Victoire de Trump/Vance – par Miles Mathis.

Navré d’avoir négligé aussi longtemps mes lecteurs francophones mais j’ai été récemment très occupé, notamment à (re)faire l’éducation de leurs homologues d’outre-Atlantique, que j’ai aussi un peu négligés ces derniers temps. J’expliquerai tout ça sur mon Substack dans mon prochain article, que je traduirai ici avec mes publications précédentes – que rien, si ce n’est la langue, ne vous empêche de lire en attendant. Une chose à la fois.

Au fait, c’est à ma plus fidèle lectrice, qui se double également de mon directeur de publication, que vous devez mon retour sur ce blog. Elle m’a demandé ce que Miles Mathis, dont vous avez lu ici de nombreux articles traduits par mes soins, avait à dire de l’élection de Trump. Comme je me méfie des résumés (surtout des miens), je traduis ci-dessous son article en entier. Rappelons que Miles représente, comme il vous le dira lui-même, un point de vue progressiste/libéral sur la politique, les événements et les opérations (du Renseignement) de son pays. Comme d’habitude, c’est très bien écrit et très convaincant. C’est donc passionnant à lire et ça fourmille d’idées. Malheureusement, il y manque l’essentiel. Comme toujours, il prétend aller au fond du problème, mais il ne va au fond que d’un de ses aspects – la gouvernance – et semble oublier que gouverner est un jeu à deux. Il faudrait donc dépasser la question politique et se demander où on en est question civilisation, et surtout où ça nous mène.

Source.


Traduction

Victoire de Trump/Vance!

par Miles Mathis

Première publication le 6 novembre 2024

Beaucoup me demandent de commenter la victoire de Trump, en tablant sur le fait que je dirai ce que personne ne dit. Ouaip, pour ça, comptez sur moi.

Avant de m’intéresser à des points spécifiques, je vous rappelle le contexte général. On va commencer par sonder les eaux profondes pour remonter jusqu’à la rive. Certains pensent que la taille de ces élections les rendaient impossibles à truquer et donc que Trump a gagné malgré les bidouillages. Pas du tout. Aucune élection n’est, ou n’a jamais été, impossible à truquer. Des élections encore plus énormes ont été truquées par le passé. Celle-ci n’est que le papier peint qui orne le décor final de la pièce de théatre, et grâce à l’informatique, il est facile de la retapisser en un clin d’oeil, pour accommoder toute réécriture de dernière minute. Puisque Harris n’a jamais bénéficé du moindre soutien populaire réel, ça aurait certes demandé un truquage des chiffres gigantesque, mais pas du tout impossible. Les ordinateurs peuvent faire basculer les résultats de 40 points aussi facilement que de deux. Pour eux, ça ne fait aucune différence. Donc s’ils avaient voulu faire gagner Harris, ça ne posait aucun problème.

Mais ce n’est pas ce qu’ils avaient prévu. Ce n’était pas ça leur projet. Leur projet – comme je vous le répète depuis des années – était de couler volontairement le parti Démocrate, afin de recréer une parité entre les deux partis et de pousser ensuite le pays vers la droite. Dans notre système préfabriqué de bipartisme, les dirigeants ont besoin d’une quasi-parité entre les partis pour donner aux électeurs un sentiment de puissance. Le système en entier n’est qu’une mascarade, les dirigeants se moquant éperdument de ce que pensent les citoyens. Les élections, les sondages et tout ce genre de choses font partie d’une façade censée faire penser le contraire. Ils ne peuvent donc pas laisser mourir ou dépérir un des partis. Quand ça arrive, ils interviennent pour recréer à tout prix une apparence de parité. C’est ce qui se passe depuis quelques décennies et plus spécialement depuis quatre ans. On a chargé les Démocrates de défendre le pire programme imaginable tandis que les Républicains devenaient soudain les meilleurs amis de M. Tout le Monde. Inexplicablement et comme par magie, les Démocrates se sont mis à absolument tout foirer tandis que les Républicains se sont mis à tout réussir. Il a semblé à beaucoup que leurs programmes historiques respectifs s’étaient inversés. Je ne veux pas dire que les Démocrates réussissaient tout auparavant, je veux dire que les Républicains – historiquement le parti des nantis – se sont soudain mués en populistes. Comme sous Teddy Roosevelt et Reagan, mais de façon encore plus marquée. Ce n’est pas un hasard. Au cours d’une décennie marquée par la montée du populisme et le déclin de la confiance dans le gouvernement et les médias, on aurait pu s’attendre à ce que les deux partis tentent chacun de séduire le plus grand nombre. Je ne crois pas que les Républicains soient sincères dans leurs promesses aux dépossédés; ce que je veux dire, c’est qu’on aurait pu s’attendre à ce que les Démocrates essaient de surpasser les Républicains dans leur entreprise de séduction des masses. Après tout, elles constituent leur électorat historique et ils devraient savoir comment s’adresser à elles. Au lieu de ça, ils ont fait exactement le contraire, traitant les membres de leur propre classe ouvrière de pourritures nazies. Rien que cette attitude hautement suspecte fait tomber le masque de l’ensemble du projet.

Certains gauchistes affirment aujourd’hui que l’élection a été volée au profit de Trump. Et comme on le voit, d’une certaine manière, c’est vrai. Dans le long terme, il était prédestiné à gagner, donc dans ce sens, l’élection a effectivement été volée. Mais tout avait été si bien préparé qu’il était inutile de voler l’élection d’hier. Le désastre de la présidence Biden – un échec planifié – avait tellement détourné le pays des Démocrates que la CIA a dû truquer cette élection pour la faire paraître serrée. Elle a en fait fait GAGNER de nombreux États à Harris, toujours pour maintenir une apparence de parité. Harris n’a remporté que 19 États, mais en comptant les votes réels, je pense qu’elle en aurait remporté moins de dix, voire aucun. À noter: seuls 19 des 50 États sont aujourd’hui officiellement bleus. Et dans ces États bleus, on trouve aussi de grandes zones rouges. Le meilleur exemple est l’État dans lequel je me trouve temporairement, la Californie, qui est géographiquement majoritairement rouge. Je ne le savais pas avant mon arrivée. J’habite dans le comté le plus rouge de l’État. Seules les grandes villes de la côte sont bleues, et Trump vient de remporter 40 % de la Californie, que la plupart des gens considèrent comme entièrement bleue. C’est vrai dans tout le pays, où les électeurs-type de Harris sont de plus en plus cantonnés dans quelques grandes villes des deux côtes. Un grand pourcentage d’entre eux se trouve dans trois villes seulement: New York, Los Angeles et Chicago.

Et même ce soutien est en train de disparaître. Les Républicains ont remporté Long Island et le grand district situé juste au nord de Yonkers. À Los Angeles, ils sont sur le point de remporter les districts 40, 41 et 47, qui comprennent une grande partie du sud de Los Angeles. Ils pourraient également remporter le district 27 au nord de Los Angeles. Au Texas, Dallas, Houston, San Antonio et Austin sont bleus, mais Fort Worth, le nord de Dallas, le nord de Houston et le nord de San Antonio sont désormais tous rouges. Le district 15, dans l’extrême sud du Texas, fortement hispanique et traditionnellement bleu, vient de passer au rouge. On peut mettre ça sur le compte de la crise frontalière créée de toutes pièces. En Arizona, Abe Hamadeh, dont vous vous souvenez peut-être qu’il s’est fait voler son élection en 2022 avec Kari Lake, vient de remporter le nord-ouest de Phoenix, le faisant passer au rouge. L’ouest de Phoenix est également rouge.

Le bleu est donc en rapide recul sur cette carte. Ce qui nous amène au Nouveau-Mexique, qui, il faut bien l’admettre, présente un aspect très étrange sur cette carte. Ça n’a pas beaucoup d’importance dans un sens ou dans l’autre, puisque la population du Nouveau-Mexique est très faible et qu’il ne compte que trois circonscriptions. Mais j’y vois tout de même un signal, dans la mesure où cette carte nous indique que le Nouveau-Mexique est l’État le plus corrompu de l’Union, Santa Fe étant la ville la plus corrompue après Chicago. Je suppose que c’est dû à la présence militaire héritée de Los Alamos, et je pense que l’État est en fait dirigé depuis la base aérienne de Kirtland à Albuquerque. C’était mon sentiment lorsque je vivais à Taos, pendant 14 ans. On me dira que c’est parce que le Nouveau-Mexique est dirigé par sa population hispanique, comme le sud du Texas. C’est juste qu’il n’a pas basculé dans le rouge cette année, comme certaines parties du Texas l’ont fait. Oui, mais je vous dis que c’est probablement parce qu’il n’a pas été autorisé à basculer dans le rouge. Il fallait qu’il reste bleu, comme la Virginie, pour éviter à Harris de se faire ratatiner.

Hier, pendant un certain temps, Trump était en passe de remporter la Virginie, le Maine, le Massachusetts, le Nouveau-Mexique et même le Minnesota, l’État d’origine de Walz. Ça aurait été amusant, mais ils n’ont pas laissé les choses aller aussi loin. Les ordinateurs sont intervenus et le scénario a été respecté. Mais je soupçonne qu’on nous a laissé entrevoir les vrais chiffres dans ces endroits pendant un certain temps, parfois jusqu’à 50%, juste pour le fun. Chez Fox, ils ont même indiqué que l’Oregon était rouge pendant un certain temps, lorsque les votes ont commencé à arriver. J’ai éclaté de rire. C’était quoi, alors? Un problème informatique? Quelques votes initiaux dans un comté de l’Est? Non, car aucun vote n’avait été enregistré au moment où l’Oregon était en rouge sur la carte. Encore une fois, je soupçonne qu’il s’agissait soit d’un tour de passe-passe, soit d’un incident de parcours qui a laissé filtrer la réalité à travers le voile.

Nous sommes censés croire que Harris a remporté 47% du vote populaire, mais personnellement, je n’y crois pas une seule seconde. Après les quatre années les plus désastreuses de notre existence, même un candidat qualifié et charismatique n’aurait pas pu remporter un tiers du vote populaire du côté bleu. Harris, qui n’a remporté aucune primaire et n’a pratiquement pas fait campagne, est peut-être le candidat le moins qualifié et le moins charismatique jamais présenté par l’un ou l’autre parti, à côté duquel Dan Quayle et George Bush II semblent relativement brillants. Mais elle n’était pas seulement accablée par son incapacité à s’exprimer ou à dire des choses sensées, elle était aussi accablée par un programme de parti qui n’était manifestement qu’une vaste plaisanterie sortie tout droit de Langley. J’imagine les scénaristes assis autour d’une immense table en acajou, fumant des cigares, essayant de se surpasser les uns les autres avec les trucs les plus délirants qu’ils inventeraient. Les heures du conte racontés par des drag-queens? La promotion des transsexuels 24 heures sur 24, 7 jours sur 7? Les avortements/infanticides après la naissance? Les vaccinations forcées? Les guerres saintes en Israël et en Ukraine? La censure institutionnalisée et l’abrogation du premier amendement? L’abrogation du deuxième amendement? L’abrogation du quatrième amendement? Les nominations partisanes à la Cour suprême? Les frontières ouvertes? Des hommes dans les sports féminins? Le sexisme et le racisme inversés à plein régime, avec des hommes blancs attaqués à longueur de journée simplement parce qu’ils sont nés? Les réparations pour la guerre de Sécession, 155 ans après les faits? Le 6 janvier pire que le 11 septembre et Pearl Harbor? Et ils auraient tout aussi bien pu inscrire l’inflation galopante et les pénuries alimentaires à leur programme, puisque leurs politiques en étaient également à l’origine. Compte tenu de tout cela, toute personne saine d’esprit devrait s’étonner que Harris ait obtenu ne serait-ce qu’une voix, si tant est qu’elle en ait obtenu une.

Quel genre de personne pourrait soutenir quoi que ce soit là-dedans, et a fortiori la totalité de ces choses? Certainement pas un libéral de la vieille école comme moi. Je ne soutiens rien de tout ça. On nous dit que les seuls qui ne soutiennent pas Harris sont des ploucs ignorants d’extrême droite, mais je suis un libéral Phi Beta Kappa et je ne la soutiens pas – et ça n’a rien à voir avec son apparence, son sexe ou sa race. J’ai toujours été un libéral et je le suis toujours, mais par là, je veux dire que je suis pour les petites gens et contre les nantis. C’est ce que le terme signifiait autrefois, jusqu’à l’époque de Reagan, par exemple, lorsqu’on a commencé à le dénaturer et à lui faire dire l’inverse. Je ne pourrais pas être plus opposé à l’agenda « libéral » actuel, raison pour laquelle j’ai été heureux de la victoire de Trump hier. Je n’ai pas pu m’en empêcher, même si j’ai toujours détesté le Parti Républicain et que je n’aime pas Trump. Pourquoi je n’aime pas Trump? Est-ce parce qu’il a des opinions tranchées et qu’il est brutal et grossier? Non, ce sont en fait ses meilleures qualités. Je ne l’aime pas parce que c’est un nanti. Je ne crois pas à son baratin populiste.

La CIA a centré cette élection autour des idées portées par Trump – il le fallait pour que ça fonctionne – ce qu’elle doit maintenant assumer. Comme je l’ai dit, je ne crois pas que Trump ou la CIA soit sincère sur ces questions. Ils ont juste tenu ces propos pour tromper la populace et la mener où ils voulaient, comme d’habitude. Mais pour résoudre le problème précédent, ils en ont créé un nouveau, encore plus énorme: ils se retrouvent face à une population déjà au bord de la révolte et de l’effondrement – à cause du génocide vaccinal et d’autres choses – et ils ont maintenant allumé la mêche de cette population avec un tas de grandes promesses. Si, comme je m’y attends, ils prévoient de revenir sur toutes ces promesses, comme ils l’ont toujours fait, ils ne feront que creuser pour eux-mêmes un trou encore plus profond. N’oubliez pas que depuis le début des temps, aucun président, quel que soit son parti, n’a jamais tenu ses promesses. C’est tout le contraire. Ils font toujours le contraire de ce qu’ils promettent. S’ils promettent de nous éviter une guerre, la première chose qu’ils font après leur élection est de nous y engager. S’ils promettent de réduire la dette, ils l’augmentent. S’ils promettent de faire le ménage à Washington, ils y nomment immédiatement une bande de salopards.

De plus, nous ne sommes plus en 1901 ou en 1980, lorsque les dirigeants contrôlaient encore totalement les grands médias. Comme ils l’ont admis récemment, tout ça est révolu. Ils ont utilisé les grands médias pour vendre leur échec programmé, de sorte que les médias ont mordu la poussière en même temps que les Démocrates. Les médias grand public étaient à fond derrière Harris, et maintenant qu’elle se retrouve dans les poubelles de l’histoire, ils suivent le même chemin. Et Trump avait même raison à propos de Fox, puisqu’ils ont été payés comme les autres pour vendre l’histoire du jour, même si ce n’était pas avec la même intensité que CNN et NBC. J’ai suivi l’élection hier soir, mais comme je n’ai pas de télévision, je me suis contenté de regarder la carte sur Fox5NY.com – la première page qui est apparue lors d’une recherche. Mais lorsque la Pennsylvanie s’est prononcée en faveur de Trump et qu’il est apparu clairement qu’il allait gagner largement, j’ai voulu voir un aperçu les réjouissances. Je m’attendais à ce que Fox National fasse la fête. Mais pas du tout. Lorsque j’ai syntonisé la chaîne, un vieux Noir gay avec une moustache à la Valentino traitait tout le monde de raciste et de misogyne, reprochant aux Blancs de ne pas avoir soutenu Harris. Il parlait même de « l’insurrection » du 6 janvier. Et le reste du panel restait assis là à l’écouter. Je n’en revenais pas. Finalement, Brit Hume – qui a la tête de quelqu’un qui vient d’avoir une crise d’apoplexie ou qui est en train d’en avoir une – est intervenu pour souligner que 51% du pays n’était apparemment pas d’accord pour dire que le 6 janvier était une insurrection ou que Harris était un bon candidat. MINABLE! Non, Brit, pas 51%, plutôt 80%, selon les chiffres réels, et Trump était en train de gagner une élection cruciale: ce n’était pas le moment de ressasser ces vieilles conneries d’insurrection, de racisme et de misogynie. Hume aurait donc dû dire à ce type de la mettre en sourdine. Et même si tout ça était vrai (ce n’est pas le cas), le peuple venait de s’exprimer et toute émission d’information sensée aurait au moins fait semblant de s’y plier à ce moment, par simple souci d’autopréservation. Comme nous l’avons vu, même selon les chiffres inventés, il ne s’agit pas d’une victoire à l’arraché, mais d’un véritable raz-de-marée. Trump obtiendra 312 grands électeurs, 31 États, 27 gouverneurs, 54 sénateurs et probablement aussi la Chambre des représentants avec 223 sièges, ce n’était donc pas le moment de continuer à traiter les électeurs d’ordures. Je suis sûr que c’était encore pire sur les chaînes « libérales ».

Le lendemain, j’ai consulté le Guardian pour y trouver ce point de vue libéral. Voici comment leurs très courageux rédacteurs en chef (qui n’ont pas signé) ont présenté la situation:

Nous vivons un moment exceptionnellement sombre et effrayant pour les États-Unis et le monde. Face au choix entre l’élection de la première femme noire à la présidence avec la promesse d’un avenir plus radieux et celle d’un criminel raciste, misogyne, condamné à deux reprises et prônant la haine et la vengeance, ils ont opté pour M. Trump.

Rien que de la poudre aux yeux, et pas un mot de vrai, comme nous avons fini par nous y attendre, ce qui signifie que le Guardian peut également dire adieu à une grande partie de son lectorat américain. Et pas seulement son lectorat américain. Cependant, comme la presse américaine, le Guardian est financé par les services secrets, alors qu’est-ce que ça peut leur faire? Présenter le programme démocrate comme la promesse d’un avenir plus radieux est tellement orwellien qu’il est difficile de croire que ça ait pu être imprimé dans le pays d’origine d’Orwell. Tout comme l’idée implicite que nous devrions voter pour Harris simplement parce qu’elle est une femme noire. Le fait qu’elle ait un QI d’environ 90, qu’elle ne sache pas lire un téléprompteur, qu’elle n’ait aucune qualification pour être présidente, qu’elle ne connaisse rien de l’histoire ou du monde, et qu’elle ait fabriqué toute sa biographie, est-il hors de propos? Ça ne vaut pas la peine de le mentionner? Ça ne vaut pas la peine de mentionner que la plate-forme démocrate actuelle rivalise avec Big Brother dans ses rêves fascistes? Je voterais sans hésiter pour une femme noire plutôt que pour Trump si elle se présentait avec un meilleur programme que le sien et si elle était convaincante de quelque manière que ce soit, mais ce n’est pas le cas. Et si Trump est raciste, pourquoi tant de Noirs et d’Hispaniques ont-ils voté pour lui? Il vient de remporter plus de votes de minorités que Dole, McCain ou Romney, alors ces types étaient-ils plus racistes et nazifiés que Trump? Si c’est le cas, le Guardian a oublié de nous le dire à l’époque. Il est également amusant de constater que ces minorités avaient un candidat pour lequel voter qui était à la fois brun et noir [NdT. d’origine hindoue et africaine], du moins d’après ses fausses biographies, mais que, pour une raison ou une autre, elles ont décidé de voter pour un nazi raciste. Mais je suppose que selon le Guardian, ces électeurs ne sont que des ordures ignorantes. Je suggère aux Démocrates de continuer à les désigner ainsi, car c’est un excellent moyen de les reconquérir en 2026. En outre, Trump n’a jamais été destitué, puisqu’il faut les deux chambres du Congrès pour ce faire et que tout ce qui s’est passé à la Chambre a de toute façon été mis en scène dans le cadre du scénario du 6 janvier. Et l’absurdité de l’expression « condamné pour crime » n’est rien d’autre que du théâtre de la CIA, comme le savent très bien les agents du Guardian. Les fausses condamnations proviennent de tribunaux factices, tout comme leurs nouvelles et ces éditoriaux proviennent de rédactions factices et de rédacteurs en chef fantoches.

Ces divagations du Guardian ne sont que de tristes râles d’agonie, comme nous l’avons vu récemment avec le Washington Post, qui a dévoré ses derniers bras et ses dernières jambes dans une dernière orgie d’autophagie. Les rédacteurs du Post étaient les dernières personnes sur Terre à lire les éditoriaux du Guardian, et vice versa, de sorte que le cercle est désormais brisé. Le tourbillon est rompu.

Vous savez qui d’autre est mort hier? La sondeuse « Gold Standard » Anne Selzer, qui donnait à Harris une avance de 3 points dans l’Iowa la veille de l’élection. Trump a gagné avec 13,3 points d’avance un jour plus tard, on peut donc se demander qui elle a sondé pour se tromper de 16 points à un jour de l’élection. Nous ne pouvons que supposer que le DNC l’a payée, mais comment Selzer compte-t-elle payer son loyer après avoir dépensé cet argent ?

Nous constatons la même erreur de calcul à Hollywood et dans l’industrie musicale, qui continue de signer sa propre lettre de licenciement (en mettant l’accent sur le mot « rose », qui a deux significations distinctes) [NdT. c’est un jeu de mot de Miles: « pink slip » en anglais = lettre de licenciement; « pink » en argot, le vagin d’une prostituée]. Nous sommes impatients de voir ces gens boire leur Drano [NdT. marque de déboucheur liquide pour canalisations] et déménager au Canada, comme ils l’ont promis, mais au lieu de cela, ils continuent à jacasser. Bette Midler a cité H. L. Mencken aujourd’hui, ce qui est étonnant quand on sait que les seules personnes qu’il estimait moins que les politiciens étaient les stars de cinéma. Bette semble avoir manqué l’essentiel: l’appui d’Hollywood s’est retourné contre elle, non pas parce que la plupart des gens aiment Trump, mais parce que le programme et la campagne des Démocrates ont été un véritable naufrage. Un naufrage scénarisé, comme je l’ai expliqué. Il est possible que ces soutiens hollywoodiens aient également été programmés pour échouer, la CIA sachant qu’ils échoueraient, étant donné que ces soutiens ne semblent provenir que d’acteurs et de musiciens qui sont au bord de la tombe ou à la retraite. Ils n’ont plus de carrière et ont besoin d’argent, je suppose. Ces soutiens semblent avoir été programmés pour échouer vu la forme exclamative et accusatrice qu’ils revêtent. Pour qu’un soutien soit efficace, il faut qu’il s’agisse d’un soutien d’ami à ami, mais il s’agissait dans tous ces cas de diktats grondants et moralisateurs, de supplications larmoyantes ou de menaces pures et simples qui nous ont rappelé la façon dont ils nous ont traités pendant Covid. Arnold: Au diable ta liberté [NdT. son fameux « Fuck your freedom »], paysan, mets un masque, fais-toi vacciner et vote comme je te le dis, ou nous te ferons passer pour un antisémite, un sexiste et une ordure nazie! Aniston: Fais-toi vacciner et vote pour mon candidat ou je te retire de mes amis et je dis à tout le monde que nous sommes en rupture permanente! Ça me va, Rachel.

Néanmoins, je considère qu’il s’agit d’une grave erreur de calcul de la part des stars, car même s’il ne s’agit que d’un simple travail d’acteur pour elles, elles sont en train de détruire leur héritage. Midler n’a pas de véritable héritage, mais certaines d’entre elles, comme Streep et De Niro, en ont un. En avaient un. Ils viennent de gâcher tout le capital sympathie qu’ils avaient accumulé pendant des décennies de promotion extrême. Tout ça pour rien, puisque Harris n’était pas censée gagner quoi qu’ils fassent. Ils le savaient sûrement avant de se lancer? Il est presque impossible de croire qu’ils ne savent pas à quoi ils participent.

Je pense qu’ils le savent, mais qu’ils ne croient pas aux héritages. Ils se disent qu’ils ne seront bientôt plus que de la nourriture pour asticots alors quelle importance? L’important est de rester dans le vaudeville jusqu’à la crise cardiaque, et la CIA doit continuer à créer de la division au cours des quatre prochaines années. L’élection de Trump n’a pas marqué la fin de quoi que ce soit ni le début de quoi que ce soit de nouveau, et pour éviter que les Phéniciens ne soient redevables du décompte final, le projet Chaos doit être maintenu à son niveau maximum. Autrement dit, pour expliquer l’incapacité de Trump à faire quoi que ce soit en matière de drainage du marais, la CIA devra fabriquer quatre années supplémentaires de peur, d’hystérie, d’inertie, de fake news et de fausse crise, et pour y parvenir, les Démocrates et tous leurs pitoyables acteurs des deux côtés de l’Océan devront continuer à vociférer à tue-tête nazi, raciste, sexiste, violeur, criminel, antisémite, suprémaciste, ordure, insurrection, etc.

Mais que les stars soient des dupes ou des employés, il n’en reste pas moins qu’elles viennent de tout perdre, comme les Démocrates et la presse grand public. Elles ne pourront donc plus être utilisées par les propagandistes. Tous font partie du vieux Mighty Wurlitzer [NdT. un des plus grands orgues jamais construit] qui vient d’être mangé par les termites. Nous sommes désormais tous sourds à ce vieil orgue de barbarie.

Combien de temps la CIA/MI6 pourra-t-elle continuer à produire une histoire et un présent falsifiés auxquels personne ne croit? Je ne sais vraiment pas, mais s’ils essaient de déclencher une nouvelle grande guerre pour masquer tous leurs autres échecs, comme ils l’ont fait tant de fois auparavant, je pense que nous le saurons assez tôt. Ce genre de patriotisme a disparu, et je ne vois personne se porter volontaire pour leur guerre. Nous ne sommes plus en 1941, ni même en 1955.

Il y a aussi ceci à prendre en compte: la CIA doit tenir compte non seulement du raz de marée optique qu’elle vient de créer, mais aussi de la réalité sur le terrain, qu’elle vient de dissimuler. Elle doit tenir compte des chiffres réels, qui l’effraient sans aucun doute. Cette plate-forme populiste dirigée par Trump est le plus grand événement depuis Reagan, et je pense qu’elle est bien plus vaste car elle inclut non seulement l’angle de la majorité chrétienne et morale, mais aussi une plate-forme anti-guerre très peu Reaganienne, et une plate-forme anti-Pharma (avec RFK) totalement sans précédent. Il ne fait aucun doute que la CIA répondra qu’il ne s’agit que de promesses vides et qu’il n’est même pas nécessaire de les prendre en considération. Sauf que ces questions sont désormais sur la table et que les gens ne les oublieront pas. La pire chose que puissent faire les dirigeants en ce moment est de taquiner le chien vicieux et enragé qu’ils ont déjà battu. S’ils n’avaient pas l’intention de tenir ces promesses, ils n’auraient pas dû les faire, car cela ne peut qu’accroître l’instabilité d’un système déjà gravement déséquilibré.

[Une autre raison pour laquelle je soupçonne que tout ça a été truqué pour en cacher l’ampleur, c’est qu’il semble que le taux de participation total soit largement sous-estimé. Rappelez-vous, ils ont truqué les chiffres de Biden à 81 millions en 2020, prétendument le plus grand nombre de votes jamais enregistré, ce qui est maintenant une grosse plaisanterie. Ça a dû donner l’impression à certaines personnes sous respirateur qui n’y prêtaient pas attention que Biden était très populaire. Hier, nous avons assisté à l’inverse, puisque le nombre d’électeurs de Trump a été maintenu jusqu’à présent autour de 72 millions, soit moins que ce qu’il a obtenu en 2020, bien qu’il n’ait alors obtenu que 47% du total. Cela impliquerait des taux de participation beaucoup plus faibles dans les États, mais ce n’est pas ce que les États rapportent. Le Michigan a déjà fait état du taux de participation le plus élevé de son histoire récente, mais il nous faut pour le savoir consulter un site russe. Comme d’habitude, le reste du monde est mieux informé que nous sur nos élections. Si le taux de participation n’est pas communiqué, c’est pour cacher l’ampleur de la déclaration d’hier, afin d’éviter qu’elle ne soit considérée comme un mandat ou, pire, comme le cri d’une révolution].

Tout cela pour dire que le cycle actuel peut ressembler à un petit retour à la raison, mais il est très peu probable que ce soit le cas. Je pense que c’est peut-être le cas du point de vue des citoyens qui se défendent, mais pas du point de vue des gouverneurs qui reçoivent le message. Je vois le nouveau régime échouer non pas parce que Trump est un nazi ou parce que le programme Républicain annoncé est réactionnaire, mais pour des raisons bien plus importantes, la principale étant qu’il est presque impossible de croire que les Phéniciens ont appris quelque leçon que ce soit ou qu’ils sont soudainement devenus un tout petit peu plus bienveillants, ou un tout petit peu moins malveillants. Tous les autres relevés de boussole pointent dans la direction opposée.

Par exemple? Ils appellent Trump « Le Phénix » pour son grand retour. Ce n’est pas bon signe. De plus, si les dirigeants avaient l’intention de permettre au populisme de Trump de porter ses fruits, ils ne seraient pas déjà en train de l’étouffer en publiant des chiffres erronés. Si l’État profond promouvait ou autorisait réellement la plateforme de Trump en tant que correctif, et pas seulement l’acteur Trump en tant que sédatif, il n’aurait aucune raison de minimiser le taux de participation, le raz de marée, les chiffres ou les réjouissances.

Vous direz que je vous gâche la fête, tout comme le Noir de Fox, mais ce n’est pas mon intention. Je suis de votre côté. Allez-y, réjouissez-vous. C’est ce que j’ai fait. Je me suis un peu défoulé la nuit dernière, comme une forme de libération. Je sentais que, d’une manière ou d’une autre, les gens se réveillaient. Mais vous devez aller jusqu’au bout cette fois-ci, en exigeant que Trump et les autres tiennent leurs promesses. Quand lui, son nouveau tsar de la santé RFK et le Congrès refusent de poursuivre Fauci, en disant qu’il faut laisser le passé au passé, vous devez vous révolter. Lorsqu’il oublie de régler tous les conflits d’intérêts au sein de la FDA, du CDC, du NIH et de toutes les autres agences de régulation, vous devez vous révolter. Lorsqu’il laisse Pfizer commettre des meurtres de masse, vous devez vous révolter. Lorsqu’il continue d’envoyer de l’argent et des armes à Israël, vous devez vous révolter. Lorsqu’il continue à lécher le derrière de GoldmanSachs, de la CIA, de la Fed, de l’OMS, du FEM et de la Banque mondiale, vous devez vous révolter. Quand il viendra chercher votre fils ou votre fille pour sa nouvelle guerre, dites-lui de manger de la hraka*.

Tu dois apprendre à mieux compter les points, mon ami. Si ta mémoire n’est pas très bonne après l’affaire Covid/Vaccin, prends des notes. Utilise un vrai stylo et un carnet: ces faits s’ancreront mieux dans ton esprit si tu dois te servir de tes mains et transporter des objets physiques. C’est comme ça que ça marche. Tu es toi-même un objet physique, tu sais. Ne prends pas de médicaments, surtout les sédatifs et les anxiolytiques. En fait, tu dois garder ta colère en ébullition. Elle existe pour une bonne raison. Apprends à t’en servir. Ne la déverse pas sur ta femme, ton chien ou tes compagnons de route, mais garde-la pour ceux qui la méritent.

Les dirigeants ne se soucieront jamais de ce que pensent les citoyens à moins que les citoyens ne les obligent à s’en soucier. La disparition d’Hollywood et des médias les rapproche de cette nécessité, puisqu’ils ont perdu une grande partie de leur capacité à te berner. Sans ça, ils doivent faire face à ta colère plus directement, sans leurs anciens moyens de diversion. Dans cette situation, ils n’auront peut-être pas d’autre choix que de répondre aux griefs. À ce stade, il sera beaucoup plus facile pour eux d’abandonner une partie de leur pouvoir que de l’utiliser pour combattre leur propre peuple. Combattre son propre peuple est coûteux et prend du temps, et pour être honnête, ils sont déjà au maximum de leurs possibilités à cet égard. Bien au-delà du maximum. Ils sont au fond d’un trou qu’ils ont eux-mêmes creusé.

Accompagnez-moi un instant, Messieurs les dirigeants. Combien dépensez-vous chaque année pour combattre votre propre peuple? Vous répondrez que vous ne dépensez rien de votre côté, que tout provient des impôts, et que vous nous facturez donc notre propre opposition. D’accord, c’est très intelligent, mais puisque ce niveau d’imposition semble presque durable, permettez-moi de présenter les choses autrement: et si vous preniez les quelques trillions que vous dépensez chaque année pour combattre votre propre peuple, et que vous les redirigiez vers d’autres objectifs? Ce trillion annuel ne sort peut-être pas de votre poche, mais il ne va pas non plus dans votre poche. Ce n’est pas comme le budget militaire, avec les contrats de défense, etc. Vous me direz, bien sûr que si, par le biais de contrats de projets clandestins. Des événements truqués et tout le reste. D’accord, mais ces projets ne sont pas aussi rentables que la défense, car même si vous simulez les événements, vous ne simulez pas le personnel. Les services de renseignement ont besoin d’un personnel très nombreux et les coûts sont imputés à leurs salaires, pas à vos poches. Tout ce qu’un agent gagne, vous ne le gagnez pas, n’est-ce pas? Et puisque ces agents viennent de griller leur propre couverture et de casser leur propre Mighty Wurlitzer, ils sont maintenant pires qu’inutiles. Tout le monde peut désormais repérer le gorille de 500 livres dans la pièce, et son entretien ne vaut donc plus vraiment la peine que vous y consacriez du temps. Il serait préférable de le réaffecter à un autre projet plus utile pour vous, et si cette nouvelle utilisation n’est pas plus rentable, elle devrait au moins vous apporter une plus grande stabilité. L’opération Chaos était un bon moyen de gagner de l’argent aux niveaux inférieurs, mais maintenant que tout est chaos tout le temps et que la couverture de tout le monde a été détruite, ce n’est plus le cas. Elle devient rapidement plus problématique qu’elle n’en vaut la peine.

Alors, comment réaffecter ces agents pour créer une plus grande stabilité? Pour le savoir, revenons au début. Pourquoi la CIA a-t-elle été initialement créée? Eh bien, en tant qu’agence du genre FBI, pour piller la trésorerie en transformant des opérations secrètes relativement nécessaires en temps de guerre à l’étranger en opérations intérieures généralement superflues en temps de paix. Mais il s’agissait également d’une contre-mesure devant les craintes réelles de voir exposés deux siècles d’escroquerie aux États-Unis et de voir s’écrouler toute la façade de la création de richesses. Tous les ennemis du « capital » devaient donc être suivis et harcelés par un système d’espionnage toujours plus important. Bien sûr, cela n’a fait que créer un deuxième réseau de filouterie et de mensonges, qui en a créé un autre, qui en a créé un autre, et ainsi de suite, jusqu’à ce que le monde entier ne soit plus qu’une hiérarchie d’agents qui s’espionnent tous les uns les autres. Ce qui signifie que tout l’édifice n’est qu’une plaisanterie: tout le monde est maintenant si corrompu que personne ne peut être soumis au chantage pour quoi que ce soit. Lorsque tout le monde couche avec la femme ou le mari d’un autre, il est difficile de menacer qui que ce soit d’être démasqué. Lorsque toute honte a disparu, le chantage est impossible. L’espionnage s’est donc détruit de deux façons, et non d’une seule.

Cela étant, le danger n’est plus que la population perce le secret du capital, mais qu’elle perce le secret de l’espionnage, à savoir qu’il s’agit d’une fraude totale, qui ne mérite aucun financement. Par conséquent, sa suppression entraînerait immédiatement une double augmentation massive de la stabilité, même sans réaffecter un seul agent. Quelque chose qui n’existe plus ne peut pas faire l’objet d’une enquête pour fraude. Ou bien, elle pourrait l’être, mais elle ne le sera pas. Mais on pourrait obtenir encore plus de bonne volonté – dans une sorte de détournement – en réaffectant tous ces agents à un nouveau projet gouvernemental utile, par exemple un vaste projet dans le domaine des arts, des sciences et des travaux publics. Certains d’entre eux pourraient également se voir confier le projet de reconstruire les grands médias sur des principes logiques, recréant ainsi la confiance qui a été perdue. Mes lecteurs diront que ça semble peu probable, puisqu’ils contrôlent déjà les médias: pourquoi deviendraient-ils bienveillants du jour au lendemain? Eh bien, ils deviendraient bienveillants du jour au lendemain si on leur en donne l’ordre. C’est pour cette même raison qu’ils sont malveillants aujourd’hui: ils en ont reçu l’ordre. Peut-être préféreraient-ils qu’il en soit autrement. Je suppose qu’ils préféreraient qu’il en soit autrement, ce qui ajouterait encore une nouvelle couche à la stabilité.

J’ai prouvé que l’art et la science sont dans un état d’abandon, qui nécessite des décennies de reconstruction, et nous avons vu avec tous les déraillements de trains, les effondrements de ponts et la désintégration des infrastructures que les travaux publics ont également besoin d’une aide massive. Beaucoup d’agents semblent se considérer comme des artistes ratés dans l’un ou l’autre domaine, comme je vous l’ai montré dans de nombreux documents, et beaucoup d’entre eux seraient probablement heureux de se reconvertir dans un travail plus utile.

Depuis plus d’un siècle, les économies occidentales modernes dépensent tout leur argent dans l’armée, la banque et l’espionnage, ce qui est de l’argent complètement perdu du point de vue de la société dans son ensemble et, par conséquent, de celui de la stabilité à long terme des masses ou des dirigeants. C’est précisément la raison pour laquelle la société s’est effondrée depuis la Seconde Guerre mondiale. L’art et la science ont été détruits pour servir de couverture aux activités bancaires, militaires et d’espionnage, condamnant non seulement les travaux publics, mais aussi tout le reste. C’est exactement la raison pour laquelle nous en sommes là. Mais c’est encore et toujours facilement réversible, puisqu’il suffit de décider d’emprunter une autre voie.

On me dira que l’art, la science et les travaux publics ne sont pas aussi rentables que ces autres activités, en particulier le militaire, puisqu’ils ne brûlent pas les matières premières en si grande quantité. Mais peut-être, juste peut-être, que le but de la civilisation n’est pas de brûler des matières premières aussi vite que possible. Il ne s’agit peut-être pas de construire une série infinie de chars, d’avions et de véhicules blindés qui pourrissent sur des terrains et des tarmacs dans tout le pays, sans jamais être utiles à qui que ce soit. Vous répondrez que l’on pourrait dire la même chose de l’art, sauf que les gens paient pour aller dans les musées pour voir de grandes œuvres d’art. Ils ne paient pas pour aller dans des bases militaires y voir des files de véhicules blindés pourrir sur les terrains.

En outre, l’art, la science et les travaux publics utilisent beaucoup de matières premières, et ils en utiliseraient bien plus si l’art et la science n’étaient pas presque morts. Mes nouvelles théories et découvertes ont ouvert une toute nouvelle voie en physique, une voie qui représente littéralement des trillions de dollars de profits et de produits futurs. À titre d’exemple, tous les livres de physique, de chimie et de biologie doivent maintenant être entièrement réécrits, ce qui constitue en soi une nouvelle économie. Le recyclage des charges par le noyau modifie également absolument tout ce qui concerne la médecine, en particulier l’administration de médicaments dans les cellules. J’ai également réécrit la géophysique avec le recyclage des charges par la Terre et le système solaire. J’ai détruit le modernisme, permettant une nouvelle renaissance de la peinture et de la sculpture, une autre grande économie. La poésie fera également son retour dans un avenir proche, créant ainsi une nouvelle petite économie. L’architecture classique fera un retour similaire, créant une énorme économie de nouveaux bâtiments et de décoration lorsque les gens se réveilleront, se laveront les yeux et se rendront compte que tous les bâtiments modernes doivent être mis au rebut parce qu’ils sont une horreur. Si vous pensiez qu’il n’y avait pas de travail pour nos pauvres agents de la CIA, détrompez-vous. Il y aura tellement d’innovations et de reconstructions au cours du siècle à venir qu’il y aura à peine assez de monde pour faire tout ce qu’il y a à faire. Et la meilleure nouvelle, c’est que presque rien de tout cela ne peut être fait par des ordinateurs. Ils nous aideront, comme ils m’aident à rédiger cet article, mais ce sera à peu près tout.

Quel était donc l’intérêt de tout ça? Si j’étais un milliardaire phénicien, la chose que je voudrais le plus acheter en ce moment, c’est ma propre sécurité, ma tranquillité d’esprit et ma stabilité. Je regarderais autour de moi et je me dirais qu’aussi rentable qu’ait été le projet Chaos, il était fatigant. C’était beaucoup de dépenses et d’efforts pour obtenir davantage de ce que j’avais déjà à profusion. Et dans une analyse des profits et des pertes à long terme, ce n’était peut-être finalement pas un si bon projet, puisque les profits se sont révélés vides et sans signification, tandis que les pertes ont été stupéfiantes. L’art? Disparu. La science? Disparue. L’architecture? Disparue. L’environnement? Disparu. La beauté? Disparue. Eau, air et nourriture propres? Disparus. La bonne volonté? Disparue. La stabilité? Disparue. Le bien-être mental? Disparu. La santé? Disparue. Le bonheur? Disparu. La confiance? Disparue. L’innocence? Disparue. L’avenir? Disparu, puisqu’il a été hypothéqué.

Mais pour chaque problème, il y a une solution. Vous avez toujours le droit de changer d’avis, et je vous dis que vous devez changer d’avis.

Prochainement: le faux mouvement 4B.

*Voir Watership Down.


Texte original

Trump/Vance Wins!

by Miles Mathis

First published November 6, 2024

A lot of people are asking me for commentary on the Trump win, knowing I will say something no one else is. Yep, you can count on me for that.

Before I respond to specific things, let me just remind you of the big picture here. We will start at the deepest end of the pool and swim up. Some have said this one was just too big to steal, so Trump won despite interference. Nope. No election is too big to steal, or ever was. They have stolen bigger ones than this. The election is just the wallpaper in the final room of the stageplay, and with computers they can re-wallpaper the whole thing overnight, to fit any script update. Since Harris had almost no real support, it would have been a huge push of the numbers, but that doesn’t make it hard. Computers can push an election 40 points just as easily as they can push it two. Makes no difference to them. So if they had wanted to give this to Harris, they easily could have.

But they didn’t want to. That was never the plan. The plan—as I have been telling you for years—was to tank the Dems on purpose, to remanufacture parity between the two parties and move the country further right. In our pre-fabricated two-party system, the rulers need near-parity between the parties, to make voters feel powerful. The whole system is just a charade, since the rulers don’t care what citizens think at all. But voting and polling and things like that create a facade that implies they do. So they can’t have one party dying or getting too weak. In that case they have to step in and re-create the appearance of parity at any cost. That’s what the last couple of decades has been about, and especially the last four years. The Dems were given the worst platform imaginable while the Reps suddenly became the everyman’s best friend. The Dems magically and mysteriously started doing everything wrong while the Reps started doing everything right. To many of us it seemed the historical platforms had flipped. By that I don’t mean the Dems had previously been doing everything right, I mean that the Reps—historically the party of the fatcats—suddenly became big populists. Like with Teddy Roosevelt and Reagan, but even moreso. That was no accident. In a decade of rising populism and declining trust in government and media, you would expect both parties to try to appeal to the largest percentages. I don’t believe the Reps are earnest in their bows to the dispossessed, but my point is you would have expected the Dems to try to outdo the Reps in appealing to the masses. That was their historical constituency after all, and they should have known how to talk to those people. Instead, they did just the opposite, attacking their own working-class people as Nazi garbage. That, by itself, is so suspicious it blows the cover of the entire project.

Some on the left are now claiming the election was stolen for Trump. And as you see, in a way it was. In the long script, he was destined to win, so it was stolen in that sense. But they had prepared everything leading up to this so well, they didn’t have to steal the actual election yesterday. The disaster of the Biden Presidency—all a planned fail—had so thoroughly moved the country away from the Dems, that the CIA had to fudge this election to make it look close. They actually stole many States FOR Harris, again to maintain the continued appearance of parity. Harris only won 19 states, but counting real votes I think she would have won less than ten, and may not have won any. Note that: only 19 of 50 states are now officially blue. And large parts of blue states are red as well. For the best example, see the state I happen to be in temporarily, California, which geographically is mostly red. I didn’t know that until I got here. I am in the reddest county in the state. Only the big cities on the coast are blue, and Trump just won 40% of California, which most people think of as completely blue. This is true across the nation, where the sort of people who would vote for Harris are becoming hemmed into just a few big cities on the two coasts. A huge percentage of them are in just three cities: New York, Los Angeles, and Chicago.

And even that support is dissolving. The Republicans won Long Island and the large district just north of Yonkers. In Los Angeles, they are about to win districts 40, 41, and 47, which include much of South LA. They may also win district 27 north of LA. In Texas, Dallas, Houston, San Antonio, and Austin are blue, but Fort Worth, North Dallas, North Houston, and North San Antonio are all red now. District 15 in far south Texas, heavily Hispanic and traditionally blue, just went red. You can thank the manufactured border crisis for that. In Arizona, Abe Hamadeh, who you may remember had his election stolen in 2022 with Kari Lake, just won northwest Phoenix, turning it red. West Phoenix is also red.

So the blue is quickly getting whittled down on that map. Which brings us to New Mexico, which you have to admit looks very strange on this map. It doesn’t matter much one way or the other, since the population of NM is very low, with only three districts. But I see it as a signal nonetheless, since it is telling us NM is about the most corrupt state in the union, with Santa Fe being the most corrupt city outside of Chicago. I suppose that is due to the military presence left over from Los Alamos, and my guess is the state is actually run out of Kirtland AFB in Albuquerque. That is the feeling I got when I lived in Taos for 14 years. I will be told it is because NM is run by its Hispanic population, like south Texas. It just didn’t flip red this year like parts of Texas did. Yes, but I am telling you it is probably because it wasn’t allowed to flip red. They needed it to stay blue like Virginia, so that Harris could avoid a skunk.

For a while yesterday Trump was winning Virginia and Maine and Massachusetts and New Mexico and even Minnesota—Walz’s home state. That would have been amusing, but they didn’t let it go that far. The computers stepped in and got the numbers on-script. But I suspect they let us see the real numbers in those places for a while, sometimes up to 50% reporting, just for fun. At Fox they even listed Oregon as red for a little while, when votes first started coming in. I laughed out loud. What was that about? A computer glitch? A few initial votes from one eastern county? No, since no votes were reported when Oregon was red on the map. Again, I suspect it was either a tip of the hand, or an accidental moment of reality showing through the veil.

We are expected to believe Harris won 47% of the popular vote, but I for one don’t believe it. After the most disastrous four years in any of our lifetimes, even a qualified and charismatic candidate couldn’t have won a third of the popular vote from the blue side. Harris, who didn’t win any primaries and hardly campaigned, may be the least qualified and least charismatic candidate ever put forward by either party, making Dan Quayle and George Bush II look relatively brilliant in comparison. But she wasn’t just weighed down by her own inability to speak or make sense, she was weighed down by a party platform that was clearly a big joke inserted from Langley. I can just see the writers sitting around a huge mahogany table smoking cigars, trying to one-up eachother with the craziest stuff they could come up with. Drag-queen story hours? Tranny promotion 24/7? Post-birth abortions/infanticides? Forced vaccinations? Holy wars in Israel and Ukraine? Institutionalized censorship and repealing the First Amendment? Repealing the Second Amendment? Repealing the Fourth Amendment? Packing the Supreme Court? Open borders? Men in women’s sports? Reverse sexism and racism at top volume, with white men being attacked all the livelong day just for being born? Civil War reparations 155 years after the fact? January 6 is worse than 911 and Pearl Harbor? And they might as well have had rampant inflation and food shortages on their platform, since their policies had created that as well. Given all that, any sane person should find it amazing Harris got even one vote, if she did.

What sort of person supports any of that, much less all of it? Not an old-school liberal like me. I don’t support any of it. We are told that the only ones who don’t support Harris are ignorant hicks on the far right, but I am a Phi Beta Kappa liberal and I don’t support her—and it has nothing to do with how she looks—her gender or race. I have always been a liberal and still am, but by that I mean I am for the little guy and against the fatcats. That is what the term used to mean, up until the time of Reagan, say, when they began blackwashing it and flipping it. I couldn’t be more against the current “liberal” agenda, which is why I was happy when Trump won yesterday. I couldn’t help myself, even though I have always detested the Republican Party and I don’t like Trump. Why don’t I like Trump? Is it because he is opinionated and crude and crass? No, those are actually his best qualities. I don’t like him because he is a fatcat. I don’t buy the populist schtick.

The CIA made this election about ideas on Trump’s side—they had to to make it work—so now they have to deal with that fact. Like I said, I don’t believe either Trump or the CIA is earnest about any of this. They just said these things to fool the populace into moving along, as usual. But to solve the previous problem they have created a new and bigger one: they have a populace already on the edge of revolt and meltdown—from the vaccine genocide and other things—and they have now primed that populace with a lot of big promises. If, as I expect, they plan to renege on all those promises, as they always have, they will dig their hole even deeper. Remember, not one President since the beginning of time from any party has kept any promises. Just the reverse. They always do the polar opposite of what they promise. If they promise to keep us out of a war, the first thing they do after getting elected is sign us up for it. If they promise to lower the debt, they raise it. If they promise to clean up Washington, they immediately appoint a bunch of dirtbags.

Plus, this isn’t 1901 or 1980, when the rulers still had full control of the mainstream media. As they have admitted recently, that is all out the window. They used the mainstream media to sell the planned fail, so the media just bit the dust with the Dems. The mainstream media was all-in with Harris, so as she falls into the dustbin of history, so do they. And Trump was even right about Fox, since they were paid off like the rest to sell the current story, though not to the extent CNN and NBC were. I followed the election last night, but since I don’t have a TV I just watched the map at Fox5NY.com—the first thing that came up on a search. But when Pennsylvania was called for Trump and it was clear he was going to win big, I wanted to hear some of the celebration. I figured Fox National would be whooping it up. Nope. When I tuned in, some old gay black guy with a Valentino mustache was calling everyone a racist and a misogynist, blaming the white dudes for not supporting Harris. He was even harping on about the “insurrection” of January 6. And the rest of the panel sat there and listened to that. I couldn’t believe it. Finally, Brit Hume—who looks like he just had a stroke, or was currently having a stroke—chimed in to point out that 51% of the country apparently didn’t agree that Jan. 6 was an insurrection or that Harris was a good candidate. WEAK! No, Brit, not 51%, more like 80%, going by real numbers, and Trump was right then winning a big election: not the time to be repeating this old insurrection/racist/misogynist crap. So Hume should have told the guy to stuff a sock in it. Even if any of that been true (it isn’t), the people had just spoken and any sensible news show would have at least pretended to bow to that for the time being, just as a matter of self preservation. As we saw, even according to the made-up numbers, this was not a squeaker, it was a landslide. Trump will take 312 electors and 31 states and 27 governors and 54 Senators and probably the House as well with 223, so this is not the time to keep calling voters garbage. I am sure it was even worse on the “liberal” stations.

I checked the Guardian the next day for this liberal take. This is how their very brave (unsigned) editors put it:

This is an exceptionally bleak and frightening moment for the United States and the world. Presented with a choice between electing the first black, female president on a promise of a sunnier future, and a racist, misogynist, twice-impeached convicted felon hawking hatred and retribution, they picked Mr Trump.

All spin, and not a word of it true, as we have come to expect, which means the Guardian can also kiss off a huge slice of its US readership. And not just its US readership. Though, like the US press, the Guardian is underwritten by Intel, so what do they care? Glossing the Democratic platform as a promise of a sunnier future is so Orwellian it passes belief it ever made it into print in Orwell’s home country. As is the implied idea we should vote for Harris just because she is a black female. Is the fact she has an IQ of about 90, can’t read from a Teleprompter, has zero qualifications to be President, knows nothing about history or the world, and manufactured her entire bio beside the point? Not worth mentioning? Not worth mentioning that the actual Democratic platform vies with Big Brother in its fascist dreams? I would vote for a black woman over Trump in a second if she ran on a better platform than his and was impressive in any way, but she didn’t and wasn’t. And if Trump is a racist, why did so many Blacks and Hispanics just vote for him? He just won more minority votes than Dole, McCain, or Romney, so were those guys more racist and Nazified than Trump? If so, the Guardian forgot to tell us back then. Also amusing that these minorities had a candidate to vote for that was both Brown and Black, at least according to the fake bios, but for some reason decided to vote for a racist Nazi. But I guess that according to the Guardian those voters are just ignorant garbage. I suggest the Dems keep calling them that, since it is a great way to win them back in 2026. Besides, Trump was never impeached, since it takes both houses of Congress to impeach and the whole thing in the House was staged anyway as part of the Jan. 6 script. And the “convicted felon” nonsense is more CIA theater, as the agents at the Guardian are well aware. The fake convictions come out of dummy courts, just as the news and these editorials comes out of dummy editorial offices and puppet editors.

This maundering from the Guardian is just more sad death-throes level stuff like we saw recently with the Washington Post, as it ate its own last arms and legs off in a final orgy of autophagy. The editors at the Post were the last people on Earth that read the editorials at the Guardian, and vice versa, so that circle is now broken. The gyre cannot hold.

You know who else died yesterday? “Gold standard” pollster Anne Selzer, who gave Harris a lead of 3 in Iowa the day before the election. Trump won by 13.3 a day later, so we have to wonder who she polled, to be off by 16 points just one day out. We can only suppose the DNC paid her off, but how does Selzer plan to pay the rent after she spends that money?

We see the same miscalculation from Hollywood and the music industry, which continues to sign its own pink slip (with the emphasis on pink, by two separate meanings). We are waiting for these people to just drink their Drano and move to Canada, as promised, but instead they keep yapping. Bette Midler actually quoted H. L. Mencken today, which is rich considering that the only people he thought less of than politicians were movie stars. Bette seems to have missed the bottom line here: the endorsement of Hollywood backfired, not because most people love Trump, but because the Dem platform and campaign was such a trainwreck. A scripted trainwreck, as I have argued. It’s possible these Hollywood endorsements were also scripted to fail, with CIA knowing they would fail, since the endorsements only seem to come from actors and musicians that are on the edge of the grave or otherwise retired. They have no careers and need the money, I guess. The endorsements seemed scripted to fail due to the exclamatory and accusing form of them. For an endorsement to work, it has to be a sweet friend-to-friend endorsement, but these were all scolding, holier-than-thou dictats or hand-wringing, tear-drenched pleas or outright threats that just reminded us of how they treated us during Covid. Arnold: Screw your freedom, peasant, put on a mask, get your vaccine, and vote the way I tell you to, or we will doxx you as an anti-Semite, sexist, Nazi piece of garbage! Aniston: Get vaccinated and vote for my candidate or I will unfriend you and tell everyone we are on a permanent break! Fine by me, Rachel.

Still, I see it as a crushing miscalculation on the part of the stars, since even if is just another acting job for them, they are destroying their legacies. Midler has no real legacy, but some of them like Streep and Deniro do. Did. They just blew all the goodwill they had saved up from decades of extreme promotion. All for nothing, since Harris wasn’t scripted to win no matter what they did. Surely they knew that going in? It is almost impossible to believe they don’t know what they are a part of.

My belief is that they do know it, but don’t believe in legacies. They figure they will soon be wormfood, so what’s the difference? The important thing is to remain part of the vaudeville right up to the heart attack, and the CIA needs to continue to create division over the next four years. Trump’s election wasn’t the end of anything or the beginning of anything new, and to keep the final accounting from coming due for the Phoenicians, Project Chaos has to be kept at 11. Meaning, to explain Trump’s inability to get anything done re draining the swamp, the CIA will have to manufacture four more years of fear, hysteria, inertia, fake news, and false crisis, and to achieve that the Dems and all their sorry actors on both sides of the pond will have to be kept at top volume, chanting Nazi, racist, sexist, rapist, felon, anti-Semitic, supremacist, garbage, insurrection, etc.

But regardless of whether the stars are dupes or hires, the fact remains they just cashed it all in with the Dems and the mainstream press. So they can’t be used by the propagandists anymore, either. They are all part of the old Mighty Wurlitzer that just got eaten by termites. We are all now deaf to that old organ-grinding.

How long can CIA/MI6 continue to spin out a fake history and present no one believes in? I really don’t know, but if they try to start a big new war to paper over all their other failures, as they have done so many times before, I think we will find out. That sort of patriotism is extinct, and I don’t see anyone showing up for their war. This ain’t 1941, or even 1955.

There is also this to consider: CIA has to take into account not just the optical landslide they just created, they have to take into account the reality on the ground, which they just covered up. They have to take into account the real numbers, which are no doubt frightening to them. This populist platform Trump is heading is the biggest thing since Reagan, and I think it is far bigger since it includes not only the Christian, moral majority angle, but an anti-war platform that is very un-Reagan, and an anti-Pharma platform (with RFK) that is completely unprecedented. No doubt CIA will answer that those are just empty promises, and don’t even have to be taken into consideration. Except that those issues are now on the table and people won’t forget that. The last thing the rulers need to be doing right now is teasing a vicious and rabid dog they have previously beaten. If they had no intention of keeping any of these promises, they shouldn’t have made them, since that is guaranteed to introduce more instability into a system already wildly out of balance.

[Another reason I suspect this has all been fudged to hide the extent of it is that it looks like total voter turnout is being vastly underreported. Remember, they faked Biden’s number up to 81 million in 2020, supposedly the greatest number ever received, now a big joke. That made Biden seem very popular to some people on ventilators who weren’t paying attention. Yesterday we saw just the opposite, as Trump’s number is being held down so far to around 72 million, less than he got in 2020, though then he only got 47% of the total. That would imply far lower voter turnout totals from the States, except that that isn’t what the States are reporting. Michigan has already reported the greatest turnout in recent history, though we have to hear about it from a Russian site. As usual, the rest of the world gets better intel about our elections than we do. Voter turnout isn’t being reported to hide just how big the statement was yesterday, preventing it from being seen as a mandate, or worse as the cry of a revolution.]

This all goes to say that the current cycle may look like a small step back to sanity, but it is very unlikely it actually is. I think it may be from the point of view of citizens fighting back, but not from the point of view of the governors getting the message. I see the new regime failing not because Trump is a Nazi or because the stated Republican platform is reactionary, but for far larger reasons, the main one being that it is nearly impossible to believe the Phoenicians have learned anything or that they have suddenly become the tiniest bit more benevolent, or the tiniest bit less malevolent. All other compass readings are pointing in the opposite direction.

Such as? They are calling Trump “The Phoenix” for his big comeback. Yeah, not a good sign. Plus, if the rulers had any intention of allowing Trump’s populism to come to any sort of fruition, they would not be squelching it already by misreporting of numbers. If the deep state was really promoting or allowing Trump’s platform as a corrective, and not just Trump the actor as a sedative, they would have no reason to downplay the voter turnout, the landslide, the numbers, or the celebration.

You will say I am raining on your parade just like the black guy at Fox, but I don’t intend to. I am on your side here. Go ahead and celebrate. I did. I whooped it up a little last night, as a form of release. I could feel the people waking up one way or the other. But you have to follow through this time, demanding that Trump and the rest deliver on their promises. When he and his new Health Czar RFK and Congress refuse to prosecute Fauci, saying we have to let bygones be bygones, you have to raise hell. When he forgets to clean up all the conflicts of interest at FDA, CDC, NIH, and all the other regulatory agencies, you have to raise hell. When he lets Pfizer slide for mass murder, you have to raise hell. When he continues to send money and arms to Israel, you have to raise hell. When he continues to snorkel up the behinds of GoldmanSachs and the CIA and the Fed and WHO and WEF and the WorldBank, you have to raise hell. When he comes for your son or daughter for his new war, tell him to eat hraka.*

You have to keep better score, my friend. If your memory isn’t so good after the Covid/Vaccine thing, write it down somewhere. Use a real pen and a notebook: these facts will stick in your mind better if you have to use your hands and carry around physical objects. That is just how it works. You are a physical object yourself, you know. Also, stay off the drugs, especially the sedatives and the anti-anxieties. You actually need to keep your anger on a boil. It is there for a reason. Learn to use it. Don’t vent it on your wife or dog or fellow drivers, but save it for those who deserve it.

The rulers will never care what citizens think until the citizens make it necessary for them to care. The loss of Hollywood and the media puts them much closer to having to care, since they have lost a large part of their ability to fool you. Without that, they have to face your anger more directly, without the old means of deflection. Put in that position, they may have no choice but to respond to grievances. At that point it is much easier for them to give up some power than to use that power to fight their own people. Fighting your own people is expensive and time-consuming, and to be honest they are already maxxed out in that regard. Way beyond maxxed out. Way in a hole of their own making.

Walk with me a moment, rulers. How much do you spend each year fighting your own people? You will say nothing of your own, it all comes from taxes, so you are billing us for our own opposition. OK, that’s very clever, but since that level of taxation seems to be nearly sustainable, let me put it another way: what if you took that trillion or so a year you spend fighting your own people, and redirected it to other purposes? That trillion a year may not come out of your own pockets, but it isn’t going into your own pockets, either. Not like the military budget is, with defense contracts and so on. You will say, sure it is, via covert projects contracts. Faking events and all the rest. OK, but those projects aren’t as wildly profitable as defense, since although you may be faking the events, you aren’t faking the personnel. Intel takes huge personnel, and the costs are going into their salaries, not your pockets. Everything an agent makes, you don’t make, right? And since those agents just blew their own cover and broke their own Mighty Wurlitzer, they are now worse than useless. Everyone can now spot the 500-pound gorilla in the room, so his upkeep isn’t really worth your time anymore. He or she would be best re-assigned to some other project more useful to you, and if that new use isn’t making more profit, it should at least be making more stability for you. Operation Chaos was a pretty good money-maker at lower levels, but now that everything is chaos all the time and everyone’s cover has been blown, not so much. It is quickly becoming more trouble than it is worth.

So how could these agents be re-assigned to create greater stability? To see, let’s go back to the beginning. Why was CIA created in the first place? Well, mainly as an FBI-type treasury dip, spinning somewhat necessary foreign war-time covert operations into mostly unnecessary domestic peace-time operations. But also as a response to real worries that two centuries of skullduggery in the US would be exposed and the whole facade of wealth-creation would fall. So all enemies of “capital” needed to be tailed and harassed by an ever increasing system of spies. Of course this just created a second and larger web of skullduggery and lies, which then created another, which created another, and so on and on, until now the whole world is little more than a hierarchy of agents all spying on one another. Which means the entire edifice is little more than a joke: everyone is now so dirty that no one can be blackmailed for anything. When everyone is sleeping with someone else’s wife or husband, it is hard to threaten anyone with exposure. When all shame is fled, blackmail is impossible. So spycraft has destroyed itself in two ways, not just one.

That being the case, the danger is no longer that the populace will penetrate the secret of capital, it is that they will penetrate the secret of spycraft—that being that it is a total fraud, not worthy of any funding. Therefore, ending it would immediately create a massive double increase in stability, even without re-assigning a single agent. Something that no longer exists can’t be investigated for fraud. Or, it could be, but it won’t be. But even more goodwill—and thereby a sort of misdirection—could be achieved by re-assigning all those agents to a new and useful government project, say a massive arts/sciences/public works project. Some of them could also be assigned the project of rebuilding the mainstream media on logical principles, thereby recreating the trust that has been lost. My readers will say that seems unlikely, since they are already in control of the media: why would they become benevolent overnight? Well, they would become benevolent overnight because they were ordered to. Same reason they are malevolent now: they are ordered to be so. Perhaps they would prefer it otherwise. I assume they would prefer it otherwise, which would add yet another new layer to the stability.

I have proven art and science are in a derelict shape, requiring decades of rebuilding, and we have seen with all the train derailments, bridge collapses, and infrastructure meltdown that public works are also in need of massive help. A lot of agents seem to see themselves as failed artists of some kind or another, as I have shown you in many papers, and many of them would probably be happy to transition into more useful work.

For more than a century, modern western economies have been spending all their money on military, banking, and spycraft, which is money completely down the drain from the point of view of the greater society and thereby to any longterm stability for either the masses or the rulers. Which is precisely why society has been collapsing since WWII. Art and science were both destroyed to provide cover for banking, military and spycraft, dooming not only public works but everything else. It is exactly why we are where we are. But it is still and always easily reversible, since all it requires is a decision to go another way.

I will told art and science and public works aren’t as profitable as these other things, especially military, since they don’t burn the raw materials in such huge quantities. But maybe, just maybe, the point of civilization isn’t burning raw materials as fast as possible. Maybe it isn’t building an endless line of tanks and airplanes and armored vehicles that can rot on lots and tarmacs all over the country, never of any use to any real person. You will say the same could be said of art, except that people do pay to go to museums to see great art. They don’t pay to go to military bases and look at lines of armored vehicles rotting on the lots.

Besides, art, science, and public works DO use a lot of raw materials, and they would use a hell of a lot more if art and science weren’t nearly dead. My new theories and findings have opened up a whole new vista in physics, one with literally trillions of dollars of future profits and products. As just an opener, all physics, chemistry, and biology books now require a complete rewrite, which is an entire new economy by itself. Charge recycling by the nucleus also changes absolutely everything about medicine, especially regarding drug delivery in the cells. I have rewritten geophysics as well with charge recycling by the Earth and Solar System. I have destroyed Modernism, allowing for a new renaissance in painting and sculpture, another big economy. Poetry will also make a comeback in the near future, creating yet another small new economy. Classical architecture will make a similar comeback, creating a huge economy of new buildings and their decorations as people wake up, wash out their eyeballs, and realize that all the Modern buildings need to be scrapped as eyesores. So if you thought there were no jobs for our poor CIA agents on the out, think again. There will be so much innovation and rebuilding in the coming century there will hardly be enough people to do everything that needs to be done. And the best news is almost none of it can be done by computers. They will assist as they are assisting me write this paper, but that will be about the extent of it.

So what was the point of all that? The point was that if I were a billionaire Phoenician, the thing I would most want to buy right now is my own security, peace of mind, and stability. I would be looking around and saying to myself that as profitable as Project Chaos was, it was tiring. It was a lot of expenditure and effort to get more of what I already had in spades. And in a longterm profit/loss analysis, maybe it wasn’t such a great plan after all, since the profit has turned out to be empty and meaningless, while the losses have been staggering. Art? Gone. Science? Gone. Architecture? Gone. Environment? Gone. Beauty? Gone. Clean water, air and food? Gone. Goodwill? Gone. Stability? Gone. Mental well-being? Gone. Health? Gone. Happiness? Gone. Trust? Gone. Innocence? Gone. The future? Gone, since it has been mortgaged.

But for every problem there is a solution. You are always allowed to change your mind, and I am telling you that you need to change your mind.

Up next: the fake 4B movement.

*See Watership Down.

Une séquence « consensuelle » des événements liés au SARS – par Jim Haslam.

Voici l’article que je promets depuis des mois, une enquête journalistique monumentale menée par l’auteur. Il est le premier d’une série de quatre. Sauf demande expresse (un petit merci tous les cinq cents articles serait bienvenu), je ne promets rien pour les autres. Sa traduction m’a pris un temps considérable, sa lecture attentive vous prendra une ou plusieurs heures, voire des semaines si vous suivez les centaines de liens vers les références (en anglais) – un mot par lien, il faut donc cliquer sur chaque mot en bleu, même quand ils se suivent. Si vous vous lancez, vous verrez tout de suite que c’est plus qu’informatif, c’est passionnant – et ça répond à pas mal de questions, notamment: d’où venait cette obsession de la contagion asymptomatique?

Pour rappel, l’article précédent est un bon résumé et une bonne introduction, avec mise à jour. Il présente l’homme qui a créé le SARS-CoV-2, celui-ci la dame qui l’a laissé s’échapper. Le rasoir de Hanlon.

Probablement…

Source.


#1: Une séquence « consensuelle » des événements liés au SARS

Jusqu’au patient 0 de Wuhan

Jim Haslam

3 octobre 2022

Avertissement: ceci constitue évidemment une hypothèse sur la fuite accidentelle du laboratoire de Wuhan, et non une accusation. La présente série d’articles ne vise pas tant à débattre du fait qu’il s’agissait d’une « fuite de laboratoire », mais plutôt de « ce qui a fui ».

Ceci a pour but de répondre aux deux questions les plus importantes:

Le BSL4 situé dans la zone rurale de Wuhan

Pourquoi étudie-t-elle les coronavirus?

En ce matin d’octobre 2019, le Dr Danielle Anderson attend avec impatience de prendre le bus pour se rendre au nouveau laboratoire de l’Institut de Virologie de Wuhan (IVW). Elle savoure ce trajet d’une heure qui l’éloigne un peu du campus principal et de la bureaucratie de l’Académie des Sciences de Chine (ACS). Depuis quatre mois, les tests échouent, mais un nouveau colis FedEx l’attend, et le petit groupe de virologues qui ont travaillé sur ce projet mondial s’en réjouit.

Tout comme les virus qu’ils chassent, ce projet universitaire ne connaît pas de frontières, de nationalités et ne s’adresse même pas à une espèce particulière. Idéalement, il marque le début de la fin des événements de propagation de maladies zoonotiques, qui se sont récemment multipliés du fait que les diagnostics moléculaires, à la fin des années 1990, ont permis d’identifier des agents pathogènes inconnus, issus à la fois de voyageurs étrangers et d’animaux d’élevage domestiques.

Au cours de l’hiver 2002, un marché chinois de produits frais a été la source du SARS, tuant des centaines de personnes et nuisant à l’économie et à la réputation politique de la Chine. Le premier SARS se propagea dans un rayon de 800 km autour de Washington D.C., tuant des dizaines de personnes, tandis que les hôpitaux canadiens suspendaient leurs services non essentiels.

Les Américains firent la connaissance du Dr Anthony Fauci, qui évoqua devant le Congrès le risque de bioterrorisme, mais rassura les auditeurs paniqués de C-SPAN en leur expliquant que le SARS « était passé d’une espèce animale à l’humain » et qu’il n’y avait « aucune preuve […] d’ingénierie génétique ». Fauci expliqua que les virologues du NIAID se livraient à des « manipulations génétiques en vue d’obtenir uniquement des segments du virus susceptibles d’être utilisés dans un vaccin ».

L’épidémie de SARS prit fin à l’été 2003, mais Fauci finança un virologue de l’Université de Caroline du Nord (UNC) pour créer le premier clone infectieux (version créée en laboratoire) du SARS. Ce clone « servirait de modèle pour la manipulation du génome viral, ce qui permettrait de développer et de tester rapidement et rationnellement des candidats vaccins et thérapeutiques contre cet important agent pathogène humain ».

« En quelques années, ce clone pourrait conduire à un virus atténué – un virus vivant du SARS modifié pour qu’il ne soit plus mortel. Ce virus pourrait alors être utilisé pour créer un vaccin (animal) efficace. »

Ce « scientifique en costume » de 62 ans avait commencé à employer et à répéter sa phrase de l’après 11 septembre: « Le bioterrorisme n’est qu’une autre forme d’infection émergente et réémergente ». En 2003, lors de cette même interview sur C-SPAN, un interlocuteur lui demanda de démissionner, mais près de vingt ans plus tard, le « J. Edgar Hoover » de la biologie devint le bureaucrate le mieux payé, en raison de « son travail sur les activités de recherche en matière de biodéfense ».

Des milliards de dollars destinés à la recherche en matière de biodéfense allaient être versés par le Congrès au NIAID, qui se lança dans une frénésie de construction de laboratoires biologiques. Les fonds alloués à la recherche sur le SARS il y a deux décennies se poursuivront jusqu’en 2019, dont 44 millions de dollars provenant du NIAID de Fauci financent maintenant en partie les recherches de Danielle à Wuhan.

Pourquoi étudie-t-elle les virus des chauves-souris?

Dans les années 2000, Danielle a passé du temps en Amérique du Nord en tant que technicienne à Harvard, en tant que chercheuse postdoctorale en recherche animale au Canada, et même en tant que scientifique anti-dopage pour les Jeux olympiques d’hiver. En 2012, Danielle et son patron Linfa Wang, qui a fait ses études aux États-Unis, ont été recrutés dans le réseau de biodéfense du NIAID, en pleine expansion, par l’intermédiaire de la Duke University. Ils ont tous deux déménagé à Duke-Singapour, où un laboratoire animal BSL3 a été construit. Cette même année, le SARS fut classé comme agent sélectionné en raison de son utilisation potentielle en tant qu’arme biologique, ce qui, ironiquement, donna à l’UNC, l’université rivale de Duke, le monopole de la recherche sur le SARS.

En 2014, le MERS émanant de chameaux du Moyen-Orient fit son entrée aux États-Unis et en Chine. Le laboratoire de Rocky Mountain (RML) de Fauci entreprit alors le développement d’un vaccin pour les chameaux du Moyen-Orient et de l’Extrême-Orient. Fauci expliqua que le NIAID avait développé un vaccin humain pour presque toutes les épidémies telles que le MERS, mais que les sociétés pharmaceutiques ne disposaient pas d’un marché viable, et que l’idée était donc de vacciner les chameaux pour protéger les gens.

Réservoir = chauves-souris. Espèces intermédiaires = civette cochon chameau

À peu près à la même époque, l’intérêt pour les virus des chauves-souris s’est accru et, en 2017, des virologues ont lancé le projet du génome des chauves-souris. En 2018, les chauves-souris ont fait la une et en 2019, en raison de la baisse du coût de la technologie de séquençage de nouvelle génération (NGS) et de l’augmentation des échantillonnages dans les grottes de chauves-souris, les virologues ont attribué, à tort ou à raison (voire de manière comique), tous ces événements mondiaux aux chauves-souris.

La biosécurité du porc et de la volaille est une question de sécurité nationale pour les États-Unis et la Chine

La production de viande en Chine dépendait autrefois de petites exploitations rurales, mais aujourd’hui celles-ci ne peuvent pas satisfaire aux normes de biosécurité modernes (filets anti-oiseaux, toits, bottes, etc.). On pense que des vaccins illicites sont à l’origine d’infections accidentelles des porcs, ce qui a entraîné une hausse des prix de la viande porcine. La consommation a également triplé au cours des deux dernières décennies et a subi de graves revers causés par des maladies.

En 2013, un coronavirus similaire à 99% à une souche chinoise a dérivé d’un vaccin porcin local et a anéanti 10% de la production porcine américaine. En 2016-17, un virus de chauve-souris semblable à celui du SARS a été accusé d’avoir infecté des élevages de porcs en Chine, où la sécurité alimentaire est une question de sécurité nationale. Le chien que vous preniez pour un renifleur de drogue à l’aéroport international était en fait à la recherche de viande de porc clandestine.

Début 2019, des virologues américains se sont rendus dans un centre de recherche vétérinaire chinois. Les deux plus grands producteurs de porc et de volaille au monde se sont rencontrés pour discuter de la « lutte contre les maladies infectieuses et du renforcement de la coopération entre la Chine et les États-Unis » (c’est-à-dire la CAS – l’Académie des Sciences chinoise – et la NAS – l’Académie des Sciences américaine).

  • Peut-on « prédire » et intervenir pour empêcher les transferts de virus? Un « site de clivage » a été identifié pour l’émergence d’une maladie aviaire chez une nouvelle espèce.
  • Peut-on utiliser la « conception délibérée » pour créer de nouveaux vaccins pour les animaux? Oui, mais il peut y avoir des « conséquences imprévues ».

Lors de leur réunion, les plus grands producteurs de porc et de volaille ont pris une décision: l’abattage n’est pas la solution, « ce qui a conduit à la décision d’entreprendre une vaccination (de masse) ». Le directeur du CDC chinois note que ses scientifiques sont « relativement novices dans ce domaine ».

Depuis des décennies, les scientifiques occidentaux bombardent les espèces intermédiaires sauvages d’appétissants appâts vaccinaux. Ils ont utilisé des avions le long de la frontière mexicaine, des hélicoptères au-dessus des montagnes et ont même largué des têtes de poulet au-dessus de l’Europe. Tout cela dans le but de débarrasser le monde occidental de la rage, qui a pour origine les chauves-souris, mais qui tue encore 50 000 personnes dans le monde, dans des régions reculées des pays en développement. La méthode d’administration aérienne du vaccin s’est montrée efficace mais coûteuse, et les chauves-souris chinoises sont des mangeuses exigeantes, de sorte que les appâts ne sont pas efficaces.

Pourquoi est-elle à Wuhan?

Nous sommes encore devant une culture asiatique qui veut « sauver la face » et qui porte des masques en dehors de toute obligation. Depuis l’ouverture de ce tout nouveau BSL4 en 2017, Danielle n’a jamais porté de masque à Wuhan. Comme le NIAID de Fauci, la CAS a connu après le SARS un boom de la construction de laboratoires biologiques, et celui-ci est un laboratoire spécialement construit dans une optique de collaboration internationale. Il sert de centre de formation entre l’Est et l’Ouest, et c’est une autre matinée de routine qui s’annonce pour la seule Occidentale de ce laboratoire oriental.

Dani à l’extérieur de la CAS dans le centre de Wuhan 2017-19

Ses collègues l’appellent « Dani », une « grande fille célibataire d’Australie aux yeux perçants », âgée de 40 ans. Elle est une invitée spéciale de la CAS et une « scientifique invitée non rémunérée lors de courts séjours réguliers » à l’IVW depuis son laboratoire de Duke à Singapour. Son CV déclare fièrement que « mes recherches visent à identifier les facteurs de l’hôte importants pour… la réplication des coronavirus » et que « j’ai une grande expérience de la conception d’expériences sur les animaux avec… les chauves-souris ». Elle est probablement la seule technicienne de Wuhan formée à l’utilisation du BSL4 et qualifiée pour ce test immunologique spécialisé sur les chauves-souris. Plus important encore, Dani est un membre de l’équipe en qui l’on fait confiance de part et d’autre du monde.

Combinaisons à pression positive pour BSL4

Elle passe le contrôle de sécurité de l’IWV en vérifiant sa température corporelle, remplace son téléphone portable par un casque d’écoute et se met « en tenue ». Elle relie sa combinaison à pression positive à un cordon ombilical d’air frais et entre dans une salle à pression négative, remplie de ce qui fait vraiment la particularité de ce laboratoire BSL4: pas de singes, pas d’armes biologiques, pas d’APL, pas de RaTG13, pas de gain de fonction, pas de remdesivir, pas de souris humanisées, juste un grand nombre de cages à chauves-souris individualisées.

Dani marche ensuite comme un cosmonaute, passant devant les nombreuses chauves-souris qui vivent en colonies qui ont grandi en captivité, pour entrer dans la salle n°3. Cette salle spéciale abrite un groupe particulier de chauves-souris capturées à l’état sauvage dans une grotte chinoise isolée, à 1 600 km au sud-ouest de Wuhan.

Pour le projet de Dani, ce sont les chauves-souris, et non les échantillons de chauves-souris, qui sont les plus intéressants.

Elle tente de « mieux comprendre l’infection asymptomatique des chauves-souris par des virus hautement mortels chez d’autres mammifères ». Elle applique la même technologie NGS que celle utilisée pour détecter les agents pathogènes chez l’homme, mais pour les chauves-souris, en mesurant l’excrétion des coronavirus et l’efficacité des vaccins.

Laboratoire d’aérosols de niveau BSL4

Que fait-elle dans le BSL4?

La procédure est simple, car la plupart des travaux de recherche et développement ont déjà été réalisés au fil des ans. Il suffit de prendre une aiguille pour une simple injection à l’une des nombreuses chauves-souris sauvages qui volent autour d’elle. La pièce est « suffisamment grande » pour permettre aux chauves-souris de voler en conservant une température corporelle élevée, mais suffisamment petite pour permettre une expérience contrôlée. Dani veut évaluer si ce virus de chauve-souris particulier se propagerait par voie orale parmi les quelques douzaines de chauves-souris vivantes gardées à l’intérieur de cette grotte de chauve-souris simulée. Les premiers prototypes avaient réussi à inoculer cette espèce de chauve-souris, mais ne s’étaient pas propagés comme prévu aux autres chauves-souris.

Essai de vaccin contagieux en aérosol sur des chauves-souris chinoises nécessitant un niveau de sécurité de type BSL4

Cette nouvelle approche de la vaccination animale est moins coûteuse que la livraison aérienne d’appâts, mais elle n’a pas fait ses preuves et elle est radicale.

Elle « repose sur l’insertion d’un petit morceau du génome de l’agent infectieux dans un virus bénin qui se propage naturellement dans la population animale. En se propageant d’un animal à l’autre, ce vaccin transmissible les immunise contre la maladie infectieuse cible, ce qui augmente considérablement l’immunité au sein de la population animale et réduit le risque de contagion à l’homme. »

Les minuscules chauves-souris chinoises vivent naturellement dans des forêts denses et des grottes profondes sur des falaises abruptes, et sont donc idéales pour un essai de vaccin animal contagieux. Ce type de vaccin autogène pour les chauves-souris ne nécessite pas d’équipement de terrain coûteux dans les zones reculées.

Protéine de pointe de type SARS pour les vaccins animaux et humains

Le « petit morceau » est une protéine de pointe modifiée, qui constitue une bonne cible pour les vaccins humains et animaux tels que « le chameau ou la chauve-souris« . Pour le MERS, la protéine de pointe a été injectée directement dans l’espèce intermédiaire des chameaux, qui sont plus faciles à attraper que les chauves-souris. Pour le SARS, la protéine de pointe du coronavirus a été insérée sans faille dans un virus régional de chauve-souris. La population locale de chauves-souris produirait désormais des anticorps contre cette souche à haut risque et ne la propagerait donc pas sur les marchés locaux ou dans les élevages de porcs.

L’expérience de Dani s’appelle le renforcement immunitaire ciblé à l’aide d’un virus de chauve-souris synthétisé. Le concept initial avait bien fonctionné chez les « chauves-souris » du Nouveau Monde dans les laboratoires du Nouveau Monde. Il s’agit maintenant d’une autre expérience in vivo (latin pour « dans le vivant ») pour les chauves-souris de l’Ancien Monde dans ce laboratoire de l’Ancien Monde.

Joue-t-elle avec un virus ou un vaccin?

Fauci l’appelle à juste titre Dual Use Research of Concern (DURC) [NdT. « recherche à double usage préoccupante » ou « d’intérêt » – pas de traduction officielle]. Au cours des deux dernières décennies, l’accent a été mis sur One Health [la santé de tous], les animaux étant responsables de 75% des « menaces infectieuses pour l’homme ». Pouvons-nous arrêter la maladie là où elle se trouve avant qu’elle ne se propage à l’homme? L’idée est de « garder la maladie dans les chauves-souris… et dans les oiseaux en Chine ».

  • Un vaccin pour les chauves-souris? L’armée américaine et même l’USGS ont étudié les vaccins pour chauves-souris.
    • Le NIAID a breveté le concept de protéine de pointe en 2016 avec un test au RML en 2018 concluant « qu’il serait intéressant de réaliser une étude expérimentale d’inoculation en utilisant des rhinolophes chinois. »
  • Question d’argent? Économiquement, les vaccins pour animaux bénéficiaient de marges plus élevées et de promotions avant le Covid et la santé des chauves-souris est un gros enjeu qui génère beaucoup d’emplois.
  • Un gaspillage d’argent? Bien sûr, mais le NIAID a également financé un vaccin pour chevaux australiens contre le virus de la chauve-souris Hendra, qui a tué 7 personnes. Ce vaccin a été testé dans un laboratoire BSL4 étranger par Linfa, le patron de Dani [NdT. voir ici].
    • Ironiquement, même les chevaux ont été représentés par des avocats dans un recours collectif de 53 millions de dollars en 2018 pour des effets secondaires néfastes, de sorte que le NIAID en 2019 s’est mis à lancer l’idée d’un « vaccin pour les chauves-souris afin de contrôler la transmission (de la maladie) ».
  • Pourquoi les chauves-souris? Elles sont le nouveau rat de laboratoire qui ne dispose pas d’avocats, d’essais contrôlés randomisés, de licences, de protection de la PETA ou d’approbations de la FDA comme nous, les humains, qui nécessitent 15 à 20 ans pour l’approbation d’un vaccin, tandis qu’il faut 2 à 5 ans pour les animaux.
Linfa, le patron de Dani, à la Duke de Singapour
  • Stimulation immunitaire ciblée? Pensez à l’immunothérapie sur un modèle mammifère (stimulation immunitaire in vivo), qui est une recherche de pointe avec de vastes applications. « La chauve-souris et l’homme étant tous deux des mammifères, tout ce que nous découvrirons chez la chauve-souris pourra s’appliquer à l’homme. »
  • Pourquoi le SARS? Pour cette région géographique du monde, le SARS fait partie de la catégorie « inconnu connu » et cette séquence de chauve-souris « consensuelle » peut provoquer une infection humaine.
  • Pourquoi maintenant? La colonie de chauves-souris vivantes sera mise en hibernation à la fin du mois d’octobre.
  • Pourquoi ici? Ce test d’aérosol infectieux nécessite un BSL4 avec une colonie de chauves-souris chinoises vivantes et Wuhan est le seul laboratoire au monde à disposer d’une colonie de chauves-souris chinoises vivantes.
    • Ironiquement, le CDC américain n’a pas autorisé l’importation de cette espèce de chauve-souris étrangère, si bien que Fauci a déclaré: « Il faut aller là où ça se passe ».
Les chauves-souris chinoises se perchent dans des grottes profondes situées sur des montagnes escarpées.
  • Pourquoi l’avoir conçu pour qu’il soit si contagieux? C’est le moyen le plus économique (« gratuit ») d’atteindre les millions de chauves-souris qui se cachent dans des grottes étroites et profondes sur des falaises montagneuses escarpées (R0>1).
  • Trop science-fictionnesque? Une conférence TED sur l’autodiffusion des vaccins pour chauves-souris et TWiV [This Week in Virology] comparant le concept de contagion à la transmission (accidentelle) d’homme à homme avec le VPO [vaccin antipoliomyélitique oral].
  • En 2019, les NIH ont financé une étude sur la transmission contagieuse des vaccins.

La transmission vaccinale est un concept relativement nouveau, avec peu d’exemples, de sorte que la possibilité d’une évolution de la transmission dans le temps n’a guère été envisagée. Le vaccin antipoliomyélitique oral (VPO) est peut-être le cas le mieux documenté de transmission vaccinale.

  • Une transmissibilité élevée et une virulence faible, ça vous dit quelque chose?

Un vaccin qui se propage comme un virus?

Dani expérimente un virus synthétique de chauve-souris chinoise conçu pour sembler naturel à l’espèce locale de chauve-souris chinoise. En tant qu’immunologiste des chauves-souris, elle essaie de tromper le système immunitaire des chauves-souris pour qu’il le reconnaisse, l’accepte et crée des anticorps contre lui. Il s’agit d’un vaccin conçu pour « éloigner » les virus de type chauve-souris des virus de type humain. Il s’agit d’un coronavirus conçu pour être stable et refléter la souche locale circulant parmi les espèces locales de chauves-souris.

  • Quel type de vaccin auto-diffusant? Un vaccin transmissible atténué (affaibli). C’est l’arme à double tranchant d’un vaccin vivant atténué (VVA).
    • Ce vaccin est idéal pour les animaux mais n’a jamais été approuvé pour les humains en raison du risque de « retour à la virulence« .
  • Ce prototype permet de vacciner quoi? Par exemple la chauve-souris Banal du Laos (échantillon #2 ci-dessous) collectée par l’armée américaine en 2017.

Ce vaccin de haute technologie est conçu pour se propager comme un virus dans l’air, d’un poumon de chauve-souris à l’autre; transmission orale de chauve-souris à chauve-souris par aérosol. Ce vaccin est conçu pour infecter le plus proche mammifère hôte par le biais de la mauvaise haleine de chauve-souris, le plus rapidement possible et en grande quantité. Ce vaccin est même conçu pour réinfecter son hôte mammifère (on parle de « surinfection » ou de « boosters« ) afin de vaincre toute immunité naturelle.

  • Pourquoi? Pour que le vaccin puisse continuer à se propager et à se disséminer!

Ce prototype est conçu pour rester en suspension dans l’air de la grotte de la chauve-souris (le laboratoire) pendant des heures. Dani, dans sa combinaison spatiale, a peut-être remarqué que ce tout nouveau prototype est un excellent super-propagateur dans les minuscules poumons de la chauve-souris mammifère. Ce prototype est une réussite puisque tandis qu’il inocule une chauve-souris, il peut avoir commencé à se propager oralement aux autres chauves-souris dans l’air du laboratoire.

Comment un vaccin pour chauves-souris a-t-il pu provoquer le Covid-19?

Il s’est alors passé quelque chose de grave qui n’a pas été documenté, puisque son expérience était confinée en toute sécurité à l’intérieur de cette pièce, mais qu’elle est sortie accidentellement à l’extérieur. Peut-être qu’une aiguille a perforé sa main alors qu’elle essayait de manipuler la minuscule chauve-souris sauvage, transformant ses poumons humains en un super-propagateur. La plupart des laboratoires n’imposent pas une règle de sécurité à deux personnes, mais utilisent des casques et des caméras de surveillance pour contrôler les techniciens; d’autres laboratoires exigent la présence de deux personnes lors de l’utilisation d’aiguilles.

Dani et son collègue à l’intérieur du BSL4 de Wuhan

Quelques semaines plus tôt, en septembre 2019, le directeur de l’IVW se plaignait du manque de fonds pour l’entretien. Peut-être y a-t-il eu une panne d’électricité, une perte de pression d’air négative, une défaillance du ruban adhésif scellant la porte, une chauve-souris qui lui a éternué sur le visage, a mordu et fait un trou dans sa combinaison spatiale, un passage aux toilettes, qui sait? Dani ne le sait peut-être pas, car ce prototype a été conçu pour se propager de manière asymptomatique parmi ses hôtes mammifères.

Image vidéo du BSL4 de Wuhan

Comme tout bon vaccin animal auto-diffusant, il est conçu pour échapper à la réponse immunitaire de l’animal (par exemple en utilisant Nsp1 Orf6 Orf8, etc.), car toute immunité préexistante contre le vecteur vaccinal ralentira la propagation du vaccin. Il existe une probabilité de 5 à 15% que l’échappement n’ait même pas été détecté.

Le BSL4 (Zhengdian) est situé à 25 km au sud des quartiers d’habitation du centre-ville.

La garde de Dani se termine par une douche chimique et personnelle. Elle a pris son téléphone portable, a passé un contrôle de température et est repassée par le service de sécurité de l’IVW. La plupart de ses collègues travaillaient sur différents projets, d’autres s’occupaient de leurs comptes Weibo. Ils sont tous remontés dans le bus bondé de Wuhan pour parcourir les 25 kilomètres qui les séparaient de leurs quartiers d’habitation au centre-ville, et ont probablement changé le cours de l’histoire de l’humanité.

Le dortoir du WIBP, situé dans le centre-ville et destiné aux techniciens du BSL4, a été l’épicentre de l’épidémie de Wuhan.

Quelques jours plus tard, le BSL4 était confiné, quelques semaines plus tard, c’était au tour de la ville de Wuhan d’être confinée, et quelques mois plus tard, c’était au tour du monde entier. Ce vaccin contagieux contre les chauves-souris, ironiquement conçu pour prévenir la propagation du SARS, s’était répandu dans la population humaine à la suite d’un essai vaccinal sur des animaux qui a mal tourné.

Les voies dans lesquelles les réponses immunitaires des chauves-souris diffèrent de celles des humains sont mises en évidence par l’icône de la chauve-souris (c’est-à-dire qu’elles ne sont pas si différentes).

Biologiquement impossible? Ce qui est considéré comme un oiseau malpropre est en fait un mammifère à fourrure aux longs bras, dont le système immunitaire est plus proche de celui de l’homme que celui de la souris de laboratoire.

L’homme et la chauve-souris ont tous deux des furines, des cellules B et T à mémoire, et un « tissu respiratoire » dont l’ACE2 est similaire.

Malheureusement, les expériences in vitro (en éprouvette) du laboratoire du Nouveau Monde ont été réalisées sur des lignées de cellules de voies respiratoires de primates et d’humains, faute de cellules de chauves-souris de l’Ancien Monde.

Cela s’est-il déjà produit?

Une fuite dans un laboratoire de l’Extrême-Orient a conduit à la pandémie de grippe de 1977. Un an plus tard, la variole a fui par un conduit d’air d’une pièce adjacente, tuant un photographe anglais. En 2004, le SARS a fait l’objet de quatre fuites, dont une provenant d’un laboratoire de Pékin qui a tué la mère du technicien. La même année, une scientifique russe, financée par les États-Unis, est décédée après s’être piquée avec l’aiguille d’un vaccin contre Ebola.

Il a été prouvé que les vaccins pour animaux peuvent occasionnellement provoquer des infections humaines. En 1978, un vaccin pour chats s’est répandu dans le monde entier chez les chiens, à la suite d’un mélange de cellules félines et canines provenant d’un laboratoire. À 2 600 km au nord-ouest de Wuhan, exactement à la même date en 2019, une usine de vaccins pour animaux a infecté des milliers de résidents locaux. La plupart de ces événements dangereux étaient localisés ou concernaient des vaccins traditionnels.

Vaccins animaux auto-diffusants

En 1995, un calicivirus mortel pour les lapins s’est échappé d’une île australienne isolée et s’est ensuite propagé à la Nouvelle-Zélande. En 2001, le premier essai de vaccin auto-diffusant sur une minuscule île à lapins a fonctionné, mais la technologie de l’époque ne s’est pas bien répandue. Le vétérinaire a noté que « les vaccins transmissibles n’avaient pas suscité beaucoup d’intérêt de la part des sociétés pharmaceutiques parce qu’ils ne semblaient pas rentables ».

« Développer d’abord, expliquer ensuite« 

En 2016, les universités occidentales et les gouvernements occidentaux ont manifesté un regain d’intérêt pour les très controversés vaccins auto-diffusants. Par exemple, un vaccin contre la rage transmissible aux chauves-souris a suscité de l’intérêt. On a émis l’hypothèse que les vaccins auto-diffusants « pourraient muter » ou « sauter d’une espèce à l’autre ». Cet essai du laboratoire de Wuhan était un programme de vaccination contre une maladie similaire au SARS chez les chauves-souris, naturellement présentes dans les grottes rurales chinoises, une maladie qui aujourd’hui ravage malheureusement les populations humaines urbaines dans le monde entier.

Vaccins transmissibles pour les réservoirs animaux éloignés

Les chauves-souris sont des mammifères sociaux, tout comme nous, les humains terrestres. Chaque jour, nous nous rendons au travail en quête de nourriture dans des marchés (secs) bondés, nous attrapons le virus, puis nous rentrons chez nous pour nous « percher » dans nos cavernes humaines et propager ce vaccin.

Comment en est-on arrivé là?

Dans le passé, les gouvernements abattaient les espèces infectées, mais ces dernières années, des protestations massives se sont élevées contre l’abattage massif, dont certaines se sont même retrouvées sur les terrains de basket-ball de la NBA. La réponse logique était donc de vacciner les chauves-souris, le réservoir animal de la plupart des maladies infectieuses émergentes dans le monde.

Il ne s’agit pas d’un acte malveillant de la part de qui que ce soit, mais d’un accident tragique. Il s’agit d’une conséquence involontaire de 2 à 3 décennies de vaccins pour animaux sauvages combinés à la révolution moderne de la biologie synthétique et de la vaccinologie. La génomique virale synthétique a permis l’ingénierie « sans faille » d’un vaccin auto-diffusant. Cette biotechnologie « No See’m » [NdT. au départ, le nom de mouches piqueuses presque invisibles; en biologie, c’est un procédé de modification du génome qui ne laisse pas de trace d’intervention humaine] n’a pas été utilisée pour brouiller le débat sur l’origine en laboratoire, mais pour faire croire au système immunitaire d’un animal que ce virus était naturel et local, et donc plus susceptible d’infecter l’espèce locale de chauve-souris. Les virologues ont créé une souche chinoise pour les chauves-souris chinoises.

De la R01 du NIAID, au partage d’échantillons de chauves-souris chinoises avec l’UNC et le RML de Fauci

CoV, FVs ou henipavirus. Bien que la plupart des virus d’origine sauvage dont le potentiel de transmission ou la pathogénicité chez l’homme sont inconnus ne soient pas classés, nous utilisons le niveau de sécurité 3 pour l’isolement, et la culture cellulaire pour les agents pathogènes susceptibles d’être classés au niveau de sécurité 4 sera effectuée par l’institut collaborateur NEIDL. Pour faciliter cette opération, des échantillons en double dans un milieu de culture provenant d’animaux PCR +ve pour les FV et de parents très proches de NiV ou HeV seront expédiés au NEIDL (voir la lettre de soutien) pour la culture, la caractérisation et le partage avec d’autres agences approuvées, y compris les NIH Rocky Mountain Laboratories où Pl Daszak et Co-ls Barie ont des collaborations en cours. De même, certains échantillons en double d’animaux positifs à la PCR pour les CoV seront expédiés à l’UNC pour une caractérisation plus poussée par le co-investigateur Baric. Lorsque cela est possible et approprié, des possibilités de formation au NEIDL et à l’UNC pour le personnel du pays seront offertes, ce qui enrichira la collaboration pratique entre les sites.

Dans le cadre du débat sur les origines, quelques éminents virologues américains ont affirmé qu’il était possible que le virus provienne d’un laboratoire. « Bien sûr, les réponses à ces questions se trouvent en Chine », mais la proximité de l’IVW avec le foyer de Wuhan « pose un problème ». De leur côté, des virologues internationaux ont affirmé que l’IVW ne pouvait pas fabriquer ce type de virus. Il s’avère que les deux groupes avaient raison pour de mauvaises raisons; si un virus est conçu, l’endroit où il se répand dans la population humaine ne nous indique pas il a été conçu.

Réunion de haut niveau sur les vaccins du NIAID en 2018 à Wuhan, avec Shi, le RML de Fauci et des shorts!

Quelques mois plus tôt, des scientifiques du NIAID du Centre de Recherche sur les Vaccins s’étaient rendus à Wuhan pour un « échange scientifique ouvert et un partage de données entre la Chine et les États-Unis au bénéfice de la santé mondiale ». Les Français, qui ont construit le BSL4, se sont effacés lorsque l’IVW a signé une Lettre de Soutien en 2013 avec le NIAID, pour la collecte et le partage d’échantillons de chauves-souris. La même année, l’UTMB est devenu le centre de formation des techniciens de l’IVW et l’UNC a commencé la rétro-ingénierie des pathogènes chinois en 201516.

  • À des fins scientifiques ou de renseignement? « Les États-Unis maîtrisent très bien les deux ».
L’UTMB pointe du doigt l’UNC au début de l’année 2020. Retiré du projet final.

Pour prendre la mesure de la collaboration internationale sur ce projet, il faut savoir que « le courrier est rempli de petites enveloppes contenant des plasmides séchés sur du papier filtre que les scientifiques s’envoient régulièrement les uns aux autres ». Un échantillon de virus collecté dans une grotte de chauve-souris asiatique très éloignée peut être envoyé à un autre laboratoire américain très éloigné en vue d’une ingénierie interne. Un vaccin créé sur un continent peut être testé sur un autre, de Washington à Brisbane et au patron de Dani en 48 heures!

Le SARS2 est une séquence consensuelle de « plusieurs » échantillons de chauves-souris envoyés précédemment aux laboratoires du Nouveau Monde depuis le sud-ouest de la Chine et l’Asie du Sud-Est (n°5, 3, 2, 8, 9).

Des ATM (accords de transfert de matériel) ont été signés avec l’IVW « pour garantir le libre échange des réactifs nécessaires à des fins de recherche uniquement et entièrement soutenus par le NIH« . Des lettres de soutien du NIAID ont été signées par des contractants asiatiques pour « partager la technologie, les échantillons, les réactifs, les données et les résultats de la recherche », tous les échantillons de coronavirus étant « expédiés en Caroline du Nord pour une caractérisation plus poussée ». Une division internationale du travail et des connaissances institutionnelles a permis de créer cette biotechnologie étonnante, qui transcende les frontières nationales de la même manière que le virus se propage aujourd’hui.

Comment un virus de chauve-souris a parcouru 1 600 km (NIAID) et 2 600 km (DoD en 2017) depuis les grottes asiatiques jusqu’à l’IVW en passant par les laboratoires américains.

C’était une propagation directe de la chauve-souris à l’homme, à l’intérieur de l’IVW. Par conséquent, aucune espèce intermédiaire (à Wuhan) ne sera trouvée. Pour parier sur Fauci, il avait raison à 100% : « Si vous voulez parier de l’argent là-dessus, c’est une chauve-souris qui est impliquée ». Quelques années plus tôt, Fauci écrivait: « Dans une tournure d’événements improbable mais concevable, que se passerait-il si ce scientifique était infecté par le virus, ce qui entraînerait une épidémie et finirait par déclencher une pandémie? »

La frontière est floue, mais ce projet civil s’apparentait davantage à une expérience de foire scientifique universitaire qu’à un projet de biodéfense militaire. Ce projet impliquait plus d’abrutis que de barbouzes, travaillant pour l’USDA et non pour l’APL. La CAS a embauché des biologistes occidentaux pour cartographier les chauves-souris locales. La NAS comptait parmi ses membres des fonctionnaires chinois de haut niveau élus et se réunissait au moins une fois par an. Il existe un siècle de liens entre les universités médicales américaines et chinoises, qui remontent à 1835 et 1917. La collaboration de Fauci avec la Chine remonte à des « décennies« , commençant en 1983 pour être exact, juste un an avant que Fauci ne prenne la tête du NIAID.

Protocole d’accord entre les NIH et le CAS depuis 1983

Tout cela a été soutenu financièrement par le financement bipartisan (le SARS est la première maladie sur la première page) d’un « projet Manhattan » moderne. Personne n’enfreint les lois ou les réglementations, mais travaille simplement avec elles, puisqu’un « virus de chauve-souris » est exclu du champ d’application de la directive DURC. Et il y a un changement à une phrase qui date de 2017; les chauves-souris, contrairement aux souris, ne sont pas considérées comme un modèle « mammifère » dans le cadre d’une interdiction ou d’une réglementation de Gain de Fonction. Les vaccins autodiffusants ne sont même pas sur le radar de la réglementation.

C’est toujours la dissimulation, jamais le crime

Ce qui a commencé comme un vaccin animal contre le SARS est maintenant appelé SARS-CoV-2. Ce « virus » est en fait un vaccin pour les chauves-souris, un vaccin contagieux conçu pour les chauves-souris chinoises. Ce vaccin a été conçu pour un réservoir animal dont aucun d’entre nous ne connaissait l’existence, tout en utilisant une biotechnologie dont aucun d’entre nous n’a entendu parler. Ce vaccin a été développé par des virologues financés par le NIAID et testé par un contractant irréprochable du NIAID. Dani est elle-même une immunologiste spécialiste des chauves-souris de classe mondiale, qui travaillait au BSL4, au moment même où un vaccin aérosolisé de classe mondiale pour les chauves-souris en est sorti.

« Il existe un vieux dicton en science: on ne publie pas ses erreurs« , mais la création et la dissimulation n’étaient pas une erreur. Nous trouverons les coupables en restant maîtres de ce débat difficile. Des sources anonymes de l’OMS s’exprimeront après que des scientifiques auront proféré des menaces de mort. Des indices seront trouvés dans les entrailles ennuyeuses de la recherche universitaire, tandis que d’autres trouveront des informations non classifiées dans des dossiers classifiés. Utilisons le rasoir de Hanlon dans cette sordide histoire du SARS2: ne jamais attribuer à la malveillance ce qui s’explique de façon satisfaisante par la stupidité.

  • Une agence gouvernementale de santé ne dissimulerait jamais cette affaire? Un rappel vieux de 70, 50, 30 et 20 ans.

En substance, la Chine dissimulera la fuite du laboratoire tandis que les virologues américains dissimuleront ce qui a fui. Ironiquement, le « virus » lui-même deviendra le plus grand dénonciateur de l’histoire de l’humanité, se propageant de lui-même dans le monde entier, à la recherche de l’adresse de retour du colis FedEx ouvert plus tôt ce jour d’octobre.

Voici la deuxième partie [NdT. que je traduirai si vous êtes sages et si j’ai un feedback pour celle-ci], mais en attendant, Dani et collaborateurs, pouvons-nous consulter vos livres de laboratoire?

Whataboutisme? (« inside baseball »)

[NdT. Le whataboutisme est un sophisme qui consiste à répondre à un argument par un autre argument qui n’a rien à voir, pour faire diversion ou pour essayer de changer de sujet; en argot américain, l’expression « inside baseball » fait référence aux détails et aux rouages internes d’un système qui ne sont intéressants ou appréciés que par les experts, les initiés et les aficionados.]

  • Si l’on admet que le SARS2 est un vaccin pour animaux, rien de maléfique, bien des choses s’expliquent. Il est conçu pour être contagieux et transmissible à un réservoir animal éloigné (comme les chauves-souris) par les voies respiratoires supérieures d’un mammifère, dont la RBD est similaire à celle de l’homme.
  • D’après les courriels et les livres, moins d’une douzaine de virologues l’ont directement développé et étaient au courant de son existence, il est donc facile de taire un accident de R&D.
    • Les biologistes américains se sont entichés des chauves-souris (alias les chiots volants) pour leurs tests de vaccins.
    • Les virologues américains se sont entichés des chauves-souris en raison de leur incroyable système immunitaire.
    • Les fonds américains consacrés à la biodéfense se sont entichés des chauves-souris.
    • Le NIAID a budgété à lui seul près de 15 millions de dollars pour les chauves-souris en 2019, car elles sont le réservoir de nombreux virus tels que le SARS, l’Ebola, le Nipah, l’Hendra et le Marburg.
  • Créées par des virologues chinois? La suite plus loin, mais c’est biologiquement impossible. Il est biologiquement impossible de maintenir en vie une colonie de chauves-souris chinoises dans un laboratoire américain.
De la R01 du NIAID, au partage d’échantillons de chauves-souris chinoises avec l’UNC et le RML de Fauci
  • Créé par la Chine à partir de la biotechnologie américaine? Nous y reviendrons plus tard, mais c’est techniquement impossible en raison des connaissances « tacites« .
    • Le concierge avait besoin d’une habilitation de sécurité du FBI pour pénétrer dans les laboratoires américains utilisant des agents sélectionné (par exemple l’UNC). En 2012, l’UNC s’est vu accorder un monopole de fait sur la recherche sur le SARS en raison de son statut coûteux d’agent sélectionné. Les universités Penn Med et Iowa State ont cessé d’étudier le SARS mais soupçonnent tous deux qu’il y a eu ingénierie du SARS2.
    • L’UTMB, un laboratoire militaire américain de niveau de sécurité 4, a arrêté l’ingénierie du SARS en 2009, notant en 2021 qu' »en raison de la grande taille du génome du coronavirus (~30 000 nts) [nucléotides] et de plusieurs éléments toxiques, la manipulation du SARS2 n’est pas une tâche triviale et nécessite des méthodes sophistiquées »
    • Aucune collaboration n’a eu lieu entre l’IVW et l’UNC, qui ont gardé « obscures » leurs méthodes d’ingénierie et emploient des technologies très différentes.
    • Il n’existe pas de système de génétique inverse pour créer de nouvelle structure (SARS2) à l’IVW, ils ne peuvent que mélanger des protéines de pointe dans la « structure isolée existant de l’IVW1″.
    • Aucun clone infectieux n’a été développé pour créer le SARS2 à l’IVW avant 2020.
    • C’est un suicide professionnel que de partager la technologie des laboratoires occidentaux.
Henry et moi avons émis des hypothèses – comment ce site a-t-il pu apparaître à la frontière S1/S2 – je n’ose pas penser qu’il a été modifié – parmi les souches de MHV, le site de clivage n’augmente pas la pathogénicité alors qu’il affecte la voie d’entrée (surface vs endosome). Donc pour moi, la seule signification de ce site de furine est en tant que marqueur de l’origine du virus – il est effrayant de penser qu’il a pu être modifié.
  • L’animal de laboratoire utilisé pour développer un modèle de transmission pour un vaccin contre les coronavirus n’est pas publié. Nous ferons le point sur cette question dans un prochain article. De nombreux laboratoires sont concernés.
    • « Des modèles de transmission n’ont jamais été développés pour le SARS » qui « ne se réplique pas chez le cobaye, et la réplication chez le furet est limitée… De plus, les expériences de passage n’ont pas été rapportées, parce que les laboratoires de recherche ont concentré leurs études sur le modèle de la souris, qui reproduit plus précisément et plus fidèlement l’état de la maladie chez l’homme. En outre, personne n’a rapporté ou tenté de développer un modèle de transmission du SARS-CoV ».
  • Le SARS2 infecte le vison d’Amérique, que l’on trouve en Europe mais pas en Chine, et son cousin le furet est bien connu comme animal de laboratoire pour le GdF.
    • Ironiquement, les faucons américains de la biosécurité ont empêché en 2012 Fauci de publier les procédures d’aérosol de Fouchier pour les furets.
    • Lors de la téléconférence du 1er février 2020, Ron Fouchier a traité les virologues américains d’ « idiots » pour avoir prétendu que le SARS2 avait été conçu, probablement parce que le RML de Fauci est peuplé de protégés de Fouchier en matière d’aérosols.
  • Créé par les virologues australiens de Dani? Le Covid-19 n’infecte pas les kangourous.
    • Linfa a tenté en vain de maintenir en vie une colonie de chauves-souris chinoises dans un BSL4 australien.
    • Il n’existait pas de BSL4 dans le laboratoire de Dani à Singapour, qui fait partie du réseau régional de biodéfense du NIAID post-11 septembre. L’UNC, qui fait partie du réseau de biodéfense de Duke, a construit un BSL3 sur le campus, mais les chauves-souris vivantes et les maladies qui leur sont propres nécessitent un BSL4.
    • Dani, « la dernière et unique scientifique étrangère », a prétendu travailler sur Ebola, mais on ne trouve aucun article sur Ebola dans sa centaine de publications. Elle est spécialiste de l’immunologie des chauves-souris asiatiques et a mis au point un nouveau NGS pour détecter l’excrétion par les chauves-souris du « virus Nipah et des bétacoronavirus ».
    • Dani a isolé des virus Nipah chez des chauves-souris du Bangladesh au BSL4 du CSIRO, qui pourraient s’être manifestés dans le BSL4 de l’IVW.
    • En 2019, Dani et Linfa procèdent à un recoupement de la séquence « consensuelle » de l’UNC, un travail de type DARPA Defuse.
    • Selon Linfa, Duke est uniquement responsable de l’immunologie des chauves-souris, et non de la virologie.
DARPA Defuse montrant la Déclaration de travail sur l’immunologie de la chauve-souris à Duke
[NdT. lien mort, 404]
  • Si l’IVW connaissait le Banal du Laos, pourquoi ne pas l’avoir publié au lieu du casse-tête du RaTG13?
    • Dani fournit un chemin logique pour que le RBD du Banal-52 du Laos, collecté par l’armée américaine en 2017 et partiellement publié par l’UNC en 2018, se retrouve à Wuhan.
    • Plus d’informations à ce sujet dans un prochain article.
  • Est-ce que cela semble plus fou que l’hypothèse de la nourriture congelée proposée par Dani? L’immunologie des chauves-souris est une discipline hautement spécialisée. Un très petit groupe international de virologues partage des réactifs, des cellules de chauve-souris, des échantillons, des vaccins, etc. entre eux.
    • Linfa peut transférer des anticorps contre les maladies des chauves-souris en 48 heures depuis le NIAID à Washington D.C.
  • Qu’en est-il des singes? L’IVW n’est pas conçu pour les primates, mais pour les chauves-souris.
  • Arme biologique de Pékin? Il faut prendre cette affaire au sérieux. Ce n’est pas de la camelote chinoise.
    • Le Covid a un taux de survie de 99% et l’IVW est une « école de sécurité » selon une source de la DARPA.
  • Une arme biologique parce qu’elle échappe au système immunitaire? Les virologues occidentaux sont de vulgaires vétérinaires, zoologistes et immunologistes de la chauve-souris. Ils conçoivent des vaccins pour animaux afin de « moduler une réponse immunitaire chez un sujet sans effet délétère sur celui-ci ».
  • Des liens entre l’APL et l’IVW? De la désinformation sans aucune preuve. L’APL est encore à quatre mois de prendre le contrôle de l’IVW. Il s’agit d’un laboratoire civil qui collabore avec de nombreux virologues « intéressés » du NIAID.
  • Essais cliniques de vaccins humains en Chine? Personne n’aérosolise un vaccin humain puisque personne ne peut le facturer!
  • Les prélèvements d’organes du PCC utilisés pour la mise au point de vaccins? Le prélèvement d’organes a été impliqué dans la création du SARS2, mais pas comme on l’a supposé.
  • L’argent chinois? Le budget de la CAS s’élève à 15 milliards de dollars, contre 1,7 trillion de dollars pour le budget du Ministère de la santé et des services sociaux.
  • Par habitant, [le PIB de] la Chine = le Mexique, soit 12 000 dollars.
  • Le budget des NIH de 42 milliards de dollars est similaire à celui de l’armée sud-coréenne de 50 milliards de dollars.
  • L’argent des États-Unis est le « moteur de la science mondiale ».
  • Fauci, qui a fourni la moitié du financement mondial pour les maladies infectieuses émergentes (par exemple le SARS) qui peuvent « menacer l’économie et la sécurité politique des nations ».
L’UNC fait toute la virologie dans le cadre du programme DARPA Defuse [NdT. le lien est mort]
  • Le RaTG13? Une correspondance à 96% avec le SARS2 collecté dans un puits de mine chinois en 2013 avec le financement du NIAID.
    • L’IVW a partiellement téléchargé le 4991 en 2016 et un RaTG13 rebaptisé en 2018 (la base de données des NIH s’est assise dessus pendant 4 ans). L’IVW l’a donc téléchargé à nouveau (sur une autre base de données que celle des NIH) quelques jours avant le verrouillage des informations à Wuhan le 23 janvier.
  • Les mineurs morts de Mojiang? Probablement payés par l’USAID, mais signalés en 2014 et des décès liés aux rats, pas aux chauves-souris.
  • Quelle est la particularité des virus de chauves-souris? Ce sont les chauves-souris vivantes qui sont spéciales, l’endroit d’où provient le virus et le laboratoire où elles peuvent être étudiées, ce qui est beaucoup plus intéressant pour les virologues occidentaux (c.-à-d. $$$). Ça s’appelle stimulation immunitaire in vivo (chauves-souris vivantes) et c’est la nouvelle frontière de la virologie occidentale.
  • Le marché humide de Wuhan a-t-il été la source du SARS2? Aucun animal porteur du virus du SARS2 n’a été trouvé à cet endroit alors pourquoi le SARS2 est-il apparu à Wuhan?
    • Quelle est la particularité de Wuhan? On y trouve un laboratoire d’aérosols de niveau de sécurité 4 conçu pour ces fragiles chauves-souris chinoises!
      • Le nouveau laboratoire BSL3 n’est pas encore ouvert et les virus animaux en suspension dans l’air ne sont pas testés dans le laboratoire BSL2.
  • Ce qui a dérouté tout le monde (y compris l’UTMB), c’est que le NIAID de Fauci avait deux projets à Wuhan: l’un consistait à tester des échantillons de chauves-souris à partir de données publiques dans le BSL2 de Shi et l’autre était un projet de R&D sur les vaccins pour chauves-souris dans le BSL4 de Dani. Les deux projets s’imbriquaient parfaitement (même personnel dans la même ville, mêmes échantillons provenant des mêmes chauves-souris, etc.)

