La toxicité des lots de vaccins varie systématiquement et ils sont distribués à des Américains sans méfiance par trois entreprises, affirme un chercheur – par le Dr James Hill.

Note: Il y a quelques vidéos supprimées dans les liens, malgré que l’article soit récent et mis à jour. J’ai traduit intégralement dans le texte les deux documents écrits mis en lien.

Mise à jour 31/01: Jessica Rose réfute catégoriquement le calcul de Craig Paardekoper, mentionné dans cet article, qui établit que 5% des lots sont responsables de 90% des effets adverses.

Source.


Traduction

La toxicité des lots de vaccins varie systématiquement et ils sont distribués à des Américains sans méfiance par trois entreprises, affirme un chercheur.

Une entreprise aurait effectué une étude de détermination des doses toxiques sans consentement des patients (Mis à jour le 9 janvier 2009).

James Hill, Docteur en Médecine

6 décembre 2021

Le chercheur Craig Paardekooper (Université de Kingston, Londres) affirme que les données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) américain montrent que les lots de vaccins sont séquentiellement identifiés en fonction de leur toxicité.

Vous trouverez ici des informations sur son site de suivi des lots, howbad.info.

Paardekooper affirme:

  • Le VAERS montre qu’environ 1 lot de vaccins sur 200 (~ 0,5 %) est « hautement toxique », c’est-à-dire qu’il présente un nombre élevé (1.000 à 5.000 fois le taux de référence) d’effets indésirables graves – y compris l’hospitalisation, l’invalidité et le décès – à court terme, c’est-à-dire dans les quelques jours ou semaines suivant l’injection.
  • 70 % n’ont qu’un seul effet indésirable à court terme signalé.
  • 80 % n’ont qu’un ou deux effets indésirables à court terme signalés.
  • Les lots toxiques sont distribués dans les 50 États américains.

Les données du VAERS sur la toxicité des lots peuvent être consultées sur le site http://howbad.info, du moins jusqu’à ce le système de numérotation des lots soit modifié pour en occulter les lots toxiques.

Michael Yeadon, PhD, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer:

Etude de détermination des doses à l’issue létale.

Il y a 4 à 5 séries différentes de lots … aux États-Unis qui montrent cet effet DRF [dose range finding].

Pire encore, on observe une période de latence entre chacun des lots létaux, dont le but est clairement d’établir une valeur de référence.

(TRADUCTION DU TEXTE CI-DESSUS)

Robin Monotti + Dr Mike Yeadon + Cory Morningstar

DÉPOPULATION: ÉTUDE DE POTENTIEL PAR INJECTION?
Preuve d’une ÉTUDE DE DÉTERMINATION DES DOSES pour l’obtention de résultats létaux:

Vous devez savoir que l’un de nos chercheurs assidus a remarqué il y a peu que les événements indésirables ne se produisent pas de manière aléatoire dans tous les lots et toutes les séries de vaccins produits par un fabricant donné.

Au contraire, il apparaît que seulement 5 % des lots sont associés à presque tous les décès.

Compte tenu des exigences strictes de cohérence imposées à un produit autorisé, il est absolument impossible qu’il s’agisse d’un événement fortuit.

Non: il s’agit, j’ai le regret de le dire, d’une preuve non équivoque de malfaisance.

Les nouvelles (pour moi) observations contenues dans ce document sont absolument inouïes et renversantes.

En bref, on a découvert des preuves flagrantes de ce qu’on appelle une ÉTUDE DE DÉTERMINATION DES DOSES à l’issue létale.

Il y a 4 à 5 groupes de lots/séries différents du vaccin Pfizer, déployé aux Etats-Unis, qui montrent cet effet DRF [dose range finding].

Pire encore, on observe une période de latence entre chacun des lots mortels, dont l’objectif est clairement l’établissement d’une VALEUR DE RÉFÉRENCE.

Pas besoin d’une imagination débordante pour comprendre pourquoi ce travail a été effectué.

Si vous gardiez encore le moindre doute sur l’existence ou non d’un programme de dépeuplement, cette présentation l’anéantit.

La dernière observation, qui donne froid dans le dos, est que ces trois sociétés réalisent les mêmes études macabres.

Elles opèrent de manière à ne pas se chevaucher. Lorsque la société A déploie des lots mortels, les sociétés B et C ne déploient que des lots inoffensifs.

Je vous souhaite bonne chance.

Mike

Dr Mike Yeadon

VIDEO: https://brandnewtube.com/watch/patterns-in-the-deployment-of-toxic-covid-vaccine-batches_x3LiCNOENb23dnk.html

DOCUMENT: https://rense.com/general96/toxic-01.pdf

Source: https://t.me/robinmg/12207

(TRADUCTION DU TEXTE DONT LIEN CI-DESSUS)

Déploiement systématique de Pfizer aux États-Unis

Par Craig Paardekooper

Si les différentes entreprises distribuaient systématiquement des lots à haute toxicité, les schémas de déploiement apparaîtraient confus et obscurcis si on mélange les données de toutes les entreprises.

Ainsi, au lieu de combiner toutes les données VAERS de Moderna et de Pfizer, j’ai décidé de les séparer.

Voici le résultat complet pour Pfizer seulement – qui montre les effets indésirables pour chaque lot séquentiel.

Pfizer a distribué environ 9.500 lots aux USA.

Dans le premier groupe, on trouve 12 lots hautement toxiques, apparaissant tous en étroite proximité temporelle – tous dans une gamme définie de 2.000 à 3.000 x la toxicité de base.

Dans le deuxième groupe, on trouve 3 lots hautement toxiques, apparaissant en étroite proximité temporelle, dans la gamme de 2.000 à 2.500 x la toxicité de base.

Dans le troisième groupe, on trouve 27 lots hautement toxiques, apparaissant tous en étroite proximité temporelle – tous dans la gamme définie de 1000-2000 x la toxicité de base.

Dans le quatrième groupe, on trouve 21 lots hautement toxiques, apparaissant tous en étroite proximité temporelle – tous dans la gamme définie de 100-1500 x la toxicité de base.

Si la production de lots toxiques était accidentelle, on s’attendrait à ce que leur apparition temporelle soit aléatoire et plus dispersée. La production d’un grand nombre de lots toxiques en étroite proximité temporelle montre que de tels « accidents » sont répétés des dizaines de fois, de manière séquentielle!

De plus, ces groupes de lots toxiques sont séparés par des périodes claires de lots inoffensifs – suivies par l’apparition soudaine d’un autre cluster.

Les lots toxiques sont également regroupés dans une gamme étroite de toxicité, au lieu de présenter une répartition aléatoire de la toxicité – ce qui est étrange si ces lots étaient accidentels.

Enfin, la toxicité de ces clusters diminue par étapes, linéairement au fil du temps – encore une fois, contrairement à ce qu’on pourrait attendre de la production accidentelle de lots toxiques.

Ces lots pourraient être des lots toxiques [Hot Lots] produits à dessein.

(VOIR LE GRAPHIQUE DANS LE DOCUMENT ORIGINAL)

Source: https://rense.com/general96/toxic-01.pdf

Si Paardekooper a raison, les implications sont profondes: nous pourrions être confrontés au meurtre de masse des Américains, pour qu’ils jouent sous la contrainte à la roulette russe en se faisant vacciner.

Cela justifie une enquête du Congrès, du Département de la Justice et des procureurs généraux des États.

L’analyse du VAERS de Craig Paardekooper se doit d’être reproduite ou réfutée par d’autres, y compris par des enquêteurs gouvernementaux, le plus tôt possible.

Voici la présentation vidéo de Craig Paardekooper recommandée par le Dr Yeadon:

Pardekooper: Modèles de déploiement des lots de vaccins toxiques Covid:

Paardekooper sur les codes de lot et la toxicité :

https://www.bitchute.com/video/3RtUTid1XCqi/SUPPRIMÉE

Citation :

On constate un changement frappant dans les numéros de lot utilisés dans la distribution [des vaccins] de Moderna lorsque la toxicité dépasse 1780 x. Le numéro de lot change et se termine par 20A. En dessous de cet gamme, presque tous les lots dans la gamme de toxicité de 100-1780 x ont des numéros de lot se terminant par 21A.

Comment télécharger les données VAERS vers Excel pour analyser la toxicité des lots et vérifier les conclusions de Paardekooper:

https://www.bitchute.com/video/EPQPrWBQzi6d/SUPPRIMÉE

Paardekooper :

Il semble que les effets indésirables ne soient pas aléatoires, mais qu’ils soient plutôt le produit de tests de dosage dans diverses plages de toxicité, chacune étant désignée par un code séquentiel alphanumérique particulier.

Source: https://t.me/CovidScienceLibrary/371

Moderna se sert de l’alphabet pour étiqueter les vaccins de toxicité variable, affirme Paardekooper:

https://www.bitchute.com/video/vImdZ7WsV9iW/SUPPRIMÉE

La vidéo de Paardekooper (7/12/21) affirme que les données du VAERS montrent que les décès varient selon les lots.

https://www.bitchute.com/video/OG1NLvZQ4JFu/- SUPPRIMÉE

Selon lui, les décès diminuent « de manière linéaire à mesure que la désignation alphabétique [du lot] augmente. Les lots peuvent causer de 1x [à] 7x le nombre de décès, selon leur désignation alphabétique. »

Citation:

Dans cette vidéo, je montre comment le nombre de décès par lot diminue également à mesure que la désignation alphabétique monte.

Cette vidéo démontre que –

1. Il y a différentes gammes de toxicité pour différents lots.

2. Ces gammes de toxicité sont distinctes les unes des autres.

3. Ces gammes de toxicité sont chacune étiquetées par une lettre différente de l’alphabet.

4. La toxicité diminue de façon linéaire au fur et à mesure que l’on monte dans l’alphabet.

Par conséquent, les lots peuvent causer 1x, 2x, 3x, 4x, 5x, 6x ou 7x le nombre de décès, en fonction de leur désignation alphabétique.

Moderna a étiqueté ses lots de vaccins en fonction de leur toxicité [y compris les décès].

Source: https://t.me/CovidScienceLibrary/377

La vidéo de Paardekooper (10/12/21) affirme que les données VAERS montrent que les handicaps varient selon les lots.

https://www.bitchute.com/video/C4UJNsiH82sR/SUPPRIMÉE

Citation:

La différence entre les effets indésirables d’un lot à l’autre va de 5.000 à 100, soit une différence de 50 fois. Il existe également une différence de 50x dans les taux de décès, d’invalidité et de maladie mortelle quand on compare les lots les moins nocifs aux lots les plus nocifs. Il est difficile d’attribuer une telle différence à une réduction de débit. [NdT. traduction au pif de « throttling »]

À première vue, il semble que la toxicité des lots varie considérablement.

Et le constat que chaque niveau intermédiaire de toxicité est représenté par une lettre différente de l’alphabet ne fait que renforcer les soupçons.

Le Dr Jessica Rose souligne que la séquence de numérotation des lots correspond à la date de fabrication du vaccin, et non à celle de son injection aux personnes.. Il s’agit d’une observation importante qui pourrait invalider l’hypothèse du Dr Yeadon selon laquelle « il existe une période de latence entre chacun des lots mortels ».

Néanmoins, cela n’invalide pas les conclusions de Paardekooper sur la numérotation des lots en fonction du degré de toxicité du vaccin.

L’article de Rose n’infirme pas les conclusions de Paardekooper sur la toxicité systématique des lots de vaccins.

Dans son article de décembre 2021 intitulé « Is someone staggering the more ‘toxic’ Vax Lots? » [Est-ce que quelqu’un échelonne les lots de vaccins les plus  » toxiques »?], le Dr Jessica Rose souligne, à propos des conclusions de Craig Paardekooper sur les lots toxiques du vaccin Covid, que les dates de production des lots ne correspondent pas nécessairement aux dates d’administration (injection). […]

Source.

Une équipe internationale de chercheurs indépendants affirme avoir confirmé une toxicité très variable entre les lots de vaccins américains.

Post sur Telegram de Paardekooper (12/18/21) :

Les lots qui causent le plus de problèmes chez les enfants sont les lots Pfizer de la série EW, représentés en vert ci-dessus. La série EW a une toxicité de 1.200 à 2.500. Les dossiers antérieurs montrent qu’un grand nombre de lots EW présentent cette toxicité. Pourtant les régulateurs n’ont pas mené d’enquête.

Ils détruisent la vie de ces enfants. Injecter ces toxines aux enfants leur infligera une souffrance à laquelle ils ne pourront échapper. Leurs blessures et dommages internes les feront pleurer presque continuellement et endurer une douleur permanente… piégés dans un corps devenu un enfer.

Il nous faut prendre des mesures immédiates contre ceux qui leur administrent ce fléau.

Source : https://t.me/CovidScienceLibrary/418

Selon Paardekooper, les données du VAERS indiquent que la série L de lots toxiques Moderna, déployée en janvier 2021 principalement auprès de personnes âgées prioritaires, a fait l’objet de 2.700 rapports d’événements indésirables, dont 33 décès et 27 invalidités.

Source: https://t.me/CovidScienceLibrary/409


Texte original

Vaccine batches vary systematically in toxicity and are distributed to unsuspecting Americans by three companies: researcher

James Hill, MD

Dec 6, 2021

Researcher Craig Paardekooper (Kingston University, London) claims US Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) data show vaccine batches are sequentially marked by varying toxicity.

Read here about his batch lookup site, howbad.info.

Paardekooper claims:

  • VAERS shows about 1 in 200 vaccine batches (~ 0.5%) are “highly toxic,” having a high number (1000-5000 times the baseline rate) of severe adverse reactions — including hospitalization, disability, and death — in the short term, i.e., within a few days or weeks of injection.
  • 70% have only one short-term adverse event reported.
  • 80% have only one or two short-term adverse events reported.
  • The toxic batches are distributed among all 50 US states.
  • You can look up VAERS data on batch toxicity at http://howbad.info, at least unless and until they change the batch numbering system to conceal toxic batches.

Ex-Pfizer VP and Chief Scientific Officer Michael Yeadon, PhD:

Dose range finding for lethal outcomes

There are 4-5 different sets of lots … in the US showing this DRF [dose range finding] effect.

Worse, there is a quiet period between each of the lethal batches, the purpose of which is clearly baseline establishment.

Source: https://t.me/robinmg/12207

The final, chilling observation is all three companies are doing similar, sinister studies.

They’re operating so as to not run over each other. When company A is deploying lethal batches, companies B & C are deploying only harmless batches.

Source: https://rense.com/general96/toxic-01.pdf

If Paardekooper is correct, the implications are profound: we could be facing mass murder through coercion of Americans to play Russian roulette by vaccination.

This warrants investigation by Congress, the Department of Justice, and state attorneys general.

Paardekooper‘s VAERS analysis should be replicated or refuted by others, including government investigators, as soon as possible.

Here is the video presentation by Craig Paardekooper recommended by Dr. Yeadon:

Pardekooper: Patterns of Deployment of Toxic Covid Vaccine Batches::

Paardekooper on batch codes and toxicity:

https://www.bitchute.com/video/3RtUTid1XCqi/DELETED

Quote:

There is a striking change in batch numbers for the Moderna deployment once toxicity exceeds 1780 x. The batch number changes to ending with 20A. Below this range, almost all the batches in the toxicity range of 100-1780 x have batch numbers ending with 21A.

How to download VAERS data to Excel for analyzing batch toxicity and verifying Paardekooper’s findings:

https://www.bitchute.com/video/EPQPrWBQzi6d/DELETED

Paardekooper:

It appears adverse effects are not random, but are rather the product of dosage testing within various toxic ranges, each denoted by a particular alphanumeric sequential code.

Source: https://t.me/CovidScienceLibrary/371

Moderna used the alphabet to label vaccines of varying toxicity, claims Paardekooper:

https://www.bitchute.com/video/vImdZ7WsV9iW/DELETED

Paardekooper video (12/7/21) claims VAERS data show deaths vary by batch.

https://www.bitchute.com/video/OG1NLvZQ4JFu/DELETED

He says deaths decrease “in a linear fashion as the alphabetic [batch] designation ascends. Batches can cause 1x [to] 7x the number of deaths, depending on their alphabetic designation.”

Quote:

In this video I show how number of deaths per batch also decreases as the alphabetic designation ascends.

This video demonstrates that –

1. There are different ranges of toxicity for different batches.
2. These ranges of toxicity are distinct from each other.
3. These ranges of toxicity are each labelled with a different letter of the alphabet
4. Toxicity decreases in a linear fashion as the alphabetic designation ascends

As a result, batches can cause 1x, 2x, 3x, 4x, 5x, 6x, or 7x the number of deaths, depending on their alphabetic designation.

Moderna has labelled their vaccine batches in accordance with their toxicity [including deaths].

Source: https://t.me/CovidScienceLibrary/377

Paardekooper video (12/10/21) claims VAERS data show disabilities vary by batch.

https://www.bitchute.com/video/C4UJNsiH82sR/DELETED

Quote:

The difference in adverse reactions between batches ranges from 5000 to 100, so we have a 50x difference. There is also a 50x difference in rates of death, disability, and life-threatening illness when we compare the least harmful batches to the most harmful. It is hard to attribute such a large difference to throttling.

On the face of it , it appears that the batches vary greatly in toxicity.

And the discovery that each intermediate level of toxicity is represented by a different letter of the alphabet, only raises more suspicions.

Dr. Jessica Rose points out the batch numbering sequence corresponds to date of vaccine manufacture, not of injection into people. This is an important observation that could nullify Dr. Yeadon’s assumption that “there is a quiet [time] period between each of the lethal batches.”

Nevertheless, this does not invalidate Paardekooper’s findings on batch numbering by degree of vaccine toxicity.

Rose article does not negate Paardekooper’s finding of systematic vaccine batch toxicity

Dr. Jessica Rose’s December 2021 article Is someone staggering the more ‘toxic’ Vax Lots? makes the important point about Craig Paardekooper’s findings on toxic Covid vaccine lots (batches) that batch production dates don’t necessarily correspond to administration (injection) dates. […]

Source.

An international team of independent researchers claims to have confirmed widely varying toxicity among US vaccine lots.

Paardekooper Telegram post (12/18/21):

The batches causing most problems in children are the Pfizer batches in the EW series, shown in green above. The EW series has a toxicity of 1200 to 2500. Historical records show a large number of EW batches having this toxicity. Yet the regulators failed to investigate.

They are destroying these childrens lives. Injecting these toxins into children will cause them suffering that they cannot escape from. Internal injuries and damage will leave them  crying almost continually in constant pain…trapped in a hell body.

We need to take direct action against those administering this evil.

Source: https://t.me/CovidScienceLibrary/418

Paardekooper says VAERS data indicate the Moderna L hot batch series, deployed in January 2021 primarily to prioritized older people, had 2,700 adverse event reports, including 33 deaths and 27 disabilities.

Source: https://t.me/CovidScienceLibrary/409

Abattoir Russie – par Edward Slavsquat.

Ce n’est pas parce qu’on parle des enfants qu’il faut oublier les vieux. D’ailleurs, ils ont un point commun très important: ils sont assez mal équipés pour se défendre. Les premiers comptent sur leurs parents, les deuxièmes comptent sur leurs enfants.

Deuxième article de Edward Slavsquat, où vous apprendrez à quel point ça ne se passe pas tellement mieux au-delà de l’Oural. Vous vous souvenez, « rentrez chez vous et prenez du paracétamol », le Rivotril en intraveineuse dans les maisons de repos (éternel), le Remdesivir, les respirateurs et la formule magique à l’hôpital?.. Là-bas on a d’autres méthodes, mais c’est le résultat qui compte. Comme vous le lirez, le résultat est impressionnant.

Rappelez-vous aussi nos amis Emmanuel Ezekiel et bien entendu Jacques-a-dit. Je dirais qu’il y aurait comme une tendance globale.

Source.


Traduction

Abattoir Russie

Combien de Russes ont-ils été sacrifiés sur l’autel de la santé publique?

Edward Slavsquat

19 décembre 2021

Les « zones rouges » de la Russie sont des mouroirs souillés d’excréments.

Le gouvernement russe est un disciple zélé du Culte Hermétique de la Capacité Hospitalière, la nouvelle religion ésotérique qui a conquis le monde. Le sens de la vie consiste à protéger les lits d’hôpitaux – tel est le principe central de ce culte mondial.

Mais quel genre de lits d’hôpitaux protégeons-nous, ici en Russie?

Les Russes n’ont généralement pas le droit de rendre visite à leurs proches qui croupissent dans les « zones rouges » du COVID – soi-disant pour maintenir un excellent niveau d’hygiène et empêcher toute transmission virale inutile. Nous disons « généralement » car il existe des moyens créatifs de contourner cette règle.

Par exemple, un habitant de Tomsk s’est déguisé en médecin et a réussi à accéder à l’hôpital local pour y soigner sa grand-mère criminellement négligée:

La grand-mère de Sergey a été admise à l’hôpital des maladies infectieuses le 21 octobre avec le COVID-19 et une pneumonie. Cela faisait un an qu’elle était nourrie avec des aliments liquides, son petit-fils la nourrissait avec une seringue [avant son admission à l’hôpital]. Elle a la maladie d’Alzheimer et ne peut pas marcher.

Après un certain temps, cet homme a appris par un voisin de chambre que sa parente n’était pratiquement pas prise en charge. Il a tenté de se renseigner sur son état de santé et les soins qu’elle recevait à l’hôpital, mais en vain. Sergey a alors acheté des combinaisons de protection spéciales pour les « zones rouges » des hôpitaux du COVID et s’est introduit dans le service en se faisant passer pour un médecin.

« Je suis entré dans le bâtiment et j’ai demandé où était placée cette patiente, je me suis présenté comme un thérapeute d’un autre service. Lorsque je suis entré dans le service, ma grand-mère était couverte d’urine et d’excréments. Sa bouche était couverte de vomi, un tube d’oxygène sur son front », a déclaré cet habitant de Tomsk.

« La situation dans l’hôpital est épouvantable: les femmes supplient qu’on leur donne de l’eau. J’avais l’impression d’être en prison. Un abattoir. Les médecins disent qu’ils sont surchargés, mais les salles sont à moitié vides. Pourquoi les patients sont-ils traités comme des porcs? J’ai demandé à un infirmier pourquoi il ne pouvait pas changer les sous-vêtements des patients, il m’a répondu qu’il était trop paresseux. »

Il a prodigué des soins à sa grand-mère pendant plusieurs jours avant d’être démasqué. Elle est morte, quelques jours plus tard:

Ils m’ont proposé de l’argent pour que je me taise, ou ils menaçaient de serrer la vis. J’ai refusé, la vis a été serrée, ma grand-mère est morte. […]

Sergey dit avoir été élevé par sa grand-mère. Elle a survécu à la Grande Guerre Patriotique [Deuxième Guerre Mondiale], elle était retraitée après une honorable carrière d’enseignante, et il voulait simplement lui offrir une « mort tranquille » à la maison.

Sergey a même documenté ses visites dans les « zones rouges », ce qui a fortement irrité les bienveillantes autorités sanitaires de Russie :

En guise de punition pour avoir révélé le Culte, ce résident de Tomsk a été licencié de son travail et aurait été menacé par les autorités.

La grand-mère de Sergey était couverte d’urine et d’excréments. Il dit que les couches qu’il avait apportées pour elle ont été plus tard volées.

L’hôpital en question – l’unité médicale n°2 de Tomsk – a une sacrée réputation. En juillet 2020, un rapport détaillait :

Des millions de roubles du budget régional ont été dépensés pour rééquiper l’unité médicale [pour les patients du COVID]. Il semblerait que, dotée d’un financement conséquent, l’unité médicale n°2 aurait dû assurer une maintenance décente à tous les patients atteints de coronavirus. Et qu’en est-il dans la pratique? […]

Les fenêtres sont hermétiquement fermées avec du papier, l’air ne passe que par un petit interstice dans la fenêtre, d’où s’écoule de l’eau […]. Il est très difficile, même pour une personne en bonne santé, de respirer dans de telles conditions, sans parler de celles qui ont des poumons malades […].

Selon certains médecins, on a créé dans ce service les conditions idéales pour favoriser le développement de la pneumonie chez les patients. Dans une pièce étouffante et humide, où l’air n’est pas ventilé normalement, les champignons et les moisissures ne peuvent que se développer…

Juste un cas isolé, diront certains. Pas du tout.

Des conditions presque identiques ont été constatées dans une « zone rouge » de Nizhni Novgorod:

Polina Markina (le nom de famille a été modifié. – Ndlr) a récemment enterré sa grand-mère. Les dernières photos de cette dame ont été prises dans le service COVID par sa fille.

La photo montre une vieille femme fragile aux cheveux gris, portant un masque à oxygène, allongée sous un drap sale couvert d’excréments et de taches brunes.

Les photographies ont été envoyées à un journaliste pour être publiées. Lorsque la ville a eu connaissance des violations commises dans le service COVID, l’administration de l’hôpital a restreint l’accès à la zone rouge et entrepris de menacer Markina de poursuites judiciaires.

Le drap sous lequel le patient était couché n’avait pas été changé depuis longtemps.
Draps d’hôpital en « zone rouge ».

Une femme qui a sauvé son père de la même « zone rouge » a ce témoignage à apporter :

« Il [m’]a demandé de ne plus jamais l’amener dans cet hôpital, m’a demandé à manger. Il s’est plaint de n’avoir pas été nourri ni lavé. Il était émacié, il ne pesait plus que 40kg, il m’a supplié de ne plus l’amener ici. Quand je me mise à le changer, je vis qu’il avait un gros bleu sur la cuisse droite, que son bras était meurtri ici, et qu’il avait un hématome sur la joue. Ils ont prétendu qu’il était tombé. Mon père dit qu’il a été battu, qu’on lui a injecté du phénazépam pour le faire dormir », dit Kuznetsova.

Bon, peut-être deux ou trois cas isolés? Ça n’arrive pas ailleurs, ne vous inquiétez pas.

Les patients à Nizhny Novgorod se plaignent de la présence de crasse et d’insectes dans les salles de l’hôpital.

En Russie, il est courant que les proches fournissent des pansements et autres produits de première nécessité aux membres de la famille hospitalisés. Que se passe-t-il alors lorsque l’on leur interdit de rendre visite à des proches qui ne sont pas en mesure de prendre soin d’eux-mêmes? Il semble que nous ayons la réponse.

Ensuite, il y a la simple question des priorités budgétaires. Sans surprise, une décennie d’austérité néolibérale a mis à mal le système de santé russe:

« Le problème dans son ensemble n’est pas lié au COVID », affirme le coprésident du syndicat médical Andrei Konoval. « On a tout simplement détruit la catégorie des travailleurs juniors du personnel médical ».

« À la veille de la pandémie, de 2013 à 2019, leur nombre en Russie a diminué de 64% – de 687 à 265 mille. Ce sont les données de Rosstat. Les réductions viennent de la réforme des soins de santé et de l’application des décrets présidentiels en mai. »

Même à Moscou, les autorités ont ouvertement admis qu’un très grand nombre de décès dans les « zones rouges » sont causés par des « surinfections » transmises dans les hôpitaux. Nous avons exploré ce sujet en détail ici:

L’horrible vérité sur les services du COVID en Russie

Zéro transparence et beaucoup d’infections nosocomiales

RT a publié un autre de ses articles classiques « Question More » sur la campagne de plus en plus coercitive, dépravée et inhumaine menée par la Russie pour injecter un médicament expérimental à chaque homme, femme et enfant du pays (oui, c’est le projet annoncé):

[…]

Une intox monstrueuse

Fin novembre, les médecins en chef de 11 hôpitaux COVID de Russie ont signé une lettre appelant les législateurs, les célébrités et les militants « anti-vax » à visiter leurs « zones rouges » afin qu’ils puissent voir de leurs propres yeux les horreurs du coronavirus.

Le député de la Douma, Yakov Sidorov, a répondu à l’invitation en exhortant ces saints de la médecine moderne à faire une excursion dans les régions Trans-Oural [NdT. principalement en Sibérie].

« Le début de la maladie ne date pas du COVID, mais de Russie Unie. », a déclaré M. Sidorov. « Si vous êtes un homme de principe, venez nous rendre visite ici et vous constaterez que les hôpitaux, les villages, les pharmacies y agonisent. »

Intéressante note complémentaire: la schizoïde en chef de RT, Margarita Simonyan, serait l’auteur de la lettre sur la « zone rouge ». Elle le nie mais déclare qu’elle aurait été honorée d’écrire cette lettre. En d’autres termes, elle l’a bel et bien écrite.

« Question more »

On ne recule devant aucune dépense pour la santé publique

Au début du mois, le président russe Vladimir Poutine a signé le budget fédéral pour 2022-24, qui prévoit des coupes dans les soins de santé et les programmes sociaux.

Comme le rapportait le site finanz.ru le 7 décembre :

Au total, le budget permettra d' »économiser » 640 milliards de roubles (8,6 milliards de dollars) sur les soins de santé, ainsi que sur le soutien économique et social des citoyens. Le gouvernement prévoit de consacrer la quasi-totalité de cette somme à une forte augmentation du financement des forces de l’ordre.

C’est un peu difficile à comprendre. Alors que le gouvernement russe adopte prestement des mesures de « santé publique » radicales et transformatrices de civilisation, il a été décidé de… réduire les dépenses de santé ? Pourquoi, exactement?

« C’est par le biais du budget que nous tentons d’aider les gens à résoudre leurs problèmes », a déclaré fin novembre Vyacheslav Volodin, président de la Douma d’État.

La décision de réduire les dépenses de santé à un moment comme celui-ci – où la société a été réorganisée pour protéger la santé publique, quel qu’en soit le coût – est bien sûr assez scandaleuse.

Mais quand on examine les chiffres, on se rend compte que la Russie a doublé ses dépenses de santé entre 2019 et 2020.

Dépenses fédérales de santé depuis 2011.

Où est allé tout cet argent ? Sûrement pas dans les « zones rouges » de la Russie.

En réalité, nous ne pouvons pas reprocher au gouvernement russe de réduire les dépenses de santé: il y a désormais beaucoup, beaucoup moins de Russes âgés à prendre en charge. Vingt-six pour cent des Russes qui ont vécu la Grande Guerre Patriotique sont morts au cours de l’année et demie écoulée – soit plus de 310.000 personnes.

Du jamais vu.

Ce chiffre est absolument inouï si on le compare aux années précédentes.

Encore une fois, où est passé l’argent?

Combien de Russes ont-ils été sacrifiés sur l’autel de la santé publique ?

Vous n’aimeriez pas entendre la réponse.


Texte original

Slaughterhouse Russia

How many Russians have been sacrificed on the altar of Public Health?

Edward Slavsquat

Dec 19, 2021

Russia’s “red zones” are feces-stained deathtraps

The Russian government is a zealous disciple of the Hermetic Cult of Hospital Capacity, the new esoteric religion that has conquered the world. The meaning of life is to protect hospital beds—this is the central tenet of the global cult.

But what kind of hospital beds are we protecting, here in Russia?

Russians are generally barred from visiting loved ones languishing in COVID “red zones”—ostensibly in order to maintain excellent sanitation and prevent unnecessary viral transmission. We say “generally” because there are creative ways to bypass this rule.

For example, a man from Tomsk dressed up as a doctor and talked his way into a local hospital so he could take care of his criminally neglected grandmother:

Sergey’s grandmother was admitted to the infectious diseases hospital on October 21 with COVID-19 and pneumonia. The woman has been living on liquid food for a year now, her grandson had been feeding her from a syringe [before she was admitted to the hospital]. She has Alzheimer’s and can’t walk.

After some time, the man learned from a roommate that his relative was practically not looked after. He tried to find out about her condition and care in the hospital, but nothing came of it. Then Sergey bought special protective suits for the “red zones” of COVID hospitals and made his way into the department, posing as a doctor.

“I went into the building and asked where this patient was lying, introduced myself as a therapist from another department. When I entered the ward, my grandmother was covered in urine and feces. Her mouth was covered in vomit, an oxygen tube on her forehead,” said the Tomsk resident.

“The situation in the hospital is terrible: women are asking for water. I had the feeling that I was in jail. A slaughterhouse. The doctors say they are overloaded, but the wards are half empty. Why are patients treated like pigs? I asked one nurse why he could not change the patients’ underwear, he replied that he was too lazy.”

He provided care to his grandmother for several days before he was found out. She died a few days later:

They offered me money so that I would shut up, or they would tighten the screws. I refused, the screws were tightened, my grandmother died. […]

Sergey said that he was raised by his grandmother. She survived the Great Patriotic War [WWII], she was a pensioner and an honored teacher, and he just wanted a “quiet death” for her at home.

Sergey even documented his “red zone” visits, which greatly angered Russia’s benevolent public health authorities:

As punishment for exposing the Cult, the Tomsk resident was fired from his job and was reportedly threatened by authorities.

Sergey’s grandmother was covered in urine and feces. He said the diapers he brought for her were later stolen

The hospital in question—Tomsk’s Medical Unit No. 2—has quite a reputation. In July 2020, a report detailed:

[M]illions of rubles were spent from the regional budget to re-equip the medical unit [for COVID patients]. It would seem that, having good funding, Medical Unit No. 2 should have provided decent maintenance for all patients with coronavirus. And what is in practice? […]

The windows are tightly sealed with paper, the air only breaks through a small gap in the window, from which water drips… It is very difficult for even a healthy person to breathe in such conditions, let alone those who have diseased lungs…

According to some doctors, ideal conditions have been created in this ward for the development of pneumonia in patients. In a stuffy and damp room, where there is no normal ventilation of the air, fungus and mold are bound to grow

Just an isolated case, some might say. Not so.

Nearly identical conditions were discovered at a “red zone” in Nizhny Novgorod:

Polina Markina (surname has been changed. – Ed. ) recently buried her grandmother. The last pictures of the woman were taken in the COVID ward by her daughter.

The photograph shows a fragile gray-haired old woman in an oxygen mask, lying under a dirty sheet with feces and brown spots.

The photographs were sent to a journalist for publication. When the city became aware of violations at the COVID ward, the hospital administration restricted access to the red zone, and they began to threaten Markina with legal action.

“Red zone” hospital sheets

A woman who rescued her father from the same “red zone” had this story to tell:

He asked him never to bring him to this hospital again, asked for food. He complained that he was not fed or washed. He was emaciated, he was size 40, he begged me not to bring him here anymore. When I began to change his clothes, he had a big bruise on his right thigh, his arm was bruised here, and he had a hematoma on his cheek. They said he fell. My dad says he was beaten, he was injected with phenazepam so that he could sleep,” says Kuznetsova.

Okay, maybe two or three isolated cases? This is not happening anywhere else though, don’t worry.

In Russia, it’s common for relatives to provide bandages and other necessities for hospitalized family members. So what happens when you are barred from visiting relatives who are not able to take care of themselves? It seems we have the answer.

Then there’s the simple matter of budgetary priorities. Unsurprisingly, a decade of neoliberal austerity has damaged Russia’s healthcare system:

“The problem as a whole is not related to COVID,” says the co-chairman of the medical trade union Andrei Konoval. “We have simply destroyed junior medical personnel as a category of workers.”

“On the eve of the pandemic, from 2013 to 2019, their number in Russia decreased by 64%—from 687 to 265 thousand. This is Rosstat data. The cuts were related to health care reform and the implementation of presidential decrees in May.”

Even in Moscow, authorities have openly admitted that a very large number of “red zone” deaths are caused by hospital-transmitted “superinfections.” We explored this topic at length here:

The ugly truth about Russia’s COVID wards

Zero transparency and lots of nosocomial infections

RT has churned out another classic Question More think-piece about Russia’s increasingly coercive, depraved and inhumane campaign to inject an experimental drug into every man, woman and child in the country (yes, that is the stated plan)

[…]

Monstrous gaslighting

At the end of November, the chief doctors of 11 COVID hospitals across Russia signed a letter calling on so-called “anti-vax” lawmakers, celebrities and activists to tour their “red zones” so that they could see the horrors of coronavirus with their own eyes.

Duma deputy Yakov Sidorov responded to the invitation by urging these saints of modern medicine to take an excursion to the Trans-Urals.

“Our virus began not with COVID, but with United Russia,” Sidorov said. “If you are a man of principle, come to us here and see how hospitals, villages, pharmacies are dying here.”

Interesting side note: RT’s schizoid-in-chief, Margarita Simonyan, is rumored to be the author of the “red zone” letter. She denies it but said she would have been honored to pen the letter. In other words, she definitely wrote it.

Question more.

No expense spared for public health

Earlier this month, Russian President Vladimir Putin signed off on the federal budget for 2022-24, which calls for cuts to healthcare and social programs.

As finanz.ru reported on December 7:

In total, the budget will “save” 640 billion rubles ($8.6 billion) on healthcare, as well as economic and social support of citizens. The government plans to spend almost the entire amount on a sharp increase in funding for law enforcement agencies.

This is a bit of a head-scratcher. At a time when the Russian government is rapidly adopting radical, civilization-transforming “public health” measures, it has been decided to… cut healthcare spending? Why, exactly?

“It is through the budget that we are looking for an opportunity to help people solve problems,” State Duma Speaker Vyacheslav Volodin said at the end of November.

The decision to reel in healthcare spending at a time like this—when society has been reorganized to protect Public Health, no matter the cost—is of course rather scandalous.

But then, when you look at the numbers, you realize Russia doubled healthcare spending between 2019-2020.

Federal healthcare spending since 2011

Where did all of this money go? Surely not to Russia’s “red zones.”

In truth, we can’t blame the Russian government for reducing healthcare spending: there are now far, far fewer elderly Russians to care for. Twenty-six percent of Russians who lived through the Great Patriotic War have died over the past year-and-a-half—more than 310,000 people.

Unprecedented

This is absolutely unprecedented when compared to previous years.

Again, where did the money go?

How many Russians have been sacrificed on the altar of Public Health?

You don’t want to know.

Parents.

« Nous sommes, en somme,
« Femmes, enfants et hommes,
« Nous sommes, en somme,
« Les sauveurs du matin. »

Guy Béart – « Qui suis-je? » (nouveau couplet)

Australie

June Mills, la dame aborigène mentionnée dans cet article, lance un nouvel appel à l’aide. Elle dit ceci dans cette vidéo:

« Nous sommes en état d’urgence, vraiment. On est en situation de crise. Nous faisons face à une tyrannie et à un acte de guerre contre notre peuple. […] Je suis submergée d’appels de la communauté et je reçois des mises à jour en ce moment même. Des enfants sont maintenus et vaccinés contre leur gré. »

« We’re in a state of emergency, really. This is a crisis situation here. It’s a tyranny and an act of war against our people. […] I’m getting inundated with calls from the community and getting updates as we speak. Children are being held and vaccinated against their will. »

Canada

Autre pays membre des Five Eyes, le Canada.

Voici une question de Rick Nicholls, Membre du Parlement Provincial de l’Ontario, au Ministre de la Santé, Christine Elliot:

Rick Nicholls : À la fin de l’année dernière, ma fille attendait son premier enfant. Au départ, les médecins avaient recommandé aux femmes enceintes de ne pas se faire vacciner. Comme tout père se devait de le faire, je lui ai dit de ne pas se faire vacciner et elle a obtempéré. Heureusement, le jour de la Saint-Valentin, elle a donné naissance à une petite fille en bonne santé, Shayla. J’ai versé des larmes de joie.

« Mais quelques mois plus tard, les médecins ont déclaré qu’il était permis de se faire vacciner pendant la grossesse. Quels tests avaient été effectués pour garantir la sécurité de la mère et de son bébé à naître?

« Mais aujourd’hui, Madame la Ministre, je verse des larmes de chagrin. Dans la région de Waterloo, 86 naissances d’enfants mort-nés ont eu lieu entre janvier et juillet. Normalement, le taux est d’environ une mortinatalité tous les deux mois. Mais voici le hic, les mères des bébés mort-nés étaient entièrement vaccinées, et vous avez clairement affirmé à de nombreuses reprises que les vaccins sont sûrs.

« Que dites-vous aux médecins qui ont dit aux femmes enceintes qu’elles pouvaient se faire vacciner? Et que devraient-ils dire aux mères qui accouchent d’un bébé mort-né? »

Christine Elliot : Tout d’abord, félicitations à vous, pour la naissance de votre petit enfant. C’est une merveilleuse nouvelle, mais c’est également sûr. Il a été testé, nous recommandons que les femmes enceintes reçoivent le vaccin pour leur propre protection et celle de leur bébé. Et cela a été prouvé, cela a été accepté par Santé Canada, par l’Organisation Mondiale de la Santé, par la FDA. Et c’est quelque chose que nous voulons nous assurer que nous pouvons protéger tout le monde. Les femmes qui sont enceintes, il est tout à fait sûr et recommandé qu’elles reçoivent le vaccin pour elles-mêmes, pour la sécurité de leurs proches et pour la sécurité de leur communauté. »

Rick Nicholls : Late last year, my daughter was expecting her first child. Initially doctors had recommended against expecting women to get vaccinated. As any dad should do, I told her not to get the vaccine and she complied. Thankfully on Valentine’s Day, she gave birth to a healthy baby girl, Shayla. I shed tears of joy.

« But a few months later, doctors said it’s okay to get the vaccine while pregnant. What testing had been done to ensure the safety of both the mother and her unborn baby?

« But now Minister, I shed tears of sorrow. In the Waterloo area, 86 stillbirths have occurred from January to July. Normally it’s roughly one stillbirth every two months. But here’s the kicker, mothers of stillbirth babies were fully vaccinated, and you have clearly said on numerous occasions that the vaccines are safe.

« What do you say to the doctors who told expecting women it was okay to get fully vaccinated? And what should they tell the mothers who deliver a stillborn baby?”

Christine Elliot : First of all, congratulations to you, for the birth of your grandchild. That is wonderful news but it is also safe. It’s been tested, we are recommending that women who are pregnant do receive the vaccine for the protection of themselves, protection of their baby as well. And that has been proven, it has been accepted by Health Canada, by the World Health Organisation, by the FDA. And this is something that we wanna make sure that we can protect everyone. Women who are pregnant, it’s entirely safe and recommended for them to receive the vaccine for themselves, the safety of their loved ones and the safety of their community.”

La vidéo originale figure également sur Health Impact News et sur The Covid World, où on trouve également ceci:

« Mon petit fils est mort-né à l’hôpital de Vancouver à 8 mois et demi de grossesse. Ma fille a reçu ce foutu poison il y a un mois parce qu’elle ne pouvait plus aller au restaurant et parce que les gens pétaient les plombs parce qu’elle n’était pas vaccinée. Je veux trainer le gouvernement en justice… »

Voici ce qu’en dit le Dr Hodkinson dans cette interview (10’36 – 12’11):

« Il se passe des choses extrêmement graves. Et bien sûr, par rapport aux enfants, une de mes plus grandes motivations en ce moment. C’est l’agression menée contre les enfants. Je le formule ainsi, en fixant le politicien droit dans les yeux:

« En est-on vraiment arrivés là? En est-on vraiment arrivé là? Vous proposez de sacrifier les enfants pour apaiser les nouveaux dieux dont vous prétendez faire partie. En est-on vraiment arrivé là? Parce que, je vais vous dire quelque chose, Monsieur le Ministre, ça n’a pas marché pour les Aztèques qui voulaient faire tomber la pluie, et ce n’est pas en sacrifiant des enfants que vous protégerez Mamie dans sa maison de retraite. Comment osez-vous sacrifier nos enfants? Ils ne courent aucun danger. S’ils l’attrapent, ça ne sera qu’un simple rhume et vous proposez de leur injecter une toxine dont on sait qu’elle tuera un certain nombre d’entre eux. Comment osez-vous faire ça et comment osez-vous organiser des cliniques d’injection, injection, injection dans les écoles où il n’y a aucune possibilité de consentement éclairé et où les parents sont mis sur la touche? Comment osez-vous faire ça?

« Ce n’est rien de moins qu’un meurtre sanctionné par l’État et vous en serez tenus responsables. Faites attention, nous viendrons vous chercher. Vous n’êtes pas à l’abri de poursuites judiciaires. Il y aura du sang dans le caniveau quand nous en aurons fini avec vous. Faites attention. »

« The most offensive things are happening. Also of course, with children, which is one of my biggest motivators right now. It’s the attack on the children. I phrase it like this, looking straight in the politician’s face:

« Has it really come to this? Has it really come to this? You’re proposing child sacrifice to appease the new gods of which you claim to be one. Has it really come to this? Because let me tell you something Mr Minister, it didn’t work for the Aztecs to make the rain fall, and sacrificing kids will not protect Granny in the nursing home. How dare you sacrifice our kids? They’re not at risk. If they get it, it’s like a trivial cold and you propose to inject them with a toxin that is known to kill a certain number of them. How dare you do that and how dare you have these jab, jab, jab, jab, jab clinics in the schools where there’s no possiblity of informed consent and the parents are sidelined? How dare you do that?

« It’s state-sanctioned murder and you will be held responsible. Watch out, we are coming for you. You are not immune from prosecution. There will be blood in the gutter when we’re done with you. Watch out. »

Le Dr Hodkinson est un brave homme, un peu naïf. Il attend le salut d’un certain Donald Trump, celui qui s’est chargé de vendre l’opération Warp Speed de production de « vaccins », et se joint maintenant à son « adversaire » Joe Biden pour faire la promotion de ceux-ci. Le Dr Hodkinson compte aussi sur les tribunaux pour règler cette affaire, tout comme cette grand-mère dont le gouvernement et les firmes pharmaceutiques ont tué le petit-fils dans le ventre de sa fille et qui veut pour ça les assigner en justice. Comme vous le lirez dans un prochain article, Maître Fuellmich vous dira que c’est totalement inutile.

Quant à la Ministre Christine Elliott, qui perd soudainement l’usage de sa langue natale, elle ne fait pas que mentir sur absolument tout ce qu’elle dit, elle fait comme si aucune question n’avait été posée. Selon les mathématiques de ses maîtres:

86 = 0.

Et 3.010 = 0.

Et 34.337 = 0.

Et 388.000 = 0.

Et 8.000.000.000 = 0.

Pour ses maîtres, morts-nés, myocardites, etc. sont de simples variables d’ajustement. Ils ne reconnaissent que leurs chiffres – leur seul langage tout au long de cette « crise », brandis comme des sortilèges de leur Kabbalisme et de leur numérologie. Nous sommes les dommages collatéraux à leur équation.

Nous avons toujours été, nous sommes et nous resterons, zéro.


On cite beaucoup « 1984 » d’Orwell mais il a écrit un ouvrage, « Hommage à la Catalogne », dont certains passages méritent tout autant d’être cités. Mon exemplaire ayant été détruit dans l’inondation, je cite de mémoire un passage qui m’avait marqué. Orwell fait le récit de la capture de soldats ennemis – du camp fasciste – et souligne le peu de différence qu’il voit entre eux et ceux de son camp. Ce sont généralement des gens simples, pour ne pas dire des pauvres types, incapables de dire pour quoi et surtout pour qui ils combattent. C’est tout le problème qui se pose maintenant et qui va se poser avec encore plus d’urgence dans l’avenir proche: la division et le mélange des factions au sein des pays, des communautés et même des familles. C’est le grand piège.

Les pourcentages des effectifs de cette guerre sont à peu près ce que le Pr Desmet donne dans son explication (ici et ici): 30/40/30. A la louche, trente pour cent de petits soldats hypnotisés, quarante pour cent d’indécis entre collaboration et résistance et trente pour cent de résistants. Comme l’indique Orwell, il existe très peu de différences entre ces trois factions. On entend des récits où deux ou trois de ces factions sont présentes au sein de familles, voire de couples, sans que ça engendre de conflit majeur.

La question se pose donc de déterminer sur quel front devrait ou pourrait se mener une lutte décisive, ce qui rend cette guerre très compliquée et l’équation très complexe – volontairement. Pour être opérable, il faudrait la simplifier. Le facteur de simplification pourrait bien être les enfants. Les concepteurs de cette guerre le savent, c’est pourquoi ils mettent en place des facteurs de mitigation ou selon l’expression anglaise, du damage control: notamment une campagne d' » information  » sur la fréquence des crises cardiaques et autres accidents vasculaires dans cette tranche d’âge (virtuellement inexistants avant 2021).

Ils savent: il vaut mieux ne jamais s’en prendre aux enfants. C’est la faute qui n’est jamais pardonnée. Celui qui s’en prend aux enfants a déjà perdu la guerre. Celui qui s’en prend aux enfants aura affaire à leurs parents. C’est une loi naturelle. Les millions qui défilent dans la rue, partout, sont des parents. Ceux de leurs enfants, et les enfants des leurs. Les élites comptent sur leurs armées pour les arrêter: armées nationales – toujours aux ordres pour l’instant mais pour combien de temps? – armée de l’ONU, services de sécurité de l’OTAN et des institutions européennes et bien entendu les omniprésents services secrets, cités comme rouages présumés d’un gigantesque et tentaculaire réseau global d’enlèvement d’enfants qui alimente le réseau de trafic d’organes, d’esclavage sexuel et de sacrifices rituels – outils de pression sur le pouvoir politique, garants du bien-être et source de distraction pour le petit cercle des VIP’s de l’élite. Bref, l’armée idéale.

Si le présent niveau de cynisme et de violence institutionnelle ne suffit pas à nous subjuguer, après la diffusion de la protéine de pointe militarisée, les injections comme mécanisme de surveillance et leurs effets « secondaires » (résurgence de maladies latentes, pathologies sanguines, stérilisation, etc., voir les multiples publications sur ce blog et une liste notamment ici et ici), ils comptent nous arrêter avec leurs catastrophes climatiques à l’arme de géoingénierie (article en préparation), les pénuries, la misère et la famine, en s’amusant probablement – selon leur sens de l’humour très particulier – à l’idée que nous finirons peut-être par manger nos propres enfants. Et si ça ne suffit toujours pas, ils comptent sur la variole.

Ils comptent sur tout ça pour nous arrêter, mais ce ne sont pas eux qui nous arrêtent.

Les seuls qui nous arrêtent, c’est nous.

L’histoire de Jésus prend une tournure différente après les événements de ces deux dernières années – par Toby Rogers.

Je comptais développer deux thèmes dans mes prochains articles, dont celui du Massacre des Innocents, en revenant notamment sur le sacrifice rituel d’enfants organisé lors du concert de Travis Scott le 5 novembre dernier – article encore en préparation. Mon article ici est également sur ce thème.

Toby Rogers (que je publie abondamment) aborde ici le sujet sous l’angle biblique, qu’il maîtrise très bien, ce qui l’introduit bien mieux que je ne pourrais le faire.


Traduction

L’histoire de Jésus prend une tournure différente après les événements de ces deux dernières années

Fauci est un roi Hérode des temps modernes qui massacre les innocents pour s’accrocher au pouvoir

Toby Rogers

17 décembre

Quelles que soient vos croyances religieuses, l’histoire biblique de Jésus est remarquablement contemporaine. Dans l’Évangile de Matthieu, un simple décret gouvernemental (un recensement!) se transforme rapidement en infanticide, car un roi corrompu craint d’être renversé par les paysans. Enfant, en entendant cette histoire, j’ai pensé qu’elle était extrême, désuète et sans équivalent. Aujourd’hui, j’ai l’impression que cette histoire a été écrite hier et qu’elle décrit notre gouvernement actuel. J’en suis venu à considérer l’histoire de Jésus comme une méditation sur la condition humaine et un avertissement sur les faiblesses humaines universelles – la soif de pouvoir, la tendance à la corruption et le penchant pour la violence. Ceci n’est pas un article religieux en soi. Il porte plutôt sur la façon dont les perspectives peuvent évoluer avec le temps et l’expérience.

Mon père était un pasteur presbytérien ordonné et un professeur de théologie dans un séminaire protestant. Chaque veille de Noël, avant que nous n’ouvrions les cadeaux, il nous lisait trois histoires – le récit biblique de la naissance de Jésus (généralement l’Évangile de Luc), The Second Coming de William Butler Yeats, et For the Time Being de W. H. Auden.

Mon père est décédé en 2016, alors je suis resté en Australie pour Noël, à travailler sur ma thèse de doctorat sur L’Economie Politique de l’Autisme. À mon retour aux États-Unis en 2018, la question s’est posée de savoir qui allait lire les trois histoires à Noël. Le moment venu, mes frères et moi nous les sommes réparties et j’ai eu droit au poème de Yeats. Mais je n’ai pas pu le lire jusqu’au bout, j’en savais alors beaucoup trop sur le fonctionnement du monde et chaque ligne de ce poème (qui avait été écrit au lendemain de la Première Guerre mondiale) résonnait en moi.

Ce Noël, après deux ans de pandémocide mondial commandité par l’État, je n’ai réussi à lire aucune des histoires à voix haute. L’histoire de Jésus en particulier m’a complètement anéanti, car j’ai l’impression que nous vivons cette histoire au quotidien.

En ce temps-là, César Auguste avait décrété qu’il fallait recenser l’ensemble du monde romain. (Luc 2:1)

Oh cool, un recensement ! Mais qu’est-ce qui pourrait bien mal tourner?

Joseph aussi monta de la ville de Nazareth en Galilée pour se rendre en Judée, à Bethléem, la ville de David, car il appartenait à la maison et à la lignée de David. Il s’y rendit pour se faire inscrire en compagnie de Marie, qui s’était engagée à l’épouser et qui attendait un enfant. Tandis qu’ils étaient là, l’heure de la naissance arriva et Marie donna naissance à son premier-né, un fils. Elle l’enveloppa dans des langes et le plaça dans une crèche, car il n’y avait pas de place pour eux dans l’auberge (Luc 2:4-7).

Pourquoi le gouvernement oblige-t-il une femme très enceinte à voyager juste pour être comptée? Ça fait penser à une manoeuvre faite à la hâte. Une culture entière bâtie sur la notion d’hospitalité et personne à l’auberge n’était prêt à faire une place à cette femme très enceinte!?

(Je passe maintenant au récit de Matthieu 2:13-18 qui documente les actions du roi Hérode).

La fuite en Égypte

Lorsque les mages furent partis, un ange du Seigneur apparut en rêve à Joseph. « Lève-toi, lui dit-il, prends l’enfant et sa mère et fuis en Égypte. Reste-y jusqu’à ce que je te le dise, car Hérode va chercher l’enfant pour le tuer. »

Il se leva donc, prit l’enfant et sa mère pendant la nuit et partit pour l’Égypte, où il resta jusqu’à la mort d’Hérode. Ainsi s’accomplit ce que le Seigneur avait dit par le prophète : « J’ai appelé mon fils hors d’Égypte. »

Lorsque Hérode se rendit compte qu’il avait été trompé par les mages, il devint furieux et donna l’ordre de tuer tous les garçons de Bethléem et des environs qui avaient deux ans ou moins, conformément à la date qu’il avait apprise des mages.

Ainsi, deux jours après que Marie a donné naissance à Jésus dans une étable, toute la famille doit fuir au milieu de la nuit pour échapper à un infanticide d’État. Et trois jours après la naissance de Jésus, le roi Hérode se déchaîne et massacre tous les garçons de moins de deux ans de Bethléem et de ses environs.

Lorsque l’État de Californie a proposé la loi SB 277 en 2015 pour supprimer l’exemption de croyance personnelle au calendrier vaccinal pléthorique des CDC, les parents ont averti que cela entraînerait une augmentation du taux d’autisme et ferait fuir les familles de l’État. Les démocrates ont répondu qu’ils s’en fichaient, ont adopté le projet de loi de toute façon, et les deux catastrophes se sont produites exactement comme nous l’avions prédit (les taux d’autisme sont montés en flèche et il y a eu un exode des familles de Californie).

Lorsque l’État de Californie a proposé le SB 276 en 2019, pour supprimer toutes les exemptions médicales au calendrier vaccinal pléthorique des CDC, nous avons expliqué que le projet de loi violait le code de Nuremberg, la Déclaration d’Helsinki, la Constitution des États-Unis, le serment d’Hippocrate et les normes standard de la science et de la médecine. Les démocrates ont répondu qu’ils s’en fichaient et l’ont quand même adopté. L’industrie pharmaceutique a présenté des projets de loi similaires dans les 50 États américains.

Il était clair que le génocide battait son plein – Pharma essayant de vacciner 100% de la population pour éliminer le groupe de contrôle et ainsi cacher les preuves de leurs crimes contre l’humanité.

Je connais au moins dix familles qui ont dû fuir la Californie pour échapper à cet infanticide parrainé par l’État. En vertu des obligations vaccinales COVID, les familles fuient la tyrannie du gouvernement dans tous les États bleus et s’installent dans les États rouges.

Les actions d’Hérode il y a 2000 ans semblent insensées. Pourquoi un roi assassinerait-il tous les garçons de moins de deux ans de la région? Comment les enfants pouvaient-ils être considérés comme une menace pour le pouvoir?

Maintenant, après avoir observé Fauci agir pendant les 37 dernières années et avoir vu la société bourgeoise occulter le génocide des enfants (en particulier des garçons) à partir de la loi de 1986, je constate que le génocide/infanticide/démocide ne sont que quelques-unes des méthodes que pratiquent les gouvernements corrompus afin de rester au pouvoir. Ils semblent savoir que le peuple les hait et qu’ils méritent d’être renversés. Ils recourent donc à une violence extrême, soutenue par l’État, pour s’accrocher au pouvoir – dans l’espoir de gagner la course contre le temps et de mourir avant d’être traduits en justice.

L’une des plus grandes leçons de toute cette pandémie a été pour moi de comprendre que l’État n’est pas notre ami. Il ne se « soucie » pas de nous. L’État existe pour se reproduire et reproduire les hiérarchies existantes dans la société. Il en a toujours été ainsi. L’État est apparemment prêt à tout pour rester au pouvoir. La différence entre le roi Hérode et Fauci est que Fauci a considérablement plus de pouvoir et que Fauci a tué beaucoup plus de gens au cours de ses 37 ans de règne de terreur.

Sous cet angle, l’histoire de Jésus semble d’autant plus remarquable et instructive. Un homme sans argent, rejeté par la société – tous ses amis sont des marginaux – fait trembler les gouvernements (encore aujourd’hui) parce qu’il a l’audace de dire la vérité. Nous pouvons nous inspirer du fait que de dire la vérité suffit à renverser les empires mondiaux les plus puissants. Je pense qu’il est grand temps pour nous de commencer à renverser les tables des grands prêtres en blouse blanche corrompus de notre époque.

Bénédictions à tous les guerriers de la vérité ! 🙏


Texte original

The Jesus story hits different after the events of the last two years

Fauci is a modern-day King Herod massacring the innocents in order to hold onto power.

Toby Rogers

Dec 27


Regardless of your religious beliefs, the Biblical story of Jesus is remarkably contemporary. In the Gospel of Matthew, a simple government mandate (a census!) quickly descends into infanticide as a corrupt King fears overthrow by the peasants. Hearing the story as a child I thought it was over the top, antiquated, and unique. Now it feels like the story was written yesterday and is describing our current government. I’ve come to see the Jesus story as a meditation on the human condition and a warning about universal human flaws — a lust for power, a tendency for corruption, and a penchant for violence. This is not a religious post per se. Rather it’s about how perspectives change with time and experience.


My dad was an ordained Presbyterian minister and a professor of theology at a Protestant seminary. Every Christmas eve, before we opened presents, he would read to us three stories — the Biblical account of the birth of Jesus (usually the Gospel of Luke), The Second Coming by William Butler Yeats, and For the Time Being by W. H. Auden.

My dad passed away in 2016 so I just stayed in Australia for Christmas working on my doctoral thesis on The Political Economy of Autism. Upon returning to the U.S. in 2018, the question became who would read the three stories at Christmas? When the time came, my brothers and I divided them up and I got the poem by Yeats. But I couldn’t get through it, I knew too much about how the world worked by then and felt every line in that poem (that was written in the aftermath of World War I).

This Christmas, after two years of global state-sponsored pandemocide, I could not read any of the stories out loud. The Jesus story in particular just wrecked me because it feels like we are now living that story every day.


In those days Caesar Augustus issued a decree that a census should be taken of the entire Roman world. (Luke 2:1)

Oh cool, a census! What could possibly go wrong?

So Joseph also went up from the town of Nazareth in Galilee to Judea, to Bethlehem the town of David, because he belonged to the house and line of David. He went there to register with Mary, who was pledged to be married to him and was expecting a child. While they were there, the time came for the baby to be born, and she gave birth to her firstborn, a son. She wrapped him in cloths and placed him in a manger, because there was no room available for them at the inn.(Luke 2:4-7).

Why is government forcing a very pregnant woman to travel just to be counted? It appears to be on short notice. An entire culture built around hospitality and no one at the inn was willing to make room for the very pregnant lady!?

[Now I’ll switch to the account in Matthew 2:13-18 which documents King Herod’s actions.]

The Escape to Egypt

When the Magi had gone, an angel of the Lord appeared to Joseph in a dream. “Get up,” he said, “take the child and his mother and escape to Egypt. Stay there until I tell you, for Herod is going to search for the child to kill him.”

So he got up, took the child and his mother during the night and left for Egypt, where he stayed until the death of Herod. And so was fulfilled what the Lord had said through the prophet: “Out of Egypt I called my son.”

When Herod realized that he had been outwitted by the Magi, he was furious, and he gave orders to kill all the boys in Bethlehem and its vicinity who were two years old and under, in accordance with the time he had learned from the Magi.

So two days after Mary gives birth to Jesus in a stable, the whole family has to flee in the middle of the night to escape state-sponsored infanticide. And three days after the birth of Jesus, King Herod goes on a rampage and massacres all of the boys up to age two in Bethlehem and its vicinity.

When the state of California proposed SB 277 in 2015 to remove the personal belief exemption to the bloated CDC vaccine schedule, parents warned that it would lead to an increase in the autism rate and cause families to flee the state. Democrats said they didn’t care, passed the bill anyway, and both disasters happened exactly as we predicted (autism rates skyrocketed and there was an exodus of families from California).

When the state of California proposed SB 276 in 2019, to remove all medical exemptions to the bloated CDC vaccine schedule, we explained that the bill violates the Nuremberg Code, the Declaration of Helsinki, the U.S. Constitution, the Hippocratic Oath, and standard norms of science and medicine. Democrats said they did not care and passed it anyway. Pharma moved similar bills in all 50 states.

It was clear that the genocide was now in full swing — with Pharma trying to vaccinate 100% of the population to eliminate the control group and thus hide the evidence of their crimes against humanity.

I know at least ten families who have had to flee California in order to escape this state-sponsored infanticide. Under COVID “vaccine” mandates, families are fleeing government tyranny across all blue states and moving to red states.

Herod’s actions 2000 years ago appeared insane. Why would a King murder all of the boys under two in the region? How could children ever be seen as a threat to power?

Now after watching Fauci operate for the last 37 years and seeing bourgeois society cover up the genocide of children (particularly boys) starting with the 1986 Act, I see that genocide/infanticide/democide are just some of the things that corrupt governments do to stay in power. They seem to know that the people hate them and that they deserve to be overthrown. So they engage in extreme state-sponsored violence in order cling to power — in the hopes of running out the clock and dying before they are brought to justice.

One of the greatest lessons of this whole pandemic for me has been that the state is not your friend. It does not “care”. The state exists to reproduce itself and the existing hierarchies in society. Always has. The state apparently will do just about anything to stay in power. The difference between King Herod and Fauci is that Fauci has considerably more power and Fauci has killed far more people during his 37-year reign of terror.

In this light, the Jesus story becomes all the more remarkable and instructive. A guy with no money, rejected by mainstream society — all his friends are misfits — causes governments to quake with fear (to this day) because he has the audacity to tell the truth. We can draw inspiration from the fact that the simple act of speaking truth is enough to topple the most powerful global empires. I think it’s well nigh time for us to start flipping the tables of the corrupt white coat high priests of our current era.

Blessings to all of the warriors for truth! 🙏

Les autres chiffres, en bref.

Europe: 3.120.439 effets secondaires dont 1.470.537 graves, 34.337 morts au 18 décembre.

La nouvelle mouture de l’analyse des chiffres de EudraVigilance, faite par un lecteur de HealthImpactNews, qui la publie. Je ne traduis pas tout, les tableaux sont sur la page source. Pour rappel, il y a aussi un facteur de sous-déclaration, non déterminé (cf. les deux articles précédents, ici et ici), à cette base de données.

Source.

Extrait:

La base de données européenne (pays de l’EEE et pays non membres de l’EEE – Espace Economique Européen) des rapports de réactions médicamenteuses suspectes est EudraVigilance, vérifiée par l’Agence Européenne des Médicaments (EMA), et elle rapporte actuellement 32.649 décès et 3.003.296 effets secondaires suite à l’administration des quatre injections expérimentales COVID-19.

[…]

Les totaux pourraient être beaucoup plus élevés en fonction du pourcentage d’effets indésirables signalés. Certains de ces rapports peuvent également être transmis aux bases de données des effets indésirables de chaque pays, comme la base de données VAERS des États-Unis et le système Yellow Card du Royaume-Uni. Les décès sont regroupés par symptômes, et certains décès peuvent être dus à plusieurs symptômes.


Morts-nés aux Etats-Unis: 3.010 bébés morts au 24 décembre.

Toujours publié sur le site de Brian Shilhavy, Health Impact News. Même remarque concernant le facteur de sous-déclaration.

Source.

Une génération entière de femmes en âge de procréer devient stérile.

Suite à la mise à jour du VAERS aujourd’hui (24/12/21), nous comptons à présent 3.010 morts fœtales suite à des injections de COVID-19 chez des femmes enceintes et en âge de procréer au cours de l’année dernière. (Source.)

En revanche, en utilisant exactement les mêmes paramètres de recherche dans le VAERS, mais en excluant les injections COVID-19, nous avons trouvé 2.172 morts fœtales suite à tous les vaccins approuvés par la FDA au cours des 30 dernières années. (Source.)

Cela représente une moyenne de 72 décès fœtaux par an après l’administration de tous les vaccins approuvés par la FDA au cours des 30 dernières années, contre 3.010 décès fœtaux en un an après l’administration des injections COVID-19.

– Vaccins approuvés par la FDA: 72 morts fœtales par an
– Vaccins COVID-19 en autorisation d’utilisation d’urgence: 3.010 morts fœtales par an

Cela représente une augmentation de 4.080% des décès fœtaux enregistrés dans le VAERS après les injections COVID-19. Et pourtant, les CDC et la FDA continuent de recommander ces injections en autorisation d’utilisation d’urgence aux femmes enceintes et aux mères allaitantes.


Sportifs professionnels, chiffre global: 383 effets graves et crises cardiaques, 220 morts au 25 décembre.

Un article qui établit une liste chronologique, avec les noms, dates et sources dans les médias. Trop long à traduire donc allez consulter la page source, qui est régulièrement mise à jour.

Source.

Extrait:

Il n’est absolument pas normal que de jeunes athlètes souffrent d’arrêts cardiaques ou meurent en pratiquant leur sport, mais cette année, c’est ce qui se passe. Tous ces problèmes cardiaques et ces décès surviennent peu de temps après qu’ils aient reçu le vaccin COVID. Bien qu’il soit possible que cela arrive à des personnes non vaccinées contre le COVID, les chiffres indiquent clairement la seule cause évidente.

Les soi-disant professionnels de la santé qui dirigent les programmes de vaccination COVID dans le monde entier ne cessent de répéter que « le vaccin COVID est un vaccin normal, sûr et efficace ».

Donc, en réponse à leur déclaration, voici une liste non exhaustive et en constante augmentation d’athlètes jeunes pour la plupart qui ont souffert de problèmes médicaux majeurs en 2021 après avoir reçu un ou plusieurs vaccins COVID. Au départ, beaucoup de ces cas n’ont pas été signalés. Nous savons que de nombreuses personnes ont reçu l’ordre de ne parler à personne de leurs effets indésirables et que les médias ne les relayaient pas. Ces effets ont commencé à se produire après les premières vaccinations COVID. Les grands médias continuent à ne pas couvrir la majorité d’entre eux, mais les informations sportives ne peuvent ignorer le fait que des joueurs de football et d’autres stars s’effondrent en plein match à la suite d’une crise cardiaque. Beaucoup d’entre eux meurent – plus de 50 %.

Une autre étude indépendante confirme que plus de 150.000 Américains ont été tués par les vaccins COVID – par Steve Kirsch.

Kirsch cite une autre étude qui trouve un facteur de sous-déclaration de 20x.

Source.


Traduction

Une autre étude indépendante confirme que plus de 150.000 Américains ont été tués par les vaccins COVID.

Je disposais de 8 façons indépendantes de le démontrer jusqu’à présent. Maintenant, il y en a 9. Et personne ne propose un chiffre défendable <150.000. Le CDC prétend toujours qu’il n’y a eu aucun décès, mais ne peut expliquer comment Schirmacher et d’autres ont fait une erreur.

Steve Kirsch

25 décembre

Une nouvelle étude indépendante basée sur l’analyse des décès excédentaires a montré que notre estimation du nombre de décès excédentaires était cohérente avec leurs résultats.

Voici quelques citations de l’article :

  1. Les résultats des pentes de régression ajustées (p<0,05 PRA corrigé) suggèrent un TMV (taux de mortalité induit par la vaccination) moyen national américain de 0,04% et un TMV plus élevé avec l’âge (VFR=0,004% chez les 0-17 ans augmentant à 0,06% chez les >75 ans), et 146K à 187K décès américains associés à la vaccination entre février et août 2021.
  2. La comparaison de notre estimation avec le TMV rapporté par les CDC (0,002 %) suggère que les décès répertoriés sur le VAERS sont sous-déclarés par un facteur de 20, ce qui est cohérent avec le biais de sous-estimation connu du VAERS.
  3. La comparaison de nos TMV stratifiés par âge avec les taux de létalité des infections à coronavirus (TLI) stratifiés par âge publiés suggère que les risques des vaccins COVID et des boosters l’emportent sur les bénéfices chez les enfants, les jeunes adultes et les adultes plus âgés présentant un faible risque professionnel ou une exposition antérieure au coronavirus.
  4. Il est intéressant de noter que nos estimations de 133.000 à 187.000 décès liés aux vaccins sont très similaires aux estimations récentes et indépendantes basées sur les données du VAERS américain jusqu’au 28 août 2021 par Rose et Crawford (11).

En d’autres termes, ces chercheurs ont trouvé des chiffres similaires aux nôtres, dans une proportion de 2. Ils conviennent que plus de 150.000 personnes ont été tuées par les vaccins jusqu’à présent. C’est plus de 3 fois le nombre de personnes tuées au combat pendant la guerre du Vietnam, une guerre qui a duré près de 20 ans.

Pendant ce temps, des détracteurs comme mon bon « ami » Jeffrey Morris admettent qu’ils n’ont pas la moindre idée du nombre de personnes qui sont mortes et qu’ils sont incapables de trouver le moindre moyen de l’estimer. C’est stupéfiant. Il pense toujours qu’il n’y a pas de preuve de causalité.

Voici une 10ème méthode qui trouve >200 000 décès dus au vaccin

Avec l’aimable autorisation de SidDavis sur substack :

(1) En utilisant les rapports hebdomadaires des CDC sur les décès de toutes causes pendant les 6 années allant de janvier 2014 à janvier 2020, j’ai identifié et mesuré les oscillations dans cet ensemble de données afin d’établir le schéma hebdomadaire normal et l’ampleur des décès auxquels nous devons nous attendre en 2020, 2021 et au-delà.

(2) J’ai comparé les rapports hebdomadaires des CDC sur les décès de toutes causes, du 18 janvier 2020 au 14 décembre 2020. Le 14 décembre 2020 correspond au début des vaccinations. Le total des décès excédentaires par rapport à la norme attendue était de 369,857, soit une moyenne hebdomadaire de 7.705,366.

(3) J’ai comparé les rapports hebdomadaires des CDC sur les décès de toutes causes, du 14 décembre 2020 au 13 novembre 2021. Le rapport du 13 novembre 2021 était le plus récent dont les données étaient matériellement correctes. Le total des décès excédentaires par rapport à la norme attendue pendant cette période était de 487.905, soit une moyenne hebdomadaire de 10.039,680.

(4) L’augmentation moyenne du nombre de décès excédentaires après le début de la vaccination a été de 2.334,314 par semaine, soit 112.047 décès au total qui peuvent être attribués aux vaccins. Sur la base de ces calculs, une estimation raisonnable jusqu’à la fin de 2021 est de 200.000 décès.

L’estimation des décès attribués aux vaccins calculée selon cette logique est très basse. La profession médicale a amélioré ses méthodes de traitement, ce qui aurait dû entraîner une diminution des décès au fil du temps, mais le taux a plutôt augmenté. Les personnes les plus vulnérables devraient être les premières touchées, de sorte que le taux de mortalité aurait dû diminuer au fil du temps, mais il a au contraire augmenté. Cela signifie que les décès causés par le vaccin auraient été légèrement supérieurs à mon estimation calculée.

Preuve de causalité

Il existe de nombreuses façons de montrer que les vaccins causent des décès.

  1. Vaccin COVID-19 : Association étroite avec les décès d’origine cardiovasculaire, en particulier les accidents vasculaires cérébraux hémorragiques et les thromboses veineuses : le rapport de cotes de mortalité (RCM) >2 et est hautement significatif sur le plan statistique pour une variété d’événements indésirables. Cela ne peut pas être le fruit du hasard.
  2. Sur les vaccins COVID: pourquoi ils ne peuvent pas fonctionner, et preuve irréfutable de leur rôle causal dans les décès après vaccination.
  3. Les travaux d’autopsie du Dr Peter Schirmacher en Allemagne.
  4. L’analyse par Jessica Rose des données du VAERS montrant la dépendance à la dose (les graphiques sont censés être identiques à la dose 1 et à la dose 2 si les vaccins ne tuent pas).
  5. Les 8 autres analyses énumérées dans ce document.

Toujours pas de critère de suspension; personne au Congrès ou au CDC ne veut en fixer un.

Cependant, il n’y a pas de critère de suspension pour ces vaccins et aucun membre du Congrès ou du CDC n’est prêt à tracer une ligne de démarcation et à dire : « Le gouvernement américain devrait arrêter les vaccins après que X Américains aient été tués. »

Un critère de suspension raisonnable est de 32 personnes. En 1976, nous avons arrêté le vaccin H1N1 après seulement 32 décès.

Aujourd’hui, le nombre de décès admissibles est illimité. Et il n’existe aucune responsabilité pour les fabricants. Et il n’y a eu aucune indemnisation pour les centaines de milliers de personnes lésées par le vaccin. Zéro. Zip. Nada.

Personne au Congrès (ou dans les grands médias) ne semble préoccupé par le fait que les vaccins tuent plus de personnes qu’ils n’en sauvent. L’essai de phase 3 de Pfizer a sauvé une vie du COVID pour chaque tranche de 22.000 personnes vaccinées. Donc, pour 220 millions de personnes entièrement vaccinées, cela représente 10.000 vies sauvées, mais 150.000 personnes ou plus tuées. Donc nous tuons 15 personnes pour en sauver une. Et nous rendons le vaccin obligatoire, par-dessus le marché.

Peut-être un jour trouverons-nous un membre du Congrès qui prêtera attention à ce que disent les données et dira ces trois mots : « Je m’oppose ».

J’ai besoin de votre aide pour arrêter le vaccin. Personne au Congrès n’a le courage de fixer une clause de suspension.

Peut-être un des 100.000 lecteurs de cet article pourrait-il avoir une discussion avec son représentant.

J’ai essayé. Aucune des personnes du Congrès que j’ai soutenues au fil des ans ne veut plus me parler. Même leur personnel ne veut pas lire ce que j’ai écrit parce que cela ne correspond pas à ce que prétend le CDC.

En attendant le jour où nous trouverons un membre du Congrès qui écoutera, je continuerai à écrire et à espérer que d’autres réussiront là où j’ai échoué.


Texte original

Yet another independent study confirms over 150K Americans killed by the COVID vaccines

I had 8 independent ways to show this before. And now there are 9. And nobody has a defensible number < 150,000. The CDC still claims no deaths, yet cannot explain how Schirmacher and others goofed.

Steve Kirsch

Dec 25

A new independent study using analysis of excess deaths showed that our estimate of the number of excess deaths was consistent with what they found.

Here are some quotes from the paper:

  1. Results from fitted regression slopes (p<0.05 FDR corrected) suggest a US national average VFR of 0.04% and higher VFR with age (VFR=0.004% in ages 0-17 increasing to 0.06% in ages >75 years), and 146K to 187K vaccine-associated US deaths between February and August, 2021.
  2. Comparing our estimate with the CDC-reported VFR (0.002%) suggests VAERS deaths are underreported by a factor of 20, consistent with known VAERS under-ascertainment bias
  3. Comparing our age-stratified VFRs with published age-stratified coronavirus infection fatality rates (IFR) suggests the risks of COVID vaccines and boosters outweigh the benefits in children, young adults and older adults with low occupational risk or previous coronavirus exposure.
  4. Interestingly, our estimates of 133K to 187K vaccine-related deaths are very similar to recent, independent estimates based off of US VAERS data through August 28th, 2021 by Rose and Crawford (11).

In other words, these researchers found numbers similar to what we found, within a factor of 2. They agree that over 150,000 people have been killed by the vaccines so far. This is more than 3 times the number killed in combat in the Vietnam war; a war which lasted for nearly 20 years.

Meanwhile, critics like my good “friend” Jeffrey Morris admit they haven’t got a clue as to how many people have died and can’t figure out even a single way to estimate it. Stunning. He still thinks there is no proof of causality.

Here’s a 10th method that finds > 200,000 deaths from the vaccine

Courtesy of SidDavis on substack:

(1) Using weekly CDC reports of Deaths from All Causes during the 6 years from January, 2014 to January, 2020, I identified and measured oscillations in that data set to establish the normal weekly pattern and magnitude of deaths we should expect in 2020, 2021 and beyond.

(2) i compared CDC weekly reports of Deaths from All Causes, January 18, 2020 through December 14, 2020. December 14, 2020 was when vaccinations began. The total of deaths in excess of the expected norm was 369,857 or a weekly average of 7,705.366.

(3) I compared CDC weekly reports of Deaths from All Causes, December 14, 2020 through November 13, 2021. The November 13, 2921 report was the most recent with materially correct data. The total of deaths in excess of the expected norm during this period was 487,905 or a weekly average of 10,039.680.

(4) The average increase in excess deaths after vaccines began was 2,334.314 per week or 112,047 deaths in total which can be attributed to the vaccines. Based on these calculations, a reasonable estimate through the end of 2021 is 200,000 deaths.

The estimate of deaths attributed to the vaccines calculated with this logic is if anything low. The medical profession has improved their treatment methods so that should have caused a decrease in deaths as time passed, but the rate instead increased. The most vulnerable should be the first to so as time passed the death rate should have decreased, but the rate instead increased. This means that the vaccine caused deaths would have been slightly higher than my calculated estimate.

Proof of causality

There are so many ways to show the vaccines cause death.

  1. COVID-19 vaccine: Strong association with cardiovascular death, especially hemorrhagic stroke and venous thrombosis shows the mortality odds ratio (MOR) >2 and is highly statistically significant for a variety of adverse events. That can’t happen by chance.
  2. On COVID vaccines: why they cannot work, and irrefutable evidence of their causative role in deaths after vaccination
  3. The autopsy work of Dr. Peter Schirmacher in Germany
  4. Jessica Rose’s analysis of the VAERS data showing dose dependency (the graphs are supposed to look the same on Dose 1 and Dose 2 if the vaccines don’t kill people)
  5. The other 8 other analyses listed in this paper

Still no stopping condition; nobody in Congress or at the CDC will set one

However, there is no stopping condition for these vaccines and no member of Congress or the CDC is willing to draw a line in the sand and say, “The US government should halt the vaccines after X number of Americans have been killed.”

A reasonable stopping condition is 32 people. In 1976 we stopped the H1N1 vaccine after just 32 deaths.

Today, the number of deaths allowed is unlimited. And there is no liability for the manufacturers. And there have been no payouts at all to the hundreds of thousands of vaccine injured. Zero. Zip. Nada.

Nobody in Congress (or the mainstream media) seems troubled by the fact that the vaccines kill more people than they save. The Pfizer Phase 3 trial saved 1 life from COVID for every 22,000 people vaccinated. So for 220M fully vaccinated, it’s 10,000 lives saved, but150,000 or more people killed. So we kill 15 people to save 1. And we mandate it to boot.

Maybe someday, we’ll find one member of Congress who will actually pay attention to what the data says and say two words, “I object.”

I need your help to stop the vaccine. Nobody in Congress has the courage to set a stopping condition.

Perhaps one of the 100,000 readers of this article could have a discussion with their representative.

I’ve tried. None of the people in Congress I’ve supported over the years will talk to me anymore. Even their staffs won’t even read what I wrote because it doesn’t agree with what the CDC claims.

Until that day when we find a member of Congress who will listen, I’ll keep writing and hoping that others will succeed where I have failed.

Dernière estimation des données du VAERS: 388.000 Américains tués par les vaccins COVID – par Steve Kirsch.

Steve Kirsch et son équipe ont effectué une nouvelle évaluation mathématique du facteur de sous-déclaration des décès à la base de données américaine. Il arrive à un facteur de 44. Un lecteur de Miles Mathis avait déjà fait le boulot en juillet, et arrivait, en se basant sur le rapport du nombre de chocs anaphylactiques réels/déclarés (même méthode que la première estimation de Kirsch), à un facteur compris entre 50 et 125, je l’avais aussitôt traduit et publié ici. En juin, le Dr McCullough parlait d’un facteur de 10, ici.

L’article suivant est la suite de celui-ci.

Source.


Traduction

Dernière estimation des données du VAERS: 388.000 Américains tués par les vaccins COVID.

Une détermination indépendante du facteur de sous-déclaration (FSD) au VAERS basé sur les données de décès des CMS permet de déduire un FSD de 44,64, ce qui permet une estimation de 388.000 décès excédentaires.

Steve Kirsch

15 décembre

Mon estimation du facteur de sous-déclaration (FSD) au VAERS, soit 41, était fondée sur les taux d’anaphylaxie mentionnés dans l’article de Blumenthal publié dans le JAMA.

J’ai soutenu que le taux d’anaphylaxie est un chiffre approprié à utiliser pour (sous-)estimer les décès, car je pensais que les décès seraient moins signalés que l’anaphylaxie au VAERS pour deux raisons : 1) la proximité temporelle de la vaccination fait généralement défaut, 2) la personne qui constate le décès peut ne pas connaître le statut vaccinal de la victime et peut ne pas être techniquement tenue de signaler le décès.

Certaines personnes ont contesté cette hypothèse, notamment mon ami le professeur John Ioannidis, qui a fait valoir que rien ne prouve que ce soit le cas et que ce pourrait être l’inverse. J’ai répondu à John qu’il ne s’agissait que d’une estimation et que je serais heureux de la modifier lorsque nous disposerions de plus de données.

Ce jour est arrivé grâce à Wayne de VAERS Analysis.

Pour tous les observateurs attentifs, il est désormais largement reconnu que le VAERS sous-déclare de manière significative les données relatives aux événements indésirables. Cependant, la question à un million qui se pose est toujours : « Quel est le facteur exact de sous-déclaration ? ».

Wayne a fait un calcul du FDS en utilisant les données de décès du CMS [Centers for Medicare & Medicaid Services]. Cela permet de surmonter toute objection quant à la validité de l’utilisation des taux d’anaphylaxie comme alternative aux taux de mortalité.

Le FSD au VAERS qu’il a calculé était de 44,64.

Cela me semble raisonnable. Il n’est vraiment pas loin des 41 que j’ai calculés.

De plus, Wayne a ensuite examiné les chiffres pour 9 états. La valeur moyenne était de 40, pas loin des 41 que j’ai calculés en me basant sur l’anaphylaxie.

J’ai demandé à deux membres de l’équipe (Albert Benavides et Jessica Rose) de vérifier ses chiffres. Pas d’erreur.

Maintenant, voyons ce que cela signifie.

Au 14 décembre 2021, 9.136 décès ont été signalés au VAERS pour les décès survenus dans le pays (si vous utilisez OpenVAERS, cliquez sur le bouton en haut de la page pour afficher les décès survenus aux États-Unis uniquement). Si l’on soustrait plus du double du nombre total de décès signalés au cours d’une année précédente (pour être très prudent dans l’estimation des décès de fond):

Notre nouvelle meilleure estimation du nombre de « décès excédentaires » causés par le vaccin est donc de 388.000. Étant donné qu’il n’existe pas de mécanisme plausible de décès excédentaires autre que le vaccin (notre CDC « toujours vigilant » n’a certainement jamais suggéré de cause alternative), le processus d’élimination nous amène à conclure à l’évidence: que ces décès excédentaires ont été, en fait, causés par le vaccin.

Cela ne devrait pas vraiment être une surprise pour quiconque prête attention aux essais cliniques.

Par exemple, dans l’essai Pfizer, le risque de mourir était beaucoup plus élevé si l’on recevait le vaccin que si l’on recevait le placebo. Ils ont simplement oublié de le mentionner dans le résumé de l’article (et ils ont également été incapables de compter avec précision le nombre de décès dans chaque groupe). En bref, le vaccin est une machine à tuer.

Comme l’a montré l’essai clinique, il est plus susceptible de vous tuer que de vous sauver. L’Amérique refuse toujours de reconnaître ce fait.

388.000 Américains morts, c’est absolument ahurissant.

Aujourd’hui, notre meilleure estimation des décès dus aux vaccins, basée sur les données du VAERS, est que le gouvernement américain est responsable de la mort de 388.000 Américains précédemment en bonne santé. Sans raison ni bénéfice pour la société. Sous prétexte de les sauver.

Et ce n’est pas fini. Ces enfants atteints de myocardite? La moitié d’entre eux pourraient mourir dans les 5 ans. On ne sait pas. Les maladies à prions… on ne sait pas. Les maladies auto-immunes… on ne sait pas. Problèmes de reproduction… inconnu. Péché antigénique originel ? C’est possible. Vous voyez le genre.

En comparaison, la guerre du Vietnam a été une longue lutte mortelle qui s’est déroulée de 1954 à 1975 entre le Nord-Vietnam et le Sud-Vietnam. Les archives nationales américaines indiquent que 58.220 soldats américains ont péri au cours de ces 21 années. Ici, nous avons tué plus de 6 fois plus de personnes en une fraction de ce temps… seulement 11 mois.

Personne dans les médias traditionnels n’osera en parler. Ils ne poseront même pas la question. Pas un seul journaliste.

Personne au Congrès ne veut en parler non plus. J’ai essayé de porter cette information à l’attention du personnel du Congrès, mais ils ont ignoré mes demandes.

Bien sûr, la FDA et le CDC n’ont aucun commentaire à faire, si ce n’est qu’ils sont « en désaccord » avec moi. Ils ne veulent pas dire pourquoi. Wow. Nous avons une divergence de 388 000 Américains morts et ils ne veulent même pas dire pourquoi je me suis trompé.

Je suppose qu’ils ne peuvent pas dire pourquoi parce que j’ai utilisé leurs chiffres (ils gèrent le VAERS et le CMS) et leur méthodologie et qu’il n’y avait pas d’erreurs de calcul. Leur seul argument est donc de balayer tout ça de la main en disant « nous ne sommes pas d’accord », puisqu’ils ne peuvent ni s’appuyer sur des faits, ni sur des preuves, ni sur des données ni sur des erreurs de méthodologie.

Quant à tous les arguments bidon concernant le VAERS et la causalité utilisés par les « soi-disant fact-checkers » pour attaquer mon travail, je les démonte minutieusement dans mon article de 63 pages. C’est la raison pour laquelle personne à la FDA ou du CDC ne veut me parler officiellement: parce que je sais comment démonter leurs excuses bidon pour justifier leur indifférence. Ils refusent également de parler à aucun de mes associés. Ils ne veulent tout simplement rien entendre.

Faites-moi savoir dans les commentaires si vous trouvez une erreur.

Enfin, je sais que certains d’entre vous ne sont toujours pas convaincus par toutes les données, y compris les données assez stupéfiantes concernant les athlètes [cf. l’article sur cette page]. Je comprends tout à fait. J’ai juste une demande à formuler. Pensez à partager cet article avec votre réseau social avant de recevoir votre booster. D’accord?


Texte original

Latest VAERS estimate: 388,000 Americans killed by the COVID vaccines

An independent derivation of the VAERS URF using the CMS death data leads to a URF of 44.64 which then leads to a 388K excess death estimate.

Steve Kirsch

Dec 15

My estimate of the VAERS under-reporting factor (URF) at 41 was based on anaphylaxis rates reported in the Blumenthal paper published in JAMA.

I have argued that the anaphylaxis rate is an appropriate number to use to (under) estimate deaths because I believed that deaths would be less reported than anaphylaxis to VAERS for two reasons: 1) usually lacks the time proximity to vaccination, 2) the person seeing the death may not know the vaccination status of the victim and may not technically be required to report the death.

Some people have quibbled with that assumption, including my friend Professor John Ioannidis, who argued that there is no evidence that that is true and it could be the other way around. It’s a fair point and I told John it’s only an estimate and I’m happy to modify it when we have more data.

That day has arrived courtesy of Wayne at VAERS Analysis.

Wayne did a URF computation using death data in CMS. This overcomes any objections about the validity of using anaphylaxis rates as a proxy for death rates.

The VAERS URF he computed was 44.64.

This seems reasonable to me. It’s really not far from the 41 I calculated.

Also, Wayne subsequently looked at the numbers for 9 states. The average value was 40, not far from the 41 I calculated from anaphylaxis.

I had two team members (Albert Benavides and Jessica Rose) double check his numbers. No mistake.

Now, let’s see what that means.

As of Dec 14, 2021, there are 9,136 deaths reported into VAERS for domestic deaths (if you are using OpenVAERS, flip the switch at the top to see the US only deaths). If we subtract out more than twice the total number of deaths reported in any previous year (to be super conservative about estimating background deaths):

So our new best estimate of the number of “excess deaths” caused by the vaccine is 388,000. Because there isn’t a plausible mechanism of excess death other than the vaccine (certainly our “always vigilant” CDC has never suggested an alternate cause), the process of elimination leads us to conclude the obvious: that these excess deaths were, in fact, caused by the vaccine.

This should really be a surprise to anyone paying attention to the clinical trials.

For example, in the Pfizer trial, you were much more likely to die if you got the vaccine than if you got the placebo. They simply forgot to mention that in the abstract of the paper (and they were incapable of accurately counting the number of deaths in each group as well). In short, the vaccine is a killing machine.

As the clinical trial showed, it was more likely to kill you than to save you. America still refuses to actually acknowledge that fact.

388,000 dead Americans is simply stunning

Today, our best estimate of vaccine fatalities using the VAERS data is that the US Government is responsible for killing 388,000 formerly healthy Americans. For no reason or societal benefit. Under the guise of saving them.

And we’re not done yet. Those kids with myocarditis? Half of them could die in 5 years. We just don’t know. Prion diseases… we don’t know. Autoimmune diseases… we don’t know. Reproductive issues… unknown. Original antigenic sin? Possibly. You get the idea.

By contrast, the Vietnam War was a long, deadly struggle that took place from 1954 to 1975 between North Vietnam and South Vietnam. The U.S. National Archives shows that 58,220 U.S. soldiers perished over the 21 years. Here, we’ve killed more than 6 times as many people in a fraction of the time… just 11 months.

No one in mainstream media will dare talk about this. They won’t even ask the question. Not a single reporter.

Nobody in Congress will discuss it either. I tried to bring this information to the attention of Congressional staff, but they have ignored my requests.

Of course the FDA and CDC have no comment other than they “disagree” with me. They won’t say why. Wow. We have a discrepancy of 388,000 Americans dead and they won’t even say why I got it wrong.

I’m guessing that they can’t say why because I used their numbers (they maintain VAERS and CMS) and their methodology and there were no math errors. So they have to go with the “hand waving” argument that “we disagree” since they can’t go with facts, evidence, data, or methodology errors.

As for all the bogus arguments about VAERS and causality that are used by the “so-called fact-checkers” to attack my work, I thoroughly dismantle those in my 63-page article. That is why none of the people at the FDA or CDC are willing to talk on the record to me: because I know how to dismantle their bogus excuses for looking the other way. They won’t talk to any of my associates either. They just don’t want to hear it.

Let me know in the comments if you find an error.

Finally, I know some of you are still unconvinced by all the data including the stunning athlete data. I’m OK with that. I just have one request. Please consider sharing this article with your social network before you get your booster. OK?

Les géographies du génocide pharmaceutique – par Toby Rogers.

Autre article de Toby Rogers, dont la deuxième partie est consacrée au Dr Mattias Desmet. J’ai déjà publié (ici et ici) ce que mon compatriote décrypte des événements actuels, ce sera donc une redite pour ceux qui l’ont déjà lu. J’ai laissé cette partie de l’article pour les autres.

Dans la première partie, Toby Rogers part du postulat que l’opération en cours est le fait de Big Pharma. Il en décrit très bien la mécanique mais n’en évoque pas du tout les commanditaires. Il faudra donc faire le travail de relier soi-même les points, notamment avec le secteur financier – voir l’interview récente de Ernst Wolff.

A propos de relier les points, on trouve déjà dans ce que j’ai publié ici quelques ingrédients – médicaux, économiques, politiques, psychologiques et même militaires – pour recomposer la recette du Grand Reset. Comme annoncé précédemment, il en manque encore au moins deux essentiels, que je n’ai abordés que briévement: l’écologique et le spirituel. Les vacances approchent, vous les aurez pour Noël.


Traduction

Les géographies du génocide pharmaceutique

Toby Rogers

9 décembre

J’ai cherché la métaphore ou l’analogie parfaite pour décrire les événements en cours. Mais je me suis rendu compte que, même s’il existe des similitudes avec des périodes historiques antérieures, les événements en cours sont à bien des égards sans précédent. La tâche qui nous attend est donc d’identifier les caractéristiques de ce génocide, son fonctionnement, ses similitudes et ses différences avec le passé, afin de trouver les leviers permettant de renverser le système.

Principes d’orientation

Tout d’abord, quelques principes d’orientation pour guider la conversation :

Les meilleures preuves disponibles suggèrent que le SARS-CoV-2 est un virus chimère à gain de fonction fabriqué par l’homme qui s’est échappé d’un laboratoire d’armes biologiques. Des chercheurs américains et chinois spécialisés dans les armes biologiques sont impliqués.

Les vaccins contre les coronavirus n’empêchent pas l’infection, la transmission ou les conséquences délétères pour la santé, y compris la mort. Après près de 500 millions de doses aux États-Unis, la mortalité toutes causes confondues et les décès dus au COVID-19 ont augmenté. Doubler la vaccination, avec trois, quatre, ou une infinité de doses, voire des doses reformulées, n’arrêtera pas la pandémie. Ce virus a toujours été un mauvais candidat pour un vaccin et les ARNm et les vecteurs adénoviraux ne sont ni une grande avancée, ni une panacée.

L’industrie pharmaceutique sait tout ce qui précède. La CIA, la NSA, les NIH et les hauts responsables du Pentagone le savent aussi.

Les idiots utiles du gouvernement ne comprennent pas nécessairement ce qui précède, même si ce sont eux qui exécutent les ordres. Seule une poignée d’élus le comprend.

Si les vaccins causent des dommages en chiffres nets, qu’ils sont déployés dans le monde entier et que chaque échec d’un vaccin ne fait qu’entraîner davantage de vaccinations, alors cette situation doit être considérée comme un génocide.

Fauci, la FDA, les CDC, les NIH et l’AMA bloquent tous l’accès à des traitements sûrs et efficaces. C’est un crime contre l’humanité et une preuve évidente d’intention génocidaire. Toutes les études relatives à tous les traitements en vente libre sont répertoriées (ici).

L’industrie pharmaceutique a pris le contrôle des médias et du système politique et met en œuvre les politiques antiscientifiques les plus draconiennes depuis le Troisième Reich. Le totalitarisme est la forme de gouvernement préférée de Pharma, qui travaille d’arrache-pied pour créer un système de gouvernance totalitaire mondial sous son contrôle.

Géographie du génocide pharmaceutique

Que savons-nous des contours du génocide de Pharma jusqu’à présent ?

Il s’agit du premier génocide auto-infligé de l’histoire de l’humanité. Oui, les gens à Masada et Jonestown se sont suicidés [NdT. petite erreur classique de l’auteur, il s’agissait en fait de deux « psyops« ] plutôt que de se rendre à un adversaire plus puissant. Mais il s’agissait de groupes beaucoup plus petits (moins de 1.000 personnes dans chaque cas). Il y a aujourd’hui des éléments de comportement sectaire, mais les personnes qui participent joyeusement à leur propre disparition ne se considèrent pas comme possédées par une ferveur idéologique. Certes, les accusés du procès-spectacle de Moscou ont participé à leurs propres confessions scénarisées, mais cela concernait moins de 100 personnes et faisait probablement partie d’un accord visant à épargner l’exécution de leurs familles. Ce qui rend ce génocide unique et sans précédent, c’est la participation enthousiaste des victimes elles-mêmes.

C’est le premier génocide mondial simultané. Les génocides précédents étaient dirigés du centre (Europe et États-Unis) vers la périphérie (Afrique, Amérique latine et Asie). Puis, au XXe siècle, les génocides étaient dirigés vers des groupes ciblés à l’intérieur d’un pays – les Juifs, les LGBT [NdT. re-petite erreur, l’appellation est très récente et englobe les trans, qui n’existaient pas à l’époque], les communistes, les Tsiganes et les Roms en Allemagne; et les Juifs et les adversaires politiques en Union Soviétique. Ce génocide est inhabituel parce que nous assistons à l’autodestruction volontaire de la bourgeoisie dans le monde développé.

C’est le premier exemple de totalitarisme sans nationalisme. Le totalitarisme et le nationalisme ont toujours fait bon ménage – l’Allemagne, l’Union Soviétique, la Chine, le Cambodge et la Corée du Nord en sont quelques exemples. Mais les États-nations n’existent plus (sauf en tant que récit fantaisiste destiné à distraire les gueux). Fauci a développé cette arme biologique en collaboration avec les Chinois, censément notre plus grand adversaire militaire. Les forces du totalitarisme ne sont pas confinées à un pays en particulier, elles résident en fait dans chaque pays. Ce sont les élites contre tous les autres, dans le monde entier, simultanément. En l’absence d’États-nations, il est difficile de savoir vers qui se tourner pour chercher des alliés puissants susceptibles de contrer l’industrie pharmaceutique.

Cette fois, le génocide est privatisé – dirigé par des consultants en gestion et des entrepreneurs privés. Ce n’est donc pas exactement le modèle fasciste classique où l’État et le secteur privé se comportent comme un seul homme. C’est plutôt le secteur corporatif qui tient le haut du pavé et qui dirige l’État comme une marionnette.

Cette fois, le génocide est monétisé. L’industrie pharmaceutique vous extorquera jusqu’au dernier dollar, à vous et à votre famille, avant de vous laisser mourir. Les nazis ont installé des usines de munitions et de caoutchouc dans les camps de concentration afin de tirer parti du travail des esclaves. Mais l’objectif de Pharma dans ce génocide est de drainer la richesse de chaque personne du monde développé, et ce sans qu’elle ait à quitter son domicile.

Cette fois, le génocide est décentralisé. Les confinements transforment chaque domicile en un mini ghetto de facto. Certes, les Australiens ont mis en place des camps d’internement. Mais ils sont chers et hautement visibles – donc difficiles à appliquer à l’échelle d’une population entière. Je doute qu’il y ait des trains cette fois-ci. Les fascistes vont plutôt faire en sorte que les gens se rendent en voiture dans des centres d’empoisonnement décentralisés.

Cette fois, le génocide sera lent. Les fascistes ont appris leur leçon après la Seconde Guerre mondiale et ne se battront plus jamais sur deux fronts. En lieu et place, il semble que l’industrie pharmaceutique soit satisfaite d’augmenter la mortalité toutes causes confondues de 5% à 15% chaque année et de maintenir cette tendance pendant des décennies jusqu’à ce qu’elle atteigne son objectif de contrôle total d’une population beaucoup plus réduite.

Cette fois, le génocide est silencieux. Il n’y aura pas de parades militaires, pas de soldats dans les rues, et pas de guerre visible s’ils peuvent l’éviter. La vie semblera normale et sous cette surface placide, les gens mourront à un rythme accéléré (c’est déjà le cas).

Formation de masses

Dans les années 1950 et 1960, le médecin néerlandais Joost Meerloo a réalisé un travail extraordinaire sur les origines du totalitarisme. Beaucoup d’entre vous ont déjà visionné cette brillante vidéo de vingt minutes de l’Académie des Idées,  » Psychose de masse : comment une population entière devient mentalement malade « , qui résume certains des travaux de Meerloo:

Mattias Desmet, Professeur de Psychologie Clinique à l’Université de Gand, produit l’un des meilleurs travaux sur la montée actuelle du totalitarisme. Le Dr Desmet étudie ce que l’on appelle la « formation de masses », c’est-à-dire les conditions nécessaires pour générer des illusions collectives et une participation volontaire aux systèmes totalitaires. Il fournit un bon résumé de ses réflexions dans les quinze premières minutes de cette vidéo:

Le Dr Desmet soutient que « la formation de masses est un phénomène spécifique qui émerge dès lors que certaines conditions sont réunies » :

Ces conditions sont :

  1. Un manque de liens sociaux ;
  2. Un manque de sens ;
  3. Une anxiété ambiante (qui n’est liée à aucune représentation mentale) ; et
  4. La frustration et l’agressivité ambiantes.

(Il est évident que notre société moderne réunissait toutes ces conditions avant le COVID).

Puis il affirme qu' »un récit est diffusé par les médias de masse qui concentre l’anxiété et l’agressivité sur un certain objet » (dans ce cas, un virus).

« Lorsque les gens prennent part à la stratégie visant à traiter l’objet de l’anxiété, un nouveau type de lien social et un nouveau type de construction de sens émergent. » Desmet désigne ainsi un « nouveau type de solidarité ».

Ce nouveau récit invente un combat héroïque contre l’objet de l’anxiété, ce qui conduit à une « ivresse mentale de la connexité » et à des sentiments (apaisants) d’ordre et de contrôle.

Plus le récit est absurde, plus il fonctionne comme un rituel, car il montre que les participants appartiennent à un groupe.

Et grâce à ce processus, les gens en viennent à participer, à soutenir et à s’identifier aux systèmes totalitaires.

Je trouve cette analyse du Dr Desmet brillante et elle explique une grande partie de ce que nous vivons actuellement.

Voici le problème que cela me pose. Le journaliste demande au Dr. Desmet « Que peut-on faire? » Et il répond que les systèmes totalitaires dépassent toujours leurs limites et s’autodétruisent, donc implicitement, nous devons juste rester en retrait, survivre et attendre que ça se produise.

Il y a là un fond de vérité, mais ça laisse de côté beaucoup de choses. Bien sûr, les systèmes totalitaires sont insoutenables à long terme. Mais des millions de personnes meurent dans l’intervalle.

En outre, les nazis ne se sont pas autodétruits – l’armée américaine, l’armée de l’air britannique et l’armée russe ont détruit les nazis au prix de millions de vies.

Il a fallu 80 ans à l’URSS pour « s’autodétruire » + une opposition massive très sophistiquée qui a développé ses compétences pendant des décennies.

La Corée du Nord ne s’est toujours pas autodétruite.

Et la Chine s’est transformée en un État capitaliste totalitaire moderne que de nombreux barons de la technologie semblent vouloir exporter dans le monde entier.

Je pense que l’antidote doit correspondre aux quatre conditions que Desmet décrit au début. Notre alternative doit être :

  1. Plus de connectivité sociale ;
  2. Plus de création de sens (par la spiritualité, le travail honnête, le temps passé avec la famille et les amis, et l’expérience de la nature) ;
  3. Identifier correctement la source de notre anxiété comme étant notre culture de la précipitation et aider les gens à emprunter la rampe de sortie vers une économie parallèle ; et
  4. Identifier correctement la source de notre frustration et de notre agressivité comme étant le système prédateur du capitalisme monopolistique et aider les gens à emprunter la rampe de sortie vers une économie parallèle basée sur le respect mutuel.

