I opened up the FOIA document attached at the top of this article. I had received an email on June 9th, 2022 (10 days ago) that was addressed to myself and Robert Malone as to what the ‘BNT162c2’ was. I had told the addresser that I hadn’t heard of it before and Robert pointed us both to the clinical trial with ClinicalTrials.gov Identifier: NCT04380701.

But, I still didn’t know what it was. Maybe it had a different LNP? Nope.

It’s a completely different type of technology. Again.

What’s the encoded antigen? We’re not going to tell you! But we are going to insist that you get injected with it. Or, no soup for you.

https://www.tga.gov.au/sites/default/files/foi-2183-09.pdf Page 18.

Even though there are peer-reviewed studies on this technology, I cannot stress this point enough: WE NEED LONG TERM DATA WHEN IT COMES TO NEW TECH. Not 21 days. Not 365 days. We need years. We are NOT in an emergency and therefore, we have the time to explore the safety and efficacy of saRNA technology carefully and properly. Like we should have been doing the whole time with our now magically ‘conventional’ mRNA tech.

Sorry, I have to include this screenshot. This is just too precious. It’s so safe. Just inject me now. Wait, I can’t see! Everything turned black! Kind of like the safety data redaction for the product. (Sorry for the very dark humor. Sorry. I did it again.)

https://www.tga.gov.au/sites/default/files/foi-2183-09.pdf. Page 62.

Oh and they mention in section 7.2 Posology and method of administration, that ‘the vaccine should not be injected into areas where there may be a major nerve trunk’. Ok. Good to know.

And this literally made me LAUGH OUT LOUD. Look at this.

7.11.2 Non-clinical findings of note

All tested non-clinical and clinical vaccine candidates were immunogenic to highly immunogenic in non-clinical models. The available data demonstrate that BNT162b1, BNT162b2, BNT162b3, and BNT162c2 are capable of inducing robust immune responses in mice, (except for BNT162c2) rats and NHPs.

Why would they include BNT162c2 in this list if it’s not in the list? Or did they mean for the rats, and not the mice?

So when you order a cheeseburger, because you love cheese, and it comes without cheese on it and you complain, they yell at you that ‘cheeseburger’ is just a word and had nothing to do with a burger having cheese on it, what are you to do? Same logic, yeah?

If we have not learned yet that we need to be cautious with gene-based therapies, then, you know what? I just don’t know what to say.

  1. Bloom, K., van den Berg, F. & Arbuthnot, P. Self-amplifying RNA vaccines for infectious diseases. Gene Ther 28, 117–129 (2021). https://doi.org/10.1038/s41434-020-00204-y.
  2. Kääriäinen L, Ahola T. Functions of alphavirus nonstructural proteins in RNA replication. Prog Nucleic Acid Res Mol Biol. 2002;71:187–222.
  3. Maruggi, G., Ulmer, J. B., Rappuoli, R., & Yu, D. (2021). Self-amplifying mRNA-Based Vaccine Technology and Its Mode of Action. Current topics in microbiology and immunology, 10.1007/82_2021_233. Advance online publication. https://doi.org/10.1007/82_2021_233.
  4. Brito, L. A., Kommareddy, S., Maione, D., Uematsu, Y., Giovani, C., Berlanda Scorza, F., Otten, G. R., Yu, D., Mandl, C. W., Mason, P. W., Dormitzer, P. R., Ulmer, J. B., & Geall, A. J. (2015). Self-amplifying mRNA vaccines. Advances in genetics, 89, 179–233. https://doi.org/10.1016.
  5. Geall, A. J., Verma, A., Otten, G. R., Shaw, C. A., Hekele, A., Banerjee, K., Cu, Y., Beard, C. W., Brito, L. A., Krucker, T., O’Hagan, D. T., Singh, M., Mason, P. W., Valiante, N. M., Dormitzer, P. R., Barnett, S. W., Rappuoli, R., Ulmer, J. B., & Mandl, C. W. (2012). Nonviral delivery of self-amplifying RNA vaccines.
  6. McKay, P. F., Hu, K., Blakney, A. K., Samnuan, K., Brown, J. C., Penn, R., Zhou, J., Bouton, C. R., Rogers, P., Polra, K., Lin, P., Barbosa, C., Tam, Y. K., Barclay, W. S., & Shattock, R. J. (2020). Self-amplifying RNA SARS-CoV-2 lipid nanoparticle vaccine candidate induces high neutralizing antibody titers in mice. Nature communications, 11(1), 3523. https://doi.org/10.1038/s41467-020-17409-9. (Notice the conflicts here.)
  7. Ballesteros-Briones, M. C., Silva-Pilipich, N., Herrador-Cañete, G., Vanrell, L., & Smerdou, C. (2020). A new generation of vaccines based on alphavirus self-amplifying RNA. Current opinion in virology, 44, 145–153. https://doi.org/10.1016/j.coviro.2020.08.003.
  8. Blakney, A. K., McKay, P. F., Hu, K., Samnuan, K., Jain, N., Brown, A., Thomas, A., Rogers, P., Polra, K., Sallah, H., Yeow, J., Zhu, Y., Stevens, M. M., Geall, A., & Shattock, R. J. (2021). Polymeric and lipid nanoparticles for delivery of self-amplifying RNA vaccines. Journal of controlled release : official journal of the Controlled Release Society, 338, 201–210. https://doi.org/10.1016/j.jconrel.2021.08.029. (Notice the conflicts here.)
  9. Lundstrom K. (2020). Self-Amplifying RNA Viruses as RNA Vaccines. International journal of molecular sciences, 21(14), 5130. https://doi.org/10.3390/ijms21145130.

Point de vue supplémentaire sur les données israéliennes concernant le comptage des spermatozoïdes – par El Gato Malo.

Un peu de science statistique pour les nuls – dont je fais partie.

Vous connaissez un couple de personnes « vaccinées » qui ont fait un enfant depuis leur injection?

Moi, non.

Source.


Traduction

Point de vue supplémentaire sur les données israéliennes concernant le comptage des spermatozoïdes

Les chiffres vraiment intéressants se trouvent peut-être dans les valeurs aberrantes

el gato malo

19 juin

Il s’agit d’un suivi de cet article. [NdT. ma traduction ici]

Merci de lire les deux documents conjointement.

Dans le monde bourdonnant de la recherche, on n’a jamais l’occasion de faire tout ce qui serait pertinent. On passe à côté de certaines choses, puis, une fois qu’on les perçoit, on s’exclame « aha! », lorsque quelqu’un nous les indique et que cela nous donne une nouvelle idée.

C’est pour cette raison qu’il est payant d’avoir des copains perspicaces comme le gatopal™ [NdT. le copain de l’auteur el gato, donc] de longue date et le puits de données israélien Ran Israeli.

Les implications de cette découverte sont assez saisissantes car la médiane et la moyenne peuvent être deux choses TRÈS différentes.

Médiane
– Le prix auquel la moitié des maisons vendues dans toute zone donnée en un mois était inférieur et l’autre moitié supérieur
– Considérée comme la donnée la plus utile dans le domaine des prix
Moyenne
– Somme totale des prix divisée par le nombre de maisons
– Le prix moyen de ces 11 maisons était de 498.000$

J’aimerais amplifier cette idée et l’appliquer à la question qui nous occupe:

Disons que nous avons 10 personnes ayant chacune un TMC de 10.

La moyenne est de 10, tout comme la médiane.

Les deux sont interchangeables dans une population homogène.

Mais considérons maintenant une population avec une valeur aberrante:

9 personnes ont un TMC de 10, une en a un qui tombe à zéro.

La moyenne tombe maintenant à 9 (baisse de 10%).

Mais la médiane est toujours de 10.

Si celle d’une deuxième personne tombe à zéro, la moyenne est maintenant de 8 (baisse de 20%).

La médiane est toujours de 10.

(ce serait à peu près la même ampleur et le même résultat que ce que montre l’étude).

Alors, à laquelle voulez-vous faire confiance pour une étude de résultats médicaux?

La médiane donne l’impression que rien ne s’est passé.

Mais 1 personne sur 5 a vu sa motilité totale tomber à zéro. Elle a été stérilisée.

C’est un facteur de risque un peu trop énorme pour être ignoré.

Aucune des deux mesures, la moyenne ou la médiane, ne peut tout révéler, mais il est bien connu que les médianes ne parviennent pas à donner une représentation des sous-ensembles de valeurs aberrantes. C’est d’ailleurs un peu pour ça qu’on les utilise. Mais ça les rend également inadaptées aux études sur les effets secondaires des médicaments, car tout ce qui affecte moins de la moitié de la cohorte n’est pas pris en compte.

Ce qui fait beaucoup de choses laissées de côté.

Ce dont nous avons vraiment besoin, ce sont des données sur les résultats individuels. Sur la base de cette divergence moyenne/médiane, je parie qu’elles nous montreront une baisse importante chez quelques personnes sans que la majorité soit affectée.

Nous verrons 20 à 40% du groupe subir une suppression profonde et durable, tandis que le reste subira un impact transitoire moins important.

Si un homme sur cinq ou deux sur cinq subissent une baisse importante et durable de leur TMC (baisse de 50 à 100%), on a affaire à un profil d’effets secondaires extrêmement lourd. (4 hommes sur 10 avec une baisse de 50% ont le même effet sur la moyenne que 2 hommes sur 10 avec une baisse de 100%).

Ceci soulève également un certain nombre de questions sur la possibilité et l’ampleur de l’altération d’autres fonctions testiculaires (comme la production de testostérone), qui méritent d’être étudiées.

Ce sont des questions très importantes, surtout s’il s’agit d’un problème auto-immun plutôt que d’une simple toxicité, car il pourrait alors être irréversible ou cumulatif selon le nombre de doses supplémentaires.

Ce sont des informations dont nous avons grandement besoin dans le domaine public pour prendre des décisions judicieuses en matière de santé publique.

En accord avec Ran, j’aimerais demander à ces chercheurs de publier les données complètes afin de nous permettre de faire notre propre évaluation à ce sujet.


Texte original

additional take on the israeli sperm count data

the really interesting issues may be in the outliers

el gato malo

june 19

this is a follow up piece to this one.

please read the 2 in conjunction.

in the swarm-sourced research world, you never get to do all the smart things. you miss stuff and then, once you see it, say “aha!” once someone shows it to you and it spurs you on to new thought.

and this is why it pays to have perceptive pals such as longtime gatopal™ and israeli data-maven ran israeli.

the implications of this finding are quite striking because median and average can be VERY different things.

i’d like to amplify it and apply it to the matter at hand:

let’s say we have 10 people each with a TMC of 10.

the average is 10. so is the median.

the two are interchangeable in a homogeneous population.

but now consider a population with an outlier:

9 have a TMC of 10, one drops to zero.

average now drops to 9 (10% drop).

but median is still 10.

drop a second person to zero, and average is now 8 (20% drop).

median is still 10.

(this would be about the same magnitude and outcome as the study shows)

so which do you want to trust for a medical outcomes study?

  • median makes it look like nothing happened.
  • but 1 in 5 people had their total motility count drop to zero. they were sterilized.
  • that’s a helluva risk factor to ignore.

no measures, avg or median can tell you everything, but medians notoriously fail to capture subsets of outliers. that’s actually kind of why one uses them. but it also makes them inapt for studies of side effects in drugs as anything affecting fewer than half the cohort gets missed.

and that’s an awful lot to leave unexamined.

what we really need to see are the individual outcomes data. based on this avg/media divergence, i will wager it’s going to show us a severe drop in a few people that did not affect most.

we’ll see 20-40% of the group get deeply and durably suppressed while the rest experienced some lesser impact transitorily.

if somewhere on the order of 1 in 5 and 2 in 5 males are seeing severe, durable drops in TMC (50-100% drop), that’s a massive side effect profile. (4 in 10 dropping 50% has the same effect on the avg as 2 in 10 dropping 100%)

it also raises a number of questions about whether and to what extent this could be impairing other testicular function (like testosterone production) and this warrants study.

these are very important questions, especially if this is an autoimmune issue rather than just toxicity as that could well be irreversible and or cumulative with further dosing.

this is information we badly need in the public domain to make sound public health decisions.

in line with ran, i’d like to ask these researchers to release the full data so that we can make an assessment on that.

Effets du vaccin Pfizer sur le nombre total de spermatozoïdes mobiles chez les donneurs de sperme – par El Gato Malo.

« Cela semblerait impliquer que le déclin des quantités de spermatozoïdes mobiles pourraient rester quasiment constant dans un schéma de boosters annuels ou biannuels. »

Premier article de deux, par El Gato Malo, qui sera suivi par un article signé Jessica Rose (déjà publiée sur ce blog) sur une nouvelle plateforme, l’ARN auto-amplifiant, qui induit les mêmes effets en pire. L’auteur implique ici que ces effets sont le fruit d’un manque de vigilance. Ni moi, ni la majorité de ses lecteurs – et sans doute des miens – ne le croyons.

C’est entièrement prémédité.

Source.


Traduction

Effets du vaccin Pfizer sur le nombre total de spermatozoïdes mobiles chez les donneurs de sperme

Une étude israélienne révèle des effets durables

el gato malo

19 juin

L’une des grandes méprises initiales concernant les vaccins à ARNm était qu’ils n’auraient pas d’effets généralisés et systématiques, mais resteraient plutôt relativement localisés. Cette idée a rapidement été démentie et les premières études ont montré une pénétration généralisée dans les organes, avec une prédilection particulière et certainement regrettable à se concentrer dans les ovaires et les testicules. (Ceci a été découvert précocement au Japon, puis nié avec véhémence par des armées de « vérificateurs de faits », avant d’être corroboré par les propres documents de Pfizer obtenus par le biais de la FOIA [NdT. Freedom of Information Act – en français, loi d’accès à l’information, voir sur Wiki] et de poursuites judiciaires).

Ces médicaments à ARNm sont largement systémiques et se concentrent (entre autres) dans les organes reproducteurs et leurs effets sur les cycles menstruels sont largement documentés.

A la lumière de ce fait assez inquiétant (en particulier avec un composé à fort enrichissement en guanine-cytosine par rapport au virus réel et aux risques qui en découlent), je suis surpris qu’il n’y ait pas eu davantage d’études sur ce sujet.

Mais quelques-unes commencent à faire surface. Cette étude israélienne a été publiée il y a deux jours:

et les résultats sont, ben, dingues. (désolé) [NdT. « nuts » = testicules; jeu de mots intraduisible]

Il y avait de fortes raisons a priori de suspecter des effets, en particulier à la lumière de la prévalence plus élevée et plus persistante des protéines S induites par le vaccin par rapport à l’infection naturelle et de l’enrichissement en guanine-cytosine mentionné ci-dessus.

Au cours des premiers mois de la pandémie, les données concernant l’impact possible de Covid-19 sur la reproduction humaine étaient insuffisantes. Diverses cellules testiculaires, dont les cellules de Leydig, de Sertoli, les spermatogonies et les spermatozoïdes, expriment l’ACE2 et des protéases connexes résultant de la fusion virale 5, 6. Le dysfonctionnement induit par la tempête de cytokines, la régulation de l’autophagie et la barrière sang-testicule endommagée ont également été suggérés comme mécanisme pathogène possible pour les dommages testiculaires 7. Les rapports cliniques d’orchite, étayés par des résultats histologiques, ont mis en évidence l’implication des testicules 8, 9. Par conséquent, un impact négatif sur la spermatogenèse et la production de testostérone 10 semble être un résultat évident. On a évalué des donneurs de 3 banques de sperme sur une période longitudinale commençant avant le vaccin Pfizer et se poursuivant après.

L’étude a été réalisée et suivie selon la chronologie suivante autour de la vaccination.

  • T0 = base de référence pré-vaccination
  • T1 = 15-45 jours après
  • T2 = 75-120 jours après
  • T3 = 150+ jours après

Et à partir de là, des effets substantiels sur la concentration des spermatozoïdes et le nombre global de mobiles ont été découverts.

Les auteurs en tirent une série de conclusions:

Résultats
Des mesures répétées ont révélé une diminution de la concentration de spermatozoïdes de -15,4 % sur T2 (CI -25,5 %-3,9 %, p = 0,01) entraînant une réduction du nombre total de spermatozoïdes mobiles de 22,1 % (CI -35 % – -6,6 %, p = 0,007) par rapport à T0. De même, l’analyse du premier échantillon de sperme uniquement et de la moyenne des échantillons par donneur a entraîné des réductions de la concentration et du nombre total de spermatozoïdes mobiles (TMC) à T2 par rapport à T0 – baisse médiane de 12 millions/ml et 31,2 millions de spermatozoïdes mobiles, respectivement (p = 0,02 et 0,002 respectivement) lors de l’évaluation du premier échantillon et baisse médiane de 9,5 × 106 et 27,3 millions de spermatozoïdes mobiles (p = 0,004 et 0,003, respectivement) lors de l’examen de la moyenne des échantillons. L’évaluation T3 a démontré une récupération globale. Le volume du sperme et la motilité des spermatozoïdes n’étaient pas altérés.

Et à partir de là:

Conclusions: La réponse immunitaire systémique après le vaccin BNT162b2 est une cause raisonnable de la baisse transitoire de la concentration du sperme et du TMC [NdT. total motile count- comptage des spermatozoïdes mobiles]. Le pronostic à long terme reste bon.

Je m’interroge pourtant sur cette affirmations et je crain qu’elle ne constitue un exemple du comportement consistant à « atténuer ou réfuter ses propres résultats dans le résumé afin de pouvoir les publier sans controverse massive« , comportement désormais trop courant dans les revues médicales et scientifiques qui refusent l’examen par les pairs lorsque leurs résultats semblent trop inquiétants s’ils sont énoncés clairement (mais qui permettent la publication de ces données dès lors qu’elles sont enfouies dans les suppléments et les annexes).

Pour cette raison, vous devriez toujours lire ces dépôts de données, car ils racontent souvent une histoire bien différente de celle du résumé.

Voici le tableau 2 de cette même étude. Vous ne remarquez rien?

J’ai du mal à voir comment on peut appeler ça un « rétablissement ».

Après le 150e jour, la concentration de spermatozoïdes était de -15,9 % par rapport à la ligne de base, plus faible encore que dans la période de 75 à 120 jours. Le temps moyen après la vaccination pour le prélèvement de T3 était de 174 +/- 26,8 jours, donc nous parlons de 6 mois après la vaccination sans aucune récupération de la concentration de spermatozoïdes.

Le nombre total de spermatozoïdes mobiles s’est légèrement rétabli par rapport à T2, mais il était encore inférieur de 19,4 % à la valeur de base, ce qui semble compenser quelque peu en volume ce qui est perdu en concentration.

Les deux résultats étaient statistiquement significatifs à un intervalle de confiance de 95% et ils étaient presque aussi significatifs à T3.

Il y a plus de 97% de chances que le chiffre de la TMC soit réel et non aléatoire.

Ce ne sont pas des probabilités à prendre à la légère.

Cela soulève de sérieuses inquiétudes pour un certain nombre de raisons:

  1. De toute évidence, il s’agit d’un impact significatif et imprévu qui a non seulement été loupé au cours des essais cliniques menés à la hâte, mais que les compagnies pharmaceutiques nous ont assuré être fondamentalement impossible et dont elles ont passé la majeure partie de l’année à nier l’existence avec véhémence.
  2. Cet effet semble durable pendant au moins 6 mois et, d’après ces données, on ne sait vraiment pas quand ni même si (ou dans quelle mesure) il s’atténuera.
  3. Le rôle des boosters n’est pas connu, mais il y a tout lieu de penser qu’ils auront des effets similaires et qu’ils prolongeront ou aggraveront cet effet.
  4. Même si cette condition s’atténue et que le TMC retourne à ses niveaux antérieurs avec le temps, cette échelle de temps semble assez longue. Elle est certainement supérieure à 6 mois. Cela semblerait impliquer que le déclin des quantités de spermatozoïdes mobiles pourraient rester quasiment constant dans un schéma de boosters annuels ou biannuels.

Lorsqu’on se précipite pour commercialiser des vaccins, en particulier des vaccins utilisant une modalité entièrement nouvelle et mal comprise qui n’a jamais été approuvée ou même utilisée chez l’homme, on s’expose à toutes sortes de mauvaises surprises et celle-ci semble en être une de plus.

Et il est clair qu’elle a été loupée. Elle n’a même pas été mentionnée comme possibilité dans les procédures de la FDA dont j’ai connaissance.

Et c’est pour ÇA que le développement d’un vaccin s’étend généralement sur 5 à 10 ans, et non sur 5 à 7 mois.

Pour autant que je sache, on ne peut même pas encore exclure que ces effets soient permanents.

Et bien entendu, on n’a aucune idée de ce qu’ils peuvent provoquer chez les pré-adolescents ni de leurs impacts possibles sur leur développement sexuel normal et leur fertilité future.

Et pourtant, les États-Unis vont à l’encontre de la tendance de la plupart des pays européens et approuvent ces médicaments non seulement pour les jeunes et les personnes en bonne santé, mais aussi pour les enfants de 6 mois à 5 ans.

Nous n’avons pas non plus la moindre idée de l’effet de ces médicaments sur les ovaires et les ovules, car il est beaucoup plus difficile et invasif de les étudier (ils devront probablement être évalués par autopsie). Il s’agit là d’une autre analyse qui doit absolument être effectuée, car contrairement aux spermatozoïdes, les ovules ne se renouvellent pas, donc si on les endommage, c’est définitif.

Si l’on ajoute à cela les effets sur un développement normal, il faudra peut-être des décennies pour comprendre ce qui s’est passé.

Les gens ont par le passé fait confiance aux vaccins parce que ceux-ci étaient soumis à des tests sérieux et à long terme avant d’être commercialisés. Leur évaluation se mesurait en décennies, pas en mois, et même un nombre infime d’événements indésirables les faisait retirer du marché.

Profiter de cette confiance tout en abandonnant toutes les garanties qui l’ont permise relève du non-sens scientifique et d’une politique de santé publique encore pire.

Combien d’autres exemples de résultats imprévus devons-nous supporter avant que cette simple vérité ne soit acceptée?

Il y a maintenant un article complémentaire à celui-ci.

Vous pouvez le lire ici. [Ndt. ou ma traduction ici]


Texte original

pfizer vaccine effects on total motile count in sperm donors

israeli study shows persistent effects

el gato malo

June 19

one of the great early misapprehensions about mRNA vaccines is that they would not have widespread, systematic effects, instead remaining relatively localized. this was rapidly debunked and early studies showed widespread penetration of organs with a particular and perhaps unfortunate preference for concentration in ovaries and testes. (this was discovered early in japan, then denied vehemently by armies of “fact checkers” only to wind up proven in pfizer’s own documents gained through FOIA and lawsuit.)

these mRNA drugs are broadly systemic and concentrate in (amongst others) reproductive organs and effects on menstrual cycles are widely documented.

in light of this quite worrying fact (especially with a compound carrying high CG enrichment relative to actual virus and the attendant risks thereof) it has been surprising to me that there have no been more studies on this topic.

but a few are starting to emerge. this israeli study was published 2 days ago:

and the results are, well, nuts. (sorry)

there was strong a priori reason to suspect effects, especially in light of the higher and more persistent prevalence of vaccine induced S proteins vs natural infection and the CG enrichment issued mentioned above.

Over the first pandemic months, there was insufficient data regarding the possible impact of Covid-19 on human reproduction. Yet, it was clear it employs the Angiotensin-Converting Enzyme 2 (ACE2) receptor for cellular entry 3, 4.Various testicular cells including Leydig, Sertoli, spermatogonia and spermatozoa express ACE2 and related proteases resulting with viral fusion 5, 6. Cytokine storm-induced dysfunction, autophagy regulation and damaged blood-testis barrier were also suggested as possible pathogenic mechanism for testicular damage 7. Clinical reports of orchitis, supported by histological findings, further emphasized testicular involvement 8, 9. Therefore, detrimental impact on both spermatogenesis and testosterone production 10 seem an obvious outcome they evaluated donors from 3 sperm banks over a longitudinal period commencing before pfizer vaccine and following up after.

the study was performed and followed up according to the following timeline around vaccination.

  • T0 = pre vaxx baseline
  • T1 = 15-45 days post
  • T2 = 75-120 days post
  • T3 = 150+ days post

and from this, substantial effects on sperm concentration and overall motile count were discovered.

the authors draw a set of conclusions from this:

and from this state:

Conclusions: Systemic immune response after BNT162b2 vaccine is a reasonable cause for transient semen concentration and TMC decline. Long-term prognosis remains good

but i am left wondering about these claims and fear they may provide an example of the sort of “nerf or refute your own findings in the abstract so that we can publish this without massive controversy” behavior that has become all too common in medical and scientific journals who withhold peer review from those whose findings look too worrying if stated plainly. (but that will often let such data out if buried deep in supplements and appendixes)

this is why you should always read these data repositories. because they often tell quite a different tale than the abstract.

here’s table two from this same study. notice anything?

i’m struggling to see how one could call this “recovery.”

post day 150, sperm concentration was -15.9% vs baseline, lower even than in the 75-120 day period. average time post vaxx for T3 collection was 174 +/- 26.8 days so we’re talking about 6 months post vaxx with NO recovery in sperm concentration.

total motile count was slightly recovered from T2, but was still down 19.4% vs baseline, seeming to make up somewhat in volume what is lost in concentration.

both results were statistically significant at a 95% confidence interval and nearly so even at T3.

there is a greater than 97% chance that the TMC figure is real and not random.

those are not odds you want to buck.

this raises some serious concerns for a number of reasons:

  1. obviously, this is a significant and unforeseen impact not only missed in the rush-job drug trials, but that the drug makers assured us was basically impossible and spent the better part of a year vehemently denying.
  2. this effect looks durable to at least 6 months and from this data, we really do not know when or even if (or to what extent) it will attenuate.
  3. the role of boosters here is not known, but there is every reason to expect they will have similar effects and either extend or possibly worsen this effect. that seems like a study that should be being performed immediately.
  4. even if this condition does moderate and TMC return to prior levels over time, that timescale looks quite long. it’s certainly more than 6 months. this would seem to imply low motile counts could be near constant in a regimen of annual or bi-annual boosters.

when you rush vaccines to market, especially vaccines using an entirely new and poorly understood modality that has never before been approved or even used in humans, you’re going to get all manner of nasty surprises and this looks to be yet another.

and clearly, it was missed. this was not even mentioned as a possibility in any FDA proceedings of which i am aware.

and THAT is why vaccine development generally takes place over 5-10 years, not 5-7 months.

best i can tell, we cannot even yet rule out that these effects are permanent.

and, of course, we have zero idea what they might do to pre-adolescents and possible impacts on their healthy sexual development and ultimate fertility.

and yet the US is bucking the trend in most of europe and approving these drugs for not just the young and healthy but for kids from 6mo-5 yr. this feels reckless.

we have little idea what this may be doing to ovaries and eggs either as these are much more difficult and invasive to study (and will likely need to be assessed by autopsy). this is another analysis that desperately needs to take place because unlike sperm, eggs to not replenish, so if you damage them, that’s that.

add to this effects on normal development and it could take decades to see what happened.

people have historically trusted vaccines because they underwent serious, long term testing before being pushed wide. assessment was measured in decades, not months and even a tiny number of adverse events would pull them off the market.

to trade upon that trust while abandoning all the safeguards that enabled it is bad science and worse public health policy.

how many more examples of unforeseen outcomes must we endure before this simple truth is accepted?

there is now a companion piece to this one.

you can read it here.

Le mystère de l’ARNm de Moderna – par Spartacus.

Vous vous souvenez de la lettre de Spartacus, que j’avais traduite ici en octobre de l’année dernière? Il a depuis créé l’ICENI, l’Institut Non-lucratif de Renseignement autour de l’Emergence des Coronavirus (Institute for Coronavirus Emergence Nonprofit Intelligence) et a très logiquement créé son Substack, très riche en informations et analyses, d’où provient l’article ci-dessous.

J’y reviendrai plus en détail – si, éternel problème, je trouve le temps. En attendant voici de quoi y voir encore un peu plus clair sur le « qui?« 

Qui nous a fait ça?

Source.


Traduction

Le mystère de l’ARNm de Moderna

Il y a des trucs qui ne collent pas

Spartacus

15 juin

Des débuts pas si modestes que ça

Moderna, les producteurs du vaccin mRNA-1273/Spikevax, sont les principaux responsables du développement de la technologie de transfection de l’ARNm actuellement utilisée dans divers vaccins COVID-19.

Le germe de l’idée qui allait donner naissance à Moderna a été planté en 2005, lorsque Derrick Rossi lut un article rédigé par la scientifique hongroise Katalin Karikó sur la façon dont l’ARNm modifié par des nucléosides pouvait être fabriqué pour échapper aux réponses immunitaires humaines des récepteurs de type toll.

L’article en question a été publié dans Cell, en 2005:

Cell – Suppression de la reconnaissance de l’ARN par les récepteurs de type Toll : L’impact de la modification des nucléosides et l’origine évolutive de l’ARN.

Selon cet article, l’utilisation de la pseudouridine à la place de l’uridine permet à l’ARNm étranger d’échapper à la détection par les TLR7/8.

Les récepteurs de type Toll sont un type de PRR, ou récepteur de reconnaissance de motifs [pattern-recognition receptor – PRR], les détecteurs de fumée des cellules immunitaires humaines (et d’autres mammifères). Leur but est de détecter les signes moléculaires de dommages ou de corps étrangers (DAMPs et PAMPs) et d’induire une réponse inflammatoire.

Frontières – Voies de signalisation des récepteurs de type Toll

Le système immunitaire inné utilise des récepteurs de reconnaissance de motifs (PRR) codés par la lignée germinale pour la détection initiale des microbes. Les PRR reconnaissent les signatures moléculaires spécifiques des microbes, appelées motifs moléculaires associés aux agents pathogènes (pathogen-associated molecular patterns – PAMP), et les molécules dérivées des cellules endommagées, appelées motifs moléculaires associés aux dommages ( damage-associated molecules patterns – DAMP). Les PRR activent des voies de signalisation en aval qui conduisent à l’induction de réponses immunitaires innées par la production de cytokines inflammatoires, d’interféron de type I (IFN) et d’autres médiateurs. Ces processus déclenchent non seulement des réponses défensives immédiates de l’hôte telles que l’inflammation, mais amorcent et orchestrent également des réponses immunitaires adaptatives spécifiques de l’antigène (1). Ces réponses sont essentielles à la clairance des microbes infectants et cruciales pour l’instruction conséquente des réponses immunitaires adaptatives spécifiques de l’antigène.

Les mammifères possèdent plusieurs classes distinctes de PRR, notamment les récepteurs de type Toll (TLR), les récepteurs de type RIG-I (RLR), les récepteurs de type Nod (NLR), les récepteurs de type AIM2 (ALR), les récepteurs de type lectine C (CLR) et les capteurs d’ADN intracellulaires tels que le cGAS (2, 3).

Normalement, l’ADN ou l’ARN étranger déclenche une réponse immunitaire, et ce à juste titre; sa présence est souvent le signe qu’un agent pathogène s’infiltre dans l’organisme. Toutefois, cela pose un problème aux scientifiques qui souhaitent transfecter des cellules humaines in vivo avec de l’ADN ou de l’ARN étranger à des fins de thérapie génique. Les recherches du Dr Karikó ont suggéré qu’il existait un moyen de « masquer » l’ARNm des TLR en remplaçant les sous-unités nucléosidiques de ces brins d’ARNm par quelque chose d’autre qui ne serait pas reconnu par ces récepteurs comme un constituant de l’ARNm. En d’autres termes, ce qu’elle proposait était de réduire l’immunogénicité des ARNm étrangers en les rendant, du point de vue de l’organisme, chimiquement inertes.

Derrick Rossi s’y est intéressé, percevant immédiatement le potentiel thérapeutique des ARNm modifiés par des nucléosides. En 2010, il sollicite l’aide de Timothy A. Springer, Robert S. Langer, Kenneth R. Chien et Noubar Afeyan pour créer la société ModeRNA Therapeutics.

En 2011, Noubar Afeyan engage Stéphane Bancel, anciennement PDG de bioMérieux, pour diriger ModeRNA. Comme nous l’avons mentionné dans nos précédents articles, le fondateur de bioMérieux, Alain Mérieux, est un ami personnel de Xi Jinping et a aidé à la construction du laboratoire P4 à l’Institut de Virologie de Wuhan.

L’étrange saga de l’aide apportée par la France à la construction du laboratoire de virologie de haute sécurité de Wuhan

Le laboratoire de biosécurité de niveau maximal de l’Institut de Virologie de Wuhan a été le premier de ce type à être construit en Chine, et a été au cœur de spéculations colossales depuis le début de la pandémie de Covid-19 qui a pris naissance dans cette ville. Le laboratoire, qui est équipé pour traiter les agents pathogènes de classe 4 (P4), y compris les virus dangereux tels qu’Ebola, a été construit avec l’aide d’experts français et sous la direction de l’homme d’affaires milliardaire français Alain Mérieux, malgré les fortes objections des responsables de la santé et de la défense à Paris. Depuis l’inauguration du laboratoire par le Premier Ministre Bernard Cazeneuve en 2017, cependant, la France n’a joué aucun rôle de supervision dans le fonctionnement de l’installation et la coopération prévue entre les chercheurs français et le laboratoire s’est arrêtée net. Reportage de Karl Laske et Jacques Massey.

[NdT. les lecteurs français auront également reconnu la troisième personne à partir de la gauche]

Comme nous l’avons mentionné dans nos précédents articles, Robert Langer, expert en nanotechnologies d’administration de médicaments au MIT, était un collègue de Charles Lieber, expert en bionanotechnologie à Harvard, très impliqué dans les recherches financées par la DARPA sur les nanofils de silicium, pouvant même potentiellement servir de base à des interfaces cerveau-ordinateur.

En 2011, ModeRNA avait déjà atteint le statut de licorne, avec une valorisation de plus d’un milliard de dollars, malgré le fait que la société n’ait jamais sorti aucun produit commercial de quelque nature que ce soit.

Cette mystérieuse société biotechnologique de 2 milliards de dollars révèle les secrets de ses nouveaux médicaments et vaccins.

Les espoirs sont considérables. Le fait d’être une start-up valorisée à plus d’un milliard de dollars – une anomalie que les spécialistes du capital-risque appellent « licorne » – soulève des interrogations, et beaucoup se demandent si le portefeuille de produits de Moderna, composé essentiellement de vaccins pour l’instant, va s’élargir pour correspondre à la vision initiale de l’entreprise, qui voyait dans l’ARNm une vaste plateforme de traitement.  » Beaucoup de grandes promesses ont été faites « , déclare Jason Schrum, consultant en biotechnologie à San Francisco et ancien employé de Moderna. « C’est ce à quoi les gens se sont accrochés ; ils veulent que les promesses se réalisent, et ils veulent voir l’investissement se traduire concrètement en quelque chose de sérieux. »

En 2013, ModeRNA et AstraZeneca ont signé un accord de cinq ans pour développer et commercialiser des thérapies à base d’ARNm pour le traitement des maladies cardiovasculaires, métaboliques et rénales, ainsi que du cancer. Dans le cadre de cet accord, AstraZeneca a versé 240 millions de dollars à ModeRNA, bien que ce dernier n’ait, là non plus, aucun produit commercial ni aucun essai de médicament en cours.

Toujours en 2013, ModeRNA a reçu 25 millions de dollars du DARPA pour développer des thérapies basées sur l’ARNm. Étant donné que la DARPA est un groupe de réflexion militaire impliqué dans la biosécurité, la biosurveillance et la biodéfense, il s’agissait là d’une étrange association, étant donné que ModeRNA était, à l’époque, engagé dans la recherche de thérapies contre le cancer et le traitement de maladies chroniques à l’aide d’ARNm, et non de vaccins à ARNm, qui poursuivent un objectif clair de biodéfense (c’est-à-dire la vaccination rapide contre les armes biologiques). ModeRNA est basé à Cambridge, dans le Massachusetts. Il se trouve qu’une grande partie du réseau américain de biodéfense est également située dans les environs de Boston, comme le souligne le livre de Frank L. Smith, American Biodefense.

Edward Hammond a dirigé un groupe de surveillance appelé le Sunshine Project pour enquêter sur les investissements massifs du DOD [Department of Defense] et du HHS [Health and Human Services] dans les laboratoires biologiques dans les années 2000 après Amerithrax [NdT. les attentats à l’anthrax en 2001, voir sur Wiki], ainsi que sur le manque scandaleux de surveillance et de responsabilité dans ces laboratoires. Malheureusement, ce groupe a été contraint de se dissoudre en 2008 en raison d’un manque de financement.

En 2014, Alexion Pharmaceuticals a conclu un accord avec ModeRNA, et lui a versé 100 millions de dollars pour développer des traitements contre des maladies rares, dont le syndrome de Crigler-Najjar. Le programme a été interrompu en 2017 après que des tests sur des animaux ont montré que les thérapies ne se révéleraient jamais assez sûres pour faire l’objet d’essais sur l’homme.

Moderna, richement financé, rencontre des problèmes de sécurité dans sa tentative audacieuse de révolutionner la médecine.

Afin de protéger les molécules d’ARNm des défenses naturelles de l’organisme, les développeurs de médicaments doivent les envelopper dans une enveloppe protectrice. Pour Moderna, cela signifie placer sa thérapie de Crigler-Najjar dans des nanoparticules faites de lipides. Et pour ses chimistes, ces nanoparticules représentaient un défi de taille : Un dosage trop faible ne permet pas d’obtenir suffisamment d’enzyme pour agir sur la maladie ; un dosage trop fort rend le médicament trop toxique pour les patients.

Dès le départ, les scientifiques de Moderna savaient que l’utilisation de l’ARNm pour stimuler la production de protéines serait une tâche difficile. Ils ont donc parcouru la littérature médicale pour trouver des maladies qui pourraient être traitées avec de petites quantités de protéines supplémentaires.

« Et cette liste de maladies est très, très courte », a déclaré l’ancien employé qui a décrit Bancel comme quelqu’un qui avait besoin d’un Ave Maria.

Crigler-Najjar était le fruit le plus facile à cueillir.

Pourtant, Moderna n’a pas réussi à faire fonctionner sa thérapie, selon d’anciens employés et collaborateurs. La dose sûre était trop faible, et les injections répétées d’une dose suffisamment forte pour être efficace avaient des effets problématiques sur le foie dans les études animales.

ModeRNA, sous la direction de Bancel, a connu de nombreux problèmes, dont des démissions très médiatisées dues à la culture d’entreprise sévère entretenue par son PDG. De nombreux employés ont également trouvé que la réorientation de l’entreprise vers la recherche sur les vaccins en 2017 était très discutable d’un point de vue fiscal, étant donné que les vaccins étaient perçus comme une source de pertes.

Ego, ambition et agitation: Au sein de l’une des startups les plus secrètes de la biotechnologie.

Alors qu’il poursuivait une stratégie complexe et risquée pour le développement de médicaments, Bancel a instauré une culture de récrimination chez Moderna, selon d’anciens employés. Les expériences ratées ont donné lieu à des réprimandes et même à des licenciements sur le champ. Ils se souviennent de courriels abusifs, d’humiliations lors de réunions d’entreprise, d’horaires excessivement longs et de licenciements inexpliqués.

Au moins une douzaine de cadres supérieurs ont démissionné au cours des quatre dernières années, notamment des directeurs financiers, technologiques, industriels et scientifiques. Au cours des 12 derniers mois, les responsables respectés des programmes de lutte contre le cancer et les maladies rares de Moderna ont tous deux démissionné, alors que la remarquable collecte de fonds de la société avait mis d’importantes ressources à leur disposition. Chacun d’entre eux travaillait dans l’entreprise depuis moins de 18 mois, et les postes n’ont toujours pas été pourvus.

En 2017, ModeRNA a testé sa technologie ARNm sur des rats Sprague-Dawley et des singes cynomolgus dans les installations des Laboratoires Charles River. Ils ont constaté que l’ARNm se propageait bien au-delà du site d’injection et a été découvert dans le foie, la rate, la moelle osseuse et le cœur.

SAGE – Évaluation de la sécurité de l’ARNm modifié formé par des nanoparticules lipidiques chez le rat Sprague-Dawley et le singe cynomolgus.

La pharmacologie, la pharmacocinétique et la sécurité de l’ARNm modifié formulé dans des nanoparticules lipidiques (NPL) ont été évaluées après perfusion intraveineuse répétée à des rats et des singes. Chez les deux espèces, l’ARNm modifié codant pour la protéine de l’érythropoïétine humaine (hEPO) a eu des effets pharmacologiques et toxicologiques prévisibles et constants. L’analyse pharmacocinétique effectuée après la première dose a montré que les niveaux d’hEPO mesurés étaient maximaux 6 heures après la fin de la perfusion intraveineuse et dépassaient de 100 fois l’exposition efficace anticipée (17,6 ng/ml) à la plus forte dose testée.24 L’hEPO était pharmacologiquement active chez le rat et le singe, comme l’indique une augmentation significative des paramètres de masse des globules rouges. Les principaux résultats liés à la sécurité ont été causés par la pharmacologie exagérée de l’hEPO et comprenaient une augmentation de l’hématopoïèse dans le foie, la rate et la moelle osseuse (rats) et une hémorragie minimale dans le cœur (singes). Les autres résultats primaires liés à la sécurité chez le rat comprenaient une légère augmentation du nombre de globules blancs, des modifications des paramètres de coagulation à toutes les doses, ainsi que des lésions hépatiques et la libération de la protéine 10 inductible par l’interféron γ dans les groupes recevant la dose élevée uniquement. Chez le singe, comme lors de l’administration parentérale de LNP cationiques, une nécrose splénique et une déplétion lymphocytaire ont été observées, accompagnées d’une activation légère et réversible du complément. Ces résultats ont défini un niveau de dose bien toléré, supérieur à la dose efficace prévue. Dans l’ensemble, ces études combinées indiquent que l’ARNm modifié formulé par NPL peut être administré par perfusion intraveineuse chez 2 espèces tests toxicologiquement pertinentes et générer des niveaux suprathérapeutiques de protéine (hEPO) in vivo.

En 2018, ModeRNA s’est rebaptisé Moderna Inc, et a levé 621 millions de dollars grâce à son introduction en bourse à la fin de la même année.

Fin 2019, Moderna avait accumulé, au cours de son histoire, des pertes de 1,5 milliard de dollars.

Paradoxalement, ils continuèrent à enthousiasmer les investisseurs.

Le vaccin COVID-19 de Moderna

Très peu de temps après l’envoi par la Chine de la séquence du 2019-nCoV – qui allait devenir le SARS-CoV-2 – le 11 janvier 2020, Moderna a affirmé avoir développé un vaccin dans les 48 heures suivant la réception de la séquence génétique du virus, le 13 janvier.

Nous avions le vaccin depuis le début

Vous serez peut-être surpris d’apprendre que parmi le trio de vaccins contre le coronavirus tant attendus, le plus prometteur, le mRNA-1273 de Moderna, qui a annoncé un taux d’efficacité de 94,5% le 16 novembre, avait été conçu le 13 janvier. Deux jours seulement après que la séquence génétique ait été rendue publique dans un acte de générosité scientifique et humanitaire qui a valu au Chinois Yong-Zhen Zhang d’être temporairement chassé de son laboratoire. Dans le Massachusetts, la conception du vaccin Moderna n’a pris qu’un week-end. Il a été achevé avant même que la Chine n’ait reconnu que la maladie pouvait se transmettre d’homme à homme, plus d’une semaine avant le premier cas confirmé de coronavirus aux États-Unis. Lorsque le premier décès d’un Américain a été annoncé un mois plus tard, le vaccin avait déjà été fabriqué et expédié au National Institutes of Health pour le début de son essai clinique de phase 1. Il s’agit – comme le pays et le monde entier le célèbrent à juste titre – de la chronologie de développement la plus rapide de l’histoire des vaccins. Cela signifie également que pendant toute la durée de la pandémie dans ce pays, qui a déjà tué plus de 250.000 Américains, nous disposions des outils nécessaires pour la prévenir.

Ce vaccin était basé sur la plateforme technologique ARNm de Moderna, qui consiste en un ARNm modifié par des nucléosides contenu dans des nanoparticules lipidiques PEGylées qui sont injectées dans le corps, transfectent les cellules humaines et amènent les ribosomes de ces cellules à traduire l’ARNm étranger en protéines. L’intérêt de cette technologie est essentiellement d’utiliser les cellules humaines comme bioréacteurs pour obtenir un effet thérapeutique, en « brassant » n’importe quelle protéine imaginable dans l’organisme en utilisant les cellules humaines comme usines à protéines.

Le mode d’action du mRNA-1273/Spikevax, selon Moderna, consiste à introduire la substance dans le muscle deltoïde de l’épaule du sujet, à transfecter les cellules du muscle de l’épaule avec les nanoparticules lipidiques contenant l’ARNm modifié par des nucléosides, et à traduire l’ARNm en protéines de pointe du SARS-CoV-2, incitant ainsi ces cellules à exprimer cette protéine à leur surface, favorisant une réponse immunitaire et la production d’anticorps contre la protéine de pointe.

L’innovation supposée qui a permis la production d’un vaccin « sûr » à base d’ARNm du SARS-CoV-2 a été le développement de protéines de pointe stabilisées et substituées par de la proline, telles que 2P ou HexaPro.

Science – Conception de protéines de pointe SARS-CoV-2, basée sur leur structure, stabilisées par préfusion

La pandémie de COVID-19 a entraîné une accélération des travaux de développement de thérapies et de vaccins. Une cible clé de ces efforts est la protéine de pointe (S), qui est métastable et difficile à produire de manière recombinante. Ici, nous avons caractérisé 100 conceptions de protéines de pointe basées sur leur structure et identifié 26 substitutions individuelles qui ont augmenté le rendement et la stabilité de la protéine. L’essai de combinaisons de substitutions bénéfiques a abouti à l’identification de HexaPro, une variante avec six substitutions de proline bénéfiques présentant une expression environ 10 fois supérieure à celle de sa construction parentale et la capacité de résister au stress thermique, au stockage à température ambiante et à trois cycles de congélation-décongélation. Une structure cryo-EM de 3,2 Å de résolution d’HexaPro a confirmé qu’il conserve la conformation de la protéine de pointe de préfusion. La production à haut rendement d’une protéine de pointe de préfusion stabilisée accélérera le développement de vaccins et de diagnostics sérologiques pour le SARS-CoV-2.

Ces modifications sont destinées à verrouiller la protéine de pointe dans la conformation de préfusion.

Le petit truc qui se cache derrière les vaccins COVID-19

Comme le dit Norbert Pardi, spécialiste des vaccins à ARNm à l’université de Pennsylvanie, nous avons « beaucoup de chance » que les scientifiques aient mis au point la mutation 2P pour un vaccin contre le MERS avant la pandémie de COVID-19. « Sinon, il n’aurait pas été possible d’aller aussi vite avec le vaccin Moderna ».

D’autres sociétés, dont Johnson & Johnson, Novavax et Pfizer, espèrent que la mutation 2P fonctionnera également pour leurs vaccins COVID-19.

La mutation 2P pourrait littéralement être le petit détail qui pourrait faire ou défaire la première génération de vaccins COVID-19. Il s’agit d’une modification assez facile à ajouter lors des premières étapes de la conception du vaccin. En cas de succès, les vaccins basés sur la mutation 2P pourraient annoncer une nouvelle génération de vaccins dont la composition moléculaire est finement ajustée afin de créer une réponse immunitaire plus sûre et plus forte.

La recherche sur la protéine de pointe 2P était déjà en cours avant l’épidémie de COVID-19, avec d’autres coronavirus; il ne s’agissait pas d’une innovation spécifique aux vaccins COVID-19, elle a simplement été réaffectée à ces derniers.

L’idée était que le vaccin resterait dans l’épaule et ne poserait aucun problème pour les organes du sujet. Cependant, les recherches antérieures de Moderna (et les documents de Pfizer sur la biodistribution qui ont fait l’objet de fuites) nous ont appris que les nanoparticules lipidiques se répandent dans tout le corps, affectant le cœur, le foie, la rate, la moelle osseuse et d’autres tissus essentiels. Par conséquent, l’idée que le vaccin resterait dans le muscle deltoïde du receveur a toujours été une falsification flagrante.

Moderna a pu obtenir un financement considérable du HHS et de BARDA dans le cadre de l’opération Warp Speed, pour développer un vaccin contre le COVID-19. Ils ont fait passer le vaccin par des essais très accélérés avec une méthodologie très discutable. Les gouvernements ont signé des accords d’achat avec ces sociétés qui les exonéraient de leur responsabilité légale en cas de problème.

Dans le cas de Moderna, cette situation est très préoccupante, étant donné que le mRNA-1273 est leur tout premier produit commercial. Imaginez qu’une entreprise automobile soit financée par des investisseurs providentiels et des groupes de réflexion militaires pendant des années et des années, que le gouvernement impose à tous les habitants du pays d’acheter l’une de ces voitures sous peine de perdre leur emploi et d’être ostracisés s’ils refusent, et que l’entreprise qui produit les voitures soit totalement dégagée de toute responsabilité juridique, de sorte que si les roues se détachent, que le véhicule se retourne et que vous vous brisez le cou, vous n’ayez aucun recours pour poursuivre le fabricant. C’est ce que nos gouvernements ont convenu avec Moderna, pour un dangereux médicament de thérapie génique maquillé en vaccin.

Ces soi-disant vaccins posent de très nombreux problèmes en termes de toxicité, d’effets secondaires à long terme et d’ingrédients potentiels non divulgués, comme nous l’avons souligné dans nos précédents articles sur le sujet. Ils n’auraient jamais dû être approuvés par la FDA.

Mécanismes des dommages causés par le vaccin COVID-19 [NdT. article de Spartacus en anglais]

La chronologie de Moderna ne correspond pas aux documents divulgués l’année dernière, qui indiquent que Ralph Baric – un expert du SARS à la University of North Carolina à Chapel Hill et un collègue de Shi Zhengli (Baric était également responsable des tests et de la validation du Remdesivir) – a signé un accord de transfert de matériel confidentiel le 12 décembre 2019, afin de prendre livraison des « candidats vaccins coronavirus à ARNm développés et détenus conjointement par le NIAID et Moderna ». Cet accord est visible à la page 105 de cet ensemble de documents:

Accords confidentiels Moderna

De nombreux résultats de recherche relatifs à Ralph Baric et à son implication dans cette affaire sont censurés par Google.

On pourrait arguer que cela fait référence à un vaccin contre un coronavirus différent. Si tel est le cas, pourquoi envoyer ces documents à Ralph Baric, un expert du SARS ayant des liens avec des chercheurs de l’Institut de Virologie de Wuhan?

Si c’est effectivement l’ARNm-1273 qui fait l’objet de cet accord, alors comment Moderna a-t-elle pu avoir connaissance de l’épidémie à Wuhan ? C’est le 30 décembre 2019 que le Dr Li Wenliang, malheureusement aujourd’hui décédé, a tenté de tirer la sonnette d’alarme sur la propagation d’une nouvelle souche de SARS à Wuhan, avant que le bureau de police de Wuhan ne le bâillonne.

Le 12 décembre 2019, personne ne savait qu’une souche de SARS hautement infectieuse circulait à Wuhan, à l’exception peut-être d’un petit nombre de chercheurs sur les virus et d’initiés du réseau de biodéfense qui auraient pu en avoir connaissance, comme Anthony Fauci, Ralph Baric, Shi Zhengli, Peter Daszak et d’autres personnes liées au Global Virome Project de l’USAID. Ces informations ont pu être transmises à Moderna par des voies détournées.

La preuve irréfutable

À la fin de l’année dernière, un scientifique opérant sous un pseudonyme a publié un article choquant sur son Substack, affirmant que la protéine de pointe du SARS-CoV-2 contenait une séquence qui avait, comme complément inverse, une correspondance à 100 % avec une séquence génétique trouvée uniquement dans une lignée cellulaire mutante MSH3 brevetée par Moderna.

Comment trouver la vérité sur les origines du COVID-19 grâce au BLAST [NdT. article de Arkmedic en anglais]

Cette information a ensuite été reprise dans cet article paru dans Frontiers:

Frontiers – Homologie de MSH3 et lien potentiel de recombinaison avec le site de clivage de la furine du SARS-CoV-2

Igor Chudov a également réalisé de nombreux travaux d’analyse sur ce sujet:

Où est CTCCTCGGCGGGCACGTAG dans le brevet Moderna? [NdT. article en anglais de Igor Chudov]

Ceci est très inquiétant et pourrait indiquer que le SARS-CoV-2 est né d’une recombinaison dans une lignée cellulaire fournie par Moderna.

Stéphane Bancel a été interrogé sur ce point par Maria Bartiromo:

Il a paru très hésitant à donner une quelconque réponse, et a finalement fourni une non-réponse évasive.

Questions non résolues

La question la plus troublante, ici, est de savoir pourquoi une start-up de biotechnologie a pu recevoir autant d’investissements au cours de la décennie, y compris de la part du réseau américain de biodéfense et des groupes de réflexion du Pentagone, alors qu’elle ne disposait d’aucun produit commercial vendable pour procurer de la valeur à ses investisseurs, puis, soudainement, a basculé dans la recherche et la production de vaccins à la onzième heure.

L’existence et le financement persistant de Moderna, en dépit d’une décennie entière d’échec commercial, n’ont aucun sens. C’est comme si un objectif spécifique de biodéfense pour l’utilisation de produits thérapeutiques à base d’ARNm avait été fixé avant même que la société n’existe, et que la société avait été créée et financée pour poursuivre cet objectif.

L’histoire de Moderna est essentiellement celle d’une société écran du réseau de biodéfense américain qui prétend s’engager dans la recherche exploratoire de thérapies contre le cancer et les maladies rares, et qui ensuite, en usant d’un subterfuge, se met à travailler sur des vaccins pour le DARPA et le BARDA.

Tout ce qui concerne cette société est extrêmement suspect, et ce avant même de prendre en compte les liens de Moderna avec le WIV [NdT. l’Institut de Virologie de Wuhan] par l’intermédiaire de Stéphane Bancel et d’Alain Mérieux, la présence d’une séquence dans le SARS-CoV-2 dont le complément inverse est une séquence brevetée de Moderna, et la collaboration secrète de Moderna avec le NIAID et Ralph Baric pour développer des vaccins à ARNm contre le coronavirus peu avant que l’épidémie de Wuhan ne soit signalée.

Nous, à l’ICENI, pensons que les actions de Moderna peuvent fournir la base d’un énorme procès RICO [NdT. Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act]. Nous pensons également que nous sommes en présence d’un crime d’une ampleur inimaginable, toujours en cours, impliquant des fonctionnaires de haut niveau, des agences de renseignement et leurs pions pharmaceutiques.

L’enquête se poursuit. Les auteurs de cette conspiration criminelle ne sont pas au-dessus de la loi, ni hors de portée de l’examen public.

-Spartacus

Cet article est sous licence CC BY-SA 4.0. Pour consulter une copie de cette licence, visitez http://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/


Texte original

Moderna’s mRNA Mystery

Some things don’t add up

Spartacus

Jun 15

Not-So-Humble Beginnings

Moderna, the producers of the mRNA-1273/Spikevax vaccine, are the ones principally responsible for the development of the mRNA transfection tech currently used in various COVID-19 vaccines.

The seed of the idea that would germinate into Moderna was planted in 2005, when Derrick Rossi read a paper written by Hungarian scientist Katalin Karikó on how nucleoside-modified mRNA could be made to evade human immune responses from toll-like receptors.

The paper in question was published in Cell, back in 2005:

Cell – Suppression of RNA Recognition by Toll-like Receptors: The Impact of Nucleoside Modification and the Evolutionary Origin of RNA

According to this paper, using pseudouridine in place of uridine allows foreign mRNA to escape detection by TLR7/8.

Toll-like receptors are a type of PRR, or pattern-recognition receptor, the smoke alarms of human (and other mammalian) immune cells. Their purpose is to detect molecular signs of damage or foreign objects (DAMPs and PAMPs) and induce an inflammatory response.

Frontiers – Toll-like receptor signaling pathways

The innate immune system employs germline-encoded pattern-recognition receptors (PRRs) for the initial detection of microbes. PRRs recognize microbe-specific molecular signatures known as pathogen-associated molecular patterns (PAMPs) and self-derived molecules derived from damaged cells, referred as damage-associated molecules patterns (DAMPs). PRRs activate downstream signaling pathways that lead to the induction of innate immune responses by producing inflammatory cytokines, type I interferon (IFN), and other mediators. These processes not only trigger immediate host defensive responses such as inflammation, but also prime and orchestrate antigen-specific adaptive immune responses (1). These responses are essential for the clearance of infecting microbes as well as crucial for the consequent instruction of antigen-specific adaptive immune responses.

Mammals have several distinct classes of PRRs including Toll-like receptors (TLRs), RIG-I-like receptors (RLRs), Nod-like receptors (NLRs), AIM2-like receptors (ALRs), C-type lectin receptors (CLRs), and intracellular DNA sensors such as cGAS (2, 3).

Normally, foreign DNA or RNA triggers an immune response, and with good reason; its presence is often a sign that a pathogen is infiltrating the body. However, this poses a conundrum for scientists who wish to transfect human cells in vivo with foreign DNA or RNA for the purpose of gene therapy. What Dr. Karikó’s research suggested was that there was a way to “cloak” mRNA from TLRs by substituting nucleoside subunits in those mRNA strands with something else that would not be recognized by those receptors as a constituent of mRNA. In other words, what she proposed was to reduce the immunogenicity of foreign mRNA by rendering them, from the perspective of the body, chemically inert.

Derrick Rossi took an interest in this, immediately seeing the therapeutic potential of nucleoside-modified mRNA. In 2010, he solicited the help of Timothy A. Springer, Robert S. Langer, Kenneth R. Chien, and Noubar Afeyan to form the company ModeRNA Therapeutics.

In 2011, Noubar Afeyan hired Stéphane Bancel, formerly the CEO of bioMérieux, to head up ModeRNA. As mentioned in our previous articles, the founder of bioMérieux, Alain Mérieux, is a personal friend of Xi Jinping and assisted in the construction of the P4 lab at the Wuhan Institute of Virology.

The strange saga of how France helped build Wuhan’s top-security virus lab

The maximum-level biosafety laboratory at the Wuhan Institute of Virology was the first of its kind to be built in China, and has been the centre of huge speculation since the start of the Covid-19 pandemic which originated in that city. The laboratory, which is equipped to handle Class 4 pathogens (P4) including dangerous viruses such as Ebola, was built with the help of French experts and under the guidance of French billionaire businessman Alain Mérieux, despite strong objections by health and defence officials in Paris. Since the laboratory’s inauguration by prime minister Bernard Cazeneuve in 2017, however, France has had no supervisory role in the running of the facility and planned cooperation between French researchers and the laboratory has come to a grinding halt. Karl Laske and Jacques Massey report.

As mentioned in our previous articles, Robert Langer, an expert in nanotech drug delivery at MIT, was a colleague of Charles Lieber, a Harvard bionanotechnology expert who was deeply involved in DARPA-funded research into silicon nanowires, potentially even as the basis for brain-computer interfaces.

In 2011, ModeRNA had already reached unicorn status, with a valuation of over a billion dollars, despite having produced no commercial products of any kind.

This mysterious $2 billion biotech is revealing the secrets behind its new drugs and vaccines

Expectations are high. Being a startup valued at more than a billion dollars—an anomaly that venture capitalists dub a unicorn—comes with scrutiny, and many wonder whether Moderna’s pipeline, consisting mostly of vaccines for now, will expand to match the company’s original vision of mRNA as a broad treatment platform. « There were a lot of really big promises made, » says Jason Schrum, a biotechnology consultant in San Francisco and a former Moderna employee. « That’s what people latched onto; they want the promises to be true, and they want to see the investment really turn it into something meaningful. »

In 2013, ModeRNA and AstraZeneca signed a five-year agreement to develop and commercialize mRNA-based therapies for cardiovascular, metabolic, and renal diseases, as well as cancer. As part of this agreement, AstraZeneca paid $240 million dollars to ModeRNA, despite them, again, having no commercial products nor ongoing drug trials.

Also in 2013, ModeRNA was awarded $25 million from DARPA to develop mRNA-based therapies. Given that DARPA are a military think tank involved in biosecurity/biosurveillance/biodefense, this was an odd fit, considering that ModeRNA were, at the time, engaged in research for cancer therapies and treating chronic illnesses with mRNA, and not mRNA vaccines, which have a clear biodefense purpose (i.e. rapidly vaccinating against bioweapons). ModeRNA are based in Cambridge, Massachusetts. Incidentally, a large portion of the US biodefense network is also situated in the vicinity of Boston, as outlined in Frank L. Smith’s book, American Biodefense.

Edward Hammond ran a watchdog group called the Sunshine Project to investigate the massive DOD and HHS investment in biolabs in the 2000s after Amerithrax, as well as the shocking lack of oversight and accountability in these labs. Unfortunately, this group was forced to disband in 2008 due to a lack of funding.

In 2014, Alexion Pharmaceuticals struck a deal with ModeRNA, paying them $100 million to develop treatments for rare diseases, including Crigler-Najjar syndrome. The program was terminated in 2017 after animal testing showed that the therapies would never be safe enough to enter human trials.

Lavishly funded Moderna hits safety problems in bold bid to revolutionize medicine

In order to protect mRNA molecules from the body’s natural defenses, drug developers must wrap them in a protective casing. For Moderna, that meant putting its Crigler-Najjar therapy in nanoparticles made of lipids. And for its chemists, those nanoparticles created a daunting challenge: Dose too little, and you don’t get enough enzyme to affect the disease; dose too much, and the drug is too toxic for patients.

From the start, Moderna’s scientists knew that using mRNA to spur protein production would be a tough task, so they scoured the medical literature for diseases that might be treated with just small amounts of additional protein.

“And that list of diseases is very, very short,” said the former employee who described Bancel as needing a Hail Mary.

Crigler-Najjar was the lowest-hanging fruit.

Yet Moderna could not make its therapy work, former employees and collaborators said. The safe dose was too weak, and repeat injections of a dose strong enough to be effective had troubling effects on the liver in animal studies.

ModeRNA under Bancel’s leadership was fraught with issues, including high-profile resignations due to the harsh company culture fostered by its CEO. Many employees also found the company’s pivot to vaccine research in 2017 highly questionable from a fiscal perspective, given the perception of vaccines as a loss-leader.

Ego, ambition, and turmoil: Inside one of biotech’s most secretive startups

As he pursued a complex and risky strategy for drug development, Bancel built a culture of recrimination at Moderna, former employees said. Failed experiments have been met with reprimands and even on-the-spot firings. They recalled abusive emails, dressings down at company meetings, exceedingly long hours, and unexplained terminations.

At least a dozen highly placed executives have quit in the past four years, including heads of finance, technology, manufacturing, and science. In just the past 12 months, respected leaders of Moderna’s cancer and rare disease programs both resigned, even though the company’s remarkable fundraising had put ample resources at their disposal. Each had been at the company less than 18 months, and the positions have yet to be filled.

In 2017, ModeRNA tested their mRNA tech on Sprague-Dawley rats and cynomolgus monkeys at Charles River Laboratories’ facilities. They found that the mRNA spread well beyond the injection site and was discovered in the liver, spleen, bone marrow, and heart.

SAGE – Safety Evaluation of Lipid Nanoparticle–Formulated Modified mRNA in the Sprague-Dawley Rat and Cynomolgus Monkey

The pharmacology, pharmacokinetics, and safety of modified mRNA formulated in lipid nanoparticles (LNPs) were evaluated after repeat intravenous infusion to rats and monkeys. In both species, modified mRNA encoding the protein for human erythropoietin (hEPO) had predictable and consistent pharmacologic and toxicologic effects. Pharmacokinetic analysis conducted following the first dose showed that measured hEPO levels were maximal at 6 hours after the end of intravenous infusion and in excess of 100-fold the anticipated efficacious exposure (17.6 ng/ml) at the highest dose tested.24 hEPO was pharmacologically active in both the rat and the monkey, as indicated by a significant increase in red blood cell mass parameters. The primary safety-related findings were caused by the exaggerated pharmacology of hEPO and included increased hematopoiesis in the liver, spleen, and bone marrow (rats) and minimal hemorrhage in the heart (monkeys). Additional primary safety-related findings in the rat included mildly increased white blood cell counts, changes in the coagulation parameters at all doses, as well as liver injury and release of interferon γ–inducible protein 10 in high-dose groups only. In the monkey, as seen with the parenteral administration of cationic LNPs, splenic necrosis and lymphocyte depletion were observed, accompanied with mild and reversible complement activation. These findings defined a well-tolerated dose level above the anticipated efficacious dose. Overall, these combined studies indicate that LNP-formulated modified mRNA can be administered by intravenous infusion in 2 toxicologically relevant test species and generate supratherapeutic levels of protein (hEPO) in vivo.

In 2018, ModeRNA rebranded themselves as Moderna Inc., and raised $621 million through their IPO by the end of that year.

Through the end of 2019, Moderna had accumulated losses of $1.5 billion dollars over the course of the company’s history.

Paradoxically, they continued to excite investors.

The Moderna COVID-19 Vaccine

Very shortly after China sent the sequence for 2019-nCoV – which would eventually become known as SARS-CoV-2 – on January 11th, 2020, Moderna claimed to have developed a vaccine within 48 hours of receiving the gene sequence for the virus, on January 13th.

We Had the Vaccine the Whole Time

You may be surprised to learn that of the trio of long-awaited coronavirus vaccines, the most promising, Moderna’s mRNA-1273, which reported a 94.5 percent efficacy rate on November 16, had been designed by January 13. This was just two days after the genetic sequence had been made public in an act of scientific and humanitarian generosity that resulted in China’s Yong-Zhen Zhang’s being temporarily forced out of his lab. In Massachusetts, the Moderna vaccine design took all of one weekend. It was completed before China had even acknowledged that the disease could be transmitted from human to human, more than a week before the first confirmed coronavirus case in the United States. By the time the first American death was announced a month later, the vaccine had already been manufactured and shipped to the National Institutes of Health for the beginning of its Phase I clinical trial. This is — as the country and the world are rightly celebrating — the fastest timeline of development in the history of vaccines. It also means that for the entire span of the pandemic in this country, which has already killed more than 250,000 Americans, we had the tools we needed to prevent it.

This vaccine was based on Moderna’s mRNA technology platform, which consists of nucleoside-modified mRNA contained in PEGylated lipid nanoparticles which are injected into the body, transfect human cells, and cause ribosomes in those cells to translate the foreign mRNA into proteins. Essentially, the point of this technology is to use human cells as bioreactors for therapeutic effect, “brewing” any conceivable protein inside the body using human cells as protein factories.

The mode of action of mRNA-1273/Spikevax, according to Moderna, is to introduce the substance into the deltoid muscle in the subject’s shoulder, transfect shoulder muscle cells with the lipid nanoparticles containing nucleoside-modified mRNA, and translate the mRNA into SARS-CoV-2 Spike proteins, thereby inducing those cells to express this protein on their surfaces, promoting an immune response and antibody production against the Spike.

The supposed innovation that enabled a “safe” SARS-CoV-2 mRNA vaccine to be produced was the development of stabilized, proline-substituted Spike proteins, such as 2P or HexaPro.

Science – Structure-based design of prefusion-stabilized SARS-CoV-2 spikes

The COVID-19 pandemic has led to accelerated efforts to develop therapeutics and vaccines. A key target of these efforts is the spike (S) protein, which is metastable and difficult to produce recombinantly. Here, we characterized 100 structure-guided spike designs and identified 26 individual substitutions that increased protein yields and stability. Testing combinations of beneficial substitutions resulted in the identification of HexaPro, a variant with six beneficial proline substitutions exhibiting ~10-fold higher expression than its parental construct and the ability to withstand heat stress, storage at room temperature, and three freeze-thaw cycles. A 3.2 Å-resolution cryo-EM structure of HexaPro confirmed that it retains the prefusion spike conformation. High-yield production of a stabilized prefusion spike protein will accelerate the development of vaccines and serological diagnostics for SARS-CoV-2.

These modifications are intended to lock the Spike in the prefusion conformation.

The tiny tweak behind COVID-19 vaccines

As Norbert Pardi, an mRNA vaccine scientist at the University of Pennsylvania, puts it, we’re “very lucky, actually,” that scientists worked out the 2P mutation for a MERS vaccine before the COVID-19 pandemic. “It wouldn’t be possible to go so fast with the Moderna vaccine otherwise.”

Other companies, including Johnson & Johnson, Novavax, and Pfizer, are hoping the 2P mutation works for their COVID-19 vaccines too.

The 2P mutation might quite literally be the smallest detail that could make or break the first generation of COVID-19 vaccines. It’s an easy enough tweak to add during the early stages of vaccine design. And if successful, 2P-based vaccines may herald a new generation of vaccines whose molecular makeup is fine-tuned to craft a safer, stronger immune response.

Research into 2P Spike existed before the COVID-19 outbreak, with other coronaviruses; it was not an innovation specific to COVID-19 vaccines, but merely repurposed for them.

The conceit here was that the vaccine would stay in the shoulder and would not pose any issues for any of the subject’s organs. However, we know from Moderna’s prior research (and the leaked Pfizer biodistribution documents) that lipid nanoparticles spread all over the body, affecting the heart, liver, spleen, bone marrow, and other key tissues. Therefore, the notion that the vaccine would remain in the deltoid muscle of the recipient was always a blatant falsehood.

Moderna was able to secure considerable funding from HHS and BARDA under Operation Warp Speed, to develop a COVID-19 vaccine. They pushed the vaccine through highly accelerated trials with a very questionable methodology. Governments signed purchase agreements with these companies that waived their legal liability in case anything went wrong.

In Moderna’s case, this is highly alarming, considering that mRNA-1273 is their first-ever commercial product. Imagine if there was a car company that was funded by angel investors and military think tanks for years and years, and the government mandated that everyone in the country must purchase one of these cars on pain of job loss and ostracization if they refuse, and the company producing the cars had no legal liability at all, such that if the wheels fell off and the vehicle flipped over and you broke your neck, you would have no recourse to sue the manufacturer. That’s what our governments agreed on with Moderna, for an unsafe gene therapy drug masquerading as a vaccine.

There are many, many issues with these so-called vaccines, with toxicity, long-term side effects, and potential undisclosed ingredients, as outlined in our prior articles on the matter. They should never have been approved by the FDA.

Mechanisms of COVID-19 Vaccine Injury

Moderna’s timeline does not match up with leaked documents uncovered last year, which indicate that Ralph Baric – a SARS expert at UNC Chapel Hill and a colleague of Shi Zhengli (Baric was also responsible for the testing and validation of Remdesivir) – signed a confidential material transfer agreement on December 12th, 2019, to take delivery of “mRNA coronavirus vaccine candidates developed and jointly-owned by NIAID and Moderna”. This is visible on Page 105 of this set of documents:

Moderna Confidential Agreements

Many search results pertaining to Ralph Baric and his involvement in this are censored from Google.

One might argue that this refers to a vaccine for a different coronavirus. If so, why send these materials to Ralph Baric, a SARS expert with links to researchers at the Wuhan Institute of Virology?

If it is, in fact, mRNA-1273 that is the subject of this agreement, then how did Moderna possess foreknowledge of the outbreak in Wuhan? It was on December 30th, 2019 that the unfortunately now-deceased Dr. Li Wenliang tried sounding the alarm about the spread of a new SARS strain in Wuhan, before the Wuhan Police Bureau gagged him.

On December 12th, 2019, no one knew there was a highly infectious SARS strain circulating in Wuhan, except perhaps for a select few virus researchers and biodefense network insiders who may have possessed foreknowledge, such as Anthony Fauci, Ralph Baric, Shi Zhengli, Peter Daszak, and others connected to USAID’s Global Virome Project. This information may have been passed to Moderna through back channels.

The Smoking Gun

Late last year, a scientist operating under a pseudonym posted a shocking article on their Substack, claiming that SARS-CoV-2 Spike contained a sequence that had, as its reverse complement, a 100% match to a gene sequence found only in a Moderna patented MSH3-mutant cell line.

How to BLAST your way to the truth about the origins of COVID-19

This was later followed up on by this article in Frontiers:

Frontiers – MSH3 Homology and Potential Recombination Link to SARS-CoV-2 Furin Cleavage Site

Igor Chudov has also done a lot of work analyzing this, as well:

Where is CTCCTCGGCGGGCACGTAG in the Moderna Patent

This is very alarming, and may indicate SARS-CoV-2 arose from a recombination event in a cell line supplied by Moderna.

Stéphane Bancel was questioned on this by Maria Bartiromo:

He appeared very hesitant to answer at all, eventually providing an evasive non-answer.

Unresolved Questions

The most troubling question, here, is why a biotech startup received so much investment over the course of decade, including investment from the US biodefense network and Pentagon think tanks, despite having no salable commercial products to provide value to their investors, and then, suddenly, they switched gears to vaccine research and production at the eleventh hour.

The existence and persistent funding of Moderna despite a whole decade of commercial failure behind them doesn’t make sense. It is as if there was a specific biodefense goal for the usage of mRNA-based therapeutics in mind before the company even existed, and the company was created and funded to pursue that goal.

Moderna’s history is essentially one of a US biodefense network front company pretending to engage in exploratory research for cancer and rare disease therapies, and then pulling a bait-and-switch and starting work on vaccines for DARPA and BARDA.

Everything about this company is extremely suspicious, and that’s before one takes into account Moderna’s connections to the WIV through Stéphane Bancel and Alain Mérieux, the presence of a sequence in SARS-CoV-2 the reverse complement of which is a patented Moderna sequence, and Moderna’s secretive collaboration with NIAID and Ralph Baric to develop coronavirus mRNA vaccines shortly before the outbreak in Wuhan was reported.

We at ICENI believe that Moderna’s actions may form the basis for a massive RICO case. We also believe that a crime of unimaginable proportions took place here, and is still ongoing, involving high-level public officials, intelligence agencies, and their pharma pawns.

The investigation continues. The perpetrators of this criminal conspiracy are not above the law, nor are they beyond the reach of public scrutiny.

-Spartacus

This article is licensed under CC BY-SA 4.0. To view a copy of this license, visit http://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/

Le Molnupiravir, médicament anti-Covid: chimiothérapie génétiquement toxique? – par Stephanie Brail.

Suite de l’article précédent et complément d’infos.

Juste pour prévenir: dans la première partie de l’article, qui ne traite pas spécifiquement du médicament, l’auteur (ou on dit l’autrice maintenant?) cite plusieurs fois Alex Jones, à savoir la tête de gondole de l’opposition contrôlée aux Etats-Unis. Inconvénient mineur, à mon avis, par rapport aux infos qui y figurent. J’ai donc conservé cette partie pour cette raison – et pour la photo d’une grenouille très sympa.

Voici donc une autre boule de neige qui pourrait bien contribuer à l’avalanche qui se prépare. « Dark winter« , vous vous souvenez? On relève sa capuche, on met ses gants et on y va.

Courageusement, parce que, même si tout ça est très grave, ce n’est que le début…

Source.


Traduction

Le Molnupiravir, médicament anti-Covid: chimiothérapie génétiquement toxique?

Ou arme biologique libérée, capable de détruire l’ensemble de l’écosystème?

Stephanie Brail

5 décembre

Une diatribe classique d’Alex Jones sur les produits chimiques dans l’eau qui rendraient « les grenouilles homosexuelles » a fait l’objet d’innombrables memes et même d’un remix qui a fait 16 millions de vues sur YouTube.

Il est facile de se moquer de Jones, mais certaines de ses prédictions semblent se réaliser, ce qui a inspiré le dicton « Alex Jones a toujours raison« . [NdT. ce qui est également un slogan d’un autre personnage dans la sphère complotiste francophone, également opposition contrôlée, c’est-à-dire un des nombreux « spooks » ou agents du renseignement, dont le rôle est d’orienter le discours vers des notions de « liberté », de vendre de fausses solutions et de fournir une soupape émotionnelle aux mécontents]

La réalité qui se cache derrière la célèbre diatribe d’Alex est que des produits chimiques ont infiltré nos réserves d’eau, notamment de nombreux médicaments de consommation courante. La liste de ces produits chimiques va des pesticides aux hormones, en passant par les contraceptifs et les médicaments de chimiothérapie. [NdT. il est à noter, et j’y reviendrai, que la majorité des médicaments, y compris les formules très simples comme les anti-douleurs de base, contiennent des perturbateurs endocriniens – des oestrogènes – et de l’oxyde de graphène]

Pourraient-ils rendre les grenouilles homosexuelles? Peut-être pas homosexuelles à proprement parler, mais voici ce que les pesticides peuvent faire aux grenouilles1 (à cliquer pour lire la note de bas de page)

« Les résultats montrent que les pesticides qui utilisent ce mécanisme d’action peuvent causer des dommages permanents, tels qu’une baisse de la fertilité chez les grenouilles exposées au stade de têtard. Cela corrobore des recherches antérieures qui démontrent que les substances perturbatrices du système endocrinien présentes dans l’environnement peuvent avoir un impact négatif sur les amphibiens. L’utilisation de la substance linuron [NdT. désherbant fortement utilisé dans le désherbage des cultures des apiacées dont fait partie la carotte, classé parmi les CMR (Cancérigène, Mutagène et Reprotoxique) et interdit en Belgique depuis 2018] n’est pas autorisée en Suède, mais elle est utilisée dans d’autres parties de l’UE et en Amérique du Nord », explique Cecilia Berg, écotoxicologue et chef de projet.

Les médicaments se retrouvent également dans nos réserves d’eau. Vous souhaitiez éviter de prendre des médicaments psychotropes tels que le Prozac? C’est bien dommage, car il se peut que vous en consommiez contre votre volonté, étant donné que votre voisin peut en évacuer chaque jour dans son urine.

Extrait de The Effects of Drug Production on the Environment [Les effets de la production de médicaments sur l’environnement]:

Voici quelques-unes des façons les plus courantes dont les médicaments contaminent l’environnement:

– Pendant le processus de fabrication, des résidus de médicaments peuvent s’infiltrer dans les eaux de surface.

– Les médicaments sont métabolisés par les humains, puis excrétés en quantités infimes dans les égouts. Cette pollution se retrouve inévitablement dans l’approvisionnement en eau après avoir traversé les systèmes de traitement.

– Les produits pharmaceutiques vétérinaires sont excrétés dans les sols et les eaux de surface par les animaux de pâturage.

– Les médicaments utilisés pour le bétail peuvent être disséminés par le biais du fumier qui sert d’engrais.

– Les médicaments non utilisés sont souvent déversés dans les réserves d’eau publiques par le biais des éviers, des toilettes et des décharges.

– Lors du processus de fabrication, des polluants directs sont émis dans l’atmosphère.

Qu’est-il arrivé au Mouvement de la Pharmacie Verte?

La question de la contamination pharmaceutique est un problème majeur, auquel les médias n’ont jamais vraiment prêté attention depuis que le problème a commencé à faire parler de lui il y a quelques années.

Il a été question d’un mouvement de pharmacie verte pour aider à contrer certains des problèmes écologiques posés par la médecine moderne. Mais pas suffisamment. L’idée d’une « pharmacie verte » semble avoir été reléguée au second plan par la dominance du changement climatique dans le discours environnemental.

J’ai une formation en protection de l’environnement et j’ai fait du bénévolat pour une organisation de Los Angeles appelée Heal the Bay afin de recueillir des échantillons d’eau dans les collines de Malibu. Les fosses septiques des maisons cossues des célébrités étaient responsables d’un taux de contamination bactérienne atrocement élevé sur les plages de Malibu, dont les scores de pollution (F) étaient souvent pires que ceux de la sordide baie de Venice Beach, où je vivais à l’époque.

Ce fut probablement ma première leçon en matière d’hypocrisie verte.

J’ai même tenu brièvement un blog environnemental, axé en partie sur la technologie, mais il n’avait pas recueilli beaucoup de lecteurs, alors je l’ai abandonné. J’étais trop en avance sur la vague. À la fin des années 2000, j’ai écrit un article cinglant sur le fait qu’il fallait éviter de se focaliser sur le sujet du « changement climatique », tant il était source de division et éclipsait des problèmes environnementaux bien plus tangibles, tels que la pollution visible de l’eau et de l’air, des questions sur lesquelles la gauche et la droite pourraient éventuellement trouver un terrain d’entente.

Depuis lors, le fossé s’est encore creusé et le seul problème environnemental « critique » est le changement climatique. Bien sûr, une grande île en plastique flotte dans le Pacifique, et Fukushima continue de déverser ses radiations dans la mer. Notre infrastructure nucléaire vieillissante laisse échapper des poisons dans l’environnement… Vous avez entendu parler de la crise due à la contamination [des eaux par la fuite des réservoirs] Red Hill à Hawaï? Je ne l’ai découverte que par accident.

Mais qui se soucie de tout ça? Le changement climatique, le changement climatique, le changement climatique!

Je suis en désaccord général avec la droite sur les questions environnementales, car je pense que l’ensemble de notre écosystème (et pas seulement le climat) est soumis à un stress énorme dû à l’activité humaine. Cela dit, je suis en désaccord avec la gauche qui pense que le « changement climatique » est le problème numéro un ou le seul sur lequel il faut se concentrer.

Le changement climatique c’est du virtue signalling [signalement vertueux] facile, en plus d’être un excellent moyen pour les gouvernements de renforcer leur contrôle sans jamais régler les nombreux problèmes réels de pollution de l’environnement auxquels nous sommes confrontés.

En y regardant de près, on remarque que les récits sur le changement climatique tournent généralement autour de la notion de contrôle, exactement comme pour la pandémie de Covid. Le « changement climatique » crée également un nouveau « marché boursier » potentiellement lucratif, qui se décline en crédits carbone… le changement climatique, c’est donc la manière de coopter l’environnementalisme pour prendre le contrôle et gagner de l’argent.

Mais atténuer les dommages que les médicaments causent à l’environnement? Ça n’a rien de rentable et ça ne mène à aucun système de contrôle évident. Pas étonnant donc que ce soit ignoré.

Cela dit, ne commettez pas l’erreur de soutenir que le changement climatique n’existe pas. C’est le même genre d’erreur commise par les personnes qui affirment que « le Covid n’existe pas ». Vous vous retrouvez piégé dans cet argument et finissez par passer pour un platiste au lieu de diriger et de contrôler le récit. [NdT. j’ai souvent dénoncé le problème, qui vient soit de personnes mal informées, soit de l’opposition contrôlée qui tente de pourrir le débat]

Le déni est une position défensive.

Je passe à l’attaque. On peut discuter de la réalité du changement climatique jusqu’à la fin des temps, ça ne changera pas grand-chose. Moi, je veux complètement changer de débat.

Parlons de la façon dont nos politiques de santé publique peuvent aggraver la situation et potentiellement nuire non seulement aux personnes mais aussi à l’environnement.

Je trouve plutôt ironique que la gauche ait pleinement adhéré au narratif des vaccins, car la vaccination de masse dans son ensemble crée des déchets environnementaux sous la forme de sous-produits chimiques issus de leur production, ainsi que des déchets de seringues.

L’immunité naturelle est beaucoup plus respectueuse de l’environnement, pourtant vous entendrez rarement un écologiste suggérer qu’il vaudrait mieux encourager l’immunité naturelle chez ceux qui ont un risque presque nul de Covid grave.

Nous devrions souligner ce fait, le plus souvent possible.

Pire encore, certains scientifiques tentent de concevoir un moyen d’introduire des vaccins dans notre alimentation, ce qui signifie que les vaccins eux-mêmes pourraient entrer dans l’environnement général et nuire non seulement aux personnes mais aussi à la faune sauvage. Ce n’est pas nouveau, d’ailleurs. Les vaccins comestibles sont à l’essai depuis plus de vingt ans.

Nous devons nous attaquer à ce problème, et ce dès hier.

Molnupiravir: pire que vous ne le pensiez

Entre en scène le Molnupiravir. C’est le médicament contre le Covid qui « change la donne », sur lequel les médias se pâment tout en faisant passer l’ivermectine pour un poison.

Le Royaume-Uni va être le premier pays à utiliser le Molnupiravir, qui sera très bientôt administré aux patients vulnérables et âgés.

Si vous pensiez que les hormones synthétiques présentes dans l’environnement étaient néfastes, attendez d’entendre les effets du Molnupiravir.

Je ne peux pas parler de ce sujet en lui rendant pleinement justice. Je vous recommande donc, lorsque vous aurez terminé de lire ce texte, de vous rendre sur le site Unglossed et de lire l’article Doppelgänger de Brian Mowrey.

Je vais tenter ici de résumer ses principaux arguments en langage clair:

Le molnupiravir peut « s’insinuer dans l’ARNm viral et provoquer des erreurs de réplication et de traduction » et « s’insinuer dans l’ARN nucléaire ».

Les erreurs de réplication virale peuvent entraîner de nouveaux variants… mais c’est peut-être là le moindre des problèmes. Mowrey mentionne le potentiel de « protéines mal repliées » qui pourraient se propager partout dans le corps. Nous parlons ici potentiellement de prions.

Genre, prions de la vache folle.

Les problèmes d’auto-immunité posent également question.

Le Molnupiravir peut aussi pénétrer les mitochondries des cellules et perturber ainsi le métabolisme cellulaire, ce qui pourrait entraîner la mort des cellules.

Le médicament pourrait potentiellement entrer en concurrence avec les produits chimiques naturels qui produisent les membranes cellulaires et les structures protéiques nécessaires au métabolisme des cellules humaines.

Voici le pire:

Le molnupiravir, que nous appellerons « M » pour faire court en termes d’action chimique, pourrait rivaliser avec les processus cellulaires naturels, et être accidentellement répliqué dans l’ADN lors du son processus de réparation de ce dernier. Mowrey écrit : « Là, M sera probablement mal interprété par la polymérase comme étant T au lieu de C, ce qui entraînera une défaillance métabolique cellulaire conduisant à l’apoptose, ou à la carcinogenèse – la conversion en cellules cancéreuses. »

(Apoptose est un terme sophistiqué pour « mort cellulaire »).

Ce n’est pas tout :

Comme pour les cellules infectées par un virus dans le premier exemple, l’apoptose des cellules contenant du M ne ferait que libérer les A/U/T/G/C [NdT. les cinq bases azotées qui composent l’EDN et l’ARN, à savoir, A = adénine; U = uracile; T = thymine; G = guanine; C = cytosine] et les éléments de M dans l’organisme, où ils pourraient être récupérés ou excrétés. M, contrairement à la plupart des médicaments, ne sera probablement jamais vraiment « métabolisé » à partir de ses formes actives potentielles. Il ne fera qu’alterner entre les formes 2/3phosphate+1/2OHchose+, rebondir de cellule en cellule, et répéter les mêmes interactions jusqu’à ce qu’il soit dégradé. La « demi-vie » de M – le moment où il cesse d’être disponible sous des formes activement utilisables – dans le monde réel est probablement impossible à évaluer.

Ce qu’il veut dire par là, c’est que les cellules mutées, sous l’action de M, risquent de faire perdurer indéfiniment le cercle vicieux dans votre corps. Mais ce n’est pas le pire:

Le M excrété, par exemple, pourrait pénétrer le génome microbiotique (bactéries de l’intestin et d’ailleurs), produisant potentiellement des bactéries mutantes. Même après la mort des cellules bactériennes due à des mutations létales lors de la réparation de l’ADN et de la division cellulaire, M pourrait être recyclé dans d’autres bactéries. Ces dernières pourraient, bien entendu, transmettre M à d’autres organismes, ce qui pourrait entraîner une « carcinogenèse et une infertilité induites par M dans la nature » dans tous les domaines de la vie.

Le M cellulaire non excrété, circulant en liberté, une fois réduit à des niveaux inférieurs, pourrait finir par être incorporé dans des virus ARN et ADN viables, et transmis par le destinataire initial.

L’homme deviendrait en définitive le vecteur d’une certaine quantité de M qui « infectera » l’ensemble du cycle nucléoside-métabolique de la Terre, jusqu’à sa dégradation finale.

En d’autres termes, le Molnupiravir pourrait devenir une sorte de « virus » environnemental à part entière… appelons-le « malware » avec un M. [NdT. Un malware, ou logiciel malveillant, est un terme générique utilisé pour désigner une variété de logiciels hostiles ou intrusifs]

Ce malware commencerait par endommager votre corps, puis serait excrété dans l’écosystème et, à partir de là, s’auto-propagerait, provoquant cancer et infertilité non seulement chez les humains, mais aussi chez les animaux et la faune.

Tout ça est vraiment, vraiment très grave.

Il y a quelques années, les abeilles ont été menacées d’extinction par le Syndrome d’Effondrement des Colonies, qui est un euphémisme pour « génocide des abeilles », par des causes inconnues. Les pesticides ont clairement été considérés comme responsables de ce phénomène, mais quels effets nos produits pharmaceutiques en libre circulation pourraient-ils avoir sur les colonies d’abeilles?

Les abeilles ne sont pas les seules à être menacées. Cet été, dans la région de Washington DC et dans plusieurs États, des oiseaux chanteurs sont morts d’une maladie mystérieuse. Etant donné la présence de symptômes neurologiques et de crises d’épilepsie, je suggère que cela pourrait être dû à une sorte de poison ou de maladie environnementale… plutôt qu’à un climat trop chaud ou trop froid. [NdT. certains ont également désigné la 5g comme cause possible]

Serions-nous même capables de déterminer si les déchets médicamenteux ont un impact sur ces animaux?

Est-ce qu’ils nous le diraient?

Alex Jones avait-il raison à propos des grenouilles?

Au fait, c’est quoi exactement, le Molnupiravir?

Le Molnupiravir est un analogue nucléosidique. Selon ScienceDirect, « les analogues nucléosidiques sont une classe pharmacologique de composés ayant des propriétés cytotoxiques, immunosuppressives et antivirales. »

Cytotoxique, ce qui signifie qu’ils tuent les cellules. Immunosuppressifs, ce qui signifie qu’ils suppriment le système immunitaire.

Je pense que qualifier le Molnupiravir de « malware » n’est pas exagéré. Je laisse le dernier mot à Mowrey, qui a écrit ceci dans un billet complémentaire:

Les analogues nucléosidiques, comme je l’ai expliqué dans « Doppelgänger », ne sont pas des « antiviraux ». Le mécanisme de « réplication virale » qu’ils cherchent à saboter est intrinsèque au métabolisme cellulaire, à la réparation de l’ADN, à l’expression génétique, à la division cellulaire et à la longévité des spermatozoïdes. L’objectif de la ribavirine, du molnupiravir et de tous les autres analogues en cours de développement est essentiellement d’amputer tout le visage pour se débarasser du nez. Cela ne peut se faire sans inconvénients à court et à long terme, et sans risques profonds pour la fertilité. Il ne s’agit pas d’une plateforme « thérapeutique » – c’est une chimiothérapie qui cible le génome. Le fait que ce médicament spécifique ait été mis au point grâce au financement de l’Agence de Réduction des Menaces de la Défense américaine (Ridgeback et Merck n’ont pris le relais qu’après six ans de recherches financées par la DTRA24) est, au mieux, un accident opportun. [NdT. la DTRA, Defense Threat Reduction Agency, déjà citée par Robert Malone, notamment. Y a-t-il un seul aspect de toute cette histoire qui n’émane pas de la recherche militaire?]

Et pourtant, non seulement les « antiviraux » analogues nucléosidiques font encore aujourd’hui l’objet de recherches intensives, mais ils se trouvent dans un angle mort culturel, tant au sein de l’industrie que dans le grand public – ce sont des armes biologiques mortelles à l’échelle de l’anthrax, que l’on imagine à tort comme « similaires au Tamiflu ».

Des malware, effectivement.

Ressources:

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(1): Attendez, il y a mieux. En réponse à la diatribe d’Alex Jones sur les grenouilles homosexuelles, certains universitaires ont protesté contre la caractérisation des grenouilles intersexuées, car cela est perçu comme un jugement négatif à l’encontre des personnes intersexuées. De Troubling Figures : Endocrine Disruptors, Intersex Frogs, and the Logics of Environmental Science, publié dans la revue Catalyst (c’est moi qui souligne) :

Les toxicologues environnementaux tirent la sonnette d’alarme sur les « mâles génétiques » qui sont « féminisés » par les pesticides, tant sur le plan morphologique que comportemental. Mais le caractère choquant de la grenouille exposée aux produits toxiques ne fonctionne que si l’on suppose que l’intersexualité est effectivement une pathologie. Bien que les organisations de défense de la justice pour les personnes intersexuées et les études scientifiques féministes rappellent au public que l’intersexualité est courante, indépendamment de la présence de produits chimiques perturbateurs endocriniens, la littérature scientifique insiste sur la nouveauté de ces résultats. Par exemple, Hayes et al. (2002) notent que  » ces anomalies [d’intersexualité] n’ont jamais été observées chez les animaux témoins dans les expériences actuelles ou dans plus de 10 000 observations d’animaux témoins dans notre laboratoire au cours des six dernières années  » (p. 5477). Le fait que de nombreux animaux n’ont pas de sexe facile à distinguer est cependant absent du débat public sur ces études (Roughgarden, 2004 ; Avise, 2011).

J’avoue que je n’ai pas lu cet article de manière très approfondie, mais il m’a semblé être un fouillis d’idées contradictoires. Par exemple, d’une part, les colons européens sont critiqués pour leur comportement colonialiste de « destruction des forêts », mais d’autre part, qualifier une espèce végétale invasive d' »invasive » est considéré comme un jugement négatif. Euh… il n’y aurait pas d’espèces invasives si le colonialisme n’avait jamais eu lieu.

Donc je me sens un peu confuse. L’auteur suggère-t-il ici que les produits chimiques perturbateurs endocriniens sont acceptables? Ou que si un perturbateur endocrinien provoque artificiellement l’intersexuation d’une personne, il ne s’agit pas d’une pathologie?

Je pense que nous pouvons trouver un juste milieu et dire que les perturbateurs endocriniens répandus dans l’environnement sont une mauvaise nouvelle, sans diaboliser les personnes (ou les grenouilles) qui ont pu être modifiées par inadvertance à cause desdits perturbateurs endocriniens.


Texte original

Covid Drug Molnupiravir: Toxic Chemotherapy for the Genome?

Or a freefloating bioweapon that could destroy the entire ecosystem?

Stephanie Brail

Dec 5

There’s a classic Alex Jones rant about chemicals in the water turning “the friggin’ frogs gay” that has been memed to death and even turned into a remix with 16 million YouTube views and counting.

It’s easy to laugh at Jones, but some of his predictions seem to come true, spawning the saying “Alex Jones is always right.”

The reality behind Alex’s famous rant is that chemicals have been entering our water supply, including many of the common drugs we take. These chemicals include everything from pesticides to hormones from birth control to chemo drugs.

Could they be turning frogs gay? Perhaps not gay per se, but here’s what pesticides can do to frogs1 (click to read endnote)

“The results show that pesticides with this mechanism of action can cause permanent damage, such as reduced fertility in frogs exposed at the tadpole stage. This supports previous research showing that endocrine-disrupting substances in the environment may negatively impact amphibians. The substance linuron isn’t approved for use in Sweden, but it’s used in other parts of the EU and in North America,” says Cecilia Berg, ecotoxicologist and project leader.

Pharmaceutical drugs are also in our water supply. Did you want to avoid taking psychotropic drugs like Prozac? Too bad, because you might be consuming it even if you don’t want to, seeing as your neighbor may be peeing it out daily.

From The Effects of Drug Production on the Environment:

The Following Are Some of The Most Common Ways that Drugs Contaminate the Environment:

  • During the manufacturing process, drug residue may infiltrate surface waters.
  • Drugs are metabolized by humans and then excreted in trace quantities into the sewage system. This pollution inevitably finds its way into the water supply after going through treatment systems.
  • Veterinary pharmaceuticals are excreted in soils and surface waters by pasture animals.
  • The drugs used in livestock can be distributed using manure as a fertilizer.
  • Unused drugs are often dumped into public water supplies through sinks, toilets, and landfills.
  • During the manufacturing process, direct pollutants are emitted into the atmosphere.

What Happened to the Green Pharmacy Movement?

The issue of pharmaceutical contamination is a huge problem, and one that the media hasn’t really been paying much attention to since the problem first started getting some traction years ago.

There has been some discussion of a green pharmacy movement to help counter some of the ecological problems of modern medicine. But not enough. The idea of a “green pharmacy” seems to have taken a backseat to the dominating environmental narrative of climate change.

My background actually includes environmentalism, and I used to volunteer for a Los Angeles organization called Heal the Bay to collect water samples in the Malibu hills. The septic tanks of the posh celebrity homes were responsible for atrociously high bacterial counts at Malibu beaches, which often scored worse pollution scores (Fs) than seedy Venice Beach, where I lived at the time.

That was probably my first lesson in green hypocrisy.

I even had an environmental blog briefly, focused in part on technology, but it didn’t gain much readership, so I abandoned it. I was ahead of the curve. I wrote a scathing article in the late 2000s about how “climate change” was a terrible issue to focus on, since it was so divisive and overshadowing much more tangible environment problems such as visible pollution in the water and air, issues that maybe left and right could find some common ground on.

Since then, the divide has gotten even worse, and the only “critical” environmental issue is climate change. Sure, we have a big plastic island floating around the Pacific, and Fukushima is still spilling radiation into the sea. We have aging nuclear infrastructure leaking toxins into the environment…did you know about the Red Hill contamination crisis in Hawaii? I only found out about it by accident.

But who cares about all that? Climate change, climate change, climate change!

I’m in disagreement with the right regarding environmental issues as a whole, as I think our entire ecosystem (not just the climate) is under a tremendous amount of stress due to human activity. That said, I’m in disagreement with the left that “climate change” is the number one problem or the only thing we need to focus on.

Climate change is an easy virtue signal, in addition to being a great way for governments to take more control, without actually solving many of the real environment pollution problems we face.

If you pay attention, you’ll notice that climate change narratives generally center around control, much like the covid pandemic. “Climate change” also offers a potentially lucrative new “stock market” consisting of carbon credits…so climate change is environmentalism co-opted for control and money.

But mitigating the damage that pharmaceutical drugs are causing the environment? It’s not profitable and doesn’t lead to any obvious control systems. No wonder it’s ignored.

That said, don’t make the mistake of trying to argue that climate change isn’t real. It’s the same mistake that the “covid isn’t real” people are making. You get stuck in that argument and end up making yourself look like a flat earther instead of steering and controlling the narrative.

Denial is a defensive position.

I’m going on offense. You can argue whether climate change is real or not until you are blue in the face, but it won’t change a damn thing. But I’m looking to shift the narrative completely.

Let’s talk about how our public health policies might be making everything worse and potentially not just harming people but also the environment.

It’s rather ironic to me that the left has fully embraced the vaccine narrative, because mass vaccination as a whole creates environmental waste in the form of chemical byproducts during production as well as syringe waste.

Natural immunity is much more environmentally sound, and yet you’ll rarely hear an environmentalist suggesting we encourage natural immunity for those who are at an almost zero risk of severe covid.

We should be pointing that out, and frequently.

Worse, some scientists are trying to figure out how to put vaccines in our food supply, which means the vaccines themselves could enter into the general environment, harming not just people but wildlife. This isn’t a new thing, by the way. They have been testing edible vaccines for over twenty years.

We need to get in front of this, like yesterday.

Molnupiravir: Worse Than You Thought

Enter molnupiravir. This is the “game-changing” covid drug that the media has been swooning over while making ivermectin out to be some sort of poison.

The UK is set to be the first country to use molnupiravir, and will be given to vulnerable and elderly patients starting very soon.

If you thought synthetic hormones in the environment were bad, wait until you hear what molnupiravir does.

I can’t do this subject justice. So I recommend that when you are done reading this, head on over to Unglossed and read the article Doppelgänger by Brian Mowrey.

Here’s my attempt to summarize his main points in plain language:

Molnupiravir can “insinuate into viral mRNA, causing errors in replication and translation” and “insinuate into nuclear RNA.”

Errors in viral replication may mean new variants…but that may be the least of the problems. Mowrey mentions the potential for “misfolded proteins” that could go anywhere in the body. We’re potentially talking prions here.

You know, like mad cow prions.

Autoimmunity is also a concern.

Molnupiravir may also get into cell mitochondria, disrupting cellular metabolism, which could starve cells to death.

The drug could potentially compete with natural chemicals that produce cell membranes and protein structures necessary for human cell metabolism.

Here’s the kicker:

Molnupiravir, which we’ll call “M” for short in terms of its chemical action, could vie with natural cellular processes, and accidentally be replicated into DNA during DNA repair. Mowrey writes: “There, M will presumably be misread by polymerase as T instead of C, resulting in cellular metabolic failure leading to apoptosis, or carcinogenesis – conversion into cancer cells.”

(Apoptosis is a fancy term for “cell death.”)

That’s not all:

As with virally-infected cells in the first example, apoptosis of cells containing M would merely release A/U/T/G/C and M bits into the body, where they might be salvaged or excreted. M, unlike most drugs, is possibly not going to ever be truly “metabolized” out of potential active forms. It will only alternate between 2/3phosphate+1/2OHthing+ forms, bounce from cell to cell, and repeat the same interactions until degraded. The “half-life” for M – when it ceases to be available in actively employable forms – in the real world is probably unknowable.

What he means is that mutated cells, thanks to M, may keep the vicious cycle going indefinitely in your body. But that’s not the worst of it:

Excreted M, for example, could enter the microbiotic genome (bacteria in the gut and elsewhere), potentially producing mutant bacteria. Even upon the death of bacterial cells due to lethal mutations during DNA repair and cellular division, M could still be recycled to other bacteria. These bacteria could, of course, carry M to other organisms, conceivably resulting in “wild-caught M-induced carcinogenesis and infertility” throughout every kingdom of life.

Non-excreted, free-floating cellular M, once reduced to lower levels, could end up incorporated into viable RNA and DNA viruses, and transmitted from the original recipient.

Humans will merely be the vector for some amount of M to “infect” the entire nucleoside-metabolic cycle of the Earth, until finally degraded.

In other words, molnupiravir could turn into a sort of environmental “virus” of its own…let’s call it malware with an M.

That malware would first damage your body, then be excreted into the ecosystem, and from there, self-propagate, causing cancer and infertility not just in humans but in animals and wildlife.

This is really, really bad.

Bees were being threatened with extinction a few years back via Colony Collapse Disorder, which is a euphemistic way of saying “bee genocide” by unknown causes. Pesticides have certainly been looked at as a culprit, but what effects might our free-floating pharmaceuticals also have on bee colonies?

It’s not just bees at risk. In and around Washington, DC and several states this summer, songbirds were dying of a mysterious illness. With neurological symptoms and seizures happening, I’m going to suggest that this might have been due to some type of environmental poison or disease…rather than the climate getting too hot or too cold.

Would we even be able to find out if drug waste is impacting these animals?

Would they tell us?

Was Alex Jones right about the friggin’ frogs?

What Exactly Is Molnupiravir Anyway?

Molnupiravir is a nucleoside analog. According to ScienceDirect, “Nucleoside analogs are a pharmacological class of compounds with cytotoxic, immunosuppressive, and antiviral properties.”

Cytotoxic, meaning they kill cells. Immunosuppressive, meaning they suppress the immune system.

I think calling molnupiravir “malware” is not too far off. I’ll leave the last word on this to Mowrey, who wrote this in a follow up post:

Nucleoside analogs, as I argued in “Doppelgänger,” are not “antivirals.” The mechanism of “viral replication” which they seek to sabotage is intrinsic to cellular metabolism, DNA repair, gene expression, cellular division, and sperm cell longevity. Ribavirin, Molnupiravir, and all other analogs in development, essentially seek to cut off the face to spite the nose. It cannot be done without short and long term harms, and profound risks to fertility. This is not a “therapeutic” platform – it is chemotherapy for the genome. It is an appropriate accident at best, that this particular drug was developed with funding from the US Defense Threat Reduction Agency (Ridgeback and Merck only took over after six years of DTRA-funded research24).

And yet not only are nucleoside analog “antivirals” still being aggressively researched, they reside within a cultural blindspot both within the industry and the public at large – they are lethal bioweapons on the scale of Anthrax, inaccurately imagined as “kind of similar to Tamiflu.”

Malware, indeed.

Resources:

Free Medical Qigong & Spiritual Healing weekly at LearnItLive

Holistic Health Podcast on Odysee and Rumble

Covid Vaccine Freedom Channel on Telegram

Holistic Healing Channel on Telegram

Holistic Health & Wellness Community at Locals

Uncensored Holistic Healing Community at MeWe


(1): Wait, it gets better. In response to the Alex Jones rant about gay frogs, some in academia took issue with the characterization of intersex frogs, because this is perceived as a negative judgement against intersex people. From Troubling Figures: Endocrine Disruptors, Intersex Frogs, and the Logics of Environmental Science, published in the journal Catalyst (emphasis mine):

Environmental toxicologists ring the alarm on “genetic males” being “feminized” by pesticides, both morphologically and behaviorally. But the shock value of the toxicant-exposed frog only functions under the assumption that intersex is indeed a pathology. Despite intersex justice organizing as well as feminist science studies scholarship reminding the public that intersex is common, irrespective of the presence of endocrine-disrupting chemicals, this scientific literature emphasizes the novelty of these findings. For instance, Hayes et al. (2002) note, “these abnormalities [of intersex] were never observed in control animals in the current experiments or in over 10,000 observations of control animals in our laboratory over the last 6 years” (p. 5477). Missing from the public discussion of these studies, however, is the fact that many animals lack easily distinguishable sexes in the first place (Roughgarden, 2004; Avise, 2011).

I confess I didn’t read this paper too thoroughly, but it seemed like a jumble of conflicting ideas. For example, on the one hand, European settlers are called out for their colonialist “destruction of the woods” but then labeling an invasive plant species “invasive” is described as a negative judgment. Umm…we wouldn’t have invasive species if it weren’t for colonialism in the first place.

So I’m a bit confused. Is the author here suggesting that endocrine-disrupting chemicals are OK? Or that if an endocrine disruptor artificially causes someone to become intersex, that this isn’t a pathology?

I think we can find a middle ground here and say that environmentally-prevalent endocrine disrupters are bad news, without demonizing people (or frogs) who may have been inadvertently changed due to said endocrine disruptors.

Dix signaux d’alarme dans l’analyse risques-bénéfices de la FDA concernant la demande d’autorisation d’urgence de Pfizer d’injection de son produit à ARNm à des enfants américains âgés de 5 à 11 ans – par Toby Rogers.

Source.


Traduction

Dix signaux d’alarme dans l’analyse risques-bénéfices de la FDA concernant la demande d’autorisation d’urgence de Pfizer d’injection de son produit à ARNm à des enfants américains âgés de 5 à 11 ans

Le document d’information de la FDA est un ramassis grotesque de pseudo-science et doit être retiré immédiatement

Toby Rogers

25 octobre 2021

Par où faut-il commencer pour examiner la grotesque analyse risque-bénéfice de la FDA concernant le « vaccin » à ARNm COVID-19 de Pfizer chez les enfants âgés de 5 à 11 ans?

Commençons par mes compétences. J’ai fait une année de statistiques dans l’une des meilleures universités d’arts libéraux d’Amérique (Swarthmore). J’ai suivi une année d’études supérieures en statistiques dans le programme de maîtrise classé numéro 1 pour l’analyse des politiques (UC Berkeley). Et j’ai un Doctorat en économie politique de l’une des meilleures universités du monde (Université de Sydney). Mes recherches sont centrées sur la corruption dans l’industrie pharmaceutique. Je lis des études scientifiques en rapport avec les vaccins presque tous les jours depuis 5 ans. Au début de ma carrière, j’ai travaillé de manière professionnelle à déconstruire des analyses coûts-avantages de très mauvaise qualité préparées par des sociétés qui tentaient d’obtenir des allégements fiscaux, des contrats et d’autres concessions de la part des autorités locales. Il convient de dire que j’ai beaucoup étudié les analyses risques-bénéfices et que je suis mieux équipé que la plupart des gens pour lire un de ces documents.

L’analyse risques-bénéfices effectuée par la FDA dans le cadre de la demande d’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) présentée par Pfizer pour administrer son vaccin COVID-19 à des enfants âgés de 5 à 11 ans est l’un des documents les plus minables que j’aie jamais vus.

Commençons par le début :

🚩 Les taux d’incidence du COVID-19 chez les enfants âgés de 5 à 11 ans sont si bas qu’il y a eu ZERO cas de COVID-19 sévère et ZERO cas de décès dus au COVID dans le groupe de traitement (n= 1 518) ou le groupe témoin (n= 750). Ainsi, toutes les affirmations que vous lisez dans la presse sur le fait que le vaccin Pfizer est « efficace à 90 % » chez les enfants sont dénuées de sens, car elles font référence à des cas bénins dont les enfants se remettent généralement rapidement (et qui leur confèrent une immunité robuste à large spectre). Il n’y a donc littéralement aucune urgence dans cette population qui puisse faire l’objet d’une demande d’autorisation d’utilisation en urgence. La demande de Pfizer devrait être exclue d’emblée si la FDA suivait réellement les données scientifiques et ses propres règles. Nous reviendrons sur ce sujet plus loin.

🚩 L’essai clinique de Pfizer sur les enfants était intentionnellement sous-dimensionné pour dissimuler les effets néfastes. C’est une astuce bien connue de l’industrie pharmaceutique. La FDA les a même interpellés à ce sujet au début de l’été et a demandé à Pfizer d’étendre l’essai, mais Pfizer les a ignorés parce qu’ils le peuvent. (Pfizer a truqué l’essai en important des données d’une autre étude, mais cette autre étude ne surveillait les effets indésirables que pendant 17 jours, de sorte que les nouvelles données ont pollué les résultats au lieu de les clarifier). En d’autres termes, si le taux de certains effets secondaires spécifiques chez les enfants à la suite de cette injection est de 1 sur 5 000 et que l’essai ne porte que sur 1 518 personnes dans le groupe de traitement, il est peu probable que ce dommage particulier soit détecté lors de l’essai clinique. Voilà pour le « Sûr et Efficace(TM) ».

🚩 Pfizer n’a recruté que des « participants âgés de 5 à 11 ans sans preuve d’une infection antérieure par le SRAS-CoV-2″. L’injection d’ARNm de Pfizer annule-t-elle l’immunité naturelle et laisse-t-elle le sujet dans une situation pire que si on ne faisait rien, comme le montrent ces données du gouvernement Britannique? Pfizer n’en a aucune idée car les enfants ayant déjà été infectés par le SRAS-CoV-2 ont été exclus de cet essai. Cela a été fait à dessein. Les auteurs de pollutions toxiques ont appris à ne pas poser les questions auxquelles ils ne veulent pas de réponses, de peur de se retrouver face à des preuves de leur culpabilité dans un futur procès.

Selon une analyse d’Alex Berenson :

« Ce que déclarent les Britanniques, c’est qu’ils ont découvert que le vaccin interfère avec la capacité innée de l’organisme, après l’infection, à produire des anticorps contre la protéine de pointe, mais aussi contre d’autres parties du virus. Plus précisément, les personnes vaccinées ne semblent pas produire d’anticorps contre la protéine de la nucléocapside, l’enveloppe du virus, qui est un élément crucial de la réponse des personnes non vaccinées. Cela signifie que les personnes vaccinées seront beaucoup plus vulnérables aux mutations de la protéine spike MÊME APRÈS AVOIR ÉTÉ INFECTÉES ET REMISES SUR PIED une fois (ou plus d’une fois, probablement). Cela signifie également que le virus est susceptible de sélectionner des mutations qui vont exactement dans cette direction, car celles-ci lui procureront en fait une immense population vulnérable à infecter. Et c’est probablement une preuve supplémentaire que les vaccins peuvent interférer avec le développement d’une immunité robuste à long terme après l’infection. »

🚩 Pfizer a-t-il PERDU LE CONTACT avec 4,9% des participants à ses essais cliniques? Le document risque-bénéfice de la FDA indique: « Parmi les participants de la Cohorte 1, 95,1% avaient un suivi de sécurité ≥2 mois après la dose 2 au moment de la coupure des données du 6 septembre 2021. » Alors que sont devenus ces 4,9 % qui n’ont pas été soumis à un suivi de sécurité 2 mois après la dose 2? Faisaient-ils partie du groupe de traitement ou du groupe témoin? Nous n’en avons aucune idée car Pfizer ne le dit pas. Compte tenu de la faible taille de l’essai, le fait de ne pas avoir suivi 4,9% des participants fausse potentiellement les résultats.

🚩 La période de suivi était intentionnellement trop courte. Il s’agit d’une autre astuce bien connue de l’industrie pharmaceutique conçue pour dissimuler les dommages. La cohorte 1 semble avoir été suivie pendant 2 mois, la cohorte 2 n’a été surveillée sur le plan des effets indésirables que pendant 17 jours. De nombreux effets néfastes des vaccins, notamment le cancer et les troubles auto-immuns, mettent beaucoup plus de temps à se manifester. Comme le dit le vieil adage, « on peut faire vite ou on peut faire bien, mais on ne peut pas faire les deux ». Pfizer a choisi la rapidité.

🚩 Le modèle risques-bénéfices créé par la FDA ne prend en compte qu’un seul dommage connu de l’injection d’ARNm de Pfizer – la myocardite. Mais nous savons que les effets néfastes avérés de l’injection d’ARNm de Pfizer vont bien au-delà de la myocardite et comprennent l’anaphylaxie, la paralysie de Bell, la crise cardiaque, la thrombocytopénie/faible taux de plaquettes, l’invalidité permanente, le zona et le syndrome de Guillain-Barré (SGB), pour n’en citer que quelques-uns. Le cancer, le diabète, les perturbations endocriniennes et les troubles auto-immuns sont susceptibles d’apparaître plus tard. Mais la FDA ne se préoccupe de rien de tout cela car elle a un vaccin à vendre, alors elle ignore tous ces facteurs dans sa modélisation.

🚩 Pfizer élimine intentionnellement le groupe témoin dès qu’il le peut en vaccinant tous les enfants qui ont initialement reçu le placebo. Ils prétendent qu’ils le font pour des « raisons éthiques ». Mais tout le monde sait que le véritable objectif de Pfizer est d’éliminer tout groupe de comparaison afin qu’il n’y ait pas d’études de sécurité à long terme. Effacer le groupe de contrôle est un acte criminel et pourtant Pfizer, Moderna, J&J et AZ le font de manière standard avec la bénédiction de la FDA/CDC.

🚩 Compte tenu de tout ce qui précède, comment diable la FDA a-t-elle pu prétendre à un quelconque bénéfice de cette injection? Vous feriez mieux de vous asseoir pour ce passage, car c’est une perle! Voici la phrase clé :

L’efficacité du vaccin a été déduite d’un pontage immunitaire d’un taux de 50 % de titres d’anticorps neutralisant du SRAS-CoV-2 (NT50, test de microneutralisation mNG du SRAS-CoV-2).

Attendez, quoi? Je vais vous expliquer. Il y a eu ZERO cas de COVID-19 sévère dans l’essai clinique d’enfants âgés de 5 à 11 ans. Pfizer et la FDA ont donc simplement ignoré tous les résultats sanitaires réels (ils étaient obligés, il n’y a pas d’urgence, donc la demande est caduque). AU LIEU DE CELA, Pfizer s’est rabattu sur la recherche d’anticorps dans le sang. En général, les anticorps sont un piètre indicateur de l’immunité. Et les anticorps dans le sang de ces enfants de 5 à 11 ans ne nous apprennent rien car, encore une fois, il n’y a eu aucun cas de COVID-19 grave dans cette étude (aucun dans le groupe traité, aucun dans le groupe témoin). Pfizer a donc dû faire preuve de créativité! La solution qu’ils ont trouvée est le « pontage immunitaire ». Pfizer a examiné le niveau d’anticorps dans les analyses de sang provenant d’une autre étude portant sur des personnes âgées de 16 à 25 ans, a déterminé le niveau d’anticorps qui semblait être protecteur dans cette population, puis a estimé combien d’enfants âgés de 5 à 11 ans avaient des niveaux similaires d’anticorps dans le sang, et a ensuite calculé le nombre de cas, d’hospitalisations, d’admissions en soins intensifs et de décès qui seraient évités à l’avenir par cette injection dans la population des 5 à 11 ans, en se basant sur les niveaux d’anticorps et les résultats de santé de la population des 16 à 25 ans. Si cette logique torturée vous donne mal à la tête, c’est normal, car une telle chicanerie est sans précédent dans une analyse risques-bénéfices.

Alors, lorsque la FDA emploie cette logique torturée au début de son document d’information, tous les calculs qui en découlent seront totalement faux. Pas seulement faux, mais grotesques et criminellement faux.

Tout le scénario se résume au tableau 14 de la page 34 du document sur les risques et les bénéfices de la FDA. Et là, les drapeaux rouges rappliquent à la vitesse grand V.

🚩 Le modèle de la FDA n’évalue les bénéfices de la protection vaccinale que sur une période de 6 mois après l’administration de deux doses. De plus, il suppose une efficacité constante du vaccin pendant cette période. Ceci est problématique à plusieurs égards.

Premièrement, la réduction des cas bénins chez les enfants n’est pas le résultat clinique souhaité. Comme le souligne le Dr Geert Vanden Bossche, la vaccination de masse transforme les enfants en excréteurs de variants plus infectieux.

« Les personnes jeunes et en bonne santé ne doivent en aucun cas être vaccinées, car cela ne fera qu’éroder leur immunité innée protectrice contre les coronavirus (CoV) et autres virus respiratoires. Leur immunité innée les protège normalement/naturellement en grande partie et leur confère une sorte d’immunité de groupe dans la mesure où elle dilue la pression infectieuse des CoV au niveau de la population, alors que la vaccination de masse les transforme en excréteurs de variants plus infectieux. Les enfants/jeunes qui contractent la maladie développent généralement une maladie légère à modérée et continuent donc à contribuer à l’immunité de groupe en développant une immunité large et durable. Si on est vacciné et qu’on attrape la maladie, on peut aussi développer une immunité à vie, mais pourquoi prendre le risque de se faire vacciner, surtout quand on est jeune et en bonne santé? Premièrement, il y a le risque d’effets secondaires potentiels ; deuxièmement, il y a le risque toujours croissant que les anticorps vaccinaux ne soient plus fonctionnels tout en continuant à se lier au virus, ce qui augmente la probabilité d’une facilitation de l’infection par anticorps ou même d’une maladie grave… ».

Deuxièmement, nous savons que l’efficacité du vaccin dans le mois qui suit la première dose est négative parce qu’il supprime le système immunitaire et qu’il commence à s’affaiblir après 4 mois, de sorte que toutes les estimations de la FDA sur l’efficacité du vaccin sont surévaluées.

Troisièmement, les effets néfastes de la myocardite provoquée par ces vaccins se manifesteront probablement au fil des ans. Robert Malone, l’inventeur de la technologie mRNA, note que la FDA admet que les enfants seront injectés deux fois par an pour toujours (d’où le délai de six mois dans le modèle risques-bénéfices de la FDA). Mais les risques d' »événements indésirables tels que la cardiomyopathie seront cumulatifs ». Donc tout modèle qui ne prend en compte qu’un délai de six mois cache le véritable taux d’événements indésirables.

🚩 La FDA/Pfizer jouent aux dés avec leurs estimations de myocardite. Tout d’abord, ils considèrent les myocardites « excédentaires » (c’est-à-dire causées par l’injection) en utilisant les données de la base de données privée « Optum health claim database » au lieu du système public VAERS (p. 32). Il est donc impossible pour le public de vérifier leurs affirmations. Ensuite, lorsqu’il s’agit d’estimer combien d’enfants atteints de myocardite induite par le vaccin seront hospitalisés et admis aux soins intensifs, ils utilisent le Vaccine Safety Datalink (voir page 33). Pourquoi passer d’une base de données à une autre pour ces estimations? Enfin, il n’y a pas d’explication sur la façon dont ils ont calculé les décès « excédentaires » dus à la myocardite, ils ont donc simplement indiqué 0. Drapeau rouge, drapeau rouge, drapeau rouge.

La FDA estime qu’il y aura 106 cas supplémentaires de myocardite pour 1 million d’enfants de 5 à 11 ans ayant subi une double injection. Il y a 28 384 878 enfants âgés de 5 à 11 ans aux États-Unis. L’administration Biden veut leur injecter à tous des doses d’ARNm de Pfizer et a déjà acheté suffisamment de doses pour cet objectif (même si seulement 1/3 des parents veulent vacciner leurs enfants avec cette injection). Donc (si l’administration Biden obtient ce qu’elle veut) 106 cas de myocardite en excès pour 1 million x 28,38 millions de personnes, soit 3 009 cas de myocardite excédentaires post-vaccination si le vaccin Pfizer est approuvé.

Et au fil des années suivantes, beaucoup de ces enfants mourront. Le Dr Anthony Hinton (« Chirurgien Consultant avec 30 ans d’expérience dans le NHS ») souligne que la myocardite a un taux de létalité de 20% après 2 ans et de 50% après 5 ans.

La FDA a donc tout faux : elle veut prévenir le COVID léger chez les enfants, ce qui réduit l’immunité collective, et elle ment carrément sur les dommages causés par la myocardite.

J’ai pris la liberté de corriger le tableau 14 de la FDA avec des données réelles et de les étendre sur 5 ans. Cela donne ceci :

Une étude réalisée par Harvard Pilgrim Healthcare pour le Ministère Américain de la Santé et des Services Sociaux a estimé que le VAERS ne recueille que 1% des dommages réels causés par les vaccins. Steve Kirsch a réalisé une modélisation élaborée qui établit à 41 le facteur de sous-déclaration des décès dus au vaccin COVID-19 (donc multipliez les chiffres ci-dessus par 41). Et la myocardite n’est qu’un des nombreux effets néfastes possibles des vaccins COVID-19. Le Dr Jessica Rose a récemment calculé un facteur de sous-déclaration de 31 pour tous les événements indésirables graves survenant après la vaccination.

