Une séquence « consensuelle » des événements liés au SARS – par Jim Haslam.

Voici l’article que je promets depuis des mois, une enquête journalistique monumentale menée par l’auteur. Il est le premier d’une série de quatre. Sauf demande expresse (un petit merci tous les cinq cents articles serait bienvenu), je ne promets rien pour les autres. Sa traduction m’a pris un temps considérable, sa lecture attentive vous prendra une ou plusieurs heures, voire des semaines si vous suivez les centaines de liens vers les références (en anglais) – un mot par lien, il faut donc cliquer sur chaque mot en bleu, même quand ils se suivent. Si vous vous lancez, vous verrez tout de suite que c’est plus qu’informatif, c’est passionnant – et ça répond à pas mal de questions, notamment: d’où venait cette obsession de la contagion asymptomatique?

Pour rappel, l’article précédent est un bon résumé et une bonne introduction, avec mise à jour. Il présente l’homme qui a créé le SARS-CoV-2, celui-ci la dame qui l’a laissé s’échapper. Le rasoir de Hanlon.

Probablement…

Source.


#1: Une séquence « consensuelle » des événements liés au SARS

Jusqu’au patient 0 de Wuhan

Jim Haslam

3 octobre 2022

Avertissement: ceci constitue évidemment une hypothèse sur la fuite accidentelle du laboratoire de Wuhan, et non une accusation. La présente série d’articles ne vise pas tant à débattre du fait qu’il s’agissait d’une « fuite de laboratoire », mais plutôt de « ce qui a fui ».

Ceci a pour but de répondre aux deux questions les plus importantes:

Le BSL4 situé dans la zone rurale de Wuhan

Pourquoi étudie-t-elle les coronavirus?

En ce matin d’octobre 2019, le Dr Danielle Anderson attend avec impatience de prendre le bus pour se rendre au nouveau laboratoire de l’Institut de Virologie de Wuhan (IVW). Elle savoure ce trajet d’une heure qui l’éloigne un peu du campus principal et de la bureaucratie de l’Académie des Sciences de Chine (ACS). Depuis quatre mois, les tests échouent, mais un nouveau colis FedEx l’attend, et le petit groupe de virologues qui ont travaillé sur ce projet mondial s’en réjouit.

Tout comme les virus qu’ils chassent, ce projet universitaire ne connaît pas de frontières, de nationalités et ne s’adresse même pas à une espèce particulière. Idéalement, il marque le début de la fin des événements de propagation de maladies zoonotiques, qui se sont récemment multipliés du fait que les diagnostics moléculaires, à la fin des années 1990, ont permis d’identifier des agents pathogènes inconnus, issus à la fois de voyageurs étrangers et d’animaux d’élevage domestiques.

Au cours de l’hiver 2002, un marché chinois de produits frais a été la source du SARS, tuant des centaines de personnes et nuisant à l’économie et à la réputation politique de la Chine. Le premier SARS se propagea dans un rayon de 800 km autour de Washington D.C., tuant des dizaines de personnes, tandis que les hôpitaux canadiens suspendaient leurs services non essentiels.

Les Américains firent la connaissance du Dr Anthony Fauci, qui évoqua devant le Congrès le risque de bioterrorisme, mais rassura les auditeurs paniqués de C-SPAN en leur expliquant que le SARS « était passé d’une espèce animale à l’humain » et qu’il n’y avait « aucune preuve […] d’ingénierie génétique ». Fauci expliqua que les virologues du NIAID se livraient à des « manipulations génétiques en vue d’obtenir uniquement des segments du virus susceptibles d’être utilisés dans un vaccin ».

L’épidémie de SARS prit fin à l’été 2003, mais Fauci finança un virologue de l’Université de Caroline du Nord (UNC) pour créer le premier clone infectieux (version créée en laboratoire) du SARS. Ce clone « servirait de modèle pour la manipulation du génome viral, ce qui permettrait de développer et de tester rapidement et rationnellement des candidats vaccins et thérapeutiques contre cet important agent pathogène humain ».

« En quelques années, ce clone pourrait conduire à un virus atténué – un virus vivant du SARS modifié pour qu’il ne soit plus mortel. Ce virus pourrait alors être utilisé pour créer un vaccin (animal) efficace. »

Ce « scientifique en costume » de 62 ans avait commencé à employer et à répéter sa phrase de l’après 11 septembre: « Le bioterrorisme n’est qu’une autre forme d’infection émergente et réémergente ». En 2003, lors de cette même interview sur C-SPAN, un interlocuteur lui demanda de démissionner, mais près de vingt ans plus tard, le « J. Edgar Hoover » de la biologie devint le bureaucrate le mieux payé, en raison de « son travail sur les activités de recherche en matière de biodéfense ».

Des milliards de dollars destinés à la recherche en matière de biodéfense allaient être versés par le Congrès au NIAID, qui se lança dans une frénésie de construction de laboratoires biologiques. Les fonds alloués à la recherche sur le SARS il y a deux décennies se poursuivront jusqu’en 2019, dont 44 millions de dollars provenant du NIAID de Fauci financent maintenant en partie les recherches de Danielle à Wuhan.

Pourquoi étudie-t-elle les virus des chauves-souris?

Dans les années 2000, Danielle a passé du temps en Amérique du Nord en tant que technicienne à Harvard, en tant que chercheuse postdoctorale en recherche animale au Canada, et même en tant que scientifique anti-dopage pour les Jeux olympiques d’hiver. En 2012, Danielle et son patron Linfa Wang, qui a fait ses études aux États-Unis, ont été recrutés dans le réseau de biodéfense du NIAID, en pleine expansion, par l’intermédiaire de la Duke University. Ils ont tous deux déménagé à Duke-Singapour, où un laboratoire animal BSL3 a été construit. Cette même année, le SARS fut classé comme agent sélectionné en raison de son utilisation potentielle en tant qu’arme biologique, ce qui, ironiquement, donna à l’UNC, l’université rivale de Duke, le monopole de la recherche sur le SARS.

En 2014, le MERS émanant de chameaux du Moyen-Orient fit son entrée aux États-Unis et en Chine. Le laboratoire de Rocky Mountain (RML) de Fauci entreprit alors le développement d’un vaccin pour les chameaux du Moyen-Orient et de l’Extrême-Orient. Fauci expliqua que le NIAID avait développé un vaccin humain pour presque toutes les épidémies telles que le MERS, mais que les sociétés pharmaceutiques ne disposaient pas d’un marché viable, et que l’idée était donc de vacciner les chameaux pour protéger les gens.

Réservoir = chauves-souris. Espèces intermédiaires = civette cochon chameau

À peu près à la même époque, l’intérêt pour les virus des chauves-souris s’est accru et, en 2017, des virologues ont lancé le projet du génome des chauves-souris. En 2018, les chauves-souris ont fait la une et en 2019, en raison de la baisse du coût de la technologie de séquençage de nouvelle génération (NGS) et de l’augmentation des échantillonnages dans les grottes de chauves-souris, les virologues ont attribué, à tort ou à raison (voire de manière comique), tous ces événements mondiaux aux chauves-souris.

La biosécurité du porc et de la volaille est une question de sécurité nationale pour les États-Unis et la Chine

La production de viande en Chine dépendait autrefois de petites exploitations rurales, mais aujourd’hui celles-ci ne peuvent pas satisfaire aux normes de biosécurité modernes (filets anti-oiseaux, toits, bottes, etc.). On pense que des vaccins illicites sont à l’origine d’infections accidentelles des porcs, ce qui a entraîné une hausse des prix de la viande porcine. La consommation a également triplé au cours des deux dernières décennies et a subi de graves revers causés par des maladies.

En 2013, un coronavirus similaire à 99% à une souche chinoise a dérivé d’un vaccin porcin local et a anéanti 10% de la production porcine américaine. En 2016-17, un virus de chauve-souris semblable à celui du SARS a été accusé d’avoir infecté des élevages de porcs en Chine, où la sécurité alimentaire est une question de sécurité nationale. Le chien que vous preniez pour un renifleur de drogue à l’aéroport international était en fait à la recherche de viande de porc clandestine.

Début 2019, des virologues américains se sont rendus dans un centre de recherche vétérinaire chinois. Les deux plus grands producteurs de porc et de volaille au monde se sont rencontrés pour discuter de la « lutte contre les maladies infectieuses et du renforcement de la coopération entre la Chine et les États-Unis » (c’est-à-dire la CAS – l’Académie des Sciences chinoise – et la NAS – l’Académie des Sciences américaine).

  • Peut-on « prédire » et intervenir pour empêcher les transferts de virus? Un « site de clivage » a été identifié pour l’émergence d’une maladie aviaire chez une nouvelle espèce.
  • Peut-on utiliser la « conception délibérée » pour créer de nouveaux vaccins pour les animaux? Oui, mais il peut y avoir des « conséquences imprévues ».

Lors de leur réunion, les plus grands producteurs de porc et de volaille ont pris une décision: l’abattage n’est pas la solution, « ce qui a conduit à la décision d’entreprendre une vaccination (de masse) ». Le directeur du CDC chinois note que ses scientifiques sont « relativement novices dans ce domaine ».

Depuis des décennies, les scientifiques occidentaux bombardent les espèces intermédiaires sauvages d’appétissants appâts vaccinaux. Ils ont utilisé des avions le long de la frontière mexicaine, des hélicoptères au-dessus des montagnes et ont même largué des têtes de poulet au-dessus de l’Europe. Tout cela dans le but de débarrasser le monde occidental de la rage, qui a pour origine les chauves-souris, mais qui tue encore 50 000 personnes dans le monde, dans des régions reculées des pays en développement. La méthode d’administration aérienne du vaccin s’est montrée efficace mais coûteuse, et les chauves-souris chinoises sont des mangeuses exigeantes, de sorte que les appâts ne sont pas efficaces.

Pourquoi est-elle à Wuhan?

Nous sommes encore devant une culture asiatique qui veut « sauver la face » et qui porte des masques en dehors de toute obligation. Depuis l’ouverture de ce tout nouveau BSL4 en 2017, Danielle n’a jamais porté de masque à Wuhan. Comme le NIAID de Fauci, la CAS a connu après le SARS un boom de la construction de laboratoires biologiques, et celui-ci est un laboratoire spécialement construit dans une optique de collaboration internationale. Il sert de centre de formation entre l’Est et l’Ouest, et c’est une autre matinée de routine qui s’annonce pour la seule Occidentale de ce laboratoire oriental.

Dani à l’extérieur de la CAS dans le centre de Wuhan 2017-19

Ses collègues l’appellent « Dani », une « grande fille célibataire d’Australie aux yeux perçants », âgée de 40 ans. Elle est une invitée spéciale de la CAS et une « scientifique invitée non rémunérée lors de courts séjours réguliers » à l’IVW depuis son laboratoire de Duke à Singapour. Son CV déclare fièrement que « mes recherches visent à identifier les facteurs de l’hôte importants pour… la réplication des coronavirus » et que « j’ai une grande expérience de la conception d’expériences sur les animaux avec… les chauves-souris ». Elle est probablement la seule technicienne de Wuhan formée à l’utilisation du BSL4 et qualifiée pour ce test immunologique spécialisé sur les chauves-souris. Plus important encore, Dani est un membre de l’équipe en qui l’on fait confiance de part et d’autre du monde.

Combinaisons à pression positive pour BSL4

Elle passe le contrôle de sécurité de l’IWV en vérifiant sa température corporelle, remplace son téléphone portable par un casque d’écoute et se met « en tenue ». Elle relie sa combinaison à pression positive à un cordon ombilical d’air frais et entre dans une salle à pression négative, remplie de ce qui fait vraiment la particularité de ce laboratoire BSL4: pas de singes, pas d’armes biologiques, pas d’APL, pas de RaTG13, pas de gain de fonction, pas de remdesivir, pas de souris humanisées, juste un grand nombre de cages à chauves-souris individualisées.

Dani marche ensuite comme un cosmonaute, passant devant les nombreuses chauves-souris qui vivent en colonies qui ont grandi en captivité, pour entrer dans la salle n°3. Cette salle spéciale abrite un groupe particulier de chauves-souris capturées à l’état sauvage dans une grotte chinoise isolée, à 1 600 km au sud-ouest de Wuhan.

Pour le projet de Dani, ce sont les chauves-souris, et non les échantillons de chauves-souris, qui sont les plus intéressants.

Elle tente de « mieux comprendre l’infection asymptomatique des chauves-souris par des virus hautement mortels chez d’autres mammifères ». Elle applique la même technologie NGS que celle utilisée pour détecter les agents pathogènes chez l’homme, mais pour les chauves-souris, en mesurant l’excrétion des coronavirus et l’efficacité des vaccins.

Laboratoire d’aérosols de niveau BSL4

Que fait-elle dans le BSL4?

La procédure est simple, car la plupart des travaux de recherche et développement ont déjà été réalisés au fil des ans. Il suffit de prendre une aiguille pour une simple injection à l’une des nombreuses chauves-souris sauvages qui volent autour d’elle. La pièce est « suffisamment grande » pour permettre aux chauves-souris de voler en conservant une température corporelle élevée, mais suffisamment petite pour permettre une expérience contrôlée. Dani veut évaluer si ce virus de chauve-souris particulier se propagerait par voie orale parmi les quelques douzaines de chauves-souris vivantes gardées à l’intérieur de cette grotte de chauve-souris simulée. Les premiers prototypes avaient réussi à inoculer cette espèce de chauve-souris, mais ne s’étaient pas propagés comme prévu aux autres chauves-souris.

Essai de vaccin contagieux en aérosol sur des chauves-souris chinoises nécessitant un niveau de sécurité de type BSL4

Cette nouvelle approche de la vaccination animale est moins coûteuse que la livraison aérienne d’appâts, mais elle n’a pas fait ses preuves et elle est radicale.

Elle « repose sur l’insertion d’un petit morceau du génome de l’agent infectieux dans un virus bénin qui se propage naturellement dans la population animale. En se propageant d’un animal à l’autre, ce vaccin transmissible les immunise contre la maladie infectieuse cible, ce qui augmente considérablement l’immunité au sein de la population animale et réduit le risque de contagion à l’homme. »

Les minuscules chauves-souris chinoises vivent naturellement dans des forêts denses et des grottes profondes sur des falaises abruptes, et sont donc idéales pour un essai de vaccin animal contagieux. Ce type de vaccin autogène pour les chauves-souris ne nécessite pas d’équipement de terrain coûteux dans les zones reculées.

Protéine de pointe de type SARS pour les vaccins animaux et humains

Le « petit morceau » est une protéine de pointe modifiée, qui constitue une bonne cible pour les vaccins humains et animaux tels que « le chameau ou la chauve-souris« . Pour le MERS, la protéine de pointe a été injectée directement dans l’espèce intermédiaire des chameaux, qui sont plus faciles à attraper que les chauves-souris. Pour le SARS, la protéine de pointe du coronavirus a été insérée sans faille dans un virus régional de chauve-souris. La population locale de chauves-souris produirait désormais des anticorps contre cette souche à haut risque et ne la propagerait donc pas sur les marchés locaux ou dans les élevages de porcs.

L’expérience de Dani s’appelle le renforcement immunitaire ciblé à l’aide d’un virus de chauve-souris synthétisé. Le concept initial avait bien fonctionné chez les « chauves-souris » du Nouveau Monde dans les laboratoires du Nouveau Monde. Il s’agit maintenant d’une autre expérience in vivo (latin pour « dans le vivant ») pour les chauves-souris de l’Ancien Monde dans ce laboratoire de l’Ancien Monde.

Joue-t-elle avec un virus ou un vaccin?

Fauci l’appelle à juste titre Dual Use Research of Concern (DURC) [NdT. « recherche à double usage préoccupante » ou « d’intérêt » – pas de traduction officielle]. Au cours des deux dernières décennies, l’accent a été mis sur One Health [la santé de tous], les animaux étant responsables de 75% des « menaces infectieuses pour l’homme ». Pouvons-nous arrêter la maladie là où elle se trouve avant qu’elle ne se propage à l’homme? L’idée est de « garder la maladie dans les chauves-souris… et dans les oiseaux en Chine ».

  • Un vaccin pour les chauves-souris? L’armée américaine et même l’USGS ont étudié les vaccins pour chauves-souris.
    • Le NIAID a breveté le concept de protéine de pointe en 2016 avec un test au RML en 2018 concluant « qu’il serait intéressant de réaliser une étude expérimentale d’inoculation en utilisant des rhinolophes chinois. »
  • Question d’argent? Économiquement, les vaccins pour animaux bénéficiaient de marges plus élevées et de promotions avant le Covid et la santé des chauves-souris est un gros enjeu qui génère beaucoup d’emplois.
  • Un gaspillage d’argent? Bien sûr, mais le NIAID a également financé un vaccin pour chevaux australiens contre le virus de la chauve-souris Hendra, qui a tué 7 personnes. Ce vaccin a été testé dans un laboratoire BSL4 étranger par Linfa, le patron de Dani [NdT. voir ici].
    • Ironiquement, même les chevaux ont été représentés par des avocats dans un recours collectif de 53 millions de dollars en 2018 pour des effets secondaires néfastes, de sorte que le NIAID en 2019 s’est mis à lancer l’idée d’un « vaccin pour les chauves-souris afin de contrôler la transmission (de la maladie) ».
  • Pourquoi les chauves-souris? Elles sont le nouveau rat de laboratoire qui ne dispose pas d’avocats, d’essais contrôlés randomisés, de licences, de protection de la PETA ou d’approbations de la FDA comme nous, les humains, qui nécessitent 15 à 20 ans pour l’approbation d’un vaccin, tandis qu’il faut 2 à 5 ans pour les animaux.
Linfa, le patron de Dani, à la Duke de Singapour
  • Stimulation immunitaire ciblée? Pensez à l’immunothérapie sur un modèle mammifère (stimulation immunitaire in vivo), qui est une recherche de pointe avec de vastes applications. « La chauve-souris et l’homme étant tous deux des mammifères, tout ce que nous découvrirons chez la chauve-souris pourra s’appliquer à l’homme. »
  • Pourquoi le SARS? Pour cette région géographique du monde, le SARS fait partie de la catégorie « inconnu connu » et cette séquence de chauve-souris « consensuelle » peut provoquer une infection humaine.
  • Pourquoi maintenant? La colonie de chauves-souris vivantes sera mise en hibernation à la fin du mois d’octobre.
  • Pourquoi ici? Ce test d’aérosol infectieux nécessite un BSL4 avec une colonie de chauves-souris chinoises vivantes et Wuhan est le seul laboratoire au monde à disposer d’une colonie de chauves-souris chinoises vivantes.
    • Ironiquement, le CDC américain n’a pas autorisé l’importation de cette espèce de chauve-souris étrangère, si bien que Fauci a déclaré: « Il faut aller là où ça se passe ».
Les chauves-souris chinoises se perchent dans des grottes profondes situées sur des montagnes escarpées.
  • Pourquoi l’avoir conçu pour qu’il soit si contagieux? C’est le moyen le plus économique (« gratuit ») d’atteindre les millions de chauves-souris qui se cachent dans des grottes étroites et profondes sur des falaises montagneuses escarpées (R0>1).
  • Trop science-fictionnesque? Une conférence TED sur l’autodiffusion des vaccins pour chauves-souris et TWiV [This Week in Virology] comparant le concept de contagion à la transmission (accidentelle) d’homme à homme avec le VPO [vaccin antipoliomyélitique oral].
  • En 2019, les NIH ont financé une étude sur la transmission contagieuse des vaccins.

La transmission vaccinale est un concept relativement nouveau, avec peu d’exemples, de sorte que la possibilité d’une évolution de la transmission dans le temps n’a guère été envisagée. Le vaccin antipoliomyélitique oral (VPO) est peut-être le cas le mieux documenté de transmission vaccinale.

  • Une transmissibilité élevée et une virulence faible, ça vous dit quelque chose?

Un vaccin qui se propage comme un virus?

Dani expérimente un virus synthétique de chauve-souris chinoise conçu pour sembler naturel à l’espèce locale de chauve-souris chinoise. En tant qu’immunologiste des chauves-souris, elle essaie de tromper le système immunitaire des chauves-souris pour qu’il le reconnaisse, l’accepte et crée des anticorps contre lui. Il s’agit d’un vaccin conçu pour « éloigner » les virus de type chauve-souris des virus de type humain. Il s’agit d’un coronavirus conçu pour être stable et refléter la souche locale circulant parmi les espèces locales de chauves-souris.

  • Quel type de vaccin auto-diffusant? Un vaccin transmissible atténué (affaibli). C’est l’arme à double tranchant d’un vaccin vivant atténué (VVA).
    • Ce vaccin est idéal pour les animaux mais n’a jamais été approuvé pour les humains en raison du risque de « retour à la virulence« .
  • Ce prototype permet de vacciner quoi? Par exemple la chauve-souris Banal du Laos (échantillon #2 ci-dessous) collectée par l’armée américaine en 2017.

Ce vaccin de haute technologie est conçu pour se propager comme un virus dans l’air, d’un poumon de chauve-souris à l’autre; transmission orale de chauve-souris à chauve-souris par aérosol. Ce vaccin est conçu pour infecter le plus proche mammifère hôte par le biais de la mauvaise haleine de chauve-souris, le plus rapidement possible et en grande quantité. Ce vaccin est même conçu pour réinfecter son hôte mammifère (on parle de « surinfection » ou de « boosters« ) afin de vaincre toute immunité naturelle.

  • Pourquoi? Pour que le vaccin puisse continuer à se propager et à se disséminer!

Ce prototype est conçu pour rester en suspension dans l’air de la grotte de la chauve-souris (le laboratoire) pendant des heures. Dani, dans sa combinaison spatiale, a peut-être remarqué que ce tout nouveau prototype est un excellent super-propagateur dans les minuscules poumons de la chauve-souris mammifère. Ce prototype est une réussite puisque tandis qu’il inocule une chauve-souris, il peut avoir commencé à se propager oralement aux autres chauves-souris dans l’air du laboratoire.

Comment un vaccin pour chauves-souris a-t-il pu provoquer le Covid-19?

Il s’est alors passé quelque chose de grave qui n’a pas été documenté, puisque son expérience était confinée en toute sécurité à l’intérieur de cette pièce, mais qu’elle est sortie accidentellement à l’extérieur. Peut-être qu’une aiguille a perforé sa main alors qu’elle essayait de manipuler la minuscule chauve-souris sauvage, transformant ses poumons humains en un super-propagateur. La plupart des laboratoires n’imposent pas une règle de sécurité à deux personnes, mais utilisent des casques et des caméras de surveillance pour contrôler les techniciens; d’autres laboratoires exigent la présence de deux personnes lors de l’utilisation d’aiguilles.

Dani et son collègue à l’intérieur du BSL4 de Wuhan

Quelques semaines plus tôt, en septembre 2019, le directeur de l’IVW se plaignait du manque de fonds pour l’entretien. Peut-être y a-t-il eu une panne d’électricité, une perte de pression d’air négative, une défaillance du ruban adhésif scellant la porte, une chauve-souris qui lui a éternué sur le visage, a mordu et fait un trou dans sa combinaison spatiale, un passage aux toilettes, qui sait? Dani ne le sait peut-être pas, car ce prototype a été conçu pour se propager de manière asymptomatique parmi ses hôtes mammifères.

Image vidéo du BSL4 de Wuhan

Comme tout bon vaccin animal auto-diffusant, il est conçu pour échapper à la réponse immunitaire de l’animal (par exemple en utilisant Nsp1 Orf6 Orf8, etc.), car toute immunité préexistante contre le vecteur vaccinal ralentira la propagation du vaccin. Il existe une probabilité de 5 à 15% que l’échappement n’ait même pas été détecté.

Le BSL4 (Zhengdian) est situé à 25 km au sud des quartiers d’habitation du centre-ville.

La garde de Dani se termine par une douche chimique et personnelle. Elle a pris son téléphone portable, a passé un contrôle de température et est repassée par le service de sécurité de l’IVW. La plupart de ses collègues travaillaient sur différents projets, d’autres s’occupaient de leurs comptes Weibo. Ils sont tous remontés dans le bus bondé de Wuhan pour parcourir les 25 kilomètres qui les séparaient de leurs quartiers d’habitation au centre-ville, et ont probablement changé le cours de l’histoire de l’humanité.