Serait-ce cet homme qui a créé le COVID-19 dans le laboratoire américain de Fauci? – par Will Jones.

Très probablement.

Voici une introduction très bien écrite et lisible à l’article de Jim Haslam que je promets depuis des mois et que je publierai juste après. L’hypothèse en est qu’il s’agit d’une fuite accidentelle. C’est tout à fait possible. Si c’est le cas, je me demande si ce ne serait pas encore plus inquiétant.


Serait-ce cet homme qui a créé le COVID-19 dans le laboratoire américain de Fauci?

par Will Jones

30 janvier 2024

Le virologue américain Ralph Baric a créé le virus SARS-CoV-2 du COVID-19 dans son laboratoire de l’université de Caroline du Nord, dans le cadre de ses travaux liés à la proposition de financement DEFUSE de 2018. Voilà l’histoire qui fait le tour de l’internet depuis quelques mois (et pas seulement dans les médias alternatifs) et qui semble très accablante pour Baric et ceux qui sont liés à ses recherches. Les détails du projet DEFUSE ont été divulgués pour la première fois par le major Joseph Murphy, un employé de l’agence de recherche militaire américaine DARPA, au cours de l’été 2021, et d’autres détails concernant des versions antérieures ont été révélés ce mois-ci grâce aux demandes d’archives publiques de l’organisation U.S. Right to Know (USRTK).

Dans le cadre du programme DEFUSE, Baric proposait de créer un virus qui était, à toutes fins utiles, le SARS-CoV-2. Cette proposition comprenait l’insertion d’un site de clivage de la furine dans une protéine de pointe du coronavirus, une commande de l’enzyme de restriction BsmBI, la recherche d’un domaine de liaison qui infecterait les récepteurs humains ACE2 et l’exigence d’un génome viral différent d’environ 25% de celui du SARS.

Le virus SARS-CoV-2 contient un site de clivage de la furine dans sa protéine de pointe, son génome comprend l’enzyme de restriction BsmBI, il possède un domaine de liaison au récepteur finement ajusté pour infecter le récepteur humain ACE2 et son génome est différent d’environ 25% de celui du SARS. Un certain nombre de virologues ont déclaré que ces caractéristiques donnent la preuve irréfutable que le SARS-CoV-2 est un virus modifié.

Baric a obtenu un brevet pour ces nouveaux virus en 2018, au moment même où il mettait au point DEFUSE. Dans le programme DEFUSE, il proposait d’infecter des chauves-souris sauvages chinoises avec ses virus nouvellement brevetés.

Nombreux sont ceux qui estiment que la question de la fuite du laboratoire est donc ainsi réglée.

Mais ce n’est pas là toute l’histoire. En effet, la proposition DEFUSE de Baric n’a pas obtenu le financement de la DARPA. Et si l’on souligne à juste titre que, avec ou sans financement, une grande partie du travail était déjà en cours, c’est ce qui est arrivé ensuite dans le cadre de la proposition gagnante de la DARPA qui rend l’histoire vraiment intéressante.

Le chercheur américain Jim Haslam a réalisé un travail incroyable sur sa page Substack Reverse engineering the origins of SARS-CoV-2, documentant tous les va-et-vient au sein de la communauté des virologues en rapport avec la création de ce virus particulier et la dissimulation qui s’en est suivie. Ce qui suit doit beaucoup à ses recherches méticuleuses, les éventuelles erreurs m’étant imputables.

L’offre gagnante de la DARPA en 2018 – pour un projet appelé PREEMPTincluait le Dr Vincent Munster (photo ci-dessus), grand spécialiste du virus de la chauve-souris, basé au Laboratoire Rocky Mountain des NIH d’Anthony Fauci. La proposition PREEMPT de Munster et le projet DEFUSE de Baric, en perte de vitesse, reposaient tous deux sur la même idée de base: tenter de prévenir une future pandémie (hypothétique) en utilisant un virus modifié pour vacciner les chauves-souris à partir desquelles on pense qu’un tel virus est susceptible de se diffuser. L’idée étant, bien sûr, que les chauves-souris vaccinées ne seraient plus un réservoir pour le virus, ce qui permettrait de « désamorcer » ou d’« anticiper » [preempting] la propagation zoonotique. Ça semble dingue? Absolument – beaucoup trop d’ingérence dans la nature et trop de confiance dans la capacité des vaccins à prévenir l’infection et la transmission du virus. Mais dingue ou pas, c’est ce que les scientifiques ont proposé, et la proposition PREEMPT de Munster a gagné, tandis que la proposition DEFUSE a perdu.

La principale différence entre la proposition DEFUSE de Baric et la proposition PREEMPT de Munster – outre le fait que la proposition de Munster coûtait environ 4 millions de dollars de moins, soit 10 millions de dollars – réside dans le fait qu’au lieu de pulvériser un virus-vaccin non transmissible dans les grottes de chauves-souris, le plan de Munster prévoyait la transmission du virus-vaccin entre les chauves-souris par l’intermédiaire d’aérosols. Il s’agissait donc d’un vaccin auto-diffusant, capable (en théorie) de toucher toutes les chauves-souris sans que l’homme n’ait à découvrir toutes leurs grottes et à les pulvériser. Les risques d’un tel projet auraient dû être évidents. D’ailleurs, Baric lui-même, qui s’était fait très discret après la fuite de son projet DEFUSE à la mi-2021, a refait surface à la mi-2023 pour dire qu’un travail de ce type impliquant l’ingénierie de virus-vaccins transmissibles était « trop délicat » pour lui.

Après que le financement de la DARPA a été accordé à Munster, Fauci a volé au secours de Baric avec un programme exceptionnel de 82 millions de dollars appelé CREID, attribué à l’été 2019, dans lequel les équipes de Baric et de Munster coopéreraient à la recherche sur le concept de Munster de vaccins auto-diffusants pour chauves-souris. Fin 2018, Baric et Munster avaient déjà coopéré sur un projet visant à infecter des chauves-souris frugivores égyptiennes avec un virus similaire à celui du SARS.

Ce qui s’est exactement passé ensuite n’est pas documenté publiquement, nous devons donc combler certaines lacunes. Il semble que Munster ait pris le vaccin breveté de Baric contre le virus du SARS et en ait fabriqué une version transmissible dans son laboratoire de Rocky Mountain (la version de Baric n’était pas censée être transmissible). Qu’est-ce qui le prouve? Le plus révélateur est peut-être que, comme l’observe Jim Haslam, le SARS-CoV-2 ne se transmet efficacement que chez cinq mammifères connus, et ces cinq mammifères – le cerf américain, la souris sylvestre, le hamster syrien, le vison américain et la chauve-souris frugivore égyptienne – se trouvent tous dans le laboratoire de Munster (et de Fauci) à Rocky Mountain, dans le Montana. Le SARS-CoV-2 n’infecte pas les animaux de laboratoire courants dans les laboratoires chinois ou présents dans l’Institut de virologie de Wuhan, tels que les chauves-souris chinoises en fer à cheval. Cela suggère que le SARS-CoV-2 a acquis sa transmissibilité dans un contexte de laboratoire américain et non chinois ou d’ailleurs.

Le virus-vaccin ayant été rendu transmissible dans le Montana, il aurait ensuite été envoyé à l’Institut de virologie de Wuhan (IVW) pour y être testé sur des chauves-souris chinoises, qui n’étaient pas disponibles dans les laboratoires américains. Il n’y a guère de doute quant à l’identité de la personne qui aurait effectué ces tests à l’IVW, puisqu’il n’y avait qu’une seule scientifique disposant des relations et de l’expertise nécessaires. Le Dr Danielle Anderson, surnommée Dani par ses collègues, est devenue célèbre en juin 2021 en tant que « dernière et unique scientifique étrangère du laboratoire de Wuhan » lorsqu’elle s’est exprimée publiquement pour plaider en faveur d’une origine zoonotique. Dani était membre de la commission Lancet sur les origines, présidée par Jeffrey Sachs, qui l’a dissoute en octobre 2021, frustré par le manque de coopération des virologues occidentaux comme Dani. Dani était basée par intermittence à l’IVW dans le laboratoire de haute sécurité BSL4 (pas le laboratoire BSL2 de Shi Zhengli), mais elle ne travaillait pas pour l’IVW. Elle travaillait pour Duke-NUS, l’école de médecine de l’université Duke de Caroline du Nord, basée à Singapour, sous la direction du Dr Linfa Wang, virologue. Linfa et Anderson ont participé à la proposition DEFUSE de Baric, et Duke-NUS a ensuite été partenaire du projet CREID de Fauci.

Le rôle d’Anderson dans DEFUSE était de tester des virus-vaccins sur des chauves-souris chinoises « capturées dans leur milieu naturel » et captives à l’IVW. On peut donc raisonnablement supposer que c’est elle qui a été chargée de tester le vaccin de Munster sur lesdites chauves-souris chinoises. Cela expliquerait comment le virus est arrivé à Wuhan.

En d’autres termes, cela expliquerait comment un virus-vaccin non transmissible conçu par Ralph Baric à l’UNC conformément à la proposition DEFUSE est devenu un virus transmissible qui a fini par être libéré à Wuhan. Plus précisément, parce qu’il s’est échappé par le biais d’une infection contractée en laboratoire lors des tests effectués par Anderson sur des chauves-souris chinoises dans son laboratoire BSL4 à l’IVW, Dani elle-même ou un de ses collègues devenant le « patient zéro ».

Certes, nous n’avons pas de preuves directes de ce fait – nous n’avons pas de preuves directes qu’un vaccin Munster-Baric contre le virus du SARS-2 était testé sur des chauves-souris chinoises à l’IVW en 2019, ni que le Dr Anderson ou un collègue a été infectée par ce vaccin dans ce laboratoire. De nombreux éléments indiquent cependant que c’est un scénario probable.

Nous savons, par exemple, que Baric et Munster proposaient tous deux de vacciner les chauves-souris chinoises à l’aide d’un virus modifié, dans le cas de Baric avec un site de clivage de la furine inséré pour augmenter l’infectivité. Nous savons que la proposition PREEMPT de Munster, dans laquelle le virus-vaccin serait auto-diffusant, a remporté le financement de la DARPA, battant la proposition DEFUSE de Baric pour un virus-vaccin non auto-diffusant, et qu’en 2019, les deux équipes ont été réunies dans le cadre d’une subvention de 82 millions de dollars accordée par le NIAID de Fauci.

Nous savons que le SARS-CoV-2 se transmet sans difficulté chez les animaux de laboratoire du laboratoire Rocky Mountain de Munster, mais pas chez les animaux de laboratoire de l’IVW. Nous pouvons donc en conclure que l’expérience du Dr Anderson visant à infecter des chauves-souris chinoises avec le nouveau virus à l’IVW a vraisemblablement échoué. C’est peut-être la raison pour laquelle elle a quitté Wuhan à la fin du mois de novembre, date limite pour l’« examen de la valeur scientifique » du CREID.

Nous savons également que l’endroit où Dani et ses collègues vivaient dans le centre de Wuhan était un épicentre précoce de l’épidémie de SARS-CoV-2, d’après les données des médias sociaux.

Il semble également que le superviseur de Dani, Linfa Wang, ait rapidement compris que le SARS-CoV-2 était l’un de ses virus. Cela expliquerait pourquoi il a démissionné de son poste de directeur du programme des maladies infectieuses émergentes de Duke, poste qu’il occupait depuis près de dix ans, le jour même de la publication du génome, le 10 janvier 2020. La raison de sa démission abrupte n’a jamais été révélée. Quatre jours plus tôt, il avait déclaré au New York Times qu’il était frustré que les scientifiques chinois ne soient pas autorisés à lui parler de l’épidémie. Il mettait en garde contre toute panique, arguant que le virus ne se propageait probablement pas entre humains parce que les professionnels de la santé n’avaient pas contracté la maladie. Mais en privé, craignait-il que le virus provienne de son laboratoire – est-ce la raison pour laquelle il a immédiatement démissionné lorsque le génome a été publié? Il est difficile de comprendre ce qui aurait pu l’amener à démissionner si soudainement à ce moment-là, et l’absence d’explication renforce les soupçons. Plus tard, il a qualifié le 10 janvier de « jour le plus important de l’épidémie de COVID-19 », car c’est à ce moment-là que le génome a été publié.

Si Linfa anticipait les mauvaises nouvelles, c’est peut-être parce que Dani et lui étaient au courant de la fuite au moment où elle s’est produite. L’analyse des relevés de téléphones portables a révélé une fermeture apparente du laboratoire BSL4 du Dr Anderson entre le 7 et le 24 octobre 2019 (identifiée par l’absence d’utilisation de téléphones portables dans les environs). Rien de plus n’a été révélé sur cet incident ni sur ce qui se cache derrière, mais si cela dénote une infection acquise en laboratoire dont Anderson et Linfa (et probablement d’autres personnes) étaient au courant, cela expliquerait beaucoup de choses.

La prise de conscience qu’il s’agissait d’un virus conçu aux États-Unis pourrait également être à l’origine de la panique qui a poussé le gouvernement chinois à boucler Wuhan peu après la publication du génome.

Depuis 2021, Ralph Baric s’est lancé dans le développement de vaccins contre le SARS-CoV-2 et d’autres coronavirus, allant même jusqu’à imaginer une « vaccination en anneau », comme dans le cas d’Ebola, pour tenter d’enrayer l’épidémie. Est-ce sa façon de se racheter, même si elle est malavisée? Je me demande si on ne décèle pas également une allusion de sa part à ceux qui, selon lui, sont réellement responsables de la débâcle, lorsqu’il faisait remarquer que « les gouvernements, plutôt que les scientifiques », sont les principaux responsables du choix des expériences risquées de gain de fonction à financer et à mener – une référence peut-être à la manière dont l’ingénierie « audacieuse » de Munster sur les virus-vaccins transmissibles a été choisie au détriment de sa version non-transmissible.

« Il semble que la science américaine va être détruite pour une pandémie qui a commencé en Chine », déclarait-il à Dan Werb du Time, retombant dans le déni. Lorsque Werb lui suggéra qu’en dépit des « théories du complot », de nombreuses personnes étaient heureuses qu’il soit devenu un scientifique, il répondit: « Bon nombre d’entre elles auraient probablement souhaité que je ne le sois pas devenu. Soyons honnêtes. »

Est-ce là ce qui s’apparenterait le plus à une confession?

L’espoir du vendredi: l’argousier: inhibition de l’entrée de la protéine de pointe du SARS-CoV-2 et la Mpro – par Walter M Chesnut.

Lisez son Substack (avec un traducteur ou demandez-moi l’un ou l’autre article, je ne mords pas) – et faites comme moi, donnez des sous à Walter, il ne les aura pas volés.

Note: 1) la Mpro (main protease ou protéase principale) est une enzyme codée par le génome des coronavirus. La fonction de cette protéase est de cliver des polyprotéines produites dans les cellules infectées par le virus, au cours de la phase de réplication de ce virus.
2) je n’ai pas vérifié toutes les abréviations médicales figurant dans le tableau.

Source.


L’espoir du vendredi: l’argousier: inhibition de l’entrée de la protéine de pointe du SARS-CoV-2 et la Mpro

L’argousier est un complément prometteur qui présente une myriade supplémentaire d’activités thérapeutiques potentielles.

Walter M Chesnut

07 juin 2024

[NdT: je ne traduis pas cette liste, toutes les infos sont dans l’article]

Alors que j’ai 57 ans aujourd’hui (un anniversaire que je partage avec Prince, Liam Neeson et Michael Cera), je suis toujours émerveillé par l’abondance des soins que la nature nous offre. Depuis une centaine de semaines, j’écris sur les thérapeutiques (essentiellement) naturelles que nous pouvons utiliser dans notre lutte contre le SARS-CoV-2 et sa protéine de pointe. Et, chaque semaine, je me demande s’il y aura quelque chose de significatif et de nouveau à écrire. Heureusement, la nature est aussi inépuisable que le jeu d’échecs.

Au cours des dernières années, s’il y a une chose que nous avons apprise, c’est bien d’empêcher la protéine de pointe d’entrer dans nos cellules. Une fois de plus, la nature nous a fourni une nouvelle source pour bloquer non seulement la protéine de pointe, mais aussi la Mpro (nécessaire à la réplication) du SARS-CoV-2. Aujourd’hui, nous parlerons de l’argousier.

Si vous ne connaissez pas l’argousier, vous êtes sur le point de rencontrer votre nouveau meilleur ami.

L’argousier (Hippophae rhamnoides L.), une ancienne plante miraculeuse, présente un grand intérêt en raison de sa ténacité, de sa richesse en substances nutritionnelles actives et de son activité biologique. L’argousier est un arbuste ou un arbre à feuilles caduques du genre Hippophae de la famille des Elaeagnaceae. C’est une espèce d’arbre pionnière pour l’amélioration des sols, le contrôle du vent et du sable, et la conservation des sols et de l’eau. L’argousier contient de nombreux composants nutritionnels actifs, tels que des vitamines, des caroténoïdes, des polyphénols, des acides gras et des phytostérols. En outre, l’argousier présente de nombreux avantages pour la santé, tels que des activités antioxydantes, anticancéreuses, anti-hyperlipidémiques, anti-obésité, anti-inflammatoires, antimicrobiennes, antivirales, dermatologiques, neuroprotectrices et hépatoprotectrices. L’argousier a non seulement un grand potentiel médicinal et thérapeutique, mais il est aussi une plante économique prometteuse.

L’argousier (Hippophae rhamnoides L.) est un arbuste ou un arbre à feuilles caduques, également connu sous le nom d’ananas de Sibérie, d’épine de sable, de baie de mer et d’épine de mer (1). Hippophae L. est originaire des monts Hengduan et de la région de l’Himalaya oriental et est largement répandu dans les régions tempérées de l’Eurasie (2). Toutes les parties de cette plante (fruits, feuilles, tiges, branches, racines et épines) sont traditionnellement utilisées en médecine, comme complément nutritionnel, pour la conservation des sols et de l’humidité, et pour la création d’habitats pour la faune. C’est pourquoi l’argousier est communément appelé « plante merveilleuse », « buisson d’or » ou « mine d’or » (3).

L’argousier: un complément alimentaire potentiel aux activités thérapeutiques multiples
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2949866X23001296

Ses propriétés « miraculeuses » générales avaient attiré mon attention. Cependant, lorsque j’ai commencé à faire des recherches sur la manière dont il pouvait aider à combattre le COVID et la protéine de pointe, j’ai découvert que ses miracles étaient sans fin. L’argousier est un excellent inhibiteur de la liaison de la protéine de pointe à l’ACE2 et de la Mpro du SARS-CoV-2. L’inhibition de la liaison de la Mpro perturbe la capacité du virus à se répliquer.

L’isorhamnétine est un flavonoïde extrait de l’argousier ou Hippophae rhamnoides L. L’extrait des baies de cette plante aurait des activités anticancéreuses, antivirales, antidiabétiques et de régulation immunitaire [121,122,123,124]. Dans l’une des études, le composé actif de l’argousier, l’isorhamnétine, a été testé contre le virus pseudotypé SARS-CoV-2 S in vitro. Il a été observé que l’isorhamnétine pouvait bloquer l’entrée du virus SARS-CoV-2 S pseudotypé dans les cellules exprimant l’ACE de 47,7% à une concentration non toxique de 50 μM. La quercétine, un autre composant de l’argousier, a fait l’objet d’une évaluation similaire, mais aucune réduction significative de l’entrée virale n’a été observée. En utilisant l’analyse SPR, l’isorhamnétine a montré une affinité envers la protéine recombinante ACE immobilisée, et l’analyse d’amarrage moléculaire a en outre prouvé que l’isorhamnétine pouvait se lier à l’ACE2 au niveau des résidus K353, E37 et H34 [76]. En outre, le criblage virtuel à haut débit (HTVS) de substances phytochimiques naturelles a également montré que, avec d’autres flavonoïdes, l’isorhamnétine pouvait interagir avec le domaine S2 de la protéine S du SARS-CoV-2 avec une énergie de liaison de -8,3 Kcal/mol [78]. D’autre part, divers dérivés de l’isorhamnétine de Salvadora persica ont été signalés comme ayant une forte affinité de liaison avec la Mpro du SARS-CoV-2, avec une orientation de liaison similaire à celle du contrôle positif N3, qui se lie à la dyade catalytique Cys-His située entre les domaines I et II de la Mpro du SARS-CoV-2. L’analyse de la relation structure-activité a révélé la présence du disaccharide rutinose (α-L-rhamnopyranosyl-(1-6)-β-D-glucopyranose) en position carbone n° 3. Les flavonoïdes ont contribué à renforcer la stabilité de la liaison dans le site de liaison N3 de la Mpro du SARS-CoV-2 [77]. Ces études ayant montré que l’isorhamnétine pouvait interagir avec la protéine de l’hôte (récepteur ACE2), la protéine structurelle virale (protéine S) et une protéine non structurelle virale ( Mpro du SARS-CoV-2), l’isorhamnétine devrait faire l’objet d’études plus approfondies afin d’en faire un médicament antiviral puissant capable de cibler plusieurs étapes du cycle de vie viral, empêchant ainsi la réplication du SARS-CoV-2.

COVID-19 Potentiel thérapeutique des produits naturels
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC10254072/

Mais au-delà des atouts thérapeutiques de l’argousier dans la lutte contre le SARS-CoV-2 et sa protéine de pointe, l’argousier est un MVP All Star [Meilleur joueur] pour la santé en général. Tenez-vous prêt pour le tableau. C’est un véritable roman de Dostoïevski!

L’argousier contient une variété de composants bioactifs, notamment des vitamines, des caroténoïdes, des polyphénols, des acides gras et des phytostérols. Ces composants exercent un large éventail de bienfaits pour la santé en exerçant des effets antioxydants, anticancéreux, anti-inflammatoires, antimicrobiens et antiviraux, ainsi que des effets protecteurs cardiovasculaires, dermatologiques, neuroprotecteurs et hépatoprotecteurs. Les effets bénéfiques de l’argousier sur la santé sont classés et résumés dans le tableau 4, qui met en évidence le type d’étude, les principaux résultats et les composants bioactifs potentiels.

ArgousierConcentration effective/tempsType d’étudeModèle expérimentalPrincipaux résultatsComposés bioactifs
Antioxidant
Fraction phénolique des fruits de l’argousier0.5–50 μg/mLIn vitroPlasma humain ou plaquettes sanguines traités à l’H2O2 ou à l’H2O2/Fe↓ Peroxydation lipidique plasmatique et carbonylation des protéines. À 50 μg/mL, le taux d’inhibition de la peroxydation lipidique plasmatique était de 60 %Flavonoïdes
Extrait d’argousier100 mg/kg⋅bwIn vivoRats hyperlipidémiques↓ Dommages oxydatifs provoqués par la peroxydation lipidiquePolyphénols
Extraits de feuilles d’argousier5, 10, 20 μg/mLIn vitroCellules PC-12↓ Proportion relative de cellules PC-12 apoptotiques totalesAcide ellagique, acide gallique, isorhamnétine, kaempférol et quercétine
Huile de graines d’argousier500 ng/mLIn vitroCellules de peau humaine induites par les UV↓ génération de ROS d’environ 25%Acides gras, phytostérols, vitamines A et E, β-carotène.
Anticancer
Extraction des polyphénols80 et 120 μg/mLIn vitroCellule de cancer du côlon humain↓ Expression des cyclines et prolifération cellulaireKaempférol et ses dérivés
50 mg/kgIn vivoModèle de xénogreffe de souris nude BALB/c↓ Volume tumoral et croissance cinétique de la tumeur
Extrait aqueux de feuilles3.12, 6.25, 12.5, 25, 50 μg/mLIn vitroCellules LNCaP et C4-2↓ Prolifération et migration des cellules cancéreuses de la prostate
Extrait de feuilles6.2, 62 μg/mLIn vitroCellules de gliome C6 de rat↓ ROS intracellulaires
↑ Pré-apoptose dans les cellules de gliome C6 de rat
Phénoliques
Isorhamnétine12.5, 15 μmoL/LIn vitroModèle d’hypoxie de CoCl2 (100 μmol/L) favorisant la prolifération maximale des cellules MKN-45.↓PI3K AKT autophagie adaptative médiée par mTOR
↑ Apoptose des cellules cancéreuses gastriques MKN-45 dans un environnement hypoxique
Isorhamnétine
Anti-hyperlipidémie
Extrait enrichi en flavonoïdes de graines d’argousier100 et 300 mg/kgIn vivoModèle de souris obèse induite par une alimentation riche en graisses (HFD)↓ Concentrations sériques et hépatiques de triglycérides en fonction de la doseFlavonoïdes
Huile de fruits d’argousier50, 100, 200 mg/kgIn vivoModèle de hamster syrien doré hypercholestérolémique↓ TC, TG, non-HDL-C
↑ HDL-C
↓ Stress oxydatif et altération du foie causés par l’hyperlipémie en régulant l’enzyme antioxydante
Acide palmitoléique
Anti-obésité
Polysaccharide d’argousier0.1%In vivoSouris mâles C57BL/6 soumises à une alimentation riche en graisses (HFD)↓ Accumulation de lipides et prise de poidsPolysaccharide
Huile de fruits d’argousier50, 100, 200 mg/kgIn vivoModèle de hamster syrien doré hypercholestérolémique↓ Augmentation du poids et de la glycémieAcide palmitoléique
Extrait enrichi en flavonoïdes de graines d’argousier100 et 300 mg/kgIn vivoModèle de souris obèse induite par une alimentation riche en graisses (HFD)↓ Concentrations sériques et hépatiques de triglycérides en fonction de la doseFlavonoïdes
Poudre lyophilisée d’argousier4 mg/(g.d. poids corporel)In vivoSouris souffrant d’obésité induite par une forte teneur en graisses↓ Gain de poids corporel
Antiplaquettaire
Fraction des fruits riche en polyphénols50 g/mLIn vitroPlaquettes de sang humain sain↓ Activation plaquettairePolyphénols
Fraction non polaire des rameaux10 μg/mLIn vitroPlaquettes de sang humain sain↓ Adhésion et agrégation des plaquettesTriterpénoïdes
Fraction d’argousier0.5–50 μg/mLIn vitroPlaquettes de sang humain sain↓ Adhésion des plaquettes au repos et des plaquettes activées par la thrombine au fibrinogèneComposés phénoliques
Dermatologie
Extrait d’argousier8 semaines (deux fois par jour)Essai clinique10 patients atteints de psoriasis↓ scores de l’indice de gravité de la surface du psoriasis (PASI) et de l’indice de qualité de vie en dermatologie (DLQI)
Huile d’argousier100, 200 mg/kg p.o.
20 μL application topique (A.T.)
In vivo↓ Œdème de l’oreille de 34,05 ± 7,65 %, 30,45 ± 8,90 %, respectivement.
↓Épaisseur de l’épiderme de l’oreille de 31,80 ± 6,90 μm et 21,91 ± 5,07 μm, respectivement.
Acides gras
Huile d’argousier1 ml/kg 4 semainesIn vivoModèle de souris avec lésions de type AD induites par DNCB↓ Gravité de l’AD induite par le DNCB
Crème à l’argousier3 mm d’épaisseur (une fois par jour)Essai clinique↓Période de cicatrisation et traitement des brûlures du deuxième degré
Huile de graines d’argousier500 ng/mLIn vitroCellules de peau humaine induites par les UV↓ Troubles du métabolisme redox et lipidique induits par les UV dans les fibroblastes et les kératinocytes de la peauAcides gras, phytostérols, vitamines A et E, β-carotène.
Anti-inflammatoire
Extrait d’écorce d’argousier500 mg/kgIn vivoModèles d’œdème de la patte de rat induit par 48/80↓ Volume de l’œdèmeAcide ursolique, acide oléanolique
Extraits de branches, de baies et de feuilles d’argousier10 μg/mLIn vitroMacrophages RAW 264.7Les taux d’inhibition du NO sont passés de 73 à 98 %.Composés phénoliques
Extraits de feuilles d’argousier0.05, 5, 50 μg/MlIn vivoMacrophages péritonéaux de souris↓ Taux de cytokines pro-inflammatoires (TNF-α, IFN-γ et IL-6)Tanins, protéines et groupes d’hydrates de carbone
Poudre de fruits d’argousier5, 10, 25, 50, et 100 μMIn vitroRAW 264.7 (lignée cellulaire de macrophages de souris)1,5-Dimethyl Citrate
Flavonoïdes d’argousier (Shanghai Yuan Ye Biotechnology, Ltd.)0.06%, 0.31% w/wIn vitroSouris obèses induites par HFFD (high-fat fructose diet)↓ Médiateurs inflammatoires/cytokines, iNOS, COX-2 et IL-1βFlavonoïdes
Antimicrobien
Extraits de feuilles d’argousier5%In vitroAgents pathogènes courants de la peau et des plaies↓ Bactéries à Gram positif (S. aureus, S. epidermidis, S. intermedius et S. pyogenes)
Extrait de baies d’argousier0.15 mg/mLIn vitroCellules de kératinocytes humains (HaCaT)↓ Diverses cytokines pro-inflammatoires et voies apoptotiques
Extraits de baies et de feuilles d’argousier6 mg/mLIn vitroStaphylococcus aureus (SARM)Inhibe la croissance du SARM
Antiviral
Extrait de peau de fruit d’argousier12.5 μMIn vitroCellules Vero infectées par le virus HSV-2↓ Rendement du virus de l’herpès simplex de type 214-Noreudesmanes et un hétérodimère phénylpropane
Extrait de feuille d’argousier100 mg/kg de poids corporelIn vivoSouris albinos suisses saines↑ Titres RVNA et population CTL
↑ Cellules T à mémoire, cellules plasmatiques
Isorhamnétine et autres flavonoïdes
Neuroprotecteur
Poudre d’argousier1.5 g/mLIn vitroCellules de neuroblastome induites par l’Aβ↓ Dépôts intracellulaires d’Aβ et toxicité induite par l’Aβ
Flavonoïdes d’argousier (Shanghai Yuan Ye Biotechnology, Ltd.)0,06%, 0,31% p/pIn vitroSouris obèses induites par HFFD↓ Résistance à l’insuline, neuroinflammation et troubles cognitifs dans le SNCFlavonoïdes
Extrait de baies d’argousiermL/kgIn vivoRats épileptiques induits par le fer↓ Troubles de la mémoire, comportement de type anxieux, altérations histologiques
Hépatoprotecteur
Flavonoïdes d’argousier extraits par MCAE (Mechanochemical-assisted extraction)200 mg/kg, par voie oraleIn vivoModèle de foie gras chez la souris ICR induit par la tétracycline↓ Indice hépatique, indice sérique, TG, TC, LDL-C, AST, ALTFlavonoïdes
Liquide de fermentation de l’argousier1.75, 2.675, 5.35 g/kgIn vivoModèle de souris pour la maladie alcoolique du foie↓ Lésions des reins et de la rate causées par l’alcool, hypertrophie du foie et stéatose hépatique alcooliqueFlavonoïdes, triterpènes et AGCS apparentés
Extraits de baies d’argousier20 et mg/kgIn vivoModèle de fibrose hépatique induite par LVB chez le rat↓ fibrose du foie en inhibant l’activation des CEHFlavonoïdes, acides phénoliques
Flavonoïdes d’argousier provenant des graines100 et 300 mg/kgIn vivoModèle de souris obèses induites par un régime riche en graisses↓ Infiltration graisseuse des tissus hépatiques causée par un régime riche en graisses et expression de PPARγ dans le foie et les tissus adipeux blancs.Flavonoïdes

Phytochimie, bienfaits pour la santé et applications alimentaires de l’argousier (Hippophae rhamnoides L.): une revue complète
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9763470/

Ce complément est également largement disponible et très facile à utiliser et à apprécier. De nombreux thés merveilleux sont disponibles sur le marché et faciles à trouver. Toutefois, n’oubliez pas qu’il s’agit d’un travail de recherche médicale et non d’un avis médical. Consultez toujours votre médecin traitant avant d’utiliser un supplément ou un médicament.

Je souhaite à tous un agréable week-end de début d’été. Les tilleuls sont en fleurs et leur parfum est enivrant. Je vous serai toujours reconnaissant de votre soutien, car je ne pourrais pas faire ce travail sans vous.

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L’escroquerie de la pandémie de grippe aviaire: des vaccins pour 33 milliards de poulets? Le rationnement numérique de la nourriture? La fin de l’agriculture animale? – par Alexis Baden-Mayer.

Voici un brillantissime article d’un auteur qui publie peu mais toujours à bon escient et qui va toujours droit au but.

L’opération grippe aviaire ne concerne évidemment pas que les États-Unis – pour l’Europe voir notamment ici, ici, ici et ici. Voir aussi, si ce n’est déjà fait, mes traductions précédentes sur l’élevage des poulets ici et ici.

Source.


L’escroquerie de la pandémie de grippe aviaire: des vaccins pour 33 milliards de poulets? Le rationnement numérique de la nourriture? La fin de l’agriculture animale?

La menace exagérée d’une pandémie de grippe aviaire humaine est une mystification destinée à « réinitialiser » notre système alimentaire.

Alexis Baden-Mayer

11 avril 2024

Si la grippe aviaire devenait soudainement transmissible de personne à personne, il y aurait toutes les raisons de soupçonner des recherches sur les armes biologiques à gain de fonction.

Mais tout le battage médiatique autour de la question de savoir si la grippe aviaire se transformera en pandémie humaine pourrait bien n’être qu’une distraction.

Certaines sociétés pharmaceutiques tireraient assurément profit d’une pandémie humaine de grippe aviaire, mais l’industrie pourrait gagner encore plus d’argent en « prévenant » une pandémie humaine par la vaccination des animaux d’élevage, en particulier des 33 milliards de poulets que compte la planète.

Jusqu’à présent, la réponse du gouvernement à la grippe aviaire a consisté à tuer des millions de poulets – 85,87 millions d’oiseaux tués depuis 2022.

Du point de vue du bien-être des animaux, c’est d’une cruauté sans nom. Du point de vue de l’agriculture durable, c’est insensé. Du point de vue de la justice alimentaire, cela se traduit par une hausse vertigineuse des prix des denrées alimentaires, une augmentation du nombre de personnes souffrant de la faim et une détérioration de la qualité des aliments.

On nous expliquera que la seule alternative aux massacres est la vaccination (et probablement uniquement de dangereuses injections expérimentales d’ARNm), mais les défenseurs du bien-être animal, les agriculteurs biologiques régénératifs et les experts en sécurité des vaccins sont plus claivoyants que cela.

Les laboratoires pharmaceutiques seraient-ils prêts à créer une véritable crise alimentaire rien que pour l’opportunité de vacciner 33 milliards de poulets?

Probablement, mais beaucoup de mauvais acteurs verraient une crise alimentaire comme une opportunité.

Les plus grandes entreprises du secteur de la viande aimeraient consolider leur contrôle du système alimentaire en se débarrassant des derniers agriculteurs familiaux indépendants.

Le Forum économique mondial, les milliardaires et les entreprises de biotechnologie aimeraient remplacer les vraies fermes par de faux aliments.

Ces mêmes mondialistes sont constamment à la recherche de bonnes raisons pour amener les pays à abandonner leur souveraineté nationale en matière de politique de santé publique au profit de l’Organisation mondiale de la santé.

Il se peut qu’ils veuillent reprendre leur idée de passeport vaccinal et utiliser des cartes d’identité numériques pour rationner la nourriture, comme l’a fait l’Iran, puis remplacer le dollar par une monnaie numérique de banque centrale qui fonctionnerait comme un système de crédit social.

Seul le temps nous le dira. En attendant, nous devons protéger le monde que nous aimons. Tant que c’est encore possible, achetez votre nourriture directement auprès des exploitations agricoles familiales locales, en espèces!

Pour en savoir plus, lisez la suite.

Si vous êtes prêt à passer à l’action, dites à vos législateurs de s’opposer à la prise de pouvoir de l’Organisation mondiale de la santé.

Sept choses à savoir sur la grippe aviaire

1. Si la grippe aviaire devient soudainement transmissible de personne à personne, il faut soupçonner des recherches sur les armes biologiques à gain de fonction.

Alors même que les responsables de la « santé publique » s’emploient à multiplier les cas humains (il y a fort à parier que n’importe quel ouvrier agricole, après avoir respiré du fumier toute la journée, serait malade et aurait le nez plein de virus), ils insistent actuellement sur le fait qu’il n’y a pas de transmission de personne à personne, que le risque pour la santé publique est faible et que les aliments provenant d’animaux dont le test est positif peuvent être consommés en toute sécurité.

Mais, comme l’a rapporté Christian Westbrook en 2022, l’ancien directeur du CDC, Robert Redfield, a prédit à la télévision nationale que la grippe aviaire se transmettrait à l’homme et serait hautement mortelle, déclenchant une « grande pandémie » face à laquelle le COVID-19 n’était qu’un simple échauffement.

Je soupçonne qu’il ne s’agit là que d’un discours alarmiste utilisé comme excuse pour poursuivre l’abattage massif d’oiseaux asymptomatiques et, à un moment donné, « nécessiter » la vaccination de milliards d’animaux.

Toutefois, je ne serais pas totalement surpris si le message de « faible risque pour la santé publique » émanant actuellement des agences américaines de réglementation passait soudainement à « c’est une urgence » lorsqu’elles décideront que le moment est propice.

Cela ressemblerait au déploiement du COVID, où le message de l’Organisation mondiale de la santé de janvier 2020 « pas de preuve évidente de transmission interhumaine » est passé en mars 2020 à « trouver, isoler, tester et traiter chaque cas et tracer chaque contact », ce qui a conduit à des confinements à l’échelle mondiale et à une course à la vaccination.

Comme dans le cas des attaques sous faux drapeau, une période d’inaction inexplicable, que l’on pourra plus tard accuser d’être à l’origine d’une métastase incontrôlable nécessitant des mesures draconiennes, pourrait très bien faire partie d’un scénario de plandémie réussi.

Si c’est le cas, il y aurait toutes les raisons de mettre en cause la recherche sur les armes biologiques de type « gain de fonction ».

J’ai étudié l’histoire de la recherche sur les armes biologiques à gain de fonction pour la grippe aviaire et, comme je l’ai écrit en 2022 dans « Stop à la pandémie de grippe aviaire », le virus H5N1 adapté à l’homme a une origine très curieuse.

Le premier foyer humain de H5N1 s’est déclaré à Hong Kong en 1997, l’année de ce que les Britanniques appellent la « rétrocession de Hong Kong », lorsque la souveraineté sur Hong Kong a été transférée du Royaume-Uni à la Chine.

C’est au cours de cette année « politiquement sensible » que Kennedy Shortridge, un scientifique australien qui dirigeait le laboratoire de référence de l’Organisation mondiale de la santé à l’université de Hong Kong, a confirmé des cas humains de grippe aviaire hautement pathogène.

Shortridge étudiait depuis 1975 la manière dont les virus de la grippe aviaire pouvaient se propager à l’homme. Avant de découvrir le virus H5N1, il avait déjà dressé le sinistre pronostic de son émergence. Comme l’a rapporté Frank Ching dans « Bird Flu, SARS and Beyond » (La grippe aviaire, le SARS et au-delà):

Dès 1982, Shortridge avait qualifié le sud de la Chine, où les hommes et les animaux domestiques vivent en étroite proximité, d’« épicentre de l’origine des pandémies ». Dix ans plus tard, il qualifiait la Chine méridionale de « soupe de virus » et avertissait que la grippe pandémique était une zoonose, c’est-à-dire qu’elle pouvait être transmise de l’animal à l’homme. En 1995, il avertissait que la grippe en Chine méridionale ne pouvait pas être qualifiée d’infection « émergente », car elle était constamment à l’affût. « Le terme ‘insaisissable’ serait plus approprié », écrivait-il.

Un exemple du penchant de Shortridge pour de telles prédictions se trouve dans son article du Lancet de 1995 intitulé « The next pandemic influenza virus? » (Le prochain virus grippal pandémique?). Curieusement, le virus H5N1 est apparu deux ans plus tard, en 1997, dans la ville où Shortridge travaillait, Hong Kong.

À l’époque, le passage naturel d’un virus de la grippe de la volaille à l’homme était considéré comme tellement improbable que les scientifiques ont d’abord soupçonné une contamination du laboratoire de Shortridge d’être à l’origine du diagnostic hautement improbable du H5N1.

Cette contamination ne pouvait se produire que si Shortridge avait déjà travaillé avec le H5N1 en laboratoire, ce qui était effectivement le cas. Le magazine Time a rapporté que « dans une étude antérieure, menée avec une grande discrétion, son laboratoire avait découvert que les habitants des zones rurales de Hong Kong possédaient des anticorps contre tous les virus connus de la grippe aviaire ».

C’est le collègue de Shortridge, Yuen Kwok-Yung, qui avait pris en charge les patients de Hong Kong atteints du virus H5N1 et qui avait mis au point un test de diagnostic rapide, la RT-PCR, pour analyser les sécrétions respiratoires de ces patients. Comme ils l’ont publié dans le Lancet, c’était la première fois qu’un virus purement aviaire était isolé chez des personnes souffrant d’une maladie respiratoire et la première fois qu’un test PCR était utilisé pour le diagnostic rapide de ces patients dans un contexte clinique.

Le virus H5N1 de Hong Kong de 1997 était unique à tous égards.

Selon le magazine Time, « sur le gène H, à un point appelé site de clivage, on a trouvé une mutation révélatrice, du même type que celle que l’on trouve dans d’autres virus aviaires hautement pathogènes. … Le virus… comportait des régions identiques à certaines parties d’un virus aviaire qui avait frappé les poulets de Pennsylvanie en 1983 ».

Selon le L.A. Times, « la partie H5 provient d’un virus présent chez l’oie. Le fragment N1 provient d’un deuxième virus, celui de la caille. Les autres gènes de la grippe proviennent d’un troisième virus, également présent chez la caille ».

Le virus H5N1 n’avait jamais provoqué de maladie chez l’homme avant que ce potentiel n’ait été étudié en laboratoire pendant plusieurs années.

Anthony Fauci finançait depuis 1990 les travaux de Yoshihiro Kawaoka et de Ron Fouchier visant à faire passer la grippe aviaire à l’homme, et leurs travaux étaient liés à ceux de Shortridge à Hong Kong. Pendant les sept années qui ont précédé la première épidémie humaine de H5N1 en 1997, Fauci a financé les recherches de Kawaoka sur le gain de fonction de la grippe aviaire à l’hôpital de recherche pour enfants St. Jude et le mentor de Kawaoka, Robert G. Webster, travaillait et publiait avec Shortridge. Chaque année, Webster passait trois mois à travailler avec Shortridge à l’université de Hong Kong, selon ce profil de Webster qui mentionne Kawaoka comme son protégé.

Le lien le plus étrange entre Shortridge et les laboratoires de Webster est que Yoshihiro Kawaoka avait étudié le virus aviaire qui a frappé les poulets de Pennsylvanie en 1983 et qui était le plus proche parent connu du H5N1 de Hong Kong de 1997. Selon le magazine Time:

Webster a chargé un jeune scientifique, Yoshihiro Kawaoka, d’essayer de comprendre comment le virus s’est transformé en un pathogène aussi « chaud ». Kawaoka, aujourd’hui professeur de virologie à l’université du Wisconsin, à Madison, a comparé la structure génétique des virus de la première et de la deuxième vague et n’a trouvé qu’un seul changement, extrêmement subtil, dans le gène H. Les deux virus ne différaient que par un seul nucléotide, sur les 1 700 nucléotides qui composent le gène.

En 1997, Fauci a récompensé Shortridge et l’équipe de Webster pour l’épidémie de H5N1 de Hong Kong en créant et en finançant le Centre d’excellence St. Jude pour la recherche et la surveillance de la grippe, qui continue à fonctionner aujourd’hui aux États-Unis, au Canada, au Bangladesh, en Chine, en Colombie et en Égypte.

Webster a été l’un des premiers scientifiques à réaliser des gains de fonction, en publiant la création réussie d’un virus recombinant en 1973. Comme l’écrit Lyle Fearnley dans « Wild Goose Chase »:

Pour qu’une pandémie de grippe se déclare, il faut une nouvelle forme du virus, capable d’échapper aux réponses immunitaires cultivées par les populations humaines lors des précédentes épidémies de grippe. L’Américain Robert Webster avait déjà montré que de tels nouveaux virus pouvaient être produits expérimentalement en laboratoire: en prenant des virus dérivés de différentes espèces, il a co-infecté un seul hôte animal, un processus qui, selon Webster et ses coauteurs, a encouragé les deux virus à échanger du matériel génétique et à créer des formes « recombinantes ».

On trouve également un lien avec Fouchier, par l’intermédiaire de son mentor au Centre médical Erasmus de Rotterdam, aux Pays-Bas, Jan De Jong, également collègue et collaborateur de Shortridge et Webster.

Robert G. Webster, collègue et mentor de Kawaoka, et Jan De Jong, collègue et mentor de Fouchier, ont été les premiers scientifiques en dehors de Hong Kong à recevoir des échantillons de la grippe H5N1 de 1997 du laboratoire de Shortridge.

On attribue souvent à De Jong le mérite d’avoir identifié la grippe de Hong Kong de 1997 comme étant le H5N1, mais il l’a fait à l’aide d’un « panel de réactifs pour tous les types de souches de grippe connus à ce jour » qui avaient été apportés du laboratoire de Webster à Memphis au Centre national de lutte contre la grippe à Rotterdam.

Kawaoka et Fouchier appartiennent à l’ère post-Convention sur les armes biologiques, dans laquelle la militarisation des agents pathogènes est appelée par euphémisme « recherche sur le gain de fonction », mais leurs collègues plus âgés, De Jong, Shortridge et Webster, étaient en âge de travailler avant 1972 et leurs mentors appartenaient à l’ère pré-Convention sur les armes biologiques, où les virologues fabriquaient ouvertement et en toute connaissance de cause des virus à des fins militaires.

Shortridge et Webster ont été formés par Frank Macfarlane Burnet, qui a fait partie du Comité de développement des nouvelles armes et des nouveaux équipements du Ministère australien de la défense dans les années 1940 et 1950. La Fédération des scientifiques américains énumère certaines des recommandations les plus effrayantes de Burnet:

Burnet … a déclaré que l’Australie devrait développer des armes biologiques qui fonctionneraient en Asie tropicale sans se propager aux centres de population plus tempérés de l’Australie.

« En ce qui concerne spécifiquement la situation australienne, la contre-offensive la plus efficace face à une menace d’invasion par des pays asiatiques surpeuplés consisterait à détruire par des moyens biologiques ou chimiques les cultures vivrières tropicales et à disséminer des maladies infectieuses capables de se propager dans les régions tropicales, mais pas dans les conditions australiennes. »

… Selon Burnet, le climat tempéré de l’Australie pourrait lui conférer un avantage militaire significatif.

« La principale contribution de la recherche locale en ce qui concerne l’Australie pourrait être d’étudier de manière intensive les possibilités de guerre biologique sous les tropiques contre des troupes et des populations civiles ayant un niveau d’hygiène relativement faible et une résistance élevée aux maladies infectieuses courantes. »

[Dans] sa Note sur la guerre sous un angle biologique, il suggère que la guerre biologique pourrait être une arme puissante pour aider à défendre une Australie peu peuplée… [il] exhorte le gouvernement à encourager les universités australiennes à mener des recherches dans les domaines de la science biologique en rapport avec les armes biologiques.

« La principale utilisation stratégique de la guerre biologique pourrait bien être d’administrer le coup de grâce à un ennemi virtuellement vaincu et de l’obliger à se rendre, de la même manière que la bombe atomique l’a fait en 1945. Son utilisation présente l’énorme avantage de ne pas détruire le potentiel industriel de l’ennemi, qui peut alors être récupéré intact. La guerre biologique ouverte pourrait être utilisée pour forcer la reddition par des mesures psychologiques plutôt que par des mesures destructrices directes ».

***

Dans un rapport … Burnet a conclu que « dans un pays à faible niveau d’hygiène, l’introduction d’un agent pathogène intestinal exotique, par exemple par contamination de l’eau, pourrait entraîner une diffusion à grande échelle ».

« L’introduction de la fièvre jaune dans un pays où les moustiques vecteurs s’y prêtent pourrait se transformer en une épidémie invalidante avant que des mesures de contrôle ne soient mises en place. »

[ Et] … « les possibilités d’une attaque sur les réserves alimentaires de l’Asie du Sud-Est et de l’Indonésie à l’aide d’agents de la fièvre aviaire devraient être examinées par un petit groupe d’étude ».

Une autre étape importante dans la chronologie de la grippe aviaire s’est produit en février 2009 lorsque la société pharmaceutique Baxter a combiné la grippe H3N2, qui infecte généralement les humains, avec la grippe aviaire hautement pathogène H5N1 dans un « matériel viral expérimental » qui a été accidentellement distribué à des sous-traitants en République tchèque, en Slovénie et en Allemagne. L’erreur a été découverte lorsque le matériel a tué des furets lors d’un test effectué par des chercheurs qui pensaient travailler avec une grippe saisonnière commune. Baxter n’a jamais expliqué ce qui s’est passé.

Une pandémie de grippe porcine H1N1 a débuté le mois suivant, en mars 2009. Le gouvernement américain a passé des contrats avec Baxter pour la production de vaccins contre la grippe porcine, malgré l’incident de contamination par le H5N1. « Par coïncidence », Baxter avait déposé un brevet pour son vaccin H1N1 l’année précédente.

En août 2009, un homme du nom de Joseph Moshe a été violemment arrêté lors d’un événement spectaculaire connu sous le nom de « Westwood standoff ». Tout cela est vrai, mais je n’ai pas été en mesure de confirmer les informations selon lesquelles il s’agirait d’un scientifique israélien spécialisé dans les armes biologiques, ni l’affirmation suivante selon laquelle il aurait été arrêté pour avoir dénoncé la production d’armes biologiques par Baxter en Ukraine:

Deux jours avant son arrestation, le 13 août 2009, Joseph Moshe avait appelé le Dr A. True Ott sur Republic Broadcasting, prétendant être un microbiologiste qui voulait fournir des preuves à un procureur des États-Unis concernant des vaccins contre la grippe porcine H1N1 contaminés produits par Baxter BioPharma Solutions.

Il a déclaré que le laboratoire ukrainien de Baxter produisait en fait une arme biologique déguisée en vaccin. Il a affirmé que le vaccin contenait un adjuvant (additif) conçu pour affaiblir le système immunitaire et répliquait l’ARN du virus responsable de la pandémie de grippe espagnole de 1918, à l’origine d’une maladie et d’une mort massive à l’échelle mondiale, la peste…

Joseph Moshe est un bio-scientifique travaillant pour une unité du Mossad. Il est citoyen israélien.

Lorsqu’une maladie mortelle a frappé l’Ukraine plus tard dans l’année, en octobre 2009, des rumeurs ont circulé selon lesquelles il s’agissait du virus H5N1 propagé par des vaccins ou des pulvérisations aériennes. La version officielle était qu’il s’agissait du même H1N1 que celui dont souffraient d’autres pays, mais que la transmissibilité et les symptômes étaient beaucoup plus graves.

Si la grippe aviaire commençait à se propager d’une personne à l’autre pour la première fois, les observateurs du gain de fonction tourneraient à juste titre leur regard vers les laboratoires de Kawaoaka et Fouchier et scruteraient le code génétique du nouveau virus à la recherche de similitudes avec ceux qu’ils avaient publiés.

Mais, comme le rapporte Dilyana Gaytandzhieva dans « Potential pandemic bird flu modified to be more dangerous in new risky NIH research » (La grippe aviaire pandémique potentielle modifiée pour être plus dangereuse dans de nouvelles recherches risquées des NIH), Anthony Fauci a créé un réseau mondial de grippe aviaire à gain de fonction connu sous le nom de Centre d’excellence pour la recherche et la surveillance de la grippe (Center of Excellence for Influenza Research and Surveillance, CEIRS) et les grippes aviaires militarisées qu’il a commandées peuvent être trouvées dans des laboratoires du monde entier.

2. Dépenser des millions de dollars pour tuer des millions de poulets ne fonctionne pas.

La pandémie de grippe aviaire dure depuis des décennies, mais elle ne touchait que les volailles, de sorte que la cruauté, le gaspillage et l’illogisme de la réponse à la grippe aviaire n’ont guère attiré l’attention.

Dans le cas du COVID, les personnes asymptomatiques dont le test est positif sont censées être mises en quarantaine.

Dans le cas de la grippe aviaire, les troupeaux asymptomatiques mais positifs sont détruits en masse.

Joel Salatin, cité dans un article récent du Dr Joseph Mercola, explique pourquoi c’est si insensé:

« La politique d’extermination massive sans tenir compte de l’immunité, sans même chercher à savoir pourquoi certains oiseaux prospèrent alors que tous les autres meurent, est insensée. Les principes les plus fondamentaux de l’élevage et de la reproduction des animaux exigent que les éleveurs opèrent une sélection en vue d’obtenir des systèmes immunitaires sains ». …

La réponse est relativement simple. Il faut sauver les oiseaux qui survivent à l’infection et les faire se reproduire. Ainsi, les générations futures bénéficieront d’une immunité naturelle. « Si un troupeau est infecté par l’IAHP [influenza aviaire hautement pathogène], il faut laisser celle-ci suivre son cours. Elle tuera ceux qu’elle tuera, mais au bout de quelques jours, on verra clairement qui sont les survivants. Ce sont eux qu’il faut garder et intégrer dans un programme d’élevage », écrit Salatin.

C’est ce qu’a fait Will Harris, de White Oak Pastures. Il élève des animaux sains en plein air. Dans une vidéo récente, il explique que les agriculteurs biologiques régénératifs n’ont aucune raison de craindre la grippe aviaire.

Les massacres n’ont aucun sens, c’est pourtant ce qui se passe depuis 25 ans dans le cadre d’un programme national et depuis les années 1980 au niveau des États.

Depuis 2000, il existe un programme national visant à tester les volailles d’élevage dans le cadre du programme « U.S. Avian Influenza Clean » du National Poultry Improvement Plan (plan national d’amélioration de la volaille). Il existait des programmes de dépistage universel de la grippe aviaire au niveau des États avant la mise en place du programme national.

L’influenza aviaire hautement pathogène était considérée comme une menace pour l’élevage d’œufs, de poulets et de dindes, mais l’influenza aviaire hautement pathogène n’existait pas aux États-Unis, de sorte que le programme testait l’influenza aviaire faiblement pathogène [IAFP], qui ne provoque que peu ou pas de signes cliniques chez les oiseaux infectés.

Même s’ils n’étaient pas malades, les oiseaux dont le test était positif pour l’influenza aviaire faiblement pathogène étaient abattus, car les sous-types H5/H7 de l’influenza aviaire faiblement pathogène pouvaient muter en influenza aviaire hautement pathogène.

Une épidémie survenue en 1983-1984 a entraîné la destruction de plus de 17 millions d’oiseaux pour un coût de près de 56 millions de dollars. L’implication du tristement célèbre Yoshihiro Kawaoka dans cet incident et le fait que celui-ci ait précédé l’épidémie politiquement suspecte de Hong Kong en 1997, au cours de laquelle des cas humains de grippe aviaire ont été recensés, suggèrent que cette histoire est plus complexe que la plupart des gens ne l’imaginent.

En 1996-1997, un certain nombre d’élevages d’œufs de table en Pennsylvanie ont été testés positifs au virus H7N2 de la grippe aviaire, non pathogène pour les poulets, mais le Ministère de l’agriculture de Pennsylvanie a ordonné le dépeuplement de neuf volées.

En 2002, près de 4 millions d’oiseaux ont été abattus sous l’autorité de l’État et du gouvernement fédéral en Virginie et au Texas à la suite de l’apparition de l’IAFP H7 (en Virginie) et de l’IAFP H5 (au Texas). L’APHIS du Ministère américain de l’agriculture a indemnisé les propriétaires de volailles et les éleveurs sous contrat à raison de 10 dollars par oiseau, dépensant ainsi près de 40 millions de dollars pour cette opération.

En 2006, le programme national de test et de destruction a été étendu aux volailles commerciales en plus des volailles de reproduction.

Dépenser des millions de dollars pour tuer des millions d’oiseaux par ailleurs en bonne santé chaque fois qu’un troupeau était testé positif pour l’influenza aviaire faiblement pathogène n’a pas permis de contenir l’influenza aviaire hautement pathogène.

En 2015, des foyers de virus H5 de l’IAHP (y compris les virus H5N2 et H5N8) ont été signalés dans des élevages commerciaux de volailles dans 21 États américains. Selon l’étude mal intitulée « When poultry take a sick leave: Response costs for the 2014-2015 highly pathogenic avian influenza epidemic in the USA«  (Quand les volailles prennent un congé maladie: coûts de la réponse à l’épidémie d’influenza aviaire hautement pathogène de 2014-2015 aux États-Unis), 879 millions de dollars ont été dépensés pour tuer 51 millions d’oiseaux.

En 2016, 414 000 oiseaux ont été abattus après avoir été testés positifs à la grippe aviaire hautement pathogène H7N8 dans l’Indiana.

En 2017, l’IAHP a été détectée dans le Tennessee; 253 000 oiseaux atteints d’IAFP ont été abattus dans quatre États, dont l’Alabama, le Kentucky et la Géorgie.

En 2020, un troupeau de dindes de Caroline du Sud comptant 32 577 oiseaux a été détruit après la détection de l’IAHP.

3. L’abattage d’oiseaux asymptomatiques est cruel.

En 2021, la Humane Society of the United States, Mercy for Animals et Farm Sanctuary ont contesté le plan d’intervention du Ministère de l’agriculture des États-Unis en cas de grippe aviaire et ont obtenu un accord à l’amiable. Selon Farm Sanctuary:

Le programme cruel et irresponsable de l’USDA s’appuie sur le « dépeuplement » (l’abattage massif d’animaux innocents) et encourage son emploi pour contenir les épidémies de grippe aviaire plutôt que de faire quoi que ce soit pour remédier aux conditions stressantes et surpeuplées des élevages industriels qui rendent ces épidémies pratiquement inévitables.

L’USDA a tenté de rejeter l’action en justice, mais un juge fédéral californien a ordonné en mars 2021 que l’affaire suive son cours, et les parties sont finalement parvenues à un accord à l’amiable. Si cette victoire ne mettra pas immédiatement un terme aux massacres d’oiseaux dans les fermes industrielles et n’empêchera pas l’agence de dépenser des centaines de millions de dollars du contribuable pour renflouer l’agro-industrie lorsque les troupeaux sont « dépeuplés », elle obligera l’USDA à produire une étude d’impact environnemental (Environmental Impact Statement – EIS) sur les effets dévastateurs d’un plan qui consiste à tuer des millions d’oiseaux et à se débarrasser de leurs corps dans des fosses non revêtues ou en les brûlant.

Nous espérons que l’agence se rendra compte de l’absurdité de son programme et adoptera une alternative visant à prévenir les épidémies de grippe aviaire en s’attaquant aux horribles conditions de surpeuplement dans les élevages industriels, comme nous le suggérons dans notre action en justice. L’adoption d’une telle solution pourrait mettre un terme au massacre insensé de dizaines de millions d’animaux et permettre aux contribuables d’économiser des centaines de millions de dollars.

En janvier 2023, l’USDA a publié un avis d’intention de préparer une déclaration d’impact environnemental pour la grippe aviaire hautement pathogène, mais n’a encore pris aucune autre mesure.

Entre-temps, nous sommes au cœur de la plus grande destruction de troupeaux de l’histoire, qui dure depuis 2022, avec 85,87 millions d’oiseaux tués au 10 avril 2024.

Ces oiseaux ne meurent pas de la grippe. Ils sont asymptomatiques, ils sont massacrés et plus on tue d’oiseaux, plus il y a de cas d’IAHP.

Le fait que le gouvernement et ses sténographes dans les médias ne mentionnent jamais le nombre d’oiseaux morts de la grippe par rapport au nombre d’oiseaux tués en raison d’un test positif indique qu’il s’agit d’une escroquerie. Comme on n’entend jamais parler d’oiseaux qui meurent de la grippe, on ne peut que supposer que tous les oiseaux abattus sont asymptomatiques.

4. Les éleveurs ne se plaignent pas de l’abattage d’oiseaux asymptomatiques, car ils sont payés pour le faire.

Le gouvernement garantit aux éleveurs et aux entreprises avicoles les prix du marché et les coûts d’élimination lorsqu’ils détruisent leurs volées. Il est difficile de ne pas y voir une incitation perverse dans un secteur qui s’est développé d’une manière qui ne peut que faire chuter les prix.

L’Environmental Working Group indique que les plus grands élevages de poulets ont augmenté de 17%, passant de 6 332 élevages de 500 000 volailles ou plus en 2012 à 7 406 élevages en 2022.

Ces exploitations ont produit 24% de poulets de plus en 2022 qu’en 2012, soit près de 1,4 milliard de plus.

Dans le même temps, le nombre d’exploitations élevant des poulets de chair a diminué entre 2012 et 2022, passant de 32 935 exploitations en 2012 à 31 877 en 2022, soit une baisse de 3%.

Davantage d’oiseaux ont été concentrés dans moins d’élevages de poulets de chair car, alors que le nombre d’élevages a diminué de 3%, le nombre d’animaux a augmenté de 8%, passant de près de 8,5 milliards d’oiseaux en 2012 à près de 9,2 milliards en 2022.

L’élevage est une entreprise notoirement à haut risque et à faible marge, et les éleveurs de volailles sont des serfs sur leurs propres terres, captifs de contrats terriblement abusifs avec les entreprises de production de poulets. Face à un test positif pour l’IAHP, aucun éleveur ne serait en mesure de refuser un rachat en échange de la destruction de sa volée.

C’est la raison pour laquelle on n’entend pas les éleveurs de volailles se plaindre de cette situation.

5. Les entreprises de production d’œufs et de poulets ne se plaignent pas; elles bénéficient de prix plus élevés. Elles se moquent de savoir si les gens ont faim.

Le COVID a fait augmenter la faim. La stratégie cruelle et inutile de la grippe aviaire, qui consiste à tuer les oiseaux asymptomatiques, pourrait provoquer une crise alimentaire encore plus grave. D’ores et déjà, les prix augmentent.

Yahoo rapporte que « les œufs ont grimpé à 3 dollars la douzaine en 2024, soit le double du coût de 1,45 dollar en février 2020. Cependant, les prix sont en baisse par rapport à 2023, lorsqu’une douzaine d’œufs coûtait 4,82 dollars, selon les statistiques de USA Today. »

Fox News précise que « le prix de la poitrine de poulet désossée a augmenté de 26%, passant de 3,26 $ la livre en janvier 2021 à 4,11 $ la livre en février 2024. »

La faiblesse de l’offre se traduit par une hausse des prix et une baisse de la qualité.

Chick-fil-A abandonne un engagement vieux de dix ans, celui de ne jamais utiliser d’antibiotiques, sous prétexte qu’elle ne peut tout simplement pas se procurer suffisamment de poulet sans antibiotiques. Est-ce qu’ils veulent dire « au bon prix »?

6. L’augmentation du prix des œufs et du poulet et la baisse de leur qualité pourraient rendre les aliments Frankenfood plus compétitifs.

Alors que les défenseurs de la cause animale font pression sur l’USDA pour qu’il investisse dans des élevages plus respectueux de l’environnement afin de maintenir les troupeaux en bonne santé, les végétaliens adeptes de Frankenfood [NdT. = aliments Frankenstein, artificiellement produits] se réjouissent de l’IAHP, malgré les massacres, et célèbrent ce qu’ils considèrent comme le triomphe inévitable des organismes synthétiques génétiquement modifiés sur l’élevage des animaux.

L’élevage industriel est horrible et il est difficile d’éprouver de la sympathie pour les personnes travaillant dans ce secteur, mais la biologie synthétique et la viande produite en laboratoire ne valent pas mieux. Ce changement laisserait le contrôle du système alimentaire entre les mains des mêmes entreprises et des mêmes investisseurs milliardaires mal intentionnés – mais avec une emprise plus forte – et je ne m’étonnerais pas qu’ils exagèrent, exacerbent ou même planifient une crise de la grippe aviaire pour atteindre leur objectif, qui est de pousser les derniers agriculteurs indépendants à la faillite et de remplacer les vraies fermes par de la fausse nourriture.

Si cela vous semble impossible, regardez « The Hostile Takeover of Food Production » (La prise de contrôle hostile de la production alimentaire), une interview que Christian Westbrook de Ice Age Farmer a réalisée avec le Dr Frédéric Leroy, un professeur belge de science alimentaire et de biotechnologie. [NdT. exceptionnellement intéressante, que je traduirai (de l’anglais) si j’ai le temps – elle fait deux heures!]

Ils confirment que ce ne sont pas des végétaliens idéalistes qui conduisent la transition des vraies fermes vers les faux aliments, mais un réseau bien coordonné et très puissant de super-riches dont l’objectif n’est rien moins que la domination du monde. C’est à cette même conclusion que je suis arrivé lorsque j’ai passé en revue l’histoire du mouvement de la fausse viande pour ma présentation sur le complot visant à mettre fin à l’agriculture.

En 2019, le Forum économique mondial a prévu qu’un tiers de l’approvisionnement mondial en viande serait remplacé par de la fausse viande dans les 10 ans, que ce chiffre doublerait dans 20 ans pour atteindre 60%, et que « l’effet déstabilisant des nouvelles méthodes biotechnologiques ne se limitera pas à la viande, mais s’étendra au lait, au blanc d’œuf, à la gélatine et aux produits à base de poisson ».

Le Forum économique mondial et la Fondation Bill & Melinda Gates ont coorganisé la répétition de haut niveau du COVID 2019, l’événement 201, organisé par le Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire. Cet exercice sur table, tombé à point et sinistrement prédictif, a été financé par l’Open Philanthropy du cofondateur de Facebook, Dustin Moskovitz.

Nous avons donc toutes les raisons de nous inquiéter du fait que, lors de sa réunion annuelle à Davos cette année, le Forum économique mondial s’est « préparé à la maladie X ». [NdT. voir ici]

L’abattage massif d’oiseaux asymptomatiques a lentement réduit l’offre d’œufs et de poulets et fait grimper les prix.

La grippe aviaire pourrait-elle servir de prétexte à l’arrêt total de l’élevage?

Du point de vue de ceux qui y trouvent des intérêts commerciaux et des milliardaires qui soutiennent le Forum économique mondial, ce serait le moyen idéal de forcer le passage de vraies fermes à de faux aliments.

De plus, le rationnement de la nourriture pourrait être le moyen le plus facile pour eux d’amener les gens à adopter l’identification numérique en prévision de l’imposition de la monnaie numérique de banque centrale (MNBC).

Comme l’a rapporté Christian Westbrook en 2022, cela s’est déjà produit en Iran (« IRAN: Digital Food Rationing rolls out using Biometric IDs amid food riots » – IRAN: le rationnement alimentaire numérique mis en place à l’aide de cartes d’identité biométriques dans le cadre d’émeutes provoquées par la faim).

7. Avec 33 milliards de poulets à vacciner dans le monde, les laboratoires pharmaceutiques vont s’enrichir rapidement, mais beaucoup d’autres mauvais acteurs voient des opportunités dans une crise alimentaire.

Il existe un chevauchement important entre les personnes, les entreprises et les institutions impliquées dans la recherche sur les armes biologiques à gain de fonction et celles qui participent à la campagne visant à remplacer les vraies fermes par de la fausse nourriture. Ce qui les lie, c’est la technologie. Les mêmes techniques de génie génétique et de biologie synthétique sont utilisées pour créer les Frankenfoods et les Frankenpathogènes.

Les liens entre ces deux mondes sont bien illustrés par Ginkgo Bioworks, la principale société de génie génétique et de biologie synthétique, et la société d’organismes préférée de Bayer (Monsanto).

Si vous voulez avoir peur, très peur, de ce que cela signifie pour l’humanité, consultez le rapport de risque SEC de Ginkgo [NdT. article très instructif du même auteur, qui s’auto-traduit automatiquement en français si vous êtes dans un pays francophone; SEC = Security Exchange Commission]. On dirait le scénario d’un film catastrophe sur une pandémie.

Lisez ensuite l’étude menée par Ginkgo Bioworks, qui prévoit que les infections entre animaux et humains pourraient causer 12 fois plus de décès d’ici à 2050.

Enfin, pensez au fait que Ginkgo Bioworks est un partenaire du Forum économique mondial, lancé avec le soutien d’Open Philanthropy et dans lequel Bill Gates a investi.

Wow, plutôt curieux. Tout ce qu’il manque, c’est Johns Hopkins, et on se retrouve avec toute l’équipe de l’événement 201.

Oh, attendez… ouaip, toujours en 2019, le Johns Hopkins Center for Health Security et Ginkgo Bioworks ont organisé une réunion à Washington, DC, afin de planifier l’action du gouvernement pour renforcer l’industrie de la biotechnologie. La réunion a été financée par Open Philanthropy.

Le président Joe Biden a donné force de loi aux demandes du groupe par décret en 2022. Le même jour, le président a nommé le Dr Renee Wegrzyn, vice-présidente du développement commercial de Ginkgo, à la tête de la nouvelle Agence des projets de recherche avancée pour la santé (une agence dont Whitney Webb a prévenu qu’elle « pourrait faire des États-Unis une dictature numérique »). Enfin, Jason Kelly, fondateur et PDG de Ginkgo, préside désormais la Commission de sécurité nationale sur les biotechnologies émergentes.

Ginkgo Bioworks est un profiteur de la pandémie qui s’est tourné vers l’argent facile des tests COVID en 2020, mais il est devenu un véritable acteur dans l’histoire du COVID lorsqu’il a acheté Metabiota en 2022.

La fusion Ginkgo-Metabiota ressemblait beaucoup à la fusion Bayer-Monsanto, en ce sens qu’elle constituait un excellent moyen de se défaire d’un nom tristement célèbre.

Le conseiller de Metabiota était Jeffrey Epstein. Ses bailleurs de fonds étaient des milliardaires de la technologie, le Pentagone et la CIA. Son cabinet de lobbying était le Rosemont Seneca de Hunter Biden. Ses projets consistaient à bâcler la réponse à Ebola en 2014, à mettre en place des laboratoires biologiques pour la grippe aviaire en Ukraine et à collecter des coronavirus de chauve-souris en Chine pour Ralph Baric avec EcoHealth Alliance et l’Institut de virologie de Wuhan.

Lorsque Ginkgo a racheté Metabiota, elle n’a pas seulement fait disparaître son nom tristement célèbre, mais aussi son fondateur Nathan Wolfe, un scientifique ami de Jeffrey Epstein et de Ghislaine Maxwell, qui était un Young Global Leader du Forum économique mondial. Wolfe, qui a été impliqué dans tous les pires scandales et photographié avec toutes les pires personnes, n’a peut-être pas obtenu un emploi chez Ginkgo Bioworks après la fusion, contrairement à Nita Madhav, que Wolfe avait embauchée chez Metabiota en 2015 et dont il est devenu le PDG en 2019, qui en a obtenu un.

Aujourd’hui, Nita Madhav dirige Concentric by Ginkgo, désormais connue sous le nom de Ginkgo Biosecurity, qui n’est en fait que Metabiota sous un nouveau nom. Ginkgo Biosecurity gère le système de suivi des épidémies de Metabiota et il existe toujours un lien entre le site web de Metabiota et ce système de suivi.

Chez Ginkgo Biosecurity, Madhav fait ce pour quoi elle a été engagée par Wolfe chez Metabiota: utiliser l’« intelligence artificielle » pour « prédire » les pandémies. Voici la manière Ô combien scientifique dont ils ont procédé, d’après une interview de Madhav accordée à l’émission Marketplace de NPR le 4 février 2020 (!):

« L’entreprise d’IA Metabiota évalue une maladie – ses symptômes, son taux de mortalité et la disponibilité des vaccins – et interroge ensuite les gens pour savoir à quel point cette maladie les effraie. Elle a découvert que ce coronavirus avait un indice ‘d’effroi’ élevé ».

Comme le sait Madhav, Metabiota ne se contentait pas de « prédire » les pandémies, elle contribuait à les créer. L’entreprise était aux côtés d’EcoHealth Alliance et de l’Institut de virologie de Wuhan, dans le sud de la Chine, pour collecter les coronavirus de chauve-souris qu’ils enverraient à Ralph Baric pour ses tristement célèbres expériences de gain de fonction en 2015 et qui seraient plus tard révélés comme les plus proches parents connus du SARS-CoV-2 en 2020.

Parmi les investisseurs de Metabiota figuraient Rosemont Seneca de Hunter Biden, Google et la Fondation Bill et Melinda Gates. L’ordinateur portable de Hunter Biden a révélé qu’il avait fait pression sur l’administration de son père pour que Metabiota obtienne de gros contrats du Pentagone en Ukraine, où l’entreprise mettait en place des laboratoires biologiques de recherche sur la grippe aviaire avec Black & Veatch et travaillait sur un mystérieux « projet scientifique ukrainien » financé par le gouvernement avec la société gazière Burisma, qui payait Hunter plus de 80 000 dollars par mois pour siéger au conseil d’administration de l’entreprise.

C’est lorsque les médias ont enfin commencé à en parler, parce que la Russie ne cessait de l’évoquer dans le contexte de la guerre en Ukraine, que Ginkgo Bioworks a racheté Metabiota et enterré son nom entaché de scandale.

À peu près à la même époque, Ginkgo Bioworks a adopté un système orphelin de dissimulation des origines COVID, géré par l’Agence des projets de recherche avancée sur le renseignement, appelé FELIX (Finding Engineering-Linked Indicators). L’objectif de FELIX était de prouver que le SARS-CoV-2 n’avait pas été génétiquement modifié en laboratoire, mais ses « conclusions » mal référencées ont été publiées prématurément en janvier 2020. Ginkgo a ressuscité le projet sans tambour ni trompette en 2022.

Il est très étrange que Ginkgo ait obtenu une nouvelle subvention gouvernementale importante en 2022, étant donné qu’elle avait fait l’objet d’une enquête cinglante de Scorpion Capital juste l’année précédente. Le rapport de Scorpion citait un ancien employé de Ginkgo qui affirmait que Ginkgo surfacturait et fraudait régulièrement le gouvernement et qu’il avait été témoin de ce qui s’était passé à la Defense Advanced Research Projects Agency du Pentagone: « J’ai eu l’impression que cela se produisait tout le temps. Je les ai vus le faire littéralement. J’ai vu la feuille de calcul. »

Soutenant que les actions de Ginkgo ne valaient rien, le rapport Scorpion indiquait clairement que les capacités techniques de Ginkgo Bioworks n’avaient rien de spécial :

« La biologie synthétique est un terme vide de sens et pourrait tout aussi bien être un synonyme d’escroquerie cotée en bourse. Permettez-nous de proposer une définition plus précise: l’utilisation d’outils de génie génétique répandus depuis 50 ans pour modifier des cellules de levure afin qu’elles excrètent principalement des intrants industriels de faible valeur tels que des arômes, des parfums et des ingrédients médicamenteux. C’est l’essence même de cette mystérieuse usine – Ginkgo n’est rien d’autre qu’un ORC [organisme de recherche sous contrat] spécialisé dans l’ingénierie des souches, et un ORC de mauvaise qualité selon ses propres « clients » apparentés. Avant que les promoteurs d’actions ne revendiquent le terme de « biologie synthétique », il s’agissait et il s’agit toujours d’ingénierie microbienne ou d’ingénierie des souches ».

Il semble que Scorpion avait raison. Initialement proposée à 11,15 dollars en 2021, l’action Ginkgo valait 1,12 dollar à la clôture du marché le 10 avril 2024.

Alors pourquoi Ginkgo Bioworks est-elle la société d’ingénierie microbienne préférée des milliardaires, du Pentagone et de la CIA? Peut-être convient-il à ces derniers de s’associer à une société qui ne craint ni la fraude ni les jeux de passe-passe, qui n’a pas de véritables clients et dont l’action est en chute libre? Si le projet est de lancer une épidémie de grippe aviaire qui entraînera la faillite des exploitations familiales indépendantes et réduira l’offre alimentaire, tout en faisant grimper les prix des denrées et en détournant l’activité des vraies fermes vers la fausse viande, Ginkgo est peut-être le partenaire idéal? Plus ils sont corrompus et vulnérables, moins ils seront susceptibles de s’y opposer, quelle que soit la manière dont le gouvernement décide d’utiliser leurs services.

Une pandémie de grippe aviaire pourrait aider Ginkgo à redresser la barre. L’entreprise pourrait obtenir plus d’argent du gouvernement pour effectuer des tests de dépistage de la grippe aviaire. Ils pourraient même obtenir des projets spéciaux de l’ancienne vice-présidente de Ginkgo, Renee Wegrzyn, à l’ARPA-H.

J’espère que je me trompe, que la synergie entre les OGM et le gain de fonction et la trinité impie de Pharma, Frankenfoods et Pandémies, n’a rien à voir avec le fait que la grippe aviaire devienne une crise ou la façon dont elle sera gérée si c’est le cas.

En attendant, j’observe les acteurs décrits dans cet article à la recherche d’indices sur ce qui pourrait se passer ensuite. Le 8 avril 2024, Concentric by Ginkgo a tweeté cet article de Nature, « Épidémie de grippe aviaire chez les vaches américaines: pourquoi les scientifiques sont inquiets« .

Que sait Moderna que Pfizer ne sait pas? – par Sasha Latypova.

Source.


Que sait Moderna que Pfizer ne sait pas?

Sasha Latypova

29 mai 2024

D’après mes sources internes chez Moderna, malgré l’absence de demande réelle, ils augmentent la production…

à toute vapeur avec des échéances délirantes pour parvenir à faire fonctionner les sites de résilience avant la fin de l’année. Ceux-ci prendront en charge le CV19, le RSV et la grippe.

Je ne sais pas trop pourquoi ils sont si pressés de faire fonctionner ces sites, à moins qu’ils ne sachent quelque chose.

Les sites de résilience sont situés au Canada, au Royaume-Uni et en Australie. Il y a également quelque chose en cours en Suisse, mais je ne connais pas encore tous les détails.

Je ne sais pas pourquoi les dirigeants ont des délais si serrés pour faire fonctionner ces sites, à moins qu’ils ne sachent qu’une nouvelle « pandémie » se profile à l’horizon.

Ils développent également le site de Rovi en Espagne. C’est sur ce site qu’a été produit le vaccin CV19 envoyé au Japon, où il a été interrompu pour cause de contamination, et qui a tué quelques personnes.

La production a repris, mais je ne sais pas exactement à quoi elle est destinée, bien qu’il s’agisse d’un produit ancien. Le Covid, le RSV et la grippe sont des produits anciens. Un nouveau processus de fabrication est en cours de développement.

The Endpoints News a rapporté en mars que tout en signalant une baisse significative des revenus en 2024 (diminution de 2 milliards de dollars par rapport à 2023)….

Dans son rapport sur les résultats de l’année 2023 le mois dernier, Moderna a déclaré que les ventes de vaccins Covid-19 ont atteint le bas de la fourchette des estimations – 6,1 milliards de dollars, à l’exclusion des revenus de l’alliance de vaccins Gavi. Cela représentait environ 48 % du marché américain à l’automne 2023. Moderna s’attend à ce que les ventes du vaccin Covid-19 atteignent 4 milliards de dollars cette année.

… Moderna s’attend néanmoins à un marché de 10 milliards de dollars pour le VRS (le projet est de vacciner chaque femme enceinte et chaque enfant plusieurs fois, et d’encourager les vaccins pour les personnes de plus de 50 ans). L’entreprise prévoit également un marché de 7 milliards de dollars pour les vaccins ARNm contre la grippe, et compte en outre facturer un prix supérieur de 50 dollars par injection (les prix actuels se situent entre 15 et 30 dollars).

À l’époque, Moderna s’attendait à ce que l’examen de la FDA pour le vaccin contre le VRS soit terminé le 12 mai 2024. Cela n’a pas été le cas. La FDA a envoyé à Moderna une notification indiquant qu’elle avait pris du retard et qu’il fallait s’attendre à une réponse d’ici la fin du mois de mai. Moderna veut lancer le poison contre le VRS en juin.

Voici les dernières nouvelles publiées sur le VRS:

https://investors.modernatx.com/news/news-details/2024/Moderna-Announces-Update-on-Investigational-RSV-Vaccine/default.aspx

la grippe:

https://investors.modernatx.com/news/news-details/2024/Moderna-Advances-Multiple-Vaccine-Programs-to-Late-Stage-Clinical-Trials/default.aspx

Je pense que l’investissement de Moderna dans la fabrication est inspiré par ces nouvelles tragiques:

Un ver de terre meurt de la grippe aviaire H1N5. Les responsables de la santé très inquiets pourraient déclarer l’état d’urgence.
[NdT. c’est une blague, évidemment]

Il faut vacciner tous les vers de terre! À 50 dollars par ver! Nous ne pouvons pas laisser la grippe aviaire gagner! Quel fabuleux marché potentiel!

Mes sources secrètes m’ont communiqué le processus de fabrication actuel de Moderna, du moins une partie. Tout cela est « numérique » et piloté par l’IA selon la direction de Moderna:

J’offre une récompense de 100 dollars à toute personne qui pourra déchiffrer ce que ça signifie ou comment ça marche. Le fournisseur de ce système est mentionné dans le tableau – BioPharm Engineered Systems. Mon hypothèse de travail actuelle est qu’il s’agit d’un chaudron de sorcière avec des boutons et une interface utilisateur graphique. Que quelqu’un me convainque du contraire, s’il vous plaît! Quoi qu’il en soit, c’est ce qui est développé en urgence sur les « sites de résilience » de Moderna d’ici à la fin de l’année.

Pendant ce temps, à Pfizerland, la situation est très différente:

Pfizer ne semble pas avoir reçu la note de service concernant les fabuleux nouveaux marchés pandémiques du VRS, de la grippe et du covid, et au lieu de poursuivre leur développement, ils réduisent leurs coûts de 1,5 milliard de dollars supplémentaires et diminuent leur production. Selon Endpoints News:

Plusieurs mois après avoir lancé une stratégie d’économie de 4 milliards de dollars, Pfizer prévoit une nouvelle série de réductions de coûts de 1,5 milliard de dollars, ainsi que d’autres réductions probables à l’avenir.

Selon un porte-parole de Pfizer, ces réductions incluent la diminution de la base de production de l’entreprise, une branche des activités de Pfizer qui avait connu une croissance substantielle pendant la pandémie de Covid-19. « Ce programme se concentrera sur la rationalisation de nos méthodes de travail, la réduction de la complexité et l’augmentation de la productivité au sein de Pfizer Global Supply », a déclaré le porte-parole.

Dans un dépôt de titres, Pfizer a qualifié le plan d’économies d’ « initiative en plusieurs phases » qui « s’étendra sur plusieurs années et devrait inclure des gains d’efficacité opérationnelle, des modifications de la structure du réseau et des améliorations de la gamme de produits ».

Voici mes conseils sur la façon de se préparer aux pandémies:

Œuvre du jour: Thunder Mountain, aquarelle, 7×7 in.

Témoignage de Zoé, codeuse médicale pendant le Covid.

Un témoignage recueilli dans leur autobus itinérant par l’équipe du Children’s Health Defense de RFK Jr. Les passages sur les exécutions par protocole et vaccins, à la fin, sont assez violents. Vous êtes prévenus.

La transcription et la traduction sont de moi, la vidéo originale est ici. Diffusez, svp!

Note: traduction revue et (considérablement) améliorée le 21/06.

Traduction

Zoé: J’allais dire que c’est l’endroit le plus étrange qu’on puisse imaginer pour ce genre d’événement.

Hôte: Nous sommes en direct maintenant. Très bien, chers spectateurs, nous recevons une invitée très spéciale. Elle est un peu nerveuse parce que je pense que ce qu’elle aura à dire est important. Commencez donc par nous dire votre nom.

Zoé: Zoé.

Hôte: D’accord, Zoé. Et que faites-vous dans la vie?

Zoé: Je suis codeuse médicale.

Hôte: Et qu’est-ce que cela signifie?

Zoé: J’appelle ça le service de renseignement central de l’hôpital ou la vue à l’échelle de SimCity. Il s’agit d’examiner les dossiers médicaux, tous les types de dossiers médicaux, tous les diagnostics, et de convertir cette information en un code qui est ensuite transmis à l’assurance. C’est ainsi que les hôpitaux et les postes sont payés. Donc, si je fais bien mon travail, les postes et les hôpitaux gagnent un maximum d’argent et ils ne sont pas poursuivis pour fraude.

Hôte: D’accord. Nous devons commencer par la question de ce qui s’est passé avec les protocoles COVID des hôpitaux, car c’est le sujet dont nous avons le plus entendu parler au cours de notre tournée. Qu’avez-vous vu?

Zoé: J’ai remarqué qu’il n’y avait pratiquement pas de patients lorsque l’urgence pandémique a été déclarée et qu’il fallait deux semaines pour aplanir la courbe. Il n’y avait aucun patient à l’hôpital à ce moment-là. Ils ont commencé à affluer lentement, après des mois et des mois d’attente. Les décrets gouvernementaux ont exigé que nous créions des lits supplémentaires dans les hôpitaux, ce qui veut dire que nous avons renvoyé chez eux des patients avant qu’ils ne soient prêts à rentrer, ce que nous n’avions jamais fait auparavant parce que cela représente un risque financier. Si ces patients revenaient, c’était à nous de payer leurs soins. C’est un règlement de l’assurance-maladie. La situation était donc très inhabituelle.

Il y avait des enjeux financiers parce qu’en avril, il y a eu une mise à jour des codes, ce qui n’était jamais arrivé auparavant. Il fallait trouver un moyen de mesurer l’évolution du COVID. Il s’agissait donc de recenser la maladie, de recenser le COVID, et c’est le système de codes qui est en principe le système de recensement de base. Il n’y avait alors aucune pratique standardisée. Même notre hôpital a déclaré qu’il n’y avait pas de code de cas standardisé et qu’il était donc impossible de savoir ce qui se passait, même si l’urgence avait déjà été déclarée. Et il était clair que [les chiffres] du HHS et de l’OMS et toutes ces cartes qui nous montraient tous les foyers ne correspondaient absolument pas à ce que nous voyions à l’hôpital, ce que même l’administration admettait. Ils ont donc créé leur propre carte. C’est en quelque sorte la raison pour laquelle le diagnostic COVID a été publié.

Mais c’est aussi à ce moment-là que sont apparues les primes. Il fallait un diagnostic pour obtenir la prime de 20% pour les patients COVID. Tout patient admis avec un diagnostic COVID ramenait donc d’une prime de 20%. S’ils étaient mis sous Remdesivir, c’était une nouvelle technologie, et les codes des nouvelles technologies donnent droit à une prime supplémentaire de 20% en raison du risque lié à une technologie non éprouvée.

Gilead avait donc sollicité le paiement d’un bonus pour le Remdesivir, une nouvelle technologie. Un nouveau code a donc été créé pour le Remdesivir en avril. C’est ce qui a effectivement donné lieu aux protocoles hospitaliers. En effet, les patients se rétablissaient lorsqu’ils étaient traités avec de l’hydrochloroquine, issue de l’opération Warp Speed et du stock national d’hydroxychloroquine. Les hôpitaux en ont reçu gratuitement à la fin du mois de mars. Et puis trois jours plus tard, quelques jours plus tard, le 1er avril, le nouveau diagnostic est sorti, le bonus pour le Remdesivir est sorti et ce fut un véritable coup d’arrêt. On a arrêté l’azithromycine et l’hydroxychloroquine et on est passé directement au Remdesivir, qui donnait droit à la prime.

Et bien sûr, il y avait une prime de 20% pour la mise sous respirateur des patients. Les tests PCR faisaient également l’objet de primes. Je l’ai remarqué pour avoir longtemps travaillé dans un laboratoire hospitalo-universitaire. Ma mère était technologue médicale, ça a été sa profession toute ma vie. À l’époque où je travaillais dans un laboratoire, j’ai effectué des tests rapides de dépistage de la grippe, comme on les appelait à l’époque, en 2004. C’était le prototype du test PCR COVID-19. Il s’agit essentiellement d’un test PCR, mais la méthodologie est un peu différente question seuil des cycles.

Lorsque le test COVID-19 a été diffusé, une série d’événements ont suivi. Il était accompagné de primes et d’incitations qui n’étaient pas évidentes à discerner à première vue. En fait, la loi CARES a permis de financer tous les tests PCR COVID-19. Normalement, les tests coûtent de l’argent aux hôpitaux, qui n’aiment donc pas beaucoup faire de tests de diagnostic pour identifier un virus ou faire des cultures, ou quoi que ce soit dans le genre. En fait, ils entament le traitement avant de savoir à quel agent pathogène ils ont affaire, quitte à procéder à une identification plus tard, après avoir commencé à administrer un antibiotique ou tout autre traitement préliminaire. Au départ, pour les tests PCR, je ne sais pas si vous vous en souvenez, on avait installé une sorte de tente où les gens pouvaient aller passer un test PCR, mais à l’époque, il fallait avoir des symptômes. On ne pouvait pas simplement… On nous a dit qu’il y avait une pénurie de tests et il a fallu, je ne sais pas, environ un mois pour qu’ils se mettent à dépister tout le monde.

Lorsque l’on est passé de la situation où il fallait présenter des symptômes pour avoir droit au test PCR, où pratiquement aucun patient ne le passait, à une situation où le test est devenu largement disponible, le CDC a déclaré que chaque hôpital pouvait effectuer ses propres tests. Nous les avons donc réalisés en interne et les hôpitaux n’ont plus eu à les envoyer à un autre laboratoire et à attendre une semaine avant d’obtenir les résultats. 80% de nos patients sont alors devenus positifs au COVID, qu’ils présentent ou non des symptômes.

Cela n’était jamais arrivé auparavant, ce test n’avait jamais été utilisé pour le dépistage, il avait toujours été utilisé comme un test de confirmation – il fallait que le patient présente des symptômes et que le médecin ne sache pas à quel type de maladie il avait affaire, puis il effectuait des tests pour comprendre pourquoi le traitement n’améliorait pas l’état du patient. Cette politique a donc changé du tout au tout et il y a eu une prime à la prise en charge des patients COVID. C’est donc en fin de compte…

Hôte: Nous avons reçu des gens qui nous disaient qu’ils allaient se faire soigner pour une jambe cassée ou quelque chose de complètement différent, et ils étaient…

Zoé: À 100%.

Hôte: … avant même de s’en rendre compte, envoyés dans un service COVID, pour cette raison, et nous avons reçu une infirmière qui nous a dit…

Zoé: Oui, parce que dans les hôpitaux, on dépistait les patients pour le COVID. Ils arrivaient pour une ablation de la vésicule biliaire, une jambe cassée, un accident de moto ou de voiture, ou n’importe quoi d’autre. Et pendant qu’ils étaient à l’hôpital, on effectuait le dépistage et s’ils étaient positifs au COVID-19, on commençait aussitôt le traitement et on les mettait sous respirateur assez rapidement, on les mettait sous Remdesivir, puis ils souffraient d’insuffisance rénale et d’œdème pulmonaire et ils déclinaient rapidement, et rien de ce que l’hôpital pouvait faire n’aurait pu les sauver. Je n’ai jamais rien vu de tel. Ce n’est pas ainsi qu’évolue un cas normal de grippe ou de pneumonie. Avant 2020, si les patients se présentaient à l’hôpital avec la grippe ou une pneumonie, ils avaient tendance à se rétablir dans les trois jours et à rentrer chez eux. Il n’y avait pratiquement jamais d’hospitalisation pour une grippe. Pour une pneumonie, oui. La grippe, presque jamais. Et si cela arrivait, c’était pour des patients âgés avec beaucoup d’autres problèmes, comme une insuffisance organique, une insuffisance cardiaque ou un cancer, la grippe n’étant que leur dernier problème dans la liste. Ce n’était pas juste la grippe.

En ce qui concerne le COVID, j’ai remarqué que c’était au départ des patients âgés qui présentaient des symptômes, puis des personnes de plus en plus jeunes, parce que je ne faisais même plus attention au fait qu’ils soient positifs ou non au COVID, je faisais plutôt attention à savoir si ce patient était arrivé à l’hôpital avec des symptômes. Avait-il un quelconque rhume, grippe ou pneumonie avant d’arriver à l’hôpital? […] Que l’on travaille sur place ou à distance, dans presque tous les hôpitaux, il y a une sorte d’intranet pour les employés avec une page d’accueil personnelle que tout le monde voit en se connectant à son ordinateur. C’est là que les messages sont diffusés, que la direction diffuse ses messages. C’est là que se trouvait notre tableau des cas, le nombre de nos cas de COVID. À un moment donné, ils ont publié un message disant que les réglages FIO2 des respirateurs avaient tué des gens et qu’on ne savait pas comment traiter le COVID. « Nous avons essayé ces réglages de respirateurs en pensant que nous allions traiter le COVID, mais apparemment, le réglage FIO2 tuait en fait les patients sous respirateur. Nous allons donc arrêter. Nous avons compris que cela ne fonctionnait pas et nous allons donc ajuster le réglage et nous sommes vraiment navrés. » J’ai été choquée, car je commençais déjà à entendre des rumeurs selon lesquelles des patients mouraient sous respirateur à l’hôpital, ce qui me semblait logique, car nous n’avions jamais eu de cas de grippe ou de pneumonie où quelqu’un restait sous respirateur pendant un mois sans que nous puissions le sauver. Cela ne s’était jamais produit auparavant. D’habitude, après 24 à 48 heures, on parle de débrancher le respirateur ou de transférer le patient de l’hôpital à un établissement de soins infirmiers de longue durée.

Hôte: D’accord, revenons un peu en arrière. J’aimerais revenir sur les tests PCR. Dans cet autobus, une infirmière nous a dit qu’à l’arrivée du patient, on lui disait, d’en haut, qui que soit la personne en haut, de faire des tests répétés jusqu’à ce qu’elle obtienne un résultat positif.

Zoé: Oui, c’est ce qu’ils faisaient. C’était comme de jouer à la roulette et les médecins écrivaient même dans la documentation: « Je ne comprends pas. C’est comme si le patient n’avait rien que je puisse traiter. Je continue à faire des tests PCR. Il sont toujours positifs et le patient n’a rien d’anormal », voilà ce qui arrivait. Ils faisaient six, sept, huit tests et le résultat était positif, mais le patient ne présentait rien d’anormal et le médecin n’y comprenait rien. Parfois, ils effectuaient quatre ou cinq tests avec des résultats négatifs, puis ils obtenaient un résultat positif qu’ils prenaient en compte pour traiter le patient pour le COVID. C’était comme de jouer à la roulette.

Même les médecins, différents médecins, consignaient dans la documentation: « Je ne suis pas sûr de faire confiance à ce test, alors refaisons-le pour voir ce qu’on obtient cette fois-ci. »

Hôte: Parlons maintenant du Remdesivir. Expliquez-moi encore une fois comment nous en sommes venus à prescrire pour les personnes atteintes du COVID un machin en autorisation d’utilisation d’urgence qui paralyse leurs organes, ce que nous avons entendu maintes et maintes fois.

Zoé: C’était vraiment intéressant. Je ne sais pas comment il a été approuvé. Je n’étais pas au courant. J’ai fait des recherches plus tard, mais lorsque le nouveau code de diagnostic est apparu, ainsi que le code pour le Remdesivir qui donnait droit à une prime de 20%, nous avons commencé à le prescrire, l’hôpital disposait d’un protocole pour le Remdesivir. Ils savaient qu’il provoquait des lésions rénales. Le protocole l’indiquait d’emblée, il cause des lésions rénales. Mais toute la propagande, et je l’appelle propagande à dessein, disait que le COVID-19 provoquait également une insuffisance rénale et, à l’hôpital, l’insuffisance rénale est très fréquente. Nous l’appelons AKI (acute kidney injury) et c’est donc quelque chose que nous voyons quotidiennement – c’est normal, et nous le traitons. En voyant cela, il était donc normal de se dire: « C’est tout simplement une insuffisance rénale, c’est assez fréquent », surtout lorsqu’on a commencé à nous programmer en nous disant que le COVID provoquait une insuffisance rénale. Mais le Remdesivir provoque également une insuffisance rénale et il fallait faire passer au patient une consultation sur les maladies infectieuses et une consultation sur les maladies rénales avant de le mettre sous Remdesivir. S’il souffrait d’une maladie rénale chronique de stade trois ou plus, il se voyait exclu du traitement par Remdesivir. Nous devions documenter un formulaire d’autorisation et un formulaire de consentement éclairé et les consigner dans leur dossier médical. Ensuite, on administrait le Remdesivir, parfois une seule dose, parfois plusieurs, mais [les patients] finissaient tous par souffrir d’insuffisance rénale après quelques jours.

Certains patients sont rentrés chez eux avec des prescriptions de dialyse à domicile, d’autres se sont retrouvés sur une liste de transplantation rénale, d’autres encore se sont retrouvés avec une maladie rénale chronique après avoir reçu du Remdesivir – s’ils avaient survécu – et beaucoup de patients se sont retrouvés avec une pneumonie COVID, qui est apparemment due au fait que le Remdesivir provoque l’arrêt des reins et que lorsque les reins s’arrêtent – ils régulent les niveaux de fluides – et lorsque le corps ne peut pas se débarrasser du liquide, celui-ci s’accumule et remonte de la région de l’abdomen, traverse le diaphragme et peut atteindre les poumons, ce que nous appelions des épanchements pleuraux ou ce qui, à la radiographie, ressemble à ce que nous appellerions une pneumonie. Nous l’avons donc appelée pneumonie COVID, mais si l’on compare la radiographie thoracique d’un patient souffrant d’œdème pulmonaire à celle d’un patient souffrant de pneumonie COVID, les deux sont presque identiques. Et les prestataires, même s’ils savaient que le Remdesivir présentait ce risque pour les reins, n’ont jamais fait le lien avec le fait que les patients pouvaient souffrir d’insuffisance rénale à cause de l’administration du médicament. Ils pensaient simplement qu’il s’agissait du COVID.

Hôte: Mais ce n’est qu’une question d’argent. Dès qu’ils ont vu qu’ils recevaient des primes pour les tests PCR…

Zoé: Oui.

Hôte: C’est l’argent, c’est l’argent qui a tout changé, tout a complètement changé.

Zoé: Tout, oui.

Hôte: D’accord. Je dois vous poser une autre question. Nous avons vu des centaines de cas de décès liés au protocole COVID et vous êtes assise en ce moment même dans le mémorial où vous pouvez les voir tous.

Zoé: Je sais.

Hôte: Ils étaient tous non vaccinés, alors la première chose, et c’est ce que nous essayons de comprendre, c’est que des gens se sont présentés à l’hôpital et que la première chose qu’on leur a demandée, c’est: « Êtes-vous vacciné ou non vacciné? » En d’autres termes, avez-vous reçu le vaccin COVID ou non?

Zoé: Dans mon hôpital, on ne demandait pas cela. C’était presque impossible à déterminer au début. C’était comme s’ils ne voulaient pas que nous le sachions. Et je sais, grâce au codage médical que je pratique aux urgences, que l’une des choses sur lesquelles nous devons recueillir des informations est la suivante: si un patient a été blessé, quelle en est la cause? Il existe en fait un code pour cela. S’il y a effet secondaire d’un vaccin, il est censé exister un code pour le vaccin à l’origine de la blessure. C’est ainsi que l’on peut trouver cette information, comme les chercheurs peuvent le faire dans le cadre d’une étude. Si on connaît le code à rechercher, on peut extraire tous les dossiers médicaux qui présentent ce symptôme particulier avec cette cause et on peut monter une étude sur la base de ces informations, ou on peut solliciter le CDC ou l’OMS pour obtenir ces données. C’est là tout l’intérêt du codage international, qui permet de recueillir ces données. Mais au début, on ne demandait pas cela en amont. Il m’était presque impossible de le savoir. J’ai dû consulter les notes. Je devais littéralement parcourir 40 ou 50 pages de notes pour trouver l’endroit où le patient avait dit à l’infirmière ou au médecin: « J’ai reçu le vaccin COVID ».

Hôte: […] Permettez-moi donc de revenir au point précédent. Les gens disent qu’ils se présentent à l’hôpital et que la première chose qu’on leur demandait, c’est s’ils avait reçu le vaccin COVID ou non. S’ils avaient reçu le vaccin COVID, on les dirigeait d’un côté, s’ils n’avaient pas reçu le vaccin COVID, on les dirigeait ailleurs. Et des centaines et des centaines de personnes disent la même chose, dans différents États, il y a donc anguille sous roche. Ceux qui ne sont pas vaccinés sont directement placés dans un service COVID, Remdesivir, ventilation, mort. Très peu s’en sortent. Les vaccinés, dont certains reçoivent du Remdesivir, ne semblent jamais mourir, ils sont renvoyés chez eux et meurent peut-être d’autre chose, mais ils ne sont pas tués par les protocoles de l’hôpital. C’est ce que nous avons vu et une infirmière est venue nous dire que lorsqu’il y avait un décès chez une personne non vaccinée, il n’y avait pas dans la liste déroulante d’option pour indiquer qu’il s’agissait d’une personne non vaccinée…

Zoé: J’ai entendu la même chose et j’ai entendu dire que ça faisait partie du système Epic et c’est avec ce système que j’ai travaillé. En fait, j’ai travaillé sur le système Epic au sein de l’hôpital, j’ai aidé à le développer et à déterminer le genre de données que les médecins sont censés inscrire dans le dossier médical, cela faisait partie de mon travail. Je comprends donc parfaitement et j’ai entendu le témoignage de cette infirmière et je le crois tout à fait. Cependant, j’ignore quand ce changement s’est produit, car j’ai quitté l’hôpital en avril 2021 à cause des obligations vaccinales. J’ai refusé d’être vaccinée et de subir le test PCR, alors qu’on commençait à faire de la propagande même dans les messages sur l’intranet de l’hôpital, qui disait: « C’est vous le problème, vous travaillez à domicile, vous ne voyez jamais de patients mais c’est vous qui filez le COVID à grand-mère, vous devez vous faire vacciner ». L’assurance-maladie incite les hôpitaux à vacciner leur personnel sous peine de perdre des sommes considérables. Ils ont donc été incités à tenir ce discours et je savais que je n’obtiendrais pas d’exemption, alors j’ai démissionné à ce moment-là. C’était assez tôt. Le vaccin a été distribué en janvier – ou le 6 décembre en fait – mon hôpital a commencé à distribuer le vaccin le 6 décembre 2020 par le biais du drive-in et j’ai démissionné en avril 2021. Pendant cette période de quatre mois, il n’y avait ni listes déroulantes, ni questionnaire. Je l’aurais forcément constaté dans mon travail de tous les jours parce que je devais déterminer si le patient était positif au COVID ou non, et je devais examiner chaque dossier dans lequel je l’inscrivais, parce que c’était exigé par notre hôpital.

Hôte: Alors croyez-vous que les gens… les gens disent que leurs proches ont été tués dans des hôpitaux avec le protocole COVID – ce qui ne devrait évidemment jamais arriver. Les croyez-vous?

Zoé: À 100%. Je savais qu’on tuait des gens. Je savais qu’on tuait des gens à l’hôpital. La nuit, je pleurais jusqu’à ce que je m’endorme. Même en pensant à mon discours d’aujourd’hui – désolée. [pleurs] Il y avait tellement de morts. C’était pratiquement insupportable. Les hôpitaux sont devenus l’endroit où les gens allaient mourir et non plus l’endroit où les gens allaient se faire soigner. Ils séparaient les nouveau-nés de leur mère. Ils laissaient les gens mourir seuls sans pouvoir faire leurs adieux. Ils les droguaient et les attachaient et les gens mouraient sans avoir pu dire adieu à leur famille. Certains d’entre eux ont eu droit à un coup de fil. D’autres n’ont eu droit à rien. Certains sont morts bizarrement au milieu de la nuit, en présence d’une équipe réduite, des gens qui se portaient bien jusqu’à ce moment-là, puis tout d’un coup, du jour au lendemain, « Oh, ils sont morts, je ne sais pas ce qui s’est passé », ce qui n’était jamais arrivé avant le déploiement du protocole COVID en 2020. Alors oui, quand on dit qu’on a tué des gens, je suis d’accord. Et je disais aux gens, probablement à partir d’avril, de ne pas aller à l’hôpital, « on est en train d’y tuer des gens, évitez d’y aller, je ne comprends pas ce qui se passe. » Je ne savais pas ce qui se passait. Honnêtement, je ne savais pas que c’étaient les respirateurs, je ne savais pas que c’était le Remdesivir jusqu’à ce que je me penche sur la question plus tard et que j’arrive à relier tous les points. Mais je savais qu’on tuait des gens.

Hôte: Qu’en est-il des lésions dues aux vaccins? Qu’avez-vous constaté chez les personnes qui se sont fait vacciner?

Zoé: Des lésions massives… Je ne savais pas qu’il était possible pour un humain de mourir de façon aussi horrible et aussi rapide avant qu’on ne lance les injections d’ARNm. C’était de la folie pure. Je n’ai jamais rien vu de tel. Les patients, les plus atteints, étaient ceux qui, sous le nom de septicémie, souffraient d’une défaillance multiviscérale instantanée. En quelques heures, les patients mouraient d’une défaillance du foie, des poumons, des reins, d’une défaillance simultanée, d’une défaillance respiratoire. C’était comme si… d’après les dossiers de l’équipe d’urgence qui les a trouvés, c’est comme si leur corps essayait de tout rejeter. Dans certains cas, la famille était là 30 minutes avant, et une heure plus tard, ils étaient morts. [pleurs]

Et puis il y avait des patients qui arrivaient avec des crises d’épilepsie comme je n’en avais jamais vu auparavant. Nous ne parvenions pas à contrôler certains d’entre eux. Certains jours, les patients faisaient des crises qu’aucun médicament n’arrêtait et il fallait finalement les euthanasier.

On parlait d’encéphalite ou d’encéphalopathie, puis, plus tard, l’organisation d’information sur le codage AHIMA a admis qu’il s’agissait d’une « encéphalite associée au COVID-19 ». Il y avait des caillots sanguins, des accidents vasculaires cérébraux. Les caillots étaient insensés. Je n’avais jamais vu de tels caillots auparavant. Ni les radiologues d’intervention, qui travaillent sur des angiopathies et dans différents champs d’application qui leur permettent de faire des interventions cardiaques et de poser des endoprothèses dans l’artère carotide en cas d’accident vasculaire cérébral. Normalement, il est rare de poser plus d’une endoprothèse et ils ont documenté des interventions à plusieurs endroits à la fois. Il y avait des cas de crises cardiaques comme ça, où ils avaient besoin d’endoprothèses en quantités massives, ce qui ne leur était jamais arrivé. Des personnes d’une vingtaine d’années, qui faisaient de la randonnée, qui étaient en parfaite santé et qui couraient des marathons, ont soudain dû être amputées d’une jambe à cause d’un énorme caillot sanguin qui partait de leur hanche et descendait tout le long de leur jambe, qui ne pouvait pas être sauvée. Voilà ce qui se passait.

Il y a eu des cas de gangrène spinale du jour au lendemain, ce que je n’avais jamais vu auparavant, et on ne peut pas amputer la colonne vertébrale. En cas de gangrène, on coupe normalement les tissus qui meurent de cette manière, afin d’éviter toute infection supplémentaire, mais là ils ne savaient pas quoi faire. Tout ce qu’ils pouvaient faire, c’est remplacer cette partie de la colonne vertébrale par un implant – c’est le mieux qu’ils pouvaient faire.

Oui, c’était vraiment intense et je n’ai pas remis en question les vaccins autant que j’aurais dû. J’ai commencé à m’interroger sur le vaccin contre la grippe en 2004, mais avec la pression exercée pour se faire vacciner contre le COVID-19, j’ai commencé à étudier les risques et j’ai su que je ne voulais rien avoir à faire avec ce truc expérimental à base d’ARNm. Et lorsque j’ai commencé à m’intéresser aux experts qui disaient que ce vaccin potentiel pouvait avoir des effets, que les recherches le démontraient, j’ai examiné les essais de vaccins et ce qui arrivait aux patients, le Guillain-Barré et les accidents vasculaires cérébraux qui se produisaient. J’ai donc su ce qu’il fallait surveiller lorsque le vaccin a été mis sur le marché mais les médecins étaient stupéfaits. Ils n’arrivaient pas à faire le lien. Mais pour moi, en connaissant les causes ou les symptômes potentiels d’une lésion due à ce vaccin, nous avons eu à 100% tout ce que je viens de décrire. Mais les médecins ne vous le diront jamais, ils diront simplement qu’il s’agissait d’un accident vasculaire cérébral, d’une crise cardiaque, d’un caillot de sang et ils ne feront jamais le lien entre les deux.

Hôte: Y a-t-il quelque chose qui vous inciterait à recevoir un vaccin, quel qu’il soit, à l’avenir ?

Zoé: Il faudrait qu’ils me tuent. Rien, rien ne me fera accepter un vaccin. Plus aucun type de vaccin. Plus de vaccins.

Hôte: Avez-vous eu le COVID ?

Zoé: Non, je n’ai jamais eu le COVID. J’ai eu un rhume une fois en quatre ans, j’appelle ça un rhume parce que ça ressemblait à un rhume. Je n’ai pas perdu mon odorat. Je n’étais même pas très mal en point, j’ai juste eu des reniflements pendant quelques jours. Ce n’était vraiment pas très grave. Mais je prends du zinc, de la vitamine C et du glutathion tous les jours, je mange sainement et j’essaie de prendre soin de moi, alors…

Hôte: Voulez-vous ajouter quelque chose à votre histoire? Voulez-vous dire quelque chose d’autre?

Zoé: Je ne sais pas.

Hôte: Emmèneriez-vous quelqu’un que vous aimez à l’hôpital?

Zoé: Non. C’est une question très difficile parce que j’aimerais dire non à 100%, mais il y a des exceptions où si on a une blessure grave ou un bras cassé, un médecin holistique ne pourra pas le soigner de la même façon selon le type de fracture. Il ne sera peut-être pas en mesure d’établir un diagnostic. Mais si on se présente à moi avec une aiguille, quelle qu’elle soit, je n’ai pas du tout confiance, je ne fais pas confiance aux tests PCR, je ne laisserai pas un médecin essayer de me diagnostiquer sur base de ces tests. Il faudrait que je connaisse le médecin ou l’équipe soignante de cet hôpital. Il faudrait que je les évalue. Et mon père aura probablement besoin de soins bientôt, alors je fais de mon mieux pour essayer de le garder à la maison.

Hôte: Avez-vous retrouvé un emploi?

Zoé: Non, je n’ai pas travaillé depuis trois ans. J’ai essayé de ne pas retourner dans le secteur des soins de santé parce que je savais que je n’obtiendrais pas d’exemption. J’essaie d’y retourner maintenant et ils exigent toujours… il est même indiqué dans certaines descriptions de poste que le COVID-19 sera toujours exigé et qu’il y a très peu d’exemptions permises et que tous les autres vaccins sont toujours exigés. Il y a donc peu de chances que j’obtienne un emploi dans le secteur de la santé vu cette exigence.

Je voulais cultiver des produits alimentaires et peut-être travailler avec des animaux comme je le faisais avant de me lancer dans les soins de santé, mais il est très difficile d’y accéder. Il n’y a pas grand-chose sur le marché et je suis une femme, alors apparemment je ne suis pas du bon genre pour me lancer dans l’agriculture, le travail avec les animaux ou la culture des légumes, je ne sais pas.

Hôte: Nous allons arrêter ici. Écoutez, merci d’être si courageuse. Est-ce la première fois que vous en parlez publiquement?

Zoé: Oui.

Hôte: Merci de l’avoir fait. C’est une information très importante que vous nous donnez. Nous vous en sommes très reconnaissants. Merci.


Transcription

Zoe: I was going to say this is like the strangest location for this particular event I can think of.

Host: We’re live now. Okay. All right everybody. So we have a very special guest here with us now. A little nervous because what she’s going to say I think is, you know, important. So tell us your name first.

Zoe: Zoe.

Host: Okay, Zoe. And what do you do?

Zoe: I’m a medical coder.

Host: And what does that mean?

Zoe: I call it the central intelligence of the hospital or the SimCity level view. What it is is you look at medical records, every kind of medical record, all the diagnostics, and you take that information and you put it into a code which goes to insurance. And that’s how hospitals and positions get paid. So if I do my job right, then the position and the hospital make the most money and they don’t get sued for fraud.

Host: Okay. We have to start with what on Earth went on with the hospital COVID protocols because we’ve had more stories of that than anything else as we tour around. So what were you seeing?

Zoe: I noticed there was hardly any patients when they called the emergency pandemic and there was two weeks to flatten the curve. We didn’t have patients in the hospital at that time. They slowly started to trickle in maybe after months and months of that. We were told to basically create beds for hospitals with the executive orders, which meant we sent patients home before they were actually ready to go home, which we had never done before because that’s a financial liability. We can actually… if patients come back, we would have to pay for their care. It’s a Medicare rule. So that was definitely very different.

There was some financial stuff that happened because in April they had a code update, which they had never done before. They had to come up with a way to track COVID. So it was all about tracking the disease, tracking COVID, and the code system is supposed to be the main tracking system. So no one had any standardized practice. Even our hospital said there’s no standardized case number so we can’t even tell what’s going on, even though there had already been declared an emergency. And you could see the HHS and the WHO and all of those case maps that showed us all the outbreaks, well, definitely didn’t match up with what we were seeing in the hospital and even the admin admitted that. So they created their own map. So that was sort of why the COVID diagnosis came out.

But that’s when the bonuses came out too. They had to have that diagnosis in order to get the 20% bonus for COVID patients. So any patient that was admitted that had a COVID diagnosis, they got a 20% bonus for that. If they were put on Remdesivir, that was a new technology and new tech codes can apply for an additional 20% bonus in payment because of the risk of an unproven technology.

So Remdesivir, Gilead had actually applied for a new tech bonus payment for Remdesivir. So the new code was created for Remdesivir in April. And that’s actually what launched the hospital protocols. Because people were actually doing well when they were treating them with hydrochloroquine, which came from Operation Warp Speed actually, and the national stockpile of hydroxychloroquine. Hospitals got a free donation of that right at the end of March. And then three days later, a few days later, April 1st, the new diagnosis came out, the bonus for Remdesivir came out and it was like a line in the sand. We stopped azithromycin and hydroxychloroquine and we went straight to Remdesivir where we got the bonus.

And then of course we got a 20% bonus for putting patients on a ventilator also. Also the other part of that was the PCR tests. So I noticed it – I actually worked in a hospital university lab for a long time. My mom was a medical technologist, that was her profession my whole life. And I had actually run at one point the rapid, they used to call it a rapid flu test way back in like 2004 when I was working in a lab. And that was the prototype for the COVID-19 PCR test. It’s basically a PCR test, but it’s not quite the same methodology of how you do the cycle threshold thing.

So when the COVID-19 test came out, there was a whole thing that happened with that too. And that sort of came with bonuses and incentives also that were not super easy to see on the surface. But what happened was the CARES Act provided money for all the COVID-19 PCR testing. So normally testing cost hospitals money and so they don’t like to do a whole lot of diagnostic testing to identify a virus or do cultures or anything necessarily. They actually start treatment before they know what pathogen they’re dealing with and then they may do identification later after they start an antibiotic or whatever preliminary treatment they’re going to do. Initially with PCR tests, I don’t know if you remember, they had like a tent set out where people could go and get PCR testing, but you had to have symptoms at that time. You couldn’t just… They were saying there was like a shortage of testing and it took, I don’t know, maybe a month or so until they started screening everybody.