Conclusion

Le vaccin de Pfizer échoue à toute évaluation honnête de risques/bénéfices liés à son utilisation chez les enfants âgés de 5 à 11 ans. L’analyse risques-bénéfices de la FDA du vaccin à ARNm de Pfizer chez les enfants de 5 à 11 ans est bancale. Elle utilise une logique torturée (qui serait rejetée par n’importe quelle revue académique digne de ce nom) afin d’atteindre un résultat prédéterminé qui n’est aucunement fondé sur la science. Le document d’information de la FDA est une œuvre de fiction et doit être retiré immédiatement. Si la FDA poursuit cette mascarade grotesque, elle causera des dommages irréparables aux enfants et les dirigeants de la FDA seront un jour poursuivis pour crimes contre l’humanité.


Vous voulez partager vos préoccupations avec les membres du VRBPAC? Voici un lien vers un article avec un contexte supplémentaire ainsi que toutes leurs coordonnées :


[Mise à jour :]

🚩 Un lecteur avisé a signalé qu’à la page 14, la FDA explique que Pfizer a modifié les ingrédients de son vaccin à ARNm. Ils écrivent :

Pour fournir un vaccin présentant un profil de stabilité amélioré, le vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 à utiliser chez les enfants de 5 à 11 ans utilise un tampon trométhamine (Tris) au lieu de la solution saline tamponnée au phosphate (PBS) utilisée dans la formulation précédente et exclut le chlorure de sodium et le chlorure de potassium.

Je suis profondément sceptique quant à ce compte rendu (je doute que cela ait quelque chose à voir avec un « profil de stabilité amélioré ») et j’invite d’autres personnes à se prononcer sur ce point. Je rappelle également que la trométhamine a une histoire longue et trouble et j’invite les lecteurs à approfondir la question (je serai heureux de publier des liens supplémentaires dès qu’ils seront disponibles).

L’analyse risque-bénéfice erronée de la FDA a été rédigée par :

Hong Yang
Biologiste
DHHS/FDA/CBER/OBE
Building, WO71, Room 5338
Arrêt postal : HFM-210
Silver Spring MD 20993-0002
téléphone : (240) 402-8836
fax : (301) 595-1240
Hong.Yang@fda.hhs.gov

et

Richard Forshee
Directeur associé
DHHS/FDA/CBER/OBE
Building, WO71, Room 5342
Silver Spring MD 20993-0002
téléphone : (240) 402-8631
fax : (301) 595-1240
Richard.Forshee@fda.hhs.gov

Il s’agit d’un article vivant. La FDA ne donne que deux jours au public pour examiner les documents des réunions. J’ai donc dû publier cet article immédiatement. Si vous repérez des erreurs, faites-le moi savoir et je les corrigerai. Si vous trouvez d’autres failles dans l’analyse risques-bénéfices de la FDA, veuillez les poster dans les commentaires afin que je puisse les ajouter.

Une révolution est en marche. ✊


Texte original

Ten red flags in the FDA’s risk-benefit analysis of Pfizer’s EUA application to inject American children 5 to 11 with its mRNA product

The FDA briefing document is preposterous junk science and it must be withdrawn immediately

Toby Rogers

October 25, 2021

Where to even begin with the FDA’s preposterous risk-benefit analysis of Pfizer’s mRNA COVID-19 “vaccine” in children ages 5 to 11?

Let’s start with my bona fides. I have a year of undergraduate statistics at one of the best liberal arts colleges in America (Swarthmore). I have a year of graduate statistics at the masters program rated #1 for policy analysis (UC Berkeley). And I have a Ph.D. in political economy from one of the top universities in the world (University of Sydney). My research focus is on corruption in the pharmaceutical industry so I’ve read scientific studies in connection with vaccines nearly every day for 5 years. Earlier in my career I worked professionally tearing apart shoddy cost-benefit analyses prepared by corporations that were trying to get tax breaks, contracts, and other concessions from local government. Suffice it to say I’ve thought a lot about risk-benefit analysis and I’m better equipped than most to read one of these documents.

The FDA’s risk-benefit analysis in connection with Pfizer’s Emergency Use Authorization (EUA) application to inject children ages 5 to 11 with their COVID-19 vaccine is one of the shoddiest documents I’ve ever seen.

Let’s take it from the top:

🚩 COVID-19 rates in children ages 5 to 11 are so low that there were ZERO cases of severe COVID-19 and ZERO cases of death from COVID in either the treatment (n= 1,518) or control group (n= 750). So any claims you see in the press about the Pfizer vaccine being “90% effective” in children are meaningless because they are referring to mild cases from which children usually recover quickly (and then have robust broad spectrum immunity). So there is literally no emergency in this population for which one could apply for Emergency Use Authorization. Pfizer’s application should be dead on arrival if the FDA actually followed the science and their own rules. We will return to this topic below.

🚩 Pfizer’s clinical trial in kids was intentionally undersized to hide harms. This is a well known trick of the pharmaceutical industry. The FDA even called them out on it earlier this summer and asked Pfizer to expand the trial and Pfizer just ignored them because they can. (Pfizer fudged it by importing data from a different study but this other study only monitored adverse outcomes for 17 days so if anything the new data polluted rather than clarified outcomes). To put it simply, if the rate of particular adverse outcome in kids as a result of this shot is 1 in 5,000 and the trial only enrolls 1,518 in the treatment group then one is unlikely to spot this particular harm in the clinical trial. Voilà “Safe & Effective(TM)”.

🚩 Pfizer only enrolled “participants 5-11 years of age without evidence of prior SARS-CoV-2 infection.” Does the Pfizer mRNA shot wipe out natural immunity and leave one worse-off than doing nothing as shown in this data from the British government? Pfizer has no idea because children with prior SARS-CoV-2 infection were excluded from this trial. This was by design. Toxic polluters have learned to not ask questions that they do not want the answers to, lest they wind up staring at their own smoking gun in a future court case.

According to an analysis by Alex Berenson:

“What the British are saying is they are now finding the vaccine interferes with your body’s innate ability after infection to produce antibodies against not just the spike protein but other pieces of the virus. Specifically, vaccinated people don’t seem to be producing antibodies to the nucleocapsid protein, the shell of the virus, which are a crucial part of the response in unvaccinated people. This means vaccinated people will be far more vulnerable to mutations in the spike protein EVEN AFTER THEY HAVE BEEN INFECTED AND RECOVERED ONCE (or more than once, probably). It also means the virus is likely to select for mutations that go in exactly that direction because those will essentially give it an enormous vulnerable population to infect. And it probably is still more evidence the vaccines may interfere with the development of robust long-term immunity post-infection.” 

🚩 Did Pfizer LOSE CONTACT with 4.9% of their clinical trial participants? The FDA risk-benefit document states: “Among Cohort 1 participants, 95.1% had safety follow-up ≥2 months after Dose 2 at the time of the September 6, 2021 data cutoff.” So what happened with those 4.9% who did not have safety follow-up 2 months after Dose 2? Were they in the treatment or control group? We have no idea because Pfizer isn’t saying. Given the small size of the trial, failing to follow up with 4.9% of the participants potentially skews the results.

🚩 The follow up period was intentionally too short. This is another well-know trick of the pharmaceutical industry designed to hide harms. Cohort 1 appears to have been followed for 2 months, cohort 2 was only monitored for adverse events for 17 days. Many harms from vaccines including cancer and autoimmune disorders take much longer to show up. As the old saying goes, “you can have it quick or you can have it done right, but you cannot have both.” Pfizer chose quick.

🚩 The risk-benefit model created by the FDA only looks at one known harm from the Pfizer mRNA shot — myocarditis. But we know that the real world harms from the Pfizer mRNA shot go well beyond myocarditis and include anaphylaxis, Bell’s Palsy, heart attack, thrombocytopenia/ low platelet, permanent disability, shingles, and Guillain-Barré Syndrome (GBS) to name a few. Cancer, diabetes, endocrine disruption, and autoimmune disorders may show up later. But the FDA does not care about any of that because they have a vaccine to sell so they just ignore all of those factors in their model.

🚩 Pfizer intentionally wipes out the control group as soon as they can by vaccinating all of the kids who initially got the placebo. They claim that they are doing this for “ethical reasons”. But everyone knows that Pfizer’s true aim is to wipe out any comparison group so that there can be no long term safety studies. Wiping out the control group is a criminal act and yet Pfizer, Moderna, J&J, and AZ do this as standard practice with the blessing of the FDA/CDC.

🚩 Given all of the above, how on earth did the FDA claim any benefits at all from this shot? You should probably sit down for this part because it’s a doozy! Here’s the key sentence:

Vaccine effectiveness was inferred by immunobridging SARS-CoV-2 50% neutralizing antibody titers (NT50, SARS-CoV-2 mNG microneutralization assay). 

Wait, what!? I’ll explain. There were ZERO cases of severe COVID-19 in the clinical trial of children ages 5 to 11. So Pfizer and the FDA just ignored all of the actual health outcomes (they had to, there is no emergency, so the application is moot). INSTEAD Pfizer switched to looking at antibodies in the blood. In general, antibodies are a poor predictor of immunity. And the antibodies in the blood of these 5 to 11 year old children tell us nothing because again, there were zero cases of severe COVID-19 in this study (none in the treatment group, none in the control group). So Pfizer had to get creative! What they came up with is “immuno-bridging”. Pfizer looked at the level of antibodies in the bloodwork of another study, this one involving people 16 to 25 years old, figured out the level of antibodies that seems to be protective in that population, then figured out how many kids ages 5 to 11 had similar levels of antibodies in their blood, and then came up with a number for how many cases, hospitalizations, ICU admissions, and deaths would be prevented by this shot in the 5 to 11 population in the future, based on the antibody levels and health outcomes from the 16 to 25 year old population. If your head hurts from that tortured logic, it should, because such chicanery is unprecedented in a risk-benefit analysis.

So when the FDA uses this tortured logic at the beginning of their briefing document, all of the calculations that stem from this will be flat out wrong. Not just wrong but preposterous and criminally wrong.

The whole ballgame comes down to Table 14 on page 34 of the FDA’s risk-benefit document. And there the red flags come fast and furious.

🚩 The FDA model only assesses the benefits of vaccine protection in a 6-month period after completion of two doses. Furthermore it assumes constant vaccine efficacy during that time period. This is problematic on several counts.

First, reducing mild cases in children is not a desired clinical outcome. As Dr. Geert Vanden Bossche points out, mass vaccination turns kids into shedders of more infectious variants.

« Under no circumstances should young and healthy people be vaccinated as it will only erode their protective innate immunity towards Coronaviruses (CoV) and other respiratory viruses. Their innate immunity normally/ naturally largely protects them and provides a kind of herd immunity in that it dilutes infectious CoV pressure at the level of the population, whereas mass vaccination turns them into shedders of more infectious variants. Children/ youngsters who get the disease mostly develop mild to moderate disease and as a result continue to contribute to herd immunity by developing broad and long-lived immunity. If you are vaccinated and get the disease, you may develop life-long immunity too but why would you take the risk of getting vaccinated, especially when you’re young and healthy? Firstly, there is the risk of potential side effects; secondarily, there is the ever increasing risk that your vaccinal antibodies will no longer be functional while still binding to the virus, thereby increasing the likelihood of ADE or even severe disease…. »

Second, we know that vaccine efficacy in the month after the first dose is negative because it suppresses the immune system and it begins to wane after 4 months so all of the FDA’s estimates of vaccine efficacy are inflated.

Third, the harms of myocarditis from these shots will likely unfold over the course of years. Robert Malone, the inventor of mRNA technology notes that the FDA is admitting that children will be injected twice a year forever (hence the six month time frame in the FDA risk-benefit model). But the risks of “adverse events such as cardiomyopathy will be cumulative.” So any model that only looks at a six month time frame is hiding the true adverse event rate.

🚩 The FDA/Pfizer play fast and loose with their estimates of myocarditis. First they estimate “excess” (read: caused by the shot) myocarditis using data from the private “Optum health claim database” instead of the public VAERS system (p. 32). So it’s impossible for the public to verify their claims. Then, when it comes to estimating how many children with vaccine-induced myocarditis will be hospitalized and admitted to the ICU they use the Vaccine Safety Datalink (see page 33). Why switch to a different database for those estimates? Finally, there is no explanation for how they calculated “excess” myocarditis deaths, so they just put 0. Red flag, red flag, red flag.

The FDA estimates that there will be 106 extra myocarditis cases per 1 million double-jabbed children 5-11. There are 28,384,878 children ages 5 to 11 in the U.S. The Biden administration wants to inject Pfizer mRNA shots into all of them and has already purchased enough doses to do just that (even though only 1/3rd of parents want to jab their kids with this shot). So (if the Biden administration has its way) 106 excess myocarditis cases per 1 million x 28.38 million people would be 3,009 excess myocarditis cases post-vaccination if the Pfizer vaccine is approved.

And over the course of several years many of those children will die. Dr. Anthony Hinton (“Consultant Surgeon with 30 years experience in the NHS”) points out that myocarditis has a 20% fatality rate after 2 years and a 50% fatality rate after 5 years.

So the FDA has it exactly backwards — they want to prevent mild COVID in children which reduces herd immunity and they just flat out lie about the harms from myocarditis.

I’ve taken the liberty to correct the FDA’s Table 14 with actual real world data and extended it over 5 years. It looks like this:

A study by Harvard Pilgrim Healthcare for the U.S. Department of Health and Human Services estimated that VAERS only captured 1% of actual vaccine injuries. Steve Kirsch has done elaborate modeling that puts the Under-Reporting Factor of COVID-19 vaccine deaths at 41 (so multiply the above numbers by 41). And myocarditis is just one of a multitude of possible harms from COVID-19 vaccines. Dr. Jessica Rose recently calculated an Under-Reporting Factor of 31 for all severe adverse events following vaccination.

Conclusion

The Pfizer vaccine fails any honest risk-benefit assessment in connection with its use in children ages 5 to 11. The FDA’s risk-benefit analysis of Pfizer’s mRNA vaccine in children ages 5 to 11 is shoddy. It used tortured logic (that would be rejected by any proper academic journal) in order to reach a predetermined result that is not based in science. The FDA briefing document is a work of fiction and it must be withdrawn immediately. If the FDA continues with this grotesque charade it will cause irreparable harms to children and the FDA leadership will one day be prosecuted for crimes against humanity.


Want to share your concerns with the members of the VRBPAC? Here’s a link to an article with additional context and all of their contact information: 


[Updated to add:]

🚩 An astute reader pointed out that on page 14, the FDA explains that Pfizer has changed the ingredients in their mRNA vaccine. They write:

To provide a vaccine with an improved stability profile, the Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine for use in children 5-11 years of age uses tromethamine (Tris) buffer instead of the phosphate-buffered saline (PBS) as used in the previous formulation and excludes sodium chloride and potassium chloride.

I’m deeply skeptical of this account (I doubt this has anything to do with an “improved stability profile”) and invite others to weigh in on this. I also recall that tromethamine has a long and troubled history and invite readers to dig into this further (I’m happy to post additional links as they become available).


The FDA’s flawed risk-benefit analysis was written by:

Hong Yang
Biologist
DHHS/FDA/CBER/OBE
Building, WO71, Room 5338
Mail stop: HFM-210
Silver Spring MD 20993-0002
phone: (240) 402-8836
fax: (301) 595-1240
Hong.Yang@fda.hhs.gov

and

Richard Forshee
Associate Director
DHHS/FDA/CBER/OBE
Building, WO71, Room 5342
Silver Spring MD 20993-0002
phone: (240) 402-8631
fax: (301) 595-1240
Richard.Forshee@fda.hhs.gov


This is a live article. The FDA only gives the public 2 days to review meeting materials so I had to publish this article immediately. If you spot any errors please let me know and I will correct them. If you find additional flaws in the FDA’s risk-benefit analysis please post them in the comments so that I may add them.

A revolution is coming. ✊

La lettre de Spartacus : tout ce que vous devriez savoir sur la « crise » Covid.

SOMMAIRE

  • Physiopathologie et traitements du COVID-19
  • Transmission du COVID-19
  • Dangers des vaccins COVID-19
  • Conspiration criminelle autour du COVID-19
  • Développement des vaccins COVID-19 et liens avec le transhumanisme
  • Conclusions

Attention : quelques détails assez curieux (par exemple la notion que les « vaccins » éviteraient de faire une forme grave de la maladie alors que c’est exactement le contraire) pourraient indiquer une opération de limited hangout, comme à peu près tout ce qui est publié sur le sujet. Sinon, la majorité des infos semble solide. A vous de faire le tri.

Source.

Lisez, diffusez, résistez.


Traduction

Bonjour,

Je m’appelle Spartacus, et j’en ai assez.

Nous avons été forcés de regarder l’Amérique et le monde libre s’enfoncer dans un déclin inexorable à cause d’une attaque de guerre biologique. Nous, ainsi que d’innombrables autres personnes, avons été victimisés et désorientés par des opérations de propagande et de guerre psychologique menées par une élite non-élue et non-responsable contre le peuple américain et nos alliés.

Notre santé mentale et physique a énormément souffert au cours de la dernière année et demie. Nous avons ressenti la morsure de l’isolement, du verrouillage, du masquage, des quarantaines, et d’autres actes complètement absurdes d’un théâtre sanitaire qui n’ont absolument rien fait pour protéger la santé ou le bien-être du public de la pandémie actuelle de COVID-19.

Maintenant, nous regardons l’establishment médical injecter un véritable poison à des millions de nos concitoyens Américains sans la moindre résistance.

On nous a dit que nous serions licenciés et privés de nos moyens de subsistance si nous refusions de nous faire vacciner. Ça a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.

Nous avons passé des milliers d’heures à analyser les images qui fuitaient de Wuhan, les documents scientifiques de sources primaires ainsi que les traces écrites laissées par l’establishment médical.

Ce que nous avons découvert choquerait n’importe qui.

Nous allons d’abord résumer nos découvertes, puis nous les expliquerons en détail. Les références seront placées à la fin.

Résumé :

  • Le COVID-19 est une maladie du sang et des vaisseaux sanguins. Le SRAS-CoV-2 infecte la paroi des vaisseaux sanguins humains, ce qui provoque un épanchement pulmonaire.
  • Les protocoles de traitement actuels (par exemple, la ventilation invasive) sont activement nuisibles aux patients, ils accélèrent le stress oxydatif et provoquent de graves lésions pulmonaires induites par le respirateur (ventilator-induced lung injuries – VILI). L’utilisation continue de respirateurs en l’absence de tout bénéfice médical prouvé constitue un meurtre de masse.
  • Les contre-mesures existantes sont inadéquates pour ralentir la propagation de ce qui est un virus aérosolisé et potentiellement transmis par les eaux usées et constituent une forme de théâtre médical.
  • Diverses interventions non-vaccinales ont été supprimées à la fois par les médias et par l’establishment médical en faveur des vaccins et des médicaments brevetés coûteux.
  • Les autorités ont nié l’utilité de l’immunité naturelle contre le COVID-19, malgré le fait que l’immunité naturelle confère une protection contre toutes les protéines du virus, et pas seulement contre une.
  • Les vaccins feront plus de mal que de bien. L’antigène sur lequel ces vaccins sont basés, SRAS-CoV- 2, est une protéine toxique. Le SRAS-CoV-2 peut présenter un ADE, ou facilitation de l’infection par anticorps (antibody-dependent enhancement) ; les anticorps actuels pourraient ne pas neutraliser les futures souches, mais au contraire les aider à infecter les cellules immunitaires. De plus, le fait de vacciner pendant une pandémie avec un vaccin qui fuit [NdT. qui permet une fuite immunitaire] supprime la pression évolutive qui pousse un virus à devenir moins mortel.
  • Il existe une vaste et effroyable conspiration criminelle qui lie directement Anthony Fauci et Moderna à l’Institut de Virologie de Wuhan.
  • Les chercheurs du vaccin COVID-19 sont directement liés à des scientifiques impliqués dans la technologie de l’interface cerveau-ordinateur (« lacet neuronal »). L’un d’entre eux a été inculpé pour avoir reçu des subventions de la Chine.
  • Des chercheurs indépendants ont découvert de mystérieuses nanoparticules à l’intérieur des vaccins qui ne sont pas censées s’y trouver.
  • L’ensemble de la pandémie est utilisé comme une excuse pour une vaste transformation politique et économique de la société occidentale qui enrichira les déjà riches et transformera le reste d’entre nous en serfs et en intouchables.

Physiopathologie et traitements du COVID-19 :

Le COVID-19 n’est pas une pneumonie virale. Il s’agit d’une endothélite vasculaire virale qui s’attaque à la paroi des vaisseaux sanguins, en particulier aux petits capillaires alvéolaires pulmonaires, entraînant l’activation et la destruction des cellules endothéliales, une coagulopathie, une septicémie, un œdème pulmonaire et des symptômes de type SDRA. Il s’agit d’une maladie du sang et des vaisseaux sanguins. Du système circulatoire. Toute pneumonie qu’elle provoque en est une conséquence secondaire.

Dans les cas graves, cela entraîne une septicémie, des caillots sanguins et une défaillance de plusieurs organes, y compris des lésions hypoxiques et inflammatoires de divers organes vitaux, comme le cerveau, le cœur, le foie, le pancréas, les reins et les intestins.

Parmi les résultats de laboratoire les plus courants dans le COVID-19, on trouve une élévation du taux de D-dimères, un temps de prothrombine élevé, une protéine C-réactive élevée et un taux d’hémoglobine élevé, une neutrophilie, une lymphopénie, une hypocalcémie et une hyperferritinémie, correspondant essentiellement à un profil de coagulopathie et d’hyperactivation du système immunitaire/épuisement des cellules immunitaires.

Le COVID-19 peut se présenter sous presque n’importe quelle forme, en raison du tropisme important du SRAS-CoV-2 pour divers tissus dans les organes vitaux de l’organisme. Bien que sa présentation initiale la plus courante soit une maladie respiratoire et des symptômes de type grippal, il peut se présenter sous la forme d’une inflammation cérébrale, d’une maladie gastro-intestinale, voire d’une crise cardiaque ou d’une embolie pulmonaire.

Le COVID-19 est plus grave chez les personnes présentant des comorbidités spécifiques, telles que l’obésité, le diabète et l’hypertension. Cela est dû au fait que ces conditions impliquent un dysfonctionnement endothélial, qui rend le système circulatoire plus sensible à l’infection et aux lésions par ce virus particulier.

La grande majorité des cas de COVID-19 sont bénins et ne provoquent pas de maladie significative. Dans les cas connus, il existe une règle dite des 80/20, selon laquelle 80 % des cas sont bénins et 20 % sont graves ou critiques.

Cependant, ce ratio n’est correct que pour les cas connus, et non pour toutes les infections. Le nombre d’infections réelles est beaucoup, beaucoup plus élevé. Par conséquent, le taux de mortalité et de morbidité est plus faible. Cependant, le COVID-19 se propage très rapidement, ce qui signifie qu’un nombre important de patients gravement malades et en état critique apparaissent dans un court laps de temps.

Chez ceux qui présentent une septicémie critique induite par le COVID-19, une hypoxie, une coagulopathie et un SDRA, les traitements les plus courants sont l’intubation, l’injection de corticoïdes et les anticoagulants. Ce n’est pas le traitement approprié pour le COVID-19. En cas d’hypoxie sévère, les changements métaboliques cellulaires provoquent la décomposition de l’ATP en hypoxanthine, qui, lors de la réintroduction de l’oxygène, fait que la xanthine oxydase produit des tonnes de radicaux très nocifs qui attaquent les tissus. C’est ce qu’on appelle une lésion d’ischémie-reperfusion, et c’est pourquoi la majorité des gens qui sont mis sous respirateur meurent. Dans la mitochondrie, l’accumulation de succinate due à la septicémie fait exactement la même chose ; quand l’oxygène est réintroduit, il produit des radicaux superoxyde. N’en doutez pas, l’intubation tue les gens qui ont le COVID-19.

Le stade final du COVID-19 est une peroxydation lipidique sévère, où les graisses dans le corps commencent à « rouiller » à cause des dommages causés par le stress oxydatif. Cela entraîne une auto-immunité. Les lipides oxydés apparaissent comme des corps étrangers pour le système immunitaire, qui reconnaît et forme des anticorps contre les OSE, ou épitopes spécifiques de l’oxydation (oxidation-specific epitopes). De plus, les lipides oxydés alimentent directement les récepteurs de reconnaissance des formes, déclenchant encore plus d’inflammation et en appelant encore plus de cellules du système immunitaire inné qui libèrent encore plus d’enzymes destructeurs. Ce phénomène est similaire à la pathophysiologie du lupus.

La décomposition de la pathologie est la suivante :

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 se lie à l’ACE2. L’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 est une enzyme qui fait partie du système rénine-angiotensine-aldostérone, ou SRAA. Le SRAA est un système de contrôle hormonal qui modère volume de liquide dans le corps et dans la circulation sanguine (c’est-à-dire l’osmolarité) en contrôlant la rétention et l’excrétion du sel. Cette protéine, l’ACE2, est omniprésente dans toutes les parties du corps qui sont en relation avec le système circulatoire, en particulier dans les cellules endothéliales vasculaires et les péricytes, les astrocytes du cerveau, les tubules rénaux et les podocytes, les cellules des îlots pancréatiques, les cellules épithéliales du canal biliaire et de l’intestin, ainsi que les canaux séminifères des testicules, toutes ces cellules pouvant être infectées par le SRAS-CoV-2, et pas seulement les poumons.

Le SRAS-CoV-2 infecte une cellule de la manière suivante : la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 subit un changement de conformation au cours duquel les trimères du S1 se retournent et s’étendent, se verrouillant sur l’ACE2 lié à la surface d’une cellule. La TMPRSS2, ou protéase transmembranaire sérine 2 (transmembrane protease serine 2), arrive et coupe les têtes de la protéine de pointe, exposant la sous-unité S2 en forme de tige à l’intérieur. Le reste de la protéine de pointe subit un changement de conformation qui fait qu’elle se déplie comme une échelle à coulisse, s’encastrant dans la membrane cellulaire. Puis, elle se replie sur elle-même, rapprochant la membrane virale et la membrane cellulaire. Les deux membranes fusionnent, et les protéines du virus migrent à la surface de la cellule. La nucléocapside du SRAS-CoV-2 entre dans la cellule, dégorgeant son matériel génétique et commençant le processus de réplication virale, détournant les structures de la cellule pour produire plus de virus.

Les protéines de pointe du SRAS-CoV-2 incorporées dans une cellule peuvent en fait provoquer la fusion des cellules humaines, formant ainsi des syncytia/CGM (cellules géantes multinucléaires). Elles ont également d’autres effets pathogènes et nocifs. Le SRAS-CoV- 2, comme la protéine d’enveloppe, agissent comme des canaux ioniques calciques, introduisant du calcium dans les cellules infectées. Le virus supprime la réponse naturelle à l’interféron, ce qui entraîne une inflammation retardée. La protéine N du SRAS-CoV-2 peut également activer directement l’inflammasome NLRP3. Elle supprime également la voie antioxydante Nrf2. La suppression de l’ACE2 par la liaison avec la protéine de pointe entraîne une accumulation de bradykinine qui serait autrement décomposée par l’ACE2.

Cet influx constant de calcium dans les cellules entraîne (ou s’accompagne) d’une hypocalcémie notable, ou faible taux de calcium dans le sang, en particulier chez les personnes présentant des carences en vitamine D et un dysfonctionnement endothélial préexistant. La bradykinine régule à la hausse l’activité de l’AMPc, du GMPc, de la COX et de la phospholipase C. Il en résulte une sécrétion de prostaglandine et une augmentation considérable de la signalisation calcique intracellulaire, ce qui favorise une libération très agressive de ERO (espèces réactives de l’oxygène) et une diminution de l’ATP. La NADPH oxydase libère du superoxyde dans l’espace extracellulaire. Les radicaux superoxydes réagissent avec l’oxyde nitrique pour former du peroxynitrite. Le peroxynitrite réagit avec la tétrahydrobioptérine nécessaire à la synthase d’oxyde nitrique endothéliale, le détruisant et « découplant » les enzymes, ce qui amène la synthase de l’oxyde nitrique (NOS) à synthétiser davantage de superoxyde à la place. Ce processus se déroule dans une boucle de rétroaction positive jusqu’à ce que la biodisponibilité de l’oxyde nitrique dans le système circulatoire soit épuisée.

L’oxyde nitrique gazeux produit en permanence par la eNOS remplit de nombreuses fonctions importantes, mais il est aussi antiviral contre les coronavirus de type SRAS, en empêchant la palmitoylation de la protéine de pointe virale et en rendant plus difficile sa liaison aux récepteurs de l’hôte. La perte de NO permet au virus de commencer à se répliquer en toute impunité dans l’organisme. Les personnes qui présentent un dysfonctionnement endothélial (c’est-à-dire hypertension, diabète, obésité, vieillesse, race afro-américaine) ont des problèmes d’équilibre redox au départ, ce qui donne un avantage au virus.

En raison de la libération extrême de cytokines déclenchée par ces processus, le corps convoque une grande quantité de neutrophiles et de macrophages alvéolaires dérivés de monocytes dans les poumons. Les cellules du système immunitaire inné sont les défenseurs de première ligne contre les agents pathogènes. Elles agissent en engloutissant les envahisseurs et en essayant de les attaquer avec des enzymes qui produisent de puissants oxydants, comme la SOD (superoxyde dismutase) et la MPO (myéloperoxydase). La superoxyde dismutase prend du superoxyde et produit du peroxyde d’hydrogène, et la myéloperoxydase prend du peroxyde d’hydrogène et des ions de chlore et produit de l’hypochlorite, qui est beaucoup, beaucoup plus réactif que l’hypochlorite de sodium de l’eau de Javel.

Les neutrophiles peuvent jouer un sale tour. Ils peuvent aussi éjecter ces enzymes dans l’espace extracellulaire, où ils vont continuellement cracher du peroxyde et de l’hypochlorite dans le sang. C’est ce qu’on appelle la formation de pièges extracellulaires pour les neutrophiles (NET), ou, lorsqu’elle devient pathogène et contre-productive, la NETose. Dans les cas graves et critiques du COVID-19, il y a en fait une NETose assez sévère.

L’acide hypochloreux qui s’accumule dans la circulation sanguine commence à réagir avec le fer de l’hème et à le concurrencer comme site de fixation de l’oxygène. Les globules rouges perdent leur capacité à transporter l’oxygène, et le visage de la personne atteinte devient bleu. Le fer, le peroxyde d’hydrogène et le superoxyde non libérés dans la circulation sanguine subissent les réactions de Haber-Weiss et de Fenton, produisant des radicaux hydroxyles extrêmement réactifs qui arrachent violemment les électrons des graisses et de l’ADN environnants, les oxydant sévèrement.

Cet état n’est pas inconnu de la science médicale. Son nom exact est septicémie aiguë.

Nous savons que c’est ce qui se passe dans le COVID-19 parce que les gens qui sont morts de cette maladie ont des signatures de ferroptose dans leurs tissus, ainsi que d’autres marqueurs de stress oxydatif tels que la nitrotyrosine, le 4-HNE, et le malondialdéhyde.

Lorsque vous intubez une personne atteinte de cette maladie, vous déclenchez une bombe à radicaux libres en alimentant les cellules en O2. C’est un cercle vicieux, car nous avons besoin d’oxygène pour fabriquer de l’adénosine triphosphate (c’est-à-dire pour vivre), mais l’O2 est aussi le précurseur de tous ces radicaux nuisibles qui conduisent à la peroxydation des lipides.

Le traitement correct de la septicémie grave liée au COVID-19 est la ventilation non invasive, les stéroïdes et les perfusions d’antioxydants. La plupart des médicaments réadaptés pour le COVID-19 qui présentent un quelconque avantage pour le sauvetage des patients gravement malades sont des antioxydants. La N-acétylcystéine, la mélatonine, la fluvoxamine, le budésonide, la famotidine, la cimétidine et la ranitidine sont tous des antioxydants. L’indométhacine empêche l’oxydation par le fer de l’acide arachidonique en isoprostanes. Il existe de puissants antioxydants, comme l’apocynine, qui n’ont même pas encore été testés sur les patients COVID-19 et qui pourraient défaire les neutrophiles, prévenir la peroxydation lipidique, rétablir la santé endothéliale et restaurer l’oxygénation des tissus.

Les scientifiques qui connaissent un tant soit peu la neutrophilie pulmonaire, le SDRA et la biologie redox ont compris ou supposé beaucoup de tout cela depuis mars 2020. En avril 2020, des scientifiques suisses ont confirmé que le COVID-19 était une endothélite vasculaire. A la fin de 2020, les experts avaient déjà conclu que le COVID-19 provoque une forme de septicémie virale. Ils savent également que la septicémie peut être traitée efficacement avec des antioxydants. Aucune de ces informations n’est particulièrement nouvelle, et pourtant, dans la plupart des cas, elle n’a pas été prise en compte. Les médecins continuent à utiliser techniques d’intubation préjudiciables avec des réglages PEEP élevés malgré une compliance pulmonaire élevée et une mauvaise oxygénation, tuant un nombre incalculable de patients gravement malades par faute médicale.

En raison de la manière dont ils sont construits, les essais contrôlés randomisés ne montreront jamais aucun avantage pour aucun antiviral contre le COVID-19. Ni le Remdesivir, ni le Kaletra, ni la HCQ, ni l’Ivermectine. La raison en est simple : pour les patients qu’ils ont recrutés pour ces études, comme la ridicule étude RECOVERY d’Oxford, l’intervention est trop tardive pour avoir un quelconque effet positif.

L’évolution clinique du COVID-19 est telle qu’au moment où la plupart des personnes consultent un médecin pour hypoxie, leur charge virale a déjà diminué au point de devenir presque nulle. Si quelqu’un a été exposé depuis environ 10 jours et qu’elle est déjà symptomatique depuis cinq jours, il ne reste pratiquement plus de virus dans son organisme, mais seulement des lésions et des dérèglements cellulaires qui ont déclenché une réponse hyperinflammatoire. C’est dans ce groupe que les essais cliniques pour les antiviraux ont recruté, presque exclusivement.

Dans ces essais, on donne des antiviraux à des patients gravement malades qui n’ont pas de virus dans leur corps, mais seulement une réponse hyperinflammatoire retardée, puis on affirme de manière absurde que les antiviraux n’ont aucune utilité dans le traitement ou la prévention du COVID-19. Ces essais cliniques ne recrutent pas de personnes pré-symptomatiques. Ils ne ne testent pas la prophylaxie pré-exposition ou post-exposition.

C’est comme si on utilisait un défibrillateur pour choquer uniquement les personnes en arrêt cardiaque, et qu’on prétendait ensuite de manière absurde que les défibrillateurs n’ont aucune utilité médicale lorsque les patients refusent de se relever d’entre les morts. L’intervention est trop tardive. Ces essais d’antiviraux montrent un biais de sélection systématique et flagrant. Ils fournissent un traitement qui est futile pour la cohorte spécifique qu’ils enrôlent.

L’Inde est allée à l’encontre des instructions de l’OMS et a rendu obligatoire l’utilisation prophylactique de l’Ivermectine. Ils ont presque complètement éradiqué le COVID-19. L’Association du Barreau Indien de Mumbai a porté des accusations criminelles contre le scientifique en chef de l’OMS, le Dr Soumya Swaminathan, pour avoir recommandé de ne pas utiliser l’Ivermectine.

L’ivermectine n’est pas un « vermifuge pour chevaux ». Oui, elle est vendue sous forme de pâte vétérinaire comme vermifuge pour les animaux. Elle est également disponible sous forme de pilule pour les humains depuis des décennies, en tant que médicament antiparasitaire.

Les médias ont prétendu de façon fallacieuse que parce que l’Ivermectine est un médicament antiparasitaire, elle n’a aucune utilité en tant qu’antivirus. Cette affirmation est inexacte. L’Ivermectine a une utilité en tant qu’antiviral. Elle bloque l’importine, empêchant l’importation nucléaire, inhibant efficacement l’accès viral aux noyaux cellulaires. De nombreux médicaments actuellement sur le marché ont plusieurs modes d’action. L’ivermectine est l’un de ces médicaments. Elle est à la fois antiparasitaire et antivirale.

Au Bangladesh, l’ivermectine coûte 1,80 $ pour un traitement complet de 5 jours. Le Remdesivir, qui est toxique pour le foie, coûte 3.120 $ pour un traitement de 5 jours. Des milliards de dollars de Remdesivir totalement inutile ont été vendus à nos gouvernements aux frais du contribuable, et il s’est avéré totalement inutile pour traiter l’hyperinflammation du COVID-19. Les médias ont à peine couvert cette affaire.

L’opposition à l’utilisation de l’Ivermectine générique n’est pas fondée sur la science. Elle est purement motivée par des raisons financières et politiquement motivée. Une intervention non-vaccinale efficace mettrait en danger l’approbation précipitée de la FDA de vaccins et de médicaments brevetés pour lesquels l’industrie pharmaceutique s’apprête à rafler des milliards et des milliards de dollars de ventes sur une base continue.

La majorité du public est scientifiquement analphabète et ne peut pas comprendre ce que tout cela signifie, à cause d’un système éducatif pathétique qui les a mal éduqués. Vous seriez chanceux de trouver 1 personne sur 100 qui ait la moindre idée de ce que tout cela signifie.

Transmission du COVID-19 :

Le COVID-19 est transmis par voie aérienne. L’OMS a soutenu la Chine en affirmant que le virus n’était transmis que par gouttelettes. Notre propre CDC a affirmé de manière absurde qu’il était principalement transmis par contact de personne à personne, ce qui, étant donné sa propagation rapide de Wuhan au reste du monde, aurait été physiquement impossible.

La croyance ridicule que le contact fomite-à-visage est un mode de transmission primaire a conduit à l’utilisation de protocoles de désinfection des surfaces qui ont entraîné une perte de temps, d’énergie, de productivité et de désinfectant.

Les directives de distanciation sociale de six pieds [NdT. environ 1,80m] sont absolument inutiles. La distance minimale de sécurité pour se protéger d’un virus aérosolisé est de plus de 6 mètres d’une personne infectée, pas moins. En réalité, aucun transport public n’est sûr.

Les masques chirurgicaux ne protègent pas des aérosols. Le virus est trop petit et le média filtrant a des mailles trop larges pour le filtrer. Ils peuvent capter les gouttelettes respiratoires et empêcher le virus d’être expulsé par une personne malade, mais ils ne filtrent pas un nuage d’aérosols infectieux si quelqu’un entre dans ce nuage.

Le niveau minimum de protection contre ce virus est littéralement un respirateur P100, un PAPR/CAPR, ou un respirateur 40 mm de l’OTAN, idéalement associé à une combinaison intégrale en Tyvek ou Tychem, des gants et des chaussons, dont tous les trous et interstices ont été scotchés.

Le SRAS-CoV-2 vivant peut être détecté dans les écoulements d’eaux usées et il peut y avoir une transmission oro-fécale. Au cours de l’épidémie de SRAS en 2003, lors de l’incident d’Amoy Gardens, des centaines de personnes ont été infectées par des matières fécales en aérosol provenant des siphons de sol de leurs appartements.

Dangers des vaccins COVID-19 :

Les vaccins contre le COVID-19 ne sont pas stérilisants et ne préviennent pas l’infection ou la transmission. Ce sont des vaccins « fuyants ». Cela signifie qu’ils suppriment la pression évolutive exercée sur le virus pour qu’il devienne moins mortel. Cela signifie également que les vaccinés sont des porteurs parfaits. En d’autres termes, ceux qui sont vaccinés sont une menace pour les non-vaccinés, et non l’inverse.

Tous les vaccins COVID-19 actuellement utilisés ont subi un minimum de tests, avec des essais cliniques. Bien qu’ils semblent limiter les maladies graves, le profil de sécurité à long terme de ces vaccins reste inconnu.

Certains de ces soi-disant « vaccins » font appel à une nouvelle technologie non testée qui n’a jamais été utilisée dans des vaccins auparavant. Les vaccins traditionnels utilisent des virus affaiblis ou tués pour stimuler une réponse immunitaire. Ce n’est pas le cas des vaccins Moderna et Pfizer-BioNTech. Ils sont censés consister en une injection intramusculaire contenant une suspension de nanoparticules lipidiques remplies d’ARN messager. Ces nanoparticules génèrent une réponse immunitaire en fusionnant avec les cellules de l’épaule du sujet vacciné, en subissant une endocytose, en libérant leur ARNm dans ces cellules, puis en utilisant les ribosomes de ces cellules pour synthétiser in situ des protéines de pointe modifiées du SRAS-CoV-2.

Ces protéines de pointe modifiées migrent ensuite vers la surface de la cellule, où elles sont ancrées en place par un domaine transmembranaire. Le système immunitaire adaptatif détecte la protéine virale non humaine exprimée par ces cellules, puis forme des anticorps contre cette protéine. Cela est censé conférer une protection contre le virus, en entraînant le système immunitaire adaptatif à reconnaître et à produire des anticorps contre la protéine de pointe du virus réel. Les vaccins de J&J et d’AstraZeneca ont une action similaire, mais utilisent un vecteur adénoviral pour la transmission du matériel génétique au lieu d’une nanoparticule lipidique. Ces vaccins ont été produits ou validés à l’aide de lignées cellulaires fœtales HEK-293 et PER.C6, ce à quoi les personnes ayant certaines convictions religieuses peuvent fortement s’opposer.

La protéine de pointe du SRARS-CoV-2 est une protéine hautement pathogène en elle-même. Il est impossible de surestimer le danger que représente l’introduction de cette protéine dans le corps humain.

Les fabricants de vaccins prétendent que le vaccin reste dans les cellules de l’épaule et que la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 produite et exprimée par ces cellules à partir du matériel génétique du vaccin est inoffensif et inerte, grâce à l’insertion de prolines dans la séquence de la protéine de pointe pour la stabiliser dans la conformation de préfusion, empêchant la protéine de pointe de devenir active et de fusionner avec d’autres cellules. Cependant, une étude pharmacocinétique réalisée au Japon a montré que les nanoparticules lipidiques et l’ARNm du vaccin Pfizer ne sont pas restées dans l’épaule et se sont en fait bioaccumulées dans de nombreux organes différents, y compris les organes reproducteurs et les glandes surrénales, ce qui signifie que la protéine de pointe modifiée est exprimée littéralement partout. Ces nanoparticules lipidiques peuvent déclencher une anaphylaxie chez quelques malchanceux, mais ce qui est bien plus inquiétant, c’est l’expression non régulée de la protéine de pointe dans diverses lignées de cellules somatiques éloignées du site d’injection et les conséquences inconnues qui en découlent.

L’ARN messager est normalement consommé juste après sa production dans l’organisme, étant traduit en protéine par un ribosome. L’ARNm du vaccin COVID-19 est produit en dehors du corps, bien avant qu’un ribosome ne le traduise. Entre-temps, il peut accumuler des dommages s’il est mal conservé. Lorsqu’un ribosome tente de traduire un brin d’ARNm endommagé, il peut se bloquer. Lorsque cela se produit, le ribosome devient inutile pour la traduction des protéines car il a maintenant un morceau d’ARNm coincé en lui, comme une carte de dentelle [NdT. Une carte de dentelle est une carte avec tous les trous perforés, principalement utilisées comme blagues pour perturber les lecteurs de cartes] dans un vieux lecteur de cartes perforées. Le tout doit être nettoyé et de nouveaux ribosomes doivent être synthétisés pour le remplacer. Dans les cellules dont la rotation des ribosomes est faible, comme les cellules nerveuses, cela peut entraîner une réduction de la synthèse des protéines, des effets cytopathiques et des neuropathies.

Certaines protéines, y compris la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, ont des sites de clivage protéolytique qui ressemblent à de petites lignes en pointillé indiquant « coupez ici », qui attirent les protéases d’un organisme vivant (essentiellement des ciseaux moléculaires) pour les couper. Il est possible que la S1 soit clivée protéolytiquement de la S2, ce qui fait que la S1 active s’échappe dans la circulation sanguine tout en laissant la « tige » de la S2 intégrée dans la membrane de la cellule qui a exprimé la protéine.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 possède une région superantigénique (SAg), qui peut favoriser une inflammation extrême.

Une étude a montré que les anticorps anti-protéine de pointe fonctionnent comme des auto-anticorps et attaquent les cellules de l’organisme. Les personnes qui ont été vaccinées avec les vaccins COVID-19 ont développé des caillots sanguins, une myocardite, le syndrome de Guillain-Barré, la paralysie de Bell et des poussées de sclérose en plaques, ce qui indique que le vaccin favorise les réactions auto-immunes contre les tissus sains.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 ne se lie pas seulement à l’ACE2. On soupçonne qu’elle possède des régions qui se lient à la basigine, aux intégrines, à la neuropiline-1 et aux lipopolysaccharides bactériens. La protéine de pointe du SRAS-CoV-2, par elle-même, peut potentiellement se lier à n’importe lequel de ces éléments et agir comme un ligand pour eux, déclenchant une activité cellulaire non spécifiée et probablement très inflammatoire.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 contient un insert d’ERAR inhabituel qui forme un site de clivage de la furine. La furine est une protéase humaine omniprésente, ce qui en fait une propriété idéale pour la protéine de pointe, lui conférant un degré élevé de tropisme cellulaire. Aucun coronavirus sauvage de type SRAS apparenté au SRAS-CoV-2 ne possède cette caractéristique, ce qui le rend très suspect, et pourrait être un signe de manipulation humaine.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 possède un domaine de type prion qui accroît son pouvoir infectieux.

Le RBD S1 de la protéine de pointe peut se lier aux protéines de liaison à l’héparine et favoriser l’agrégation amyloïde. Chez l’homme, cela pourrait conduire à la maladie de Parkinson, à la démence à corps de Lewy, à la maladie d’Alzheimer prématurée, ou à diverses autres maladies neurodégénératives. Ceci est très préoccupant car la protéine de pointe S1 du SRAS-CoV-2 est capable de causer des dommages et de traverser la barrière hémato-encéphalique et de pénétrer dans le cerveau. Elle est également capable d’augmenter la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique à d’autres molécules.

Le SRAS-CoV-2, comme d’autres bêtacoronavirus, peut présenter un ADE de type Dengue, ou une facilitation de l’infection par anticorps. Pour ceux qui l’ignorent, certains virus, dont les bêta-coronavirus, présentent une caractéristique appelée ADE. Il existe aussi ce qu’on appelle le péché antigénique originel (Original Antigenic Sin), dans lequel on observe que l’organisme préfère produire des anticorps basés sur des souches virales déjà rencontrées plutôt que sur des souches nouvellement rencontrées.

Dans le cas de l’ADE, les anticorps d’une infection antérieure deviennent non-neutralisants en raison de mutations dans les protéines du virus. Ces anticorps non-neutralisants agissent alors comme des chevaux de Troie, permettant au virus vivant et actif d’être d’être attiré dans les macrophages par l’intermédiaire de leurs récepteurs Fc, ce qui permet au virus d’infecter des cellules immunitaires qu’il n’aurait pas été capable d’infecter auparavant. C’est ce qui s’est produit avec la dengue ; lorsqu’une personne est atteinte de la dengue, qu’elle se rétablit et qu’elle contracte une autre souche, elle peut devenir très, très malade.

Si quelqu’un est vacciné avec un ARNm basé sur la protéine de pointe de la souche initiale de Wuhan du SRAS-CoV-2, et qu’elle est ensuite infectée par une nouvelle souche mutée du virus, elle peut tomber gravement malade. En d’autres termes, il est possible que les vaccins sensibilisent une personne à la maladie.

Il existe un précédent dans l’histoire récente. Le vaccin Dengvaxia de Sanofi contre la dengue a échoué parce qu’il a provoqué une sensibilisation immunitaire chez des personnes dont le système immunitaire n’avait jamais été exposé à la dengue.

Chez les souris immunisées contre le SRAS-CoV et exposées au virus, un proche parent du SRAS-CoV-2, elles ont ont développé une immunosensibilisation, une immunopathologie Th2 et une infiltration d’éosinophiles dans leurs poumons.

On nous a dit que les vaccins à ARNm du SRAS-CoV-2 ne peuvent pas être intégrés dans le génome humain, car l’ARN messager ne peut pas être retransformé en ADN. Cette affirmation est fausse. Il existe des éléments dans les cellules humaines humains appelés rétrotransposons LINE-1, qui peuvent effectivement intégrer l’ARNm dans un génome humain par transcription inverse endogène. Comme l’ARNm utilisé dans les vaccins est stabilisé, il reste dans les cellules plus longtemps, ce qui augmente les chances que cela se produise. Si le gène de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 est intégré dans une partie du génome qui n’est pas silencieuse et qui exprime une protéine, il est possible que les personnes qui reçoivent ce vaccin puissent exprimer continuellement la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 à partir de leurs cellules somatiques pour le reste de leur vie.

En inoculant aux gens un vaccin qui amène leur organisme à produire la protéine de pointe in situ, on leur inocule une protéine pathogène. Une toxine qui peut causer des inflammations à long terme, des problèmes cardiaques, et un risque accru de cancers. A long terme, elle peut aussi potentiellement mener à une maladie neurodégénérative.

Absolument personne ne devrait être obligé de recevoir ce vaccin, en aucune circonstance, et en fait, la campagne de vaccination doit être arrêtée immédiatement.

Conspiration criminelle autour du COVID-19 :

Le vaccin et le virus ont été fabriqués par les mêmes personnes.

En 2014, il y a eu un moratoire sur la recherche sur le gain de fonction du SRAS qui a duré jusqu’en 2017. Cette recherche n’a pas été arrêtée. Au contraire, elle a été externalisée, les subventions fédérales étant blanchies par des ONG.

Ralph Baric est un virologue et un expert du SRAS à l’UNC Chapel Hill en Caroline du Nord.

C’est à lui qu’Anthony Fauci faisait référence lorsqu’il a insisté, devant le Congrès, sur le fait que si des recherches sur les gains de fonction étaient menées, elles étaient menées en Caroline du Nord.

C’était un mensonge. Anthony Fauci a menti devant le Congrès. C’est un crime.

Ralph Baric et Shi Zhengli sont collègues et ont co-écrit des articles ensemble. Ralph Baric a encadré Shi Zhengli dans ses techniques de manipulation de gain de fonction, particulièrement le passage en série, qui résulte en un virus qui semble être d’origine naturelle. En d’autres termes, des armes biologiques indéniables. Le passage en série dans souris humanisées hACE2 a pu produire quelque chose comme le SRAS-CoV-2.

Le financement de la recherche sur le gain de fonction menée à l’Institut de Virologie de Wuhan provient de Peter Daszak. Peter Daszak dirige une ONG appelée EcoHealth Alliance. EcoHealth Alliance a reçu des millions de dollars de subventions du National Institutes of Health/National Institute of Allergy and Infectious Diseases (c’est-à-dire Anthony Fauci), de la Defense Threat Reduction Agency (qui fait partie du Département de la Défense des États-Unis), et de l’Agence des États-Unis pour le Développement International (USAID). Les NIH/NIAID ont contribué à hauteur de quelques millions de dollars, et la DTRA et l’USAID ont chacune contribué à hauteur de dizaines de millions de dollars à cette recherche. Au total, cela représente plus de cent millions de dollars.

EcoHealth Alliance a sous-traité ces subventions à l’Institut de virologie de Wuhan, un laboratoire chinois avec des antécédents très douteux en matière de sécurité et un personnel mal formé, afin qu’il puisse mener des recherches sur le gain de fonction, non pas dans leur luxueux laboratoire P4, mais dans un laboratoire de niveau 2 où les techniciens ne portaient rien de plus sophistiqué qu’un filet à cheveux, des gants en latex et un masque chirurgical, au lieu des combinaisons à bulles utilisées pour travailler avec des virus dangereux. Les scientifiques chinois de Wuhan ont rapporté s’être régulièrement fait mordre et uriner dessus par des animaux de laboratoire. La raison pour laquelle quiconque voudrait externaliser ce travail dangereux et délicat vers la République Populaire de Chine, un pays tristement célèbre pour les accidents industriels et les explosions massives qui ont coûté des centaines de vies, me dépasse complètement, à moins que le but ne soit de déclencher une pandémie intentionnellement.

En novembre 2019, trois techniciens de l’Institut de Virologie de Wuhan ont développé des symptômes correspondant à une maladie de type grippal. Anthony Fauci, Peter Daszak, et Ralph Baric ont su immédiatement ce qui s’était passé, car des canaux de retour existent entre ce laboratoire et nos scientifiques et officiels.

Le 12 décembre 2019, Ralph Baric a signé un accord de transfert de matériel (essentiellement, un NDA) pour recevoir du matériel lié au vaccin à ARNm du coronavirus dont Moderna et les NIH sont copropriétaires. Ce n’est qu’un mois plus tard mois plus tard, le 11 janvier 2020, que la Chine nous a prétendument envoyé la séquence de ce qui allait devenir connu sous le nom de SRAS-CoV-2. Moderna prétend, de manière plutôt absurde, avoir développé un vaccin fonctionnel à partir de cette séquence en moins de 48 heures.

Stéphane Bancel, l’actuel PDG de Moderna, était auparavant PDG de bioMérieux, une multinationale française spécialisée dans les technologies de diagnostic médical, fondée par un certain Alain Mérieux. Alain Mérieux a joué un rôle déterminant dans la construction du laboratoire P4 de l’Institut de Virologie de Wuhan.

La séquence présentée comme la plus proche parente du SRAS-CoV-2, RaTG13, n’est pas un vrai virus. Il s’agit d’une contrefaçon. Elle a été créée en entrant une séquence génétique à la main dans une base de données, afin de créer une histoire de couverture pour l’existence du SRAS-CoV-2, qui est très probablement une chimère à gain de fonction produite à l’Institut de Virologie de Wuhan et qui a fait l’objet d’une fuite accidentelle ou d’une diffusion intentionnelle.

Le réservoir animal du SRAS-CoV-2 n’a jamais été découvert.

Il ne s’agit pas d’une « théorie » de la conspiration. Il s’agit d’une véritable conspiration criminelle, dans laquelle des personnes liées au développement du mRNA-1273 de Moderna sont directement liées à l’Institut de Virologie de Wuhan et à et leur recherche sur le gain de fonction, avec très peu de degrés de séparation, voire aucun. La trace écrite est bien établie.

La théorie de la fuite en laboratoire a été supprimée parce qu’en tirant sur ce fil, on en conclut inévitablement qu’il y a suffisamment de preuves circonstancielles pour lier Moderna, les NIH, l’Institut de Virologie de Wuhan, et à la fois le vaccin et la création du virus. Dans un pays sain d’esprit, cela aurait immédiatement conduit à la plus grande affaire RICO et de meurtre de masse au monde. Anthony Fauci, Peter Daszak, Ralph Baric, Shi Zhengli et Stéphane Bancel, ainsi que leurs complices, auraient été inculpés et poursuivis dans toute la mesure de la loi. Au lieu de cela, des milliards de dollars de nos impôts ont été attribués aux coupables.

Le FBI a fait une descente chez Allure Medical à Shelby Township au nord de Detroit pour avoir facturé à l’assurance des « cures frauduleuses de COVID-19 ». Le traitement qu’ils utilisaient ? De la vitamine C en intraveineuse. Un antioxydant. Ce qui, comme décrit ci-dessus, est un traitement tout à fait valable pour la septicémie induite par le COVID-19, et fait d’ailleurs maintenant partie du protocole MATH+ proposé par le Dr Paul E. Marik.

La FDA a interdit la ranitidine (Zantac) en raison d’une supposée contamination par la NDMA (N-nitrosodiméthylamine). La ranitidine n’est pas seulement un bloqueur de H2 utilisé comme antiacide, mais elle a également un puissant effet antioxydant, éliminant les radicaux hydroxyles. Cela lui confère une utilité dans le traitement du COVID-19.

La FDA a également tenté de retirer des rayons la N-acétylcystéine, un complément d’acide aminé inoffensif et un antioxydant, en obligeant Amazon à le retirer de sa vitrine en ligne.

Cela nous laisse avec une question effrayante : est-ce que la FDA a sciemment supprimé les antioxydants utiles pour traiter la septicémie due au COVID-19 dans le cadre d’une conspiration criminelle contre le public américain ?

L’establishment coopère avec les pires criminels de l’histoire de l’humanité et leur facilite la tâche, suppriment activement les traitements et thérapies non-vaccinales afin de nous contraindre à nous faire injecter les produits de ces criminels dans nos corps. C’est absolument inacceptable.

Développement des vaccins COVID-19 et liens avec le transhumanisme :

Cette section traite de certains aspects plus spéculatifs de la pandémie et de la réaction de l’establishment médical et scientifique à celle-ci, ainsi que les liens troublants entre les scientifiques impliqués dans la recherche de vaccins et les scientifiques dont les travaux impliquent la fusion de la nanotechnologie et des cellules vivantes.

Le 9 juin 2020, Charles Lieber, un chercheur en nanotechnologie de Harvard ayant des décennies d’expérience, a été inculpé par le DOJ (Département de la Justice) pour fraude. Charles Lieber a reçu des millions de dollars de subventions de la part du Département de la Défense des États-Unis, plus précisément des groupes de réflexion militaires DARPA, AFOSR et ONR, ainsi que des NIH et du MITRE. Sa spécialité est l’utilisation de nanofils de silicium à la place d’électrodes de type patch clamp pour surveiller et moduler l’activité intracellulaire, un sujet sur lequel il travaille à Harvard depuis vingt ans. On a prétendu qu’il travaillait sur des batteries à nanofils de silicium en Chine, mais aucun de ses collègues ne se souvient qu’il ait jamais travaillé sur la technologie des batteries; toutes ses recherches portent sur la bionanotechnologie, ou le mélange des nanotechnologies avec les cellules vivantes.

L’accusation porte sur sa collaboration avec l’Université de Technologie de Wuhan. Il avait fait coup double, contre les termes de ses subventions du Ministère de la Défense, et pris de l’argent du plan « Mille talents » de la RPC, un programme que le gouvernement chinois utilise pour corrompre les scientifiques occidentaux afin qu’ils partagent des informations exclusives sur la R&D qui peuvent être exploitées par l’APL pour obtenir un avantage stratégique.

Les articles de Charles Lieber décrivent l’utilisation de nanofils de silicium pour les interfaces cerveau-ordinateur, ou la technologie du « lacet neuronal ». Ses articles décrivent comment les neurones peuvent endocytoser des nanofils de silicium entiers ou des parties de ceux-ci, surveillant et même modulant l’activité neuronale.

Charles Lieber était un collègue de Robert Langer. Ensemble, avec Daniel S. Kohane, ils ont travaillé sur un article décrivant des échafaudages de tissus artificiels qui pourraient être implantés dans un cœur humain pour surveiller son activité à distance.

Robert Langer, ancien élève du MIT et expert en nanotechnologies d’administration de médicaments, est l’un des cofondateurs de la société Moderna. Sa valeur nette s’élève aujourd’hui à 5,1 milliards de dollars américains grâce aux ventes du vaccin mRNA-1273 de Moderna.

Les bibliographies de Charles Lieber et de Robert Langer décrivent essentiellement des techniques d’amélioration de l’homme, c’est-à-dire le transhumanisme. Klaus Schwab, fondateur du Forum Economique Mondial et l’architecte de ce que l’on appelle le « Great Reset », parle depuis longtemps, dans ses livres, du « mélange de la biologie et des machines ».

Depuis ces révélations, des chercheurs indépendants ont découvert que les vaccins COVID-19 pouvaient contenir des nanoparticules d’oxyde de graphène réduit. Des chercheurs japonais ont également trouvé des contaminants inexpliqués dans les vaccins COVID-19.

L’oxyde de graphène est un anxiolytique. Il a été démontré qu’il réduit l’anxiété des souris de laboratoire lorsqu’il est injecté dans leur cerveau. En effet, étant donné la propension de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 à compromettre la barrière hémato-encéphalique et à augmenter sa perméabilité, il s’agit de la protéine parfaite pour préparer le tissu cérébral à l’extravasation de nanoparticules de la circulation sanguine vers le cerveau. Le graphène est également hautement conducteur et, dans certaines circonstances, paramagnétique.

En 2013, sous l’administration Obama, la DARPA a lancé l’initiative BRAIN ; BRAIN est un acronyme pour Brain Research Through Advancing Innovative Neurotechnologies®. Ce programme implique le développement de technologies d’interface cerveau-ordinateur (brain-computer interface – BCI) pour l’armée, notamment des systèmes non invasifs et injectables qui causent des dommages minimes au tissu cérébral lorsqu’ils sont retirés. En principe, cette technologie serait utilisée pour soigner les soldats blessés souffrant de lésions cérébrales traumatiques, pour le contrôle direct par le cerveau de membres prosthétiques, et même de nouvelles capacités telles que le contrôle des drones par l’esprit.

Plusieurs méthodes ont été proposées pour y parvenir, notamment l’optogénétique, la magnétogénétique, les ultrasons, les électrodes implantées et la stimulation électromagnétique transcrânienne. Dans tous les cas, l’objectif est d’obtenir une capacité de lecture ou de lecture-écriture sur les neurones, soit en les stimulant et en les sondant, soit en les rendant particulièrement sensibles à la stimulation et au sondage.

Cependant, l’idée d’une utilisation généralisée de la technologie BCI, comme le dispositif Neuralink d’Elon Musk, soulève de nombreuses inquiétudes quant au respect de la vie privée et à l’autonomie personnelle. La lecture des neurones est déjà problématique en soi. Les interfaces cerveau-ordinateur sans fil peuvent interagir avec l’infrastructure GSM sans fil actuelle ou future, ce qui pose des problèmes de sécurité des données neurologiques. Un pirate informatique ou un autre acteur malveillant pourrait compromettre ces réseaux pour obtenir des données sur le cerveau des gens, puis les exploiter à des fins malveillantes.

Cependant, un dispositif capable d’écrire dans les neurones humains, et pas seulement de les lire, présente une autre série de problèmes éthiques encore plus graves. Une BCI capable d’altérer le contenu de l’esprit d’une personne à des fins inoffensives, comme la projection d’un affichage « tête haute » sur le centre visuel du cerveau ou l’envoi de sons dans le cortex auditif, serait aussi théoriquement capable de modifier l’humeur et la personnalité, ou peut-être même de subjuguer la volonté d’une personne, la rendant totalement obéissante à l’autorité. Cette technologie serait le rêve éveillé d’un tyran. Imaginez des soldats qui tireraient sur leurs propres compatriotes sans hésiter, ou des serfs impuissants qui se contentent de vivre dans de véritables niches à chiens.

Les BCI pourraient être utilisées pour modifier sans scrupule la perception de choses aussi fondamentales que les émotions et les valeurs, changer les seuils de satiété, de bonheur, de colère, de dégoût, etc. des gens. Ce n’est pas sans conséquence. L’ensemble des comportements d’une personne pourrait être modifié par une BCI, y compris des choses telles que supprimer son appétit ou son désir pour pratiquement tout ce qui figure dans la hiérarchie des besoins de Maslow.

Tout est possible lorsqu’on dispose d’un accès direct au cerveau d’une personne et à son contenu. Une personne obèse pourrait être dégoûtée à la vue de la nourriture. Quelqu’un qui est involontairement célibataire pourrait avoir sa libido désactivée pour qu’elle ne désire même pas de sexe du tout. Quelqu’un qui est raciste pourrait être forcé à se réjouir de cohabiter avec des personnes d’autres races. Quelqu’un de violent pourrait être forcé à être doux et soumis. Ces choses peuvent sembler bonnes à un tyran, mais pour les gens normaux, l’idée d’un tel dépassement de l’autonomie personnelle est consternante.

Pour les riches, les lacets neuronaux seraient une aubaine inégalée, leur donnant la possibilité d’augmenter leur intelligence avec des neuroprothèses (c’est-à-dire un « exocortex »), et de donner des ordres irrésistibles directement dans l’esprit de leurs serviteurs dotés d’un BCI, même s’il s’agit d’ordres physiques ou sexuels abusifs qu’ils auraient normalement refusés.

Si le vaccin est une méthode pour introduire subrepticement une BCI injectable dans le corps de millions de personnes à leur insu ou sans leur consentement, alors nous assistons à la montée en puissance d’un régime tyrannique sans équivalent, jamais vu auparavant sur cette planète, un régime qui a l’intention de priver chaque homme, femme, et enfant de son libre arbitre.

Nos défauts sont ce qui nous rend humains. Une utopie obtenue en supprimant le libre arbitre des gens n’est pas une utopie du tout. C’est un cauchemar monomaniaque. En outre, les gens qui nous gouvernent sont des types de la Triade noire à qui on ne peut confier un tel pouvoir. Imaginez être battu et agressé sexuellement par un riche et puissant psychopathe et être forcé de sourire et d’en rire parce que votre lacet neural ne vous donne pas d’autre choix que d’obéir à votre maître.

Les élites vont de l’avant avec cette technologie sans laisser aux gens la possibilité de s’interroger sur les ramifications sociales ou éthiques, ou d’établir des cadres réglementaires qui garantissent que nos choix personnells et notre autonomie ne seront pas supplantés par ces dispositifs. Ils font cela parce qu’ils rêvent secrètement d’un avenir où ils pourront vous traiter pire qu’un animal et où vous ne pourrez même pas vous défendre. Si ce plan diabolique est autorisé à se poursuivre, cela signifiera la fin de l’humanité telle que nous la connaissons.

Conclusions :

La pandémie actuelle a été produite et perpétuée par l’establishment, par l’utilisation d’un virus conçu dans un laboratoire de guerre biologique chinois lié à l’APL, avec l’aide de l’argent des contribuables américains et de l’expertise française.

Cette recherche a été menée sous l’euphémisme absolument ridicule de recherche à « gain de fonction », qui est censée être effectuée afin de déterminer quels virus ont le plus grand potentiel de propagation zoonotique et de vacciner ou de protéger de manière préventive.

La recherche à « gain de fonction/gain de menace », aussi appelée Dual-Use Research of Concern ou DURC, est une recherche sur les armes biologiques sous un autre nom, à consonance plus agréable, simplement pour éviter le tabou de l’appeler par son nom réel. Il s’agit depuis toujours de recherche sur les armes biologiques. Les personnes qui mènent cette recherche comprennent parfaitement qu’ils prennent des agents pathogènes sauvages qui ne sont pas infectieux pour les humains et les rendent plus infectieux, souvent grâce à des subventions de groupes de réflexion militaires qui les encouragent à le faire.

Les virologues qui mènent ce type de recherche sont des ennemis de leurs semblables, comme les pompiers pyromanes. La recherche sur le gain de fonction n’a jamais protégé personne d’une quelconque pandémie. En fait, elle en a maintenant déclenché une, ce qui signifie que son utilité pour la prévention des pandémies est en fait négative. Elle aurait dû être interdite mondialement, et les fous qui l’exécutent auraient dû être mis dans des camisoles de force depuis longtemps.

Que ce soit à cause d’une fuite ou d’une diffusion intentionnelle de l’Institut de Virologie de Wuhan, une souche mortelle de SRAS est maintenant endémique à travers le monde, après que l’OMS, le CDC et les fonctionnaires aient d’abord minimisé les risques, puis aient intentionnellement provoqué une panique et des blocages qui ont mis en danger la santé des gens et leurs moyens de subsistance.

Cela a ensuite été utilisé par la classe aristocratique complètement dépravée et psychopathe qui nous gouverne comme excuse pour forcer les gens à accepter un poison injecté qui peut être un agent de dépeuplement, un agent de contrôle/pacification de l’esprit sous forme de « poussière intelligente » injectable, ou les deux à la fois. Ils pensent qu’ils peuvent s’en tirer en utilisant la stigmatisation sociale du refus du vaccin. Ils ont tort.

Leurs motivations sont claires et évidentes pour quiconque y a prêté attention. Ces mégalomanes ont pillé les fonds de pension du monde libre. Wall Street est insolvable et a connu une crise de liquidités depuis la fin de l’année 2019. L’objectif est maintenant d’exercer un contrôle physique, mental et financier total sur l’humanité avant que nous réalisions à quel point nous avons été extorqués par ces maniaques.

La pandémie et sa réponse ont servi de multiples objectifs pour l’élite :

  • Dissimuler une dépression provoquée par le pillage usuraire de nos économies mené par des capitalistes rentiers et des propriétaires absents qui ne produisent absolument rien qui ait une quelconque valeur pour la société. Au lieu d’avoir un Occupy Wall Street Part II très prévisible, les Elites et leurs laquais ont pu se montrer à la télévision et se présenter comme des sauveurs sages et tout-puissants au lieu de la cabale maraudeuse de méprisables pirates terrestres qu’ils sont.
  • Détruire les petites entreprises et éroder la classe moyenne.
  • Transférer des milliers de milliards de dollars de richesses du public américain dans les poches des milliardaires et d’intérêts particuliers.
  • S’engager dans des délits d’initiés, acheter des actions dans des sociétés de biotechnologie et ruiner les commerces de détail et les agences de voyage, dans le but de faire disparaître le commerce et le tourisme en face-à-face et de les remplacer par le commerce électronique et la servitisation.
  • Créer un casus belli pour une guerre avec la Chine, nous encourager à l’attaquer, gaspiller les vies et l’argent américains et nous conduire au bord de l’armageddon nucléaire.
  • Établir des cadres technologiques et de biosécurité pour le contrôle des populations et des « villes intelligentes » technocratiques-socialistes où les mouvements de chacun sont suivis de façon despotique, tout cela en prévision l’automatisation généralisée, le chômage, et les pénuries alimentaires, en utilisant le faux prétexte d’un vaccin pour forcer la coopération.

Chacune de ces choses constituerait un viol vicieux de la société occidentale. Prises ensemble, elles dépassent l’entendement ; elles sont une inversion complète de nos valeurs les plus précieuses.

Quel est le but de tout cela ? On ne peut que spéculer sur les motivations des auteurs, cependant, nous avons quelques théories.

Les élites tentent de tirer l’échelle vers le haut, d’effacer la mobilité ascendante pour de larges segments de la population, d’éliminer les opposants politiques et autres « indésirables », et de tenir en laisse le reste de l’humanité, en rationnant notre accès à certains biens et services qu’ils ont jugé « à fort impact », tels que l’utilisation de l’automobile, le tourisme, la consommation de viande, etc. Naturellement, ils continueront à avoir leurs propres luxes, dans le cadre d’un système de castes strict, semblable au féodalisme.

Pourquoi font-ils cela ? C’est simple. Les élites sont néo-malthusiennes et croient que nous sommes surpeuplés et que l’épuisement des ressources fera s’effondrer la civilisation en quelques décennies. Ils ne sont pas nécessairement erronés dans cette croyance. Nous sommes surpeuplés et nous consommons trop de ressources. Cependant, orchestrer une prise de pouvoir aussi horrible et meurtrière en réponse à une crise imminente démontre qu’ils n’ont que le plus grand mépris pour leurs semblables.

À ceux qui participent à cette farce dégoûtante sans comprendre ce qu’ils font, nous n’avons qu’un mot à dire. Arrêtez. Vous causez un tort irréparable à votre pays et à vos concitoyens.

À ceux qui lisent cet avertissement et qui ont une connaissance et une compréhension totales de ce qu’ils font et de la façon dont cela va injustement nuire à des millions d’innocents, nous avons encore quelques mots.

Allez en enfer. Vous ne détruirez pas l’Amérique et le monde libre, et vous n’aurez pas votre Nouvel Ordre Mondial. Nous nous en assurerons.

[voir la liste des références bibliographiques dans le document original]


Texte original

Hello,

My name is Spartacus, and I’ve had enough.

We have been forced to watch America and the Free World spin into inexorable decline due to a biowarfare attack. We, along with countless others, have been victimized and gaslit by propaganda and psychological warfare operations being conducted by an unelected, unaccountable Elite against the American people and our allies.

Our mental and physical health have suffered immensely over the course of the past year and a half. We have felt the sting of isolation, lockdown, masking, quarantines, and other completely nonsensical acts of healthcare theater that have done absolutely nothing to protect the health or wellbeing of the public from the ongoing COVID-19 pandemic.

Now, we are watching the medical establishment inject literal poison into millions of our fellow Americans without so much as a fight.

We have been told that we will be fired and denied our livelihoods if we refuse to vaccinate. This was the last straw.

We have spent thousands of hours analyzing leaked footage from Wuhan, scientific papers from primary sources, as well as the paper trails left by the medical establishment.

What we have discovered would shock anyone to their core.

First, we will summarize our findings, and then, we will explain them in detail. References will be placed at the end.

Summary:

  • COVID-19 is a blood and blood vessel disease. SARS-CoV-2 infects the lining of human blood vessels, causing them to leak into the lungs.
  • Current treatment protocols (e.g. invasive ventilation) are actively harmful to patients, accelerating oxidative stress and causing severe VILI (ventilator-induced lung injuries). The continued use of ventilators in the absence of any proven medical benefit constitutes mass murder.
  • Existing countermeasures are inadequate to slow the spread of what is an aerosolized and potentially wastewater-borne virus, and constitute a form of medical theater.
  • Various non-vaccine interventions have been suppressed by both the media and the medical establishment in favor of vaccines and expensive patented drugs.
  • The authorities have denied the usefulness of natural immunity against COVID-19, despite the fact that natural immunity confers protection against all of the virus’s proteins, and not just one.
  • Vaccines will do more harm than good. The antigen that these vaccines are based on, SARS-CoV-2 Spike, is a toxic protein. SARS-CoV-2 may have ADE, or antibody-dependent enhancement; current antibodies may not neutralize future strains, but instead help them infect immune cells. Also, vaccinating during a pandemic with a leaky vaccine removes the evolutionary pressure for a virus to become less lethal.
  • There is a vast and appalling criminal conspiracy that directly links both Anthony Fauci and Moderna to the Wuhan Institute of Virology.
  • COVID-19 vaccine researchers are directly linked to scientists involved in brain-computer interface (“neural lace”) tech, one of whom was indicted for taking grant money from China.
  • Independent researchers have discovered mysterious nanoparticles inside the vaccines that are not supposed to be present.
  • The entire pandemic is being used as an excuse for a vast political and economic transformation of Western society that will enrich the already rich and turn the rest of us into serfs and untouchables.

COVID-19 Pathophysiology and Treatments:

COVID-19 is not a viral pneumonia. It is a viral vascular endotheliitis and attacks the lining of blood vessels, particularly the small pulmonary alveolar capillaries, leading to endothelial cell activation and sloughing, coagulopathy, sepsis, pulmonary edema, and ARDS-like symptoms. This is a disease of the blood and blood vessels. The circulatory system. Any pneumonia that it causes is secondary to that.

In severe cases, this leads to sepsis, blood clots, and multiple organ failure, including hypoxic and inflammatory damage to various vital organs, such as the brain, heart, liver, pancreas, kidneys, and intestines.

Some of the most common laboratory findings in COVID-19 are elevated D-dimer, elevated prothrombin time, elevated C-reactive protein, neutrophilia, lymphopenia, hypocalcemia, and hyperferritinemia, essentially matching a profile of coagulopathy and immune system hyperactivation/immune cell exhaustion.

COVID-19 can present as almost anything, due to the wide tropism of SARS-CoV-2 for various tissues in the body’s vital organs. While its most common initial presentation is respiratory illness and flu-like symptoms, it can present as brain inflammation, gastrointestinal disease, or even heart attack or pulmonary embolism.

COVID-19 is more severe in those with specific comorbidities, such as obesity, diabetes, and hypertension. This is because these conditions involve endothelial dysfunction, which renders the circulatory system more susceptible to infection and injury by this particular virus.

The vast majority of COVID-19 cases are mild and do not cause significant disease. In known cases, there is something known as the 80/20 rule, where 80% of cases are mild and 20% are severe or critical.

However, this ratio is only correct for known cases, not all infections. The number of actual infections is much, much higher. Consequently, the mortality and morbidity rate is lower. However, COVID-19 spreads very quickly, meaning that there are a significant number of severely-ill and critically-ill patients appearing in a short time frame.

In those who have critical COVID-19-induced sepsis, hypoxia, coagulopathy, and ARDS, the most common treatments are intubation, injected corticosteroids, and blood thinners. This is not the correct treatment for COVID-19. In severe hypoxia, cellular metabolic shifts cause ATP to break down into hypoxanthine, which, upon the reintroduction of oxygen, causes xanthine oxidase to produce tons of highly damaging radicals that attack tissue. This is called ischemia-reperfusion injury, and it’s why the
majority of people who go on a ventilator are dying. In the mitochondria, succinate buildup due to sepsis does the same exact thing; when oxygen is reintroduced, it makes superoxide radicals. Make no mistake, intubation will kill people who have COVID-19.

The end-stage of COVID-19 is severe lipid peroxidation, where fats in the body start to “rust” due to damage by oxidative stress. This drives autoimmunity. Oxidized lipids appear as foreign objects to the immune system, which recognizes and forms antibodies against OSEs, or oxidation-specific epitopes. Also, oxidized lipids feed directly into pattern recognition receptors, triggering even more inflammation and summoning even more cells of the innate immune system that release even more destructive enzymes. This is similar to the pathophysiology of Lupus.

The breakdown of the pathology is as follows:

SARS-CoV-2 Spike binds to ACE2. Angiotensin Converting Enzyme 2 is an enzyme that is part of the renin-angiotensin-aldosterone system, or RAAS. The RAAS is a hormone control system that moderates fluid volume in the body and in the bloodstream (i.e. osmolarity) by controlling salt retention and excretion. This protein, ACE2, is ubiquitous in every part of the body that interfaces with the circulatory
system, particularly in vascular endothelial cells and pericytes, brain astrocytes, renal tubules and podocytes, pancreatic islet cells, bile duct and intestinal epithelial cells, and the seminiferous ducts of the testis, all of which SARS-CoV-2 can infect, not just the lungs.

SARS-CoV-2 infects a cell as follows: SARS-CoV-2 Spike undergoes a conformational change where the S1 trimers flip up and extend, locking onto ACE2 bound to the surface of a cell. TMPRSS2, or transmembrane protease serine 2, comes along and cuts off the heads of the Spike, exposing the S2 stalk-shaped subunit inside. The remainder of the Spike undergoes a conformational change that causes it to unfold like an extension ladder, embedding itself in the cell membrane. Then, it folds back upon itself, pulling the viral membrane and the cell membrane together. The two membranes fuse, with the virus’s proteins migrating out onto the surface of the cell. The SARS-CoV-2 nucleocapsid enters the cell, disgorging its genetic material and beginning the viral replication process, hijacking the cell’s own structures to produce more virus.

SARS-CoV-2 Spike proteins embedded in a cell can actually cause human cells to fuse together, forming syncytia/MGCs (multinuclear giant cells). They also have other pathogenic, harmful effects. SARS-CoV-2’s viroporins, such as its Envelope protein, act as calcium ion channels, introducing calcium into infected cells. The virus suppresses the natural interferon response, resulting in delayed inflammation.
SARS-CoV-2 N protein can also directly activate the NLRP3 inflammasome. Also, it suppresses the Nrf2 antioxidant pathway. The suppression of ACE2 by binding with Spike causes a buildup of bradykinin that would otherwise be broken down by ACE2.

This constant calcium influx into the cells results in (or is accompanied by) noticeable hypocalcemia, or low blood calcium, especially in people with Vitamin D deficiencies and pre-existing endothelial dysfunction. Bradykinin upregulates cAMP, cGMP, COX, and Phospholipase C activity. This results in prostaglandin release and vastly increased intracellular calcium signaling, which promotes highly aggressive ROS release and ATP depletion. NADPH oxidase releases superoxide into the extracellular
space. Superoxide radicals react with nitric oxide to form peroxynitrite. Peroxynitrite reacts with the tetrahydrobiopterin cofactor needed by endothelial nitric oxide synthase, destroying it and “uncoupling” the enzymes, causing nitric oxide synthase to synthesize more superoxide instead. This proceeds in a positive feedback loop until nitric oxide bioavailability in the circulatory system is depleted.

Dissolved nitric oxide gas produced constantly by eNOS serves many important functions, but it is also antiviral against SARS-like coronaviruses, preventing the palmitoylation of the viral Spike protein and making it harder for it to bind to host receptors. The loss of NO allows the virus to begin replicating with impunity in the body. Those with endothelial dysfunction (i.e. hypertension, diabetes, obesity, old age, African-American race) have redox equilibrium issues to begin with, giving the virus an advantage.

Due to the extreme cytokine release triggered by these processes, the body summons a great deal of neutrophils and monocyte-derived alveolar macrophages to the lungs. Cells of the innate immune system are the first-line defenders against pathogens. They work by engulfing invaders and trying to attack them with enzymes that produce powerful oxidants, like SOD and MPO. Superoxide dismutase takes superoxide and makes hydrogen peroxide, and myeloperoxidase takes hydrogen peroxide and chlorine ions and makes hypochlorous acid, which is many, many times more reactive than sodium hypochlorite bleach.

Neutrophils have a nasty trick. They can also eject these enzymes into the extracellular space, where they will continuously spit out peroxide and bleach into the bloodstream. This is called neutrophil extracellular trap formation, or, when it becomes pathogenic and counterproductive, NETosis. In severe and critical COVID-19, there is actually rather severe NETosis.

Hypochlorous acid building up in the bloodstream begins to bleach the iron out of heme and compete for O2 binding sites. Red blood cells lose the ability to transport oxygen, causing the sufferer to turn blue in the face. Unliganded iron, hydrogen peroxide, and superoxide in the bloodstream undergo the Haber-Weiss and Fenton reactions, producing extremely reactive hydroxyl radicals that violently strip electrons from surrounding fats and DNA, oxidizing them severely.

This condition is not unknown to medical science. The actual name for all of this is acute sepsis.

We know this is happening in COVID-19 because people who have died of the disease have noticeable ferroptosis signatures in their tissues, as well as various other oxidative stress markers such as nitrotyrosine, 4-HNE, and malondialdehyde.

When you intubate someone with this condition, you are setting off a free radical bomb by supplying the cells with O2. It’s a catch-22, because we need oxygen to make Adenosine Triphosphate (that is, to live), but O2 is also the precursor of all these damaging radicals that lead to lipid peroxidation.

The correct treatment for severe COVID-19 related sepsis is non-invasive ventilation, steroids, and antioxidant infusions. Most of the drugs repurposed for COVID-19 that show any benefit whatsoever in rescuing critically-ill COVID-19 patients are antioxidants. N-acetylcysteine, melatonin, fluvoxamine, budesonide, famotidine, cimetidine, and ranitidine are all antioxidants. Indomethacin prevents iron-driven oxidation of arachidonic acid to isoprostanes. There are powerful antioxidants such as apocynin that have not even been tested on COVID-19 patients yet which could defang neutrophils, prevent lipid peroxidation, restore endothelial health, and restore oxygenation to the tissues.

Scientists who know anything about pulmonary neutrophilia, ARDS, and redox biology have known or surmised much of this since March 2020. In April 2020, Swiss scientists confirmed that COVID-19 was a vascular endotheliitis. By late 2020, experts had already concluded that COVID-19 causes a form of viral sepsis. They also know that sepsis can be effectively treated with antioxidants. None of this information is particularly new, and yet, for the most part, it has not been acted upon. Doctors continue to use damaging intubation techniques with high PEEP settings despite high lung compliance and poor oxygenation, killing an untold number of critically ill patients with medical malpractice.

Because of the way they are constructed, Randomized Control Trials will never show any benefit for any antiviral against COVID-19. Not Remdesivir, not Kaletra, not HCQ, and not Ivermectin. The reason for this is simple; for the patients that they have recruited for these studies, such as Oxford’s ludicrous RECOVERY study, the intervention is too late to have any positive effect.

The clinical course of COVID-19 is such that by the time most people seek medical attention for hypoxia, their viral load has already tapered off to almost nothing. If someone is about 10 days post-exposure and has already been symptomatic for five days, there is hardly any virus left in their bodies, only cellular damage and derangement that has initiated a hyperinflammatory response. It is from this group that the clinical trials for antivirals have recruited, pretty much exclusively.

In these trials, they give antivirals to severely ill patients who have no virus in their bodies, only a delayed hyperinflammatory response, and then absurdly claim that antivirals have no utility in treating or preventing COVID-19. These clinical trials do not recruit people who are pre-symptomatic. They do not test pre-exposure or post-exposure prophylaxis.

This is like using a defibrillator to shock only flatline, and then absurdly claiming that defibrillators have no medical utility whatsoever when the patients refuse to rise from the dead. The intervention is too late. These trials for antivirals show systematic, egregious selection bias. They are providing a treatment that is futile to the specific cohort they are enrolling.

India went against the instructions of the WHO and mandated the prophylactic usage of Ivermectin. They have almost completely eradicated COVID-19. The Indian Bar Association of Mumbai has brought criminal charges against WHO Chief Scientist Dr. Soumya Swaminathan for recommending against the use of Ivermectin.

Ivermectin is not “horse dewormer”. Yes, it is sold in veterinary paste form as a dewormer for animals. It has also been available in pill form for humans for decades, as an antiparasitic drug.

The media have disingenuously claimed that because Ivermectin is an antiparasitic drug, it has no utility as an antivirus. This is incorrect. Ivermectin has utility as an antiviral. It blocks importin, preventing nuclear import, effectively inhibiting viral access to cell nuclei. Many drugs currently on the market have multiple modes of action. Ivermectin is one such drug. It is both antiparasitic and antiviral.

In Bangladesh, Ivermectin costs $1.80 for an entire 5-day course. Remdesivir, which is toxic to the liver, costs $3,120 for a 5-day course of the drug. Billions of dollars of utterly useless Remdesivir were sold to our governments on the taxpayer’s dime, and it ended up being totally useless for treating hyperinflammatory COVID-19. The media has hardly even covered this at all.

The opposition to the use of generic Ivermectin is not based in science. It is purely financially and politically-motivated. An effective non-vaccine intervention would jeopardize the rushed FDA approval of patented vaccines and medicines for which the pharmaceutical industry stands to rake in billions upon billions of dollars in sales on an ongoing basis.

The majority of the public are scientifically illiterate and cannot grasp what any of this even means, thanks to a pathetic educational system that has miseducated them. You would be lucky to find 1 in 100 people who have even the faintest clue what any of this actually means.

COVID-19 Transmission:

COVID-19 is airborne. The WHO carried water for China by claiming that the virus was only droplet-borne. Our own CDC absurdly claimed that it was mostly transmitted by fomite-to-face contact, which, given its rapid spread from Wuhan to the rest of the world, would have been physically impossible.

The ridiculous belief in fomite-to-face being a primary mode of transmission led to the use of surface disinfection protocols that wasted time, energy, productivity, and disinfectant.

The 6-foot guidelines are absolutely useless. The minimum safe distance to protect oneself from an aerosolized virus is to be 15+ feet away from an infected person, no closer. Realistically, no public transit is safe.

Surgical masks do not protect you from aerosols. The virus is too small and the filter media has too large of gaps to filter it out. They may catch respiratory droplets and keep the virus from being expelled by someone who is sick, but they do not filter a cloud of infectious aerosols if someone were to walk into said cloud.

The minimum level of protection against this virus is quite literally a P100 respirator, a PAPR/CAPR, or a 40mm NATO CBRN respirator, ideally paired with a full-body tyvek or tychem suit, gloves, and booties, with all the holes and gaps taped.

Live SARS-CoV-2 may potentially be detected in sewage outflows, and there may be oral-fecal transmission. During the SARS outbreak in 2003, in the Amoy Gardens incident, hundreds of people were infected by aerosolized fecal matter rising from floor drains in their apartments.

COVID-19 Vaccine Dangers:

The vaccines for COVID-19 are not sterilizing and do not prevent infection or transmission. They are “leaky” vaccines. This means they remove the evolutionary pressure on the virus to become less lethal. It also means that the vaccinated are perfect carriers. In other words, those who are vaccinated are a threat to the unvaccinated, not the other way around.

All of the COVID-19 vaccines currently in use have undergone minimal testing, with highly accelerated clinical trials. Though they appear to limit severe illness, the long-term safety profile of these vaccines remains unknown.

Some of these so-called “vaccines” utilize an untested new technology that has never been used in vaccines before. Traditional vaccines use weakened or killed virus to stimulate an immune response. The Moderna and Pfizer-BioNTech vaccines do not. They are purported to consist of an intramuscular shot containing a suspension of lipid nanoparticles filled with messenger RNA. The way they generate an immune response is by fusing with cells in a vaccine recipient’s shoulder, undergoing endocytosis, releasing their mRNA cargo into those cells, and then utilizing the ribosomes in those cells to synthesize modified SARS-CoV-2 Spike proteins in-situ.

These modified Spike proteins then migrate to the surface of the cell, where they are anchored in place by a transmembrane domain. The adaptive immune system detects the non-human viral protein being expressed by these cells, and then forms antibodies against that protein. This is purported to confer protection against the virus, by training the adaptive immune system to recognize and produce antibodies against the Spike on the actual virus. The J&J and AstraZeneca vaccines do something similar, but use an adenovirus vector for genetic material delivery instead of a lipid nanoparticle. These vaccines were produced or validated with the aid of fetal cell lines HEK-293 and PER.C6, which people with certain religious convictions may object strongly to.

SARS-CoV-2 Spike is a highly pathogenic protein on its own. It is impossible to overstate the danger presented by introducing this protein into the human body.

It is claimed by vaccine manufacturers that the vaccine remains in cells in the shoulder, and that SARS-CoV-2 Spike produced and expressed by these cells from the vaccine’s genetic material is harmless and inert, thanks to the insertion of prolines in the Spike sequence to stabilize it in the prefusion conformation, preventing the Spike from becoming active and fusing with other cells. However, a pharmacokinetic study from Japan showed that the lipid nanoparticles and mRNA from the Pfizer vaccine did not stay in the shoulder, and in fact bioaccumulated in many different organs, including the reproductive organs and adrenal glands, meaning that modified Spike is being expressed quite literally all over the place. These lipid nanoparticles may trigger anaphylaxis in an unlucky few, but far more concerning is the unregulated expression of Spike in various somatic cell lines far from the injection site and the unknown consequences of that.

Messenger RNA is normally consumed right after it is produced in the body, being translated into a protein by a ribosome. COVID-19 vaccine mRNA is produced outside the body, long before a ribosome translates it. In the meantime, it could accumulate damage if inadequately preserved. When a ribosome attempts to translate a damaged strand of mRNA, it can become stalled. When this happens, the ribosome becomes useless for translating proteins because it now has a piece of mRNA stuck in it, like a lace card in an old punch card reader. The whole thing has to be cleaned up and new ribosomes synthesized to replace it. In cells with low ribosome turnover, like nerve cells, this can lead to reduced protein synthesis, cytopathic effects, and neuropathies.

Certain proteins, including SARS-CoV-2 Spike, have proteolytic cleavage sites that are basically like little dotted lines that say “cut here”, which attract a living organism’s own proteases (essentially, molecular scissors) to cut them. There is a possibility that S1 may be proteolytically cleaved from S2, causing active S1 to float away into the bloodstream while leaving the S2 “stalk” embedded in the membrane of the
cell that expressed the protein.

SARS-CoV-2 Spike has a Superantigenic region (SAg), which may promote extreme inflammation.

Anti-Spike antibodies were found in one study to function as autoantibodies and attack the body’s own cells. Those who have been immunized with COVID-19 vaccines have developed blood clots, myocarditis, Guillain-Barre Syndrome, Bell’s Palsy, and multiple sclerosis flares, indicating that the vaccine promotes autoimmune reactions against healthy tissue.

SARS-CoV-2 Spike does not only bind to ACE2. It was suspected to have regions that bind to basigin, integrins, neuropilin-1, and bacterial lipopolysaccharides as well. SARS-CoV-2 Spike, on its own, can potentially bind any of these things and act as a ligand for them, triggering unspecified and likely highly inflammatory cellular activity.

SARS-CoV-2 Spike contains an unusual PRRA insert that forms a furin cleavage site. Furin is a ubiquitous human protease, making this an ideal property for the Spike to have, giving it a high degree of cell tropism. No wild-type SARS-like coronaviruses related to SARS-CoV-2 possess this feature, making it highly suspicious, and perhaps a sign of human tampering.

SARS-CoV-2 Spike has a prion-like domain that enhances its infectiousness.

The Spike S1 RBD may bind to heparin-binding proteins and promote amyloid aggregation. In humans, this could lead to Parkinson’s, Lewy Body Dementia, premature Alzheimer’s, or various other neurodegenerative diseases. This is very concerning because SARS-CoV-2 S1 is capable of injuring and penetrating the blood-brain barrier and entering the brain. It is also capable of increasing the permeability of the blood-brain barrier to other molecules.

SARS-CoV-2, like other betacoronaviruses, may have Dengue-like ADE, or antibody-dependent enhancement of disease. For those who aren’t aware, some viruses, including betacoronaviruses, have a feature called ADE. There is also something called Original Antigenic Sin, which is the observation that the body prefers to produce antibodies based on previously-encountered strains of a virus over newly-encountered ones.

In ADE, antibodies from a previous infection become non-neutralizing due to mutations in the virus’s proteins. These non-neutralizing antibodies then act as trojan horses, allowing live, active virus to be pulled into macrophages through their Fc receptor pathways, allowing the virus to infect immune cells that it would not have been able to infect before. This has been known to happen with Dengue Fever; when someone gets sick with Dengue, recovers, and then contracts a different strain, they can get very,
very ill.

If someone is vaccinated with mRNA based on the Spike from the initial Wuhan strain of SARS-CoV-2, and then they become infected with a future, mutated strain of the virus, they may become severely ill. In other words, it is possible for vaccines to sensitize someone to disease.

There is a precedent for this in recent history. Sanofi’s Dengvaxia vaccine for Dengue failed because it caused immune sensitization in people whose immune systems were Dengue-naïve.

In mice immunized against SARS-CoV and challenged with the virus, a close relative of SARS-CoV-2, they developed immune sensitization, Th2 immunopathology, and eosinophil infiltration in their lungs.

We have been told that SARS-CoV-2 mRNA vaccines cannot be integrated into the human genome, because messenger RNA cannot be turned back into DNA. This is false. There are elements in human cells called LINE-1 retrotransposons, which can indeed integrate mRNA into a human genome by endogenous reverse transcription. Because the mRNA used in the vaccines is stabilized, it hangs around in cells longer, increasing the chances for this to happen. If the gene for SARS-CoV-2 Spike is integrated into a portion of the genome that is not silent and actually expresses a protein, it is possible that people who take this vaccine may continuously express SARS-CoV-2 Spike from their somatic cells for the rest of their lives.

By inoculating people with a vaccine that causes their bodies to produce Spike in-situ, they are being inoculated with a pathogenic protein. A toxin that may cause long-term inflammation, heart problems, and a raised risk of cancers. In the long-term, it may also potentially lead to premature neurodegenerative disease.

Absolutely nobody should be compelled to take this vaccine under any circumstances, and in actual fact, the vaccination campaign must be stopped immediately.

COVID-19 Criminal Conspiracy:

The vaccine and the virus were made by the same people.

In 2014, there was a moratorium on SARS gain-of-function research that lasted until 2017. This research was not halted. Instead, it was outsourced, with the federal grants being laundered through NGOs.

Ralph Baric is a virologist and SARS expert at UNC Chapel Hill in North Carolina.

This is who Anthony Fauci was referring to when he insisted, before Congress, that if any gain-of-function research was being conducted, it was being conducted in North Carolina.

This was a lie. Anthony Fauci lied before Congress. A felony.

Ralph Baric and Shi Zhengli are colleagues and have co-written papers together. Ralph Baric mentored Shi Zhengli in his gain-of-function manipulation techniques, particularly serial passage, which results in a virus that appears as if it originated naturally. In other words, deniable bioweapons. Serial passage in humanized hACE2 mice may have produced something like SARS-CoV-2.

The funding for the gain-of-function research being conducted at the Wuhan Institute of Virology came from Peter Daszak. Peter Daszak runs an NGO called EcoHealth Alliance. EcoHealth Alliance received millions of dollars in grant money from the National Institutes of Health/National Institute of Allergy and Infectious Diseases (that is, Anthony Fauci), the Defense Threat Reduction Agency (part of the US Department of Defense), and the United States Agency for International Development. NIH/NIAID contributed a few million dollars, and DTRA and USAID each contributed tens of millions of dollars towards this research. Altogether, it was over a hundred million dollars.

EcoHealth Alliance subcontracted these grants to the Wuhan Institute of Virology, a lab in China with a very questionable safety record and poorly trained staff, so that they could conduct gain-of-function research, not in their fancy P4 lab, but in a level-2 lab where technicians wore nothing more sophisticated than perhaps a hairnet, latex gloves, and a surgical mask, instead of the bubble suits used when working with dangerous viruses. Chinese scientists in Wuhan reported being routinely bitten and urinated on by laboratory animals. Why anyone would outsource this dangerous and delicate work to the People’s Republic of China, a country infamous for industrial accidents and massive explosions that have claimed hundreds of lives, is completely beyond me, unless the aim was to start a pandemic on purpose.

In November of 2019, three technicians at the Wuhan Institute of Virology developed symptoms consistent with a flu-like illness. Anthony Fauci, Peter Daszak, and Ralph Baric knew at once what had happened, because back channels exist between this laboratory and our scientists and officials.

December 12th, 2019, Ralph Baric signed a Material Transfer Agreement (essentially, an NDA) to receive Coronavirus mRNA vaccine-related materials co-owned by Moderna and NIH. It wasn’t until a whole month later, on January 11th, 2020, that China allegedly sent us the sequence to what would become known as SARS-CoV-2. Moderna claims, rather absurdly, that they developed a working vaccine from this sequence in under 48 hours.

Stéphane Bancel, the current CEO of Moderna, was formerly the CEO of bioMérieux, a French multinational corporation specializing in medical diagnostic tech, founded by one Alain Mérieux. Alain Mérieux was one of the individuals who was instrumental in the construction of the Wuhan Institute of Virology’s P4 lab.

The sequence given as the closest relative to SARS-CoV-2, RaTG13, is not a real virus. It is a forgery. It was made by entering a gene sequence by hand into a database, to create a cover story for the existence of SARS-CoV-2, which is very likely a gain-of-function chimera produced at the Wuhan Institute of Virology and was either leaked by accident or intentionally released.

The animal reservoir of SARS-CoV-2 has never been found.

This is not a conspiracy “theory”. It is an actual criminal conspiracy, in which people connected to the development of Moderna’s mRNA-1273 are directly connected to the Wuhan Institute of Virology and their gain-of-function research by very few degrees of separation, if any. The paper trail is well-established.

The lab-leak theory has been suppressed because pulling that thread leads one to inevitably conclude that there is enough circumstantial evidence to link Moderna, the NIH, the WIV, and both the vaccine and the virus’s creation together. In a sane country, this would have immediately led to the world’s biggest RICO and mass murder case. Anthony Fauci, Peter Daszak, Ralph Baric, Shi Zhengli, and Stéphane Bancel, and their accomplices, would have been indicted and prosecuted to the fullest extent of the law. Instead, billions of our tax dollars were awarded to the perpetrators.

The FBI raided Allure Medical in Shelby Township north of Detroit for billing insurance for “fraudulent COVID-19 cures”. The treatment they were using? Intravenous Vitamin C. An antioxidant. Which, as described above, is an entirely valid treatment for COVID-19-induced sepsis, and indeed, is now part of the MATH+ protocol advanced by Dr. Paul E. Marik.

The FDA banned ranitidine (Zantac) due to supposed NDMA (N-nitrosodimethylamine) contamination. Ranitidine is not only an H2 blocker used as antacid, but also has a powerful antioxidant effect, scavenging hydroxyl radicals. This gives it utility in treating COVID-19.

The FDA also attempted to take N-acetylcysteine, a harmless amino acid supplement and antioxidant, off the shelves, compelling Amazon to remove it from their online storefront.

This leaves us with a chilling question: did the FDA knowingly suppress antioxidants useful for treating COVID-19 sepsis as part of a criminal conspiracy against the American public?

The establishment is cooperating with, and facilitating, the worst criminals in human history, and are actively suppressing non-vaccine treatments and therapies in order to compel us to inject these criminals’ products into our bodies. This is absolutely unacceptable.

COVID-19 Vaccine Development and Links to Transhumanism:

This section deals with some more speculative aspects of the pandemic and the medical and scientific establishment’s reaction to it, as well as the disturbing links between scientists involved in vaccine research and scientists whose work involved merging nanotechnology with living cells.

On June 9th, 2020, Charles Lieber, a Harvard nanotechnology researcher with decades of experience, was indicted by the DOJ for fraud. Charles Lieber received millions of dollars in grant money from the US Department of Defense, specifically the military think tanks DARPA, AFOSR, and ONR, as well as NIH and MITRE. His specialty is the use of silicon nanowires in lieu of patch clamp electrodes to monitor and modulate intracellular activity, something he has been working on at Harvard for the past twenty years. He was claimed to have been working on silicon nanowire batteries in China, but none of his colleagues can recall him ever having worked on battery technology in his life; all of his research deals with bionanotechnology, or the blending of nanotech with living cells.

The indictment was over his collaboration with the Wuhan University of Technology. He had double-dipped, against the terms of his DOD grants, and taken money from the PRC’s Thousand Talents plan, a program which the Chinese government uses to bribe Western scientists into sharing proprietary R&D information that can be exploited by the PLA for strategic advantage.

Charles Lieber’s own papers describe the use of silicon nanowires for brain-computer interfaces, or “neural lace” technology. His papers describe how neurons can endocytose whole silicon nanowires or parts of them, monitoring and even modulating neuronal activity.

Charles Lieber was a colleague of Robert Langer. Together, along with Daniel S. Kohane, they worked on a paper describing artificial tissue scaffolds that could be implanted in a human heart to monitor its activity remotely.

Robert Langer, an MIT alumnus and expert in nanotech drug delivery, is one of the co-founders of Moderna. His net worth is now $5.1 billion USD thanks to Moderna’s mRNA-1273 vaccine sales.

Both Charles Lieber and Robert Langer’s bibliographies describe, essentially, techniques for human enhancement, i.e. transhumanism. Klaus Schwab, the founder of the World Economic Forum and the architect behind the so-called “Great Reset”, has long spoken of the “blending of biology and machinery” in his books.

Since these revelations, it has come to the attention of independent researchers that the COVID-19 vaccines may contain reduced graphene oxide nanoparticles. Japanese researchers have also found unexplained contaminants in COVID-19 vaccines.

Graphene oxide is an anxiolytic. It has been shown to reduce the anxiety of laboratory mice when injected into their brains. Indeed, given SARS-CoV-2 Spike’s propensity to compromise the blood-brain barrier and increase its permeability, it is the perfect protein for preparing brain tissue for extravasation of nanoparticles from the bloodstream and into the brain. Graphene is also highly conductive and, in some circumstances, paramagnetic.

In 2013, under the Obama administration, DARPA launched the BRAIN Initiative; BRAIN is an acronym for Brain Research Through Advancing Innovative Neurotechnologies®. This program involves the development of brain-computer interface technologies for the military, particularly non-invasive, injectable systems that cause minimal damage to brain tissue when removed. Supposedly, this technology would be used for healing wounded soldiers with traumatic brain injuries, the direct brain control of prosthetic limbs, and even new abilities such as controlling drones with one’s mind.

Various methods have been proposed for achieving this, including optogenetics, magnetogenetics, ultrasound, implanted electrodes, and transcranial electromagnetic stimulation. In all instances, the goal is to obtain read or read-write capability over neurons, either by stimulating and probing them, or by rendering them especially sensitive to stimulation and probing.

However, the notion of the widespread use of BCI technology, such as Elon Musk’s Neuralink device, raises many concerns over privacy and personal autonomy. Reading from neurons is problematic enough on its own. Wireless brain-computer interfaces may interact with current or future wireless GSM infrastructure, creating neurological data security concerns. A hacker or other malicious actor may compromise such networks to obtain people’s brain data, and then exploit it for nefarious purposes.

However, a device capable of writing to human neurons, not just reading from them, presents another, even more serious set of ethical concerns. A BCI that is capable of altering the contents of one’s mind for innocuous purposes, such as projecting a heads-up display onto their brain’s visual center or sending audio into one’s auditory cortex, would also theoretically be capable of altering mood and personality, or perhaps even subjugating someone’s very will, rendering them utterly obedient to authority. This technology would be a tyrant’s wet dream. Imagine soldiers who would shoot their own countrymen without hesitation, or helpless serfs who are satisfied to live in literal dog kennels.

BCIs could be used to unscrupulously alter perceptions of basic things such as emotions and values, changing people’s thresholds of satiety, happiness, anger, disgust, and so forth. This is not inconsequential. Someone’s entire regime of behaviors could be altered by a BCI, including such things as suppressing their appetite or desire for virtually anything on Maslow’s Hierarchy of Needs.

Anything is possible when you have direct access to someone’s brain and its contents. Someone who is obese could be made to feel disgust at the sight of food. Someone who is involuntarily celibate could have their libido disabled so they don’t even desire sex to begin with. Someone who is racist could be forced to feel delight over cohabiting with people of other races. Someone who is violent could be forced to be meek and submissive. These things might sound good to you if you are a tyrant, but to normal people, the idea of personal autonomy being overridden to such a degree is appalling.

For the wealthy, neural laces would be an unequaled boon, giving them the opportunity to enhance their intelligence with neuroprosthetics (i.e. an “exocortex”), and to deliver irresistible commands directly into the minds of their BCI-augmented servants, even physically or sexually abusive commands that they would normally refuse.

If the vaccine is a method to surreptitiously introduce an injectable BCI into millions of people without their knowledge or consent, then what we are witnessing is the rise of a tyrannical regime unlike anything ever seen before on the face of this planet, one that fully intends to strip every man, woman, and child of our free will.

Our flaws are what make us human. A utopia arrived at by removing people’s free will is not a utopia at all. It is a monomaniacal nightmare. Furthermore, the people who rule over us are Dark Triad types who cannot be trusted with such power. Imagine being beaten and sexually assaulted by a wealthy and powerful psychopath and being forced to smile and laugh over it because your neural lace gives you no choice but to obey your master.

The Elites are forging ahead with this technology without giving people any room to question the social or ethical ramifications, or to establish regulatory frameworks that ensure that our personal agency and autonomy will not be overridden by these devices. They do this because they secretly dream of a future where they can treat you worse than an animal and you cannot even fight back. If this evil plan is allowed to continue, it will spell the end of humanity as we know it.

Conclusions:

The current pandemic was produced and perpetuated by the establishment, through the use of a virus engineered in a PLA-connected Chinese biowarfare laboratory, with the aid of American taxpayer dollars and French expertise.

This research was conducted under the absolutely ridiculous euphemism of “gain-of-function” research, which is supposedly carried out in order to determine which viruses have the highest potential for zoonotic spillover and preemptively vaccinate or guard against them.

Gain-of-function/gain-of-threat research, a.k.a. “Dual-Use Research of Concern”, or DURC, is bioweapon research by another, friendlier-sounding name, simply to avoid the taboo of calling it what it actually is. It has always been bioweapon research. The people who are conducting this research fully understand that they are taking wild pathogens that are not infectious in humans and making them more infectious, often taking grants from military think tanks encouraging them to do so.

These virologists conducting this type of research are enemies of their fellow man, like pyromaniac firefighters. GOF research has never protected anyone from any pandemic. In fact, it has now started one, meaning its utility for preventing pandemics is actually negative. It should have been banned globally, and the lunatics performing it should have been put in straitjackets long ago.

Either through a leak or an intentional release from the Wuhan Institute of Virology, a deadly SARS strain is now endemic across the globe, after the WHO and CDC and public officials first downplayed the risks, and then intentionally incited a panic and lockdowns that jeopardized people’s health and their livelihoods.

This was then used by the utterly depraved and psychopathic aristocratic class who rule over us as an excuse to coerce people into accepting an injected poison which may be a depopulation agent, a mind control/pacification agent in the form of injectable “smart dust”, or both in one. They believe they can get away with this by weaponizing the social stigma of vaccine refusal. They are incorrect.

Their motives are clear and obvious to anyone who has been paying attention. These megalomaniacs have raided the pension funds of the free world. Wall Street is insolvent and has had an ongoing liquidity crisis since the end of 2019. The aim now is to exert total, full-spectrum physical, mental, and financial control over humanity before we realize just how badly we’ve been extorted by these maniacs.

The pandemic and its response served multiple purposes for the Elite:
• Concealing a depression brought on by the usurious plunder of our economies conducted by rentier-capitalists and absentee owners who produce absolutely nothing of any value to society whatsoever. Instead of us having a very predictable Occupy Wall Street Part II, the Elites and their stooges got to stand up on television and paint themselves as wise and all-powerful saviors instead of the marauding cabal of despicable land pirates that they are.
• Destroying small businesses and eroding the middle class.
• Transferring trillions of dollars of wealth from the American public and into the pockets of billionaires and special interests.
• Engaging in insider trading, buying stock in biotech companies and shorting brick-and-mortar businesses and travel companies, with the aim of collapsing face-to-face commerce and tourism and replacing it with e-commerce and servitization.
• Creating a casus belli for war with China, encouraging us to attack them, wasting American lives and treasure and driving us to the brink of nuclear armageddon.
• Establishing technological and biosecurity frameworks for population control and technocratic-socialist “smart cities” where everyone’s movements are despotically tracked, all in anticipation of widespread automation, joblessness, and food shortages, by using the false guise of a vaccine to compel cooperation.

Any one of these things would constitute a vicious rape of Western society. Taken together, they beggar belief; they are a complete inversion of our most treasured values.

What is the purpose of all of this? One can only speculate as to the perpetrators’ motives, however, we have some theories.

The Elites are trying to pull up the ladder, erase upward mobility for large segments of the population, cull political opponents and other “undesirables”, and put the remainder of humanity on a tight leash, rationing our access to certain goods and services that they have deemed “high-impact”, such as automobile use, tourism, meat consumption, and so on. Naturally, they will continue to have their own luxuries, as part of a strict caste system akin to feudalism.

Why are they doing this? Simple. The Elites are Neo-Malthusians and believe that we are overpopulated and that resource depletion will collapse civilization in a matter of a few short decades. They are not necessarily incorrect in this belief. We are overpopulated, and we are consuming too many resources. However, orchestrating such a gruesome and murderous power grab in response to a looming crisis demonstrates that they have nothing but the utmost contempt for their fellow man.

To those who are participating in this disgusting farce without any understanding of what they are doing, we have one word for you. Stop. You are causing irreparable harm to your country and to your fellow citizens.

o those who may be reading this warning and have full knowledge and understanding of what they are doing and how it will unjustly harm millions of innocent people, we have a few more words.

Damn you to hell. You will not destroy America and the Free World, and you will not have your New World Order. We will make certain of that.

[please see the original pdf file for list of bibligraphical links]

L’avis de Ryan (Cole) – extrait.

Après une récente et très instructive incursion dans le monde des nanoparticules (sur lesquelles je reviendrai), un petit retour à la virologie de terrain.

Voici un court extrait de l’interview du Dr Ryan Cole dont la version complète est notamment ici sur Odysee ou ici sur Brighteon (elle est, si on peut dire, virale). Je ferai la transcription et traduirai le tout si je trouve le temps : je suis assez occupé par des travaux post-inondation et on a besoin de moi à mon boulot, raison pour laquelle ce blog est assez calme ces derniers temps. Je vous ferai un petit débriefing incessamment – et bien davantage : il se passe des choses très étonnantes sur cette planète, qui vont bien au-delà des théories bancales du changement climatique et/ou d’une nouvelle ère glaciaire.

Le clip sonore de cet extrait figure ci-dessous, piqué au podcast n° 1377 du No Agenda de John et Adam, que je remercie au passage.

Encore une chose : amis français, tenez bon!

Traduction

Ce que nous observons en laboratoire après l’administration de ces injections, c’est un profil stable, très inquiétant, de diminution de ces importantes cellules T tueuses, qui sont indispensables au fonctionnement du corps. C’est presque un VIH inversé. Dans le VIH, il y a perte de cellules T auxiliaires, les cellules CD4. Dans ce virus [?], post-vaccin, nous observons une baisse des cellules T tueuses, les cellules CD8. Et le rôle des cellules CD8 est de contrer tous les autres virus. Qu’est-ce que je vois dans mon laboratoire? Je vois une augmentation des virus de la famille de l’herpès, je vois de l’herpès, je vois du zona, je vois la mono[nucléose], je vois une énorme augmentation du virus du papillome humain dans les biopsies cervicales et dans les voies cervicales chez les hommes et chez les femmes. En plus, on voit cette petite bosse qui se développe chez les enfants, appelée molluscum contagiosum. De quoi a-t-on besoin pour enrayer tout ça? On a besoin des cellules T tueuses CD8. Je vois chez les personnes de plus de 50 ans la multiplication par vingt de cette petite bosse et des éruptions cutanées. C’est inoffensif, mais ça me donne une indication sur le statut immunitaire des personnes qui ont reçu le vaccin. Nous affaiblissons littéralement le système immunitaire de ces personnes.

Mais le plus inquiétant est qu’il existe dans le corps un modèle de ces types de cellules immunitaires qui prévient le cancer. Depuis le 1er janvier, j’ai vu dans mon laboratoire que le nombre de cancers de l’endomètre a été multiplié par vingt par rapport à ce que je vois annuellement. Multiplié par vingt. Je n’exagère pas du tout. Je compare mes chiffres d’une année sur l’autre, et mon Dieu, je n’ai jamais vu auparavant autant de cancers de l’endomètre. Et je vois des mélanomes invasifs chez des patients plus jeunes. Normalement, nous les détectons tôt et ce sont des mélanomes minces. J’ai vu le nombre de mélanomes épais monter en flèche au cours des deux derniers mois. Je vois déjà les premiers signaux. Et nous amenons leur système immunitaire à un état affaibli. Il y a une excellente étude en Allemagne qui, après avoir étudié les profils de jeunes individus après l’injection de Pfizer, a montré que ce profil est stable – nous ne savons pas pour combien de temps. Peut-être le système immunitaire va-t-il se régénérer et que le nombre [de cellules T] va remonter. Mais qui a mené une étude là-dessus? Et où sont les essais à long terme? Deux mois, quatre mois, combien de temps ce profil va-t-il rester stable? Nous ne savons pas.


Transcription originale

What we’re seeing in the laboratory after people get these shots, we’re seeing a very concerning locked-in low profile of these important killer T-cells that you want in your body. It’s almost a reverse HIV. In HIV you lose your helper T-cells, your CD4 cells. In this virus, post-vaccine what we’re seeing is a drop in your killer T-cells, your CD8 cells. And what the CD8 cells do, they keep all other viruses in check. What am seeing in my laboratory? I’m seeing an uptick of herpes family viruses, I’m seeing herpes, I’m seeing shingles, I’m seeing mono, I’m seeing a huge uptick in human papilloma virus in the cervical biopsies and cervical pathways in men and women. In addition to that there’s a little infectious, you know, bump the kids get called molluscum contagiosum. What do you need to keep that in check? You need CD8 killer T-cells. I am seeing a 20 times increase in individuals over the age of 50 of this little bump and rash. You know, that’s innocuous but what it tells me is the immune status of these individuals who’ve gotten the shot. We’re literally weakening the immune system of these individuals.

Now most concerning of all is there is a pattern of these types of immune cells in the body that keep cancer in check. Well, since January 1 in the laboratory, I’ve seen a 20 times increase of endometrial cancers over what I see on an annual basis. A 20 times increase. Not exaggerating at all. Because I look at my numbers year over year, oh my gosh I’ve never seen this many endometrial cancers before. I’m seeing invasive melanomas in younger patients. Normally we catch those early and they’re thin melanomas. I’m seeing thick melanomas skyrocketing in the last month or two. I’m already seeing the early signals. And we are modifying the immune system to a weakened state. Great study out of Germany that looked at these profiles on young individuals after the Pfizer showing this locked-in and we don’t know how long. Maybe the immune system, you know, is gonna regenerate and those ratios will go back up. But who’s studying it? And where are the long term trials? Two months, four months how long is this profile locked-in? We don’t know.

Pire que la maladie? Examen de certaines conséquences involontaires possibles des vaccins à ARNm contre le COVID-19, par Stephanie Seneff (traduction française)

Voici la traduction d’un article de 42 pages qui présente un tour d’horizon quasi-exhaustif des études médicales sur les mécanismes et la sécurité des « vaccins » à ce jour. Le tout est évidemment sourcé : la liste des références bibliographiques est en bas de page, par ordre alphabétique, et un lien est inclus vers chaque article cité. Les deux illustrations qui figurent dans le texte original ne sont pas reprises ici mais vous pouvez les retrouver dans le pdf original (voir source ci-dessous).

Cette monographie est le résultat de l’énorme travail de Stephanie Seneff (dont une précédente mention dans cet article) et Greg Nigh. Qu’ils en soient remerciés.

J’ai fait le (moins énorme) travail de le traduire.

A vous de faire l'(encore moins énorme) travail de le lire, et éventuellement de le partager, en tout ou en partie, avec vos proches, sur vos réseaux sociaux (qui ne manqueront pas de le censurer) ou sur votre blog (j’en profite ici pour saluer tous les courageux blogueurs qui oeuvrent à diffuser l’info) : c’est un article de référence.

Ne vous laissez pas décourager par les nombreux termes et concepts médicaux présents dans cet article. Les quelques recherches que j’ai faites pour les traduire correctement en valaient la peine. Ça reste de la vulgarisation même si ça demande un petit effort.

Merci et bonne lecture.

Source.


Pire que la maladie? Examen de certaines conséquences involontaires possibles des vaccins à ARNm contre le COVID-19

INTERNATIONAL JOURNAL OF VACCINE THEORY, PRACTICE AND RESEARCH

Stephanie Seneff

Computer Science and Artificial Intelligence Laboratory, MIT, Cambridge MA, 02139, USA, E-mail: seneff@csail.mit.edu

Greg Nigh

Naturopathic Oncology, Immersion Health, Portland, OR 97214, USA

ABSTRACT

L’opération Warp Speed ​​a mis sur le marché aux États-Unis deux vaccins à ARNm, produits par Pfizer et Moderna. Les données intermédiaires suggèrent une efficacité élevée pour ces deux vaccins, ce qui a contribué à légitimer l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) par la FDA. Cependant, la mise en oeuvre exceptionnellement rapide de ces vaccins, depuis des essais contrôlés vers un déploiement de masse, soulève de multiples problèmes de sécurité. Dans cette analyse, nous décrirons d’abord en détail la technologie sous-jacente à ces vaccins. Nous examinerons ensuite les deux composants et la réponse biologique prévue à ces vaccins, y compris la production de la protéine de pointe elle-même, et leur relation potentielle avec un large éventail de pathologies induites, à la fois aiguës et à long terme, telles que les troubles sanguins, les maladies neurodégénératives et les maladies auto-immunes. Parmi ces potentielles pathologies induites, nous discuterons de la pertinence des séquences d’acides aminés liées à la protéine prion au sein de la protéine de pointe. Nous présenterons également un bref bilan des études soutenant le potentiel de « délestage » de la protéine de pointe, la transmission de la protéine d’une personne vaccinée à une personne non vaccinée, entraînant des symptômes induits chez cette dernière. Nous terminerons en abordant un point de débat commun, à savoir : si ces vaccins pourraient ou non modifier l’ADN des personnes vaccinées. Bien qu’il n’y ait aucune étude démontrant clairement que cela se produit, nous proposons un scénario plausible, soutenu par des voies précédemment établies de la transformation et le transport du matériel génétique, dans lesquelles l’ARNm injecté pourrait finalement être incorporé dans l’ADN des cellules germinales menant à une transmission transgénérationnelle. Nous concluerons par nos recommandations pour une surveillance qui aideront à clarifier les effets à long terme de ces médicaments expérimentaux et nous permettront de mieux évaluer le véritable rapport risque/bénéfice de ces nouvelles technologies.

Mots clés : facilitation de l’infection par anticorps, maladies auto-immunes, édition de gènes, nanoparticules lipidiques, ARN messager, maladies à prions, transcription inverse, vaccins SARS-CoV-2

Introduction

Sans précédent. Ce mot a défini tant de choses de l’année de 2020 et de la pandémie liée au SARS-CoV-2. En plus d’une maladie sans précédent et de sa réponse mondiale, le COVID-19 a également initié un processus sans précédent de recherche, de production, de test et de distribution publique de vaccins (Shaw, 2021). Le sentiment d’urgence qui entoure la lutte contre le virus a conduit à la création, en mars 2020, de l’opération Warp Speed (OWS), le programme du président de l’époque, Donald Trump, visant à mettre sur le marché un vaccin contre le COVID-19 le plus rapidement possible (Jacobs et Armstrong, 2020).

L’OWS a instauré quelques autres mécanismes sans précédent, liés au COVID-19. Premièrement, il a amené le Département américain de la Défense à collaborer directement avec les Départements de la Santé américains en ce qui concerne la distribution de vaccins (Bonsell, 2021). Deuxièmement, les National Institutes of Health (NIH) ont collaboré avec la société de biotechnologie Moderna pour mettre sur le marché un type de vaccin sans précédent contre les maladies infectieuses, utilisant une technologie basée sur l’ARN messager (ARNm) (National Institutes of Health, 2020).

La confluence de ces événements sans précédent a rapidement fait prendre conscience au public de la promesse et du potentiel des vaccins à ARNm en tant que nouvelle arme contre les maladies infectieuses pour le futur. Dans le même temps, les événements sans précédent sont, par définition, sans histoire ni contexte qui permettraient d’évaluer pleinement les risques, les avantages espérés, la sécurité et la viabilité à long terme en tant que contribution positive à la santé publique.

Dans cet article, nous passerons brièvement en revue un aspect particulier de ces événements sans précédent, à savoir le développement et le déploiement de vaccins à ARNm contre la classe ciblée de maladies infectieuses sous l’égide du « SARS-CoV-2 ». Nous pensons que bon nombre des problèmes que nous soulevons ici seront applicables à tout futur vaccin à ARNm qui pourrait être produit contre d’autres agents infectieux, ou dans leurs applications liées au cancer et aux maladies génétiques, tandis que d’autres semblent spécifiquement pertinents pour les vaccins à ARNm actuellement mis en œuvre contre la sous-classe des virus corona. Alors que les promesses de cette technologie ont été largement annoncées, les risques évalués objectivement et les problèmes de sécurité ont reçu une attention beaucoup moins détaillée. Nous avons l’intention d’examiner plusieurs aspects moléculaires très préoccupants de la technologie des ARNm liés aux maladies infectieuses et de les corréler avec des effets pathologiques documentés et potentiels.