Le dortoir du WIBP, situé dans le centre-ville et destiné aux techniciens du BSL4, a été l’épicentre de l’épidémie de Wuhan.

Quelques jours plus tard, le BSL4 était confiné, quelques semaines plus tard, c’était au tour de la ville de Wuhan d’être confinée, et quelques mois plus tard, c’était au tour du monde entier. Ce vaccin contagieux contre les chauves-souris, ironiquement conçu pour prévenir la propagation du SARS, s’était répandu dans la population humaine à la suite d’un essai vaccinal sur des animaux qui a mal tourné.

Les voies dans lesquelles les réponses immunitaires des chauves-souris diffèrent de celles des humains sont mises en évidence par l’icône de la chauve-souris (c’est-à-dire qu’elles ne sont pas si différentes).

Biologiquement impossible? Ce qui est considéré comme un oiseau malpropre est en fait un mammifère à fourrure aux longs bras, dont le système immunitaire est plus proche de celui de l’homme que celui de la souris de laboratoire.

L’homme et la chauve-souris ont tous deux des furines, des cellules B et T à mémoire, et un « tissu respiratoire » dont l’ACE2 est similaire.

Malheureusement, les expériences in vitro (en éprouvette) du laboratoire du Nouveau Monde ont été réalisées sur des lignées de cellules de voies respiratoires de primates et d’humains, faute de cellules de chauves-souris de l’Ancien Monde.

Cela s’est-il déjà produit?

Une fuite dans un laboratoire de l’Extrême-Orient a conduit à la pandémie de grippe de 1977. Un an plus tard, la variole a fui par un conduit d’air d’une pièce adjacente, tuant un photographe anglais. En 2004, le SARS a fait l’objet de quatre fuites, dont une provenant d’un laboratoire de Pékin qui a tué la mère du technicien. La même année, une scientifique russe, financée par les États-Unis, est décédée après s’être piquée avec l’aiguille d’un vaccin contre Ebola.

Il a été prouvé que les vaccins pour animaux peuvent occasionnellement provoquer des infections humaines. En 1978, un vaccin pour chats s’est répandu dans le monde entier chez les chiens, à la suite d’un mélange de cellules félines et canines provenant d’un laboratoire. À 2 600 km au nord-ouest de Wuhan, exactement à la même date en 2019, une usine de vaccins pour animaux a infecté des milliers de résidents locaux. La plupart de ces événements dangereux étaient localisés ou concernaient des vaccins traditionnels.

Vaccins animaux auto-diffusants

En 1995, un calicivirus mortel pour les lapins s’est échappé d’une île australienne isolée et s’est ensuite propagé à la Nouvelle-Zélande. En 2001, le premier essai de vaccin auto-diffusant sur une minuscule île à lapins a fonctionné, mais la technologie de l’époque ne s’est pas bien répandue. Le vétérinaire a noté que « les vaccins transmissibles n’avaient pas suscité beaucoup d’intérêt de la part des sociétés pharmaceutiques parce qu’ils ne semblaient pas rentables ».

« Développer d’abord, expliquer ensuite« 

En 2016, les universités occidentales et les gouvernements occidentaux ont manifesté un regain d’intérêt pour les très controversés vaccins auto-diffusants. Par exemple, un vaccin contre la rage transmissible aux chauves-souris a suscité de l’intérêt. On a émis l’hypothèse que les vaccins auto-diffusants « pourraient muter » ou « sauter d’une espèce à l’autre ». Cet essai du laboratoire de Wuhan était un programme de vaccination contre une maladie similaire au SARS chez les chauves-souris, naturellement présentes dans les grottes rurales chinoises, une maladie qui aujourd’hui ravage malheureusement les populations humaines urbaines dans le monde entier.

Vaccins transmissibles pour les réservoirs animaux éloignés

Les chauves-souris sont des mammifères sociaux, tout comme nous, les humains terrestres. Chaque jour, nous nous rendons au travail en quête de nourriture dans des marchés (secs) bondés, nous attrapons le virus, puis nous rentrons chez nous pour nous « percher » dans nos cavernes humaines et propager ce vaccin.

Comment en est-on arrivé là?

Dans le passé, les gouvernements abattaient les espèces infectées, mais ces dernières années, des protestations massives se sont élevées contre l’abattage massif, dont certaines se sont même retrouvées sur les terrains de basket-ball de la NBA. La réponse logique était donc de vacciner les chauves-souris, le réservoir animal de la plupart des maladies infectieuses émergentes dans le monde.

Il ne s’agit pas d’un acte malveillant de la part de qui que ce soit, mais d’un accident tragique. Il s’agit d’une conséquence involontaire de 2 à 3 décennies de vaccins pour animaux sauvages combinés à la révolution moderne de la biologie synthétique et de la vaccinologie. La génomique virale synthétique a permis l’ingénierie « sans faille » d’un vaccin auto-diffusant. Cette biotechnologie « No See’m » [NdT. au départ, le nom de mouches piqueuses presque invisibles; en biologie, c’est un procédé de modification du génome qui ne laisse pas de trace d’intervention humaine] n’a pas été utilisée pour brouiller le débat sur l’origine en laboratoire, mais pour faire croire au système immunitaire d’un animal que ce virus était naturel et local, et donc plus susceptible d’infecter l’espèce locale de chauve-souris. Les virologues ont créé une souche chinoise pour les chauves-souris chinoises.

De la R01 du NIAID, au partage d’échantillons de chauves-souris chinoises avec l’UNC et le RML de Fauci

CoV, FVs ou henipavirus. Bien que la plupart des virus d’origine sauvage dont le potentiel de transmission ou la pathogénicité chez l’homme sont inconnus ne soient pas classés, nous utilisons le niveau de sécurité 3 pour l’isolement, et la culture cellulaire pour les agents pathogènes susceptibles d’être classés au niveau de sécurité 4 sera effectuée par l’institut collaborateur NEIDL. Pour faciliter cette opération, des échantillons en double dans un milieu de culture provenant d’animaux PCR +ve pour les FV et de parents très proches de NiV ou HeV seront expédiés au NEIDL (voir la lettre de soutien) pour la culture, la caractérisation et le partage avec d’autres agences approuvées, y compris les NIH Rocky Mountain Laboratories où Pl Daszak et Co-ls Barie ont des collaborations en cours. De même, certains échantillons en double d’animaux positifs à la PCR pour les CoV seront expédiés à l’UNC pour une caractérisation plus poussée par le co-investigateur Baric. Lorsque cela est possible et approprié, des possibilités de formation au NEIDL et à l’UNC pour le personnel du pays seront offertes, ce qui enrichira la collaboration pratique entre les sites.

Dans le cadre du débat sur les origines, quelques éminents virologues américains ont affirmé qu’il était possible que le virus provienne d’un laboratoire. « Bien sûr, les réponses à ces questions se trouvent en Chine », mais la proximité de l’IVW avec le foyer de Wuhan « pose un problème ». De leur côté, des virologues internationaux ont affirmé que l’IVW ne pouvait pas fabriquer ce type de virus. Il s’avère que les deux groupes avaient raison pour de mauvaises raisons; si un virus est conçu, l’endroit où il se répand dans la population humaine ne nous indique pas il a été conçu.

Réunion de haut niveau sur les vaccins du NIAID en 2018 à Wuhan, avec Shi, le RML de Fauci et des shorts!

Quelques mois plus tôt, des scientifiques du NIAID du Centre de Recherche sur les Vaccins s’étaient rendus à Wuhan pour un « échange scientifique ouvert et un partage de données entre la Chine et les États-Unis au bénéfice de la santé mondiale ». Les Français, qui ont construit le BSL4, se sont effacés lorsque l’IVW a signé une Lettre de Soutien en 2013 avec le NIAID, pour la collecte et le partage d’échantillons de chauves-souris. La même année, l’UTMB est devenu le centre de formation des techniciens de l’IVW et l’UNC a commencé la rétro-ingénierie des pathogènes chinois en 201516.

  • À des fins scientifiques ou de renseignement? « Les États-Unis maîtrisent très bien les deux ».
L’UTMB pointe du doigt l’UNC au début de l’année 2020. Retiré du projet final.

Pour prendre la mesure de la collaboration internationale sur ce projet, il faut savoir que « le courrier est rempli de petites enveloppes contenant des plasmides séchés sur du papier filtre que les scientifiques s’envoient régulièrement les uns aux autres ». Un échantillon de virus collecté dans une grotte de chauve-souris asiatique très éloignée peut être envoyé à un autre laboratoire américain très éloigné en vue d’une ingénierie interne. Un vaccin créé sur un continent peut être testé sur un autre, de Washington à Brisbane et au patron de Dani en 48 heures!

Le SARS2 est une séquence consensuelle de « plusieurs » échantillons de chauves-souris envoyés précédemment aux laboratoires du Nouveau Monde depuis le sud-ouest de la Chine et l’Asie du Sud-Est (n°5, 3, 2, 8, 9).

Des ATM (accords de transfert de matériel) ont été signés avec l’IVW « pour garantir le libre échange des réactifs nécessaires à des fins de recherche uniquement et entièrement soutenus par le NIH« . Des lettres de soutien du NIAID ont été signées par des contractants asiatiques pour « partager la technologie, les échantillons, les réactifs, les données et les résultats de la recherche », tous les échantillons de coronavirus étant « expédiés en Caroline du Nord pour une caractérisation plus poussée ». Une division internationale du travail et des connaissances institutionnelles a permis de créer cette biotechnologie étonnante, qui transcende les frontières nationales de la même manière que le virus se propage aujourd’hui.

Comment un virus de chauve-souris a parcouru 1 600 km (NIAID) et 2 600 km (DoD en 2017) depuis les grottes asiatiques jusqu’à l’IVW en passant par les laboratoires américains.

C’était une propagation directe de la chauve-souris à l’homme, à l’intérieur de l’IVW. Par conséquent, aucune espèce intermédiaire (à Wuhan) ne sera trouvée. Pour parier sur Fauci, il avait raison à 100% : « Si vous voulez parier de l’argent là-dessus, c’est une chauve-souris qui est impliquée ». Quelques années plus tôt, Fauci écrivait: « Dans une tournure d’événements improbable mais concevable, que se passerait-il si ce scientifique était infecté par le virus, ce qui entraînerait une épidémie et finirait par déclencher une pandémie? »

La frontière est floue, mais ce projet civil s’apparentait davantage à une expérience de foire scientifique universitaire qu’à un projet de biodéfense militaire. Ce projet impliquait plus d’abrutis que de barbouzes, travaillant pour l’USDA et non pour l’APL. La CAS a embauché des biologistes occidentaux pour cartographier les chauves-souris locales. La NAS comptait parmi ses membres des fonctionnaires chinois de haut niveau élus et se réunissait au moins une fois par an. Il existe un siècle de liens entre les universités médicales américaines et chinoises, qui remontent à 1835 et 1917. La collaboration de Fauci avec la Chine remonte à des « décennies« , commençant en 1983 pour être exact, juste un an avant que Fauci ne prenne la tête du NIAID.

Protocole d’accord entre les NIH et le CAS depuis 1983

Tout cela a été soutenu financièrement par le financement bipartisan (le SARS est la première maladie sur la première page) d’un « projet Manhattan » moderne. Personne n’enfreint les lois ou les réglementations, mais travaille simplement avec elles, puisqu’un « virus de chauve-souris » est exclu du champ d’application de la directive DURC. Et il y a un changement à une phrase qui date de 2017; les chauves-souris, contrairement aux souris, ne sont pas considérées comme un modèle « mammifère » dans le cadre d’une interdiction ou d’une réglementation de Gain de Fonction. Les vaccins autodiffusants ne sont même pas sur le radar de la réglementation.

C’est toujours la dissimulation, jamais le crime

Ce qui a commencé comme un vaccin animal contre le SARS est maintenant appelé SARS-CoV-2. Ce « virus » est en fait un vaccin pour les chauves-souris, un vaccin contagieux conçu pour les chauves-souris chinoises. Ce vaccin a été conçu pour un réservoir animal dont aucun d’entre nous ne connaissait l’existence, tout en utilisant une biotechnologie dont aucun d’entre nous n’a entendu parler. Ce vaccin a été développé par des virologues financés par le NIAID et testé par un contractant irréprochable du NIAID. Dani est elle-même une immunologiste spécialiste des chauves-souris de classe mondiale, qui travaillait au BSL4, au moment même où un vaccin aérosolisé de classe mondiale pour les chauves-souris en est sorti.

« Il existe un vieux dicton en science: on ne publie pas ses erreurs« , mais la création et la dissimulation n’étaient pas une erreur. Nous trouverons les coupables en restant maîtres de ce débat difficile. Des sources anonymes de l’OMS s’exprimeront après que des scientifiques auront proféré des menaces de mort. Des indices seront trouvés dans les entrailles ennuyeuses de la recherche universitaire, tandis que d’autres trouveront des informations non classifiées dans des dossiers classifiés. Utilisons le rasoir de Hanlon dans cette sordide histoire du SARS2: ne jamais attribuer à la malveillance ce qui s’explique de façon satisfaisante par la stupidité.

  • Une agence gouvernementale de santé ne dissimulerait jamais cette affaire? Un rappel vieux de 70, 50, 30 et 20 ans.

En substance, la Chine dissimulera la fuite du laboratoire tandis que les virologues américains dissimuleront ce qui a fui. Ironiquement, le « virus » lui-même deviendra le plus grand dénonciateur de l’histoire de l’humanité, se propageant de lui-même dans le monde entier, à la recherche de l’adresse de retour du colis FedEx ouvert plus tôt ce jour d’octobre.

Voici la deuxième partie [NdT. que je traduirai si vous êtes sages et si j’ai un feedback pour celle-ci], mais en attendant, Dani et collaborateurs, pouvons-nous consulter vos livres de laboratoire?

Whataboutisme? (« inside baseball »)

[NdT. Le whataboutisme est un sophisme qui consiste à répondre à un argument par un autre argument qui n’a rien à voir, pour faire diversion ou pour essayer de changer de sujet; en argot américain, l’expression « inside baseball » fait référence aux détails et aux rouages internes d’un système qui ne sont intéressants ou appréciés que par les experts, les initiés et les aficionados.]

  • Si l’on admet que le SARS2 est un vaccin pour animaux, rien de maléfique, bien des choses s’expliquent. Il est conçu pour être contagieux et transmissible à un réservoir animal éloigné (comme les chauves-souris) par les voies respiratoires supérieures d’un mammifère, dont la RBD est similaire à celle de l’homme.
  • D’après les courriels et les livres, moins d’une douzaine de virologues l’ont directement développé et étaient au courant de son existence, il est donc facile de taire un accident de R&D.
    • Les biologistes américains se sont entichés des chauves-souris (alias les chiots volants) pour leurs tests de vaccins.
    • Les virologues américains se sont entichés des chauves-souris en raison de leur incroyable système immunitaire.
    • Les fonds américains consacrés à la biodéfense se sont entichés des chauves-souris.
    • Le NIAID a budgété à lui seul près de 15 millions de dollars pour les chauves-souris en 2019, car elles sont le réservoir de nombreux virus tels que le SARS, l’Ebola, le Nipah, l’Hendra et le Marburg.
  • Créées par des virologues chinois? La suite plus loin, mais c’est biologiquement impossible. Il est biologiquement impossible de maintenir en vie une colonie de chauves-souris chinoises dans un laboratoire américain.
De la R01 du NIAID, au partage d’échantillons de chauves-souris chinoises avec l’UNC et le RML de Fauci
  • Créé par la Chine à partir de la biotechnologie américaine? Nous y reviendrons plus tard, mais c’est techniquement impossible en raison des connaissances « tacites« .
    • Le concierge avait besoin d’une habilitation de sécurité du FBI pour pénétrer dans les laboratoires américains utilisant des agents sélectionné (par exemple l’UNC). En 2012, l’UNC s’est vu accorder un monopole de fait sur la recherche sur le SARS en raison de son statut coûteux d’agent sélectionné. Les universités Penn Med et Iowa State ont cessé d’étudier le SARS mais soupçonnent tous deux qu’il y a eu ingénierie du SARS2.
    • L’UTMB, un laboratoire militaire américain de niveau de sécurité 4, a arrêté l’ingénierie du SARS en 2009, notant en 2021 qu' »en raison de la grande taille du génome du coronavirus (~30 000 nts) [nucléotides] et de plusieurs éléments toxiques, la manipulation du SARS2 n’est pas une tâche triviale et nécessite des méthodes sophistiquées »
    • Aucune collaboration n’a eu lieu entre l’IVW et l’UNC, qui ont gardé « obscures » leurs méthodes d’ingénierie et emploient des technologies très différentes.
    • Il n’existe pas de système de génétique inverse pour créer de nouvelle structure (SARS2) à l’IVW, ils ne peuvent que mélanger des protéines de pointe dans la « structure isolée existant de l’IVW1″.
    • Aucun clone infectieux n’a été développé pour créer le SARS2 à l’IVW avant 2020.
    • C’est un suicide professionnel que de partager la technologie des laboratoires occidentaux.
Henry et moi avons émis des hypothèses – comment ce site a-t-il pu apparaître à la frontière S1/S2 – je n’ose pas penser qu’il a été modifié – parmi les souches de MHV, le site de clivage n’augmente pas la pathogénicité alors qu’il affecte la voie d’entrée (surface vs endosome). Donc pour moi, la seule signification de ce site de furine est en tant que marqueur de l’origine du virus – il est effrayant de penser qu’il a pu être modifié.
  • L’animal de laboratoire utilisé pour développer un modèle de transmission pour un vaccin contre les coronavirus n’est pas publié. Nous ferons le point sur cette question dans un prochain article. De nombreux laboratoires sont concernés.
    • « Des modèles de transmission n’ont jamais été développés pour le SARS » qui « ne se réplique pas chez le cobaye, et la réplication chez le furet est limitée… De plus, les expériences de passage n’ont pas été rapportées, parce que les laboratoires de recherche ont concentré leurs études sur le modèle de la souris, qui reproduit plus précisément et plus fidèlement l’état de la maladie chez l’homme. En outre, personne n’a rapporté ou tenté de développer un modèle de transmission du SARS-CoV ».
  • Le SARS2 infecte le vison d’Amérique, que l’on trouve en Europe mais pas en Chine, et son cousin le furet est bien connu comme animal de laboratoire pour le GdF.
    • Ironiquement, les faucons américains de la biosécurité ont empêché en 2012 Fauci de publier les procédures d’aérosol de Fouchier pour les furets.
    • Lors de la téléconférence du 1er février 2020, Ron Fouchier a traité les virologues américains d’ « idiots » pour avoir prétendu que le SARS2 avait été conçu, probablement parce que le RML de Fauci est peuplé de protégés de Fouchier en matière d’aérosols.
  • Créé par les virologues australiens de Dani? Le Covid-19 n’infecte pas les kangourous.
    • Linfa a tenté en vain de maintenir en vie une colonie de chauves-souris chinoises dans un BSL4 australien.
    • Il n’existait pas de BSL4 dans le laboratoire de Dani à Singapour, qui fait partie du réseau régional de biodéfense du NIAID post-11 septembre. L’UNC, qui fait partie du réseau de biodéfense de Duke, a construit un BSL3 sur le campus, mais les chauves-souris vivantes et les maladies qui leur sont propres nécessitent un BSL4.
    • Dani, « la dernière et unique scientifique étrangère », a prétendu travailler sur Ebola, mais on ne trouve aucun article sur Ebola dans sa centaine de publications. Elle est spécialiste de l’immunologie des chauves-souris asiatiques et a mis au point un nouveau NGS pour détecter l’excrétion par les chauves-souris du « virus Nipah et des bétacoronavirus ».
    • Dani a isolé des virus Nipah chez des chauves-souris du Bangladesh au BSL4 du CSIRO, qui pourraient s’être manifestés dans le BSL4 de l’IVW.
    • En 2019, Dani et Linfa procèdent à un recoupement de la séquence « consensuelle » de l’UNC, un travail de type DARPA Defuse.
    • Selon Linfa, Duke est uniquement responsable de l’immunologie des chauves-souris, et non de la virologie.
DARPA Defuse montrant la Déclaration de travail sur l’immunologie de la chauve-souris à Duke
[NdT. lien mort, 404]
  • Si l’IVW connaissait le Banal du Laos, pourquoi ne pas l’avoir publié au lieu du casse-tête du RaTG13?
    • Dani fournit un chemin logique pour que le RBD du Banal-52 du Laos, collecté par l’armée américaine en 2017 et partiellement publié par l’UNC en 2018, se retrouve à Wuhan.
    • Plus d’informations à ce sujet dans un prochain article.
  • Est-ce que cela semble plus fou que l’hypothèse de la nourriture congelée proposée par Dani? L’immunologie des chauves-souris est une discipline hautement spécialisée. Un très petit groupe international de virologues partage des réactifs, des cellules de chauve-souris, des échantillons, des vaccins, etc. entre eux.
    • Linfa peut transférer des anticorps contre les maladies des chauves-souris en 48 heures depuis le NIAID à Washington D.C.
  • Qu’en est-il des singes? L’IVW n’est pas conçu pour les primates, mais pour les chauves-souris.
  • Arme biologique de Pékin? Il faut prendre cette affaire au sérieux. Ce n’est pas de la camelote chinoise.
    • Le Covid a un taux de survie de 99% et l’IVW est une « école de sécurité » selon une source de la DARPA.
  • Une arme biologique parce qu’elle échappe au système immunitaire? Les virologues occidentaux sont de vulgaires vétérinaires, zoologistes et immunologistes de la chauve-souris. Ils conçoivent des vaccins pour animaux afin de « moduler une réponse immunitaire chez un sujet sans effet délétère sur celui-ci ».
  • Des liens entre l’APL et l’IVW? De la désinformation sans aucune preuve. L’APL est encore à quatre mois de prendre le contrôle de l’IVW. Il s’agit d’un laboratoire civil qui collabore avec de nombreux virologues « intéressés » du NIAID.
  • Essais cliniques de vaccins humains en Chine? Personne n’aérosolise un vaccin humain puisque personne ne peut le facturer!
  • Les prélèvements d’organes du PCC utilisés pour la mise au point de vaccins? Le prélèvement d’organes a été impliqué dans la création du SARS2, mais pas comme on l’a supposé.
  • L’argent chinois? Le budget de la CAS s’élève à 15 milliards de dollars, contre 1,7 trillion de dollars pour le budget du Ministère de la santé et des services sociaux.
  • Par habitant, [le PIB de] la Chine = le Mexique, soit 12 000 dollars.
  • Le budget des NIH de 42 milliards de dollars est similaire à celui de l’armée sud-coréenne de 50 milliards de dollars.
  • L’argent des États-Unis est le « moteur de la science mondiale ».
  • Fauci, qui a fourni la moitié du financement mondial pour les maladies infectieuses émergentes (par exemple le SARS) qui peuvent « menacer l’économie et la sécurité politique des nations ».
L’UNC fait toute la virologie dans le cadre du programme DARPA Defuse [NdT. le lien est mort]
  • Le RaTG13? Une correspondance à 96% avec le SARS2 collecté dans un puits de mine chinois en 2013 avec le financement du NIAID.
    • L’IVW a partiellement téléchargé le 4991 en 2016 et un RaTG13 rebaptisé en 2018 (la base de données des NIH s’est assise dessus pendant 4 ans). L’IVW l’a donc téléchargé à nouveau (sur une autre base de données que celle des NIH) quelques jours avant le verrouillage des informations à Wuhan le 23 janvier.
  • Les mineurs morts de Mojiang? Probablement payés par l’USAID, mais signalés en 2014 et des décès liés aux rats, pas aux chauves-souris.
  • Quelle est la particularité des virus de chauves-souris? Ce sont les chauves-souris vivantes qui sont spéciales, l’endroit d’où provient le virus et le laboratoire où elles peuvent être étudiées, ce qui est beaucoup plus intéressant pour les virologues occidentaux (c.-à-d. $$$). Ça s’appelle stimulation immunitaire in vivo (chauves-souris vivantes) et c’est la nouvelle frontière de la virologie occidentale.
  • Le marché humide de Wuhan a-t-il été la source du SARS2? Aucun animal porteur du virus du SARS2 n’a été trouvé à cet endroit alors pourquoi le SARS2 est-il apparu à Wuhan?
    • Quelle est la particularité de Wuhan? On y trouve un laboratoire d’aérosols de niveau de sécurité 4 conçu pour ces fragiles chauves-souris chinoises!
      • Le nouveau laboratoire BSL3 n’est pas encore ouvert et les virus animaux en suspension dans l’air ne sont pas testés dans le laboratoire BSL2.
  • Ce qui a dérouté tout le monde (y compris l’UTMB), c’est que le NIAID de Fauci avait deux projets à Wuhan: l’un consistait à tester des échantillons de chauves-souris à partir de données publiques dans le BSL2 de Shi et l’autre était un projet de R&D sur les vaccins pour chauves-souris dans le BSL4 de Dani. Les deux projets s’imbriquaient parfaitement (même personnel dans la même ville, mêmes échantillons provenant des mêmes chauves-souris, etc.)