Well, when they went from you had to have symptoms to get the PCR test, there was hardly any patients that had it, and then when they switched to now it’s readily available, the CDC says that every hospital can do their own testing. And so we brought it in-house and hospitals didn’t have to send it to a different lab and wait a week to get the results back, then we could do it all the time. So then 80% of our patient population became COVID positive, whether they had symptoms or not.

And that had never happened before that, we had never used that test as a screen before, it had always been like a confirmatory test – like you had to have symptoms and the doctor had to not know which kind of disease they were dealing with and then they do some sort of test to figure out why aren’t you getting better with the treatment. So that policy completely changed and there was a bonus to getting the COVID patients. So that’s ultimately…

Host: We had people telling us they’re going for a broken leg or something completely different and then they would be…

Zoe: 100%.

Host: … before they knew it on a COVID ward because they would, and then we had a nurse telling us…

Zoe: Yeah, because they would screen patients in the hospital for COVID. They would come in for gallbladder removal or broken leg or a motorcycle accident or car accident or anything else. And while they were in the hospital, they would do the screen and if they came up COVID-19 positive, that’s when they would start the treatment and they would put them on the ventilator fairly soon, they would start the Remdesivir and then they would have kidney failure and pulmonary edema and they would just circle the drain and it was like nothing that the hospital could do would save them. I’ve never seen anything like that. That is not how a normal flu case would progress and that’s not how a normal pneumonia case would progress. Before 2020, if patients came into the hospital with the flu or with pneumonia, they would tend to get better within three days and go home. Hardly ever would we have an inpatient admission for flu. Pneumonia, yes. Flu almost never. And if they did, I mean they were elderly and they had a lot of other things like organ failure or heart failure or cancer going on and flu was just the last thing that was going on after a bunch of other things. It wasn’t just flu.

But for COVID, at first it was elderly patients that I noticed that had symptoms and then it started to get to be younger and younger people that actually had symptoms because I wasn’t even paying attention anymore to if they were COVID positive or not. I was paying attention to, did this patient come into the hospital with symptoms? Did they have some sort of cold or flu type thing or pneumonia type thing going on before they came into the hospital? Because at some point the hospital sent out, like we have, whether you work on site or whether you work remote in almost any hospital, they have some sort of like an intranet for employees and it’s like your very own home page that everyone sees when you log in every time you go to the computer. So that’s where they put the messaging, the leaders put the messaging. So that’s where like our case chart would be, how many COVID cases we had. At one point they sent out a message that said the FIO2 settings on the ventilators had been killing people and we don’t know how to treat COVID so we were trying these ventilator settings thinking that that was how we were going to treat COVID but apparently the FIO2 setting was actually killing people on the vents. So we’re going to stop doing that. We learned that that was not working and so we’re going to adjust it and we’re sorry. And I was shocked by that because I had already started to hear rumors that patients were being killed on ventilators in the hospital which made sense to me because we had never had a flu case or a pneumonia case where someone’s on a vent for a month and we can’t save them. That had never happened before. Usually maybe 24 to 48 hours and they’re talking, let’s pull the plug or you know get them out of the hospital and get them into some long-term nursing care setting.

Host: Okay, let’s just go back a little bit. I want to go back to PCR tests. We had a nurse on this bus telling us that the patient would come in and they would be told from above, whoever the above person is, to keep testing until they got a positive.

Zoe: Yeah, they did that. It was like they were playing roulette and the doctors would even put in the documentation: « I don’t understand this. It’s like the patient doesn’t have anything I can treat. I keep doing the PCR test. It keeps coming up positive and they have nothing wrong », that would happen. They would do like six, seven, eight tests and it would be positive but the patient would have nothing wrong with them and the doctor would be really confused. Sometimes they would do, you know, four or five tests and they would get a bunch of negatives and then they would get one positive and they would take the positive and then treat the patient for COVID. So it was like playing roulette.

Even the doctors, different doctors were documenting: « I’m not sure I trust this test so let’s just run it again and see what I get this time. »

Host: Now let’s talk about Remdesivir. Talk me through once more how we came to prescribing an emergency use authorization thing for people with COVID that shuts down their organs which is what we’ve been hearing over and over again.

Zoe: It was really interesting. I don’t know how it came to be approved. I wasn’t privy to that. I looked it up later but when the new diagnosis code came out and also the code for Remdesivir which created the 20% bonus for it, we started prescribing it and the hospital had a protocol about Remdesivir. They knew that it caused kidney damage. It said right up front, it causes kidney damage. But the thing is all the propaganda, and I call it propaganda intentionally, was saying COVID-19 also causes kidney failure and in the hospital kidney failure is a very common thing. We call it AKI or acute kidney injury and so that was something that we saw every day – it was normal, a normal thing that we would treat. So it would be normal for us to see that and think, « Well we’re just dealing with kidney failure, it’s just something that happens to people sometimes » and especially when they started programming us with, well, COVID causes kidney failure. But Remdesivir also caused kidney failure and they had to do an infectious disease consult and a renal consult before a patient could go on Remdesivir and if they had chronic kidney disease stage three or higher, they would be disqualified from receiving Remdesivir. And we had to document like a permission slip and a informed consent form and put that all in their medical record and then they would administer the Remdesivir and sometimes there was one dose, sometimes there was a few doses but they all ended up with kidney failure within a few days.

Some patients ended up going home with home dialysis prescriptions, some patients ended up on a kidney transplant list, some patients ended up with chronic kidney disease after they were given Remdesivir – if they survived – and a lot of patients ended up with COVID pneumonia which is apparently Remdesivir causes the kidneys to shut down and when the kidneys shut down, they regulate fluid levels and when you can’t get rid of fluid in the body, it builds up and it comes up from the abdomen area and then it goes through the diaphragm and it can get into the lungs which we were calling pleural effusions or which we also on x-ray, it looks like what we would call pneumonia. So we called it COVID pneumonia but if you look at the chest x-ray of a patient with pulmonary edema versus COVID pneumonia, they’re almost identical. And providers, even though they knew Remdesivir had this risk to the kidneys, they never connected that that might be causing patients to have kidney failure after they administered it. They just thought it was COVID.

Host: But it’s just the money. I mean the minute they saw they got bonuses from the PCR tests…

Zoe: Yeah.

Host: It was money, it was money, it changed, the whole thing changed.

Zoe: The whole thing, yeah.

Host: Right. I have to ask you another question. So we’ve had hundreds of COVID protocol deaths situations and you’re sitting in the memorial right now and you can see them all.

Zoe: I know.

Host: They’re all unvaccinated so the first, this is the thing we’re trying to get to the bottom of, we have people that come in and the first thing that’s asked in hospitals « Are you vaccinated or unvaccinated? » In other words did you take the COVID shot or did you not?

Zoe: They weren’t asking that in my hospital. It was almost impossible to figure out at first. It was like they didn’t want us to know. And I know from the medical coding thing working with emergency room that one of the things that we need to gather information on is if a patient was injured, where did that come from? There’s actually a code for that. If there’s a side effect of a vaccine, there’s supposed to be a code for which vaccine the injury came from. And that’s how they can look it up, like researchers can look it up as part of a study. If you know which code to look for you can pull every medical record that has that particular symptom with that cause and you can put a study together with that information, you can solicit the CDC or the WHO to get that data. That’s the whole point of coding internationally, it’s to capture that data. But they weren’t asking that on the front end at first. It was almost impossible for me to find out. I had to look into the notes. I had to go through literally 40, 50 pages sometimes of notes to find where the patient told the nurse or the doctor « I received the COVID vaccine ».

Host: […] So let me go back to where we were. What people are saying, they’re saying that they’re going in, the first thing they’re asked is if they’ve taken the COVID shot or not. If they have taken the COVID shot, they go one way, if they haven’t taken the COVID shot they go another way. And this is hundreds and hundreds of people saying the same thing in different states so there’s something going on. So the ones that are not vaccinated get taken straight into a COVID ward, Remdesivir, vent, death. Very few got out of that. The vaccinated, some of them do get Remdesivir but they never seem to die, they get sent home and maybe they die at home of something else but they’re not killed by the hospital protocols. That’s what we’ve seen and one nurse came and told us that when there was a death from the unvaccinated, there was no drop down to put in that this was an unvaccinated…

Zoe: I had heard that too and I had heard that that was in the Epic system and that’s what I worked with. I actually worked in the Epic system, like within the hospital helping to develop that and figure out, you know, which kind of things do we want to prompt the doctor to put in the medical record, that was part of my job. So totally understand and I had heard that nurse actually give that testimony and I can totally believe that. However I wonder when that switch happened because I quit working for the hospital in April of 2021 over the vaccine mandates. I would not be vaccinated and I would not be PCR tested and they were even starting to put propaganda in the hospital messaging on the intranet saying « It’s you that’s the problem, you’re working from home, you never see patients but you’re the one giving COVID to grandma so you need to get vaccinated ». And there’s a Medicare incentive that they actually get money if they vaccinate their staff and there’s a massive amount of money they would lose out on if they didn’t vaccinate their staff. So they were incentivized to say that and I knew I wasn’t going to be able to get an exemption so I quit at that time. That was pretty early on. They might have switched it after that because I feel like from… so the vaccine went out in January – or December 6 actually – December 6, 2020 was when my hospital started giving out the vaccine through the drive-through and then I quit in April 2021. So that was only a four month period and during that time they didn’t have drop downs, they didn’t have a questionnaire because that’s something that I would have had to look at in my everyday job because I had to identify, is this patient COVID positive, are they not, and I had to look at, you know, every single record that I put that on with, our hospital wanted us to verify that.

Host: So do you believe that people were… the people are saying that their loved ones were killed in hospitals with COVID protocol and that should never happen obviously. Do you believe them?

Zoe: 100%. I knew they were killing people. I knew they were killing people in the hospital. I would cry myself to sleep at night. Even thinking about giving my speech today – sorry. [cries] There was so much death. It was almost unbearable. Hospitals became the place where people go to die instead of the place where people go to get better. They separated newborns from their moms. They let people die alone without being able to say goodbye. They drugged them and they strapped them down and people died without being able to say goodbye to their family. Some of them just got a phone call. Some didn’t get anything. Some of them just weirdly died in the middle of the night when there was a skeleton crew on and they had been doing fine up until that point and then just all of a sudden, overnight, they just « Oh they crashed, I don’t know what happened » and that had never happened before the COVID protocol rolled out in 2020. So yeah, when they say they killed people I agree with them. And I told people from probably April on, don’t go to the hospital, they’re killing people in there, stay away, I don’t know what’s wrong. I didn’t know what was doing it. I honestly didn’t know it was the vents, I didn’t know it was the Remdesivir until I looked into it later and I was able to kind of connect all the dots. But I knew they were killing people.

Host: What about vaccine injury? The ones that actually took the shots, what did you see there?

Zoe: Massive… I didn’t know it was possible for a human to die so horrifically and so quickly before they rolled out the mRNA injections. It was insane. I’ve never seen anything like that. Patients, the worst of them, were the ones, they called it sepsis but it was like instant multi organ failure – like within hours patients would die of liver, lung, kidney, all-at-once failure, respiratory failure. It was like… there’s some of the records that emergency crew that found them, it’s like their body tried to reject everything. And some of these cases, like their family would be there 30 minutes before and then within an hour they’re dead. [cries]

And then there were patients coming in with seizures like I’ve never seen before. We couldn’t control some of them. Days patients would be seizing and no medications would stop it and eventually they kind of had to be put down.

They called it encephalitis or encephalopathy and then later on they even the coding information organization AHIMA admitted « COVID-19 associated encephalitis ». There were blood clots, strokes. The clots were insane. Never seen clots like that before. Even the interventional radiologists that were going in with, you know, they have angiopathies and, you know, different scopes where they can do like heart interventions and put stents in like a carotid artery if you have a stroke going to your brain. Normally it’s rare to have more than one stent go in and they were documenting, you know, multiple locations all at once. They had heart attack cases that were like that, where they, you know, they needed massive amounts of stents that they never needed before. There were people in their 20s that have been hiking, that were totally healthy had been running marathons, that suddenly needed a leg amputated because they had a massive blood clot going from their hip all the way down to their leg and it couldn’t be saved. So that happened.

There were some cases of overnight spinal gangrene which I’ve never seen before and you can’t amputate, you know, the spine. When it goes gangrenous normally they cut out tissue that’s dying like that, so it prevents further infection and they didn’t know what to do. The only thing they could do was, you know, basically replace that part of their spine with an implant – that’s the best they could do.

Yeah, it was really intense and I didn’t question the vaccines as much as I should have. I started to about the flu shot way back in 2004 but with the pressure to get the COVID-19 shot I started looking into what it could do and I knew I didn’t want anything to do with this experimental mRNA thing. And when I started looking into the experts that were saying, well this is what this potential vaccine could do, this is what the research says, I was looking at the vaccine trials and what’s happening to those patients and the Guillain-Barré that was happening and the strokes that were happening. And so I kind of knew to look for that when the vaccine came out and the doctors were, you know, baffled. They weren’t connecting the dots. But to me, knowing what the potential causes or potential symptoms of a vaccine injury could be, we 100% had all the things that I just described. But doctors would never tell you that, they would just say it’s a stroke, it’s a heart attack, it’s a blood clot and they would never connect the two.

Host: Is there anything that would make you take a vaccination of any kind ever again?

Zoe: They would have to kill me. Nothing, nothing would make me take it. Not any more kinds. No more vaccines.

Host: Did you have Covid?

Zoe: Nope, I’ve never had Covid. I had a cold once in four years, I call it a cold because it felt just like a cold. I didn’t have like, I lost my sense of smell. It felt just, I wasn’t even really down that bad, I just, you know, got the sniffles for a couple days. Really it wasn’t that bad. But I take zinc and vitamin C and glutathione every day and I eat clean, try and take care of myself so…

Host: Is there anything else you want to add to the story? Anything else you want to say?

Zoe: I don’t know.

Host: Would you take someone you love into hospital?

Zoe: No. I mean, that’s a really hard question because I want to say 100% no, but there are some exceptions where, you know, if you have a massive injury where your arm is broken, you know, like a holistic doctor isn’t going to be able to set it in the same way depending on what kind of a break it is. You might not be able to do the diagnostics. But them coming at me with a needle of any kind, I don’t really trust it, I don’t trust PCR tests, I’m not going to let a doctor try and diagnose me based on that. I would have to know the doctor or the care team of that hospital. I would have to vet them. And my dad’s, you know, probably going to need care soon so I’m working as best I can to try and keep him at home.

Host: Are you employed again?

Zoe: No, I have not worked in three years. I have tried not to go back into health care because I knew I wasn’t going to get an exemption. I’m kind of trying to go back into it now and they’re still requiring – it even says right in some of the the job descriptions that covid-19 is still going to be required and there are very limited exemptions allowed and then all the other vaccines are still required. So probably not a good chance that I would get a job in health health care if that’s part of it.

I wanted to grow food and maybe work with animals like I did before I went into health care but that’s been really hard to get into. There’s not a lot out there and I’m a woman so apparently I’m the wrong gender to start farming or working with animals or growing vegetables, I don’t know.

Host: We’ll stop. Listen, thank you for being so brave. And is this the first time you’ve spoken publicly about that?

Zoe: Yes.

Host: Thank you for doing that. It’s very important information that you have. We really appreciate it. Thank you.

Le chantage.

Qu’est-ce qui est pire que la mort?

J’ai pris un peu de retard dans mes publications, cher lecteur. J’ai été malade, mais ça va mieux. Heureusement, parce que vivre dans cet état n’en vaut vraiment pas la peine. Bon sujet pour un article, me disai-je.

Miriam en arrivait ici à la conclusion que toute l’ingénierie sociale s’articule en fin de compte sur la peur de la mort, menace cachée derrière tous les non-dits du pouvoir. Je le croyais aussi mais c’était une erreur, du moins en partie. Je viens de comprendre que mourir ne dérange pas du tout les vieux. Ils ont fait leur temps, ils sont mal foutus, ils en ont eu assez – du meilleur comme du pire – on les a trop fait chier, etc. Non, ce qui les dérange plus que la mort, c’est la solitude. Surtout si on leur inflige les deux en même temps.

Des vieux, on en a tué un paquet en 2020. Des dizaines de milliers, des centaines de milliers?.. Le saura-t-on un jour? De toute façon, plus personne n’en a rien à battre. On va tourner la page, on va tous bien gentiment aller voter et « restaurer la confiance dans les institutions ». Tuer les vieux est de toute façon une vieille tradition humaine, sauf qu’à l’époque on avait la délicatesse d’y mettre les formes. Là, on l’a fait consciencieusement, méthodiquement, en leur refusant les trois cachets – prix: un dollar – qui ont toujours été utilisés pour traiter une pneumonie post-virale, puis à coups de respirateurs, Rivotril, morphine et Remdesivir, et de mention « Ne pas ressusciter » tamponnée sur leur dossier, protocole suivi à la lettre par des dizaines de milliers de médecins et infirmières de par le monde, qui ont apparemment tout oublié de leurs études sauf leur cours de math: dépenser un dollar pour sauver Mamy, en gagner plus de trente mille (tarif US) pour la tuer. Loin des regards, enfermés dans une chambre de maison de repos ou d’hôpital – ce qui continue en ce moment, et pas que pour les vieux, sous l’appellation « suicide médicalement assisté ».

On a enfermé les autres dans leur petite cellule personnelle, avec consigne de ne se rendre que quand il était trop tard à l’hôpital – où certains ne sont pas allés, sachant ce qui les attendait, c’est-à-dire probablement la mort. Pas n’importe quelle mort, une mort dans la solitude. C’était avant tout une épidémie de solitude qu’on a tenté d’inoculer à huit milliards de personnes. Je pense que c’est ça qui leur a foutu la trouille. La « distanciation sociale », qui se guérit avec un vaccin.

Le moteur de cette société, depuis la nuit des temps, c’est le chantage à la solitude. Qu’on l’appelle ostracisme, exclusion, bannissement ou même quarantaine, en définitive, c’est juste de solitude qu’on nous menace. C’est ce qui permet de vendre réseaux sociaux, smartphones, drogues, anti-dépresseurs, vaccins, sexe et guerres en tout genre. Ça fonctionne un moment jusqu’au moment où ça ne fonctionne plus.

Le monde devrait comprendre que bon nombre de vieux n’en a plus rien à caler de ses foutaises. Comprendre aussi que, même s’ils dérangent et s’ils sentent la soupe, ce sont les vieux qui ont fait jusqu’à présent tourner la boutique et qu’on a rien trouvé de très convaincant pour les remplacer: intelligence artificielle, énergies renouvelables, Neuralink, tout ce genre de combine foireuse d’investisseurs véreux et de « parties prenantes » ne fonctionneront jamais.

J’ai soixante ans la semaine prochaine. Je pouvais prendre ma retraite, mais je continue encore un an. C’eût été l’occasion de former un jeune à mon métier, qui s’apprend essentiellement par la pratique mais ce n’est pas au programme. Mon beau-frère, qui avait un boulot encore plus pointu et irremplaçable que le mien, est dans le même cas de figure. La transmission du savoir ne s’est pas faite. Les jeunes ne veulent plus travailler, n’en sont plus capables, ou les deux. Le travail est un truc de vieux et on nous a déjà oubliés. Ils repenseront pourtant bientôt à nous, le jour où ce monde se mettra à vraiment partir en vrille et où il leur faudra revoir leurs ambitions à la baisse. Devant leurs nouveaux jouets inutiles, ils risquent de se sentir un peu con.

Et à vrai dire, un peu seuls.

« La dissimulation de Wuhan » de RFK Jr – par Pete Lincoln.

Voici un article qui traîne dans mes tiroirs depuis un moment. J’hésitais à le publier: il est long et laborieux mais les amateurs d’enquêtes journalistiques apprécieront – les autres, je ne sais pas. Si vous manquez de temps ou de patience, vous pouvez passer directement à la Conclusion mais vous louperiez à mon avis une opportunité unique de comprendre le fonctionnement du système. Chapeau à Pete Lincoln pour cet énorme boulot – et merci à votre traducteur maison.

Le point de départ de l’article est le bouquin de Robert F Kennedy Jr, dont Lincoln cite ici des extraits en y apportant des commentaires très bien sourcés. Je compléterai avec un autre travail d’enquête assez copieux lui aussi – et très bien écrit – l’article de Jim Haslam qui y est cité.

Je le publie au moment où RFK Jr se révèle être, Ô surprise, un autre rouage de la grande opération de camouflage qui entoure le sac de noeud du Sars-Cov-2. Je reviendrai sur ce personnage dans un article que j’écrirai dès que j’ai le temps – dont je n’ai jamais assez.

Note de traduction: je traduis ici l’expression « limited hangout » par « révélations sous contrôle » – faute de mieux, il n’y a pas d’équivalent en français. La définition officielle est: « une forme de propagande dans laquelle une partie sélectionnée d’un scandale, d’un acte criminel, d’une information sensible ou classifiée, etc. est révélée ou fait l’objet d’une fuite, sans que toute l’histoire soit racontée. L’intention peut être d’établir une crédibilité en tant que dénonciateur de quelque chose ou de quelqu’un en se livrant à des critiques tout en les couvrant par l’omission de nombreux détails » – donc, à peu près tout ce à quoi a eu droit dans toute l’affaire Sars-CoV-2. Le nom du site de Whitney Webb, « Unlimited Hangout », est donc un manière d’affirmer qu’elle n’est pas contrôlée – ce qui n’est pas tout à fait exact. Pour une métaphore visuelle de cette méthode, imaginez un trappeur en traîneau qui jette un morceau de viande aux loups qui le poursuivent. Vous êtes les loups.

Source.


« La dissimulation de Wuhan » de RFK Jr

Révélations sous contrôle

Pete Lincoln

11 déc. 2023

Je viens de lire le livre de RFK Jr. Plus de 600 pages sans compter les notes. Je m’y suis mis tardivement car le 5 décembre on annonçait que la version Kindle ne serait pas disponible avant le 19 décembre, pour que je découvre le 8 décembre qu’elle était disponible depuis le 6 décembre.

Il est probable que le livre ait plusieurs auteurs, mais peu importe, c’est son nom qui est indiqué en tant qu’auteur, donc quand je dis « il », c’est de lui qu’il s’agit.

Si je cite quelque chose sans lien ni indication contraire, c’est un extrait de ce livre.

Je cite également des extraits du travail de Jim Haslam, que vous pouvez trouver ici:

https://substack.com/@jimhaslam

Les 18 premiers chapitres, soit environ 1/3 du livre, sont excellents

La bureaucratie médicale et scientifique américaine… Le programme américain d’armes biologiques se situe au confluent des sombres ambitions du complexe militaro-industriel et du complexe médico-industriel, composé en grande partie de la technocratie scientifique fédérale, de l’industrie pharmaceutique et des armées de chercheurs universitaires qui reçoivent des fonds de ces entités.

Le cartel des armes biologiques – communément appelé industrie de la Préparation et de la Réponse aux Pandémies (Pandemic Preparedness and Response, PPR) – opère dans le plus grand secret, à l’abri des regards ou des critiques de la presse, à l’abri de toute responsabilité juridique, et donc à l’abri de toute obligation de rendre des comptes.

Elle s’appuie sur une coalition qui comprend l’armée, les universités, les revues médicales, les médias grand public et les organismes de réglementation de la santé publique, dans le cadre d’une collaboration corrompue et secrète visant à transformer la médecine, qui est une profession de guérison, en une profession de meurtre. Son pivot est une alliance sinistre entre les agences américaines d’espionnage et de santé publique et l’armée chinoise. Elle est devenue le point d’appui des ambitions mondialistes du néoconservatisme visant à renforcer les élites milliardaires et à déposséder les pauvres de leur pouvoir, de leurs droits et à en faire des marchandises.

Il fait un bon travail sur l’historique des agissements malfaisants et de l’influence des nazis sur les programmes d’armes biologiques dans le cadre de l’opération « Paper Clip », ainsi que sur la dégénérescence morale des scientifiques et des professionnels de la santé qui s’en est suivie.

Dans son introduction, il affirme à juste titre:

Anthony Fauci et le milliardaire Bill Gates […] étaient des hommes de paille d’une entreprise bien plus vaste: un complexe militaro-médico-industriel dirigé par des éléments de la CIA et du Pentagone…

Bien que j’aie commencé la lecture avec peu d’attentes et en prévoyant que le livre serait un « Limited Hangout » (révélation sous contrôle), je me suis retrouvé très tôt à me demander s’il allait vraiment exposer l’opération COVID. Malheureusement, il n’y fait qu’allusion.

Kennedy semble prendre le parti de dire que la Chine a créé une arme biologique qu’elle a libérée accidentellement, au contraire d’un virus naturel qui a été libéré accidentellement. Je suis d’accord pour dire que le virus a été créé. Mais il n’explore jamais la possibilité que le virus ait été fabriqué aux États-Unis et envoyé en Chine, où il a été libéré accidentellement ou délibérément. Lorsque les policiers trouvent un cadavre, supposent-ils seulement qu’il s’agit d’un accident ou d’une mort naturelle? Non, ils excluent d’abord la possibilité d’un crime, surtout s’il y a un mobile.

Les empreintes digitales de la CIA sont omniprésentes dans les études sur le gain de fonction financées par les États-Unis au laboratoire de Wuhan, dans les préparatifs de la gestion militarisée d’une pandémie de coronavirus (bien avant que les experts en maladies infectieuses ne considèrent un tel événement comme possible), dans la création des vaccins COVID, y compris le Moderna, et dans l’opération « Warp Speed ».

L’agence a conçu des contre-mesures draconiennes et intrusives qui ont fait fi de la santé publique et des protocoles bien établis et qui, au lieu de cela, se sont concentrées sur l’imposition de contrôles autoritaires. Il n’est donc pas surprenant que la communauté du renseignement ait contribué à orchestrer la dissimulation.

Il présente tous les éléments nécessaires à l’existence d’un complot visant à créer une pandémie dans le but de gérer militairement une pandémie de coronavirus.

Considérons enfin l’incitation paradoxale qui permet à toutes les entités – Pharma, Ministère de la Défense, CIA et NIH – d’accroître leur pouvoir et leur budget si l’une des créatures à gain de fonction s’échappe et, plus encore, si elles peuvent en imputer la responsabilité à une puissance étrangère telle que les Chinois.

et

En 2001, un membre du programme biologique américain a diffusé de l’anthrax, ce qui a débouché sur des dépenses de 5 800 milliards de dollars et sur l’adoption du Patriot Act. Les agences de renseignement ont soudain acquis un pouvoir inimaginable d’espionnage des Américains et ont repris la course à l’armement biologique. « Si une agence gouvernementale peut accroître son pouvoir par une action relevant de sa compétence, elle finira toujours par la mettre en œuvre », déplore le Dr Robert Malone.

Pourtant, à la fin, il se contente de dire que c’est un accident de la part de la Chine, avec l’aide de dupes involontaires ou d’acteurs traîtres motivés par l’appât du gain, sans explorer une cause plus malfaisante.

Ce qui est peut-être dissimulé ici, ce n’est pas qu’un virus ait fui d’un laboratoire chinois, mais que le virus et la pandémie aient été fabriqués. Il ne fait aucun doute qu’une fuite de virus pandémique dans un laboratoire se produira un jour ou l’autre, mais ils ne voulaient pas attendre que survienne un accident. Ils ne rajeunissaient pas. Le compteur semble avoir démarré en 2017 (voir ma chronologie à la fin), c’est à ce moment-là que tout est passé à la vitesse supérieure avec la prédiction de Fauci.

Mais il ne s’agit pas seulement de la CIA. Depuis le 11 septembre, de nombreuses agences (Ministère de la Défense, Ministère de la Santé, CIA, Ministère de la Sécurité intérieure, etc) sont imbriquées les unes dans les autres et travaillent de concert.

Après l’adoption du Patriot Act, la CIA a travaillé avec le NIAID, le Pentagone, le DTRA et des entreprises militaires pour développer et gérer des dizaines, voire des centaines, de laboratoires biologiques aux États-Unis, en Ukraine, en Géorgie et en Afrique.

Comme je l’ai montré précédemment, au cours des années qui ont immédiatement suivi l’adoption du Patriot Act, le Pentagone a canalisé la plupart de ses recherches sur les armes biologiques via le NIAID et son directeur, le Dr Anthony Fauci.

La CIA est un bouc émissaire tout désigné puisqu’elle est intouchable et qu’une grande partie de son travail est de toute façon désormais effectuée par des contractants privés et des ONG.

Venons-en donc au Limited Hangout, qui est le récit semi-officiel contrôlé ou le contre-récit.

[En] août 2021, une enquête républicaine du Congrès a conclu que le virus s’était échappé du laboratoire de Wuhan « quelque temps avant le 12 septembre 2019 » et que les autorités chinoises savaient qu’une pneumonie respiratoire de type SARS se préparait à Wuhan et qu’elles essayaient déjà à cette date de contrôler à la fois le virus et le narratif.

Le raid effectué par le gouvernement le 12 septembre au laboratoire de Wuhan suggère que les fonctionnaires soupçonnaient déjà l’IVW d’être la source potentielle de la contagion.

Plus tard dans la nuit, entre 2 et 3 heures du matin, les autorités chinoises ont supprimé les bases de données virales en ligne de l’IVW, y compris quelque vingt-deux mille échantillons de pathogènes non publiés et des séquences génomiques collectées sur vingt ans, en partie grâce au financement des NIH.

Selon des sources de renseignement américaines, les requêtes de recherche de termes liés à la maladie et les discussions sur les symptômes caractéristiques du COVID-19 ont explosé dans le trafic Internet émanant de Wuhan; l’augmentation de ces deux signaux a précédé de quatre mois le début officiel de la pandémie de COVID-19 en Chine, au mois de décembre.

Le 9 mai 2020, NBC News a rapporté qu’une analyse des données de géolocalisation des téléphones portables par les services de renseignement américains avait révélé qu’un « événement dangereux » avait entraîné la fermeture de l’IVW du 7 au 24 octobre.

L’assistant de recherche de Shi Zhengli, Ben Hu, et leurs collègues scientifiques de Wuhan ont été hospitalisés avec des symptômes du COVID à Wuhan en novembre 2019. Ces trois personnes sont probablement le véritable « patient zéro ».

Le Sunday Times de Londres a récemment publié un article de recherche approfondi le 10 juin 2023, corroborant cette série d’événements, en particulier la mystérieuse maladie respiratoire qui a hospitalisé trois « biologistes qualifiés dans la trentaine et la quarantaine » de l’Institut de Wuhan en novembre 2019.

Les enquêteurs du département d’État américain qui ont été à l’origine de l’article se sont montrés « très confiants »😂.

Certains de ces paragraphes ne sont pas dans l’ordre pour des raisons de clarté et de concision.

Ok. Avez-vous mal à la tête après avoir lu ceci? Moi, oui.

Pour résumer: Le 12 septembre 2019, heure de Pékin (11 septembre, HNE), la Chine apprend qu’un nouveau virus est en circulation, deux mois avant qu’un patient zéro ne soit découvert ou, plus précisément, près de quatre mois avant qu’elle ne confirme qu’il s’agit bien d’un nouveau virus, et le département d’État américain conclut avec une certitude inébranlable que ces travailleurs de l’IVW étaient le patient zéro.

Cela vous semble-t-il cohérent avec une dissémination accidentelle par le laboratoire?

Une explication plausible, si elle est seulement vraie, est que les services de renseignements militaires chinois ont découvert qu’il existait un complot bioterroriste étranger visant à diffuser délibérément un virus à Wuhan à partir de l’IVW. Pour ceux qui l’ignorent, la Chine soupçonnait fortement le SARS d’être une arme biologique américaine libérée en Chine et conçue pour cibler les Asiatiques et les Chinois.

Parmi les affirmations les plus étranges des scientifiques militaires figure leur théorie selon laquelle le SARS-CoV-1, le virus à l’origine de l’épidémie de SARS de 2003, était une arme biologique fabriquée par l’homme, délibérément lâchée sur la Chine par des « terroristes ».

L’article de 263 pages a été publié en 2015 par la Chinese Military Medical Science Press, une maison d’édition appartenant au gouvernement chinois et gérée par le Département général de la logistique de l’Armée Populaire de Libération (APL).

L’ancien secrétaire d’État Mike Pompeo et son principal conseiller pour la Chine, Miles Yu, y ont fait référence en passant dans leur article d’opinion du Wall Street Journal de février sur les laboratoires chinois, en écrivant: Une étude de l’APL de 2015 a traité l’épidémie de coronavirus du SARS de 2003 comme « arme génétique contemporaine » lancée par des forces étrangères.

https://archive.ph/2021.06.01-233329/https://amp.theaustralian.com.au/nation/politics/chinese-military-scientists-discussed-weaponising-sars-coronaviruses/news-story/850ae2d2e2681549cb9d21162c52d4c0

Si vous pensez que c’est ridicule, dans son document d’orientation de 2000 intitulé Rebuilding America’s Defenses (Reconstruire les défenses de l’Amérique), le groupe de réflexion Project for the New American Century (PNAC – Projet pour le nouveau siècle américain) a décrit les armes biologiques ethniques comme un « outil politiquement utile » que les États-Unis pourraient être incités à développer et à utiliser.

N’oubliez pas non plus que RFK Jr a fourni le lien vers un document montrant que le virus original de Wuhan semblait ne pas affecter autant certains groupes (dont l’un est chinois).

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32664879/

Ce n’est certainement pas le cas d’Omicron, qui est en fait un Sars-Cov-3 et qui a peut-être été conçu séparément pour remédier à ce problème.

Bien entendu, le SARS s’est éteint. Pourquoi? Il était instable et a muté jusqu’à devenir insignifiant. En outre, il ne se transmettait pas très bien tant que le patient n’était pas très malade, de sorte qu’il y a eu très peu de transmission en dehors des hôpitaux.

Leçon apprise.

Il convient de souligner qu’un an avant le SARS, un brevet a été obtenu par le « parrain » du coronavirus, Ralph Baric. Ralph Baric est professeur de microbiologie et d’immunologie à la Gillings School of Global Public Health de l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill.

Le brevet relatif au procédé de fabrication du vaccin est utilisé pour les porcs, mais il peut également s’appliquer aux vaccins humains fabriqués à partir des mêmes procédés.

Ralph Baric – 2001.

ASSEMBLAGE DIRECTIONNEL DE GRANDS GÉNOMES ET CHROMOSOMES VIRAUX

Le brevet relatif à ce procédé a été déposé le 19 avril 2002 (brevet n° 7279327).

Plusieurs mois après le dépôt de ce brevet, l’épidémie de SARS s’est déclarée en Asie.

« Ce brevet, délivré sous le nom de brevet américain 7279327 … expose clairement, par un séquençage génétique très spécifique, le fait que nous savions que le récepteur ACE, le domaine de liaison ACE2, la protéine de pointe S-1 et d’autres éléments de ce que nous connaissons aujourd’hui comme ce fléau pathogène, n’étaient pas seulement conçus, mais pouvaient être modifiés synthétiquement en laboratoire en utilisant rien de plus que les technologies de séquençage génétique.

Prendre un code informatique et le transformer en pathogène, ou un intermédiaire du pathogène, et cette technologie a été financée exclusivement, dans les premiers temps, comme un moyen d’exploiter le coronavirus comme vecteur pour distribuer le vaccin contre le VIH ».

2002 – AVANT l’apparition du premier SARS-CoV, Ralph Baric publiait un travail révolutionnaire qui marquait une étape importante dans l’étude des divers mécanismes des virus naturels et dans la recherche sur le gain de fonction.

Dans son article, le groupe Baric décrit la création d’un clone synthétique d’un coronavirus murin naturel.

En fait, les auteurs ont « traduit » le virus ARN dans le langage de l’ADN (à l’aide de la transcriptase inverse), ce qui leur a permis de manipuler son génome à l’aide des outils de génie génétique existants.

Après avoir créé sept segments de provirus à ADNc, les auteurs les ont assemblés « sans discontinuité », puis ont retranscrit leur construction en ARN, qui s’est ensuite transformé en particules virales dans d’autres cellules.

https://journals.asm.org/doi/epub/10.1128/JVI.76.21.11065-11078.2002

2003 – Après l’apparition de la première épidémie de SARS-CoV, le groupe Baric s’est mis à l’œuvre. Dès l’été, ils ont soumis un article sur la recréation synthétique du SARS-CoV:

À l’aide d’un panel d’ADNc contigus couvrant l’ensemble du génome, nous avons assemblé un ADNc complet de la souche SARS-CoV Urbani et avons sauvé des virus SARS clonés moléculairement qui contenaient les mutations marqueurs attendues, insérées dans les clones constitutifs.

Les virus recombinants se sont répliqués aussi efficacement que le virus de type sauvage et ont tous deux été inhibés par un traitement à l’inhibiteur de la cystéine protéinase…

La disponibilité d’un ADNc complet du SARS-CoV fournit un modèle pour la manipulation du génome viral, ce qui permet de développer et de tester rapidement et rationnellement des candidats vaccins et thérapeutiques contre cet important agent pathogène humain.

Aujourd’hui, un laboratoire qualifié peut répéter ces étapes en l’espace de quelques semaines.

Ce travail a été soutenu par les subventions AI23946, GM63228 (à R.S.B.) et AI26603 (à M.R.D.) des National Institutes of Health. La recherche a été soutenue par le Carolina Vaccine Institute de l’Université de Caroline du Nord, Chapel Hill.

https://www.pnas.org/content/100/22/12995

Revenons au Sars-Cov-2.

Qui pourrait être à l’origine de ce complot visant à libérer un virus synthétique à Wuhan, et comment cela est-il réalisable exactement?

Disons par exemple que la CIA ait recruté quelqu’un à l’IVW pour le libérer (un virus conçu aux États-Unis mais testé sur des souris/chauves-souris à l’IVW) en sachant qu’il s’agissait d’un virus faiblement pathogène qui n’affecterait de toute façon que les personnes âgées en fin de vie, et en lui disant qu’il serait utilisé à des fins politiques d’ingénierie sociale et qu’elle serait bien payée. Je suis sceptique sur ce point, mais c’est possible. Après tout, nous avions une personne à l’intérieur de l’IVW en novembre 2019 (Dani Anderson) qui était associée à la proposition DEFUSE et travaillait avec Eco Health Alliance .

Dani, une immunologiste des chauves-souris de classe mondiale payée par le NIAID, était à l’intérieur du BSL4 de Wuhan.

https://www.bloomberg.com/news/features/2021-06-27/did-covid-come-from-a-lab-scientist-at-wuhan-institute-speaks-out

Il est également possible que le virus modifié ait été envoyé à l’IVW pour y être testé et expérimenté par Ralph Baric ou Eco Health Alliance, et qu’on leur ait dit ou laissé entendre qu’il ne pouvait pas infecter les cellules humaines, de sorte qu’il a été envoyé dans leur laboratoire BSL-2 pour les travaux de laboratoire. C’est dans ce laboratoire que Shi Zheng Li a effectué la plupart de ses travaux sur les virus de type Sars, vu qu’ils n’infectent pas facilement l’homme et ne se transmettent pas facilement. Un virus comme le Sars-CoV-2 est très certainement susceptible de s’échapper d’un laboratoire de niveau de sécurité 2 par le biais d’une infection du personnel de laboratoire

Ma théorie est que les plus hautes sphères du PCC ont approuvé ce plan pour les mêmes raisons que les dirigeants des puissances occidentales, mais que les services de renseignement militaires chinois en ont eu vent et, faisant fi de l’approbation de leurs patrons, ont procédé à une enquête en conséquence. Comme je l’ai dit, ce n’est qu’une théorie.

Le fait qu’ils n’aient pas mis aux arrêts tout le personnel de l’IVW laisse penser qu’ils étaient convaincus qu’il s’agissait d’une attaque étrangère et, persuadés que la base de données de virus était utilisée par des scientifiques étrangers qui se servaient des séquences de virus contenues dans la base de données pour fabriquer des armes biologiques, ils ont judicieusement ordonné la fermeture de la base de données.

Qui sait? Cela semble plus plausible qu’une dissémination accidentelle d’un laboratoire. Quoi qu’il en soit, cela vaut la peine d’y réfléchir. Imaginez ce qui devrait se passer pour qu’il s’agisse d’une dissémination accidentelle d’un laboratoire.

Scénario 1 – Alors que les mondialistes anticipent avec impatience une pandémie de coronavirus, l’IVW découvre, après 15 ans, un virus similaire à 99% au Sars-Cov-2 chez des chauves-souris et y insère un SCF (site de clivage de la furine), dans un nouveau laboratoire de niveau de sécurité 4 (BSL-4) mis en service 18 mois plus tôt, qui, parfaitement adapté à l’homme, s’échappe ensuite de ce laboratoire au moment où Dani Anderson, employée d’Eco-Health Alliance Partner (Lin-Fa Wang), s’y trouve comme par hasard.

Avant de poursuivre, voici une brève présentation de Linfa Wang et Dani Anderson et de leurs affiliations.

En 2012, Danielle Anderson et Linfa Wang ont été recrutés dans le réseau de biodéfense du NIAID par l’intermédiaire de l’université de Duke. Ils ont tous deux déménagé à Duke-Singapour où un laboratoire animal BSL3 a été construit.

Danielle Anderson a travaillé sous la direction de Linfa Wang, professeur et directeur du programme des maladies infectieuses émergentes à l’école de médecine Duke-NUS, à Singapour.

Linfa est un citoyen australien né à Shanghai qui a obtenu un doctorat en biochimie (biologie moléculaire) à l’université de Californie à Davis en 1986.

Duke est un partenaire clé du programme P3 (Pandemic Prevention Platform) de la DARPA. La première étape du programme Duke/DARPA consiste à découvrir des virus potentiellement dangereux et à « développer des méthodes pour favoriser la propagation virale, afin que le virus puisse être utilisé pour des études en aval ».

Duke est située en Caroline du Nord, à seulement 10 miles de l’UNC de Ralph Baric.

L’université Duke est partenaire de l’université chinoise de Wuhan, ce qui a donné lieu à l’ouverture de l’université Duke Kunshan (DKU), basée en Chine.

Duke-NUS de Singapour figure sur la liste des sous-traitants du CREID du département d’État et travaille en étroite collaboration avec Eco Health Alliance, le NIAID, le Naval Medical Research Center-Asia et l’IVW.

Linfa Wang a démissionné le 10 janvier 2020 (avec effet en août), le jour même où la Chine a publié les séquences de Sars-Cov-2 et s’est attelé à la mise au point d’un test d’anticorps pour le COVID.

https://www.telegraph.co.uk/global-health/science-and-disease/pioneering-antibody-test-could-pave-way-mass-travel/

Plus d’informations ici.

Retour aux Scénarios Improbables.

Scénario 2: les mondialistes anticipent avec impatience une pandémie de coronavirus

a) L’IVW découvre sans le savoir le Sars-Cov-2 à partir d’un échantillon de chauve-souris, qui se trouve être le premier sarbecovirus de ce type avec un SCF qui n’infecte pas les chauves-souris (alors pourquoi se trouve-t-il dans un échantillon de chauve-souris) et qui est accidentellement libéré, presque parfaitement adapté à des hôtes humains.

b) L’IVW découvre le Sars-Cov-2 mais, contrairement au RaTG13, ne l’ignore pas malgré qu’il ne soit pas assez proche du virus du SARS. Ils le font ensuite passer en série sur des souris aux poumons humanisés pour qu’il s’adapte aux poumons humains, bien que l’institut de recherche médicale de l’armée chinoise n’ait obtenu de telles souris humanisées qu’à l’été 2019, où il aurait fallu les envoyer d’urgence à Wuhan. Et puis, bien sûr, l’IVW libère accidentellement le virus.

En avril 2020, sept mois après que le COVID-19 a commencé à circuler, vingt-trois scientifiques chinois – dont sept de l’Académie des Sciences Médicales Militaires, l’institut de recherche médicale de l’armée chinoise – se sont vantés d’avoir utilisé la technologie CRISPR d’édition de gènes pour concevoir des souris aux poumons humanisés afin de faciliter le développement de souches de coronavirus susceptibles d’infecter les humains.

En juin 2021, Vanity Fair a rapporté que les enquêteurs du Conseil de la Sécurité Nationale (NSC) des États-Unis ont déterminé qu' »il est devenu clair que les souris avaient été modifiées au cours de l’été 2019, avant même le début de la pandémie ».

On pourrait dire que Ralph Baric a peut-être envoyé des souris humanisées à l’IVW. Peut-être devrions-nous le lui demander? Pourquoi le Congrès ne l’a-t-il pas interrogé?

L’IVW dispose de souris transgéniques ACE2 humaines, mais cela n’est pas aussi efficace si l’on souhaite adapter le virus pour qu’il infecte plus efficacement les êtres humains.

Des scientifiques américains avaient mis au point des souris humanisées en 2002. Des scientifiques financés par les NIH, comme Ralph Baric, utilisaient des souris humanisées pour tester l’infectiosité humaine de leurs agents pathogènes améliorés depuis près de vingt ans!

Mais attendez, ça devient encore plus intéressant.

En janvier 2020, alors que les scientifiques se préparaient à étudier la nouvelle maladie dangereuse [la séquence n’a été obtenue que le 10 janvier], tous les regards étaient tournés vers l’ACE2, une protéine qui se trouve à la surface de nombreux types de cellules du corps humain, notamment les cellules du cœur, de l’intestin, des poumons et de la cavité nasale. Le SARS-CoV-2, le coronavirus responsable du COVID-19, s’accroche au récepteur ACE2 et l’utilise pour pénétrer dans les cellules et commencer à se développer, ce qui entraîne une infection.

Les chercheurs ont cependant découvert que le SARS-CoV-2 ne peut pas s’accrocher à la version murine du récepteur ACE2. Pendant un certain temps, cette différence a rendu les études sur les souris pratiquement inutiles dans la lutte contre la pandémie.

Les choses ont changé grâce à l’équipe du laboratoire Baric, qui a déjà produit des modèles de souris pour d’autres coronavirus comme le SARS-CoV et le MERS-CoV.

En modifiant deux positions d’acides aminés dans le génome viral, ils ont généré un virus adapté à la souris, capable d’infecter des souris de laboratoire standard avec le COVID-19.

31 août 2020

Des chercheurs, dont plusieurs virologues et microbiologistes de la Gillings School of Global Public Health de l’UNC, décrivent le modèle SARS-CoV-2 adapté à la souris dans un article publié le 27 août dans la revue Nature, qui a fait l’objet d’une procédure de publication accélérée.

C’est du travail rapide Ralph, tu as développé un modèle de souris SARS-Cov-2, sans doute en fabriquant le SARS-Cov-2 en laboratoire par génétique inverse à partir de la séquence fournie par la Chine (qui n’envoyait pas d’échantillons), en constatant qu’il n’infectait pas les souris de laboratoire standard, puis en déterminant les acides aminés à modifier pour qu’ils le fassent, en le testant et en rédigeant l’article, en le soumettant et en le faisant publier en moins de 8 mois. D’aucuns pourraient penser que vous auriez déjà pu le faire en 2019.

Revenons-en au livre. Comme mentionné, il commence par nous parler de l’influence nazie sur notre programme d’armes biologiques et de la façon dont les militaires, la CIA, les universitaires (scientifiques) et les laboratoires pharmaceutiques travaillent ensemble et sont si moralement corrompus qu’ils ont expérimenté sur des civils et des soldats américains pendant plus de 20 ans avant que l’affaire ne soit divulguée et qu’on y mette un terme.

Vous pensez que ces psychopathes ont simplement disparu?

Le livre ignore largement des choses comme le DOMANE de Malone (2019), les laboratoires Rocky Mountain, Dani Anderson, l’accord de transfert de matériel Moderna/Baric (2019), le réseau CREID (2020), le transfert du stock de vaccins du CDC à la BARDA (dirigée par Rick Bright) (2019), ou l’estimation du coût de la pandémie par les conseillers économiques de la Maison Blanche (jusqu’à 4 trillions de dollars), l’expulsion du personnel du CDC de Chine (2019).

Je traite de tout cela ici.

OPERATION COVID

Il mentionne Linfa, mais affirme qu’il s’agit d’un ressortissant chinois et la plupart des lecteurs supposeront qu’il s’agit simplement d’un scientifique de l’IVW travaillant pour Shi Zhengli.

Le Dr Fauci décrit Shi et ses complices, Ben Hu et Lin-Fa Wang, comme des « scientifiques chinois très respectables ».

Les courriels montrent que Daszak et Ralph Baric ont entrepris d’étouffer l’affaire avec l’aide de Lin-Fa Wang, collègue de Shi Zhengli, ressortissant de la RPC et président du conseil scientifique du Centre des Maladies Infectieuses Emergentes de l’Institut de Virologie de Wuhan.

Sérieusement Robert, c’est quoi ce délire?

Il mentionne brièvement la fermeture de Fort Detrick en juillet 2019 pour plusieurs mois en raison de problèmes de sécurité, mais ne mentionne pas les épidémies de pneumonie dans les maisons de retraite de Virginie au même moment.

Il mentionne également les Jeux militaires de Wuhan, mais n’explique pas l’absence de rapports sur les tests sérologiques effectués sur le personnel militaire envoyé à Wuhan une fois que l’épidémie a été connue.

Il mentionne le Crimson Contagion Exercise en 2019, mais pas SPARS, Clade X et MARS, qui ont tous eu lieu entre 2017 et 2019, après la prédiction de Fauci. Et pourtant, il se fait que nous ne disposions toujours pas de stocks de masques et d’EPI [équipement de protection individuel]. Tous ces préparatifs ont eu lieu entre 2017 et 2019.

Il mentionne que la plupart des exercices appelaient à un contrôle plus strict de l’information, mais il ne mentionne pas que le Complexe Industriel de Contrôle de la Censure était en cours de construction avec CISA-2018, GEC-2017 des départements d’État, Newsguard-2018. Et en 2015, Poynter reçoit 382 997 dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates pour influencer la couverture médiatique des initiatives mondiales en matière de santé. En 2017, l’Institut Poynter reçoit 1,3 million de dollars du réseau Omidyar et de l’Open Society Foundations pour soutenir le fact-checking.

Il mentionne également l’implication de l’armée dans la technologie de l’ARNm et le sommet sur la santé de 2019 de l’Institut Milkin, qui a débattu de l’accélération de l’approbation des vaccins (Anthony Fauci de l’Institut National des Allergies et des Maladies Infectieuses (NIAID) de l’Institut National de la Santé et Rick Bright de BARDA, qui a précédemment travaillé pour PATH, financé par Gates, y ont participé).

Il mentionne également l’achat par la Fondation Bill & Melinda Gates de 3 millions d’actions de BNT en septembre 2019 avant de les revendre à leur apogée pour un retour sur investissement de 900% (sans impôt).

Encore une coïncidence.

Il ne mentionne pas la décision prise par la Maison Blanche en janvier, avant l’arrivée du COVID aux États-Unis, de tenir toutes les réunions du Département de la Santé et des Affaires sociales (HHS) sur la préparation du COVID dans un cadre classifié. Une décision étrange [NdT. comparable au « Conseil de Défense » français].

Il mentionne en revanche que le PanCAP du Conseil de Sécurité National a été mis à jour en 2018, puis modifié et approuvé par le Conseil de Sécurité National le 13 mars 2020 et que le PanCAP a défini la politique du gouvernement fédéral en matière de COVID. La principale raison pour laquelle il a agi de la sorte semble être qu’il voulait faire disparaître le nom d’Avril Haines:

Le groupe de travail était initialement dirigé par le Secrétaire à la Santé et aux Services sociaux et coordonné par le [Conseil de Sécurité Nationale] NSC ». La directrice du Renseignement national, Avril Haines, est actuellement la conseillère officielle du NSC en matière de renseignement.

Ce qu’il omet de préciser, c’est que le PanCAP modifié prévoyait des « confinements » et que ceux-ci ont été annoncés trois jours plus tard. Il ne mentionne pas non plus que la FEMA (qui dépend du Ministère de la Sécurité intérieure) a pris le relais du Ministère de la Santé en avril et, enfin, qu’Avril Haines n’est devenue directrice du Renseignement national qu’en 2021.

Passons maintenant à DEFUSE. Il en parle assez longuement dans deux chapitres.

Le premier problème est qu’il ne mentionne pas que la proposition a été faite en réponse à l’appel d’offres du DARPA pour son programme PREEMPT (PREventing EMerging Pathogenic Threats Program). Au lieu de cela, il dit:

Daszak a mis au point un projet ambitieux visant à militariser un arsenal de coronavirus, croyant apparemment que la proposition pourrait intéresser la DARPA ou les grands pontes du Pentagone.

Il cite ensuite Steven Quay.

En fait, depuis 1992, au moins quatorze publications ont décrit l’ajout d’un site de clivage de la furine à un virus qui n’en avait pas, y compris une étude de l’IVW. 14 fois sur 14, cela rend les virus plus méchants ».

Quay ne fournit aucune référence pour cette étude que l’IVW était censé réaliser. J’ai essayé en vain de la localiser en utilisant Google et le site corrompu Duck Duck Go.

Il ne mentionne nulle part que l’Université du Montana faisaient la même chose. En 2006, des chercheurs de l’Université du Montana ont inséré un site de clivage de la furine dans un coronavirus bovin (cerf) au même endroit que celui du Sars-Cov-2.

« Nous avons introduit un site de reconnaissance de la furine sur des résidus basiques uniques dans la région jonctionnelle S1-S2 putative. Nous montrons que le clivage de la furine à la position R667 modifiée génère des sous-unités S1 et S2 distinctes et potentialise l’activité de fusion membranaire.

Cet effet sur l’activité de fusion cellule-cellule par la glycoprotéine S n’est cependant pas reflété dans l’infectivité des lentivirus pseudotypés portant la glycoprotéine clivée. L’absence d’effet du clivage de la furine sur l’infectivité du virion reflète celle observée pour la glycoprotéine S normalement clivée du coronavirus murin « 

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16519916/

Le clivage de la furine n’a pas rendu le coronavirus bovin plus infectieux. Mais dans le cas de SARS-Cov-2, sa perte l’atténue.

https://www.nature.com/articles/s41586-021-03237-4

Il est intéressant de noter que l’université d’État du Montana se trouve à trois heures de route du laboratoire de Fauci dans les Rocky Mountains.

Quoi qu’il en soit, une lecture attentive de la proposition DEFUSE montre que c’est Baric qui devait être responsable des travaux sur le SCF, et non l’IVW.

Il décrit ensuite le refus de la DARPA.

La DARPA a néanmoins rejeté la demande de financement de Daszak, en invoquant le fait qu’EcoHealth n’avait pas pris en compte les questions éthiques, juridiques et sociales du projet.

La véritable raison est que la DARPA a accordé la subvention à une autre personne qui effectuait un travail similaire sur un virus différent, parce que cela coûtait 4 millions de dollars de moins. Je parlerai de cette personne plus tard, mais c’était un gars du Montana qui travaillait en dehors du laboratoire Rocky Mountain de Fauci, à l’université d’État du Montana.

Il poursuit en soulignant, à juste titre, que les travaux décrits dans la proposition auraient pu être menés à bien de toute façon.

Le Dr Jonathan Couey fait également remarquer que le fait que Fauci et les NIH aient rejeté la proposition de Daszak n’est pas pertinent. La proposition elle-même est la preuve que le travail avait peut-être déjà été effectué, car c’est ainsi que la recherche moderne est menée et financée.

Il pointe ensuite du doigt la Chine.

Enfin, il est tout à fait possible que la proposition ait abouti à la création finale du COVID-19 par les Chinois.

Il s’agit là d’une conclusion surprenante, car il avait déjà envisagé la possibilité que les travaux de Baric étaient en cours et peut-être même achevés. Daszak avait d’autres sources de financement privées possibles, telles que la Fondation Bill et Melinda Gates et le Wellcome Trust.

Mais si la Chine a créé le virus, pourquoi publierait-elle la séquence RaTG13 montrant sa grande similarité avec Sars-Cov-2? Cela semble assez stupide, comme un voleur qui aurait laissé ses empreintes digitales partout lors d’un cambriolage et qui aurait envoyé sa carte d’empreintes digitales à la police.

Mais il en donne la raison.

RaTG13 était encore suffisamment éloigné génétiquement du virus COVID-19 – de 3,8% – pour ne pas être le géniteur immédiat dudit virus. L’article de Shi prétend ainsi disculper le laboratoire de Wuhan en tant que point de départ de la pandémie.

C’est vrai, mais cela ne tient pas compte d’un point. La protéine de pointe de RaTG13 est identique à 98,4% à celle du Sars-Cov-2. L’essentiel de la différence réside dans les protéines non structurelles qui ne font pas partie du virus.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8033097/

Cela signifie que le Sars-Cov-2 avait une ossature différente, naturelle ou non, avec une protéine de pointe similaire à celle du RaTG13, plus le SCF qui a été inséré par génétique inverse.

Cela exclut qu’il s’agisse d’un virus naturel, car quelles sont les chances qu’un nouveau virus apparaisse 7 ans après le premier échantillonnage de RaTG13, avec presque la même protéine de pointe et un SCF jamais vu auparavant dans les sarbecovirus, dont l’ossature est très différente? Les probabilités contraires sont astronomiques. 28 protéines subissent des mutations, dont certaines très importantes, mais la protéine de pointe est pratiquement inchangée, à l’exception d’une insertion improbable? C’est impossible!

Ce que Shi Zheng Li a fait, c’est exposer le fait que le virus a été fabriqué par l’homme et qu’il n’est pas d’origine naturelle. C’est pourquoi Fauci et Baric ont été pris de panique lorsqu’ils ont appris que l’article était sur le point d’être publié, et qu’ils ont dû immédiatement se mettre au travail pour renforcer la thèse des origines naturelles, ce qui a donné naissance à l’article frauduleux sur les origines proximales.

Il est parfaitement impossible que Shi Zheng Li ait publié cette séquence, ou qu’elle ait été autorisée à le faire par le général de l’APL qui a pris en charge l’IVW, si le virus provenait de son laboratoire. Cela prouve qu’il n’y a pas d’origine naturelle et jette la suspicion sur la seule personne capable de réaliser cette ingénierie complexe (créer des chimères n’est pas si complexe). Bien entendu, ils n’ont pas compris que les Américains pouvaient être assez naïfs pour croire qu’il était facile de créer un nouveau coronavirus.

On peut donc se demander d’où vient ce coronavirus. Son ossature représente près de 90% du virus, et aucun virus de ce type n’existait dans aucune base de données. Bien sûr, on pourrait faire valoir qu’un tel virus existait, mais qu’il était caché ou qu’il se trouvait dans une base de données supprimée. Le virus constituant son ossature n’aurait rien été sans la protéine de pointe de type RatG13, alors pourquoi avoir choisi ce virus et comment savaient-ils que la protéine de pointe RaTG13 associée à un SCF fonctionnerait avec ce virus? Ce n’est pas possible, pas sans de nombreux essais et erreurs avec d’autres virus.

Il est plus probable que Sars-Cov-2 soit un virus consensuel composé de parties de virus étroitement apparentés et conçu par un Génie des Coronavirus. Le livre mentionne même cette technique.

En 2008, Baric a téléchargé quatre séquences incomplètes de coronavirus à partir d’un ensemble de données GenBank qui avait été téléchargé en 2005 par des scientifiques chinois. Baric a utilisé ses talents de magicien pour donner vie, dans son laboratoire, à une nouvelle séquence d’ARN générée par ordinateur.

À partir de cet ensemble de quatre séquences partielles, Baric a créé un coronavirus de chauve-souris synthétique « consensuel ». Il a remplacé une petite partie de la protéine de pointe par une section du virus du SARS de 2003 qui se lie aux récepteurs ACE2 humains, ce qui confère au nouveau virus une fonctionnalité spécifique de verrouillage et donne au clone synthétique de Baric la capacité d’infecter les tissus humains.

Dans cette série d’expériences, Baric a fait preuve d’une précision chirurgicale qui démontre sa maîtrise incontestée des méthodes de génétique inverse et de clonage infectieux mises au point par Vincent Racaniello et David Baltimore avec le poliovirus.

En fait, la proposition de projet DEFUSE, dont nous avons de bonnes raisons de penser qu’elle était en cours en 2018 lorsque son offre a été rejetée, prévoyait également l’élaboration d’une séquence consensuelle.

… [Le Sars-Cov-2 ] était: un vaccin vivant atténué hybride (VVA) pour chauve-souris. Cela explique pourquoi le SARS2 était si contagieux mais pas aussi mortel. Un vaccin animal (p. ex. SARS2) serait conçu pour sembler naturel à l’espèce locale (chauve-souris chinoise) en utilisant une séquence « consensuelle« , que Dani et Linfa ont tous deux référencée à l’UNC en 2019.

Cet article l’explique clairement. [NdT. article de Jim Haslam en cours de traduction]

Les propositions de la DARPA, qui ont fuité jusqu’au groupe d’analyse des origines des pandémies Drastic, montrent que l’équipe avait prévu de prendre des séquences de coronavirus naturels et de les utiliser pour créer une toute nouvelle séquence qui était une moyenne de toutes les souches.

La demande de subvention, soumise en 2018, stipule ce qui suit: « Nous compilerons les données de séquence/ARNseq d’un panel de souches étroitement apparentées et comparerons les génomes complets, en recherchant des PN (polymorphismes nucléotidiques) uniques représentant des erreurs de séquençage. »

« Les génomes candidats consensuels seront synthétisés commercialement à l’aide de techniques établies et d’ARN de longueur génomique et d’électroporation pour récupérer les virus recombinants. »

Un collaborateur de l’OMS, qui a demandé à ne pas être nommé par crainte de représailles, a expliqué la proposition:

« Cela signifie qu’ils prendraient diverses séquences de coronavirus similaires et créeraient une nouvelle séquence qui serait essentiellement la moyenne de ces séquences. Il s’agirait d’une nouvelle séquence virale, qui ne correspondrait pas à 100 % à quoi que ce soit. »

Ils auraient ensuite synthétisé le génome viral à partir de la séquence informatique, créant ainsi un génome viral qui n’existe pas dans la nature mais qui semble naturel puisqu’il s’agit de la moyenne de virus naturels.

« Ils placent ensuite cet ARN dans une cellule et en extraient le virus. Cela crée un virus qui n’a jamais existé dans la nature, avec une nouvelle ‘ossature’ qui n’existe pas dans la nature mais qui est très, très similaire puisqu’il s’agit de la moyenne des ossatures naturelles ».

La source a indiqué qu’il était intéressant de noter que le seuil pour générer une telle séquence moyenne était constitué par des virus dont la divergence génétique entre eux n’était que de 5%.

L’année dernière, des scientifiques de l’Institut de Virologie de Wuhan ont déclaré avoir trouvé une souche nommée RaTG13 dans des excréments de chauve-souris dans une grotte de la province du Yunnan en 2013, qui correspondait à 96,1% au Sars-CoV-2. Cela signifie que RaTG13 aurait pu être inclus dans un ensemble de génomes viraux pour aider à créer une séquence moyenne.

Bien que la demande de subvention ait été rejetée en 2018, la base de données de Wuhan sur les souches virales a été mise hors ligne avant l’épidémie de Covid, quelque 18 mois plus tard, ce qui signifie qu’il est impossible de vérifier sur quels virus l’équipe travaillait ou avait créés. Les scientifiques de Wuhan ont toujours nié avoir créé le Sars-CoV-2 en laboratoire.

La source de l’OMS ajoute: « Si le Sars-CoV-2 provient d’une séquence consensuelle artificielle composée de génomes ayant plus de 95% de similitude entre eux, je prédis que nous ne trouverons jamais dans la nature de très bonne correspondance et que nous n’aurons qu’un tas de correspondances étroites sur certaines parties de la séquence, ce qui est jusqu’à présent ce que nous observons. »

Les experts ont déclaré que si l’objectif ultime de la proposition était de créer un vaccin pan-coronavirus, la construction d’un virus moyen « idéal » aurait été un bon point de départ.

http://web.archive.org/web/20211006101612/https://www.telegraph.co.uk/world-news/2021/10/05/wuhan-us-scientists-planned-create-new-coronaviruses-funding/

Ils ont donc créé un pan-coronavirus à partir de séquences consensuelles. Mais il n’y avait pas assez de séquences publiées suffisamment proches du Sars-Cov-2 pour le faire, de sorte que l’ingénierie par consensus n’était pas envisageable. De plus, comment auraient-ils pu savoir qu’ils voulaient obtenir quelque chose comme le Sars-Cov-2, à moins d’être un génie comme Ralph Baric, le Parrain des Coronavirus?

À l’heure actuelle, aucune donnée solide et exploitable ne permet d’affirmer que le virus a été conçu et qu’il a échappé au confinement. La pathogenèse du SARS-CoV-2 étant si complexe, l’idée que quelqu’un puisse le fabriquer est presque ridicule.

Quand on pense à la diversité des souches liées au SARS qui existent dans la nature, il n’est pas difficile d’imaginer une souche qui présenterait les caractéristiques biologiques complexes et imprévisibles du SARS-CoV-2.

En tant que scientifiques, nous avons tendance à faire des expériences, à lire la littérature et à penser que nous comprenons le fonctionnement de la nature. Nous faisons des déclarations définitives sur la manière dont les coronavirus sont censés émerger des réservoirs animaux, sur la base d’un ou deux exemples. Mais la nature a de nombreux secrets et notre compréhension est limitée. Ou, comme on dit dans Game of Thrones, « Tu ne sais rien, Jon Snow ».

https://www.technologyreview.com/2021/07/26/1030043/gain-of-function-research-coronavirus-ralph-baric-vaccines

Bien sûr, Ralph sait probablement qu’il est le seul à pouvoir créer un tel virus, c’est probablement pourquoi il parle de « presque ridicule » et qu’il n’exclut pas la possibilité d’une dissémination accidentelle en laboratoire.

Mais chose étrange: lorsque Ralph fait une présentation au Congrès en février 2020 pour décrire le Sars-Cov-2, il ne mentionne pas le SCF. Une omission intéressante.

Une hypothèse est que Ralph avait connaissance de séquences non publiées qui pouvaient être utilisées pour construire le Sars-Cov-2 avec une séquence consensusuelle. Il a ensuite inséré un SCF, comme le demandait DEFUSE.

L’insertion du SCF est nécessaire parce que les chauves-souris disposent également de furine et d’ACE2, mais pour des raisons inconnues, les virus ne se répliquent pas toujours très rapidement en raison du système immunitaire unique des chauves-souris.

Il aurait ensuite envoyé un certain nombre de ces virus candidats à Wuhan pour les tester sur des chauves-souris et des souris afin de les sélectionner et de poursuivre le projet. N’oubliez pas qu’il s’agit principalement d’essais et d’erreurs, et qu’ils utilisent l’IVW pour ces tests parce qu’ils sont moins chers et qu’ils ont des chauves-souris (dont le CDC n’autoriserait pas l’importation).

L’IVW aurait probablement rapporté que l’un de ces candidats avait anéanti leurs souris transgéniques à ACE2 humain et n’avait pas très bien infecté les chauves-souris, ce qui le rendait inutile pour un vaccin vivant pour chauves-souris, mais parfait pour un vaccin humain autodiffusant.

Ce qui s’est passé ensuite est du ressort de n’importe qui (faites appel à votre imagination). De jeunes travailleurs de laboratoire dans un BSL-2 pourraient facilement être infectés de manière asymptomatique et libérer le virus dans la communauté.

Made in USA, donc, mais un accident.

Sauf bien entendu si Ralph savait que le virus envoyé pouvait infecter et se transmettre chez l’homme et que, sachant que l’IVW effectuait ce travail dans un BSL-2, il se serait probablement échappé du laboratoire.

Revenons aux virus qui auraient pu être utilisés pour la séquence de consensus. Tout d’abord, il y a eu RaTG13. Il a été collecté en 2013, partiellement séquencé en 2016, et entièrement séquencé et nommé en 2018. ll n’était pas particulièrement proche du SARS et n’était donc pas considéré comme très intéressant jusqu’à ce que le Sars-Cov-2 soit séquencé et qu’il soit trouvé similaire à 96,1%. C’est l’histoire que l’on nous raconte.

Il est possible que Baric ait disposé de la séquence avant sa publication en 2020, mais nous n’en sommes pas sûrs.

Ensuite, nous trouvons trois autres virus collectés en Chine en 2019-2020 par des scientifiques qui ne font pas partie de l’IVW.

Bien que RaTG13, prélevé sur une chauve-souris Rhinolophus affinis au Yunnan (Zhou et al., 2020b), présente la plus grande similarité génétique moyenne avec le SARS-CoV-2, des antécédents de recombinaison signifient que trois autres virus de chauve-souris – RmYN02, RpYN06 et PrC31 – sont plus proches dans la majeure partie du génome du virus (en particulier l’ORF1ab) et partagent donc un ancêtre commun plus récent avec le SARS-CoV-2 (Li et al., 2021; Lytras et al., 2021; Zhou et al., 2021).

Aucun de ces trois virus plus proches n’a été collecté par l’IVW et tous ont été séquencés après le début de la pandémie (Li et al., 2021; Zhou et al., 2020a, 2021).

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0092867421009910

RmYN02 a été collecté entre mai et juillet 2019 au Yunnan par le professeur Alice C. Hughes du Jardin botanique tropical de Xishuangbanna, et séquencé par Weifeng Shi de l’Université médicale de Shandong, sur la base d’une analyse de 302 échantillons de fèces prélevés sur 227 chauves-souris qui ont été collectés dans le comté de Mengla, dans la province du Yunnan, en Chine, publié le 8 juin 2020. Le co-auteur est le tristement célèbre Eddie Holmes, originaire d’Australie, un ami proche de Jeremy Farrar qui a dirigé le Proximal Origins Group.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7211627/

Puis nous avons eu les échantillons BANAL du Laos qui ont été publiés en 2021 avec Eddie « Sherlock » Holmes et Linfa « Batman » Wang, tous deux originaires d’Australie, qui ont déclaré que le dossier Origines Naturelles était clos. Ces échantillons auraient été prélevés dans une grotte de chauve-souris au Laos au plus fort de la pandémie, en septembre 2020.

…la découverte de trois coronavirus chez des chauves-souris vivant dans des grottes calcaires au Laos renforce considérablement les preuves existantes que le virus n’a pas été créé, déclare Holmes.

Les trois virus, présentés dans une préimpression sur Research Square le 17 septembre, sont les plus proches parents du SARS-CoV-2 découverts à ce jour, et ce sont les premiers découverts qui sont presque identiques dans cette région clé.

« La partie centrale et fonctionnelle du SARS-CoV-2 a une origine naturelle », déclare Linfa Wang, chercheur sur le coronavirus de la chauve-souris à l’école de médecine Duke-NUS de Singapour. « C’est prouvé. »

Sur le plan de l’évolution, plusieurs décennies séparent ces virus de chauve-souris – appelés BANAL, car les chercheurs les ont trouvés dans des écouvillons anaux de chauve-souris [NdT. de « bat » et « anal »] – du SARS-CoV-2, de sorte que les nouveaux virus n’ont pas pu être à l’origine de la pandémie.

Mais l’étude élargit encore l’arbre généalogique du SARS-CoV-2 et soulève de nouvelles questions sur la manière dont il est apparu. Et les virus BANAL pourraient bien constituer une menace pour l’homme lui-même, avertit Wang. « Ce virus pourrait être le SARS-CoV-3 », déclare-t-il.

Pour l’étude, une équipe de chercheurs de l’Université nationale du Laos, en collaboration avec des collègues de l’Institut Pasteur, qui a une antenne au Laos, a prélevé des échantillons sur 645 chauves-souris provenant de quatre sites différents.

Dans le terrain karstique du district de Feuang, ils ont trouvé des chauves-souris de trois espèces différentes du genre Rhinolophus qui étaient infectées par des virus dont la séquence génétique était identique à 96,8% à celle du SARS-CoV-2.

https://www.science.org/content/article/close-cousins-sars-cov-2-found-cave-laos-yield-new-clues-about-pandemic-s-origins

Selon Jim Haslam, le Centre de recherche médicale du gouvernement américain en Asie. (NMRC-A), en soutien au système mondial de surveillance et de réponse aux infections émergentes du Ministère de la Défense (DoD-GEIS), avait collecté des échantillons de chauves-souris dans la grotte de chauves-souris, exactement au même endroit, en 2017. Le NMRC-A est également basé à Singapour et a financé les recherches de Linfa sur les chauves-souris en 2019.

Ces séquences de coronavirus n’ont jamais été publiées.

Si les séquences de ces virus similaires au Sars-Cov-2 étaient connues avant les dates présumées de collecte/séquençage, une telle séquence consensuelle aurait pu être utilisée pour construire l’ossature du Sars-Cov-2, comme Ralph l’avait fait il y a 15 ans pour construire une ossature synthétique à partir de virus similaires au SARS.

RALPH BARIC

RFK Jr mentionne souvent Ralph et lui consacre un chapitre entier.

Ralph est connu pour être le Parrain des Coronavirus, sur lesquels il travaille depuis près de 40 ans. Son mentor à l’USC était le Père des Coronavirus, un Taïwanais qui est revenu à Taïwan juste au moment de l’arrivée du Sars en 2003.

Michael Lai (賴明詔), chercheur américain du Howard Hughes Medical Institute, est retourné à Taïwan pour diriger la lutte contre les coronavirus.

https://www.taipeitimes.com/News/taiwan/archives/2003/05/19/0000211168

Ralph les a conçus au cours des 20 dernières années, lorsque les outils sont devenus disponibles. Il a été l’un des pionniers de la génétique inverse et des techniques « no-seeum » [NdT. équivalent français de « ni vu ni connu », qui désigne une technologie permettant de reproduire des clones viraux sans les traces typiques des autres techniques de laboratoire – voir cette page sur ResearchGate qui mentionne un papier de Baric], et a été le premier à créer un nouveau coronavirus avec des séquences virales consensuelles.

C’est cet homme qui m’intéresse. Pas Daszak ou Shi, dont l’expertise porte sur les crevettes et les chauves-souris. Pourtant, aucun des enquêteurs du Congrès n’a demandé à Ralph Baric de témoigner.

Depuis 1986, les NIH et le NIAID ont accordé à Ralph Baric la somme astronomique de 230 millions de dollars, répartis en 200 subventions, dont un grand nombre pour ses expériences fondamentales sur le gain de fonction.

Il mentionne l’article de Baric de 2006 (publié en 2007), mais oublie cette partie.

Des armes biologiques synthétiques ou recombinantes seront-elles mises au point pour être utilisées comme armes biologiques? Si l’objectif principal est de tuer et d’inspirer la peur aux populations humaines, les agents pathogènes naturels constituent probablement une source plus fiable de matériel de départ (…).

Si la notoriété, la peur et l’orientation des politiques des gouvernements étrangers sont les principaux objectifs, la dissémination et la découverte ultérieure d’une arme biologique dérivée d’un virus synthétique bénéficieront d’une couverture médiatique considérable, inspireront la peur et la terreur aux populations humaines et exerceront de fortes pressions sur les responsables gouvernementaux pour qu’ils réagissent de la manière prévue.

Voici ce que RFK Jr a dit à propos de ce document:

En décembre 2007, le Dr Baric a publié un article extraordinairement franc qui expliquait l’objectif qu’il poursuivait en menant de telles expériences et qui ouvrait la voie à toutes les recherches futures sur le gain de fonction.

Dans une autre section du livre, où il est fait référence au même document, mais cette fois en tant que document datant de 2006,

Dans son document de 2006, Baric souligne que pour mériter le qualificatif d' »arme de destruction massive », une arme biologique doit être capable de « tuer, blesser ou neutraliser l’ennemi, susciter la peur et dévaster les économies nationales ».

Il est amusant de constater que RFK Jr n’a pas trouvé aussi fascinante que moi la partie où Ralph décrit un virus synthétique destiné à terroriser les populations plutôt qu’à les tuer.

Baric décrit les caractéristiques idéales d’une arme biologique efficace:

Traditionnellement, les préoccupations en matière de guerre biologique se sont concentrées sur un groupe relativement limité et sélectionné d’agents pathogènes naturels considérés comme présentant un ensemble de caractéristiques souhaitables:

1) hautement pathogènes, -[NON]

2) facilement disponibles, -[OUI]

3) faciles à produire, -[OUI]

4) pouvant être militarisés, -[OUI]

5) stables, -[OUI]

[Les éléments ci-dessous sont également – OUI]

6) infectieux à faible dose,

7) facilement transmissible,

[et]

8) inspirant la peur – [OUI]

Dans un article publié en 2018, Baric étudiait la façon de rendre le virus assez stable pour l’empêcher de muter jusqu’à disparaître, comme le SARS.

Article de 2018 de Baric:

« Évaluation d’un coronavirus résistant à la recombinaison en tant que plateforme vaccinale largement applicable et rapidement réalisable »

Un candidat vaccin vivant atténué doit démontrer une stabilité phénotypique dans les populations hôtes infectées. Par conséquent, pour tester sa résistance au retour à la virulence, CRG3 a été soumis à cinq passages en série indépendants, en parallèle avec le SARS-CoV sauvage, chez des souris BALB/c âgées de 14 mois

Collectivement, ces résultats ont démontré que cette région du génome du SARS-CoV est intrinsèquement instable lorsqu’elle est soumise à une pression de réplication, en particulier chez les animaux âgés, et ont indiqué qu’un virus aux TRN [NdT: Transcriptional Regulatory Networks ou réseaux de régulation transcriptionnelle] recombinés nécessiterait des mutations stabilisatrices supplémentaires pour pouvoir être utilisé comme candidat vaccinal.

Avec l’identification continue de pools zoonotiques de CoVs qui ressemblent génétiquement aux CoV létaux humains et animaux, souvent avec seulement quelques points de pourcentage de différence entre les séquences zoonotiques et les séquences humaines létales, la nécessité d’une plate-forme d’atténuation universelle et rapidement applicable pour la conception de vaccins vivants atténués contre les CoV est soulignée.

Dans ce rapport, nous avons décrit la conception et la mise en œuvre d’une stratégie d’atténuation du CoV qui peut être facilement et rapidement adaptée à n’importe quel génome de CoV. La présence de 8 à 9 TRS [NdT. Transcription Regulatory Sequence, ou séquence régulatrices de transcription] caractérisées dans tout génome de CoV, dont les CS [NdT. Core Sequences, qui sont l’origine minimum de réplication] sont de 6 à 7 nts [nucléotides] chacun, constitue une cible trop vaste et trop complexe pour que la réversion du site primaire soit un événement probable. Comme la plupart des événements de recombinaison unique découplent les réseaux d’expression des TRN, ces recombinants seraient létaux. Par conséquent, cette stratégie d’atténuation, lorsqu’elle est associée à des allèles capables de résister aux événements de sélection qui conduisent à la réversion du second site, pourrait mettre les vaccins vivants atténués contre le CoV à portée de la réalisation face à la menace toujours croissante de nouvelles épidémies humaines et animales basées sur le CoV.

Les chercheurs ont utilisé une nouvelle séquence (UGGUCGC), le leader de transcription TRS, pour tenter de réduire davantage la recombinaison dans les modèles animaux et d’en faire un vaccin vivant potentiel.

Selon Jim Haslam, cette

séquence leader TRS se trouve à partir du nucléotide 1465 dans le SARS-CoV-2 et pourrait aboutir, si elle était utilisée, à une nouvelle transcription de l’ARN viral qui supprime une partie de la protéine nsp2 de la polyprotéine de l’ORF 1ab.

Elle se trouve également au nucléotide 1446 dans le RaTG13, l’un des virus découverts dans la grotte du Yunnan en 2013, qui a été proposé comme précurseur du SARS-CoV-2. Cette séquence n’est présente dans cette zone chez aucun autre coronavirus. Cette nouvelle séquence TRS se trouve également à l’extrémité 3′ des transcriptions de l’ARN de la protéine de pointe virale du SARS-CoV.

On voit donc que le Sars-Cov-2 a été conçu comme un virus vivant atténué autodiffusant. Lorsqu’il est redevenu virulent (Delta), on y a remédié avec un autre vaccin (Omicron) qui a probablement été testé à Porto Rico en 2020, dont la présence y a été signalée par les auteurs japonais Tanaka et Miyazawa [NdT. voir mon article traduit ici].

https://zenodo.org/record/8216373

Le Sars-Cov-2 est synthétique et non naturel, et il n’est pas particulièrement pathogène (taux de létalité/infection 0,2%, probablement moins si le traitement est précoce avec IVM et HCQ, et des suppléments de vitamine D3/C).

L’objectif principal de la pandémie n’était pas de tuer, même si cela en faisait partie, en particulier les personnes âgées qui bénéficient de la sécurité sociale et de pensions de retraite, mais de nous terroriser.

Le Sars-Cov-2 n’a pas été conçu comme une arme de guerre biologique, c’était une arme de bio-terroristes destinée à effrayer les gens pour leur faire accepter une autre arme biologique par injection, à savoir les vaccins Covid-19 (ARNm/ADN).

LE RÉSEAU CREID

En mai 2020, Fauci, au lieu d’être licencié, a reçu un nouveau JOUET alors que beaucoup d’entre nous étaient confinés.

https://www.rti.org/impact/centers-for-research-in-emerging-infectious-diseases-creid-coordinating-center

CREID (prononciation irlandaise de Believe) [croire]

DEFUSE

En août 2020

Le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (« Institut national des allergies et des maladies infectieuses », NIAID), l’un des National Institutes of Health (Instituts nationaux de la santé), a annoncé aujourd’hui qu’il avait accordé 11 subventions d’une valeur totale d’environ 17 millions de dollars pour la première année, afin de créer les Centers for Research in Emerging Infectious Diseases (« Centres de recherche sur les maladies infectieuses émergentes ») (CREID).

Ce réseau mondial comprendra des recherches multidisciplinaires sur la manière dont les virus et autres agents pathogènes émergent de la faune et de la flore et se propagent pour provoquer des maladies chez l’homme, ainsi que sur le lieu de leur apparition. Le NIAID a l’intention de fournir environ 82 millions de dollars sur 5 ans pour soutenir le réseau.

https://www.niaid.nih.gov/news-events/niaid-establishes-centers-research-emerging-infectious-diseases

Vous pensez peut-être que la date mai 2020 implique que cela n’a rien à voir avec le Sars-Cov-2? Eh bien, regardez qui est derrière chacun de ces projets. Les mêmes personnes.

Apparemment, un collègue virologue, Robert Garry, affirme que le financement du CREID était déjà prévu depuis 2019, car il faut du temps pour régler officiellement tous les détails.

Fauci a déclaré que son projet CREID était « en cours d’élaboration des années avant l’élimination de USAID Predict (en 2019) et qu’il a été créé en réponse à l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest en 2014 et à l’épidémie de Zika en 2016″. Il a déclaré: « Oui, il est similaire à Predict, mais ce n’est pas l’annulation de Predict qui l’a inspiré. »

Le projet a été attribué au même groupe d’universités et de laboratoires qui collaboraient auparavant avec Wuhan: UC Davis, Duke, UNC, EcoHealth et UTMB Galveston.

Sans le Sars-Cov-2, le CREID aurait-il pu être approuvé? Ce virus autodiffusant est vraiment prodigieux, il reproduit même le financement des Scientifiques qui l’ont conçu.

Lorsque Daszak a soumis la proposition DEFUSE à la DARPA, qui avait sollicité des propositions dans le cadre du programme PREEMPT, celle-ci a été attribuée à un autre groupe de l’université d’État du Montana qui faisait la même chose, mais en Afrique, avec un autre virus de chauve-souris (Lassa) et pour un montant inférieur de 4 millions de dollars à celui de la proposition DEFUSE. Il est probable que l’étude était déjà en cours, car ceux qui accordent ces subventions aiment voir des données préliminaires.

Peut-on affirmer avec certitude que le CREID de Fauci a financé DEFUSE? Non. Il n’y a aucune preuve de financement direct et même s’il y en avait un, il pourrait être dissimulé.

En 2018, sous le FASAB, les dépenses secrètes de sécurité nationale ont été légalisées et la destination des financements rendue opaque.

« SFFAS 56 – ACTIVITÉS CLASSIFIÉES » permet aux agences gouvernementales de « modifier » les états financiers publics et de déplacer les dépenses d’un poste à l’autre et de s’abstenir de dire aux contribuables si et quand les états financiers publics ont été modifiés. « 

http://files.fasab.gov/pdffiles/sffas_56_nr.pdf

Cependant, ces acteurs reçoivent de multiples subventions et il ne serait pas difficile de gonfler les coûts d’un projet pour couvrir les coûts d’un Projet « Obscur ».

DEFUSE

Avant de poursuivre, j’aimerais ajouter un peu de contexte à la proposition de projet DEFUSE que la DARPA a rejetée, prétendument parce qu’il s’agissait de gain de fonction, mais aussi parce qu’elle « n’en avait pas les moyens« .

L’offre d’EHA [EcoHealth Alliance] à la DARPA a été sollicitée par le projet Preempt de la DARPA. Comme le rapporte Jim Haslam, EHA a perdu face à l’équipe de Vincent Munster. Munster était le responsable technique d’un « nouveau vaccin pour animaux » qui n’a coûté que 10 millions de dollars. Munster a travaillé au laboratoire BSL4 Rocky Mountain de Fauci dans le Montana sur des virus, y compris des Coronavirus.

L’équipe DARPA Defuse, qui a perdu, a ensuite « fusionné » avec l’équipe DARPA Preempt, qui a gagné, dans le cadre du réseau CREID de Fauci, doté d’un budget de 82 millions de dollars. Le budget du NIAID de Fauci est deux fois plus important que celui de la DARPA.

L’équipe de l’Université d’État du Montana (MSU), qui a utilisé la méthode de Munster, a coûté 25% moins cher, soit 10 millions de dollars contre 14 millions de dollars. L’approche technique de Munster ne nécessitait pas l’équipement de terrain coûteux de Daszak, ni de médicaments, ni de suivi pour le déploiement d’un vaccin animal dans des endroits éloignés.

Ce projet non classifié relevait du domaine public, mais il impliquait des informations propriétaires, avec un certain degré d' »ambiguïté » à la lecture des communiqués de presse. Ce vaccin était « destiné à protéger les militaires américains et les communautés locales où ils opèrent » en Afrique. Mais ce « nouveau vaccin » n’était pas destiné aux troupes américaines, il était destiné aux chauves-souris africaines.

Le travail de Munster était de « créer le premier prototype au monde d’un vaccin autodiffusant conçu pour induire un niveau élevé d’immunité collective (chez les animaux sauvages) ».

[Ils créaient] le premier prototype au monde d’un vaccin autodiffusant conçu pour induire un niveau élevé d’immunité collective (protection au niveau de la population sauvage) contre le virus de Lassa (LASV) et le virus Ebola.

Cela n’est pas sans rappeler le projet DEFUSE, mais avec un virus différent, prétendument, mais était-il si difficile de réorienter le projet vers un autre virus (Sars-Cov-2) et une autre cible (les humains)?

Il est intéressant de noter que le cerf à queue blanche d’Amérique du Nord (White Tail Deer, Wtd) est devenu le premier « réservoir sauvage » de SARS2 répertorié sur la planète. Je suis certain qu’il y a des cerfs à queue blanche dans le Montana.

En juillet 2021, le Ministère de l’Agriculture américain a indiqué sur son site web que son service d’inspection phytosanitaire avait récemment achevé une étude montrant que des anticorps contre le SARS-CoV-2 avaient été détectés dans 33% des 481 échantillons de sérum de cerfs de Virginie prélevés entre janvier 2020 et 2021 dans les États de l’Illinois, du Michigan, de New York et de Pennsylvanie, et que parmi eux, 67% des échantillons prélevés dans le Michigan contenaient des anticorps.

Il s’agit de la première détection d’anticorps contre le SARS-CoV-2 dans la faune sauvage, et la présence de ces anticorps confirme qu’un grand nombre de cerfs de Virginie aux États-Unis ont déjà été exposés au virus.

https://www.aphis.usda.gov/aphis/newsroom/stakeholder-info/stakeholder-messages/wildlife-damage-news/deer-sars

Tromperie

Une grande partie de la discussion technique relative à la collaboration Baric-IVW comportait des mots militarisés et des affirmations exagérées accompagnées de liens qui n’étayaient pas ce qui était dit. Je ne donnerai que quelques exemples, mais leur auteur était probablement un larbin de la CIA. D’après ce que j’ai compris, Baric était un véritable homme d’affaires, qui ne donnait rien gratuitement. Juste après que tout le monde ait fait dans son froc à cause du Sars-Cov-2, provoquant ainsi une pénurie de papier hygiénique, Ralph proposait à ses amis de TwiV [NdT. « This week in Virology », webinaires sur YouTube auxquels participe Baric, par exemple ici] de leur vendre du papier hygiénique de son stock personnel pour 10 dollars le rouleau. Je soupçonne qu’il disait ça sérieusement.

Quoi qu’il en soit, il était très soucieux de protéger ses droits de propriété intellectuelle. L’IVW se montrait un partenaire utile en fournissant des séquences de chauves-souris et des plasmides, et il ne fait aucun doute qu’il y a eu des échanges techniques à la hauteur de la valeur qu’il y attachait, mais cela n’est pas très public.

Plus inquiétant encore, Baric a enseigné sa méthode « no-see-um » au Dr Shi Zhengli et à son équipe pendant la période de collaboration intensive sur la recherche sur les coronavirus entre 2014 et 2016. L’article de Baric et Shi publié en 2015, « A SARS-like Cluster of Circulating Bat Coronaviruses Shows Potential for Human Emergence »(Un groupe de coronavirus de chauve-souris circulants semblable au SARS montre un potentiel d’émergence humaine), décrit leurs efforts fructueux pour développer des techniques de génie génétique permettant de dissimuler les signes révélateurs des manipulations de laboratoire dans les coronavirus chimériques.

Il n’y a aucune preuve de cela. Il a cosigné un article en 2015 avec Shi parce qu’elle a fourni des plasmides et des séquences, mais elle-même affirme que le travail a été effectué par les laboratoires de Baric. Cela ne veut pas dire qu’elle n’avait pas la capacité de le faire. Baric lui-même a déclaré qu’il lui avait caché les séquences afin qu’elle ne puisse pas reproduire son travail.

Lors d’une interview réalisée au cours de l’été 2021, Baric lui-même a avoué qu’au moment où la pandémie a commencé, seuls deux ou trois laboratoires dans le monde utilisaient son protocole, dont son laboratoire de l’UNC et l’IVW.

Dans la source fournie, il ne mentionne pas l’IVW. Il existe de nombreux protocoles de génétique inverse utilisés par de nombreux laboratoires et il a publié sa méthode en 2000/2002 et l’a décrite dans des brevets.

En 2017, grâce au financement du Dr Fauci, les scientifiques chinois de l’IVW ont maîtrisé la technique d’ingénierie furtive du professeur de l’UNC. Dans un article publié cette année-là, l’un des étudiants diplômés de Shi, Zeng Lei-Ping, chercheur au laboratoire de Wuhan, a annoncé que les scientifiques chinois avaient réussi à reproduire l’astuce de Baric pour dissimuler l’intervention humaine.

Zeng s’est vanté que les chercheurs de l’IVW avaient adapté des hybrides de coronavirus de chauve-souris pour infecter les poumons humains, puis appliqué le système « no-see-um » de Baric pour enterrer toutes les preuves de leur manipulation.

Selon la source, il s’agissait d’une thèse. Elle n’a donc pas été financée par Fauci. Cependant, le même auteur a publié en 2016 un article utilisant la génétique inverse. Dans cet article, il décrit une approche hybride.

Dans cette étude, nous avons développé une méthode rapide et rentable pour la génétique inverse des coronavirus en combinant deux approches développées par d’autres. Notre méthode permet de diviser les génomes des coronavirus en plusieurs fragments et de les insérer dans un plasmide BAC en une seule étape. Les virus recombinants peuvent ensuite être sauvés efficacement par transfection directe des constructions BAC. Comme les génomes peuvent être divisés en plusieurs fragments courts, des mutations peuvent être introduites facilement dans les fragments individuels.

Méthode 1

Almazan F, Gonzalez JM, Penzes Z, Izeta A, Calvo E, Plana-Duran J, Enjuanes L. 2000. Engineering the largest RNA virus genome as an infectious bacterial artificial chromosome (Ingénierie du plus grand génome de virus à ARN en tant que chromosome artificiel bactérien infectieux). Proc Natl Acad Sci U S A 97:5516-5521. doi: 10.1073/pnas.97.10.5516. [PMC free article] [PubMed] [CrossRef] [Google Scholar].

Méthode 2

Yount B, Curtis KM, Baric RS. 2000. Strategy for systematic assembly of large RNA and DNA genomes : transmissible gastroenteritis virus model (Stratégie d’assemblage systématique de grands génomes d’ARN et d’ADN : modèle du virus de la gastroentérite transmissible). J Virol 74:10600-10611. doi: 10.1128/JVI.74.22.10600-10611.2000. [PMC free article] [PubMed] [CrossRef] [Google Scholar].

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4936131/

Cet article a été partiellement financé par le NIAID.

Ce travail a été financé conjointement par la Fondation Nationale des Sciences Naturelles de Chine (81290341, 31321001, et 81401672) et les Instituts Nationaux de la Santé (NIAID R01AI110964).

Ensuite…

En 2020, les chercheurs militaires chinois, après avoir bénéficié d’années de recherche financée par le NIAID et l’USAID, mettaient au point des coronavirus pandémiques susceptibles de se propager rapidement dans les populations mondiales et n’en étaient pas le moins du monde gênés. Même lorsque la pandémie de COVID-19 battait son plein, les scientifiques chinois faisaient publiquement l’apologie de ces capacités croissantes.

Aucune preuve apportée.

En avril 2020, sept mois après que le COVID-19 a commencé à circuler, vingt-trois scientifiques chinois – dont sept de l’Académie des Sciences Médicales Militaires, l’institut de recherche médicale de l’armée chinoise – se sont vantés d’avoir utilisé la technologie CRISPR d’édition de gènes pour créer des souris aux poumons humanisés afin de faciliter le développement de souches de coronavirus susceptibles d’infecter les humains.

En juin 2021, Vanity Fair a rapporté que les enquêteurs du Conseil de Sécurité Nationale (NSC) des États-Unis ont déterminé qu' »il est devenu clair que les souris avaient été modifiées au cours de l’été 2019, avant même le début de la pandémie ».

Félicitations, ils ont simplement reproduit ce que Baric avait fait 18 ans plus tôt

Des scientifiques américains ont mis au point des souris humanisées en 2002. Les scientifiques financés par les NIH, comme Ralph Baric, utilisaient des souris humanisées pour tester l’infectiosité humaine de leurs agents pathogènes améliorés depuis près de vingt ans!

Ensuite…

Le NIAID a aidé les Chinois à lancer leur programme en formant des scientifiques et des techniciens chinois sur place et à Galveston.

Duke a également lancé une collaboration de recherche visant à transférer à la Chine la technologie de pointe des NIH en matière d’armes biologiques.

La source fournie ne dit rien de tel. L’objectif de la formation était de leur apprendre à travailler en toute sécurité dans un laboratoire BSL-4 afin d’éviter les fuites.

https://www.utmb.edu/gnl/news/2020/04/16/the-galveston-national-lab-and-wuhan-institute-of-virology

PALANTIR – Avril Haines

Il tente de discréditer Avril Haines en l’associant à Palantir.

Palantir, une société de renseignement privée fondée en 2003 par Peter Thiel, cofondateur de PayPal.

Thiel a été l’un des plus grands soutiens de Trump entre 2017 et 2020.

Palantir est un sous-traitant du Pentagone et des agences de renseignement spécialisé dans l’extraction de données… La société « a facilité les déportations massives d’immigrés sous Trump ».

Pendant les confinements de la pandémie COVID, Palantir, peut-être le leader mondial des technologies et des programmes de police prédictive, a touché le pactole de la mise en œuvre des politiques oppressives de surveillance et de contrôle qui [avaient été] modélisées pendant la simulation Event 201, en engrangeant des contrats lucratifs avec la CIA.

Palantir est l’une des entreprises, avec Microsoft, Google et Amazon, qui a fourni une série de technologies de suivi des données, de surveillance et d’identification numérique au Ministère de la Sécurité Intérieure américain et aux Centres de Contrôle des Maladies, ainsi qu’aux gouvernements occidentaux pendant la pandémie de COVID.

Ces contrats ont été attribués pour la première fois en 2020, sous l’administration Trump.

L’entreprise a démontré qu’elle partageait le mépris de la CIA pour les traditions et les valeurs américaines en participant à une tentative de campagne de diffamation contre les militants anti-corporation et les journalistes qui remettaient en question les politiques du gouvernement, notamment le fouineur Glenn Greenwald.

Juste avant d’accepter le poste de première espionne américaine, Mme Haines a effacé de sa biographie le fait qu’elle était consultante rémunérée – à hauteur de 180 000 dollars par an – pour Palantir.

Peter Thiel ne soutient plus Trump. Je suppose qu’il pense que Haines surveille ses arrières.

Conclusion

Le livre est une révélation sous contrôle. Il vaut quand même la peine d’être lu pour sa première partie. J’attendrais cependant que le prix baisse.

Selon moi, le Sars-Cov-2 a été fabriqué par l’homme et probablement diffusé intentionnellement à des fins politiques par des mondialistes ancrés dans le gouvernement et l’État profond, en collaboration avec des universités et des entreprises du complexe militaro-industriel et du Forum Économique Mondial, avec un soutien bipartisan pour des raisons politiques, sociales et économiques.

Le virus n’était pas particulièrement pathogène afin de protéger les élites. Il a été atténué à la manière d’un vaccin à virus vivant, bien qu’il soit dangereux pour les personnes immunodéprimées telles les personnes âgées.

Afin d’augmenter le nombre de morts et de faire accepter la véritable arme biologique, à savoir le vaccin injecté, les protocoles de confinement et de traitement ont été mis au point et conçus pour tuer. Les élites éviteraient le vaccin, à l’exception de l’injection occasionnelle d’une solution saline à des fins de démonstration.

En 2020-2021, le gouvernement fédéral a proposé des incitations financières pour obtenir la participation de tous, l’argent a coulé à flots dans les États, les villes, les hôpitaux, les maisons de retraite, les scientifiques, les entreprises pharmaceutiques, les grandes entreprises (PPP), et les médias ont été récompensés par l’obéissance du public. Ils ont reçu du gouvernement un narratif de pornographie de la peur, suivi de milliards en publicité pour soutenir la narration gouvernementale et faire le marketing de la campagne de vaccination.

Ceux qui ont marché dans la combine ont empoché l’argent. Aucune travailleuse de rue n’a jamais trimé plus dur ni écarté les jambes plus largement que les hommes d’affaires qui voulaient leur part du gâteau.

La richesse des milliardaires est passée de 7,7 trillions en 2017 à 10,2 trillions en 2020 et 13,1 trillions en 2021.

Les bénéfices des entreprises sont montés en flèche malgré la fermeture de nombreuses petites entreprises et la réduction de la concurrence qui a fait grimper les prix du fait de la collusion.

Une surmortalité de 2 millions, principalement des personnes âgées, et la réduction de l’espérance de vie profitent à la sécurité sociale et aux fonds de pension.

Moyens, opportunités, motivations.

Le COVID fut Made in US et diffusé avec le soutien de la communauté internationale (y compris la Russie et la Chine) alors que chaque gouvernement complice suivait les mêmes protocoles DANGEREUX, bien qu’avec des modifications autorisées pour permettre à chaque nation de choisir entre des mesures dures ou douces.

La Gouvernance Mondiale est déjà là, elle n’a juste pas encore été annoncée. Les simulacres de conflits entre nations visent à vous empêcher de le comprendre et à maintenir le soutien au financement du Complexe Militaro-Industriel Universel. Le simumacre de confliet politique vise à ce que les gens se battent entre eux au lieu de combattre les élites qui contrôlent leur gouvernement par le biais des deux partis politiques corrompus.

Le livre de RFK Jr vise à vous empêcher de comprendre cette situation, même si, comme nous l’avons mentionné, il donne quelques informations utiles au début du livre.

Fin.

Lectures complémentaires

[NdT. trois articles en anglais de Pete]

Mystère de la séquence de l’ossature consensuelle utilisée pour construire le Sars-Cov-2

Le Sars-Cov-2 était-il un vaccin autodiffusant?

La machine de financement auto-reproductible de Fauci – CREID

Chronologie

L’activité du gouvernement américain et des acteurs privés dans la période précédant le COVID suggère que des préparatifs étaient en cours depuis plusieurs années, voire plus.

2017 – Fauci prédit une épidémie pendant le mandat de Trump.

2017 – Scénario d’exercice conjoint du G20 avec une contagion chinoise imaginaire baptisée MARS.

2017 – Exercice de table SPARS.

2017- Création du CEPI de Gates.

2017- DARPA – Plateforme de prévention des pandémies créée et financée par l’Agence des Projets de Recherche Avancée de la Défense (DARPA – Defense Advanced Research Projects Agency).

2017- Levée du moratoire sur le financement du gain de fonction.

2018 – Simulation CLADE X.

2018 – Plan de lutte contre la pandémie PanCAP 2.0 du Conseil de Sécurité Nationale.

2018 – Création de CISA [Cybersecurity and Infrastructure Security Agency]

2018 – Rejet de la proposition de subvention du projet DEFUSE de la DARPA.

Septembre 2018 – Trump publie le Mémorandum présidentiel sur la sécurité nationale 14 (NSPM 14).

Le NSPM 14 établit un comité chargé de mettre en œuvre la Stratégie Nationale de Biodéfense avec le Conseiller à la Sécurité Nationale comme chef de file pour la coordination des politiques et faciliter l’intégration des politiques pour les efforts fédéraux en matière de biodéfense.

2019 – Propositions de subventions pour le réseau CREID du NIAID par les mêmes personnes que celles impliquées dans DEFUSE.

Juillet 2019 – La Commission bipartisane sur la biodéfense organise un panel appelant à un « Projet Manhattan pour la biodéfense » avec Kadlec.

Juillet 2019 – Le dernier épidémiologiste du CDC à Pékin part alors que l’épidémie de pneumonie affecte les maisons de retraite pour anciens combattants.

Août 2019 – Le CDC ferme Fort Detrick pour 3 mois.

Septembre 2019 – Les conseillers économiques de la Maison Blanche estiment le coût de la pandémie.

Septembre 2019 – le GPMB, avec Fauci et Gao, avertit qu' »il existe une menace très réelle de pandémie d’un agent pathogène respiratoire à évolution rapide et hautement létale qui anéantirait près de 5% de l’économie mondiale ».

Action requise avant septembre 2020 – deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système.

Sept. 2019 – Gates investit dans BioNTech.

2019 – Le Centre d’Engagement Mondial (« Global Engagement Center », GEC), autorisé en décembre 2016, est rendu pleinement opérationnel par le Département d’État de Pompeo en 2019, suite à son transfert du poste de directeur de la CIA.

Oct 2019 – Événement 201.

Oct 2019 – La BARDA reçoit le Stock Pandémique du CDC.

Déc 2019 – Accord de transfert de matériel entre Moderna et Baric.

Déc 2019 – L’Agence Américaine de Réduction des Menaces de Défense annonce le lancement du programme DOMANE, Discovery of Medical Countermeasures Against Novel Entities (découverte de contre-mesures médicales contre des entités nouvelles).

Malone commence à travailler sur DOMANE avec les Lincoln Labs du MIT qui ont été rapidement mis au travail sur le COVID en janvier (bon timing).

Le mot Domane signifie couronne des rois en latin. En latin, corona signifie couronne. Un choix de nom intéressant puisque le virus de la couronne circule à Wuhan.

Janvier 2020 – La Maison Blanche ordonne que toutes les réunions COVID se tiennent dans un cadre classifié.

Janv. 2020 – La France interdit l’HCQ en vente libre depuis 60 ans et la rend accessible uniquement sur ordonnance.

Janv. 2020 – Michael Callahan, membre de la DARPA/CIA, revient de Wuhan pour travailler avec Kadlec.

Février 2020 – Malone dans l’émission de Rogan: « J’ai été le premier à acquérir, grâce à mes relations chinoises, le protocole chinois de traitement de ce virus. Je l’ai obtenu fin février et je l’ai envoyé à mes amis de la CIA et du DTRA ».

Mars 2020 – Malone publie un livre sur le traitement du COVID (écrit en février) après avoir lui-même contracté le COVID en février et assisté à l’événement de super propagation BIOGEN à Boston à la fin du mois de février. Le livre est rapidement retiré de la vente (censure d’Amazon ou désapprobation des hautes sphères?)

Mars 2020 – le PanCAP est adopté le 13 mars 2020 par le Conseil de Sécurité Nationale (NSC) et prévoit des mesures de confinement.

Confinements annoncé le 15 mars

La FEMA et le DHS deviendront par la suite les chefs de file de la mise en œuvre de la politique COVID du NSC.

Mars/avril-2020. Le CDC, sous la direction de Robert Redfield, modifie le décompte des décès dus au COVID afin d’inclure les décès pour lesquels le COVID n’est pas la cause sous-jacente et de permettre la détermination d’un cas de COVID en l’absence de test positif.

Mai 2020 – Trump annonce l’opération Warp Speed

Juin 2020 – Redfield affirme que les masques sont le meilleur vaccin.

Le nouveau mouvement eugéniste – 2ème partie – par le Dr Ah Kahn Syed.

J’atermoie (encore) mon propre article pour vous livrer celui-ci, du Dr Ah Kahn Syed, déjà publiée (c’est une dame) ici et ici. C’est assez long mais comme elle le dit elle-même, ça en vaut la peine. Je n’ai pas traduit la première partie. Ceci m’a déjà pris énormément de temps.

Le Dr Seyd est australienne, pays où les mesures coercitives (pandémie et « vaccin ») ont été parmi les plus sévères – mes lecteurs se souviendront que j’avais relayé à l’époque l’appel de détresse des communautés aborigènes devant une violence policière inouïe. C’est aussi là que l’idée de camps d’internement covid avait été poussée le plus loin, avec l’accord de la population générale. Par un curieux hasard, c’est aussi le pays premier consommateur d’anti-dépresseurs par tête de pipe (l’Islande est n°1 du fait que les prescriptions en hôpital y sont y comptées).

Le sujet vous sera familier, mais l’article présente de nouvelles informations, assez récentes, sur les pans futurs du même programme – eugéniste. Prétez une attention particulière au chapitre sur le PAM, qui fait le lien entre les injections covid et le programme de modification génétique…

Le Dr Seyd rappelle aussi le rôle dans ce dossier d’un certain Jeffrey Epstein, au cas où on aurait pas encore compris de quel genre de réseau international les scientifiques impliqués dans cette version actualisée de l’eugénisme sont le rouage.

Je sais que le grand public en a marre des infos sur les vaccins thérapies géniques et se laisse accaparer par les algorithmes des réseaux sociaux qui les bombardent, c’est le cas de le dire, d’histoires de Russie, Troisième Guerre mondiale et tout ce genre de distraction. Ce n’est pas là que se joue l’avenir. Il se joue aujourd’hui dans votre tête, bientôt dans vos gènes – si vous les laissez faire. Aux États-Unis, quelques représentants courageux tentent de faire purement et simplement interdire les « thérapies géniques » de masse au niveau de leur État. C’est un début.

Quelqu’un, qui en a comme moi assez de la folie du monde, m’a demandé si finalement le monde de demain – technocratique – ne serait quand même pas un peu meilleur. Je vous laisse juge.

Note de traduction: je n’ai pas pu remplacer toutes les vidéos incrustées de l’article original, sorry.

Source.


Le nouveau mouvement eugéniste – 2ème partie

Le réseau biotechnologique d’un trillion de dollars, qui veut modifier votre génome pour faire de vous une meilleure personne, et nous exclure des médias sociaux

Dr Ah Kahn Syed

30 mars 2024

J’espère que vous avez tous eu l’occasion de lire la partie 1. Dans le cas contraire, elle se trouve ici. Installez-vous confortablement pour la suite, ce n’est pas court, mais ça en vaut la peine.

Pour introduire ce qui va suivre, je vais essayer d’en donner un aperçu, comme l’ont fait quelques mèmes pendant le COVID, en décrivant les affirmations « sûres et efficaces » qui sont rapidement rétractées.

  • Ce n’est qu’un vaccin
  • Il reste dans le bras
  • Il ne dure que quelques jours
  • Il ne s’intègre pas dans le génome
  • Ce n’est pas une thérapie génique
  • Il n’y a pas d’ADN dans le vaccin
  • Il n’entre pas dans le noyau
  • Il est sans danger pendant la grossesse et n’atteint pas le placenta.
  • Il ne reste pas dans le bras, il se diffuse partout, mais c’est une bonne chose.
  • Il y a une contamination par des plasmides, mais seulement à petites doses et il n’y a aucune preuve qu’ils soient nocifs.
  • D’accord, il passe dans le placenta, mais cela signifie que le bébé est également protégé.

-[VOUS ÊTES ICI]-

  • D’accord, il s’agit d’une thérapie génique, mais nous l’utilisons depuis des années et elle s’est révélée sûre et efficace, sans aucun effet indésirable identifié après des milliards de doses.
  • La technologie NPL était toute nouvelle et n’avait pas encore été testée, mais elle s’est révélée sûre et efficace, sans aucun effet indésirable identifié après des milliards de doses.
  • La même technologie peut être utilisée pour l’édition de gènes CRISPR, qui est maintenant approuvée par la FDA et qui, combinée à la technologie NPL, peut être utilisée pour fournir un vaccin permanent qui n’aura jamais besoin d’être mis à jour avec des rappels et des injections répétées qui font bobo.

Car, comme nous le savons tous, ce sont les deux secondes d’une piqûre d’aiguille qui ont poussé la moitié de la population mondiale à rejeter la nouvelle thérapie jusqu’à ce que les obligations vaccinales entrent en vigueur – rien à voir avec le fait que la plupart des gens auraient rejeté une nouvelle thérapie génique s’ils avaient su de quoi il s’agissait réellement.

Non, Prof. Meghan Murthy, ce n’était pas la peur de l’aiguille. C’est la prise de conscience du fait que vous essayez de taguer le monde avec une thérapie génique pour laquelle personne n’a donné son consentement éclairé.

Et oui, il s’agissait bien de thérapie génique, même si les tribunaux tentent de brouiller les pistes en prétendant que les médecins qui non seulement ont été contraints de recevoir ce produit, mais ont été cooptés pour l’administrer sous de faux prétextes, n’ont pas qualité pour agir, et se retrouvent aujourd’hui visés par une plainte pour manquement à la déontologie. (voir aussi ici)

Et comment savons-nous qu’il s’agit d’une thérapie génique? Parce que la FDA1, Moderna, BioNtech et toutes les autres institutions qui savent de quoi il s’agit le disent. Extrait du document de 2024 de la FDA (copié dans la note de bas de page):

La thérapie génique humaine vise à modifier ou à manipuler l’expression d’un gène ou à altérer les propriétés biologiques de cellules vivantes à des fins thérapeutiques. La FDA considère généralement que les produits de thérapie génique humaine comprennent tous les produits dont les effets sont obtenus par transcription ou traduction du matériel génétique transféré, ou par modification spécifique des séquences génétiques de l’hôte (humain). Parmi les produits de thérapie génique, on peut citer les acides nucléiques, les micro-organismes génétiquement modifiés (virus, bactéries, champignons, etc.), les nucléases spécifiques utilisées pour l’édition du génome humain et les cellules humaines génétiquement modifiées ex vivo …. https://www.fda.gov/media/76647/download.

Et oui, nous avons déjà discuté de ce sujet, mais l’essentiel est que nous en arrivons bientôt à ce point:

« Oui, [le vaccin COVID] était une thérapie génique, mais personne ne l’a nié et, en tout état de cause, 6 milliards de doses ont été administrées sans aucun effet indésirable. Et maintenant, nous savons que l’édition de gènes est tout aussi sûre ».

Car c’est ce qui se passe depuis le début. Gaslighting 101. Parce que les nouveaux produits pharmaceutiques seront toujours sûrs si on s’assure qu’aucun article de recherche n’est autorisé à parler de leur dangerosité et si on harcèle, intimide et menace les médecins qui publient ces recherches.

(Censure scientifique – leçons NON apprises, article de Jessica Rose) [en anglais]

Maintenant que nous avons établi, au-delà de tout doute raisonnable, que les vaccins de thérapie génique (VTG) sont sûrs et efficaces et qu’aucun document ne montre qu’ils induisent le cancer par mutagénèse insertionnelle ou tout autre problème causant une surmortalité que nous constatons dans le monde réel, nous pouvons tous nous réjouir que l’édition de gènes CRISPR, qui apporte une solution permanente à votre problème génétique, soit le remplacement idéal de ces injections répétées qui font bobo, véritable raison pour laquelle les gens hésitaient à se faire vacciner (à part le racisme institutionnalisé, bien sûr).

Mais c’est quoi, CRISPR?

Rien à voir avec le bacon, les frites, les chips ou le poulet frit, même si son nom est manifestement destiné à susciter une émotion gratifiante sur le moment. Il s’agit d’une technique d’édition des gènes et des génomes.

CRISPR signifie « clustered regularly interspaced short palindromic repeats » (répétitions palindromiques courtes et régulièrement espacées), ce qui renvoie à un modèle spécifique d’ADN, cible de la technique d’édition de gènes qui nécessite également une protéine « Cas », par exemple Cas9. La protéine Cas forme un complexe avec un « ARN guide » pour guider l’endroit où l’ADN est coupé et, une fois coupé, un nouvel ADN peut être ajouté. Comme on faisait autrefois le montage d’une bande vidéo.

Voici une version plus grande du graphique ci-dessus pour l’expliquer, provenant du Genetic Literary Project (sur lequel nous reviendrons plus tard).

  1. La protéine Cas9 forme un complexe avec l’ARN guide dans la cellule
  2. Ce complexe se lie à une séquence d’ADN correspondante adjacente à un espaceur (segment jaune)
  3. Le complexe Cas-9-ArRN coupe le double brin d’ADN
  4. L’ADN programmé peut être inséré à l’endroit de la coupure

Autrefois, CRISPR était réservé à l’édition de gènes dans les cellules en laboratoire, mais avec les progrès de LaScience™, nous avons désormais la capacité de modifier le génome des cellules in vivo. Cela signifie qu’il est possible de modifier le génome d’organismes vivants, y compris les êtres humains.

Et il est évident que c’est totalement sûr et efficace – du moins c’est ce qu’on vous dira – parce qu’on a trouvé un moyen de contrôler toutes ces protéines hors cible (involontaires) qui pourraient survenir en découpant votre génome alors que vous êtes encore en vie. Et bien sûr, tous les problèmes connus associés au CRISPR in vivo auront déjà été résolus, tout comme ils l’ont été pour les vaccins à ARNm. C’est dommage pour les enfants qui sont déjà morts à cause des réactions immunitaires ou de mutagénèse insertionnelle:

Jesse Gelsinger, un jeune homme de 18 ans atteint d’une forme légère de la maladie génétique du déficit en ornithine transcarbamylase (OTC), a participé à un essai clinique qui a délivré un gène OTC non muté dans le foie par une injection dans l’artère hépatique du vecteur adénoviral recombinant hébergeant le gène thérapeutique. Malheureusement, Jesse est décédé quatre jours après le traitement (7). Le vecteur adénoviral a déclenché une réponse immunitaire beaucoup plus forte chez Jesse que chez d’autres patients, provoquant une série de défaillances d’organes multiples qui ont finalement conduit à son décès (8). Au moment de l’essai, les vecteurs adénoviraux étaient considérés comme raisonnablement sûrs. Cependant, au cours du développement préclinique, deux des singes rhésus traités avec la thérapie ont développé un schéma similaire de nécrose hépatocellulaire fatale (9). Peu après, un autre essai de thérapie génique a conduit au développement d’une leucémie chez plusieurs jeunes enfants, induite par l’oncogenèse insertionnelle de la thérapie (10). Ces essais ont été ouverts pour deux formes de SCID (SCID-X1 ou déficit en chaîne ɤ commune) et pour le déficit en adénosine désaminase (ADA). La thérapie a utilisé des vecteurs ɤ-rétroviraux pour délivrer ex vivo des transgènes thérapeutiques à des cellules souches hématopoïétiques CD34+ autologues, qui ont été réintroduites chez les patients (10). Cinq patients ont développé une leucémie secondaire liée à la thérapie, et l’un d’entre eux est décédé des suites de la maladie (11). Un examen plus approfondi a révélé l’intégration du gène thérapeutique dans le locus du proto-oncogène LMO2, ce qui a probablement entraîné le développement d’une leucémie (12). Des analyses ultérieures ont suggéré une fréquence plus élevée d’événements de mutagenèse insertionnelle avec les vecteurs ɤ-rétroviraux par rapport à d’autres vecteurs (13).