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Sans précédent

De nombreux aspects du Covid-19 et du développement ultérieur d’un vaccin sont sans précédent dans le cadre d’un vaccin déployé pour une utilisation dans la population générale. Certains d’entre eux comprennent les suivants.

  1. Premier à utiliser du PEG (polyéthylène glycol) en injection (voir texte)
  2. Premier à utiliser la technologie des vaccins ARN contre un agent infectieux
  3. Premier produit que Moderna met sur le marché
  4. Première fois que les responsables de la santé publique disent aux personnes vaccinées de s’attendre à une réaction indésirable
  5. Premier à être mis en œuvre publiquement sans rien de plus que des données d’efficacité préliminaires (voir texte)
  6. Premier vaccin à ne faire aucune déclaration claire sur la réduction des infections, de la transmissibilité ou des décès
  7. Premier vaccin contre le coronavirus jamais tenté chez l’homme
  8. Première injection de polynucléotides génétiquement modifiés dans la population générale

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Développement des vaccins

Le développement de vaccins à ARNm contre les maladies infectieuses est sans précédent à bien des égards. Dans une publication de 2018 parrainée par la Fondation Bill et Melinda Gates, les vaccins ont été divisés en trois catégories : Simples, Complexes et Sans Précédent (Young et al., 2018). Les vaccins Simples et Complexes représentaient des applications standard et modifiées des technologies vaccinales existantes. Sans Précédent représente une catégorie de vaccin contre une maladie pour laquelle il n’y a jamais eu de vaccin approprié auparavant. Les vaccins contre le VIH et le paludisme en sont des exemples. Comme l’indique leur analyse, illustrée à la figure 1, des vaccins sans précédent devraient mettre 12,5 ans à se développer. Plus inquiétant encore, ils ont 5 % de chances estimées de passer les essais de phase II (évaluation de l’efficacité) et, sur ces 5 %, 40 % de chances de passer les essais de phase III (évaluation des avantages pour la population). En d’autres termes, un vaccin Sans Précédent devait avoir une probabilité de succès de 2% au stade d’un essai clinique de phase III. Comme les auteurs l’ont dit sans ambages, il y a une « faible probabilité de succès, en particulier pour des vaccins sans précédent ». (Young et al., 2018)

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Figure 1. Le lancement de vaccins innovants est coûteux et prend du temps, avec une faible probabilité de succès, en particulier pour des vaccins sans précédent (adapté de Young et al, 2018).

Dans cet esprit, deux ans plus tard, nous avons un vaccin sans précédent avec des rapports d’efficacité de 90 à 95 % (Baden et al. 2020). En fait, ces rapports d’efficacité sont la principale motivation du soutien public à l’adoption de la vaccination (U.S. Department of Health and Human Services, 2020). Cela défie non seulement les prédictions, mais aussi les attentes. Le British Medical Journal (BMJ) est peut-être la seule publication médicale conventionnelle de premier plan à avoir donné une tribune aux voix qui ont attiré l’attention sur les inquiétudes concernant l’efficacité des vaccins COVID-19. Il y a en effet des raisons de croire que les estimations d’efficacité doivent être réévaluées.

Peter Doshi, rédacteur en chef associé du BMJ, a publié deux analyses importantes (Doshi 2021a, 2021b) des données brutes publiées à la FDA par les fabricants de vaccins, données qui sont à la base de l’affirmation d’une efficacité élevée. Malheureusement, celles-ci ont été publiés sur le blog du BMJ et non dans son contenu évalué par des pairs. Doshi, cependant, a publié une étude sur l’efficacité du vaccin et l’utilité douteuse des critères d’évaluation des essais de vaccins dans le contenu évalué par les pairs du BMJ (Doshi 2020).

Un aspect central de la critique de Doshi des données préliminaires sur l’efficacité est l’exclusion de plus de 3.400 « cas suspects de COVID-19 » qui n’ont pas été inclus dans l’analyse intermédiaire des données du vaccin Pfizer soumises à la FDA. En outre, un pourcentage faible mais non négligeable d’individus dans les essais Moderna et Pfizer a été préliminairement évalué positif au SARS-CoV-1, malgré qu’une infection antérieure représente un motif d’exclusion. Pour ces raisons et d’autres, l’estimation provisoire de l’efficacité d’environ 95 % pour les deux vaccins est suspecte.

Une analyse plus récente s’est penchée spécifiquement sur la question de la réduction du risque relatif par rapport au risque absolu. Tandis que les estimations élevées de la réduction du risque sont basées sur les risques relatifs, la réduction du risque absolu est une mesure plus appropriée pour le grand public pour lui permettre de déterminer si une vaccination fournit une réduction significative du risque personnel. Dans cette analyse, en utilisant les données fournies par les fabricants de vaccins à la FDA, le vaccin Moderna au moment de l’analyse intermédiaire a démontré une réduction du risque absolu de 1,1 % (p = 0,004), tandis que la réduction du risque absolu du vaccin Pfizer était de 0,7 % (p <0.000) (Brown 2021).

D’autres ont soulevé d’importantes questions supplémentaires concernant le développement du vaccin COVID-19, des questions directement pertinentes pour les vaccins à ARNm examinés ici. Par exemple, Haidere, et. Al. (2021) identifient quatre « questions critiques » liées au développement de ces vaccins, des questions qui sont pertinentes à la fois pour leur sécurité et leur efficacité :

  • Les vaccins stimuleront-ils la réponse immunitaire ?
  • Les vaccins fourniront-ils une endurance immunitaire durable ?
  • Comment le SARS-CoV-2 va-t-il muter ?
  • Sommes-nous prêts pour les retours de flammes des vaccins ?

L’absence d’essais précliniques et cliniques standard et étendus des deux vaccins à ARNm mis en œuvre fait que chacune de ces questions n’aura de réponse qu’au fil du temps. Ce n’est désormais que par l’observation des données physiologiques et épidémiologiques pertinentes générées par la distribution à grande échelle des vaccins au grand public que ces questions seront résolues. Et cela ne sera possible que s’il existe un accès gratuit à des rapports impartiaux sur les résultats – ce qui semble peu probable étant donné la censure généralisée des informations relatives aux vaccins en raison du besoin perçu d’en déclarer le succès à tout prix.

Les deux vaccins à ARNm qui ont réussi les essais de phase 3 et sont maintenant distribués à la population générale sont le vaccin Moderna et le vaccin Pfizer-BioNTech. Ces vaccins ont beaucoup en commun. Les deux sont basés sur l’ARNm codant pour la protéine de pointe du virus SARS-CoV-2. Les deux ont démontré un taux d’efficacité relative de 94-95%. Les indications préliminaires sont que les anticorps sont toujours présents après trois mois. Les deux recommandent deux doses espacées de trois ou quatre semaines, et récemment, des rapports indiquent que des injections de rappel annuelles sont nécessaires (Mahose, 2021). Les deux sont administrés par injection musculaire et nécessitent tous deux un stockage au congélateur pour empêcher l’ARN de se décomposer. En effet, contrairement à l’ADN double brin, qui est très stable, les produits d’ARN simple brin sont susceptibles d’être endommagés ou rendus inactifs à des températures chaudes et doivent être conservés à des températures extrêmement froides pour conserver leur efficacité potentielle (Pushparajah et al., 2021). Les fabricants prétendent que le vaccin Pfizer doit être conservé à -94 degrés Fahrenheit (-70 degrés Celsius), ce qui rend très difficile son transport et son maintien au froid jusqu’à son administration. Le vaccin Moderna peut être conservé pendant 6 mois à -4 degrés Fahrenheit (-20 degrés Celsius), et il peut être conservé en toute sécurité au réfrigérateur pendant 30 jours après décongélation (Zimmer et al., 2021).

Deux autres vaccins actuellement administrés sous autorisation d’urgence sont le vaccin Johnson & Johnson et le vaccin AstraZeneca. Les deux sont basés sur une technologie d’ADN vecteur très différente de la technologie utilisée dans les vaccins à ARNm. Bien que ces vaccins aient également été mis sur le marché après évaluation insuffisante, ils ne font pas l’objet de cet article, nous décrirons donc brièvement comment ils ont été développés. Ces vaccins sont basés sur une version défectueuse d’un adénovirus, un virus à ADN double brin responsable du rhume. L’adénovirus a été génétiquement modifié de deux manières, de sorte qu’il ne peut pas se répliquer en raison de gènes critiques manquants, et son génome a été augmenté avec le code ADN de la protéine de pointe SARS-CoV-2. La production d’AstraZeneca implique une lignée cellulaire humaine immortalisée appelée Human Embryonic Kidney (HEK) 293, qui est reproduite en culture avec les virus défectueux (Dicks et al., 2012). La lignée cellulaire HEK a été génétiquement modifiée dans les années 1970 en augmentant son ADN avec des segments d’un adénovirus qui fournissent les gènes manquants nécessaires à la réplication du virus défectueux (Louis et al., 1997). Johnson & Johnson utilise une technique similaire basée sur une lignée cellulaire rétinienne fœtale. Étant donné que la fabrication de ces vaccins nécessite des lignées cellulaires tumorales humaines génétiquement modifiées, il existe un potentiel de contamination de l’ADN humain ainsi que de nombreux autres contaminants potentiels.

Les médias ont suscité beaucoup d’enthousiasme à propos de cette technologie révolutionnaire, mais on peut également craindre qu’on ne réalise pas la complexité du potentiel du corps à réagir à l’ARNm étranger et à d’autres ingrédients de ces vaccins qui vont bien au-delà du simple objectif d’inciter le corps à produire des anticorps contre la protéine de pointe.

Dans la suite de cet article, nous décrirons d’abord plus en détail la technologie qui sous-tend les vaccins à ARNm. Nous consacrerons plusieurs sections aux aspects spécifiques des vaccins à ARNm qui nous préoccupent en raison du potentiel de conséquences négatives prévisibles et imprévisibles. Nous concluerons par un appel aux gouvernements et à l’industrie pharmaceutique à envisager de faire preuve d’une plus grande prudence dans l’entreprise actuelle de vacciner le plus de personnes possible contre le SARS-CoV-2.

Technologie des vaccins à ARNm

Dans la première phase du développement de la thérapie génique basée sur les nucléotides, des efforts considérables ont été investis dans la délivrance de gènes par le biais de plasmides d’ADN plutôt que par la technologie d’ARNm. Deux obstacles majeurs pour l’ARNm sont sa nature transitoire due à sa susceptibilité à la dégradation par les ARNases, ainsi que son potentiel connu d’invoquer une forte réponse immunitaire, qui interfère avec sa transcription en protéine. Il a été démontré que l’ADN plasmidique persiste dans le muscle jusqu’à six mois, alors que l’ARNm disparaît presque certainement beaucoup plus tôt. Pour les applications vaccinales, on pensait à l’origine que la nature immunogène de l’ARN pouvait être avantageuse, car l’ARNm pouvait également jouer le rôle d’adjuvant pour le vaccin, éliminant les arguments en faveur d’un additif toxique comme l’aluminium. Cependant, la réponse immunitaire se traduit non seulement par une réponse inflammatoire mais également par la clairance rapide de l’ARN et la suppression de la transcription. Cette idée s’est donc avérée peu pratique.

Il y a eu une longue période au cours de laquelle diverses idées ont été explorées pour essayer d’empêcher l’ARNm de se décomposer avant qu’il ne puisse produire des protéines. Une avancée majeure a été la réalisation que la substitution de la méthyl-pseudouridine à tous les nucléotides d’uridine stabiliserait l’ARN contre la dégradation, lui permettant de survivre assez longtemps pour produire des quantités adéquates d’antigène protéique nécessaire à l’immunogenèse (Liu, 2019). La forme d’ARNm délivrée dans le vaccin n’existe pas dans la nature et présente donc un potentiel de conséquences inconnues.

Les vaccins à ARNm Pfizer-BioNTech et Moderna sont basés sur des technologies très similaires, où une nanoparticule lipidique renferme une séquence d’ARN codant pour la protéine de pointe SARS-CoV-2 complète. Dans le processus de fabrication, la première étape consiste à assembler une molécule d’ADN codant pour la protéine de pointe. Ce processus est maintenant banalisé, il est donc relativement simple d’obtenir une molécule d’ADN à partir d’une spécification de la séquence de nucléotides (Corbett et al., 2020). Suite à une transcription in vitro sans cellule à partir de l’ADN, en utilisant une réaction enzymatique catalysée par l’ARN polymérase, l’ARN simple brin est stabilisé par des modifications nucléosidiques spécifiques et hautement purifié.

La société Moderna, à Cambridge, MA, est l’un des développeurs de vaccins à ARNm déployés pour le SARS-CoV-2. Les dirigeants de Moderna ont le projet grandiose d’étendre cette technologie à de nombreuses applications où le corps peut être dirigé pour produire des protéines thérapeutiques non seulement pour la production d’anticorps, mais aussi pour traiter les maladies génétiques et le cancer, entre autres. Ils développent une plate-forme générique où l’ADN est l’élément de stockage, l’ARN messager est le « logiciel » et les protéines pour lesquelles l’ARN code représentent divers domaines d’application. Leur projet est grandiose et les applications potentielles théoriques sont vastes (Moderna, 2020). La technologie est impressionnante, mais la manipulation du code de la vie pourrait entraîner des effets négatifs totalement imprévus, potentiellement à long terme voire permanents.

Le SARS-CoV-2 fait partie de la classe des virus à ARN à brin positif, ce qui signifie qu’ils codent directement pour les protéines codées par l’ARN, plutôt que de nécessiter une copie sur un brin antisens avant la traduction en protéine. Le virus se compose principalement de la molécule d’ARN simple brin emballée à l’intérieur d’une enveloppe protéique, constituée des protéines structurelles du virus, notamment la protéine de pointe, qui facilite à la fois la liaison virale à un récepteur (dans le cas du SARS-CoV-2, il s’agit du récepteur ACE2) et la fusion du virus avec la membrane de la cellule hôte. La protéine de pointe SARS-CoV-2 est la cible principale des anticorps neutralisants. C’est une glycoprotéine de fusion de classe I, et elle est analogue à l’hémagglutinine produite par les virus de la grippe et à la glycoprotéine de fusion produite par les virus syncytial, ainsi qu’à la gp160 produite par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) (Corbett et al., 2020).

Les vaccins à ARNm sont l’aboutissement d’années de recherche sur la possibilité d’utiliser l’ARN encapsulé dans une particule lipidique comme messager. La machinerie biologique existante de la cellule hôte est cooptée pour faciliter la production naturelle de protéines à partir de l’ARNm. Le domaine s’est épanoui en partie en raison de la facilité avec laquelle des séquences d’ADN oligonucléotidiques spécifiques peuvent être synthétisées en laboratoire sans l’implication directe d’organismes vivants. Cette technologie s’est banalisée et peut être utilisée à grande échelle, à un coût relativement faible. La conversion enzymatique de l’ADN en ARN est également simple et il est possible d’isoler de l’ARN simple brin essentiellement pur à partir de la soupe réactionnelle (Kosuri et Church, 2014).

1. Considérations dans la sélection et la modification de l’ARNm

Bien que le processus soit simple en principe, les fabricants de vaccins à ARNm sont confrontés à des défis techniques considérables. Le premier, comme nous l’avons vu, est que l’ARNm extracellulaire lui-même peut induire une réponse immunitaire qui entraînerait sa clairance rapide avant même d’être absorbée par les cellules. Ainsi, l’ARNm doit être enfermé dans une nanoparticule qui le gardera caché du système immunitaire. Le deuxième problème est d’amener les cellules à absorber les nanoparticules. Cela peut être résolu en partie en incorporant des phospholipides dans la nanoparticule pour tirer parti des voies naturelles de l’endocytose des particules lipidiques. Le troisième problème est d’activer la machinerie impliquée dans la traduction de l’ARN en protéine. Dans le cas du SARS-CoV-2, la protéine produite est la protéine de pointe. Après la synthèse de la protéine de pointe, les cellules présentatrices d’antigène doivent présenter la protéine de pointe aux cellules T, qui finiront par produire des anticorps protecteurs à mémoire (Moderna, 2020). Cette étape n’est pas particulièrement simple, car les nanoparticules sont majoritairement absorbées par les cellules musculaires qui, étant immobiles, ne sont pas nécessairement équipées pour déclencher une réponse immunitaire. Comme nous le verrons, le scénario probable est que la protéine de pointe est synthétisée par les cellules musculaires, puis transmise aux macrophages agissant comme des cellules présentatrices d’antigène, qui lancent ensuite la réponse en cascade génératrice d’anticorps à base de cellules B standard.

L’ARNm contenu dans les vaccins subit plusieurs étapes de modification suite à sa synthèse à partir d’une matrice d’ADN. Certaines de ces étapes impliquent de la préparer pour qu’elle ressemble exactement à une séquence d’ARNm humain modifiée de manière appropriée pour prendre en charge la traduction ribosomique en protéine. D’autres modifications ont pour objectif de le protéger de la dégradation, de sorte qu’une quantité suffisante de protéines puisse être produite pour provoquer une réponse en anticorps. L’ARNm non modifié induit une réponse immunitaire qui conduit à des taux sériques élevés d’interféron-α (IF-α), ce qui est considéré comme une réponse indésirable. Cependant, les chercheurs ont découvert que le remplacement de toutes les uridines de l’ARNm par la N-méthyl-pseudouridine améliore la stabilité de la molécule tout en réduisant son immunogénicité (Karikó et al. 2008; Corbett et al., 2020). Cette étape fait partie de la préparation de l’ARNm dans les vaccins, mais, en plus, une « coiffe » de 7-méthylguanosine est ajoutée à l’extrémité 5′ de la molécule et une queue poly-adénine (poly-A), constituée de 100 nucléotides d’adénine ou plus sont ajoutés à l’extrémité 3′. La coiffe et la queue sont essentielles au maintien de la stabilité de l’ARNm dans le cytosol et à la promotion de la traduction en protéine (Schlake et al., 2012 ; Gallie, 1991).

Normalement, la protéine de pointe bascule très facilement d’une configuration de pré-fusion à une configuration de post-fusion. La protéine de pointe qui se trouve dans ces vaccins a été modifiée pour l’encourager à favoriser une configuration stable dans son état de préfusion, car cet état provoque une réponse immunitaire plus forte (Jackson et al., 2020). Cela a été fait via une « mutation génétique », en remplaçant un segment critique à deux résidus par deux résidus de proline aux positions 986 et 987, au sommet de l’hélice centrale de la sous-unité S2 (Wrapp et al., 2020). La proline est un acide aminé très rigide, elle interfère donc avec la transition vers l’état de fusion. Cette modification fournit aux anticorps un bien meilleur accès au site critique qui prend en charge la fusion et l’absorption cellulaire ultérieure. Mais cela pourrait-il également signifier que la version génétiquement modifiée de la protéine de pointe produite par la cellule hôte humaine suivant les instructions de l’ARNm du vaccin persiste dans la membrane plasmique liée aux récepteurs ACE2 en raison de capacités de fusion altérées? Quelle peut en être la conséquence? Nous ne savons pas.

Des chercheurs chinois ont publié un rapport dans Nature en août 2020 dans lequel ils présentaient des données sur plusieurs vaccins expérimentaux à ARNm où l’ARNm codait pour divers fragments et protéines du virus SARS-CoV-2. Ils ont testé trois formulations vaccinales distinctes pour leur capacité à induire une réponse immunitaire appropriée chez la souris. Les trois protéines structurelles, S (spike), M et E sont des exigences minimales pour assembler une « particule de type virus » (VLP – virus-like particle). Leur hypothèse était que fournir M et E ainsi que la protéine de pointe S dans le code d’ARNm permettrait l’assemblage de VLP qui pourraient déclencher une réponse immunitaire améliorée, car elles ressemblent plus au virus naturel que la protéine S exposée à la surface des cellules. qui n’ont absorbé que l’ARNm de la protéine S des nanoparticules du vaccin. Ils espéraient également que des fragments critiques de la protéine de pointe seraient suffisants pour induire l’immunité, plutôt que la protéine de pointe entière, si des particules de type viral pouvaient être produites par augmentation avec M et E (Lu et al., 2020).

Ils ont confirmé expérimentalement qu’un vaccin contenant les gènes complets des trois protéines a suscité une réponse immunitaire robuste qui a duré au moins huit semaines après la deuxième dose du vaccin. Ses performances étaient de loin supérieures à celles d’un vaccin ne contenant que la protéine de pointe. De manière décevante, un vaccin qui ne contenait que des composants critiques de la protéine de pointe, augmenté des deux autres protéines d’enveloppe, n’a suscité pratiquement aucune réponse.

Les chercheurs de Moderna ont mené des études similaires avec des résultats similaires. Ils ont conclu que la protéine de pointe seule était clairement inférieure à une formulation contenant de l’ARN codant pour les trois protéines d’enveloppe, et ils ont émis l’hypothèse que cela était dû au fait que les trois protéines étaient nécessaires pour permettre à la cellule de libérer des particules virales intactes, plutôt que de simplement poster la protéine de pointe dans la membrane plasmique. La protéine de pointe seule n’a pas réussi à initier une réponse des lymphocytes T dans les études animales, alors que la formulation avec les trois protéines l’a fait (Corbett et al., 2020).

Les deux vaccins approuvés en urgence ne contiennent que le code ARNm de la protéine de pointe (sans E ni M), et il doit y avoir une bonne raison à cette décision, malgré ses mauvaises performances observées. Il est possible qu’une conception plus sophistiquée de la nanoparticule lipidique (voir ci-dessous) ait permis d’utiliser les lipides comme adjuvant (similaire à l’aluminium couramment ajouté aux vaccins traditionnels) tout en protégeant l’ARN de la dégradation.

Autre modification curieuse du code ARN, les développeurs ont enrichi la séquence en cytosines et guanines (C et G) au détriment des adénines et des uraciles (A et U). Ils ont pris soin de ne remplacer que la troisième position dans le codon de cette manière, et uniquement lorsque cela n’altère pas la carte des acides aminés (Hubert, 2020). Il a été démontré expérimentalement que les séquences d’ARNm riches en GC sont exprimées (traduites en protéine) jusqu’à 100 fois plus efficacement que les séquences pauvres en GC (Kudla et al., 2006). Cela semble donc être une autre modification pour assurer davantage la synthèse de copies abondantes de la protéine de pointe. Nous ne connaissons pas les conséquences involontaires de cette manœuvre. Les agents pathogènes intracellulaires, y compris les virus, ont tendance à avoir une faible teneur en GC par rapport au génome de la cellule hôte (Rocha et Danchin, 2020). Ainsi, cette modification peut avoir été motivée en partie par le désir d’améliorer l’efficacité de l’artifice selon laquelle la protéine serait une protéine humaine.

Toutes ces diverses modifications apportées à l’ARN sont conçues pour le faire résister à la dégradation, ressembler davantage à une séquence codant pour une protéine d’ARN messager humain et se traduire efficacement en protéine antigénique.

2. Construction de nanoparticules lipidiques

Les nanoparticules lipidiques (NPL), également connues sous le nom de liposomes, peuvent encapsuler des molécules d’ARN, les protégeant de la dégradation enzymatique par les ribonucléases, et constituent ainsi un ingrédient essentiel d’une méthode d’administration réussie (Wadhwa et al., 2020; Xu et al., 2020). Ces constructions artificielles ressemblent étroitement à des exosomes. Les exosomes sont des vésicules extracellulaires sécrétées par les cellules et absorbées par leurs voisines, et ils intègrent aussi souvent de l’ADN ou de l’ARN. Ainsi, ces nanoparticules peuvent tirer parti des processus naturels d’endocytose qui internalisent normalement les exosomes extracellulaires dans les endosomes. Au fur et à mesure que l’endosome s’acidifie pour devenir un lysosome, l’ARNm est libéré dans le cytoplasme, et c’est là que la traduction en protéine a lieu. Les liposomes se sont en fait avérés plus efficaces pour améliorer la présentation des antigènes et la maturation des cellules dendritiques, par rapport aux protéines de fusion qui encapsulent les vaccins à base de virus (Norling et al., 2019).

Les nanoparticules lipidiques (NPL) de ces vaccins sont composées de lipides cationiques ionisables, de phospholipides, de cholestérol et de polyéthylène glycol (PEG). Ensemble, ce mélange s’assemble en une bicouche lipidique stable autour de la molécule d’ARNm. Les phospholipides de ces vaccins expérimentaux consistent en un groupe de tête phosphatidylcholine relié à deux queues alkyles saturées par l’intermédiaire d’un lieur glycérol. Le lipide utilisé dans ces vaccins, nommé 1,2-distéaroyl-sn-glycéro-3-phosphocholine (DSPC), a 18 unités de carbone répétées. La chaîne relativement longue a tendance à former une phase de gel plutôt qu’une phase fluide. Les molécules avec des chaînes plus courtes (comme une chaîne à 12 carbones) ont plutôt tendance à rester en phase fluide. Les liposomes en phase gel utilisant le DSPC se sont avérés avoir des performances supérieures dans la protection de l’ARN contre la dégradation car les chaînes alkyle plus longues sont beaucoup plus limitées dans leurs mouvements dans le domaine lipidique. Ils semblent également être plus efficaces en tant qu’adjuvant, augmentant la libération du facteur de nécrose tumorale α (TNF-α), de l’interleukine (IL)-6 et de l’IL-1β par les cellules exposées (Norling et al., 2019). Cependant, leur capacité à induire une réponse inflammatoire peut être à l’origine des nombreux symptômes que les gens ressentent, tels que la douleur, l’enflure, la fièvre et la somnolence. Une étude publiée dans bioRxiv a vérifié expérimentalement que ces lipides cationiques ionisables dans les nanoparticules lipidiques induisaient une forte réponse inflammatoire chez la souris (Ndeupen et al., 2021).

Les vaccins à ARNm actuels sont administrés par injection intramusculaire. Les muscles contiennent un vaste réseau de vaisseaux sanguins où les cellules immunitaires peuvent être recrutées au site d’injection (Zeng et al., 2020). Les cellules musculaires peuvent généralement renforcer une réaction immunitaire une fois que les cellules immunitaires s’infiltrent, en réponse à un adjuvant (Marino et al., 2011). Une analyse minutieuse de la réponse à un vaccin à ARNm, administré à des souris, a révélé que l’antigène est exprimé initialement dans les cellules musculaires, puis transféré aux cellules présentatrices de l’antigène, suggérant un « amorçage croisé » comme voie principale pour initier une réponse des lymphocytes T CD8 (Lazzaro et al., 2015). On peut supposer que les cellules musculaires utilisent une réponse immunitaire qui est normalement utilisée pour traiter les protéines humaines mal repliées. De telles protéines induisent une régulation positive des protéines de classe II du complexe majeur d’histocompatibilité (CMH), qui se lient ensuite aux protéines mal repliées et les transportent intactes jusqu’à la membrane plasmique (Jiang et al., 2013).

La protéine de surface liée au CMH induit alors une réponse inflammatoire et une infiltration subséquente de cellules présentatrices d’antigène (par exemple, des cellules dendritiques et des macrophages) dans le tissu musculaire, qui absorbent ensuite les protéines affichées et les transportent dans le système lymphatique pour les présenter aux cellules T. Ces cellules T peuvent alors enfin lancer la cascade qui produit finalement des anticorps à mémoire spécifiques de la protéine. Les cellules musculaires expriment des protéines du CMH de classe II (Cifuentes-Diaz et al., 1992). Contrairement à la classe I, les protéines du CMH de classe II se spécialisent dans le transport de protéines intactes vers la surface, par opposition aux petites séquences peptidiques dérivées de la dégradation partielle des protéines (Jiang et al., 2013).

Une étude in vitro sur des primates non humains a démontré que l’ARNm radiomarqué se déplaçait du site d’injection vers le ganglion lymphatique drainant et y restait pendant au moins 28 heures. Il a été démontré que les cellules présentatrices d’antigène (CPA) dans le tissu musculaire ainsi que dans les ganglions lymphatiques drainants contiennent de l’ARNm radiomarqué (Lindsay et al., 2019). Les CPA classiques comprennent les cellules dendritiques, les macrophages, les cellules de Langerhans (dans la peau) et les cellules B. Bon nombre des effets secondaires associés à ces vaccins impliquent une douleur et une inflammation au site d’injection, comme on pouvait s’y attendre compte tenu de l’infiltration rapide des cellules immunitaires.

La lymphadénopathie est un état inflammatoire du système lymphatique associé à des ganglions lymphatiques enflés. L’enflure des ganglions lymphatiques dans l’aisselle (lymphadénopathie axillaire) est une caractéristique du cancer du sein métastatique. Un article publié en 2021 décrivait quatre cas de femmes ayant développé une lymphadénopathie axillaire suite à un vaccin contre le SARS-CoV-2 (Mehta et al., 2021). Les auteurs ont exhorté à la prudence dans l’interprétation erronée de cette condition comme indicateur nécessitant un suivi de biopsie pour un éventuel cancer du sein. Ce symptôme corrobore les études de traceur montrant que le vaccin à ARNm est principalement absorbé par les CPA qui synthétisent ensuite vraisemblablement l’antigène (protéine de pointe) à partir de l’ARNm et migrent dans le système lymphatique, affichant la protéine de pointe sur leurs membranes.

Une liste des effets indésirables les plus courants signalés par la FDA qui ont été ressentis au cours des essais cliniques Pfizer-BioNTech comprend «douleur au site d’injection, fatigue, maux de tête, douleurs musculaires, frissons, douleurs articulaires, fièvre, gonflement au site d’injection, rougeur au site d’injection, nausées , malaise et lymphadénopathie. » (US Food and Drug Administration, 2021).

Nous passons maintenant aux problèmes de systèmes moléculaires et organiques individuels qui surviennent avec ces vaccins à ARNm.

Adjuvants, polyéthylène glycol et anaphylaxie

Les adjuvants sont des additifs vaccinaux destinés à « obtenir des profils immunologiques distinctifs en ce qui concerne la direction, la durée et la force des réponses immunitaires » des vaccins auxquels ils sont ajoutés (Liang et al., 2020). L’alun ou d’autres composés d’aluminium sont le plus souvent utilisés dans les vaccins traditionnels, et ils déclenchent un large éventail de voies d’activation immunitaire systémique ainsi que l’activation des cellules stromales au site d’injection (Lambrecht et al., 2009 ; Danielsson & Eriksson, 2021) .

Il a été déterminé qu’un adjuvant à base d’aluminium n’était pas optimal pour un vaccin contre le coronavirus, d’autres solutions ont donc été recherchées (Liang et. al., 2020). Une solution s’est présentée sous la forme de l’ingrédient pharmaceutique largement utilisé, le polyéthylène glycol, ou PEG. Un facteur limitant dans l’utilisation de vaccins à base d’acides nucléiques est la tendance des acides nucléiques à être rapidement dégradés par les enzymes nucléases (Ho et al., 2021). Concernant les enzymes RNAse ciblant l’ARNm injecté, ces enzymes sont largement distribuées à la fois au niveau intracellulaire (principalement au sein des lysosomes) (Fujiwara et al., 2017) et extracellulaire (Lu et al., 2018). Pour surmonter cette limitation, les deux vaccins à ARNm actuellement déployés contre le COVID-19 utilisent des nanoparticules à base de lipides comme véhicules d’administration. La cargaison d’ARNm est placée à l’intérieur d’une coque composée de lipides synthétiques et de cholestérol, ainsi que de PEG pour stabiliser la molécule d’ARNm contre la dégradation.

Le vaccin produit par Pfizer/BioNTech crée des nanoparticules à partir de 2-[(polyéthylène glycol)-2000]-N,N-ditétradécylacétamide, ou ALC-0159, communément abrégé simplement en PEG (Organisation mondiale de la santé, 2021, 14 janvier). Le vaccin Moderna contient une autre variante de PEG, SM-102, 1,2-dimyristoyl-rac-glycero-3-methoxypolyethylene glycol2000 (Organisation mondiale de la santé, 2021, 19 janvier). Pour plus de commodité, nous abrégerons ces deux lipides modifiés par le PEG en PEG et désignerons les vaccins comme PEGylés selon la nomenclature standard.

La coquille lipidique joue un triple rôle. Premièrement, elle protège le matériel génétique de la dégradation avant l’absorption cellulaire. Deuxièmement, l’enveloppe lipidique, qui contient également du cholestérol, facilite l’absorption cellulaire par fusion avec la membrane lipidique de la cellule et l’endocytose ultérieure de la particule lipidique, invoquant des processus naturellement existants. Et enfin, il agit comme adjuvant (Ho et al., 2021). C’est dans ce dernier rôle de stimulant immunitaire que la plupart des inquiétudes ont été soulevées concernant l’utilisation généralisée du PEG dans une thérapie par injection.

Dans un article publié en mai 2019, avant les grands essais cliniques impliquant ces vaccins pégylés, Mohamed et. Al. (2019) ont décrit un certain nombre de découvertes préoccupantes concernant le PEG et l’activation immunologique dont on a montré qu’il était responsable, qui comprend l’activation humorale, à médiation cellulaire et basée sur le complément. Ils notent que, paradoxalement, de fortes doses injectées de PEG ne provoquent aucune réaction allergique apparente. De petites doses, cependant, peuvent conduire à une activation immunitaire pathologique dramatique. Les vaccins utilisant la PEGylation utilisent des quantités micromolaires de ces lipides, qui représentent cette exposition à faible dose potentiellement immunogène.

Dans des études animales, il a été démontré que l’activation du complément est responsable à la fois de l’anaphylaxie et du collapsus cardiovasculaire, et que le PEG injecté active également de multiples voies du complément chez l’homme. Les auteurs d’une étude concluent en notant que « cette cascade de médiateurs secondaires amplifie considérablement les réponses immunitaires effectrices et peut induire une anaphylaxie chez les individus sensibles. En effet, des études récentes chez le porc ont démontré que l’activation systémique du complément (par exemple, induite après l’injection intraveineuse de liposomes PEGylés) peut être à l’origine de l’anaphylaxie cardiaque où C5a a joué un rôle causal. (Hamad et al., 2008) Il est également important de noter que le choc anaphylactoïde chez les porcs s’est produit non pas lors de la première exposition injectée, mais après la deuxième exposition injectée (Kozma et al., 2019).

La présence d’anticorps contre le PEG est répandue dans la population (Zhou et al., 2020). Yang et Lai (2015) ont découvert qu’environ 42 % des échantillons de sang étudiés contenaient des anticorps anti-PEG, et ils préviennent que ceux-ci pourraient avoir des conséquences importantes pour toute thérapie à base de PEG introduite. Hong et. Al. (2020) ont trouvé des anticorps anti-PEG avec une prévalence allant jusqu’à 72% dans les populations sans exposition préalable à un traitement médical à base de PEG. Lila et. Al. (2018) notent que « l’existence de tels anticorps anti-PEG a été intimement corrélée à une altération de l’efficacité thérapeutique en tandem avec le développement d’effets indésirables graves dans plusieurs contextes cliniques employant des thérapies à base de produits PEGylés ».

L’anaphylaxie aux vaccins était auparavant considérée comme rare sur la base de la fréquence de tels événements signalés au VAERS, une base de données établie par les Centers for Disease Control and Prevention en 1990 pour signaler les événements indésirables liés aux vaccins (Centers for Disease Control and Prevention, 1990 ; Su et al., 2019). Bien que rare, l’anaphylaxie peut mettre la vie en danger, il est donc important de surveiller la possibilité dans la courte période suivant la vaccination (McNeil et al., 2016).

Sellaturay et. al., après avoir examiné 5 cas d’anaphylaxie qu’ils ont liés à l’exposition au PEG, dont un presque mortel et impliquant un arrêt cardiaque, écrivent : « Le PEG est un allergène « caché » à haut risque, généralement insoupçonné et peut provoquer des réactions allergiques provoquées par une réexposition par inadvertance. L’investigation allergologique comporte un risque d’anaphylaxie et ne doit être entreprise que dans des centres spécialisés en allergie médicamenteuse.  » (Sellaturay et al., 2020). En fait, il a déjà été démontré que les anticorps préexistants contre le PEG sont liés à des réactions plus courantes et plus graves lors d’une réexposition (Ganson et al., 2016).

L’anaphylaxie lors d’une exposition au PEG se produit-elle avec une fréquence pertinente d’une question de santé publique? De nombreuses études ont désormais documenté le phénomène (Lee et al., 2015 ; Povsic et al., 2016 ; Wylon et al., 2016). Les réactions anaphylactiques aux vaccins à ARNm sont largement rapportées dans les médias (Kelso, 2021) et, comme indiqué ci-dessus, ont été fréquemment rapportées dans la base de données VAERS (690 rapports d’anaphylaxie suite aux vaccins SARS-CoV-2 jusqu’au 29 janvier 2021). Il existe également quelques études initiales de cas publiées dans la littérature à comité de lecture (Garvey & Nasser, 2020 ; CDC COVID-19 Response Team, 2021, 15 janvier). Les réactions anaphylactiques aux vaccins antérieurs à ces vaccins COVID-19 ont généralement été signalées à des taux inférieurs à 2 cas par million de vaccinations (McNeil et al., 2016), tandis que le taux actuel pour les vaccinations COVID-19 a été signalé par le CDC comme étant de plus de 11 cas par million (CDC COVID-19 Response Team, 2021, 29 janvier). Cependant, une étude prospective publiée sur 64.900 employés médicaux, où leurs réactions à leur première vaccination à l’ARNm ont été soigneusement surveillées, a révélé que 2,1% des sujets ont signalé des réactions allergiques aiguës. Une réaction plus extrême impliquant l’anaphylaxie s’est produite à un taux de 247 par million de vaccinations (Blumenthal et al., 2021). C’est plus de 21 fois plus que ce qui a été initialement rapporté par le CDC. La deuxième injection d’exposition est susceptible de provoquer un nombre encore plus important de réactions anaphylactiques.

Vaccins à ARNm, protéines de pointe et facilitation de l’infection par anticorps (ADE – Antibody-Dependent Enhancement)

L’ADE est un phénomène immunologique décrit pour la première fois en 1964 (Hawkes et al., 1964). Dans cette publication, Hawkes décrivait une série d’expériences dans lesquelles des cultures de flavivirus étaient incubées avec des sérums aviaires contenant des titres élevés d’anticorps contre ces virus. La découverte inattendue était qu’avec des dilutions de plus en plus élevées des sérums contenant des anticorps, l’infectivité des cellules était augmentée. L’absence d’explication sur la façon dont cela pourrait se produire est probablement responsable du fait qu’il est resté ignoré pendant près de 20 ans (Morens et al., 1994).

De multiples voies ont été proposées par lesquelles les anticorps participent à la fois directement et indirectement à la neutralisation des infections (Lu et al., 2018b). L’ADE est un cas particulier de ce qui peut arriver lorsque de faibles niveaux non neutralisants d’anticorps spécifiques ou à réaction croisée contre un virus sont présents au moment de l’infection. Ces anticorps peuvent être présents en raison d’une exposition antérieure au virus, d’une exposition à un virus apparenté ou d’une vaccination antérieure contre le virus. Lors de la réinfection, les anticorps présents en nombre insuffisant pour neutraliser le virus se lient néanmoins au virus. Ces anticorps s’arriment ensuite au récepteur Fc sur les surfaces cellulaires, facilitant l’entrée virale dans la cellule et améliorant par la suite l’infectivité du virus (Wan et al., 2020).

On pense que l’ADE est à l’origine de la forme la plus sévère de fièvre dengue souvent observée chez les personnes ayant déjà été exposées (Beltramello et al., 2010), et pourrait également jouer un rôle dans la forme plus sévère de la maladie chez les personnes précédemment vaccinées contre la maladie (Shukla et al., 2020 ). On pense également que l’ADE joue un rôle dans Ebola (Takada et al., 2003), l’infection par le virus zika (Bardina et al., 2017) et d’autres infections à flavivirus (Campos et al., 2020).

Dans une correspondance détaillée publiée dans Nature Biotechnology, Eroshenko et. Al. offrent un examen complet des preuves suggérant que l’ADE pourrait se manifester pour toutes les vaccinations utilisées contre le SARS-CoV-2. Ils notent surtout que l’ADE a été observé pour des vaccins contre le coronavirus testés dans des modèles in vitro et in vivo (Eroshenko et al., 2020). D’autres ont mis en garde contre la même possibilité pour les vaccins contre le SARS-CoV-2. Une théorie sur la façon dont l’ADE pourrait se produire dans le cas d’un vaccin contre le SARS-CoV-2 suggère que les anticorps non-neutralisants forment des complexes immuns avec des antigènes viraux pour provoquer une sécrétion excessive de cytokines pro-inflammatoires et, dans le cas extrême, une tempête de cytokines provoquant dommages tissulaires locaux étendus (Lee et al., 2020). Un examen approfondi de l’ADE potentiellement associé aux vaccins contre le SARS-CoV-2 a noté : «À l’heure actuelle, il n’y a pas de résultats cliniques, de tests immunologiques ou de biomarqueurs connus qui puissent différencier une infection virale grave d’une maladie à renforcement immunitaire, que ce soit en mesurant les anticorps, les cellules T ou les réponses intrinsèques de l’hôte » (Arvin et al. 2020; Liu et al., 2019). Nous reviendrons à nouveau sur ce point ci-dessous.

Les anticorps préexistants d’immunoglobuline G (IgG), induits par une vaccination préalable, contribuent à de graves lésions pulmonaires par le SARS-CoV chez les macaques (Liu et al., 2019). Peron et Nakaya (2020) fournissent des preuves suggérant que la gamme beaucoup plus diversifiée d’expositions antérieures aux coronavirus subies par les personnes âgées pourrait les prédisposer à l’ADE lors de l’exposition au SARS-CoV-2. Un article inquiétant en preprint a rapporté que le plasma de 76% des patients qui s’étaient rétablis d’une maladie COVID-19 sévère, lorsqu’il était ajouté à des cultures de SARS-CoV-2 et de cellules sensibles, présentait une capacité accrue du SARS-CoV-2 d’infecter les cellules Raji (Wu et al., 2020). Les auteurs notent que « les titres d’anticorps [contre la protéine de pointe] étaient plus élevés chez les patients âgés de COVID-19, et une réponse en anticorps plus forte était associée à une clairance virale retardée et à une gravité accrue de la maladie chez les patients. Par conséquent, il est raisonnable de supposer que les anticorps spécifiques à la protéine S peuvent contribuer à la gravité de la maladie pendant l’infection par le SARS-CoV-2. » (Wu et al., 2020)

Il a été rapporté que les trois fabricants de vaccins américains – Moderna, Pfizer et Johnson & Johnson – travaillent à développer des injections de rappel (Zaman 2021). Avec des dizaines de millions de jeunes adultes et même d’enfants maintenant porteurs d’anticorps anti-protéine de pointe de coronavirus induits par le vaccin, il existe la possibilité de déclencher une ADE liée soit à une future infection par le SARS-CoV-2, soit à une injection de rappel parmi cette population plus jeune. Le temps nous le dira.

Les vaccins à ARNm délivrent en fin de compte la protéine de pointe hautement antigénique aux cellules présentatrices d’antigène. En tant que tels, les anticorps monoclonaux contre la protéine de pointe sont le résultat attendu des vaccins à ARNm actuellement déployés. Les anticorps monoclonaux de la protéine de pointe humaine se sont révélés produire des niveaux élevés d’anticorps à réaction croisée contre les protéines humaines endogènes (Vojdani et. al., 2021; examiné plus en détail ci-dessous). Étant donné les preuves seulement examinées partiellement ici, il existe des raisons suffisantes de soupçonner que les anticorps dirigés contre la protéine de pointe contribueront à l’ADE provoquée par une infection ou une vaccination antérieure par le SARS-CoV-2, qui peut se manifester par des conditions auto-immunes et inflammatoires aiguës ou chroniques. Nous avons noté ci-dessus qu’il n’est pas possible de distinguer une manifestation d’une maladie ADE d’une véritable infection virale non-ADE. Dans cette optique, il est important de reconnaître que, lorsque des maladies et des décès surviennent peu de temps après la vaccination avec un vaccin à ARNm, il ne peut jamais être déterminé avec certitude, même avec une enquête complète, que la réaction vaccinale n’était pas une cause proximale.

Amorçage pathogène, maladie inflammatoire multisystémique et auto-immunité

L’amorçage pathogène est un concept dont le résultat est similaire à celui de l’ADE, mais différent dans le mécanisme sous-jacent. Nous en discutons ici comme d’un mécanisme unique par lequel les vaccins à ARNm pourraient provoquer des pathologies associées.

En avril 2020, un article important a été publié concernant le potentiel de génération d’anticorps auto-réactifs suite à une exposition à la protéine de pointe et à d’autres épitopes antigéniques répartis sur la longueur du SARS-CoV-2. Lyons-Weiler (2020) a inventé l’expression « amorçage pathogène » parce qu’il pensait que l’expression « renforcement immunitaire » plus couramment utilisée ne permet pas de saisir la gravité de la maladie et ses conséquences. Dans son analyse in silico, Lyons-Weiler a comparé tous les épitopes de protéines antigéniques du SARS-CoV-2 signalés dans la base de données SVMTriP (http://sysbio.unl.edu/SVMTriP/) et a effectué des recherches dans la base de données p-BLAST (https:// blast.ncbi.nlm.nih.gov/Blast.cgi) pour l’homologie entre ces épitopes et les protéines humaines endogènes. Sur les 37 protéines SARS-CoV-2 analysées, 29 avaient des régions antigéniques. Toutes sauf une de ces 29 protéines présentaient une homologie avec des protéines humaines (auto-antigènes putatifs) et étaient censées être autoréactogènes. Le plus grand nombre d’homologies était associé à la protéine de pointe (S) et à la protéine NS3, toutes deux ayant 6 protéines humaines homologues.

Une analyse fonctionnelle des protéines humaines endogènes homologues aux protéines virales a révélé que plus d’un tiers d’entre elles sont associées au système immunitaire adaptatif. L’auteur suppose qu’une exposition antérieure au virus ou à une vaccination antérieure, qui pourraient initier la production d’anticorps ciblant ces protéines endogènes, pourraient jouer un rôle dans le développement d’une maladie plus grave, chez les personnes âgées en particulier. Dans ce cas, les anticorps préexistants agissent pour supprimer le système immunitaire adaptatif et conduire à une maladie plus grave.

Un autre groupe (Ehrenfeld et. al., 2020), dans un article portant principalement sur le large éventail de maladies auto-immunes trouvées en association avec une infection antérieure par le SARS-CoV-2, a également étudié comment la protéine de pointe pouvait déclencher une telle gamme de maladies. Ils rapportent, dans le tableau 1 de cette référence, des chaînes d’heptapeptides dans le protéome humain qui se chevauchent avec la protéine de pointe générée par le SARS-CoV-2. Ils ont identifié 26 heptapeptides trouvés chez l’homme et dans la protéine de pointe. Il est intéressant de noter que 2 des 26 heptapeptides chevauchants se sont avérés séquentiels, une chaîne étonnamment longue de peptides identiques se trouvant en commun entre les protéines humaines endogènes et la protéine de pointe. Commentant les peptides qui se chevauchent qu’ils avaient découverts et leur potentiel de mener simultanément à de nombreux types d’auto-immunité, ils commentent: « Le scénario clinique qui émerge est très inquiétant. » En effet.

En mai 2020, un autre article important à cet égard a été publié par Vojdani et Kharrazian (2020). Les auteurs ont utilisé des anticorps monoclonaux de souris et de lapin contre la protéine de pointe du SARS de 2003 pour tester leur réactivité non seulement contre la protéine de pointe du SARS-CoV-2, mais également contre plusieurs protéines humaines endogènes. Ils ont découvert qu’il y avait un niveau élevé de liaison non seulement avec la protéine de pointe SARS-CoV-2, mais contre un large éventail de protéines endogènes. « [Nous] avons constaté que les réactions les plus fortes étaient avec la transglutaminase 3 (tTG3), la transglutaminase 2 (tTG2), l’ENA, la protéine basique de la myéline (MBP), les mitochondries, l’antigène nucléaire (NA), la α-myosine, la peroxydase thyroïdienne (TPO) , collagène, claudine 5+6 et S100B. » (Vojdani et Kharrazian, 2020).

Ces résultats importants doivent être soulignés. Les anticorps ayant une affinité de liaison élevée avec le pic du SARS-CoV-2 et d’autres protéines ont également une affinité de liaison élevée avec la tTG (associée à la maladie cœliaque), la TPO (thyroïdite de Hashimoto), la protéine basique de la myéline (sclérose en plaques) et plusieurs protéines endogènes. Contrairement au processus auto-immun associé à l’amorçage pathogène, ces maladies auto-immunes mettent généralement des années à se manifester de manière symptomatique.

Les auto-anticorps générés par la protéine de pointe prédits par Lyons-Weiler (2020) et décrits ci-dessus ont été confirmés par une étude in vitro publiée plus récemment. Dans cet article de suivi, Vojdani et. al., (2021) ont examiné à nouveau la question de la réactivité croisée des anticorps, cette fois en utilisant des anticorps monoclonaux humains (mAb – monoclonal antibodies) contre la protéine de pointe SARS-CoV-2 plutôt que des mAb de souris et de lapin. Leurs résultats ont confirmé et étendu leurs découvertes antérieures. « À un seuil de 0,32 OD [densité optique], l’anticorps de la protéine membranaire du SARS-CoV-2 a réagi avec 18 des 55 antigènes testés. » Ces 18 antigènes endogènes englobent la réactivité aux tissus dans le foie, les mitochondries, le système nerveux et digestif, le pancréas et ailleurs dans le corps.

Dans un rapport sur le syndrome inflammatoire multisystémique chez l’enfant (SIME), Carter et. Al. (2020) ont étudié 23 cas. Dix-sept des 23 (68 %) patients présentaient des preuves sérologiques d’une infection antérieure par le SARS-CoV-2. Parmi les trois anticorps évalués dans la population de patients (nucléocapside, RBD et pointe)[RBD – domaine de liaison au récepteur, receptor binding domain], la densité optique des anticorps de la protéine de pointe IgG (qui quantifie les concentrations d’anticorps par rapport à une courbe standardisée (Wikipedia, 2021)), était la plus élevée (voir Figure 1d dans Carter et al., 2020).

Le SIME est maintenant communément supposé être un exemple d’amorçage immunitaire par une exposition préalable au SARS-CoV-2 ou à d’autres coronavirus. Buonsenso et. Al. (2020) ont examiné plusieurs similitudes immunologiques entre le SIME et la maladie liée à une infection streptococcique du groupe A (SGA) β-hémolytique antérieure. Les auteurs écrivent : « Nous pouvons supposer que l’exposition multiple des enfants au SARS-CoV-2 avec des parents atteints de COVID-19 peut fonctionner comme un amorçage du système immunitaire, comme cela se produit avec l’infection à SGA et, chez les enfants génétiquement prédisposés, conduire au développement du [SIME]. Une autre hypothèse est que des infections antérieures avec d’autres coronavirus, beaucoup plus fréquentes dans la population pédiatrique, pourraient avoir sensibilisé le système immunitaire de l’enfant au virus SARS-CoV-2. »

En juin 2019, Galeotti et Bayry (2020) ont examiné la survenue de maladies auto-immunes et inflammatoires chez les patients atteints de COVID-19. Ils concentrent leur analyse sur le SIME. Après avoir examiné plusieurs rapports publiés précédemment sur un lien temporel entre COVID-19 et l’apparition du SIME et décrit un certain nombre de connexions mécanistiques possibles entre les deux, les auteurs ont noté qu’aucun lien de causalité n’avait été établi. Dans une recommandation quelque peu prémonitoire, ils ont écrit : « Une analyse fine de l’homologie entre divers antigènes du SARS-CoV-2 et les auto-antigènes, en utilisant des approches in silico et une validation dans des modèles expérimentaux, devrait être envisagée afin de confirmer cette hypothèse.  » C’est précisément ce type d’analyse in silico réalisée par Lyons-Weiler (2020) et par Ehrenfeld et. Al. (2020) décrit dans les premiers paragraphes de cette section qui décrit l’homologie étroite entre les antigènes viraux et les auto-antigènes. Bien que cela ne confirme peut-être pas définitivement le lien de causalité supposé par Galeotti et Bayry, il s’agit d’une preuve solide à l’appui.

L’auto-immunité est de plus en plus reconnue comme une séquelle du COVID-19. Il existe de nombreux rapports d’individus auparavant en bonne santé qui ont développé des maladies telles que le purpura thrombocytopénique idiopathique, le syndrome de Guillain-Barré et l’anémie hémolytique auto-immune (Galeotti et Bayry, 2020). Il existe trois rapports de cas indépendants de lupus érythémateux disséminé (LED) avec manifestations cutanées suite à des symptômes de COVID-19. Dans un cas, un homme de 39 ans a présenté un LED deux mois après un traitement ambulatoire pour COVID-19 (Zamani et.al., 2021). Un autre cas frappant de LED à évolution rapide et fatale avec manifestations cutanées est décrit par Slimani et.al. (2021).

Les auto-anticorps sont très fréquemment trouvés chez les patients COVID-19, y compris les anticorps trouvés dans le sang (Vlachoyiannopoulos et. al., 2020) et le liquide céphalo-rachidien (LCR) (Franke et. al., 2021). Bien que le SARS-CoV-2 ne se trouve pas dans le LCR, il est théorisé que les auto-anticorps créés en réponse à l’exposition au SARS-CoV-2 peuvent entraîner au moins une partie des complications neurologiques documentées chez les patients COVID-19. Une importante lettre à l’éditeur soumise à la revue Arthritis & Rheumatology par Bertin et. Al. (2020) ont noté la prévalence élevée et la forte association (p = 0,009) des auto-anticorps contre la cardiolipine chez les patients COVID-19 atteints d’une maladie grave.

Zuo et. Al. (2020) ont trouvé des auto-anticorps anti-phospholipides chez 52 % des patients COVID-19 hospitalisés et ont émis l’hypothèse que ces anticorps contribuent à l’incidence élevée des coagulopathies chez ces patients. Schiaffino et. Al. (2020) ont rapporté que le sérum d’un pourcentage élevé de patients COVID-19 hospitalisés contenait des auto-anticorps réactifs à la membrane plasmique des hépatocytes et des cellules gastriques. Un patient atteint du syndrome de Guillain-Barre s’est avéré présenter une réactivité des anticorps dans le liquide céphalo-rachidien (LCR), ce qui a conduit les auteurs à suggérer qu’une réactivité croisée avec des protéines dans le LCR pourrait entraîner des complications neurologiques observées chez certains patients COVID-19. Dans une revue plus récente, Gao et. Al. (2021) ont noté des niveaux élevés d’auto-anticorps chez les patients COVID-19 dans plusieurs études. Ils concluent : « [U]n des effets secondaires potentiels de l’administration d’un vaccin de masse pourrait être une fusion [sic] de maladies auto-immunes, en particulier chez les personnes génétiquement sujettes à l’auto-immunité. »

Une publication récente compile de nombreuses preuves que des auto-anticorps contre un large éventail de récepteurs et de tissus peuvent être trouvés chez les personnes qui ont déjà eu une infection par le SARS-CoV-2. « Les 31 anciens patients COVID-19 avaient entre 2 et 7 GPCR-fAAB différents [auto-anticorps fonctionnels du récepteur couplé aux protéines G – G-protein coupled receptor functional autoantibodies] qui agissaient comme agonistes des récepteurs. » (Wallukat et. al. 2021) La diversité des GPCR-fAAB identifiés, englobant activité à la fois agoniste et antagoniste sur les récepteurs cibles, fortement corrélée avec une gamme de symptômes post-COVID-19, y compris la tachycardie, la bradycardie, l’alopécie, le déficit de l’attention, le PoTS [syndrome de tachycardie orthostatique posturale – Postural tachycardia syndrome], les neuropathies et autres.

La même étude, faisant référence aux auto-anticorps prédits par Lyons-Weiler (2020) mentionnés ci-dessus, note avec une évidente grave préoccupation : « La protéine de pointe Sars-CoV-2 est une cible épitopique potentielle pour les processus auto-immunologiques induits par le biomimétisme [25]. Par conséquent, nous pensons qu’il sera extrêmement important d’étudier si les GPCR-fAAB deviendront également détectables après immunisation par vaccination contre le virus. »

Nous avons examiné ici les preuves que la protéine de pointe du SARS-CoV-2 a une homologie de séquence étendue avec plusieurs protéines humaines endogènes et pourrait amorcer le système immunitaire vers le développement de maladies auto-inflammatoires et auto-immunes. Ceci est particulièrement préoccupant étant donné que la protéine a été repensée avec deux résidus de proline supplémentaires pour potentiellement entraver son élimination de la circulation par fusion membranaire. Ces maladies pourraient se présenter de manière aiguë et sur des périodes de temps relativement courtes, comme avec le SIME, ou pourraient ne pas se manifester pendant des mois ou des années après l’exposition à la protéine de pointe, que ce soit par infection naturelle ou par vaccination.

Beaucoup de personnes testées positives pour le COVID-19 n’expriment aucun symptôme. Le nombre de cas asymptomatiques positifs à la PCR varie considérablement d’une étude à l’autre, d’un minimum de 1,6% à un maximum de 56,5% (Gao et al., 2020). Ceux qui sont insensibles au COVID-19 ont probablement un système immunitaire inné très fort. Les neutrophiles et les macrophages de la barrière muqueuse saine éliminent rapidement les virus, souvent sans qu’aucun anticorps ne soit produit par le système adaptatif. Cependant, le vaccin contourne intentionnellement complètement le système immunitaire muqueux, à la fois par son injection au-delà des barrières muqueuses naturelles et sa configuration artificielle en tant que nanoparticule contenant de l’ARN. Comme indiqué dans Carsetti (2020), ceux qui ont une forte réponse immunitaire innée souffrent presque universellement d’une infection asymptomatique ou d’une simple présentation de la maladie COVID-19. Néanmoins, ils pourraient être confrontés à une maladie auto-immune chronique, comme décrit précédemment, en raison d’une production excessive d’anticorps en réponse au vaccin, qui n’était pas nécessaire en premier lieu.

La rate, les plaquettes et la thrombocytopénie

Le Dr Gregory Michael, obstétricien à Miami Beach, est décédé d’une hémorragie cérébrale 16 jours après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer/BioNTech COVID-19. Dans les trois jours suivant le vaccin, il a développé un purpura thrombocytopénique idiopathique (PTI), une maladie auto-immune dans laquelle les cellules immunitaires attaquent et détruisent les plaquettes. Sa numération plaquettaire a chuté de manière abrupte, ce qui a entraîné une incapacité à arrêter une hémorragie interne, ce qui a conduit à l’AVC, comme décrit dans un article du New York Times (Grady et Mazzei, 2021). Le New York Times a poursuivi avec un deuxième article qui a discuté de plusieurs autres cas de PTI après la vaccination contre le SARS-CoV-2 (Grady, 2021), et plusieurs autres incidences de chute précipitée de plaquettes et de thrombocytopénie après la vaccination contre le SARS-CoV-2 ont été rapportés dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS).

1. Biodistribution des vaccins à ARNm

Plusieurs études sur les vaccins à base d’ARNm ont confirmé de manière indépendante que la rate est un centre d’activité majeur pour la réponse immunitaire. Une étude sur un vaccin contre le virus de la grippe à base d’ARNm est extrêmement pertinente pour répondre à la question de la biodistribution de l’ARNm dans le vaccin. Ce vaccin, comme les vaccins SARS-CoV-2, a été conçu sous forme de nanoparticules lipidiques avec un ARN modifié codant pour l’hémagglutinine (la protéine de fusion de surface équivalente à la protéine de pointe dans les virus corona), et a été administré par injection musculaire. La concentration d’ARNm a été suivie dans le temps dans divers échantillons de tissus, et la concentration maximale observée à chaque site a été enregistrée. Sans surprise, la concentration était la plus élevée dans le muscle au site d’injection (5.680 ng/mL). Ce niveau a diminué lentement au fil du temps, atteignant la moitié de la valeur initiale à 18,8 heures après l’injection. Le niveau le plus élevé suivant a été observé dans le ganglion lymphatique proximal, culminant à 2.120 ng/mL et ne tombant à la moitié de cette valeur que 25,4 heures plus tard. Parmi les organes, les niveaux de loin les plus élevés ont été trouvés dans la rate (86,69 ng/mL) et le foie (47,2 ng/mL). Ailleurs dans le corps, la concentration était de 100 à 1.000 fois plus faible. En particulier, les ganglions lymphatiques distaux n’avaient qu’une concentration maximale de 8 ng/mL. Ils ont conclu que l’ARNm se distribue du site d’injection au foie et à la rate via le système lymphatique, atteignant finalement la circulation générale. Cela se produit probablement par son transport à l’intérieur des macrophages et d’autres cellules immunitaires qui l’absorbent au site d’injection musculaire. De manière inquiétante, il atteint également le cerveau, bien qu’à des niveaux beaucoup plus faibles (Bahl et al., 2017). Le rapport d’évaluation de l’Agence Européenne des Médicaments pour le vaccin Moderna a également noté que l’ARNm pouvait être détecté dans le cerveau après administration intramusculaire à environ 2% du niveau trouvé dans le plasma (Agence Européenne des Médicaments, 2021).

Dans une autre expérience menée pour suivre la voie de biodistribution des vaccins à ARN, un vaccin à ARN contre la rage a été administré par voie intramusculaire à des rats en une seule dose. Le vaccin comprenait un code pour une protéine immunogène de la rage ainsi que le code pour l’ARN polymérase et a été formulé sous la forme d’une nanoémulsion huile-dans-eau. Ainsi, il n’est pas entièrement représentatif des vaccins à ARNm du SARS-CoV-2. Néanmoins, son administration intramusculaire et sa dépendance à l’égard de l’absorption d’ARN par les cellules immunitaires signifient probablement qu’il migrerait à travers les tissus selon une voie similaire à celle du vaccin SARS-CoV-2. Les auteurs ont observé une hypertrophie des ganglions lymphatiques de drainage et des études tissulaires ont révélé que l’ARN de la rage apparaissait initialement au site d’injection et dans les ganglions lymphatiques de drainage en un jour, et qu’il était également retrouvé dans le sang, les poumons, la rate et le foie (Stokes et al., 2020). Ces résultats sont cohérents avec l’étude ci-dessus sur les vaccins à ARNm de la grippe.

Enfin, une étude comparant des nanoparticules d’ARNm exprimant la luciférase avec des cellules dendritiques d’ARNm exprimant la luciférase en tant qu’approche alternative à la vaccination a révélé que le signal de la luciférase atteignait une gamme plus large de sites lymphoïdes avec le mécanisme de délivrance des nanoparticules. Plus important encore, le signal de la luciférase était concentré dans la rate pour les nanoparticules par rapport à la dominance dans les poumons pour les cellules dendritiques (Firdessa-Fite et Creuso, 2020).

2. Thrombocytopénie immunitaire

La thrombocytopénie immunitaire (ou purpura thrombocytopénique immunitaire – PTI) est devenue une complication importante du COVID-19 (Bhattacharjee et Banerjee, 2020). Dans de nombreux cas, elle apparaît après une guérison complète de la maladie, c’est-à-dire après que le virus a été éliminé, ce qui suggère qu’il s’agit d’un phénomène auto-immun. Une voie probable par laquelle le PTI pourrait se produire après la vaccination est la migration de cellules immunitaires transportant une cargaison de nanoparticules d’ARNm via le système lymphatique dans la rate. Ces cellules immunitaires produiraient une protéine de pointe selon le code contenu dans les nanoparticules, et la protéine de pointe induirait la génération de cellules B d’anticorps IgG contre celle-ci.

Le PTI apparaît initialement sous forme de pétéchies ou de purpura sur la peau et/ou de saignements des surfaces muqueuses. Il présente un risque élevé de décès par hémorragie et accident vasculaire cérébral. Le PTI se caractérise à la fois par une destruction accrue des plaquettes et une production réduite de plaquettes, et les auto-anticorps jouent un rôle central (Sun et Shan, 2019). Les plaquettes sont recouvertes d’anticorps antiplaquettaires et de complexes immuns, ce qui induit leur clairance par les phagocytes.

En particulier dans des conditions d’autophagie altérée, la cascade de signalisation qui en résulte peut également entraîner la suppression de la production de mégacaryocytes dans la moelle osseuse, qui sont les cellules précurseurs de la production de plaquettes (Sun et Shan, 2019). Une étude de cas d’un patient diagnostiqué avec le COVID-19 est révélatrice car il a développé une thrombocytopénie d’apparition soudaine quelques jours après sa sortie de l’hôpital sur base d’un test d’acide nucléique COVID-19 négatif. Suite à ce développement, il a été vérifié que le patient avait un nombre réduit de mégacaryocytes producteurs de plaquettes, tandis que les anticorps auto-immuns étaient négatifs, suggérant un problème de production de plaquettes plutôt que de destruction de plaquettes (Chen et al., 2020).

L’autophagie est essentielle pour éliminer les protéines endommagées, les organites et les agents pathogènes bactériens et viraux. Les altérations des voies d’autophagie apparaissent comme une caractéristique de la pathogenèse de nombreux virus respiratoires, notamment le virus de la grippe, le MERS-CoV, le SARS-CoV et, surtout, le SARS-CoV-2 (Limanaqi et al., 2020). L’autophagie est certainement essentielle dans l’élimination de la protéine de pointe produite par les cellules immunitaires programmées pour la produire via les vaccins à ARNm.

On peut supposer que l’autophagie altérée empêche la clairance de la protéine de pointe produite par les macrophages à partir de l’ARNm du vaccin. Comme nous le montrerons plus tard, les plaquettes possèdent des protéines autophagiques et utilisent l’autophagie pour éliminer les virus. L’autophagie altérée est une caractéristique du PTI, et elle peut être la clé de l’attaque auto-immune des plaquettes (Wang et al., 2019).

3. Un rôle essentiel pour la rate

La rate est le plus grand organe lymphoïde secondaire chez l’homme et elle contient jusqu’à 1/3 des réserves de plaquettes du corps. La rate est le site principal de destruction des plaquettes au cours du PTI, car elle contrôle la réponse des anticorps contre les plaquettes. Les deux principaux auto-anticorps associés au PTI sont dirigés contre l’immunoglobuline G (IgG) et le complexe glycoprotéine (GP) IIb/IIIa sur les plaquettes (Aslam et al., 2016).

La rate joue un rôle central dans la clairance des antigènes étrangers et la synthèse des IgG par les cellules B. Lors de l’exposition à un antigène, tel que la protéine de pointe, les neutrophiles dans la zone marginale de la rate acquièrent la capacité d’interagir avec les cellules B, induisant la production d’anticorps (Puga et al., 2011). Ceci est probablement crucial pour le succès de la vaccination. La modification pseudouridine de l’ARNm est importante pour assurer la survie de l’ARN suffisamment longtemps pour qu’il atteigne la rate. Dans une expérience sur l’injection de nanoparticules d’ARNm à des souris, l’ARNm délivré et la protéine codée ont pu être détectés dans la rate 1, 4 et 24 heures après l’injection, à des niveaux significativement plus élevés que lorsque l’ARN non modifié était utilisé (Karikó et al., 2008).

Un mécanisme sophistiqué de communication croisée plaquettes-neutrophiles dans la rate peut conduire à une thrombocytopénie, médiée par une réponse pathologique appelée nétose. Les plaquettes-TLR7 (récepteur toll-like 7 – toll-like receptors) reconnaissent les particules grippales en circulation et entraînent leur engloutissement et leur endocytose par les plaquettes. Après avoir englouti les virus, les plaquettes stimulent les neutrophiles pour libérer leur ADN dans les pièges extracellulaires des neutrophiles (NETs – Neutrophil Extracellular Traps) (Koupenova et al., 2019), et l’ADN, en quantité excessive, lance une cascade prothrombotique.

4. Leçons de la grippe

Le virus de la grippe, comme le virus corona, est un virus à ARN simple brin. La thrombocytopénie est une complication courante de l’infection grippale, et sa gravité prédit les résultats cliniques chez les patients gravement malades (Jansen et al., 2020). Les plaquettes contiennent dans leurs membranes des glycoprotéines abondantes qui agissent comme des récepteurs et favorisent l’adhésion à la paroi endothéliale. Des auto-anticorps contre les glycoprotéines plaquettaires sont retrouvés chez la majorité des patients atteints de thrombocytopénie auto-immune (Lipp et al., 1998). Le virus de la grippe se lie aux cellules via les glycoprotéines et libère une enzyme appelée neuraminidase qui peut décomposer les glycosaminoglycanes liés aux glycoprotéines et les libérer. Cette action expose probablement les glycoprotéines plaquettaires aux cellules B, induisant la production d’auto-anticorps. Il a été démontré que la neuraminidase exprimée par le pathogène Streptococcus Pneumoniae désialyle les plaquettes [Ndt. une étude en français ici qui décrit le mécanisme de « Sialylation des plaquettes et thrombopénies« ], entraînant une hyperactivité plaquettaire (Kullaya et al., 2018).

Les plaquettes semblent jouer un rôle important dans la clairance virale. Moins d’une minute après l’incubation de plaquettes avec les virus de la grippe, les virus s’étaient déjà attachés aux plaquettes. L’internalisation ultérieure, peut-être par phagocytose, a culminé à 30 minutes (Jansen et al., 2020).

La protéine de pointe SARS-CoV-2 se lie à l’acide sialique, ce qui signifie qu’elle pourrait se fixer aux glycoprotéines dans les membranes plaquettaires (Baker et al., 2020). Il existe une similitude structurelle entre la protéine de pointe S1 dans le CoV du SARS et la neuraminidase exprimée par le virus de la grippe, ce qui pourrait signifier que la protéine de pointe possède une activité de neuraminidase (Zhang et al., 2004). Plusieurs virus expriment la neuraminidase, et elle agit généralement par voie enzymatique pour cataboliser les glycanes dans les glycoprotéines par désialylation.

Ainsi, il semble plausible qu’une cascade dangereuse menant au PTI puisse s’ensuivre après la vaccination par ARNm, même en l’absence de virus vivant, en particulier dans le contexte d’une autophagie altérée. Les cellules immunitaires du muscle du bras absorbent les particules d’ARN et circulent dans le système lymphatique, s’accumulant dans la rate. Là, les cellules immunitaires produisent une protéine de pointe abondante, qui se lie aux glycoprotéines plaquettaires et les désialyle. L’interaction plaquettaire avec les neutrophiles provoque une NETose [voir plus haut et ici] et le lancement d’une cascade inflammatoire. Les glycoprotéines exposées deviennent des cibles pour les anticorps auto-immuns qui attaquent et éliminent ensuite les plaquettes, entraînant une chute rapide du nombre de plaquettes et un événement mettant la vie en danger.

Activation du zona latent

Une étude observationnelle menée au Tel Aviv Medical Center et au Carmel Medical Center à Haïfa, en Israël, a révélé une augmentation significative du taux de zona après la vaccination Pfizer (Furer 2021). Cette étude observationnelle a suivi des patients atteints de maladies rhumatismales inflammatoires auto-immunes préexistantes (AIIRD – Autoimmune inflammatory rheumatic diseases). Parmi les 491 patients atteints d’AIIRD au cours de la période d’étude, 6 (1,2 %) ont reçu un diagnostic de zona comme premier diagnostic entre 2 jours et 2 semaines après la première ou la deuxième vaccination. Dans le groupe témoin de 99 patients, aucun cas de zona n’a été identifié.

La base de données VAERS du CDC, interrogée le 19 avril 2021, contient 278 rapports de zona suite aux vaccinations Moderna ou Pfizer. Compte tenu de la sous-déclaration documentée au VAERS (Lazarus et al. 2010), et compte tenu de la nature associative des déclarations du VAERS, il n’est pas possible de prouver un lien de causalité entre les vaccinations et les déclarations de zona. Cependant, nous pensons que l’apparition du zona est un autre « signal » important dans le VAERS.

Ce risque accru de zona, s’il est valide, peut avoir d’importantes implications plus larges. De nombreuses études ont montré que les patients présentant un déficit immunitaire primaire ou acquis sont plus sensibles à une infection sévère par le zona (Ansari et al., 2020). Cela suggère que les vaccins à ARNm peuvent supprimer la réponse immunitaire innée. Il existe une interaction entre le TNF-α et l’interféron de type I dans les maladies auto-immunes, où chacun supprime l’autre (Palucka et al., 2005). L’interféron de type I inhibe la réplication du virus varicelle-zona (Ku et al., 2016). Le TNF-α est fortement régulé à la hausse dans une réponse inflammatoire, qui est induite par les nanoparticules lipidiques du vaccin. Sa régulation positive est également associée à l’état inflammatoire chronique de la polyarthrite rhumatoïde (Matsuno et al., 2002). L’expression exubérante du TNF-α après la vaccination peut interférer avec la réponse INF-α des cellules dendritiques qui contrôle le zona latent.

Toxicité de la protéine de pointe

L’image émerge maintenant que le SARS-CoV-2 a des effets graves sur le système vasculaire dans plusieurs organes, y compris le système vasculaire cérébral. Comme mentionné précédemment, la protéine de pointe facilite l’entrée du virus dans une cellule hôte en se liant à l’ACE2 dans la membrane plasmique. L’ACE2 est une protéine membranaire intégrale de type I qui clive l’angiotensine II en angiotensine (1-7), éliminant ainsi l’angiotensine II et abaissant la pression artérielle. Dans une série d’articles, Yuichiro Suzuki, en collaboration avec d’autres auteurs, a présenté un argument solide selon lequel la protéine de pointe en elle-même peut provoquer une réponse de signalisation dans le système vasculaire avec des conséquences potentiellement étendues (Suzuki, 2020 ; Suzuki et al., 2020 ; Suzuki et al. ., 2021 ; Suzuki et Gychka, 2021). Ces auteurs ont observé que, dans les cas graves de COVID-19, le SARS-CoV-2 provoque des changements morphologiques importants du système vasculaire pulmonaire. L’analyse post-mortem des poumons des patients décédés du COVID-19 a révélé des caractéristiques histologiques montrant un épaississement de la paroi vasculaire, principalement dû à une hypertrophie de la tunique moyenne [tunica media]. Les cellules musculaires lisses agrandies étaient devenues arrondies, avec des noyaux gonflés et des vacuoles cytoplasmiques (Suzuki et al., 2020). En outre, ils ont montré que l’exposition de cellules musculaires lisses d’artères pulmonaires humaines cultivées à la sous-unité S1 de la protéine de pointe SARS-CoV-2 était suffisante pour promouvoir la signalisation cellulaire sans le reste des composants du virus.

Des articles de suivi (Suzuki et al., 2021, Suzuki et Gychka, 2021) ont montré que la sous-unité S1 de la protéine de pointe supprime l’ACE2, provoquant une affection ressemblant à l’hypertension artérielle pulmonaire (HTAP), une maladie pulmonaire grave avec une mortalité très élevée. Leur modèle est représenté ici sur la figure 2. Fait inquiétant, Suzuki et Gychka (2021) ont écrit : « Ainsi, ces études in vivo ont démontré que la protéine de pointe du SARS-CoV-1 (sans le reste du virus) réduit l’expression de l’ACE2, augmente le niveau d’angiotensine II et aggrave la lésion pulmonaire. Les « études in vivo » auxquelles ils ont fait référence ici (Kuba et al., 2005) avaient montré que les lésions pulmonaires induites par le coronavirus du SARS étaient principalement dues à l’inhibition de l’ACE2 par la protéine de pointe du SARS-CoV, provoquant une forte augmentation de l’angiotensine-II . Suzuki et al. (2021) a ensuite démontré expérimentalement que le composant S1 du virus SARS-CoV-2, à une faible concentration de 130 pM, activait la voie de signalisation MEK/ERK/MAPK pour favoriser la croissance cellulaire. Ils ont émis l’hypothèse que ces effets ne seraient pas limités au système vasculaire pulmonaire. La cascade de signalisation déclenchée dans le système vasculaire cardiaque provoquerait une maladie coronarienne, et son activation dans le cerveau pourrait conduire à un accident vasculaire cérébral. Une hypertension systémique serait également prédite. Ils ont émis l’hypothèse que cette capacité de la protéine de pointe à favoriser l’hypertension artérielle pulmonaire pourrait prédisposer les patients qui se remettent du SARS-CoV-2 à développer plus tard une insuffisance cardiaque ventriculaire droite. En outre, ils ont suggéré qu’un effet similaire pourrait se produire en réponse aux vaccins à ARNm, et ils ont mis en garde contre les conséquences potentielles à long terme pour les enfants et les adultes qui ont reçu des vaccins COVID-19 basés sur la protéine de pointe (Suzuki et Gychka, 2021).

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Figure 2 : Un modèle simple pour un processus par lequel la protéine de pointe produite par les vaccins à ARNm pourrait induire une réponse pathologique distincte de l’induction souhaitable d’anticorps pour supprimer l’entrée virale. Redessiné avec la permission de Suzuki et Gychka, 2021

Une étude intéressante de Lei et. Al. (2021) ont découvert que les pseudovirus – des sphères décorées avec la protéine SARS-CoV-2 S1 mais dépourvues d’ADN viral dans leur noyau – provoquaient une inflammation et des dommages dans les artères et les poumons de souris exposées par voie intratrachéale. Ils ont ensuite exposé des cellules endothéliales humaines saines aux mêmes particules de pseudovirus. La liaison de ces particules aux récepteurs endothéliaux ACE2 a entraîné des dommages mitochondriaux et une fragmentation de ces cellules endothéliales, entraînant les changements pathologiques caractéristiques du tissu associé. Cette étude montre clairement que la protéine de pointe seule, non associée au reste du génome viral, est suffisante pour provoquer les dommages endothéliaux associés au COVID-19. Les implications pour les vaccins destinés à amener les cellules à fabriquer la protéine de pointe sont claires et constituent une cause évidente de préoccupation.

Les symptômes neurologiques associés au COVID-19, tels que les maux de tête, les nausées et les étourdissements, l’encéphalite et les caillots sanguins cérébraux mortels sont tous des indicateurs d’effets viraux dommageables sur le cerveau. Buzhdygan et al. (2020) ont proposé que les cellules endothéliales microvasculaires primaires du cerveau humain pourraient provoquer ces symptômes. L’ACE2 est exprimé de manière ubiquitaire dans les cellules endothéliales des capillaires cérébraux. L’expression de l’ACE2 est régulée à la hausse dans le système vasculaire cérébral en association avec la démence et l’hypertension, qui sont tous deux des facteurs de risque d’effets néfastes du COVID-19. Dans une étude in vitro de la barrière hémato-encéphalique, le composant S1 de la protéine de pointe a favorisé la perte d’intégrité de la barrière, suggérant que la protéine de pointe agissant seule déclenche une réponse pro-inflammatoire dans les cellules endothéliales du cerveau, ce qui pourrait expliquer les conséquences neurologiques de la maladie (Buzhdygan et al., 2020). Les implications de cette observation sont troublantes car les vaccins à ARNm induisent la synthèse de la protéine de pointe, qui pourrait théoriquement agir de manière similaire pour endommager le cerveau.

La protéine de pointe générée de manière endogène par le vaccin pourrait également avoir un impact négatif sur les testicules mâles, car le récepteur ACE2 est fortement exprimé dans les cellules de Leydig des testicules (Verma et al., 2020). Plusieurs études ont maintenant montré que la protéine de pointe du coronavirus est capable d’accéder aux cellules des testicules via le récepteur ACE2 et de perturber la reproduction masculine (Navarra et al., 2020 ; Wang et Xu, 2020). Un article impliquant un examen post-mortem des testicules de six patients masculins atteints de COVID-19 a trouvé des preuves microscopiques de protéines de pointe dans les cellules interstitielles des testicules de patients présentant des testicules endommagés (Achua et al., 2021).

Un lien possible avec les maladies à prions et la neurodégénérescence

Les maladies à prions sont un ensemble de maladies neurodégénératives induites par le mauvais repliement de protéines corporelles importantes, qui forment des oligomères toxiques qui finissent par précipiter sous forme de fibrilles causant des dommages étendus aux neurones. C’est Stanley Prusiner qui a inventé le nom de « prion » pour décrire ces protéines mal repliées (Prusiner, 1982). La maladie à prions la plus connue est la maladie de la vache folle (encéphalopathie spongiforme bovine), devenue épidémique chez les bovins européens à partir des années 1980. Le site Web du CDC au sujet des maladies à prions indique que « les maladies à prions sont généralement rapidement progressives et toujours mortelles. » (Centers for Disease Control and Prevention, 2018). On pense maintenant que de nombreuses maladies neurodégénératives, notamment la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson et la sclérose latérale amyotrophique (SLA) peuvent être des maladies à prions, et les chercheurs ont identifié des particules infectieuses protéiniques spécifiques liées à ces maladies (Weickenmeier et al., 2019).

De plus, les chercheurs ont identifié un motif de signature lié à la susceptibilité à un mauvais repliement en oligomères toxiques, appelé glycine zipper motif [voir ici]. Il est caractérisé par un motif de deux résidus glycine espacés de trois acides aminés intermédiaires, représentés par GxxxG. Le prion bovin lié à la maladie de la vache folle a une séquence spectaculaire de dix GxxxG d’affilée (voir uniprot.org/uniprot/P10279).

Plus généralement, le motif GxxxG est une caractéristique commune des protéines transmembranaires, et les glycines jouent un rôle essentiel dans la réticulation des hélices dans la protéine (Mueller et al., 2014). Les protéines prions deviennent toxiques lorsque les hélices α se replient mal en feuillets β, et la protéine est alors altérée dans sa capacité à pénétrer dans la membrane (Prusiner, 1982). Les glycines dans les glycine zipper motif transmembranaires dans la protéine précurseur de l’amyloïde-β (APP – amyloid-β precursor protein) jouent un rôle central dans le mauvais repliement de l’amyloïde-β lié à la maladie d’Alzheimer (Decock et al., 2016). L’APP contient un total de quatre motifs GxxxG.

Lorsque l’on considère que la protéine de pointe du SARS-CoV-2 est une protéine transmembranaire et qu’elle contient cinq motifs GxxxG dans sa séquence (voir uniprot.org/uniprot/P0DTC2), il devient extrêmement plausible qu’elle puisse se comporter comme un prion. L’une des séquences GxxxG est présente dans son domaine de fusion membranaire. Rappelons que les vaccins à ARNm sont conçus avec une séquence modifiée qui remplace deux acides aminés adjacents dans le domaine de fusion par une paire de prolines. Ceci est fait intentionnellement afin de forcer la protéine à rester dans son état ouvert et de rendre plus difficile sa fusion avec la membrane. Cela nous semble être une dangereuse étape vers un mauvais repliement menant potentiellement à la maladie à prions.

Un article publié par J. Bart Classen (2021) [NdT. que j’ai traduit et publié ici le14 avril] a proposé que la protéine de pointe dans les vaccins à ARNm pourrait provoquer des maladies de type prion, en partie grâce à sa capacité à se lier à de nombreuses protéines connues et à induire leur mauvais repliement en prions potentiels. Idrees et Kumar (2021) ont proposé que le composant S1 de la protéine de pointe est susceptible d’agir comme un amyloïde fonctionnel et de former des agrégats toxiques. Ces auteurs ont écrit que S1 a la capacité « de former des agrégats amyloïdes et toxiques qui peuvent agir comme facteurs d’agrégation de nombreuses protéines cérébrales mal repliées et peuvent finalement conduire à une neurodégénérescence ».

Selon Tetz et Tetz (2020), la forme de la protéine de pointe dans le SARS-CoV-2 a des régions de prions qui ne sont pas présentes dans les protéines de pointe d’autres coronavirus. Bien que cela ait été signalé dans un article non évalué par des pairs, les auteurs avaient publié un article précédent en 2018 identifiant des régions de type prion dans plusieurs virus eucaryotes, ils ont donc une expertise considérable dans ce domaine (Tetz et Tetz, 2018).

Un dernier point concerne les informations sur le vaccin Pfizer en particulier. Le rapport d’évaluation publique de l’Agence Européenne des Médicaments (EMA) est un document soumis pour obtenir l’autorisation de commercialiser le vaccin en Europe. Il décrit en détail un examen du processus de fabrication ainsi qu’un large éventail de données d’essai associées. Une révélation préoccupante est la présence d’« espèces fragmentées » d’ARN dans la solution d’injection. Ce sont des fragments d’ARN résultant de l’arrêt précoce du processus de transcription à partir de la matrice d’ADN. Ces fragments, s’ils étaient traduits par la cellule après l’injection, généreraient des protéines de pointe incomplètes, entraînant à nouveau une structure tridimensionnelle altérée et imprévisible et un impact physiologique neutre dans le meilleur des cas et au pire préjudiciable au fonctionnement cellulaire. On a trouvé beaucoup plus de ces formes fragmentées d’ARN dans les produits fabriqués commercialement que dans les produits utilisés dans les essais cliniques. Ces derniers ont été produits via un processus de fabrication beaucoup plus contrôlé. [NdT. ce qu’explique le Dr Vanessa Schmidt-Kruger, que j’ai également traduite et publiée ici]

Pfizer affirme que les fragments d’ARN « n’entraîneront probablement pas de protéines exprimées » en raison de leur supposée dégradation rapide dans la cellule. Aucune donnée n’a été présentée pour exclure l’expression des protéines, cependant, laissant les examinateurs commenter : « Ces formes [d’ARN fragmenté] sont mal caractérisées et les données limitées fournies pour l’expression des protéines ne répondent pas pleinement aux incertitudes liées au risque de traduction des protéines/peptides autres que la protéine de pointe prévue » (EMA 2020). À notre connaissance, aucune donnée n’a été communiquée depuis lors.

Bien que nous n’affirmions pas que les protéines différentes des protéines de pointe générées à partir d’ARN fragmenté seraient mal repliées ou autrement pathologiques, nous pensons qu’elles contribueraient au moins au stress cellulaire qui favorise les changements de conformation associés aux prions dans la protéine de pointe qui est présente.

1. Leçons de la maladie de Parkinson

La maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative associée à des dépôts de corps de Lewy dans le cerveau, et la principale protéine trouvée dans ces corps de Lewy est l’α-synucléine. Cette protéine, l’α-Synucléine, est certainement de type prion dans la mesure où, dans certaines conditions, elle s’agrège en oligomères et fibrilles solubles toxiques (Lema Tomé et al., 2013). Des recherches ont montré que l’α-synucléine mal repliée peut se former d’abord dans l’intestin, puis voyager de là vers le cerveau le long du nerf vague, probablement sous la forme d’exosomes libérés par les cellules mourantes d’où provient la protéine mal repliée (Kakarla et al., 2020 ; Steiner et al., 2011). Les conditions cellulaires qui favorisent le mauvais repliement comprennent à la fois un pH acide et une expression élevée de cytokines inflammatoires. Il est clair que le nerf vague est essentiel pour la transmission de protéines mal repliées au cerveau, car la rupture du nerf vague protège de la maladie de Parkinson. L’atrophie du nerf vague associée à la maladie de Parkinson fournit une preuve supplémentaire de l’implication du nerf vague dans le transport d’oligomères de α-synucléine mal repliés de l’intestin vers le cerveau (Walter et al., 2018). Une autre voie passe par le nerf olfactif, et une perte de l’odorat est un signe précoce de la maladie de Parkinson. De façon inquiétante, la diminution ou la perte de l’odorat est également un symptôme courant de l’infection par le SARS-CoV-2.

Il existe de nombreux parallèles entre l’α-synucléine et la protéine de pointe, suggérant la possibilité d’une maladie de type prion après la vaccination. Nous avons déjà montré que l’ARNm du vaccin se retrouve en forte concentration dans le foie et la rate, deux organes bien connectés au nerf vague. Les lipides cationiques contenus dans le vaccin créent un pH acide propice à un mauvais repliement, et ils induisent également une forte réponse inflammatoire, une autre condition y prédisposant.

Les centres germinatifs sont des structures au sein de la rate et d’autres organes lymphoïdes secondaires où les cellules dendritiques folliculaires présentent des antigènes aux cellules B, qui à leur tour perfectionnent leur réponse en anticorps. Les chercheurs ont montré que les vaccins à ARNm, contrairement aux vaccins à protéines recombinantes, provoquent un développement robuste d’anticorps neutralisants au niveau de ces centres germinatifs de la rate (Lederer et al., 2020). Cependant, cela signifie également que les vaccins à ARNm induisent une situation idéale pour la formation de prions à partir de la protéine de pointe et son transport via les exosomes le long du nerf vague jusqu’au cerveau.

Des études ont montré que la propagation du prion d’un animal à un autre apparaît d’abord dans les tissus lymphoïdes, en particulier la rate. Les cellules dendritiques folliculaires différenciées sont au cœur du processus, car elles accumulent des protéines prions mal repliées (Al-Dybiat et al., 2019). Une réponse inflammatoire régule positivement la synthèse de l’α-synucléine dans ces cellules dendritiques, augmentant le risque de formation de prions. Les prions qui s’accumulent dans le cytoplasme sont emballés dans des corps lipidiques qui sont libérés sous forme d’exosomes (Liu et al., 2017). Ces exosomes finissent par pénétrer le cerveau, provoquant la maladie.

2. Excrétion du vaccin

Il y a eu beaucoup de discussions sur Internet au sujet de la possibilité que des personnes vaccinées provoquent des maladies chez des personnes non vaccinées à proximité. Bien que cela puisse sembler difficile à croire, il existe un processus plausible par lequel cela pourrait se produire par la libération d’exosomes à partir de cellules dendritiques dans la rate contenant des protéines de pointe mal repliées, en complexe avec d’autres protéines de prions reconformées. Ces exosomes peuvent voyager vers des endroits éloignés. Il n’est pas impossible d’imaginer qu’ils sont libérés des poumons et inhalés par une personne proche. Des vésicules extracellulaires, y compris des exosomes, ont été détectées dans les expectorations, le mucus, le liquide de revêtement épithélial et le liquide de lavage broncho-alvéolaire en association avec des maladies respiratoires (Lucchetti et al., 2021).

Une étude de phase 1/2/3 entreprise par BioNTech sur le vaccin à ARNm de Pfizer impliquait dans leur protocole d’étude qu’ils anticipaient la possibilité d’une exposition secondaire au vaccin (BioNTech, 2020). Le protocole incluait l’exigence selon laquelle « l’exposition pendant la grossesse » devrait être signalée par les participants à l’étude. Ils ont ensuite donné des exemples d’« exposition environnementale pendant la grossesse » qui incluaient l’exposition « à l’intervention de l’étude par inhalation ou contact cutané ». [NdT. « l’intervention » signifie dans ce cadre le produit sujet de l’étude] Ils ont même suggéré deux niveaux d’exposition indirecte : « Un membre masculin de la famille ou un professionnel de la santé qui a été exposé à l’intervention de l’étude par inhalation ou par contact cutané expose ensuite sa partenaire féminine avant ou autour du moment de la conception. »

Emergence de nouveaux variants du SARS-CoV-2

Une hypothèse intéressante a été proposée dans un article publié dans Nature, qui décrivait un cas de maladie COVID-19 grave chez un patient cancéreux qui prenait des médicaments de chimiothérapie anticancéreuse immunosuppressive (Kemp et al., 2021). Le patient a survécu pendant 101 jours après son admission à l’hôpital, succombant finalement dans la bataille contre le virus. Le patient a constamment excrété des virus pendant les 101 jours et il a donc été transféré dans une salle d’isolement pour maladies infectieuses à haute pression négative et à fort renouvellement d’air, afin d’éviter la propagation contagieuse.

Au cours du séjour à l’hôpital, le patient a été traité avec du Remdesivir et par la suite avec deux séries de plasma contenant des anticorps prélevés sur des personnes qui s’étaient rétablies du COVID-19 (plasma de convalescence). Ce n’est qu’après les traitements plasmatiques que le virus a commencé à muter rapidement, et une nouvelle souche dominante a finalement émergé, vérifiée à partir d’échantillons prélevés dans le nez et la gorge du patient. Un patient immunodéprimé présente peu de soutien des cellules T cytotoxiques pour éliminer le virus.

Une expérience in vitro a démontré que cette souche mutante avait une sensibilité réduite à plusieurs unités de plasma de convalescent prélevées sur plusieurs patients guéris. Les auteurs ont suggéré que les anticorps administrés avaient en fait accéléré le taux de mutation du virus, car le patient n’était pas en mesure d’éliminer complètement le virus en raison de sa faible réponse immunitaire. Cela a permis à un programme de « survie des plus aptes » de s’installer, remplissant finalement le corps du patient d’une nouvelle souche résistante aux anticorps. La réplication virale prolongée chez ce patient a conduit à une « évasion immunitaire virale » et des souches résistantes similaires pourraient potentiellement se propager très rapidement au sein d’une population exposée (Kemp et al., 2021). En effet, un processus similaire pourrait vraisemblablement être à l’œuvre pour produire les nouvelles souches hautement contagieuses qui apparaissent maintenant au Royaume-Uni, en Afrique du Sud et au Brésil.

Il y a au moins deux préoccupations que nous avons concernant cette expérience, en relation avec les vaccins à ARNm. La première est que, via l’infection continue des patients immunodéprimés, nous pouvons nous attendre à une émergence continue de nouvelles souches résistantes aux anticorps induits par le vaccin, de sorte que le vaccin peut rapidement devenir obsolète, et qu’il pourrait bien y avoir des demandes de la population à subir une autre campagne de vaccination de masse. Déjà une étude publiée par des chercheurs de Pfizer a montré que l’efficacité du vaccin est réduite pour bon nombre de ces souches variantes. Le vaccin était seulement 2/3 aussi efficace contre la souche sud-africaine que contre la souche d’origine (Liu et al., 2021).

La deuxième considération plus inquiétante est de réfléchir à ce qui se passera avec un patient immunodéprimé après la vaccination. Il est concevable qu’ils répondent au vaccin en produisant des anticorps, mais ces anticorps seront incapables de contenir la maladie après une exposition au COVID-19 en raison d’une altération de la fonction des cellules T cytotoxiques. Ce scénario n’est pas très différent de l’administration de plasma convalescent à des patients immunodéprimés, et il pourrait donc engendrer l’évolution de souches résistantes aux anticorps de la même manière, mais à une échelle beaucoup plus grande. Cette possibilité sera sûrement utilisée pour plaider en faveur de séries répétées de vaccins tous les quelques mois, avec un nombre croissant de variants viraux codés dans les vaccins. C’est une course aux armements que nous allons probablement perdre.

Potentiel d’incorporation permanente du gène de la protéine de pointe dans l’ADN humain

Il a été affirmé que les vaccins à base d’ARNm sont plus sûrs que les vaccins à vecteur d’ADN qui fonctionnent en incorporant le code génétique de la protéine antigénique cible dans un virus à ADN, car l’ARN ne peut pas être incorporé par inadvertance dans le génome humain. Cependant, il n’est pas du tout clair que cela soit vrai. On sait maintenant que le modèle classique ADN → ARN → protéine est faux. Il est maintenant incontestable qu’il existe une grande classe de virus appelés rétrovirus qui portent des gènes qui rétrotranscrivent l’ARN en ADN complémentaire (ADNc). En 1975, Howard Temin, Renato Dulbecco et David Baltimore ont partagé le prix Nobel de Physiologie ou Médecine en 1975 pour leur découverte de la transcriptase inverse et sa synthèse par des rétrovirus (tels que le virus de l’immunodéficience humaine (VIH)) pour dériver l’ADN de l’ARN (Temin et Mizutani, 1970, Baltimore, 1970).

Beaucoup plus tard, il a été découvert que la transcriptase inverse n’est pas unique aux rétrovirus. Plus d’un tiers du génome humain est consacré à de mystérieux éléments mobiles de l’ADN appelés SINE et LINE (respectivement, éléments nucléaires courts et longs intercalés – short and long interspersed nuclear elements). Les LINEs fournissent des capacités de transcriptase inverse pour convertir l’ARN en ADN, et les SINEs permettent d’intégrer l’ADN dans le génome. Ainsi, ces éléments fournissent les outils nécessaires pour convertir l’ARN en ADN et l’incorporer dans le génome afin de maintenir le nouveau gène à travers les générations futures (Weiner, 2002).

Les SINE et les LINE font partie d’une classe plus large d’éléments génétiques appelés rétrotransposons. Les rétrotransposons peuvent copier et coller leur ADN vers un nouveau site du génome via un ARN intermédiaire, tout en introduisant éventuellement des altérations génétiques dans le processus (Pray, 2008). Les rétrotransposons, également connus sous le nom de « gènes sauteurs », ont été identifiés pour la première fois par la généticienne Barbara McClintock du Cold Spring Harbor Laboratory à New York, il y a plus de 50 ans (McClintock, 1965). Beaucoup plus tard, en 1983, elle a reçu un prix Nobel pour ce travail.

Remarquablement, les rétrotransposons semblent être capables d’étendre leur domaine de génération en génération. Les LINEs et les SINEs collaborent pour envahir de nouveaux sites génomiques grâce à la traduction de leur ADN en ARN et en une nouvelle copie d’ADN, qui est ensuite insérée dans une région riche en AT du génome [NdT. la caractéristique la plus distinctive d’une région riche en AT est sa teneur élevée en résidus adénine et thymine par rapport à la moyenne globale d’une origine de réplication entière]. Ces LINEs et SINEs ont longtemps été considérés comme de l’ADN « indésirable », une idée absurde qui a maintenant été dissipée, alors que la prise de conscience de leurs fonctions critiques s’est accrue. En particulier, il est maintenant devenu clair qu’ils peuvent également importer de l’ARN d’une source exogène dans l’ADN d’un hôte mammifère. Les éléments répétés de type rétroviral trouvés dans le génome de la souris, appelés particules A intracisternales (IAP – intracisternal A particles), se sont révélés capables d’incorporer de l’ARN viral dans le génome de la souris. La recombinaison entre un virus à ARN non rétroviral exogène et un rétrotansposon IAP a entraîné une transcription inverse de l’ARN viral et une intégration dans le génome de l’hôte (Geuking et al., 2009).

De plus, comme nous le verrons plus loin, l’ARNm des nouveaux vaccins SARS-CoV-2 pourrait également se transmettre de génération en génération, à l’aide de LINEs exprimées dans le sperme, via un ADNc non intégré encapsulé dans des plasmides. Les implications de ce phénomène prévisible ne sont pas claires, mais potentiellement de grande envergure.

1. Rétrovirus exogènes et endogènes

On craint également que l’ARN des vaccins à ARNm puisse être transféré dans le génome humain par l’intervention de rétrovirus. Les rétrovirus sont une classe de virus qui conservent leurs informations génomiques sous forme d’ARN, mais qui possèdent les enzymes nécessaires pour transcrire à l’envers leur ARN en ADN et l’insérer dans un génome hôte. Ils s’appuient ensuite sur des outils naturels existants de l’hôte pour produire des copies du virus par traduction de l’ADN en ARN et pour produire les protéines que l’ARN viral code et les assembler en une nouvelle particule virale (Lesbats et al., 2016) .

Les rétrovirus endogènes humains (HERV – human endogenous retroviruses) sont des sections bénignes de l’ADN humain qui ressemblent étroitement aux rétrovirus et qui sont censées être devenues des séquences permanentes dans le génome humain grâce à un processus d’intégration à partir de ce qui était à l’origine un rétrovirus exogène. Les rétrovirus endogènes sont abondants chez tous les vertébrés à mâchoires et on estime qu’ils occupent 5 à 8 % du génome humain. La protéine syncytine, devenue indispensable à la fusion placentaire avec la paroi utérine et à l’étape de fusion entre le sperme et l’ovule lors de la fécondation, est un bon exemple de protéine rétrovirale endogène. La syncytine est le gène d’enveloppe d’un rétrovirus défectif endogène humain récemment identifié, HERV-W (Mi et al., 2000). Pendant la gestation, le fœtus exprime des niveaux élevés d’un autre rétrovirus endogène, HERV-R, et il semble protéger le fœtus des attaques immunitaires de la mère (Luganini et Gribaudo, 2020). Les éléments rétroviraux endogènes ressemblent étroitement aux rétrotransposons. Leur transcriptase inverse, lorsqu’elle est exprimée, a la capacité théorique de convertir l’ARN de la protéine de pointe des vaccins à ARNm en ADN.

2. Intégration permanente de l’ADN des gènes de rétrovirus exogènes

Les humains sont colonisés par une grande collection de rétrovirus exogènes qui, dans de nombreux cas, ne causent aucun dommage à l’hôte et peuvent même être symbiotiques (Luganini et Gribaudo, 2020). Les virus exogènes peuvent être convertis en virus endogènes (incorporés de manière permanente dans l’ADN de l’hôte) en laboratoire, comme l’a démontré Rudolf Jaenisch (Jaenisch, 1976), qui a infecté des embryons de souris préimplantatoires avec le virus de la leucémie murine de Moloney (M-MuLV). Les souris générées à partir de ces embryons infectés ont développé une leucémie et l’ADN viral a été intégré dans leur lignée germinale et transmis à leur progéniture. Outre l’incorporation d’ADN viral dans le génome de l’hôte, il a également été démontré dès 1980 que des plasmides d’ADN pouvaient être micro-injectés dans les noyaux d’embryons de souris pour produire des souris transgéniques qui se reproduisent réellement (Gordon et al., 1980). L’ADN plasmidique a été incorporé dans le génome nucléaire des souris par des processus naturels existants, préservant ainsi les informations génétiques nouvellement acquises dans le génome de la progéniture. Cette découverte a été à la base de nombreuses expériences de génie génétique sur des souris transgéniques conçues pour exprimer des gènes humains nouvellement acquis depuis lors (Bouabe et Okkenhaug, 2013).

3. LINE-1 est largement exprimé

Les LINEs représentent à eux seuls plus de 20 % du génome humain. Le LINE le plus courant est le LINE-1, qui code pour une transcriptase inverse qui régule les processus biologiques fondamentaux. Le LINE-1 est exprimé dans de nombreux types de cellules, mais à des niveaux particulièrement élevés dans les spermatozoïdes. Les spermatozoïdes peuvent être utilisés comme vecteurs d’ADN exogène et de molécules d’ARN exogènes par le biais de tests de transfert de gènes médiés par le sperme. Le sperme peut inverser la transcription de l’ARN exogène directement en ADNc et peut fournir des plasmides contenant cet ADNc à l’ovule fécondé. Ces plasmides sont capables de se propager dans l’embryon en développement et de peupler de nombreux tissus chez le fœtus. En fait, ils survivent jusqu’à l’âge adulte en tant que structures extrachromosomiques et sont capables d’être transmis à la descendance. Ces plasmides sont transcriptionnellement compétents, ce qui signifie qu’ils peuvent être utilisés pour synthétiser des protéines codées par l’ADN qu’ils contiennent (Pittoggi et al., 2006).

En plus du sperme, les embryons expriment également la transcriptase inverse avant l’implantation, et son inhibition provoque un arrêt du développement. Le LINE-1 est également exprimé par les cellules cancéreuses, et le silençage par interférence ARN du LINE-1 humain induit la différenciation dans de nombreuses lignées cellulaires cancéreuses. La machinerie de la transcriptase inverse est impliquée dans la genèse de nouvelles informations génétiques, à la fois dans les cellules cancéreuses et dans les cellules germinales. De nombreux tissus tumoraux se sont avérés exprimer des niveaux élevés de LINE-1 et contenir de nombreux plasmides extrachromosomiques dans leur noyau. Les gliomes malins sont les tumeurs primaires du système nerveux central. Il a été montré expérimentalement que ces tumeurs libèrent des exosomes contenant de l’ADN, de l’ARN et des protéines, qui se retrouvent dans la circulation générale (Vaidya et Sugaya, 2020). Le LINE-1 est également fortement exprimé dans les cellules immunitaires dans plusieurs maladies auto-immunes telles que le lupus érythémateux disséminé, [le syndrome de] Sjögrens et le psoriasis (Zhang et al., 2020).

4. Intégration du gène de la protéine de pointe dans le génome humain

Remarquablement, il a été démontré que les neurones du cerveau des patients atteints de la maladie d’Alzheimer hébergent de multiples variantes du gène de la protéine précurseur amyloïde APP [amyloid precursor protein], incorporés dans le génome, qui sont créés par un processus appelé recombinaison génétique somatique (SGR – somatic gene recombination) (Kaeser et al., 2020). La SGR nécessite une transcription génique, des cassures de brins d’ADN et une activité de transcriptase inverse, qui peuvent tous être favorisés par des facteurs de risque bien connus de la maladie d’Alzheimer. L’ADN codant pour l’APP est transcrit de manière inverse en ARN, puis retranscrit en ADN et incorporé dans le génome au niveau d’un site de rupture de brin. Étant donné que l’ARN est plus sensible aux mutations, l’ADN de ces copies mosaïques contient de nombreuses variantes mutantes du gène, de sorte que la cellule devient une mosaïque, capable de produire de multiples variantes de l’APP. Les neurones de patients atteints de la maladie d’Alzheimer contenaient jusqu’à 500 millions de paires de bases d’ADN en excès dans leurs chromosomes (Bushman et al., 2015).

Des chercheurs du MIT et de Harvard ont publié un article troublant en 2021, dans lequel ils ont fourni des preuves solides que l’ARN du SARS-CoV-2 peut être rétrotranscrit en ADN et intégré dans l’ADN humain (Zhang et al., 2021). Ils ont été amenés à enquêter sur cette idée après avoir observé que de nombreux patients continuent d’être testés positifs pour le COVID-19 après que le virus ait déjà été éliminé de leur corps. Les auteurs ont trouvé des transcrits chimériques qui contenaient des séquences d’ADN viral fusionnées à des séquences d’ADN cellulaire chez des patients qui s’étaient remis du COVID-19. Étant donné que le COVID-19 induit souvent une tempête de cytokines dans les cas graves, ils ont confirmé la possibilité d’une activité de transcriptase inverse améliorée grâce à une étude in vitro utilisant des milieux conditionnés contenant des cytokines dans des cultures cellulaires. Ils ont trouvé une régulation positive doublée à triplée de l’expression endogène de LINE-1 en réponse aux cytokines. L’ARN exogène du virus incorporé dans l’ADN humain pourrait produire des fragments de protéines virales indéfiniment après la disparition de l’infection, ce qui donne un faux positif sur un test PCR.

5. Diarrhée virale bovine : un modèle inquiétant

La diarrhée virale bovine (BVD – Bovine Viral Diarrhea) est une maladie virale infectieuse qui affecte les bovins dans le monde entier. Il fait partie de la classe des pestivirus, qui sont de petits virus à ARN enveloppés, sphériques, simple brin. La maladie est associée à des maladies gastro-intestinales, respiratoires et reproductives. Une caractéristique unique de la BVD est que le virus peut traverser le placenta d’une mère enceinte infectée. Cela peut entraîner la naissance d’un veau porteur de particules virales intracellulaires qu’il confond avec le « soi ». Son système immunitaire refuse de reconnaître le virus comme une invasion étrangère et, par conséquent, le veau excrète le virus en grande quantité tout au long de sa vie, infectant potentiellement tout le troupeau. C’est devenu une pratique répandue d’identifier ces veaux porteurs et de les éliminer du troupeau pour tenter de réduire l’infection (Khodakaram-Tafti & Farjanikish, 2017).

Il semble plausible qu’une situation dangereuse puisse survenir à l’avenir lorsqu’une femme reçoit un vaccin à ARNm contre le SARS-CoV-2, puis conçoit un enfant peu de temps après. Le sperme serait libre d’absorber les liposomes inclus dans l’ARN du vaccin et de les convertir en ADN à l’aide de LINE-1. Ils produiraient alors des plasmides contenant le code de la protéine de pointe qui serait absorbé par l’œuf fécondé par le processus décrit ci-dessus. L’enfant qui naît est alors potentiellement incapable de produire des anticorps contre la protéine de pointe parce que son système immunitaire la considère comme « soi ». Si ce nourrisson était infecté par le SARS-CoV-2 à tout moment de sa vie, son système immunitaire ne constituerait pas de défense contre le virus, et le virus serait vraisemblablement libre de se multiplier dans le corps du nourrisson sans retenue. Le nourrisson deviendrait logiquement un super-épandeur dans une telle situation. Certes, il s’agit de spéculations à l’heure actuelle, mais il existe des preuves de ce que nous savons sur les rétrotransposons, les spermatozoïdes, la fécondation, le système immunitaire et les virus, qu’un tel scénario ne peut être exclu. Il a déjà été démontré chez la souris que les éléments génétiques des vaccins vecteurs à ADN, qui sont essentiellement des plasmides, peuvent s’intégrer dans le génome de l’hôte (Wang et al., 2004). En fait, un tel processus a été suggéré comme base de l’évolution lamarckienne définie comme l’hérédité des traits acquis (Steele, 1980).

La prise de conscience que ce qui était autrefois appelé « ADN poubelle » n’est pas de l’ADN poubelle, n’est qu’un des résultats du nouveau paradigme philosophique du langage humain, de la biologie et de la génétique basé sur la génomique fractale (Pellionisz, 2012) – un paradigme que Pellionisz a lié à l’implication de « vraies représentations narratives » (TNR ; Oller, 2010), réalisées comme des « itérations d’un modèle fractal » dans les processus hautement répétitifs du développement normal des nombreuses structures ramifiées du corps humain. Ces processus sont nombreux dans les poumons, les reins, les veines et les artères, et surtout dans le cerveau. Les vaccins à ARNm sont une thérapie génique expérimentale avec le potentiel d’incorporer le code de la protéine de pointe SARS-CoV-2 dans l’ADN humain. Ce code ADN pourrait instruire la synthèse d’un grand nombre de copies de particules infectieuses protéiques, ce qui a le potentiel d’insérer plusieurs faux signaux dans le développement des instructions, entraînant des résultats imprévisibles.

Conclusion

Les vaccins expérimentaux à ARNm ont été annoncés comme ayant le potentiel de grands avantages, mais ils recèlent également la possibilité de conséquences imprévues potentiellement tragiques et même catastrophiques. Les vaccins à ARNm contre le SARS-CoV-2 ont été mis en œuvre en grande pompe, mais de nombreux aspects de leur utilisation généralisée méritent d’être préoccupants. Nous avons passé en revue certaines de ces préoccupations ici, mais pas toutes, et nous tenons à souligner que ces préoccupations sont potentiellement graves et pourraient ne pas être évidentes avant des années ou même être transgénérationnelles. Afin d’écarter de manière adéquate les potentialités négatives décrites dans cet article, nous recommandons, au minimum, que les pratiques de recherche et de surveillance suivantes soient adoptées :

  • Un effort national pour collecter des données détaillées sur les événements indésirables associés aux vaccins à ARNm avec une allocation de financement abondante, suivi bien au-delà des deux premières semaines après la vaccination.
  • Des tests répétés d’auto-anticorps de la population vaccinée. Les auto-anticorps testés pourraient être standardisés et devraient être basés sur des anticorps et des auto-anticorps préalablement documentés potentiellement induits par la protéine de pointe. Ceux-ci comprennent des auto-anticorps contre les phospholipides, le collagène, l’actine, la thyroperoxydase (TPO), la protéine basique de la myéline, la transglutaminase tissulaire et peut-être d’autres.
  • Un profilage immunologique lié à l’équilibre des cytokines et aux effets biologiques associés. Les tests doivent inclure, au minimum, l’IL-6, l’INF-α, les D-dimères, le fibrinogène et la protéine C-réactive.
  • Des études comparant les populations qui ont été vaccinées avec les vaccins à ARNm et celles qui ne l’ont pas été afin de confirmer la diminution attendue du taux d’infection et des symptômes plus légers du groupe vacciné, tout en comparant les taux de diverses maladies auto-immunes et maladies à prions dans les deux mêmes populations.
  • Des études visant à évaluer s’il est possible pour une personne non vaccinée d’acquérir des formes spécifiques au vaccin des protéines de pointe d’une personne vaccinée à proximité.
  • Des études in vitro pour évaluer si les nanoparticules d’ARNm peuvent être absorbées par le sperme et converties en plasmides d’ADNc.
  • Des études animales visant à déterminer si la vaccination peu de temps avant la conception peut entraîner des descendants porteurs de plasmides codant pour les protéines de pointe dans leurs tissus, éventuellement intégrés dans leur génome.
  • Des études in vitro visant à mieux comprendre la toxicité de la protéine de pointe pour le cerveau, le cœur, les testicules, etc.

La politique publique autour de la vaccination de masse s’est généralement basée sur l’hypothèse que le rapport risque/bénéfice pour les nouveaux vaccins à ARNm était « du tout cuit ». Alors que la campagne de vaccination massive est bien engagée en réponse à l’urgence internationale déclarée de COVID-19, nous nous sommes précipités dans des expériences de vaccination à l’échelle mondiale. À tout le moins, nous devrions tirer parti des données disponibles à partir de ces expériences pour en savoir plus sur cette nouvelle technologie non testée auparavant. Et, à l’avenir, nous exhortons les gouvernements à faire preuve de plus de prudence face aux nouvelles biotechnologies.

Enfin, en tant que suggestion évidente mais tragiquement ignorée, le gouvernement devrait également encourager la population à prendre des mesures sûres et abordables pour renforcer naturellement leur système immunitaire, comme s’exposer au soleil pour augmenter les niveaux de vitamine D (Ali, 2020), et manger principalement des aliments entiers biologiques plutôt que des aliments transformés chargés de produits chimiques (Rico-Campà et al., 2019). En outre, la consommation d’aliments qui sont de bonnes sources de vitamine A, de vitamine C et de vitamine K2 doit être encouragée, car les carences en ces vitamines sont liées aux mauvais résultats du COVID-19 (Goddek, 2020 ; Sarohan, 2020)

Remerciements

Cette recherche a été financée en partie par Quanta Computers, Inc., Taiwan, sous les auspices du projet Qmulus.

Conflits d’intérêt

Les auteurs n’ont pas d’intérêts concurrents ou de conflits d’intérêt à déclarer.

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Pire que la maladie? Examen de certaines conséquences involontaires possibles des vaccins à ARNm contre le COVID-19, par Stephanie Seneff (version anglaise)

La traduction française est publiée juste après, ici.

Source.

Worse Than the Disease? Reviewing Some Possible Unintended Consequences of the mRNA Vaccines Against COVID-19

INTERNATIONAL JOURNAL OF VACCINE THEORY, PRACTICE AND RESEARCH

Stephanie Seneff

Computer Science and Artificial Intelligence Laboratory, MIT, Cambridge MA, 02139, USA, E-mail: seneff@csail.mit.edu

Greg Nigh

Naturopathic Oncology, Immersion Health, Portland, OR 97214, USA

ABSTRACT

Operation Warp Speed brought to market in the United States two mRNA vaccines, produced by Pfizer and Moderna. Interim data suggested high efficacy for both of these vaccines, which helped legitimize Emergency Use Authorization (EUA) by the FDA. However, the exceptionally rapid movement of these vaccines through controlled trials and into mass deployment raises multiple safety concerns. In this review we first describe the technology underlying these vaccines in detail. We then review both components of and the intended biological response to these vaccines, including production of the spike protein itself, and their potential relationship to a wide range of both acute and long-term induced pathologies, such as blood disorders, neurodegenerative diseases and autoimmune diseases. Among these potential induced pathologies, we discuss the relevance of prion-protein-related amino acid sequences within the spike protein. We also present a brief review of studies supporting the potential for spike protein “shedding”, transmission of the protein from a vaccinated to an unvaccinated person, resulting in symptoms induced in the latter.We finish by addressing a common point of debate, namely, whether or not these vaccines could modify the DNA of those receiving the vaccination. While there are no studies demonstrating definitively that this is happening, we provide a plausible scenario, supported by previously established pathways for transformation and transport of genetic material, whereby injected mRNA could ultimately be incorporated into germ cell DNA for transgenerational transmission. We conclude with our recommendations regarding surveillance that will help to clarify the long-term effects of these experimental drugs and allow us to better assess the true risk/benefit ratio of these novel technologies.

Keywords : antibody dependent enhancement, autoimmune diseases, gene editing, lipid nanoparticles, messenger RNA, prion diseases, reverse transcription, SARS-CoV-2 vaccines

Introduction

Unprecedented. This word has defined so much about 2020 and the pandemic related to SARS-CoV-2. In addition to an unprecedented disease and its global response, COVID-19 also initiated an unprecedented process of vaccine research, production, testing, and public distribution (Shaw, 2021). The sense of urgency around combatting the virus led to the creation, in March 2020, of Operation Warp Speed (OWS), then-President Donald Trump’s program to bring a vaccine against COVID-19 to market as quickly as possible(Jacobs and Armstrong, 2020).

OWS established a few more unprecedented aspects of COVID-19. First, it brought the US Department of Defense into direct collaboration with US health departments with respect to vaccine distribution (Bonsell, 2021). Second, the National Institutes of Health (NIH) collaborated with the biotechnology company Moderna in bringing an unprecedented type of vaccine against infectious disease to market, one utilizing a technology based on messenger RNA (mRNA) (National Institutes of Health, 2020).

The confluence of these unprecedented events has rapidly brought to public awareness the promise and potential of mRNA vaccines as a new weapon against infectious diseases into the future. At the same time, events without precedent are, by definition, without a history and context against which to fully assess risks, hoped-for benefits, safety, and long-term viability as a positive contribution to public health.

In this paper we will be briefly reviewing oneparticular aspect of these unprecedented events, namely the development and deployment of mRNA vaccines against the targeted class of infectious diseases under the umbrella of “SARS-CoV-2.”We believe many of the issues we raise here will be applicable to any future mRNA vaccine that might be produced against other infectious agents, or in applications related to cancer and genetic diseases, while others seem specifically relevant to mRNA vaccines currently being implemented against the subclass of corona viruses. While the promises of this technology have been widely heralded, the objectively assessed risks and safety concerns have received far less detailed attention. It is our intention to review several highly concerning molecular aspects of infectious disease-related mRNA technology, and to correlate these with both documented and potential pathological effects.

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Unprecedented

Many aspects of Covid-19 and subsequent vaccine development are unprecedented for a vaccine deployed for use in the general population. Some of these includes the following.

  1. First to use PEG (polyethylene glycol) in an injection (see text)
  2. First to use mRNAvaccine technology against an infectious agent
  3. First time Moderna has brought any product to market
  4. First to have public health officials telling those receiving the vaccination to expect an adverse reaction
  5. First to be implemented publicly with nothing more than preliminary efficacy data (see text)
  6. First vaccine to make no clear claims about reducing infections, transmissibility, or deaths
  7. First coronavirus vaccine ever attempted in humans
  8. First injection of genetically modified polynucleotides in the general population

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Vaccine Development

Development of mRNA vaccines against infectious disease is unprecedented in many ways. In a 2018 publication sponsored by the Bill and Melinda Gates Foundation, vaccines were divided into three categories: Simple, Complex, and Unprecedented (Young et al., 2018). Simple and Complex vaccines represented standard and modified applications of existing vaccine technologies. Unprecedented represents a category of vaccine against a disease for which there has never before been a suitable vaccine. Vaccines against HIV and malaria are examples. As their analysis indicates, depicted in Figure 1, unprecedented vaccines are expected to take 12.5 years to develop. Even more ominously, they have a 5% estimated chance of making it through Phase II trials (assessing efficacy) and, of that 5%, a 40% chance of making it through Phase III trials (assessing population benefit). In other words, an unprecedented vaccine was predicted to have a 2% probability of success at the stage of a Phase III clinical trial. As the authors bluntly put it, there is a “low probability of success, especially for unprecedented vaccines.” (Young et al., 2018)

(IMAGE)

Figure 1. Launching innovative vaccines is costly and time-consuming, with a low probability of success, especially for unprecedented vaccines (adapted from Young et al, 2018).

With that in mind, two years later we have an unprecedented vaccine with reports of 90-95% efficacy (Baden et al. 2020). In fact, these reports of efficacy are the primary motivation behind public support of vaccination adoption (U.S. Department of Health and Human Services, 2020). This defies not only predictions, but also expectations. The British Medical Journal(BMJ) may be the only prominent conventional medical publication that has given a platform to voices calling attention to concerns around the efficacy of the COVID-19 vaccines. There are indeed reasons to believe that estimations of efficacy are in need of re-evaluation.

Peter Doshi, an associate editor of the BMJ, has published two important analyses (Doshi 2021a, 2021b) of the raw data releasedto the FDA by the vaccine makers, data that are the basis for the claim of high efficacy. Unfortunately, these were published to the BMJ’s blog and not in its peer-reviewed content. Doshi, though, has published a study regarding vaccine efficacy and the questionable utility of vaccine trial endpoints in BMJ’s peer reviewed content (Doshi 2020).

A central aspect of Doshi’s critique of the preliminary efficacy data is the exclusion of over 3400 “suspected COVID-19 cases” that were not included in the interim analysis of the Pfizer vaccine data submitted to the FDA. Further, a low-but-non-trivial percent of individuals in both Moderna and Pfizer trials were deemed to be SARS-CoV-1-positive at baseline despite prior infection being grounds for exclusion. For these and other reasons the interim efficacy estimate of around 95% for both vaccines is suspect.

A more recent analysis looked specifically at the issue of relative vs. absolute risk reduction. While the high estimates of risk reduction are based upon relative risks, the absolute risk reduction is a more appropriate metric for a member of the general public to determine whether a vaccination provides a meaningful risk reduction personally. In that analysis, utilizing data supplied by the vaccine makers to the FDA, the Moderna vaccine at the time of interim analysis demonstrated an absolute risk reduction of 1.1% (p= 0.004), while the Pfizer vaccine absolute risk reduction was 0.7% (p<0.000) (Brown 2021).

Others have brought up important additional questions regarding COVID-19 vaccine development, questions with direct relevance to the mRNA vaccines reviewed here. For example, Haidere, et. al. (2021) identify four “critical questions” related to development of these vaccines, questions that are germane to both their safety and their efficacy:

  • Will Vaccines Stimulate the Immune Response?
  • Will Vaccines Provide Sustainable Immune Endurance?
  • How Will SARS-CoV-2 Mutate?
  • Are We Prepared for Vaccine Backfires?

Lack of standard and extended preclinical and clinical trials of the two implemented mRNA vaccines leaves each of these questions to be answered over time. It is now only through observation of pertinent physiological and epidemiological data generated by widescale delivery of the vaccines to the general public that these questions will be resolved. And this is only possible if there is free access to unbiased reporting of outcomes –something that seems unlikely given the widespread censorship of vaccine-related information because of the perceived need to declare success at all cost.