Serait-ce cet homme qui a créé le COVID-19 dans le laboratoire américain de Fauci? – par Will Jones.

Très probablement.

Voici une introduction très bien écrite et lisible à l’article de Jim Haslam que je promets depuis des mois et que je publierai juste après. L’hypothèse en est qu’il s’agit d’une fuite accidentelle. C’est tout à fait possible. Si c’est le cas, je me demande si ce ne serait pas encore plus inquiétant.


Serait-ce cet homme qui a créé le COVID-19 dans le laboratoire américain de Fauci?

par Will Jones

30 janvier 2024

Le virologue américain Ralph Baric a créé le virus SARS-CoV-2 du COVID-19 dans son laboratoire de l’université de Caroline du Nord, dans le cadre de ses travaux liés à la proposition de financement DEFUSE de 2018. Voilà l’histoire qui fait le tour de l’internet depuis quelques mois (et pas seulement dans les médias alternatifs) et qui semble très accablante pour Baric et ceux qui sont liés à ses recherches. Les détails du projet DEFUSE ont été divulgués pour la première fois par le major Joseph Murphy, un employé de l’agence de recherche militaire américaine DARPA, au cours de l’été 2021, et d’autres détails concernant des versions antérieures ont été révélés ce mois-ci grâce aux demandes d’archives publiques de l’organisation U.S. Right to Know (USRTK).

Dans le cadre du programme DEFUSE, Baric proposait de créer un virus qui était, à toutes fins utiles, le SARS-CoV-2. Cette proposition comprenait l’insertion d’un site de clivage de la furine dans une protéine de pointe du coronavirus, une commande de l’enzyme de restriction BsmBI, la recherche d’un domaine de liaison qui infecterait les récepteurs humains ACE2 et l’exigence d’un génome viral différent d’environ 25% de celui du SARS.

Le virus SARS-CoV-2 contient un site de clivage de la furine dans sa protéine de pointe, son génome comprend l’enzyme de restriction BsmBI, il possède un domaine de liaison au récepteur finement ajusté pour infecter le récepteur humain ACE2 et son génome est différent d’environ 25% de celui du SARS. Un certain nombre de virologues ont déclaré que ces caractéristiques donnent la preuve irréfutable que le SARS-CoV-2 est un virus modifié.

Baric a obtenu un brevet pour ces nouveaux virus en 2018, au moment même où il mettait au point DEFUSE. Dans le programme DEFUSE, il proposait d’infecter des chauves-souris sauvages chinoises avec ses virus nouvellement brevetés.

Nombreux sont ceux qui estiment que la question de la fuite du laboratoire est donc ainsi réglée.

Mais ce n’est pas là toute l’histoire. En effet, la proposition DEFUSE de Baric n’a pas obtenu le financement de la DARPA. Et si l’on souligne à juste titre que, avec ou sans financement, une grande partie du travail était déjà en cours, c’est ce qui est arrivé ensuite dans le cadre de la proposition gagnante de la DARPA qui rend l’histoire vraiment intéressante.

Le chercheur américain Jim Haslam a réalisé un travail incroyable sur sa page Substack Reverse engineering the origins of SARS-CoV-2, documentant tous les va-et-vient au sein de la communauté des virologues en rapport avec la création de ce virus particulier et la dissimulation qui s’en est suivie. Ce qui suit doit beaucoup à ses recherches méticuleuses, les éventuelles erreurs m’étant imputables.

L’offre gagnante de la DARPA en 2018 – pour un projet appelé PREEMPTincluait le Dr Vincent Munster (photo ci-dessus), grand spécialiste du virus de la chauve-souris, basé au Laboratoire Rocky Mountain des NIH d’Anthony Fauci. La proposition PREEMPT de Munster et le projet DEFUSE de Baric, en perte de vitesse, reposaient tous deux sur la même idée de base: tenter de prévenir une future pandémie (hypothétique) en utilisant un virus modifié pour vacciner les chauves-souris à partir desquelles on pense qu’un tel virus est susceptible de se diffuser. L’idée étant, bien sûr, que les chauves-souris vaccinées ne seraient plus un réservoir pour le virus, ce qui permettrait de « désamorcer » ou d’« anticiper » [preempting] la propagation zoonotique. Ça semble dingue? Absolument – beaucoup trop d’ingérence dans la nature et trop de confiance dans la capacité des vaccins à prévenir l’infection et la transmission du virus. Mais dingue ou pas, c’est ce que les scientifiques ont proposé, et la proposition PREEMPT de Munster a gagné, tandis que la proposition DEFUSE a perdu.

La principale différence entre la proposition DEFUSE de Baric et la proposition PREEMPT de Munster – outre le fait que la proposition de Munster coûtait environ 4 millions de dollars de moins, soit 10 millions de dollars – réside dans le fait qu’au lieu de pulvériser un virus-vaccin non transmissible dans les grottes de chauves-souris, le plan de Munster prévoyait la transmission du virus-vaccin entre les chauves-souris par l’intermédiaire d’aérosols. Il s’agissait donc d’un vaccin auto-diffusant, capable (en théorie) de toucher toutes les chauves-souris sans que l’homme n’ait à découvrir toutes leurs grottes et à les pulvériser. Les risques d’un tel projet auraient dû être évidents. D’ailleurs, Baric lui-même, qui s’était fait très discret après la fuite de son projet DEFUSE à la mi-2021, a refait surface à la mi-2023 pour dire qu’un travail de ce type impliquant l’ingénierie de virus-vaccins transmissibles était « trop délicat » pour lui.

Après que le financement de la DARPA a été accordé à Munster, Fauci a volé au secours de Baric avec un programme exceptionnel de 82 millions de dollars appelé CREID, attribué à l’été 2019, dans lequel les équipes de Baric et de Munster coopéreraient à la recherche sur le concept de Munster de vaccins auto-diffusants pour chauves-souris. Fin 2018, Baric et Munster avaient déjà coopéré sur un projet visant à infecter des chauves-souris frugivores égyptiennes avec un virus similaire à celui du SARS.

Ce qui s’est exactement passé ensuite n’est pas documenté publiquement, nous devons donc combler certaines lacunes. Il semble que Munster ait pris le vaccin breveté de Baric contre le virus du SARS et en ait fabriqué une version transmissible dans son laboratoire de Rocky Mountain (la version de Baric n’était pas censée être transmissible). Qu’est-ce qui le prouve? Le plus révélateur est peut-être que, comme l’observe Jim Haslam, le SARS-CoV-2 ne se transmet efficacement que chez cinq mammifères connus, et ces cinq mammifères – le cerf américain, la souris sylvestre, le hamster syrien, le vison américain et la chauve-souris frugivore égyptienne – se trouvent tous dans le laboratoire de Munster (et de Fauci) à Rocky Mountain, dans le Montana. Le SARS-CoV-2 n’infecte pas les animaux de laboratoire courants dans les laboratoires chinois ou présents dans l’Institut de virologie de Wuhan, tels que les chauves-souris chinoises en fer à cheval. Cela suggère que le SARS-CoV-2 a acquis sa transmissibilité dans un contexte de laboratoire américain et non chinois ou d’ailleurs.

Le virus-vaccin ayant été rendu transmissible dans le Montana, il aurait ensuite été envoyé à l’Institut de virologie de Wuhan (IVW) pour y être testé sur des chauves-souris chinoises, qui n’étaient pas disponibles dans les laboratoires américains. Il n’y a guère de doute quant à l’identité de la personne qui aurait effectué ces tests à l’IVW, puisqu’il n’y avait qu’une seule scientifique disposant des relations et de l’expertise nécessaires. Le Dr Danielle Anderson, surnommée Dani par ses collègues, est devenue célèbre en juin 2021 en tant que « dernière et unique scientifique étrangère du laboratoire de Wuhan » lorsqu’elle s’est exprimée publiquement pour plaider en faveur d’une origine zoonotique. Dani était membre de la commission Lancet sur les origines, présidée par Jeffrey Sachs, qui l’a dissoute en octobre 2021, frustré par le manque de coopération des virologues occidentaux comme Dani. Dani était basée par intermittence à l’IVW dans le laboratoire de haute sécurité BSL4 (pas le laboratoire BSL2 de Shi Zhengli), mais elle ne travaillait pas pour l’IVW. Elle travaillait pour Duke-NUS, l’école de médecine de l’université Duke de Caroline du Nord, basée à Singapour, sous la direction du Dr Linfa Wang, virologue. Linfa et Anderson ont participé à la proposition DEFUSE de Baric, et Duke-NUS a ensuite été partenaire du projet CREID de Fauci.

Le rôle d’Anderson dans DEFUSE était de tester des virus-vaccins sur des chauves-souris chinoises « capturées dans leur milieu naturel » et captives à l’IVW. On peut donc raisonnablement supposer que c’est elle qui a été chargée de tester le vaccin de Munster sur lesdites chauves-souris chinoises. Cela expliquerait comment le virus est arrivé à Wuhan.

En d’autres termes, cela expliquerait comment un virus-vaccin non transmissible conçu par Ralph Baric à l’UNC conformément à la proposition DEFUSE est devenu un virus transmissible qui a fini par être libéré à Wuhan. Plus précisément, parce qu’il s’est échappé par le biais d’une infection contractée en laboratoire lors des tests effectués par Anderson sur des chauves-souris chinoises dans son laboratoire BSL4 à l’IVW, Dani elle-même ou un de ses collègues devenant le « patient zéro ».

Certes, nous n’avons pas de preuves directes de ce fait – nous n’avons pas de preuves directes qu’un vaccin Munster-Baric contre le virus du SARS-2 était testé sur des chauves-souris chinoises à l’IVW en 2019, ni que le Dr Anderson ou un collègue a été infectée par ce vaccin dans ce laboratoire. De nombreux éléments indiquent cependant que c’est un scénario probable.

Nous savons, par exemple, que Baric et Munster proposaient tous deux de vacciner les chauves-souris chinoises à l’aide d’un virus modifié, dans le cas de Baric avec un site de clivage de la furine inséré pour augmenter l’infectivité. Nous savons que la proposition PREEMPT de Munster, dans laquelle le virus-vaccin serait auto-diffusant, a remporté le financement de la DARPA, battant la proposition DEFUSE de Baric pour un virus-vaccin non auto-diffusant, et qu’en 2019, les deux équipes ont été réunies dans le cadre d’une subvention de 82 millions de dollars accordée par le NIAID de Fauci.

Nous savons que le SARS-CoV-2 se transmet sans difficulté chez les animaux de laboratoire du laboratoire Rocky Mountain de Munster, mais pas chez les animaux de laboratoire de l’IVW. Nous pouvons donc en conclure que l’expérience du Dr Anderson visant à infecter des chauves-souris chinoises avec le nouveau virus à l’IVW a vraisemblablement échoué. C’est peut-être la raison pour laquelle elle a quitté Wuhan à la fin du mois de novembre, date limite pour l’« examen de la valeur scientifique » du CREID.

Nous savons également que l’endroit où Dani et ses collègues vivaient dans le centre de Wuhan était un épicentre précoce de l’épidémie de SARS-CoV-2, d’après les données des médias sociaux.

Il semble également que le superviseur de Dani, Linfa Wang, ait rapidement compris que le SARS-CoV-2 était l’un de ses virus. Cela expliquerait pourquoi il a démissionné de son poste de directeur du programme des maladies infectieuses émergentes de Duke, poste qu’il occupait depuis près de dix ans, le jour même de la publication du génome, le 10 janvier 2020. La raison de sa démission abrupte n’a jamais été révélée. Quatre jours plus tôt, il avait déclaré au New York Times qu’il était frustré que les scientifiques chinois ne soient pas autorisés à lui parler de l’épidémie. Il mettait en garde contre toute panique, arguant que le virus ne se propageait probablement pas entre humains parce que les professionnels de la santé n’avaient pas contracté la maladie. Mais en privé, craignait-il que le virus provienne de son laboratoire – est-ce la raison pour laquelle il a immédiatement démissionné lorsque le génome a été publié? Il est difficile de comprendre ce qui aurait pu l’amener à démissionner si soudainement à ce moment-là, et l’absence d’explication renforce les soupçons. Plus tard, il a qualifié le 10 janvier de « jour le plus important de l’épidémie de COVID-19 », car c’est à ce moment-là que le génome a été publié.

Si Linfa anticipait les mauvaises nouvelles, c’est peut-être parce que Dani et lui étaient au courant de la fuite au moment où elle s’est produite. L’analyse des relevés de téléphones portables a révélé une fermeture apparente du laboratoire BSL4 du Dr Anderson entre le 7 et le 24 octobre 2019 (identifiée par l’absence d’utilisation de téléphones portables dans les environs). Rien de plus n’a été révélé sur cet incident ni sur ce qui se cache derrière, mais si cela dénote une infection acquise en laboratoire dont Anderson et Linfa (et probablement d’autres personnes) étaient au courant, cela expliquerait beaucoup de choses.

La prise de conscience qu’il s’agissait d’un virus conçu aux États-Unis pourrait également être à l’origine de la panique qui a poussé le gouvernement chinois à boucler Wuhan peu après la publication du génome.

Depuis 2021, Ralph Baric s’est lancé dans le développement de vaccins contre le SARS-CoV-2 et d’autres coronavirus, allant même jusqu’à imaginer une « vaccination en anneau », comme dans le cas d’Ebola, pour tenter d’enrayer l’épidémie. Est-ce sa façon de se racheter, même si elle est malavisée? Je me demande si on ne décèle pas également une allusion de sa part à ceux qui, selon lui, sont réellement responsables de la débâcle, lorsqu’il faisait remarquer que « les gouvernements, plutôt que les scientifiques », sont les principaux responsables du choix des expériences risquées de gain de fonction à financer et à mener – une référence peut-être à la manière dont l’ingénierie « audacieuse » de Munster sur les virus-vaccins transmissibles a été choisie au détriment de sa version non-transmissible.

« Il semble que la science américaine va être détruite pour une pandémie qui a commencé en Chine », déclarait-il à Dan Werb du Time, retombant dans le déni. Lorsque Werb lui suggéra qu’en dépit des « théories du complot », de nombreuses personnes étaient heureuses qu’il soit devenu un scientifique, il répondit: « Bon nombre d’entre elles auraient probablement souhaité que je ne le sois pas devenu. Soyons honnêtes. »

Est-ce là ce qui s’apparenterait le plus à une confession?

Vol au-dessus d’un nid de poulets – par le Dr Ah Kahn Syed.

Comme le dit l’expression anglaise, voici comment on fabrique la saucisse. Ça se passe en Australie – une des cibles majeures de l’opération Covid – et ça montre bien comment s’articulent campagne de presse et pseudo-événement, mécanisme dont l’auteur – déjà publiée sur ce blog ici, ici, ici – décrit ici les rouages.

Avant d’aborder cette histoire de H5N1, bref récapitulatif du Covid? Vous pouvez l’encadrer:

Au départ, le SARS-CoV-2 n’est pas une « arme biologique » mais, un vaccin auto-diffusant pour chauve-souris conçu pour être bénin pour les personnes en bonne santé mais extrêmement contagieux. Vu la très haute visibilité de ses symptômes dans la population, c’était le candidat parfait pour artificiellement créer et prolonger une « pandémie » – le virus original ainsi que tous ses variants étant issus de laboratoires. Vu sa faible létalité – un virus vraiment mortel ne créant pas de pandémie, il tue trop vite les propagateurs – celle-ci a dû être boostée par les interdictions de traitement précoce (ce qui a aussi laissé le champ libre à l’autorisation d’utilisation d’urgence des « vaccins »), tests PCR trafiqués, chiffres bidouillés et certificats de décès « avec Covid » et protocoles hospitaliers mortels.

C’était une répétition générale pour la « pandémie » suivante. Elle a démontré que quasiment tous les médecins hospitaliers étaient prêts à appliquer sans rechigner des protocoles mortels et que la vaste majorité de la population, qui ne sait rien de son propre système immunitaire, était prête à se plier à des injonctions délirantes dictées par des décrets illégaux, et à persécuter les réfractaires.

Bref, tout est prêt pour la « pandémie » suivante, celle qui « attirera l’attention ».

Ouvrez l’oeil.

Note: « the chicken have come home to roost » – les poulets sont revenus se reposer au bercail – est une expression qui signifie que les conséquences finissent toujours par se manifester.


Vol au-dessus d’un nid de poulets

La grippe aviaire à Geelong ne peut signifier qu’une chose: « les poulets de l’Antarctique sont revenus se reposer au bercail ». Il faudrait être fou pour croire à toute autre explication.

Dr Ah Kahn Syed

10 juin 2024

Un rapport gouvernemental privé obtenu cette semaine en réponse à des questions sur la décision d’abattre plus de 500 000 poulets dans l’État de Victoria, en Australie, montre que les personnes qui ont pris cette décision ne disposaient d’aucune preuve vérifiable de l’existence d’un foyer infectieux à haut risque.

Les élevages de poulets prétendument infectés étaient si éloignés de toute source aviaire possible qu’il était peu probable, voire impossible, que cela se soit produit sans une intervention délibérée ou une manipulation des tests.

Le CSIRO, l’équivalent australien de l’Institut de virologie de Wuhan, est la source « épidémique » potentielle la plus proche et ce n’est pas la première fois qu’il est impliqué dans l’émergence de « nouveaux » virus.

L’abattage des poulets semble être une crise fabriquée de toutes pièces.

Cette semaine, j’ai reçu une copie d’un document gouvernemental envoyé en réponse à des questions sur cet événement inhabituel en Australie – l’abattage de 500 000 poulets:

On pourrait penser que ce n’est pas très grave – après tout, notre sécurité alimentaire est primordiale, donc si une voléé de poulets est infectée, il faut réagir rapidement et l’abattre, non?

Pas si vite. La grippe aviaire est ainsi nommée parce qu’elle touche les oiseaux. Et tout comme la FDA nous a dit que nous n’étions pas des chevaux (bien qu’elle ait dû retirer ce tweet et cette page web à la suite d’une décision de justice), nous ne sommes pas non plus des oiseaux. Ainsi, sauf circonstances rares et improbables (ou si un scientifique psychopathe décide de l’adapter à l’homme), la grippe aviaire ne présente aucun risque pour la population humaine. Et une fois le poulet passé dans les friteuses d’un KFC, toute trace de la grippe aviaire aura de toute façon disparu depuis longtemps.

Vous n’êtes pas un cheval. Vous n’êtes pas une vache. Sérieusement, les gars. Arrêtez.
Pourquoi il ne faut pas prendre d’ivermectine pour soigner ou prévenir le COVID-19
L’utilisation de l’ivermectine pour soigner le COVID-19 peut être dangereuse et même mortelle. La FDA n’a pas approuvé ce médicament pour cet usage.

Quel événement catastrophique a-t-il nécessité l’abattage d’un demi-million de poulets (c’est-à-dire les tuer, non pas pour les manger, mais pour les éliminer avant qu’ils n’entrent dans la chaîne alimentaire)?

Apparemment, une épidémie de grippe aviaire H7N31 s’est déclarée dans trois élevages, tandis qu’un autre élevage situé à 100 km de là a été touché par une souche différente de H7, la H7N9. Selon WAHIS (l’agence de surveillance des épizooties), il s’agit des seuls foyers apparus cette année en Australie, et ce presque aussi loin au Sud qu’il est possible.

Près d’un endroit appelé Geelong (dans le même État que Melbourne).

Carte des foyers de grippe aviaire H7 dans le sud de l’Australie, tous les sites se trouvant dans un rayon de 100 km autour de Geelong, siège du CSIRO.

Les personnes attentives auront remarqué que la ville de Geelong présente l’intérêt d’abriter la version australienne de l’Institut de virologie de Wuhan, le CSIRO. Il s’agit bien sûr d’une pure coïncidence, car un foyer infectieux d’origine aviaire peut provenir d’autres sources que celle d’une création par un institut scientifique réputé pour la manipulation l’identification de « nouveaux » virus de chauve-souris.

Comme la plupart des grippes aviaires sont censées provenir d’Asie, voici une jolie carte de l’itinéraire que les oiseaux infectés emprunteraient pour arriver à Geelong. Une longue distance à parcourir, ce qui explique peut-être pourquoi il n’y a pas de H5N1 (grippe aviaire asiatique) « naturelle » en Australie2. Et si des maladies infectieuses arrivaient d’Asie, on les constaterait d’abord dans le Queensland ou les Territoires du Nord.

En fait, la plupart des oiseaux asiatiques ont tendance à ne jamais migrer vers l’Australie, ce qui explique en partie pourquoi les oiseaux australiens sont différents de ceux des autres pays, avec notamment des bizarreries telles que le kookaburra, le cygne noir, le casoar et l’ibis (communément appelé bin chook [poulet des poubelles] en raison de son étonnante faculté à trouver de la nourriture dans les poubelles publiques).

Par conséquent, si l’Australie doit contracter la grippe aviaire H5N1 de manière naturelle, ce ne sera pas chose aisée…

À moins que…

Les petits malins responsables de la grippe aviaire arrivent par la porte de derrière, depuis l’Antarctique.

Bien entendu, le service national de radiotélévision australien ABC a pris une longueur d’avance grâce à cette vidéo de prebunking [NdT. « prebunking » = « debunking » avant l’événement] étonnamment intelligente, qui montre des images de cadavres d’oiseaux mises en scène en mode CNN, afin de faire croire que la situation y est vraiment grave.

Et si vous n’êtes VRAIMENT pas convaincu à quel point c’est MORTEL, on ne vous montre pas seulement des rangées de pélicans morts sur la neige, ON COLORIE « 100 MILLIONS DE TUÉS » EN ROUGE – un rappel du tableau de bord du COVID.

Voilà. Alors, vous avez peur? Non? Très bien, on continue. C’est Jo Sillince, PDG du « Australian Chicken Growers Council », qui prend le relais, figurant à la fois dans l’article de la chaîne ABC pour expliquer à quel point tout cela est effrayant ET dans la vidéo ci-dessus pour expliquer que le danger principal vient de l’Antarctique.

Joanne Sillince, PDG du Conseil australien des éleveurs de poulets (Image ABC)

Si vous n’êtes toujours pas effrayés par Joanne ou par ABC, vous feriez mieux de l’être parce que LA GRIPPE AVIAIRE VIENT D’ANTARCTIQUE POUR TUER NOS POULETS.

Sans vouloir énoncer l’évidence, faire venir la grippe aviaire depuis l’Antarctique n’est pas chose aisée. Voyez-vous, les principaux itinéraires de migration des oiseaux ne comportent pas vraiment de trajet de l’Antarctique à l’Australie.

Et même si l’un ou l’autre albatros antarctique en venait à s’égarer dans les cafés de Melbourne, il aurait eu bien du mal à attraper la grippe aviaire asiatique dans les étendues enneigées de l’Antarctique.

Et puis il y a les pingouins. Pour ceux qui l’ignorent, les pingouins sont des oiseaux. Ils sont capables de voler, mais uniquement dans le milieu fluide de l’eau (la plupart des oiseaux volent dans le milieu fluide de la vapeur d’eau, c’est-à-dire dans l’air). Ils pourraient donc atteindre la côte sud de l’Australie et y déposer leurs fientes grouillantes de grippe aviaire – mais s’aventurer plus loin leur demanderait une longue marche. Si on avait aperçu une famille de pingouins sur la route de Geelong, il y a fort à parier qu’on en aurait parlé dans les journaux.