Une dernière pensée pour l’instant… ce que la pandémie m’a révélé, c’est que la tendance au totalitarisme fait partie de la condition humaine. Adam Curtis, dans sa série documentaire en trois parties intitulée The Living Dead, affirme que le monde a tiré les mauvaises leçons des procès de Nuremberg. Je pense que Curtis a raison lorsqu’il affirme que c’était une erreur de dire que seuls les nazis étaient mauvais – la leçon de la Seconde Guerre mondiale aurait plutôt dû être que l’ombre du mal réside dans le cœur de tous les hommes.

C’est donc à ça que nous sommes confrontés. Ça donne à réfléchir. Mais je pense que la cartographie précise de ce que nous combattons est essentielle pour construire la résistance et travailler au démantèlement du régime génocidaire de Pharma.

Bénédictions à tous les guerriers. 🙏✊


Texte original

The geographies of the Pharma genocide

Toby Rogers

Dec 9

I’ve been searching for the perfect metaphor or analogy to describe what’s going on. But then I realized that while there are some similarities to prior historical periods, in many ways what’s happening now is unprecedented. So the task before us is to identify the features of this genocide, how it works, and how it’s similar to or different from the past — so that we can look for points of leverage to overthrow the system.

This is the first simultaneous global genocide. Prior genocides were directed from the core (Europe and the United States) to the periphery (Africa, Latin America, and Asia). Then in the 20th century, genocides were directed toward targeted groups within a country — Jews, LGBT, communists, Gypsies, and Roma in Germany; and Jews and political adversaries in the Soviet Union. This genocide is unusual because we are witnessing the bourgeoisie across the developed world willingly destroying itself.

This is the first example of totalitarianism without nationalism. Totalitarianism and nationalism have always gone hand in hand — Germany, the Soviet Union, China, Cambodia, and North Korea are some examples. But nation states do not exist anymore (except as a fanciful narrative to distract the peasants). Fauci developed this bioweapon in collaboration with the Chinese, supposedly our biggest military adversary. The forces of totalitarianism are not confined to any one particular country, rather they reside within every country. This is the elites vs. everyone else, across the whole world, simultaneously. In the absence of nation states it’s difficult to know where to turn to look for powerful allies to push back against Pharma.

The genocide this time is privatized — directed by management consultants and private contractors. So it is not exactly the classic fascist model of the state and the corporate sector behaving as one. Rather the corporate sector has the upper hand and is directing the state like a marionette.

The genocide this time is monetized. Pharma will squeeze every last dollar from you and your family before letting you expire. The Nazis stationed munitions and rubber factories at concentration camps to make use of slave labor. But Pharma’s goal in this genocide is to drain the wealth from every person in the developed world, from the comfort of your own home.

The genocide this time is decentralized. Lockdowns turn your house into a mini de facto ghetto. Yes the Australians have internment camps. But they are expensive and highly visible — thus difficult to scale up to a whole population. I doubt there will be trains this time. Rather the fascists will get people to drive themselves to decentralizing poisoning centers.

The genocide this time is slow. The fascists learned their lesson after World War II and will never fight a two front war again. Instead it seems that Pharma is happy to increase all cause mortality by 5% to 15% every year and keep it going for decades until they reach their goal of total control over a much smaller population.

The genocide this time is silent. There will be no military parades, no soldiers in the streets, and no visible war if they can help it. Life will look normal and underneath the placid surface people will die at an accelerated rate (this is already happening).

Mass Formation

In the 1950s and 1960s Dutch doctor Joost Meerloo did extraordinary work on the origins of totalitarianism. Many of you have seen this brilliant twenty-minute Academy of Ideas video, “Mass Psychosis: How an entire population becomes mentally ill” that summarizes some of Meerloo’s work:

Mattias Desmet, Professor of Clinical Psychology at Ghent University is doing some of the best work on the current rise of totalitarianism. Dr. Desmet studies what’s called “Mass Formation” — the conditions that produce collective delusions and willing participation in totalitarian systems. He provides a good summary of his views in the first fifteen minutes of this video:

Dr. Desmet argues that “mass formation is a specific phenomenon that emerges if certain conditions are met”:

The conditions are:

  1. A lack of social connectedness;
  2. A lack of meaning;
  3. Free-floating anxiety (that is unconnected to any mental representation); and
  4. Free-floating frustration and aggression.

(Obviously our modern society met all of these conditions prior to COVID.)

And then he argues that “a narrative is distributed via mass media that focuses anxiety and aggression on a certain object” (in this case a virus).

“When people start to participate in the strategy to deal with the object of anxiety a new kind of social bond and a new kind of meaning-making emerges.” Desmet calls it a “new kind of solidarity.”

This new narrative creates a heroic battle with the object of anxiety which leads to a “mental intoxication of connectedness” and (calming) feelings of order and control.

The more absurd the narrative the better it functions as a ritual because it shows that the participants belong to a group.

And through this process, people come to participate in, support, and identify with totalitarian systems.

I think Dr. Desmet’s analysis is brilliant and it explains so much of what we are experiencing right now.

Here’s the problem I have. The interviewer asked Dr. Desmet what “what can be done?” And he answers that totalitarian systems always overreach and destroy themselves, so by implication we just have to stand back, survive, and wait for that to happen.

That has a kernel of truth but it leaves out a lot. Sure, totalitarian systems are unsustainable in the long term. But millions of people die in the meantime.

Furthermore, the Nazis did not destroy themselves — the U.S. Army, the British Air Force, and the Russian Army destroyed the Nazis at the cost of millions of lives.

It took the USSR 80 years to “destroy itself” + a massive very sophisticated opposition that developed their skills over decades.

North Korea still has not destroyed itself.

And China has morphed into a modern capitalist totalitarian state that many tech robber barons seem to want to export to the whole world.

I think the antidote needs to match the four conditions that Desmet describes in the beginning. Our alternative must be:

  1. More social connectedness;
  2. More meaning-making (through spirituality, honest work, time with family & friends, and experiencing nature);
  3. Properly identifying the source of our anxiety as our hurry up culture and helping people take the off-ramp to a parallel economy; and
  4. Properly identifying the source of our frustration and aggression as the predatory system of monopoly capitalism and helping people take the off-ramp into a parallel economy based on mutual respect.

One last thought for now… what the pandemic has revealed to me is that the tendency toward totalitarianism is part of the human condition. Adam Curtis in his three-part documentary series The Living Dead argues that the world drew the wrong lessons from the Nuremberg trials. I think Curtis is correct when he asserts that it was a mistake to argue that the Nazis were uniquely evil — rather the lesson of World War II should have been that the shadow of evil resides in the hearts of all men.

So that’s what we’re up against. It’s sobering af. But I think a clear map of what we are dealing with is essential as we build the resistance and work to dismantle the genocidal Pharma regime.

Blessings to all of the warriors. 🙏✊

Les injections COVID visent à réduire la population mondiale en empoisonnant des « milliards de personnes », affirme un médecin sud-africain – par Patrick Delaney.

Ce sera un simple rappel (si on peut dire) pour mes lecteurs fidèles, vu que les trois-quarts de ce qui est publié ici l’explique déjà avec force détail. Tout ceux qui devaient comprendre auront à présent compris et je pense qu’il n’y a absolument plus rien à faire pour les autres… On aura essayé.

On va donc pouvoir passer aux sujets connexes : énergie, économie, politique (briévement) et climat – et quelques articles pour connecter le tout et comprendre les enjeux plus profonds.

Courage!

Source.

Traduction

Les injections COVID visent à réduire la population mondiale en empoisonnant des « milliards de personnes », affirme un médecin sud-africain

Les décès qui sont destinés à survenir après les vaccinations ne pourront jamais être imputés au poison. Ils seront trop divers, trop nombreux et se produiront dans un laps de temps trop long pour que nous nous rendions compte que nous avons été empoisonnés », affirme le Dr Shankara Chetty.

Patrick Delaney

Mar 23 nov. 2021 – 7:56 am EST

PORT EDWARD, Afrique du Sud (LifeSiteNews) – Un éminent médecin à qui l’on doit d’avoir contribué au développement de traitements précoces contre le COVID-19 a déclaré que, selon lui, le but de la pandémie et des campagnes de vaccination, est de « contrôler et tuer une grande partie de notre population sans que personne ne soupçonne que nous avons été empoisonnés ».

Le Dr Shankara Chetty, médecin de famille en Afrique du Sud qui, selon son site Internet, a « traité 7000 patients atteints du COVID-19 sans une seule hospitalisation ou un seul décès », a combiné ses connaissances médicales avec ses observations des dictats gouvernementaux et de la censure des médias pour étayer ses conclusions.

Alors qu’il participait à une réunion Zoom de personnes apparemment médecins, M. Chetty a préfacé ses propos en posant une question : « Je pense que la perspective sur ce qui se passe est d’une importance vitale. Nous devons comprendre l’objectif. Tout le monde sait qu’il y a des incohérences, qu’il y a de la coercition, mais nous devons comprendre pourquoi. Pourquoi cette situation? »

Il a ensuite désigné l’élément « le plus important » de réponse à ces questions, à savoir « l’agent pathogène qui causait tous les décès dans la maladie du COVID », la protéine spike véhiculée par le virus et que le vaccin est censé produire dans l’organisme du receveur.

« Si je devais vous donner mon avis sur ce qui se passe à l’échelle mondiale, a-t-il déclaré, la protéine spike est l’une des toxines ou l’un des poisons les plus sophistiqués que l’homme ait jamais fabriqués. Et le but de cette toxine est de tuer des milliards de personnes sans que personne ne s’en aperçoive. C’est donc un poison qui a un but précis. »

Le médecin, largement reconnu pour avoir mis au point la « thérapie du 8e jour pour le COVID-19 » pour les patients parvenus au stade inflammatoire le plus dangereux de la maladie, a ensuite déclaré que « ce qui semble avoir transpiré ici, [c’est] qu’ils ont conçu un virus et l’ont doté d’un emballage de type militaire appelé « protéine de pointe » ».

Avec la libération initiale de cette « toxine conçue de manière très élaborée », les réactions allergiques attendues se produisent chez un petit pourcentage de personnes, ce qui fait que beaucoup tombent très malades et meurent lorsque la réaction se produit. Selon Chetty, cela se produit normalement au huitième jour des symptômes.

Le médecin a déclaré qu’en raison des 14 jours initiaux de verrouillage mondial, les personnes infectées par le COVID-19 qui ont eu des réactions allergiques sont arrivées tardivement dans les hôpitaux, et ces institutions ont appliqué des protocoles obligatoires « pour provoquer la mort et les dommages [afin] d’attiser toutes les peurs. »

« Mais le jeu qu’ils ont mené grâce à ce virus artificiel était de justifier la vaccination de la planète », a-t-il poursuivi.

Chetty a ajouté que ces injections sont destinées à « nous exposer à la protéine spike pendant une période plus longue ».

Ce praticien de 18 ans d’expérience, souvent interviewé sur Internet par des confrères, et qui a fait des apparitions avec d’autres novateurs bien connus dans le domaine des traitements précoces, comme les docteurs Pierre Kory, Ryan Cole et Richard Urso, a expliqué comment, après les décès par réaction allergique au cours des deux premières semaines, des dangers pour la santé à plus long terme commencent à apparaître.

« [Nous commençons] à voir les lésions endothéliales [paroi des vaisseaux sanguins] que ce vaccin provoque avec sa protéine spike, par son influence sur les récepteurs ACE2. Ce sont ces décès qui sont destinés à suivre. Et ils ne pourront jamais être attribués à la protéine spike, une toxine très bien conçue », a-t-il déclaré.

« La protéine spike est aussi une protéine membranaire. Donc, l’ARNm va la distribuer dans tout notre corps. Elle sera fabriquée dans les différents tissus de notre corps. Elle sera incorporée dans ces membranes partout dans notre corps, et dans des tissus spécifiques. »

« Ces tissus seront identifiés comme étrangers et déclencheront une multitude de réponses auto-immunes. Ainsi, les décès qui sont destinés à suivre les vaccinations ne pourront jamais être imputés au poison! Ils seront trop divers, ils seront trop nombreux, et ils se produiront dans un laps de temps trop long pour que nous puissions comprendre que nous avons été empoisonnés », a-t-il poursuivi.

« Or cette toxine, à long terme, va faire que les personnes affligées de maladies préexistantes vont voir ces maladies s’aggraver », a expliqué le médecin.

À cause de certaines substances toxiques, y compris des « morceaux de protéines du VIH » dans cette protéine de pointe « délibérément fabriquée », Chetty affirme que « les personnes atteintes de cancers vont voir leurs cancers s’aggraver, et on dira qu’elles sont mortes du cancer ».

« Les personnes souffrant de lésions ou de prédispositions vasculaires, comme les diabétiques et les hypertendus, auront des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques et autres à des moments différents, et nous les attribuerons à leurs pathologies préexistantes », a-t-il ajouté.

« Les gens vont développer, avec le temps, des maladies auto-immunes, trop diverses pour être traitées par une quelconque intervention pharmaceutique, car elles sont beaucoup trop spécifiques. »

« Mais je pense que si les gens comprennent l’intention, alors ils comprendront pourquoi ce qui est arrivé est arrivé. Le manque de logique, la coercition, la suppression, sont tous fondés si on comprend qu’on est confrontés à un plus vaste projet. Ce projet consiste à s’assurer la possibilité de contrôler et de tuer une grande partie de la population sans que personne ne soupçonne que nous avons été empoisonnés », a déclaré le médecin du COVID.

« Et donc, je pense que la justification de tout ce que nous voyons apparaît lors de la compréhension du but final », a-t-il conclu.

« Je pense qu’il y a un gigantesque scénario en jeu ; [sinon] les vaccins n’ont absolument aucun sens. On nous a vendu le vaccin comme notre sauveur dès le départ, et si nous étudions la science, la science ne colle pas. »

Cohérence avec les autres experts : une « catastrophe mondiale sans équivalent ».

D’autres experts ont indiqué la possibilité de scénarios similaires depuis un certain temps.

En mars dernier, un ancien haut responsable de la Fondation Bill et Melinda Gates, Geert Vanden Bossch, a attiré l’attention en publiant une lettre ouverte et une vidéo mettant en garde contre une « catastrophe mondiale sans équivalent » due aux programmes expérimentaux de vaccination COVID-19. [NdT. j’ai publié sa lettre ici, et vu que les variants deviennent ajourd’hui de plus en plus inoffensifs, ça ne tient pas la route]

Dans sa lettre, l’ancien gestionnaire principal de programme pour l’Alliance Mondiale pour les Vaccins et la Vaccination (GAVI), écrit « qu’il est de plus en plus difficile d’imaginer comment les conséquences du vaste « programme de vaccins par transfert de gènes » ne vont pas anéantir une grande partie de notre population humaine. »

« On ne peut imaginer que très peu d’autres stratégies permettant d’atteindre le même niveau d’efficacité pour transformer un virus relativement inoffensif en une arme biologique de destruction massive », a-t-il ajouté.

En outre, le Dr Peter McCullough, expert du COVID-19 et médecin très publié, a affirmé : « Nous avons sur les bras la plus grande catastrophe biologique de l’histoire de l’humanité… et personne ne sait comment l’arrêter » (Vidéo : 13:00). [NdT. plusieurs articles de Peter McCullough publiés ici, ici et ici]

Tirant par ailleurs la même conclusion que le Dr Chetty, McCullough, auteur de plus de 650 publications dans la littérature médicale évaluée par des pairs, a déclaré : « Je crois que nous sommes confrontés à l’application d’une forme de bioterrorisme à l’échelle mondiale, [et] qui semble avoir été préparée depuis de nombreuses années. »

D’autres experts, dont America’s Frontline Doctors (AFLDS), ont depuis longtemps mis en garde contre la possibilité d’une réaction généralisée aux vaccins, l’augmentation de la facilitation de l’infection par les anticorps (ADE), une condition qui peut assurément être fatale.

Dans un livre blanc publié en janvier, l’AFLDS explique que « la facilitation de l’infection par les anticorps est particulièrement retorse car il s’agit d’une réaction retardée. Au départ, tout semble aller bien. La personne semble avoir une excellente réponse immunitaire, mais ensuite [cette vulnérabilité apportée par le vaccin] devient mortelle lorsque la personne est exposée au virus sauvage. »

« Le vaccin amplifie l’infection au lieu de prévenir les dommages », poursuit l’AFLDS.

« Il se peut qu’on ne l’observe qu’après des mois ou des années d’utilisation dans les populations du monde entier. »

L’AFLDS a en outre averti que les réactions de facilitation de l’infection par les anticorps « sont difficiles à prouver », car elles sont souvent interprétées comme une infection par « un virus plus dangereux », ou, éventuellement, un variant plus dangereux.

Le Dr Sherri Tenpenny a lancé un avertissement similaire en février dernier, prédisant une généralisation des maladies et des décès dus à la facilitation de l’infection par les anticorps après ces injections. Elle tablait sur une augmentation du nombre de personnes ayant des difficultés respiratoires, qui seraient alors déclarées porteuses d’un « virus mutant » (c’est-à-dire d’un « variant dangereux »), ce qui pourrait servir à faire croire que davantage de vaccinations sont nécessaires, alors que « ce que ces personnes subissent en réalité est causé par l’anticorps créé par le vaccin [initial] ». [NdT. publication du Dr Tenpenny ici]

Un autre expert à avoir exprimé des préoccupations similaires est le Dr Dolores Cahill, un médecin biomédical irlandais et expert en immunologie. Dans une présentation faite en janvier, elle a déclaré qu’en raison du risque élevé de survenue de la facilitation de l’infection par les anticorps, les personnes qui envisageraient de recevoir ces « vaccins » devraient comprendre que, pour le reste de leur vie, elles auraient un « risque de décès beaucoup plus élevé » causé par la vaccination.

Mme Cahill s’attend en outre à un nombre important de décès dus à la facilitation de l’infection par les anticorps dans les semaines, les mois et les années qui suivent les campagnes de vaccination et s’inquiète du fait qu’ils seraient classés comme résultant de l’infection par le COVID-19 alors qu’en fait ils pourraient bien être le résultat de la vaccination.

Depuis lors, une corrélation dramatique entre la mise en œuvre de campagnes de « vaccination » dans des pays du monde entier et une forte augmentation des décès attribués au COVID-19 est devenue la norme.

Dans une interview réalisée en mars, le Dr Michael Yeadon, ancien Vice-Président et Scientifique en Chef de la division Allergie et Respiratoire de Pfizer, a tiré des conclusions similaires à celles de Chetty, en déclarant : « Si quelqu’un souhaite léser ou tuer une proportion significative de la population mondiale au cours des prochaines années, les systèmes mis en place actuellement le permettront ». [NdT. Dr Mike Yeadon publié ici]

« Je considère qu’il est tout à fait possible que ce [système de vaccination généralisée par transfert de gènes] soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle », a-t-il ajouté.

En outre, lorsqu’il a publié la vidéo du Dr Chetty ci-dessus sur Telegram, Yeadon a explicitement confirmé l’argument du médecin sud-africain en déclarant : « C’est une opinion intéressante qui a autant de sens que les autres.

« Les obligations en matière de vaccination sont illogiques et effrayantes, car la plupart des gens ne courent pas un grand risque de contracter le virus et les vaccins ne préviennent ni les infections ni la transmission. Ils ne présentent donc aucun avantage pour la société, mais seulement un avantage individuel potentiel », a-t-il déclaré.

« Nous ne forcerions JAMAIS les gens à faire quelque chose qui présente UNIQUEMENT un avantage pour eux, et si on le faisait, ce serait dans des circonstances peu probables. C’est insensé. Refusez », conseille M. Yeadon.


Texte original

COVID shots intended to reduce world’s population by poisoning ‘billions’: South African doctor

‘The deaths that are meant to follow the vaccinations will never be able to be pinned on the poison. They will be too diverse, there will be too many, and they will be in too broad a timeframe for us to understand that we have been poisoned,’ said Dr. Shankara Chetty.

Tue Nov 23, 2021 – 7:56 am EST

PORT EDWARD, South Africa (LifeSiteNews) – A prominent doctor credited with advancing the development of early treatments for COVID-19 has stated that, in his judgment, the purpose of the pandemic and vaccine campaigns, is to “control and kill off a large proportion of our population without anyone suspecting that we were poisoned.” 

Dr. Shankara Chetty, a family doctor in South Africa who, according to his website, has “treated 7000 Covid-19 patients without a single hospitalization or death,” combined insights from his medical knowledge along with his observations of government dictates and media censorship to support his conclusions. 

While participating in a Zoom meeting of people who appeared to be physicians, Chetty prefaced his remarks by posing a question: “I think the perspective around what is happening is vitally important. We need to understand what the aim is. Everyone knows that there’s inconsistencies, that there’s coercion, but we need to understand why. Why is it there?” 

He went on to identify, as “the most important” aspect for answering these questions, the “pathogen that was causing all the death in COVID illness,” the spike protein which is carried by the virus and is what the vaccine is designed to produce in a recipient’s body. 

“If I had to give you my opinion, as to what is happening on a global scale,” he said, “[the] spike protein is one of the most contrived toxins or poisons that man has ever made. And the aim of this toxin is to kill billions without anyone noticing it. So, it’s a poison with an agenda.” 

The physician, broadly recognized for developing the “8th Day Therapy for COVID-19” for patients who have entered the more dangerous inflammatory stage of the disease, then stated that “what looks like transpired here, [is] they’ve engineered a virus and put this weapons-grade package onto it called ‘spike protein.’” 

With the initial release of this “most elaborately engineered toxin,” expected allergic reactions happen in a small percentage of people, causing many to fall very ill and die when the reaction occurs. According to Chetty, this is normally on the eighth day of symptoms. 

The physician said that because of the initial 14-day global lockdowns, those infected with COVID-19 who had allergic reactions arrived at the hospitals late, and these institutions implement mandated protocols “to engineer death and damage [in order] to stir all the fear.” 

“But the game that they played with this engineered virus was to justify the vaccination of the planet,” he continued. 

Chetty added that these injections are meant to “expose us to [the] spike protein for a longer period.” 

The 18-year veteran practitioner, who has often been interviewed across the internet by fellow doctors, and has made appearances with other well-known early treatment innovators such as Drs. Pierre Kory, Ryan Cole, and Richard Urso, explained how, following the allergic reaction deaths in the first two weeks, more long-range health dangers begin to emerge.  

“[We begin] to see the endothelial [blood vessel lining] injuries that this vaccine causes with its spike protein, with its influence on its ACE2 receptors. Those are the deaths that are meant to follow. And they will never be pinned onto [the] spike protein, a very well-engineered toxin,” he said. 

“Now spike protein is also a membrane protein. So, the mRNA will distribute this throughout our body. It will be made in various tissues around our body. It will be incorporated into those membranes around our body, and those specific tissues.”  

“Those tissues will be recognized as foreign and will trigger a host of autoimmune responses. So, the deaths that are meant to follow the vaccinations will never be able to be pinned on the poison! They will be too diverse, there will be too many, and they will be in too broad a timeframe for us to understand that we have been poisoned,” he continued. 

“Now this toxin in the long term is going to get people with pre-existing illness to have those illnesses exasperated,” the doctor explained.  

With certain toxic substances, including “bits of HIV protein” within this “definitely engineered” spike protein, Chetty states “people with cancers are going to have their cancers flareup, and they will say they died of the cancer.”  

“People with vessel injuries or predisposition like our diabetics and [those with] hypertension are going to have strokes and heart attacks and the rest at varying times, and we’ll attribute those to their preexisting conditions,” he said. 

“People are going to develop, over time, autoimmune conditions, the diversity of which will never be addressed by any pharmaceutical intervention because they’re far too targeted.” 

“But I think if people understand what the intention is, then they’ll understand why what’s happened has happened. The ill logic, the coercion, the suppression, is all warranted if you understand that there is a bigger plan. This plan is to make sure that we can control and kill off a large proportion of our population without anyone suspecting that we were poisoned,” the COVID physician said. 

“And so, I think the justification for everything we see is warranted in understanding the endgame,” he concluded.  

“I think there’s a huge picture at play; [otherwise] the vaccines make absolutely no sense. We were sold the vaccine as our savior from the start, and if we look at the science, the science does not play out.” 

Chetty added that these injections are meant to “expose us to [the] spike protein for a longer period.” 

The 18-year veteran practitioner, who has often been interviewed across the internet by fellow doctors, and has made appearances with other well-known early treatment innovators such as Drs. Pierre Kory, Ryan Cole, and Richard Urso, explained how, following the allergic reaction deaths in the first two weeks, more long-range health dangers begin to emerge.  

“[We begin] to see the endothelial [blood vessel lining] injuries that this vaccine causes with its spike protein, with its influence on its ACE2 receptors. Those are the deaths that are meant to follow. And they will never be pinned onto [the] spike protein, a very well-engineered toxin,” he said. 

“Now spike protein is also a membrane protein. So, the mRNA will distribute this throughout our body. It will be made in various tissues around our body. It will be incorporated into those membranes around our body, and those specific tissues.”  

“Those tissues will be recognized as foreign and will trigger a host of autoimmune responses. So, the deaths that are meant to follow the vaccinations will never be able to be pinned on the poison! They will be too diverse, there will be too many, and they will be in too broad a timeframe for us to understand that we have been poisoned,” he continued. 

“Now this toxin in the long term is going to get people with pre-existing illness to have those illnesses exasperated,” the doctor explained.  

With certain toxic substances, including “bits of HIV protein” within this “definitely engineered” spike protein, Chetty states “people with cancers are going to have their cancers flareup, and they will say they died of the cancer.”  

“People with vessel injuries or predisposition like our diabetics and [those with] hypertension are going to have strokes and heart attacks and the rest at varying times, and we’ll attribute those to their preexisting conditions,” he said. 

“People are going to develop, over time, autoimmune conditions, the diversity of which will never be addressed by any pharmaceutical intervention because they’re far too targeted.” 

“But I think if people understand what the intention is, then they’ll understand why what’s happened has happened. The ill logic, the coercion, the suppression, is all warranted if you understand that there is a bigger plan. This plan is to make sure that we can control and kill off a large proportion of our population without anyone suspecting that we were poisoned,” the COVID physician said. 

“And so, I think the justification for everything we see is warranted in understanding the endgame,” he concluded.  

“I think there’s a huge picture at play; [otherwise] the vaccines make absolutely no sense. We were sold the vaccine as our savior from the start, and if we look at the science, the science does not play out.” 

Consistency with other experts: a ‘global catastrophe without equal’ 

Other experts have indicated the possibility of similar scenarios for quite some time. 

Last March a former senior officer of the Bill & Melinda Gates Foundation, Geert Vanden Bossch, drew significant attention when he issued an open letter and video warning of a “global catastrophe without equal” due to experimental COVID-19 vaccination programs.  

In his letter, the previous senior program manager for the Global Alliance for Vaccines and Immunization (GAVI), wrote “it’s becoming increasingly difficult to imagine how the consequences of the extensive” gene-transfer vaccine program is “not going to wipe out large parts of our human population.” 

“One could only think of very few other strategies to achieve the same level of efficiency in turning a relatively harmless virus into a bioweapon of mass destruction,” he said. 

In addition, COVID-19 expert and highly published physician Dr. Peter McCullough affirmed, “We have the biggest biological catastrophe on our hands in human history… and no one knows how to stop it” (Video: 13:00). 

Drawing the same conclusion as Dr. Chetty elsewhere, McCullough, who has authored over 650 publications in peer-reviewed medical literature, stated “I believe that we’re under the application of a form of bioterrorism that’s worldwide, [and] that appears to have been many years in the planning.” 

Other experts, including America’s Frontline Doctors (AFLDS) have for quite some time warned against the possibility of widespread Antibody Dependent Enhancement (ADE) as a reaction to the vaccines, a condition which can certainly be fatal. 

In a white paper issued in January, AFLDS explained “ADE is especially tricky because it is a delayed reaction. Initially all seems well. The person seems to have a great immune response, but then [this vulnerability brought about by the vaccine] becomes deadly when the person is exposed to the virus in the wild.” 

“The vaccine amplifies the infection rather than preventing damage,” AFLDS continues. 

“It may only be seen after months or years of use in populations around the world.” 

AFLDS further warned that ADE reactions “are difficult to prove,” as they are often interpreted as infection with “a worse virus,” or, perhaps, a more dangerous variant. 

Dr. Sherri Tenpenny gave a similar warning last February predicting widespread illness and fatality from ADE following these injections. She expected an increase in people having difficulty breathing, who would then be declared as having a “mutant virus” (i.e., “dangerous variant”) which could be used to push a narrative that more vaccinations are needed, when “what these people are actually experiencing is the antibody created by the [original] vaccine.” 

Another expert who expressed similar concerns is Dr. Dolores Cahill, an Irish biomedical doctor and expert in immunology. She stated in a January presentation that, due to the high potential for ADE occurring, those who would consider reception of these “vaccines” should understand that for the rest of their lives they would have a “much higher risk of death” due to the vaccination. 

Cahill further expected significant numbers of deaths due to ADE in the weeks, months, and years following vaccination campaigns and expressed concern they will be classified as resulting from COVID-19 when in fact they may well be the result of the vaccination. 

Since then, a dramatic correlation between implementation of “vaccine” campaigns in nations across the globe and sharp increases in COVID-19 attributed deaths have become the norm. 

In a March interview, a former Pfizer Vice President & Chief Scientist for Allergy & Respiratory, Dr. Michael Yeadon, drew conclusions similar to Chetty’s, stating, “If someone wished to harm or kill a significant proportion of the world’s population over the next few years, the systems being put in place right now will enable it.” 

“It’s my considered view that it is entirely possible that this [system of widespread gene-transfer vaccination] will be used for massive-scale depopulation,” he said. 

In addition, when posting the video of Dr. Chetty above on telegram, Yeadon explicitly affirmed the argument of the South African physician stating, “This is an interesting opinion that makes as much sense as any. 

“The vaccine mandates are illogical & frightening, since most aren’t at great risk from the virus in the first place & the vaccines don’t prevent infection or transmission. So, they don’t provide a societal benefit, only a potential individual benefit,” he said. 

“We’d NEVER force people to do something which ONLY benefits them & even then, under unlikely circumstances. It’s nuts. Decline,” Yeadon advised. 

Criminels.

C’est Albert Bourla, le PDG de Pfizer, qui le dit, dans un anglais à peine compréhensible digne d’un parrain mafieux analphabète, dont je vous donne un aperçu dans la traduction:

« Mais il y a une toute petite partie des professionnels qu’ils circulent exprès de la désinformation de façon à ce qu’ils égareront ceux qu’ils ont des inquiétudes. Ces [incompréhensible], ils ne sont pas des gens mauvais, ils sont des criminels parce qu’ils ont littéralement coûtéré des millions de vies. »

« But there is a very small part of professionals which they circulate on purpose misinformation so that they will mislead those that they have concerns. Those [incomprehensible] are criminals, they’re not bad people, they’re criminals because they litteraly costed millions of lives. »

Rappelons ici et ici et ici le nombre de morts – qui a évidemment augmenté depuis, je ferai la mise à jour – sans parler de ceux qu’on a pas encore comptés, de ceux qui vont suivre – impossible à estimer à ce stade – des centaines de milliers de fausses couches et de morts nés (ici et ici), et de tous les handicapés à vie de l’injection Covid, fabriquée notamment par la firme qu’il dirige, tellement intègre qu’elle a déjà été condamnée à 4.660.896.333 de dollars de « réparations » en vingt ans.

Mais d’après M. Bourla, ce sont des gens comme le Dr Peter McCullough ou le Dr Vladimir Zelenko les criminels.

Johnson & Johnson, l’autre fabricant de « vaccins » au-dessus de tout soupçon : 5 milliards de dollars de réparation pour leur participation à l’épidémie d’overdoses aux opioïdes.

Merck, fabricant du Molnupiravir, dont nous reparlerons très bientôt:

L’enquête fédérale aux États-Unis permet de démontrer rapidement que l’accroissement notable de la mortalité cardio-vasculaire sous Vioxx© avait été repérée par les expérimenteurs de Merck dès les premières études épidémiologiques, mais que sur ordre ces résultats ont été manipulés afin de ne pas nuire à la carrière prometteuse du produit.

En 2011 le groupe Merck Pharmaceuticals reconnait officiellement (selon un communiqué de presse du Département américain de la Justice) avoir eu connaissance de ces effets et avoir illégalement omis de préciser une partie des effets secondaires de l’anti-douleur (Vioxx)9.

Des chercheurs et des responsables de l’entreprise ont de manière complice caché les preuves du fait que ce médicament avait, lors de ses essais cliniques, provoqué un nombre alarmant de crises cardiaques10.

Les dirigeants, employés, chercheurs ou médecins de Merck n’ont pas été traduits en justice11. En échange, Merck a plaidé coupable et a payé une amende pour avoir violé la loi sur les produits alimentaires, cosmétiques et de santé dans le cadre de sa mise sur le marché du Vioxx11. Le directeur général de Merck (Raymond Gilmartin), responsable du dossier Vioxx, a néanmoins reçu un salaire de près de quarante millions de dollars lors de sa dernière année d’emploi dans le groupe12, après quoi, Gilmartin n’a pas été poursuivi ni emprisonné mais accueilli à la Harvard Business School pour y donner des cours sur la responsabilité sociale des entreprises13.

Et cætera.

Les fabricants de « vaccins » sont payés mille dollars par seconde pour commettre ce qui n’est pas un génocide mais un pandémocide, avec la complicité des institutions de santé (ici et ici, notamment), des gouvernements achetés et de ceux qui les servent.

Mort, destruction, vol, mensonge, l’arrogance et les insultes en plus, apparemment ils n’en auront jamais assez.

Et vous?

Un directeur de pompes funèbres britannique : 10X plus de décès de nouveau-nés après les injections COVID – des réfrigérateurs remplis de bébés morts.

Source.

Traduction

Je m’appelle Wesley, je suis directeur de pompes funèbres depuis plus de trois ans. J’ai donc quelques notions sur ce qui se passait avant le début de cette pandémie et sur ce qui se passe actuellement. Il y a eu un pic en mars, avril de l’année dernière et après ça, ça s’est considérablement calmé. Tout était gonflé d’après ce que je voyais. Et on a fermé ces unités de stockage supplémentaires qui étaient là durant l’été et on ne les a jamais rouvertes.

Les ont-ils utilisés avant?

Oui, mais je ne pense pas que… Je ne saurais pas vous dire combien de corps ils contenaient, mais on a vite fait de les refermer. Elles n’ont été ouvertes que pendant deux mois.

Donc la seule fois où vous avez observé un pic, c’était au début de cette histoire, et depuis, il n’y a presque rien eu?

Eh bien, à l’automne, c’était probablement l’une des périodes les plus calmes jamais enregistrées – et les autres directeurs de pompes funèbres vous le diront dans la mesure où ils peuvent s’exprimer. Mais en janvier, les chiffres ont crevé le plafond. À ce moment-là, les unités de stockage supplémentaires étaient planquées, à l’écart. Et cela depuis que les gens ont été vaccinés. Donc cette année, au fur et à mesure des vaccinations, j’ai vu des tendances dans les différents groupes d’âge. Évidemment, le fait qu’ils soient vaccinés n’est pas signalé, mais c’est le plus grand nombre d’enterrements que nous ayons jamais vu en deux semaines et ils sont tous âgés de 30, 40 ans, pas plus.

Et c’est ce que vous voyez maintenant?

C’est ce que j’ai vu plus tôt dans l’année quand cette tranche d’âge a été vaccinée.

Et quelle était la proportion par rapport à la proportion habituelle?

Eh bien, on procède habituellement avec tous les groupes d’âge, mais comme je le disais, les personnes âgées qui devaient probablement mourir dans l’année ou l’année et demie à venir, sont déjà mortes. Il y a donc un grand vide. Nous ne voyions plus ces décès. Et les plus jeunes sont maintenant vaccinés – et j’en ai eu environ 12 en une seule fois.

Combien en recevez-vous en général?

Très peu, très peu, mais nous avons eu des taux de suicide élevés, surtout chez les jeunes hommes. C’était surtout pendant l’été et l’automne derniers.

Mais pouvez-vous donner aux gens une idée de la proportion? Vous en avez eu 12 en un court laps de temps. Combien en recevriez-vous habituellement dans ce laps de temps? 1 ou peut-être 50% de probabilité?

Nous avons normalement 4 ou 5 funérailles en cours, pas 12 – 11, 12. Et pas tous de cette tranche d’âge. Il y a souvent des personnes âgées parmi eux. Maintenant, c’est calme et j’ai vu beaucoup de nouveau-nés dans les frigos des morgues.

Voulez-vous nous parler du nombre de nouveau-nés que vous avez vu dans les morgues?

Oh, ils sont vraiment nombreux. Il y en a plus de trente dans un seul hôpital.

Et combien en ont-ils habituellement?

Ils ont des frigos qui peuvent en contenir 6 à 10 maximum. Ils ne sont jamais pleins en temps normal. Mais maintenant ils sont tous dans la section adulte.

Donc il y a peut-être 10 fois plus de cas que d’habitude?

Oui, et manifestement, ce sont soit des fausses couches, soit des naissances à terme, des mort-nés. Mais on n’en parle pas beaucoup.

Wow. Et qu’avez-vous vu d’autre? Avez-vous vu une autre augmentation, peut-être chez les jeunes récemment?

Pas chez les moins de 20 ans. Pas dans la vingtaine, à vrai dire. Mais au-dessus, oui. Au début de l’été, quand ils sont tous allés se faire vacciner. Voyez-vous, ce qui va se passer, c’est qu’on va avoir ceux qui déclenchent quelque chose en eux, ou qui ne sont pas en très bonne santé, ou qui ne le savent pas, donc ceux-là vont passer en premier. Et ensuite, on en verra probablement beaucoup plus.

Et qu’est-ce que vous voyez sur les certificats de décès?

Il y a beaucoup de myocardites, d’infarctus du myocarde. Tout ce qui est lié au sang, au cœur, à la pneumonie. Mais pour le Covid, je n’en ai eu qu’un seul cette année, un seul décès par Covid depuis janvier.

Sur combien?

Je ne peux pas vous dire combien nous en avons eu, mais si c’était une pandémie, il devrait y en avoir plus. Mais c’est comme s’ils ne s’en souciaient plus, ils peuvent juste manipuler leurs chiffres et faire comme bon leur semble.

Donc vous en recevez des centaines par an ou peut-être une centaine?

Oui, oui. Mais vous voyez, l’année dernière ils ont étiqueté tout le monde avec cette maladie. Ils mouraient d’autres choses, ils les testaient et les étiquetaient comme Covid. Mais maintenant, depuis que les vaccinations ont commencé, ils ne le font plus.

Vous pensez que c’est parce qu’ils sont sûrs que ces injections fonctionnent sur les gens, qu’elles ne les tuent pas?

Oui, oui, ils font juste peur aux gens à la télé.

Donc c’est un truc psychologique.

Oui, oui, faites-vous vacciner. Ce qu’on va faire à partir de maintenant, je ne sais pas, quand de plus en plus de gens commenceront à mourir de ce vaccin. On a eu les premières réactions, mais que va-t-il se passer ensuite?

Et puis-je vous demander, en ce qui concerne l’année dernière, l’étiquetage des personnes comme mortes de Covid. Combien… dans quelles proportions pensez-vous qu’elles ont été faussement attribuées?

Oh, une forte proportion parce qu’ils testaient tout le monde. Donc si vous étiez testé positif et que cela n’avait rien à voir, enfin, j’ai rencontré une personne vraiment bouleversée par cela. La personne était en train de mourir d’autre chose, je pense que c’était un cancer à l’époque, et ils ont marqué que c’était un décès dû au Covid. Elle n’avait jamais eu de Covid. Mais elle a été testée positive.

Et est-ce que vous avez vu… donc vous avez vu d’autres exemples de ça, de personnes mourant de diverses autres causes et ensuite…

Oui, oui, oui, oui. Et maintenant on voit qu’il n’y a pas de mention de qui a été vacciné et de qui ne l’a pas été sur les certificats. Et il devrait y en avoir.

Et est-ce que vous travaillez avec les familles?

Pas vraiment, non.

Donc vous n’avez pas l’occasion de leur parler et de leur poser des questions pour savoir s’ils ont eu l’injection ou pas?

Non, c’est un peu difficile à faire à moins qu’ils ne soient eux-mêmes intéressés par le sujet, car c’est une question assez privée pour eux.

Mais qu’avez-vous remarqué d’autre récemment? Vous avez remarqué une augmentation massive de décès de bébés, je peux vous demander quel âge avaient ces bébés? Étaient-ils des nouveau-nés?

Oui, des nouveau-nés ou des fausses couches. Je n’en sais pas plus, je les vois juste dans les frigos. Même sans prénom, « bébé de » et ensuite le nom des parents.

Wow.

Oui, c’est choquant et je suis sûr qu’il y a beaucoup d’autres personnes qui le remarquent aussi. Voyez-vous, nous ne nous occupons pas des nouveaux-nés, donc je ne sais pas trop ce qui leur est arrivé. Mais je les vois dans les frigos des morgues.

Et y a-t-il autre chose que vous aimeriez me dire maintenant et que je ne vous ai peut-être pas demandé?

Je ne vois rien d’autre. Juste que les décès d’adultes sont en baisse en ce moment. Comme je l’ai dit, il y a eu des vagues de personnes affectées par les vaccins. Non pas qu’il soit écrit qu’ils sont morts à cause des vaccins. Mais c’est évident et le Covid est inexistant.

Puis-je vous demander quel est votre message à toutes les personnes qui envisagent de s’exprimer ou à tous les entrepreneurs de pompes funèbres?

Je dis faites-le, faites-le. Le problème, c’est que pour beaucoup de croque-morts qui travaillent pour de grandes entreprises, il n’est pas permis de s’exprimer. Si vous voyez ce qui se passe, vous devez le dire. Je veux dire que c’est évident, c’est clair comme le jour. Personne d’autre ne voit ces certificats de décès à part le personnel du crématorium. Et tout est visible.

Merci beaucoup.

Je vous en prie.


Transcription

My name’s Wesley, I’ve been a funeral director for over three years. So I have a bit of knowledge about what was going on before this pandemic started and what’s going on right now. So there was a spike back in March, April last year and after that, it considerably calmed down. It was all hyped from what I was seeing. And they shut down these extra storage units that they had in the summer and they never open them up again.

Did they use them in the first place?

Yes, but I don’t think that… I couldn’t tell you how many bodies were in there but they soon went back down. They were only up for a couple of months.

So the only time you saw a spike was right at the start of this whole thing and since then there’s been next to nothing?

Well, come Autumn it was probably one of the quietest in record – and other funeral directors will tell you that where they can speak out. But come January the numbers were going through the roof. By this time the extra storage units were hidden, they were out of the way. And that’s since people were being vaccinated. So this year as the vaccinations have gone on I’ve seen trends through the age groups. Obviously it’s not marked down that they’re vaccinated but it’s the most funerals that you’ve ever done in 2 weeks and they’re all aged 30, 40, no older.

And that’s what you’re seeing now?

That’s what I saw earlier in the year when that age group got vaccinated.

And what sort of proportion was that compared to the proportion that you usually do with?

Well, you usually do with all different age groups but as I was saying the elderly that were probably gonna go in the next year or year and a half or whatever, they’ve already gone. So there’s a big gap there. So we weren’t having those deaths anymore. And with younger people, they are now vaccinated – and I had about 12 in one go.

How many would you usually get?

Very few, very few but I mean we’ve had high suicide rates, especially in young men. That was mainly last summer into the Autumn.

But could you give people a sense of proportion? You got 12 in a short space of time. How many would you get in that space of time? 1 or maybe like a 50 percent chance?

We normally have about 4 or 5 funerals going, not 12 – 11,12. And not all of that age group. There would be old people in there. So, and then now it’s quiet and what I’ve seen is a lot of newborn babies in the fridges in the mortuaries.

So do you want to talk about the number of newborn babies that you’ve seen in the mortuaries?

Oh, they’re really high. They’re up above thirty in one hospital.

And how many would they usually have?

They have fridges that’ll hold about 6 to 10 maximum. They’re never normally full. But now they’re all in the adult section.

So there’s about maybe 10 times the rate of what they would usually have?

Yeah, and obviously they’re either miscarried our full term birth, stillbirth. But not a lot is being said about it.

Wow. And what else have you seen? Have you seen another uptake, perhaps in younger people recently?

Not in people under 20. Not in their twenties, really. But above that, yes. Earlier in the summer when they all first went out and got vaxed. You see, what’s going to happen is you’re gonna get the ones that triggers something in them or they haven’t very good health or maybe don’t know about, so they will go first. And then down the line you’re probably gonna see a lot more.

And what do you see being put down on the death certificates?

There’s a lot of myocarditis, myocardial infractions. You know it’s all blood-, heart-based, pneumonia. But Covid, I’ve only had one this year, one Covid death written down since January.

Of how many?

I can’t tell you how many we’ve done but if it’s the same as a pandemic going on there should be more than that. But it’s like they’re not that bothered of it anymore, they can just twist their figures and do whatever.

So would that be hundreds that you do in a year or maybe a hundred?

Yeah, yeah. But you see last year they were marking anybody and everybody down with it. They died of other things, they were testing them and they were marking them down as Covid. But now since the vaccinations have been going, they’re not doing that.

So do you think it’s because they feel confident that these injections are working on people, that they’re not putting people down?

Yeah, yeah, they just scaring people on TV.

So it’s a psychological thing.

Yeah, yeah, get your vaccination. What we’re gonna do now, I don’t know, when more and more people start dying of this vaccination. I mean, you’ve had the initial reactions but what’s gonna happen down the line?

And can I ask you in terms of last year, marking people down as Covid death. How many… what sort of proportions do you think were falsely attributed?

Oh, a high proportion ’cause they were testing everybody. So if you tested positive and that wasn’t anything to do with it, I mean, I had one person really upset about it. The person was dying of something else, I think it was cancer at the time, and they marked it down as a Covid death. She’d never had Covid. But tested positive.

And were you seeing… so you’re seeing other examples of this, of people dying of multiple different things and then it…

Yeah, yeah, yeah, yeah. And now you see there’s no record of who’s been vaccinated and of who hasn’t that’s going down on the certificates. And it should be.

And do you work with the families at all?

Not really, no.

So you don’t get to speak to them and ask them any questions about whether they’ve had the injection or not?

No, it’s a bit of a tricky thing to do unless they’re on the subject because it’s quite private to them, so.

But what else have you noticed recently? You’ve noticed a massive uptick in babies and I can I ask how old were these babies? Were they newborns?

Yeah, newborns or miscarried. I don’t know anymore than that, I just see them in the fridges. Even without names, « baby of » and then the parents name.

Wow.

Yeah, it’s shocking and I’m sure there’s many more people noticing it, too. You see, we don’t we don’t deal with newborn babies so I don’t get to see what goes on with them. But I see them in the fridges in the mortuaries.

And is there anything else that you’d like to tell me now that maybe I haven’t asked you?

Can’t think of anything. Just that the deaths of adults are down right now. As I say, you’ve had the waves of people affected by the vaccines. Not that it’s written down that they’ve died of vaccines. But it’s there and Covid’s just nonexistent.

And can I ask what is your message to any of the people who are thinking of speaking out or any of the undertakers?

I say do it, do it. Problem is, with a lot of undertaker who are, you know, working for big companies, you’re not allowed to speak out. If you’re seeing this you need to speak out. I mean it’s there, it’s clear as day. Nobody else sees these death certificates apart from those in the crematorium staff. So, it’s all there.

Thank you very much.

Pleasure.

2 620 bébés morts signalés au VAERS après l’injection COVID – Plus de décès fœtaux en 11 mois que pour les 30 dernières années après administration de TOUS les vaccins, et début d’une enquête en Écosse – par par Brian Shilhavy.

La transcription et la traduction de la vidéo en fin d’article est ici.

Source.

2 620 bébés morts signalés au VAERS après l’injection COVID – Plus de décès fœtaux en 11 mois que pour les 30 dernières années après administration de TOUS les vaccins, et début d’une enquête en Écosse

par Brian Shilhavy
Rédacteur en chef, Health Impact News

Les décès fœtaux consécutifs à l’injection de vaccins COVID-19 à des femmes enceintes continuent d’augmenter, avec maintenant 2 620 décès fœtaux signalés au VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System).

Si l’on effectue exactement la même recherche dans le VAERS en excluant les injections COVID-19, on trouve 2 225 décès fœtaux suite à TOUS les vaccins injectés aux femmes enceintes au cours des 30 dernières années. (Source.)

Nous sommes actuellement en passe de parvenir à un total sur un an de 2 838 décès fœtaux signalés consécutifs aux injections COVID-19, alors que la moyenne annuelle des décès fœtaux signalés à la suite de la vaccination de femmes enceintes au cours des 30 dernières années a été de 74 décès fœtaux par an.

Le mois dernier (octobre 2021), le New England Journal of Medicine a admis que l’étude originale utilisée pour justifier la recommandation des CDC et de la FDA de vacciner les femmes enceintes était biaisée. (Source.)

Depuis, des chercheurs de Nouvelle-Zélande ont mené une nouvelle étude sur les données originales et ont conclu :

Une nouvelle analyse de ces chiffres indique une incidence cumulée d’avortement spontané allant de 82% (104/127) à 91% (104/114), soit 7 à 8 fois plus que les résultats des auteurs originaux. (Source.)

Et pourtant, les CDC et la FDA continuent de recommander les injections aux femmes enceintes, même si une analyse correcte des données originales montre que 82% à 91% des femmes enceintes feront des fausses couches si leur enfant à naître a moins de 20 semaines. (Source.)

Et pourtant, le CDC et la FDA continuent de recommander les injections de COVID-19, qui comprennent maintenant aussi des injections de rappel [booster shots] de Pfizer et Moderna, ce qui signifie qu’une femme enceinte peut à présent recevoir 3 injections COVID-19 au cours de sa grossesse (si celle-ci dure suffisamment longtemps).

Sur les 2 620 décès fœtaux signalés au VAERS à la suite d’injections COVID-19, 2 015 de ces décès fœtaux sont consécutifs aux injections de Pfizer, et 689 aux injections de Moderna. (Source.)

Le VAERS est un système passif qui connaît une grave sous-déclaration. Les CDC et la FDA n’ont jamais mené d’étude pour déterminer ce facteur de sous-déclaration, mais des scientifiques indépendants l’ont fait, et nous avons déjà publié l’analyse menée par le Dr Jessica Rose, qui a déterminé qu’un facteur de sous-déclaration prudent serait X41. Voir :

ETUDE : Les propres données du gouvernement révèlent qu’au moins 150 000 personnes sont probablement mortes aux Etats-Unis après avoir reçu le vaccin COVID-19.

Cela signifie qu’il y a probablement eu jusqu’à présent au moins 107 420 décès fœtaux suite aux injections COVID-19. Et combien de ces femmes pourront à nouveau être enceintes?

Pourquoi cela ne fait-il pas la une des journaux? Même dans les médias alternatifs, pour autant que je sache, je suis le seul à révéler ces morts fœtales qui figurent dans les données du gouvernement relatives aux injections COVID-19 et à les publier.

Et à présent, on apprend qu’en Écosse, on reconnaît ce pic de décès chez les nouveau-nés, et on a lancé une enquête pour essayer de comprendre pourquoi tant de nouveau-nés meurent.

The Hearld en Ecosse relate :

Une enquête a été lancée sur un pic de décès chez les nouveau-nés en Écosse.

Les limites de contrôle et d’alerte sont conçues pour signaler aux équipes de santé publique les cas de décès néonatals, de mortinatalité ou d’autres décès de nourrissons à des niveaux anormalement élevés ou bas qui pourraient ne pas être le fait du hasard.

Bien que le taux fluctue d’un mois à l’autre, le chiffre pour le mois de septembre – 4,9 pour 1000 naissances vivantes – est comparable aux niveaux observés pour la dernière fois à la fin des années 1980.

Public Health Scotland (PHS), qui est l’un des organismes qui enquêtent actuellement sur ce pic, a déclaré que le fait que la limite supérieure de contrôle ait été dépassée « indique qu’il y a une plus forte probabilité que des facteurs autres que la variation aléatoire aient pu contribuer au nombre de décès qui se sont produits ». (Article complet.)

Pensez-vous que ces responsables de la santé publique au Royaume-Uni vont considérer les injections de COVID-19 faites aux femmes enceintes comme une cause potentielle?

J’en doute sérieusement, mais les injections d’ARNm de Pfizer et Moderna sont également utilisées au Royaume-Uni, ainsi que l’injection d’AstraZeneca, et c’est pure folie de ne pas considérer ces injections expérimentales comme étant liées à ces décès de nourrissons, et cela aurait dû se faire depuis des mois!

Voici une dénonciation d’un directeur de pompes funèbres au Royaume-Uni expliquant l’augmentation du nombre de décès de nouveau-nés constatés actuellement. Ce reportage est sur notre chaîne Bitchute. [NdT. la transcription/traduction de cette vidéo est ici]

Voici un reportage vidéo que nous avons réalisé le mois dernier et qui présente des exemples effroyables et déplorables de ce que ces injections font aux bébés à naître.


Texte original

2,620 Dead Babies in VAERS After COVID Shots – More Fetal Deaths in 11 Months than Past 30 Years Following ALL Vaccines as Scotland Begins Investigation

by Brian Shilhavy
Editor, Health Impact News

Fetal deaths following COVID-19 shots injected into pregnant women continue to increase, as there are now 2,620 fetal deaths reported in VAERS (the Vaccine Adverse Events Reporting System).

When we run the exact same search in VAERS and exclude the COVID-19 shots, we find 2,225 fetal deaths following ALL vaccines injected into pregnant women for the past 30+ years. (Source.)

We are currently on pace to see a yearly total of 2,838 recorded fetal deaths following COVID-19 shots, while the yearly average of recorded fetal deaths following the vaccination of pregnant women for the past 30 years has been an average of 74 fetal deaths per year.

Last month (October, 2021) the New England Journal of Medicine admitted that the original study used to justify the CDC and the FDA in recommending the shots to pregnant women was flawed. (Source.)

Since then, researchers in New Zealand have conducted a new study on the original data, and concluded:

A re-analysis of these figures indicates a cumulative incidence of spontaneous abortion ranging from 82% (104/127) to 91% (104/114), 7–8 times higher than the original authors’ results. (Source.)

And yet, the CDC and FDA still continue to recommend the shots for pregnant women, even though a correct analysis on the original data shows that 82% to 91% of pregnant women will suffer miscarriages if their unborn child is less than 20 weeks old. (Source.)

And yet the CDC and FDA continue to recommend the COVID-19 shots, which now also include booster shots from Pfizer and Moderna meaning a pregnant woman can now be injected with 3 COVID-19 shots during her pregnancy (if it lasts long enough).

Of the 2,620 fetal deaths in VAERS following COVID-19 shots, 2,015 of these fetal deaths follow Pfizer injections, and 689 of them follow the Moderna injections. (Source.)

VAERS is a passive system that is severely under reported. The CDC and FDA have never conducted a study to determine what this under-reported factor is, but independent scientists have, and we have previously published the analysis conducted by Dr. Jessica Rose, who has determined that a conservative under-reported factor would be X41. See:

STUDY: Government’s Own Data Reveals that at Least 150,000 Probably DEAD in U.S. Following COVID-19 Vaccines

This means that there have probably been at least 107,420 fetal deaths following COVID-19 injections so far. And how many of these women will be able to get pregnant again?

How is this not headline news?? Even in the Alternative Media, as far as I know I am the only one digging out these fetal deaths contained in the government’s own data following COVID-19 injections and publishing them.

And now it is being reported in Scotland that they are recognizing this spike in deaths in newborn babies, and they have launched an investigation to try to figure out why so many newborn babies are dying.

The Hearld in Scotland reports:

An investigation has been launched into a spike in deaths among newborn babies in Scotland.

Control and warning limits are designed to flag up to public health teams when neonatal, stillbirth or other infant deaths are occurring at unexpectedly high or low levels which may not be due to chance.

Although the rate fluctuates month to month, the figure for September – at 4.9 per 1000 live births – is on a par with levels that were last typically seen in the late 1980s.

Public Health Scotland (PHS), which is one of the bodies currently investigating the spike, said the fact that the upper control limit has been exceeded “indicates there is a higher likelihood that there are factors beyond random variation that may have contributed to the number of deaths that occurred.” (Full article.)

Do you think these public health officials in the UK will look at the COVID-19 shots being injected into pregnant women as a potential cause?

I seriously doubt it, but the Pfizer and Moderna mRNA shots are also being used in the UK, along with the AstraZeneca shot, and it is pure insanity not to consider these experimental injections as being linked to these infant deaths, and this should have happened months ago!

Here is a Funeral Director whistleblower in the UK explaining the increase in dead newborn babies they are now seeing. This is on our Bitchute channel.

Here is a video report we made last month with some very unfortunate gruesome examples of what these shots are doing to unborn babies

La mortalité toutes causes confondues monte en flèche en 2021 – par Toby Rogers.

Source.


Traduction

La mortalité toutes causes confondues monte en flèche en 2021

Des données provenant d’Europe et des États-Unis montrent une augmentation de la mortalité toutes causes confondues chez les personnes de moins de 65 ans après l’introduction des vaccins contre le coronavirus

Toby Rogers

12 novembre

En mai 2021, j’ai commencé à tirer la sonnette d’alarme sur une augmentation probable de la mortalité toutes causes confondues. Les données étaient on ne peut plus claires : la campagne de vaccination contre le coronavirus n’avait pas réduit l’infection, la transmission, l’hospitalisation ni la mortalité chez les personnes qui s’étaient fait injecter le produit. Et les injections coronavirus causaient ou causent des lésions et des décès à un rythme alarmant (pour calculer les dommages réels causés par les vaccins coronavirus, multipliez les rapports de lésions transmis au VAERS par 31 et les rapports de décès transmis au VAERS par 41). Mon intuition était que cela créerait un signal dans les données (une augmentation de la mortalité toutes causes confondues) qui serait problématique pour le récit officiel.

Bon, voilà le truc (et nous pouvons poursuivre cette conversation en message privé ou hors ligne si tu préfères). Si nous avons raison, le taux de mortalité toutes causes confondues devrait avoir augmenté depuis décembre jusqu’à aujourd’hui, à cause des effets du jus magique de thérapie génique. La question serait alors, comment feraient-ils (dans le rapport hebdomadaire sur la morbidité et la mortalité du CDC) pour manipuler les données pour cacher ce fait? On pourrait imaginer qu’ils cachent les décès dus au haricots magiques en les enregistrant comme décès dus au corona. Seulement, ils doivent en même temps montrer que les décès dus au corona sont en baisse pendant la même période (pour prouver que la sauce à la licorne fonctionne). Alors comment une agence de santé gouvernementale fait-elle pour faire disparaître quelques centaines de milliers de morts « inexpliquées »?

Le prix pour avoir eu raison trop tôt est… d’être suspendu des médias sociaux pour avoir gêné le cartel.

Eh bien, maintenant (6 mois plus tard) on peut lire ce signal dans les données et il est encore plus élevé que ce que j’avais prévu.

Charles Eisenstein, dans un article de Substack intitulé Elements of Refusal écrit :

Dans 29 pays d’Europe, la surmortalité au cours des quatre derniers mois pour les personnes âgées de 15 à 44 ans est presque le double de ce qu’elle était en 2020. Pour les 45-65 ans, elle est supérieure de plus de 50 %, et pour les 65-74 ans, de quelque 40 %. Et ce, malgré (ou à cause?) des taux de vaccination d’au moins 70 % en Europe. Aux États-Unis, la surmortalité toutes causes confondues est d’environ 50 % supérieure (jusqu’à présent) à celle de 2020, mais pour les personnes âgées de 25 à 44 ans et de 45 à 64 ans, elle est d’environ 85 % supérieure; pour les personnes de moins de 25 ans, la surmortalité est presque le double de celle de l’année dernière.

On passe rapidement de la plus grande erreur de santé publique de l’histoire de l’humanité à l’un des crimes les plus flagrants de l’histoire de l’humanité. La campagne de vaccination contre le coronavirus est un génocide pour les personnes de moins de 65 ans. Mon hypothèse est que la seule raison pour laquelle nous ne voyons pas une augmentation de la mortalité toutes causes confondues chez les personnes de plus de 65 ans cette année est que beaucoup d’entre elles ont déjà été tuées l’année dernière lorsque les gouverneurs des États bleus (et de certains États rouges), sous la direction du CDC, ont contaminé les établissements de soins de longue durée avec des patients positifs au coronavirus (« pour préserver la capacité des hôpitaux »).


Texte original

All-cause mortality skyrockets in 2021

Data from Europe and the U.S. show increased all-cause mortality in everyone under age 65 after the introduction of coronavirus shots

Toby Rogers

Nov 12

Back in May 2021, I started sounding the alarm about a likely increase in all-cause mortality. The data were abundantly clear that the coronavirus vaccine campaign did not reduce infection, transmission, hospitalization, nor death in those who injected the product. And coronavirus shots were/are injuring and killing people at an alarming rate (to calculate the actual harms from coronavirus vaccines multiply VAERS injury reports by 31 and VAERS death reports by 41). My hunch was that this would create a signal in the data (an increase in all-cause mortality) that would be problematic for the official narrative.

The prize for being correct early is… to be suspended from social media for embarrassing the cartel.

Well, now (6 months later) the signal is in the data and it’s even larger than I guessed.

Charles Eisenstein, in a Substack article titled Elements of Refusal writes:

In 29 countries in Europe, excess mortality in the last four months for people age 15-44 is running at nearly double what it was in 2020. For age 45-65 it is more than 50% higher, and age 65-74 some 40% higher. This is despite (or because of?) vaccination rates of at least 70% across Europe. In the USA, all-cause excess mortality is about 50% higher (so far) than 2020, but for people age 25-44 and 45-64 it is about 85% higher; for people under 25 excess mortality is nearly double last year.

This is quickly morphing from the biggest public health mistake in human history to one of the most egregious crimes in human history. The coronavirus vaccine campaign is genocide for people under age 65. My hypothesis is that the only reason we don’t see an increase in all-cause mortality in people over age 65 this year is because so many of them were already killed last year when Blue State (and some Red State) governors, under the direction of the CDC, seeded long term care facilities with coronavirus positive patients (“to preserve hospital capacity”).

Dix signaux d’alarme dans l’analyse risques-bénéfices de la FDA concernant la demande d’autorisation d’urgence de Pfizer d’injection de son produit à ARNm à des enfants américains âgés de 5 à 11 ans – par Toby Rogers.

Source.


Traduction

Dix signaux d’alarme dans l’analyse risques-bénéfices de la FDA concernant la demande d’autorisation d’urgence de Pfizer d’injection de son produit à ARNm à des enfants américains âgés de 5 à 11 ans

Le document d’information de la FDA est un ramassis grotesque de pseudo-science et doit être retiré immédiatement

Toby Rogers

25 octobre 2021

Par où faut-il commencer pour examiner la grotesque analyse risque-bénéfice de la FDA concernant le « vaccin » à ARNm COVID-19 de Pfizer chez les enfants âgés de 5 à 11 ans?

Commençons par mes compétences. J’ai fait une année de statistiques dans l’une des meilleures universités d’arts libéraux d’Amérique (Swarthmore). J’ai suivi une année d’études supérieures en statistiques dans le programme de maîtrise classé numéro 1 pour l’analyse des politiques (UC Berkeley). Et j’ai un Doctorat en économie politique de l’une des meilleures universités du monde (Université de Sydney). Mes recherches sont centrées sur la corruption dans l’industrie pharmaceutique. Je lis des études scientifiques en rapport avec les vaccins presque tous les jours depuis 5 ans. Au début de ma carrière, j’ai travaillé de manière professionnelle à déconstruire des analyses coûts-avantages de très mauvaise qualité préparées par des sociétés qui tentaient d’obtenir des allégements fiscaux, des contrats et d’autres concessions de la part des autorités locales. Il convient de dire que j’ai beaucoup étudié les analyses risques-bénéfices et que je suis mieux équipé que la plupart des gens pour lire un de ces documents.

L’analyse risques-bénéfices effectuée par la FDA dans le cadre de la demande d’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) présentée par Pfizer pour administrer son vaccin COVID-19 à des enfants âgés de 5 à 11 ans est l’un des documents les plus minables que j’aie jamais vus.

Commençons par le début :

🚩 Les taux d’incidence du COVID-19 chez les enfants âgés de 5 à 11 ans sont si bas qu’il y a eu ZERO cas de COVID-19 sévère et ZERO cas de décès dus au COVID dans le groupe de traitement (n= 1 518) ou le groupe témoin (n= 750). Ainsi, toutes les affirmations que vous lisez dans la presse sur le fait que le vaccin Pfizer est « efficace à 90 % » chez les enfants sont dénuées de sens, car elles font référence à des cas bénins dont les enfants se remettent généralement rapidement (et qui leur confèrent une immunité robuste à large spectre). Il n’y a donc littéralement aucune urgence dans cette population qui puisse faire l’objet d’une demande d’autorisation d’utilisation en urgence. La demande de Pfizer devrait être exclue d’emblée si la FDA suivait réellement les données scientifiques et ses propres règles. Nous reviendrons sur ce sujet plus loin.

🚩 L’essai clinique de Pfizer sur les enfants était intentionnellement sous-dimensionné pour dissimuler les effets néfastes. C’est une astuce bien connue de l’industrie pharmaceutique. La FDA les a même interpellés à ce sujet au début de l’été et a demandé à Pfizer d’étendre l’essai, mais Pfizer les a ignorés parce qu’ils le peuvent. (Pfizer a truqué l’essai en important des données d’une autre étude, mais cette autre étude ne surveillait les effets indésirables que pendant 17 jours, de sorte que les nouvelles données ont pollué les résultats au lieu de les clarifier). En d’autres termes, si le taux de certains effets secondaires spécifiques chez les enfants à la suite de cette injection est de 1 sur 5 000 et que l’essai ne porte que sur 1 518 personnes dans le groupe de traitement, il est peu probable que ce dommage particulier soit détecté lors de l’essai clinique. Voilà pour le « Sûr et Efficace(TM) ».

🚩 Pfizer n’a recruté que des « participants âgés de 5 à 11 ans sans preuve d’une infection antérieure par le SRAS-CoV-2″. L’injection d’ARNm de Pfizer annule-t-elle l’immunité naturelle et laisse-t-elle le sujet dans une situation pire que si on ne faisait rien, comme le montrent ces données du gouvernement Britannique? Pfizer n’en a aucune idée car les enfants ayant déjà été infectés par le SRAS-CoV-2 ont été exclus de cet essai. Cela a été fait à dessein. Les auteurs de pollutions toxiques ont appris à ne pas poser les questions auxquelles ils ne veulent pas de réponses, de peur de se retrouver face à des preuves de leur culpabilité dans un futur procès.

Selon une analyse d’Alex Berenson :

« Ce que déclarent les Britanniques, c’est qu’ils ont découvert que le vaccin interfère avec la capacité innée de l’organisme, après l’infection, à produire des anticorps contre la protéine de pointe, mais aussi contre d’autres parties du virus. Plus précisément, les personnes vaccinées ne semblent pas produire d’anticorps contre la protéine de la nucléocapside, l’enveloppe du virus, qui est un élément crucial de la réponse des personnes non vaccinées. Cela signifie que les personnes vaccinées seront beaucoup plus vulnérables aux mutations de la protéine spike MÊME APRÈS AVOIR ÉTÉ INFECTÉES ET REMISES SUR PIED une fois (ou plus d’une fois, probablement). Cela signifie également que le virus est susceptible de sélectionner des mutations qui vont exactement dans cette direction, car celles-ci lui procureront en fait une immense population vulnérable à infecter. Et c’est probablement une preuve supplémentaire que les vaccins peuvent interférer avec le développement d’une immunité robuste à long terme après l’infection. »

🚩 Pfizer a-t-il PERDU LE CONTACT avec 4,9% des participants à ses essais cliniques? Le document risque-bénéfice de la FDA indique: « Parmi les participants de la Cohorte 1, 95,1% avaient un suivi de sécurité ≥2 mois après la dose 2 au moment de la coupure des données du 6 septembre 2021. » Alors que sont devenus ces 4,9 % qui n’ont pas été soumis à un suivi de sécurité 2 mois après la dose 2? Faisaient-ils partie du groupe de traitement ou du groupe témoin? Nous n’en avons aucune idée car Pfizer ne le dit pas. Compte tenu de la faible taille de l’essai, le fait de ne pas avoir suivi 4,9% des participants fausse potentiellement les résultats.

🚩 La période de suivi était intentionnellement trop courte. Il s’agit d’une autre astuce bien connue de l’industrie pharmaceutique conçue pour dissimuler les dommages. La cohorte 1 semble avoir été suivie pendant 2 mois, la cohorte 2 n’a été surveillée sur le plan des effets indésirables que pendant 17 jours. De nombreux effets néfastes des vaccins, notamment le cancer et les troubles auto-immuns, mettent beaucoup plus de temps à se manifester. Comme le dit le vieil adage, « on peut faire vite ou on peut faire bien, mais on ne peut pas faire les deux ». Pfizer a choisi la rapidité.

🚩 Le modèle risques-bénéfices créé par la FDA ne prend en compte qu’un seul dommage connu de l’injection d’ARNm de Pfizer – la myocardite. Mais nous savons que les effets néfastes avérés de l’injection d’ARNm de Pfizer vont bien au-delà de la myocardite et comprennent l’anaphylaxie, la paralysie de Bell, la crise cardiaque, la thrombocytopénie/faible taux de plaquettes, l’invalidité permanente, le zona et le syndrome de Guillain-Barré (SGB), pour n’en citer que quelques-uns. Le cancer, le diabète, les perturbations endocriniennes et les troubles auto-immuns sont susceptibles d’apparaître plus tard. Mais la FDA ne se préoccupe de rien de tout cela car elle a un vaccin à vendre, alors elle ignore tous ces facteurs dans sa modélisation.

🚩 Pfizer élimine intentionnellement le groupe témoin dès qu’il le peut en vaccinant tous les enfants qui ont initialement reçu le placebo. Ils prétendent qu’ils le font pour des « raisons éthiques ». Mais tout le monde sait que le véritable objectif de Pfizer est d’éliminer tout groupe de comparaison afin qu’il n’y ait pas d’études de sécurité à long terme. Effacer le groupe de contrôle est un acte criminel et pourtant Pfizer, Moderna, J&J et AZ le font de manière standard avec la bénédiction de la FDA/CDC.

🚩 Compte tenu de tout ce qui précède, comment diable la FDA a-t-elle pu prétendre à un quelconque bénéfice de cette injection? Vous feriez mieux de vous asseoir pour ce passage, car c’est une perle! Voici la phrase clé :

L’efficacité du vaccin a été déduite d’un pontage immunitaire d’un taux de 50 % de titres d’anticorps neutralisant du SRAS-CoV-2 (NT50, test de microneutralisation mNG du SRAS-CoV-2).

Attendez, quoi? Je vais vous expliquer. Il y a eu ZERO cas de COVID-19 sévère dans l’essai clinique d’enfants âgés de 5 à 11 ans. Pfizer et la FDA ont donc simplement ignoré tous les résultats sanitaires réels (ils étaient obligés, il n’y a pas d’urgence, donc la demande est caduque). AU LIEU DE CELA, Pfizer s’est rabattu sur la recherche d’anticorps dans le sang. En général, les anticorps sont un piètre indicateur de l’immunité. Et les anticorps dans le sang de ces enfants de 5 à 11 ans ne nous apprennent rien car, encore une fois, il n’y a eu aucun cas de COVID-19 grave dans cette étude (aucun dans le groupe traité, aucun dans le groupe témoin). Pfizer a donc dû faire preuve de créativité! La solution qu’ils ont trouvée est le « pontage immunitaire ». Pfizer a examiné le niveau d’anticorps dans les analyses de sang provenant d’une autre étude portant sur des personnes âgées de 16 à 25 ans, a déterminé le niveau d’anticorps qui semblait être protecteur dans cette population, puis a estimé combien d’enfants âgés de 5 à 11 ans avaient des niveaux similaires d’anticorps dans le sang, et a ensuite calculé le nombre de cas, d’hospitalisations, d’admissions en soins intensifs et de décès qui seraient évités à l’avenir par cette injection dans la population des 5 à 11 ans, en se basant sur les niveaux d’anticorps et les résultats de santé de la population des 16 à 25 ans. Si cette logique torturée vous donne mal à la tête, c’est normal, car une telle chicanerie est sans précédent dans une analyse risques-bénéfices.

Alors, lorsque la FDA emploie cette logique torturée au début de son document d’information, tous les calculs qui en découlent seront totalement faux. Pas seulement faux, mais grotesques et criminellement faux.

Tout le scénario se résume au tableau 14 de la page 34 du document sur les risques et les bénéfices de la FDA. Et là, les drapeaux rouges rappliquent à la vitesse grand V.

🚩 Le modèle de la FDA n’évalue les bénéfices de la protection vaccinale que sur une période de 6 mois après l’administration de deux doses. De plus, il suppose une efficacité constante du vaccin pendant cette période. Ceci est problématique à plusieurs égards.

Premièrement, la réduction des cas bénins chez les enfants n’est pas le résultat clinique souhaité. Comme le souligne le Dr Geert Vanden Bossche, la vaccination de masse transforme les enfants en excréteurs de variants plus infectieux.

« Les personnes jeunes et en bonne santé ne doivent en aucun cas être vaccinées, car cela ne fera qu’éroder leur immunité innée protectrice contre les coronavirus (CoV) et autres virus respiratoires. Leur immunité innée les protège normalement/naturellement en grande partie et leur confère une sorte d’immunité de groupe dans la mesure où elle dilue la pression infectieuse des CoV au niveau de la population, alors que la vaccination de masse les transforme en excréteurs de variants plus infectieux. Les enfants/jeunes qui contractent la maladie développent généralement une maladie légère à modérée et continuent donc à contribuer à l’immunité de groupe en développant une immunité large et durable. Si on est vacciné et qu’on attrape la maladie, on peut aussi développer une immunité à vie, mais pourquoi prendre le risque de se faire vacciner, surtout quand on est jeune et en bonne santé? Premièrement, il y a le risque d’effets secondaires potentiels ; deuxièmement, il y a le risque toujours croissant que les anticorps vaccinaux ne soient plus fonctionnels tout en continuant à se lier au virus, ce qui augmente la probabilité d’une facilitation de l’infection par anticorps ou même d’une maladie grave… ».

Deuxièmement, nous savons que l’efficacité du vaccin dans le mois qui suit la première dose est négative parce qu’il supprime le système immunitaire et qu’il commence à s’affaiblir après 4 mois, de sorte que toutes les estimations de la FDA sur l’efficacité du vaccin sont surévaluées.

Troisièmement, les effets néfastes de la myocardite provoquée par ces vaccins se manifesteront probablement au fil des ans. Robert Malone, l’inventeur de la technologie mRNA, note que la FDA admet que les enfants seront injectés deux fois par an pour toujours (d’où le délai de six mois dans le modèle risques-bénéfices de la FDA). Mais les risques d' »événements indésirables tels que la cardiomyopathie seront cumulatifs ». Donc tout modèle qui ne prend en compte qu’un délai de six mois cache le véritable taux d’événements indésirables.

🚩 La FDA/Pfizer jouent aux dés avec leurs estimations de myocardite. Tout d’abord, ils considèrent les myocardites « excédentaires » (c’est-à-dire causées par l’injection) en utilisant les données de la base de données privée « Optum health claim database » au lieu du système public VAERS (p. 32). Il est donc impossible pour le public de vérifier leurs affirmations. Ensuite, lorsqu’il s’agit d’estimer combien d’enfants atteints de myocardite induite par le vaccin seront hospitalisés et admis aux soins intensifs, ils utilisent le Vaccine Safety Datalink (voir page 33). Pourquoi passer d’une base de données à une autre pour ces estimations? Enfin, il n’y a pas d’explication sur la façon dont ils ont calculé les décès « excédentaires » dus à la myocardite, ils ont donc simplement indiqué 0. Drapeau rouge, drapeau rouge, drapeau rouge.

La FDA estime qu’il y aura 106 cas supplémentaires de myocardite pour 1 million d’enfants de 5 à 11 ans ayant subi une double injection. Il y a 28 384 878 enfants âgés de 5 à 11 ans aux États-Unis. L’administration Biden veut leur injecter à tous des doses d’ARNm de Pfizer et a déjà acheté suffisamment de doses pour cet objectif (même si seulement 1/3 des parents veulent vacciner leurs enfants avec cette injection). Donc (si l’administration Biden obtient ce qu’elle veut) 106 cas de myocardite en excès pour 1 million x 28,38 millions de personnes, soit 3 009 cas de myocardite excédentaires post-vaccination si le vaccin Pfizer est approuvé.

Et au fil des années suivantes, beaucoup de ces enfants mourront. Le Dr Anthony Hinton (« Chirurgien Consultant avec 30 ans d’expérience dans le NHS ») souligne que la myocardite a un taux de létalité de 20% après 2 ans et de 50% après 5 ans.

La FDA a donc tout faux : elle veut prévenir le COVID léger chez les enfants, ce qui réduit l’immunité collective, et elle ment carrément sur les dommages causés par la myocardite.

J’ai pris la liberté de corriger le tableau 14 de la FDA avec des données réelles et de les étendre sur 5 ans. Cela donne ceci :

Une étude réalisée par Harvard Pilgrim Healthcare pour le Ministère Américain de la Santé et des Services Sociaux a estimé que le VAERS ne recueille que 1% des dommages réels causés par les vaccins. Steve Kirsch a réalisé une modélisation élaborée qui établit à 41 le facteur de sous-déclaration des décès dus au vaccin COVID-19 (donc multipliez les chiffres ci-dessus par 41). Et la myocardite n’est qu’un des nombreux effets néfastes possibles des vaccins COVID-19. Le Dr Jessica Rose a récemment calculé un facteur de sous-déclaration de 31 pour tous les événements indésirables graves survenant après la vaccination.

Conclusion

Le vaccin de Pfizer échoue à toute évaluation honnête de risques/bénéfices liés à son utilisation chez les enfants âgés de 5 à 11 ans. L’analyse risques-bénéfices de la FDA du vaccin à ARNm de Pfizer chez les enfants de 5 à 11 ans est bancale. Elle utilise une logique torturée (qui serait rejetée par n’importe quelle revue académique digne de ce nom) afin d’atteindre un résultat prédéterminé qui n’est aucunement fondé sur la science. Le document d’information de la FDA est une œuvre de fiction et doit être retiré immédiatement. Si la FDA poursuit cette mascarade grotesque, elle causera des dommages irréparables aux enfants et les dirigeants de la FDA seront un jour poursuivis pour crimes contre l’humanité.


Vous voulez partager vos préoccupations avec les membres du VRBPAC? Voici un lien vers un article avec un contexte supplémentaire ainsi que toutes leurs coordonnées :


[Mise à jour :]

🚩 Un lecteur avisé a signalé qu’à la page 14, la FDA explique que Pfizer a modifié les ingrédients de son vaccin à ARNm. Ils écrivent :

Pour fournir un vaccin présentant un profil de stabilité amélioré, le vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 à utiliser chez les enfants de 5 à 11 ans utilise un tampon trométhamine (Tris) au lieu de la solution saline tamponnée au phosphate (PBS) utilisée dans la formulation précédente et exclut le chlorure de sodium et le chlorure de potassium.

Je suis profondément sceptique quant à ce compte rendu (je doute que cela ait quelque chose à voir avec un « profil de stabilité amélioré ») et j’invite d’autres personnes à se prononcer sur ce point. Je rappelle également que la trométhamine a une histoire longue et trouble et j’invite les lecteurs à approfondir la question (je serai heureux de publier des liens supplémentaires dès qu’ils seront disponibles).

L’analyse risque-bénéfice erronée de la FDA a été rédigée par :

Hong Yang
Biologiste
DHHS/FDA/CBER/OBE
Building, WO71, Room 5338
Arrêt postal : HFM-210
Silver Spring MD 20993-0002
téléphone : (240) 402-8836
fax : (301) 595-1240
Hong.Yang@fda.hhs.gov

et

Richard Forshee
Directeur associé
DHHS/FDA/CBER/OBE
Building, WO71, Room 5342
Silver Spring MD 20993-0002
téléphone : (240) 402-8631
fax : (301) 595-1240
Richard.Forshee@fda.hhs.gov

Il s’agit d’un article vivant. La FDA ne donne que deux jours au public pour examiner les documents des réunions. J’ai donc dû publier cet article immédiatement. Si vous repérez des erreurs, faites-le moi savoir et je les corrigerai. Si vous trouvez d’autres failles dans l’analyse risques-bénéfices de la FDA, veuillez les poster dans les commentaires afin que je puisse les ajouter.

Une révolution est en marche. ✊


Texte original

Ten red flags in the FDA’s risk-benefit analysis of Pfizer’s EUA application to inject American children 5 to 11 with its mRNA product

The FDA briefing document is preposterous junk science and it must be withdrawn immediately

Toby Rogers

October 25, 2021

Where to even begin with the FDA’s preposterous risk-benefit analysis of Pfizer’s mRNA COVID-19 “vaccine” in children ages 5 to 11?

Let’s start with my bona fides. I have a year of undergraduate statistics at one of the best liberal arts colleges in America (Swarthmore). I have a year of graduate statistics at the masters program rated #1 for policy analysis (UC Berkeley). And I have a Ph.D. in political economy from one of the top universities in the world (University of Sydney). My research focus is on corruption in the pharmaceutical industry so I’ve read scientific studies in connection with vaccines nearly every day for 5 years. Earlier in my career I worked professionally tearing apart shoddy cost-benefit analyses prepared by corporations that were trying to get tax breaks, contracts, and other concessions from local government. Suffice it to say I’ve thought a lot about risk-benefit analysis and I’m better equipped than most to read one of these documents.

The FDA’s risk-benefit analysis in connection with Pfizer’s Emergency Use Authorization (EUA) application to inject children ages 5 to 11 with their COVID-19 vaccine is one of the shoddiest documents I’ve ever seen.

Let’s take it from the top:

🚩 COVID-19 rates in children ages 5 to 11 are so low that there were ZERO cases of severe COVID-19 and ZERO cases of death from COVID in either the treatment (n= 1,518) or control group (n= 750). So any claims you see in the press about the Pfizer vaccine being “90% effective” in children are meaningless because they are referring to mild cases from which children usually recover quickly (and then have robust broad spectrum immunity). So there is literally no emergency in this population for which one could apply for Emergency Use Authorization. Pfizer’s application should be dead on arrival if the FDA actually followed the science and their own rules. We will return to this topic below.

🚩 Pfizer’s clinical trial in kids was intentionally undersized to hide harms. This is a well known trick of the pharmaceutical industry. The FDA even called them out on it earlier this summer and asked Pfizer to expand the trial and Pfizer just ignored them because they can. (Pfizer fudged it by importing data from a different study but this other study only monitored adverse outcomes for 17 days so if anything the new data polluted rather than clarified outcomes). To put it simply, if the rate of particular adverse outcome in kids as a result of this shot is 1 in 5,000 and the trial only enrolls 1,518 in the treatment group then one is unlikely to spot this particular harm in the clinical trial. Voilà “Safe & Effective(TM)”.

🚩 Pfizer only enrolled “participants 5-11 years of age without evidence of prior SARS-CoV-2 infection.” Does the Pfizer mRNA shot wipe out natural immunity and leave one worse-off than doing nothing as shown in this data from the British government? Pfizer has no idea because children with prior SARS-CoV-2 infection were excluded from this trial. This was by design. Toxic polluters have learned to not ask questions that they do not want the answers to, lest they wind up staring at their own smoking gun in a future court case.

According to an analysis by Alex Berenson:

“What the British are saying is they are now finding the vaccine interferes with your body’s innate ability after infection to produce antibodies against not just the spike protein but other pieces of the virus. Specifically, vaccinated people don’t seem to be producing antibodies to the nucleocapsid protein, the shell of the virus, which are a crucial part of the response in unvaccinated people. This means vaccinated people will be far more vulnerable to mutations in the spike protein EVEN AFTER THEY HAVE BEEN INFECTED AND RECOVERED ONCE (or more than once, probably). It also means the virus is likely to select for mutations that go in exactly that direction because those will essentially give it an enormous vulnerable population to infect. And it probably is still more evidence the vaccines may interfere with the development of robust long-term immunity post-infection.” 

🚩 Did Pfizer LOSE CONTACT with 4.9% of their clinical trial participants? The FDA risk-benefit document states: “Among Cohort 1 participants, 95.1% had safety follow-up ≥2 months after Dose 2 at the time of the September 6, 2021 data cutoff.” So what happened with those 4.9% who did not have safety follow-up 2 months after Dose 2? Were they in the treatment or control group? We have no idea because Pfizer isn’t saying. Given the small size of the trial, failing to follow up with 4.9% of the participants potentially skews the results.

🚩 The follow up period was intentionally too short. This is another well-know trick of the pharmaceutical industry designed to hide harms. Cohort 1 appears to have been followed for 2 months, cohort 2 was only monitored for adverse events for 17 days. Many harms from vaccines including cancer and autoimmune disorders take much longer to show up. As the old saying goes, “you can have it quick or you can have it done right, but you cannot have both.” Pfizer chose quick.

🚩 The risk-benefit model created by the FDA only looks at one known harm from the Pfizer mRNA shot — myocarditis. But we know that the real world harms from the Pfizer mRNA shot go well beyond myocarditis and include anaphylaxis, Bell’s Palsy, heart attack, thrombocytopenia/ low platelet, permanent disability, shingles, and Guillain-Barré Syndrome (GBS) to name a few. Cancer, diabetes, endocrine disruption, and autoimmune disorders may show up later. But the FDA does not care about any of that because they have a vaccine to sell so they just ignore all of those factors in their model.

🚩 Pfizer intentionally wipes out the control group as soon as they can by vaccinating all of the kids who initially got the placebo. They claim that they are doing this for “ethical reasons”. But everyone knows that Pfizer’s true aim is to wipe out any comparison group so that there can be no long term safety studies. Wiping out the control group is a criminal act and yet Pfizer, Moderna, J&J, and AZ do this as standard practice with the blessing of the FDA/CDC.

🚩 Given all of the above, how on earth did the FDA claim any benefits at all from this shot? You should probably sit down for this part because it’s a doozy! Here’s the key sentence:

Vaccine effectiveness was inferred by immunobridging SARS-CoV-2 50% neutralizing antibody titers (NT50, SARS-CoV-2 mNG microneutralization assay). 

Wait, what!? I’ll explain. There were ZERO cases of severe COVID-19 in the clinical trial of children ages 5 to 11. So Pfizer and the FDA just ignored all of the actual health outcomes (they had to, there is no emergency, so the application is moot). INSTEAD Pfizer switched to looking at antibodies in the blood. In general, antibodies are a poor predictor of immunity. And the antibodies in the blood of these 5 to 11 year old children tell us nothing because again, there were zero cases of severe COVID-19 in this study (none in the treatment group, none in the control group). So Pfizer had to get creative! What they came up with is “immuno-bridging”. Pfizer looked at the level of antibodies in the bloodwork of another study, this one involving people 16 to 25 years old, figured out the level of antibodies that seems to be protective in that population, then figured out how many kids ages 5 to 11 had similar levels of antibodies in their blood, and then came up with a number for how many cases, hospitalizations, ICU admissions, and deaths would be prevented by this shot in the 5 to 11 population in the future, based on the antibody levels and health outcomes from the 16 to 25 year old population. If your head hurts from that tortured logic, it should, because such chicanery is unprecedented in a risk-benefit analysis.

So when the FDA uses this tortured logic at the beginning of their briefing document, all of the calculations that stem from this will be flat out wrong. Not just wrong but preposterous and criminally wrong.

The whole ballgame comes down to Table 14 on page 34 of the FDA’s risk-benefit document. And there the red flags come fast and furious.

🚩 The FDA model only assesses the benefits of vaccine protection in a 6-month period after completion of two doses. Furthermore it assumes constant vaccine efficacy during that time period. This is problematic on several counts.

First, reducing mild cases in children is not a desired clinical outcome. As Dr. Geert Vanden Bossche points out, mass vaccination turns kids into shedders of more infectious variants.

« Under no circumstances should young and healthy people be vaccinated as it will only erode their protective innate immunity towards Coronaviruses (CoV) and other respiratory viruses. Their innate immunity normally/ naturally largely protects them and provides a kind of herd immunity in that it dilutes infectious CoV pressure at the level of the population, whereas mass vaccination turns them into shedders of more infectious variants. Children/ youngsters who get the disease mostly develop mild to moderate disease and as a result continue to contribute to herd immunity by developing broad and long-lived immunity. If you are vaccinated and get the disease, you may develop life-long immunity too but why would you take the risk of getting vaccinated, especially when you’re young and healthy? Firstly, there is the risk of potential side effects; secondarily, there is the ever increasing risk that your vaccinal antibodies will no longer be functional while still binding to the virus, thereby increasing the likelihood of ADE or even severe disease…. »

Second, we know that vaccine efficacy in the month after the first dose is negative because it suppresses the immune system and it begins to wane after 4 months so all of the FDA’s estimates of vaccine efficacy are inflated.

Third, the harms of myocarditis from these shots will likely unfold over the course of years. Robert Malone, the inventor of mRNA technology notes that the FDA is admitting that children will be injected twice a year forever (hence the six month time frame in the FDA risk-benefit model). But the risks of “adverse events such as cardiomyopathy will be cumulative.” So any model that only looks at a six month time frame is hiding the true adverse event rate.

🚩 The FDA/Pfizer play fast and loose with their estimates of myocarditis. First they estimate “excess” (read: caused by the shot) myocarditis using data from the private “Optum health claim database” instead of the public VAERS system (p. 32). So it’s impossible for the public to verify their claims. Then, when it comes to estimating how many children with vaccine-induced myocarditis will be hospitalized and admitted to the ICU they use the Vaccine Safety Datalink (see page 33). Why switch to a different database for those estimates? Finally, there is no explanation for how they calculated “excess” myocarditis deaths, so they just put 0. Red flag, red flag, red flag.

The FDA estimates that there will be 106 extra myocarditis cases per 1 million double-jabbed children 5-11. There are 28,384,878 children ages 5 to 11 in the U.S. The Biden administration wants to inject Pfizer mRNA shots into all of them and has already purchased enough doses to do just that (even though only 1/3rd of parents want to jab their kids with this shot). So (if the Biden administration has its way) 106 excess myocarditis cases per 1 million x 28.38 million people would be 3,009 excess myocarditis cases post-vaccination if the Pfizer vaccine is approved.

And over the course of several years many of those children will die. Dr. Anthony Hinton (“Consultant Surgeon with 30 years experience in the NHS”) points out that myocarditis has a 20% fatality rate after 2 years and a 50% fatality rate after 5 years.

So the FDA has it exactly backwards — they want to prevent mild COVID in children which reduces herd immunity and they just flat out lie about the harms from myocarditis.

I’ve taken the liberty to correct the FDA’s Table 14 with actual real world data and extended it over 5 years. It looks like this:

A study by Harvard Pilgrim Healthcare for the U.S. Department of Health and Human Services estimated that VAERS only captured 1% of actual vaccine injuries. Steve Kirsch has done elaborate modeling that puts the Under-Reporting Factor of COVID-19 vaccine deaths at 41 (so multiply the above numbers by 41). And myocarditis is just one of a multitude of possible harms from COVID-19 vaccines. Dr. Jessica Rose recently calculated an Under-Reporting Factor of 31 for all severe adverse events following vaccination.

Conclusion

The Pfizer vaccine fails any honest risk-benefit assessment in connection with its use in children ages 5 to 11. The FDA’s risk-benefit analysis of Pfizer’s mRNA vaccine in children ages 5 to 11 is shoddy. It used tortured logic (that would be rejected by any proper academic journal) in order to reach a predetermined result that is not based in science. The FDA briefing document is a work of fiction and it must be withdrawn immediately. If the FDA continues with this grotesque charade it will cause irreparable harms to children and the FDA leadership will one day be prosecuted for crimes against humanity.


Want to share your concerns with the members of the VRBPAC? Here’s a link to an article with additional context and all of their contact information: 


[Updated to add:]

🚩 An astute reader pointed out that on page 14, the FDA explains that Pfizer has changed the ingredients in their mRNA vaccine. They write:

To provide a vaccine with an improved stability profile, the Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine for use in children 5-11 years of age uses tromethamine (Tris) buffer instead of the phosphate-buffered saline (PBS) as used in the previous formulation and excludes sodium chloride and potassium chloride.

I’m deeply skeptical of this account (I doubt this has anything to do with an “improved stability profile”) and invite others to weigh in on this. I also recall that tromethamine has a long and troubled history and invite readers to dig into this further (I’m happy to post additional links as they become available).


The FDA’s flawed risk-benefit analysis was written by:

Hong Yang
Biologist
DHHS/FDA/CBER/OBE
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Silver Spring MD 20993-0002
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fax: (301) 595-1240
Hong.Yang@fda.hhs.gov

and

Richard Forshee
Associate Director
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fax: (301) 595-1240
Richard.Forshee@fda.hhs.gov


This is a live article. The FDA only gives the public 2 days to review meeting materials so I had to publish this article immediately. If you spot any errors please let me know and I will correct them. If you find additional flaws in the FDA’s risk-benefit analysis please post them in the comments so that I may add them.

A revolution is coming. ✊

Les fleurs dans la poubelle.

« We’re the flowers in the dustbin » – John Lydon

Aujoud’hui je vais vous bassiner un peu avec l’histoire de ma triste vie. Ce n’est pas pour vous tirer des larmes. Vous comprendrez le pourquoi à la fin de cet article.

Quand j’avais cinq ans, je me suis perdu dans Paris. J’étais avec ma cousine, qui en avait quatre.

Mon grand-oncle nous avait envoyés acheter un truc dans un magasin à deux pas, après le coin de la rue. Je me suis trompé de direction pour rentrer et à partir de là, on s’est complétement paumés. Après avoir pas mal marché sur nos petites jambes et compris qu’on avait fait une connerie, on s’est arrếtés chez une fleuriste pour lui acheter un petit bouquet de fleurs, histoire de se faire pardonner. Il ne nous restait qu’un peu de monnaie – pas assez – mais la fleuriste a été émue par ces deux petits bouts et nous a vendu le petit bouquet pour trois francs six sous.

La police nous a retrouvés assez rapidement. J’en profite pour leur rendre hommage, même si les agents en question ne sont peut-être plus de ce monde – ça fait quand même plus de cinquante ans. Il pouvait vraiment arriver des choses fâcheuses à deux mômes en vadrouille dans Paris. Je me souviens encore d’eux et de leur bonhomie et je salue leur dévouement et leur professionnalisme. Si leurs collègues de maintenant pouvaient continuer la tradition, ce serait l’idéal.

Ces agents nous ont donc ramenés chez mon grand-oncle, ma cousine, moi et mon petit bouquet.

Il l’a jeté à la poubelle.

La formule consacrée dans ces cas-là est « Quelque chose en moi s’est brisé à ce moment. » Mais ce n’est pas tout à fait exact. Il n’y avait plus grand chose à briser. Il a juste piétiné les morceaux encore un peu intacts.

Mon grand-oncle était un écrivain célèbre. Universellement reconnu comme un grand homme, considéré comme un grand auteur dans son pays natal, où des écoles portent son nom. Il a son nom dans le Larousse.

Faut-il vraiment que je vous dise ce que je pense de lui?

J’étais chez lui ce jour-là parce que sa fille adoptive nous y avait laissés, sa fille et moi, pour la journée. Elle est donc techniquement ma « grande cousine » mais évidemment je l’appelais « Tante ». C’est elle qui m’avait recueilli à la mort de ma grand-mère paternelle (la soeur de mon grand-oncle, donc) chez qui on m’avait casé jusqu’alors puisque personne ne voulait de moi. Je suis un « accident », voyez-vous. Ma tante était médecin, ainsi que son époux. A part elle, la seule autre personne dans la famille qui se soit un tant soit peu occupé de moi était mon grand-père paternel, qui s’est donné la peine de prendre par la main ce petit garçon et de l’emmener donner du pain au canards, idée qui n’a jamais effleuré personne d’autre.

Mon grand-père et ma tante étaient juifs. Ne comptez donc pas trop sur moi pour donner dans l’antisémitisme de base. Je ne suis pas dupe de ce genre de généralisation. Après avoir fait le tour du sujet depuis vingt ans, je peux vous dire ceci : le peuple juif est tout autant victime du sommet de leur hiérarchie que vous et moi. Voyez ce qui se passe en Israël en ce moment. Dans la redistribution des cartes géostratégiques, on n’a pas plus besoin d’eux que de l’Europe ou des Etats-Unis. Ils vont morfler au même titre. Ou si ça semble plus clair, voyez Albert Bourla, l’empoisonneur en chef, et le Dr Vladimir Zelenko, qui a sauvé des milliers de vies.

Ma tante est une enfant de la guerre et du chaos, ballotée par la violence d’une Histoire décidée en haut lieu, qui a dû surmonter la déportation de son père et a maintenant complètement perdu la tête. Elle a fait ce qu’elle a pu pour secourir un petit garçon balloté par la vie. Ma cousine est devenue prof de religion, ce qui ne présente pas une menace directe et imminente pour la chrétienté, et mon cousin est un brillant vétérinaire. Il a inventé un appareil de diagnostic très ingénieux – il a toujours été doué en électronique – et il est pompier volontaire dans son département, pour extraire les animaux pris dans les accidents de la route. Je lui ai demandé un jour pourquoi. Son père lui a enseigné ceci : « Ce pays nous a sauvés, nous avons une dette envers lui. » J’aimerais voir ce genre de reconnaissance active un peu plus souvent. Ça serait un plus pour l’Humanité.

En plus du pain aux canards, mon grand-père m’a aussi appris à lire, en me faisant déchiffrer le plaques minéralogiques et les marques des voitures. Grâce à lui je savais lire et écrire à quatre ans. Bien plus tard, je suis tombé sur un bouquin écrit par Glenn Doman, un type épatant, qui préconise une méthode d’apprentissage de la lecture pour les tout petits en employant des lettres rouges sur fond blanc – les couleurs des plaques belges. Je l’ai tentée sur mon grand fils, qui savait lire à deux ans. A part ça, j’ai été un très mauvais père. J’ai été méchant avec ce pauvre gamin. J’ai en quelque sorte jeté ses fleurs à la poubelle. Je le paie encore aujourd’hui : je n’ai plus de nouvelles. Il faut toujours payer ses dettes, sans chercher d’excuses.

Même si ce n’est pas une excuse, c’est un fait : la méchanceté est générationnelle. J’ai passé une bonne partie de ma vie à l’infliger aux autres et à moi-même avant de parvenir – enfin – à m’en dépétrer. Elle est aujourd’hui soigneusement rangée sur une étagère. J’ai pris à la place la gentillesse avec laquelle je suis venu au monde, pour éclairer ma vie et celle des autres. J’ai vu cette lumière deux fois dans ma vie. Je veux dire, je l’ai vue. La première fois, c’est une sorcière qui m’a aidé à la retrouver. Si vous avez besoin de savoir qui vous êtes, ne perdez pas votre temps – et votre argent – chez des psys ou autres charlatans de la même eau. Allez voir une sorcière. Elles ne se désignent pas sous ce nom, donc elles ne sont pas faciles à trouver. Elles peuvent s’appeler « chamane » ou « maîtresse tantrique » ou encore d’autres termes plus abscons. La majorité sont des fumistes. Mais vous saurez quand vous en aurez trouvé une vraie. Elles vont vous sortir du tombeau qu’est votre vie, et vous faire enfin naître. Ce sont des sages-femmes de l’âme. Après, c’est votre tour de bosser.

Ma première naissance était chez des fous furieux. Mes parents étaient des gens extrêmement dangereux. Je dis « parents » parce que c’est leur titre officiel mais ils ne sont absolument rien pour moi. Mon père était un grand musicien, qui n’en avait rien à caler de son fils. Vous aurez compris ce que je pense des grands artistes : qui sont-ils dans le privé? Ils descendaient – des deux côtés – d’une lignée de ce qu’on ne peut appeler autrement que des démons. Ma grand-mère maternelle, qui m’a enlevé de chez ma tante à la demande de ma mère, était la personne la plus méchante que j’ai jamais connue. Elle doit consommer une énergie calorifique considérable là où elle est maintenant. On ne fait pas que de bonnes rencontres dans cette vie. Il y a beaucoup de jeteurs de fleurs dans les poubelles.

Mais pourquoi ce grand déballage? Parce que ce qui m’est arrivé est exactement ce qui est en train de se jouer maintenant, à l’échelle de la planète. Parce que je comprends de quelle trempe en sont les acteurs : j’y ai été confronté et j’ai failli leur ressembler. Pour cette raison, je n’ai pas tout à fait eu une vie d’être humain. Ma deuxième femme tente de m’en donner une maintenant. Déformation professionnelle, je suppose – elle s’occupe d’enfants placés. Mes plus fidèles amis ont quatre pattes ou deux ailes. J’ai le profil du plus grand loser de l’univers et je n’ai pourtant connu que des femmes d’une grande beauté et d’une grande intelligence, souvent médecin, kiné ou prof – des femmes qui aiment s’occuper des autres. Une femme m’a dit un jour que j’étais fait de morceaux épars mal recollés : c’est exactement ça. Elles ont toutes vu quelque chose en moi que je ne voyais pas. A cet égard, elles sont souvent un peu sorcières. Ce qui est une des raisons pour lesquelles on a toujours tant cherché à les stériliser, à les éliminer et à les remplacer. Il y a eu les bûchers. Il y a pire aujourd’hui.

Ceux qui ont organisé la catastrophe actuelle sont des démons dans des enveloppes humaines. Je sais les reconnaître et je sais ceci : ce n’est pas si difficile de corrompre un être humain pour le mener à ce stade. Il suffit de le faire suffisamment souffrir, c’est-à-dire de le nier. C’est ce qu’on leur a fait, ou c’est ce qu’ils se sont fait, et c’est ce qu’ils vous font. Ils se vengent sur tout ce qui n’est pas eux, c’est-à-dire tout ce qui est humain et naturel. Ils sont en train de détruire l’humain et ils appellent ça transhumanisme. Ils sont en train de détruire la Terre et appellent ça Green New Deal et géoingénierie. L’objectif principal de la géoingénierie est d’empêcher le rayonnement solaire d’atteindre la surface de la planète. Ils veulent cacher la lumière. Ils veulent l’obscurité. Ils veulent la mort.

Vous n’êtes pas obligés de me croire mais l’entité que l’on nomme « Kamala Harris » a été autrefois un gentil petit garçon. L’entité que l’on nomme « Bill Gates » a été autrefois une gentille petite fille. Ce qu’il en reste, une vieille chose stérile et démente, prétend stériliser et rendre déments tous les hommes, femmes et enfants de la planète. Et ce ne sont pas des exceptions. Il y en a des milliers. Quand ils ne sont pas directement à un poste de pouvoir, ils sont juste derrière. Regardez bien à qui sont « mariés » les grands de ce monde. Ces gens fonctionnent selon leur règle. Ils ne sont que souffrance et folie. Des fous criminels dégénérés qui se prennent pour les nouveaux Pharaons.

Ouvrez les yeux. Ils ne sont pas vos parents. Ils ne veulent pas de vous. Ne tentez pas de leur plaire. Ne tentez pas de vous faire accepter d’eux. Ce serait votre perte. Je sais de quoi je parle.

La mauvaise nouvelle c’est que leur programme du jour consiste à nier l’humanité de huit milliards d’êtres, pour en faire des démons qui mutileront et tueront leurs propres enfants. Leur règle. La bonne nouvelle, c’est que ça ne fonctionne pas si bien que ça. La FDA a mis en ligne un recensement des avis sur le déploiement de la « vaccination » des 5-11 ans. Il y a eu 143,499 réponses. De ces réponses, il y en a une seule positive.

Une.