The two mRNA vaccines that have made it through phase 3 trials and are now being delivered to the general population are the Moderna vaccine and the Pfizer-BioNTech vaccine. The vaccines have much in common. Both are based on mRNA encoding the spike protein of the SARS-CoV-2 virus. Both demonstrated a relative efficacy rateof 94-95%. Preliminary indications are that antibodies are still present after three months. Both recommend two doses spaced by three or four weeks, and recently there are reports of annual booster injections being necessary (Mahose, 2021). Both are delivered through muscle injection, and both require deep-freeze storage to keep the RNA from breaking down. This is because, unlike double-stranded DNA which is very stable, single-strand RNA products are apt to be damaged or rendered powerless at warm temperatures and must be kept extremely cold to retain their potential efficacy (Pushparajah et al., 2021). It is claimed by the manufacturers that the Pfizer vaccine requires storage at -94 degrees Fahrenheit (-70 degrees Celsius), which makes it very challenging to transport it and keep it cold during the interim before it is finally administered. The Moderna vaccine can be stored for 6 months at -4 degrees Fahrenheit (-20 degrees Celsius), and it can be stored safely in the refrigerator for 30 days following thawing (Zimmer et al., 2021).

Two other vaccines that are now being administered under emergency use are the Johnson & Johnson vaccine and the AstraZeneca vaccine. Both are based on a vector DNA technology that is very different from the technology used inthe mRNA vaccines. While these vaccines were also rushed to market with insufficient evaluation, they are not the subject of this paper so we will just describe briefly how they are developed. These vaccines are based on a defective version of an adenovirus, a double-stranded DNA virus that causes the common cold. The adenovirus has been genetically modified in two ways, such that it cannot replicate due to critical missing genes, and its genome has been augmented with the DNA code for the SARS-CoV-2 spike protein. AstraZeneca’s production involves an immortalized human cell line called Human Embryonic Kidney (HEK) 293, which is grown in culture along with the defective viruses (Dicks et al., 2012). The HEK cell line was genetically modified back in the 1970s by augmenting its DNA with segments from an adenovirus that supply the missing genes needed for replication of the defective virus (Louis et al., 1997). Johnson & Johnson uses a similar technique based on a fetal retinal cellline. Because the manufacture of these vaccines requires genetically modified human tumor cell lines, there is the potential for human DNA contamination as well as many other potential contaminants.

The media has generated a great deal of excitement about this revolutionary technology, but there are also concerns that we may not be realizing the complexity of the body’s potential for reactions to foreign mRNA and other ingredients in these vaccines that go far beyond the simple goal of tricking the body into producing antibodies to the spike protein.

In the remainder of this paper, we will first describe in more detail the technology behind mRNA vaccines. We devote several sections to specific aspects of the mRNA vaccines that concern us with regard to potential for both predictable and unpredictable negative consequences. We conclude with a plea to governments and the pharmaceutical industry to consider exercising greater caution in the current undertaking to vaccinate as many people as possible against SARS-CoV-2.

Technology of mRNA Vaccines

In the early phase of nucleotide-based gene therapy development, there was considerably more effort invested in gene delivery through DNA plasmids rather than through mRNA technology. Two major obstacles for mRNA are its transient nature due to its susceptibility to breakdown by RNAses, as well as its known power to invoke a strong immune response, which interferes with its transcription into protein. Plasmid DNA has been shown to persist in muscle up to six months, whereas mRNA almost certainly disappears much sooner. For vaccine applications, it was originally thought that the immunogenic nature of RNA could work to an advantage, as the mRNA could double as an adjuvant for the vaccine, eliminating the arguments in favor of a toxic additive like aluminum. However, the immune response results not only in an inflammatory response but also the rapid clearance of the RNA and suppression of transcription. So this idea turned out not to be practical.

There was an extensive period of time over which various ideas were explored to try to keep the mRNA from breaking down before it could produce protein. A major advance was the realization that substituting methyl-pseudouridine for all the uridine nucleotides would stabilize RNA against degradation, allowing it to survive long enough to produce adequate amounts of protein antigen needed for immunogenesis (Liu, 2019). This form of mRNA delivered in the vaccine is never seen in nature, and therefore has the potential for unknown consequences.

The Pfizer-BioNTech and Moderna mRNA vaccines are based on very similar technologies, where a lipid nanoparticle encloses an RNA sequence coding for the full-length SARS-CoV-2 spike protein. In the manufacturing process, the first step is to assemble a DNA molecule encoding the spike protein. This process has now been commoditized, so it’s relatively straightforward to obtain a DNA molecule from a specification of the sequence of nucleotides (Corbett et al., 2020). Following a cell-free in vitro transcription from DNA, utilizing an enzymatic reaction catalyzed by RNA polymerase, the single-stranded RNA is stabilized through specific nucleoside modifications, and highly purified.

The company Moderna, in Cambridge, MA, is one of the developers of deployed mRNA vaccines for SARS-CoV-2. Moderna executives have a grand vision of extending the technology for many applications where the body can be directed to produce therapeutic proteins not just for antibody production but also to treat genetic diseases and cancer, among others. They are developing a generic platform where DNA is the storage element, messenger RNA is the “software” and the proteins that the RNA codes for represent diverse application domains. The vision is grandiose and the theoretical potential applications are vast (Moderna, 2020). The technology is impressive, but manipulation of the code of life could lead to completely unanticipated negative effects, potentially long term or even permanent.

SARS-CoV-2 is a member of the class of positive-strand RNA viruses, which means that they code directly for the proteins that the RNA encodes, rather than requiring a copy to an antisense strand prior to translation into protein. The virus consists primarily of the single-strand RNA molecule packaged up inside a protein coat, consisting of the virus’s structural proteins, most notably the spike protein, which facilitates both viral binding to a receptor (in the case of SARS-CoV-2 this is the ACE2 receptor) and virus fusion with the host cell membrane. The SARS-CoV-2 spike protein is the primary target for neutralizing antibodies. It is a class I fusion glycoprotein, and it is analogous to haemagglutinin produced by influenza viruses and the fusion glycoprotein produced by syncytial viruses, as well as gp160 producedby human immunodeficiency virus (HIV) (Corbett et al., 2020).

The mRNA vaccines are the culmination of years of research in exploring the possibility of using RNA encapsulated in a lipid particle as a messenger. The host cell’s existing biological machinery is co-opted to facilitate the natural production of protein from the mRNA. The field has blossomed in part because of the ease with which specific oligonucleotide DNA sequences can be synthesized in the laboratory without the direct involvement of living organisms. This technology has become commoditized and can be done at large-scale, with relatively low cost. Enzymatic conversion of DNA to RNA is also straightforward, and it is feasible to isolate essentially pure single-strand RNA from the reaction soup (Kosuri and Church, 2014).

1. Considerations in mRNA Selection and Modification

While the process is simple in principle, the manufacturers of mRNA vaccines do face some considerable technical challenges. The first, as we’ve discussed, is that extracellular mRNA itself can induce an immune response which would result in its rapid clearance before it is even taken up by cells. So, the mRNA needs to be encased in a nanoparticle that will keep it hidden from the immune system. The second issue is getting thecells to take up the nanoparticles. This can be solved in part by incorporating phospholipids into the nanoparticle to take advantage of natural pathways of lipid particle endocytosis. The third problem is to activate the machinery that is involved in translating RNA into protein. In the case of SARS-CoV-2, the protein that is produced is the spike protein. Following spike protein synthesis, antigen-presenting cells need to present the spike protein to T cells, which will ultimately produce protective memory antibodies (Moderna, 2020). This step is not particularly straightforward, because the nanoparticles are mostly taken up by muscle cells, which, being immobile, are not necessarily equipped to launch an immune response. As we will see, the likely scenario is that the spike protein is synthesized by muscle cells and then handed over to macrophages acting as antigen-presenting cells, which then launch the standard B-cell-based antibody-generating cascade response.

The mRNA that is enclosed in the vaccines undergoes several modification steps following its synthesis from a DNA template. Some of these steps involve preparing it to look exactly like a human mRNA sequence appropriately modified to support ribosomal translation into protein. Other modifications have the goal of protecting it from breakdown, so that sufficient protein can be produced to elicit an antibody response. Unmodified mRNA induces an immune response that leads to high serum levels of interferon-α (IF-α), which is considered an undesirableresponse. However, researchers have found that replacing all of the uridines in the mRNA with N-methyl-pseudouridine enhances stability of the molecule while reducing its immunogenicity (Karikó et al. 2008; Corbett et al., 2020). This step is part of the preparation of the mRNA in the vaccines, but, in addition, a 7-methylguanosine “cap” is added to the 5’ end of the molecule and a poly-adenine (poly-A) tail, consisting of 100 or more adenine nucleotides, is added to the 3’ end. The cap and tail are essential in maintaining the stability of the mRNA within the cytosol and promoting translation into protein (Schlake et al., 2012; Gallie, 1991).

Normally, the spike protein flips very easily from a pre-fusion configuration to a post-fusion configuration. The spike protein that is in these vaccineshas been tweaked to encourage it to favor a stable configuration in its prefusion state, as this state provokes a stronger immune response (Jackson et al., 2020). This was done via a “genetic mutation,” by replacing a critical two-residue segment with two proline residues at positions 986 and 987, at the top of the central helix of the S2 subunit (Wrapp et al., 2020). Proline is a highly inflexible amino acid, so it interferes with the transition to the fusion state. This modification provides antibodies much better access to the critical site that supports fusion and subsequent cellular uptake. But might this also mean that the genetically modified version of the spike protein produced by the human host cell following instructions from the vaccine mRNA lingers in the plasma membrane bound to ACE2 receptors because of impaired fusion capabilities? What might be the consequence of this? We don’t know.

Researchers in China published a report in Naturein August 2020 in which they presented data on several experimental mRNA vaccines where the mRNA coded for various fragments and proteins in the SARS-CoV-2 virus. They tested three distinct vaccine formulations for their ability to induce an appropriate immune response inmice. The three structural proteins, S (spike), M and E are minimal requirements to assemble a “virus-like particle” (VLP). Their hypothesis was that providing M and E as well as the S spike protein in the mRNA code would permit the assembly of VLPs that might elicit an improved immune response, because they more closely resemble the natural virus than S protein exposed on the surface of cells that have taken up only the S protein mRNA from the vaccine nanoparticles. They were also hoping that critical fragments of the spike protein would be sufficient to induce immunity, rather than the entire spike protein, if viral-like particles could be produced through augmentation with M and E (Lu et al., 2020).

They confirmed experimentally that a vaccine containing the complete genes for all three proteins elicited a robust immune response that lasted for at least eight weeks following the second dose of the vaccine. Its performance was far superior to that of a vaccine containing only the spike protein. Disappointingly, a vaccine that contained only critical components of the spike protein, augmented with the other two envelope proteins, elicited practically no response.

Moderna researchers have conducted similar studies with similar results. They concluded that the spike protein alone was clearly inferior to a formulation containing RNA encoding all three envelope proteins, and they hypothesized that this was due to the fact that all three proteins were needed to allow the cell to release intact virus-like particles, rather than to just post the spike protein in the plasma membrane. The spike protein alone failed to initiate a T cell response in animal studies, whereas the formulation with all three proteins did (Corbett et al., 2020).

The two emergency-approved vaccines only contain mRNA code for spike protein (without E or M), and there must have been a good reason for this decision, despite its observed poor performance. It is possible that more sophisticated design of the lipid nanoparticle (see below) resulted in the ability to have the lipids serve as an adjuvant (similar to aluminum that is commonly added to traditional vaccines) while still protecting the RNA from degradation.

Another curious modification in the RNA code is that the developers have enriched the sequence in cytosines and guanines (Cs and Gs) at the expense of adenines and uracils (As and Us). They have been careful to replace only the third position in the codon in this way, and only when it does not alter the amino acid map (Hubert, 2020). It has been demonstrated experimentally that GC-rich mRNA sequences are expressed (translated into protein) up to 100-fold more efficiently than GC-poor sequences (Kudla et al., 2006). So this appears to be another modificationto further assure synthesis of abundant copies of the spike protein. We do not know the unintended consequences of this maneuver. Intracellular pathogens, including viruses, tend to have low GC content compared to the host cell’s genome (Rocha and Danchin, 2020). So, this modification may have been motivated in part by the desire to enhance the effectiveness of the deception that the protein is a human protein.

All of these various modifications to the RNA are designed to make it resist breakdown, appear more like a human messenger RNA protein-coding sequence, and efficiently translate into antigenic protein.

2. Lipid Nanoparticle Construction

Lipid nanoparticles (LNPs), also known as liposomes, can encapsulate RNA molecules, protecting them from enzymatic degradation by ribonucleases, and thus they form an essential ingredient of a successful delivery method (Wadhwa et al., 2020; Xu et al., 2020). These artificial constructs closely resemble exosomes. Exosomes are extracellullar vesicles secreted by cells and taken up by their neighbors, and they also often embed DNA or RNA. Thus, these nanoparticles can take advantage of natural endocytosis processes that normally internalize extracellular exosomes into endosomes. As the endosome acidifies to become a lysosome, the mRNA is released into the cytoplasm, and this is where translation into protein takes place. Liposomes have actually been found to be more successful at enhancing antigen presentation and maturation of dendritic cells, when compared to fusion proteins that encapsulate virus-based vaccines (Norling et al., 2019).

The lipid nanoparticles (LNPs) in these vaccines are composed of ionizable cationic lipids, phospholipids, cholesterol and polyethyleine glycol (PEG). Together, this mixture assembles into a stable lipid bilayer around the mRNA molecule. The phospholipids in these experimental vaccines consist of a phosphatidylcholine headgroup connected to two saturated alkyl tails through a glycerol linker. The lipid used in these vaccines, named 1,2-distearoyl-sn-glycero-3-phosphocholine (DSPC), has 18 repeat carbon units. The relatively long chain tends to form a gel phase rather than a fluid phase. Molecules with shorter chains (such as a 12-carbon chain) tend to stay in a fluid phase instead. Gel phase liposomes utilizing DSPC have been found to have superior performance in protecting RNA from degradation because the longer alkyl chains are much more constrained in their movements within the lipid domain. They also appear to be more efficient as an adjuvant, increasing the release of the cytockines tumor necrosis factor-α (TNF-α), interleukin (IL)-6 and IL-1β from exposed cells (Norling et al., 2019). However, their ability to induce an inflammatory response may be the cause of the many symptoms people are experiencing, such as pain, swelling, fever and sleepiness. A study published in bioRxiv verified experimentally that these ionizable cationic lipids in lipid nanoparticles induce a strong inflammatory response in mice (Ndeupen et al., 2021).

The current mRNA vaccines are delivered through intramuscular injection. Muscles contain a large network of blood vessels where immune cells can be recruited to the injection site (Zeng et al., 2020). Muscle cells generally can enhance an immune reaction once immune cells infiltrate, in response to an adjuvant (Marino et al., 2011). Careful analysis of the response to an mRNA vaccine, administered to mice, revealed that antigen is expressed initially within muscle cells and then transferred to antigen-presenting cells, suggesting “cross-priming” as the primary path for initiating a CD8 Tcell response (Lazzaro et al., 2015). One can speculate that muscle cells make use of an immune response that is normally used to deal with misfolded human proteins. Such proteins induce upregulation of major histocompatibility complex (MHC) class II proteins, which then bind to the misfolded proteins and transport them intact to the plasma membrane (Jiang et al., 2013).

The MHC-bound surface protein then induces an inflammatory response and subsequent infiltration of antigen-presenting cells (e.g., dendritic cells and macrophages) into the muscle tissue, which then take up the displayed proteins and carry them into the lymph system to present them to T cells. These Tcells can then finally launch the cascade that ultimately produces memory antibodies specific to the protein. Muscle cells do express MHC class II proteins (Cifuentes-Diaz et al., 1992). As contrasted with class I, class II MHC proteins specialize in transporting intact proteins to the surface as opposed to small peptide sequences derived from the partial breakdown of the proteins (Jiang et al., 2013).

An in vitro study on non-human primates demonstrated that radiolabeled mRNA moved from the injection site into the draining lymph node and remained there for at least 28 hours. Antigen presenting cells (APCs) in both the muscle tissue as well as the draining lymph nodes were shown to contain radiolabeled mRNA (Lindsay et al., 2019). Classical APCs include dendritic cells, macrophages, Langerhans cells (in the skin) and B cells. Many of the side effects associated with these vaccines involve pain and inflammation at the injection site, as would be expected given the rapid infiltration of immune cells.

Lymphadenopathy is an inflammatory state in the lymph system associated with swollen lymph nodes. Swollen lymph nodes in the arm pit (axillary lymphadenopathy) is a feature of metastatic breast cancer. A paper published in 2021 described four cases of women who developed axillary lymphadenopathy following a SARS-CoV-2 vaccine (Mehta et al., 2021). The authors urged caution in misinterpreting this condition as an indicator requiring biopsy follow-up for possible breast cancer. This symptom corroborates tracer studies showing that the mRNA vaccine is predominantly taken up by APCs that then presumably synthesize the antigen (spike protein) from the mRNA and migrate into the lymph system, displaying spike protein on their membranes.

A list of the most common adverse effects reportedby the FDA that were experienced during the Pfizer-BioNTech clinical trials include “injection site pain, fatigue, headache, muscle pain, chills, joint pain, fever, injection site swelling, injection site redness, nausea, malaise, and lymphadenopathy.” (US Food and Drug Administration, 2021).

We turn now to individual molecular and organ system concerns that arise with these mRNA vaccines.

Adjuvants, Polyethylene Glycol, and Anaphylaxis

Adjuvants are vaccine additives intended to “elicit distinctive immunological profiles with regard to the direction, duration, and strength of immune responses” from the vaccines to which they are added (Liang et al., 2020). Alum or other aluminum compounds are most commonly utilized in traditional vaccines, and they elicit a wide range of systemic immune activation pathways as well as stromal cell activation at the site of the injection (Lambrecht et al., 2009; Danielsson & Eriksson, 2021).

An aluminum-based adjuvant was determined not to be optimal for a coronavirus vaccine, so other solutions were sought (Liang et. al., 2020). A solution presented itself in the form of the widely used pharmaceutical ingredient polyethylene glycol, or PEG. A limiting factor in the use of nucleic-acid-based vaccines is the tendency for the nucleic acids to be quickly degraded by nuclease enzymes (Ho et al., 2021). Regarding the RNAse enzymes targeting injected mRNA, these enzymes are widely distributed both intracellularly (primarily within the lysosomes) (Fujiwara et al., 2017) and extracellularly (Lu et al., 2018). To overcome this limitation, both mRNA vaccines currently deployed against COVID-19 utilize lipid-based nanoparticles as delivery vehicles. The mRNA cargo is placed inside a shell composed of synthetic lipids and cholesterol, along with PEG to stabilize the mRNA molecule against degradation.

The vaccine produced by Pfizer/BioNTech creates nanoparticles from 2-[(polyethylene glycol)-2000]-N,N-ditetradecylacetamide, or ALC-0159, commonly abbreviated simply as PEG (World Health Organization, 2021, January 14). The Moderna vaccine contains another PEG variant, SM-102, 1,2-dimyristoyl-rac-glycero-3-methoxypolyethylene glycol2000 (World Health Organization, 2021, January 19). For convenience we will abbreviate both PEG-modified lipids as PEG, and refer to the vaccines as PEGylated according to standard nomenclature.

The lipid shell plays a triple role. First, it protects the genetic material from degradation prior to cellular uptake. Second, the lipid shell, which also contains cholesterol, facilitates cellular uptake through fusion with the lipid membrane of the cell and subsequent endocytosis of the lipid particle, invoking naturally existing processes. And finally, it acts as an adjuvant (Ho et al., 2021). It is in this latter role asimmune stimulant that most concerns have been raised regarding the widespread use of PEG in an injection therapy.

In an article published in May 2019, prior to large clinical trials involving these PEGylated vaccines, Mohamed et. al. (2019) described a number of concerning findings regarding PEG and the immunological activation it had been shown to produce, which includes humoral, cell-mediated, and complement-based activation. They note that, paradoxically, large injection doses of PEG cause no apparent allergic reaction. Small doses, though, can lead to dramatic pathological immune activation. Vaccines employing PEGylation utilize micromolar amounts of these lipids, constituting this potentially immunogenic low-dose exposure.

In animal studies it has been shown that complement activation is responsible for both anaphylaxis and cardiovascular collapse, and injected PEG activates multiple complement pathways in humans as well. The authors of one study conclude by noting that “This cascade of secondary mediators substantially amplifies effector immune responses and may induce anaphylaxis in sensitive individuals. Indeed, recent studies in pigs have demonstrated that systemic complement activation (e.g., induced following intravenous injection of PEGylated liposomes) can underlie cardiac anaphylaxis where C5a played a causal role.” (Hamad et al., 2008) It is also important to note that anaphylactoid shock in pigs occurred not with first injected exposure, but following second injected exposure (Kozma et al., 2019).

The presence of antibodies against PEG is widespread in the population (Zhou et al., 2020). Yang and Lai (2015) found that around 42% of blood samples surveyed contained anti-PEG antibodies, and they warn that these could have important consequencesfor any PEG-based therapeutics introduced. Hong et. al. (2020) found anti-PEG antibodies with a prevalence up to 72% in populations with no prior exposure to PEG-based medical therapy. Lila et. al. (2018) note that the “existence of such anti-PEG antibodies has been intimately correlated with an impairment of therapeutic efficacy in tandem with the development of severe adverse effects in several clinical settings employing PEGylated-based therapeutics.”

Anaphylaxis to vaccines has previously been assumedto be rare based on the frequency of such events reported to VAERS, a database established by the Centers for Disease Control and Prevention in 1990 for reporting of adverse events related to vaccines (Centers for Disease Control and Prevention, 1990; Su et al., 2019). While rare, anaphylaxis can be life-threatening, so it is important to monitor for the possibility in the short period following vaccination (McNeil et al., 2016).

Sellaturay et. al., after reviewing 5 cases of anaphylaxis they link to PEG exposure, one near-fatal and involving cardiac arrest, write, “PEG is a high-risk ’hidden’ allergen, usually unsuspected and can cause frequent allergic reactions due to inadvertent re-exposure. Allergy investigation carries the risk of anaphylaxis and should be undertaken only in specialist drug allergy centres.” (Sellaturay et al., 2020). In fact it has already been demonstrated that pre-existing antibodies to PEG are linked to more common and more severe reactions upon re-exposure (Ganson et al., 2016).

Is anaphylaxis upon exposure to PEG happening with a frequency relevant to public health? Numerous studies have now documented the phenomenon (Lee et al., 2015; Povsic et al., 2016; Wylon et al., 2016). Anaphylactic reactions to the mRNA vaccines are widely reported in the media (Kelso, 2021) and, as noted above, have been frequently reported in the VAERS database (690 reports of anaphylaxis following SARS-CoV-2 vaccines up to January 29, 2021). There are also some initial case studies published in the peer-reviewed literature (Garvey & Nasser, 2020; CDC COVID-19 Response Team, 2021, January 15). Anaphylaxis reactions to vaccines prior to these COVID-19 vaccines were generally reported at rates less than 2 cases per million vaccinations (McNeil et al., 2016), while the current rate with the COVID-19 vaccinations was reported by the CDC to be more than 11 cases per million (CDC COVID-19 Response Team, 2021, January 29). However, a published prospective study on 64,900 medical employees, where their reactions to their first mRNA vaccination were carefully monitored, found that 2.1% of the subjects reported acute allergic reactions. A more extreme reaction involving anaphylaxis occurred at a rate of 247 per million vaccinations (Blumenthal et al., 2021). This is more than 21 times as many as were initially reported by the CDC. The second injection exposure is likely to cause even larger numbers of anaphylactic reactions.

mRNA Vaccines, Spike Proteins, and Antibody-Dependent Enhancement (ADE)

ADE is an immunological phenomenon first described in 1964 (Hawkes et al., 1964). In that publication Hawkes described a set of experiments in which cultures of flavivirus were incubated with avian sera containing high titers of antibodies against those viruses. The unexpected finding was that, with increasingly high dilutions of the antibody-containing sera, cell infectivity was enhanced. Lack of an explanation for how this could happen is likely responsible for its being largely ignored for almost 20 years (Morens et al., 1994).

Multiple pathways have been proposed through which antibodies both directly and indirectly participate in the neutralization of infections (Lu et al., 2018b). ADE is a special case of what can happen when low, non-neutralizing levels of either specific or cross-reactive antibodies against a virus are present at the time of infection. These antibodies might be present due to prior exposure to the virus, exposure to a related virus, or due to prior vaccination against the virus. Upon reinfection, antibodies in insufficient numbers to neutralize the virus nevertheless bind to the virus. These antibodies then dock at the Fc receptor on cell surfaces, facilitating viral entry into the cell and subsequently enhancing the infectivity of the virus (Wan et. al.,2020).

ADE is believed to underlie the more severe dengue fever often observed in those with previous exposure (Beltramello et al., 2010), and might also play a role in more severe disease among those previously vaccinated against the disease (Shukla et al., 2020). ADE is also believed to play a role in Ebola (Takada et al., 2003), zika virus infection (Bardina et al., 2017), and other flavivirus infections (Campos et al., 2020).

In an extended correspondence published in Nature Biotechnology, Eroshenko et. al. offer a comprehensive review of evidence suggesting that ADE could become manifest with any vaccinations employed against SARS-CoV-2. Importantly, they note that ADE has been observed with coronavirus vaccines tested in both in vitroand in vivomodels (Eroshenko et al., 2020). Others have warned about the same possibility with SARS-CoV-2 vaccines. A theory for how ADE might occur in the case of a SARS-CoV-2 vaccine suggests that non-neutralizing antibodies form immune complexes with viral antigens to provoke excessive secretion of pro-inflammatory cytokines, and, in the extreme case, a cytokine storm causing widespread local tissue damage (Lee et al., 2020). One extensive review of ADE potentially associated with SARS-CoV-2 vaccines noted, “At present, there are no known clinical findings, immunological assays or biomarkers that can differentiate any severe viral infection from immune-enhanced disease, whether by measuring antibodies, T cells or intrinsic host responses” (Arvin et al. 2020; Liu et al.,2019). We will return to this point again below.

Preexisting immunoglobulin G (IgG) antibodies, induced by prior vaccination, contribute to severe pulmonary damage by SARS-CoV in macaques (Liu et al., 2019). Peron and Nakaya (2020) provide evidence suggesting that the much more diverse range of prior exposures to coronaviruses experienced by the elderly might predispose them to ADE upon exposure to SARS-CoV-2. A concerning pre-print article reported that plasma from 76% of patients who had recovered from severe COVID-19 disease, when added to cultures of SARS-CoV-2 and susceptible cells, exhibited enhanced ability for SARS-CoV-2 viral infection of Raji cells (Wu et al., 2020). The authors note that “the antibody titers [against the spike protein] were higher in elderly patients of COVID-19, and stronger antibody response was associated with delayed viral clearance and increased disease severity in patients. Hence it is reasonable to speculate that S protein-specific antibodies may contribute to disease severity during SARS-CoV-2 infection.” (Wu et al., 2020)

It has been reported that all three US vaccine manufacturers – Moderna, Pfizer, and Johnson & Johnson – are working to develop booster shots (Zaman 2021). With tens of millions of young adults and even children now with vaccine-induced coronavirus spike protein antibodies, there exists the possibility of triggering ADE related to either future SARS-CoV-2 infection or booster injection among this younger population. Time will tell.

The mRNA vaccines ultimately deliver the highly antigenic spike protein to antigen-presenting cells. As such, monoclonal antibodies against the spike protein are the expected outcome of the currently deployed mRNA vaccines. Human spike protein monoclonal antibodies were found to produce high levels of cross-reactive antibodies against endogenous human proteins (Vojdani et. al., 2021; reviewed in more detail below). Given evidence only partially reviewed here, there is sufficient reason to suspect that antibodies to the spike protein will contribute to ADE provoked by prior SARS-CoV-2 infection or vaccination, which may manifest as either acute or chronic autoimmune and inflammatory conditions. We have noted above that it is not possible to distinguish an ADE manifestation of disease from a true, non-ADE viral infection. In this light it is important to recognize that, when diseases and deaths occur shortly after vaccination with an mRNA vaccine, it can never be definitively determined, even with a full investigation, that the vaccine reaction was not a proximal cause.

Pathogenic Priming, Multisystem Inflammatory Disease, and Autoimmunity

Pathogenic priming is a concept that is similar in outcome to ADE, but different in the underlying mechanism. We discuss it here as a unique mechanism through which the mRNA vaccines could provokeassociated pathologies.

In April 2020 an important paper was published regarding the potential for self-reactive antibodies to be generated following exposure to the spike protein and other antigenic epitopes spread over the length of SARS-CoV-2. Lyons-Weiler (2020) coined the phrase “pathogen priming” because he believed the more commonly used “immune enhancement” fails to capture the severity of the condition and its consequences. In his in silico analysis, Lyons-Weiler compared all antigenic SARS-CoV-2 protein epitopes flagged in the SVMTriP database (http://sysbio.unl.edu/SVMTriP/) and searched the p-BLAST database (https://blast.ncbi.nlm.nih.gov/Blast.cgi) for homology between those epitopes and endogenous human proteins. Of the 37 SARS-CoV-2 proteins analyzed, 29 had antigenic regions. All but one of these 29 had homology with human proteins (putative self-antigens)and were predicted to be autoreactogenic. The largest number of homologies were associated with the spike (S) protein and the NS3 protein, both having 6 homologous human proteins.

A functional analysis of the endogenous human proteins homologous with viral proteins found that over 1/3 of them are associated with the adaptive immune system. The author speculates that prior virus exposure or prior vaccination, either of which could initiate antibody production that targets these endogenous proteins, may be playing a role in the development of more severe disease in the elderly in particular. In this case the pre-existing antibodies act to suppress the adaptive immune system and lead to more severe disease.

Another group (Ehrenfeld et. al., 2020), in a paper predominantly about the wide range of autoimmune diseases found in association with a prior SARS-CoV-2 infection, also investigated how the spike protein could trigger such a range of diseases. They report, in Table 1 of that reference, strings of heptapeptides within the human proteome that overlap with the spike protein generated by SARS-CoV-2. They identified 26 heptapeptides found in humans and in the spike protein. It is interesting to note that 2 of the 26 overlapping heptapeptides were found to be sequential, a strikingly long string of identical peptides to be found in common between endogenous human proteins and the spike protein. Commenting on the overlapping peptides they had discovered and the potential for this to drive many types of autoimmunitysimultaneously, they comment, “The clinical scenario that emerges is upsetting.” Indeed, it is.

In May of 2020 another important paper in this regard was published by Vojdani and Kharrazian (2020). The authors used both mouse and rabbit monoclonal antibodies against the 2003 SARS spike protein to test for reactivity against not only the spike protein of SARS-CoV-2, but also against several endogenous human proteins. They discovered that there was a high level of binding not only with the SARS-CoV-2 spike protein, but against a wide range of endogenous proteins. “[W]e found that the strongest reactions were with transglutaminase 3 (tTG3), transglutaminase 2 (tTG2), ENA, myelin basic protein (MBP), mitochondria, nuclear antigen (NA), α-myosin, thyroid peroxidase (TPO), collagen, claudin 5+6, and S100B.” (Vojdani and Kharrazian, 2020).

These important findings need to be emphasized. Antibodies with a high binding affinity to SARS-CoV-2 spike and other proteins also have a high binding affinity with tTG (associated with Celiac Disease), TPO (Hashimoto’s thyroiditis), myelin basic protein (multiple sclerosis), and several endogenous proteins. Unlike the autoimmune process associated with pathogen priming, these autoimmune diseases typically take years to manifest symptomatically.

The autoantibodies generated by the spike protein predicted by Lyons-Weiler (2020) and described above were confirmed with an in vitro study published more recently. In this follow-on paper, Vojdani et. al., (2021) looked again at the issue of cross-reactivity of antibodies, this time using human monoclonal antibodies (mAbs) against the SARS-CoV-2 spike protein rather than mouse and rabbit mAbs. Their results confirmed and extended their prior findings. “At a cutoff of 0.32 OD [optical density], SARS-CoV-2 membrane protein antibody reacted with 18 out of the 55 tested antigens.” These 18 endogenous antigens encompass reactivity to tissue in liver, mitochondria, the nervous and digestive system, the pancreas, and elsewhere in the body.

In a report on multisystem inflammatory syndrome in children (MIS-C), Carter et. al. (2020) studied 23 cases. Seventeen of 23 (68%) patients had serological evidence of prior SARS-CoV-2 infection. Of the three antibodies assessed in the patient population (nucleocapsid, RBD, and spike), IgG spike protein antibody optical density (which quantifies antibody concentrations against a standardized curve (Wikipedia, 2021)), was highest (see Figure 1d in Carter et al., 2020).

MIS-C is now commonly speculated to be an example of immune priming by prior exposure to SARS-CoV-2 or to other coronaviruses. Buonsenso et. al. (2020) reviewed multiple immunologic similarities between MIS-C and disease related to prior β-hemolytic Group A streptococcal infection (GAS). The authors write, “We can speculate that children’s multiple exposition to SARS-CoV-2 with parents with COVID-19 can work as a priming of the immune system, as happens with GAS infection and, in genetically predisposed children, lead to [MIS-C] development. Another hypothesis is that previous infections with other coronaviruses, much more frequent in the pediatric population, may have primed the child immune system to SARS-CoV-2 virus.”

In June 2019 Galeotti and Bayry (2020) reviewed the occurrence of both autoimmune and inflammatory diseases in patients with COVID-19. They focus their analysis on MIS-C. After reviewing several previously published reports of a temporal link between COVID-19 and onset of MIS-C and describing a number of possible mechanistic connections between the two, the authors noted that no causal link had been established. In a somewhat prescient recommendation, they wrote, “A fine analysis of homology between various antigens of SARS-CoV-2 and self-antigens, by use of in silico approaches and validation in experimental models, should be considered in order to confirm this hypothesis.” It is precisely this type of in silico analysis carried out by Lyons-Weiler (2020) and by Ehrenfeld et. al. (2020) described in the opening paragraphs of this section which found the tight homology between viral antigens and self-antigens. While this may not definitively confirm the causal link hypothesized by Galeotti and Bayry, it is strong supporting evidence.

Autoimmunity is becoming much more widely recognized as a sequela of COVID-19. There are multiple reports of previously healthy individuals who developed diseases such as idiopathic thrombocytopenic purpura, Guillain-Barré syndrome and autoimmune haemolytic anaemia (Galeotti and Bayry, 2020). There are three independent case reports of systemic lupus erythemosus (SLE) with cutaneous manifestations following symptomatic COVID-19. In one case a 39-year-old male had SLE onset two months following outpatient treatment for COVID-19 (Zamani et.al., 2021). Another striking case of rapidly progressing and fatal SLE with cutaneous manifestations is described by Slimani et.al. (2021).

Autoantibodies are very commonly found in COVID-19 patients, including antibodies found in blood (Vlachoyiannopoulos et. al., 2020) and cerebrospinal fluid (CFS) (Franke et. al., 2021). Though SARS-CoV-2 is not found in the CSF, it is theorized that the autoantibodies created in response to SARS-CoV-2 exposure may lead to at least some portion of the neurological complications documented inCOVID-19 patients. One important Letter to the Editor submitted to the journal Arthritis & Rheumatology by Bertin et. al. (2020) noted the high prevalence and strong association (p=0.009) of autoantibodies against cardiolipin in COVID-19 patients with severe disease.

Zuo et. al. (2020) found anti-phospholipid autoantibodies in 52% of hospitalized COVID-19 patients and speculated that these antibodies contribute to the high incidence of coagulopathies in these patients. Schiaffino et. al. (2020) reported that serum from a high percentage of hospitalized COVID-19 patients contained autoantibodies reactive to the plasma membrane of hepatocytes and gastric cells. One patient with Guillain-Barre Syndrome was found to have antibody reactivity in cerebrospinal fluid (CFS), leading the authors to suggest that cross-reactivity with proteins in the CFS could lead to neurological complications seen in some COVID-19 patients. In a more recent review, Gao et. al. (2021) noted high levels of autoantibodies in COVID-19 patients across multiple studies. They conclude, “[O]ne of the potential side effects of giving a mass vaccine could be an mergence [sic] of autoimmune diseases especially in individuals who are genetically prone for autoimmunity.”

A recent publication compiles a great deal of evidence that autoantibodies against a broad range of receptors and tissue can be found in individuals who have had previous SARS-CoV-2 infection. “All 31 former COVID-19 patients had between 2 and 7 different GPCR-fAABs [G-protein coupled receptor functional autoantibodies] that acted as receptor agonists.”(Wallukat et. al. 2021) The diversity of GPCR-fAABs identified, encompassing both agonist and antagonist activity on target receptors, strongly correlated with a range of post-COVID-19 symptoms, including tachycardia, bradycardia, alopecia, attention deficit, PoTS, neuropathies, and others.

The same study, referencing the autoantibodies predicted by Lyons-Weiler (2020) mentioned above, notes with obvious grave concern: “The Sars-CoV-2 spike protein is a potential epitopic target for biomimicry-induced autoimmunological processes [25]. Therefore, we feel it will be extremely important to investigate whether GPCR-fAABs will also become detectable after immunisation by vaccination against the virus.”

We have reviewed the evidence here that the spike protein of SARS-CoV-2 has extensive sequence homology with multiple endogenous human proteins and could prime the immune system toward development of both auto-inflammatory and autoimmune disease. This is particularly concerning given that the protein has been redesigned with two extra proline residues to potentially impede its clearance from the circulation through membrane fusion. These diseases could present acutely and over relatively short time spans such as with MIS-C or could potentially not manifest for months or years following exposure to the spike protein, whether via natural infection or via vaccination.

Many who test positive for COVID-19 express no symptoms. The number of asymptomatic, PCR-positive cases varies widely between studies, from a low of 1.6% to a high of 56.5% (Gao et. al., 2020). Those who are insensitive to COVID-19 probably have a very strong innate immune system. The healthy mucosal barrier’s neutrophils and macrophages rapidly clear the viruses, often without the need for any antibodies to be produced by the adaptive system. However, the vaccine intentionally completely bypasses the mucosal immune system, both through its injection past the natural mucosal barriers and its artificial configuration as an RNA-containing nanoparticle. As noted in Carsetti (2020), those with a strong innate immune response almost universally experience either asymptomatic infection or only mild COVID-19 disease presentation. Nevertheless, they might face chronic autoimmune disease, as described previously, as a consequence of excessive antibody production in response to the vaccine, which was not necessary in the first place.

The Spleen, Platelets and Thrombocytopenia

Dr. Gregory Michael, an obstetrician in Miami Beach, died of a cerebral hemorrhage 16 days after receiving the first dose of the Pfizer/BioNTech COVID-19 vaccine. Within three days of the vaccine, he developed idiopathic thrombocytopenic purpura (ITP), an autoimmune disorder in which the immune cells attack and destroy the platelets. His platelet count dropped precipitously, and this caused an inability to stop internal bleeding, leading to the stroke, as described in an article in the New York Times (Grady and Mazzei, 2021). The New York Times followed up with a second article that discussed several other cases of ITP following SARS-CoV-2 vaccination (Grady, 2021), and several other incidences of precipitous drop of platelets and thrombocytopenia following SARS-CoV-2 vaccination have been reported in the Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS).

1. Biodistribution of mRNA Vaccines

Several studies on mRNA-based vaccines have confirmed independently that the spleen is a major center of activity for the immune response. A study on an mRNA-based influenza virus vaccine is extremely relevant for answering the question of the biodistribution of the mRNA in the vaccine. This vaccine, like the SARS-CoV-2 vaccines, was designed as lipid nanoparticles with modified RNA coding for hemagglutinin (the equivalent surface fusion protein to the spike protein in corona viruses), and was administered through muscular injection. The concentration of mRNA was tracked over time in various tissue samples, and the maximum concentration observed at each site was recorded. Not surprisingly, the concentration was highest in the muscle at the injection site (5,680 ng/mL). This level decreased slowly over time, reaching half the original value at 18.8 hours following injection. The next highest level was observed in the proximal lymph node, peaking at 2,120 ng/mL and not dropping to half this value until 25.4 hours later. Among organs, the highest levels by far were found in the spleen (86.69 ng/mL) and liver (47.2 ng/mL). Elsewhere in the body the concentration was at 100-to 1,000-fold lower levels. In particular, distal lymph nodes only had a peak concentration of 8 ng/mL. They concluded that the mRNA distributes from the injection site to the liver and spleen via the lymphatic system, ultimately reaching the general circulation. This likely happens through its transport inside macrophages and other immune cells that take it up at the muscular injection site. Disturbingly, it also reaches into the brain, although at much lower levels (Bahl et al., 2017). The European Medicines Agency assessment report for the Moderna vaccine also noted that mRNA could be detected in the brain following intramuscular administration at about 2% of the level found in the plasma (European Medicines Agency, 2021).

In another experiment conducted to track the biodistribution pathway of RNA vaccines, a rabies RNA vaccine was administered intramuscularly to rats in a single dose. The vaccine included a code for an immunogenic rabies protein as well as the code for RNA polymerase and was formulated as an oil-in-water nanoemulsion. Thus, it is not entirely representative of the SARS-CoV-2 mRNA vaccines. Nevertheless, its intramuscular administration and its dependence on RNA uptake by immune cells likely means that it would migrate through the tissues in a similar pathway as the SARS-CoV-2 vaccine. The authors observed an enlargement of the draining lymph nodes, and tissue studies revealed that the rabies RNA appeared initially at the injection site and in the draining lymph nodes within one day, and was also found in blood, lungs, spleen and liver (Stokes et al., 2020). These results are consistent with the above study on influenza mRNA vaccines.

Finally, a study comparing luciferase-expressing mRNA nanoparticles with luciferase-expressing mRNA dendritic cells as an alternative approach to vaccination revealed that the luciferase signal reached a broader range of lymphoid sites with the nanoparticle delivery mechanism. More importantly, the luciferase signal was concentrated in the spleen for the nanoparticles compared to dominance in the lungs for the dendritic cells (Firdessa-Fite and Creuso, 2020).

2. Immune Thrombocytopenia

Immune thrombocytopenia (ITP) has emerged as an important complication of COVID-19 (Bhattacharjee and Banerjee, 2020). In many cases, it emerges after full recovery from the disease, i.e, after the virus has been cleared, suggesting it is an autoimmune phenomenon. A likely pathway by which ITP could occur following vaccination is through the migration of immune cells carrying a cargo of mRNA nanoparticles via the lymph system into the spleen. These immune cells would produce spike protein according to the code in the nanoparticles, and the spike protein would induce B cell generation of IgG antibodies to it.

ITP appears initially as petechiae or purpura on the skin, and/or bleeding from mucosal surfaces. It has a high risk of fatality through haemorrhaging and stroke. ITP is characterized by both increased platelet destruction and reduced platelet production, and autoantibodies play a pivotal role (Sun and Shan, 2019). Platelets are coated by anti-platelet antibodies and immune complexes, and this induces their clearance by phagocytes.

Particularly under conditions of impaired autophagy, the resulting signaling cascade can also result in suppression of production of megakaryocytes in the bone marrow, which are the precursor cells for platelet production (Sun and Shan, 2019). A case study of a patient diagnosed with COVID-19 is revealing because he developed sudden onset thrombocytopenia a couple of days after he had been released from the hospital based on a negative COVID-19 nucleic acid test. Following this development, it was verified that the patient had a reduced number of platelet-producing megakaryocytes, while autoimmune antibodies were negative, suggesting a problem with platelet production rather than platelet destruction (Chen et al., 2020).

Autophagy is essential for clearing damaged proteins, organelles, and bacterial and viral pathogens. Alterations in autophagy pathways are emerging as a hallmark of the pathogenesis of many respiratory viruses, including influenza virus, MERS-CoV, SARS-CoV and, importantly, SARS-CoV-2 (Limanaqi et al., 2020). Autophagy is surely critical in the clearance of spike protein produced by immune cells programmed to produce it through the mRNA vaccines.

One can speculate that impaired autophagy prevents clearance of the spike protein produced by macrophages from the vaccine mRNA. As we will show later, platelets possess autophagic proteins and use autophagy to clear viruses. Impaired autophagy is a characteristic feature of ITP, and it may be key to the autoimmune attack on the platelets (Wang et al., 2019).

3. A Critical Role for the Spleen

The spleen is the largest secondary lymphoid organ in humans and it contains as much as 1/3 of the body’s platelet supplies. The spleen is the primary site for platelet destruction during ITP, as it controls the antibody response against platelets. The two main autoantibodies associated with ITP are against immunoglobulin G (IgG) and the glycoprotein (GP) IIb/IIIa complex on platelets (Aslam et al., 2016).

The spleen plays a central role in the clearance of foreign antigens and the synthesis of IgG by B cells. Upon exposure to an antigen, such as the spike protein, neutrophils in the marginal zone of the spleen acquire the ability to interact with B cells, inducing antibody production (Puga et al., 2011). This is likely crucial for successful vaccination outcome. The pseudouridine modification of mRNA is important for assuring RNA survival long enough for it to reach the spleen. In an experiment on injection of mRNA nanoparticles into mice, both the delivered mRNA and the encoded protein could be detected in the spleen at 1, 4, and 24 hours after injection, at significantly higher levels than when non-modified RNA was used (Karikó et al., 2008).

A sophisticated platelet-neutrophil cross-communication mechanism in the spleen can lead to thrombocytopenia, mediated by a pathological response called NETosis. Platelet-TLR7 (toll-like receptor 7) recognizes influenza particles in circulation and leads to their engulfment and endocytosis by the platelets. After engulfing the viruses, the platelets stimulate neutrophils to release their DNA within Neutrophil Extracellular Traps (NETs) (Koupenova et al., 2019), and the DNA, in excessive amounts, launches a prothrombotic cascade.

4. Lessons from Influenza

The influenza virus, like the corona virus, is a single-strand RNA virus. Thrombocytopenia is a common complication of influenza infection, and its severity predicts clinical outcomes in critically ill patients (Jansen et al., 2020). Platelets contain abundant glycoproteins in their membranes which act as receptors and support adhesion to the endothelial wall. Autoantibodies against platelet glycoproteins are found in the majority of patients with autoimmune thrombocytopenia (Lipp et al., 1998). The influenza virus binds to cells via glycoproteins, and it releases an enzyme called neuraminidase that can break down the glycosaminoglycans bound to the glycoproteins and release them. This action likely exposes the platelet glycoproteins to B cells, inducing autoantibody production. Neuraminidase expressed by the pathogen Streptococcus pneumoniae has been shown to desialylate platelets, leading to platelet hyperactivity (Kullaya et al., 2018).

Platelets appear to play an important role in viral clearance. Within one minute after platelets were incubated together with influenza viruses, the viruses had already attached to the platelets. Subsequent internalization, possibly by phagocytosis, peaked at 30 minutes (Jansen et al., 2020).

The SARS-CoV-2 spike protein binds sialic acid, which means it could attach to glycoproteins in the platelet membranes (Baker et al., 2020). There is a structural similarity between the S1 spike protein in SARS CoV and neuraminidase expressed by the influenza virus, which might mean that the spike protein possesses neuraminidase activity (Zhang et al., 2004). Several viruses express neuraminidase, and it generally acts enzymatically to catabolize the glycans in glycoproteins through desialylation.

Thus, it seems plausible that a dangerous cascade leading to ITP could ensue following mRNA vaccination, even with no live virus present, particularly in the context of impaired autophagy. Immune cells in the arm muscle take up the RNA particles and circulate within the lymph system, accumulating in the spleen. There, the immune cells produce abundant spike protein, which binds to the platelet glycoproteins and desialylates them. Platelet interaction with neutrophils causes NETosis and the launch of an inflammatory cascade. The exposed glycoproteins become targets for autoimmune antibodies that then attack and remove the platelets, leading to a rapid drop in platelet counts, and a life-threatening event.

Activation of Latent Herpes Zoster

An observational study conducted at Tel Aviv Medical Center and the Carmel Medical Center in Haifa, Israel, found a significantly increased rate of herpes zoster following the Pfizer vaccination (Furer 2021). This observational study monitored patients with pre-existing autoimmune inflammatory rheumatic diseases (AIIRD). Among the 491 patients with AIIRD over the study period, 6 (1.2%) were diagnosed with herpes zoster as a first-ever diagnosis between 2 days and 2 weeks after either the first or second vaccination. In the control group of 99 patients there were no herpes zoster cases identified.

The CDC’s VAERS database, queried on April 19, 2021, contains 278 reports of herpes zoster following either the Moderna or Pfizer vaccinations. Given the documented underreporting to VAERS (Lazarus et al. 2010), and given the associational nature of VAERS reports, it is not possible to prove any causal link between the vaccinations and the zoster reports. However, we believe the occurrence of zoster is another important ‘signal’ in VAERS.

This increased risk to shingles, if valid, may have important broader implications. Multiple studies have shown that patients with either primary or acquired immune deficiency are more susceptible to severe herpes zoster infection (Ansari et al., 2020). This suggests that the mRNA vaccines may be suppressing the innate immune response. There is cross-talk between TNF-α and type I interferon in autoimmune disease, wherein each suppresses the other (Palucka et al., 2005). Type I interferon inhibits varicella-zoster virus replication (Ku et al., 2016). TNF-α is sharply upregulated in an inflammatory response, which is induced by the lipid nanoparticles in the vaccine. Its upregulation is also associated with the chronic inflammatory state of rheumatoid arthritis (Matsuno et al., 2002). Exuberant TNF-α expression following vaccination may be interfering with the dendritic cell INF-α response that keeps latent herpes zoster in check.

Spike Protein Toxicity

The picture is now emerging that SARS-CoV-2 has serious effects on the vasculature in multiple organs, including the brain vasculature. As mentioned earlier, the spike protein facilitates entry of the virus into a host cell by binding to ACE2 in the plasma membrane. ACE2 is a type I integral membrane protein that cleaves angiotensin II into angiotensin(1-7), thus clearing angiotensin II and lowering blood pressure. In a series of papers, Yuichiro Suzuki in collaboration with other authors presented a strong argument that the spike protein by itself can cause a signaling response in the vasculature with potentially widespread consequences (Suzuki, 2020; Suzuki et al., 2020; Suzuki et al., 2021; Suzuki and Gychka, 2021). These authors observed that, in severe cases of COVID-19, SARS-CoV-2 causes significant morphological changes to the pulmonary vasculature. Post-mortem analysis of the lungs of patients who died from COVID-19 revealed histological features showing vascular wall thickening, mainly due to hypertrophy of the tunica media. Enlarged smooth muscle cells had become rounded, with swollen nuclei and cytoplasmic vacuoles (Suzuki et al., 2020). Furthermore, they showed that exposure of cultured human pulmonary artery smooth muscle cells to the SARS-CoV-2 spike protein S1 subunit was sufficient to promote cell signaling without the rest of the virus components.

Follow-on papers (Suzuki et al., 2021, Suzuki and Gychka, 2021) showed that the spike protein S1 subunit suppresses ACE2, causing a condition resembling pulmonary arterial hypertension (PAH), a severe lung disease with very high mortality. Their model is depicted here in Figure 2. Ominously, Suzuki and Gychka (2021) wrote: “Thus, these in vivo studies demonstrated that the spike protein of SARS-CoV-1 (without the rest of the virus) reduces the ACE2 expression, increases the level of angiotensin II, and exacerbates the lung injury.” The “in vivo studies” they referred to here (Kuba et al., 2005) had shown that SARS coronavirus-induced lung injury was primarily due to inhibition of ACE2 by the SARS-CoV spike protein, causing a large increase in angiotensin-II. Suzuki et al. (2021) went on to demonstrate experimentally that the S1 component of the SARS-CoV-2 virus, at a low concentration of 130 pM, activated the MEK/ERK/MAPK signaling pathway to promote cell growth. They speculated that these effects would not be restricted to the lung vasculature. The signaling cascade triggered in the heart vasculature would cause coronary artery disease, and activation in the brain could lead to stroke. Systemic hypertension would also be predicted. They hypothesized that this ability of the spike protein to promote pulmonary arterial hypertension could predispose patients who recover from SARS-CoV-2 to later develop right ventricular heart failure. Furthermore, they suggested that a similar effect could happen in response to the mRNA vaccines, and they warned of potential long-term consequences to both children and adults who received COVID-19 vaccines based on the spike protein (Suzuki and Gychka, 2021).

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Figure 2: A simple model for a process by which the spike protein produced through the mRNA vaccines could induce a pathological response distinct from the desirable induction of antibodies to suppress viral entry. Redrawn with permission from Suzuki and Gychka, 2021

An interesting study by Lei et. al. (2021) found that pseudovirus — spheres decorated with the SARS-CoV-2 S1 protein but lacking any viral DNA in their core — caused inflammation and damage in both the arteries and lungs of mice exposed intratracheally. They then exposed healthy human endothelial cells to the same pseudovirus particles. Binding of these particles to endothelial ACE2 receptors led to mitochondrial damage and fragmentation in those endothelial cells, leading to the characteristic pathological changes in the associated tissue. This study makes it clear that spike protein alone, unassociated with the rest of the viral genome, is sufficient to cause the endothelial damage associated with COVID-19. The implications for vaccines intended to cause cells to manufacture the spike protein are clear and are an obvious cause for concern.

Neurological symptoms associated with COVID-19, such as headache, nausea and dizziness, encephalitis and fatal brain blood clots are all indicators of damaging viral effects on the brain. Buzhdygan et al. (2020) proposed that primary human brain microvascular endothelial cells could cause these symptoms. ACE2 is ubiquitously expressed in the endothelial cells in the brain capillaries. ACE2 expression is upregulated in the brain vasculature in association with dementia and hypertension, both of which are risk factors for bad outcomes from COVID-19. In an in vitro study of the blood-brain barrier, the S1 component of the spike protein promoted loss of barrier integrity, suggesting that the spike protein acting alone triggers a pro-inflammatory response in brain endothelial cells, which could explain the neurological consequences of the disease (Buzhdygan et al., 2020). The implications of this observation are disturbing because the mRNA vaccines induce synthesis of the spike protein, which could theoretically act in a similar way to harm the brain.

The spike protein generated endogenously by the vaccine could also negatively impact the male testes, as the ACE2 receptor is highly expressed in Leydig cells in the testes (Verma et al., 2020). Several studies have now shown that the coronavirus spike protein is able to gain access to cells in the testes via the ACE2 receptor, and disrupt male reproduction (Navarra et al., 2020; Wang and Xu, 2020). A paper involving postmortem examination of testicles of six male COVID-19 patients found microscopic evidence of spike protein in interstitial cells in the testes of patients with damaged testicles (Achua et al., 2021).

A Possible Link to Prion Diseases and Neurodegeneration

Prion diseases are a collection of neurodegenerative diseases that are induced through the misfolding of important bodily proteins, which form toxic oligomers that eventually precipitate out as fibrils causing widespread damage to neurons. Stanley Prusiner first coined the name `prion’ to describe these misfolded proteins (Prusiner, 1982). The best-known prion disease is MADCOW disease (bovine spongiform encephalopathy), which became an epidemic in European cattle beginning in the 1980s. The CDC web site on prion diseases states that “prion diseases are usually rapidly progressive and always fatal.”(Centers for Disease Control and Prevention, 2018). It is now believed that many neurodegenerative diseases, including Alzheimer’s, Parkinson’s disease, and amyotrophic lateral sclerosis (ALS) may be prion diseases, and researchers have identified specificproteinaceous infectious particles linked to these diseases (Weickenmeier et al., 2019).

Furthermore, researchers have identified a signature motif linked to susceptibility to misfolding into toxic oligomers, called the glycine zipper motif. It is characterized by a pattern of two glycine residues spaced by three intervening amino acids, represented as GxxxG. The bovine prion linked to MADCOW has a spectacular sequence of ten GxxxGs in a row (see uniprot.org/uniprot/P10279).

More generally, the GxxxG motif is a common feature of transmembrane proteins, and the glycines play an essential role in cross-linking α-helices in the protein (Mueller et al., 2014). Prionproteins become toxic when the α-helices misfold as β-sheets, and the protein is then impaired in its ability to enter the membrane (Prusiner, 1982). Glycines within the glycine zipper transmembrane motifs in the amyloid-β precursor protein (APP) play a central role in the misfolding of amyloid-β linked to Alzheimer’s disease (Decock et al., 2016). APP contains a total of four GxxxG motifs.

When considering that the SARS-CoV-2 spike protein is a transmembrane protein, and that it contains five GxxxG motifs in its sequence (see uniprot.org/uniprot/P0DTC2), it becomes extremely plausible that it could behave as a prion. One of the GxxxG sequences is present within its membrane fusion domain. Recall that the mRNA vaccines are designed with an altered sequencethat replaces two adjacent amino acids in the fusion domain with a pair of prolines. This is done intentionally in order to force the protein to remain in its open state and make it harder for it to fuse with the membrane. This seems to us like a dangerous step towards misfolding potentially leading to prion disease.

A paper published by J. Bart Classen (2021) proposed that the spike protein in the mRNA vaccines could cause prion-like diseases, in part through its ability to bind to many known proteins andinduce their misfolding into potential prions. Idrees and Kumar (2021) have proposed that the spike protein’s S1 component is prone to act as a functional amyloid and form toxic aggregates. These authors wrote that S1 has the ability “to form amyloid and toxic aggregates that can act as seeds to aggregate many of the misfolded brain proteins and can ultimately lead to neurodegeneration.”

According to Tetz and Tetz (2020), the form of the spike protein in SARS-CoV-2 has prion regions that are not present in the spike proteins for other coronaviruses. While this was reported in a non-peer-reviewed article, the authors had published a previous paper in 2018 identifying prion-like regions in multiple eukaryotic viruses, so they have considerable expertise in this area (Tetz and Tetz, 2018).

A final point here relates to information about the Pfizer vaccine in particular. The European Medicines Agency (EMA) Public Assessment Report is a document submitted to gain approval to market the vaccine in Europe. It describes in detail a review of the manufacturing process as well as a wide range of associated testing data. One concerning revelation is the presence of “fragmented species” of RNA in the injection solution. These are RNA fragments resulting from early termination of the process of transcription from the DNA template. These fragments, if translated by the cell following injection, would generate incomplete spike proteins, again resulting in altered and unpredictable three-dimensional structure and a physiological impact that is at best neutral and at worst detrimental to cellular functioning. There were considerably more of these fragmented forms of RNA found in the commercially manufactured products than in the products used in clinical trials. The latter were produced via a much more tightly controlled manufacturing process.

Pfizer claims the RNA fragments “likely… will not result in expressed proteins” due to their assumed rapid degradation within the cell. No data was presented to rule out protein expression, though, leaving the reviewers to comment, “These [fragmented RNA] forms are poorly characterised, and the limited data provided for protein expression do not fully address the uncertainties relating to the risk of translating proteins/peptides other than the intended spike protein” (EMA 2020). To our knowledge no data has been forthcoming since that time.

While we are not asserting that non-spike proteins generated from fragmented RNA would be misfolded or otherwise pathological, we believe they would at least contribute to the cellular stress that promotes prion-associated conformational changes in the spike protein that is present.

1. Lessons from Parkinson’s Disease

Parkinson’s disease is a neurodegenerative disease associated with Lewy body deposits in the brain, and the main protein found in these Lewy bodies is α-synuclein. That protein, α-Synuclein, is certainly prion-like insofar as under certain conditions it aggregates into toxic soluble oligomers and fibrils (Lema Tomé et al., 2013). Research has shown that misfolded α-synuclein can form first in the gut and then travel from there to the brain along the vagus nerve, probably in the form of exosomes released from dying cells where the misfolded protein originated (Kakarla et al., 2020; Steiner et al., 2011). The cellular conditions that promote misfolding include both an acidic pH and high expression of inflammatory cytokines. It is clear that the vagus nerve is critical for transmission of misfolded proteins to the brain, because severance of the vagus nerve protects from Parkinson’s. Vagus nerve atrophy in association with Parkinson’s disease provides further evidence of the involvement of the vagus nerve in transport of misfolded α-synuclein oligomers from the gut to the brain (Walter et al., 2018). Another pathway is through the olfactory nerve, and a loss of a sense of smell is an early sign of Parkinson’s disease. Ominously, diminution or loss of the sense of smell is also a common symptom of SARS-CoV-2 infection.

There are many parallels between α-synuclein and the spike protein, suggesting the possibility of prion-like disease following vaccination. We have already shown that the mRNA in the vaccine ends up in high concentrations in the liver and spleen, two organs that are well connected to the vagus nerve. The cationic lipids in the vaccine create an acidic pH conducive to misfolding, and they also induce a strong inflammatory response, another predisposing condition.

Germinal centers are structures within the spleen and other secondary lymphoid organs where follicular dendritic cells present antigens to Bcells, which in turn perfect their antibody response. Researchers have shown that mRNA vaccines, in contrast with recombinant protein vaccines, elicit a robust development of neutralizing antibodies at these germinal centers in the spleen (Lederer et al., 2020). However, this also means that mRNA vaccines induce an ideal situation for prion formation from the spike protein, and its transport via exosomes along the vagus nerve to the brain.

Studies have shown that prion spread from one animal to another first appears in the lymphoid tissues, particularly the spleen. Differentiated follicular dendritic cells are central to the process, as they accumulate misfolded prion proteins (Al-Dybiat et al., 2019). An inflammatory response upregulates synthesis of α-synuclein in these dendritic cells, increasing the risk of prion formation. Prions that accumulate in the cytoplasm are packaged up into lipid bodies that are released as exosomes (Liu et al., 2017). These exosomes eventually travel to the brain, causing disease.

2. Vaccine Shedding

There has been considerable chatter on the Internet about the possibility of vaccinated people causing disease in unvaccinated people in close proximity. While this may seem hard to believe, there is a plausible process by which it could occur through the release of exosomes from dendritic cells in the spleen containing misfolded spike proteins, in complex with other prion reconformed proteins. These exosomes can travel to distant places. It is not impossible to imagine that they are being released from the lungs and inhaled by a nearby person. Extracellular vesicles, including exosomes, have been detected in sputum, mucus, epithelial lining fluid, and bronchoalveolar lavage fluid in association with respiratory diseases (Lucchetti et al., 2021).

A Phase 1/2/3 study undertaken by BioNTech on the Pfizer mRNA vaccine implied in their study protocol that they anticipated the possibility of secondary exposure to the vaccine (BioNTech, 2020). The protocol included the requirement that “exposure during pregnancy” should be reported by the study participants. They then gave examples of “environmental exposure during pregnancy” which included exposure “to the study intervention by inhalation or skin contact.” They even suggested two levels of indirect exposure: “A male family member or healthcare provider who has been exposed to the study intervention by inhalation or skin contact then exposes his female partner prior to or around the time of conception.”

Emergence of Novel Variants of SARS-CoV-2

An interesting hypothesis has been proposed in a paper published in Nature, which described a case of serious COVID-19 disease in a cancer patient who was taking immune-suppressing cancer chemotherapy drugs (Kemp et al., 2021). The patient survived for 101 days after admission to the hospital, finally succumbing in the battle against the virus. The patient constantly shed viruses over the entire 101 days, and therefore he was moved to a negative-pressure high air-change infectious disease isolation room, to prevent contagious spread.

During the course of the hospital stay, the patient was treated with Remdesivir and subsequently with two rounds of antibody-containing plasma taken from individuals who had recovered from COVID-19 (convalescent plasma). It was only after the plasma treatments that the virus began to rapidly mutate, and a dominant new strain eventually emerged, verified from samples taken from the nose and throat of the patient. An immune-compromised patient offers little support from cytotoxic T cells to clear the virus.

An in vitro experiment demonstrated that this mutant strain had reduced sensitivity to multiple units of convalescent plasma taken from several recovered patients. The authors proposed that the administered antibodies had actually accelerated the mutation rate in the virus, because the patient was unable to fully clear the virus due to their weak immune response. This allowed a “survival of the fittest” program to set in, ultimately populating the patient’s body with a novel antibody-resistant strain. Prolonged viral replication in this patient led to “viral immune escape,” and similar resistant strains could potentially spread very quickly within an exposed population (Kemp et al., 2021). Indeed, a similar process might plausibly be at work to produce the highly contagious new strains that are now appearing in the United Kingdom, South Africa and Brazil.

There are at least two concerns that we have regarding this experiment, in relation to the mRNA vaccines. The first is that, via continued infection of immune-compromised patients, we can expect continued emergence of more novel strains that are resistant to the antibodies induced by the vaccine, such that the vaccine may quickly become obsolete, and there may well be demands for the population to undergo another mass vaccination campaign. Already a published study by researchers from Pfizer has shown that vaccine effectiveness is reduced for many of these variant strains. The vaccine was only 2/3 as effective against the South African strain as against the original strain (Liu et al., 2021).

The second more ominous consideration is to ponder what will happen with an immune-compromised patient following vaccination. It is conceivable that they will respond to the vaccine by producing antibodies, but those antibodies will be unable to contain the disease following exposure to COVID-19 due to impaired function of cytotoxic T cells. This scenario is not much different from the administration of convalescent plasma to immune-compromised patients, and so it might engender the evolution of antibody-resistant strains in the same way, only on a much grander scale. This possibility will surely be used to argue for repeated rounds of vaccines every few months, with increasing numbers of viral variants coded into the vaccines. This is an arms race that we will probably lose.

Potential for Permanent Incorporation of Spike Protein Gene into human DNA

It has been claimed that mRNA-based vaccines are safer than DNA-vectored vaccines that work by incorporating the genetic code for the target antigenic protein into a DNA virus, because the RNA cannot become inadvertently incorporated into the human genome. However, it is not at all clear that this is true. The classic model of DNA → RNA → protein is now known to be false. It is now indisputable that there is a large class of viruses called retroviruses that carry genes that reverse transcribe RNA back into complementary DNA (cDNA). In 1975, Howard Temin, Renato Dulbecco, and David Baltimore shared the Nobel Prize in Physiology or Medicine in 1975 for their discovery of reverse transcriptase and its synthesis by retroviruses (such as human immunodeficiency virus (HIV)) to derive DNA from RNA (Temin and Mizutani, 1970, Baltimore, 1970).

Much later, it was discovered that reverse transcriptase is not unique to retroviruses. More than a third of the human genome is devoted to mysterious mobile DNA elements called SINEs and LINEs (short and long interspersed nuclear elements, respectively). LINEs provide reverse transcriptase capabilities to convert RNA into DNA, and SINEs provide support for integrating the DNA into the genome. Thus, these elements provide the tools needed toconvert RNA into DNA and incorporate it into the genome so as to maintain the new gene through future generations (Weiner, 2002).

SINEs and LINEs are members of a larger class of genetic elements called retrotransposons. Retrotransposons can copy and paste their DNA to a new site in the genome via an RNA intermediate, while possibly introducing genetic alterations in the process (Pray, 2008). Retrotransposons, also known as “jumping genes,” were first identified by the geneticist Barbara McClintock of Cold Spring Harbor Laboratory in New York, over 50 years ago (McClintock, 1965). Much later, in 1983, she was recognized with a Nobel prize for this work.

Remarkably, retrotransposons seem to be able to expand their domain from generation to generation. LINEs and SINEs collaborate to invade new genomic sites through translation of their DNA to RNA and back to a fresh copy of DNA, which is then inserted at an AT-rich region of the genome. These LINEs and SINEs had long been considered to be “junk” DNA, an absurd idea that has now been dispelled, as awareness of their critical functions has grown. In particular, it has now become clear that they can also import RNA from an exogenous source into a mammalian host’s DNA. Retroviral-like repeat elements found in the mouse genome called intracisternal A particles (IAPs) have been shown to be capable of incorporating viral RNA into the mouse genome. Recombination between an exogenous nonretroviral RNA virus and an IAP retrotansposon resulted in reverse transcription of the viral RNA and integration into the host’s genome (Geuking et al., 2009).

Furthermore, as we shall see later, the mRNA in the new SARS-CoV-2 vaccines could also get passed on from generation to generation, with the help of LINEs expressed in sperm, via non-integrated cDNA encapsulated in plasmids. The implications of this predictable phenomenon are unclear, but potentially far-reaching.

1. Exogenous and Endogenous Retroviruses

There is also a concern that the RNA in the mRNA vaccines could be transferred into the human genome with assistance from retroviruses. Retroviruses are a class of viruses that maintain their genomic information in the form of RNA, but that possess the enzymes needed to reverse transcribe their RNA into DNA and insert it into a host genome. They then rely on existing natural tools from the host to produce copies of the virus through translation of DNA back into RNA and to produce the proteins that the viral RNA codes for and assemble them into a fresh viral particle (Lesbats et al., 2016).

Human endogenous retroviruses (HERVs) are benign sections in the DNA of humans that closely resemble retroviruses, and that are believed to have become permanent sequences in the human genome through a process of integration from what was originally an exogenous retrovirus. Endogenous retroviruses are abundant in all jawed vertebrates and are estimated to occupy 5-8% of the human genome. The protein syncytin, which has become essential for placental fusion with the uterine wall and for the fusion step between the sperm and the egg at fertilization, is a good example of an endogenous retroviral protein. Syncytin is the envelope gene of a recently identified human endogenous defective retrovirus, HERV-W (Mi et al., 2000). During gestation, the fetus expresses high levels of another endogenous retrovirus, HERV-R, and it appears to protect the fetus from immune attack from the mother (Luganini and Gribaudo, 2020). Endogenous retroviral elements closely resemble retrotransposons. Their reverse transcriptase, when expressed, has the theoretical capability to convert spike protein RNA from the mRNA vaccines into DNA.

2. Permanent DNA integration of Exogenous Retrovirus Genes

Humans are colonized by a large collection of exogenous retroviruses that in many casescause no harm to the host, and may even be symbiotic (Luganini and Gribaudo, 2020). Exogenous viruses can be converted to endogenous viruses (permanently incorporated into host DNA) in the laboratory, as demonstrated by Rudolf Jaenisch (Jaenisch, 1976), who infected preimplantation mouse embryos with the Moloney murine leukemia virus (M-MuLV). The mice generated from these infected embryos developed leukemia, and the viral DNA was integrated into their germ line and transmitted to their offspring. Besides the incorporation of viral DNA into the host genome, it was also shown as early as 1980 that DNA plasmids could be microinjected into the nuclei of mouse embryos to produce transgenic mice that breed true (Gordon et al., 1980). The plasmid DNA was incorporated into the nuclear genome of the mice through existing natural processes, thus preserving the newly acquired genetic information in the offspring’s genome. This discovery has been the basis for many genetic engineering experiments on transgenic mice engineered to express newly acquired human genes since then (Bouabe and Okkenhaug, 2013).

3. LINE-1 is Widely Expressed

LINEs alone make up over 20% of the human genome. The most common LINE is LINE-1, which encodes a reverse transcriptase that regulates fundamental biological processes. LINE-1 is expressed in many cell types, but at especially high levels in sperm. Sperm cells can be used as vectors of both exogenous DNA and exogenous RNA molecules through sperm-mediated gene transfer assays. Sperm can reverse transcribe exogenous RNA directly into cDNA and can deliver plasmids packaging up this cDNA to the fertilized egg. These plasmids are able to propagate themselves within the developing embryo and to populate many tissues in the fetus. In fact, they survive into adulthood as extrachromosomal structures and are capable of being passed on to progeny. These plasmids are transcriptionally competent, meaning that they can be used to synthesize proteins encoded by the DNA they contain (Pittoggi et al., 2006).

In addition to sperm, embryos also express reverse transcriptase prior to implantation, and its inhibition causes developmental arrest. LINE-1 is also expressed by cancer cells, and RNA interference-mediated silencing of human LINE-1 induces differentiation in many cancer cell lines. Reverse-transcriptase machinery is implicated in the genesis of new genetic information, both in cancer cells and in germ cells. Many tumor tissues have been found to express high levels of LINE-1, and to contain many extrachromosomal plasmids in their nucleus. Malignant gliomas are the primary tumors of the central nervous system. It has been shown experimentally that these tumors release exosomes containing DNA, RNA and proteins, that end up in the general circulation (Vaidya and Sugaya, 2020). LINE-1 is also highly expressed in immune cells in several autoimmune diseases such as systemic lupus erythematosus, Sjögrens and psoriasis (Zhang et al., 2020).

4. Integrating Spike Protein Gene into Human Genome

Remarkably, it has been demonstrated that neurons from the brain of Alzheimer’s patients harbor multiple variants of the gene for amyloid precursor protein APP, incorporated into the genome, which are created through a process called somatic gene recombination (SGR) (Kaeser et al., 2020). SGR requires gene transcription, DNA strand-breaks, and reverse transcriptase activity, all of which may be promoted by well-known Alzheimer’s disease risk factors. The DNA coding for APP is reverse transcribed into RNA and then transcribed back into DNA and incorporated into the genome at a strand break site. Since RNA is more susceptible to mutations, the DNA in these mosaic copies contains many mutant variants of the gene, so the cell becomes a mosaic, capable of producing multiple variants of APP. Neurons from Alzheimer’s patients contained as many as 500 million base pairs of excess DNA in their chromosomes (Bushman et al., 2015).

Researchers from MIT and Harvard published a disturbing paper in 2021, where they provided strong evidence that the SARS-CoV-2 RNA can be reverse transcribed into DNA and integrated into human DNA (Zhang et al., 2021). They were led to investigate this idea after having observed that many patients continue to test positive for COVID-19 after the virus has already been cleared from their body. The authors found chimeric transcripts that contained viral DNA sequences fused to cellular DNA sequences in patients who had recovered from COVID-19. Since COVID-19 often induces a cytokine storm in severe cases, they confirmed the possibility of enhanced reverse transcriptase activity through an in vitro study using cytokine-containing conditioned media in cell cultures. They found a 2-3-fold upregulation of endogenous LINE-1 expression in response to cytokines. The exogenous RNA from the virus incorporated into human DNA could produce fragments of viral proteins indefinitely after the infection has been cleared, and this yields a false-positive on a PCR test.

5. Bovine Viral Diarrhea: A Disturbing Model

Bovine Viral Diarrhea (BVD) is an infectious viral disease that affects cattle throughout the world. It is a member of the class of pestiviruses, which are small, spherical, single-stranded, enveloped RNA viruses. The disease is associated with gastrointestinal, respiratory and reproductive diseases. A unique characteristic of BVD is that the virus can cross the placenta of an infected pregnant dam. This can result in the birth of a calf which carries intra-cellular viral particles which it mistakes as `self.’ Its immune system refuses to recognize the virus as a foreign invasion, and, as a result, the calf sheds the virus in large quantities throughout its life, potentially infecting the entire herd. It has become a widespread practice to identify such carrier calves and cull them from the herd in an attempt to curtail infection (Khodakaram-Tafti & Farjanikish, 2017).

It seems plausible that a dangerous situation may arise in the future where a woman receives an mRNA vaccine for SARS-CoV-2 and then conceives a child shortly thereafter. The sperm would be free to take up RNA-embedded liposomes from the vaccine and convert them to DNA using LINE-1. They would then produce plasmids containing the code for the spike protein which would be taken up by the fertilized egg through the process described above. The infant that is born is then potentially unable to mount antibodies to the spike protein because their immune system considers it to be `self.’ Should that infant get infected with SARS-CoV-2 at any time in its lifespan, its immune system would not mount a defense against the virus, and the virus would presumably be free to multiply in the infant’s body without restraint. The infant would logically become a super-spreader in such a situation. Admittedly, this is speculation at this time, but there is evidence from what we know about retrotransposons, sperm, fertilization, the immune system and viruses, that such a scenario cannot be ruled out. It has already been demonstrated in mouse experiments that the genetic elements in DNA vector vaccines, which are essentially plasmids, can integrate into the host genome (Wang et al., 2004). In fact, such a process has been suggested as a basis for Lamarckian evolution defined as the inheritance of acquired traits (Steele, 1980).

The realization that what was formerly called “junk DNA” is not junk, is just one of the results coming out of the new philosophical paradigm in human language, biology and genetics that is based on fractal genomics (Pellionisz, 2012) — a paradigm that Pellionisz has linked to the involvement of « true narrative representations » (TNRs; Oller, 2010), realized as “iterations of a fractal template” in the highly repetitive processes of normal development of the many branching structures of the human body. These processes are numerous in the lungs, kidneys, veins and arteries, and most importantly in the brain. The mRNA vaccines are an experimental gene therapy with the potential to incorporate the code for the SARS-CoV-2 spike protein into human DNA. This DNA code could instruct the synthesis of large numbers of copies of proteinaceous infectious particles, and this has the potential to insert multiple false signals into the unfolding narrative, resulting in unpredictable outcomes.

Conclusion

Experimental mRNA vaccines have been heralded as having the potential for great benefits, but they also harbor the possibility of potentially tragic andeven catastrophic unforeseen consequences. The mRNA vaccines against SARS-CoV-2 have been implemented with great fanfare, but there are many aspects of their widespread utilization that merit concern. We have reviewed some, but not all, of those concerns here, and we want to emphasize that these concerns are potentially serious and might not be evident for years or even transgenerationally. In order to adequately rule out the adverse potentialities described in this paper, we recommend, at a minimum, that the following research and surveillance practices be adopted:

  • A national effort to collect detailed data on adverse events associated with the mRNA vaccines with abundant funding allocation, tracked well beyond the first couple of weeks after vaccination.
  • Repeated autoantibody testing of the vaccine-recipient population. The autoantibodies tested could be standardized and should be based upon previously documented antibodies and autoantibodies potentially elicited by the spike protein. These include autoantibodies against phospholipids, collagen, actin, thyroperoxidase (TPO), myelin basic protein, tissue transglutaminase, and perhaps others.
  • Immunological profiling related to cytokine balance and related biological effects. Tests should include, at a minimum, IL-6, INF-α, D-dimer, fibrinogen, and C-reactive protein.
  • Studies comparing populations who were vaccinated with the mRNA vaccines and those who were not to confirm the expected decreased infection rate and milder symptoms of the vaccinated group, whileat the same time comparing the rates of various autoimmune diseases and prion diseases in the same two populations.
  • Studies to assess whether it is possible for an unvaccinated person to acquire vaccine-specific forms of the spike proteins from a vaccinated person in close proximity.
  • In vitro studies to assess whether the mRNA nanoparticles can be taken up by sperm and converted into cDNA plasmids.
  • Animal studies to determine whether vaccination shortly before conception can result in offspring carrying spike-protein-encoding plasmids in their tissues, possibly integrated into their genome.
  • In vitro studies aimed to better understand the toxicity of the spike protein to the brain, heart, testes, etc.

Public policy around mass vaccination has generally proceeded on the assumption that the risk/benefit ratio for the novel mRNA vaccines is a “slam dunk.” With the massive vaccination campaign well under way in response to the declared international emergency of COVID-19, we have rushed into vaccine experiments on a world-wide scale. At the very least, we should take advantage of the data that are available from these experiments to learn more about this new and previously untested technology. And, in the future, we urge governments to proceed with more caution in the face of new biotechnologies.

Finally, as an obvious but tragically ignored suggestion, the government should also be encouraging the population to take safe and affordable steps to boost their immune systems naturally, such as getting out in the sunlight to raise vitamin D levels (Ali, 2020), and eating mainly organic whole foods rather than chemical-laden processed foods (Rico-Campà et al., 2019). Also, eating foods that are good sources of vitamin A, vitamin C and vitamin K2 should be encouraged, as deficiencies in these vitamins are linked to bad outcomes from COVID-19 (Goddek, 2020; Sarohan, 2020)

Acknowledgements

This research was funded in part by Quanta Computers, Inc., Taiwan, under the auspices of the Qmulus project.

Competing interests

The authors have no competing interests or conflicts to declare.

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Nouvelle intervention du Dr Peter McCullough, webinaire avec Reiner Fuellmich (transcription intégrale et traduction).

Source.

Traduction

Reiner Fuellmich : Encore une fois, excusez-moi mais c’était extrêmement important. Nous avons beaucoup appris de notre « Quincy« , médecin-légiste maison, le Pr Burkhardt. Vous vous souvenez probablement de cette série télévisée, oui? [..] Je vous ai vu dans de nombreuses interviews, l’une d’entre elles sur Fox Television – je pense que la dernière était celle où vous avez déstabilisé l’animateur, Tucker Carlson. Quelle est votre opinion sur cette situation? Nous savons que beaucoup de médecins ont en quelque sorte changé d’avis au fil du temps, quand ils ont commencé à voir les nombreuses preuves qui indiquent qu’il n’y a vraiment pas de pandémie réelle mais qu’il se passe quelque chose d’autre. Que pensez-vous de ce qui se passe?

Dr Peter McCullough : Mon analyse en bref, c’est que je pense que nous sommes confrontés à une forme de bioterrorisme. Au niveau mondial. Il semblerait qu’il y a derrière tout ça de nombreuses années de planification, et que la première vague de ce bioterrorisme était un virus respiratoire qui s’est propagé à travers le monde, a touché relativement peu de personnes, environ un pour cent dans de nombreuses populations, mais a généré une grande peur. Le virus a provoqué un certain nombre de décès chez les personnes très fragiles et les personnes âgées. Sinon, pour les gens en bonne santé, ce n’était pas pire qu’un simple rhume. Mais cette peur a très rapidement été instrumentalisée, je trouve, de manière surprenante, pour exercer une énorme influence sur la vie humaine, les confinements et tout ce que nous savons. Et tout ce qui a été fait dans le cadre de la réponse de la santé publique à la pandémie a aggravé la situation. Les tests excessifs et même les confinements ont probablement aggravé la situation car le virus a évolué au fil du temps pour devenir plus contagieux. Chaque réponse a aggravé la situation.

Ce qui m’a fait m’impliquer en tant que médecin, c’est que je pensais que le virus allait être assez facile à traiter, une fois que nous avions compris qu’il y avait trois phases : la réplication, la tempête de cytokines et la thrombose. Et aussitôt que j’ai promulgué un traitement précoce, j’ai commencé à rencontrer une résistance à tous les niveaux vis-à-vis du traitement réel des patients, puis de la publication d’articles. Je suis l’éditeur de deux grandes revues, je suis dans le domaine de la publication, donc heureusement, j’ai eu assez de poids dans ce domaine pour arriver à publier ce qui constitue essentiellement les deux seuls articles de toute la littérature médicale qui enseignent aux médecins comment traiter le Covid-19 à la maison, pour éviter l’hospitalisation et la mort. Nous avons fait de notre mieux, sans aucun financement ni aucun soutien du gouvernement, et nous avons démontré que ça se traduisait par une réduction d’environ 85% des hospitalisations et des décès.

Ce que nous avons découvert, c’est que la suppression du traitement précoce était étroitement liée au développement d’un vaccin. Et l’ensemble du programme, lorsque, dans un sens, la première phase du bioterrorisme a été mise en place, visait en fait à maintenir la population dans la peur et l’isolement et à la préparer à accepter le vaccin, qui semble être la phase deux de cette opération de bioterrorisme. Le virus respiratoire et le vaccin introduisent tout deux dans le corps humain la protéine de pointe, le gain de fonction ciblé par cette recherche en bioterrorisme. Je ne peux pas déballer tout ça à la télévision nationale, ni aujourd’hui ni demain. Mais ce que nous avons appris au fil du temps, c’est que nous ne pouvions même plus communiquer avec les agences gouvernementales. En fait, nous ne pouvions même plus communiquer avec nos collègues propagandisés des grands centres médicaux, qui semblent tous être envoûtés – c’est presque comme s’ils étaient hypnotisés en ce moment. Et les médecins, les bons médecins, font des choses impensables, comme d’injecter à des femmes enceintes de l’ARN messager biologiquement actif, qui produit cette protéine de pointe pathogène. Je pense que quand les médecins se réveilleront de leur transe, ils seront aterrés de voir ce qu’ils ont infligé aux gens.

Notre stratégie était d’organiser, il y a beaucoup de groupes. Un groupe aux États-Unis appelé C-19, que j’ai organisé, beaucoup d’entre vous reçoivent leurs e-mails. Il comprend environ 1.000 personnes. Un autre groupe s’appelle le FLCCC, Frontline Critical Care Consortium. Un autre groupe international s’appelle Panda, je pourrais m’y impliquer. Il y a aussi Heart, Bird et Covid Medical Network, Treatment Domiciliary en Italie. On en est arrivé au point où les gens [inaudible] traitement précoce. Les gouvernements ont en fait essayé de bloquer le moindre milligramme de traitement pour quiconque. Nous avons donc décidé que nous devions transmettre notre message aux gens d’ici l’été. Il y a une association de médecins qui a travaillé avec nous, l’Association of American Physicians and Surgeons. Nous avons créé un guide du patient à domicile. Nous avons organisé aux États-Unis quatre services nationaux de télémédecine, 15 services régionaux. Nous avons réussi à toucher les gens et ceux qui sont tombés malades du Covid-19 ont appelé et ont obtenu des médicaments sur prescription dans les pharmacies locales ou à une pharmacie de distribution par correspondance. Et sans que le gouvernement comprenne vraiment ce qui se passait, nous avons aplati la courbe épidémique aux États-Unis vers fin décembre, janvier. Nous avons fondamentalement pris en charge la pandémie avec environ 500 médecins et services de télémédecine. Et à ce jour, nous traitons environ 25% de la population américaine à haut risque touchée par le Covid-19, les personnes âgées de plus de 50 ans, qui souffrent de problèmes médicaux ou qui présentent des symptômes graves. Nous avons fondamentalement géré la pandémie et en même temps, nous avons essayé de nous maintenir au-dessus de la mêlée politique. Et nous comprenons que la suppression du traitement précoce est étroitement liée à la vaccination.

Ensuite, nous avons attendu que soient diffusées toutes les nouvelles sur la vaccination et nous travaillons à changer la vision du vaccin dans le public . Le public a d’abord accepté le vaccin et nous avons entrepris de lui faire faire lentement demi-tour. Maintenant, les taux de vaccination aux États-Unis sont en baisse depuis le 8 avril et ils continuent de baisser chaque jour. Les centres de vaccination que je vois sont complètement vides et aux États-Unis, on tente désespérément de convaincre les gens de se faire vacciner. On offre des loteries dotées de prix d’un million de dollars. Toutes les universités qui tentent d’imposer la vaccination de force se heurtent à une résistance. Je suis l’expert principal dans l’affaire Bellwether Houston Methodist, qui est actuellement plaidée devant un juge du Texas [NdT. qui l’a rejetée avec une mauvaise foi spectaculaire] et qui va être rapidement portée devant la Cour Suprême du Texas, [une affaire] où l’Hôpital Méthodiste de Houston – un hôpital de premier plan – tente de forcer ses employés à recevoir le vaccin. Nous avons déjà appris que ça ira jusque devant la Cour Suprême. Ce sera une affaire à très haute visibilité. Nous sommes donc très actifs aux États-Unis, nous engageons de plus en plus d’avocats. C’est formidable de vous avoir, vous et votre équipe, impliqués au niveau international et j’imagine que nos positions sur presque tout ce que je viens de dire sont alignées.

Reiner Fuellmich : Permettez-moi de traduire rapidement mais donnez-nous une chance car je ne veux pas être impoli mais j’ai complètement oublié de vous présenter car je pensais que tout le monde vous connaissait. Je pense que la plupart des gens vous connaissent, mais parlez-nous un peu de votre parcours.

Dr Peter McCullough : Donc permettez-moi de me présenter. Je m’appelle Peter McCullough, je suis Professeur de Médecine au Texas A and M College of Medicine sur le campus de Baylor, Dallas, je pratique la médecine interne et la cardiologie. Lorsque la pandémie a frappé, j’ai recentré tous mes efforts sur Covid-19. Je suis rédacteur en chef de Reviews in Cardiovascular Medicine, je suis rédacteur en chef de Cardiorenal Medicine, c’est mon domaine de recherche, rédacteur en chef associé principal de l’American Journal of Cardiology, je suis président de la Cardiorenal Society et dans le domaine des interactions cardiaques et rénales, je suis la personne la plus publiée dans mon domaine au monde dans l’histoire. Et j’ai acquis une grande expérience dans le traitement du Covid-19. J’ai publié les deux principaux articles sur le traitement et j’ai dirigé l’initiative de traitement précoce aux États-Unis. Donc, que les gens le veuillent ou non, j’ai assis mon autorité médicale en accomplissant ces actions dans une plus large mesure que quiconque dans les agences de santé publique ou que tout autre médecin des médias.

Reiner Fuellmich : Merci beaucoup. Nous sommes vraiment très heureux que vous soyez de notre côté, extrêmement reconnaissants. Je vais traduire ça. […] Il semble donc qu’aux États-Unis au moins, les choses changent vraiment en ce moment.

Dr Peter McCullough : Oui, nous avons clairement eu un impact. Je vis au Texas où nous n’avons jamais subi de confinement, j’étais un ardent partisan de la politique de laisser tout ouvert. Nous avons 35 médecins traitants prêts à aller à l’encontre des centres médicaux et à soigner les patients. Nous avons réussi à convaincre notre gouverneur de publier un décret exécutif qui reconnaît l’immunité naturelle, qui interdit toute obligation vaccinnale par les agences publiques, qui interdit les passeports vaccinaux, qui interdit tout passeport discriminatoire. Nous avons récemment fait adopter une loi similaire pour les employeurs privés. Cependant, nous n’avons pas pu interdire aux employeurs privés d’exiger le vaccin, de sorte que cet aspect va être porté devant les tribunaux. Dans l’affaire du Houston Methodist Bellwether, nous sommes très actifs. Il y a America’s Frontline Doctors, un autre groupe, qui a déposé en Alabama une ordonnance restrictive temporaire contre la vaccination pédiatrique. Et nous avons déposé des dossiers devant l’État du Maine contre l’encodage erroné des résultats des tests positifs, qui gonfle le nombre de cas et de décès. Nous agissons dans des domaines très variés. Nous avons des alliés à Washington, le Sénateur Ron Johnson et le Sénateur Rand Paul. Nous avons des alliés dans les médias, principalement Fox News, Real News et OAN. Nous n’avons pas encore CNN ou MSNBC. Mais le groupe C-19, que j’ai plus ou moins créé, passe maintenant à la télévision nationale presque tous les soirs aux États-Unis pour fournir un contre-point de vue à Anthony Fauci et à Walensky, au CDC et au NIH et nous faisons appel à différents experts et continuons à apparaître au peuple américain comme ayant davantage de crédibilité scientifique que les agences.

Viviane Fischer : Et pourquoi pensez-vous que cette fenêtre d’opportunité s’est ouverte pour vous permettre de passer à la télévision nationale? Ce n’est pas rien. Ici, à ce stade, c’est fondamentalement impossible.

Dr Peter McCullough : Nous avons bénéficié d’une aide dans les médias. Il y avait des gens aux yeux ouverts, prêts à diffuser des interviews de haut niveau. Nous avons de bons contacts sur les réseaux sociaux partout dans le monde, qui ont vraiment servi à amplifier ce courant. Bien que nous soyons constamment censurés sur Twitter et YouTube, nous continuons à trouver de nouvelles stratégies pour faire valoir nos arguments. Nous fonctionnons sur base de preuves. Les États-Unis, c’est un pays de rebelles et de gens qui aiment enfreindre la loi et c’est ce que nous sommes. Il y a Children’s Health Defense, Robert F. Kennedy, Del Bigtree, il y a beaucoup de gens très connus. Le Sénateur Rand Paul a déclaré « Je ne recevrai pas ce vaccin, j’ai eu le Covid-19. » Le Sénateur Johnson aussi. Sebastian Gorka qui m’a interviewé – il était dans l’administration Trump – il m’a interviewé, il va s’exprimer dimanche soir et dire qu’il a pris de l’hydroxychloroquine et a vaincu le Covid-19 en décembre, et qu il ne recevra pas ce vaccin. Il nous faut des gens qui font ces déclarations publiques. Par exemple sur Real TV avec Dan Ball, qui sera diffusé dans quelques heures, il va annoncer qu’il ne recevra pas ce vaccin. Nous avons contribué à empêcher le district scolaire de Los Angeles d’imposer le vaccin, c’est l’école ou vont ses enfants et ils ont fait machine arrière sur leurs exigences. Nous travaillons très dur. Notre stratégie est la suivante : nous savons que c’est du bioterrorisme, nous savons que c’est la phase deux de ce bioterrorisme et nous ne savons pas qui est derrière mais nous savons qu’ils veulent « une aiguille dans chaque bras », afin d’injecter de l’ARN messager ou de l’ADN adénoviral dans chaque être humain. Ils visent chaque être humain. Nous ne pourrons pas l’empêcher pour tout le monde, mais notre objectif est d’avoir un grand nombre de gens auxquels ils ne pourront pas accéder, qu’ils ne pourront pas vacciner. Ça inclurait les patients qui ont guéri du Covid, les patients dont on suspecte qu’ils ont guéri du Covid, les personnes immunisées, les enfants, les femmes enceintes, les femmes en âge de procréer. Nous tentons de constituer ce grand groupe et si nous y arrivons et que nous les brisons, si nous brisons leur projet « d’une aiguille dans chaque bras », je pense que nous dévoilerons le plan qui se cache derrière « une aiguille dans chaque bras ».

Reiner Fuellmich : Je suis vraiment content que ça arrive maintenant aux États-Unis parce qu’il a fallu un certain temps pour que les gens s’y mettent vraiment. Nous sommes en contact étroit et en étroite coopération avec les avocats que vous… Vous n’avez mentionné aucun nom mais je sais que vous connaissez Anna Garner et Tom Renz qui travaillent en Sierra Leone et en Alabama. Bien sûr, nous coopérons étroitement avec CHD, Bobby Kennedy, Mary Holland [NdT. l’avocate de Chidren’s Health Defense], et nous coopérons également étroitement avec ces personnes et avec d’autres dans d’autres pays, comme sur le continent africain par exemple. Et il se passe des choses très positives en ce moment. Ce qui est tragique, c’est qu’ici en Allemagne, je pense qu’il y a maintenant un taux de vaccination où il n’y a que 19% des gens qui ont reçu leur deuxième vaccin – ce qu’on appelle « vaccin » – mais il y en a près de 50% qui ont reçu leur premier vaccin. Et chaque fois que je prends le taxi, par exemple, quand je parle aux chauffeurs, c’est très facile de parler avec eux parce qu’ils semblent comprendre beaucoup plus que la plupart des scientifiques et des médecins qui apparaissent dans les médias grand public. Et ils diffusent l’information. Mais c’est plus important, je pense, et c’est ce qu’on essaie de faire ici en Allemagne et à l’international, c’est plus important de faire passer le mot, d’expliquer aux gens, pour faire sortir la vérité, de leur expliquer ce que provoquent ces injections. Et j’ai vu une de vos interviews qui a été quasiment reprise par vos collègues au Canada. Nous avons parlé avec le Dr Roger Hodkinson, nous avons parlé avec le Professeur Luc Montagnier et avec Byram Bridle – non, nous n’avons pas encore parlé avec Byram Bridle. Mais tout le monde s’accorde à dire que ça doit cesser immédiatement. C’est excessivement, monstrueusement dangereux. Nous avons entendu parler du fait que chez les femmes enceintes qui ont reçu les injections, ça se retrouve dans leur lait maternel bien sûr – je ne sais pas si c’est vous qui l’avez dit ou Byram Bridle – et il y a des cas de nourrissons allaités qui ont souffert de troubles de la coagulation et d’autres problèmes . C’est donc quelque chose de monstrueux qui doit être arrêté, et je pense que tout le monde est d’accord là-dessus.

Dr Peter McCullough : Nous essayons de faire passer un message de santé publique qui pourrait vraiment attirer l’attention de la Santé Publique. Je pense que c’était il y a environ une semaine, Harvey Risch et moi sommes passés sur Fox News et Harvey Risch a décrit la vignette [le rapport sur VAERS] de la femme allaitante qui a reçu le vaccin, ce qui a tué son bébé. A ce jour, il y a eu 800 cas de jeunes qui ont développé une myocardite ou une inflammation du cœur. Et parce que je suis cardiologue, j’ai là-dessus une position d’autorité clinique. Je dirais que, vu qu’il n’y a aucun avantage clinique chez les jeunes à se faire vacciner, même un seul cas est de trop. Le CDC a publié ses diapositives aujourd’hui et sa conclusion est « Nous allons faire une nouvelle réévaluation un peu plus tard en juin. » Donc nos agences n’ont rien fait pour réduire les risques du vaccin, ce qu’on appelle l’atténuation des risques. J’ai présidé plus de 2.000 conseils de surveillance de la sécurité des données pour la FDA et les National Institutes of Health, et dans ce programme, il n’y a pas de comité des événements critiques, il n’y a pas de conseil de surveillance de la sécurité des données et il n’y a pas de comité d’éthique humaine. Ces structures sont obligatoires dans toutes les grandes investigations cliniques. Le mot qui convient vraiment pour décrire ce qui se passe est malfaisance, méfait par ceux en position d’autorité. Et sans aucune mesure de sécurité en place, on peut voir ce qui se passe lors de l’administration… Fondamentalement, c’est la plus grande application d’un produit biologique qui provoque la plus grande morbidité et mortalité dans l’histoire de notre pays. Nous sommes à plus de 5.000 décès, comme vous le savez, et, je pense, à 15.000 hospitalisations. Dans l’UE, c’est plus de 10.000 décès. Nous travaillons avec le Center for Medicaid Services, les données du CMS, et nous avons un assez bon indice qui montre que le nombre réel est 10 fois supérieur. Il est 10 fois supérieur.

Nous savions grâce aux données de Harvard en 2016 que le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) ne rapporte qu’environ 10% de ce qui se passe réellement, nous avons donc dû obtenir une autre source de données. Et nous avons des informateurs. Nous avons maintenant un lanceur d’alerte au sein du CMS, nous avons deux lanceurs d’alerte au sein du CDC. Et ceux-ci sont en action en ce moment afin de sortir l’information. Ce serait donc un facteur de 10. Nous pensons qu’il y a eu 50.000 américains morts. 50.000. Nous avons donc en fait plus de décès par jour dus au vaccin que certainement, ceux dus à la maladie virale, et de loin. C’est fondamentalement, dans un sens, du bioterrorisme propagé par injection.

Reiner Fuellmich : Oui. Et la grande question est de savoir qui est derrière tout cela. L’image se précise. Oui, je dois traduire rapidement.

Viviane Fischer : Combien d’états sont exempts de confinement ou des nuisances engendrées par les mesures corona?

Dr Peter McCullough : Je ne connais pas les chiffres mais il est clair que ce sont principalement le Texas et la Floride, ce qui est bien – ce sont deux très grands états. Et la Floride compte le plus de personnes âgées et ils ont donc montré – c’est là que Covid frappe le plus – que nous avons fait preuve d’une grande résilience dans ces États indépendants, grâce à leurs gouverneurs. Je viens de recevoir l’e-mail de Laura Ingraham de Fox News, juste pour vous donner une idée. Au moins, nous avons une grande chaîne d’information avec nous. Son e-mail dit « Ce soir, nous parlerons d’ici quelques heures de la méfiance envers Fauci et envers les élites médicales qui se plient à ses ordres, des retombées de ses e-mails demandant une étude sur l’hydroxychloroquine, qui ont montré que le médicament était injustement calomnié, et finalement de cette nouvelle inquiétude quant aux problèmes cardiaques chez les jeunes hommes après leur deuxième vaccination. Le public a très peu confiance dans ce qu’on leur dit en termes de vie ou de mort. » Vous voyez les progrès que nous avons faits question médias, au moins certains des médias sont maintenant nos alliés. Ce que j’ai appris de tout ça, c’est que nous avons dû renoncer aux publications scientifiques, nous avons dû renoncer à plein de choses, et que nous devons nous adresser directement au public.

Reiner Fuellmich : Oui, c’est précisément ce que nous pensons aussi. Il y a un grand média ici dans ce pays qui a fait preuve d’esprit critique – pas trop critique mais critique jusqu’à un certain point. Ils viennent de sortir, je pense hier ou avant-hier, une histoire qui explique comment le gouvernement – notre propre gouvernement – a frauduleusement informé les gens sur le fait que le système de santé était submergé, alors qu’il ne l’était pas. Ils nous ont donné des chiffres complètement faux, des chiffres complètement faux en ce qui concerne les lits de soins intensifs. Nous en avions beaucoup plus qu’ils ne le prétendaient et il y a également eu des incitations financières concrétes pour garder ces lits inoccupés et pour cela beaucoup d’argent versé aux hôpitaux et aux médecins. Mais c’est tout, le seul point positif est que tout ça est sorti au grand jour, donc nous serons en mesure de l’exploiter, et nous le ferons. Parce qu’il y a assez de gens prêts à se battre et je pense qu’il y en a beaucoup d’autres qui n’ont tout simplement pas pu se résoudre à s’exprimer ouvertement. Mais il y en a quelques-uns parmi ceux que nous venons de rencontrer aujourd’hui, y compris le médecin qui a sauvé cette femme que nous avons interviewée il y a quelques semaines.

Wolfgang veut poser une question. Oui?

Wolfgang Wodarg : Oui, une chose ou deux. La première concerne les hôpitaux. Nous avons les données de l’administration qui contrôle le gouvernement et supervise les dépenses d’argent, ils donnent des chiffres clairs, ils disent que les soins cliniques en Allemagne ont dépensé près de 1.500.000.000€ de plus que la normale l’année dernière et ils ont eu 8% de patients en moins sur la même période. Donc ils ont reçu beaucoup d’argent mais le système clinique en Allemagne n’a jamais été surchargé. Et d’autre part, vous parlez de bioterrorisme et je voudrais faire la distinction, parce que vous parlez de bioterrorisme par vaccination et je pense que vous avez raison quand vous dites ça. Parce que je ne pense pas qu’il y ait un virus dangereux en circulation actuellement. Car si on parle de bioterrorisme par virus à gain de fonction, je suis absolument sûr que les virus à gain de fonction, s’ils se propageaient, ils ne pourraient pas se propager car ils tueraient leurs hôtes. Ce serait un virus très stupide s’il tuait son hôte. [NdT. j’ai déjà commencé à démonter cet argument dans d’autres articles et j’y reviendrai. Je trouve difficile à croire qu’un pneumologue puisse être aussi obtus. Vous noterez dans le reste de l’interview que le Dr McCullough n’est pas dupe non plus] Je tiens à dire aux gens qu’ils ne doivent pas avoir peur de virus dangereux issus de laboratoires, afin que les gens ne soient pas terrifiés en pensant qu’il se passe quelque chose de spécial. C’est juste un virus Corona et nous connaissons les virus Corona, les virus Sars, les coronavirus Peta, depuis 20 ans. Et notre système immunitaire les connaît. N’ayez pas peur du virus mais ayez peur de la vaccination. Le bioterrorisme, c’est la vaccination et non le virus.

Dr Peter McCullough : Oui, je suis d’accord avec vous pour dire que l’immunité naturelle sera capable de gérer les variants, d’après ce que je peux voir. Je ne prédis pas d’autre vague. En fait, lors de ma dernière apparition à la télévision, j’ai dit à l’Amérique « Il n’y aura pas d’autre vague. » Et donc quand je m’exprime, quand je parle à l’Amérique, je suis très positif, je donne un message très joyeux, je calme le pays et quand je le fais, Fauci et les autres ne le supportent pas car ils veulent promouvoir la peur, ils veulent promouvoir la souffrance et ils veulent promouvoir ce vaccin – c’est leur message. Nous faisons tout le contraire et nous sommes d’accord avec vous. Maintenant, ce qui pourrait se passer, c’est, disons qu’il y a un adversaire, disons simplement que c’est la Chine. Ils pourraient négocier à un niveau très élevé, dire « Écoutez, C-21. Nous avons un virus plus virulent et nous voulons un statut commercial favorable ou d’autres choses encore » parce qu’ils vont dire « Nous vous avons montré ce qui peut arriver avec une première salve, nous en avons [d’autres] » donc il pourrait y avoir une menace.

Mais je suis d’accord avec vous en ce qui concerne l’infection naturelle. Ça va se déplacer, je pense que ça va frapper l’Asie du Sud-Est. Ça va toucher des populations plus vulnérables. Mais si nous réagissons simplement avec un traitement pour chaque cas, le Mexique, les pays d’Amérique du Sud, les États-Unis et maintenant l’Inde, nous traitons chaque cas et nous aplatissons les courbes avec un traitement précoce rien qu’en traitant les patients à haut risque. En soignant les patients avec un traitement multimédicamenteux, nous réduisons la durée des symptômes, nous réduisons considérablement la propagation et nous réduisons les hospitalisations et les décès. C’est très, très important, c’est la seule chose qui le permet. La vaccination ne le permet pas. La vaccination, du fait que les personnes qui reçoivent le vaccin ont moins d’un pour cent de chances d’entrer en contact avec le virus et quand ça arrive, elles ont bien moins de 1% de risque d’attraper le virus. Il est impossible que le vaccin ait un impact sur la courbe épidémique et c’est un autre message que nous transmettons au public. Parce que les gens qui font la promotion du vaccin vont crier victoire, que tout a fonctionné en leur faveur et Brown au Canada [NdT. je publie bientôt la traduction] et d’autres ont fait d’excellentes analyses. Il est mathématiquement impossible que le vaccin ait un impact. Le CDC aux États-Unis a enregistré 10.000 cas d’infection post-vaccinale [NdT. « breakthrough cases », c’est-à-dire des personnes vaccinées qui développent le Covid], de véritables cas d’infection post-vaccinale où le vaccin a échoué. Et nous ne connaissons pas le dénominateur mais nous savons que ça demande beaucoup de travail et notre lecture de leur action est qu’ils ont été submergés par le nombre de cas d’infection post-vaccinale, submergés, ils ont abandonné. À la fin du mois de mai, ils ont abandonné, ils ont dit « Nous cessons de suivre les cas d’infection post-vaccinale. »

Wolfgang Wodarg : Nous savons qu’une fois les études cliniques terminées, la réduction du risque absolu est d’environ un pour cent. Et les autres étaient déjà immunisés donc c’est ridicule. Le fait de la vaccination, pour protéger les gens, est ridicule.

Dr Peter McCullough : C’est complètement ridicule. Nous avons des données de la Cleveland Clinic, qui vient de publier que 50 pour cent des personnes qui sont déjà immunisées, naturellement immunisées, reçoivent quand même le vaccin parce que le gouvernement leur a dit de se faire vacciner. Nous avons des données de trois études, deux au Royaume-Uni et une aux États-Unis, montrant que parmi tous ceux qui reçoivent le vaccin, environ 30 pour cent sont déjà immunisés […]. Vous pouvez donc voir comment le vaccin est manipulé, tout ça est manipulé. Ça devrait être très évident maintenant le CDC a révisé le seuil de cycle à la baisse afin d’obtenir moins de cas. Donc ça va ressembler à un truc dans le genre : le vaccin nous a sauvés. Peut-être que la question à se poser à propos de cette injection bioterroriste est, pourquoi l’ont-ils rendue si toxique? À l’heure actuelle, tant de gens meurent, alors pourquoi ne l’ont-ils pas rendue plus acceptable? Parce que je pense que la vraie charge utile du bioterrorisme va être dans les boosters.

Reiner Fuellmich : C’est ce que nous commençons à craindre aussi. Laissez-moi vous expliquer pourquoi Wolfgang a dit ça, car l’autre jour, j’ai été interviewé par Steve Bannon et il m’a écouté. Il n’était pas tout à fait d’accord parce qu’il semble que tout ça était nouveau pour lui. Mais c’est ce qui s’est réellement passé, nous l’avons appris en discutant avec deux anciens employés de l’OMS. Il y a eu un accident à l’Institut de Virologie de Wuhan et les Chinois étaient vraiment inquiets, c’est pourquoi ils ont ordonné à la personne qui dirige ce laboratoire de revenir immédiatement. [NdT. il y a eu de nombreux cas reconnus officiellement avant cette fameuse fuite, ailleurs qu’en Chine, et j’y reviendrai aussi] Et alors qu’elle était encore dans le train, ils ont supprimé leur site Web pour brouiller les pistes. Ils étaient vraiment inquiets. Mais au bout de deux ou trois semaines, ils ont réalisé qu’il ne s’était pas passé grand-chose. Cependant, l’autre côté, comme nous les appelons, a vu ça comme un possible tremplin ou comme un incident déclencheur pour mettre en œuvre le programme qu’ils avaient planifié depuis au moins 10 ans. Ils l’avaient planifié depuis plus longtemps, mais depuis 10 ans, nous pouvons le voir, il avaient élaboré des plans concrets et la répétition générale – je suppose qu’on pourrait l’appeler un essai – c’était l’Event 201, qui est en réalité l’événement 21 parce que le [?] est la Terre en octobre 2019. C’est donc à ce moment-là qu’ils ont décidé, « Nous allons saisir cette opportunité » et c’est à ce moment-là qu’ils ont prévenu Drosten et c’est pourquoi nous étions à cette audience ce matin, à l’enquête. C’est à ce moment-là qu’ils ont dit à Drosten : « Commencez votre travail sur votre test PCR. » Il a commencé son travail le soir du Nouvel An, estimons-nous. Et quelques semaines plus tard, les 22 et 23 janvier, il y a eu une énorme pression, probablement de la part de l’industrie pharmaceutique, sur l’OMS pour finalement déclarer une urgence de santé publique de portée internationale parce que c’est nécessaire pour obtenir une autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis pour ces vaccins, qui n’ont jamais été testés, ou une autorisation d’utilisation conditionnelle ici en Europe. Mais ils n’ont pu s’entendre sur rien parce qu’il n’y avait pas de cas. Mais ils se sont mis d’accord sur une chose, ils allaient tenir une deuxième réunion d’urgence deux semaines plus tard, début février. Et c’est à ce moment-là qu’ils ont déclaré l’urgence de santé publique de portée internationale. Pourquoi? Parce qu’ils avaient utilisé le test de Drosten, parce qu’il avait mis ce test à leur disposition, ce test PCR, et ils l’ont imposé comme l’étalon-or pour le monde entier, comme l’étalon-or pour détecter les infections. Comme nous l’avons tous appris entre-temps, il est impossible de détecter les infections avec le test PCR et comme nous le savons également grâce aux personnes qui… L’un des experts est le Dr Mike Yeadon, avec qui je sais que vous êtes en contact, et il nous a dit que si on monte jusqu’à 35 cycles d’amplification, on se retrouve avec au moins 97% de faux positifs. Ce type avait établi ses cycles d’amplification jusqu’à 45 alors devinez quoi? Ce sont tous des faux positifs. C’est pourquoi Wolfgang disait, ce n’est pas l’accident, ce n’est pas le virus dangereux qui s’est échappé du laboratoire. Ce sont les vaccinations dont nous devons nous inquiéter et c’est probablement vrai. Je ne peux pas en juger parce que je ne suis pas médecin, mais il est probablement vrai que nous devons vraiment avoir peur des boosters.

Dr Peter McCullough : Nous avons beaucoup appris. Vous avez probablement examiné ce cas d’autopsie en Allemagne il y a quelques jours à peine. Nous avons appris que – je suis sûr que vous savez tout ça, mais – le Salk Institute et les fabricants nous ont dit que les nanoparticules lipidiques et l’ARN messager restent dans le bras, ce n’est pas le cas. Ils sont distribués ailleurs [dans le corps]. Nos radiologues savent que les seins deviennent incroyablement enflammés chez les femmes, à tel point qu’ils n’arrivent pas lire une mammographie – ils ont en fait changé leurs critères pour la mammographie, du moins dans mon hôpital, je ne sais pas ailleurs – et que l’autopsie a montré qu’en fait il y a une énorme distribution de… Nous l’avons examinée, la protéine de pointe est clairement pathogène, le gain de fonction [engendre] une mutation d’une séquence de quatre acides aminés au niveau de la zone de clivage de la furine. Il y a quatre domaines codants pour le VIH, nous nous sommes toujours demandés pourquoi le comptage des lymphocytes était en baisse. L’e-mail qui a été envoyé à Fauci qui dit « Hé Tony, comment as-tu fait pour coder le VIH là-dedans? » montre clairement ce qui se passe. C’était absolument à dessein, il s’agit d’une arme de bioterrorisme. Et injecter de l’ARN messager ou de l’ADN adénoviral et provoquer une production incontrôlée de la protéine de pointe dans le corps humain est une proposition biologiquement très, très dangereuse. Nous ne savons pas ce qui contrôle les hauteurs de production de la protéine de pointe, ni les organes dans lesquels elle est produite, ni où elle circule. Nous savons qu’elle provoque une forme unique de thrombose qui est en partie une hémo-agglutination parce que la protéine de pointe se fixe aux résidus d’acide sialique sur les globules rouges. Normalement dans la coagulation, les globules rouges ne sont pas impliqués mais ici les globules rouges le sont. Nous savons que, par exemple, les Italiens ont montré que lorsque la saturation en oxygène descend dans les poumons, il se produit une micro-thrombose. Vous pouvez donc imaginer bien sûr que donner du Remdesivir chinois à une personne atteinte de micro-thrombose ne sert à rien.

Une personne à qui vous pourriez peut-être parler – il est un peu extravagant mais il est intéressant, il a de l’influence – c’est Steve Kirsch. Steve Kirsch est millionnaire et Steve Kirsch a fait l’annonce publique d’une récompense de 2.000.000$, en disant : « Quelqu’un peut-il démontrer que le CDC, la FDA ou le NIH ont fait une seule chose correcte dans la réponse à la pandémie? Si vous le pouvez, nous paierons 2.000.000$. » Personne ne s’est manifesté, personne n’a même écrit de lettre. On a donc affaire à une erreur colossale. Et bien sûr les chaînes d’informations sont intéressées, le cycle de l’actualité reprend toujours ce genre de choses. Notre objectif est de faire passer le message au public, de demeurer impeccables et irréprochables au niveau de notre intégrité scientifique, de toujours nous présenter de manière très professionnelle et de voir si nous pouvons gagner l’opinion publique afin qu’un certain nombre de personnes ne se fasse pas vacciner. Une fois que ce sera fait et qu’on y verra plus clair, je pense que nos adversaires seront démasqués. Pourquoi voulaient-ils ce vaccin? Nous assistons à des problèmes de sécurité tout à fait incroyables. On voit des thromboses de la veine porte, j’ai vu ça chez mes patients, des infarctus du myocarde, des myocardites. J’ai vu une femme hier au bureau, sa mémoire s’est complètement effacée après le vaccin. C’est totalement déconcertant. Nous remplissons les formulaires de rapport des effets secondaires et tôt ou tard, l’opinion publique finira par se retourner.

Il y a deux grandes populations très méfiantes aux États-Unis, il y a les Afro-Américains qui représentent 12% et il y a les Hispaniques qui représentent 20%, et ils ne veulent majoritairement pas du vaccin. Nous travaillons avec des églises afro-américaines, nous faisons des conférences et les Afro-Américains disent : « Nous savions que le gouvernement nous mentait. » Donc, ils le savent déjà. Voilà donc notre plan en quelques mots. Je pense que nous sommes vraiment complètement sur la même ligne. Nous devons cependant gagner de grosses affaires. Anna Garner, tous ces gens, Mike Renz, nous devons gagner. Honnêtement, vous pensez que les médecins ont peur? Mais les avocats ont peur! Je suis étonné de voir combien d’avocats sont si craintifs. Ils ne peuvent même pas déposer une lettre d’intention. Nous avons un avocat, il a fait un modèle et il a dit « Je vais vous montrer comment déposer votre propre lettre d’intention, vous payez vous-même les frais. » J’ai répondu, « Bon Dieu, je suis médecin, je suis une personnalité médiatique, je m’occupe de patients, je suis éditeur, [?], je dois maintenant faire mon propre travail juridique ? » C’est vraiment incroyable de voir à quel point la peur s’est emparée de tout le monde.

Reiner Fuellmich : Le fait est qu’à l’échelle internationale, j’ai l’impression que nous ne coopérons qu’avec 100 avocats seulement. 100 avocats, dans le monde entier. Il devrait y en avoir beaucoup plus, bien sûr. Mais nous progressons grâce à ces cas, ceux que vous mentionnez, et il y a quelques cas vraiment importants sur lesquels nous travaillons tous, y compris nos collègues américains. Je ne peux pas vous donner les détails parce que nous ne voudrions pas que ça soit compromis de quelque manière que ce soit. Mais vous avez raison, c’est la seule voie à suivre, en procédant prudemment, d’une manière scientifiquement correcte, sans écume au bord des lèvres, pour qu’enfin on gagne l’opinion publique et qu’ensuite on démasque les gens qui sont derrière ça.

Dr Peter McCullough : Exact. Je vais vous dire ce que je pense être des distractions, qui nous feraient perdre notre temps. C’est le sujet du port de masques. Par exemple, ils aimeraient nous voir nous disputer au sujet des masques pendant qu’eux continueraient à faire leurs injections, n’est-ce pas? J’essaie donc de ne pas faire des masques notre cheval de bataille. Dans un autre domaine, il y a cette notion extrême que la maladie n’existe pas, comme le prétend Dolores Cahill. Je pense que c’est un peu une perte de temps car nous avons obtenu suffisamment d’informations du séquençage, nous pouvons le voir dans la [?] capside, nous savons qu’elle est physiquement présente dans certains cas. Nous savons que beaucoup de choses sont largement surestimées, avec tout ce que vous avez mentionné, et nous savons que beaucoup de choses sont dissimulées. Dans mon système de santé hospitalier, par exemple, les cas de Covid sont considérés comme des patients « break-the-glass » [NdT. Le système « break-the-glass » est une alerte dans un dossier de santé électronique qui s’affiche lorsqu’un clinicien ou un utilisateur final essaie d’accéder au dossier d’un patient dont l’accès est limité], ce qui signifie qu’ils sont admis dans des unités fermées, où nous ne pouvons même pas voir ce qui se passe. Donc, s’ils ne sont pas ouverts à l’examen par les pairs, il n’y aura pas d’examen par les pairs accessible, il y a donc une rupture du processus normal, même au sein des services de soins de santé. Mais ce que nous voulons obtenir, nous avons besoin d’aide, nous avons besoin de l’aide de psychiatres. Il y a un état de transe, il y a des médecins qui disent à leurs patients de se faire vacciner, les patients se font vacciner et meurent de thrombose. Et les médecins ne font rien, ou ils injectent aux femmes enceintes de l’ARN messager expérimental. C’est une histoire d’horreur, quelque chose qui ne se produirait jamais dans le cadre d’une bonne pratique clinique, des médecins disent qu’ils n’accepteront pas dans leur salle d’attente les patients qui n’ont pas reçu le vaccin. Je pense qu’une cible prioritaire est, et c’est de ma responsabilité, de mettre les médecins de notre côté. Les médecins sont un énorme problème.

Reiner Fuellmich : Et nous avons besoin de vous, n’est-ce pas, et c’est ce que j’ai dit dès le début. C’est une énorme opération psychologique. Nous devons parler aux psychiatres et aux psychologues. Et ils utilisent comme arme principale, ils utilisent les médias grand public pour endoctriner les gens avec ce paquet de panique qu’ils ont mis au point pendant de nombreuses années. Les malades de l’autre côté, décidément très malades…

Dr Peter McCullough : Voyez ce professeur chinois d’Emory, elle passe sur CNN. Et ils sont allés encore plus loin, ils ont lié le vaccin aux libertés. Et ça s’est déjà produit en Europe, ils ont dit « Les gens doivent comprendre qu’ils doivent se faire vacciner pour retrouver leur liberté. » C’était « Waouh! »

Wolfgang Wodarg : Nous connaissons ça de la mafia. C’est exactement ce que font ses membres, c’est une très, très vieille méthode. Si vous nous laissez vous protéger, vous devrez payer un peu, tout ira bien. Si vous ne nous laissez pas vous protéger, vous allez voir ce qui se passera. [NdT. ce que j’ai explicitement décrit dans cet article]

Dr Peter McCullough : […] La plupart de ces actions ne sont en fait que de la pure intimidation. Par exemple, il y a plusieurs universités aux États-Unis qui déclarent qu’elles exigeront le vaccin. Fait intéressant, ils exigent le vaccin pour les étudiants mais pas pour les professeurs. Vous savez, le CDC, le NIH et la FDA, leurs membres ne reçoivent pas le vaccin, ce qui est assez intéressant. D’après ce que je sais, ils n’ont rédigé aucune politique interne. Les hôpitaux sont tenus d’avoir une politique et celle-ci doit être certifiée et figurer dans la bibliothèque des politiques [hospitalières], car les hôpitaux des États-Unis sont accrédités par la commission paritaire d’accréditation des hôpitaux. Il n’y a donc pas eu de politiques signées parce qu’ils savent qu’ils ne peuvent pas rédiger une politique exigeant un vaccin expérimental. Il peut y avoir une politique qui oblige les gens à faire de la recherche. Mais si une institution, un hôpital ou une université exige un vaccin sans politique [écrite], c’est par définition du harcèlement ou de l’intimidation. Il y a maintenant des parents qui déposent des lettres d’intention qui qualifient ce harcèlement et ils les déposent auprès des agents de conformité, auprès du bureau de l’ombudsman, auprès des bureaux qui, selon leur charte, doivent prendre des mesures internes. Nous faisons donc faire à ces institutions une quantité incroyable de travail administratif. Nous les punissons pour leurs actions. Le district scolaire de Los Angeles a reculé, la Louisiana State University a reculé, nous avons remporté une victoire au Texas au niveau de l’État et des employeurs privés. Nous devons donc persévérer et ensuite, espérons-le, la psychologie de masse [inaudible] ni de formation psychologique mais quand je prends la parole, je n’ai pas de préparation adéquate, je fais juste de mon mieux. Mais je suis médecin, je ne suis pas une personne des médias.