Avant de nous pencher sur ce qui se trame derrière tout ceci, je me dois de donner quelques informations sur Michelle Wille, amie et multiple co-auteur d’Edward Holmes, lui-même multiple co-auteur des scientifiques d’EcoHealth dont il est question plus loin.

Michelle est la scientifique en chef dans la vidéo « Antarctic Chickens » ci-dessus et en gros, c’est elle qui dirige les campagnes des « virus effrayants » en Australie, pompant au passage des montants colossaux de financement pour la « préparation aux pandémies » qui ne préviennent en réalité jamais les pandémies.

Elle tente ici de nous affoler avec un article paru dans The Conversation, qui accueillait le même Eddie Holmes il y a deux ans avec une histoire similaire nous expliquant que nous étions tous fous de penser que le COVID provenait d’un laboratoire. Sauf qu’il s’avère que c’était bien le cas.

Poulets, canards, phoques et vaches: une souche dangereuse de grippe aviaire frappe à la porte de l’Australie

Voyez-vous comment ça fonctionne?

  1. On crée un virus en utilisant soit un virus existant, soit un nouveau virus, soit un virus manipulé.
  2. On crée la panique autour du virus, même s’il n’est pas très dangereux (voire pas du tout).
  3. On crée un théoricien de la conspiration qui servira de bouc émissaire et sera publiquement ridiculisé si quelqu’un pose des questions sur la création du virus.
  4. On répéte l’opération, en récoltant au passage des millions de dollars de fonds publics pour « prévenir » le prochain virus terrifiant qui ne sera pas du tout prévenu.

Les explications délirantes

Alors, pourrait-il y avoir une autre explication que des poulets de l’Antarctique qui survolent l’océan Austral et infectent leurs congénères des régions tempérées?

Eh bien, étant donné que le CSIRO se trouve dans le voisinage même de la majorité des foyers, cela pourrait donner l’idée d’y jeter un coup d’œil pour voir si, peut-être, ils auraient pu avoir un lien avec un foyer H7N3 voisin, ou si, finalement, un foyer H7N3 a une quelconque importance.

Examinons donc les deux scénarios (qui ne s’excluent pas mutuellement), mais auparavant, un petit rappel de la signification du titre pour ceux qui n’ont pas l’âge pour se souvenir de l’un des films les plus récompensés de tous les temps.

J’ai envisagé de le sous-titrer, mais je le laisserai tel quel pour l’instant.

Jack Nicholson dans « Vol au-dessus d’un nid de coucou ».

Explication délirante n°1 (le terrifiant virus inter-espèce)

Dans ce scénario, une souche de grippe spécifique et terrifiante s’est échappée du CSIRO et s’est retrouvée dans l’exploitation, tuant quelques oiseaux, ce qui a nécessité un confinement.

Ça vous rappelle quelque chose?

Peut-être a-t-il fallu revêtir des combinaisons blanches et souder la porte du poulailler, et qu’on verra bientôt des vidéos de poulets (autres que ceux de l’Antarctique) tomber raide morts sur le sentier de la ferme. Avec des masques.

Le problème, c’est que le CSIRO a un passé. Il a été impliqué à juste titre comme co-contributeur aux origines du SARS-CoV-2 de Wuhan dans l’exposé de Sharri Markson il y a deux ans, que vous pouvez voir dans ce clip de 10 minutes de Sky News.

Bien entendu, si une institution est impliquée dans la manipulation de virus afin de les « modifier » dans un but spécifique, on peut s’attendre à ce qu’elle soit affiliée à l’un de ces programmes DURC, c’est-à-dire « Dual Use Research of Concern », ce qui signifie en langage OMS « nous disons que nous fabriquons des vaccins, mais en réalité nous travaillons avec l’armée américaine pour faire, vous voyez, des trucs militaires américains ».

Et, si c’était bien le cas, on trouverait probablement des traces de leur implication dans les institutions suivantes, financées par l’armée américaine par l’intermédiaire de la DARPA (la progéniture de l’opération Paperclip dont nous avons parlé récemment)

Ouf! Pas de mention de CSIRO, juste les suspects habituels, UC Davis, EcoHealth (l’organisation de Peter Daszak impliquée dans l’origine du COVID) et Metabiota 3, l’organisation liée au Rosemont Seneca de Hunter Biden. Rien que des gens très sympathiques. Et tous chapeautés par cette organisation au nom si doux:

« OneHealth Institute ».

Tout est lié au OneHealth Institute, qui opère dans le monde entier

Tout cela fait très « objectifs durables » – alias fascisme mondial – sous couvert de « santé mondiale ». Sauf que ces gens veulent être en charge de votre santé mondiale, que vous y consentiez ou non.

La personne impliquée dans la création du virus COVID à l’Institut de virologie de Wuhan était communément appelée « BatWoman »; son équivalent au CSIRO serait Gary Crameri.

On pouvait autrefois le regarder parler de la fabuleuse réussite du CSIRO, qui avait à l’époque trouvé « l’origine du virus du SARS », mais ABC a supprimé la vidéo en 2020 4, probablement parce qu’elle contenait des éléments qui impliquaient Crameri ou le CSIRO dans la recherche sur le gain de fonction (DURC). On peut encore entendre ce que Gary avait à raconter puisque ABC a oublié d’effacer le son. [NdT. le clip sonore original est ici, j’en ai fait la traduction ci-dessous]

TONY EASTLEY: Les scientifiques pensent avoir trouvé l’origine du virus mortel connu sous le nom de SARS (syndrome respiratoire aigu sévère). L’équipe, qui comprend des chercheurs de Geelong, a trouvé un parent très proche du virus dans des échantillons fécaux de chauves-souris fer à cheval de Chine.

Le virus du SARS a tué 774 personnes entre 2002 et 2003, et les scientifiques affirment que la découverte de son origine permettra d’éviter une nouvelle épidémie.

Gary Crameri, du CSIRO (Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation), s’entretient ici avec notre journaliste Cameron Best.

GARY CRAMERI: Nous avons découvert deux nouveaux virus du SARS chez des chauves-souris en fer à cheval en Chine. Nous en avons isolé un et identifié un autre, et à ce jour, ils sont les plus proches parents identifiés du virus original du SARS.

CAMERON BEST: Cela fait plusieurs années que vous soupçonnez la chauve-souris d’être en cause. Qu’est-ce qui vous a fait franchir le pas?

GARY CRAMERI: Cela fait environ huit ans que nous recherchons ce virus spécifique chez les chauves-souris et, bien que de nombreux groupes aient fait de même partout dans le monde, ce virus spécifique est capable d’infecter directement l’homme, comme le virus original du SARS. C’est donc la clé de ces nouveaux virus.

CAMERON BEST: S’agit-il d’une étape vers la découverte d’un vaccin?

GARY CRAMERI: À ce stade, les vaccins pour le SARS ne sont pas une priorité. Il n’est apparu qu’à deux reprises, en 2002 et 2003, mais il est important de comprendre la dynamique et l’origine de ces virus.

CAMERON BEST: Le SARS et d’autres virus continueront-ils à causer des décès dans le monde?

GARY CRAMERI: Écoutez, je ne pense pas qu’il y ait beaucoup de doutes sur le fait que le SARS… le potentiel existe pour qu’il réapparaisse. Si les conditions et les circonstances s’y prêtent, il est probable qu’il réapparaîtra.

Nous pensons que les chauves-souris sont des animaux anciens – elles ont plus de 80 millions d’années – et nous pensons qu’elles ont évolué avec ces virus, et que ces virus et les chauves-souris ont potentiellement développé une relation productive. Mais lorsque ces virus se propagent à d’autres mammifères tels que l’homme, alors oui, ils peuvent être très dévastateurs.

Il s’agit d’une niche clé dans notre écosystème; les chauves-souris insectivores ont un rôle énorme à jouer dans le contrôle des populations d’insectes. Nos renards volants, ici en Australie et en Asie, jouent un rôle majeur dans la pollinisation; ce ne sont donc pas des animaux dont nous pouvons nous passer.

Nous vivons en harmonie avec eux, et nous devons continuer, ils ne représentent pas un risque majeur pour nous au quotidien. Ce n’est que dans des circonstances atypiques que ces choses se produisent.

TONY EASTLEY: Gary Crameri, du CSIRO, parlait à Cameron Best.

Bien entendu, il n’y a aucune raison de croire ou de confirmer que les « chauves-souris chinoises » ont créé le SARS, pas plus qu’un pangolin et une chauve-souris n’ont créé le « COVID »5, mais ce qu’on sait, c’est que Gary Crameri était l’un des auteurs de cet article fondamental et on voit ici qui en sont les autres auteurs:

Pour ceux qui l’ignorent, Lin-Fa Wang et Peter Daszak sont les principaux moteurs de l’Ecohealth Alliance (le principal protagoniste impliqué dans la création du COVID) avec Zeng-Li Shi de Wuhan. Bien entendu, les auteurs déclarent « ne pas avoir de conflits d’intérêts », mais à l’époque, recevoir de l’argent des sources de financement de l’armée américaine (USAID et PREDICT) n’était probablement pas considéré comme un « conflit », probablement parce qu’à l’époque, très peu de gens savaient que l’armée américaine continuait à commettre des crimes de guerre en manipulant des agents pathogènes en violation de la Convention sur les armes biologiques (CIAB).

Si on lit la note ci-dessus à la fin de leur article, il est également utile de savoir que le « State Key Program » est le flux de financement scientifique du PCC (Parti communiste chinois).

Des recherches plus approfondies sur Lin-Fa Wang montrent que sa principale affiliation est l’université Duke à Singapour, d’où il dirige le programme PREPARE, essentiellement la version asiatique du programme PREDICT, similaire au programme PREEMPT. Il s’agit essentiellement de programmes qui font transiter des centaines de millions de dollars du contribuable américain via l’USAID et la DARPA (la progéniture cauchemardesque de Paperclip) vers des scientifiques qui prélèvent (prétendument) des échantillons sur le derrière des chauves-souris sans jamais créer un seul médicament utile aux personnes qui les financent.

L’un des nombreux flux de financement de l’armée américaine vers le CSIRO pour la « préparation à la pandémie », qui ne serait probablement pas nécessaire si l’armée américaine cessait de fabriquer des virus.

Notez que la subvention DARPA susmentionnée incluait une société liée au CSIRO appelée « Autonomous Therapeutics » qui fabrique de l’« ARN crypté », ce qui n’a rien d’effrayant et n’évoque en rien du matériel militaire, n’est-ce pas?

Mais ce que cet organisme n’est clairement pas, c’est un fabricant de vaccins, un schéma récurrent.

▶L’argent public va à des organisations militaires clandestines
▶L’armée paie des institutions académiques pour mener des « recherches virales » afin de « se préparer à une pandémie ».
▶Une pandémie plus ou moins grave se produit chaque année.
▶La recherche virale s’intensifie en conséquence de la « pandémie ».
▶Pour « contrer la pandémie », on impose au public de nouveaux vaccins qui n’auraient jamais vu le jour si on n’avait pas fabriqué de virus.
▶Les bénéfices des vaccins vont aux scientifiques et aux entreprises pharmaceutiques qui ont bénéficié d’argent public pour faire de la recherche.

Joli travail de blanchiment d’argent pour qui sait s’y prendre. C’est ce qu’on appelle du « double dipping ». [NdT. le fait de recevoir illégalement des financements de deux sources différentes]

Les scientifiques des NIH ont récolté 710 millions de dollars en droits des fabricants de médicaments – et ont tenté de le cacher.

Toutes les institutions et personnes impliquées sont bien sûr très copines entre elles et elles insistent bien sur le fait de leur importance. Voici Colin Carlson, de l’UC Davis (encore), qui déclare « n’avoir aucun conflit d’intérêts » bien que son institut soit financé par la Fondation Rockefeller, qui est essentiellement BigPharma, et bien qu’il ait reçu 100 millions de dollars de l’USAID pour la « préparation aux pandémies » sous l’égide de « OneHealth » (alias Ecohealth)6.

Colin J. Carlson, qui a déclaré « ne pas avoir d’intérêts concurrents » dans cet éditorial grotesque, mais dont le département est financé par la fondation Rockefeller.

Maintenant que vous savez qui sont les principaux acteurs de ce racket de « préparation à la pandémie », il est bon de savoir que l’équipe du CSIRO a coutume de « trouver des virus » qui sont ensuite utilisés pour créer de « nouveaux vaccins ». Ces mêmes personnes l’ont fait avec le virus Hendra (découvert comme par hasard en Australie en 1994 et apparu dans des épidémies très sporadiques de type Ebola) et pour lequel l’« équipe Hendra » du CSIRO a remporté un prix pour la création d’un vaccin, commercialisé par Zoetis (la branche vétérinaire de Pfizer) en 2013. Le vaccin lui-même a été autorisé en 2012, un an seulement (comme par hasard) après une augmentation soudaine et spectaculaire du nombre de cas sur une période de 8 semaines en 2011, où il y a eu plus de cas que lors des 20 années précédentes.

Bien sûr, le vaccin était « sûr et efficace » (à moins que vous ne demandiez l’avis des propriétaires de chevaux) et pour une maladie rare, mais il a été imposé de force aux entraîneurs de chevaux. Ça vous rappelle quelque chose? Pas de vaccin = pas de service vétérinaire.

De plus, quand on cherche un peu, on y retrouve les mêmes acteurs: Linfa Wang et Gary Crameri, ainsi que la directrice du département, Deborah Middleton.

Ce sont ces mêmes personnes (auxquelles s’ajoute Hume Field d’Ecohealth) qui, en 2012, ont acessoirement « découvert une nouvelle souche de virus similaire à celui du Hendra chez les chauves-souris », qu’ils ont appelé le virus Cedar.

Le virus Cedar était non seulement totalement nouveau, mais ces mêmes personnes, encore, l’ont breveté. Ce qui signifie qu’il était également synthétique (car on ne peut pas breveter une chose qui existe dans la nature si elle n’est pas manipulée d’une manière ou d’une autre pour la rendre différente). Bien entendu, c’est une pure coïncidence que ce groupe ait également créé une lignée cellulaire de chauve-souris totalement nouvelle deux ans plus tôt, en ajoutant les oncogènes SV40 et hTERT aux cellules de chauve-souris.

Et d’où venait le financement de ce projet « créons une lignée de cellules de chauve-souris dans laquelle nous pourrons faire passer des virus »? De l‘armée américaine bien sûr 7, par l’intermédiaire d’un certain Chris Broder et du NIAID (l’organisation de Tony Fauci). Ce genre d’histoire ne s’invente pas.

Et pourquoi est-ce que je vous parle de toutes ces personnes liées au CSIRO et à OneHealth?

C’est parce que la semaine dernière, alors que ABC nous abreuvait de guano sur les poulets de l’Antarctique, une réunion se tenait sur le « risque urgent de grippe aviaire H5N1 en Australie » – le décor ayant préalablement été planté par l’abattage d’oiseaux en raison d’une « épidémie » d’une grippe aviaire totalement différente (H7, vous vous souvenez?).

Et qui était l’hôte de cette réunion? One Health bien sûr, habilement déguisé en « Centre pour les maladies infectieuses et la microbiologie », qui n’est en réalité qu’un vaste réseau de groupes de microbiologie aux intérêts spécifiques coordonnés avec ceux de OneHealth.

Les principaux acteurs y étaient présents, y compris le Dr Michelle Wille, la personne qui, dans la vidéo d’ABC, nous dit que l’effrayante grippe aviaire provient des poulets de l’Antarctique ou de Dieu sait quoi d’autre. La voici encore, lauréate d’un prix pour son travail avec Eddie Holmes en 20208:

Pourriez-vous donner un aperçu simple et bref du sujet traité dans votre document?
Notre article vise à rassembler et à synthétiser toutes les études sur les coronavirus chez les oiseaux sauvages. On sait depuis longtemps que les oiseaux sont d’importants réservoirs de coronavirus, le virus de la bronchite infectieuse étant le premier coronavirus décrit. Toutefois, ce n’est qu’au cours des deux dernières décennies que nous avons commencé à rechercher ces virus chez les oiseaux sauvages. En compilant la littérature, nous avons cherché à révéler la diversité des virus et à démêler la gamme d’hôtes et l’écologie de ces virus. Grâce à ce travail, nous avons révélé d’importants biais dans les travaux réalisés jusqu’à présent, le manque de cohérence dans les méthodes de détection et de caractérisation, et le manque général d’outils pour la sérologie et l’isolement des virus ». – Dr Michelle et Prof Edward

Pour s’assurer que tout le monde chante la même partition, OneHealth dispose désormais de son propre département au sein de NSW Health (le principal organisme de santé en Australie qui dirige la plupart des politiques) – mais vous ne le trouverez pas. Il n’existe que dans certains documents, comme le programme ci-dessus (le programme complet est affiché dans les notes de bas de page)9.

La directrice de OneHealth-NSW Health est Keira Glasgow, qui a participé à ce panel.

Keira Glasgow, directrice de la branche One Health de la Nouvelle-Galles du Sud, a déclaré que ce cas faisait suite à des détections récentes de MVE (https://health.nsw.gov.au/news/Pages/20230203_00.aspx…) chez des moustiques et des poulets sentinelles dans certaines parties de l’ouest et du sud de la Nouvelle-Galles du Sud, où une surveillance est exercée.

Frank Wong, du CSIRO, fait également partie de ce panel et montre ici au public à quel point le H5N1 (celui qui ne pourrait pas vraiment atteindre l’Australie sans l’aide extérieure des « scientifiques ») est effrayant.

Notez l’idée de « bond inter-espèce » où la grippe aviaire se transforme soudain en pathogène à haut risque pour les mammifères. Ce n’est possible qu’avec l’aide d’organismes tels que le CSIRO. Ce n’est possible que dans les films et dans les laboratoires. Ça se prépare en laboratoire, où les virus sont soumis à des passages répétés dans des types de cellules spécifiques, comme celles que le CSIRO a créées à cette fin. Par exemple, le « variant britannique du COVID » (N501Y) a été créé de cette manière en 202010.

Il y a deux choses importantes à noter à ce stade:

  1. La souche de grippe « effrayante » est la H5N1, mais elle ne peut pas atteindre l’Australie à moins que quelqu’un ne l’y introduise – ou ne l’y fabrique.
  2. La souche pas-si-effrayante est le H7N3, le prétexte utilisé par le gouvernement pour abattre 500 000 poulets.

Le second, le H7N3, est essentiellement endémique et nous l’aborderons donc dans la section suivante.

Mais le H5N1 est problématique et, étant donné que l’Australie est naturellement protégée contre ce virus, la pire chose serait que le CSIRO fasse des expériences sur le H5N1 vivant.

Eh bien, il est trop tard. Ils le font déjà. Extrait de notre rapport gouvernemental:

Q: Des expériences ont-elles été menées à l’aide de virus H5N1, H7N9 ou H7N3 vivants, ou de clones de ces trois souches de grippe, au CSIRO au cours de la période 2021-24?

R: Au cours de la période concernée, le personnel du CSIRO a mené, dans des conditions de confinement biologique élevé et dans le respect de mesures réglementaires strictes, des travaux expérimentaux sur des virus vivants avec une gamme de sous-types H5N1 afin d’améliorer notre compréhension du virus. Aucune expérience n’a été réalisée avec des virus vivants H7N3 ou H7N9.

Bingo.

Le CSIRO, qui a été profondément impliqué dans la découverte, la manipulation et la synthèse de virus à haut risque, nous dit maintenant que le H5N1 va arriver en Australie.

Pourtant, comme il n’est pas possible qu’il arrive naturellement en Australie, nous allons prendre le risque de l’y amener par le biais de la « science », en menant des études à haut risque sur un virus qui n’a nul besoin d’être étudié en Australie.

La seule conclusion possible est que tout foyer de H5N1 en Australie peut désormais être considéré comme provenant du CSIRO.

À ce stade, l’infirmière Ratched doit vérifier que vous avez bien pris vos médicaments et que vous ne risquez pas de vous rebeller en lisant la prochaine partie, qui présente l’explication la plus probable de ce qui s’est vraiment passé à Victoria (et non de ce qui pourrait se passer).

Explication délirante n°2 (le virus endémique)

Cette explication est beaucoup plus simple, mais elle montre comment fonctionne la propagande. Si vous avez bien tout suivi, vous vous êtes rendu compte que tout le battage médiatique s’articule autour de l’effrayant H5N1, qui n’existe pas en Australie (du moins pas de manière significative), qui ne peut pas infecter les humains sans manipulation préalable et pour lequel des « vaccins » sont déjà en cours d’acheminement 🙄.

Pourtant, l’abattage de 500 000 oiseaux a été effectué principalement sur la base d’un foyer de H7N3 près de Geelong. C’est-à-dire une grippe aviaire H7.

Or, le H7 est un tout autre genre d’oiseau de l’Antarctique [NdT. il y a un jeu de mots en anglais, intraduisible]. Selon un article récent rédigé par les mêmes personnes que celles mentionnées ci-dessus (Michelle Wille, Eddie Holmes, Frank Wong) et menant des recherches dans les mêmes institutions (CSIRO et autres, avec un financement du gouvernement australien et des subventions du NIAID), le virus H7 semble être pratiquement endémique en Australie.

Voici l’article:

Voici, selon l’article, la répartition des types, qui montre une répartition assez forte des types H7 parmi les différentes souches détectées.

Le supplément contient un joli graphique qui montre la probabilité de séquencer un génome particulier à partir d’un échantillon « testé positif » par PCR.

Probabilité d’obtenir des séquences complètes du virus H7N3 à partir d’oiseaux australiens, en corrélation avec l’infectiosité. Les valeurs de Ct supérieures à 28 représentent principalement des « résidus »

C’est très instructif et ça montre que plus le test PCR est positif (par une valeur Ct faible), plus il est probable que l’échantillon produise une séquence valide. Ce fait était également bien connu lors du « COVID », lorsque le CDC a imposé que, pour un « test COVID » positif, toute valeur de Ct supérieure à 28 était pratiquement inutile pour le séquençage génétique11.

Pour la même raison, la plupart des échantillons infectieux sont trouvés lorsque la valeur Ct est bien inférieure à 25 cycles. En effet, le test PCR peut détecter des fragments d’ARN non infectieux qu’il ne peut différencier des particules activement infectieuses. Toutefois, plus la valeur est faible, plus les particules infectieuses sont susceptibles d’être intactes et donc infectieuses.

Plus le seuil de Ct est élevé (au-dessus de la valeur de Ct où le test est considéré comme positif), plus il est probable que l’on détecte des résidus non infectieux. Comme vous pouvez le voir sur le graphique, le point à partir duquel le test passe de « probablement infectieux » à « détection de résidus » se situe quelque part autour de 30-35 au maximum.

Il a donc été demandé au gouvernement quelles valeurs il utilisait pour détecter la grippe du poulet de l’Antarctique dans les élevages d’oiseaux où il l’avait isolée.

Voici ce qui a été répondu:

Des informations concernant les 6 questions suivantes ont été demandées au CSIRO, au Commonwealth Department of Agriculture, Forestry and Fisheries (DAFF) et à Agriculture Victoria:

  1. Combien d’animaux ont été testés sur chacun des trois sites (Terang, Meredith et Lethbridge)?
  2. Combien de poulets ont été testés positifs sur chaque site?
  3. Combien de cas individuels de H7N9 et de H7N3 ont été découverts sur chaque site?
  4. Combien de décès (dus à l’infection et non à l’abattage) ont été enregistrés sur chaque site?

Questions 1 à 4: Il est préférable d’adresser ces questions à Agriculture Victoria, car le CSIRO ne dispose pas de ces informations.

  1. Si la PCR était la principale modalité de test, sait-on encore à quelle valeur de Ct les tests ont été effectués ou déclarés positifs?

Les valeurs de Ct pour les tests PCR en temps réel doivent être interprétées dans le contexte du système de test pour lequel elles ont été validées et ne fournissent pas de comparateur absolu en dehors de ce contexte. Les tests utilisés par le Centre australien de préparation aux maladies du CSIRO, qui sont validés dans le cadre de notre système de qualité accrédité ISO 17025, sont considérés comme positifs pour une valeur de Ct de 40 ou moins, négatifs pour une valeur de Ct supérieure à 45 et indéterminés entre ces valeurs. D’autres laboratoires établiront toutefois leurs propres valeurs limites conformément à leurs propres systèmes d’accréditation.