Bien sûr, CRISPR est tellement amusant que le laboratoire de Saha a conçu un jeu pour vous faire croire que l’introduire à grande échelle dans la population serait une idée sympa. Comme lâcher des chips chaudes du ciel. Qui n’aime pas les chips chaudes, n’est-ce pas?

Capture d’écran du jeu « CRISPR is fun » (CRISPR est amusant)

Pour citer leur article:

CRISPR – c’est l’une de ces nouvelles technologies scientifiques dont il est amusant de parler, car qui n’aurait pas envie d’imaginer un avenir meilleur rendu possible par la science? Mais quelle version de « meilleur » prévaudrait? Les « et si » rendus possibles par la technologie d’édition de gènes CRISPR font l’objet d’un débat intense au sein de la communauté scientifique internationale. Comme ces débats affectent déjà les décisions politiques, le public doit prendre en compte les ramifications éthiques de ce que CRISPR pourrait rendre possible.

Vous voyez le coup de coude? Vous vous souvenez de « l’intérêt supérieur » évoqué dans la première partie?

Bien sûr. Pourquoi ne voudrait-on PAS améliorer le patrimoine génétique du monde pour faire de nous de meilleurs humains, au lieu des humains merdiques que nous étions hier, n’est-ce pas?

Et à quel point ce graphique tiré de l’article sur le jeu du laboratoire de Saha ressemble-t-il au problème du chariot évoqué dans la première partie?

Capture d’écran de la « machine morale » du MIT. Il convient de noter la proximité géographique du MIT et de Harvard, qui sont à toutes fins utiles au même endroit.

CRISPR a besoin d’un PAM

Pour en revenir au sujet, pour que CRISPR puisse éditer vos gènes, il faut essentiellement :

(1) un PAM2 et
(2) une séquence de gène ARN correspondant à la zone ciblée du génome.

Le PAM est une minuscule séquence génétique (nGG où « n » est un nucléotide quelconque, par exemple CGG) qui existe à plusieurs endroits du génome. La séquence d’ARN est incluse pour cibler n’importe quelle partie de l’ADN qui vous intéresse, à condition qu’elle se trouve à côté d’un PAM. Il faut donc un PAM et un fragment d’ARN. Le PAM le plus réactif (parmi les quatre options AGG, CGG, TGG et GGG) est CGG.

Pour en savoir plus sur le PAM et son fonctionnement, je vous recommande de consacrer 5 minutes à cette vidéo fascinante qui montre à quel point la nature est intelligente et comment les bactéries ont appris à combattre les virus à l’aide de ce mécanisme de défense génomique antivirale.

[NdT. sorry, pas de traduction automatique sur cette vidéo]

Si vous préférez regarder un graphique, celui-ci montre le PAM et l' »ARN guide » ou ARNg (la séquence que le scientifique utilise pour faire correspondre la séquence de votre ADN qu’il veut couper).

  • Adaptation d’un mécanisme de défense contre un virus ou une bactérie.
  • Cas9 est une enzyme qui utilise l’ARN guide pour couper la séquence d’ADN cible.
  • La séquence génétique souhaitée pourrait être ajoutée au système de réparation de l’ADN personnalisé.

Ainsi, si on veut modifier le génome à un endroit précis, il faut trouver une séquence génétique unique à proximité d’un site PAM.

Vous serez heureux d’apprendre que la majorité de la population mondiale a reçu gratuitement de telles séquences PAM lorsqu’elle a consenti à recevoir un vaccin de thérapie génique recombinante offert par Pfizer, Moderna (et probablement Novavax aussi3).

En effet, ces vaccins contiennent des plasmides qui sont de l’ADN et peuvent facilement s’intégrer dans l’ADN de vos propres cellules, comme l’ont démontré de nombreux auteurs, et plus récemment Kevin McKernan et Hiroshi Arakawa, qui ont confirmé l’intégration de l’ADN plasmidique dans le chromosome 12 et le chromosome 9. J’ai prévenu que c’était probable ici.

La bonne nouvelle concernant cet événement d’intégration est que dans les deux cas présentés ci-dessus, il y a une séquence CRISPR-Cas9 PAM (CGG, AGG, GGG ou TGG) dans la séquence qui a été intégrée dans le génome. C’est une nouvelle fantastique pour ceux qui voudraient ensuite modifier le génome des bénéficiaires de leur médicament à l’endroit précis où ils ont ajouté de l’ADN!

Pour réaliser l’édition génétique d’un sujet à l’aide de CRISPR-Cas9, il faut une séquence génétique spécifique à l’endroit où l’on veut couper le génome, à côté d’une séquence PAM.

Il se trouve que le processus d' »optimisation des codons4 » de la séquence génétique des vaccins COVID (processus par lequel Pfizer, Moderna et Novavax ont décidé de créer une toute nouvelle séquence de 3822 nucléotides différente de la séquence génétique de la protéine de pointe de Wuhan, mais censée produire exactement la même séquence d’acides aminés) a entraîné une augmentation considérable du nombre5 de séquences PAM – en particulier du type CGG, le plus efficace. Quelle heureuse coïncidence!

Ainsi, l’événement d’intégration génomique résultant de ce que vous pensiez être un simple vaccin mais qui s’est révélé être une thérapie génique a commodément fourni les deux facteurs nécessaires à une édition génique ultérieure – de nombreuses séquences PAM et des séquences génomiques spécifiques qui n’étaient pas présentes dans le génome humain auparavant6.

En d’autres termes, 6 milliards de personnes sont potentiellement prêtes à recevoir un processus d’édition de gènes direct qui pourra remplacer votre vieille séquence de vaccin COVID par un nouveau gène rutilant pour n’importe quel prétexte.

Bien sûr, comme les personnes impliquées dans l’industrie de l’édition de gènes sont super sympa, il ne leur viendrait jamais à l’idée de faire ce genre de choses, n’est-ce pas?

Voyons qui ils sont… avant de supposer qu’ils ont tous agi de manière altruiste.

Le mastodonte de l’industrie de l’édition génétique

Il est essentiel de comprendre que l’édition de gènes est très coûteuse – plus d’un million de dollars par personne. Mauvaise nouvelle pour le consommateur, mais excellente nouvelle pour les entreprises qui en sont à l’origine et qui risquent de gagner non pas des milliards, mais des trillions de dollars si elles parviennent à administrer ce produit aux populations, comme elles l’ont fait avec les vaccins COVID.

Et vous savez quoi? Lorsque les vaccins COVID se vendaient comme des petits pains et avant que nous ayons été autorisés à découvrir qu’ils n’étaient pas ce qu’on nous avait promis, le prix des actions des quatre grandes sociétés CRISPR a grimpé en flèche. Il s’est ensuite effondré à la même vitesse lorsque les problèmes liés aux vaccins à ARNm ont commencé à être constatés.

Le cours des actions des quatre grandes sociétés d’édition de gènes – CRSP, EDIT, NTLA, SGMO – a fortement augmenté au milieu de l’année 2021 pour s’effondrer peu après.

Qui sont donc les acteurs qui se cachent derrière ces sociétés CRISPR et les technologies qui les sous-tendent?

La plus importante est Jennifer Doudna, co-inventrice de CRISPR.

Elle parle ici de sa vision utopique du monde, où des scientifiques d’élite comme elle peuvent modifier le génome des vaches pour qu’elles pètent moins, ce qui nous sauvera tous du changement climatique. Non, je ne plaisante pas.

Voici la partie importante dans ce qu’elle dit (à partir de 5:14):

Nous savons que les pays et les populations les plus pauvres sont les plus touchés par le changement climatique, et que c’est un problème créé par les plus riches. Le méthane est un élément important du problème. Il contribue largement à l’augmentation des températures mondiales depuis l’ère préindustrielle. La composition spécifique du microbiome du bétail peut réduire les émissions de méthane jusqu’à 80%. Mais pour y parvenir, il faut aujourd’hui des interventions quotidiennes très coûteuses, qui ne peuvent pas être mises en œuvre à grande échelle. Mais avec l’édition de précision du microbiome, nous avons la possibilité de modifier le microbiome d’un veau à la naissance, limitant ainsi l’impact de cet animal sur le climat tout au long de sa vie…

Notre technologie pourrait donc vraiment faire bouger l’aiguille dans notre lutte contre le changement climatique.

[NdT. Le Dr Sabine Hazan, spécialiste du microbiome, mentionnée plus loin, pourrait vous expliquer à quel point il est dangereux d’y modifier quoi que ce soit – elle a d’ailleurs étudié la question en particulier dans le cadre du SARS-CoV-2]

Jennifer Doudna, l’inventrice de l’ARN et détentrice d’un nombre obscène de brevets d’une valeur potentielle de plusieurs trillions de dollars, souhaite donc modifier le génome d’animaux (et vraisemblablement de « pauvres » humains) pour des causes politiques.

C’est très bien. Qui est le suivant? (Ne vous inquiétez pas, ça devient pire).

Voici un autre groupe de scientifiques impliqués dans la normalisation de l’édition de gènes, qui tentent de le présenter comme un traitement médical comme les autres. Peter Singer a rédigé l’avant-propos du « Handbook of Bioethical Decisions7«  (Manuel des décisions bioéthiques), qui devrait servir de guide aux scientifiques pour ne pas dépasser pas les limites de la manipulation des éléments de base de la vie de l’humanité. Par chance, Peter est également co-auteur de cet article « controversé » défendant l’eugénisme. Oui, vous avez bien lu, il défend l’eugénisme.

Youpi!

Peut-on défendre l’«eugénisme»?

Ces dernières années, le discours bioéthique autour du thème de l' »amélioration génétique » est devenu de plus en plus politisé. Nous craignons que l’accent soit trop mis sur la question sémantique de savoir si nous devrions qualifier d' »eugéniques » des pratiques particulières et des biotechnologies émergentes telles que CRISPR, plutôt que sur la question plus importante de savoir comment nous devrions les considérer du point de vue de l’éthique et de la politique. Nous abordons ici la question de savoir si l' »eugénisme » peut être défendu et comment les partisans et les détracteurs de cette amélioration doivent s’engager les uns envers les autres.

Son co-auteur, Jonathan Anomaly, a écrit un article sur la façon dont on devrait tous être traités comme des « biens publics », ce qui englobe habilement l’éthique totalitaire du « bien commun » avec le concept de l’homme en tant que propriété publique (voir la partie 1).

Résumé

La procréation est le problème ultime en matière de biens publics. Chaque nouvel enfant affecte le bien-être de nombreuses autres personnes, et certains enfants (mais pas tous) produisent une valeur non compensée dont profiteront les générations futures. Cet essai aborde les défis qui se posent lorsque l’on considère la procréation et l’éducation des enfants comme des biens publics. Il s’agit notamment de savoir si les choix individuels sont susceptibles de conduire à un résultat socialement souhaitable et si des changements dans les lois, les normes sociales ou l’accès au génie génétique et à la sélection des embryons pourraient améliorer le résultat global de nos choix en matière de procréation.

Heureusement pour le monde, ce ne sont pas seulement les Doudna, les Anomaly et les Singer du monde scientifique qui sont en charge de nos génomes. Le financement d’une grande partie de cette industrie provient de personnes telles que le tristement célèbre Jeffrey Epstein, qui a littéralement tenté de créer sa propre réserve eugénique.

Jeffrey Epstein espérait ensemencer la race humaine avec son ADN

On le voit ici en train de rencontrer les eugénistes « améliorateurs génomiques » à Harvard, dont les principaux scientifiques du CRISPR, George Church et Eric Lander (coup de chapeau à Jesse Matchey, qui a été exclu de Twitter pendant deux ans pour avoir dénoncé cette affaire).

Aussi ridicule que cela puisse paraître, Jeffrey Epstein a fondé et financé le sinistre « programme de dynamique évolutive » de Harvard – que la plupart appelleraient plus judicieusement « programme eugénique ». Il a passé beaucoup de temps avec des membres de la « Skeptics Society », que vous aurez vus dénigrer les « Antivaxxers » sur Twitter. Leur objectif est vraisemblablement de soutenir les actions des entreprises de biotechnologie, car si elles avaient autorisé les scientifiques dissidents à s’exprimer librement sur les médias sociaux, leurs actions se seraient effondrées.

Les « Skeptics » comprennent des personnes comme James Randi, qui a participé à une longue fraude par usurpation d’identité finalement poursuivie en justice, et Loren Pankratz qui a frauduleusement revendiqué une expertise afin de défendre des pédophiles devant les tribunaux8. La direction de facto du mouvement Skeptic a été confiée à David Gorski, qui mène aujourd’hui une campagne de haine sur de nombreux blogs contre les personnes qui tentent de dénoncer les conglomérats Epstein-Pharma, ainsi qu’à Richard Dawkins, qui n’a cessé de joyeusement défendre la « pédophilie légère« 9.

Jets privés, fêtes et eugénisme: le monde étrange des scientifiques de Jeffrey Epstein

Le financier milliardaire et délinquant sexuel condamné a fréquenté des présidents, des mannequins et des stars de cinéma. Mais il a également assouvi ses croyances peu orthodoxes en cultivant des scientifiques de haut niveau.

Pour illustrer l’arrogance de ces personnes, Lawrence Krauss, de la Skeptics Society, tient à jour sa page sur The Edge (une organisation médiatique fondée par Jeffrey Epstein10, voir ci-dessous), décrivant fièrement la réunion de 21 physiciens « Skeptics » sur l’île désormais tristement célèbre d’Epstein.

Lawrence Krauss, du groupe The Skeptics, en route vers l’île d’Epstein (Little St James) avec Stephen Hawking
[NdT. Hawking est mort depuis très longtemps (ici et ici), le type sur la photo est un double, pas très réussi]

L’un des principaux acteurs du lucratif mégalithe de CRISPR mentionné ci-dessus est George Church, avec 20 sociétés à son actif – ça illustre à quel point il est altruiste.

George Church est Professeur de Génétique à la Harvard Medical School et Professeur de Sciences et Technologies de la Santé à l’Université de Harvard et à l’Institut de Technologie du Massachusetts (MIT). Son travail de pionnier a contribué au développement des technologies de séquençage de l’ADN et d’édition du génome, ce qui lui a valu de nombreuses récompenses, dont le Bower Award 2011 et le Prize for Achievement In Science du Franklin Institute, ainsi que l’élection à l’Académie Nationale des Sciences et de l’Ingénierie. Il est coauteur de plus de 550 publications, de plus de 150 brevets et d’un livre intitulé « Regenesis: How synthetic biology will reinvent nature and ourselves » (« Régénèse: comment la biologie synthétique va réinventer la nature et nous-mêmes »). Il est également à l’origine du Projet de Génome Personnel et a créé plus de 20 entreprises.

George l’altruiste n’a bien sûr aucun intérêt à vous persuader (vous, le public) d’adopter cette technologie comme base de tous les traitements médicaux, ce qui lui permettrait d’obtenir des royalties pour l’un de ses innombrables brevets, parce qu’il est tellement altruiste.

En fait, il est tellement altruiste qu’il veut que la technologie d’édition de gènes soit accessible à tout le monde, « riche ou pauvre »11. Ce serait bien sûr une nouvelle fantastique pour les actions des sociétés d’édition de gènes, qui ont besoin de leur part de ces trillions de dollars. « Riche ou pauvre » signifie, comme dans le cas des vaccins à ARNm COVID, que les traitements sont « gratuits » (ce qui signifie en fait que vous recevrez ces traitements, obligatoirement ou non, payés par « le gouvernement »). Par « gouvernement », on entend le processus de blanchiment d’argent qui utilise les fonds publics et les détourne sans consultation ni transparence vers les sociétés pharmaceutiques comme celle de George. De manière très, très altruiste bien sûr.

George est également très heureux de vous inciter à faire don de votre génome à Nebula Genomics, l’une de ses nombreuses sociétés, pour un « séquençage du génome entier ». Imaginez ce qu’une telle entreprise pourrait faire de ces informations, défendant pendant ce temps l’idée de vivre éternellement grâce à l’édition du génome, selon cette interview troublante de Stephen Colbert. Dans cette interview, George semble heureux de ressusciter le génome d’un mammouth laineux et de l’insérer dans celui d’un autre animal (ou possiblement d’un être humain), comme dans L’île du Docteur Moreau, l’effrayant roman dystopique chimérique écrit par l’eugéniste HG Wells (également mentionné dans la partie 1).

L’autre personne mentionnée dans la réunion MIT/Epstein est Eric Lander, que certains d’entre vous reconnaîtront peut-être comme le type promu au cabinet présidentiel américain après la débâcle du COVID et avant qu’il trouve le temps de se débarrasser de ses millions de dollars d’actions dans le domaine des vaccins. Je suis sûr que ça n’aura pas du tout influencé l’exigence de vaccins obligatoires aux États-Unis.

Lander a conservé des actions d’un fabricant de vaccins plusieurs mois après son entrée en fonction

Il a finalement vendu les actions dans le délai imparti de 90 jours. Mais selon des fonctionnaires chargés de l’éthique, cela soulève des questions quant à ses activités de conseiller.

Pire encore, Eric Lander dirige également le Broad Institute à Boston, siège d’Editas – l’une des quatre grandes sociétés d’édition du génome qui se livrent depuis une décennie à une bataille de brevets avec l’empire de Jennifer Doudna sur la côte ouest.

Et vous aurez peut-être remarqué que George Church fait partie du « Genetic Literacy Project » (qui aime aussi Eric Lander), ce qui pourrait vous faire penser à une ONG sympa. Vous feriez erreur. Le projet compte des contributeurs tels qu’Eliza Dunn (la célèbre porte-parole médicale de Monsanto-Bayer qui aime nous dire à quel point le RoundUp et la modification génétique sont sans danger et que les agriculteurs indiens ne se sont pas vraiment suicidés en masse à cause de leurs produits). Et Kevin Folta, le « médecin durable qui lutte contre la désinformation », qui aimerait vous voir consommer des cultures d’OGM et fermer vos gueules.

Si vous êtes opposés à la désinformation dans le domaine des technologies de l’agriculture et de l’alimentation, pensez à devenir signataire de la déclaration contre la campagne alarmiste de @AmerAcadPeds contre les cultures biotechnologiques.

Les plus perspicaces d’entre vous remarqueront le lien vers « skepticalinquirer.org« , qui est en effet l’un des principaux journaux de la Skeptics Society, dont les membres comprennent Kevin Folta, Steven Pinker (affilié à Epstein), Steven Novella – Skeptic en chef, Richard Dawkins et David Gorski. On y trouve également Paul Offitt, le soi-disant indépendant mais désormais tristement célèbre membre principal du comité consultatif de la FDA sur les vaccins (VRBPAC), dont le surnom est « for profit » (pour le profit) en raison de ses nombreux conflits d’intérêts.

Ces réseaux vous incitent tous à accepter l’édition de gènes comme étant normale, sûre et sans risque de dommages collatéraux. Pourtant, ce n’est pas vous qui déciderez qui sera édité, ce qui sera édité, ni qui déciderez si l’édition est obligatoire.

Montrez-leur l’argent

Ces réseaux n’impliquent pas seulement les sociétés visibles prêtes à gagner des trillions. Quand autant d’argent est en jeu, les initiés comme moi ne sont qu’une mouche gênante qu’il faut écraser.

Et c’est littéralement ce qu’ils font. Voici un compte Twitter tristement célèbre qui non seulement publie sur Twitter des informations sur les actions de la biotech CRISPR, mais qui manipule ouvertement ces actions avec des phrases codées telles que « haircut coming in 2021 » (« coupe de cheveux à venir en 2021 ») et « send it 📉 » (« envoyez-le 📉 »), ce qui signifie qu’il faut vendre l’action à découvert.

Mais « .” (apparemment le diminutif de « Ryan », « Jason » et d’un tas d’autres pseudonymes) ne se contente pas d’afficher ses paris boursiers sur Twitter. Non, on a également découvert qu’il était l’auteur prolifique de « Community Notes », « Enterprising Desert Raven », qui publie robotiquement des notes sur Twitter pour tenter de saper tout message critique à l’égard des vaccins COVID ou, en fait, de toute thérapie génique ou de tout produit pharmaceutique. Le lien entre le compte anonyme de Ryan/Jason et « Enterprising Desert Raven » a été découvert en février, à l’occasion d’un bug sur Twitter qui faisait que si l’on bloquait un compte, la note communautaire appartenant à ce compte devenait invisible12.

Malheureusement pour Enterprising Desert Raven, cette manipulation incessante des opinions des scientifiques visant à etouffer des problèmes de sécurité d’un produit fabriqué par une société qui pourrait ainsi bénéficier de cette manipulation indue des médias sociaux pourrait raisonnablement être considérée comme une forme de fraude en matière de valeurs mobilières.

Pour enfoncer le clou, voici ses tweets en relation avec le cours de l’action $CRSP. C’est ce que l’on appelle une opération de « pump and dump ».

Le problème de gens qui comme Ryan s’intéressent aux actions biotechnologiques, ce sont bien sûr ces satanées souris qui interfèrent avec leur capacité à pomper et à vendre ou à manipuler le prix des actions des sociétés dont on a découvert qu’elles mentaient au sujet de la validité de leurs produits. Ils doivent donc s’attaquer à ces souris (les scientifiques) et les faire disparaître de Twitter, comme je l’ai montré en 2021.

Et il n’y a pas que moi. Les scientifiques qui ont utilisé leur vrai nom ont été pris pour cible, harcelés et menacés par des personnes ayant des intérêts directs dans la filière « créer une pandémie, créer la solution, gagner des milliards de dollars ».

Départ définitif de Twitter: Harcèlement de Peter Daszak

Chers collègues et amis de Twitter,

J’ai pris la décision difficile de quitter définitivement Twitter. Cette décision est motivée par des événements récents et par mon engagement envers mes patients, à la suite d’une situation complexe impliquant mes interactions récentes avec le Dr Peter Daszak. Nos divergences de vues sur les origines du COVID-19 ont conduit à des violations répétées et flagrantes de nombreuses limites éthiques et professionnelles de sa part. Au lieu de s’engager de bonne foi, il a utilisé sa notoriété et son autorité dans les milieux scientifiques pour attaquer ma personnalité et mes compétences, me menacer de poursuites judiciaires, déformer et dénaturer mes messages et mes commentaires, et inciter ses partisans à attaquer de façon répétée ma personnalité, mon éthique et mes compétences.

Le même réseau a donné lieu à ce post du compte twitter Jikkyleaks qui explique les tentatives de chantage et d’intimidation des réseaux pour réduire au silence les scientifiques qui s’expriment dans l’intérêt du public.

[NdT. je traduis en entier le texte de ce tweet, qui me semble d’intérêt public]

Jikkileaks

2 novembre 2023

Il est temps de suspendre l’activité de ce compte.

La lutte contre des entités corrompues dont je ne soupçonnais pas l’existence à ce point dans les allées du pouvoir a été un chemin difficile. Et contre la propagande incessante qui a apparemment usurpé la majeure partie, sinon la totalité, du monde universitaire et médical.

Ce compte a vu le jour parce que je savais qu’on nous avait menti en février 2020 sur l’origine du COVID et qu’avec l’aide d’autres personnes, nous avons été en mesure de le prouver.

Depuis lors, il y a eu un vrai brasier de mensonges que nous avons dû démêler, tout en montrant que nous étions de ceux qui s’efforçaient de défendre les valeurs de la vraie science, qui s’appuient sur la recherche de la vérité plutôt que la politique et la corruption.

Le moment est venu de me retirer, car deux choses se sont produites.

La première est que le public prend désormais conscience non seulement de ce qui est vrai, mais aussi de la manière de discerner ce qui est vrai de ce qui est faux. Je pense que c’était ma tâche et qu’une grande partie de ce travail a été accomplie.

Deuxièmement, les menaces proférées à mon encontre par des groupes ayant des liens avérés avec des groupes de pression pharmaceutiques se sont intensifiées. Les personnes impliquées savent qui elles sont et elles tentent de justifier leur activité en fabriquant une histoire de grand méchant loup dirigée contre nous. Mais ce n’est rien d’autre. Lorsque la poussière retombera et que le décompte effroyable des décès sera enfin effectué, les personnes premières responsables seront celles qui ont utilisé leurs ressources illimitées (soutenues par les sociétés pharmaceutiques et les ministères corrompus disposant de fonds et de pouvoirs illimités) pour réduire au silence ceux d’entre nous dont le seul crime était de mettre en évidence auprès du public des dangers scientifiquement prouvés des interventions qui pouvaient – et qui ont effectivement – causé des décès et des invalidités.

Ces groupes – principalement #shotsheard aux États-Unis et #muttoncrew au Royaume-Uni, avec leurs groupies sur les médias sociaux, tous coordonnés à partir d’un point central – ne sont qu’une extension des mêmes groupes qui ont fait exactement la même chose il y a 20 ans à propos du Vioxx (où 30 000 personnes sont mortes parce que des médecins et des scientifiques ont été réduits au silence par la menace) et avant cela de la thalidomide (où 20 000 enfants sont nés sans membres parce que des médecins et des scientifiques ont été réduits au silence par la menace).

Nous nous préoccupons de cette question, mais la majorité du public et le gouvernement ne semblent pas s’en préoccuper. Nous ne disposons d’aucune ressource et le gouvernement – en qui beaucoup d’entre vous avaient confiance – n’a jamais offert ni ressources ni protection à des comptes tels que le nôtre ou aux personnes qui en sont à l’origine. Au contraire, ils ont montré – aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Europe, au Canada et en Australie – que ce sont eux qui nous réduiront au silence. Dans certains cas, ils ont menacé de nous emprisonner.

Le public reste silencieux. La colère gronde, mais le gouvernement et les médias veilleront à ce que cette colère soit dirigée contre nous, qui vous ont montré où se trouvaient la corruption et les malversations dans des institutions qui devraient être au-dessus de tout soupçon. Je prédis qu’il n’y aura pas de manifestations publiques pour « protéger les dénonciateurs médicaux » ou « ramener Jikkyleaks ». Il n’y aura par exemple aucune manifestation publique devant la Cour suprême de Victoria où @realMarkHobart se battra pour le droit d’un médecin à protéger le droit fondamental et global à l’autonomie corporelle des patients. Il n’y aura pas de clameur pour que les organisations d’intimidation affiliées à l’industrie pharmaceutique soient poursuivies pour ce qu’elles ont fait au cours des 20 dernières années. Personne n’a été emprisonné pour le Vioxx – ou la thalidomide – parce que le public ne l’a pas exigé.

Les médias ont joué le rôle le plus important. Ils ont universellement dénigré les gens en les qualifiant d' »antivax » qui voulaient simplement conserver leurs droits humains tels qu’ils sont énoncés dans la déclaration des Nations unies sur les droits de l’homme. Au lieu de cela, ils ont protégé ceux-là mêmes qui ont créé cette pandémie (et, par extension, les pandémies précédentes). Plus important encore, ils n’ont pas donné la parole à ceux d’entre nous qui, grâce à leur expertise scientifique et médicale, ont tenté d’exprimer leurs inquiétudes et de plaider simplement pour le maintien du droit à l’autonomie corporelle.

Au lieu de cela, les médias ont donné une tribune à des personnalités comme David Gorski, Tony Fauci, Albert Bourla et Peter Daszak, comme s’ils étaient des saints et non le visage d’une mafia biomédicale mondiale. Leur groupe de soutien composé de sous-fifres qui menacent les scientifiques et les non-scientifiques, fouillent leurs dossiers personnels et traquent leurs maisons, leurs enfants et leurs employeurs, savent qui ils sont. Moi aussi. Tout est archivé.

Le résultat de cette collusion entre les laboratoires pharmaceutiques, le gouvernement et les médias (avec des sous-fifres qui agissent en leur nom contre une rémunération dérisoire) est la mort de millions de personnes, sans le moindre soupçon de culpabilité. Ils n’en sont pas à leur premier coup d’essai, mais cette fois-ci, au lieu de 30 000 morts, ils en ont fait 6 millions et ce n’est pas fini. Et le grand public n’a jamais sourcillé à l’heure où il aurait fally critiquer les entreprises biomédicales et les entités gouvernementales et militaires responsables et agissant de concert.

Le résultat restera donc le même. 6 millions de morts cette fois-ci. La prochaine fois, ce sera probablement plus. Et si le public se fie à nouveau aux médias pour le guider sans poser de questions, cela ne s’arrêtera jamais. Il y a trop d’argent à gagner et de pouvoir à obtenir. Pourquoi les personnes impliquées s’arrêteraient-elles alors qu’il n’y a pas eu une seule protestation auprès d’un régulateur, d’un gouvernement ou d’une institution académique, malgré le fait que des décès aient été connus et dissimulés sans aucune transparence de la part des agences gouvernementales – qui auraient dû être prêtes à tout pour publier tous les documents qu’elles possédaient afin de prouver à la population qu’elles étaient au-dessus de tout reproche.

La mise en veille de ce compte n’est que le symptôme d’une maladie si insidieuse qu’elle ne peut rester sans traitement. Une seule personne – ou une seule souris – ne peut pas traiter cette maladie. J’ai fait mon temps ici autant que je le pouvais et je dois maintenant me consacrer à d’autres voies, pour ce qu’elles valent.

Mais sans l’aide du public, nous ne pouvons rien faire de plus. L’apathie nourrit la corruption et seul le public en masse peut cesser de la nourrir.

À ceux qui ont soutenu ce compte, sachez que j’apprécie tout ce que vous avez fait et que des milliers, voire des millions, le font déjà ou le feront à terme.

Pour l’instant, je vais tirer ma révérence. Je continuerai pour l’instant à interagir avec les messages des autres comptes, les réponses et les DM existants. Mais il n’y aura plus de nouveaux messages, de révélations ou de #Gates sur cette plateforme jusqu’à ce que de véritables protections soient mises en place pour les lanceurs d’alerte.

Une seule mise en garde: si les menaces dirigées contre moi ou mon entourage persistent ou refont surface, je n’aurai pas d’autre choix que de revenir.

Je vous souhaite une bonne nuit. Que Dieu vous garde.

Et que la #mousearmy poursuive son combat pour la vérité et contre la corruption dans la science.

Évidemment qu’ils n’en sont pas à leur premier coup d’essai, nous l’avons déjà mentionné. Pourtant, personne n’a été emprisonné pour avoir exploité les régulateurs médicaux en tant que passeurs de drogue, ce qui a entraîné environ 30 000 décès rien qu’avec le Vioxx:

Le tribunal apprend comment le géant pharmaceutique Merck a tenté de « neutraliser » et de « discréditer » les médecins critiques à l’égard du Vioxx.

Le laboratoire pharmaceutique Merck a dressé une liste de médecins et de chercheurs influents qu’il souhaitait « neutraliser » et « discréditer » dans le cadre de la commercialisation du Vioxx (rofecoxib), un médicament contre l’arthrite, selon des témoignages entendus par un tribunal australien cette semaine.

Les détails des projets visant à « neutraliser » les médecins ont fait surface lors d’une action collective contre Merck au nom de centaines d’Australiens ayant subi des crises cardiaques ou des accidents vasculaires cérébraux après avoir pris le médicament, qui a été retiré du marché en 2004 en raison de préoccupations concernant sa sécurité.

Julian Burnside QC, qui représentait les plaignants, a lu des extraits de courriels envoyés entre des membres du personnel de Merck, dans lesquels il était question d’une « liste de médecins ‘à problèmes’ que nous devions, au minimum, neutraliser ». […]

La toile est vaste et profonde

Jusqu’à présent, cet article n’a fait qu’effleurer la surface des réseaux impliqués dans cette gigantesque prise de pouvoir de la mafia biotechnologique, où le prix se mesure en centaines de trillions de dollars.

Les quatre grandes sociétés d’édition de gènes forment un immense cartel qui englobe les principaux centres universitaires situés entre Boston (Harvard, Cambridge MA) sur la côte est et l’UCSF sur la côte ouest. Il s’agit des entreprises suivantes

INTELLIA – Fondée par Jennifer Doudna. Partenaire de Regeneron.
CRISPR – Fondée par Emmanuel Charpentier (partenaire de Jennifer Doudna pour les brevets).
BEAM – Fondée par David Liu et Feng Zhang.
EDITAS – Fondé par Feng Zhang et George Church.

Il s’agit essentiellement d’un monopole de plusieurs trillions de dollars entre les mains de cinq personnes. Il n’y a même pas d’indépendance entre les entités de la côte Est et de la côte Ouest, car Doudna elle-même a déménagé de l’une à l’autre pour créer l’entité de l’UCSF [NdT. Université de Californie à San Francisco, leur site explique que « le futur se joue ici »] connue sous le nom d’Innovative Genomics Institute. Pour confirmer les types de réseaux de manipulation des médias sociaux qui existent, l’inventeur de l’algorithme Community Notes (Jay Baxter) sur Twitter s’est trouvé lié à ce petit compte Twitter qui s’est révélé être un scientifique de l’IGI de Jennifer Doudna.

En d’autres termes, ces personnes sont intégrées dans les réseaux d’influence twitter dont le rôle est de s’assurer que personne n’est autorisé à parler des problèmes liés à leurs produits13 – exactement comme pour le Vioxx.

Harvard – la plaque tournante moderne de la fraude universitaire

Il n’y a pas que Jeffrey Epstein qui laisse une mauvaise odeur à Harvard. Au cours des deux dernières années, Harvard et les entités qui lui sont liées ont fait l’objet d’accusations viables de fraude académique, deux camps s’affrontant pour savoir qui salir le plus.

Outre la fraude impliquant le centre de cancérologie Dana Farber, la suspension de la professeure Francesca Gino sur la base d’une allégation de fraude de données concernant certains de ses articles de psychologie a fait scandale. Ce même scandale a épargné son coauteur masculin, Dan Ariely, qui a participé à la rédaction de ces mêmes articles. Le graphique suivant, impliquant certains des acteurs mentionnés ci-dessus ainsi que la tristement célèbre artiste satanique Marina Abramovic, peut donner une idée de la raison pour laquelle Ariely, mais pas Gino, a échappé à la persécution de Harvard14.

En fait, l’odeur nauséabonde qui règne à Harvard se répand dans les recoins de toutes les organisations qui lui sont affiliées. Rappelons que Brigham and Women’s est à l’origine du scandale Surgisphere, qui a faussement discrédité l’hydroxychloroquine. Il a finalement été démontré que l’hydroxychloroquine réduisait de plus de moitié la mortalité due au COVID, ce qui indique que les actions du cartel de Harvard ont pu entraîner littéralement des millions de décès inutiles. Si vous ne voyez toujours pas les liens entre Harvard, Dana Farber, le Broad Institute et Brigham & Women’s (Surgisphere15), une carte pourrait vous aider – ils sont littéralement à quelques pas les uns des autres.

N’oubliez pas qu’à Harvard, une femme professeur qui n’a jamais écrit pour le magazine de Jeffrey Epstein sera publiquement discréditée pour toute manipulation de données associée à ses articles. Mais si on fait partie du bon club, comme Ariely, on s’en sort apparemment bien.

Pour enfoncer le clou, les quatre auteurs de cette fraude aujourd’hui totalement discréditée et prouvée, qui a très certainement entraîné des décès, s’en sortent également.

D’où la question: Francesca Gino savait-elle quelque chose qui faisait d’elle une cible? C’est peut-être un sujet d’article pour un autre jour, mais Sabine Hazan pense que les souris semblent avoir flairé quelque chose.

sabine hazan md

Eh bien, eh bien, eh bien!! Encore des nouvelles sur les #poogates et #ginogate 🤯. La fausse étude de Surgiphere sur l’HCq avec soi-disant 96 000 patients était dans @TheLancet pour ceux qui ne s’en souviennent pas. Cette étude bidon a tué l’HCQ… Maintenant, il semble qu’il y ait une relation significative entre cette étude et le #Ginogate et le #muttoncrew … 🤯🤯 Le muttoncrew est-il payé pour rétracter des papiers pour tuer l’Hcq et l’IVM? Ça y ressemble certainement… Merci à la ligue des souris pour votre travail acharné à faire éclater la vérité…

Jikkileaks

Non, nous n’avons pas oublié le #GinoGate.

Pourquoi Brigham and Women’s, lié à la #Surgisphère, accueillerait-il une étude COVID fondée par…
Une jeune fille au pair sans aucune qualification scientifique?

Et pourquoi le site http://covid-19.study a-t-il été effacé?

Parce que c’était une mise en scène. Voilà pourquoi.

En attendant, si vous n’êtes pas tout à fait au courant de l’histoire de l’escroquerie de Surgisphere, vous ne pouvez faire mieux que de regarder cet exposé fantastique et instructif de notre très bon ami John Davidson. La réalisation de ce film repose uniquement sur les dons et la bonne volonté, alors n’hésitez pas à envoyer l’un ou l’autre à John à brokentruth.com.

[NdT. excellent documentaire avec de vrais sous-titres français (à sélectionner dans les Paramètres)]

CRIS-PR: la machine à propagande

Tout comme dans le cas du scandale Surgisphere (parfois appelé Lancetgate), une machine de relations publiques est nécessaire pour que les personnes raisonnables (dont la plupart ne veulent pas que leur génome soit modifié par des élites) acceptent la poussée vers le Saint-Graal économique que représente le CRISPR global. Et cette machine est profondément ancrée dans les institutions CRISPR.

Cet « article » de Nature datant de 2015 est le plus grand exemple d’opération de relations publiques déguisées en science que vous verrez jamais. « CRISPR germline engineering – the community speaks«  (« Ingénierie germinale CRISPR – la communauté s’exprime »)

Tous les acteurs sont là, et le meilleur se trouve dans les archives supplémentaires16 dans les notes de bas de page, mais voici quelques perles de personnes qui vous sont peut-être déjà familières:

J. Craig Venter: Je pense que l’ingénierie de la lignée germinale humaine est inévitable et qu’il n’y aura fondamentalement aucun moyen efficace de réglementer ou de contrôler l’utilisation de la technologie d’édition de gènes dans la reproduction humaine.

Jonathan Moreno: Les biologistes des populations ont suggéré il y a 40 ans qu’il serait souhaitable de créer une banque des caractéristiques qui ont été éliminées des populations, juste au cas où elles devraient être réintroduites dans le pool génétique.

Naldini: Le principal risque sociétal actuel est le contrecoup d’une opinion exagérée mais potentiellement répandue selon laquelle les technologies d’édition de gènes conduiront à des scénarios de science-fiction dans lesquels les humains seront reproduits sur mesure, ce qui entraînera toute une série d’effets imprévus.

Zhang: Où tracer la limite entre ce qui est un trait biologique acceptable pour l’édition de la lignée germinale et ce qui ne l’est pas?… À mesure que nous prenons confiance dans la sécurité de l’édition de la lignée germinale, devrions-nous autoriser cette édition pour supprimer les mutations qui ne causent pas de maladie à apparition précoce? Où tracer la limite?

Cohen: Le risque est plus grand si l’on autorise l’évolution vers des programmes discrétionnaires de « gènes sur mesure ». Le cauchemar de science-fiction d’un État totalitaire orwellien ou d’une société hitlérienne recourant au génie génétique pour obtenir uniquement les caractéristiques « souhaitables » pourrait finalement se produire, bien que nous soyons loin de cette capacité aujourd’hui.

Mais je pense – pour des raisons évidentes pour ceux qui suivent ce blog depuis 2021 – que ma citation préférée doit être celle-ci:

Kim: Dans un monde idéal, l’édition du génome germinal serait disponible et abordable pour tous. Aucun parent porteur d’une mutation génétique fatale ne transmettrait son gène défectueux à ses enfants. Dans une société inégalitaire, cependant, l’édition du génome germinal ne sera accessible qu’aux riches, ce qui entraînera une « fracture génétique », comme le prédit le film « GATTACA ».

Bien entendu, lorsque Nature a publié cet article en 2015, « la communauté » ne faisait référence qu’aux personnes déjà haut placées dans la hiérarchie des armes biologiques et de l’édition du génome, qui ont tout intérêt à ne pas laisser les scientifiques de base s’exprimer s’il y a risque de mettre en péril une industrie qui pèse des trillions de dollars.

Quelque huit ans plus tard, Nature a publié un article nous expliquant à quel point CRISPR est « sûr et efficace » et qu’il n’y a pas lieu de s’inquiéter. Bien entendu, la personne interviewée dans l’article se trouve être de l’UCSF, l’institut de Jennifer Doudna. Aucun conflit d’intérêt n’a été déclaré, parce que, enfin, tu vois, quoi.

CRISPR est-il sûr? L’édition du génome fait l’objet d’un premier examen par la FDA

Des conseillers de l’agence américaine de réglementation vont examiner le profil de sécurité d’un traitement de la drépanocytose basé sur le CRISPR.

Heureusement pour nous, et pour le bien commun, l’institut de Doudna peut maintenant fournir cette thérapie « sûre et efficace » de manière ciblée sans ces vecteurs adénoviraux gênants, tout comme les vaccins génétiques à ARNm étaient bien meilleurs que les bidules d’AstraZeneca, vous vous souvenez?

Voyez-vous ce qui se profile à l’horizon?

Livraison non virale ciblée d’éditeurs de génome in vivo

Le fumet du FEM omniprésent

L’une des choses que nous avons apprises au cours des quatre dernières années de biofascisme déguisé en « préparation à la pandémie », c’est que partout où l’on tente d’imposer des traitements médicaux à d’autres, on trouve le Forum Économique Mondial (FEM). Et CRISPR n’est pas différent.

Voici Haoyi Wang, du FEM, qui nous explique comment l’édition de gènes sera utilisée pour effectuer des changements génétiques multiples et permanents.

Et voici notre amie Jennifer Doudna qui vante les mérites de l’une de ses entreprises (Mammoth Biosciences) au nom du Forum Économique Mondial. Je parie que vous ne l’aviez pas vue venir.

Mammoth Biosciences est un innovateur global du Forum Économique Mondial à l’avant-garde de ces développements.
Voici cinq éléments que Trevor Martin, cofondateur et PDG de Mammoth, juge important de connaître sur l’évolution du domaine à l’ère du COVID-19.

Bien entendu, le Forum Économique Mondial, qui semble être à l’origine de tout [ce qui va mal] dans le monde, est « engagé dans l’amélioration de l’état du monde ».

Ils sont les arbitres autoproclamés de ce qui devrait se passer dans le monde et, heureusement, ils sont présents dans le domaine de l’édition du génome avec leur livre blanc ici17 et les articles « How gene editing is changing the world » (Comment l’édition de gènes change le monde) et « 5 things to know about CRISPR in the COVID era » (5 choses à savoir sur CRISPR à l’ère du COVID), avec la vidéo ci-dessus de Jennifer Doudna.

N’oubliez pas non plus qu’il s’agit du même Forum Économique Mondial qui vous a dit que « vous ne posséderez rien et serez heureux » d’ici 2030. Autrement connu sous le nom de fascisme mondial, parce qu’il est clair que quelqu’un possédera tout – c’est juste que ce ne sera pas vous.

[VIDÉO SUR LA PAGE SOURCE]

Ce qui signifie vraisemblablement que vous ne serez pas non plus propriétaire de votre génome.

Et pourquoi le seriez-vous? Vous serez heureux que Klaus Schwab en soit propriétaire, n’est-ce pas? Et Klaus et ses amis, qui suggèrent implicitement qu’ils devraient tout posséder, pourront décider de l’édition du génome qui rendra le monde (c’est-à-dire vous) meilleur.

La section ci-dessous de la vidéo du FEM intitulée « Les technologues partagent leurs visions de notre monde futur » vous l’explique avec des phrases accrocheuses telles que « Nous devons imaginer un nouvel âge », « Améliorer la biologie » et « Écrire un nouveau code pour la vie ».

Super.

Voici le passage sur l’édition de gènes [NdT. c’est au point 3], qui, soit dit en passant, reconnaît nonchalamment que les vaccins COVID-19 font partie de cette amélioration technologique de la population mondiale.

La vidéo parle ensuite de lunettes de réalité diminuée qui « vous permettront d’enlever des choses de votre vue, qu’il s’agisse d’ordures ou d’autres personnes ». Un message subliminal qui dit « les autres = ordures ».

Je suis sûr que ces acteurs du FEM sont des gens charmants dans le cadre d’un dîner – mais ce sont certainement les dernières personnes qu’on aimerait voir en charge de cette technologie.

Et si vous trouvez ça grave, écoutez ce type – Noah Harari, le transhumaniste en chef du Forum Économique Mondial – qui passe à la vitesse supérieure dans sa conférence TED, en nous disant que les droits de l’homme n’existent pas, parce qu’on ne peut ni les toucher, ni les sentir, ni les voir. Parce qu’ils ne sont pas une « réalité biologique », cela signifie que les droits de l’homme n’existent pas. Charmant.

Bien sûr, il poursuit en nous disant que Dieu n’existe pas, pas plus que les pays ou l’argent. Ce ne sont « que des histoires ». Il est nécessaire pour le FEM de vous faire avaler tout cela afin que vous abandonniez vos croyances en Dieu, au libre arbitre, aux droits de l’homme, aux États-nations et à la propriété. C’est l’utopie ultime du politburo fasciste-socialiste mondial – dépeinte dans tous les romans dystopiques – et ils l’habillent d’un langage presque raisonnable pour vous faire tomber dans le panneau.

Ne vous y fiez pas. C’est littéralement GATTACA, Brave New World et 1984 réunis, et ils18 sont assis à se marrer en voyant à quel point ils ont trompé la population.

On leur a filé à tous une thérapie génique, en l’appelant un vaccin.

À ce stade, il convient de souligner ce qui, je l’espère, sera la principale conclusion de cette série en deux parties:


La chose la plus importante à retenir de ces deux articles est qu’il n’y a aucune différence fondamentale ou juridique entre l’idée d’imposer un vaccin génétique à la population et celle d’imposer une technologie d’édition génétique à la population.

La loi a déjà été établie, si nous permettons à l’affaire Kassam contre Hazzard de rester incontestée.


Retour à la loi

Ce qui nous ramène au Dr Chris Rudge de la première partie de cette série. Oui, le même Chris Rudge qui a rédigé l’article essentiel pour justifier la décision du juge Beech-Jones de retirer les droits de l’homme à la population australienne.

L’un des experts mondiaux de l’histoire de la famille eugéniste Huxley est l’une des personnes qui s’occupe aujourd’hui de la législation du Commonwealth sur l’édition du génome. Cool.

Points à prendre en compte dans l’élaboration d’une politique nationale en matière d’édition du génome humain

L’article déclare sur un ton plutôt inquiétant:

Sur la base de notre analyse, nous soutenons que l’élaboration de politiques nationales en matière d’édition du génome devrait se concentrer sur cinq thèmes particuliers. Il s’agit (1) d’intégrer l’équité et d’autres valeurs et principes dans la politique d’édition du génome humain; (2) de veiller à ce que la thérapie, l’amélioration et les autres applications soient réglementées de manière appropriée; (3) de décider quels types de recherche sur l’édition du génome humain devraient être autorisés et soutenus, en reconnaissant les différents points de vue sur le statut de l’embryon humain; (4) de se préparer à un avenir où l’édition héréditaire du génome humain pourrait s’avérer sûre et efficace et (5) d’intégrer une participation publique significative dans la gouvernance de l’édition du génome humain.

Je vais répéter cette phrase:

(4) se préparer à un avenir où l’édition du génome humain héritable pourra se révéler sûre et efficace.

Ainsi, maintenant que l’édition héréditaire du génome va être « sûre et efficace » (définie sans aucun doute par les mêmes personnes qui ont déclaré que les vaccins de thérapie génique étaient sûrs et efficaces), rien n’empêche le cercle de justice dont font partie des personnes telles que Robert Beech-Jones, maintenant élevé à la Haute Cour, de déterminer que:

« Les vaccins de thérapie génique ont été jugés sûrs et efficaces par les autorités compétentes et, par conséquent, le droit de l’individu de refuser ces vaccins n’est pas suffisant pour l’emporter sur les exigences de l’ordre de santé publique imposant ces vaccins à tous les travailleurs en Australie »

Parce que personne ne les a empêchés de le faire en 2021. Alors pourquoi diable, après que le précédent a été établi par Beech-Jones et jugé légal en appel, quelqu’un devrait-il les empêcher d’apporter cette modification mineure à la loi désormais établie?

Au cas où vous ne l’auriez pas vu venir, voici à nouveau le juge Robert Beech-Jones prononçant son discours « la technologie usurpe vos droits », présenté dans la partie 1.

[VOIR VIDEO SUR LA PAGE SOURCE]

Et qui défiera ces juges, qui pensent que les droits de l’homme n’existent plus dans le cadre d’une situation fabriquée qui répond à un agenda particulier?

Personne. Parce qu’ils n’ont même pas besoin de répondre au public.

Voici la réponse de ce même juge aux questions du public lors des présentations de la commission royale australienne COVID cette semaine. Le juge Beech-Jones ayant refusé de répondre, la Cour a répondu à sa place. Et quelle a été leur réponse?

Chère Madame Dunstone

Enquête sur une commission royale COVID-19

Je vous écris en réponse à votre lettre du 21 mars 2024 adressée à l’honorable juge Robert Beech-Jones, lui offrant la possibilité de répondre à un « commentaire » fourni à la commission dans le cadre de son enquête. Le juge Beech-Jones ne souhaite pas répondre.

J’attire l’attention de la commission sur le fait que le jugement du juge Beech-Jones dans l’affaire Kassam v Hazard [2021] NSWSC 1320 a été rendu le 15 octobre 2021. L’article universitaire « Covid- 19 Vaccine Mandates: A Coercive but Justified Public Health Necessity » (Mandats de vaccination Covid- 19: une nécessité de santé publique coercitive mais justifiée) a été publié en juillet 2023 dans le volume 26 du University of New South Wales Law Journal, en même temps qu’un certain nombre d’autres articles. Le juge Beech-Jones a rédigé l’avant-propos de ce volume du Law Journal.

Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, leur réponse a été de se référer au document écrit par Wilson et Rudge pour défendre les mandats qui ont contraint la population à recevoir des vaccins de thérapie génétique comme condition pour se prévaloir des droits de l’homme déclarés dans l’article 23.1 de la déclaration des droits de l’homme de l’ONU qui stipule que:

Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.

Ce même Chris Rudge a reçu le soutien réciproque du juge Beech-Jones lors de son accession à la Haute Cour d’Australie, probablement en raison de son « excellent » travail d’abrogation des droits de l’homme des Australiens (et, par extension, du Commonwealth) qui, selon le Forum Économique Mondial, n’existent pas.

Donc, si vous pensez que le pouvoir judiciaire vous protégera contre l’obligation de prendre un produit de thérapie génique, quel que soit son nom, à l’avenir – pensez-y à deux fois.

La seule façon d’éviter cela est soit de renverser les principes de coercition légalisée validés dans l’affaire Kassam contre Hazzard, soit que les personnes qui s’apprêtent à gagner des trillions de dollars grâce à leurs produits brevetés acquièrent soudain une conscience éthique.

Laquelle de ces deux options est la plus probable, selon vous?

Bienvenue à Gilead GATTACA. Via Harvard.

/Fin


  1. FDA: Thérapie génique humaine: incorporation de l’édition du génome humain, janvier 2024
    https://www.arkmedic.info/api/v1/file/fed7dfdc-b524-47ca-b468-861975cd350b.pdf ↩︎
  2. Un « protospace adjacent motif » https://sg.idtdna.com/pages/Support/FAQs/what-is-a-pam-sequence-and-where-is-it-located ↩︎
  3. Novavax a été commercialisé en tant que « vaccin protéique », mais il est soumis au même problème de contamination par les plasmides que les produits de thérapie génique de Pfizer et de Moderna, car le plasmide ADN qui produit l’ARN à l’origine de la protéine n’a peut-être pas été décontaminé efficacement, et les autorités de réglementation n’ont pas pris la peine de le vérifier. ↩︎
  4. L’optimisation des codons est un processus par lequel les généticiens recréent une protéine (qui est une séquence d’acides aminés) en utilisant une séquence génétique (nucléotide) différente de la séquence génétique originale qui a produit la protéine, mais qui crée la même séquence d’acides aminés. Cela est possible parce qu’il n’y a que 20 acides aminés mais 64 combinaisons des 3 nucléotides qui codent pour chaque acide aminé, ce qui donne une redondance. Par exemple, l’arginine est codée par AGA ou AGG ; la glycine par GGA, GGT, GGC ou GGG. Ainsi, si vous avez une séquence de nucléotides AGAGGG et que vous la changez en AGGGGT, vous obtiendrez toujours les mêmes acides aminés et donc la même protéine (en théorie). Il y a cependant des conséquences à ce genre de bricolage et le résultat n’est pas toujours celui que l’on attend. ↩︎
  5. Un coup de chapeau à OpenVAET pour avoir mené d’une main de maître cette analyse avec moi. J’espère que nous aurons l’occasion de l’approfondir dans un autre article. ↩︎
  6. Vous pouvez le vérifier par vous-même en effectuant une analyse BLAST de la séquence Pfizer, Moderna ou Novavax par rapport au génome humain. Voici le résultat
    ↩︎
  7. Manuel des décisions bioéthiques – avant-propos de Peter Singer. ↩︎
  8. Transcription de la Cour et archives liées ici
    https://t.me/arkmedic/9103 ↩︎
  9. Richard Dawkins défend la pédophilie « légère », encore et encore »: Archivé ↩︎
  10. C’est pourquoi nous conservons des archives. L’article original a été réduit à un seul paragraphe par Buzzfeed News.
    https://archive.is/Gz1xr ↩︎
  11. George Church, pionnier de la génétique, soutient l’édition de gènes humains: tant qu’elle est ouverte à tous, riches ou pauvres: Archivé ↩︎
  12. Nommé #NotesGate et immortalisé dans le substack de Shez ici ↩︎
  13. Ce compte twitter a été au cœur du scandale #CRISPRgate dévoilé sur twitter en janvier dernier. ↩︎
  14. Si vous voulez en savoir plus, je vous suggère de suivre le hashtag #GinoGate sur twitter et surtout de suivre Jurassic Carl. ↩︎
  15. L’adresse officielle de la société Surgisphere est Chicago, mais l’auteur principal de l’article se trouve à Brigham and Women’s. ↩︎
  16. https://www.nature.com/articles/nbt.3227supplément.
    https://www.arkmedic.info/api/v1/file/d2442c61-ccbe-4038-b423-f62d047eeca3.pdf ↩︎
  17. Politique de données génomiques et cadre éthique du FEM à l’horizon 2020
    https://www.arkmedic.info/api/v1/file/93a94c24-a110-44a7-936b-0ec9cbf2367a.pdf ↩︎
  18. Le Forum Économique Mondial, le Council on Foreign Relations, le groupe Bilderberg et leurs entités apparentées qui contrôlent la masse monétaire mondiale par l’intermédiaire de « think tanks ». ↩︎

« Évolution non naturelle »: preuves indiscutables de la création délibérée et systématique des variants covid en circulation.

J’ai loupé cette publication en août dernier. Comme dit l’auteur (anonyme), ça change tout.

Source.


« Évolution non naturelle »: preuves indiscutables de la création délibérée et systématique des variants covid en circulation

Les panels complets de « mutations de réversion » trouvés dans la circulation générale ressemblent à une expérience

26 août 2023

Le 5 août 2023, une équipe de recherche japonaise a publié une préimpression qui semble contenir les révélations les plus importantes et les plus choquantes de l’ère covid.

Atsuki Tanaka et Takayuki Miyazawa, de l’Université médicale d’Osaka et de l’Université de Kyoto, ont voulu retracer l’évolution historique du variant omicron du SARS-CoV2 en étudiant des séquences virales trouvées « dans la nature » et déposées dans des bases de données publiques.

Ils ont ainsi découvert une centaine de sous-variants omicron distincts dont l’apparition par des processus naturels n’est pas concevable. L’existence de ces variants semble apporter la preuve définitive de la création en laboratoire et de la diffusion à grande échelle de virus covid.

En outre, les variants semblent former des panels complets de mutations typiques de celles utilisées dans les expériences de « génétique inverse » pour tester systématiquement les propriétés des différentes parties des virus.

Les auteurs ont également trouvé des correspondances exactes avec des variants omicron dans des séquences provenant de Porto Rico et déposées dans des bases de données en 2020, soit plus d’un an avant l’annonce de la découverte de l’omicron en Afrique du Sud.

Associés aux observations d’un nombre invraisemblablement faible de mutations « silencieuses » dans les variants du SARS-CoV2, Tanaka et Miyazawa soutiennent que tous les variants apparus depuis l’épidémie initiale de Wuhan ne sont pas naturels et supposent qu’ils représentent un programme expérimental visant à tester les déterminants de l’infectivité et de la pathogénicité du SARS-CoV2 au sein de la population mondiale.

ADDENDUM: Le SARS-CoV2 pourrait exister en tant que « quasi-espèce virale« , c’est-à-dire

« une structure de population composée d’un très grand nombre de génomes variants, appelés spectres de mutants, essaims de mutants ou nuages de mutants ».

Cela rendrait moins surprenante l’apparition de mutations de réversion. Toutefois, cela n’expliquerait pas l’absence de mutations silencieuses dans omicron et d’autres variants (par rapport au variant original de Wuhan), ni l’absence de mutations silencieuses dans les mutants de réversion par rapport à omicron, ni la détection de séquences d’omicron en 2020 à Porto Rico.

Merci à Josh Mitteldorf de l’avoir signalé, mais il est toujours extrêmement difficile de voir comment ces observations peuvent être expliquées naturellement.

Contexte: l’évolution naturelle procède par accumulation de mutations

Avant de décrire l’étude et ses résultats, il convient de rappeler rapidement les principes de base de l’évolution des virus (et de toutes les formes de vie). N’hésitez pas à sauter cette étape si vous la connaissez déjà.

Le SARS-CoV2, comme tous les virus et organismes, se définit par son information génétique, que l’on peut considérer comme une chaîne ou une séquence de lettres. Dans la plupart des organismes, la chaîne est constituée d’ADN, mais le SARS-CoV2 et certains autres virus utilisent des chaînes d’ARN, une molécule étroitement apparentée, pour assurer cette fonction de stockage de l’information.

Le matériel génétique (ADN ou ARN) est divisé en « gènes », c’est-à-dire en séquences génétiques qui codent chacune une protéine. Les protéines sont des molécules actives qui sont synthétisées par la cellule, en utilisant le gène comme modèle. Les protéines sont également des séquences, mais leurs éléments constitutifs sont très différents. Elles n’existent pas en tant que simples chaînes de caractères qui ne font que stocker des informations, mais forment des structures 3D complexes qui ont une activité biologique.

Lorsqu’un organisme se reproduit, la séquence génétique (ADN ou ARN) est copiée et transmise à la génération suivante. Mais le mécanisme de copie est sujet aux erreurs et il arrive qu’un changement, ou « mutation », se produise. Les générations suivantes transmettent cette séquence, de sorte que les mutations s’accumulent naturellement au fil du temps.

Le diagramme ci-dessous illustre ce phénomène: une séquence d’ADN originale accumule quatre mutations successives.

Les effets des mutations sur l’organisme déterminent leur persistance dans la nature

Il est utile de considérer qu’il existe quelques types généraux de mutation, en fonction de leurs effets sur l’organisme:

  • Beaucoup n’auront aucun effet. Certaines modifications individuelles d’une lettre d’ADN/ARN ne changeront pas réellement la séquence de la protéine codée. Ces mutations « synonymes » n’ont généralement aucun effet et s’accumulent donc simplement au fil de l’évolution naturelle. Comme nous le verrons, l’absence de mutations synonymes est un signe important que l’évolution d’omicron et d’autres variants n’est pas naturelle.
  • Parmi celles qui ont un effet, la grande majorité sera délétère, pour la même raison qu’une modification aléatoire d’une partie d’un système fonctionnel est susceptible de le briser. Ces mutations disparaîtront rapidement de la population.
  • Il est très rare qu’une mutation provoque un changement ayant un effet bénéfique. Ces mutations proliféreront alors dans les générations futures, car les organismes qui en sont porteurs survivront et se reproduiront plus efficacement.

Ainsi, toutes les formes de vie accumulent progressivement des mutations – certaines silencieuses, d’autres bénéfiques. C’est l’évolution.

L’« évolution non naturelle » d’omicron

Examinons maintenant le cas spécifique du variant omicron du SARS-CoV2 et son évolution (présumée) à partir de la souche originale de Wuhan.

Pour cet article, nous suivrons Tanaka et Miyazawa en nous concentrant sur une seule section de la chaîne d’informations génétiques du virus – le gène codant pour la fameuse protéine de pointe. Ils étudient trois variants d’omicron officiellement reconnus – BA1, BA1.1 et BA2. Pour l’instant, nous nous contenterons d’examiner le BA1.

Comme dans toute évolution, les changements dans la protéine de pointe se produisent par l’accumulation progressive de mutations dans la séquence génétique qui la code. Dans le cas de l’omicron BA1, il y a 37 mutations non synonymes, c’est-à-dire des points où la séquence de la protéine de pointe produite est différente de celle du variant original de Wuhan.

Tanaka et Miyazawa ont voulu utiliser les bases de données publiques, dans lesquelles les chercheurs du monde entier déposent les séquences virales qu’ils ont trouvées, pour retracer l’histoire de l’évolution de la protéine de pointe de l’omicron BA1, c’est-à-dire pour répondre à la question suivante: dans quel ordre ces 37 mutations se sont-elles accumulées?

Retracer l’ordre d’accumulation des mutations omicron

Il y a deux façons évidentes de procéder: en partant de l’avant ou en revenant en arrière.

Dans l’approche prospective, on peut rechercher dans les bases de données les versions de la séquence qui présentent une seule des 37 mutations omicron, mais qui sont par ailleurs identiques à la souche d’origine. Cette seule mutation doit avoir été la première. On pourrait ensuite répéter le processus pour identifier la deuxième, la troisième, etc.

Toutefois, les variants porteurs de mutations très précoces auraient été rares dans la population mondiale du SARS-CoV2 et pourraient ne pas apparaître dans les bases de données.

Une approche plus sûre, celle adoptée par Tanaka et Miyazawa, consiste à travailler à rebours. Cela signifie qu’il faut commencer par déterminer laquelle des 37 mutations est la dernière ou la plus récente.

Pour ce faire, il faut trouver une séquence qui inclut toutes les mutations sauf une – et celle-ci doit être la mutation la plus récente.

Tanaka et Miyazawa ont donc effectué une série de 37 requêtes dans la base de données en utilisant des séquences dépourvues chacune d’une seule des mutations omicron BA1, en partant du principe que l’une des 37 séquences devrait trouver une correspondance, indiquant la dernière mutation dans la progression de l’évolution vers BA1.

Il est intéressant de s’imaginer à la place de ces chercheurs, exécutant des requêtes pour chacune des 37 mutations, se demandant peut-être laquelle d’entre elles s’avérerait être la plus récente, et obtenant la réponse… TOUTES*.

Enfin, toutes sauf une, ce qui ne fait aucune différence.

Leur cerveau a dû exploser.

Un panel de variants avec des mutations omicron BA1 inversées individuellement ne peut pas apparaître naturellement

Dans la figure ci-dessous (Fig 2A de l’article), chaque ligne représente un variant de l’omicron BA1 trouvé « dans la nature ».

Les colonnes représentent chacune des mutations omicron. Si la cellule est colorée, cela signifie que le variant porte la mutation. Les cellules blanches indiquent que la mutation est absente et que la séquence de la protéine de pointe est identique à la souche originale de Wuhan à ce stade.

Si vous pensez que le tableau a un aspect très ordonné, vous avez raison. Il montre que, pour toutes les mutations du sous-variant omicron BA1 sauf une, il existe une souche dans laquelle cette mutation – seule – est absente.

Dans l’évolution naturelle par mutation accumulée, chaque variant n’a qu’un seul parent, car il a été créé par un seul événement de mutation. Ainsi, pris au pied de la lettre, ces résultats impliquent que l’un des variants est le parent d’omicron BA1 (nous ne pouvons pas dire lequel), et que tous les autres sont des enfants.

Nous pouvons maintenant répondre à la question initiale de Tanaka et Miyazawa et décrire l’histoire naturelle de l’évolution de l’omicron BA1 qui découle de ces résultats :

  • La souche BA1 officiellement reconnue se forme lorsque la dernière de ses 37 mutations se produit (nous ne savons pas laquelle);
  • BA1 subit ensuite 35 changements distincts et parallèles qui inversent parfaitement l’une de ces mutations par rapport à la séquence de la souche originale de Wuhan.

C’est absurde. La réversion parfaite de mutations comme celle-ci, à une telle échelle, n’est absolument pas plausible dans le cadre d’un processus naturel.

Les variants trouvés par Tanaka et Miyazama peuvent être décrits comme un « panel » de mutations de réversion. Ce type de panel est exactement ce qu’un chercheur créerait pour tester systématiquement la contribution de différents éléments d’un virus à son activité.

On trouve également des « panels » de réversion complets pour d’autres variants officiels d’omicron

Les chercheurs ont également examiné deux autres variants omicron reconnus et largement répandus, à savoir les variants BA1.1 et BA2. Fait remarquable, ils ont trouvé les mêmes « panels » de mutations de réversion pour ces deux variants.

BA1.1 est très similaire à BA1 – il ne comporte qu’une seule mutation supplémentaire par rapport à la souche de Wuhan, soit un total de 38.

Lorsque Tanaka et Miyazawa ont effectué des recherches sans tenir compte de chacune de ces mutations, ils ont trouvé 37 des 38 mutations existant « à l’état sauvage ».

BA2 est assez différent de BA1 – ils partagent 14 mutations par rapport à la souche Wuhan, mais BA2 n’a que 17 autres mutations (différentes) pour un total de 31.

Lorsqu’ils ont recherché des variants dépourvus de ces mutations individuelles, ils en ont trouvé 29 sur les 31 « dans la nature ».

La « recombinaison », ou l’échange de matériel génétique entre différents virus, ne peut pas non plus expliquer les variants d’omicron

La discussion ci-dessus concerne l’évolution par accumulation progressive de mutations, dans laquelle chaque nouveau variant est produit par la mutation d’un seul parent.

Il existe un autre mécanisme par lequel les virus et d’autres formes de vie peuvent évoluer. La « recombinaison » implique l’échange de sections de matériel génétique entre deux variants différents. Les variants observés pourraient-ils résulter d’un échange de matériel génétique entre omicron BA1 et le virus original de Wuhan?

Tanaka et Miyazawa s’efforcent d’envisager cette possibilité, mais peuvent facilement l’exclure.

D’une part, la recombinaison nécessiterait que les virus omicron BA1 et les autres virus ancestraux soient présents dans la même cellule au même moment – car la recombinaison ne peut se produire que dans une cellule, pendant la phase de réplication du virus. Cela sera extrêmement rare compte tenu des fréquences impliquées et de la nécessité de créer autant de mutations de réversion – en particulier compte tenu de la chronologie des vagues des différents variants, comme indiqué dans l’article.

Expliquer ces réversions par la recombinaison signifierait qu’une section d’ARN dans omicron BA1 contenant la mutation à inverser devrait être proprement échangée, de sorte que les mutations situées de part et d’autre ne soient pas affectées. Il faudrait qu’il y ait deux « croisements » entre les variants, un de chaque côté de la mutation. Mais les croisements nécessitent l’alignement d’une partie de la séquence commune entre les deux souches. Pour certaines mutations, l’écart de part et d’autre de la mutation suivante n’est tout simplement pas assez grand pour permettre ces croisements, et la recombinaison est donc impossible.

La recombinaison laisserait également des traces dans les régions flanquantes du virus de part et d’autre du gène de la protéine de pointe – et celles-ci n’ont pas été trouvées.

Variants d’omicron dans des échantillons prélevés à Porto Rico – plus d’un an avant la détection officielle d’omicron

Tanaka et Miyazawa ont donc pu montrer que la recombinaison ne pouvait pas expliquer le panel de mutations de réversion qu’ils ont trouvé. Mais en envisageant cette possibilité, ils sont tombés sur d’autres éléments qui soulèvent des questions fondamentales sur l’histoire d’Omicron.

En interrogeant la base de données à la recherche de signes indiquant que la recombinaison a joué un rôle, ils ont trouvé des correspondances avec une séquence de Porto Rico soumise en 2020. D’autres recherches ont permis de trouver 29 variants attribués à Porto Rico qui correspondent exactement à omicron BA1 ou BA2, sur la base des séquences de protéines de pointe.

Toutes ces séquences ont été déposées dans la base de données en 2020, plus d’un an avant l’annonce de la détection d’omicron en Afrique du Sud en novembre 2021.

L’absence de mutations « synonymes » suggère fortement que les variants du SARS-CoV2 sont d’origine artificielle

Comme si tout cela ne suffisait pas, Tanaka et Miyazawa soulignent une autre série de preuves qui, à elles seules, suffisent probablement à conclure que les variants omicron ne sont pas naturels.

L’explication des mutations ci-dessus a souligné que, dans la nature, on s’attend à en voir

  • des mutations qui ont un effet matériel et bénéfique sur l’organisme; et
  • des mutations « silencieuses » ou « synonymes » qui n’affectent pas les protéines produites à partir de l’ARN/ADN et ne devraient pas modifier la capacité de reproduction de l’organisme.

Ces mutations « synonymes » qui ne modifient pas la protéine correspondante sont, comme on peut s’y attendre, beaucoup plus fréquentes que celles qui affectent la protéine elle-même. Elles n’ont généralement aucun effet sur la capacité de survie du virus et s’accumulent donc naturellement au fil du temps, parallèlement à l’acquisition de mutations non synonymes bénéfiques plus rares et plus significatives sur le plan fonctionnel.

Or, les variants officiels omicron mentionnés ici ne présentent tous qu’une seule mutation synonyme dans le gène codant pour la protéine de pointe, contre 31 à 38 mutations non synonymes.

Cela n’a aucun sens. L’évolution naturelle devrait toujours créer des mutations synonymes silencieuses à un taux plus élevé que des mutations non synonymes qui ne peuvent persister que si, contre toute attente, elles entraînent au hasard une amélioration de la conception de la protéine qu’elles codent.

Les auteurs poursuivent en soulignant que cette observation non plausible n’est pas limitée à omicron:

Il n’y avait pas de mutations synonymes dans les variants Alpha, Beta, Gamma, Delta ou Mu, [et] seulement une dans chacun des variants Lambda et Omicron.

Les panels de réversion omicron semblent faire partie d’une expérience systématique

La présence « dans la nature » de panels presque complets de réversions individuelles parfaites de pratiquement toutes les mutations dans trois lignées omicron distinctes ne peut vraisemblablement pas être naturelle. Cela ressemble plutôt à un exercice systématique de « génétique inverse » visant à tester les effets de chaque mutation omicron sur le comportement du virus.

Il est clair que tout ou partie des variants omicron ont été synthétisés dans un laboratoire d’où ils ont été libérés d’une manière ou d’une autre, dans le cadre d’un programme délibéré. Si l’on ajoute à cela l’absence de mutations synonymes dans d’autres variants, on peut en déduire que tous les variants décrits après la souche originale de Wuhan ont des origines artificielles.

Les auteurs suggèrent que les variants qu’ils ont trouvés font effectivement partie d’une expérience visant à caractériser la protéine de pointe et les effets des mutations sur le comportement du virus:

En effet, le fait que l’on n’ait pas trouvé jusqu’à présent que bon nombre des diverses mutations observées, en particulier dans les premiers variants, sont effectivement associées à une infection virale accrue (van Dorp et al, 2020) soutient l’hypothèse selon laquelle chaque variant a été synthétisé artificiellement pour identifier les acides aminés de la protéine S responsables de l’infectiosité et de la pathogénicité.

Conclusion: cela change tout

Si les observations et les déductions de cet article sont correctes – et à moins d’un pur canular, impliquant des dépôts frauduleux dans des bases de données de séquences, elles semblent l’être – alors elles fournissent la preuve indiscutable que toute l’histoire du SARS-CoV2, au moins après l’émergence de la souche d’origine, est artificielle.

Quelqu’un, quelque part, fait vraiment tout cela délibérément.

Corrections

3 septembre 2023

Certains La plupart des changements individuels d’une lettre d’ADN/ARN ne modifieront pas réellement la séquence de la protéine codée.

La majorité des mutations uniques aléatoires modifieront effectivement l’acide aminé codé. Mais l’écrasante majorité d’entre elles perturberont la protéine, de sorte qu’il est toujours vrai de dire que les mutations synonymes silencieuses devraient initialement être plus nombreuses que les mutations fonctionnelles.

Présentation devant le Parlement croate du Dr William Makis sur les turbo-cancers, 1er décembre 2023.

Je traduis une transcription faite par TranscriberB, issu de son considérable travail d’archivage. Le Dr William Makis est un des médecins les plus actifs dans la diffusion d’informations sur les effets des injections, pour le grand public ou, comme ici, pour les institutions gouvernementales.

Source.


VIDÉO – Présentation devant le Parlement croate du Dr William Makis sur les turbo-cancers, 1er décembre 2023
(Symposium International de Zagreb, Croatie – « Dans l’œil du cyclone »)
DR. WILLIAM MAKIS MD, publié le 8 mars 2024
https://makismd.substack.com/p/video-croatian-parliament-presentation
[inclut la source vidéo du clip]
[capture d’écran]

TRANSCRIPTION

0:21
DR. WILLIAM MAKIS [via Internet] : Honorables membres du Parlement. Je suis le Dr William Makis et je suis un médecin canadien d’Edmonton, en Alberta. J’ai suivi une formation médicale à l’Université McGill de Montréal, avec une spécialisation de cinq ans en médecine nucléaire, radiologie et oncologie. J’ai à mon actif plus de 100 publications évaluées par des pairs, la plupart en tant que premier auteur dans le domaine du diagnostic et du traitement du cancer. Au cours de ma carrière, j’ai diagnostiqué plus de 20 000 patients atteints de cancer et j’ai traité plusieurs centaines de patients atteints de cancer en tant que médecin traitant.

Je me suis penché sur les cancers agressifs qui apparaissent chez les personnes ayant reçu des vaccins covid 19. Ces cancers sont appelés « turbo-cancers » en raison de leur nature et de leur comportement très agressifs. Le terme « turbo-cancer » n’est pas un terme médical, mais il est apparu sur les médias sociaux par l’intermédiaire de personnes qui ont elles-mêmes connu ces cancers ou dont les familles ont été touchées par ces cancers.

J’ai découvert ce phénomène pour la première fois chez des médecins canadiens en juillet 2022. Nous avons connu un incident ici au Canada où quatre médecins canadiens travaillant dans le même hôpital, Trillium Health à Mississauga, en Ontario, sont décédés du cancer à quelques jours d’intervalle, tous les quatre ayant été vaccinés contre le covid 19 afin de pouvoir conserver leur emploi.

Ici, au Canada, nous étions soumis à des obligations vaccinales contre le covid dans tout le pays d’octobre 2021 à novembre 2021 et tous les médecins étaient tenus de recevoir au moins deux vaccins covid, sous peine d’être renvoyés. Par conséquent, tous les médecins du Canada étaient au moins doublement vaccinés à la fin de 2021 et, en 2022, nous avons assisté à une explosion de cancers très agressifs et de décès par cancer parmi ces médecins.

J’ai récemment témoigné devant l’Enquête Nationale Citoyenne au Canada1 et j’ai soumis comme pièce à conviction plusieurs documents confirmant que les médecins canadiens présentent désormais une surmortalité de 54% en 2022 par rapport à 2019, ce qui signifie que 54% de plus de médecins canadiens sont décédés en 2022 par rapport à 2019. J’ai fourni à l’Enquête Nationale Citoyenne une base de données complète sur ces décès de médecins canadiens, et cette base de données peut être téléchargée et analysée.

Or, au moins un quart de ces décès sont dus à des cancers extrêmement agressifs. Depuis que j’ai découvert ce phénomène de turbo-cancer, j’ai signalé plus de 300 cas de turbo-cancer dans les articles que je publie sur mon site Substack, Makis MD point Substack point com. [https://makismd.substack.com/]

J’ai observé ces cancers dans toutes les professions où les vaccins covid sont obligatoires. Je l’ai vu chez tous les travailleurs de la santé, les médecins, les infirmières, les physiothérapeutes, les ergothérapeutes. Je l’ai vu chez les enseignants.

En fait, les enseignants sont la profession soumise à l’obligation vaccinale qui semble avoir été la plus durement touchée par des cancers agressifs et des décès liés au cancer. Je l’ai constaté chez les policiers, les pompiers, les militaires, les employés municipaux et dans d’autres secteurs d’activité où les vaccins covid étaient obligatoires.

Un autre groupe a également été très durement touché par le cancer: il s’agit des étudiants des universités et des établissements d’enseignement supérieur qui ont été soumis à l’obligation vaccinale pour pouvoir rester à l’école et poursuivre leurs études. Aujourd’hui, beaucoup de ces jeunes meurent.

4:29
Les caractéristiques cliniques du turbo-cancer peuvent être décrites comme suit. Je pense que ces cancers touchent des personnes de tous âges, mais ils semblent vraiment affecter les jeunes, même des enfants de seulement 12 ans. Ces cancers se présentent à un stade très avancé, généralement au stade IV. Il n’y a généralement aucun signe avant-coureur de l’apparition de ces cancers. Ils se développent extrêmement rapidement et ne se manifestent qu’au stade III ou IV.

5:03
Ils se développent très rapidement. Les oncologues ne s’attendent pas à une croissance tumorale aussi rapide. Ces tumeurs peuvent atteindre des tailles très importantes, qui ont été décrites comme de la taille d’une balle de softball ou d’un ballon de football, voire d’une pastèque. De très grosses masses tumorales.

Ces cancers se propagent de manière très agressive et à de multiples endroits du corps. J’ai été témoin de situations où les chirurgiens pensaient pouvoir enlever ces cancers par voie chirurgicale, les garder sous contrôle parce que l’imagerie n’avait pas montré de propagation. Ils procèdent à l’opération et après celle-ci, font une nouvelle imagerie et constatent que le cancer s’est déjà propagé, qu’il s’est étendu aux ganglions lymphatiques, aux poumons ou aux os. Le cancer n’a donc pas été détecté à temps.

6:02
Les turbo-cancers les plus courants qui apparaissent chez les personnes vaccinées contre le covid sont les lymphomes, les cancers du cerveau, généralement des glioblastomes, les cancers du sein, généralement des cancers du sein triple négatif, les cancers du côlon et les cancers du poumon.

Les autres cancers qui présentent un comportement de turbo-cancer sont les leucémies, les cancers des testicules et des ovaires, les sarcomes, les mélanomes, les cancers du rein et les cancers hépatobiliaires, c’est-à-dire les cancers de la vésicule biliaire ou de l’arbre biliaire2, ou encore du pancréas.

6:49
Une autre caractéristique des turbo-cancers est qu’ils sont résistants à la chimiothérapie, à la radiothérapie et à de nombreuses immunothérapies de pointe.

Pour entrer un peu plus dans les détails, les lymphomes apparaissent généralement chez des jeunes de 20 à 30 ans et je les vois le plus souvent chez des étudiants de l’université ou du collège qui ont été obligés de se faire vacciner contre le covid 19. Ces tumeurs peuvent devenir extrêmement volumineuses et se présentent généralement sous la forme de grosses masses tumorales dans la poitrine.

Les lymphomes répondent généralement très bien à la chimiothérapie, mais ce n’est pas le cas de ces lymphomes turbo-cancers. Le pronostic varie, mais ils ont tendance à tuer le patient en 12 mois environ, en un an typiquement, ce qui est bien pire que ce à quoi s’attendent les oncologues pour un lymphome.

7:44
Les leucémies, les cancers du sang, sont les turbo-cancers les plus agressifs. Ils peuvent toucher des adolescents et des jeunes de 20 à 30 ans, mais ils peuvent tuer une personne en quelques semaines, quelques jours ou parfois même quelques heures après le diagnostic. J’ai rapporté plusieurs cas d’adolescents qui se sont rendus aux urgences parce qu’ils se sentaient mal, on leur a diagnostiqué une leucémie et ils sont morts en quelques heures. Les leucémies sont donc les turbo-cancers qui ont le pire pronostic et ce sont ces personnes qui meurent le plus rapidement.

8:28
Les turbo-cancers du cerveau sont généralement des glioblastomes, le type de cancer du cerveau le plus agressif.

Mais il existe aussi des cancers de la moelle épinière qui sont normalement extrêmement rares. Ils ont également un très mauvais pronostic et entraînent généralement la mort en quelques mois. Le cas le plus récent que j’ai rapporté est celui d’un garçon de 12 ans, originaire des Philippines, qui a reçu une dose de Moderna. Quatre mois plus tard, il a développé un cancer du cerveau et est décédé en moins d’un an. Et il ne s’agissait que d’une seule dose de Moderna.

Des cancers du sein, des turbo-cancers du sein, se manifestent également entre 20 et 30 ans, ce qui est beaucoup plus jeune que ce à quoi on pouvait s’attendre pour les cancers du sein avant les vaccins covid. Le cas le plus jeune que j’ai rapporté est celui d’une jeune fille de 19 ans atteinte d’un cancer du sein.

Ces cancers du sein sont généralement triples négatifs, ce qui signifie qu’ils sont dépourvus de récepteurs hormonaux ER, PR et HER23. Il s’agit là encore des cancers du sein au pronostic le plus défavorable.

9:42
Les cancers du côlon se présentent au stade IV également chez les personnes âgées de 20 à 30 ans et les oncologues ne s’attendent pas à voir ce groupe d’âge jeune développer des cancers du côlon. À la présentation, ces cancers se sont déjà propagés au foie, aux poumons ou aux os. Le pronostic est là encore très sombre, la mort survenant généralement en moins d’un an.

Les cancers du poumon sont également extrêmement agressifs, généralement chez des non-fumeurs et, là encore, le pronostic est très sombre, la mort survenant en moins d’un an, généralement en quelques mois seulement.

Les femmes enceintes constituent un autre groupe de personnes vaccinées très vulnérables au développement d’un turbo-cancer. Les femmes enceintes semblent présenter un risque beaucoup plus élevé de turbo-cancer, sans que l’on sache pourquoi. Ces turbo-cancers apparaissent généralement pendant la grossesse ou peuvent apparaître et être découverts post-partum, au cours de la première année qui suit l’accouchement. Il s’agit donc d’un groupe auquel il convient d’accorder une attention toute particulière.

En ce qui concerne les mécanismes par lesquels ces vaccins covid provoquent des turbo-cancers, personne ne connaît le mécanisme d’action exact. Toutefois, plusieurs théories ont été proposées dans la littérature.

Je pense que l’explication la plus probable du turbo-cancer est la suppression du système immunitaire et les dommages causés sur le système immunitaire de surveillance du cancer par les vaccins covid 19.

Nous avons constaté que les vaccins covid causaient des dommages au système immunitaire et nous avons constaté que les personnes doublement vaccinées, après quelques mois, étaient beaucoup plus susceptibles d’attraper à nouveau le covid, et que les personnes triplement vaccinées étaient beaucoup plus susceptibles d’attraper le covid. Les gouvernements du Canada et de l’Australie nous ont fourni des données montrant que plus on reçoit de vaccins covid, plus le système immunitaire est endommagé. Au milieu de l’année 2022, le gouvernement canadien a cessé de communiquer les données relatives au statut vaccinal des personnes hospitalisées, car 90% des personnes hospitalisées pour covid 19 étaient vaccinées et 90% des personnes décédées du covid 19 étaient vaccinées. Nous savons donc que les vaccins covid endommagent le système immunitaire.

12:15
Ils endommagent les cellules immunitaires, les cellules T cytotoxiques4, les cellules tueuses naturelles et interfèrent avec la signalisation du système immunitaire. Ils agissent par l’intermédiaire de récepteurs situés sur les cellules immunitaires, tels que les récepteurs de type Toll, ou TLR. Nous savons que dans les vaccins à ARNm, l’ARNm a été modifié avec de la pseudouridine spécifiquement pour atténuer la réponse immunitaire par l’intermédiaire des récepteurs de type Toll, afin que l’ARNm ne soit pas détruit par le système immunitaire lors de l’injection du vaccin.

On a également découvert que ces vaccins diminuent ou suppriment l’interféron de type I. Le profil des cytokines est donc complètement modifié une fois que le vaccin a été injecté.

Une autre théorie est que les vaccins covid interfèrent avec les gènes suppresseurs de tumeurs tels que P53 et BRCA1, qui sont impliqués dans de nombreux cancers. BRCA est impliqué dans le cancer du sein et le cancer de l’ovaire, et P53 est impliqué dans le cancer du poumon, le cancer du côlon et de nombreux autres cancers.

13:30
Un autre type d’atteinte du système immunitaire a été découvert, appelé déplacement des anticorps IgG45, qui se produit après l’injection d’une deuxième dose d’ARNm, lorsque l’organisme commence à produire des anticorps tolérants à la protéine de pointe, mais qui créent également une tolérance au cancer.

Après la troisième dose, le booster, le corps produit 500 fois plus d’IgG4 qu’après les deux premières doses, et le patient développe une tolérance à la protéine de pointe, mais il perd également ses fonctions de surveillance du cancer. Cela pourrait contribuer à l’augmentation de ces turbo-cancers.

Une autre théorie concerne les micro-ARN générés par les vaccins à ARNm. Ces micro-ARN peuvent être oncogènes, agir comme des oncogènes ou inactiver des gènes suppresseurs de tumeurs.

Enfin, il y a le problème majeur de la contamination par l’ADN qui a été découvert par le généticien américain Kevin McKernan6 et confirmé par le professeur Philip Buckhaults de l’université de Caroline du Sud7 et le Dr David Speicher de l’université de Guelph au Canada8. Cette contamination par l’ADN, ces plasmides d’ADN, ont été trouvés dans chaque flacon de vaccin de Pfizer et de Moderna. Et ces plasmides peuvent contribuer à l’augmentation du nombre de cancers.

Les flacons de Pfizer, la contamination, contiennent également une séquence du SV40, le virus simien 40, c’est une séquence promotrice9. Pfizer n’a pas expliqué ce que cette séquence fait là et nous ignorons si cette séquence spécifique pourrait également contribuer au cancer.

En résumé, nous avons besoin de plus de recherches pour déterminer les mécanismes exacts par lesquels ces cancers apparaissent.

Le développement de turbo-cancers agressifs a été observé principalement avec les vaccins ARNm, Pfizer et Moderna, mais des cas ont également été signalés avec AstraZeneca et Johnson & Johnson.

De grâce, je vous exhorte à examiner, si possible, vos bases de données sur le cancer. L’ancien gestionnaire de fonds spéculatifs, Edward Dowd, a présenté les données du Royaume-Uni10 concernant les décès par cancer, qui montrent une augmentation de 120% des décès dus aux cancers de la peau tels que les mélanomes, de 80% des décès dus au cancer du pancréas, de 40% des décès dus au cancer du cerveau, de 30% des décès dus au cancer du sein, et ainsi de suite.

Des milliers de jeunes gens meurent actuellement de turbo-cancers et les oncologues nord-américains ne disposent d’aucune option de traitement pour ces cancers. Après l’échec des chimiothérapies, radiothérapies et immunothérapies standard, les patients sont renvoyés chez eux pour y mourir.

Il pourrait y avoir d’autres options de traitement pour ces patients. Il existe des protocoles utilisant de fortes doses d’ivermectine, de fortes doses de mébendazole ou de fenbendezole, de fortes doses de vitamine C en perfusion, des protocoles utilisant de fortes doses de mélatonine, de l’huile de CBD et d’autres approches qui n’ont pas été suffisamment étudiées dans le cadre d’essais cliniques, et qui pourraient aider ces patients qui souffrent actuellement de ces turbo-cancers.

Je demande la suspension immédiate des vaccins covid 19. Ces produits sont extrêmement dangereux, en particulier pour les enfants, les femmes enceintes et les jeunes adultes, et je pense que ces vaccins devraient être retirés du marché immédiatement.

Je vous remercie de m’avoir donné l’occasion de m’adresser à vous, et que Dieu vous bénisse tous.
17:18
[FIN]

  1. https://nationalcitizensinquiry.ca/
    Voir : Dr. William Makis – 18 septembre 2023 – Témoignage virtuel #NCI
    Diffusé le 18 septembre 2023
    https://rumble.com/v3ipsi2-dr.-william-makis-september-18-2023-nci-virtual-testimony.html ↩︎
  2. « Le système biliaire, également appelé voie biliaire ou arbre biliaire, est un système de conduits, d’organes et de structures associées dont la fonction est de produire, stocker, sécréter et transporter la bile. Le système biliaire comprend le foie, la vésicule biliaire et le pancréas ».
    Source: https://www.verywellhealth.com/biliary-system-5085330 ↩︎
  3. Le terme « cancer du sein triple négatif » fait référence au fait que les cellules cancéreuses ne possèdent pas de récepteurs d’œstrogènes ou de progestérone (ER ou PR) et ne produisent pas ou trop peu de la protéine appelée HER2 (les cellules sont « négatives » aux trois tests). (Les cellules se révèlent « négatives » aux trois tests) ».
    Source: https://www.cancer.org/cancer/types/breast-cancer/about/types-of-breast-cancer/triple-negative.html ↩︎
  4. Pour une introduction à la nature et au rôle des cellules T, voir https://my.clevelandclinic.org/health/body/24630-t-cells. ↩︎
  5. Voir:
    Les anticorps IgG4 induits par une vaccination répétée peuvent générer une tolérance immunitaire à la protéine de pointe du SARS-CoV-2
    Uverskz, et al, mai 2023
    Vaccins (Bâle)
    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC10222767/ ↩︎
  6. Voir:
    Kevin McKernan témoigne devant la FDA
    182e réunion du comité consultatif sur les vaccins et les produits biologiques apparentés
    Séance publique ouverte à tous
    U.S. Food and Drug Administration, livestream 15 juin 2023
    https://www.youtube.com/watch?v=gBOyPREXGh8
    Transcription et captures d’écran: https://transcriberb.dreamwidth.org/104315.html ↩︎
  7. Voir:
    Audition au Sénat de Caroline du Sud – Professeur de l’USC Dr. Phillip Buckhaults
    SC 4 FREEDOM, publié le 13 septembre 2023
    https://www.youtube.com/watch?v=IEWHhrHiiTY&t=44s [NdT. censuré par YouTube]
    Transcription et captures d’écran: https://transcriberb.dreamwidth.org/105739.html
    Voir aussi:
    Audition du Sénat de Caroline du Sud – Dr. Janci Lindsay
    SC 4 FREEDOM, publié le 16 septembre 2023
    https://www.youtube.com/watch?v=mjQQ7kkj3Bs&t=41s
    Transcription: https://transcriberb.dreamwidth.org/106401.html ↩︎
  8. Voir:
    Speicher DJ et al, Fragments d’ADN détectés dans les vaccins COVID-19 au Canada. Fragments d’ADN détectés dans les vaccins monovalents et bivalents
    David Jeremiah Speicher, Jessica Rose, Luz Maia Gutschi, David M Wiseman
    Octobre 2023
    https://www.researchgate.net/publication/374870815_Speicher_DJ_et_al_DNA_fragments_detected_in_COVID-19_vaccines_in_Canada_DNA_fragments_detected_in_monovalent_and_bivalent ↩︎
  9. Voir:
    Audition du Sénat de Caroline du Sud – Dr. Janci Lindsay
    SC 4 FREEDOM, publié le 16 septembre 2023
    https://www.youtube.com/watch?v=mjQQ7kkj3Bs&t=41s
    Transcription: https://transcriberb.dreamwidth.org/106401.html
    Voir également le commentaire sur le témoignage du Dr Janci Lindsay par le Dr Jessica Rose, publié le 18 septembre 2023 :
    https://jessicar.substack.com/p/sc-senate-hearing-dr-janci-lindsay ↩︎
  10. Ancien analyste et gestionnaire de portefeuille à Wall Street, Ed Dowd est le fondateur de Phinance Technologies et l’auteur de « Cause Unknown: The Epidemic of Sudden Death in 2021 and 2022 » (Cause inconnue: l’épidémie de mort subite en 2021 et 2022). Son compte Twitter est Follow Dowd sur https://x.com/DowdEdward
    Voir:
    « Ed Dowd a les données: Augmentation importante du nombre de décès et d’invalidités d’origine cardiovasculaire après 2020 – Ask Dr. Drew
    Ed Dowd revient avec une analyse préoccupante des données britanniques sur la mortalité et l’invalidité qui montre une augmentation importante des maladies cardiovasculaires chez les 15-44 ans après 2020. »
    26 septembre 2023
    https://drdrew.com/2023/ed-dowd-has-the-data-major-increase-in-cardiovascular-deaths-disability-after-2020-ask-dr-drew/
    [l’entretien avec Ed Down commence à 10:20] ↩︎

Diagnostics.

Bonne année 2024!

L’année de la redevabilité est terminée. Ô surprise, pas de Nuremberg 2.0, juste quelques plaintes comme celle-ci – le Procureur Général du Texas contre Pfizer. En Europe, quelques rats politiques quittent le navire vaccinal en perdition, maintenant que le mal est fait et qu’ils sont autorisés à jouer officiellement les preux chevaliers avec trois ans de retard. Parfaitement minable.

Voyons ce qu’on nous promet pour l’année qui vient: chaos, guerre civile, guerre mondiale, extrême-droite, et autres signes que le foutage de gueule continue. Encore du minable…

Je vois se former deux tendances, pas strictement alignées sur les divisions qu’on nous vend – gauche/droite, noirs/blancs, Russie/Ukraine – actualisée en Israël/Palestine – et bien entendu injectés/non-injectés.

D’un côté les éternels enfants gâtés qui comptent sur d’autres pour faire le boulot – au choix selon leur « camp », l’État, Pfizer, les politiciens, Donald Trump, Jésus Christ, etc. – et traversent la vie sans rien vouloir savoir ni savoir qu’ils ne savent pas. Inutiles à eux-mêmes et aux autres, personne n’en veut – ni vous, ni moi, encore moins leurs maîtres, qui ne savent plus quoi en faire.

D’autre part, ceux qui (re)prennent leur vie en main, même si ce n’est ni facile ni un cadeau – beaucoup de travail pour peu de récompense – mais réalisent que la seule liberté ne se gagne pas à coups de manifs à la con mais par l’autonomie et la responsabilité individuelle.

En voici la version latine sous forme de proverbes pour assiettes – idée piquée à Chaval:

Labor ipse voluptas: le travail est sa propre récompense.

Flecti non frangi: on nous a pliés mais on ne nous a pas cassés.

… et bonne santé!

J’ai:

  • une crise aigüe de goutte (moi qui ne boit jamais),
  • une allodynie, ou un zona, on ne sait toujours pas (médecins incompétents),
  • des apnées du sommeil (86 par heure, dont une mesurée à deux minutes),

mais pas le Covid!

Ces légères indispositions heureusement sans gravité expliquent le léger retard de ce billet.

Je prends donc de la colchicine, de la vitamine B et je me déguise en éléphant toutes les nuits, sur conseil de mon cardiologue, ce qui me prolongera la vie de plusieurs années, merci Docteur – et implique que le monde devra encore supporter ce vieillard acariâtre, en plus de tout le reste.

Et comment vont les autres?

Covid-19

Je coiffe ma casquette marquée Service Public pour une annonce d’intérêt général.

Si vous souffrez des symptômes suivants:

  • toux sèche persistante,
  • courbatures,
  • fièvre modérée,
  • douleur dorsale extrême localisée au niveau du pancréas/estomac, c’est-à-dire au milieu de la colonne vertébrale,
  • très forte diarrhée, système digestif HS,

… c’est probablement le Covid – peut-être le petit dernier, le JN.1. Vous savez quoi faire.

Je range ma casquette, passons à la suite des événements.

En 2020, n’en déplaise aux négationnistes du SARS-CoV-2, le Covid a fait quelque dégât chez les immunodéprimés et certains malchanceux – assez peu – dont certains ont chopé un Covid long. Avance rapide jusque 2024: le système immunitaire des injectés a été maintenant suffisamment « reprogrammé », c’est-à-dire agressé, pollué et déraillé pour qu’on se retrouve dans la situation de 2020 en mille fois pire, où les injectés sont les nouveaux immunodéprimés. C’est-à-dire que la vraie pandémie de Covid pourrait éventuellement commencer et faire des ravages. Lesquels?

Vous avez tous lu ce que j’ai publié sur les « effets secondaires » de cette merveille technologique – environ le tiers des articles de ce blog, qui en compte bientôt cinq cents – notamment la prolifération des IgG4. Mais il y a du nouveau.

Ce papier émet l’hypothèse que l’épidémie de pneumonie (bactérienne) aux « poumons blancs » (si c’est bien la traduction officielle) qui sévit en Chine, et maintenant en Europe et aux US, est en fait une infection secondaire due au Covid. L’article fait une bonne collection et analyse de données mais rien d’autre, le sujet des dégâts vaccinaux étant totalement glissé sous le tapis.

Autre analyse ici, un peu plus détaillée, de la corrélation Covid/pneumonie par mon très patient et persistant compatriote, le Dr Vanden Bossche. Même si j’ai un doute, je reparle de Geert parce qu’il prévoit qu’on va passer maintenant au variant de l’apocalypse qu’il annonce depuis trois ans, qui sera un cousin de JN.1 – il explique tout ça ici et ici. Ça mériterait d’être traduit (j’y pense), dans la mesure où même si le quart de la moitié de son pronostic se réalise, ça risque d’être épique. La bonne nouvelle, c’est que les non-injectés ne risquent quasiment plus rien du Covid. La moins bonne nouvelle c’est que les injectés tomberaient bientôt comme des mouches – question de jours ou de semaines. Comme ils sont plus de cinq milliards, ça pourrait influencer négativement le cours des choses cette année – un peu plus vite que le scénario de Toby…

D’ailleurs, on sent bien un léger malaise là-haut depuis quelque temps. Ils se mettent à carrément camoufler des « morts soudaines » en accidents de voiture (sorry, j’ai perdu le lien), donc l’inverse de ce qu’ils faisaient en 2020 avec le Covid. Si ÇA c’est pas minable…

Steve Connoly a recensé la progression du nombre de « morts soudaines » (cardiaques?) dans les avis mortuaires américains – très parlant, je traduirai.

Cette étude de septembre dernier donne la proportion des injectés avec séquelles cardiaques: quasiment tous. Il va donc falloir publier des études bidon pour détourner le truc. En voici une.

Épidémie de crises cardiaques

Pour ce titre, je pique à Jeff Childers un extrait de son billet du 28 décembre:

Hier, je suis tombé sur une nouvelle étude iScience prépubliée signalant une nouvelle pandémie potentielle, intitulée « Predicted risk of heart failure pandemic due to persistent SARS-CoV-2 infection using a three-dimensional cardiac model«  (Risque prédit de pandémie d’insuffisance cardiaque due à une infection persistante par le SARS-CoV-2 à l’aide d’un modèle cardiaque tridimensionnel). Cette étude présente des données scientifiques covidiennes farfelues, comme je l’expliquerai dans un instant, mais il convient de noter sa prédiction désastreuse: une pandémie d’insuffisance cardiaque à venir. Ouaip.

Les chercheurs partent de la théorie covidienne d’une l’infection persistante par le covid – un type d’infection crypto-covidienne des plus furtifs, qui est non seulement asymptomatique, mais dont les tests sont également négatifs, même en utilisant la PCR – qui a été critiquée pour sa trop grande sensibilité. En fait, le covid persistant est totalement invisible aux tests. Jusqu’à présent.

C’est donc une sorte de croyance religieuse.

Les chercheurs ont notamment prédit une pandémie d’insuffisance cardiaque qui, selon eux, sera attestée par la présence de la protéine de pointe dans les tissus cardiaques. Même s’ils admettent qu’il n’y a pas de preuve concluante d’une infection persistante par le covid jusqu’à présent, ils estiment que la sonnette d’alarme devrait déjà être tirée en ce qui concerne les crises cardiaques:

L’augmentation explosive du nombre de patients infectés par le virus en raison de la pandémie de COVID-19 pourrait avoir entraîné une augmentation considérable du nombre de patients présentant un risque potentiel d’insuffisance cardiaque. Dans les pratiques cliniques, ces patients à haut risque devraient être identifiés en détectant le virus lui-même ou le génome viral dans le tissu de la biopsie endocardique ou en surveillant les niveaux de troponine dans le sang. Ce rapport peut servir d’avertissement quant à la possibilité d’une pandémie d’insuffisance cardiaque dans l’ère post-Covid-19.

L’étude ne montre pas, et n’avait pas pour but de montrer, une infection persistante par le covid. Les chercheurs ont infecté des cellules cardiaques avec le covid dans une boîte de Pétri et ont observé ce qui se passait. Comme il n’y a pas de système immunitaire dans une boîte de Pétri, l’étude n’a pas pu montrer la persistance du virus dans l’organisme. Mais elle a montré ce qui se passe dans les cellules cardiaques lorsque la protéine de pointe y pénètre par le biais d’une infection virale ou d’une transfection de l’ARNm. C’est-à-dire: rien de bon.

J’ai trouvé que l’illustration de l’auteur (ci-dessus) indiquait en quelque sorte le fond de sa pensée. Le panneau supérieur à l’extrême gauche montre l’augmentation de la protéine de pointe sans virus. Il n’y a qu’une chose qui génère de la protéine de pointe sans virus: les injections.

S’ils peuvent en trouver la preuve quelque part, le « covid persistant » – qui sonne beaucoup plus scientifique que le « covid long » – servirait assurément de bonne couverture pour les dommages causés par les injections.

Opposition contrôlée

Cette année, les américains vont voter. Ils auront le choix entre la vieille harpie « Donald » Trump (voir ici et ici) et l’acteur Arthur Roberts – sous un masque en silicone à la Mission Impossible, vous pouvez vérifier – dans le rôle de « Joe Biden », qui est probablement mort. Le commanditaire du « clot shot » et son représentant de commerce pour sauver le pays, voilà le casting pour le rôle de leader du monde libre, auquel on peut ajouter le héros des anti-vax, Robert Kennedy Jr, en qui j’avais, naïveté touchante, une relative confiance jusqu’à ce qu’il publie son bouquin de « limited hangout », dont je publie incessamment (traduction terminée) la revue par Pete Lincoln.

Il est assez distrayant de suivre les gesticulations verbales de chaque « camp » – l’hystérie anti-Trump atteint des sommets d’imbécilité – articulées autour du sauvetage de la « démocratie » américaine, maintenant que le navire États-Unis fait lui aussi eau de toute part. Minablissime.

Apparemment, ça ne va pas tellement mieux en Chine, puisque son leader maximo Xi Jinping serait venu en novembre dernier faire la manche – t’as pas 900 milliards? – auprès d’Arthur, dont les marionnettistes ont déjà bien du mal à faire suivre la planche à billets. Une comédie minable, dont on connaît déjà la fin – les décors sont de Roger Harth et les costumes de Donald Cardwell.

Du côté des héros de la « résistance » – le Mouvement pour la Liberté Médicale – trois tendances.

La plus délirante est de nier purement et simplement le fait qu’il y ait eu pandémie en 2020, voire l’existence du Sars-CoV-2, représentée entre autres par les statisticiens à la Denis Rancourt, qui ne voient pas de pics dans leurs petites feuilles statistiques, donc il ne s’est rien passé.

D’autre part la tendance Robert Malone, conseiller de RFK Jr, dont l’idée qu’il y a quelque chose à sauver dans les nouvelles technologies médicales, moyennant quelques menues améliorations.

Et la vieille garde incarnée par Peter McCullough, qui s’est maintenant considérablement assagi et parle d’erreurs, de pardon et d’amnisitie. Quelqu’un a passé un coup de téléphone, Peter?

La triste réalité, c’est que le bidouillage génétique des injections a entrouvert les portes de l’Enfer et que ce ne sont pas ces minables qui les refermeront. C’est votre travail.

La fin du pétrole?

Le pétrole est notre ami. Son utilisation nous a affranchi de beaucoup de tâches ingrates, et a permis une croissance démographique gigantesque, qui fait qu’on aurait du mal à s’en passer. Un journaliste estime ici le coût en vies humaines de la fin théorique de l’approvisionnement en produits pétroliers: six milliards de morts en une année. A priori, pas une trop bonne idée.

Il faudrait néanmoins se poser la question de son utilisation. Pas pour une question de CO2, évidemment, qui est le prétexte à une vaste opération financière – le Net Zéro et sa taxe carbone – mais pour ses conséquences réelles sur la vie humaine. L’agriculture industrielle et ses poisons. Le plastique et ses additifs pétrochimiques…

Pour la traduction, vous cliquez sur les sous-titres (CC) et ensuite sur Settings > Auto-translate > Français.

Il y a aussi cette édifiante étude (en anglais) qui montre la présence de microplastiques dans les placentas et les nouveaux-nés humains. Eh oui.

Plus le bordel que ça met au niveau géostratégique, pour permettre à certains de rester maîtres du réseau de distribution énergétique. Par exemple, l’opération de mainmise sur la bande de Gaza, également connue sous le nom de conflit Israël/Hamas.

Israël/Hamas

Voici une citation intéressante de Talal Abu Ghazali, homme d’affaires et homme politique jordano-palestinien:

« Il n’y a aucune raison pour laquelle les Juifs sacrifieraient ne serait-ce qu’une seule personne. Ils ont peur de la mort. La mort est étrange et dégoûtante pour eux. Et nous, nous accueillons la mort. Le Palestinien porte son fils sur ses épaules, et sur le bandeau posé sur le front de l’enfant, il est écrit: « Celui qui cherche le martyre ». L’homme dit: « Je veux que mon fils meure. » La mère palestinienne dit: « J’ai donné naissance à six enfants pour que trois d’entre eux meurent pendant la révolution. J’ai donné naissance à des enfants pour qu’ils deviennent des martyrs. » Cela n’existe pas dans la mentalité sioniste ».

12 octobre 2023, NBN TV

Pour confirmation, le créateur (pas entièrement neutre) de la chaîne Youtube Traveling Israël rappelle ici que 70% des Palestiniens sont d’accord avec le régime du Hamas – attentats inclus.

Vus sous cet angle, considérons la validité de quelques points rapportés dans les médias:

  • le Hamas est une création d’Israël, en particulier de Netanyahu qui s’en est servi pour couper l’herbe sous le pied de l’OLP, nettement moins fanatique;
    • donc une manoeuvre pour marginaliser les Palestiniens?
  • le même Netanyahu a mené la politique la plus proactive d’intégration des arabes dans la société israëlienne, qui représentent 20% de la population;
    • donc une manoeuvre pour intégrer les Palestiniens?
  • c’est toujours Netanyahu qui parlait de « déradicaliser » Gaza;
    • après les avoir radicalisés via le Hamas?
  • les dirigeants du Hamas sont tous milliardaires;
    • donc des membres de l’hyperclasse qui défendraient les droits des pauvres?
  • l’ONU préconise la solution à deux États;
    • donc une idée injouable promue par le noyau dur du mondialisme, également derrière la fraude climatique, qui entrerait dans le cadre de leur agenda, 2030 ou autre?
  • la « faille de sécurité » suscite un sérieux doute chez certains militaires israëliens, la présence de journalistes d’Associated Press, de CNN, du New York Times et de Reuters sur les lieux ne faisant rien pour dissiper ce doute;
    • ce qui signifierait que ce conflit est organisé de A à Z comme le suggère son étiquette de « 11 septembre israëlien »?
  • le peuple Palestinien subit depuis 1945 un génocide de l’autorité israëlienne;
    • ce qui cadrerait comment avec les chiffres de leur démographie galopante?

Bon, on se fout ouvertement de votre gueule. Pour changer. Ce conflit n’est qu’une vitrine.

La vitrine de l’expropriation des « gens qui ne sont rien » c’est-à-dire inutiles au système – vous savez, ceux qui ne possèderont rien et seront heureux (ou morts).

La vitrine d’une lutte des classes fabriquée et entièrement sous contrôle, dans laquelle les Palestiniens incarnent d’un côté la gentille « gauche » victimaire, au culte de mort islamo-marxiste – notamment celle des enfants, comme pour les vaccinés (voir ici et ici) – et de l’autre côté l’armée israëlienne, la « droite » diabolisée qui a l’audace de fermer ses frontières aux pauvres.

En somme, c’est la vitrine du Grand Reset, dans laquelle la bande de Gaza préfigure les villes de 15 minutes, sous perfusion d’argent tombé du ciel (UNRWA, USA, UE, Qatar, etc.) comme bientôt les MNBC sur les nouveaux improductifs occidentaux.

Ça peut sembler caricatural mais le monde est devenu une pure parodie.

Le discours médiatico-politique sur les « crimes de guerre » et sur ses « conventions » est une farce. Les guerres ne sont pas des opérations humanitaires. Elles sont faites pour être « gagnées », donc redistribuer les cartes, à l’international et au national, aux niveaux géostratégique, économique et/ou social en éliminant au passage les gens devenus inutiles ou gênants – hier la paysannerie, aujourd’hui la main d’oeuvre sous-qualifiée. Pour participer au monde technocratique à venir, il deviendra inévitable de faire de bonnes études. Ceci permettrait notamment aux Palestiniens de travailler pour Pfizer, de recevoir un confortable salaire versé par Albert Bourla, la gratitude de Netanyahu et une garantie d’impunité totale pour un bilan bien supérieur à celui du 7 octobre.

Comme l’indiquent les presque deux millions d’arabes intégrés à la société israëlienne, ce conflit n’a que très peu à voir avec la religion, qui n’en est qu’un des instruments militarisés. En avalisant la sauvagerie – réelle ou fictive – du Hamas, les gazaouis fournissent le contre-argument parfait à la solution à deux États. Le message est qu’il n’y a pas assez de place pour la coexistence de la nouvelle hyperclasse et de gueux mal peignés, ni là, ni ailleurs.

Pour les naïfs qui me penseraient partisan, je rappelle le rôle des Black Ops israëliens dans la démolition contrôlée du WTC et le fait qu’aucune figure politique d’aucun bloc n’ait jamais, de près ou de loin, touché ce sujet, ce qui indique une méthode globale de consolidation du pouvoir à laquelle tout le monde participe d’une manière ou d’une autre, au minimum par la loi du silence. En résumé, une entreprise criminelle, avec des conséquences.

À ce sujet, je publierai un de mes articles en retard, la traduction d’une interview de Nadav Yair, instructeur militaire israëlien, très pragmatique, qui soulève la question du « Jour des Comptes ». Il a raison, je pense que 2024 sera « l’année de la facture » et vous aurez compris qui va la payer. Pour l’opération « vaccins », ceux qui ont fait confiance à leur État. La médecine de la classe moyenne – les cabinets privés des médecins – a été écartée pour laisser tout pouvoir au réseau hospitalier sous contrôle étatique, qui a servi de relais au centre mondial de commande financier, bien à l’abri, aux manettes de Big Pharma comme du pouvoir militaire. Ils échapperont ainsi une fois de plus à toute forme de justice, la seule autorisée étant celle qui s’exerce sur les gueux. Les seuls ennemis auxquels le peuple a accès sont soit des hommes de paille, soit ceux de sa propre classe, avec qui il leur faut composer selon leur degré de tolérance, sous menace de conflit familial, social ou national – la guerre civile annoncée.

Comme les injectés, comme les Palestiniens, le destin de ces idiots utiles est de finir dans le grand charnier des poubelles de l’Histoire, tandis que le monde continue son lent chemin de prétendue « prospérité », entre deux guerres fabriquées ou deux « révolutions » programmées.

Je vous laisse avec un chanteur phare de la gauche caviar, dont l’éducation classique lui a sans doute évité d’être dupe de son petit milieu. À l’instar de son mentor à qui il rend hommage, c’est un homme lucide et généreux. Il glisse ici dans la laborieuse présentation télé qu’il faut donner aux enfants le goût des bonnes chansons. Rien n’est plus vrai. Apprenez-leur celle-ci par coeur, ça leur servira.

Contre quoi nous nous battons – par Toby Rogers.

Pour bien terminer l’année, voilà un excellent point de la situation, bref et percutant, par Toby.

Je reviens demain – normalement – pour la suite, avec, promis, une conclusion plus optimiste.

Source.


Contre quoi nous nous battons

La médecine allopathique occidentale est devenue une gigantesque machine de mort, qui sert à piller toutes les richesses personnelles dans les pays développés

Toby Rogers

29 déc. 2023

Le Complexe Industriel Pharmaceutique fonctionne de la manière suivante: imaginez une femme de 60 ans. Elle dispose d’un million de dollars dans un plan de retraite 401(k) [NdT. système d’épargne retraite par capitalisation très largement utilisé aux États-Unis] et d’un autre million de dollars en capital propre dans la maison qu’elle partage avec son mari. Si Pharma parvient à convaincre cette femme de recevoir une injection Covid chaque année, [Pharma] a de grandes chances de lui voler l’intégralité de son patrimoine.

L’injection ne génère qu’une centaine de dollars de revenus pour Pharma. Mais la femme développe bientôt une maladie auto-immune, une myocardite, ou subit un accident vasculaire cérébral (AVC). Elle fait des séjours répétés à l’hôpital et consulte une série ininterrompue de spécialistes qui lui prescrivent des centaines d’examens inutiles et une quantité croissante de médicaments coûteux. Son état s’aggrave lentement et d’autres maladies chroniques apparaissent (diabète, cancer et/ou démence).

Au début, son assurance couvre une partie des coûts. Puis c’est le gouvernement qui prend en charge une partie de ces coûts. Mais au fur et à mesure que son état de santé se détériore, la famille épuise ses économies. Elle liquide son plan de retraite 401(k), puis celui de son mari. Le mari finit par vendre la maison pour régler la facture d’autres traitements inefficaces.

Après dix ans de maladie, elle meurt et la famille se dit « qu’elle a reçu les meilleurs soins ». Mais ils se retrouvent à présent endettés et sans plus aucun actif. Un homme malveillant qui aurait kidnappé cette famille et l’aurait forcée à travailler dans une mine de sel n’aurait pas réussi à récolter autant de richesses que l’industrie pharmaceutique, lorsqu’elle encourage cette femme à recevoir chaque année une injection Covid (ainsi que des vaccins contre la grippe, le VRS, la pneumonie et le zona), toutes de la science bidon.

Maintenant, multipliez ce crime par les 270 millions d’Américains qui ont reçu des injections Covid et par les 5,5 milliards de personnes dans le monde qui ont reçu des injections Covid, et vous commencez à réaliser l’énormité de ce à quoi nous sommes confrontés. Il s’agit du plus grand crime de l’histoire de l’humanité, il est en cours, et l’objectif de Pharma est littéralement de voler toute la richesse accumulée de l’ensemble du monde industrialisé.