Je voudrais ajouter une chose avant d’oublier. Le Dr Bakhti, le Dr Yeadon, le Dr Vandenbosche et même le Dr Bridle. Voici le problème : trop long. Quand ils font une vidéo d’une heure et demie, ils sont complètement inefficaces pour faire passer le message, complètement inefficaces. Ils doivent adapter leur message à une durée d’une minute ou deux. Les gens font des références à ces vidéos mais c’est perdu d’avance. Non seulement ça, mais ils ne sont pas crédibles, ils n’ont pas l’air crédibles. Bakhti, Laura Ingraham l’a reçu une fois et Bakhti qui était assis là a commencé par « Si nous vaccinons le monde, nous sommes condamnés », comme ça, elle a répondu « D’accord, merci Docteur » et ils l’ont juste coupé. On ne peut pas faire ça. Il doit comprendre, ces gens doivent comprendre que les médias sont très importants. Peut-être que ce soir avec Laura Ingraham, j’aurai une minute et demie. Ça devra être impeccable, le look devra être impeccable et le message devra être court. C’est tout un art et nous avons besoin d’aide. Bridle, il se tait – je pense que quelqu’un l’a menacé ou menacé son enfant et il se tait. Il y a des menaces. Je voudrais préciser que nous prêtons attention à l’identité de ceux qui nous attaquent. Lorsque j’ai témoigné au Sénat du Texas, j’ai été agressé par un journaliste français. Français! Pourquoi les Français surveillent-ils ce qui se passe au Sénat du Texas? Récemment, j’ai été très vivement attaqué dans les médias par une femme de Singapour et nous l’avons retracée directement jusqu’à la Fondation Gates.

Reiner Fuellmich : Ça explique toute l’histoire. Nous savons donc qui sera finalement démasqué. Très bien, très bien. Tout est là. Nous ne pouvons pas rester assis, nous devons nous battre. C’est la seule façon de faire.

Peter McCullough : Et avec force. Ce que je fais, c’est que je prends en fait une position d’autorité morale et je défie quiconque d’en avoir plus que moi. J’ai dit qu’à moi seul, j’ai vu et examiné plus de patients, j’ai traité plus de patients, j’ai publié plus sur le Covid-19, j’ai le meilleur parcours académique, j’ai eu la maladie moi-même, mon père l’a eu, j’ai eu un décès dans ma famille à cause de la maladie. Qui, à lui seul, peut dire cela? Je prends donc une position d’autorité morale, clinique, éthique et humaine et je défie quiconque de me suivre. Parce que la seule façon de faire reculer l’autre côté est d’être extrêmement confiant et fort. Extrêmement confiant et fort. Je n’aime pas ce que fait Bridle en ce moment, il recule, il s’est passé quelque chose et depuis il recule. Les autres vont prendre peur et se cacher, nous devons être très, très forts.

Reiner Fuellmich : Êtes-vous né au Texas ?

Peter McCullough : Non, je suis né à Buffalo, New York.

Reiner Fuellmich : Parce que vous parlez comme un Texan.

Peter McCullough : J’ai grandi ici quand j’étais enfant, mais je suis disposé à porter mes bottes de cowboy quand je vais à la barre.

Reiner Fuellmich : Je l’ai souvent fait quand j’allais au tribunal de Seattle.

Peter McCullough : Oui, oui j’ai fait mon stage à Seattle. Mais c’est très important. De toute évidence, quelque chose ne tourne pas rond dans le monde et si nous restons assis sans rien faire… C’est évident, beaucoup de gens sont morts, beaucoup de gens sont torturés. J’ai très peur, sur base de ce que nous avons appris des premières injections, qu’elles interagissent avec le p53 et le BRCA, qu’elles puissent au final provoquer des cancers. Elles peuvent provoquer des cancers. Les Japonais ont déjà montré que les particules lipidiques se concentrent dans les ovaires. Seraient-ils en train de nous stériliser? Si on supposait que tout ça est un programme de la Fondation Gates pour réduire la population, ça correspondrait assez bien à cette hypothèse, n’est-ce pas? La première vague c’était pour tuer les personnes âgées par infection respiratoire, la deuxième vague c’est pour s’emparer des survivants, et cibler les jeunes et les stériliser. Si vous prêtez attention aux messages diffusés dans chaque pays, aux États-Unis, ils ne s’intéressent même plus aux personnes âgées maintenant. Ils veulent les enfants. Ils veulent les enfants, les enfants, les enfants, les enfants, les enfants. Ils se concentrent avant tout sur les enfants.

Reiner Fuellmich : Et c’est eux que nous devons protéger. C’est une nouvelle boîte de Pandore qu’on va devoir ouvrir mais on va devoir s’en occuper, vous avez raison.

Peter McCullough : Donc je vais y aller fort ce soir, on ne doit pas accepter qu’on approche une aiguille des enfants. Nous en sommes à 100 cas de dommages cardiaques chez ces enfants, certains d’entre eux très importants, qui vont conduire à une insuffisance cardiaque et nous devons vraiment foutre la trouille aux parents. Aux États-Unis, dans un État, ils ont déjà préparé le terrain pour que les enfants de 12 ans aient le droit d’accepter le vaccin eux-mêmes, sans le consentement de la famille. Ça n’est jamais arrivé dans l’Histoire. À Toronto, l’autre jour, ils ont attiré les enfants avec de la crème glacée, ils ont tenu les parents à l’écart et ils ont vacciné les enfants. C’est vraiment horrible. Ma femme est canadienne et sa mère a été vaccinée de force. Elle ne parle pas très bien l’anglais et un agent de santé est venu, il y a eu une sorte de conflit et avant qu’elle ne s’en rende compte, elle s’est fait injecter. Elle ne sait même pas ce qu’elle a reçu. C’est en train d’arriver. Je prédis qu’on en arrivera à l’injection de force, ils iront aussi loin que ça.

Reiner Fuellmich : On va arrêter ça. Nous devons, il n’y a pas le choix.

Peter McCullough : Mais je prédis que ça s’en vient. C’est déjà arrivé dans certaines parties de l’Indonésie. Je vous garantis que ça se produit quelque part en ce moment. C’est probablement arrivé dans les maisons de soins infirmiers et dans d’autres endroits.

Reiner Fuellmich : Nous savons que ça s’est produit dans les maisons de retraite.

Peter McCullough : Nous devons arrêter ça et nous devons savoir ce qu’il y a derrière. Est-ce que Bill Gates essaie de contrôler la population? Est-ce que ce sont les Chinois qui essaient de faire pression par une action de bioterrorisme? Est-ce quelque chose de plus malveillant? Pour moi, ce qui est magistral, c’est la partie psychologique de tout ça. Comment ont-ils réussi ça du point de vue de la psychologie de masse? Comment ont-ils fait?

Reiner Fuellmich : C’est pourquoi nous devons parler aux psychiatres et aux psychologues. Ils ont les réponses.

Peter McCullough : Ils ont les réponses. D’accord.

Reiner Fuellmich : Eh bien, Dr McCullough, c’était à la fois un honneur et un plaisir. Merci beaucoup.

Peter McCullough : Merci. Restons en contact. Merci.

Reiner Fuellmich : Et restons en selle, oui

Peter McCullough : D’accord. Bye Bye.

Reiner Fuellmich : Bonne journée.


Transcription intégrale

Reiner Fuellmich : Again, I apologize but this was extremely important. We learned a lot from our very own « Quincy » the pathologist, it’s Pr Burkhardt. You probably remember that TV series, right? [..] I’ve seen you in many interviews, one of them was on Fox Television – I think the last one was when you shocked the host, Tucker Carlson. What is your take on this entire situation? We know that a lot of doctors have sort of changed their mind over time because they began to understand that there is a lot of evidence that points in the direction that there really is no actual pandemic but there is something else going on. What do you think of what’s going on?

Dr Peter McCullough : Well, my quick analysis is, I believe that we’re under the application of a form of bioterrorism. That’s worldwide. That appears to have been many years in the planning and that the first wave of the bio terrorism is a respiratory a virus that spread across the world and affected relatively few people, about one percent of many populations but generated great fear. The virus was responsible for some deaths in the very frail and elderly. But, you know, for otherwise well people, it was like having the common cold. But that fear was used very quickly, and I think surprisingly, to generate tremendous influences in human life, and lockdowns all the things you know about. And every single thing that was done in the public health response to the pandemic of made it worse. So overtesting and, you know, even lockdowns probably made it worse because the virus evolved over time to become more contagious. And so every single response made it worse.

How I got involved is, as a doctor I thought the virus was going to be pretty easy to treat once we understood there were three phases : replication, cytokine storm and thrombosis. And so as I promulgated early treatment I started to meet resistance at all levels in terms of actually treating patients and then publishing papers. And so, I’m the editor of two major journals, I’m in the business of publishing so fortunately I had enough publication strength to publish basically the only two papers in the entire medical literature that teaches doctors how to treat Covid-19 at home to prevent hospitalization and death. And we did the best we could without any funding or government support and we demonstrated that it results in about 85 percent reduction in hospitalization and death.

So what we have discovered is that the suppression of early treatment was tightly linked to the development of a vaccine. And the entire program as this, in a sense, bioterrorism phase one was rolled out was really all about keeping the population in fear and in isolation and preparing them to accept the vaccine which appears to be phase two of a bioterrorism operation. Both the respiratory virus and the vaccine deliver to the human body the spike protein, the gain of function target of this bioterrorism research. Now I can’t come out and say all that on national TV today or any time. But what we have learned over time is that we could no longer communicate with government agencies. We actually couldn’t even communicate with our propagandized colleagues in major medical centers, all of which appear to be under a spell – they’re almost as if they’re hypnotized right now. And doctors, good doctors, are doing unthinkable things like injecting biologically active messenger RNA that produces this pathogenic spike protein into pregnant women. I think when the doctors wake up from the trance are gonna be shocked to think what they’ve done to people.

And so our strategy was to organize, there are many groups. One group in the United States called C-19 that I organized, many of you get these emails. It’s about 1000 people. Another one’s called FLCCC, Frontline Critical Care Consortium. Another worldwide one is called Panda, I may be involved in that. There’s also Heart and Bird and Covid Medical Network, Treatment Domiciliary in Italy. It’s gotten to the point where people [inaudible] early treatment. Governments have actually tried to block even any single milligram of a treatment to individuals. And so we decided by the summer we had to take our message to the people. We had one physician association that workes with us, called the Association of American Physicians and Surgeons. We’ve created a home patient guide. We organized in the United States four national telemedicine services, 15 regional services. We broke through to the people and the people who got sick with Covid-19 called in and got medications prescribed to local pharmacies or to a mail order distribution pharmacies. And so without the government really even understanding what was going on we crushed the epidemic curve in the United States towards the end of December and January. We basically took care of the pandemic with about 500 doctors and telemedicine services. And to this day we treat about 25 percent of the US Covid-19 population that actually are at high risk, over age 50, with medical problems or present with severe symptoms. And we basically handled the pandemic and at the same time we’ve tried to keep ourselves above the political fray. And we understand the suppression of early treatment is tightly linked to vaccination.

Then we’ve let all the news and vaccination come out and are working to change the public view of the vaccine. The public initially accepted the vaccine and we had to kind of slowly turn the ship. And now the United States rates of vaccination has been dropping since April 8, they continue to drop every day. The vaccine centers that I go by are completely empty and in the United States they’re becoming desperate to try to convince individuals to get a vaccine. They’re offering million-dollar lotteries. All the universities who are trying to force vaccination are receiving resistance. I’m the lead expert in the Bellwether Houston Methodist case, which is currently being argued before a judge in Texas [who rejected it in spectacular bad faith] and is going to be quickly escalated to the Supreme Court of Texas where Houston Methodist Hospital – a leading hospital – is attempting to force the employees to receive the vaccine. And we already have word that it is going to be escalated to a Supreme Court case. It’ll be a very high-visibility case. So we have a lot of activity going on United States, we are engaging more and more attorneys. It’s great to have you and your team involved, you know, on the international level and I imagine we’re aligned on almost all the things I said.

Reiner Fuellmich : Let me quickly translate but give us a chance because I don’t want to be rude but I completely forgot to introduce you because I thought that everybody knows you. I think most people do but please tell us a little about your background.

Dr Peter McCullough : So let me introduce myself. I’m Peter McCullough, I’m a Professor of Medicine at the Texas A and M College of Medicine on the Baylor, Dallas campus, I practice internal medicine and cardiology. When the pandemic hit I refocused all of my efforts on Covid-19. I’m the editor of Reviews in Cardiovascular Medicine, I’m the editor of Cardiorenal Medicine, that’s my area of research, senior associate editor of American Journal of Cardiology, I’m the president of the Cardiorenal Society and in my field about heart and kidney connections, I’m the most published person in my field in the world in history. And I have developed a great experience in treating Covid-19. I’ve published the two major treatment papers and I’ve lead the early treatment initiative in the United States. So I have, whether people like it or not, I have declared my medical authority in doing this to a greater extent than anybody in public health agencies or any other media doctors.

Reiner Fuellmich : Thank you so much. We can sure as hell be glad that you’re on our side, extremely grateful. I’m going to translate this. […] So it appears that in the United States at least things are really changing right now.

Dr Peter McCullough : Yeah, I mean, we’ve clearly had an impact. I’m in Texas where we never underwent lockdown. I was a strong proponent of us staying open. We have 35 treating doctors who are willing to go against the medical centers and treat patients. We were able to convince our governor to put an executive order recognizing natural immunity, banning any mandatory vaccines by public agencies, banning vaccine passports, banning any discrimination passports. We recently passed similar legislation for private employers. However we were unable to get in a ban on private employers mandating the vaccine so that part is going to be litigated. With the Houston Methodist Bellwether case we’re very active. We have the America’s Frontline Doctors as another group that has a temporary restraining order in against pediatric vaccination filed in Alabama. And we have cases filed in the state of Maine against falsely coding the test results positives, inflating the number of cases and deaths. We have a variety of activities. We have allies in Washington, Senator Ron Johnson and Senator Rand Paul. We have allies in the media, largely Fox News and Real News and OAN. We don’t yet have CNN or MSNBC. But the C-19 group that I loosely formed, we now are on national TV almost every night in the United States to provide a counter viewpoint to Anthony Fauci and Walensky at the CDC and NIH and we bring on different experts and continue to appear to the American people that we have more scientific credibility then the agencies.

Viviane Fischer : And why do you think that, you know, this window of opportunity has opened for you to be on on national TV? I mean that’s quite something. I mean here, at this point, you know, this is impossible basically.

Dr Peter McCullough : Well, we had some help in the media. We had some open-eyed people who were willing to give some high-level interviews. We have good social media contacts all over the world that really amplified things. Although we’re consistently shut down on Twitter and YouTube we continue to find new strategies to get the points out. We’re very evidence based. You know, the United States, we’re a whole country of rebels and people who want to break the law and, you know, that’s who we are. So we have, you know, Children’s Health Defense, Robert F. Kennedy, Del Bigtree, we have some very big figures. We had Senator Rand Paul come out and say « Listen, I’m not taking the vaccine, I’ve had Covid-19. » So did Senator Johnson. Sebastian Gorka who interviewed me – he used to be in the Trump administration – he interviewed me, he’s going to come out on Sunday night and say he took hydroxychloroquine and defeated Covid-19 in December, he’s not taking the vaccine. So, you know, we have to have people be making these public statements. You know, for instance on Real TV, with Dan Ball coming up in a few hours, he’s gonna come on and say he’s not taking the vaccine. We’ve helped shut down the Los Angeles school district from mandating the vaccine, his kids go to school there, they’ve backed off on the mandates. So we’re working very hard. This is the strategy : we know that this is bioterrorism, we know that this is phase two of bioterrorism and we don’t know who’s behind it but we know that they want a needle in every arm to inject messenger RNA or adenoviral DNA into every human being. They want every human being. Our goal is, we can’t stop it for everybody, but our goal is to get a large group that they cannot get to, that they cannot vaccinate. And that would be Covid recovered, suspected Covid recovered, those with immunity, children, pregnant women, childbearing women. We want a big block and if we can get that big block and break them, if we can break the needle in every arm, then I think it’ll be exposed on what is the plan for a needle in every arm.

Reiner Fuellmich : You know, I’m sure glad that this is happening in the U. S. right now because it took some time for people to really get going there. We’re in close touch and in close cooperation with the attorneys that you – you didn’t mention any names but I know you know Anna Garner and Tom Renz who are working in Sierra Leone and Alabama. Of course we’re in close cooperation with CHD, Bobby Kennedy, Mary Holland, and we’re also in close cooperation with these people and others in other countries like in on the African continent for example. And there’s some really good things going on right now. The tragic thing is though that here in Germany I think we have now a rate of vaccination where people have gotten their second vaccination – so-called vaccination – of only 19 percent but those who have, those who got their first shot are up to close to 50 percent. And whenever I’m in a cab, for example, talking to the cab drivers it’s very easy to talk with them because they seem to understand much more than many of the scientists and doctors who appear on mainstream media. And they spread the news. But it’s more important, I think, and that’s what we’re trying to do here in Germany and internationally, it’s more important to spread the word, to explain to the people to get out the truth, to explain to them what the shots really do. And I saw an interview with you which is almost mirrored by your colleagues in Canada. We spoke with doctor Roger Hodkinson, we spoke with Pr Luc Montagnier and with Byram Bridle – no, we haven’t spoken with Byram Bridle yet. But everyone agrees this has got to stop immediately. This is excessively, it’s monstrously dangerous. We heard about how pregnant women who got the shots, it appears in their breast milk of course – I don’t know if you said this or Byram Bridle said this – but there’s some cases of suckling infants who’s suffered bleeding disorders and other problems. So this is a monstrous thing that needs to be stopped, and I think everybody agrees on that.

Dr Peter McCullough : We’re trying to get to this public health message that can really get the Public Health attention. So I think it was about a week ago, Harvey Risch and I appeared on Fox News and Harvey Risch described the vignette of the woman who got the vaccine and breastfeeding and it killed the baby. Today we have 800 cases of young people developing myocarditis or inflammation of the heart. And because I’m a cardiologist I have a clinical authority position here. And, you know, I’m going to opine that because there is no clinical benefit whatsoever in young people to get the vaccine that even one case is too many. And the CDC, you know, distributed their slides today and their conclusion is « Well, we’re going to reevaluate again a little bit later on in June. » So our agencies have done nothing to reduce the risks of the vaccine, it’s called risk mitigation. And I’ve chaired up over 2,000 data safety monitoring boards for the FDA and the National Institutes of Health, and with this program, there is no critical event committee, there is no data safety monitoring board and there’s no human ethics committee. Those structures are mandatory for all large clinical investigations. And so the word that’s really used for what’s going on is malfeasance, wrongdoing by those in position of authority. And without any safety measures in place, you can see what’s going on when administering… Basically it’s the largest application of a biological product with the greatest amount of morbidity and mortality in the history of our country. We are at over 5,000 deaths as you know, I think 15,000 hospitalizations. In the EU, it’s over 10,000 deaths. We are working with the Center for Medicaid Services, CMS data, and we have a pretty good lead that the real number is 10 fold. It’s 10 fold.

We knew from data from Harvard in 2016 that the Vaccine Adverse Event Reporting System only reports about 10 percent of what’s really going on so we had to get another data source. And we have inside people. We have now a whistle blower inside the CMS, we have two whistle blowers within the CDC. And those are being developed right now in order to get this out. So we’re looking at 10x. We think we have 50,000 dead Americans. 50,000. So we actually have more deaths due to the vaccine per day than certainly the viral illness, by far. It’s is basically, in a sense, it’s propagandized bioterrorism by injection.

Reiner Fuellmich : Yeah. And the big question is, who is behind this. The picture is becoming clearer. Yeah, I have to translate quickly.

Viviane Fischer : How many states are without any lockdown or like the, you know, nuisances with regards to the measures corona?

Dr Peter McCullough : I don’t know the numbers but it’s clear that the lead states are Texas and Florida, which is good – those are two very big states. And Florida has the most elderly people and so they have shown – and that’s where Covid strikes the most – so we have shown great resilience in these independent states with these governors. I just got the email from Laura Ingraham on Fox News, to just give you an idea. At least we have one major news station that’s with us. Her email says « Tonight we’re gonna talk in a few hours about the mistrust in Fauci and the medical elites who do his bidding, the fallout from his emails to do a hydroxychloroquine study that showed the drug was unfairly maligned, finally this new concern about heart issues in young men after their second vaccination. The public has very little faith in what we’re being told in terms of life and death. » So you can see how we have really come a long way to get the media, at least some of the media now coming with us. What I’ve learned in this whole thing is we gave up on the scientific publications, we gave up on these other things, we have to go straight to the people.

Reiner Fuellmich : Yeah, that is precisely what we think too. There is one major medium here in this country which has been critical – not overly critical but critical to a point. They have just come out, I think yesterday or the day before yesterday, with a story that explains how fraudulently the government – our own government – informed the people about how the health care system was being overwhelmed, when it wasn’t. They gave us completely false numbers, completely false figures as far as the intensive care beds are concerned. We had many more than they claimed and in addition the real financial incentives to keep these beds unoccupied because there’s so much money that’s being paid to hospitals and to the doctors. But this is all, you know, the one good thing about this is this has all come out into the open so we will be able to deal with this, and we will. Because we have enough people who are willing to fight and I think there’s many more who just couldn’t bring themselves to come out into the open. But a few of them we just met today, including the doctor who saved that woman whom we interviewed a couple of weeks ago.

Wolfgang wants to ask a question. Yes?

Wolfgang Wodarg : Yes, one thing or two things. One is with the hospitals. We have from the office who is controlling the government and how they spend the money, they have clear numbers, they say that the clinical care in Germany spent close to 1,500,000,0000 more than normal the last year and they have 8% less patients in the same time. So they got a lot of money but it was never overloaded, the clinical system in Germany. And the other thing, you speak about bioterrorism and I want to distinguish because you speak about bioterrorism by vaccination and I think you’re right when you say this. Because I don’t think that there is a dangerous virus on the way now. Because if we speak about bioterrorism by gain of function viruses, I’m very sure that gain of function viruses, if they would spread, they could not spread because they would kill their hosts. And so it’s a very stupid virus that kills the host. So I am eager to tell the people that they needn’t be afraid of dangerous viruses that come from the laboratory environment, so that people are not terrified because there’s something special. It’s just a corona virus and we’re acquainted to corona viruses, to Sars viruses, Peta coronaviruses since 20 years. And our immune system is. Don’t be afraid of the virus but be afraid of the vaccination. The bioterrorism is the vaccination and not the virus.

Dr Peter McCullough : Yeah, I agree with you that the natural immunity will be able to handle the variants as far as I can see. I’m not predicting another wave. In fact in my last TV appearance I told America « Listen, there’s not going to be another wave. » And so when I come down, when I talk to America I’m very positive, I give a very joyous message, I calm down the country and by doing that Fauci and the other people can’t stand it because they want to promote fear, they want to promote suffering and they want to promote this vaccine – and so that’s their message. And so we’re just the opposite and we agree with you. Now what could be happening is let’s say there’s an adversary, let’s just say it’s China. They could be dealing at a very high level, say « Listen we do have, you know, C-21. We have a more virulent virus and we want, you know, favorable trade status or we want other things » because they’ll say « Listen we showed you what can happen with, you know, the first round we have some (? ») so there may be a threat.

But I agree with you in terms of the natural infection. It will move around, I think it’s going to hit Southeast Asia. It’s going to hit some more vulnerable populations. But if we can simply respond with treatment in every case, Mexico City, countries in South America, United States and now India, every single case, we crush the curves with early treatment if we just treat the high risk patients. By treating patients with multi-drug treatment we reduce the duration of symptoms, we reduce the spread dramatically and we reduce hospitalization and death. This is very, very important, the only thing that can do that. Vaccination will not do that. Vaccination, because the people getting the vaccine have less than a one percent chance of ever coming in contact with the virus and then when they do they have a, you know, way less than one percent chance of even getting the virus. It’s impossible for the vaccine to have an impact on the epidemic curve and that’s another message we’re getting out to the public. Because the people promoting the vaccine are going to claim victory, that all things worked out in our favor and Brown in Canada and others have done great analyses. It’s mathematically impossible for the vaccine to have any impact. The CDC in the United States has recorded 10,000 breakthrough cases, bona fide breakthrough cases where the vaccine failed. And we don’t know the denominator but we know it’s very labor intensive and our read on their action is they were overwhelmed with the number of breakthrough cases, overwhelmed, they gave up. At the end of may they gave up, they said « We’re not gonna track anymore breakthrough cases. »

Wolfgang Wodarg : We know that when the clinical studies were finished, the absolute risk reduction is about around one percent. And the others, they were already immune so this is ridiculous. The fact of the matter of the of the vaccination, to protect people, is ridiculous.

Dr Peter McCullough : It’s completely ridiculous. We have data from Cleveland Clinic, that just published that 50 percent of people who are already immune, naturally immune, they’re still getting the vaccine because they were told by the government to get the vaccine. We have data from three studies, two in the UK and one in the United States showing of all those who get the vaccine about 30 percent are already immune (?). So you can see how the vaccine is contrived, this whole thing is contrived. It should be very obvious that now the CDC has changed the cycle threshold down to lower so they’re gonna make fewer cases. So it’s gonna look like things like the vaccine saved it. So maybe the thing about this bioterrorism injection is, why did they make it so toxic? Right now when so many people are dying, why didn’t they make it more acceptable? Because I think, the real payload of the bioterrorism is going to be on the boosters.

Reiner Fuellmich : That’s what we begin to fear too. Let me explain why Wolfgang said this, because the other day I had an interview with Steve Bannon and he heard me out. He didn’t quite agree because it seems that was news to him. But this is what really happened and we know this from talking to two former WHO employees. There was an accident at the Wuhan Institute of Virology and the Chinese were really worried about it and that’s why they ordered the person who runs that lab to come back immediately. And even while she was still on the train they took down their website so as to cover their tracks. So they were really worried. But within 2 or 3 weeks they realize well nothing much had happened. However the other side as we call them took this as a springboard or as a triggering incident to put that agenda into motion which they had been planning for for at least 10 years. They’ve been planning for longer, but for 10 years we can see, there are concrete plans that they’ve been making and the final – I guess you could call it a dry run – was Event 201 which is really Event 21 because the (?) is the Earth in October of 2019. So that’s when they decided, we’re going to take this opportunity and that’s when they told Drosten and that’s why we were at this hearing this morning, at the inquiry. That’s when they told Drosten, « Start your all work on your PCR test. » He started his work on New Year’s Eve, we believe. And a couple weeks later on the 22 and 23 January, there was an enormous push, probably by the pharmaceutical industry, on the WHO to finally declare the public health emergency of international concern because that’s what you need in order to get the emergency use authorization in the United States for these vaccines, which were completely untested, or the conditional use authorization here in Europe. But they couldn’t agree on anything because there were no cases. But they did agree on one thing, they’re going to have another second emergency meeting two weeks later in early February. And that’s when they declared the public health emergency of international concern. Why? Because they had been using the Drosten test, because he had made this test this PCR test available to them and they pushed it as the gold standard for the entire world as the gold standard for detecting infections. As we all know in the meantime you cannot detect infections with the PCR test and as we also know because of the people who… One of the experts is Dr Mike Yeadon, who I know you’re in touch with, and he told us, if you go up to 35 cycles of amplification you end up with at least 97 percent false positives. This guy had his cycles of amplification up to 45 so guess what? This is all false positives. That’s why Wolfgang was saying, it is not the accident, it is not the dangerous virus that escaped from the from the lab. It’s the vaccinations that we have to be worried about and it’s probably correct. I mean, I can’t be the judge of this because I’m not a medical doctor but it’s probably correct that we really have to be afraid of the boosters.

Dr Peter McCullough : We’ve learned a lot you know you probably have reviewed that autopsy case from Germany just a few days ago that came out. We’ve learned that – I’m sure you know all this but – we were told by the Salk Institute and by the manufacturers that the lipid nanoparticles and the messenger RNA stay in the arm, they don’t. They’re distributed elsewhere. Our radiologists know that the breast becomes incredibly inflamed a woman, so much that they can’t read a mammogram – they’ve actually changed their mammography criteria, at least in my hospital, I don’t know elsewhere – and that the autopsy showed that in fact there’s a tremendous distribution of… We’ve reviewed it, the spike protein is clearly pathogenic, the gain of function [enables] mutation of four amino acid sequence at the furin cleavage joint. You know, there’s four domains that code for HIV, we were always wondering why the lymphocyte count was down. The email that went to Fauci that says « Hey Tony, how did you get the HIV coded in there? », I mean you can see that this is going on. This was absolutely by design that this is a weapon of bioterrorism. And to inject messenger RNA or adenoviral DNA and cause an uncontrolled production of the spike protein in the human body is a very, very biologically dangerous proposition. We don’t know what controls the heights of the production of the spike protein, the organs in which it is produced, where it circulates to. We know it causes a unique form of thrombosis which is a partly hemo-agglutination because the spike protein catches to sialic acid residues on red blood cells. Normally coagulation, the red blood cells are not involved but here the red blood cells are. We know that, for instance, the Italians have shown that when the oxygen saturation goes down the lungs is to do micro thrombosis. So you can imagine of course giving Chinese Remdesivir to somebody with micro thrombosis is going to do nothing.

And so one person who you may want to talk to – he’s kind of flamboyant but he’s interesting, he’s got influences – Steve Kirsch. Steve Kirsch is a millionaire and Steve Kirsch has offered $2,000,000 publicly to say « Can anybody show that the CDC, FDA or NIH has done one single thing correct in the pandemic response? if you can we’ll pay $2,000,000. » No one has even brought forward, no one’s even written a letter. So you know, it’s a colossal blunder. And of course the news is interested, the news cycle is always promulgated by this. But our goal is to take the message to the public, to remain impeccable and unimpeachable in our scientific integrity, to always present ourselves very professionally and see if we can win public opinion to have a block of people not get the vaccine. And then once that occurs and it becomes clear, I think the other side will be exposed. Why did they want this vaccine? We are seeing safety events like you can’t believe. You saw the portal vein thrombosis, I’ve had that in my patients, myocardial infarctions, myocarditis. I had a woman yesterday in the office, her memory was completely obliterated after the vaccine. It’s so disconcerning. So we’re filling out the safety events and at some point in time the public opinion is going to have to turn.

We have two big populations that are distrustful in the United States, we have African Americans at 12 percent and we have Hispanics at 20 percent, and they’re largely not taking the vaccine. And we’re working with African American churches and making presentations and African Americans say « We know the government was lying to us. »So they know already. So that’s our plan in a nutshell. I think we’re really completely aligned. We do need to win big cases, though. So Anna Garner, all these people, Mike Renz, we’ve got to win. I mean, honestly, you think there’s fear among doctors? There’s fear among attorneys! I am amazed at how many attorneys are so fearful. They can’t even file a letter of intent. We have one attorney, he made a template and he goes « Here, I’ll show you how to file your own letter of intent, you pay your own funding » I said « My God, I’m a doctor, I’m a media person, I’m taking care of patients, a publisher, (?), now have to do my own legal work? » I mean, it’s really amazing the fear that’s overcome people.

Reiner Fuellmich : The thing is, on an international scale I feel we’re only cooperating with 100 attorneys. I mean, 100 attorneys in the entire world. There must be many many more, of course. But we’re making progress because of those cases, the ones that you’re mentioning, and there’s a couple of really big cases that all of us, including our American colleagues are working on. I can’t tell you the details because we don’t want this to be in anyway disturbed. But you’re right, this is the only way to go, by cautiously proceeding in a scientifically correct manner, without foam at the edges of our mouths, so that finally we will win public opinion and then we’ll expose the people who are behind this.

Dr Peter McCullough : Right. Let me tell you where I think there’s some distractions and we’re wasting our time. And that’s on wearing masks. So for instance, I mean, they would love us to be arguing about masks while they continue to give injections, right? So I try not to make masks the signature issue. Another area is this extreme view that the disease doesn’t occur, like Dolores Cahill. I think that’s a bit of a waste of time because we have enough information from sequencing, we can see this in the (?) capsid, we know it’s physically there in some cases. We know it’s grossly overstated because of everything you mentioned and we know there’s a big cover up. At my hospital health system, for instance, they have now, the Covid cases are considered break-the-glass, meaning they get admitted to closed units, we can’t even see what’s going on with them. So if they’re not open to peer review, we’re not having open peer review so we really have due process break down even within health care. But what we wanna do is, we need help, you know, we need help from psychiatrists. There is a trance, there are doctors that are telling their patients to take the vaccine, the patients are taking the vaccine and dying of thrombosis. And the doctors are, you know, not doing anything, injecting pregnant women with experimental messenger RNA. I mean, this is like a horror, this is something that would never occur in good clinical practice where doctors are saying that they won’t see patients in the waiting room unless you get the vaccine. I think a big target is, and this is my responsibilities, we have to win the doctors. Doctors are a big problem here.

Reiner Fuellmich : And we need you, right, as this is what I said right from the start. This is a huge psychological operation. We need to talk to the psychiatrists and the psychologists. And they’re using as their major weapon, they’re using the mainstream media in order to indoctrinate people with this panic package which they invented over many years. Sick people on the other side, definitely very sick…

Dr Peter McCullough : You see this Chinese professor from Emory, she gets on CNN. And they’ve gone further, they’ve linked the vaccine to freedoms. And this has occurred in Europe by now, they said « Listen, people need to understand they need to get the vaccine to get their freedom back. » It was « Wow! »

Wolfgang Wodarg : We know this from the mafia, you know. It’s just what the membership does, it’s a very, very old method. If you let us protect you, you have to pay a little for this, everything is okay. If we are not allowed to protect you, you will see what happens.

Dr Peter McCullough : What we’re trying to do is, most of this is actually just sheer intimidation. So an example is, we have, I don’t know, several universities now in the United States declaring that they’re gonna demand the vaccine. Interestingly they demand the vaccine for the students but not for the professors. You know, the CDC and NIH and FDA, they’re not taking the vaccine themselves, which is quite interesting. In every circumstance that I’m aware of, they have not written a policy. So for hospitals they must have a policy and it must be certified and be in the policy library because hospitals in United States are accredited by the joint commission for hospital accreditation. So there have been no signed policies because they know they can’t write a policy mandating an investigational vaccine. You can have a policy, you know, forcing people into research. So if an institution or hospital or university demands a vaccine without a policy, by definition that’s harassment or intimidation. And so we now have parents filing letters of intent identifying harassment and they filing it with compliance officers, ombudsman’s office, filing with offices that by their charter must take some internal action. So we’re making these institutions do an incredible amount of administrative work. We’re punishing them for doing this. The Los Angeles school district backed off, Louisiana State University backed off, we’ve had a Texas win at the state and private employer level. So we have to continue this effort and then hopefully the mass psychology [inaudible] or psychological training but when I go on, there’s no proper preparation, I’m just doing the best I can. But I’m a doctor, I’m not a media person.

I just want to say one thing before I forget. Dr Bakhti, Dr Yeadon, Dr Vandenbosche and even Dr Bridle. Here’s the problem : too long. When they do a video an hour and a half, they are completely ineffective in giving a message, completely ineffective. They need to tailor their message down to one minute or 2 minutes. People refer these videos and they’re dead on arrival. And not only that but they’re not credible, they don’t look credible. So Bakhti, Laura Ingraham had him one time and Bakhti was sitting there, he goes « If we vaccinate the world, we are doomed » like this, and she goes « Okay, thank you doctor » and they just shut him down. You can’t do that. He has to understand, these people have to understand the media is very important. Maybe tonight with Laura Ingraham I’ll have 1.5 minutes. It’s gotta be impeccable, the look has to be impeccable and the message has to be short. It’s an art to doing this and we need help. You know, Britle, he shut down – I think somebody threatened him or threaten his child and he shut down. There’s threats. I want to mention that we’re paying attention to who’s attacking us. When I testified in the Texas Senate I was attacked by a French reporter. French! Why are the French watching Texas Senate? So recently I was very heavily attacked in the media by a Singapore woman and we traced her directly to the Gates Foundation.

Reiner Fuellmich : That explains the whole story. So we know who’s going to be exposed ultimately. Very good, very good. That is the thing. We can’t just sit here, we have to fight back. That’s the only way to do it.

Peter McCullough : And strong. So what I’m doing is, I’m actually taking the moral authority and I’m challenging who here has a greater amount. I said in a single person, I’ve seen and examined more patients, I’ve treated more patients, I’ve published more on Covid-19, I have the best academic record, I’ve had the illness myself, my father has had it, I’ve had a death in my family due to the illness. Who, in one single person in the world, can say that? So I am taking the moral and clinical and ethical and human authority and challenging anybody to to come after me. Because the only way to get the other side to back down is to be supremely confident and strong. Supremely confident and strong. I don’t like what Britle is doing right now, he’s backing off, something happened and then he’s backing off. Other people, you know, going to fear and hiding, we have to be very, very strong.

Reiner Fuellmich : Are you born in Texas?

Peter McCullough : No I was born in Buffalo, New York.

Reiner Fuellmich : Because you sound like a Texan.

Peter McCullough : I grew up here as a kid okay but I’m willing to wear my cowboy boots when I go on the stand.

Reiner Fuellmich : I used to do that when I went to court in Seattle.

Peter McCullough : Yes, yes I’ve trained in Seattle. But this is very important. Something obviously is going on very wrong in the world and if we sit by and do nothing… You know, obviously a lot of people have died, a lot of people are being tortured. I am very afraid, based on what we’re learning just by the first injections, that they interact with p53 and BRCA, that they could ultimately lead to cancers. They can lead to cancers. The Japanese have already shown that the lipid particles concentrate in the ovaries. Could they be sterilizing? If you said this is all a Gates Foundation program to reduce the population, it’s fitting pretty well with that hypothesis, right? The first wave was to kill the old people by the respiratory infection, the second wave is to take the survivors and target the young people and sterilize them. If you notice the messaging in the countries, in the United States, they’re not even interested in old people now. They want the kids. They want the kids, kids, kids, kids, kids. There’s such a focus on the kids.

Reiner Fuellmich : And that’s who we have to protect. Thats a whole new can of worms we’re gonna have to open but we’re gonna have to deal with this, you’re right.

Peter McCullough : So I’m gonna come out strong tonight about, you know, the kids shouldn’t be touched with a needle. We’re at 100 cases of heart injury in these kids, some of them it’s really pretty significant it’s gonna lead to heart failure and we need to scare parents so hard. You know, in the United States, in one state they’ve already put the groundwork that the kids aged 12 can accept the vaccine on their own, without family consent. That’s never happened in history. In Toronto, the other day they lured the kids out to get ice cream and they held the parents back and they were vaccinating the kids. Really it’s terrible. My wife is Canadian and her mother was forcibly vaccinated. She doesn’t speak English very well and a health care worker came over, there was some type of dispute and before she knew it she was injected. She doesn’t even know what she got. So it’s happening. I predict that it will come to forcible injection, they’re gonna take it this far.

Reiner Fuellmich : We’re gonna stop that. We have to, there’s no choice.

Peter McCullough : But I predict it’s coming. It’s already happened in parts in Indonesia. I guarantee it’s happening in places right now. It’s probably happened in nursing homes and other places.

Reiner Fuellmich : We know it happened in nursing homes.

Peter McCullough : We have to stop it and we have to see what’s behind it. Is it Bill Gates trying to control the population? Is it the Chinese trying to, you know, pressure for bioterrorism? Is it something more malevolent? To me what was masterful is the psychological part of this. How did they pull this off from a mass psychology perspective? How did they do this?

Reiner Fuellmich : That’s why we have to talk to the psychiatrists and to the psychologists. They have the answers.

Peter McCullough : They have the answers. Okay.

Reiner Fuellmich : Well, Dr McCullough this was both an honor and a pleasure. Thank you so much.

Peter McCullough : Thank you. Let’s stay in touch. Thank you.

Reiner Fuellmich : And let’s stay in the saddle, yes

Peter McCullough : All right. Bye bye.

Reiner Fuellmich : Have a great day.

Science-fiction, première partie.

Nouvelle formule pour fidéliser le lecteur : voici une mini-série sur un sujet brûlant, pleine de bruit et de fureur avec en prime des infos intéressantes, de brefs cours vaguement théoriques, des observations judicieuses et des analyses brillantes – mais toujours pas de photos, sorry. Le meilleur étant pour la fin du dernier chapitre, comme dans tout bon écrit de SF. Patience…

En préambule, pour les nés de la dernière pluie ou ceux qui voudraient se farcir un bilan plutôt bien fait du dossier « crise sanitaire » – et qui aiment les voix féminines synthétiques – il y a ce documentaire à voir. Il est assez long (2h36′) mais il permet de contrecarrer l’effet « mémoire de poisson rouge » inhérent à la communication sur le Net.

Pour les petits et les grands enfants, j’ai récemment écrit ce petit conte, un peu la version innocente de ce que vous allez lire ici prochainement. Exercice difficile mais je pense avoir presque tout dit en peu de mots, sans rien déformer. Inutile de mentir aux enfants, ils nous percent à jour – leur sens logique n’a rien à envier à celui des adultes. Et puis c’est leur avenir qui est en jeu, après tout. Voire leur vie.

Les adultes, par contre, sont beaucoup plus faciles à tromper. Je vais vous expliquer comment.


Préface : nous sommes en pleine science-fiction

« Je sais comment tout ça va finir. J’ai vu ‘I am legend’. » – « Mimi » Dvorak

Je l’ai vu aussi. Ado, je ne lisais quasiment que de la science-fiction. Mon auteur préféré était et reste Robert Sheckley – et bien entendu, dans un autre genre, Chaval.

J’allais aussi voir les films du genre. J’en ai vu beaucoup depuis, notamment « Children of Men », « THX-1138 » et « The Book of Eli » – qui seraient d’ailleurs tout autant dans le sujet que « I am legend ». Souvent remplis d’incohérences – mais c’est sans importance. Vous allez comprendre pourquoi.

On pourrait dire que j’ai trop lu, ou vu, de science-fiction. Que je suis un peu pollué. Que ça a déformé ma vision du monde. C’est pas faux. Et pour cause : c’est fait pour.

Comme je l’ai découvert plus tard, ce n’est pas de la science-fiction.

C’est de la programmation prédictive. Eh oui.


Programmation prédictive

Origines, objectif

La programmation prédictive ne se limite pas du tout au genre SF. Toute la littérature, la télévision et le cinéma populaires sont des outils de ce programme. Vous êtes donc pollués aussi…

Depuis des décennies, ces secteurs fonctionnent entièrement sous contrôle des services secrets. Quand les scripts ne sont pas directement (et généralement mal) écrits dans un bureau à Langley (pour les USA) ou dans une autre officine nationale du Renseignement, ils sont sous-traités à des écrivaillons en quête de célébrité/boulot, que l’on « forme » lors de « séminaires » destinés à leur fournir la matière première du programme, la « crise/urgence climatique » figurant actuellement en tête de classement. C’est normal, elle va devenir très utile dans un proche avenir.

C’est le même réseau de contrôle qui s’est emparé, à coups de subventions en amont et de censure en aval, de la « science ». Depuis quelques mois, on assiste aux effets spectaculaires de cette prise de contrôle sur la médecine, qui n’est pas une science mais un art, simple rappel. Contrôle direct et hermétique sur son réseau « officiel » et à coups de représailles, intimidations, censure et assassinats sur le réseau « parallèle ». Ce contrôle est en place depuis très longtemps et, comme on vient d’en avoir confirmation, il est toujours bien présent et efficace. Historiquement, la pierre angulaire en est l’escroquerie proto-scientifique du darwinisme et son corollaire idéologique, le darwinisme social, colonne vertébrale de la politique de gestion du troupeau, telle que pratiquée aujourd’hui à l’échelle mondiale.

Dans le domaine spécifique de la médecine, comme tout bon complotiste le sait, l’événement fondateur fut la mainmise du secteur bancaire/pétrolier – en gros, de la famille Rockefeller – sur le secteur médical universitaire au début du XXème siécle et la création de Big Pharma qui s’ensuivit. Big Pharma est le bras médical de la finance. C’est une arme du « pouvoir profond ». Son objectif n’est pas le profit mais le contrôle total du peuple. Le contrôle de sa vie et de sa mort.

Comme dans les romans de science-fiction – je veux dire, de programmation prédictive. Ne m’embrouillez pas.

… et principe

La programmation prédictive, c’est quoi, ça fonctionne comment, ça mange quoi et à quoi ça sert? C’est extrêmement simple à comprendre. Faisons parallèle avec un autre domaine d’actualité.

La programmation prédictive obéit exactement au même principe que l’injection d’ARNm, qui est un cheval de Troie immunitaire. C’est donc un cheval de Troie mental.

Le sujet est initialement soumis à un traumatisme artificiel. L’effet visé est de programmer dans le sens voulu sa réponse future à un traumatisme réel. Le système du sujet développe une familiarité avec le premier traumatisme, qui fait que sa réaction au danger réel ne sera pas adéquate : elle sera tronquée/affaiblie/paralysée ou inversée. Le sujet intégre ensuite le second traumatisme comme élément de sa normalité. Son système est suffisamment désarmé pour qu’il devienne lui-même acteur de sa propre perte. Il est subjugué.

Ça a l’air diabolique.

Ça l’est.

C’est de la manipulation mentale et c’est une science – ou un art.

Manipulation mentale

Si on veut saisir la nature de l’emprise que cette opération a réussi à mettre en oeuvre sur une bonne partie des peuples, il faut observer la mécanique des sectes. C’est une mécanique d’éducation inversée, de déresponsibilisation et d’infantilisation, qui s’articule principalement sur quatre pivots : l’ignorance, le besoin d’appartenance à un groupe, le complexe de supériorité et in fine la démence. Ce sont des tables gigognes ou des poupées russes, comme vous préférez : la deuxième s’emboîte sur la première, la troisième sur la deuxième et la quatrième sur la troisième.

Il y a un mécanisme de base – le Syndrome de Stockhholm – que je laisse à Miles Mathis le soin de détailler ici (c’est en anglais). Je vais vous parler de ce que j’ai appris par observation, donc c’est juste ma version, en procédant par exemples, pris dans le cadre de la « crise sanitaire ». Luttons ensemble contre l’ignorance. Taïaut!

1. Ignorance

Le télespectateur moyen – qui, malgré qu’il se double maintenant d’un utilisateur de smartphone, n’a pas multiplié son QI – s’est vu affranchi des lourdes tâches de la connaissance et de la réflexion. Il a oublié qu’il avait un esprit. Grâce à la récente opération terroriste internationale, il a aujourd’hui aussi oublié qu’il avait un corps : son système immunitaire, il croit devoir se le faire injecter.

Revenons un instant sur le mécanisme sectaire. Comment un seul Français peut-il encore envisager de voter (et je pourrais arrêter là la question) pour Emmanuel Macron? Parce que nonobstant son comportement de voyou, il utilise les ficelles des chefs de secte. Par la torture mentale et les informations contradictoires – menaces et soulagement en alternance – il crée un envoûtement. Ses sujets sont subjugués. Ils ont déjà voté pour lui une fois sans rien savoir de son programme et ils ont l’air prêts à recommencer. Que dire de plus? Pauvre France. C’est sur ce substrat de connerie endémique que les pires crapules parviennent à conserver leur place dominante, quel que soit leur palmarès. Le papier précité de Miles Mathis argumente assez bien le truc. Nous verrons dans un chapitre suivant le rôle de ce bon Dr Fauci et de quelques autres « chefs ». Je peux vous assurer que ce sera une lecture surprenante.

Moins loin, je croise des gens ça et là, éventuellement je leur parle (enfin, je leur parlais, j’ai abandonné l’idée) et j’observe leur comportement. Qu’ils soient ignorants, je le savais déjà et ce n’est pas le problème. On ignore quelque chose jusqu’à ce qu’on l’apprenne. Ça m’arrive tout le temps. Ce que je constate c’est qu’ils ne veulent rien apprendre.

L’ignorance est un processus actif.

C’est vrai que savoir quelque chose représente un risque, celui d’agir. Par exemple, lire un blog ou l’autre – ou pire en faire un. Juste pour rappeler que je suis ouvrier à plein temps et que je tiens celui-ci, qui devient progressivement une source de références francophone, sur mon temps libre, sans aucune sorte de rémunération. Y’a pas de quoi.

Dans un monde où tout est source de connaissance, rester ignorant est souvent le travail de toute une vie. Peu importe le prix à payer, je vois la majorité s’y accrocher comme la misère au monde. Dans ce cas précis, que je tente de leur sauver éventuellement la vie n’a pas du tout l’air de les concerner. Ce qui les intéresse, c’est cette question : suis-je leur ami? La réponse étant invariablement « non, sorry » – je préfère les oiseaux – ils se tourneront vers le premier venu qui aura appris à en jouer – tout le monde joue dans cette histoire. Un comédien qui leur garantira leur place dans la secte – woke, communiste, féministe, écologiste, révolutionnaire, nationaliste, patriotique, ou « vacciné » – peu importe le nom de la troupe, ça reste du théâtre.

Ce qui nous amène au point suivant.

2. Appartenance à un groupe

On a vu ce mécanisme à l’oeuvre de manière spectaculaire dans la présente psyop. La menace ultime était la solitude. Vous avez bien dû la voir passer : vous n’acceptez pas l’injection, vous êtes hors du groupe. On vous laissera crever seuls, comme ceux qu’on a renvoyés chez eux lors de la « première vague » avec un cachet de paracétamol ou comme les vieux qu’on a achevés à coup de Rivotril, seuls dans leur chambre de maison de repos – éternel, celui-là.

Les humains sont des êtres sociaux. Ils craignent la solitude. Ils ont raison, elle est dangereuse. On peut donc s’en servir pour les rabattre dans un piège.

Ceux qui se sont rués dans le piège constituent à présent une armée, et ce n’est pas une image. Il y aura conflit. Ils s’y sont enrôlés en se faisant injecter un produit annoncé comme potentiellement mortel – ce qui est à présent confirmé par les chiffres – sans le moindre effet sur le risque de transmission et dont on voit en fait maintenant l’effet exactement inverse, au nom de l’immunité de groupe. Ils ont fait le sacrifice. Protégés par l’illusion de la sécurité du nombre – qui peut être fatale – ils pensent être du bon côté du manche et peuvent donc désormais se sentir légitimes et supérieurs.

3. Complexe de supériorité

Parmi ceux qui ont reçu l’injection, beaucoup se sentent invincibles. Ils méprisent/craignent/vilipendent ceux qui n’ont pas accepté le chantage. Ils réclament leur exclusion sociale. On leur a appris qu’il n’existait qu’une et une seule cause d’inquiétude, un seul risque, un seul enjeu et donc un seul remède et que son acceptation leur donnerait tous les droits et libertés et les affranchirait de tout le reste – y compris leurs simples réflexes d’humanité. Ils ont cru recevoir la bénédiction des mêmes qui annoncent pour bientôt la vie éternelle. Ils se sont cruellement trompés de promesse et surtout de Maître. On a commencé à les « transhumaniser ». C’était un test et ils l’ont loupé. Ils le paieront au prix fort.

Comme l’expliquait magistralement l’irremplaçable Serge de Beketch lors de la psyop de la vache folle – écoutez-le pour le plaisir, pour mesurer l’ampleur de ce qu’on a perdu dans le monde journalistique et pour vous forger un sens de la répétition de l’Histoire – ce ne sont pas des abrutis, « c’est bien plus grave que ça ».

Ces gens sont des déments. Mentalement dangereux.

Pour rappel, ils sont aussi dangereux du point de vue sanitaire.

4. Démence

Comment créer la démence?

La démence est créée par le sujet lui-même pour éviter la souffrance. Cette souffrance n’a pas besoin d’être réelle : sa simple évocation suffit à créer la peur. Pour fabriquer la peur, il y a – encore – la télévision, ses chiffres et son gaslighting (cf. Macron ci-dessus). La peur de la souffrance peut donc être manipulée à loisir, jusqu’à ne laisser place qu’à une échappatoire. Et – et c’est là toute la beauté de la manoeuvre – même si cette échappatoire est mortelle. Ou pire.

Ce n’est pas un paradoxe. Les humains ont bien plus peur de la souffrance que de la mort. C’est une limite naturelle de l’esprit humain : il est incapable de conceptualiser la mort. Il a peur de la mort mais comme il ne sait pas ce que c’est, cette peur est abstraite. A cet égard, les croyants ont un léger avantage : ils ont fait leur paix avec la mort et n’en ont pas peur, raison pour laquelle ils sont une cible prioritaire du pouvoir. Que fait le télespectateur moyen devant l’échappatoire à la souffrance qui lui est proposée/imposée? Il refuse de réfléchir. Il ne se pose pas la question en termes de vie/mort mais en termes de souffrance/non-souffrance, exclusion/intégration, infériorité/supériorité, doctrine/savoir. Et il prend le chemin de résistance minimum. Voilà le genre d’extinction méthodique de la logique qui permet de pousser des centaines de millions de gens à se suicider.

Comme le dit le Dr Palevski, c’est la propagande du génocide. Et c’est du marketing.


Propagande et marketing

Trucs de langage

Un concept essentiel de la manipulation psychologique est que pour que le mensonge fonctionne, c’est vous qui devez vous mentir à vous-même. Et c’est, encore, diabolique.

Pour ce résultat, deux méthodes concomitantes et complémentaires – elles sont souvent mélangées, ce qui fonctionne encore mieux.

La première méthode est de systématiquement changer la définition des mots ou leur emploi. Sans vous en avertir, bien entendu : les choses sont ainsi mal nommées pour vous. Entre la personne qui vous parle et vous s’installe la confusion et donc l’impossibilité d’agir efficacement. Vous avez perdu avant de commencer. Pendant que vous vous égarez à chercher une solution à un problème mal posé peuvent s’élaborer les étapes suivantes.

Un exemple, dont vous avez peut-être entendu parler. Un richissime promoteur immobilier fait l’acquisition d’un complexe d’immeubles commerciaux. La transaction n’est pas rentable car il est tenu de mettre ces bâtiments truffés d’amiante aux normes, ce qui coûterait une fortune. Mais il est au courant. Accord a été passé avec le Renseignement pour la démolition contrôlée desdits bâtiments, opération rentable pour le Renseignement aussi, qui a besoin d’un « événement fondateur » médiatique pour implémenter son programme de contrôle militaire mondial, notamment la restauration dans un pays du Moyen-Orient de champs de pavots dont le marché finance ses blackops. La manipulation mentale étant à l’oeuvre, le terrain est mûr pour le narratif de « l’attentat terroriste ». Le public qui assiste à la démolition contrôlée/pulvérisation d’immeubles à armature métallique (47 piliers) sous l’action d’incendies mineurs (avec ou sans image incrustée d’avions), se convainc lui-même que c’est possible. J’ai même rencontré à l’époque – par hasard – un architecte américain qui trouvait ça normal. Il était même assez furieux : lui était patriote et moi anti-américain – alors que j’aime et connais mieux son pays que lui – ou quelque chose comme ça. On est donc bien en dehors de toute forme de rationalité. Le bypass du cortex cérébral a réussi. Il a suffi de coller le mot « attentat » sur toute l’opération, et le reste suit.

Retour au présent : il a suffi de coller le mot « pandémie » sur une attaque à l’arme biologique, « maladie » sur un ensemble de symptômes liés à cette attaque et « vaccin » sur une arme injectable, et le reste suit.

Catherine-Austin Fitts vous explique ça ici. Le Dr David Martin en fait autant ici. Le Dr Palevski, ici.

Ils sont loin d’être les seuls. Ça commence à vouloir sortir. Le Dr Mc Cullough, une pointure du monde médical étatsunien, pas très complotiste à la base, se met à balancer du lourd (article en cours de traduction). Il vaudrait mieux que lumière se fasse rapidement, maintenant qu’il est un peu tard…

Un exemple plus connu – anecdotique mais intéressant – est que l’OMS a changé la définition de la pandémie (quoique ceci soit contesté ici), et celle de l’immunité collective, ce qui n’est pas contestable.

La deuxième méthode du mensonge est de toujours dire la vérité. Les « complotistes » de tout poil loupent complètement ce mécanisme assez cocasse mais très efficace. Anecdote amusante, ce système est exactement ce dont certains médias accusent les personnes qui font juste le récit personnel de leurs dommages après « vaccin » sur les réseaux sociaux : lying with truth. On leur reproche donc de rapporter des faits et de laisser le lecteur en tirer des conclusions que l’on craint fâcheuses (Comment? Le vaccin serait dangereux?), ce qui est le principe de base du mensonge médiatique permanent – sauf que leurs « faits » à eux sont souvent fictifs. La méthode du « mensonge par la vérité » est plutôt utilisée au plus haut niveau du contrôle – les petits apparatchiks des médias ne sont pas aussi subtils. J’avais fait un petit article amusant sur le décodage du narratif au début de la « crise », un genre de traduction français/français. Ils vous disent la vérité de telle manière que vous fassiez le travail de la comprendre à l’envers : en les privant de leur contexte que vous rajouterez, ou en vous laissant interpréter favorablement ce qui est essentiellement une menace (voir ici). C’est un peu de la paranoïa inversée : vous ne comprenez que si vous l’êtes (parano).

Essayez avec ça :

« Nous sommes en guerre »

« Non-essentiels »

« Vous ne possèderez rien »

« 95% d’efficacité »

« Sûr et efficace »

« Eradiquer le virus »

« Science is truth« 

Alors?

Solution des jeux dans le prochain épisode.

Les incentives

« Ils iront en cadence, crever pour quelques francs. » – Boris Vian

Si j’ai bien suivi, la liste des incentives serait : vous pourrez partir en vacances, aller au restaurant, voir vos amis, assister à des événements publics (concerts, rencontres sportives, mariages, enterrements, partouzes, etc.). Je ne vais pas encore me fatiguer, la liste a été établie et je l’ai reprise mot pour mot ici, article déja cité plus haut.

J’ai aussi ici une courte liste des incentives mis en oeuvre aux Etats-Unis. Nous avons (entre autres), selon les Etats : un beignet, une bière, une frite gratuite (à l’achat d’un hamburger), et la chance de participer à des tombolas pour gagner une voiture ou à une loterie dotée de plusieurs prix d’un million de dollars ici, ici et ici. J’invente pas.

Pour ce qui est des « communautés », toute référence à la « science » est désormais abandonnée. Le mot d’ordre est de passer par des personnalités influentes dont le discours pourra convaincre leur public. Un des groupes-cibles annoncés de cette campagne est la « communauté noire », qui souffre de vaccine hesitancy. Ce qu’on peut aisément comprendre : tandis que les effets « secondaires » des vaccins – les vaccins classiques, principalement le MMR – sont de provoquer l’autisme chez seulement un enfant sur 36 aux Etats-Unis, l’incidence dans la communauté noire est de un enfant sur 14. Donc ils « hésitent ». Il va donc falloir communiquer.

C’est le genre de plan qui doit bien amuser les contrôleurs. Ça rentre dans le cadre de leur biais de confirmation : si on peut convaincre ces connards aussi facilement, ils méritaient bien de crever.

Encore ce bon vieux darwinisme social à l’oeuvre. Ce truc sert à tout.

Résultat

Le résultat c’est que ça fonctionne. J’entends la justification majeure des zombies qui courent demander l’injection.

C’est pour pouvoir se réunir.

C’est pour pouvoir partir en vacances.

Ce sont les mêmes dont le seul objectif professionnel est le vendredi. Voilà des gens bien drillés à la frustration. Des vacances, ils prennent le risque d’en avoir de très longues. Et d’être réunis très longtemps.

Mais je comprends. Je vois leur tête à tous, le matin, leur regard éteint, leur grimace de victime de la vie, entre deux séances d’alcoolisme quotidien, leur femme qui les fait chier, leurs enfants qui les emmerdent, la télé qui les insulte et le boulot dont ils n’ont rien à foutre. Ça fait longtemps qu’ils attendent qu’on vienne les sauver de l’existence. N’importe qui, n’importe comment.

C’est fait.

ARN MACHT FREI.

A suivre…

Un conte pour les enfants.

Sérieusement, ne le racontez pas aux enfants. Par contre, vous pouvez partager avec les grandes personnes.


Un conte pour les enfants

Il y a longtemps vivait un homme qui aimait faire le mal.

Il aimait faire mourir les animaux. Il les faisait mourir en leur faisant trés mal. Il aimait voir dans leurs yeux comment ils avaient peur et il aimait entendre dans leurs cris comment ils souffraient. Comme c’était lui qui décidait quand les animaux mouraient, il se disait qu’il avait beaucoup de « pouvoir ».

Mais il n’en avait pas assez. Il voulait aussi avoir du « pouvoir » sur les gens.

Un jour, il eut une idée.

Comme il savait comment faire mourir les animaux, il savait aussi comment faire mourir les gens, parce que les gens c’est comme les animaux. Il avait inventé un poison. Il fallait mettre le poison dans leur corps mais pour ça il fallait que les gens soient d’accord. Alors il leur expliqua que les animaux donnaient la « maladie » et qu’il avait regardé dans le corps des animaux qu’il faisait mourir et qu’il savait comment empêcher les gens de mourir de la « maladie ».

Et les gens pensèrent que c’était un homme bon, parce qu’ils ne voulaient pas mourir et que faire mourir les animaux, ce n’était pas très grave. Et les gens pensèrent qu’il était aussi très intelligent, parce que quand il faisait mourir les animaux, il mettait une blouse blanche et que quelqu’un qui porte une blouse blanche ne ferait pas mourir les animaux sans raison. Il se dirent qu’il savait quelque chose qu’ils ne savaient pas. Ils se dirent qu’il avait beaucoup de « pouvoir » et qu’il était un « héros ».

Alors les gens leur amenèrent leurs enfants pour qu’il leur mette le poison dans le corps, en pensant que ça les empêcherait de mourir. Et quand les enfants mouraient quand même ou qu’ils étaient très malades ou qu’ils souffraient tellement qu’ils ne savaient plus être comme les autres enfants, ils se dirent que ce n’était pas la faute du poison.

Et après lui, les hommes qui voulaient aussi beaucoup de « pouvoir » se dirent que c’est ce qu’il fallait faire. Et eux aussi firent mourir les animaux mais il prirent aussi les bébés dans le ventre des mamans qui ne les voulaient pas, et ils coupaient leur coeur avec un couteau. Il disaient que c’était pour la « recherche » et que la « recherche » empêcherait les gens de mourir.

Et les gens disaient que ce n’était pas trés grave de faire mourir les bébés, parce que eux ne voulaient pas mourir.


Il y avait aussi un homme qui avait beaucoup d’argent qu’il avait volé aux gens. Lui aussi pensait qu’il avait beaucoup de « pouvoir ». Il se disait que les gens c’est comme les animaux et qu’on peut leur faire tout ce qu’on veut.

Et après lui, les hommes qui voulaient beaucoup de « pouvoir » se disaient que c’est ce qu’il fallait faire.

Un jour, l’homme qui faisait mourir les animaux alla voir l’homme qui volait l’argent aux gens et lui demanda de lui donner de l’argent pour sa « recherche ». L’homme lui donna l’argent qu’il demandait mais il lui dit qu’il devrait désormais travailler pour lui.

Et un jour l’homme qui avait beaucoup d’argent vint trouver l’homme en blouse blanche. Il lui expliqua qu’il voulait garder pour lui l’argent qu’il avait volé mais que les gens risquaient de lui demander qu’il leur rende. Il lui dit qu’avant, quand les gens voulaient garder leur argent, il les faisait mourir en les faisant travailler beaucoup et quand ils ne mouraient pas assez, il les envoyait à la « guerre » pour mourir et faire mourir les gens des autres endroits et aussi pour casser leurs maisons avec des jouets qu’il avait fabriqués et qui cassent les maisons. Et quand les gens étaient morts, il pouvait garder leur argent. Et aussi quand beaucoup de maisons étaient cassées, il fallait les réparer et c’était lui qui les réparait contre de l’argent.

Mais l’homme qui avait beaucoup d’argent était inquiet. Les gens ne mouraient plus beaucoup parce qu’ils n’y avait plus assez de « guerres » et qu’ils ne travaillaient plus assez pour mourir. Alors il demanda à l’homme en blouse blanche qui travaillait pour lui s’il pouvait fabriquer du poison pour faire mourir les gens, avant qu’ils lui demandent de rendre leur argent.

L’homme en blouse blanche lui dit qu’il savait comment faire parce qu’il savait comment faire mourir les animaux et que les gens c’est comme les animaux.


L’homme en blouse blanche avait inventé deux nouveaux poisons. Un trés petit, que les gens ne voyaient pas. Mais comme il ne marchait pas bien, il en avait fabriqué un autre, qui ressemblait à celui d’avant, qu’on mettait dans le corps des gens et qui les ferait mourir plus tard et qui ferait aussi mourir ceux qui étaient tout près. Et aussi, les mamans ne pourraient plus avoir de bébés parce qu’il mourraient dans leur ventre.

Pour que les gens donnent leur argent pour des choses dont ils n’avaient pas besoin et aussi pour qu’ils obéissent à l’homme qui avait beaucoup d’argent et à l’homme en blouse blanche, on avait inventé une lampe magique. C’était une lampe qui parlait et comme elle était magique, ceux qui la regardaient croyaient ce qu’elle disait.

Un jour, la lampe leur dit qu’il y avait une « maladie » à cause des animaux qui vivaient à l’endroit où on fabriquait les jouets pour les grands. La lampe leur dit qu’ils allaient mourir de la « maladie » et les gens avaient très peur. Alors la lampe leur dit qu’ils devaient rester dans leur maison pour ne pas l’attraper, et s’ils ne voulaient pas ils seraient punis, on leur prendrait leur argent et des hommes en costume noir leur taperaient sur la tête avec un bâton.

Comme ils restaient dans leur maison, ils n’allaient plus voir leurs papas et leurs mamans qui étaient vieux et qu’on avait mis dans des maisons spéciales pour les vieux papas et les vieilles mamans qu’on ne voulait plus. Alors comme leurs enfants n’étaient pas là pour les protéger, on mit dans le corps des vieux papas et des vieilles mamans l’autre poison qui les faisait mourir. L’homme qui leur avait volé leur argent était très content, parce qu’il ne devait plus leur rendre et qu’il pouvait le garder pour toujours.

La lampe dit aussi aux gens qu’ils ne pouvaient pas se soigner parce que c’était très dangereux et que ça les ferait mourir. Et la lampe leur montra le « héros », qui avait volé beaucoup d’argent et l’avait donné à l’homme en blouse blanche pour faire mourir beaucoup d’enfants avec du poison et pour que les mamans n’aient pas de bébés à des endroits où il disait qu’il y avait trop de gens. Le « héros » leur dit qu’il fallait attendre dans leur maison que l’homme en blouse blanche fabrique un poison pour mettre dans leur corps pour qu’ils n’aient pas la « maladie » et pour qu’ils ne fassent pas mourir leurs vieux papas et leurs vieilles mamans en allant tout près. Il leur dit qu’ils pourraient sortir de leur maison et avoir leurs jouets de grands seulement quand il auraient eu le poison.

Et quand on leur mit le poison dans le corps, il y eut encore beaucoup de vieux papas et de vieilles mamans qui moururent et de bébés qui moururent dans le ventre de leur maman, et plein d’autres gens aussi. Mais la lampe dit que c’était bien alors les gens continuèrent à demander le poison. Mais il y avait des gens qui ne voulaient pas et qui ne croyaient plus ce que disait la lampe parce qu’ils avaient vu qu’on avait fait mourir les vieux papas et les vieilles mamans, et que les bébés mouraient dans le ventre des mamans, et plein d’autres gens aussi. Mais le poison rentra dans leur corps quand même parce qu’ils étaient tout près des gens à qui on l’avait mis, et il y en eut beaucoup qui moururent et beaucoup de bébés qui moururent dans le ventre de leur maman et beaucoup de mamans qui ne pouvaient plus avoir de bébés.

Et un jour l’homme en blouse blanche vit que tous les gens qui vivaient encore avaient le deuxième poison dans leur corps.

Alors il prit un troisième poison, que personne ne voyait, qu’il avait fabriqué et mis dans un tiroir en attendant.

Et il le mit dans l’air.

Et depuis, les animaux sont bien tranquilles parce qu’il n’y a plus personne pour les faire mourir.

Il faut arrêter la vaccination Covid, déclare une éminente scientifique au CDC.

Source. Pour les anglophones, le site de l’auteur, Jennifer Margulis, est d’une lecture très utile.

Il faut arrêter la vaccination Covid, déclare une éminente scientifique au CDC

Dans un commentaire public adressé au CDC, le Dr Janci Chunn Lindsay, Ph.D., biologiste moléculaire et toxicologue, a appelé à arrêter immédiatement la production et la distribution du vaccin Covid. Invoquant les problèmes de fertilité, de coagulation sanguine (coagulopathie) et la fuite virale, le Dr Lindsay a expliqué au comité les preuves scientifiques montrant que les vaccins contre le coronavirus ne sont pas sûrs.

Le 23 avril 2021, le Comité Consultatif du CDC sur les Pratiques de Vaccination [Advisory Committee on Immunization Practices, ACIP] a tenu une réunion à Atlanta, en Géorgie. Le sujet de cette réunion de l’ACIP était les troubles de la coagulation sanguine suite aux vaccins Covid. Le Dr Janci Chunn Lindsay s’est entretenue avec le CDC pendant la période réservée aux commentaires du public.

La censure sur les réseaux sociaux en particulier et sur Internet en général est implacable. Voici une transcription légèrement révisée et annotée, à l’épreuve de la censure, du commentaire de 3 minutes du Dr Janci Chunn Lindsay.

Vous pouvez écouter son témoignage sur YouTube ici (pour le moment, du moins. YouTube le censurera probablement). [NdT. j’ai fait une copie]

Une biologiste moléculaire et toxicologue appelle à l’arrêt du vaccin Covid

Bonjour, je suis le Dr Janci Chunn Lindsay. Je suis titulaire d’un doctorat en biochimie et biologie moléculaire de l’Université du Texas et j’ai plus de 30 ans d’expérience scientifique, principalement en toxicologie et biologie mécaniste.

Au milieu des années 1990, j’ai participé au développement d’un vaccin contraceptif humain temporaire qui a fini par provoquer la destruction auto-immune involontaire des ovaires et la stérilité dans les modèles de test sur les animaux. Malgré les précautions prises et les analyses séquentielles qui ne le prédisaient pas.

Je suis fermement convaincue que tous les vaccins de thérapie génique doivent être arrêtés immédiatement en raison de problèmes de sécurité sur plusieurs fronts.

Janci Chunn Lindsay: les vaccins Covid pourraient induire des anticorps à réaction croisée contre la syncytine et altérer la fertilité ainsi que l’issue de la grossesse

Premièrement, il y a une raison crédible de penser que les vaccins Covid réagiront de manière croisée avec la syncytine et les protéines reproductrices dans le sperme, les ovules et le placenta, entraînant une altération de la fertilité et une altération des résultats de la reproduction et de la gestation.

Le virologue de renom, le Dr Bill Gallaher, Ph.D., a présenté d’excellents arguments pour expliquer pourquoi on peut s’attendre à une réaction croisée. En raison des similitudes de conformation de la feuille bêta entre les protéines de pointe et la syncytine-1 et la syncytine-2.

Je n’ai pas à ce jour lu une seule étude immunologique qui le réfute. Malgré le fait qu’il ne faudrait littéralement aux fabricants qu’une seule journée pour mener ces études sur la syncytine pour s’en assurer [sitôt qu’ils ont obtenu du sérum d’individus vaccinés]. Cela fait plus d’un an qu’on a affirmé pour la première fois que cela [le corps attaquant ses propres protéines syncytines en raison de la similitude de la structure des protéines de pointe] pourrait se produire.

Les fausses couches signalées au VAERS exigent l’arrêt du vaccin Covid

Nous comptons 100 fausses couches rapportées dans le VAERS au 9 avril. Et il y a [aussi] des rapports de spermatogenèse altérée et de lésions placentaires à la fois dans les modèles animaux naturellement infectés, vaccinés, et ceux déficients en syncytine, qui présentent une pathologie placentaire similaire, impliquant un rôle médié par la syncytine dans ces résultats.

De plus, nous avons entendu parler de plusieurs rapports d’irrégularités des règles chez les personnes vaccinées. [NdT. ET chez les femmes qui côtoient des personnes vaccinées, article ici] Ceux-ci doivent être étudiés.

Nous ne pouvons tout simplement pas injecter ces [vaccins] à nos enfants, qui présentent 0,002% de risque de mortalité par Covid, s’ils sont infectés, pas plus qu’à la population en âge de procréer sans une enquête approfondie sur cette question.

[Si nous le faisons], nous pourrions potentiellement stériliser une génération entière. La spéculation que cela ne se produira pas et quelques rapports anecdotiques de grossesses dans le cadre de l’essai ne sont pas une preuve suffisante que cela n’a pas d’impact à l’échelle de la population.

Le vaccin Covid provoque des troubles sanguins

Deuxièmement, toutes les thérapies géniques [vaccins Covid] provoquent une coagulopathie. [coagulopathie, lorsque le système de coagulation sanguine du corps est altéré.] Cela n’est pas limité à un seul fabricant. Et ce n’est pas limité à un groupe d’âge.

Nous assistons à des décès par coagulopathie chez de jeunes adultes en bonne santé sans comorbidités secondaires.

Il y a eu 795 rapports liés à des troubles de la coagulation sanguine au 9 avril dans le système de notification VAERS, 338 d’entre eux étant dus à une thrombocytopénie.

Il existe des principes mécanistes antérieurs et postérieurs expliquant pourquoi cela se produit. L’infection naturelle est connue pour provoquer une coagulopathie due à la protéine de pointe. Tous les vaccins de thérapie génique programment le corps à fabriquer la protéine de pointe. Zhang et al dans [un article scientifique publié dans le Journal of Hematology & Oncology] en septembre 2020 ont montré que si on infuse des protéines de pointe à des souris qui ont des récepteurs ACE-2 humanisés sur leurs plaquettes sanguines, on obtient également une thrombose disséminée.

La protéine de pointe incubée avec du sang humain in vitro a également provoqué le développement de caillots sanguins résistants à la fibrinolyse. [La fibrinolyse est le processus du corps qui consiste à décomposer les caillots sanguins]. La protéine de pointe provoque des événements thrombocytaires, qui ne peuvent pas être résolus par des moyens naturels. Et tous les vaccins doivent être arrêtés dans l’espoir de pouvoir être reformulés pour se prémunir contre cet effet indésirable.

Troisièmement, il existe des preuves solides de fuite virale –

À ce stade de son témoignage oral, le Dr Janci Chunn Lindsay a été interrompue par une voix d’homme: «Merci pour votre commentaire, votre temps est écoulé.»

J’ai contacté le Dr Janci Chunn Lindsay pour savoir ce qu’elle souhaitait partager avec l’ACIP, en plus de ses préoccupations concernant la fertilité et les troubles de la coagulation sanguine. Elle m’a renvoyé son troisième point, qu’elle a soumis sous forme de témoignage écrit.

Troisièmement, il existe des preuves solides d’une fuite virale et que l’inoculation sous pression pandémique avec ces vaccins qui fuient entraîne la création de plus de mutants mortels qui infectent à la fois un groupe démographique plus jeune et causent plus de décès liés à Covid dans la population que ce qui se serait produit sans intervention. Autrement dit, il est prouvé que les vaccins aggravent la pandémie.

Il est clair que nous assistons à une dépression immunitaire temporelle immédiatement après les inoculations [voir le décompte des décès de World Meter Global Covid après les dates d’inoculation] et il existe des régions immunosuppressives sur les protéines de pointe, ainsi que sur Syn-2, qui pourraient probablement en être la cause, par un mécanisme médié par les lymphocytes T. Si nous n’arrêtons pas cette campagne de vaccination tant que ces problèmes n’ont pas été étudiés, nous pourrions voir un phénomène tel que celui que nous observons chez les poulets atteints de la maladie de Marek. [NdT. je vous rappelle à ce sujet cet article du Dr Brian Hooker que j’ai traduit et publié ici le 23 janvier]

Nous avons maintenant suffisamment de preuves pour voir une corrélation claire avec l’augmentation des décès de Covid et les campagnes de vaccination. Ce n’est pas une coïncidence. C’est un effet indésirable malheureux des vaccins. Nous ne devons absolument pas fermer les yeux et faire comme si de rien n’était [NdT. tiens, comme dans la chanson de Propaganda]. Nous devons arrêter immédiatement toute administration de vaccin Covid, avant de créer une véritable pandémie que nous ne pourrons pas maîtriser.

Une scientifique du MIT également préoccupée par la coagulation sanguine et les problèmes de fertilité

Stephanie Seneff, Ph.D., experte en synthèse de protéines, estime que l’hypothèse du Dr Lindsay est correcte. NdT. un nouvel article ici, la traduction intégrale de son analyse des recherches sur la sécurité des « vaccins »] «Je partage absolument ces préoccupations», m’a écrit le Dr Seneff, chercheur principal au MIT, dans un courriel qui donne à réfléchir.

«Le potentiel de troubles de la coagulation sanguine et le potentiel de stérilisation ne sont qu’une partie de l’histoire. Il existe également d’autres effets potentiels à long terme de ces vaccins, tels que les maladies auto-immunes et la fuite virale, dans lesquelles les vaccins administrés à des personnes immunodéprimées accélèrent le taux de mutation du virus ce qui a pour effet que les anticorps à la fois acquis naturellement et induits par le vaccin ne sont plus efficaces.»

Comme le Dr Lindsay, le Dr Seneff pense qu’il faut immédiatement mettre un terme aux campagnes de vaccination Covid. «Cet essai clinique massif sur la population générale pourrait avoir des effets dévastateurs et irréversibles sur un grand nombre de personnes», explique Seneff.

Malgré ces problèmes de fertilité et de troubles sanguins, le panel du CDC a voté vendredi dernier pour reprendre l’utilisation du vaccin Johnson & Johnson. Ils ont cependant suggéré l’ajout d’une étiquette d’avertissement de la FDA. Leur argument contre l’arrêt de la vaccination Covid? Le CDC estime que les avantages l’emportent sur les risques.

À propos du Dr Janci Chunn Lindsay

Le Dr Janci Chunn Lindsay est le directeur de la toxicologie et de la biologie moléculaire pour les services de soutien en toxicologie, LLC. Elle est titulaire d’un doctorat en biochimie et biologie moléculaire de la Graduate School of Biomedical Sciences de l’Université du Texas, M.D. Anderson Cancer Center-Houston. Le Dr Lindsay possède une vaste expérience dans l’analyse du profil moléculaire des réponses pharmacologiques. Son expertise se concentre sur l’évaluation de la dynamique complexe de la toxicité, comme la pharmacologie des toxiques, la voie d’exposition, le métabolisme de l’hôte et les effets cellulaires subséquents en ce qui concerne la contribution de substances spécifiques à la déficience, aux risques pour la santé et la fertilité et aux maladies humaines.

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Texte original

Halt Covid Vaccine, Prominent Scientist Tells CDC

In a public comment to the CDC, molecular biologist and toxicologist Dr. Janci Chunn Lindsay, Ph.D., called to immediately halt Covid vaccine production and distribution. Citing fertility, blood-clotting concerns (coagulopathy), and immune escape, Dr. Lindsay explained to the committee the scientific evidence showing that the coronavirus vaccines are not safe.

On April 23, 2021, the CDC’s Advisory Committee on Immunization Practices held a meeting in Atlanta, Georgia. The focus of this ACIP meeting was blood clotting disorders following Covid vaccines. Dr. Janci Chunn Lindsay spoke to the CDC during the time set aside for public comment. 

The censorship on social media in particular and the internet in general is relentless. Here is a slightly edited, annotated censorship-proof transcript of Dr. Janci Chunn Lindsay’s 3-minute comment.  

You can listen to her testimony on YouTube here (for now, anyway. YouTube will likely censor it).

Molecular Biologist and Toxicologist Calls to Halt Covid Vaccine

Hi, my name is Dr. Janci Chunn Lindsay. I hold a doctorate in biochemistry and molecular biology from the University of Texas, and have over 30 years of scientific experience, primarily in toxicology and mechanistic biology. 

In the mid-1990s, I aided the development of a temporary human contraceptive vaccine which ended up causing unintended autoimmune ovarian destruction and sterility in animal test models. Despite efforts against this and sequence analyses that did not predict this. 

I strongly feel that all the gene therapy vaccines must be halted immediately due to safety concerns on several fronts.

Janci Chunn Lindsay: Covid vaccines could induce cross-reactive antibodies to syncytin, and impair fertility as well as pregnancy outcomes

First, there is a credible reason to believe that the Covid vaccines will cross-react with the syncytin and reproductive proteins in sperm, ova, and placenta, leading to impaired fertility and impaired reproductive and gestational outcomes. 

Respected virologist Dr. Bill Gallaher, Ph.D., made excellent arguments as to why you would expect cross reaction. Due to beta sheet conformation similarities between spike proteins and syncytin-1 and syncytin-2. 

I have yet to see a single immunological study which disproves this. Despite the fact that it would literally take the manufacturers a single day to do these syncytin studies to ascertain this [once they had serum from vaccinated individuals]. It’s been over a year since the assertions were first made that this [the body attacking its own syncytin proteins due to similarity in spike protein structure] could occur. 

Pregnancy losses reported to VAERS lead to demand to halt Covid vaccine

We have seen 100 pregnancy losses reported in VAERS as of April 9th. And there have [also] been reports of impaired spermatogenesis and placental findings from both the natural infection, vaccinated, and syncytin knockout animal models that have similar placental pathology, implicating a syncytin-mediated role in these outcomes. 

Additionally, we have heard of multiple reports of menses irregularities in those vaccinated. These must be investigated. 

We simply cannot put these [vaccines] in our children who are at .002% risk for Covid mortality, if infected, or any more of the child-bearing age population without thoroughly investigating this matter.

[If we do], we could potentially sterilize an entire generation. Speculation that this will not occur and a few anecdotal reports of pregnancies within the trial are not sufficient proof that this is not impacting on a population-wide scale. 

Covid vaccine causes blood disorders

Secondly, all of the gene therapies [Covid vaccines] are causing coagulopathy. [Coagulopathy when the body’s blood clotting system is impaired.] This is not isolated to one manufacturer. And this is not isolated to one age group. 

As we are seeing coagulopathy deaths in healthy young adults with no secondary comorbidities. 

There have been 795 reports related to blood clotting disorders as of April 9th in the VAERS reporting system, 338 of these being due to thrombocytopenia.

There are forward and backward mechanistic principles for why this is happening. The natural infection is known to cause coagulopathy due to the spike protein. All gene therapy vaccines direct the body to make the spike protein. Zhang et al in [a scientific paper published in the Journal of Hematology & Oncology] in September 2020 showed that if you infuse spike protein into mice that have humanized ACE-2 receptors on blood platelets that you also get disseminated thrombosis. 

Spike protein incubated with human blood in vitro also caused blood clot development which was resistant to fibrinolysis. [Fibrinolysis is the body’s process of breaking down blood clots]. The spike protein is causing thrombocytic events, which cannot be resolved through natural means. And all vaccines must be halted in the hope that they can be reformulated to guard against this adverse effect. 

Third, there is strong evidence for immune escape—

At this point in her oral testimony, Dr. Janci Chunn Lindsay was interrupted by a man’s voice: “Thank you for your comment, your time has expired.”

I reached out to Dr. Janci Chunn Lindsay to find out what else she had wanted to share with ACIP, in addition to her concerns over fertility and blood-clotting disorders. She sent me back her third point, which she submitted as written testimony.

Third, there is strong evidence for immune escape, and that inoculation under pandemic pressure with these leaky vaccines is driving the creation of more lethal mutants that are both newly infecting a younger age demographic, and causing more Covid-related deaths across the population than would have occurred without intervention. That is, there is evidence that the vaccines are making the pandemic worse.

It is clear that we are seeing a temporal immune depression immediately following the inoculations [see World Meter Global Covid deaths counts following inoculation dates] and there are immunosuppressive regions on spike proteins, as well as Syn-2, that could be likely causing this, through a T-cell mediated mechanism. If we do not stop this vaccine campaign until these issues can be investigated, we may see a phenomenon such as we see in chickens with Marek’s disease.

We have enough evidence now to see a clear correlation with increased Covid deaths and the vaccine campaigns. This is not a coincidence. It is an unfortunate unintended effect of the vaccines. We simply must not turn a blind eye and pretend this is not occurring. We must halt all Covid vaccine administration immediately, before we create a true pandemic that we cannot reign in.

MIT scientist also concerned about blood-clotting, fertility issues

Stephanie Seneff, Ph.D., an expert in protein synthesis, believes that Dr. Lindsay’s hypothesis is correct. “I absolutely share these concerns,” Dr. Seneff, who is a senior research scientist at MIT, wrote to me in a sobering email. 

“The potential for blood clotting disorders and the potential for sterilization are only part of the story. There are other potential long-term effects of these vaccines as well, such as autoimmune disease and immune escape, whereby the vaccines administered to immune-compromised people accelerate the mutation rate of the virus so as to render both naturally acquired and vaccine-induced antibodies no longer effective.”

Like Dr. Lindsay, Dr. Seneff believes we need to immediately halt Covid vaccine campaigns. “This massive clinical trial on the general population could have devastating and irreversible effects on a huge number of people,” Seneff explains.

Despite these fertility and blood disorder concerns, the CDC panel voted last Friday to resume the use of the Johnson and Johnson vaccine. They did, however, suggest an FDA warning label be added. Their argument against halting Covid vaccination? The CDC believes the benefits outweigh the risks.

About Dr. Janci Chunn Lindsay

Dr. Janci Chunn Lindsay is the Director of Toxicology and Molecular Biology for Toxicology Support Services, LLC. She holds a doctorate in Biochemistry and Molecular Biology from the University of Texas Graduate School of Biomedical Sciences, M.D. Anderson Cancer Center-Houston. Dr. Lindsay has extensive experience in analyzing the molecular profile of pharmacologic responses. Her expertise centers on evaluating the complex dynamics of toxicity, such as toxicant pharmacology, exposure route, host metabolism, and subsequent cellular effects as they relate to the contribution of specific substances to impairment, health and fertility risk, and human disease.

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Guerre à une farce – par le Dr Wolfgang Wodarg.

Le Dr Wolfgang Wodarg donne son avis sur l’imbroglio criminel d’incompétence, d’ignorance, de paranoïa, d’opportunisme, d’auto-complaisance, de techniques de marketing et de mauvaise foi crasse qui, bien touillés dans le crâne d’un public éberlué et balotté par tout et son contraire, constituent les ingrédients de base de la « crise » Covid.

Ne lui parlez toutefois pas de laboratoire P4 ni de gain de fonction, pour lui le virus est d’origine naturelle. Etonnant… Assez curieusement, il explique dans un autre article qu’en raison d’une déficience enzymatique (déficience du glucose-6-dehydrogenase, ou « déficience G6PD ») chez certaines personnes d’origine africaine – dans les zones ou sévit la malaria – il est farouchement opposé à l’utilisation d’hydroxychloroquine et d’azythromycine chez tout le monde. Trèèèèès étonnant…

Addendum – pas totalement indispensable mais toutefois utile : j’ai eu trois personnes proches qui ont chopé cette saloperie. Cette maladie n’a rien eu d’une farce pour eux. Tant mieux pour ceux qui n’ont eu que des symptômes bénins mais ce n’est pas ce que j’ai vu. Ce serait bien qu’on cesse de minimiser. C’est bien une arme biologique, merci, et il lui arrive de faire du dégât, même s’ils sont négligeables par rapport à celle de la phase deux – les injections. Et merci mon Dieu pour l’azythromycine et le zinc, qui ont fait la différence.

Source.


Traduction

Guerre à une farce

L’industrie pharmaceutique et ses virologues tentent actuellement, pour des raisons transparentes, de définir le pathogène SARS-CoV2 comme une entité hostile stable. Pour la « guerre contre le virus », le danger est nécessaire, et il est représenté par une balle à pointes. Un «monde sans corona» est l’objectif déclaré de l’obsédé des vaccins Bill Gates et de ses amis politiques. Aussi, en ce qui concerne une éventuelle vaccination, essaient-ils de nous donner l’illusion d’un ennemi clairement définissable dans le monde des virus. Après tout, c’est la condition sine qua non du marché des tests et de l’application gouvernementale d’une politique mondiale de vaccination sans risque à la clé pour les fabricants de vaccins. Aujourd’hui, le 5 avril 2020, a lieu une conférence en ligne de donateurs sur la « Création d’un monde sans corona » (ARD-Tagesschau) et la chancelière Merkel promet d’y dépenser des milliards de nos impôts. D’un point de vue scientifique, tous ces efforts sont – pour le dire gentiment – des aberrations dangereuses. Je ne parle même pas des profiteurs de cette folie.

La vie n’est ni triviale ni calculable

Il est absolument certain que le virus du SARS est également en constante et rapide évolution. Et à quoi sert une vaccination contre quelque chose qui a depuis longtemps changé de façon impossible à calculer? Notre système immunitaire réagit également de manière imprévisible. Immunités croisées? Mémoire immunitaire? La spécificité et l’importance des tests s’estompent rapidement. Il en va de même pour l’effet d’un vaccin.

C’est pourquoi la notion de preuve d’immunité est une farce, et si elle devient loi, un injustifiable danger pour la santé. Pour la même raison, les vaccinations de masse contre les virus respiratoires sont un non-sens risqué qui peuvent provoquer des dommages corporels. Avec des agents pathogènes à évolution rapide, comme dans le cas de la vaccination contre la grippe, la réussite n’est qu’une question de chance. Ce n’est qu’après coup que l’on pourra déterminer si les personnes vaccinées étaient mieux loties que les non-vaccinées. Cela reste un bon compromis, car une évaluation préalable des avantages fondée sur des données probantes ne sera bien entendu jamais possible. Jusqu’à présent, d’autres virus ont prospéré et se sont répandus là où un type de virus a rencontré des difficultés du fait de la vaccination.

Les virus de Wuhan ont disparu depuis longtemps

Tout dépend du taux de mutation extrêmement élevé des virus à ARN, qui comprend le SARS-CoV2. Ce taux est démontré de manière impressionnante par le site Web CoV-Glue, « Analyse des acides aminés pour la pandémie de SARS-CoV-2« , qui montre que pour le SARS-CoV2, le taux de mutation est très élevé sur une très courte période d’environ 4 mois.

· 7.237 mutations non-synonymes, c’est-à-dire modifiant les acides aminés (remplacements),

· 6 insertions (insertion de bases supplémentaires) et

· 87 délétions (perte de bases dans la séquence génique) dans les séquences génétiques trouvées.

C’est, pour un génome qui ne comprend lui-même qu’environ 30.000 bases, un nombre énorme de mutations, d’insertions et de délétions en très peu de temps. Et ce ne sont que les données des quelques milliers de virus SARS-CoV2 qui ont été séquencés. La nature en connaît bien d’autres. Les mutations non-synonymes provoquent l’insertion d’autres acides aminés dans les protéines du virus. Ceux-ci modifient ainsi les propriétés chimiques de ces protéines. Ces mutations s’accumulent en quelques semaines (!), comme le montrent les données. Les insertions et les suppressions sont d’une importance particulière, car elles peuvent conduire à un décalage de trame, où toute la chaîne suivante est lue différemment. Il existe également des mutations synonymes qui, bien qu’elles ne modifient pas la structure primaire des protéines du SARS-CoV2, peuvent quand même jouer un rôle dans le diagnostic. En outre, il reste encore de nombreuses questions ouvertes sur les effets supplémentaires des mutations synonymes. Des doutes sur le test PCR, existaient depuis le début: Li et al, « Problèmes de stabilité du test RT-PCR du SRAS-CoV-2 pour les patients hospitalisés cliniquement diagnostiqués avec COVID-19 », J Med Virol. 26 mars 2020 doi: 10.1002 / jmv.25786,

Instantanés d’une histoire sans fin

Un autre point important est que les virus SARS-CoV2 séquencés jusqu’à présent ne présentent qu’une très petite partie de ce qui circule dans la nature. En ce qui concerne le génome total de tous les virus corona chez tous les humains, cette partie est de peu d’importance. Il faut également se rappeler qu’il n’y a pas seulement le SARS-CoV2, mais aussi d’autres coronavirus humains – et qu’ils mutent également. Sinon, on ne se serait pas retrouvés avec le virus SARS-CoV2. Les analyses informatiques, par ex. de l’arbre généalogique du SARS-CoV2 (analyse phylogénétique), sont très problématiques parce qu’elles ne se basent que sur cette très petite section des virus présents dans la nature tels qu’ils existent aujourd’hui. Depuis 15 ans, les virus corona n’ont guère été pris en compte, ni chez l’homme ni chez l’animal. La grande majorité des séquences de gènes de coronavirus dans les bases de données proviennent des 4 derniers mois ou ont 15 ans d’âge. La critique à ce sujet n’est pas nouvelle, en particulier la distribution géographique très inhomogène des séquences de gènes trouvées, voir Mavian et al, « Rétablir la perspective sur le traçage moléculaire du SRAS-CoV-2 et ses implications« , medrxiv, 20.3.2020 : « Cependant, dans un nouvel arbre déduit une semaine plus tard, lorsque plus de 135 nouvelles séquences génomiques complètes ont été mises à disposition sur GISAID (Figure S2), le lien direct entre l’Allemagne et l’Italie a disparu en raison du regroupement supplémentaire des précédents séquences non échantillonnées du Portugal, du Brésil, du Pays de Galles et des Pays-Bas (figure 2b) ».

Zoonose? L’homme aussi est un « zoon »!

Certaines publications indiquent que les haplotypes (c’est-à-dire les modèles génétiques) du SARS-CoV2 ont à nouveau déjà disparu, c’est-à-dire qu’ils ne sont plus trouvés dans les séquences de bases nouvellement séquencées. Le SARS (1) a à nouveau lui aussi disparu depuis longtemps. Quel sens a alors une distance génétique entre deux séquences de gènes?

Mais la virologie fait ce qu’elle fait depuis 30 ans. Elle trouve une séquence de gène viral qu’elle ne connaissait pas encore et déclare le virus nouvellement découvert un virus mortel. Pour que cela fonctionne, elle a besoin de l’hypothèse de la zoonose.

Sans ça, ça ne marche pas. Car ce n’est que grâce à cette hypothèse qu’un agent pathogène a été nouvellement transféré d’un hôte animal à l’homme à Wuhan sur le marché aux poissons à la fin de 2019, qu’on peut faire l’hypothèse générale que l’agent pathogène a une pathogénicité accrue (= un potentiel accru de causer une maladie). L’agent pathogène est nouveau pour l’homme, c’est pourquoi l’homme, contrairement aux hôtes d’origine, n’a pas eu la possibilité de s’adapter au nouvel agent pathogène.

Cette approche fonctionne très bien car il est toujours supposé que les patients sont gravement malades, alors qu’ils souffrent généralement de plusieurs maladies (multimorbides), tandis que les personnes sans symptômes ou avec des symptômes faibles ne sont pas testées. Et immédiatement, on obtient la preuve apparente que les tests positifs et la mort vont de pair.

Pour preuve, Drosten, Wieler & Co. présentent deux séquences de gènes, l’une d’un virus corona animal et l’autre d’un virus corona humain, et en soulignent la grande distance génétique. Cette affirmation peut être faite trés facilement car il n’existe aucune donnée pour quoi que ce soit entre les deux. Personne n’a fait de mesure des coronavirus animaux et humains dans la densité nécessaire au cours des 15 dernières années. Un très grand nombre de personnes séropositives au SARS-CoV2 ne présentent aucun symptôme ou seulement des symptômes bénins. La proportion de personnes asymptomatiques qui ne présentent pas de symptômes serait de 50 à 70%. Cela n’est pas possible sans que le système immunitaire n’ait été préparé pour le virus. Cela suggère un développement continu jusqu’au SARS-CoV2 (et ses nombreux variants).

Parler d’origine indique seulement le moment où on a commencé à réfléchir

De plus en plus, des analyses phylogénétiques sont également effectuées pour tenter de construire un arbre généalogique différent à partir des nombreuses séquences de gènes différentes; contrairement à l’hypothèse selon laquelle le SARS-CoV2 a été nouvellement créé par zoonose fin 2019, ce n’est pas le cas. Les analyses de ce type sont problématiques en raison de la très courte période d’échantillonnage. Cependant, c’est tout ce qui est actuellement disponible. De plus, le point zéro, c’est-à-dire la séquence de référence par rapport à laquelle les mutations sont évaluées, est choisi arbitrairement. Ce n’est qu’en Chine que le nouveau test PCR a été lancé et que les premières séquences génétiques ont été générées. Ce n’est qu’alors qu’ils ont fait de même dans d’autres parties du monde. La qualification de mutation antérieure et postérieure est une déclaration relative par rapport à la séquence de référence. La propagation supposée ne reflète que la séquence géographique des tests. Néanmoins, les alarmistes de Johns Hopkins continuent de l’utiliser ailleurs.

Il faudrait enfin renoncer à l’image d’un «arbre généalogique» – l’image des réseaux récursifs apparaît plus appropriée

La diversité du SARS-CoV2 est si grande que des grappes se forment même dans de petits échantillons. Il n’est plus possible de déterminer clairement comment le virus est arrivé à New York. Cf. Gonzalez-Reiche et al., « Introductions et propagation précoce du SARS-CoV-2 dans la région de New York« , 16 avril 2020, medxriv: « L’analyse phylogénétique de 84 génomes SARS-CoV2 distincts indique des introductions multiples, indépendantes mais isolées, principalement d’Europe et d’autres régions des États-Unis. De plus, nous trouvons des preuves de la transmission communautaire du SARS-CoV2 comme le suggèrent des grappes de virus apparentés trouvés chez des patients vivant dans différents quartiers de la ville. » Ces grappes doivent s’être formées aux États-Unis au cours des 3 derniers mois. C’est le SARS-CoV2 et tout ce qui a conduit au SARS-CoV2 est beaucoup plus ancien.

Des interprétations alternatives des mêmes données (!) issues des bases de données génétiques suggèrent que le SARS-CoV2 se propage chez l’homme depuis plus de 40 ans. Voir Chaw et al, «L’origine et les forces motrices sous-jacentes de l’épidémie de SARS-CoV-2», 14 avril 2020, bioxriv:

«Nous devons souligner que l’estimation TMRCA [du plus récent ancètre commun – Wikipedia] est fortement influencée par le schéma d’échantillonnage du génome. Étant donné que le premier génome disponible a été échantillonné le 24/12/2019 près d’un mois après l’épidémie, l’origine réelle de l’épidémie actuelle pourrait en fait être antérieure à notre estimation. »

«En supposant un taux de substitution synonyme de 2,9×10-3/site/an, la recombinaison a été estimée avoir eu lieu il y a environ 40 ans (95% HPD: 31-69 ans; temps de divergence (t) = divergence (dS)/(substitution taux x 2 x 3), considérant que le dS dans RBD est 3 fois supérieur à la moyenne du génome). Les acides aminés dans la région RBD des deux génomes ont été maintenus par sélection naturelle depuis lors, tandis que des substitutions synonymes se sont accumulées. Si cela est vrai, le SARS-CoV-2 a peut-être circulé de manière cryptique parmi les humains pendant des années avant d’être récemment remarqué. »

Ce sont des évaluations très récentes et il reste à voir si ce preprint réussira à se frayer un chemin à travers le processus tant vanté d’examen par les pairs, par lequel la science se «régule» elle-même et régule l’état des connaissances.

Ce que le glyphosate est aux champs, les antiviraux le sont aux humains

Les virus sont probablement aussi anciens que les bactéries. Le système immunitaire des vertébrés est le seul capable d’harmoniser le corps avec les variants toujours nouveaux des virus. C’est exactement ce pour quoi il a été créé au cours de l’évolution. Le groupe de vertébrés est né il y a environ 500 millions d’années et le concept de système immunitaire est peut-être encore plus ancien. Il y a 500 millions d’années, le système immunitaire des vertébrés, dont le point final préliminaire est l’homme, s’est développé en contact étroit avec les virus. Cependant, la médecine moderne utilise des corticostéroïdes pour supprimer la réponse immunitaire, comme le montrent de nombreux protocoles de traitement COVID-19, en particulier aux États-Unis.

Pendant ce temps, l’industrie fait constamment de la publicité pour de nouveaux médicaments. Où sont-ils utilisés? 98% des personnes testées positives ne présentent aucun symptôme ou seulement des symptômes légers. Mais les médias mélangent sans discernement le test et l’infection, l’infection et la maladie symptomatique, la maladie symptomatique et la mort. Les personnes gravement touchées ont en moyenne 80 ans et plus et dans la grande majorité des cas, elles souffrent de maladies préexistantes sévères. Personne ne peut dire combien d’entre eux sont décédés des suites d’une ventilation prématurée. En attendant, les patients en soins intensifs sont toujours sevrés de la respiration avec du Fentanyl, entre autres, sinon la respiration artificielle ne fonctionne pas. Lorsque ces patients se réveillent, si ils se réveillent, ce sont des drogués. Katherine Ellen Foley, « Certains médicaments utilisés pour maintenir les patients atteints de coronavirus sous ventilation sont sous-approvisionnés« , Quartz, 31 mars 2020,

Un vent de peur souffle depuis les unités de soins intensifs, mais que se passe-t-il?

L’USI [unité de soins intensifs] montre ce qu’elle peut faire. En outre, il existe des médicaments comme le Remdesivir, qui s’est révélé trop toxique pour le traitement contre Ebola et qui échoue dans d’autres tests. Josh Farkas. « PulmCrit – Onze raisons pour lesquelles l’article du NEJM sur le remdesivir ne révèle rien« , 11 avril 2020, Tous les doutes n’ont pas empêché le Remdesivir d’être mis en circulation aux USA par la « méthode flash ». Ou les thérapies combinées à la chloroquine et à l’azithromycine, qui peuvent entraîner un arrêt cardiaque chez les personnes atteintes de maladies cardiovasculaires antérieures. Ou la monothérapie à la chloroquine, qui endommage les globules rouges chez les personnes présentant un déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase. Le déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase est le défaut génétique héréditaire le plus courant dans le monde, avec une fréquence allant jusqu’à 20-30% en Afrique. Les pays qui comptent une forte proportion de personnes nées en Afrique sont également particulièrement touchés.

Mauvaises priorités et chiffres trompeurs

Tout est parti d’un test vétuste, de mesures hâtives et d’une confiance aveugle dans une nano-partie de la nature évolutive de la machine, numérisée dans les bases de données génétiques et justifiée par rien. La science, et les politiciens qui croient en ses conseils, devront continuer à maintenir la crise qu’ils ont eux-mêmes créée. Bien qu’il soit très douteux qu’un virus ne provoquant aucun (!) symptôme chez 50 à 70% des personnes infectées soit arrivé en Europe au moment exact du début des tests, comme certains veulent maintenant nous le faire croire en s’appuyant sur des courbes de surmortalité. Et ceci dans une population de patients dans laquelle 40% des patients en réanimation sont venus directement de la maison de retraite à l’USI en demande des soins les plus intensifs. Voir Matthias Thöns, « De très mauvaises priorités et tous les principes éthiques violés« , Deutschlandfunk, 11.4.2020, « Et nous devons nous rappeler que les patients gravement malades du COVID-19, comme on appelle la maladie, sont pour la plupart des personnes très âgées, parmi lesquelles beaucoup sont malades, dont 40 pour cent viennent de maisons de retraite médicalisées et nécessitent le plus haut niveau de soins, et en Italie, sur 2.003 décès, seuls trois patients n’avaient pas de graves pathologies préexistantes. Il s’agit donc d’un groupe qui habituellement et jusqu’à présent a toujours reçu plus de soins palliatifs que de soins intensifs, et maintenant qu’une nouvelle maladie est diagnostiquée, tous ces patients deviennent des patients de soins intensifs. » Dans certains pays, il existe une compensation supplémentaire pour les hôpitaux, si le DRG [« Diagnostic Related Group », groupe homogène de diagnostic – Wikipedia] est mis à niveau vers le covid-19. Cela devient encore plus attrayant si le patient est intubé. Medicare [Medicare est le système d’assurance-santé géré par le gouvernement fédéral des États-Unis au bénéfice des personnes de plus de 65 ans ou répondant à certains critères- Wikipedia] aux États-Unis paie 20% de plus pour les DRG avec covid-19.

Les fausses alertes – une maladie auto-immune sociale

Dans le climat médiatique actuel et sous une immense pression politique pour justifier les mesures draconiennes et leurs conséquences, il est très douteux que, même rétrospectivement, on voit une discussion scientifique indépendante sur une évaluation prudente des risques de l’hypothèse de zoonose . Pour quelles demandes de recherche des fonds seront-ils accordés? L’évolution est en cours depuis des millions d’années, et au cours des 20 dernières années, les virologues ont évoqué de nouveaux virus mortels tous les 3 à 5 ans pour menacer les humains? MERS, SARS (1), SARS (2), grippe porcine, grippe aviaire? C’est devenu franchement ridicule.


Texte original

War against a joker

The pharmaceutical industry and its virologists are currently trying, for transparent reasons, to define the pathogen SARS-CoV2 as a stable hostile entity. For the « war against the virus », the danger is needed, represented by a spiked ball. A « corona-free world » is the declared goal of vaccine-obsessed Bill Gates and his political friends. Also, with regard to a possible vaccination, they try to give us the illusion of a clearly definable enemy in the world of viruses. After all, this is the prerequisite for the testing business and the governmental enforcement of a worldwide vaccination policy that is risk-free for vaccine manufacturers. Today, on 4.5.2020, an online donor conference on the « Creation of a corona-free world » (ARD-Tagesschau) is taking place and Chancellor Merkel promises to spend billions of our tax money on it. From a scientific point of view, all these efforts are – to put it mildly – dangerous aberrations. I am not yet talking about the profiteers of this madness.

Life is not trivial and calculable

It is absolutely certain that the SARS virus is also constantly and rapidly changing. And what good is a vaccination against something that has long since changed incalculably? Our immune system also reacts unpredictably. Cross-immunities? Immune memory? The specificity and significance of tests is quickly fading. So does the effect of a vaccine.

That’s why proof of immunity is a farce, and if it becomes law, a health hazard that cannot be justified. For the same reason, mass vaccinations against respiratory viruses are a risky nonsense and may cause bodily injury. With rapidly changing pathogens, as with influenza vaccination, success is a matter of luck. Only afterwards can it be determined whether the vaccinated persons were better off than the non-vaccinated. This remains a good deal, since an evidence-based prior benefit assessment will of course never be possible. Up to now, other viruses have been happy and spread where one type of virus has become difficulties by vaccination.

The Wuhan viruses are long gone

It’s all about the extremely high mutation rate of RNA viruses, which includes SARS-CoV2. The rate is impressively demonstrated by the website CoV-Glue,  » Amino acid analysis for the SARS-CoV-2 pandemic« , which shows that for SARS-CoV2 the mutation rate is very high in a very short period of about 4 months.

· 7237 non-synonymous, i.e. amino acid changing mutations (replacements),

· 6 insertions (inserting additional bases) and

· 87 deletions (loss of bases in the gene sequence) in found gene sequences. .

That is for a genome that itself consists of only about 30,000 bases an enormous number of mutations, insertions and deletions in a very short time. And these are only the data of a few thousand SARS-CoV2 viruses that have been sequenced. Nature knows many, many more. Non-synonymous mutations cause other amino acids to be inserted into the virus’ proteins. These thus change the chemical properties of these proteins. These mutations accumulate within weeks(!), as the data show. Insertions and deletions are of special importance, because they can lead to a frame shift, where the whole subsequent chain is read differently. There are also synonymous mutations which, although they do not change the primary structure of the SARS-CoV2 proteins, can still play a role in diagnostics. In addition, there are still many open questions about further effects of synonymous mutations. Doubts about the PCR test, existed from the beginning: Li et al, « Stability Issues of RT-PCR Testing of SARS-CoV-2 for Hospitalized Patients Clinically Diagnosed with COVID-19 », J Med Virol. 2020 Mar 26. doi: 10.1002/jmv.25786,

Snapshots of a neverending story

Another important point is that the SARS-CoV2 viruses sequenced so far show an extremely small section of nature. In relation to the total genome of all corona viruses in all humans, this section is of little importance. It must also be remembered that there are not only SARS-CoV2, but also other human coronaviruses – and they also mutate. Otherwise one would not have ended up with the SARS-CoV2 virus. Computer analyses, e.g. of the family tree of SARS-CoV2 (phylogenetic analysis), are very problematic based on this extremely small section of nature as it exists today. For the last 15 years, corona viruses have hardly been considered, neither in humans nor in animals. The vast majority of the coronavirus gene sequences in the databases originate from the last 4 months or are 15 years old. The criticism of this is not new, especially the very inhomogeneous geographical distribution of the gene sequences found, see Mavian et al, « Regaining perspective on SARS-CoV-2 molecular tracing and its implications« , medrxiv, 20.3. 2020, : « However, in a new tree inferred just one week later, when more than 135 new full genome sequences were made available on GISAID (Figure S2), the direct link between Germany and Italy has disappeared due to the additional clustering of previously unsampled sequences from Portugal, Brazil, Wales and Netherland (Figure 2b).

Zoonosis?  Man is also a zoon!

Some publications say that haplotypes (i.e. genetic patterns) of SARS-CoV2 have already disappeared again, i.e. are no longer found in newly sequenced base sequences. SARS(1) has also disappeared again for a long time. What sense does a genetic distance between two gene sequences make then?

But virology is doing what it has been doing for the last 30 years. It finds a viral gene sequence that it did not yet know and declares the newly discovered virus a death virus. For this to work, it needs the zoonosis hypothesis.

Without it, it doesn’t work. Because only thanks to this hypothesis that a pathogen has been newly transferred from an animal host to humans in Wuhan at the fish market at the end of 2019, can a general assumption be made that the pathogen has an increased pathogenicity (= an increased potential to cause illness). The pathogen is new to humans, which is why humans, in contrast to the original hosts, have not had the opportunity to adapt to the new pathogen.

This approach works so well because it is always assumed that patients are seriously ill, who then usually suffer from several diseases (multimorbid), and people with no or weak symptoms are not tested. And immediately you have the apparent proof that positive testing and death go hand in hand.

As proof of this, Drosten, Wieler & Co. hold up two gene sequences, one from an animal corona virus and one from a human corona virus, and point to the large genetic distance. This assertion can be made so easily because there is no data for anything in between. Nobody has measured animal and human coronaviruses in the necessary density in the last 15 years. A very large number of SARS-CoV2 positive people show no or only mild symptoms. The proportion of asymptomatic people who do not show symptoms is said to be 50 – 70%. This is not possible without the immune system having been prepared for the virus. This suggests a continuous development up to SARS-CoV2 (and its many variants).

Talking about origin only shows where you started thinking

Increasingly, phylogenetic analyses are also being carried out in an attempt to construct a different family tree from the numerous different gene sequences; contrary to the hypothesis that SARS-CoV2 was newly created by zoonosis at the end of 2019, this is not the case. Analyses of this kind are problematic due to the very short sample period. However, this is all that is currently available. In addition, the zero point, i.e. the reference sequence against which mutations are evaluated, is arbitrarily chosen. Only in China has the new PCR test been started and the first gene sequences have been generated. Only then did they do the same in other parts of the world. What is a forward and backward mutation is a relative statement in relation to the reference sequence. The supposed spread only reflects the geographical sequence of the tests. Nevertheless, the alarmists at Johns Hopkins continue to use this elsewhere.

We should finally give up the image of a « family tree » – the image of recursive networks appears more appropriate

The diversity of SARS-CoV2 is so great that clusters are formed even in small samples. It is no longer possible to clearly assign how the virus got to New York. Cf. Gonzalez-Reiche et al., « Introductions and early spread of SARS-CoV-2 in the New York City area« , April 16, 2020, medxriv: « Phylogenetic analysis of 84 distinct SARS-CoV2 genomes indicates multiple, independent but isolated introductions mainly from Europe and other parts of the United States. Moreover, we find evidence for community transmission of SARS-CoV2 as suggested by clusters of related viruses found in patients living in different neighborhoods of the city. » These clusters must have formed in the USA in the last 3 months. It is the SARS-CoV2 and everything that led to SARS-CoV2 is much older.

Alternative interpretations of the same data(!) from the gene databases suggest that SARS-CoV2 has been spreading in humans for 40+ years. See Chaw et al, « The origin and underlying driving forces of the SARS-CoV-2 outbreak« , April 14, 2020, bioxriv:

“We have to point out that the TMRCA estimation is strongly influenced by the genome sampling scheme. Since the earliest available genome was sampled on 12/24/2019 almost one month after the outbreak, the real origin of the current outbreak may actually be earlier than our estimation.”

“Assuming a synonymous substitution rate of 2.9×10-3/site/year, the recombination was estimated to have occurred approximately 40 years ago (95% HPD : 31-69 years; divergence time (t) = divergence (dS)/(substitution rate x 2 x 3), considering dS in RBD is 3-fold of genome average). The amino acids in the RBD region of the two genomes have been maintained by natural selection ever since, while synonymous substitutions have been accumulated. If this is true, SARS-CoV-2 may have circulated cryptically among humans for years before being recently noticed.”

These are very recent evaluations and it remains to be seen whether this preprint will make it through the much-vaunted peer review process by which science « regulates » itself and the state of knowledge.

What glyphosate is to fields, antivirals are to humans

Viruses are probably as old as bacteria. The vertebrate immune system is the only one capable of harmonizing the body with the ever-new virus variants. This is exactly what it was created for in the course of evolution. The group of vertebrates originated about 500 million years ago and the concept of the immune system is possibly even older. 500 million years ago, the vertebrate immune system, at the preliminary endpoint of which is man, developed in close contact with the viruses. However, modern medicine uses corticosteroids to suppress the immune response, as shown by many COVID-19 treatment protocols, particularly from the USA.

In the meantime, the industry is constantly advertising new drugs. Where are they used? 98% of test positives show no or only mild symptoms. But the media uncritically mix test and infection, infection and symptomatic disease, symptomatic disease and death. The severely affected persons are 80+ on average and in the vast majority of cases suffer from severe pre-existing conditions. Nobody can say how many of them have died as a result of premature ventilation. In the meantime, intensive care patients are still being weaned off breathing with fentanyl, among other things, otherwise artificial respiration will not work. These patients wake up, if at all, as junkies. Katherine Ellen Foley, « Some drugs used to keep coronavirus patients on ventilators are in short supply« , Quartz, March 31, 2020,

The fear is coming out of the ICU, but what’s going on?

The ICU’s showing what it can do. In addition, there are drugs like Remdesivir, which has been too toxic for the Ebola therapy and fails in further tests. Josh Farkas. « PulmCrit – Eleven reasons the NEJM paper on remdesivir reveals nothing« , April 11, 2020, All doubts have not prevented Remdesivir from being released for use in the USA by the flash method. Or chloroquine and azithromycin combination therapies, which can lead to cardiac arrest in people with previous cardiovascular diseases. Or chloroquine monotherapy, which causes damage to red blood cells in people with glucose-6-phosphate dehydrogenase deficiency. Glucose-6-phosphate dehydrogenase deficiency is the most common hereditary genetic defect worldwide, with a frequency of up to 20-30% in Africa. Countries with a high proportion of African-born people are also particularly affected.

Wrong priorities and deceptive figures

Everything is initiated by a dilapidated test, hasty measures and a blind trust in  some nano part of the evolutionary machine nature, which is digitized in the gene databases and not justified by anything. Science and the politicians beleaving its advises will have to continue to pursue their self-made crisis. Although it is very doubtful that a virus that causes no(!) symptoms in 50 – 70% of infected people had arrived in Europe at the exact time the tests were started, as some now want to make us believe with the help of the curves for excess mortality. And this in a patient population in which 40% of intensive care patients came directly from the nursing home to the ICU in need of the most intensive care. See Matthias Thöns, « Very wrong priorities set and all ethical principles violated », Deutschlandfunk, 11.4.2020, « And we have to remember that the seriously ill COVID-19 patients, as the disease is called, are mostly very old people, many of whom are ill, 40 percent of whom come from nursing homes in need of the highest degree of care, and in Italy, out of 2,003 deaths, only three patients have been without serious pre-existing conditions. So it is a group that has usually and until now always received more palliative care than intensive care, and now a new disease is diagnosed and all these patients become intensive care patients. »  In some countries there is an extra compensation for hospitals, if the DRG is upgraded to covid-19. This gets still more attractive, if the patient gets intubated. Medicare in US pays 20% more for DRGs with covid-19.

False alarms – a social autoimmune disease

In the current media climate and under immense political pressure to justify the draconian measures and their consequences, even retrospectively, it is very doubtful that there will be an independent scientific discussion on the zoonosis hypothesis of prudent risk assessment. For which research applications will money be granted? Evolution has been going on for millions of years, and in the last 20 years virologists have been conjuring up new death viruses every 3-5 years to threaten humans? MERS, SARS(1), SARS(2), swine flu, bird flu? This has gone really stupid.

Cinq médecins conviennent que les injections Covid-19 sont des armes biologiques et discutent des mesures à prendre.

Préambule

Voici la traduction partielle du webinaire évoqué dans mon article précédent. La traduction complète est en cours, si j’ai le courage et le temps. Revenez voir éventuellement dans quelques jours – c’est un gros boulot. En attendant, ne vous gênez pas pour lire et/ou partager.

13/05 : en fait je vais re-publier sous forme de dossier, avec d’autres infos. Je travaille à ça et à deux articles de fond.

Pour info, les intervenants sont le Dr Larry Palevski, le Dr Sherri Tenpenny, le Dr Christiane Northrup, Le Dr Carrie Madej et le Dr Lee Merritt. J’ai sélectionné une intervention du Dr Palevski, dont la prise de position est sans ambiguité (j’en profite pour vous rappeller ceci par le Dr David Martin, c’est sous-titré en français), et une du Dr Northrup, très claire et concise – les autres partent parfois dans tous les sens et s’égarent alors dans des conjectures un peu vaines.

Ce qui ne devrait pas faire perdre de vue que la question de base est parfaitement réelle et concrète.

Les symptômes encourus par les personnes à proximité de celles qui ont reçu l’injection d’ARNm sont :

  • saignements de nez sévères,
  • migraines sévères,
  • caillots sanguins aux extrémités et au cerveau,
  • corps couvert d’ecchymoses,
  • péricardite,
  • zona,
  • pneumonie,
  • paralysie de Bell,
  • gonflement du scrotum,
  • impuissance,
  • oligospermie,
  • jeunes filles de dix ans et femmes ménopausées réglées,
  • dysmenorrhées,
  • caillots sanguins utérins,
  • pertes deciduelles complètes,
  • nombre de fausses couches multiplié par quatre, etc.

Pour les anglophones, témoignages ici, ici et ici. Il y en a d’autres…

Un article en français icilisez-le!

Pour prendre le problème à l’envers – ce qui selon mon expérience fonctionne assez bien – on notera que les media américains ont d’ores et déjà apporté la réponse à cette épidémie de symptômes : les troubles sanguins et gynécologiques constatés par des milliers de femmes proviennent d’une inhalation de gaz lacrymogènes lors de manifestations. Et voilà, fallait pas manifester… J’invente pas. Niveau foutage de gueule, je trouve qu’on faisait mieux en Union Soviétique.

En ce qui me concerne, les seuls imbéciles individus de mon entourage à s’être fait injecter ces produits sont parmi ceux que je suis censé cotoyer sur mon lieu de travail. Je leur « propose » de ne pas s’approcher à moins de cinq mètres, ce qui est déjà un sérieux compromis de ma part, puisque comme vous ne le savez pas forcément, la distance minimum – je cite le Pr Raoult – devrait être de trente mètres, les particules aérosolisées pouvant même parcourir, selon une étude chinoise, jusqu’à deux cent mètres. Voilà ce que j’appelle de la distanciation sociale. Ce qui est assez amusant c’est que c’est maintenant qu’elle deviendrait donc nécessaire. Le Dr Lee Merritt cite également dans sa conférence (faudrait que je retrouve le lien) ce genre de distance à propos du dernier cas de variole répertorié en Europe (en Allemagne), où un patient hospitalisé a contaminé le personnel soignant du batiment en face rien qu’en se mettant à la fenêtre (ce qui lui était interdit). Trente morts…

J’ajoute enfin que le Dr Baker refuse l’accès aux personnes « vaccinées » à son cabinet, pour protéger ses assistantes et qu’une école privée en Floride a interdit aux professeurs « vaccinés » toute proximité avec les élèves, et leur a proposé de se représenter à la rentrée scolaire suivante, sous réserve que tout risque de transmission ait été élucidé et qu’il reste encore des emplois disponibles.

Avant l’article lui-même, je cite America’s Front Line Doctors, à qui je fais confiance vu leur niveau de professionnalisme. Ils mettent également en garde contre le risque de transmission abordé ci-dessous (article sur Lifesite News).

Ci-dessous les paragraphes 3 et 4 de leur document, IDENTIFYING POST-VACCINATION COMPLICATIONS & THEIR CAUSES: AN ANALYSIS OF COVID-19 PATIENT DATA [IDENTIFICATION DES COMPLICATIONS POST-VACCINATION ET DE LEURS CAUSES: UNE ANALYSE DES DONNÉES DES PATIENTS COVID-19] :

(Traduction)

3. Les personnes non-vaccinées peuvent-elles tomber malades par contact avec les personnes vaccinées? ‍

Le vaccin produit plusieurs milliards de particules de protéines de pointe chez le receveur. Les patients vaccinés peuvent excréter certaines de ces particules (de protéines de pointe) vers des personnes en contact rapproché. Ces particules ont la capacité de créer une inflammation et une maladie chez ces personnes en contact. En d’autres termes, les protéines de pointe sont pathogènes («facteurs des maladies») tout comme le virus complet. Le plus inquiétant, c’est que le corps d’une personne est soudainement envahi de 13 milliards de ces particules et que les protéines de pointe se lient plus étroitement que le virus totalement intact. En raison du biomimétisme (similitude) de la protéine de pointe, l’excrétion semble être à l’origine d’une grande variété de maladies auto-immunes (où le corps attaque ses propres tissus) chez certaines personnes. Dans le monde entier, des cas de péricardite, de zona, de pneumonie, de caillots sanguins aux extrémités et au cerveau, de paralysie de Bell, de saignements vaginaux et de fausses couches ont été signalés chez des personnes proches de personnes vaccinées. De plus, nous savons que les protéines de pointe peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique, contrairement aux vaccins traditionnels.