Ainsi, le CSIRO et le DAFF ne savent pas où les tests ont été effectués, qui les a effectués, combien de poulets étaient positifs, à quelles valeurs Ct ils étaient positifs et combien sont effectivement morts de la grippe du poulet de l’Antarctique.

Poulets panda de l’Antarctique. Ils n’existent pas en vrai.

Même sans savoir si leurs tests ont une quelconque valeur, ni même si des poulets ont été malades ou sont morts à la suite de l’apparition d’un virus endémique, qui n’affecte en rien les êtres humains…

Le gouvernement, guidé par le CSIRO et probablement par OneHealth, a décidé de tuer plus de 500 000 poulets.

Et personne ne sait qui a signé l’ordre.

Ce qui rappelle beaucoup le COVID, comme nous l’avions expliqué plus tôt cette année, où le « test COVID » a entraîné des changements dans le protocole de la pandémie qui ont presque certainement tué plus de personnes que celles qui seraient mortes si aucun test n’avait été effectué et si les patients avaient été traités pour les conséquences de l’infection, telles que la pneumonie bactérienne, comme ils l’avaient été pendant des décennies.

Et tout comme le COVID avec ses protocoles et directives anonymes issus du « MAGICapp » de l’OMS, personne ne sait qui a pris la décision.

Selon leurs propres termes et après une seconde demande:

Q: Veuillez indiquer le nom du service ou le contact qui peut fournir des informations sur la décision d’abattre les oiseaux.

R: Agriculture Victoria fait partie du Ministère de l’énergie, de l’environnement et de l’action climatique (DEECA) du gouvernement de l’État de Victoria et est responsable de la réglementation des menaces et des urgences en matière de biosécurité dans l’État. Il est probable qu’il s’agisse du meilleur contact pour obtenir ces informations. Les coordonnées des personnes à contacter sont indiquées sur la page web « Contact us« .

Conclusion

Et voilà. Personne ne sait rien, mais un demi-million de poulets ont été tués et il y a maintenant une pénurie d’œufs. Qui l’aurait cru?

Pourtant, pour justifier cet abattage, OneHealth et ses organisations affiliées ont été recrutées pour faire la propagande d’une autre grippe pandémique qui n’a jamais atteint l’Australie et qui n’affecte pas naturellement la population humaine, juste pour semer la confusion dans l’esprit du public.

Ces mêmes organisations sont payées des centaines de millions de dollars par le public pour continuer à faire peur et justifier leur existence, alors qu’il est possible – voire probable – que toutes les « pandémies » de ce siècle ont été précipitées par les actions de ces mêmes organisations.

Il faut que ça cesse. S’ils détruisent l’approvisionnement alimentaire, il pourraient au moins avoir la décence de produire sur demande des preuves vérifiables de leur réaction excessivement zélée.

En attendant, tous ceux d’entre nous que le gouvernement a réduits au silence et traités de « conspirationnistes cinglés » peuvent retourner au nid de coucou pour y recevoir de l’infirmière Ratched leur prochaine dose de médicaments .

Pour leur propre sécurité, bien sûr.


  1. À ce jour, trois exploitations ont été touchées par le virus H7N3. Une autre exploitation, située à 100 km de là, a été touchée par le H7N9. Il s’agit dans les deux cas de souches H7 de la grippe aviaire. ↩︎
  2. https://www.abc.net.au/news/2024-06-08/who-says-australia-human-case-of-bird-flu-followed-india-travel/103954424 ↩︎
  3. Archive https://archive.is/ZLgH1 ( notez que cet article est plutôt complaisant mais qu’il a quand même du mal à justifier les liens entre l’armée américaine et Hunter Biden par l’intermédiaire de Metabiota). ↩︎
  4. Archive https://archive.is/Sh6HW ↩︎
  5. Comme expliqué ici, y compris la proposition DEFUSE examinée par le comité restreint COVID au début de cette année ↩︎
  6. La brochure de PREDICT: https://www.arkmedic.info/api/v1/file/60b87213-e838-4333-baad-2c878350f1e0.pdf ↩︎
  7. Archive https://archive.is/qVk6S ↩︎
  8. Archive https://archive.is/Fonpu ↩︎
  9. Dépliant pour le webinaire CIDMPH OneHealth sur la grippe aviaire ↩︎
  10. Gu et al. Adaptation du SARS-CoV-2 chez les souris BALB/c pour tester l’efficacité du vaccin. Septembre 2020. Cet article montre comment il est possible de prendre un virus et de le faire passer dans des cellules de souris suffisamment de fois pour obtenir une mutation qui lui permette de survivre dans cette espèce. À la suite de la publication de ce protocole, le N501Y est arrivé au Royaume-Uni. À l’époque, Astrazeneca essayait de trouver un modèle de souris pour tester son vaccin.
    https://www.science.org/doi/10.1126/science.abc4730 ↩︎
  11. Notez que ce document, ou du moins toute référence à celui-ci, a été supprimé des archives du CDC. ↩︎

H5N2, et ta soeur?

Le H5N1 vous présente sa frangine mexicaine.

ZeroHedge republie cet article bien pourri de Michael Snyder, un catastrophiste professionnel – qui en fait des bouquins pour nous les gueux. S’il n’est pas déjà salarié par la CIA, je leur envoie une lettre de recommandation. Cette merveille aurait davantage sa place dans The Atlantic ou quelque autre officine du Renseignement mais, en bon rouage de l’opposition contrôlée1,Tyler Durden, (qui écrit pourtant souvent des choses sensées que je traduis sur ce blog), doit probablement de temps à autre polluer le puits s’il veut conserver sa place/son compte en banque/sa vie. Ça ne mérite pas d’être relayé in extenso ici, je vous torche vite fait un résumé (ce qui est entre parenthèses est de ma plume, si j’ose dire):

Un Monsieur mexicain est tombé mort (!) de la grippe avaire mais pas celle qui a frappé trois autres personnes aux États-Unis (le déjà terrifiant H5N1, qui peut faire couler le nez et même rougir les yeux). Non, c’est le H5N2 (sûrement encore plus terrible parce que +1)! Mais attendez, il y a pire. Les américains l’ont attrapé en trayant des vaches qui ont la grippe avaire, parce qu’on leur a fait un test (de même qu’on peut attraper la maladie de la vache folle à la pêche aux canards – ce n’est plus une barrière inter-espèces, c’est une passoire) mais le Monsieur mexicain n’avait pas eu de contact avec des oiseaux ou d’autres animaux donc aurait-il pu l’attraper… d’un autre être humain? Ça fait peur parce que déjà qu’on ne sait pas ce que ferait une pandémie « potentiellement catastrophique » de H5N1 (qui se déclarerait juste maintenant, malgré que le virus circule depuis au moins 146 ans), on sait encore moins ce que ferait une pandémie de H5N2, ce qui fait encore plus peur (selon le principe hautement scientifique: moins on en sait, plus on a peur).

L’OMS, toujours sur la balle, a fait un communiqué sur le Monsieur mexicain: il avait 59 ans, il avait de multiples co-morbidités (ce qui me rappelle confusément quelque chose) et était cloué au lit depuis trois semaines quand soudain (si on peut dire) il s’est mis à souffrir de fièvre, souffle court, diarrhée, nausées et malaises. Et comment sait-on qu’il avait la grippe aviaire H5N2, le Monsieur? On lui a fait un test PCR, évidemment (quelle question!)

L’auteur s’interroge ensuite: oui mais s’il l’a attrapé d’un autre être humain, alors il a aussi pu contaminer (musique) d’autres êtres humains? Des centaines, des milliers? demande-t-il (je rappelle que le mec était cloué au lit).

Pendant ce temps, le H5N1 (vous suivez?) continue « d’alarmer les experts » (un métier particulièrement angoissant, je serais eux je ferais démineur), surtout maintenant qu’on a trouvé (personnes sensibles, s’abstenir) 11 souris contaminées, toujours au Mexique. Ouaip, PCR. Des souris! Elles sont partout! Comme les rats porteurs de la peste bubonique! (je vous jure que j’invente pas)

Les chercheurs, jamais pris en défaut, ont fait une étude qui montre que les souris ont pu attraper le H5N1 en buvant… du lait cru! (que j’ai entendu qualifier sur une radio américaine par un célèbre médecin de l’ère Covid de « raw sewage » – d’eaux d’égoût. La FDA n’aime pas beaucoup le lait cru, elle envoie de temps en temps des unités de policiers – obèses – dans les magasins de produits fermiers.)

L’auteur rappelle que la grippe aviaire a déjà tué des centaines de millions d’oiseaux (ou plus probablement aucun, c’est la magie du PCR) et que maintenant qu’elle a contaminé des vaches laitières, des chats et des souris, les scientifiques pensent (pour nous) que ce n’est qu’une question de temps avant qu’elle déclenche une pandémie chez les humains, et que maintenant que le Monsieur est mort du H5N2, la peur va déferler sur le monde pire qu’avec le Covid. Masques! Confinements! Vaccins!

Enfin, vous avez compris.

Bon, c’est assez gênant pour ZeroHedge mais le meilleur est, comme souvent, dans les commentaires – ce site a les meilleurs lecteurs sur la planète. Florilège:

Mesdames et Messieurs, jeunes gens, nous vous présentons le variant « Élections ».

Oui, les élections auront lieu dans 5 mois.

3 mois de battage médiatique, puis 2 mois pour aplatir la république.

Pour la machine Marxiste Démocrate, le Mexique est l’endroit idéal où lâcher sur la population son nouveau virus créé en laboratoire.

Il sera ensuite importé aux États-Unis par la frontière et se répandra dans tout le pays.

En novembre, ils pourront décréter un confinement et truffer l’élection de faux bulletins « postaux » qu’ils trouveront à 4 heures du matin et qu’ils scanneront 5 fois chacun.

Quelle est la probabilité qu’un type de 59 ans avec co-morbidités et malade depuis trois semaines soit testé pour le H5N2? En plus, au Mexique.

Quelle chance qu’ils aient eu sous la main ces tests PCR fiables à 100% dans ce trou à rats qu’est le Mexique – pour un paysan obèse morbide qui a attrapé un rhume de cerveau et a crevé… sans « aucune exposition à des animaux d’élevage » – bien que le pays tout entier soit un répugnant zoo géant… le simple fait de poser le pied au Mexique vous expose automatiquement à des centaines d’espèces inconnues…

Le CDC recommande de courir dans tous les sens en agitant les deux bras en l’air et en poussant des cris de panique.

Un représentant du gouvernement mexicain a annoncé ce matin, lors de la conférence de presse d’AMLO, que même si l’un des tests effectués sur la personne décédée s’était révélé positif pour le virus, le patient était mort d’autres maladies liées au diabète et à l’insuffisance rénale, et que l’OMS avait fait preuve d’irresponsabilité en déclarant que le décès était dû au virus H5N2.

À 682 cycles, on peut passer au travers de l’ADN/ARN du dinosaure et du poisson marcheur et enfin trouver et amplifier le virus qui l’a tué.

Savez-vous combien de temps il faut à un virus pour évoluer à l’état sauvage sans que des humains le bidouillent?

Environ 700 ANS.

Cela signifie que CHAQUE nouveau virus dont vous entendez parler est FABRIQUÉ PAR L’HOMME. Commencez à vous occuper des salopards qui FABRIQUENT cette merde!

Quand les gens vont-ils se réveiller?

« Quand les gens vont-ils se réveiller? »

… Quand ils seront à genoux, face au fossé peu profond qu’ils viendront de creuser, avec le canon d’un pistolet sur la nuque.

Donc, toujours au même moment.

Nouvelle présidente du Mexique, nouvelle grippe.

Le Mexicain diabétique et obèse de 59 ans qui vit sur la plage de Papagayo meurt et tout le monde panique?

Des analyses de la qualité de l’eau ont révélé que la plage de Papagayo, à Acapulco, était la plus sale du Mexique, avec 198 coliformes fécaux pour 100 millilitres d’eau. Toute valeur supérieure à 200 est considérée comme dangereuse pour la baignade.

Papagayo est la pire des six plages d’Acapulco figurant sur la liste des 10 plages les plus sales établie par Semarnat.

Voilà ce qui arrive quand on laisse des meurtriers s’en tirer une première fois. Ils recommencent.

La prochaine personne qui mourra dans un accident de voiture sera déclarée morte du H5N2.

Les fientes d’oiseaux sur le pare-brise le prouveront.

Euh, non. Bien sûr, les personnes qui sont « à jour » de boosters et qui n’en sont pas encore mortes courront partout en hurlant, les cheveux en feu, mais tous les autres hausseront les épaules et continueront à vivre leur vie pendant que les médias à la solde de Pharma essaieront désespérément d’attiser l’hystérie « nous allons tous mourir! » 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Il sera divertissant de les voir essayer de faire revenir Fauci, Birx et tous les autres médecins de plateaux télé qui colportent l’idée de « faire confiance à la science ». Nous ne nous laisserons pas berner une nouvelle fois.

Ce sera intéressant d’observer le déroulement de la prochaine PANDEMIE™. Je doute que beaucoup la prennent au sérieux, et une bonne moitié dira carrément aux marionnettistes d’aller se faire voir. Bien sûr, 30 à 40% de la population se conformeront à la loi par réflexe, mais le reste posera problème. L’OMS le sait et fait tout son possible pour prendre le contrôle et être en mesure d’emprisonner et de punir sans limites ceux qui n’acceptent pas de se plier à leurs conneries. Ça va être très amusant!!!

Un simple rhume justifie désormais l’arrêt de la civilisation et une averse signifie que la fin est proche en raison du changement climatique. Idiocratie.

Mince, 65 000 000 de personnes meurent chaque année, soit 178 000 par jour… 1 décès, PANIQUE!

Rappelez-vous que Big Pharma avait atteint son niveau le plus bas juste avant…?

Quelqu’un s’est enrichi suite à cette nouvelle…

Très clairement, le Covid était une escroquerie américaine visant à s’emparer, en partie, des richesses du Royaume-Uni et de l’Europe.

Lorsque votre idéologie a échoué, qu’elle a détruit l’économie et l’âme de votre propre pays et qu’il ne vous reste plus que les armes d’un État militaire fasciste, il est inévitable que vous essayiez de consommer vos alliés. Surtout lorsque vous êtes si faible et incompétent que vous n’êtes plus en mesure de vaincre vos ennemis.

La seule organisation sur la planète disposant de l’infrastructure nécessaire pour mettre en œuvre un plan international aussi vaste que le Covid était la CIA/NSA, l’État sécuritaire américain.

La réponse à la pandémie définit en fait les limites de l’empire américain: plus on est proche du cœur de l’empire, plus le taux de mortalité est élevé et plus les mesures de confinement sont strictes. Les cinq États les plus touchés, à savoir le Royaume-Uni, les États-Unis, la Nouvelle-Zélande, l’Australie et le Canada, ont été les plus durement éprouvés, car la CIA contrôle entièrement leurs services de sécurité. En revanche, l’Afrique n’a pratiquement pas été touchée par l’idiotie du Covid.

Ne vous inquiétez pas les gars, je suis sûr à 100% que McDonnie peut accélérer la mise en place d’un autre vaccin… même depuis sa cellule de prison.

Mettez un masque sur votre téléviseur pour éviter la contagion.

Et pour finir, la question la plus importante, que je me posais aussi:

Je ne comprends pas très bien comment il a pu tomber raide mort alors qu’il était déjà alité depuis longtemps, mais bon…

Il s’est affaissé dans son matelas. L’affaissement est considéré comme une chute. C’est de la science.

Je vous quitte, je vais chercher les oeufs de mes poules. Souhaitez-moi bonne chance!


  1. À propos d’opposition contrôlée, Alex Jones Bill Hicks prend sa retraite – prétendument pour cause de saisie de ses biens pour indemniser les parents des enfants victimes de l’attentat de Sandy Hook (pas du tout suspect), suite à un procès bidon organisé par la CIA pour faire peur au mougeon complotiste moyen. À mon avis, vu l’âge (réel) de Hicks, la supercherie « Alex Jones » devenait un peu difficile à maintenir, même à coups de chirurgie, et puis il faut faire taire toute critique réaliste de Trump, pour ne laisser la place qu’à celles, très rigolotes, de son agence publicitaire, le parti Démocrate. Salut, Bill, remets le bonjour à tes collègues de Langley de ma part! ↩︎

L’escroquerie de la pandémie de grippe aviaire: des vaccins pour 33 milliards de poulets? Le rationnement numérique de la nourriture? La fin de l’agriculture animale? – par Alexis Baden-Mayer.

Voici un brillantissime article d’un auteur qui publie peu mais toujours à bon escient et qui va toujours droit au but.

L’opération grippe aviaire ne concerne évidemment pas que les États-Unis – pour l’Europe voir notamment ici, ici, ici et ici. Voir aussi, si ce n’est déjà fait, mes traductions précédentes sur l’élevage des poulets ici et ici.

Source.


L’escroquerie de la pandémie de grippe aviaire: des vaccins pour 33 milliards de poulets? Le rationnement numérique de la nourriture? La fin de l’agriculture animale?

La menace exagérée d’une pandémie de grippe aviaire humaine est une mystification destinée à « réinitialiser » notre système alimentaire.

Alexis Baden-Mayer

11 avril 2024

Si la grippe aviaire devenait soudainement transmissible de personne à personne, il y aurait toutes les raisons de soupçonner des recherches sur les armes biologiques à gain de fonction.

Mais tout le battage médiatique autour de la question de savoir si la grippe aviaire se transformera en pandémie humaine pourrait bien n’être qu’une distraction.

Certaines sociétés pharmaceutiques tireraient assurément profit d’une pandémie humaine de grippe aviaire, mais l’industrie pourrait gagner encore plus d’argent en « prévenant » une pandémie humaine par la vaccination des animaux d’élevage, en particulier des 33 milliards de poulets que compte la planète.

Jusqu’à présent, la réponse du gouvernement à la grippe aviaire a consisté à tuer des millions de poulets – 85,87 millions d’oiseaux tués depuis 2022.

Du point de vue du bien-être des animaux, c’est d’une cruauté sans nom. Du point de vue de l’agriculture durable, c’est insensé. Du point de vue de la justice alimentaire, cela se traduit par une hausse vertigineuse des prix des denrées alimentaires, une augmentation du nombre de personnes souffrant de la faim et une détérioration de la qualité des aliments.

On nous expliquera que la seule alternative aux massacres est la vaccination (et probablement uniquement de dangereuses injections expérimentales d’ARNm), mais les défenseurs du bien-être animal, les agriculteurs biologiques régénératifs et les experts en sécurité des vaccins sont plus claivoyants que cela.

Les laboratoires pharmaceutiques seraient-ils prêts à créer une véritable crise alimentaire rien que pour l’opportunité de vacciner 33 milliards de poulets?

Probablement, mais beaucoup de mauvais acteurs verraient une crise alimentaire comme une opportunité.

Les plus grandes entreprises du secteur de la viande aimeraient consolider leur contrôle du système alimentaire en se débarrassant des derniers agriculteurs familiaux indépendants.

Le Forum économique mondial, les milliardaires et les entreprises de biotechnologie aimeraient remplacer les vraies fermes par de faux aliments.

Ces mêmes mondialistes sont constamment à la recherche de bonnes raisons pour amener les pays à abandonner leur souveraineté nationale en matière de politique de santé publique au profit de l’Organisation mondiale de la santé.

Il se peut qu’ils veuillent reprendre leur idée de passeport vaccinal et utiliser des cartes d’identité numériques pour rationner la nourriture, comme l’a fait l’Iran, puis remplacer le dollar par une monnaie numérique de banque centrale qui fonctionnerait comme un système de crédit social.

Seul le temps nous le dira. En attendant, nous devons protéger le monde que nous aimons. Tant que c’est encore possible, achetez votre nourriture directement auprès des exploitations agricoles familiales locales, en espèces!

Pour en savoir plus, lisez la suite.

Si vous êtes prêt à passer à l’action, dites à vos législateurs de s’opposer à la prise de pouvoir de l’Organisation mondiale de la santé.

Sept choses à savoir sur la grippe aviaire

1. Si la grippe aviaire devient soudainement transmissible de personne à personne, il faut soupçonner des recherches sur les armes biologiques à gain de fonction.

Alors même que les responsables de la « santé publique » s’emploient à multiplier les cas humains (il y a fort à parier que n’importe quel ouvrier agricole, après avoir respiré du fumier toute la journée, serait malade et aurait le nez plein de virus), ils insistent actuellement sur le fait qu’il n’y a pas de transmission de personne à personne, que le risque pour la santé publique est faible et que les aliments provenant d’animaux dont le test est positif peuvent être consommés en toute sécurité.

Mais, comme l’a rapporté Christian Westbrook en 2022, l’ancien directeur du CDC, Robert Redfield, a prédit à la télévision nationale que la grippe aviaire se transmettrait à l’homme et serait hautement mortelle, déclenchant une « grande pandémie » face à laquelle le COVID-19 n’était qu’un simple échauffement.

Je soupçonne qu’il ne s’agit là que d’un discours alarmiste utilisé comme excuse pour poursuivre l’abattage massif d’oiseaux asymptomatiques et, à un moment donné, « nécessiter » la vaccination de milliards d’animaux.

Toutefois, je ne serais pas totalement surpris si le message de « faible risque pour la santé publique » émanant actuellement des agences américaines de réglementation passait soudainement à « c’est une urgence » lorsqu’elles décideront que le moment est propice.

Cela ressemblerait au déploiement du COVID, où le message de l’Organisation mondiale de la santé de janvier 2020 « pas de preuve évidente de transmission interhumaine » est passé en mars 2020 à « trouver, isoler, tester et traiter chaque cas et tracer chaque contact », ce qui a conduit à des confinements à l’échelle mondiale et à une course à la vaccination.

Comme dans le cas des attaques sous faux drapeau, une période d’inaction inexplicable, que l’on pourra plus tard accuser d’être à l’origine d’une métastase incontrôlable nécessitant des mesures draconiennes, pourrait très bien faire partie d’un scénario de plandémie réussi.

Si c’est le cas, il y aurait toutes les raisons de mettre en cause la recherche sur les armes biologiques de type « gain de fonction ».

J’ai étudié l’histoire de la recherche sur les armes biologiques à gain de fonction pour la grippe aviaire et, comme je l’ai écrit en 2022 dans « Stop à la pandémie de grippe aviaire », le virus H5N1 adapté à l’homme a une origine très curieuse.

Le premier foyer humain de H5N1 s’est déclaré à Hong Kong en 1997, l’année de ce que les Britanniques appellent la « rétrocession de Hong Kong », lorsque la souveraineté sur Hong Kong a été transférée du Royaume-Uni à la Chine.

C’est au cours de cette année « politiquement sensible » que Kennedy Shortridge, un scientifique australien qui dirigeait le laboratoire de référence de l’Organisation mondiale de la santé à l’université de Hong Kong, a confirmé des cas humains de grippe aviaire hautement pathogène.

Shortridge étudiait depuis 1975 la manière dont les virus de la grippe aviaire pouvaient se propager à l’homme. Avant de découvrir le virus H5N1, il avait déjà dressé le sinistre pronostic de son émergence. Comme l’a rapporté Frank Ching dans « Bird Flu, SARS and Beyond » (La grippe aviaire, le SARS et au-delà):

Dès 1982, Shortridge avait qualifié le sud de la Chine, où les hommes et les animaux domestiques vivent en étroite proximité, d’« épicentre de l’origine des pandémies ». Dix ans plus tard, il qualifiait la Chine méridionale de « soupe de virus » et avertissait que la grippe pandémique était une zoonose, c’est-à-dire qu’elle pouvait être transmise de l’animal à l’homme. En 1995, il avertissait que la grippe en Chine méridionale ne pouvait pas être qualifiée d’infection « émergente », car elle était constamment à l’affût. « Le terme ‘insaisissable’ serait plus approprié », écrivait-il.

Un exemple du penchant de Shortridge pour de telles prédictions se trouve dans son article du Lancet de 1995 intitulé « The next pandemic influenza virus? » (Le prochain virus grippal pandémique?). Curieusement, le virus H5N1 est apparu deux ans plus tard, en 1997, dans la ville où Shortridge travaillait, Hong Kong.