Les cancers agressifs observés sont le SYMPTÔME d’une maladie de l’ADN induite par la protéine de pointe – par Walter M Chesnut.

Je profite des vacances pour liquider pas mal d’articles en attente, qui occuperont ceux qui n’ont rien à faire de mieux et me serviront pour rédiger les miens.

Un papier de ce bon Dr Chestnut, toujours à la pointe de la recherche sur vous savez quoi.

Petit lexique (avec lien vers article complet sur Wiki)

Syncytium (pl. syncytia): En biologie, un syncytium (du grec ancien σύν / sýn, « ensemble » et κύτος / kytos, « cavité, cellule ») est une cellule (appelée cénocyte ou cœnocyte) provenant de la fusion de plusieurs cellules.

Aneuploïdie: L’aneuploïdie caractérise une cellule qui ne possède pas le nombre normal de chromosomes.

Tétraploïdie (voir Ploïdie): La ploïdie est le nombre d’exemplaires, dans une cellule donnée ou dans les cellules d’un organisme, de jeux complets des chromosomes du génome de ce type d’organisme. […] elle est polyploïde si elle possède au moins 3 jeux: triploïde (3 n chromosomes), tétraploïde (4 n chromosomes), etc.

Mésenchyme: Le mésenchyme est un tissu de soutien embryonnaire à l’origine de diverses formes de ces tissus chez l’adulte.

Chromatine: La chromatine est la structure au sein de laquelle l’ADN se trouve empaqueté et compacté dans le volume limité du noyau des cellules eucaryotes.

Source.


Les cancers agressifs observés sont le SYMPTÔME d’une maladie de l’ADN induite par la protéine de pointe

Les propriétés de formation de syncytia de la protéine de pointe induisent l’aneuploïdie – une cause DIRECTE de cancers

Walter M Chesnut

26 oct. 2023

Représentation schématique de l’effet possible de l’infection par le SARS-CoV-2 (COVID-19) sur le cerveau dans le contexte de l’instabilité du génome (chromosome) liée au vieillissement. L’analyse de l’interactome de l’infection par le SARS-CoV-2 a mis en évidence un certain nombre de voies potentiellement modifiées par le virus, qui sont énumérées au bas de la figure.

Peu avant la pandémie, un article a été publié qui démontrait que la fusion cellulaire est un intermédiaire vers l’aneuploïdie et l’instabilité chromosomique. L’importance de ce phénomène réside dans le fait qu’il s’agit d’un phénomène ONCOGÉNIQUE.

On considère que l’oncogenèse résulte de l’instabilité chromosomique, en plus des altérations des oncogènes et des suppresseurs de tumeurs. Intermédiaire à l’aneuploïdie et à l’instabilité chromosomique, le doublement du génome est un événement fréquent dans le développement des tumeurs, mais les mécanismes de la tétraploïdisation et son impact restent inexplorés. La fusion cellulaire, l’une des voies de la tétraploïdie, est un processus physiologique impliqué dans la différenciation des cellules mésenchymateuses. Outre le simple doublement du génome, la fusion cellulaire entraîne la fusion de deux génomes différents qui peuvent être déstabilisés lors de la prolifération. En testant si la fusion cellulaire est impliquée dans l’oncogenèse mésenchymateuse, nous apportons la preuve qu’elle induit une instabilité génomique et favorise l’initiation de la tumeur. Après une période de latence, la tumeur émerge avec les cellules les plus adaptées à son développement. De plus, les génomes des tumeurs hybrides sont stabilisés après ce processus de sélection et sont très proches de ceux des tumeurs mésenchymateuses pléomorphes humaines. Ainsi, la restructuration du génome déclenchée par la fusion cellulaire peut expliquer l’instabilité chromosomique impliquée dans l’oncogenèse.

L’instabilité chromosomique induite par la fusion favorise des schémas d’aneuploïdie qui ressemblent aux tumeurs humaines.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31270395/

L’un des dangers les plus sous-estimés et les moins discutés de la protéine de pointe pathogène du SARS-CoV-2 est sa capacité à provoquer une abondance de ce type de fusion cellulaire. L’article suivant donne une bonne mise en garde. Et, oui, ce phénomène a été mis en cause dans les vaccins.

Bien que les rapports publiés sur le COVID-19 traitent des grandes syncytia, car ces cellules sont les produits les plus visibles de la fusion cellulaire en raison de leur taille et de leurs nombreux noyaux (elles sont donc souvent appelées cellules géantes multinucléées), elles ne sont pas le seul résultat de la fusion cellulaire. La fusion cellulaire peut produire des cellules binucléaires ou trinucléaires, qui sont souvent plus abondantes dans les systèmes expérimentaux que les grandes syncytia, mais qui pourraient passer inaperçues dans les tissus humains. Même si elles sont remarquées, elles peuvent ne pas être attribuées à la fusion cellulaire parce qu’il peut être difficile, voire impossible, avec les outils disponibles, de les distinguer de manière fiable des cellules binucléaires produites par une mitose ratée dans les tissus humains [58].

Un syncytium, surtout s’il n’a que deux ou trois noyaux, peut entrer en mitose pour produire des cellules filles mononucléées. Ces mitoses sont souvent multipolaires et sont donc susceptibles de produire des cellules aneuploïdes avec des aberrations chromosomiques, ajoutant une autre couche de caractéristiques anormales à la progéniture de la fusion cellulaire [59, 60]. Ces anomalies peuvent être particulièrement importantes pour les patients COVID-19 atteints de lésions néoplasiques, car les aberrations chromosomiques contribuent à la progression tumorale [61, 62], tout comme les anomalies épigénétiques trouvées dans les produits de la fusion cellulaire.

La fusion cellulaire en tant que lien entre la protéine de pointe du SARS-CoV-2, les complications du COVID-19 et les effets secondaires du vaccin
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8664391/

Ceci est également lié aux effets neurodégénératifs de la protéine de pointe et du SARS-CoV-2.

Les variations génomiques spécifiques au cerveau [y compris l’aneuploïdie (perte/gain de chromosomes entiers) et les mutations monogéniques] sont associées à un large spectre de maladies cérébrales à déclenchement tardif (Yurov et al., 2010; Rohrback et al., 2018; Iourov et al., 2021). Plus important encore, l’instabilité chromosomique est un médiateur de la neurodégénérescence (Iourov et al., 2009; Rohrback et al., 2018; Yurov et al., 2019). Plusieurs voies moléculaires ont été associées à l’instabilité chromosomique dans le cerveau en neurodégénérescence, notamment les erreurs du cycle cellulaire neuronal, la mauvaise ségrégation chromosomique et la sénescence cellulaire (Bajic et al., 2015; Caneus et al., 2018; Martínez-Cué et Rueda, 2020). Ces processus sont intimement liés au vieillissement aux niveaux moléculaire, cellulaire et tissulaire. Par exemple, le vieillissement prématuré est associé à des taux accrus d’instabilité des chromosomes et du génome. Le vieillissement naturel est associé à l’accumulation et à la propagation des variations du génome somatique (par exemple, l’aneuploïdie) et à l’instabilité du génome. Les altérations du maintien de la stabilité du génome peuvent provoquer des maladies cérébrales liées au vieillissement ou des manifestations précoces de maladies neurodégénératives à révélation tardive (Yurov et al., 2010; Andriani et al., 2017; Zhang et Vijg, 2018; Iourov et al., 2021). En outre, la régulation de l’ADN et l’organisation de la chromatine peuvent affecter la stabilité du génome en modifiant l’expression des gènes impliqués dans les voies décrites à la figure 1. Étant donné que les interactions entre le SARS-CoV-2 et les protéines impliquées dans les voies de maintien de la stabilité du génome peuvent contribuer à la propagation de l’instabilité du chromosome/génome, l’infection par le coronavirus est susceptible de provoquer des anomalies neurocomportementales, une neurodégénérescence (par exemple, la maladie d’Alzheimer) et une détérioration prématurée du cerveau.

COVID-19 et instabilité du génome (chromosome) liée au vieillissement dans le cerveau: Une autre bombe à retardement possible de l’infection par le SARS-CoV-2
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fnagi.2022.786264/full

J’avais émis cette hypothèse en avril 2021. Toutefois, à l’époque, je n’avais pas encore élucidé le mécanisme de manière définitive.

Il est très probable que le SARS-CoV-2 prenne le Rembrandt qu’est notre génome unique et, comme autant de gremlins joyeusement maléfiques, déplace les molécules de peinture une à une, laissant derrière lui un Jackson Pollock dysfonctionnel.

En effet, il est possible de démontrer graphiquement ce que ces syncytia peuvent faire à nos génomes.

La coloration des chromosomes avec différents colorants met en évidence la nature ordonnée du caryotype humain normal (à gauche), c’est-à-dire que les humains ont exactement deux copies de chaque chromosome, sans aucun reste. Une cellule cancéreuse de la vessie (à droite) présente des copies supplémentaires de certains chromosomes, quelques chromosomes normaux manquants et de nombreux chromosomes hybrides ou marqueurs, qui caractérisent les cellules cancéreuses.

Et, ne voyez-vous pas?

« On commence par une mutation chromosomique, c’est-à-dire une aneuploïdie due peut-être aux rayons X, à la cigarette ou aux radiations, qui déstabilise et finit par modifier le caryotype ou le rendre non viable », explique-t-il. « Les rares aneuploïdies viables des cancers sont, en fait, les caryotypes de nouvelles espèces.

Les cancers sont-ils des espèces nouvellement évoluées?
https://vcresearch.berkeley.edu/news/are-cancers-newly-evolved-species

Hormis l’intérêt que certains peuvent porter aux implications de « nouvelles espèces », mon propos est beaucoup plus concret. En ce qui concerne l’exposition aux protéines de pointe, il ne s’agit pas d’un rayon X ou du soleil qui frappe notre peau. Dans certains cas, ce sont des TRILLIONS de ces protéines qui provoquent l’aneuploïdie.

Nous avons affaire à une protéine qui peut transformer notre génome en un Jackson Pollock. Il faut repenser les choses. Le cancer n’est pas tant une séquelle d’une infection qu’un SYMPTÔME d’une maladie de l’ADN.

Faut-il s’étonner que nous observions des cancers agressifs endémiques?

Je poursuivrai mes travaux et mes recherches thérapeutiques pour traiter cette propriété pathogène de la protéine de pointe. Comme toujours, je vous remercie pour votre soutien constant. Vous êtes le vent qui souffle sous mes ailes.

Vaccination Covid obligatoire pour les bébés brésiliens.

On citait dans l’article précédent le serial killer communiste à la tête du gouvernement brésilien, Luiz Inácio Lula da Silva. On peut également ajouter ceci à son brillant palmarès: la solution au problème de la pauvreté dans le pays. La vidéo où il se fait injecter de l’eau salée, je suppose – on est jamais trop prudent – est particulièrement édifiante.

Deux articles sur le sujet qui se complètent assez bien – il y a juste deux fois la même citation.

PS: j’ai traduit en français plus ou moins correct son babil de crétin analphabète.

PPS: j’ai un souci de santé qui me cloue à la maison, je vais donc en profiter pour publier.

Source du premier, source du deuxième.


Le Brésil va forcer les enfants à se faire vacciner contre le COVID

Martin Armstrong

10 novembre 2023

Je vous avais conseillé de porter votre regard sur le Brésil en 2024, et ce pour plusieurs raisons. Luiz Inácio Lula da Silva, connu sous le nom de Lula, est une marionnette du Forum Économique Mondial. À l’instar de ce qui s’est passé aux États-Unis, le Brésil est passé d’un « président de droite radicale » à une marionnette mondialiste installée. Lula soutient toutes les causes du FEM, du changement climatique à l’élimination de la monnaie telle que nous la connaissons. En 2010, Lula est intervenu lors d’un événement pour déclarer « la nécessité d’établir un nouvel ordre économique international, plus juste et plus démocratique« .

Nous savons maintenant que les vaccins COVID inefficaces n’étaient qu’un outil de contrôle de la population et d’adaptation des masses à des lois qui violent leur autonomie corporelle. Ainsi, en 2024, le Programme National d’Immunisation brésilien (PNI) rendra obligatoire le vaccin COVID. « Pendant la pandémie, un programme distinct a été mis en place pour distribuer le vaccin COVID-19 en dehors de notre programme national. Cette année, nous intégrons ce vaccin dans le programme national de vaccination », a expliqué Ethel Maciel, Secrétaire à la santé et à la surveillance de l’environnement au Ministère de la Santé.

Le Brésil a en fait élargi les recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé, les qualifiant de « limitées ». Bolsonaro a hésité à vacciner la population et a été publiquement humilié pour avoir suggéré des traitements alternatifs comme l’ivermectine. Lula a veillé à ce que la majorité des Brésiliens se fassent vacciner, 82% de la population ayant reçu au moins deux doses. Les parents étaient réticents à faire vacciner leurs enfants en raison de ce que les médias ont appelé « la campagne de désinformation de Bolsonaro », et le vaccin COVID sera donc inclus dans les vaccinations annuelles obligatoires. Les bébés de six mois devraient recevoir le vaccin. La dernière campagne vise spécifiquement les enfants de moins de 5 ans, et le Ministère de la Santé a lancé une campagne massive dans tout le pays pour promouvoir ce poison.

Si on ne peut pas faire de choix relatifs à la santé de son enfant, c’est qu’on ne vit pas dans un pays libre.


Le Brésil rend obligatoire le vaccin COVID-19 pour les enfants

La vaccination des enfants requise pour bénéficier de l’aide sociale

Yudi Sherman

1er novembre 2023

Le Ministère de la Santé brésilien a annoncé mardi que le vaccin COVID-19 serait désormais ajouté au Programme National de Vaccination (PNI) annuel obligatoire pour les enfants.

L’administration Lula donnera la priorité aux enfants âgés de six mois à cinq ans pour les vaccins, rapporte Gazeta Brasil.

« Pendant la pandémie, un programme parallèle a été créé pour rendre opérationnel le vaccin Covid-19, en dehors de notre programme national », a déclaré Ethel Maciel, secrétaire à la santé et à la surveillance de l’environnement au Ministère de la Santé. « Cette année, nous avons intégré le vaccin contre le Covid-19 dans le programme national de vaccination. Le vaccin est désormais recommandé dans le calendrier des enfants. Pour tous les enfants nés ou séjournant au Brésil, âgés de 6 mois à moins de 5 ans, le vaccin devient obligatoire dans le calendrier de vaccination ».

Les parents d’enfants non vaccinés se verront refuser l’aide sociale et pourront être soumis à des amendes, rapporte Revista Oeste. Les enfants non vaccinés se verront refuser l’accès aux écoles.

Le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva s’est montré ouvertement totalitaire à l’égard des vaccins, qu’il a qualifiés de « garantie de vie », et a accusé les parents qui ne vaccinent pas leurs enfants de ne pas les aimer.

« Pour l’amour de Dieu, nous ne pouvons pas être ignorants au point de penser qu’il ne vaut pas la peine de se faire vacciner », a déclaré Lula. « Je ne cesse de me demander quel genre d’amour porte cette mère à ses enfants pour ne pas s’occuper d’eux au moment le plus important, celui où ils peuvent être vaccinés et éviter une maladie plus délicate dans leur vie », a-t-il ajouté.

En janvier, peu après avoir pris ses fonctions pour la troisième fois, Lula a annoncé qu’il subordonnerait le programme d’aide sociale brésilien Bolsa Familia à la vaccination des enfants. Bolsa Familia fournit une aide sociale aux familles brésiliennes qui ont des enfants jusqu’à leurs 17 ans et qui vivent dans la pauvreté ou l’extrême pauvreté.

« La Bolsa Familia revient, et elle revient avec quelque chose d’important : elle revient avec des conditions. Les enfants doivent aller à l’école. S’ils ne vont pas à l’école, la mère perd le bénéfice de l’allocation », a déclaré Lula. « Les enfants doivent être vaccinés. Supposons qu’ils n’aient pas de certificat de vaccination. Dans ce cas, la mère perd le bénéfice de l’allocation ».

En décembre, Lula a promis d’utiliser le pouvoir de sa fonction pour obliger les opposants au vaccin COVID-19 à s’excuser.

« Nous ne pouvons pas, à la hâte, penser que nous allons annoncer le vaccin et que les gens iront le prendre. Non. Les gens doivent être à nouveau convaincus de l’efficacité du vaccin, et nous allons devoir demander des excuses à un grand nombre de personnes qui se sont opposées au vaccin », a déclaré M. Lula, selon CNN Brasil.

M. Lula, qui pratique la religion officielle du Brésil, le catholicisme, a également promis de s’attaquer aux églises évangéliques et de les confronter à leur position sur les injections.

« Je compte au moins me rendre dans plusieurs églises évangéliques et discuter avec leurs dirigeants de la question suivante: « Quel est votre comportement en ce qui concerne la question des vaccins? Sinon, nous vous tiendrons pour responsables de la mort de certaines personnes », a déclaré M. Lula.

En avril, le Ministère de la Santé brésilien a exigé du Conseil Fédéral de Médecine (CFM) des mesures contre les experts en santé qui n’acceptent pas tous les vaccins, ce qu’il a qualifié de « négationnisme ». Le ministère a affirmé que des informations erronées ont été propagées par des professionnels dans tous les domaines de la santé et que « l’hésitation face aux vaccins a causé du tort à la population ».

Pour étayer ses propos, le ministère a cité l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), qui a déterminé que l’hésitation vaccinale était l’une des dix plus grandes menaces pour la santé mondiale.

Les injections d’ARN auto-amplifiant arrivent: le danger inavoué – par Klaus Steger.

Un article tiré de Epoch Times, qui est essentiellement une publication (virtuelle) anti-communisme chinois et un dépliant publicitaire permanent pour Trump, dont, à propos et à mon humble avis, la réinvestiture ne fait plus le moindre doute. J’y reviendrai.

Quoique moins amusant que le précédent, l’article est scientifiquement mieux détaillé – son auteur n’est pas n’importe qui – et reprend en plus des infos déjà développées précédemment sur ce blog, qui pourront éventuellement servir aux néophytes.

Note de traduction: je n’ai pas pu confirmer l’abréviation française de ARN modifié en « ARNmod », je vous la livre donc telle quelle. L’abréviation anglaise, « modRNA » est évidemment la raison d’être du nom de Moderna. L’abréviation de ARN auto-amplifiant en « ARNa » est exacte.

Source.


Les injections d’ARN auto-amplifiant arrivent: le danger inavoué

Klaus Steger

29 novembre 2023

La prochaine génération d’injections à base d’ARN contiendra de l’ARN auto-amplifiant (ARNa). Si le terme « ARN auto-amplifiant » semble effrayant, c’est qu’il devrait l’être. Il évoque sans doute des images d’expériences scientifiques échappant à tout contrôle.

Comme nous l’avons vu dans un article précédent, les « vaccins à ARNm » ne sont pas fabriqués avec de l’ARN messager, mais avec de l’ARN modifié (« ARNmod »). Ces prétendus vaccins sont en fait des produits de thérapie génique (PTG), car l’ARNmod modifie le logiciel de nos cellules. Nous n’avons aucune possibilité d’influencer l’ARNmod (ou l’ARNa) une fois qu’il a été injecté.

Qu’est-ce qui distingue l’ARNa de l’ARNmod?

Le terme « auto-amplifiant » est explicite: l’ARNa se réplique de manière répétée, ce qui n’est pas naturel, puisque l’ARNm naturel est toujours (sans exception) transcrit à partir de l’ADN (c’est ce qu’on appelle le « dogme central de la biologie moléculaire »).

Par rapport à l’ARNmod, une petite quantité d’ARNa entraîne une augmentation de la quantité d’antigènes produits; une injection d’ARNa peut suffire à générer suffisamment d’anticorps contre un virus.

L’ARNa et l’ARNmod constituent tous deux le plan d’une protéine virale qui, après avoir pénétré dans nos cellules, sera produite par notre machinerie cellulaire (c’est-à-dire les ribosomes).

Les scientifiques ont créé la séquence ARNmod génétiquement modifiée en remplaçant les uridines naturelles par des méthyl-pseudouridines synthétiques afin de générer une quantité maximale d’antigène viral. Cette modification est à la base des vaccins COVID-19 de Pfizer-BioNTech et de Moderna.

Contrairement à l’ARNmod, l’ARNa ne contient pas de méthyl-pseudouridines, mais des uridines. Pourquoi? Étant donné que l’ARNa se réplique lui-même et que les méthyl-pseudouridines synthétiques ne sont pas disponibles dans nos cellules, l’ARNa doit s’appuyer sur les uridines naturelles qui existent dans nos cellules. Nos cellules produiront des protéines étrangères en utilisant leur propre machinerie cellulaire et leurs propres ressources naturelles – la principale raison pour laquelle ces cellules finissent par s’épuiser.

Cependant, cela pose un problème important: l’ARNm est très instable et n’a donc qu’une courte durée de vie, trop courte pour que notre système immunitaire produise suffisamment d’anticorps. La solution à ce problème est la deuxième différence entre l’ARNmod et l’ARNa.

Contrairement à l’ARNmod, l’ARNa contient une séquence supplémentaire pour la réplicase, car l’ARNa détruit (par les RNases) doit être remplacé par un nouvel ARNa.

Étant donné que l’ARNm naturel ne se répliquera jamais de lui-même, l’ARNa constitue sans aucun doute un ARN génétiquement modifié (ARNmod).

En d’autres termes, l’ARNa n’est qu’un autre type d’ARN modifié.

Pourquoi passer à l’ARNa?

L’ARNa est la solution politique: la même quantité (ou même plus) d’antigène en une seule injection! On expliquera probablement au public qu’en raison des mutations régulières du virus, des injections de rappel [boosters] annuelles adaptées continueront d’être nécessaires.

De nombreuses études précliniques et cliniques appliquant la technologie de l’ARNa ont déjà été entreprises. Une revue publiée en 2023 dans le journal Pathogens présente les vaccins à ARNa comme des « vaccins à ARNm améliorés ». La revue Vaccines a publié un résumé de cinq années de résultats d’études sur l’ARNa. Une fois les études cliniques requises terminées, l’utilisation de ces nouveaux vaccins pourra être approuvée. On peut s’attendre à ce que ce processus soit aussi rapide que pour les vaccins COVID-19. Le processus d’approbation sera simplifié, car on pourrait faire valoir que la technique (ARNmod dans des nanoparticules lipidiques) est déjà approuvée et que seule la séquence de l’ARNmod est différente. Par conséquent, ces nouveaux vaccins à ARNa pourraient être injectés à tout moment à un public non averti.

Alors que BioNTech a réalisé des expériences avec l’ARNa (BNT162c2) mais s’est finalement concentré sur l’ARNmod (BNT162b2), Arcturus Therapeutics a été le premier à annoncer (en 2022) que son candidat vaccin COVID-19 ARCT-154 à ARNa – aujourd’hui le vaccin ARNa le plus avancé dans les essais – a atteint le critère d’efficacité primaire dans une étude de phase 3.

Dans l’étude d’Arcturus Therapeutics, les participants ont reçu deux doses, chacune contenant 5 microgrammes d’ARNa. C’est beaucoup moins que les concentrations d’ARNmod utilisées par Pfizer-BioNTech (30 microgrammes par injection) et Moderna (100 microgrammes par injection).

Les injections d’ARNa ne résoudront pas les problèmes posés par les injections d’ARNmod

Comme nous l’avons découvert avec l’ARNmod, la protéine de pointe est un poison pour notre organisme. Nous savons que l’ARNmod entraîne la production d’une plus grande quantité de protéine de pointe que celle qui serait disponible lors d’une infection naturelle, et nous savons que des injections répétées entraînent une tolérance immunitaire.

Par rapport à l’ARNmod, une petite quantité d’ARNa entraîne une augmentation de la quantité d’antigènes produits.

La « dose » d’antigène viral produite par les vaccins actuels et futurs à base d’ARN varie considérablement d’un individu à l’autre, en fonction du type de cellule produisant l’antigène désiré, de la prédisposition génétique, des antécédents médicaux et d’autres facteurs. Ce seul fait devrait interdire l’utilisation d’injections à base d’ARN comme vaccins pour les personnes en bonne santé.

Un autre pas en avant douteux: de l’ARNa linéaire à l’ARNa circulaire

Les enzymes dégradant l’ARN (RNases) étant connues pour agir aux deux extrémités de l’ARN linéaire, les scientifiques ont essayé d’empêcher ces enzymes de faire leur travail naturel – dégrader les ARNm qui ne sont plus nécessaires – et ont créé un ARN circulaire. Cela a permis d’accroître la stabilité et l’efficacité de la traduction, puis la production d’une quantité accrue de l’antigène désiré.

Mais s’agit-il vraiment d’un nouveau pas en avant? Considérons l’effet négatif de la présentation prolongée d’antigènes. En raison de l’augmentation des niveaux d’antigène, une injection d’ARNa – qu’il soit linéaire ou circulaire – peut entraîner des effets indésirables comparables à des injections répétées (de rappel) d’ARNmod.

La présentation à long terme d’un antigène est connue pour provoquer une tolérance immunitaire

Après avoir été vacciné, notre corps produit des anticorps, principalement des immunoglobulines G (IgG), comprenant des IgG1 et des IgG4.

Les personnes vaccinées présentent un changement de classe d’anticorps à partir de la troisième injection COVID-19 (le premier rappel ou booster). Ils passent des anticorps IgG1 inflammatoires (qui combattent la protéine de pointe) aux anticorps IgG4 non inflammatoires (qui tolèrent la protéine de pointe). Des niveaux élevés d’anticorps IgG4, à long terme, épuisent le système immunitaire, provoquant une tolérance immunitaire. Cela peut expliquer les « percées » de COVID-19, la réduction de la réponse immunitaire à d’autres infections virales et bactériennes et la réactivation d’infections virales latentes. Cela peut également être à l’origine de maladies auto-immunes et d’une croissance incontrôlée du cancer.

Notamment, les réponses IgG4 à long terme ont été associées de manière significative aux injections à base d’ARN, alors que les personnes ayant contracté une infection par COVID-19 avant la vaccination n’ont pas présenté d’augmentation des niveaux d’IgG4, même lorsqu’elles ont reçu une injection après l’infection.

Cette observation discrédite clairement la politique de l’Organisation Mondiale de la Santé selon laquelle – en supposant que les gens n’ont pas d’immunité contre les nouveaux virus (ignorant complètement la réalité de l’immunité croisée) – les gens devraient être vaccinés avant qu’ils n’entrent en contact avec le virus.

Les injections à base d’ARN sont reconnues comme des produits de thérapie génique

De manière incompréhensible, les injections à base d’ARN destinées à protéger contre les maladies infectieuses ont été appelées « vaccins », ce qui a permis de les exclure de la réglementation stricte applicable aux produits de thérapie génique (PTG). Une fois de plus, cela s’est produit sans fournir au public la moindre justification scientifique.

Les détails des questions réglementaires relatives aux vaccins à base d’ARN font l’objet d’excellentes analyses exhaustives par Guerriaud & Kohli et Hélène Banoun.

En 2014, Uğur Şahin, déjà PDG de BioNTech, a coécrit un article publié dans Nature sur le développement d’une nouvelle classe de médicaments, les « thérapies à base d’ARNm ». Les auteurs ont écrit: « On s’attendrait à ce que la classification d’un médicament à base d’ARNm soit un produit biologique, une thérapie génique ou une thérapie cellulaire somatique. »

En 2021, l’auteur d’une correspondance publiée dans Genes & Immunity a décrit les vaccins à base d’ARN créés par Moderna et Pfizer-BioNTech comme « une percée dans le domaine de la thérapie génique » et « une grande opportunité pour la FDA et l’EMA de réviser le pipeline de développement des médicaments afin de le rendre plus flexible et moins long ».

Deux éléments d’information inquiétants viennent d’être révélés:

  • L’ADN contaminant résulte du changement de procédé de fabrication opéré par Pfizer-BioNTech après la fin de l’essai clinique C4591001 sur le BNT162b2 (Comirnaty). Initialement (processus 1), l’ARNmod de Pfizer-BioNTech était produit par transcription in vitro à partir d’ADN synthétique et amplifié par PCR (réaction en chaîne de la polymérase). Cependant, pour augmenter la production (voir les réponses rapides à cette étude du BMJ), l’ADN codant pour l’ARNmod a été cloné dans des plasmides bactériens (processus 2). En d’autres termes, l’essai clinique a été réalisé avec des lots du processus 1, mais les populations du monde entier ont reçu des lots du processus 2.

Cela signifie que les personnes qui ont consenti à être vaccinées se sont vu injecter une substance différente de celle qui avait été approuvée par les organismes de réglementation et à laquelle elles avaient consenti.

Il est désormais irréfutable que les injections de COVID-19 à base d’ARN contiennent de l’ADN.

La technologie à base d’ARN – en particulier lorsqu’elle est appliquée comme vaccin à des individus sains – est injustifiable et contraire à l’éthique. Indépendamment du nombre tragique d’effets indésirables ou de taux de mortalité excessifs, c’est la technique qui est en cause, et les mêmes problèmes se poseront pour tous les futurs « vaccins » à base d’ARN.

  1. La technologie des « vaccins » à base d’ARN va à l’encontre de l’idée centrale de l’évolution au cours des derniers millions d’années. Alors que l’ARNmod et l’ARNa injectés produisent des antigènes sans discontinuer, la courte durée de vie de l’ARN messager naturel (ARNm) est en fait une condition préalable à des fonctions cellulaires saines et spécifiques. (La courte durée de vie de l’ARNm permet à nos cellules de s’adapter aussi rapidement que possible à des circonstances changeantes et d’éviter la production de protéines inutiles).
  2. Le principe de la technologie des « vaccins » à base d’ARN, selon lequel toutes les cellules de notre corps doivent produire une protéine virale étrangère, va à l’encontre des principes biologiques fondamentaux, comme la distinction entre nos propres cellules et les envahisseurs étrangers, et aura pour conséquence que notre système immunitaire attaquera nos propres cellules.
  3. L’ARN peut être transcrit à l’envers en ADN même sans la présence de (l’enzyme) transcriptase inverse (c’est-à-dire par des éléments LINE1 présents dans notre génome/ADN). La contamination par de l’ADN (dans les vaccins à base d’ARN) est la règle plutôt que l’exception. Comme l’ARN et l’ADN peuvent tous deux être intégrés dans le génome humain, les soi-disant « vaccins » basés sur la technologie de l’ARN sont en fait des produits de thérapie génique.

Il n’est en aucun cas justifié de soumettre à des contrôles stricts les PTG à base d’ARN destinés à un usage médical, mais d’exclure de ces réglementations les PTG à base d’ARN, appelés vaccins, même s’ils sont destinés à la majeure partie de la population humaine. Même en cas d’urgence, personne ne devrait être contraint de se faire injecter une substance quelconque, et encore moins par des hommes politiques.

Qu’est-ce que le COVID-19 nous a appris sur la science, la politique et la société?

Pendant de nombreuses années, les scientifiques ont rêvé de manipuler le « logiciel » humain, c’est-à-dire l’ADN ou l’ARN. D’un point de vue éthique, la manipulation de l’ADN a toujours été taboue. Rétrospectivement, le COVID-19 pourrait marquer l’avènement des « vaccins » à base d’ARN et la fin du tabou de la manipulation de l’ADN humain.

Dans un commentaire publié en 2023 dans le Journal of Evaluation in Clinical Practice, les auteurs écrivent que dès les premiers jours de la pandémie, il était évident que certains scientifiques influents et leurs alliés politiques diabolisaient les points de vue scientifiques divergents et les preuves offrant une seconde opinion. En dépit de preuves contradictoires, les responsables politiques nationaux « ont assuré le public qu’ils adoptaient les politiques relatives au COVID-19 en « suivant la science ». Cependant, le consentement scientifique n’a été obtenu qu’en supprimant le débat scientifique.

N’oubliez pas: lorsque les questions sont autorisées, c’est de la science; lorsqu’elles ne le sont pas, c’est de la propagande.

De soi-disant « experts » choisis par les politiciens nous ont dit que nous devions être vaccinés pour pouvoir combattre un nouveau virus respiratoire. Cela contredit la science du système immunitaire humain. Notre système immunitaire est dynamique et peut éliminer un virus qu’il n’a jamais rencontré; il peut également développer une immunité croisée pour identifier des variants, même si le virus mute. Cependant, comme les vaccins à base d’ARN ne produisent qu’un seul antigène, notre système immunitaire est privé de la possibilité de développer une immunité croisée contre les variants du virus. Cela s’applique en particulier aux virus respiratoires qui présentent un taux de mutation élevé. À long terme, cela entraînera une augmentation de la fréquence et de la gravité des maladies infectieuses. Les responsables politiques soucieux de protéger la population contre les infections futures seraient donc bien inspirés de proposer des programmes de santé qui renforcent le système immunitaire avant les infections saisonnières.

Les scientifiques n’ont pas la moindre idée de la manière de diriger l’ARNmod ou l’ARNa vers un type de cellule spécifique ou de la manière d’arrêter la traduction de l’ARN administré. Cependant, ils continuent d’étudier la manière d’augmenter la stabilité de l’ARN injecté et la quantité d’antigènes générés. Le développement actuel de la technologie des vaccins à base d’ARN rappelle le poème « L’apprenti sorcier », écrit par le poète allemand Johann Wolfgang von Goethe il y a plus de 200 ans:

« Les esprits, que j’ai négligemment élevés, ne sont pas envoûtés par mon pouvoir. »


Klaus Steger – Auteur (Ph.D.)

Klaus Steger, docteur en biologie moléculaire, concentre ses recherches sur la régulation génétique et épigénétique de l’expression des gènes au cours du développement normal et aberrant des spermatozoïdes. Au cours des 30 dernières années, ses projets de recherche ont été continuellement financés par la Fondation allemande de la recherche, tandis qu’il dirigeait plusieurs laboratoires de technologie génétique appliquant régulièrement des technologies basées sur l’ARN. Il a été professeur d’anatomie et de biologie cellulaire à l’université de Giessen, en Allemagne, pendant 23 ans avant de prendre sa retraite cette année. Il est titulaire d’un doctorat en sciences naturelles de l’université de Ratisbonne.

Les injections à venir: le Japon approuve de nouveaux vaccins Covid sur base des données relatives aux anticorps – par Guy Gin.

Deux articles sur ce sujet – voici le premier et le plus amusant.

Source.


Les injections à venir: le Japon approuve de nouveaux vaccins Covid sur base des données relatives aux anticorps

Guy Gin

30 nov. 2023

De l’ARNm maison

Après s’être fait injecter pendant des années de l’ARNm fabriqué à l’étranger, les Covidiens japonais patriotes vont enfin avoir la possibilité d’introduire dans leur circulation sanguine des nanoparticules lipidiques de fabrication nationale. D’après NHK World.

Un groupe d’experts du Ministère japonais de la santé a déclaré qu’un vaccin contre le coronavirus mis au point par Daiichi Sankyo pouvait être utilisé pour les inoculations au Japon. Il s’agirait du premier vaccin COVID fabriqué au Japon et utilisable dans la pratique.

Seriez-vous surpris d’apprendre que la majorité des membres du panel porte encore des masques?

Le groupe d’experts s’est réuni lundi. Les experts ont déclaré qu’ils confirmaient l’efficacité du vaccin et qu’ils n’avaient aucune inquiétude sérieuse quant à sa sécurité.

Banzaï! Malheureusement, l’article ne donne aucun détail sur l’efficacité que les experts ont apparemment confirmée. Heureusement, Daiichi-Sankyo avait déjà publié un communiqué de presse annonçant joyeusement que le critère principal avait été atteint dans l’essai de phase 3 de son vaccin Covid (DS-5670). Le DS-5670 a-t-il donc atteint une efficacité de 95%, comme ceux de Pfizer/BioNTech et de Moderna ?

Les principaux critères d’évaluation de l’essai de vaccination de rappel [boosters] étaient la moyenne géométrique du titre d’anticorps neutralisants dans le sang et la réponse immunitaire contre le SARS-CoV-2 (sous-variant omicron BA.5) quatre semaines après la vaccination expérimentale. Les résultats sur les critères d’évaluation dans le groupe DS-5670 étaient plus élevés que ceux du groupe témoin (vaccin bivalent adapté à l’omicron et approuvé au Japon), démontrant statistiquement la non-infériorité du DS-5670.

En d’autres termes, le DS-5670 a produit plus d’anticorps contre le BA.5 que le vaccin bivalent de Pfizer/BioNTech ou de Moderna, dont l’efficacité n’a jamais été démontrée. Combien de plus? On ne sait pas encore.

Les résultats détaillés de l’essai de vaccination de rappel seront présentés lors de conférences universitaires et dans des publications.

Vous vous dites peut-être: « Minute. Vous êtes en train de me dire que le Japon vient d’approuver une toute nouvelle injection de Covid basée sur des titres d’anticorps non publiés? » Ouaip, c’est exactement ce que je suis en train de vous dire.

Mais Daiichi-Sankyo utilise la même plate-forme d’ARNm que Pfizer/BNT et Moderna. Ce n’est donc pas comme si le Ministère de la Santé, du Travail et des Affaires Sociales (MSTAS) leur donnait le feu vert pour une nouvelle technologie.

L’ascension des réplicons

En revanche, le Ministère de la Santé, du Travail et des Affaires Sociales donne son feu vert à une nouvelle technologie pour Meiji Seika Pharma1. Extrait du communiqué de presse de l’entreprise.

Meiji Seika Pharma Co., Ltd. a annoncé aujourd’hui qu’elle avait reçu l’approbation pour la fabrication et la commercialisation de « Kostaive™ pour injection intramusculaire » (ARCT-154), un vaccin ARNm auto-amplifiant contre le COVID-19, de la part du Ministère de la Santé, du Travail et des Affaires Sociales (MSTAS) au Japon.

Il s’agit de la première approbation au monde d’un vaccin à ARNm auto-amplifié. Qu’est-ce qu’un vaccin à ARNm auto-amplifié? Un vaccin à ARNm qui s’auto-amplifie, évidemment.

L’ARNm contenu dans Kostaive est conçu pour s’auto-amplifier une fois délivré dans les cellules, de sorte qu’il génère une forte réponse immunitaire et offre la possibilité d’une protection de longue durée tout en utilisant des doses d’ARNm inférieures à celles des vaccins ARNm existants.

En d’autres termes, vos cellules peuvent devenir des usines à ARNm encore plus efficaces. L’image et la description ci-dessous sont tirées d’un article de la revue d’immunologie Cell, au titre inquiétant: « Rise of the RNA machines – self-amplification in mRNA vaccine design » (L’ascension des machines à ARN – l’auto-amplification dans la conception des vaccins à ARNm). Il convient de noter que l’ARNm auto-amplifié peut également être appelé ARN réplicon.

Une fois libéré dans la cellule, l’ARNm est traduit pour produire la protéine en question. Contrairement à l’ARNm, l’ARN réplicon code avec la protéine d’intérêt, des gènes d’auto-amplification (représentés en bleu) qui amplifient l’ARN réplicon. Cette amplification intracellulaire se traduira par la suite par des niveaux d’expression plus élevés de la protéine en question.

Je ne prétends pas être un expert en la matière, mais je doute que cela puisse résoudre le problème de la surproduction de protéines de pointe [NdT. ma traduction ici] observé avec la plateforme ARNm d’origine. C’est d’ailleurs ce que suggère l’article de Cell.

À l’heure actuelle, les principaux défis liés à l’autorisation mondiale sont les problèmes de sécurité potentiels concernant le caractère réplicatif de ces vaccins… Par exemple, les vaccins à réplicon pourraient persister chez les personnes immunodéprimées, car la clairance pourrait être moins efficace.

Étant donné qu’aucun autre vaccin à ARNm auto-amplifié n’a été approuvé auparavant, le MSTAS a au moins exigé que l’entreprise réalise un essai contrôlé randomisé à grande échelle pour tester l’efficacité réelle du vaccin contre les infections et les maladies graves, n’est-ce pas? Haha, non. Revenons au communiqué de presse.

Dans les essais cliniques de phase III pour la vaccination de rappel menés au Japon, 5 μg de Kostaive™ ont suscité des titres d’anticorps neutralisants plus élevés (p<0,05) et plus durables contre la souche originale, ainsi que le sous-variant Omicron BA 4-5, par rapport à 30 μg de COMIRNATY ®, un vaccin ARNm conventionnel homologué ciblant le COVID-19.

Au moins, cette fois-ci, une préimpression est disponible (ici). Alors que l’essai de phase 3 pour le Comirnaty de Pfizer/BNT a débuté avec environ 40 000 participants non vaccinés, celui-ci n’en comptait que 828, qui avaient tous reçu trois injections auparavant. Un essai à si petite échelle ne peut clairement pas nous dire si la nouvelle plateforme pose les mêmes problèmes de sécurité que la plateforme originale, et encore moins des problèmes différents (ce qui est en quelque sorte le but). Mais il est intéressant de noter que Kostaive (ARCT-154) a tout de même réussi à amplifier les taux de frissons, de maux de tête et de myalgies (douleurs musculaires) par rapport à Comirnaty, et ce malgré une posologie six fois moindre. C’est la magie de l’auto-amplification, je suppose.

Taux de réactions locales sollicitées et d’événements indésirables systémiques dans les deux groupes de l’étude en fonction de la gravité

Cependant, la version de Kostaive utilisée dans l’essai ciblait le virus de type sauvage qui a disparu de la circulation au début de 2021, de sorte que Meiji Seika Pharma ne commercialisera pas cette version. Au lieu de cela, l’entreprise prévoit de commercialiser une version actualisée de Kostaive en 2024 et mène actuellement un autre essai de phase 3 sur une version bivalente, en comparant à nouveau les titres d’anticorps.

Ainsi, non seulement le MSTAS a approuvé un vaccin utilisant une nouvelle technologie sur la base des titres d’anticorps, mais il ne l’a même pas approuvé sur la base des titres d’anticorps du vaccin qui sera effectivement mis sur le marché. L’ancienne définition de « réglementation », comme celles de « sûr » et « efficace », semble être morte du Covid.

Il semble que ce soit l’un des héritages durables de la pandémie de Covid-19: les organismes de réglementation ont abandonné toute prétention à faire correctement leur travail et se contentent d’approuver sans broncher toute demande d’autorisation émanant d’entreprises favorisées sur la base de données essentiellement dénuées de sens. Malgré ce qu’ils prétendent, les experts du MSTAS n’ont pas confirmé que les nouveaux vaccins offraient un quelconque avantage à qui que ce soit d’autre que les fabricants de vaccins, mais ils ont confirmé qu’eux-mêmes n’en offraient certainement pas.


  1. Comme Pfizer, Meiji Seika Pharma fabriquera son injection sous licence: « Meiji Seika Pharma a obtenu de CSL Seqirus les droits exclusifs de distribution de Kostaive™ (ARCT-154) au Japon le 11 avril 2023. » ↩︎

L’«enfant-vedette» des vaccins COVID en Israël meurt à 8 ans d’un arrêt cardiaque soudain – par John-Michael Dumais.

Je pique ceci sur le site de Children’s Health Defense de RFK Jr, en congé pour cause de campagne électorale. J’ai quelques disparités de vue avec le gars, mais c’est l’article le plus complet sur le sujet. Comme mentionné de façon pas très claire, il y a effectivement une disparité ethnique dans la capacité de liaison de l’ACE2 avec la protéine de pointe – ce dont parlait RFK Jr dans une vidéo qui l’a fait aussitôt taxé d’antisémitisme, ce qui n’a aucun sens puisqu’il est le premier à défendre bec et ongles l’action militaire israëlienne sur Gaza.

L’étude dont parlait RFK Jr est celle-ci, évaluée par des pairs et publiée sur le site des NIH. Résumé:

La sensibilité des différentes populations à l’infection par le SARS-CoV-2 n’est pas encore comprise. Ici, nous avons combiné l’analyse des variantes de codage de l’ACE2 dans différentes populations et des calculs de chimie computationnelle pour étudier les effets sur l’interaction SARS-CoV-2/ACE2. La variante ACE2-K26R, qui est la plus fréquente dans la population juive ashkénaze, diminue l’attraction électrostatique SARS-CoV-2/ACE2. Au contraire, ACE2-I468V, R219C, K341R, D206G, G211R ont augmenté l’attraction électrostatique; classés par force de liaison de la plus faible à la plus forte. Les variantes susmentionnées sont les plus fréquentes dans les populations d’Asie orientale, d’Asie du Sud, d’Afrique et d’Amérique africaine, d’Europe, d’Europe et d’Asie du Sud, respectivement.

Comme vous le remarquerez, les noms des auteurs sont Fedaa Ali, Menattallah Elserafy, Mohamed H. Alkordi et Muhamed Amina. On peut aussi noter que les populations les plus exposées sont les Européens et les Sud-asiatiques. Avantage ethnique ou non, ça n’aura pas eu beaucoup d’influence sur le sort de milliers d’israëliens, dont le pauvre gosse sujet de cet article. La vidéo de la « pub » Pfizer est dans l’article mais je vous préviens, ça déchire l’âme.

Entre violence militaire et expérimentations médicales, la facture de ces salopards commence à s’alourdir. Tous ces salopards: le Hamas a aussi « encouragé » l’injection.

NB: Pour info, je publie beaucoup parce que je suis coincé à la maison suite à un problème cardiaque – ce qui est assez ironique – encore non identifié. Je consulte un spécialiste ce jeudi. Si vous n’avez plus de nouvelles, vous saurez pourquoi. Je compterai alors sur vous pour me raconter la suite, un peu plus tard et dans un autre lieu, probablement plus calme.

Source.


L’«enfant-vedette» des vaccins COVID en Israël meurt à 8 ans d’un arrêt cardiaque soudain

Yonatan Moshe Erlichman, âgé de huit ans, qui figurait dans une publicité israélienne de 2020 faisant la promotion des vaccins COVID-19 pour les enfants, est décédé le mois dernier d’un arrêt cardiaque soudain. Israël, un « laboratoire pour Pfizer », a montré un signal de sécurité significatif pour la myocardite peu de temps après l’introduction des vaccins.

John-Michael Dumais

24 octobre

Un garçon israélien de 8 ans, présenté dans une vidéo de promotion du vaccin COVID-19, est mort subitement le mois dernier d’un arrêt cardiaque.

Yonatan Moshe Erlichman, fils et petit-fils d’éminents médecins israéliens, s’est presque noyé dans la baignoire après que son cœur se soit arrêté la veille de Yom Kippour. Bien que les ambulanciers aient réussi à le réanimer, il est décédé quelques jours plus tard, le 28 septembre.

En 2020, Erlichman est apparu dans une vidéo avec Shuski, décrit comme « une marionnette « enfant » amicale », exhortant les téléspectateurs à se faire vacciner contre le COVID-19 dès qu’il serait disponible.

Décrivant Erlichman comme « enfant-vedette » de la campagne vaccinale israélienne, LifeSiteNews a partagé la vidéo sponsorisée par le gouvernement mettant en scène le garçon, diffusée juste avant l’introduction des vaccins COVID-19 en Israël.

Voici une traduction partielle du tweet (via Google Translate):

« Cela ne vous choque pas? Où sont les gros titres? Les enquêtes? Combien d’enfants devront encore mourir sur l’autel doré?

« Et en particulier, il y a déjà deux études contrôlées qui montrent que les vaccins ARNm causent des problèmes cardiaques … Jusqu’à quand refuserez-vous de l’admettre?

« Rappelez-vous qu’à tout moment, cela peut arriver à vos enfants et petits-enfants bien-aimés.

Un autre tweet demandait pourquoi l’histoire n’était pas diffusée dans les journaux télévisés, mais seulement dans la presse locale et religieuse. La personne a indiqué que la famille était « morte de peur et essayait de ne pas ébruiter l’affaire ».

La famille du garçon a publié la déclaration suivante:

« Notre Yonatan Moshe est décédé il y a peu de temps. La veille de Yom Kippour, Yonatan a fait un arrêt cardiaque chez nous, et depuis lors, nous nous sommes battus à ses côtés après qu’il se soit effondré. Nous remercions tous ceux qui nous sont chers et qui ont été à nos côtés dans les derniers jours de sa vie. »

Netanyahu s’est vanté de faire d’Israël un « laboratoire pour Pfizer »

Israël est l’un des pays les plus vaccinés à l’ARNm, plus de 70% de ses habitants de plus de 16 ans ayant reçu au moins deux doses en avril 2021.

En novembre 2020, le gouvernement israélien a signé un accord avec Pfizer pour acquérir 8 millions de doses de son vaccin COVID-19, que le gouvernement a commencé à distribuer en décembre 2020.

En échange de la réception du vaccin avant les autres pays, Israël a accepté de fournir à Pfizer des données épidémiologiques pour aider le fabricant de vaccins à évaluer l’efficacité et la réactogénicité du vaccin.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré qu’il avait pu faire d’Israël « le laboratoire de Pfizer » parce que « 98% de notre population possède des dossiers médicaux numérisés » qui – combinés à la « base de données génétiques » de son pays – faciliteraient l’établissement de rapports détaillés sur l’impact du vaccin sur les citoyens du pays.

Avec ces données, « il est possible de créer une industrie biotechnologique inédite… voire inimaginable », a-t-il déclaré.

Netanyahu: « Israël 🇮🇱 est devenu le laboratoire de Pfizer ».

Le ministère israélien de la santé l’a nié. Pfizer l’a nié. Mais nous avons enfin la confirmation officielle du Premier ministre que, dans le cadre de l’accord, Israël a été transformé en laboratoire de Pfizer.

Le Dr Sabine Hazan, spécialiste en gastro-entérologie à Ventura, en Californie, s’est exprimée sur l’accord conclu par M. Netanyahu avec Pfizer:

Oui, et on peut créer une arme pour éliminer toute une population. Qui a donné à Netanyahu le droit de décider pour toute une population? Les gens n’auraient-ils pas dû pouvoir voter avant de servir de cobayes? Ils croyaient tous qu’un vaccin était une solution, mais ce n’était pas le cas. Taux de mortalité néonatale ⬆️

À la lumière de la mort d’Erlichman et en écho au tweet de Hazan, le Dr Robert Malone a exprimé la semaine dernière son inquiétude quant au fait qu’une base de données génétique et médicale combinée pourrait faciliter le développement d’armes biologiques capables de cibler des groupes ethniques spécifiques.

Il a noté que « le virus du SARS-CoV-2 modifié semble être plus grave chez les populations spécifiques qui ont plus de récepteurs ACE2 à la surface de leurs cellules » et a demandé: « S’agit-il d’une arme biologique? ».

Les CDC n’ont pas publié en temps voulu les données de 2021 sur la myocardite en Israël

Les informations fournies l’année dernière à Children’s Health Defense (CHD) par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) à la suite d’une demande en vertu de la loi sur la liberté de l’information montrent que les CDC ont reçu en février 2021 un rapport du Ministère israélien de la santé sur la myocardite post-injection.

Le rapport indiquait: « Nous observons un grand nombre de cas de myocardite et de péricardite chez de jeunes individus peu après l’administration du vaccin COVID-19 de Pfizer. Nous aimerions discuter de cette question avec un expert du CDC ».

Bien qu’un important signal de sécurité concernant la myocardite ait été visible aux États-Unis et en Israël quelques mois seulement après la mise à disposition des vaccins COVID-19, les CDC n’ont alerté le public qu’en mai 2021, après que la moitié de la population américaine éligible ait déjà reçu le vaccin.

En juin 2021, Israël a publié un rapport officiel confirmant l’existence d’une myocardite liée à l’ARNm chez les jeunes hommes, en particulier ceux âgés de 16 à 24 ans, avec un taux jusqu’à 25 fois supérieur à celui généralement observé au centre médical Hadassah.

Une étude israélienne de septembre 2022 a révélé que l’incidence de la myocardite dans les 30 jours suivant la deuxième injection de Pfizer était 2,35 fois plus élevée que chez les personnes non vaccinées, le risque pour les hommes âgés de 16 à 19 ans s’élevant à près de 1 sur 1 000.

Crédit: RFK Jr. et Brian Hooker, Ph.D., « Vax-Unvax: Let the Science Speak » (Vax-Unvax: laissons parler la science)

Bien que l’étude israélienne ait rapidement souligné que le risque de myocardite était plus faible après la troisième injection de Pfizer (premier booster), le Dr Peter McCullough a averti la semaine dernière, lors d’une audition du Novel Coronavirus Southwestern Intergovernmental Committee au Sénat de l’Arizona, que les effets de la myocardite post-vaccinale peuvent être retardés de plusieurs années.

Après avoir résumé les données scientifiques relatives à l’effet de la protéine de pointe sur le cœur, y compris les rapports d’autopsie après injection, McCullough a cité l’histoire d’un athlète décédé lors d’un test d’effort cardiaque deux ans après avoir été vacciné.

Dr. McCullough: Les vaccins COVID-19 ne sont pas sûrs pour l’utilisation humaine

Témoignant devant le Sénat de l’État de l’Arizona, le Dr @P_McCulloughMD
a déclaré, en tant que médecin praticien, qu’il a pu constater directement les complications liées aux vaccins COVID-19. Il a précédemment déclaré: « Avant le COVID-19, j’ai vu deux cas de myocardite sur toute ma carrière […]. Aujourd’hui, je vois deux cas par jour à la clinique ».

Deux organisations importantes, le Conseil Mondial de la Santé et l’Association des Médecins et Chirurgiens Américains, ont demandé le retrait des vaccins COVID-19 du marché, contredisant ainsi l’idée selon laquelle tous les médecins et agences soutiennent universellement les vaccins.

Des États, comme l’Idaho et la Floride, envisagent de prendre des mesures indépendantes pour retirer les vaccins si le gouvernement fédéral n’agit pas. Le droit d’agir ainsi relève de la compétence des États en matière de sécurité des produits de consommation. Si les agences fédérales ne répondent pas aux préoccupations relatives à la sécurité des vaccins, les États peuvent intervenir par l’intermédiaire du bureau du Procureur général ou de comités de surveillance.

Bien que la nouvelle du décès d’Erlichman n’ait pas précisé si et quand le garçon avait été vacciné, il a probablement reçu les injections d’ARNm de Pfizer en 2021, comme la majorité des Israéliens.

Cette tragédie souligne l’avertissement de McCullough concernant les risques souvent cachés et à long terme de la myocardite post-vaccinale.

En juin, les scientifiques de CHD ont demandé une enquête sur le CDC et la U.S. Food and Drug Administration concernant la suppression des preuves liant les vaccins à ARNm à la myocardite et à la péricardite.

Le ministère israélien de la santé a dissimulé des données sur les effets indésirables

Dans une vidéo divulguée en juin 2022 d’une présentation Zoom par une équipe de recherche mandatée par le Ministère israélien de la santé, l’un des orateurs a averti: « Nous devrons penser à la fois médical et légal – comment présenter nos résultats pour éviter les poursuites judiciaires. Pourquoi? Parce qu’il y a eu beaucoup d’effets secondaires, [mais] que nous avons dit: ‘D’accord, ça existe et les rapports existent, mais faites-vous vacciner quand même’ ».

Le chercheur dans la vidéo fait part de ses préoccupations concernant les effets indésirables à long terme, y compris un taux plus élevé d’effets après des doses répétées de vaccin.

Deux mois plus tard, le Ministère publiait un rapport affirmant qu’il n’avait trouvé aucun nouveau signal de sécurité qui « n’était pas déjà connu ». Il manipulait également les données pour montrer un pourcentage d’effets indésirables inférieur à celui observé.

L’épidémiologiste de Yale Harvey Risch, M.D., Ph.D., a discuté des données israéliennes supprimées dans un épisode de l’émission « Ask Dr Drew »:

« Nous avons assisté à une suppression majeure des effets indésirables par les agences gouvernementales »

Le Dr Harvey Risch, épidémiologiste à Yale, s’exprime sur la vidéo divulguée d’une équipe de recherche israélienne qui a étouffé les effets indésirables, et sur une nouvelle déclaration mensongère d’un conseiller du gouvernement israélien auprès de la FDA.

L’«enfant-vedette» du vaccin en Argentine est décédé l’année dernière

La tragédie d’Erlichman fait écho à l’histoire de Santino Godoy Blanco, un petit garçon argentin décédé l’année dernière à l’âge de 4 ans et qui aurait également servi d’«enfant vedette» national dans des publicités vantant les mérites des vaccins COVID-19 pour les enfants.

🇦🇷 L’enfant vedette de la campagne 💉 argentine est #mort subitement d’une « pneumonie bilatérale »

Santino Godoy Blanco (3 ans) a été transporté d’urgence à l’hôpital en raison de fièvre et de vomissements.

Avant de mourir, sa maman dit qu’il a enlevé son masque et lui a donné des petits bisous parce qu’il ne pouvait plus parler 😥.

Un « fact check » de USA Today a contesté l’article, jugeant fausse l’affirmation selon laquelle les apparitions de Blanco visaient à promouvoir les vaccins COVID-19, et affirmant au contraire – à juste titre – que les publicités concernaient les vaccins contre la rougeole, la rubéole, les oreillons et la poliomyélite.

Blanco est décédé d’une infection pulmonaire associée à une double pneumonie, ce qui, selon les fact-checkers, n’avait « aucun rapport avec la vaccination en général ou les vaccins COVID-19 en particulier ».

Cependant, les fact-checkers ont négligé des données de 2017 liant les vaccins pour enfants à un risque accru de pneumonie.

Dans leur livre « Vax-Unvax : Let the Science Speak », Brian Hooker, PhD, directeur principal de la science et de la recherche chez CHD, et Robert F. Kennedy Jr, président de CHD en congé, ont partagé des données d’étude montrant que les enfants vaccinés courent un risque cinq fois plus élevé de souffrir d’une pneumonie que les enfants non vaccinés.

Crédit: RFK Jr. et Brian Hooker, Ph.D., « Vax-Unvax: Let the Science Speak » (Vax-Unvax: laissons parler la science)

Après la mort de Blanco, le gouvernement argentin a retiré la campagne de vaccination de toutes les plateformes.


John-Michael Dumais est rédacteur en chef de The Defender. Il a été écrivain et organisateur communautaire sur une variété de questions, y compris la peine de mort, la guerre, la liberté en matière de santé et tout ce qui concerne la pandémie de COVID-19.


Explosif: les modifications de l’ADN impactent la génération suivante – par The Underdog.

J’ai commencé ce blog il y a plus de trois ans, en avertissant que les injections feraient courir à l’humanité un danger majeur. Depuis, j’ai publié tout ce qui me semblait relevant, au fil des découvertes du moment. N’étant pas scientifique et ne disposant pas de laboratoire, je dépends entièrement des recherches d’autres personnes. Je me suis parfois – mais pas souvent – égaré, notamment sur la question de l’oxyde de graphène et des nanotechnologies, qui étaient apparemment de fausses pistes, quoique je pense que leur présence a peut-être servi de test de tolérance. J’ai ainsi accumulé un petit bagage dans le domaine médical qui, bien que minuscule par rapport à celui des auteurs des articles que j’ai relayés, me permet – j’espère! – de mieux cibler les sujets que je traite.

Par contre, dans le domaine des « complots », je suis très loin d’être novice. Depuis plus de vingt ans, j’ai lu des milliers d’articles sur ce sujet, dont certains (assez peu) étaient légitimes. Il y en a même sur Wikipedia… À ceux qui douteraient encore de leur importance, voire de leur existence, je dirai ceci: un complot commence quand deux personnes parlent d’une troisième en son absence.

Un complot n’est d’ailleurs pas nécessairement mauvais. Les parents qui déposent un cadeau au pied de l’arbre de Noël pour leur(s) petit(s), c’est un complot. Ou le vieux plein de pognon qui demande à la belle quand elle va quitter son mari – celui-là est nettement moins bon. Bons ou mauvais, petits ou grands, des complots, il y en a tout le temps, partout, dans la vie quotidienne. Mais certains imaginent encore que le pouvoir s’est interdit ce moyen. Le pouvoir, c’est une poignée de gens. Ils ont entrepris de gérer huit milliards d’êtres humains. Faites le calcul.

Nous sommes plongés dans le plus vaste complot de l’Histoire connue. C’est déjà assez dangereux en soi mais il y a pire: il est en train d’échapper à tout contrôle. J’écrirai bientôt là-dessus. Pour l’instant, j’invite tout le monde à rester calme. Ce n’est pas évident mais vous comprendrez pourquoi c’est important.

En attendant, on va encore se pencher sur les injections. Tout ce que j’ai publié jusqu’à présent sur les « effets secondaires » était déjà assez épouvantable – l’avertissement de « Parrhesia » brossant le tableau le plus sombre du lot.

Mais il y a pire.

Source.


Explosif: les modifications de l’ADN impactent la génération suivante

« Mais il y a pire »

The Underdog

9 oct. 2023

Remerciements: Jikkyleaks pour son aide précieuse, Cellex et Nilly pour l’aide à la création d’images. Nous avons utilisé des outils de recherche en IA.

Depuis l’article du Daily Beagle montrant que l’ADN plasmidique peut s’intégrer dans l’ADN cellulaire sans nécessiter de réactifs de transfection, les scientifiques ont été contraints de changer leur discours de « les injections ne modifient pas l’ADN »…

…à « en fait, les modifications de l’ADN se produisent tout le temps et sont super-hyper-sûres » (de la part de ceux qui vous ont présenté « sûres et efficaces »):

L’ADN transforme les cellules. Depuis plus de 30 ans, les biologistes moléculaires transfectent les cellules avec des morceaux d’ADN, dont certains atteignent le noyau et s’intègrent dans le génome des cellules, entraînant une modification permanente. Aucune séquence spéciale de ciblage nucléaire du SV40 n’est nécessaire. Ça fonctionne. Je l’ai fait à de nombreuses reprises, comme des milliers d’autres biologistes moléculaires. Vraiment. Sans blague.
ce type n’est que de l’adn plasmidique qui ne fera rien d’autre que de casser un gène là où il atterrira. et la plupart du temps, ce sera sans conséquence. rappelez-vous que si cela se produit, ce sera dans des cellules uniques, pas dans toutes les cellules d’une personne. donc même si une cellule devient une cellule de poulet (ce ne sera pas le cas), ce n’est qu’une seule cellule et vous ne le saurez jamais. ce n’est que rarement qu’elle fera quelque chose qu’on remarquera. et il faut vérifier avant de s’en préoccuper.
ne vous inquiétez pas. des personnes bienveillantes s’occupent de cette question pour vous. vous n’avez rien à craindre.

Quelle différence pour un simple article!

Cependant, il nous faut maintenant réfuter les arguments manifestement erronés de la « super-hyper-sécurité » et de la « super-hyper-rareté » (remarquez qu’ils [les pro-vaccins] n’ont jamais apporté de preuves de sécurité; ils l’ont simplement supposée; et ils se sont déjà trompés une fois…).

Jetons les bases

Au cas où vous ne feriez pas confiance aux informations du Daily Beagle, Jikkyleaks a également fourni un article révisé par des pairs confirmant que l’ADN plasmidique est incorporé dans le noyau cellulaire (« reformation de l’enveloppe nucléaire à la télophase »: cela se produit au cours de la division cellulaire):

L’ADN plasmidique transfecté est incorporé dans le noyau via la reformation de l’enveloppe nucléaire à la télophase

Cette étude montre que l’ADN plasmidique se retrouve dans les chromosomes (les chromosomes contiennent les gènes):

[…] Cette étude élucide le mécanisme par lequel l’ADN transfecté pénètre dans le noyau pour l’expression des gènes. Pour contrôler le comportement de l’ADN transfecté, nous introduisons un plasmide portant des répétitions lacO et des séquences codant pour la protéine RFP dans des cellules exprimant la GFP-LacI et nous observons le comportement du plasmide et l’expression de la protéine RFP dans des cellules vivantes. L’expression de la RFP n’apparaît qu’après la mitose. La microscopie électronique révèle que les plasmides sont enveloppés dans des membranes semblables à l’enveloppe nucléaire (EN) ou associés aux chromosomes à la télophase. La déplétion de BAF, qui est impliqué dans la reformation de l’EN, retarde l’expression du plasmide RFP. Ces résultats suggèrent que l’ADN transfecté est incorporé dans le noyau pendant la reformation de l’EN à la télophase.

Mais, en fait, il y a pire.

L’ADN devient héréditaire

David A. Dean (Professeur de pédiatrie, d’ingénierie biomédicale, de pharmacologie et de physiologie) a eu la gentillesse de nous envoyer par courriel un article utile évalué par des pairs (nous nous sommes déjà entretenus à ce sujet, comme mentionné dans l’article précédent sur les plasmides). [NdT. que je traduirai si assez de gens lisent celui-ci]

L’article joint était intitulé « Postmitotic Nuclear Retention of Episomal Plasmids Is Altered by DNA Labeling and Detection Methods » (Rétention nucléaire postmitotique des plasmides épisomaux est altérée par les méthodes de marquage et de détection de l’ADN), et bien qu’il utilise la micro-injection artificielle directe dans un noyau cellulaire pour simuler l’entrée de l’ADN plasmidique, ce qu’il révèle est tout à fait stupéfiant:

L’ensemble de ces résultats suggère que les plasmides nus et non modifiés sont retenus dans le noyau après la division cellulaire et continuent probablement à s’exprimer dans les cellules filles.

Ceci indique que lorsque la cellule se divise, les cellules filles conservent la modification de l’ADN.

Exemple visuel simple de la division cellulaire dessiné à la main

Une fois que l’ADN plasmidique pénètre dans le noyau – que ce soit par l’intermédiaire de réactifs de transfection, pendant la division cellulaire, par micro-injection ou par tout autre moyen – les modifications génétiques se propagent le long des divisions cellulaires jusqu’aux cellules filles. Donc, non, il ne s’agit pas « d’une seule cellule ».

Et il y a pire. Elles se propagent à la génération suivante.

Le SARS-CoV-2 permet la pénétration de la barrière sang-testicule

Les cellules de Sertoli forment une barrière qui filtre les particules étrangères et les empêche de pénétrer dans les testicules, appelée barrière sang-testicule (BST). Les cellules de Sertoli assurent également l’alimentation des spermatozoïdes en développement, de sorte que si elles sont endommagées, elles ont un impact sur le développement des spermatozoïdes (le groupe HART a rapporté que cela s’est produit chez ceux qui ont reçu les injections).

Les cellules de Sertoli nourrissent et protègent les spermatozoïdes en développement, et la spermatogenèse – la voie de développement de la cellule germinale au spermatozoïde mature – se produit dans les cavités des cellules de Sertoli.

La BST est constituée de jonctions de cellules de Sertoli entre elles, qui forment des « protéines de jonction serrée », agissant comme un filtre. La BST protège les tubules séminifères et les spermatozoïdes en développement.

Ne vous inquiétez pas si vous n’êtes pas familier de ces termes, vous en trouverez un aperçu à la fin de cet article.

L’étude intitulée « COVID-19 disrupts the blood-testis barrier through the induction of inflammatory cytokines and disruption of junctional proteins » (Le COVID-19 perturbe la barrière sang-testicules par l’induction de cytokines inflammatoires et la perturbation des protéines de jonction) a révélé que:

Des échantillons de testicules autopsiés de COVID-19 ont montré que l’infection par COVID-19 modifie de manière significative l’arrangement spatial des cellules testiculaires et diminue notablement le nombre de cellules de Sertoli.

Des articles montrent également que des cytokines comme IL-1α, IL-6, etc. (déclenchées par les protéines de pointe du SARS-CoV-2) ont un impact sur la BST.

Si la BST est perturbée, les tubules séminifères ne sont plus protégés. La BST ouvre des brèches et « fuit », exposant ainsi les testicules à des matières étrangères.

Pourquoi cela importe-t-il?

Les tubules séminifères contiennent des spermatogonies (à ne pas confondre avec les cellules spermatiques, connues sous le nom de spermatozoïdes). Les spermatogonies sont des cellules « de base » spécifiques, des cellules germinales initiales qui donnent naissance à un certain nombre de cellules qui, pour simplifier, sont identifiées comme suit:

  • Type A (foncé): cellules souches de réserve, qui continuent à se diviser et à reconstituer le pool de spermatogonies.
  • Type A (clair): cellules souches en cours de renouvellement.
  • Type B: cellules engagées dans la différenciation et en voie de devenir des spermatozoïdes.

Cela signifie que si les tubules séminifères deviennent vulnérables, les cellules qui constituent la base de la génération des spermatozoïdes, les spermatogonies, le deviennent aussi.

Les NPL pénètrent dans les testicules (alors qu’elles ne devraient pas)

La brèche dans la BST signifie que des éléments étrangers tels que les NPL (nanoparticules lipidiques), l’ADN plasmidique et l’ARNm peuvent pénétrer dans les testicules, alors qu’ils ne devraient normalement pas y parvenir.

On peut le confirmer car dans le document Pfizer/BioNTech publié dans « JW-v-HHS-prod-3-02418 » (page 462), on trouve des données montrant que les concentrations de NPL dans les testicules augmentent (ce qui ne devrait pas se produire si la BST fonctionnait):

Sous forme de graphique, cela ressemble à ceci, une augmentation très évidente au fil du temps:

Comme par hasard, Pfizer/BioNTech a interrompu l’expérience au bout de deux jours, essayant probablement de dissimuler l’accumulation de NPL dans divers organes (là où il ne devrait pas y en avoir).

Les NPL sont des réactifs de transfection capables de permettre à l’ADN plasmidique de pénétrer dans l’ADN cellulaire.

les nanoparticules lipidiques sont également utiles pour la livraison d’ARNm et de plasmides pour l’expression de transgènes

Nous pouvons confirmer le mécanisme de franchissement de la BST et montrer des données réelles sur les NPL qui franchissent la BST. Il ne s’agit pas de spéculations: les testicules sont vulnérables aux NPL et donc à l’incorporation d’ADN étranger.

Quelles sont les implications?

Les spermatogonies s’autoperpétuent (ce n’est pas bon pour les enfants)

Une fois que les spermatogonies ont absorbé de l’ADN étranger, non seulement l’ADN étranger se perpétue dans toutes les spermatogonies supplémentaires que les spermatogonies produisent par division cellulaire (comme le suggère l’article de David A. Dean)…

…mais il se perpétuera également dans tous les spermatozoïdes issus des spermatogonies contaminées. En d’autres termes, tout enfant issu de ces spermatozoïdes héritera également de l’ADN étranger. Nous le savons grâce aux expériences de transfert de gènes via les testicules.

Dans cette étude, nous avons détecté la présence du transgène dans la descendance et son expression dans les cellules sanguines.

Mais il y a pire…

Les spermatozoïdes aiment vraiment incorporer de l’ADN étranger

Nous le savons grâce aux expériences de transfert de gènes par les spermatozoïdes. Cette technique est souvent utilisée dans les expériences sur les transgènes:

Un grand nombre de porcs transgéniques hDAF destinés à la recherche sur la xénotransplantation ont été générés par transfert de gènes à l’aide de spermatozoïdes (SMGT).

Un autre terme pour désigner le sperme est celui de spermatozoïdes (à ne pas confondre avec les « spermatogonies » mentionnées plus haut). Les spermatozoïdes immatures ne sont pas capables de se lier à un ADN étranger:

Les spermatozoïdes immatures, cependant, sont incapables de fixer l’ADN

Cependant, si les NPL peuvent aider l’ADN plasmidique à transfecter l’ADN cellulaire, alors les NPL permettront à l’ADN plasmidique de pénétrer dans les spermatozoïdes immatures, puisqu’ils sont également des cellules.

Le liquide séminal entrave la pénétration de l’ADN (mais seulement s’il est présent)

Par ailleurs, alors que les spermatozoïdes matures acceptent facilement l’ADN étranger, l’absorption d’ADN étranger par les spermatozoïdes est entravée par le liquide séminal qui contient un facteur inhibiteur empêchant l’ADN étranger de se lier aux spermatozoïdes matures.

Un facteur bloquant la liaison de l’ADN exogène aux spermatozoïdes a également été identifié dans le liquide séminal des mammifères et dans les spermatozoïdes des échinides. Ce facteur a également exercé un puissant effet inhibiteur sur l’absorption de l’ADN dans les spermatozoïdes d’espèces hétérologues.

Cela ne s’applique que si le liquide séminal est présent. S’il n’y en a pas, comme dans l’épididyme où les spermatozoïdes immatures deviennent des spermatozoïdes matures, ils ne seront pas protégés par le liquide séminal:

Trois principales formes d’entrée dans les spermatozoïdes

Pour résumer, l’ADN étranger peut s’intégrer dans les spermatozoïdes de trois manières différentes :

  1. via les cellules spermatogonies qui produisent à la fois les cellules spermatogonies et les cellules précurseurs qui formeront les spermatozoïdes (cellules séminales)
  2. via les spermatozoïdes immatures avec l’aide d’un réactif transfectant tel que les NPL (dont nous savons qu’elles pénètrent dans les testicules) ou le promoteur SV40 (dont nous savons qu’il se trouve probablement dans l’ADN plasmidique).
  3. via les spermatozoïdes matures de l’épididyme, dans la fenêtre limitée qui précède leur entrée dans le liquide séminal.

L’incorporation d’ADN étranger dans les cellules spermatogonies est la plus dangereuse, car elle conserve une forme d’autoréplication permanente et continue à produire des spermatozoïdes compromis.

Curieusement, nos recherches sur les cas de cancer ont révélé que les cas de cancer de la prostate (qui, avec les vésicules séminales, produit le liquide séminal) avaient explosé:

Les mots que vous allez entendre ne vous plairont pas: mais il y a pire.

Les ovules femelles sont également vulnérables

Laissons parler le graphique basé sur certaines données de « JW-v-HHS-prod-3-02418 » (pages 461-462) sur la biodistribution des NPL (nanoparticules lipidiques):

Notez que [la quantité de NPL dans] les ovaires en vert augmente avec le temps

Ou encore cet exemple particulièrement frappant fourni par Jikkyleaks en réponse à Buckhaults, montrant des NPL dans les ovaires d’une souris:

L’image provient de l’étude « Synthetic Lipid Nanoparticles Targeting Steroid Organs » (Nanoparticules lipidiques synthétiques ciblant les organes stéroïdiens).

Comme vous pouvez le constater, les NPL, qui sont capables de permettre à l’ADN plasmidique de pénétrer dans l’ADN cellulaire, s’accumulent dans les ovaires, ainsi que dans d’autres organes.

Les ovules, également connus sous le nom de cellules ovocytaires humaines, situés dans les ovaires, sont protégés de l’ADN étranger par la zone pellucide (via des glycoprotéines), qui se trouve sur la couche externe:

Il est probable que les NPL, concentrés dans les ovaires, franchissent les protections de la zone pellucide et provoquent l’incorporation de l’ADN dans l’ovule. Mais même si ce n’était pas le cas…

…comme vous l’aurez sans doute deviné, la protection ne fonctionne que si la zone pellucide est présente. Elle est absente dans les ovules immatures (appelés « ovocytes »), et les chercheurs ont déjà réussi à transfecter des ovocytes en utilisant des adénovirus et des plasmides:

On a constaté que les vecteurs adénovirus et plasmidiques transfectaient les ovocytes au stade primordial et au stade du follicule primaire lorsqu’ils n’étaient pas protégés par la zone pellucide, alors qu’aucune transfection n’était observée dans les ovocytes entourés par la zone pellucide.

Comme indiqué dans l’article « Editing The Truth: mRNA Shots Modify Genes » (« La vérité éditée: les vaccins ARNm modifient les gènes »), les vaccins ARNm Moderna et Pfizer/BioNTech contiennent des plasmides, et comme indiqué dans l’article « Proving AstraZeneca Vaccines Kill Children » (« La preuve que les vaccins AstraZeneca tuent des enfants »), les vaccins Astrazeneca, Johnson&Johnson et Sputnik V utilisent des adénovirus.

Enfin, en réponse à l’incessante campagne d’intox « ce vaccin est sans danger pour les femmes enceintes » menée par des personnes qui refusent de divulguer publiquement leurs conflits d’intérêts financiers, le Dr Syed a rédigé une réfutation approfondie de ces propos.

En résumé

Nous pouvons donc en déduire que les altérations génétiques sont susceptibles d’avoir un impact sur la génération suivante, et que ce ne sont pas simplement une poignée de cellules aléatoires dont l’ADN est modifié.

Les scientifiques admettent désormais que l'ADN plasmidique peut pénétrer dans les cellules même en l'absence de réactifs de transfection, comme le confirment à la fois l'article révisé par des pairs fourni par Jikkyleaks et les travaux de David A. Dean.

L'ADN plasmidique devient héritable par l'ADN du noyau des cellules filles lors de la division cellulaire, ce qui signifie que la génération suivante de cellules conserve la modification de l'ADN étranger.

Le SARS-CoV-2 a un impact sur les cellules de Sertoli qui forment des "protéines de jonction serrée" formant la barrière sang-testicule (BST), la modifiant via des interactions cytokiniques (telles que IL-1α, IL-6), provoquant une perméabilité de la BST et permettant l'entrée de particules étrangères dans les testicules et les tubules séminifères où se trouvent les spermatogonies. On le sait parce que la biodistribution des NPL (nanoparticules lipidiques) de Pfizer/BioNTech montre que les NPL pénètrent dans les testicules alors qu'elles ne devraient normalement pas y pénétrer.

Les spermatogonies forment plusieurs cellules (Type A (foncé); Type A (clair); Type B), y compris d'autres cellules de spermatogonies (Type A (foncé)) et des cellules précurseurs de spermatozoïdes (Type B) qui deviendront par la suite des spermatozoïdes (cellules spermatiques matures).

Si les spermatogonies incorporent de l'ADN étranger, elles le transmettront aux cellules filles des spermatogonies et aux cellules de Type B qui deviendront des spermatozoïdes (cellules spermatiques matures), ce qui signifie que la persistance de l'ADN étranger est probablement permanente et se transmet à la prochaine génération d'enfants si le spermatozoïde compromis insémine un ovule.

Les cellules spermatiques matures (spermatozoïdes) ont des mécanismes naturels d'incorporation de l'ADN étranger, généralement inhibés par le liquide séminal, mais pendant la maturation dans l'épididyme, elles ne sont pas protégées par le liquide séminal.

Les cellules spermatiques immatures n'ont pas la capacité d'incorporer naturellement de l'ADN étranger, mais il a été démontré que les NPL provoquent l'absorption d'ADN étranger dans les cellules, et comme les cellules spermatiques immatures sont encore des cellules, les NPL peuvent provoquer l'absorption de l'ADN. Après le déploiement des injections, on a constaté une augmentation considérable des cas de cancer de la prostate, qui participe à la production du liquide séminal.

Les ovules des femmes sont également vulnérables. Même si les ovules parvenus à maturité sont protégés de l'ADN étranger par la zone pellucide, des documents de Pfizer/BioNTech et un article révisé par des pairs montrent que les NPL (nanoparticules lipidiques) se concentrent dans les ovaires, ce qui signifie que les NPL sont susceptibles de vaincre toute résistance de la zone pellucide à l'entrée de l'ADN étranger.

Même si ce n'était pas le cas, il a été démontré qu'en tant qu'ovocytes (ovules immatures), ils sont vulnérables à la transfection par des adénovirus et des plasmides. Il a été démontré que les injections d'ARNm contenaient des plasmides; les injections d'AstraZeneca, de Johnson&Johnson et de Sputnik V utilisent des adénovirus.

Cela montre que les injections présentent des risques pour la grossesse et la génération suivante, contrairement à ce que prétendent les personnes qui ont des conflits d'intérêts financiers.

Comment aggraver une pandémie – par The Underdog.

The Underdog a consacré de nombreux articles aux protocoles officiels mortels, dont font partie les meurtres au Midazolam mentionnés ici. Le Dr Pierre Kory, une star de la « résistance », a tenté en vain sur son Substack de contrer ses analyses, parce qu’il refuse de croire que ses collègues puissent avoir été à ce point mal intentionnés – raison pour laquelle vous ne lirez jamais un mot du Dr Kory sur ce blog.

J’ai glissé dans quelques conversations le fait qu’on a tué des dizaines de milliers de vieillards dans les maisons de repos (voir méthode ci-dessous): la réaction va d’une paralysie soudaine, avec regard du cerf dans les phares de voiture, à la panique suivie d’un repli au petit trot (ce qu’on appelle « partir en courant »). Faites le test, vous verrez.

Source.


Comment aggraver une pandémie…

Approchez, les amis, c’est du lourd!

The Underdog

11 sept. 2023

plafonner la prescription d’antibiotiques:

Le graphique ci-dessus est tiré de la base de données britannique des prescriptions ouvertes et montre que les prescriptions ont diminué en janvier 2020 – le « début de la pandémie » proclamé – et ont stagné en avril 2020, avant de repartir à la hausse en juillet 2021.

Si le mois d’avril 2020 vous semble vaguement familier (pour nos lecteurs les plus anciens, c’est le cas), c’est parce que les mois de mars à avril 2020 sont associés aux meurtres au Midazolam.

Échos des meurtres au Midazolam

Pour les nouveaux lecteurs qui ne connaissent pas les meurtres au Midazolam, voici un bref résumé:

Un pic de Midazolam, un sédatif (mais pas un analgésique), a été noté dans les prescriptions britanniques entre mars 2020 et avril 2020 (en même temps que d’autres médicaments)…

… ces prescriptions ont coïncidé avec une augmentation soudaine du nombre de décès – 17 316 – chez des patients âgés décédés des suites d’une démence, ce qui a été jugé suspect dans un article révisé par des pairs…

Selon l’Office of National Statistics, 17 316 patients sont décédés en Angleterre en avril 2020, avec la mention « démence et maladie d’Alzheimer » sur leur certificat de décès. Ce nombre de décès est près de trois fois supérieur aux prévisions, par rapport à la moyenne quinquennale pour le mois d’avril (annexe).

…ces décès ont été rétroactivement et comme par magie déclarés comme décès dus au COVID-19 (sans aucune preuve; le test PCR n’était pas disponible)…

… même s’il est connu que le Midazolam déprime la respiration et entrave la récupération, c’est-à-dire qu’il s’agit d’un médicament que l’on utilise pour tuer et non pour soigner. Matt Hancock a été surpris à conspirer avec le Dr Luke Evans pour commander de grandes quantités de Midazolam [NdT. Matt Hancock était Secrétaire d’État de la Santé et de l’Aide sociale jusqu’en juin 2021]…

Dr Evans: Les pousse-seringues sont utilisés pour administrer des médicaments tels que le midazolam et la morphine. Avez-vous mis en place des précautions pour s’assurer que nous disposons de suffisamment de ces médicaments?
Matt Hancock: Oui. Nous avons un grand projet pour nous assurer que les chaînes d’approvisionnement mondiales pour ce type de médicaments, ainsi que pour les médicaments d’unités de soins intensifs dont j’ai parlé plus tôt, soient fiables. En fait, ces médicaments sont fabriqués dans un nombre relativement restreint d’usines à travers le monde, il s’agit donc d’une chaîne d’approvisionnement délicate et nous sommes en contact avec l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement.

…et a fini par acheter pour deux ans de Midazolam à une société pharmaceutique française, Accord, par l’intermédiaire du Ministère de la Santé et de l’Aide sociale (une fameuse aide sociale, en l’occurrence). De toute évidence, il s’agissait de tuer les personnes âgées.


Les lecteurs qui souhaitent se familiariser avec les spécificités des meurtres au Midazolam sont vivement encouragés à lire les articles détaillés du Daily Beagle, qui présentent les différents médicaments, les raisons de leur toxicité et les raisons pour lesquelles nous concluons qu’il s’agit d’un meurtre prémédité. Il y a beaucoup plus à lire que la préface ci-dessus:

L’assassinat en masse des personnes âgées (introduction de base)

Les médicaments de la peine de mort utilisés par les établissements de soins (article le mieux noté)

Mystères des meurtres au Midazolam: qui est le Dr Evans?

[NdT. trois articles extrêmement bien écrits et documentés que je n’ai pas traduits, sorry]


Les antibiotiques ont-ils été bloqués uniquement au Royaume-Uni?

Des preuves ont été recueillies dans d’autres pays grâce à l’aide de l’armée des souris.

Les comptes Aquarius-elect et Mouse140 ont remarqué une baisse des prescriptions d’antibiotiques en Allemagne et ont fourni des graphiques à leur tour. Nous présentons l’original en allemand et sa traduction juste en dessous.

Le titre du graphique ci-dessous (tiré d’ici) est le suivant: « Verorgnungen von Antibiotics » :

Verorgnungen von Antibiotika vor und nach Ausbruch der COVID-19-Pandemie

Ce qui se traduit par:

« Prescriptions d’antibiotiques avant et après l’apparition de la pandémie de COVID-19 ».

‘bis’ signifie ‘jusqu’à’, ‘ab’ signifie ‘à partir de’ et ‘Jahre’ signifie ‘ans’. Les catégories énumérées sont donc des catégories d’âge: 19 à 65 ans; à partir de 66 ans; 7 à 18 ans; jusqu’à 6 ans.

Toutes les catégories d’âge ont connu une baisse massive des prescriptions d’antibiotiques en Allemagne aux alentours de mars-avril 2020 (’04 2020′). Ce n’est donc pas uniquement dû à l’assassinat de mamie dans les maisons de retraite avec du Midazolam.

Mouse140 a également fait référence à un autre article allemand, montrant que le G7 (Groupe des Sept; un organisme intergouvernemental non démocratique) souhaite ajuster l’utilisation des antibiotiques d’ici 2023 (c’est nous qui soulignons)…

[…] die G7-Staaten vor, « die stille Pandemie von Antibiotikaresistenzen » mit allen Kräften zu bekämpfen. Dafür wollen sie aktiv die Forschung und Entwicklung neuer Antibiotika fördern. Um den sachgerechten Einsatz von Antibiotika zu verbessern, wollen sie zudem bis Ende 2023 nationale Ziele festlegen.

Traduction:

[…] les pays du G7 appellent à lutter de toutes leurs forces contre « la pandémie silencieuse de la résistance aux antibiotiques ». À cette fin, ils veulent promouvoir activement la recherche et le développement de nouveaux antibiotiques. Afin d’améliorer le bon usage des antibiotiques, ils souhaitent également fixer des objectifs nationaux d’ici à la fin 2023.

…l’article montre également que les grandes entreprises pharmaceutiques ont cessé de fabriquer de nouveaux antibiotiques parce que les pays ne les prescrivent pas, de sorte qu’elles fonctionnent à perte (c’est nous qui soulignons):

[…] Viele große Pharmafirmen haben sich derweil aus der Entwicklung neuer Antibiotika zurückgezogen. Denn neue Antibiotika werden vielfach als Reserveantibiotika eingesetzt – das bedeutet, sie werden so selten wie möglich verschrieben. In einem System, das nach Volumen vergütet, sind Reserveantibiotika ein Verlustgeschäft.

Traduction:

[…] Entre-temps, de nombreuses grandes entreprises pharmaceutiques se sont retirées du développement de nouveaux antibiotiques. En effet, les nouveaux antibiotiques sont souvent utilisés comme antibiotiques de réserve – c’est-à-dire qu’ils sont prescrits le moins souvent possible. Dans un système basé sur les volumes, les antibiotiques de réserve sont une proposition déficitaire.

Les prescriptions diminuaient alors que les infections augmentaient

Le Zentralinstitut für die kassenärztliche Versorgung (ou Zentralinstitut kassenärztliche Versorgung; Institut central des médecins de l’assurance maladie obligatoire), présente un graphique particulièrement accablant :

Le titre de la page se lit comme suit: Grafik des Monats März 2023 [Graphique du mois de mars 2023].

Le titre du graphique se lit comme suit: Anzahl Patient: innen mit infektionen der oberen Atemwege in vertragsarztlicher Behandlung (Nombre de patients atteints d’infections des voies respiratoires supérieures traités par un médecin du panel).

Le bleu est: Pat mit Diagnose infektion der oberen Atemwege (Pat[ient] avec diagnostic d’infection des voies respiratoires supérieures).

Le vert est: Pat mit Diagnose infektion der oberen Atemwege und Antibioikum (Pat[ient] avec diagnostic d’infection des voies respiratoires supérieures et antibiotique).

Encore ce graphique:

En d’autres termes, malgré le fait que des personnes aient été diagnostiquées avec des infections des voies respiratoires supérieures (bleu), passant de < 10 millions (« Mio. ») en 2018 à >15 millions en 2019… la prescription d’antibiotiques (vert), en moyenne, continuait à diminuer. Remarquez qu’en 2021, le vert diminue alors même que le bleu augmente.

En d’autres termes, pour les personnes souffrant d’une infection des voies respiratoires, on leur refusait les antibiotiques (même si une augmentation des infections le justifiait).

Idem pour l’Écosse

En avril dernier, le Scottish Unity Group a constaté qu’en avril 2020 (’04 2020′), les prescriptions d’antibiotiques ont ‘stagné’ pour de nombreuses classes d’antibiotiques bien connus, et que cette tendance a persisté jusqu’en mars 2021. Comme d’habitude avec les statistiques gouvernementales, l’ensemble des données est incomplet car le gouvernement ne veut pas publier de preuves accablantes:

Crédit: Scottish Unity Group. Source des données: NHS Opendata

Les prescriptions américaines ont également chuté

Selon clincalc, une base de données publique sur les prescriptions mieux organisée que celle du gouvernement américain, les antibiotiques tels que l’azithromycine ont diminué d’une année sur l’autre:

Parmi les autres antibiotiques en baisse jusqu’en 2020, on peut citer:

La tobramycine:

La néomycine (dans le cadre d’un hybride Dexaméthasone; néomycine; polymyxine B; il n’y avait pas de données autonomes):

La clindamycine:

La clarithromycine:

La gentamicine (également connue sous le nom de garamycine) :

La colomycine, l’aknemycine, la cidomycine, la vancomycine et la fosfomycine n’avaient pas de données.

L’érythromycine est le seul antibiotique à avoir connu une légère augmentation, sans toutefois dépasser les niveaux d’avant 2020 (voir l’augmentation du nombre de patients, ligne rouge):

…et la vibramycine (alias la doxycycline):

Il convient de noter que la très légère augmentation des prescriptions de doxycycline (environ 2 à 3 millions) ne suffirait pas à compenser l’énorme baisse des prescriptions d’azithromycine, qui ont chuté de plus de 30 millions d’unités:

C’est sans compter la baisse des autres antibiotiques. Les patients infectés par des bactéries ne disparaissent pas en masse; où ont disparu ces cas d’infection bactérienne? Et s’ils n’ont pas « disparu », pourquoi les prescriptions d’antibiotiques ont-elles chuté aussi brutalement?

La pneumonie ressemble toujours une montagne russe

Au cas où vous auriez l’étrange idée que les gens sont mystérieusement infectés à des taux très rigides et constants pour justifier rétroactivement le refus de l’évidence, ne vous donnez pas la peine.

Jessica Rose, en utilisant les données du système de surveillance de la mortalité du Centre national des statistiques de santé des États-Unis, a démontré que les chiffres de la mortalité due à la pneumonie ressemblaient toujours à des montagnes russes, sauvages et très fluctuantes:

Jessica Rose a ensuite publié un autre graphique montrant la forte augmentation du nombre de décès dus à la pneumonie par rapport aux taux historiques:

Pour ceux qui ne sont pas familiers avec la médecine, la pneumonie est un terme « fourre-tout » qui désigne les symptômes liés aux infections des voies respiratoires (« Pneuma » en grec signifie « souffle »).

Ces symptômes peuvent être causés par de nombreux types d’infections, y compris des bactéries. Les étudiants en médecine se rappelleront le dicton de Hickam :

Les patients peuvent avoir autant de maladies qu’ils le souhaitent

En d’autres termes, à la différence du Rasoir d’Occam, il y a rarement « une réponse unique et simple », mais une multitude de réponses. Une faiblesse dans un système corporel aura des répercussions sur d’autres systèmes. Une personne peut être infectée par plusieurs éléments à la fois, y compris des virus, des bactéries, des parasites et des moisissures [NdT. je rappelle que j’avais soulevé la question il y a trois ans dans le cadre du Covid, et que j’attends toujours la réponse].

L’infection bactérienne secondaire est un bon prédicteur de la mort dans le COVID-19

Selon cette étude:

D’où pourrait bien provenir l’infection bactérienne? Eh bien, il y a un certain nombre de sources possibles. Dans l’enquête approfondie du Daily Beagle sur les unités de soins intensifs intitulée « Death By Dehydration In ICU«  (Mort par déshydratation dans les unités de soins intensifs), nous avons découvert qu’il était bien connu que les respirateurs pouvaient être à l’origine d’infections bactériennes.

Citons « Managing humidity support in intubated ventilated patients with coronavirus disease 2019 (COVID-19)«  (Gestion de l’humidité chez les patients intubés ventilés atteints d’une maladie à coronavirus 2019 (COVID-19)):

Une étude a montré qu’un système de circuit de ventilation conventionnel réutilisable et un système de circuit de ventilation jetable combiné à un humidificateur chauffé à remplissage automatique et à un cathéter d’aspiration fermé développaient un grand nombre de bactéries dans les circuits de ventilation.

Dans un article plus récent, nous avons souligné que les masques favorisent la rétention de l’humidité, ce qui entraîne la prolifération des bactéries et des moisissures [NdT. je connais personnellement quelqu’un qui a développé une pneumonie Covid après avoir porté un masque – pour la première fois – pendant trois heures lors d’une réunion]. Au cours d’un débat avec Geoff Pain, trois études ont été citées à l’appui de cette thèse:

« Bacterial and fungal isolation from face masks under the COVID-19 pandemic » (isolement bactérien et fongique à partir de masques dans le cadre de la pandémie COVID-19), qui a étudié des personnes au Japon (le Japon a une culture de port de masque antérieure à 2020, donc si quelqu’un doit savoir comment porter un masque, ce sont bien les Japonais) :

L’étude a révélé la présence de bactéries résistantes aux antibiotiques sur tous les masques échantillonnés. Elle a également mis en évidence que, même au sein d’une culture japonaise responsable, seuls 21 % des gens lavaient leur masque. De toute évidence, le lavage des masques n’a pas permis d’éliminer les bactéries.

« Cotton and Surgical Face Masks in Community Settings : Bacterial Contamination and Face Mask Hygiene«  (Masques de coton et chirurgicaux en milieu communautaire : contamination bactérienne et hygiène des masques) a révélé que les masques devaient être correctement stérilisés (bouillis ou au moyen de stérilisateurs antibactériens) ou jetés en raison d’une contamination bactérienne:

Et au cas où vous penseriez que les professionnels de la santé échappent à ce problème, l’étude « Evaluation of the bacterial contamination of face masks worn by personnel in a center of COVID 19 hospitalized patients: A cross-sectional study«  (Évaluation de la contamination bactérienne des masques portés par le personnel dans un centre de patients hospitalisés COVID 19: étude transversale) a révélé que les masques des professionnels de santé étaient également fortement contaminés par des bactéries:

Donc, si nous sommes en présence de toutes ces sources bactériennes nocives, où l’infection bactérienne secondaire est un bon prédicteur de décès dans COVID-19, pourquoi les antibiotiques n’ont-ils pas été prescrits au cours de cette période?

Et par contraste, avant que vous ne trouviez une excuse en disant « mais qu’en est-il des confinements? », voici le graphique des prescriptions d’antiviraux. Remarquez qu’il n’y a pas de courbe plate suspecte en 2020-2021:

Le graphique ci-dessus est d’autant plus accablant qu’il montre que les médecins n’ont même pas pris la peine d’utiliser des antiviraux pour tenter de traiter une infection virale. S’ils ne prescrivent pas d’antibiotiques ou d’antiviraux, comment diable vont-ils combattre cette infection?

L’Australie déclare qu’il est inapproprié d’administrer des antibiotiques aux personnes âgées vulnérables

Selon la Commission australienne pour la sécurité et la qualité des soins de santé (une appellation malicieusement ironique, sans aucun doute), les personnes âgées recevraient des antibiotiques de manière « inappropriée », mais on remarquera que cette commission ne présente aucune preuve à l’appui de ses audacieuses affirmations:

Les maisons de retraite australiennes présentent des niveaux élevés de prescription inutile d’antimicrobiens et d’utilisation inappropriée d’antimicrobiens. Près d’un résident sur dix des maisons de retraite ayant participé à l’AC NAPS s’est vu prescrire au moins un antimicrobien.

Ah, s’en prendre aux personnes âgées dans les maisons de retraite qui ne peuvent pas se défendre. C’est très courageux.

Ironiquement, le journal cite même en exemple les infections bactériennes induites par les respirateurs:

Attendez, vous voulez dire qu’il est inapproprié de donner des antibiotiques à des personnes pour des infections bactériennes que vos propres interventions provoquent? C’est comme si un pyromane disait qu’il est inapproprié d’appeler les pompiers chaque fois qu’il provoque un incendie.

L’Australie demande aux professionnels de la santé de ne pas utiliser d’antibiotiques

La « National Clinical Evidence Taskforce » (« Groupe de travail national sur les preuves cliniques ») australienne demande carrément aux professionnels de la santé de ne pas prescrire d’antibiotiques pour le COVID-19, sans même tenir compte de la nuance des circonstances (l’azithromycine est un antibiotique):

Ce même rapport leur indique même de ne pas prescrire de vitamine C non toxique (que l’on trouve dans les agrumes comme le citron et le citron vert), de vitamine D (produite naturellement par la peau grâce à l’exposition au soleil), de zinc (que l’on trouve naturellement dans les graines de citrouille, par exemple), ou « d’autres traitements qui modifient l’évolution de la maladie »:

C’est littéralement l’ordre de ne pas traiter la maladie, parce que tous les traitements modifient la maladie. Cela implique que les médicaments qu’ils recommandent ne modifient pas la maladie, c’est-à-dire qu’ils ne la traitent pas.

Il s’agit clairement d’un acte malveillant

Ils se plaignent de la résistance aux antibiotiques, mais lorsque les sociétés pharmaceutiques leur proposent de nouveaux antibiotiques, soudainement et mystérieusement, ils ne sont pas intéressés. Ils peuvent déverser des milliards dans Pfizer pour vous injecter du poison, mais ils n’ont pas d’argent à consacrer aux antibiotiques.

C’est l’équivalent politique de quelqu’un qui dit qu’il est en train de mourir et qu’il a besoin d’aide, mais lorsqu’un ambulancier se présente pour le soigner, il lui demande de partir car on n’a pas besoin de lui.

C’est exactement la modalité à laquelle on s’attendrait de la part de quelqu’un qui fait tout son possible pour ne pas soigner ses patients. Ils prodiguent tous les pires conseils, mettent en œuvre des interventions qui provoquent des infections bactériennes, puis refusent de traiter les foyers d’infection qu’ils ont eux-mêmes créés.

Résumé

La prescription d’antibiotiques au Royaume-Uni de janvier 2020 à juillet 2021 a stagné, le creux d’avril 2020 coïncidant avec les meurtres au Midazolam.

Des baisses anormales de la prescription d’antibiotiques ont été observées en Allemagne, en Écosse et en Amérique. Les antiviraux n’ont pas connu de baisse aussi marquée que les antibiotiques, mais leur utilisation n’a pas augmenté non plus.

L’Allemagne et l’Australie ont toutes deux émis des avis contre l’utilisation des antibiotiques, l’Australie s’opposant même aux traitements « modificateurs » de la maladie en général.

Cette baisse des prescriptions d’antibiotiques s’est produite alors même que le nombre de décès dus à la pneumonie augmentait, bien que les bactéries soient l’une des causes possibles de la pneumonie. Les infections bactériennes secondaires associées au COVID-19 étaient fortement corrélées à la mortalité.

Il a été démontré précédemment que les respirateurs et les masques sont des sources possibles de bactéries dans les voies respiratoires. La combinaison de politiques qui favorisent la prolifération des bactéries et le refus malveillant d’administrer des antibiotiques témoigne d’une évidente tentative malveillante d’aggraver la pandémie.

Qu’avez-vous fait, Dr Fauci?

Autres liens vidéo: ici et ici.


« Si on le prend et qu’après un an tout le monde va bien, alors on se dit ‘OK, c’est bien, maintenant donnons-le à 500 personnes’, puis qu’une autre année passe et que tout va bien, ‘Maintenant, on va le donner à des milliers de personnes’ et c’est là qu’on découvre qu’il faut 12 ans pour que l’enfer se déchaîne et là, qu’est-ce qu’on a fait? »

Anthony Fauci à propos des vaccins contre le SIDA, 1999

« If you take it and then a year goes by and everybody’s fine, then you say ‘OK that’s good, now let’s give it to 500 people’ and then a year goes by and everything’s fine, ‘Now let’s give it to thousands of people’ and then you find out that it takes 12 years for all hell to break loose and then, what have you done? »

Anthony Fauci about AIDS vaccines, 1999

Les autorités sanitaires allemandes plaident devant une commission parlementaire qu’elles n’ont pas encore évalué les effets indésirables des vaccins parce qu’ils sont trop nombreux – par eugyppius.

Wir werden verarscht. Ce qui signifie, on se fout de nous. Exemple ci-dessous.

J’ajoute à la fin un commentaire de lecteur, qui rappellera qu’il n’y a strictement rien à attendre de quelque politicien que ce soit.

Source.


Les autorités sanitaires allemandes plaident devant une commission parlementaire qu’elles n’ont pas encore évalué les effets indésirables des vaccins parce qu’ils sont trop nombreux

eugyppius

5 sept. 2023

Tiré de Epoch Times: Lothar Wieler (à droite) et l’ignoble Heiko Rottmann-Großner devant la commission d’enquête du Brandebourg le 1er septembre.

Les principaux partis politiques allemands n’enquêteront jamais sur la réponse à la pandémie, car ils en sont complices. Dans tout le paysage politique de la République fédérale, Alternative für Deutschland (droite-populiste) est le seul à adopter une position critique à l’égard des confinements et de la vaccination de masse, et ce n’est qu’au parlement du Land de Brandebourg qu’il dispose de suffisamment de sièges pour réunir une commission d’enquête sur les transgressions commises sous l’ère Corona. Le vendredi 1er septembre, la Commission Corona du Brandebourg, créée par l’AfD, a convoqué Lothar Wieler, directeur de l’Institut Robert Koch [IRK] (l’homologue allemand d’Anthony Fauci), et Brigitte Keller-Stanislawski, directrice du Département de la Sécurité Pharmaceutique et du Diagnostic à l’Institut Paul-Ehrlich [IPE]. Ils ont été interrogés pendant six heures sur les vaccins Covid.

Les journalistes qui s’étaient empressés de rapporter les moindres propos de Wieler pendant la pandémie de Covid ont presque totalement ignoré son témoignage devant la commission. Parmi les rares exceptions, Larissa Fußer, qui a réalisé un reportage approfondi pour Apollo News. Le tableau qu’elle brosse est incroyable: ni l’IRK, l’autorité de santé publique allemande, ni l’IPE, notre organisme de réglementation des produits pharmaceutiques, n’ont pris les mesures les plus élémentaires pour évaluer la fréquence ou la nature des lésions dues aux vaccins, ni même l’efficacité des vaccins en général. Des problèmes techniques, des pénuries de personnel et l’ampleur des données les ont empêchés de remplir leurs fonctions les plus élémentaires.

Keller-Stanislawski … a indiqué que son institut était lourdement débordé, ce qui a entraîné des retards considérables dans l’évaluation des effets secondaires des vaccins, retards qui persistent encore aujourd’hui. Par exemple, les données de l’application « SafeVac » publiée par l’IPE en décembre 2020 n’ont pas encore été analysées. L’application a été développée par l’IPE pour faciliter le signalement des effets indésirables. … Ils ont reçu tellement de rapports que ceux-ci ont submergé l’infrastructure technique sur laquelle tourne l’application. Les données de 700 000 participants n’ont pas été traitées …

En outre, le personnel de l’IPE était considérablement surchargé de travail. « Il y avait des personnes qui ne s’occupaient que des décès et d’autres qui ne s’occupaient que des myocardites », a déclaré Mme Keller-Stanislawski. « Nous avons eu beaucoup plus de travail qu’auparavant, tout cela à cause de ce vaccin. Nous avons dû demander de l’aide à d’autres services parce que nous n’avions pas assez de personnel pour gérer les effets indésirables. »

Ce n’est pas d’hier que l’IPE évalue les effets indésirables des vaccins. Ils travaillent dans ce domaine depuis de nombreuses années et pourtant, le vaccin le plus sûr et le plus efficace au monde a donné lieu à un si grand nombre de rapports d’effets indésirables que ceux-ci ont littéralement cassé leurs ordinateurs et rendu impossibles leurs évaluations de sécurité de routine.

Selon Mme Keller-Stanislawski, les données de l’Association de l’Assurance Maladie Obligatoire et des compagnies d’assurance ne sont elles non plus toujours pas évaluées. Bien que l’IRK ait développé un programme capable de traiter les données d’assurance, il nécessite des ajustements supplémentaires, qui ne sont toujours pas effectués. Les données d’assurance comprennent, par exemple, les diagnostics des médecins en rapport avec la vaccination Covid, qui pourraient mettre en lumière les effets secondaires des vaccins. En d’autres termes … l’IPE, dont la mission est d’enquêter sur la sécurité des vaccins Covid, a publié jusqu’à présent toutes ses analyses sur les effets indésirables uniquement sur la base de rapports auto-initiés par les médecins et les patients concernés.

Ces rapports sont extrêmement laborieux à préparer et les médecins ne reçoivent aucune rémunération pour le temps passé à les rédiger. L’éthique qui a prévalu chez de nombreux médecins jusqu’en 2021, selon laquelle les vaccins étaient « sans effets secondaires », a également découragé de nombreux médecins de penser même à associer des problèmes de santé aux vaccins dès le départ.

De même, l’IRK n’a jamais pris la peine de mener à bien sa propre étude sur l’efficacité des vaccins:

L’interrogatoire de …. Lothar Wieler … a révélé, entre autres, que l’IRK n’a pas prouvé, sur la base de ses propres études, l’efficacité du vaccin Covid. Selon Wieler, une telle étude a été réalisée, mais elle est encore en cours d’évaluation. … Peu de temps auparavant, Wieler avait déclaré à la commission que le contrôle de l’efficacité de la vaccination faisait partie des tâches essentielles de l’IRK.

Donc, c’est juste le rôle principal du RKI, c’est pas grave qu’ils ne l’aient pas encore terminé.

Et puis, il y a ce détail insensé :

Les circonstances dans lesquelles s’est déroulé l’interrogatoire de la commission sont frappantes. Par exemple, Lothar Wieler était accompagné d’un employé du Ministère Fédéral de la Santé, un certain Heiko Rottmann-Großner …. Il a déclaré que sa tâche consistait à s’assurer que Wieler respectait l’autorisation de témoigner qui lui avait été accordée. En tant que fonctionnaire, Wieler a besoin d’une autorisation pour fournir des informations sur des sujets soumis au secret officiel. L’autorisation réglemente en détail les sujets sur lesquels un témoin de la fonction publique n’a pas le droit de fournir des informations.

Selon les médias, l’autorisation de M. Wieler comportait plusieurs pages, alors que celle de la fonctionnaire de l’ÎPE [Keller-Stanislawski] n’en comportait qu’une seule. … [Rottmann-Großner] a fait à plusieurs reprises des signes de la main à Wieler pendant l’interrogatoire et lui a fait passer des notes à l’occasion. Les membres de la commission se sont plaints de cette pratique et ont finalement contraint [Rottmann-Großner] à s’asseoir deux chaises plus loin de Wieler.

Ainsi, Wieler est venu témoigner devant la commission non seulement avec de nombreuses injonctions du Ministère de la Santé de Karl Lauterbach, mais aussi avec une baby-sitter attitrée. Rottmann-Großner n’est pas n’importe qui. C’est l’ancien chef de la subdivision « Sécurité Sanitaire » du Ministère de la Santé ; d’après le livre Ausbruch (2021) de Katja Gloger et Georg Mascolo, nous savons qu’il a été un partisan enthousiaste et précoce des confinements et autres restrictions sévères, exigeant une « fermeture » nationale dès le 24 février, le jour même où l’OMS a approuvé le confinement de masse de la Chine.

Il m’est difficile d’exprimer par des mots à quel point tout cela est scandaleux. La République Fédérale a forcé littéralement des millions d’Allemands à recevoir non pas une, non pas deux, mais au moins trois nouvelles injections de Covid contre un virus qui présentait un risque réel pour très peu d’entre eux. Dans de nombreux cas, l’État a menacé les non-vaccinés de chômage, les a exclus de la vie publique pendant des mois et a même tenté d’imposer la vaccination par l’intermédiaire du Bundestag. Malgré ces graves violations de l’autonomie personnelle et de l’intégrité corporelle, les bureaucrates qui ont soutenu ces crimes et les ont justifiés par des mensonges incessants sur la catastrophe virale plaident aujourd’hui que leurs services n’ont tout simplement pas le temps d’établir le degré de sécurité ou d’efficacité des vaccins qu’ils continuent de promouvoir. C’est un gros boulot, mec, et ils manquent de personnel, tu vois, ça fait un sacré paquet de données à traiter.


Commentaire

Je viens de passer mon dimanche au Bundestag. Je dois dire que c’était un événement extraordinaire et une « journée portes ouvertes » très, très ouverte. J’ai eu des conversations avec des parlementaires des Verts, de la CDU, de die Linke et de l’AfD, ainsi qu’une très longue conversation avec le conseiller à la sécurité du FDP. J’ai également assisté à un certain nombre de tables rondes sur divers sujets.

Ce que j’en retiens:

1) Il n’y a aucune, et je dis bien aucune, envie de discuter des péchés politiques du passé concernant le SARS-2. Cela vaut également pour l’AfD, qui cherche manifestement à obtenir des votes de la part d’anciens hystériques du Corona tout en cherchant à minimiser l’importance de cette question sur le plan politique.

2) Les Verts sont vraiment aussi fous que vous le pensez. Une éminente MdB (membre du Congrès) a répondu à ma question sur les dommages économiques causés par les politiques Net Zero en disant, en gros, que l’Allemagne devrait se décarboniser deux fois plus vite. C’est réellement la somme totale de sa réponse.

3) Du côté positif, l’AfD est traitée de manière étonnamment équilibrée, tant par l’administration bureaucratique du Parlement que par ses pairs politiques – du moins publiquement. Si on l’observait sans connaître le contexte, on ne croirait pas qu’il s’agit d’un parti sur le point d’être interdit par la Constitution.

4) Les députés de deuxième rang de la CDU semblent être conscients des dommages qu’ils ont causés à l’Allemagne par leurs politiques de dénucléarisation et de désindustrialisation, et ils éprouvent des remords. Ils sont étonnamment honnêtes et ouverts à ce sujet.

5) La rhétorique du FDP et de la CDU sur l’Ukraine est démentielle, niveau Nikki Haley (mais pas tout à fait démentielle niveau Lindsey Graham). Pour moi qui ai appris à connaître l’Allemagne dans les années 1990, je vois un niveau choquant de bellicisme nourri de propagande. Ils ne voient absolument aucun problème à envoyer des panzers allemands brûler dans les steppes ukrainiennes – une deuxième fois.

6) Le SPD avait les meilleures glaces gratuites et les jeux les plus amusants.

Graham Stull, 5 sept

Le véritable objectif du promoteur SV40 dans les injections Covid – par Sasha Latypova.

Ça fait un moment qu’on a découvert la présence de SV40 dans des fioles de Pfizer. J’attendais que quelqu’un sorte un article bien écrit à ce sujet – et, ô surprise, c’est Sasha. Le voici. À l’origine du #plasmidgate, Kevin Mc Kernan, généticien de très haut niveau, dont Sasha mentionne ici une interview – que je traduirai ensuite.

Dans l’interview en lien de Sasha par Jane Ruby sont soulevées d’autres questions: celle de la présence (démontrée) d’hydrogel dans d’autres produits injectables (notamment les anesthésiants dentaires) et celle encore plus épineuse de la proximité avec les personnes injectées, déjà évoquée ici de façon très tranchée par le Dr Palevski – sur base d’observations empiriques, sans les résultats des analyses menées depuis – le problème que personne n’a encore voulu affronter. Il faudra pourtant bien.

Source.


Le véritable objectif du promoteur SV40 dans les injections Covid

La transfection de cellules humaines et de cellules du microbiome avec de l’ADN étranger et d’autres charges utiles

Sasha Latypova

1 septembre 2023

L’analyse et le séquençage par Kevin McKernan de l’ADN des flacons de Pfizer et de Moderna ont révélé une « contamination » (à mon avis, intentionnelle) des flacons avec de très grandes quantités de plasmides ADN, un code ADN circulaire qui encode la molécule d’ARN souhaitée. Les plasmides ADN sont utilisés pour cultiver l’ADN dans des cuves de cellules e.coli, car ces cellules bactériennes captent les plasmides et se répliquent rapidement. L’ADN est ensuite récolté en tuant les e.coli avec des antibiotiques, en « coupant » les plasmides en brins et en purifiant l’ADN. C’est la raison pour laquelle les plasmides contiennent également des gènes de résistance aux antibiotiques, qui permettent à la matrice d’ADN de survivre au lavage antibiotique. Lorsque la fabrication de l’ADN se faisait à l’échelle du nanogramme ou du microgramme, cela ne posait pas de problème majeur, mais lorsque l’ADN est fabriqué par kilogrammes, il ne faut pas s’étonner de la recrudescence de diverses infections graves résistantes aux antibiotiques, qui migrent dans l’écosystème, dans l’eau, dans le sol, chez les animaux, etc. Cette abomination mise à part, après l’étape de purification de l’ADN, l’e.coli et tous les plasmides restants sont censés être retirés du produit. Une fois que l’ARNm est produit par une réaction chimique à partir de la matrice d’ADN, il doit à nouveau être purifié et tout ADN résiduel non traduit doit être éliminé. Il est clair que cela n’est pas le cas dans la fabrication des injections covid.

  • Les contaminants plasmidiques à ADNdb provenant d’e.coli modifiés (~10-100x au-dessus de la limite acceptable):
    • Peuvent transfecter des cellules humaines et des cellules du microbiome
    • Contiennent des gènes résistants aux antibiotiques
    • Promoteur SV40 (objectif – transfection du noyau cellulaire**) – non déclaré dans les documents réglementaires
    • Codé pour la protéine de pointe
  • Délivre une combinaison de:
    • ARNm chimique synthétique + morceaux brisés (miARN)
    • Plasmides ADN – réplication à l’intérieur de cellules humaines/cellules bactériennes du microbiome intestinal
    • Septicémie? Dysbiose? Cancer? Myocardite? Stérilité? Malformations congénitales? D’autres cas de Covid?

En plus d’être extrêmement problématique en raison des grandes quantités d’ADN trouvées dans les flacons, la découverte la plus alarmante a été celle de la présence du promoteur SV40 dans la séquence du plasmide ADN. Cet élément n’a pas été divulgué par Pfizer aux autorités de réglementation. Ils ont donc codé un « gène furtif » dans la séquence! Cela correspond exactement à la définition d’une arme biologique donnée par l’armée de l’air (groupe JASON):

Souligné: « l’utilisation de thérapie génique comme arme »
« cette même technologie pourrait être subvertie pour l’insertion de gènes pathogènes. »

J’ai récemment discuté de ce sujet avec le Dr Jane Ruby.

La vidéo complète est disponible ici. Mon intervention commence à 18 minutes.

Le laboratoire de l’université de Rochester (NY) que j’ai mentionné dans l’interview est celui-ci (laboratoire du Dr Dean). Voici quelques citations tirées de la page de ce laboratoire, c’est moi qui souligne:

Il est clair que sans la translocation de l’ADN plasmidique dans le noyau, aucune expression génétique ou « thérapie génique » ne peut avoir lieu. Mon laboratoire continue d’identifier et de caractériser de nouvelles séquences d’ADN qui favorisent l’importation nucléaire de vecteurs non viraux, à la fois dans des cellules en culture et in vivo, ainsi que des séquences qui favorisent le trafic cytoplasmique et intranucléaire.