4. Qu’en est-il de l’interaction entre les enfants non vaccinés et les adultes vaccinés?

L’AFLDS craint que certains enfants deviennent symptomatiques du COVID après que leurs parents et leurs enseignants se soient fait vacciner. Cette préoccupation ne concerne pas le risque d’infection. En effet, selon l’American Academy of Pediatrics et l’Association des Hôpitaux pour Enfants, environ «1,6% des enfants avec un cas connu de COVID-19 ont été hospitalisés et 0,01% sont décédés». Au contraire, les bureaucrates de la santé publique pourraient utiliser ces cas de transmission d’un type nouveau [breakthrough transmission] ou de symptômes pour spéculer que la maladie d’un enfant serait liée à un «variant» du SARS-CoV-2, alors qu’en réalité il s’agit d’une réaction au vaccin. Notre autre préoccupation est que les enfants pourraient développer une maladie auto-immune chronique à long terme, y compris des problèmes neurologiques, car les enfants ont des décennies de vie devant eux eux et des milliards de protéines de pointe mentionnées ci-dessus.

(Texte original)

3. Can the unvaccinated get sick from contact with the vaccinated?

The vaccine produces many trillions of particles of spike proteins in the recipient. Patients who are vaccinated can shed some of these (spike protein) particles to close contacts. The particles have the ability to create inflammation and disease in these contacts. In other words, the spike proteins are pathogenic (“disease causing”) just like the full virus. What is most worrisome is that a person’s body is being suddenly flooded with 13 trillion of these particles and the spike proteins bind more tightly than the fully intact virus. Because of the biomimicry (similarity) on the spike, shedding appears to be causing wide variety of autoimmune disease (where the body attacks its own tissue) in some persons. Worldwide cases of pericarditis, shingles, pneumonia, blood clots in the extremities and brain, Bell’s Palsy, vaginal bleeding and miscarriages have been reported in persons who are near persons who have been vaccinated. In addition, we know the spike proteins can cross the blood brain barrier, unlike traditional vaccines.

4. What about interaction between unvaccinated children and vaccinated adults?

AFLDS is concerned that some children will become COVID symptomatic after their parents and teachers get vaccinated. This concern does not relate to risk from infection. Indeed, according to the American Academy of Pediatrics and the Children’s Hospital Association, approximately “1.6% of children with a known case of COVID-19 have been hospitalized and 0.01% have died.” Rather, public health bureaucrats might use these cases of breakthrough transmission or symptoms to speculate that a child’s illness is related to a SARS-CoV-2 “variant,” when in reality it is a reaction to the vaccine. Our other concern is that children could develop long-term chronic autoimmune disease including neurological problems due to the fact that children have decades ahead of them and trillions of the spike proteins mentioned above.


Sources : lien vers la page de Health Impact News, de la vidéo sur Bitchute et sur Rumble. Au total, la vidéo a été vue environ un demi-million de fois.

Traduction partielle

URGENT! Cinq médecins conviennent que les injections Covid-19 sont des armes biologiques et discutent des mesures à prendre

[…]

Dr Christiane Northrup : Merci.

Je me présente : je suis d’abord Docteur certifié en gynécologie-obstétrique, j’ai étudié à la Dartmouth Medical School, j’ai fait ma résidence au Tufts New England Medical Center à Boston. J’ai été Professeur Assistant clinique en gynécologie-obstétrique pendant 25 ans à l’Université du Vermont College of Medicine, je suis l’auteur de 3 best-sellers du New York Times, y compris cette Bible sur la santé des femmes intitulée « Women’s bodies women’s wisdom » [« Corps de femmes, sagesse de femmes »] truffée de références scientifiques vérifiées et des fruits de mon expérience en première ligne de médecine corps-esprit chez les femmes. Pendant de nombreuses années, j’ai participé à l’émission d’Oprah Winfrey, 10 fois, j’ai fait 8 émissions spéciales très suivies à la télévision publique, qui ont permis de recueillir des millions de dollars pour la télévision publique.

En 2013, j’étais dans le classement du Reader’s Digest des 100 personnes en Amérique les plus dignes de confiance et aujourd’hui, en 2021, je suis l’une des « Douze de la Désinformation » [NdT. Disinformation Dozen, inspiré par Dirty Dozen – les Douze Salopards : nom donné à une liste noire de personnes influentes qui dénoncent les « vaccins » Covid], avec Sherri, ceux d’entre nous accusés de 70% de la désinformation sur les vaccins sur Internet, ce qui semble une spectaculaire tombée en disgrâce, jusqu’à ce qu’on comprenne qui détermine ce qu’est la grâce.

Ayant étudié le cycle menstruel, notre lien avec la créativité, notre connexion avec la lune, je suis assez horrifiée par ce qui se passe actuellement. Je connaissais déjà – j’ai un rapport ici – par Lifesite News, des milliers de rapports sur des irrégularités menstruelles et des dysfonctionnement de la reproduction suite au vaccin Covid. Les médias se concentrent sur les caillots sanguins, mais nous avons soudainement vu toutes ces femmes – et une de mes amies aujourd’hui m’a littéralement envoyé une photo de ce qui est sorti de son corps. C’est une femme dans la trentaine. Des pertes déciduelles complètes, c’est leur nom, ce qui signifie que tout l’intérieur de l’utérus se détache – decidua se référant aux arbres à feuilles caduques [deciduous] qui perdent leurs feuilles.

Le cycle menstruel est l’un des indices de la santé, nous savons donc qu’un cycle menstruel régulier – tous les 25 à 30 jours – est considéré comme l’un des moyens par lesquels nous pouvons déterminer la santé d’une femme. Et quand soudainement, on voit des milliers de personnes [affectées] partout dans le monde, dont beaucoup n’ont pas été vaccinées mais ont été à proximité de celles qui l’ont été, nous commençons à nous poser des questions. Nous savons déjà que le polysorbate 80 qui est inclus dans ces injections peut nuire à la fonction ovarienne et arrête la fonction ovarienne chez le rat.

Nous savons également que de nombreuses femmes sont devenues stériles à la suite du vaccin Gardasil, ce dont j’ai parlé en 2006 dans l’émission d’Oprah Winfrey. Il existe ce qu’on nomme des phéromones, qui sont sécrétées par les glandes sudoripares apocrines dans la région pubienne et sous les aisselles. Celles-ci régulent les cycles menstruels des femmes. Nous pensons que les phéromones expliquent la raison pour laquelle les femmes ont leurs règles en même temps lorsqu’elles vivent toutes ensemble à proximité.

Il y a beaucoup de choses qui affectent le cycle menstruel, mais les rapports que nous recevons ne parlent pas seulement de gonflement des organes génitaux. Dysfonction érectile chez l’homme, gonflement du scrotum, des problèmes de cette nature, irrégularités mammaires, etc. Ces éléments proviennent du programme volontaire Yellow Card en Angleterre. Mais nous ne disposons pas actuellement de base de données, de base de données formelle, pour ces anomalies qui se produisent chez les personnes qui ont reçu cette injection.

Donc, mon impression est qu’il s’agit d’une sorte d’arme biologique.

Une sorte d’arme biologique que le corps sécrète maintenant – transmet pour ainsi dire, comme vous l’avez dit, Sherri – depuis les personnes qui ont reçu cette injection, parce que voici ce que nous savons.

Ce n’est pas une vaccination normale.

C’est en fait quelque chose qui pousse le corps à fabriquer une protéine synthétique en réaction à la protéine de pointe du SARS-CoV2. C’est une protéine synthétique qui n’a jamais été vue auparavant et le corps la produit tel une usine. Il ne s’arrête pas. J’ai entendu des gens dire « Eh bien, peut-être que dans deux semaines ça s’arrêtera ». C’est impossible que cela s’arrête parce que cela transforme le corps en usine de protéines synthétiques, jamais vues auparavant, qui peuvent théoriquement se retrouver dans la salive, l’urine, les excréments, la sueur, le liquide séminal, le sang, les flatulences peut-être.

Et donc, quand on est à proximité de quelqu’un, je pense que cela sort de son corps et affecte possiblement le système hormonal le plus délicat qui soit. Tomber enceinte et rester enceinte est un système extrêmement complexe et nous savons que cet anticorps de protéine de pointe réagit de manière croisée avec ce qu’on appelle la syncitine 1 et 2, et ce sont des protéines absolument essentielles pour le placenta, pour la fécondation, pour maintenir une grossesse. Nous voyons maintenant des femmes qui font une fausse couche, qui sont incapables de tomber enceintes, qui ont des saignements abondants. Nous ne savons pas pourquoi mais mon sentiment à ce sujet est que quelque chose est produit par le corps des personnes vaccinées.

Cela nuit peut-être aux autres et cela me préoccupe beaucoup.

[…]

Dr Larry Palevski : Merci Maureen et merci à tous pour votre participation. Je veux commencer par quelques déclarations assez audacieuses. Cela ne me ressemble pas du tout, n’est-ce pas Dr T? En tous cas…

Tout d’abord, ce n’est pas un vaccin.

Ce n’est pas un vaccin.

Ce n’est pas un vaccin.

Un vaccin est censé …

Dr Sherri Tenpenny : Merci, merci, merci, merci!

Dr Larry Palevski : Ce n’est pas un vaccin. Un vaccin est censé nous protéger contre une infection bactérienne ou virale. Il n’y a rien dans aucune des injections qui soit conçu pour nous protéger contre une infection virale.

Les autorités le disent, les brevets le décrivent, et tous ceux qui sont impliqués dans la réalisation de ces injections. Selon leur intention, elles n’ont jamais été faites pour nous protéger contre une infection virale. Sitôt que nous réalisons qu’elles ne sont pas ce qu’on prétend, nous nous rendons compte que tout le reste est un mensonge complet et absolu.

Ce n’est pas un vaccin. Il n’est pas conçu pour nous protéger contre l’infection virale SARS-CoV2. Par conséquent, il ne peut pas arrêter la transmission du virus SARS-CoV2 car ce qu’il y a dans l’injection ne vise pas à nous protéger contre l’infection virale SARS-CoV2. Maintenant, quand nous examinons la littérature de 2020 et que nous voyons que les gens souffraient de maladies du sang, de manque d’oxygène, d’hypoxie, de maladie pulmonaire, de maladie de la coagulation, d’accident vasculaire cérébral, d’hypertension, d’hypotension, de perte de goût, de perte d’odorat, de problèmes neurologiques, de coma, ce n’était pas une maladie virale. C’était la présentation clinique d’un empoisonnement du sang.

Et toute la littérature montre que la protéine de pointe de ce prétendu virus est responsable de tous ces symptômes : les problèmes cérébraux, les problèmes neurologiques, les maladies cardiaques, les facteurs de coagulation, la perte d’oxygène, la perte de goût, la perte d’odorat, hypertension, hypotension. Cette protéine de pointe était responsable de la maladie que nous avons vue.

Mesdames et Messieurs, cette protéine de pointe n’est pas une chose naturelle.

C’est une arme fabriquée par l’homme.

Ce n’est pas un virus.

Ça fait partie de, ou c’est attaché à un virus, ou attaché à qui sait quoi d’autre, qui a ouvert le bal des gens qui sont tombés malades. Cela n’a jamais été une maladie de type grippal. Ce n’était pas un genre de grippe. C’était carrément un empoisonnement du sang. Cette protéine de pointe peut se fixer à des récepteurs dans tout le corps, le cerveau, le cœur, les poumons, les reins, les intestins, le sperme et le système reproducteur féminin. On a donc découvert dans l’ensemble des symptômes naturels du Covid que cette protéine de pointe était responsable de ce qui rendait les gens malades.

Alors pourquoi, au nom de Dieu, sommes-nous d’accord pour nous faire injecter quelque chose dans le corps qui va nous amener tous à fabriquer des protéines de pointe? Précisément la partie de la prétendue arme qui provoquait la maladie et l’ensemble de symptômes.

Ce n’est pas un vaccin. Si le corps reçoit le matériel génétique pour fabriquer une protéine de pointe synthétique, nous n’avons absolument aucune idée de ce que fait le corps lorsque les instructions génétiques pénètrent dans les cellules et se mettent à fabriquer ces protéines de pointe. En fait, dans notre « Réflexion Critique avec le Dr T et le Dr P », le Dr Tenpenny a spécifiquement découvert la possibilité que d’autres brins d’ARNm soient présents dans certaines injections.

Quand on pose la question, « Y a-t-il quelque chose qui est excrété? », nous n’avons vraiment aucune idée de ce qu’il y a dans cette chose – ou ces choses. Nous pensons, nous pensons, nous pensons que c’est une protéine de pointe. Mais en fait nous n’en avons aucune idée. Mais nous nous basons sur le fait que la protéine de pointe est fabriquée dans l’usine, par les cellules du corps humain – et nous savons que peut-être si c’était notre propre ARN messager, à l’intérieur de nous, nous pourrions l’éteindre nous-mêmes. Mais nous n’avons aucune expérience de l’utilisation d’instructions génétiques injectées d’ARN messager synthétique pour nous permettre de savoir si notre corps va l’activer ou l’éteindre lorsque nous commençons l’usine de fabrication de la protéine de pointe. Et il n’y a donc aucune preuve, zéro preuve, aucune étude scientifique pour savoir si cette protéine de pointe s’allume et reste active. Ou s’éteint jamais. Et nous n’avons aucune preuve que le corps qui a reçu cette injection et fabrique la protéine de pointe les exhale en particules par les poumons, les recrache dans la salive, les évacue dans l’urine, les transpire à travers la peau ou les fait sortir par les gaz ou les selles.

Nous n’en avons aucune idée.

Mais ce que nous avons, c’est une massive et brillante propagande de génocide.

Parce qu’ils n’ont pas besoin d’injecter ça à tout le monde pour obtenir les résultats qu’ils recherchent. Parce que maintenant, nous voyons que ce sont les personnes qui ont reçu cette injection qui sont en fait les lépreux, sont en fait les parias, et font en fait que des personnes en bonne santé qui n’ont jamais reçu cette injection ont des symptômes du Covid : des saignements, qui faisaient partie de la maladie Covid elle-même, des fausses couches et des décès.

Ce n’est pas un vaccin. Arrêtez de l’appeler un vaccin. Comme l’a dit le Dr Madej, les nanoparticules lipidiques n’ont jamais été utilisées dans des injections auparavant. Elles sont capables de transmettre tout matériau auquel elles sont attachées dans le cerveau, le cœur, les poumons, les reins, le foie, le sperme et le système reproducteur féminin.

Nous sommes dans la merde.

On joue à la roulette russe.

Nous n’avons aucune réponse sur ce qui est transmis, comment cela se transmet et nous devrions prendre les armes. C’est pourquoi j’ai dit que le génie était hors de la bouteille. Les femmes – en tant que seul homme sur ce panel et ayant travaillé avec des mères la plupart de ma vie – les femmes sont plus en phase avec ce qui se passe dans leur corps que quiconque. Désolé les gars. C’est comme ça.

Et c’est un génocide.

C’est une arme de destruction massive.

Et cela nous oblige à prendre la parole. Il y a un pédiatre de premier plan dans ce pays qui m’a critiqué. Et en fait, il a nié qu’il y ait une excrétion virale après cette injection. Mesdames et Messieurs, ce n’est que conjecture. Il y a quelque chose qui passe depuis les gens à qui on a injecté ce poison vers d’autres qui n’ont pas reçu l’injection. Nous devrions mettre en quarantaine les personnes à qui on a injecté ce poison. Et les enfants qui ne faisaient pas partie du cycle initial d’empoisonnement aux protéines de pointe, probablement parce que – et je ne le sais pas avec certitude – leurs récepteurs ACE2 n’étaient probablement pas assez importants et pas assez omniprésents pour s’attacher à la protéine de pointe. Leur risque de maladie est donc mineur.

Le tout pour une maladie militarisée qui a un taux de récupération supérieur à 99,7% dans le grand public et pour une maladie pour laquelle nous avons des médicaments, des interventions nutritionnelles et des interventions médicales : ozone, oxygénation hyperbare, iode, peroxyde d’hydrogène, médecine chinoise, homéopathie, stéroïdes inhalés et d’autres interventions qui ont non seulement empêché cette maladie de se produire, mais ont également guéri des personnes malades et ont en fait empêché la mort dans de grandes populations où les médecins ont pu se rendre auprès de leurs patients, les traiter et faire de la médecine préventive à temps.

C’est grave. Je ne mâche pas mes mots – Dr T, vous savez que je ne mâche pas mes mots. Nous ne savons pas ce qui se passe et je sais que vous voudriez entendre quelque chose de gentil. Je pense vraiment que nous devrions exiger que les personnes qui ont reçu cette injection soient mises en quarantaine et portent un badge sur le bras indiquant qu’ils ont été vaccinés, même si ce n’est pas un vaccin, afin que nous puissions les éviter, eux, dans la rue.

Ne nous approchons jamais d’eux en société.


Transcription originale partielle

URGENT! Five Doctors Agree that COVID-19 Injections are Bioweapons and Discuss What to do About It

[…]

Dr Christiane Northrup : Thank you.

So I’m introducing myself : first I’m a board certified OBGYN physician, went to Dartmouth Medical School, did my residency at Tufts New England Medical Center in Boston. I was a clinical Assistant Professor of OBGYN for 25 years at the University of Vermont College of Medicine, I’m the author of 3 New York Times bestsellers including this Bible of women’s health called « Women’s bodies women’s wisdom » loaded with peer reviewed literature and my experience on the front lines of mind-body medicine when it comes to women. For many many years I was on the Oprah Winfrey show 10 times, I did just 8 highly successful public television specials which raised millions of dollars for public television.

In 2013 I was one of the Reader’s Digest 100 most trusted people in America and now in 2021 I am one of the 12 Disinformation Dozen along with Sherri, those of us accused of 70 percent of the disinformation about vaccines on the internet which is an astounding fall from grace until you understand who is determining what grace is.

Having studied the menstrual cycle, our connection with creativity, our connection with the moon I am rather horrified at what’s been going on around this. I already knew – this is a report here – from Lifesite News, thousands of reports of menstrual irregularities and reproductive dysfunction following Covid vaccine. So the media is focused on blood clots but then we had suddenly all of these women – and a friend of mine today literally sent me a picture of what came out of her body. She is a woman in her thirties. Entire decidual casts, they’re called, meaning that the entire inside of the uterus just slops off – decidua meaning like deciduous trees that shed their leaves.

The menstrual cycle is one of the indices of health so we know that a regular menstrual cycle – it’s every 25 to 30 days – is considered one of the ways that we determine a woman’s health. And when suddenly you have thousands of people all over the world, many of whom have not been vaccinated but have been around those who have, we begin to wonder. Now we already know that polysorbate 80 which is included in these shots can adversely affect ovarian function and shuts down ovary function in rats.

We also know that many many women have become infertile as a result of the Gardasil vaccine which I spoke out about in 2006 on the Oprah Winfrey show. There are things called pheromones that are secreted by the apocrine sweat glands in the pubic area and under the armpits. Those regulate women’s menstrual cycles. The pheromones are why, we think, women have periods at the same time when they’re all living together in close proximity.

There are so many things that affect the menstrual cycle but the reports that we are getting are not only the swelling of the genitals. Erctile dysfunction in males, scrotum swelling, problems of this nature, breast irregularities, all of that. This is from the the Yellow Card voluntary program in England. But we don’t have any database right at this very moment, a formal database, for these abnormalities that are occurring when you’re simply someone who’s had this shot.

So my feeling on this is that there’s some kind of a bioweapon.

Some kind of a bioweapon that the body is now secreting – transmitting as it were, as you said Sherri – from somebody who’s had the shot because here’s what we know.

This is not a normal immunization.

It is in fact something that causes the body to make a synthetic protein against a SARS-CoV2 spike protein. It is a synthetic protein that’s never been seen and the body begins to produce this as a factory. It doesn’t shut off. I’ve had people say « Well, you know, maybe in 2 weeks that will stop ». There is no way this is going to stop because it’s made your body into a factory for synthetic protein that’s never been seen before that theoretically can be in your saliva, urine, feces, sweat, seminal fluid, blood, flatus maybe.

And so when you’re around a person – I think this is coming out of their bodies and possibly adversely affecting the most delicate hormonal system. I mean, to get pregnant and stay pregnant is an enormously complex system and we know that that spike protein antibody cross reacts with what’s called syncitine 1 and 2, and those are proteins absolutely essential for the placenta, for fertilization, for maintaining a pregnancy. We now have women who are miscarrying, they are unable to get pregnant, they’re having heavy bleeding. We don’t know why but my feeling about this is that something is being produced by the body of a vaccinated person.

That is possibly adversely affecting others and it is a great concern to me.

[…]

Dr Larry Palevski : Thank you Maureen and thank you everyone for your participation. I want to start with some pretty bold statements. That’s very unlike me, right Dr T? Anyway…

First of all this is not a vaccine.

This is not a vaccine.

This is not a vaccine.

A vaccine is supposed to…

Dr Sherri Tenpenny : Thank you, thank you, thank you, thank you!

Dr Larry Palevski : This is not a vaccine. A vaccine is supposed to protect us against a bacterial or viral infection. There is nothing in any of the shots that is designed to protect us against a virus infection.

The authorities say it, the patents describe it, everyone who is involved in the making of these injections. With their intention it was never ever made to protect us against a viral infection. As soon as we start to realize that that is not what this is, we realize that everything after that is a complete and utter lie.

So this is not a vaccine. It is not designed to protect us against the SARS-CoV2 viral infection. Therefore it cannot stop the transmission of the SARS-CoV2 virus because what’s in the shot is not meant to protect us against the SARS-CoV2 viral infection. Now when we look at the literature from 2020 and we see that people were getting illnesses of blood disorders, lack of oxygen, hypoxia, lung disease, clotting disease, strokes, hypertension, hypotension, loss of taste, loss of smell, neurological issues, comatose. This was not a viral illness. This was the clinical presentation of a poisoning of the blood.

And all of the literature shows that the spike protein of this so-called virus was responsible for causing all of these symptoms : the brain problems, the neurological problems, heart disease, clotting factors, loss of oxygen, loss of taste, loss of smell, hypertension, hypotension. This spike protein was responsible for causing the disease that we saw.

Ladies and gentlemen, this spike protein is not a naturally-occurring thing.

It is a man-made weapon.

It is not a virus.

This is part to, or maybe attached to a virus and attached to who knows what else that started the ball rolling with people getting sick. This was never an influenza-like disease. It was never a flu-like illness. It was straight-up a poisoning of the blood. This spike protein could attach to receptors all over the body, the brain, the heart, the lungs, the kidneys, the intestines, the sperm and the female reproductive system. So they found in the naturally occurring Covid set of symptoms this spike protein was responsible for what made people sick.

So why in God’s name are we okay with injecting something into the body that’s going to cause all of us to make spike protein? The very part of the so-called weapon that was creating the illness and the group of symptoms in the first place.

This is not a vaccine. Now if your body is being given the genetic material to make a synthetic spike protein, we have absolutely no idea what the body does when the genetic instructions get into the cells and start making spike protein. In fact in our critically thinking with Dr T and Dr P, Dr Tenpenny has specifically found the possibility that there are other pieces of the mRNA that may be in some of the shots.

So when people say « Is something shedding? », we really don’t have any idea what’s in this thing – or these things. We think, we think, we think it’s spike protein. But we generally have no idea. But if we go on the fact that spike protein is being manufactured in the factory by the cells of the human body and that we know that maybe if our own messenger RNA within ourselves we would turn it off ourselves. But we have no experience using an injected synthetic messenger RNA genetic instructions as to whether or not our bodies are going to turn that on or turn it off as we start the factory of making the spike protein. And so there is no evidence, zero evidence, no scientific studies as to whether or not that spike protein turns on and stays on. Or ever turns off. And we have no evidence if that body who’s getting injected is making the spike protein is exhaling in particles through the lungs, spitting it out through saliva, urinating it out through urine, sweating it out through skin or putting it out through gas or stool.

We have no idea.

But what we have is a massive brilliant propaganda of genocide.

Because they don’t have to inject everyone to get the results that they’re looking for. Because now we see that those people who are getting injected are actually the lepers, are actually the pariahs, and are actually making healthy people who have never been injected get Covid symptoms : bleeding, which was part of the Covid illness itself, miscarriages and deaths.

This is not a vaccine. Please stop calling it a vaccine. As Dr Madej said, the lipid nanoparticles have never been used in injections before. They are capable of passing any material that it’s attached to into the brain, the heart, the lungs, the kidneys, the liver, the sperm and the female reproductive system.

We are in a crapchute.

This is Russian roulette.

We have no answers about what is being transmitted, how it’s being transmitted and we should be up in arms. That’s why I said the genie is out of the bottle. Women – as the only guy on this panel and working with mothers most of my life – women are more in touch with what’s going on with their bodies than anybody else. Sorry guys. They are.

And this is genocide.

This is a weapon of mass destruction.

And it is requiring us to speak up. There is a prominent pediatrician in this country who has called me out. And actually denied that there’s any shedding in this injection. Ladies and gentlemen that is conjecture only. There is something being passed from people who are shot up with these poison to others who have not gotten the shot. We should be quarantining those people who are injected with this poison. And the children who were not part of the initial round of spike protein poisoning probably because – and I don’t know this for sure – their ACE2 receptors were probably not as prominent and not as ubiquitous to have been attaching to the spike protein. So their sense of illness was actually minor.

All for a condition of weaponization that have greater than a 99.7 percent recovery rate in the general public and in a condition where we had drugs, nutritional interventions and medical interventions : ozone, hyperbarics, iodine, hydrogen peroxide, Chinese medicine, homeopathy, inhaled steroids and other interventions that not only prevented this illness from happening but treated people who were sick and actually prevented death in large populations where doctors were able to get to their patients and treat them and prevent them in time.

This is serious. I’m not mincing words – Dr T you know I don’t mince words. We don’t know what’s going on and I know you want something nice. I really think we should start calling for people who are getting the shot to be quarantined and have a badge on their arms that say I’ve been vaccinated, even though it’s not a vaccine, so that we know to avoid them on the street.

Let’s not go near them anywhere in society.

« Vaccins » Covid : nouveaux risques possibles et analyse des statistiques.

Deux sources en anglais, que je n’ai malheureusement pas le temps de vous livrer traduites, mais c’est en cours pour la première.

En attendant je les poste telles quelles.

Màj 05/05 : traduction partielle ici.

La première expose un nouveau problème qui, s’il se confirme, semble particulièrement grave et urgent : sur base de milliers de témoignages, il y aurait un risque de transmission de quelque chose depuis des gens qui ont reçu les injections géniques (« vaccins ») Covid vers des personnes « non-vaccinées« . A ce stade, personne ne comprend encore comment. Une hypothèse avancée ici est que ça pourrait être par voie aérienne. Les femmes sont particulièrement touchées. Les symptômes vont de la dysménorrhée (perturbation des règles, parfois très sévères avec d’importantes pertes de tissu utérin, et reprise des règles chez des femmes ménopausées) à la fausse couche. Les hommes et les enfants sont également touchés et montrent des troubles sanguins. Il y aurait aussi des décès.

C’est une vidéoconférence entre cinq médecins assez connus comme lanceurs d’alerte par rapport à ces injections. J’avais déja traduit et publié une vidéo du Dr Lee Meritt ici et un article du Dr Sherri Tenpenny ici. Si les faits sont avérés et le lien de causalité établi, leurs prévisions sembleraient se réaliser, ainsi que celle du Dr Yeadon (également ici), qui avait attiré très tôt l’attention sur le risque de stérilité lié à la réaction à la syncitine induite par les injections.

Les deux passages qui me semblent essentiels dans cette vidéo sont les interventions du Dr Christiane Northrup et du Dr Larry Palevski.

Lien vers la page de Health Impact, de la vidéo sur Bitchute et sur Rumble.


La deuxième source est un un écrit. C’est un gros boulot de compilation et d’analyse des statistiques d’effets secondaires de ces mêmes injections, mis à jour le 1er avril. L’auteur est un lecteur de Miles Mathis, qui le relaye sur son site, lien ici.

Vous pouvez aussi le télécharger directement ci-dessous.

Des médecins et des scientifiques écrivent à l’Agence Européenne des Médicaments pour mettre en garde contre les dangers du vaccin COVID-19 une troisième fois.

Source. Voici le troisième courrier adressé par Doctors for Covid Ethics à l’EMA.

Le premier est ici, le deuxième ici.

Des médecins et des scientifiques écrivent à l’Agence Européenne des Médicaments pour mettre en garde contre les dangers du vaccin COVID-19 une troisième fois

Avant le vote du certificat vert européen (passeport vaccinal) au Parlement européen le 28 avril, les experts avertissent que les symptômes cardinaux de la thrombose du sinus veineux cérébral (TVC) dominent la liste des effets indésirables des vaccins COVID-19

Doctors for Covid Ethics 24 avril, temps de lecture 4 minutes

À l’attention personnelle urgente d’Emer Cooke, directeur exécutif de l’Agence Européenne des Médicaments

Emer Cooke, directeur exécutif, Agence Européenne des Médicaments, Amsterdam, Pays-Bas, 20 avril 2021

PAR EMAIL UNIQUEMENT

Chers Messieurs / Mesdames,

À L’ATTENTION PERSONNELLE URGENTE D’EMER COOKE, DIRECTEUR EXÉCUTIF DE L’AGENCE EUROPÉENNE DES MÉDICAMENTS

L’Agence Européenne des Médicaments et les personnes qui travaillent pour cet organisme de contrôle, dont vous êtes le directeur exécutif, ont été mises en demeure par Doctors for Covid Ethics le 1er avril 2021.

Nous notons vos itérations à la presse depuis cette date.

Nos préoccupations concernant les vaccins génétiques ne se limitent pas à celle d’Astra-Zeneca, mais à tous les vaccins génétiques COVID-19, à savoir ceux d’Astra-Zeneca, Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson.

1a. Notre préoccupation la plus sérieuse concernant TOUS les vaccins géniques est que vous donnez l’impression que la thrombose du sinus veineux cérébral (CVST) est un événement indésirable très rare. En fait, le contraire est probablement vrai. Les symptômes cardinaux de CVST dominent la liste des effets indésirables:

maux de tête intenses

nausée et vomissements

altération de la conscience

troubles de la parole

troubles de la vision

une déficience auditive

paralysie à des degrés divers à divers endroits

perte de contrôle moteur (y compris une perte si grave que les victimes présentent des symptômes identiques de la chorée de Huntington).

Il est impératif qu’une attention médicale appropriée soit accordée à chaque personne qui présente l’un des symptômes ci-dessus.

Il incombe à l’Agence Européenne des Médicaments de diffuser les informations ci-dessus aux médecins et aux autorités responsables.

1b. Une autre préoccupation sérieuse est que vous n’avez pas du tout fait allusion à la formation de «caillots» périphériques.

Il est évident que la formation de «caillots» dans les veines profondes des jambes et des bras peut entraîner une embolie pulmonaire potentiellement mortelle.

1c. En outre, la formation de thrombus dans les petits vaisseaux des poumons peut conduire à un tableau clinique ressemblant à une pneumonie atypique.

1d. En outre, il est d’une importance vitale de comprendre que l’un quelconque des 1a. 1b. 1c. ou toute combinaison de ceux-ci peut conduire via atteinte tuberculinique [NdT. « consumption » en anglais, autre appellation de la tuberculose] de facteurs de coagulation au tableau clinique de la coagulation intravasculaire disséminée (CID) qui est en fait caractérisée par des événements hémorragiques massifs dans la peau et dans d’autres organes du corps.

Il est impératif que tous les diagnostics ci-dessus soient activement recherchés et que tous les cas présentant des symptômes compatibles avec l’un de ces diagnostics soient correctement enregistrés en tant qu’événements indésirables liés au vaccin.

1e. En outre, les effets indésirables à long terme, en particulier le danger de facilitation de l’infection par les anticorps de la maladie et les effets indésirables des vaccinations ultérieures sont impossibles à prédire.

L’Agence Européenne des Médicaments, en tant que régulateur des vaccins pour près de 450 millions de personnes dans 27 États membres de l’Union Européenne, doit informer le public et les autorités compétentes de cette question extrêmement importante.

2. Nous pensons que le nombre de décès dus aux vaccins génétiques que vous avez admis publiquement ne représente qu’un petit pourcentage du nombre réel de décès dus aux vaccins géniques.

3. En ce qui concerne 2. nous soupçonnons que les certificats de décès sont falsifiés, volontairement ou involontairement, en particulier lorsque

4. les autopsies ne sont pas effectuées et

5. lorsque les «lois» entourant la crémation (qui constitue une destruction de preuves dans le contexte actuel de la commission de grands crimes) ont été dangereusement assouplies (3. 4. et 5. selon la loi sur le coronavirus 2020 et la législation équivalente dans le monde) et

6. en particulier au vu du silence assourdissant des 3. 4. et 5. des coroners et des pathologistes du monde entier.

Vous comprendrez que ce cocktail potentiellement mortel est de la plus haute importance, notamment au vu des nombreuses mesures coercitives graves employées sur les populations psychologiquement traumatisées dans le monde pour prendre des vaccins géniques qui ne sont pas sûrs, qui ne sont pas efficaces et qui ne sont pas nécessaires.

Nous vous avons déjà signalé de multiples violations flagrantes du Code de Nuremberg concernant l’expérimentation médicale humaine.

Dans ce contexte, nous vous demandons de divulguer toutes les données que vous détenez et/ou pourriez obtenir sur:

1) les effets des vaccins géniques sur la fertilité chez les femmes en âge de procréer et chez les hommes

2) le nombre d’incinérations effectuées depuis le 8 décembre 2020 inclus et le nombre d’inhumations depuis le 8 décembre 2020 inclus de ceux enregistrés comme décédés du COVID-19 sur leurs certificats de décès, pas nécessairement dans l’Union européenne

3) la justification médicale de l’intervalle entre les deux injections de Pfizer étant porté, avec un délai d’annonce très court, de 3 semaines à 12 semaines, malgré les protestations de Pfizer selon lesquelles ils ne possédaient des données que pour un intervalle de trois semaines

4) la justification médicale du «mélange et appariement» de différents vaccins géniques et

5) la justification médicale pour priver les receveurs de vaccins géniques, dans au moins un État membre de l’Union européenne, de savoir quel vaccin génique ils ont reçu.

Dans l’attente de vous lire.

Nous nous réservons le droit de publier cette communication par e-mail à tout moment.

Cet e-mail est copié à l’avocat Reiner Fuellmich et à d’autres avocats, à Charles Michel, Président du Conseil de l’Europe, à Ursula von der Leyen, Présidente de la Commission Européenne, et à cinq membres de votre personnel.

Recevez nos salutations distinguées,

Doctors for Covid Ethics


Doctors and Scientists Write to the European Medicines Agency, Warning of COVID-19 Vaccine Dangers for a Third Time

Ahead of European Green Certificate (vaccine passport) vote in the European Parliament on April 28, the experts warn that cardinal symptoms of cerebral venous sinus thrombosis (CVST) dominate the list of adverse reactions to COVID-19 vaccines

Doctors for Covid Ethics4 days ago·4 min read

For the urgent personal attention of Emer Cooke, Executive Director of the European Medicines Agency

Emer Cooke, Executive Director, European Medicines Agency, Amsterdam, The Netherlands, 20 April 2021

BY EMAIL ONLY

Dear Sirs/Mesdames,

FOR THE URGENT PERSONAL ATTENTION OF EMER COOKE, EXECUTIVE DIRECTOR OF THE EUROPEAN MEDICINES AGENCY

The European Medicines Agency and those persons who work for that regulatory body, of which body you are Executive Director, were put on notice by Doctors for Covid Ethics on 1 April 2021.

We note your iterations to the press since that date.

Our concerns re the gene-based vaccines are not confined to that of Astra-Zeneca, rather to all the COVID-19 gene-based vaccines, namely those of Astra-Zeneca, Pfizer, Moderna and Johnson & Johnson.

1a. Our most serious concern re ALL the gene-based vaccines is that you convey the impression that cerebral venous sinus thrombosis (CVST) is a very rare adverse event. In fact the opposite is probably true. The cardinal symptoms of CVST dominate the list of adverse reactions:

piercing headache

nausea and vomiting

impaired consciousness

impaired speech

impaired vision

impaired hearing

paralysis of varying degrees in various locations

loss of motor control (including such severe loss that victims mimic the symptoms of Huntington’s Chorea).

It is imperative that proper medical attention is given to every individual who presents with any of the above symptoms.

It is the indirigible duty of the European Medicines Agency to disseminate the above information to medical doctors and responsible authorities.

1b. A further serious concern is that peripheral “clot” formation is not alluded to by you at all.

It is evident that “clot” formation in the deep veins of the legs and arms can lead to life-threatening pulmonary embolism.

1c. Further, thrombus formation in the small vessels of the lungs can lead to a clinical picture resembling atypical pneumonia.

1d. In addition, it is vitally important to understand that any one of 1a. 1b. 1c. or any combination of these can lead via consumption of coagulation factors to the clinical picture of disseminated intravascular coagulation (DIC) which is actually characterised by massive bleeding events into the skin and into other organs of the body.

It is imperative that all the above diagnoses are actively searched for and that all cases displaying symptoms consistent with any of these diagnoses are recorded properly as adverse vaccine-related events.

1e. Furthermore, long term adverse effects, in particular the danger of immune dependant enhancement of disease and adverse effects of subsequent vaccinations are impossible to predict.

The European Medicines Agency, as the regulator re vaccines for almost 450 million people across 27 European Union member states, must inform the public and the relevant authorities of this profoundly important issue.

2. We believe that the number of deaths due to the gene-based vaccines to which you have publicly admitted is but a small percentage of the actual number of deaths due to the gene-based vaccines.

3. With regard to 2. we suspect that death certificates are being falsified, whether wittingly or unwittingly, particularly when

4. post-mortems are not being performed and

5. when the “laws” surrounding cremation (which constitutes destruction of evidence in the present context of the commission of great crimes) have been dangerously relaxed (3. 4. and 5. as per the Coronavirus Act 2020 and equivalent legislation worldwide) and

6. particularly in view of the deafening silence re 3. 4. and 5. from coroners and pathologists worldwide.

You will understand that this potentially lethal cocktail is of the highest importance, particularly in view of the numerous serious coercive measures being employed on psychologically traumatised populations worldwide to take gene-based vaccines which are not safe, which are not effective and which are not needed.

We have previously made you aware of multiple gross violations of the Nuremberg Code re human medical experimentation.

With this background, we ask that you disclose all data which you hold and/or could obtain on:

1) the effects of the gene-based vaccines on fertility in women of child bearing age, and in men

2) the number of cremations performed since and including 8 December 2020 and the number of burials since and including 8 December 2020 of those recorded as having died from COVID-19 on their death certificates, not necessarily in the European Union

3) the medical justification for the interval between the two Pfizer injections being increased at short notice from 3 weeks to 12 weeks, despite protests from Pfizer that they only possessed data for a three week interval

4) the medical justification for “mixing and matching” of different gene-based vaccines and

5) the medical justification for depriving recipients of the gene-based vaccines, in at least one European Union member state, of knowledge of which gene-based vaccine they have received.

We look forward to hearing from you.

We reserve the right to publish this email communication at any time.

This email is copied to the lawyer Reiner Fuellmich and other lawyers, to Charles Michel, President of the Council of Europe, to Ursula von der Leyen, President of the European Commission, and to five members of your staff.

Yours faithfully,

Doctors for Covid Ethics

Lettre de réfutation adressée à l’Agence Européenne des Médicaments par Doctors for Covid Ethics, 1er avril 2021.

Source. Voici le deuxième courrier adressé par Doctors for Covid Ethics à l’EMA. Elle répond à la lettre de l’EMA qui se trouve ici – non traduite.

Le premier est ici, le troisième ici.

Traduction

Lettre de réfutation adressée à l’Agence Européenne des Médicaments par Doctors for Covid Ethics, 1er avril 2021.

Les médecins, scientifiques, avocats et collègues des disciplines connexes peuvent signer la lettre ouverte en envoyant leur nom, leurs qualifications, leurs domaines d’expertise et leur pays de pratique à: Doctors4CovidEthics@protonmail.com, avec vérification en ligne (par exemple, lieu de travail ou lien d’inscription, pas pour publication).

Doctors for Covid Ethics 1 avril, temps de lecture 1·9 minutes

De Doctors for Covid Ethics

Emer Cooke, directeur exécutif, Agence Européenne des Médicaments, Amsterdam, Pays-Bas

1er avril 2021

Mesdames et Messieurs,

À L’ATTENTION PERSONNELLE URGENTE DE: EMER COOKE, DIRECTEUR EXÉCUTIF DE L’AGENCE EUROPÉENNE DES MÉDICAMENTS

Nous accusons réception de votre réponse du 23 mars à notre lettre datée du 28 février, demandant l’assurance que les risques prévisibles de «vaccins» géniques COVID-19 avaient été écartés dans les essais sur les animaux avant l’utilisation chez l’homme. Nos préoccupations découlent de plusieurs sources de preuves, notamment que la «protéine de pointe» du SRAS-CoV-2 n’est pas une protéine d’amarrage passive, mais que sa production est susceptible de déclencher la coagulation sanguine via de multiples mécanismes.

Malheureusement, votre réponse du 23 mars n’est ni convaincante ni acceptable. Nous sommes consternés que vous choisissiez de répondre à notre demande d’informations d’une importance cruciale de manière dédaigneuse et non-scientifique. Une telle approche cavalière de la sécurité des vaccins crée l’impression fâcheuse que l’EMA sert les intérêts des sociétés pharmaceutiques-mêmes dont il est de votre devoir d’évaluer les produits. Les preuves montrent clairement qu’il existe des risques d’événements indésirables graves et qu’un certain nombre de personnes, non exposées au risque de SRAS-CoV-2, sont décédées après la vaccination.

  1. Vous admettez que les «vaccins», qui sont plus précisément décrits comme des agents géniques expérimentaux, pénètrent dans la circulation sanguine, mais vous ne pouvez évidemment pas fournir de données quantitatives. En l’absence de ces dernières, toute évaluation scientifique que vous prétendez avoir entreprise manque de fondement.
  2. Votre déclaration selon laquelle les études non cliniques n’indiquent aucune absorption détectable des vaccins dans les cellules endothéliales manque de crédibilité. Nous exigeons de voir les preuves scientifiques. Si elles ne sont pas disponibles, il faut supposer que les cellules endothéliales sont ciblées.
  3. L’auto-attaque n’aurait pas pu être exclue chez les animaux à moins qu’ils n’aient été préalablement immunologiquement amorcés. Nous exigeons des preuves que de telles expériences ont été réalisées. Des expériences similaires ont déjà été entreprises avec des vaccins candidats antérieurs, infructueux, et une facilitation de l’infection par les anticorps [NdT. voir sur Wikipedia], fatale, de la maladie a été observée.
  4. Nous avons demandé des preuves scientifiques, et non une description vague de ce qui aurait été observé lors d’expériences animales non valides. Votre mention superficielle des résultats de laboratoire chez les humains est cynique. Compte tenu du lien plausible entre la production de protéines de pointe et l’émergence d’événements indésirables graves (EIG) thromboemboliques, nous exigeons de voir les résultats des déterminations des D-dimères. Comme vous le savez, le D-dimère est un très bon test pour diagnostiquer la thrombose.

Après délivrance de notre lettre le 1er mars, des événements ont suivi qui ont démenti votre réponse à nos trois dernières questions dans une mesure que l’on ne peut que qualifier d’embarrassante. Comme nous le craignions, des coagulopathies sévères et mortelles sont survenues chez de jeunes individus après «vaccination», conduisant 15 pays à suspendre leur programme de «vaccination» AZ. Une enquête officielle de l’EMA sur les cas d’individus plus jeunes affligés a suivi, dont les résultats ont été annoncés par l’OMS le 17 mars 2021, déclarant: «Pour le moment, l’OMS considère que les bénéfices du vaccin AstraZeneca l’emportent sur ses risques et recommande que les vaccinations se poursuivent. »

Sur quoi cette décision était-elle fondée? L’OMS n’est pas un organisme compétent pour évaluer formellement la sécurité des médicaments. C’est explicitement le rôle de l’agence que vous dirigez.

Dans votre communiqué de presse, vous avez divulgué les informations suivantes pour étayer votre conclusion. Vous aviez examiné les données sur deux conditions mortellement dangereuses qui s’étaient produites dans les 14 jours suivant la «vaccination»: CIVD, coagulation intravasculaire disséminée; et TVC, thrombose veineuse des sinus cérébraux [NdT. voir Wikipedia]. 5 CIVD et 18 TVC étaient enregistrés, avec un nombre total de décès de 9. La plupart des cas étaient des personnes âgées de moins de 55 ans. 5 CIVD et 12 TVC avaient moins de 50 ans. Aucun n’a été signalé comme ayant eu une maladie préexistante grave.

Vous avez indiqué des chiffres «normalement» attendus: CIVD <1, TVC 1.3.

Par conséquent, pour ces conditions très rares, un lien avec la vaccination ne pouvait pas être entièrement écarté. Cependant, étant donné que 20 millions d’individus avaient été «vaccinés», les avantages étaient considérés comme largement supérieurs aux risques.

Mais en fait, votre communiqué de presse a montré de façon flagrante que le «vaccin» AZ a le potentiel de déclencher la coagulation intravasculaire, que les risques réels l’emportent largement sur les avantages théoriques, et que toute autorité ayant le moindre sens des responsabilités doit en suspendre l’usage ultérieur.

  1. Concernant vos chiffres d’incidence pour les personnes de moins de 50 ans dans la population «vaccinée» par rapport à la population «normale»:

TVC: 12 contre 1,3.

Une multiplication par 9 est au-delà de la plage de coïncidence.

CIVD: 5 contre <1.

Comme nous espérons que vous le savez, le CIVD ne se produit jamais à l’improviste chez les individus en bonne santé. L’incidence ne doit pas être déclarée <1 alors qu’en réalité elle est nulle.

PAR CONSÉQUENT, LES CAS CIVD REPRÉSENTENT UNE PREUVE CONCLUANTE QUE LE VACCIN AZ SEUL PEUT DÉCLENCHER LA COAGULATION INTRAVASCULAIRE.

  1. Supposons que 10 millions de receveurs du «vaccin» avaient moins de 60 ans et que cela a été suivi de 9 décès dus aux CIVD et TVC. Le nombre de morts sur 60 millions de «vaccinations» serait extrapolable à 54.

La pandémie a frappé environ 60 millions de personnes de moins de 60 ans en Allemagne.

Au cours des 6 premiers mois, il aurait coûté la vie à 52 personnes sans maladie préexistante (https://www.rki.de/DE/Content/Gesundheitsmonitoring/JoHM/2020/JoHM_Inhalt_20_S11.html)

En raison du manque de fiabilité des tests PCR et de la manière totalement nouvelle de déterminer les décès « avec covid19 », la valeur de 52 est une surestimation du bilan réel de la maladie, ce qui affaiblit encore davantage votre affirmation déjà inadéquate sur le rapport bénéfice-risque.

Comment pouvez-vous alors déclarer que les avantages de la vaccination l’emportent largement sur les risques? Nous exigeons votre réponse étayée par des faits et des chiffres que nous communiquerons au public.

  1. D’autres considérations montrent l’ampleur vraiment effrayante de votre affirmation irresponsable.

La TVC, thrombose veineuse cérébrale, est toujours une condition potentiellement mortelle qui nécessite une attention médicale immédiate. Le nombre de cas que vous avez admis s’être produits ne peut représenter que la pointe d’un énorme iceberg. Comme vous devez le savoir, les symptômes les plus courants du TVC sont des maux de tête intenses, une vision trouble, des nausées et des vomissements. Dans les cas graves, des symptômes semblables à ceux d’un AVC surviennent, notamment des troubles de la parole, de la vision et de l’audition, un engourdissement corporel, une faiblesse, une diminution de la vigilance et une perte de contrôle moteur.

Vous n’êtes certainement pas inconscient du fait que d’innombrables personnes ont souffert précisément de tels symptômes directement après des «vaccinations» avec tous les agents géniques expérimentaux.

La formation de caillots dans les veines profondes des jambes peut entraîner des embolies pulmonaires mortelles. Vous devez sûrement savoir que des thromboses veineuses périphériques ont été rapportées à plusieurs reprises après des «vaccinations» avec tous les agents géniques expérimentaux

Les microthromboses dans le système vasculaire pulmonaire peuvent conduire à un diagnostic erroné de pneumonie. En combinaison avec une PCR faussement positive (avec des seuils de cycle élevés), ceux-ci seront alors enregistrés comme cas COVID-19. Vous devez sûrement savoir que ce scénario s’est probablement reproduit à plusieurs reprises après des «vaccinations» avec tous les agents géniques expérimentaux.

Dans tous les cas, la formation étendue de thrombus peut conduire à l’atteinte tuberculinique [NdT. « consumption » est une autre appellation de la tuberculose] de plaquettes et de facteurs de coagulation, entraînant une diathèse hémorragique et des saignements à tous les endroits possibles. Vous devez sûrement savoir que des saignements cutanés abondants ont été observés à plusieurs reprises après des «vaccinations» avec tous les agents géniques expérimentaux.

Étant donné qu’il existe une explication mécanistiquement plausible à ces effets indésirables thromboemboliques (EIT), à savoir que les produits géniques incitent les cellules humaines à fabriquer une protéine de pointe potentiellement pro-thrombotique, l’hypothèse raisonnée et responsable doit maintenant être que cela peut être un effet de classe [NdT. un effet médicamenteux produit par tous les membres d’un groupe de médicaments chimiquement apparentés et pas seulement par un seul médicament de cette classe]. En d’autres termes, les dangers doivent être exclus pour tous les vaccins géniques autorisés d’urgence, et pas seulement pour le produit AZ.

Nous vous exhortons à adopter cette position à moins et jusqu’à ce qu’il y ait des données offrant une confiance clinique élevée à l’effet contraire. Nous sommes tout à fait disposés à collaborer avec l’Agence afin de contribuer à l’élaboration d’un plan de pharmacovigilance ciblé pour atteindre cet objectif. Compte tenu de ce qui précède, nous espérons que vous savez que tous les événements thrombotiques peuvent être rapidement diagnostiqués par la mesure des D-Dimères dans le sang. Et cette bonne pratique médicale exige impérativement que des tentatives soient entreprises pour diagnostiquer le TVC chez tout patient, jeune ou vieux, présentant les signes et symptômes typiques après «vaccination».

Compte tenu du potentiel d’effets indésirables, potentiellement mortels, il est tout à fait inapproprié et inacceptable que l’EMA autorise ces produits, qui ne détiennent que des autorisations d’utilisation d’urgence, à être administrés à des personnes plus jeunes (<60 ans) en bonne santé, car elles présentent des risques non-mesurables de SARS-CoV-2.

Ne pas rendre cela explicite est, à notre avis, une imprudence commise initialement et doublement maintenant.

Tout aussi important, vous êtes tenu par le devoir de rechercher s’il existe des raisons pour les vagues de décès survenus à la suite de la «vaccination» des résidents âgés dans les établissements de soins et les maisons de retraite. Ou affirmez-vous que les dangers des événements thrombotiques dérivés du «vaccin» sont limités aux personnes plus jeunes? Sinon, restreindre leur utilisation à un seul groupe d’âge – comme décidé en Allemagne – équivaut à rien de moins qu’un génocide monstrueux et toléré de l’autre.

Pour terminer, le fait de ne pas informer les bénéficiaires de «vaccins» des risques et des avantages négligeables décrits ici représente de graves violations de l’éthique médicale et des droits médicaux des citoyens. Ces violations sont particulièrement graves car tous les risques que nous décrivons devraient augmenter à chaque revaccination et à chaque exposition intermédiaire au coronavirus. Cela rend à la fois la vaccination répétée et les coronavirus communs dangereux pour les groupes d’âge jeunes et en bonne santé, pour lesquels – en l’absence de «vaccination» – le COVID-19 ne pose aucun risque substantiel.

Telle est la véritable analyse risque-bénéfice des «vaccins» COVID-19. Soit l’EMA n’a pas l’expertise en la matière pour apprécier la science moléculaire de cette réalité, soit elle n’a pas l’éthique médicale pour agir en conséquence.

Au mieux, nous considérons que la position de complaisance de l’EMA sur les dangers des vaccins est symptomatique du fait que, dans le cadre de la réponse politico-médicale dominante au COVID-19, l’éthique médicale est passée du cabinet de consultation à un stade géopolitique. Face à un problème médical, l’intervention médicale de masse a vu la pratique de la médecine être prise des mains des médecins. Dans ce contexte politisé, les acteurs corporatifs et politiques peuvent se considérer comme libres de contraintes éthiques, opérant sans lien avec un code d’éthique médicale, contrairement aux médecins. Cependant, tous les acteurs sont liés par le Code de Nuremberg.

Le Code de Nuremberg interdit l’expérimentation humaine du type même approuvé et défendu par l’EMA. Même selon les termes de leur propre autorisation initiale de la FDA, les vaccins COVID-19 sont considérés comme «expérimentaux» et leurs receveurs «des sujets humains», qui ont, par définition, droit au consentement éclairé. https://www.fda.gov/regulatory-information/search-fda-guidance-documents/emergency-use-investigational-drug-or-biologic#:~:text=Emergency%20use%20is%20defined%20as,21 % 20CFR% 2056,102 (d)% 5D.

Tromper les populations pour qu’elles acceptent des agents de recherche tels que les «vaccins» géniques COVID-19, ou les contraindre par des «passeports vaccinaux», constitue des violations manifestes et flagrantes du Code de Nuremberg. Le Code de Nuremberg impose le consentement éclairé volontaire «sans intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie [ou] de contrainte». https://history.nih.gov/display/history/Nuremberg+Code

En d’autres termes, les citoyens ont le droit, en vertu du Code de Nuremberg et des protections connexes, de ne pas être involontairement soumis à des expériences médicales. Il est clair que ces agents expérimentaux doivent être CONTRE-INDIQUÉS chez les personnes ne présentant pas un risque élevé de maladie grave et de décès en cas d’infection par le SRAS-CoV-2. En outre, l’utilisation des agents expérimentaux doit également être suspendue dans la population âgée jusqu’à ce qu’une évaluation risque-bénéfice ait été correctement conduite. Dans tous les cas, l’étiquette du vaccin doit être révisée pour refléter les événements indésirables graves récemment apparus et abordés ici.

Nous rappelons à l’EMA que les violations du Code de Nuremberg constituent des crimes contre l’Humanité au sens de la Convention de Genève. Les crimes contre l’Humanité sont considérés comme «les pires atrocités connues de l’humanité» et sont poursuivis en vertu du Statut de Rome de la Cour pénale Internationale. https://www.un.org/en/chronicle/article/role-international-criminal-court-ending-impunity-and-establishing-rule-law

Compte tenu des centaines de millions et éventuellement des milliards de personnes qui pourraient être contraintes d’accepter ces agents, l’EMA, en s’éloignant constamment du débat public et de la vérité, sera considérée par les avocats et les historiens comme ayant activement contribué à des crimes contre l’Humanité, avec le tout le poids des implications pour toutes les parties impliquées. Nous exigeons que vous vous engagiez ouvertement avec nous pour veiller à ce que le public ait une compréhension objective du profil de risque clinique de ces interventions génétiques.

Vous comprenez que des pressions coercitives sont exercées sur les citoyens pour qu’ils reçoivent les vaccins COVID-19, qui sont des traitements médicaux expérimentaux. Votre responsabilité envers ces citoyens inclut de veiller à ce qu’ils soient informés des risques d’événements indésirables liés à chacun de ces traitements. À ce jour, vous ne l’avez pas fait et vous avez plutôt induit le public en erreur sur la réalité du profil risque-bénéfice des «vaccins».

Si vous continuez à cacher la vérité, des efforts seront faits pour la mettre en lumière et pour que justice soit faite. Pour le bien des blessés et des morts, et pour protéger d’autres vies contre des destins similaires.

REMARQUE

Pour éviter toute ambiguïté, si votre organisme de réglementation ne suspend pas immédiatement sa recommandation «d’urgence» de «vaccins» génétiques insuffisamment testés potentiellement dangereux, tandis que les questions que nous vous avons mises en évidence sont correctement examinées, nous mettons en demeure par la présente l’Agence Européenne des Médicaments de sa complicité à une expérimentation médicale, en violation du Code de Nuremberg, qui constitue ainsi la commission de crimes contre l’Humanité

En outre, il est de votre devoir indirigé en tant qu’organisme de réglementation de veiller à ce que tous les médecins du monde entier soient informés qu’ils participent à des expérimentations médicales via des programmes de «vaccination», que ce soit volontairement ou non, avec toutes les obligations légales et éthiques que cette implication entraîne.

Copie de cet e-mail est envoyé à l’avocat Reiner Fuellmich. Il est également copié à Charles Michel, président du Conseil de l’Europe, et à Ursula von der Leyen, présidente de la Commission Européenne.

Cordialement votre,

Doctors for Covid Ethics

Les médecins, scientifiques, avocats et collègues des disciplines connexes peuvent signer les lettres ouvertes en envoyant leur nom, leurs qualifications, leurs domaines d’expertise et leur pays de pratique à: Doctors4CovidEthics@protonmail.com, avec vérification sur le Web (par exemple, lieu de travail ou lien d’inscription, pas pour publication ).


Texte original

Rebuttal letter to European Medicines Agency from Doctors for Covid Ethics, April 1, 2021

Doctors, scientists, lawyers and colleagues in allied disciplines can sign the open letter by sending their name, qualifications, areas of expertise and country of practice to: Doctors4CovidEthics@protonmail.com, with web verification (eg workplace or registration link, not for publication).

Doctors for Covid Ethics Apr 1·9 min read

From Doctors for Covid Ethics

Emer Cooke, Executive Director, European Medicines Agency, Amsterdam, The Netherlands

April 1st, 2021

Ladies and Gentlemen,

FOR THE URGENT PERSONAL ATTENTION OF: EMER COOKE, EXECUTIVE DIRECTOR OF THE EUROPEAN MEDICINES AGENCY

We acknowledge receipt of your March 23 reply to our letter dated February 28, seeking reassurance that foreseeable risks of gene-based COVID-19 “vaccines” had been ruled out in animal trials prior to human use. Our concerns arise from multiple lines of evidence, including that the SARS-CoV-2 “spike protein” is not a passive docking protein, but its production is likely to initiate blood coagulation via multiple mechanisms.

Regrettably, your reply of March 23 is unconvincing and unacceptable. We are dismayed that you choose to respond to our request for crucially important information in a dismissive and unscientific manner. Such a cavalier approach to vaccine safety creates the unwelcome impression that the EMA is serving the interests of the very pharmaceutical companies whose products it is your pledged duty to evaluate. The evidence is clear that there are some serious adverse event risks & that a number of people, not at risk from SARS-CoV-2, have died following vaccination.

1. You concede that the “vaccines”, which are more accurately described as investigational gene-based agents, enter the bloodstream but you can obviously provide no quantitative data. In the absence of the latter, any scientific assessment you purport to have undertaken lacks foundation.

2. Your statement that non-clinical studies do not indicate any detectable uptake of the vaccines into endothelial cells lacks credibility. We demand to see the scientific evidence. If not available, it must be assumed that endothelial cells are targeted.

3. Auto-attack could not have been excluded in animals unless they had been immunologically primed beforehand. We demand evidence that such experiments had been performed. Similar experiments have been undertaken before with previous, unsuccessful candidate vaccines, and fatal, antibody-dependent enhancement of disease was observed.

4. We requested scientific evidence, not a vague description of what was purportedly seen in non-valid animal experiments. Your cursory mention of laboratory findings in humans is cynical. In view of the plausible connection between production of spike protein and the emergence of thromboembolic serious adverse events (SAEs), we demand to see the results of D-dimer determinations. As you are aware, D-dimer is a very good test as an aid to diagnose thrombosis.

After delivery of our letter to you on March 1, events followed that debunk your response to our last three queries to an extent that can only be termed embarrassing. As we feared, severe and fatal coagulopathies occurred in young individuals following “vaccination”, leading 15 countries to suspend their AZ-“vaccination” program. An official investigation by the EMA into the cases of afflicted younger individuals followed, the results of which were announced by the WHO on March 17, 2021, stating: “At this time, WHO considers that the benefits of the AstraZeneca vaccine outweigh its risks and recommends that vaccinations continue.”

What was this decision based upon? The WHO is not a competent body for formally evaluating drug safety. That is explicitly the role of the agency you lead.

In your press release, you disclosed the following information to support your conclusion. You had scrutinized data on two mortally dangerous conditions that had followed within 14 days of “vaccination”: DIC, disseminated intravascular coagulation; and CSVT, cerebral sinus vein thrombosis. 5 DIC and 18 CSVT were on record, with a total death toll of 9. Most cases were <55 year-old individuals. 5 DIC and 12 CSVT were under 50 years of age. None were reported as having had serious pre-existing illness.

You stated numbers that “normally” would be expected : DIC <1, CSVT 1.3.

Consequently, for these very rare conditions, a link to vaccination could not entirely be dismissed. However, given that 20 million individuals had been “vaccinated”, the benefits were deemed to far outweigh the risks.

But in fact, your Press Release rendered it glaringly apparent that the AZ-“vaccine” does have the potential to trigger intravascular coagulation, that the true risks far outweigh any theoretical benefits, and that any authority with the slightest sense of responsibility must suspend its further use.

1. Regard your incidence numbers for <50 year old individuals in the “vaccinated” versus “normal” population:

CSVT : 12 versus 1.3.

A 9-fold increase is beyond the range of coincidence.

DIC : 5 versus <1.

As we hope you know, DIC neveroccurs out of the blue in healthy individuals. The incidence should not be stated as <1 when in reality it is ZERO.

ACCORDINGLY, THE DIC CASES REPRESENT CONCLUSIVEEVIDENCE THAT THE AZ-VACCINE ALONE CAN TRIGGER INTRAVASCULAR COAGULATION .

2. Assume that 10 million recipients of the “vaccine” were < 60 yrs and this was followed by 9 deaths due to DIC and SVCT. The death toll upon 60 million “vaccinations” would be extrapolatable to 54.

The pandemic hit around 60 million individuals < 60 yrs in Germany.

During the first 6 months it reportedly claimed 52 lives of individuals without pre-existing illness (https://www.rki.de/DE/Content/Gesundheitsmonitoring/JoHM/2020/JoHM_Inhalt_20_S11.html)

Because of the unreliability of PCR testing and because of the completely novel way that deaths ‘with covid19’ are determined, the value of 52 is an over-estimate of the real burden of disease, further weakening your already-inadequate claim for risk-benefit.

How, then, can you declare that the benefits of vaccination far outweigh the risks? We demand your reply supported by facts and figures that we will convey to the public.

3. Further considerations expose the truly frightful dimensions of your irresponsible assertion.

CSVT, cerebral venous thrombosis, is always a life-threatening condition that demands immediate medical attention. The number of cases you conceded had occurred can represent just the tip of a huge iceberg. As you must know, the most common symptoms of CSVT are piercing headache, blurred vision, nausea and vomiting. In severe cases, stroke-like symptoms occur including impairment of speech, vision and hearing, body numbness, weakness , decreased alertness and loss of motoric control.

Surely, you are not oblivious to the fact that countless individuals suffered from precisely such symptoms directly following “vaccinations” with all the experimental gene-based agents.

Clot formation in deep leg veins can lead to lethal pulmonary embolisms. Surely you must know that peripheral venous thromboses have repeatedly been reported following “vaccinations” with all the experimental gene-based agents

Microthromboses in the lung vasculature can lead to misdiagnosis of pneumonia. In combination with false-positive PCR (with high cycle thresholds), these will then be registered as COVID 19 cases. Surely you must know that this scenario has probably repeatedly taken place following “vaccinations” with all the experimental gene- based agents.

In all events, extensive thrombi formation can lead to consumption of platelets and coagulation factors, resulting in hemorrhagic diathesis and bleeding at all possible locations. Surely you must know that profuse skin bleedings have repeatedly been observed following “vaccinations” with all the experimental gene-based agents.

Given that there is a mechanistically plausible explanation for these thromboembolic adverse drug reactions (TE ADRs), namely that the gene-based products induce human cells to manufacture potentially pro-thrombotic spike protein, the reasoned & responsible assumption must now be that this may be a class effect. In other words, the dangers must be ruled out for all emergency-authorised gene-based vaccines, not merely the AZ product.

We urge you to adopt this stance unless and until there is data providing high clinical confidence to the contrary. We are very willing to liaise with the Agency in order to help craft a focussed pharmacovigilance plan to accomplish this goal. With the above in mind, we hope you are aware that all thrombotic events can be rapidly diagnosed by measurement of D-Dimers in blood. And that good medical practice imperatively demands that attempts are undertaken to diagnose CSVT in any and every patient, young or old, presenting with the typical signs and symptoms following “vaccination”.

Given the potential for adverse effects, potentially fatal ones, it is completely inappropriate and unacceptable that EMA permits these products, which hold only emergency use authorisations, to be administered to younger (<60y) people who are healthy, as they are at unmeasurable risks from SARS-CoV-2.

Not to make this explicit is, in our view, a reckless stance to have taken in the first place and doubly so now.

Of equal importance, you are bound by duty to investigate whether reasons exist for the waves of deaths that have occurred following “vaccination” of elderly residents in care and senior homes. Or are you asserting that dangers of “vaccine”-derived thrombotic events are limited to younger individuals? If not, restricting their use solely in one age group — as decided upon in Germany — equates with nothing less than monstrous, condoned genocide of the other.

In closing, failure to inform “vaccine” recipients of the risks and negligible benefits outlined here represents serious violations of medical ethics and citizens’ medical rights. Those violations are especially grave as all the risks we describe can be expected to increase with each re-vaccination, and each intervening coronavirus exposure. This renders both repeated vaccination and common coronaviruses dangerous to young and healthy age groups, for whom — in the absence of “vaccination” — COVID-19 poses no substantive risk.

Such is the real risk-benefit analysis of the COVID-19 “vaccines”. Either the EMA lacks the subject-matter expertise to appreciate the molecular science of this reality, or it lacks the medical ethics to act accordingly.

At best, we regard the EMA’s complacent stance on vaccine dangers to be symptomatic of the fact that, under the prevailing politico-medical response to COVID-19, medical ethics has migrated from the consulting room to a geopolitical stage. Faced with a medical problem, mass-medical intervention has seen the practice of medicine taken from doctors’ hands. In this politicized context, corporate and political actors may consider themselves free from ethical constraints, operating unbound by a medical code of ethics, unlike medical doctors. All actors, however, are bound by the Nuremberg Code.

The Nuremberg Code prohibits human experimentation of the very kind being endorsed and defended by the EMA. Even under the terms of their own original FDA authorization, COVID-19 vaccines are deemed “investigational” and their recipients “human subjects”, who are, by definition, entitled to informed consent. https://www.fda.gov/regulatory-information/search-fda-guidance-documents/emergency-use-investigational-drug-or-biologic#:~:text=Emergency%20use%20is%20defined%20as,21%20CFR%2056.102(d)%5D.

Misleading populations into accepting investigational agents such as the gene-based COVID-19 “vaccines”, or coercing them through “vaccine passports”, constitutes clear and egregious violations of the Nuremberg Code. The Nuremberg Code mandates voluntary informed consent “without the intervention of any element of force, fraud, deceit [or] duress”. https://history.nih.gov/display/history/Nuremberg+Code

In other words, citizens have the right under the Nuremberg Code and related protections not to be subject involuntarily to medical experiments. It is clear that these experimental agents should be CONTRA-INDICATED in individuals not at elevated risk of serious illness & death if infected by SARS-CoV-2. Furthermore, the use of the experimental agents must also be withheld in the elderly population until a risk-benefit assessment has been properly conducted. In any event, the vaccine label must be revised to reflect the recently emerged serious adverse events addressed here.

We remind the EMA that Nuremberg violations constitute crimes against humanity under the Geneva Convention. Crimes against humanity are deemed “the worst atrocities known to mankind”, and are prosecuted under the Rome Statute of the International Criminal Court. https://www.un.org/en/chronicle/article/role-international-criminal-court-ending-impunity-and-establishing-rule-law

Given the hundreds of millions and eventually billions of people who may be coerced into accepting these agents, the EMA, in persistently shrinking from open debate and the truth, will be seen by lawyers and historians as having actively assisted in crimes against humanity, with the full weight of the implications to all involved. We demand thatyou engage openly with us to ensure that the public have an objective understanding of the clinical risk profile of these gene-based interventions.

You understand that coercive pressure is being placed on citizens to receive COVID-19 vaccines, which are experimental medical treatments. Your responsibility to those citizens includes ensuring that they are informed of the adverse event risks of every such treatment. To date you have failed to do so, and have instead misled the public on the reality of the “vaccines’” risk-benefit profile.

If you continue to conceal the truth, efforts will be made to bring this to light and to see that justice is done. For the sake of the injured and the dead, and to protect further lives from similar fates.

NOTICE

For the avoidance of doubt, if your regulatory body does not immediately suspend its “emergency” recommendation of potentially dangerous inadequately tested gene-based “vaccines”, while the matters which we have highlighted to you are properly investigated, we hereby put the European Medicines Agency on notice of being complicit in medical experimentation, in violation of the Nuremberg Code, which thereby constitutes the commission of crimes against humanity.

Furthermore, it is your indirigible duty as a regulatory body to ensure that all doctors worldwide are advised that they are taking part in medical experimentation via “vaccination” programmes, whether wittingly or unwittingly, with all the legal and ethical obligations that such involvement entails.

This email is copied to the lawyer Reiner Fuellmich. It is also copied to Charles Michel, President of the Council of Europe, and to Ursula von der Leyen, President of the European Commission.

Yours faithfully,

Doctors for Covid Ethics

Doctors, scientists, lawyers and colleagues in allied disciplines can sign the open letters by sending their name, qualifications, areas of expertise and country of practice to: Doctors4CovidEthics@protonmail.com, with web verification (eg workplace or registration link, not for publication).

Lettre ouverte urgente de médecins et de scientifiques à l’Agence Européenne des Médicaments concernant les problèmes de sécurité des vaccins COVID-19.

Source.

Traduction

Lettre ouverte urgente de médecins et de scientifiques à l’Agence Européenne des Médicaments concernant les problèmes de sécurité des vaccins COVID-19

Les médecins, scientifiques, avocats et collègues des disciplines connexes peuvent signer la lettre ouverte en envoyant leur nom, leurs qualifications, leurs domaines d’expertise et leur pays de pratique à: Doctors4CovidEthics@protonmail.com, avec vérification en ligne (par exemple, lieu de travail ou lien d’inscription, pas pour publication ).

Doctors for Covid Ethics, 10 mars, temps de lecture 10·14 minutes

Emer Cooke, directeur exécutif, Agence Européenne des Médicaments, Amsterdam, Pays-Bas

28 février 2021

Chers Messieurs / Mesdames,

À L’ATTENTION PERSONNELLE URGENTE DE: EMER COOKE, DIRECTEUR EXÉCUTIF DE L’AGENCE EUROPÉENNE DES MÉDICAMENTS

En tant que médecins et scientifiques, nous soutenons en principe l’utilisation de nouvelles interventions médicales qui sont développées et déployées de manière appropriée, après avoir obtenu le consentement éclairé du patient. Cette position englobe les vaccins au même titre que la thérapeutique.

Nous notons qu’un large éventail d’effets secondaires est signalé après la vaccination d’individus plus jeunes auparavant en bonne santé avec les vaccins géniques COVID-19. De plus, il y a eu de nombreux reportages dans les médias du monde entier faisant état de maisons de soins frappées par le COVID-19 dans les jours suivant la vaccination des résidents. Bien que nous reconnaissions que ces événements pourraient, chacun pris à part , avoir été des coïncidences malheureuses, nous sommes préoccupés par le fait qu’il y a eu et qu’il continue à y avoir un examen inadéquat des causes possibles de maladie ou de décès dans ces circonstances, et particulièrement en l’absence d’examens post mortem.

En particulier, nous nous demandons si les problèmes cardinaux concernant la sécurité des vaccins ont été correctement traités avant leur approbation par l’Agence Européenne des Médicaments (EMA).

De toute urgence, nous demandons par la présente à l’EMA de nous apporter des réponses aux problèmes suivants:

  1. Après une injection intramusculaire, il faut s’attendre à ce que les vaccins géniques atteignent la circulation sanguine et se diffusent dans tout le corps [1]. Nous demandons des preuves que cette possibilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l’homme par l’EMA.
  2. Si de telles preuves ne sont pas disponibles, il faut s’attendre à ce que les vaccins restent piégés dans la circulation et soient absorbés par les cellules endothéliales. Il y a des raisons de supposer que cela se produira en particulier sur les sites de flux sanguin lent, c’est-à-dire dans les petits vaisseaux et capillaires [2]. Nous demandons des preuves que cette probabilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l’homme par l’EMA.
  3. Si de telles preuves ne sont pas disponibles, il faut s’attendre à ce que lors de l’expression des acides nucléiques des vaccins, les peptides dérivés de la protéine de pointe soient présentés via le CMH de type 1 [NdT. complexe majeur d’histocompatibilité] à la surface luminale des cellules. De nombreux individus sains ont des lymphocytes CD8 qui reconnaissent ces peptides, ce qui peut être dû à une infection antérieure au COVID, mais aussi à des réactions croisées avec d’autres types de coronavirus [3; 4] [5]. Nous devons supposer que ces lymphocytes vont monter une attaque sur les cellules respectives. Nous demandons des preuves que cette probabilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l’homme par l’EMA.
  4. Si de telles preuves ne sont pas disponibles, il faut s’attendre à ce que des lésions endothéliales avec déclenchement ultérieur de la coagulation sanguine via l’activation des plaquettes se produisent à d’innombrables sites dans tout le corps. Nous demandons des preuves que cette probabilité a été exclue dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l’homme par l’EMA.
  5. Si de telles preuves ne sont pas disponibles, il faut s’attendre à ce que cela conduise à une baisse du nombre de plaquettes, à l’apparition de D-dimères dans le sang [NdT. Les D-dimères sont un produit de la dégradation de la fibrine (élément final de la coagulation sanguine) – Wikipedia] et à une myriade de lésions ischémiques dans tout le corps, y compris dans le cerveau, la moelle épinière et le cœur. Des troubles hémorragiques peuvent survenir à la suite de ce nouveau type de syndrome CIVD [NdT. La coagulation intravasculaire disséminée souvent appelée CIVD (ou encore syndrome de défibrination ou coagulopathie de consommation) est une activation pathologique de la coagulation (formation de caillots sanguins) – Wikipedia], y compris, entre autres possibilités, des saignements abondants et des accidents vasculaires cérébraux hémorragiques. Nous demandons la preuve que toutes ces possibilités ont été exclues dans les modèles animaux précliniques avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l’homme par l’EMA.
  6. La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 se lie au récepteur ACE2 sur les plaquettes, ce qui entraîne leur activation [6]. Une thrombopénie [NdT. Une thrombopénie (ou thrombocytopénie1, ou hypoplaquettose2) est une anomalie de la quantité de thrombocytes (plaquettes) dans le sang, caractérisée par une diminution du nombre de thrombocytes en dessous du seuil de 150 Giga thrombocytes par litre ou une diminution de 50 % par rapport au niveau de référence – Wikipedia] a été rapportée dans des cas graves d’infection par le SRAS-CoV-2 [7]. Une thrombopénie a également été rapportée chez des individus vaccinés [8]. Nous demandons des preuves que le danger potentiel d’activation plaquettaire qui conduirait également à une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) a été exclu avec les trois vaccins avant leur approbation pour une utilisation chez l’homme par l’EMA.
  7. Le balayage du SRAS-CoV-2 à travers le monde a créé une pandémie de maladie associée à de nombreux décès. Cependant, au moment de l’examen de l’approbation des vaccins, les systèmes de santé de la plupart des pays n’étaient plus sous la menace imminente d’être submergés car une proportion croissante de la population mondiale était déjà infectée et le pire de la pandémie s’était déjà calmé. Par conséquent, nous exigeons des preuves concluantes qu’une véritable urgence existait au moment de l’octroi par l’EMA de l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle aux fabricants des trois vaccins, pour justifier leur approbation pour une utilisation chez l’homme par l’EMA, prétendument en raison d’une telle urgence.

Si toutes ces preuves ne sont pas disponibles, nous exigeons que l’approbation pour l’utilisation des vaccins génétiques soit retirée jusqu’à ce que toutes les questions ci-dessus aient été correctement traitées par l’exercice de la diligence raisonnable par l’EMA.

Il y a de sérieuses inquiétudes, y compris mais non limitées à celles décrites ci-dessus, que l’approbation des vaccins COVID-19 par l’EMA était prématurée et imprudente, et que l’administration des vaccins constituait et constitue toujours une «expérimentation humaine», ce qui était et est toujours en violation du Code de Nuremberg.

Compte tenu de l’urgence de la situation, nous vous demandons de répondre à cet e-mail dans les sept jours et de répondre de manière substantielle à toutes nos préoccupations. Si vous choisissez de ne pas vous conformer à cette demande raisonnable, nous rendrons cette lettre publique.

Copie de cet e-mail est adressée à:

Charles Michel, Président du Conseil de l’Europe

Ursula von der Leyen, Présidente de la Commission Européenne.

[NdT. Les références et signataires se trouvent en fin du texte original ci-dessous]


Texte original

Urgent Open Letter from Doctors and Scientists to the European Medicines Agency regarding COVID-19 Vaccine Safety Concerns

Doctors, scientists, lawyers and colleagues in allied disciplines can sign the open letter by sending their name, qualifications, areas of expertise and country of practice to: Doctors4CovidEthics@protonmail.com, with web verification (eg workplace or registration link, not for publication).

Doctors for Covid EthicsMar 10·14 min read

Emer Cooke, Executive Director, European Medicines Agency, Amsterdam, The Netherlands

28 February 2021

Dear Sirs/Mesdames,

FOR THE URGENT PERSONAL ATTENTION OF: EMER COOKE, EXECUTIVE DIRECTOR OF THE EUROPEAN MEDICINES AGENCY

As physicians and scientists, we are supportive in principle of the use of new medical interventions which are appropriately developed and deployed, having obtained informed consent from the patient. This stance encompasses vaccines in the same way as therapeutics.

We note that a wide range of side effects is being reported following vaccination of previously healthy younger individuals with the gene-based COVID-19 vaccines. Moreover, there have been numerous media reports from around the world of care homes being struck by COVID-19 within days of vaccination of residents. While we recognise that these occurrences might, every one of them, have been unfortunate coincidences, we are concerned that there has been and there continues to be inadequate scrutiny of the possible causes of illness or death under these circumstances, and especially so in the absence of post-mortems examinations.

In particular, we question whether cardinal issues regarding the safety of the vaccines were adequately addressed prior to their approval by the European Medicines Agency (EMA).

As a matter of great urgency, we herewith request that the EMA provide us with responses to the following issues:

1. Following intramuscular injection, it must be expected that the gene-based vaccines will reach the bloodstream and disseminate throughout the body [1]. We request evidence that this possibility was excluded in pre-clinical animal models with all three vaccines prior to their approval for use in humans by the EMA.

2. If such evidence is not available, it must be expected that the vaccines will remain entrapped in the circulation and be taken up by endothelial cells. There is reason to assume that this will happen particularly at sites of slow blood flow, i.e. in small vessels and capillaries [2]. We request evidence that this probability was excluded in pre-clinical animal models with all three vaccines prior to their approval for use in humans by the EMA.

3. If such evidence is not available, it must be expected that during expression of the vaccines’ nucleic acids, peptides derived from the spike protein will be presented via the MHC I — pathway at the luminal surface of the cells. Many healthy individuals have CD8-lymphocytes that recognize such peptides, which may be due to prior COVID infection, but also to cross-reactions with other types of Coronavirus [3; 4] [5]. We must assume that these lymphocytes will mount an attack on the respective cells. We request evidence that this probability was excluded in pre-clinical animal models with all three vaccines prior to their approval for use in humans by the EMA.

4. If such evidence is not available, it must be expected that endothelial damage with subsequent triggering of blood coagulation via platelet activation will ensue at countless sites throughout the body. We request evidence that this probability was excluded in pre-clinical animal models with all three vaccines prior to their approval for use in humans by the EMA.

5. If such evidence is not available, it must be expected that this will lead to a drop in platelet counts, appearance of D-dimers in the blood, and to myriad ischaemic lesions throughout the body including in the brain, spinal cord and heart. Bleeding disorders might occur in the wake of this novel type of DIC-syndrome including, amongst other possibilities, profuse bleedings and haemorrhagic stroke. We request evidence that all these possibilities were excluded in pre-clinical animal models with all three vaccines prior to their approval for use in humans by the EMA.

6. The SARS-CoV-2 spike protein binds to the ACE2 receptor on platelets, which results in their activation [6]. Thrombocytopenia has been reported in severe cases of SARS-CoV-2 infection [7]. Thrombocytopenia has also been reported in vaccinated individuals [8]. We request evidence that the potential danger of platelet activation that would also lead to disseminated intravascular coagulation (DIC) was excluded with all three vaccines prior to their approval for use in humans by the EMA.

7. The sweeping across the globe of SARS-CoV-2 created a pandemic of illness associated with many deaths. However, by the time of consideration for approval of the vaccines, the health systems of most countries were no longer under imminent threat of being overwhelmed because a growing proportion of the world had already been infected and the worst of the pandemic had already abated. Consequently, we demand conclusive evidence that an actual emergency existed at the time of the EMA granting Conditional Marketing Authorisation to the manufacturers of all three vaccines, to justify their approval for use in humans by the EMA, purportedly because of such an emergency.

Should all such evidence not be available, we demand that approval for use of the gene-based vaccines be withdrawn until all the above issues have been properly addressed by the exercise of due diligence by the EMA.

There are serious concerns, including but not confined to those outlined above, that the approval of the COVID-19 vaccines by the EMA was premature and reckless, and that the administration of the vaccines constituted and still does constitute “human experimentation”, which was and still is in violation of the Nuremberg Code.

In view of the urgency of the situation, we request that you reply to this email within seven days and address all our concerns substantively. Should you choose not to comply with this reasonable request, we will make this letter public.

This email is copied to:

Charles Michel, President of the Council of Europe

Ursula von der Leyen, President of the European Commission.

Doctors and scientists can sign the open letter by emailing their name, qualifications, areas of expertise, country and any affiliations they would like to cite, to Doctors4CovidEthics@protonmail.com

References

[1] Hassett, K. J.; Benenato, K. E.; Jacquinet, E.; Lee, A.; Woods, A.; Yuzhakov, O.; Himansu, S.; Deterling, J.; Geilich, B. M.; Ketova, T.; Mihai, C.; Lynn, A.; McFadyen, I.; Moore, M. J.; Senn, J. J.; Stanton, M. G.; Almarsson, Ö.; Ciaramella, G. and Brito, L. A.(2019).Optimization of Lipid Nanoparticles for Intramuscular Administration of mRNA Vaccines, Molecular therapy. Nucleic acids 15 : 1–11.

[2] Chen, Y. Y.; Syed, A. M.; MacMillan, P.; Rocheleau, J. V. and Chan, W. C. W.(2020). Flow Rate Affects Nanoparticle Uptake into Endothelial Cells, Advanced materials 32 : 1906274.

[3] Grifoni, A.; Weiskopf, D.; Ramirez, S. I.; Mateus, J.; Dan, J. M.; Moderbacher, C. R.; Rawlings, S. A.; Sutherland, A.; Premkumar, L.; Jadi, R. S. and et al.(2020). Targets of T Cell Responses to SARS-CoV-2 Coronavirus in Humans with COVID-19 Disease and Unexposed Individuals, Cell 181 : 1489–1501.e15.

[4] Nelde, A.; Bilich, T.; Heitmann, J. S.; Maringer, Y.; Salih, H. R.; Roerden, M.; Lübke, M.; Bauer, J.; Rieth, J.; Wacker, M.; Peter, A.; Hörber, S.; Traenkle, B.; Kaiser, P. D.; Rothbauer, U.; Becker, M.; Junker, D.; Krause, G.; Strengert, M.; Schneiderhan-Marra, N.; Templin, M. F.; Joos, T. O.; Kowalewski, D. J.; Stos-Zweifel, V.; Fehr, M.; Rabsteyn, A.; Mirakaj, V.; Karbach, J.; Jäger, E.; Graf, M.; Gruber, L.-C.; Rachfalski, D.; Preuß, B.; Hagelstein, I.; Märklin, M.; Bakchoul, T.; Gouttefangeas, C.; Kohlbacher, O.; Klein, R.; Stevanović, S.; Rammensee, H.-G. and Walz, J. S.(2020). SARS-CoV-2-derived peptides define heterologous and COVID-19-induced T cell recognition, Nature immunology.

[5] Sekine, T.; Perez-Potti, A.; Rivera-Ballesteros, O.; Strålin, K.; Gorin, J.-B.; Olsson, A.; Llewellyn-Lacey, S.; Kamal, H.; Bogdanovic, G.; Muschiol, S. and et al.(2020). Robust T Cell Immunity in Convalescent Individuals with Asymptomatic or Mild COVID-19, Cell 183 : 158–168.e14.

[6] Zhang, S.; Liu, Y.; Wang, X.; Yang, L.; Li, H.; Wang, Y.; Liu, M.; Zhao, X.; Xie, Y.; Yang, Y.; Zhang, S.; Fan, Z.; Dong, J.; Yuan, Z.; Ding, Z.; Zhang, Y. and Hu, L.(2020). SARS-CoV-2 binds platelet ACE2 to enhance thrombosis in COVID-19, Journal of hematology & oncology 13 : 120.

[7] Lippi, G.; Plebani, M. and Henry, B. M.(2020).Thrombocytopenia is associated with severe coronavirus disease 2019 (COVID-19) infections: A meta-analysis, Clin. Chim. Acta 506 : 145–148.

[8] Grady, D. (2021). A Few Covid Vaccine Recipients Developed a Rare Blood Disorder, The New York Times, Feb. 8, 2021.

Yours faithfully,

Professor Sucharit Bhakdi MD, Professor Emeritus of Medical Microbiology and Immunology, Former Chair, Institute of Medical Microbiology and Hygiene, Johannes Gutenberg University of Mainz (Medical Doctor and Scientist) (Germany and Thailand)

Dr Marco Chiesa MD FRCPsych, Consultant Psychiatrist and Visiting Professor, University College London (Medical Doctor) (United Kingdom and Italy)

Dr C Stephen Frost BSc MBChB Specialist in Diagnostic Radiology, Stockholm, Sweden (Medical Doctor) (United Kingdom and Sweden)

Dr Margareta Griesz-Brisson MD PhD, Consultant Neurologist and Neurophysiologist (studied Medicine in Freiburg, Germany, speciality training for Neurology at New York University, Fellowship in Neurophysiology at Mount Sinai Medical Centre, New York City; PhD in Pharmacology with special interest in chronic low level neurotoxicology and effects of environmental factors on brain health), Medical Director, The London Neurology and Pain Clinic (Medical Doctor and Scientist) (Germany and United Kingdom)

Professor Martin Haditsch MD PhD, Specialist (Austria) in Hygiene and Microbiology, Specialist (Germany) in Microbiology, Virology, Epidemiology/Infectious Diseases, Specialist (Austria) in Infectious Diseases and Tropical Medicine, Medical Director, TravelMedCenter, Leonding, Austria, Medical Director, Labor Hannover MVZ GmbH (Medical Doctor and Scientist) (Austria and Germany)

Professor Stefan Hockertz, Professor of Toxicology and Pharmacologym, European registered Toxicologist, Specialist in Immunology and Immunotoxicology, CEO tpi consult GmbH. (Scientist) (Germany)

Dr Lissa Johnson, BSc, BA(Media) MPsych(Clin) PhD, Clinical Psychologist and Behavioural Scientist, Expertise in the social psychology of atrocity, torture, collective violence and propaganda, former member, professional body Public Interest Advisory Group (Psychologist) (Australia)

Professor Ulrike Kämmerer PhD, Associate Professor of Experimental Reproductive Immunology and Tumor Biology at the Department of Obstetrics and Gynaecology, University Hospital of Würzburg, Germany, Trained molecular virologist (Diploma, PhD-Thesis) and Immunologist (Habilitation), Remains engaged in active laboratory research (Molecular Biology, Cell Biology (Scientist) (Germany)

Associate Professor Michael Palmer MD, Department of Chemistry (studied Medicine and Medical Microbiology in Germany, has taught Biochemistry since 2001 in present university in Canada; focus on Pharmacology, metabolism, biological membranes, computer programming; experimental research focus on bacterial toxins and antibiotics (Daptomycin); has written a textbook on Biochemical Pharmacology, University of Waterloo, Ontario, Canada (Medical Doctor and Scientist) (Canada and Germany)

Professor Karina Reiss PhD, Professor of Biochemistry, Christian Albrecht University of Kiel, Expertise in Cell Biology, Biochemistry (Scientist) (Germany)

Professor Andreas Sönnichsen MD, Professor of General Practice and Family Medicine, Department of General Practice and Family Medicine, Center of Public Health, Medical University of Vienna, Vienna (Medical Doctor) (Austria)

Dr Wolfgang Wodarg, Specialist in Pulmonary and Bronchial Internal Medicine, Hygiene and Environmental Medicine, Epidemiology, and Public Health; Honorary Member of the Parliamentary Assembly of the Council of Europe and former Head of the Health Committee of the Parliamentary Assembly of the Council of Europe; former Member of Parliament, German Bundestag; Initiator and Spokesman for the study commission ‘Ethics and Law in Modern Medicine’; Author and University Lecturer (Medical Doctor) (Germany)

Dr Michael Yeadon BSc (Joint Honours in Biochemistry and Toxicology) PhD (Pharmacology), Formerly Vice President & Chief Scientific Officer Allergy & Respiratory, Pfizer Global R&D; Co-founder & CEO, Ziarco Pharma Ltd.; Independent Consultant (Scientist) (United Kingdom)

Endorsing signatories

Dr Reem Abu-Sbaih, DO, Doctor of Osteopathy, Associate Professor Osteopathic Manipulative Medicine/ Neuromusculoskeletal Medicine (Medical Doctor) (USA)

Dr Véronique Ahari, General Practitioner (France)

Dr. Elizabeth Bastian, BSc (Genetics and Microbiology), MDCM, Family Medicine, General Practitioner in Oncology, sub specialty trained in Palliative Care (Medical Doctor) (Canada)

Dr Michael D Bell, MB, ChB (1978 Edinburgh) MRCGP (1989), General Practitioner (Medical Doctor) (United Kingdom)

Rev. Reuben P. Bell, DO, MS, MDiv, PhD, Osteopathic family physician since 1982, Bachelors and Masters degrees in Zoology, Professor of Biology (including Molecular Genetics and Developmental Biology) at the Bryn Athyn College of the New Church, 1989–1998, M.Div. and Ph.D. in theological studies, with attention to issues of science and religion (Medical Doctor and Scientist) (USA)

Dr Francisco Lacruz Bescos, MD, PhD, Consultant Neurologist with special training and dedication to Neuroimmunology and Multiple Sclerosis (Retired) (Medical Doctor) (Spain)

Dr Thomas Binder, MD, specialised in Cardiology and Internal Medicine, thesis in Immunology and Virology, with 32 years experience in diagnosis and treatment of Acute Respiratory Illness (Medical Doctor) (Switzerland)

Sarah Binns, MA VetMB, MS, MRCVS, MSc, PhD, DipLSHTM, Former Veterinary Infectious Disease Epidemiologist (United Kingdom)

Dr Rainer Bliefert, Dentist (Switzerland)

Dr Rachel Brown, MBChB, LLM (Medical Law & Ethics), MRCPsych CFMP, Consultant Psychiatrist (Medical Doctor) (United Kingdom)

Dr Roxana Bruno, PhD in Immunology, Researcher in Biochemistry, Immunology, Neuroinmunology and Genetics (Scientist) (Argentina)

Dr Elizabeth Burton, MBChB, General Medical Practitioner (Retired)(Medical Doctor) (United Kingdom)

Dr Ronald S. Carlson, AB Chem/Bio, DDS, Dentist (USA)

Dr Vernon Coleman, MB, ChB, General Practice Principal (Retired) (Medical Doctor) (United Kingdom)

Dr David Critchley, BSc, PhD, Clinical Research Scientist with more than 30 years experience, including projects in Virology and Immunology (Scientist) (United Kingdom)

Professor Barbara A Crothers, DO, Associate Professor, Pathology, Gynecologic, Breast and Cytopathology (USA)

Dr Rita Darby, General Practitioner (Medical Doctor) (Wales)

Dr. Daniel de la Torre Llorente, Biology Professor, Biotechnology-Plant Biology Department. Agronomic, Food and Biosystems Engineering School (ETSIAAB) Universidad Politécnica de Madrid (Scientist) (Spain)

Dr Nyjon Eccles, BSc, MBBS, MRCP, PhD, Specialist in Functional & Environmental Medicine (United Kingdom)

Dr Kjetil H. Elvevold, Senior Scientist, worked as Senior Scientist in a Contract Research Organization (CRO) in Norway that performed pre-clinical experiments for the pharmaceutical industry (Scientist) (Norway)

Dr Andreas Emmert, Specialist in Microbiology, Head Physician at Østfold Regional Hospital, Norway (Medical Doctor) (Norway)

Merit Enckell, Civ. Ing, PhD, Independent researcher, Structural Health Monitoring and Emerging Technologies, Formerly of KTH Royal Institute of Technology (Scientist) (Sweden)

Dr Radimé Farhumand, Specialist in Anesthesia (Medical Doctor) (Germany)

Dr Thomas Faulkner, MChiro, DC, Managing Director and Chiropractor (United Kingdom)

Dr Susan Flett, Specialist in Psychiatry, Child Psychiatry and Psychotherapy (Semi-retired) (Medical Doctor) (United Kingdom)

Dr Konstantinos Fountzoulas, MD, PGDiP Orth Eng., FEBOT, FRCS (Tr & Orth), Consultant Trauma and Orthopaedic Surgeon (Medical Doctor) (England and Italy)

Dr Carrie Ganek, MD, Adult Psychiatry (Medical Doctor) (USA)

Dr Martin E Ganek, MD, Board Certified Paediatrician (Medical Doctor) (USA)

Dr Parisi Giovanni, Specialist in Ophthalmology and Sports Medicine (Medical Doctor) (Italy)

Dr Céline Guérin, PhD in Neurosciences, Master in Microbiology and Genetics (Scientist-Practitioner) (France)

Dr. Olga Petrovna Guzova, Pediatrician, Dermatologist and Dermatopathologist (Medical Doctor) (Panama)

Dr Roman Häussler, General Medicine (Austria)

Dr Jutta Heinrich-Nols, Doctor and Clinical Pharmacologist (Medical Doctor and Scientist) (Germany)

Dr April M. Hurley, MD, Family Physician for 35 years (Medical Doctor) (USA)

William Ip, BSc. MIBMS, Former NHS Biomedical Scientist (Specialist in Microbiology), for over 30 years (Sicentist) (United Kingdom)

Dr Hervé Janecek, Veterinarian (France)

Jerzy Jaskowski, MD, PhD, MS, Specialties in General Surgery, Environmental Medicine, Physics and Biophysics (Retired)(Medical Doctor and Scientist) (Poland)

Dr. Elisabeth Jenik, General Medicine, Occupational Medicine and Psychosomatic Medicine (Medical Doctor) (Austria)

Dr Alain Joseph, General Medicine Specialist (Retired) (Medical Doctor) (France)

Dr Konstantinos Kakleas, MD, MRCPCH, MSc, PhD, Paediatric Allergy Consultant, Leicester Royal Infirmary Hospital (Medical Doctor) (United Kingdom)

Dr Hootan Kazemi, BDS Dental Surgeon, MSc(Distinc.) Clinical Biochemistry, BSc(Hons) Physiology (General Dental Practitioner) (United Kingdom)

Dr Ingrid Kiesel, Specialist in Psychiatry, Psychotherapy and General Medicine (Medical Doctor) (Germany)

Dr Wiltrud Kling, Specialist in General Medicine (Medical Doctor) (Germany)

Dr Ewa Konik, MD, Heart Transplant Cardiologist (Medical Doctor) (USA)

Dr Doris Krien, Assistant Doctor, Günzburg District Hospital (Medical Doctor) (Germany)

Brigitte Lacroix, clinical PKPD and PBPK modeler (Pharma industry), PhD in Pharmacy (Paris XI University), PhD in Pharmacometrics (Uppsala University) (Scientist) (France, Sweden)

Dr Andreas Lang, MD (Medical Doctor) (Germany)

Dr Paul Laursen, PhD, Adjunct Professor, AUT University (Scientist) (New Zealand and Canada)

Dr Michael S Lavender, Consultant Anaesthetist (Medical Doctor) (Australia)

Dr Tess Lawrie, MBBCh, PhD, Guideline methodologist and evidence synthesis expert, Director of The Evidence Based Medicine Consultancy Ltd, Bath UK. Honorary Researcher at the Royal United Hospital, Bath UK (Medical Doctor and Scientist) (United Kingdom)

Dr Bronia Lee, MBBCh, MRCGP, Retired General Practitioner (Medical Doctor) (United Kingdom)

Dr Katrina Lewis, MD, BSc in Immunology and Physiological Chemistry, triple Board certified ( USA) in Anesthesiology, Pain Medicine and Functional Medicine (Medical Doctor) (South Africa, USA)

Dr Derek Lohan, Consultant Radiologist and Director, Helix Radiology (Medical doctor) (Ireland)

Dr. Adele Lorigan, BSC (Chiro), Chiropractor (Australia)

Dr Antje Lueg, Specialist in Opthamology (Medical Doctor) (Germany)

Dr Kulvinder S. Manik, MBChB, MA, LLM, MRCGP, GP (Medical Doctor) (England)

Dr. Rosemarie Mayr, Specialist in Psychiatry and Psychotherapeutic Medicine and Child and Adolescent Psychiatry, ÖÄK Diploma for Homeopathy (Retired) (Medical Doctor) (Germany)

Dr Janet Menage, MA, MB, ChB, General Medical Practitioner (Retired) Qualified Psychological Counsellor (Medical Doctor) (United Kingdom)

Dr Niall McCrae, PhD, MSc, RMN, Mental health researcher, Psychiatric Nurse (United Kingdom)

Professor Nathalie McDonell, MD, PhD (human genetics), Professor of Molecular and Cell Biology (Medical Doctor and Scientist) (France)

Dr Sabine de Monvallier, General Practitoner (Medical Doctor) (France)

Dr Amir Mortasawi, Physician and author (Germany)

Dr Souha Nasreddine, MD, Ob/Gyn, Graduated from the Free University of Brussels Belgium, Holistic Gynecology (Lebanon)

Dr Terezia Novotna, General Practitioner, Emergency Doctor, and Anesthesiologist in Training (Medical Doctor) (Austria)

Akhmetzhanova Tamara Nikolaevna, Therapist and Cardiologist, the Republican Medical Genetic Center, Ufa (Medical Doctor) (Russia)

Ole C G Olesen, Double specialist in General Surgery, as well as Orthopedic Surgery and Trauma (Medical Doctor) (Denmark, Norway, Sweden and United Kingdom)

Dr Waltraud Parta-Kehry, Biologist and Doctor for Gynaecology and Reproductive Medicine (Medical Doctor) (Germany)

Dr Arun Kumar Patel, MBBS, MPH, MRCPH, FFPH, Medical Public Health Specialist (Retired), NHS (Medical Doctor) (United Kingdom)

Dr. Cristina Pinho, MD, Gastroenterologist (Medical Doctor) (Portugal)

Dr Hélène Potrich, General Practitioner (Medical Doctor) (France)

Dr Fabio Quirici, Swiss Medical Association (Medical Doctor) (Switzerland)

Professor Denis Rancourt, PhD, Researcher, Ontario Civil Liberties Association, Member scientist, PANDA (Pandemics Data & Analysis), Retired former Full Professor of Physics, University of Ottawa, with expertise in environmental nanoparticles, molecular science, molecular dynamics, statistical analysis methods and mathematical and epidemiological modelling (Scientist) (Canada)

Claudia Riempp, Psychologist and psychotherapist, expert in health education (Germany)

Dr Nicola Reiser, Anaesthetist and Intensive Care Physician, Senior Physician at the University Clinic UMEÅ (Medical Doctor) (Sweden)

Rhys Rogers, BSc, Physiotherapy, 12 years experience as a frontline Physiotherapist (United Kingdom)

Dr Tred J Rissacher, DC, Chiropractor specialising in obesity and diabetes (USA)

Professor Simon Ruijsenaars, Professor in Mathematical Physics, School of Mathematics, University of Leeds (Scientist) (United Kingdom)

Dr Sam Saidi, MB, ChB, BSc, FRCOG, PhD, University of Sydney (Medical Doctor and Scientist) (Australia)

Dr Pamela Shervanick, DO, Medical doctor and Doctor of Osteopathic Medicine, with specialization in Psychiatry (Medical Doctor) (USA)

Dr Guido Spanoghe, Gastroenterologist (Medical Doctor) (Belgium)

Dr Paul Steven Spradbery, Forensic and Research Biologist, Foundation for Science and Technology, Lisbon, Intertek Life Sciences, London (Scientist) (United Kingdom)

Dr Duncan Syme, MBBS, FRACGP, Dip Prac Derm University of Cardiff, Graduate Monash University 1987, General Practitioner (Medical Doctor) (Australia)

Dr Carol Taccetta, MD, FCAP (Fellow of the College of American Pathologists), Pharmaceutical Physician for over 25 years, specializing in drug safety (Medical Doctor) (USA)

Dr Noel Thomas, MA, MB, ChB, DCH, DObsRCOG, DTM&H, MFHom. Semi retired NHS GP and homeopath (Medical Doctor) (United Kingdom)

Dr Corinne Tilloy, General Practitioner, (Medical Doctor) (France)

Dr Gilbert Tominez, General Practitioner (Retired) (Medical Doctor) (France)

De Georgy Urushadze, Naturopathic Doctor, Pediatrician (Pirogov Russian National Medical University), Emergency Doctor, Physiotherapist, Homeopath, Researcher (Russia)

Dr Jasmina Vucic-Peev, PhD, studied in Freiburg, Germany, training in Psychiatry in Switzerland (Medical Doctor) (Germany, Switzerland, Portugal)

Dr Jo Waller, UK State registered Biomedical Scientist since 1990 (Scientist) (United Kingdom)

Dr Maja Waibel, Dermatologist with specialty in Melanoma prevention (Medical Doctor) (Germany)

Dr Gerard A Waters, Mb, Bch, BAO, MICGP, General Practitioner, Recently suspended from Irish medical register for refusing to administer C 19 vaccine and objecting to Covid lockdowns (Medical Doctor) (Ireland)

Dr Ronald Weikl, Gynecologist and General Practitioner (Medical Doctor) (Germany)

Dr Helen Westwood MBChB (Hons), MRCGP, DCH, DRCOG, GP (Medical Doctor) (United Kingdom)

Dr Madhu Wickremaratchi, MBChB, MRCP, Acute and General Medicine (United Kingdom)

Dr Clive Wilder-Smith, FRCP, AGAF, MD, Consultant Gastroenterologst, Director of Research (Medical Doctor) (Switzerland)

Thomas Robin Wilks, MA, BSc(Hons) FHEA, CPhys, MInstP, University Science Lecturer, Maths, Mathematical Modelling and Physics, Open University (Scientist) (United Kingdom)

Dr Christopher Wood, MBBS, Retired General Practitioner (Medical Doctor) (United Kingdom)

Signatures of Colleagues in Allied Disciplines relating to Ethics and Human Rights

Dr Violeta Sotirova, MPhil, PhD, Lecturer in English (United Kingdom)

« Vaccins » Covid : analyse du Dr Sherri Tenpenny.

Source : partie 1, partie 2. Interview sur ce sujet ici, en anglais non sous-titré. Trèèèèès intéressante.

Il y a beaucoup d’autres analyses sur ce blog. Allez voir dans le sommaire!

Traduction

Coronavirus Pt. 6: Les vaccins COVID – partie 1 – MIS À JOUR le 30-03-2021

SUJETS: Vaccins Covid COVID-19

Posté par : VaxxterAdmin2 27/12/2020

par le Dr Sherri Tenpenny, DO, AOBNMM, ABHIM

La base de données VAERS des effets secondaires causés par le vaccin COVID peut être trouvée, téléchargée et recherchée ici.

Rapport VAERS sur les effets secondaires au 4 février 2021: 563 décès – 12 697 effets secondaires

Rapport VAERS sur les effets secondaires, au 18 février 2021: 1095 décès. – 19.907 effets secondaires

Rapport VAERS sur les effets secondaires, au 19 mars 2021: 2050 décès44.606 effets secondaires

Partie 2 ici

En décembre 2020, les premiers vaccins contre la maladie à coronavirus ont obtenu une Autorisation d’Utilisation d’Urgence [EUA – Emergency Use Authorization] par la Food and Drug Administration (FDA) et ont été recommandés par le Comité Consultatif sur les Pratiques d’Immunisation [ACIP – Advisory Committee on Immunization Practices]. L’administration du vaccin a commencé immédiatement. Étiez-vous en première ligne? J’espère que non, et j’espère aussi que personne dans vos proches ne s’est précipité pour recevoir cette injection.

Ce n’est pas «juste un autre vaccin» et ce n’est pas «juste comme se faire vacciner contre la grippe». Les ingrédients sont expérimentaux et l’ARNm est codé pour produire une protéine qui PEUT modifier vos gènes.

Ce que nous savons des vaccins COVID

Selon le Coronavirus Vaccine Tracker, au 26 décembre 2020, 83 vaccins étaient en phase 1, 2 ou 3 d’essai clinique humain et animal, dont 18 proches des étapes finales de test. Jamais auparavant autant d’entreprises n’avaient testé autant de vaccins différents en même temps, contre un virus qui n’a pas été isolé. Parmi ceux qui ont fait partie des essais, cinq vaccins sont maintenant utilisés à un stade précoce, avec trois vaccins approuvés pour une utilisation clinique : Pfizer, Moderna et AstraZeneca. Voici ce que l’on nous en a dit jusqu’à présent:

Pfizer/BioNTech (BNT162b2)

Le vaccin de Pfizer – sous le nom provisoire de Comirnaty – a été approuvé pour les personnes de 16 ans et plus. Le vaccin à ARNm se compose de deux doses (30 mcg de solution dans 0,3 cc) administrées par voie intramusculaire à 21 jours d’intervalle. Le vaccin doit être conservé à -94F (-70C). L’ARNm est une molécule instable, c’est pourquoi elle doit être enveloppée dans des nanoparticules lipidiques pour le stockage et le transport. Mais la nanoparticule lipidique est extrêmement sensible à la température; raison pour laquelle le vaccin doit être stocké et transporté à des températures extrêmement basses.

Les ingrédients contenus dans le vaccin de Pfizer sont les suivants: (CDC, diapositive 20)

  • ARNm nucléosidique modifié codant pour la glycoprotéine de pointe virale (S) du SARS-CoV-2
  • Lipide: (4-hydroxybutyl) azanediyl) bis (hexane-6,1-diyl) bis (2-hexyldécanoate)
  • Lipide: 1,2-distéaroyl-sn-glycéro-3-phosphocholine. [DSPC]
  • Lipide: 2 – [(polyéthylène glycol) -2000] -N, N-ditétra-décylacétamide
  • Lipide: cholestérol
  • chlorure de potassium
  • phosphate de potassium dihydrogéné
  • chlorure de sodium
  • hydrogénophosphate disodique dihydraté
  • saccharose

Notez qu’aucun des ingrédients n’est répertorié avec son dosage en milligrammes. Regardez les trois premiers excipients. Aucun d’eux n’a jamais été utilisé dans un vaccin précédemment approuvé. Ont-ils fait l’objet d’un test de toxicité synergique? Y a-t-il eu des tests de stabilité sur la décomposition de chaque ingrédient une fois réchauffé à température ambiante? Et qu’en est-il de toutes les réactions allergiques qui ont été signalées? L’un de ces produits chimiques a-t-il été testé par rapport à ses propriétés allergènes, chez l’homme ou même chez l’animal? Pfizer donne des instructions explicites sur la façon de mélanger et d’administrer cette injection. Consultez les instructions spécifiques ici.

Alors que Pfizer et la FDA ne savent absolument pas si ce vaccin préviendra l’infection ou même si les anticorps persisteront à long terme, Pfizer prévoit de fabriquer plus de 1,3 milliard de doses dans le monde d’ici fin 2021. Pour en savoir plus sur le fonctionnement de ce vaccin, cliquez ici.

Moderna (ARNm-1273)

Tout comme le vaccin de Pfizer, le vaccin de Moderna utilise également l’ARNm comme véhicule pour induire la production d’anticorps à la protéine de pointe. Approuvé pour les personnes âgées de 18 ans et plus, le vaccin est administré en deux doses (100 mcg en injection intramusculaire de 0,5 cc) avec la deuxième dose administrée un mois (28 jours) plus tard, ou aussi près que possible de l’intervalle recommandé. Ce vaccin peut être conservé jusqu’à six mois à des températures de -4F (-20C).

Les ingrédients du vaccin Moderna sont maintenant répertoriés sur la fiche technique Moderna destinée aux fournisseurs: le vaccin Moderna COVID-19 est une suspension blanche à blanc cassé pour injection intramusculaire à injecter à 28 jours d’intervalle. Chaque dose de 0,5 mL de vaccin Moderna COVID-19 contient: (CDC, diapositive 20)

  • ARN messager (ARNm) codant pour la glycoprotéine Spike (S) stabilisée avant fusion du virus SARS-CoV-2, 100 mcg
    • IMPORTANT: Le brevet Moderna indique qu’un autre ARNm peut être présent qui code pour la protéine, la flagelline, un adjuvant de vaccin non approuvé utilisé pour stimuler le récepteur pro-inflammatoire Toll-like 5 (TLR5)
  • Lipide: (4-hydroxybutyl) azanediyl) bis (hexane-6,1-diyl) bis (2-hexyldécanoate)
  • Lipide: 1,2-distéaroyl-sn-glycéro-3-phosphocholine. [DSPC]
  • Lipide: 2 – [(polyéthylène glycol) -2000] -N, N-ditétra-décylacétamide
  • Lipide: cholestérol
  • trométhamine, 31 mg – c’est un médicament d’ordonnance utilisé pour traiter l’acidose métabolique
  • chlorhydrate de trométhamine, 18 mg
  • acide acétique, 0,42 mg
  • acétate de sodium, 0,12 mg
  • saccharose, 43,5 mg

Êtes-vous prêt à vous faire injecter quelque chose d’inconnu, jamais testé auparavant chez l’homme? Pour en savoir plus sur le fonctionnement de ce vaccin, cliquez ici.

Une section ignorée par les médias et non-mentionnée sur la fiche d’information du fournisseur Moderna est enfouie au plus profond du brevet Moderna. L’ARNm du vaccin Moderna a été codé pour transcrire une protéine, la flagelline, qui est utilisée pour améliorer la réponse cytokine des macrophages.

L’un ou l’autre des vaccins à ARNm COVID-19 actuellement autorisés peut être utilisé lorsqu’indiqué; l’ACIP n’indique pas de préférence de produit. Cependant, ces deux vaccins ne sont pas interchangeables et les deux doses de la série doivent être complétées avec le même produit. Cependant, si deux doses de produits vaccinaux à ARNm COVID-19 différents sont administrées par inadvertance, pas de souci! Des doses supplémentaires de l’un ou l’autre des produits ne sont pas recommandées.

N’oubliez pas que les deux vaccins sont complètement exempts de toute responsabilité en vertu de la loi PREP 2005. Donc, si l’infirmière vous donne le mauvais vaccin et que vous faites une réaction grave, voire si vous mourez, il n’y aura aucune répercussion pour l’infirmière et aucune compensation pour vous.

Un autre candidat: AstraZeneca (AZD1222) (ChAdOx1 nCoV-19)

Le candidat vaccin contre le coronavirus AZD1222 d’AstraZeneca, anciennement connu sous le nom de ChAdOx1 nCoV-19, est fabriqué à partir d’une version affaiblie d’un virus du rhume, d’où son nom d’origine. Bien qu’il puisse provoquer une infection chez les chimpanzés, le virus a été génétiquement modifié et ne peut donc pas se reproduire/se répliquer chez l’homme.

Le fabricant n’a publié qu’une liste sommaire d’ingrédients, sans mentionner la quantité en microgrammes ou en milligrammes de chaque produit chimique. Une injection de 0,5cm3 contient:

  • Vaccin COVID-19 (ChAdOx1-S * recombinant) 5 × 10 ^ 10 particules virales (vp)
    • *Ce produit contient des organismes génétiquement modifiés (OGM)
  • Vecteur d’adénovirus chimpanzé recombinant déficient en réplication codant pour la glycoprotéine SARS CoV 2 Spike (S)
  • Cellule 293 de rein embryonnaire humain génétiquement modifié (HEK)
  • Liste des excipients – quantités inconnues:
    • L-histidine
    • Chlorhydrate de L-histidine monohydraté
    • Chlorure de magnésium hexahydraté
    • Polysorbate 80
    • Éthanol
    • Saccharose
    • Chlorure de sodium
    • Edétate disodique dihydraté
    • Eau pour préparations injectables

Ce candidat vaccin présente un intérêt car les études cliniques, réalisées en collaboration avec l’Université d’Oxford, ont été largement diffusées, le présentant comme le premier et le plus prometteur des vaccins. Cependant, en mai 2020, il a été signalé que tous les singes vaccinés traités avec le vaccin d’Oxford avaient été infectés lorsqu’ils ont été exposés au virus. Alors, pourquoi l’entreprise a-t-elle persévéré avec ce candidat vaccin, renommé AZD1222? Parce que même si le vaccin n’a pas protégé les animaux contre l’infection, il a atténué la maladie. Tâchez de bien repérer ce genre de logique, maintenant que plus de 80 vaccins COVID tentent de se frayer un chemin sur le marché des vaccins de plusieurs milliards de dollars.

Mais pour ne pas gaspiller toute cette recherche et cet argent, les chercheurs pensent maintenant que le vaccin sera efficace contre un nouveau variant viral émergeant en Grande-Bretagne. Pour en savoir plus sur le fonctionnement de ce vaccin, cliquez ici.

Pour plus de détails sur tous les essais cliniques de vaccins en cours, accédez au Coronavirus Vaccine Tracker ici (abonnement requis à NYTimesOnline)

[…]

Coronavirus Pt. 6: Les vaccins COVID – partie 2 – MIS À JOUR

SUJETS: Vaccin COVID-19, preuves ignorées

Posté par: VaxxterAdmin2 28/12/2020

par le Dr Sherri Tenpenny, DO, AOBNMM, ABIHM

Partie 1 ici

Anticorps anti-spike induits par le vaccin: des ravages sur les poumons

Lorsque le vaccin contre le coronavirus est injecté, l’ARNm contient des «instructions» pour construire la protéine de pointe qui a été identifiée à la surface du virus SRAS-CoV2. Les enzymes de transcriptase inverse de la cellule sont mises en action, conduisant à la production en masse de la protéine de pointe (S), la protéine qui joue un rôle vital dans son infectivité.

Cependant, est-ce une bonne chose?

L’étude de 2019 de Liu, Li et al, «Les anticorps IgG anti-spike provoquent des lésions pulmonaires aiguës sévères en biaisant les réponses des macrophages lors d’une infection aiguë par le SRAS-CoV» vaut qu’on prenne le temps de la lire et de l’étudier.

Une étude a été menée pour étudier l’effet des anticorps anti-protéine de pointe induits par le vaccin sur la prévention des infections SRAS-CoV et pour examiner l’effet possible des anticorps anti-protéine de pointe sur le système immunitaire.

Ce que les chercheurs ont découvert est stupéfiant.

Seize singes macaques ont reçu deux injections; la moitié des animaux a reçu un virus de la vaccine modifié avec une protéine de pointe insérée (ADS-MVA) ou un vaccin témoin fabriqué avec un virus de la vaccine modifié sans l’antigène protéique de pointe (ADC-MVA). Trois singes sains non vaccinés ont été inclus comme témoins supplémentaires.

Les animaux ont été sacrifiés entre les semaines 9 et 21, après avoir reçu la deuxième injection; le vaccin contenant la protéine de pointe a induit des réponses d’anticorps très élevées à la protéine de pointe (anti-S-IgG). Bien que les anticorps aient réduit la charge virale dans les voies respiratoires supérieures, ils ont provoqué une lésion pulmonaire grave, renforcée par les anticorps. En fait, il y avait une corrélation directe et positive entre le taux d’anticorps sérique et le degré de lésion pulmonaire. Les tissus présentaient des signes de lésions alvéolaires diffuses [DAD – diffuse alveolar damage], avec divers degrés d’exsudat (liquide de type pus) et d’hémorragie (saignement).

De plus, les poumons étaient remplis de grandes quantités de macrophages (pus) qui avaient été affaiblis et inactivés.

Les macrophages sont un type de globules blancs qui engloutissent, digèrent et éliminent les microbes et les protéines étrangères grâce à un processus appelé phagocytose. Il existe deux principaux types de macrophages. Les cellules M1 tuent les pathogènes en sécrétant des médiateurs pro-inflammatoires et les cellules M2, qui ont une fonction anti-inflammatoire et régulent la cicatrisation des plaies. Les anticorps formés contre la protéine de pointe du SRAS-CoV se fixent à la surface des macrophages M2 et affaiblissent leur fonction, permettant aux macrophages M1 de libérer des quantités incontrôlées de cytokines. Au lieu de guérir et de réparer les tissus pulmonaires infectés, les anticorps anti-S-IgG étouffent les cellules M2 et favorisent l’inflammation causée par M1. Les résultats sont catastrophiques.

Un résumé des résultats de l’étude:

  • Nous présentons des preuves d’un rôle néfaste de l’anti-S-IgG (anticorps protéinique anti-spike) et d’une lésion pulmonaire aiguë lors d’une infection par le SRAS-CoV.
    • Les anticorps spécifiques aux protéines de pointe induits par le vaccin ont entraîné de graves lésions pulmonaires aiguës chez les macaques chinois infectés par le SRAS-CoV.
  • L’anticorps anti-S-IgG n’a pas réussi à prévenir l’infection des voies respiratoires inférieures du SRAS-CoV (pneumonie) et a amplifié (augmenté) l’infiltration et l’accumulation de macrophages M1 dans les poumons.
  • L’anti-S-IgG provoque une lésion pulmonaire aiguë sévère [ALI – acute lung injury] lorsque les poumons sont réinfectés et/ou réexposés aux coronavirus en supprimant l’action de résolution de l’inflammation des macrophages M2.
  • Les animaux décédés d’une infection par le SRAS-CoV présentaient une accumulation de macrophages M1 pro-inflammatoires et une absence de macrophages M2 cicatrisants dans leurs poumons.
  • L’examen histologique [du tissu pulmonaire des animaux sacrifiés] chez 6 des macaques vaccinés a révélé des lésions alvéolaires diffuses aiguës [NdT. diffuse alveolar damage – DAD] avec divers degrés de gravité. La plupart des macaques du groupe témoin ayant reçu le vaccin sans protéine de pointe ne présentaient qu’une inflammation pulmonaire mineure à modérée. (Remarque: les alvéoles sont les minuscules sacs aériens dans les poumons qui oxygènent le sang.)
  • En l’absence des anticorps anti-S-IgG, les macrophages M2 ont commencé à guérir les poumons dans les deux jours suivant l’infection.

Preuves ignorées

L’étude ci-dessus est très récente (2019), mais fait partie de NOMBREUSES AUTRES études publiées depuis 2002 qui documentent à quel point le(s) vaccin(s) COVID sera (sont) dommageable(s) une fois qu’une personne sera vaccinée puis réexposée aux coronavirus en circulation.

Mais ce n’est pas le seul problème causé par les vaccins COVID-19.

La plupart des virus respiratoires communs provoquent une infection en se liant à des récepteurs spécifiques à la surface des cellules de l’hôte. Pour bloquer cette fixation, des anticorps formés à partir d’infections antérieures ou par des vaccins se lient au virus circulant et le neutralisent. Cela arrête, ou du moins affaiblit, l’évolution vers une infection sévère.

Cependant, dans le cas de certains virus, les anticorps formés contre eux ne se lient que faiblement aux protéines de surface virales. Au lieu d’arrêter l’infection, ce mécanisme favorise leur invasion dans la cellule, augmentant l’infection au lieu de l’arrêter.

Anticorps: neutralisants vs non-neutralisants

Un anticorps neutralisant a la forme de la lettre Y. Les bras supérieurs sont appelés fragments Fab et la tige est appelée fragment Fc. Les fragments Fab se lient à un agent pathogène invasif. Le fragment Fac se lie ensuite à un récepteur Fac à la surface des globules blancs, tels que les macrophages, les lymphocytes, les cellules tueuses naturelles [NK – natural killer cells] et d’autres. Normalement, cela donne l’instruction aux globules blancs sanguins de libérer de petites quantités de produits chimiques inflammatoires pour détruire les microbes

Cependant, lorsque l’anticorps de protéine de pointe (anti-S-IgG) se lie au récepteur Fac à la surface de la cytomembrane, la «porte s’ouvre» et permet au complexe d’entrer dans les cellules hôtes. Et, si les fragments Fab de l’anticorps ne sont que faiblement liés à la surface de la protéine pathogène, l’anticorps agit comme un cheval de Troie. Le matériel protéique faiblement lié «s’échappe» de l’extrémité des fragments Fab, il fait sauter le système enzymatique de transcriptase inverse et commence à se répliquer, et augmente l’infection plutôt que de l’arrêter.

C’est le processus de fonctionnement de la facilitation de l’infection par des anticorps, ou ADE [antibody derived enhancement]. C’est l’équivalent d’un bouton « marche » sur un réplicateur qui n’aurait pas de bouton « arrêt ». Au fur et à mesure que l’ARNm se réplique, de plus en plus d’anticorps non-neutralisants sont produits, conduisant à des maladies auto-immunes accélérées, affectant principalement les poumons, le foie et les reins. L’ADE peut même jouer un rôle dans le développement du SDRA fulminant (syndrome de détresse respiratoire aiguë) après que les patients se soient rétablis du COVID.