À l’époque, le passage naturel d’un virus de la grippe de la volaille à l’homme était considéré comme tellement improbable que les scientifiques ont d’abord soupçonné une contamination du laboratoire de Shortridge d’être à l’origine du diagnostic hautement improbable du H5N1.

Cette contamination ne pouvait se produire que si Shortridge avait déjà travaillé avec le H5N1 en laboratoire, ce qui était effectivement le cas. Le magazine Time a rapporté que « dans une étude antérieure, menée avec une grande discrétion, son laboratoire avait découvert que les habitants des zones rurales de Hong Kong possédaient des anticorps contre tous les virus connus de la grippe aviaire ».

C’est le collègue de Shortridge, Yuen Kwok-Yung, qui avait pris en charge les patients de Hong Kong atteints du virus H5N1 et qui avait mis au point un test de diagnostic rapide, la RT-PCR, pour analyser les sécrétions respiratoires de ces patients. Comme ils l’ont publié dans le Lancet, c’était la première fois qu’un virus purement aviaire était isolé chez des personnes souffrant d’une maladie respiratoire et la première fois qu’un test PCR était utilisé pour le diagnostic rapide de ces patients dans un contexte clinique.

Le virus H5N1 de Hong Kong de 1997 était unique à tous égards.

Selon le magazine Time, « sur le gène H, à un point appelé site de clivage, on a trouvé une mutation révélatrice, du même type que celle que l’on trouve dans d’autres virus aviaires hautement pathogènes. … Le virus… comportait des régions identiques à certaines parties d’un virus aviaire qui avait frappé les poulets de Pennsylvanie en 1983 ».

Selon le L.A. Times, « la partie H5 provient d’un virus présent chez l’oie. Le fragment N1 provient d’un deuxième virus, celui de la caille. Les autres gènes de la grippe proviennent d’un troisième virus, également présent chez la caille ».

Le virus H5N1 n’avait jamais provoqué de maladie chez l’homme avant que ce potentiel n’ait été étudié en laboratoire pendant plusieurs années.

Anthony Fauci finançait depuis 1990 les travaux de Yoshihiro Kawaoka et de Ron Fouchier visant à faire passer la grippe aviaire à l’homme, et leurs travaux étaient liés à ceux de Shortridge à Hong Kong. Pendant les sept années qui ont précédé la première épidémie humaine de H5N1 en 1997, Fauci a financé les recherches de Kawaoka sur le gain de fonction de la grippe aviaire à l’hôpital de recherche pour enfants St. Jude et le mentor de Kawaoka, Robert G. Webster, travaillait et publiait avec Shortridge. Chaque année, Webster passait trois mois à travailler avec Shortridge à l’université de Hong Kong, selon ce profil de Webster qui mentionne Kawaoka comme son protégé.

Le lien le plus étrange entre Shortridge et les laboratoires de Webster est que Yoshihiro Kawaoka avait étudié le virus aviaire qui a frappé les poulets de Pennsylvanie en 1983 et qui était le plus proche parent connu du H5N1 de Hong Kong de 1997. Selon le magazine Time:

Webster a chargé un jeune scientifique, Yoshihiro Kawaoka, d’essayer de comprendre comment le virus s’est transformé en un pathogène aussi « chaud ». Kawaoka, aujourd’hui professeur de virologie à l’université du Wisconsin, à Madison, a comparé la structure génétique des virus de la première et de la deuxième vague et n’a trouvé qu’un seul changement, extrêmement subtil, dans le gène H. Les deux virus ne différaient que par un seul nucléotide, sur les 1 700 nucléotides qui composent le gène.

En 1997, Fauci a récompensé Shortridge et l’équipe de Webster pour l’épidémie de H5N1 de Hong Kong en créant et en finançant le Centre d’excellence St. Jude pour la recherche et la surveillance de la grippe, qui continue à fonctionner aujourd’hui aux États-Unis, au Canada, au Bangladesh, en Chine, en Colombie et en Égypte.

Webster a été l’un des premiers scientifiques à réaliser des gains de fonction, en publiant la création réussie d’un virus recombinant en 1973. Comme l’écrit Lyle Fearnley dans « Wild Goose Chase »:

Pour qu’une pandémie de grippe se déclare, il faut une nouvelle forme du virus, capable d’échapper aux réponses immunitaires cultivées par les populations humaines lors des précédentes épidémies de grippe. L’Américain Robert Webster avait déjà montré que de tels nouveaux virus pouvaient être produits expérimentalement en laboratoire: en prenant des virus dérivés de différentes espèces, il a co-infecté un seul hôte animal, un processus qui, selon Webster et ses coauteurs, a encouragé les deux virus à échanger du matériel génétique et à créer des formes « recombinantes ».

On trouve également un lien avec Fouchier, par l’intermédiaire de son mentor au Centre médical Erasmus de Rotterdam, aux Pays-Bas, Jan De Jong, également collègue et collaborateur de Shortridge et Webster.

Robert G. Webster, collègue et mentor de Kawaoka, et Jan De Jong, collègue et mentor de Fouchier, ont été les premiers scientifiques en dehors de Hong Kong à recevoir des échantillons de la grippe H5N1 de 1997 du laboratoire de Shortridge.

On attribue souvent à De Jong le mérite d’avoir identifié la grippe de Hong Kong de 1997 comme étant le H5N1, mais il l’a fait à l’aide d’un « panel de réactifs pour tous les types de souches de grippe connus à ce jour » qui avaient été apportés du laboratoire de Webster à Memphis au Centre national de lutte contre la grippe à Rotterdam.

Kawaoka et Fouchier appartiennent à l’ère post-Convention sur les armes biologiques, dans laquelle la militarisation des agents pathogènes est appelée par euphémisme « recherche sur le gain de fonction », mais leurs collègues plus âgés, De Jong, Shortridge et Webster, étaient en âge de travailler avant 1972 et leurs mentors appartenaient à l’ère pré-Convention sur les armes biologiques, où les virologues fabriquaient ouvertement et en toute connaissance de cause des virus à des fins militaires.

Shortridge et Webster ont été formés par Frank Macfarlane Burnet, qui a fait partie du Comité de développement des nouvelles armes et des nouveaux équipements du Ministère australien de la défense dans les années 1940 et 1950. La Fédération des scientifiques américains énumère certaines des recommandations les plus effrayantes de Burnet:

Burnet … a déclaré que l’Australie devrait développer des armes biologiques qui fonctionneraient en Asie tropicale sans se propager aux centres de population plus tempérés de l’Australie.

« En ce qui concerne spécifiquement la situation australienne, la contre-offensive la plus efficace face à une menace d’invasion par des pays asiatiques surpeuplés consisterait à détruire par des moyens biologiques ou chimiques les cultures vivrières tropicales et à disséminer des maladies infectieuses capables de se propager dans les régions tropicales, mais pas dans les conditions australiennes. »

… Selon Burnet, le climat tempéré de l’Australie pourrait lui conférer un avantage militaire significatif.

« La principale contribution de la recherche locale en ce qui concerne l’Australie pourrait être d’étudier de manière intensive les possibilités de guerre biologique sous les tropiques contre des troupes et des populations civiles ayant un niveau d’hygiène relativement faible et une résistance élevée aux maladies infectieuses courantes. »

[Dans] sa Note sur la guerre sous un angle biologique, il suggère que la guerre biologique pourrait être une arme puissante pour aider à défendre une Australie peu peuplée… [il] exhorte le gouvernement à encourager les universités australiennes à mener des recherches dans les domaines de la science biologique en rapport avec les armes biologiques.

« La principale utilisation stratégique de la guerre biologique pourrait bien être d’administrer le coup de grâce à un ennemi virtuellement vaincu et de l’obliger à se rendre, de la même manière que la bombe atomique l’a fait en 1945. Son utilisation présente l’énorme avantage de ne pas détruire le potentiel industriel de l’ennemi, qui peut alors être récupéré intact. La guerre biologique ouverte pourrait être utilisée pour forcer la reddition par des mesures psychologiques plutôt que par des mesures destructrices directes ».

***

Dans un rapport … Burnet a conclu que « dans un pays à faible niveau d’hygiène, l’introduction d’un agent pathogène intestinal exotique, par exemple par contamination de l’eau, pourrait entraîner une diffusion à grande échelle ».

« L’introduction de la fièvre jaune dans un pays où les moustiques vecteurs s’y prêtent pourrait se transformer en une épidémie invalidante avant que des mesures de contrôle ne soient mises en place. »

[ Et] … « les possibilités d’une attaque sur les réserves alimentaires de l’Asie du Sud-Est et de l’Indonésie à l’aide d’agents de la fièvre aviaire devraient être examinées par un petit groupe d’étude ».

Une autre étape importante dans la chronologie de la grippe aviaire s’est produit en février 2009 lorsque la société pharmaceutique Baxter a combiné la grippe H3N2, qui infecte généralement les humains, avec la grippe aviaire hautement pathogène H5N1 dans un « matériel viral expérimental » qui a été accidentellement distribué à des sous-traitants en République tchèque, en Slovénie et en Allemagne. L’erreur a été découverte lorsque le matériel a tué des furets lors d’un test effectué par des chercheurs qui pensaient travailler avec une grippe saisonnière commune. Baxter n’a jamais expliqué ce qui s’est passé.

Une pandémie de grippe porcine H1N1 a débuté le mois suivant, en mars 2009. Le gouvernement américain a passé des contrats avec Baxter pour la production de vaccins contre la grippe porcine, malgré l’incident de contamination par le H5N1. « Par coïncidence », Baxter avait déposé un brevet pour son vaccin H1N1 l’année précédente.

En août 2009, un homme du nom de Joseph Moshe a été violemment arrêté lors d’un événement spectaculaire connu sous le nom de « Westwood standoff ». Tout cela est vrai, mais je n’ai pas été en mesure de confirmer les informations selon lesquelles il s’agirait d’un scientifique israélien spécialisé dans les armes biologiques, ni l’affirmation suivante selon laquelle il aurait été arrêté pour avoir dénoncé la production d’armes biologiques par Baxter en Ukraine:

Deux jours avant son arrestation, le 13 août 2009, Joseph Moshe avait appelé le Dr A. True Ott sur Republic Broadcasting, prétendant être un microbiologiste qui voulait fournir des preuves à un procureur des États-Unis concernant des vaccins contre la grippe porcine H1N1 contaminés produits par Baxter BioPharma Solutions.

Il a déclaré que le laboratoire ukrainien de Baxter produisait en fait une arme biologique déguisée en vaccin. Il a affirmé que le vaccin contenait un adjuvant (additif) conçu pour affaiblir le système immunitaire et répliquait l’ARN du virus responsable de la pandémie de grippe espagnole de 1918, à l’origine d’une maladie et d’une mort massive à l’échelle mondiale, la peste…

Joseph Moshe est un bio-scientifique travaillant pour une unité du Mossad. Il est citoyen israélien.

Lorsqu’une maladie mortelle a frappé l’Ukraine plus tard dans l’année, en octobre 2009, des rumeurs ont circulé selon lesquelles il s’agissait du virus H5N1 propagé par des vaccins ou des pulvérisations aériennes. La version officielle était qu’il s’agissait du même H1N1 que celui dont souffraient d’autres pays, mais que la transmissibilité et les symptômes étaient beaucoup plus graves.

Si la grippe aviaire commençait à se propager d’une personne à l’autre pour la première fois, les observateurs du gain de fonction tourneraient à juste titre leur regard vers les laboratoires de Kawaoaka et Fouchier et scruteraient le code génétique du nouveau virus à la recherche de similitudes avec ceux qu’ils avaient publiés.

Mais, comme le rapporte Dilyana Gaytandzhieva dans « Potential pandemic bird flu modified to be more dangerous in new risky NIH research » (La grippe aviaire pandémique potentielle modifiée pour être plus dangereuse dans de nouvelles recherches risquées des NIH), Anthony Fauci a créé un réseau mondial de grippe aviaire à gain de fonction connu sous le nom de Centre d’excellence pour la recherche et la surveillance de la grippe (Center of Excellence for Influenza Research and Surveillance, CEIRS) et les grippes aviaires militarisées qu’il a commandées peuvent être trouvées dans des laboratoires du monde entier.

2. Dépenser des millions de dollars pour tuer des millions de poulets ne fonctionne pas.

La pandémie de grippe aviaire dure depuis des décennies, mais elle ne touchait que les volailles, de sorte que la cruauté, le gaspillage et l’illogisme de la réponse à la grippe aviaire n’ont guère attiré l’attention.

Dans le cas du COVID, les personnes asymptomatiques dont le test est positif sont censées être mises en quarantaine.

Dans le cas de la grippe aviaire, les troupeaux asymptomatiques mais positifs sont détruits en masse.

Joel Salatin, cité dans un article récent du Dr Joseph Mercola, explique pourquoi c’est si insensé:

« La politique d’extermination massive sans tenir compte de l’immunité, sans même chercher à savoir pourquoi certains oiseaux prospèrent alors que tous les autres meurent, est insensée. Les principes les plus fondamentaux de l’élevage et de la reproduction des animaux exigent que les éleveurs opèrent une sélection en vue d’obtenir des systèmes immunitaires sains ». …

La réponse est relativement simple. Il faut sauver les oiseaux qui survivent à l’infection et les faire se reproduire. Ainsi, les générations futures bénéficieront d’une immunité naturelle. « Si un troupeau est infecté par l’IAHP [influenza aviaire hautement pathogène], il faut laisser celle-ci suivre son cours. Elle tuera ceux qu’elle tuera, mais au bout de quelques jours, on verra clairement qui sont les survivants. Ce sont eux qu’il faut garder et intégrer dans un programme d’élevage », écrit Salatin.

C’est ce qu’a fait Will Harris, de White Oak Pastures. Il élève des animaux sains en plein air. Dans une vidéo récente, il explique que les agriculteurs biologiques régénératifs n’ont aucune raison de craindre la grippe aviaire.

Les massacres n’ont aucun sens, c’est pourtant ce qui se passe depuis 25 ans dans le cadre d’un programme national et depuis les années 1980 au niveau des États.

Depuis 2000, il existe un programme national visant à tester les volailles d’élevage dans le cadre du programme « U.S. Avian Influenza Clean » du National Poultry Improvement Plan (plan national d’amélioration de la volaille). Il existait des programmes de dépistage universel de la grippe aviaire au niveau des États avant la mise en place du programme national.

L’influenza aviaire hautement pathogène était considérée comme une menace pour l’élevage d’œufs, de poulets et de dindes, mais l’influenza aviaire hautement pathogène n’existait pas aux États-Unis, de sorte que le programme testait l’influenza aviaire faiblement pathogène [IAFP], qui ne provoque que peu ou pas de signes cliniques chez les oiseaux infectés.

Même s’ils n’étaient pas malades, les oiseaux dont le test était positif pour l’influenza aviaire faiblement pathogène étaient abattus, car les sous-types H5/H7 de l’influenza aviaire faiblement pathogène pouvaient muter en influenza aviaire hautement pathogène.

Une épidémie survenue en 1983-1984 a entraîné la destruction de plus de 17 millions d’oiseaux pour un coût de près de 56 millions de dollars. L’implication du tristement célèbre Yoshihiro Kawaoka dans cet incident et le fait que celui-ci ait précédé l’épidémie politiquement suspecte de Hong Kong en 1997, au cours de laquelle des cas humains de grippe aviaire ont été recensés, suggèrent que cette histoire est plus complexe que la plupart des gens ne l’imaginent.

En 1996-1997, un certain nombre d’élevages d’œufs de table en Pennsylvanie ont été testés positifs au virus H7N2 de la grippe aviaire, non pathogène pour les poulets, mais le Ministère de l’agriculture de Pennsylvanie a ordonné le dépeuplement de neuf volées.

En 2002, près de 4 millions d’oiseaux ont été abattus sous l’autorité de l’État et du gouvernement fédéral en Virginie et au Texas à la suite de l’apparition de l’IAFP H7 (en Virginie) et de l’IAFP H5 (au Texas). L’APHIS du Ministère américain de l’agriculture a indemnisé les propriétaires de volailles et les éleveurs sous contrat à raison de 10 dollars par oiseau, dépensant ainsi près de 40 millions de dollars pour cette opération.

En 2006, le programme national de test et de destruction a été étendu aux volailles commerciales en plus des volailles de reproduction.

Dépenser des millions de dollars pour tuer des millions d’oiseaux par ailleurs en bonne santé chaque fois qu’un troupeau était testé positif pour l’influenza aviaire faiblement pathogène n’a pas permis de contenir l’influenza aviaire hautement pathogène.

En 2015, des foyers de virus H5 de l’IAHP (y compris les virus H5N2 et H5N8) ont été signalés dans des élevages commerciaux de volailles dans 21 États américains. Selon l’étude mal intitulée « When poultry take a sick leave: Response costs for the 2014-2015 highly pathogenic avian influenza epidemic in the USA«  (Quand les volailles prennent un congé maladie: coûts de la réponse à l’épidémie d’influenza aviaire hautement pathogène de 2014-2015 aux États-Unis), 879 millions de dollars ont été dépensés pour tuer 51 millions d’oiseaux.

En 2016, 414 000 oiseaux ont été abattus après avoir été testés positifs à la grippe aviaire hautement pathogène H7N8 dans l’Indiana.

En 2017, l’IAHP a été détectée dans le Tennessee; 253 000 oiseaux atteints d’IAFP ont été abattus dans quatre États, dont l’Alabama, le Kentucky et la Géorgie.

En 2020, un troupeau de dindes de Caroline du Sud comptant 32 577 oiseaux a été détruit après la détection de l’IAHP.

3. L’abattage d’oiseaux asymptomatiques est cruel.

En 2021, la Humane Society of the United States, Mercy for Animals et Farm Sanctuary ont contesté le plan d’intervention du Ministère de l’agriculture des États-Unis en cas de grippe aviaire et ont obtenu un accord à l’amiable. Selon Farm Sanctuary:

Le programme cruel et irresponsable de l’USDA s’appuie sur le « dépeuplement » (l’abattage massif d’animaux innocents) et encourage son emploi pour contenir les épidémies de grippe aviaire plutôt que de faire quoi que ce soit pour remédier aux conditions stressantes et surpeuplées des élevages industriels qui rendent ces épidémies pratiquement inévitables.

L’USDA a tenté de rejeter l’action en justice, mais un juge fédéral californien a ordonné en mars 2021 que l’affaire suive son cours, et les parties sont finalement parvenues à un accord à l’amiable. Si cette victoire ne mettra pas immédiatement un terme aux massacres d’oiseaux dans les fermes industrielles et n’empêchera pas l’agence de dépenser des centaines de millions de dollars du contribuable pour renflouer l’agro-industrie lorsque les troupeaux sont « dépeuplés », elle obligera l’USDA à produire une étude d’impact environnemental (Environmental Impact Statement – EIS) sur les effets dévastateurs d’un plan qui consiste à tuer des millions d’oiseaux et à se débarrasser de leurs corps dans des fosses non revêtues ou en les brûlant.

Nous espérons que l’agence se rendra compte de l’absurdité de son programme et adoptera une alternative visant à prévenir les épidémies de grippe aviaire en s’attaquant aux horribles conditions de surpeuplement dans les élevages industriels, comme nous le suggérons dans notre action en justice. L’adoption d’une telle solution pourrait mettre un terme au massacre insensé de dizaines de millions d’animaux et permettre aux contribuables d’économiser des centaines de millions de dollars.

En janvier 2023, l’USDA a publié un avis d’intention de préparer une déclaration d’impact environnemental pour la grippe aviaire hautement pathogène, mais n’a encore pris aucune autre mesure.

Entre-temps, nous sommes au cœur de la plus grande destruction de troupeaux de l’histoire, qui dure depuis 2022, avec 85,87 millions d’oiseaux tués au 10 avril 2024.

Ces oiseaux ne meurent pas de la grippe. Ils sont asymptomatiques, ils sont massacrés et plus on tue d’oiseaux, plus il y a de cas d’IAHP.

Le fait que le gouvernement et ses sténographes dans les médias ne mentionnent jamais le nombre d’oiseaux morts de la grippe par rapport au nombre d’oiseaux tués en raison d’un test positif indique qu’il s’agit d’une escroquerie. Comme on n’entend jamais parler d’oiseaux qui meurent de la grippe, on ne peut que supposer que tous les oiseaux abattus sont asymptomatiques.

4. Les éleveurs ne se plaignent pas de l’abattage d’oiseaux asymptomatiques, car ils sont payés pour le faire.

Le gouvernement garantit aux éleveurs et aux entreprises avicoles les prix du marché et les coûts d’élimination lorsqu’ils détruisent leurs volées. Il est difficile de ne pas y voir une incitation perverse dans un secteur qui s’est développé d’une manière qui ne peut que faire chuter les prix.

L’Environmental Working Group indique que les plus grands élevages de poulets ont augmenté de 17%, passant de 6 332 élevages de 500 000 volailles ou plus en 2012 à 7 406 élevages en 2022.

Ces exploitations ont produit 24% de poulets de plus en 2022 qu’en 2012, soit près de 1,4 milliard de plus.

Dans le même temps, le nombre d’exploitations élevant des poulets de chair a diminué entre 2012 et 2022, passant de 32 935 exploitations en 2012 à 31 877 en 2022, soit une baisse de 3%.

Davantage d’oiseaux ont été concentrés dans moins d’élevages de poulets de chair car, alors que le nombre d’élevages a diminué de 3%, le nombre d’animaux a augmenté de 8%, passant de près de 8,5 milliards d’oiseaux en 2012 à près de 9,2 milliards en 2022.

L’élevage est une entreprise notoirement à haut risque et à faible marge, et les éleveurs de volailles sont des serfs sur leurs propres terres, captifs de contrats terriblement abusifs avec les entreprises de production de poulets. Face à un test positif pour l’IAHP, aucun éleveur ne serait en mesure de refuser un rachat en échange de la destruction de sa volée.

C’est la raison pour laquelle on n’entend pas les éleveurs de volailles se plaindre de cette situation.

5. Les entreprises de production d’œufs et de poulets ne se plaignent pas; elles bénéficient de prix plus élevés. Elles se moquent de savoir si les gens ont faim.

Le COVID a fait augmenter la faim. La stratégie cruelle et inutile de la grippe aviaire, qui consiste à tuer les oiseaux asymptomatiques, pourrait provoquer une crise alimentaire encore plus grave. D’ores et déjà, les prix augmentent.

Yahoo rapporte que « les œufs ont grimpé à 3 dollars la douzaine en 2024, soit le double du coût de 1,45 dollar en février 2020. Cependant, les prix sont en baisse par rapport à 2023, lorsqu’une douzaine d’œufs coûtait 4,82 dollars, selon les statistiques de USA Today. »

Fox News précise que « le prix de la poitrine de poulet désossée a augmenté de 26%, passant de 3,26 $ la livre en janvier 2021 à 4,11 $ la livre en février 2024. »

La faiblesse de l’offre se traduit par une hausse des prix et une baisse de la qualité.

Chick-fil-A abandonne un engagement vieux de dix ans, celui de ne jamais utiliser d’antibiotiques, sous prétexte qu’elle ne peut tout simplement pas se procurer suffisamment de poulet sans antibiotiques. Est-ce qu’ils veulent dire « au bon prix »?

6. L’augmentation du prix des œufs et du poulet et la baisse de leur qualité pourraient rendre les aliments Frankenfood plus compétitifs.

Alors que les défenseurs de la cause animale font pression sur l’USDA pour qu’il investisse dans des élevages plus respectueux de l’environnement afin de maintenir les troupeaux en bonne santé, les végétaliens adeptes de Frankenfood [NdT. = aliments Frankenstein, artificiellement produits] se réjouissent de l’IAHP, malgré les massacres, et célèbrent ce qu’ils considèrent comme le triomphe inévitable des organismes synthétiques génétiquement modifiés sur l’élevage des animaux.

L’élevage industriel est horrible et il est difficile d’éprouver de la sympathie pour les personnes travaillant dans ce secteur, mais la biologie synthétique et la viande produite en laboratoire ne valent pas mieux. Ce changement laisserait le contrôle du système alimentaire entre les mains des mêmes entreprises et des mêmes investisseurs milliardaires mal intentionnés – mais avec une emprise plus forte – et je ne m’étonnerais pas qu’ils exagèrent, exacerbent ou même planifient une crise de la grippe aviaire pour atteindre leur objectif, qui est de pousser les derniers agriculteurs indépendants à la faillite et de remplacer les vraies fermes par de la fausse nourriture.