Tout espoir n’est donc pas perdu. Ma petite histoire servait à souligner que si je m’en suis sorti, tout le monde peut s’en sortir. Nous valons mieux que ce qu’on veut faire de nous. Nous valons mieux que ce que nous avons nous-mêmes fait de nous. Nous ne sommes pas communistes. Nous ne sommes pas capitalistes. Nous ne sommes pas transhumanistes. Beaucoup d’entre nous se sont perdus dans les rues d’une grande ville, avec en poche trois francs six sous et quelque chose à se faire pardonner. Il faut retrouver notre chemin. On veut nous priver de tout mais nos besoins réels sont très modestes. Nous sommes des êtres simples et fragiles mais aussi capables d’un courage extraordinaire, comme nos enfants. Ils sont notre plus grande richesse.

Ne les mettez pas en danger.

Ne jetez pas leurs fleurs à la poubelle.

Kill Back Better – par Ann Coulter.

Voici deux articles qui donnent une petite idée du niveau de criminalité institutionnelle actuel aux Etats-Unis, sous gestion démocrate. Le premier est écrit par Ann Coulter. « Kill Back Better » est évidemment un jeu de mots sur « Build Back Better », le slogan créé par le Forum Economique Mondial et repris par tous les gouvernements de collabos.

Source.

Traduction

Kill Back Better

Ann Coulter

14 octobre 2021

Cette histoire ne parle pas de Chicago. Cette histoire parle du Parti Démocrate.

Kim Foxx, procureure du comté de Cook et coqueluche de MSNBC, a réussi à faire augmenter le nombre de meurtres à Chicago à un niveau stupéfiant, même si nous sommes maintenant tous habitués à des chiffres de criminalité stupéfiants. À l’échelle nationale, en 2020, les meurtres et les homicides involontaires sans négligence ont augmenté de 29,4%, selon le FBI. C’est plus du double du précédent record de 1968, où les meurtres avaient augmenté de 12,7%.

Sous la gestion zélée de Foxx, les meurtres à Chicago ont augmenté de 55%. Pour mettre cela en perspective, l’année dernière, il y a eu presque autant de meurtres à Chicago (population : 2,7 millions d’habitants) qu’à New York et Los Angeles réunis (population totale : plus de 12 millions d’habitants).

Peut-être avez-vous entendu parler de la fusillade style Far West dans le quartier d’Austin à Chicago d’il y a deux semaines? Vers 10 heures du matin, des membres d’un gang ont tiré sur la maison de membres d’un gang rival. Ils ont criblé la maison de plus de 70 balles, avec des armes de poing modifiées en armes automatiques. Leurs rivaux ont riposté depuis l’intérieur de la maison, dans une fusillade qui a duré si longtemps qu’elle était toujours en cours à l’arrivée de la police.

Tout cela s’est déroulé sous le regard des caméras de la police, ainsi que des premiers officiers arrivés sur les lieux.

Sur les quatre tireurs initiaux, un a été abattu et laissé sur place. Les trois autres ont pris la fuite dans deux Dodge Chargers (volés). Un membre du gang s’est rendu dans un centre médical, y a abandonné son camarade blessé, puis a entraîné la police dans une course-poursuite qui s’est terminée par un accident violent. L’autre Charger a été retrouvée à proximité, en flammes.

La police a arrêté les deux membres du gang à l’hôpital, ainsi que les trois tireurs à l’intérieur de la maison.

Foxx a refusé de porter plainte contre aucun d’entre eux au motif qu’il s’agissait d’un « combat mutuel ». À ce stade, la seule option qui resterait à la police de Chicago serait de déposer de nouvelles accusations pour motifs environnementaux – par exemple, pollution de l’air par le plomb.

Qui aurait cru que lorsque Foxx parlait de ne pas poursuivre les petits méfaits, elle parlait de meurtres et de fusillades de masse? Dans le Chicago d’aujourd’hui, le massacre de la St-Valentin est devenu légal.

Le refus obstiné de Foxx d’engager des poursuites dans cette affaire a choqué tout le pays, excepté les habitants de Chicago. Ce n’était rien de nouveau de la part du procureur préféré des démocrates. La police devrait créer un calendrier du Meurtrier du Mois Libéré par Foxx.

En juillet, c’était le meurtrier de Chrys Carvajal, un garde national de 19 ans, abattu le week-end du 4 juillet, alors qu’il sortait d’une fête privée. Trois témoins oculaires et des preuves vidéo ont mené la police à un membre de gang notoirement violent de 38 ans.

Foxx a refusé d’engager des poursuites, en affirmant qu’il n’y avait pas assez de preuves.

Le meurtrier du mois d’août a tiré sur un homme, l’a manqué, mais a réussi à toucher deux petites filles assises sur la banquette arrière de la voiture familiale, de retour de l’église. Aubrey Broughton, âgée de six ans, a reçu une balle dans le poumon, a été transportée d’urgence à l’hôpital et a survécu. Mais une autre balle s’est logée directement dans le cœur de la sœur d’Aubrey, Serenity, 7 ans, la tuant.

Une fois de plus, la police a enquêté, a trouvé le véhicule du suspect, des preuves à l’intérieur de la voiture, et des relevés de téléphones portables dont la piste menait à un libéré sur parole de 24 ans.

Foxx a refusé d’engager des poursuites. (D’un autre côté, elle a rappelé aux parents de Serenity qu’elle aussi, est une « mère », ce qui était bien gentil de sa part).

La mère de Serenity s’est plainte que la police et les procureurs « ne font que se chamailler ». C’est ainsi qu’elle voyait ke problème – et non le fait que Chicago a un procureur qui refuse de poursuivre un meurtre. Cela explique peut-être pourquoi – outre un don de 2 millions de dollars de la part de George Soros – Foxx a été réélue l’année dernière.

Le meurtrier du mois de septembre est l’assassin de Manuel Porties Jr, 18 ans, qui s’est pointé à une bagarre et a été poignardé à plusieurs reprises dans le cou après avoir été jeté à terre. Naturellement, le meurtre a été filmé par les caméras des téléphones portables des passants.

Foxx a refusé d’inculper le tueur de Porties, au motif qu’il s’agissait – encore une fois – d’un « combat mutuel ».

En raison de la popularité des fusillades en voiture et de la philosophie qui veut que « les mouchards se font moucher » [snitches get stitches], le risque d’être arrêté si on commet un meurtre à Chicago n’est déjà plus qu’environ de 20 %. Un assez bon deal pour celui qui voudrait tuer un être humain.

Mais même si la police vous attrape et présente au procureur des preuves vidéo, des témoins oculaires, des relevés de téléphone portable ou le cadavre d’une fillette de 7 ans, Foxx s’assurera que vous n’irez PAS en prison. A ce rythme, Foxx pourrait bien finir par tuer tous les êtres humains vivant à Chicago.

Mais comme je l’ai dit, cette histoire n’est pas une histoire sur Chicago. Kim Foxx est une folle dangereuse, mais pas n’importe quelle folle dangereuse. Elle est l’idéal du Parti Démocrate en matière de justice pénale.

Le milliardaire libéral George Soros a dépensé des millions de dollars pour installer des procureurs favorables aux criminels dans tout le pays. (Avant qu’il ne soit « antisémite » de mentionner la campagne pro-meurtre de Soros, le New York Times a publié un article vantant le rôle du vieux pruneau dans l’élection de procureurs inertes, tels que Foxx).

Quelques centaines de milliers de dollars déversés dans la course d’un petit procureur sont plus que suffisants pour décider d’une élection. Soros a dépensé des millions. Foxx fut la première réussite de Soros dans son entreprise d’élection de procureurs qui refusent de mettre un homme noir en prison.

La mort d’adolescents noirs et d’enfants de 7 ans ne les dérangent pas. Les seules vies noires dont les démocrates se soucient sont celles des criminels noirs.

MSNBC, porte-parole du Parti Démocrate, était extatique le soir où Foxx a remporté l’élection qui allait faire d’elle le procureur principal du comté de Cook, la pro-criminelle Foxx interviewée par une Lawrence O’Donnell qui planait complètement. Elle a encore été triomphalement interviewée ce week-end par Al Sharpton [NdT. Al Sharpton est un pasteur évangélique baptiste très pro-démocrate, au cerveau en carton bouilli, incapable de prononcer les noms ou d’aligner trois phrases cohérentes- on se moque souvent de lui dans No Agenda, le podcast de Adam Curry et John C. Dvorak] .

Depuis quand l’élection d’un procureur a-t-elle suscité une telle liesse? Depuis quand attire-t-elle même l’attention?

Il n’y a pas un seul républicain dans la nation qui ne soit pas tenu d’exprimer publiquement sa position sur Donald Trump. Pourquoi ne pas demander aux démocrates de prendre position sur la campagne de Soros visant à installer des procureurs nolle prosequi [NdT. expression juridique latine signifiant «ne pas vouloir poursuivre»]? A part les Sénateurs Joe Manchin et Kyrsten Sinema, un seul démocrate dans le pays critiquera-t-il Foxx?

Non, bien sûr que non. Alors que les cadavres s’empilent à Chicago sous la houlette de Kim Foxx, rappelez-vous: c’est la « réforme » de la justice pénale que les démocrates veulent instaurer dans tout le pays.


Texte original

Kill Back Better

Ann Coulter

October 14, 2021

This isn’t a Chicago story. It’s a Democratic Party story.

Kim Foxx, the state’s attorney for Cook County and darling of MSNBC, has managed to increase murders in Chicago to astounding levels even at a time when we’re all getting used to astounding crime figures. Nationwide in 2020, murder and non-negligent manslaughter were up 29.4%, according to the FBI. That’s more than double the previous record of 1968, when murders increased by 12.7%.

Under the careful management of Foxx, murders in Chicago were up 55%. To put this in perspective, last year, there were nearly as many murders in Chicago (population: 2.7 million) as in New York City and Los Angeles combined (total population: more than 12 million).

Perhaps you’ve heard about the Wild West shootout in the Austin neighborhood of Chicago two weeks ago? One group of gang members shot up the house of rival gang members at around 10 in the morning. They blasted the house with more than 70 rounds, using handguns that had been modified into automatic weapons. Their rivals fired back from inside the home, in a gun battle that lasted so long, it was still going on when the police arrived.

All of this took place in full view of police street cameras, as well as the first officers on the scene.

Of the four initial shooters, one was shot dead at the scene and left behind. The other three took off in two (stolen) Dodge Chargers. One gang member drove to a medical center, dumped his wounded comrade, then led police on a car chase ending in a fiery crash. The other Charger turned up nearby, in flames.

Police arrested the two gang members from the hospital, as well as the three gunmen inside the home.

Foxx refused to bring charges against any of them on the grounds that it was “mutual combat.” At this point, the Chicago PD’s only option may be to resubmit charges on environmental grounds — polluting the air with lead.

Who knew that when Foxx talked about not prosecuting the small stuff, she was talking about murder and mass shootings? In today’s Chicago, the St. Valentine’s Day Massacre is legal.

Foxx’s bullheaded refusal to prosecute in this case was a shock to everyone in the country, except anyone living in Chicago. This is nothing new for the Democrats’ favorite DA. The police ought to put together a calendar of Foxx’s Released Murderer of the Month.

In July it was the murderer of Chrys Carvajal, a 19-year-old National Guardsman who was gunned down when he stepped out of a house party over Fourth of July weekend. Three eyewitnesses and video evidence led the police to a notoriously violent 38-year-old gang member.

Foxx refused to bring charges, claiming there wasn’t enough evidence.

August’s Murderer of the Month shot at a guy, missed him, but managed to hit two little girls sitting in the backseat of their family’s car after returning from church. Six-year-old Aubrey Broughton took a bullet through her lung, was rushed to the hospital and survived. But another bullet lodged directly in the heart of Aubrey’s sister, 7-year-old Serenity, killing her.

Again, the police investigated, found the suspect’s vehicle, evidence inside the car, and cellphone records pointing to a 24-year-old parolee.

Foxx refused to bring charges. (On the other hand, she did remind Serenity’s parents that she too, is a “mother,” so that was nice.)

Serenity’s mother complained that the police and prosecutors are “just bickering.” That was her assessment of the situation — not that Chicago has a prosecutor who won’t prosecute murder. This may explain why — in addition to George Soros’s $2 million donation — Foxx was reelected last year.

September’s Murderer of the Month was the killer of 18-year-old Manuel Porties Jr., who showed up for a fist fight and instead was repeatedly stabbed in the neck after being knocked to the ground. Naturally, the killing was captured on cellphone cameras of bystanders.

Foxx refused to bring charges against Porties’ killer, on the grounds that it was — again — “mutual combat.”

Due to the popularity of drive-by shootings and a “snitches get stitches” ethos, there’s already only about a 20% chance of being arrested if you commit murder in Chicago. Those are pretty good odds for taking another human life.

But even if the police catch you and present the prosecutor with video evidence, eyewitnesses, cellphone signals or a dead 7-year-old girl, Foxx is there to ensure that you will NOT go to prison. At this rate, Foxx might eventually kill off every living human being in Chicago.

But as I said, this is not a story about Chicago. Kim Foxx is a dangerous nut, but she’s not a random dangerous nut. She is the Democratic Party’s beau ideal of criminal justice.

Liberal moneybags George Soros has spent millions of dollars installing criminal-friendly prosecutors around the country. (Back before it was “anti-Semitic” to mention Soros’ pro-murder campaign, The New York Times ran an article boasting of the old prune’s role in electing inert prosecutors, like Foxx.)

A few hundred thousand dollars dumped into a minor DA’s race is more than enough to decide an election. Soros has spent millions. Foxx was Soros’ first success in electing DAs who would refuse to put another black man in prison.

They’re cool with dead black teenagers and dead 7-year-olds. The only black lives the Democrats care about are the lives of black criminals.

MSNBC, mouthpiece of the Democratic Party, was ecstatic the night Foxx won the election that would make her Cook County’s top prosecutor, with Lawrence O’Donnell giddily interviewing the pro-criminal Foxx. She was triumphantly interviewed again that weekend by Al Sharpton.

When has any prosecutor’s election drawn such celebration? When has it even drawn notice?

There is not a Republican in the nation who is not required to publicly state his position on Donald Trump. How about asking Democrats to take a position on Soros’ campaign to install nolle prosequi prosecutors? Apart from Sens. Joe Manchin and Kyrsten Sinema, will any Democrat in the country criticize Foxx?

No, of course not. As dead bodies pile up in Chicago under Kim Foxx, remember: This is the criminal justice “reform” Democrats want for the entire country.

La lettre de Spartacus : tout ce que vous devriez savoir sur la « crise » Covid.

SOMMAIRE

  • Physiopathologie et traitements du COVID-19
  • Transmission du COVID-19
  • Dangers des vaccins COVID-19
  • Conspiration criminelle autour du COVID-19
  • Développement des vaccins COVID-19 et liens avec le transhumanisme
  • Conclusions

Attention : quelques détails assez curieux (par exemple la notion que les « vaccins » éviteraient de faire une forme grave de la maladie alors que c’est exactement le contraire) pourraient indiquer une opération de limited hangout, comme à peu près tout ce qui est publié sur le sujet. Sinon, la majorité des infos semble solide. A vous de faire le tri.

Source.

Lisez, diffusez, résistez.


Traduction

Bonjour,

Je m’appelle Spartacus, et j’en ai assez.

Nous avons été forcés de regarder l’Amérique et le monde libre s’enfoncer dans un déclin inexorable à cause d’une attaque de guerre biologique. Nous, ainsi que d’innombrables autres personnes, avons été victimisés et désorientés par des opérations de propagande et de guerre psychologique menées par une élite non-élue et non-responsable contre le peuple américain et nos alliés.

Notre santé mentale et physique a énormément souffert au cours de la dernière année et demie. Nous avons ressenti la morsure de l’isolement, du verrouillage, du masquage, des quarantaines, et d’autres actes complètement absurdes d’un théâtre sanitaire qui n’ont absolument rien fait pour protéger la santé ou le bien-être du public de la pandémie actuelle de COVID-19.

Maintenant, nous regardons l’establishment médical injecter un véritable poison à des millions de nos concitoyens Américains sans la moindre résistance.

On nous a dit que nous serions licenciés et privés de nos moyens de subsistance si nous refusions de nous faire vacciner. Ça a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.

Nous avons passé des milliers d’heures à analyser les images qui fuitaient de Wuhan, les documents scientifiques de sources primaires ainsi que les traces écrites laissées par l’establishment médical.

Ce que nous avons découvert choquerait n’importe qui.

Nous allons d’abord résumer nos découvertes, puis nous les expliquerons en détail. Les références seront placées à la fin.

Résumé :

  • Le COVID-19 est une maladie du sang et des vaisseaux sanguins. Le SRAS-CoV-2 infecte la paroi des vaisseaux sanguins humains, ce qui provoque un épanchement pulmonaire.
  • Les protocoles de traitement actuels (par exemple, la ventilation invasive) sont activement nuisibles aux patients, ils accélèrent le stress oxydatif et provoquent de graves lésions pulmonaires induites par le respirateur (ventilator-induced lung injuries – VILI). L’utilisation continue de respirateurs en l’absence de tout bénéfice médical prouvé constitue un meurtre de masse.
  • Les contre-mesures existantes sont inadéquates pour ralentir la propagation de ce qui est un virus aérosolisé et potentiellement transmis par les eaux usées et constituent une forme de théâtre médical.
  • Diverses interventions non-vaccinales ont été supprimées à la fois par les médias et par l’establishment médical en faveur des vaccins et des médicaments brevetés coûteux.
  • Les autorités ont nié l’utilité de l’immunité naturelle contre le COVID-19, malgré le fait que l’immunité naturelle confère une protection contre toutes les protéines du virus, et pas seulement contre une.
  • Les vaccins feront plus de mal que de bien. L’antigène sur lequel ces vaccins sont basés, SRAS-CoV- 2, est une protéine toxique. Le SRAS-CoV-2 peut présenter un ADE, ou facilitation de l’infection par anticorps (antibody-dependent enhancement) ; les anticorps actuels pourraient ne pas neutraliser les futures souches, mais au contraire les aider à infecter les cellules immunitaires. De plus, le fait de vacciner pendant une pandémie avec un vaccin qui fuit [NdT. qui permet une fuite immunitaire] supprime la pression évolutive qui pousse un virus à devenir moins mortel.
  • Il existe une vaste et effroyable conspiration criminelle qui lie directement Anthony Fauci et Moderna à l’Institut de Virologie de Wuhan.
  • Les chercheurs du vaccin COVID-19 sont directement liés à des scientifiques impliqués dans la technologie de l’interface cerveau-ordinateur (« lacet neuronal »). L’un d’entre eux a été inculpé pour avoir reçu des subventions de la Chine.
  • Des chercheurs indépendants ont découvert de mystérieuses nanoparticules à l’intérieur des vaccins qui ne sont pas censées s’y trouver.
  • L’ensemble de la pandémie est utilisé comme une excuse pour une vaste transformation politique et économique de la société occidentale qui enrichira les déjà riches et transformera le reste d’entre nous en serfs et en intouchables.

Physiopathologie et traitements du COVID-19 :

Le COVID-19 n’est pas une pneumonie virale. Il s’agit d’une endothélite vasculaire virale qui s’attaque à la paroi des vaisseaux sanguins, en particulier aux petits capillaires alvéolaires pulmonaires, entraînant l’activation et la destruction des cellules endothéliales, une coagulopathie, une septicémie, un œdème pulmonaire et des symptômes de type SDRA. Il s’agit d’une maladie du sang et des vaisseaux sanguins. Du système circulatoire. Toute pneumonie qu’elle provoque en est une conséquence secondaire.

Dans les cas graves, cela entraîne une septicémie, des caillots sanguins et une défaillance de plusieurs organes, y compris des lésions hypoxiques et inflammatoires de divers organes vitaux, comme le cerveau, le cœur, le foie, le pancréas, les reins et les intestins.

Parmi les résultats de laboratoire les plus courants dans le COVID-19, on trouve une élévation du taux de D-dimères, un temps de prothrombine élevé, une protéine C-réactive élevée et un taux d’hémoglobine élevé, une neutrophilie, une lymphopénie, une hypocalcémie et une hyperferritinémie, correspondant essentiellement à un profil de coagulopathie et d’hyperactivation du système immunitaire/épuisement des cellules immunitaires.

Le COVID-19 peut se présenter sous presque n’importe quelle forme, en raison du tropisme important du SRAS-CoV-2 pour divers tissus dans les organes vitaux de l’organisme. Bien que sa présentation initiale la plus courante soit une maladie respiratoire et des symptômes de type grippal, il peut se présenter sous la forme d’une inflammation cérébrale, d’une maladie gastro-intestinale, voire d’une crise cardiaque ou d’une embolie pulmonaire.

Le COVID-19 est plus grave chez les personnes présentant des comorbidités spécifiques, telles que l’obésité, le diabète et l’hypertension. Cela est dû au fait que ces conditions impliquent un dysfonctionnement endothélial, qui rend le système circulatoire plus sensible à l’infection et aux lésions par ce virus particulier.

La grande majorité des cas de COVID-19 sont bénins et ne provoquent pas de maladie significative. Dans les cas connus, il existe une règle dite des 80/20, selon laquelle 80 % des cas sont bénins et 20 % sont graves ou critiques.

Cependant, ce ratio n’est correct que pour les cas connus, et non pour toutes les infections. Le nombre d’infections réelles est beaucoup, beaucoup plus élevé. Par conséquent, le taux de mortalité et de morbidité est plus faible. Cependant, le COVID-19 se propage très rapidement, ce qui signifie qu’un nombre important de patients gravement malades et en état critique apparaissent dans un court laps de temps.

Chez ceux qui présentent une septicémie critique induite par le COVID-19, une hypoxie, une coagulopathie et un SDRA, les traitements les plus courants sont l’intubation, l’injection de corticoïdes et les anticoagulants. Ce n’est pas le traitement approprié pour le COVID-19. En cas d’hypoxie sévère, les changements métaboliques cellulaires provoquent la décomposition de l’ATP en hypoxanthine, qui, lors de la réintroduction de l’oxygène, fait que la xanthine oxydase produit des tonnes de radicaux très nocifs qui attaquent les tissus. C’est ce qu’on appelle une lésion d’ischémie-reperfusion, et c’est pourquoi la majorité des gens qui sont mis sous respirateur meurent. Dans la mitochondrie, l’accumulation de succinate due à la septicémie fait exactement la même chose ; quand l’oxygène est réintroduit, il produit des radicaux superoxyde. N’en doutez pas, l’intubation tue les gens qui ont le COVID-19.

Le stade final du COVID-19 est une peroxydation lipidique sévère, où les graisses dans le corps commencent à « rouiller » à cause des dommages causés par le stress oxydatif. Cela entraîne une auto-immunité. Les lipides oxydés apparaissent comme des corps étrangers pour le système immunitaire, qui reconnaît et forme des anticorps contre les OSE, ou épitopes spécifiques de l’oxydation (oxidation-specific epitopes). De plus, les lipides oxydés alimentent directement les récepteurs de reconnaissance des formes, déclenchant encore plus d’inflammation et en appelant encore plus de cellules du système immunitaire inné qui libèrent encore plus d’enzymes destructeurs. Ce phénomène est similaire à la pathophysiologie du lupus.

La décomposition de la pathologie est la suivante :

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 se lie à l’ACE2. L’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 est une enzyme qui fait partie du système rénine-angiotensine-aldostérone, ou SRAA. Le SRAA est un système de contrôle hormonal qui modère volume de liquide dans le corps et dans la circulation sanguine (c’est-à-dire l’osmolarité) en contrôlant la rétention et l’excrétion du sel. Cette protéine, l’ACE2, est omniprésente dans toutes les parties du corps qui sont en relation avec le système circulatoire, en particulier dans les cellules endothéliales vasculaires et les péricytes, les astrocytes du cerveau, les tubules rénaux et les podocytes, les cellules des îlots pancréatiques, les cellules épithéliales du canal biliaire et de l’intestin, ainsi que les canaux séminifères des testicules, toutes ces cellules pouvant être infectées par le SRAS-CoV-2, et pas seulement les poumons.

Le SRAS-CoV-2 infecte une cellule de la manière suivante : la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 subit un changement de conformation au cours duquel les trimères du S1 se retournent et s’étendent, se verrouillant sur l’ACE2 lié à la surface d’une cellule. La TMPRSS2, ou protéase transmembranaire sérine 2 (transmembrane protease serine 2), arrive et coupe les têtes de la protéine de pointe, exposant la sous-unité S2 en forme de tige à l’intérieur. Le reste de la protéine de pointe subit un changement de conformation qui fait qu’elle se déplie comme une échelle à coulisse, s’encastrant dans la membrane cellulaire. Puis, elle se replie sur elle-même, rapprochant la membrane virale et la membrane cellulaire. Les deux membranes fusionnent, et les protéines du virus migrent à la surface de la cellule. La nucléocapside du SRAS-CoV-2 entre dans la cellule, dégorgeant son matériel génétique et commençant le processus de réplication virale, détournant les structures de la cellule pour produire plus de virus.

Les protéines de pointe du SRAS-CoV-2 incorporées dans une cellule peuvent en fait provoquer la fusion des cellules humaines, formant ainsi des syncytia/CGM (cellules géantes multinucléaires). Elles ont également d’autres effets pathogènes et nocifs. Le SRAS-CoV- 2, comme la protéine d’enveloppe, agissent comme des canaux ioniques calciques, introduisant du calcium dans les cellules infectées. Le virus supprime la réponse naturelle à l’interféron, ce qui entraîne une inflammation retardée. La protéine N du SRAS-CoV-2 peut également activer directement l’inflammasome NLRP3. Elle supprime également la voie antioxydante Nrf2. La suppression de l’ACE2 par la liaison avec la protéine de pointe entraîne une accumulation de bradykinine qui serait autrement décomposée par l’ACE2.

Cet influx constant de calcium dans les cellules entraîne (ou s’accompagne) d’une hypocalcémie notable, ou faible taux de calcium dans le sang, en particulier chez les personnes présentant des carences en vitamine D et un dysfonctionnement endothélial préexistant. La bradykinine régule à la hausse l’activité de l’AMPc, du GMPc, de la COX et de la phospholipase C. Il en résulte une sécrétion de prostaglandine et une augmentation considérable de la signalisation calcique intracellulaire, ce qui favorise une libération très agressive de ERO (espèces réactives de l’oxygène) et une diminution de l’ATP. La NADPH oxydase libère du superoxyde dans l’espace extracellulaire. Les radicaux superoxydes réagissent avec l’oxyde nitrique pour former du peroxynitrite. Le peroxynitrite réagit avec la tétrahydrobioptérine nécessaire à la synthase d’oxyde nitrique endothéliale, le détruisant et « découplant » les enzymes, ce qui amène la synthase de l’oxyde nitrique (NOS) à synthétiser davantage de superoxyde à la place. Ce processus se déroule dans une boucle de rétroaction positive jusqu’à ce que la biodisponibilité de l’oxyde nitrique dans le système circulatoire soit épuisée.

L’oxyde nitrique gazeux produit en permanence par la eNOS remplit de nombreuses fonctions importantes, mais il est aussi antiviral contre les coronavirus de type SRAS, en empêchant la palmitoylation de la protéine de pointe virale et en rendant plus difficile sa liaison aux récepteurs de l’hôte. La perte de NO permet au virus de commencer à se répliquer en toute impunité dans l’organisme. Les personnes qui présentent un dysfonctionnement endothélial (c’est-à-dire hypertension, diabète, obésité, vieillesse, race afro-américaine) ont des problèmes d’équilibre redox au départ, ce qui donne un avantage au virus.

En raison de la libération extrême de cytokines déclenchée par ces processus, le corps convoque une grande quantité de neutrophiles et de macrophages alvéolaires dérivés de monocytes dans les poumons. Les cellules du système immunitaire inné sont les défenseurs de première ligne contre les agents pathogènes. Elles agissent en engloutissant les envahisseurs et en essayant de les attaquer avec des enzymes qui produisent de puissants oxydants, comme la SOD (superoxyde dismutase) et la MPO (myéloperoxydase). La superoxyde dismutase prend du superoxyde et produit du peroxyde d’hydrogène, et la myéloperoxydase prend du peroxyde d’hydrogène et des ions de chlore et produit de l’hypochlorite, qui est beaucoup, beaucoup plus réactif que l’hypochlorite de sodium de l’eau de Javel.

Les neutrophiles peuvent jouer un sale tour. Ils peuvent aussi éjecter ces enzymes dans l’espace extracellulaire, où ils vont continuellement cracher du peroxyde et de l’hypochlorite dans le sang. C’est ce qu’on appelle la formation de pièges extracellulaires pour les neutrophiles (NET), ou, lorsqu’elle devient pathogène et contre-productive, la NETose. Dans les cas graves et critiques du COVID-19, il y a en fait une NETose assez sévère.

L’acide hypochloreux qui s’accumule dans la circulation sanguine commence à réagir avec le fer de l’hème et à le concurrencer comme site de fixation de l’oxygène. Les globules rouges perdent leur capacité à transporter l’oxygène, et le visage de la personne atteinte devient bleu. Le fer, le peroxyde d’hydrogène et le superoxyde non libérés dans la circulation sanguine subissent les réactions de Haber-Weiss et de Fenton, produisant des radicaux hydroxyles extrêmement réactifs qui arrachent violemment les électrons des graisses et de l’ADN environnants, les oxydant sévèrement.

Cet état n’est pas inconnu de la science médicale. Son nom exact est septicémie aiguë.

Nous savons que c’est ce qui se passe dans le COVID-19 parce que les gens qui sont morts de cette maladie ont des signatures de ferroptose dans leurs tissus, ainsi que d’autres marqueurs de stress oxydatif tels que la nitrotyrosine, le 4-HNE, et le malondialdéhyde.

Lorsque vous intubez une personne atteinte de cette maladie, vous déclenchez une bombe à radicaux libres en alimentant les cellules en O2. C’est un cercle vicieux, car nous avons besoin d’oxygène pour fabriquer de l’adénosine triphosphate (c’est-à-dire pour vivre), mais l’O2 est aussi le précurseur de tous ces radicaux nuisibles qui conduisent à la peroxydation des lipides.

Le traitement correct de la septicémie grave liée au COVID-19 est la ventilation non invasive, les stéroïdes et les perfusions d’antioxydants. La plupart des médicaments réadaptés pour le COVID-19 qui présentent un quelconque avantage pour le sauvetage des patients gravement malades sont des antioxydants. La N-acétylcystéine, la mélatonine, la fluvoxamine, le budésonide, la famotidine, la cimétidine et la ranitidine sont tous des antioxydants. L’indométhacine empêche l’oxydation par le fer de l’acide arachidonique en isoprostanes. Il existe de puissants antioxydants, comme l’apocynine, qui n’ont même pas encore été testés sur les patients COVID-19 et qui pourraient défaire les neutrophiles, prévenir la peroxydation lipidique, rétablir la santé endothéliale et restaurer l’oxygénation des tissus.

Les scientifiques qui connaissent un tant soit peu la neutrophilie pulmonaire, le SDRA et la biologie redox ont compris ou supposé beaucoup de tout cela depuis mars 2020. En avril 2020, des scientifiques suisses ont confirmé que le COVID-19 était une endothélite vasculaire. A la fin de 2020, les experts avaient déjà conclu que le COVID-19 provoque une forme de septicémie virale. Ils savent également que la septicémie peut être traitée efficacement avec des antioxydants. Aucune de ces informations n’est particulièrement nouvelle, et pourtant, dans la plupart des cas, elle n’a pas été prise en compte. Les médecins continuent à utiliser techniques d’intubation préjudiciables avec des réglages PEEP élevés malgré une compliance pulmonaire élevée et une mauvaise oxygénation, tuant un nombre incalculable de patients gravement malades par faute médicale.

En raison de la manière dont ils sont construits, les essais contrôlés randomisés ne montreront jamais aucun avantage pour aucun antiviral contre le COVID-19. Ni le Remdesivir, ni le Kaletra, ni la HCQ, ni l’Ivermectine. La raison en est simple : pour les patients qu’ils ont recrutés pour ces études, comme la ridicule étude RECOVERY d’Oxford, l’intervention est trop tardive pour avoir un quelconque effet positif.

L’évolution clinique du COVID-19 est telle qu’au moment où la plupart des personnes consultent un médecin pour hypoxie, leur charge virale a déjà diminué au point de devenir presque nulle. Si quelqu’un a été exposé depuis environ 10 jours et qu’elle est déjà symptomatique depuis cinq jours, il ne reste pratiquement plus de virus dans son organisme, mais seulement des lésions et des dérèglements cellulaires qui ont déclenché une réponse hyperinflammatoire. C’est dans ce groupe que les essais cliniques pour les antiviraux ont recruté, presque exclusivement.

Dans ces essais, on donne des antiviraux à des patients gravement malades qui n’ont pas de virus dans leur corps, mais seulement une réponse hyperinflammatoire retardée, puis on affirme de manière absurde que les antiviraux n’ont aucune utilité dans le traitement ou la prévention du COVID-19. Ces essais cliniques ne recrutent pas de personnes pré-symptomatiques. Ils ne ne testent pas la prophylaxie pré-exposition ou post-exposition.

C’est comme si on utilisait un défibrillateur pour choquer uniquement les personnes en arrêt cardiaque, et qu’on prétendait ensuite de manière absurde que les défibrillateurs n’ont aucune utilité médicale lorsque les patients refusent de se relever d’entre les morts. L’intervention est trop tardive. Ces essais d’antiviraux montrent un biais de sélection systématique et flagrant. Ils fournissent un traitement qui est futile pour la cohorte spécifique qu’ils enrôlent.

L’Inde est allée à l’encontre des instructions de l’OMS et a rendu obligatoire l’utilisation prophylactique de l’Ivermectine. Ils ont presque complètement éradiqué le COVID-19. L’Association du Barreau Indien de Mumbai a porté des accusations criminelles contre le scientifique en chef de l’OMS, le Dr Soumya Swaminathan, pour avoir recommandé de ne pas utiliser l’Ivermectine.

L’ivermectine n’est pas un « vermifuge pour chevaux ». Oui, elle est vendue sous forme de pâte vétérinaire comme vermifuge pour les animaux. Elle est également disponible sous forme de pilule pour les humains depuis des décennies, en tant que médicament antiparasitaire.

Les médias ont prétendu de façon fallacieuse que parce que l’Ivermectine est un médicament antiparasitaire, elle n’a aucune utilité en tant qu’antivirus. Cette affirmation est inexacte. L’Ivermectine a une utilité en tant qu’antiviral. Elle bloque l’importine, empêchant l’importation nucléaire, inhibant efficacement l’accès viral aux noyaux cellulaires. De nombreux médicaments actuellement sur le marché ont plusieurs modes d’action. L’ivermectine est l’un de ces médicaments. Elle est à la fois antiparasitaire et antivirale.

Au Bangladesh, l’ivermectine coûte 1,80 $ pour un traitement complet de 5 jours. Le Remdesivir, qui est toxique pour le foie, coûte 3.120 $ pour un traitement de 5 jours. Des milliards de dollars de Remdesivir totalement inutile ont été vendus à nos gouvernements aux frais du contribuable, et il s’est avéré totalement inutile pour traiter l’hyperinflammation du COVID-19. Les médias ont à peine couvert cette affaire.

L’opposition à l’utilisation de l’Ivermectine générique n’est pas fondée sur la science. Elle est purement motivée par des raisons financières et politiquement motivée. Une intervention non-vaccinale efficace mettrait en danger l’approbation précipitée de la FDA de vaccins et de médicaments brevetés pour lesquels l’industrie pharmaceutique s’apprête à rafler des milliards et des milliards de dollars de ventes sur une base continue.

La majorité du public est scientifiquement analphabète et ne peut pas comprendre ce que tout cela signifie, à cause d’un système éducatif pathétique qui les a mal éduqués. Vous seriez chanceux de trouver 1 personne sur 100 qui ait la moindre idée de ce que tout cela signifie.

Transmission du COVID-19 :

Le COVID-19 est transmis par voie aérienne. L’OMS a soutenu la Chine en affirmant que le virus n’était transmis que par gouttelettes. Notre propre CDC a affirmé de manière absurde qu’il était principalement transmis par contact de personne à personne, ce qui, étant donné sa propagation rapide de Wuhan au reste du monde, aurait été physiquement impossible.

La croyance ridicule que le contact fomite-à-visage est un mode de transmission primaire a conduit à l’utilisation de protocoles de désinfection des surfaces qui ont entraîné une perte de temps, d’énergie, de productivité et de désinfectant.

Les directives de distanciation sociale de six pieds [NdT. environ 1,80m] sont absolument inutiles. La distance minimale de sécurité pour se protéger d’un virus aérosolisé est de plus de 6 mètres d’une personne infectée, pas moins. En réalité, aucun transport public n’est sûr.

Les masques chirurgicaux ne protègent pas des aérosols. Le virus est trop petit et le média filtrant a des mailles trop larges pour le filtrer. Ils peuvent capter les gouttelettes respiratoires et empêcher le virus d’être expulsé par une personne malade, mais ils ne filtrent pas un nuage d’aérosols infectieux si quelqu’un entre dans ce nuage.

Le niveau minimum de protection contre ce virus est littéralement un respirateur P100, un PAPR/CAPR, ou un respirateur 40 mm de l’OTAN, idéalement associé à une combinaison intégrale en Tyvek ou Tychem, des gants et des chaussons, dont tous les trous et interstices ont été scotchés.

Le SRAS-CoV-2 vivant peut être détecté dans les écoulements d’eaux usées et il peut y avoir une transmission oro-fécale. Au cours de l’épidémie de SRAS en 2003, lors de l’incident d’Amoy Gardens, des centaines de personnes ont été infectées par des matières fécales en aérosol provenant des siphons de sol de leurs appartements.

Dangers des vaccins COVID-19 :

Les vaccins contre le COVID-19 ne sont pas stérilisants et ne préviennent pas l’infection ou la transmission. Ce sont des vaccins « fuyants ». Cela signifie qu’ils suppriment la pression évolutive exercée sur le virus pour qu’il devienne moins mortel. Cela signifie également que les vaccinés sont des porteurs parfaits. En d’autres termes, ceux qui sont vaccinés sont une menace pour les non-vaccinés, et non l’inverse.

Tous les vaccins COVID-19 actuellement utilisés ont subi un minimum de tests, avec des essais cliniques. Bien qu’ils semblent limiter les maladies graves, le profil de sécurité à long terme de ces vaccins reste inconnu.

Certains de ces soi-disant « vaccins » font appel à une nouvelle technologie non testée qui n’a jamais été utilisée dans des vaccins auparavant. Les vaccins traditionnels utilisent des virus affaiblis ou tués pour stimuler une réponse immunitaire. Ce n’est pas le cas des vaccins Moderna et Pfizer-BioNTech. Ils sont censés consister en une injection intramusculaire contenant une suspension de nanoparticules lipidiques remplies d’ARN messager. Ces nanoparticules génèrent une réponse immunitaire en fusionnant avec les cellules de l’épaule du sujet vacciné, en subissant une endocytose, en libérant leur ARNm dans ces cellules, puis en utilisant les ribosomes de ces cellules pour synthétiser in situ des protéines de pointe modifiées du SRAS-CoV-2.

Ces protéines de pointe modifiées migrent ensuite vers la surface de la cellule, où elles sont ancrées en place par un domaine transmembranaire. Le système immunitaire adaptatif détecte la protéine virale non humaine exprimée par ces cellules, puis forme des anticorps contre cette protéine. Cela est censé conférer une protection contre le virus, en entraînant le système immunitaire adaptatif à reconnaître et à produire des anticorps contre la protéine de pointe du virus réel. Les vaccins de J&J et d’AstraZeneca ont une action similaire, mais utilisent un vecteur adénoviral pour la transmission du matériel génétique au lieu d’une nanoparticule lipidique. Ces vaccins ont été produits ou validés à l’aide de lignées cellulaires fœtales HEK-293 et PER.C6, ce à quoi les personnes ayant certaines convictions religieuses peuvent fortement s’opposer.

La protéine de pointe du SRARS-CoV-2 est une protéine hautement pathogène en elle-même. Il est impossible de surestimer le danger que représente l’introduction de cette protéine dans le corps humain.

Les fabricants de vaccins prétendent que le vaccin reste dans les cellules de l’épaule et que la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 produite et exprimée par ces cellules à partir du matériel génétique du vaccin est inoffensif et inerte, grâce à l’insertion de prolines dans la séquence de la protéine de pointe pour la stabiliser dans la conformation de préfusion, empêchant la protéine de pointe de devenir active et de fusionner avec d’autres cellules. Cependant, une étude pharmacocinétique réalisée au Japon a montré que les nanoparticules lipidiques et l’ARNm du vaccin Pfizer ne sont pas restées dans l’épaule et se sont en fait bioaccumulées dans de nombreux organes différents, y compris les organes reproducteurs et les glandes surrénales, ce qui signifie que la protéine de pointe modifiée est exprimée littéralement partout. Ces nanoparticules lipidiques peuvent déclencher une anaphylaxie chez quelques malchanceux, mais ce qui est bien plus inquiétant, c’est l’expression non régulée de la protéine de pointe dans diverses lignées de cellules somatiques éloignées du site d’injection et les conséquences inconnues qui en découlent.

L’ARN messager est normalement consommé juste après sa production dans l’organisme, étant traduit en protéine par un ribosome. L’ARNm du vaccin COVID-19 est produit en dehors du corps, bien avant qu’un ribosome ne le traduise. Entre-temps, il peut accumuler des dommages s’il est mal conservé. Lorsqu’un ribosome tente de traduire un brin d’ARNm endommagé, il peut se bloquer. Lorsque cela se produit, le ribosome devient inutile pour la traduction des protéines car il a maintenant un morceau d’ARNm coincé en lui, comme une carte de dentelle [NdT. Une carte de dentelle est une carte avec tous les trous perforés, principalement utilisées comme blagues pour perturber les lecteurs de cartes] dans un vieux lecteur de cartes perforées. Le tout doit être nettoyé et de nouveaux ribosomes doivent être synthétisés pour le remplacer. Dans les cellules dont la rotation des ribosomes est faible, comme les cellules nerveuses, cela peut entraîner une réduction de la synthèse des protéines, des effets cytopathiques et des neuropathies.

Certaines protéines, y compris la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, ont des sites de clivage protéolytique qui ressemblent à de petites lignes en pointillé indiquant « coupez ici », qui attirent les protéases d’un organisme vivant (essentiellement des ciseaux moléculaires) pour les couper. Il est possible que la S1 soit clivée protéolytiquement de la S2, ce qui fait que la S1 active s’échappe dans la circulation sanguine tout en laissant la « tige » de la S2 intégrée dans la membrane de la cellule qui a exprimé la protéine.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 possède une région superantigénique (SAg), qui peut favoriser une inflammation extrême.

Une étude a montré que les anticorps anti-protéine de pointe fonctionnent comme des auto-anticorps et attaquent les cellules de l’organisme. Les personnes qui ont été vaccinées avec les vaccins COVID-19 ont développé des caillots sanguins, une myocardite, le syndrome de Guillain-Barré, la paralysie de Bell et des poussées de sclérose en plaques, ce qui indique que le vaccin favorise les réactions auto-immunes contre les tissus sains.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 ne se lie pas seulement à l’ACE2. On soupçonne qu’elle possède des régions qui se lient à la basigine, aux intégrines, à la neuropiline-1 et aux lipopolysaccharides bactériens. La protéine de pointe du SRAS-CoV-2, par elle-même, peut potentiellement se lier à n’importe lequel de ces éléments et agir comme un ligand pour eux, déclenchant une activité cellulaire non spécifiée et probablement très inflammatoire.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 contient un insert d’ERAR inhabituel qui forme un site de clivage de la furine. La furine est une protéase humaine omniprésente, ce qui en fait une propriété idéale pour la protéine de pointe, lui conférant un degré élevé de tropisme cellulaire. Aucun coronavirus sauvage de type SRAS apparenté au SRAS-CoV-2 ne possède cette caractéristique, ce qui le rend très suspect, et pourrait être un signe de manipulation humaine.

La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 possède un domaine de type prion qui accroît son pouvoir infectieux.

Le RBD S1 de la protéine de pointe peut se lier aux protéines de liaison à l’héparine et favoriser l’agrégation amyloïde. Chez l’homme, cela pourrait conduire à la maladie de Parkinson, à la démence à corps de Lewy, à la maladie d’Alzheimer prématurée, ou à diverses autres maladies neurodégénératives. Ceci est très préoccupant car la protéine de pointe S1 du SRAS-CoV-2 est capable de causer des dommages et de traverser la barrière hémato-encéphalique et de pénétrer dans le cerveau. Elle est également capable d’augmenter la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique à d’autres molécules.

Le SRAS-CoV-2, comme d’autres bêtacoronavirus, peut présenter un ADE de type Dengue, ou une facilitation de l’infection par anticorps. Pour ceux qui l’ignorent, certains virus, dont les bêta-coronavirus, présentent une caractéristique appelée ADE. Il existe aussi ce qu’on appelle le péché antigénique originel (Original Antigenic Sin), dans lequel on observe que l’organisme préfère produire des anticorps basés sur des souches virales déjà rencontrées plutôt que sur des souches nouvellement rencontrées.

Dans le cas de l’ADE, les anticorps d’une infection antérieure deviennent non-neutralisants en raison de mutations dans les protéines du virus. Ces anticorps non-neutralisants agissent alors comme des chevaux de Troie, permettant au virus vivant et actif d’être d’être attiré dans les macrophages par l’intermédiaire de leurs récepteurs Fc, ce qui permet au virus d’infecter des cellules immunitaires qu’il n’aurait pas été capable d’infecter auparavant. C’est ce qui s’est produit avec la dengue ; lorsqu’une personne est atteinte de la dengue, qu’elle se rétablit et qu’elle contracte une autre souche, elle peut devenir très, très malade.

Si quelqu’un est vacciné avec un ARNm basé sur la protéine de pointe de la souche initiale de Wuhan du SRAS-CoV-2, et qu’elle est ensuite infectée par une nouvelle souche mutée du virus, elle peut tomber gravement malade. En d’autres termes, il est possible que les vaccins sensibilisent une personne à la maladie.

Il existe un précédent dans l’histoire récente. Le vaccin Dengvaxia de Sanofi contre la dengue a échoué parce qu’il a provoqué une sensibilisation immunitaire chez des personnes dont le système immunitaire n’avait jamais été exposé à la dengue.

Chez les souris immunisées contre le SRAS-CoV et exposées au virus, un proche parent du SRAS-CoV-2, elles ont ont développé une immunosensibilisation, une immunopathologie Th2 et une infiltration d’éosinophiles dans leurs poumons.

On nous a dit que les vaccins à ARNm du SRAS-CoV-2 ne peuvent pas être intégrés dans le génome humain, car l’ARN messager ne peut pas être retransformé en ADN. Cette affirmation est fausse. Il existe des éléments dans les cellules humaines humains appelés rétrotransposons LINE-1, qui peuvent effectivement intégrer l’ARNm dans un génome humain par transcription inverse endogène. Comme l’ARNm utilisé dans les vaccins est stabilisé, il reste dans les cellules plus longtemps, ce qui augmente les chances que cela se produise. Si le gène de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 est intégré dans une partie du génome qui n’est pas silencieuse et qui exprime une protéine, il est possible que les personnes qui reçoivent ce vaccin puissent exprimer continuellement la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 à partir de leurs cellules somatiques pour le reste de leur vie.

En inoculant aux gens un vaccin qui amène leur organisme à produire la protéine de pointe in situ, on leur inocule une protéine pathogène. Une toxine qui peut causer des inflammations à long terme, des problèmes cardiaques, et un risque accru de cancers. A long terme, elle peut aussi potentiellement mener à une maladie neurodégénérative.

Absolument personne ne devrait être obligé de recevoir ce vaccin, en aucune circonstance, et en fait, la campagne de vaccination doit être arrêtée immédiatement.

Conspiration criminelle autour du COVID-19 :

Le vaccin et le virus ont été fabriqués par les mêmes personnes.

En 2014, il y a eu un moratoire sur la recherche sur le gain de fonction du SRAS qui a duré jusqu’en 2017. Cette recherche n’a pas été arrêtée. Au contraire, elle a été externalisée, les subventions fédérales étant blanchies par des ONG.

Ralph Baric est un virologue et un expert du SRAS à l’UNC Chapel Hill en Caroline du Nord.

C’est à lui qu’Anthony Fauci faisait référence lorsqu’il a insisté, devant le Congrès, sur le fait que si des recherches sur les gains de fonction étaient menées, elles étaient menées en Caroline du Nord.

C’était un mensonge. Anthony Fauci a menti devant le Congrès. C’est un crime.

Ralph Baric et Shi Zhengli sont collègues et ont co-écrit des articles ensemble. Ralph Baric a encadré Shi Zhengli dans ses techniques de manipulation de gain de fonction, particulièrement le passage en série, qui résulte en un virus qui semble être d’origine naturelle. En d’autres termes, des armes biologiques indéniables. Le passage en série dans souris humanisées hACE2 a pu produire quelque chose comme le SRAS-CoV-2.

Le financement de la recherche sur le gain de fonction menée à l’Institut de Virologie de Wuhan provient de Peter Daszak. Peter Daszak dirige une ONG appelée EcoHealth Alliance. EcoHealth Alliance a reçu des millions de dollars de subventions du National Institutes of Health/National Institute of Allergy and Infectious Diseases (c’est-à-dire Anthony Fauci), de la Defense Threat Reduction Agency (qui fait partie du Département de la Défense des États-Unis), et de l’Agence des États-Unis pour le Développement International (USAID). Les NIH/NIAID ont contribué à hauteur de quelques millions de dollars, et la DTRA et l’USAID ont chacune contribué à hauteur de dizaines de millions de dollars à cette recherche. Au total, cela représente plus de cent millions de dollars.

EcoHealth Alliance a sous-traité ces subventions à l’Institut de virologie de Wuhan, un laboratoire chinois avec des antécédents très douteux en matière de sécurité et un personnel mal formé, afin qu’il puisse mener des recherches sur le gain de fonction, non pas dans leur luxueux laboratoire P4, mais dans un laboratoire de niveau 2 où les techniciens ne portaient rien de plus sophistiqué qu’un filet à cheveux, des gants en latex et un masque chirurgical, au lieu des combinaisons à bulles utilisées pour travailler avec des virus dangereux. Les scientifiques chinois de Wuhan ont rapporté s’être régulièrement fait mordre et uriner dessus par des animaux de laboratoire. La raison pour laquelle quiconque voudrait externaliser ce travail dangereux et délicat vers la République Populaire de Chine, un pays tristement célèbre pour les accidents industriels et les explosions massives qui ont coûté des centaines de vies, me dépasse complètement, à moins que le but ne soit de déclencher une pandémie intentionnellement.

En novembre 2019, trois techniciens de l’Institut de Virologie de Wuhan ont développé des symptômes correspondant à une maladie de type grippal. Anthony Fauci, Peter Daszak, et Ralph Baric ont su immédiatement ce qui s’était passé, car des canaux de retour existent entre ce laboratoire et nos scientifiques et officiels.

Le 12 décembre 2019, Ralph Baric a signé un accord de transfert de matériel (essentiellement, un NDA) pour recevoir du matériel lié au vaccin à ARNm du coronavirus dont Moderna et les NIH sont copropriétaires. Ce n’est qu’un mois plus tard mois plus tard, le 11 janvier 2020, que la Chine nous a prétendument envoyé la séquence de ce qui allait devenir connu sous le nom de SRAS-CoV-2. Moderna prétend, de manière plutôt absurde, avoir développé un vaccin fonctionnel à partir de cette séquence en moins de 48 heures.

Stéphane Bancel, l’actuel PDG de Moderna, était auparavant PDG de bioMérieux, une multinationale française spécialisée dans les technologies de diagnostic médical, fondée par un certain Alain Mérieux. Alain Mérieux a joué un rôle déterminant dans la construction du laboratoire P4 de l’Institut de Virologie de Wuhan.

La séquence présentée comme la plus proche parente du SRAS-CoV-2, RaTG13, n’est pas un vrai virus. Il s’agit d’une contrefaçon. Elle a été créée en entrant une séquence génétique à la main dans une base de données, afin de créer une histoire de couverture pour l’existence du SRAS-CoV-2, qui est très probablement une chimère à gain de fonction produite à l’Institut de Virologie de Wuhan et qui a fait l’objet d’une fuite accidentelle ou d’une diffusion intentionnelle.

Le réservoir animal du SRAS-CoV-2 n’a jamais été découvert.

Il ne s’agit pas d’une « théorie » de la conspiration. Il s’agit d’une véritable conspiration criminelle, dans laquelle des personnes liées au développement du mRNA-1273 de Moderna sont directement liées à l’Institut de Virologie de Wuhan et à et leur recherche sur le gain de fonction, avec très peu de degrés de séparation, voire aucun. La trace écrite est bien établie.

La théorie de la fuite en laboratoire a été supprimée parce qu’en tirant sur ce fil, on en conclut inévitablement qu’il y a suffisamment de preuves circonstancielles pour lier Moderna, les NIH, l’Institut de Virologie de Wuhan, et à la fois le vaccin et la création du virus. Dans un pays sain d’esprit, cela aurait immédiatement conduit à la plus grande affaire RICO et de meurtre de masse au monde. Anthony Fauci, Peter Daszak, Ralph Baric, Shi Zhengli et Stéphane Bancel, ainsi que leurs complices, auraient été inculpés et poursuivis dans toute la mesure de la loi. Au lieu de cela, des milliards de dollars de nos impôts ont été attribués aux coupables.

Le FBI a fait une descente chez Allure Medical à Shelby Township au nord de Detroit pour avoir facturé à l’assurance des « cures frauduleuses de COVID-19 ». Le traitement qu’ils utilisaient ? De la vitamine C en intraveineuse. Un antioxydant. Ce qui, comme décrit ci-dessus, est un traitement tout à fait valable pour la septicémie induite par le COVID-19, et fait d’ailleurs maintenant partie du protocole MATH+ proposé par le Dr Paul E. Marik.

La FDA a interdit la ranitidine (Zantac) en raison d’une supposée contamination par la NDMA (N-nitrosodiméthylamine). La ranitidine n’est pas seulement un bloqueur de H2 utilisé comme antiacide, mais elle a également un puissant effet antioxydant, éliminant les radicaux hydroxyles. Cela lui confère une utilité dans le traitement du COVID-19.

La FDA a également tenté de retirer des rayons la N-acétylcystéine, un complément d’acide aminé inoffensif et un antioxydant, en obligeant Amazon à le retirer de sa vitrine en ligne.

Cela nous laisse avec une question effrayante : est-ce que la FDA a sciemment supprimé les antioxydants utiles pour traiter la septicémie due au COVID-19 dans le cadre d’une conspiration criminelle contre le public américain ?

L’establishment coopère avec les pires criminels de l’histoire de l’humanité et leur facilite la tâche, suppriment activement les traitements et thérapies non-vaccinales afin de nous contraindre à nous faire injecter les produits de ces criminels dans nos corps. C’est absolument inacceptable.

Développement des vaccins COVID-19 et liens avec le transhumanisme :

Cette section traite de certains aspects plus spéculatifs de la pandémie et de la réaction de l’establishment médical et scientifique à celle-ci, ainsi que les liens troublants entre les scientifiques impliqués dans la recherche de vaccins et les scientifiques dont les travaux impliquent la fusion de la nanotechnologie et des cellules vivantes.

Le 9 juin 2020, Charles Lieber, un chercheur en nanotechnologie de Harvard ayant des décennies d’expérience, a été inculpé par le DOJ (Département de la Justice) pour fraude. Charles Lieber a reçu des millions de dollars de subventions de la part du Département de la Défense des États-Unis, plus précisément des groupes de réflexion militaires DARPA, AFOSR et ONR, ainsi que des NIH et du MITRE. Sa spécialité est l’utilisation de nanofils de silicium à la place d’électrodes de type patch clamp pour surveiller et moduler l’activité intracellulaire, un sujet sur lequel il travaille à Harvard depuis vingt ans. On a prétendu qu’il travaillait sur des batteries à nanofils de silicium en Chine, mais aucun de ses collègues ne se souvient qu’il ait jamais travaillé sur la technologie des batteries; toutes ses recherches portent sur la bionanotechnologie, ou le mélange des nanotechnologies avec les cellules vivantes.

L’accusation porte sur sa collaboration avec l’Université de Technologie de Wuhan. Il avait fait coup double, contre les termes de ses subventions du Ministère de la Défense, et pris de l’argent du plan « Mille talents » de la RPC, un programme que le gouvernement chinois utilise pour corrompre les scientifiques occidentaux afin qu’ils partagent des informations exclusives sur la R&D qui peuvent être exploitées par l’APL pour obtenir un avantage stratégique.

Les articles de Charles Lieber décrivent l’utilisation de nanofils de silicium pour les interfaces cerveau-ordinateur, ou la technologie du « lacet neuronal ». Ses articles décrivent comment les neurones peuvent endocytoser des nanofils de silicium entiers ou des parties de ceux-ci, surveillant et même modulant l’activité neuronale.

Charles Lieber était un collègue de Robert Langer. Ensemble, avec Daniel S. Kohane, ils ont travaillé sur un article décrivant des échafaudages de tissus artificiels qui pourraient être implantés dans un cœur humain pour surveiller son activité à distance.

Robert Langer, ancien élève du MIT et expert en nanotechnologies d’administration de médicaments, est l’un des cofondateurs de la société Moderna. Sa valeur nette s’élève aujourd’hui à 5,1 milliards de dollars américains grâce aux ventes du vaccin mRNA-1273 de Moderna.

Les bibliographies de Charles Lieber et de Robert Langer décrivent essentiellement des techniques d’amélioration de l’homme, c’est-à-dire le transhumanisme. Klaus Schwab, fondateur du Forum Economique Mondial et l’architecte de ce que l’on appelle le « Great Reset », parle depuis longtemps, dans ses livres, du « mélange de la biologie et des machines ».

Depuis ces révélations, des chercheurs indépendants ont découvert que les vaccins COVID-19 pouvaient contenir des nanoparticules d’oxyde de graphène réduit. Des chercheurs japonais ont également trouvé des contaminants inexpliqués dans les vaccins COVID-19.

L’oxyde de graphène est un anxiolytique. Il a été démontré qu’il réduit l’anxiété des souris de laboratoire lorsqu’il est injecté dans leur cerveau. En effet, étant donné la propension de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 à compromettre la barrière hémato-encéphalique et à augmenter sa perméabilité, il s’agit de la protéine parfaite pour préparer le tissu cérébral à l’extravasation de nanoparticules de la circulation sanguine vers le cerveau. Le graphène est également hautement conducteur et, dans certaines circonstances, paramagnétique.

En 2013, sous l’administration Obama, la DARPA a lancé l’initiative BRAIN ; BRAIN est un acronyme pour Brain Research Through Advancing Innovative Neurotechnologies®. Ce programme implique le développement de technologies d’interface cerveau-ordinateur (brain-computer interface – BCI) pour l’armée, notamment des systèmes non invasifs et injectables qui causent des dommages minimes au tissu cérébral lorsqu’ils sont retirés. En principe, cette technologie serait utilisée pour soigner les soldats blessés souffrant de lésions cérébrales traumatiques, pour le contrôle direct par le cerveau de membres prosthétiques, et même de nouvelles capacités telles que le contrôle des drones par l’esprit.

Plusieurs méthodes ont été proposées pour y parvenir, notamment l’optogénétique, la magnétogénétique, les ultrasons, les électrodes implantées et la stimulation électromagnétique transcrânienne. Dans tous les cas, l’objectif est d’obtenir une capacité de lecture ou de lecture-écriture sur les neurones, soit en les stimulant et en les sondant, soit en les rendant particulièrement sensibles à la stimulation et au sondage.

Cependant, l’idée d’une utilisation généralisée de la technologie BCI, comme le dispositif Neuralink d’Elon Musk, soulève de nombreuses inquiétudes quant au respect de la vie privée et à l’autonomie personnelle. La lecture des neurones est déjà problématique en soi. Les interfaces cerveau-ordinateur sans fil peuvent interagir avec l’infrastructure GSM sans fil actuelle ou future, ce qui pose des problèmes de sécurité des données neurologiques. Un pirate informatique ou un autre acteur malveillant pourrait compromettre ces réseaux pour obtenir des données sur le cerveau des gens, puis les exploiter à des fins malveillantes.

Cependant, un dispositif capable d’écrire dans les neurones humains, et pas seulement de les lire, présente une autre série de problèmes éthiques encore plus graves. Une BCI capable d’altérer le contenu de l’esprit d’une personne à des fins inoffensives, comme la projection d’un affichage « tête haute » sur le centre visuel du cerveau ou l’envoi de sons dans le cortex auditif, serait aussi théoriquement capable de modifier l’humeur et la personnalité, ou peut-être même de subjuguer la volonté d’une personne, la rendant totalement obéissante à l’autorité. Cette technologie serait le rêve éveillé d’un tyran. Imaginez des soldats qui tireraient sur leurs propres compatriotes sans hésiter, ou des serfs impuissants qui se contentent de vivre dans de véritables niches à chiens.

Les BCI pourraient être utilisées pour modifier sans scrupule la perception de choses aussi fondamentales que les émotions et les valeurs, changer les seuils de satiété, de bonheur, de colère, de dégoût, etc. des gens. Ce n’est pas sans conséquence. L’ensemble des comportements d’une personne pourrait être modifié par une BCI, y compris des choses telles que supprimer son appétit ou son désir pour pratiquement tout ce qui figure dans la hiérarchie des besoins de Maslow.

Tout est possible lorsqu’on dispose d’un accès direct au cerveau d’une personne et à son contenu. Une personne obèse pourrait être dégoûtée à la vue de la nourriture. Quelqu’un qui est involontairement célibataire pourrait avoir sa libido désactivée pour qu’elle ne désire même pas de sexe du tout. Quelqu’un qui est raciste pourrait être forcé à se réjouir de cohabiter avec des personnes d’autres races. Quelqu’un de violent pourrait être forcé à être doux et soumis. Ces choses peuvent sembler bonnes à un tyran, mais pour les gens normaux, l’idée d’un tel dépassement de l’autonomie personnelle est consternante.

Pour les riches, les lacets neuronaux seraient une aubaine inégalée, leur donnant la possibilité d’augmenter leur intelligence avec des neuroprothèses (c’est-à-dire un « exocortex »), et de donner des ordres irrésistibles directement dans l’esprit de leurs serviteurs dotés d’un BCI, même s’il s’agit d’ordres physiques ou sexuels abusifs qu’ils auraient normalement refusés.

Si le vaccin est une méthode pour introduire subrepticement une BCI injectable dans le corps de millions de personnes à leur insu ou sans leur consentement, alors nous assistons à la montée en puissance d’un régime tyrannique sans équivalent, jamais vu auparavant sur cette planète, un régime qui a l’intention de priver chaque homme, femme, et enfant de son libre arbitre.

Nos défauts sont ce qui nous rend humains. Une utopie obtenue en supprimant le libre arbitre des gens n’est pas une utopie du tout. C’est un cauchemar monomaniaque. En outre, les gens qui nous gouvernent sont des types de la Triade noire à qui on ne peut confier un tel pouvoir. Imaginez être battu et agressé sexuellement par un riche et puissant psychopathe et être forcé de sourire et d’en rire parce que votre lacet neural ne vous donne pas d’autre choix que d’obéir à votre maître.

Les élites vont de l’avant avec cette technologie sans laisser aux gens la possibilité de s’interroger sur les ramifications sociales ou éthiques, ou d’établir des cadres réglementaires qui garantissent que nos choix personnells et notre autonomie ne seront pas supplantés par ces dispositifs. Ils font cela parce qu’ils rêvent secrètement d’un avenir où ils pourront vous traiter pire qu’un animal et où vous ne pourrez même pas vous défendre. Si ce plan diabolique est autorisé à se poursuivre, cela signifiera la fin de l’humanité telle que nous la connaissons.

Conclusions :

La pandémie actuelle a été produite et perpétuée par l’establishment, par l’utilisation d’un virus conçu dans un laboratoire de guerre biologique chinois lié à l’APL, avec l’aide de l’argent des contribuables américains et de l’expertise française.

Cette recherche a été menée sous l’euphémisme absolument ridicule de recherche à « gain de fonction », qui est censée être effectuée afin de déterminer quels virus ont le plus grand potentiel de propagation zoonotique et de vacciner ou de protéger de manière préventive.

La recherche à « gain de fonction/gain de menace », aussi appelée Dual-Use Research of Concern ou DURC, est une recherche sur les armes biologiques sous un autre nom, à consonance plus agréable, simplement pour éviter le tabou de l’appeler par son nom réel. Il s’agit depuis toujours de recherche sur les armes biologiques. Les personnes qui mènent cette recherche comprennent parfaitement qu’ils prennent des agents pathogènes sauvages qui ne sont pas infectieux pour les humains et les rendent plus infectieux, souvent grâce à des subventions de groupes de réflexion militaires qui les encouragent à le faire.

Les virologues qui mènent ce type de recherche sont des ennemis de leurs semblables, comme les pompiers pyromanes. La recherche sur le gain de fonction n’a jamais protégé personne d’une quelconque pandémie. En fait, elle en a maintenant déclenché une, ce qui signifie que son utilité pour la prévention des pandémies est en fait négative. Elle aurait dû être interdite mondialement, et les fous qui l’exécutent auraient dû être mis dans des camisoles de force depuis longtemps.

Que ce soit à cause d’une fuite ou d’une diffusion intentionnelle de l’Institut de Virologie de Wuhan, une souche mortelle de SRAS est maintenant endémique à travers le monde, après que l’OMS, le CDC et les fonctionnaires aient d’abord minimisé les risques, puis aient intentionnellement provoqué une panique et des blocages qui ont mis en danger la santé des gens et leurs moyens de subsistance.

Cela a ensuite été utilisé par la classe aristocratique complètement dépravée et psychopathe qui nous gouverne comme excuse pour forcer les gens à accepter un poison injecté qui peut être un agent de dépeuplement, un agent de contrôle/pacification de l’esprit sous forme de « poussière intelligente » injectable, ou les deux à la fois. Ils pensent qu’ils peuvent s’en tirer en utilisant la stigmatisation sociale du refus du vaccin. Ils ont tort.

Leurs motivations sont claires et évidentes pour quiconque y a prêté attention. Ces mégalomanes ont pillé les fonds de pension du monde libre. Wall Street est insolvable et a connu une crise de liquidités depuis la fin de l’année 2019. L’objectif est maintenant d’exercer un contrôle physique, mental et financier total sur l’humanité avant que nous réalisions à quel point nous avons été extorqués par ces maniaques.

La pandémie et sa réponse ont servi de multiples objectifs pour l’élite :

  • Dissimuler une dépression provoquée par le pillage usuraire de nos économies mené par des capitalistes rentiers et des propriétaires absents qui ne produisent absolument rien qui ait une quelconque valeur pour la société. Au lieu d’avoir un Occupy Wall Street Part II très prévisible, les Elites et leurs laquais ont pu se montrer à la télévision et se présenter comme des sauveurs sages et tout-puissants au lieu de la cabale maraudeuse de méprisables pirates terrestres qu’ils sont.
  • Détruire les petites entreprises et éroder la classe moyenne.
  • Transférer des milliers de milliards de dollars de richesses du public américain dans les poches des milliardaires et d’intérêts particuliers.
  • S’engager dans des délits d’initiés, acheter des actions dans des sociétés de biotechnologie et ruiner les commerces de détail et les agences de voyage, dans le but de faire disparaître le commerce et le tourisme en face-à-face et de les remplacer par le commerce électronique et la servitisation.
  • Créer un casus belli pour une guerre avec la Chine, nous encourager à l’attaquer, gaspiller les vies et l’argent américains et nous conduire au bord de l’armageddon nucléaire.
  • Établir des cadres technologiques et de biosécurité pour le contrôle des populations et des « villes intelligentes » technocratiques-socialistes où les mouvements de chacun sont suivis de façon despotique, tout cela en prévision l’automatisation généralisée, le chômage, et les pénuries alimentaires, en utilisant le faux prétexte d’un vaccin pour forcer la coopération.

Chacune de ces choses constituerait un viol vicieux de la société occidentale. Prises ensemble, elles dépassent l’entendement ; elles sont une inversion complète de nos valeurs les plus précieuses.

Quel est le but de tout cela ? On ne peut que spéculer sur les motivations des auteurs, cependant, nous avons quelques théories.

Les élites tentent de tirer l’échelle vers le haut, d’effacer la mobilité ascendante pour de larges segments de la population, d’éliminer les opposants politiques et autres « indésirables », et de tenir en laisse le reste de l’humanité, en rationnant notre accès à certains biens et services qu’ils ont jugé « à fort impact », tels que l’utilisation de l’automobile, le tourisme, la consommation de viande, etc. Naturellement, ils continueront à avoir leurs propres luxes, dans le cadre d’un système de castes strict, semblable au féodalisme.

Pourquoi font-ils cela ? C’est simple. Les élites sont néo-malthusiennes et croient que nous sommes surpeuplés et que l’épuisement des ressources fera s’effondrer la civilisation en quelques décennies. Ils ne sont pas nécessairement erronés dans cette croyance. Nous sommes surpeuplés et nous consommons trop de ressources. Cependant, orchestrer une prise de pouvoir aussi horrible et meurtrière en réponse à une crise imminente démontre qu’ils n’ont que le plus grand mépris pour leurs semblables.

À ceux qui participent à cette farce dégoûtante sans comprendre ce qu’ils font, nous n’avons qu’un mot à dire. Arrêtez. Vous causez un tort irréparable à votre pays et à vos concitoyens.

À ceux qui lisent cet avertissement et qui ont une connaissance et une compréhension totales de ce qu’ils font et de la façon dont cela va injustement nuire à des millions d’innocents, nous avons encore quelques mots.

Allez en enfer. Vous ne détruirez pas l’Amérique et le monde libre, et vous n’aurez pas votre Nouvel Ordre Mondial. Nous nous en assurerons.

[voir la liste des références bibliographiques dans le document original]


Texte original

Hello,

My name is Spartacus, and I’ve had enough.

We have been forced to watch America and the Free World spin into inexorable decline due to a biowarfare attack. We, along with countless others, have been victimized and gaslit by propaganda and psychological warfare operations being conducted by an unelected, unaccountable Elite against the American people and our allies.

Our mental and physical health have suffered immensely over the course of the past year and a half. We have felt the sting of isolation, lockdown, masking, quarantines, and other completely nonsensical acts of healthcare theater that have done absolutely nothing to protect the health or wellbeing of the public from the ongoing COVID-19 pandemic.

Now, we are watching the medical establishment inject literal poison into millions of our fellow Americans without so much as a fight.

We have been told that we will be fired and denied our livelihoods if we refuse to vaccinate. This was the last straw.

We have spent thousands of hours analyzing leaked footage from Wuhan, scientific papers from primary sources, as well as the paper trails left by the medical establishment.

What we have discovered would shock anyone to their core.

First, we will summarize our findings, and then, we will explain them in detail. References will be placed at the end.

Summary:

  • COVID-19 is a blood and blood vessel disease. SARS-CoV-2 infects the lining of human blood vessels, causing them to leak into the lungs.
  • Current treatment protocols (e.g. invasive ventilation) are actively harmful to patients, accelerating oxidative stress and causing severe VILI (ventilator-induced lung injuries). The continued use of ventilators in the absence of any proven medical benefit constitutes mass murder.
  • Existing countermeasures are inadequate to slow the spread of what is an aerosolized and potentially wastewater-borne virus, and constitute a form of medical theater.
  • Various non-vaccine interventions have been suppressed by both the media and the medical establishment in favor of vaccines and expensive patented drugs.
  • The authorities have denied the usefulness of natural immunity against COVID-19, despite the fact that natural immunity confers protection against all of the virus’s proteins, and not just one.
  • Vaccines will do more harm than good. The antigen that these vaccines are based on, SARS-CoV-2 Spike, is a toxic protein. SARS-CoV-2 may have ADE, or antibody-dependent enhancement; current antibodies may not neutralize future strains, but instead help them infect immune cells. Also, vaccinating during a pandemic with a leaky vaccine removes the evolutionary pressure for a virus to become less lethal.
  • There is a vast and appalling criminal conspiracy that directly links both Anthony Fauci and Moderna to the Wuhan Institute of Virology.
  • COVID-19 vaccine researchers are directly linked to scientists involved in brain-computer interface (“neural lace”) tech, one of whom was indicted for taking grant money from China.
  • Independent researchers have discovered mysterious nanoparticles inside the vaccines that are not supposed to be present.
  • The entire pandemic is being used as an excuse for a vast political and economic transformation of Western society that will enrich the already rich and turn the rest of us into serfs and untouchables.

COVID-19 Pathophysiology and Treatments:

COVID-19 is not a viral pneumonia. It is a viral vascular endotheliitis and attacks the lining of blood vessels, particularly the small pulmonary alveolar capillaries, leading to endothelial cell activation and sloughing, coagulopathy, sepsis, pulmonary edema, and ARDS-like symptoms. This is a disease of the blood and blood vessels. The circulatory system. Any pneumonia that it causes is secondary to that.

In severe cases, this leads to sepsis, blood clots, and multiple organ failure, including hypoxic and inflammatory damage to various vital organs, such as the brain, heart, liver, pancreas, kidneys, and intestines.

Some of the most common laboratory findings in COVID-19 are elevated D-dimer, elevated prothrombin time, elevated C-reactive protein, neutrophilia, lymphopenia, hypocalcemia, and hyperferritinemia, essentially matching a profile of coagulopathy and immune system hyperactivation/immune cell exhaustion.

COVID-19 can present as almost anything, due to the wide tropism of SARS-CoV-2 for various tissues in the body’s vital organs. While its most common initial presentation is respiratory illness and flu-like symptoms, it can present as brain inflammation, gastrointestinal disease, or even heart attack or pulmonary embolism.

COVID-19 is more severe in those with specific comorbidities, such as obesity, diabetes, and hypertension. This is because these conditions involve endothelial dysfunction, which renders the circulatory system more susceptible to infection and injury by this particular virus.

The vast majority of COVID-19 cases are mild and do not cause significant disease. In known cases, there is something known as the 80/20 rule, where 80% of cases are mild and 20% are severe or critical.

However, this ratio is only correct for known cases, not all infections. The number of actual infections is much, much higher. Consequently, the mortality and morbidity rate is lower. However, COVID-19 spreads very quickly, meaning that there are a significant number of severely-ill and critically-ill patients appearing in a short time frame.

In those who have critical COVID-19-induced sepsis, hypoxia, coagulopathy, and ARDS, the most common treatments are intubation, injected corticosteroids, and blood thinners. This is not the correct treatment for COVID-19. In severe hypoxia, cellular metabolic shifts cause ATP to break down into hypoxanthine, which, upon the reintroduction of oxygen, causes xanthine oxidase to produce tons of highly damaging radicals that attack tissue. This is called ischemia-reperfusion injury, and it’s why the
majority of people who go on a ventilator are dying. In the mitochondria, succinate buildup due to sepsis does the same exact thing; when oxygen is reintroduced, it makes superoxide radicals. Make no mistake, intubation will kill people who have COVID-19.

The end-stage of COVID-19 is severe lipid peroxidation, where fats in the body start to “rust” due to damage by oxidative stress. This drives autoimmunity. Oxidized lipids appear as foreign objects to the immune system, which recognizes and forms antibodies against OSEs, or oxidation-specific epitopes. Also, oxidized lipids feed directly into pattern recognition receptors, triggering even more inflammation and summoning even more cells of the innate immune system that release even more destructive enzymes. This is similar to the pathophysiology of Lupus.

The breakdown of the pathology is as follows:

SARS-CoV-2 Spike binds to ACE2. Angiotensin Converting Enzyme 2 is an enzyme that is part of the renin-angiotensin-aldosterone system, or RAAS. The RAAS is a hormone control system that moderates fluid volume in the body and in the bloodstream (i.e. osmolarity) by controlling salt retention and excretion. This protein, ACE2, is ubiquitous in every part of the body that interfaces with the circulatory
system, particularly in vascular endothelial cells and pericytes, brain astrocytes, renal tubules and podocytes, pancreatic islet cells, bile duct and intestinal epithelial cells, and the seminiferous ducts of the testis, all of which SARS-CoV-2 can infect, not just the lungs.

SARS-CoV-2 infects a cell as follows: SARS-CoV-2 Spike undergoes a conformational change where the S1 trimers flip up and extend, locking onto ACE2 bound to the surface of a cell. TMPRSS2, or transmembrane protease serine 2, comes along and cuts off the heads of the Spike, exposing the S2 stalk-shaped subunit inside. The remainder of the Spike undergoes a conformational change that causes it to unfold like an extension ladder, embedding itself in the cell membrane. Then, it folds back upon itself, pulling the viral membrane and the cell membrane together. The two membranes fuse, with the virus’s proteins migrating out onto the surface of the cell. The SARS-CoV-2 nucleocapsid enters the cell, disgorging its genetic material and beginning the viral replication process, hijacking the cell’s own structures to produce more virus.

SARS-CoV-2 Spike proteins embedded in a cell can actually cause human cells to fuse together, forming syncytia/MGCs (multinuclear giant cells). They also have other pathogenic, harmful effects. SARS-CoV-2’s viroporins, such as its Envelope protein, act as calcium ion channels, introducing calcium into infected cells. The virus suppresses the natural interferon response, resulting in delayed inflammation.
SARS-CoV-2 N protein can also directly activate the NLRP3 inflammasome. Also, it suppresses the Nrf2 antioxidant pathway. The suppression of ACE2 by binding with Spike causes a buildup of bradykinin that would otherwise be broken down by ACE2.

This constant calcium influx into the cells results in (or is accompanied by) noticeable hypocalcemia, or low blood calcium, especially in people with Vitamin D deficiencies and pre-existing endothelial dysfunction. Bradykinin upregulates cAMP, cGMP, COX, and Phospholipase C activity. This results in prostaglandin release and vastly increased intracellular calcium signaling, which promotes highly aggressive ROS release and ATP depletion. NADPH oxidase releases superoxide into the extracellular
space. Superoxide radicals react with nitric oxide to form peroxynitrite. Peroxynitrite reacts with the tetrahydrobiopterin cofactor needed by endothelial nitric oxide synthase, destroying it and “uncoupling” the enzymes, causing nitric oxide synthase to synthesize more superoxide instead. This proceeds in a positive feedback loop until nitric oxide bioavailability in the circulatory system is depleted.

Dissolved nitric oxide gas produced constantly by eNOS serves many important functions, but it is also antiviral against SARS-like coronaviruses, preventing the palmitoylation of the viral Spike protein and making it harder for it to bind to host receptors. The loss of NO allows the virus to begin replicating with impunity in the body. Those with endothelial dysfunction (i.e. hypertension, diabetes, obesity, old age, African-American race) have redox equilibrium issues to begin with, giving the virus an advantage.

Due to the extreme cytokine release triggered by these processes, the body summons a great deal of neutrophils and monocyte-derived alveolar macrophages to the lungs. Cells of the innate immune system are the first-line defenders against pathogens. They work by engulfing invaders and trying to attack them with enzymes that produce powerful oxidants, like SOD and MPO. Superoxide dismutase takes superoxide and makes hydrogen peroxide, and myeloperoxidase takes hydrogen peroxide and chlorine ions and makes hypochlorous acid, which is many, many times more reactive than sodium hypochlorite bleach.

Neutrophils have a nasty trick. They can also eject these enzymes into the extracellular space, where they will continuously spit out peroxide and bleach into the bloodstream. This is called neutrophil extracellular trap formation, or, when it becomes pathogenic and counterproductive, NETosis. In severe and critical COVID-19, there is actually rather severe NETosis.

Hypochlorous acid building up in the bloodstream begins to bleach the iron out of heme and compete for O2 binding sites. Red blood cells lose the ability to transport oxygen, causing the sufferer to turn blue in the face. Unliganded iron, hydrogen peroxide, and superoxide in the bloodstream undergo the Haber-Weiss and Fenton reactions, producing extremely reactive hydroxyl radicals that violently strip electrons from surrounding fats and DNA, oxidizing them severely.

This condition is not unknown to medical science. The actual name for all of this is acute sepsis.

We know this is happening in COVID-19 because people who have died of the disease have noticeable ferroptosis signatures in their tissues, as well as various other oxidative stress markers such as nitrotyrosine, 4-HNE, and malondialdehyde.

When you intubate someone with this condition, you are setting off a free radical bomb by supplying the cells with O2. It’s a catch-22, because we need oxygen to make Adenosine Triphosphate (that is, to live), but O2 is also the precursor of all these damaging radicals that lead to lipid peroxidation.

The correct treatment for severe COVID-19 related sepsis is non-invasive ventilation, steroids, and antioxidant infusions. Most of the drugs repurposed for COVID-19 that show any benefit whatsoever in rescuing critically-ill COVID-19 patients are antioxidants. N-acetylcysteine, melatonin, fluvoxamine, budesonide, famotidine, cimetidine, and ranitidine are all antioxidants. Indomethacin prevents iron-driven oxidation of arachidonic acid to isoprostanes. There are powerful antioxidants such as apocynin that have not even been tested on COVID-19 patients yet which could defang neutrophils, prevent lipid peroxidation, restore endothelial health, and restore oxygenation to the tissues.

Scientists who know anything about pulmonary neutrophilia, ARDS, and redox biology have known or surmised much of this since March 2020. In April 2020, Swiss scientists confirmed that COVID-19 was a vascular endotheliitis. By late 2020, experts had already concluded that COVID-19 causes a form of viral sepsis. They also know that sepsis can be effectively treated with antioxidants. None of this information is particularly new, and yet, for the most part, it has not been acted upon. Doctors continue to use damaging intubation techniques with high PEEP settings despite high lung compliance and poor oxygenation, killing an untold number of critically ill patients with medical malpractice.

Because of the way they are constructed, Randomized Control Trials will never show any benefit for any antiviral against COVID-19. Not Remdesivir, not Kaletra, not HCQ, and not Ivermectin. The reason for this is simple; for the patients that they have recruited for these studies, such as Oxford’s ludicrous RECOVERY study, the intervention is too late to have any positive effect.

The clinical course of COVID-19 is such that by the time most people seek medical attention for hypoxia, their viral load has already tapered off to almost nothing. If someone is about 10 days post-exposure and has already been symptomatic for five days, there is hardly any virus left in their bodies, only cellular damage and derangement that has initiated a hyperinflammatory response. It is from this group that the clinical trials for antivirals have recruited, pretty much exclusively.

In these trials, they give antivirals to severely ill patients who have no virus in their bodies, only a delayed hyperinflammatory response, and then absurdly claim that antivirals have no utility in treating or preventing COVID-19. These clinical trials do not recruit people who are pre-symptomatic. They do not test pre-exposure or post-exposure prophylaxis.

This is like using a defibrillator to shock only flatline, and then absurdly claiming that defibrillators have no medical utility whatsoever when the patients refuse to rise from the dead. The intervention is too late. These trials for antivirals show systematic, egregious selection bias. They are providing a treatment that is futile to the specific cohort they are enrolling.

India went against the instructions of the WHO and mandated the prophylactic usage of Ivermectin. They have almost completely eradicated COVID-19. The Indian Bar Association of Mumbai has brought criminal charges against WHO Chief Scientist Dr. Soumya Swaminathan for recommending against the use of Ivermectin.

Ivermectin is not “horse dewormer”. Yes, it is sold in veterinary paste form as a dewormer for animals. It has also been available in pill form for humans for decades, as an antiparasitic drug.

The media have disingenuously claimed that because Ivermectin is an antiparasitic drug, it has no utility as an antivirus. This is incorrect. Ivermectin has utility as an antiviral. It blocks importin, preventing nuclear import, effectively inhibiting viral access to cell nuclei. Many drugs currently on the market have multiple modes of action. Ivermectin is one such drug. It is both antiparasitic and antiviral.

In Bangladesh, Ivermectin costs $1.80 for an entire 5-day course. Remdesivir, which is toxic to the liver, costs $3,120 for a 5-day course of the drug. Billions of dollars of utterly useless Remdesivir were sold to our governments on the taxpayer’s dime, and it ended up being totally useless for treating hyperinflammatory COVID-19. The media has hardly even covered this at all.

The opposition to the use of generic Ivermectin is not based in science. It is purely financially and politically-motivated. An effective non-vaccine intervention would jeopardize the rushed FDA approval of patented vaccines and medicines for which the pharmaceutical industry stands to rake in billions upon billions of dollars in sales on an ongoing basis.

The majority of the public are scientifically illiterate and cannot grasp what any of this even means, thanks to a pathetic educational system that has miseducated them. You would be lucky to find 1 in 100 people who have even the faintest clue what any of this actually means.

COVID-19 Transmission:

COVID-19 is airborne. The WHO carried water for China by claiming that the virus was only droplet-borne. Our own CDC absurdly claimed that it was mostly transmitted by fomite-to-face contact, which, given its rapid spread from Wuhan to the rest of the world, would have been physically impossible.

The ridiculous belief in fomite-to-face being a primary mode of transmission led to the use of surface disinfection protocols that wasted time, energy, productivity, and disinfectant.

The 6-foot guidelines are absolutely useless. The minimum safe distance to protect oneself from an aerosolized virus is to be 15+ feet away from an infected person, no closer. Realistically, no public transit is safe.

Surgical masks do not protect you from aerosols. The virus is too small and the filter media has too large of gaps to filter it out. They may catch respiratory droplets and keep the virus from being expelled by someone who is sick, but they do not filter a cloud of infectious aerosols if someone were to walk into said cloud.

The minimum level of protection against this virus is quite literally a P100 respirator, a PAPR/CAPR, or a 40mm NATO CBRN respirator, ideally paired with a full-body tyvek or tychem suit, gloves, and booties, with all the holes and gaps taped.

Live SARS-CoV-2 may potentially be detected in sewage outflows, and there may be oral-fecal transmission. During the SARS outbreak in 2003, in the Amoy Gardens incident, hundreds of people were infected by aerosolized fecal matter rising from floor drains in their apartments.

COVID-19 Vaccine Dangers:

The vaccines for COVID-19 are not sterilizing and do not prevent infection or transmission. They are “leaky” vaccines. This means they remove the evolutionary pressure on the virus to become less lethal. It also means that the vaccinated are perfect carriers. In other words, those who are vaccinated are a threat to the unvaccinated, not the other way around.

All of the COVID-19 vaccines currently in use have undergone minimal testing, with highly accelerated clinical trials. Though they appear to limit severe illness, the long-term safety profile of these vaccines remains unknown.

Some of these so-called “vaccines” utilize an untested new technology that has never been used in vaccines before. Traditional vaccines use weakened or killed virus to stimulate an immune response. The Moderna and Pfizer-BioNTech vaccines do not. They are purported to consist of an intramuscular shot containing a suspension of lipid nanoparticles filled with messenger RNA. The way they generate an immune response is by fusing with cells in a vaccine recipient’s shoulder, undergoing endocytosis, releasing their mRNA cargo into those cells, and then utilizing the ribosomes in those cells to synthesize modified SARS-CoV-2 Spike proteins in-situ.

These modified Spike proteins then migrate to the surface of the cell, where they are anchored in place by a transmembrane domain. The adaptive immune system detects the non-human viral protein being expressed by these cells, and then forms antibodies against that protein. This is purported to confer protection against the virus, by training the adaptive immune system to recognize and produce antibodies against the Spike on the actual virus. The J&J and AstraZeneca vaccines do something similar, but use an adenovirus vector for genetic material delivery instead of a lipid nanoparticle. These vaccines were produced or validated with the aid of fetal cell lines HEK-293 and PER.C6, which people with certain religious convictions may object strongly to.

SARS-CoV-2 Spike is a highly pathogenic protein on its own. It is impossible to overstate the danger presented by introducing this protein into the human body.

It is claimed by vaccine manufacturers that the vaccine remains in cells in the shoulder, and that SARS-CoV-2 Spike produced and expressed by these cells from the vaccine’s genetic material is harmless and inert, thanks to the insertion of prolines in the Spike sequence to stabilize it in the prefusion conformation, preventing the Spike from becoming active and fusing with other cells. However, a pharmacokinetic study from Japan showed that the lipid nanoparticles and mRNA from the Pfizer vaccine did not stay in the shoulder, and in fact bioaccumulated in many different organs, including the reproductive organs and adrenal glands, meaning that modified Spike is being expressed quite literally all over the place. These lipid nanoparticles may trigger anaphylaxis in an unlucky few, but far more concerning is the unregulated expression of Spike in various somatic cell lines far from the injection site and the unknown consequences of that.

Messenger RNA is normally consumed right after it is produced in the body, being translated into a protein by a ribosome. COVID-19 vaccine mRNA is produced outside the body, long before a ribosome translates it. In the meantime, it could accumulate damage if inadequately preserved. When a ribosome attempts to translate a damaged strand of mRNA, it can become stalled. When this happens, the ribosome becomes useless for translating proteins because it now has a piece of mRNA stuck in it, like a lace card in an old punch card reader. The whole thing has to be cleaned up and new ribosomes synthesized to replace it. In cells with low ribosome turnover, like nerve cells, this can lead to reduced protein synthesis, cytopathic effects, and neuropathies.

Certain proteins, including SARS-CoV-2 Spike, have proteolytic cleavage sites that are basically like little dotted lines that say “cut here”, which attract a living organism’s own proteases (essentially, molecular scissors) to cut them. There is a possibility that S1 may be proteolytically cleaved from S2, causing active S1 to float away into the bloodstream while leaving the S2 “stalk” embedded in the membrane of the
cell that expressed the protein.

SARS-CoV-2 Spike has a Superantigenic region (SAg), which may promote extreme inflammation.

Anti-Spike antibodies were found in one study to function as autoantibodies and attack the body’s own cells. Those who have been immunized with COVID-19 vaccines have developed blood clots, myocarditis, Guillain-Barre Syndrome, Bell’s Palsy, and multiple sclerosis flares, indicating that the vaccine promotes autoimmune reactions against healthy tissue.

SARS-CoV-2 Spike does not only bind to ACE2. It was suspected to have regions that bind to basigin, integrins, neuropilin-1, and bacterial lipopolysaccharides as well. SARS-CoV-2 Spike, on its own, can potentially bind any of these things and act as a ligand for them, triggering unspecified and likely highly inflammatory cellular activity.

SARS-CoV-2 Spike contains an unusual PRRA insert that forms a furin cleavage site. Furin is a ubiquitous human protease, making this an ideal property for the Spike to have, giving it a high degree of cell tropism. No wild-type SARS-like coronaviruses related to SARS-CoV-2 possess this feature, making it highly suspicious, and perhaps a sign of human tampering.

SARS-CoV-2 Spike has a prion-like domain that enhances its infectiousness.

The Spike S1 RBD may bind to heparin-binding proteins and promote amyloid aggregation. In humans, this could lead to Parkinson’s, Lewy Body Dementia, premature Alzheimer’s, or various other neurodegenerative diseases. This is very concerning because SARS-CoV-2 S1 is capable of injuring and penetrating the blood-brain barrier and entering the brain. It is also capable of increasing the permeability of the blood-brain barrier to other molecules.

SARS-CoV-2, like other betacoronaviruses, may have Dengue-like ADE, or antibody-dependent enhancement of disease. For those who aren’t aware, some viruses, including betacoronaviruses, have a feature called ADE. There is also something called Original Antigenic Sin, which is the observation that the body prefers to produce antibodies based on previously-encountered strains of a virus over newly-encountered ones.

In ADE, antibodies from a previous infection become non-neutralizing due to mutations in the virus’s proteins. These non-neutralizing antibodies then act as trojan horses, allowing live, active virus to be pulled into macrophages through their Fc receptor pathways, allowing the virus to infect immune cells that it would not have been able to infect before. This has been known to happen with Dengue Fever; when someone gets sick with Dengue, recovers, and then contracts a different strain, they can get very,
very ill.

If someone is vaccinated with mRNA based on the Spike from the initial Wuhan strain of SARS-CoV-2, and then they become infected with a future, mutated strain of the virus, they may become severely ill. In other words, it is possible for vaccines to sensitize someone to disease.

There is a precedent for this in recent history. Sanofi’s Dengvaxia vaccine for Dengue failed because it caused immune sensitization in people whose immune systems were Dengue-naïve.

In mice immunized against SARS-CoV and challenged with the virus, a close relative of SARS-CoV-2, they developed immune sensitization, Th2 immunopathology, and eosinophil infiltration in their lungs.

We have been told that SARS-CoV-2 mRNA vaccines cannot be integrated into the human genome, because messenger RNA cannot be turned back into DNA. This is false. There are elements in human cells called LINE-1 retrotransposons, which can indeed integrate mRNA into a human genome by endogenous reverse transcription. Because the mRNA used in the vaccines is stabilized, it hangs around in cells longer, increasing the chances for this to happen. If the gene for SARS-CoV-2 Spike is integrated into a portion of the genome that is not silent and actually expresses a protein, it is possible that people who take this vaccine may continuously express SARS-CoV-2 Spike from their somatic cells for the rest of their lives.

By inoculating people with a vaccine that causes their bodies to produce Spike in-situ, they are being inoculated with a pathogenic protein. A toxin that may cause long-term inflammation, heart problems, and a raised risk of cancers. In the long-term, it may also potentially lead to premature neurodegenerative disease.

Absolutely nobody should be compelled to take this vaccine under any circumstances, and in actual fact, the vaccination campaign must be stopped immediately.

COVID-19 Criminal Conspiracy:

The vaccine and the virus were made by the same people.

In 2014, there was a moratorium on SARS gain-of-function research that lasted until 2017. This research was not halted. Instead, it was outsourced, with the federal grants being laundered through NGOs.

Ralph Baric is a virologist and SARS expert at UNC Chapel Hill in North Carolina.

This is who Anthony Fauci was referring to when he insisted, before Congress, that if any gain-of-function research was being conducted, it was being conducted in North Carolina.

This was a lie. Anthony Fauci lied before Congress. A felony.

Ralph Baric and Shi Zhengli are colleagues and have co-written papers together. Ralph Baric mentored Shi Zhengli in his gain-of-function manipulation techniques, particularly serial passage, which results in a virus that appears as if it originated naturally. In other words, deniable bioweapons. Serial passage in humanized hACE2 mice may have produced something like SARS-CoV-2.

The funding for the gain-of-function research being conducted at the Wuhan Institute of Virology came from Peter Daszak. Peter Daszak runs an NGO called EcoHealth Alliance. EcoHealth Alliance received millions of dollars in grant money from the National Institutes of Health/National Institute of Allergy and Infectious Diseases (that is, Anthony Fauci), the Defense Threat Reduction Agency (part of the US Department of Defense), and the United States Agency for International Development. NIH/NIAID contributed a few million dollars, and DTRA and USAID each contributed tens of millions of dollars towards this research. Altogether, it was over a hundred million dollars.

EcoHealth Alliance subcontracted these grants to the Wuhan Institute of Virology, a lab in China with a very questionable safety record and poorly trained staff, so that they could conduct gain-of-function research, not in their fancy P4 lab, but in a level-2 lab where technicians wore nothing more sophisticated than perhaps a hairnet, latex gloves, and a surgical mask, instead of the bubble suits used when working with dangerous viruses. Chinese scientists in Wuhan reported being routinely bitten and urinated on by laboratory animals. Why anyone would outsource this dangerous and delicate work to the People’s Republic of China, a country infamous for industrial accidents and massive explosions that have claimed hundreds of lives, is completely beyond me, unless the aim was to start a pandemic on purpose.

In November of 2019, three technicians at the Wuhan Institute of Virology developed symptoms consistent with a flu-like illness. Anthony Fauci, Peter Daszak, and Ralph Baric knew at once what had happened, because back channels exist between this laboratory and our scientists and officials.

December 12th, 2019, Ralph Baric signed a Material Transfer Agreement (essentially, an NDA) to receive Coronavirus mRNA vaccine-related materials co-owned by Moderna and NIH. It wasn’t until a whole month later, on January 11th, 2020, that China allegedly sent us the sequence to what would become known as SARS-CoV-2. Moderna claims, rather absurdly, that they developed a working vaccine from this sequence in under 48 hours.

Stéphane Bancel, the current CEO of Moderna, was formerly the CEO of bioMérieux, a French multinational corporation specializing in medical diagnostic tech, founded by one Alain Mérieux. Alain Mérieux was one of the individuals who was instrumental in the construction of the Wuhan Institute of Virology’s P4 lab.

The sequence given as the closest relative to SARS-CoV-2, RaTG13, is not a real virus. It is a forgery. It was made by entering a gene sequence by hand into a database, to create a cover story for the existence of SARS-CoV-2, which is very likely a gain-of-function chimera produced at the Wuhan Institute of Virology and was either leaked by accident or intentionally released.

The animal reservoir of SARS-CoV-2 has never been found.

This is not a conspiracy “theory”. It is an actual criminal conspiracy, in which people connected to the development of Moderna’s mRNA-1273 are directly connected to the Wuhan Institute of Virology and their gain-of-function research by very few degrees of separation, if any. The paper trail is well-established.

The lab-leak theory has been suppressed because pulling that thread leads one to inevitably conclude that there is enough circumstantial evidence to link Moderna, the NIH, the WIV, and both the vaccine and the virus’s creation together. In a sane country, this would have immediately led to the world’s biggest RICO and mass murder case. Anthony Fauci, Peter Daszak, Ralph Baric, Shi Zhengli, and Stéphane Bancel, and their accomplices, would have been indicted and prosecuted to the fullest extent of the law. Instead, billions of our tax dollars were awarded to the perpetrators.

The FBI raided Allure Medical in Shelby Township north of Detroit for billing insurance for “fraudulent COVID-19 cures”. The treatment they were using? Intravenous Vitamin C. An antioxidant. Which, as described above, is an entirely valid treatment for COVID-19-induced sepsis, and indeed, is now part of the MATH+ protocol advanced by Dr. Paul E. Marik.

The FDA banned ranitidine (Zantac) due to supposed NDMA (N-nitrosodimethylamine) contamination. Ranitidine is not only an H2 blocker used as antacid, but also has a powerful antioxidant effect, scavenging hydroxyl radicals. This gives it utility in treating COVID-19.

The FDA also attempted to take N-acetylcysteine, a harmless amino acid supplement and antioxidant, off the shelves, compelling Amazon to remove it from their online storefront.

This leaves us with a chilling question: did the FDA knowingly suppress antioxidants useful for treating COVID-19 sepsis as part of a criminal conspiracy against the American public?

The establishment is cooperating with, and facilitating, the worst criminals in human history, and are actively suppressing non-vaccine treatments and therapies in order to compel us to inject these criminals’ products into our bodies. This is absolutely unacceptable.

COVID-19 Vaccine Development and Links to Transhumanism:

This section deals with some more speculative aspects of the pandemic and the medical and scientific establishment’s reaction to it, as well as the disturbing links between scientists involved in vaccine research and scientists whose work involved merging nanotechnology with living cells.

On June 9th, 2020, Charles Lieber, a Harvard nanotechnology researcher with decades of experience, was indicted by the DOJ for fraud. Charles Lieber received millions of dollars in grant money from the US Department of Defense, specifically the military think tanks DARPA, AFOSR, and ONR, as well as NIH and MITRE. His specialty is the use of silicon nanowires in lieu of patch clamp electrodes to monitor and modulate intracellular activity, something he has been working on at Harvard for the past twenty years. He was claimed to have been working on silicon nanowire batteries in China, but none of his colleagues can recall him ever having worked on battery technology in his life; all of his research deals with bionanotechnology, or the blending of nanotech with living cells.

The indictment was over his collaboration with the Wuhan University of Technology. He had double-dipped, against the terms of his DOD grants, and taken money from the PRC’s Thousand Talents plan, a program which the Chinese government uses to bribe Western scientists into sharing proprietary R&D information that can be exploited by the PLA for strategic advantage.

Charles Lieber’s own papers describe the use of silicon nanowires for brain-computer interfaces, or “neural lace” technology. His papers describe how neurons can endocytose whole silicon nanowires or parts of them, monitoring and even modulating neuronal activity.

Charles Lieber was a colleague of Robert Langer. Together, along with Daniel S. Kohane, they worked on a paper describing artificial tissue scaffolds that could be implanted in a human heart to monitor its activity remotely.

Robert Langer, an MIT alumnus and expert in nanotech drug delivery, is one of the co-founders of Moderna. His net worth is now $5.1 billion USD thanks to Moderna’s mRNA-1273 vaccine sales.

Both Charles Lieber and Robert Langer’s bibliographies describe, essentially, techniques for human enhancement, i.e. transhumanism. Klaus Schwab, the founder of the World Economic Forum and the architect behind the so-called “Great Reset”, has long spoken of the “blending of biology and machinery” in his books.

Since these revelations, it has come to the attention of independent researchers that the COVID-19 vaccines may contain reduced graphene oxide nanoparticles. Japanese researchers have also found unexplained contaminants in COVID-19 vaccines.

Graphene oxide is an anxiolytic. It has been shown to reduce the anxiety of laboratory mice when injected into their brains. Indeed, given SARS-CoV-2 Spike’s propensity to compromise the blood-brain barrier and increase its permeability, it is the perfect protein for preparing brain tissue for extravasation of nanoparticles from the bloodstream and into the brain. Graphene is also highly conductive and, in some circumstances, paramagnetic.

In 2013, under the Obama administration, DARPA launched the BRAIN Initiative; BRAIN is an acronym for Brain Research Through Advancing Innovative Neurotechnologies®. This program involves the development of brain-computer interface technologies for the military, particularly non-invasive, injectable systems that cause minimal damage to brain tissue when removed. Supposedly, this technology would be used for healing wounded soldiers with traumatic brain injuries, the direct brain control of prosthetic limbs, and even new abilities such as controlling drones with one’s mind.

Various methods have been proposed for achieving this, including optogenetics, magnetogenetics, ultrasound, implanted electrodes, and transcranial electromagnetic stimulation. In all instances, the goal is to obtain read or read-write capability over neurons, either by stimulating and probing them, or by rendering them especially sensitive to stimulation and probing.

However, the notion of the widespread use of BCI technology, such as Elon Musk’s Neuralink device, raises many concerns over privacy and personal autonomy. Reading from neurons is problematic enough on its own. Wireless brain-computer interfaces may interact with current or future wireless GSM infrastructure, creating neurological data security concerns. A hacker or other malicious actor may compromise such networks to obtain people’s brain data, and then exploit it for nefarious purposes.

However, a device capable of writing to human neurons, not just reading from them, presents another, even more serious set of ethical concerns. A BCI that is capable of altering the contents of one’s mind for innocuous purposes, such as projecting a heads-up display onto their brain’s visual center or sending audio into one’s auditory cortex, would also theoretically be capable of altering mood and personality, or perhaps even subjugating someone’s very will, rendering them utterly obedient to authority. This technology would be a tyrant’s wet dream. Imagine soldiers who would shoot their own countrymen without hesitation, or helpless serfs who are satisfied to live in literal dog kennels.

BCIs could be used to unscrupulously alter perceptions of basic things such as emotions and values, changing people’s thresholds of satiety, happiness, anger, disgust, and so forth. This is not inconsequential. Someone’s entire regime of behaviors could be altered by a BCI, including such things as suppressing their appetite or desire for virtually anything on Maslow’s Hierarchy of Needs.

Anything is possible when you have direct access to someone’s brain and its contents. Someone who is obese could be made to feel disgust at the sight of food. Someone who is involuntarily celibate could have their libido disabled so they don’t even desire sex to begin with. Someone who is racist could be forced to feel delight over cohabiting with people of other races. Someone who is violent could be forced to be meek and submissive. These things might sound good to you if you are a tyrant, but to normal people, the idea of personal autonomy being overridden to such a degree is appalling.

For the wealthy, neural laces would be an unequaled boon, giving them the opportunity to enhance their intelligence with neuroprosthetics (i.e. an “exocortex”), and to deliver irresistible commands directly into the minds of their BCI-augmented servants, even physically or sexually abusive commands that they would normally refuse.