Au cours des 15 dernières années, les travaux de notre laboratoire ont porté sur le ciblage nucléaire et l’entrée de l’ADN plasmidique. En utilisant des cellules en culture, nous avons montré que les plasmides sont capables de pénétrer dans les noyaux des cellules en l’absence de division cellulaire et de la rupture de l’enveloppe nucléaire qui l’accompagne.

En outre, nous avons démontré que des portions du promoteur SV40 72 pb sont nécessaires pour l’entrée nucléaire de l’ADN plasmidique dans toutes les cellules eucaryotes testées à ce jour ; les plasmides ne contenant pas cette séquence restent dans le cytoplasme jusqu’à la division cellulaire, tandis que les plasmides contenant le promoteur migrent vers le noyau en l’espace de quelques heures. Ces résultats démontrent que le transport de l’ADN dans le noyau est spécifique à la séquence.

Absolument stupéfiant, n’est-ce pas? En résumé: Pfizer a codé un « gène » non divulgué dans la matrice d’ADN à partir de laquelle l’ARNm est fabriqué pour les injections covid. Ils ont ensuite laissé d’énormes quantités de cette matière première dans le produit final. L’objectif de ce composant non divulgué est de s’assurer que ce à quoi il est attaché est acheminé non seulement dans la cellule, mais aussi dans le noyau de la cellule (où réside l’ADN humain). Rappelons toutefois que l’homme ne dispose pas de l’équivalent d’un ADN central dont la modification se répercuterait sur l’ensemble du corps. Le corps humain est constitué de trillions de cellules, chacune disposant d’un noyau contenant de l’ADN (à l’exception des globules rouges), et la majorité des cellules du corps sont constituées d’une variété de cellules non humaines (microbiome) avec leur propre ADN.

Les cellules microbiennes peuvent se répliquer rapidement, comme l’e.coli qui vit dans nos intestins et qui récupère les plasmides qui y aboutissent et peut ensuite répliquer la protéine de pointe, mourir, l’excréter, etc. En outre, le promoteur SV40 garantit que la « cargaison » sera acheminée jusqu’aux noyaux des cellules qui ne se divisent pas ou se divisent lentement, telles que les neurones, les cellules cardiaques, les cellules musculaires squelettiques et les cellules musculaires lisses. Ces dernières cellules sont celles qui tapissent le tractus gastro-intestinal, tous les vaisseaux sanguins, la vessie et l’utérus. Ces cellules ne se divisent normalement pas, car elles ont atteint le stade de la différenciation terminale, essentiel à la croissance et au fonctionnement normaux de l’organisme. Cependant, les cellules conservent la capacité de se diviser, soit pour des raisons fonctionnelles (cellules utérines pendant une grossesse normale) ou pathologiques (croissance cellulaire anormale menant au cancer). C’est la raison pour laquelle le promoteur SV40 est associé au cancer. Il introduit une cargaison étrangère dans le noyau de cellules qui ne se divisent normalement pas, mais qui peuvent entamer ce processus malin si elles ont été piratées par la cargaison étrangère.

Kevin McKernan a récemment été interviewé par Jan Jekielek du Epoch Times. Je recommande vivement cet entretien approfondi à tous ceux qui s’intéressent à ce sujet.

Voici une autre histoire déchirante impliquant le virus cancérigène SV40, un « contaminant » connu du vaccin contre la polio. Il s’agit ici du virus SV40 dans son intégralité, alors que la version actuelle contenue dans les vaccins antipoliomyélitiques n’en est qu’une partie « promotrice ».

sv40.org

Cette fondation a été créée par Raphaele et Michael Horwin, parents d’Alexander Horwin. Alexander est né le 7 juin 1996. Il a été vacciné contre la polio par voie orale en novembre 1997. Le 10 août 1998, on a diagnostiqué chez Alexander un cancer malin du cerveau, le médulloblastome. Alexander est décédé le 31 janvier 1999.

Quatre laboratoires indépendants (Baylor College of Medicine, University of Chicago, University of Texas Southwestern Medical Center, Temple University) ont utilisé des tests ADN (Polymerase Chain Reaction (PCR)) ou la micro-dissection au laser pour rechercher la présence de SV40 dans la tumeur d’Alexander. Tous les laboratoires ont constaté que le tissu tumoral contenait le virus.

En outre, le sang du cordon ombilical d’Alexander a été conservé et stocké par un laboratoire privé. Le sang du cordon est le sang partagé par Alexander et sa mère au moment de la naissance d’Alexander. Ce sang a été testé pour le SV40 par PCR. Il ne contenait pas de SV40.

Les parents d’Alexander ont été testés pour le SV40 par deux laboratoires indépendants (Baylor College of Medicine, University of Wales) à l’aide de plusieurs tests PCR. Tous les tests ont démontré que les parents n’étaient pas porteurs du virus.

Un site web à la mémoire d’Alexander est disponible à l’adresse suivante: www.ouralexander.org

Enfin, une étude récente menée par des chercheurs italiens a démontré sans l’ombre d’un doute qu’environ 50% des personnes vaccinées produisent la protéine de pointe de façon continue lorsqu’elle est mesurée 6 mois après la dernière injection. Igor Chudov
a écrit un très bon article à ce sujet [NdT. que j’ai traduit ici]. L’équipe italienne affirme également que ce phénomène est probablement dû au fait que 1) certaines cellules humaines sont transfectées et que l’ARN modifié est rétrotranscrit dans les génomes de ces cellules ou que 2) les cellules microbiennes présentes dans le sang absorbent le matériel étranger (il peut s’agir d’ARN ou de plasmides, ou des deux) et deviennent elles aussi des usines génératrices de protéine de pointe. Ou bien les deux se produisent à différents endroits du corps. Ce phénomène ne se produit pas chez les personnes non vaccinées, qu’elles soient ou non positives pour le Covid par PCR, de sorte qu’il ne s’agit absolument pas de ce que l’on désigne comme « infection par le Covid ».

La peinture du jour: Dusty Trail, huile sur panneau, 9×12 in.

Une étude révèle que la moitié des personnes vaccinées ne cessent jamais de produire de la protéine de pointe – par Igor Chudov.

Je marque une courte pause dans ma série sur le transmaoïsme (que vous devriez lire) pour retrouver ce bon vieil Igor et son style inimitable – avec une question à la fin – et juste après, Sasha, qui a d’encore moins bonnes nouvelles.

Note: les liens renvoient vers des articles et textes non-traduits. Si intérêt, je veux bien faire le travail, il suffit de demander (envoi sous pli discret).

Source.


Une étude révèle que la moitié des personnes vaccinées ne cessent jamais de produire de la protéine de pointe

Le vaccin Covid, un cadeau QUI DURE

Igor Chudov

1er septembre

Rappelez-vous quand on nous disait que « le vaccin reste dans le bras » et que « la protéine de pointe sans danger n’est produite que pendant quelques jours ». Ils nous disaient qu’ils en étaient sûrs, bien qu’aucune donnée ne vienne confirmer leurs affirmations.

Malheureusement, il apparaît qu’ils nous ont menti. Les données sont maintenant disponibles et elles prouvent que ces affirmations sont fausses!

Une brillante étude scientifique menée par Brogna et al, qui vient d’être publiée, a détecté la présence de la protéine de pointe chez des personnes vaccinées contre le COVID six MOIS après la vaccination – et a exclu la possibilité d’une contamination croisée des données expérimentales avec des infections par le COVID circulant à l’état sauvage.

Détection de la protéine de pointe recombinante dans le sang des personnes vaccinées contre le SARS-CoV-2: mécanismes moléculaires possibles

Résumé: La pandémie de SARS-CoV-2 a incité au développement et à l’utilisation de vaccins de nouvelle génération. Parmi ceux-ci, les vaccins à base d’ARNm consistent en des solutions injectables d’ARNm codant pour la protéine de pointe recombinante, qui se distingue de la protéine de type sauvage par des variations spécifiques d’acides aminés introduites pour maintenir la protéine à l’état préfusé. Ce travail présente une approche protéomique qui révèle la présence de la protéine de pointe recombinante chez les sujets vaccinés, quel que soit le titre de l’anticorps.
Conception de l’expérience: l’examen d’échantillons biologiques par spectrométrie de masse a été utilisé pour détecter la présence de fragments spécifiques de la protéine de pointe recombinante chez les sujets ayant reçu des vaccins à base d’ARNm.
Résultats: le fragment spécifique de la PP-Spike a été trouvé dans 50% des échantillons biologiques analysés, et sa présence était indépendante du titrage de l’IgG anti-SARS-CoV-2. Les durées minimale et maximale pendant lesquelles la PP-Spike a été détectée après la vaccination étaient respectivement de 69 et 187 jours.

Ce qu’ont fait les scientifiques

Les auteurs de l’étude ont utilisé un test sensible, appelé spectrométrie de masse, pour détecter une séquence d’acides aminés spécifique qui n’existe que dans la protéine de pointe induite par le vaccin.

Pour rappel, les vaccins COVID à ARNm contiennent le code génétique nécessaire à la production de la « protéine de pointe », un composant du virus SARS-CoV-2 qui permet au virus de pénétrer et d’infecter les cellules humaines. Au cours du processus de pénétration, appelé « fusion », la protéine de pointe virale change de forme, devenant une sorte de lance qui pénètre la surface de la cellule.

La seule modification apportée par Pfizer et Moderna a consisté à « stabiliser par préfusion » la protéine de pointe codée par le vaccin afin d’éviter qu’elle ne change de forme et qu’elle soit plus stable dans le corps humain. (Pour en savoir plus, cliquez ici).

Les scientifiques ont décidé de rechercher ce composant protéique spécifique, génétiquement modifié.

Conception de l’expérience: l’examen d’échantillons biologiques par spectrométrie de masse a été utilisé pour détecter la présence de fragments spécifiques de la protéine de pointe recombinante chez les sujets ayant reçu des vaccins à base d’ARNm.

Le substitut, qui utilise deux acides aminés proline, est appelé « PP » par les auteurs de l’étude (PP signifie proline-proline). Ils sont italiens et n’ont peut-être pas réalisé que « PP » sonnait mal [NdT. « pipi » en anglais], si bien que dans la plupart des ouvrages en anglais, la séquence est appelée « 2P ». L’humour de niveau maternelle mis à part, les auteurs de l’étude se concentrent sur le composant de la protéine de pointe qui n’existe que dans le vaccin COVID et qui n’est PAS présent dans le virus Sars-Cov-2 existant naturellement.

Pour s’assurer que leur découverte n’est pas fallacieuse, les scientifiques ont inclus un groupe de contrôle composé de personnes n’ayant jamais reçu le vaccin COVID:

Le groupe d’étude, originaire du sud de l’Italie, était composé de 40 sujets, dont 20 avaient été vaccinés avec le cycle complet du vaccin ARNm à partir d’avril 2022, car ils faisaient partie du secteur de la santé, et 20 n’avaient pas été vaccinés et présentaient un test nasopharyngé négatif pour le COVID-19 et aucun titre d’anticorps. Vingt autres personnes non vaccinées ont été ajoutées, qui étaient positives pour le COVID-19.

Les trois groupes ont été examinés.

Il est apparu que seules les personnes du sous-groupe vacciné étaient porteuses de la protéine de pointe dérivée du vaccin. Pire encore, la protéine de pointe du vaccin a été trouvée six mois après la dernière dose!

Le fragment PP-Spike spécifique a été trouvé dans 50% de l’échantillon biologique analysé (figures 1C-E et 2). Cette présence était indépendante du titre des anticorps IgG SARS-CoV-2. Les titres d’anticorps avaient une moyenne géométrique de 629,86 BAU/mL (figure 1E). Le délai minimum de détection de la PP-Spike était de 69 jours après la vaccination, tandis que le délai maximum était de 187 jours. Tous les contrôles (échantillons provenant d’individus non vaccinés) étaient négatifs. Le groupe de contrôle (20 personnes non vaccinées) a également été testé après avoir contracté le COVID-19 et s’est révélé négatif pour la PP-spike.

L’étude n’indique nulle part que la production de la protéine de pointe s’arrête après 187 jours – la limite supérieure du temps après la vaccination était un artefact de la conception de l’étude.

Cette image explique la conception de l’étude et montre l’emplacement de la séquence d’acides aminés de la « protéine de pointe 2P stabilisée »:

Les auteurs expliquent le mécanisme probable de la production persistante de protéines de pointe:

Sur la base des résultats obtenus, des hypothèses peuvent être émises concernant les mécanismes moléculaires possibles de la persistance de « SpikePP ». En particulier, trois hypothèses sont possibles et sont illustrées à la figure 3.

1. Il est possible que l’ARN soit intégré ou re-transcrit dans certaines cellules.

2. Il est possible que les pseudo-uridines à une position de séquence particulière, comme décrit dans l’article, induisent la formation d’une protéine de pointe qui est toujours active de manière constitutive. Mais cela semble très peu probable en tant qu’hypothèse.

3. Il est possible que la particule d’ADN contenant l’ARN soit récupérée par des bactéries normalement présentes au niveau du sang. En fait, l’existence de microbes sanguins chez les individus en bonne santé clinique a été prouvée au cours des 50 dernières années. En effet, des preuves indirectes par des analyses radiométriques ont suggéré l’existence de microbes vivants sous la forme de rhinocytaires [25]. En outre, l’observation du marqueur PP-Spike chez des individus vaccinés plus de 30 jours après le vaccin chez environ 50 % des sujets pourrait s’expliquer par la large biodiversité des microbiotes eucaryotes et procaryotes identifiés dans le sang par les technologies de séquençage de la prochaine génération [25].

En conclusion, la possibilité de détecter la présence de fragments spécifiques de la protéine de pointe recombinante ouvre de nouveaux scénarios pour le contrôle de la présence et de la demi-vie de la protéine de pointe vaccinale chez les personnes vaccinées. A l’heure actuelle, ces premières observations se limitent à l’évaluation de la présence de la protéine vaccinale dans le but d’aider à la décision individuelle d’administrer des doses de rappel ou de temporiser.

Notez la possibilité de mauvaise augure: « l’ARNm peut être intégré ou retranscrit ». C’est quoi, ça?

Le vaccin Covid devient une partie de l’ADN humain?

Il convient de noter la phrase ci-dessus: « Il est possible que l’ARNm soit intégré ou retranscrit dans certaines cellules« . Ce qu’on appelle la transcription inverse, c’est-à-dire l’intégration de l’ARNm du vaccin dans le génome de l’ADN humain dans certaines cellules affectées, a été initialement rejetée sans preuve par la « science COVID », jusqu’à ce qu’elle soit démontrée lors d’expériences in vitro: Les pires craintes se réalisent: L’ARNm de Pfizer se transcrit en ADN.

Si tel est le cas, il existe une possibilité inquiétante que la production de la protéine de pointe COVID ne s’arrête jamais. A titre d’exemple, le virus VIH, qui cause le SIDA, effectue également une transcription inverse et s’intègre dans l’ADN humain, de sorte que les cellules reprogrammées des malades produisent des copies du VIH à l’infini. C’est pourquoi le VIH ne peut être guéri, mais seulement combattu par des médicaments.

De même, les cellules humaines dans lesquelles le code génétique du vaccin COVID a été rétrotranscrit pourraient produire à l’infini la protéine de pointe tout au long de la vie des personnes concernées.

Cela explique-t-il la tolérance immunitaire associée aux IgG4?

[NdT. pour plus d’infos, j’ai traduit ceci]

La tolérance immunitaire, qui est une tendance de l’organisme à ignorer les agents pathogènes persistants au lieu d’opposer une réaction immunitaire vigoureuse, pourrait expliquer pourquoi les personnes vaccinées sont plus susceptibles de contracter des infections répétées et de se débarrasser plus lentement du virus.

La tolérance immunitaire est parfaitement acceptable vis-à-vis des allergènes, des irritants qui ne se répliquent pas et qui existent de manière persistante. Le fait d’ignorer les allergènes, plutôt que de souffrir d’un rhume des foins gênant, explique pourquoi la tolérance immunitaire est une excellente réponse à des irritants environnementaux tels que le pollen ou la poussière.

En revanche, la tolérance immunitaire est mortelle quand il s’agit de résister à des agents pathogènes vivants qui se répliquent!

Un organisme immunotolérant est comparable à une victime de vol tolérante, qui assiste passivement au saccage de sa maison sans opposer de résistance. Le vol peut sembler « bénin », mais les voleurs s’enfuient avec le butin – et ils reviendront encore. Et encore.

Plus d’informations ici: La tolérance immunitaire aux IgG4 provoquée par les boosters explique la surmortalité et le « Covid chronique ».

Le billet susmentionné explique la tolérance immunitaire, pourquoi elle est mauvaise par rapport au Covid-19, et comment elle fonctionne.

Ce que l’article ci-dessus n’a pas entièrement exploré, c’est la raison pour laquelle la vaccination induit une tolérance immunitaire.

L’étude de Brogna et al. dont nous discutons ici nous montre le mécanisme de développement de la tolérance immunitaire à la protéine de pointe. La raison en est que la protéine de pointe, produite indéfiniment, ressemble pour l’organisme vacciné à un « irritant environnemental » au lieu d’être perçue comme un dangereux intrus.

Ils auraient dû faire ces tests avant d’imposer ces vaccins

J’apprécie grandement le travail minutieux et difficile de Brogna et de ses coauteurs, qui ont soigneusement examiné la présence de la protéine de pointe chez les personnes vaccinées, utilisé correctement des sujets témoins pour exclure le COVID-19 en tant que cause alternative, etc.

Je n’apprécie pas la « science Covid », qui a menti sur l’innocuité et l’efficacité des vaccins COVID. Alors que nous entrons dans notre neuvième vague de Covid et que les personnes vaccinées sont infectées et réinfectées, les vaccins se sont révélés inefficaces. Pire encore, ils se sont révélés dangereux, comme le montrent cette étude et de nombreuses autres.

Malheureusement, les vaccins contre le COVID ne sont pas dotés d’un interrupteur, et il n’existe aucun moyen d’arrêter cette production persistante de protéines de pointe.

Un espoir pour les personnes vaccinées

Je ne voudrais pas terminer ce billet sur une note négative. Je tiens à souligner que l’étude n’a trouvé que la MOITIÉ des personnes vaccinées souffrant de la présence continue de la protéine de pointe vaccinale dans leur sang. L’autre moitié, heureusement, se porte bien.

Par conséquent, toutes les personnes vaccinées peuvent espérer ne pas faire partie des individus souffrant de cette production continue de protéines de pointe. C’est un espoir pour tous ceux d’entre nous qui ont été vaccinés ou dont les proches l’ont été.

Curieusement, de même que la moitié seulement des personnes vaccinées continuent à être testées positives pour la protéine de pointe six mois après la vaccination, la moitié seulement des personnes vaccinées développent une tolérance immunitaire. Un processus peut aller de pair avec l’autre!

Ceci n’est pas un billet anti-science

Certains pourraient m’accuser d’être anti-scientifique simplement parce que j’ai parlé de façon négative des charlatans qui ont fait la promotion des vaccins COVID non éprouvés. Loin de là, j’aime la vraie science et je suis toujours heureux de mettre en lumière des recherches importantes qui sauvent des vies, comme l’étude que j’ai citée.

J’ai bon espoir que cette période d’obscurité que traverse la science, causée par le conformisme, la corruption et les idéologies radicalement anti-humaines, prenne fin et que la recherche se recentre sur l’homme, et s’ouvre à la critique et au progrès.

Pensez-vous que la science sera au service de l’homme à l’avenir?

Hors-la-loi.

Note: édition largement revue et augmentée le 19/08.


« Les neuf mots les plus terrifiants de la langue anglaise sont: ‘Je suis du gouvernement et je suis venu vous aider' ».

Ronald Reagan

« J’ai promis au peuple américain, lorsque j’ai pris mes fonctions, que l’aide arriverait rapidement ».

Joe Biden

Et voilà.

En quarante ans, le gouvernement US est passé du néo-libéralisme et de l’anti-communisme primaire à la dictature maoïste – quarante ans, durée qui correspond au programme d’endoctrinement de deux générations décrit par Youri Besmenov. Un programme tellement efficace que les discours néo-libéraux de Reagan seraient sans doute aujourd’hui taxés de complotistes, comme on taxe ceux de Trump, politicien centriste par excellence, d’extrémisme.

Fidèle à sa tradition, ce patient coup d’État communiste a bien sûr comme objectif la suppression de la classe moyenne – celle qui a construit la prospérité du pays, dans ce cas, la classe ouvrière et entrepreneuriale plutôt que paysanne – en en éliminant physiquement un certain pourcentage et en réduisant le reste à la pauvreté et à la soumission, selon le modus operandi classique. Avant de décrire celui-ci, un bref rappel de la ligne temporelle des événements.

Après avoir délocalisé vers le Tiers-Monde son système d’esclavage – le « prolétariat », dont le sang et la sueur a permis la Révolution Industrielle – le pouvoir financier, appuyé sur ses empires coloniaux, a ensuite métamorphosé la classe ouvrière occidentale en « classe moyenne » dans le modèle consumériste inventé tout spécialement pour écouler sa production. Cela a donné une période de grâce durant laquelle l’Occident a vécu, et continue temporairement de vivre, au-dessus de ses moyens et de ses ressources sans prévoir l’après, c’est-à-dire la perte de son abondance énergétique et de son empire, confisqués aujourd’hui par le bloc BRICS. Comme disent les anglophones, the chicken have come to roost – on recolte ce qu’on a semé. Fin de l’encadré.

Pour comprendre ce qui se passe aujourd’hui, il est utile de se rappeler que la société humaine sert avant tout à contrôler la loi naturelle – à la mitiger quand tout va bien et à la retourner contre les peuples quand les choses se gâtent. Pour la contrôler, on l’a subtilement codifiée en « Droits de l’Homme »1, qui redéfinissent les besoins naturels humains comme des « droits » généreusement octroyés par le pouvoir, autorisant celui-ci à les moduler, à en faire des obligations, à les accorder à certains au détriment d’autres et/ou à les utiliser comme outil de pression ou d’agression – voir la militarisation de la « démocratie » par le Pentagone.

Le problème de la loi naturelle, c’est qu’elle peut être contenue jusqu’à un certain point mais jamais abolie. Quand on la pousse par la porte, elle rentre par la fenêtre. Un de ses effets, qu’on peut observer dans la monoculture intensive, est d’égaliser les systèmes déséquilibrés. C’est ce qui se passe en ce moment, sous le relatif contrôle d’une élite financière qui tient à tout prix à conserver sa place en haut de la pyramide.

Autre point à comprendre, la dépopulation en cours n’est pas que quantitative, elle est aussi qualitative. Le pouvoir crée une version perverse, que nous allons détailler maintenant, d’un mécanisme clé de la loi naturelle, la survie du plus fort. Nous ne sommes donc pas dans une logique de dépopulation aveugle, nous sommes en phase de sélection.

Ce n’est pas une pandémie, c’est un test de QI.

J’ai piqué la photo ci-dessus à un article de VST, qui met en garde ses lecteurs sur le danger de cette idée, qu’il qualifie d’eugéniste – donc mauvaise et source de division. Je me suis permis de lui rappeler que, question division, la majorité des injectés a longuement traité les non-injectés de parias ignorants, irresponsables et/ou assassins de mamys, qu’un bon pourcentage d’entre eux étaient ravis qu’on les envoie dans des « camps » et/ou souhaitait leur mort, traitaient ceux qui osaient parler sur les réseaux sociaux de leur effets secondaires « vaccinaux » (y compris les plus épouvantables) de menteurs, complotistes, etc. quand ce n’est pas leur famille elle-même qui les reniait (voir ma copine Truthbird). J’aurais aussi pu lui rappeler certaines similitudes entre l’opération Covid et certains événements du siècle passé: l’ennemi caché, les camps, la crise économique et le toujours utile « Je ne faisais qu’obéir aux ordres ». Détail amusant, le sobriquet des foules enthousiastes de la République de Weimar, qui applaudissaient depuis leurs balcons les défilés militaires du Troisième Reich, convient aussi très bien à ceux qui applaudissaient plus récemment le personnel médical depuis les mêmes balcons – avant de souhaiter un peu plus tard la mort des mêmes, si réfractaires à l’injection – à l’heure recommandée par le pouvoir: les balconazis, terme très élégant que j’utiliserai désormais pour les désigner.

Ignasz s’élève également contre l’appellation « pure blood » (pur-sang) des non-injectés, d’après lui autre source de division, glissant sur le fait que le code génétique des récipendiaires de la « thérapie génique » a été compromis, et que celui de leur progéniture sera, si on en croit Parrhesia, définitivement modifié – ce qui ferait officiellement d’eux des mutants, de facto propriété intellectuelle des firmes pharmaceutiques. Mais selon lui, nous devons éviter de tomber dans la division… Ignasz n’ayant pas répondu, je le laisse donc à sa mémoire sélective et à sa position étonnament conciliante. L’année de la redevabilité a décidément du mal à démarrer.

Pour ma part, je n’oublie rien de ce qui a été dit, ni par qui, et vu ma fâcheuse tendance à garder des rancunes de plus de cinquante ans – enfant unique, je n’ai donc pas appris le jeu de je-te-fais-une-crasse-tu-me-pardonnes, me dit mon épouse – je ne suis pas très client du pitoyable exercice de réinterprétation des faits actés et des paroles prononcées ces trois dernières années. Patient, j’attends donc avec confiance qu’une forme de justice immanente s’occupe de régler les dettes, comme je l’ai souvent constaté et comme nous l’allons voir tout de suite puisque c’est le sujet du présent article.

Revenons d’abord brièvement sur cette accusation d’eugénisme. Je l’ai dit et je le répète, l’eugénisme fait partie intégrante des choix humains. Il n’est ni bon ni mauvais, le tout est de savoir qui l’exerce. Au niveau de la famille, c’est le simple choix du nombre d’enfants, en adéquation avec les ressources disponibles de l’endroit et du moment. Au niveau des États, il peut aller des politiques natalistes bienveillantes aux massacres de masse et aux génocides. C’est donc encore un domaine dont la politique n’a pas à se mêler, ni dans un sens ni dans l’autre.

C’est pourtant exactement ce qu’elle fait en ce moment. En réalité, on est bien au-delà d’un test de QI: c’est une action militaire et c’est un test de survie – on pourrait même dire que c’est un test d’humanité. Et c’est la « gauche » qui, après avoir préparé le terrain depuis quarante ans, est assez logiquement chargée de le faire passer: quand il s’agit de juger, condamner et massacrer leur propre peuple, ils sont les plus qualifiés. Voici la méthode.

Pour résumer, la majorité de ceux qui ont scrupuleusement suivi les directives de tests PCR, masquage, distanciation sociale, délation et comme je le rappelais plus haut, persécution et ostracisme des non-conformes, pour ensuite se ruer sur les vaccins, étaient de bons citoyens obéissants et confiants – c’est-à-dire des étatistes, ceux qui constituent l’armée personnelle de la gauche, chargée de la première phase de l’opération. C’est encore beaucoup plus marqué aux États-Unis, où le clivage Démocrates/Républicains se joue en premier sur la notion des limites du rôle de l’État fédéral. Nous sommes entrés dans la deuxième phase de l’opération. Pour la comprendre, restons aux States, où on trouve entre autres dans les opérations post-Covid:

  • l’opération Ozempic, médicament initialement réservé aux diabétiques, dont les effets secondaires assez redoutables – paralysie stomacale, nécrose intestinale, perte de tissu organique, effondrement des traits du visage – en font l’arme idéale pour détruire ce qui reste de la santé des obèses (40% de la population) encore en vie, qui peuvent à présent s’en faire injecter hors prescription comme médicament de perte de poids (une version orale existe sous la marque Wegovy);
  • l’opération Trans, programme de mutilation/stérilisation de masse, qui, par le truchement du réseau enseignement et pédopsychiatrie – tous deux sous emprise de directives très punitives, si ça vous rappelle quelque chose – vise tous les enfants et jeunes adolescents mais touche principalement les familles « progressistes »; à noter parmi ses victimes le très haut pourcentage d’enfants autistes (20% minimum), dont le nombre a littéralement explosé suite aux dégâts vaccinaux et aux addictions à l’écran – c’est donc bien de l’eugénisme d’État; outre les atrocités chirurgicales que ces jeunes subissent, le bombardement hormonal intensif des jeunes filles provoque des états de violence extrême, qui se sont déjà soldés par des tueries à l’arme à feu, et iront en s’aggravant – je ne suis pas le seul à prédire qu’ils finiront par se retourner contre le corps médical et contre leurs propres parents;
  • l’opération Fentanyl-Tranq, qui décime en premier les sans-abri et les dépendants de l’aide sociale, électeurs Démocrates pour des motifs pragmatiques.

À première vue, il pourrait paraître absurde que la gauche soit occupée à décimer préférentiellement ses propres rangs. C’est une ironie qui n’en est pas une: elle suit une très ancienne méthode, celle de « tuer les tueurs » une fois leur mission remplie2. Les tueurs du jour sont les naïfs de l’idéologie du changement, c’est-à-dire avant tout les Démocrates – athées, souvent très diplômés et donc passés à la moulinette du progressisme via leur (ré)éducation – qui ont servi de levier au passage à gauche des USA. On n’entend déjà plus guère parler des marxistes de BLM, et une fois leur date d’utilisation dépassée, la petite armée woke/trans/arc-en-ciel du Grand Timonier Biden ira les rejoindre dans les oubliettes de l’Histoire – avec probablement, comme indiqué plus haut, violence et suicide pour une bonne partie d’entre eux, quand ils comprendront enfin qu’on les a sacrifiés. Voilà le sort de la gauche dans cette opération de sélection.

Voyons maintenant ce qui est réservé à la « droite ». Je me suis livré à une petite expérience en prenant le lectorat de Substack comme sujet-test. J’y ai publié quelques commentaires politiquement incorrects mais parfaitement justes, en forçant à peine le trait, en réponse à des lecteurs typiques de la plateforme censés représenter la tendance « droite » (chrétiens, conservateurs, traditionnalistes). Échantillon desdits commentaires et des réponses:

  • pour sauver la civilisation occidentale, il faudrait remonter le temps et faire taire une bonne fois Darwin et Nietzsche: pas de réponse;
  • comment peut-on louper le fait que des gens comme Bill Gates et Elon Musk sont des crétins, qui montrent des signes clairs de handicap mental?: pas de réponse;
  • l’intégration des cerveaux au Cloud ne changera pas grand chose puisque la pensée est morte, suicidée par les smartphones et les réseaux sociaux: pas de réponse;
  • ce n’est pas seulement Mattias Desmet qui est un rouage du système, c’est l’ensemble de sa profession, qui a supplanté les curés et a détruit l’aspect sacré de la confession, et sert aujourd’hui à apposer son sceau pseudo-scientifique sur la « dysphorie de genre » (voir plus haut): ah si, une réponse – « c’est n’importe quoi! »;
  • j’oriente Bryan Mowrey, qui publie un article pour défendre l’idée que les armes atomiques existent, vers le papier de Miles (traduit ici) qui démonte le truc; sa réponse est que, vu que ça impliquerait un grand nombre de fakes, il serait plus facile de fabriquer de vraies bombes atomiques – ce qui est démontrablement impossible; devant une telle mauvaise foi et un raisonnement aussi grotesque, je laisse aussitôt tomber la discussion avec ce crétin diplômé – le sujet de mon papier suivant;
  • le commentaire à Ignasz cité plus haut: pas de réponse;
  • etc.

La « résistance » se résume, sauf exceptions, à des gens qui déplorent telle ou telle dérive mais sont les premiers – du moins tant que leur bagnole démarre et que leur frigo est plein – à défendre le système, en dépit du simple bon sens. Un double standard qui se retrouve dans leur analyse des responsabilités: d’un côté leurs Maîtres très méchants mais aussi très puissants, donc coupables de tous les maux, de l’autre les simples rouages, manipulés et prisonniers du système, qui ne se rendent pas compte de ce qu’ils font et/ou ne maîtrisent rien. Désolé, mais non. Que le personnel hospitalier ait tué mamy avec injection/Remdisivir/respirateur ou en l’étouffant avec un oreiller, ça fait peu de différence. Ça reste un meurtre prémédité de sang froid. Par pas Bill Gates, par eux.

Mieux que l’opposition contrôlée par le Renseignement, c’est leur diplôme et leur intérêts dans le système qui sert de carcan à ces héros en carton. J’ai donc stoppé l’expérience assez rapidement, la majorité des prises de position (je ne parle pas du contenu des articles) se limitant à des jérémiades post-vaccinales, à de l’idolâtrie de l’une ou l’autre figure politique (Trump, RFK Jr, etc.) et à la défense de la liberté d’expression de la part de gens dont le discours se limite à de la vertu ostentatoire en version bon apôtre – rebelles mais gentils avec tout le monde. Quand on s’écarte un peu du consensus, on est considéré comme un troll. La seule qui comprend de quoi je parle et qui répond intelligemment à mes commentaires, c’est Sasha Latypova, la seule (avec Yeadon, dans une certaine mesure) qui, après avoir consacré toute sa carrière professionnelle à des tests pharmacologiques de haut niveau, admet que les vaccins sont, ont toujours été et seront toujours du bouillon d’onze heures. Je ne sais donc pas quel sera le sort de la droite, puisqu’il semble qu’à part elle et moi, il n’y ait plus beaucoup de parole courageuse, donc de « droite ». On est mal barre. Ceci dit, croyez-le ou non – je viens de le découvrir et j’en suis le premier surpris – un nombre croissant d’auteurs sur Substack, et pas des moindres, suit mon compte uniquement pour lire mes commentaires, je suppose, vu que je n’y ai encore publié aucun article. Je vais donc probablement devoir y consacrer un peu de temps, idée que je contemple depuis un moment, en essayant surtout de ne pas laisser tomber mon lectorat francophone – ne le répétez pas mais j’aime vraiment ce pays, et mon épouse le sien, juste en-dessous.

Le dernier point à comprendre est le plus important. Quoique nous infligent nos gouvernements – néolibéraux, fascistes, communistes, peu importe – et même si les plus grands massacres ont été historiquement leur oeuvre, ce sont toujours actuellement eux qui contrôlent le chaos et maintiennent en vie la majorité de leur population. Même si l’espérance de vie d’un pourcentage des injectés a été considérablement réduite, leur santé précaire ne tiendra quand même qu’aux soins médicaux que l’État continuera à maintenir – je connais personnellement des personnes dans ce cas. Maintenant que le rôle de protection des États est en train de s’inverser à grande vitesse – la Belgique étant une exception, on y tente de sauver les meubles en donnant des primes aux vieux comme moi pour les inciter à ne pas partir trop tôt à la retraite – la sélection s’opérera entre les personnes qui dépendent de l’autorité et ceux qui arriveront à s’en sortir autrement. Plus que selon un clivage gauche/droite, je pense qu’en définitive, comme dans toutes les guerres, c’est la population rurale qui a de meilleures chances de passer le cap. Ça fait un moment que je le martèle: soyez prêts et fichez le camp des villes. Ma courageuse épouse nous aura fait cette saison plus d’un an de légumes dans son potager et nous pouvons compter sur notre éleveur local autant qu’il peut compter sur nous, là où les citadins tireront une drôle de tête le jour où ils devront céder leur femme à un chef de gang de quartier contre une boîte de thon à l’huile – ceci pour rappeler qu’il y a dans ce monde des gens beaucoup plus dangereux que les gouvernements, et que même si la citation de Reagan était juste à son époque, le cadre a changé. Et pas en mieux.

Désormais, la phrase la plus terrifiante en anglais est à mon avis celle qui figure (à 2:30-2:34) dans la deuxième partie3 d’une trilogie hollywoodienne que je vous recommande vivement – vous comprendrez pourquoi en les regardant.

Toutes les fonctions officielles du gouvernement ont été suspendues pour une durée indéterminée.

Une phrase que vous risquez d’entendre au cours de la décennie prochaine. Je vous explique pourquoi dans la suite de cet article.


  1. Je conserve des copies de ce texte admirable, en cas de pénurie de papier toilette. ↩︎
  2. Les Allemands ont eu l’occasion de l’apprendre à leurs dépens il y a quelques décennies sans vraiment en tirer une leçon à long terme puisque maintenant que leurs dangereux amis de Washington n’ont plus besoin de leur services pour casser la France (Macron s’en sort très bien tout seul), ils subissent le sort historique des traîtres: la mise à mort par leur commanditaire. ↩︎
  3. Le résumé sur IMDB est foireux, rien à voir avec l’histoire du film ↩︎

La question que tout le monde se pose.

Qu’est-ce qui va encore nous tomber dessus?

  • Le Covid (Xiéme vague/variant)?
  • La grippe aviaire?
  • La maladie de Marburg ou une autre fièvre hémorragique?
  • La « contagion catastrophique »?
  • La guerre civile?
  • La guerre chaude en Europe?
  • L’hyperinflation?
  • Les pénuries
    • d’énergie?
    • de matières premières?
    • alimentaires – la famine?
  • La catastrophe climatique?
  • L’invasion migratoire?
  • Une cyber-attaque?
  • Le black-out?
  • Le contrôle total par les monnaies numériques?
  • La fin de l’humanité par l’intelligence artificielle?
  • Une invasion extra-terrestre?
  • Un concert de Francis Lalanne?

Un peu de tout?

Autre chose?

Rien?

Une lectrice sur Substack fait ce commentaire:

L’opération covid n’a jamais été fonction d’une protéine de pointe ou d’une nanoparticule lipidique ou d’un bolus [NdT. injection rapide et brève d’une substance dans un vaisseau sanguin] ou d’un coronavirus ou d’un laboratoire de biologie spécifique ou d’un scientifique ou d’un personnage public en particulier.

Les personnes que nous voyons sur nos écrans, à de rares exceptions près, ne sont ni des supergénies ni des superméchants intentionnels. Et ils sont loin d’avoir sur Mère Nature autant d’emprise qu’ils voudraient nous le faire croire.

La puissance des forces qui se dressent contre l’humanité réside dans leur capacité à collecter et à interpréter des données à une échelle colossale. OODA. Depuis plusieurs décennies, ils ont étudié et analysé les systèmes de la société humaine. Après de nombreux essais, et après avoir déterminé à leur satisfaction qu’ils sont désormais capables de fournir aux différents éléments de la société humaine les informations qui provoqueront l’autodestruction de l’humanité, ils ont mis en œuvre l’opération covid-19 en direct.

Leur opération comporte d’innombrables redondances. Si la première piqûre ne vous tue pas, peut-être que la dixième le fera. Si vous échappez à l’injection, on vous laissera dans la misère et vous mourrez de désespoir. Ou vous serez déclaré fou et hospitalisé de force. Ou vos enfants vous seront enlevés. Ou votre eau en bouteille sera contaminée par du poison. Si vous n’avez pas sur vous le traceur électronique que Big Data vous aura attribué, vous ne pourrez ni acheter ni vendre. Si vous utilisez un système de paiement décentralisé astucieux, il sera réglementé jusqu’à devenir inutile après que l’on vous ait d’abord volé votre argent. Si vous décidez de vous révolter, des algorithmes de pré-crime détecteront vos intentions et la police vous arrêtera. Et ainsi de suite.

Les forces qui se dressent contre l’humanité savent que leur cible est un organisme complexe et vital dont le comportement ne se prête pas toujours à la prédiction. Elles ajustent constamment leur opération.

Sabina Pade, 27 Nov 2022

Très bien, voyons ça.

D’abord, ce n’est pas « l’opération » qui est ajustée mais l’ensemble de la société. Autrement dit, la société est l’opération. Une des manières traditionnelles de l’ajuster est l’alternance de totalitarisme étatique d’un côté et de laisser-faire de l’autre – la « gauche » et la « droite ». La gauche, c’est ce qui déresponsabilise, infantilise et endoctrine l’individu et lui enlève tout pouvoir de décision au nom du « bien commun » – ce que nous avons eu ces trois dernières années en version sanitaire. La droite, c’est ce qui le tient pour seul responsable de son sort, le punit pour la moindre faiblesse (ou pour rien, d’ailleurs), quitte à le laisser crever – on a un échantillon assez violent des deux avec le règne de Macron, qui en a surtout retenu l’aspect Stasi/Tonton macoute – l’idée étant qu’une fois qu’on a été trop loin dans l’un ou l’autre sens, il suffit de passer le relais à l’autre équipe, qui rattrapera la mayonnaise.

La question est de savoir si la mayonnaise est encore rattrapable et quel est l’avenir d’un monde plus stupide, plus laid, plus fou et plus violent à chaque minute – bref, dangereux – où les gouvernements s’en prennent directement à leurs populations de façon aussi peu courtoise.

Reprenons quelques éléments de l’opération:

  • Dépopulation
  • Stérilisation
  • Zombification
  • Destruction de l’enseignement
  • Destruction de l’économie
  • Destruction de la paix sociale
  • Destruction du réseau de production d’énergie
  • Destruction de l’agriculture et de l’élevage
  • Destruction du réseau médical
  • Destruction des moyens de transport
  • Contrôle de la consommation

… ce qui se décline aujourd’hui en mesures sanitaires, monnaies numériques, revenu universel, contre-mesures climatiques, intelligence artificielle et tout ce genre de connerie. Le fait que tout déboule en même temps montre qu’on est dans les mesures d’urgence, des moyens de contrôle de dernier recours justifiés par les catastrophes annoncées, réelles ou fictives: pandémies, réchauffement planétaire, tarissement du pétrole, rarification des ressources, chômage de masse, krach financier, etc. Le Grand Reset étant un livre de science-fiction écrit par des fonctionnaires, infaisable en vrai, il semble que la stratégie est finalement de « brûler le village pour le sauver ». Nous ne sommes donc pas « en transition » mais en plein stage de survie à l’échelle planétaire. Le système est étonnament résilient mais pour combien de temps? Il tiendra le coup jusqu’à son point de bascule, moment auquel il s’effondrera, surtout si on l’aide un peu en coulisses. Y aura-t-il une prise de conscience suivie d’une révolte, comme l’annonce Parrhesia? On en est déjà à des millions de morts et question révolte, à part beaucoup de paroles – le rôle de l’opposition contrôlée – et quelques manifestations complètement inutiles, rien n’est fait. Faisons un rapide tour d’horizon du théatre des opérations avec trois exemples concrets.

Même s’il ne fait plus guère la une, on pourrait se demander combien de temps va encore durer le conflit Russie/Ukraine, qui, en toute logique, aurait dû être bouclé en deux semaines – comme dans « deux semaines pour aplatir la courbe ». Il ne tient encore que par le déstockage (payant) d’armements américains et européens – dont on perd la trace mais dont une partie finit apparemment en Afrique, nouveau théatre des opérations, et en Europe de l’Ouest, dans le cadre de la vaste manoeuvre de déstabilisation/changement de régime en cours. L’Opération Militaire Spéciale russe est ainsi devenue de facto une guerre d’attrition, un Verdun à l’échelle nationale où, comme lors de la Première Guerre mondiale, la classe paysanne est envoyée à une mort lente mais certaine pour préparer le pays, initialement utilisé par les États-Unis comme plaque tournante de corruption, à la mainmise de ces derniers sur les riches terres agricoles de l’Est – comme dit John C Dvorak, « Autant barrer Ukraine tout de suite et inscrire Cargill à la place ». Pour des raisons ethniques, la Russie gardera vraisemblablement les territoires russophones, qu’ils sont sans doute les seuls à pouvoir durablement gérer. Tout ça sent l’opération commerciale entre deux super-puissances, dans laquelle l’Europe se voit une fois nouvelle fois léser, pour rester poli. Mais ne m’écoutez pas, demandez plutôt à Victoria Nuland de vous expliquer.

En Russie même, la plateforme ARNm – en collaboration avec AstraZeneca – semble avoir de beaux jours devant elle. Ça ne risquera pas d’arranger leur problème de déclin démographique mais n’empêche toutefois pas leur président de rappeler à chaque occasion la décadence de l’Occident, pendant que la Fédération s’engage sur la voie des smart cities et que leurs voisins et amis mettent en place des villes de 15 minutes – les solutions « durables » chères au Forum Économique Mondial. Tout ça pour rappeler qu’ils ne sont pas, malgré ce que tentent de vous en faire croire leurs porte-paroles occidentaux (payés), les « résistants » au Nouvel Ordre Mondial: ils en sont l’avant-garde et le futur centre.

Côté États-Unis, que se passera-t-il l’année prochaine? Après la campagne de décérébration intensive de ces trois dernières années à coups de Covid, « transmaoïsme » (sujet extrêmement bien traité par John et Adam depuis le n°1541 de NoAgenda, auquel j’aurais pu consacrer des dizaines d’articles si j’avais eu le temps), wokisme, marxisme idéologique et drogues psychotropes, deux camps inconciliables ont été créés, situation qui pourrait bien sonner le glas de l’American Way of Life. Pour rattraper ladite mayonnaise, on parle aujourd’hui de gouvernance bi-partite Démocrates/Républicains, qui se concrétiserait par la désignation de Robert F Kennedy Jr comme candidat Démocrate à la présidence et par sa « victoire » possible dans son rôle revendiqué de rassembleur. En réalité, à l’instar du rôle d’homme providentiel de Robert Malone dans le « mouvement pour la liberté médicale », RFK a été adoubé en haut lieu pour gérer l’après-Covid en version très soft. Après avoir focalisé – notamment par le biais de son bouquin « The real Anthony Fauci » – la faute des injections sur les seules institutions de régulation (la FDA, les CDC, etc.), son projet politique pour l’avenir est, avec l’aide de Malone, de « rétablir la confiance » envers ces institutions, qui ne seraient tenues qu’à de simples excuses pour ces trois dernières années, en glissant discrètement sur le fait qu’il s’agissait d’une opération militaire (voir les articles de Katherine Watt sur ce blog). Bref, le Grand Pardon. [Edit: je tombe justement aujourd’hui même sur cet article où Malone présente le nouveau bouquin de RFK, consacré aux coulisses militaires/renseignement de la « biodéfense ». En attendant de le lire, je retire temporairement ce que j’ai dit quatre lignes plus haut.]

Pour remplir ce rôle, il cumule quelques atouts électoraux, qui joueront ou non en sa faveur: énorme et précieux travail d’information médicale et travail sur le terrain à travers Children’s Health Defense, Démocrate mais capable de faucher les votes MAGA à Trump (le poulain du Renseignement militaire discrédité par l’Opération Warp Speed), grand défenseur des mesures « climatiques » anti-pétrole et anti-nucléaire (sur lesquelles il a bâti sa carrière d’avant-Covid) et de l’agriculture régénérative (sans engrais ni pesticides), son programme est une mise à jour des grands axes « progressistes » verts à la sauce « libertaire », ce qui le rendra à moitié digeste pour une droite inquiète de son possible avenir sous dictature sanitaire (menace brandie et exacerbée par sa base de soutien), tout en restaurant la ligne traditionnelle d’une gauche qui devra gérer tôt ou tard ses traumatismes idéologiques et accepter qu’il est leur seule option. Son programme très vertueux laisse toutefois un détail mineur à régler: même en les rationnant sévèrement, comment il compte faire pour fournir énergie et nourriture à 360 millions d’américains reste un mystère.

Plus près de nous, est-il encore possible de désamorcer la poudrière de la France, sa déstabilisation télécommandée depuis Washington et Langley, sa politique énergétique sabotée par l’Allemagne, et surtout qui est encore capable? Le récent « coup d’État » au Niger scellera encore un peu plus la fin de la Françafrique, que la Chine, la Russie – en position de force par son contrôle militaire des exportations de céréales ukrainiennes – et dans une moindre mesure, les États-Unis sont en train de se partager, grâce à l’ineptie du caractériel Macron, qui aura ainsi achevé sa tâche de transformer, à coups corruption institutionnelle, le pays qui lui a été « confié » en république bananière, soumise à un pillage comparable à ce qu’a subi la Russie après la fin de l’ère soviétique.

Tout ceci indique que nous ne sommes pas (ou plus) dans un scénario de guerre économique. L’élite financière sait pertinemment que le système monétaire et la taxation qui le soutient sont totalement morts. Elle est donc engagée dans une guerre des ressources – une des raisons pour lesquelles elle tente de réduire la consommation par crises artificielles, inflation, prétexte « climatique », contrôle par MNBC et score social. La Russie et la Chine – et le bloc BRICS en général – partent gagnantes dans cette guerre, en jouant la carte du bon sens énergétique, et celle de la diplomatie « win-win » en Afrique et ailleurs – dans le cas de la Chine, dans tous les territoires traversés par sa Nouvelle Route de la Soie.

Pendant ce temps, ce ne sont pas seulement les Français qui ont perdu leur pays mais tout l’Occident qui est au bord de l’implosion. Le nombre de gens à la rue ne cesse de croître et rien n’est fait pour eux – autre méthode de réduction de l’espérance de vie (la moyenne de survie pour un sans-abri est de dix ans). Au Canada, on leur propose le suicide médicalement assisté. Même phénomène en Belgique, où la crise du logement prend des proportions bibliques, le réseau d’hébergement des enfants étant saturé au point où des bébés sont pris en charge dans des services hospitaliers psychiatriques. À part cette masse sans cesse grandissante d’exclus, tout va bien ici pour l’instant pour le citoyen lambda, toujours très bien payé et donc encore très taxable, le pays étant (bien) géré par une bureaucratie indéboulonnable et relativement imperméable aux possibles délires de la caste politique – relativement rares dans un pays où la médiocrité est élevée au rang de vertu et protégé par son statut de conciergerie des institutions atlantistes et européennes.

Voilà un bref aperçu de la situation dans ses grands axes, telle qu’elle est visible aujourd’hui, en gardant à l’esprit que d’autres éléments, dont nous n’avons pas la moindre idée, agissent probablement en coulisses. Quoiqu’il advienne ensuite, vu l’impasse dans laquelle est engagé le système, les réponses finiront tôt ou tard par s’articuler sur le même type de contrôle démographique que celui employé pour le Tiers-Monde, dont le Covid et ses produits dérivés en sont une première salve, comme l’a expliqué Catherine Austin Fitts: une dépopulation, quel que soit le nouveau nom qu’on lui donne – guerre de cinquième génération, iatrogénocide, etc.

Ce qui amène la question que j’ai déjà évoquée ici: y a-t-il encore moyen de faire autrement? Cette société est conçue pour fonctionner selon des paramètres économiques, industriels et démographiques assez rigides – la variable d’ajustement à laquelle « ils » semblent tenir le plus étant la démographie, celle qui se décide en haut lieu pour préserver le modèle. La solution serait bien entendu de changer de modèle – d’urgence – mais est-il encore temps et quels peuples sont-ils prêts à en faire l’effort physique et moral? C’est-à-dire, refuser de s’enfoncer dans la décadence dont nous parle Vladimir – qui n’est pas, et de loin, l’exclusivité de l’Occident mais un problème de civilisation, dont la fragilité a été bien mise en avant par la crise Covid.

La médecine, qui n’a jamais cessé de faire reculer les limites de l’acceptable (voir notamment ici et tous mes articles sur les injections et thérapies géniques) et torturé les animaux pour des questions « de sécurité », a maintenant complètement basculé dans la monstruosité sénécide, fratricide et, signe de fin des temps, infanticide (ici, ici, ici, ici, liste non-exhaustive). Le Dr Hodkinson mentionne ici le sacrifice d’enfants chez les Aztèques, pour apaiser la colère des dieux. Je pense que c’est exactement là où nous en sommes, ce qui devrait nous rappeler que la civilisation n’est jamais qu’un arrangement temporaire, jamais loin de la barbarie, et que les civilisations ont une curieuse tendance à disparaître. La question serait de comprendre comment, ce que nous allons tenter en creusant un peu l’Histoire dans la suite à cet article. Apparemment, il existerait un phénomène récurrent qui remettrait les pendules à zéro, ferait table rase des mensonges, fausses excuses, ambitions de demi-dieux, décadence et tutti quanti. Un « Build Back Better« , un « Grand Reset » et une dépopulation à une échelle inimaginable, qui donneraient une autre raison aux mesures d’urgence.

Je pense que c’est ça qui va nous tomber dessus.

La technologie de la thérapie génique à ARNm: futile, mortelle, mais extrêmement rentable (première partie) – par Sasha Latypova.

Nous vivons aujourd’hui dans une nation où les médecins détruisent la santé, les avocats détruisent la justice, les universités détruisent le savoir, les gouvernements détruisent la liberté, la presse détruit l’information, la religion détruit la morale et nos banques détruisent l’économie. Et tout cela par amour de l’argent, de la domination mondiale et de leur propre divinité.

James Filbird, 28 juillet

Source.


La technologie de la thérapie génique à ARNm: futile, mortelle, mais extrêmement rentable – Première partie

Est-il acceptable de faire des expériences sur des enfants qui « vont mourir de toute façon »?

Sasha Latypova

28 juillet

Cet article fait suite à mon article précédent [NdT. traduit ici] .

Bien que stupéfiante de stupidité et de futilité, cette histoire de fratricide/suicide par la science s’est au moins jouée entre deux adultes consentants. L’histoire suivante concerne des enfants.

Timothy Yu, de l’hôpital pour enfants de Boston, l’un des hôpitaux pédiatriques les plus célèbres et les plus prestigieux du pays, a réalisé une percée scientifique en concevant une « thérapie génique ciblée » pour un seul patient! Nous sommes officiellement entrés dans la nouvelle ère technologique des traitements à N = 1. Bien sûr, ce conte de fées pour gogos de la science est promu sous diverses formes depuis des décennies, mais bon, maintenant on y est, enfin!

Selon Endpoint News:

Timothy Yu a provoqué une onde de choc dans le monde de la thérapie génétique il y a quatre ans après avoir révélé qu’il avait mis au point – en moins d’un an – un traitement adapté à la mutation génétique unique d’une jeune fille.

La patiente, Mila, souffrait d’une maladie potentiellement mortelle appelée ataxie-télangiectasie (A-T), d’immunodéficiences graves et d’une neurodégénérescence du cervelet, la partie du cerveau qui contrôle les mouvements.

Il n’existe pas de médicaments qui s’attaquent à la cause sous-jacente de la maladie, et peu de nouveaux traitements sont à l’étude, en partie parce que la maladie est très rare et en partie parce que l’enzyme vitale est trop grosse pour être codée dans les vecteurs viraux largement utilisés dans les thérapies de remplacement de gènes.

Yu ne s’est toutefois pas laissé décourager et a mis au point un traitement pour Mila en utilisant CRISPR et ce que l’on appelle la « commutation d’épissage » pour préparer un oligonucléotide antisens qui serait injecté dans la moelle épinière de la pauvre petite fille. Les représentants pharmaceutiques journalistes d’Endpoint appellent cela « ce qui se rapproche le plus d’un remède » :

Il y a aussi la question du timing. Mila, qui souffrait d’une maladie neurodégénérative mortelle appelée maladie de Batten, est décédée malgré le traitement parce que son état avait déjà trop évolué.

« Si une personne est déjà très gravement malade et qu’elle se trouve à un stade trop avancé, il sera très difficile pour nous de faire quelque chose ».

Pourquoi n’y ont-ils pas pensé avant d’expérimenter sur une enfant en phase terminale?

Les enfants « immunodéprimés » ou gravement malades sont-ils un terrain propice à l’ARNm/CRISPR et à d’autres formes d’expériences génétiques?

Quel enfant n’est pas « immunodéprimé », sérieusement, après plus de 70 injections de santé de la part du CDC? À titre d’exemple, pour le gouvernement russe, la « population vulnérable » adulte comprend désormais tous ceux qui n’ont pas encore reçu d’injections de concoctions génétiques. Si vous pensez que le gouvernement américain ne tentera pas le même tour de passe-passe pour cibler vos enfants, c’est que vous ne pensez pas comme un mondialiste.

Interrogeons les experts. Lorsque Glenn Beck lui demande si les injections d’ARNm sont acceptables pour les enfants, le Dr Malone répond bien sûr que non, sauf…

[NdT. extrait vidéo sur la page source, non reproductible ici]

… pour les enfants gravement malades, car « ils vont mourir de toute façon », selon le Dr Steven Hatfill, un expert en armes biologiques ayant des liens étroits avec la communauté du renseignement. L’interview complète est disponible ici, le clip a été réalisé à 1:18:03.

Cette position sur la bioéthique est fréquemment adoptée par l’élite scientifique militaire, universitaire, biotechnologique et des armes biochimiques. Ils le font si souvent qu’ils ne s’en rendent plus compte, car cela devient une seconde nature pour toutes les personnes impliquées.

Lorsqu’une personne est en phase terminale d’une maladie et que l’on s’attend à ce qu’elle meure, il est contraire à l’éthique d’expérimenter sur elle, à moins qu’il n’y ait des preuves très solides que le traitement expérimental sera bénéfique pour EUX (pas pour leur grand-mère, ni pour les scientifiques de Boston Children’s, ni pour leur département de propriété intellectuelle, ni pour leur bilan financier). En général, il n’est pas acceptable de justifier cela par la « recherche d’un remède », car il s’agit d’une raison trop générique. Il en va de même, par exemple, pour la fabrication de nouvelles armes contre-mesures de biodéfense (profession de Steven Hatfill) pour la « préparation à la pandémie » – ce n’est qu’un récit fantaisiste pour justifier le racket du gouvernement et la suppression de nos droits. La preuve d’un éventuel bénéfice direct pour le sujet expérimental ne doit pas être théorique, elle doit reposer sur une base empirique suffisante. Elle nécessite également un consentement éclairé, que les enfants ne peuvent légalement pas fournir, ce dernier point en faisant une question éthique particulièrement épineuse.

La justification donnée dans le clip ci-dessus est que les « vaccins » à ARNm sont acceptables pour les enfants gravement malades parce qu’ils courent un risque élevé de décès, vraisemblablement à cause du covid (quoi que cela puisse être). Est-ce vraiment le cas? Existe-t-il un ensemble de données fiables montrant que c’est effectivement vrai? Existe-t-il des données fiables montrant que les injections de « vaccins » ARNm ont amélioré l’état de santé, la qualité de vie et/ou la survie, par exemple, des enfants atteints de cancer?

La réponse est non. De telles données n’existent pas. Le nombre d’enfants susceptibles d’être décédés à cause du covid est infiniment petit, et le travail de manipulation des données est si énorme qu’il est impossible aujourd’hui de tirer cette conclusion avec un quelconque degré de certitude. Cette affirmation n’est pas fondée sur la science – il s’agit d’un culte de la « biodéfense » qui se perpétue par le biais de la mythologie.

Nous sommes censés SUPPOSER que ces enfants tireraient bénéfice d’une concoction composée de saloperies secrètes de la DARPA non conformes aux BPF et contaminées par des quantités massives d’ADN plasmidique et de métaux toxiques. Parce que, voyez-vous, ils sont « immunodéprimés ». Petite remarque: ils sont toujours incapables de définir ce qu’est une fonction immunitaire normale, mais ils savent avec certitude quand elle est « compromise ».

Pourquoi injecter ces enfants, alors que nous savons que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine ont des décennies d’antécédents en matière de sécurité, et qu’elles constituent à la fois une prophylaxie et un traitement efficace des symptômes du covid?

Revenons à Mila – elle a fait l’objet d’expériences et est morte après ces expériences, mais personne ne semble s’en préoccuper. Ses parents l’ont apparemment vendue au laboratoire des enfants de Boston par désespoir et par foi en la science. Les parents d’enfants en phase terminale et tous ceux qui les entourent sont conditionnés à répéter le discours de « l’espoir d’un remède » et « cela aidera à trouver un remède pour d’autres » afin de soutenir la collecte de fonds du monde universitaire pour de nouvelles expériences futiles mais mortelles. Il n’y aura pas d’attribution de sa mort à l’expérience, ni de discussion sur l’éthique de la torture d’une enfant déjà souffrante pendant les derniers mois qu’elle a passés dans ce monde.

Bien entendu, les comités d’examen institutionnels approuvent ces expériences sur des enfants mourants, sur base des mêmes motivations que le Boston Children’s et que Yu.

Ces motivations incluent de généreuses subventions pour jouer aux scientifiques et rédiger des publications prestigieuses vantant les mérites des thérapies géniques, espérer des prix Nobel et breveter la propriété intellectuelle qu’ils concéderont à des sociétés pharmaceutiques moyennant royalties ou à la DARPA/BARDA pour la fabrication d’armes de destruction massive. La fillette est morte (elle « allait mourir de toute façon ») et ils sont les héros qui ont tenté de la sauver à l’aide de formules magiques, de charlatanisme et en enfonçant de grosses aiguilles dans sa moelle épinière. Comme si cette enfant n’avait pas assez souffert. Mais c’est une réussite! Yu jure que son traitement a fonctionné! C’est l’autre chose qui l’a tuée.

Et maintenant, Yu et un « consortium à but non lucratif » néerlandais appelé Center for RNA Therapeutics salivent à l’idée de s’attaquer à 25-30 patients dans le cadre d’une escroquerie similaire. Si cela vous semble bien peu, sachez qu’une autre thérapie de merde génique, l’hémophilie-A Roctavian de BioMarin, a récemment reçu l’approbation de la FDA après moult retards et un précédent rejet par la FDA, pour un prix de 2,9 millions de dollars par traitement! BioMarin l’annonce comme presque curative, affirmant une réduction de 97% de l’utilisation du facteur VIII (traitement standard). L’étiquette de la FDA ne mentionne cependant qu’une diminution de 52% du nombre moyen de saignements.

« Ce que nous avons appris aujourd’hui, c’est que cela ne fonctionne pas chez tout le monde. Cela ne dure pas éternellement », a déclaré Henry Fuchs, président de la R&D mondiale de BioMarin, à Endpoints News lors d’une interview préalable. « Notre point de vue est qu’il fonctionne chez un nombre suffisant de personnes et pendant suffisamment longtemps. »

Oh.

Ils espèrent facturer près de 3 millions de dollars au moins tous les 6 mois à 2 ans pour chaque patient jusqu’à la fin de leur vie, pourquoi seraient-ils mécontents? Les paiements aux médecins pour qu’ils imposent ce traitement à leurs patients se chiffreront à des centaines de milliers de dollars, de sorte que l’on peut être certain qu’ils veilleront à ce que le traitement soit utilisé fréquemment. BioMarin espère que ses revenus passeront de 2,1 milliards de dollars actuellement à 4-5 milliards de dollars très bientôt.

Futile mais extrêmement rentable, telle est la nature de l’escroquerie des « médicaments orphelins » pour les « maladies génétiques rares ». C’est la raison pour laquelle les plus hauts responsables de la FDA s’y intéressent de près, comme nous le verrons dans la deuxième partie de cet article. Restez à l’écoute.

Art du jour: Esquisse en plein air, huile sur panneau.

Les illusions perdues du Covid.

Pour en finir une bonne fois pour toutes avec le Sars-CoV-2

Mauvaise nouvelle, on en finira pas.

Il est là pour toujours. Il a été conçu pour ça.

Et ce ne sera pas la première maladie artificielle à circuler dans la société humaine – pensez VIH et maladie de Lyme.

Vous aurez bientôt – la traduction me prend un temps considérable – un article qui semble indiquer que le Sars-CoV-2 original était un vaccin vivant pour chauves-souris et que c’était bien une fuite de laboratoire, probablement accidentelle, ce dernier point étant celui sur lequel on n’aura jamais de réponse claire et définitive. Le Covid serait donc l’effet secondaire de ce vaccin. On a donc vacciné contre un vaccin (ça s’appelle en rajouter une couche), avec un produit injectable présentant les mêmes effets secondaires en pire, vu son mode d’action, sa fabrication foireuse et ses additifs plus que suspects, produit qui a accessoirement créé, en modifiant leur défenses immunitaires, des milliards de cultures ambulantes de variants.

Quoiqu’il en soit, vaccin vivant, virus, exosome ou arme biologique, le Sars-CoV-2 est un vecteur d’information plus ou moins dangereux selon – comme dans toutes les maladies – l’état immunitaire du sujet, le facteur déterminant de cette proto-pandémie, celui qui a déterminé la létalité de la première vague. D’après moi, ce vecteur a fait le tour des populations, a contaminé un grand nombre de personnes en tuant les plus fragiles – exactement comme un vaccin – pour ensuite assez vite dégénérer. Le fait que cet incident ait été qualifié de pandémie tient uniquement au fait de son énorme amplification dans les médias de masse.

De son côté, la « résistance » minimise systématiquement le fait que la première vague du Covid était effectivement meurtrière – s’appuyant sur le fait que la mortalité annoncée alors dans les médias est quasi invisible dans les statistiques – ce qui était déjà le cas de la « grippe espagnole ». Au coeur de ce chaos informationnel, je pratique le simple bon sens et je me fie en premier à mes observations personnelles. J’ai reçu à l’époque (début 2020) le témoignage direct de quelques cas foudroyants, des décès trois jours après les premiers symptômes, comparables à certains décès post-injection. Et non, ce n’était pas une question de protocole hospitalier puisqu’il n’y avait justement aucun protocole à l’époque.

Ensuite, le terme « génocide » est un peu excessif, la létalité des injections – si on ne compte pas la réduction d’espérance de vie – étant pour l’instant de un pour mille. On pourrait parler au pire d’un meurtre de masse, mais ce ne sera pas non plus considéré comme tel. Selon le cadre légal, c’est une mesure d’urgence sous forme de décrets et contrats gouvernementaux avec des compagnies pharmaceutiques qui ont fait ce qu’elles font d’habitude: mettre sur le marché un produit après avoir évalué la balance bénéfice/risque pour elles. Selon le cadre militaire, c’est une opération, avec un pourcentage de pertes acceptables – ils ont donc aussi fait ce qu’ils font d’habitude. Selon le cadre du réseau des assurances, le fait d’accepter l’injection est assimilé à un suicide. Elles ont donc également fait ce qu’elles font d’habitude, couvrir leurs arrières sur base de prévisions très pragmatiques.

Prémédité ou non, le Covid était surtout l’occasion de faire passer l’adoption universelle de la plateforme ARNm, que les maladies émergentes, réelles ou fictives, aideront – sous l’égide de l’OMS – à consolider, adaptant ainsi le troupeau humain aux nouvelles technologies « vaccinales » avec, comme lors de toute révolution technologique, des dommages collatéraux, inchiffrables à ce stade.

Enfin, l’aspect surveillance. On assiste à un grand déballage d’arguments et à une confrontation entre la « résistance », les think tanks globalistes (dont le FEM est la tête de rayon) et les autorités politiques, autour du risque totalitaire que posent les nouvelles possibilités de surveillance sanitaire (passeport sanitaire, pouvoirs de l’OMS, etc.) C’est un faux débat. D’une part, de façon très typique on met sur la place publique une question déjà résolue: le niveau de surveillance actuel est en effet infiniment supérieur à ce qui est admis. D’autre part, même s’il était encore plusieurs fois supérieur au niveau actuel, ce serait encore insuffisant pour maintenir – c’est là la vraie question – un système devenu ingérable, qui ne peut survivre que par le contrôle total des populations – opérations psychologiques, propagande des médias de masse, endoctrinement scolaire, drogues, et bien entendu l’IA, dont la menace qu’elle pose pour la « démocratie » est un autre faux débat, la démocratie étant un genre de légende urbaine – ce qui ne devrait aujourd’hui plus faire aucun doute.

Les événements de ces trois dernières années ne révèlent finalement rien de tellement nouveau sur le pouvoir, qui a fait ce qu’il fait d’habitude, c’est-à-dire beaucoup de théatre. Ce qu’ils révèlent, c’est un état de santé épouvantable chez les peuples des pays riches, leur niveau d’ignorance crasse et leur dangereuse naïveté devant le spectacle qu’on leur propose.

« L’illusion de la liberté durera aussi longtemps qu’il sera rentable de la maintenir. Lorsque l’illusion deviendra trop coûteuse à entretenir, ils enlèveront le décor, ouvriront les rideaux, rangeront les tables et les chaises et on verra le mur de briques au fond du théâtre ».

Frank Zappa

Dommages persistants au microbiome intestinal après l’injection Covid-19 à ARNm – par Sasha Latypova.

Note de traduction: je n’ai pas traduit le texte figurant sur les dias ni sur la page du bouquin en illustration – pas par manque d’intérêt mais de temps. Je les traduirai toutefois sur demande (dans les commentaires). No problemo!

Source.


Dommages persistants au microbiome intestinal après l’injection Covid-19 à ARNm

Hypothèse du microbiome et de l’ivermectine par Sabine Hazan MD, et al.

Sasha Latypova

24 juillet

Toutes les surfaces extérieures du corps humain sont couvertes de microbes qui ne causent normalement aucun dommage et sont en fait bénéfiques. Ces organismes commensaux présents sur la peau aident à décomposer les cellules cutanées mourantes ou à détruire les débris sécrétés par les nombreuses glandes et pores minuscules qui s’ouvrent sur la peau. De nombreux organismes du tractus intestinal décomposent des déchets complexes en substances simples, et d’autres participent à la fabrication de composés chimiques essentiels à la vie humaine, tels que les neurotransmetteurs nécessaires au bon fonctionnement du cerveau et du système nerveux.

Le tractus gastro-intestinal, la bouche, le nez et les sinus sont richement peuplés de micro-organismes, dont certains sont de véritables commensaux – vivant chez l’homme et tirant leur subsistance des cellules de surface du corps sans causer de dommages – et d’autres sont impossibles à distinguer de ce que la médecine officielle appelle des « germes de maladie ». Ces derniers peuvent vivre comme de véritables commensaux dans le tractus spécifique d’un être humain sans jamais provoquer de maladie. Cependant, lorsque l’environnement est modifié, on constate qu’ils sont surreprésentés en parallèle avec l’apparition d’une maladie grave chez leur hôte. Ce paradoxe n’a jamais été expliqué par la « science moderne », qui insiste invariablement sur le fait que ces microbes sont des agents pathogènes, qu’ils doivent être universellement craints et contre lesquels il faut se « vacciner ». Ces arguments sont également la pierre angulaire du racket de la biodéfense qui permet aux « virologues », « vaccinologues » et autres parasites du complexe militaro-industriel de s’enrichir, d’acquérir du pouvoir et du prestige social.

On ne sait pas pourquoi, par exemple, la bactérie streptocoque hémolytique peut vivre pendant des mois dans la gorge sans causer de dommages et provoquer soudainement une crise aiguë d’amygdalite, ni comment un pneumocoque apparemment inoffensif peut donner lieu à une pneumonie. De même, on ne comprend pas comment une personne peut être porteuse inoffensive d’une bactérie Haemophilus influenzae de type B dans la gorge, puis tomber malade lorsque l’organisme envahit le corps et provoque l’une des formes les plus graves de méningite. Certaines personnes sont porteuses de la bactérie Yersinia pestis, associée à la peste médiévale. Elles ne meurent pas pour autant et ne représentent aucun danger pour personne.

Il se peut que des influences extérieures perturbent l’équilibre entre l’hôte et les microbes, ou qu’un nouvel envahisseur microbien pénètre dans l’organisme et, en entrant en compétition pour un élément de l’environnement, force le parasite d’origine à réagir plus violemment avec son hôte. Le terme « résistance réduite », souvent utilisé pour décrire les conditions d’apparition d’une maladie infectieuse, n’est pas spécifique et implique simplement tout changement dans le système immunitaire de l’hôte.

En d’autres termes, le débat qui fait rage actuellement sur l’existence ou l’inexistence des virus est un faux débat binaire. Il détourne l’enquête de l’examen approprié des méthodes utilisées par les auteurs pour concevoir les attaques biochimiques sous le couvert des « pandémies » et de la « vaccination ».

Les virus (chaînes d’acides nucléiques), les bactéries (organismes unicellulaires) et d’autres microbes existent, mais ne constituent probablement pas une cause de maladie en eux-mêmes. Ils peuvent être impliqués dans un processus de maladie dans des conditions de déséquilibre, lorsque les mécanismes de défense de l’hôte sont endommagés. Ce fait est bien connu des auteurs d’attaques biochimiques. Ainsi, les principales méthodes de militarisation des microbes font appel à des techniques qui créent ce déséquilibre – soit en endommageant l’hôte, soit en l’exposant à une matière biologique synthétique concentrée et purifiée. Ces deux méthodes créent un déséquilibre temporaire capable de déclencher une cascade de maladies à mesure que l’organisme tente de rétablir son équilibre. L’affaiblissement de la résistance de l’hôte peut être induit par diverses tactiques : la peur, le stress, l’isolement, l’induction d’une dysbiose par d’autres vaccins ou d’autres déclencheurs tels que les radiations, ou par la vaccination d’animaux dans la chaîne alimentaire (dysbiose par l’alimentation), des agents toxiques environnementaux, etc. Dans ces conditions, ce qui est normalement un microbe inoffensif vivant en équilibre et bénéfique pour l’hôte peut devenir une arme d’empoisonnement.

L’hiver dernier, j’ai rencontré le Dr Sabine Hazan, gastro-entérologue et grande spécialiste du microbiome. Voici une vidéo de ma discussion avec elle que j’ai publiée il y a quelques mois. Je m’intéresse à la recherche sur le microbiome et j’ai voulu mettre en lumière les articles du Dr Hazan. Je suis convaincue que ce domaine de recherche est essentiel pour comprendre non seulement les lésions causées par l’injection C-19, mais aussi, plus généralement, toutes les lésions causées par les vaccins ainsi que le développement de maladies chroniques au fil du temps.

La première affiche traite des dommages causés aux bifidobactéries intestinales chez les patients ayant reçu une injection de C-19:

Cette étude a montré que les injections de C-19 endommagent la flore intestinale (mesurée par les niveaux de bifidobactéries) et que les dommages persistent chez 4 patients jusqu’à 9 mois. Après 9 mois, les niveaux de bifidobactéries sont tombés à pratiquement zéro.

J’ai interrogé le Dr Hazan sur les probiotiques. Apparemment, les suppléments de probiotiques inversent rarement la tendance et la plupart ne fonctionnent pas très bien. De nombreuses marques ne contiennent pas de souches de bonne qualité ou, même lorsqu’elles en ont, il est extrêmement difficile de repeupler l’intestin avec de bonnes bactéries. Les dommages causés aux bactéries intestinales ne sont pas faciles à réparer et il est préférable d’éviter de les endommager. Il est intéressant de noter que l’effet des injections C-19 sur le biome intestinal est difficile à évaluer de cette manière chez les personnes en surpoids, car elles manquent a priori de bifidobactéries. Cela indique un lien possible entre l’obésité et une microflore intestinale endommagée, dès l’enfance.

Par exemple (publié par DrHankMD sur Twitter):

Le vaccin Hib et l’augmentation du taux de diabète

Ces informations se trouvent dans ce livre:

« Les vaccins: sont-ils vraiment sûrs et efficaces? »

Ce domaine de recherche peut potentiellement expliquer le phénomène de l’augmentation de l’obésité et de l’obésité infantile bien au-delà de ce qui peut être expliqué par de mauvais régimes. Nombreux sont ceux qui soulignent le fait que les régimes alimentaires étaient assez mauvais il y a plusieurs décennies, mais que l’obésité était quasiment inexistante (et je peux en témoigner également). Peut-être les microbiomes intestinaux étaient-ils plus sains à l’époque ? Mon point de vue personnel est que le programme de vaccination d’il y a quelques décennies consistait en 3-4 concoctions traditionnelles (mauvaises et inutiles mais moins horribles) comparé aux 70+ poisons de haute technologie d’aujourd’hui.

Un autre article que j’aimerais signaler est l’article du Dr Hazan intitulé « Lost Microbes in Covid » (Microbes perdus lors du Covid), publié dans le BMJ Gastroenterology:

Résultats: Par rapport aux témoins (n=20), les patients gravement symptomatiques infectés par le SARS-CoV-2 (n=28) présentaient une diversité bactérienne significativement plus faible (indice de Shannon, p=0,0499; indice de Simpson, p=0,0581), et les patients positifs présentaient globalement des abondances relatives plus faibles de Bifidobacterium (p<0,0001), Faecalibacterium (p=0,0077) et Roseburium (p=0,0327), tout en présentant une augmentation de Bacteroides (p=0,0075). Il est intéressant de noter qu’il existe une association inverse entre la gravité de la maladie et l’abondance de ces mêmes bactéries.

Conclusion: Nous émettons l’hypothèse que la faible diversité bactérienne et l’appauvrissement des genres Bifidobacterium avant ou après l’infection ont entraîné une réduction de la fonction pro-immune, permettant ainsi à l’infection par le SARS-CoV-2 de devenir symptomatique. Ce modèle particulier de dysbiose peut être un marqueur de susceptibilité pour la gravité des symptômes de l’infection par le SARS-CoV-2 et peut faire l’objet d’une intervention préinfectieuse, intra-infectieuse ou post-infectieuse.

Enfin, le microbiome est lié à pratiquement toutes les maladies chroniques, y compris les maladies cardiovasculaires, métaboliques, neurodégénératives et même des problèmes tels que la dépression et l’anxiété.

Par exemple, voici comment la bifidobactérie est liée à la maladie de Crohn:

Et cette étude a montré que la maladie de Lyme est également associée à une perte de bifidobactéries:

La perte de bifidobactéries joue également un rôle important dans le cancer:

Je recommande de consulter les publications du Dr Hazan sur d’autres maladies.

Elle fait actuellement face à une attaque assaut de la part des agents du gouvernement et des entreprises – ces entreprises de « cybersécurité » qui agissent en tant qu’opérateurs de renseignement et créent de faux comptes sociaux pour supprimer les contenus qui contredisent le narratif du gouvernement. Ces mercenaires agissent de concert avec les revues universitaires pour supprimer les recherches qui menacent le discours dominant et pour rétracter les articles déjà acceptés qui ont déjà fait l’objet d’un examen par les pairs.

Mon propre avis sur la question: de faibles niveaux de bactéries bénéfiques et leur diversité déterminent probablement si une personne tombe malade avec des maladies de type grippal, si elle développe un dysfonctionnement métabolique (par exemple, l’obésité, le diabète) ou si elle développe des maladies chroniques telles que la démence ou le cancer. La conclusion est qu’il est extrêmement important d’optimiser la santé intestinale par une alimentation saine, en évitant les aliments transformés, les OGM et les additifs, en faisant de l’exercice, en s’exposant au soleil, en maintenant des niveaux appropriés de vitamines clés (C, D, zinc) et en évitant toutes les vaccinations.

Nous ferions bien de nous instruire sur les véritables moteurs de la santé, et le microbiome intestinal est un moteur incroyablement puissant. Notre approvisionnement alimentaire est actuellement attaqué tout autant que nos choix en matière de santé. Cherchez à savoir d’où vient votre nourriture, comment elle est cultivée, comment les animaux sont nourris et traités, comment cela affecte leur biome intestinal? Je vous recommande également de vous rendre sur les marchés de producteurs locaux, de rencontrer les agriculteurs et de discuter avec eux. Vous pourriez vous faire de bons amis et apprendre quelque chose d’important. Amenez aussi vos enfants!

Art du jour: Jardin de roses, huile sur panneau, 11×14 in.

Le Spectacle du Covid – par Toby Rogers.

J’avais l’intention de publier mon propre (double) article en premier, mais je fais passer celui-ci avant. C’est une rétrospective cinglante, très bien écrite, par un type épatant.

Mes lecteurs connaissent sûrement déjà la plupart des éléments évoqués ici mais après trois ans passés dans l’eau de la marmite, ça fait quelque chose de se rappeler d’un coup toutes ces saloperies – et tous ces salopards.

Source.


Le Spectacle du Covid

Pourquoi ces images ont-elles été choisies et qu’est-ce que ça nous apprend sur cette opération psychologique?

Toby Rogers

19 juillet

I. Introduction

Ces dernières semaines, je me suis penché sur le Spectacle du Covid. Plus j’y pense, plus je le trouve étrange. Ce qu’il y a de frappant dans les images emblématiques de la pandémie, c’est à quel point elles paraissent aujourd’hui artificielles. Ces photos étaient présentées comme des « informations de dernière minute », mais il semble aujourd’hui que presque toutes les images emblématiques de la pandémie aient été mises en scène de manière élaborée pour raconter une histoire particulière et obtenir certains résultats politiques.

Passons en revue quelques-unes des images clés de la pandémie et discutons ensuite de leur signification.


II. Des personnes « tombant raides mortes » dans les rues de Wuhan

Le Guardian a officiellement lancé la pandémie en publiant un article intitulé « Un homme mort dans la rue: l’image qui capture la crise du coronavirus de Wuhan« .

Héctor Retamal, basé à Shanghai et employé par l’Agence France-Presse (AFP), s’est rendu à Wuhan, a pris plusieurs photos qui ont été diffusées dans le monde entier par Getty Images.

À l’époque, cette photographie semblait constituer un scoop important et gênant pour le gouvernement chinois. Un mort dans la rue. Le « personnel d’urgence en combinaison de protection » a l’air surpris, ce qui sous-entend que le photographe ne devrait pas voir ça!

Mais réfléchissons un instant. En Chine, le photographe d’une agence de presse étrangère est surveillé dans ses moindres faits et gestes par un agent du Parti Communiste Chinois. Pour que M. Retamal puisse prendre cette photo, il aurait fallu que l’agent gouvernemental l’autorise à se trouver là, et cette autorisation aurait dû venir d’en haut. Même après que M. Retamal ait pris la photo, il avait encore à la faire sortir du pays. Pourtant, son gardien n’a pas confisqué l’appareil photo et ne l’a pas empêché d’accéder à l’internet, ce qui renforce l’idée que le gouvernement chinois souhaitait que cette photo soit diffusée. La question est de savoir pourquoi.

En outre, tout dans cette image est artificiel. Les gens ne tombaient pas raides morts dans la rue à cause de Covid. Le corps est trop ordonné – il est simplement tombé sur le dos dans une position de repos parfaitement confortable, sans aucun membre écarté du corps? On peut supposer que sa tête a heurté le trottoir, pourquoi n’y a-t-il alors pas de sang? Puisque le gouvernement a autorisé la photo, il est peu probable que ces travailleurs aient été surpris, on peut plutôt supposer qu’ils se sont tournés pour poser pour la photo afin de créer un effet maximal.

C’est ensuite devenu un style de reportage – d’infortunés travailleurs chinois en combinaison de protection et des gens qui meurent dans les rues de Wuhan. Le Daily Mail présente un montage vidéo particulièrement choquant de ces images: « On voit des hommes et des femmes incapables de se tenir debout dans la ville chinoise au cœur de l’épidémie de coronavirus ».

Swiss Policy Research a analysé les photos et les vidéos relatives au Covid de Wuhan et a conclu que nombre d’entre elles étaient des mises en scène ou n’avaient rien à voir avec le Covid (en fait, il s’agissait de « personnes ivres, de sans-abri, d’accidents de la route, d’urgences médicales non spécifiées et même d’exercices d’entraînement« ). Alors pourquoi ont-elles été diffusées et vendues au public comme des images liées au Covid?

Rétrospectivement, il apparaît aujourd’hui que l’on nous a présenté les scènes d’ouverture du film Contagion transposées de la salle de cinéma aux journaux. Contagion, plus que tout autre film, nous a préparés à attendre à ce que ça se produise, et finalement, sans aucun doute, ça se produisait!

Le virus mortel de ce film de fiction prend naissance en Asie, se propage par le biais de voyages internationaux bien intentionnés et, tout d’un coup, les gens tombent raides morts. Contagion met même en scène un marché asiatique à l’épicentre de l’épidémie.

Ian Lipkin, épidémiologiste à l’université de Columbia et consultant pour le film Contagion, faisait partie de l’équipe qui a dissimulé les origines de laboratoire du SARS-CoV-2 à la demande de Tony Fauci pendant les premiers jours de la pandémie – alors que le Guardian publiait la photo que j’ai montrée plus haut.


III. Le psychopathe milliardaire Bill Gates a forcé le Dr Sanjay Gupta à tâter du fouet tous les samedis soirs pendant des mois

Tous les soirs, au plus fort de la pandémie, alors que des millions d’Américains étaient enfermés chez eux sans rien faire, le psychopathe milliardaire Bill Gates, qui n’a pas terminé ses études secondaires, a acheté sa place dans l’émission Anderson Cooper 360 (CNN), où le Dr Sanjay Gupta, véritable neurochirurgien, a été contraint de traiter Gates comme l’expert de la pandémie.

Bill Gates a passé chaque interview avec un sourire en coin. Il n’a apporté aucun élément nouveau. Pourquoi un éminent neurochirurgien immigré a-t-il été contraint de poser des questions à Bill Gates plutôt que l’inverse?

Je pense que l’objectif non avoué des interviews Cooper/Gupta/Gates était multiple. Gates l’a fait pour humilier le Dr Gupta et la profession médicale. Il a montré qu’ils n’étaient que des marionnettes à louer, qui se moquaient de la science et dépouvus du moindre respect d’eux-mêmes.

Comme le souligne Robert Kennedy Jr., 80% des revenus d’Anderson Cooper 360 proviennent de Big Pharma, de sorte que l’apparition de Gates n’était qu’un placement de produit rémunéré qui vantait les mérites des vaccins à venir.

Gates semble également prendre plaisir à nous faire croire qu’il est l’architecte de notre destin. Gates est comme un pyromane qui bavarde avec une famille dans la rue tout en regardant leur maison brûler. Chaque samedi soir, au plus fort de la pandémie, Gates disait au peuple américain: « C’est moi qui vous ai fait ça et vous ne pouvez rien y faire parce que je suis richissime ». C’était un mélange étrange de Goebbels et de Mengele, et Gates l’a fait parce qu’il le pouvait et parce que c’est son truc.


IV. Images de New York

La ville de New York s’est vraiment surpassée en matière de théâtre pandémique. La ville de New York a connu les pires conséquences de la pandémie au monde. Mais c’est parce qu’elle a suivi docilement les directives mortelles et stupides du CDC et que les hôpitaux ont appliqué les mauvais protocoles (pas de prophylaxie ni de traitement précoce et une utilisation excessive des respirateurs qui a tué 90% des patients). Les images devenues emblématiques témoignent de l’incapacité de la ville de New York à faire preuve d’esprit critique et de logique face aux défis à relever.

Le navire hôpital de la marine américaine Comfort, qui contenait 1 000 lits et 1 200 membres du personnel médical, est resté pratiquement vide jusqu’à son départ.

Le centre de convention Javits a été transformé en un hôpital d’urgence de 3 000 lits. Lui aussi est resté pratiquement vide.

Mais les Pouvoirs en place voulaient que tout le monde sache que les choses allaient vraiment mal et que tout le monde allait mourir s’il n’obéissait pas.

En avril et mai 2020, des camions de morgue réfrigérés ont captivé l’imagination du public pendant des semaines. Mais ce n’était pas la conséquence du Covid en tant que tel, plutôt celle d’hôpitaux qui tuent 90% de leurs patients Covid en appliquant les mauvais protocoles. Une analyse de Jeffrey Tucker, du Brownstone Institute, a montré que les camions de morgue réfrigérés étaient devenus nécessaires parce que les maisons funéraires et les cimetières avaient été fermés, créant un goulot d’étranglement artificiel.

Et comme si les camions de morgue réfrigérés ne suffisaient pas, le NY Times, le Washington Post, Time Magazine, USA Today et d’autres publications grand public ont tous publié des photographies aériennes de la fosse commune de la ville de New York, sur Hart Island. Des analyses ultérieures ont remis en question l’idée d’une augmentation du nombre de ces enterrements, mais le message visuel de danger et de malheur était déjà fermement ancré dans l’imagination du public.

La ville de New York est donc devenue une étrange juxtaposition d’installations d’urgence vides et d’images du type « nous allons tous mourir », même si le cœur du problème découlait de mauvais protocoles hospitaliers et ds confinements, plutôt que du Covid lui-même.


V. Les infirmières dansantes

Rien n’a mieux illustré cette opération psychologique que les milliers de vidéos sur TikTok montrant des infirmières et des médecins dans des services hospitaliers vides, à un moment où le monde était confiné afin de « préserver la capacité d’accueil des hôpitaux ». Il s’agit de chorégraphies élaborées qui ont nécessité de nombreuses heures de travail, d’entraînement et d’enregistrement.

[NdT. la vidéo est différente sur la page originale. Elle est meilleure mais je ne peux pas l’incruster ici]

Les vidéos étaient peut-être spontanées – les infirmières avaient du temps libre, les vidéos de danse étaient populaires, TikTok explosait en popularité. Mais leur effet cumulatif revenait à dire: « Nous avons arrêté l’économie mondiale pour la première fois de l’histoire sous prétexte de préserver la capacité des hôpitaux, mais les hôpitaux sont vides, alors vous êtes les dindons de la farce ».


VI. Bombardement médiatique mondial coordonné des nations qui n’ont pas suivi le programme de Pharma

Alors que Pharma resserrait son emprise sur le monde entier, elle s’est engagée dans une opération « Clear and Hold » [NdT. opération militaire qui consiste à « nettoyer » une zone et à en prendre le contrôle] pour punir les nations qui n’obéissaient pas suffisamment à ses diktats.

La Suède a gardé ses écoles, ses frontières et son économie ouvertes et a refusé d’imposer les vaccins lorsqu’ils sont devenus disponibles. Les médias se sont donc lancés dans une longue campagne de bombardement numérique visant à contraindre la Suède à livrer ses citoyens au cartel. Leur rage s’est concentrée sur l’épidémiologiste suédois, Anders Tegnell, qui avait lu lui-même les preuves scientifiques et suivi les données (contrairement aux bureaucrates achetés aux États-Unis).

Voici un petit échantillon de cette haine numérique:

France 24, 17 mai 2020

« La stratégie Covid-19 de la Suède a provoqué une ‘amplification de l’épidémie' »

The New York Times, 7 juillet 2020

« La Suède est devenue un avertissement pour le monde entier »

Forbes, 7 juillet 2020

« La Suède est restée ouverte et plus de gens sont morts du Covid-19, mais la vraie raison pourrait être plus sombre »

Foreign Policy, 22 décembre 2020

« Les dessous de l’échec de la Suède dans sa lutte contre le coronavirus »

Chicago Policy Review, 14 décembre 2021

« L’approche non conventionnelle de la Suède face au Covid-19: Ce qui a échoué »

Il est presque comique d’y repenser aujourd’hui, étant donné que la Suède avait en fait la surmortalité la plus faible de toute l’Europe et qu’elle a été justifiée sur tous les plans. Mais l’industrie pharmaceutique avait un trillion de dollars de bénéfices à récolter et elle a utilisé les médias pour faire de la Suède un exemple tant qu’elle le pouvait.

D’autres n’ont pas eu cette chance. Le président de la Tanzanie, John Magufuli, a mis l’Organisation Mondiale de la Santé dans l’embarras en testant une chèvre et une papaye pour le Covid – les deux tests se sont révélés positifs. Le 8 février 2021, le Guardian, avec le financement de la Fondation Bill & Melinda Gates, a annoncé qu' »il est temps pour l’Afrique de mettre au pas le président anti-vax de Tanzanie« .

En effet, le chef de la mafia avait annoncé qu’il fallait liquider Magufuli. 37 jours plus tard, il était mort. Le Guardian s’en est réjoui, tout comme le reste des médias traditionnels. Mathew Crawford a publié un article extraordinaire documentant le nombre considérable de morts parmi les dirigeants africains qui ont résisté aux diktats Covid de Pharma.

Ensuite, un ou plusieurs États indiens ont eu la témérité de fournir à leurs citoyens des plaquettes contenant du zinc, de la doxycycline et de l’ivermectine (« kits Ziverdo ») – pour prévenir et traiter le Covid. L’industrie pharmaceutique y a vu une tentative de la priver d’un milliard de nouveaux clients de vaccins et a donc fait appel aux grands médias pour les bombarder jusqu’à ce qu’ils se soumettent. Voici ce qu’a été le bombardement en tapis pendant cinq semaines du seul New York Times:

Les images choisies pour illustrer les articles étaient macabres [NdT. ce sont des scènes assez courantes en Inde, où on procède régulièrement à des crémations groupées]:

Et puis, aussi vite que les attaques contre l’Inde sont apparues, elles ont disparu à nouveau, probablement parce que les autorités indiennes ont conclu un accord pour abandonner les médicaments existants sûrs et efficaces en faveur des vaccins Covid. (Si quelqu’un connaît l’histoire complète, merci de nous le faire savoir dans les commentaires).


VII. La campagne meurtrière de la FDA « Vous n’êtes pas un cheval »

En 2015, les chercheurs qui ont découvert l’ivermectine ont reçu le prix Nobel de médecine. L’ivermectine, un micro-organisme présent dans le sol au Japon, est un médicament miracle. Il s’agit d’un médicament à large spectre antiviral, antibactérien, antiparasitaire, anti-inflammatoire et anticancéreux qui n’entraîne pratiquement aucun effet secondaire. Frontline Doctors a constaté que l’ivermectine était remarquablement efficace pour prévenir et traiter le Covid s’il était utilisé à un stade précoce de la maladie. Cette constatation a été corroborée par un grand nombre de recherches scientifiques.

Face au succès de l’ivermectine et sachant qu’un médicament efficace disponible dans le commerce éliminerait le marché du vaccin contre le Covid, la Food and Drug Administration (FDA) a lancé une campagne nationale pour se moquer du médicament et empêcher les gens de se le procurer. Ce seul tweet a probablement entraîné la mort de milliers d’Américains:

Vous vous souvenez peut-être qu’au début de la pandémie, la FDA avait mené une campagne de dénigrement similaire contre l’hydroxychloroquine, la qualifiant de « nettoyant pour aquarium ».

Ce qui est étrange dans ces deux campagnes, c’est que la FDA et les CDC savaient qu’ils mentaient et qu’ils tuaient des gens par la même occasion.

Les propres recherches du CDC, publiées en 2005, ont conclu que « la chloroquine est un puissant inhibiteur de l’infection et de la propagation du coronavirus du SARS » (c’est littéralement le titre de l’article). Les États-Unis avaient stocké de l’hydroxychloroquine exactement pour ce genre d’urgence – et Trump n’a pas pu la libérer parce qu’il est incompétent et que l’État profond (Rick Bright) l’a bloqué (sur ordre de qui?).

Le tweet de la FDA « Vous n’êtes pas un cheval » est toujours en ligne. La FDA dit publiquement: « Oui, nous vous tuons, vous ne pouvez rien y faire, c’est ce que nous faisons désormais ».

La FDA n’est plus une agence de santé publique ou une agence de régulation (si elle l’a jamais été?) – c’est un bras de relations publiques « choc et effroi » [NdT. doctrine militaire basée sur des démonstrations de force spectaculaires pour annihiler la volonté de combattre de l’adversaire] de l’opération psychologique fasciste mondiale.


VIII. Le compteur de décès du Covid de CNN

Tout au long de la pandémie, CNN a rempli un quart de l’écran de toutes ses émissions avec un compteur de décès dus au Coronavirus pour rappeler aux gens qu’ils devaient avoir très peur.

Dans le même temps, CNN a veillé à ce que les téléspectateurs ne reçoivent aucune information sur les médicaments en vente libre efficaces. CNN a ainsi assuré pendant trois ans, 24 heures sur 24, un publireportage destiné à promouvoir les vaccins Covid, toxiques et mortels. L’ironie du tableau d’affichage des décès de CNN est donc que CNN elle-même était l’un des anges de la mort.


IX. Conclusion

Que devons-nous penser de ce que nous avons vu au cours des trois dernières années? Le Covid a été beaucoup de choses. Mais c’était avant tout un spectacle – une pièce de théâtre qui a réorganisé la société et qui a édicté que c’est ainsi que les choses allaient se passer désormais.

Image après image (j’en ai présenté une douzaine ici, mais vous pouvez certainement en trouver d’autres), on nous a présenté un nouveau style de guerre médiatique fasciste mondiale. Les photos contenaient de multiples messages – « Ayez très peur », « Le Covid va tuer tout le monde », mais le sous-texte était: « Le vrai pouvoir dans tout ça est invisible », « Nous mentons à propos de tout (ou est-ce que nous mentons?) », et « Il n’y a rien que vous puissiez faire à propos de tout ça à part obéir ».

Le premier coup de poing au visage a coupé la pensée rationnelle, puis les messages subconscients ont été conçus pour induire un sentiment d’impuissance.

La propagande de guerre traditionnelle consiste à dire : « Ah ah! Nous sommes les meilleurs! L’autre camp est diabolique! Nous allons gagner! » C’est ce que nous avons vu lors des différentes guerres d’Irak et de toutes les interventions militaires américaines depuis l’apparition des téléviseurs. Ce que nous avons vécu ces trois dernières années est bien plus sinistre que ça. La guerre numérique du Covid semble conçue pour humilier et démobiliser le peuple américain en vue de son extermination.

Je dois cependant ajouter un élément supplémentaire. Les pouvoirs en place utilisent la propagande parce qu’elle fonctionne. Les images sont des outils puissants. Les photos et les vidéos agissent sur le subconscient. Ainsi, même si nous discutons rationnellement des méfaits de cette campagne de propagande, le simple fait de partager à nouveau les images ici est délicat, car les revoir produit un effet. Il a été traumatisant d’écrire cet article – même si je sais que les images sont fabriquées, elles affectent encore mon psychisme.

La manière de contrer ces images n’est PAS de les partager à nouveau et de les analyser comme le fait Noam Chomsky dans son livre « La Fabrication du Consentement ». Il est préférable de partager des photos, des histoires et des vidéos de lésions causées par les vaccins. C’est pourquoi ils nous censurent tant sur les médias sociaux – ils savent que les images que nous possédons des horreurs infligées par le fascisme pharmaceutique sont ce qui renversera le cours des choses. Bénédictions donc à tous les guerriers qui partagent des photos, des histoires et des vidéos sur leurs blessures vaccinales et bravo aux groupes tels que React19 qui rassemblent ces témoignages et les distribuent au monde entier. Cliquez sur Rumble pour regarder le clip Silence, écrit par Julie Elizabeth et interprété par April – toutes deux victimes de lésions vaccinales.


Bénédictions aux guerriers. 🙌

Prières pour tous ceux qui se battent pour arrêter l’iatrogénocide. 🙏

Bravo à tous ceux qui construisent la société alternative que nos cœurs savent possible. ✊

Dans les commentaires, faites-moi part des images emblématiques de cette opération psychologique qui continuent de vous énerver.

Comme toujours, les corrections sont les bienvenues.

Alerte urgente: La protéine de pointe exprimée à la surface des cellules provoque le « rejet de greffe » de l’ensemble de l’organisme – COVID long – par le Dr Walter Chestnut.

Mes lecteurs assidus (ceux qui restent) connaissent le Dr Chestnut. Voici son papier du jour.

Je ne sais même pas pourquoi je m’obstine à publier ce genre de truc que personne ne lit…

J’ai franchement mieux à faire.

Source.


Alerte urgente: La protéine de pointe exprimée à la surface des cellules provoque le « rejet de greffe » de l’ensemble de l’organisme – COVID long

Chaque organe exprimant la protéine de pointe est attaqué comme s’il avait été transplanté en raison de l’expression d’une protéine étrangère du non-soi à la surface des cellules

Walter M Chestnut

7 juin

Ceci est de loin mon billet le plus important. Il est aussi le plus inquiétant. J’espère cependant qu’il nous aidera à trouver des solutions.

Veuillez étudier attentivement l’image ci-dessus. Il s’agit d’un graphique qui montre comment le corps rejette les greffes. Chaque individu recevant un organe transplanté présentera un certain niveau de ce type de rejet. La SEULE exception est le cas où le donneur d’organe est un jumeau identique du receveur.

Pourquoi? Parce que les jumeaux identiques ont le même ADN. Et c’est là que le bât blesse. Les personnes qui ne sont pas des jumeaux identiques ont des molécules de CMH [NdT. Complexe majeur d’histocompatibilité] différentes exprimées à la surface de leurs cellules. Pratiquement toutes les cellules de l’organisme ont une molécule de CMH exprimée à leur surface.

Comme vous pouvez le constater, le corps identifie la molécule de CMH exprimée à la surface de l’organe transplanté et le système immunitaire du receveur la reconnaît comme étrangère et se met alors à attaquer l’organe.

Pourquoi est-ce si dangereux, dans le contexte de la protéine de pointe?

REMPLACEZ LA MOLÉCULE CMH PAR LA PROTÉINE DE POINTE. Au lieu que toutes les cellules portent un complexe CMH étranger, elles portent des PROTÉINES DE POINTE!

Passons en revue les symptômes du rejet de greffe pour chaque organe, en gardant à l’esprit les symptômes de la maladie COVID aiguë/longue et de la maladie à protéine de pointe:

CŒUR

Les patients présentent le plus souvent une orthopnée, un essoufflement, une dyspnée nocturne paroxystique, une syncope, des palpitations, des nausées/une perte d’appétit, une prise de poids, des œdèmes, des arythmies (flutter auriculaire), une oligurie et une hypotension. L’examen physique peut révéler des signes d’insuffisance cardiaque tels qu’une pression veineuse jugulaire élevée, des bruits supplémentaires à l’auscultation et un œdème périphérique.

Rejet de la transplantation cardiaque
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK537057/

PANCRÉAS

Compte tenu de la possibilité d’un rejet chronique, il convient également de suspecter une récidive du diabète sucré de type 1 (dans notre cas, apparition de novo), qui est une entité peu fréquente, apparaissant approximativement chez 3 à 7 % des patients correctement immunosupprimés. Elle est due à la présence d’anticorps contre les cellules bêta du pancréas chez le receveur (auto-anticorps associés au diabète de type 1 contre les auto-antigènes GAD65, IA-2 et ZnT8) qui provoquent la destruction des îlots pancréatiques (insulite). En général, la conversion des anticorps précède l’hyperglycémie d’une durée variable, et une auto-immunité négative avant la transplantation ne garantit pas que le diabète auto-immun ne réapparaîtra pas.

Complications tardives de la greffe de pancréas
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7769730/

FOIE

On parle de rejet lorsque le foie commence à moins bien fonctionner. Ce phénomène est généralement mis en évidence par des analyses de sang. Parfois, les patients remarquent qu’ils ont la jaunisse (couleur jaune).

Rejet d’un foie greffé
https://www.nhsbt.nhs.uk/organ-transplantation/liver/benefits-and-risks-of-a-liver-transplant/risks-of-a-liver-transplant/rejection-of-a-transplanted-liver/

REIN

De nombreuses personnes ne présentent aucun signe ou symptôme de rejet du rein. Chaque personne est différente. Les signes et symptômes du rejet d’un rein peuvent être les suivants

Sentiment d’avoir la grippe, comme des courbatures, des frissons, des maux de tête et des maux d’estomac.

Fièvre de 101°F [38,3°C] ou plus

Uriner (faire pipi) moins souvent que d’habitude

Pression artérielle très élevée

Prise de poids soudaine

Gonflement des chevilles

Douleur ou sensibilité sur le côté ou au niveau du ventre

Sensation de grande fatigue

Rejet de rein après une transplantation
https://www.kidneyfund.org/kidney-donation-and-transplant/life-after-transplant-rejection-prevention-and-healthy-tips/kidney-rejection-after-transplant

Il est clair que nous ne pouvons pas montrer le rejet d’une greffe de cerveau, mais vous comprenez que les symptômes, s’ils étaient possibles, seraient similaires. Nous pouvons examiner les maladies cérébrales auto-immunes. La sclérose en plaques, la myélite transverse, la neuromyélite optique, etc.

Comment savons-nous que c’est possible?

Dans l’ensemble, nos résultats montrent que la protéine de pointe du SARS-CoV-2 est abondamment exprimée à la surface des pAECs humaines infectées.

Expression de la pointe du SARS-CoV-2 à la surface des cellules épithéliales primaires humaines infectées
https://www.mdpi.com/1999-4915/14/1/5

Si nous devions examiner d’autres lignées cellulaires, je suis certain que nous obtiendrions des résultats similaires, car…

Notre étude démontre des niveaux d’expression de la protéine S plus élevés dans les cellules traitées avec Spikevax qu’avec Comirnaty à la suite d’un test in vitro. Il est intéressant de noter que les deux vaccins présentent des niveaux détectables de protéine S (ou de formes tronquées de celle-ci) dans les milieux de culture.

Différences dans les niveaux d’expression de la protéine de pointe du SARS-CoV-2 dans les cellules traitées avec les vaccins COVID-19 à base d’ARNm: Une étude sur les vaccins dans le monde réel
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC10144021/

Je vais continuer à chercher des solutions. À première vue, l’élimination de la protéine de pointe est évidemment primordiale. Nous devons déterminer combien de temps elle est exprimée après l’infection et la vaccination. Dans tous les cas, espérons et prions pour qu’il ne se rétrotranscrive pas.

Nous avons un problème, Houston.

Vous vous souvenez de ce qui s’est passé la dernière fois que la limite de la dette américaine a été suspendue? – par The Naked Emperor.

Avant de publier sur le sujet, j’attendais que tombe la décision sur l’augmentation (ou non) du plafond de la dette américaine, qui aurait pu entraîner (ou non) le défaut du service de la dette. L’article ci-dessous explique ce qu’il y a à en savoir. Vous comprendrez pourquoi le problème ne se limite pas aux États-Unis.

Note: Le « repo » (repurchase market) est un mode de financement sécurisé qui permet aux banques de se procurer des liquidités via un système de prêts à très court terme entre établissements. J’ai volontairement conservé le terme anglais « repo » plutôt que sa traduction habituelle par « marché des pensions », qui prête à confusion puisque ça n’a rien à voir avec les pensions.

Source.


Vous vous souvenez de ce qui s’est passé la dernière fois que la limite de la dette américaine a été suspendue?

Indice – Ça commence par « Co » et ça finit par « vid »

par The Naked Emperor

30 mai

Photo de Alexander Grey sur Unsplash

Avant de commencer, permettez-moi d’expliquer deux concepts pour ceux qui ne connaissent pas le sujet – la suspension de la limite de la dette américaine et le marché repo.

  1. Suspension de la limite de la dette américaine: La limite de la dette américaine, également connue sous le nom de plafond de la dette, est le montant total que le gouvernement des États-Unis est autorisé à emprunter pour faire face à ses obligations légales existantes. Cela comprend les prestations de la Sécurité Sociale et de Medicare, les salaires des militaires, les intérêts sur la dette nationale, les remboursements d’impôts et d’autres paiements. La limite de la dette n’autorise pas de nouveaux engagements de dépenses; elle permet simplement au gouvernement de financer les obligations légales existantes que le Congrès et les présidents des deux partis ont prises dans le passé.
  2. Le marché repo: Un repo, ou accord de rachat, est un emprunt à court terme pour les négociants en titres d’État. Le courtier vend les titres d’État aux investisseurs, généralement au jour le jour, et les rachète le jour suivant. Les repo sont généralement utilisés pour lever des capitaux à court terme, mais ils sont également utilisés par la Réserve Fédérale pour conduire sa politique monétaire.

Ces derniers jours, les détails d’un accord sur le plafond de la dette américaine ont fait la une des journaux. Au cours du week-end, Joe Biden et le président de la Chambre des représentants, Kevin McCarthy, se sont mis d’accord pour suspendre le plafond de la dette. Celle-ci sera remplacée par un « plafond » de dette illimité jusqu’en janvier 2025. Il n’y a donc plus de plafond.

La limite de la dette a été suspendue pour la dernière fois en août 2019, ce qui a permis au gouvernement américain d’emprunter un montant illimité jusqu’à une date donnée. Un mois plus tard, en septembre 2019, la « crise des repo » s’est produite. Elle s’est caractérisée par une hausse soudaine du taux de prêt au jour le jour sur le marché repo, qui a grimpé à près de 10% par rapport à la fourchette habituelle d’environ 2%.

Comment la suspension du plafond de la dette américaine en août 2019 a-t-elle été liée à la crise du marché repo un mois plus tard?

Lorsque le plafond de la dette américaine a été suspendu, le Trésor s’est mis à émettre davantage d’obligations pour reconstituer son solde de trésorerie qui s’était réduit pendant que le plafond de la dette était en place. Cela a entraîné une augmentation de l’offre d’obligations sur le marché.

Le marché des obligations du Trésor est étroitement lié au marché repo car les obligations du Trésor sont souvent utilisées comme garantie pour les transactions repo. Comme il y avait plus d’obligations en circulation en raison de l’augmentation des émissions du Trésor, il fallait plus de liquidités sur le marché repo pour acheter ces obligations. Cela a exercé une pression sur le montant des liquidités disponibles pour les prêts sur le marché repo.

Dans le même temps, d’autres facteurs sont intervenus. En particulier, un grand nombre de paiements d’impôts sur les sociétés étaient dus à la mi-septembre, ce qui a encore réduit les réserves du système bancaire, car les impôts sont payés avec des dépôts bancaires qui proviennent en fin de compte des réserves que les banques détiennent auprès de la Fed.

La combinaison de ces facteurs a provoqué une pénurie de liquidités sur le marché repo, entraînant une hausse du taux de prêt au jour le jour, la demande de liquidités étant supérieure à l’offre. Cela a signalé une crise de liquidité, que la Réserve Fédérale a dû atténuer en proposant des opérations repo afin d’injecter des liquidités dans le système.

Nous connaissons tous la suite. En l’espace de quelques mois, une pandémie mondiale a frappé et des politiques incroyablement similaires à celles du livre blanc de BlackRock –  » Faire face à la prochaine récession. De la politique monétaire non conventionnelle à une coordination sans précédent des politiques » – ont été mises en œuvre. Ce livre blanc a été rédigé le mois même où le plafond de la dette américaine a été suspendu en août 2019.

Avec le dernier accord sur le plafond de la dette, la même chose va-t-elle se produire?

Goldman Sachs a d’ores et déjà prévenu que « les négociations sur le plafond de la dette s’intensifiant, les États-Unis pourraient être amenés à lever rapidement un trillion de dollars ». Selon eux, cela entraînera une fuite des liquidités du marché, comme ce fut le cas en 2019.

La dernière fois que la limite du plafond de la dette a été relevée, la crise des repo s’est produite. Nombreux sont ceux qui pensent que la crise du Covid a servi de couverture à cette crise financière. À tout le moins, la pandémie a été utilisée pour faciliter les politiques qui ont permis à la crise financière de rester cachée.

Que se passera-t-il si le dernier accord sur le plafond de la dette est adopté?

Un article édifiant de 2017 sur Moderna!

Un très grand merci à John et Adam, à qui je pique (encore une fois) une info de leur meilleur podcast de l’univers, NoAgenda n°1561.

C’est un article qui date de début 2017, publié sur Statnews, une vitrine des technologies médicales destinée aux investisseurs et actionnaires. On y parle de Moderna, de ses projets en cours à l’époque et de ses perpectives d’avenir. Lire ça aujourd’hui donne le vertige et permet, comme vous allez le voir, de comprendre beaucoup de choses qui se sont passées depuis. J’ai (difficilement) résisté à la tentation de souligner les passages qui devraient déclencher votre système d’alarme, mais je fais confiance à votre radar personnel pour les repérer.

Afin de ménager la sensibilité du lecteur, je n’ai pas inclus la photo de Stéphane Bancel.

Note de traduction: « In need of a Hail Mary », littéralement, « qui a besoin d’un Ave Maria », décrit une situation inextricable que seul un miracle peut sauver. Nous connaissons tous aujourd’hui le nom de ce « miracle ».

Source.


Moderna, financée à grands frais, se heurte à des problèmes de sécurité dans sa tentative audacieuse de révolutionner la médecine

Par Damian Garde

10 janvier 2017

SAN FRANCISCO – Moderna Therapeutics, la société privée la plus valorisée dans le domaine de la biotechnologie, a rencontré des problèmes de sécurité inquiétants avec sa thérapie la plus ambitieuse, a appris STAT – et mise maintenant sur une nouvelle technologie mystérieuse pour maintenir à flot sa promesse insolente de réinventer la médecine moderne.

Il y a exactement un an, Stéphane Bancel, PDG de Moderna, parlait de l’avenir « incroyable » de son entreprise devant une foule debout lors de la conférence annuelle J.P. Morgan Healthcare Conference. Il promettait que le traitement de Moderna pour une maladie rare et débilitante connue sous le nom de syndrome de Crigler-Najjar, développé en collaboration avec le géant de la biotechnologie Alexion Pharmaceuticals, entrerait en phase d’essai chez l’homme en 2016.

Il devait s’agir de la première thérapie utilisant une nouvelle technologie audacieuse qui, selon Bancel, produirait des dizaines de médicaments au cours de la décennie à venir.

Mais le traitement de Crigler-Najjar a été indéfiniment postposé, a déclaré une porte-parole d’Alexion à STAT. Il ne s’est jamais avéré suffisamment sûr pour être testé chez l’homme, selon plusieurs anciens employés et collaborateurs de Moderna qui ont travaillé en étroit contact sur ce projet. Incapable de faire avancer cette technologie, Moderna a dû se concentrer sur le développement d’une poignée de vaccins, se tournant vers un domaine moins lucratif qui pourrait ne pas suffire à justifier la valorisation de près de 5 milliards de dollars de l’entreprise.

« Il n’y a que des vaccins en ce moment, et les vaccins sont un produit d’appel » [NdT. Un produit d’appel (ou leader) est une stratégie de prix qui consiste à vendre un produit à un prix inférieur à son coût de marché afin de stimuler d’autres ventes de biens ou de services plus rentables], a déclaré un ancien dirigeant de Moderna. « Moderna est aujourd’hui une entreprise de vaccins de plusieurs milliards de dollars, et je ne vois pas comment cela pourrait durer. »

M. Bancel n’a pas mentionné le médicament Crigler-Najjar lorsqu’il s’est exprimé lundi devant une salle tout aussi bondée lors de la conférence J.P. Morgan de cette année.

Sa présentation s’est plutôt concentrée sur quatre vaccins que l’entreprise fait passer par la première phase des essais cliniques: deux ciblent des souches de grippe, un troisième est destiné au virus Zika, et le quatrième reste secret. M. Bancel a parcouru des graphiques de données issues d’études sur les animaux avant de se hâter de vanter le bilan de Moderna et d’évoquer les vaccins anticancéreux de la société, dont les essais cliniques sont prévus dans le courant de l’année.

Lorsque STAT a interrogé Bancel au sujet de Crigler-Najjar après la présentation, il nous a renvoyés à Alexion.

Besoin d’un Ave Maria

Fondée en 2012, Moderna a atteint le statut de licorne – une valorisation d’un milliard de dollars – en seulement deux ans, plus rapidement qu’Uber, Dropbox et Lyft, selon CB Insights. Le principe de l’entreprise: à l’aide de brins d’ARN messager sur mesure, connus sous le nom d’ARNm, elle vise à transformer les cellules du corps en usines à médicaments ad hoc, les obligeant à produire les protéines nécessaires au traitement d’une grande variété de maladies.

Mais l’ARNm est une technologie délicate. Plusieurs grandes entreprises pharmaceutiques ont essayé et abandonné l’idée, peinant à introduire l’ARNm dans les cellules sans déclencher de graves effets secondaires.

M. Bancel a promis à plusieurs reprises que les nouvelles thérapies de Moderna allaient changer le monde, mais l’entreprise a refusé de publier la moindre donnée sur ses véhicules à ARNm, suscitant le scepticisme de certains scientifiques et une réprimande de la part des rédacteurs de la revue Nature.

Le retard indéfini du projet Crigler-Najjar est révélateur de problèmes de sécurité persistants et inquiétants pour tout traitement à base d’ARNm qui doit être administré en doses multiples, couvrant presque tout ce qui n’est pas un vaccin, ont déclaré d’anciens employés et collaborateurs.