Si cela vous semble impossible, regardez « The Hostile Takeover of Food Production » (La prise de contrôle hostile de la production alimentaire), une interview que Christian Westbrook de Ice Age Farmer a réalisée avec le Dr Frédéric Leroy, un professeur belge de science alimentaire et de biotechnologie. [NdT. exceptionnellement intéressante, que je traduirai (de l’anglais) si j’ai le temps – elle fait deux heures!]

Ils confirment que ce ne sont pas des végétaliens idéalistes qui conduisent la transition des vraies fermes vers les faux aliments, mais un réseau bien coordonné et très puissant de super-riches dont l’objectif n’est rien moins que la domination du monde. C’est à cette même conclusion que je suis arrivé lorsque j’ai passé en revue l’histoire du mouvement de la fausse viande pour ma présentation sur le complot visant à mettre fin à l’agriculture.

En 2019, le Forum économique mondial a prévu qu’un tiers de l’approvisionnement mondial en viande serait remplacé par de la fausse viande dans les 10 ans, que ce chiffre doublerait dans 20 ans pour atteindre 60%, et que « l’effet déstabilisant des nouvelles méthodes biotechnologiques ne se limitera pas à la viande, mais s’étendra au lait, au blanc d’œuf, à la gélatine et aux produits à base de poisson ».

Le Forum économique mondial et la Fondation Bill & Melinda Gates ont coorganisé la répétition de haut niveau du COVID 2019, l’événement 201, organisé par le Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire. Cet exercice sur table, tombé à point et sinistrement prédictif, a été financé par l’Open Philanthropy du cofondateur de Facebook, Dustin Moskovitz.

Nous avons donc toutes les raisons de nous inquiéter du fait que, lors de sa réunion annuelle à Davos cette année, le Forum économique mondial s’est « préparé à la maladie X ». [NdT. voir ici]

L’abattage massif d’oiseaux asymptomatiques a lentement réduit l’offre d’œufs et de poulets et fait grimper les prix.

La grippe aviaire pourrait-elle servir de prétexte à l’arrêt total de l’élevage?

Du point de vue de ceux qui y trouvent des intérêts commerciaux et des milliardaires qui soutiennent le Forum économique mondial, ce serait le moyen idéal de forcer le passage de vraies fermes à de faux aliments.

De plus, le rationnement de la nourriture pourrait être le moyen le plus facile pour eux d’amener les gens à adopter l’identification numérique en prévision de l’imposition de la monnaie numérique de banque centrale (MNBC).

Comme l’a rapporté Christian Westbrook en 2022, cela s’est déjà produit en Iran (« IRAN: Digital Food Rationing rolls out using Biometric IDs amid food riots » – IRAN: le rationnement alimentaire numérique mis en place à l’aide de cartes d’identité biométriques dans le cadre d’émeutes provoquées par la faim).

7. Avec 33 milliards de poulets à vacciner dans le monde, les laboratoires pharmaceutiques vont s’enrichir rapidement, mais beaucoup d’autres mauvais acteurs voient des opportunités dans une crise alimentaire.

Il existe un chevauchement important entre les personnes, les entreprises et les institutions impliquées dans la recherche sur les armes biologiques à gain de fonction et celles qui participent à la campagne visant à remplacer les vraies fermes par de la fausse nourriture. Ce qui les lie, c’est la technologie. Les mêmes techniques de génie génétique et de biologie synthétique sont utilisées pour créer les Frankenfoods et les Frankenpathogènes.

Les liens entre ces deux mondes sont bien illustrés par Ginkgo Bioworks, la principale société de génie génétique et de biologie synthétique, et la société d’organismes préférée de Bayer (Monsanto).

Si vous voulez avoir peur, très peur, de ce que cela signifie pour l’humanité, consultez le rapport de risque SEC de Ginkgo [NdT. article très instructif du même auteur, qui s’auto-traduit automatiquement en français si vous êtes dans un pays francophone; SEC = Security Exchange Commission]. On dirait le scénario d’un film catastrophe sur une pandémie.

Lisez ensuite l’étude menée par Ginkgo Bioworks, qui prévoit que les infections entre animaux et humains pourraient causer 12 fois plus de décès d’ici à 2050.

Enfin, pensez au fait que Ginkgo Bioworks est un partenaire du Forum économique mondial, lancé avec le soutien d’Open Philanthropy et dans lequel Bill Gates a investi.

Wow, plutôt curieux. Tout ce qu’il manque, c’est Johns Hopkins, et on se retrouve avec toute l’équipe de l’événement 201.

Oh, attendez… ouaip, toujours en 2019, le Johns Hopkins Center for Health Security et Ginkgo Bioworks ont organisé une réunion à Washington, DC, afin de planifier l’action du gouvernement pour renforcer l’industrie de la biotechnologie. La réunion a été financée par Open Philanthropy.

Le président Joe Biden a donné force de loi aux demandes du groupe par décret en 2022. Le même jour, le président a nommé le Dr Renee Wegrzyn, vice-présidente du développement commercial de Ginkgo, à la tête de la nouvelle Agence des projets de recherche avancée pour la santé (une agence dont Whitney Webb a prévenu qu’elle « pourrait faire des États-Unis une dictature numérique »). Enfin, Jason Kelly, fondateur et PDG de Ginkgo, préside désormais la Commission de sécurité nationale sur les biotechnologies émergentes.

Ginkgo Bioworks est un profiteur de la pandémie qui s’est tourné vers l’argent facile des tests COVID en 2020, mais il est devenu un véritable acteur dans l’histoire du COVID lorsqu’il a acheté Metabiota en 2022.

La fusion Ginkgo-Metabiota ressemblait beaucoup à la fusion Bayer-Monsanto, en ce sens qu’elle constituait un excellent moyen de se défaire d’un nom tristement célèbre.

Le conseiller de Metabiota était Jeffrey Epstein. Ses bailleurs de fonds étaient des milliardaires de la technologie, le Pentagone et la CIA. Son cabinet de lobbying était le Rosemont Seneca de Hunter Biden. Ses projets consistaient à bâcler la réponse à Ebola en 2014, à mettre en place des laboratoires biologiques pour la grippe aviaire en Ukraine et à collecter des coronavirus de chauve-souris en Chine pour Ralph Baric avec EcoHealth Alliance et l’Institut de virologie de Wuhan.

Lorsque Ginkgo a racheté Metabiota, elle n’a pas seulement fait disparaître son nom tristement célèbre, mais aussi son fondateur Nathan Wolfe, un scientifique ami de Jeffrey Epstein et de Ghislaine Maxwell, qui était un Young Global Leader du Forum économique mondial. Wolfe, qui a été impliqué dans tous les pires scandales et photographié avec toutes les pires personnes, n’a peut-être pas obtenu un emploi chez Ginkgo Bioworks après la fusion, contrairement à Nita Madhav, que Wolfe avait embauchée chez Metabiota en 2015 et dont il est devenu le PDG en 2019, qui en a obtenu un.

Aujourd’hui, Nita Madhav dirige Concentric by Ginkgo, désormais connue sous le nom de Ginkgo Biosecurity, qui n’est en fait que Metabiota sous un nouveau nom. Ginkgo Biosecurity gère le système de suivi des épidémies de Metabiota et il existe toujours un lien entre le site web de Metabiota et ce système de suivi.

Chez Ginkgo Biosecurity, Madhav fait ce pour quoi elle a été engagée par Wolfe chez Metabiota: utiliser l’« intelligence artificielle » pour « prédire » les pandémies. Voici la manière Ô combien scientifique dont ils ont procédé, d’après une interview de Madhav accordée à l’émission Marketplace de NPR le 4 février 2020 (!):

« L’entreprise d’IA Metabiota évalue une maladie – ses symptômes, son taux de mortalité et la disponibilité des vaccins – et interroge ensuite les gens pour savoir à quel point cette maladie les effraie. Elle a découvert que ce coronavirus avait un indice ‘d’effroi’ élevé ».

Comme le sait Madhav, Metabiota ne se contentait pas de « prédire » les pandémies, elle contribuait à les créer. L’entreprise était aux côtés d’EcoHealth Alliance et de l’Institut de virologie de Wuhan, dans le sud de la Chine, pour collecter les coronavirus de chauve-souris qu’ils enverraient à Ralph Baric pour ses tristement célèbres expériences de gain de fonction en 2015 et qui seraient plus tard révélés comme les plus proches parents connus du SARS-CoV-2 en 2020.

Parmi les investisseurs de Metabiota figuraient Rosemont Seneca de Hunter Biden, Google et la Fondation Bill et Melinda Gates. L’ordinateur portable de Hunter Biden a révélé qu’il avait fait pression sur l’administration de son père pour que Metabiota obtienne de gros contrats du Pentagone en Ukraine, où l’entreprise mettait en place des laboratoires biologiques de recherche sur la grippe aviaire avec Black & Veatch et travaillait sur un mystérieux « projet scientifique ukrainien » financé par le gouvernement avec la société gazière Burisma, qui payait Hunter plus de 80 000 dollars par mois pour siéger au conseil d’administration de l’entreprise.

C’est lorsque les médias ont enfin commencé à en parler, parce que la Russie ne cessait de l’évoquer dans le contexte de la guerre en Ukraine, que Ginkgo Bioworks a racheté Metabiota et enterré son nom entaché de scandale.

À peu près à la même époque, Ginkgo Bioworks a adopté un système orphelin de dissimulation des origines COVID, géré par l’Agence des projets de recherche avancée sur le renseignement, appelé FELIX (Finding Engineering-Linked Indicators). L’objectif de FELIX était de prouver que le SARS-CoV-2 n’avait pas été génétiquement modifié en laboratoire, mais ses « conclusions » mal référencées ont été publiées prématurément en janvier 2020. Ginkgo a ressuscité le projet sans tambour ni trompette en 2022.

Il est très étrange que Ginkgo ait obtenu une nouvelle subvention gouvernementale importante en 2022, étant donné qu’elle avait fait l’objet d’une enquête cinglante de Scorpion Capital juste l’année précédente. Le rapport de Scorpion citait un ancien employé de Ginkgo qui affirmait que Ginkgo surfacturait et fraudait régulièrement le gouvernement et qu’il avait été témoin de ce qui s’était passé à la Defense Advanced Research Projects Agency du Pentagone: « J’ai eu l’impression que cela se produisait tout le temps. Je les ai vus le faire littéralement. J’ai vu la feuille de calcul. »

Soutenant que les actions de Ginkgo ne valaient rien, le rapport Scorpion indiquait clairement que les capacités techniques de Ginkgo Bioworks n’avaient rien de spécial :

« La biologie synthétique est un terme vide de sens et pourrait tout aussi bien être un synonyme d’escroquerie cotée en bourse. Permettez-nous de proposer une définition plus précise: l’utilisation d’outils de génie génétique répandus depuis 50 ans pour modifier des cellules de levure afin qu’elles excrètent principalement des intrants industriels de faible valeur tels que des arômes, des parfums et des ingrédients médicamenteux. C’est l’essence même de cette mystérieuse usine – Ginkgo n’est rien d’autre qu’un ORC [organisme de recherche sous contrat] spécialisé dans l’ingénierie des souches, et un ORC de mauvaise qualité selon ses propres « clients » apparentés. Avant que les promoteurs d’actions ne revendiquent le terme de « biologie synthétique », il s’agissait et il s’agit toujours d’ingénierie microbienne ou d’ingénierie des souches ».

Il semble que Scorpion avait raison. Initialement proposée à 11,15 dollars en 2021, l’action Ginkgo valait 1,12 dollar à la clôture du marché le 10 avril 2024.

Alors pourquoi Ginkgo Bioworks est-elle la société d’ingénierie microbienne préférée des milliardaires, du Pentagone et de la CIA? Peut-être convient-il à ces derniers de s’associer à une société qui ne craint ni la fraude ni les jeux de passe-passe, qui n’a pas de véritables clients et dont l’action est en chute libre? Si le projet est de lancer une épidémie de grippe aviaire qui entraînera la faillite des exploitations familiales indépendantes et réduira l’offre alimentaire, tout en faisant grimper les prix des denrées et en détournant l’activité des vraies fermes vers la fausse viande, Ginkgo est peut-être le partenaire idéal? Plus ils sont corrompus et vulnérables, moins ils seront susceptibles de s’y opposer, quelle que soit la manière dont le gouvernement décide d’utiliser leurs services.

Une pandémie de grippe aviaire pourrait aider Ginkgo à redresser la barre. L’entreprise pourrait obtenir plus d’argent du gouvernement pour effectuer des tests de dépistage de la grippe aviaire. Ils pourraient même obtenir des projets spéciaux de l’ancienne vice-présidente de Ginkgo, Renee Wegrzyn, à l’ARPA-H.

J’espère que je me trompe, que la synergie entre les OGM et le gain de fonction et la trinité impie de Pharma, Frankenfoods et Pandémies, n’a rien à voir avec le fait que la grippe aviaire devienne une crise ou la façon dont elle sera gérée si c’est le cas.

En attendant, j’observe les acteurs décrits dans cet article à la recherche d’indices sur ce qui pourrait se passer ensuite. Le 8 avril 2024, Concentric by Ginkgo a tweeté cet article de Nature, « Épidémie de grippe aviaire chez les vaches américaines: pourquoi les scientifiques sont inquiets« .

Témoignage de Zoé, codeuse médicale pendant le Covid.

Un témoignage recueilli dans leur autobus itinérant par l’équipe du Children’s Health Defense de RFK Jr. Les passages sur les exécutions par protocole et vaccins, à la fin, sont assez violents. Vous êtes prévenus.

La transcription et la traduction sont de moi, la vidéo originale est ici. Diffusez, svp!

Note: traduction revue et (considérablement) améliorée le 21/06.

Traduction

Zoé: J’allais dire que c’est l’endroit le plus étrange qu’on puisse imaginer pour ce genre d’événement.

Hôte: Nous sommes en direct maintenant. Très bien, chers spectateurs, nous recevons une invitée très spéciale. Elle est un peu nerveuse parce que je pense que ce qu’elle aura à dire est important. Commencez donc par nous dire votre nom.

Zoé: Zoé.

Hôte: D’accord, Zoé. Et que faites-vous dans la vie?

Zoé: Je suis codeuse médicale.

Hôte: Et qu’est-ce que cela signifie?

Zoé: J’appelle ça le service de renseignement central de l’hôpital ou la vue à l’échelle de SimCity. Il s’agit d’examiner les dossiers médicaux, tous les types de dossiers médicaux, tous les diagnostics, et de convertir cette information en un code qui est ensuite transmis à l’assurance. C’est ainsi que les hôpitaux et les postes sont payés. Donc, si je fais bien mon travail, les postes et les hôpitaux gagnent un maximum d’argent et ils ne sont pas poursuivis pour fraude.

Hôte: D’accord. Nous devons commencer par la question de ce qui s’est passé avec les protocoles COVID des hôpitaux, car c’est le sujet dont nous avons le plus entendu parler au cours de notre tournée. Qu’avez-vous vu?

Zoé: J’ai remarqué qu’il n’y avait pratiquement pas de patients lorsque l’urgence pandémique a été déclarée et qu’il fallait deux semaines pour aplanir la courbe. Il n’y avait aucun patient à l’hôpital à ce moment-là. Ils ont commencé à affluer lentement, après des mois et des mois d’attente. Les décrets gouvernementaux ont exigé que nous créions des lits supplémentaires dans les hôpitaux, ce qui veut dire que nous avons renvoyé chez eux des patients avant qu’ils ne soient prêts à rentrer, ce que nous n’avions jamais fait auparavant parce que cela représente un risque financier. Si ces patients revenaient, c’était à nous de payer leurs soins. C’est un règlement de l’assurance-maladie. La situation était donc très inhabituelle.

Il y avait des enjeux financiers parce qu’en avril, il y a eu une mise à jour des codes, ce qui n’était jamais arrivé auparavant. Il fallait trouver un moyen de mesurer l’évolution du COVID. Il s’agissait donc de recenser la maladie, de recenser le COVID, et c’est le système de codes qui est en principe le système de recensement de base. Il n’y avait alors aucune pratique standardisée. Même notre hôpital a déclaré qu’il n’y avait pas de code de cas standardisé et qu’il était donc impossible de savoir ce qui se passait, même si l’urgence avait déjà été déclarée. Et il était clair que [les chiffres] du HHS et de l’OMS et toutes ces cartes qui nous montraient tous les foyers ne correspondaient absolument pas à ce que nous voyions à l’hôpital, ce que même l’administration admettait. Ils ont donc créé leur propre carte. C’est en quelque sorte la raison pour laquelle le diagnostic COVID a été publié.

Mais c’est aussi à ce moment-là que sont apparues les primes. Il fallait un diagnostic pour obtenir la prime de 20% pour les patients COVID. Tout patient admis avec un diagnostic COVID ramenait donc d’une prime de 20%. S’ils étaient mis sous Remdesivir, c’était une nouvelle technologie, et les codes des nouvelles technologies donnent droit à une prime supplémentaire de 20% en raison du risque lié à une technologie non éprouvée.

Gilead avait donc sollicité le paiement d’un bonus pour le Remdesivir, une nouvelle technologie. Un nouveau code a donc été créé pour le Remdesivir en avril. C’est ce qui a effectivement donné lieu aux protocoles hospitaliers. En effet, les patients se rétablissaient lorsqu’ils étaient traités avec de l’hydrochloroquine, issue de l’opération Warp Speed et du stock national d’hydroxychloroquine. Les hôpitaux en ont reçu gratuitement à la fin du mois de mars. Et puis trois jours plus tard, quelques jours plus tard, le 1er avril, le nouveau diagnostic est sorti, le bonus pour le Remdesivir est sorti et ce fut un véritable coup d’arrêt. On a arrêté l’azithromycine et l’hydroxychloroquine et on est passé directement au Remdesivir, qui donnait droit à la prime.

Et bien sûr, il y avait une prime de 20% pour la mise sous respirateur des patients. Les tests PCR faisaient également l’objet de primes. Je l’ai remarqué pour avoir longtemps travaillé dans un laboratoire hospitalo-universitaire. Ma mère était technologue médicale, ça a été sa profession toute ma vie. À l’époque où je travaillais dans un laboratoire, j’ai effectué des tests rapides de dépistage de la grippe, comme on les appelait à l’époque, en 2004. C’était le prototype du test PCR COVID-19. Il s’agit essentiellement d’un test PCR, mais la méthodologie est un peu différente question seuil des cycles.

Lorsque le test COVID-19 a été diffusé, une série d’événements ont suivi. Il était accompagné de primes et d’incitations qui n’étaient pas évidentes à discerner à première vue. En fait, la loi CARES a permis de financer tous les tests PCR COVID-19. Normalement, les tests coûtent de l’argent aux hôpitaux, qui n’aiment donc pas beaucoup faire de tests de diagnostic pour identifier un virus ou faire des cultures, ou quoi que ce soit dans le genre. En fait, ils entament le traitement avant de savoir à quel agent pathogène ils ont affaire, quitte à procéder à une identification plus tard, après avoir commencé à administrer un antibiotique ou tout autre traitement préliminaire. Au départ, pour les tests PCR, je ne sais pas si vous vous en souvenez, on avait installé une sorte de tente où les gens pouvaient aller passer un test PCR, mais à l’époque, il fallait avoir des symptômes. On ne pouvait pas simplement… On nous a dit qu’il y avait une pénurie de tests et il a fallu, je ne sais pas, environ un mois pour qu’ils se mettent à dépister tout le monde.

Lorsque l’on est passé de la situation où il fallait présenter des symptômes pour avoir droit au test PCR, où pratiquement aucun patient ne le passait, à une situation où le test est devenu largement disponible, le CDC a déclaré que chaque hôpital pouvait effectuer ses propres tests. Nous les avons donc réalisés en interne et les hôpitaux n’ont plus eu à les envoyer à un autre laboratoire et à attendre une semaine avant d’obtenir les résultats. 80% de nos patients sont alors devenus positifs au COVID, qu’ils présentent ou non des symptômes.

Cela n’était jamais arrivé auparavant, ce test n’avait jamais été utilisé pour le dépistage, il avait toujours été utilisé comme un test de confirmation – il fallait que le patient présente des symptômes et que le médecin ne sache pas à quel type de maladie il avait affaire, puis il effectuait des tests pour comprendre pourquoi le traitement n’améliorait pas l’état du patient. Cette politique a donc changé du tout au tout et il y a eu une prime à la prise en charge des patients COVID. C’est donc en fin de compte…

Hôte: Nous avons reçu des gens qui nous disaient qu’ils allaient se faire soigner pour une jambe cassée ou quelque chose de complètement différent, et ils étaient…

Zoé: À 100%.

Hôte: … avant même de s’en rendre compte, envoyés dans un service COVID, pour cette raison, et nous avons reçu une infirmière qui nous a dit…

Zoé: Oui, parce que dans les hôpitaux, on dépistait les patients pour le COVID. Ils arrivaient pour une ablation de la vésicule biliaire, une jambe cassée, un accident de moto ou de voiture, ou n’importe quoi d’autre. Et pendant qu’ils étaient à l’hôpital, on effectuait le dépistage et s’ils étaient positifs au COVID-19, on commençait aussitôt le traitement et on les mettait sous respirateur assez rapidement, on les mettait sous Remdesivir, puis ils souffraient d’insuffisance rénale et d’œdème pulmonaire et ils déclinaient rapidement, et rien de ce que l’hôpital pouvait faire n’aurait pu les sauver. Je n’ai jamais rien vu de tel. Ce n’est pas ainsi qu’évolue un cas normal de grippe ou de pneumonie. Avant 2020, si les patients se présentaient à l’hôpital avec la grippe ou une pneumonie, ils avaient tendance à se rétablir dans les trois jours et à rentrer chez eux. Il n’y avait pratiquement jamais d’hospitalisation pour une grippe. Pour une pneumonie, oui. La grippe, presque jamais. Et si cela arrivait, c’était pour des patients âgés avec beaucoup d’autres problèmes, comme une insuffisance organique, une insuffisance cardiaque ou un cancer, la grippe n’étant que leur dernier problème dans la liste. Ce n’était pas juste la grippe.

En ce qui concerne le COVID, j’ai remarqué que c’était au départ des patients âgés qui présentaient des symptômes, puis des personnes de plus en plus jeunes, parce que je ne faisais même plus attention au fait qu’ils soient positifs ou non au COVID, je faisais plutôt attention à savoir si ce patient était arrivé à l’hôpital avec des symptômes. Avait-il un quelconque rhume, grippe ou pneumonie avant d’arriver à l’hôpital? […] Que l’on travaille sur place ou à distance, dans presque tous les hôpitaux, il y a une sorte d’intranet pour les employés avec une page d’accueil personnelle que tout le monde voit en se connectant à son ordinateur. C’est là que les messages sont diffusés, que la direction diffuse ses messages. C’est là que se trouvait notre tableau des cas, le nombre de nos cas de COVID. À un moment donné, ils ont publié un message disant que les réglages FIO2 des respirateurs avaient tué des gens et qu’on ne savait pas comment traiter le COVID. « Nous avons essayé ces réglages de respirateurs en pensant que nous allions traiter le COVID, mais apparemment, le réglage FIO2 tuait en fait les patients sous respirateur. Nous allons donc arrêter. Nous avons compris que cela ne fonctionnait pas et nous allons donc ajuster le réglage et nous sommes vraiment navrés. » J’ai été choquée, car je commençais déjà à entendre des rumeurs selon lesquelles des patients mouraient sous respirateur à l’hôpital, ce qui me semblait logique, car nous n’avions jamais eu de cas de grippe ou de pneumonie où quelqu’un restait sous respirateur pendant un mois sans que nous puissions le sauver. Cela ne s’était jamais produit auparavant. D’habitude, après 24 à 48 heures, on parle de débrancher le respirateur ou de transférer le patient de l’hôpital à un établissement de soins infirmiers de longue durée.

Hôte: D’accord, revenons un peu en arrière. J’aimerais revenir sur les tests PCR. Dans cet autobus, une infirmière nous a dit qu’à l’arrivée du patient, on lui disait, d’en haut, qui que soit la personne en haut, de faire des tests répétés jusqu’à ce qu’elle obtienne un résultat positif.