L’ADE a été identifié pour plus de 40 types de virus, notamment le VIH, la dengue, le virus du Nil occidental et les coronavirus. Sept des 36 souches de coronavirus en circulation sont capables d’infecter les humains.

Chaque animal testé

Dans une étude de 2012 sur des souris, des furets, des hamsters et des singes Cynomolgus, utilisant diverses protéines de coronavirus et divers adjuvants, les chercheurs ont signalé une immunopathologie chez chaque animal qui avait été vacciné puis réexposé à un virus SRAS-CoV.

Les chercheurs ont clairement déclaré ce qui suit:

Cette expérience combinée est préoccupante pour les essais de vaccins contre le SRAS-CoV chez l’homme. Des essais cliniques ont été menés avec des vaccins contre le coronavirus du SRAS et ont démontré qu’ils induisent la production d’anticorps et qu’ils sont «sûrs». Cependant, la preuve de leur sécurité est mesurée sur une courte période d’observation. Le problème soulevé par le présent rapport concerne une réaction immunopathologique survenant chez des individus vaccinés lors d’une (ré)exposition au SRAS-CoV infectieux, base de la mise au point d’un vaccin contre le SRAS.

Les chercheurs ont conclu ce qui suit:

Les vaccins contre le SRAS-CoV ont tous induit une protection par anticorps contre l’infection par le SRAS-CoV. Cependant, l’exposition [virale] des souris ayant reçu un de ces vaccins, quel qu’il soit, a conduit à l’apparition d’une immunopathologie de type Th2 suggérant une hypersensibilité aux composants du SRAS-CoV. La prudence est de mise lors de l’application d’un vaccin contre le SRAS-CoV chez l’homme.

Questions sans réponse

Nous en savons si peu sur les vaccins COVID.

  • Le vaccin prévient-il l’infection ou atténue-t-il seulement les symptômes d’un patient?
  • Les empêche-t-il de propager le virus? Si oui, pourquoi avons-nous encore besoin de distanciation sociale et de masques?
  • Combien de temps durent les anticorps? En d’autres termes, pendant combien de temps devons-nous nous soucier de la réexposition virale?
  • Et si on a déjà une comorbidité telle qu’une maladie auto-immune?
  • Dans quelle mesure protège-t-il les personnes âgées, dont beaucoup ont reçu un vaccin contre la grippe?

Nous n’en sommes qu’à quelques semaines de cette campagne mondiale de vaccination de masse, et des milliers d’effets secondaires sont déjà signalés.

Toutes les preuves étant ignorées, est-ce qu’éviter une infection avec un taux de survie de 99% vaut le risque du vaccin?

Mon vote sera sans équivoque : non.

05-01-2021: MISE À JOUR: En moins d’un mois et avec 1 million de doses administrées, les dernières données du Ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) montrent qu’il y a maintenant eu 40.433 événements indésirables signalés par rapport aux vaccinations Covid19 aux États-Unis … . ET IL Y EN A PEUT-ÊTRE DES MILLIERS D’AUTRES QUI NE SONT PAS SIGNALÉS.

Regardez la liste des effets secondaires: ICI

Le Dr Sherri Tenpenny est un médecin ostéopathe certifié par le conseil d’administration de Cleveland, Ohio. Le Dr Tenpenny est un médecin praticien et s’occupe des patients 2,5 jours par semaine. Le Dr Tenpenny est un expert de renommée internationale sur les problèmes associés aux vaccins. Des étudiants du monde entier sont devenus des parents confiants et des militants éloquents grâce à ses cours éducatifs en ligne, disponibles sur Courses4Mastery.com. En tant que «Voix pour la liberté de la santé», le Dr Tenpenny est un ardent défenseur du libre choix en matière de soins de santé, y compris le droit de refuser la vaccination.


Texte original

Coronavirus Pt. 6: The COVID Vaccines – part 1 – UPDATED 3-30-2021

TOPICS: covid vaccines COVID-19

Posted By: VaxxterAdmin2 12/27/2020

by Dr. Sherri Tenpenny, DO, AOBNMM, ABHIM

VAERS data sets for COVID Vaccine Injuries can be found, downloaded and searched here.

VAERS report of injuries as of Feb. 4, 2021:             563 deaths  –   12,697 injuries

VAERS report of injuries, as of Feb. 18, 2021:      1095 deaths.   –  19,907 injuries

VAERS report of injuries, as of  March 19, 2021:  2050 deaths   –   44,606 injuries 

Part 2 here

In December 2020, the first vaccines for coronavirus disease were granted an EUA – Emergency Use Authorization – by the Food and Drug Administration (FDA) and recommended by the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP). Vaccine administration began immediately. Were you first in line? I hope you were not, and I hope no one you care about ran to get this injection either.

This is not “just another vaccine”  and this is not “just like getting a flu shot.” The ingredients are experimental and the mRNA is coded to produce a protein that CAN modify your genes.

What We Know About the COVID Vaccines

According to the Coronavirus Vaccine Tracker, as of Dec. 26, 2020, 83 vaccines are in Phase 1, 2 or 3 human and animal clinical trials, with 18 approaching the final stages of testing. Never before have so many companies tested so many different vaccines at the same time, against a virus that has not been isolated. Of those in the trials, five vaccines are now early use, with three vaccines approved for clinical use Pfizer, Moderna and AstraZeneca. Here’s what we have been told, so far: 

Pfizer/BioNTech (BNT162b2)

Pfizer’s vaccine – given the tentative name Comirnaty – has been approved for persons 16 years of age and older. The mRNA vaccine consists of two doses (30mcg solution in 0.3cc) given intramuscularly 21 days apart. The vaccine must be stored at -94F (-70C). mRNA is an unstable molecule, which is why it needs to be wrapped in lipid nanoparticles for storage and transportation. But the lipid nanoparticle is exquisitely sensitive to temperature; hence the reason that the vaccine must be stored and transported at extraordinarily low temperatures.

The ingredients found in Pfizer’s vaccine include the following: (CDC, slide 20)

  • nucleoside-modified mRNA encoding the viral spike (S) glycoprotein of SARS-CoV-2
  • Lipid: (4-hydroxybutyl) azanediyl)bis(hexane-6,1-diyl)bis(2-hexyldecanoate)
  • Lipid: 1,2-Distearoyl-sn-glycero-3-phosphocholine. [DSPC]
  • Lipid: 2-[(polyethylene glycol)-2000]-N,N-ditetra-decylacetamide
  • Lipid: cholesterol
  • potassium chloride
  • potassium dihydrogen phosphate
  • sodium chloride
  • disodium hydrogen phosphate dihydrate
  • sucrose

Note that none of the ingredients are listed with milligrams dosage. Look at the first three excipients. Not one of these has ever been used in a previously approved vaccine. Have they been tested for synergistic toxicity? Has there been stability testing for the breakdown of each ingredient when warmed to room temperature? And what about all those allergic reactions being reported? Have ANY of these chemicals been tested for allergic responses, in humans or even in animals? Pfizer gives explicit instructions on how to mix and administer this injection. See the specific instructions here.

While Pfizer and the FDA have no idea if this vaccine will prevent infection or even if the antibodies will persist long-term, Pfizer expects to manufacture over 1.3 billion doses worldwide by the end of 2021.  For more on how this vaccine works, go here.

Moderna (mRNA-1273)

Like Pfizer’s vaccine, Moderna’s vaccine also uses mRNA as its vehicle for inducing antibody responses to the spike protein.  Approved for those 18 years of age and older, the vaccine is given in two doses, (100 mcg in 0.5 cc intramuscular injection) with the second dose given one month (28 days) later, or as close to the recommended interval as possible. This vaccine can be stored for up to six months at -4F (-20C) temperatures.

The ingredients in the Moderna vaccine have now been listed on the Moderna Fact Sheet for providers: Moderna COVID-19 Vaccine is a white to off-white suspension for intramuscular injection to be injected 28 days apart. Each 0.5 mL dose of Moderna COVID-19 Vaccine contains:  (CDC, slide 20)

  • Messenger RNA (mRNA) encoding the pre-fusion stabilized Spike glycoprotein (S) of SARS-CoV-2 virus, 100 mcg
    • IMPORTANT: The Moderna patent states that another mRNA may be present that encodes for the protein, flagellin, an unapproved vaccine adjuvant used to stimulate the pro-inflammatory Toll-like receptor 5 (TLR5)
  • Lipid: (4-hydroxybutyl) azanediyl)bis(hexane-6,1-diyl)bis(2-hexyldecanoate)
  • Lipid: 1,2-Distearoyl-sn-glycero-3-phosphocholine. [DSPC]
  • Lipid: 2-[(polyethylene glycol)-2000]-N,N-ditetra-decylacetamide
  • Lipid: cholesterol
  • tromethamine, 31 mg – this is a prescription medication used to treat metabolic acidosis
  • tromethamine hydrochloride, 18 mg
  • acetic acid, 0.42 mg
  • sodium acetate, 0.12 mg
  • sucrose, 43.5 mg

Are you willing to be injected with something unknown and never tested before in humans? For more on how this vaccine works, go here.

Buried deep inside the Moderna patent is a section that has been ignored by the media and is not mentioned on the Moderna provider fact sheet.  The mRNA in the Moderna vaccine has been coded to transcribe a protein, flagellin, that is used to enhance the cytokine response of the macrophages.

Either of the currently authorized mRNA COVID-19 vaccines can be used when indicated; ACIP does not state a product preference. However, these two vaccines are not interchangeable and both doses of the series should be completed with the same product. However, if two doses of different mRNA COVID-19 vaccine products are inadvertently administered, no worries! Additional doses of either product are not recommended.

Remember that both vaccines are completely protected from all liability by the 2005 PREP Act. So, if the nurse gives you the wrong shot, and you have a serious reaction, even death, there will be no repercussions for the nurse and no compensation for you.

One more candidate: AstraZeneca (AZD1222) (ChAdOx1 nCoV-19)

AstraZeneca’s AZD1222 coronavirus vaccine candidate, formerly known as ChAdOx1 nCoV-19, is made from a weakened version of a common cold virus, hence its original name. While it can cause infection in chimpanzees, the virus was genetically changed so it cannot reproduce/ replicate in humans.

The manufacturer released only a cursory list of ingredients, without including the microgram or milligram amount of each chemical. One 0.5cc injecting includes:

  • COVID-19 Vaccine (ChAdOx1-S* recombinant) 5 × 10^10 viral particles (vp)
    • *This product contains genetically modified organisms (GMOs)
  • Recombinant, replication-deficient chimpanzee adenovirus vector encoding the SARS CoV 2 Spike (S) glycoprotein
  • Genetically modified human embryonic kidney (HEK) 293 cell
  • List of excipients – unknown amounts:
    • L-Histidine
    • L-Histidine hydrochloride monohydrate
    • Magnesium chloride hexahydrate
    • Polysorbate 80
    • Ethanol
    • Sucrose
    • Sodium chloride
    • Disodium edetate dihydrate
    • Water for injections

This vaccine candidate is of interest because the clinical studies, done in collaboration with the University of Oxford, were widely publicized as the first and most promising vaccine. However, in May 2020, it was reported that all the vaccinated monkeys treated with the Oxford vaccine became infected when challenged. Then, why did the company press forward with the renamed, AZD1222 vaccine candidate? Because even though the vaccine did not protect the animals from infection, it did moderate the disease. Watch for this type of logic as the 80+ COVID vaccines try to make their way into the multi-trillion-dollar vaccine market.

But not to let all that research and money go to waste, researchers now believe the shot will be effective against a new viral variant emerging in Britain. To find out more about how this vaccine works, to here.

For details on all of the current vaccines clinical trials, go to the Coronavirus Vaccine Tracker found here  (subscription required to NYTimesOnline to view) 

[…]

Coronavirus Pt. 6: The COVID Vaccines – part 2 – UPDATED

TOPICS: COVID-19 vaccine ignored evidence

Posted By: VaxxterAdmin2 12/28/2020

by Dr Sherri Tenpenny, DO, AOBNMM, ABIHM

Part 1 here

Vaccine-induced Spike Antibodies: Havoc on the Lungs

When the coronavirus vaccine is injected, the mRNA contains “instructions” for building the spike protein that has been identified on the surface of the SARS-CoV2 virus. The cell’s reverse transcriptase enzymes are called into action, leading to the mass production of the spike (S) protein, the protein thought to play a vital role in its infectivity.

However, is this a good thing?

The 2019 study by Liu, Li et al, “Anti-spike IgG antibody causes severe acute lung injury by skewing macrophage responses during acute SARS-CoV infection” is worthy of your time to read and study.

The investigation was undertaken to study the effect vaccine-induced, spike-protein antibodies have on preventing SARS-CoV infections and to examine the possible effect the spike-protein antibodies have on the immune system.

What the researchers discovered was startling.

Sixteen macaque monkeys were given two injections; half of the animals received a modified vaccinia virus with an inserted spike protein (ADS-MVA) or a control vaccine made with a modified vaccinia virus without the spike protein antigen (ADC-MVA). Three healthy, non-vaccinated monkeys were included as additional controls.

The animals were sacrificed between weeks 9 and 21, after receiving the second injection; the vaccine containing the spike protein induced very high antibody responses to the spike protein (anti-S-IgG). Although the antibodies had reduced the viral load in the upper respiratory tract, they caused a serious, antibody-enhanced injury in the lungs. In fact, there was a direct and positive correlation between the level of antibody in serum and the degree of lung injury. The tissues had evidence of diffuse alveolar damage (DAD), with various degrees of exudate (pus-like fluid) and hemorrhage (bleeding).

Even more, the lungs were large filled with large quantities of macrophages (pus) that had been weakened and inactivated.

Macrophages are a type of white blood cell that engulf, digest and eliminate microbes and foreign proteins through a process called phagocytosis. There are two primary types of macrophages. The M1 cells kill pathogens by secreting pro-inflammatory mediators and the M2 cells, which have an anti-inflammatory function and regulate wound healing. Antibodies formed against the SARS-CoV spike protein binds to the surface of M2 macrophages and weaken their function, allowing the M1 macrophages to release unchecked quantities cytokines. Instead of healing and repairing the infected lung tissues, the anti-S-IgG antibodies stifle the M2 cells and promote M1-caused inflammation. The results are a disaster.

 A Summary of The Study’s Findings:

  • We present evidence of a detrimental role of the anti-S-IgG (anti-spike protein antibody) and acute lung injury during a SARS-CoV infection.
    • Vaccine-induced, spike-specific antibodies resulted in severe acute lung injury in SARS-CoV infected Chinese macaques
  • Anti-S-IgG antibody failed to prevent SARS-CoV lower respiratory tract infection (pneumonia) and amplify (increase) M1 macrophage infiltration and accumulation in the lungs.
  • Anti-S-IgG causes severe acute lung injury (ALI) when the lungs become re-infected and/or re-exposed to coronaviruses by removing the inflammation-resolving work of the M2 macrophages.
  • Animals who died of SARS-CoV infection had an accumulation of pro-inflammatory M1 macrophages and an absence of wound-healing M2 macrophages in their lungs.
  • Histological examination [the lung tissue of the sacrificed animals] in 6 of the vaccinated macaques revealed acute diffuse alveolar damage (DAD) with various degrees of severity. Most of the macaques in the control group given the non-spike protein vaccine showed only minor to moderate lung inflammation. (Note: alveoli are the tiny air sacs in the lungs that oxygenate the blood.)
  • Without the presence of the anti-S-IgG antibodies, M2 macrophages began healing the lungs within two days of infection.

Evidence Ignored

The above study was very recent (2019) but is it one of MANY dating back to 2002 documenting how damaging the COVID vaccine(s) are going to be once a person is vaccinated and then is re-exposed to circulating coronaviruses.

But that’s not the only problem caused by the COVID-19 vaccines.

Most garden-variety respiratory viruses cause infection by binding to specific receptors on the surface of the host’s cells. To block this attachment, antibodies formed from previous infections or by vaccines bind the circulating virus and neutralize it. This stops, or at least weakens, the progression to a full-blown infection.

However, in some viruses, the antibodies formed against them bind only loosely to the viral surface proteins. Instead of stopping an infection, this mechanism promotes invasion into the cell, enhancing the infection instead of stopping it.

Antibodies: Neutralizing vs Non-Neutralizing

A neutralizing antibody is shaped like the letter Y. The upper arms are called the Fab fragments and the stem is called the Fc fragment. The Fab fragments bind to an invading pathogen. The Fac fragment then binds to an Fac receptor on the surface of white blood cells, such as macrophages, lymphocytes, natural killer (NK) cells and others. Normally, this signals the white blood to release tiny bits of inflammatory chemicals to destroy the microbes

However, when the spike protein antibody (anti-S-IgG) engages with the Fac receptor on the surface of the cytomembrane, the “door opens” and allows the complex to enter host cells. And, if the Fab fragments of the antibody are only weakly bound to the surface of the pathogenic protein, the antibody acts like a Trojan horse. The loosely bound protein material “escapes” from the end of the Fab fragments, it highjacks that reverse transcriptase enzyme system and begins to replicate, enhancing the infection rather than stopping it.

This is the process of how antibody derived enhancement, or ADE, works. It’s like having an “on button” on a replicator but no “off button.” As the mRNA replicates, more and more non-neutralizing antibody is produced, leading to accelerated autoimmune diseases, primarily affecting the lungs, liver and kidneys. ADE may even plan a role in the development of fulminant ARDS (Acute Respiratory Distress Syndrome) after patients have recovered from COVID.

ADE has been identified in more than 40 kinds of viruses including HIV, Dengue, West Nile and coronaviruses. There are seven or the 36 circulating coronavirus strains (LINK) are known to infect humans.

Every Animal Tested

In a 2012 study of mice, ferrets, hamsters, and Cynomolgus monkeys, using various coronavirus proteins and various adjuvants, researchers reported immunopathology in every animal that had been vaccinated and then re-exposed to a SARS-CoV virus.

Researchers clearly stated the following:

This combined experience provides concern for trials with SARS-CoV vaccines in humans. Clinical trials with SARS coronavirus vaccines have been conducted and reported to induce antibody responses and to be ‘‘safe.” However, the evidence for safety is for a short period of observation. The concern arising from the present report is for an immunopathologic reaction occurring among vaccinated individuals on (re)exposure to infectious SARS-CoV, the basis for developing a vaccine for SARS.

Researchers concluded the following:

The SARS-CoV vaccines all induced antibody protection against infection with SARS-CoV. However, [viral] challenge of the mice given any of the vaccines led to the occurrence of Th2-type immunopathology suggesting hypersensitivity to SARS-CoV components. Caution in proceeding to application of a SARS-CoV vaccines in humans is indicated.

Unanswered questions

We know so little about the COVID vaccines.

  • Does the vaccine prevent the infection or only lessen a patient’s symptoms?
  • Does it keep them from spreading the virus? If so, why do we still need to distance and wear a mask?
  • How long will the antibody last? In otherwords, how long to we have to worry about viral re-exposure?
  • What if you already have a co-morbidity such as an autoimmune disease?
  • How well does it protect the elderly, many of whom have received a flu vaccine?

We are only a few weeks into this mass global vaccination campaign, and thousands of side effects are already being reported.

With all the evidence being ignored, is avoiding an infection with a 99% survival rate, worth the risk of the vaccine?

My vote will be unequivocally no.

1-5-2021: UPDATE: In less than 1 month and with 1M doses delivered, the latest data from the Department of Health and Human Services (HHS) shows there have now been 40,433 adverse events REPORTED from the Covid19 vaccinations in the USA….AND THERE MAY BE THOUSANDS MORE UNREPORTED

Look at the list of side effects:  HERE

Dr. Sherri Tenpenny is a board-certified osteopathic medical doctor from Cleveland, Ohio. Dr. Tenpenny is a practicing physician and cares for patients 2.5 days per week. Dr. Tenpenny is an internationally known expert on the problems associated with vaccines. Students from all over the world have become confident parents and articulate activists through her online educational courses, found at Courses4Mastery.com. As the “Voice for the Health Freedom,” Dr. Tenpenny is an outspoken advocate for free choice in healthcare, including the right to refuse vaccination.

« Vaccins » Covid : analyse du Dr Christian Vélot.

C’est très didactique et très professionnel. Et c’est en français, yay!

Suite à sa note d’expertise grand public sur les vaccins faisant appel aux biotechnologies, le Dr Christian VÉLOT*, généticien moléculaire à l’université Paris-Saclay et Président du Conseil Scientifique du CRIIGEN, propose une vidéo didactique sous-titrée sur les différents types de vaccins contre la COVID-19, et en particulier ceux de dernière génération avec les risques potentiels qu’ils peuvent engendrer. Bon visionnage !

*Enseignant-chercheur du Service Public, Christian VÉLOT déclare n’avoir aucun conflit d’intérêt.


Au cas où, un backup ici.

Vaccins COVID-19 à base d’ARN et risque de maladie à prion – par le Dr J. Bart Classen.

Encore une article qui dit du mal de l’excellllllent vac… euh, enfin le truc qu’on injecte en ce moment aux naïfs de France et de Navarre. N’ayant pas la moindre idée de la validité scientifique de ce papier, je fais ce que font les profanes dans ce cas, je vais voir qui l’a écrit. C’est lui. Il a fondé une boîte qui évalue les vaccins et leurs effets secondaires. Le site de sa boîte est ici et il a écrit ça au Président Trump (c’est en anglais, évidemment). C’est pas piqué des hannetons. Franchement, faites l’effort de le traduire – éventuellement il y a GoogleTranslate qui fonctionne très bien.

Que « le vaccin [puisse] causer beaucoup plus de tort que d’avantages« , ça c’est fait. Faut pas être grand clerc pour le comprendre. Un recueil des chiffres des effets adverses et décès ici (chez Vernon Coleman). De toute manière, quand on voit que, vu que 1) les chiffres de la létalité du virus, mêmes bidouillés au-delà du raisonnable, sont insignifiants, 2) l’argument selon lequel les personnes non-vaccinées présenteraient un risque pour les personnes vaccinées est tellement débile et démontable en moins de dix secondes que la seule stratégie de communication qu’ils ont trouvée est de surtout ne jamais l’évoquer (d’autant que ça pourrait bien être exactement le contraire et même encore pire), et 3) la manoeuvre d’évincement des traitements et prévention (page que je devrais un peu mettre à jour) est parfaitement lisible – je dirais même transparente : d’une part l’absence de traitement approuvé est indispensable pour obtenir une autorisation d’urgence pour leur produit injectable, d’autre part les planificateurs de cette psyop en mode problème/réaction/solution comptent bien susciter par chaos mental un niveau de stress suffisant pour pousser à la démence (la réaction) qui faciliterait leur solution (le vaccin). J’en parle dans un article à publier.

Alors… vous lisez le truc, vous ne devenez pas dingues, et si nécessaire vous allez faire un tour dans la nature. Chez moi les hirondelles sont de retour, c’est tellement plus intéressant que toutes ces saloperies. Ou que de traîner dans les cafés, qui de toutes façons sont fermés.

Source. Attention, j’ai dû insister pour ouvrir la page, FireFox préfèrerait pas. Pour mon bien, évidemment.


Traduction

Article de Recherche

ISSN 2639-9458

Microbiologie et maladies infectieuses

Vaccins COVID-19 à base d’ARN et risque de maladie à prion

J. Bart Classen, MD*

Classen Immunotherapies, Inc., 3637 Rockdale Road, Manchester, MD 21102, E-mail: classen@vaccines.net.

*Correspondance: J. Bart Classen, MD, Classen Immunotherapies, Inc., 3637 Rockdale Road, Manchester, MD 21102, Tel: 410-377-8526.

Reçu: 27 Decembre 2020; Accepté: 18 Janvier 2021

Citation: Classen JB. COVID-19 RNA Based Vaccines and the Risk of Prion Disease. Microbiol Infect Dis. 2021; 5(1): 1-3.

ABSTRACT

Le développement de nouvelles technologies vaccinales a été en proie à maints problèmes par le passé. Les actuels vaccins anti-SRAS-CoV-2 à base d’ARN ont été approuvés aux États-Unis par autorisation d’utilisation d’urgence, sans tests approfondis de sécurité à long terme. Dans cet article, le vaccin Pfizer COVID-19 a été évalué par rapport au risque potentiel d’induire une maladie à prion chez les personnes vaccinés. La séquence d’ARN du vaccin ainsi que l’interaction cible de la protéine de pointe ont été analysées pour déterminer le potentiel de conversion des protéines de liaison à l’ARN intracellulaire, la protéine de liaison à l’ADN TAR (TDP-43) et « Fused in Sarcoma » (FUS) [NdT. j’ai pas la traduction exacte] vers leurs conformations de prions pathologiques. Les résultats indiquent que l’ARN du vaccin a des séquences spécifiques qui peuvent induire le repli du TDP-43 et du FUS dans leurs confirmations de prions pathologiques. Dans l’analyse actuelle, un total de seize répétitions en tandem UG (GΨG) ont été identifiés et des séquences riches en UG (ΨG) supplémentaires ont été identifiées. Deux séquences GGΨA ont été trouvées. Des séquences G Quadruplex potentielles sont peut-être présentes mais un programme informatique plus sophistiqué est nécessaire pour les vérifier. En outre, la protéine de pointe, créée par la traduction de l’ARN du vaccin, se lie à l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2), une enzyme contenant du zinc. Cette interaction a le potentiel d’augmenter le zinc intracellulaire. Il a été démontré que les ions de zinc provoquent la transformation du TDP-43 en sa configuration prion pathologique. Le repliement du TDP-43 et du FUS dans leurs confirmations de prions pathologiques est connu pour provoquer la SLA [NdT. sclérose latérale amyotrophique], la dégénérescence lobaire frontotemporale avant, la maladie d’Alzheimer et d’autres maladies dégénératives neurologiques. La découverte ci-jointe ainsi que les risques potentiels supplémentaires amènent l’auteur à croire que l’approbation réglementaire des vaccins à base d’ARN pour le SRAS-CoV-2 était prématurée et que le vaccin pourrait causer beaucoup plus de tort que d’avantages.

Mots clés

COVID-19, vaccins, diabète, immunité.

Introduction

Les vaccins sont à l’origine d’une multitude d’événements indésirables chroniques à développement tardif. Certains événements indésirables comme le diabète de type 1 peuvent ne pas survenir avant un délai de 3 à 4 ans après l’administration d’un vaccin [1]. Dans l’exemple du diabète de type 1, la fréquence des cas d’événements indésirables peut dépasser la fréquence des cas de maladies infectieuses graves que le vaccin a été conçu pour prévenir. Étant donné que le diabète de type 1 n’est qu’une des nombreuses maladies à médiation immunitaire potentiellement causées par les vaccins, les événements indésirables chroniques tardifs sont un grave problème de santé publique. Par exemple, le premier vaccin antipoliomyélitique atténué a en fait causé la polio chez les receveurs parce que le processus de fabrication à plus grande échelle n’a pas tué efficacement le virus de la polio avant qu’il ne soit injecté aux patients. Les vaccins à base d’ARN présentent des risques particuliers d’induire des événements indésirables spécifiques. Un tel événement indésirable potentiel est les maladies à base de prions provoquées par l’activation de protéines intrinsèques pour former des prions. Une mine de connaissances a été publiée sur une classe de protéines de liaison à l’ARN dont il a été démontré qu’elles contribuent à provoquer un certain nombre de maladies neurologiques, notamment la maladie d’Alzheimer et la SLA. Les TDP-43 et FUS sont parmi les mieux étudiés de ces protéines [2].

Le vaccin COVID-19 à base d’ARN de Pfizer a été approuvé par la FDA américaine en vertu d’une autorisation d’utilisation d’urgence sans données sur sa sécurité à long terme. En raison de préoccupations concernant la sécurité de ce vaccin, une étude a été réalisée pour déterminer si le vaccin pouvait potentiellement induire une maladie à prion.

Méthodes

Le vaccin à base d’ARN de Pfizer contre le COVID-19 a été évalué pour déterminer le potentiel de conversion du TDP-43 et/ou du FUS vers leurs états pathogènes à base de prions. L’ARN du vaccin a été analysé pour la présence de séquences susceptibles d’activer les TDP-43 et FUS. L’interaction de la protéine de pointe transcrite avec sa cible a été analysée pour déterminer si cette action pouvait également activer les TDP-43 et FUS.

Résultats

L’analyse du vaccin Pfizer contre le COVID-19 a identifié deux facteurs de risque potentiels d’induction de la maladie à prion chez l’homme. La séquence d’ARN dans le vaccin [3] contient des séquences censées induire l’agrégation du TDP-43 et du FUS dans leur conformation en prions conduisant au développement de maladies neurodégératives courantes. En particulier, il a été montré que les séquences ARN GGUA [4], les séquences riches en UG [5], les répétitions en tandem UG [6] et les séquences G Quadruplex [7], ont une affinité accrue pour se lier au TDP-43 et/ou FUS et peuvent induire la conformation pathologique de TDP-43 ou FUS dans le cytoplasme. Dans l’analyse actuelle, un total de seize répétitions en tandem UG (GΨG) ont été identifiés et des séquences riches en UG (ΨG) supplémentaires ont été identifiées. Deux séquences GGΨA ont été trouvées. Des séquences G quadruplex sont peut-être présentes, mais des programmes informatiques sophistiqués sont nécessaires pour les vérifier. La protéine de pointe codée par le vaccin se lie à l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2), une enzyme qui contient des molécules de zinc [8]. La liaison de la protéine de pointe à ACE2 a le potentiel de libérer la molécule de zinc, un ion qui amène le TDP-43 à assumer sa transformation de prion pathologique [9].

Discussion

Il existe un vieil adage en médecine selon lequel «le remède peut être pire que le mal». Cette phrase peut être appliquée aux vaccins. Dans cet article est formulée l’inquiétude de voir les vaccins COVID à base d’ARN avoir le potentiel de provoquer plus de maladies que l’épidémie de COVID-19. Cet article se concentre sur un nouveau mécanisme potentiel d’événements indésirables provoquant une maladie à prion qui pourrait être encore plus courante et débilitante que l’infection virale que le vaccin est conçu pour prévenir. Bien que cet article se concentre sur un événement indésirable potentiel, il existe plusieurs autres événements indésirables mortels potentiels, comme indiqué ci-dessous. Au cours des deux dernières décennies, certains scientifiques se sont inquiétés du fait que les prions pourraient être utilisés comme armes biologiques. Plus récemment, on a craint que des molécules intracellulaires omniprésentes puissent être activées pour provoquer une maladie à prion, y compris la maladie d’Alzheimer, la SLA et d’autres maladies neurodégénératives. Cette préoccupation est due au potentiel d’utilisation abusive des données de recherche sur les mécanismes par lesquels certaines protéines de liaison à l’ARN comme le TDP-43, le FUS et d’autres peuvent être activées pour former des prions pathogènes. Le fait que cette recherche, qui pourrait être utilisée pour le développement d’armes biologiques, soit financée par des organisations privées telles que la Fondation Bill et Melinda Gates et Ellison Medical Foundation [2] sans contrôle national/international est également préoccupant. Par le passé, par exemple, il était interdit de publier des informations relatives à la construction de bombes nucléaires.

Les données publiées ont montré qu’il existe plusieurs facteurs différents qui peuvent contribuer à la conversion de certaines protéines de liaison à l’ARN, notamment le TDP-43, le FUS et les molécules apparentées, à leurs états pathologiques. Ces protéines de liaison à l’ARN ont de nombreuses fonctions et se trouvent à la fois dans le noyau et dans le cytoplasme. Ces protéines de liaison ont des régions d’acides aminés, des motifs de liaison qui se lient à des séquences d’ARN spécifiques. On pense que la liaison à certaines séquences d’ARN lorsque les protéines sont dans le cytoplasme provoque le repli des molécules de manières définies conduisant à une agrégation pathologique et à la formation de prions dans le cytoplasme [2]. L’analyse actuelle indique que le vaccin COVID-19 à base d’ARN de Pfizer contient un grand nombre de ces séquences d’ARN qui se sont révélées avoir une forte affinité pour le TDP-43 ou le FUS et ont le potentiel d’induire des maladies neurologiques dégénératives chroniques.

Le TDP-43 est un autre mécanisme conduisant à la formation d’agrégations de type amyloïde [9]. La protéine de pointe virale, codée par la séquence d’ARN du vaccin, lie ACE2, une enzyme contenant des molécules de zinc [8]. Cette interaction a le potentiel d’augmenter les niveaux de zinc intracellulaire conduisant à une maladie à prions. La liaison initiale pourrait être entre les protéines de pointe à la surface de la cellule transfectée par le vaccin et ACE2 à la surface d’une cellule adjacente. Le complexe résultant peut devenir intériorisé. Une variante de l’interaction pourrait initialement avoir lieu dans le cytoplasme d’une cellule qui produit l’ACE2 et qui a été transfectée avec l’ARN du vaccin codant pour la protéine de pointe. L’interaction est assez préoccupante si on considère l’hypothèse que le virus responsable du COVID-19, le SRAS-CoV-2, est une arme biologique [10,11] et il est possible que la protéine de pointe virale ait été conçue pour provoquer une maladie à prions.

Une autre préoccupation connexe est que le vaccin Pfizer utilise un ARN nucléoside unique 1-méthyl-3′-pseudouridylyle (Ψ). Selon les documents d’information de la FDA, ce nucléoside a été choisi pour réduire l’activation du système immunitaire inné [12]. Les molécules d’ARN contenant ce nucléoside auront sans aucun doute une liaison altérée [13]. Malheureusement, l’effet sur le TDP-43, le FUS et d’autres protéines de liaison à l’ARN n’est pas publié. L’utilisation de ce nucléoside dans un vaccin peut potentiellement améliorer l’affinité de liaison des séquences d’ARN capables d’amener les TDP-43 et FUS à prendre des configurations toxiques.

Il existe de nombreux autres événements indésirables potentiels qui peuvent être induits par les nouveaux vaccins à base d’ARN contre le COVID-19. Le vaccin place une nouvelle molécule, la protéine de pointe, dans/sur la surface des cellules hôtes. Cette protéine de pointe est un récepteur potentiel pour un autre agent infectieux potentiellement nouveau. Si ceux qui soutiennent que le COVID-19 est en fait une arme biologique ont raison, alors un deuxième virus potentiellement plus dangereux peut être libéré qui se liera à la protéine de pointe présente sur les cellules hôtes des personnes vaccinées. Les données ne sont pas publiquement accessibles concernant la durée pendant laquelle l’ARN du vaccin est traduit chez le receveur du vaccin ni concernant pendant quelle durée après la traduction la protéine de pointe sera présente dans les cellules du receveur. De telles études relatives à l’expression in vivo seront complexes et intéressantes. La diversité génétique protège les espèces des pertes massives causées par les agents infectieux. Un individu peut être tué par un virus tandis qu’un autre peut ne subir aucun effet nocif du même virus. En plaçant le même récepteur, la protéine de pointe, sur les cellules de tous dans une population, la diversité génétique d’au moins un récepteur potentiel disparaît. Tous les individus d’une population deviennent maintenant potentiellement susceptible de se lier avec le même agent infectieux.

L’auto-immunité et la condition opposée, le syndrome métabolique, sont des événements indésirables bien connus causés par les vaccins [14]. Les infections au COVID-19 sont associées à l’induction d’auto-anticorps et de maladies auto-immunes [15,16], ce qui fait qu’il est plus que plausible qu’un vaccin puisse faire de même. Un auteur a trouvé que les séquences d’acides aminés codées par la protéine de pointe sont identiques aux séquences de protéines humaines, y compris les protéines présentes dans le SNC [système nerveux central] [17]. L’auto-immunité peut également être induite par la propagation d’épitope lorsqu’un antigène étranger, comme la protéine de pointe, est présenté par une cellule présentant l’antigène qui a également des molécules auto attachées à ses molécules du CMH [complexe majeur d’histocompatibilité].

Enfin, d’autres personnes travaillant dans le domaine ont publié une autre thèse soutenant que les vaccins COVID-19 pourraient potentiellement induire une maladie à prion. Les auteurs [18] ont trouvé des séquences liées au prion dans la protéine de pointe COVID-19 qui n’ont pas été trouvées dans les coronavirus apparentés. D’autres [19] ont rapporté un cas de maladie à prions, la maladie de Creutzfeldt-Jakob, survenant initialement chez un homme atteint de COVID-19.

Beaucoup ont émis l’avertissement que l’épidémie actuelle de COVID-19 est en fait le résultat d’une attaque à l’arme biologique lancée en partie par des individus au sein du gouvernement des États-Unis [10,11]. Une telle théorie n’est pas exagérée étant donné que l’attaque à l’anthrax de 2001 aux États-Unis a commencé à Fort Detrick, une installation d’armes biologiques de l’armée américaine. Étant donné que l’enquête sur l’anthrax du FBI a été cloturée contre l’avis de l’agent principal du FBI en charge de l’affaire, il est probable que des conspirateurs travaillent encore au gouvernement américain. Dans un tel scénario, l’objectif principal de l’arrêt d’une attaque à l’arme biologique doit être d’appréhender les conspirateurs, sinon les attaques ne cesseront jamais. L’approbation d’un vaccin, en utilisant une nouvelle technologie d’ARN sans tests approfondis, est extrêmement dangereuse. Le vaccin pourrait être une arme biologique et se révéler encore plus dangereuse que l’infection d’origine.


Texte original

Research Article

ISSN 2639-9458

Microbiology & Infectious Diseases

COVID-19 RNA Based Vaccines and the Risk of Prion Disease

J. Bart Classen, MD*

Classen Immunotherapies, Inc., 3637 Rockdale Road, Manchester, MD 21102, E-mail: classen@vaccines.net.

*Correspondence: J. Bart Classen, MD, Classen Immunotherapies, Inc., 3637 Rockdale Road, Manchester, MD 21102, Tel: 410-377-8526.

Received:27 December 2020; Accepted: 18 January 2021

Citation: Classen JB. COVID-19 RNA Based Vaccines and the Risk of Prion Disease. Microbiol Infect Dis. 2021; 5(1): 1-3.

ABSTRACT

Development of new vaccine technology has been plagued with problems in the past. The current RNA based SARS-CoV-2 vaccines were approved in the US using an emergency order without extensive long term safety testing. In this paper the Pfizer COVID-19 vaccine was evaluated for the potential to induce prion-based disease in vaccine recipients. The RNA sequence of the vaccine as well as the spike protein target interaction were analyzed for the potential to convert intracellular RNA binding proteins TAR DNA binding protein (TDP-43) and Fused in Sarcoma (FUS) into their pathologic prion conformations. The results indicate that the vaccine RNA has specific sequences that may induce TDP-43 and FUS to fold into their pathologic prion confirmations. In the current analysis a total of sixteen UG tandem repeats (ΨGΨG) were identified and additional UG (ΨG) rich sequences were identified. Two GGΨA sequences were found. Potential G Quadruplex sequences are possibly present but a more sophisticated computer program is needed to verify these. Furthermore, the spike protein, created by the translation of the vaccine RNA, binds angiotensin converting enzyme 2 (ACE2), a zinc containing enzyme. This interaction has the potential to increase intracellular zinc. Zinc ions have been shown to cause the transformation of TDP-43 to its pathologic prion configuration. The folding of TDP-43 and FUS into their pathologic prion confirmations is known to cause ALS, front temporal lobar degeneration, Alzheimer’s disease and other neurological degenerative diseases. The enclosed finding as well as additional potential risks leads the author to believe that regulatory approval of the RNA based vaccines for SARS-CoV-2 was premature and that the vaccine may cause much more harm than benefit.

Keywords

COVID-19, Vaccines, Diabetes, Immunity.

Introduction

Vaccines have been found to cause a host of chronic, late developing adverse events. Some adverse events like type 1 diabetes may not occur until 3-4 years after a vaccine is administered [1]. In the example of type 1 diabetes the frequency of cases of adverse events may surpass the frequency of cases of severe infectious disease the vaccine was designed to prevent. Given that type 1 diabetes is only one of many immune mediated diseases potentially caused by vaccines, chronic late occurring adverse events are a serious public health issue.

The advent of new vaccine technology creates new potential mechanisms of vaccine adverse events. For example, the first killed polio vaccine actually caused polio in recipients because the up scaled manufacturing process did not effectively kill the polio virus before it was injected into patients. RNA based vaccines offers special risks of inducing specific adverse events. One such potential adverse event is prion based diseases caused by activation of intrinsic proteins to form prions. A wealth of knowledge has been published on a class of RNA binding proteins shown to participating in causing a number of neurological diseases including Alzheimer’s disease and ALS. TDP-43 and FUS are among the best studied of these proteins [2].

The Pfizer RNA based COVID-19 vaccine was approved by the US FDA under an emergency use authorization without long term safety data. Because of concerns about the safety of this vaccine a study was performed to determine if the vaccine could potentially induce prion based disease.

Methods

Pfizer’s RNA based vaccine against COVID-19 was evaluated for the potential to convert TDP-43 and or FUS to their prion based disease causing states. The vaccine RNA was analyzed for the presence of sequences that can activate TDP-43 and FUS. The interaction of the transcribed spike protein with its target was analyzed to determine if this action could also activate TDP-43 and FUS.

Results

Analysis of the Pfizer vaccine against COVID-19 identified two potential risk factors for inducing prion disease is humans. The RNA sequence in the vaccine [3] contains sequences believed to induce TDP-43 and FUS to aggregate in their prion based conformation leading to the development of common neurodegerative diseases. In particular it has been shown that RNA sequences GGUA [4], UG rich sequences [5], UG tandem repeats [6], and G Quadruplex sequences [7], have increased affinity to bind TDP-43 and or FUS and may cause TDP-43 or FUS to take their pathologic configurations in the cytoplasm. In the current analysis a total of sixteen UG tandem repeats (ΨGΨG) were identified and additional UG (ΨG) rich sequences were identified. Two GGΨA sequences were found. G Quadruplex sequences are possibly present but sophisticated computer programs are needed to verify these.

The spike protein encoded by the vaccine binds angiotensin converting enzyme 2 (ACE2), an enzyme which contains zinc molecules [8]. The binding of spike protein to ACE2 has the potential to release the zinc molecule, an ion that causes TDP-43 to assume its pathologic prion transformation [9]

Discussion

There is an old saying in medicine that “the cure may be worse than the disease.” The phrase can be applied to vaccines. In the current paper the concern is raised that the RNA based COVID vaccines have the potential to cause more disease than the epidemic of COVID-19. This paper focuses on a novel potential adverse event mechanism causing prion disease which could be even more common and debilitating than the viral infection the vaccine is designed to prevent. While this paper focuses on one potential adverse event there are multiple other potential fatal adverse events as discussed below.

Over the last two decades there has been a concern among certain scientists that prions could be used as bioweapons. More recently there has been a concern that ubiquitous intracellular molecules could be activated to cause prion disease including Alzheimer’s disease, ALS and other neurodegenerative diseases. This concern originates due to potential for misuse of research data on the mechanisms by which certain RNA binding proteins like TDP-43, FUS and others can be activated to form disease causing prions. The fact that this research, which could be used for bioweapons development, is funded by private organizations including the Bill and Melinda Gates Foundation, and Ellison Medical Foundation [2] without national/international oversight is also a concern. In the past, for example, there were prohibitions for publishing information pertaining to construction of nuclear bombs.

Published data has shown that there are several different factors that can contribute to the conversion of certain RNA binding proteins including TDP-43, FUS and related molecules to their pathologic states. These RNA binding proteins have many functions and are found in both the nucleus and the cytoplasm. These binding proteins have amino acid regions, binding motifs that bind specific RNA sequences. Binding to certain RNA sequences when the proteins are in the cytoplasm is believed to causes the molecules to fold in certain ways leading to pathologic aggregation and prion formation in the cytoplasm [2]. The current analysis indicates Pfizer’s RNA based COVID-19 vaccine contains many of these RNA sequences that have been shown to have high affinity for TDP-43 or FUS and have the potential to induce chronic degenerative neurological diseases.

Zinc binding to the RNA recognition motif of TDP-43 is another mechanism leading to formation of amyloid like aggregations [9]. The viral spike protein, coded by the vaccine RNA sequence, binds ACE2 an enzyme containing zinc molecules [8]. This interaction has the potential to increase intracellular zinc levels leading to prion disease. The initial binding could be between spike proteins on the surface of the cell transfected by the vaccine and ACE2 on the surface of an adjacent cell. The resulting complex may become internalized. Alternatively, the interaction could initially take place in the cytoplasm of a cell that makes ACE2 and has been transfected with the vaccine RNA coding for the spike protein. The interaction is quite concerning given the belief that the virus causing COVID-19, SARS-CoV-2, is a bioweapon [10,11] and it is possible that the viral spike protein may have been designed to cause prion disease.

Another related concern is that the Pfizer vaccine uses a unique RNA nucleoside 1-methyl-3′-pseudouridylyl (Ψ). According to FDA briefing documents, this nucleoside was chosen to reduce activation of the innate immune system [12]. RNA molecules containing this nucleoside will undoubtedly have altered binding [13]. Unfortunately, the effect on TDP-43, FUS and other RNA binding proteins is not published. The use of this nucleoside in a vaccine can potentially enhance the binding affinity of RNA sequences capable of causing TDP-43 and FUS to assume toxic configurations.

There are many other potential adverse events that can be induced by the novel RNA based vaccines against COVID-19. The vaccine places a novel molecule, spike protein, in/on the surface of host cells. This spike protein is a potential receptor for another possibly novel infectious agent. If those who argue that the COVID-19 is actually a bioweapon are correct, then a second potentially more dangerous virus may be released that binds spike protein found on the host cells of vaccine recipients. Data is not publicly available to provide information on how long the vaccine RNA is translated in the vaccine recipient and how long after translation the spike protein will be present in the recipient’s cells. Such studies pertaining to in vivo expression will be complex and challenging. Genetic diversity protects species from mass casualties caused by infectious agents. One individual may be killed by a virus while Volume 5 | Issue 1 | 3 of 3Microbiol Infect Dis, 2021another may have no ill effects from the same virus. By placing the identical receptor, the spike protein, on cells of everyone in a population, the genetic diversity for at least one potential receptor disappears. Everyone in the population now becomes potentially susceptible to binding with the same infectious agent.

Autoimmunity and the opposing condition, metabolic syndrome, are well know adverse events caused by vaccines [14]. COVID-19 infections are associated with the induction of autoantibodies and autoimmune disease [15,16] making it more than plausible a vaccine could do the same. One author has found amino acid sequences coded by the spike protein to be identical to sequences in human proteins including proteins found in the CNS [17]. Autoimmunity can also be induced by epitope spreading when a foreign antigen, like the spike protein, is presented by an antigen presenting cell that also has self molecules attached to its MHC molecules.

Finally, others working in the field have published additional support that COVID-19 vaccines could potentially induce prion disease. Authors [18] found prion related sequences in the COVID-19 spike protein which were not found in related coronaviruses. Others [19] have reported a case of prion disease, Creutzfeldt-Jakob disease, initially occurring in a man with COVID-19.

Many have raised the warning that the current epidemic of COVID-19 is actually the result of an bioweapons attack released in part by individuals in the United States government [10,11]. Such a theory is not far fetched given that the 2001 anthrax attack in the US originated at Fort Detrick, a US army bioweapon facility. Because the FBI’s anthrax investigation was closed against the advice of the lead FBI agent in the case, there are likely conspirators still working in the US government. In such a scenario the primary focus of stopping a bioweapons attack must be to apprehend the conspirators or the attacks will never cease. Approving a vaccine, utilizing novel RNA technology without extensive testing is extremely dangerous. The vaccine could be a bioweapon and even more dangerous than the original infection.

References

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18. Tetz G, Tetz V. SARS-CoV-2 prion-like domains in spike proteins enable higher affinity to ACE2. Preprint. 2020.19. Young MJ, O’Hare M, Matiello M, et al. Creutzfeldt-Jakob disease in a man with COVID-19: SARS-CoV-2-accelerated neuro degeneration? Brain, Behavior, and Immunity. 2020; 89: 601-603.

Entretien avec le Dr Vanessa Schmidt-Kruger.

Source : la traduction en anglais et la transcription originale en allemand. Traduction en français par moi . J’ai bazardé les notes de minutage et j’ai mis les notes de traduction originales sous forme standard.

Cet article étant très diffusé, j’ai encore revu et corrigé ce 7 août la traduction, qui est maintenant exacte et plus lisible.


Traduction

Entretien avec le Dr Vanessa Schmidt-Kruger

Audition n° 37 de la Commission d’Enquête Extraparlementaire Allemande Corona du 30 janvier 2021

Il s’agit de l’audience n° 37 de la Commission d’Enquête Extraparlementaire Allemande Corona avec Le Dr.Vanessa Schmidt-Krueger, qui débute à la minute 3.56.38 de l’audience jusqu’à la fin. La transcription a d’abord été produite en allemand, puis traduite (par Gilian Crowther, membre du BDÜ, l’Association Fédérale des Interprètes et Traducteurs).

Pour l’original, veuillez consulter l’audience 37 ici.

La Commission d’Enquête Extraparlementaire Allemande Corona a été initiée par le Dr Reiner Fuellmich le 10 juillet 2020. Le Dr Fuellmich L.L.M. (UCLA) est avocat, autorisé à plaider devant tous les tribunaux de l’État Fédéral Américain de Californie. Il est avocat spécialisé dans la protection des consommateurs en Californie et en Allemagne depuis 26 ans.

La Commission d’Enquête Corona a écouté un grand nombre de scientifiques internationaux et de témoignages d’experts depuis sa création. Des recours collectifs sont en préparation aux Etats-Unis et au Canada. Des poursuites sont également en préparation en Allemagne. L’Allemagne n’autorisant pas les actions collectives, le processus y est préparé différemment. Le comité travaille également à la création de directives juridiques et de bases de données que les avocats du monde entier pourront utiliser pour intenter leurs propres poursuites.

Le 30 janvier 2021, la Commission d’Enquête Extraparlementaire Allemande Corona a interviewé le Dr Vanessa Schmidt-Kruger, une biologiste cellulaire avec plus de 20 ans d’expérience en médecine moléculaire, employée au Centre Max Delbrück de Médecine Moléculaire (https://www.mdc-berlin.de/personne/dr-vanessa-schmidt-kruger).

Ceci est son témoignage, présenté lors de la 37ème audition de la Commission d’Enquête Extraparlementaire Allemande Corona, le 30 janvier 2021.

RF = Dr. Reiner Fuellmich \ VSK = Dr. Vanessa Schmidt-Krueger \ VF = Viviane Fischer \ MT = Marcel Templin \ Dr. H. = Dr. Holzeisen (Italie)

RF: [Le Dr. Schmidt-Krueger] mène des recherches sur les maladies cardiovasculaires et expliquera le mécanisme et les risques du vaccin.

VSK: Je suis biologiste cellulaire et mon domaine de spécialisation est la caractérisation fonctionnelle et l’élucidation des protéines, c’est-à-dire [que mon travail est de] comprendre comment les protéines sont produites, comment elles sont transportées dans la cellule, comment elles sont absorbées par les cellules, comment elles sont métabolisées, comment se déroule la communication intra- et intercellulaire, y compris dans les tissus, et comment les organes interagissent. Tout cela est très important si l’on souhaite mener une évaluation des risques: comment le vaccin fonctionne, par exemple, et les dangers/risques des nanoparticules lipidiques (NPL). Cette technologie n’est pas vraiment nouvelle: c’est une nouveauté en tant que vaccin, mais nous utilisons ces NPL dans la recherche depuis plus de 20 ans, et nous avons toujours été aux prises avec le problème de la toxicité des lipides et de l’évaluer par rapport à leur efficacité.

Je voudrais vous donner quelques explications, à partir de l’exemple du vaccin BioNTech, en me concentrant sur quelques points spécifiques. J’ai amené quelques notes.

Le premier point est que le vaccin BioNTech déjà utilisé actuellement n’est pas hautement purifié, il contient des contaminants de certains composants. Ça figure dans le rapport d’évaluation ouvert de l’EMA [NdT. European Medicine Agency] , l’agence qui a accordé l’autorisation à ce vaccin. L’EMA a rédigé ce rapport et couvre ce point.

Deuxièmement, je voudrais aborder la première étude clinique du vaccin BioNTech, et comment la quantité de vaccin à utiliser a été déterminée: cela n’a pas été correctement caractérisé d’un point de vue scientifique, à mon avis.

Le point n°3 concerne les effets ou les risques des NPL, et encore une fois je me concentrerai sur le vaccin BioNTech, l’étude préclinique qu’ils ont menée, tout ce qui en est ressorti, et ce qui n’a pas été discuté publiquement, et aussi ce que les publications en disent. Ce n’est fondamentalement pas la seule étude de recherche [à ce sujet].

Et enfin, si nous avons le temps, je voudrais parler des conséquences à long terme qui concernent les maladies immunitaires, un aspect qui n’a pas du tout encore été discuté publiquement.

RF: Je ne sais pas si vous en êtes consciente, mais juste à côté de vous [à l’écran] se trouve le collègue Dr. Holzeisen, qui est la personne-clé de la construction du plaidoyer pour l’annulation de l’autorisation du vaccin: ce que vous dites aujourd’hui aura probablement un impact substantiel sur le procès que nous formulons et soumettrons à l’Agence Européenne des Médicaments/à la Commission Européenne.

VSK: Ok, ravie de vous aider. J’ai pris des notes et je peux les soumettre par écrit plus tard. Bien. Pourquoi tout cela n’est-il pas discuté? Une des raisons possibles est que ce rapport d’évaluation ouvert est rédigé en anglais et que la moitié de l’Allemagne ne parle pas l’anglais. Ensuite, il y a le fait qu’il faut être très familier de toute la terminologie médicale qu’on trouve dans ce rapport. Et puis il y a toutes les technologies et opérations cellulaires décrites: seuls les spécialistes comme moi peuvent réellement les comprendre. Je suis ici pour cette raison et pour essayer d’éclaircir tout ça.

Fondamentalement, le rapport du comité de l’EMA comprend deux rubriques principales: l’une concerne les bonnes pratiques de fabrication (BPF), c’est-à-dire tous les processus de production, la purification, le niveau de qualité et les mécanismes de contrôle. Et la deuxième rubrique concerne l’étude préclinique.

Dans la première section sur les BPF, ils ont fait du très bon travail, à mon avis: ils ont été très critiques, ont demandé la soumission ultérieure d’un grand nombre de preuves scientifiques et ont demandé de nombreuses améliorations. Ils on été très critiques et précis dans leurs détails, et j’en ai été impressionnée. Mais leur approche des effets secondaires, dans la deuxième rubrique, contraste beaucoup avec la première. Ils n’ont procédé à aucun examen critique, beaucoup d’effets secondaires n’ont pas du tout été discutés publiquement, ils n’ont pas non plus examiné de manière critique les conséquences de l’injection de ces produits aux humains, en particulier chez les groupes vulnérables qui souffrent déjà de certains troubles des organes, groupes qui sont particulièrement sensibles à ces effets indésirables. Je les détaillerai à la fin.

Nous savons que la mise au point de vaccins prend normalement beaucoup de temps. Pas seulement pour la phase clinique: pour ce vaccin, elle est fixée à trois fois deux ans et demi, soit trois phases de deux ans et demi chacune, plus la phase d’évaluation, ce qui fait sept ans et demi au total. Et puis il ne faut pas oublier l’optimisation de la production qui est aussi importante, il faudrait sûrement minimum un an pour y arriver. Cela n’a pas du tout été fait. Le vaccin est déjà vendu et utilisé, mais l’optimisation de la production n’est pas encore achevée. Et il y a des lacunes considérables.

Je voudrais aborder la question des déficiences de la substance active: j’entends par là l’ARN modifié qu’ils synthétisent. Le deuxième problème est qu’il y a des lacunes dans la cohérence des différents lots de production: ils doivent toujours être cohérents pour garantir un volume et une qualité de vaccin constants.

Le problème rencontré par BioNTech est qu’en phase clinique, le produit, c’est-à-dire l’ARN, a été fabriqué avec des techniques complètement différentes de celles utilisées actuellement. Pendant la phase clinique, ils n’avaient besoin que de petits volumes de vaccin, ils ont pu utiliser des techniques très coûteuses qui ont fourni des produits finaux hautement purifiés. Maintenant qu’ils ont commencé leur production de masse, ce n’est plus possible, ils ont dû passer à des processus moins coûteux, par exemple en utilisant d’énormes quantités d’ADN, qui sert de substrat pour la production de l’ARN dans une réaction de transcription in vitro. Cela se fait via des bactéries, via la fermentation de bactéries transformées qui contiennent cet ADN. Les bactéries multiplient l’ADN en énormes quantités, ce qui entraîne de nouveaux dangers ou risques, en particulier de contamination. Par exemple, actuellement l’ADN est transformé dans la bactérie, il est multiplié, ensuite les bactéries sont ouvertes et l’ADN en est extrait, puis il est linéarisé via des enzymes, ensuite l’ADN linéarisé subit une transcription in vitro pour produire l’ARN par diverss procédés. Le comité de l’EMA a requis plusieurs choses du fabricant du vaccin, c’est-à-dire BioNTech. Le demandeur doit à présent développer et appliquer divers procédés d’analyse pour s’assurer que le substrat est exempt de contaminants microbiologiques – ils sous-entendent E. Coli, par exemple. Il ne semble pas y avoir de processus pour garantir ou surveiller ça. Ils doivent également s’assurer que tous les buffers – ce sont les solvants utilisés – sont exempts d’ARNases. Les ARNases sont des enzymes qui dégradent l’ARN. S’il y a contamination par ces solvants ARNases, l’ARN dans le vaccin sera dégradé et le vaccin n’aura plus aucun effet. Ils doivent également analyser la force de l’activité des enzymes; c’est très important car j’ai expliqué qu’à l’étape suivante, l’ARN est transcrit à partir de l’ADN et ensuite l’ADN doit être éliminé, il est digéré par des enzymes: par des ADNases. Et si cet ADN n’est pas assez bien digéré, s’il reste des résidus, cela comporte des risques – je reviendrai sur les risques liés aux résidus d’ADN, mais l’activité des enzymes doit être bien surveillée et à la fin on doit avoir un ARN pur sans traces d’ADN. Et ce n’est pas le cas. BioNTech a admis qu’il existe des contaminations d’ADN.

Des exigences ont également été formulées concernant le fait qu’ils n’ont pas réalisé d’étude de vérification du transport. Cela signifie qu’ils n’ont aucune idée de la viabilité du vaccin après son transport. C’est actuellement en cours.

Ensuite, il y a la stérilité du flacon du vaccin. Ils ont de bons flacons, ils les ont testés, mais on leur a demandé de développer un nouveau «test rapide» afin que le médecin ou la personne qui administre le vaccin puisse effectuer ce test pour vérifier si le lot qu’ils ont acheté est vraiment stérile.

C’est une simple précaution supplémentaire, qui devrait être prise.

Et puis, ils n’ont pas de norme spécifique pour les différents lots.

On a constaté que l’intégrité de l’ARN varie systématiquement dans les lots fabriqués. J’y reviendrai. Il doit y avoir une norme qui doit être la même pour chaque lot. Celle-ci doit être utilisée comme référence pour mesurer la [conformité à] la norme. Et ils n’en ont bien sûr une que pour les processus de la phase clinique. Nous devons maintenant créer une nouvelle norme pour les nouveaux procédés de fabrication, c’est-à-dire pour les ventes commerciales. Cela n’a pas encore été fait, ils sont en train de le faire maintenant.

Donc – l’intégrité de l’ARN signifie bien sûr la qualité de l’ARN. Ils ont constaté qu’elle n’était pas très élevée: elle était plus élevée pour les processus de la phase clinique. Dans ce rapport, ils ne disent pas à quel degré, mais j’ai des informations qui montrent que 78% de l’ARN était correct [NdT. cela fait référence à l’intégrité], le reste ne l’était pas, mais on a maintenant trouvé de nouveaux lots dont l’ARN n’est intègre qu’à 55%, c’est-à-dire que la moitié de celui-ci n’est simplement pas viable. Je vais à nouveau l’expliquer: lors de la synthèse de cet ARN, l’ADN sert de modèle, puis l’ARN est produit. Il est possible qu’un ARN incomplet soit produit, que le processus soit interrompu prématurément, il faudrait vérifier. Il existe des méthodes d’analyse pour vérifier quel pourcentage du produit fabriqué a la longueur totale de l’ARN (100%) et quel pourcentage n’est que de 80%, ou autre. Ces fragments d’ARN tronqués sont par conséquent plus instables: au bout de l’ARN, il y a une adénine attachée, et plus cette «queue» est longue, plus l’ARN est stable dans la cellule. Si celle-ci est tronquée, l’ARN est dégradé dans la cellule assez rapidement, et aucune protéine ne peut être formée: dans le pire des cas, il se forme si peu de protéine qu’aucune réponse immunitaire ne peut se produire. Mais c’est le pire des cas. Si l’intégrité de l’ARN n’est que de 55% et que les 45% restants ne sont que des morceaux tronqués, parce qu’on détecte des morceaux d’ARN raccourcis, le comité de l’EMA voulait savoir si des morceaux de protéines tronquées seraient produits et quelle quantité de protéine appropriée [NdT. c’est-à-dire, la protéine de pointe] est produite. Tout cela doit être analysé.

RF: Vous nous expliquez tout ce qui cloche côté production, et un risque qui ne semble pas du tout avoir été discuté – du moins je n’ai rien lu sur ce dont vous venez de parler – est que 45% de l’ARN produit à partir de l’ADN n’est pas viable.

VSK: Il peut être non-viable si la protéine n’est pas formée – BioNTech doit le vérifier maintenant parce qu’on peut rendre les protéines visibles en utilisant une technique spécifique, et on peut ainsi voir la taille des protéines. Elles sont triées en fonction de leur taille, et si des protéines tronquées sont fabriquées du fait de morceaux d’ARN raccourcis, on peut le voir parce que de nouvelles protéines plus courtes se forment. Dans leur analyse, ils ont vu différentes bandes, c’est-à-dire différentes tailles de protéines, et le comité de l’EMA aimerait savoir de BioNTech si ces différentes tailles se rapportent toutes à la même protéine ou non – s’il s’agit d’autres protéines – des protéines raccourcies qui n’ont peut-être aucun effet, et quel pourcentage de la protéine correcte recherchée est réellement présente dans la dose de vaccin. La quantité produite.

VF: Les petites protéines: pourraient-elles simplement n’avoir aucune fonction, ou pourraient-elles produire un autre effet?

VSK: Je suppose qu’elles seraient alors sans fonction.

RF: Au moins, elles ne feraient pas de dégâts alors?

VSK: Oui, ce ne sont pas des protéines complètement différentes, ce n’est qu’une petite fraction de la protéine de pointe.

VF: Et juste une autre question à propos de l’ADN – quel type d’ADN se retrouve [NdT. dans le vaccin], quels effets cela pourrait-il avoir?

VSK: La séquence de l’ADN est complémentaire de l’ARN, ce qui est nécessaire pour que l’enzyme ait une «matrice», de sorte que l’ARN puisse être «lu». L’ARN est transcrit par l’ADN, qui est essentiellement le gène de la protéine de pointe. Le gène code pour la protéine; l’ARN est le produit intermédiaire.

WW: Si des morceaux plus courts sont produits, c’est-à-dire pas les protéines plus longues mais ces courtes sections, je pense au système immunitaire. Il existe de nombreuses homologies en biologie, le système immunitaire réagit différemment à ce qui est produit dans la cellule. Est-il possible que certaines choses – que quelque chose y soit reconnu par le système immunitaire qui conduirait à des réactions croisées – conduirait à une immunité aberrante ou à des réactions immunitaires aberrantes? Je m’intéresse à l’aspect immunologique de ces contaminants.

VSK: La protéine a une longueur de séquence spécifique et un nombre spécifique d’acides aminés, ce qui entraîne un repliement spécifique de la protéine. Si l’ARN est tronqué, il est possible que le repliement soit différent, ce qui peut bien sûr avoir un effet sur la formation d’anticorps. Je ne dirais pas que cela aurait un effet négatif parce que la protéine doit atteindre la surface cellulaire pour que la cellule la reconnaisse. S’il est très tronqué, alors il ne trouvera pas son chemin jusque là, il ne s’ancrera pas dans la membrane, il sera sécrété par la cellule et entrera dans le flux [sanguin]. C’est donc théoriquement possible, mais je pense que la probabilité est très faible qu’une autre protéine ou une protéine pliée différemment soit produite et provoque d’autres types d’effets secondaires.

WW: Merci.

VSK: Pour revenir à la question de Mme Fischer sur l’ADN. Le problème est que quand il contient des contaminations d’ADN, la situation est la suivante: eh bien, avec l’ARN, il est relativement peu probable qu’il puisse s’intégrer dans le noyau de la cellule de l’hôte. La situation est différente avec l’ADN, et surtout dans ce cas parce que il y a des contaminants d’ADN linéarisé. L’intégration de l’ADN dans le génome nucléaire est vraiment relativement rare – de nombreux facteurs différents doivent être réunis pour que ça arrive. Tout d’abord, la cellule doit se diviser; si elle se divise correctement, il ne peut pas être intégré car le génome cellulaire est dans le noyau de la cellule et ce noyau cellulaire doit d’abord se dissoudre. Mais il ne le fait que lorsque la cellule se divise. J’y reviendrai, car les nanoparticules lipidiques pénètrent dans toutes les cellules, pas seulement les cellules musculaires – c’est une erreur de le croire.

RF: C’est important, c’est ce qui compte vraiment.

VSK: Il est donc théoriquement possible que cet ADN linéarisé présent comme contaminant puisse s’intégrer dans le noyau de la cellule de l’hôte dans une cellule en division, l’ADN linéarisé est optimal pour l’intégration. L’ADN circulaire ne l’est pas. L’ADN des bactéries est circulaire et n’est pas aussi facile à intégrer. Cela arrive, mais pas si souvent. Mais dans une situation comme celle-ci, ça se produit plus souvent. Voilà le risque. Je ne voulais pas vraiment discuter de ce qui peut arriver si tel est le cas: les gènes peuvent être activés et désactivés, régulés à la hausse et à la baisse, un cancer peut se développer – il y a beaucoup de possibilités. Il faut donc absolument réduire cette contamination.

RF: Pouvez-vous nous expliquer à nouveau, parce que c’est particulièrement important pour nous en tant qu’avocats, en particulier pour le Dr Holzeisen. Que peut-il se passer dans ce cas?

VSK: D’accord. Cette intégration: là où elle se produit, c’est dans le génome nucléaire – nous ne pouvons pas la contrôler, elle peut arriver n’importe où. Il y a des sections de l’ADN qui y sont vulnérables, et d’autres qui ne le sont pas. Et il est important de savoir où l’ADN atterrit. Il peut atterrir sur un gène: alors le gène deviendra dysfonctionnel, la protéine ne se formera plus, et s’il s’agit d’une protéine importante, la cellule peut mourir, et si cela continue à se répliquer, cela peut causer des dommages vraiment énormes. Si, par exemple, il atterrit dans une cellule importante qui se divise fréquemment, alors des clones peuvent apparaître qui seront modifiés, ils seront modifiés par le gène, et dans ce cas, dans ces cellules clonées, ces protéines ne seront plus produites et, dans le pire des cas, il y aura une perte de fonction. S’il saute dans des gènes qui ont un effet régulateur sur l’expression génique, alors les gènes peuvent être activés ou régulés à la baisse, c’est-à-dire que la sortie sera différente. Et cela signifie que le métabolisme de la cellule va changer. Si cela est transmis lors de la réplication, alors cela peut occasionner de nombreuses modifications dans le corps.

WW: Mais ce sont des processus qui ne sont probablement pas les mêmes chez tous les patients. La question de savoir si cela se produit est tout au plus stochastique, et si cela se produit, les résultats dépendent probablement également de chaque individu et de ce qui se passe dans ses cellules. Donc, personne ne peut affirmer que quand on fait ceci, c’est cela qui va se passer, ce sont des éventualités – si un million ou deux et tant de milliers de personnes sont vaccinées, alors on peut pourra-être dire avec un certain degré de probabilité après 10 ou 20 ans si quelque chose va se passer ou non.

VSK: Oui.

WW: Pour certaines choses peut-être après 3 ou 4 ans. Mais il faut un certain temps pour pouvoir détecter cliniquement de tels effets.

VSK: C’est exactement ça. On ne trouve jamais un groupe qui a tout le temps la même mutation, cela varie selon les personnes – exactement.

RF: Cette description ne correspond pas au mode de fonctionnement normal d’un vaccin, de ce que nous avons connu jusqu’à présent, les possibilités que vous décrivez semblent rappeler davantage une intervention génétique ou peut-être devrait-on dire une expérience génétique?

VSK: Oui, c’est vrai. Le vaccin lui-même, même si l’ADN – cette contamination – n’y figurait pas, est toujours une intervention génétique. J’en parlerai davantage, alors vous serez en mesure de le comprendre très clairement. Mais je ne sais pas à quel point la contamination est élevée, ils ont seulement indiqué le fait qu’il [le vaccin] était contaminé.

VF: Mais dans le contexte de ce problème d’ADN, en particulier dans le cas des cellules en division, la question qui se pose est qu’il est probablement particulièrement dangereux de vacciner les femmes enceintes ou les enfants, car dans ces cas les cellules se divisent beaucoup plus que dans un adulte ou une personne très âgée.

VSK: C’est absolument le cas.

WW: Dans le cas des femmes enceintes, il y a aussi le problème que leur système immunitaire réagit différemment de celui des femmes qui ne sont pas enceintes. Parce que pendant la grossesse, le système immunitaire est commuté afin que le fœtus soit toléré et non rejeté. Il réagit différemment en conséquence. Cela peut également avoir une incidence pour cette vaccination, cela peut entraîner des complications pendant la grossesse, ainsi que chez les personnes âgées, où certains processus n’ont plus lieu – le système immunitaire tolère plus que la normale et des complications immunologiques en résultent. Cela peut arriver chez les personnes âgées et pendant la grossesse.

VSK: Mais comme je l’ai dit, nous sommes tous à risque car nos cellules sont soumises à un dynamisme permanent: des millions de cellules en nous se dégradent et se renouvellent chaque jour: il faut considérer toutes les cellules souches, toutes les cellules immunitaires, il y a un flux constant: si ces contaminants interfèrent, alors…

C’est pourquoi le vaccin AstraZeneca est d’un calibre totalement différent.

Mais pour rester sur le sujet de BioNTech: il y a d’autres contaminants, il y a l’ARN double brin par exemple. Le comité de l’EMA dit que c’est léger, c’est acceptable, mais…

Il [le comité] mesure les quantités qui s’y trouvent: une partie des 30 microgrammes est de l’ADN double brin… c’est encore quelque chose qui ne peut pas être utilisé.

Ok, donc l’EMA dit au fabricant du vaccin que les critères d’acceptation de l’intégrité de l’ARNm, de l’ARN double brin et de ces fragments d’ARN raccourcis, etc., que tout doit être réévalué, et dès que d’autres données seront disponibles, ils les examineront de nouveau.

Bien. Ensuite, il y a aussi les contaminants liés aux lipides qui sont utilisés pour ces nanoparticules lipidiques (NPL). Ils ont parfois observé des particules visibles dans les flacons prêts. Ils ne savent pas pourquoi. Ils ne pensent pas que ça soit à cause du stockage. Ils ont mis en place certains systèmes de surveillance automatique chez les fabricants, et aussi en aval dans le processus, qui vérifient et surveillent tout ça, mais ça doit être amélioré, ce n’est pas suffisant pour l’EMA. Le médecin qui manipulera ce flacon est censé vérifier si ces particules sont présentes. Si tel est le cas, il doit être jeté. Je ne sais pas si cela a été communiqué.

RF: Mais pour revenir là-dessus: vous venez de dire que l’EMA a spécifié plusieurs exigences, et quand elles auront été remplies, ils [les fabricants] devraient les soumettre à nouveau. Alors, comment se fait-il que les vaccinations aient déjà lieu?

VSK: C’est la question que je vous pose!

Une telle pression politique.

Dr H: C’est criminel, incroyable. Terrifiant.

WW: Un autre point est qu’aux Etats-Unis et ailleurs, il est désormais permis de combiner différents vaccins pour le premier et le deuxième vaccin… Mélanger les différents vaccins pour qu’on ne puisse même pas tirer de conclusions claires, et ce pendant que les études sont toujours en cours – enfin, ce qui est censé être des études. Les doses de vaccin sont mélangées de sorte que vous pouvez à peine déterminer quel vaccin a quel effet et a quel effet secondaire. Cela semble intentionnel, c’est comme ça aux USA, les vaccins Moderna, BionTech et AstraZeneca peuvent être mélangés – si l’un n’est pas disponible, un autre peut être utilisé. Cela rend impossible d’avoir une vue d’ensemble et cela signifie qu’il ne peuvent pas non plus être évalués dans l’étude d’observation – ce qui signifie que nous volons à l’aveugle.

VSK: Oui, c’est exactement comme ça que je le vois. Ils ont une date limite à la fin juillet de cette année pour ces enquêtes, puis la décision sera prise quant à savoir si le vaccin reçoit ou non l’autorisation finale; il n’y a pour le moment qu’une autorisation temporaire d’après ce que j’ai compris. Le problème est que toutes ces techniques d’analyse, ces protocoles, tous ces engagements qu’ils doivent prendre, tout cela se déroule en parallèle avec l’administration des vaccins – c’est ça qui est si désastreux.

RF: Si nous attendons juillet, il n’y aura plus d’Israéliens pour autant que je sache. Putain de merde.

Dr H: En même temps, la Commission Européenne, en la personne de son Président, a donné des instructions claires pour faire vacciner la plupart des adultes d’ici juillet, en particulier ceux qui souffrent déjà de maladies sous-jacentes, et nos professionnels de la santé, etc. Il y a une énorme pression en faveur de la vaccination obligatoire. C’est criminel. Nous allons certainement déposer une plainte pénale la semaine prochaine: cette information était la preuve finale dont nous avions besoin. Le plaidoyer en annulation, si nous ne le déposons pas auprès de la Cour de Justice Européenne – nous essaierons de le faire la semaine prochaine. Je vous demanderai de me soumettre rapidement vos notes écrites, s’il vous plaît, c’est essentiel, nous devons vraiment accélérer ces travaux, cela coûte des vies chaque jour à travers le monde. Nous pouvons essayer de le bloquer au niveau de l’UE. C’est affreux.

RF: Nous ferons de même aux USA, nous en avons déjà discuté, mais c’est prêt Renate, ça vous a été envoyé.

Dr H: Cette information, si vous pouviez m’envoyer après par écrit ce que vous avez dit ici, ce serait vraiment superbe.

VSK: Je vous enverrai tout. Les informations sont publiques, elles figurent dans le rapport d’évaluation.

Dr H: C’est clair, nous l’avons vu aussi, mais il est toujours important d’avoir un commentaire cohérent aussi.

VSK: C’est bien. Alors je vais continuer. Il existe également des contaminants dans les lipides. Il y a deux nouveaux lipides, ils se sont concentrés sur eux. L’un est ALC-0315, c’est-à-dire le lipide cationique, et l’autre est ALC-0159, le peptide PEGylé, le composant PEG. Et ils ont constaté qu’il y a des contaminants dans le produit final dans certains lots. Ils ne savent pas d’où ils viennent, probablement du lipide cationique. Il leur faut désormais savoir d’où proviennent les contaminants, et l’EMA leur a donc demandé de rédiger un rapport sur le fonctionnement de la synthèse chimique, d’où ils l’obtiennent, c’est-à-dire le fabricant, ce qui signifie effectuer un contrôle sur les matières premières et les solvants. Ils doivent énumérer les étapes essentielles de la synthèse. Et ils doivent faire tout cela avant la fin du mois de juillet 2021. Ils ne connaissent donc pas la source des contaminants, et le comité de l’EMA n’a pas examiné les conséquences possibles de cette contamination.

Il n’y a aucune preuve de contamination pour le PEG, mais ils doivent également documenter leur stratégie de contrôle de qualité, de pureté, etc. à ce sujet, également par écrit.

Le comité de l’EMA a émis des plaintes sur environ 20 points en tout, sur les bonnes pratiques de fabrication. Ce sont des points très vastes, ce sera un grand défi de gérer cela en six mois, à mon avis, et ils ont émis 23 recommandations pour le développement ultérieur de la qualité du produit. Et puis il y a encore six pages à la fin. Je les cite: «L’évaluation du risque pour la sécurité est considérée comme acceptable; il existe des calculs théoriques des concentrations les plus défavorables des résidus du processus de fabrication, mais ceux-ci se sont avérés inférieurs aux limites de sécurité établies». Cela signifie que notre santé dépend de calculs théoriques et non de tests réels dans la pratique.

Je voulais juste que ça soit dit.

RF: Que font ces lipides? Nous avons entendu partout – pas des médias grand public bien sûr, vous n’entendrez pas un mot critique de leur part – mais nous apprenons par des rapports sur Internet qu’à Gibraltar, par exemple, 53 personnes sont mortes après vaccination. En Allemagne, nous apprenons que la même chose se passe dans les maisons de retraite. Les personnes qui viennent d’être vaccinées meurent immédiatement après ou tombent très malades, tandis que celles qui n’ont pas été vaccinées restent dans le même état que précédemment. Et nous avons entendu dire par des scientifiques de haut niveau que cela pourrait avoir quelque chose à voir avec les lipides ou les liposomes qui, chez certaines personnes, conduisent immédiatement à une très faible saturation en oxygène dans les poumons, ou qui s’accrochent d’une manière ou d’une autre dans le cerveau et provoquent des problèmes neurologiques – tremblements et tout types de dysfonctionnements [NdT. voir ici]. Cela a-t-il quelque chose à voir avec les lipides?

VSK: Je peux le confirmer. C’est le grand sujet que je voudrais aborder à la fin. Pouvons-nous y revenir plus tard? Je vais vous expliquer cela en détail, c’est vraiment le cas.

Ok – J’en viens maintenant à mon deuxième point, qui est la détermination de la dose de vaccin, qu’ils étaient censés analyser dans la phase clinique 1. Il y a une phase clinique 1, et BioNTech a pour tâche non seulement de détecter les effets secondaires, c’est-à-dire effets indésirables spontanés, mais aussi de déterminer la dose de vaccin. Ils ont testé trois ou quatre doses de vaccin différentes – 10 microgrammes d’ARN, 20 µg et 20 µg respectivement en deux doses, et [Inaudible] d’une seule injection. Et puis ils ont effectué leur test et les patients étaient censés prendre des notes dans un journal numérique pendant sept jours. En résumé, ils ont découvert que plus la dose de vaccin était élevée – plus la concentration d’ARN était forte et élevée – plus les effets secondaires étaient fréquents. En général, on peut dire qu’il y a toujours eu des effets secondaires plus nombreux et plus forts avec la deuxième dose qu’avec la première. Les participants plus âgés de l’essai en avaient moins parce que leur système immunitaire est déjà âgé et n’est pas si réactif. Ils ont naturellement analysé les effets secondaires publiés – fièvre, fatigue, maux de tête, douleurs articulaires, myalgie, frissons, vomissements, diarrhée. Rien de plus n’est couvert dans la publication – nous ne savons pas s’il y en a eu plus. Ils ont également examiné le nombre d’anticorps produits et combien se lient à la protéine de pointe: ils ont fait un test de liaison et étudié les anticorps lorsqu’ils rencontrent un virus. Ils ont généré un virus SARS-CoV-2 artificiel qui contient un GFP [NdT. «green fluorescent protein», je pense que c’était mNeonGreen – un marqueur fluorescent], c’est-à-dire que les cellules infectées par le virus s’allument en vert, ainsi on peut compter le nombre de cellules vertes à la fin. Et si l’on isole ensuite les anticorps des participants vaccinés et qu’on les mélange avec les virus, alors ils neutralisent partiellement les virus, et on a moins de cellules vertes, ce qui est observable. Donc, pour résumer, le vaccin a un effet positif, mais la critique est qu’il n’y a pas de corrélation positive entre les différentes doses de vaccin, c’est-à-dire que nous constatons le même effet à 10, 20 et 30 microgrammes. Malgré cela, ils veulent utiliser 30 microgrammes comme dose de vaccin. Bien que 30 microgrammes aient beaucoup plus d’effets secondaires que 10 microgrammes. Les avantages sont les mêmes, mais le risque est différent. Cela n’est pas scientifiquement justifié. Si j’écrivais une demande d’essai sur des animaux et que je voulais vacciner les animaux avec 30 microgrammes et que je devais justifier pourquoi 30 microgrammes, pourquoi pas 10, ma demande d’essai sur animaux serait immédiatement rejetés si j’obtenais le même effet avec 10 microgrammes. Il n’y a tout simplement aucun avantage supplémentaire à augmenter le volume d’ARN dans ces tests.

WW: J’ai une question: est-ce que ces valeurs de microgrammes incluent les additifs, les NPL sont-ils inclus, ou ces dosages se réfèrent-ils uniquement à l’ARNm?

VSK: La dose se réfère uniquement à l’ARNm. Mais ils sont bien sûr enveloppés dans les NPL, et plus le dosage en microgrammes d’ARNm est élevé, plus vous avez besoin de NPL.

WW: Ok

VF: Est-ce une question de coûts?

WW: Si les effets secondaires proviennent des nanoparticules, alors la dépendance à la dose pourrait être expliquée par cela, et non par l’effet de l’ARNm.

VSK: Les effets secondaires?

WW: Oui

VSK: Oui bien sûr. Parce que ceux-ci sont principalement dus aux NPL. Mais j’y reviendrai à la fin.

Le fait est que l’étude clinique de phase 1 sert normalement à déterminer la quantité de vaccin dont on a besoin; il est important de prouver la dose de vaccin nécessaire. Quelle dose de vaccin est nécessaire pour obtenir l’effet recherché, en somme. Pour ce faire, il faut effectuer un test statistique avec toutes les doses de vaccin différentes: en science, c’est un cas clair de [test de Wanneranzapf mengen – inaudible – un test de volume avec un nom], c’est un test particulier qu’on doit utiliser, qui indique s’il existe une corrélation positive, c’est-à-dire si l’effet augmente en fonction de l’augmentation de la dose de vaccin ou non, s’il diminue ou s’il reste le même. Ils n’ont pas fait ce test, avec comme excuse qu’il y avait trop peu de points de données par groupe, c’est-à-dire qu’ils n’avaient que 12 participants à l’essai par groupe. Je me demande, s’ils le savaient dès le départ, pourquoi ils n’ont pas inclus plus de participants dans l’essai. Et deuxièmement, c’est une excuse absolument stupide car tout scientifique serait satisfait d’avoir 12 points de données par groupe, soit 12 participants à l’essai par groupe. Il est tout à fait possible d’en tirer une conclusion statistique – on peut le faire avec 5 ou 6 personnes, cela ne donnera pas de résultats aussi fiables, mais avec 12 personnes par groupe, on peut tirer une assez bonne conclusion quant à savoir s’il existe une corrélation ou non. Si je regarde le tableau – et j’ai un œil exercé – et que je compare les valeurs médianes et la dispersion des données, je peux déjà dire qu’il n’y a pas de corrélation. Quel que soit le test que je fais, il fluctue, ils ont tous plus ou moins le même effet. C’est à dire, l’excuse qu’ils ne voulaient pas faire ce test… ou disons que s’ils avaient fait ce test, ils auraient produit la preuve que 30 microgrammes serait une dose trop élevée, ils auraient dû utiliser des doses de vaccin de 10 µg.

RF: Mais c’est une erreur particulièrement flagrante. Si cela fait partie de l’essai de phase 1 de tester la dose efficace, si d’autre part vous nous dites, Dr Schmidt-Krueger, que cela n’augmente pas l’efficacité, l’efficacité reste la même indépendamment du fait que 10 µg ou 30 µg sont utilisés mais les effets secondaires augmentent, c’est une faute médicale grave.

VSK: Vous avez parfaitement compris. C’est exactement ça. À mon avis, ils n’ont intentionnellement pas pratiqué le test parce qu’ils en auraient eu la preuve et n’auraient plus eu aucune justification pour 30 µg. De plus, ils trouvent l’excuse ridicule qu’ils ne peuvent pas faire le test parce qu’ils n’ont pas assez d’échantillons.

MT: Tout d’abord, je me demande combien coûte ce vaccin. Si j’ai besoin de plus de cet étrange liquide, ce sera plus cher, et pour moi, en tant que profane, cela n’a pas vraiment d’impact sur la question de savoir si – je veux dire, si on suppose que c’est un traitement miracle, qu’est-ce que j’ai comme bénéfice si j’augmente la dose, ou est-ce que je me trompe? N’aurais-je pas plus de bénéfice du vaccin si je dis dès le départ que je dois en utiliser moins? Ou est-ce que je comprends mal quelque chose?

VSK: Nous savons que le flacon de vaccin est pour 5 personnes, mais il y en a assez pour 6. On en donne un peu moins, mais on sait déjà que cela fonctionnera pareillement.

RF: Ce que vous expliquez ici a d’autres conséquences. Nous constatons que cela a des effets néfastes qui peuvent aller jusqu’à la mort, cela et ce qui se passe ici jouera un rôle extrêmement important car les médecins doivent assumer leurs responsabilités, ils y participent – c’est une faute médicale grave.

Cela implique également un renversement de la charge de la preuve. Ceux qui ont subi des dommages n’ont plus à fournir la preuve que la cause en est le vaccin: le médecin doit prouver que ce n’était pas le vaccin et qu’il n’est pas coupable. Ce sera un argument très fort.

VF: Désolée, une autre question sur les coûts. Normalement, on pourrait penser – après tout, c’est une entreprise commerciale – qu’on n’y mettrait pas des ingrédients qui représentent trois fois la quantité réellement nécessaire: l’ARN a sûrement un coût.

VSK: Cela nous coûte plus cher!

RF: C’était la question évidente. Plus on en injecte aux gens, plus ça coûte cher, c’est logique. C’est un résultat remarquable et difficile à expliquer – au contribuable en particulier.

VF: Disons que le prix que les gens sont prêts à payer pour un produit de ce genre, dont ils ne savent pas vraiment ce qu’il contient, est de 50 euros, ce prix n’augmenterait pas vraiment si j’en mettais trois fois plus. Donc, si ça a le même effet, ils pourraient dire que c’est l’effet qui coûte 50 euros. Ont-ils négocié un prix en fonction du nombre de particules d’ADN qu’il contient ou autre chose?

RF: Les contrats sont secrets. Savez-vous quelque chose à ce sujet, est-il calculé en fonction de la quantité de [l’ARN dans les] vaccins? Je ne peux vraiment rien imaginer d’autre.

VSK: Je ne sais pas à quel point les données sont fiables, mais j’ai entendu dire que normalement il y a 5 vaccins dans un flacon, mais ils facturent 6 vaccins par flacon. Bien que l’entreprise n’ait pas de frais supplémentaires pour cela. C’est une information dont je dispose, mais je ne sais pas si c’est vrai, je viens de l’entendre.

Dr H: Et autre chose. Le vaccin est mélangé à la main: on prend le flacon, on prend l’unité de mesure nécessaire pour une personne, on y ajoute une solution saline, puis on l’injecte?

VSK: Oui, il arrive déshydraté, c’est-à-dire que toute l’eau est éliminée. Il contient une petite quantité de poudre blanche. Elle est ensuite dissoute dans une solution saline et on doit ensuite en retirer les quantités respectives. Les personnes qui ont reçu cinq fois la dose ont probablement reçu tout le flacon.

Dr H: Exactement, c’est là que je voulais en venir: tout d’abord, pourquoi font-ils cela? Cela me semble être une vulnérabilité évidente dans le système. C’est vraiment une source d’erreur. Est-ce à cause des volumes de transport ou de quoi s’agit-il?

VSK: Oui, le transport est bien meilleur lorsqu’il est déshydraté. Il peut être mieux stocké de cette façon.

Dr H: Ceci explique cela. Je trouve ça risqué. D’après ce que j’ai entendu, ça a mal tourné. Quelqu’un a en fait oublié de diviser la bonne quantité et le patient a reçu cinq fois la dose. Quels seraient les risques à votre avis?

VSK: [inaudible, je pense que ça doit être «Les dommages»] sont beaucoup plus élevés. Mais j’y reviendrai. Parlons encore du volume: ce que j’ai couvert n’est pas le seul point de critique, tant que nous sommes sur ce sujet. Dans la même étude, ils affirment qu’il est important de donner deux doses. C’est peut-être vrai, mais ils ne l’ont pas prouvé; ils ne l’ont pas testé scientifiquement. Ce qu’ils ont fait dans cette étude, c’est qu’ils ont donné deux doses de toutes les quantités: 10 µg, 20 µg et 30 µg. Normalement, pour affirmer [qu’il faut utiliser 2 doses], il faut avoir un groupe où l’on ne donne qu’une seule dose. Normalement, c’est comme ça: on reçoit une injection, puis le corps forme des anticorps, cela prend un certain temps avant que ça commence, le titre d’anticorps augmente puis il se forme une courbe de saturation. Donc, à un moment donné, ça ne va pas plus haut: on a atteint la saturation. Et ça augmente avec le temps. Mais pour savoir si la deuxième dose a un effet, il faut faire l’injection et déterminer le niveau de titre après 35 jours. On fait de même avec l’autre groupe; après la même période, 35 jours, on regarde le niveau de titre. Et si le titre est plus élevé, alors la deuxième dose a eu un effet. S’il n’est pas plus élevé, la deuxième dose n’a pas eu d’effet. Je suppose que ça a eu un effet parce que dans un autre vaccin similaire à celui-ci, on a vu que ça a eu un effet, mais dans ce cas, les données scientifiques ont été générées de façon un peu médiocre – le temps manque parfois dans les données, ils l’ont simplement abandonné pour qu’on ne puisse pas prouver s’il a eu un effet ou pas.. Mais par expérience, je pense qu’une deuxième dose est susceptible d’avoir un effet… mais je suis sûre que c’est comme ça au tribunal: la croyance n’est pas une preuve ou une connaissance – c’est-à-dire qu’ils auraient dû le prouver dans cette étude clinique avec ce vaccin. Ils ne l’ont pas fait: ils l’ont simplement affirmé.

RF: Il n’y a pas d’étude là-dessus?

VSK: Non, je n’en ai pas trouvé. Il y a l’étude clinique n° 1 sur les êtres humains, c’est là qu’ils auraient dû le tester.

RF: Ils auraient dû le tester dans le cadre de l’étude de phase 1.

VSK: Dans l’étude sur des souris et les rats. Je ne sais pas, mais cette petite étude sur l’être humain: c’était le moment où ils auraient dû le tester. C’est mon avis.

RF: Non, c’est exact. C’est le cas sur le plan juridique. Ils l’ont simplement affirmé. A un moment donné, ils ont affirmé: c’est mieux deux fois qu’une fois – peut-être même que trois fois ne serait pas une mauvaise idée, ça aurait valu tout ce qu’on aurait pu dire d’autre. C’est vraiment horrible. Le professeur Hockertz nous a dit que c’était habituel dans le développement de nouveaux médicaments – également dans le cas des vaccins: aucune phase préclinique n’a été réalisée, aucun essai sur des animaux: les phases 1, 2 et 3 se sont déroulées de manière complètement télescopée, et maintenant vous nous dites… vous venez de souligner que l’EMA a formulé diverses demandes qui n’ont pas encore été satisfaites dans certains cas parce qu’elles ne doivent être satisfaites qu’en juillet – mais on est déjà en train de vacciner. Que se passe t-il? L’étude se déroule essentiellement maintenant, sous nos yeux, en direct sur scène – sur des patients qui n’ont aucune idée de ce dont nous discutons ici en ce moment! Nous devrions en parler à nos collègues israéliens, ils ne seront pas très contents…

Dr H: Et juste pour rappeler ce que disait Reiner: sans que les vaccinés ne soient suivis comme des participants à l’essai, qu’ils sont de fait. Si j’étais un participant à un essai dans une série de tests de vaccins, alors je devrais être suivi médicalement, c’est-à-dire évalué. Les gens sont simplement vaccinés, et s’ils meurent, c’est compté comme un décès Covid. C’est la réalité. Ou plus fréquemment, on dit qu’ils sont morts de leurs conditions sous-jacentes. Tout ce qui peut empêcher que ce soit considéré comme un effet du vaccin.

RF: C’est ce que nous avons entendu en commençant, Renate: le fait que trois fois la quantité réellement nécessaire est administrée, et en même temps que le risque est multiplié par trois. C’est clairement une faute médicale, clairement le renversement du fardeau de la preuve, et on ne peut plus dire que c’était le Covid, au lieu de cela, on peut demander à vous entendre sur la question de la causalité… Vous devez la prouver vu que vous avez commis d’énormes erreurs. La causalité est-elle différente de la faute médicale grave dont nous devons vous accuser? C’est ce que j’ai dit depuis le début: il s’agit clairement de lésions corporelles. À tout le moins parce qu’aucune clarification/information préalable n’est fournie, [comme ce serait le cas si vous participiez à une étude]. Mais ce que j’entends maintenant en plus de ça – mon Dieu…

Dr H: Avez-vous effectué la même évaluation pour le vaccin Moderna, qui est déjà utilisé, ou seulement pour BioNTech?

VSK: Je n’ai pas encore réussi à le faire pour Moderna ou AstraZeneca. Je le ferai bientôt, mais j’avais trop d’engagements et tant de demandes, d’émissions sur Youtube etc.

Dr H: Moderna serait plus important qu’AstraZeneca car Moderna est déjà sur le marché.

VSK: Exactement, ce sera la prochaine que je ferai, en examinant les études. D’autres questions sur cette partie? Parce que maintenant, nous arrivons aux effets secondaires. Vous en resterez bouche bée. Je pense que ça vous mettra au tapis pour de bon.

Une étude préclinique a été menée, mais au moment où le professeur Hockertz en a parlé, elle n’existait pas, il n’en savait rien. Elle a été publiée avec le rapport vers la mi-décembre. Et je lui ai parlé fin novembre.

Il y a donc eu une étude préclinique. Examinons les bases pour commencer. La technologie des nanoparticules. Je ne veux pas la dénigrer complètement. C’est vraiment une technologie superbe. Mais le problème est qu’il est encore beaucoup trop tôt pour l’utiliser chez les êtres humains. La toxicité est encore trop élevée, il faut d’abord l’éliminer, alors ce serait vraiment une technologie brillante. De nombreux scientifiques travaillent à se débarrasser de cette toxicité, des recherches sont menées à ce sujet depuis des années. [NdT : depuis 20 ans, dit-elle à la fin]

Elle est en fait utilisé chez les patients atteints de cancer, mais là, le rapport bénéfice/risque est très différent, j’y reviendrai. Chez une personne en bonne santé, je considère disproportionné d’appliquer cette technologie comme vaccin dès lors que cette toxicité existe. Les nanoparticules, ce sont de très petites particules toujours dommageables pour les cellules, car plus la particule est petite, plus elles peuvent avoir d’interaction avec les composants cellulaires, c’est-à-dire avec les protéines, avec d’autres lipides, ou avec l’ADN etc. Mais il faut à ces nanoparticules une enveloppe lipidique car on ne peut tout simplement pas injecter l’ARN à un humain, il est décomposé en 10 minutes par ses nucléases. Les cellules ne prendront pas l’ARN/ADN s’il n’est pas introduit via une nanoparticule lipidique par exemple.

Il existe diverses études in vivo sur des souris ou des rats – je ne sais pas quel animal, je dois demander – il a été constaté que si l’on donne des NPL sur une longue durée aux animaux, par inhalation dans les poumons, on obtient une rupture des brins d’ADN dans les poumons. Et cela peut déclencher une maladie pulmonaire grave ou un cancer du poumon: il a été constaté que le cancer du poumon se développe. Et l’absorption de NPL dans la rate a été détectée: des cassures de brins d’ADN y ont également été identifiées. Et il a également été constaté que lorsque les NPL sont transportés dans le sang, des thromboses peuvent survenir, ou une hémolyse – l’hémolyse signifie la dissolution soudaine des érythrocytes, c’est-à-dire des globules rouges, cela provoque une hypoxie.

(Murmures)

VSK: Je vais en parler. Cela peut être directement appliqué au vaccin BioNTech.

Et maintenant, je veux vous expliquer comment fonctionne cette technologie.

Pourriez-vous me laisser utiliser l’écran – alors nous aurons une meilleure idée de l’origine de la toxicité.

RF: On s’en occupe.

VSK: Vous pouvez maintenant voir un morceau de papier blanc, non? Vous le voyez? Ok, c’est comme ça. [NdT. Les croquis sont visibles sur ce document] Voici une NPL. À l’intérieur, c’est l’ARN. Cette NPL, ce n’est pas juste un ARN, il y a beaucoup d’ARN à l’intérieur, toujours les mêmes, mais en beaucoup d’exemplaires. La NPL dans cette enveloppe lipidique se compose de nombreux lipides différents. Il y a un lipide auxiliaire: totalement inintéressant, ce n’est pas toxique ou quoi que ce soit. Il est simplement là pour la structure de l’enveloppe. Ensuite, il y a un lipide cationique1. Et puis il y a le composant PEG. Il est cationique. Et puis nous avons le cholestérol.

Ce sont donc les différents composants et ces 4 composants sont également nécessaires. Et puis nous avons une cellule. Appelons cela une cellule musculaire parce que l’injection se fait dans un muscle. Et cette cellule a une charge négative à cause des lipides qui y sont stockés. Et cette NPL ici est neutre, c’est-à-dire que la cellule n’a absolument aucune raison de l’absorber. Comment elle entre dans la cellule s’explique ainsi: il existe de nombreuses publications sur ce sujet qui ont établi qu’il entre par un transporteur ApoE – on va faire beaucoup de chimie maintenant, mais c’est nécessaire pour comprendre.

Il y a des protéines dans le sang appelées ApoE. Ce sont les composants du HDL-LDL, qui sont testés dans des tests sanguins humains pour connaître les niveaux de cholestérol, l’ApoE est toujours là. L’ApoE peut se lier au cholestérol, c’est pourquoi il se lie ici au cholestérol de la particule. Et maintenant, cette particule est reconnue par la cellule; la cellule a des récepteurs ApoE, il en existe plusieurs. Il y a le récepteur LDL ou LAP – il y en a beaucoup, bien plus de 10 récepteurs différents et ils se lient ensuite à l’ApoE où tout le complexe lipoprotéique se lie, puis il entre dans la cellule. Puis toute la cascade commence. La NPL est située dans une vésicule ici. Et il y a un capteur dans la membrane ici, le TLR – toll-like receptor – ils sont là pour reconnaître/localiser l’ADN/ARN étranger. Donc, s’il s’agissait d’un virus plutôt que du vaccin, il reconnaîtrait l’ARN et le décomposerait.

Cela fait partie du système immunitaire. Mais comme l’ARN est entouré d’une coque de NPL, le système immunitaire ne peut pas reconnaître l’ARN et il n’est pas décomposé, ce qui est fait exprès. Nous ne voulons pas, ou les fabricants de vaccins ne veulent pas que l’ARN soit décomposé. Et ce qui se passe maintenant est un processus tout à fait normal, c’est ce qui se passe toujours dans les cellules: peu importe, quels que soient ces NPL, les protons migrent maintenant. Donc, tout ici est chargé positivement. En raison de cette charge positive, une partie du lipide PEG est séparée – il est sensible au pH, le lipide est rompu et ce PEG ne peut plus supprimer la charge cationique du lipide dans la coque ici. Cela signifie que le lipide est chargé positivement. Et donc tout ici devient positif – et ensuite, en principe, l’eau y pénètre, et le tout éclate et l’ARN est libéré dans la cellule.

Vous avez maintenant l’ARN libéré et les composants individuels: le peptide auxiliaire, le peptide cationique qui est maintenant chargé positivement car il n’est plus supprimé par le PEG, puis il y a le PEG et le cholestérol.

Ce qui s’est passé maintenant, c’est que les TLR peuvent accéder à l’ARN, qui envoie un signal vers l’extérieur. La cellule produit alors des chimiokines et des cytokines qui sont libérées de la cellule. C’est la première partie de la réponse immunitaire innée.

En même temps, l’ARN entre dans une zone de la cellule, il est transporté vers une zone spécifique où la production de protéines a lieu. La protéine – c’est là que se trouve alors l’ARN – la protéine est alors seulement synthétisée/produite ici afin que la protéine de pointe puisse être resynthétisée. Et la protéine de pointe peut être trouvée partout dans la membrane; elle migre à la surface de la cellule de sorte qu’il y a des protéines de pointe partout à la surface de la cellule. La protéine de pointe n’était pas là au début – elle est née en réponse à la vaccination et c’est pourquoi elle est appelée cellule génétiquement modifiée. Nous sommes donc devenus un organisme génétiquement modifié. Tant que les protéines de pointe sont là, et les ARN, nous sommes des OGM. Ils disparaîtront à un moment donné, alors nous ne serons plus un OGM mais nous le serons aussi longtemps qu’ils seront là.

C’est une modification génétique. Il n’est pas intégré dans l’ADN mais se produit d’une manière différente, à savoir indirectement.

OK, continuons.

[Question: Combien de temps y reste-t-il?]

VSK: Un tel ARN a une stabilité variable – il peut durer quelques minutes, car ces ARN sont importants pour le développement, mais aussi plusieurs jours. Je parlerai de la durée pendant laquelle ils sont présents plus tard.

Alors, comment en arrivons-nous à la suite de la réponse immunitaire? Ici, il y a des chimiokines et des cytokines. Vous devez les considérer comme un parfum sécrété par les cellules. Et puis il y a les cellules immunitaires, ce sont les CPA: les cellules présentatrices d’antigènes. Elles captent l’odeur des chimiokines et des cytokines et migrent vers la concentration la plus élevée d’entre eux. Parce que la production de chimiokines et de cytokines est un appel à l’aide de la cellule, disant «Il y a quelque chose qui ne va pas ici». Quelque chose m’arrive. Et donc les cellules immunitaires arrivent et vérifient ce qui se passe. Qu’est-ce qui ne va pas, se demandent-elles et elles rencontrent les NPL – elles ne sont pas tous simultanément pris en charge par la cellule. Elles sont également absorbées par les cellules – elles sont également à l’intérieur ici. Les NPL – les protéines de pointe sont également formées ici aussi, seules ces cellules ont la particularité que les protéines sont à nouveau dégradées, c’est la fonction de la cellule. Elles ont des fragments des protéines de pointe, et chacune est présentée à la surface de la cellule pour le reste du système immunitaire. Cela se produit via la classe de récepteurs CMH [NdT. complexe majeur d’histocompatibilité]. Et lorsque ces cellules CPA ont absorbé la protéine de pointe, elles migrent vers la rate par exemple et sont digérées. Ensuite, elles sont présentées aux autres cellules immunitaires, c’est-à-dire les cellules B et les cellules T. Je simplifie car c’est vraiment beaucoup plus compliqué dans la vraie vie. Mais ce qui se passe maintenant, c’est d’une part que les cellules B sont activées, elles deviennent des plasmocytes et produisent maintenant des anticorps. Anticorps contre la protéine de pointe ici qui est maintenant enfin à la surface de la cellule. Et ces anticorps migrent maintenant ici, ils migrent dans la circulation sanguine et trouvent leurs antigènes et la cellule où la protéine de pointe est exprimée. Ils lient ensuite cette protéine de pointe sur les cellules musculaires par exemple. En même temps ici, les cellules T sont activées et deviennent par exemple des cellules T cytotoxiques qui migrent également dans le sang et recherchent ces anticorps et se lient à eux via leurs récepteurs de cellules T. C’est ainsi que surgit un complexe. Une fois formée, la substance cellulaire T pénètre dans la cellule de sorte que cette cellule est incitée à commettre un suicide cellulaire – la mort cellulaire. C’est ce qu’on appelle la mort cellulaire programmée ou l’apoptose.

Ce qu’il y a de nouveau avec ce vaccin, ce ne sont pas seulement les protéines qui nous sont injectées qui nagent dans le sang et sont ensuite éliminées par les anticorps: nous avons ici différentes voies par lesquelles la toxicité/destruction cellulaire a lieu. Un moyen en est: la cellule T cytotoxique force la cellule musculaire à l’apoptose. Et puis nous avons l’ARN, qui est fondamentalement également toxique pour la cellule à partir d’une certaine longueur. Et surtout – c’est particulièrement important – le lipide cationique, il est cationique, c’est-à-dire qu’il a une charge positive. Et c’est très, très toxique, nous le savons depuis plus de 20 ans.

Donc, c’est le processus pour le moment. Avez-vous des questions à ce sujet?

RF: C’est le processus après la vaccination, avant même d’entrer dans le voisinage d’un virus dangereux?

VSK: Oui, c’est ainsi que se produit la réponse immunitaire, c’est-à-dire que ça fait partie de la réponse immunitaire. C’est beaucoup plus étendu, il y a d’autres facteurs, mais c’est très approximativement comment les anticorps sont produits et comment les antigènes – les protéines de pointe – sont détruits dans la cellule.

Donc: je voulais vous montrer exactement quelle est la toxicité. Nous avons clairement ces lipides cationiques dans la cellule, et je vais maintenant parler de ce qu’ils font à la cellule.

Je vais quitter le partage d’écran maintenant.

OK, c’est bon.

Donc: les lipides cationiques. Je reviens sur le vaccin BioNTech: les NPL sont constituées jusqu’à 50% de ces lipides cationiques. 50% c’est très élevé, ils sont toxiques car ils ont cette charge positive. Cela leur permet de très bien entrer en interaction avec d’autres composants de la cellule, ils peuvent également interagir fondamentalement avec des acides aminés chargés négativement. Cela détruit les protéines qui perdent leur capacité à fonctionner parce qu’elles «se déplient» comme on le dit. En principe, ils peuvent interagir avec l’ADN, parce que l’ADN est également chargé négativement en raison de ses groupes phosphate, et créer des ruptures de brins d’ADN. Ils peuvent également interagir avec d’autres lipides car ils sont également chargés négativement, en particulier les lipides de la membrane cellulaire. Par exemple, la membrane cellulaire des mitochondries, ce sont les centrales de la cellule qui sont vitales pour la production d’énergie; je mentionne cela parce que les radicaux d’oxygène se forment dans les mitochondries lorsque l’énergie est produite. C’est un processus très naturel, mais la cellule dispose également d’un mécanisme de réparation pour que ces radicaux d’oxygène soient à nouveau éliminés et rendus inoffensifs, c’est ainsi que la cellule survit, c’est simplement un équilibre. Ils sont produits, vous ne pouvez pas l’empêcher parce que l’oxygène est consommé, ce qui génère des radicaux d’oxygène, mais des moyens ont été trouvés pour désactiver ces radicaux d’oxygène. Si toutefois ces lipides cationiques entrent, il est confirmé dans de nombreuses publications qu’ils détruisent cette membrane [NdT: la membrane mitochondriale] et cela conduit à la formation d’un grand nombre de radicaux d’oxygène. Ces radicaux d’oxygène occasionnent beaucoup de dommages dans la cellule. Ils interagissent – ils modifient les acides aminés, la cellule déverse autant de cytokines que possible, les radicaux d’oxygène attaquent également les membranes et créent une peroxydation lipidique. L’intégrité de la membrane est compromise, la membrane devient poreuse, et lorsqu’une membrane cellulaire devient poreuse, de l’eau y pénètre et l’équilibre ionique est perturbé. Cela signifie que la cellule entière perd sa fonction car la fonction des protéines dépend de la concentration ionique, de l’ion calcium par exemple, et de l’ion magnésium. La cellule subit un stress oxydatif maximal, comme on l’appelle dans la terminologie spécialisée. Et lorsque ce stress est si élevé et que l’ADN est également endommagé, la cellule entre en apoptose – elle s’autodétruit.

C’est tout ce que j’ai à dire à ce sujet pour le moment.

RF: Il y a donc deux facteurs qui mènent à cela.

VSK: Oui: l’un est la réponse immunitaire – via la liaison de l’anticorps. L’autre facteur est ce composant spécifique: le lipide cationique. C’est précisément ce composant qui est si dangereux. Cela crée un stress oxydatif maximal dans la cellule, ce qui entraîne des dommages tels que la cellule ne peut pas se réparer assez rapidement. Et c’est pourquoi elle meurt. Elle doit s’autodétruire ou se transformer en cellule cancéreuse. Telle est l’alternative. Donc, elle s’autodétruit généralement parce que si une cellule cancéreuse se développe, des dommages spécifiques en résultent, il y a d’autres facteurs impliqués, mais en général, elle meurt.

Et maintenant, j’arriverai au rapport bénéfice/risque. La technologie est très judicieuse dans le traitement du cancer. Le but de cette technologie est de tuer les cellules cancéreuses. Nous avons maintenant un vaccin utilisant la même technologie que celle utilisée dans le traitement du cancer pour tuer les cellules cancéreuses. En ce qui concerne la thérapie anticancéreuse: jusqu’à présent, nous n’avions que de la chimiothérapie ou de la radiothérapie; elles ont pour but de déclencher un stress oxydatif dans la cellule pour l’inciter à s’autodétruire. Mais jusqu’à présent, ce n’était pas spécifique: les tissus sains sont également irradiés et meurent. Avec cette technologie [d’encapsulation], vous pouvez insérer des protéines ou d’autres substances dans l’enveloppe de nanoparticules qui visent à détecter et à trouver les cellules cancéreuses. Il existe déjà des études relativement bonnes et réussies, et c’est pourquoi elle est utilisée dans le traitement du cancer.

Les cellules cancéreuses ont sur leur surface cellulaire un motif complètement différent des cellules saines. Elles ont par exemple beaucoup de récepteurs de transferrine ou de récepteurs de folate: quand on insère les ligands dans les NPL, c’est-à-dire quand on construit de la transferrine ou du folate dans ces NPL, alors ces NPL trouvent les cellules cancéreuses qui ont les récepteurs pour ceux-ci. En conséquence, ces NPL ciblent les cellules cancéreuses presque exclusivement et créent un stress oxydatif en elles, de sorte que les cellules cancéreuses sont tuées.

VF: Est-ce un événement local, ou cela peut-il se répandre sur tout le corps, ou se situer dans des niches spécifiques?

VSK: Dans le cas des cellules cancéreuses, il est conçu pour être local, et maintenant nous en arrivons vraiment au fait: dans le cas du vaccin, ce n’est pas local. Il se répand dans tout le corps. Je vais d’abord dire une phrase à ce sujet. Il y a la toxicité du lipide cationique, qui agit initialement au niveau cellulaire. Maintenant, un mot sur le PEG – je crois qu’il a été publié dans les médias que dans certains cas, si vous avez déjà été en contact avec le PEG, il est possible que vous ayez formé des anticorps contre celui-ci, et si vous avez des anticorps et que vous entrez ensuite en contact avec du PEG, même longtemps après, ce qui est le cas avec le vaccin, vous pouvez alors souffrir d’une réaction allergique ou d’un choc analphylactique en raison de cette hypersensibilité. Cela dépend de la quantité de PEG dans ces NPL – c’est 2 à 6% dans le cas de BioNTech, et de la force de l’affinité de liaison de vos propres anticorps contre le PEG. Avoir des anticorps ne signifie pas toujours qu’ils se lieront immédiatement au PEG: la force de liaison varie d’un anticorps à l’autre.

La force de la réaction allergique est individuelle: elle dépend de la puissance des anticorps et du volume de PEG lors de ce second contact. Sinon, en ce qui concerne le PEG, il y a des publications qui disent qu’il est un peu toxique, mais on ne trouve pas de détails à ce sujet.

Ainsi, avec le PEG, vous pouvez avoir des réactions allergiques, mais les lipides cationiques sont absolument toxiques pour les cellules.

Je vais maintenant répondre aux questions posées par Mme Fischer. Je parlerai de l’étude préclinique menée par BioNTech, en grande partie sur des souris et des rats. Les questions qui se posent avant qu’une telle chose n’arrive sur le marché sont, combien de temps il reste dans le corps, réparti comme suit: combien de temps les lipides restent-ils, combien de temps l’ARNm reste-t-il? Comment sont-ils décomposés? Quelle est leur répartition dans le corps? La toxicologie et la carcinologie doivent être étudiées. Y a-t-il un problème lié à la reproduction? Et a-t-il une influence sur l’environnement? Parce que nous sommes en train de devenir un OGM: cela a-t-il un impact? Ce sont des questions fondamentales que l’EMA doit toujours poser.

Je ferai référence à ce rapport d’évaluation public – je dois dire que les données brutes manquent, elles ne figurent pas dans le rapport, ce que je trouve décevant.

RF: Peter Doshi les interpelle à ce sujet.

VSK: Oui, j’aimerais maintenant examiner ces données moi-même parce que j’ai déjà vu qu’ils interprètent les données de manière incorrecte dans l’étude clinique. Je voudrais les voir de mes yeux et me forger ma propre opinion. Ils n’ont fourni qu’une description de ce qu’ils ont observé. Donc je ne peux m’appuyer que là-dessus. J’imagine que ce sera vrai parce que les observations qu’ils ont faites ont également été observées par d’autres scientifiques dans leurs propres essais sur les animaux avec leurs substances.

Alors, quelle est la distribution des nanoparticules lipidiques (NPL) dans l’essai sur les animaux? Ceci est similaire à ce qui est décrit dans d’autres publications et par d’autres scientifiques. Ils ont utilisé des NPL avec de l’ARNm, non pas avec la protéine de pointe mais avec la luciférase. La luciférase a l’avantage de pouvoir rendre les choses visibles. Utile pour cet essai car ils ont donné aux lipides un marqueur radioactif.

Si on peut utiliser la radioactivité comme marqueur, on peut utiliser une technique permettant de voir les organes et de savoir si les lipides y étaient ou non. Ils les ont injectées dans tout le muscle et observé comment les lipides se propagent dans tout le corps, et ont constaté que ces lipides se retrouvaient dans de nombreux organes après seulement 15 minutes. La plupart se retrouvaient au site d’injection, dans ce cas, c’était le muscle, mais aussi beaucoup dans le plasma. Logique car ils sont transportés dans le plasma, mais aussi à 22% dans le foie. Et si on les injecte dans les veines, 60% des lipides cationiques se retrouvent dans le foie, et 20% des lipides PEG. Ils ont également été retrouvés dans la rate, les surrénales et dans les deux organes sexuels. Leur présence dans d’autres organes n’a pas été décrite. Je suppose donc qu’ils se sont répandus dans tous les organes. Ils sont essentiellement absorbés partout où le sang circule. La description se concentre principalement sur le site d’injection, le plasma et le foie.

Puis ils ont regardé comment les lipides étaient dégradés. Ils ont trouvé des preuves de la présence du lipide cationique dans le plasma pendant 12 jours et des preuves de la présence du lipide PEG pendant 6 jours. Ils sont donc restés présents pendant assez longtemps. Il n’y a pas plus d’informations, donc je ne sais pas si les lipides pourraient être mis en évidence plus longtemps ou non. 50% du PEG est dégradé par excrétion, c’est-à-dire qu’il est excrété par l’organisme. Il va dans notre «réseau d’égouts», pour ainsi dire. Les lipides cationiques sont exclusivement dégradés dans les cellules, seulement 1% a été retrouvé dans les selles. Cela signifie que les cellules en subissent pleinement la toxicité. Ensuite, ils ont analysé la demi-vie de ce lipide cationique dans le foie, ils disent qu’elle est de 3 semaines. La demi-vie signifie que la substance se dégrade toujours plus rapidement au début, puis ça diminue, la courbe devient plus plate. Déjà, cette demi-vie est déjà de 3 semaines, ce qui est relativement long. Et combien de temps cette élimination prend-elle? On peut encore trouver 5% des lipides dans le foie après 4 à 6 semaines – c’est incroyablement long, et avec le PEG, la demi-vie est de 1 semaine. Elle est donc plus courte, mais parce qu’une grande proportion, c’est-à-dire 50%, est excrétée. Ce n’est pas le cas du lipide cationique.

Nous n’avons aucune autre information ou résultat d’enquête concernant d’autres organes, ils ont juste étudié le foie, le plasma, l’urine et les selles. Ils auraient certainement dû regarder dans d’autres organes. Peut-être l’ont-ils fait, mais il n’y a rien dans la publication à ce sujet.

Et puis ils ont regardé à quelle vitesse l’ARN est dégradé. C’est là que la luciférase prend tout son sens. La luciférase peut transformer un substrat pour que l’on le voie en couleur, il devient fluorescent. On peut le détecter. Mais ce n’est pas une méthode très sensible. Et ils n’ont injecté que 2 microgrammes d’ARN. 30 microgrammes sont utilisés sur nous. Cela signifie que ce qu’on observe est probablement beaucoup plus fort dans le cas du vaccin utilisé. Donc, dans le muscle où il a été injecté, il y a eu un pic après 6 heures. Tout d’abord, les NPL doivent être absorbés dans la cellule, la protéine doit être formée, cette luciférase, et alors seulement la réaction a lieu. On voit ça après un maximum de 6 heures, il est absorbé par les cellules extrêmement rapidement, et la protéine est également exprimée très rapidement. On voit encore la protéine après 9 jours. Il y a des publications – il y en a une de 2016 par exemple – où on dit que l’on voit encore la luciférase après 35 jours, mais cela dépend toujours de la stabilité de l’ARN, et ils ne l’ont pas fait avec l’ARN de pointe mais juste avec la luminescence, et l’ARN de pointe peut très bien avoir une stabilité différente. Donc, je dirais qu’ils n’ont pas enquêté correctement sur notre vaccin.

Dans le foie, ils ont vu un pic après 6 heures, et après deux jours, il avait disparu. C’est parce que le foie a un taux métabolique très élevé.

Donc, pour résumer, l’ARN et la NPL sont absorbés relativement rapidement. Et les lipides cationiques restent dans notre corps pendant très longtemps. C’était également intéressant. Il semble y avoir eu une discussion de l’EMA avec BioNTech à propos de la durée de rémanence dans le corps: combien de temps cela dure-t-il dans le cas des êtres humains, ont-ils demandé, parce que l’étude n’a pas été faite. BioNTech a fait référence à une étude de 2010, par Mamoth et al. Je ne l’ai pas retrouvée dans la base de données des publications, et il n’y a pas de liste de références sous le rapport de l’EMA, donc je ne sais pas du tout si c’est vrai et si cet article existe, mais ils disent qu’ils ont utilisé des lipides, et quand ils font la conversion de cette étude sur souris ou rat vers les êtres humains, ils calculent que les lipides cationiques ont une demi-vie de 20 à 30 jours chez l’homme, et l’élimination à 5%, donc ils ne sont pas vraiment éliminés, prend 4 à 5 mois. Ils supposent que c’est 4 à 5 mois, et le comité de l’EMA s’est contenté de dire que «c’est long».

Dr H: En plus de tout ça, la deuxième vaccination survient après 30 jours…

VSK: Oui exactement: rien de tout cela n’a été étudié. Fondamentalement, ils n’ont effectué aucune cinétique pour ce vaccin. Ni sur les souris. Les NPL étaient les mêmes [die Zusammenrechnung – dans le calcul? Inaudible], mais l’ARN était différent. Ils auraient vraiment dû le faire avec le vaccin lui-même. Ils auraient dû tout barrer et recommencer toute l’étude. Ils ne l’ont pas fait.

MT: Je voudrais juste poser une question. Vous avez dit que quelque chose est été excrété du corps. Y a-t-il un danger que les personnes vaccinées pourraient poser à cause de cela, ou est-ce excrété et ensuite ça disparaît?

VSK: Cela n’a pas fait l’objet d’une enquête.

Dr H: Oh mon Dieu.

VSK: Il n’y a pas de données à ce sujet.

MT: Je pense que nous devrons boire de l’eau de source en bouteilles à partir de maintenant.

RF: Cela ne dit rien de bon. Et quel genre de conséquences tout ça a-t-il? Il y a une apoptose qui se produit apparemment dans tout le corps, comme vous venez de nous le dire: à quoi cela mène-t-il?

VSK: Oui, je vais vous le dire dans un instant, c’est le plus difficile à entendre. Mais je voulais juste finir de parler de l’élimination, ils n’ont rien envisagé dans ce domaine parce qu’ils n’ont fait aucune analyse sur l’impact environnemental – comme je l’ai dit, nous sommes devenus des OGM, il est possible que les cellules modifiées sont éliminées: pensez aux lipides, à l’ARN du vaccin. Nous savons que les lipides – du moins le PEG – sont excrétés. Qu’arrive-t-il aux eaux usées s’il y en a une telle quantité d’éliminée? S’il elles contiennent tant de lipides? Cela pose-t-il un problème ou sont-ils dégradés? Nous ne le savons tout simplement pas. Je ne sais pas, je ne suis pas une experte de la manière dont il sont dégradés.

Dr H: Exactement, et intentionnellement, on doit le dire en tant qu’avocat, en juillet 2020, la législation de l’UE a été modifiée: la législation de l’UE sur les OGM a été déclarée inapplicable aux vaccins. C’est là que cette monstruosité a commencé, d’un point de vue juridique. Nous aborderons cette question par un appel en annulation. Cela ouvre un abîme horrible – incroyable.

VF: Ce truc, quand il se retrouve dans les égouts, et s’il n’est pas filtré – si je buvais ce truc de laboratoire: cela poserait-il un problème? Si je bois ces lipides? Y a-t-il des enquêtes à ce sujet, s’il pénètre dans l’approvisionnement en eau, ou si j’en bois un peu dans un verre, que se passerait-il?

VSK: Tout ce que je peux dire c’est que si nous excrétons le lipide PEGylé et que s’il n’est pas filtré et qu’on le boit – c’est-à-dire en supposant qu’il ne se dégrade pas naturellement d’une autre manière et qu’il continue à exister dans l’eau potable (ce que je ne sais pas avec certitude) – alors vous auriez un problème si vous y êtes allergique.

Ce serait pareil que ces chocs anaphylactiques.

Je ne peux que l’imaginer. Il serait absorbé par l’estomac, mais je ne sais pas exactement ce qui se passerait ensuite – s’il y aurait des réactions allergiques. Il est possible qu’il soit complètement dégradé dans l’estomac par les enzymes qui décomposent les graisses.