If the vaccine is a method to surreptitiously introduce an injectable BCI into millions of people without their knowledge or consent, then what we are witnessing is the rise of a tyrannical regime unlike anything ever seen before on the face of this planet, one that fully intends to strip every man, woman, and child of our free will.

Our flaws are what make us human. A utopia arrived at by removing people’s free will is not a utopia at all. It is a monomaniacal nightmare. Furthermore, the people who rule over us are Dark Triad types who cannot be trusted with such power. Imagine being beaten and sexually assaulted by a wealthy and powerful psychopath and being forced to smile and laugh over it because your neural lace gives you no choice but to obey your master.

The Elites are forging ahead with this technology without giving people any room to question the social or ethical ramifications, or to establish regulatory frameworks that ensure that our personal agency and autonomy will not be overridden by these devices. They do this because they secretly dream of a future where they can treat you worse than an animal and you cannot even fight back. If this evil plan is allowed to continue, it will spell the end of humanity as we know it.

Conclusions:

The current pandemic was produced and perpetuated by the establishment, through the use of a virus engineered in a PLA-connected Chinese biowarfare laboratory, with the aid of American taxpayer dollars and French expertise.

This research was conducted under the absolutely ridiculous euphemism of “gain-of-function” research, which is supposedly carried out in order to determine which viruses have the highest potential for zoonotic spillover and preemptively vaccinate or guard against them.

Gain-of-function/gain-of-threat research, a.k.a. “Dual-Use Research of Concern”, or DURC, is bioweapon research by another, friendlier-sounding name, simply to avoid the taboo of calling it what it actually is. It has always been bioweapon research. The people who are conducting this research fully understand that they are taking wild pathogens that are not infectious in humans and making them more infectious, often taking grants from military think tanks encouraging them to do so.

These virologists conducting this type of research are enemies of their fellow man, like pyromaniac firefighters. GOF research has never protected anyone from any pandemic. In fact, it has now started one, meaning its utility for preventing pandemics is actually negative. It should have been banned globally, and the lunatics performing it should have been put in straitjackets long ago.

Either through a leak or an intentional release from the Wuhan Institute of Virology, a deadly SARS strain is now endemic across the globe, after the WHO and CDC and public officials first downplayed the risks, and then intentionally incited a panic and lockdowns that jeopardized people’s health and their livelihoods.

This was then used by the utterly depraved and psychopathic aristocratic class who rule over us as an excuse to coerce people into accepting an injected poison which may be a depopulation agent, a mind control/pacification agent in the form of injectable “smart dust”, or both in one. They believe they can get away with this by weaponizing the social stigma of vaccine refusal. They are incorrect.

Their motives are clear and obvious to anyone who has been paying attention. These megalomaniacs have raided the pension funds of the free world. Wall Street is insolvent and has had an ongoing liquidity crisis since the end of 2019. The aim now is to exert total, full-spectrum physical, mental, and financial control over humanity before we realize just how badly we’ve been extorted by these maniacs.

The pandemic and its response served multiple purposes for the Elite:
• Concealing a depression brought on by the usurious plunder of our economies conducted by rentier-capitalists and absentee owners who produce absolutely nothing of any value to society whatsoever. Instead of us having a very predictable Occupy Wall Street Part II, the Elites and their stooges got to stand up on television and paint themselves as wise and all-powerful saviors instead of the marauding cabal of despicable land pirates that they are.
• Destroying small businesses and eroding the middle class.
• Transferring trillions of dollars of wealth from the American public and into the pockets of billionaires and special interests.
• Engaging in insider trading, buying stock in biotech companies and shorting brick-and-mortar businesses and travel companies, with the aim of collapsing face-to-face commerce and tourism and replacing it with e-commerce and servitization.
• Creating a casus belli for war with China, encouraging us to attack them, wasting American lives and treasure and driving us to the brink of nuclear armageddon.
• Establishing technological and biosecurity frameworks for population control and technocratic-socialist “smart cities” where everyone’s movements are despotically tracked, all in anticipation of widespread automation, joblessness, and food shortages, by using the false guise of a vaccine to compel cooperation.

Any one of these things would constitute a vicious rape of Western society. Taken together, they beggar belief; they are a complete inversion of our most treasured values.

What is the purpose of all of this? One can only speculate as to the perpetrators’ motives, however, we have some theories.

The Elites are trying to pull up the ladder, erase upward mobility for large segments of the population, cull political opponents and other “undesirables”, and put the remainder of humanity on a tight leash, rationing our access to certain goods and services that they have deemed “high-impact”, such as automobile use, tourism, meat consumption, and so on. Naturally, they will continue to have their own luxuries, as part of a strict caste system akin to feudalism.

Why are they doing this? Simple. The Elites are Neo-Malthusians and believe that we are overpopulated and that resource depletion will collapse civilization in a matter of a few short decades. They are not necessarily incorrect in this belief. We are overpopulated, and we are consuming too many resources. However, orchestrating such a gruesome and murderous power grab in response to a looming crisis demonstrates that they have nothing but the utmost contempt for their fellow man.

To those who are participating in this disgusting farce without any understanding of what they are doing, we have one word for you. Stop. You are causing irreparable harm to your country and to your fellow citizens.

o those who may be reading this warning and have full knowledge and understanding of what they are doing and how it will unjustly harm millions of innocent people, we have a few more words.

Damn you to hell. You will not destroy America and the Free World, and you will not have your New World Order. We will make certain of that.

[please see the original pdf file for list of bibligraphical links]

Chiffres officiels mis à jour des décès et dommages physiques après injections Covid, Europe et EU – par Brian Shilhavy.

J’étais en train de préparer plusieurs articles, un article de fond sur le Grand Reset, un sur le lien entre le dérèglement climatique et l’oxyde de graphène (aussi étonnant que ça puisse paraître) et une traduction de Stephers sur la transmission des symptômes Covid/vaccins. Mais voici d’abord quelques infos purement factuelles (qui manquent un peu ces derniers temps), en raison de ma propre actualité locale.

Je viens de croiser un voisin très confiant qui s’est fait infliger l’injection et se remet maintenant d’un gros problème cardiaque après hospitalisation. C’est lui qui m’a volontairement donné ces deux infos (c’est pas le genre de question que je me permettrais de poser), sans faire aucun lien entre les deux, ce que son cardiologue s’est également bien gardé de faire – ça lui évitera bien des tracas avec sa hiérarchie. Ce petit exemple pour rappeler que les incidents signalés ci-dessous ne représentent qu’une infime partie de la réalité du terrain, comme peuvent en témoigner les entreprises de pompes funèbres actuellement très occupées. Vous pouvez multiplier les chiffres par cent, au minimum, comme déjà expliqué ici et ici, pour ceux qui ne l’auraient pas encore lu. C’est beaucoup mais on en est pas encore à huit milliards, pas de quoi s’affoler donc. D’ailleurs, que ceux qui s’inquiétent de ce genre d’apocalypse considèrent qu’il est bien plus pratique – et discret – de stériliser que de zigouiller. Les chiffres des naissances à partir de l’année prochaine devraient être assez intéressants.

Je publie donc cette petite mise à jour des chiffres signalés sur les bases de données officielles Européenne (Eudravigilance) et Etats-Unienne (VAERS) d’effets secondaires des injections – pour Eudravigilance, pas seulement les totaux mais les détails par catégorie d’effets pour chaque fabricant. Histoire que mes lecteurs puissent faire le lien éventuel là où ils sont témoins de ce genre de symptôme – chez un voisin, par exemple.

A propos de lecteurs, c’est un de ceux du site Health Impact News qui s’est tapé le boulot de compiler tout ça, ce qui montre que soit Brian Shilhavy est un flemmard, soit que mes lecteurs le sont. Allez, je vous taquine.

Brian Shilhavy démonte aussi l’argument de ceux qui prétendent que l’autorisation du bouillon de sorcière de Pfizer par la FDA n’est pas réelle, contrairement à ce qu’affirme Miles Mathis dans cet article que j’ai publié précédemment ici. Miles, tu t’es gouré?..

Pour info et pour conclure, Scott Gottlieb, l’ancien de la FDA maintenant cadre chez Pfizer, explique à la télé américaine qu’il n’y a eu aucun mort suite à ces injections. Zéro.

Voici l’antidote.

Source Europe. Source UE.


23.252 décès 2.189.537 dommages physiques à la suite de l’injection COVID signalés dans la base de données de l’Union Européenne sur les effets indésirables des médicaments

par Brian Shilhavy
Rédacteur en chef, Health Impact News

La base de données de l’Union Européenne sur les rapports d’effets indésirables des médicaments s’appelle EudraVigilance, et elle fait état de 23.252 décès et de 2.189.537 dommages physiques suite aux injections COVID-19.

Un abonné européen de Health Impact News nous a rappelé que cette base de données gérée par EudraVigilance ne concerne que les pays européens faisant partie de l’Union Européenne (UE), qui compte 27 pays.

Le nombre total de pays en Europe est beaucoup plus élevé, presque deux fois plus, soit environ 50. (Il existe quelques divergences d’opinion quant aux pays qui font techniquement partie de l’Europe).

Ainsi, aussi élevés que soient ces chiffres, ils ne reflètent PAS toute l’Europe. Le nombre réel de personnes décédées ou blessées à la suite d’injections COVID-19 en Europe serait bien plus élevé que celui que nous indiquons ici.

La base de données EudraVigilance indique qu’au 28 août 2021, 23.252 décès et 2.189.537 dommages ont été signalés à la suite de l’injection de quatre vaccins expérimentaux COVID-19 :

Sur le total des dommages enregistrés, près de la moitié (1.076.917) sont des dommages graves.

« La gravité fournit des informations sur l’effet indésirable suspecté ; il peut être classé comme « grave » s’il correspond à un événement médical qui entraîne la mort, met en danger la vie du patient, nécessite une hospitalisation, entraîne une autre affection médicalement importante ou la prolongation d’une hospitalisation existante, entraîne un handicap ou une incapacité persistante ou significative, ou constitue une anomalie/une malformation congénitale. »

Un abonné de Health Impact News en Europe a établi les rapports pour chacune des quatre injections de COVID-19 que nous incluons ici. Il s’agit d’un travail considérable, car nous n’avons nulle part trouvé d’endroit dans le système EudraVigilance qui présente tous les résultats.

Depuis que nous avons commencé à publier ces données, d’autres personnes en Europe ont également calculé les chiffres et confirmé les totaux*.

Voici le résumé des données au 28 août 2021.

Nombre total de réactions au vaccin à ARNm Tozinameran (code BNT162b2, Comirnaty) de BioNTech/ Pfizer : 11.266 décès et 900.032 dommages au 28/08/2021

  • 24.626 Troubles du sang et du système lymphatique dont 152 décès
  • 24.450 Troubles cardiaques dont 1.683 décès
  • 236 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques dont 19 décès
  • 11.949 Troubles de l’oreille et du labyrinthe dont 8 décès
  • 641 Troubles endocriniens dont 5 décès
  • 14.081 Troubles oculaires dont 27 décès
  • 80.253 Troubles gastro-intestinaux dont 478 décès
  • 236.236 Troubles généraux et affections du site d’administration dont 3.176 décès
  • 1.001 Troubles hépatobiliaires dont 53 décès
  • 9.767 Troubles du système immunitaire dont 62 décès
  • 30.314 Infections et infestations dont 1 101 décès
  • 11.643 Blessures, empoisonnements et complications procédurales dont 173 décès
  • 22.593 Investigations dont 360 décès
  • 6.702 Troubles du métabolisme et de la nutrition dont 201 décès
  • 119.503 Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif dont 142 décès
  • 702 Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiées (y compris kystes et polypes) dont 60 décès
  • 159.148 Troubles du système nerveux dont 1.242 décès
  • 1.057 Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales dont 33 décès
  • 158 Problèmes liés aux produits dont 1 décès
  • 16.281 Troubles psychiatriques dont 150 décès
  • 3.070 Troubles rénaux et urinaires dont 187 décès
  • 14.312 Troubles de l’appareil reproducteur et du sein dont 3 décès
  • 40.048 Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux dont 1.330 décès
  • 43.727 Troubles de la peau et du tissu sous-cutané dont 99 décès
  • 1.605 Circonstances sociales dont 14 décès
  • 770 Interventions chirurgicales et médicales dont 30 décès
  • 25.159 Troubles vasculaires dont 477 décès

Nombre total de réactions au vaccin ARNm mRNA-1273(CX-024414) de Moderna : 6.029 décès et 254.648 dommages au 28/08/2021.

  • 4.952 Troubles du sang et du système lymphatique dont 56 décès
  • 7.573 Troubles cardiaques dont 646 décès
  • 103 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques dont 1 décès
  • 3.189 Troubles de l’oreille et du labyrinthe
  • 202 Troubles endocriniens dont 2 décès
  • 3.970 Troubles oculaires dont 14 décès
  • 22.184 Troubles gastro-intestinaux dont 222 décès
  • 68.484 Troubles généraux et affections du site d’administration dont 2.364 décès
  • 425 Troubles hépatobiliaires dont 24 décès
  • 2.159 Troubles du système immunitaire dont 11 décès
  • 7.591 Infections et infestations dont 385 décès
  • 5.540 Blessures, empoisonnements et complications procédurales dont 113 décès
  • 5.006 Investigations dont 115 décès
  • 2.478 Troubles du métabolisme et de la nutrition dont 136 décès
  • 31.975 Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif dont 121 décès
  • 311 Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiées (y compris kystes et polypes) dont 35 décès
  • 45.022 Troubles du système nerveux dont 609 décès
  • 497 Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales dont 5 décès
  • 51 Problèmes liés aux produits
  • 4.940 Troubles psychiatriques dont 105 décès
  • 1.510 Troubles rénaux et urinaires dont 103 décès
  • 2.685 Troubles de l’appareil reproducteur et du sein dont 3 décès
  • 11.165 Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux dont 582 décès
  • 13.810 Troubles de la peau et du tissu sous-cutané dont 51 décès
  • 1.093 Circonstances sociales dont 25 décès
  • 827 Interventions chirurgicales et médicales dont 67 décès
  • 6.906 Troubles vasculaires dont 234 décès

Nombre total des réactions pour le vaccin AZD1222/VAXZEVRIA (CHADOX1 NCOV-19) d’Oxford/ AstraZeneca : 4.991 décès et 965.095 dommages au 28/08/2021

  • 11,578 Troubles du sang et du système lymphatique dont 203 décès
  • 16 203 Troubles cardiaques dont 583 décès
  • 152 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques dont 4 décès
  • 11 275 Troubles de l’oreille et du labyrinthe
  • 489 Troubles endocriniens dont 4 décès
  • 17 011 Troubles oculaires dont 20 décès
  • 94 956 Troubles gastro-intestinaux dont 252 décès
  • 253 946 Troubles généraux et affections du site d’administration dont 1.220 décès
  • 812 Troubles hépatobiliaires dont 48 décès
  • 3 901 Troubles du système immunitaire dont 22 décès
  • 24 029 Infections et infestations dont 316 décès
  • 10 935 Empoisonnement par blessure et complications procédurales dont 139 décès
  • 21 159 Investigations dont 110 décès
  • 11 489 Troubles du métabolisme et de la nutrition dont 67 décès
  • 146 103 Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif dont 69 décès
  • 498 Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiées (y compris kystes et polypes) dont 15 décès
  • 201 405 Troubles du système nerveux dont 793 décès
  • 420 Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales dont 10 décès
  • 152 Problèmes liés aux produits dont 1 décès
  • 18 212 Troubles psychiatriques dont 43 décès
  • 3 545 Troubles rénaux et urinaires dont 46 décès
  • 12 688 Troubles de l’appareil reproducteur et du sein dont 1 décès
  • 33 846 Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux dont 602 décès
  • 44 417 Troubles de la peau et du tissu sous-cutané dont 35 décès
  • 1 253 Circonstances sociales dont 6 décès
  • 1 099 Interventions chirurgicales et médicales dont 21 décès
  • 23 522 Troubles vasculaires dont 361 décès

Nombre total des réactions pour le vaccin COVID-19 JANSSEN (AD26.COV2.S) de Johnson & Johnson : 966 décès et 69.762 dommages au 28/08/2021

  • 644 Troubles du sang et du système lymphatique dont 27 décès
  • 1 108 Troubles cardiaques dont 110 décès
  • 25 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques
  • 485 Troubles de l’oreille et du labyrinthe
  • 37 Troubles endocriniens dont 1 décès
  • 931 Troubles oculaires dont 4 décès
  • 6 462 Troubles gastro-intestinaux dont 44 décès
  • 18 312 Troubles généraux et affections du site d’administration dont 239 décès
  • 90 Troubles hépatobiliaires dont 8 décès
  • 283 Troubles du système immunitaire dont 7 décès
  • 1 471 Infections et infestations dont 47 décès
  • 645 Blessures, empoisonnements et complications procédurales dont 12 décès
  • 3 683 Investigations dont 62 décès
  • 392 Troubles du métabolisme et de la nutrition dont 19 décès
  • 11 232 Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif dont 22 décès
  • 30 Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiées (y compris kystes et polypes) dont 2 décès
  • 14 569 Troubles du système nerveux dont 118 décès
  • 25 Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales dont 1 décès
  • 18 Problèmes liés aux produits
  • 905 Troubles psychiatriques dont 10 décès
  • 254 Troubles rénaux et urinaires dont 9 décès
  • 629 Troubles de l’appareil reproducteur et du sein dont 3 décès
  • 2 411 Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux dont 84 décès
  • 2 138 Affections de la peau et du tissu sous-cutané dont 4 décès
  • 192 Circonstances sociales dont 3 décès
  • 522 Interventions chirurgicales et médicales dont 35 décès
  • 2 269 Troubles vasculaires dont 95 décès

Ces totaux sont des estimations basées sur les rapports soumis à EudraVigilance. Les totaux peuvent être beaucoup plus élevés en fonction du pourcentage d’effets indésirables signalés. Certains de ces rapports peuvent également être transmis aux bases de données des effets indésirables de chaque pays, comme la base de données VAERS des États-Unis et le système Yellow Card du Royaume-Uni. Les décès sont regroupés par symptômes, et certains décès peuvent être dus à plusieurs symptômes.

De nouvelles injections COVID en perspective

Malgré tous les cas de dommages et de décès enregistrés, la plupart des pays du monde s’apprêtent à mettre en place une troisième injection de « rappel » de Pfizer et à autoriser les injections COVID pour les jeunes enfants de moins de 12 ans.

Si le prétendu « virus » COVID-19 n’a pratiquement aucun impact sur les décès chez les jeunes, on ne peut malheureusement pas en dire autant de ces vaccins expérimentaux.

https://rumble.com/vl5lnx-we-are-destroying-the-lives-of-our-young-with-experimental-covid-injections.html


Statistiques officielles du gouvernement américain sur les vaccins COVID : 13.627 décès, 2.826.646 dommages physiques, 1.429 décès fœtaux chez les femmes enceintes

par Brian Shilhavy
Rédacteur en chef, Health Impact News

Selon les statistiques les plus récentes publiées par les CDC vendredi dernier, le 27 août 2021, le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) a enregistré plus de deux fois plus de décès à la suite de l’injection COVID-19 au cours des huit derniers mois et demi, que de décès enregistrés à la suite de TOUS les vaccins au cours des trente dernières années.

Il doit s’agir de l’information la plus censurée aux États-Unis à l’heure actuelle, même si ces statistiques proviennent directement des statistiques officielles du gouvernement.

On a maintenant enregistré 13.627 décès, 2.826.646 dommages physiques et 1.429 morts fœtales chez des femmes enceintes ayant reçu une injection COVID.

Elles font également état de 17.794 handicaps permanents, 74.369 visites aux urgences, 55.821 hospitalisations et 14.104 mises en danger de la vie du patient. (Source.)

Et tout cela s’est produit en un peu plus de 8 mois.

Du 1er janvier 1991 au 30 novembre 2020, dernier mois avant l’autorisation d’utilisation en urgence des vaccins COVID, on n’a enregistré qu’un total de 6.068 décès (principalement des bébés) suite à TOUS les vaccins. (Source.)

La FDA a approuvé l’injection COVID-19 de Pfizer – Faites avec!

J’ai littéralement reçu une cinquantaine de courriels de personnes EXIGEANT que je modifie le texte de plusieurs de nos articles indiquant que la FDA a désormais approuvé les injections de Pfizer/BioNTech, en déclarant que je me trompe et que la FDA n’a pas réellement approuvé cette injection.

En voici un, par exemple, que j’ai reçu juste au moment où je commençais à écrire cet article aujourd’hui :

Sujet : Votre affirmation erronée selon laquelle la FDA a approuvé l’injection de Pfizer.

Corps du message :
L’injection Pfizer n’a PAS été approuvée par Pfizer. Le Dr E. Alexander, ancien conseiller en matière de vaccins à la Maison Blanche pour le gouvernement Trump, a clairement indiqué dans l’émission de Stew Peters que ce n’est pas l’injection Pfizer qui a été approuvée. C’est un autre vaccin qui n’est pas disponible. Il dit que c’est une ruse de la FDA. Vous devez corriger cela sur votre site dès que possible.

Non, je n’ai pas tort, et non, je ne vais pas changer nos articles. C’est VOUS qui avez tort. Voici le communiqué de presse de la FDA, tiré de leur site Internet :

La FDA approuve le premier vaccin COVID-19

Si la FDA dit qu’il est approuvé, alors il est approuvé. Fin de la discussion.

Et oui, je comprends qu’il y a beaucoup de controverse autour de cette approbation, et que c’est illégal. C’est ce que nous avons publié précédemment :

La FDA a approuvé les vaccins de Pfizer/BioNTech, mais elle a aussi apparemment prolongé l’EUA sur les doses existantes du vaccin. Il y a donc maintenant deux « vaccins » différents produits par Pfizer/BioNTech, l’un sous EUA, et l’autre approuvé par la FDA hier.

Le nom de celui que la FDA a approuvé est « Comirnaty ». Vous pouvez lire le communiqué de presse de la FDA ici.

La FDA a envoyé une lettre à Pfizer pour prolonger l’EUA sur les doses existantes, que vous pouvez lire ici.

La FDA a envoyé une lettre à BioNTech pour approuver le « vaccin Comirnaty ». Vous pouvez lire cette lettre ici.

Il semble que même l’injection « Comirnaty » soit encore couvert par une autorisation d’utilisation d’urgence.

Et alors ?

Pourquoi pensez-vous que c’est une question qui mérite d’être débattue? Pensez-vous pouvoir utiliser ces informations devant un tribunal et empêcher un employeur ou une école de vous obliger à vous faire vacciner?

Parce que si c’est la raison pour laquelle vous m’avez envoyé un e-mail et exigé que je retire ces déclarations, alors c’est vous qui êtes idiot.

Et cela ne me surprend pas, comme le montre le message cité ci-dessus, que ce soient surtout des droitards dérangés partisans de Trump qui m’envoient ces courriels. Ils sont prêts à croire n’importe quoi si Trump ou l’un de ses partisans les plus en vue le dit.

Eh bien, j’ai des nouvelles pour vous, de la part de quelqu’un qui se bat contre les actions criminelles de la FDA depuis environ 20 ans maintenant : Presque TOUT ce que fait la FDA est illégal, et cela ne les a jamais arrêtés auparavant, alors pourquoi voulez-vous qu’ils s’arrêtent maintenant, alors que les enjeux sont si élevés et que leurs patrons de Big Pharma raflent des TRILLIONS de dollars pour les piqûres COVID?

En 2019, avant même que quiconque ne sache ce qu’était le mot « COVID », nous avons publié cet article :

Étude : 98% des lois de la FDA sont anticonstitutionnelles.

Quelques extraits :

Angela C. Erickson et Thomas Berry de la Pacific Legal Foundation viennent de publier un nouveau rapport examinant les règlements émis illégalement au Département de la Santé et des Services Sociaux (Department of Health and Human ServicesHHS).

Leur étude a révélé que :

Les procédures d’élaboration de règles anticonstitutionnelles sont monnaie courante au HHS, en particulier à la FDA.

Ils ont analysé qui étaient les personnes qui élaboraient ces règles au HHS dans ce qu’ils prétendent être la plus grande étude jamais réalisée sur ce sujet.

[Cela] n’a jamais été étudié auparavant : un grand nombre de législateurs qui ne sont pas démocratiquement responsables.

Ces législateurs non responsables ne sont pas autorisés par la Constitution à émettre des règles finales ayant force de loi.

Mais, comme le montre cette étude, cela ne les a pas arrêtés.

Les résultats de leur étude ont révélé :

qu’une majorité de règlements du HHS ont été émis illégalement par des fonctionnaires de bas niveau ou des employés de carrière qui n’avaient aucune autorité pour le faire. La Food and Drug Administration (FDA) était le contrevenant le plus fréquent et le plus évident.

Les règles illégales de la FDA étaient si nombreuses qu’elles ont faussé les résultats pour le reste du HHS.

Parmi les règles finales de la FDA, 98 % ont été édictées par des employés de carrière qui n’ont aucune autorité constitutionnelle pour le faire.

Lire le rapport complet.

Deuxièmement, les tribunaux se sont déjà prononcés sur la question de savoir si un employeur peut ou non imposer les piqûres COVID alors qu’elles étaient toutes encore sous autorisation d’utilisation d’urgence, et les employés ont perdu. Voir cet article que nous avons publié le 14 juin 2021 :

Un juge du Texas prouve que le système judiciaire ne pourra pas venir en aide aux victimes des armes biologiques COVID-19 – il maintient l’obligation de se faire vacciner pour le personnel hospitalier.

Extrait :

Un juge de district américain de l' »État rouge » du Texas, initialement nommé à ce poste par l’ancien président Ronald Reagan en 1985, s’est prononcé contre 117 employés de l’hôpital méthodiste de Houston qui avaient été suspendus sans salaire pour avoir refusé de prendre une dose expérimentale de COVID-19, non approuvée par la FDA, comme condition d’emploi.

Non seulement il s’est prononcé contre eux, mais il a rédigé une opinion cinglante se moquant d’eux, prouvant une fois de plus que Big Pharma contrôle le pouvoir judiciaire ainsi que le parti républicain et les soi-disant « conservateurs ».

En novembre 2020, avant même que les injections COVID-19 ne reçoivent une autorisation d’utilisation d’urgence, nous avons publié un article sur un « Stay of Action » qui a été déposé contre la FDA pour avoir utilisé des résultats de tests PCR erronés pour déterminer si les injections de COVID-19 étaient « efficaces » pour arrêter « le virus ». Voir :

« Une action en justice a été intentée contre la FDA pour empêcher l’approbation du vaccin COVID pour avoir utilisé des tests PCR erronés lors des essais.

Le Dr Mike Yeadon et d’autres médecins européens ont déposé une plainte similaire contre l’EMA pour empêcher l’approbation de ce vaccin [NdT. trois courriers que j’ai traduits ici, ici et ici]

Et quel a été le résultat ? RIEN.

Quiconque pense encore que nous empêcherons les médecins psychopathes tyranniques de mettre en œuvre leur plan d’asservissement de tous en les traînant en justice pour « prouver » que tout cela est illégal, ne vit pas dans la réalité.

Il n’y a qu’une seule façon de s’en sortir : la non-conformité massive. Et ici aux États-Unis, cela impliquera très certainement l’utilisation du 2ème amendement.

Voici venir les interminables injections « Booster » COVID.

Alors que tous ces décès et dommages invalidants signalés dans le VAERS à la suite de l’injection COVID-19 auraient dû mettre un terme à cette folie de vaccination de masse par des vaccins expérimentaux il y a longtemps, c’est exactement le contraire qui se produit actuellement : D’autres injections de rappel de COVID sont en cours, et sont déjà mises en œuvre dans le pays de rats de laboratoire de Pfizer, Israël.

Si vous avez un « laissez-passer vert » en Israël parce que vous avez reçu les deux injections COVID-19 de Pfizer, il expirera bientôt si vous ne recevez pas une troisième « injection de rappel » COVID-19 de Pfizer.

Après avoir été confrontées au fait que la vaccination généralisée ne suffit pas à stopper le COVID (il suffit de voir le nombre de cas en Israël), les autorités sanitaires de ce petit pays méditerranéen ont décidé que la meilleure solution était de doubler les vaccins, défiant l’OMS et exigeant que tous les citoyens reçoivent un troisième vaccin. Ou comment déplacer les poteaux de but…

Alors que le gouvernement israélien étend la disponibilité des injections de rappel COVID produites par Pfizer à tous les résidents vaccinés âgés de 12 ans et plus, il a également décrété que tous ceux qui n’optent pas pour le troisième vaccin perdront leurs privilèges de laissez-passer vert en octobre, selon un rapport de RT.

À partir du 1er octobre, le « laissez-passer vert » nécessaire pour entrer dans certains rassemblements et lieux publics expirera non seulement six mois après que le détenteur aura reçu une deuxième dose, mais aussi six mois après sa troisième injection.

Lisez l’article complet sur ZeroHedge News.

Voici le Dr Kerry Chant, responsable de la santé en Australie, qui déclare que les Australiens doivent s’habituer aux « vaccins COVID » pour les années à venir :

Le Dr Kerry Chant, Chief Health Officer, a déclaré que les autorités sanitaires allaient probablement vacciner régulièrement les résidents de Nouvelle-Galles du Sud à long terme, ou jusqu’à ce que des vaccins soient développés pour conférer une immunité plus permanente contre le COVID-19.

« Nous devons nous habituer à être vaccinés avec les vaccins COVID pour l’avenir… Je ne peux pas dire que le COVID ne sera pas avec nous pour toujours », a déclaré le Dr Chant aux journalistes lundi.

« En tant que médecin de santé publique, nous souhaitons toujours que les maladies disparaissent, qu’elles soient totalement éliminées, mais ce n’est pas à l’horizon dans un avenir proche. »

« Les doses de rappel et les doses répétées en feront partie ».

Et voici ce qui sort directement de la bouche du tyran. Le PDG de Pfizer a déjà admis qu’ils développent des injections COVID de rappel pour des variants futurs qui ne sont même pas encore là :

Entre-temps, les vaccins COVID existants, maintenant « approuvés », seront administrés aux enfants âgés de 5 à 11 ans d’ici septembre.

Et dites-moi encore pourquoi il est si important que je doive revenir en arrière et modifier tous nos articles qui disent que la FDA a maintenant entièrement approuvé les vaccins COVID-19 de Pfizer parce qu’en fait, elle ne l’a pas fait?

Vous, bande d’idiots, devez passer à autre chose et commencer à vous inquiéter pour vos enfants, surtout si vous les mettez à l’école, parce qu’ils sont la cible maintenant, et aucun tribunal ne vous sauvera, vous ou vos enfants.

Demandez aux habitants de la Floride qui ont cru que le gouverneur de leur État rouge avait mis fin aux masques scolaires obligatoires.

L’activisme judiciaire frappe à nouveau, le juge de Tallahassee annule l’interdiction des masques imposée par l’administration DeSantis.

Voir aussi :

https://rumble.com/vkmlux-in-memoriam-victims-of-covid-19-vaccines.html


Textes originaux

23,252 Deaths 2,189,537 Injured Following COVID Shots Reported in European Union’s Database of Adverse Drug Reactions

by Brian Shilhavy
Editor, Health Impact News

The European Union database of suspected drug reaction reports is EudraVigilance, and they are now reporting 23,252 fatalities, and 2,189,537 injuries, following COVID-19 injections.

Health Impact News subscriber from Europe reminded us that this database maintained at EudraVigilance is only for countries in Europe who are part of the European Union (EU), which comprises 27 countries.

The total number of countries in Europe is much higher, almost twice as many, numbering around 50. (There are some differences of opinion as to which countries are technically part of Europe.)

So as high as these numbers are, they do NOT reflect all of Europe. The actual number in Europe who are reported dead or injured following COVID-19 shots would be much higher than what we are reporting here.

The EudraVigilance database reports that through August 28, 2021 there are 23,252 deaths and 2,189,537 injuries reported following injections of four experimental COVID-19 shots:

From the total of injuries recorded, almost half of them (1,076,917) are serious injuries.

Seriousness provides information on the suspected undesirable effect; it can be classified as ‘serious’ if it corresponds to a medical occurrence that results in death, is life-threatening, requires inpatient hospitalisation, results in another medically important condition, or prolongation of existing hospitalisation, results in persistent or significant disability or incapacity, or is a congenital anomaly/birth defect.”

Health Impact News subscriber in Europe ran the reports for each of the four COVID-19 shots we are including here. It is a lot of work to tabulate each reaction with injuries and fatalities, since there is no place on the EudraVigilance system we have found that tabulates all the results.

Since we have started publishing this, others from Europe have also calculated the numbers and confirmed the totals.*

Here is the summary data through August 28, 2021.

Total reactions for the mRNA vaccine Tozinameran (code BNT162b2,Comirnaty) from BioNTech/ Pfizer: 11,266 deaths and 900,032 injuries to 28/08/2021

  • 24,626   Blood and lymphatic system disorders incl. 152 deaths
  • 24,450   Cardiac disorders incl. 1,683 deaths
  • 236        Congenital, familial and genetic disorders incl. 19 deaths
  • 11,949   Ear and labyrinth disorders incl. 8 deaths
  • 641        Endocrine disorders incl. 5 deaths
  • 14,081   Eye disorders incl. 27 deaths
  • 80,253   Gastrointestinal disorders incl. 478 deaths
  • 236,236 General disorders and administration site conditions incl. 3,176 deaths
  • 1,001     Hepatobiliary disorders incl. 53 deaths
  • 9,767     Immune system disorders incl. 62 deaths
  • 30,314   Infections and infestations incl. 1,101 deaths
  • 11,643   Injury, poisoning and procedural complications incl. 173 deaths
  • 22,593   Investigations incl. 360 deaths
  • 6,702     Metabolism and nutrition disorders incl. 201 deaths
  • 119,503 Musculoskeletal and connective tissue disorders incl. 142 deaths
  • 702        Neoplasms benign, malignant and unspecified (incl cysts and polyps) incl. 60 deaths
  • 159,148 Nervous system disorders incl. 1,242 deaths
  • 1,057     Pregnancy, puerperium and perinatal conditions incl. 33 deaths
  • 158        Product issues incl. 1 death
  • 16,281   Psychiatric disorders incl. 150 deaths
  • 3,070     Renal and urinary disorders incl. 187 deaths
  • 14,312   Reproductive system and breast disorders incl. 3 deaths
  • 40,048   Respiratory, thoracic and mediastinal disorders incl. 1,330 deaths
  • 43,727   Skin and subcutaneous tissue disorders incl. 99 deaths
  • 1,605     Social circumstances incl. 14 deaths
  • 770        Surgical and medical procedures incl. 30 deaths
  • 25,159   Vascular disorders incl. 477 deaths

Total reactions for the mRNA vaccine mRNA-1273(CX-024414) from Moderna: 6,029 deaths and 254,648 injuries to 28/08/2021

  • 4,952     Blood and lymphatic system disorders incl. 56 deaths
  • 7,573     Cardiac disorders incl. 646 deaths
  • 103        Congenital, familial and genetic disorders incl. 1 death
  • 3,189     Ear and labyrinth disorders
  • 202        Endocrine disorders incl. 2 deaths
  • 3,970     Eye disorders incl. 14 deaths
  • 22,184   Gastrointestinal disorders incl. 222 deaths
  • 68,484   General disorders and administration site conditions incl. 2364 deaths
  • 425        Hepatobiliary disorders incl. 24 deaths
  • 2,159     Immune system disorders incl. 11 deaths
  • 7,591     Infections and infestations incl. 385 deaths
  • 5,540     Injury, poisoning and procedural complications incl. 113 deaths
  • 5,006     Investigations incl. 115 deaths
  • 2,478     Metabolism and nutrition disorders incl. 136 deaths
  • 31,975   Musculoskeletal and connective tissue disorders incl. 121 deaths
  • 311        Neoplasms benign, malignant and unspecified (incl cysts and polyps) incl. 35 deaths
  • 45,022   Nervous system disorders incl. 609 deaths
  • 497        Pregnancy, puerperium and perinatal conditions incl. 5 deaths
  • 51           Product issues
  • 4,940     Psychiatric disorders incl. 105 deaths
  • 1,510     Renal and urinary disorders incl. 103 deaths
  • 2,685     Reproductive system and breast disorders incl. 3 deaths
  • 11,165   Respiratory, thoracic and mediastinal disorders incl. 582 deaths
  • 13,810   Skin and subcutaneous tissue disorders incl. 51 deaths
  • 1,093     Social circumstances incl. 25 deaths
  • 827        Surgical and medical procedures incl. 67 deaths
  • 6,906     Vascular disorders incl. 234 deaths

Total reactions for the vaccine AZD1222/VAXZEVRIA (CHADOX1 NCOV-19) from Oxford/AstraZeneca4,991 deaths and 965,095 injuries to 28/08/2021

  • 11,578   Blood and lymphatic system disorders incl. 203 deaths
  • 16,203   Cardiac disorders incl. 583 deaths
  • 152        Congenital familial and genetic disorders incl. 4 deaths
  • 11,275   Ear and labyrinth disorders
  • 489        Endocrine disorders incl. 4 deaths
  • 17,011   Eye disorders incl. 20 deaths
  • 94,956   Gastrointestinal disorders incl. 252 deaths
  • 253,946 General disorders and administration site conditions incl. 1,220 deaths
  • 812        Hepatobiliary disorders incl. 48 deaths
  • 3,901     Immune system disorders incl. 22 deaths
  • 24,029   Infections and infestations incl. 316 deaths
  • 10,935   Injury poisoning and procedural complications incl. 139 deaths
  • 21,159   Investigations incl. 110 deaths
  • 11,489   Metabolism and nutrition disorders incl. 67 deaths
  • 146,103 Musculoskeletal and connective tissue disorders incl. 69 deaths
  • 498        Neoplasms benign malignant and unspecified (incl cysts and polyps) incl. 15 deaths
  • 201,405 Nervous system disorders incl. 793 deaths
  • 420        Pregnancy puerperium and perinatal conditions incl. 10 deaths
  • 152        Product issues incl. 1 death
  • 18,212   Psychiatric disorders incl. 43 deaths
  • 3,545     Renal and urinary disorders incl. 46 deaths
  • 12,688   Reproductive system and breast disorders incl. 1 death
  • 33,846   Respiratory thoracic and mediastinal disorders incl. 602 deaths
  • 44,417   Skin and subcutaneous tissue disorders incl. 35 deaths
  • 1,253     Social circumstances incl. 6 deaths
  • 1,099     Surgical and medical procedures incl. 21 deaths
  • 23,522   Vascular disorders incl. 361 deaths

Total reactions for the COVID-19 vaccine JANSSEN (AD26.COV2.S) from Johnson & Johnson966 deaths and 69 762 injuries to 28/08/2021

  • 644        Blood and lymphatic system disorders incl. 27 deaths
  • 1,108     Cardiac disorders incl. 110 deaths
  • 25           Congenital, familial and genetic disorders
  • 485        Ear and labyrinth disorders
  • 37           Endocrine disorders incl. 1 death
  • 931        Eye disorders incl. 4 deaths
  • 6,462     Gastrointestinal disorders incl. 44 deaths
  • 18,312   General disorders and administration site conditions incl. 239 deaths
  • 90           Hepatobiliary disorders incl. 8 deaths
  • 283        Immune system disorders incl. 7 deaths
  • 1,471     Infections and infestations incl. 47 deaths
  • 645        Injury, poisoning and procedural complications incl. 12 deaths
  • 3,683     Investigations incl. 62 deaths
  • 392        Metabolism and nutrition disorders incl. 19 deaths
  • 11,232   Musculoskeletal and connective tissue disorders incl. 22 deaths
  • 30           Neoplasms benign, malignant and unspecified (incl cysts and polyps) incl. 2 deaths
  • 14,569   Nervous system disorders incl. 118 deaths
  • 25           Pregnancy, puerperium and perinatal conditions incl. 1 death
  • 18           Product issues
  • 905        Psychiatric disorders incl. 10 deaths
  • 254        Renal and urinary disorders incl. 9 deaths
  • 629        Reproductive system and breast disorders incl. 3 deaths
  • 2,411     Respiratory, thoracic and mediastinal disorders incl. 84 deaths
  • 2,138     Skin and subcutaneous tissue disorders incl. 4 deaths
  • 192        Social circumstances incl. 3 deaths
  • 522        Surgical and medical procedures incl. 35 deaths
  • 2,269     Vascular disorders incl. 95 deaths

These totals are estimates based on reports submitted to EudraVigilance. Totals may be much higher based on percentage of adverse reactions that are reported. Some of these reports may also be reported to the individual country’s adverse reaction databases, such as the U.S. VAERS database and the UK Yellow Card system. The fatalities are grouped by symptoms, and some fatalities may have resulted from multiple symptoms.

More COVID Shots on the Way

In spite of all these recorded injuries and deaths, most countries around the world are now preparing to roll out a 3rd Pfizer “booster” shot, as well as authorizing the COVID shots for young children, under the age of 12.

While the alleged COVID-19 “virus” has almost NO impact on deaths among young people, tragically, we cannot say the same for these experimental shots.

https://rumble.com/vl5lnx-we-are-destroying-the-lives-of-our-young-with-experimental-covid-injections.html


Official U.S. Government Stats on COVID Vaccines: 13,627 Deaths 2,826,646 Injuries 1,429 Fetal Deaths in Pregnant Women

by Brian Shilhavy
Editor, Health Impact News

According to the most recent stats released by the CDC this past Friday, August 27, 2021, their Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) now has recorded more than twice as many deaths following COVID-19 shots during the past 8 and a half months, than deaths recorded following ALL vaccines for the past 30 years.

This has to be the most censored information in the U.S. right now, even though these statistics come directly from official government statistics.

They have now recorded 13,627 deaths, 2,826,646 injuries, and 1,429 fetal deaths from pregnant women who took a COVID shot.

They also report 17,794 permanent disabilities, 74,369 emergency room visits, 55,821 hospitalizations, and 14,104 life threatening events. (Source.)

And all of this has happened in just over 8 months.

From January 1, 1991 to November 30, 2020, the last month before the COVID shots were given emergency use authorization, there were only a total of 6,068 deaths recorded (mostly infant babies) following ALL vaccines. (Source.)

The FDA Has Approved the Pfizer COVID-19 Injection – Deal with it!

I have literally received about 50 emails from people DEMANDING that I change the text on several of our articles that reported the FDA has now given full approval to the Pfizer/BioNTech shots, stating that I am wrong, and that the FDA did not actually approve this shot.

Here is one, for example, that I received just as I started writing this article today:

Subject: your wrong assertion that the FDA have approved the Pfizer injection

Message Body:
The Pfizer injection has NOT been approved by Pfizer. Dr E Alexander former White House Covid adviser to Trump government on the Stew Peters show made it clear that it is not the Pfizer injection that has been approved. It is another vaccine that is not available. He says it is a FDA trick. You need to correct this on your site as soon as possible

No, I am not wrong, and no, I am not going to change our articles. YOU are wrong. Here is the FDA Press Release from their website:

FDA Approves First COVID-19 Vaccine

If the FDA says it is approved, then it is approved. End of discussion.

And yes, I do understand that there is a lot of controversy around them approving this, and that it is illegal. This is what we have previously published:

The FDA did approve the Pfizer/BioNTech shots, but they also apparently extended the EUA on existing doses of the shot. So now there are apparently two different “vaccines” produced by Pfizer/BioNTech, one under the EUA, and one approved by the FDA yesterday.

The name of the one that the FDA approved is “Comirnaty.” You can read the FDA press release here.

A letter was sent by the FDA to Pfizer extending the EUA on existing doses, and you can read that letter here.

A letter was sent by the FDA to BioNTech approving the “Comirnaty vaccine,” and you can read that letter here.

It appears that even the “Comirnaty” shot is also still covered by an EUA.

So what?

Why do you people think that this is an issue worth arguing about? Do you think that you can use this information in a court of a law and prevent an employer or school from mandating that you get the shot?

Because if that is your motivation for emailing me and demanding that I retract these statements, then you are the fool.

And it doesn’t surprise me, as the message above I quoted shows, that these are mostly deranged Right-wing Trump supporters emailing this to me. They’ll believe just about anything if Trump or one of his high profile supporters say it is so.

Well I have some news for you from one who has fought against the FDA’s criminal actions for about 20 years now: Almost EVERYTHING the FDA does is illegal, and it has never stopped them before, so why would you expect them to stop now, when the stakes are so high and their bosses in Big Pharma are raking in $TRILLIONS for the COVID shots?

In 2019, before anyone even knew what the word “COVID” was, we published this article:

Study: 98% of FDA Laws Are Unconstitutional

Some excerpts:

Angela C. Erickson and Thomas Berry of the Pacific Legal Foundation have just published a new report examining illegally issued regulations at the Department of Health and Human Services (HHS).

Their study found that:

Unconstitutional rulemaking procedures are rife at HHS, especially at the FDA.

They analyzed who were the people making these rules at HHS in what they claim is the largest study ever done on this subject.

[This] has never been studied before: a large expansion of rulemakers who are not democratically accountable.

These unaccountable rulemakers are not constitutionally authorized to issue final rules that have the force of law.

But, as this study shows, that hasn’t stopped them.

The results of their study found:

that a majority of HHS regulations were illegally issued by low-level officials or career employees who had no authority to do so. The Food and Drug Administration (FDA) was the most frequent and clear-cut violator.

The FDA’s illegal rules were so numerous that they skewed the results for the rest of HHS.

Among FDA final rules, 98% were issued by career employees who have no constitutional authority to do so.

Read the full report.

Secondly, the courts have already ruled on whether or not an employer can mandate the COVID shots while they were all still under an EUA, and the employees lost. See this article we published on June 14, 2021:

Texas Judge Proves Relief from COVID-19 Bioweapon Shots will NOT Come from the Judiciary – Upholds Mandatory Shots for Hospital Workers

Excerpt:

A U.S. District Judge in “Red State” Texas who was originally appointed to his position by former President Ronald Reagan in 1985, has ruled against 117 Houston Methodist hospital employees who were suspended without pay for refusing to take an experimental, non-FDA approved COVID-19 shot as a condition for employment.

Not only did he rule against them, he wrote a scathing opinion mocking them, proving once again that Big Pharma controls the judiciary as well as the Republican Party and so-called “conservatives.”

In November of 2020, before the COVID-19 shots were even given emergency use authorization, we published an article about a “Stay of Action” that was filed against the FDA for using faulty PCR test results in determining if COVID-19 shots were “effective” in stopping “the virus.” See:

“Stay of Action” Filed Against FDA to STOP Approval of COVID Vaccine for Using Faulty PCR Tests in Trials

Dr. Mike Yeadon and other European doctors filed something similar against the EMA to stop this from getting approval.

And what was the result? NOTHING.

Anyone who still thinks that we will push back tyrannical medical psychopaths from implementing their plan to enslave everyone by taking them to court to “prove” all of this is illegal, is not living in reality.

There is only one way out of this: massive non-compliance. And here in the U.S., it most certainly will involve using the 2nd Amendment.

Here Come the Endless COVID “Booster” Shots

So while all of these deaths and crippling injuries that are being reported in VAERS following COVID-19 shots should have put a stop to this madness of mass vaccination of experimental shots a long time ago, the exact opposite is now happening: More COVID “booster” shots are on the way, and are already being implemented in Pfizer’s lab-rat country, Israel.

If you have a “Green Pass” in Israel because you got both Pfizer COVID-19 shots, it will soon expire if you don’t get a 3rd Pfizer “COVID-19 booster shot.”

After being confronted with the fact that widespread vaccination isn’t enough to stop COVID (just look at Israel’s case numbers), public health authorities in the tiny Mediterranean country have decided that the best solution is to double-down on the jabs by defying the WHO and demanding all citizens must get a third jab. Talk about moving the goalposts…

As Israel’s government expands availability of Pfizer-produced COVID booster shots to all inoculated residents age 12 and older, it has also decreed that all those who don’t opt for the third jab will lose their green pass privileges come October, according to a report in RT.

Effective from October 1, the “green pass” required for entry into some gatherings and public places will expire not only six months after the holder receives a second dose, but also six months after their third jab.

Read the full article at ZeroHedge News.

Here is Australia’s Chief Health Officer Dr Kerry Chant stating that Australians need to get used to “COVID vaccines” for years to come:

Chief Health Officer Dr Kerry Chant said health authorities would likely vaccinate NSW residents on a regular basis in the long term, or until vaccines are developed which provided more permanent COVID-19 immunity.

‘We need to get used to being vaccinated with COVID vaccines for the future … I can’t say COVID is not going to be with us forever,’ Dr Chant told reporters on Monday.

‘As a public health doctor we always want to have diseases go, to be totally eliminated, but that is not on the horizon in the near future.

‘Booster doses and repeat doses will be part of that.’

And here it is directly from the tyrant’s mouth. The CEO of Pfizer has already admitted that they are developing booster COVID shots for future variants that are not even here yet:

Meanwhile, existing, now “approved” COVID shots, will be given to children ages 5 to 11 by September.

And tell me again why it is so important that I need to go back and edit all of our articles that say the FDA has now fully approved the Pfizer COVID-19 shots because they “actually didn’t”?

You fools need to move on and start worrying about your children, especially if you are putting them in schools, because they are the target now, and no court of law is going to save you or your children.

Just ask the people in Florida who trusted that their Red State Governor had ended mandatory school masks.

Judicial Activism Strikes Again As Tallahassee Judge Strikes Down DeSantis Administration’s Mask Mandate Ban

See Also:

https://rumble.com/vkmlux-in-memoriam-victims-of-covid-19-vaccines.html

Nouvelle intervention du Dr Peter McCullough, webinaire avec Reiner Fuellmich (transcription intégrale et traduction).

Source.

Traduction

Reiner Fuellmich : Encore une fois, excusez-moi mais c’était extrêmement important. Nous avons beaucoup appris de notre « Quincy« , médecin-légiste maison, le Pr Burkhardt. Vous vous souvenez probablement de cette série télévisée, oui? [..] Je vous ai vu dans de nombreuses interviews, l’une d’entre elles sur Fox Television – je pense que la dernière était celle où vous avez déstabilisé l’animateur, Tucker Carlson. Quelle est votre opinion sur cette situation? Nous savons que beaucoup de médecins ont en quelque sorte changé d’avis au fil du temps, quand ils ont commencé à voir les nombreuses preuves qui indiquent qu’il n’y a vraiment pas de pandémie réelle mais qu’il se passe quelque chose d’autre. Que pensez-vous de ce qui se passe?

Dr Peter McCullough : Mon analyse en bref, c’est que je pense que nous sommes confrontés à une forme de bioterrorisme. Au niveau mondial. Il semblerait qu’il y a derrière tout ça de nombreuses années de planification, et que la première vague de ce bioterrorisme était un virus respiratoire qui s’est propagé à travers le monde, a touché relativement peu de personnes, environ un pour cent dans de nombreuses populations, mais a généré une grande peur. Le virus a provoqué un certain nombre de décès chez les personnes très fragiles et les personnes âgées. Sinon, pour les gens en bonne santé, ce n’était pas pire qu’un simple rhume. Mais cette peur a très rapidement été instrumentalisée, je trouve, de manière surprenante, pour exercer une énorme influence sur la vie humaine, les confinements et tout ce que nous savons. Et tout ce qui a été fait dans le cadre de la réponse de la santé publique à la pandémie a aggravé la situation. Les tests excessifs et même les confinements ont probablement aggravé la situation car le virus a évolué au fil du temps pour devenir plus contagieux. Chaque réponse a aggravé la situation.

Ce qui m’a fait m’impliquer en tant que médecin, c’est que je pensais que le virus allait être assez facile à traiter, une fois que nous avions compris qu’il y avait trois phases : la réplication, la tempête de cytokines et la thrombose. Et aussitôt que j’ai promulgué un traitement précoce, j’ai commencé à rencontrer une résistance à tous les niveaux vis-à-vis du traitement réel des patients, puis de la publication d’articles. Je suis l’éditeur de deux grandes revues, je suis dans le domaine de la publication, donc heureusement, j’ai eu assez de poids dans ce domaine pour arriver à publier ce qui constitue essentiellement les deux seuls articles de toute la littérature médicale qui enseignent aux médecins comment traiter le Covid-19 à la maison, pour éviter l’hospitalisation et la mort. Nous avons fait de notre mieux, sans aucun financement ni aucun soutien du gouvernement, et nous avons démontré que ça se traduisait par une réduction d’environ 85% des hospitalisations et des décès.

Ce que nous avons découvert, c’est que la suppression du traitement précoce était étroitement liée au développement d’un vaccin. Et l’ensemble du programme, lorsque, dans un sens, la première phase du bioterrorisme a été mise en place, visait en fait à maintenir la population dans la peur et l’isolement et à la préparer à accepter le vaccin, qui semble être la phase deux de cette opération de bioterrorisme. Le virus respiratoire et le vaccin introduisent tout deux dans le corps humain la protéine de pointe, le gain de fonction ciblé par cette recherche en bioterrorisme. Je ne peux pas déballer tout ça à la télévision nationale, ni aujourd’hui ni demain. Mais ce que nous avons appris au fil du temps, c’est que nous ne pouvions même plus communiquer avec les agences gouvernementales. En fait, nous ne pouvions même plus communiquer avec nos collègues propagandisés des grands centres médicaux, qui semblent tous être envoûtés – c’est presque comme s’ils étaient hypnotisés en ce moment. Et les médecins, les bons médecins, font des choses impensables, comme d’injecter à des femmes enceintes de l’ARN messager biologiquement actif, qui produit cette protéine de pointe pathogène. Je pense que quand les médecins se réveilleront de leur transe, ils seront aterrés de voir ce qu’ils ont infligé aux gens.

Notre stratégie était d’organiser, il y a beaucoup de groupes. Un groupe aux États-Unis appelé C-19, que j’ai organisé, beaucoup d’entre vous reçoivent leurs e-mails. Il comprend environ 1.000 personnes. Un autre groupe s’appelle le FLCCC, Frontline Critical Care Consortium. Un autre groupe international s’appelle Panda, je pourrais m’y impliquer. Il y a aussi Heart, Bird et Covid Medical Network, Treatment Domiciliary en Italie. On en est arrivé au point où les gens [inaudible] traitement précoce. Les gouvernements ont en fait essayé de bloquer le moindre milligramme de traitement pour quiconque. Nous avons donc décidé que nous devions transmettre notre message aux gens d’ici l’été. Il y a une association de médecins qui a travaillé avec nous, l’Association of American Physicians and Surgeons. Nous avons créé un guide du patient à domicile. Nous avons organisé aux États-Unis quatre services nationaux de télémédecine, 15 services régionaux. Nous avons réussi à toucher les gens et ceux qui sont tombés malades du Covid-19 ont appelé et ont obtenu des médicaments sur prescription dans les pharmacies locales ou à une pharmacie de distribution par correspondance. Et sans que le gouvernement comprenne vraiment ce qui se passait, nous avons aplati la courbe épidémique aux États-Unis vers fin décembre, janvier. Nous avons fondamentalement pris en charge la pandémie avec environ 500 médecins et services de télémédecine. Et à ce jour, nous traitons environ 25% de la population américaine à haut risque touchée par le Covid-19, les personnes âgées de plus de 50 ans, qui souffrent de problèmes médicaux ou qui présentent des symptômes graves. Nous avons fondamentalement géré la pandémie et en même temps, nous avons essayé de nous maintenir au-dessus de la mêlée politique. Et nous comprenons que la suppression du traitement précoce est étroitement liée à la vaccination.

Ensuite, nous avons attendu que soient diffusées toutes les nouvelles sur la vaccination et nous travaillons à changer la vision du vaccin dans le public . Le public a d’abord accepté le vaccin et nous avons entrepris de lui faire faire lentement demi-tour. Maintenant, les taux de vaccination aux États-Unis sont en baisse depuis le 8 avril et ils continuent de baisser chaque jour. Les centres de vaccination que je vois sont complètement vides et aux États-Unis, on tente désespérément de convaincre les gens de se faire vacciner. On offre des loteries dotées de prix d’un million de dollars. Toutes les universités qui tentent d’imposer la vaccination de force se heurtent à une résistance. Je suis l’expert principal dans l’affaire Bellwether Houston Methodist, qui est actuellement plaidée devant un juge du Texas [NdT. qui l’a rejetée avec une mauvaise foi spectaculaire] et qui va être rapidement portée devant la Cour Suprême du Texas, [une affaire] où l’Hôpital Méthodiste de Houston – un hôpital de premier plan – tente de forcer ses employés à recevoir le vaccin. Nous avons déjà appris que ça ira jusque devant la Cour Suprême. Ce sera une affaire à très haute visibilité. Nous sommes donc très actifs aux États-Unis, nous engageons de plus en plus d’avocats. C’est formidable de vous avoir, vous et votre équipe, impliqués au niveau international et j’imagine que nos positions sur presque tout ce que je viens de dire sont alignées.

Reiner Fuellmich : Permettez-moi de traduire rapidement mais donnez-nous une chance car je ne veux pas être impoli mais j’ai complètement oublié de vous présenter car je pensais que tout le monde vous connaissait. Je pense que la plupart des gens vous connaissent, mais parlez-nous un peu de votre parcours.

Dr Peter McCullough : Donc permettez-moi de me présenter. Je m’appelle Peter McCullough, je suis Professeur de Médecine au Texas A and M College of Medicine sur le campus de Baylor, Dallas, je pratique la médecine interne et la cardiologie. Lorsque la pandémie a frappé, j’ai recentré tous mes efforts sur Covid-19. Je suis rédacteur en chef de Reviews in Cardiovascular Medicine, je suis rédacteur en chef de Cardiorenal Medicine, c’est mon domaine de recherche, rédacteur en chef associé principal de l’American Journal of Cardiology, je suis président de la Cardiorenal Society et dans le domaine des interactions cardiaques et rénales, je suis la personne la plus publiée dans mon domaine au monde dans l’histoire. Et j’ai acquis une grande expérience dans le traitement du Covid-19. J’ai publié les deux principaux articles sur le traitement et j’ai dirigé l’initiative de traitement précoce aux États-Unis. Donc, que les gens le veuillent ou non, j’ai assis mon autorité médicale en accomplissant ces actions dans une plus large mesure que quiconque dans les agences de santé publique ou que tout autre médecin des médias.

Reiner Fuellmich : Merci beaucoup. Nous sommes vraiment très heureux que vous soyez de notre côté, extrêmement reconnaissants. Je vais traduire ça. […] Il semble donc qu’aux États-Unis au moins, les choses changent vraiment en ce moment.

Dr Peter McCullough : Oui, nous avons clairement eu un impact. Je vis au Texas où nous n’avons jamais subi de confinement, j’étais un ardent partisan de la politique de laisser tout ouvert. Nous avons 35 médecins traitants prêts à aller à l’encontre des centres médicaux et à soigner les patients. Nous avons réussi à convaincre notre gouverneur de publier un décret exécutif qui reconnaît l’immunité naturelle, qui interdit toute obligation vaccinnale par les agences publiques, qui interdit les passeports vaccinaux, qui interdit tout passeport discriminatoire. Nous avons récemment fait adopter une loi similaire pour les employeurs privés. Cependant, nous n’avons pas pu interdire aux employeurs privés d’exiger le vaccin, de sorte que cet aspect va être porté devant les tribunaux. Dans l’affaire du Houston Methodist Bellwether, nous sommes très actifs. Il y a America’s Frontline Doctors, un autre groupe, qui a déposé en Alabama une ordonnance restrictive temporaire contre la vaccination pédiatrique. Et nous avons déposé des dossiers devant l’État du Maine contre l’encodage erroné des résultats des tests positifs, qui gonfle le nombre de cas et de décès. Nous agissons dans des domaines très variés. Nous avons des alliés à Washington, le Sénateur Ron Johnson et le Sénateur Rand Paul. Nous avons des alliés dans les médias, principalement Fox News, Real News et OAN. Nous n’avons pas encore CNN ou MSNBC. Mais le groupe C-19, que j’ai plus ou moins créé, passe maintenant à la télévision nationale presque tous les soirs aux États-Unis pour fournir un contre-point de vue à Anthony Fauci et à Walensky, au CDC et au NIH et nous faisons appel à différents experts et continuons à apparaître au peuple américain comme ayant davantage de crédibilité scientifique que les agences.

Viviane Fischer : Et pourquoi pensez-vous que cette fenêtre d’opportunité s’est ouverte pour vous permettre de passer à la télévision nationale? Ce n’est pas rien. Ici, à ce stade, c’est fondamentalement impossible.

Dr Peter McCullough : Nous avons bénéficié d’une aide dans les médias. Il y avait des gens aux yeux ouverts, prêts à diffuser des interviews de haut niveau. Nous avons de bons contacts sur les réseaux sociaux partout dans le monde, qui ont vraiment servi à amplifier ce courant. Bien que nous soyons constamment censurés sur Twitter et YouTube, nous continuons à trouver de nouvelles stratégies pour faire valoir nos arguments. Nous fonctionnons sur base de preuves. Les États-Unis, c’est un pays de rebelles et de gens qui aiment enfreindre la loi et c’est ce que nous sommes. Il y a Children’s Health Defense, Robert F. Kennedy, Del Bigtree, il y a beaucoup de gens très connus. Le Sénateur Rand Paul a déclaré « Je ne recevrai pas ce vaccin, j’ai eu le Covid-19. » Le Sénateur Johnson aussi. Sebastian Gorka qui m’a interviewé – il était dans l’administration Trump – il m’a interviewé, il va s’exprimer dimanche soir et dire qu’il a pris de l’hydroxychloroquine et a vaincu le Covid-19 en décembre, et qu il ne recevra pas ce vaccin. Il nous faut des gens qui font ces déclarations publiques. Par exemple sur Real TV avec Dan Ball, qui sera diffusé dans quelques heures, il va annoncer qu’il ne recevra pas ce vaccin. Nous avons contribué à empêcher le district scolaire de Los Angeles d’imposer le vaccin, c’est l’école ou vont ses enfants et ils ont fait machine arrière sur leurs exigences. Nous travaillons très dur. Notre stratégie est la suivante : nous savons que c’est du bioterrorisme, nous savons que c’est la phase deux de ce bioterrorisme et nous ne savons pas qui est derrière mais nous savons qu’ils veulent « une aiguille dans chaque bras », afin d’injecter de l’ARN messager ou de l’ADN adénoviral dans chaque être humain. Ils visent chaque être humain. Nous ne pourrons pas l’empêcher pour tout le monde, mais notre objectif est d’avoir un grand nombre de gens auxquels ils ne pourront pas accéder, qu’ils ne pourront pas vacciner. Ça inclurait les patients qui ont guéri du Covid, les patients dont on suspecte qu’ils ont guéri du Covid, les personnes immunisées, les enfants, les femmes enceintes, les femmes en âge de procréer. Nous tentons de constituer ce grand groupe et si nous y arrivons et que nous les brisons, si nous brisons leur projet « d’une aiguille dans chaque bras », je pense que nous dévoilerons le plan qui se cache derrière « une aiguille dans chaque bras ».

Reiner Fuellmich : Je suis vraiment content que ça arrive maintenant aux États-Unis parce qu’il a fallu un certain temps pour que les gens s’y mettent vraiment. Nous sommes en contact étroit et en étroite coopération avec les avocats que vous… Vous n’avez mentionné aucun nom mais je sais que vous connaissez Anna Garner et Tom Renz qui travaillent en Sierra Leone et en Alabama. Bien sûr, nous coopérons étroitement avec CHD, Bobby Kennedy, Mary Holland [NdT. l’avocate de Chidren’s Health Defense], et nous coopérons également étroitement avec ces personnes et avec d’autres dans d’autres pays, comme sur le continent africain par exemple. Et il se passe des choses très positives en ce moment. Ce qui est tragique, c’est qu’ici en Allemagne, je pense qu’il y a maintenant un taux de vaccination où il n’y a que 19% des gens qui ont reçu leur deuxième vaccin – ce qu’on appelle « vaccin » – mais il y en a près de 50% qui ont reçu leur premier vaccin. Et chaque fois que je prends le taxi, par exemple, quand je parle aux chauffeurs, c’est très facile de parler avec eux parce qu’ils semblent comprendre beaucoup plus que la plupart des scientifiques et des médecins qui apparaissent dans les médias grand public. Et ils diffusent l’information. Mais c’est plus important, je pense, et c’est ce qu’on essaie de faire ici en Allemagne et à l’international, c’est plus important de faire passer le mot, d’expliquer aux gens, pour faire sortir la vérité, de leur expliquer ce que provoquent ces injections. Et j’ai vu une de vos interviews qui a été quasiment reprise par vos collègues au Canada. Nous avons parlé avec le Dr Roger Hodkinson, nous avons parlé avec le Professeur Luc Montagnier et avec Byram Bridle – non, nous n’avons pas encore parlé avec Byram Bridle. Mais tout le monde s’accorde à dire que ça doit cesser immédiatement. C’est excessivement, monstrueusement dangereux. Nous avons entendu parler du fait que chez les femmes enceintes qui ont reçu les injections, ça se retrouve dans leur lait maternel bien sûr – je ne sais pas si c’est vous qui l’avez dit ou Byram Bridle – et il y a des cas de nourrissons allaités qui ont souffert de troubles de la coagulation et d’autres problèmes . C’est donc quelque chose de monstrueux qui doit être arrêté, et je pense que tout le monde est d’accord là-dessus.

Dr Peter McCullough : Nous essayons de faire passer un message de santé publique qui pourrait vraiment attirer l’attention de la Santé Publique. Je pense que c’était il y a environ une semaine, Harvey Risch et moi sommes passés sur Fox News et Harvey Risch a décrit la vignette [le rapport sur VAERS] de la femme allaitante qui a reçu le vaccin, ce qui a tué son bébé. A ce jour, il y a eu 800 cas de jeunes qui ont développé une myocardite ou une inflammation du cœur. Et parce que je suis cardiologue, j’ai là-dessus une position d’autorité clinique. Je dirais que, vu qu’il n’y a aucun avantage clinique chez les jeunes à se faire vacciner, même un seul cas est de trop. Le CDC a publié ses diapositives aujourd’hui et sa conclusion est « Nous allons faire une nouvelle réévaluation un peu plus tard en juin. » Donc nos agences n’ont rien fait pour réduire les risques du vaccin, ce qu’on appelle l’atténuation des risques. J’ai présidé plus de 2.000 conseils de surveillance de la sécurité des données pour la FDA et les National Institutes of Health, et dans ce programme, il n’y a pas de comité des événements critiques, il n’y a pas de conseil de surveillance de la sécurité des données et il n’y a pas de comité d’éthique humaine. Ces structures sont obligatoires dans toutes les grandes investigations cliniques. Le mot qui convient vraiment pour décrire ce qui se passe est malfaisance, méfait par ceux en position d’autorité. Et sans aucune mesure de sécurité en place, on peut voir ce qui se passe lors de l’administration… Fondamentalement, c’est la plus grande application d’un produit biologique qui provoque la plus grande morbidité et mortalité dans l’histoire de notre pays. Nous sommes à plus de 5.000 décès, comme vous le savez, et, je pense, à 15.000 hospitalisations. Dans l’UE, c’est plus de 10.000 décès. Nous travaillons avec le Center for Medicaid Services, les données du CMS, et nous avons un assez bon indice qui montre que le nombre réel est 10 fois supérieur. Il est 10 fois supérieur.

Nous savions grâce aux données de Harvard en 2016 que le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) ne rapporte qu’environ 10% de ce qui se passe réellement, nous avons donc dû obtenir une autre source de données. Et nous avons des informateurs. Nous avons maintenant un lanceur d’alerte au sein du CMS, nous avons deux lanceurs d’alerte au sein du CDC. Et ceux-ci sont en action en ce moment afin de sortir l’information. Ce serait donc un facteur de 10. Nous pensons qu’il y a eu 50.000 américains morts. 50.000. Nous avons donc en fait plus de décès par jour dus au vaccin que certainement, ceux dus à la maladie virale, et de loin. C’est fondamentalement, dans un sens, du bioterrorisme propagé par injection.

Reiner Fuellmich : Oui. Et la grande question est de savoir qui est derrière tout cela. L’image se précise. Oui, je dois traduire rapidement.

Viviane Fischer : Combien d’états sont exempts de confinement ou des nuisances engendrées par les mesures corona?

Dr Peter McCullough : Je ne connais pas les chiffres mais il est clair que ce sont principalement le Texas et la Floride, ce qui est bien – ce sont deux très grands états. Et la Floride compte le plus de personnes âgées et ils ont donc montré – c’est là que Covid frappe le plus – que nous avons fait preuve d’une grande résilience dans ces États indépendants, grâce à leurs gouverneurs. Je viens de recevoir l’e-mail de Laura Ingraham de Fox News, juste pour vous donner une idée. Au moins, nous avons une grande chaîne d’information avec nous. Son e-mail dit « Ce soir, nous parlerons d’ici quelques heures de la méfiance envers Fauci et envers les élites médicales qui se plient à ses ordres, des retombées de ses e-mails demandant une étude sur l’hydroxychloroquine, qui ont montré que le médicament était injustement calomnié, et finalement de cette nouvelle inquiétude quant aux problèmes cardiaques chez les jeunes hommes après leur deuxième vaccination. Le public a très peu confiance dans ce qu’on leur dit en termes de vie ou de mort. » Vous voyez les progrès que nous avons faits question médias, au moins certains des médias sont maintenant nos alliés. Ce que j’ai appris de tout ça, c’est que nous avons dû renoncer aux publications scientifiques, nous avons dû renoncer à plein de choses, et que nous devons nous adresser directement au public.

Reiner Fuellmich : Oui, c’est précisément ce que nous pensons aussi. Il y a un grand média ici dans ce pays qui a fait preuve d’esprit critique – pas trop critique mais critique jusqu’à un certain point. Ils viennent de sortir, je pense hier ou avant-hier, une histoire qui explique comment le gouvernement – notre propre gouvernement – a frauduleusement informé les gens sur le fait que le système de santé était submergé, alors qu’il ne l’était pas. Ils nous ont donné des chiffres complètement faux, des chiffres complètement faux en ce qui concerne les lits de soins intensifs. Nous en avions beaucoup plus qu’ils ne le prétendaient et il y a également eu des incitations financières concrétes pour garder ces lits inoccupés et pour cela beaucoup d’argent versé aux hôpitaux et aux médecins. Mais c’est tout, le seul point positif est que tout ça est sorti au grand jour, donc nous serons en mesure de l’exploiter, et nous le ferons. Parce qu’il y a assez de gens prêts à se battre et je pense qu’il y en a beaucoup d’autres qui n’ont tout simplement pas pu se résoudre à s’exprimer ouvertement. Mais il y en a quelques-uns parmi ceux que nous venons de rencontrer aujourd’hui, y compris le médecin qui a sauvé cette femme que nous avons interviewée il y a quelques semaines.

Wolfgang veut poser une question. Oui?

Wolfgang Wodarg : Oui, une chose ou deux. La première concerne les hôpitaux. Nous avons les données de l’administration qui contrôle le gouvernement et supervise les dépenses d’argent, ils donnent des chiffres clairs, ils disent que les soins cliniques en Allemagne ont dépensé près de 1.500.000.000€ de plus que la normale l’année dernière et ils ont eu 8% de patients en moins sur la même période. Donc ils ont reçu beaucoup d’argent mais le système clinique en Allemagne n’a jamais été surchargé. Et d’autre part, vous parlez de bioterrorisme et je voudrais faire la distinction, parce que vous parlez de bioterrorisme par vaccination et je pense que vous avez raison quand vous dites ça. Parce que je ne pense pas qu’il y ait un virus dangereux en circulation actuellement. Car si on parle de bioterrorisme par virus à gain de fonction, je suis absolument sûr que les virus à gain de fonction, s’ils se propageaient, ils ne pourraient pas se propager car ils tueraient leurs hôtes. Ce serait un virus très stupide s’il tuait son hôte. [NdT. j’ai déjà commencé à démonter cet argument dans d’autres articles et j’y reviendrai. Je trouve difficile à croire qu’un pneumologue puisse être aussi obtus. Vous noterez dans le reste de l’interview que le Dr McCullough n’est pas dupe non plus] Je tiens à dire aux gens qu’ils ne doivent pas avoir peur de virus dangereux issus de laboratoires, afin que les gens ne soient pas terrifiés en pensant qu’il se passe quelque chose de spécial. C’est juste un virus Corona et nous connaissons les virus Corona, les virus Sars, les coronavirus Peta, depuis 20 ans. Et notre système immunitaire les connaît. N’ayez pas peur du virus mais ayez peur de la vaccination. Le bioterrorisme, c’est la vaccination et non le virus.

Dr Peter McCullough : Oui, je suis d’accord avec vous pour dire que l’immunité naturelle sera capable de gérer les variants, d’après ce que je peux voir. Je ne prédis pas d’autre vague. En fait, lors de ma dernière apparition à la télévision, j’ai dit à l’Amérique « Il n’y aura pas d’autre vague. » Et donc quand je m’exprime, quand je parle à l’Amérique, je suis très positif, je donne un message très joyeux, je calme le pays et quand je le fais, Fauci et les autres ne le supportent pas car ils veulent promouvoir la peur, ils veulent promouvoir la souffrance et ils veulent promouvoir ce vaccin – c’est leur message. Nous faisons tout le contraire et nous sommes d’accord avec vous. Maintenant, ce qui pourrait se passer, c’est, disons qu’il y a un adversaire, disons simplement que c’est la Chine. Ils pourraient négocier à un niveau très élevé, dire « Écoutez, C-21. Nous avons un virus plus virulent et nous voulons un statut commercial favorable ou d’autres choses encore » parce qu’ils vont dire « Nous vous avons montré ce qui peut arriver avec une première salve, nous en avons [d’autres] » donc il pourrait y avoir une menace.

Mais je suis d’accord avec vous en ce qui concerne l’infection naturelle. Ça va se déplacer, je pense que ça va frapper l’Asie du Sud-Est. Ça va toucher des populations plus vulnérables. Mais si nous réagissons simplement avec un traitement pour chaque cas, le Mexique, les pays d’Amérique du Sud, les États-Unis et maintenant l’Inde, nous traitons chaque cas et nous aplatissons les courbes avec un traitement précoce rien qu’en traitant les patients à haut risque. En soignant les patients avec un traitement multimédicamenteux, nous réduisons la durée des symptômes, nous réduisons considérablement la propagation et nous réduisons les hospitalisations et les décès. C’est très, très important, c’est la seule chose qui le permet. La vaccination ne le permet pas. La vaccination, du fait que les personnes qui reçoivent le vaccin ont moins d’un pour cent de chances d’entrer en contact avec le virus et quand ça arrive, elles ont bien moins de 1% de risque d’attraper le virus. Il est impossible que le vaccin ait un impact sur la courbe épidémique et c’est un autre message que nous transmettons au public. Parce que les gens qui font la promotion du vaccin vont crier victoire, que tout a fonctionné en leur faveur et Brown au Canada [NdT. je publie bientôt la traduction] et d’autres ont fait d’excellentes analyses. Il est mathématiquement impossible que le vaccin ait un impact. Le CDC aux États-Unis a enregistré 10.000 cas d’infection post-vaccinale [NdT. « breakthrough cases », c’est-à-dire des personnes vaccinées qui développent le Covid], de véritables cas d’infection post-vaccinale où le vaccin a échoué. Et nous ne connaissons pas le dénominateur mais nous savons que ça demande beaucoup de travail et notre lecture de leur action est qu’ils ont été submergés par le nombre de cas d’infection post-vaccinale, submergés, ils ont abandonné. À la fin du mois de mai, ils ont abandonné, ils ont dit « Nous cessons de suivre les cas d’infection post-vaccinale. »

Wolfgang Wodarg : Nous savons qu’une fois les études cliniques terminées, la réduction du risque absolu est d’environ un pour cent. Et les autres étaient déjà immunisés donc c’est ridicule. Le fait de la vaccination, pour protéger les gens, est ridicule.

Dr Peter McCullough : C’est complètement ridicule. Nous avons des données de la Cleveland Clinic, qui vient de publier que 50 pour cent des personnes qui sont déjà immunisées, naturellement immunisées, reçoivent quand même le vaccin parce que le gouvernement leur a dit de se faire vacciner. Nous avons des données de trois études, deux au Royaume-Uni et une aux États-Unis, montrant que parmi tous ceux qui reçoivent le vaccin, environ 30 pour cent sont déjà immunisés […]. Vous pouvez donc voir comment le vaccin est manipulé, tout ça est manipulé. Ça devrait être très évident maintenant le CDC a révisé le seuil de cycle à la baisse afin d’obtenir moins de cas. Donc ça va ressembler à un truc dans le genre : le vaccin nous a sauvés. Peut-être que la question à se poser à propos de cette injection bioterroriste est, pourquoi l’ont-ils rendue si toxique? À l’heure actuelle, tant de gens meurent, alors pourquoi ne l’ont-ils pas rendue plus acceptable? Parce que je pense que la vraie charge utile du bioterrorisme va être dans les boosters.

Reiner Fuellmich : C’est ce que nous commençons à craindre aussi. Laissez-moi vous expliquer pourquoi Wolfgang a dit ça, car l’autre jour, j’ai été interviewé par Steve Bannon et il m’a écouté. Il n’était pas tout à fait d’accord parce qu’il semble que tout ça était nouveau pour lui. Mais c’est ce qui s’est réellement passé, nous l’avons appris en discutant avec deux anciens employés de l’OMS. Il y a eu un accident à l’Institut de Virologie de Wuhan et les Chinois étaient vraiment inquiets, c’est pourquoi ils ont ordonné à la personne qui dirige ce laboratoire de revenir immédiatement. [NdT. il y a eu de nombreux cas reconnus officiellement avant cette fameuse fuite, ailleurs qu’en Chine, et j’y reviendrai aussi] Et alors qu’elle était encore dans le train, ils ont supprimé leur site Web pour brouiller les pistes. Ils étaient vraiment inquiets. Mais au bout de deux ou trois semaines, ils ont réalisé qu’il ne s’était pas passé grand-chose. Cependant, l’autre côté, comme nous les appelons, a vu ça comme un possible tremplin ou comme un incident déclencheur pour mettre en œuvre le programme qu’ils avaient planifié depuis au moins 10 ans. Ils l’avaient planifié depuis plus longtemps, mais depuis 10 ans, nous pouvons le voir, il avaient élaboré des plans concrets et la répétition générale – je suppose qu’on pourrait l’appeler un essai – c’était l’Event 201, qui est en réalité l’événement 21 parce que le [?] est la Terre en octobre 2019. C’est donc à ce moment-là qu’ils ont décidé, « Nous allons saisir cette opportunité » et c’est à ce moment-là qu’ils ont prévenu Drosten et c’est pourquoi nous étions à cette audience ce matin, à l’enquête. C’est à ce moment-là qu’ils ont dit à Drosten : « Commencez votre travail sur votre test PCR. » Il a commencé son travail le soir du Nouvel An, estimons-nous. Et quelques semaines plus tard, les 22 et 23 janvier, il y a eu une énorme pression, probablement de la part de l’industrie pharmaceutique, sur l’OMS pour finalement déclarer une urgence de santé publique de portée internationale parce que c’est nécessaire pour obtenir une autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis pour ces vaccins, qui n’ont jamais été testés, ou une autorisation d’utilisation conditionnelle ici en Europe. Mais ils n’ont pu s’entendre sur rien parce qu’il n’y avait pas de cas. Mais ils se sont mis d’accord sur une chose, ils allaient tenir une deuxième réunion d’urgence deux semaines plus tard, début février. Et c’est à ce moment-là qu’ils ont déclaré l’urgence de santé publique de portée internationale. Pourquoi? Parce qu’ils avaient utilisé le test de Drosten, parce qu’il avait mis ce test à leur disposition, ce test PCR, et ils l’ont imposé comme l’étalon-or pour le monde entier, comme l’étalon-or pour détecter les infections. Comme nous l’avons tous appris entre-temps, il est impossible de détecter les infections avec le test PCR et comme nous le savons également grâce aux personnes qui… L’un des experts est le Dr Mike Yeadon, avec qui je sais que vous êtes en contact, et il nous a dit que si on monte jusqu’à 35 cycles d’amplification, on se retrouve avec au moins 97% de faux positifs. Ce type avait établi ses cycles d’amplification jusqu’à 45 alors devinez quoi? Ce sont tous des faux positifs. C’est pourquoi Wolfgang disait, ce n’est pas l’accident, ce n’est pas le virus dangereux qui s’est échappé du laboratoire. Ce sont les vaccinations dont nous devons nous inquiéter et c’est probablement vrai. Je ne peux pas en juger parce que je ne suis pas médecin, mais il est probablement vrai que nous devons vraiment avoir peur des boosters.

Dr Peter McCullough : Nous avons beaucoup appris. Vous avez probablement examiné ce cas d’autopsie en Allemagne il y a quelques jours à peine. Nous avons appris que – je suis sûr que vous savez tout ça, mais – le Salk Institute et les fabricants nous ont dit que les nanoparticules lipidiques et l’ARN messager restent dans le bras, ce n’est pas le cas. Ils sont distribués ailleurs [dans le corps]. Nos radiologues savent que les seins deviennent incroyablement enflammés chez les femmes, à tel point qu’ils n’arrivent pas lire une mammographie – ils ont en fait changé leurs critères pour la mammographie, du moins dans mon hôpital, je ne sais pas ailleurs – et que l’autopsie a montré qu’en fait il y a une énorme distribution de… Nous l’avons examinée, la protéine de pointe est clairement pathogène, le gain de fonction [engendre] une mutation d’une séquence de quatre acides aminés au niveau de la zone de clivage de la furine. Il y a quatre domaines codants pour le VIH, nous nous sommes toujours demandés pourquoi le comptage des lymphocytes était en baisse. L’e-mail qui a été envoyé à Fauci qui dit « Hé Tony, comment as-tu fait pour coder le VIH là-dedans? » montre clairement ce qui se passe. C’était absolument à dessein, il s’agit d’une arme de bioterrorisme. Et injecter de l’ARN messager ou de l’ADN adénoviral et provoquer une production incontrôlée de la protéine de pointe dans le corps humain est une proposition biologiquement très, très dangereuse. Nous ne savons pas ce qui contrôle les hauteurs de production de la protéine de pointe, ni les organes dans lesquels elle est produite, ni où elle circule. Nous savons qu’elle provoque une forme unique de thrombose qui est en partie une hémo-agglutination parce que la protéine de pointe se fixe aux résidus d’acide sialique sur les globules rouges. Normalement dans la coagulation, les globules rouges ne sont pas impliqués mais ici les globules rouges le sont. Nous savons que, par exemple, les Italiens ont montré que lorsque la saturation en oxygène descend dans les poumons, il se produit une micro-thrombose. Vous pouvez donc imaginer bien sûr que donner du Remdesivir chinois à une personne atteinte de micro-thrombose ne sert à rien.

Une personne à qui vous pourriez peut-être parler – il est un peu extravagant mais il est intéressant, il a de l’influence – c’est Steve Kirsch. Steve Kirsch est millionnaire et Steve Kirsch a fait l’annonce publique d’une récompense de 2.000.000$, en disant : « Quelqu’un peut-il démontrer que le CDC, la FDA ou le NIH ont fait une seule chose correcte dans la réponse à la pandémie? Si vous le pouvez, nous paierons 2.000.000$. » Personne ne s’est manifesté, personne n’a même écrit de lettre. On a donc affaire à une erreur colossale. Et bien sûr les chaînes d’informations sont intéressées, le cycle de l’actualité reprend toujours ce genre de choses. Notre objectif est de faire passer le message au public, de demeurer impeccables et irréprochables au niveau de notre intégrité scientifique, de toujours nous présenter de manière très professionnelle et de voir si nous pouvons gagner l’opinion publique afin qu’un certain nombre de personnes ne se fasse pas vacciner. Une fois que ce sera fait et qu’on y verra plus clair, je pense que nos adversaires seront démasqués. Pourquoi voulaient-ils ce vaccin? Nous assistons à des problèmes de sécurité tout à fait incroyables. On voit des thromboses de la veine porte, j’ai vu ça chez mes patients, des infarctus du myocarde, des myocardites. J’ai vu une femme hier au bureau, sa mémoire s’est complètement effacée après le vaccin. C’est totalement déconcertant. Nous remplissons les formulaires de rapport des effets secondaires et tôt ou tard, l’opinion publique finira par se retourner.

Il y a deux grandes populations très méfiantes aux États-Unis, il y a les Afro-Américains qui représentent 12% et il y a les Hispaniques qui représentent 20%, et ils ne veulent majoritairement pas du vaccin. Nous travaillons avec des églises afro-américaines, nous faisons des conférences et les Afro-Américains disent : « Nous savions que le gouvernement nous mentait. » Donc, ils le savent déjà. Voilà donc notre plan en quelques mots. Je pense que nous sommes vraiment complètement sur la même ligne. Nous devons cependant gagner de grosses affaires. Anna Garner, tous ces gens, Mike Renz, nous devons gagner. Honnêtement, vous pensez que les médecins ont peur? Mais les avocats ont peur! Je suis étonné de voir combien d’avocats sont si craintifs. Ils ne peuvent même pas déposer une lettre d’intention. Nous avons un avocat, il a fait un modèle et il a dit « Je vais vous montrer comment déposer votre propre lettre d’intention, vous payez vous-même les frais. » J’ai répondu, « Bon Dieu, je suis médecin, je suis une personnalité médiatique, je m’occupe de patients, je suis éditeur, [?], je dois maintenant faire mon propre travail juridique ? » C’est vraiment incroyable de voir à quel point la peur s’est emparée de tout le monde.

Reiner Fuellmich : Le fait est qu’à l’échelle internationale, j’ai l’impression que nous ne coopérons qu’avec 100 avocats seulement. 100 avocats, dans le monde entier. Il devrait y en avoir beaucoup plus, bien sûr. Mais nous progressons grâce à ces cas, ceux que vous mentionnez, et il y a quelques cas vraiment importants sur lesquels nous travaillons tous, y compris nos collègues américains. Je ne peux pas vous donner les détails parce que nous ne voudrions pas que ça soit compromis de quelque manière que ce soit. Mais vous avez raison, c’est la seule voie à suivre, en procédant prudemment, d’une manière scientifiquement correcte, sans écume au bord des lèvres, pour qu’enfin on gagne l’opinion publique et qu’ensuite on démasque les gens qui sont derrière ça.

Dr Peter McCullough : Exact. Je vais vous dire ce que je pense être des distractions, qui nous feraient perdre notre temps. C’est le sujet du port de masques. Par exemple, ils aimeraient nous voir nous disputer au sujet des masques pendant qu’eux continueraient à faire leurs injections, n’est-ce pas? J’essaie donc de ne pas faire des masques notre cheval de bataille. Dans un autre domaine, il y a cette notion extrême que la maladie n’existe pas, comme le prétend Dolores Cahill. Je pense que c’est un peu une perte de temps car nous avons obtenu suffisamment d’informations du séquençage, nous pouvons le voir dans la [?] capside, nous savons qu’elle est physiquement présente dans certains cas. Nous savons que beaucoup de choses sont largement surestimées, avec tout ce que vous avez mentionné, et nous savons que beaucoup de choses sont dissimulées. Dans mon système de santé hospitalier, par exemple, les cas de Covid sont considérés comme des patients « break-the-glass » [NdT. Le système « break-the-glass » est une alerte dans un dossier de santé électronique qui s’affiche lorsqu’un clinicien ou un utilisateur final essaie d’accéder au dossier d’un patient dont l’accès est limité], ce qui signifie qu’ils sont admis dans des unités fermées, où nous ne pouvons même pas voir ce qui se passe. Donc, s’ils ne sont pas ouverts à l’examen par les pairs, il n’y aura pas d’examen par les pairs accessible, il y a donc une rupture du processus normal, même au sein des services de soins de santé. Mais ce que nous voulons obtenir, nous avons besoin d’aide, nous avons besoin de l’aide de psychiatres. Il y a un état de transe, il y a des médecins qui disent à leurs patients de se faire vacciner, les patients se font vacciner et meurent de thrombose. Et les médecins ne font rien, ou ils injectent aux femmes enceintes de l’ARN messager expérimental. C’est une histoire d’horreur, quelque chose qui ne se produirait jamais dans le cadre d’une bonne pratique clinique, des médecins disent qu’ils n’accepteront pas dans leur salle d’attente les patients qui n’ont pas reçu le vaccin. Je pense qu’une cible prioritaire est, et c’est de ma responsabilité, de mettre les médecins de notre côté. Les médecins sont un énorme problème.

Reiner Fuellmich : Et nous avons besoin de vous, n’est-ce pas, et c’est ce que j’ai dit dès le début. C’est une énorme opération psychologique. Nous devons parler aux psychiatres et aux psychologues. Et ils utilisent comme arme principale, ils utilisent les médias grand public pour endoctriner les gens avec ce paquet de panique qu’ils ont mis au point pendant de nombreuses années. Les malades de l’autre côté, décidément très malades…

Dr Peter McCullough : Voyez ce professeur chinois d’Emory, elle passe sur CNN. Et ils sont allés encore plus loin, ils ont lié le vaccin aux libertés. Et ça s’est déjà produit en Europe, ils ont dit « Les gens doivent comprendre qu’ils doivent se faire vacciner pour retrouver leur liberté. » C’était « Waouh! »

Wolfgang Wodarg : Nous connaissons ça de la mafia. C’est exactement ce que font ses membres, c’est une très, très vieille méthode. Si vous nous laissez vous protéger, vous devrez payer un peu, tout ira bien. Si vous ne nous laissez pas vous protéger, vous allez voir ce qui se passera. [NdT. ce que j’ai explicitement décrit dans cet article]

Dr Peter McCullough : […] La plupart de ces actions ne sont en fait que de la pure intimidation. Par exemple, il y a plusieurs universités aux États-Unis qui déclarent qu’elles exigeront le vaccin. Fait intéressant, ils exigent le vaccin pour les étudiants mais pas pour les professeurs. Vous savez, le CDC, le NIH et la FDA, leurs membres ne reçoivent pas le vaccin, ce qui est assez intéressant. D’après ce que je sais, ils n’ont rédigé aucune politique interne. Les hôpitaux sont tenus d’avoir une politique et celle-ci doit être certifiée et figurer dans la bibliothèque des politiques [hospitalières], car les hôpitaux des États-Unis sont accrédités par la commission paritaire d’accréditation des hôpitaux. Il n’y a donc pas eu de politiques signées parce qu’ils savent qu’ils ne peuvent pas rédiger une politique exigeant un vaccin expérimental. Il peut y avoir une politique qui oblige les gens à faire de la recherche. Mais si une institution, un hôpital ou une université exige un vaccin sans politique [écrite], c’est par définition du harcèlement ou de l’intimidation. Il y a maintenant des parents qui déposent des lettres d’intention qui qualifient ce harcèlement et ils les déposent auprès des agents de conformité, auprès du bureau de l’ombudsman, auprès des bureaux qui, selon leur charte, doivent prendre des mesures internes. Nous faisons donc faire à ces institutions une quantité incroyable de travail administratif. Nous les punissons pour leurs actions. Le district scolaire de Los Angeles a reculé, la Louisiana State University a reculé, nous avons remporté une victoire au Texas au niveau de l’État et des employeurs privés. Nous devons donc persévérer et ensuite, espérons-le, la psychologie de masse [inaudible] ni de formation psychologique mais quand je prends la parole, je n’ai pas de préparation adéquate, je fais juste de mon mieux. Mais je suis médecin, je ne suis pas une personne des médias.

Je voudrais ajouter une chose avant d’oublier. Le Dr Bakhti, le Dr Yeadon, le Dr Vandenbosche et même le Dr Bridle. Voici le problème : trop long. Quand ils font une vidéo d’une heure et demie, ils sont complètement inefficaces pour faire passer le message, complètement inefficaces. Ils doivent adapter leur message à une durée d’une minute ou deux. Les gens font des références à ces vidéos mais c’est perdu d’avance. Non seulement ça, mais ils ne sont pas crédibles, ils n’ont pas l’air crédibles. Bakhti, Laura Ingraham l’a reçu une fois et Bakhti qui était assis là a commencé par « Si nous vaccinons le monde, nous sommes condamnés », comme ça, elle a répondu « D’accord, merci Docteur » et ils l’ont juste coupé. On ne peut pas faire ça. Il doit comprendre, ces gens doivent comprendre que les médias sont très importants. Peut-être que ce soir avec Laura Ingraham, j’aurai une minute et demie. Ça devra être impeccable, le look devra être impeccable et le message devra être court. C’est tout un art et nous avons besoin d’aide. Bridle, il se tait – je pense que quelqu’un l’a menacé ou menacé son enfant et il se tait. Il y a des menaces. Je voudrais préciser que nous prêtons attention à l’identité de ceux qui nous attaquent. Lorsque j’ai témoigné au Sénat du Texas, j’ai été agressé par un journaliste français. Français! Pourquoi les Français surveillent-ils ce qui se passe au Sénat du Texas? Récemment, j’ai été très vivement attaqué dans les médias par une femme de Singapour et nous l’avons retracée directement jusqu’à la Fondation Gates.

Reiner Fuellmich : Ça explique toute l’histoire. Nous savons donc qui sera finalement démasqué. Très bien, très bien. Tout est là. Nous ne pouvons pas rester assis, nous devons nous battre. C’est la seule façon de faire.

Peter McCullough : Et avec force. Ce que je fais, c’est que je prends en fait une position d’autorité morale et je défie quiconque d’en avoir plus que moi. J’ai dit qu’à moi seul, j’ai vu et examiné plus de patients, j’ai traité plus de patients, j’ai publié plus sur le Covid-19, j’ai le meilleur parcours académique, j’ai eu la maladie moi-même, mon père l’a eu, j’ai eu un décès dans ma famille à cause de la maladie. Qui, à lui seul, peut dire cela? Je prends donc une position d’autorité morale, clinique, éthique et humaine et je défie quiconque de me suivre. Parce que la seule façon de faire reculer l’autre côté est d’être extrêmement confiant et fort. Extrêmement confiant et fort. Je n’aime pas ce que fait Bridle en ce moment, il recule, il s’est passé quelque chose et depuis il recule. Les autres vont prendre peur et se cacher, nous devons être très, très forts.

Reiner Fuellmich : Êtes-vous né au Texas ?

Peter McCullough : Non, je suis né à Buffalo, New York.

Reiner Fuellmich : Parce que vous parlez comme un Texan.

Peter McCullough : J’ai grandi ici quand j’étais enfant, mais je suis disposé à porter mes bottes de cowboy quand je vais à la barre.

Reiner Fuellmich : Je l’ai souvent fait quand j’allais au tribunal de Seattle.

Peter McCullough : Oui, oui j’ai fait mon stage à Seattle. Mais c’est très important. De toute évidence, quelque chose ne tourne pas rond dans le monde et si nous restons assis sans rien faire… C’est évident, beaucoup de gens sont morts, beaucoup de gens sont torturés. J’ai très peur, sur base de ce que nous avons appris des premières injections, qu’elles interagissent avec le p53 et le BRCA, qu’elles puissent au final provoquer des cancers. Elles peuvent provoquer des cancers. Les Japonais ont déjà montré que les particules lipidiques se concentrent dans les ovaires. Seraient-ils en train de nous stériliser? Si on supposait que tout ça est un programme de la Fondation Gates pour réduire la population, ça correspondrait assez bien à cette hypothèse, n’est-ce pas? La première vague c’était pour tuer les personnes âgées par infection respiratoire, la deuxième vague c’est pour s’emparer des survivants, et cibler les jeunes et les stériliser. Si vous prêtez attention aux messages diffusés dans chaque pays, aux États-Unis, ils ne s’intéressent même plus aux personnes âgées maintenant. Ils veulent les enfants. Ils veulent les enfants, les enfants, les enfants, les enfants, les enfants. Ils se concentrent avant tout sur les enfants.

Reiner Fuellmich : Et c’est eux que nous devons protéger. C’est une nouvelle boîte de Pandore qu’on va devoir ouvrir mais on va devoir s’en occuper, vous avez raison.

Peter McCullough : Donc je vais y aller fort ce soir, on ne doit pas accepter qu’on approche une aiguille des enfants. Nous en sommes à 100 cas de dommages cardiaques chez ces enfants, certains d’entre eux très importants, qui vont conduire à une insuffisance cardiaque et nous devons vraiment foutre la trouille aux parents. Aux États-Unis, dans un État, ils ont déjà préparé le terrain pour que les enfants de 12 ans aient le droit d’accepter le vaccin eux-mêmes, sans le consentement de la famille. Ça n’est jamais arrivé dans l’Histoire. À Toronto, l’autre jour, ils ont attiré les enfants avec de la crème glacée, ils ont tenu les parents à l’écart et ils ont vacciné les enfants. C’est vraiment horrible. Ma femme est canadienne et sa mère a été vaccinée de force. Elle ne parle pas très bien l’anglais et un agent de santé est venu, il y a eu une sorte de conflit et avant qu’elle ne s’en rende compte, elle s’est fait injecter. Elle ne sait même pas ce qu’elle a reçu. C’est en train d’arriver. Je prédis qu’on en arrivera à l’injection de force, ils iront aussi loin que ça.

Reiner Fuellmich : On va arrêter ça. Nous devons, il n’y a pas le choix.

Peter McCullough : Mais je prédis que ça s’en vient. C’est déjà arrivé dans certaines parties de l’Indonésie. Je vous garantis que ça se produit quelque part en ce moment. C’est probablement arrivé dans les maisons de soins infirmiers et dans d’autres endroits.

Reiner Fuellmich : Nous savons que ça s’est produit dans les maisons de retraite.

Peter McCullough : Nous devons arrêter ça et nous devons savoir ce qu’il y a derrière. Est-ce que Bill Gates essaie de contrôler la population? Est-ce que ce sont les Chinois qui essaient de faire pression par une action de bioterrorisme? Est-ce quelque chose de plus malveillant? Pour moi, ce qui est magistral, c’est la partie psychologique de tout ça. Comment ont-ils réussi ça du point de vue de la psychologie de masse? Comment ont-ils fait?

Reiner Fuellmich : C’est pourquoi nous devons parler aux psychiatres et aux psychologues. Ils ont les réponses.

Peter McCullough : Ils ont les réponses. D’accord.

Reiner Fuellmich : Eh bien, Dr McCullough, c’était à la fois un honneur et un plaisir. Merci beaucoup.

Peter McCullough : Merci. Restons en contact. Merci.

Reiner Fuellmich : Et restons en selle, oui

Peter McCullough : D’accord. Bye Bye.

Reiner Fuellmich : Bonne journée.


Transcription intégrale

Reiner Fuellmich : Again, I apologize but this was extremely important. We learned a lot from our very own « Quincy » the pathologist, it’s Pr Burkhardt. You probably remember that TV series, right? [..] I’ve seen you in many interviews, one of them was on Fox Television – I think the last one was when you shocked the host, Tucker Carlson. What is your take on this entire situation? We know that a lot of doctors have sort of changed their mind over time because they began to understand that there is a lot of evidence that points in the direction that there really is no actual pandemic but there is something else going on. What do you think of what’s going on?

Dr Peter McCullough : Well, my quick analysis is, I believe that we’re under the application of a form of bioterrorism. That’s worldwide. That appears to have been many years in the planning and that the first wave of the bio terrorism is a respiratory a virus that spread across the world and affected relatively few people, about one percent of many populations but generated great fear. The virus was responsible for some deaths in the very frail and elderly. But, you know, for otherwise well people, it was like having the common cold. But that fear was used very quickly, and I think surprisingly, to generate tremendous influences in human life, and lockdowns all the things you know about. And every single thing that was done in the public health response to the pandemic of made it worse. So overtesting and, you know, even lockdowns probably made it worse because the virus evolved over time to become more contagious. And so every single response made it worse.

How I got involved is, as a doctor I thought the virus was going to be pretty easy to treat once we understood there were three phases : replication, cytokine storm and thrombosis. And so as I promulgated early treatment I started to meet resistance at all levels in terms of actually treating patients and then publishing papers. And so, I’m the editor of two major journals, I’m in the business of publishing so fortunately I had enough publication strength to publish basically the only two papers in the entire medical literature that teaches doctors how to treat Covid-19 at home to prevent hospitalization and death. And we did the best we could without any funding or government support and we demonstrated that it results in about 85 percent reduction in hospitalization and death.

So what we have discovered is that the suppression of early treatment was tightly linked to the development of a vaccine. And the entire program as this, in a sense, bioterrorism phase one was rolled out was really all about keeping the population in fear and in isolation and preparing them to accept the vaccine which appears to be phase two of a bioterrorism operation. Both the respiratory virus and the vaccine deliver to the human body the spike protein, the gain of function target of this bioterrorism research. Now I can’t come out and say all that on national TV today or any time. But what we have learned over time is that we could no longer communicate with government agencies. We actually couldn’t even communicate with our propagandized colleagues in major medical centers, all of which appear to be under a spell – they’re almost as if they’re hypnotized right now. And doctors, good doctors, are doing unthinkable things like injecting biologically active messenger RNA that produces this pathogenic spike protein into pregnant women. I think when the doctors wake up from the trance are gonna be shocked to think what they’ve done to people.

And so our strategy was to organize, there are many groups. One group in the United States called C-19 that I organized, many of you get these emails. It’s about 1000 people. Another one’s called FLCCC, Frontline Critical Care Consortium. Another worldwide one is called Panda, I may be involved in that. There’s also Heart and Bird and Covid Medical Network, Treatment Domiciliary in Italy. It’s gotten to the point where people [inaudible] early treatment. Governments have actually tried to block even any single milligram of a treatment to individuals. And so we decided by the summer we had to take our message to the people. We had one physician association that workes with us, called the Association of American Physicians and Surgeons. We’ve created a home patient guide. We organized in the United States four national telemedicine services, 15 regional services. We broke through to the people and the people who got sick with Covid-19 called in and got medications prescribed to local pharmacies or to a mail order distribution pharmacies. And so without the government really even understanding what was going on we crushed the epidemic curve in the United States towards the end of December and January. We basically took care of the pandemic with about 500 doctors and telemedicine services. And to this day we treat about 25 percent of the US Covid-19 population that actually are at high risk, over age 50, with medical problems or present with severe symptoms. And we basically handled the pandemic and at the same time we’ve tried to keep ourselves above the political fray. And we understand the suppression of early treatment is tightly linked to vaccination.

Then we’ve let all the news and vaccination come out and are working to change the public view of the vaccine. The public initially accepted the vaccine and we had to kind of slowly turn the ship. And now the United States rates of vaccination has been dropping since April 8, they continue to drop every day. The vaccine centers that I go by are completely empty and in the United States they’re becoming desperate to try to convince individuals to get a vaccine. They’re offering million-dollar lotteries. All the universities who are trying to force vaccination are receiving resistance. I’m the lead expert in the Bellwether Houston Methodist case, which is currently being argued before a judge in Texas [who rejected it in spectacular bad faith] and is going to be quickly escalated to the Supreme Court of Texas where Houston Methodist Hospital – a leading hospital – is attempting to force the employees to receive the vaccine. And we already have word that it is going to be escalated to a Supreme Court case. It’ll be a very high-visibility case. So we have a lot of activity going on United States, we are engaging more and more attorneys. It’s great to have you and your team involved, you know, on the international level and I imagine we’re aligned on almost all the things I said.

Reiner Fuellmich : Let me quickly translate but give us a chance because I don’t want to be rude but I completely forgot to introduce you because I thought that everybody knows you. I think most people do but please tell us a little about your background.

Dr Peter McCullough : So let me introduce myself. I’m Peter McCullough, I’m a Professor of Medicine at the Texas A and M College of Medicine on the Baylor, Dallas campus, I practice internal medicine and cardiology. When the pandemic hit I refocused all of my efforts on Covid-19. I’m the editor of Reviews in Cardiovascular Medicine, I’m the editor of Cardiorenal Medicine, that’s my area of research, senior associate editor of American Journal of Cardiology, I’m the president of the Cardiorenal Society and in my field about heart and kidney connections, I’m the most published person in my field in the world in history. And I have developed a great experience in treating Covid-19. I’ve published the two major treatment papers and I’ve lead the early treatment initiative in the United States. So I have, whether people like it or not, I have declared my medical authority in doing this to a greater extent than anybody in public health agencies or any other media doctors.