Lundi, l’entreprise a dévoilé une nouvelle technologie qui, selon elle, permet de délivrer l’ARNm de manière plus sûre. Elle s’appelle V1GL. Le mois dernier, M. Bancel a parlé à Forbes d’une autre nouvelle technologie, le N1GL.

Mais dans les deux cas, l’entreprise n’a fourni aucun détail. Ce manque de précision a inévitablement soulevé des questions.

Trois anciens employés et collaborateurs proches du processus ont déclaré que Moderna s’efforçait toujours de mettre au point de nouvelles technologies d’administration dans l’espoir de trouver quelque chose de plus sûr que ce qu’elle avait déjà. (Même M. Bancel a reconnu, dans une interview accordée à Forbes, que la méthode d’administration utilisée pour les premiers vaccins de Moderna « n’était pas très bonne »).

N1GL et V1GL sont-ils meilleurs? L’entreprise n’a produit aucune donnée permettant de répondre à cette question. Lorsque STAT a posé des questions sur les nouvelles technologies, Bancel a renvoyé les questions aux dépôts de brevets de l’entreprise.

Les trois anciens employés et collaborateurs ont déclaré qu’ils pensaient que le N1GL et le V1GL étaient des découvertes très récentes, qui n’en étaient qu’aux premiers stades des essais, ou bien que de nouveaux noms avaient été donnés à des technologies que Moderna possédait depuis des années.

« Il faudrait que [la technologie] soit miraculeuse, qu’elle soit sauvée par une sorte d’Ave Maria, pour qu’elle puisse atteindre son objectif dans les délais impartis », a déclaré un ancien employé. « Soit [Bancel] est extrêmement confiant dans le fait que cela va fonctionner, soit il commence à s’inquiéter du fait que l’absence de progrès l’oblige à présenter quelque chose ».

Les anciens employés et collaborateurs qui ont parlé à STAT ont requis l’anonymat parce qu’ils avaient signé des accords de non-divulgation – que Moderna, une entreprise très secrète, exige même de certains candidats à l’emploi.

L’année dernière, une enquête de STAT a révélé que Bancel avait fait fuir les meilleurs talents de Moderna avec une culture de récrimination et un environnement de travail caustique, y compris des licenciements sur le champ pour des expériences qui n’avaient pas abouti.

L’entreprise, basée à Cambridge, dans le Massachusetts, semble avoir redoré son blason auprès de nombreux employés de base, et a été saluée par Science Magazine et le Boston Globe, mais Moderna a perdu plus d’une douzaine de scientifiques et de gestionnaires de haut niveau au cours des quatre dernières années, en dépit de ses vastes ressources financières.

Un bug dans le logiciel

M. Bancel, qui dirige pour la première fois une entreprise de biotechnologie, a rejeté les questions concernant le potentiel de Moderna. Il décrit l’ARNm comme un moyen simple de développer des traitements pour des dizaines de maladies. Comme il l’a déclaré à STAT au cours de l’été, « l’ARNm est comme un logiciel: il suffit de faire tourner la manivelle pour que de nombreux produits entrent en phase de développement ».

Il semble toutefois évident que le logiciel a connu des bugs.

Les patients atteints de la maladie de Crigler-Najjar sont dépourvus d’une enzyme hépatique essentielle à la décomposition de la bilirubine, une substance jaunâtre qui apparaît dans l’organisme lors de la décomposition des globules rouges. Sans cette enzyme, la bilirubine prolifère dans le sang, entraînant la jaunisse, la dégénérescence musculaire et même des lésions cérébrales.

Aux yeux de Moderna, cette maladie, qui touche un million de personnes, semblait être un candidat idéal pour une thérapie par ARNm. La société a créé une chaîne d’ARNm qui coderait pour l’enzyme manquante, pensant qu’elle avait trouvé un excellent point de départ pour prouver que la technologie pouvait être utilisée pour traiter des maladies rares.

Mais les choses se sont progressivement effondrées l’année dernière.

Chaque médicament possède ce que l’on appelle une fenêtre thérapeutique, c’est-à-dire la zone scientifique idéale où un traitement est suffisamment puissant pour avoir un effet sur une maladie, mais pas au point d’exposer les patients à un risque trop élevé. Pour l’ARNm, cette fenêtre s’est révélée impossible à trouver.

Pour protéger les molécules d’ARNm des défenses naturelles de l’organisme, les développeurs de médicaments doivent les envelopper dans une enveloppe protectrice. Pour Moderna, cela signifiait placer sa thérapie Crigler-Najjar dans des nanoparticules composées de lipides. Pour ses chimistes, ces nanoparticules représentaient un défi de taille: une dose trop faible ne permet pas d’obtenir suffisamment d’enzymes pour agir sur la maladie; une dose trop importante rend le médicament trop toxique pour les patients.

Dès le départ, les scientifiques de Moderna savaient que l’utilisation de l’ARNm pour stimuler la production de protéines serait une tâche ardue. Ils ont donc parcouru la littérature médicale à la recherche de maladies qui pourraient être traitées avec de petites quantités de protéines supplémentaires.

« Et la liste des maladies est très, très courte », a déclaré l’ancien employé qui a décrit Bancel comme ayant besoin d’un « Ave Maria ».

Crigler-Najjar était le candidat le plus évident.

Pourtant, Moderna n’a pas réussi à faire fonctionner sa thérapie, ont déclaré d’anciens employés et collaborateurs. La dose sûre était trop faible et les injections répétées d’une dose suffisamment forte pour être efficace ont eu des effets inquiétants sur le foie dans les études animales.

Le médicament, ALXN1540, a depuis été ajourné, Moderna travaillant sur de « nouvelles et meilleures formulations » qui pourraient plus tard faire l’objet d’essais chez l’homme, a déclaré Alexion dans un communiqué envoyé par courrier électronique.

Une valorisation énorme mais une filière modeste

L’échec de son premier traitement, le plus avancé, jette le doute sur les autres objectifs de Moderna dans le domaine des maladies rares.

Il remet également en question la valorisation de Moderna, estimée à 4,7 milliards de dollars par Pitchbook. La société a levé près de 2 milliards de dollars en espèces auprès d’investisseurs et de partenaires. Mais elle l’a fait en promettant une technologie révolutionnaire suffisamment sûre pour délivrer des doses répétées d’ARNm.

Les médicaments qu’elle propose actuellement, en revanche, sont plus modestes et reposent sur des administrations uniques d’ARNm. Outre les quatre vaccins, la société dispose d’un essai clinique de stade précoce ciblant les maladies cardiaques, lancé le mois dernier par son partenaire AstraZeneca. Le traitement consiste en une dose unique et n’utilise pas l’enveloppe délicate des nanoparticules.

Les vaccins sont loin d’être aussi lucratifs que le secteur des maladies rares que Moderna espérait dominer. Le marché est également beaucoup plus encombré; au moins sept vaccins contre le Zika, par exemple, sont en cours d’essai clinique ou devraient entrer en phase d’essai d’ici l’automne prochain.

Moderna dispose d’environ 1,3 milliard de dollars de liquidités, selon Bancel. Mais comme elle prévoit de dépenser plus de 300 millions de dollars par an pour investir dans sa technologie, elle devra un jour ou l’autre lever des fonds supplémentaires. L’étape la plus logique serait l’introduction en bourse, et l’année dernière, Moderna a réorganisé ses activités pour se préparer à une première offre publique.

Toutefois, compte tenu de son évaluation actuelle, l’introduction en bourse de Moderna serait la plus importante de l’histoire de la biotechnologie, ce qui laisse certains investisseurs perplexes quant à la manière dont le portefeuille de vaccins de la société pourrait justifier un tel chiffre. Si Moderna choisit de rester privée, il n’est pas certain qu’elle puisse lever davantage de fonds sans recourir à un redoutable « down round », au cours duquel les nouvelles actions sont vendues à un prix inférieur aux dernières.

Tant que Moderna n’aura pas démontré que sa technologie permet de traiter une maladie en toute sécurité, il sera difficile de répondre à ces questions.

« Mes amis me demandent s’ils sont comme Theranos, et je leur réponds que non [NdT. Theranos était une entreprise américaine dans le domaine des technologies de la santé dont les dirigeants ont été inculpés en 2018 pour fraude massive]; je pense que c’est une vraie idée », a déclaré un ancien collaborateur de Moderna. « La question est de savoir si cela peut fonctionner ».

Bancel ne fournit pas les données qui permettraient de répondre à cette question. Mais il affiche une confiance sans bornes.

« Je suis sûr que dans cinq ans, nous considérerons 2017 comme le point d’inflexion du décollage de Moderna », a-t-il déclaré lors de la présentation de lundi. « Nous avons la possibilité de transformer la médecine et nous n’abandonnerons pas tant que nous n’aurons pas atteint notre but et que nous n’aurons pas eu un impact sur les patients.

L’étude de la Cleveland Clinic désormais publiée dans une revue scientifique à comité de lecture: plus on reçoit de doses, plus le risque auquel on expose les autres est élevé – par le Dr James Lyons-Weiler.

Vous noterez à quel point les auteurs de l’étude marchent sur des oeufs pour expliquer leur graphique accablant…

L’étude parle aussi du changement dans la proportion d’antigènes IgG4, traitée en détail dans cet article, qui inclut d’ailleurs le même graphique (en pré-publication à ce moment-là) qu’ici.

Source.


L’étude de la Cleveland Clinic désormais publiée dans une revue scientifique à comité de lecture: plus on reçoit de doses, plus le risque auquel on expose les autres est élevé

Plus de doses de vaccin signifie plus de COVID. Et cela fait de vous un facteur de risque pour les personnes âgées. N’est-ce pas?

James Lyons-Weiler

1er juin

Enfin, après examen par les pairs, l’étude de la clinique de Cleveland selon laquelle « Plus le nombre de vaccins reçus précédemment est élevé, plus le risque de contracter le COVID-19 est élevé » a été dûment publiée.

« Le risque de contracter le COVID-19… augmente avec le temps écoulé depuis le dernier épisode de COVID-19 et avec le nombre de doses de vaccin reçues précédemment.

https://academic.oup.com/ofid/advance-article/doi/10.1093/ofid/ofad209/7131292

Voir la figure 2. L’incidence de COVID-19 est la plus faible pour les doses ZERO, et plus de doses signifie plus de COVID.

Les auteurs ont écrit:

« Lors d’une vague Omicron en Islande, on a constaté que les personnes qui avaient déjà reçu 2 doses ou plus avaient un risque plus élevé de réinfection que celles qui avaient reçu moins de 2 doses de vaccin, dans une analyse non ajustée [21]. Une vaste étude a montré, dans une analyse ajustée, que les personnes ayant contracté une infection par la variante Omicron après avoir reçu trois doses de vaccin présentaient un risque plus élevé de réinfection que celles ayant contracté une infection par la variante Omicron après avoir reçu deux doses de vaccin [22]. Une autre étude a montré, lors d’une analyse multivariable, que la réception de deux ou trois doses d’un vaccin ARNm après un COVID-19 antérieur était associée à un risque plus élevé de réinfection que la réception d’une seule dose [7]. L’empreinte immunitaire résultant d’une exposition antérieure à différents antigènes dans un vaccin antérieur [22,23] et le changement de classe en faveur d’anticorps IgG4 non inflammatoires spécifiques du pic après une vaccination répétée contre l’ARNm du SARS-CoV-2 [24] ont été suggérés comme des mécanismes possibles expliquant pourquoi un vaccin antérieur peut fournir une protection inférieure à celle attendue. Nous avons encore beaucoup à apprendre sur la protection offerte par la vaccination COVID-19 et, outre l’efficacité d’un vaccin, il est important d’examiner si les doses multiples de vaccin administrées au fil du temps n’ont pas l’effet bénéfique généralement supposé. »

Protéine de pointe et SADS: preuve de l’hypothèse de la démyélinisation/destruction du tronc cérébral – par le Dr Walter Chestnut.

Afin de montrer que le Dr Bakhti raconte n’importe quoi au sujet de la destruction des neurones dans l’article précédent, voici un récent papier du Dr Chestnut qui en explique le vrai mécanisme. Ça intéressera aussi tous ceux qui ont perdu peu ou prou leur sens olfactif. Pour rappel, SADS = Sudden Adult Death Syndrome (Syndrome de mort subite chez l’adulte).

Contrairement à certains gugusses qui ont acquis le statut de vedette du Net en avançant les pires fadaises, le Dr Chestnut accomplit depuis plus de deux ans un travail de recherche monumental sur le SARS-CoV-2, que j’aurais aimé avoir le temps de traduire et re-publier ici.

Je suis avec un autre article, du Dr James Lyons-Weiler, qui montrera que je ne raconte pas non plus n’importe quoi quand je parle des personnes injectées comme source de contamination potentielle.

Source.


Protéine de pointe et SADS: preuve de l’hypothèse de la démyélinisation/destruction du tronc cérébral

Mort induite par le SARS chez la souris par dysfonctionnement de la moelle via le nerf olfactif

Walter Chestnut

30 mai

Distribution de l’antigène viral dans le cerveau après inoculation intranasale. Les cerveaux ont été prélevés sur des souris infectées par voie intranasale avec 2,4 × 104 PFU et colorés pour l’antigène viral. (A à C) Distribution de l’antigène dans le cerveau à 60 h (A) et à 3 (B), 4 (C) et 5 (D) jours p.i. (E à J) Le tronc cérébral (E, G et I) et l’hypothalamus (F, H et J) ont été examinés pour l’antigène viral et l’inflammation. (E et F) Témoins naïfs. (G et H) Les cerveaux infectés par le SARS-CoV présentaient des antigènes exclusivement dans les neurones, sans inflammation évidente au 6e jour p.i. (par rapport aux témoins naïfs). (I et J) Les cerveaux infectés par le JHMV présentaient une infection neuronale moins étendue mais une inflammation périvasculaire sévère (flèches fermées) et une méningite (flèches ouvertes) au 6e jour p.i. Grossissements originaux: ×1 (A à D) et ×5 (E à J).

Je ne comprends pas pourquoi cette question n’a pas été soulevée et discutée auparavant. Comme vous le savez, j’ai fait des recherches sur l’hypothèse de la démyélinisation comme cause des morts subites d’origine cardiaque. J’ai découvert que le SARS original était capable d’induire une mort neuronale dans la moelle (centre cardio-respiratoire), entraînant la mort du sujet.

L’aspect le plus frappant et le plus troublant de cette découverte est peut-être le fait que les POUMONS des souris étaient TRES PEU INFECTÉS. De plus, le virus a pénétré dans le cerveau par le BULBE OLFACTIF.

Nous utilisons ici ces souris pour montrer que le virus pénètre dans le cerveau principalement par le bulbe olfactif et que l’infection entraîne une propagation transneuronale rapide vers les zones connectées du cerveau.

En fait, cette destruction du tronc cérébral a été la principale cause de décès.

Cette infection neuronale étendue est la principale cause de la mort parce que l’inoculation intracrânienne de faibles doses de virus entraîne une maladie uniformément létale, même si l’on détecte peu d’infection dans les poumons. La mort de l’animal résulte probablement du dysfonctionnement et/ou de la mort des neurones infectés, en particulier ceux situés dans les centres cardiorespiratoires de la moelle.

Il est intéressant de noter que l’inflammation du cerveau n’a PAS été détectée pendant que cette destruction se produisait.

La propagation dans le cerveau se produit SIMULTANÉMENT à la SUPPRESSION du virus du site d’infection.

La propagation rapide dans le cerveau semble s’accompagner d’une élimination du virus sur les sites de l’infection initiale et d’une perte neuronale concomitante.

L’infection par le coronavirus du Syndrome Respiratoire Aigu Sévère provoque la mort neuronale en l’absence d’encéphalite chez les souris transgéniques pour l’ACE2 humain.
https://journals.asm.org/doi/10.1128/JVI.00737-08

Seule la protéine N a été recherchée. Nous devons effectuer des tests et des études pour déterminer si la protéine S est également présente. Bien sûr, vous connaissez ma position quant à ma prédiction de ces résultats.

Je poursuivrai mes recherches sur ce mécanisme. C’est la raison pour laquelle une infection qui ne produit pas de symptômes respiratoires est très probablement TRÈS DANGEREUSE. Bien sûr, l’antigène viral directement introduit dans l’organisme…

Je demande instamment aux cliniciens d’autopsier toutes les personnes de moins de 60 ans qui meurent subitement. Nous devons savoir si le tronc cérébral a subi une démyélinisation/dépression neuronale.

En 54 jours, à l’automne 2021, la rhétorique du Dr Robert Malone concernant les vaccins expérimentaux a radicalement changé. Que s’est-il passé? – par Sage Hana.

Le cas Malone n’intéressera peut-être pas tout le monde. Ce serait dommage parce que c’est l’occasion de comprendre une manoeuvre très importante: la mitigation de l’information par le Renseignement, ce qu’on désigne en anglais par « limited hangout« . Jill Malone, l’épouse, y joue vraisemblablement un rôle, ce que soupçonnent beaucoup de commentateurs sur Substack (voir en fin d’article).

Je reviendrai sur Malone (et RFK Jr) avec mon propre article, qui tentera de cerner les rouages de l’Opération, dont ces personnages ne sont que la partie visible.

Source.


[NdT. vidéo disponible sur la page source]

En 54 jours, à l’automne 2021, la rhétorique du Dr Robert Malone concernant les vaccins expérimentaux a radicalement changé. Que s’est-il passé?

En octobre, lors du tournage du CHD à Hawaï, Robert Malone marche sur la corde raide et ménage ses mots. En décembre, il lance un avertissement sans équivoque. La science a-t-elle changé à ce point en huit semaines?

Sage Hana

19 mai 2023

J’ai plus ou moins isolé la fenêtre de huit semaines à la fin de l’année 2021 au cours de laquelle Robert Malone a opéré un virage rhétorique assez brutal pour se transformer en Héros Guerrier de la Résistance aux Dangereuses Injections.

Rappelons qu’en janvier 2022, Robert Malone prétendait avoir subi des dommages au point de frôler la mort suite aux injections expérimentales d’avril-mai 2021.

Ce détail incroyablement important n’a pas été mentionné dans le Dark Horse Podcast de Bret Weinstein en juin 2021, dans le tournage de « Talk Story » du CHD à Hawaii en octobre 2021, ou dans The Joe Rogan Experience le dernier jour de décembre 2021.

Reprenons maintenant cette chronologie une nouvelle fois, et je fournirai des liens à chaque étape.

En janvier 2022, Malone a écrit ce message. [NdT. que j’avais traduit ici]

Malone écrit:

Quoi qu’il en soit, en avril 2021, je me suis fait vacciner. C’était assez tôt dans le calendrier et je n’ai pas eu d’autre choix que de prendre le vaccin Moderna, puisqu’il était le seul disponible dans ma région. Le vaccin était administré dans un collège local, et les réservistes de l’armée étaient chargés d’exécuter le programme.

La première injection s’est bien passée. Aucun problème.

La deuxième injection a failli me tuer. Autrement dit, j’ai failli mourir.

Après l’injection, j’ai ressenti la fatigue habituelle, des douleurs musculaires, puis les palpitations ont commencé, ainsi que l’essoufflement. Quelques jours plus tard, la situation s’est aggravée. Je ne suis pas du genre à aller facilement voir le médecin, mais heureusement pour moi, j’avais un rendez-vous de routine avec mon médecin. Elle a pris ma tension et ma tension artérielle systolique dépassait la cote d’alerte. Comme elle est également cardiologue, elle m’a fait passer d’autres tests, m’a fait prendre des médicaments contre l’hypertension et a réussi à la garder sous contrôle. J’ai l’impression que je lui dois la vie. Je tiens à exprimer ma gratitude au fantastique Dr C. Bove.

Robert Malone a donc reçu deux injections et a failli mourir à cause de la deuxième en avril-mai 2021.

Malone a ensuite été dévoilé en grande pompe au grand public lors de son apparition sur le Dark Horse Podcast avec Steve Kirsch et Bret Weinstein en juin 2021.

Il n’y mentionne pas le fait qu’il a failli mourir à cause de la seconde injection de Moderna quelques semaines auparavant.

Question évidente.

Pourquoi?

Ce podcast est entièrement consacré aux injections expérimentales. Le fait qu’il ait frôlé la mort à la suite d’une lésion vaccinale aurait certainement été un élément pertinent, ne pensez-vous pas?

En septembre, 2021 Malone apparaît en succession rapide au Sommet de San Juan à Porto Rico, qui semble être le moment où la dream team de la résistance (Defeat the Mandates [Vaincre les Obligations vaccinales], les auditions de Ron Johnson) est « mise sur pied » (par qui?); puis à Hawaï en octobre pour un tournage sophistiqué et professionnellement produit par CHD (Children’s Health Defense, l’organisation du candidat à la présidence Robert F. Kennedy) avec des enfants photogéniques posant des questions apparemment scénarisées au sujet des vaccins expérimentaux.

La conférence de Porto Rico a été organisée par le « Global Covid Summit« , une organisation liée au Decentralized Medical Network (DeMed), qui lui-même est lié à l’Équipe de la Table Ronde.

Le Global Covid Summit réapparaît un peu plus bas. Si vous cliquez sur les images ou les liens ci-dessous, vous pourrez commencer à identifier l’équipe, qui semble être dirigée par l’ancien enfant acteur et « leader d’opinion politique indépendant » Brock Pierce, ainsi que par quelques types du monde de la crypto-monnaie.

Brock Pierce est un leader d’opinion politique indépendant, un pionnier des crypto-monnaies et de la technologie blockchain, un investisseur en capital-risque, un philanthrope et un ancien enfant acteur de Disney acclamé par la critique, dont l’influence mondiale a ouvert des perspectives à des millions de personnes. Pierce est le président de la Bitcoin Foundation et le cofondateur de Block.one, Blockchain Capital, Tether et Mastercoin. Pierce a été accrédité pour avoir créé des places de marché pour la monnaie numérique qui ont prodigué opportunités et richesse à des millions de personnes à travers le monde. Pierce a donné des conférences dans certaines des institutions les plus prestigieuses du pays, la Milken Institute Global Conference, l’International World Congress, et a fait l’objet d’articles dans le New York Times, le Wall Street Journal et Fortune. Pierce a figuré sur la toute première liste Forbes des « personnes les plus riches en crypto-monnaies » et a été candidat du Parti Indépendant à la présidence des États-Unis. Pierce a joué dans des films tels que « The Mighty Ducks » et « First Kid ».

https://roundtable.io/page/demed

https://roundtable.io/page/team

Mais pour les besoins de ce billet, poursuivons notre chronologie.

Septembre 2021

Après San Juan, la campagne itinérante se déplace à Hawaï.

À Hawaï, Robert Malone ne mentionne pas aux enfants qui y sont rassemblés qu’il a failli mourir des suites des contre-mesures militaires expérimentales qu’il était précisément venu leur expliquer.

Il conseille la prudence, mais il atténue ses propos et n’offre par moments que des platitudes creuses. Il ne semble pas animé du sentiment d’urgence de quelqu’un qui a failli mourir et qui saisit les dangers du moment.

18 octobre 2021

Bob: « Y a-t-il d’autres choses qui vous effraient? »
Jeune fille: « J’ai un peu peur de me faire vacciner ».

À ce stade, Bob lui explique comment se débarrasser de sa peur et lui dit de s’informer auprès de sa famille et de son médecin.

N’est-il pas là pour les informer? En tant qu’expert de renommée mondiale?

Soit dit en passant, lors de son séjour à Hawaï, Robert Malone se voit présenter la Doctrine Malone par un ancien de Black Rock, Edward Dowd, qui fait maintenant partie de l’équipe de campagne présidentielle de RFK Jr.

La Doctrine Malone

Une déclaration d’indépendance
par rapport aux décisions des institutions qui manquent d’intégrité

Nous, les soussignés:

Exigeons que toutes les données sous-jacentes qui contribuent à un corpus de travail en cours d’examen soient mises à disposition et restent accessibles à des fins d’analyse.

Proclamons que la valeur de la connaissance pour la société n’est pas déterminée par un créateur d’information donné. Au contraire, ce sont les bénéficiaires de la connaissance qui attribuent une valeur à une proposition uniquement par le biais d’une critique approfondie et d’un examen minutieux.

Instaurons l’échange libre et ouvert d’informations et définissons comme un devoir le fait que l’autorité soit la gardienne de toutes les données qui constituent la base de nos décisions.

Exigeons la divulgation complète de toutes les sources de financement pour toute citation ou référence faite en rapport avec toute question à l’étude.

Nous engageons à faire preuve d’impartialité dans l’examen de toutes les informations et données analytiques qui nous sont présentées et attendons la même chose de tous les autres.

Favorisons un débat ouvert et rigoureux ainsi qu’un examen minutieux de toute question qui nous préoccupe.

Ferons rapidement connaître à tous la découverte de toute malhonnêteté intellectuelle ou irresponsabilité professionnelle.

Assurerons la santé, le bien-être et la sécurité de tout dénonciateur qui met en avant et/ou rend publique une abrogation des croyances défendues ici.

Nous opposons à la censure et n’accepterons pas les représentations de parties portant en elles des valeurs contraires aux principes de la liberté d’expression.

Ne refusons à personne le droit de contester, de débattre, de pétitionner, de redresser, d’examiner ou de protester par des faits et des preuves toute décision de cet organe.

Quelque chose bascule.

Quelque chose de dramatique se produit, et ce rapidement.

Huit semaines plus tard, 54 jours pour être exact, Robert Malone tire la sonnette d’alarme.

Il utilise désormais la rhétorique et le ton sévère qui auraient dû être de mise lors du tournage de CHD Hawaii et du podcast de Dark Horse.

Une rhétorique stridente qui siérait à celle d’un être humain décent qui tente de mettre en garde d’autres êtres humains vulnérables contre une intervention médicale dangereuse qui aurait failli le tuer.

En décembre 2021, il utilise des arguments et des points logiques que beaucoup d’entre nous, profanes, avions déjà repérés et reliés bien avant, par de simples recherches superficielles et en une sincère curiosité pour cette nouvelle technologie.

Pourquoi tout cela n’avait-il pas été présenté sur Dark Horse et à Hawaï?

(En fait, Jill Glasspool Malone, épouse et associée de Malone, avait vanté les mérites de cette technologie juste avant Dark Horse et déploré que Bob ne reçoive pas le crédit qui lui est dû. Coup de fouet [NdT. « whiplash » = le résultat émotionnel ou psychologique d’un soudain revirement d’opinion de la part de quelqu’un].

Lors d’une interview du Global Covid Summit/Unity Project en décembre, Malone actualise sa rhétorique de façon spectaculaire par un brutal et véhément avertissement.

12 décembre 2021

Je m’appelle Robert Malone, et je m’adresse à vous en tant que parent, grand-parent, médecin et scientifique. Je n’ai pas pour habitude de lire un discours préparé, mais cette question est à ce point importante que je voulais veiller à ce que chaque mot et chaque fait scientifique soient exacts.

Je me porte garant de cette déclaration de par ma carrière consacrée à la recherche et au développement de vaccins. Je suis vacciné contre le COVID et je suis généralement pro-vaccination. J’ai dédié toute ma carrière au développement de moyens sûrs et efficaces pour prévenir et traiter les maladies infectieuses.

Je publierai ensuite le texte de cette déclaration pour vous permettre de la partager avec vos amis et votre famille.

Avant que vous ne soumettiez votre enfant à cette injection – une décision qui sera irréversible – je voulais vous informer des faits scientifiques relatifs à ce vaccin génétique, qui est basé sur la technologie du vaccin ARNm que j’ai créée.

Il y a trois notions que les parents se doivent de comprendre:

Le premier est qu’un gène viral sera injecté dans les cellules de vos enfants. Ce gène contraint le corps de votre enfant à fabriquer des protéines de pointe toxiques. Ces protéines causent fréquemment des dommages permanents dans les organes vitaux des enfants, notamment:

  • leur cerveau et leur système nerveux;
  • leur cœur et leurs vaisseaux sanguins, y compris la formation de caillots sanguins;
  • leur système reproductif; et
  • ce vaccin peut déclencher des changements fondamentaux dans leur système immunitaire.

Le fait le plus alarmant est qu’une fois que ces dommages sont survenus, ils sont irréparables.

  • Il est impossible de réparer les lésions au cerveau;
  • il est impossible de réparer les cicatrices du tissu cardiaque;
  • il est impossible de réparer un système immunitaire génétiquement réinitialisé; et
  • ce vaccin peut causer des dommages au système reproducteur qui pourraient affecter les générations futures de votre famille.

La deuxième chose que vous devez savoir est que cette nouvelle technologie n’a pas été testée de manière adéquate.

  • Il faut compter au moins 5 ans de tests/recherches avant de pouvoir réellement comprendre les risques.
  • Les inconvénients et les risques des nouveaux médicaments n’apparaissent souvent que bien des années plus tard.

Demandez-vous si vous voulez que votre enfant fasse partie de l’expérience médicale la plus radicale de l’histoire de l’humanité.

Un dernier point: la raison qui vous est donnée pour justifier la vaccination de votre enfant est un mensonge.

  • Vos enfants ne représentent aucun danger pour leurs parents ou leurs grands-parents.
  • C’est en fait le contraire. Leur immunité, après avoir fait le COVID, est essentielle pour sauver votre famille, voire le monde, de cette maladie.

En résumé: il n’y a aucun avantage pour vos enfants ou votre famille à les faire vacciner contre les risques minimes du virus, compte tenu des risques sanitaires connus du vaccin avec lesquels, en tant que parent, vous et vos enfants devrez peut-être vivre pour le reste de leur vie.

L’analyse bénéfice/risques est sans appel.

En tant que parent et grand-parent, je vous recommande de résister et de vous battre pour protéger vos enfants.

[NdT. j’avais traduit et publié ce texte le 19 décembre 2021]

Que s’est-il passé au cours de ces deux mois?

Cela n’a aucun sens. A-t-il vécu un moment de lucidité?

A-t-il regretté de ne pas s’être exprimé plus tôt sur Dark Horse en juin, ou de ne pas avoir averti plus directement les enfants à Hawaï en octobre lors du tournage mis en scène du CHD?

Dix-neuf jours après ce livestream, le Dr Robert Malone participera à l’émission de Joe Rogan.

31 décembre 2021

J’ai regardé, littéralement subjugué, son passage chez Joe Rogan. J’ai remarqué que Robert Malone était manifestement très satisfait et fier de ses relations avec les services de sécurité et de ses antécédents.

Quatorze jours après avoir participé à l’émission de Joe Rogan, le Dr Robert Malone se souviendra qu’il a failli mourir des suites des injections d’ARNm expérimental.

13 janvier 2022

« À quel point mon lot est-il dangereux? » – par Robert Malone

Et voilà.

Nous avons bouclé la boucle.

Il s’est passé quelque chose au cours des 54 jours qui se sont écoulés entre le tournage du CHD à Hawaï et l’avertissement grave et solennel du Sommet Mondial du Covid.

Qu’est-ce qui s’est passé?

Quoi qu’il en soit, Robert Malone a immédiatement été propulsé à chaque tournant de la vie de chacun depuis près d’un an et demi maintenant.

Ça n’arrive pas par hasard.

https://sagehana.substack.com/p/unlimited-hangout


Voici une version potentielle de ce qui a pu se passer pendant cette période de frénésie fasciste vaccinale.

Il est possible que Bob, ou *l’équipe de Bob, ait tâté le terrain et tenté de faire la part des choses entre ce qui était réel et qui se passait réellement dans le cadre de l’opération COVID, et ce que le public et les « grands médias » voulaient bien admettre.

C’est le Malone de décembre que l’on aurait voulu entendre depuis le début, à l’image des premiers avertissements du Dr Mike Yeadon ou du Dr Sucharit Bhakdi.


Quoi qu’il en soit, en septembre ou octobre 2022, avec la montée en puissance de la Courageuse Sasha et de la Courageuse Katherine qui ont relié les points au Centre de Commandement Central du FEM/Ministère de la Défense, Bob s’est rapidement retrouvé dans une impasse.

Il pouvait jeter quelques miettes depuis le « ventre de la bête », mais ne pouvait pas aller beaucoup plus loin sans mettre en péril l’ensemble du modèle fasciste de Sécurité contre les Armes Biologiques planifié de longue date par le Réseau du Pouvoir des Rockefeller.

Ok, les amis – en regardant vers l’avenir, de quoi avons-nous besoin si nous disposons de protocoles acceptés pour le traitement ambulatoire précoce?

  1. Le CDC doit se ressaisir
  2. Nous avons besoin de surveillance, de traçage et de tests très actifs.
  3. Nous devons être en mesure de faire des tests (idéalement des autotests) pour l’infection par le SARS-CoV-2.

Il ne pouvait pas non plus aller plus loin sans révéler des choses sur sa carrière qui allaient de toute façon être dévoilées.

Et c’est là que les choses ont commencé à déraper et à se gâter.

Il poursuit en justice les Breggin et le Dr. Jane Ruby. George Webb le poursuit en justice.

Qui finance les procès, les voyages dans le monde entier et les interminables sommets où l’on s’agite vainement en pointant du doigt Pfizer ou Fauci tout en clamant: « Nous avons réussi » dans des salles vides du Congrès et de l’Union Européenne?


Pour terminer.

Voici une autre version de l’histoire des « lésions causées par les vaccins », beaucoup plus modeste, telle que rapportée par un média-sous-contrôle-dans-la-ligne-covidienne.

https://www.businessinsider.com/dr-robert-malone-mrna-scientist-vaccine-skeptic-2022-2

Malone est entièrement vacciné – il a reçu les deux injections du vaccin COVID-19 de Moderna au printemps de l’année dernière, après que celui-ci ait été autorisé par la FDA en décembre 2020.

Il espérait que la vaccination l’aiderait à soulager certains des symptômes de COVID-19 qu’il présentait à l’époque, mais cela n’a pas été le cas. À l’époque, des rapports anecdotiques dispersés dans les médias laissaient entrevoir cette promesse, mais l’idée s’est largement estompée à mesure que de plus en plus de personnes se sont fait vacciner et que davantage de temps s’est écoulé depuis leur vaccination.

Le docteur Bruce Patterson, qui dirige un centre de traitement du COVID-19 long, a déclaré lors d’une conférence ce mois-ci que nombre de ses patients atteints du COVID-19 long « qui allaient mieux, après une semaine ou deux, revenaient à la situation antérieure ».

Malone a déclaré que les effets secondaires de sa première injection n’avaient rien de remarquable, mais après sa deuxième, il a commencé à se plaindre d’hypertension artérielle, à dire qu’il avait reçu un « mauvais lot » et à soulever des inquiétudes infondées selon lesquelles les protocoles habituels n’étaient pas respectés par la Food and Drug Administration – l’agence fédérale qui est censée considérer les nouveaux médicaments, traitements et vaccins comme « coupables jusqu’à preuve du contraire », comme il le répète souvent.

La vérité est comme un lion.


Commentaires

Je pense que Bob est un cas d’école d’homme de paille sélectionné, cultivé et guidé dans sa position à chaque étape du processus. Il a l’air d’un type qui croit vraiment faire partie des bons élèves bien informés, alors qu’il n’a JAMAIS fait partie du club. C’était un cadavre ambulant dès le premier jour. Ils l’ont vu venir à des kilomètres, et il était PARFAIT.

Parce que, dans l’endoctrinement MK Ultra 2.0, tout est question de casting. Les espions aiment se vanter d’avoir fait évoluer et d’avoir affiné leurs protocoles au cours des 50 dernières années, au point qu’aujourd’hui, la majorité de leurs « actifs » n’ont aucune idée qu’ils sont des marionnettes. Ils n’ont même pas besoin de les payer (du moins directement), c’est là toute la beauté du contrôle du MK 2.0 – le déni plausible y est intégré. Les programmes d’endoctrinement sont davantage axés sur la « planification » verticale et la stratégie, et moins sur la dissimulation. Bien sûr, on continue à sélectionner et à cultiver quelques acteurs conscients et contrôlés qui peuvent être intégrés çà et là dans le processus: les Weinstein, les [Alex Jones], les Rogan et autres, mais on les entoure d’un champ opératoire composé d’acteurs de longue haleine formés depuis des années, les Rhodes Scholars, les Weffies [NdT. issus du Forum Économique Mondial], les anciens du Santa Fe Institute et les protégés de Lifeboat, les militants pour le climat, les professeurs publiés, les chercheurs scientifiques, etc., tous ces gens brillants et pleins d’avenir qui, comme par magie, obtiennent des subventions, des contrats pour des livres importants, des passages chez Oprah et Rogan, des bourses, des financements pour des films documentaires, de l’argent et des prix pour être ce qu’ils sont. Comme Bob.

Et puis, quand le récit a besoin d’être ajusté, comme c’est toujours le cas, on peut retirer des actifs selon les besoins, en sacrifiant un pion ici et là si nécessaire – certains devront simplement s’effacer, ou dans le pire des cas seront vite éliminés s’il le faut (suicide, accident de voiture, turbo-cancer, crise cardiaque, bla bla bla) et parfois, soit selon un plan à long terme, soit dans le feu de l’action, on remplit le coffre d’une Pinto [NdT. la Ford Pinto, célèbre pour ses incendies spontanés, est passée dans le langage courant américain pour désigner un danger majeur pour son utilisateur] d’un tas de linge sale et on balance les clefs à l’un d’entre eux. Comme Oswald. Ou peut-être Bob.

Buckminister, 19 mai

Si RFK Jr. est élu… qui va-t-il nommer à la tête de la FDA, des NIH, des CDC? Les candidats tout désignés ne sont-ils pas assez évidents? Mon sentiment est que, comme toujours, des promesses ont été faites et que le pouvoir est, eh bien… une motivation, parfois en tant que gain personnel, et parfois en tant que mouvement sur l’échiquier. Je m’attends à ce que Malone soit le choix de RFK pour la FDA ou le NIH, et que Nass soit son choix pour le CDC. Quant à Kirsch, il serait nommé pour conseiller le président sur tout ce qui touche à la technologie.

Je trouve assez amusant que les gens soient tellement en quête d’un héros qu’ils ignorent que la politique reste la politique, et que RFK n’est pas à l’abri du système. Tout comme le système qui nous a apporté le COVID, il existe d’autres systèmes au sein de notre gouvernement/société qui sont également capturés et/ou corrompus… et les 10 dernières années ont démontré à quel point notre système politique est détraqué. Simple remarque.

Laura Garcia, Auteur du Laura’s Substack, 19 mai

C’est vraiment frappant de voir à quel point Jill se comporte comme un « handler » [NdT. « handler » décrit l’agent du Renseignement qui contrôle un homme de paille].

Elle articule les mots pendant qu’il parle et s’interpose pour le « corriger ». Elle défend sa cause et son dossier, corrige la communication dont il est l’objet.

Elle est omniprésente.

TFish, 20 mai

Le fait que sa femme n’a autorisé personne à participer à leur fête sans être vacciné me dit tout ce que j’ai besoin de savoir.

Mary, 19 mai

Le Covid était une opération de la NSA – par Elliott Freed.

Selon ma triste habitude, je publie un peu dans le désordre – du moins par rapport au programme annoncé. Vous verrez que ce n’est qu’un désordre apparent, le même qui règne sur mon bureau, mon navigateur, dans mes notes et ma vieille cervelle.

Voici non pas un, ni deux, mais trois articles de Elliott Freed en succession rapide, qui se complètent parfaitement. Après ça, décollez les yeux de vos écrans et profitez de ces premières magnifiques et généreuses journées de printemps – généreuses aussi en pollen, ce qu’auront remarqué les allergiques comme mon épouse, de retour de chez le pépiniériste les bras chargés de plants d’oeillet d’Inde (la liste de ses propriétés ici), dont le parfum lui a murmuré « c’est de moi dont tu as besoin, plante-moi dans ton jardin! »

Ce premier article, qui contrebalancera un peu cette très sévère critique de RFK Jr, parle du rôle du Renseignement dans la crise Covid – sujet déjà abordé par Katherine Watt et Sasha Latypova, donc simple rappel pour les lecteurs réguliers qui pourront directement passer à l’article suivant. Quoiqu’il en soit, je vous garantis l’extrême intérêt de ces lectures.

Je reprendrai l’analyse du rôle de RFK Jr et de celui du Dr Malone avec deux articles de Sage Hana et conclurai comme prévu cette série moi-même avec ce qui se passe réellement en coulisses de la grande opération en cours.

Je suivrai bientôt, c’est-à-dire dès que j’en aurai fini la (très longue) traduction, avec un article sur la véritable origine du SARS-CoV-2, qui vous laissera – excuse my French – sur le cul (original ici). La gestion de la « crise » Covid était en effet une opération militaire mais pas le virus.

Source.


Le Covid était une opération de la NSA

Une citation de RFK Jr.

Elliott Freed

16 mai

« Ce qui est étrange dans cette pandémie, c’est l’implication constante de la CIA, des agences de renseignement et de l’armée. Lorsque l’opération Warp Speed a été présentée au comité de la FDA appelé VRBPAC et qu’elle en a remis les organigrammes [NdT. cf. l’article susmentionné de Sasha], classifiés à l’époque, tout le monde a été choqué de voir qu’elle n’était gérée ni par le HHS, ni le CDC, ni le NIH, ni la FDA ni quelque agence de santé publique. Elle était gérée par la NSA, une agence d’espionnage qui a chapeauté et dirigé l’opération Warp Speed.

Les vaccins n’ont été développés ni par Moderna ni par Pfizer. Ils ont été développés par le NIH, qui en détient les brevets, au moins à 50%. Ils n’ont même pas été fabriqués par Pfizer ni par Moderna. Ils ont été fabriqués par des entreprises militaires. En fait, Pfizer et Moderna ont été payés pour apposer leur cachet sur ces vaccins comme s’ils provenaient de l’industrie pharmaceutique. Ce qui n’était pas le cas.

Dès le départ, il s’agissait d’un projet militaire.

J’ai dénombré 20 simulations différentes de coronavirus et de pandémies menées par le gouvernement. Elles ont commencé en 2001. La première a eu lieu juste avant les attaques à l’anthrax. Et chaque année, la CIA les a toutes sponsorisées. La dernière a été l’Événement 201 en octobre 2019. Et l’un des participants était Avril Haines, l’ancienne Directrice adjointe de la CIA, qui a organisé des opérations de dissimulation toute sa vie. Elle s’est occupée de Guantanamo Bay, entre autres. Elle est aujourd’hui Directrice du Renseignement National, ce qui fait d’elle l’officier le plus haut placé de la NSA – qui a géré la pandémie.

C’est donc une espionne qui organise ces simulations de pandémie et, dans chacune de ces simulations depuis 20 ans, ce n’est pas une réponse de santé publique qu’on simule. On ne réfléchit pas à des questions telles que: comment stocker de la vitamine D? Comment inciter les gens à sortir, à perdre du poids, à faire de l’exercice? Comment développer une grille d’information pour les 15 millions de médecins de première ligne dans le monde, afin de leur fournir des informations sur ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas? Rien de tout cela ne s’est produit. Nous avions une occasion incroyable de gérer une pandémie de manière intelligente, sensible et radicale contre la maladie, mais nous n’avons rien fait de tout cela.

À la place, tout s’est joué sur la façon d’utiliser une pandémie pour imposer la censure. Comment l’utiliser pour imposer le confinement?

À ce propos, tous les documents de préparation à la pandémie adoptés par les principales agences de santé publique, qu’il s’agisse du CDC, de l’OMS, de l’Agence de Santé européenne ou des services de santé nationaux de Grande-Bretagne, stipulaient qu’il ne fallait pas recourir à des confinements, qu’il fallait mettre les malades en quarantaine et protéger les personnes vulnérables. Et laisser tous les autres retourner au travail, car le confinement amplifie en fait l’impact de la maladie. En isolant les gens, on les rend plus vulnérables, on affaiblit leur système immunitaire. En les enfermant à l’intérieur, on propage le virus respiratoire.

Toutes les mesures qu’ils exercent visent à renforcer leur contrôle totalitaire ».

Robert F. Kennedy, Jr.

C’est en 2008 que j’ai entendu parler pour la première fois du projet de vaccination forcée de tous les habitants de la planète. Les personnes qui m’en ont parlé en avaient connaissance depuis les années 1990. Alex Jones et David Icke en parlent publiquement depuis au moins cette époque, comme d’autres. J’ai découvert par moi-même que l’objectif était l’insertion dans chaque individu de gènes modifiés, brevetés et propriété d’entreprises, afin de coloniser le génome, de s’approprier l’humanité et d’être en mesure de nous exploiter commercialement. La première fois que j’ai publié au sujet de ce programme, c’était sur Facebook en 2015.

Aujourd’hui, la vérité est révélée au monde entier.

On tente de la bloquer avec le projet de loi sénatoriale S686. Il s’agit officiellement du « Restrict Act« . Officieusement, on l’appelle le projet de loi sur l’interdiction de Tiktok. Si vous le lisez, vous constaterez qu’il s’agit du Patriot Act sous stéroïdes, adapté à l’ère numérique. Pour l’instant, le projet de loi n’avance pas très vite dans le processus législatif, mais restez vigilants.

https://www.congress.gov/bill/118th-congress/senate-bill/686/text

À partir de maintenant, considérez que tout ce que le gouvernement ou les entreprises, y compris la presse corporative, font ou disent fait partie d’une guerre de l’information.

L’OMS, Gro Brundtland, le plan visant à injecter tout le monde avec des vaccins développés en 100 jours, non testés, et la façon dont les fabriques portables de vaccins permettront de vacciner simultanément l’ensemble du cheptel humain – mais avec quoi? – par Meryl Nass.

À propos des « fabriques portables de vaccins », je vous renvoie vers la conférence du Dr Igor Shepherd – pour ceux qui ne la connaissent pas encore par coeur – que j’ai transcrite et (approximativement) traduite ici. Le Dr Malone en parle également ici.

L’arrivée de ces délicats objets confirment donc bien la nature du programme militaire qu’étaient les injections Covid – et de leur suite.

On se posait la question de savoir pourquoi ils avaient foutu la paix – relative, ils ont tout de même fait assassiner trois chefs d’État africains – aux pays émergents, la thèse étant que ces pays étant très peu demandeurs (voir vidéo dans l’article précédent et ici), il n’était économiquement parlant pas nécessaire de les soumettre. Apparemment, c’est exactement le contraire qui se prépare.

Pour info, plusieurs sources officielles annoncent – pas « craignent » ou « prédisent », annoncent – une pandémie de grippe aviaire pour septembre. C’est quelque part dans ma doc, je publie quand je mets la main dessus.

Source.


L’OMS, Gro Brundtland, le plan visant à injecter tout le monde avec des vaccins développés en 100 jours, non testés, et la façon dont les fabriques de vaccins portables permettront de vacciner simultanément l’ensemble du cheptel humain – mais avec quoi?

En outre, j’identifie la corruption et l’utilisation abusive du langage par les mondialistes

Meryl Nass

16 avril

Depuis 1969, l’OMS dispose d’un ensemble de règlements sanitaires internationaux (RSI) c’est-à-dire d’un code sanitaire pour faire face aux épidémies de maladies infectieuses qui touchent plusieurs pays. En 2005, sous l’égide de la Directrice générale de l’OMS, Gro Harlen Brundtland, une mise à jour majeure a été adoptée, sous le nom de RSI (2005). Nous ne le savions pas à l’époque, mais Brundtland était une apparatchik mondialiste, une inventrice du développement durable, et elle a travaillé en étroite collaboration avec Fauci sur les questions relatives à la pandémie de COVID, comme le montrent les courriels transmis à la Commission Européenne par le biais de la FOIA.

https://www.britannica.com/biography/Gro-Harlem-Brundtland

[Brundtland a été] la première femme Premier Ministre de Norvège, pendant trois mandats (1981, 1986-89, et 1990-96), et a ensuite été Directrice générale de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS; 1998-2003). Médecin de formation, elle s’est intéressée aux questions de santé publique et d’environnement, ainsi qu’aux droits des femmes…

En 1983, Brundtland est devenue Présidente de la Commission Mondiale des Nations Unies sur l’Environnement et le Développement, qui en 1987 a publié « Notre Avenir Commun », le rapport qui a introduit l’idée de « développement durable » et a conduit au premier Sommet de la Terre. En 1998, elle devient Directrice générale de l’OMS, où elle s’attaque à des pandémies mondiales telles que le SIDA et le SRAS; son mandat s’achève en 2003. En 2007, elle devient membre des « Elders« , un groupe de dirigeants mondiaux qui s’occupe des questions relatives aux droits de l’homme. Cette année-là, avec Han Seung-Soo, ancien Ministre des affaires étrangères de Corée du Sud, et Ricardo Lagos Escobar, ancien Président du Chili, elle a été nommée envoyée spéciale pour le changement climatique auprès de Ban Ki-Moon, le Secrétaire général des Nations Unies.

Alors que Mme Gro fête ses 84 ans cette semaine, elle occupait jusqu’à très récemment un poste clé, celui de coprésidente, avec Sir Jeremy Farrar, du Conseil Mondial de Surveillance de la Préparation, convoqué par l’OMS et la Banque Mondiale pour imposer au monde sa version de la préparation. Gro a également été appelée la Mère du Développement Durable. Peut-être souhaitait-elle réellement un monde meilleur à une époque. Jeremy a été « nommé 12e dans la liste Fortune des 50 plus grands leaders du monde en 2015 ». Deux joueurs habiles.

Les femmes leaders doivent ouvrir la voie en matière de préparation

Par le Dr Gro Harlem Brundtland

En tant que coprésidente du Conseil Mondial de Surveillance de la Préparation (Global Preparedness Monitoring Board – GPMB), créé par la Banque Mondiale et l’Organisation Mondiale de la Santé en 2018, j’ai vu de mes propres yeux à quoi ressemble le paysage mondial de la préparation aux pandémies. L’année dernière, nous avons lancé notre rapport annuel inaugural, A World At Risk, en tirant la sonnette d’alarme sur les nombreuses lacunes de notre préparation et en mettant en garde contre le risque important que notre monde pourrait courir en cas d’apparition d’un virus respiratoire hautement infectieux.

Nous nous trouvons aujourd’hui au cœur de la crise dévastatrice des nouveaux coronavirus. Collectivement, nous devons tirer les leçons de cette crise pour définir un plan d’action audacieux et urgent que les pays et notre système multilatéral doivent mettre en œuvre rapidement pour que l’avenir de chacun soit plus sûr.

À l’occasion de l’Assemblée Générale des Nations Unies de cette année, le GPMB appelle une fois de plus le monde à agir de toute urgence via son nouveau rapport intitulé « Un monde en désordre ». Ce rapport lance de nombreux appels à l’action aux gouvernements, aux parties prenantes multilatérales et aux particuliers – des actions que nous devons tous entreprendre si nous voulons non seulement nous remettre de cette pandémie, mais aussi être plus à même de faire face à la prochaine. Il ne suffit pas d’arrêter cette pandémie qui a fait des ravages non seulement dans nos systèmes de santé, mais aussi dans nos systèmes économiques et sociaux. Nous devons également profiter de ce moment pour mettre en place les systèmes solides, durables et inclusifs que nous souhaitons pour l’avenir, afin d’être prêts à faire face à la prochaine pandémie, lorsqu’elle arrivera sans aucun doute.

La pandémie de SARS-CoV-2 a été montée de toutes pièces et cooptée pour briser les petites entreprises, appauvrir des millions de personnes, convaincre des milliards de personnes que les maladies infectieuses étaient soudainement devenues une menace existentielle – et ainsi justifier la refonte de notre monde sous de nombreux aspects.

Les dirigeants ont acheté les meilleurs experts en relations publiques et n’ont cessé d’affiner le langage qu’ils utilisent pour nous convaincre que nous sommes conduits vers des lendemains meilleurs. Le terme « Nouvel Ordre Mondial » n’avait tout simplement pas les bonnes connotations. L’expression « Reconstruire en mieux » donnait l’impression que la destruction de nos systèmes actuels était peut-être une bonne chose. Mais lorsque les dirigeants du monde entier se sont mis à le prononcer à l’unisson, les gens se sont méfiés et le terme a été abandonné.

La terminologie actuellement privilégiée comprend: durable et inclusif. Et l’équité: pour les dirigeants, cela signifie que nous bénéficions tous de la même justice, que nous sommes tous exposés au même récit et que nous recevons tous du remdesivir, mais pas d’ivermectine ou d’HCQ. Il est intéressant de noter que l’OMS et les mondialistes n’utilisent PAS le mot « égalité », qui est beaucoup mieux compris. L’égalité signifie que nous sommes tous égaux. Les mondialistes ne veulent pas de cela, alors ils ont choisi un mot qui sonne très bien mais qui signifie quelque chose de différent, et ils espèrent que nous penserons qu’il est synonyme d’égalité. Audacieux signifie qu’ils mettront notre monde sens dessus dessous. Urgent signifie que nous n’aurons pas le temps de comprendre ce qu’ils font.

Durable signifie que votre niveau de vie doit baisser parce que, selon les dirigeants, il n’est pas durable. Ce qui est vrai s’ils provoquent des dépressions, des guerres, etc. Inclusif signifie que vous recevez la piqûre (de préférence à l’ARNm), que vous le vouliez ou non. Tout le monde est inclus. Personne n’est autorisé à refuser. C’est la raison pour laquelle les responsables de l’application de la législation sont si fermement opposés aux exemptions de vaccins. (À titre d’exemple éloquent, les Démocrates de la Commission de l’Éducation de l’Assemblée législative du Maine ont voté à l’unisson, le 10 avril, contre six projets de loi qui permettraient aux étudiants de ne pas se faire vacciner).

Personne ne sait ce que contiendront ces futurs vaccins (sans parler de ce que contiennent les vaccins COVID actuels), et lorsque les vaccins promis comme devant être développés en 100 jours apparaîtront pour la prochaine pandémie, personne ne sera en mesure de savoir s’ils fonctionnent ou s’ils sont dangereux, parce qu’ils seront déployés simultanément pour une utilisation de masse, dans le monde entier. C’est pourquoi il est si important pour les mondialistes de disposer de petites usines de vaccins partout en Afrique et en Asie, voir ci-dessous. Ainsi, personne ne peut y échapper et tout le monde se fera piquer avant de savoir à quel point les vaccins sont dangereux.

La personne qui a lancé la promesse de la Coalition on Epidemic Preparedness and Innovation (CEPI) d’un vaccin élaboré en 100 jours est Sir Dr. Jeremy Farrar (alias 007 Permis de Surdoser) qui a joué un rôle central dans la planification et le financement des deux essais de surdosage d’hydroxychloroquine au Royaume-Uni et à l’OMS, qui a joué un rôle central dans la mise en place de la dissimulation des origines du COVID, et qui s’est maintenant vu confier le rôle de scientifique en chef de l’OMS, où il jouera un rôle crucial dans l’adhésion des pays en développement à ce plan visant à imposer à tous des vaccins produits localement et non testés.

À propos, le patron de Farrar, lorsqu’il était président du Wellcome Trust, était la baronne Eliza Manningham-Buller, présidente du conseil d’administration de Wellcome, coprésidente de Chatham House et ancienne Directrice générale du MI5, l’agence d’espionnage britannique.

BioNTech enverra des fabriques de vaccins mobiles aux pays en voie de développement.

La société allemande BioNTech, créatrice de l’un des vaccins COVID-19 utilisés aux États-Unis, a dévoilé un nouvel outil pour augmenter le taux de vaccination COVID dans le monde: des usines modulaires assemblées à partir de conteneurs d’expédition qui produisent le vaccin à ARNm que la société fabrique avec Pfizer.

Dans le courant de l’année, ces usines seront acheminées vers les pays en développement.

Selon Krishna Udayakumar, qui dirige le Global Health Innovation Center de l’université Duke, la bonne nouvelle est que l’offre mondiale de vaccins COVID et la capacité de production s’améliorent.

Environ 60% de la population mondiale a reçu au moins une dose.

« La mauvaise nouvelle, c’est que le déploiement a été incroyablement inéquitable – ainsi, 10% seulement des personnes vivant dans des pays à faible revenu ont reçu une seule dose de vaccin », a-t-il déclaré.

BioNTech a indiqué que ses premiers kits de fabriques seraient envoyés à une poignée de pays africains dans le courant de l’année et qu’ils pourraient produire jusqu’à 50 millions de doses en 12 mois.

Selon M. Udayakumar, c’est un bon début, mais BioNTech devra faire davantage pour aider réellement le continent.

« En assurant le transfert de l’équipement et de la technologie, ils travaillent également à la mise en place d’une main-d’œuvre qualifiée et à la création d’une chaîne d’approvisionnement », a-t-il déclaré…

Addendum 16 avril, 14h20: Comment fabriquer des vaccins en Afrique sans main-d’œuvre qualifiée? Cela ne peut fonctionner que si l’on ne se préoccupe pas de la qualité du produit. Si tout ce dont on a besoin, c’est d’injecter un certain produit (préfabriqué ailleurs?) dans le bras de tous, peu importe que le reste du processus de fabrication du vaccin ne réponde pas aux Bonnes Pratiques de Fabrication (ou à toute autre norme). Si l’objectif est d’obtenir un vaccin sûr et efficace, la qualité de la fabrication est essentielle. Mais si l’objectif est simplement d’utiliser le « vaccin » en tant que système d’administration qui amenera les gens à se faire volontairement injecter quelque chose de particulier, la formation de la main-d’œuvre n’a aucune importance.

Je vous en prie, prenez cela au sérieux. Il s’agit probablement de la question la plus dangereuse sur laquelle j’ai jamais écrit. Pire que la guerre biologique, qui doit se propager d’une personne à l’autre et contre laquelle certains seront immunisés.

Envoyer des usines de vaccins en Afrique sans disposer d’une main-d’œuvre capable de les utiliser en toute sécurité ne peut être qualifié que comme un acte malfaisant. Cela n’a de sens que s’il existe un agenda caché.

Ne négligez pas la CEPI et son projet de vaccin élaboré en 100 jours. Cette organisation est financée et contrôlée par certaines des entités les plus puissantes du monde.

Investisseurs et partenaires

La CEPI a été fondée à Davos par les gouvernements norvégien et indien, la Fondation Bill & Melinda Gates, Wellcome et le Forum Économique Mondial. [NdT. c’est moi qui souligne]

À ce jour, la CEPI a obtenu le soutien financier de l’Allemagne, de l’Arabie Saoudite, de l’Australie, de l’Autriche, de la Belgique, de la Fondation Bill & Melinda Gates, du Canada, du Danemark, de la Commission Européenne, des États-Unis, de l’Éthiopie, de la Finlande, de la Grèce, de la Hongrie, de l’Indonésie, de l’Islande, de l’Italie, du Japon, du Koweït, de la Lituanie, du Luxembourg, de la Malaisie, du Mexique, de la Norvège, de la Nouvelle-Zélande, du Panama, des Pays-Bas, du Portugal, des Philippines, de la Roumanie, du Royaume-Uni, du Sénégal, de la Serbie, de Singapour, de la Suisse, de la République de Corée et de Wellcome.

La CEPI a également reçu le soutien d’entités du secteur privé ainsi que des contributions publiques par l’intermédiaire du Fonds de Réponse de Solidarité COVID-19 de la Fondation des Nations Unies.

Une collaboration étroite avec nos partenaires est cruciale pour le succès de notre travail.

Voir la liste complète de nos contributions et engagements.

Et voici le Groupe de Coordination Conjointe (GCC) du CEPI

Notre Groupe de Coordination Conjointe est une table ronde d’institutions indépendantes ayant un intérêt à ce que les vaccins du CEPI soient développés et déployés avec succès lors d’une épidémie.

Ces institutions indépendantes jouent un rôle dans divers éléments du cycle de développement des vaccins, depuis la recherche et le développement des vaccins jusqu’à leur déploiement lors d’une épidémie.

Les membres de notre Groupe de Coordination Conjointe se réunissent pour discuter de la manière dont nous pouvons améliorer au mieux nos efforts pour fournir et déployer des vaccins en relevant les défis liés à la recherche et au développement, à la réglementation, au stockage et à la fourniture de ces produits. En particulier, bien que le groupe se concentre sur l’avancement de notre portefeuille de vaccins, son travail informe également le domaine plus large du développement et de la préparation des vaccins.

Les membres ont également un rôle à jouer dans la planification d’une réponse rapide à un agent pathogène prioritaire ou inconnu. Notre Groupe de Coordination Conjointe est composé de 10 à 15 organisations membres, qui désignent à leur tour des personnes pour les représenter lors des réunions.

De temps à autre, le groupe peut décider d’inviter d’autres organisations et experts à participer aux réunions.

Les membres actuels du groupe mixte de coordination sont les suivants

  • Le Forum Africain de Réglementation des Vaccins (AVAREF)
  • CEPI
  • Le Réseau des Fabricants de Vaccins des Pays en Développement (DCVMN)
  • L’Agence Européenne des Médicaments (EMA)
  • FIND, l’alliance mondiale pour le diagnostic
  • Gavi, Alliance pour les vaccins
  • Le Fonds Mondial
  • Membre de la Fédération Internationale de l’Industrie du Médicament (FIIM)
  • La Fédération Internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR)
  • Médecins Sans Frontières (MSF)
  • UNICEF
  • La Food and Drugs Administration américaine (FDA)
  • Wellcome Trust
  • La Banque Mondiale
  • L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS)

Alors, soyez prêts, sachez quel est le projet qu’ils préparent pour nous, et travaillons ensemble pour mettre fin à ces plans diaboliques. J’y reviendrai plus tard dans la journée.

Message d’intérêt public – Pourquoi il faut refuser le vaccin – par Spartacus.

On va temporairement boucler cette histoire d’injection avec un auteur connu sur ce blog.

Le plus intéressant ici, c’est que Spartacus a ajouté (en commentaire) un glossaire des termes médicaux employés dans ce bref article (6 minutes), que j’ai traduit à la fin.

Source.


Message d’intérêt public – Pourquoi il faut refuser le vaccin

Un guide très résumé sur la dangerosité de ces vaccins

Spartacus

25 février

Si quelqu’un que vous connaissez envisage de se faire vacciner contre le COVID-19, voici pourquoi il devrait s’en abstenir, en quelques mots.

Les vaccins COVID-19, en particulier la plateforme ARNm sur laquelle reposent les vaccins Pfizer et Moderna, ont été développés grâce à des fonds douteux de la DARPA consacrés à la biodéfense et à des financements de capital-risque, dont une grande partie est allée à une société qui, pendant plus de dix ans, n’a sorti aucun produit commercial et dont le PDG travaillait auparavant pour une autre société dont le fondateur a participé à la construction du laboratoire P4 de l’Institut de Virologie de Wuhan. Ces produits injectables ont été obtenus par nos gouvernements dans le cadre de contrats qui exonèrent leurs fabricants de toute responsabilité pour les lésions qu’ils peuvent causer.

Les nanoparticules lipidiques PEGylées sont des huiles synthétiques hautement inflammatoires conjuguées à du polyéthylène glycol. Ces lipides PEGylés sont connus pour déclencher une anaphylaxie chez quelques personnes malchanceuses.

L’ARN messager contenu dans ces vaccins n’a rien à voir avec l’ARNm normal produit par les noyaux cellulaires. Il est pseudo-uridylé, un isomère de l’uridine étant utilisé à la place de l’uridine normale pour tromper les récepteurs Toll de vos cellules afin qu’ils ne déclenchent pas d’inflammation ou même qu’ils ne la détectent pas. Il est doté d’une coiffe synthétique, ce qui augmente sa stabilité et sa résistance aux ribonucléases. On ne sait absolument pas combien de temps cette substance reste intacte dans l’organisme et combien de temps elle continue à se transformer en protéine. Parce qu’il est modifié par des nucléosides et doté d’une coiffe synthétique, il se comporte moins comme un ARN messager normal que comme de minuscules brins de bioplastique moléculaire non biodégradable.

La pseudo-uridylation favorise la lecture du codon d’arrêt, où les ribosomes lisent le codon d’arrêt et traduisent l’extrémité 3′ UTR normalement non traduite de l’ARNm. Parmi les modifications apportées à l’ARNm synthétique pour améliorer la traduction, on peut citer l’ajout de mtRNR1 à l’UTR 3′. Si cette modification est présente et que le ribosome lit le codon d’arrêt, il produira la protéine de pointe et la protéine mtRNR1 jointes bout à bout, ce qui peut entraîner un dysfonctionnement mitochondrial.

Cet ARNm peut être absorbé par les rétrotransposons LINE-1 et transcrit en sens inverse dans le génome, ce qui pourrait conduire à une production permanente de protéines de pointe par les cellules affectées, aussi longtemps qu’elles seront en vie.

La protéine de pointe du SARS-CoV-2 est une protéine hautement toxique dont les motifs sont prionogènes et amyloïdogènes, neurotoxiques, cardiotoxiques, procoagulants et inflammatoires. Lorsqu’ils sont digérés par l’élastase neutrophile ou la trypsine, les fragments de cette protéine de pointe peuvent former des caillots massifs de fibrine amyloïde, même en l’absence de plaquettes. La protéine de pointe possède également un motif superantigénique, ainsi qu’une région qui lie les lipopolysaccharides bactériens et renforce l’effet inflammatoire des endotoxines bactériennes. La protéine de pointe peut même migrer vers le noyau et interférer avec le gène p53, un gène anticancéreux clé, ce qui pourrait favoriser la tumorigenèse. Les sous-unités S1 de la protéine de pointe peuvent porter atteinte à l’intégrité de la barrière hémato-encéphalique et en augmenter la perméabilité.

En raison de l’optimisation des codons de l’ARNm qui génère la protéine de pointe, il n’existe aucune preuve que la protéine de pointe adopte une conformation semblable à celle du virus. Ce que l’on obtient à la place, c’est un amas géant de protéines inutiles contenant des peptides toxiques et amyloïdogènes sur toute leur longueur, qui sont activés lorsque la protéine est clivée et digérée par les enzymes de l’hôte. Ce phénomène est exacerbé par la pureté extrêmement médiocre de l’ARNm contenu dans ces vaccins, dont la moitié n’est même pas totalement intacte et n’a jamais pu se traduire en une protéine de pointe de pleine longueur.

Lorsque les personnes reçoivent ces vaccins à ARNm, les nanoparticules lipidiques s’écoulent par les veines et les lits capillaires dans le système circulatoire, où elles voyagent dans le corps et transfectent le cœur, le cerveau, la moelle osseuse et le reste des organes vitaux, ainsi que les tissus reproducteurs, ce qui peut entraîner une myocardite et une cicatrice cardiaque permanente, une encéphalite, une stérilité et/ou une lésion auto-immune des cellules progénitrices hématopoïétiques de la moelle, qui pourrait conduire à une lymphopénie et à une immunodéficience durables. Chaque cellule transfectée par les nanoparticules lipidiques produit des protéines de pointe et les affiche à sa surface, ce qui constitue une cible majeure pour le système immunitaire qui vient l’attaquer. S’il s’agit du cerveau, il y aura inflammation cérébrale. S’il s’agit du cœur, il y aura inflammation cardiaque. Concrètement, en utilisant des cellules humaines comme bioréacteurs pour la production d’une protéine étrangère, on appose un énorme panneau « Tapez moi dessus » sur chacune des cellules transfectées.

Pour ajouter l’insulte à la blessure, ces vaccins favorisent un changement de classe d’immunoglobuline G4 qui entraîne une tolérance immunitaire à l’égard de la protéine de pointe, comme s’il ne s’agissait que d’un allergène. Bien que cela puisse réduire superficiellement l’inflammation due au SARS-CoV-2, cela conduit également à une tolérance virale qui peut permettre au virus de se répliquer dans le corps en toute impunité pendant une période prolongée, ce qui conduit à une maladie chronique.

D’innombrables rapports de lésions causées par les vaccins COVID-19 ont été enregistrés dans le VAERS et dans d’autres bases de données de rapports d’événements indésirables. Nous disposons de rapports histopathologiques évalués par des pairs, dans lesquels des autopsies ont été pratiquées sur des personnes décédées des suites du vaccin et des lames de tissus ont été prélevées sur leur corps et examinées, confirmant la présence de la protéine de pointe dans le cerveau, le cœur et d’autres tissus, ainsi que des lésions inflammatoires mortelles. Les tissus ne mentent pas.

Ces vaccins toxiques doivent être immédiatement retirés du marché et des poursuites pénales doivent être engagées contre toutes les personnes impliquées dans leur fabrication et leur distribution, ainsi que contre tous ceux qui les ont rendus obligatoires.

-Spartacus


Glossaire

ARNm = acide ribonucléique messager. Toutes les cellules du corps humain sont en quelque sorte de petites bulles huileuses contenant un tas de structures différentes qui fabriquent des protéines et produisent de l’énergie pour la cellule. Le noyau de la cellule est le tiroir à plans, contenant les chromosomes qui renferment tous les gènes codant pour les différentes protéines du corps. Lorsqu’une cellule décide qu’elle a besoin d’une plus grande quantité d’une certaine protéine, la section de la chromatine codant pour cette protéine est déroulée et transcrite de l’ADN en ARN messager. L’ARN messager quitte le noyau par un pore, puis les ribosomes s’assemblent autour de lui et le lisent comme un ruban adhésif, en faisant correspondre les ARNt aux séquences de codons de 3 lettres sur l’ARN et en déposant leur acide aminé dans la chaîne polypeptidique en croissance s’il y a une correspondance (ou en rebondissant s’il n’y en a pas). Tous les noyaux de nos cellules fabriquent en permanence de l’ARNm à partir de l’ADN, puis nos ribosomes fabriquent des protéines à partir de l’ARNm en les utilisant comme instructions pour relier les acides aminés entre eux dans différents ordres. La séquence des acides aminés détermine la structure et la fonction de la protéine. Les vaccins à ARN messager détournent ce processus en introduisant un ARNm étranger dans une cellule pour forcer les ribosomes de cette cellule à traduire en protéines n’importe quelle séquence arbitraire d’ARNm imaginable. Imaginez que la cellule soit une usine et qu’un homme entre par la porte d’entrée avec une pile de plans dans les bras en criant : « Nous devons ouvrir une nouvelle chaîne de montage pour fabriquer des tonnes de ces produits! C’est ainsi que les vaccins ARNm sont censés fonctionner, en un mot. Il s’agit d’acide nucléique provenant de l’extérieur de la cellule, plutôt que du noyau. Voici une bonne animation de ce à quoi ressemble un ribosome traduisant l’ARN en protéine:

Laboratoire P4 = l’équivalent d’un laboratoire BSL-4 aux États-Unis. Le niveau de biosécurité, ou niveau de protection contre les agents pathogènes, indique le type d’équipement dont dispose un laboratoire pour assurer le confinement des agents pathogènes mortels. Les laboratoires de niveau de biosécurité supérieur disposent généralement d’un système de confinement à pression négative et de systèmes de filtration très performants pour empêcher les agents pathogènes de s’échapper.

Polyéthylène glycol = composé polyéther (supposé biologiquement inerte) utilisé dans les laxatifs, les cosmétiques, les médicaments à base de nanoparticules, etc. Il est obtenu par polymérisation de l’éthylène glycol, principal composant des antigels.

Nanoparticule lipidique = petite bulle huileuse qui ressemble à une paroi cellulaire humaine ou animale et qui peut facilement fusionner avec les cellules et y déposer sa cargaison. Voir également liposomes et micelles.

Anaphylaxie = réaction allergique massive et parfois mortelle, généralement traitée à l’aide d’épinéphrine (comme celle d’un épi-pen).

Pseudouridylation = substitution de l’uridine dans l’ARNm par un pseudouridylyle. L’uridine, un composant moléculaire des brins d’ARN, se présente sous différents isomères, tels que la pseudouridine, dont la structure et la fonction sont similaires à celles de l’uridine. Le pseudouridylyle est comme la pseudouridine, mais avec l’ajout d’un groupe méthyle.

Récepteur de type Toll = un type de récepteur à la surface de nos cellules qui agit un peu comme un détecteur de fumée, détectant les signes de dommages cellulaires et/ou de cancer et déclenchant la production de cytokines inflammatoires qui agissent comme un signal de fumée pour attirer les cellules immunitaires afin qu’elles s’attaquent au problème. L’ARNm étranger a tendance à déclencher l’inflammation en activant les récepteurs de type Toll (Toll-like receptors – TLR).

Lecture du codon d’arrêt = les ribosomes lisent l’ARNm comme un ruban adhésif ou comme les cartes perforées d’un vieil ordinateur. Tous les brins d’ARNm comportent une région qui indique au ribosome « arrêtez de lire ici », ce qui signale que la traduction de la protéine est terminée. On parle de Readthrough lorsque le ribosome n’en tient pas compte et continue à traduire la partie normalement non traduite de la queue de l’ARNm.

3’UTR = l’extrémité distale d’un brin d’ARNm qui n’est normalement pas traduit. Les brins d’ARN ont une coiffe, un UTR 5′, la région codante, un UTR 3′ et une queue poly-A, dans cet ordre. La région codante est la partie qui produit effectivement la protéine.

Rétrotransposons LINE-1 = rétrotransposons à longs éléments nucléaires intercalés. Ils interagissent avec les transcriptases inverses endogènes qui peuvent retransformer l’ARN en ADN et le coller dans le génome. Pensez à la façon dont les rétrovirus comme le VIH s’intègrent dans le génome et deviennent un provirus. Pour ce faire, le VIH possède sa propre transcriptase inverse. Cependant, le corps humain possède également ses propres transcriptases inverses et des régions du génome qui acceptent les gènes transcrits à l’envers. Je simplifie à l’extrême. Une explication plus détaillée peut être trouvée ici:

https://elifesciences.org/articles/30058

Prionogène = produit des prions (comme dans la maladie de la vache folle/MCJ).

Amyloïdogène = produit des fibrilles amyloïdes (brins répétitifs de protéines insolubles, comme dans la maladie d’Alzheimer et l’amyloïdose).

Neurotoxique = dommageable pour le cerveau et le tissu nerveux.

Cardiotoxique = dommageable pour le cœur.

Procoagulant = favorise la coagulation du sang.

Élastase des neutrophiles et trypsine = deux enzymes protéolytiques différentes qui coupent d’autres protéines. Différentes enzymes protéolytiques peuvent, au fil du temps, décomposer une protéine en ses acides aminés constitutifs, les recyclant pour les utiliser dans la fabrication de nouvelles protéines.

Caillot amyloïde-fibrine = caillot composé entièrement de protéines, l’amyloïde étant liée à la fibrine. Aucune cellule sanguine ou plaquette n’est nécessaire à sa formation.

Superantigène = également connu sous le nom de SAg. Il s’agit d’antigènes qui activent excessivement le système immunitaire, entraînant une inflammation grave.

Lipopolysaccharides bactériens = également connus sous le nom d’endotoxines, ce sont des composants des bactéries qui déclenchent une inflammation grave.

p53 = gène suppresseur de tumeur essentiel ; sa désactivation est associée à divers cancers.

Protéine de pointe S1 = la sous-unité « tête » de la protéine de pointe. La protéine de pointe du SARS-CoV-2 est un trimère, ce qui signifie qu’elle contient un faisceau de trois segments répétitifs des sous-unités S1 et S2, regroupés comme un bouquet de fleurs, ce qui lui confère un aspect de caltropie. La fonction de la protéine de pointe du SARS-CoV-2 sur le virus SARS-CoV-2 proprement dit est de fusionner le virus et la cellule et de faciliter l’entrée dans les cellules de l’hôte. Pour ce faire, il se fixe sur les récepteurs ACE2 présents à la surface des cellules endothéliales vasculaires et des cellules épithéliales des voies respiratoires, ce qui lui permet d’être clivé par des protéases endogènes telles que TMPRSS2, qui activent la protéine de pointe, l’amenant à creuser la membrane cellulaire, puis à se replier sur elle-même et à rapprocher la cellule et le virus, en les fusionnant. Voici à quoi cela ressemble:

Optimisation des codons = modification de la séquence d’un gène pour augmenter le taux de production de protéines.

Conformation = forme que prend un polypeptide lorsqu’il se transforme en protéine. Certaines protéines peuvent subir des changements de conformation dans le cadre de leur fonction, comme de minuscules machines moléculaires.

Myocardite = inflammation du cœur, du type de celle qui produit un vilain tissu cicatriciel. Les cœurs endommagés ne se régénèrent pas facilement et même une myocardite subclinique qui ne produit aucun symptôme peut être fatale après quelques années.

Encéphalite = inflammation du cerveau.

Cellules progénitrices hématopoïétiques = cellules sanguines et immunitaires immatures de la moelle osseuse, qui produisent des globules rouges, des neutrophiles, des macrophages, des lymphocytes, etc. Pour des raisons évidentes, il ne faut surtout pas que le système immunitaire s’attaque à sa propre moelle osseuse, car c’est comme s’il sciait la branche d’arbre sur laquelle il est assis.

Immunoglobuline = en bref, anticorps. Ils se lient aux agents pathogènes et contribuent à les neutraliser.

Édition du dimanche – spéciale nettoyage de printemps.

Un escalier se balaie en commençant par le haut.

Proverbe roumain

J’ai assez peu publié ces derniers temps, à cause d’un truc bizarre qui porte en fait un nom: « information overload » ou surcharge informationnelle. Plus de mille onglets ouverts sur mon navigateur. C’est donc le moment de faire un sérieux tri, pour éviter à mes lecteurs le même effet.

Avant tout, prudence! C’est officiel: le passage à l’heure d’été augmente (de 8%!) les risques de crise cardiaque et d’AVC. Heureusement, ce risque supplémentaire ne dure que deux jours. Donc pas d’effort inconsidéré avant mardi matin. Pensez à votre santé.

Je ne sais pas, moi. Une grève?


À mes amis et lecteurs français

https://www.bobmoran.co.uk/other-work/encore-original-artwork

La nouvelle la plus importante, c’est évidemment la grève en France. C’est d’ailleurs bien plus qu’une grève, mais je ne vous apprends rien.

Apparemment, la révolte commence à faire tache d’huile sur la Belgique et l’Allemagne – dont on va parler un peu plus bas. C’est assez impressionnant.

C’est mon épouse (française) qui me tient au courant de la situation, en consultant les infos disponibles sur le Net, et même sur certains média mainstream (!), où de nombreux commentateurs font le boulot bien mieux que je ne pourrais le faire.

J’écris donc ceci juste pour, selon la formule consacrée, réaffirmer mon soutien aux Français. Et aussi leur dire ce qui suit.

La France, j’y suis souvent allé et j’en ai beaucoup de souvenirs, dont un que j’ai déjà évoqué ici, où la police parisienne m’avait tiré d’une situation très risquée. De braves gens, à l’époque. Moins maintenant.

La France, j’y ai des souvenirs de ma famille, de celle de mon épouse. De paysages, de gens, de tranches de vie. Et un qui me revient souvent, pour une raison que j’avais eu jusqu’à présent du mal à définir. C’était à l’occasion d’une halte dans un relais d’autoroute. Il y avait là de nombreuses petites familles françaises, qui soufflaient un peu, se restauraient, flânaient. Ce qui m’avait frappé, c’étaient les hommes. Bien bâtis, leur silhouette typique taillée en V, pas forcément grands mais qui dégageaient une force à la fois calme et intimidante et croyez-moi, je ne suis pas vite impressionné – malgré ma tête de clown, c’est généralement moi qui impressionne. Là, je voyais un peuple qui vivait paisiblement sans rien demander à personne. Des hommes qui voulaient qu’on leur foute la paix, en somme. Des gens qu’il vaut mieux ne pas trop emmerder.

Je sais aujourd’hui mettre des mots sur ce que j’ai vu ce jour là, et qui défile maintenant dans les rues. Ce que j’ai vu, c’est l’âme d’une nation.

… et alors, l’économie?

J’avais prévu de publier quelques articles sur l’économie, éventuellement la suite de celui-ci. Cette deuxième partie ne traitant quasiment que de crypto-monnaie, je laisse tomber parce que 1) je n’y connais rien, et ne sais dont pas juger de la validité de ces monnaies et 2) ce n’est tout simplement pas le moment. De toute manière, une monnaie virtuelle qui dépend totalement du réseau Internet ne me semble pas une très bonne idée. Internet est un outil du renseignement depuis le début, comme le rappelle un article de Tessa Lena que j’ai à traduire.

Je mets aussi provisoirement en suspens la transcription promise de la vidéo de John Titus, très intéressante mais également un peu trop technique pour l’heure.

Je traduirai par contre celui-ci, à la fois très basique et didactique, qui pourra servir à expliquer à ceux qui abordent le sujet – notamment la jeune génération – à saisir l’enjeu premier de l’économie, à savoir le contrôle de la monnaie par les banques centrales.

À ce propos, vous savez sans doute que Christine Lagarde, actuelle Présidente de la Banque Centrale Européenne, s’est fait piéger comme une lycéenne par un type très habile et assez rigolo, qui s’est fait passer pour Zelensky lors d’un appel Zoom de vingt minutes. On apprend finalement assez peu de choses de ce qu’elle balance – à son insu – le principal étant que l’euro numérique est prévu pour le mois d’octobre, et que la surveillance des dépenses individuelles ne toucherait que les sommes au-dessus de 300, 400 euros. Ce qui m’a le plus étonné, c’est son côté finalement bienveillant, à vouloir opposer une monnaie européenne aux futures crypto-monnaies de Amazon et consorts, à vouloir modérer l’inflation, à regretter les augmentations de prix de l’alimentation. Contrairement à la plupart des analystes « alternatifs », je ne vois pas Mme Lagarde comme le Diable en personne. Son côté atlantiste ne me la rend pas très sympathique mais elle est extrêmement compétente et fait très bien son boulot.

Le problème, c’est son boulot. Elle dirige une banque centrale.

Initiales BBB

Yoepie! le BBB – pour BoerBurgerBeweging (Mouvement citoyen fermier), le parti politique néerlandais qui défend le droit des fermiers contre leur éviction par leur gouvernement – vient de faire un score historique (plus de 30%) aux élections du Conseil Provincial! C’est une grande victoire démocratique!

Euh, non.

Comme l’explique ici Michael Yon et ici Eva Vlaardingerbroek (un beau brin de fille), le BBB est en fait une saloperie de plus dans l’arsenal de l’opposition contrôlée, qui n’en a rien à caler des fermiers et adopte le discours frauduleux de l’ennemi sur la nocivité de l’azote, pour en faire un sujet de négociation. C’est un faux parti « conseillé » (comme dans « cabinet de conseil », suivez mon regard) par un machin nommé Remarkable, un bureau de consultance dont vous trouverez la liste des clients ici – en résumé, le who’s who de Big Ag et Big Pharma.

Thierry Baudet rappelle ici:

Soutenue par la presse, Caroline van der Plas a le vent en poupe et s’est assurée un nombre improbable de sièges.

C’est impressionnant, mais aussi inquiétant. Car son parti soutient la ligne du cartel sur tous les points essentiels. En effet, BBB est favorable à la transition énergétique, au rachat des agriculteurs, à l’UE, à la guerre en Ukraine et aux accords arc-en-ciel.

Comme l’ont relevé certains blogueurs, BBB, c’est aussi Build Back Better. Et c’est aussi, par un curieux hasard, la barrière hémato-encéphalique – Brain-Blood Barrier. Normal, ils essaient d’entrer dans votre cerveau. C’est leur métier.

Nyctereutes procyonoides

… ou chien viverin – en anglais, raccoon dog. Ce petit chien sauvage très sympa est maintenant accusé d’être le vecteur du SARS-CoV-2 par les suspects habituels: un truc appelé SAGO (Scientific Advisory Group for Origins of Novel Pathogens), organe consultatif permanent de l’OMS, dans lequel on retrouve notamment (liste complète ici) notre ami Christian Drosten, le faux docteur – surnommé le Dr Fauci allemand – qui a étonnamment séquencé le test PCR sans disposer de la séquence génomique du virus, et le Dr Supaporn Wacharapluesadee, un proche collaborateur d’EcoHealth Alliance et de Peter Daszak. Cette sensationnelle révélation zoonotique est reprise dans un article du New York Times. Rien que des gens dignes de confiance, donc.

Ach!

À ce propos, nouvel article de Robert Kogon (déjà publié ici, ici et ici), dont l’acharnement sur le rôle de l’Allemagne dans l’Opération Covid semble intarissable. On y voit une photo de Drosten en visite à l’Institut de Virologie de Wuhan en 2015, ainsi qu’une certaine Angela Merkel, également de passage à Wuhan en septembre 2019. On y apprend aussi que Wuhan dispose d’un autre laboratoire de recherche sur le gain de fonction, affilié à l’hôpital même où Mme Merkel s’est rendue ainsi qu’à l’Université de Duisburg-Essen, et que ce laboratoire se situe en fait à l’épicentre exact du premier cluster déclaré par la Chine.

Bon, c’est loin d’expliquer tout, notamment le fait que le Covid circulait déjà depuis des mois en Europe et aux États-Unis. On notera toutefois une certaine consonnance germanique dans le dossier: Drosten, Merkel, BioNTech, Schwab, von der Leyen…

Il y avait aussi, souvent cité dans le cadre du « génocide vaccinal », ce célèbre Chancelier allemand dont je ne retombe plus sur le nom, un excité cocaïnomane mis en place par les Rothschild pour détruire sa nation et la placer sous coupe de la finance internationale.

Un truc impensable en France.

Coïncidite

Parmi les centaines de publications sur le sujet, vous pouvez notamment lire cet article de ma compatriote Senta Depuydt sur l’épidémie de mort subite en Allemagne.

Ou plus simplement, vous pouvez ouvrir votre boîte aux lettres. Dans la brochure mensuelle de ma commune, à la rubrique « État Civil »:

  • trois naissances,
  • quatorze décès.

Le taux de remplacement est plutôt mal barre. Qu’à cela ne tienne, aux États-Unis on pourra bientôt fondre les catégories naissance et décès en une seule puisque…

QUATRE injections ARNm Covid pour les bébés américains avant leur dix mois

En, fait quatre au minimum. Igor Chudov explique dans cet article:

La FDA a approuvé la QUATRIÈME injection COVID pour les nourrissons. […]

Cette séquence de vaccination peut être achevée dans les quatre mois suivant le début de la vaccination à six mois. Par conséquent, un nourrisson de 10 mois pourrait recevoir quatre doses de vaccin Covid à ARNm.

Si vous pensez que quatre doses de vaccin Covid sont un peu trop pour un enfant de 10 mois, réfléchissez à ceci: toute mère assez folle pour soumettre son enfant aux vaccins Covid en recevra également pendant la grossesse et l’allaitement. […]

Comme les vaccins Covid sont transmis par le lait maternel, un bébé de 10 mois pourrait être exposé à HUIT vaccins Covid au cours de sa vie, y compris avant sa naissance.

Outre les effets indésirables sur les organes et le système sanguin, cet autre article pose la question de la fertilité future des bébés de sexe féminin, sachant que la protéine de pointe a la propriété de fusionner les cellules (syncitia) et que les oocytes (les ovules, donc) ont la plus haute proportion (95%) de récepteurs ACE2 et de TMPRSS2 (69%), auxquels se lie la protéine de pointe.

À tout hasard, je publierai un dernier article-résumé de Spartacus sur l’injection Covid, destiné à ceux qui n’auraient toujours pas compris. Mais il faut bien reconnaître que l’Opération est essentiellement terminée, les dégâts accomplis, et hormis quelques fous furieux, plus personne ne se fera injecter ce machin. La prochaine étape, c’est le retournement de veste.

C’est pas moi, c’est lui

Robert Redfield, l’ex-directeur des CDC américains a déclaré lors d’une audience devant le Select Subcommittee:

« Trois choses se sont produites dans ce laboratoire, qui sont « très inhabituelles », a déclaré le Dr Robert Redfield:

  1. « Ils ont supprimé les séquences, ce qui est très irrégulier. Les chercheurs n’aiment généralement pas faire cela ».
  2. « Ils ont fait passer le commandement et le contrôle du laboratoire d’un contrôle civil à un contrôle militaire, ce qui est très inhabituel. »
  3. « Ils ont confié à un entrepreneur le soin de refaire le système de ventilation de ce laboratoire. »

Bref, Redfield fait partie de la multitude de mauvais acteurs prêts à reconnaître tout et n’importe quoi – essentiellement, tout ce qu’on savait déjà depuis deux ans – pour tirer leur épingle du jeu, quitte à jeter leurs (ex-)associés sous l’autobus, comme on dit en anglais.

Un exemple parmi des centaines, sur le Substack de Jeff Childers:

Ensuite, sur Fox News en prime time avec Laura Ingraham, le médecin californien Michael Huang a déclaré qu’il ne recommandait plus le vaccin et s’est excusé: « Je dois m’excuser au nom de ma profession. Les médecins sont vraiment tombés sur la tête, et ils ont refusé d’écouter les patients lorsqu’ils se présentaient avec des symptômes de lésions dues aux vaccins. »

Laura a ensuite demandé: « Le gouvernement devrait-il recommander les vaccins covid … quels qu’ils soient? » Le Dr Huang a répondu avec bon sens: « Si on tombe malade, on appelle pas le CDC ou la FDA pour obtenir des recommandations […] le gouvernement devrait laisser les médecins pratiquer la médecine. »

Cette tendance est un phénomène fascinant, en particulier parce que je n’ai jamais vu un seul de ces individus prendre la direction opposée. Ce que je veux dire, c’est qu’on ne voit jamais rien du genre:

Intervieweur: Avez-vous des regrets concernant la pandémie ?

Docteur: Je regrette d’avoir été initialement opposé au masquage, mais je me rends compte aujourd’hui que si nous avions masqué un peu plus durement, un peu plus longtemps, avec quelques couches supplémentaires, nous aurions pu éviter tous ces problèmes et peut-être même apprendre à respirer sans oxygène.

Bienvenue à Marburg: son église, son centre commercial, son virus

Meryl Nass publie ceci, que je traduirai vu que ce n’est pas très long et assez amusant. Intro:

Vous avez peut-être entendu dire que le virus de Marburg faisait son apparition en Afrique de l’Ouest. Le message implicite est: « Ayez très peur ».

Juste à temps, le NIAID (l’ancien fief de Fauci) dispose d’un vaccin prêt à être testé sur de malheureux Africains, après avoir été testé sur 40 malheureux Américains. Et une fois qu’ils auront convaincu les gouvernements ou d’autres acheteurs de l’obtenir, qui touchera les royalties? Le NIAID, bien sûr. Et ses employés pourront percevoir jusqu’à 150 000 dollars par an si leur nom figure sur le brevet. C’est parfait, puisque le produit a été développé et breveté aux frais du contribuable. […]

La croisière s’amuse

Suite à la révélation de Seymour Hersh, le New York Times (lien archivé ici) et Die Zeit ont publié une nouvelle histoire, très amusante elle aussi, sur les auteurs de l’attentat contre les gazoducs russes. En fait, ça n’a rien à voir avec les États-Unis, voyez-vous. C’est une équipe de six personnes, russes ou ukrainiens, détenteurs de faux passeports, qui ont loué un yacht et posé des explosifs sur les gazoducs. Il y avait un médecin parmi eux, la plongée à cette profondeur présentant un risque pour la santé. Ils ont malheureusement négligé de bien nettoyer le yacht après eux, et y ont laissé des traces d’explosifs qui les ont trahis. Mon conseil: la prochaine fois, engagez aussi une femme d’ouvrage.

Vladimir trouve cette histoire ridicule – on le comprend:

« Je suis certain qu’il s’agit d’une ineptie complète. Une explosion de ce type – d’une telle puissance, à une telle profondeur, ne peut être réalisée que par des spécialistes, et soutenue par toute la puissance d’un État, possédant certaines technologies. »

Sputnik (accès censuré en Europe de l’Ouest, sorry) résume ainsi son point de vue:

Il a également suggéré que l’on devrait probablement se demander qui serait intéressé par la destruction de Nord Stream, notant que, théoriquement, les États-Unis auraient pu être l’une de ces entités, car un tel acte de sabotage les aiderait à couper le flux de gaz russe vers le marché européen afin que les États-Unis puissent y fournir une plus grande quantité de leur propre gaz naturel liquéfié, beaucoup plus coûteux.

Le président russe a ajouté que la réparation des gazoducs Nord Stream endommagés ne serait pas une mince affaire, mais qu’elle était probablement possible, même si elle nécessitait du temps, de l’argent et de nouvelles technologies.

Il a toutefois fait remarquer que le projet Nord Stream n’aurait d’avenir que si les partenaires européens de la Russie se souvenaient de leur propre intérêt national, car il semblerait qu’actuellement, ils fassent tout ce qu’on leur dit « depuis l’autre côté de l’océan ».

Comment ça? L’Allemagne et la France ne seraient dont pas des pays souverains? Et la démocratie dans tout ça?

Plus récemment, les autorités danoises ont trouvé un machin tubulaire près du Nord Stream 1 – encore intact – et ont invité les gestionnaires – russes – du gazoduc à assister à sa récupération. Si personne ne le réclame, il sera à eux dans un an.

Pauvres présidents

Toujours dans le registre de la farce, Vladimir a été condamné pour crime de guerre par la Cour Pénale Internationale pour avoir « déporté » 16 000 enfants ukrainiens vers la Russie. Heureusement pour lui, il n’a pas arraché les bébés de leurs couveuses pour les jeter au sol. C’est dur de voir Vladimir traité comme un paria, malgré sa mise en place de l’obligation vaccinale, de l’identité numérique, de la monnaie digitale, de l’agenda climatique – bref, de l’Agenda 2030. Pauvre Vladimir.

De son côté, Trump effectue une tournée triomphale pour préparer sa réinvestiture, ou peut-être pour un dernier tour de piste avant de finir en prison, on ne sait pas encore, pour avoir acheté le silence d’une star du porno. Pauvre Donald.

La froide réalité, c’est qu’aucun de ces gusses n’est jamais arrivé à ce poste sans être le poulain de l’un ou l’autre service de renseignement, qui les contrôle de A à Z avec quelques dossiers compromettants. Demandez donc à Ron Paul – que j’ai soutenu à l’époque, malgré que je n’ai évidemment pas de droit de vote – comment il a été écarté de la course à la présidence par cette crapule gluante de Mitt Romney. Que l’une de ces marionnettes dévie un tant soit peu de sa feuille de route et il se prend un tireur isolé, un Watergate, un souci de santé ou un malencontreux accident.

Ou le Covid.

Le débat autour de la culpabilité de Trump dans l’Opération Warp Speed – et donc sa responsabilité pour les centaines de milliers, voire les millions de victimes des injections – n’est pas encore clos aux États-Unis. Certain(e)s, comme Jaime Jessop, rappellent, à juste titre, qu’il a fait très tôt la promotion de l’hydroxychloroquine et qu’il a probablement ensuite été contraint de signer pour le programme du Ministère de la Défense. Katherine Watt ne lui laisse pas le bénéfice du doute: il n’est qu’une des deux faces de la même pièce, celle de l’usurpation du pouvoir. Il a au minimum trahi la confiance de son peuple et continue aujourd’hui à défendre les injections – « ses » vaccins.

C’est donc soit un abruti, soit un vendu. Il avait promis au début de son mandat de consulter Robert F Kennedy Jr sur les vaccins, il ne l’a jamais fait. Il a laissé en poste Anthony Fauci et Deborah Birx, dont Scott Atlas donne un aperçu saisissant de la duplicité et de l’incompétence. Il n’a tenu aucune promesse électorale et n’en tiendra aucune s’il est réélu.

En bref, ce sont les « familles » qui dirigent la haute finance, la haute finance qui dirige la CIA, la CIA qui dirige les États-Unis, et les États-Unis qui dirigent l’Europe et les pays « alignés ». Du moins encore pour quelques semaines, parce qu’à force d’embrouiller, de déboussoler et de camer à zéro leur troupeau, la CIA a bel et bien détruit son propre pays. Le tout est maintenant de ne pas les suivre dans le gouffre.

Euh, euh, euh…

Un truc intéressant à observer chez quelques épaves de la pièce de théâtre internationale: de Jens Stoltenberg à Elon Musk en passant, bien entendu, par Biden, complétement sénile, de plus en plus semblent de plus en plus souvent incapables d’aligner trois mots sans trébucher, bégayer, hésiter ou commettre quelque gaffe monumentale. Je vous ferais bien un jubilé de l’aphasie galopante de ces personnages mais euh, euh, je crains que ce soit, euh, contagieux.

Pendant les travaux, la vente continue

Pendant ce temps, la Russie autorise l’Ukraine à exporter son grain pour 120 jours supplémentaires, ce qui assurera la sécurité alimentaire « des pays ‘à revenu faible ou moyen inférieur’ comme l’Egypte, le Kenya et le Soudan » – et accessoirement, la balance commerciale ukrainienne. La Pologne va livrer quatre Mig-29 – en fin de carrière – à l’Ukraine, qui, ô surprise, « seront remplacés par des appareils sud-coréens FA-50 et des F-35 américains ». La Slovaquie leur enverra treize de ces mêmes vieux coucous (qu’elle remplacera par …), pendant que la Tchéquie passe contrat pour la livraison de tanks gonflables à 100 000 dollars la pièce. Ça fait cher le ballon mais on pourra toujours les recycler en plaine de jeux après guerre – si Vladimir veut bien renvoyer les enfants chez eux – ou les gonfler à l’hélium pour jouer une blague à la chinoise à l’aviation russe. Le Royaume Uni inclura des pilotes ukrainiens dans son programme de formation sur chasseurs: c’est pour permettre à l’Ukraine de « disposer d’une armée capable de défendre ses intérêts dans le futur » – on sait donc qu’il y a un futur pour ce pays. De son côté, Washington assure la formation de deux pilotes – sur simulateur – tout en déclarant ne pas vouloir envoyer de F-16, pour « ne pas créer une escalade du conflit », tandis que Macron déclare que côté livraison de Mirage, « rien n’est interdit« . Merci, on avait remarqué.

Ukraine, Nord Stream, énergie, etc. même plan d’entreprise: on déstocke, on casse d’un côté, on reconstruit « en mieux » de l’autre, et on soigne la facture. 411 milliards pour reconstruire l’Ukraine. Pas de quoi payer? Pas grave, on garde le pays et on l’intègre à l’UE. Ça fera des ressources à piller et des contribuables à ponctionner en plus. Business is business.

Sex and drugs and rock’n’roll

Je me demande finalement si le gars dont j’ai publié deux articles (ici et ici) ne serait pas un agent… Son insistance à me convaincre des bienfaits des drogues psychotropes semble un peu suspecte. Il avait répondu à ceci en orientant son discours vers un autre domaine, qui sert également de levier aux opérations du renseignement: le sexe.

Très bien parlons sexe, ça fait vendre.

Je viens de lire un papier de Miles, qui rejoint d’assez près ce que me dit mon épouse de la misère que vit la génération montante en Belgique, complètement déboussolée. L’Opération (c’est le cas de le dire) Transgenre qui leur est infligée d’en haut ne fait évidemment rien pour arranger la situation. Vous pouvez en (re)lire ici un témoignage, qui vient du Royaume Uni.

Question drogue, j’ai déjà plus ou moins tout dit. En tout cas assez pour passer pour un vieil emmerdeur pète-sec.

Il reste donc le rock’n’roll. Faudra un jour que je vous parle de Todd Rundgren.

En attendant, voici un échantillon de ce que j’écoute. C’est du psybient. Eh oui, en plus du rock de mes jeunes années (punk), j’écoute aussi (sur mon mp3 ou bien fort sur ma chaîne) du nu-jazz allemand – DePhazz, Club des Belugas, Dzihan & Kamien, Moca – et ça, de la musique de drogués. Voyez seulement dans quel état s’est mis cette pauvre fille dans le public! Je fais parfois ça dans mon atelier…

Attention toutefois, cette musique est dangereuse: vous accrochez, vous ne voudrez plus jamais rien écouter d’autre. C’est de la joie, c’est de la danse, c’est de la drogue.

Allez, encore un, pour la route. La souris qui mange du fromage.


Bon, c’est déjà assez long, ce sera tout pour aujourd’hui. Il reste des dizaines d’infos à traiter mais j’avais dit que je ferais un tri.

Pour conclure…

… la petite histoire du proverbe cité en début de page. Je vous garantis l’authenticité de l’anecdote.

Un de mes camarades de l’époque avait lu ce proverbe au verso de la feuille de son éphéméride. C’était le 25 décembre 1989. La date est facile à retenir: en plus d’être le jour de Noël, c’est celui où Nicolae Ceaușescu et sa délicieuse épouse furent fusillés dans une arrière-cour, après un procès expéditif où ils se virent accusés et jugés coupables de « génocide par la famine, la privation de chauffage et d’éclairage », et d’avoir causé la mort de milliers de dissidents à son régime dictatorial.

Et encore pire, selon les termes exacts de l’accusation:

Mais votre crime le plus abominable a été de détruire l’âme de la nation.

Eh oui.

À bientôt et bon courage.

Pourquoi les poulets sont-ils si malades? – par Joel Salatin.

J’ai briévement abordé les horreurs de l’élevage intensif, voici le témoignage d’un autre fermier. Et, j’ose à peine l’annoncer, j’ai encore deux autres articles sur la grippe aviaire.

Oui, je sais, j’allais publier sur l’économie et me voilà de nouveau à parler de poule(t)s. Ce n’est pas autant hors sujet qu’il semble, parce que d’une part, les révoltes populaires ont lieu en période de disette, or on me dit que des millions de Français ont recours à des colis alimentaires.

D’autre part, on nous rejoue la comédie du Covid et des « vaccins », cette fois avec la grippe aviaire, ce que nous explique une nouvelle fois ici Meryl Nass.

Enfin, on pourrait peut-être se poser la question, d’une actualité brûlante, de savoir si, comme pour les poule(t)s, c’est le nombre d’êtres humains le problème ou leur concentration.

Comme dirait Igor Chudov: et vous, qu’en pensez-vous?

Source.


Pourquoi les poulets sont-ils si malades?

Joel Salatin

14 mars

Alors que la nation souffre d’une nouvelle épidémie d’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP), il est plus important que jamais de remettre en question le discours orthodoxe. À l’heure où l’on crie à la surpopulation et à l’incapacité du monde à se nourrir, nous, les humains, devons certainement trouver le moyen de réduire ce type de pertes.

Les chiffres changent chaque jour, mais au dernier recensement, environ 60 millions de poulets (principalement des poules pondeuses) et de dindes sont morts au cours de l’année écoulée. Il y a un peu plus de dix ans, ce chiffre était de 50 millions. Ces cycles sont-ils inévitables? Les experts qui transmettent les informations au public sont-ils plus dignes de confiance que ceux qui ont contrôlé les communiqués de presse lors de l’épidémie de covid en 2020?

Si ceux qui prennent le temps de réfléchir n’ont appris qu’une seule chose de la pandémie de covid, c’est que les récits officiels des gouvernements sont politiquement orientés et souvent faux. Dans cette nouvelle épidémie d’IAHP, l’écart le plus flagrant par rapport à la vérité est sans doute l’idée que les oiseaux sont morts des suites de la maladie et que l’euthanasie pour les survivants est la meilleure et la seule option.

Tout d’abord, sur les quelque 60 millions d’oiseaux déclarés morts, seuls quelques millions sont effectivement morts de l’IAHP. Les autres ont été tués dans le cadre d’un protocole de stérilisation draconien. L’utilisation du mot « euthanasié » au lieu du mot « exterminé », plus approprié, brouille les pistes. L’euthanasie consiste à mettre fin aux souffrances d’un animal. En d’autres termes, il va mourir, souffre ou est atteint d’une maladie incurable.

Très peu d’oiseaux tués souffrent ou sont même symptomatiquement malades. Si, dans un poulailler d’un million de volailles, un test de dépistage de l’IAHP est positif, le gouvernement fait intervenir toutes les forces de l’ordre dans l’exploitation pour garantir la mort de tous les oiseaux vivants. Rapidement.

On a vu aucune volée où tous les oiseaux sont morts de l’IAHP. Dans chaque volée, il y a des survivants. Certes, la plupart sont exterminés avant que les survivants ne soient identifiés. Mais dans les cas d’extermination tardive, quelques oiseaux semblent immunisés contre la maladie. Certes, l’IAHP est et peut être mortelle, mais elle ne tue jamais tous les animaux.

La politique d’extermination massive sans tenir compte de l’immunité, sans même chercher à savoir pourquoi certains oiseaux prospèrent alors que tous les autres meurent, est insensée. Les principes les plus fondamentaux de l’élevage et de la reproduction des animaux exigent que les agriculteurs sélectionnent des systèmes immunitaires sains. C’est ce que nous, agriculteurs, faisons depuis des millénaires. Nous choisissons les spécimens les plus robustes comme matériel génétique à propager, qu’il s’agisse de plantes, d’animaux ou de microbes.

Mais dans sa sagesse, le Ministère américain de l’Agriculture (USDA-Usduh) n’a aucun intérêt à sélectionner, à protéger et à propager les survivants sains. La politique est claire et simple: tuer tout ce qui est entré en contact avec les oiseaux malades. La deuxième partie de la politique est également simple: trouver un vaccin pour arrêter l’IAHP.

Si un éleveur voulait sauver les survivants et effectuer lui-même un test pour tenter d’élever des oiseaux immunisés contre l’IAHP, des agents du gouvernement armés de fusils le lui interdiraient. La politique de la terre brûlée est la seule option possible, même si elle ne semble pas fonctionner. En fait, les cycles s’accélèrent et semblent toucher davantage d’oiseaux. Quelqu’un devrait s’interroger sur l’efficacité de cette politique.

Certains le font. Lorsque l’influenza aviaire hautement pathogène a touché notre région de Virginie il y a une quinzaine d’années, des vétérinaires fédéraux venus des quatre coins du pays sont venus superviser l’extermination. Deux d’entre eux avaient entendu parler de notre élevage de volailles de pâturage et ont demandé à venir nous rendre visite pendant leur temps libre. Ils n’étaient pas ensemble; ils sont venus à quelques semaines d’intervalle, indépendamment l’un de l’autre. Tous deux m’ont dit qu’ils connaissaient la raison de l’épidémie: trop d’oiseaux, trop densément entassés dans des poulaillers trop proches géographiquement. Mais ils m’ont tous deux dit que s’ils exprimaient publiquement cette idée, ils seraient licenciés le lendemain.

C’est ce qu’on appelle de la censure. Dans son édition du 24 février, le Wall Street Journal titrait « L’Amérique perd la bataille de la grippe aviaire ». Il est intéressant de noter qu’alors que l’article présente la version officielle selon laquelle les oiseaux sauvages propagent la maladie et les agriculteurs la répandent sur leurs chaussures, un agriculteur ose dire que « sa plus grande installation abrite environ 4 millions de poulets élevés en cage, ce qui représente un nombre trop élevé de poulets dans un seul endroit. ‘Nous ne ferons plus jamais cela' », a-t-il déclaré. Les nouvelles installations seront plus petites, abritant environ un million de poulets chacune, a-t-il dit, et plus espacées les unes des autres pour aider à contrecarrer la menace d’une épidémie continue ».

Pourtant, quelques paragraphes plus loin, l’article cite le Dr John Clifford, ancien vétérinaire en chef des États-Unis, qui affirme que « la maladie est partout ». Si c’est le cas, quelle différence cela fait-il de réduire la taille des volées et d’augmenter l’espace entre les maisons? Il est clair que l’agriculteur dont il est question ici a la même intuition que les deux vétérinaires fédéraux que j’ai visités il y a de nombreuses années: trop d’animaux, trop denses, trop proches.

Certes, même les volées de basse-cour sont susceptibles d’être infectés par l’IAHP, mais nombre de ces volées miniatures se trouvent sur des terrains sales et souffrent de conditions d’hygiène déplorables. Néanmoins, il est plus difficile d’assurer le bonheur et l’hygiène d’un million d’oiseaux dans une exploitation d’alimentation animale concentrée (Concentrated Animal Feeding Operation – CAFO) que d’une volée de basse-cour, et les données relatives à la maladie le confirment. L’USDA et l’industrie veulent désespérément rejeter la faute sur les oiseaux sauvages, les volées de basse-cour et les chaussures sales, au lieu de se regarder dans le miroir et de se rendre compte que c’est la façon dont la nature crie « Assez! ».

« Assez d’abus. Assez de manque de respect. Assez de particules fécales créant des abrasions sur mes tendres muqueuses ». Lorsque Joel Arthur Barker a écrit Paradigmes et a fait entrer ce mot dans l’usage courant, l’un de ses axiomes était que les paradigmes finissent toujours par dépasser leur point d’efficacité. L’industrie avicole partait du principe que si 100 volailles dans un poulailler, c’était bien, 200, c’était mieux. Avec l’avènement des antibiotiques et des vaccins, la taille des poulaillers et la densité des oiseaux ont augmenté. Mais la nature a le dernier mot.

Pour mémoire, tout système agricole qui considère la faune et la flore sauvages comme une menace est un modèle intrinsèquement anti-écologique. L’article du WSJ note que « les ouvriers ont installé des filets au-dessus des lagunes et d’autres endroits où les oiseaux sauvages se rassemblent ». Les lagunes sont intrinsèquement anti-écologiques. Ce sont des puits de maladies et d’immondices; la nature ne crée jamais de lagunes de fumier. Dans la nature, les animaux répandent le fumier sur le paysage où il peut être une bénédiction, et non une malédiction comme une lagune. Le vrai coupable est peut-être l’industrie qui crée des lagunes de fumier susceptibles d’infecter les canards sauvages, et non l’inverse. C’est de la culpabilité par association, comme de dire que puisque je vois des camions de pompiers à côté de voitures accidentées, les camions de pompiers doivent être à l’origine des accidents de voiture.

Remarquez l’angle d’attaque de cette phrase du WSJ: « Les buses, les canards sauvages ou les animaux nuisibles qui se faufilent dans les granges peuvent également transmettre le virus de la grippe par le mucus ou la salive. » Cela ne ressemble-t-il pas à une proverbiale conspiration, avec des animaux sauvages qui se faufilent partout? Tout cela ressemble étrangement au virus du covid qui se faufile partout et qu’il faut contenir à l’aide de quarantaines et de masques. Une plume contient suffisamment d’IAHP pour affecter un million d’oiseaux. Il est impossible de verrouiller un poulailler pour empêcher une plume errante ou ses molécules microscopiques d’y pénétrer. C’est absurde.

Si notre politique agricole actuelle est insensée, quelle est la meilleure solution? Ma première suggestion est de sauver les survivants et d’en commencer l’élevage. C’est une évidence. Si un troupeau est atteint par l’IAHP, il faut la laisser suivre son cours. Elle tuera ceux qu’elle tuera, mais au bout de quelques jours, on pourra discerner les survivants. Gardons-les et intégrons-les dans un programme d’élevage. Ce qu’il y a de bien avec les poulets, c’est qu’ils grandissent et se reproduisent assez vite pour qu’en un an, il soit possible d’avancer de deux générations. C’est relativement rapide. Laissons la survie déterminer le patrimoine génétique de demain.

Deuxièmement, pourquoi ne pas travailler sur les conditions qui améliorent l’hygiène et le bonheur? Oui, j’ai bien dit « bonheur ». Tous les animaux ont des tailles de troupeaux et de volées optimales. Par exemple, on ne voit jamais plus de deux cents dindes sauvages ensemble. Même dans les régions où les populations sont élevées, elles se divisent en petits groupes plutôt que de s’unir en volées de 1 000 individus. D’autres oiseaux se rassemblent en grandes bandes. Pourquoi cette différence?

Personne n’a étudié de manière définitive les raisons de cette différence, mais nous savons qu’il existe des tailles optimales pour une vie sans stress. Pour les poulets, c’est environ 1 000. Un vieux scientifique de l’industrie avicole a visité notre ferme un jour et m’a dit que si les maisons divisaient les poulets en groupes de 1 000 oiseaux, les maladies seraient pratiquement éliminées. Il m’a dit qu’il n’y avait pas de problème à avoir 10 000 volailles dans un poulailler, à condition qu’elles soient réparties en groupes de 1 000 volailles. De cette manière, leur structure sociale peut fonctionner selon une interaction naturelle. Les animaux ont une hiérarchie de brutes et de timides. Cette structure sociale s’effondre au-delà de la taille optimale.

Chez la plupart des herbivores, la taille est énorme, comme en témoignent les troupeaux du Serengeti et les bisons des plaines américaines. Les abeilles mellifères se divisent lorsque la ruche atteint une certaine taille. Les élans ont des troupeaux de taille optimale. Les chèvres de montagne forment de petits troupeaux. Les cochons sauvages recherchent eux aussi une taille de groupe dépassant rarement 100 individus. La première ligne de défense consiste donc à déterminer où se trouve la zone de tranquillité sans stress et à la respecter.

Enfin, traitez les poulets comme des poulets. En plus d’une taille de volée appropriée, donnez-leur des pâturages frais pour courir et gratter. Pas des cours en terre battue. Pas de petits tabliers autour d’un CAFO. Avec les abris mobiles, dans notre ferme, nous déplaçons les volées tous les jours ou presque vers de nouveaux pâturages. Cela leur permet de rester sur un sol neuf, exempt d’hôtes, pendant une longue période. Ils ne dorment pas, ne mangent pas et ne vivent pas à chaque instant de la journée dans leurs toilettes.

L’American Pastured Poultry Producers Association (APPPA) est une organisation commerciale qui promeut des protocoles pour ce type de modèle de renforcement du système immunitaire. Des milliers de praticiens adhèrent à une infrastructure mobile qui permet à des volées de taille appropriée d’avoir accès à l’air frais, à la lumière du soleil, aux insectes, aux vers et à des matières vertes succulentes. Dans notre ferme, nous utilisons le Millennium Feathernet et l’Eggmobile, accueillant des canards sauvages et des carouges à épaulettes dans les environs, dans le cadre d’un nid écologique symbiotique.

Bien que je ne veuille pas paraître désinvolte et ne pas surestimer la sensibilité à l’IAHP, les taux d’incidents indiquent clairement une vulnérabilité moindre dans les volées élevées en pâturage et bien gérées. La création d’un protocole de renforcement du système immunitaire mérite certainement des recherches, tout autant que le fait de surcharger le système immunitaire avec des vaccins et d’essayer de devancer les mutations et les adaptations de la maladie grâce à l’ingéniosité humaine. Pourquoi ne pas chercher humblement des solutions dans la nature plutôt que de faire preuve d’arrogance?

Les parallèles entre l’orthodoxie des experts de l’IAHP et l’orthodoxie du covid sont trop nombreux pour être mentionnés. La pornographie de la peur est omniprésente dans notre culture. L’inquiétude liée à l’IAHP alimente l’inquiétude liée à l’alimentation, qui pousse les gens à exiger du gouvernement qu’il assure leur sécurité. Les gens acceptent à peu près n’importe quoi s’ils ont peur. Quelqu’un pense-t-il vraiment que l’intelligence humaine va venir à bout des canards migrateurs? Vraiment? Réfléchissons bien et adoptons un remède plus naturel: des volailles de pâturage décentralisées et bien gérées, avec des volées de taille appropriée.


Joel F. Salatin est un agriculteur, conférencier et auteur américain. Salatin élève du bétail dans sa ferme Polyface à Swoope, en Virginie, dans la vallée de Shenandoah. La viande de sa ferme est vendue en direct aux consommateurs et aux restaurants.

Le Culte Biosécuritaire de la Pandémie en Attente – par Sasha Latypova.

Si ce n’est fait, lisez l’article précédent, de Spartacus, qui donne quelques pistes sur les aspects futurs bio-machin-truc du « projet ». Considérez celui-ci comme une deuxième partie.