MT: Je trouve cela fascinant: nous parlons de technologie génétique, il y a des gens qui sonnent l’alerte depuis des années et disent que si je mange du maïs génétiquement modifié ou si j’en fais du pain, il pourrait me pousser une deuxième tête, voire sept têtes. Je suis étonné que personne ne se penche là-dessus de plus près et que ce sont les mêmes qui se taisent. Les mêmes qui disaient que c’était vraiment terrible, qu’on ne pouvait pas faire ça.

RF: Si les médecins n’apprennent pas à réfléchir à ce qui se passe réellement, et ne font que vacciner au lieu d’écouter des gens comme vous, en faisant aveuglément confiance et sans poser de questions…

Mais juste pour revenir là-dessus: si cela se répand dans le corps, dans toutes les cellules, alors c’est un scénario catastrophe si vous dites que le résultat est qu’un nombre massif de cellules s’autodétruisent.

VSK: Oui, c’est une bonne introduction à ce point précis, et à toutes ses conséquences. Parlons de l’étude préclinique – de ce qui est arrivé aux rats.

Dans l’expérience préliminaire, on a injecté au rat, dans le muscle, 30 microgrammes de ce même vaccin actuellement utilisé. C’est comparable, sauf que c’était trois injections à la place de deux. À intervalles d’une semaine. Et deux jours après la dernière injection, c’est-à-dire 17 jours après la première, une autopsie a été réalisée et on a trouvé ce qui suit. Comme mentionné, je n’ai pas de données brutes, seulement des données écrites descriptives. Les rats avaient une réponse immunitaire, des ganglions lymphatiques enflés, la rate, le nombre de cellules, tout cela est normal, une production accrue de lymphocytes, c’est-à-dire des cellules B et T dans la moelle osseuse, une production d’anticorps neutralisants, des globules blancs circulants, une libération de cytokines, tout cela était normal. Mais d’autres choses se sont passées ensuite: leur température corporelle a augmenté de un degré, c’est aussi normal chez les rats, une légère température, mais leur poids corporel a baissé alors qu’ils recevaient leur alimentation normale… Chez les rongeurs, quand le poids diminue, c’est toujours un signe de stress massif. Et puis ils ont fait une autopsie. Ils ont documenté les dommages au muscle. Ce qu’ils rendent public – gonflement, œdème, rougeur – n’est que la pointe de l’iceberg. Je vais disséquer cela dans un instant pour ceux qui ne connaissent pas la terminologie spécialisée: dégénérescence myofasciale, scléropathie, incrustation accompagnée de la propagation de cette inflammation aux tissus adjacents, inflammation sous-cutanée, hyperplasie. Alors qu’est-ce que tout cela signifie? L’inflammation sous-cutanée signifie que la couche inférieure de la peau – la peau a trois couches – est enflammée, c’est-à-dire la couche où les cellules adipeuses, les nerfs et les vaisseaux sanguins sont localisés. Si ceux-ci deviennent enflammés, les cellules adipeuses éclatent, les acides gras sont libérés et accentuent encore l’inflammation.

Cela entraîne une scléropathie, c’est-à-dire que le tissu durcit parce que des quantités croissantes de tissu conjonctif se forment. C’est similaire à la formation des cicatrices. Le tissu est si fortement endommagé… Si vous vous coupez le doigt et que c’est superficiel, la couche supérieure de la peau peut se régénérer, vous ne voyez rien par la suite. Si vous vous coupez trop profondément et que cela traverse les trois couches de la peau, l’organisme ne peut pas reproduire sa propre structure. Ensuite, parce que les cellules doivent être remplacées et que la plaie doit être fermée, le tissu conjonctif se forme, se dépose, une cicatrice se développe. Et c’est le cas du muscle, il durcit du fait de dépôt de tissu conjonctif. C’est ce qu’on appelle la fibrose. Le tissu perd fondamentalement sa fonction à ces endroits, des incrustations se développent, il y a dépôt de sels dans le tissu nécrotique; le tissu nécrotique est un tissu en train de mourir. Les muscles sont en train de mourir. On parle de dégénérescence myofasciale, cela signifie la mort des cellules des fibres musculaires, qui sont simplement remplacées par du tissu conjonctif non fonctionnel.

VF: Est-ce juste local ou dans de nombreux endroits?

VSK: À cet endroit, c’est uniquement local, uniquement dans le muscle. Vous pouvez voir tout ce processus à partir des paramètres sanguins qui ont été mesurés: ils ont noté par exemple une augmentation de 72% de l’alpha-2-macroglobuline, cela signifie que l’augmentation fait partie de la réponse immunitaire due à l’inflammation, mais on voit également une augmentation de alpha-1-acylmycoprotéine [NdT : je pense, c’était difficile à entendre], qui se forme quand il y a une lésion particulièrement forte dans les tissus, causée par une inflammation ou une infection, dans ce cas de la vaccination, et une augmentation du fibrinogène… C’est un signe, lorsque celui-ci est élevé dans le sang, d’inflammation des vaisseaux sanguins, il est essentiellement responsable de la coagulation sanguine. J’ai dit que les vaisseaux sanguins sont dans la couche inférieure – les vaisseaux sanguins sont endommagés, et c’est probablement pourquoi le fibrinogène se forme, pour refermer les vaisseaux sanguins. Je me demande, pour les personnes âgées dans les maisons de retraite, qui prennent souvent des médicaments anticoagulants à titre prophylactique: est-il possible que leur coagulation ne fonctionne pas correctement? On a besoin de la coagulation: peut-être qu’elle ne fonctionne pas correctement? Cela peut-il avoir des conséquences si les vaisseaux sanguins sont fortement endommagés en raison de cette vaccination?

RF: Nous verrons tout cela très rapidement, je le crains.

Dr H: Les effets secondaires, c’est-à-dire la corrélation avec d’autres médicaments, n’ont pas du tout été examinés. Cela ressort expressément des annexes de la décision de mise en œuvre de l’UE pour les deux vaccins. Je trouve que ce que vous nous décrivez maintenant est absolument criminel.

VSK: C’est donc ce qui se passe localement, sur le site du muscle. Nous avons entendu dire que beaucoup de choses se retrouvent dans le foie, et c’est un peu plus grave. Cela conduit à une vacuolisation périportale hépatocellulaire. Le jour de l’autopsie, là où ils l’ont trouvé, et probablement beaucoup plus tôt, car il pénètre dans le foie relativement rapidement et ensuite cela se produit relativement rapidement. Alors qu’est-ce que cela signifie? Hépatocellulaire signifie se rapportant aux cellules du foie. Périportal signifie les cellules du foie près de la veine porte. C’est l’endroit où le sang entre dans le foie. C’est-à-dire que ces dommages ne seront causés par rien d’autre chez le rat. Si les rats buvaient de l’alcool, d’accord, alors ces dommages se produiraient également, mais ce serait dans tout le foie. Mais c’est quelque chose qui entre par le flux sanguin, et seulement à proximité de cette veine, et c’est particulièrement là qu’on voit des dégâts. Et ils sont tellement endommagés qu’ils sont vacuolisés: c’est toujours une indication que les cellules hépatiques sont en train de mourir. Je répugne à utiliser le mot poison, mais le foie essaie de séquestrer la substance qui l’endommage; il ne gère pas, et les lipides cationiques en sont responsables, BioNTech l’admettent eux-mêmes, c’est dans le rapport, ce sont les lipides cationiques. Le foie essaie d’éliminer ces lipides cationiques, de les métaboliser, mais n’y parvient pas car ils sont trop nombreux. Le volume est trop important. Donc, il essaie de les planquer dans une zone de la cellule, et c’est à ce moment-là que des vacuoles apparaissent dans la cellule: de l’eau coule, c’est simplement une zone où elles ne causent plus de dégâts. Mais lorsque ces vacuoles apparaissent alors la fonction de la cellule hépatique est massivement perturbée, beaucoup d’entre elles meurent, elles perdent leur fonction. Elles s’autodétruisent, commettent l’apoptose. Voilà donc ce qui se passe dans le foie.

RF: Si cela est découvert lors de l’autopsie, cela me semble être une indication claire que cela a été causé par la vaccination. Ou peut-il y avoir d’autres causes à cela? Vous venez de dire que si on boit de l’alcool, cela se produit aussi, mais pas comme ça. Ce qu’on y trouve semble être un signe certain que c’est le vaccin qui a conduit au décès.

VSK: Oui, on peut aussi enquêter sur ce qu’il y a exactement dans ces vacuoles. On peut regarder et voir si les lipides cationiques sont présents. Si on a une vacuole causée par l’alcool, on a une stéatose hépatique; l’alcool est transformé en graisse, il est stocké sous forme de graisse. C’est cette stéatose dont on entend parler.

RF: Je voulais juste demander – indépendamment de la grave faute médicale qui vient d’être décrite précédemment: on peut en découvrir la cause via une autopsie, n’est-ce pas?

VSK: Oui, on peut, je pense. Et on peut également voir si le foie est gravement endommagé grâce aux paramètres sanguins, un médecin doit savoir ça. Ce sont des valeurs normées: une élévation de la GGT [gamma-glutamyl transférase], une enzyme, peut avoir diverses causes. C’est certainement une indication de dommages au foie dus à des médicaments ou à un poison, par exemple. C’est une indication que les cellules hépatiques meurent, c’est-à-dire lorsqu’il y a augmentation de la GGT sécrétée.

Et puis nous avons des AST [aspartate aminotransférase] élevés. Il s’agit d’une enzyme métabolique qui augmente dans l’inflammation du foie et les lésions cardiaques. Il y a une phosphotase alcaline élevée – elle est produite par les os et le foie, par exemple, et un ou deux autres organes; une augmentation indique des lésions hépatiques et osseuses. Et puis nous avons une diminution du rapport albumine/globuline. Ce rapport est toujours mesuré pour voir si le volume de protéines dans le sang est constant. Sinon, c’est un signe de maladie: trop de protéines sont éliminées. Si une baisse est constatée, c’est le signe d’une grave lésion hépatique, d’une inflammation, d’un trouble digestif, etc. Le rat présente une perte de protéines.

Pour résumer, on peut dire que le foie est massivement endommagé et que les cellules hépatiques meurent. Ils ont dit qu’après l’autopsie, trois semaines plus tard, que le foie s’était régénéré. Mais l’EMA n’a pas discuté de ce que pourrait être la situation avec les personnes qui ont un trouble du foie, qui n’ont pas cette capacité régénératrice. Qu’en est-il de ceux qui ont une hépatite ou un foie alcoolique ou autre? Qui ont vécu une vie malsaine? Si quelque chose vient s’ajouter à cela, vous pouvez très rapidement avoir une défaillance d’organe. Cela ne doit pas être oublié, il faut en discuter, mais c’est complètement balayé sous le tapis.

Alors, pourquoi exactement le foie est-il endommagé? C’est parce que le foie est l’organe qui absorbe le plus de lipoprotéines. Et pourquoi en prend-il le plus? Parce qu’une de ses fonctions est de décomposer le cholestérol. J’ai expliqué que les nanoparticules sont liées aux protéines ApoE. Celles-ci retournent directement au foie où le cholestérol est décomposé, et c’est pourquoi le foie entre en contact avec une grande quantité de ce dernier.

RF: Je dois juste reposer la question: comment peuvent-ils vacciner dans ce contexte?

VSK: Ce n’est pas toute l’histoire. Il se produit une inflammation du tissu périneural du nerf iscias, le nerf le plus fort du corps. Et puis une inflammation dans le tissu extracapsulaire a été trouvée, je ne sais pas exactement de quoi il s’agit, ils ne l’ont pas précisé, mais je suppose que ce sont les capsules articulaires. Qu’en est-il des personnes souffrant d’arthrite, par exemple? Et puis, c’est particulièrement important, très dangereux: ils ont constaté une réduction modérée à forte des globules rouges et des réticulocytes dans la numération sanguine. Cela explique l’hypoxie. Ils sont massivement endommagés par les nanoparticules lipidiques. Pourquoi donc? Parce que ce sont précisément ces globules rouges qui sont utilisés comme modèle cellulaire pour le stress oxydatif, ils sont particulièrement sensibles au stress oxydatif. Parce qu’ils transportent l’hémoglobine. Toutes les cellules qui transportent de l’oxygène sont toujours sensibles au stress oxydatif. Et lorsque les NPL y pénètrent et provoquent ce stress oxydatif massif, elles meurent très rapidement. Donc, les rats devaient souffrir d’hypoxie ou du moins ils ont constaté qu’ils avaient moins d’hémoglobine parce que, de toute évidence, cela a disparu lorsque la cellule a disparu, et un hématocrite plus faible. Ce sont des signes très clairs d’hypoxie, et je dois dire que cela doit être examiné de manière très critique, car qu’en est-il des personnes atteintes de troubles cardiaques, par exemple. Un muscle cardiaque, par exemple, s’il est sous-alimenté en oxygène, cela peut très rapidement se transformer en crise cardiaque. Et pour autant que je sache, il y a quelqu’un qui a eu une crise cardiaque après la vaccination. Je ne dis pas que cette personne en est morte, mais il faudrait au moins s’en enquérir.

RF: Vous n’avez pas besoin de dire cela, nous non plus, car sur base de ce que vous avez déjà décrit plus tôt – ils utilisent le triple du volume dont ils ont besoin par exemple – nous trouverons diverses formes de faute professionnelle médicale grave. Le médecin est responsable et devra prouver que cela ne s’est pas produit à cause du vaccin et qu’il/elle n’est pas coupable, ou du moins négligent dans ce qu’il/elle a fait. Ils ne vont pas s’en tirer comme ça.

Dr H: Exactement. Revenons au poumon – à ce problème d’approvisionnement en oxygène. Nous avons entendu dire que dans diverses institutions, les gens montrent des signes d’affaiblissement grave après la vaccination [description de la situation dans les maisons de retraite par exemple]. Ils deviennent de plus en plus faibles, ne veulent ni manger ni boire. Dans un cas, après une semaine, la personne était décédée, d’autres après 14 jours… Ils ne se sont pas rétablis. Est-il vrai que si vous êtes en meilleure forme, vous pouvez mieux faire face à cela? Les personnes âgées sont-elles désavantagées? Bien qu’il ne s’agisse pas de cas palliatifs, ils étaient vieux, mais en forme.

VSK: Les personnes plus âgées sont toujours plus faibles et présentent un certain degré d’inflammation. Parce que les cellules produisent plus de stress oxydatif et parce que les personnes âgées, en particulier dans les maisons de retraite, ne sont pas très bien nourries. Elles manquent de beaucoup de nutriments: vitamine D, E, C, glutathion – on sait que les personnes âgées ont moins d’antioxydants et un état nutritionnel inférieur – elles sont plus sensibles à ces phénotypes. Les plus jeunes ont une plus grande capacité de régénération. Les dommages sont exactement les mêmes, mais ils peuvent mieux se régénérer à moins qu’ils n’aient une condition préexistante – cancer, diabète ou similaire.

VF: Si l’organisme n’est pas altéré par des conditions sous-jacentes, serait-il capable de se régénérer? Chez les souris ou les rats, les dégâts disparaissent au bout de 3 semaines: reste-t-il quelques petits dégâts dans le foie ou se régénère-t-il complètement?

VSK: Oui, il se régénère complètement. Le foie est assez robuste.

RF: Ok, mais ceux qui ont des conditions sous-jacentes ont un problème. [Non repris – mention que les médecins ont été vaccinés, et les infirmières, et ont eu des réactions indésirables] Si les gens ont des conditions préexistantes, alors on peut craindre qu’ils puissent succomber s’ils reçoivent cette intervention OGM. La plupart des histoires que nous avons entendues proviennent de maisons de retraite [plus de détails dans ce sens]. Maintenant que vous l’avez expliqué, je comprends pourquoi, cela a du sens.

Ensuite, il y a la phase suivante. Et cette fameuse «tempête cytokinique»? Si le vacciné rencontre le virus sauvage six mois ou un an plus tard… Que peut-il se passer alors?

VSK: Vous parlez probablement de l’ADE [Antibodydependant enhancement] – la facilitation de l’infection par des anticorps .

VF: Avez-vous fini de parler des effets indésirables, ou y a-t-il autre chose?

VSK: Presque.

RF: L’histoire d’horreur doit être complète.

VSK: Je suis extrêmement critique envers le comité de l’EMA: il n’y a eu aucune discussion sur les conséquences qui peuvent résulter des effets secondaires. Ils ont simplement hoché la tête tout du long. Ils ont juste dit ok, c’est comme ça… Peut-être ont-ils dit quelque chose, mais cela n’a pas été noté par écrit. Je trouve également très médiocre qu’ils n’aient enquêté sur aucune de ces choses qui, selon eux, n’ont pas été étudiées sur des êtres humains dans le cadre de l’étude clinique. Des échantillons de sang ont été prélevés dans les études, alors pourquoi pas? Il serait assez facile de mesurer tous ces paramètres sanguins tels que les érythrocytes, toutes les enzymes, toutes les autres substances. On peut faire des biopsies des muscles – rien de tout cela n’a été fait. Soit cela n’a pas été fait parce qu’ils avaient peur de ce qui allait sortir et qu’ils auraient à l’expliquer, soit ils l’ont fait et se taisent à ce sujet. Ils connaissaient toutes les observations sur les rats… et nous n’avons aucune donnée sur la façon dont cela se passe avec les êtres humains. Ils auraient pu mener cette étude. Nous avons le droit de savoir.

RF: Absolument. C’est la raison pour laquelle le Dr Peter Doshi dit qu’il veut voir les données brutes. Cela sortira d’une manière ou d’une autre.

VSK: La seule chose qu’ils ont faite a été de mesurer le taux de lymphocytes et ils ont constaté que les sujets souffraient de lymphopénie dans les 1 à 3 jours, c’est-à-dire une baisse du nombre de lymphocytes, mais les opinions divergent à ce sujet dans les publications. Il y a une ou deux publications qui disent que la lymphopénie peut survenir après une vaccination, elles le montrent – mais ils ne savent pas pourquoi cela se produit. Dans une publication, on pense que les lymphocytes transmigrent simplement du sang vers les tissus et qu’il y en a moins dans le sang. Mais cela n’est pas prouvé, il est tout aussi probable que les lipides cationiques attaquent les lymphocytes dans le sang. Aucune enquête n’a été menée pour montrer pourquoi cette lymphopénie survient chez l’homme. C’est le seul paramètre qu’ils ont examiné.

VF: Est-ce que c’était aussi le cas avec le rat?

VSK: Oui

VF: Et c’était lié aux problèmes de foie?

VSK: Non, c’est indépendant du foie.

VF: Simplement le même phénomène. D’accord.

VSK: C’est la seule chose qu’ils ont examinée chez les êtres humains dans l’étude clinique n° 1.

VF: Je comprends. Ça a également été trouvé chez les rats.

Dr H: Une question sur les décès. En Italie, nous avons eu beaucoup de rapports, pas via les principaux médias bien sûr. Un médecin, dans ce cas un pharmacien. Dans ce cas, ses organes ont été prélevés et donnés. Quelles en sont les implications? J’ai reçu cette information du Dr Gatti, il y a deux jours. Le message nous a choqués. Ils ont prélevé les organes et les ont transplantés chez des patients. Qu’est-ce que cela implique si cette femme était vraiment décédée des suites du vaccin?

VSK: C’est une bonne question.

Dr H: Nous avons ici plusieurs affaires criminelles l’une après l’autre. Non seulement on se débarrasse des preuves, mais aussi éventuellement on induit de nouvelles maladies chez les personnes qui souffrent déjà de conditions sous-jacentes sévères. Ce vaccin transgresse les frontières dans toutes les directions. C’est incroyable ce qui se passe. Nous avons le cas d’un jeune médecin, c’était sur les réseaux sociaux: il était vacciné, se vantait d’avoir reçu le vaccin, puis quelques jours plus tard, il s’est effondré et est mort en jouant au tennis. Cela semble lié à ce que vous nous avez dit ici. Nous n’avons pas seulement ces cas individuels, des cas se multiplient dans le monde entier d’effets secondaires graves soupçonnés [une discussion plus approfondie à ce sujet suit].

MT: [demande la chaîne des preuves lorsque cela se produit…] Parlons de la loi qui concerne la preuve et du renversement de la charge de la preuve. Quelqu’un se manifeste et dit qu’il a besoin d’une contiguïté causale. Si l’on pratiquait une autopsie, serait-on en mesure de délimiter la cause et de dire que sur la base de l’autopsie, le vaccin était causal? Je pose cette question parce qu’on ne serait pas en mesure de décider de transplanter leurs organes, ou d’incinérer rapidement le cadavre. Si le médecin (ou quiconque) porte le fardeau de la preuve, mais que les preuves ont disparu, il n’y a rien qui puisse lui permettre d’être disculpé. Donc ma question: est-il possible de déduire la cause du décès en utilisant la numération hépatique sanguine, etc.?

VSK: [Explique qu’un spécialiste des autopsies devrait répondre à cela…. Discussion supplémentaire]

RF: [poursuite de la discussion] Le professeur Cahill en Irlande nous a dit récemment que si une personne est immédiatement décédée après un vaccin – soit immédiatement, soit dans un certain laps de temps – une autopsie doit être pratiquée. Elle était d’avis qu’il serait possible de le prouver avec une probabilité proche de la certitude. Peut-être pas sur base d’un organe en particulier, mais en regardant l’image d’ensemble.

WW: Nous avons une loi en Allemagne qui stipule qu’avant que les preuves ne soient détruites, c’est-à-dire l’incinération, une enquête doit être menée par un médecin public, le certificat de décès est inspecté, la cause du décès doit être examinée. Si le fait qu’une vaccination a eu lieu n’est pas connu et que le cadavre est simplement incinéré, il faut se poser la question de la responsabilité: le médecin public a-t-il détruit des preuves? Une diligence raisonnable est requise, la question relative à la documentation du vaccin doit être posée, elle doit faire partie du cadre si quelqu’un décède. C’est l’Institut Paul Ehrlich qui a permis cette étude télescopique: si cela n’a pas été envisagé, nous devrions l’exiger.

Dr H: Professeur Wodarg, je suppose que cela ne devrait pas seulement être réservé à l’Allemagne, cela devrait être le cas partout où ce vaccin est utilisé. [Poursuite de la discussion]

WW: […] On ne peut pas incinérer le corps comme ça – trop de choses peuvent être négligées.

RF: Contrairement aux effets indésirables antérieurs des vaccins, il s’agit d’une technique complètement nouvelle […] Il faudrait commencer par détecter certains schémas qui se reproduiraient à répétition.

WW: J’insisterais absolument pour avoir un aperçu des dossiers de l’Institut Paul Ehrlich. Il faudrait examiner très attentivement leur plan d’observation. L’Institut Paul Ehrlich est responsable à 100%.

Dr H.: Il ne devrait pas être permis de donner des organes à transplanter dans des cas comme celui-ci. Une étude d’observation du type dont vous parlez devrait être menée.

WW: Il faudrait définir exactement quelles enquêtes devraient avoir lieu si quelqu’un décède après une vaccination – cette destruction des preuves doit cesser. Il faut vérifier si quelqu’un a été vacciné peu de temps avant sa mort et, si oui, interdire l’incinération. Les médecins du service public devraient en être informés. Pour protéger ceux qui ont été vaccinés et ceux qui le seront.

[Discussion plus en détail du problème de l’ADE. Parce que nous connaissons le sujet, je l’ai laissé de côté pour le moment. Je peux y revenir une autre fois.]

[Discussion sur les raisons pour lesquelles tant de tests PCR s’avèrent positifs après la vaccination: \ L’ARN est optimisé en codon – Normalement, trois nucléotides codent pour un acide aminé. Ils ont échangé le troisième dans le triplet, ce qui augmente la vitesse à laquelle la protéine est exprimée. Il est peu probable que ce qui est dans l’ARNm puisse être en corrélation avec ce que le test PCR recherche; Le Dr VSK dit qu’il est possible que la séquence puisse correspondre dans un cas ou l’autre, mais c’est très hypothétique. \ Le professeur Wodarg demande s’il serait possible de faire le test PCR sur le vaccin, pour exclure cette possibilité. Le Dr VSK dit que oui, ce serait tout à fait possible. \ \ Discussion sur le test de toxicité pour la reproduction.]

VSK: […] Un test de développement et de toxicologie de la reproduction (DART) a été réalisé. Ils ont examiné des rats femelles deux fois avant l’accouplement, puis deux fois pendant qu’elles étaient enceintes et vaccinées. On a regardé si cela avait des conséquences sur leur progression.

[Divers détails différents donnés, je peux y revenir plus tard si vous le souhaitez. On dirait que tout est dans le rapport. En effet, diverses anomalies ont été constatées concernant l’implantation d’ovules, par exemple. Ils ont dit que tout était dans la fourchette des données de contrôle historiques. Ils n’ont examiné que 21 fœtus, le Dr VSK dit qu’elle pense que c’est un nombre trop faible, ils ont trouvé une légère incidence de gastroparésie (anomalie de la paroi proximale de l’estomac), malformation de la mâchoire,anomalies de l’arcade droite de l’aorte et des vertèbres cervicales. Mais encore une fois, BN a déclaré que tous étaient dans les données de contrôle. Elle dit qu’ils auraient dû faire plus d’études et plus longtemps pour voir si cette légère incidence à la hausse s’est poursuivie ou non. Seulement 21 animaux. \ \ Le Prof. WW pose des questions sur le problème de la syncytine. Les anticorps contre la syncytine peuvent empêcher la formation du placenta. Cela conduirait à l’infertilité. Ils n’ont pas enquêté sur le problème de la syncytine, dit le Dr VSK. WW dit que ce phénomène n’est pas réservé aux êtres humains – cela aurait pu être fait dans une étude animale.

Des études à long terme et des études sur d’éventuelles maladies auto-immunes n’ont pas été menées.

On n’a pas cherché à savoir si le vaccin pouvait être transféré au fœtus.]

VSK: Ce mécanisme traverse la barrière hémato-encéphalique en raison du transport médié par ApoE. Ainsi, les NPL peuvent causer des dommages au cerveau. Endommager les astrocytes. Stress oxydant extrême. Ça peut entraîner une inflammation, un gonflement. Ça peut avoir un impact sur les nerfs. Paralysie faciale (paralysie de Bell) – soit le nerf est enflammé, soit le tissu adjacent, le gonflement appuie contre l’os traversé par le nerf, ce qui altère le nerf.

VF: Les dommages aux zones du cerveau pourraient entraîner les contractions et les tremblements que l’on voit, les conditions de type MS.

WW: Et les blessures survenant à la moelle épinière – le liquide céphalo-rachidien… les nerfs spinaux

VSK: Oui, il faudrait prouver que ces lipides y sont arrivés. Dès qu’ils sont là – et c’est dans la publication en noir et blanc – la cascade commence: stress oxydatif, dommages, apoptose.

RF: Combien de temps doit-on retenir sa respiration quand on a été vacciné. Une vie, ou y a-t-il un moment où vous pouvez vous détendre à nouveau?

VSK: Cela dépend des dégâts observés. Les lipides sont là pendant 4 à 5 mois. Des dommages peuvent survenir tant que les lipides sont là.

WW: Le grand projet de l’industrie pharmaceutique est de faire de nous un bioréacteur où nous créerons nous-mêmes les anticorps. C’est un excellent plan d’affaires pour eux. S’ils réussissent à le faire une fois, ils le feront pour tous les vaccins qu’ils pourront à l’avenir. Mais ces vaccins peuvent-ils entrer en conflit en nous? Un, puis peu de temps après, le suivant – les interactions n’ont pas été vérifiées, ne pouvaient pas encore l’être.

RF: Sans une véritable étude clinique, on ne peut pas vraiment dire si l’ARN d’un vaccin pourrait interagir avec un autre…

WW: Impossible d’avoir des études de recherche à ce sujet pour le moment.

VSK: Aucune étude de génotoxicité n’a encore été réalisée. Ils disent qu’ils n’ont pas besoin de le faire car «aucun potentiel génotoxique n’est à prévoir». Mais on sait depuis 20 ans que les lipides cationiques sont hautement toxiques. Dans quel univers vivent-ils?!

[Poursuite de la discussion sur le fait que ce n’est jamais un seul virus de toute façon – ce qui nous mène au diagnostic différentiel. Qu’est-il arrivé à nos conseils médicaux? Comment peuvent-ils permettre cela? Quel genre de formation nos médecins ont-ils pour participer à tout ça? En modifiant quelque chose avec un vaccin, l’ARNm conduisant à l’expression de l’antigène aura un effet sur un environnement où nous avons de nombreux virus, pas un seul. C’est une approche tellement bornée. L’Italie avait reçu des vaccinations contre la grippe: cela change le biotope, les personnes qui ont eu ces vaccinations réagiront probablement différemment à un vaccin à ARNm de ce type par rapport à celles qui ne l’ont pas reçu.]


Texte original

Interview with Dr. Vanessa Schmidt-Kruger

Hearing # 37 of German Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee
30 January, 2021

This is Hearing No. 37 of the German Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee with \ Dr. Vanessa Schmidt-Krueger, beginning at minute 3.56.38 of the hearing to the end.\ The transcript was first produced in German and then translated (by Gilian Crowther, member of the BDÜ, the Federal Association of Interpreters and Translators)

For the original, please see Hearing 37 here

The German Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee was launched by Dr. Reiner Fuellmich on July 10, 2020. Dr. Fuellmich LL.M. (UCLA) is an attorney at law, authorized to represent at all courts in the US federal state of California. He has been a consumer protection trial lawyer in California and Germany for 26 years.

The Corona Investigative Committee has been listening to a large number of international scientists and expert testimony since its inception. Class-action lawsuits are being prepared in the US and Canada. Lawsuits are also being prepared in Germany. Germany does not permit class-actions so the process is being prepared differently there. The committee is also working on the creation of legal guidelines and data caches that attorneys around the world will be able to use to file their own lawsuits.

On 30^th^ January 2021 the German Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee interviewed Dr. Vanessa Schmidt-Kruger, a Cell Biologist with over 20 years’ experience in molecular medicine working at the Max Delbrück Center for Molecular Medicine (https://www.mdc-berlin.de/person/dr-vanessa-schmidt-kruger).

This is her evidence presented at the 37^th^ Hearing of the German Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee on 30^th^ January 2021.

RF = Dr. Reiner Fuellmich\ VSK = Dr. Vanessa Schmidt-Krueger\ VF = Viviane Fischer\ MT = Marcel Templin\ Dr. H. = Dr. Holzeisen (Italy)\ \ *RF: [Dr. Schmidt-Krueger] conducts research on cardiovascular disease and will explain the mechanism and risks of the vaccine.

*VSK: I’m a cell biologist and my specialist field is the functional characterisation and elucidation of proteins, i.e., I understand how proteins are produced, how they are transported in the cell, how they are taken up by cells, how they are metabolised, how intra- and intercellular communication takes place, including within tissue, and how organs interact. This is all very important if one wishes to conduct a risk assessment: how the vaccine functions for example, and the dangers/risks of the lipid nanoparticles (LNPs). This technology is not really new: it’s novel as a vaccine, but we have been using these LNPs in research for over 20 years, and we have always been struggling with the problem of toxicity of the lipids and balancing this against their efficacy.

I would like to explain a little using the example of the BioNTech (BioNTech) vaccine, focusing on a number of specific points. I’ve made a few notes.

The first point is that the BioNTech vaccine that is currently already being used is not highly purified, it contains contaminants of certain components. This is in the EMA’s Open Assessment Report, the Agency that has granted the authorisation to this vaccine. The EMA has written this report, and covers this point.

Secondly, I would like to go into the first clinical study of the BioNTech vaccine, and how the quantity of vaccine to be used was determined: this has not been correctly characterised from a scientific perspective in my opinion.

Point 3 relates to the effects or risks of the LNPs, and again I will be focusing on the BioNTech vaccine, the preclinical study they conducted, everything that came out in that, and what has not been discussed in public, and also what the publications say. This is basically not the only research study [on this].

And finally if we have time I would like to talk about the long-term consequences relating to immune disease, that is an aspect that has not yet been discussed in public at all.

RF: I don’t know if you are aware of this, but right next to you [on screen] is the colleague Dr. Holzeisen, who is key in constructing the plea for annulment of the vaccine authorisation: what you say today is likely to have a substantial impact on the lawsuit that we formulate and submit to the European Medicines Agency/the EU Commission.

VSK: Ok, pleased to help. I have made notes and can submit them in writing later.\ Good. Why isn’t all this being discussed? One reason might be that this Open Assessment Report is in English, and half of Germany can’t speak English. Then there’s the factor that one needs to be very familiar with the entire medical terminology in the report. And then there are all the technologies and cellular operations described: only specialists like myself can really understand them. That’s why I’m here, and would like to try and throw some light on all of this.

Basically the EMA Committee’s report has two main sections: one is about Good Manufacturing Practice, GMP, i.e. all the production processes, purification, how good the quality is and the monitoring mechanisms. And the second section is the preclinical study.

In the first section on the GMP they have done very good work I would say: they were very critical, asked for subsequent submission of a great deal of scientific evidence, and asked for numerous improvements. They were very critical and granular, and I was impressed with that. But their approach to the second section concerning side effects was in stark contrast to that. They didn’t conduct any critical scrutiny at all, there are lots of side effects that were not discussed at all in public, they also didn’t critically scrutinise what consequences it will have to inject this into people, particularly vulnerable groups who already have certain organ-related complaints, who are especially susceptible to these adverse effects. I’ll go into them in detail at the end.

We know that normally vaccine development takes a very long time. It’s not just the clinical phase: with this vaccine, it’s set at three times two and a half years, i.e., three phases of 2.5 years each plus the evaluation phase, which makes 7 ½ years in total. And then one shouldn’t forget that the production optimisation is also important, at least a year would surely be needed for that. That hasn’t taken place at all. The vaccine is already being sold and used, but the production optimisation isn’t yet by any means completed. And there are considerable deficiencies.

One issue I would like to discuss are the deficiencies relating to the active substance: by that, I mean the modified RNA that they are synthesising. As a second issue there are deficiencies in the consistency of the various production batches: they need to always be consistent so that one always obtains the same vaccine volume and quality.

The problem that BioNTech had is that in the clinical phase the product, i.e. the RNA, was produced with completely different techniques to how it is being produced now. During the clinical phase they only needed small volumes of vaccine, they were able to use very expensive techniques that delivered highly purified end products. Now that they have entered mass production, that is no longer possible, they have had to switch to lower-cost processes, e.g. using huge quantities of DNA that functions as the substrate to be able to produce the RNA in an in-vitro transcription reaction. This is done via bacteria, via the fermentation of transformed bacteria that contain this DNA. The bacteria multiply the DNA in huge amounts, and this leads to new dangers or risks, particularly contamination. At the moment for instance the situation is that the DNA is transformed in the bacteria, it is multiplied, next the bacteria are opened and the DNA is extracted, then it is linearised via enzymes, and after that the linearised DNA undergoes in-vitro transcription to produce the RNA using various procedures. The EMA Committee made various requirements of the vaccine manufacturer, i.e. BioNTech. The applicant needs to now develop and introduce various analysis processes to ensure that the substrate is free of microbiological contaminants – they probably mean E Coli bacteria for example. There don’t seem to be any processes to ensure or monitor for that. They also need to ensure that all the buffers – those are the solvents that are used – are free of RNAses. RNAses are enzymes that degrade RNA. If there are any contaminants of these RNAse solvents, then RNA in the vaccine will be degraded and the vaccine won’t have any effect anymore. They also have to analyse how strong the activity of the enzymes is; that is very important because I explained that after that the RNA is transcribed from the DNA and then the DNA has to be eliminated, it is digested by enzymes: by DNAses. And if this DNA is not digested well enough, if residues are left, this harbours risks – I’ll come back to the risks from DNA residues, but the activity of the enzymes has to be monitored well and at the end you need to have a pure RNA without any more DNA. And that is not the case. BioNTech has admitted that there are DNA contaminants.

So. Requirements were also made relating to the fact that they have not conducted a transport verification study. This means they have no idea whether the vaccine is still viable after transportation. That is currently being performed.

Then there’s the sterility of the vaccine vial. They have good vials, they have tested them, but they have been asked to develop a new “Quick Test” so that the doctor or whoever administers the vaccine can conduct this test to check whether the batch that they have just purchased is really sterile.

This is simply an additional step that should be taken.

And then they don’t have any proper standard for the various batches.

It was found that the integrity of the RNA always varies in the batches that had been made. I will come back to that again. There needs to be a standard that is always the same for each batch. This should be used as the reference to measure the standard. And they only have this of course for the processes of the clinical phase. Now we have to generate a new standard for the new manufacturing processes, i.e., for the commercial sales. That hasn’t been done yet, they are in the process of doing that now.

So – the integrity of the RNA means of course the RNA quality. They have found that this is not very high: it was higher for the processes during the clinical phase. In this report they don’t say how high it is, but I have other information that says 78% of the RNA was good [translator: this refers to the integrity], the remainder was not, but now they have found new batches with only 55% RNA integrity, i.e., half of it is basically unviable. I’ll explain that again: during the synthesis of this RNA, the DNA serves as a template, and then the RNA is produced. It is possible that the entire RNA is not produced, the process is broken off prematurely, this has to be checked. There are analysis methods for checking what percentage of the product that has been produced has the full RNA length (100%), and what percentage is only 80% or whatever. These truncated pieces of RNA are more unstable as a result: at the end of the RNA there is an adenine attachment, and the longer this “tail” is, the more stable the RNA is in the cell. If this is truncated, the RNA is degraded in the cell relatively fast, and then no protein can be formed at all: in the worst case so little protein is formed that no immune response can take place. But that’s the worst case. If you have RNA integrity of only 55% and the remaining 45% is just truncated pieces because you have found shortened pieces of RNA, then the EMA Committee wanted to know whether truncated protein pieces would be produced, and how much of the proper protein [translator: i.e., spike protein] is produced. This all needs to be analysed.

RF: You are just explaining to us everything that is going wrong with production, and a risk that does not appear to have been discussed at all – at least I have not read anything about what you have just discussed – is that 45% of the RNA that is produced from the DNA is non-viable.

VSK: It may be non-viable if the protein is not formed – BioNTech has to check that now because one can make the proteins visible using a specific technique, and then one can see how large the proteins are. They are divided up according to their size, and if truncated proteins are made due to shortened pieces of RNA, then one sees that because new shorter proteins are formed. In their analysis they have seen various bands, i.e. various protein sizes, and the EMA Committee would like to know from BioNTech whether these various sizes all belong to the same protein or not – whether they are other proteins – shortened proteins that perhaps have no effects at all, and what percentage of the correct protein that we want to have is actually in the vaccine dose. How much is being made.

VF: The small proteins: could they simply have no function, or might they produce some other effect?

VSK: I assume that they would then be without function.

RF: At least they wouldn’t be doing any damage then?\ \ VSK: Yes, these are not completely different proteins, this is just a small fraction of the spike protein. (15.11)

VF: And just one other question about the DNA – what kind of DNA is this that is sort of swimming around, what effects could it have?

VSK: The sequence of the DNA is complementary to the RNA, and this is needed so that the enzyme has a “template”, so that the RNA can be “read”. The RNA is transcribed by the DNA, that is basically the gene of the spike protein. The gene codes for the protein; the RNA is the interim product.

WW: If shorter pieces are produced, i.e., not the longer proteins but these short sections, I’m thinking about the immune system. There are many homologies in biology, the immune system reacts differently to what is produced in the cell. Is it possible that certain things – that something is is recognised there by the immune system that leads to cross-reactions – leading to aberrant immunity or aberrant immune reactions? I would be interested in the immunological aspect of these contaminants.

VSK: The protein has a specific sequence length and a specific number of amino acids, this results in specific folding of the protein. If one has truncated RNA, it is possible that the folding looks different, and this can of course have an effect on the antibody formation. I wouldn’t say that it would have a negative effect because the protein has to reach the cell surface for the cell to recognise it at all. If it is very truncated, then it doesn’t find its way there, it would not be anchored in the membrane, it would be secreted from the cell and enter the [blood] flow. So this is theoretically possible, but I think the likelihood is very slight that another protein or a differently folded protein would arise, causing other types of side effect.

WW: Thank you.

VSK: To come back to Ms. Fischer’s question about the DNA. The problem is that when it contains DNA contaminants, then the situation is: well, with RNA it is relatively unlikely that it can integrate into the host’s cell nucleus. The situation is different with DNA, and especially in this case because you have contaminants of linearised DNA. The integration of DNA into the nuclear genome is relatively rare really – many different factors have to come together for this to function. First of all the cell has to divide; if it divides properly it can’t be integrated because the cell genome is in the nucleus of the cell and this cell nucleus first has to dissolve. But it only does this when the cell is dividing. I will come back to this, because the lipid nanoparticles get into all cells, not just the muscle cells – it is an error to believe the latter.

RF: That is important, that’s what really counts.

18.42

VSK: So it is theoretically possible that this linearised DNA that is in there as a contaminant could integrate into the host’s cell nucleus in a dividing cell, linearised DNA is optimal for integration. Circular DNA is not. DNA from bacteria is circular and is not as easy to integrate. It happens, but not so often. But as soon as you have a situation like we do here, it will happen more often. That is the risk. I didn’t really want to get into what can happen if this is the case: genes can be switched on and off, upregulated and downregulated, cancer can develop – there are a lot more possibilities. So this contamination definitely has to be reduced.

RF: Can you explain that to us again because that is particularly important for us as lawyers, especially for Dr. Holzeisen. What can happen in that case?

VSK: Ok. This integration: where it occurs is the nuclear genome – we can’t control that, it can happen anywhere. There are sections in the DNA that are vulnerable to it, and others that are not so vulnerable. And it is important where the DNA lands. It may land on a gene: then the gene will become dysfunctional, the protein will no longer be formed, and if it is an important protein, the cell may die, and if this continues to replicate, this can cause really massive damage. If for example it lands in an important cell that divides frequently, then clones can arise that are modified, they are gene modified, and in that case in these cloned cells these proteins are no longer produced and then, in the worst case, there is a loss of function. If it leaps into genes that have a regulatory effect on gene expression, then the genes may be switched on or downregulated, i.e., the output will differ. And this means the metabolism of the cell will alter. If this is passed on in replication, then many things may alter in the body.

WW: But these are processes that are probably not the same in all patients. Whether this happens at all is stochastic at the most, and if it does happen, the results are probably also dependent on each individual and what else is going on in their cells. So one can’t say put that in and this is what will happen, these are eventualities – if a million or so and so many thousands of people are vaccinated, then one can perhaps say with a certain degree of probability after 10 or 20 years whether something will happen or not.

VSK: Yes.

WW: With some things perhaps after 3 or 4 years. But one needs some time to be able to detect such effects clinically.

VSK: That’s exactly right. One never finds a group that all have the same mutation, this varies in people – exactly.

RF: This description is not the normal way a vaccine works, from what we have known up to now, the possibilities that you describe seem reminiscent to more of a genetic intervention or perhaps one should say a genetic experiment -?

VSK: Yes, that is true. The vaccine itself, even if the DNA – that contamination – were not in it – is still a genetic intervention. I’ll be talking more about that, then you will be able to understand it really clearly. But I don’t know how high the contamination is, they have only stated the fact that it is contaminated.

VF: But against the backdrop of this DNA issue, especially in the case of dividing cells, the question that arises is that it is probably especially dangerous to vaccinate pregnant women or children, because in those cases the cells are dividing much more than in an adult or a very old person.

VSK: That’s absolutely the case.

WW: In the case of pregnant women one also has the problem that the immune system reacts differently than in those who are not pregnant. Because in pregnancy the immune system is switched so that the foetus is tolerated and not rejected. It reacts differently as a result. This may also have a bearing with this vaccination, it can lead to complications in pregnancy, and also in older people, where certain processes no longer take place – the immune system tolerates more than normal, and immunological complications arise as a result. This could happen in elderly people and in pregnancy.

VSK: But as I have said, we are all at risk because our cells are subject to ongoing dynamism: millions of cells in us are being degraded and renewed every day: one has to consider all the stem cells, all the immune cells, it is a constant flux: if these contaminants interfere, then …

That’s why the AstraZeneca vaccine is an entirely different caliber.

But to stick with BioNTech: there are further contaminants, there is double-stranded RNA for instance. The EMA Committee says it is slight, it is acceptable, but …

It is measuring it in the quantities that are in there: part of the 30 micrograms is double-stranded DNA….that is something else that cannot be used.

Ok, so the EMA tells the vaccine manufacturer that the acceptance criteria for the mRNA integrity, the double-stranded RNA and these shortened RNA pieces etc., that all has to be reassessed, and as soon as further data are available they will review it again.

Good. Then there are also contaminants relating to the lipids that are used for these lipid nanoparticles (LNPs). They have sometimes observed visible particles in the ready vials. They don’t know why that is. They don’t think this comes from storage. They have certain automatic monitoring systems at the manufacturers and also later in the process that check and monitor for this, but this needs to be improved, it’s not sufficient for the EMA. The doctor who handles this vial later is meant to look and see if these particles are there. If so, it is meant to be discarded. I don’t know whether that is being communicated. 26.18

RF: But just to go a step back for a moment: You have just said that the EMA has specified several requirements, and when they have fulfilled them they should come back again. So how come vaccinations are already taking place?

VSK: That’s a question I’d ask you! 26.41

Such political pressure.

Dr. H: That’s criminal, unbelievable. Terrifying.

WW: Another point is that in the USA and elsewhere it is now being permitted to combine different vaccines for the first and second vaccine … Mixing the different vaccines so that one can’t even draw clear conclusions, and this while studies are still ongoing – well, they are supposed to be studies – that the vaccine doses are being mixed so that you can scarcely determine which vaccine is having which effect and which side effect – that seems to be intentional, it’s like that in the USA, that the Moderna, BionTech and AstraZeneca vaccines can be mixed – if one isn’t available, another can be used. This makes it impossible to have an overview and it means it can’t be evaluated in the observational study either – which means we’re flying blind.

VSK: Yes, that’s exactly how I see it. They have a deadline of the end of July of this year for these investigations, and then the decision will be made as to whether the vaccine receives final authorisation or not; it only has a temporary authorisation at the moment from what I understand. The problem is that all these analysis techniques, protocols, all these commitments they have to make, it’s all running parallel to the vaccines actually being administered – that’s what’s so disastrous.

RF: If we wait until July we won’t have any Israelis left as far as I can tell. Holy Shit.

Dr. H: At the same time the EU Commission in the person of its President has given clear instructions to have most adults vaccinated by July, especially those who are already have underlying conditions, and our health professionals, etc. There’s huge pressure towards mandatory vaccination. This is criminal. We will definitely file a criminal complaint next week: this information was the final evidence that we needed. The plea for annulment, if we don’t file it with the European Court of Justice – we will try to next week. I’d request that you submit your written notes quickly to me please, it is essential, we really have to expedite the proceedings, this is costing lives every day across the world. We can try to block it on an EU level. This is dreadful.

RF: We will do the same in the USA, we’ve already discussed this, but it’s ready Renate, it’s on the way to you.

Dr. H: This information, if you could send to me in writing what you have said here afterwards, that would be really superb.

VSK: I will send you everything. The information is public, it’s in the Assessment Report.

Dr. H: That’s clear, we’ve seen it too, but it’s always important to have a coherent commentary, too.

VSK: That’s fine. So I’ll continue. There are also contaminants with regard to the lipids (30.32). There are two new lipids, they have focused on them. One is ALC-0315, that is the cationic lipid, and the other is ALC-0159, the PEGylated peptide, the PEG component. And they have found that the end product – that there are contaminants in the end product in some batches. They don’t know where this is coming from, probably from the cationic lipid. They now have to find out where the contaminants are coming from, and the EMA has therefore asked them to write a report on how the chemical synthesis functions, where they obtain it from, i.e., the manufacturer, which means conducting a quality control for the feedstock and the solvents. They have to list which steps are critical in the synthesis. And they have to do all this by the end of July 2021. So they don’t know the source of the contaminants, and the EMA Committee didn’t go into what consequences the contamination might have.

There is no evidence of contamination for the PEG, but they also need to document their strategy for the quality control, purity, etc. on this in writing, too.

The EMA Committee issued complaints about 20 points in total regarding Good Manufacturing Practice. These are very extensive points, it will be quite a challenge to manage this in half a year I’d say, and they have issued 23 recommendations for further development of the quality of the of the product. And then there are another six pages at the end: I’ll quote from that: “The assessment of the safety risk is considered acceptable; there are theoretical calculations of worst-case concentrations from residues from the manufacturing process, but these have been found to be below established safety limits”. What this means is that our health depends on theoretical calculations, and not on actual tests in practice.

I just wanted to have said that.

RF: What do these lipids do? We have heard from all over the place – not from the mainstream media of course, you don’t hear a word of criticism from there – but we are hearing reports from the Internet that can be substantiated that in Gibraltar for example, 53 people died after vaccination. In Germany we are hearing that the same is happening in old people’s homes. People who have just been vaccinated are either dying immediately afterwards or getting very ill, while those who have not been vaccinated are in the same condition as previously. And we have heard from top scientists that this could have something to do with the lipids or liposomes that in some people are immediately leading to very poor oxygen saturation in the lungs, or are somehow docking in the brain and causing neurological issues – tremors and all kinds of dysfunctions. Does this have something to do with the lipids?

VSK: I can confirm that. This is the large topic that I would like to cover at the end. Could we come back to that later? I will explain that in detail, that really is the case.

Ok – I’ll now come to my second point, which is determining the vaccine dose, which they were supposed to analyse in the Clinical Phase 1. There’s a Clinical Phase 1, and BioNTech has the task of not just detecting side effects, i.e. spontaneous adverse effects, but also of determining the vaccine dose. They tested three or four different vaccine dosages – 10 micrograms of RNA, 20 µg, and 20 µg respectively in two doses, and [hundertenprogramm? Inaudible] of just one injection. And then they conducted their test 34.56 and the patients were supposed to make notes in the seven-day digital diary. Basically what they found was the higher the vaccine dose – the stronger and higher the concentration of RNA – the more frequent were the side effects. Generally one can say that there were always more and stronger side effects with the second dose than with the first. Older trial participants had fewer because their immune system is already aged and is not so reactive. They naturally analysed the side effects that have been published – fever, fatigue, headaches, joint pain, myalgia, shivering, vomiting, diahorrea. Nothing more is covered in the the publication – we don’t know whether they did more. They also looked at how many antibodies were produced and then bind the spike protein: they did a binding assay and investigated the antibodies when they encounter a virus. They generated an artificial SARS-CoV-2 virus that contains a GFB [NB: “green fluorescent protein”, I think this was mNeonGreen – a fluorescent marker], i.e., cells that are infected with the virus light up green, then one can count how many green cells there are at the end. And if one then isolates the antibodies from the vaccinated trial participants and mixes them with the viruses, then they partially neutralise the viruses, and then one has fewer green cells, you can see that. So to summarise, the vaccine has a positive effect, but the criticism is that there is no positive correlation between the different vaccine doses, i.e., we see the same effect at 10, 20 and 30 micrograms. Despite this they want to use 30 micrograms as the vaccine dose. Although 30 micrograms has many more side effects than 10 micrograms. The benefits are the same, but the risk is different. This is not scientifically justifiable. If I were writing an application for an animal trial and I wanted to vaccinate the animals with 30 micrograms and I had to justify why 30 micrograms, why not 10, then I would never get past the door with my animal trial application if I got the same effect with 10 micrograms. There is simply no additional benefit if I increase the RNA volume in these assays.

WW: I have a question: do these microgram values include the additives (37.51), are the LNPs included, or do these dosages only refer to the mRNA?

VSK: The dose only refers to the mRNA. But they are of course wrapped in the LNPs, and the higher the microgram dosage mRNA, the more LNPs you need.

WW: Ok

VF: Is that a question of costs?

WW: If the side effects come from the nanoparticles, then the dose dependency could be explained by that, and not by the effect of the mRNA.

VSK: The side effects?

WW: Yes

Dr. VSK: Yes of course. Because these are primarily due to the LNPs. But I’ll get onto these at the end.

The fact is that the clinical study Phase 1 is normally there to find out what quantity of vaccine you need; it is important to prove what the vaccine dose should be. What vaccine dose you need to get the effect you want to have, ultimately. To do that you need to conduct a statistical test across all the different vaccine doses: in science that is a clear case of [Wanneranzapf mengen test – inaudible – a volume test with a name], that is a particular test that one has to use, it tells you whether there is a positive correlation, i.e., that the effect increases with a rising vaccine dose or not, whether it falls, or whether it remains the same. They didn’t do this test, giving the excuse that there were too few data points per group, i.e., that they only had 12 trial participants per group. I wonder whether they knew from the outset why they weren’t consigning more trial participants. And second, it is an absolutely stupid excuse because any scientist would be happy to have 12 datapoints per group, i.e. 12 trial participants per group. It is entirely possible to draw a statistical conclusion – you can do it with 5 or 6 people, it won’t deliver such robust results, but with 12 per group you can draw a fairly good conclusion as to whether there is a correlation or not. If I look at the image – and I’ve got a trained eye – and compare the median values and the scatter of the data, I can already say that there is no correlation. Whatever test I do, it fluctuates, they all have more or less the same effect. I.e. the excuse that they didn’t want to do this test … or let’s say if they had done this test, they would have produced the evidence that 30 micrograms would be too much, they should have used 10 µg vaccine doses.

RF: But that is a particularly egregious error. If that is part of the Phase 1 trial to test out the dose that will be effective, if at the same time as you are telling us Dr. Schmidt-Krueger it doesn’t increase the efficacy: the efficacy remains the same regardless of whether 10 µg or 30 µg are used but the side effects increase, that is severe medical malpractice.

VSK: You have completely understood. That’s exactly how it is. In my opinion they intentionally didn’t use the test because they would have had the evidence and no justification any longer for\ 30 µg. And then they give the stupid excuse that they can’t do the test because they don’t have enough samples.

41.22

MT: First of all I’m wondering how expensive this vaccine is. If I need more of this strange fluid, then it will be more expensive, and for me as a layperson that doesn’t really have an impact on the issue of whether – I mean, if one assumes that it is this miracle treatment, how much do I get from a dose if I increase the dose, or am I getting this wrong? Wouldn’t I get more out of the vaccine if I said right from the outset that I need to use less? Or am I misunderstanding something?

VSK: We know that the vaccine vial is for 5 people, but you get enough out for 6. You give a little less, but you have previous knowledge that that will also work.

RF: The point you are explaining here will have further consequences. We are seeing that it has adverse effects through to death, this point and what’s happening here will play an extremely big role because the doctors have to take responsibility, they are participating in this – this is serious medical malpractice.

This also involves a reversal of the burden of proof. (42.56) Those who have been damaged no longer have to provide evidence that the cause of what has happened is the vaccine: the doctor has to prove that it was not the vaccine and that he/she is not guilty. This is going to be a really strong argument.

VF: Sorry, another question about the costs. Normally one would think – after all, it’s a commercial enterprise – I wouldn’t put ingredients into it that are three times the quantity of what I really need: the RNA surely has a cost.

VSK: It’s costing US more!

RF: That was the simple question. The more of the stuff is pumped into people, the more expensive it is, that’s logical. It would be a remarkable result and difficult to explain – to the taxpayer particularly –

VF: Let’s say the price people are willing to pay for a product of this kind, where they don’t really know what’s in it, is EUR 50, it wouldn’t really be the case that this price would increase if I said I’m putting three times the quantity in. So if it achieved the same effect, they could say this effect costs EUR 50. They won’t have negotiated a price that revolves around how many DNA particles it contains or whatever?

RF: The contracts are secret. Do you know anything about it, is it calculated according to vaccine quantity? I can’t imagine anything else really.

VSK: I don’t know how reliable the data are, but I have heard that normally there 5 vaccines in one vial, but they charge 6 vaccines per vial. Although the company doesn’t have any extra costs for this. That’s a piece of information I have, but I don’t know if it is true, I’ve just heard it.

Dr. H: And something else. The vaccine is mixed by hand: you take the vial, take the unit of measure that you need for one person, and add saline to it, and then it’s injected – ?

VSK: Yes, it arrives dehydrated, i.e. all the water is removed. It contains a small amount of white powder. This is then dissoves in the saline solution and then you have to take the respective amount out of that. The people who received five times the dose probably got all of it.

Dr. H: Exactly, that was the point I wanted to get at: first of all, why do they do that? That seems to me to be a clear vulnerability in the system. That’s the source of error really. Is it because of transport volumes, or what is it?

VSK: Yes, transportation is much better when it is dehydrated. It can be stored better that way.

Dr. H: That explains it. I find that risky. From what I have heard, it has gone wrong. Someone actually forgot to divide off the right quantity, and the patient was given five times the dose. What would the risks of that be in your opinion? (46.49)

VSK: [Inaudible, think must be “The damage”] is much higher. But I will come to that.\ We are still talking about the volume: what I’ve covered is not the only point of criticism while we’re on this subject. In the same study they have also – well, they claim that it is important to give two doses. That may well be true, but they haven’t proved it; they haven’t tested it scientifically. What they did in this study was they gave two doses of all the quantities: 10 µg, 20 µg and 30 µg. Normally to make the assertion [translator: that it is necessary to use 2 doses], you need to have a group where you give just one dose. Normally it’s like this: you get an injection, then the body forms antibodies, it takes a while until it starts, the antibody titre rises and then it forms a saturation curve. So at some point it doesn’t go any higher: then you have reached saturation. And this goes up over time. But to find out whether the second dose has an effect you have to give the injection and find out how high the titre is after 35 days. And then do the same with the other group; after the same time, 35 days, look at how high the titre is. (47.59). And if the titre is higher, then the second dose has had an effect. If it is not higher, then the second dose has not had an effect. I assume it did have an effect because in another vaccine similar to this [Which? Would be useful to know] it did have an effect, but in that case the scientific data were generated a little shoddily – the time is sometimes missing in the data, they simply left it out so that one can’t prove whether it has had an effect or not …. But from experience I think that a second dose is likely to have an effect … but I’m sure it’s like that in a court of law: belief is not evidence or knowledge – i.e., they would have had to prove it in this clinical study with this vaccine. They didn’t do that: they are simply making the claim.

RF: There isn’t a study on it?

VSK: No, I haven’t found one. There is the Clinical Study No. 1 on human beings, that is where they should have tested it.

RF: They should have tested it within the aegis of the Phase 1 study.

VSK: In the study on mice/rats. I don’t know, but this small study on human beings: that would have been the moment where they should have tested it. That’s my opinion.

RF: No, that is correct. Legally that’s the case. They have simply made the claim. Somewhere along the line they made the assertion: better twice than once – perhaps even three times wouldn’t be a bad idea, would have been just as good from all one can tell. That is really ghastly. Professor Hockertz told us that it is usual in the development of new medications – also in the case of vaccines: no preclinical phase was done, no animal trials: Phases 1, 2 and 3 took place in a completely telescoped fashion, and now you are telling us after having … you have just pointed out that the EMA has made various demands that haven’t yet been fulfilled in some cases because they only have to be met by July – but they’re already going ahead and vaccinating. What’s going on here? The study is basically taking place now, right before our eyes, live on stage – on patients who have no idea what we are discussing here just now! We’ll have to tell our Israeli colleagues this, they won’t be happy at all ….

Dr. H: And just to mention Reiner: without the vaccinated being tracked like the trial participants that they are (50.47) If I were a trial participant in a vaccine test series then I would have to be medically tracked, i.e., assessed. People are simply being vaccinated, and if they die it’s counted as a Covid death. That’s the reality. Or more frequently it’s said they died of their underlying conditions. Anything to prevent it being seen as a result of the vaccine.

RF: We just heard that at the start Renate: The fact that three times the quantity that is really necessary is being administered, and at the same time the risk is increased by three times: we definitely have medical malpractice, we definitely have the reversal of the burden of proof, and we can’t say any longer that was Covid, instead we can say we want to hear from you: is the causality … you have to prove that as you have made huge blunders. Is the causality different to the severe medical malpractice that we have to accuse you of. That is what I said from the beginning: this is definitely bodily harm. At the very least because there isn’t any proper up-front clarification/information provided, [as there would be if you were taking part in a study]. But what I’m hearing now in addition to that – my goodness …

Dr. H: Have you conducted the same evaluation for the Moderna vaccine that is already being used, or only for BioNTech?

VSK: I haven’t managed this for Moderna or AstraZeneca yet. I will do it soon, but had too many commitments and so many requests, broadcasts on Youtube etc. (52.24)

Dr. H: Moderna would be more important than AstraZeneca because Moderna is already on the market.

VSK: Exactly, that will be the next that I do, looking into the studies.\ \ Any more questions on that part? Because now we are getting to the side effects. That’s a real head turner. I suspect it will knock you for six. (52.57)

A preclinical study was done, but at the time Professor Hockertz discussed this it didn’t exist, he didn’t know anything about it. It came out with the report at some point in mid-December. And I spoke to him at the end of November.

So there is a preclinical study. Let’s look at the basics to start with. The technology of the nanoparticles. I don’t want to completely malign it. It’s a superb technology really. But the problem is that it is still much too early for use in human beings. The toxicity is still too high, that first needs to be eliminated, then it would really be a brilliant technology. There are many scientists working on getting rid of this toxicity, research has been conducted on that for years. [Trans: for 20 years she says at the end]

It is actually used for cancer patients, but there the risk/benefit ratio is very different, I’ll come back to that. In a healthy person such as with a vaccine, I consider it disproportionate to apply this technology at the moment while this toxicity exists. Nanoparticles, these are very small particles and always damaging to cells, because the smaller the particle, the more interaction they can have with cell components, i.e., with the proteins, with other lipids, or with the DNA etc. But one needs a nanoparticle lipid envelope because one can’t just inject the RNA into people, it is broken down within 10 minutes by the nucleases that are swimming around. The cells won’t take up the RNA/DNA if it is not nicely presented via a lipid nanoparticle for example.

There are various studies in vivo on mice or rats – I don’t know which animal, I have to ask – it has been found that if one gives long-lasting LNPs to animals, via inhalation over the lungs, that you get DNA strand breaks in the lungs. And that can trigger serious lung disease or lung cancer: it has been found that lung cancer develops. And the uptake of LNPs in the spleen has been detected: DNA strands breaks were also identified there. And it has also been found that when the LNPs are transported in the blood then thromboses can occur, or haemolysis – haemolysis means the sudden dissolution of erythrocytes, i.e. red blood cells, this causes hypoxia.

(Whisper)\ VSK I’ll get round to speaking about that. That can directly be applied to the BioNTech vaccine.

And now I want to explain to you how this technology functions. (55.54)

Could you let me use the screen – then we’ll have a better idea of where the toxicity comes from.

RF: We’ll get that sorted.

VSK: Now you can see a white piece of paper, right? Can you see it? Ok, it’s like this.\ \ Here is an LNP. Inside it is the RNA. This LNP, it isn’t just one RNA, there are lots of RNAs inside, always the same, but lots of them. The LNP in this lipid envelope consists of many different lipids. There is a helper lipid: that is completely uninteresting, it’s not toxic or anything. It’s simply there for the structure of the envelope. Then there is a cationic lipid1. And then there is the PEG component. It is cationic. And then we have cholesterol.

So these are the different components and these 4 components are also needed for this. And then we have a cell. Let’s call it a muscle cell because we inject into a muscle. And this cell has a negative charge here because of the lipids that are stored in it. And this LNP up here is neutral i.e. the cell has absolutely no reason to absorb it. How it gets into the cell is as follows: there are many publications on this subject that have established that it comes in through an ApoE transporter – there’s a lot of chemistry now but you need to understand this.

There are proteins in the blood called ApoE. Those are the components of HDL-LDL that are tested in human blood tests to find out cholesterol levels, ApoE is always there. The ApoE can bind to cholesterol, that is why it binds the cholesterol from the particle here. And now this whole particle is recognised by the cell; the cell has ApoE receptors, there are different ones. There’s the LDL-receptor or LAP – there are many, certainly well over 10 different receptors and they then bind the ApoE where the whole lipoprotein complex binds to it and then it goes into the cell. Then the whole cascade begins. The LNP is located in a vesicle out here. And there’s a sensor in the membrane here, the TLR – toll-like receptor – they are there to recognise/locate foreign DNA/RNA. So if it were a virus rather than the vaccine, it would recognise RNA and break it down.

That is part of the immune system. But since the RNA is surrounded by an LNP shell, the immune system cannot recognize the RNA and it is not broken down, this is done on purpose. We don’t want or the vaccine manufacturers don’t want the RNA to be broken down. And what happens now is a completely normal process, it’s what always happens in the cells: it doesn’t matter at all, regardless of these LNPs, that protons now migrate in. So everything in here is positively charged. Due to this positive charge, part of the PEG lipid is split off – it is pH-sensitive, the lipid is broken apart and this PEG can no longer suppress the cationic charge of the lipid in the shell here. This means that the lipid is positively charged. And so everything in here becomes positive – and then, in principle, water flows in, and the whole thing bursts open and the RNA it is released into the cell (1.00.34)

You now have the released RNA and the individual components: helper peptide, the cationic peptide that is now positively charged because it is no longer suppressed by the PEG, then there’s the PEG and the cholesterol.

What has happened now is that the TLR can access the RNA, which sends a signal to the outside. The cell then produces chemokines and cytokines that are released from the cell. That is the first part of the innate immune response. 1.01.14

At the same time the RNA goes into an area of the cell, it is transported to a specific area where the production of proteins takes place. The protein – this is where the RNA is then – the protein is then only synthesised/produced here so that the spike protein can be resynthesised. And the spike protein can be found everywhere in the membrane; it migrates to the surface of the cell so that there are spike proteins everywhere on the surface of the cell. The spike protein was not there at first – it came into being in response to the vaccination and that’s why it’s called a genetically modified cell. We have therefore become a genetically modified organism. As long as the spike proteins are there and the RNAs, we are GMOs. They’ll go away at some point, then we’ll no longer be a GMO but we are a GMO for as long as they are there.

This is genetic modification. It is not integrated in the DNA but happens in a different way, namely indirectly.

OK, let’s carry on.

[Question: How long does it stay in there?]

VSK: Such an RNA has variable stability – it can last from a few minutes because these RNAs are important for development, but also several days. I will talk about the length of time it is in there later on.

So how do we get to the rest of the immune response? Down here there are chemokines and cytokines. You have to think of them as a fragrance secreted by the cells. And then there are immune cells, those are APCs: antigen-presenting cells. They pick up the scent of the chemokines and cytokines and migrate to the highest concentration of them. Because the production of the chemokines and cytokines is a cry for help from the cell, saying “There’s something wrong here”. Something’s happening to me. And so the immune cells come along and check what’s going on. What’s wrong they ask themselves and they meet the LNPs – they are not all simultaneously taken in by the cell. They are also taken in by the cells – they are also inside here. The LNPs – the spike proteins are also formed here too, only these cells have the feature that the proteins are degraded again, that is the function of the cell. They have fragments of the spike proteins, and each one is presented on the surface of the cell for the rest of the immune system. This happens via the MHC class of receptors. And when these APC cells have absorbed the spike protein, they migrate back to the spleen for example and are digested. Then they are presented to the other immune cells, i.e. the B-cells and the T-cells. I’m keeping it simple because it is really much more complicated in real life. But what happens now is on the one hand that the B cells are activated, they become plasma cells and now produce antibodies. Antibodies against the spike protein up here which is now finally on the surface of the cell. And these antibodies now migrate here, they migrate through the bloodstream and find their antigens and the cell where the spike protein is expressed. They then bind this spike protein onto the muscle cells for example. At the same time up here, T cells are activated and become for instance cytotoxic T cells which also migrate in the blood and seek these antibodies and bind to them via their T cell receptors. This is how a complex arises. Once formed, the T cell substance enters the cell so that this cell is prompted to commit cell suicide – cell death. This is called programmed cell death or apoptosis.

What we have here that is new with this vaccine is it’s not just proteins that are injected into us that swim in the blood and are then eliminated by the antibodies: we have here various avenues whereby toxicity/cell destruction take place. One way is via this here: the cytotoxic T-cell forces the muscle cell into apoptosis. And then we have RNA, which is fundamentally also toxic for the cell from a certain length onwards. And above all – this is particularly important – the cationic lipid, it is cationic, i.e. it has a positive charge. And that is very very toxic, we have known that for over 20 years.

So, that is the process for now. Do you have any questions about it?

RF: 1.06.49 That is the process after the vaccination, before you even get into the vicinity of a dangerous virus?

VSK: Yes, that’s how the immune response arises, i.e. it’s part of the immune response. It is much more extensive, there are other factors, but that is very roughly how antibodies are produced and how the antigens – the spike proteins – are destroyed in the cell.

So: I wanted to show you exactly what the toxicity is. We definitely have these cationic lipids in the cell, and now I’ll talk about what they do with the cell.

I’ll just leave the screenshare now.

Ok, that’s fine.

So: the cationic lipids. I’ll go back to the BioNTech vaccine: the LNPs consist of up to 50% of these cationic lipids: 50% is very high, they are toxic because they have this positive charge. This enables them to enter into interactions with other components of the cell really well, they can also basically interact with negatively charged amino acids. This destroys the proteins which lose their ability to function because they “unfold” as it is called. In principle they can interact with the DNA because the DNA is also negatively charged due to its phosphate groups, creating DNA strand breaks. They can also interact with other lipids because they are also negatively charged, especially the lipids of the cell membrane. E.g. the cell membrane of the mitochondria, these are the powerhouses of the cell that are vital for energy generation; I’m mentioning this because oxygen radicals are formed in the mitochondria when energy is produced. This is a very natural process, but the cell also has a repair mechanism so that these oxygen radicals are removed again and rendered harmless, this is how the cell survives, it is simply a balance. They are produced, you can’t prevent that because oxygen is consumed, which generates oxygen radicals, but avenues have been found to disable these oxygen radicals. If however these cationic lipids gain entry, it is confirmed in many publications that they destroy this membrane [Trans: meant is the mitochondrial membrane, here] and this leads to the formation of a large number of oxygen radicals. These oxygen radicals create a lot of damage in the cell. They interact – they alter the amino acids, the cell pours out as many cytokines as it can, the oxygen radicals also attack membranes and create lipid peroxidation. Membrane integrity is jeopardised, the membrane becomes porous, and when a cell membrane becomes porous water flows in and then the ion balance is disrupted. This means the entire cell loses its function because the function of proteins depends on the ion concentration, on the calcium ion for example, and the magnesium ion. The cell experiences maximum oxidative stress, as it is called in the specialist terminology. And when that stress is so high and the DNA is also damaged, then the cell goes into apoptosis – it self-destructs.

That’s all I have to say about that for now.

RF: So there are two factors that lead to that.\ \ VSK: Yes: one is the immune response – via the binding of the antibody. The other factor is that specific component: the cationic lipid. It’s just this component that is so dangerous. It creates maximum oxidative stress in the cell leading to such damage that the cell can’t repair itself fast enough. And that’s why it dies. It has to self-destruct, or it transforms into a cancer cell. That is the alternative. So it usually self-destructs because if a cancer cell develops, specific damage results, there are other factors involved, but generally it dies.

And now I’ll get to the risk/benefit ratio. The technology is very sensible in cancer therapy. The purpose of this technology there is to kill cancer cells. We are now getting a vaccine using the same technology that is used in cancer therapy to kill cancer cells. Where cancer therapy is concerned: up to now we have only had chemotherapy or radiotherapy; they have the aim of triggering oxidative stress in the cell to encourage it to self-destruct. But up to now this has been very unspecific: healthy tissue is also irradiated and dies. With this [encapsulation] technology you can insert proteins or other substances in the nanoparticle envelope that are targeted at detecting and finding the cancer cells. There are already relatively good, successful studies, and this is why it is used in cancer therapy.

Cancer cells have a completely different pattern on their cell surface to healthy cells. They have for example a lot of transferrin receptors or folate receptors: when one inserts the ligands into LNPs, i.e. builds transferrin or folate into these LNPs, then these LNPs find the cancer cells that have the receptors for these. As a result, these LNPs target the cancer cells almost exclusively and create oxidative stress in them so that the cancer cells are killed.

VF: Is that a local occurrence, or can this spread out across the whole body, or locate to specific niches?

VSK: In the case of cancer cells it is designed so that it is local, and now we’re really getting to the point: in the case of the vaccine it is not local. It spreads out through the entire body. I’ll first say a sentence about that. There’s the toxicity of the cationic lipid, which initially works on a cellular level. Now a word about the PEG – I believe it has been published in the media that in some cases if you have previously come into contact with PEG it is possible that you have formed antibodies to it, and if you have antibodies and then come into contact with PEG at any time after that, which is the case with the vaccine, then you may suffer an allergic reaction or analphylactic shock due to this hypersensitivity. This depends on how much PEG is in these LNPs – it’s 2 – 6% in the case of BioNTech, and on the how strong the binding affinity of your own antibodies against the PEG is. Having antibodies doesn’t always mean that they will immediately bind to the PEG: the binding strength varies from one antibody to another.

The strength of the allergic reaction is individual: it depends on how powerful the antibodies are, and the volume of PEG on this second contact. Otherwise where the PEG is concerned, there are publications that say it is a little toxic, but one can’t find any great detail on it.

So with PEG you can get allergic reactions, but the cationic lipids are absolutely toxic for cells.

Now I’ll address the questions Ms. Fischer asked. I’ll talk about the preclinical study that BioNTech has done, largely on mice and rats. The questions that arise before something like this comes onto the market are how long it remains in the body, divided up as follows: how long do the lipids remain, How long does the mRNA remain? How are they broken down? What is their distribution in the body? The toxicology and carcinology have to be investigated. Is there a problem related to reproduction? And does it have an influence on the environment? Because we’re becoming a GMO: does this have any impact? These are fundamental questions that the EMA always has to pose.

I will refer to this Public Assessment Report – I have to say that the raw data are lacking, they aren’t in the report, which I find disappointing.

RF: Peter Doshi is challenging them on that.

VSK : Right, I’d now like to look at that data myself because I have already seen that they interpret the data incorrectly in the clinical study. I’d like to see it myself and form my own opinion. They have only provided a description of what they observed. So I can only go on that. I imagine this will be true because the observations they made have been observed by other scientists in their animal trials with their substances, too.

So what is the distribution of the lipid nanoparticles (LNPs) in the animal trial? This is similar to that described in other publications and by other scientists. They used LNPs with mRNA, not with the spike protein but with Luciferase. Luciferase has the advantage that you can make things visible. Useful for this trial as they they gave the lipids a radioactive marker.

1.16.57

If you can use the radioactivity as a marker, you can use a technique whereby can can see the organs and whether the lipids were in them or not to see. They injected the whole muscle and watched how the lipids spread out throughout the body, and found that these lipids were in many organs after just 15 minutes. Most were at the injection site, in this case it was the muscle, but a lot in the plasma, too. Logical because it’s transported in the plasma, but also 22% in the liver. And if you inject it into the veins then 60% of the cationic lipids can be found in the liver, and 20% of the PEG lipids. They were also found in the spleen, the adrenals, and in both sexual organs. Further organs were not described. So I assume that it spread out throughout all organs. 1.18.02 It is basically absorbed everywhere where blood flows. The description focuses most on the injection site, the plasma, and the liver.

Then they looked at how the lipids were degraded. They found evidence of the cationic lipid in the plasma for 12 days, and evidence of the PEG lipid for 6 days. So they remained for quite some time. There isn’t any more information, so I don’t know whether the lipids could be evidenced for longer or not. 50% of the PEG is degraded via excretion, i.e., it is excreted from the body. It goes into our “sewer system”, as it were. The cationic lipids are exclusively degraded in the cells, only 1% was found in the stool. This means the cells take the full hit of the toxicity. Then they analysed the half life of this cationic lipid in the liver, they say it is 3 weeks. With half life at the beginning the substance always degrades faster, and then it gets less, the curve gets flatter. This half life at the outset is already 3 weeks, which is relatively long. And how long does the elimination take? One can still find 5% of the lipid in the liver after 4 – 6 weeks – that is incredibly long, and with the PEG the half life is 1 week. So it is shorter, but because a large proportion, i.e., 50%, is excreted. That is not the case with the cationic lipid.

We don’t have any other information or investigations regarding other organs, they just investigated liver, plasma, urine and stool. They should definitely have looked at other organs. Perhaps they did, but there’s nothing in the publication about that.

And then they looked at how fast the RNA is degraded. This is where the Luciferase comes into its own. The Luciferase can transform a substrate so that one sees it in colour, it fluoresces. You can detect it. But it’s not a very sensitive method. And they only injected 2 micrograms of RNA. 30 micrograms are being used for us. This means what you are seeing is probably a lot stronger in the case of the actual vaccine being used. So in the muscle where it was injected there was a peak after 6 hours. First the LNPs have to be taken up into the cell, the protein has to be formed, this Luciferase, and only then does the reaction take place. You see this after a max. of 6 hours, it is taken up by the cells extremely fast, and the protein is also expressed very fast. You can still see the protein after 9 days. There are publications – there is one from 2016 for example – where they say that one can see the Luciferase for 35 days, but that always depends on how stable the RNA is, and they didn’t do it with the spike RNA but just with the luminescence, and the spike RNA may very well have a different stability. So they didn’t investigate it properly for our vaccine, I would say.

In the liver they saw a peak after 6 hours, and after two days it was gone. This is because the liver has a very high metabolic rate.

So to summarise, both the RNA and the LNP are taken up relatively fast. And the cationic lipids remain in our bodies for a very long time. This was also interesting. There seems to have been a discussion of the EMA with BioNTech about the period that it remains in the body: how long is it in the case of human beings, they asked, because the study wasn’t done. BioNTech referred to a study from 2010, by Mamoth et al. I have not been able to find this in the publications database, and there is no list of references below the EMA report, so I don’t know whether this is true at all and whether that article exists, but they say they have used similar lipids, and when they calculate the conversion from this mouse or rat study to human beings, that cationic lipids have a half life of 20 to 30 days in human beings, and the elimination to 5%, so not really eliminated, takes 4 – 5 months. They assume 4 – 5 months, and the EMA Committee just said “That’s a long time”. 1.22.54

Dr. H: The second vaccination comes on top of that after 30 days …

VSK: Yes exactly: none of that has been investigated. Basically they haven’t conducted any kinetics with this vaccine. (1.23.12) Not on the mice either. The LNPs were the same [die Zusammenrechnung – in the calculation? Inaudible], but the RNA was different. They should really have done it with the actual vaccine. They should have marked it and then carried out the whole study again. They didn’t do that.

MT: I’d just like to ask a question. You said something was excreted from the body. Is there any danger that people who are vaccinated could be causing as a result of this, or is it excreted and then it’s gone?

VSK: That wasn’t investigated.

Dr. H: Oh God –

VSK: There’s no data on that.

MT: I reckon we’ll need to be drinking spring water from bottles from now on then …

RF: That doesn’t sound good. And what kind of consequences does that have? You’ve got apoptosis that apparently takes place throughout the body, as you have just told us: what does that lead to? 1.24.25

VSK: Yes, I can tell you that in a moment, that’s the toughest of all to hear. But I just wanted to finish talking about the elimination, they haven’t considered this at all because they haven’t done any analyses on the environmental impact of all of this – as I said, we’ve become GMOs, it is possible that modified cells are eliminated: think about the lipids, the RNA from the vaccine – We know that the lipids – the PEG at least – are being excreted. What happens to the sewage if so much is being eliminated? If so many lipids are in it? Does this cause a problem, or is it degraded? We just don’t know that. I don’t know, I’m not an expert in how it is degraded.

Dr. H: Exactly, and intentionally one has to say as a lawyer, in July 2020 EU legislation was changed: EU legislation on GMOs was declared inapplicable to the vaccines. That’s when this monstrosity began, from a legal perspective. We will be addressing this with a plea for annulment. This is opening up a horrendous abyss – unbelievable.

VF: This stuff, when it appears in the sewage works, and if it were not filtered out – If I drank this stuff from the laboratory: would that cause a problem? If I drink these lipids? Are there investigations on that, if it gets into the water supply, or I drink a little from a glass, what would happen?\ \ VSK: I can only say that if we excrete the PEGylated lipid and if it is not filtered out and one drank it, i.e., assuming it doesn’t get degraded naturally in some other way, it would continue to exist in the drinking water (and I don’t know that for certain), then you would have a problem if you had an allergy to it.

That would be the same as these anaphylactic shocks.

I could imagine that. It is absorbed via the stomach, but I don’t know exactly what happens then – whether there would be allergic reactions. It’s possible that it is completely degraded in the stomach by the enzymes that break down fat.

MT: I find it fascinating: we are talking about gene technology, there are people who have been warning for years and saying if I eat gene-manipulated corn or make bread out of it, then I could grow a second head, maybe 7 heads – I’m astonished that people aren’t looking at this more closely and that it’s the same people who are keeping their mouths shut. The same ones who before said this is so terrible, we can’t do that.

RF: If doctors don’t learn to think about what’s really happening, and just vaccinate away instead of listening to people like you, just blindly trusting and not asking any questions …

But just to go back a moment: If this spreads out in the body, to all the cells, then that’s a horrendous scenario if you say the result is that massive numbers of cells self destruct.

VSK: Yes, that’s a good introduction to that exact point, with all the consequences. Let’s talk about the preclinical study – about what happened to the rat (1.28.42).

In the preliminary experiment the rat was injected in the muscle with 30 micrograms of this same vaccine that is now being used. That is comparable, but three times rather than twice. At intervals of one week. And two days after the last injection, that would have been 17 days after the first, an autopsy was conducted, and the following was found. As mentioned, I don’t have any raw data, only descriptive written data. The rats had an immune response, raised lymph nodes, the spleen, cell numbers, that is all normal, increased production of lymphocytes, i.e. B and T cells in the bone marrow, production of neutralising antibodies, circulating white blood cells, cytokine release, that is all normal. But then other things followed:\ Their body temperature was 1 degree raised, that is also normal, a slight temperature, for rats too;\ but their body weight went down although they were having their normal feed … With rodents, if the body weight decreases, that is always a sign of massive stress. And then they did an autopsy. They document damage to the muscle. What they make public – swelling, oedema, reddening – is just the tip of the iceberg.\ I’ll dissect this in a moment for those who are unfamiliar with the specialist terminology: myofascial degeneration, scleropathy, encrustation accompanied by spread of this inflammation to adjacent tissue, subcutaneous inflammation, hyperplasia.\ So what does all that mean?\ Subcutaneous inflammation means the lowest layer of skin – the skin has three layers, and the bottom one is inflamed, that is the layer where the adipose cells, nerves and blood vessels are located. If these become inflamed then the adipose cells burst open, the fatty acids are released, and further accentuate the inflammation.

This results in scleropathy, i.e., the tissue hardens because increasing amounts of connective tissue are formed. This is ultimately like scar formation. The tissue is so heavily damaged …. If you cut your finger and it is superficial then the upper skin layer can regenerate, you don’t see anything afterwards. If you cut yourself too deeply and it goes through all three layers of skin then the organism can’t replicate its own structure. Then, because the cells need to be replaced, the wound has to be closed, connective tissue is formed, deposits, a scar develops. And this is the case with the muscle, it hardens due to the deposition of connective tissue. This is called fibrosis. The tissue basically loses its function at these locations, encrustations develop, this is the deposition of salts in necrotic tissue; necrotic tissue is tissue that is dying. The muscles there are dying. They talk about myofascial degeneration, this means death of the cells of the muscle fibres, which is simply replaced by connective tissue that is non-functional.

VF: Is that just local or at many locations?

VSK: At that location it’s only local, only in the muscle. You can see this entire process from the blood parameters that were measured: they noted for example a 72% increase in alpha-2-macroglobulin, this means the increase is part of the immune response due to inflammation, but you also get an increase in alpha-1-acylmycoprotein [trans: I think, was hard to hear], that is formed when there is a particularly strong injury in the tissues, caused by inflammation or infection, in this case from the vaccination, and an increase in fibrinogen…. That is a sign, when that is elevated in the blood, of inflammation of the blood vessels, it is basically responsible for blood coagulation. I have said that the blood vessels are in the bottom layer – the blood vessels are damaged, and this is probably why fibrinogen is formed, to reseal the blood vessels. I wonder, with the elderly in care homes, they are often on anti-clotting medication as a prophylaxis:: is it possible that their coagulation doesn’t work properly? – You need coagulation: maybe it doesn’t function correctly? Can this have consequences if the blood vessels are heavily damaged due to this vaccination?

RF: We will see all of that very quickly, I fear.

Dr. H: The side effects, i.e. the correlation with other medications, was not examined at all. This can expressly be seen from the appendices to the EU Implementation Decision for both vaccines. I find what you are now telling us absolutely criminal.

VSK: So that’s what happens locally, at the site of the muscle.\ We have heard that a great deal goes to the liver, and that is a bit more serious. This leads to hepatocellular periportal vacuolisation. (1.34.30). On the day of the autopsy, where they found it, and probably a lot earlier, because it gets into the liver relatively fast and then that takes place relatively quickly. So what does that mean? Hepatocellular means relating to the cells of the liver. Periportal means the liver cells near the portal vein. That is the place where the blood enters the liver. I.e., this damage will not be caused by anything else in the rat. If the rats drank alcohol, ok, then this damage would also occur, but it would be across the entire liver. But this is something which is entering via the blood flow, and only in the proximity of this vein, and there one particularly sees the damage. And they are so damaged that they are vacuolising: that is always an indication that the liver cells are dying. I’m loathe to use the word poisons, but the liver is trying to sequester away the substance that is damaging to it; it doesn’t manage, and the the cationic lipids are the perpetrator, BioNTech admits that themselves, that’s in the report, it’s the cationic lipids. The liver tries to eliminate these cationic lipids, to metabolise them, but doesn’t manage because there are too many of them. The volume is too great. So it tries to ferret them away in an area of the cell, and that is when vacuoles arise in the cell: water streams in, it’s simply an area where they no longer do any harm. But when these vacuoles arise then the function of the liver cell is massively disrupted, many of them die, they lose their function. They self-destruct, commit apoptosis. So that’s what happens in the liver.

RF: If this is found during the autopsy then it seems to me to be a clear indication that it has been caused by the vaccination. Or can there be other causes for it? You have just said that if you drink alcohol this occurs too, but not like that. What is found there seems to be a sure sign that it was the vaccine that led to the death.

VSK: Yes, one can also investigate what there exactly is in these vacuoles. One can look and see whether the cationic lipids are there. If you have a vacuole caused by alcohol, you have a fatty liver; the alcohol is made into fat, it is stored in fat. That’s this steatosis that one hears about.\ \ RF: I just wanted to ask – independently of the severe medical malpractice that was just described previously: you can find out what the cause is via an autopsy can’t you?

VSK: Yes, you can I’d say. And you can also see that the liver is severely damaged from the blood parameters, doctors should know this really. These are standard values: an elevation in GGT, an enzyme, can have various causes. It’s definitely an indication of liver damage from medications or poison, for example. It is an indication that the liver cells are dying, that is when increased GGT is secreted.

And then we have elevated AST. This is a metabolic enzyme that goes up in liver inflammation and cardiac damage. There’s elevated alkaline phosphotase – this is produced by the bones and liver, for example, and one or two other organs; an increase points to liver and bone injury. And then we have a decrease in the ratio of albumin to globulin. This ratio is always measured to see whether the volume of protein in blood is constant. If not, it is a sign of disease: too much protein is being eliminated. If a decline is noticed, this is a sign of severe liver damage, inflammation, a digestive disorder, etc. The rat is displaying a loss of protein.

To summarise, one can say that the liver is massively damaged, and the liver cells are dying.\ \ They did say that after the autopsy, three weeks later, the liver had regenerated. But the EMA didn’t discuss what the situation might be with people who have a liver disorder, who don’t have this regenerative capacity. What of those who have hepatitis or an alcoholic liver or whatever? Who had been living an unhealthy lifestyle? If something comes ontop of that, you can very quickly get organ failure. This shouldn’t be forgotten, it needs to be discussed, but it’s being completely swept under the carpet.

So why exactly is the liver being damaged? It’s because the liver is the organ that takes up the most lipoproteins. And why does it take up the most? Because one of its functions is to break down cholesterol; I’ve explained that the nanoparticles are bound to ApoE proteins. These make their way directly back to the liver where the cholesterol is broken down, and that’s why the liver comes into contact with a huge amount of this.

RF: I just have to reiterate: how can they be vaccinating against this backdrop?

1.40.44

VSK: That’s not the whole story. You get inflammation of the perineural tissue of the iscias nerve, the strongest nerve in the body. And then inflammation in the extracapsular tissue was found, I don’t know exactly what capsules they mean, they didn’t specify that, but I assume that’s the joint capsules. What about people with arthritis for example? And then this is particularly important, very dangerous: they found a moderate to strong reduction in red blood cells and reticulocytes in the bloodcount. That accounts for the hypoxia. They are massively damaged by the lipid nanoparticles. Why is that? Because it is exactly these red blood cells that are used as a cell model for oxidative stress, they are particularly sensitive to oxidative stress. Because they carry the haemoglobin. All cells that carry oxygen are always sensitive to oxidative stress. And when the LNPs get into them and cause this massive oxidative stress, they die very quickly. So the rats would have to be suffering from hypoxia or at least they found that they had less haemoglobin because obviously that is gone when the cell is gone, and lower haematocrit. These are very clear signs of hypoxia, and I have to say this needs to be looked at very critically, because what about people with cardiac disorders for example. A cardiac muscle, for instance, if it is undersupplied with oxygen, this can very quickly turn into a heart attack. And as far as I know there is someone who had a heart attack after vaccination. I’m not saying that person died of it, but one should at least look into it.

RF: You don’t need to say that, we don’t either, because based on what you have already described earlier – they’re using triple the volume they need to for example – we will find various forms of serious medical malpractice. The doctor is responsible and will have to prove that this did not happen due to the vaccine and that he/she is not guilty, or at least negligent in what he/she has done. They’re not going to get away with it.

Dr. H: Exactly. Coming back to the lung – to this problem of oxygen supply. We have heard that in various institutions people are showing signs of serious debilitation after vaccination [description of the situation in old people’s homes as an example]. They become ever weaker, don’t want to eat or drink. In one case after another week the person was dead, others after 14 days … They didn’t recover. Is it the case that if you are fitter, you can cope with this better? Are older people at a disadvantage? Although these weren’t palliative cases – they were old, but fit.

VSK: People who are older are always weaker and have degree of inflammation. Because the cells produce more oxidative stress and that is because older people particularly in care homes are not very well nourished. They lack a lot of nutrients: vitamin D, E, C, glutathione – one knows that older people have fewer antioxidants and a lower nutritional status – they are more susceptible for these phenotypes. Younger people have a greater regenerative capacity. The damage is exactly the same, but they can regenerate better unless they have a preexisting condition – cancer, diabetes or the like.

VF: If the organism is not impaired by underlying conditions, would it be able to regenerate? With the mice or rats, the damage disappears after 3 weeks: does some small damage remain in the liver, or does it regenerate completely?

VSK: Yes, it regenerates completely. The liver is fairly robust.

RF Ok, but those who do have underlying conditions have a problem. [Left out – mentions that doctors have been vaccinated, and nurses, and had adverse reactions] If people have preexisting conditions, then there is the worry that they may well be pushed right over if they get this GMO intervention. Most of the stories we have heard are from care homes [further details along these lines] Now that you have explained it, I understand why, it makes sense.

Then there’s the next phase. What about this famous “cytokine storm”? If the vaccinee encounters the wild virus 6 months or a year later … What can happen then?\ \ VSK: You probably mean the ADE – antibody-dependent enhancement.

VF: Have you finished talking about the adverse effects, or is there something else?\ \ VSK: Almost.

RF: The horror story needs to be complete.

VSK: I am extremely critical of the EMA Committee: there is no discussion at all about the consequences that can arise from side effects. They just nodded it all through. They just said ok, that’s how it is … Perhaps they did say something, but it hasn’t been noted down in writing. I also find it very poor that they didn’t investigate any of these things that they found were not investigated in human beings in the clinical study. Blood samples were taken in the studies, so why not? It would be easy enough to measure all these blood parameters such as erythrocytes, all the enzymes, all the other substances. One can do biopsies of muscles – none of this was done. Either it wasn’t done because they were afraid of what would come out and would have to explain it, or they did it and are keeping silent about it. They knew of all the observations on the rats … and we have no data at all on how this is with human beings. They could have generated that. We have a right to know.

RF: Absolutely. That is the reason why Dr. Peter Doshi says he wants to see the raw data. It will come out one way or another.

VSK: The one thing they did do was measure the lymphocyte level, and found that subjects suffer from lymphopenia within 1 – 3 days, i.e., a fall in the number of lymphocytes, but there are varying opinions on that in publications. There are one or two publications that say lymphopenia can occur after a vaccination, they do show it – but they don’t know why it happens. One publication thinks the lymphocytes simply transmigrate from the blood into tissue and that there are fewer in the blood. But that is not proven, it is just as likely that that cationic lipids attack the lymphocytes in the blood. No investigations were conducted to show why this lymphopenia occurs in human beings. That’s the only parameter that they looked at.

VF: Was this the case with the rat too?

VSK: Yes

VF: And that was related to the liver issues?

VSK: No, that is independent of the liver.

VF: Simply the same phenomenon. Ok.

VSK: That was only thing they looked at in human beings in the Clinical Study No 1.

VF: I understand. It was found in the rats, too.

Dr. H: A question about the deaths. In Italy we have had a lot of reports, not via the mainsteam media of course. A doctor, in one case a pharmacist. In that case her organs were removed and donated. What are the implications of that? I have this information from Dr. Gatti, two days ago. The message shocked us. They removed the organs and transplanted them into patients. What does that mean if that woman had really died as a consequence of the vaccine?

VSK: That’s a good question.

Dr. H: We have several criminal cases one after the other here. Not just getting rid of evidence, but also possibly inducing further disease in people who are already suffering from severe underlying conditions. This vaccine is transgressing boundaries in all directions. It’s incredible what’s happening. We have a case of a young doctor, this was on social media: he was vaccinated, boasted of having received the vaccine, and then a few days later he collapsed and died while playing tennis. That would seem to be linked to what you have told us here. We don’t just have these individual cases, cases are building all over the world of suspected serious side effects [some further discussion of this follows].

MT: [Asks about the chain of evidence when this happens …] We’re talking about the law as it relates to evidence, and reversal of the burden of proof. Someone comes around the corner and says I require causal contiguity. If one performed an autopsy, would one be able to delineate the cause and say that based on the autopsy, the vaccine was causative? I’m asking this because then you wouldn’t be able to say we’ll just transplant their organs, or quickly cremate the corpse. If the doctor (or whoever) bears the burden of proof, but the evidence is gone, there isn’t anything with which he/she can be exonerated. So my question: is it possible to narrow down the cause of death using liver/blood count etc.?\ \ 1.54.51

VSK: [Explains that a specialist for autopsies would need to answer this …. Further discussion]

RF: ….. [Further discussion] Professor Cahill in Ireland said to us recently that immediately someone has died after a vaccine – either right away or within a certain period of time – an autopsy should be performed. She was of the opinion that it would be possible to prove it with a probability bordering on certainty. Perhaps not from one particular organ, but when looking at the overall picture.

WW: We have a law in Germany that before the evidence is destroyed, i.e., cremation, an inquest has to be performed by a public medical officer, the death certificate is inspected, the cause of death scrutinised. If the fact that a vaccination has taken place is not known, and the corpse is simply cremated, one has to pose the question of liability: has the public medical officer destroyed evidence? Due diligence is required, the question relating to the documentation of the vaccine needs to be asked, it needs to be part of the framework if someone dies. It is the Paul Ehrlich Institute that permitted this telescoped study: if this has not been considered, we should demand it.

Dr H: Professor Wodarg, I assume that this would not just be reserved to Germany, it should be the case everywhere where this vaccine is being used. [Further discussion]

WW: […..] You can’t simply cremate the body – too much that can be overlooked.

RF: In contrast to previous adverse effects from vaccines, this is a completely new technique […] One would need to start detecting certain patterns that occurred again and again.

WW: I would absolutely insist on gaining insight into the files at the Paul Ehrlich Institute. One would need to take a very careful look at the observation plan of theirs (2.00.50)\ The Paul Ehrlich Institute is 100% responsible.

Dr. H.: It should not be permitted to give away organs for transplantation in cases like this. An observation study of the kind you are talking about would have to be conducted.

WW: You would have to define exactly what investigations should take place if someone dies after a vaccination – this destruction of the evidence has to stop. Find out whether someone has been vaccinated shortly before they died, and if so, forbid cremation. The public medical officers would need to be informed of this. To protect those who have been vaccinated, and those who will be.\ …

**[Further talk about the ADE issue. Because we know about this, I have left it out for now. Can do this another time.] **

Discussion on why so many PCR tests are turning out positive after vaccination:\ The RNA is codon optimised – Normally three nucleotides code for one amino acid. They exchanged the third in the triplet, this increases the speed at which the protein is expressed. Unlikely that what is in the mRNA can correlate with what the PCR test is looking for; Dr. VSK says it is possible that the sequence may fit in the odd case, but that is very hypothetical.\ Prof. Wodarg asks whether it would be possible to do the PCR test on the vaccine, to exclude this possibility. Dr. VSK says yes that would be absolutely possible.\ \ Discussion about the reproduction toxicity test.

VSK: […] A Development and Reproductive Toxicology test (DART) was conducted. They examined female rats twice before pairing, and then twice while they were pregnant and vaccinated. Looked to see if this had consequences for their progency. [Various different details given, I can go into this later if wished. Sounds like it’s all in the report.] There were indeed various anomalies found relating to implantation of the eggs, for example. They said it all fell within the range of historical control data. They only examined 21 foetuses, Dr. VSK says she thinks this is too low a number, they found a slight incidence of gastroparesis (abnormality of the proximal stomach wall), malformation of the jaw, right-sided arch of the aorta and cervical vertebrae anomalies. But again BN said all were within control data. She says they should have done more studies and for longer to see if this slight upwards incidence was continued or not. Only 21 animals.\ \ Prof. WW asks about the Syncytin issue. Antibodies against Syncytin can prevent the formation of the placenta. That would lead to infertility. They did not investigate the Syncytin issue, Dr. VSK says. WW says this phenomenon is not reserved to human beings – that could have been done in an animal study.

Long-term studies and studies on possible autoimmune conditions2 were not conducted.

Didn’t investigate whether the vaccine can be transferred to the foetus.

VSK: This mechanism crosses the blood-brain barrier due to the ApoE -mediated transport. So the LNPs can cause damage in the brain. 6.11.37 Damage the astrocytes. Extreme oxidative stress. Can lead to inflammation, swelling. Can have an impact on nerves. Facial palsy (Bell’s palsy) – either the nerve is inflamed or the adjacent tissue, the swelling presses against the bone that the nerve passes through, and this impairs the nerve.

VF: Damage to areas of the brain could result in the twitches and tremors that one sees, MS-type conditions\ \ WW: And injuries happening to the spinal cord – the cerebrospinal fluid … spinal nerves

VSK: Yes, one would have to prove that these lipids had got there. As soon as they are there – and this is in the publication in black and white – the cascade begins: oxidative stress, damage, apoptosis.

RF: How long does one need to hold one’s breath when one has been vaccinated. A lifetime, or does there come a time when you can relax again?

VSK: It depends on which damage you are observing. The lipids are there for 4 – 5 months. Damage can arise for as long as the lipids are there.

WW: The planning of the pharmaceutical industry is to make us into a bioreactor where we create the antibodies ourselves. It’s a great business plan for them. If they’ve managed to do it once, they’ll do it for all the vaccines they can in future. But can these vaccines clash in us? One, and then quite soon after that the next – the interactions haven’t been checked, couldn’t be yet.

RF: Without a real clinical study one can’t really say whether the RNA in one vaccine could interact with another …

WW: Impossible to have research studies on this yet.

VSK: No genotoxicity studies done yet. They say they don’t need to because “no genotoxic potential is to be expected”. But it has been known for 20 years that cationic lipids are highly toxic. What universe do they live in!

[Further discussion on the fact that it’s never one virus alone anyway – what’s happened to the differential diagnosis. What has happened to our medical councils? How can they allow this? What kind of training do our doctors have that they are going along with this? Modifying something with a vaccine, the mRNA leading to antigen expression will have an effect on an environment where we have many viruses, not just one. This is such a narrow-minded approach. Italy had been given influenza vaccinations: this changes the biotope, people who have had these vaccinations will likely react differently to an mRNA vaccine of this kind compared to those who haven’t.]

Dans la Recherche Actuelle, l’ARN Occupe une Place Centrale.

Note: On étudie notamment depuis une dizaine d’années une fonction primordiale de l’ARN humain extra-cellulaire dans le lait maternel, où l’on en a identifé actuellement 1.400 différents, qui pourraient jouer un rôle de messager mère-enfant dans le ciblage de la synthèse des protéines chez l’enfant et la programmation de sa réponse immunitaire, aider la croissance des prématurés, voire lutter contre les cancers infantiles. Pour faire un lien avec l’actualité, rappelons que notre vieille amie « Bill Gates » finance l’étude et la production d’une nouvelle arme anti-humaine, le lait maternel artificiel. Du lait de laboratoire pour les petits et de la merde pour les grands. Merci qui?

Source. Traduit in extenso par moi le 29 mars 2021.

Traduction

Dans la Recherche Actuelle, l’ARN Occupe une Place Centrale

Evolution News @DiscoveryCSC

30 juin 2020 à 08h49

Voici un aperçu des nouvelles découvertes importantes sur l’ARN (acide ribonucléique). L’ARN diffère sur un point de l’ADN – le sucre ribose (avec un groupe OH à l’emplacement carbone-2) au lieu du désoxyribose (avec juste H à cet endroit). Cela crée une grande différence dans les traits structurels et fonctionnels de l’ARN. Contrairement à l’ADN, l’ARN est moins durable et souvent monocaténaire. Il s’associe également à l’adénine (A) avec l’uracile (U) au lieu de la thymine (T), qui a un groupe méthyle en position carbone-5 au lieu de l’hydrogène de l’uracile.

Ces différences, bien que légères, rendent chaque acide nucléique parfaitement adapté à ses rôles respectifs dans la cellule. Longtemps considéré comme un simple modèle pour la transcription et la traduction de l’ADN, désignés comme ARN messager (mARN) et ARN de transfert (tARN), l’ARN avec sa durée de vie plus transitoire remplit de nombreuses autres fonctions qui ont été mises en lumière au XXIème siècle. De nouveaux termes sont ajoutés au vocabulaire de l’épigénétique: parmi eux, l’ARN long non-codant (lncRNA), le micro-ARN (miARN), l’ARN alimentaire et l’ARN extracellulaire (exARN).

Des milliers de modèles

L’ARN peut se replier de manière complexe. Les chercheurs de la Ruhr-Universität Bochum recherchent des structures d’ARN inconnues parmi les milliers de molécules d’ARN présentes dans les cellules, espérant que de nombreux ARN repliés s’avéreront fonctionnels, tout comme les protéines. Les scientifiques utilisent une nouvelle technique appelée séquence de tête [lead sequencing] pour identifier les structures d’ARN: «Pas de structure – pas de fonction».

Dans toutes les cellules vivantes, les informations génétiques sont stockées dans de l’ADN double brin et transcrites en ARN simple brin, qui sert ensuite de modèle pour les protéines. Cependant, l’ARN n’est pas seulement une copie linéaire de l’information génétique, mais se replie souvent en structures complexes. La combinaison de régions simple brin et double brin partiellement repliées est d’une importance capitale pour la fonction et la stabilité des ARN. «Si nous voulons apprendre quelque chose sur les ARN, nous devons également comprendre leur structure», déclare Franz Narberhaus. [Je souligne.]

Une de ces fonctions dont ils font mention: l’ARN comme thermomètre! Certains ARN changeront leur structure en fonction de la température. Un exemple fourni dans le communiqué de presse concerne le pathogène de la diarrhée Yersinia pseudotuberculosis. Un thermomètre à ARN permet au parasite de détecter s’il se trouve à l’intérieur de l’hôte – une fonction utile pour le germe, mais pas pour sa victime. «En utilisant le séquençage de tête, l’équipe a non seulement identifié des thermomètres à ARN déjà connus, mais en également découvert plusieurs nouveaux.» Espérons que certains exemples plus salutaires de cette capacité seront identifiés dans leurs travaux.

De l’ARN pour la surveillance des vaisseaux

Les micro-ARN ont été impliqués en tant que protecteurs de l’intégrité vasculaire, déclare l’Université Ludwig-Maximilian de Munich. Ils ont découvert «une fonction moléculaire inconnue jusqu’à présent d’un microARN spécifique qui préserve l’intégrité de l’endothélium et réduit le risque d’athérosclérose». Un micro-ARN (miARN) en particulier change le paradigme de l’ARN; il ne sort pas du noyau; il rentre, portant un message.

Les molécules d’ARN courtes appelées microARN (miARN) jouent un rôle essentiel dans la régulation de l’expression génique. Des anomalies dans l’expression et la fonction des miARN ont été impliquées dans des processus pathologiques, tels que le développement de maladies chroniques comme l’athérosclérose. Les fonctions de régulation des miARN ont généralement lieu dans le cytoplasme, où ils interagissent avec les transcrits d’ARN cibles pour inhiber leur traduction en protéine ou favoriser leur désintégration. Cependant, le groupe du professeur Christian Weber de l’Institut de Prévention Cardiovasculaire (IPEK) du LMU Medical Center a maintenant décrit un mode d’action exceptionnellement différent. En enquêtant sur un miARN nommé miR-126-5p, l’équipe de Weber démontre que cette molécule peut être transférée de manière inattendue dans le noyau cellulaire et, en interagissant simplement avec elle, supprime l’activité d’une enzyme, appelée caspase-3, qui est responsable de la mort de la cellule par mort cellulaire programmée. De cette manière, la molécule protège l’intégrité vasculaire et réduit l’étendue des lésions athéroscléreuses.

Les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins sont souvent soumises à une contrainte de cisaillement. Habituellement, les signaux de stress déclencheraient la mort cellulaire programmée (apoptose). Ce micro-ARN pénètre dans le noyau et arrête l’une des protéines exécutrices nommée caspase-3, en disant, en substance, «Tout va bien; laissez la cellule vivre. » Cette fonction jusqu’ici inconnue de miR-126-5p «représente un nouveau principe de régulation biologique qui sert à compléter des mécanismes précédemment bien décrits», a déclaré Weber.

ARN sans frontières

Il existe des «médecins sans frontières» qui voyagent loin de leur pays pour aider les patients des zones défavorisées du monde entier. Il existe également des «ARN sans frontières» qui quittent leurs cellules d’origine pour apporter une aide aux tissus autour du corps. Ce nouveau concept d ‘«ARN extracellulaire» (exRNA) est si fascinant que Nature a consacré un numéro spécial à ce sujet. Herb Brody écrit,

La molécule la plus connue pour son rôle dans la traduction du code génétique en instructions d’assemblage de protéines trouve un nouveau rôle en médecine. On sait maintenant que l’ARN, autrefois considéré comme n’existant que dans les cellules, se propage dans les tissus de tout le corps par le sang, sous la protection de minuscules sacs lipidiques appelés vésicules extracellulaires. L’étude de cet ARN extracellulaire (exRNA) a conduit à une révolution tranquille en biologie, alors que les scientifiques s’efforcent de comprendre pourquoi les cellules libèrent de l’ARN et comment les molécules pourraient être utilisées pour améliorer la détection et le traitement des maladies.

Dans un exemple, l’ARN a été découvert il y a dix ans dans le lait maternel. Tien Nguyen dit dans Nature, «les scientifiques essaient toujours de comprendre pourquoi ils sont là et comment ils affectent la santé.» Le micro-ARN (miARN), «jadis considéré comme débris génétique», fait ses preuves à bien des égards. «En se fixant aux brins correspondants de l’ARN messager, qui est impliqué dans la synthèse des protéines, le miARN peut activer et désactiver efficacement l’ARNm et modifier les protéines produites», ajoute Nguyen. Dans le cas du lait maternel, un chercheur a commencé à se poser les bonnes questions:

Bo Lönnerdal, biochimiste à l’Université de Californie à Davis, a passé des décennies à étudier les composants bioactifs du lait maternel. Lorsque Lönnerdal a appris que des chercheurs avaient trouvé des miARN dans le lait maternel, il se souvient s’être demandé ce qu’y faisaient ces molécules. Il doit y avoir une raison pour laquelle ces fragments d’ARN apparemment aléatoires sont présents dans le lait, se souvient-il.

Il se demandait si les miARN fournissaient de la nutrition ou régulaient une autre substance. C’est un processus fastidieux à résoudre – 1.400 miARN ont été identifiés dans le lait maternel – mais jusqu’à présent, il semble que ces paquets de code régulent les gènes chez le bébé, peut-être en réglant les réponses immunitaires ou en accélérant les taux de développement des bébés prématurés. Certains miARN pourraient même protéger contre le cancer du nourrisson. Il s’agit d’un domaine de pointe que les scientifiques du monde entier explorent. Comprendre les rôles du miARN dans le lait maternel pourrait améliorer les soins au bébé.

Pas seulement pour les bébés

Les adultes ont également intérêt à comprendre l’exARN. Dans un autre article du numéro spécial de Nature, Kenneth Witwer déclare que «l’ARN alimentaire est mûr pour une enquête», car «l’ARN dans les aliments pourrait avoir des effets profonds sur le système digestif humain et sur la santé en général.» Kristina Campbell explore le ferment résultant des premières recherches sur l’exARN. Dans son article dans Nature, elle demande: «Les microARN que nous consommons affectent-ils l’expression des gènes?» En d’autres termes, le matériel génétique de la nourriture que nous mangeons peut-il nous être transféré? Il est trop tôt pour dire quel rôle joue l’ARN alimentaire, mais il est saisissant de penser que la nourriture pourrait faire plus que fournir des nutriments; elle pourrait également ajouter des informations génétiques sur la façon d’utiliser ces nutriments!

Parce que l’ARN extracellulaire est maintenant connu pour voyager dans tout le corps, les futures méthodes pourraient être en mesure de les utiliser pour diagnostiquer la maladie. Dans son article dans Nature, Elie Golgin examine les perspectives d’utilisation des exARN comme marqueurs du cancer, des maladies cardiaques et d’autres conditions.

Les tissus du corps communiquent régulièrement entre eux par le biais de messages d’ARN envoyés dans les deux sens entre les cellules. Ainsi, il semblait évident aux scientifiques qu’en écoutant ces communiqués extracellulaires transportés dans le sang, la salive, l’urine et d’autres fluides, ils devraient être en mesure d’intercepter les dépêches indiquant la santé et la maladie.

Le reste de l’article décrit la complexité de cet espoir naïf. Néanmoins, « Il y a une croissance énorme dans le domaine », dit Golgin, et « cela incite désormais les entreprises à commercialiser un certain nombre de ces approches. » Elizabeth Svoboda disserte sur certains des travaux en cours dans son article dans Nature, «Tour d’horizon de la recherche: ARN extracellulaire». C’est clairement un domaine très actif. Les chercheurs pourraient trouver de nouvelles voies pour le traitement des maladies cardiaques, des troubles neurodégénératifs, du cancer, de la régénération rénale et même des troubles anxieux comme le SSPT. Des essais cliniques sont prévus. Bientôt, une toute nouvelle batterie de thérapies pourrait s’ajouter à la boîte à outils du médecin, toutes basées sur les messages séquencés dans l’ARN.

La vie est basée sur des messages

Même les plantes utilisent l’ARN comme messager, rapporte Roxanne Khamsi dans son article dans Nature sur les vésicules contenant de l’ARN dans les plantes. Si les scientifiques trouvent des moyens de contrôler les exosomes avec leurs paquets d’informations génétiques intégrés, cela pourrait conduire les agriculteurs à utiliser des pulvérisations de cultures contenant de l’ARN. Et si les plantes et les êtres humains utilisent l’ARN dans de nombreux rôles fonctionnels, il devient clair que tous les organismes de la planète dépendent de ces molécules génétiques à de nombreuses fins.

Une nouvelle fenêtre sur la conception intelligente s’ouvre en grand. Cette révolution dans la recherche sur l’ARN pourrait être comparable aux révolutions précédentes qui ont découvert les rôles fonctionnels de l’ADN et des protéines. Il convient de noter que les mentions d’évolution étaient inexistantes dans tous ces articles sauf un, et que l’une d’entre elles relevait de la spéculation pure:

[Janos] Zempleni dit que «les miARN et les exosomes sont bien plus biodisponibles dans le lait que dans les plantes». Il spécule que cela pourrait avoir des fondements évolutifs: «La nature pourrait les avoir rendus biodisponibles pour la nutrition infantile», dit-il.

Ce n’est même pas une déclaration darwinienne. Zempleni vient de qualifier la «nature» de déesse prévoyante, installant des miARN dans un but précis. Dans le même article, la seule autre mention de l’évolution venait de Kenneth Witwer de la Johns Hopkins School of Medicine, qui spéculait sur la non-évolution:

Il se souvient avoir pensé: «C’est peut-être une manière conservée dans l’évolution qui nous permet d’extraire de notre nourriture plus que la simple nutrition.»

Les évolutionnistes ont déjà échoué dans ce domaine en plein essor en reléguant les ARN qu’ils ne comprenaient pas dans la poubelle des «déchets génétiques». Et depuis, après toutes ces années de découvertes, tout ce qu’ils peuvent faire est de spéculer sur ce qui «pourrait avoir des fondements évolutifs». C’est le moment idéal pour les défenseurs du design [NdT. Intelligent design] de lire les messages dans l’ARN et de découvrir ce qu’ils disent.


Texte original

In New Research, RNA Takes Center Stage

Evolution News @DiscoveryCSC

June 30, 2020, 8:49 AM

Here is a survey of important new discoveries about RNA (ribonucleic acid). RNA differs from DNA by one little change — the sugar ribose (with an OH group at the carbon-2) instead of deoxyribose (with just H there). This makes a big difference in the structural and functional traits of RNA. Unlike DNA, RNA is less durable, and often single-stranded. It also pairs to adenine (A) with uracil (U) instead of thymine (T), which has a methyl group at the carbon-5 position instead of uracil’s hydrogen. 

These differences, though slight, make each nucleic acid perfectly suited for its respective roles in the cell. Long thought to be a mere template for transcription and translation of DNA with the names messenger RNA (mRNA) and transfer RNA (tRNA), RNA with its more transient lifetime serves many other functions that have been coming to light in the 21st century. New terms are being added to the vocabulary of epigenetics: among them, long noncoding RNA (lncRNA), micro-RNA (miRNA), dietary RNA, and extracellular RNA (exRNA).

Thousands of Designs

RNA can fold in complex ways. Researchers at Ruhr-Universität Bochum are looking for unknown RNA structures among the thousands of RNA molecules in cells, expecting that many of the folded RNAs will prove functional, just like proteins are. The scientists are using a new technique called lead sequencing to identify RNA structures: “No structure — no function.”

In all living cells, genetic information is stored in double-stranded DNA and transcribed into single-stranded RNA, which then serves as a blueprint for proteins. However, RNA is not only a linear copy of the genetic information, but often folds into complex structures. The combination of single-stranded and partially folded double-stranded regions is of central importance for the function and stability of RNAs. “If we want to learn something about RNAs, we must also understand their structure,” says Franz Narberhaus. [Emphasis added.]

One such function that they mention: RNA as a thermometer! Some RNAs will change their structure depending on the temperature. One example provided in the press release involves the diarrhea pathogen Yersinia pseudotuberculosis. An RNA thermometer allows the parasite to detect whether it is inside the host — a useful function for the germ, but not its victim. “Using lead sequencing, the team not only identified already known RNA thermometers, but also discovered several new ones.” Hopefully some more salutary instances of this capability will be identified in their work.

RNA for Pipeline Monitoring

Micro-RNAs have been implicated as protectors of vascular integrity, says Ludwig-Maximilian University of Munich. They found “a hitherto unknown molecular function of a specific microRNA that preserves integrity of the endothelium and reduces the risk of atherosclerosis.” One micro-RNA (miRNA) in particular shifts the RNA paradigm; it doesn’t go out of the nucleus; it goes back in, bearing a message.

Short RNA molecules known as microRNAs (miRNAs) play a vital role in the regulation of gene expression. Anomalies in miRNAs expression and function have been implicated in pathological processes, such as the development of chronic diseases like atherosclerosis. The regulatory functions of miRNAs usually take place in the cytoplasm, where they interact with target RNA transcripts to inhibit their translation into protein or promote their decay. However, Professor Christian Weber’s group in the Institute for Cardiovascular Prevention (IPEK) at the LMU Medical Center has now described an exceptionally different mode of action. By investigating a miRNA named miR-126-5p, Weber’s team demonstrates that this molecule can unexpectedly be transferred into the cell nucleus and, by simply interacting with it, suppresses the activity of an enzyme, named caspase-3, which is responsible for killing the cell by programmed cell death. In this way, the molecule protects vascular integrity and reduces the extent of atherosclerotic lesions.

Cells lining the blood vessels often are subject to shear stress. Ordinarily, stress signals would initiate programmed cell death (apoptosis). This micro-RNA enters the nucleus and stops one of the executioner proteins named caspase-3, saying, in essence, “It’s OK; let the cell live.” This hitherto unknown function of miR-126-5p “represents a new principle of biological regulation that serves to complement previously well described mechanisms,” Weber said.

RNAs without Borders

There are “doctors without borders” who travel far from their countries to help patients in deprived areas around the globe. There are also “RNAs without borders” that leave their home cells to bring aid to tissues around the body. So fascinating is this new concept of “extracellular RNA” (exRNA), Nature devoted a special issue to the subject. Herb Brody writes,

The molecule best known for its part in translating genetic code into protein-assembly instructions is finding a new role in medicine. RNA, once thought to exist only in cells, is now known to travel to tissues all over the body through the blood, under the protection of tiny lipid sacs known as extracellular vesicles. The study of this extracellular RNA (exRNA) has led to a quiet revolution in biology, as scientists endeavour to understand why cells release RNA, and how the molecules might be used to improve the detection and treatment of disease.

In one example, RNA was discovered ten years ago in mother’s milk. Tien Nguyen says in Nature, “scientists are still trying to work out why they are there and how they affect health.” Micro-RNA (miRNA), “Once overlooked as genetic junk,” is proving its worth in many ways. “By attaching to matching strands of messenger RNA, which is involved in protein synthesis, miRNA can effectively turn mRNA off and on, and alter what proteins are made,” Nguyen adds. In the case of mother’s milk, one researcher started asking the right questions:

Bo Lönnerdal, a biochemist at the University of California, Davis, has spent decades studying the bioactive components of breast milk. When Lönnerdal learnt that researchers had found miRNAs in breast milk, he remembers wondering what the molecules were doing there. There must be a reason why these seemingly random bits of RNA are present in milk, he recalls thinking.

He wondered if the miRNAs provided nutrition, or were regulating some other substance. It’s a tedious process to solve — 1,400 miRNA’s have been identified in breast milk — but so far, it appears that these packages of code do regulate genes within the baby, perhaps tuning immune responses or speeding up rates of development for pre-term babies. Some miRNA might even be protecting against infant cancer. This is a cutting-edge field that scientists around the world are pursuing. Understanding the roles of miRNA in breast milk might lead to improved baby care.

Not Just for Babies

Adults also stand to benefit from understanding exRNA. In another article in the Nature special issue, Kenneth Witwer declares that “Dietary RNA is ripe for investigation,” because “RNA in food could have profound effects on the human digestive system and on health more generally.” Kristina Campbell explores the ferment arising from initial investigations of exRNA. In her Nature article, she asks, “Do the microRNAs we eat affect gene expression?” In other words, can genetic material be transferred to us from the food we eat? It’s too early to tell what roles dietary RNA play, but what a concept to think that food might be doing more than providing nutrients; it might also be adding genetic information about how to use those nutrients!

Because extracellular RNA is now known to travel throughout the body, future methods might be able to use them to diagnose disease. In his Nature article, Elie Golgin surveys the prospects for using exRNAs as markers for cancer, heart disease and other conditions. 

The body’s tissues routinely communicate with each other through RNA messages sent back and forth between cells. So, it seemed obvious to scientists that, by eavesdropping on these extracellular communiqués carried in blood, saliva, urine and other fluids, they should be able to intercept dispatches indicative of health and disease.

The rest of the article describes how complicated that naïve hope is turning out to be. Nevertheless, “There’s tremendous growth in the field,” Golgin says, and “It’s driving companies now to commercialize a number of these approaches.” Elizabeth Svoboda elaborates on some of the work being done in her Nature article, “Research round-up: extracellular RNA.” This is clearly a very active field. Researchers may find new avenues for treatment of heart disease, neurodegenerative disorders, cancer, kidney regeneration, and even anxiety conditions like PTSD. Clinical trials are coming. Soon, an entirely new suite of therapies may add to the doctor’s toolkit, all based on the sequenced messages in RNA.

Life Is Message-Based

Even plants use RNA for messaging, reports Roxanne Khamsi in her Nature piece about RNA-containing vesicles in plants. If scientists can find ways to control the exosomes with their embedded genetic information packets, this might lead to farmers using crop sprays that contain RNA. And if plants and human beings are using RNA in many functional roles, it’s becoming clear that all organisms on the planet rely on these genetic molecules for many purposes. 

A new window on intelligent design is opening wide. This revolution in RNA research might be comparable to previous revolutions that uncovered the functional roles of DNA and proteins. It’s noteworthy that mentions of evolution were non-existent in all these articles except one, and that one amounted to raw speculation:

[Janos] Zempleni says that “miRNAs and exosomes are way more bioavailable in milk than in plants”. He speculates that this might have evolutionary underpinnings: “Nature may have made them to be bioavailable because of infant nutrition,” he says. 

That’s not even a Darwinian statement. Zempleni has just treated “nature” as a goddess with foresight, installing miRNAs for a purpose. In the same article, the only other mention of evolution was by Kenneth Witwer of Johns Hopkins School of Medicine, who speculated about non-evolution:

He remembers thinking, “maybe this is some evolutionarily conserved way that we can extract something else from our food other than just nutrition.”

Evolutionists have already failed this burgeoning field by relegating RNAs they didn’t understand to the “genetic junk” bin. And ever since, after all these years of discovery, all they can do is speculate about what “might have evolutionary underpinnings.” This is a great time for design advocates to read the messages in RNA and find out what they are saying.