Reiner Fuellmich : Thank you so much. We can sure as hell be glad that you’re on our side, extremely grateful. I’m going to translate this. […] So it appears that in the United States at least things are really changing right now.

Dr Peter McCullough : Yeah, I mean, we’ve clearly had an impact. I’m in Texas where we never underwent lockdown. I was a strong proponent of us staying open. We have 35 treating doctors who are willing to go against the medical centers and treat patients. We were able to convince our governor to put an executive order recognizing natural immunity, banning any mandatory vaccines by public agencies, banning vaccine passports, banning any discrimination passports. We recently passed similar legislation for private employers. However we were unable to get in a ban on private employers mandating the vaccine so that part is going to be litigated. With the Houston Methodist Bellwether case we’re very active. We have the America’s Frontline Doctors as another group that has a temporary restraining order in against pediatric vaccination filed in Alabama. And we have cases filed in the state of Maine against falsely coding the test results positives, inflating the number of cases and deaths. We have a variety of activities. We have allies in Washington, Senator Ron Johnson and Senator Rand Paul. We have allies in the media, largely Fox News and Real News and OAN. We don’t yet have CNN or MSNBC. But the C-19 group that I loosely formed, we now are on national TV almost every night in the United States to provide a counter viewpoint to Anthony Fauci and Walensky at the CDC and NIH and we bring on different experts and continue to appear to the American people that we have more scientific credibility then the agencies.

Viviane Fischer : And why do you think that, you know, this window of opportunity has opened for you to be on on national TV? I mean that’s quite something. I mean here, at this point, you know, this is impossible basically.

Dr Peter McCullough : Well, we had some help in the media. We had some open-eyed people who were willing to give some high-level interviews. We have good social media contacts all over the world that really amplified things. Although we’re consistently shut down on Twitter and YouTube we continue to find new strategies to get the points out. We’re very evidence based. You know, the United States, we’re a whole country of rebels and people who want to break the law and, you know, that’s who we are. So we have, you know, Children’s Health Defense, Robert F. Kennedy, Del Bigtree, we have some very big figures. We had Senator Rand Paul come out and say « Listen, I’m not taking the vaccine, I’ve had Covid-19. » So did Senator Johnson. Sebastian Gorka who interviewed me – he used to be in the Trump administration – he interviewed me, he’s going to come out on Sunday night and say he took hydroxychloroquine and defeated Covid-19 in December, he’s not taking the vaccine. So, you know, we have to have people be making these public statements. You know, for instance on Real TV, with Dan Ball coming up in a few hours, he’s gonna come on and say he’s not taking the vaccine. We’ve helped shut down the Los Angeles school district from mandating the vaccine, his kids go to school there, they’ve backed off on the mandates. So we’re working very hard. This is the strategy : we know that this is bioterrorism, we know that this is phase two of bioterrorism and we don’t know who’s behind it but we know that they want a needle in every arm to inject messenger RNA or adenoviral DNA into every human being. They want every human being. Our goal is, we can’t stop it for everybody, but our goal is to get a large group that they cannot get to, that they cannot vaccinate. And that would be Covid recovered, suspected Covid recovered, those with immunity, children, pregnant women, childbearing women. We want a big block and if we can get that big block and break them, if we can break the needle in every arm, then I think it’ll be exposed on what is the plan for a needle in every arm.

Reiner Fuellmich : You know, I’m sure glad that this is happening in the U. S. right now because it took some time for people to really get going there. We’re in close touch and in close cooperation with the attorneys that you – you didn’t mention any names but I know you know Anna Garner and Tom Renz who are working in Sierra Leone and Alabama. Of course we’re in close cooperation with CHD, Bobby Kennedy, Mary Holland, and we’re also in close cooperation with these people and others in other countries like in on the African continent for example. And there’s some really good things going on right now. The tragic thing is though that here in Germany I think we have now a rate of vaccination where people have gotten their second vaccination – so-called vaccination – of only 19 percent but those who have, those who got their first shot are up to close to 50 percent. And whenever I’m in a cab, for example, talking to the cab drivers it’s very easy to talk with them because they seem to understand much more than many of the scientists and doctors who appear on mainstream media. And they spread the news. But it’s more important, I think, and that’s what we’re trying to do here in Germany and internationally, it’s more important to spread the word, to explain to the people to get out the truth, to explain to them what the shots really do. And I saw an interview with you which is almost mirrored by your colleagues in Canada. We spoke with doctor Roger Hodkinson, we spoke with Pr Luc Montagnier and with Byram Bridle – no, we haven’t spoken with Byram Bridle yet. But everyone agrees this has got to stop immediately. This is excessively, it’s monstrously dangerous. We heard about how pregnant women who got the shots, it appears in their breast milk of course – I don’t know if you said this or Byram Bridle said this – but there’s some cases of suckling infants who’s suffered bleeding disorders and other problems. So this is a monstrous thing that needs to be stopped, and I think everybody agrees on that.

Dr Peter McCullough : We’re trying to get to this public health message that can really get the Public Health attention. So I think it was about a week ago, Harvey Risch and I appeared on Fox News and Harvey Risch described the vignette of the woman who got the vaccine and breastfeeding and it killed the baby. Today we have 800 cases of young people developing myocarditis or inflammation of the heart. And because I’m a cardiologist I have a clinical authority position here. And, you know, I’m going to opine that because there is no clinical benefit whatsoever in young people to get the vaccine that even one case is too many. And the CDC, you know, distributed their slides today and their conclusion is « Well, we’re going to reevaluate again a little bit later on in June. » So our agencies have done nothing to reduce the risks of the vaccine, it’s called risk mitigation. And I’ve chaired up over 2,000 data safety monitoring boards for the FDA and the National Institutes of Health, and with this program, there is no critical event committee, there is no data safety monitoring board and there’s no human ethics committee. Those structures are mandatory for all large clinical investigations. And so the word that’s really used for what’s going on is malfeasance, wrongdoing by those in position of authority. And without any safety measures in place, you can see what’s going on when administering… Basically it’s the largest application of a biological product with the greatest amount of morbidity and mortality in the history of our country. We are at over 5,000 deaths as you know, I think 15,000 hospitalizations. In the EU, it’s over 10,000 deaths. We are working with the Center for Medicaid Services, CMS data, and we have a pretty good lead that the real number is 10 fold. It’s 10 fold.

We knew from data from Harvard in 2016 that the Vaccine Adverse Event Reporting System only reports about 10 percent of what’s really going on so we had to get another data source. And we have inside people. We have now a whistle blower inside the CMS, we have two whistle blowers within the CDC. And those are being developed right now in order to get this out. So we’re looking at 10x. We think we have 50,000 dead Americans. 50,000. So we actually have more deaths due to the vaccine per day than certainly the viral illness, by far. It’s is basically, in a sense, it’s propagandized bioterrorism by injection.

Reiner Fuellmich : Yeah. And the big question is, who is behind this. The picture is becoming clearer. Yeah, I have to translate quickly.

Viviane Fischer : How many states are without any lockdown or like the, you know, nuisances with regards to the measures corona?

Dr Peter McCullough : I don’t know the numbers but it’s clear that the lead states are Texas and Florida, which is good – those are two very big states. And Florida has the most elderly people and so they have shown – and that’s where Covid strikes the most – so we have shown great resilience in these independent states with these governors. I just got the email from Laura Ingraham on Fox News, to just give you an idea. At least we have one major news station that’s with us. Her email says « Tonight we’re gonna talk in a few hours about the mistrust in Fauci and the medical elites who do his bidding, the fallout from his emails to do a hydroxychloroquine study that showed the drug was unfairly maligned, finally this new concern about heart issues in young men after their second vaccination. The public has very little faith in what we’re being told in terms of life and death. » So you can see how we have really come a long way to get the media, at least some of the media now coming with us. What I’ve learned in this whole thing is we gave up on the scientific publications, we gave up on these other things, we have to go straight to the people.

Reiner Fuellmich : Yeah, that is precisely what we think too. There is one major medium here in this country which has been critical – not overly critical but critical to a point. They have just come out, I think yesterday or the day before yesterday, with a story that explains how fraudulently the government – our own government – informed the people about how the health care system was being overwhelmed, when it wasn’t. They gave us completely false numbers, completely false figures as far as the intensive care beds are concerned. We had many more than they claimed and in addition the real financial incentives to keep these beds unoccupied because there’s so much money that’s being paid to hospitals and to the doctors. But this is all, you know, the one good thing about this is this has all come out into the open so we will be able to deal with this, and we will. Because we have enough people who are willing to fight and I think there’s many more who just couldn’t bring themselves to come out into the open. But a few of them we just met today, including the doctor who saved that woman whom we interviewed a couple of weeks ago.

Wolfgang wants to ask a question. Yes?

Wolfgang Wodarg : Yes, one thing or two things. One is with the hospitals. We have from the office who is controlling the government and how they spend the money, they have clear numbers, they say that the clinical care in Germany spent close to 1,500,000,0000 more than normal the last year and they have 8% less patients in the same time. So they got a lot of money but it was never overloaded, the clinical system in Germany. And the other thing, you speak about bioterrorism and I want to distinguish because you speak about bioterrorism by vaccination and I think you’re right when you say this. Because I don’t think that there is a dangerous virus on the way now. Because if we speak about bioterrorism by gain of function viruses, I’m very sure that gain of function viruses, if they would spread, they could not spread because they would kill their hosts. And so it’s a very stupid virus that kills the host. So I am eager to tell the people that they needn’t be afraid of dangerous viruses that come from the laboratory environment, so that people are not terrified because there’s something special. It’s just a corona virus and we’re acquainted to corona viruses, to Sars viruses, Peta coronaviruses since 20 years. And our immune system is. Don’t be afraid of the virus but be afraid of the vaccination. The bioterrorism is the vaccination and not the virus.

Dr Peter McCullough : Yeah, I agree with you that the natural immunity will be able to handle the variants as far as I can see. I’m not predicting another wave. In fact in my last TV appearance I told America « Listen, there’s not going to be another wave. » And so when I come down, when I talk to America I’m very positive, I give a very joyous message, I calm down the country and by doing that Fauci and the other people can’t stand it because they want to promote fear, they want to promote suffering and they want to promote this vaccine – and so that’s their message. And so we’re just the opposite and we agree with you. Now what could be happening is let’s say there’s an adversary, let’s just say it’s China. They could be dealing at a very high level, say « Listen we do have, you know, C-21. We have a more virulent virus and we want, you know, favorable trade status or we want other things » because they’ll say « Listen we showed you what can happen with, you know, the first round we have some (? ») so there may be a threat.

But I agree with you in terms of the natural infection. It will move around, I think it’s going to hit Southeast Asia. It’s going to hit some more vulnerable populations. But if we can simply respond with treatment in every case, Mexico City, countries in South America, United States and now India, every single case, we crush the curves with early treatment if we just treat the high risk patients. By treating patients with multi-drug treatment we reduce the duration of symptoms, we reduce the spread dramatically and we reduce hospitalization and death. This is very, very important, the only thing that can do that. Vaccination will not do that. Vaccination, because the people getting the vaccine have less than a one percent chance of ever coming in contact with the virus and then when they do they have a, you know, way less than one percent chance of even getting the virus. It’s impossible for the vaccine to have an impact on the epidemic curve and that’s another message we’re getting out to the public. Because the people promoting the vaccine are going to claim victory, that all things worked out in our favor and Brown in Canada and others have done great analyses. It’s mathematically impossible for the vaccine to have any impact. The CDC in the United States has recorded 10,000 breakthrough cases, bona fide breakthrough cases where the vaccine failed. And we don’t know the denominator but we know it’s very labor intensive and our read on their action is they were overwhelmed with the number of breakthrough cases, overwhelmed, they gave up. At the end of may they gave up, they said « We’re not gonna track anymore breakthrough cases. »

Wolfgang Wodarg : We know that when the clinical studies were finished, the absolute risk reduction is about around one percent. And the others, they were already immune so this is ridiculous. The fact of the matter of the of the vaccination, to protect people, is ridiculous.

Dr Peter McCullough : It’s completely ridiculous. We have data from Cleveland Clinic, that just published that 50 percent of people who are already immune, naturally immune, they’re still getting the vaccine because they were told by the government to get the vaccine. We have data from three studies, two in the UK and one in the United States showing of all those who get the vaccine about 30 percent are already immune (?). So you can see how the vaccine is contrived, this whole thing is contrived. It should be very obvious that now the CDC has changed the cycle threshold down to lower so they’re gonna make fewer cases. So it’s gonna look like things like the vaccine saved it. So maybe the thing about this bioterrorism injection is, why did they make it so toxic? Right now when so many people are dying, why didn’t they make it more acceptable? Because I think, the real payload of the bioterrorism is going to be on the boosters.

Reiner Fuellmich : That’s what we begin to fear too. Let me explain why Wolfgang said this, because the other day I had an interview with Steve Bannon and he heard me out. He didn’t quite agree because it seems that was news to him. But this is what really happened and we know this from talking to two former WHO employees. There was an accident at the Wuhan Institute of Virology and the Chinese were really worried about it and that’s why they ordered the person who runs that lab to come back immediately. And even while she was still on the train they took down their website so as to cover their tracks. So they were really worried. But within 2 or 3 weeks they realize well nothing much had happened. However the other side as we call them took this as a springboard or as a triggering incident to put that agenda into motion which they had been planning for for at least 10 years. They’ve been planning for longer, but for 10 years we can see, there are concrete plans that they’ve been making and the final – I guess you could call it a dry run – was Event 201 which is really Event 21 because the (?) is the Earth in October of 2019. So that’s when they decided, we’re going to take this opportunity and that’s when they told Drosten and that’s why we were at this hearing this morning, at the inquiry. That’s when they told Drosten, « Start your all work on your PCR test. » He started his work on New Year’s Eve, we believe. And a couple weeks later on the 22 and 23 January, there was an enormous push, probably by the pharmaceutical industry, on the WHO to finally declare the public health emergency of international concern because that’s what you need in order to get the emergency use authorization in the United States for these vaccines, which were completely untested, or the conditional use authorization here in Europe. But they couldn’t agree on anything because there were no cases. But they did agree on one thing, they’re going to have another second emergency meeting two weeks later in early February. And that’s when they declared the public health emergency of international concern. Why? Because they had been using the Drosten test, because he had made this test this PCR test available to them and they pushed it as the gold standard for the entire world as the gold standard for detecting infections. As we all know in the meantime you cannot detect infections with the PCR test and as we also know because of the people who… One of the experts is Dr Mike Yeadon, who I know you’re in touch with, and he told us, if you go up to 35 cycles of amplification you end up with at least 97 percent false positives. This guy had his cycles of amplification up to 45 so guess what? This is all false positives. That’s why Wolfgang was saying, it is not the accident, it is not the dangerous virus that escaped from the from the lab. It’s the vaccinations that we have to be worried about and it’s probably correct. I mean, I can’t be the judge of this because I’m not a medical doctor but it’s probably correct that we really have to be afraid of the boosters.

Dr Peter McCullough : We’ve learned a lot you know you probably have reviewed that autopsy case from Germany just a few days ago that came out. We’ve learned that – I’m sure you know all this but – we were told by the Salk Institute and by the manufacturers that the lipid nanoparticles and the messenger RNA stay in the arm, they don’t. They’re distributed elsewhere. Our radiologists know that the breast becomes incredibly inflamed a woman, so much that they can’t read a mammogram – they’ve actually changed their mammography criteria, at least in my hospital, I don’t know elsewhere – and that the autopsy showed that in fact there’s a tremendous distribution of… We’ve reviewed it, the spike protein is clearly pathogenic, the gain of function [enables] mutation of four amino acid sequence at the furin cleavage joint. You know, there’s four domains that code for HIV, we were always wondering why the lymphocyte count was down. The email that went to Fauci that says « Hey Tony, how did you get the HIV coded in there? », I mean you can see that this is going on. This was absolutely by design that this is a weapon of bioterrorism. And to inject messenger RNA or adenoviral DNA and cause an uncontrolled production of the spike protein in the human body is a very, very biologically dangerous proposition. We don’t know what controls the heights of the production of the spike protein, the organs in which it is produced, where it circulates to. We know it causes a unique form of thrombosis which is a partly hemo-agglutination because the spike protein catches to sialic acid residues on red blood cells. Normally coagulation, the red blood cells are not involved but here the red blood cells are. We know that, for instance, the Italians have shown that when the oxygen saturation goes down the lungs is to do micro thrombosis. So you can imagine of course giving Chinese Remdesivir to somebody with micro thrombosis is going to do nothing.

And so one person who you may want to talk to – he’s kind of flamboyant but he’s interesting, he’s got influences – Steve Kirsch. Steve Kirsch is a millionaire and Steve Kirsch has offered $2,000,000 publicly to say « Can anybody show that the CDC, FDA or NIH has done one single thing correct in the pandemic response? if you can we’ll pay $2,000,000. » No one has even brought forward, no one’s even written a letter. So you know, it’s a colossal blunder. And of course the news is interested, the news cycle is always promulgated by this. But our goal is to take the message to the public, to remain impeccable and unimpeachable in our scientific integrity, to always present ourselves very professionally and see if we can win public opinion to have a block of people not get the vaccine. And then once that occurs and it becomes clear, I think the other side will be exposed. Why did they want this vaccine? We are seeing safety events like you can’t believe. You saw the portal vein thrombosis, I’ve had that in my patients, myocardial infarctions, myocarditis. I had a woman yesterday in the office, her memory was completely obliterated after the vaccine. It’s so disconcerning. So we’re filling out the safety events and at some point in time the public opinion is going to have to turn.

We have two big populations that are distrustful in the United States, we have African Americans at 12 percent and we have Hispanics at 20 percent, and they’re largely not taking the vaccine. And we’re working with African American churches and making presentations and African Americans say « We know the government was lying to us. »So they know already. So that’s our plan in a nutshell. I think we’re really completely aligned. We do need to win big cases, though. So Anna Garner, all these people, Mike Renz, we’ve got to win. I mean, honestly, you think there’s fear among doctors? There’s fear among attorneys! I am amazed at how many attorneys are so fearful. They can’t even file a letter of intent. We have one attorney, he made a template and he goes « Here, I’ll show you how to file your own letter of intent, you pay your own funding » I said « My God, I’m a doctor, I’m a media person, I’m taking care of patients, a publisher, (?), now have to do my own legal work? » I mean, it’s really amazing the fear that’s overcome people.

Reiner Fuellmich : The thing is, on an international scale I feel we’re only cooperating with 100 attorneys. I mean, 100 attorneys in the entire world. There must be many many more, of course. But we’re making progress because of those cases, the ones that you’re mentioning, and there’s a couple of really big cases that all of us, including our American colleagues are working on. I can’t tell you the details because we don’t want this to be in anyway disturbed. But you’re right, this is the only way to go, by cautiously proceeding in a scientifically correct manner, without foam at the edges of our mouths, so that finally we will win public opinion and then we’ll expose the people who are behind this.

Dr Peter McCullough : Right. Let me tell you where I think there’s some distractions and we’re wasting our time. And that’s on wearing masks. So for instance, I mean, they would love us to be arguing about masks while they continue to give injections, right? So I try not to make masks the signature issue. Another area is this extreme view that the disease doesn’t occur, like Dolores Cahill. I think that’s a bit of a waste of time because we have enough information from sequencing, we can see this in the (?) capsid, we know it’s physically there in some cases. We know it’s grossly overstated because of everything you mentioned and we know there’s a big cover up. At my hospital health system, for instance, they have now, the Covid cases are considered break-the-glass, meaning they get admitted to closed units, we can’t even see what’s going on with them. So if they’re not open to peer review, we’re not having open peer review so we really have due process break down even within health care. But what we wanna do is, we need help, you know, we need help from psychiatrists. There is a trance, there are doctors that are telling their patients to take the vaccine, the patients are taking the vaccine and dying of thrombosis. And the doctors are, you know, not doing anything, injecting pregnant women with experimental messenger RNA. I mean, this is like a horror, this is something that would never occur in good clinical practice where doctors are saying that they won’t see patients in the waiting room unless you get the vaccine. I think a big target is, and this is my responsibilities, we have to win the doctors. Doctors are a big problem here.

Reiner Fuellmich : And we need you, right, as this is what I said right from the start. This is a huge psychological operation. We need to talk to the psychiatrists and the psychologists. And they’re using as their major weapon, they’re using the mainstream media in order to indoctrinate people with this panic package which they invented over many years. Sick people on the other side, definitely very sick…

Dr Peter McCullough : You see this Chinese professor from Emory, she gets on CNN. And they’ve gone further, they’ve linked the vaccine to freedoms. And this has occurred in Europe by now, they said « Listen, people need to understand they need to get the vaccine to get their freedom back. » It was « Wow! »

Wolfgang Wodarg : We know this from the mafia, you know. It’s just what the membership does, it’s a very, very old method. If you let us protect you, you have to pay a little for this, everything is okay. If we are not allowed to protect you, you will see what happens.

Dr Peter McCullough : What we’re trying to do is, most of this is actually just sheer intimidation. So an example is, we have, I don’t know, several universities now in the United States declaring that they’re gonna demand the vaccine. Interestingly they demand the vaccine for the students but not for the professors. You know, the CDC and NIH and FDA, they’re not taking the vaccine themselves, which is quite interesting. In every circumstance that I’m aware of, they have not written a policy. So for hospitals they must have a policy and it must be certified and be in the policy library because hospitals in United States are accredited by the joint commission for hospital accreditation. So there have been no signed policies because they know they can’t write a policy mandating an investigational vaccine. You can have a policy, you know, forcing people into research. So if an institution or hospital or university demands a vaccine without a policy, by definition that’s harassment or intimidation. And so we now have parents filing letters of intent identifying harassment and they filing it with compliance officers, ombudsman’s office, filing with offices that by their charter must take some internal action. So we’re making these institutions do an incredible amount of administrative work. We’re punishing them for doing this. The Los Angeles school district backed off, Louisiana State University backed off, we’ve had a Texas win at the state and private employer level. So we have to continue this effort and then hopefully the mass psychology [inaudible] or psychological training but when I go on, there’s no proper preparation, I’m just doing the best I can. But I’m a doctor, I’m not a media person.

I just want to say one thing before I forget. Dr Bakhti, Dr Yeadon, Dr Vandenbosche and even Dr Bridle. Here’s the problem : too long. When they do a video an hour and a half, they are completely ineffective in giving a message, completely ineffective. They need to tailor their message down to one minute or 2 minutes. People refer these videos and they’re dead on arrival. And not only that but they’re not credible, they don’t look credible. So Bakhti, Laura Ingraham had him one time and Bakhti was sitting there, he goes « If we vaccinate the world, we are doomed » like this, and she goes « Okay, thank you doctor » and they just shut him down. You can’t do that. He has to understand, these people have to understand the media is very important. Maybe tonight with Laura Ingraham I’ll have 1.5 minutes. It’s gotta be impeccable, the look has to be impeccable and the message has to be short. It’s an art to doing this and we need help. You know, Britle, he shut down – I think somebody threatened him or threaten his child and he shut down. There’s threats. I want to mention that we’re paying attention to who’s attacking us. When I testified in the Texas Senate I was attacked by a French reporter. French! Why are the French watching Texas Senate? So recently I was very heavily attacked in the media by a Singapore woman and we traced her directly to the Gates Foundation.

Reiner Fuellmich : That explains the whole story. So we know who’s going to be exposed ultimately. Very good, very good. That is the thing. We can’t just sit here, we have to fight back. That’s the only way to do it.

Peter McCullough : And strong. So what I’m doing is, I’m actually taking the moral authority and I’m challenging who here has a greater amount. I said in a single person, I’ve seen and examined more patients, I’ve treated more patients, I’ve published more on Covid-19, I have the best academic record, I’ve had the illness myself, my father has had it, I’ve had a death in my family due to the illness. Who, in one single person in the world, can say that? So I am taking the moral and clinical and ethical and human authority and challenging anybody to to come after me. Because the only way to get the other side to back down is to be supremely confident and strong. Supremely confident and strong. I don’t like what Britle is doing right now, he’s backing off, something happened and then he’s backing off. Other people, you know, going to fear and hiding, we have to be very, very strong.

Reiner Fuellmich : Are you born in Texas?

Peter McCullough : No I was born in Buffalo, New York.

Reiner Fuellmich : Because you sound like a Texan.

Peter McCullough : I grew up here as a kid okay but I’m willing to wear my cowboy boots when I go on the stand.

Reiner Fuellmich : I used to do that when I went to court in Seattle.

Peter McCullough : Yes, yes I’ve trained in Seattle. But this is very important. Something obviously is going on very wrong in the world and if we sit by and do nothing… You know, obviously a lot of people have died, a lot of people are being tortured. I am very afraid, based on what we’re learning just by the first injections, that they interact with p53 and BRCA, that they could ultimately lead to cancers. They can lead to cancers. The Japanese have already shown that the lipid particles concentrate in the ovaries. Could they be sterilizing? If you said this is all a Gates Foundation program to reduce the population, it’s fitting pretty well with that hypothesis, right? The first wave was to kill the old people by the respiratory infection, the second wave is to take the survivors and target the young people and sterilize them. If you notice the messaging in the countries, in the United States, they’re not even interested in old people now. They want the kids. They want the kids, kids, kids, kids, kids. There’s such a focus on the kids.

Reiner Fuellmich : And that’s who we have to protect. Thats a whole new can of worms we’re gonna have to open but we’re gonna have to deal with this, you’re right.

Peter McCullough : So I’m gonna come out strong tonight about, you know, the kids shouldn’t be touched with a needle. We’re at 100 cases of heart injury in these kids, some of them it’s really pretty significant it’s gonna lead to heart failure and we need to scare parents so hard. You know, in the United States, in one state they’ve already put the groundwork that the kids aged 12 can accept the vaccine on their own, without family consent. That’s never happened in history. In Toronto, the other day they lured the kids out to get ice cream and they held the parents back and they were vaccinating the kids. Really it’s terrible. My wife is Canadian and her mother was forcibly vaccinated. She doesn’t speak English very well and a health care worker came over, there was some type of dispute and before she knew it she was injected. She doesn’t even know what she got. So it’s happening. I predict that it will come to forcible injection, they’re gonna take it this far.

Reiner Fuellmich : We’re gonna stop that. We have to, there’s no choice.

Peter McCullough : But I predict it’s coming. It’s already happened in parts in Indonesia. I guarantee it’s happening in places right now. It’s probably happened in nursing homes and other places.

Reiner Fuellmich : We know it happened in nursing homes.

Peter McCullough : We have to stop it and we have to see what’s behind it. Is it Bill Gates trying to control the population? Is it the Chinese trying to, you know, pressure for bioterrorism? Is it something more malevolent? To me what was masterful is the psychological part of this. How did they pull this off from a mass psychology perspective? How did they do this?

Reiner Fuellmich : That’s why we have to talk to the psychiatrists and to the psychologists. They have the answers.

Peter McCullough : They have the answers. Okay.

Reiner Fuellmich : Well, Dr McCullough this was both an honor and a pleasure. Thank you so much.

Peter McCullough : Thank you. Let’s stay in touch. Thank you.

Reiner Fuellmich : And let’s stay in the saddle, yes

Peter McCullough : All right. Bye bye.

Reiner Fuellmich : Have a great day.

Le Dr Zelenko qualifie l’obligation de vaccination des enfants « d’expérimentation humaine coercitive » et de « crimes contre l’Humanité ».

En bref – mais précis – et en attendant la traduction de l’interview du Dr McCullough.

Source.

Le Dr Zelenko qualifie l’obligation de vaccination des enfants d »expérimentation humaine coercitive’ et de ‘crimes contre l’Humanité’

Le Dr Vladimir Zev Zelenko, découvreur du protocole Zelenko, a qualifié aujourd’hui l’obligation de vaccination des enfants d' »expérimentation humaine coercitive », appelant à ce que les responsables de telles politiques soient jugés pour « crimes contre l’Humanité ».

«Selon le CDC, les enfants en bonne santé de 18 ans ou moins ont un taux de récupération de 99,998% du COVID-19 SANS aucun traitement», a déclaré Zelenko à America’s Frontline Doctors (AFLDS). «Il n’existe AUCUNE nécessité médicale pour aucun vaccin. En particulier, pour une injection d’ARNm expérimentale et non approuvée qui s’est révélée avoir de nombreux effets secondaires dangereux.

Il ajoute : «Tout gouvernement ou individu qui contraint ou oblige des enfants à recevoir cette injection expérimentale est en violation directe de l’interdiction par la Convention de Genève de toute expérimentation humaine coercitive.

« Ce sont des criminels de premier ordre qui doivent être traduits en justice pour crimes contre l’Humanité. »

[…]

«Le gouvernement israélien utilise la coercition contre ses propres citoyens pour les forcer à participer à des expérimentations humaines», a-t-il déclaré. «Les passeports verts sont un outil de discrimination et exercent une pression psychologique inadmissible sur des innocents.

«Le consentement éclairé n’a pas été respecté et la nécessité médicale n’est pas prise en compte. Par conséquent, les personnes jeunes et en bonne santé et celles qui ont déjà des anticorps sont néanmoins contraintes à une intervention médicale expérimentale dont elles n’ont pas besoin.»

Il poursuit : «Gouvernement israélien – arrêtez de tirer des missiles microscopiques dans le corps de vos citoyens innocents et non-consentants.

«Procédez avec prudence, arrêtez les expérimentations humaines et collectez davantage de données sur l’innocuité et l’efficacité AVANT d’utiliser une technologie nouvelle et non approuvée.»

Le Dr Zelenko a été inclus dans un groupe de médecins nominés pour le prix Nobel de la Paix pour leur rôle dans la lutte contre la pandémie de coronavirus.

Il a acquis une notoriété mondiale pour son traitement des patients COVID-19 avec de l’hydroxychloroquine et du zinc, constatant que la mortalité est divisée par 8 avec l’utilisation de ces deux substances. Il déclare que le traitement à l’hydroxychloroquine et au zinc dans les 5 premiers jours réduit les taux de mortalité de 85%.


Texte original

Dr Zelenko calls child vaccine mandate ‘coercive human experimentation, crimes against humanity’

Zelenko Protocol discoverer Dr. Vladimir Zev Zelenko MD today called child vaccine mandates “coercive human experimentation,” calling for those responsible for such policies to be tried for “crimes against humanity.”

“According to the CDC, healthy kids 18 or younger have a 99.998% rate of recovery from COVID-19 WITHOUT any treatment,” Zelenko told America’s Frontline Doctors (AFLDS).  “There is NO medical necessity for any vaccines. Especially, an experimental and unapproved mRNA injection that has shown to have many dangerous side effects.”

He continued: “Any government or individual that forces or mandates children to get this experimental injection is in direct violation of the Geneva convention’s prohibition against coercive human experimentation.

“These are criminals of the highest order and must be brought to justice for crimes against humanity.”

Dr. Zelenko has accused the government of the State of Israel of using “coercion against its own citizens to force them into human experimentation,” urging a halt to the campaign.

“The Israeli government uses coercion against its own citizens to force them into human experimentation,” he said.  “Green passports are a tool of discrimination and exert an unconscionable amount of psychological pressure on innocent people.

“Informed consent has been disregarded and medical necessity is not considered.  Therefore, young and healthy people and those who already have antibodies are still being forced into an experimental medical intervention that they do not need.”

He continued: “Israeli government – stop shooting microscopic missiles into the bodies of your innocent and non-consenting citizens.

“Proceed with caution, stop human experimentation, and gather more safety and efficacy data BEFORE using new and unapproved technology.”

Dr. Zelenko has been included in a group of doctors nominated for the Nobel Peace Prize for their role in addressing the coronavirus pandemic.

He achieved worldwide prominence for treating COVID-19 patients with hydroxychloroquine and zinc, finding that mortality dropped 8-fold with use of those two substances. He says treatment with hydroxychloroquine and zinc within the first 5 days reduces death rates by 85%.

Inde : la vraie crise – par Hanuman Bhakt.

Un article récent sur le site de Miles Mathis. Ça vous éclairera sur ce qui se passe en Inde – et ailleurs.

Je vous laisse le soin de regarder les photos sur le document original, qui est un pdf dont je ne sais pas extraire les photos sans y passer un bon moment. Or, j’ai plusieurs articles en préparation et très peu de temps. Vous aurez peut-être remarqué qu’on est dans une course contre la montre.


Source.

Traduction

Inde: la Vraie Crise

par Hanuman Bhakt

31 mai 2021

(photo)

La photo ci-dessus, extraite d’un article du Wall Street Journal, est un bon moyen de se pencher sur ce qui se passe en Inde en examinant ce qu’on y trouve : le graphique. Il suffit de creuser un peu plus dans ce graphique qui montre un pic et d’y ajouter un détail supplémentaire qu’on n’y montre pas pour faire exploser toute l’histoire :

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Les données utiles sont extraites d’ici. Même problème si on examine le graphique qui montre les décès mais pas les cas :

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Remarquez les deux événements importants – la manifestation des agriculteurs et le Diwali [NdT. voir sur Wiki]. Pour ceux qui débarquent, ça fait environ cinq mois que se déroulent des manifestations d’agriculteurs dans toute l’Inde et en particulier autour de la région de la capitale, où des centaines de milliers de personnes se rassemblent pour protester contre la destruction de leurs moyens de subsistance par le gouvernement. Dans le froid glacial, en pleine vague de froid. Dehors.

(photos)

« Miraculeusement », pas de vague de cas de covid. Diwali est le plus grand de tous les festivals en Inde. Des milliers de gens se sont bousculés sur les marchés, ont fait la fête avec leurs familles, secouant à leur manière le joug de la covidoppression. Ici non plus, pas de vague.

Inacceptable, n’est-ce pas? Afin de leur donner une bonne leçon à tous, Gates, avec son habitude désormais bien connue de jouer au prophète, a déclaré en décembre 2020 que les quatre à six prochains mois pourraient être les pires de la pandémie. Où serions-nous sans nos prophètes?

Arrive alors la campagne de vaccination, le 16 janvier 2021. Et l’enfer se déchaîne. Les infrastructures de santé de l’Inde sont sous pression, les hôpitaux sont pleins et sur le terrain émergent des histoires réelles. A l’unisson des médias mondiaux, CNN saute dans le train de la pandémie et sélectionne les vidéos les plus émouvantes possibles pour répandre autant de peur que possible à propos de la «deuxième vague de covid» en Inde. Ensuite, le manège des accusations commence :

Certains accusent le gouvernement.

Certains accusent la corruption.

Certains accusent le(s) virus/variants covid.

Certains accusent le manque d’oxygène.

Certains accusent les élections (ben tiens, après le Diwali et les manifestations des agriculteurs?).

Certaines opérations contrôlées prétendent même que toute la crise indienne est un hoax, pour qu’ensuite les médias grand public puisse le débunker. C’est bien pensé, car les chiffres des décès ONT ÉTÉ truqués en Inde l’année dernière, mais les chiffres des décès actuels ne sont pas truqués. Mais qu’est-ce qu’on a pas le droit d’accuser? Exact : les VACCINS.

Des amis qui ne m’avaient plus parlé depuis des lustres apparaissent sur Facebook et d’autres réseaux sociaux en feignant de s’inquiéter :

Eux : «Oh, j’ai entendu dire que c’est affreux ce qui se passe en Inde et que les gens meurent du covid! Est-ce que ta famille va bien?»

Moi : «Bien sûr qu’ils vont bien, ils ne sont pas assez cons pour aller se faire vacciner.»

Eux : Silence.

Les histoires d’effets secondaires du vaccin ne sont pas faciles à camoufler, bien sûr. Par exemple, les cas de caillots sanguins ont augmenté exponentiellement, et des médecins de terrain que je connais m’ont signalé que les facteurs de coagulation dans les tests D-Dimer et les tests CRP affichent des valeurs anormalement élevées – ce qui n’était pas le cas en 2020. Difficile de ne pas le voir. Les médias doivent donc vite étouffer tout ça avec une belle histoire aseptisée : que le risque de caillots sanguins est «infime» et qu’on n’a enregistré jusqu’à présent que 26 cas. 26? Les lecteurs de Miles reconnaîtront ce genre de chiffres, mais dans ce cas, 260.000 serait probablement plus proche de la vérité. Mais ils doivent en admettre un petit nombre dans les médias, ce qui leur permet de faire d’une pierre deux coups.

  1. En l’admettant, quiconque entend parler de l’effet secondaire de la coagulation pensera automatiquement: «rare»
  2. Ils marquent un point en l’admettant – «Oh, ils ont admis leur faute même s’il n’y a que 26 cas! Voyez comme ils sont honnêtes et transparents! Si c’était pire, ils nous le diraient sûrement. »

La même astuce a déjà été utilisée aux États-Unis avec J&J. « Rendons leur grâce, ils ont interrompu [la vaccination] pour seulement six cas! » BEURK.

Ce qui aggrave aussi la situation, c’est l’excrétion vaccinale. Bien entendu, personne n’est prêt à l’admettre, mais on constate que ceux qui ont reçu le vaccin finissent par infecter toute la famille. Et que certains membres de la famille en meurent. Ce qui doit également être étouffé, on a donc droit à des histoires comme celle-ci :

Beaucoup attrapent le virus après leur première injection au Bengale occidental, deviennent des porteurs asymptomatiques: les médecins

Vous saisissez? Ils admettent que les gens tombent malades ET propagent l’infection juste après leur première injection, mais prétendent que c’est à cause du virus et non de l’injection elle-même! Voilà comment on déraille les gens après les avoir menés à deux doigts de la vérité. Revenons à Gates. Les deux principaux vaccins indiens, COVISHIELD et COVAXIN, portent partout l’empreinte de la Fondation Gates. Le fabricant de COVAXIN, Bharat Biotech, a été financé à hauteur de près de 40 millions de dollars ces dernières années (dont 20 millions juste avant le lancement du projet pandémie).

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Avec COVISHIELD, qui est essentiellement AstraZeneca avec un habillage différent, la piste souterraine mène plus loin. Le fabricant est le Serum Institute of India, qui est le plus grand fabricant de vaccins au monde! Je parie que vous n’en aviez jamais entendu parler, à moins que vous ne soyez indien. Le sinistre duo père-fils, Cyrus et Adar Poonawalla, sont de mèche avec Gates depuis des années, y compris en novembre 2019 (tout comme Bharat Biotech) lorsque le père a probablement été mis à la retraite avec récompense pour ses loyaux services, et que le fils a pris les rènes.

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J’ai dit «pris les rènes» ? En fait, Adar se planque au Royaume-Uni depuis le début. Juste au cas où la population indienne se réveillerait et se rendrait compte qu’un meurtrier de masse séjourne dans une ville voisine. Regardez son nez :

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Les Poonawallas étaient dans les courses de chevaux et l’élevage, et sont passés à la fabrication de vaccins en 1966. La ville d’origine des Poonawallas est Poona (d’où leur nom) ou Pune. Pune et la ville voisine de Bombay (Mumbai) comptaient près de la moitié des cas de tout le pays au plus fort de cette flambée. Que ce soit la ville du fabricant de vaccins la plus durement touchée par le «covid» est une simple coïncidence, je n’ai aucun doute là-dessus. Le Serum Institute des Poonawallas a son siège à Pune, tandis que l’homme le plus riche d’Inde, Ambani, se cache juste à côté à Mumbai. Où, alors, le virus devrait-il décider par pur hasard de culminer en Inde ? En plein milieu de l’État où se situent ces deux villes : Maharashtra. (Voir l’état de couleur sombre sur la carte ci-dessous)

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Les Poonawallas étaient également impliqués avec plusieurs de leurs cousins ​​les plus riches dans le financement de des Guerres de l’Opium à l’époque. Ils poursuivent donc à ce jour leur projet, cette fois sur leurs propres compatriotes, en causant des dégâts beaucoup plus énormes.

Les médecins en Inde ne se sont pas réveillés même après que leur porte-drapeau de la campagne de vaccination, le Dr KK Aggarwal, soit décédé après avoir reçu le vaccin. Il avait en tout humilité déclaré qu’il représentait «la conscience du domaine médical». Je pense que ça a dû être très embêtant pour les vendeurs de vaccins, alors ils ont dû le camoufler, d’abord en étouffant les rumeurs de sa mort, puis, quand il est mort, en inondant les médias d’une multitude de nouveaux «experts» pour le remplacer. Aggarwal était également le lauréat du prix civil très renommé, le Padma Shri, et un ancien président de l’IMA (Indian Medical Association). Il travaillait à l’hôpital du père de Deepak Chopra. Vous trouverez ici une référence de Miles sur la taupe du Renseignement Chopra. Ses paroles dans sa dernière vidéo sont très révélatrices : le film n’est pas encore terminé, le spectacle doit continuer. Comme d’habitude, ils vous le disent en face, pendant que le spectacle continue.

Un autre cas exemplaire a été celui de l’expert en maladies infectieuses Rajendra Kapila de l’Université Rutger, qui a fait tout ce qu’il fallait pour «rester à la maison, rester en sécurité» pendant un an. Il a ensuite reçu l’injection de Pfizer, est allé en Inde, a été admis à l’hôpital et est décédé; du covid, voyez-vous, car juste au cas où vous ne le sauriez pas, un nouveau commandement a été martelé et enfoncé dans nos crânes cette année:

Tu n’accuseras point le vaccin.

L’Inde a aussi son lot de gourous-PDG-de-super-méga-corporations dont le boulot est d’égarer tout le monde, et parmi les meilleurs, il y a Sadhguru Jaggi Vasudev. Il a pris la parole au Forum Economique Mondial en 2007, 2017 et 2020, ce qui vous dit à peu près tout ce que vous devez savoir sur lui. Il a été un outil majeur dans la conversion de l’Inde en théocratie hindoue et a fait les éloges des vaccins en toute occasion, notamment lors d’une réunion de l’OMS à Genève en juin 2019. Selon le discours fuyant typique des gourous, sa suggestion est quelque chose du genre – «Oh, pas besoin de devenir un enragé de la vaccination, mais vous pourriez aussi bien vous faire vacciner contre le covid… la plupart d’entre nous sont en vie à cause des vaccins après tout. Soyez reconnaissants envers la médecine moderne». Et tout comme Aggarwal, il fait équipe avec Deepak Chopra pour faire passer le message. Comme d’habitude, quand vous voyez quiconque s’afficher avec Deepak Chopra, fuyez.

(photo)

Comme il faut se servir des deux côtés pour contrôler le peuple, ils ont dû balancer dans l’autre camp un autre gourou de la fraude – Baba Ramdev, le gourou indien du yoga. Lorsqu’on a commencé à voir au grand jour trop de décès de médecins (après vaccination), ils ont dû lâcher Ramdev pour affirmer que les vaccins ne fonctionnent pas et que ses remèdes de yoga fonctionnent mieux. Encore une fois, notez la tournure de phrase – les vaccins sont inutiles, mais pas dangerueux. Une fois de plus, on vous amène à deux doigts de la vérité et on vous déraille. Bien sûr, vous n’avez pas vraiment besoin d’analyser ce que raconte ce type, un seul regard vous donnera un aperçu du personnage :

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« Achetez-les chez moiiiii!! » 

L’Association Médicale Indienne s’indigne fort à propos de tout ça – «Il dit que les vaccins ne fonctionnent pas? Sédition!! Désinformation!! » Tout ça pour créer un tollé et pour éloigner soigneusement les gens du détail mineur que les vaccins les tuent.

Il y a d’autres acteurs majeurs du côté des ONG – « le Gandhi du grain » Vandana Shiva et la lauréate du Booker Prize Arundhati Roy. Plus intelligentes que le Baba Ramdev moyen, elles prennent les choses en main de manière plus sophistiquée et sont placées au sommet de la montagne. Vandana Shiva est un peu comme Noam Chomsky… elle critique Bill Gates, les cultures OGM, l’industrie des vaccins de Gates, les pesticides, et elle est la lauréate du «Prix Nobel Alternatif». Mais dit-elle UN MOT contre les vaccins actuels, sur les dommages qu’ils causent? Zip, nada. Mais encore une fois, regardez-la:

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Et puis nous avons Arundhati Roy, dont le travail consiste à critiquer le gouvernement. Elle est la cousine de Prannoy Roy, qui dirige l’un des plus grands groupes médiatiques indiens: NDTV. Non seulement cela, il (Prannoy) a étudié à la Delhi School of Economics (subordonnée de la London School of Economics) et (de Wiki) :

En 2009, Roy était l’un des deux Indiens siégeant au Conseil Consultatif International du Council on Foreign Relations.

Eh oui, nos vieux copains du CFR. Arundhati Roy est manifestement assez bien connectée, et en mettant un peu de sophisme dans son écriture, elle réussit un autre retournement cinglant: «Nous assistons à un crime contre l’humanité».

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Oh, comme vous avez raison Madame, mais minute… elle reproche au gouvernement de ne pas en faire assez. Et ses mauvaises infrastructures. Et les fautes du Premier Ministre Modi. Bien que je sois tout à fait d’accord pour dire que Modi pourrait remporter plusieurs fois le prix du plus grand salopard en Inde, lui reprocher le manque d’infrastructures occulte une fois de plus la catastrophe actuelle causée par les vaccins. Modi s’est déjà « fait les dents » en dirigeant un génocide, et il en dirige maintenant un autre.

Une pensée me vient à l’esprit: pourquoi l’Inde? Pourquoi cibler cette partie du monde en particulier? Après tout, on n’entend pas un murmure sur la Chine voisine et la façon dont elle s’en sort avec la « crise du covid ». Je fais une supposition – une grande partie de la population indienne a conservé une forte tradition de médecine non-pharmaceutique. Certes, la Chine a la médecine traditionnelle chinoise, mais avec les niveaux de censure et de contrôle industriel qui pèsent déjà sur la vie paysanne là-bas, elle [la Chine] ne semble pas être utile au projet autrement que pour le rôle qu’elle a déjà joué en tant qu’opposant dialectique aux États-Unis. L’Inde a une culture médicinale locale beaucoup plus résiliente, basée sur l’Ayurveda, et aussi l’Homéopathie, et pour ces raisons a dû être attaquée pour radicalement éliminer ces concurrents, une bonne fois pour toutes. On s’y prend en plaçant des «leaders» comme Ramdev du côté de l’Ayurveda – la manoeuvre classique de discrédit par association. Quelle personne saine d’esprit voudrait suivre ce type? L’Indian Medical Association est, une fois de plus, fort à propos indignée par l’Ayurveda et son organisation AYUSH. Controverse suscitée, mission accomplie.

Un autre important mouvement des pièces de ce jeu a été l’astucieux placement d’Indiens à des postes supérieurs dans BigTech au cours des dernières années :

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Sundar Pichai (PDG de Google) Satya Nadella (PDG de Microsoft) Parag Agrawal (CTO de Twitter)

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Shantanu Narayan (PDG d’Adobe) Arvind Krishna (PDG d’IBM) Soumya Swaminathan (OMS)

Ça permet de jouer la carte du patriotisme, en particulier pour les Indiens vivant aux États-Unis ou à l’étranger en général. Quel fantastique boost de l’ego de voir «nos compatriotes» au sommet! On ferait bien d’écouter ces experts, leurs modèles et leur expertise générale, non?

La dernière, Soumya Swaminathan, mérite une mention spéciale. Non seulement elle fait la promo incessante des vaccins en tant que « scientifique en chef de l’OMS », elle est également la fille de M. S. Swaminathan, qui a introduit les cultures OGM en Inde afin de saccager notre agriculture via la monoculture intensive de la «Révolution Verte». Il est également lauréat de la «Médaille d’Or du Mahatma Gandhi de l’UNESCO pour son travail exceptionnel visant à étendre les avantages de la biotechnologie aux populations marginalisées et frappées par la pauvreté dans les pays en développement et à garantir une base solide pour un développement agricole, environnemental et rural durable ». Vous comptez combien de drapeaux rouges dans tout ça?

Dans l’ensemble, l’Inde est dans une situation affreuse en ce moment. Nos prophètes impies ont prédit une troisième vague. Pourquoi? Ils ont besoin de cette histoire comme couverture puisqu’ils ouvrent les vaccinations aux plus jeunes: la catégorie des 18-45 ans. Et que se passe-t-il lorsque les jeunes parents commencent à excréter leur vaccin? Eh bien, les enfants tombent malades, évidemment.

On aurait bien besoin d’une prophétie dans ce cas, n’est-ce pas ? Mais certainement : «Les experts de la santé prédisent que la troisième vague du virus est susceptible de frapper le pays plus tard dans l’année et ont catégoriquement averti que les enfants seraient plus touchés par la troisième vague que les adultes. » Ces gens abominables ont déjà préparé une couverture pour le génocide des enfants – calmement, méthodiquement, conformément à leur plan.

Du côté de ceux qui résistent à la poussée vaccinale, on trouve une poignée de groupes, comme celui malheureusement dirigé par David Icke, Awaken India Mouvement. C’est mieux que rien, je suppose, mais j’espère qu’ils surmonteront rapidement leur problème initial en comprenant que leur chef fait partie de l’opposition contrôlée. Il y a aussi Great Game India – ce groupe est dirigé par un personnage suspect, Srinivas Kidambi, issu de la St. Edward’s University Austin, et, selon Wikipedia: St. Edward’s a été parmi les ceux qui ont formé le plus d’étudiants Fulbright aux États-Unis au cours des cinq dernières années. C’est-à-dire encore une école du Renseignement. On n’en aura jamais fait le tour? C’est la raison pour laquelle ce groupe continue d’attiser un sentiment nationaliste contre la Chine. Comme nous le savons, les frontières nationales ne signifient rien quand les pilleurs internationaux sont sur le terrain depuis des lustres.

Quoi qu’il en soit. Si vous venez d’Inde ou si vous connaissez des Indiens, donnez-leur les graphiques et les faits de cet article. La plupart d’entre eux ont subi un lavage de cerveau, mais j’espère que quelques-uns ouvriront les yeux sur cette folie. Ceux qui ont une formation en informatique sont pour la plupart des cas désespérés – et la majorité du personnel en informatique est indienne et donc malheureusement perdus d’avance – ​​ils vénèrent les traces de leurs héros, des gens comme Steve Jobs, Elon Musk, Zuckerberg, Sundar Pichai et autres PDG. Ceux qui ont une formation en biotechnologie ou en médecine sont également des cas assez désespérés. Mais les gens du monde rural gardent encore un peu de bon sens. Faites de votre mieux pour réveiller ces gens. Ils ont parfois réussi à remballer les agents médicaux et la police en les tabassant et en leur faisant goûter à leur propre médecine – un truc que je regarde de temps en temps. C’est la lueur d’espoir dans ce tableau très sombre.


Texte original

India: The Real Crisis

by Hanuman Bhakt

May 31, 2021

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The photo above from a Wall Street Journal Article is a good way to dive into this whole Indian episode due to what they show on it: the graph. Digging just a little bit more into that graph with the spike, and adding one extra detail that they don’t show, is enough to blow the whole story:

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Data for this is taken from here. You have the same problem if you look at the graph with the deaths instead of cases:

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Note the two important events out there – the farmers’ protest and Diwali. For those who came in late, the farmers’ protests had been taking place for approximately 5 months all over India and especially near the capital region, with hundreds of thousands of people coming together to protest the government’s trampling of their livelihood. In the freezing cold in the midst of a cold wave. Outdoors.

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“Miraculously,” no wave of covid cases. Diwali is the biggest festival in India, bar none. Folks were thronging markets in the thousands, celebrating with their families, throwing off the yoke of covid oppression in their own ways. No wave to see here, either.

We can’t have that, now, can we? In order to teach ‘em all a lesson, Gates, with his by-now-well-known-habit of prophesying, stated in December 2020 that the next four to six months could be the worst of the pandemic. Where would we be without our prophets?

Along comes the vaccination drive, on January 16th, 2021. And all hell breaks loose. India’s health infrastructure creeks under the strain, hospitals get full, and on the ground real-life stories start to get visible. Along with the rest of the world media, CNN jumps on the pandemic bandwagon, and picks out the most emotional videos it can to spread as much fear as possible about India’s “second covid surge”. Then the merry-go-round of blame game starts:

Some blame the government.

Some blame the corruption.

Some blame the covid virus/variants.

Some blame the lack of oxygen.

Some blame the elections (yeah, right, after Diwali and the farmers’ protests?).

Some controlled ops even claim that the whole Indian crisis is fake, so that other mainstream media can come and debunk that. That’s a clever one, because deaths WERE faked in India last year, but the current deaths are not faked.

But what are you not allowed to blame? That’s right: the VACCINES.

Friends who have not spoken to me for ages pop up on facebook and other social media with faux-concern:

Them: “Oh, I heard things are very horrible in India and people are dying of covid! Is your family allright?”

Me: “Of course they are, they are not stupid enough to go and take the vaccine.”

Them: Silence.

The stories of the vaccine side effects couldn’t be kept down easily, of course. For example, blood clots have shot through the roof, and doctors whom I know on the ground have mentioned to me that clotting factors like the D-Dimer tests and CRP tests are showing abnormally high values – something that was not true in 2020. All this cannot be ignored. So the media has to rush in to cover it up with a nice-sounding sanitized story: that the chance of blood clots is ‘miniscule’ and only 26 cases have been seen so far. 26? Miles’ readers will recognize the pattern of such numbers, but in this case probably 260,000 is closer to the truth. But they gotta admit some tiny number in the media, so that way they can hit two birds with one stone:

  1. By admitting it, anyone who hears about the clotting side-effect will automatically think: “rare”
  2. They get brownie points for admitting it – “Oh, they admitted their fault even if it is only 26cases! See how honest and open they are! If it was worse, they would surely tell us.”

The same trick was already tried with J&J in the US.“Bless their hearts, they paused it just because of sixcases!” YUCK.

Another thing that is making things much worse is vaccine shedding. Of course, no one would admit to that, but it is being seen that those who have taken the vaccine end up infecting the entire family. And some in the family do not make it. Now, that has to be covered up as well, so we have stories like this:

Many catching virus after first jab in West Bengal, turning silent spreaders: Doctors

Did you catch that? They admit people are falling sick AND spreading infection right after the first jab, but claim it is because of the virus, and not due to the jab itself! Talk about spinning people away after allowing them to get within a hair’s breadth of the truth.

Let’s get back to Gates. Both of India’s major vaccines, COVISHIELD and COVAXIN, have fingerprints of Gates Foundation all over them. The manufacturer of COVAXIN, Bharat Biotech, was funded to the tune of nearly $40 million in the last few years (including 20 million just before the whole pandemic project):

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With COVISHIELD, which is basically AstraZeneca in a different garb, the rabbit hole leads deeper. The manufacturer is the Serum Institute of India, which is the world’s largest vaccine maker! I bet you had not heard of it till today, unless you are Indian. Now the creepy father-and-son-duo, Cyrus and Adar Poonawalla, have been in cahoots with Gates for years, including in November 2019 (just like Bharat Biotech) when the dad was probably retired with an award for his services, and the son took the helm.

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Did I say “took the helm”? Actually Adar is safely hiding in the UK all this while. Just in case the Indian population wised up and realized that a mass murderer was staying in a city close by. Watch his nose:

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The Poonawallas were into horse racing and breeding, and switched to making vaccines in 1966. The city the Poonawallas are from is Poona (hence the name) or Pune. Pune, and nearby Bombay (Mumbai), had nearly half the entire country’s cases at the peak of this surge. Just a coincidence that the vaccine manufacturer’s city is the one hardest hit with “covid”, I’m sure. The Poonawallas’ Serum Institute is headquartered in Pune, while India’s richest man, Ambani, is holed up next door in Mumbai. Where, then, should the virus coincidentally decide to peak in India? Smack in the middle of the State these two cities are in: Maharashtra. (See the dark colored state in the map below)

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The Poonawallas were also involved with several of their richer cousins in financing the Opium Wars back in the day. They are hence continuing the project to this day, this time on their own countrymen,with a much larger devastation.

The doctors in India haven’t woken up even when their poster boy of the vaccine push, Dr. KK Aggarwal, died after taking the vaccine. He had made the humble claim that he represents the “state of consciousness of the medical field”. I think this was very inconvenient for the vaccine pushers, so they had to cover it up, first by quashing rumors of his death, and then, when he died, by flooding the media with a host of new “experts” to replace his presence. Aggarwal was also the winner of the highly renowned civilian award, the Padma Shri, and a former president of the IMA (Indian Medical Association). He used to work at the hospital of Deepak Chopra’s dad. See here for Miles’ reference to the spook Chopra. His words in his last video were very telling: The movie isn’t over yet, the show must go on. As usual, they tell you right in your face, as the show is going on.

Another exemplary case was that of the infectious disease expert Rajendra Kapila from Rutger’s University, who did the whole “stay home stay safe” thing for a year. Then he took the Pfizer jabs, went to India, got admitted to the hospital, and died; of covid, you see, because just in case you didn’t realize, a new commandment has been hammered and pounded into our mind this year:

Thou shalt not blame the vaccine.

India also has its host of guru-plus-mega-corporation-CEO’s to lead everyone astray, and right among thetop is Sadhguru Jaggi Vasudev. He has spoken at the World Economic Forum in 2007, 2017 and 2020, which pretty much tells you all you need to know. He has been a major tool in converting India into a Hindu theocracy, and has been harping about the vaccine at every opportunity, most notably at a WHO meeting in Geneva in June 2019. In classic vacillating guru fashion, the suggestion is something like –“Oh you don’t need to go crazy about vaccinations, but you might as well get the covid vaccine… most of us are alive because of vaccines after all. Be thankful to modern medicine”. And just like Aggarwal, he teams up with Deepak Chopra to give the message. As usual, when you see anyone with Deepak Chopra, run.

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Since two sides are needed to control the population, they had to throw out the other side of the story with another fraud guru – Baba Ramdev, the Yoga guru of India. When too many doctors’ deaths (after vaccinations) were coming into the limelight, they had to unleash Ramdev to claim that vaccines don’t work, and that his yoga solutions work better. Once again, note the turn of phrase – vaccines are useless, but not harmful. Once again, you get within an inch of the truth and are then spun away. Of course, you don’t really need to analyze what this guy says, as one look at him will give you a picture of his character:

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“Buy this from meeee!!”

The Indian Medical Association gets suitably riled up about all this – “He says vaccines do not work? Sedition!! Misinformation!!” All to create a furor and neatly guide people past the minor point that the vaccines are killing them. There are other major players from the NGO side – “the Gandhi of grain” Vandana Shiva and Booker Prize winner Arundhati Roy. Being more intelligent than the average Baba Ramdev, they take a sophisticated spin on things, and are placed highest up the mountain. Vandana Shiva is a bit like Noam Chomsky… she criticizes Bill Gates, the GMO crops, the Gates’ vaccine industry, the pesticides, and is the winner of the “Alternative Nobel Prize”. But does she say ONE WORD against the current vaccines, about the harms they are causing? Zip, nada.

But again, just look at her:

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And then we have Arundhati Roy, whose job is to criticize government. She is the cousin of Prannoy Roy, who heads up one of the largest Indian media groups: NDTV. Not only that, he (Prannoy) studied at the Delhi School of Economics (underling of the London School of Economics), and (from wiki):

In 2009 Roy was one of two Indians serving on the International Advisory Board of Council on Foreign Relations.

Yep, that’s our old buddies at CFR. Arundhati Roy is obviously pretty well connected, and with a little bit of sophistry with her writing, she manages another whiplash of a spin: “We are witnessing a crime against humanity”. Oh how right you are madam, but wait a minute… she is talking of the government not doing enough. And its bad infrastructure. And the faults of Prime Minister Modi. While I completely agree that Modi can win several prizes as the top scumbag of India, blaming him for the lack of infrastructure once again overlooks the current vaccine-caused disaster. Modi has “made his bones” by already being at the head of a genocide once, and he is heading another one now.

The thought comes to mind – why India? Why target this part of the world, in particular? After all, we hear nary a peep from next-door China about how it is faring with the “covid crisis”. I surmise here – India has a large population that has a strong tradition of non-pharmaceutical medicine. For sure, China has traditional Chinese medicine, but with the levels of censorship and industrial control already present on the peasant life over there, it doesn’t seem the right fit for the project other than the part it has already played as a dialectic for the US. India has had a much more resilient local medicinal culture, based in Ayurveda, and also Homeopathy, and as such had to be attacked to eliminate those competitors root and branch once and for all. They are going at it by plonking “leaders” like Ramdev on the side of Ayurveda – classic discredit-by-association. Who in their right mind would ever want to follow that guy? The Indian Medical Association is, once again, suitably outraged by Ayurveda and its organization AYUSH. Controversy stirred, mission accomplished.

Another important move in the game has been the placement of Indians neatly in top positions in BigTech as well over the last few years:

(photos)

Sundar Pichai (Google CEO) Satya Nadella (Microsoft CEO) Parag Agrawal (Twitter CTO)

(photos)

Shantanu Narayan (Adobe CEO) Arvind Krishna (IBM CEO) Soumya Swaminathan (WHO)

This facilitates tapping the patriotism card, especially for those Indians living in the US or abroad in general. What a fantastic ego-boost to have “our countrymen” all the way at the top! We’d better listen to these experts and their models and their expertise in general, right? The last one, Soumya Swaminathan, deserves special mention. Not only is she pushing vaccines all day as WHO’s “chief scientist”, she is also the daughter of M. S. Swaminathan, who introduced GMO crops to India to trash our agriculture via the monoculture-heavy « Green Revolution ». He is also the winner of « UNESCO Mahatma Gandhi Gold Medal for his outstanding work in extending the benefits of biotechnology to marginalised and poverty-stricken populations in developing countries and in securing a sound basis for sustainable agricultural, environmental and rural development ». How many red flags can you count there?

All in all, India is in a terrible place right now. Our unholy prophets have predicted a third wave. Why? They need that cover story since they are opening up the vaccinations to the younger folks: the 18-45 year old category. And what happens when young parents start shedding? Well, the kids get sick, of course. We need a prophecy for that one, don’t we? Sure enough: “Health experts predict that the third wave of the virus is likely to hit the country later this year and have categorically warned that children would be affected by the third wave more than adults.” These horrible people are preparing the cover story for a genocide of children – calmly, methodically, all according to plan.

On the side of those resisting the vaccine push, there are a handful of groups, such as the oneunfortunately led by David Icke, like Awaken India Movement. It’s better than nothing I guess, but I hope it goes through the teething problems of seeing through its controlled opposition leader quickly. There is also Great Game India – this group is lead by a suspicious character Srinivas Kidambi who came out of St. Edward’s University Austin, and, per Wikipedia: St. Edward’s has been among the top producers of U.S. Fulbright Students for the last five years. AKA another spook school. Is there no end to them? That is why this group keeps whipping up nationalistic sentiment against China. As we know, national boundaries mean nothing when the international looters have been at it for ages.

Anyway. If you’re from India, or know any Indians – smack them with the graphs and facts in this article. Most of them are pretty brainwashed, but hopefully a few will wake up to the nonsense. The ones with a computer background are mostly useless – and most IT help is Indian and therefore unfortunately that way – they worship the footsteps of their heroes like Steve Jobs, Elon Musk, Zuckerberg, Sundar Pichaiand the rest of CEO crew. The ones in the bio-tech or medical background are also pretty hopeless. But the rural folks still retain some common sense. Do your best to wake up these people. They have occasionally been sending the medical agents and the police packing by beating them up and giving them a taste of their own medicine – which I watch from time to time. It is the silver lining to a very dark cloud.

Un conte pour les enfants.

Sérieusement, ne le racontez pas aux enfants. Par contre, vous pouvez partager avec les grandes personnes.


Un conte pour les enfants

Il y a longtemps vivait un homme qui aimait faire le mal.

Il aimait faire mourir les animaux. Il les faisait mourir en leur faisant trés mal. Il aimait voir dans leurs yeux comment ils avaient peur et il aimait entendre dans leurs cris comment ils souffraient. Comme c’était lui qui décidait quand les animaux mouraient, il se disait qu’il avait beaucoup de « pouvoir ».

Mais il n’en avait pas assez. Il voulait aussi avoir du « pouvoir » sur les gens.

Un jour, il eut une idée.

Comme il savait comment faire mourir les animaux, il savait aussi comment faire mourir les gens, parce que les gens c’est comme les animaux. Il avait inventé un poison. Il fallait mettre le poison dans leur corps mais pour ça il fallait que les gens soient d’accord. Alors il leur expliqua que les animaux donnaient la « maladie » et qu’il avait regardé dans le corps des animaux qu’il faisait mourir et qu’il savait comment empêcher les gens de mourir de la « maladie ».

Et les gens pensèrent que c’était un homme bon, parce qu’ils ne voulaient pas mourir et que faire mourir les animaux, ce n’était pas très grave. Et les gens pensèrent qu’il était aussi très intelligent, parce que quand il faisait mourir les animaux, il mettait une blouse blanche et que quelqu’un qui porte une blouse blanche ne ferait pas mourir les animaux sans raison. Il se dirent qu’il savait quelque chose qu’ils ne savaient pas. Ils se dirent qu’il avait beaucoup de « pouvoir » et qu’il était un « héros ».

Alors les gens leur amenèrent leurs enfants pour qu’il leur mette le poison dans le corps, en pensant que ça les empêcherait de mourir. Et quand les enfants mouraient quand même ou qu’ils étaient très malades ou qu’ils souffraient tellement qu’ils ne savaient plus être comme les autres enfants, ils se dirent que ce n’était pas la faute du poison.

Et après lui, les hommes qui voulaient aussi beaucoup de « pouvoir » se dirent que c’est ce qu’il fallait faire. Et eux aussi firent mourir les animaux mais il prirent aussi les bébés dans le ventre des mamans qui ne les voulaient pas, et ils coupaient leur coeur avec un couteau. Il disaient que c’était pour la « recherche » et que la « recherche » empêcherait les gens de mourir.

Et les gens disaient que ce n’était pas trés grave de faire mourir les bébés, parce que eux ne voulaient pas mourir.


Il y avait aussi un homme qui avait beaucoup d’argent qu’il avait volé aux gens. Lui aussi pensait qu’il avait beaucoup de « pouvoir ». Il se disait que les gens c’est comme les animaux et qu’on peut leur faire tout ce qu’on veut.

Et après lui, les hommes qui voulaient beaucoup de « pouvoir » se disaient que c’est ce qu’il fallait faire.

Un jour, l’homme qui faisait mourir les animaux alla voir l’homme qui volait l’argent aux gens et lui demanda de lui donner de l’argent pour sa « recherche ». L’homme lui donna l’argent qu’il demandait mais il lui dit qu’il devrait désormais travailler pour lui.

Et un jour l’homme qui avait beaucoup d’argent vint trouver l’homme en blouse blanche. Il lui expliqua qu’il voulait garder pour lui l’argent qu’il avait volé mais que les gens risquaient de lui demander qu’il leur rende. Il lui dit qu’avant, quand les gens voulaient garder leur argent, il les faisait mourir en les faisant travailler beaucoup et quand ils ne mouraient pas assez, il les envoyait à la « guerre » pour mourir et faire mourir les gens des autres endroits et aussi pour casser leurs maisons avec des jouets qu’il avait fabriqués et qui cassent les maisons. Et quand les gens étaient morts, il pouvait garder leur argent. Et aussi quand beaucoup de maisons étaient cassées, il fallait les réparer et c’était lui qui les réparait contre de l’argent.

Mais l’homme qui avait beaucoup d’argent était inquiet. Les gens ne mouraient plus beaucoup parce qu’ils n’y avait plus assez de « guerres » et qu’ils ne travaillaient plus assez pour mourir. Alors il demanda à l’homme en blouse blanche qui travaillait pour lui s’il pouvait fabriquer du poison pour faire mourir les gens, avant qu’ils lui demandent de rendre leur argent.

L’homme en blouse blanche lui dit qu’il savait comment faire parce qu’il savait comment faire mourir les animaux et que les gens c’est comme les animaux.


L’homme en blouse blanche avait inventé deux nouveaux poisons. Un trés petit, que les gens ne voyaient pas. Mais comme il ne marchait pas bien, il en avait fabriqué un autre, qui ressemblait à celui d’avant, qu’on mettait dans le corps des gens et qui les ferait mourir plus tard et qui ferait aussi mourir ceux qui étaient tout près. Et aussi, les mamans ne pourraient plus avoir de bébés parce qu’il mourraient dans leur ventre.

Pour que les gens donnent leur argent pour des choses dont ils n’avaient pas besoin et aussi pour qu’ils obéissent à l’homme qui avait beaucoup d’argent et à l’homme en blouse blanche, on avait inventé une lampe magique. C’était une lampe qui parlait et comme elle était magique, ceux qui la regardaient croyaient ce qu’elle disait.

Un jour, la lampe leur dit qu’il y avait une « maladie » à cause des animaux qui vivaient à l’endroit où on fabriquait les jouets pour les grands. La lampe leur dit qu’ils allaient mourir de la « maladie » et les gens avaient très peur. Alors la lampe leur dit qu’ils devaient rester dans leur maison pour ne pas l’attraper, et s’ils ne voulaient pas ils seraient punis, on leur prendrait leur argent et des hommes en costume noir leur taperaient sur la tête avec un bâton.

Comme ils restaient dans leur maison, ils n’allaient plus voir leurs papas et leurs mamans qui étaient vieux et qu’on avait mis dans des maisons spéciales pour les vieux papas et les vieilles mamans qu’on ne voulait plus. Alors comme leurs enfants n’étaient pas là pour les protéger, on mit dans le corps des vieux papas et des vieilles mamans l’autre poison qui les faisait mourir. L’homme qui leur avait volé leur argent était très content, parce qu’il ne devait plus leur rendre et qu’il pouvait le garder pour toujours.

La lampe dit aussi aux gens qu’ils ne pouvaient pas se soigner parce que c’était très dangereux et que ça les ferait mourir. Et la lampe leur montra le « héros », qui avait volé beaucoup d’argent et l’avait donné à l’homme en blouse blanche pour faire mourir beaucoup d’enfants avec du poison et pour que les mamans n’aient pas de bébés à des endroits où il disait qu’il y avait trop de gens. Le « héros » leur dit qu’il fallait attendre dans leur maison que l’homme en blouse blanche fabrique un poison pour mettre dans leur corps pour qu’ils n’aient pas la « maladie » et pour qu’ils ne fassent pas mourir leurs vieux papas et leurs vieilles mamans en allant tout près. Il leur dit qu’ils pourraient sortir de leur maison et avoir leurs jouets de grands seulement quand il auraient eu le poison.

Et quand on leur mit le poison dans le corps, il y eut encore beaucoup de vieux papas et de vieilles mamans qui moururent et de bébés qui moururent dans le ventre de leur maman, et plein d’autres gens aussi. Mais la lampe dit que c’était bien alors les gens continuèrent à demander le poison. Mais il y avait des gens qui ne voulaient pas et qui ne croyaient plus ce que disait la lampe parce qu’ils avaient vu qu’on avait fait mourir les vieux papas et les vieilles mamans, et que les bébés mouraient dans le ventre des mamans, et plein d’autres gens aussi. Mais le poison rentra dans leur corps quand même parce qu’ils étaient tout près des gens à qui on l’avait mis, et il y en eut beaucoup qui moururent et beaucoup de bébés qui moururent dans le ventre de leur maman et beaucoup de mamans qui ne pouvaient plus avoir de bébés.

Et un jour l’homme en blouse blanche vit que tous les gens qui vivaient encore avaient le deuxième poison dans leur corps.

Alors il prit un troisième poison, que personne ne voyait, qu’il avait fabriqué et mis dans un tiroir en attendant.

Et il le mit dans l’air.

Et depuis, les animaux sont bien tranquilles parce qu’il n’y a plus personne pour les faire mourir.

Nous, on peut.

Le Forum Economique Mondial a désigné l’ennemi : c’est la richesse.

Je me disais aussi, c’est forcément de notre faute.

La solution, c’est : « vous ne possèderez plus rien ». Et au cas où on en douterait, « et vous serez heureux ».

Je pense plutôt qu’on sera morts, mais ce n’est pas bien grave. Pour eux ça revient probablement au même. Au cimetière ou dans une prison digitale, du moment qu’on rentre dans le rang, c’est bon.

Evidemment il y a un côté irritant pour le petit ouvrier (par exemple, moi) à se faire conspuer par des maîtres auto-proclamés, dont la principale distraction est de dicter la vie (ou la mort) des autres du haut de leurs trillions de dollars, qui ne sont pas du tout un problème. Eux, ils peuvent.

Mais il y a autre chose à comprendre, et à comprendre vite : c’est comment on en est arrivés là.

Et la réponse est, par notre matérialisme égoïste et notre infantilisation. Nous sommes des enfants gâtés. On a joué à moi, je peux. Il faut nous punir.

Est-ce vrai?

On nous a vendu des voitures, et précisant bien qu’il ne fallait ni rouler trop vite ni rouler bourré. Et bien entendu, ce fut exactement l’inverse. Je roule en scooter et je respecte les limites de vitesse – y compris les zones 30, même en pleine nuit, même pendant les vacances, ce genre de con exaspérant. Or, j’ai compté : ça m’arrive deux fois par an de ne pas me faire dépasser par des chauffards automobilistes. J’ai parallèlement consulté les chiffres nationaux de la consommation d’alcool, de drogues illégales et de médicaments psychotropes et ils sont assez hallucinants – sans jeu de mots (je précise au passage que je consomme au pire du café et du tabac à rouler). Même sans faire de calcul de probabilité, j’imagine un nombre assez significatif de gens défoncés au volant. Un médecin urgentiste m’a d’ailleurs dit que plus d’une personne sur trois qui atterrit dans son service est sous l’influence de drogues dures – sur base d’analyse sanguine. Pas mal. En résumé, on ne fait pas très gaffe. On aura donc bientôt droit aux voitures sans chauffeur. Pure logique. A + B = C. [23/04 En fait non. Je viens de lire ça et je vais le traduire. L’intelligence artificielle est un leurre : ça ne fonctionne pas.]

On nous a vendu des téléphones intelligents et des ordinateurs à vil prix sans qu’on entende beaucoup parler de leur coût réel, sur les plans sociaux, environnementaux et géopolitiques – ce qu’on nomme aussi les « coûts cachés », j’aborde la question des prix et de leurs conséquences dans un prochain article – ni de la raison pour laquelle c’était tellement important que tout le monde y ait accès. Eh bien maintenant, on sait. Ce sont des outils de surveillance. Celui qui n’a pas compris ça maintenant vit sous un rocher. Et non, je n’ai pas de smartphone. Pendant que les autres sont le nez dans leur écran – généralement pas pour étudier les mathématiques avancées – je vais écouter le chant des oiseaux. Chant que certains – je suis prêt à le parier – prendraient pour une sonnerie de téléphone. Par réflexe.

On nous a vendu l’énergie pétrolière, qui, selon ce calcul un peu surfait, représente par kilo l’équivalent de la force de travail de vingt personnes à notre service, donc d’esclaves. Une aubaine sans équivalent dans l’Histoire humaine. Nous voilà maîtres d’esclaves, ce que pas mal de monde a compris comme l’occasion d’en foutre encore moins qu’avant, ou d’en faire n’importe quoi. Dans la salle de sport du village, il y a des bobonnes qui habitent à 1km, viennent en voiture, font 2km sur le tapis roulant et rentrent chez elles en voiture. J’invente pas.

On nous a vendu beaucoup de ce genre d’outils technologiques et personne n’a lu les petits caractères en bas de contrat : nous étions responsables de leur bonne utilisation. « En bon père de famille ». En consommateurs avisés, ce que nous ne sommes manifestement même pas capables de faire convenablement.

Et ne parlons même pas de la bouffe.

On me dira que je dramatise. Je dirais que je dé-banalise.

Addendum 21/04 : je vous renvoie à un précédent article, Pourquoi CS Lewis a écrit « L’abolition de l’homme », qui parle de ce sujet et et du « transhumanisme » avec une préscience étonnante.


Jacques Attali (77 ans), « conseiller » au Président de la République Française depuis 1981, explique comment les personnes de plus de 65 ans représentent un fardeau pour la société – du moins, la sienne, il est socialiste – en termes de dépenses de santé, ce qui est de ce point de vue parfaitement exact. Evidemment, pas lui. Lui n’est pas un fardeau. Lui, il peut.

Sa conclusion est que la société du futur ne pourra advenir qu’avec l’option de l’euthanasie : la solution économique à un problème humain. Le nouveau (mais ancien) « conseiller » (encore un) à la Santé de l’administration Biden, Ezekiel Emmanuel, tient exactement les mêmes propos – sauf qu’il fixe la limite à 75 ans, merci quand même. Il a rédigé en personne la loi d’attribution de soins de santé au niveau individuel par des « comités » d’Etat (judicieusement renommés « death panels« ). Cette loi fait partie de ce qu’on a appelé ObamaCare. Il revient aujourd’hui la consolider, entouré d’une équipe d’économistes, encore eux. Vous vous souviendrez du slogan électoral du type qui se fait appeler Obama : Yes, we can. Oui, on peut. Même pas besoin de dénoncer ces crapules, ils le font eux-mêmes.

Vous pouvez lire les détails de ce qui précède dans cet article de Matthew Ehret que j’ai traduit ici, à partir du paragraphe intitulé « L’esprit génocidaire du Dr Ezekiel Emmanuel » – je vous recommande évidemment de lire l’article complet. Vous noterez que dans les deux cas, les arguments sont identiques : normalisation de l’eugénisme sous couvert de collectivisme, ou en langage courant, pour la survie du groupe, il faut sacrifier les faibles. Où ai-je déjà entendu ça?

Ce genre de calcul parfaitement répugnant suscitera chez tout être humain sensé une saine indignation, qui ne devrait toutefois pas occulter un fait crucial : la consommation de médicaments et de soins chez nos aînés a atteint un niveau complètement délirant. Une personne âgée dans mon entourage vient de décéder. On a vidé son armoire à pharmacie et on en a rempli deux sacs-poubelle. Le grand modèle, je précise.

On pourrait parler d’excès mais on me dit que ce n’est pas du tout exceptionnel et je veux bien le croire. Quand un médecin/dentiste me demande quels médicaments je prends et que je réponds « aucun », on me repose la même question, le sourcil levé et le regard inquisiteur. J’ai dû mal comprendre. Mon épouse, qui est dans le même cas, a même eu droit à des remarques un peu agacées. Pour des gens qui approchent la soixantaine, nous ne sommes pas normaux. Nous ne prenons pas notre santé au sérieux. La preuve, nous ne sommes pas malades.

Sur une année, ma consommation maximum en médicaments est : quelques cachets de paracétamol contre la douleur, quelques cuillers de bicarbonate de soude, de la pommade contre les engelures, et de la vitamine D et du gluconate de zinc en prévention (devinez contre quoi). Je ne passe jamais de visite de « contrôle » ni de « test » (suivez mon regard) et nous ne sommes évidemment vaccinés contre rien, ce qui a le don de pas mal énerver le toubib lambda, dont la compétence se limite à rédiger des ordonnances et à s’énerver.


Puisqu’on en arrive aux vaccins, je republie ci-dessous une extrait de mon article publié le 20 novembre 2020. C’est extrait d’une interview du Dr Theresa Deisher par Robert F. Kennedy Jr.

Source francophone. Source originale.

Extrait (10’55-14’46):

(traduction)

Robert F. Kennedy Jr : « Pourquoi est-on passé de l’utilisation exclusive de cellules animales à celle de cellules foetales? »

Dr. Theresa Deisher : « C’est compliqué. Les mouvements de défense animale étaient très actifs à l’époque et, par exemple, le virus de la varicelle pouvait être reproduit dans des cultures de cellules de cobayes mais il existe pas mal d’opposition à l’utilisation d’animaux dans la recherche et les défenseurs des animaux les ont clairement incités à utiliser les corps de bébés avortés. D’un point de vue économique, ils pensaient que ça coûterait moins cher. Ce qui n’est pas le cas, parce que le cadre réglementaire est bien plus contraignant. Et finalement fabriquer du virus coûte moins de 10 cents. C’est le « builing » (NdT. la coupure de la chaîne d’ARN pour stopper la transcriptase) du virus qui coûte cher, donc ça n’a finalement pas été plus rentable pour eux. »

Robert F. Kennedy Jr : « C’est plutôt surprenant de voir que les défenseurs des animaux ont plus d’influence sur l’industrie du vaccin que les mouvements anti-avortement. »

Dr. Theresa Deisher : « C’est le cas. En fait, ce qui est très inquiétant c’est le peu de protestation contre le fait que des bébés humains naissent vivants à cinq ou six mois afin qu’on puisse extraire leur coeur en train de battre. Et il faut qu’il soit en train de battre pour être utilisé dans la recherche actuelle. Si le coeur ne bat plus, il n’est plus utilisable, on ne peut plus s’en servir. Donc ces bébés naissent en vie et leur coeur est découpé sans anesthésie. Je ne ferais pas ça à une souris. »

Robert F. Kennedy Jr : « Vous voulez dire, vous dites cinq mois, vous nous parlez d’un foetus de cinq mois. »

Dr. Theresa Deisher : « Oui. »

Robert F. Kennedy Jr : « Et ils naissent en vie? »

Dr. Theresa Deisher : « Oui. »

Robert F. Kennedy Jr : « Et ils sont tués par chirurgie. »

Dr. Theresa Deisher : « Leurs coeurs sont découpés. Ou on découpe dans leurs visages pour obtenir leur tissu cérébral. »

Robert F. Kennedy Jr : « C’est horrible. »

Dr. Theresa Deisher : « Oui. Et on ne ferait pas ça à une souris. »

Robert F. Kennedy Jr : « [Stanley Plotkin] dit qu’on utilise tout le foetus. Les foetus sont avortés puis découpés en morceaux. On utilise les langues, on utilise les yeux, on utilise toutes les parties du foetus. Est-ce vrai ou n’utilise-t-on que le coeur et le cerveau? »

Dr. Theresa Deisher : « On utilise tout le bébé, certains scientifiques achètent le coeur, un autre scientifique achète le cerveau, on achète les jambes ou les yeux. Les corps sont vendus en morceaux aux chercheurs. J’avais reçu un catalogue il y a une vingtaine d’années. Je n’oublierai jamais les prix. Un bébé de 32 semaines, ça signifie un bébé vivant. […] Les prématurés survivent à partir de 21 semaines maintenant. Donc ce sont des bébés viables. »

Si ce genre d’abomination était commise par un quidam, ça ferait les gros titres de la presse internationale et on en parlerait encore dans un siècle. Ce serait « le tueur de bébés », « le psychopathe sadique », etc. Mais ici, on parle de gens qui se lèvent le matin, embrassent leur femme – ou leur mari, je suis certain qu’il y a des femmes dans cette histoire – conduisent leurs enfants à l’école avant de se rendre à leur boulot et de commettre ça. Parce que eux, ils peuvent. Ils sont même payés pour, et grassement.

Je vous envoie à cet excellent article de Liliane Held-Khawam qui reprend notamment la déposition de Stanley Plotkin, dont fait mention Robert F. Kennedy Jr ci-dessus. Lisez-le.

C’est le quotidien dans le petit monde de la « recherche scientifique » : on a commencé par torturer à mort des animaux, puis on est passé aux bébés. On commence toujours par les animaux. Et ce sont ceux qui les défendent qui demandent qu’on le fasse plutôt aux petits humains, comme vous venez de le lire.

Dans les cliniques d’avortements, le quotidien ce sont des bébés – viables – qui naissent en vie quand on a pas pris la précaution de les tuer avant, et qu’on laisse mourir, ce qui peut prendre des heures, dans la buanderie de linge sale ou dans des pièces appelées « chambres de confort« .

C’était une petite pièce joliment décorée avec une machine « First Foto » au cas où les parents voudraient des photos de leurs bébés avortés, des fournitures de baptême si les parents voulaient que leurs bébés avortés soient baptisés, et une imprimante à pied et des bracelets pour bébé si les parents voulaient des souvenirs de leurs bébés avortés. Il y avait aussi un lit-berceuse en bois pour bercer ces bébés en attendant qu’ils meurent.

This was a small, nicely decorated room complete with a First Foto machine in case parents wanted pictures of their aborted babies, baptismal supplies if parents wanted their aborted babies baptized, and a foot printer and baby bracelets if parents wanted keepsakes of their aborted babies. There was also a wooden rocker to rock these babies to death.

Allez voir le lien, il y a des photos. C’est tout à fait charmant.

Exceptionnellement, certains en réchappent : voici le témoignage de l’une d’entre eux.

Depuis un an les vieux dans les homes subissent le même genre de traitement – ce qui ne devrait pas trop déranger les « conseillers » mentionnés plus haut. Rappelez-vous : les bébés et les vieux, rien à foutre.

Qu’ils crèvent.


Les actes innommables commis à l’abri de salles médicales feutrées en sortent aujourd’hui et viennent déborder sur l’ensemble de la société, qui s’en émeut et défile dans les rues. Le petit peuple semble découvrir un peu tard dans quel système il vit. Il a un peu vite oublié le coût humain de son petit confort : les vieux discrètement parqués dans des mouroirs – loin des yeux, loin du coeur – les dizaines de milliers d’enfants sacrifiés hier à la « révolution industrielle », les enfants esclaves des pays pauvres, les enfants qu’on massacre en silence pour la recherche, pour leurs organes – ou simplement pour ne pas devoir s’en occuper. Finalement, pourquoi pas? On peut.

La valeur d’une société se mesure à la manière dont elle traite les êtres sans défense. Ce n’est pas économiquement, mais moralement et humainement que cette société s’écroule, et je n’ai pas besoin du discours hypocrite et des arguments frauduleux d’un Klaus Schwab pour le savoir. Que ce soit sa clique de milliardaires cyniques qui se charge de nous faire payer la facture, en faisant de cette planète, dans un premier temps, une prison à haute sécurité, est une ironie doublée d’une insulte

Ce monde deviendra bientôt un enfer. Il l’était déjà pour certains, comme vous le voyez. La doctrine égalitaire fera qu’il le devienne pour tous.

L’humanité est devenue un syndicat du crime organisé.

Mais tout finit par se payer.

Tout.


Les nombreuses analyses médicales des « vaccins » Covid que j’ai traduites et publiées ici attirent du monde, nettement plus que mes propres articles. Mais comme on me l’a fait remarquer, on n’attire pas les mouches avec du vinaigre. Beaucoup de gens sont curieux et inquiets de ce qu’on cherche à leur infliger. La réponse est claire, simple et tient en trois mots : rien de bon. Mais la question n’est en définitive qu’une question de consommateur de médecine : est-ce un bon produit?

Même si ce vaccin était parfaitement « sûr et efficace » – ce qu’il n’est manifestement pas – toute personne qui l’accepte se rend complice par association des atrocités décrites plus haut. La plupart des gens peuvent tenter de se disculper en arguant qu’ils ne savaient pas.

Maintenant vous savez.

A vous de voir si vous pouvez.

Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, met en garde contre la vaccination à grande échelle contre le COVID et en détaille les dangers.


NOTE du 29 avril : Mike Yeadon est également le co-auteur, au sein du Doctors for Covid Ethics qui regroupe une centaine de médecins, de courriers adressés à l’Agence Européenne des Médicaments.

J’ai traduit ces courriers : le premier, le deuxième et le troisième. Lecture très, très importante.


Source originale. Source de la version traduite. Note d’introduction et traduction originale de Jeanne Smits, revue par moi le 15/04.

30 mars 2021

Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, met en garde contre la vaccination à grande échelle contre le COVID et en détaille les dangers

Note de Jeanne Smits :

Chers lecteurs,

Je vous propose ci-dessous la traduction d’un entretien accordé par le médecin et chercheur britannique Dr Mike Yeadon (ci-contre), ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, à Mordechai Sones d’America’s Frontline Doctors (AFLDS), à propos notamment des vaccinations – et en particulier les «vaccinations» expérimentales à ARN messager – en cours.

Mike Yeadon n’est pas un hurluberlu ; c’est un scientifique parfaitement au fait de ce qui se fait (et ne se fait pas) dans le domaine de la vaccination. Très circonspect à l’égard des « vaccins » peu testés actuellement distribués à l’échelle planétaire, il a déjà mis en garde contre leurs potentiels dangers, ayant été parmi les premiers à avertir contre le risque de thrombose qu’ils font encourir.

Mais il va plus loin. Il estime que dans certaines conditions – notamment si l’on s’avise de revacciner certaines populations en invoquant une diminution de la protection immunitaire ou une mutation du virus SARS-CoV-2 – les conséquences pourraient être désastreuses, si bien qu’il voit dans cette potentielle démarche, rendue possible par les vaccinations en cours, un moyen de nuire à une part non négligeable de la population mondiale dans les années à venir, et même une manière de procéder à une dépopulation à grande échelle.

Voilà le moment où il faut proclamer, en chœur : « Complotisme ! »

Cependant, je verse cette pièce au débat, parce que l’homme est sérieux et qu’il donne une explication intéressante pour étayer sa mise en garde.

Voici donc la retranscription de l’entretien réalisé en fin de semaine dernière par l’AFLDS avec Mike Yeadon, telle qu’elle a été publiée mardi par LifeSiteNews. – J.S.*


Traduction

Exclusif: l’ancien VP de Pfizer à l’AFLDS: ` »Il est tout à fait possible que ce système soit utilisé pour un dépeuplement à grande échelle »

L’AFLDS [médecins de première ligne américains] a parlé à l’ancien Vice-Président et Directeur Scientifique de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, de son point de vue sur le vaccin COVID-19, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, les autorités de réglementation, etc.

D’emblée, le Dr Yeadon a déclaré :

«Je suis bien conscient des crimes contre l’humanité perpétrés à l’échelle globale contre une vaste proportion de la population mondiale.

« Je ressens une grande peur, mais cela ne m’empêche pas de donner mon témoignage d’expert à de multiples groupes d’avocats compétents comme Rocco Galati au Canada et Reiner Fuellmich en Allemagne.

«Je n’ai absolument aucun doute quant au fait que nous sommes en présence de produits à la fois maléfiques (c’est un constat que je n’ai jamais fait à ce jour, en 40 ans de carrière de chercheur) et dangereux.

«Au Royaume-Uni, il est tout à fait clair que les autorités sont décidées à administrer des “vaccins” au plus grand nombre possible de personnes. C’est de la folie, car même si ces agents étaient légitimes, la protection n’est nécessaire que pour les personnes présentant un risque particulièrement élevé de mourir du virus. Chez ces personnes, on pourrait même soutenir que les risques valent la peine d’être assumés. Et il y a certainement des risques qui sont ce que j’appelle “mécanistes”, c’est-à-dire intégrés dans la façon dont ces agents fonctionnent.

«Mais tous les autres, les personnes en bonne santé et âgées de moins de 60 ans, peut-être un peu plus, ne meurent pas du virus. Dans ce grand groupe, il est tout à fait contraire à l’éthique d’administrer quelque chose de nouveau et dont le potentiel d’effets indésirables après quelques mois n’est absolument pas identifié.

«A aucun autre moment, il ne serait sage d’agir ainsi, par rapport à l’objectif proclamé.

«Puisque je sais cela avec certitude, et que je sais que ceux qui pilotent tout cela le savent aussi, nous devons nous interroger : Quel est leur mobile ?

«Bien que je ne le sache pas, j’ai de fortes réponses théoriques, dont une seule est liée à l’argent. Et ce motif ne tient pas, car on peut arriver au même quantum en doublant le coût unitaire et en donnant l’agent à deux fois moins de personnes. Dilemme résolu. Donc c’est autre chose. Sachant que, en parlant de la population entière, il est également prévu que les enfants mineurs et éventuellement les bébés soient inclus dans le lot, c’est cela que j’interprète comme un acte maléfique.

«Il n’y a aucune justification médicale à cela. Sachant que la conception de ces “vaccins” consiste à provoquer l’expression, dans l’organisme des receveurs, de la protéine spike, qui a elle-même des effets biologiques indésirables qui, chez certaines personnes, sont nocifs (déclenchement de la coagulation sanguine et activation du “système du complément” immunitaire), je suis déterminé à souligner que les personnes qui ne sont pas menacées par ce virus ne devraient pas être exposées au risque d’effets indésirables de ces agents. »

INTERVIEWEUR : Dans une conférence que vous avez donnée il y a quatre mois, vous avez dit :

« La durée la plus probable de l’immunité contre un virus respiratoire comme le SARS-CoV-2 est de plusieurs années. Pourquoi dis-je cela ? Nous disposons en fait des données relatives à un virus qui a circulé dans certaines parties du monde il y a dix-sept ans, le SARS, et n’oubliez pas que le CoV-2 du SARS est similaire à 80 % au SARS, donc je pense que c’est la meilleure comparaison que l’on puisse proposer.

« Les preuves sont claires : des immunologistes cellulaires très intelligents ont étudié toutes les personnes qui avaient survécu au SARS il y a 17 ans et sur lesquelles ils ont pu mettre la main. Ils ont prélevé un échantillon de sang et ont vérifié s’ils réagissaient ou non au SARS original, et ils ont tous réagi ; ils avaient tous une mémoire des lymphocytes T robuste et parfaitement normale. En fait, ils étaient également protégés contre le CoV-2 du SARS, car ils sont très similaires ; c’est une immunité croisée.

« Je dirais donc que les meilleures données existantes indiquent que l’immunité devrait être robuste pendant au moins 17 ans. Je pense qu’il est tout à fait possible qu’elle dure toute la vie. Le style des réponses des cellules T de ces personnes était le même que si on les avait vaccinées et qu’on avait vérifié des années plus tard si cette immunité s’est maintenue. Je pense donc qu’il existe des preuves très solides indiquant que la durée de l’immunité sera de plusieurs années, voire de toute une vie. »

En d’autres termes, une exposition antérieure au SARS – c’est-à-dire à une variante similaire au CoV-2 du SARS – a conféré l’immunité au CoV-2 du SARS. Le gouvernement israélien invoque de nouveaux variants pour justifier les confinements, les annulations de vols, les restrictions et la délivrance de Passeports Verts. Compte tenu du verdict de la Cour Suprême, pensez-vous qu’il soit possible d’empêcher de futures mesures gouvernementales en fournissant des informations précises sur les variants, l’immunité, l’immunité collective, etc. aux avocats qui contesteront ces futures mesures ?

DR. YEADON : «Ce que j’ai décrit à propos de l’immunité au SARS est précisément ce que nous observons avec le SARS-CoV-2. L’étude provient de l’un des meilleurs laboratoires dans leur domaine.

« Donc, théoriquement, on pourrait tester l’immunité conférée par les cellules T de quelqu’un en mesurant sa réponse cellulaire dans un petit échantillon de son sang. De tels tests existent, ils ne sont pas “à haut rendement” et ils coûteront probablement quelques centaines de dollars chacun à grande échelle. Mais pas des milliers de dollars. Le test dont j’ai connaissance n’est pas encore disponible dans le commerce, uniquement dans le cadre de la recherche au Royaume-Uni.

«Cependant, je pense que l’entreprise pourrait être incitée à fournir des kits de test “pour la recherche” à grande échelle, sous réserve d’un accord. Si on appliquait ces tests à quelques milliers d’Israéliens non-vaccinés, cela pourrait être une arme à double tranchant. D’après ce qu’on a constaté dans d’autres pays, 30 à 50 % de la population était déjà immunisée et environ 25 % ont été infectés et sont maintenant immunisés.

«Personnellement, je ne voudrais pas avoir affaire aux autorités en me soumettant à leurs conditions ; celles-ci consistent à soupçonner tout le monde d’être une source d’infection jusqu’à preuve du contraire. On ne devrait pas avoir à prouver qu’on ne représente pas un risque pour la santé des autres. Ceux qui ne présentent pas de symptômes ne sont jamais une menace pour la santé des autres. Et dans tous les cas, une fois que ceux qui sont inquiets de ce virus sont vaccinés, il n’y a strictement aucune raison que qui que ce soit d’autre doive être vacciné.»

INTERVIEWEUR : Si j’ai bien compris, un «vaccin imparfait» (leaky vaccine) ne fait qu’atténuer les symptômes chez les personnes vaccinées, mais n’arrête pas la transmission ; il permet donc la propagation de ce qui devient alors un virus plus mortel.

Par exemple, en Chine, on utilise délibérément des vaccins imparfaits contre la grippe aviaire pour réduire rapidement les populations de poulets, car les sujets non vaccinés meurent en trois jours. Dans le cas de la maladie de Marek, de laquelle il fallait sauver tous les poulets, la seule solution était de vacciner 100 % du troupeau, car tous les sujets non-vaccinés couraient un risque élevé de mourir. L’utilisation d’un vaccin imparfait est donc fonction de l’intention, c’est-à-dire qu’il est possible que l’intention soit de causer un grand tort aux sujets non vaccinés.

Les souches les plus virulentes ne se propagent généralement pas dans une population car elles tuent l’hôte trop rapidement, mais si les personnes vaccinées sont atteintes moins gravement par la maladie, elles transmettent ces souches aux personnes non vaccinées qui font une forme grave de la maladie et en meurent.

Êtes-vous d’accord avec cette évaluation? De plus, êtes-vous d’accord avec le fait que si les non-vaccinés deviennent les personnes les plus exposées, la seule solution est une prophylaxie par hydroxychloroquine pour ceux qui n’ont pas déjà eu le COVID-19?

Le protocole Zelenko fonctionnerait-il contre ces souches plus fortes si tel était le cas?

Et si de nombreuses personnes ont déjà l’immunité susmentionnée de 17 ans contre le SARS, cela ne les protégerait-il pas contre n’importe quel super-variant?

DR. YEADON : «Je pense que l’histoire de Geert Vanden Bossche est très suspecte. Il n’y a aucune preuve que la vaccination mène ou mènera à des “variants dangereux”. Je crains qu’il ne s’agisse d’une sorte de ruse.

«En règle générale, les variants se forment très souvent, régulièrement, et ont tendance à devenir moins dangereux et plus contagieux avec le temps, à mesure qu’ils trouvent un équilibre avec leur hôte humain. En général, les variants ne deviennent pas plus dangereux.

«Aucun variant ne diffère de la séquence originale de plus de 0,3 %. En d’autres termes, tous les variants sont identiques à 99,7 % au moins à la séquence de Wuhan.

«C’est une fiction, et une fiction diabolique, que les variants soient susceptibles d’“échapper à l’immunité”.

«Non seulement c’est intrinsèquement improbable – car ce degré de similitude entre les variants signifie qu’il n’y a aucun risque qu’une personne immunisée (que ce soit par une infection naturelle ou par la vaccination) soit rendue malade par un variant – mais cela est empiriquement étayé par des recherches de grande qualité.

«Les recherches auxquelles je fais référence montrent que les personnes qui se remettent d’une infection ou qui ont été vaccinées possèdent TOUTES un large éventail de cellules immunitaires qui reconnaissent TOUS les variants. Cet article montre POURQUOI la reconnaissance moléculaire étendue par le système immunitaire rend les minuscules changements dans les variants sans importance.

«Je ne saurais trop insister : Les histoires autour des variants et du besoin de revaccinations sont FAUSSES. Je crains qu’il y ait une raison très sournoise derrière tout cela. Elle n’est certainement pas étayée par les meilleures méthodes d’étude de l’immunité. A l’examen, ces affirmations manquent toujours de fondement, et utilisent diverses astuces, comme la manipulation des conditions de test de l’efficacité des anticorps. Les anticorps jouent probablement un rôle peu important dans la protection de l’hôte contre ce virus. Quelques “expériences naturelles” ont été réalisées sur des personnes qui ne peuvent malheureusement pas produire d’anticorps, mais qui parviennent à repousser le virus avec succès. Il est certain qu’elles se portent mieux avec des anticorps que sans. Je mentionne ces rares patients parce qu’ils montrent que les anticorps ne sont pas essentiels à l’immunité de l’hôte, si bien qu’un test élaboré dans un laboratoire sur les anticorps et les variants de virus modifiés ne justifie PAS le besoin de vaccins complémentaires.

«Les seules personnes qui pourraient demeurer vulnérables et avoir besoin d’une prophylaxie ou d’un traitement sont les personnes âgées et/ou malades et qui ne souhaitent pas recevoir de vaccin (ce qui est leur droit).

«La bonne nouvelle, c’est qu’il existe de nombreuses possibilités : l’hydroxychloroquine, l’ivermectine, le budésonide (stéroïde à inhaler utilisé chez les asthmatiques) et, bien sûr, la vitamine D par voie orale, le zinc, l’azithromycine, etc. Ceux-ci réduisent suffisamment la gravité pour qu’on puisse dire que ce virus n’aurait jamais du constituer une crise de santé publique.»

INTERVIEWEUR : Pensez-vous que la FDA fait un bon travail de régulation des grandes entreprises pharmaceutiques? De quelle manière les grandes entreprises pharmaceutiques contournent-elles l’organisme de réglementation? Pensez-vous qu’elles l’ont fait pour l’injection d’ARNm?

DR. YEADON : «Jusqu’à une date récente, j’avais beaucoup d’estime pour les organismes mondiaux de réglementation des médicaments. Lorsque j’étais chez Pfizer, puis PDG d’une société de biotechnologie que j’ai fondée (Ziarco, rachetée plus tard par Novartis), nous avions eu des échanges respectueux avec la FDA, l’EMA et la MHRA du Royaume-Uni. Des interactions qui ont toujours été de bonne qualité.

«Récemment, j’ai remarqué que la Fondation Bill & Melinda Gates (BMGF) avait accordé une subvention à l’Agence de Réglementation des Médicaments et des produits de santé (MHRA)! Comment peut-on tolérer ça? Ils sont financés par des fonds publics. Ils ne devraient jamais accepter de l’argent d’un organisme privé.

«Voici donc un exemple où le régulateur britannique est en conflit d’intérêts. L’Agence Européenne des Médicaments a omis certaines exigences, comme l’a révélé le “piratage” de ses dossiers concernant l’examen du vaccin Pfizer.

«Vous pouvez trouver des exemples dans le “Comité Corona” de Reiner Fuellmich, en ligne.

« Je ne considère plus que les régulateurs sont capables de nous protéger. Leur “approbation” n’a donc aucun sens.

«Le Dr Wolfgang Wodarg et moi-même avons adressé une pétition à l’EMA le 1er décembre 2020 sur les vaccins génétiques [NdT. j’ai traduit cette pétition ici, ainsi que le deuxième et le troisième courrier adressé à l’EMA]. Ils nous ont ignorés.

«Récemment, nous leur avons écrit à titre privé, les mettant en garde contre les caillots sanguins, ils nous ont ignorés. Lorsque nous avons rendue publique notre lettre, nous avons été complètement censurés. Quelques jours plus tard, plus de dix pays ont interrompu l’utilisation d’un vaccin en invoquant des caillots sanguins.

«Je pense que les grosses sommes d’argent de l’industrie pharmaceutique et les gros sous de la BMGF ont installé un système où les organismes de régulation ne sont plus en mesure de refuser quoi que ce soit.

«Je dois revenir sur la question des “revaccinations” [top-up vaccines ou booster shots] ; je crains que toute cette histoire ne soit exploitée et utilisée pour permettre l’acquisition d’un pouvoir sans précédent sur nous.

«JE VOUS EN PRIE, faites passer le message qu’il faut absolument refuser les revaccinations. Elles ne sont absolument pas nécessaires.

«Comme elles ne sont pas nécessaires, mais qu’elles sont fabriquées par des entreprises pharmaceutiques et que les autorités de réglementation n’ont pas joué leur rôle (il n’y a pas eu de tests de sécurité), je ne peux qu’en déduire qu’elles seront utilisées à des fins néfastes.

«Par exemple, si quelqu’un souhaite nuire à ou tuer une proportion importante de la population mondiale au cours des prochaines années, les systèmes mis en place actuellement le permettront.

«Mon opinion mûrement réfléchie est qu’il est tout à fait possible que ce système soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle.»

© leblogdejeannesmits pour la traduction.