Voici ce qu’en pense Sasha Latypova, qui rejoint d’assez près ce que j’en pense. J’ai un truc à finir de rédiger sur le sujet, une mise à jour de ce que je serine depuis plus de deux ans ici.

Un de nos points communs majeurs est de ne pas être très impressionnés par les instigateurs du projet, de petites frappes incompétentes qui, après avoir pillé (notamment) les fonds de pension, tentent de liquider Mamy en lui injectant du bouillon d’onze heures – et s’il lui venait l’idée d’y survivre, en reculant l’âge de sa retraite. Mes lecteurs français apprécieront…

Sasha me rejoint aussi sur le fait que la majorité des organes de contrôle (connus aux États-Unis sous le terme « alphabet soup« , en référence à leurs acronymes) et des gouvernements sont des mafias; et également sur cet étrange penchant du peuple pour les histoires, belles ou moches, vraies ou fausses, que je fais dans ce cas, comme elle et bien d’autres, mon possible pour démonter, la vérité étant une forme de salut et la nature sa source première.

La peinture en fin de texte est de l’autrice.

Source.


Le Culte Biosécuritaire de la Pandémie en Attente

Visualisez la catastrophe. Mieux que ça.

Sasha Latypova

11 mars

Yuval Noah Harari est l’un des principaux idéologues du cartel criminel des aspirants à un gouvernement mondial unique et le porte-parole préféré du Forum Économique Mondial. Son message principal semble être que les humains peuvent être capturés, contrôlés et « piratés » ou manipulés par la technologie et ainsi réduits en esclavage pour servir l’uber-classe de contrôle des peuples du FEM et de l’OMS. C’est un lecteur qui m’a signalé cette vidéo. Dans cette conférence Ted de 2015, Harari postule que les humains, par opposition aux animaux, sont uniques dans leur capacité à croire à des histoires fictives, et qu’ils peuvent donc être contrôlés par la narration, par la fiction, tant que tout le monde croit à la même histoire. Selon lui, l’idée que les humains ont une âme et un libre arbitre est « révolue ». Par conséquent, cette méthode permet d’amener les gens à participer à leur propre disparition (y compris en faisant la queue pour se faire injecter du poison) par le biais d’un lavage de cerveau de masse et d’un contrôle du narratif.

Les êtres humains se laissent séduire par des conneries en tout genre et, en fait, ils semblent en raffoler. Nous aimons les bonnes histoires, les histoires imaginatives, les histoires d’ambition, les aventures de héros, les romances, les whodunit (le genre de ce substack), ou les histoires de science-fiction sur les avancées technologiques. Les histoires de science-fiction sont très populaires. Elles sont en fait tellement populaires que le grand public et la plupart des professionnels ne parviennent plus à distinguer la science légitime des récits de science-fiction imaginaires, ce qui est ressorti clairement des années de fausse « pandémie mondiale » actuelle.

En parlant du narratif de la pandémie, nous aimons aussi les histoires qui font peur! Les perspectives imminentes de fausses catastrophes invisibles semblent ne jamais passer de mode. Voici un excellent livre que je recommande sur ce sujet [NdT. moi aussi], écrit par Patrick Moore, un des fondateurs de Greenpeace. Je cite:

Il y a quelque temps, je me suis rendu compte que la grande majorité des histoires alarmistes sur l’état présent et futur de la planète, et de l’humanité dans son ensemble, sont basées sur des sujets qui sont soit invisibles, soit extrêmement éloignés, soit les deux à la fois. Ainsi, la grande majorité des gens n’ont aucun moyen d’observer et de vérifier par eux-mêmes la véracité de ces affirmations prédisant ces prétendues catastrophes et menaces dévastatrices. Au lieu de cela, ils doivent s’en remettre aux activistes, aux médias, aux politiciens et aux scientifiques – qui ont tous un très grand intérêt financier et/ou politique dans le sujet – pour leur dire la vérité. Cela ouvre la voie à l’invention de récits tels que l’affirmation selon laquelle « les émissions de CO2 provenant de la combustion de combustibles fossiles sont à l’origine d’une situation d’urgence climatique ».

Personne ne peut voir ou sentir ce que fait le CO2 car il est invisible, inodore, insipide, silencieux et ne peut être ressenti par le toucher. Par conséquent, il est difficile de réfuter de telles affirmations parce qu’il n’y a rien à pointer du doigt pour démontrer de manière tangible la fausseté de ces affirmations.

Les narratifs surutilisés posent un léger problème. Le narratif sur le changement climatique est de plus en plus difficile à soutenir, car Greta a dépassé sa date de péremption en tant qu’enfant acteur, les ours polaires refusent de coopérer et continuent de se multiplier, et les glaciers ne fondent pas comme Al Gore l’avait promis. Les ovnis et les extraterrestres ne nous mèneront pas non plus bien loin.

De nouveaux narratifs de peur doivent être établis: le narratif de nouveaux virus « émergents » est dans les cartons depuis des années. Des virus invisibles et effrayants qui peuvent surgir de la jungle à tout moment et qui sont à portée d’avion d’infecter la moitié de la planète avec un nouvel agent pathogène mortel! Plus palpitante encore est la perspective que des scientifiques maléfiques fabriquent de nouveaux virus mortels et super propagateurs dans des laboratoires qui peuvent « fuir ».

Merci, Sage Hana, d’avoir réalisé ce mix tape 🙂 qui illustre bien mon propos.

La mafia gouvernementale (HHS, NIH, DOD, DARPA, BARDA, DTRA, etc.) et ses vassaux du monde universitaire, de l’industrie biopharmaceutique et des médias se gavent à l’auge de la « biodéfense » depuis des décennies. Quoi de mieux qu’une menace invisible pour justifier l’impression et la dépense de tonnes d’argent pour des méga-contrats de défense/recherche, tout en prenant l’avion pour participer à des événements champagne-caviar internationaux et se décerner mutuellement des prix scientifiques diversifiés-inclusifs-durables?

Dans son récent article pour le Epoch Times, la journaliste Debbie Lerman souligne le temps et l’argent consacrés par le cartel militaro-industriel à l’escroquerie de la « biodéfense et de la préparation aux pandémies ». Des montants mirobolants sont décrits dans un article du Lancet qu’elle cite en référence: « La recherche sur la biodéfense deux décennies plus tard: l’investissement en valait-il la peine? »

Avant 2001, le financement annuel de la biodéfense aux États-Unis était estimé à 700 millions de dollars. À la suite des incidents de 2001, l’augmentation du financement de la biodéfense dans le monde entier a été largement stimulée par la prise de conscience que de nombreux pays n’étaient pas préparés à des attaques bioterroristes. L’attaque américaine Amerithrax de 2001 a révélé des lacunes dans la disponibilité des contre-mesures médicales via le stock national stratégique (SNS), le système de réseau d’intervention des laboratoires, l’infrastructure de santé publique et la communication. De nombreux programmes de financement ont été associés au gouvernement fédéral américain. Un programme d’un milliard de dollars a été mis en œuvre aux États-Unis en 2002 sous la forme de subventions à la préparation au bioterrorisme, de financement de la recherche en biodéfense et de stockage de contre-mesures médicales au sein du Ministère de la Santé et des Services sociaux. D’autres efforts notables de financement de la biodéfense aux États-Unis après 2001 comprennent le programme Biowatch (2001) du Ministère de la Sécurité Intérieure (DHS), le programme de préparation des Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC), le projet Bioshield (2004) du DHS, la Commission pour la Recherche et le Développement Avancés en Biomédecine (Biomedical Advanced Research and Development Authority – BARDA; 2006), et le Centre National de Bio et d’Agrodéfense (National Bio and Agro Defense Facility; 2014). Ces programmes portent généralement sur des questions autres que la biodéfense, telles que la santé publique, la sécurité nationale et internationale et les soins de santé, ce qui accroît leur impact. Le financement total de la biodéfense aux États-Unis a augmenté de façon spectaculaire, passant de environ 700 millions de dollars en 2001 à environ 4 milliards de dollars en 2002; le pic de financement en 2005 s’élevait à près de 8 milliards de dollars et s’est poursuivi avec des dépenses moyennes régulières d’environ 5 milliards de dollars.

En 2019, le marché mondial de la biodéfense était évalué à 12,2 trillions de dollars et devrait croître à un taux de croissance annuel composé de 5,8% entre 2020 et 2027, pour atteindre une valeur de marché projetée de 19,8 trillions de dollars en 2027. Des facteurs tels que les ressources financières gouvernementales et privées soutenues par la menace imminente du bioterrorisme et l’apparition récente d’épidémies naturelles d’agents pathogènes liés au bioterrorisme, notamment Coxiella burnetii, le virus Ebola (EBOV), SARS-CoV-1, SARS-CoV-2, la grippe et le virus Lassa, sont probablement les principaux facteurs qui contribuent à l’expansion constante du marché mondial de la biodéfense.

Et à quoi ces milliards ont-ils été consacrés? Dans un résumé de 2003 intitulé « Rôle élargi en matière de biodéfense pour les Instituts Nationaux de la Santé » (« Expanded Biodefense Role for the National Institutes of Health »), le Dr Anthony Fauci expose sa vision de la biodéfense:

« … l’objectif dans les 20 prochaines années est de passer du « virus au médicament » (« bug to drug ») en moins de 24 heures. Cela permettrait de relever le défi des bioagents issus du génie génétique ».

Au fil du temps, le mastodonte du cartel gouvernement-industrie, qui ne cesse de s’agrandir, a su tirer parti de nombreux événements. Au cours des 20 dernières années, l’élaboration des politiques a de plus en plus visé à mettre en place des réglementations pour maximiser les pouvoirs des autorités en éradiquant simultanément les lois et les contrôles constitutionnels existants afin de les libérer de toute responsabilité et d’instaurer de facto une loi martiale. Chaque politique a été mise en place après de prétendus « événements » qui ont été utilisés pour introduire de nouvelles « lois ». Il est légitime de penser que l’inverse a pu se produire: les événements ont été organisés pour justifier de nouvelles « lois ». Après chaque « attaque », une nouvelle législation plus autoritaire a été élaborée et mise en place pour s’adapter aux objectifs du programme totalitaire.

Le narratif de la biodéfense/biosécurité articulé par Fauci est bien entendu totalement bidon. Les pandémies virales n’existent pas dans la réalité, malgré des décennies de trafic international très dense et très fréquenté (vous avez connu Ryan Air?)

D’accord, les virus terrifiants ne surgiront peut-être pas naturellement de la jungle, mais ils « émergeront » certainement un jour du laboratoire d’un Dr Maléfique? Voici Ralph Baric qui « prédisait » en 2016 que le virus 1 SARS CoV de Wuhan était prêt à « émerger » de son laboratoire de l’UNC Chapel Hill. Notre Congrès est toujours à la recherche d’une « fuite » à Wuhan. Allô! Congrès! Quelqu’un pourrait-il lire ceci?

Des sommes colossales d’argent, des investisseurs, des ressources, des projets, des études, des subventions de recherche, des conférences, des tables rondes, des conférences Ted, des comités politiques, des lois du Congrès, beaucoup d’activités juridiques et de lobbying, des exercices de simulation sur table – toute une industrie de 19 milliards de dollars par an est en attente de LA GRANDE FUITE un jour. Les milliers d’adultes qui participent à ce jeu de fiction doivent finir par y croire pleinement afin de surmonter une dissonance cognitive massive et destructrice de l’âme. Ceux qui ne le supportent pas du fait de leur sens moral démissionnent et vont travailler ailleurs. Ce qui n’était au départ qu’un scénario de film de série B (Dustin Hoffman poursuivant un singe échappé avec des chars et des hélicoptères) se transforme, grâce à l’alignement des incitations économiques individuelles et des narratifs, en une idéologie, puis en une religion à part entière. C’est ainsi qu’est née une secte dangereuse: le Culte de l’Église Biosécuritaire de la Pandémie en Attente.

Les nombreux investisseurs étatiques, militaires et privés qui ont soutenu le narratif de la biodéfense, y compris la Fondation Bill & Melinda Gates, parmi des centaines de fonds privés, souverains et à but non lucratif qui ont déversé tout cet argent dans la « biodéfense », attendent le retour sur investissement!

Extrait du même article du Lancet:

Quinze ans plus tard, alors qu’aucune plateforme aussi fantaisiste n’est en vue, la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) a publié en 2017 un plan de contre-mesures médicales actualisé intitulé « Supprimer la menace virale: Deux mois pour empêcher la pandémie X de s’installer« . Au lieu des 24 heures de Fauci entre le virus et le médicament, ce projet nous dit que « la DARPA vise à développer une plateforme intégrée de bout en bout qui utilise des séquences d’acide nucléique pour arrêter la propagation des infections virales en soixante jours ou moins. »

Si la Grande Pandémie ne se manifeste pas, la secte va essayer de l' »assister ».

De nombreuses tentatives ont été faites pour déclencher des pandémies à partir de « foyers » locaux: SARS1, MERS, zika, ebola – mais rien ne s’est propagé. Des personnages comme Michael Callahan, un agent de la CIA épidémiologiste du type Indiana Jones, toujours « premier sur les lieux » des « épidémies » exotiques, pourchassant des patients potentiels atteints d’ebola à travers la jungle avec des fléchettes tranquillisantes « vaccins », ne semblent pas suffire à provoquer une pandémie. Même la propagande médiatique de type « fear porn » (pornographie de la peur) s’essouffle. Ils jouent avec des soupes de « virus chimériques » dans des boîtes de Petri financées par des milliards de subventions des NIH, financent de nombreux laboratoires sous contrat en Chine, en Ukraine, au Moyen-Orient, mais rien de simultanément dangereux et hautement transmissible n’en résulte. Pourquoi?

Vous pouvez croire en des milliards d’années d’évolution, mais l’explication que je préfère est que la conception de Dieu est parfaite et ne peut donc pas être améliorée. Toutes les formes de vie, de l’homme aux micro-organismes, sont dans un état d’équilibre dynamique parfait en ce moment, comme le dictent les lois physiques. Les agents biologiques pathogènes sont eux aussi parfaitement optimisés pour cet état, grâce à des milliards d’années de travail ou à la conception géniale de Dieu, selon ce que vous voulez croire. Ils sont soit contagieux (terme flou car la science fournit des explications vagues et contradictoires sur les mécanismes de contagion), soit mortels, auquel cas ils ne se propagent pas beaucoup. Rendre artificiellement un agent biologique pathogène à la fois plus mortel et plus transmissible est impossible, car si c’était possible, ça se serait déjà produit dans la nature, et nous ne serions plus là pour en discuter sur l’internet. Si les techniques de laboratoire le permettaient, elles auraient déjà été déployées avec succès par un État ou un acteur non étatique depuis 1969, date à laquelle la recherche sur les agents pathogènes biologiques a véritablement pris son essor. Il existe aujourd’hui plus d’un millier de laboratoires de « biodéfense » dans le monde, dont beaucoup se trouvent dans des pays du tiers monde où les normes de sécurité sont laxistes ou inexistantes, voire dans des régions déchirées par la guerre comme l’Ukraine, et pourtant rien d’important ne « fuit » nulle part. En tout cas, rien n’a fuité et ne s’est répandu dans le monde avant que l’OMS ne décide que le covid devait le faire.

Les « pathogènes émergents » de laboratoire semblent avoir besoin de beaucoup d’aide pour émerger, c’est-à-dire pour être synthétisés, fabriqués à grande échelle et déployés, et même dans ce cas, ils ne sont pas particulièrement dangereux (sauf en cas d’exposition très importante) et peuvent être traités. Les toxines biologiques sont connues pour être instables, se dénaturer rapidement et être un peu plus persistantes à l’intérieur, mais elles ne constituent pas un danger mortel de masse. Comme toute toxine chimique, elles présentent un danger individuel/localisé. Ces substances ne sont pas des « particules vivantes qui se reproduisent », pas plus que ne l’est le sumac vénéneux – oui, vous pouvez l’attraper par votre chien et le donner aux membres de votre famille, et cette saleté restera sur vos vêtements et il est difficile de s’en débarrasser! Mais le poison du sumac vénéneux n’est pas un virus infectieux qui « saute » du chien à l’homme, c’est une toxine biologique contenue dans des huiles végétales.

À mon avis, l’explosion récente du train dans l’Ohio est beaucoup plus dangereuse pour un plus grand nombre de personnes, sur une zone plus étendue et une période plus longue que n’importe quelle « fuite de laboratoire d’armes biologiques ».

Tous les agents pathogènes biologiques naturels sont déjà parfaitement optimisés et équilibrés et ne peuvent pas être « modifiés », malgré les récits de science-fiction sur le « logiciel de vie » piratable et l’épissage des gènes. Aucune forme de vie complexe ne peut être « modifiée génétiquement » et rester viable, car cette modification perturbera son équilibre vivant et la fera dévier de l’état d’équilibre parfait actuel. Dans les organismes pluricellulaires, il faut modifier toutes les cellules (ce qui n’est pas possible avec une seule injection) et continuer à les modifier toutes à perpétuité. Une fois le liquide « modificateur de gènes » injecté, l’organisme essaie frénétiquement de comprendre ce qui vient de se passer (la FDA parle d' »immunogénicité »), tente d’annuler l’agression en éliminant les cellules endommagées (la FDA parle de « réactogénicité ») et, si l’agression a été suffisamment importante ou en cas d’injections multiples, l’organisme s’autodétruit (le CDC parle de « désinformation »).

Ces narratifs sur la « modification génétique » sont carrément stupides! Tout ce qui peut résulter de ces tentatives, c’est soit que l’organisme vainc et élimine l’assaut du matériel étranger à l’intérieur des cellules, soit qu’il en résulte des dommages locaux/systémiques, conduisant à des lésions ou à la mort. C’est la raison pour laquelle toutes les technologies ARNm/ADN ont échoué malgré plus de 20 ans de tentatives et des milliards de dollars investis par le culte biosécuritaire de l’apocalypse.

Les partisans de la modification génétique réduisent le corps humain à un « seau de gènes séquencés », mais ne peuvent même pas expliquer comment il fonctionne normalement en tant qu’être vivant. Ils excluent la possibilité d’une âme humaine, d’un esprit et d’un libre arbitre, mais ne peuvent ni expliquer ni définir l’état normal de la vie. Pourtant, ils prétendent pouvoir la contrôler et la modifier! Ils ne comprennent pas ce que sont les humains, ce qui constitue une source d’échec majeure lorsqu’ils tentent de « capturer, contrôler et soumettre » les humains, que ce soit par la force brute, comme dans les siècles de guerre précédents, ou par le « contrôle par un narratif fictif » de 5e génération de Harari.

Ne tombez pas dans le piège des cultes apocalyptiques et de leurs faux narratifs. Si nous n’avons pas peur de rechercher la vérité, nous ne pouvons être ni capturés, ni contrôlés, ni asservis. Une fois que vous aurez compris cela, vous verrez Harari non pas comme un technocrate puissant, mais comme ce qu’il est vraiment – un clown à la voix pleurnicharde, qui débite des narratifs ineptes pour le compte de ses maîtres. Ils ont de toute façon déjà échoué, car vous connaissez la vérité.

La quête perpétuelle de la vérité garde les humains dans un équilibre dynamique parfait entre eux et avec la nature – libres, dotés d’une âme, comme l’a voulu notre Créateur.

La peinture de ce jour: Une rose, huile sur panneau, 8×10 in.

Mannarino: « Un faux drapeau est imminent » – par Amy Sukwan.

Pas d’édition du dimanche cette semaine, sorry. Mais il fait beau, c’est tous les jours dimanche!

Je reviendrai par contre sur le déraillement à East Palestine dans l’Ohio, dont Amy fait mention ici. J’ai échangé avec elle quelques messages à ce sujet – que je ne vous infligerai pas, c’est promis – puisqu’elle est « sur la balle ». Amy est avide de connaissance, toujours à la recherche d’infos. J’apprends plein de trucs en la lisant. J’ai ensuite préparé un article sur le sujet, que j’ai mis de côté, en attendant que sortent de nouvelles informations, et – boy oh boy – elles sortent. Croyez-moi, ça vaut son pesant de dioxine. Encore un peu de temps, que je compile le tout.

En attendant, ceci…

Je ne le fais pas exprès – comment le pourrais-je? – mais vous pourriez y voir un lien avec ce que j’écrivais hier. Vous devriez, même, parce que c’est un peu ce qui se passe sous nos yeux, maintenant. Je traduirai aussi un (long) article de Spartacus cette semaine, qui complétera la trilogie.

Ainsi qu’un (court) article de Sasha, avec un préambule pour lier la sauce « guerre de cinquième génération », et un de John Titus, qui détaillera encore mieux les aspects financiers que vous lirez ci-dessous. John veut bien me fournir une transcription de sa dernière vidéo, ce n’est pas impossible que je la traduise aussi.

Tant à faire et si peu de temps. Si on pouvait reporter la fin du monde de quelques jours, ça m’arrangerait.

Source.


Mannarino: « Un faux drapeau est imminent »

« Il faudra un événement majeur pour que la guerre s’étende »

Amy Sukwan

23 février

Il y a quelques jours, El Gato Malo a publié un article sur le déraillement de train et l’explosion de produits chimiques qui s’en est suivie à East Palestine, dans l’Ohio, article qui a hérissé quelques plumes [NdT. dont les miennes]. Il affirmait qu’il ne s’agissait que d’hystérie sans objet, les accidents chimiques de ce type étant monnaie courante. Pour moi, ça ressemble plutôt à une stratégie de couverture de la part des entreprises et des agences gouvernementales, même topo que d’habitude.

Pour faire valoir sa thèse selon laquelle il est possible de faire monter ou descendre le niveau d’hystérie indépendamment du risque sous-jacent, le Méchant Chat [El Gato Malo] a notamment présenté un graphique. Ce graphique a immédiatement attiré mon attention. Il compare les craintes liées à la criminalité par rapport au taux de criminalité réel:

Il montre que la perception de la réalité est conditionnée par la télévision et autres médias, mais quelque chose d’autre m’a interpellée. La corrélation entre le taux de criminalité réel en Amérique et le pourcentage de personnes qui pensent que le taux de criminalité augmente chaque année était bien ancrée dans la réalité jusqu’en 2001, date à laquelle elle s’est découplée. Avant ce point, la corrélation est presque parfaite.

Qu’est-ce qui a changé en 2001 pour que les gens cessent de croire ce qu’ils ont vu de leurs propres yeux et entendu de leurs propres oreilles? Le 11 septembre a-t-il fait basculer les gens dans la folie et penser: « La vérité est sans importance. Si je veux aller de l’avant, je dois suivre ce qui se dit à la télévision »? [NdT. le monde d’après le 11 septembre a été souvent qualifié de « post-truth », le monde de l’après-vérité] Est-ce une augmentation de l’utilisation d’Internet (c’était avant l’apparition des médias sociaux, mais il y avait déjà des salons de discussion sur Internet et autres) qui en est la cause? Est-ce qu’une consommation accrue de médicaments sur ordonnance a rendu certaines personnes trop abruties pour penser par elles-mêmes?

Je pose la question parce que ce qui m’a déçue en permanence au cours de la pandémie, c’est de voir autant de personnes incapables d’exprimer une pensée ou une opinion qui ne leur ait été fournie par un service de marketing ou un présentateur télé. Je pense en avoir pris conscience quand j’ai lu qu’en 2020, le citoyen moyen pensait que près de 10% de la population américaine était morte du Covid! Ce qui aurait dû être démontrablement faux pour toute personne ayant plus de 10 amis ou personnes dans sa famille et disposant du moindre semblant d’esprit critique. Si un Américain sur dix était tombé raide mort, chacun aurait dû connaître beaucoup de gens à qui c’était arrivé, sans même avoir à les chercher.

J’aimerais vraiment croire que les gens se réveillent, mais je suis souvent saisie par le doute. Affronter l’idée que des gens essaient réellement de nous ruiner, de nous asservir et même de nous tuer oblige à assumer la responsabilité de cette information. C’est beaucoup plus facile de vivre dans un monde où rien de tout ça n’est vrai.

Il y aurait beaucoup à dire sur le satanisme et la thèse malthusienne selon laquelle nous sommes trop nombreux, qui, bien que discréditée depuis longtemps, est reprise par les élites. Tout ce qu’ils ont eu à faire, c’est de nous faire entrer dans le crâne qu’il y a trop d’enfants et que les gens accaparent toutes les ressources de la planète et polluent tout ce qu’ils touchent. Il y a finalement peu de différence entre le covidisme et l’hystérie du changement climatique, dans la mesure où ils considèrent tous deux les êtres humains comme un fléau toxique sur une Terre Mère qui a jusqu’à présent réussi à nous maintenir en vie. S’ils arrivent à nous diviser et à nous conquérir par le biais des races ou par d’autres moyens, encore mieux.

Sommes-nous vraiment trop nombreux? Cette vidéo un peu bizarre produite par l’intelligence artificielle présente quelques arguments solides. Les chiffres les plus fiables, émanant d’endroits tels que les États-Unis où le cadre encourage l’enregistrement des naissances, montrent que la démographie est inférieure au niveau de remplacement, mais compensée par l’immigration. Dans la plupart des pays qui affirment avoir une forte croissance démographique, il est difficile d’obtenir des chiffres fiables. La surpopulation ne serait-elle qu’une fable?

Les personnes disparues ou le mythe de la surpopulation de la terre

Toutes les données ci-dessous proviennent d’une analyse annuelle. Son traitement a fait appel à des sources officielles et tierces provenant de cent quarante-huit pays.

Officiellement, environ huit à douze millions d’enfants et environ vingt à trente millions d’adultes disparaissent chaque année dans le monde. Si l’on considère qu’un enfant pèse trente kilogrammes et un adulte soixante-quinze kilogrammes, on peut en conclure qu’un million sept cent mille tonnes de poids vif de personnes disparaissent chaque année, ce qui équivaut à vingt-cinq mille wagons de marchandises, et si l’on part du principe que chaque train de marchandises comprend quatre-vingts wagons, on obtient trois cent douze trains chargés. La longueur totale des wagons sera de trois cent soixante-quinze kilomètres ou deux cent trente-trois miles. Mais il ne s’agit là que des statistiques officielles de plusieurs agences internationales. Pour se faire une idée réelle de ce qui se passe sur la planète, il faut connaître trois faits que les officiels s’efforcent de ne jamais mentionner.

Premièrement, deux tiers des décès annuels dans le monde ne sont pas enregistrés. Deuxièmement, chaque année dans le monde, un quart des nouveau-nés ne sont pas enregistrés. Troisièmement, quelque quatre-vingts pays dans le monde ne disposent pas de systèmes d’enregistrement des faits d’état civil opérationnels. Connaissant maintenant certaines caractéristiques de la situation des statistiques mondiales, nous pouvons nous poser la question suivante: dans quelle mesure ceux qui parlent du nombre de personnes sur terre sont-ils fiables? Les principaux acteurs dans le domaine du comptage de la population mondiale sont la Banque Mondiale, l’Agence Centrale de Renseignement des États-unis [CIA] et l’ONU. Comment ces structures font-elles pour tenir les comptes?

Mais la population de la planète n’est pas déterminée à l’aide d’un registre précis, mais en utilisant la méthode des prévisions démographiques. Sur quoi se basent les prévisions démographiques? L’essentiel dans les prévisions démographiques n’est pas de faire des calculs mathématiques exacts, mais de déterminer des hypothèses prometteuses sur les changements possibles en matière de fécondité, de mortalité et de migration. Ainsi, nous avons la preuve que la surpopulation de la terre n’est qu’une hypothèse. Une hypothèse est une supposition scientifique non prouvée. […]

Bien sûr, dans un monde réel où de vrais êtres humains voient leur avenir servir d’hypothèque à de grands acteurs qui s’en servent pour les négocier, la réduction de la population serait déflationniste. Mortelle pour le système. Au sommet, cependant, il me semble que les incitations financières jouent un rôle important. La guerre en Ukraine ressemble de plus en plus à une farce et je pense que même les plus acharnés de la vertu ostentatoire [NdT. ici] reconnaissent que cette aventure ne les sert en aucune façon. La révélation que l’administration Biden a fait sauter le gazoduc Nordstream 2 constituerait un acte de guerre des Etats-Unis contre (je consulte mes notes) l’Allemagne? Pourquoi ne pas mettre fin à cette mascarade? Pourquoi ne donne-t-on aucune chance à la paix, nulle part, jamais?

Comme le fait remarquer Martin Armstrong, le jeu du « extend and pretend » [NdT. « prolonger et simuler », idiome d’économiste] devient de plus en plus serré:

Armstrong explique: « Ils veulent une guerre, mais aussi, ils en ont besoin parce que le système monétaire est en train de s’effondrer […] »

« On a des taux d’intérêt négatifs depuis 2014. Et soudain, les taux d’intérêt augmentent. Toute obligation détenue par une institution en Europe est perdante. Elles ont perdu une quantité d’argent monstrueuse, c’est incroyable. La conséquence? Personne n’est intéressé par les dettes à long terme – point barre….

Si les taux d’intérêt augmentent, et les taux vont augmenter parce que la Fed ne peut pas arrêter ce type d’inflation, alors, c’est la guerre.

Des quantités inouïes de milliards de dollars sont envoyés en Ukraine, ce qui est absurde. Voilà ce qui se passe…

Il faut également considérer ce qu’a dit Janet Yellen, elle s’inquiète des tonnes de nouvelles dettes qui sont créées. Les bilans des spécialistes en valeurs du Trésor [NdT. Primary Dealers, ici] sont dépassés. Pour être un spécialiste en valeurs du Trésor, il faut pouvoir garantir que l’on pourra acheter un montant X de dette. Si on ne parvient pas à la vendre, que se passe-t-il? La banque se retrouve coincée avec la dette, et ensuite, elle fait faillite. On a donc un gros problème. On ne peut pas continuer à émettre ce genre de dette à perpétuité.

Ils ont emprunté de l’argent depuis la Seconde Guerre mondiale sans avoir l’intention de rembourser quoi que ce soit… La Fed est indépendante, et elle ne veut pas de dette à long terme. Ils se sont braqués sur l’extrémité courte de la courbe. Comment continuer à financer un gouvernement s’il n’y a pas d’acheteurs pour la dette? Et ça se passe à l’échelle mondiale.« 

La guerre satisfait donc à toutes les exigences? Armstrong répond: « Absolument… »

« Parvenir à faire défaut sur toute cette dette est le véritable objectif. C’est pourquoi (Klaus) Schwab est là à dire que vous ne posséderez rien et serez heureux.

Il essaie de faire croire qu’ils font ça pour vous. Nous allons faire défaut sur toutes les dettes et vous libérer de toutes vos dettes.

C’est parce qu’ils vont tout effacer. Les fonds de pension vont disparaître. C’est pourquoi ils proposent un revenu de base garanti pour remplacer les retraites. Ils ont tout prévu. C’est l’objectif final, car ils ne peuvent pas continuer à fonctionner de cette façon. Ils ne peuvent pas continuer à emprunter tout ce dont ils ont besoin sans aucune intention de jamais rien rembourser. »

Armstrong révèle pourquoi les élections de 2024 pourraient ne pas avoir lieu. L’État Profond peut-il commettre suffisamment de fraudes électorales pour maintenir Biden et le reste des Néocons au pouvoir [NdT. Neocons, ici – les néo-conservateurs américains, les va-t-en-guerre derrière à peu près toutes les exactions des US]? Armstrong dit que la majeure partie de ce qui se passe aujourd’hui est la faute des Néocons, et ils ont le contrôle des deux partis. Armstrong souligne que la Démocrate Hillary Clinton a payé pour le faux dossier Trump/Russie, et que le Républicain John McCain l’a remis au FBI. Armstrong appelle cela l' »Uni-party », et détaille les problèmes que les Néocons causent volontairement.

Armstrong parle également du dollar, de l’or, des troubles civils, des actifs tangibles et de la guerre en Ukraine. Selon les sources d’Armstrong, le nombre réel de victimes de l’armée ukrainienne s’élève à 250 000 morts. Armstrong affirme que la Russie n’est PAS en train de perdre la guerre. Elle est en train de la gagner.

M. Mannarino tape très juste dans ce résumé [NdT. en anglais mais de toute manière moins intéressant que John Titus].

Je serai la première à admettre n’avoir jamais compris ce qui se passe au niveau financier. Si la Réserve Fédérale a le pouvoir d’imprimer de l’argent à perpétuité, pourquoi toutes ces saloperies? Pourquoi avons-nous besoin de guerres, de morts et de misère? Cette seule réponse ne m’a jamais satisfaite.

Je ne suis pas fan de l’anticipation des marchés parce qu’en grande partie, l’hystérie qu’elle créee me semble un peu artificielle. Stockmarketcrash [NdT. le hashtag Krachboursier] est en vogue sur Twitter, par exemple. Mais je pense que nous entrons dans une période dangereuse et que la bête causera beaucoup de dégâts avant de s’éteindre. Soyez prêts, et que Dieu nous aide tous.

Qu’en pensez-vous?

Quelques études de référence.

Je publie cet article un peu aride uniquement pour les références des études qui y sont mentionnées, à l’usage de ceux qui voudraient creuser le sujet et/ou faire valoir leur droit de refuser les injections Covid-19. Ces études confirment scientifiquement ce qu’on avait déjà appris d’autres observations et études indépendantes, à savoir que:

  • il n’existe aucune justification pour l’injection aux moins de 25 ans (nonobstant d’autres études similaires sur d’autres tranches d’âge);
  • l’immunité naturelle est largement supérieure à celle induite par les injections, qui devient rapidement négative, phénomène aggravé par leur répétition;
  • les produits injectables ne répondent pas aux normes d’exigence de qualité;
  • ils favorisent l’émergence de variants;
  • ces variants échappent à l’immunité vaccinale;
  • la charge virale des personnes injectées est supérieure à celle des personnes non-injectées;
  • l’attribution au Covid des dommages au système cardio-vasculaire observés mondialement est une imposture, ce sont bien des effets secondaires des injections.

Note: j’ai traduit in extenso le texte qui figure sur le captures d’écran par souci de complétude et laissé de côté la seconde partie purement technique de l’article.

Source.


Le séquençage profond des vaccins bivalents Moderna et Pfizer identifie une contamination des vecteurs d’expression conçus pour l’amplification des plasmides dans les bactéries [extrait]

Anandamide

16 février 2023

Introduction

Alors que les universités américaines continuent de rendre obligatoires les injections exemptes de responsabilité (vaccins COVID) pour les étudiants présentant un risque limité de contracter le COVID, il devient impératif que davantage d’informations publiques soient disponibles concernant les ingrédients de ces vaccins expérimentaux. L’EMA et la TGA ont toutes deux pris note de la fragmentation de l’ARN et des tests Western Blot par frottis qui suggèrent que le processus de fabrication du vaccin manque de fidélité et de transparence. Peu après la publication des données de la TGA, Patel et al. (Pfizer) ont publié un article tentant de dissiper ces inquiétudes. Jessica Rose a couvert ce sujet ici.

Le consentement éclairé ne peut être obtenu avec des produits thérapeutiques mal caractérisés.

Nous entrons maintenant dans la troisième année du COVID et il est maintenant de plus en plus clair quels groupes démographiques sont à risque. Il a été démontré à plusieurs reprises que le groupe d’âge des étudiants (moins de 25 ans) présentait un risque très faible de contracter le COVID. Pourtant, les effets indésirables induits par le vaccin chez les étudiants de cette tranche d’âge sont plus élevés que pour tout autre vaccin jamais administré. Krug et al. ont observé un risque de 1:6250 de myo/péricardite chez les jeunes de 16-17 ans (Krug et al).

Mansanguan et al.

Manifestation cardiovasculaire du vaccin COVID-19 à base d’ARNm BNT162b2 chez les adolescents

Résumé

Cette étude porte sur la manifestation cardiovasculaire, en particulier les événements de myocardite et de péricardite, après l’injection du vaccin BNT162b2 mRNA COVID-19 chez des adolescents thaïlandais. Cette étude de cohorte prospective a recruté des étudiants âgés de 13 à 18 ans de deux écoles, qui ont reçu la deuxième dose du vaccin BNT162b2 mRNA COVID-19. Les données comprenant les données démographiques, les symptômes, les signes vitaux, l’ECG, l’échocardiographie et les enzymes cardiaques ont été recueillies au début de l’étude, au jour 3, au jour 7 et au jour 14 (facultatif) à l’aide de formulaires d’enregistrement des cas. Nous avons recruté 314 participants ; parmi eux, 13 ont été perdus de vue, ce qui laisse 301 participants pour l’analyse. Les signes et symptômes cardiovasculaires les plus fréquents étaient la tachycardie (7,64%), l’essoufflement (6,64%), les palpitations (4,32%), les douleurs thoraciques (4,32%) et l’hypertension (3,99%). Un même participant pouvait présenter plus d’un signe et/ou symptôme. Sept participants (2,33%) présentaient au moins un biomarqueur cardiaque élevé ou des évaluations de laboratoire positives. Des manifestations cardiovasculaires ont été constatées chez 29,24 % des patients, allant de la tachycardie ou palpitation à la myopéricardite. La myopéricardite a été confirmée chez un patient après la vaccination. Deux patients ont eu une péricardite suspectée et quatre patients ont eu une myocardite subclinique suspectée. En conclusion, la manifestation cardiovasculaire chez les adolescents après la vaccination BNT162b2 mRNA COVID-19 comprenait la tachycardie, les palpitations et la myopéricardite. La présentation clinique de la myopéricardite après la vaccination était généralement légère et temporaire, tous les cas se rétablissant complètement en 14 jours. Par conséquent, les adolescents recevant des vaccins à ARNm doivent être surveillés pour les effets secondaires cardiovasculaires. Enregistrement de l’essai clinique: NCT05288231.

L’ « étude thaïlandaise » (Mansanguan et al) implique des taux de risque cardiaque encore plus élevés chez les étudiants, où 29,24 % des étudiants (n=301) ont présenté des manifestations cardiovasculaires. Des études incluant 23 millions de patients nordiques ont observé un taux significatif de myocardite dans ce groupe d’âge également. Cette étude, bien que plus importante, n’était pas aussi contrôlée que l’étude thaïlandaise dans la mesure où Mansanguan et al. ont pris des mesures de base des patients et ont exploré d’autres dommages que la myo/péricardite.

Ces risques ne sont pas observés suite au C19 lui-même.

Tuvali et al.

Incidence de la myocardite et de la péricardite chez les patients non vaccinés après la vaccination par le COVID-19 – Une vaste étude basée sur la population

Résumé

La myocardite et la péricardite sont des séquelles cardiaques post-aiguës potentielles de l’infection par le COVID-19, résultant de réponses immunitaires adaptatives. Notre objectif était d’étudier l’incidence de la myocardite et de la péricardite post-aiguës liées à l’infection par COVID-19. Étude de cohorte rétrospective de 196 992 adultes après une infection par COVID-19 chez les membres des services de santé Clalit en Israël entre mars 2020 et janvier 2021. Les diagnostics de myocardite et de péricardite des patients hospitalisés ont été récupérés à partir du jour 10 après une PCR positive. Le suivi a été censuré le 28 février 2021, avec une observation minimale de 18 jours. La cohorte de contrôle, composée de 590 976 adultes présentant au moins une PCR négative et aucune PCR positive, était appariée en fonction de l’âge et du sexe. Le programme de vaccination israélien ayant été lancé le 20 décembre 2020, l’appariement temporel de la cohorte de contrôle a été calculé à rebours à partir du 15 décembre 2020. Neuf patients post-COVID-19 ont développé une myocardite (0,0046%), et onze patients ont été diagnostiqués avec une péricardite (0,0056%). Dans la cohorte témoin, 27 patients ont eu une myocardite (0,0046%) et 52 une péricardite (0,0088%). L’âge (rapport de risque ajusté [RRa] 0,96, intervalle de confiance [IC] à 95%; 0,93 à 1,00) et le sexe masculin (RRa 4,42; IC à 95%, 1,64 à 11,96) ont été associés à la myocardite. Le sexe masculin (aHR 1,93 ; IC à 95%, 1,09 à 3,41) et la maladie vasculaire périphérique (aHR 4,20; IC à 95%, 1,50 à 11,72) étaient associés à la péricardite. L’infection post COVID-19 n’a pas été associée à la myocardite (aHR 1,08; IC 95% 0,45 à 2,56) ou à la péricardite (aHR 0,53; IC 95% 0,25 à 1,13). Nous n’avons pas observé d’incidence accrue de péricardite ou de myocardite chez les patients adultes se remettant d’une infection à COVID-19.

Mots clés: COVID-19, myocardite, péricardite

Des résultats similaires sont observés dans Aquaro et al. et Sechi et al. où la myocardite dérivée du C19 n’est pas différente des taux de fond.

Aquaro et al.

Incidence des myocardites et péricardites aiguës pendant la pandémie de coronavirus 2019: comparaison avec la période prépandémique

Résumé

Contexte: Il a été proposé que la myocardite et la péricardite représentent une proportion des lésions cardiaques au cours de l’infection par le SARS-CoV-2. L’impact de la pandémie de COVID-19 sur l’incidence de cette maladie cardiaque inflammatoire aiguë n’a pas été systématiquement évalué.

Objectif: examiner l’incidence et la prévalence des troubles cardiaques inflammatoires avant et pendant la pandémie de COVID-19.

Méthodes: Nous avons comparé l’incidence et la prévalence des maladies cardiaques inflammatoires aiguës (myocardite, péricardite) dans les provinces de Pise, Lucca et Livourne dans deux intervalles de temps: avant (PRECOVID, du 1er juin 2018 au 31 mai 2019) et pendant la pandémie COVID-19 (COVID, du 1er juin 2020 à mai 2021).

Résultats: Au total, 259 cas de cardiopathie inflammatoire (myocardite et/ou péricardite) sont survenus dans les zones d’intérêt. L’incidence annuelle était de 11,3 cas pour 100 000 habitants. En particulier, 138 cas sont survenus dans la période pré-COVID et 121 dans la période COVID. L’incidence annuelle des cardiopathies inflammatoires n’était pas significativement différente (12,1/100 000 dans la période PRECOVID contre 10,3/100 000 dans la période COVID, P = 0,22). L’incidence annuelle des myocardites était significativement plus élevée dans PRECOVID que dans COVID, respectivement 8,1/100 000/an contre 5,9/100 000/an (P = 0,047), soit une réduction nette de 27% des cas. En particulier, l’incidence de la myocardite était significativement plus faible dans COVID que dans PRECOVID dans la classe d’âge 18-24 ans. Malgré cela, les myocardites de la période COVID présentaient plus d’anomalies du mouvement de la paroi et une plus grande étendue du LGE. En revanche, l’incidence annuelle des péricardites n’était pas significativement différente (4,03/100 000 vs, 4,47/100 000, P = 0,61).

Conclusion: Malgré un rôle étiologique possible du SARS-CoV-2 et une augmentation prévisible de l’incidence de la myocardite et de la péricardite, les données de cette étude préliminaire, avec un échantillon géographiquement limité, suggèrent une diminution de la myocardite aiguë et une incidence stable de la péricardite et de la myopéricardite/périmyocardite.

Une méta-analyse le confirme.

Cette différence de risque cardiaque entre le vaccin et le virus ne devrait pas être une surprise. L’administration intramusculaire (IM) s’accompagne d’un accès potentiel immédiat au système vasculaire. Des études évaluant des infirmières qualifiées utilisant des techniques d’aspiration ont un taux de risque de 1,9% de toucher une veine ou une artère. Le taux d’injection intraveineuse accidentelle en dentisterie est encore plus élevé, soit 4% avec aspiration. Les vaccins SARs-CoV-2 ne nécessitent même pas d’aspiration et ont probablement un taux d’injection IV accidentelle plus élevé. Marc Girardot a traité ce sujet en détail.

Du côté opposé de cette équation du risque, nous constatons que l’infection par le C19 procure une immunité plus durable que les vaccins axés sur les protéines de pointe. L’immunité naturelle fournit des anticorps muqueux et une reconnaissance par les cellules T du protéome dérivé de l’ensemble du génome viral de 30 kb, alors que les vaccins se concentrent sur une petite région de ~4 kb (1273 acides aminés) du virus.

Cette stratégie vaccinale à épitope étroit produit maintenant des mutants d’échappement documentés où la majorité des mutations de Delta à Omicron sont des variants changeant les acides aminés dans le domaine de protéine de pointe ciblé par le programme de vaccination. Cet enrichissement en variants qui modifient les acides aminés par rapport aux variants synonymes est le signe distinctif de la sélection. Les vaccins qui n’arrêtent pas la transmission et ne parviennent pas à limiter la charge virale du patient, laissent l’horloge évolutive du virus (RdRp polymérase) intacte mais ne font que détourner l’évolution autour de la pagaie que l’on a placée dans la rivière. Chau et al. ont démontré des charges virales plus élevées chez les vaccinés. L’étude a porté sur plusieurs variants, mais d’autres études suggèrent des charges virales égales ou légèrement inférieures chez les vaccinés. Même dans ces cas, la variance est de quelques CTs et de l’ordre de 10^8. Dahdouh et al. ont montré jusqu’à 10 CT de variance dans les prélèvements seuls, ce qui suggère de nombreux facteurs de confusion dans ces études. La petite variation de CT est de l’ordre de 100 millions de molécules et est si élevée à la fois chez les vaccinés et les non-vaccinés qu’une différence de 2 CT n’est pas pertinente étant donné les ordres de grandeur inférieurs requis pour une dose infectieuse minimale (10^6).

Chau et al. ‘étude vietnamienne’

Constatations

Entre le 11 et le 25 juin 2021 (7-8 semaines après la deuxième dose), 69 membres du personnel ont été testés positifs au SARS-CoV-2. 62 ont participé à l’étude. La plupart étaient asymptomatiques ou légèrement symptomatiques et tous se sont rétablis. Vingt-deux séquences génomiques complètes ont été obtenues; tous étaient des variants Delta et étaient phylogénétiquement distincts des virus contemporains obtenus dans la communauté ou chez des patients hospitalisés avant l’épidémie. Les charges virales déduites des valeurs Ct étaient 251 fois plus élevées que chez les cas infectés par la souche originale en mars/avril 2020. Le délai médian entre le diagnostic et la PCR négative était de 21 jours (de 8 à 33). Les anticorps neutralisants (exprimés en pourcentage d’inhibition) mesurés après la deuxième dose de vaccin, ou au moment du diagnostic, étaient plus faibles chez les cas que chez les témoins non infectés et entièrement vaccinés (médiane (IQR): 69,4 (50,7-89,1) contre 91,3 (79,6-94,9), p=0,005 et 59,4 (32,5-73,1) contre 91,1 (77,3-94,2), p=0,002). Il n’y avait pas de corrélation entre les taux d’anticorps neutralisants induits par le vaccin et les pics de charge virale ou l’apparition de symptômes.

Il est clairement établi que ces vaccins n’arrêtent pas la transmission et des études récentes de la clinique de Cleveland (préimpression) démontrent même une efficacité négative du vaccin avec chaque vaccin supplémentaire. Elles démontrent également un effet dépendant de la dose ou un « gradient biologique », qui est l’un des principes des conditions de causalité de Bradford Hill. Cela implique que les vaccins affaiblissent le système immunitaire des patients et les rendent plus sensibles au C19 et à d’autres infections.

Ainsi, les politiques de vaccination dans les universités semblent violer l’éthique médicale fondamentale car elles demandent aux étudiants d’absorber une intervention médicale à risque/bénéfice négatif pour protéger des professeurs plus âgés. Elles utilisent leurs étudiants comme des boucliers humains tout en omettant d’informer que le bouclier a un coût « roulette russe » pour son utilisateur. Il s’agit d’une coercition non éclairée et non d’un consentement éclairé.

Ceci est particulièrement vrai pour les vaccins qui n’arrêtent pas la transmission et qui, dans plusieurs études, montrent des signes d’efficacité négative du vaccin (Barnstable Mass). L’étude Barnstable Mass menée par le CDC a montré des taux d’infection plus élevés chez les vaccinés. L’Australie est maintenant vaccinée à 96% (16+ 2 doses) et les hôpitaux sont saturés à plus de 96% de patients vaccinés. La surmortalité en Australie est plus élevée après la vaccination que pendant la pandémie qui a précédé la vaccination.

Les rappels bivalents n’ont jamais été étudiés de manière adéquate dans ce groupe d’âge d’étudiants. Paul Offit aurait déclaré que « tout était déjà décidé à l’avance » pour l’approbation de ces vaccins. Au lieu d’effectuer des ECR [études cliniqus randomisées] à grande échelle, on a surtout utilisé des données sur des souris, comme pour l’approbation des boosters bivalents. Même les ECR réalisés sur le BNT162b2 et le mRNA1273 ont été réanalysés par des chercheurs indépendants (Fraiman et al) et ont montré qu’ils ne procuraient aucun avantage (Bardosh et al).

Byram Bridle explique comment la commercialisation sélective du score de réduction du risque relatif de Pfizer constituait une violation de la politique de la FDA. Pourtant, elle a été accueillie par un tonnerre d’applaudissements.

Les premiers vaccins qui ciblaient la protéine de pointe Wuhan-1 n’ont jamais fourni de contrôle de qualité du séquençage de l’ADN lot par lot. Ils n’ont jamais fourni la moindre preuve de la fidélité transcriptionnelle ou traductionnelle de ces pro-médicaments. Ceci est de la plus haute importance car les vaccins incorporent un nucléotide sujet aux erreurs connu sous le nom de N1-méthyl-pseudouridine (m1Ψ) dont on sait qu’il augmente le taux d’erreurs de transcription à 250-300/Million ou 1 erreur tous les 4 000 nucléotides (Chen et al). Cela se traduit par une erreur dans chaque molécule de vaccin synthétisée et 14-34 trillions sont injectés avec les vaccins Pfizer et Moderna respectivement. Si les essais sur une seule molécule (séquençage de Pacific Biosciences) utilisés pour estimer ce taux d’erreur se manifestent dans des études humaines réelles, il s’agit d’un degré de complexité extraordinaire.

Pour aggraver encore les choses, l’impact de cette base sur la fidélité du ribosome est inconnu, mais les tentatives publiées de modéliser l’impact des pseudouridines (et non du N1-méthyl-pseudoU ou m1Ψ) sur la fidélité ont montré des augmentations substantielles du décalage du cadre ribosomal, de l’ablation des codons d’arrêt et des erreurs de traduction (Fernandez et al). Une étude qui a tenté, sans succès, de remettre en cause ces résultats est présentée ici.

Le laboratoire d’Andrew Fire a séquencé les premiers vaccins mais n’a jamais divulgué les données brutes de séquençage. Ces données sont nécessaires pour répondre aux préoccupations concernant les taux d’erreurs de transcription et les hétéroplasmies.

Il n’existe aucune donnée de séquençage publique pour les nouveaux vaccins bivalents administrés aux enfants. Selon les CDC, plus de 50 millions de vaccins bivalents ont été administrés à ce jour.

Pfizer prévoit des ventes importantes pour les 3 prochaines années.

Pfizer prévoit près de 500 millions de doses de COVID ARNm en 2023-2026, les années 2025 et 2026 étant un combo COVID/Grippe ARNm. La part de Pfizer, au prix récemment annoncé de 120 $/dose, s’élève à 37 milliards de dollars pour les seuls États-Unis. Ils anticipent une énorme VACHE À LAIT.

[…]

Les champs de la mort de Samoa – par le Dr Ah Kahn Syed.

Le Dr Ah Kahn Syed écrit des articles très bien documentés et pleins de bon sens. J’en avais traduit un ici, essentiel. En voici un autre. Il date un peu (enfin, trois mois) mais ce n’est pas un problème. Accrochez-vous à vos chaussettes, c’est du lourd et ça devient pire à la fin.

J’ai aussi traduit en fin d’article des commentaires de quelqu’un qui était sur le terrain à l’époque – donc source d’info de première main – et collabore avec Robert F Kennedy Jr. À ce propos, je reproduirai bientôt ici, puisqu’elle m’en donne l’autorisation, un article d’une autre collaboratrice de Kennedy, ma compatriote Senta Depuydt, extrait de son Substack.

J’ai remarqué que ce sont mes articles au titre le plus accrocheur (genre putaclic) qui sont les plus lus. Le titre du présent article ne rentrant clairement pas dans cette catégorie, vous seriez bien aimables d’aider à le diffuser, si vous pensez comme moi qu’il en vaut la peine.

Note: comme d’habitude, vous trouverez la traduction du texte qui figure sur les images et tweets juste en-dessous de ceux-ci, sous forme de citation.

Source.


Les champs de la mort de Samoa

Que s’est-il passé à Samoa en 2019 et pourquoi est-ce si important aujourd’hui?

Dr Ah Kahn Syed

19 novembre 2022

Nous remontons le temps aujourd’hui… pas tout à fait jusqu’à l’époque d’Ingersoll Lockwood [NdT. avocat et écrivain américain (1841-1918) – sur Wiki], juste un peu. En 2019. Juste avant la « pandémie COVID-19 ». L’endroit? Les magnifiques îles de Samoa.

Vous me demanderez: « De quoi parlez-vous? Que s’est-il passé à Samoa? »

Il s’est passé beaucoup de choses. Tout cela en un mois, en novembre 2019 – juste avant que la PANDEMIE™ ne frappe, et vous verrez que les similitudes avec la PANDEMIE™ sont étranges – jusqu’aux mêmes confinements forcés et vaccinations forcées qui n’ont jamais eu pour but que d’imposer le fascisme médical à une population – parce que tous les documents de planification pandémique antérieurs à 2020 disaient qu’ils n’étaient pas utiles pour contenir une épidémie virale.

Passons maintenant aux Samoa (et aux îles Fidji et Tonga voisines) en 2019. Voici la chronologie

  • Avril 2019 – Le ROR est relancé à Samoa après une pause du programme de vaccination en 2018 suite à deux décès d’enfants liés au vaccin. Le programme de vaccination a été mal accueilli par la population samoane et la prévalence était faible.
  • 1er oct 2019 – L’UNICEF a livré 135 000 doses de vaccins contre la rougeole à Fidji, 110 500 doses de vaccins contre la rougeole à Samoa (ainsi que des fournitures de vitamine A) et 12 000 doses de vaccins contre la rougeole à Tonga.
  • 18 octobre 2019 – Les Samoa déclarent une épidémie de rougeole.
  • 24 oct. 2019 – Les Tonga déclarent une épidémie de rougeole.
  • 7 novembre 2019 – Les Fidji déclarent une épidémie de rougeole (archives ici).
  • 15 Nov 2019 – L’état d’urgence est déclaré à Samoa après 1000 cas et 15 décès (dont 14 enfants de moins de cinq ans).

Immédiatement, la machine de propagande entre en action en faisant croire au monde que le problème est le fait que les Samoa – pour une année seulement – avaient un taux de vaccination inférieur à celui des îles voisines…

[NdT. source]
  • L’UNICEF travaille en étroite collaboration avec le Ministère de la Santé et l’OMS à Samoa pour cibler les enfants âgés de 6 mois à 19 ans et les femmes qui ne sont pas enceintes entre 20 et 35 ans.
  • Toutes les écoles ont également été temporairement fermées à Samoa et le gouvernement a conseillé aux enfants de moins de 17 ans de ne pas assister à des rassemblements publics afin de contenir la propagation de la maladie.
  • Pour mieux contenir l’épidémie, le gouvernement tongien a annoncé la fermeture temporaire de toutes les écoles primaires publiques du 14 au 25 novembre.
  • Les Fidji ont une couverture de la rougeole de 94% en 2018, sur la base des estimations de l’OMS et de l’UNICEF de 94% de couverture vaccinale contre la rougeole.

D’autres estimations de la couverture vaccinale dans la région estiment en fait qu’elle est proche de 100% à Fidji et à Tonga et qu’elle a atteint 100% à Samoa en 2013, après quoi elle a commencé à baisser. En d’autres termes, si les vaccins fonctionnaient comme promis, l’immunité collective aurait dû être atteinte des années auparavant. En fait, malgré des taux de vaccination mondiaux supérieurs à 80%, il semble que la promesse d’immunité collective n’ait jamais été tenue pour la rougeole. [NdT. je connais personnellement quelqu’un qui a fait la rougeole trois fois, dont deux fois à l’âge adulte – et elle a été vaccinée enfant]

Figure: Couverture de la première dose de vaccin contre la rougeole (MCV1) et de la deuxième dose de vaccin contre la rougeole (MCV2) à Samoa, 2004-2018.
Pas de données pour 2015. Reproduit à partir de données extraites de la base de données de l’OMS.

Cela a été confirmé par le fait que les Fidji et les Tonga ont connu des épidémies de rougeole en dépit de taux de vaccination proches de 100% – les vaccins n’ont donc pas du tout empêché une vague massive d’infections.

Au total, 32 743 vaccinations ont été réalisées avant la Campagne de Vaccination de Masse.

Depuis l’activation de la Campagne le 20 novembre 2019, le Ministère a vacciné avec succès 17 088 personnes.

Des vaccinations gratuites continuent d’être administrées pour les groupes cibles ci-dessous.

Et en fait, il y avait eu une campagne de vaccination de masse qui avait déjà fourni 32 743 vaccins (principalement des enfants) avant l’épidémie – pour une population de 200 000 personnes, dont environ 20 000 enfants de moins de 5 ans. En d’autres termes, une partie suffisante de la population samoane avait été vaccinée en 2019 pour être « protégée » d’une épidémie mortelle de rougeole.

Alors pourquoi l’épidémie des Samoa était-elle un problème tel qu’elle a été rapportée dans le monde entier alors que les épidémies des Fidji et des Tonga ont été ignorées? Eh bien, des enfants mouraient. En grand nombre. En fait, le taux de mortalité dans l’épidémie de rougeole de Samoa de novembre 2019 était 40 fois supérieur au taux de mortalité habituel pour la rougeole dans les pays développés.

Pardon, quoi? Voici le tableau officiel en date du 8 décembre 2019 provenant du fil twitter du gouvernement samoan alors que la population était « vaccinée à 90% ».

Dans la catégorie des moins de 10 ans, ce chiffre est de 62 décès sur 2898, soit 2,1%1. Le taux de mortalité typique pour la rougeole dans les « économies développées » est de 0,05%. Voici une étude datant de 2009, mais d’autres études similaires ont été réalisées depuis.

J’ai volontairement choisi une revue ancienne, malgré le fait qu’elle ait été financée par l’OMS. Il est difficile de trouver une étude ultérieure qui ne soit pas financée par la Fondation Bill et Melinda Gates. Les auteurs ont conclu qu’il y avait une tendance à la baisse du ratio cas-létalité (case fatality rate, CFR) dans les populations vaccinées, mais que cette tendance n’était pas définitive et que la supplémentation en vitamine A pouvait également présenter un avantage. L’association sous-jacente la plus importante avec les CFR rapportés est en fait le lieu où l’étude a été réalisée, les zones rurales et urbaines présentant des CFR plus élevés du fait qu’ils étaient biaisés vers les zones ayant une incidence plus élevée de flambées de rougeole.

Nous pouvons donc supposer que le véritable CFR de la rougeole devrait être bien inférieur à 1% dans les populations saines, indépendamment de la couverture vaccinale. En fait, la vaccination contre la rougeole est censée prévenir les épidémies (c’est-à-dire l’infection) plutôt que les complications de l’épidémie (par exemple, le décès et la pneumonie). Il est donc intéressant de voir ce qui se passe dans des populations totalement non vaccinées et pourquoi les victimes peuvent mourir – un indice donné dans cette étude.

Cinq (83%) des 6 décès sont survenus chez des femmes, dont 3 avaient des maladies sous-jacentes. Le taux global de létalité était de 1,2%. Le taux de létalité était de 2% chez les femmes, 0,4% chez les hommes (P = 0,22), 1,7% pour les cas primaires et 0,7% pour les cas secondaires dans les ménages (P = 0,67). Un seul des enfants décédés avait reçu des soins médicaux. La rougeole s’est propagée rapidement dans ce groupe, n’épargnant que peu de personnes sensibles. Le manque de soins médicaux et la maladie sous-jacente semblent avoir contribué au taux élevé de létalité dans les communautés religieuses.

L’idée est qu’un aperçu rationnel des taux de mortalité dus à la rougeole devrait évaluer les soins médicaux apportés aux cas de rougeole plutôt que de s’appuyer sur la seule vaccination comme méthode de contrôle des décès dus à la rougeole. Pour étayer ce point, malgré les programmes de vaccination contre la rougeole qui touchent presque toutes les communautés de tous les pays du monde, qu’en est-il des taux de mortalité dus à la rougeole?

Les lecteurs avisés auront déjà deviné ce titre

Plus de 140 000 personnes meurent de la rougeole alors que les cas augmentent dans le monde entier
Les nourrissons et les jeunes enfants sont les plus exposés au risque de complications fatales, selon les agences sanitaires.

Oups.

L’épidémie dévastatrice et mortelle de Samoa présente donc deux aspects.

  1. Pourquoi une épidémie de rougeole s’est-elle déclarée dans trois îles voisines au même moment, quelques semaines seulement après la livraison de vaccins de l’UNICEF dans ces mêmes îles?
  2. Pourquoi le taux de mortalité dans l’épidémie des Samoa a-t-il atteint des niveaux si élevés, bien supérieurs à ce que l’on pourrait attendre dans un pays ayant accès aux soins de santé?

En ce qui concerne le premier point, il est clair que le vaccin n’a pas permis de prévenir les épidémies, ce qui signifie que soit les vaccins contre la rougeole ne fonctionnent pas (pas seulement le vaccin actuel, mais aussi ceux des années précédentes qui étaient censés conférer une immunité collective), soit une nouvelle souche de rougeole a été introduite, qui n’était pas couverte par les vaccins.

En ce qui concerne le deuxième point, les rapports sur le terrain montrent clairement qu’il a été très difficile d’obtenir des traitements médicaux pour les personnes touchées. Cela vaut vraiment la peine de regarder cet épisode de The Highwire de décembre 2019 qui donne une vision très différente de la situation que celle rapportée par le gouvernement et l’OMS.

[cliquer sur la photo pour accéder à la vidéo]

Ce qui ressort des rapports de l’époque aux Samoa, c’est que les soins médicaux de base, y compris la vitamine A, la vitamine C et d’autres mesures de soutien, ont été refusés aux enfants des Samoa. C’est presque comme s’il était nécessaire que beaucoup d’enfants meurent pour promouvoir un récit qui exigeait ensuite l’intervention du gouvernement « pour régler le problème ». Pour être clair, ces enfants n’avaient pas à mourir. Ils sont morts parce que le gouvernement avait besoin de convaincre la population qu’il était aux commandes et que la dissidence n’était pas autorisée. Les gouvernements font ce genre de choses. [NdT. le lien est en français]

Quoi qu’il en soit, l’intervention souhaitée a eu lieu rapidement, début décembre.

En réponse à l’épidémie actuelle de rougeole, le @samoagovt entreprendra une « Campagne de vaccination de masse en porte-à-porte » le jeudi 5 et le vendredi 6 décembre 2019 de 7h à 17h sur l’ensemble du territoire.
Lire l’avis complet sur https://facebook.com/samoagovt/


Un abus absolu de pouvoir et une violation des libertés et des droits individuels. Vous devriez être en train de distribuer la #VitamineA et la #VitamineC dont on a désespérément besoin, conformément aux recommandations de l’OMS sur la rougeole, et non de forcer les gens à se faire vacciner!

Qu’est-ce que cette « folle théoricienne de la conspiration anti-vaxx » prétend? La vitamine A et la vitamine C traitent la rougeole? C’est dingue, pas vrai?

Non.

La vitamine A pour traiter la rougeole chez les enfants

Pour que les choses soient claires, il est préférable que les enfants n’attrapent pas la rougeole, mais si c’est le cas, des mesures de soutien appropriées (comme dans les pays « développés » où la rougeole sévit toujours malgré des taux de vaccination supérieurs à 95%) réduisent le risque de décès. C’est également ce qu’affirme l’OMS.

Les complications graves de la rougeole peuvent être réduites par des soins de soutien assurant une bonne nutrition, un apport hydrique adéquat et le traitement de la déshydratation avec la solution de réhydratation orale recommandée par l’OMS. Cette solution remplace les liquides et autres éléments essentiels perdus par la diarrhée ou les vomissements. Des antibiotiques doivent être prescrits pour traiter les infections des yeux et des oreilles, ainsi que la pneumonie.

Tous les enfants diagnostiqués comme ayant la rougeole doivent recevoir deux doses de suppléments de vitamine A, administrées à 24 heures d’intervalle. Ce traitement rétablit les faibles taux de vitamine A pendant la rougeole, qui se produisent même chez les enfants bien nourris, et peut aider à prévenir les lésions oculaires et la cécité. Il a également été démontré que les suppléments de vitamine A réduisent le nombre de décès dus à la rougeole.

Bien sûr, la supplémentation en vitamine A est devenue en décembre une « théorie du complot anti-vaxx », malgré le fait que l’UNICEF ait livré des suppléments de vitamine A à Samoa en novembre.

Le personnel de santé et de communication a été envoyé par @UNICEF à Samoa pour stimuler la campagne de vaccination du gouvernement, livrant (jusqu’à mardi) 110 500 doses de vaccin et 30 000 comprimés de vitamine A. Des vaccins ont également été envoyés à Tonga, Fiji et N… @DFAT#AustralianAid #VaccinesWork

Et, comme à l’accoutumée, les mêmes voix sur Twitter, dont le seul but était de supprimer les comptes comme le nôtre qui fournissaient ce genre d’informations supplémentaires (qui pouvaient sauver des vies) à l’époque du COVID, s’y mettaient déjà lors de la catastrophe de Samoa.

Vous, les pétasses #AntiVaxxer, qui partagez sur les médias sociaux des informations sur #Samoa, #Measles & #VitaminA, est-ce que l’un d’entre vous s’est seulement rendu à Samoa, et a fait la sérologie de ces Samoans à qui vous voulez donner de la vitamine A, pour déterminer que chacun d’entre eux est déficient en vitamine A?

N’est-ce pas le même scénario que celui que nous avons vu ces 3 dernières années?

  1. Une épidémie virale apparaît de façon suspecte
  2. Des médicaments sûrs et réadaptés (y compris des vitamines) sont refusés comme traitement d’appoint à des personnes qui en bénéficieraient probablement sans aucun risque.
  3. Les fabricants de vaccins débarquent pour soi-disant sauver la situation (et probablement l’aggraver, car la vaccination d’une population pendant une épidémie est généralement une très mauvaise idée).
  4. Des groupes de pression sur les médias sociaux passent à l’action pour dénigrer toute personne suggérant autre chose que ce que BigPharma et BigGovt proposent comme solution, et beaucoup plus de gens meurent qu’ils n’auraient dû.

Je profite de cette occasion pour souligner que ces groupes de pression sont insidieux. Ils représentent le côté obscur de la science et de la médecine et tant qu’ils seront autorisés à faire ce qu’ils font, souvent sponsorisés par les gouvernements (comme moyen de contrôle coercitif de la population), les gens continueront à être contraints à des interventions médicales selon des méthodes qui ne sont guère différentes de celles de l’Allemagne nazie. Le résultat a été un niveau excessif de décès dans le monde entier et je tiens à souligner que sans ces fantassins parasites des groupes de pression, plusieurs centaines de milliers de décès auraient pu être évités. J’ai écrit à leur sujet pendant plus d’un an.

Cela vaut vraiment la peine de lire la transcription complète du discours de cette larve. Il est typique de l’élitisme auquel nous sommes confrontés, soutenu par les banques et le FEM. Rappelez-vous que ces gens pensent que vous (le prolétariat) ne devriez pas avoir le droit de vote et que vous êtes des mangeurs inutiles. Par conséquent, votre opinion n’est pas pertinente et ils décideront de ce qui est le mieux pour vous.
[NdT. la page en lien n’est plus en ligne]

La situation a empiré à Samoa car, une fois l’épidémie de rougeole atypique et atypiquement mortelle survenue, les choses ont rapidement dégénéré. Qu’a fait le gouvernement samoan? Il a imposé la vaccination contre la rougeole et a fait appel à l’armée chinoise pour l’aider (notez que toute référence à la présence de l’armée chinoise à Samoa a été supprimée de l’internet2). La population a reçu l’ordre de placer un drapeau rouge devant sa maison pour indiquer qu’elle n’était pas vaccinée. Vous voyez maintenant l’image du ghetto de Varsovie?

Samoa: la vaccination contre la rougeole devient obligatoire
À partir du mois prochain, chaque enfant samoan devra obligatoirement être vacciné contre la rougeole lorsqu’il aura atteint l’âge requis de six mois.

En fait, c’était tellement affreux qu’il y a eu une campagne de protestation sur Twitter avec le hashtag #NaziSamoa. Bonne chance pour trouver maintenant des tweets dissidents avec cette référence.

Mais alors que le nombre de cas et de décès continue de grimper, les autorités ont pris une mesure supplémentaire pour marquer les maisons des personnes non vaccinées.

« Il est conseillé au public d’attacher un tissu rouge ou un drapeau rouge devant leur maison et près de la route pour indiquer que des membres de leur famille n’ont pas été vaccinés », peut-on lire dans un communiqué du gouvernement publié mardi. « La marque rouge permet aux équipes d’identifier plus facilement les foyers à vacciner ».

Les militants anti-vaccins, quant à eux, protestent contre la campagne de vaccination et ont comparé le gouvernement aux nazis, en utilisant le hashtag #NaziSamoa sur Twitter.

Et bien sûr, pour « pousser » tout dissident samoan à se conformer à la directive gouvernementale, le gouvernement a également confiné le pays en fermant les écoles et en interdisant les rassemblements. Ça vous rappelle quelque chose?

Des drapeaux rouges flotteront au-dessus des maisons des personnes non-vaccinées à Samoa tandis que le gouvernement confine et que le nombre de morts de la rougeole augmente

Est-ce la dernière pièce du puzzle?

Il y a une pièce du puzzle des Samoa qui me taraude. Il s’agit de savoir pourquoi une population relativement vaccinée a pu s’en sortir si mal lors d’une épidémie de rougeole. Pour que cela se produise, il fallait que la souche soit inhabituelle. Or, la ligne officielle était qu’il s’agissait d’une souche D8, et non d’une « souche A liée à la vaccination ».

Ce qui m’a toujours turlupiné, c’est que je n’ai pu trouver aucune confirmation génomique de la souche de rougeole de Samoa dans Genbank. La seule souche documentée en 2019 provient des Samoa occidentales, et non des Samoa. Alors comment savons-nous qu’il s’agissait d’une souche de rougeole « naturelle » ? On ne le sait pas.

Et voici le détail insidieux. Le détail qui fait le lien avec le fait qu’il existe des preuves émergentes que le SARS-CoV-2 est apparu avant décembre 2019.

Imaginons que les pires psychopathes du monde (c’est-à-dire les virologues à gain de fonction3) créent une chimère entre l’un des virus les plus infectieux connus de l’homme (la rougeole) et le SARS-Cov-2. Et bien, c’est ce qu’ils ont fait, et cela fait un an que je ne cesse de le répéter. C’est ce petit bijou:

Les psychopathes sont souvent fiers de leur travail. C’est pourquoi ils aiment le signer.

C’est exact. Une chimère rougeole-SARS-CoV-2. Le composant rougeole est censé être tiré de cet article et utilise une construction de Roberto Cattaneo (Genbank MH144178) publiée en 2015. Alors, à quoi celle-ci a-t-elle été utilisée?

Un vaccin COVID-19 hautement immunogène et efficace, à base de virus de la rougeole, à action Th1.

La publication est datée de décembre 2020, mais elle a été soumise en juillet 2020 et comprenait des études sur des souris, ce qui prend généralement des mois. Il est donc très possible – et tout à fait conforme au mode opératoire de Baric – que cette construction ait été réalisée avant décembre 2019.

Bon, cette souche est censée être une souche de rougeole A inactive. Le seul problème est que, lorsque nous effectuons un BLAST sur cette souche (ou sur la Chimère), nous obtenons une correspondance assez fidèle avec une souche D8 de rougeole – à l’exception de plusieurs SNP (qui peuvent être induits en laboratoire par des additifs tels que la protéine APOBEC ou le molnupiravir). En d’autres termes, il est tout à fait possible que cette « souche vaccinale » soit la nouvelle souche de rougeole affectant Samoa. Bien sûr, je serais ravi que l’on me prouve que j’ai tort si quelqu’un dispose de la séquence génomique de la souche Samoa pour le prouver (ce n’est pas le cas).

Donc… nous sommes face à un ensemble de circonstances très inhabituelles. Je récapitule:

  1. Une épidémie de rougeole exceptionnellement virulente se déclare dans trois îles voisines du Pacifique après la livraison d’un vaccin par l’UNICEF.
  2. Sur l’une des îles, le taux de mortalité de l’épidémie est exceptionnellement élevé (et de l’ordre de grandeur de la première vague COVID).
  3. L’épidémie est utilisée pour tester la conformité de la population aux mesures de confinement et aux vaccinations forcées. Il y a très peu de résistance.
  4. À peu près au moment de cette épidémie, Ralph Baric – impliqué dans l’origine du SARS-Cov-2 – participe à la construction4 d’une chimère insolite rougeole-coronavirus dans laquelle la composante rougeole est homologue à la souche D8 de la rougeole (la souche déclarée à Samoa).
  5. Lorsque Samoa reçoit sa première vague officielle d’infections par le COVID, il n’y a pas de décès, ce qui suggère une immunité préalable5.

Et qu’est-ce que tout ça prouve?

Rien. Ça ne prouve rien. Mais ce que ça fait, c’est poser cette question:

Les Samoa ont-elles été le terrain d’essai pour la diffusion d’un coronavirus de type SARS en novembre 2019 – via un vaccin parrainé par l’UNICEF – qui a prouvé que la population mondiale pouvait être intimidée et contrainte d’accepter des vaccinations obligatoires?

Étant donné la façon dont l’OMS, l’UNICEF, le FEM et l’ONU se sont comportés au cours des trois dernières années, je pense que nous connaissons tous la réponse, n’est-ce pas?

Si vous étiez aux Samoa en novembre 2019 et que vous avez plus d’informations, merci de laisser un commentaire ci-dessous. En attendant…

« Au revoir »

  1. Le bilan final est de 83 morts. https://en.wikipedia.org/wiki/2019_Samoa_measles_outbreak
  2. Bien que l’implication directe de l’armée chinoise à Samoa ait été effacée de l’Internet, l’implication de la Chine dans le programme de vaccination contre la rougeole dans le Pacifique occidental ne l’a pas été. Notez l’implication de la Banque mondiale. https://archive.ph/wip/IMEW6
  3. Oui, les virologues à gain de fonction sont des psychopathes. Non seulement ils n’en ont rien à faire de savoir si leurs créations s’échappent, mais ils n’ont aucune difficulté à mentir à leur sujet et n’expriment aucune émotion lorsque des personnes en meurent. Les gens qui les couvrent sont tout aussi horribles. Vous savez qui vous êtes.
  4. Je renvoie le lecteur à ce post très important concernant les origines du COVID
  5. Notre grand ami et gourou de la protéomique Daoyu Zhang, sur le groupe Telegram micevmutton, en fournit ici un solide résumé. Il souligne le taux de mortalité exceptionnellement bas dû au COVID à Samoa, enregistré sur ourworldindata ici.
    En outre, le premier cas de COVID enregistré aux Samoa date de novembre 2020, soit près d’un an après la Chine.

Les Samoa du Pacifique enregistrent leur premier cas de coronavirus

La nation insulaire indique qu’un marin a été testé positif au coronavirus après être revenu d’Europe via la Nouvelle-Zélande.


Commentaires

Robert Kennedy Junior a joué un rôle important dans la mise en place d’une équipe médicale consultative pour tenter de comprendre le taux de mortalité et aider aux protocoles de traitement. J’ai personnellement constaté sur le terrain que, six à sept jours après la vaccination, d’énormes épidémies se produisaient dans les villages où les camionnettes de vaccination étaient passées. Nous étions très attentifs à recueillir des statistiques lorsque nous nous rendions sur place pour essayer d’identifier les tendances. Lorsque nous avons analysé nos chiffres, 98% des personnes qui tombaient malades avaient été systématiquement vaccinées 6 à 7 jours avant la maladie. L’excuse était que le vaccin n’avait pas eu le temps d’être efficace. Cependant, selon un immunologiste de l’équipe qui nous assistait, cette période de 6 à 7 jours correspondait également au temps nécessaire à un vaccin sous-atténué pour rendre le receveur malade. En outre, comme je l’ai mentionné, les tests envoyés en Australie se sont révélés négatifs pour la rougeole de type sauvage dans la majorité des échantillons. Alors, qu’est-ce qui rendait tant de personnes malades? Tout semblait indiquer que le vaccin était contaminé. L’un des médecins de l’équipe consultative m’a demandé de lui envoyer un flacon de vaccin pour qu’il puisse le faire analyser, mais nous n’avons jamais pu le faire. La sécurité autour des vaccins était assez stricte, chaque flacon étant répertorié à sa sortie et le flacon vide à sa rentrée, ce qui, selon le personnel, était inhabituel. Normalement, les flacons vides sont simplement jetés une fois utilisés.

La véritable tragédie est que, malgré la possibilité que nous ayons eu affaire à un vaccin contaminé, les enfants ne seraient jamais morts si les protocoles de traitement que nous préconisions avaient été utilisés. Nous avons affiné un protocole de traitement mis au point par le regretté Dr Archie Kalokerinos, utilisé sur des enfants du Territoire du Nord, en Australie, sur des enfants indigènes, en utilisant des doses élevées de vitamine C et A. Pas une seule vie n’aurait dû être perdue.

L’inefficacité des traitements approuvés par l’ONU/OMS a été démontrée plus tard dans un tribunal par un témoin à charge.

Edwin Tamasese, 19 novembre 2022

Nous donnions la vitamine C à très haute dose sous forme d’ascorbate de sodium et d’acide ascorbique. 1 gramme toutes les deux heures. L’état des enfants s’améliorait en seulement 6 heures. Une fois qu’ils avaient retrouvé le réflexe de manger, nous donnions de la vitamine A à raison de 200 000 UI par dose en deux fois sur 24 heures, puis nous arrêtions. Pour les cas les plus graves, ceux qui avaient été renvoyés chez eux pour y mourir, ils étaient remis sur pied en 3 jours.

Edwin Tamasese, 12 décembre 2022

La paix du cimetière – Discours de l’ex-Premier Ministre de Malaisie Mahathir Mohamad, 9 mars 2015 (extrait).

Encore un complotiste. Ils sont partout.

Stérilisation par injection, morts subites, turbo-cancers, euthanasie, inflation, destruction de l’économie et des classes moyennes, monnaies digitales programmables, prix de l’énergie, « réforme des retraites »?

Des co-ïn-ci-dences.

Source.


Traduction

Commentatrice: L’ancien Premier Ministre malaisien, Dr Mahathir Muhammad, a déclaré que l’[Accord] de partenariat transpacifique ou TPPA est une stratégie du Nouvel Ordre Mondial menée par un puissant groupe de personnes dirigé par les États-Unis pour dominer l’économie mondiale. S’exprimant lors de la conférence internationale intitulée « New World Order: A Recipe for Peace or War » [Nouvel Ordre Mondial: Une recette pour la paix ou la guerre] organisée par la Perdana Global Peace Foundation, le Dr Mahathir a déclaré que la mondialisation et le commerce sans frontières sont utilisés pour établir un gouvernement mondial unique.

Dr Mahathir Muhammad: Fondamentalement, il s’agit de la création d’un gouvernement mondial. Nous devrions abolir tous les États, toutes les nations, toutes les frontières et n’avoir qu’un seul gouvernement mondial. Et ce gouvernement mondial devra être dirigé par certaines personnes, les élites, des gens très riches, très intelligents, très puissants à bien des égards. Ce sont eux qui gouverneront le Monde.

Il n’a pas été beaucoup question de démocratie ou de choix des dirigeants. Au lieu de cela, il devait y avoir un gouvernement par ces élites, qui imposeront leurs règles à tous les habitants de ce monde. Et pour ceux qui ne sont pas disposés à s’y soumettre, il y aura des punitions. Et la paix que nous obtiendrons d’eux sera la paix du cimetière.

Car l’intention est aussi de réduire le nombre de personnes dans ce monde. Au moment où le Nouvel Ordre Mondial a été énoncé, la population de ce monde n’était que de trois milliards. L’intention était de la réduire à un milliard. Aujourd’hui, la population mondiale est de sept milliards [NdT. en 2015; huit milliards en 2023]. Il sera nécessaire de tuer plusieurs milliards de personnes, de les faire mourir de faim ou de les empêcher de donner naissance afin de réduire la population de ce monde.


Transcription

Commentator: Malaysia’s former Prime Minister, Dr Mahathir Muhammad said that the Transpacific Partnership [Agreement] or TPPA is a New World Order strategy by a powerful pact of people led by the US to dominate the world economy. Speaking at the international conference titled « New World Order: A Recipe for Peace or War » organized by the Perdana Global Peace Foundation, Dr Mahathir said globalization and borderless trade are being used to establish a one world government.

Dr Mahathir Muhammad: Basically, it is about having a world government. We should abolish all states, all nations, all borders but instead have only one world government. And that world government is to be by certain people, elites, people who are very rich, very intelligent, very powerful in many ways. They are the ones who will govern the World.

There was not much talk about democracy or choice of leaders. Instead, there was to be a government by these elites who will impose their rules on everyone in this world. And for those who are unwilling to submit to them, there will be punishment. And the peace that we will get from them is the peace of the graveyard.

Because the intention also is to reduce the number of people in this world. At the time when the New World Order was enunciated, the population of this world was only three billion. The intention was to reduce it to one billion. Now the population of the world is seven billion. There will be a need to kill many billions of people or to starve them to death or to prevent them from giving birth in order to reduce the population of this world.

Communisme et gouvernement mondial – par Jeff Childers.

Jeff Childers est un avocat, assez connu aux États-Unis, et l’auteur de « Coffee and Covid » sur Substack, qui donne tous les jours des nouvelles avec leur analyse – généralement assez amusante. Comment il trouve le temps de tout faire est un mystère pour moi. Je suppose qu’il a un meilleur cerveau, plus jeune. J’avais d’ailleurs envisagé, pour gagner du temps, de lui piquer régulièrement ses articles, du moins ceux qui ont un intérêt pour mes lecteurs francophones. C’est ce que je vais faire.

À propos d’intérêt, il avait publié ce billet le 31 décembre, que j’avais gardé sous le coude. Ce qu’il y écrit rejoint ce que je radote sur ce blog depuis bientôt trois ans – le temps passe vite – à une différence près. L’Union Soviétique n’a pas été démantelée depuis l’extérieur, mais depuis le dessus, par ceux qui l’avaient créée en tant que laboratoire du pouvoir.

Communiste.

Source.


🗞 NOUVELLES DU MONDE ET COMMENTAIRES 🗞

Jeff Childers

31 décembre 2022

[extrait]

CHAPITRE UN – LA ROUTE DERRIÈRE NOUS

En 1984, le président Ronald Reagan a décerné à titre posthume à Whitaker Chambers (1902-1964) la Médaille Présidentielle de la Liberté. Chambers était mort vingt ans plus tôt, après avoir témoigné au Congrès contre Alger Hiss, fonctionnaire du Département d’État et espion soviétique traître, qui avait rédigé la Charte des Nations Unies prétendument au nom des États-Unis à Yalta.

Jusqu’en 1938, Chambers dirigeait un réseau d’espionnage basé aux États-Unis pour le compte des communistes soviétiques. Il est né aux États-Unis juste après le début du siècle, a connu une enfance pauvre dans un foyer athée et a été attiré par le communisme. Mais il a fait défection en 1938, après avoir ressenti un malaise croissant face aux purges internes de Staline, et après avoir trouvé Dieu.

Pendant les dix années qui ont suivi sa fuite dans la clandestinité, Chambers a tenté sans succès d’intéresser le FBI au réseau de hauts fonctionnaires traîtres du gouvernement et du département d’État qu’il supervisait et qui travaillaient secrètement à saper les États-Unis. Juste au moment où il avait abandonné, le House Un-American Activities Committee l’a contacté, et le reste, comme on dit, appartient à l’histoire.

En 1952, Chambers a publié son autobiographie, « Witness« , qui est devenue l’un des livres anticommunistes et conservateurs américains les plus influents de l’histoire. Je vais citer quelques passages de l’introduction, dans laquelle Chambers – s’attendant pleinement à être assassiné – s’adresse à ses enfants, pour expliquer pourquoi il a rendu public et témoigné de ce que manigançaient les Russes.

Selon Chambers, le communisme pose une crise existentielle à l’humanité, et commence par la croyance que la science peut sauver les humains des problèmes qui ont précisément été créés par les progrès de la science:

En partie, la crise résulte de l’impact de la science et de la technologie sur l’humanité qui, ni sur le plan social ni sur le plan moral, n’a dépassé les problèmes posés par cet impact. En partie, elle est causée par les tentatives humaines de résoudre ces problèmes.

Chambers a demandé comment le communisme pouvait contaminer l’esprit de personnes très intelligentes censées se montrer plus avisées, mais qui, au contraire, restent volontairement aveugles aux méfaits de cette idéologie répréhensible. Encore une fois, parlant à ses enfants:

Je vois dans le communisme le point focal du plus grand mal de notre époque. Vous demanderez: pourquoi donc les hommes deviennent-ils communistes? Comment se fait-il que toi, notre père doux et aimé, tu aies été communiste? Étais-tu donc simplement stupide? Non, je n’étais pas stupide.

Étais-tu moralement dépravé? Non, je n’étais pas moralement dépravé. En fait, c’est avant tout pour des raisons morales que les hommes instruits deviennent communistes.

Ne savais-tu pas que les crimes et les horreurs du communisme sont inhérents au communisme? Si, je le savais.

Alors pourquoi es-tu devenu communiste? Il serait plus utile de demander: comment ce mouvement, qui n’était autrefois qu’un simple murmure de parias politiques, est-il devenu cette immense force qui brigue maintenant la maîtrise de l’humanité? Même en tenant compte de tous les hasards et erreurs de l’histoire, la réponse ne peut être que la suivante: le communisme exerce un attrait profond sur l’esprit humain. Ce n’est pas en traitant le communisme de tous les noms que vous comprendrez sa nature. Cela ne vous aidera pas beaucoup à expliquer pourquoi le communisme, dont les horreurs, d’une ampleur inégalée dans l’histoire, sont maintenant de notoriété publique, recrute encore des milliers d’adeptes et en conserve des millions – parmi lesquels certains des meilleurs esprits de notre temps.

La réponse de Chambers est la suivante: le communisme séduit l’homme en lui offrant la possibilité de débarrasser le monde de Dieu, une fois pour toutes, et de devenir son propre sauveur.

Le cœur révolutionnaire du communisme n’est pas son attrait théâtral: « Travailleurs du monde, unissez-vous. Vous n’avez rien à perdre, sauf vos chaînes. Vous avez un monde à gagner. » Cette phrase simple de Karl Marx a été encore simplifiée pour son usage pratique: « Les philosophes ont expliqué le monde; il faut changer le monde. » Les communistes ne sont liés par aucun serment secret. Le lien qui les unit par-delà les frontières des nations, par-delà les barrières de la langue et les différences de classe et d’éducation, au mépris de la religion, de la morale, de la vérité, de la loi, de l’honneur, des faiblesses du corps et des irrésolutions de l’esprit, jusqu’à la mort, est une simple conviction: il faut changer le monde.

Leur pouvoir, dont la nature déroute le reste du monde, parce que le reste du monde a dans une large mesure perdu ce pouvoir, est le pouvoir d’avoir des convictions et d’agir en conséquence. C’est ce pouvoir même qui déplace les montagnes; c’est aussi un pouvoir qui, sans faillir, déplace les hommes. Les communistes forment cette partie de l’humanité qui a reconquis le pouvoir de vivre ou de mourir – de témoigner – pour sa foi. Et c’est une foi simple, rationnelle, qui conduit les hommes à vivre ou à mourir pour elle.

Elle n’est pas nouvelle. C’est, en fait, la deuxième plus ancienne foi de l’homme. Sa promesse a été chuchotée aux premiers jours de la Création sous l’Arbre de la Connaissance du Bien et du Mal: « Vous serez comme des dieux ». C’est la grande foi alternative de l’humanité. Comme toutes les grandes croyances, sa force découle d’une vision simple. D’autres époques ont eu de grandes visions. Celles-ci ont toujours été des versions différentes de la même vision: la vision de Dieu et de la relation de l’homme à Dieu. La vision communiste est la vision de l’homme sans Dieu.

Il y a beaucoup plus, j’aimerais avoir la place de reproduire l’introduction entière, sinon le livre entier. Quoi qu’il en soit, après avoir établi les prémisses, Chambers entame le premier chapitre en expliquant POURQUOI il a pris la décision fatidique de quitter le Parti Communiste et de se retourner contre ses anciens alliés. Ce paragraphe m’a toujours profondément marqué:

Je voulais que ma femme réalise bien les répercussions à long terme, pour elle et pour les enfants, de la décision que je prenais. Je lui ai dit: « Tu sais, nous quittons le monde des gagnants pour le monde des perdants. » Ce que je voulais dire, c’est que, dans le conflit révolutionnaire du 20e siècle, je choisissais sciemment le camp de la probable défaite. Pratiquement rien de ce que j’ai observé, ou de ce qui m’est arrivé depuis, ne m’a fait penser que je m’étais trompé dans cette prévision.

Chambers avait une connaissance intime du haut degré de pénétration des communistes dans le gouvernement américain. Il savait très bien que les chances étaient amassées contre lui, contre nous tous; une montagne gigantesque, menaçante, de dangers accumulés. « Nous quittons le monde des gagnants pour celui des perdants », dit-il en parlant de sa décision de faire défection. Et il l’écrit encore en 1952, presque 15 ans après sa défection.

En d’autres termes, les pays libres étaient en train de perdre le monde. En fait, en 1980, si on avait peint en rouge tous les pays communistes sur un globe de salle de classe, ce globe aurait été à 75% écarlate.

C’était la dernière manche, avec quelques minutes à jouer, six points de retard et deux strikes. Ça s’annonçait mal.

Et pourtant, contre toute attente, en seulement huit ans, Ronald Reagan a vaincu l’Union Soviétique. Ça nous a fait gagner 40 ans de paix. Nous étions là, trébuchant en aveugle le long du précipice fragile de la défaite totale, submergés jusqu’aux cils par les espions communistes, dont sans doute plusieurs Maisons Blanches, quand en un clin d’œil, contre toute attente, nous avons sauvé le monde entier.

Tout simplement.

Malheureusement, Reagan a seulement défait l’Union Soviétique. Il n’a pas défait le communisme. Il n’a pas pu – ne pouvait pas – écraser l’illusion insensée que l’homme peut remplacer Dieu par la Science. Reagan n’a pas non plus extirpé les réseaux de termites communistes traîtresses secrètement implantés dans presque tous les gouvernements de la planète.

Voilà ce qui s’est passé. Permettez-moi maintenant de faire avancer le curseur jusqu’à notre situation actuelle, de spéculer sur le présent et sur ce qui nous attend, tout en admettant que l’histoire n’est jamais réglée, ni exempte de controverse. Comprendre ce qui se passe dans le présent peut être périlleusement complexe, voire impossible. Et l’avenir? Rien que des suppositions.

Mais il semble juste d’imaginer qu’après la chute du mur de Berlin, les communistes mondiaux, qui frottaient leurs mains tachées de sang à l’idée d’une domination mondiale imminente, sont restés bouche bée, abasourdis et stupéfaits, après avoir vu le tout leur être arraché à la toute dernière seconde par un cow-boy à la masculinité toxique.

Déconcertés, ils se demandaient: « Que s’est-il passé? »

Ils avaient déjà appris une leçon avec Staline: ne plus mettre de dictateurs narcissiques à la tête du mouvement. Mais après Reagan, j’imagine que les élites communistes ont reconnu le risque d’être trop manifestes, trop visibles. L’Union Soviétique était une cible qui pouvait être, et était, détruite. C’était un panier avec trop d’œufs dedans. Elle avait été lancée trop tôt. Ils ont appris qu’il ne faut pas se lancer dans le communisme à un seul endroit avant d’être prêt à se lancer partout, en même temps.

Ils ont également appris le grave danger de permettre à un président populiste et anticommuniste comme Reagan (ou Trump) de tenir huit années complètes. Mais ceci est une autre histoire.

Au moment où l’Union Soviétique s’est effondrée, notre gouvernement et tous les autres gouvernements du monde étaient envahis de termites communistes traîtresses, attendant leurs ordres. En d’autres termes, en dehors de l’Union Soviétique, le réseau d’espionnage communiste est resté solidement en place, dans les journaux, les stations de télévision, les palais de justice et les bureaux gouvernementaux. Personne ne les a traqués. Personne n’a fumigé les communistes. Personne n’a fait le ménage.

Je me demande combien de secondes il a fallu aux grands maîtres de l’espionnage soviétique pour quitter Moscou vers des climats plus accueillants, et trouver un nouvel emploi productif à aider leur nouveau maître à prendre le contrôle des anciens réseaux d’espionnage soviétiques. Était-ce la Chine? La Chine semble un bon candidat, bien positionné, motivé et disposant des ressources nécessaires.

Mais cela aurait pu être un autre opportuniste qui aurait entrevu des opportunités. Un plus proche de nous, peut-être? Les communistes américains? Les francs-maçons? Le Vatican? Un Rockefeller? Qui sait.

Mais il est clair que quelqu’un a pris le pouvoir, sinon on aurait déjà vu un million de livres écrits par d’anciens espions, ou des arrestations massives et des procès pour trahison. Quelque chose. Mais non. Tout a été aussi calme que la tombe de Staline. Ils sont toujours planqués sous leur couverture. Ce qui signifie: ils travaillent pour QUELQU’UN.

Et voilà où nous en sommes.

CHAPITRE DEUX – LA ROUTE SUR LAQUELLE NOUS SOMMES

Je parie que les lecteurs de C&C aimeraient entendre parler plus souvent sur ce blog de Klaus Schwab, du Forum Économique Mondial, des confiscations de terres agricoles, des raffineries et des usines alimentaires qui brûlent mystérieusement, des fausses guerres par procuration, de la destruction économique artificielle, de l’Agenda 2030 (ou est-ce 2025 maintenant ?) et du pas-si-Grand Reset. [NdT. « not-so-great Reset », le Reset pas terrible – jeu de mots intraduisible]

Je ne traite pas beaucoup de ces sujets pour deux raisons. La première, la plus simple, est que je ne peux prouver aucune de ces choses, et je vous ai promis que je ne soumettrai (généralement) aucune information que je ne peux pas étayer. Je suis avocat. Les preuves sont importantes pour moi. (Oui, oui, je sais qu’il y a des documents organisationnels en ligne et des clips vidéo, et beaucoup de preuves circonstancielles, mais les faits concrets restent élusifs).

Mais avant tout, j’évite de discuter de ces questions parce que j’ai à leur sujet une vision beaucoup plus large et plus simple.

Je crois que la pandémie de covid-19 de 2020 a révélé une conspiration mondiale qui peut être prouvée. La plupart des gens pensent que cette conspiration avait pour but de créer un gouvernement mondial unique. Mais je me demande si en réalité nous ne sommes pas déjà bien au-delà. Je pense que la pandémie apporte la preuve irréfutable que NOUS AVONS DÉJÀ UN GOUVERNEMENT MONDIAL. Un gouvernement mondial secret, caché, insaisissable.

Sauf que, l’espace d’un instant, le masque est tombé, et son visage grotesque a été pleinement révélé.

La preuve semble évidente après coup. En gros, sur une période d’environ trois semaines en mars 2020, tous les gouvernements du monde entier ont mis en œuvre exactement les mêmes mesures draconiennes, totalement anticonstitutionnelles, ainsi que des mesures d’atténuation extrêmement impopulaires, sans la moindre protestation, le moindre débat ou la moindre question de la part de leurs représentants élus.

En d’autres termes, on dirait bien que quelqu’un a passé un coup de téléphone.

Les gouvernements humains ne sont jamais d’accord sur RIEN, et encore moins sur le fait de bombarder au napalm leurs propres économies. Les Chinois se sont mis d’accord avec les Japonais. Les Vénézuéliens se sont mis d’accord avec les Grands Bahamiens, qui se sont mis d’accord avec les Cubains. Les Indiens se sont mis d’accord avec les Pakistanais. Les Italiens se sont mis d’accord avec les Français, qui se sont mis d’accord avec les Britanniques. Les Iraniens étaient d’accord avec les Israéliens. Les Grecs étaient d’accord avec tout le monde, comme TOUT LE MONDE. Même les Canadiens. [NdT. pas la Suède]

Allez quoi, sérieux.

Tout cet accord – également connu sous le nom de « coordination » – est la preuve évidente que quelque chose de plus vaste se jouait en coulisses, quelque chose en mesure de gouverner et coordonner tous les gouvernements depuis le haut. La loi dit qu’en l’absence d’explication alternative suffisante, une action coordonnée seule constitue une preuve prima facie de conspiration. Il suffit de demander à n’importe quel avocat spécialisé en droit de la concurrence ce qu’est la coordination des prix sur un marché particulier, ou de demander à un avocat spécialisé en droit du travail comment prouver des pratiques d’embauche discriminatoires.

Mais il s’est passé autre chose, quelque chose qui confirme l’hypothèse de la conspiration. Il s’agissait de quelque chose qui MANQUAIT à l’action mondiale coordonnée de 2020, l’absence de quelque chose qui aurait dû être là, et son absence constitue une preuve. En 1892, Sir Arthur Conan Doyle a expliqué ce concept élémentaire par l’intermédiaire de son célèbre détective, Sherlock Holmes, qui remarquait la signification du chien qui n’avait PAS aboyé:

Le détective Gregory de Scotland Yard: « Y a-t-il un autre point sur lequel vous souhaitez attirer mon attention? »

Sherlock Holmes: « Sur le curieux incident du chien pendant la nuit. »

Gregory: « Le chien n’a rien fait pendant la nuit. »

Holmes: « C’était ça le curieux incident. »

Qu’est-ce qui manquait en 2020? Quel chien n’a pas aboyé?

Ce qui a manqué, c’est un DÉBAT POLITIQUE sur la façon de répondre au virus. Lorsque les premières fermetures ont eu lieu, où étaient tous les législateurs, les parlements, les ministres et les délégués? Comment une décision aussi monumentale, universelle, dévastatrice pour l’économie et les frontières a-t-elle pu être prise légalement, dans le monde entier, sans qu’UN SEUL gouvernement ne vote quoi que ce soit?

Ne me dites pas que tout est arrivé trop vite. Ils peuvent convoquer des sessions d’urgence.

La « peur » est généralement proposée ensuite comme explication suffisante, mais une peur instantanée, uniforme à 100%, mondiale, qui a contourné chaque institution démocratique et chaque gouvernement critique est encore moins crédible qu’une conspiration.

Aucune nation d’importance n’a dit, vous savez quoi, nous ne faisons pas confiance aux Américains. Nous allons attendre quelques mois et voir ce qui se passe. Les Nord-Coréens ne les ont pas ignorés et n’ont pas suivi leur propre voie. Les confinements ont été l’atténuation unique qui s’est mise en place comme la dernière pièce du puzzle. Et tout ce qui s’est passé au cours des douze mois suivants s’est déroulé sans aucun débat démocratique public significatif. (Quelques nations africaines rebelles ont brièvement résisté jusqu’à ce que leurs dirigeants reçoivent la visite des Clinton). [NdT. ou jusqu’à ce que leur dirigeant meure prématurément]

Pour prouver que CERTAINES nations auraient dû agir différemment, il suffit d’examiner les États américains, qui ont fonctionné de manière relativement indépendante. Que constatons-nous? Ils n’ont pas tous confiné. Et prenez les comtés: il y en a eu encore moins à suivre le mouvement général.

Pourquoi AUCUNE nation n’a-t-elle suivi le même modèle mixte que celui que l’on a pu observer dans les états et comtés américains?

Le prétendu mécanisme de coordination a été « l’action exécutive ». Dans chaque pays. L’action exécutive semble, à toutes fins utiles, être universellement toute-puissante, c’est-à-dire que lorsqu’elle est VRAIMENT nécessaire, elle fait ce qu’elle veut. Comme par hasard, toutes les nations, sur 175 pays, ont apparemment des lois permettant une action exécutive unilatérale, qui contourne instantanément toutes les garanties démocratiques.

Et, bizarrement, chaque exécutif était d’accord avec le même plan. Apparemment. Ou, « quelqu’un » les a tous contournés ou annulés. Cela a prouvé que nos législateurs, nos parlementaires, nos délégués et nos ministres ne sont que de la poudre aux yeux, lorsque les choses se gâtent. Ce ne sont que des acteurs, qu’ils le sachent ou non.

Quelqu’un a passé un coup de téléphone.

On peut se demander qui est ce « quelqu’un » qui peut passer un coup de téléphone pour que tous les dirigeants du monde s’alignent et que le monde entier se confine. Mais d’un autre côté, on s’en fiche. À quoi ça servirait de nommer cette personne? C’est probablement quelqu’un dont on n’a de toute façon jamais entendu parler. Le fait le plus important et le plus immédiat est qu’UNE TELLE PERSONNE EXISTE.

Ce n’est pas Klaus Schwab. Ne me faites pas rire. Ce type est une blague, une caricature vivante, un pathétique homme de paille, jetable, qui n’a jamais rien accompli. C’est la version allemande de Sam Bankman-Fried. [NdT. le supposé responsable du scandale FTX]

Et je doute que ce soit un groupe. C’est arrivé trop vite. Vous pouvez spéculer autant que vous voulez sur les Illuminati, les francs-maçons, les Rothschild, les Bilderberg et les Jésuites. Comme toutes les institutions humaines, même celles-là, si elles existent, sont des organisations hiérarchiques. Ce qui signifie qu’il y a quelqu’un – une personne – au sommet. Et cette personne n’a aucune raison de sortir de l’ombre.

Je vous le demande donc, sur la base des preuves évidentes apportées par la pandémie, existe-t-il VRAIMENT encore des nations souveraines? Ou bien avons-nous pris conscience que les nations ne sont que des distractions, un spectacle de marionnettes, ne fournissant qu’une illusion distrayante d’autonomie démocratique?

L’existence de conflits militaires ne réfute pas cette hypothèse. Je suis sûr qu’on trouverait facilement une douzaine de raisons qui montreraient que la guerre par procuration en Ukraine est la distraction utile du moment, sans parler d’un moyen pratique de déplacer rapidement BEAUCOUP d’argent et de ressources.

Et si vous regardez autour de vous, vous trouverez encore davantage de preuves en faveur de ma théorie du gouvernement mondial.

Je ne suis qu’un avocat. Je ne suis pas un spécialiste de la conspiration de l’élite mondiale. Mais je pense que nous devons peut-être nous rendre à l’évidence, que l’ « Agenda 2030 » lui-même pourrait n’être qu’une distraction de plus, une distraction utile pour ne pas voir que la bataille pour la souveraineté a déjà été perdue, et que le gouvernement mondial unique que tout le monde craint est déjà là, installé et, dans une certaine mesure, aux commandes.

Si vous me suivez toujours et que vous ne pensez pas que je suis fou à lier, la question qui se pose alors est: « Très bien, Jeff, on fait quoi maintenant? ».

Un professeur japonais intente un procès au Ministère de la Santé sur la sécurité et l’efficacité des vaccins – par John Smith.

Vous vous souvenez du Pr Fukushima? Voici la suite.

Comme vous le lirez ci-dessous, le Pr Fukushima, 75 ans (ses publications et son CV) dirige un centre qui étudie les « mécanismes de la maladie […] pour fournir des médicaments qui facilitent le passage à la vieillesse ». D’un autre côté, on a des gens comme Yusuke Narita, 37 ans, professeur adjoint d’économie à l’école Ivy League, qui aimerait remettre au goût du jour une ancienne tradition, lorsqu’il déclare (ici, ici, ici) lors d’une émission d’information fin 2021:

« J’ai l’impression que la seule solution est assez claire. En fin de compte, n’est-ce pas le suicide de masse et le ‘seppuku’ de masse des personnes âgées? »

Un genre d’Attali japonais, en somme. Personnellement, je préfère la solution du Pr Fukushima.

Note: j’ai traduit le texte figurant sur les captures d’écran en dessous de celles-ci.

Source.


Un professeur japonais intente un procès au Ministère de la Santé sur la sécurité et l’efficacité des vaccins

John Smith

6 février

Masanori Fukushima (福島雅典), professeur émérite à l’université de Kyoto au Japon, a intenté un procès contre le Ministère japonais de la Santé, du Travail et des Affaires Sociales (MSTAS)[i].

https://twitter.com/ShortShort_News/status/1622224704064098304 – Cliquez sur l’image pour voir un clip de la conférence

L’action en justice réclame:

  • La divulgation de toutes les données relatives à la sécurité et à l’efficacité des vaccins covid-19, soumises par Pfizer et Moderna au MSTAS et à la PMDA (agence japonaise de réglementation des produits pharmaceutiques et des dispositifs médicaux, similaire à la FDA).
  • La divulgation complète des contrats entre le Japon et les sociétés pharmaceutiques (Pfizer, Moderna, etc.).
  • L’indemnisation des personnes blessées par les vaccins covid-19.

Le professeur Fukushima a plus de 25 ans d’expérience en tant qu’oncologue. Il est également Directeur et Président du Translational Research Informatics Center [TRI] au Japon, qui est le premier centre universitaire au Japon dédié à la transformation de la recherche médicale fondamentale en pratiques cliniques. Il s’est également impliqué dans la pharmacoépidémiologie (l’étude des interactions entre les médicaments et les populations humaines) depuis 2000.

Le professeur Fukushima, dans une récente interview japonaise, https://www.nicovideo.jp/watch/sm41745638.
Le professeur Fukushima est directeur au TRI, https://advances.tri-kobe.org/en/feature/11/from-lab-to-clinic.html.

Dossier | 4 juillet 2017
Du laboratoire à la clinique

Masanori Fukushima, directeur du TRI, affirme que l’étude des mécanismes de la maladie est la clé pour fournir des médicaments qui facilitent le passage à la vieillesse

De telles réalisations sont habituelles au TRI. L’un des plus grands organismes de recherche sous contrat du Japon, le centre basé à Kobe effectue des essais cliniques et des recherches connexes pour des clients universitaires, gouvernementaux et pharmaceutiques. L’institut a été créé en 2002, sur la base de la recherche translationnelle menée précédemment à l’université de Kyoto, afin d’aider la science japonaise à franchir la « vallée de la mort » entre le laboratoire et les applications dans le monde réel.

« Il existe un large fossé entre les modèles animaux et les maladies humaines. Mais si nous avons une compréhension approfondie du mécanisme de la maladie et des modèles de maladie, nous pouvons alors concevoir de meilleurs essais cliniques », explique le directeur du TRI, Masanori Fukushima.

Selon M. Fukushima, c’est une telle compréhension de la science fondamentale qui place la recherche clinique du TRI à un niveau différent des autres. « Notre taux de réussite est très élevé ».

L’objectif à long terme du TRI, déclare M. Fukushima, est de s’attaquer aux principales maladies qui confinent les gens dans les lits d’hôpitaux du monde entier.

« Mon objectif ainsi que celui du TRI est de vaincre les maladies complexes de mon vivant. Je suis optimiste », dit-il.

En novembre 2022, le professeur Fukushima avait déjà organisé une discussion avec d’autres médecins et professeurs, au cours de laquelle il avait condamné le MSTAS japonais pour avoir ignoré les dangers des vaccins covid-19. Le professeur Fukushima avait exigé que des enquêtes soient menées sur toutes les lésions causées par le vaccin covid-19, en procédant à une évaluation approfondie des dossiers médicaux au cas par cas. Il avait également mis en garde contre la production indéfinie de protéines de pointe par les vaccins covid-19, ainsi que contre les effets secondaires dus aux nanoparticules lipidiques.

https://rumble.com/v1yofle-japanese-professor-rebukes-ministry-of-health-dissolve-vaccine-committiee-i.html

Puis en décembre 2022, le professeur Fukushima avait déclaré dans une interview son intention de poursuivre le gouvernement japonais en raison de son refus de divulguer des informations vitales concernant l’efficacité des vaccins covid-19.

Ce qui nous amène à la situation actuelle où, le 2 février 2023, le professeur Fukushima a tenu la conférence de presse relative à son action en justice au Tribunal de District de Tokyo.

Outre les demandes de poursuites judiciaires mentionnées précédemment, il a également prévenu que d’autres poursuites pourraient être engagées si le Ministère japonais de la Santé et des Affaires Sociales ne reconnaissait pas un lien de causalité entre le vaccin et les décès associés.

Le professeur Fukushima met en doute le résultat réel des 90 000 milliards de yens dépensés par le gouvernement pour les vaccins covid-19. S’exprimant non seulement en tant que médecin et scientifique, mais aussi en tant que citoyen et contribuable, il considère qu’il est de son devoir, au nom de la nation, de comprendre l’effet réel des vaccins. Il pense que des informations surprenantes seront révélées par la divulgation des documents des entreprises de fabrication de produits pharmaceutiques. Il étudie également les mécanismes pathologiques des vaccins avec d’autres experts ainsi que les directives médicales pour le traitement des lésions dues aux vaccins[ii].

La loi japonaise prévoit déjà l’indemnisation des personnes blessées par les vaccins, aussi le professeur Fukushima soutient-il qu’elle devrait être appliquée dès maintenant. La loi japonaise sur la vaccination décrit l’étendue des prestations comme suit (traduction informatique de leur site web):

https://elaws.e-gov.go.jp/document?lawid=323AC0000000068

Chapitre V Mesures correctives pour les dommages sanitaires causés par les vaccinations de routine, etc.

(Étendue des prestations)
Article 16 Les prestations prévues par les dispositions du paragraphe 1 de l’article précédent qui sont servies en cas de maladie, d’invalidité ou de décès résultant des vaccinations de routine, etc. pour les maladies de la catégorie A ou des vaccinations temporaires pour les maladies de la catégorie B, sont énumérées dans les rubriques suivantes et sont servies aux personnes désignées dans chacune de ces rubriques
(i) Frais médicaux et allocation médicale: les personnes qui reçoivent un traitement médical pour une maladie causée par le fait d’avoir reçu une immunisation.
(ii) Pension de garde d’enfant handicapé: personnes qui prennent en charge une personne de moins de 18 ans qui est handicapée au degré spécifié par un décret ministériel du fait qu’elle a été immunisée.
(iii) Pensions d’invalidité: personnes âgées de 18 ans ou plus qui sont handicapées dans une mesure spécifiée par un décret ministériel du fait qu’elles ont été vaccinées.
(iv) Paiement forfaitaire en cas de décès: Survivants spécifiés par un décret ministériel de personnes décédées à la suite d’une vaccination.
(v) Frais de services funéraires Les personnes qui s’occupent des funérailles d’une personne décédée à la suite d’une vaccination.
(2) Les prestations visées au paragraphe 1 de l’article précédent qui doivent être versées en cas de maladie, d’invalidité ou de décès dus à l’immunisation de routine concernant les maladies de la classe B sont énumérées dans les rubriques suivantes et sont versées aux personnes indiquées dans chacune de ces rubriques.
(i) Frais médicaux et allocation médicale: les personnes qui reçoivent un traitement médical dans la mesure spécifiée par un arrêté du Cabinet en ce qui concerne une maladie causée par le fait d’avoir reçu une immunisation.
(ii) Pensions de garde d’enfants handicapés: personnes qui prennent en charge une personne de moins de 18 ans qui est handicapée au degré spécifié par un décret ministériel du fait qu’elle a été immunisée.
(iii) Pensions d’invalidité: personnes âgées de 18 ans ou plus qui sont handicapées dans une mesure spécifiée par un décret ministériel du fait qu’elles ont été vaccinées.
(iv) Pension de survivant ou somme forfaitaire de survivant: les survivants désignés par un arrêté ministériel d’une personne décédée à la suite d’une vaccination.
(v) Frais de services funéraires: Personne qui effectue des services funéraires pour une personne décédée à la suite d’une vaccination.

Vous trouverez ci-dessous la transcription d’un extrait de la conférence de presse de février 2023 relative à l’action en justice:

Professeur Fukushima: Nous avons déjà commencé à étudier les dommages causés par les vaccins, en étroite collaboration avec divers experts. C’est le premier sujet. Nous découvrirons donc par la suite ce qui se passe après la vaccination en tant que mécanisme, c’est-à-dire en tant que processus pathologique et cytologique. Vers le mois d’avril de l’année dernière, les sociétés de pathologie et de médecine légale ont déjà publié des déclarations selon lesquelles, à l’avenir, des autopsies devraient être pratiquées sur les personnes décédées après une vaccination. À l’avenir, nous devons établir de toute urgence des directives sur le type de traitement médical à fournir aux victimes de lésions dues aux vaccins, et nous devons développer des techniques de diagnostic. Compte tenu de la situation, nous nous acquitterons de ces tâches.

Encore une chose. Des autopsies pathologiques ont déjà été réalisées sur des personnes décédées après avoir reçu le vaccin. Cependant, le Ministère de la Santé ne veut toujours pas reconnaître le lien de causalité entre le vaccin et les décès. Si le Ministère de la Santé maintient cette position injustifiée, nous avons l’intention de déposer des plaintes supplémentaires en consultation avec nos avocats. Nous exigeons que le Ministère de la Santé fournisse une compensation appropriée aux victimes sur la base de la loi sur la vaccination. En d’autres termes, l’indemnisation des victimes basée sur la Loi sur la Vaccination est correctement stipulée par la loi japonaise. Il n’est donc pas nécessaire de créer une nouvelle loi pour compenser les lésions causées par les vaccins. Des scientifiques comme nous prennent des mesures responsables à tous égards pour s’assurer que les victimes des vaccins soient indemnisées.

Journaliste: Permettez-moi de vous poser quelques questions. Dans votre éditorial, professeur Fukushima, vous avez écrit deux déclarations fermes à l’intention de tous les travailleurs de la santé: un avertissement sur la sécurité des vaccins et une demande d’arrêt des vaccinations. Par exemple, les sociétés médicales sont inondées de rapports de cas de diverses maladies en plus de la myocardite et du zona dans tout le Japon. Un très grand nombre de rapports de cas, plus de 300 rapports d’experts médicaux, ont été publiés dans tout le Japon. Je considère qu’il s’agit d’une situation extraordinairement préoccupante. Quel est votre message aux professionnels de la santé?

Professeur Fukushima: Je tiens à dire très clairement une chose au Ministère de la Santé, ainsi qu’aux professionnels de la santé. Ils devraient distribuer un Manuel des Victimes de la Vaccination à toutes les personnes qui ont été vaccinées. Le Manuel des Victimes de la Vaccination est comparable au Manuel des Victimes de la Bombe Atomique qui est distribué aux survivants des bombes atomiques. Après avoir distribué le Manuel des Victimes de la Vaccination aux personnes vaccinées, les institutions médicales doivent être encouragées à assurer un suivi adéquat des personnes vaccinées. Il est nécessaire d’examiner s’il existe un lien entre la maladie et le vaccin. Des tests de biopsie devraient être effectués sur les personnes malades suspectées de maladie induite par le vaccin.

Un autre clip avec des sous-titres en anglais est disponible ici:

Références:

[i] https://twitter.com/ShortShort_News/status/1622224704064098304

[ii] https://youtube.com/watch?v=GCPaPaAEP4g 【公式】2023.2.2福島雅典教授、厚労省に対する訴訟記者会見ハイライト(en anglais avec sous-titres japonais). La conférence de presse complète en japonais est disponible sur https://nicovideo.jp/watch/so41730996