Texte original

Exclusive: Former Pfizer VP to AFLDS: ‘Entirely possible this will be used for massive-scale depopulation’

America’s Frontline Doctors (AFLDS) spoke to former Pfizer Vice President and Chief Science Officer Dr. Mike Yeadon about his views on the COVID-19 vaccine, hydroxychloroquine and ivermectin, the regulatory authorities, and more.

At the outset, Dr. Yeadon said « I’m well aware of the global crimes against humanity being perpetrated against a large proportion of the worlds population.

« I feel great fear, but I’m not deterred from giving expert testimony to multiple groups of able lawyers like Rocco Galati in Canada and Reiner Fuellmich in Germany.

« I have absolutely no doubt that we are in the presence of evil (not a determination I’ve ever made before in a 40-year research career) and dangerous products.

« In the U.K., it’s abundantly clear that the authorities are bent on a course which will result in administering ‘vaccines’ to as many of the population as they can. This is madness, because even if these agents were legitimate, protection is needed only by those at notably elevated risk of death from the virus. In those people, there might even be an argument that the risks are worth bearing. And there definitely are risks which are what I call ‘mechanistic’: inbuilt in the way they work.

« But all the other people, those in good health and younger than 60 years, perhaps a little older, they don’t perish from the virus. In this large group, it’s wholly unethical to administer something novel and for which the potential for unwanted effects after a few months is completely uncharacterized.

« In no other era would it be wise to do what is stated as the intention.

« Since I know this with certainty, and I know those driving it know this too, we have to enquire: What is their motive?

« While I don’t know, I have strong theoretical answers, only one of which relates to money and that motive doesn’t work, because the same quantum can be arrived at by doubling the unit cost and giving the agent to half as many people. Dilemma solved. So it’s something else. Appreciating that, by entire population, it is also intended that minor children and eventually babies are to be included in the net, and that’s what I interpret to be an evil act.

« There is no medical rationale for it. Knowing as I do that the design of these ‘vaccines’ results, in the expression in the bodies of recipients, expression of the spike protein, which has adverse biological effects of its own which, in some people, are harmful (initiating blood coagulation and activating the immune ‘complement system’), I’m determined to point out that those not at risk from this virus should not be exposed to the risk of unwanted effects from these agents. »

AFLDS: The Israel Supreme Court decision last week cancelling COVID flight restrictions said: “In the future, any new restrictions on travel into or out of Israel need, in legal terms, a comprehensive, factual, data-based foundation.”

In a talk you gave four months ago, you said

“The most likely duration of immunity to a respiratory virus like SARS CoV-2 is multiple years. Why do I say that? We actually have the data for a virus that swept through parts of the world seventeen years ago called SARS, and remember SARS CoV-2 is 80% similar to SARS, so I think that’s the best comparison that anyone can provide.

“The evidence is clear: These very clever cellular immunologists studied all the people they could get hold of who had survived SARS 17 years ago. They took a blood sample, and they tested whether they responded or not to the original SARS and they all did; they all had perfectly normal, robust T cell memory. They were actually also protected against SARS CoV-2, because they’re so similar; it’s cross immunity.

“So, I would say the best data that exists is that immunity should be robust for at least 17 years. I think it’s entirely possible that it is lifelong. The style of the responses of these people’s T cells were the same as if you’ve been vaccinated and then you come back years later to see if that immunity has been retained. So I think the evidence is really strong that the duration of immunity will be multiple years, and possibly lifelong.

In other words, previous exposure to SARS – that is, a variant similar to SARS CoV-2 – bestowed SARS CoV-2 immunity.

The Israel government cites new variants to justify lockdowns, flight closures, restrictions, and Green Passport issuance. Given the Supreme Court verdict, do you think it may be possible to preempt future government measures with accurate information about variants, immunity, herd immunity, etc. that could be provided to the lawyers who will be challenging those future measures?

Yeadon: « What I outlined in relation to immunity to SARS is precisely what we’re seeing with SARS-CoV-2.The study is from one of the best labs in their field. »So, theoretically, people could test their T-cell immunity by measuring the responses of cells in a small sample of their blood. There are such tests, they are not “high throughput” and they are likely to cost a few hundred USD each on scale. But not thousands. The test I’m aware of is not yet commercially available, but research only in U.K.

« However, I expect the company could be induced to provide test kits “for research” on scale, subject to an agreement. If you were to arrange to test a few thousand non vaccinated Israelis, it may be a double edged sword. Based on other countries experiences, 30-50% of people had prior immunity & additionally around 25% have been infected & are now immune.

« Personally, I wouldn’t want to deal with the authorities on their own terms: that you’re suspected as a source of infection until proven otherwise. You shouldn’t need to be proving you’re not a health risk to others. Those without symptoms are never a health threat to others. And in any case, once those who are concerned about the virus are vaccinated, there is just no argument for anyone else needing to be vaccinated. »

My understanding of a “leaky vaccine” is that it only lessens symptoms in the vaccinated, but does not stop transmission; it therefore allows the spread of what then becomes a more deadly virus.

For example, in China they deliberately use leaky Avian Flu vaccines to quickly cull flocks of chicken, because the unvaccinated die within three days. In Marek’s Disease, from which they needed to save all the chickens, the only solution was to vaccinate 100% of the flock, because all unvaccinated were at high risk of death. So how a leaky vax is utilized is intention-driven, that is, it is possible that the intent can be to cause great harm to the unvaccinated.

Stronger strains usually would not propagate through a population because they kill the host too rapidly, but if the vaccinated experience only less-serious disease, then they spread these strains to the unvaccinated who contract serious disease and die.

Do you agree with this assessment? Furthermore, do you agree that if the unvaccinated become the susceptible ones, the only way forward is HCQ prophylaxis for those who haven’t already had COVID-19?

Would the Zelenko Protocol work against these stronger strains if this is the case? And if many already have the aforementioned previous “17-year SARS immunity”, would that then not protect from any super-variant?

« I think the Gerrt Vanden Bossche story is highly suspect. There is no evidence at all that vaccination is leading or will lead to ‘dangerous variants’. I am worried that it’s some kind of trick.

« As a general rule, variants form very often, routinely, and tend to become less dangerous & more infectious over time, as it comes into equilibrium with its human host. Variants generally don’t become more dangerous.

« No variant differs from the original sequence by more than 0.3%. In other words, all variants are at least 99.7% identical to the Wuhan sequence.

« It’s a fiction, and an evil one at that, that variants are likely to “escape immunity.”

« Not only is it intrinsically unlikely – because this degree of similarity of variants means zero chance that an immune person (whether from natural infection or from vaccination) will be made ill by a variant – but it’s empirically supported by high-quality research.

« The research I refer to shows that people recovering from infection or who have been vaccinated ALL have a wide range of immune cells which recognize ALL the variants.

« This paper shows WHY the extensive molecular recognition by the immune system makes the tiny changes in variants irrelevant.

« I cannot say strongly enough: The stories around variants and need for top up vaccines are FALSE. I am concerned there is a very malign reason behind all this. It is certainly not backed by the best ways to look at immunity. The claims always lack substance when examined, and utilize various tricks, like manipulating conditions for testing the effectiveness of antibodies. Antibodies are probably rather unimportant in host protection against this virus. There have been a few ‘natural experiments’, people who unfortunately cannot make antibodies, yet are able quite successfully to repel this virus. They definitely are better off with antibodies than without. I mention these rare patients because they show that antibodies are not essential to host immunity, so some contrived test in a lab of antibodies and engineered variant viruses do NOT justify need for top up vaccines.

« The only people who might remain vulnerable and need prophylaxis or treatment are those who are elderly and/or ill and do not wish to receive a vaccine (as is their right).

« The good news is that there are multiple choices available: hydroxychloroquine, ivermectin, budesonide (inhaled steroid used in asthmatics), and of course oral Vitamin D, zinc, azithromycin etc. These reduce the severity to such an extent that this virus did not need to become a public health crisis. »

Do you feel the FDA does a good job regulating big pharma? In what ways does big pharma get around the regulator? Do you feel they did so for the mRNA injection?

« Until recently, I had high regard for global medicines regulators. When I was in Pfizer, and later CEO of a biotech I founded (Ziarco, later acquired by Novartis), we interacted respectfully with FDA, EMA, and the U.K. MHRA.

Always good quality interactions.

« Recently, I noticed that the Bill & Melinda Gates Foundation (BMGF) had made a grant to the Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA)! Can that ever be appropriate? They’re funded by public money. They should never accept money from a private body.

« So here is an example where the U.K. regulator has a conflict of interest. »The European Medicines Agency failed to require certain things as disclosed in the ‘hack’ of their files while reviewing the Pfizer vaccine.

« You can find examples on Reiner Fuellmich’s “Corona Committee” online.

« So I no longer believe the regulators are capable of protecting us. ‘Approval’ is therefore meaningless.

« Dr. Wolfgang Wodarg and I petitioned the EMA Dec 1, 2020 on the genetic vaccines. They ignored us.

« Recently, we wrote privately to them, warning of blood clots, they ignored us. When we went public with our letter, we were completely censored. Days later, more than ten countries paused use of a vaccine citing blood clots.

« I think the big money of pharma plus cash from BMGF creates the environment where saying no just isn’t an option for the regulator.

« I must return to the issue of ‘top up vaccines’ (booster shots) and it is this whole narrative which I fear will he exploited and used to gain unparalleled power over us.

« PLEASE warn every person not to go near top up vaccines. There is absolutely no need to them. »As there’s no need for them, yet they’re being made in pharma, and regulators have stood aside (no safety testing), I can only deduce they will be used for nefarious purposes.

« For example, if someone wished to harm or kill a significant proportion of the worlds population over the next few years, the systems being put in place right now will enable it.

« It’s my considered view that it is entirely possible that this will be used for massive-scale depopulation. »

La politique de soins de santé nazie ressuscitée dans les nations « Five Eyes » : élimination des mangeurs inutiles et projet de loi de secours COVID de Biden – par Matthew Ehret.

[NdT. Five Eyes (littéralement « Cinq yeux », traduit comme Groupe des cinq par la Défense canadienne1), abrégé FVEY pour la classification 2,3, désigne l’alliance des services de renseignement de l’Australie, du Canada, de la Nouvelle-Zélande, du Royaume-Uni et des États-Unis. (Wikipedia)]

Source.

Pour les anglophones, il y a un podcast par le même, sur le même sujet ici.

Traduction

La politique de soins de santé nazie ressuscitée dans les nations « Five Eyes » : élimination des mangeurs inutiles et projet de loi de secours COVID de Biden

«La notion mal pensée de ‘l’amour du prochain’ doit disparaître, surtout lorsqu’elle s’applique à des créatures inférieures ou asociales. Il est du devoir suprême d’un Etat national d’accorder la vie et les moyens de subsistance nécessaires à la seule partie du peuple héréditairement saine afin d’assurer le maintien d’un peuple héréditairement sain et racialement pur pour toute l’éternité… »
Dr Arthur Guett, Directeur Nazi de la Santé Publique, 1935

Ces paroles prononcées par le Dr Guett il y a 85 ans devraient faire frissonner quiconque suit les transformations radicales de la politique de santé en cours dans la zone d’influence Five Eyes.

Comme beaucoup de gens le savent maintenant, le programme de secours COVID chiffré à 1,9 trillion de dollars comprend un programme de 40 milliards de dollars visant à ressusciter et à étendre le fantôme des protocoles d’affiliation du ObamaCare et les pires aspects de l’allocation des ressources médicales sous contrôle d’État pour les plus vulnérables (et les plus lourds financièrement) de la société.

Alors que peu de détails ont été dévoilés au-delà d’une expansion massive des affiliations selon un plan remis à jour de healthcare.gov [NdT. donc du contrôle gouvernemental de l’assurance maladie], plusieurs alertes rouges ont retenti, en commençant par la nomination de l’architecte du ObamaCare, Ezekiel Emmanuel, au groupe de travail COVID de Biden l’année dernière et le retour aux postes de pouvoir de nuées de comportementalistes qui ont pour mission la réduction des coûts.

Avant de continuer, un petit avertissement s’impose.

Même si je m’apprête à critiquer vertement le Biden/ObamaCare et l’expansion accélérée de l’euthanasie dans les pays du Five Eyes, ça n’implique PAS que je soutiens les HMO libéraux ultra-capitalistes mis en ligne par Nixon en 1973 [NdT. Aux États-Unis, un health maintenance organization ou HMO (en français, organisme d’assurance maladie) est un groupe d’assurance médicale qui fournit des services de santé moyennant une cotisation annuelle fixe].

Comme je l’ai écrit dans ma récente trilogie qui dénonce les débats artificiels entre le malthusien «étatiste» John Maynard Keynes et le malthusien «individualiste» Friedrich von Hayek, le schisme entre la pensée économique du haut contre la pensée économique du bas, responsable du lavage de cerveau de plusieurs générations d’Américains, est une chimère sans prise avec la réalité.

Les vraies économies en adéquation avec la protection de la vie et de la dignité humaines ont toujours défendu l’ensemble de la société tout en protégeant les droits et la liberté inaliénables de chaque individu au sein de cette société.

Si vous étiez dans la peau d’un technocrate qui observe depuis sa tour d’ivoire mathématique les crises imminentes qui frappent la civilisation, vous ne croiriez pas un mot de ce que je viens de dire. Vous verriez plutôt un «déséquilibre mathématique» flagrant qui nous fonce dessus tel un tsunami: la population occidentale concentrée dans les pays transatlantiques est confrontée à une bombe à retardement démographique sans précédent dans l’Histoire, appelée par certains «la bombe à retardement démographique des baby-boomers» [NdT. Un baby boomer, ou babyboumeur (orthographe rectifiée de 1990), est une personne née en Occident pendant la période du baby boom, après la Seconde Guerre mondiale (Wikipedia)].

Même avant que le COVID-19 anéantisse une grande partie de l’économie mondiale, le sujet de la bombe à retardement démographique des baby-boomers était déjà discuté au sein des groupes de réflexion et des décideurs politiques du monde entier. Au cours des 25 dernières années, les jeunes ont attendu de plus en plus tard avant d’avoir des enfants (avec un effondrement de 4,4% des taux de natalité au cours de l’année du COVID de décembre 2019 à décembre 2020). Aujourd’hui, les taux de fécondité occidentaux sont tombés à 1,7 enfant/femme, ce qui est bien en-deçà du niveau minimum de 2,1 indispensable au remplacement de la population.

Pendant ce temps, la génération des baby-boomers née entre 1945 et 1960 a accumulé les cheveux gris et les besoins en soins de santé liés à la vieillesse, la première vague ayant atteint l’âge de la retraite en 2010. Alors que les progrès technologiques ont prolongé l’espérance de vie moyenne de 61 ans (en 1935) à 81 ans aujourd’hui, le déséquilibre démographique entre les jeunes et les vieux signifie que la société devient essentiellement incapable de se maintenir selon la dynamique actuelle.

Par exemple:

D’ici 2030, on estime actuellement que le nombre de personnes de plus de 85 ans triplera tandis que celui des personnes âgées de 65 à 85 ans doublera. Les coûts financiers liés au maintien de cette démographie vont monter en flèche à mesure que les services de santé doubleront, passant de la somme déjà énorme de 1,4 trillions de dollars/an actuellement à 3 trillions de dollars/an d’ici 2050 (aux États-Unis).

Lorsque les experts en rentabilité examinent cette tendance affligeante, tout ce qu’ils y voient c’est une simple collection de chiffres.

Ces mêmes experts ne voient pas des êtres humains dotés de pouvoirs cognitifs et d’une âme et ne reconnaissent certainement pas l’existence de notions aussi immatérielles que le «sacré» qui pourraient empêcher l’abattage de vies afin de satisfaire les contraintes monétaires.
Ils ne reconnaissent certainement pas les injustices d’un système qui permet de dépenser des milliards de dollars pour les renflouements de Wall Street et les guerres au Moyen-Orient, mais qui ne parvient pas à fournir les ressources médicales nécessaires pour desservir équitablement sa propre population.

Les experts dont je parle, qui dirigeaient autrefois l’Amérique sous Barack Obama et qui sont revenus au pouvoir sous Biden, ne voient que le simple fait que 80% ou plus des coûts de santé absorbés au cours d’une vie surviennent après l’âge de 65 ans. Ces experts ne pensent qu’en termes d’adaptation à la rareté et aux prétendues «limites fixes», jamais à éliminer la rareté par des changements systémiques qui donneraient priorité à la vie humaine et à la pensée créative par rapport à l’argent.

Avec de moins en moins de jeunes qui entrent sur le marché du travail (et avec le système financier lui-même en train de s’effondrer sous l’hyperinflation), deux options se présentent:

  1. Reconnaître que le système est cassé et le transformer de telle manière que les priorités nationales en matière de dépenses soient réorientées vers la construction d’infrastructures à grande échelle et à long terme et vers la coopération avec d’autres pays de l’alliance multipolaire.
  2. Agir dans les limites des règles du système défectueux et abattre le troupeau humain pour réduire les coûts associés aux «ressources médicales limitées».

L’esprit génocidaire du Dr Ezekiel Emmanuel

Dans l’état actuel des choses, le responsable le plus haut placé de la relance du ObamaCare et de l’«Independent Payment Advisory Board» (IPAB) associé, composé d’«experts» de la rentabilité sous la direction de Joe Biden, est la personne-même qui a rédigé la loi originale sur les soins abordables [Affordable Care Act] (alias ObamaCare) en 2009.

Alors qu’il occupait la fonction de conseiller en santé d’Obama de 2009 à 2011, Ezekiel Emmanuel a publié dans le Lancet une étude à glacer les sangs intitulée «Principes pour l’attribution d’interventions médicales rares».

Dans ce document révélateur, la vision d’Ezekiel d’une nouvelle éthique de la gestion des soins de santé est énoncée dans son «système complet de vie», qui doit servir à justifier qui, parmi les nécessiteux de la société en concurrence pour les miettes d’un gâteau de plus en plus petit, recevra des soins (c.-à-d. dépistage du cancer, traitements, médicaments), et qui on laissera mourir, lorsqu’il écrit:

« Une fois mis en œuvre, le système complet de vie produit une courbe de priorité selon laquelle les individus âgés d’environ 15 à 40 ans reçoivent les chances les plus importantes, tandis que les plus jeunes et les plus âgés reçoivent des chances qui sont atténuées. »

Basculant tout l’édifice des valeurs judéo-chrétiennes qui définissaient la vie humaine comme sacrée ainsi que l’encombrant serment d’Hippocrate qui empêche les médecins de nuire volontairement à leurs patients, Emmanuel décrit exactement ce qu’il entend par sa «courbe de priorité» et ses «chances atténuées » pour les jeunes et les moins jeunes:

« Le système strict d’allocation vers le plus jeune d’abord oriente les maigres ressources principalement vers les nourrissons. Cette approche semble incorrecte. La mort d’une femme de 20 ans est intuitivement pire que celle d’une fillette de 2 mois, même si le bébé a eu moins de vie.

Le jeune de 20 ans a une personnalité beaucoup plus développée que le nourrisson, et a bénéficié de l’investissement des autres pour commencer des projets encore inachevés… les adolescents ont reçu une éducation et des soins parentaux substantiels, investissement qui sera gaspillé sans une vie complète: les nourrissons en revanche, n’ont pas encore reçu ces investissements… c’est terrible quand un bébé meurt, mais pire, pensent la plupart des gens, quand un enfant de trois ans meurt, et pire encore quand un adolescent meurt. »

Vous avez bien lu: la courbe de «rentabilité» d’Emmanuel affirme que la vie d’un jeune de 20 ans est plus digne d’être sauvée que celle d’un enfant de 3 ans ou d’une personne de 75 ans. Dans les deux derniers cas, la société a investi soit trop peu pour que cette jeune vie vaille la peine d’être sauvée, soit a déjà trop investi (par rapport à la valeur financière de la personne âgée à faible QALY).

Dans un article plus récent publié en 2014 dans The Atlantic, intitulé Pourquoi j’espère mourir à 75 ans, Emmanuel explique sa conviction que quiconque tente de prolonger sa vie au-delà de 75 ans est délirant, égoïste et pathétique en déclarant:

« Je pense que ce désespoir maniaque de prolonger indéfiniment la vie est malavisé et potentiellement destructeur. Pour de nombreuses raisons, 75 ans est un assez bon âge pour vouloir arrêter. »

Quand Obama est arrivé au pouvoir en 2008, beaucoup ont été sidérés par sa décision de détruire toute proposition réelle de couverture sanitaire universelle pour laquelle il avait apparemment fait campagne (comme le projet de loi H.R.676 à payeur unique du républicain John Conyers). Au lieu de soutenir le projet de loi de Conyers, Obama et sa nuée de comportementalistes économiques n’ont fait qu’amplifier le pouvoir des HMO privés en forçant les citoyens à acheter une couverture tout en injectant des milliards de fonds des contribuables dans des assureurs privés.

La raison était simple: le projet de loi de Conyers n’imposait pas de réduction des dépenses de santé, mais plutôt une augmentation des dépenses pour les services de santé tout en fournissant des soins de santé à tous les Américains sans aucune condition. Les contrôleurs d’Obama avaient d’autres projets, comme l’ancien président l’a déclaré en 2010:

« Nous pensons que les réformes que nous avons proposées pour renforcer Medicare et Medicaid nous permettront de tenir ces engagements envers nos citoyens tout en nous permettant d’économiser 500 milliards de dollars d’ici 2023, et 1 trillion de dollars supplémentaires dans la décennie suivante. « 

Un paradoxe apparaît: comment Obama prévoyait-il d’étendre la couverture médicale aux 27 millions de personnes non assurées tout en réduisant de 1 trillion de dollars les dépenses de santé sur une décennie?

Années de vie ajustées par qualité et panels de la mort

Ezekiel Emmanuel a souligné dans son rapport de 2009 que la clé de la réduction des coûts des soins de santé se trouverait dans l’application des « années de vie ajustées par qualité » (QALY) [Quality Adjusted Life Years] sous le contrôle de groupes d’experts indépendants.

Le système QALY a lui-même été mis au point par le National Institute of Clinical Excellence (NICE) et le Liverpool Care Pathway System, qui ont été les moteurs de la corruption du National Healthcare System (NHS) [Système de Santé] britannique de 1999 à aujourd’hui. L’ancien chef de NICE (Sir Michael Rawlins) a défini les QALY dans les termes suivants dans une interview de mars 2009 accordée à Time Magazine:

« Il est basé sur le coût d’une mesure appelée «année de vie ajustée en fonction de la qualité». Une QALY évalue votre santé sur une échelle de zéro à un: zéro si vous êtes mort et un si vous êtes en parfaite santé. On détermine le niveau qu’un patient atteindrait dans l’échelle à la suite d’un traitement. Si on effectue une arthroplastie de la hanche, le patient pourrait passer de 0,5 à 0,7, soit une amélioration de 0,2. On suppose que les patients vivent en moyenne 15 ans après une arthroplastie de la hanche. Et .2 fois 15 équivaut à trois années de vie ajustées sur la qualité. Si le remplacement de la hanche coûte 10.000 £, c’est 10.000 divisé par trois, ce qui équivaut à 3.333 £. Ce chiffre correspond au coût par QALY. »

Autre co-architecte du ObamaCare aux côtés d’Emmanuel, un certain Sir Donald Berwick (fait chevalier en 2005) a déclaré franchement que:

« la décision n’est pas de savoir si nous rationnerons les soins ou non – la décision est de savoir si nous rationnerons les yeux ouverts. »

Autre comportementaliste-clé affecté à la création du ObamaCare, Jonathan Gruber, professeur au MIT, a fait scandale lorsqu’il a admis devant caméra avoir employé un langage obscurantiste et le sceau du secret:

« Le manque de transparence est un énorme avantage politique. Et en gros, c’est grâce à la stupidité de l’électeur américain ou à ce que vous voudrez, mais fondamentalement, c’était vraiment, vraiment indispensable pour que la chose passe. »

Autre comportementaliste de l’ère Obama, également revenu au pouvoir sous Biden, Cass Sunstein (le tsar de la réglementation d’Obama) a écrit:

« quand on sait que les gens sont humains et qu’ils ont un Homer Simpson en eux, ça donne beaucoup de possibilités de les manipuler. »

Le Liverpool Care Pathway (LCP), dont Berwick souhaitait faire le modèle de la réforme du système de santé aux États-Unis, nous donne un autre aperçu de la nature génocidaire de cette approche utilitariste des services de santé. Selon le professeur Pullicino, plus de 130.000 décès/an ont été causés par le LCP à travers son influence sur les hôpitaux, les hospices et les maisons de retraite au Royaume-Uni entre 1995 et 2013.

Le LCP a essentiellement fait pression sur des milliers de prestataires de soins de santé pour qu’ils inscrivent des millions de patients malades et âgés (et coûteux) sur des listes de «fin de vie» sans leur consentement, ce qui signifie une déshydratation de force et l’administration de morphine intraveineuse pour hâter le décès en dépit du fait que des traitements salvateurs soient disponibles.

Le scandale causé par ces révélations a abouti à la dissolution du LCP en 2014, bien que le Daily Telegraph ait souligné que le programme a simplement été renommé et se poursuit à ce jour.

Ensemble, Berwick, Gruber et Emmanuel ont veillé à ce que les hôpitaux soient pénalisés pour le sur-traitement de patients et ont annulé la couverture Medicaid pour des pans entiers de médicaments anticancéreux et pour des dépistages pour les patients dont les besoins ont dépassé leurs QALY. Cette logique peut fonctionner lors de la décision de mettre au rebut une vieille voiture, mais crée de graves dilemmes moraux lorsqu’elle est appliquée à grand-mère.

Vous pourriez vous demander: mais pourquoi les médecins doivent-ils se plier aux exigences d’un comité indépendant d’experts en réduction des coûts? Pourquoi les médecins ne rejetteraient-ils pas simplement les demandes qui abrogeaient leur serment hippocratique et leur conscience?

Les 2/3 de tous les médecins étant redevables à d’autres employeurs plus importants (contre 85% des médecins américains qui étaient indépendants en 1963), la pression pour se conformer aux règles de rareté et aux mandats de rentabilité imposés par les technocrates s’est énormément accrue. Alors que les chirurgies, les dépistages du cancer et les services ambulatoires ont été considérablement réduits dans le cadre des protocoles COVID, les hôpitaux qui dépendent du financement du gouvernement ont souffert financièrement et ont perdu 50 milliards de dollars/mois selon Rick Pollack (président de l’American Hospital Association) qui a récemment déclaré:

« Je pense qu’il est juste de dire que les hôpitaux sont peut-être confrontés au plus grand défi qu’ils aient jamais rencontré dans leur histoire. »

L’euthanasie dans les nations Five Eyes

Après des décennies de lobbying financé en grande partie par les Fondations Open Society de George Soros dans le monde, il y a actuellement cinq pays qui ont complètement légalisé l’euthanasie (Canada, Belgique, Pays-Bas, Allemagne et Colombie) tandis que neuf Etats américains ont suivi.

Au Canada, les lois sur l’euthanasie ont été adoptées pour la première fois en 2016 avec des restrictions assez sévères exigeant que les patients soient en phase terminale avec un pronostic de six mois ou moins tout en étant mentalement sains immédiatement avant que la mort ne soit provoquée.

Pourtant, juste après les élections américaines de 2020, et profitant du brouillard du COVID, la Chambre des Communes du Canada a adopté la Medical Assistance in Dying Act (projet de loi C7) [Loi d’Assistance Médicale à la Mort] qui a entièrement supprimé toutes ces barrières, y compris les exigences d’un décès «raisonnablement prévisible», de longues périodes d’attente et les exigences de compétence mentale immédiatement avant le décès.

Si le Sénat adopte le projet de loi dans le courant de ce mois, comme on s’y attend actuellement, toute personne souffrant de dépression (dont le nombre a radicalement monté en flèche parmi les personnes âgées et handicapées, enfermées loin de leurs amis et de leurs proches pendant des mois de verrouillage COVID) peut désormais demander la mort à 9 heures du matin et être tuée à midi. Les longs délais d’attente traditionnels qui donnaient aux personnes déprimées une chance de se pencher sur elles-mêmes sont maintenant révolus.

Des protocoles d’euthanasie similaires se sont multipliés dans toute l’Australie, car plusieurs Etats et territoires ont vu des protocoles de suicide assisté appliqués sous le régime COVID-19. Parmi eux, la Tasmanie a légalisé l’euthanasie le 5 mars de cette année, et le Queensland mettra le «service» en ligne d’ici mai 2021. L’Etat de Victoria a été le premier Etat à inaugurer l’euthanasie en juin 2019 et les lois sur l’euthanasie de l’Australie occidentale entreront en vigueur à la mi-2021.

En Nouvelle-Zélande, le dernier des Etats Five Eyes à l’examen, le vote pour légaliser l’euthanasie a eu lieu en octobre 2020 et sera mis en œuvre cet été.

Plutôt que de se laisser entraîner dans l’abîme des jeux d’esprit bioéthiques entourant le suicide médicalement assisté, il est plus utile de garder à l’esprit les questions suivantes:

  • Pourquoi les ressources médicales sont-elles censées être si rares parmi les régions les plus développées du monde?
  • Pourquoi les pays de l’autre côté de l’Atlantique [NdT. c’est-à-dire ici] sont-ils confrontés à une telle pénurie d’hôpitaux, de médecins et de traitements de dépistage?
  • Pourquoi les hôpitaux se retrouvent-ils continuellement à fermer leurs portes alors que les lits par habitant diminuent chaque année? *
  • Pourquoi les citoyens tolèrent-ils que des milliards de dollars soient dépensés pour des guerres interminables de changement de régime à l’étranger et pour des renflouements des spéculateurs de Wall Street tout en acceptant l’idée que l’argent pour les soins de santé est intrinsèquement limité?

Revisiter les réformes de la santé T4 d’Hitler

Après que le procès de Nuremberg vit 7 des 23 médecins nazis (dont le Dr Guett) mis à mort pour leur rôle dans les réformes de santé du Tiergarten Fier d’Hitler, l’avocat de Nuremberg, le Dr Leo Alexander, écrivit en 1949:

Quelles que soient les proportions que ces crimes ont finalement pris, il est devenu évident pour tous ceux qui ont enquêté sur eux qu’ils eurent des prémices discrets. Initialement, ces prémices n’étaient qu’un léger changement d’emphase dans l’attitude fondamentale, fondamentale dans le mouvement pour l’euthanasie, selon laquelle il y aurait des vies qui ne valent pas la peine d’être vécues. Cette attitude ne concernait à ses débuts que les malades graves et chroniques.

Peu à peu, la sphère de ceux qui devaient être inclus dans cette catégorie s’élargit pour englober les personnes socialement improductives, idéologiquement indésirables, racialement indésirables, puis finalement tous les non-Allemands. Mais il est important de comprendre que l’infiniment petit levier qui fut d’abord logé, à partir duquel toute cette attitude reçut son impulsion, était la manière de considérer les malades non réhabilitables »

Dans son essai, le Dr Alexander décrit la croissance des lois sur l’euthanasie dans l’Allemagne fasciste lorsque le concept de «vies indignes d’être vécues» fut introduit pour la première fois dans la politique de santé. Sous la direction de «groupes d’experts», les codes de santé T4 sont rapidement devenus une force motrice de l’eugénisme qui a vu 270.000 Allemands non-juifs tués, en commençant par des enfants handicapés et des personnes âgées avant que la politique ne soit étendue aux Juifs, aux Tsiganes et à d’autres groupes cibles «inaptes».

Comme l’écrivait la journaliste d’investigation Nancy Spannaus en 2013:

« L’implication était claire. Cependant, Hitler n’a pas donné son ordre général de tuer les fous (et les autres) avant que la guerre commence et que les ressources deviennent encore plus rares. L’ordre fut rédigé à la main par Hitler en octobre 1939 – et antidaté par lui au premier jour de la guerre, en septembre. En le préparant, il avait déclaré qu’il «jugeait approprié que la «vie indigne d’être vécue» des personnes gravement malades mentales soit éliminée par des actions qui entraînent la mort.» De cette manière, «une certaine économie dans les hôpitaux, les médecins et le personnel infirmier pourrait être réalisée». Le titre de l’ordonnance d’Hitler était «La destruction de vies indignes d’être vécues», et la norme était, comme le dit l’ordonnance, que les patients «considérés comme incurables selon le meilleur jugement humain disponible sur leur état de santé, se voient accorder une mort par compassion.»

Le fait que les organisations promouvant la montée de cette politique eugéniste dans toute l’Allemagne nazie et en Amérique du Nord comprenaient des puissances telles que la Fondation Rockefeller, le Wellcome Trust et la Human Sterilization League for Human Betterment (aujourd’hui rebaptisée «Engender Health») qui ont toutes pris un rôle majeur au sein de l’Organisation Mondiale de la Santé au cours des dernières décennies est plus qu’un peu préoccupant.

Le fait que ces organisations eugénistes se soient simplement rebaptisées après la Seconde Guerre Mondiale et soient désormais impliquées dans le développement de vaccins à ARN modernes aux côtés du Galton Institute (anciennement British Eugenics Association), de l’AstraZeneca d’Oxford, de Pfizer et de la Fondation Bill et Melinda Gates devrait donner matière à réflexion à tout penseur sérieux si nous voulons savoir de quel schémas historiques nous serions prêts à tolérer la répétition dans cette précaire époque présente.

Matthew Ehret est le rédacteur en chef de la Canadian Patriot Review, Senior Fellow à l’Université Américaine de Moscou, expert pour la BRI en Tactical Talk, et est l’auteur de 3 volumes de la série de livres «Untold History of Canada». En 2019, il a cofondé la Fondation montréalaise Rising Tide. Cet article a été récemment adapté dans une courte vidéo trouvée ici.

*En 1980, les États-Unis comptaient 5.810 hôpitaux communautaires répartis dans 3.000 comtés avec 6 lits alloués pour 1.000 personnes (987.000 lits au total pour 227 millions de citoyens). En 2013, le nombre total de lits avait diminué de 25% et 15% des hôpitaux avaient disparu, soit 3 lits/1000 personnes malgré le fait que la population avait augmenté de 130 millions.


Texte original

Nazi Healthcare Revived Across the Five Eyes: Killing Useless Eaters and Biden’s COVID Relief Bill

“The ill-conceived `love of thy neighbor’ has to disappear, especially in relation to inferior or asocial creatures. It is the supreme duty of a national state to grant life and livelihood only to the healthy and hereditarily sound portion of the people in order to secure the maintenance of a hereditarily sound and racially pure folk for all eternity…”
Dr. Arthur Guett, Nazi Director of Public Health, 1935

The words spoken by Dr. Guett 85 years ago should send shivers down the spine of anyone following the radical transformations of healthcare policy now underway within the Five Eyes zone of influence.

As many people are now aware, embedded within the $1.9 trillion COVID relief package is a $40 billion program to revive and expand the corpse of Obama Care’s enrollment protocols and the worst aspects of State directed medical resource allocation for the most vulnerable (and financially burdensome) of society.

While few details have been unveiled beyond a mass expansion of enrollment into the plan on a revived healthcare.gov, several red alarms have been raised which began with the appointment of Obama-care architect Ezekiel Emmanuel to Biden’s COVID task force last year and the re-ascendency of hives of cost-cutting behaviorists to positions of power.

Before I proceed, a small disclaimer is in order.

Just because I am about to viciously criticize Biden/Obama-care, and the accelerated expansion of euthanasia across Five Eyes nations, it does NOT mean that I support free-market “greed-is-good” HMOs that were brought online by Nixon in 1973.

As I wrote in my recent trilogy exposing the contrived debates between “statist” Malthusian John Maynard Keynes vs “individualist” Malthusian Friedrich von Hayek, the schism of top down vs bottom up economic thinking which has brainwashed several generations of Americans is a chimera with no bearing in reality.

Real economics that befits human life and dignity has always defended the whole of society while also protecting the unalienable rights and liberty of each individual within society.

If you are a technocrat looking down upon the world from your ivory mathematical tower at the impending crises hitting civilization, you would not believe a word of what I just said. Rather you would be looking at a glaring “mathematical disequilibrium” rushing towards us like a tsunami: The western population concentrated in the Trans Atlantic nations is facing a demographic time bomb the likes of which has never been seen in history called by some “the babyboomer demographic time bomb”.

Even before COVID-19 annihilated much of the world economy, the baby boomer demographic time bomb was discussed by think tanks and policy makers far and wide. During the past 25 years, young people increasingly put off having children (with a 4.4% collapse in birthrates during the Dec. 2019-Dec 2020 year of COVID). Today western fertility levels have fallen to 1.7 children/woman which is far below the 2.1 levels needed to replace the population.

During this time, the baby boomer generation born between 1945-1960 increasingly found themselves beset with grey hair, and increased healthcare needs in their old age with the first wave having hit retirement years in 2010. While technological advances has extended average life expectancies from 61 years (in 1935) to 81 years today, the demographic imbalance of young : old means that society will essentially be incapable of supporting itself under current dynamics.

For example:

By 2030, it is currently estimated people over the age of 85 will triple while seniors between 65-85 will double. The financial costs of sustaining this demographic will skyrocket as healthcare services double from their currently massive $1.4 trillion/year to $3 trillion/year by 2050 (in the USA).

As cost-effectiveness experts look at this dismal trend, all they can see is a cold numbers game.

These experts don’t tend to see humans with cognitive powers and souls and they certainly don’t recognize the existence of such immaterial notions as the “sacred” which might prevent the culling of lives in order to satisfy monetary constraints.
They certainly don’t recognize the injustices of a system that allows trillions of dollars to be spent for Wall Street bailouts and Middle East wars but which fails to provide the medical resources to service its own population fairly.

The experts I am talking about who once ruled America under Barack Obama and who have resurged into power under Biden only see the cold fact that 80% or more of the healthcare costs absorbed throughout one’s life occur after 65 years of age. These experts can only think in terms of adapting to scarcity and supposedly “fixed limits” but never eliminating scarcity through systemic changes that place human life and creative thought on a higher priority than mere money.

With ever fewer young people entering the workforce (and with the financial system itself set to meltdown under hyperinflation), two options present themselves:

  1. Recognize that the system is broken and transform it in such a way that national spending priorities are re-directed towards large-scale, long term infrastructure building and cooperation with other nations among the multipolar alliance.
  2. Work within the rules of the broken system and cull the human herd to diminish costs associated with “scarce medical resources”.

The Genocidal Mind of Dr. Ezekiel Emmanuel

As it stands, the individual most responsible for reviving Obamacare and the associated “Independent Payment Advisory Board” (IPAB) of cost-effectiveness “experts” under Joe Biden is the same figure who crafted the original Affordable Care Act (aka: Obamacare) in 2009.

While acting as Obama’s health advisor from 2009-2011, Ezekiel Emmanuel wrote a bone chilling study called “Principles for allocation of scarce medical interventions” in the Lancet.

In this revealing document, Ezekiel’s vision for a new ethic of healthcare management was enunciated with the “Complete Lives System” that would be used to justify who among the needy of society competing for scraps of the shrinking pie, will receive care (i.e: expensive cancer screenings, treatments, drugs), and who will be left to die when he wrote:

When implemented, the complete lives system produces a priority curve on which individuals aged between roughly 15 to 40 years gets the most substantial chances, whereas the youngest and the oldest people get chances that are attenuated.”

Overthrowing the entire edifice of Judeo-Christian values that defined human life as sacred as well as the pesky Hippocratic oath which prevents physicians from doing any harm willfully to their patients, Emmanuel describes exactly what he intends by his “priority curve” and “attenuated chances” for the young and old saying:

Strict youngest-first allocation directs scarce resources predominantly to infants. This approach seems incorrect. The death of a 20-year-old woman is intuitively worse than that of a 2-month-old girl, even though the baby has had less life.

The 20 year old has a much more developed personality than the infant, and has drawn upon the investment of others to begin as yet-unfulfilled projects… adolescents have received substantial education and parental care, investment that will be wasted without a complete life: infants by contrast, have not yet received these investments… it is terrible when an infant dies, but worse, most people think, when a three year old child dies, and worse still when an adolescent dies.”

That’s right: Emmanuel’s “cost-effective” curve asserts that the life of a 20-year-old is more worthy of life than that of a 3-year-old, or 75 year old. In the latter two cases, society has invested either too little to make that young life worth saving or has invested too much already (relative to the financial worth of the low QALY senior).

In a more recent 2014 article published in the Atlantic, called Why I Hope to Die at 75, Emmanuel explained his belief that anyone attempting to prolong their life beyond 75 is delusional, selfish and pathetic stating:

I think this manic desperation to endlessly extend life is misguided and potentially destructive. For many reasons, 75 is a pretty good age to aim to stop.”

When Obama came to power in 2008, many were confused with his decision to destroy any actual proposals for universal health coverage for which he had apparently campaigned (such as Rep. John Conyers single-payer Bill H.R. 676). Instead of supporting Conyer’s bill, Obama and his hive of Economic Behaviorists only amplified the power of the private HMOs by forcing citizens to purchase coverage while infusing billions of tax payer funds into private insurers.

The reason was simple: Conyers’ bill didn’t mandate cuts to healthcare spending, but rather amplified spending for health services while providing healthcare to all Americans with no strings attached. Obama’s controllers had other ideas, as the former president stated in 2010:

We believe the reforms we’ve proposed to strengthen Medicare and Medicaid will enable us to keep these commitments to our citizens while saving us $500 billion by 2023, and an additional $1 trillion in the decade after that.”

A paradox arises: How was Obama planning to extend medical coverage to the 27 million uninsured while cutting $1 trillion in health expenditures over a decade?

Quality Adjusted Life Years and Death Panels

Ezekiel Emmanuel made the point in his 2009 report that the key to cost-cutting in health care would be found in the application of Quality Adjusted Life Years (QALYs) under the control of independent panels of experts.

The QALY system was itself pioneered under Britain’s National Institute of Clinical Excellence (NICE) and Liverpool Care Pathway System which were driving forces behind the corruption of Britain’s National Healthcare System (NHS) from 1999-present. The former head of NICE (Sir Michael Rawlins) defined QALYs in the following terms in a March 2009 interview with Time Magazine:

It’s based on the cost of a measure called the ‘quality-adjusted life year.’ A QALY scores your health on a scale from zero to one: zero if you’re dead and one if you’re in perfect health. You find out as a result of a treatment where a patient would move up the scale. If you do a hip replacement, the patient might start at 0.5 and go up to 0.7, improving 0.2. You can assume patients live for an average of 15 years following hip replacements. And .2 times 15 equals three quality adjusted life years. If the hip replacement costs £10,000 to do, it’s 10,000 divided by three, which equals £3,333. That figure is the cost per QALY.”

Another co-architect of Obamacare alongside Emmanuel was a fellow named Sir Donald Berwick (knighted in 2005) who stated candidly that:

the decision is not whether or not we will ration care- the decision is whether we will ration with our eyes open.”

Another key behaviorist assigned to create Obamacare was MIT professor Jonathan Gruber who created a scandal when he admitted on camera to using obscurantist language and secrecy when he said:

Lack of transparency is a huge political advantage. And basically, call it the stupidity of the American voter or whatever, but basically that was really, really critical for the thing to pass.”

Another leading Obama-era behaviorist who has also returned to power under Biden is Cass Sunstein (Obama’s regulatory czar) who wrote:

once we know that people are human and have some Homer Simpson in them, then there’s a lot that can be done to manipulate them.”

The Liverpool Care Pathway (LCP) which Berwick wished to guide US health reform gives us another insight into the genocidal nature of this utilitarian approach to health services. According to Professor Pullicino, over 130,000 deaths/year were caused by the LCP which had gained influence over hospitals, hospices, nursing homes in the UK between 1995-2013.

The LCP had essentially pressured thousands of healthcare providers to put millions of sick and elderly (and expensive) patients onto “End of Life” lists without their consent resulting in forced dehydration and morphine drips to accelerate deaths despite the fact that life-saving treatments were still available.

The scandal caused by these revelations resulted in the LCP’s dissolution in 2014 although the Daily Telegraph pointed out that the program was merely rebranded and continues to this day.

Together, Berwick, Gruber and Emmanuel ensured that hospitals would be penalized for overtreating patients, and cancelled Medicaid coverage for swaths of cancer drugs and screenings for patients whose needs outpaced their QALYs. This logic may work when deciding to scrap an old car but creates severe moral dilemmas when applied to grandma.

You might now ask: But why must doctors abide by the demands of an independent board of cost-cutting experts? Why would doctors not simply reject the demands that abrogated their Hippocratic oaths and consciences?

With 2/3rd of all doctors beholden to other larger employers (vs the 85% of US physicians who were self-employed in 1963), the pressure to abide by rules of scarcity and cost-effectiveness mandates imposed by technocrats have grown immensely. As surgeries, cancer screenings and ambulatory services have been drastically cut under COVID protocols, hospitals which rely on government funding have suffered financially and have been losing $50 billion/month according to Rick Pollack (President of the American Hospital Association) who recently stated:

I think it’s fair to say that hospitals are facing perhaps the greatest challenge that they have ever faced in their history.”

Euthanasia Across the Five Eyes

After decades of lobbying funded in large measure by George Soros’ Open Society Foundations globally, there are currently five nations which have completely legalized euthanasia (Canada, Belgium, the Netherlands, Germany and Columbia) while nine states in the USA have followed suite.

In Canada, euthanasia laws were first passed in 2016 with fairly strict restrictions requiring patients be terminally ill with a prognosis of six months or less while also being mentally sound directly before death is induced.

Yet, just after the US elections in 2020, and under the fog of COVID, Canadian House of Commons passed the Medical Assistance in Dying Act (Bill C7) which entirely removed all safeguards including requirements of a “reasonably foreseeable” death, long waiting periods and requirements of mental competency immediately prior to death.

Should the Senate pass the bill later this month as is currently expected, anyone suffering from depression (which has radically skyrocketed among the elderly and incapacitated locked in isolation from their friends and loved ones under months of COVID lockdown) may now request death at 9am in the morning and be killed by noon. The typical long waiting times that gave depressed people a chance to self-reflect is now long gone.

Similar euthanasia protocols have ramped up across Australia as several states and territories have seen assisted suicide protocols applied under COVID-19. Among them Tasmania legalized euthanasia on March 5 of this year, and Queensland will bring the “service” online by May 2021. Victoria was the first state to usher in euthanasia in June 2019 and Western Australia’s euthanasia laws will take effect in mid-2021.

In New Zealand, the last of the Five Eyes states under examination, the vote to legalize euthanasia occurred in October 2020 and will be implemented this summer.

Rather than allowing oneself to get sucked into the abyss of bioethical mind games surrounding medical assisted suicide, it is more useful to keep these following questions in mind:

  • Why are medical resources so supposedly scarce among the most developed sectors of the world?
  • Why do nations in across the trans Atlantic face such shortages of hospitals, doctors, screening treatments?
  • Why do hospitals continuously find themselves closing their doors while per capita beds decrease with every year?*
  • Why do citizens tolerate trillions of dollars spent on never-ending regime change wars abroad and bailouts to Wall Street speculators while accepting the idea that money for healthcare is intrinsically limited?

Revisiting Hitler’s T4 Health Reforms

After the Nuremburg hearings saw 7 of the 23 Nazi doctors (including Dr. Guett) put to death for their role in Hitler’s Tiergarten Fier health reforms, Nuremburg counsel Dr. Leo Alexander wrote in 1949:

Whatever proportions these crimes finally assumed, it became evident to all who investigated them that they had started from small beginnings. The beginnings at first were merely a subtle shift in emphasis in basic attitude, basic in the euthanasia movement, that there is such a thing as life not worthy to be lived. This attitude in its early stages concerned itself merely with the severely and chronically sick.

Gradually, the sphere of those to be included in this category was enlarged to encompass the socially unproductive, the ideologically unwanted, the racially unwanted, then finally all non-Germans. But it is important to realize that the infinitely small wedged-in lever from which this entire trend of mind received its impetus was the attitude toward the non-rehabilitatable sick”

In his essay, Dr. Alexander described the growth of the euthanasia laws in fascist Germany as the concept “lives unworthy of life” was first introduced into health policy. Under the guidance of “expert panels”, the T4 health codes soon became a driving force of eugenics that saw 270,000 non-Jewish Germans killed starting with handicapped children and elderly before the policy was expanded to embrace Jews, Gypsies and other target “unfit” groups.

As investigative journalist Nancy Spannaus wrote in 2013:

The implication was clear. However, Hitler did not give his general order for killing off the insane (and others) until the war began, and resources became even scarcer. The order was written by hand by Hitler in October 1939–and backdated by him to the first day of the war, in September. In preparing it, he had stated that he “considered it to be proper that the `life unworthy of life’ of severely mentally ill persons be eliminated by actions that bring about death.” In this way, “a certain saving in hospitals, doctors, and nursing personnel could be brought about.” The title of Hitler’s order was “The Destruction of Lives Unworthy of Life,” and the standard was, as the order said, that the patients “considered incurable according to the best available human judgment of their state of health, be accorded a mercy death.”

The fact that the organizations promoting the rise of this eugenics policy throughout Nazi Germany and North America included such powerhouses as the Rockefeller Foundation, the Wellcome Trust and the Human Sterilization League for Human Betterment (today renamed “Engender Health”) which have all taken leading roles in the World Health Organization over recent decades is more than a little concerning.

The fact that these eugenics organizations simply re-branded themselves after WWII and are now implicated in modern RNA vaccine development alongside the Galton Institute (formerly British Eugenics Association), Oxford’s AstraZeneca, Pfizer and the Bill and Melinda Gates Foundation should give any serious thinker pause as we consider what patterns of history we are willing to tolerate repeating in our presently precarious age.

Matthew Ehret is the Editor-in-Chief of the Canadian Patriot Review, Senior Fellow at the American University in Moscow, BRI Expert on Tactical talk, and has authored 3 volumes of ‘Untold History of Canada’ book series. In 2019 he co-founded the Montreal-based Rising Tide Foundation. This article was recently adapted into a short video found here.

*In 1980, the USA had 5810 community hospitals spread across 3000 counties with 6 beds allocated per 1000 people (987,000 beds total for 227 million citizens). By 2013, total beds had fallen by 25% and 15% of the hospitals had disappeared resulting in 3 beds/1000 people despite the fact that the population had grown by 130 million.

Incognito.

Pour mieux respirer demain, je me vaccine.

Pour aller en festival demain, je me vaccine.

Pour me faire un ciné demain, je me vaccine.

Pour embrasser qui je veux demain, je me vaccine.

Pour retrouver le contact humain demain, je me vaccine.

Pour me promener librement demain, je me vaccine.

Pour rester plus de 30 min en boutique demain, je me vaccine.

Pour aller au supermarché à 19 si on veut demain, je me vaccine.

Pour pouvoir retourner dans les bibliothèques demain, je me vaccine.

Pour recommencer les pauses café avec les collègues demain, je me vaccine.

Pour retrouver le frites du jeudi à la cantine demain, je me vaccine.

Pour retourner en cours demain, je me vaccine.

Pour dire adieu aux examens à distance demain, je me vaccine.

Pour ne plus avoir de buée sur les lunettes demain, je me vaccine.

Pour retrouver mon resto préféré demain, je me vaccine.

Pour dire adieu au couvre-feu demain, je me vaccine.

Pour aller skater en bande demain, je me vaccine.

Pour arrêter de bosser en pyjama demain, je me vaccine.

Pour organiser un grand mariage demain, je me vaccine.

Pour faire la tournée des bars demain, je me vaccine.

Pour rencontrer enfin mon match Tinder demain, je me vaccine.

Pour désinstaller Zoom demain, je me vaccine.

Pour partir en roadtrip demain, je me vaccine.

Pour retrouver la spontanéité demain, je me vaccine.

Pour retrouver Noël avec toute ma tribu demain, je me vaccine.

Pour inviter autant d’amis que j’en ai envie demain, je me vaccine.

Pour oublier le mètre cinquante de distance demain, je me vaccine.

Pour me promener où je veux demain, je me vaccine.

Pour ne plus stresser à 21h50 demain, je me vaccine.

Pour faire du shopping entre copines demain, je me vaccine.

Pour câliner mes petits-enfants demain, je me vaccine.

Pour sortir librement demain, je me vaccine.

Pour partir en randonnée demain, je me vaccine.

Pour dire adieu au télétravail demain, je me vaccine.

Pour voir mes proches quand je veux demain, je me vaccine.

Pour moins sortir mon gel hydroalcoolique demain, je me vaccine.

Pour retrouver l’amphi aux chaises qui grincent demain, je me vaccine.

Pour aller voir un ballet demain, je me vaccine.

Pour reprendre le sport demain, je me vaccine.

Pour m’offrir un massage demain, je me vaccine.

Pour ne plus couper mes cheveux moi-même demain, je me vaccine.

Pour rire au théatre demain, je me vaccine.

Pour retrouver mon coach sportif demain, je me vaccine.

Pour voire autre chose dans l’actu demain, je me vaccine.

Pour reprendre les transports en commun demain, je me vaccine.

Pour retrouver les guindailles demain, je me vaccine.

Pour grignoter en rue demain, je me vaccine.

Pour traîner dans les parcs demain, je me vaccine.

Pour serrer mes parents dans mes bras demain, je me vaccine.

Pour retrouver le quotidien demain, je me vaccine.

Source

Si on vivait dans un monde normal, je pourrais arrêter là. Tout le monde aurait compris.

Mais on est pas dans un monde normal. Faut que j’explique.

Ce sont des menaces.

Et pas des moindres. Votre « gouvernement » vous menace de vous priver de tout ce qui figure dans cette liste. Probablement davantage. Ils ont déjà commencé. Ils ont bien l’intention d’aller jusqu’au bout. J’ai mis des guillemets à « gouvernement ». Je vais y revenir.

Ce petit morceau de propagande dépasse en violence et en cynisme, je pèse mes mots, tout ce qui a jamais été écrit dans ce domaine. Mais surtout, surtout, en vulgarité. Hannah Arendt parlait de la « banalité du mal« . En voici la version actualisée : la vulgarité du mal.

Parce que personne, nulle part, n’est jamais descendu aussi bas dans le mépris et la négation de la personne humaine. « Mein Kampf », « Le capital », « Le petit livre rouge », tous ces manuels de la tyrannie et de la spoliation des peuples, sont des oeuvres de charité à côté des ces quelques lignes. On aurait pas osé le quart de la moitié dans la Roumanie de Ceaușescu. On oserait pas le quart de la moitié aujourd’hui en Chine. Le peuple se soulèverait le lendemain matin. Mais apparemment ici ça va. Ça passe crème.

Si vous n’avez pas encore saisi, inutile de lire plus loin, vous ne comprendrez jamais. Je ne peux rien faire pour vous. Eventuellement, lisez les articles de mon blog – ou d’un autre, d’ailleurs, je suis tolérant – et tentez de comprendre. Si le franc ne tombe toujours pas, allez vous faire « vacciner ». Ça fera de la place.

Je note au passage qu’on affiche sur la page source des photos de gens d’origine africaine et maghrébine. Ça fait diversité, voyez-vous. Ces pauvres gens seraient probablement moins mal barrés dans leur pays d’origine que dans le cloaque qu’est devenu la Belgique. Ce petit pays corrompu, où la médiocrité est une vertu. Je les plains. C’est pas mieux en France.

Pas que le phénomène soit purement local, comme vous l’avez sans doute constaté. L’étau est mondial. Mais il est particulièrement serré dans la zone France et alentour. La France doit disparaître. Elle est en bonne voie. Son « gouvernement » s’y emploie. On l’aide un peu quand même, de l’extérieur.

Outre la gravité extrême de la menace – je le répète, inédite dans l’histoire humaine, vous pouvez vérifier – vous noterez aussi le niveau abyssal de ce joli poème du point de vue de l’intelligence. Ce n’est pas l’effet du hasard. Les gens qui rédigent ça – ça serait intéressant d’avoir les noms, d’ailleurs – ne sont probablement pas totalement niais.

Ces slogans s’adressent à deux publics distincts. D’une part les tarés qui le prendront au premier degré, et qui obtempèreront. Ils ont déjà commencé, d’ailleurs. On les reconnaît facilement : ils portent un masque seuls dans leur automobile et ne sortent le nez (couvert) de leur smartphone que pour le mettre devant un écran de – excusez le gros mot – télévision. Des gens qui ont déjà oublié que le plan actuel d’extermination – en phases successives, depuis bientôt un an – des vieux dans les maisons de retraite n’est pas la meilleure garantie de l’éthique de leurs dirigeants. Des gens qui ne trouvent rien d’étrange dans le fait que les remèdes et préventions disponibles, efficaces, inoffensifs et pratiquement gratuits contre la maladie soient interdits par leur gouvernement, passés sous silence, dénigrés par des médecins qui reçoivent la Légion d’Honneur tandis que ceux qui les prescrivent passent devant le Conseil de l’Ordre. Des gens qui sont susceptibles de louper que se faire injecter de l’ARN bricolé dans un laboratoire – pharmaceutique – n’est pas forcément la meilleure tactique contre un ARN bricolé dans un laboratoire – P4 – surtout si les deux sont financés par les mêmes.

D’autre part les gens au sens commun, au minimum informés, qui seront révoltés par l’audace et l’arrogance de ces menaces, s’ils ne l’étaient déjà pas avant. Leur intelligence est insultée, leur dignité bafouée et leur liberté supprimée. Pas menacée, supprimée. Le camp d’internement commence à la maison.

On crée ainsi deux camps. On crée toujours deux camps. Toujours. C’est le B.-A.-BA de la dictature.

De la dictature de qui?

Traditionnellement, ce sont les « gouvernements » qui l’exercent. C’est toujours le cas aujourd’hui, mais pas que. Ceux qui ont un peu suivi et vu clair dans la supercherie savent que des entités supranationales pilotent les autorités politiques. Commission Européenne, Organisation Mondiale de la Santé, Fonds Monétaire International, Forum Economique Mondial, pour ne citer qu’eux.

Mais voilà, comme dans toute opération de prise pouvoir, les dés sont pipés, les cartes truquées et les identités voilées. Les organisations internationales ne sont pas des organisations internationales et les gouvernements ne sont pas des gouvernements. Ce n’est pas qu’ils aient été corrompus. Ça n’a jamais été ni l’un ni l’autre. Ces noms sont des façades. Des noms imprimés sur des plaques à l’entrée de leurs bâtiments et sur leur papier à en-tête.

Ce sont des mafias.

Ça n’a jamais rien été d’autre.

Des siphons à pognon bien organisés, qui opèrent en tâche de fond la plupart du temps, presque silencieusement et sous couvert légitime. La routine.

Incognito.

Qui, lorsque le besoin se fait sentir, se muent en assassins, en terroristes ou en fauteurs de guerres et vous proposent leur protection en échange de l’un ou l’autre petit service. De votre aimable collaboration.

Et qui, au cas où ça ne serait pas parfaitement clair, avec toute la vulgarité qui les caractérise, vous menacent.

Comme en 40.

On est repartis comme en 40. Les moyens changent (un peu), les objectifs demeurent.

On pique les vieux dans les maisons de retraite. Le Rivotril a fait son temps. On a un « vaccin ». Ils ne contribuent plus à la – excusez le gros mot – société. Ceux qui n’ont plus toute leur tête sont piqués de force. Comme en 40. Voir ici. Et ici, et ici. Vous pouvez aussi chercher un peu vous-mêmes. Eventuellement.

C’est l’hécatombe en Israël. Chez les vieux d’abord, chez tous les autres ensuite. Haim Yativ et le Dr Hervé Seligman vous l’expliquent ici.

Pour changer un peu de l’emprisonnement à la maison, on attend les camps de détention pour réfractaires. Ils sont prévus. Je pense qu’on n’attendra pas longtemps. Je rappelle qu’en 40 on tatouait les détenus des camps avec un numéro unique d’identification dont le registre était géré par la société IBM. Une identification électronique, en quelque sorte.

Avec le couvre-feu, les Ausweiss, les délations, la propagande d’Etat permanente, un psychopathe manipulé et une cohorte de lâches et de pourritures à la tête du pays, le tableau devrait être parfaitement clair.

Nous sommes en 1940. Tout ça ne fait que commencer.

L’Histoire ne se répète pas, mais elle bégaie.


« C’est effrayant. Les Dieux, c’est vous. Donc il s’adresse à nos futurs dirigeants. Et les inutiles, c’est nous. Donc ça veut dire que ce sont eux qui vont concocter les programmes pour décider de la façon dont on doit vivre, dont on aura le droit de vivre – ou de disparaître, peut-être.

C’est absolument effrayant. Et que ce soit dans le cadre de l’enseignement, à des jeunes filles, à des jeunes hommes qui sont déjà tellement confortés dans leur supériorité par notre système éducatif.

Il paraît qu’à l’Assemblée Nationale, il y a une députée qui s’est fait surnommer Bac-2, parce qu’elle est simplement aide-soignante. C’est vous dire le mépris de notre classe dirigeante. Donc si nous sommes les inutiles, si nous disparaissons ce n’est pas grave. Mais c’est vrai que déjà dans les maisons de retraite, nos aînés ont une espérance de vie résiduelle. Donc résiduelle, ça veut dire qu’ils font déjà du rab’. Donc on peut les faire disparaître, dans le silence, porte de chambre fermée.

Ça me donne juste envie de pleurer, je suis désolée. Mais c’est épouvantable.

Qu’est-ce qu’on a fait à nos aînés, qu’est-ce qu’on est en train de faire à nos enfants? Quand est-ce que les gens vont ouvrir les yeux et réagir?

Quand?

Quel prochain décret de loi faudra-t-il pour que les gens puissent protester et empêcher ça? Parce que c’est pas dans dix ans. C’était proposé l’année dernière et c’est ce qui arrive aujourd’hui.

Qu’est-ce que ça veut dire? On a pas besoin d’avoir Bac+10 pour savoir si c’est pas quelque chose de programmé. On a le droit de s’interroger, c’est notre devoir. Puisque maintenant on a la possibilité d’avoir accès à l’information, c’est tout ce qui nous reste. Moi je n’ai plus la télévision depuis quinze ans donc je suis désintoxiquée. Je vais chercher mes informations ailleurs. Tout le monde peut le faire. Tout le monde peut le faire.

J’ai envie de dire au gens, dans dix ans ou dans vingt ans, est-ce que vous pourrez regarder vos enfants dans les yeux, et leur dire que vous ne saviez pas?

En 45, c’était possible, bien que j’aie deux grand-mères qui savaient parfaitement ce qu’on faisait des juifs quand on les mettait dans des trains. Elles ne disposaient pas de l’information dont on peut disposer aujourd’hui. Donc nos enfants ne nous croiront pas. Et nos enfants seront en droit de nous poser la question, pourquoi on ne les a pas défendus.

Voilà, c’est tout ce que j’ai envie de dire parce que c’est abominable.

C’est tout.

C’est juste abominable. »

Nathalie Derivaux, sage-femme, Hold-up+, deuxième partie, 49’40 – 54’02

« Vaccin » Covid : analyse du Dr Igor Shepherd.

Source première. Deuxième source, avec transcription écrite.

NdT. Le Dr Shepherd est un Russe immigré aux Etats-Unis. Son anglais est très imagé et lyrique mais un peu bancal. Il donne ici une conférence dans une église, ce qui devrait faire fuir mes lecteurs païens. C’est bien dommage pour eux, parce que le Dr Shepherd est un des rares, avec Catherine Austin-Fitts – et évidemment Mgr Vigano – à désigner l’ennemi. Et nous savons que c’est ainsi que ce vieil ennemi perd la partie. Et croyez-le ou non, j’avais fini par le comprendre la veille de trouver cet article.

Dans un souci de clarté, j’ai traduit en français correct et écourté quelques passages. C’était un très gros travail mais sans doute un des plus utiles que j’ai fait pour ce blog. Pour ceux que ça intéresse, la transcription intégrale en anglais figure juste après la traduction.

Je compte sur vous pour diffuser cet article. Merci!

Traduction

Conférence du Dr Igor Shepherd sur les horreurs du vaccin COVID 11/10/2020

Hôte : Ce soir, je me réjouis de vous présenter le Dr Igor Shepherd. Il est médecin et il est actuellement responsable du programme de préparation et de contre-mesures au Wyoming Department of Health Preparedness and Response Unit (NdT. la Section Préparation et Intervention du Département de la Santé du Wyoming) à Cheyenne, Wyoming.

Il a été orateur public lors de nombreuses conférences de préparation dans tous les États-Unis. Donc des conférences qui préparent aux catastrophes, aux pandémies, aux épidémies, des choses comme ça.

Et avec le Center for Disease Control pour aider à préparer et examiner la préparation aux situations d’urgence, les demandes d’accord de coopération, les plans stratégiques, les rapports d’étape, les données, les produits à livrer.

Son CV complet est long comme le bras. Je ne vous donne que la version courte.

Il donne également des séances d’information mensuelles à l’intention des State of Central Function Partners (NdT. Partenaires de l’État des Fonctions Centrales) et des représentants de Health and Human Services (NdT. Services Sanitaires et Sociaux).

Il comprend donc très bien ce qui se passe avec le COVID dans le pays. Et il va partager beaucoup d’informations que vous n’avez probablement jamais entendues auparavant.

Avant de travailler pour l’État du Wyoming, il a travaillé dans divers autres emplois de préparation aux situations d’urgence et également sur un site d’essais nucléaires du Nevada pour des opérations de lutte contre le terrorisme.

Et il a été impliqué dans la recherche et le développement techniques sur la préparation nationale et la sécurité nucléaire pour le Department of Justice Office for Domestic Preparedness, Department of Homeland Security, DOE, NSA, DOD, ETRA, FEMA, National Guard, les équipes tactiques SWAT, les forces de l’ordre, les services de secours, les professionnels de la santé.

Nous avons donc un orateur extraordinaire et incroyablement qualifié ici ce soir pour nous parler de ce qui se passe avec le coronavirus et le vaccin, qui arrivera dès le 15 novembre. Il est censé être expédié vers les États à partir du 15 novembre depuis chez Pfizer.

Veuillez souhaiter la bienvenue au Dr Igor Shepherd.

Dr Shepherd : […] Nous avons eu quelques perturbations aujourd’hui. Mon ordinateur portable est mort. Je ne sais pas si c’est la NSA ou autre chose. Mais ça va. J’ai ma mémoire.

Je m’appelle Igor Shepherd. Et je viens d’un monde très obscur. […]

Tout d’abord, ces 10 derniers mois, j’ai été chef de section du renseignement pour le COVID Response Unified Command dans l’état du Wyoming. J’ai passé ces sept dernières années à travailler au Département de la Santé de l’État du Wyoming.

Avant cela, je dois revenir un peu sur mon parcours de médecin militaire, interniste et spécialiste des armes de destruction massive. Comme je vous l’ai dit, je viens du monde obscur du communisme. Je suis né sous le communisme. J’ai été élevé sous le communisme. Le communisme était sur moi, autour de moi et à l’intérieur de moi. C’est un monde très obscur. Vous ne voudriez pas y vivre.

Je dois revenir un peu en arrière parce que je relie maintenant les points et je fais les liens. Donc, vous allez comprendre quel genre de vie nous attend et comment elle est en fait reliée à la Russie et à la Chine. Je dirai certaines choses que vous n’avez peut-être jamais entendues auparavant. […]

J’ai travaillé quatre ans en tant qu’officier militaire et médecin militaire au Strategic Rocket Force de l’Union Soviétique. J’ai passé quatre ans de ma vie en tant que chef de la santé en Pologne avec des bataillons d’opérations spéciales. C’est un endroit tout à fait unique. Nous nous occupions en fait de l’entretien des armes biologiques, milieu de gamme, spécifiquement dirigées vers les forces américaines situées en Allemagne. C’est une époque de ma vie où j’ai fait beaucoup de choses dont je ne suis pas fier. J’ai administré beaucoup de vaccinations et d’immunisations diverses sur des personnes, des soldats, du personnel civil. Je ne savais pas avec quoi je vaccinais parce que je n’étais pas censé le savoir. On m’amenait des valises d’ampoules neuves et du matériel et je faisais les injections. Quatre-vingt-cinq injections par heure. Des injecteurs spéciaux.

Je ne pouvais communiquer aucun effet secondaire, inflammation localisée, effets secondaires généralisés, rien. Ce n’était pas mon boulot. Parce que le renseignement militaire me soufflait dans la nuque. J’ai passé du temps en Pologne. Nous avions du boulot là-bas. Et maintenant je suis aux États-Unis. Ce qui me choque aujourd’hui c’est ce qui se passe depuis 10 mois aux États-Unis, cette prétendue pandémie COVID, pour le dire gentiment. […]

Je voudrais vous parler de quelque chose de très intéressant, qui s’est passée il y a quelques jours, lorsque le CDC a décidé de ne plus compter les cas de patients grippaux pour 2021. Ça signifie que tous les cas de grippe sont comptés dans les chiffres COVID car ceux-ci ne sont pas assez nombreux aux États-Unis.

Nous avons un problème, nous avons une tromperie et nous avons une trahison. Je parlerai de trahison plus tard. Mais c’est une trahison au plus haut niveau.

Lorsque j’ai commencé à faire des recherches sur la situation de la pandémie COVID et le virus SRAS-CoV2, j’ai appris que ce virus est en fait très similaire au SRAS de 2003, virus du syndrome respiratoire aigu sévère, survenu en 2003. Similitude jusqu’à 80%/85%. Identique. Tellement identique que ce virus ne peut même pas être distingué en tant que souche différente du virus. […] Au fait, ce virus n’est plus ce virus. Depuis juillet de cette année, ce virus a changé et est devenu autre chose. On nous dit qu’il a muté. Donc, nous n’avons plus de SRAS-2. Nous devrions l’appeler SRAS-3 ou 4 ou 5, car des mutations se produisent constamment avec cet étrange virus-fantôme.

[…] Les départements de la santé, le HHS et le CDC augmentent apparemment les chiffres pour une raison quelconque aux États-Unis parce qu’ils sont trop bas – les taux de mortalité ne sont pas suffisants, les hôpitaux sont vides – donc quelque chose cloche. […] On a dépensé 20 millions de dollars au Ranch {Budweiser Events Center, Loveland, CO}, 20 millions de dollars. Tout a déjà été démantelé. Il n’y a aucun patient là-bas. Personne n’en a besoin. Alors, que se passe-t-il dans ce pays? Pourquoi sommes-nous confrontés à cela?

Je vais vous dire pourquoi nous sommes confrontés à cela. Je reviens sur mon époque communiste. J’ai été formé pour détruire les États-Unis d’Amérique. […]

Je me suis entraîné pendant la guerre froide pour détruire physiquement les États-Unis. Pas spirituellement, physiquement. Quand je dis cela, c’est ainsi que l’obscurité fonctionne.

Certaines personnes se diront, « Ça ne peut pas être si grave. Les gens ne sont pas si mauvais. » Mais il y a beaucoup de personnes malfaisantes dans le monde. J’en ai rencontré beaucoup. J’ai travaillé avec beaucoup d’entre elles.

A propos des vaccins, comme vous le comprenez déjà, la situation est étrange et discutable dans cette pandémie COVID. Elle est arrivée juste au bon moment. Si je vous dis que la pandémie COVID a été préparée pendant ces 19 dernières années aux États-Unis, ça vous dit quelque chose? Dix-neuf ans, depuis 2001 – un exercice biologique nommé Opération Dark Winter (NdT. une vidéo à ce sujet en fin d’article).

Entre 2000 et 2006, j’ai travaillé sur certains projets secrets au Nevada Nuclear Test Site, dans la ville de Mercury, pour la NNSA, la National Nuclear Security Agency. Nous avons travaillé avec la DTRA, la Defense Threat Reduction Agency. Ils ont fait des tests biologiques sur le site d’essai et d’autres choses encore.

Tout ça est préparé, tout ça prend très longtemps. Ils savent ce qu’ils font et comment le faire. Il leur a fallu des années pour se préparer à ce moment, aujourd’hui, aux États-Unis et globalement. C’est un projet mondial dont le but est d’introduire le communisme mondial partout dans ce pays. Pas seulement dans le monde, également aux États-Unis. En ce moment, le plan de destruction des États-Unis tourne à plein régime. Et les vaccins y jouent un rôle majeur.

Je reviens maintenant à mon histoire, à mon travail militaire en Pologne et aux organisations et installations en Union Soviétique et en Russie, qui ont pleinement développé de nombreuses armes biologiques de destruction massive, virales, bactériennes et autres. Surtout des armes génétiques.

Je voudrais nommer une institution que je connais bien. À cette époque, c’était Lev Sandachiev, un général une étoile, qui en était le directeur. Elle s’appelle l’Institut Vektor, à Novossibirsk, en Russie. Ce qui est particulier à propos de cet endroit, c’est qu’on y a conçu des vaccins. Des vaccins. D’innocents vaccins. Du moins, c’est ce qu’ils ont dit au monde.

Mais ce qu’ils fabriquaient étaient des armes virales militarisées, génétiques, de type ADN recombinant, ARN messager, ARN mature, des dispositifs, des armes biologiques purifiées. Ils le font encore aujourd’hui, depuis environ 40 ans.

Ce qui me frappe le plus, ce sont les cinq entreprises actuellement impliquées dans la production de milliards et de milliards de vaccins – et une en particulier, Pfizer. Les glacières sont déjà prêtes. Ils sont prêts et attendent le moment de commencer à expédier.

Je vais vous parler un peu plus de Pfizer. Ce qui me frappe le plus, c’est la technologie qu’ils utilisent, tellement révolutionnaire. Tout cela est un mensonge. Ce ne sont pas des technologies révolutionnaires. Ces technologies étaient utilisées il y a 30 ans en Union Soviétique – puis en Chine, en Corée du Nord et à Cuba – dans des laboratoires biologiques, pour le développement d’armes biologiques de destruction massive. C’est cette même technologie qu’on utilise aujourd’hui pour développer les vaccins qui nous sont destinés. C’est mon premier message.

Deuxièmement, en 1977, le projet URSS/90/77. Qu’a-t-il de si spécial? C’était l’épidémie de grippe H1N1. En Chine d’abord. Grippe porcine. Vous avez entendu parler de la grippe porcine en 2009, du H1N1 aussi. Ce dont je vous parle se passait en 1977, 1978.

La particularité de ce projet, celui mis en oeuvre dans la ville de Leningrad – aujourd’hui Saint-Pétersbourg – c’est qu’ils ont utilisé l’infrastructure du métro pour pulvériser la grippe A militarisée sur la population soviétique, quatre millions de personnes à l’époque à Leningrad – aujourd’hui Saint-Pétersbourg.

Deux millions de personnes ont été infectées, malades. Quand on utilise des dispositifs de dispersion dédiés pour diffuser le virus militarisé de la grippe, il y a des conséquences.

Pourquoi avoir choisi le métro à Leningrad? Il est plus profond que les autres réseaux de métro dans le monde. Il est construit très en-dessous du niveau du sol. Ainsi, le débit d’air y est parfaitement contrôlé, c’est le cadre idéal. Environ 70.000 personnes en sont mortes.

Aujourd’hui, tout ce que l’Organisation Mondiale de la Santé sait à ce sujet, c’est que c’était juste une grippe porcine ou la grippe russe classique. Mais ça n’a rien à voir avec la Russie. Tout tourne autour de la Chine.

Qu’est-ce que cela signifie? Pourquoi ont-ils fait ça? Je vais vous dire pourquoi. Ils ont préparé les vaccins avant de répandre tout ce matériel biologique dans les réseaux de métro. Et puis ils ont vacciné des civils innocents à Leningrad avec ce nouveau vaccin contre la grippe aviaire qui était censé être efficace. 70.000 personnes sont mortes.

Bien des années plus tard, qu’est-ce que je vois ici aujourd’hui? Est-ce une sorte de nouvelle version de communisme américanisé qui se met en place? […] La plupart des technologies utilisées aujourd’hui par Big Pharma, je vous l’ai déjà dit, se basent sur la technologie d’ARN messager, qui reprogramme notre système immunitaire et prend le contrôle de notre système immunitaire. Nous ne contrôlerons plus notre système immunitaire. Il nous contrôlera. Il libèrera des anticorps au moment où ils doivent être libérés.

Revenons en Russie. La Russie a une longue histoire comme vous pouvez le voir. Le projet Factor, un projet secret, Moscou, Saint-Pétersbourg, début des années 90. Ils ont conçu des armes biologiques qui donnent la polyarthrite rhumatoïde, la myélite et le lupus érythémateux. Ils sur-stimulent le système immunitaire pour créer des maladies débilitantes ultra-rapides. Combien de temps faut-il pour développer une sclérose en plaques? Ça prend du temps. Avec une arme biologique, cela ne prend qu’environ deux semaines et la personne ne peut plus marcher.

Qu’observons-nous de similaire? Regardons l’histoire d’AstraZeneca, une société britannique, en coopération avec Novavax – une société aux États-Unis, d’ailleurs. Je pense qu’ils viennent du Massachusetts ou du Maryland. Ces deux-là développent également un vaccin, le Sf9-BV.

La plate-forme de ce vaccin utilise un insecte – la chenille légionnaire d’automne. Vous savez, le papillon volant? […] Ils ont prélevé des gènes extraits de cet insecte et les ont mis en œuvre dans le vaccin. […] Mais ce n’est pas le plus important. Le plus important, c’est le système immunitaire. Notre système immunitaire sera sur-stimulé et les réactions ne se produiront pas seulement autour du site d’injection, ce qui est déjà montré par des tests cliniques, qu’ils ont déjà fait.

Quelle est la particularité de ce vaccin d’AstraZeneca? Ils y mettent de la saponine. La saponine est en fait un savon naturel. On l’extrait d’un arbre, le Quillaja, du Chili. Il est dans l’écorce de l’arbre. Pas de quoi fouetter un chat. Le gros problème est qu’il est utilisé comme adjuvant pour stimuler le système immunitaire si la réaction est insuffisante. Pourquoi pensez-vous que certaines personnes développent de fortes manifestations cliniques suite à une surdose de ce vaccin? […]

Cela n’a rien à voir avec la dose. Tout dépend de ce que contient ce vaccin. Cet adjuvant est utilisé pour stimuler une forte réaction du système immunitaire. Mais le problème est que cette stimulation est toxique. Il détruit non seulement les cellules, mais crée également une hémolyse dans les cellules. Cela signifie que le système coagulatoire est endommagé. Cela signifie que les gens vont saigner à mort, mais pas rapidement. Ça commence par la rate et ensuite le foie.

[…] Les essais cliniques sont effectués très rapidement, comme vous le savez. […] Pensez-vous qu’ils vous montrent réellement les données cliniques réelles de tous ces tests? Pourquoi ne parlent-ils pas du médecin philippin décédé des suites de cette vaccination, par exemple? Que pensez-vous des deux femmes du Royaume-Uni qui sont maintenant pratiquement handicapées? J’ai une question au sujet de ce handicap. Parce que l’une des deux a développé une amylose. Et il me semble que c’est une ADEM (Acute Disseminated Encephalomyelitis), une encéphalomyélite aiguë disséminée. L’encéphalomyélite aiguë disséminée ne touche qu’une personne sur 250.000. Ce n’est pas normal! Les vaccinations ne provoquent pas ça!

Ma question est : pourquoi la myéline est-elle affectée? Pourquoi a-t-elle commencé à perdre intensément sa myéline? La myéline est utilisée pour quoi? Pour la transmission du signal nerveux. C’est à ça que ça sert. Lorsque la myéline est endommagée, le signal est perturbé. Il ne peut plus passer normalement des axones aux dendrites. Cette dame arrive à peine à marcher depuis quelques mois. On nous dit que la guérison prendra deux ans. Je pense plutôt qu’elle ne guérira jamais. (NdT. voir également cet article)

Mais ce n’est pas le problème. La question est, pourquoi cela lui est-il arrivé? Tous les essais cliniques ont été réalisés uniquement sur des adultes en bonne santé, examinés et testés médicalement. Elle était donc en bonne santé à ce moment-là.

Alors, qu’y a-t-il derrière tout ça? Revenons au projet Factor. Fédération de Russie, le projet secret Factor, où on a fait des tests sur la myéline et l’épuisement de la myéline. Même technologie que celle utilisée pour le développement d’armes biologiques en Russie au début des années 90.

Que se passe-t-il? Comment Big Pharma a-t-il su tout cela?

Certaines personnes ont émigré ici, des transfuges sont venus s’installer. Vous ne connaissez pas leurs noms. Je ne connais qu’un seul nom. Son nom est Sergei Popov. Il était spécialisé dans la conception d’armes biologiques pour la Fédération de Russie. Il a travaillé à l’Institut Vektor et ailleurs. Enfin, la CIA l’a retrouvé au Texas il y a de nombreuses années. Je ne sais pas où il est maintenant. Mais il a suffisamment de connaissances pour aider quelqu’un contre beaucoup d’argent.

Je ne blâme personne. Je ne cite pas de noms. Mais vous devez comprendre qu’il y a beaucoup de science malfaisante dans le monde. Beaucoup de science malfaisante. Et beaucoup de scientifiques malfaisants. Des gens profondément mauvais.

Pourquoi les armes biologiques sont-elles utilisées? Il faut savoir qu’on les a développées à partir du corps d’un médecin décédé. Il s’appelait Nikolai Ustinov. Il est mort en 1988 après avoir commis une erreur. Il s’est injecté, dans le pouce, avec une aiguille, le virus hémorragique de Marburg, déjà militarisé. Au lieu de la souris, il s’est coupé lui. De toute évidence, l’animal ne voulait pas recevoir cette injection. C’est lui qui l’a eue. Il est mort très vite, en une semaine. Il a saigné à mort. […]

Ce qui s’est passé ensuite est intéressant. Ils ont préservé son corps pendant un certain temps et y ont prélevé des organes pour en faire une arme biologique, le Marburg U, un virus, qui porte son nom. Et cette arme biologique, le Marburg U, est la plus puissante arme biologique de fièvre hémorragique qui ait jamais existé dans le monde. Et elle fait toujours partie du stock russe.

Combien peuvent être affectés par cette {arme biologique Marburg U}? Beaucoup, un ou deux millions en un coup dans une zone urbaine, New York ou L.A. En probablement trois ou quatre semaines. Aucun vaccin, aucun traitement et il n’y en aura jamais!

Quel genre de fous peuvent développer quelque chose qui tue tout, y compris eux-mêmes? Tout est question de distance. Un océan sépare l’Union Soviétique des États-Unis. Rideau de fer. Cela signifie qu’il est arrêté.

Pouvez-vous vous rendre en Corée du Nord récemment? Quelqu’un y a été? Bonne chance. Essayez seulement de pénétrer dans ce pays. C’est du sérieux.

Ils construisent des armes biologiques sans résolution. Cela signifie tuer autant de gens que possible, aussi vite que possible.

A propos des Russes : ils sont tous fous. Je le sais.

Oui, ils sont fous. En fait, ils ont une technologie qui permet de fabriquer une biomasse de variole, 200 tonnes métriques par an. 200 tonnes de variole, militarisée, peuvent être fabriquées en un an par les Russes. Pourquoi? 50 kilogrammes peuvent tuer le monde entier en 100 jours. Pourquoi y aurait-il besoin de 200 tonnes?

Parce qu’ils sont tous fous. Parce que Lucifer n’a pas de limites. Et quand les hommes suivent Lucifer, les hommes deviennent Satan lui-même. Il y a ceux qui travaillent aujourd’hui pour Big Pharma et ceux comme Bill Gates qui le servent réellement. Cet homme a investi tellement d’argent dans tant de choses. Toutes les sociétés de vaccins sont sous son contrôle direct. Toutes.

Savez-vous combien de vaccins sont actuellement produits dans le monde pour le COVID? Près de 200 versions – 200! Chaque nation essaie d’en produire. Et seulement six ont été sélectionnés pour les États-Unis. Et tous ces six, en fait cinq d’entre eux, sont de la technologie ARN messager. Les effets de la technologie ARN messager sont inconnus sur les êtres humains. Elle n’a jamais été testée auparavant.

Je vous pose une question simple. Une question logique. Selon le CDC, le taux de récupération du COVID-19 est de 99,8%. Je répéte, taux de récupération de 99,8% pour cette maladie. La maladie la plus meurtrière au monde. Nous en avons tous peur. J’essaie toujours de trouver quelqu’un qui l’a réellement eu. Trois ou quatre jours et c’est fini. Vous prenez de l’HCQ et du zinc et tout va bien. C’est un taux de mortalité inférieur à celui de la grippe saisonnière. En fait, le taux de mortalité {pour le Covid-19} n’est que de 0,1, 0,5 pour cent. Alors quel est le problème?

Maintenant, réfléchissez. Face à cette situation douteuse, nous devons vacciner sept milliards de personnes sur Terre très, très rapidement. Qu’est-ce qui cloche dans cette histoire? Je vous pose une question logique. Qu’est-ce qui cloche dans cette histoire?

Je me sens libre dans cette salle aujourd’hui. Je ne vois pas de masques sur vos visages. Je ne vois pas de distanciation. Et je ne vois pas de confinement de cette église.

Alors, qu’est-ce que c’est que ça? H1N1, grippe porcine, 2009, 67 millions de personnes malades aux Etats-Unis. 67 millions de personnes ont reçu un diagnostic de grippe porcine en 2009. Des masques? Des confinements? Une distanciation?

Quel est le problème aujourd’hui en 2020 avec l’étrange coronavirus fantôme? […] Le problème c’est l’agenda. C’est ça le problème.

Et je vais vous dire autre chose, si vous en doutez encore. Je pense que tous les départements publics de ce pays sont aujourd’hui infiltrés par les communistes. Je pense que tous les gouvernements d’État et le Gouvernement Fédéral lui-même sont aujourd’hui infiltrés par les communistes. (NdT. pour confirmation, voir les chaînes NTD, NTD en français et The New American sur YouTube)

C’est pourquoi vous avez un verrouillage et le port du masque et tout le reste. Ils suivent simplement le mode de réponse chinois. Parce que les Chinois savent comment procéder.

Sommes-nous devenus un pays communiste? Nous reste-t-il un peu de liberté intérieure, sinon à l’extérieur? Qu’est-ce qui cloche chez nous, en tant que nation, en tant que République?

C’est un agenda! Essayez de comprendre. Le message est urgent. Et c’est pourquoi je parle aujourd’hui de ces entreprises, comme Pfizer.

Parlons de trahison. Les six entreprises précitées sont étroitement liées aux fabricants chinois et aux sociétés de recherche chinoises. Je vais juste donner quelques exemples.

Pfizer. Hier, aux infos, 90%, de très bons résultats. […] Deux injections à 21 jours d’intervalle, pas de problème. Ils ont juste oublié de nous dire quelque chose de très important. Pfizer travaille avec BioNTech, une société allemande. Cette société allemande et Pfizer travaillent avec Fosun Pharmaceuticals de Shanghai, en Chine. Comment travaillent-ils avec eux? Ils développent des vaccins pour nous.

Maintenant, parlons un peu plus du BIB, l’Institut de Biotechnologie de Beijing et de l’Académie des Sciences Médicales et Militaires de Chine.

Ce que j’essaie de vous dire, c’est que toutes les entreprises qui tentent de fabriquer des milliards de doses de vaccins aux États-Unis sont liées à l’Armée de Libération du Peuple chinois. Cela signifie la biodéfense militaire chinoise.

Et pour prouver encore mieux cette affirmation, je dois parler de Chen Wei. Elle est générale à une étoile de la biodéfense. Ce n’est pas de la biodéfense. C’est le complexe d’armes biologiques de la Chine. Elle est à la tête de tous les projets de vaccination en Chine – tous. Et elle a un accès direct à toutes les sociétés de vaccination en lien avec les prestataires américains.

C’est de la trahison. Voyez-vous ce qui nous attend? Pensez-vous que la Chine vous aime? Pensez-vous que l’armée chinoise ne saisira pas cette opportunité?

Ce n’est pas tout. Clover, une autre entreprise chinoise, travaille également avec le BIB. Ils travaillent tous directement avec eux. CanSino également, une autre société chinoise. Ils sont tous connectés à AstraZeneca, Moderna, Johnson & Johnson – en fait, c’est par le biais de Janssens, une autre société, pas chinoise mais très enracinée en Chine, depuis les années 80.

Alors, qu’est-ce que j’essaie de vous dire? J’essaie de vous dire que nous avons un problème. J’essaie de vous dire qu’outre les effets secondaires, qui ont été couverts pendant les essais cliniques – et ce n’est pas très clair – ils ne savent même pas quel genre d’effets secondaires se produiront dans deux à trois ans.

Dans une campagne de vaccination normale il faut 5, 10, 15 ans pour développer un nouveau vaccin. Jusqu’à 15 ans, c’est la durée normale d’étude d’un vaccin. Maintenant, c’est réduit à deux ou trois mois? Et entre nous, ça n’a pas pris deux ou trois mois. Ce vaccin était prêt il y a longtemps. De nombreuses années.

Quand j’ai lu un article de Moderna, j’ai failli m’étouffer en découvrant ce qu’ils avaient proclamé les 11 et 12 janvier 2020. Après que le CDC chinois – parrainé et nourri par Bill Gates – ait déclaré: « Nous avons envoyé la séquence du gène {SARS 2 CoV}, les cinq premiers génomes que le monde entier peut voir. » […] Moderna a dit avoir développé un vaccin trois heures après avoir reçu ces échantillons!

Trois heures. Vous comprenez? Vous savez pourquoi? Parce que tous ces vaccins ont été construits avec des algorithmes.[…] C’est totalement informatisé.

C’est nous qu’ils essaient de reprogrammer maintenant. Ils utilisent l’informatisation des vaccins pour reprogrammer nos corps. Ils prétendent que la technologie de l’ARN messager ne peut pas atteindre le noyau de la cellule. En aucune façon. Ce n’est pas de l’ADN réémis. Ne vous inquiétez pas. Cela ne changera pas votre ADN. En êtes-vous sûr? Ce n’est pas ce que j’ai entendu de la Russie quand ils ont fait des tests avec du MMARN (Mature Messenger RNA) et ont injecté ce produit directement dans le noyau. Bien qu’ils aient utilisé des matériaux différents – ils ont utilisé différentes techniques avec une feuille d’or, une feuille de zinc etc.

Maintenant, ils utilisent une technologie plus avancée basée sur celle des Chinois, comme le CRISPR. Vous avez probablement entendu parler de cette technologie. Quand ils commencent à jouer avec des embryons. […] Pensez-vous que ce sont uniquement les Soviétiques? Que nous ne ferions jamais cela? Êtes-vous sûr? Quand il y a un agenda? Et que tout est fait pour l’accomplir?

Quel agenda? Le communisme mondial. C’est l’agenda. Et il est déjà ici aux États-Unis. Ce n’est pas qu’il va arriver. Il est déjà là. Comprenez bien ça. Nous avons très peu de temps. Très peu de temps.

Donc, dans quelques semaines ou peut-être le 15 novembre, je ne sais pas, dans cinq jours, cette cargaison commencera à circuler et on commencera à vacciner. Le personnel essentiel, les fournisseurs d’hôpitaux, les premiers intervenants et toutes les infirmières de la santé publique doivent nous injecter à tous ces vaccins.

Et ils ne savent même pas comment faire car ils doivent utiliser de la glace sèche, 160 livres de glace sèche, pour la boîte à pizza. Ils appellent ça des boîtes à pizza, 1.000 flacons à l’intérieur. Ils risquent de se brûler les doigts. Personne n’est formé. Ils vont juste devoir le faire. […]

Mes prévisions pour ces vaccins, de type ultra-froid, c’est que leur problème n’est pas seulement au niveau sécurité. Ils sont instables. Ils se conservent cinq, six, sept heures en température froide – mais en température chaude, en température ambiante, ils pourraient changer de structure.

Je ne sais même pas s’ils sont réellement pour la maladie COVID. […] Êtes-vous sûr que c’est de cela qu’il s’agit, de cette soi-disant pandémie, avec un taux de récupération de 99,8%? Et que le monde entier doit être vacciné rapidement. Il est aussi question de cartes d’identité numériques, de certificats de vaccination et de bien d’autres choses. Il y a beaucoup de choses sur la table actuellement.

Encore quelques minutes. Le DARPA. Le DARPA est une organisation obscure, qui fait partie de l’armée américaine. Il date des années 50, un pendant de ce qu’on trouvait en Union Soviétique. Je ne sais pas si vous le savez. 100 milliards de dollars ont été consacrés après le 11 septembre à des projets biologiques, des projets obscurs en biologie aux États-Unis. 100 milliards de dollars. C’est beaucoup d’argent, non?

Pensez-vous qu’ils achètent tous des embryons, cultivent la variole ou certains de ces trucs de la vieille école? Non, ils sont bien plus avancé que ça, en fait. Les six firmes qui fabriquent des vaccins pour les États-Unis, entretiennent toutes des relations profondes et des affiliations financières directes avec le DARPA , l’armée des États-Unis. Pourquoi une relation si proche? Parlons de Moderna. Moderna fabrique un autre vaccin technologique de type ARNm. Ils entretiennent une relation étroite avec le DARPA depuis 2013.

Un colonel du nom de Wattendorf – à cette époque, colonel de l’armée de l’air – a une idée : pouvoir produire des anticorps très rapidement pour tous les soldats et les populations civiles. Contrer les effets des armes biologiques Russes en 60 jours. […] On lui offre 219 millions de dollars pour son projet. Moderna est ensuite chargé de travailler sur ce projet. Donc Moderna – je ne suis pas surpris – est fondamentalement sponsorisé par le DARPA. C’est un projet de construction d’un système autonome, censé utiliser les meilleurs anticorps du soldat après extraction de son sang, et les multiplier rapidement.

Nous en arrivons au Projet Box. Quel est ce projet? Je l’appelle Box, mais ce n’est pas son nom. En fait, il s’appelle Container 666. Lucifer adore se présenter parfois. N’est-ce pas vrai? Tout le temps, partout. Brevet pour les vaccins, 060606. Bill Gates, je sais qu’il aime ce nombre. Je comprends.

L’armée des États-Unis aime également ce nombre. Pas tous les militaires, juste les militaires spéciaux, de biodéfense. Ils ne travaillent pas pour nous. Ils travaillent pour des projets de mondialisation. Ils travaillent pour l’ONU et l’Organisation Mondiale de la Santé. C’est pour eux qu’ils travaillent.

Quelle est la particularité de cette « boîte » ou de ce conteneur de taille 6x6x6? Cela n’a pas de sens. Il devrait mesurer environ huit pieds sur huit pieds. Il ne devrait pas faire six {pieds}. Le projet s’appelle Nucleus Access On Demand Now. C’est le nom du projet. Un peu étrange.

Ce qu’ils veulent faire, c’est fabriquer un complexe de transport mobile {pour développer des vaccins dans un délai ultra-rapide. Cela ressemble à un conteneur. À l’intérieur de ce conteneur, on trouve beaucoup d’instruments différents. Et ce conteneur peut produire des centaines et des centaines de vaccins en quelques jours, très rapidement. Prétendument, uniquement pour lutter contre le terrorisme biologique.

Ça fait 20 ans que j’attends une acte de terrorisme biologique aux États-Unis. Et je ne parle pas de terrorisme biologique comme quand ils ont envoyé à ce sénateur – je ne me souviens plus de son nom – de l’anthrax par la poste. La source de ce matériel de terrorisme biologique venait d’un fort, aux États-Unis (NdT. Fort Detrick). Et la personne qui en était accusée s’est pendue. Ce qui est une autre histoire. On l’a aidée à se pendre.

Mais ce n’est pas le problème. Le fait est qu’ils veulent envoyer ces boîtes partout dans le monde, pas seulement aux États-Unis. Imaginons que chaque État dispose de ce complexe {mobile}. Quelque chose se produit. On nous dit qu’une diffusion d’arme biologique s’est produite. Le conteneur arrive. On vient vous aider.

On a beaucoup expérimenté sur les soldats. On m’a inoculé un tas de choses, depuis mes 17 ans, des vaccins révolutionnaires de toutes sortes. En fait, il n’y a jamais vraiment eu de vaccins révolutionnaires, car la Russie possède aujourd’hui le système de stimulation immunitaire le plus avancé du monde militaire.

Je courais à moitié nu dans l’état de Leningrad, à moins 20 degrés Celsius, et je ne tombais pas malade. Je voulais tomber malade. Je ne pouvais pas tomber malade. C’est ce que ces vaccins peuvent vous faire. Ils stimulent le système immunitaire, même notre système auto-immun est stimulé. Ça va jusque là. Ensuite, vous restez somnolent pendant quelques semaines.

Mais le fait est que vous êtes intouchable à ce stade. Intouchable à quel point? J’ai travaillé sur le projet «Tuberculose multi-résistante». Ils ne m’ont pas permis, ni aux autres membres de l’équipe, de porter des masques. On me toussait en plein visage. On m’ordonnait d’inspirer, pour voir si les vaccins fonctionnaient sur nous. Donc, j’ai moi-même été cobaye pendant de nombreuses années. Nous n’avons perdu qu’un seul gars. Il a perdu un demi-poumon à cause de la tuberculose. Et les autres? Rien. Oui, ils ont entrepris beaucoup de projets différents sur la stimulation immunitaire.

Ce qui me préoccupe avec ces vaccins qui arrivent c’est qu’ils peuvent surstimuler le système immunitaire et que nous perdrons le contrôle de notre corps. Ce ne sont pas de bonnes nouvelles.

Revenons à ces boîtes, à ces conteneurs. Imaginez maintenant à quelle vitesse ils peuvent développer ce vaccin pour nous. Deux jours. Aucun essai clinique. Injection immédiate.

Aimeriez-vous qu’on vous injecte immédiatement quelque chose qui n’a même pas été testé? Parce que l’armée vous l’a dit? Mais c’est ce qui va arriver. Malheureusement. Parce que nous perdons nos libertés. Nous perdons nos libertés à toute vitesse.

Alors, j’ai décidé de sortir de l’ombre parce que je suis longtemps resté dans l’obscurité. Je vous parle de tout ça aujourd’hui, mais il y aurait beaucoup plus à dire. Je n’ai pas le temps de parler de tout.

Le problème est que nous sommes tous dupés par le gouvernement fédéral, étatique et local. Je suis désolé de vous le dire aussi brutalement.

Sous l’administration Obama, pendant huit ans, ils ont infiltré tous les départements possibles aux États-Unis avec leur idéologie de gauche. Des gens qui venaient juste d’arriver. J’ai rencontré beaucoup de gens qui n’avaient aucune compétence pour occuper des postes de gestionnaires de programme ou des postes élevés dans l’administration. Ils ne sont pas qualifiés.

[…]

Je reviens sur Pfizer. Je ne peux pas couvrir toutes les sociétés de vaccins, mais le vaccin Pfizer est bientôt là. J’ai effectué des recherches sur les trois formulations d’ARN messager de Pfizer {le vaccin contient 3 formulations d’ARNm différentes}. Pas une. Trois ARN messagers pénètrent votre corps à des fins différentes. Certains objectifs sont innocents, d’autres non, et certains sont discutables. Mais c’est breveté. […] Et c’est secret-défense.

Maintenant, le problème rien qu’avec Pfizer est le suivant. Ils utilisent des nanoparticules, des lipides, trois ou quatre lipides. Lipoplex et Polyplex, et autre chose. Je ne me souviens pas. Le fait est qu’ils placent l’ARN messager entre ces lipides comme dans un sandwich et qu’il pénètre la première cellule qu’il croise sans aucun problème. Profondément. Il n’est pas censé atteindre le noyau de la cellule. Il n’est pas censé atteindre l’ADN ou notre génome humain. Il n’est pas censé le faire.

Mettons de côté pour l’instant le système immunitaire humain, je voudrais dire autre chose. Tout ce matériel sur lequel j’ai fait quelques recherches hier et sur lequel j’ai trouvé des informations – tous contiennent du PEG ou un matériau synthétique artificiel PEGylé.

Alors, qu’est-ce qu’un matériau PEGylé? Ce matériau est pratiquement du plastique. Mais ce n’est pas que du plastique. Ce plastique n’est pas biodégradable et ne se décomposera jamais à l’intérieur de votre corps.

Et il y a plus. Cela affectera votre progéniture plus que vous. De quelle manière? Des effets psychologiques, principalement de la paranoïa, des psychopathies de toutes sortes et des effets neurologiques certains. Nous avons donc d’ores et déjà infligé à la prochaine génération d’enfants aux États-Unis des effets qui provoqueront un désastre.

Et pendant ce temps nous nous concentrons juste sur les effets locaux, un petit bobo dans le bras. Je me fiche du bobo dans le bras, d’un peu d’inflammation, ou d’un petit œdème. Je m’intéresse à ce qui se passera dans deux, trois, cinq, six ans. C’est ça qui m’intéresse.

Alors, pardonnez-moi de vous le dire comme ça – j’espère que ça clarifiera certaines de vos idées – mais j’appelle ces vaccinations contre le COVID-19 une arme biologique de destruction massive. Je les appelle les 3-G : Génocide Génétique Global. Et cela ne concerne pas seulement les États-Unis, mais le monde entier.

L’un dit ceci et l’autre dit cela, mais la vérité est qu’avec ces types de vaccins non testés correctement, avec une technologie révolutionnaire et des effets secondaires que nous ne connaissons même pas, nous pouvons nous attendre à ce que des millions de personnes disparaissent.

C’est le rêve de Bill Gates et des eugénistes. Quand il dort il ne rêve que de ça. Moins il y a d’êtres humains, mieux c’est, moins de bouches à nourrir, moins d’eau à boire, moins d’air à respirer. Nous nous sommes déjà masqués pour ne pas trop respirer. Le système de Baal adore ça.

Si vous croyez que ça ne concerne que les fous en Corée du Nord ou en Russie, Poutine et tout le reste, cette bande d’assassins, vous vous trompez. Ils ne sont pas les derniers vestiges du communisme. Ils sont ici. Ils sont présents.

Si vous pensez que l’Union soviétique s’est effondrée, l’Union soviétique s’est effondrée au bon moment. Ils sont tous restés cachés dans l’ombre. Et maintenant, aux États-Unis, ceux qui sont restés longtemps dans l’ombre sortent. Et ce ne sont pas de braves gens. Ils ne travaillent pas pour nous. Ils ne travaillent pas pour cette République.

Pour qui travaillent-ils? L’ONU, l’OMS, l’Organisation Mondiale de la Santé et, bien sûr, un groupe de personnes spéciales, très spéciales. On ne parle pas d’eux. Ils ne sont même pas les 1%. Ils sont encore plus spéciaux. Ils sont 0,5% des 1%. On ne parle pas d’eux, car ils nous contrôlent tous.

Et honnêtement, avec cette campagne de vaccination en cours, nous sommes tous des cobayes. Voyons donc ce qui se passera dans cinq, sept, dix ans. Pensez-vous qu’ils nous laisseront autant de temps? Je pense que ça va arriver beaucoup plus tôt et que ce sera beaucoup plus violent.

Et puis ils pourront mettre en oeuvre à la fois le Plan A et le Plan B. Premièrement, ils nous vaccinent. Et peut-être qu’il arrivera autre chose. Une deuxième pandémie mais elle sera différente. Ce n’est plus le SRAS, le SRAS-2. Ce n’est plus un syndrome respiratoire aigu sévère. Cela ressemble à un virus. Il a probablement muté.

Chaque fois qu’un virus mute, ils disent au public qu’il devient plus contagieux, plus mortel et plus dangereux. A chaque fois. Nous n’avons plus affaire cet hiver au SRAS-2. Il a déjà muté en quelque chose d’autre qui n’a même pas de nom. Le nom n’est en fait qu’un code sinistre pour les cas COVID. Voilà toute l’histoire. Les gens ont des adénovirus et des rhinovirus, un petit coup de froid dans le nez, et ils ont tout de suite de quoi le justifier, c’est le COVID. Faisons le test? Non, pas le temps de faire de test.

J’aurais besoin d’une heure supplémentaire pour vous parler des tests RT-PCR et de tous ces tests d’anticorps et de tests BinaxNOW et de tout le reste. Des tests spéciaux car ils sont tous adaptés à des messages spécifiques. Et pas par nous. Ils proviennent de certaines entreprises de fabrication spécialisées. Et ne m’appelez pas, je vous prie, un théoricien du complot.

Vous savez, ma femme, ma belle femme là-bas, June, c’est pour elle que je suis devenu chrétien en 1992. Elle a apporté le salut dans ma vie.

En 2004, nous avons écrit un livre. Vous ne trouverez probablement ce livre nulle part. Je m’en fiche. Je ne vous vends rien du tout. C’était il y a 16 ans, « Inside the Red Zone« , à propos de ma vie misérable. Et la fin de cette vie misérable grâce au Christ.

Mais le fait est qu’ils nous appellent des théoriciens du complot. Il y a seize ans, nous avons parlé de l’arrivée du Nouvel Ordre Mondial. Ce communisme mondial arrive. Réveillez-vous. Ouvrez les yeux, s’il vous plaît. Faites quelque chose. «L’Amérique envisage-t-elle de faire quelque chose contre ça?» C’est ma question.

Mais vous savez quoi? Si nous accueillons le Christ – ce qui serait une bonne idée – nous garderons l’espoir. Nous sommes au seuil d’un hiver très sombre. En fait, nous sommes au seuil d’un siècle trés sombre, si nous survivons même à ce siècle. Nous entrons dans une époque très sombre et ce n’est pas une blague. C’est pourquoi mon message est urgent.

Si nous croyons en la Parole de Dieu, alors nous devons croire complètement. Dans Ésaïe 56-54: 17, il a dit qu’aucune arme formée contre moi ne prospérera. Et nous nous en tiendrons à cela. Parce que c’est l’héritage de serviteurs du Seigneur. Il nous a donné ça gratuitement. Ceux qui sont en Moi ne souffriront pas.

Ce qui vient ici est plus grand que nous tous. Le Seigneur est bien plus grand qu’eux. C’est pourquoi sans Lui, nous périrons tout simplement. L’Amérique a d’abord besoin de repentance. C’est ce dont l’Amérique a besoin.

Vous devez faire des choix dans votre vie. Que voulez-vous faire à propos de tout cela? Parce qu’ils viennent vous chercher, et chercher vos familles. Ils vous prendront tout!

Nous découvrons maintenant les petites entreprises et Polis (NdT. je suppose qu’il parle de ce type puisque la conférence a lieu dans le Colorado) . Ce Polis est une marionnette, une petite marionnette, il n’est rien. Cela n’a rien à voir avec lui. Toutes les petites entreprises seront parties avec le vent, complètement parties sous le communisme. Toutes vos propriétés privées auront disparu sous le communisme. Votre gagne-pain, vos désirs, vos rêves auront disparu sous le communisme.

Eh bien, c’est arrivé. C’est moche. C’est très moche et luciférien. Que pouvez-vous attendre de Lucifer? Moins que rien pour nous. Et si vous vous inclinez devant cela, si vous vous inclinez devant Baal, cela ne vous sauvera la vie en aucune façon. Vous pensez que vous allez accepter le vaccin et que tout ira bien?

Je vais vous dire avec certitude ce qui va se passer aux les États-Unis en 2021 et 2022. Ce vaccin deviendra courant et deviendra un événement semi-annuel. Obligatoire pour tous.

J’ai vécu sous vaccins obligatoires pendant la moitié de ma vie en Union Soviétique. Vous ne posez pas de questions. En fait, vous ne demandez même pas ce qu’ils vous injectent. Vous le faites, simplement. C’est ce que font les Chinois aujourd’hui. Ils ne posent pas de questions. Ce n’est pas un monde où il fait bon vivre. […]

Mais avec ces mondialistes en guerre avec les États-Unis, on aura cent millions de morts par-ci, cent millions par-là. Qui s’en soucie lorsque vous êtes sous l’égide du système Baal?

Mais quand Christ vous sort de ce marais, alors vous ouvrez les yeux et dites: «Oh, mon Dieu, qu’est-ce que j’ai fait»? Je suis heureux que nous puissions tous être pardonnés. C’est une chose merveilleuse pour nous.

Préparez-vous pour les temps les plus difficiles de votre vie. Vous verrez peut-être des choses que vous n’avez jamais vues auparavant dans ce pays. Vous ne reconnaîtrez pas ce pays. Dans six à huit mois, vous ne reconnaîtrez plus du tout ce pays. Et vous direz: « Oh, mon Dieu, que s’est-il passé? Où es-tu mon Dieu? Pourquoi as-tu enlevé Ta main de cette République? »

Sans Lui, nous périssons tous dans les ténèbres du système Baal. Et ce système Baal n’a aucune pitié. Il n’en a jamais eu et il n’en aura jamais. Alors, je tiens à vous remercier. Je sais que j’ai dépassé d’une minute. J’ai fait de mon mieux.

Femme dans le public : Continuez!

Dr Shepherd : Merci beaucoup. Et vous savez, si vous avez des questions, demandez.

Hôte : Oui, nous allons répondre aux questions.

Dr Shepherd : Je répondrai au mieux de mes capacités. Je vous remercie.

Hôte : Wow. Avez-vous bouclé vos ceintures de sécurité avant qu’il ne commence à parler? J’ai été époustouflée lorsque nous avons parlé à Igor et à sa femme. Tout ce que nous avons lu, tout ce que nous avons étudié – nous sommes tous des chercheurs – c’est de la conspiration, et les gens l’écartent. Et si vous êtes comme moi, vous l’avez rangé sur une étagère. Genre, nous verrons bien. Mais petit à petit, nous voyons maintenant tout s’accomplir, rapidement et tout le temps.

Et Igor et June nous confirment que ce n’est pas seulement une conspiration. Nous ne sommes pas fous. Nous ne sommes pas dingues. Nous ne sommes pas extrêmes. Cela se passe vraiment.

Alors, s’il vous plaît, écrivez vos questions. Nous demanderons à certaines personnes de collecter des questions et de les présenter comme nous le faisons à chaque réunion.

Je veux juste encourager tout le monde, une partie de ce que nous faisons avec Keep Colorado Free and Open est de former une communauté. Nous partageons les mêmes idées.

Ça ne fait pas du bien de venir toutes les deux semaines et de savoir que vous n’êtes pas seul, qu’il y a d’autres qui pensent de la même façon? Qui ont vu les mêmes choses que vous avez vues, qui croient les mêmes choses que vous?

Nous n’avons pas à être uniformes dans ce que nous croyons et dans ce que nous pensons. Mais nous savons tous que ce qui se passe autour de nous et que ce que l’on nous dit ne correspond pas aux faits. Nous voyons que les données ne s’additionnent pas (NdT. expression anglaise). Nous voyons que les décrets n’ont pas de lien avec ce qui se passe. Nous savons que les tests sont corrompus. Nous savons que les données sont corrompues. Nous savons qu’on nous ment. Mais c’est tellement énorme que nous ne savons pas comment nous y prendre. C’est David et Goliath, non?

Igor a raison, la réponse est en Christ. Et nous devons nous unir en tant que groupe. Nous devons nous unir en tant que communauté. Et nous allons avoir besoin les uns des autres pour traverser ce qui va arriver.

C’est vraiment déprimant. J’aimerais avoir parfois plus d’espoir. Et il y a de l’espoir au-delà de cela. Mais dans l’immédiat, nous devons être préparés.

Très bien, j’ai quelques questions à poser.

Dr Shepherd : Très bien.

Hôte : Très bien. Comment se fait-il que tu as emploi dans la santé publique, compte tenu de ton point de vue, Igor?

Dr Shepherd : En fait, je suis content, d’avoir obtenu il y a sept ans ce poste au département de la Santé Publique de l’État. J’en sais beaucoup et peut-être trop.

Si vous me demandez à quel point j’apprécie ce travail, eh bien, je ne l’aime plus. Je suppose que je suis heureux de voir des choses que d’autres ne voient pas et de savoir analyser certaines choses que d’autres ne peuvent pas. Ça aide. Qui sait combien de temps je serai encore là?

Beaucoup de gens me disent aujourd’hui « Eh bien, bravo. Tu es toujours en vie. » Oui, je suis toujours en vie. « Tu as encore un travail. » Oui, j’ai encore un travail.

Il ne s’agit pas du Département de la Santé Publique. Il s’agit de sortir de l’ombre et de réveiller les autres. Voilà toute l’histoire. Parce que nous sommes dans une situation où il faut le faire.

Femme dans le public : Amen.

Dr Shepherd : C’est ça qu’il faut faire. Chrétien, non chrétien, je m’en fiche, il faut le faire. Vous devez parler aux autres, s’il vous plaît.

Alors, oui, j’ai aimé travailler pour le service de santé publique pendant un certain temps. Je ne peux pas dire que c’est encore le cas maintenant parce que je vois ce qui se passe. Je vois qu’ils suivent sciemment ou non le système Baal.

Le système Baal est déjà en place aux États-Unis. Vous ne le voyez pas encore mais ses dents hideuses sont déjà sorties. Et comme je vous l’ai dit, la plupart des services de santé publique sont déjà infiltrées depuis de nombreuses années, c’est comme ça.

Donc, c’est là où je suis pour le moment. Mon chiffre porte-bonheur est sept, généralement, donc.

Hôte : Puis-je leur dire ce que vous nous avez dit au sujet de…

Dr Shepherd : À propos du – non, vous pouvez parler librement.

Hôte : Il nous a dit qu’il n’aurait peut-être plus d’emploi d’ici six à huit mois.

Dr Shepherd : Eh bien, comme je l’ai dit –

Hôte : Je veux dire, il prend un risque en venant ici et en nous parlant.

Dr Shepherd : C’est bon. Je veux dire, j’ai été dans des situations plus précaires dans ma vie. Personne n’aime quand la CIA frappe à votre porte et vous demande un dîner gratuit. Ça m’est arrivé. Ils ne savent pas grand-chose, d’ailleurs. Mais ceci est une autre histoire.

Donc, ils pensent savoir. Et ils prétendent savoir. Mais ce n’est pas le cas. Il existe d’autres agences beaucoup plus qualifiées, mais c’est une autre histoire.

Hôte : Très bien, voici donc trois questions assez similaires. Pouvez-vous parler des nanopuces et de la surveillance dans les vaccinations, de la technologie de suivi et de traçage des personnes, et de toute la technocratie et du désir mondialiste de contrôler tous les aspects de nos vies?

Dr Shepherd : Eh bien, nous sommes déjà suivis. Vous ne vous rendez pas compte à quel point. Jetez vos téléphones portables et vous serez peut-être libres.

En parlant de suivi et de tout le reste, j’ai oublié une chose, qui n’est peut-être pas liée ou trop liée: la 5G. Lorsque nous allumerons la 5G après les vaccinations avec ces vaccins, certaines choses peuvent se produire. Et quand je dis certaines choses, je ne parle pas de lavage de cerveau ou quelque chose dans le genre.

Cependant, je pense que ces vaccins sont la première étape de la synchronisation transformationnelle de votre corps. Plus vous recevrez de vaccins chaque année, sous forme obligatoire ou non, plus ils créent des liens et des changements génétiques importants à l’intérieur, qui s’éloignent de plus en plus du génome humain que Dieu vous a donné. À un moment donné, ça ne sera plus réversible. Je ne sais pas quand cela arrivera. […]

J’ai entendu des histoires et je cherchais des preuves solides. Google et Oracle, deux grandes compagnies travaillant en étroite collaboration avec la CIA et la NSA, ont fait des projets ensemble. Et j’ai entendu des rumeurs selon lesquelles ils ont en fait mis des biopuces dans les vaccins pendant deux ans et ensuite ils disparaissent. Il pourront contrôler votre température, vos sentiments, absolument tout.

Tout d’abord, s’ils introduisent ces choses en vous, elles ne disparaîtront pas en deux ans. Elles ne s’autodétruisent pas. Elles peuvent provoquer l’autodestruction de votre corps humain, mais c’est une autre histoire. Dans deux ans, étonnamment. C’est une autre histoire.

Question surveillance, il est question de bandages avec toutes sortes d’hydrogel. Et beaucoup d’entreprises fabriqueraient ce genre de choses? Oui c’est exact.

Mais le fait est, encore une fois, ce que je vois de mon expérience personnelle dans le communisme, vous avez toujours votre âme, mais vous n’en êtes plus conscient. Cela a-t-il du sens? Vous appartenez à l’État, y compris votre âme. Cela a-t-il du sens?

Je suis né sous le communisme. Je ne savais rien d’autre. Je pensais que c’était normal jusqu’à ce que Christ me dise, non, ce n’est pas normal. Il n’y a pas de vérité là-dedans. C’est un mensonge. Alors une ampoule s’allume dans votre tête.

Ce type de communisme est le communisme technocratique. C’est un communisme qui peut vous contrôler complètement. Même plus besoin d’un million de «mouchards» du KGB partout comme en Union Soviétique pour vous renifler. Tout sera fait par l’intelligence artificielle. Et malheureusement, oui, nous sommes à ce niveau maintenant, absolument.

Est-ce que j’ai envie – excusez-moi – de dire à tout le monde quand je vais aux toilettes et pendant combien de temps? Et pourquoi j’utilise autant d’eau? Il ne faut plus utiliser autant d’eau. Nous devons économiser cette eau pour l’environnement, je suis désolé.

C’est le communisme mondial. C’est un contrôle. Je ne sais pas si j’ai répondu à la question. Mais, oui, les niveaux de surveillance sont différents. La NSA pense qu’ils savent tout. Ils ne savent pas tout. Personne ne sait tout sauf Dieu. Lucifer pense qu’il sait tout mais ce n’est pas le cas. Et ce sera sa perte, au fait.

Alors, j’attends que sa maison commence à se diviser, ce qui arrivera éventuellement. Parce que tout est question de puissance et rien d’autre.

Hôte : […] Très bien, alors expliquez comment le Dr Fauci est connecté à Moderna. Et dans quelle mesure Donald Trump est-il impliqué dans tout cela? Et avez-vous l’intention d’avoir une conversation avec lui? Parce qu’il fait la promotion du vaccin, non?

Dr Shepherd : Oui, d’après ce que j’ai entendu, oui, il semble qu’il fasse la promotion des vaccins. 10 milliards de dollars consacrés à cet effort.

Maintenant, Fauci, eh bien… Fauci!

Il ne s’agit pas d’insignifiance. Ça n’a rien à voir avec ça, d’accord?

J’ai rencontré beaucoup de Faucis dans ma vie en Union Soviétique. Et je ne dis pas que c’est un virologue brillant ou pas brillant. Je ne parle pas du tout de cela.

Je sais qu’il s’intéresse à Moderna. Je sais qu’il a des actions non seulement dans Moderna, mais dans d’autres organisations. Et c’est pourquoi ils poussent beaucoup d’entreprises spécifiques et d’entreprises importantes, comme Moderna ou Novavax, qui n’ont jamais rien produit de bon, à part perdre de l’argent.

Mais ils y ont pris des actions parce que c’était le moment d’y prendre des actions. Ils savent comment manipuler le marché. Ils savent comment manipuler les gens. C’est très facile.

Alors Fauci, je ne sais pas, il était très lourd – je ne devrais pas vous dire ça. Ce n’est pas à propos de lui. Je sais qu’il est depuis longtemps directeur en exercice de l’Institut National des Allergies et des Maladies Infectieuses (NdT. National Institute for Health, NIH). Depuis les années 80.

Hôte : Les années 80?

Dr Shepherd : Les années 80, oui. Un long moment, oui. VIH, un héros du VIH.

Je n’ai aucune preuve de quoi que ce soit. Je parle juste de mon expérience. Ces mêmes années, je siègeais dans différentes organisations militaires, médicales, à Leningrad, et j’écoutais les conférences de certains colonels, professeurs de l’armée soviétique – ils ne l’ont jamais mentionné par son nom, bien sûr que non. Mais ils ont mentionné quelque chose qui m’a frappé et je m’en souviens jusqu’à ce jour. Le VIH a été développé par le Département Américain de la Défense et testé d’abord sur la population africaine.

C’est une arme biologique, testée et aux effets prolongés. Cela dure depuis de nombreuses années. Des milliards de dollars récoltés par certaines organisations aussi.

Très bien, le VIH, créons un vaccin. Savez-vous combien d’années se sont déjà écoulées? Quarante ou plus? Et nous n’y sommes toujours pas. Nous n’y serons jamais. C’est en fait une manière capitaliste de faire les choses, n’est-ce pas?

Je vais te donner une pilule – mais cela ne fonctionne que de 10% à 15%. Je te donnerai une autre pilule dans quelques années. Achète celle-ci maintenant. Et on peut continuer.

Donc, je n’ai pas dit qu’il était impliqué dans ces opérations. Je sais simplement que les opérations ont été menées par l’armée américaine en Afrique. Et c’est tout ce que je peux dire à ce sujet.

Donc, je ne connais pas personnellement Fauci – je ne veux pas le connaître. Il porte trop de masques et je ne peux pas voir son visage. Il est sans visage pour moi.

Nous allons maintenant entrer dans un domaine sensible, Donald Trump. C’est un homme d’affaires, n’est-ce pas? Il l’a toujours été. «Apprentice», j’adore cette émission en fait. Magnifique spectacle. Il a fait beaucoup d’argent avec cette émission.

Je vais vous dire ce que je n’aime pas chez Donald Trump. Et je serai honnête avec vous. Il dit qu’il se soucie des gens, mais je n’en suis pas sûr parce qu’il pousse les vaccins. Et il pousse les vaccins le plus vite possible.

Mais le problème c’est qu’avant de pousser si vite et si puissamment ces vaccins, il a investi 50% des fonds du Pentagone. Ce n’est pas quelque chose que je ferais.

D’abord, pourquoi y aurait-il besoin de donner ce genre de trucs aux gens, encore non testés, d’ailleurs, au nom de quoi? Alors, est-ce un business? Est-ce une proposition? Est-ce une direction ou un plan?

Je sais que beaucoup de gens aiment Donald Trump. Il a du charisme. Il sait parler.

Femme dans le public : En quelque sorte.

Dr Shepherd : En quelque sorte, oui. Il se surpasse parfois. Mais le problème est que je crois qu’il est mondialiste. En fait, il l’a dit. Je pense qu’il est plus mondialiste que nationaliste. C’est tout ce que je peux dire.

Donc, vous pouvez être en désaccord avec moi ou d’accord. Mais je pense que l’histoire révélera vraiment beaucoup de choses sur Donald Trump un jour. C’est tout ce que je peux vous dire.

À l’heure actuelle, ce qui me préoccupe, c’est que beaucoup de choses négatives se produisent dans ce pays à cause de la politique. Beaucoup de très mauvaises choses se sont produites ici. Et se produisent encore. Et c’est encore pire maintenant {sous la présidence de Trump}.

Donc, je souhaite voir les dirigeants de cette nation arrêter ce gâchis. Pas parler du désordre, mais l’arrêter en fait. Arrêter ça. Arrêter les verrouillages. « Dites, gouvernement d’État, fermez-la un peu. Vous n’allez pas enfermer autant de personnes. Nous ne voulons pas perdre nos emplois. Taisez-vous. Ayez des tripes. » Dites-le. Êtes-vous d’accord avec eux? Quel est le problème? C’est quoi cette histoire?

J’évalue généralement un homme sur ses actions. C’est tout. Je n’évalue pas un homme sur ses expressions verbales. J’ai besoin de voir les actions derrière. J’espère que ma réponse est politiquement correcte.

Hôte : Voici donc un autre ensemble de questions. En qui pouvons-nous avoir confiance dans le gouvernement actuel? Quel est le but final? Et quelle est la raison de vouloir tester les gens pour le COVID?

Dr Shepherd : La raison du test?

Hôte : Test COVID.

Dr Shepherd : Eh bien, la raison… Je vais commencer par, à qui pouvons-nous faire confiance dans ce gouvernement.

Hôte : Personne.

Dr Shepherd : Vous savez quoi? Comment y répondre mieux? Le gouvernement, c’est «nous le peuple», n’est-ce pas? Ils {les politiciens} ont la même chair que nous, mais ils sont plus corrompus que nous – vous savez, ils ont des salaires plus élevés, des relations plus importantes, des actions plus importantes et ce genre de choses.

A qui puis-je faire confiance? J’ai confiance en nous, les gens. Ce serait peut-être une bonne réponse. Toi. Je compte sur toi. Je ne suis pas un politicien et je ne le serai jamais. Je compte sur toi. Parce que sans toi, nous n’avons pas de République.

Ce que je crois, c’est que les politiciens détruisent cette République. Et je pense qu’ils doivent être poursuivis pour ce crime. Le crime de trahison. J’ai parlé de trahison avec la Chine. Ils nous ont vendus. Ils nous ont vendus pour quelques centimes. Peut-être un peu plus que quelques centimes en fait.

Quand j’ai entendu dire que des vaccins venaient de l’armée chinoise et que je devais accepter cela dans mon corps, je préfère mourir d’abord parce que je sais que si je l’accepte, ce sera une mort lente. Si je l’accepte, je suis à genoux devant le système Baal. Et la Chine communiste n’est pas le meilleur exemple de vie pour moi, personnellement.

Une autre question? Voyez, mon esprit vagabonde.

Hôte : Les tests.

Dr Shepherd : Oh, les tests. Eh bien, créer une réaction en chaîne. Merveilleuses morts. Le –

Hôte : Mais pourquoi le font-ils?

Dr Shepherd : Eh bien, je vous pose une question. Pourquoi le créateur du test est-il décédé quelques mois avant le début de COVID?

Hôte : C’était une coïncidence.

Dr Shepherd : Oh, ouais. Beaucoup de choses sont fortuites.

Femme dans le public : Suicide.

Dr Shepherd : Cela se produit en Russie aujourd’hui.

Femme dans le public : Suicide.

Dr Shepherd : Ouais, je comprends. Quelqu’un tombe de la fenêtre ou quelque chose comme ça. Décède d’une crise cardiaque.

J’en connaissais un. C’était un directeur de bio-préparations ultra-pures de Russie. Il a construit des armes biologiques super-noires. Par erreur, il est venu au Royaume-Uni. N’allez pas au Royaume-Uni si vous travaillez dans la création d’armes biologiques. Ils vous prennent tout et vous tuent après. C’est ce qui lui est arrivé.

Donc, les tests, ils sont tous fixés par l’Organisation Mondiale de la Santé. L’amplification du test PCR est désormais très élevée, 42/45 amplifications. Tout le monde est positif avec ce test. Tout le monde. Il devrait être 27/30 et pas plus. Pensez-vous qu’ils ont fait cela par erreur? Non. Il n’y a aucune erreur là-dedans.

Maintenant, les tests d’anticorps. Qu’est-ce que ça montre? Rien. Que j’ai été exposé à un moment donné dans le passé à une sorte de coronavirus. Il existe sept types de coronavirus dans le monde, sept, qui peuvent affecter les humains, et environ quelques centaines, qui peuvent affecter les animaux.

Alors, lequel? Un petit fragment qu’on a construit avec un morceau amplifié {morceau de génome} et, tadaa!, voici le COVID.

Cela ne ressemble même pas au COVID. Vous savez pourquoi? Je vais vous dire un secret. Qui n’est pas un secret. Aucun isolat du virus n’a jusqu’à présent été trouvé dans le monde, un isolat purifié du virus SARS-2 COVID. Cela n’existe pas. C’est un tas de trucs, de formulations, de fragments assemblés dans le désordre. Et c’est ce qu’ils appellent COVID. Pas le COVID, le virus SARS-Cov2.

Donc, tous ces tests sont autre chose. Souvenez-vous de ce que je vous ai dit au début, que c’était un peu étrange de leur part. Je n’ai jamais rien vu de tel de ma vie. Et même si ça a été réellement fait, c’est par un laboratoire chinois, pas par la nature.

Autre petit secret, le coronavirus ne crée pas du tout de «vagues». Ils {les virus} arrivent et repartent. Deux exemples, le SRAS de 2003, est venu et parti en 10 mois. Le MERS, coronavirus du Moyen-Orient, est venu et a disparu. Je pense que c’était en 2012.

Celui-ci est spécial. Il arrive par vagues. Il ne fait que revenir et revenir. Savez-vous pour combien de temps?

Nous avons entendu parler des différentes versions {de cette pandémie} par des spécialistes. Vous savez, tous ces spécialistes. Pour encore 10 ans, nous serons coincés avec ces masques, jusqu’en 2030. Ça vous plaîrait? Vous aimeriez porter un masque obligatoire pendant des années? Parce que le COVID sera toujours là. Oh! mon Dieu, ça tue quelqu’un, je ne sais pas où. Ni comment, ni quoi ni qui.

Quoi qu’il en soit, c’est tout pour la question sur les tests. Une autre question. […]

Hôte : Comment pouvons-nous arrêter cela? Comment échapper à ces obligations? Et comment éviter de se faire vacciner?

Dr Shepherd : Il n’y a pas d’échappatoire, je suis désolé. J’ai fait la paix. Ma femme et moi, nous avons fait la paix avec Dieu. J’ai fait ma paix.

Alors, qu’est-ce que cela signifie, est-ce sans espoir? Non. Si nous avons Dieu de notre côté, rien n’est désespéré.

La question est, est-ce que Dieu a retiré Sa main de cette République. C’est la question du jour. Est-il avec nous?

[…] Nous avons tous besoin de nous repentir en Amérique. Nous devons tous nous repentir. Nous avons fermé les yeux sur tant de péchés et de problèmes. Nous avons mis au pouvoir de mauvais politiciens qui ne nous servent pas et ne servent pas Dieu. C’est le problème numéro un.

Alors, que faut-il faire? Si je vous dis quelque chose d’étrange, comme levez-vous, résistez et combattez – deuxième amendement – nous avons toujours le deuxième amendement dans ce pays.

J’essaie de comprendre. Je n’ai jamais eu d’amendement en Union Soviétique. Les Chinois n’ont pas d’amendements. Les Australiens n’ont pas d’amendements. C’est peut-être pour cela que les policiers traînent les gens hors des voitures par les cheveux s’ils ne portent pas de masque.

Voulons-nous ce genre de vie? Je ne pense pas que nous le méritions. Ou peut-être que nous le méritons.

Alors battez-vous. Alors levez-vous. Alors unissez-vous. Comment pouvons-nous nous unir? Eh bien, vous êtes unis en ce moment, nous sommes tous assis ici. Personne n’est encore parti. Je m’y attendais pourtant.

[…] C’est la partie difficile car j’ai vécu dans ce type d’environnement. Lorsque vous êtes assis au dîner avec vos amis et votre famille et que vous commencez à plaisanter à propos du Politburo ou du Parti communiste ou de quelqu’un qui y travaille, les murs ont des oreilles et ils viennent, pas immédiatement, la nuit suivante – généralement la nuit.

Et ils aiment les voitures noires. Je ne sais pas pourquoi. […] Et ils emmènent des gens qu’on ne reverra jamais. Est-ce la vie que nous sommes censés vivre dans cette République?

Que puis-je vous dire? J’essaye d’allumer un feu dans vos cœurs. Tout ce que je veux, c’est que lorsque vous quitterez cette présentation, vous vous souviendrez de ce que j’ai dit. Parce qu’ils sont à vos portes et à ma porte.

Nous pouvons tenir le coup parce que nous avons des agents de police, des patrouilles routières, des shérifs qui n’enfonceront pas nos portes. Mais quelqu’un d’autre viendra enfoncer nos portes. Et ceux-là n’auront aucune pitié.

Alors, quoi, ils vous maintiennent au sol et vous piquent avec une aiguille? Peut-être qu’on en est là. Je ne sais pas. Je ne sais rien prédire. Mais je sais une chose, l’agenda avance. Le système Baal est devant nous. Et il est beaucoup plus gros que Goliath. C’est une montagne.

Sans Dieu, nous serons tous morts. Donc, seul Dieu est ma réponse. Et j’espère que c’est la vôtre.

Homme dans le public : Amen.

Femme dans le public : Amen.

Dr Shepherd : C’est tout ce que je peux dire.

Alors que faisons-nous? Nous sommes désorganisés. Nous n’avons pas d’unités spéciales, ni d’équipes spéciales avec des armes pour aller chercher ces gens. Est-ce ce que nous sommes censés faire? Vous devez d’abord vous demander «Est-ce la volonté de Dieu?» Est-ce ce que nous sommes censés faire?

L’invasion des Britanniques c’était il y a longtemps. Quel pourcentage de la population {s’est révolté}? Était-ce 50%, 4%? 1%, cela suffirait-il pour arrêter l’ordre mondial? Même 1%, même un demi pour cent tant que votre cœur est animé du désir de le faire et que vous prenez une décision dans votre vie personnelle.

Je m’inquiète pour ma fille. Elle vit en Arizona. Je m’inquiète pour elle. Je crains qu’elle fasse le vaccin. Nous en parlons avec elle tous les jours. Nous essayons. Elle ne marche pas avec le Seigneur en ce moment. Elle n’a aucune force. Alors, nous essayons d’être sa colonne vertébrale.

Je ne sais pas ce qui s’est passé. Mais rien de bon ne se passera si nous n’arrêtons pas cette folie. C’est une folie. Ces vaccinations sont de la folie absolue. Comment arrêter la folie, nous, là où nous sommes?

Tant que la Constitution n’est que de l’encre, posée quelque part, nous perdrons toujours. Vous devez porter la Constitution de cette nation dans votre cœur. C’est moi, un étranger dans ce pays, qui vous prêche cela. Je ne suis pas né ici mais j’aime la Constitution de cette nation parce que c’est le meilleur document après la Bible que j’aie jamais vu de ma vie.

Combien d’armes dois-je avoir dans ma poche? Ai-je besoin d’optiques? Que fais-je? Dois-je avoir un RPG {Rocket Propelled Grenade}?

Non, ce dont vous avez besoin, c’est de vous unir. C’est ce dont vous avez besoin. Parce que lorsque nous nous unissons, nous sommes forts. Lorsque nous nous séparons, le système Baal l’emporte.

Hôte : Et nous ne pouvons pas laisser cela se produire. C’est ce que nous voulons, c’est y résister.

Dr Shepherd : C’est vrai.

Hôte : Alors, les pères fondateurs ont versé leur sang, n’est-ce pas? Ils ne voulaient pas être soumis au système et ils ne voulaient pas que leurs enfants soient soumis au système et ils étaient prêts à se battre pour cela.

Maintenant, je n’incite pas à la violence. Je ne dis pas d’aller les chercher. Mais je dis qu’il y aura probablement du sang versé. Nous allons devoir résister avec nos vies pour le bien de nos enfants et petits-enfants.

Ce n’est pas un message édifiant, mais la partie édifiante est que vous devez être en Christ. C’est la seule façon dont nous allons nous en sortir. Et nous devons nous unir.

Merci beaucoup.


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Transcription

Dr. Igor Shepherd’s Talk About the Horrors of COVID Vaccine 11/10/2020

UNIDENTIFIED HOST: So tonight, I’m so excited to introduce you to Dr. Igor Shepherd. He’s a medical doctor and is currently a readiness and countermeasures program manager at the Wyoming Department of Health Preparedness and Response Unit in Cheyenne, Wyoming.

He’s been a public speaker at numerous preparedness conferences throughout the United States. So conferences that prepare for disasters, pandemics, epidemics, things like that.

And with the Centers for Disease Control to help prepare and review emergency preparedness, cooperative agreement applications, strategic plans, progress reports, data, deliverables.

Like, his resume over a life is this long. So this is just a short version of it.

He also provides monthly briefings for the State of Central Function Partners, and Health and Human Services representatives.

So he’s very familiar with what’s going on with COVID around the country. And he’s going to be sharing a lot of information that you probably have not heard before.

Before working for the state of Wyoming, he worked in various other emergency preparedness jobs and also at a Nevada nuclear test site for counterterrorism operations.

And he was involved in technical research and development on national domestic preparedness and nuclear security for the Department of Justice Office for Domestic Preparedness, Department of Homeland Security, DOE and NSA, DOD, ETRA, FEMA, National Guard, tactical SWAT teams, law enforcement, first responders, medical professionals.

So we have a stupendous, amazingly qualified speaker here tonight to tell us about what’s going on with coronavirus and the vaccine that’s coming as soon as November 15th. It’s supposed to be shipping out to states beginning November 15th from Pfizer.

Please welcome Dr. Igor Shepherd.
(Applause)
SHEPHERD: Thank you. Thank you.
Well, thank you everybody. I hope you can hear me. My broken French accent. (Laughter)

SHEPHERD: No, I’m from Russia obviously, so.

(Laughter)

SHEPHERD: I can repeat myself if you need it, that’s fine.

We had some disturbances today. My laptop died off. I’m not sure if NSA or something else is going on.

(Laughter)

SHEPHERD: But that’s OK. I have my memory. I still have some left in me.

(Laughter)

SHEPHERD: So, well, my name is Igor Shepherd. And I came from a very dark world, OK? I’ll be honest with you. Today, I will speak from my heart not from my computer.

First of all, for the last 10 months, I was an intelligence section chief for COVID Response Unified Command in the state of Wyoming. I’ve spent about seven years working at the state of Wyoming Department of Health.

But before that, I need to go a little bit back in my background as a military physician, internist and specialist on weapons of mass destruction.

As I told you, I came from a dark world of Communism, OK? I was born under Communism. I was raised under Communism. Communism was all over me, around me and inside of me, OK? It’s a very dark world, by the way. You don’t want to taste that world.

Now, the good news for me, in 1992, God shined his marvelous light upon me, a sinner like me. So, I accepted Christ in my heart. It’s changed my life completely.

(Applause)
SHEPHERD: Thank you. Not to me but to the Lord.

So, but I have to go back a little because I am connecting dots and links now. So, you can understand what kind of life is coming upon us and how it is connected actually to Russia and China, OK?

Some things I will say that you may have never heard before. Some things you might say that looks like illusion to me. But I want to speak from my back experience, my background.

For four years, I spent the time when I became a military officer and military physician at Strategic Rocket Force of the Soviet Union. I spent four years of my life as a chief health officer in Poland with special battalions, special operations battalions.

That is a very unique place. We took care of actually the maintenance of biological weapons, mid-range, specifically directed toward Germany, United States forces located at Germany.

That’s a time when I did a lot of stuff I’m not proud of. I did a lot of different vaccinations and immunizations on people, soldiers, civilian personnel. I did not know what I was vaccinating them with because I should not know that.

So, they brought in those suitcases of clean ampules with the material and I did the injections. Eighty-five injections an hour. Special injectors.

I could not share any side effects, localized inflammation, generalized side effects, nothing. It was not my point. Because Military Intelligence was breathing upon me.

So, I spent some time in Poland. We took care of some things in there. And now I came into the United States. What shocked me now for what is going on for the last 10 months in the United States, we call this so-called COVID pandemic, let’s put it this way, gently.

I want to speak — that I want to tell you something very interesting that happened a few days ago when CDC decided not to count flu patient cases anymore for 2021. What that means, all flu cases go toward COVID numbers because they’re not high enough in the United States.

We have a problem, we have a deception, and we have treason. I will speak about treason later. But treason at the highest level.

So –-
(MICROPHONE NOISE)
(Laughter)
SHEPHERD: Can you hear me OK without microphone?
(Laughter)
SHEPHERD: That’s what I’ll figure out. All right, that’s good. Thank you.

So anyway, the point is, what I’m trying to reach to you, when I started researching the situation with COVID pandemic and SARS-2-CoV virus, I learned that this virus actually clearly is very similar as the 2003 SARS, Severe Acute Respiratory Syndrome virus, which happened in 2003.

Similarities up to 80% to 85%. Identical. So much identical that this virus cannot even be separated as a different strain of the virus. So that’s OK. I understand.

By the way, this virus now is no longer this virus anymore. Since July of this year, this virus changed and shifted into something else. They said it’s mutated. So, we don’t have a SARS-2 anymore. We need to call it SARS-3 or 4 or 5, because mutations happen constantly with this strange ghost-looking virus. OK, that’s fine.

UNIDENTIFIED HOST: Do you want this? SHEPHERD: Yes, please.
Oh, great. Thank you very much.

Anyway, so I’m trying to reach — what I’m trying to say here. What I’m trying to say is that when probably health departments, HHS and CDC need to push up the numbers for whatever reason in the United States because it’s too low — it’s not enough mortality rates; the hospitals are empty — then something is wrong here, OK? Something is not right here.

In the state of Colorado, they have about six locations that’s called alternative care sites. They spend millions and millions of dollars thanks to Governor Polis at those locations. I’m joking probably. You understand that.

(Laughter)

SHEPHERD: But $20 million they spent at the Ranch {Budweiser Events Center, Loveland, CO}, by the way, $20 million. They’ve already dismantled the whole thing already. There’s no patients there. Nobody needs them. So, what’s going on with this country? Why are we facing this?

I’ll tell you why we’re facing this. I go back to my Communist time. I was trained to destroy the United States of America. Forgive me for that, God. And forgive, you, me. Please forgive me for that.

(Crosstalk)

SHEPHERD: I trained during the Cold War to destroy the United States physically. Not spiritually, physically. When I say that, that’s how darkness works.

Some people say, oh, it cannot be so bad. I mean, come on, people are not that evil. Yes, there is a lot of evil people in the world. I met many. I worked with many.

So, speaking of vaccines, as you already understand, it’s kind of a strange and questionable situation about the COVID pandemic. It just came just on time. So, if I tell you the COVID pandemic was prepared for the last 19 years in the United States, are you OK with that?

UNIDENTIFIED FEMALE: Yes. UNIDENTIFIED FEMALE: Yes.

SHEPHERD: Nineteen years, I believe, since 2001, called Operation Dark Winter exercise, biological.

Between 2000 to 2006, I worked in some projects, some classified projects at the Nevada Nuclear Test Site, city of Mercury, for NNSA, National Nuclear Security Agency.

We did some work with DTRA, Defense Threat Reduction Agency. They did some biological tests inside the test site and such things.

It’s a preparation. It’s a long, long wait. They know what they’re doing and they know how they’re doing it. It took a lot of years for them to prepare for this moment, today, in the United States. And globally. It’s a global mission to bring global Communism into every corner of this land. Not only the world, the United States.

The plan of the destruction of the United States right now is going with the full speed. And vaccines are playing a major role in this part.

Now I go back to my history, my military work in Poland and organizations and facilities in the Soviet Union and to Russia, who fully developed many biological weapons of mass destruction, viral, bacterial and such. Mostly genetic weapons.

And I want to name one institution I am familiar with. At that time was Lev Sandachiev, a general, one star, who was the director of that institution. It’s called the VEKTOR Institute in Novosibirsk, Russia.

What is special about this place? What’s special about this place, they built vaccines for people. Vaccines. Innocent vaccines. At least that’s what they told the world.

But what they were building were weaponized viral weapons, genetic, recombinant DNA type, Messenger RNA, Mature RNA type, devices, biological weapons, purified. They’re still doing this after so long, about 40 years, OK?

What strikes me the most, the six companies -– not six — five companies who are actually involved today in production of billions and billions of vaccines, and one special, Pfizer. The coolers are already ready. They’re standing and waiting for the moment to start shipping. Ultra-cold-level freezers.

Pfizer, I will talk with you about Pfizer a little bit more.

But what strikes me the most, the technologic technology, which they’re using, so evolutionary new. It’s all a lie. It’s not revolutionary technologies. The technologies were used 30 years ago in the Soviet Union — and then China and North Korea and Cuba — in laboratories, biological, to develop biological weapons of mass destruction. Same technology as they’re using today to develop vaccines for us. That’s first message.

Second, 1977, USSR/90/77 project. What’s so special about that? It was the H1N1 influenza outbreak. In China first. Swine flu. You heard the swine flu, 2009, H1N1 also. It was happening in 1977, 1978.

So, what’s special about this project? What’s special about this project, that in the city of Leningrad, St. Petersburg today—in fact it worked. They used subway systems to spray weaponized influenza A on the Soviet population, four million-sized people at that time in Leningrad, today St. Petersburg.

Two million people become inoculated, sick from that, when you have special dispersal devices with influenza weaponized virus, something happens.

Why did they choose subways in Leningrad? There are different than other subway systems in the world. They go very deep down there. So, air flow is beautifully controlled, environmental situation here we’re talking about. Around 70,000 people died from that event.

The World Health Organization today, all they know about this is was just a swine flu or simple Russian flu. It has nothing to do with Russia. It’s all about China. It is China. OK?

So, what that means? Why they did that? I’ll tell you why. They prepared vaccines before they spread all that material in the subway systems. And then they inoculated and vaccinated innocent civilians in Leningrad with that new bird flu vaccine that’s supposed to be effective. 70,000 died.

So, hmmm, so many years later, what I’m seeing here today? Is this some kind of repeated Americanized style of Communism coming toward us? What’s going on here?

What’s going on, the most technologies which are used today by Big Pharma, and I already told you, is Messenger RNA technology, which will reprogram our immune system and take control of our immune system. We will no longer control our immune system. It controls us. It releases antibodies at a time when they need to be released.

Let’s go back to Russia again. Russia has a lot of history as you can see. Project “Factor,” a classified project, Moscow, St. Petersburg, early ‘90s. Designers of biological weapons for rheumatoid arthritis, myelitis and lupus erythematosus. They over-stimulate the immune system of people to create super-fast debilitating diseases. How long does it take to develop multiple sclerosis for a person? It takes time. If it’s a biological release, it will only take about two weeks and the person cannot walk anymore.

OK, what’s similar with this? Let’s look at the story of AstraZeneca, one of the U.K. companies, in cooperation with Novavax -– is another company, United States, by the way. I think they’re from Massachusetts or Maryland. Those two develop also a vaccine, a very nice one, Sf9-BV.

The platform of this vaccine used an insect, armored -– how they’re called – Fall Armyworm moth. You know, moth flying? It’s my Russian.

(Laughter)

SHEPHERD: Armor moth -– that’s what it is.

So, they took extracted genes from that insect and implemented into the vaccine.

OK, now this is what we will be actually seeing very soon. And I don’t even care about that much about this story.

What I do care about is the immune system. Our immune system will be over stimulated and the reactions won’t be just around the injection site, which is already proven by clinical tests, what they did already.

What else is special about this vaccine from AstraZeneca? Well, they use saponin. Saponin is actually natural soap. It’s grown in the tree, Quillaja, I believe, a name from Chile. It’s a bark from the tree. Big deal.

Well, the big deal is they are used as an adjunct material to stimulate more immune system if it’s not enough. Why do you think some people start developing strong clinical manifestations after they overdose them with this vaccine? Then they said, “oh, we have an excuse; we put too much dose; let’s decrease the dose.”

It has nothing to do with the dose. It’s all about what was inside of that vaccine. This material adjuvant is used to stimulate a strong immune system.

But the problem is its stimulation is toxic. It’s not only destroying cells but it’s also creating hemolysis in the cells. It means the coagulatory system is damaged. It means people will be bleeding to death, but not fast. OK? Not fast. And we start with spleen and then we can talk about the liver a little bit more.

So, OK, all of those guys declare everything is fine and clear. What’s the problem now? There’s no problem. The clinical trials are done superfast, as you know. You’ve heard. You heard them say a few things. Do you think they actually are showing you what actual clinical data is after all of these tests?

Why are they not talking about the Filipino physician who died from that vaccination, for example? How about two women from the U.K. who are now disabled practically? And I still have a question on the subject of that disability. Because one developed Amyloidosis. And it seems to me like all ADEM, Acute Disseminated Encephalomyelitis. Acute Disseminated Encephalomyelitis only happened in one person out of 250,000 people. It’s not normal! Vaccinations do not do this!

Then my question is: Why is the myelin affected? Why she started losing intensely her myelin? Myelin is used for what?

UNIDENTIFIED FEMALE: The nervous system.

SHEPHERD: Yes, for nerve signal. That’s what it’s for. When you have damaged myelin, the signal is disturbed. It’s cannot go from axons to dendrites anymore normally. She barely walked a few months ago and they said the recovery will be two years. I don’t believe recovery will happen at all.

But that’s not the point. The point is why this has happened with her. All clinical trials were done only on healthy medically examined and tested adults. And she was healthy at that time.

So, what’s the story here? Let’s go back to the project “Factor” again. Russian Federation, the classified project “Factor,” when they did tests on the myelin and depletion of myelin. The same technology used for the development of biological weapons in Russia in the early 90s.

What is going on? How did Big Pharma know all of that stuff?

Well, some people came; defectors came. You don’t know their names. I know only one name. Sergei Popov is his name. He was specialized in designing bioweapons for the Russian Federation. He worked in the VEKTOR Institute and other locations. Finally, the CIA found him in Texas many years ago. I don’t know where he is now. But he has enough knowledge to help somebody for good money.

I am not blaming anybody. I’m not using names. But you need to understand that there’s a lot of evil science in the world, OK? There’s a lot of evil science. And a lot of evil scientists. OK. How deeply evil of them.

OK. My question to you, biological weapons, why are they used? Because it’s developed from the body of a died doctor. OK? Nikolai Ustinov is his name. He died in 1988 when he made a mistake. He injected himself, his thumb, with the needle, with a Marburg hemorrhagic virus, weaponized already. Instead of the mouse, he cut himself. Obviously, the animal did not want to get that injection. He got it. He died very fast, in one week. He bled to death.

All right, that’s the story. You can read all this about him.

But what happened next is interesting. They preserved his body for some time and took some organs and actually created biological weapon, Marburg U, virus, after his name. And that Marburg U biological weapon is the strongest hemorrhagic fever biological weapon that’s ever existed in the world. And it’s still inside the Russian stockpile.

OK? How many can be affected by this {Marburg U bioweapon}? Well, many, one or two million in one shot in an urban area, New York or L.A. Probably a three or four-week time. No vaccine, no treatment, and never will be!

What kind of crazy person can develop something which kills everything, including themselves? It’s all about distance, my friend. An ocean separates the Soviet Union from the United States. Iron Curtain. It means it’s shut down.

Can you go over to North Korea at any time recently? Anybody visited? Good luck. Try to penetrate that country. That’s serious stuff.

They build biological weapons without resolution. What that means is kill as many as possible, as much as possible, as fast as possible.

OK, as far as the Russians, I mean, they’re all crazy. I understand that.

(Laughter)

SHEPHERD: Yes, they’re crazy. In fact, they have a technology that built a biomass of smallpox, 200 metric tons annually. 200 metric tons of smallpox, weaponized, by the Russians can be built in one year. Why? 50 kilograms can kill the whole world in 100 days. Why do you need 200 tons?

Because they’re all crazy. Because Lucifer does not hold boundaries. And when men follow Lucifer, men become Satan himself. And we have those today who are working for Big Pharma and those like Bill Gates who actually serve him. That man put so much money into so many things. All vaccine companies are controlled by him. All of them.

Do you know how many vaccines are actually built in the world today for COVID? Almost 200 modalities–200! Every nation is trying to build something. And only six are chosen for the United States, especially. And all those six, actually five of them, are Messenger RNA technology. Messenger RNA technology is unknown for human beings. It’s never been tested before.

So, tell me, please -– I just simply ask you a simple, simple question. It’s a logical question. Following the CDC, the recovery rate from COVID-19, is 99.8 percent. I will repeat myself, 99.8 percent recovery rate with this disease. Deadliest in the world disease. We’re all afraid of it. I’m still trying to find somebody to meet who actually had it. Three or four days and gone. HCQ and you take some zinc and you’re alright, OK? It’s a less mortality rate than the seasonal flu. In fact, the mortality rate {for Covid-10} is only 0.1, 0.5 percent. So, what is the problem? Please, tell me.

Now, stop yourself and think. With this doubtful situation, we need to vaccinate seven billion people on earth and very, very fast. What’s wrong with this picture? I want to ask you just a logical question. What’s wrong with this picture?

Mask wearing? I feel free in this room today, all right? I don’t see masks on your faces. (Cheering and applause)
SHEPHERD: I don’t see distancing.
(Cheering and applause)

SHEPHERD: And I don’t see lockdowns of this church, OK?

So, what the heck is that about? H1N1, swine flu, 2009, 67 million ill people in the United States. 67 million diagnosed with the swine flu, 2009. Any masks? Any lockdowns? Any distancing?

So, what’s the problem today in 2020 with the strange ghost virus–coronavirus? It’s so scary. There’s so much inside of me, I’m shaking. So, what’s the problem here? The problem is an agenda. This is a problem.

And let me tell you something else, if you were not sure before. I believe every public department in this nation is infiltrated with Communists today. I believe every state government and federal government is infiltrated with Communists today.

This is why you have a lockdown and mask wearing and all of that other stuff. They’re just following the Chinese style of response. Because the Chinese know what to do about it.

Have we become a Communistic country? Do we have any freedom left inside of us, if not outside? So, what is wrong with us as a nation, as a republic?

It’s an agenda! Please, understand. The message is urgent. And this is why I am talking today about these companies, like Pfizer.

And now let’s talk about treason. All six companies are deeply connected to Chinese manufacturers and Chinese research companies. I’ll just give a few examples.

Pfizer. Yesterday, on the news, 90%, great results. Everybody, the savior has come, the savior has come to the world to save us, all right? Two injections, 21 days apart, no problem, OK?

So, what

s the problem then? I’ll tell you what the problem is. They forgot to tell us something very important. Pfizer is working with BioNTech, a German company. German company and Pfizer are working with Fosun Pharmaceuticals from Shanghai, China.

Oh, yeah! How do they work with them? They develop vaccines for us. Such a big deal. Chinese develop vaccines for us. So what?

Now, we’re talking about BIB a little bit more, Beijing Institute of Biotechnology, and Academy of Medical Military Science of China.

What I’m trying to tell you is that all companies who are trying to build billions of doses of vaccines in the United States are connected to the Chinese Peoples’ Liberation Army. It means Chinese Military Biodefense.

And to prove that statement even more, I need to talk about Chen Wei. She’s a general. She is a one-star general in biodefense. It’s not biodefense. It’s the bioweaponry complex of China. She is the head of all vaccination projects in China–all. And she has direct access to all vaccination companies in connection with United States providers.

This is treason, people. Can you see what is coming to us? Do you think China loves you? Do you think the Chinese military will not take an opportunity?

Is that all of the examples? No, it’s not all examples. Clover, another company, Chinese, also working with BIB. They are all directly working with them. CanSino is another Chinese company also.

So, they all connected to AstraZeneca, Moderna, Johnson & Johnson –- actually, it’s through Janssen, another company, not Chinese actually, but with very deep roots in China, since the ‘80s.

So, what I’m trying to tell you? I’m trying to tell you we have a problem. I’m trying to tell you that side effects, which were covered during the clinical trials — and it’s not very clear — they don’t even know what kind of side effects happen in two to three years from now.

A normal vaccination should take five, 10, 15 years to develop a new vaccine. Up to 15 years is a normal vaccine’s time. Now it’s squished into two or three months?

Secretly–it was not two or three months. It was ready a long time ago. Maybe years ago. I hate to tell you.

When I read a paper from Moderna, I almost choked when I found that they proclaimed on January 11 and 12, 2020, when for the first time the Chinese CDC (a world-trusted organization – right) –was sponsored and fed by Bill Gates directly, by the way. That organization {Chinese CDC} said: “We sent the gene sequence {SARS 2 CoV}, the first five genomes for the whole world to see.”

Oh, thank you very much, Chinese from Wuhan. It’s wonderful news. Then Moderna said they developed a vaccine after that, when they received the {Chinese} samples in three hours!

(Laughter)
UNIDENTIFIED FEMALE: Wow.

SHEPHERD: Three hours. You understand. You know why? Because all of these vaccines were built with algorithms. It’s mechanical. It’s all built with algorithms. It’s so computerized.

They’re trying to reprogram us now. They used a vaccine computerization to reprogram our bodies actually. Then they tell me more. Messenger RNA technology cannot reach the nucleus of the cell. No way. It’s not reissued DNA. Don’t worry, people. It will not change your DNA. Are you sure? It’s not what I heard from Russia when they did tests with Mature Messenger RNA and injected that stuff right straight into the nucleus. Though they did use different materials–they did different techniques with gold foil, zinc foil and such, all this.

Now they’re using more advanced technology based on the Chinese like CRISPR. You’ve probably heard of that technology. When they start messing around with embryos. Yes? Yes, it’s all human done. Everything is done. Do you think it’s Soviets? Oh, yeah. No, no, no, we’re not doing this. We’d never do that. Are you sure? When you have an agenda? And you should be dedicated to this agenda?

OK, agenda. What agenda? The global Communism. That’s an agenda. And it’s already here inside the United States. It’s not coming. It’s already here. Please understand that. We have a very short time, people. Very short time.

So, in a few weeks or maybe November 15th, I don’t know, in five days from now, this shipment will start moving and people start vaccinating. Essential personnel, hospital providers, first responders and all of those public health nurses who need to inject all of us with these vaccines.

And they don’t even know what to do because they need to use dry ice, 160 pounds of dry ice, for the pizza box. They call it pizza boxes, 1,000 vials inside. They can burn their fingers. Nobody’s trained. They just go and do it. Hey, not a problem. I don’t have dry ice. We don’t have dry ice. You know, Albertson’s {grocery store} will maybe have dry ice. Public health departments do not have dry ice.

My expectation from all of these vaccines, ultra-cold-type vaccines, the problem is not just safety. They are unstable. For five, six, seven hours in the cold temperature — under the warm temperature, in the room temperature, they might start changing their structure.

I don’t even know if they are actually for the COVID disease at all. I’m kind of trying to push on you this idea a little bit. Are you sure this is what it’s all about, this so-called pandemic, with a 99.8% recovery rate? And the whole world needs to be vaccinated fast. Then we’re talking about digital I.D.s and we’re talking about immunization certifications and all kinds of stuff. There’s a lot of stuff developed.

A few more minutes. DARPA. DARPA is a dark organization, the United States military. It actually was opened in the ‘50s, a counterpart of the Soviet Union. I don’t know if you know this. $100 billion was dedicated after September 11th to biological projects, dark biological projects of the United States. $100 billion. That’s a lot of money, isn’t it?

So, do you think they are all buying some embryos and growing smallpox or some of the old- school stuff? Oh, no, they’ve advanced very far, in fact. All six, all six vaccination companies, who are building vaccines for the United States, all are in deep relation and financial affiliations from DARPA directly, military, the United States.

Why such a close relation? Let’s talk about Moderna.  Moderna is another mRNA-type technological vaccine. They’ve had a close relation with DARPA since 2013.

One full colonel -– oh, his German name then – Wattendorf is his name. At that time, he was a full colonel Air Force. He gets an idea. Oh, we want to do antibodies very fast for all soldiers and civilian populations. We want to prevent the effects of these biological weapons from Russians in 60 days.

Oh, good idea. We have $219 million we give you. You have a good idea. Not for his pocket. I’m talking about for your project. Moderna came and started working on that project. So Moderna now–I’m not surprised– is sponsored by DARPA deeply, very deeply.

Is that all that they do? No. It’s a project to build autonomous system, which is supposed to use the best antibodies from the soldier after the blood extraction, from him, and multiply them {antibodies} quickly.

And now we’re coming to the box. Project “Box.” What’s the project? I call this Box. It’s not the Project “Box.” Actually, it’s called “Container 666.”

Oh. You know, yes, Lucifer loves to show up sometimes. Is that right? All the time, everywhere. Patent for vaccines, 060606. OK, Bill Gates, I know you love the number. I understand.

The military in the United States also loves that number. Not the whole military, the special military, biodefense projects. They’re not working for us. They are working for globalization projects. They’re working for the U.N. and the World Health Organization. That’s who they’re working for. OK?

So, what is special about that box or container, size 666? It doesn’t make sense. It should be about eight feet by eight feet. Doesn’t need to be six {feet}. OK, fine.

The project is called “Nucleus Access On Demand Now.” That’s the name of the project. Kind of strange. OK, fine.

The point is, what they want to do, they want to build this mobile transportation complex {to develop vaccines in a superfast timeframe}. It looks like a container. Inside of that container, you will see a lot of different instrumentation. And that container can produce hundreds and hundreds of vaccines in a few days, very fast. Supposedly, only to fight biological terrorism.

My goodness, I’ve been waiting for the biological terrorism for 20 years in the United States. And I’m not talking about biological terrorism when they sent that Senator -– I don’t remember his name -– in the mail a bunch of anthrax. Oh, my gosh, we’re all going to die. All right? And the roots of the biological terrorism came from some fort, some kind of fort, all right, in the United States. And the person who was accused on it hanged himself. It’s a different story. They helped him to hang himself.

But the point is — it’s not the point here. The point is they want to send these boxes all over the world, not only in the United States. So, let’s say every state had this {mobile} complex in place, OK? Oh, my gosh, something happened. I heard a biological release occurred. Really? Hey, come on, the container is coming. We’re coming to help you.

It’s OK, we’ve been doing this on soldiers. I’ve got a lot of stuff inside of me, since I was 17 years old, all right, all kind of revolutionary vaccinations. In fact, there wasn’t any revolutionary vaccinations because Russia today has the most-advanced immune-stimulation of solders.

I was running half naked in the state of Leningrad, minus 20 degrees Celsius, and I could not get sick. I wanted to get sick. I could not get sick. That’s what those vaccines can do to you. They stimulate the immune system, even our autoimmune system is stimulated. That’s how much. Then you kind of get sleepy for a few weeks.

But the point is you are untouchable at that point. How untouchable is it? I worked with the project “Multi-Drug Resistance Tuberculosis.” They did not allow me and other teams to have masks on. They were coughing in our faces. And you breath in, friend, I want to see if our vaccines work on you. So, I was a guinea pig for many years myself. We only lost one guy. He lost a half a lung due to tuberculosis. Everybody else? Nothing. Nothing. OK? Yes, they did a lot of different projects under the subject of immune-stimulation.

And I’m concerned about these vaccines now because all of them can overstimulate the immune system because we’re losing control of our bodies over them. That is not good news.

So, go back to those boxes, containers. Now imagine how fast they can develop that vaccine for us. In two days. No clinical trials at all. Immediately, the injection.

Oh, do you like that? Do you like to be immediately injected by something not even having been tested at all? Because the military told you so? But it’s coming, people. It’s coming. Unfortunately. Because we’re losing our freedoms. We are losing our freedoms fast.

So, I decided to come out from the darkness because I was in darkness for a long time. Whatever I talk today with you is a lot more. I don’t have time enough to talk about this.

But the problem is we’re all duped by federal and state and local governments. I’m sorry to put it this way directly to you.

During the Obama administration, for eight years they infiltrated every department possible in the United States with leftist ideology. Those people not just came there. I met a lot of people who had no educational right to hold program management positions or be senior administrators at all. They’re not related.

How did you get the job? Not your business. OK. What do you like the most? I love equality in any shape. I don’t like private properties. I don’t — let’s give this all away. Let’s give nothing and love our government to death. Only one problem. Don’t forget eugenics.

And now I’ll talk about Pfizer again. I cannot cover every vaccine company but Pfizer is coming on board very soon. I researched Pfizer’s three Messenger RNA formulations {the vaccine contains 3 different mRNA formulations}. Not even one. Three Messenger RNA’s coming into your body with different purposes. Some purposes are innocent, some not, and some are questionable. But it’s patented.

Who tells you? It’s a secret so we cannot talk to you. I cannot talk to you about that, I’m sorry. It’s classified. OK, I understand. I feel already comfortable and cozy in my tummy.

(Laughter)

SHEPHERD: OK? Now the problem about this only one single Pfizer organization is this. They’re using nanoparticles, lipides, three or four lipides used. Lipoplex and Polyplex, and something else. I don’t remember.

The point is they put the Messenger RNA between lipides like a sandwich and that goes into the cell, penetrating the neighboring cell without any problem. It goes deep inside. OK, fine. It’s not supposed to reach the nucleus of the cell at all. It’s not supposed to reach the DNA or our human genome. It’s not supposed to.

But the problem — forget about human immune system right now even, I want to say something else. All that material that I just researched yesterday and found information — all have PEG, or PEGylated artificial synthetic material.

So, what is the PEGylated material all about? This material is practically plastic. But it’s not just plastic. This plastic is not biodegradable and will not degrade {break down} inside of your body.

And there’s more into it, the story line. It will affect your offspring more than you. How? Psychological affects, mostly paranoia, psychopathy’s of all kinds, and neurological effects for sure. So, we’ve built the next generation of children in the United States with such effects that it will be disastrous.

Well, it’s not happening. You know, we’re just looking at the local effects, a little boo-boo in there in the arm. So what?

I want to look not at the boo-boo in the arm and a little inflammation, or little edema. I want to look, two, three, five, six years from now. That’s what I like to look at.

So, forgive me if I say that — and I hope I cross some kind of ideas in your mind — but I call all of these vaccinations against COVID-19 biological weapon of mass destruction!  And I call it 3-G, global genetic genocide. And this is coming not only to the United States, but the whole world.

Well, everybody estimates this and everybody estimates that but the truth is, with these kinds of vaccines untested properly, with revolutionary technology and side effects that we don’t even know, we can expect millions of people will be gone!

That is a dream of Bill Gates and eugenicists. He is sleeping and dreaming about this. The fewer human beings even better, less mouths to feed, less water to drink, less air to breathe. We’ve already put masks on ourselves so we’re not breathing too much. So good, good, good. OK.

(Laughter)
SHEPHERD: The Baal system loves it, OK?

So, if you say to me, well, that’s all with the North Korea crazy people or Russia, you know, Putin and all that stuff, and all the bunch of killers there. Oh, no. It’s not the leftovers of Communism at all. They’re here. They’re present.

If you think the Soviet Union collapsed, ah, the Soviet Union collapsed on time to collapse. They all went to the shadows. And now, in the United States, those who were in the shadows for a long time are coming out. And they’re not nice people. They don’t work for us. They don’t work for this republic.

Who do they work for? The U.N., WHO, the World Health Organization, and, of course, the group of special, the very special people. Don’t talk about them. It’s not even 1%. They’re more special. It’s .5% of those. Do not talk about them because they’ll control all of us.

And honestly, with this current vaccination campaign, we’ll all be guinea pigs. So, let’s see what happens in five, seven, 10 years from now. Do you think they’ll give us that much time? I think we’ll see this a lot sooner and a lot more aggressive.

And then they can blame as both Plan One plus Plan B. First, they vaccinate us. And then maybe something else happens, something else. Oh, a second pandemic comes but something different. You know what? It’s not SARS anymore, SARS-2. It’s not Severe Acute Respiratory Syndrome. It looks like viruses. It’s probably mutated.

Every time a virus mutates, they tell the public it’s become more infectious, more deadly, and bad. Every single time. We’re not dealing any more in this wintertime with the SARS-2. It’s already mutated into something else that they have no name even. The name is actually just a sinister code for COVID cases. That’s what it’s all about.

People have adenoviruses and rhinoviruses, a little cold in their noses, and they immediately, what, justify it, that its COVID. Let’s do the test. Oh, I don’t have time for tests.

I need another hour to talk with you about the RT-PCR tests and all these antibody tests and BinaxNOW tests and all of that, special tests, because they’re all adjusted to specific messages. And not by us. They came from some special manufacturing companies.

And don’t call me, pleas,e a conspiracy theorist.

You know, my wife, my beautiful wife right there, June, and it’s her why I have become actually a Christian in 1992. She brought salvation to my life.

(Applause)

SHEPHERD: Well, on to say, 2004, we wrote a book. You won’t find the book probably anywhere. I don’t care. I’m not selling anything to you at all. It’s 16 years ago, “Inside the Red Zone,” about my life, miserable, all right? And not miserable in Christ after that.

But the point is they call us conspiracy theorists. Sixteen years ago, we talked about the New World Order is coming. That global Communism is coming. Wake up. Open your eyes, please. Do something about it. “Does America plan to do something about it?” my question is.

But you know what? When we add Christ — and that’s a good use for us — we always have a home. We are going into a dark, dark winter. In fact, we’ve going into a dark century, if we even survive that century at all. We’re going on the gray dark clouds and it’s not a joke. That’s why my message is urgent to you.

I want to say, if we believe in the Word of God, then we need to believe completely. In Isaiah 56 — 54:17, I believe, or 56, he said no weapons formed against me shall prosper. And we’ll stick to this. Because it’s a heritage of servants of the Lord. He gave us that for free, OK? Those who are in me will not suffer.

What’s coming here is bigger, bigger than all of us. The Lord is a lot bigger than them, OK? That’s why without him, we simply perish. America needs repentance first. That’s what America needs.

You have to choose in your life. What do you want to do about it all? Because they are coming to you, to your families. They will take everything from you!

We’re finding out now about small businesses and Polis. That polis is a puppet, a little puppet with nothing. It has nothing to do with (INAUDIBLE). All small businesses will be gone with the wind, completely gone under Communism. Your whole private properties will be gone under Communism. Your livelihood and desires, your dreams will be gone under Communism.

Well, it’s come. It’s ugly. It’s very ugly and Luciferian. What can you expect from Lucifer? More than nothing for us. And if you bow down to this, and if you bow down to this before the Baal, it will not save your life anywhere. You think you’ll take the vaccine and everything will be dandy and OK?

I’ll tell you what’s happening with the United States in 2021 and 2022 for sure. That vaccine will become common and a semi-annual event. Mandatory for all.

I lived under mandatory vaccinations for half of my life in the Soviet Union. You don’t ask questions. In fact, you don’t even ask what they are injecting inside of you. You just do it. That’s what the Chinese do today. They’re not asking questions. It’s not a good world to live in. Not a good world to live in. OK?

So, with this to say, I just want to tell you that — I think I screamed too much today. It’s emotional. You know, I’m not an emotional person. I’ve never been emotional. The Lord made me emotional.

(Laughter)
SHEPHERD: I never cried at all, you know?

But with these globalists in the war with the United States, a hundred million {citizens} gone, a hundred million here. Who cares when you are under the umbrella of the Baal system?

But when Christ pulls you out of that swamp, then you open your eyes and say, “oh, my God, what I have done”? I’m glad we all can be forgiven. And it’s a wonderful thing for us.

But I just wanted to tell you, get ready for the hardest ride of your lifetime. You might see things you’ve never seen before in this country. You will not recognize this country. In six to eight months, you will not recognize this country at all. And you say,” oh, my God, what has happened”? Where are you God? Why do you lift your hands away from this republic?

Without HIM, we all perish into the darkness of the Baal system. And that Baal system has no mercy. It never has; it never will.

So, I want to thank you. I know I’m one minute over. (Laughter)
SHEPHERD: I tried my best.
UNIDENTIFIED FEMALE: Keep going!

SHEPHERD: Thank you very much. And you know, if you have any questions, please ask. UNIDENTIFIED HOST: Yes, we’re going to take questions.
SHEPHERD: I’ll answer to the best of my abilities. Thank you.
(Applause)

UNIDENTIFIED HOST: Wow. Did you fasten your seatbelts before he started speaking? (Laughter)

UNIDENTIFIED HOST: So, I was blown away when we talked to Igor and his wife. Just everything that we’ve read, everything that we’ve studied — we’re all researchers — it’s conspiratorial, right, and people write it off. And if you’re like me, you took it and you put it on a shelf. You know, we’ll see. But little by little, we’re seeing it being fulfilled now rapidly all the time.

And here’s Igor and June confirming it’s not just a conspiracy. We’re not crazy. We’re not nuts. We’re not extreme. It’s really happening.

So, please, write your questions. We’ll have some people collecting questions and bringing them forward just like we do at every meeting.

I just want to encourage everybody, part of what we’re doing with Keep Colorado Free and Open is we’re forming a community. We’re like-minded.

Doesn’t it feel good to come every couple of weeks and know that you’re not alone, that there are other people who thing the same way?

(Applause)
UNIDENTIFIED HOST: Yeah.

(Cheering and applause)

UNIDENTIFIED HOST: Who have seen the same things that you’ve seen, who believe the same things that you do?

We don’t have to be uniform in what we believe and what we think. But we all know that what is going on around us and what we’re being told does not match the facts. We see that the data doesn’t add up. We see that the mandates don’t make sense with what’s going on. We know that the tests are corrupted. We know that the data is corrupted. We know that we’re being lied to.

But it’s so big that we don’t know how to take it on. It’s David and Goliath, right?

Igor’s right, the answer is in Christ. And we have to bond together as a group. We have to bond together as a community. And we’re going to need each other to make it through what’s coming.

It’s a complete downer. I wish sometimes for more hope. And there’s hope beyond this. But in the immediate times, we need to be prepared.

All right, I have some questions coming in. We’ll come over here. SHEPHERD: All right.

UNIDENTIFIED HOST: All right. How do you have a job in public health, given your perspective, Igor?

(Laughter)

SHEPHERD: Well, yes. Actually, I’m glad seven years ago, I got this job in the state public health department. I know a lot and maybe too much.

If you ask me how deeply I’m enjoying the job, well, I don’t anymore. And I don’t know. I guess I’m glad that I see some things that other people might not and I can analyze some things that people cannot and that’s helped. Who knows how long I’ll be around?

Yes, a lot of people say today, well, my, you’re still alive. Yes, I’m still alive, OK. You still have a job. Yes, I still have a job.

It’s not about the public health department. It’s about coming out of the shadows and crying out to people. That’s what it’s all about. Because we’re in a situation when you need to do that.

UNIDENTIFIED FEMALE: Amen.

SHEPHERD: You just need to do that. Christian, un-Christian, I don’t care, you need to do that. You need to go and speak to others, please.

So, yes, I enjoyed working for the public health department for some time. I cannot say that I do now because I see what’s happening. I see that they knowingly or unknowingly are following the Baal system.

The Baal system is in place already in the United States. You just are not seeing it yet but its ugly teeth are already coming out. And like I told you, most public health departments have infiltration already for many years, and this is what it is.

So, I just want to say, well, that’s where I am for now. My lucky number is seven, usually, so. (Laughter)
UNIDENTIFIED HOST: Can I tell them what you told us about -– well —
SHEPHERD: About the — no, you can talk free.

(Crosstalk)

SHEPHERD: I’m not -–

(Crosstalk)

UNIDENTIFIED HOST: He told us I may not have a job in six to eight months.

SHEPHERD: Well, like I said —

UNIDENTIFIED HOST: I mean, he’s taking a risk by coming out here and talking to people.

SHEPHERD: It’s OK. I mean, I’ve been in more precarious situations in my life. And, you know, you don’t like when CIA is knocking on your door and asking you for free dinner. I did that.

(Laughter)
SHEPHERD: All right, that’s fine. They don’t know much, by the way. (Laughter)
SHEPHERD: That’s a different story, all right?
(Laughter)

SHEPHERD: So, they think they know. And they pretend they know. But they don’t. There’s other agencies much more qualified, but that’s a different story.

(Laughter)

UNIDENTIFIED HOST: All right, so here’s three questions that are pretty similar. So, can you talk about chipping and surveillance in the vaccinations, technology for tracking and tracing people, and the whole technocracy and globalist desire to control every aspect of our lives?

So, all of this chipping and surveillance and tracking.

SHEPHERD: Well, we’re already tracked already; you just don’t know. Toss your cell phones and you’ll be free, maybe. All right.

Speaking of tracking and everything else, one thing I forgot, which might not be related or too related–5G. When we turn the 5G on after the vaccinations with these vaccines, some things might occur, OK? And when I say some things, I’m not talking about you’ll be brainwashed or something like this.

Though, I believe these vaccines are the first step in the transformational synchronization of your body. The more vaccines will be added to you annually, in the form of mandatory or not, because they either create links and bigger genetic shifts inside, which shifts more and more away from your human genome God gave you, OK? At some point in life, it will not be returned. I don’t know when this will happen. A lot of people (INAUDIBLE).

Surveillance? Listen, I heard some stories and I was looking for solid evidence. Because of Google and Oracle, two big operations working closely with the CIA and NSA, they have some projects actually. And I heard rumors that they actually put biochips into the vaccines for two years and, after that, they disappear so they can actually control your temperature, your feelings, whatever it is.

First of all, if they put something in you, it will not disappear in two years, all right? It will not. They don’t self-destruct. They can do self-destruction on your human body, that’s a different story. In two years, surprisingly. That’s a different story.

So, surveillance, they’re talking about bandages with all kinds of hydrogel, OK? And a lot of companies are doing all kinds of stuff like this? Yes, that is correct.

But the point is, again, what I’m seeing from my personal experience in Communism, you still have your soul, but you don’t own it. Does that make sense? You belong to the state, including your soul. Does that make sense?

I was born under Communism. I didn’t know nothing else. I thought it was normal until Christ told me, no, it’s not. There’s no truth in that. It’s a lie. Then you say, whoa, light bulb there.

Now this type of Communism is technocratic Communism. It’s a Communism with which to completely control you. But you don’t even need one million “snitches” all over the place like in the Soviet Union, sniffing around, OK? It’ll all be done by artificial intelligence. And unfortunately, yes, we’re at that level now, absolutely.

Do I want to, excuse me, tell everybody when I go to the bathroom and for how long? And why you’re flushing so much water? You should not flush so much water anymore. We need to save for the environment that water, I’m sorry.

(Laughter)
SHEPHERD: OK? That’s global Communism. It’s a control. Yes, that’s what it is.

So, I don’t know if I answered the question. But, yes, levels of surveillance are different. NSA thinks they know all. They don’t know all.

Nobody knows all but God. Lucifer thinks he knows all but he doesn’t. And that’s his downfall, by the way.

So, I’ll be waiting when his house starts dividing, which will happen eventually. Because it’s all about the power and nothing else.

UNIDENTIFIED FEMALE: Yes.
(Applause)
UNIDENTIFIED HOST: All right, want to clap for that one? (Cheering and applause)

UNIDENTIFIED HOST: All right, so explain how Dr. Fauci is connected with Moderna. And how involved is Donald Trump with all of this? And do you plan to have a conversation with him? Because he promotes the vaccine, right?

SHEPHERD: Yes, from what I heard, yes, he seems like he promotes vaccines. And, well, $10 billion dollars dedicated for that effort.

Now, Fauci, well -– Fauci!
(Laughter)
SHEPHERD: It’s not about insignificance. It has nothing to do with this, all right?

I’ve met in my life Faucis’ in the Soviet Union plenty. And I’m not saying he’s a brilliant or not- brilliant virologist. I’m not talking about this at all.

I know he has interest in Moderna. I know he has stocks in not only Moderna, but in other organizations. And that’s why they push a lot of specific companies and significant companies, like Moderna or Novavax, who never produced nothing good at all, except losing money.

But they put stocks in them because it was the time to put stocks in them. They know how to manipulate the market. They know how to manipulate people. It’s very easy.

So Fauci, I don’t know, he was very heavy — I should not tell you this. It’s not about him. I know he has been a longtime sitting director for the National Institute of Allergy & Infectious Diseases. Since the ‘80s.

UNIDENTIFIED HOST: The ‘80s?
SHEPHERD: The ‘80s, yeah. A long time, yes. HIV, hero of HIV. Right.

I have no evidence of anything. I just speak from my experience. The same years I was sitting in different military organizations, medical, in Leningrad, and listening to lectures of some colonels, professors from the Soviet military–they never mentioned him by name, of course not. But they did mention something that struck me and I remember it until this day. HIV was developed by the United States Department of Defense and tested on the African population first.

It’s a biological weapon, tested, and with prolonged effects. It’s been going on for many years. So many billions of dollars taken by some organizations, too.

Fine, HIV, let’s create vaccine now. Do you know how many years have already passed? Forty or more? And we’re still not there. We never will be there. That’s actually a capitalistic way to do things, isn’t it?

(Laughter)

SHEPHERD: Yeah. Yeah, I’ll give you a pill —

(Crosstalk)

SHEPHERD: — but it only works by 10% to 50%. I’ll give you another pill in another few years. You buy this one now. And we can keep it going.

So, I did not say that he was involved in the operations. I just know that the operations was done by the United States military in Africa. And, hey, that’s all I can say about that.

So, I don’t know personally, Fauci–I don’t want to know him. He’s wearing too many masks and I cannot see his face.

(Laughter)
SHEPHERD: He is faceless to me. (Laughter)

SHEPHERD: Oh, well. Now we will go into a sensitive area, yes, Donald Trump. OK. He’s a businessman, is that right? He’s always been. “Apprentice,” I love that show actually. Wonderful show.

(Laughter)
SHEPHERD: You know, all that. He made a lot of money on that show.

I’ll tell you about what I don’t like about Donald Trump. And I’ll be honest with you. He’s saying that he cares about people but I’m not sure because he is pushing vaccines. And he is pushing vaccines fast.

But the problem about vaccines, before pushing so fast and so powerfully, he invested 50% of the funds from the Pentagon. This is not something I would do.

First, I say, why do I need to give this kind of stuff to people, still untested, by the way, in the name of what? So, is it the business? Is it some proposition? Is it some direction or some, you know, plan?

I know many people love Donald Trump. He has charisma. He can speak. UNIDENTIFIED FEMALE: Kind of.
SHEPHERD: Kind of, yes. He out-did himself sometimes.
(Laughter)

SHEPHERD: But the problem is I believe he’s a globalist. In fact, he said that. I think he is more globalist than nationalist. That’s all I can say.

So, you can disagree with me or agree. But I think history really will reveal a lot of things about Donald Trump someday. That’s all I can tell you.

Right now, what I am concerned about is that a lot of negative things happen in this country because of politics. A lot of very bad stuff has happened here. And they are still happening. And it’s even worse now {under Trump’s presidency}.

So, I wish to see the leaders of this nation stop that mess; not talk about the mess, the stopping actually. Stop it. Stop lockdowns. Say, hey, state government, shut up, OK? You will not lockdown that many people. I don’t want to lose the jobs. Shut up. OK? Find your guts. Say it. Are you agreeing with them? So, what’s the problem? What’s the story?

So, I usually count a man by his actions. That’s all. I don’t count a man by his verbal expressions. I need to see actions behind it. So I am trying to be politically correct.

(Laughter)

UNIDENTIFIED HOST: OK, so here’s another combination of questions. So, who do we trust in the current government? What is the end goal? And what is the reason for wanting to test people for COVID?

SHEPHERD: The reason for testing?
UNIDENTIFIED HOST: Testing for COVID.
SHEPHERD: Well, the reason -– OK, I’ll start actually on, well, who can we trust in government. UNIDENTIFIED HOST: No one.

SHEPHERD: You know what? How to answer this better? The government is “we the people,” isn’t that right? They {politicians} have the same flesh as us,  but are more corrupt than us –- you know, they have bigger salaries, bigger connections, bigger stocks and all of this other stuff.

Who can I trust? I trust we, the people. Maybe that would be a good answer. You. I trust you. And I’m not a politician and never will be. I trust you. Because without you, we don’t have a republic.

What I believe is politicians are destroying this republic. And I believe they need to be prosecuted for that crime. The crime of treason. I mentioned about treason with China. They sold us; they sold us out for pennies. Maybe a little more than pennies actually.

When I heard vaccines are coming from the Chinese military and need to accept that in my body, I better die first because I know, if I accept it, it will be a slow death, OK? If I accept it, I’m on my knees before the Baal system. And Communistic China is not the greatest example of life for me, personally.

What’s another question? See, my mind is going somewhere else now. (Laughter)
SHEPHERD: Perhaps it was less on something —
UNIDENTIFIED HOST: The testing.

SHEPHERD: Oh, the testing. OK. Well, creating a chain reaction. Wonderful deaths. The —

(Crosstalk)

UNIDENTIFIED HOST: But why are they doing it? Yeah, why?

SHEPHERD: Well, then I ask you a question. Why did the creator of the test die a few months before COVID started?

UNIDENTIFIED HOST: It was coincidental.
SHEPHERD: Oh, yeah. A lot of things are coincidental.
UNIDENTIFIED FEMALE: Suicide.
(Crosstalk)
SHEPHERD: It happens in Russia today.
UNIDENTIFIED FEMALE: Suicide.
SHEPHERD: Yeah, I understand. Somebody falls from window and all of that kind of stuff. (Laughter)
SHEPHERD: Dies from a heart attack.

Yes, I knew one. You know, it was a director of the ultra-pure bio-preparations from Russia. He built super-black bioweapons. By mistake, he came into the U.K. Do not go in the U.K. if you’re researching designer bioweapons. They take out of you everything and they kill you after that. That’s what has happened with him.

So, tests, they are all fixed by the World Health Organization. The amplification of the PCR test is very high now, 42/45 amplifications. Everybody is positive with that test. Everybody. It should be 27/30 and no more. Do you think they did this by mistake? No. There’s no mistake in there of any kind.

Now, antibody tests. What has it shown to me? Nothing. That I was exposed at some time in the past with some kind of coronavirus. There are seven types of coronaviruses in the world, seven, which can affect humans, and about a few hundred, which can affect animals.

So, which one? A little fragmentation found that we built with an amplified piece {piece of genome} and, whoa, that’s a COVID right here.

It’s doesn’t even look like COVID. You know why? A secret that I will tell you. That’s not a secret. No isolate of the virus so far has been found in the world, a purified isolate of SARS-2 COVID virus. It’s does not exist, OK? It’s a bunch of stuff, formulations, fragmentations with an environmental mess inside. And that’s what they call COVID. Not the COVID, SARS-2 virus.

So, all of this testing is something else then. Remember that I told you in the beginning this is kind of strange for them. I’ve never seen anything like this in my life. And even if it’s actually done, it’s done by the Chinese laboratory, not by nature.

Another little secret, the coronavirus does not create any “waves” at all. They {virus} comes and they’re gone. Two examples, the 2003 SARS, came, gone, 10 months. MERS, Middle Eastern coronavirus, came, gone. I think this was 2012.

Now this one is special. It’s coming in waves. It’s just coming back and coming back. Do you know for how long?

(Crosstalk)

SHEPHERD: We heard of the different versions {of this pandemic} from special people, yes. You know, all those special people there. (INAUDIBLE). Up to 10 years we’ll be stuck with these masks, up to 2030. You like this? You’ll like the mandatory masks on you for years? Because COVID will still be here.

Oh, my god, it’s killing somebody, I don’t know where. (Laughter)
SHEPHERD: And how and what and who. UNIDENTIFIED FEMALE: God, he’s good.

SHEPHARD: Anyway, that’s about tests.
So another question.
UNIDENTIFIED HOST: What do you really think?

(Laughter)

SHEPHERD: What do I really think?

(Laughter)

SHEPHERD: So, I’m going around like a politician, yeah, OK, fine.

(Laughter)

UNIDENTIFIED HOST: No, no. I’m teasing you.

SHEPHERD: OK. Yeah, all right.

UNIDENTIFIED HOST: Because you’re fun. All right.

SHEPHERD: Yeah.

UNIDENTIFIED HOST: So how do we stop this? How do we stop the mandates? And how do we escape from this and avoid getting immunized?

UNIDENTIFIED FEMALE: Oh, yeah.

SHEPHERD: There is no escape, I’m sorry. I mean, I’ve made my peace. My wife and I, we have made our peace with God. I made my peace.

So, what this means, is it all hopeless? No. If we have God on our side, nothing is hopeless at all.

The question is, is God lifting HIS hands over this republic. That’s the question of the day. Is he behind us?

So, what I should tell you — in fact, I mentioned the word “repentance” once already. We all need to repent in America, OK? We all need to repent. There’s been closed eyes to so many sins and problems. We have put into power bad politicians who are not serving us and not serving God. That’s the number one problem.

So, what should be done about all of this? If I say something strange to you, like rise up, resist, and fight–oh, Second Amendment–we still have the Second Amendment in this country.
(Laughter)

SHEPHERD: I’m kind of trying to understand. I never had any amendment in the Soviet Union. The Chinese don’t have any amendments. Australians don’t have any amendments. Maybe that’s why the police officers are dragging people out of the cars by their hair if they don’t have a mask on.

Do we need that kind of life? I don’t think we deserve it. Or maybe we are deserving it.

Then fight. Then raise up. Then unite. Then unite. How can we unite? Well, you’re united right now, all of us sitting here. Nobody has left yet. I was waiting for this.

(Laughter)

SHEPHERD: You know? Maybe because (INAUDIBLE). Find inside your heart.

(INAUDIBLE) What do you think about this? It’s coming to your door.

This is the difficult part because I lived under this type of environment, OK? When you are sitting at the dinner with your friends and families and you start talking about the politburo or the Communistic Party or somebody in there and the walls have ears and they come, not immediately; the next night — usually at night, OK?

And they like black cars. I don’t know why. Not Suburbans, but black vehicles for sure. And they take people and you never see them again. Is this the life we’re supposed to live in this republic?

So, what am I telling you? What can I tell you? I’m trying to ignite the fire inside your heart right now. All that I want is that when you leave this presentation, you will remember what I said. Because it is coming to your door and my door eventually.

We can hold on for a while because we have a bunch of police officers, highways patrols, sheriffs and all of them that won’t knock down our doors. But somebody else is coming to knock down our doors. And those don’t have any mercy.

So, what, do they put you down and stick a needle in you? Well, maybe that’s come to this. I don’t know. I don’t want to predict. But I know one thing, the agenda is moving. The Baal system is before us. And it’s much bigger than Goliath. It’s a mountain.

Without God, we’ll all be gone. So only God is my answer. And I hope it’s yours. UNIDENTIFIED MALE: Amen.
UNIDENTIFIED FEMALE: Amen.

SHEPHERD: That’s all that I can say.

Then what do we do? We’re disorganized. We don’t have special units and all, like special teams with the weapons and all, and going somewhere and chasing somebody. Is that what we’re supposed to do? “Is this God’s will,” first, you need to ask yourself. Is this what we’re supposed to actually do?

During the invasion of Brits, things happened a long time ago. Is that right? How much of the percentage of the population? Was it 50%, 4%? 1% will be enough to stop the world order. Even 1%, even a half percent as long as you have a desire in your heart and you make a decision about your personal life.

I’m worried about my daughter. She lives in Arizona. OK, I’m worried about her. I’m worried that she’ll take the vaccine. We’re talking about this with her every day. We’re trying. And she is not very closely walking with the Lord right now. She has no strength. So, we’re trying to be the backbone for her.

I don’t know what’s happened. But nothing good will happen if we don’t stop this madness. It’s a madness, people. These vaccinations are absolute madness, what’s coming now. It’s madness. How do we stop the madness, we, the people, where we are?

As long as the Constitution is just ink, laying somewhere, we’re always losing. You need to have the Constitution of this nation inside your heart. And I am a stranger in the land preaching this to you. I’m not born here but I like the Constitution of this nation because it’s the best document after the Bible I’ve ever seen in my life.

(Cheering and applause)

SHEPHERD: So how many guns should I have in my pocket? Do I need optics? What do I do? Should I have a RPG {Rocket Propelled Grenade}?

No. What you need is to unite together. That’s what you need. Because when we unite, we’re strong. When we separate, the Baal system wins.

UNIDENTIFIED HOST: Yeah. And we can’t let it happen. That’s what we’re about is resisting it. SHEPHERD: That’s right.

UNIDENTIFIED HOST: So, the founding fathers shed their blood, right? They didn’t want to be under the system and they didn’t want their children under the system and they were willing to go to battle for it.

Now, I’m not inciting violence. I’m not saying go out there and get them. I’m saying it’s probably going to take blood. And we’re going to have to resist with our lives for the sake of our children and grandchildren.

So not an uplifting message but the uplifting part is you’ve got to be in Christ. That’s the only way that we’re going to get through it. And we have to bond together.

Thank you so much. Thank you so much for —
SHEPHERD: Thank you.
(Applause)
UNIDENTIFIED HOST: — speaking and answering our questions. (Applause)

UNIDENTIFIED HOST: Fabulous.

Vidéos de Catherine Austin Fitts et James Corbett.

Une personne à qui j’ai demandé son avis sur ce blog m’a répondu qu’il n’avait rien compris à mes articles.

C’est évidemment de ma faute.

J’ai la manie de croire que j’ai en face de moi des gens intelligents, ou à défaut familiers des sujets abordés ici – les ressources sur le Net ne manquent pas. Le problème est que côté francophone, il n’y a pas le centième de ce qu’on y trouve en anglais – raison pour laquelle je fais autant de traductions – les divers « lanceurs d’alerte », « sites de réinformation » et autres « résistants » de France et de Navarre – sans oublier le Canada – étant soit des clowns qui s’adressent à une clientèle de bobonnes, soit de l’opposition contrôlée. Parfois les deux.

Autre erreur, j’écris trop. Je m’étais même promis de ne jamais publier que du texte sur ce blog. Mais plus personne ne lit, me dit-on – et je constate sur les commentaires des forums et plateformes audiovisuelles que très peu savent encore écrire en français correct. La télévision et le Net – en mode vidéo – ont apparemment évacué la lecture. Qu’à cela ne tienne, je me parjure : voici des vidéos. Elles sont factuelles. Ça tombe bien parce que ce que j’écris est jugé trop théorique. Autre erreur.

Erreur ultime, mon côté rabat-joie. Le monde se fait sans moi et ça m’énerve. À tel point qu’il m’arrive de me venger sur les autres : je casse l’ambiance. Mais écoutez bien : le monde en préparation se fera sans vous aussi – littéralement. Et je ne dis pas ça pour casser l’ambiance.

Maintenant place au sujet. Il est extrêmement bien exposé et bien documenté, par deux personnes bien informées. Et une troisième, en fin de page, professionnel de l’investissement en Bourse. C’est clair, précis, complet et sans appel.

La personne mentionnée au début de cet article pourra donc venir consulter cette page et en retirer quelque chose grâce à son format plus accessible, sa formation ne l’ayant préparé ni à une lecture critique de l’information ni à l’esprit de synthèse nécessaire pour l’intégrer en réseau, ce qui est bien naturel.

Il est journaliste.


Catherine Austin-Fitts est ce qu’on appelle en anglais the great survivor : elle a tout traversé, elle est toujours là. Le bon Dieu a protégé cette vieille dame et parle par sa voix. J’en suis absolument certain. Vous en penserez ce que vous voudrez.

C’est plus que jamais le moment de l’écouter. Ça aide à mettre en perspective les délires d’une vieille psychopathe milliardaire qui vient démarcher pour son génocide planétaire en se tortillant sur son fauteuil comme un Asperger, et ceux d’un vieux crétin bolchévique qui nous fait son Ernst Stavro Blofeld mais aurait plutôt l’air de sortir d’un film avec de Funès.

J’avais publié le 7 août cet article, traduction d’un article de Catherine Austin-Fitts. À l’époque c’était la seule traduction en français disponible sur le Net. Il a été lu par moins de dix personnes. C’est bien dommage parce qu’elle est aussi un insider. Les coulisses, elle connaît, elle y a bossé. Ce qu’elle écrit est un avertissement solennel sur la véritable nature de ce qui nous est infligé aujourd’hui, et sur la suite en préparation.

C’est, en quelque sorte, la mise à jour d’un autre avertissement, publié il y a plus d’un siècle. Dont on nous affirme bien haut que c’est un faux, évidemment. Je pense effectivement qu’il a été écrit pour détourner l’attention des véritables coupables en en désignant d’autres. Mais qu’en est-il de la méthode? Le faussaire qui a écrit ça serait un pur génie, ou un prophète, parce qu’on a vu le programme se dérouler exactement comme prévu : décadence, corruption, trois guerres mondiales et la quatrième qui commence à peine, crises économiques majeures, désindustrialisation, et les centaines de millions de morts qui vont avec. On était prévenus.

Et qu’est-ce que ça a changé?

Rien.

Aujourd’hui on diffuse un peu partout sur les plateformes francophones la vidéo ci-dessous, qui est l’interview complète de Catherine, dont on retrouvera des extraits dans un film en préparation. J’avais commencé à en entreprendre la traduction – à la manivelle – avant de trouver cette version doublée en français. Avec quelques erreurs – par exemple, le système dollar n’est pas « bien implanté » mais « en fin de vie ». Mais on comprend le sens général, ça fera donc l’affaire pour l’instant. Si je trouve le temps je finirai de faire des sous-titres corrects. Pour ceux qui aiment lire.

C’est aussi utile d’entendre de la part de quelqu’un d’aussi haut placé ce que je répète depuis vingt ans à qui veut l’entendre (pas grand monde) : l’Humanité est gérée comme du bétail. Ceux qui n’iront pas à l’abattoir finiront à l’étable. Pour toujours.

On est donc une nouvelle fois prévenus.

Est-ce que ça changera quelque chose?

La vidéo est ici.

James Corbett est un bon garçon. Un peu trop intello, un peu trop anar, un peu trop ceci-cela mais bosseur et courageux. Ci-dessous sa vidéo sur le même sujet, où l’on voit notamment des extraits de la réunion FMI/Réserve Fédérale mentionnée par Catherine Austin-Fitts ci-dessus. C’est en anglais. Je n’ai pas non plus le temps de traduire. Le sous-titrage automatique de YouTube fonctionne à moitié (« Bretton Woods » devient « pain et bois », ce genre de truc).

Et un article en francais. Merci à ma plus fidèle lectrice pour le lien!

Ne vous y trompez pas – c’est un génocide – par Vernon Coleman.

Source.


Traduction

Ne vous y trompez pas – c’est un génocide

Vernon Coleman

Je ne sais pas pour vous mais j’ai du mal à suivre ce qui se passe. Le chaos est délibéré, bien sûr. Comme l’avait souligné Jean-Paul Sartre, si on maintient les hommes suffisamment longtemps dans un état de terreur, d’anxiété et d’incertitude, on arrive à éteindre leur humanité et à les rendre fous. Les promesses sans fin ont comme objectif d’engendrer stress, déception et désespoir. Tout sera fini d’ici l’été. Tout sera fini à l’automne. Tout sera fini à Noël. Tout sera fini à Pâques.

Écoutez-moi : ça ne finira jamais. Jamais. Parce qu’ils ne veulent pas que ça finisse. L’espoir transitoire fait partie du lavage de cerveau, de l’opération psychologique.

J’ai lu aujourd’hui qu’on demande aux généralistes d’administrer chaque jour 1.000 vaccins contre le covid-19. Tout ça parce que le produit doit être stocké à une température incroyablement basse, sous peine de se transformer en gaz moutarde ou en épaisse confiture.

Et comme le vaccin pourrait bien être la substance la plus dangereuse jamais fabriquée depuis le chou-fleur au gratin, on dit aux médecins que les patients doivent être surveillés pendant au moins 15 minutes après avoir été assassinés – pardon, vaccinés. Surveillés, dans ces circonstances, signifie surveillés de près, être prêt à agir rapidement en cas de signes graves d’effets secondaires dangereux et, bien sûr, savoir exactement quoi faire alors.

Cela signifie que même un vaccinateur très véloce ne pourra pas s’occuper de plus de trois personnes par heure. Et s’ils piquent dix heures par jour, ce qui enfreint probablement au moins 150 lois du travail de l’UE, ils ne pourront vacciner que 30 patients par jour chacun.

Mais on dit aux généralistes qu’ils doivent traiter 1.000 patients par jour.

Donc, à moins que ma calculatrice n’ait besoin de nouvelles piles, cela signifie que chaque médecin généraliste devra employer 33 et 1/3 dispensateurs de vaccins qualifiés. Pas étonnant que le gouvernement recherche des dizaines de milliers de piqueurs volontaires. Peut-être que Gary Lineker (NdT. champion de football) fera du bénévolat. Il paraît que c’est un fan du vaccin contre le covid et il a probablement fréquenté la même école de médecine que Bill Gates.

Où le gouvernement va-t-il trouver toutes ces personnes qualifiées? Où va-t-on les caser pendant qu’ils piquent, piquent, et repiquent? Combien leur faudra-t-il de tasses de thé? Y aura-t-il assez de toilettes pour tous? Peut-on vraiment embaucher des scouts pour administrer des vaccins? Les médecins ambidextres pourront-ils piquer des deux mains en même temps?

Ce sont de grands mystères.

Et ils ne font qu’ajouter à mon sentiment général de perplexité.

L’autre jour, un professeur du nom de Hugh Montgomery aurait déclaré à la BBC que ceux qui ne portent pas de masque ont du sang sur les mains. À part le fait que diaboliser les malades qui ne peuvent pas porter de masque et qui sont en officiellement dispensés par le gouvernement britannique ne me semble pas être une idée très vertueuse, j’adorerais avoir l’occasion de débattre avec le professeur Montgomery. Ce serait un plaisir de l’aider à comprendre les raisons par lesquelles je démontre que les masques font plus de mal que de bien, de l’aider à comprendre pourquoi la propagande gouvernementale n’est pas toujours ce qu’elle semble être et de lui apprendre des faits qu’il ignore peut-être sur l’hypoxie, l’hypercapnie, etc. Peut-être la BBC, qui a apparemment donné du temps d’antenne à Montgomery, voudrait-elle s’en tenir à sa charte, fournir au public des reportages équilibrés et m’accorder quelques minutes pour expliquer pourquoi ce sont les gens qui font la promotion des masques faciaux qui ont du sang sur les mains. Mais cela semble peu probable. La BBC, qui a un accord financier avec Bill Gates, s’est bien gardée de tout semblant de justice et d’honnêteté depuis des années. Elle est un centre de propagande pour l’Agenda 21, qui diffuse mensonges et tromperies avec le même enthousiasme qu’elle met à supprimer la liberté d’expression et la vérité. Mohammed Butt de Brand New Tube a envoyé au professeur Montgomery un message lui demandant de débattre avec moi. Je serai surpris que Montgomery en ait une paire assez grosse pour ça mais l’espoir fait vivre.

S’il débat avec moi, je le ferai probablement passer pour un imbécile. S’il ne débat pas avec moi, on pensera de lui que c’est un froussard.

Soit dit en passant, mon petit livre Proof that masks do more harm than good (« Preuve que les masques font plus de mal que de bien ») est disponible au format PDF sur www.vernoncoleman.com et sur le site www.thelightpaper.co.uk. Il est gratuit.

Si les collaborateurs porteurs de masque connaissaient la vérité, il y aurait des émeutes dans les rues. J’ai vu une photo de Greg Norman, un golfeur, allongé dans un lit d’hôpital avec un masque sur le nez. Le MCC, le club de cricket, vend un masque aux couleurs du club pour 8£, censé protéger contre la poussière en suspension dans l’air, le pollen et les microbes. Notez bien : ils font maintenant la promotion des masques comme protection contre la poussière et le pollen. Vous voyez la direction que ça prend.

Et ceux qui portent des masques ont du sang sur les mains aussi parce que les masques provoquent une pneumonie bactérienne [NdT. je confirme, je connais quelqu’un à qui c’est arrivé] – frauduleusement imputée au Covid-19 – et nous conduisent à des verrouillages qui provoquent un nombre incalculable de décès. Les collaborateurs porteurs de masque, qui aiment les tests, qui retroussent leurs manches et plaident pour un vaccin destiné à les protéger d’une maladie dont le taux de survie est de plus de 99%, sont les vrais tueurs parce qu’ils perpétuent et encouragent le mensonge. Et les médecins semblent avoir oublié qu’une personne atteinte de cancer est tout aussi réelle et tout autant digne d’attention qu’une personne atteinte du coronavirus.

La suppression des informations et des débats et la diabolisation de ceux qui posent des questions prouvent qu’il s’agit d’une fausse pandémie. Rien dans les médias grand public n’est digne de confiance. Les chiffres présumés des décès liés au covid-19 sont maintenant mélangés à ceux de la grippe et de la pneumonie.

Si nous avions le moindre accès aux médias de masse, cette arnaque, cette guerre, ne durerait pas un seul jour. Partout, les gouvernements tomberaient et les politiciens, les conseillers, les médecins et les journalistes devraient apprendre à apprécier leur gruau d’avoine quotidien.

Pourtant, rien de tout ça n’a vraiment d’importance.

Ce qui compte, c’est que nous nous rappelions constamment qui sont nos adversaires et pour quoi nous nous battons.

Qui sont-ils?

Eh bien, ce sont des méchants tout droit sortis d’un vieux James Bond – ceux où on voyait Donald Pleasance assis avec un gros chat blanc sur ses genoux.

Et leur objectif, comme celui du personnage de Donald Pleasance, est de conquérir le monde et de gagner encore plus d’argent, pas nécessairement dans cet ordre.

La seule différence est que dans les films de James Bond, les méchants ont des noms merveilleusement exotiques comme Scaramanga et Goldfinger.

Les méchants d’aujourd’hui ont des noms communs et très courants comme, je ne sais pas moi, Bill ou George ou Charles. Des noms ordinaires.

Mais, à mon avis, les méchants d’aujourd’hui sont les pires que tout ce que les êtres humains ont jamais connu.

Personne ne s’est jamais montré aussi profondément pervers que les politiciens et les scientifiques qui font la promotion du canular planétaire du coronavirus. Jamais auparavant on a menti aussi complètement aux peuples, avec autant de constance et avec des buts aussi pervers que nos gouvernements oppressifs, totalitaires et génocidaires. Ne vous y trompez pas, c’est un génocide. La fraude au covid-19, les verrouillages et l’abandon des personnes âgées et des malades provoquent la mort de millions de personnes. Au Royaume-Uni, le National Health Service (Service de Santé National) est devenu le National Death Service (Service de Mort National). Ils tuent les faibles et les innocents parce qu’ils peuvent le faire. Dans le monde, des centaines de millions de personnes sont condamnées à mort en raison de la réponse injustifiable à une maladie présumée pas plus dangereuse que la grippe. La propagande ne s’arrête jamais. Même la façon dont le nom est écrit est une fraude. Ils mettent toujours COVID en majuscules. Mais ça n’a pas raison d’être – pas plus que le mot «radar» ne devrait être écrit en majuscules.

Et puis il y a le vaccin. Quel mal va-t-il faire? Je n’en ai aucune idée. Personne n’en a aucune idée. C’est la plus grande expérience de l’histoire. Un astrologue aurait de meilleures chances de prédire ce qui est susceptible de se passer d’ici trois mois, six mois ou un an. En Espagne, ils prennent apparemment le nom et les coordonnées de toute personne qui ne ne se fait pas vacciner.

Soit dit en passant, je suis perplexe quant à la raison pour laquelle 12 personnes ont jusqu’à présent appuyé sur le bouton « je n’aime pas » sous ma vidéo qui expose les dangers officiellement associés au vaccin covid-19. Comment peut-on désapprouver une vidéo qui détaille simplement des faits? Je suis impressionné par le fait qu’on trouve 12 personnes dans la 77e brigade (NdT. une brigade de l’armée britannique qui traque officiellement les « fake news » sur le Net) assez brillantes pour trouver le bouton « je n’aime pas ».

J’ai d’ailleurs, avec grande tristesse, supprimé l’option commentaires de mes vidéos simplement parce que trop de gens l’utilisaient pour promouvoir des mensonges flagrants, des tromperies et des fausses nouvelles. Les médias grand public, comme la BBC, sont l’endroit idéal pour ça. Je suis triste d’avoir dû le faire, mais je ne vais pas offrir un mur aux graffitis fascistes pro-gouvernementaux.

J’ai un peu réfléchi à ce qui pourrait nous inciter à retrouver la mémoire de nos racines.

J’ai été voir du côté de la Magna Carta, le document qui nous avait donné cette liberté qu’on nous a confisquée. Le document qui nous a donné nos droits fondamentaux en tant que peuple et en tant que nation indépendante.

Et j’ai été voir du côté du discours de Cromwell devant le parlement croupion, en 1653.

«Vous êtes resté trop longtemps assis ici pour le peu de bien que vous avez fait. Partez, dis-je, et finissons-en avec vous. Au nom de Dieu, partez! » Mais Cromwell dérange beaucoup de gens. Ce sont probablement les verrues qui les effrayent.

Je me suis donc décidé pour le discours qu’Elizabeth I a prononcé à l’adresse de ses troupes, qui attendaient à l’époque l’arrivée de l’Armada espagnole, en 1588. Elizabeth était courageuse, déterminée et surtout fidèle à son peuple.

«Que les tyrans éprouvent de la crainte », dit-elle. « J’ai investi ma plus grande force et ma plus grande sauvegarde dans le cœur loyal et la bonne volonté de mes sujets. Et par conséquent, je me présente devant vous, comme vous le voyez, en ce moment non pas pour ma récréation ou pour ma distraction, mais résolue à vivre et mourir dans le coeur et le feu de la bataille parmi vous tous. À donner pour Dieu, pour mon Royaume et pour mon peuple, mon honneur et mon sang jusque dans la poussière. Je sais que j’ai le corps d’une femme faible et fragile, mais j’ai le cœur et les tripes d’un roi et même d’un roi d’Angleterre et je dis qu’il est insultant que Parme ou l’Espagne ou tout prince d’Europe ose envahir les frontières de mon royaume; pour cela, plutôt que le déshonneur advienne par moi, je prendrai moi-même les armes. »

C’est notre héritage.

Qu’est-il arrivé? Elizabeth I a montré une détermination un peu plus fougueuse à défendre son pays que son homonyme et que sa famille n’en ont montré.

Nos ancêtres avaient Elizabeth I. Notre famille royale veut le Grand Reset et le nouvel ordre mondial. Ils croient que le monde est surpeuplé mais, comme toujours, leur hypocrisie est assourdissante. Ils disent beaucoup de bêtises sur le réchauffement climatique mais consomment plus d’énergie que mille familles moins privilégiées.

Nous sommes dirigés par un groupe de traîtres qui a vendu notre droit d’aînesse. Et nous n’avons même pas reçu le plat de lentilles [Ndt. L’expression fait allusion à la vente par Esaü de son droit d’aînesse pour un repas de lentilles dans Genèse 25: 29–34 et implique une myopie et des priorités mal placées.]

Je suis stupéfait de voir le peuple britannique se coucher devant une armée désordonnée de gens corrompus, ineptes et insipides. Comment ont-ils gobé tant de mensonges? Où est leur courage? Les bâtards cryptorchides qui portent des masques simplement pour éviter la confrontation nous trahissent tous.

Allons-nous vraiment laisser Doris Johnson, Madge Hancock [NdT. une pique de l’auteur à Boris Johnson, Premier Ministre et à Matt Hancock, Ministre de la Santé] et les trois Stooges (en moins sympathique) nous voler tout ce qui fait nos valeurs? (La même chose est vraie dans le monde, bien sûr.)

Ou allons-nous nous lever et nous battre? Adressez vos doléances aux politiciens. Envoyez des lettres et des courriels aux médias. Exigez que la BBC et les autres diffuseurs donnent du temps d’antenne aux critiques des mensonges. N’enfreignez pas la loi, mais ne payez plus la taxe pour la BBC. Partagez des vidéos et des articles sur votre site Web avec tous ceux que vous connaissez. [NdT. C’est ce que je fais, Vernon!]

Méfiez-vous du gouvernement, évitez les médias de masse et combattez les mensonges.

À moins de lutter férocement et avec détermination, l’année à venir, 2021, sera la dernière que nous vivrons en tant qu’hommes et femmes libres.

Ce n’est pas de la rhétorique.

C’est un fait.


Texte original

Make no Mistake – This is Genocide

Vernon Coleman

I don’t know about you but I find it difficult to keep up with what is going on. The chaos is all deliberate, of course. As Jean Paul Sartre pointed out, if you fill people with long-standing terror, anxiety and uncertainty you will eventually drive out their humanity and drive them towards madness. The endless promises are designed to create stress, disappointment and despair. It will all be over by the summer. It will all be over by the autumn. It will all be over by Christmas. It will all be over by Easter.

Listen to me: it will never be over. Never. Because they don’t want it to be over. The transient hope is part of the brainwashing, the psy op.

I read today that GPs are being told to give 1,000 covid-19 vaccinations a day. It’s all because the stuff has to be stored at an incredibly low temperature because otherwise it turns into mustard gas or thick cut marmalade.

And because the vaccine could just be the most dangerous stuff ever made since cauliflower cheese, doctors are being told that patients need to be observed for at least 15 minutes after they’ve been murdered – sorry, vaccinated. Observed, in these circumstances means watching closely, being prepared to act quickly if there are serious signs of a dangerous side effect developing and, of course, knowing exactly what to do.

This means that even a fleet-footed vaccinator isn’t going to be able to service more than three people an hour. And if they jab away for ten hours a day, which probably breaks at least 150 EU employment laws, they will only be able to vaccinate 30 patients a day each.

But GPs are being told they need to get through 1,000 patients a day.

So, unless my calculator needs new batteries, that means that each GP will need to employ 33 and a third qualified expert vaccine givers. No wonder the Government is looking for tens of thousands of voluntary jabbers. Maybe Gary Lineker will volunteer. He is reported to be a fan of the covid vaccine and presumably attended the same medical school as Bill Gates.

Where is the Government going to find all these skilled people? Where are they all going to stand while they jab, jab, jabber away? How many cups of tea will they get through? Will there be enough loos for them all? Can you really hire boy scouts to give vaccinations? Will ambidextrous doctors be able to jab with both hands at the same time?

These are real mysteries.

And they just add to my general sense of bewilderment.

The other day a professor called Hugh Montgomery allegedly told the BBC that people who don’t wear masks have blood on their hands. Putting aside the fact that demonising the sick who cannot wear masks, and who are advised by the Government in the UK that they don’t have to wear a mask, doesn’t seem a very nice thing to do, I would love to have the chance to debate with Professor Montgomery. It would be a pleasure to help teach him why I can show that masks do more harm than good, to help him understand why government propaganda isn’t always what it appears to be and teach him some facts he may not know about hypoxia, hypercapnia and so on. Maybe the BBC, which apparently gave Montgomery airtime, would like to stick to its charter and provide the public with balanced reporting by allowing me a few minutes to explain why people who promote face masks have blood on their hands. But that seems unlikely. The BBC, which has a financial arrangement with Bill Gates, hasn’t been within hailing distance of fair or honest for years. It’s a propaganda unit for Agenda 21; disseminating lies and deceit with the same enthusiasm with which it suppresses free speech and truth. Mohammed Butt of Brand New Tube has sent a message to Professor Montgomery asking him to debate with me. I’ll be surprised if Montgomery’s balls are big enough but we live in hope.

If he debates with me I think I can make him look a fool. If he won’t debate with me then some may think he is chicken.

Incidentally, my short book Proof that masks do more harm than good is available as a PDF on http://www.vernoncoleman.com and on the http://www.thelightpaper.co.uk website. It’s free.

If the mask wearing collaborators knew the truth there would be rioting in the streets. I saw a picture of Greg Norman, a golfer, lying in a hospital bed with a mask on. The MCC, the cricket club, is selling an £8 mask in the club colours that is said to protect against airborne dust, pollen and germs. Note that: they are now promoting masks as protection against dust and pollen. You can see where it’s going.

And those who wear masks have blood on their hands too because the masks cause bacterial pneumonia – falsely blamed on covid-19 – and lead us to lockdowns which lead to untold numbers of deaths. The mask wearing, test loving collaborators who roll up their sleeves and plead for the vaccine to protect them from a disease that has a 99% plus survival rate are the real killers because they are enabling and sustaining the lie. And doctors seem to have forgotten that someone with cancer is just as real and just as deserving as someone with the coronavirus.

The suppression of news and debate and the demonization of those who ask questions prove that this is a fake pandemic. Nothing in the mainstream media is trustworthy. The alleged figures for covid-19 deaths are now mixed in with flu and pneumonia.

If we had a fair crack at the mass media this scam, this war, wouldn’t last a day. Governments everywhere would fall and politicians, advisors, doctors and journalists would be trying to acquire a taste for lumpy porridge.

Still, none of that really matters.

What matters is that we constantly remind ourselves who our opponents are and what we’re fighting for.

Who are they?

Well, they’re a bunch of skulking baddies straight out of one of those older James Bond films – the ones where Donald Pleasance sat with a fluffy, white cat on his lap.

And their aim, like the Donald Pleasance character, is to take over the world and make a lot more money though not necessarily in that order.

The only difference is that in the Bond films the baddies have wonderfully exotic names like Scaramanga and Goldfinger.

And today’s baddies have common or garden names like, oh I don’t know, Bill or George or Charles. Just ordinary type names.

But, in my view, today’s baddies are worse than anything human beings have ever faced.

No one has ever been as thoroughly evil as the politicians and scientists promoting the coronavirus hoax around the world. Never before have people been lied to so thoroughly, so consistently and with such evil purposes as we are being lied to by our oppressive, totalitarian, genocidal governments. Make no mistake – this is genocide. The covid-19 fraud, the lockdowns and the abandonment of the elderly and the sick are resulting in the deaths of millions. In the UK the National Health Service has become the National Death Service. They are killing the weak and the innocent because they can. Around the world hundreds of millions are being condemned to death because of the indefensible response to an alleged disease no more dangerous than the flu. The propaganda goes on and on. Even the way the name is written is a fraud. They always put COVID in capitals. But it shouldn’t be – any more than the word `radar’ should be written in capitals.

And then there’s the vaccine. What harm is that going to do? I have no idea. Nor does anyone else. This is the biggest experiment in history. An astrologer would have a better chance of telling you what is likely to happen in three months, six months or a year. In Spain they are apparently taking the names and details of anyone who doesn’t take the vaccine.

Incidentally, I am puzzled as to why 12 people have so far pressed the thumbs down button on my video about the dangers officially associated with the covid-19 vaccine. How can you disapprove of a video which simply details facts? I’m impressed that there are 12 people in the 77th brigade bright enough to find the thumbs down button.

I have incidentally, with great sadness, taken the comments facility off my videos simply because there were too many people using it to promote blatant lies and deceits and fake news. The mainstream media, such as the BBC, is the place for those things. I’m sad I had to do this but I am not going to provide a wall for fascist pro-government graffiti.

I have thought a little about how we can inspire ourselves to remember our roots.

I toyed with the Magna Carta, the document which gave us the freedom which has been taken from us. The document which gave us our basic rights as people and as an independent nation.

And I toyed with Cromwell’s speech to the rump parliament in 1653.

`You have sat too long here for any good you have been doing. Depart, I say, and let us have done with you. In the name of God, go!’

But Cromwell upsets a lot of people. I think it’s probably the warts they find scary.

So I settled on the speech Elizabeth I made when addressing her troops who were, at the time, awaiting the arrival of the Spanish Armada in 1588. Elizabeth was courageous, determined and, above all, loyal to her people.

`Let tyrants fear;’ she said, ` I have placed my chiefest strength and safeguard in the loyal hearts and goodwill of my subjects. And therefore I am come amongst you, as you see, at this time not for my recreation and disport, but being resolved in the midst and heat of battle to live and die amongst you all. To lay down for God, my kingdom and for my people, my honour and my blood even in the dust. I know I have the body of a weak and feeble woman, but I have the heart and stomach of a King and a King of England too and think it foul scorn that Parma or Spain or any Prince of Europe should dare to invade the borders of my realm; to which, rather than any dishonour shall grow by me, I myself will take up arms.’

That is our heritage.

What the hell happened?

Elizabeth I showed a rather more feisty determination to defend her country than her namesake and her family have exhibited.

Our ancestors had Elizabeth I. Our royal family wants a Global Reset and a new world order. They believe the world is overpopulated but as always their hypocrisy is deafening. They talk much nonsense about global warming but use more energy than a thousand less privileged families.

We are ruled by a bunch of traitors who have sold our birthright. And we don’t even get the mess of potage.

I am staggered that the people of Britain rolled over before a ragtaggle army of the corrupt, the inept and the inspid. How did they fall for so many lies? Where is their courage? The cryptorchid bastards who wear the masks simply to avoid confrontation are betraying us all.

Are we really going to let Doris Johnson, Madge Hancock and the three stooges (without the lovability factor) take from us everything we value? (The same is true around the world, of course.)

Or are we going to stand up and fight? Complain to politicians. Send letters and emails to the media. Demand that the BBC and other broadcasters give air time to critics of the lies. Don’t break the law but don’t pay the BBC licence fee. Share videos and website articles with everyone you know.

Distrust the Government, avoid mass media and fight the lies.

Unless we fight hard and with determination, the year ahead, 2021, will be the last we live as free men and women.

That’s not rhetoric.

It’s fact.

Bilan 2020.

Fin d’année, l’heure des bilans.

Commençons par un petit bilan de ce blog : fréquentation proche de zéro, mes plus fidèles lecteurs restant les services secrets du Parti, explication ici. En voilà des gens opiniâtres et curieux. Plus en tout cas que ceux pour qui l’enjeu d’une bonne information est pourtant vital et urgent, et la clé de pratiquement tout ce qui va se jouer dans les semaines qui viennent. Ceux qui viennent faire un petit tour ici filent bien vite voir ailleurs.

Apparemment, je déçois. Désolé, je ne suis pas très feel good movie, celui dans lequel on disait qu’on étaient les bons et les autres les méchants. Pour les questions d’ordre vital, il serait temps de sortir, au moins un moment, du niveau cour de récré.

Le monde de l’enfance est merveilleux, évidemment. Il faut le garder en soi le plus longtemps possible. Et c’est pourtant chez les jeunes que je constate le plus ce phénomène typique de toutes les tragédies et toutes les guerres : la fin de l’innocence. Ils prennent conscience de ce qu’est devenu leur quotidien et de ce que sont maintenant leurs perspectives d’avenir. Ils ont plus d’années à vivre – ou à perdre – que leurs aînés et probablement la réserve de courage qui va avec. Ils savent donc faire le tri dans ce monde entre les courageux et les autres. Ils ne sont pas dupes des adultes et de leurs masques. C’est leur métier.

Finalement il me semble que ce sont les adultes qui ont le plus de mal à sortir de la naïveté. Il faut dire qu’ils ont de l’entraînement. Je les vois continuer à se laver les neurones devant leurs télés. La fabrique du consentement, c’est déjà pas très sain en temps de paix. Mais ici il s’agit de consentir à leur propre fin. Comme j’aime à le répéter, la télévision est la seule arme dont le canon est pointé vers la personne qui appuie sur la gachette.

D’autres plus courageux – de plus en plus nombreux, Dieu merci – se cherchent des camarades de résistance et vont voir du côté des nouveaux chevaliers blancs du Net, héros au sourire si doux. C’est très bien mais prudence, ce ne sont pas tous vos amis. Même certains dont je traduis ici les articles, pourtant très intéressants, ne sont pas vos amis. Il y a de l’opposition contrôlée. Je vous l’explique de long en large sur ce blog. Je vous ai fait une page « Sommaire » accessible dans le menu pour vous faciliter la recherche. Je consacre énormément de mon temps libre à vous pondre des articles utiles. C’est vraiment un très bon blog. Je dois le dire moi-même parce que mes amis ne me le disent pas – je n’en ai pas.

Vous ne voudriez sans doute pas de moi comme ami non plus. Encore moins si je vous dis que vous vous êtes foutus dans ce merdier vous-mêmes. En tant que consommateurs pas très éclairés, en achetant la camelote des maîtres de ce monde. Celle qu’on voit à la télé. Celle pour laquelle ils exploitent, torturent et font crever les pauvres qui ont eu la fâcheuse idée de naître là où, par exemple, on trouve les terres rares indispensables à la fabrication de vos smartphones. On ne vous a pas beaucoup entendus les défendre. C’est une erreur.

Et vous voilà bien, maintenant que vous vous apercevez que ces prodigieuses merveilles sont là pour vous hypnotiser, vous surveiller et vous dénoncer. Que c’est l’outil de votre esclavage et que cet esclavage était volontaire. Ludique, mais volontaire. Mais plus pour longtemps. Il va devenir obligatoire. Comme beaucoup d’autres choses nettement moins ludiques.

Vous ne voudrez pas non plus de moi comme ami si je vous dis que vous auriez pu vous émouvoir un peu plus tôt des bébés découpés vivants pour la fabrication des vaccins. Que l’administration de ces vaccins a déjà mutilé et tué des millions d’enfants, et pas que dans les pays pauvres. En toute connaissance de cause. Et que pour les vieux, on a même pas fait semblant de vouloir les sauver. Un coup de calmant et c’est terminé.

On ne vous a pas beaucoup entendus les défendre non plus.

Et vous voilà bien, maintenant que ça va être votre tour. Il n’y pas grand monde pour vous défendre non plus. Mais vous avez de la chance, parce qu’il y en a quand même un peu. Les mêmes, d’ailleurs, que ceux qui faisaient le boulot pendant que vous étiez devant votre télé, votre smartphone ou dans quoi que ce soit d’aussi utile et intéressant. Et il y a moi. Comme je ne suis pas votre ami, je peux vous dire ceci : il va falloir plus de courage et moins de naïveté. La fin de l’innocence. La récréation est terminée.

Parce que maintenant si vous voulez vraiment vivre, il vous faudra le double de volonté dans un monde que vos maîtres ont tout fait pour rendre invivable, dans une vie qu’ils ont tout fait pour vider de son sens. Et tant que vous les laisserez faire, ils continueront de le faire. Leur objectif c’est l’enfer sur Terre. Pour vous et pour eux. Eux, ils aiment ça. Vous, je ne sais pas.

Si vous voulez de la liberté, il faudra la gagner. Et bien plus difficile, il faudra en faire quelque chose. De bien, si possible. De mieux que de participer à toute cette saloperie.

Si vous voulez de la justice, il faudra la rendre aux autres et à vous-mêmes. Je ne sais pas ce qui est le plus difficile.

Nous voici donc, chers presque amis, bientôt au terme de l’année 2020 – qui pourrait s’écrire ZOZO, vu ce pour quoi on nous prend. L’année qui marque le début de la Quatrième Guerre Mondiale. Guerre bactériologique – ou virale, plutôt. Guerre de l’information – ou de la désinformation, plutôt. Guerre de la santé, de la liberté, de la justice. Guerre économique, évidemment – c’est toujours l’arme ultime. C’est la guerre de toutes les guerres.

Mais c’est surtout la guerre pour la paix.

Je suis content d’avoir découvert tous les braves gens qui se sont battus du bon côté, d’avoir vu leur combat et leur courage. Il reste de bonnes âmes dans ce monde. J’avais oublié.

Del Bigtree, Robert F. Kennedy Jr, Catherine Austin⁻Fitts, tous les médecins intègres, les avocats volontaires et tous ceux qui ont déjà fait une différence, pour eux-mêmes et pour les autres.

Je prierais bien le bon Dieu qu’Il les ait en Sa sainte garde mais je pense que c’est déjà le cas. Il n’a pas tellement besoin de mon avis.

Il sait ce qu’Il a à faire.

A vous de le savoir aussi.

Hommage.

Bonjour.

La dame qui tenait le salon de coiffure où mon épouse emmenait les enfants de son institution se faire couper les cheveux est morte. Comme des dizaines de milliers d’autres, on l’a empêché d’ouvrir son commerce depuis des mois. Depuis le début de cette « crise », elle avait à payer un loyer commercial pour un salon fermé, des charges sociales pour ses cinq ouvrières au chômage, une avance sur TVA sur des recettes inexistantes et probablement encore d’autres taxes. Elle avait ses propres charges privées à assumer et une famille à nourrir. L’aumone généreusement octroyée par l’Etat était totalement insuffisante pour lui permettre de s’en sortir. Elle a tenu le coup aussi longtemps qu’il était humainement possible de tenir.

Puis, elle s’est suicidée.

Vous trouverez ci-dessous une traduction d’un article paru dans le Washington Post. C’est le témoignage d’un propriétaire de restaurant pris dans ce même engrenage, qui détruit la vie des entrepreneurs courageux et de leurs familles, et l’héritage durement acquis par plusieurs générations.

Je publie cet article à la mémoire de cette dame. C’est vraiment le moins que je puisse faire. A vous de voir ce que vous pouvez faire de votre côté.

Un million supplémentaire de Français sont passés sous le seuil de pauvreté depuis mars. On en est à dix millions, une personne sur six, dix fois plus que dans les années 80. Chez les dix millions au chômage partiel, beaucoup n’ont encore pas reçu le moindre centime de l’Etat et sont plongés dans une telle misère qu’ils en sont réduits à frapper à la porte de leurs voisins, pour mendier de la nourriture. Les loyers impayés des logements, les mensualités impayées des crédits hypothécaires ne seront pas rattrapables. Ce sont des millions de Français qui pourraient se retrouver à la rue d’ici avril prochain.

Alors, je suis d’accord sur le fait qu’on est pas sur Terre pour règler tous les problèmes. C’est le sujet de mon article précédent. Mais de là à se laisser exterminer sans réagir, il y a une nuance. Parce que ces suicides ne sont pas des suicides. Ce sont des assassinats. Avec préméditation. Par des gens dans des bureaux qui organisent la mort des peuples. En éliminant la classe moyenne et en mettant en esclavage tout le reste. Comme au bon vieux temps du bolchévisme, financé et organisé par les mêmes familles bancaires. La bureaucratie contre le monde du travail. Les parasites contre les travailleurs. Ceux qui parlent de destruction de la civilisation occidentale – j’en fais partie – ont raison. C’est écrit noir sur blanc dans le projet du Grand Reset. Le troupeau est jugé ingérable, il faut raccourcir la corde. C’est le principe.

Mais quand je suis témoin du suicide d’une femme courageuse, c’est un rappel brutal de ce que ça signifie à l’échelle de la vie humaine. Tout comme quand on assassine Brandy Vaughn, lanceuse d’alerte aux Etats-Unis, autre femme courageuse.

Tout ça au nom d’une maladie pour laquelle il existe des thérapies efficaces. Passées sous silence, ou discréditées, ou interdites. En faveur de molécules dangereuses et inefficaces – mais très rentables – et pour justifier une caricature de « vaccin » dont personne ne mesure aujourd’hui le potentiel destructeur.

Ce ne sont pas des théories mais des faits. Ce ne sont pas des complots mais un programme. Ce ne sont pas des données chiffrées mais des gens qui ont souffert et qui sont morts.

C’est un génocide, et il ne fait que commencer.


Traduction.

Voir les photos dans l’article original.

Une voix dans la pandémie

« C’est ce que Trump disait: le remède a été pire que la maladie. »

Mike Fratantuono, directeur du Sunset Restaurant à Glen Burnie, Maryland, à propos de la mort d’une entreprise familiale.

J’ai grandi dans ce restaurant, et maintenant ma femme aide en salle et ma fille travaille à la réception. C’est un lieu familial – quatre générations et plus. Je connais chaque pouce de tuyau et de fil qui le traverse. J’y ai été le plombier, l’aide-serveur, l’homme à tout faire, le boucher, le barman, le cuisinier, le gérant. J’ai exercé tous les métiers dans ce restaurant, et aujourd’hui je dois le fermer.

Ça me tue. Nous nous nous préparions à célébrer notre 60ème anniversaire cette année, et à la place, on remballe tout et on ferme à la fin du mois. Je trouverai un autre emploi, mais ici c’est bien plus qu’un emploi. C’est chez moi. Ces murs sont comme un album de photos de famille. J’essaie de ne pas sombrer dans la mélancolie, car ça ne changera rien, mais parfois le stress s’empare de moi et j’ai le coeur qui s’emballe. Je suis frustré. Ça me met en colère. Comment trouver le moindre sens à ce qui arrive? Je ne connais pas une seule personne qui ait attrapé le Covid, et je sais que c’est probablement par chance, mais là maintenant, je pourrais vous citer au moins une douzaine d’entreprises et quelques centaines de personnes qui sont en faillite. Je comprends que ce virus est réel, ok? Il est réel et il est horrible. Je ne conteste rien de tout ça. Mais l’hystérie qui règne dans ce pays est bien pire. Nous avons permis au virus de prendre le contrôle de notre économie, de nos petites entreprises, de nos écoles, de nos vies sociales, de toute notre qualité de vie. Nous avons capitulé et maintenant tout est contaminé.

J’aime à croire que ce restaurant est résilient. Nous avons tout fait pour qu’il vive. Mon père y a travaillé cinq jours par semaine jusqu’à sa mort, à 82 ans, c’est donc inscrit dans notre ADN. Lorsque le gouverneur nous a fait fermer pour la première fois en mars, on s’est réunis avec mon frère et mon cousin, et nous avons choisi ensemble d’y voir une opportunité. Le restaurant marchait plutôt bien jusqu’alors. Nous avions un peu d’argent de côté. Nous avons décidé : « Réinvestissons dans l’entreprise comme il est d’usage. » Nous avons entièrement rénové notre bar. Nous avons installé de nouvelles toilettes et de nouvelles lignes d’attente. Nous avons fait visiter le tout à quelques-uns de nos fidèles clients, et ils ont dit: «Wow. Lorsque cet endroit va rouvrir, vous allez faire le plein tous les jours. Vous allez faire un retour en force.»

Nous avons cinq salles, 85 employés et une surface de 13.000 pieds carrés, et nous serions censés fonctionner comme une vieille baraque à hamburgers? Combien connaissez-vous de personnes prêtes à dépenser 40$ pour un steak tiède qui a traversé la moitié de la ville? Ce n’est pas notre activité normale. Nous sommes de la vieille école. Nous n’avons pas d’ailes de poulet congelées toutes prêtes à réchauffer et à balancer dans une boîte en carton en cinq minutes. Nous achetons le poulet frais, le parons, le découpons et le panons. Il faut 25 minutes pour préparer vos ailes frites, temps que vous passez à parler entre vous et à déguster un cocktail ou deux. Mais ça c’est l’ancien monde, n’est-ce pas? Quel choix nous restait-il? Nous avons revu notre menu à emporter pour en réduire les prix et nous avons fait équipe avec DoorDash et Grubhub [NdT. deux firmes de livraison qui offrent leurs services aux restaurants]. Nous avons créé des menus à thème à l’occasion de la fête des mères et de Pâques. Nous avons livré des repas de charité aux hôpitaux et ouvert une baraque de vente de crabe à l’avant pour pouvoir vendre au boisseau. Nous dépensions 800$ par semaine en emballages pour les plats à emporter, et il n’y a rien à gagner dans ce genre d’activités. On perd sur la vente d’alcool. On ne reçoit pas le même genre de pourboires. Nous avons continué à nous accrocher en mars, avril et mai, mais nos revenus ont baissé de plus de 80%. Nous avons dû licencier 75 personnes. Ça fait 75 familles aux prises avec le chômage et les difficultés financières, pas parce qu’un virus les a rendues malades.

Lorsque l’État a autorisé les repas en plein air, je me suis précipité dans tous les Costco de la région et j’ai acheté toutes les tables de pique-nique que j’y ai trouvées. Nous en avons acheté 20 à 150$ la pièce. Nous avons ceinturé le parking et avons sorti des seaux de bière fraîche. Nous avons essayé de rendre ça attrayant, mais c’est l’été à Baltimore, il fait 90°F à l’extérieur et nous proposions du velouté de crabe à des gens qui suent des gouttes sur l’asphalte. Personne n’est venu. Pourquoi seraient-ils venus? Nous nous sommes tenus prêts pendant neuf heures chaque jour et nous avons attendu.

Nous sommes devenus plus créatifs. Nous avons encore essayé. Nous avons ouvert à 50% de notre capacité et avons proposé de la musique live, des dîners à thème, des soirées mystères et un repas avec un médium. Nous avons réinventé ce restaurant une douzaine de fois, mais rien de tout ça n’a fonctionné.

Et quel genre de soutien avons-nous reçu? Davantage de règles. Davantage de restrictions. Davantage de règlements, d’obligations et de couvre-feux. Nous devons fermer à 22 heures, car je suppose que le Covid sort à 22h01 – excepté au casino en bas de la rue apparemment, car ils ont un piston politique et peuvent rester ouverts aussi longtemps qu’ils le souhaitent. Vous pouvez vous asseoir à notre bar et prendre un verre, mais vous ne pouvez pas vous lever et vous mélanger entre vous, car c’est considéré comme une infraction à la règle sanitaire, donc maintenant je dois vous servir et vous policer en même temps. « Merci d’être venu! Nous avons vraiment besoin de votre clientèle. Maintenant, mettez votre masque ou asseyez-vous! » Je dois acheter des désinfectants, des portions individuelles de ketchup, des menus en papier et des salières et poivrières personnelles, sinon je risque une amende. Mes employés doivent porter leur masque tout le temps, même lorsqu’ils sont seuls dans un bureau, mais en attendant, nous avons un groupe de 40 personnes en salle sans masque, et c’est considéré comme sûr parce qu’ils boivent de l’eau? Rien de tout ça n’a le moindre sens.

Une cliente est venue l’autre jour, et elle n’a pas pu s’asseoir parce que nous avions quelques autres clients attablés et avions atteint la limite de 50% dans la salle qu’elle préfère. J’ai dû lui demander d’attendre. J’aurais préféré la laisser s’asseoir et accepter son argent. Je déteste ce règlement, mais maintenant je suis obligé de l’appliquer. Mais elle voyait des tables vides, et ne comprenait pas. Elle s’est fâchée et a décidé d’appeler le 911 et de leur dire que nous étions en surcapacité. Deux policiers armés sont venus. Le foyer était entièrement vide. Il n’y avait personne au bar. J’ai l’autorisation des pompiers, affichée au mur, pour 323 personnes maximum, et ils n’en ont même pas compté 100. Je leur ai dit: « Je rêve d’être en surcapacité, mais je doute que ça arrive encore un jour. »

C’est ce que disait Trump: le remède a été pire que la maladie. Les gens ont passé trop de temps chez eux à regarder les infos à longueur de journée, abreuvés de cette hystérie au point de désinfecter leurs courses et d’avoir peur de quitter leur maison. C’est devenu une nouvelle tactique anti-Trump dans la presse. La mise en accusation n’a pas fonctionné, les abeilles tueuses n’ont pas fonctionné alors on va faire du Covid un truc énorme pour tenter de lui nuire. Mais c’est nous qui avons souffert. Ça a été échec sur échec. Ce fut une mort lente et douloureuse.

Nous sommes allés voir notre comptable à la fin de l’été. Il a regardé les chiffres sans dire grand chose, ce qui n’est pas son genre. Je lui ai demandé: « Que feriez-vous? » Il a dit que, vu la tournure que tout ça prenait, nous n’aurions plus rien à perdre d’ici quelques mois.

C’est à ce moment-là que nous avons pris notre décision. Il n’y avait pas grand chose à discuter.

Notre dernier jour d’ouverture est le 30 septembre, ensuite on arrête tout.

eli.saslow@washpost.com


Texte original.

Voices from the Pandemic

‘It’s like Trump said: The cure has been worse than the disease.’

Mike Fratantuono, manager of Sunset Restaurant in Glen Burnie, Md., on the death of a family business.

I grew up inside this restaurant, and now my wife’s helping out in the dining room and my daughter’s working at the hostess stand. This is a family place — four generations and counting. I know every inch of pipe and wire we have running through here. I’ve been the plumber, the busboy, the handyman, the butcher, the bartender, the prep cook, the manager. I’ve done every job there is in this restaurant, and now I’m the one who has to shut us down.

It kills me. We were supposed to be getting ready to celebrate our 60th anniversary this year, and instead we’re packing up and closing at the end of this month. I’ll find another job, but it’s more than that. It’s home. These walls are like a family photo album. I try not to get too sentimental about it, because it won’t change a damn thing, but sometimes the stress hits me and my heart starts going like crazy. I get frustrated. It makes me angry. How does this whole situation make any sense? I don’t know a single person that’s gotten covid, and I know that’s probably lucky, but right now I can tell you about at least a dozen businesses going under and a few hundred people going broke.

I know this virus is real, okay? It’s real and it’s awful. I’m not disputing any of that. But our national hysteria is worse. We allowed the virus to take over our economy, our small businesses, our schools, our social lives, our whole quality of life. We surrendered, and now everything’s infected.

like to believe this restaurant is resilient. We tried to outlast it. My father worked here five days a week until he died at age 82, so that’s in our DNA. When the governor first shut us down in March, I got together with my brother and my cousin, and we agreed to think of this as an opportunity. The restaurant was doing pretty good at that point. We had a little money to spend. We said: “Let’s reinvest back in the business like it’s supposed to be done.” We remodeled the entire bar. We put in new bathrooms and new draft lines. We gave a tour to a few of our loyal customers, and they said: “Wow. When this place opens up, you’re going to fill it every day. You’ll be back bigger than ever.”

At first the state was only allowing us do carryout. So, okay. We’ve got five dining rooms, 85 employees, and 13,000 square feet of space, and now you want us to operate like your regular old burger shack? How many people do you know who are willing to spend $40 on a lukewarm steak that’s traveled halfway across town? That’s not our typical business. We’re old school. We don’t have frozen hot wings that we heat up and toss in a cardboard box in five minutes. We buy the chicken fresh, cut off the fat, pound it out and bread it. Your wings take 25 minutes while you’re enjoying a conversation and a cocktail or two. But that’s the old world, right? What choice did we have? We redid our carryout menu to cut the prices down and teamed up with DoorDash and Grubhub. We created themed menus for Mother’s Day and Easter. We delivered charity meals out to the hospitals and opened up a crab trailer out front so we could sell by the bushel. We were spending $800 a week on carryout containers, and there’s no real profit in any of it. You lose out on booze. You don’t get the same tips. We kept hanging on through March, April and May, but our revenue was down more than 80 percent. We had to lay off 75 people. That’s 75 families dealing with unemployment and financial hardships, and not because a virus made any of them sick.

When the state opened up for outdoor dining, I ran out to every Costco in the area and bought any picnic table I could find. We got 20 for $150 a piece. We roped off the parking lot and put out buckets of cold beer. We tried to make it look nice, but it’s summer in Baltimore, and it’s 90-some degrees outside and you’re selling cream of crab soup to people who are sweating on the asphalt. Nobody really came. Why would they come? We stood out there for nine hours each day and we waited.

We got more creative. We kept on trying. We opened up at 50 percent capacity and had live music, themed dinners, mystery nights and a meal with a psychic. We reinvented this restaurant a dozen times, but none of it worked.

And what kind of support did we get? More rules. More restrictions. More regulations, mandates and curfews. We have to close at 10 p.m., because I guess maybe covid comes out at 10:01 — except apparently not at the casino down the road, because they have political leverage, and they get to stay open as long as they want. You can sit at our bar and have a drink, but you can’t get up and mingle, because that’s considered a health violation, so now I’m trying to serve you and police you at the same time. “Thanks for coming! We really need your business. Now put on your mask or sit the hell back down!” I have to buy disinfectants, individual ketchups, paper menus, and personal salt-and-pepper shakers or else I might get fined. My employees have to wear their masks all the time, even when they’re alone in an office, but meanwhile we have a group of 40 people in the dining room with no masks on, and that’s deemed safe because they’re drinking water? None of it makes any sense.

We had a customer come in the other day, and she couldn’t get seated because we had a few other tables, and we’d hit our 50 percent capacity in the one dining room she likes. I had to ask her to wait. I’d rather sit her down and take her money. I hate this rule, but now I have to enforce it. But she could see all the empty tables, and she didn’t understand it. She got mad and decided to call 911 and tell them we were over capacity. Two armed police officers came through here. The whole foyer was empty. There was nobody at the bar. I’ve got a max fire rating on the wall for 323 people, and they couldn’t count up to 100. I told them: “I dream about being over capacity, but I doubt it will happen again.”

It’s like Trump said: The cure has been worse than the disease. People spent too much time at home watching the news all day, drinking in this hysteria until they were spraying down their groceries and afraid to leave home. It became another anti-Trump thing in the press. The impeachment didn’t work, the killer bees didn’t work, so let’s blow covid out of proportion and see if it hurts him. But it’s the rest of us that got hurt. It was day after day of failure. It was a slow and painful death.

We went to see our accountant at the end of the summer. He looked over the numbers but he didn’t say much, and that’s not like him. I said: “What would you do?” He said the way things were going, we’d have nothing left to lose within a few months.

We made the decision right then. There wasn’t much to discuss.

Our last day is September 30th, and then we’re done.

eli.saslow@washpost.com

Le Marxisme (et le sens de la vie) pour les nuls.

Encore un extrait d’un article de Miles Mathis. Qui tombe bien, je voulais justement écrire à ce sujet. Je profite donc de l’occasion pour le faire en préambule ci-après et pour présenter ces deux excellents auteurs. Deux pour le prix d’un alors ne vous plaignez pas.

Miles Mathis

Miles Mathis se revendique à la fois comme chercheur de vérité et « révolutionnaire de gauche », ce qui constitue un paradoxe. Il consacre beaucoup de temps à débusquer les crypto-juifs historiques, qu’il désigne comme membres de la « marine Phénicienne ». La démarche est un peu monomaniaque et simpliste mais permet de démonter pas mal d’arnaques historiques, travail que la majorité des « dissidents » ne font jamais. D’un autre côté, il se dit porteur de « l’esprit révolutionnaire », l’idéologie la plus mortifère dans l’arsenal des manipulations « phéniciennes ». Alors quoi? Selon lui, il y a une distinction à faire entre une fausse gauche contrôlée par les susnommés milliardaires et une gauche légitime issue du peuple, qu’il baptise « républicanisme » et assimile à un véritable élan populaire. Les Américains – enfin, les vrais – tiennent beaucoup à leurs libertés constitutionnelles (à leur « We, the People« ), en particulier au deuxième amendement, quoiqu’ils négligent souvent d’examiner le symbolisme de leurs monuments, qui figure également sur leurs billets de banque et pointe clairement les instigateurs de leur révolution, des gens qui ont la manie de tout signer de leurs pyramides, obélisques et autres compas. Mathis, en tant qu’Américain grand teint, voit donc sa république constitutionnelle comme le fruit d’une juste révolution, bien qu’il s’en défende. On peut d’ailleurs déceler dans ses définitions politiques le cliché typiquement étatsunien de la Liberté en lutte contre toutes les formes d’autoritarisme étatique, leur attribuant des appellations interchangeables telles que « fascisme » et « communisme ». Symptôme d’un manque de culture politique de sa part? Oui et non, les deux doctrines étant de facto issues des mêmes think tanks bancaires et produisant les mêmes effets, ce qui est tout sauf un hasard. En effet, c’est le XXème siècle qui aura servi à la haute finance de laboratoire planétaire du pouvoir politique – ce que Miles Mathis décrit très bien – au sein duquel fut testé et observé au niveau mondial le degré de soumission et de conformisme des peuples sous contraintes et stimuli divers : guerres, génocides, épidémies, dictatures, corruption institutionnelle, crises financières, capitalisme de connivence, ultra-libéralisme, consumérisme, décadence, perversions des moeurs – pièces d’artillerie lourde de l’ingéniérie sociale que l’on fait en ce début de XXIème converger dans la mécanique de soumission totale des peuples.

Alors pourquoi un bloggeur de droite relaye-t-il les écrits d’un gauchiste? D’abord pour confronter deux lectures du même phénomène et d’en retirer le plus grand dénominateur commun. On peut déjà dire qu’il se comporte en chrétien, et bien plus que moi. Ensuite, parce que son travail de décryptage historique (voir sur son site) en fait l’observateur idéal pour déjouer fausses pistes, manipulations et guerres triangulaires. Détail amusant, si selon sa propre tactique on s’en réfère à son patronyme, il pourrait lui aussi faire partie de la tribu (Mathis vient de l’hébreu « mattaï » qui signifie « don de dieu »). Enfin – on en est pas à un paradoxe près – parce qu’en dépit de son logiciel politique d’adolescent rebelle, il est tout ce qu’il y a de plus croyant, comme on le comprendra en le lisant. Ce n’est néanmoins pas sous cet angle qu’il exerce sa critique du marxisme. Ce que je ferai donc moi-même.

Moi

Je ne suis donc pas un « révolutionnaire de gauche » – je ne suis pas révolutionnaire du tout, d’ailleurs. On pourrait m’étiqueter – ou me diaboliser, au choix – « conservateur », « croyant » et/ou « de droite ». Appellations que je récuse : c’est l’athéisme qui a inventé les « croyants » et la gauche qui a inventé la « droite ». Avant que les premiers – athées et gauchistes – fassent déferler leurs maladies mentales sur le monde, les seconds étaient juste des gens normaux – tout ce à quoi je prétends.

Révolution

D’après moi, toute révolution est un fantasme et une imposture.

En théorie, le rôle d’une révolution serait d’ajuster la structure et l’organisation de la société aux aspirations et aux compétences de ses membres. Toujours en théorie, si elle peut advenir c’est grâce à la tension qui s’installe naturellement entre ces deux facteurs, qui demande résolution. Comme tout système entropique, les sociétés humaines finissent par dépasser leur date limite et doivent être mises à jour. Voire réinitialisées. N’est-ce pas, Klaus? Humour, je précise.

En pratique, ça n’arrive jamais.

Pourquoi? Par ce simple axiome : la société évolue, l’homme dégénère (c’est de moi, mais vous pouvez me le piquer). La vocation du cadre civilisationnel étant d’affranchir l’humain des limitations et périls des lois naturelles, une partie de ses compétences ne s’exerce plus, s’atrophie, et meurt, tandis que de nouvelles compétences peuvent se développer : c’est l’hyperspécialisation. Le problème réside dans l’issue logique de cette course à l’expertise, selon l’adage, « Un expert, c’est quelqu’un qui en sait de plus en plus sur de moins en moins de choses, jusqu’à ce qu’il sache tout sur rien ». En d’autres termes, c’est le meilleur moyen de se déconnecter du réel – dont certains psychologues prétendent aujourd’hui qu’il n’existe pas. J’invente pas. Ce qui implique que le rôle effectif de la société est moins de s’ajuster à des compétences humaines, volatiles et très relatives, qu’à ses lacunes, aux conséquences potentiellement tragiques. Je n’ai nul besoin de chiffres ou de statistiques pour savoir que la quasi-totalité des « citoyens » d’aujourd’hui est parfaitement incapable d’assurer sa simple survie en cadre naturel – et ce n’est pas la permaculture de balcon qui sauvera les bobos. Demain, selon la progression logique décrite plus haut, ils en deviendront tout autant incapables dans un cadre urbain, surtout si on les aide : d’ores et déjà, la maîtrise du langage et des concepts diminue de jour en jour. L’humain d’aujourd’hui est moins qu’un animal, demain il sera moins qu’une machine. La dégénérescence humaine précède donc l’évolution sociétale. Coup de bol incroyable, on a le Grand Reset et l’intelligence artificielle pour pallier à ce problème. On est donc passés en quelques siècles du risque de se faire bouffer par un ours à celui de se faire piquer par Bill Gates. On a les prédateurs qu’on mérite, je suppose.

La vie en société montre donc qu’elle est potentiellement un fléau pour l’homme. Rien de bien nouveau, mais rappel utile devant l’urgence présente de trouver des solutions humaines aux dégâts sociétaux, celles proposées par le haut de la hiérarchie étant pires que le mal : la faiblesse humaine est leur fonds de commerce.

On aura compris mon point de vue assez perplexe sur le « vivre ensemble » et partant, sur le modèle républicain. Le plus proche de moi (géographiquement) est la république française (ne me demandez pas de mettre des majuscules à ça), qui est depuis la première minute de la « révolution » jusqu’à ce jour est une histoire de mensonges, d’horreur, de terreur et de massacres. La petite élite parisienne dégénérée et corrompue qui tyrannise les régions : les Vendéens s’en souviennent. Histoire de haute trahison également, puisqu’elle a été et reste un coup d’Etat permanent, initialement téléguidé depuis la Banque d’Angleterre, alors aux mains des mêmes familles bancaires qu’aujourd’hui. Elle résume assez bien ce qu’ont été toutes les révolutions, colorées ou non (n’est-ce pas, George?) : opérations de corruption, de sabotage puis d’implosion artificielle d’un système, fomentées par une force externe, qui installera ensuite le système qui l’intéresse davantage. J’insiste, c’est ce que nous vivons aujourd’hui : le coup d’état bolchévique mondial commence par la mise à mort de ce qui reste du système économique et social, déjà à bout de souffle – comme un malade du Covid, en fait – pour son remplacement par le « nouveau normal » après Grand Reset. La Quatrième Révolution Industrielle n’est que le faux nez de la dictature technocratique, qui relaie la dictature bureaucratique actuelle sous couvert d’arguments « inclusifs » et « climatiques ». Green is the new red.

Et pour cause. Par définition, la « droite » tendant à la normalité, à l’ordre et à la stabilité, pratiquement toutes les révolutions sont « de gauche ». Dans leur version moderne, elles s’appuient côté logistique sur une junte d’assassins professionnels (milices privées, forces de l’ordre et militaires aux ordres) et côté politique sur un casting de têtes-à-claques, egos psychotiques, criminels, toxicomanes, pédophiles et autres pervers qui atteignent ainsi l’apogée de leur parcours d’enfants gâtés. Les Etats-Unis courent actuellement le danger d’en faire la douloureuse expérience. Ceci explique pourquoi l’infantilisation, la perversion et la corruption des masses est un prérequis indispensable à la prise de pouvoir par la gauche, pourquoi, comme nous l’explique Youri Bezmenov, ex-KGB, ses techniques de propagande visent en priorité les nouvelles générations, et pourquoi la classe moyenne est sa cible prioritaire, en tant que classe autonome, responsable et courageuse – donc adulte et par essence non-révolutionnaire, ou plutôt en révolution permanente contre son parasite éternel, la finance. La classe moyenne est de trop, entre maîtres très riches et esclaves très pauvres. A piller et éliminer, économiquement ou physiquement, ces deux procédés étant à cette minute mis en oeuvre simultanément.

La gauche

La « gauche révolutionnaire » a aujourd’hui tout infiltré, tout dénaturé, tout corrompu. Tous les Etats sont de gauche, y compris ceux de droite. Tous les partis politiques sont de gauche, y compris ceux de droite – à ce sujet, lire les bouquins de Ron Paul (notamment « End the Fed ») ou à défaut voir ses capsules vidéo. L’Eglise est de gauche. Les familles, derniers bastions supposés de la tradition, sont imprégnées de gauchisme, les pauvres. Pour protéger et perenniser cette pollution, la solution finale est aujourd’hui de détruire préventivement, à l’échelle industrielle, la dernière source potentielle de divin et de sacré directement dans le ventre de leurs mères avant qu’ils puissent advenir dans ce monde, de les découper vivants pour la recherche scientifique et la fabrication de vaccins destinés à stériliser les femmes et celle de cosmétiques à l’usage de tarées congénitales effrayées par le temps qui passe. Les enfants qui auront échappé au massacre seront à leur tour stérilisés par des bloqueurs hormonaux – bientôt administrés de force – avant l’âge de reproduction ou serviront éventuellement à l’hyperclasse de chair à sacrifier dans leurs messes noires ou de gibier dans leurs chasses privées. Dans l’indifférence quasi-générale.

« La fin de l’humanité telle que nous l’avons connue ». Effectivement.

La dernière revendication d’une humanité qui a déjà implosé sous l’effet de sa corruption mentale et morale est la liberté. Mais quelle liberté? Ceux qui la revendiquent ont bénéficié d’un accès à plus de privilèges que l’homme en a jamais connu dans l’histoire et qu’en ont-ils fait, sinon participer à leur propre perte? La liberté qu’ils demandent, c’est trop peu, trop tard, maintenant qu’ils sont confrontés à la destruction accélérée des dernières bribes de ce qu’ils ont été, ou auraient pu être.

Marxisme

D’après moi, le marxisme a au moins le mérite d’exposer la mécanique de l’imposture de la gauche, pour qui veut bien se donner la peine de la démonter. Il sert à une chose, le reste n’étant que diversion : la désacralisation de l’Homme, en confisquant et détournant de son sens le rôle social initialement rempli dans la société par l’Eglise, à travers la doctrine chrétienne. Je parle bien ici de la doctrine et non de son application, sujette à la corruption, comme tous les systèmes hiérarchisés. Ce n’est pas, loin s’en faut, l’idéologie qui fait la valeur de l’homme, fût-il d’Eglise, et à quelques rarissimes exceptions près, cette dernière est aujourd’hui aussi spectaculairement corrompue que l’ensemble du système politique et économique, voire davantage. Corruption qui arrive à point pour y laisser s’infiltrer le nouvel humanisme, version XXIème siécle.

La manoeuvre des concepteurs du marxisme consiste à imposer une analyse sociale de la société humaine articulée sur des catégories économiques qu’ils ont eux-mêmes créées avec la fabrication du prolétariat, pour leur permettre de vendre ensuite de la « lutte des classes » et de la dictature du susdit prolétariat – donc, là encore, l’éradication de la classe moyenne. En réduisant l’être humain à cette très misérable dimension travailleur/consommateur, le monde bancaire confie au marxisme la tâche de faire des valeurs chrétiennes l’ennemi, pour les remplacer par la déification de ses valeurs matérialistes – j’aurais pu écrire « défécation », terme plus approprié, d’ailleurs. Elle reprend ainsi le flambeau du darwinisme, articulé sur une falsification scientifique du même ordre, qui perdure à ce jour. Et pour cause : deux travaux de commande, aiguillages mentaux pour consommation de masse et pour le bénéfice des mêmes « suspects habituels », qu’il faut amortir le plus longtemps possible, selon leur logique d’investisseurs avisés. Une fois le terrain ainsi miné, toutes les « dérives » sont permises – absolument toutes : inversion totale des valeurs, négation des lois naturelles, déracinements, confiscation des propriétés et territoires, marchandisation de l’être humain, transhumanisme, avortement à l’échelle industrielle et commerce de bébés viables découpés en morceaux, eugénisme, euthanasie, génocides…

Mais faut-il vraiment y voir des dérives? Je ne crois pas, non. Dans les projets séculaires de ces familles, il faut comprendre que, toujours, le résultat était l’objectif. C’est la clé de tout. Les millions de morts, les destructions de civilisations entières, la perversion institutionnelle, le chaos et l’horreur sont parties essentielles des projets, dont il faut aussi comprendre qu’ils sont générationnels, mis en oeuvre en étapes successives au fil des siècles par les mêmes familles et cristallisés dans des doctrines encore plus explicites que le marxisme telles que le kabbalisme, recette de pouvoir occulte qui s’est frayé un chemin jusqu’aux plus hautes sphères de l’élite. Nous sommes en plein dedans.

Mais il faut bien gérer le troupeau. C’est la raison d’être du nouvel humanisme.

Opposition contrôlée

Cadeau Bonux de toute idéologie, l’opposition contrôlée en est un pilier marketing très utile, puisqu’il permet de protéger l’investissement initial. Piège intellectuel bien rodé mais facilement identifiable si on s’intéresse non à ce qu’elle dit – en général simple concession au sens commun – mais à ce qu’elle ne dit pas. Le marxisme permet de comprendre ce type de mécanique réductionniste, comme expliqué plus haut. Pour faire l’économie de la lecture de ce genre de littérature, on peut assister à une conférence d’un de leurs idéologues, exercice de démagogie assez hallucinant d’infantilisation – nous sommes les bons, ils sont les méchants – où on les voit s’emballer autour de leurs concepts creux tout en prenant garde à maintenir la distance de sécurité règlementaire avec le sacré. À force de ce genre de pirouettes, un de ces imbéciles finira par se froisser un ligament dans la tête.

La supercherie peut continuer indéfiniment. Après avoir fabriqué de la gauche pour détruire la « droite », on fabrique une droite en carton qui fait mine d’attaquer la gauche. C’est dans cette faune qu’on trouve certains « résistants » au « système » qui se présentent aujourd’hui comme alternative au pouvoir « libéral-libertaire » et comme seul rempart à la présente guerre anti-humaine. Le meilleur gag de ces clientélistes mondains est de les entendre se définir comme chrétiens, tout en citant volontiers Marx, Mao, Chavez, Castro et diverses autres créatures « révolutionnaires » formées chez les Rothschild, voire se déclarer national-socialistes ou prendre la Corée du Nord comme exemple de démocratie réussie. Tout ça en se défonçant aux drogues dures dans leur villa à l’étranger, pendant que j’écris entre deux journées de boulot ereintant les lignes qu’ils viendront me pomper allègrement. On se demanderait bien qui est le plus marxiste dans cette histoire. Si quelqu’un n’a pas compris après ça, je ne peux rien pour lui.

Je traduis donc cet extrait d’article aussi pour ceux qui auraient encore du mal à déterminer si c’est bien à ces gens qu’il faut accorder leur confiance et à qui éventuellement confier les clés de l’Etat, dans l’hypothétique cas où la présente organisation mafieuse d’analphabètes au pouvoir serait finalement évincée. Parce que quoiqu’en dise Miles Mathis, c’est ce qui arrive quand la détresse du peuple franchit les limites du supportable, qu’il crève de faim et de misère et qu’il ne lui reste que ça ou le suicide. Quand la peur de la mort s’efface devant le désir de vivre, en somme. Et dans ce cas ce n’est pas une révolution qui se produit mais une insurrection, dont l’objectif est exactement l’opposé. Nuance.

Je conclus sur l’anecdote suivante : j’ai posté sur le site le plus fréquenté de ladite opposition – contrôlée, donc – un commentaire (non publié) avec lien vers le présent blog. Je reçois depuis des visites quasi quotidiennes à partir d’adresses IP chinoises. C’est fort aimable de leur part. Question : qui a l’autorisation dans ce pays consulter le Net hors de leurs frontières?

Pour paraphraser Serge de Beketch, nos lecteurs en tireront les conclusions qu’ils voudront.


NB. Miles Mathis a écrit un (très long) article qui traite spécifiquement du personnage « Marx ». Il est en anglais. Je n’ai pas trouvé le temps de le traduire mais rien ne vous interdit de faire l’effort.


Traduction

Source originale ici. Traduction : moi.

[…] Souvenez-vous que c’est exactement la raison pour laquelle le marxisme a été initialement inventé. Marx en fit la promotion dans les années 1840 pour contrer les mouvements républicains émergents de l’époque, dont certains étaient bien réels et avaient une chance de réussir. Mais tous ont été infiltrés, cooptés et réduits en fumée par des fils de riches marchands qui se faisaient passer pour des révolutionnaires. Oui, Marx, Engels, Owens et tous les autres étaient issus de familles milliardaires, et ils ont spécifiquement été introduits dans les rangs républicains et dans les soulèvements populaires pour les bloquer et les faire imploser. C’est bien ce qui leur est arrivé.

Bien que ce fût la méthode employée par la marine phénicienne pour contrôler l’opposition au fil de nombreux siècles, simulant des événements et infiltrant leurs ennemis, c’est dans les années 1800 qu’ils l’ont vraiment peaufinée. Le marxisme a été leur plus grande invention à cet égard, celle qu’ils ont sans cesse utilisée depuis lors, partout dans le monde. Bien qu’il ait servi de couverture au fascisme en Russie et en Chine, son usage principal dans le reste du monde a été de supplanter le républicanisme. Partout où se produit un véritable soulèvement populaire contre les milliardaires, la marine phénicienne insère ses agents, qui se présentent comme marxistes. Ces agents prennent ensuite le contrôle du soulèvement local, et en font de la merde. Ils élaborent des histoires d’atrocités et chargent ensuite leurs agents marxistes d’appeler les médias pour les revendiquer. Les gens lisent ces histoires ou les voient à la télévision, et la révolution échoue. C’est ce qui s’est passé au Pérou, et cela s’est produit encore et encore dans tous les autres pays, y compris aux États-Unis. Parce que le peuple ne voit pas clair dans cette supercherie, les dirigeants ont continué à la mettre en oeuvre encore et encore. Et ils continueront à le faire tant que vous n’aurez pas compris.

C’est ce qu’ils vous font en ce moment, tandis que vous lisez ces lignes. Selon vous, qui fomente les émeutes actuelles, la mini-révolution Black Lives Matter et tout le reste? Les mêmes. Ils ont perçu un réel danger de soulèvement après la grande arnaque du Corona [NdT. Je rappelle que Miles n’a toujours pas capté la gravité des cas sévères de Covid], et ont orchestré un soulèvement factice pour le prévenir. Ils vous vendent l’idée que votre gouvernement se soucie vraiment des Noirs et qu’il s’en occupe. Ils cacheront quelques statues de confédérés et adopteront quelques lois qu’ils n’ont aucune intention de faire appliquer, tout en continuant à faire de ce pays un État policier et un élevage de moutons. Mais vous vous ferez duper en pensant que des progrès sont en cours, et vous resterez donc assis dans votre fauteuil relax à manger le poulet frit de votre Eglise.

Parce que l’élan révolutionnaire était en réalité assez faible, cela a paru fonctionner, mais si un soulèvement populaire aux États-Unis devait vraiment émerger dans un proche avenir, attendez-vous de la part des dirigeants à une supercherie d’un tout autre niveau. C’est ce qui s’est produit à la fin des années 60, au début des années 70, lorsque le gouvernement a dû tout mettre en œuvre pour empêcher que quoi que ce soit de concret puisse se produire. C’est à ce moment-là qu’ils ont enchaîné de gigantesques falsifications, notamment plusieurs faux assassinats de haut niveau, les Black Panthers, Manson, Patty Hearst, le Chicago Eight, une mise en accusation présidentielle et tout un chapelet de faux tueurs en série. Actuellement, tout le monde reste enfermé par peur des assassins de masse et des faux virus [NdT. Même remarque], mais cela pourrait changer. Quand ça arrivera, préparez-vous à un niveau de trucage qui fera ressembler la fin des années 60 à un vaudeville. Ils tenteront de vous faire croire en une série de crises tellement spectaculaires qu’elles éclipseront tout ce qui précède. Ne tombez pas dans le piège. Ignorez la tragédie scénarisée qui se déroule sur votre écran et ne cessez pas d’exiger qu’ils vous rendent tout l’argent qu’ils vous ont volé. ET NE LEUR EN DONNEZ PLUS!

La plupart de mes lecteurs ne comprennent pas l’objectif de mes articles, je le sais. Ils me disent que je ne peux pas gagner. Quel espoir y aurait-il si j’ai comme tout allié la foule de ceux qui portent des masques et qui sont prêts à croire tout ce qu’on leur raconte? Mais ils sont à côté de la plaque, comme d’habitude. J’AI DÉJÀ GAGNÉ, parce que je me suis départi des dirigeants de la Terre. Je me suis départi de leur histoire pervertie, de leurs idées perverties, de leur art perverti, de leur science pervertie et de leur sexualité pervertie. On m’a proposé de les suivre dans leur corruption et j’ai refusé.

Rappelez-vous, nous avons récemment vu Neil DeGrasse Tyson admettre que tout ça était un test, ce à quoi je lui ai répondu qu’il s’agissait bien d’un test, mais d’une nature complètement différente de ce qu’il pensait, et d’un tout autre niveau. Beaucoup, voire la majorité des gens ne comprennent pas ce qu’ils font ici. Pourquoi sont-ils nés sur cette Terre pleine de mystères? Quel est le sens de tout ça? Eh bien, c’est effectivement un test. Les textes anciens de toutes les religions vous le disent, et ils ne mentent pas. Votre courte vie sur cette planète corrompue sert à y tester votre réponse. Accepterez-vous cette corruption, et si oui jusqu’où? Nous sommes au fond tous testés pareillement, même les peuplades autochtones qui n’ont apparemment aucun lien réel avec les maîtres de cette Terre. Les peuplades autochtones doivent décider si elles acceptent ou non la corruption de «l’homme blanc», et dans quelle mesure. En ce sens, ce sont les Phéniciens qui subissent en fait le test le plus difficile de tous, puisque eux vivent le plus près du centre. Ils ne sont pas testés de loin, ils sont testés par leurs propres frères, sœurs et parents. Imaginez à quel point cela doit être terrible et à quel point il doit être difficile pour eux de s’échapper. Plus vous êtes né loin de ce nid, plus vous devriez être reconnaissant – même si vous avez probablement acquis cette distance dans une vie antérieure.

Vous ne gagnerez pas ici sur Terre en devenant riche ou puissant. Vous ne gagnerez pas en contrôlant ceux qui vous entourent. Vous ne gagnerez pas en gagnant des guerres, des fusillades ou des débats. C’est précisément ainsi que vous PERDREZ. Vous gagnerez en vous séparant autant que possible de ces dirigeants et de ces gouvernements corrompus. Vous gagnerez en refusant de les laisser vous corrompre. Vous ne gagnerez pas en les renversant, car ce n’est pas le projet ici-bas. Actuellement, cette planète est corrompue, et il n’y a pas grand chose que vous puissiez faire pour y remédier. Ce n’est pas vous qui avez créé le test ou la planète, vous ne faites qu’y vivre. Ce que vous pouvez contrôler, c’est votre propre réponse. Votre travail consiste à arriver le plus dignement possible à la fin de ce test, en faisant le moins de mal possible, tout en faisant autant de bien que possible. Répandez la joie et la lumière et empêchez le mal d’advenir. C’est ainsi que votre esprit grandira, en apprenant la leçon inhérente à ce monde.

Donc je n’écris pas mes papiers pour «gagner». Je n’écris pas pour déclencher une révolution ou pour renverser le gouvernement. Le gouvernement devra se renverser lui-même, s’il espère tirer quoi que ce soit de cette vie. Je ne peux pas vivre la vie de ces gens à leur place, de toute façon. Les renverser ne les «sauvera» pas de toute façon, puisqu’il n’y a qu’eux qui puissent se sauver eux-mêmes. Et les renverser ne vous sauvera pas, ni moi non plus, puisque nous pouvons toujours être corrompus sous n’importe quel gouvernement, même le meilleur. En fin de compte, vous ne pouvez renverser que vos pires pulsions, et c’est tout ce que vous êtes censé renverser. Il faut espèrer que vous pourrez prendre de bonnes décisions au jour le jour, c’est ce pour quoi vous devez vous battre. Quoi que vous fassiez d’autre, ne cédez pas à la pression autour de vous. Restez ferme. Restez sain d’esprit. Restez vertueux. Et n’ayez pas peur de la mort. Il y a des choses bien pires, comme de vivre avec sa propre corruption.


Texte original

Remember, this is exactly why Marxism was invented in the first place. Marx promoted it back in the 1840s to counter the rising republican movements of the time, some of which were real and some of which had some chance of success. But all of them were infiltrated, co-opted, and blown to smithereens by the sons of rich merchants posing as revolutionaries. Yes, Marx, Engels, Owens, and all the rest were from billionaire families, and they were inserted into the Republican ranks and popular uprisings specifically to stall them and implode them. Which they did.

Although the Phoenician Navy had been controlling the opposition this way for many centuries, faking events and infiltrating their enemies, they learned how to fine-tune their methods in the 1800s. Marxism has been their greatest invention in this regard, and they have used it non-stop since then all over the world. Although it was used as a cover for fascism in Russia and China, its main use in the rest of the world has been as a replacement for republicanism. Anywhere that there is a real popular uprising against the billionaires, the Phoenician navy inserts their agents posing as Marxists. These agents then proceed to take over the local uprising, turning it to crud. They fake a bunch of atrocities, then have their Marxist agents phone the media taking credit for them. People read this or see it on TV, and the revolution fails. That is what happened in Peru, and it has also happened again and again in every other country, including the US. Because people haven’t seen through this charade, the governors have been able to keep going back to it over and over and over. They will keep doing so until you wise up.

They are doing it to you right now, as you read this. Who do you think is running the current riots, the Black Live Matter mini-revolution, and all the rest? Same people. They saw a danger of a real uprising after the big Corona fake, so they manufactured a fake uprising to forestall it. They want youto think your government really cares about blacks and is on the case. They will hide a few Confederate statues and pass a few laws they have no plans to enforce, while continuing to turn the country into a police state and sheep farm. But you will be fooled into thinking progress is being made, so you will stay in your comfy chair and keep eating your Church’s fried chicken.

Because the revolutionary spirit was actually low, this looks like working, but if a popular uprising in the US really should emerge in the near future, look for a whole other level of faking from the governors. This is what happened in the late 60s, early 70s, when the government had to go all out to prevent anything real from taking place. That’s when they ran one huge fake after another, including several high-profile fake assassinations, the Black Panthers, Manson, Patty Hearst, the Chicago Eight, an impeachment, and a whole raft of fake serial killers. Currently they have everyone locking themselves down due to fear of mass murderers and fake viruses, but that could change. When it does, prepare yourself for a level of faking that makes the late 60s look like a vaudeville romp. They will be asking for belief in a set of gaudy crises that dwarf any before. Don’t fall for it. Ignore the scripted tragedy playing on your screen, and simply continue to demand they return all the money they have stolen from you. AND DON’T GIVE THEM ANY MORE!

Most don’t understand what I am up to in these papers, I know. They tell me I can’t win. What hope is there when my allies are a bunch of people wearing face masks who will believe anything? But they are missing the point, as usual. I HAVE ALREADY WON, because I have successfully separated myself from the rulers of the Earth. I have separated myself from their perverted history, their perverted ideas, their perverted art, their perverted science, and their perverted sexuality. I have been offered their corruption and refused it.

Remember, we recently saw Neil DeGrasse Tyson admitting this was all a test, and we saw me answering him that this was indeed a test, but a different one entirely than he thought, on a different level entirely. Many or most people don’t understand why they are here. Why were they born on this mysterious Earth? What is the point of it all? Well, it is indeed a test. The ancient texts in all religions tell you this, and they are not wrong. You were installed for a short lifetime on a corrupt planet to test your response. Will you go along with this corruption, and if so how far? We are all being tested in the same basic way, even Natives who would seem to have no real connection to these rulers of the Earth. Natives still have to decide whether to go along with the corruption of “the white man”, and if so how far. In this sense, the Phoenicians actually have the toughest test of all, since they are installed here closest to the center. They aren’t tested from afar, they are tested by their own brothers and sisters and parents. Just imagine how terrible that must be, and how difficult it must be for them to escape. The further away from that nest you were born, the more grateful you should be – though you probably earned that distance in a previous life.

You don’t win here on Earth by getting rich or powerful. You don’t win by controlling those around you. You don’t win by winning wars or shootouts or debates. That is precisely how you LOSE. You win by separating yourself as far as possible from these corrupt governors and governments. You win by refusing to let them corrupt you. You won’t win by overthrowing them, since that isn’t the scheme here. This is the corrupt planet for now, and there isn’t much you can do about that. You didn’t create the test or the planet, you are simply installed inside it. What you can control is your own response. Your job is to get out the far side of this test as cleanly as you can, doing as little evil as you can, while doing as much good as you can. Spread joy and enlightenment and prevent harm. In this way your spirit will grow, learning the lesson embedded here.

So my papers aren’t written to “win”. They aren’t written to spark a revolution or to overthrow the government. The government will have to overthrow itself, if it hopes to get anything from this life. I can’t live those people’s lives for them regardless. Overthrowing them won’t “save” them anyway, since they can only save themselves. And overthrowing them won’t save you or me either, since we can still be corrupt under any government, even the best. Ultimately, you can’t overthrow anything but your own worst impulses, and that is all you are expected to overthrow. It is hoped you can make good decisions day to day, so that is what you should strive for. Whatever else you do, do not cave to the pressure around you. Stay inflated. Stay sane. Stay virtuous. And do not fear death. There are far worse things, such as living with your own corruption.

De la science?

Il serait grand temps de comprendre à qui vous avez affaire.

Pour d’autres infos, je vous envoie vers le site de Liliane Held-Khawam.

Les virus

Source.

Extrait :

Baptisé Influenza Research Institute, le bâtiment est réservé aux recherches sur les virus de la grippe (influenza virus), mais pas n’importe lesquels! La spécialité du lieu, c’est la création de mutants potentiellement pandémiques. Des virus de la grippe non seulement provoquant une mortalité très importante, mais capables aussi de se propager avec une facilité confondante… par simple voie aérienne, comme les virus classiques de grippe saisonnière, via des microgouttelettes invisibles à l’œil nu.

Imaginez une sorte de virus Ebola qui s’attraperait juste en prenant le même bus qu’une personne infectée, et serait transmissible avant même l’apparition des premiers symptômes chez cette personne…

[…]

Lipsitch, qui dirige le Centre d’études de la dynamique des maladies infectieuses de Harvard, est un opposant résolu aux expériences qui ont lieu à l’université du Wisconsin.

Pour lui, ces travaux doivent immédiatement être interrompus : « Les quatre grandes épidémies grippales du siècle dernier ont infecté entre 25 et 40% de l’humanité. Si l’on applique à ces chiffres le taux de mortalité du H5N1 (60%), on dépasse le milliard de morts! Même avec un taux de décès de 1%, on approche les 20 millions de victimes.« 

Pour rappel, cet article du CNRS déjà cité dans mon article.


Les vaccins

Source francophone. Source originale.

Extrait (10’55-14’46):

(traduction)

Robert F. Kennedy Jr : « Pourquoi est-on passé de l’utilisation exclusive de cellules animales à celle de cellules foetales? »

Dr. Theresa Deisher : « C’est compliqué. Les mouvements de défense animale étaient très actifs à l’époque et, par exemple, le virus de la varicelle pouvait être reproduit dans des cultures de cellules de cobayes mais il existe pas mal d’opposition à l’utilisation d’animaux dans la recherche et les défenseurs des animaux les ont clairement incités à utiliser les corps de bébés avortés. D’un point de vue économique, ils pensaient que ça coûterait moins cher. Ce qui n’est pas le cas, parce que le cadre réglementaire est bien plus contraignant. Et finalement fabriquer du virus coûte moins de 10 cents. C’est le « builing » (NdT. la coupure de la chaîne d’ARN pour stopper la transcriptase) du virus qui coûte cher, donc ça n’a finalement pas été plus rentable pour eux. »

Robert F. Kennedy Jr : « C’est plutôt surprenant de voir que les défenseurs des animaux ont plus d’influence sur l’industrie du vaccin que les mouvements anti-avortement. »

Dr. Theresa Deisher : « C’est le cas. En fait, ce qui est très inquiétant c’est le peu de protestation contre le fait que des bébés humains naissent vivants à cinq ou six mois afin qu’on puisse extraire leur coeur en train de battre. Et il faut qu’il soit en train de battre pour être utilisé dans la recherche actuelle. Si le coeur ne bat plus, il n’est plus utilisable, on ne peut plus s’en servir. Donc ces bébés naissent en vie et leur coeur est découpé sans anesthésie. Je ne ferais pas ça à une souris. »

Robert F. Kennedy Jr : « Vous voulez dire, vous dites cinq mois, vous nous parlez d’un foetus de cinq mois. »

Dr. Theresa Deisher : « Oui. »

Robert F. Kennedy Jr : « Et ils naissent en vie? »

Dr. Theresa Deisher : « Oui. »

Robert F. Kennedy Jr : « Et ils sont tués par chirurgie. »

Dr. Theresa Deisher : « Leurs coeurs sont découpés. Ou on découpe dans leurs visages pour obtenir leur tissu cérébral. »

Robert F. Kennedy Jr : « C’est horrible. »

Dr. Theresa Deisher : « Oui. Et on ne ferait pas ça à une souris. »

Robert F. Kennedy Jr : « [Stanley Plotkin] dit qu’on utilise tout le foetus. Les foetus sont avortés puis découpés en morceaux. On utilise les langues, on utilise les yeux, on utilise toutes les parties du foetus. Est-ce vrai ou n’utilise-t-on que le coeur et le cerveau? »

Dr. Theresa Deisher : « On utilise tout le bébé, certains scientifiques achètent le coeur, un autre scientifique achète le cerveau, on achète les jambes ou les yeux. Les corps sont vendus en morceaux aux chercheurs. J’avais reçu un catalogue il y a une vingtaine d’années. Je n’oublierai jamais les prix. Un bébé de 32 semaines, ça signifie un bébé vivant. […] Les prématurés survivent à partir de 21 semaines maintenant. Donc ce sont des bébés viables. »

Je vous renvoie également à mon article ici. Vous pensez toujours que les sacrifices d’enfants se pratiquent uniquement en secret?

(transcription originale)

Robert F. Kennedy Jr : « Why did they switch from using exclusively animal cells to fetal cells? »

Dr. Theresa Deisher : « I think it’s complicated. The animal rights movement was very active at that time and for example chickenpox could have been manufactured in a guinea pig cell line but there’s quite a bit of objection for using animals for research and the animal activists were definitely driving them to go and use the bodies of aborted babies. Economically they thought that it would be cheaper. It’s not, though, because the regulatory aspects are so much higher. And it turns out making the virus costs less than 10 cents. Builing the virus is the cost, that’s 10$ so it didn’t end up more economical for them. »

Robert F. Kennedy Jr : « It’s kind of weird to think that the animal rights activists have more clout in the vaccine industry than do the anti-abortion activists. »

Dr. Theresa Deisher : « They do. You know, what’s really alarming is that lack of outcry over human babies born alive and five to six months old so that their hearts can be attained beating. And they have to be beating to be used in the research that’s being done. The heart has stopped beating, it’s not useful, you cannot use it. And so these babies are delivered alive and their hearts cut out without anaesthesia. I wouldn’t do that to a mouse. »

Robert F. Kennedy Jr : « You mean, you say five months old, you’re talking about a foetus that is five months old. »

Dr. Theresa Deisher : « Yes. »

Robert F. Kennedy Jr : « And they are live births? »

Dr. Theresa Deisher : « Yes. »

Robert F. Kennedy Jr : « And they are surgically killed. »

Dr. Theresa Deisher : « Their hearts are cut out. Or they cut through their faces to get their brain tissue. »

Robert F. Kennedy Jr : « Ok, that is horrible. »

Dr. Theresa Deisher : « It is. And we wouldn’t do that to a mouse. »

Robert F. Kennedy Jr : « [Stanley Plotkin] said that they used the entire foetus. The foetus were aborted and they were cut into parts. They used the tongues, they used the eyes, they used all the parts of the foetus. Is that true or they use just the heart and the brain? »

Dr. Theresa Deisher : « Well, they use the baby and certain scientists will purchase the heart and another scientist will purchase the brain, they purchase the legs or the eyes. The body parts are sold for research. I got a catalogue, 20+ years ago. I’ll never forget the prices. 32 week-old baby, that’s a living baby. […] Early deliveries survive at 21 weeks now. So we’re talking about viable babies. »

Ils vous le disent.

Vous êtes dangereux. Des nids de microbes. A désinfecter. Votre merde est contagieuse.

Vous êtes inutiles. Des bouches à nourrir. Juste bons à acheter à bouffer. Pour le reste, des employés non-essentiels. Restez chez vous, on a pas besoin de vos services.

Vous êtes bruyants. Vous parlez trop. Fermez vos gueules. Foutez-y un masque. N’importe lequel, on s’en fout.

Vous polluez. A respirer tout le temps, comme ça, gratuitement. A exhaler du dioxyde de carbone. A consommer comme des enfants gâtés. A acheter de la merde.

Vous êtes des animaux. Vous baisez, vous vous reproduisez. Vous mourez. A l’ére de la PMA, des transgenres et du transhumanisme, vous êtes un vestige.

Vous êtes con. Vous ne savez rien. On peut tout vous faire. Vous nous êtes soumis. Vous nous confondez avec vos parents. Vos petites révoltes de gosses nous amusent.

Vous êtes indisciplinés. On va vous surveiller. De près. De l’intérieur, même. On va vous parquer.

Parce que vous êtes répugnants.

Mais on est pas dénués de compassion. On veut bien vous tuer. Vos vieux, vos enfants à naître. En douceur, en silence. On a ce qu’il faut pour ça. Pour les autres, on a des drones. Pour la finition artisanale, on recrutera parmi vos semblables. Ceux qui travaillent déja pour nous.

On se racontera les histoires de votre fin misérable. On en rira bien.

Et puis on vous oubliera.

Ce n’est pas un vaccin – par Catherine Austin Fitts.

Voici la traduction d’un article de Catherine Austin Fitts, de Solari Report, publié le 25 juin 2020 sur le site Children’s Health Defense, de Robert Kennedy, Jr.

Catherine Austin-Fitts était responsable financière du secteur immobilier dans l’administration Bush Jr. Son analyse est celle d’un ancien « insider« , extrêmement compétente et parfaitement informée sur le monde financier international. D’après Miles Mathis, elle est dans l’opposition contrôlée. C’est bien possible, mais en attendant je ne trouve aucune désinformation dans son article, et c’est ce qui m’intéresse.

C’est donc pour cette raison que j’ai pris le temps pour vous le livrer traduit. Mise à jour : depuis le 25 août, l’article est également disponible en français sur leur site. Ce n’est pas ma traduction. Je ne suis pas professionnel. La leur est sans doute meilleure. J’imagine qu’ils ont eu un ping depuis mon blog qui leur a indiqué que des francophones s’intéressaient à leur travail.

Une interview récente en complément de cet article. En anglais, faites-vous aider si nécessaire.


La duperie des injections – ce n’est pas un vaccin.

Je ne suis pas scientifique. Je ne suis pas médecin. Je ne suis pas ingénieur en biotechnologie. Je ne suis pas avocate. Cependant, je lis, j’écoute, j’apprécie et j’essaie de comprendre ceux qui le sont.

J’ai été banquière d’investissement jusqu’à ce que la politique rende impossible la pratique mon art. J’ai été formée en tant que stratège de portefeuille – donc je cartographie mon monde en surveillant les flux financiers et l’allocation des ressources. J’ai également reçu une formation de créatrice et de petit soldat du complot – le complot étant le principe fondamental de l’organisation de tout dans notre monde. Ce n’est que lorsque j’ai quitté l’establishment que j’ai découvert que ceux qui ne faisaient pas partie du club sont entraînés à déconsidérer et à éviter le sujet des conspirations – une astuce qui sabote leurs tentatives d’acquisition de pouvoir.

Dans mon état de guerre permanente contre les agences du gouvernement américain, ma riposte a été, pendant un certain temps, de répondre aux questions des personnes suffisamment courageuses et curieuses pour solliciter mon avis. Au fil des années, cette défense s’est ventilée en deux entreprises. La première était le Solari Report, qui continue de croître en tant que réseau mondial de renseignement – notre objectif est de nous aider mutuellement à comprendre les événements, à y naviguer et à y rechercher des solutions positives. L’autre était mon rôle de conseillère en placement aux particuliers et aux familles par le biais de Solari Investment Advisory Services. Au bout de dix ans, j’ai converti cette entreprise en un service de screening ESG (facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance). Ce que cherchent ceux qui l’utilisent n’est guère autrement disponible sur le marché – un screening qui tienne compte de ce qu’on sait de la corruption financière et politique. Le suivi des métastases de la corruption est un art, pas une science.

Lorsqu’on aide une famille à gérer ses finances, il est impératif de comprendre tous ses risques potentiels. Leur réussite financière dépend de l’atténuation efficace de tous les risques – financiers ou non – qu’ils rencontrent dans leur vie quotidienne. Les risques non-financiers peuvent avoir un impact majeur sur l’allocation des ressources familiales, en ce y compris les soins, le temps, les actifs et l’argent.

Bon nombre de mes clients et de leurs enfants se retrouvent anéantis et épuisés après avoir enduré les échecs et la corruption des services de santé – le catalyseur le plus courant de ces dégâts étant la mort et les lésions liés aux effets des vaccins. Après de longues et horribles confrontations avec l’establishment médical, ils se demandaient invariablement: «Si la corruption est si profonde dans les domaines de la médecine, de l’alimentation et de la santé, qu’en est-il dans le monde financier?» Refroidis par cette pensée, ils recherchaient un professionnel de la finance aguerri aux arcanes du gouvernement américain et à la corruption financière. Et ils me trouvaient.

Le résultat de ce afflux de personnes brillantes et éduquées, dotées des ressources nécessaires pour me payer mon temps, c’est que, pendant dix ans, j’en ai appris beaucoup sur les dommages et la mort infligés à nos enfants par ce que j’appelle maintenant «le grand empoisonnement ». J’ai eu l’occasion de chiffrer à maintes reprises les dommages humains pour toutes les personnes concernées – pas seulement pour les enfants touchés, mais pour leurs parents, frères et sœurs et générations futures – en cartographiant les coûts financiers des dommages causées par les vaccins, encore et encore et encore. Ces cas n’étaient pas aussi inhabituels qu’on pourrait l’imaginer. Des études indiquent que 54% des enfants américains souffrent d’une ou de plusieurs maladies chroniques [NdT. j’ai trouvé un site qui les recense]. Des médecins en qui j’ai confiance me disent que ce nombre est en fait beaucoup plus élevé, car de nombreux enfants et leurs familles ne peuvent pas se permettre les soins et les tests nécessaires pour diagnostiquer correctement ce qui les afflige.

L’une des mères présentées dans VAXXED – un documentaire incontournable pour tout citoyen éveillé, tout comme sa suite VAXXED II: La vérité du peuple [NdT. les deux sont ici en VOSTF] – a estimé qu’un enfant lourdement autiste coûte 5 millions de dollars au cours actuel à élever et à soigner tout au long de sa vie. Lorsque ceux de mes clients qui étaient grands-parents insistaient sur le fait qu’ils ne voulaient pas interférer pas avec les choix vaccinaux de leurs enfants parce que ce n’était «pas leurs affaires», je répondais : «Vraiment? Qui a les 5 millions de dollars? Vous, vos enfants? Lorsque vos enfants auront besoin de 5 millions de dollars pour élever leur enfant handicapé par la vaccination, allez-vous leur refuser? C’est vous le banquier et c’est votre argent qui est en jeu ici, c’est donc votre affaire. Voulez-vous dépenser ces 5 millions de dollars pour faire croître une famille forte au fil des générations ou pour gérer un enfant handicapé qui n’avait pas à être handicapé?» Souvent, ces 5 millions de dollars de dépenses se traduisent également par divorce, dépression et opportunités perdues pour les frères et sœurs.

Mes clients m’ont aidé à trouver les meilleures ressources – livres, documentaires, articles – sur les vaccins. Vous trouverez plusieurs d’entre eux en liens ou commentés sur Solari Report, y compris dans notre bibliothèque.

Pourquoi…

De toutes mes questions, celle sur laquelle j’ai passé le plus de temps en recherche et réflexion était de comprendre pourquoi. Pourquoi l’establishment médical a-t-il intentionnellement empoisonné des générations d’enfants? De nombreux auteurs après avoir fait des recherches et écrit sur les lésions et les décès dûs aux vaccins ont supposé qu’il s’agissait d’une aberration – le résultat de l’orthodoxie d’un établissement médical qui ne pouvait ni faire face, ni gérer ses erreurs et ses responsabilités. Cela m’a toujours paru insensé. Les écrits de Forrest Maready, de Jon Rappoport, du Dr Suzanne Humphries et d’Arthur Firstenberg m’ont aidé à comprendre le rôle des vaccins dans l’escroquerie qui consiste à faire économiser de l’argent aux compagnies d’assurance et aux personnes légalement responsables.

Voici un exemple de la façon dont s’opère la supercherie. Une toxine crée une maladie. La toxine peut être: des pesticides, une pollution industrielle ou le rayonnement d’une technologie sans fil. La toxine affecte des millions de personnes et leurs communautés. Les entreprises ou leur assureur peuvent être tenus responsables d’infractions civiles ou pénales. Ensuite, on accuse un virus. Un «remède» se trouve dans un «vaccin». L’exposition aux pesticides ou à d’autres substances toxiques est stoppée au moment de l’introduction du vaccin, et hop, la maladie disparaît. Le vaccin est présenté comme une réussite et l’inventeur comme un héros. Une catastrophe financière potentielle a été convertie en profit, y compris pour les investisseurs et les fonds de pension. En tant que stratège de portefeuille, j’admets que l’astuce est brillante et a probablement protégé le secteur de l’assurance contre les pertes en faillite qu’il subirait s’il devait indemniser équitablement les personnes et les familles détruites.

Grâce au travail de Robert Kennedy et Mary Holland de Children’s Health Defence, je comprends maintenant les énormes profits générés par les prétendus «vaccins» suite à l’adoption du National Childhood Vaccine Injury Act de 1986 et à la création du National Vaccine Injury Compensation Program – un mécanisme fédéral pour indemniser sans égard à la faute les lésions ou les décès liés aux vaccins par l’établissement d’une procédure de réclamation devant la Cour Fédérale des réclamations des États-Unis et d’autres commises à cet effet. Il suffit d’appeler un médicament ou un cocktail biotechnologique un «vaccin», et les entreprises pharmaceutiques et biotechnologiques sont exemptes de toute responsabilité – le contribuable paie. Malheureusement, ce système est devenu une invitation ouverte à gagner des milliards à partir des «produits injectables», en particulier là où les réglementations et les lois gouvernementales peuvent être utilisées pour créer un marché garanti par le biais d’obligations légales. Dès lors que les agences gouvernementales, les législateurs ainsi que les entreprises de media ont développé divers systèmes pour engranger des milliards de bénéfice, d’importants conflits d’intérêts sont apparus.

La Loi sur l’Etat de Préparation du Public et la Protection Civile (PREPA ou PREP Act) est entrée en vigueur en 2005, accordant en plus aux entreprises l’exemption de toute responsabilité. Cette Loi «est un bouclier controversé de responsabilité délictuelle destiné à protéger les fabricants de vaccins contre les risques financiers en cas d’urgence de santé publique déclarée. La loi accorde spécifiquement aux fabricants de médicaments l’immunité de responsabilité financière potentielle pour les essais cliniques de […] vaccin à la discrétion de la branche exécutive du gouvernement. PREPA renforce et consolide la surveillance des contentieux contre les laboratoires pharmaceutiques sous la responsabilité du Secrétaire d’Etat à la Santé et aux Services sociaux.» (~ Wikipédia)

L’ingénierie des épidémies

Au fil du temps, tout cela a évolué vers l’ingénierie des épidémies – la version médicale des attentats sous faux drapeau. En théorie, il peut s’agir de «psyops» ou d’événements fabriqués par guerre chimique, guerre biologique ou technologie sans fil. Si cela semble étrange, plongez-vous dans tous les écrits des «individus ciblés».

J’en ai fait l’expérience personnelle lorsque j’ai intenté un procès contre le Ministère de la Justice et que j’ai été victime de harcèlement physique important. J’ai essayé d’embaucher plusieurs sociétés de sécurité; ils vérifiaient mes références et refusaient ensuite le travail, disant que c’était trop dangereux. Le dernier a eu pitié de moi et m’a conseillé de ne pas m’inquiéter de l’armement électronique, me faisant savoir que mon principal problème serait la guerre biologique de faible intensité. Cet expert en guerre biologique a prédit que mon adversaire percerait des trous dans le mur de ma maison pour y injecter «l’ennemi invisible». Effectivement, c’est exactement ce qui s’est passé. J’ai vendu ma maison et j’ai quitté la ville. Ce voyage a été pour moi le début d’un long processus d’apprentissage de la manière dont l’empoisonnement et les armes non létales sont utilisés – quand il faut déplacer les gens des appartements à loyer contrôlé, rendre malade les personnes âgées pour les déplacer vers des logements plus chers subventionnés par le gouvernement, traquer des cibles politiques ou commerciales, affaiblir ou tuer des justiciables – la liste est longue. L’empoisonnement se révèle être une tactique beaucoup plus courante dans le jeu de la guerre politique et économique en Amérique que je ne l’avais compris auparavant.

Après la fin de mon litige, j’ai passé plusieurs années à me désintoxiquer des métaux lourds, y compris du plomb, de l’arsenic et de l’aluminium. En parcourant l’Amérique, j’ai réalisé que je n’étais pas la seule. Les Américains ressemblaient de plus en plus à un peuple aux prises avec des niveaux élevés d’intoxication aux métaux lourds. Durant le processus de réduction significative de mes niveaux inhabituellement élevés de métaux lourds, j’ai découvert comment cette charge toxique compromettait mes perspectives de vie, mon énergie et ma capacité à gérer des informations complexes.

Cela m’amène à la question de savoir ce qu’est exactement un vaccin et ce qu’il y a exactement dans les concoctions que l’on injecte aujourd’hui aux gens ainsi que dans les bouillons de sorcières actuellement en cours de développement.

Qu’est-ce qu’un vaccin exactement?

En 2017, des chercheurs italiens ont examiné les ingrédients de 44 types de prétendus «vaccins». Ils ont découvert des débris de métaux lourds et une contamination biologique dans chaque vaccin humain qu’ils ont testé. Les chercheurs ont déclaré : «La quantité de corps étrangers détectés et, dans certains cas, leurs compositions chimiques inhabituelles nous ont déconcertés.» Ils ont ensuite tiré la conclusion évidente, à savoir que, parce que les micro- et nanocontaminants n’étaient « ni biocompatibles ni biodégradables», ils étaient «biopersistants» et pouvaient provoquer des effets inflammatoires immédiats – ou différés.

Tissus fœtaux avortés, tissus animaux, aluminium, mercure, matériaux génétiquement modifiés – et quoi d’autre?

Quels que soient les ingrédients des vaccins à ce jour, rien n’est plus bizarre et inquiétant que ce qu’on propose d’y inclure à l’avenir. Ces stratégies – déjà bien financées et en bonne voie – comprennent la nanotechnologie d’interface cerveau-machine, les dispositifs de suivi d’identité numérique et des technologies à date d’expiration qui peuvent être gérées et désactivées à distance. Un rapport indique que le gouvernement danois et la Marine américaine ont payé une société de technologie au Danemark pour fabriquer une puce injectable compatible avec l’une des principales crypto-monnaies.

Je lisais récemment l’excellent article de Mary Holland en 2012 sur les décisions des tribunaux américains en matière de vaccins («Vaccination obligatoire, Constitution et obligation du vaccin contre l’hépatite B pour les nourrissons et les jeunes enfants», Yale Journal of Health Policy, Law, and Ethics), je suis restée figée et je me suis demandé, «Pourquoi appelons-nous les produits injectables dont Bill Gates et ses collègues font la promotion des «vaccins»? Sont-ils vraiment des vaccins?»

Le capitalisme de surveillance est en marche

La plupart des gens savent comment Bill Gates a amassé et conservé sa fortune. Il était propriétaire d’un système d’exploitation chargé dans votre ordinateur. La rumeur voulait que les agences de renseignement américaines y disposent d’une porte dérobée. L’explosion simultanée et soudaine des virus informatiques a alors rendu nécessaire la mise à jour régulière de votre système d’exploitation, permettant à Gates et à ses associés d’ajouter régulièrement ce qu’ils voulaient dans votre logiciel. Un de mes développeurs de logiciels les plus avertis m’a dit une fois dans les années 90 – lorsque Microsoft a vraiment pris son envol – «Microsoft fabrique des logiciels vraiment merdiques.» Mais bien sûr, leur logiciel était le cadet de leurs soucis. Leur activité consistait à accéder à toutes vos données et à les regrouper. Le capitalisme de surveillance était en marche.

Le Ministère de la Justice a lancé une action antitrust contre Microsoft en 1998, au moment même où les 21.000 milliards de dollars [NdT. voir mon article ici] commençaient à disparaître du gouvernement américain – sans doute à l’aide de logiciels et de systèmes informatiques spécialement conçus à cet effet. Au cours des négociations en règlement qui ont permis à Gates de garder sa fortune, il a lancé la Fondation Gates et sa nouvelle carrière de philanthrope. J’ai ri l’autre jour lorsque mon tweet d’un des articles de Robert Kennedy Jr. de Children’s Health Defence – décrivant la technologie horrible que Gates espère déployer grâce aux «injectables» – a inspiré cette réponse: «Eh bien, je suppose qu’il a enfin réglé sa part du règlement antitrust ».

Si vous regardez ce qui est créé et proposé en termes de produits injectables, il me semble que ces développements technologiques s’organisent autour de plusieurs objectifs potentiels.

Le premier objectif, et le plus important, est le remplacement du système de devise en dollars américains utilisé par la population générale par un système de transaction numérique qui pourra être combiné avec une identification et un suivi numériques. L’objectif est de mettre fin aux devises telles que nous les connaissons et de les remplacer par un système de carte de crédit embarqué qui pourra être intégré à diverses outils de contrôle, y compris potentiellement le contrôle mental. La «dé-dollarisation» menace le système de réserve mondiale du dollar. Les masses monétaires M1 et M2 ont affiché une croissance à deux chiffres au cours de la dernière année à la suite d’un nouveau cycle d’assouplissement quantitatif de la FED. La raison pour laquelle nous ne sommes pas entrés en hyperinflation est la chute spectaculaire de la vitesse de circulation de la monnaie occasionnée par une conversion du Covid-19 en un gel artificiel d’une importante partie de l’activité économique et la faillite de millions de petites et moyennes entreprises. Les gestionnaires du système dollar subissent une pression urgente pour utiliser les nouvelles technologies afin de centraliser les flux économiques et de préserver leur contrôle du système financier.

Tout comme Gates a installé un système d’exploitation dans nos ordinateurs, le nouveau projet est d’installer un système d’exploitation dans nos corps et d’utiliser des «virus» pour exiger une installation initiale suivie de mises à jour régulières.

Une attaque furtive légale

Maintenant, je comprends pourquoi Gates et ses collègues tiennent à appeler ces technologies des «vaccins». S’ils arrivent à persuader le corps politique que les cartes de crédit injectables ou les trackers de surveillance injectables ou les nanotechnologies injectables d’interface cerveau-machine sont des «vaccins», ils bénéficient de la protection d’un siècle et plus de décisions juridiques et de lois qui les aideront à imposer leur agenda. De plus, ils peuvent demander que les contribuables américains financent, par l’entremise du National Vaccine Injury Compensation Program, les dommages, dont ils seraient autrement responsables, causés par leurs expérimentations – ainsi que les violations du Code de Nuremberg et de nombreuses lois civiles et pénales – sur la population générale. Le système est assez astucieux. Une fois la population générale amenée à accepter que ces nouvelles préparations high-tech injectables soient appelées «vaccins», ils pourront les faire passer directement par le pipeline des vaccins. Plus besoin de s’inquiéter des malades et des morts qui résulteront de quelque chose d’aussi artificiel délivré aussi rapidement. L’absence de responsabilité garantie selon la loi PREP par la déclaration d’une urgence – et la capacité de maintenir l’urgence grâce au traçage des contacts – peut les protéger de la responsabilité de milliers, voire de millions de morts et de handicaps susceptibles de survenir d’une telle expérimentation humaine. Idéalement, ils peuvent simplement attribuer les décès à un virus.

Un collègue m’a expliqué un jour comment le dictionnaire Webster est né. Webster a déclaré que la façon dont les criminels changeraient la Constitution n’était pas en la modifiant mais en en changeant les définitions – une attaque furtive légale.

Je crois que Gates et les industries pharmaceutique et biotechnologique cherchent littéralement à créer une grille de contrôle mondiale en installant des composants d’interface numérique et en nous connectant au nouveau cloud JEDI de 10 milliards de dollars de Microsoft au Ministère de la Défense ainsi qu’au contrat de cloud de plusieurs milliards d’Amazon pour la CIA, partagé avec toutes les agences de renseignement américaines. Pourquoi pensez-vous que le président Trump a organisé l’armée pour le stockage des seringues pour les vaccins? C’est probablement parce que l’armée y installe le système d’exploitation itinérant pour l’intégration dans leur cloud. N’oubliez pas que le gagnant dans la course à la superpuissance de l’IA sera le système d’IA qui aura accès au plus grand volume de données. Accéder à votre corps et à mon corps 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, génère beaucoup de données. Si les Chinois le font, les Américains voudront le faire aussi. En réalité, le déploiement de «systèmes d’exploitation» humains peut être l’une des raisons pour lesquelles la concurrence autour des télécommunications Huawei et 5G est devenue si féroce. Comme Frank Clegg, ancien président de Microsoft Canada, nous en a averti, la 5G a été développée par les Israéliens pour le contrôle des foules.

Face à la «dé-dollarisation» mondiale, c’est ainsi que le syndicat du dollar peut affermir le contrôle central dont il a besoin pour maintenir et étendre sa puissance financière mondiale en tant que monnaie de réserve. Cela comprend la protection de ses dirigeants contre la responsabilité civile et pénale liée aux niveaux explosifs de fraude financière et médicale au cours des dernières décennies.

Ce qui me ramène à vous et moi. Pourquoi appelons-nous ces formulations des «vaccins»? Si je comprends l’histoire de la jurisprudence, les vaccins, en termes juridiques, sont des médicaments. L’intoxication intentionnelle aux métaux lourds n’est pas un médicament. Les composants de surveillance injectables ne sont pas des médicaments. Les cartes de crédit injectables ne sont pas des médicaments. Une interface cerveau-machine injectable n’est pas un médicament. L’immunité juridique et financière des compagnies d’assurance ne crée pas d’immunité humaine contre la maladie.

Nous devons cesser de permettre que ces concoctions soient désignées par un mot que les tribunaux et la population générale définissent et traitent comme des médicaments et exemptent de toute responsabilité juridique et financière.

Les auteurs de cette fraude emploient une astuce très habile – qui les aidera à aller beaucoup plus vite et à éliminer beaucoup de risques – à nos dépens. Je comprends pourquoi ils le font.

Ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi nous les aidons. Pourquoi acceptons-nous d’appeler ces préparations bizarres et profondément dangereuses des «vaccins»? Quoi qu’ils soient, ils ne sont pas des médicaments.

Alors, quelle sera notre convention de dénomination? Quel nom donnerons-nous aux poisons, aux métaux neurologiquement dommageables et à nos chaînes numériques?

Quelle que soit notre façon de les appeler, je sais une chose. CE NE SONT PAS DES MÉDICAMENTS, CE QUI SIGNIFIE QUE CE NE SONT PAS DES VACCINS.

Ô vieillesse ennemie.

On me signale en régie que l’Amicale des Trotskistes en Costard, plus connue sous le nom « Union Européenne », après avoir avec quelque succès interdit la chloroquine, seul remède connu contre l’infection anti-vieillards qui a sévi récemment – ce qui aidera les fonds de pension à respirer – vient de faire l’acquisition de stocks d’une nouvelle méthode d’assainissement budgétaire, un anti-viral qui cumule les intérêts d’être à la fois dangereux et cher, l’euthanasie à coup de calmants dans les maisons de retraite ayant ému les familles et même certains médecins.

Lire ceci sur France-Soir.

Voir aussi le site de Vernon Coleman. Et le Dr Charbonnier ici.

En voilà une crise qu’elle est bien gérée.

Infanticide légal.

Je l’avais écrit dans cet article le 29 juillet. C’est à présent chose faite.

Loi bioéthique : l’avortement désormais autorisé pour “détresse psychosociale” jusqu’au terme de la grossesse.

Vous avez bien lu.

Voilà où on en est.

Déroulement d’une IMG, extrait :

Lorsque la grossesse a plus de 22 à 24 semaines d’aménorrhée, une anesthésie fœticide est recommandée avant le déclenchement de l’accouchement, au vu des connaissances sur la douleur chez le fœtus. Les protocoles sont très variables d’une équipe à l’autre. Le plus souvent, il consiste à injecter dans le cordon ombilical  une drogue anesthésiante ou analgésiante puis une drogue fœticide (entraînant la mort du fœtus).

Elle est pas belle, la vie?

Voici la liste des députés qui proposent cet amendement « du groupe socialistes et apparentés, issu des travaux de la Délégation aux droits des femmes », sur le site de l’Assemblée Nationale :

Mme Battistel, M. Aviragnet, Mme Pau-Langevin, M. Saulignac, Mme Rabault, Mme Bareigts, Mme Biémouret, M. Jean-Louis Bricout, M. Alain David, Mme Laurence Dumont, M. Faure, M. Garot, M. David Habib, M. Hutin, M. Juanico, Mme Karamanli, M. Letchimy, Mme Manin, Mme Pires Beaune, M. Pueyo, Mme Rouaux, Mme Tolmont, Mme Untermaier, Mme Vainqueur-Christophe, M. Vallaud et Mme Victory.

Lisez ceci sur France-Soir. Respect pour leur courage et leur boulot.

Pour vomir, un article sur le site de LCI, qui nous explique qu’on n’a encore rien compris et qu’en fait ce n’est pas si grave, puisque :

… cette pratique concerne entre 200 et 300 avortements par an, contre 215.000 à 230.000 IVG annuelles. […] L’amendement doit permettre d’ajouter : « Ce péril pouvant résulter d’une détresse psychosociale ». Dans tous les cas, la décision est prise par un collège médical, une équipe pluridisciplinaire composée de quatre professionnels de la Santé : un médecin qualifié en gynécologie obstétrique membre d’un centre pluridisciplinaire de diagnostic prénatal, un praticien spécialiste de l’affection dont la femme est atteinte, un médecin ou une sage-femme choisi par la femme et une personne qualifiée tenue au secret professionnel qui peut être un assistant social ou un psychologue.

Donc, il n’y a aucun problème.

L’auteur de cet article se nomme Mathilde Roche.

Les camps se précisent. On a les noms. Prenez des notes.

Sur le site de Worldometers, dans la Rubrique Health, le nombre d’avortements en temps réel.

Un par seconde.

Darwinisme social, arme de destruction massive.

Le progrès matériel, autrefois phénomène en adéquation avec les besoins de maîtrise de l’homme sur les éléments, est devenu une doctrine invasive, qui prétend définir et contrôler la destinée humaine : le progressime, lui-même ancré dans le darwinisme social. Ce dernier, escroquerie scientifique fondatrice du logiciel mondialiste s’est progressivement (si on peut dire) emparé de la marche globale de la civilisation, sous diverses appellations, dont la croissance est la vedette. Nous avons maintenant droit à sa soeur maudite, la décroissance. L’actuelle crise organisée, version sanitaire, a permis de passer en quelques semaines à la vitesse supérieure de la transition, et à une échelle de destruction spectaculaire :

  • destruction sociale : déjà accomplie par la fracture familiale et l’individualisme marchand, elle culmine aujourd’hui avec des mesures d’urgence telles distanciation sociale et délation (typique des régimes totalitaires), actes anti-humains élevés au rang de normes;
  • destruction économique : avec la suppression définitive des dernières forces vives de production occidentales au profit de réseaux internationaux, on défriche les vestiges du terrain socio-économique lentement érodé depuis la fin des corporations par (dans cet ordre) le salariat, le fonctionnariat, l’assistanat, l’uberisation, bientôt tous refondus dans le nouveau modèle de paupérisation institutionnelle, appelé revenu universel;
  • destruction de la propriété et de la liberté individuelle à l’arme financière : après le divorce définitif du lien production/valeur financière au profit de la spéculation sur les mouvements boursiers, qui fait du délit d’initié une vertu cardinale et de la catastrophe mondiale une aubaine, viendra la virtualisation complète de l’argent, devenu outil de contrôle exclusivement.

C’est bien la logique du darwinisme social, sous le masque de ses incarnations mortifères philosophiques (athéisme, laïcité), politiques (marxisme, et sa version culturelle), pseudo-scientifiques (évolutionnisme, eugénisme, transhumanisme, freudisme) et sa parodie de justice sociale et ethnique (égalitarisme, droit-de-l’hommisme, anti-fascisme, anti-racisme), qu’on retrouve derrière cette mise à mort de l’ancien monde, c’est-à-dire la civilisation européenne et son pendant en Amérique du nord, et qui génère son propre alibi dans sa logique circulaire. Le peuple mérite ce qu’il lui arrive puisqu’il participe activement à sa propre fin, ou en français courant, puisqu’il est assez con pour. Cette justification d’inversion morale autorise à ceux qui l’utilisent des limites à géométrie variable, voire aucune limite. La notion chrétienne de sacralité de l’homme évacuée, il reste un troupeau de créatures à normer, dont la valeur individuelle est fonction de la valeur sociale, selon une pensée (sous influence) typiquement protestante. En termes théologiques, le jugement de Dieu est confisqué, ce sont ses usurpateurs qui se chargent d’infliger le châtiment sur Terre. L’humanité est réduite à un troupeau domestiqué, dont les maîtres disposent selon les nécessités de leur projet : privés de leur destin, manipulables, exploitables, vendus entiers ou en morceaux, mis à mort lorsque jugé opportun. Tout est permis, rien n’est grave. La fin – le modèle frauduleux de la nouvelle humanité – justifie les moyens. Problème réglé, nuit paisible. Demain matin, les vestiges du monde ancien seront à liquider, ceux qui le représentent devront disparaître comme leurs prédecesseurs (source) : après le massacre des Vendéens à la Révolution (200.000 morts), des chrétiens de Russie à la Révolution bolchévique (10 millions ou plus, selon les sources), des victimes chinoises des purges communistes (80 millions), deux guerres mondiales (15 millions et 66 millions de morts), la mise en place de l’avortement à échelle industrielle (220.000 par an en France, 50 millions depuis 1973 aux USA) et la commercialisation de ses produits dérivés (bientôt, probablement, l’avortement post-partum), la destruction de la famille, de la classe moyenne, le remplacement ethnique, on en arrive aujourd’hui à ce que l’éradication culturelle – à coups de déboulonnage de statues, notamment – et physique de l’homme blanc soit considérée comme objectif avouable par des membres du monde politique, des médias et des mouvements « progressistes » au-devant de la scène (BLM, LGBT) qui ne se gênent pas pour l’annoncer clairement.

Tout va bien.