Zoé: Oui, c’est ce qu’ils faisaient. C’était comme de jouer à la roulette et les médecins écrivaient même dans la documentation: « Je ne comprends pas. C’est comme si le patient n’avait rien que je puisse traiter. Je continue à faire des tests PCR. Il sont toujours positifs et le patient n’a rien d’anormal », voilà ce qui arrivait. Ils faisaient six, sept, huit tests et le résultat était positif, mais le patient ne présentait rien d’anormal et le médecin n’y comprenait rien. Parfois, ils effectuaient quatre ou cinq tests avec des résultats négatifs, puis ils obtenaient un résultat positif qu’ils prenaient en compte pour traiter le patient pour le COVID. C’était comme de jouer à la roulette.

Même les médecins, différents médecins, consignaient dans la documentation: « Je ne suis pas sûr de faire confiance à ce test, alors refaisons-le pour voir ce qu’on obtient cette fois-ci. »

Hôte: Parlons maintenant du Remdesivir. Expliquez-moi encore une fois comment nous en sommes venus à prescrire pour les personnes atteintes du COVID un machin en autorisation d’utilisation d’urgence qui paralyse leurs organes, ce que nous avons entendu maintes et maintes fois.

Zoé: C’était vraiment intéressant. Je ne sais pas comment il a été approuvé. Je n’étais pas au courant. J’ai fait des recherches plus tard, mais lorsque le nouveau code de diagnostic est apparu, ainsi que le code pour le Remdesivir qui donnait droit à une prime de 20%, nous avons commencé à le prescrire, l’hôpital disposait d’un protocole pour le Remdesivir. Ils savaient qu’il provoquait des lésions rénales. Le protocole l’indiquait d’emblée, il cause des lésions rénales. Mais toute la propagande, et je l’appelle propagande à dessein, disait que le COVID-19 provoquait également une insuffisance rénale et, à l’hôpital, l’insuffisance rénale est très fréquente. Nous l’appelons AKI (acute kidney injury) et c’est donc quelque chose que nous voyons quotidiennement – c’est normal, et nous le traitons. En voyant cela, il était donc normal de se dire: « C’est tout simplement une insuffisance rénale, c’est assez fréquent », surtout lorsqu’on a commencé à nous programmer en nous disant que le COVID provoquait une insuffisance rénale. Mais le Remdesivir provoque également une insuffisance rénale et il fallait faire passer au patient une consultation sur les maladies infectieuses et une consultation sur les maladies rénales avant de le mettre sous Remdesivir. S’il souffrait d’une maladie rénale chronique de stade trois ou plus, il se voyait exclu du traitement par Remdesivir. Nous devions documenter un formulaire d’autorisation et un formulaire de consentement éclairé et les consigner dans leur dossier médical. Ensuite, on administrait le Remdesivir, parfois une seule dose, parfois plusieurs, mais [les patients] finissaient tous par souffrir d’insuffisance rénale après quelques jours.

Certains patients sont rentrés chez eux avec des prescriptions de dialyse à domicile, d’autres se sont retrouvés sur une liste de transplantation rénale, d’autres encore se sont retrouvés avec une maladie rénale chronique après avoir reçu du Remdesivir – s’ils avaient survécu – et beaucoup de patients se sont retrouvés avec une pneumonie COVID, qui est apparemment due au fait que le Remdesivir provoque l’arrêt des reins et que lorsque les reins s’arrêtent – ils régulent les niveaux de fluides – et lorsque le corps ne peut pas se débarrasser du liquide, celui-ci s’accumule et remonte de la région de l’abdomen, traverse le diaphragme et peut atteindre les poumons, ce que nous appelions des épanchements pleuraux ou ce qui, à la radiographie, ressemble à ce que nous appellerions une pneumonie. Nous l’avons donc appelée pneumonie COVID, mais si l’on compare la radiographie thoracique d’un patient souffrant d’œdème pulmonaire à celle d’un patient souffrant de pneumonie COVID, les deux sont presque identiques. Et les prestataires, même s’ils savaient que le Remdesivir présentait ce risque pour les reins, n’ont jamais fait le lien avec le fait que les patients pouvaient souffrir d’insuffisance rénale à cause de l’administration du médicament. Ils pensaient simplement qu’il s’agissait du COVID.

Hôte: Mais ce n’est qu’une question d’argent. Dès qu’ils ont vu qu’ils recevaient des primes pour les tests PCR…

Zoé: Oui.

Hôte: C’est l’argent, c’est l’argent qui a tout changé, tout a complètement changé.

Zoé: Tout, oui.

Hôte: D’accord. Je dois vous poser une autre question. Nous avons vu des centaines de cas de décès liés au protocole COVID et vous êtes assise en ce moment même dans le mémorial où vous pouvez les voir tous.

Zoé: Je sais.

Hôte: Ils étaient tous non vaccinés, alors la première chose, et c’est ce que nous essayons de comprendre, c’est que des gens se sont présentés à l’hôpital et que la première chose qu’on leur a demandée, c’est: « Êtes-vous vacciné ou non vacciné? » En d’autres termes, avez-vous reçu le vaccin COVID ou non?

Zoé: Dans mon hôpital, on ne demandait pas cela. C’était presque impossible à déterminer au début. C’était comme s’ils ne voulaient pas que nous le sachions. Et je sais, grâce au codage médical que je pratique aux urgences, que l’une des choses sur lesquelles nous devons recueillir des informations est la suivante: si un patient a été blessé, quelle en est la cause? Il existe en fait un code pour cela. S’il y a effet secondaire d’un vaccin, il est censé exister un code pour le vaccin à l’origine de la blessure. C’est ainsi que l’on peut trouver cette information, comme les chercheurs peuvent le faire dans le cadre d’une étude. Si on connaît le code à rechercher, on peut extraire tous les dossiers médicaux qui présentent ce symptôme particulier avec cette cause et on peut monter une étude sur la base de ces informations, ou on peut solliciter le CDC ou l’OMS pour obtenir ces données. C’est là tout l’intérêt du codage international, qui permet de recueillir ces données. Mais au début, on ne demandait pas cela en amont. Il m’était presque impossible de le savoir. J’ai dû consulter les notes. Je devais littéralement parcourir 40 ou 50 pages de notes pour trouver l’endroit où le patient avait dit à l’infirmière ou au médecin: « J’ai reçu le vaccin COVID ».

Hôte: […] Permettez-moi donc de revenir au point précédent. Les gens disent qu’ils se présentent à l’hôpital et que la première chose qu’on leur demandait, c’est s’ils avait reçu le vaccin COVID ou non. S’ils avaient reçu le vaccin COVID, on les dirigeait d’un côté, s’ils n’avaient pas reçu le vaccin COVID, on les dirigeait ailleurs. Et des centaines et des centaines de personnes disent la même chose, dans différents États, il y a donc anguille sous roche. Ceux qui ne sont pas vaccinés sont directement placés dans un service COVID, Remdesivir, ventilation, mort. Très peu s’en sortent. Les vaccinés, dont certains reçoivent du Remdesivir, ne semblent jamais mourir, ils sont renvoyés chez eux et meurent peut-être d’autre chose, mais ils ne sont pas tués par les protocoles de l’hôpital. C’est ce que nous avons vu et une infirmière est venue nous dire que lorsqu’il y avait un décès chez une personne non vaccinée, il n’y avait pas dans la liste déroulante d’option pour indiquer qu’il s’agissait d’une personne non vaccinée…

Zoé: J’ai entendu la même chose et j’ai entendu dire que ça faisait partie du système Epic et c’est avec ce système que j’ai travaillé. En fait, j’ai travaillé sur le système Epic au sein de l’hôpital, j’ai aidé à le développer et à déterminer le genre de données que les médecins sont censés inscrire dans le dossier médical, cela faisait partie de mon travail. Je comprends donc parfaitement et j’ai entendu le témoignage de cette infirmière et je le crois tout à fait. Cependant, j’ignore quand ce changement s’est produit, car j’ai quitté l’hôpital en avril 2021 à cause des obligations vaccinales. J’ai refusé d’être vaccinée et de subir le test PCR, alors qu’on commençait à faire de la propagande même dans les messages sur l’intranet de l’hôpital, qui disait: « C’est vous le problème, vous travaillez à domicile, vous ne voyez jamais de patients mais c’est vous qui filez le COVID à grand-mère, vous devez vous faire vacciner ». L’assurance-maladie incite les hôpitaux à vacciner leur personnel sous peine de perdre des sommes considérables. Ils ont donc été incités à tenir ce discours et je savais que je n’obtiendrais pas d’exemption, alors j’ai démissionné à ce moment-là. C’était assez tôt. Le vaccin a été distribué en janvier – ou le 6 décembre en fait – mon hôpital a commencé à distribuer le vaccin le 6 décembre 2020 par le biais du drive-in et j’ai démissionné en avril 2021. Pendant cette période de quatre mois, il n’y avait ni listes déroulantes, ni questionnaire. Je l’aurais forcément constaté dans mon travail de tous les jours parce que je devais déterminer si le patient était positif au COVID ou non, et je devais examiner chaque dossier dans lequel je l’inscrivais, parce que c’était exigé par notre hôpital.

Hôte: Alors croyez-vous que les gens… les gens disent que leurs proches ont été tués dans des hôpitaux avec le protocole COVID – ce qui ne devrait évidemment jamais arriver. Les croyez-vous?

Zoé: À 100%. Je savais qu’on tuait des gens. Je savais qu’on tuait des gens à l’hôpital. La nuit, je pleurais jusqu’à ce que je m’endorme. Même en pensant à mon discours d’aujourd’hui – désolée. [pleurs] Il y avait tellement de morts. C’était pratiquement insupportable. Les hôpitaux sont devenus l’endroit où les gens allaient mourir et non plus l’endroit où les gens allaient se faire soigner. Ils séparaient les nouveau-nés de leur mère. Ils laissaient les gens mourir seuls sans pouvoir faire leurs adieux. Ils les droguaient et les attachaient et les gens mouraient sans avoir pu dire adieu à leur famille. Certains d’entre eux ont eu droit à un coup de fil. D’autres n’ont eu droit à rien. Certains sont morts bizarrement au milieu de la nuit, en présence d’une équipe réduite, des gens qui se portaient bien jusqu’à ce moment-là, puis tout d’un coup, du jour au lendemain, « Oh, ils sont morts, je ne sais pas ce qui s’est passé », ce qui n’était jamais arrivé avant le déploiement du protocole COVID en 2020. Alors oui, quand on dit qu’on a tué des gens, je suis d’accord. Et je disais aux gens, probablement à partir d’avril, de ne pas aller à l’hôpital, « on est en train d’y tuer des gens, évitez d’y aller, je ne comprends pas ce qui se passe. » Je ne savais pas ce qui se passait. Honnêtement, je ne savais pas que c’étaient les respirateurs, je ne savais pas que c’était le Remdesivir jusqu’à ce que je me penche sur la question plus tard et que j’arrive à relier tous les points. Mais je savais qu’on tuait des gens.

Hôte: Qu’en est-il des lésions dues aux vaccins? Qu’avez-vous constaté chez les personnes qui se sont fait vacciner?

Zoé: Des lésions massives… Je ne savais pas qu’il était possible pour un humain de mourir de façon aussi horrible et aussi rapide avant qu’on ne lance les injections d’ARNm. C’était de la folie pure. Je n’ai jamais rien vu de tel. Les patients, les plus atteints, étaient ceux qui, sous le nom de septicémie, souffraient d’une défaillance multiviscérale instantanée. En quelques heures, les patients mouraient d’une défaillance du foie, des poumons, des reins, d’une défaillance simultanée, d’une défaillance respiratoire. C’était comme si… d’après les dossiers de l’équipe d’urgence qui les a trouvés, c’est comme si leur corps essayait de tout rejeter. Dans certains cas, la famille était là 30 minutes avant, et une heure plus tard, ils étaient morts. [pleurs]

Et puis il y avait des patients qui arrivaient avec des crises d’épilepsie comme je n’en avais jamais vu auparavant. Nous ne parvenions pas à contrôler certains d’entre eux. Certains jours, les patients faisaient des crises qu’aucun médicament n’arrêtait et il fallait finalement les euthanasier.

On parlait d’encéphalite ou d’encéphalopathie, puis, plus tard, l’organisation d’information sur le codage AHIMA a admis qu’il s’agissait d’une « encéphalite associée au COVID-19 ». Il y avait des caillots sanguins, des accidents vasculaires cérébraux. Les caillots étaient insensés. Je n’avais jamais vu de tels caillots auparavant. Ni les radiologues d’intervention, qui travaillent sur des angiopathies et dans différents champs d’application qui leur permettent de faire des interventions cardiaques et de poser des endoprothèses dans l’artère carotide en cas d’accident vasculaire cérébral. Normalement, il est rare de poser plus d’une endoprothèse et ils ont documenté des interventions à plusieurs endroits à la fois. Il y avait des cas de crises cardiaques comme ça, où ils avaient besoin d’endoprothèses en quantités massives, ce qui ne leur était jamais arrivé. Des personnes d’une vingtaine d’années, qui faisaient de la randonnée, qui étaient en parfaite santé et qui couraient des marathons, ont soudain dû être amputées d’une jambe à cause d’un énorme caillot sanguin qui partait de leur hanche et descendait tout le long de leur jambe, qui ne pouvait pas être sauvée. Voilà ce qui se passait.

Il y a eu des cas de gangrène spinale du jour au lendemain, ce que je n’avais jamais vu auparavant, et on ne peut pas amputer la colonne vertébrale. En cas de gangrène, on coupe normalement les tissus qui meurent de cette manière, afin d’éviter toute infection supplémentaire, mais là ils ne savaient pas quoi faire. Tout ce qu’ils pouvaient faire, c’est remplacer cette partie de la colonne vertébrale par un implant – c’est le mieux qu’ils pouvaient faire.

Oui, c’était vraiment intense et je n’ai pas remis en question les vaccins autant que j’aurais dû. J’ai commencé à m’interroger sur le vaccin contre la grippe en 2004, mais avec la pression exercée pour se faire vacciner contre le COVID-19, j’ai commencé à étudier les risques et j’ai su que je ne voulais rien avoir à faire avec ce truc expérimental à base d’ARNm. Et lorsque j’ai commencé à m’intéresser aux experts qui disaient que ce vaccin potentiel pouvait avoir des effets, que les recherches le démontraient, j’ai examiné les essais de vaccins et ce qui arrivait aux patients, le Guillain-Barré et les accidents vasculaires cérébraux qui se produisaient. J’ai donc su ce qu’il fallait surveiller lorsque le vaccin a été mis sur le marché mais les médecins étaient stupéfaits. Ils n’arrivaient pas à faire le lien. Mais pour moi, en connaissant les causes ou les symptômes potentiels d’une lésion due à ce vaccin, nous avons eu à 100% tout ce que je viens de décrire. Mais les médecins ne vous le diront jamais, ils diront simplement qu’il s’agissait d’un accident vasculaire cérébral, d’une crise cardiaque, d’un caillot de sang et ils ne feront jamais le lien entre les deux.

Hôte: Y a-t-il quelque chose qui vous inciterait à recevoir un vaccin, quel qu’il soit, à l’avenir ?

Zoé: Il faudrait qu’ils me tuent. Rien, rien ne me fera accepter un vaccin. Plus aucun type de vaccin. Plus de vaccins.

Hôte: Avez-vous eu le COVID ?

Zoé: Non, je n’ai jamais eu le COVID. J’ai eu un rhume une fois en quatre ans, j’appelle ça un rhume parce que ça ressemblait à un rhume. Je n’ai pas perdu mon odorat. Je n’étais même pas très mal en point, j’ai juste eu des reniflements pendant quelques jours. Ce n’était vraiment pas très grave. Mais je prends du zinc, de la vitamine C et du glutathion tous les jours, je mange sainement et j’essaie de prendre soin de moi, alors…

Hôte: Voulez-vous ajouter quelque chose à votre histoire? Voulez-vous dire quelque chose d’autre?

Zoé: Je ne sais pas.

Hôte: Emmèneriez-vous quelqu’un que vous aimez à l’hôpital?

Zoé: Non. C’est une question très difficile parce que j’aimerais dire non à 100%, mais il y a des exceptions où si on a une blessure grave ou un bras cassé, un médecin holistique ne pourra pas le soigner de la même façon selon le type de fracture. Il ne sera peut-être pas en mesure d’établir un diagnostic. Mais si on se présente à moi avec une aiguille, quelle qu’elle soit, je n’ai pas du tout confiance, je ne fais pas confiance aux tests PCR, je ne laisserai pas un médecin essayer de me diagnostiquer sur base de ces tests. Il faudrait que je connaisse le médecin ou l’équipe soignante de cet hôpital. Il faudrait que je les évalue. Et mon père aura probablement besoin de soins bientôt, alors je fais de mon mieux pour essayer de le garder à la maison.

Hôte: Avez-vous retrouvé un emploi?

Zoé: Non, je n’ai pas travaillé depuis trois ans. J’ai essayé de ne pas retourner dans le secteur des soins de santé parce que je savais que je n’obtiendrais pas d’exemption. J’essaie d’y retourner maintenant et ils exigent toujours… il est même indiqué dans certaines descriptions de poste que le COVID-19 sera toujours exigé et qu’il y a très peu d’exemptions permises et que tous les autres vaccins sont toujours exigés. Il y a donc peu de chances que j’obtienne un emploi dans le secteur de la santé vu cette exigence.

Je voulais cultiver des produits alimentaires et peut-être travailler avec des animaux comme je le faisais avant de me lancer dans les soins de santé, mais il est très difficile d’y accéder. Il n’y a pas grand-chose sur le marché et je suis une femme, alors apparemment je ne suis pas du bon genre pour me lancer dans l’agriculture, le travail avec les animaux ou la culture des légumes, je ne sais pas.

Hôte: Nous allons arrêter ici. Écoutez, merci d’être si courageuse. Est-ce la première fois que vous en parlez publiquement?

Zoé: Oui.

Hôte: Merci de l’avoir fait. C’est une information très importante que vous nous donnez. Nous vous en sommes très reconnaissants. Merci.


Transcription

Zoe: I was going to say this is like the strangest location for this particular event I can think of.

Host: We’re live now. Okay. All right everybody. So we have a very special guest here with us now. A little nervous because what she’s going to say I think is, you know, important. So tell us your name first.

Zoe: Zoe.

Host: Okay, Zoe. And what do you do?

Zoe: I’m a medical coder.

Host: And what does that mean?

Zoe: I call it the central intelligence of the hospital or the SimCity level view. What it is is you look at medical records, every kind of medical record, all the diagnostics, and you take that information and you put it into a code which goes to insurance. And that’s how hospitals and positions get paid. So if I do my job right, then the position and the hospital make the most money and they don’t get sued for fraud.

Host: Okay. We have to start with what on Earth went on with the hospital COVID protocols because we’ve had more stories of that than anything else as we tour around. So what were you seeing?

Zoe: I noticed there was hardly any patients when they called the emergency pandemic and there was two weeks to flatten the curve. We didn’t have patients in the hospital at that time. They slowly started to trickle in maybe after months and months of that. We were told to basically create beds for hospitals with the executive orders, which meant we sent patients home before they were actually ready to go home, which we had never done before because that’s a financial liability. We can actually… if patients come back, we would have to pay for their care. It’s a Medicare rule. So that was definitely very different.

There was some financial stuff that happened because in April they had a code update, which they had never done before. They had to come up with a way to track COVID. So it was all about tracking the disease, tracking COVID, and the code system is supposed to be the main tracking system. So no one had any standardized practice. Even our hospital said there’s no standardized case number so we can’t even tell what’s going on, even though there had already been declared an emergency. And you could see the HHS and the WHO and all of those case maps that showed us all the outbreaks, well, definitely didn’t match up with what we were seeing in the hospital and even the admin admitted that. So they created their own map. So that was sort of why the COVID diagnosis came out.

But that’s when the bonuses came out too. They had to have that diagnosis in order to get the 20% bonus for COVID patients. So any patient that was admitted that had a COVID diagnosis, they got a 20% bonus for that. If they were put on Remdesivir, that was a new technology and new tech codes can apply for an additional 20% bonus in payment because of the risk of an unproven technology.

So Remdesivir, Gilead had actually applied for a new tech bonus payment for Remdesivir. So the new code was created for Remdesivir in April. And that’s actually what launched the hospital protocols. Because people were actually doing well when they were treating them with hydrochloroquine, which came from Operation Warp Speed actually, and the national stockpile of hydroxychloroquine. Hospitals got a free donation of that right at the end of March. And then three days later, a few days later, April 1st, the new diagnosis came out, the bonus for Remdesivir came out and it was like a line in the sand. We stopped azithromycin and hydroxychloroquine and we went straight to Remdesivir where we got the bonus.

And then of course we got a 20% bonus for putting patients on a ventilator also. Also the other part of that was the PCR tests. So I noticed it – I actually worked in a hospital university lab for a long time. My mom was a medical technologist, that was her profession my whole life. And I had actually run at one point the rapid, they used to call it a rapid flu test way back in like 2004 when I was working in a lab. And that was the prototype for the COVID-19 PCR test. It’s basically a PCR test, but it’s not quite the same methodology of how you do the cycle threshold thing.

So when the COVID-19 test came out, there was a whole thing that happened with that too. And that sort of came with bonuses and incentives also that were not super easy to see on the surface. But what happened was the CARES Act provided money for all the COVID-19 PCR testing. So normally testing cost hospitals money and so they don’t like to do a whole lot of diagnostic testing to identify a virus or do cultures or anything necessarily. They actually start treatment before they know what pathogen they’re dealing with and then they may do identification later after they start an antibiotic or whatever preliminary treatment they’re going to do. Initially with PCR tests, I don’t know if you remember, they had like a tent set out where people could go and get PCR testing, but you had to have symptoms at that time. You couldn’t just… They were saying there was like a shortage of testing and it took, I don’t know, maybe a month or so until they started screening everybody.

Well, when they went from you had to have symptoms to get the PCR test, there was hardly any patients that had it, and then when they switched to now it’s readily available, the CDC says that every hospital can do their own testing. And so we brought it in-house and hospitals didn’t have to send it to a different lab and wait a week to get the results back, then we could do it all the time. So then 80% of our patient population became COVID positive, whether they had symptoms or not.

And that had never happened before that, we had never used that test as a screen before, it had always been like a confirmatory test – like you had to have symptoms and the doctor had to not know which kind of disease they were dealing with and then they do some sort of test to figure out why aren’t you getting better with the treatment. So that policy completely changed and there was a bonus to getting the COVID patients. So that’s ultimately…

Host: We had people telling us they’re going for a broken leg or something completely different and then they would be…

Zoe: 100%.

Host: … before they knew it on a COVID ward because they would, and then we had a nurse telling us…

Zoe: Yeah, because they would screen patients in the hospital for COVID. They would come in for gallbladder removal or broken leg or a motorcycle accident or car accident or anything else. And while they were in the hospital, they would do the screen and if they came up COVID-19 positive, that’s when they would start the treatment and they would put them on the ventilator fairly soon, they would start the Remdesivir and then they would have kidney failure and pulmonary edema and they would just circle the drain and it was like nothing that the hospital could do would save them. I’ve never seen anything like that. That is not how a normal flu case would progress and that’s not how a normal pneumonia case would progress. Before 2020, if patients came into the hospital with the flu or with pneumonia, they would tend to get better within three days and go home. Hardly ever would we have an inpatient admission for flu. Pneumonia, yes. Flu almost never. And if they did, I mean they were elderly and they had a lot of other things like organ failure or heart failure or cancer going on and flu was just the last thing that was going on after a bunch of other things. It wasn’t just flu.

But for COVID, at first it was elderly patients that I noticed that had symptoms and then it started to get to be younger and younger people that actually had symptoms because I wasn’t even paying attention anymore to if they were COVID positive or not. I was paying attention to, did this patient come into the hospital with symptoms? Did they have some sort of cold or flu type thing or pneumonia type thing going on before they came into the hospital? Because at some point the hospital sent out, like we have, whether you work on site or whether you work remote in almost any hospital, they have some sort of like an intranet for employees and it’s like your very own home page that everyone sees when you log in every time you go to the computer. So that’s where they put the messaging, the leaders put the messaging. So that’s where like our case chart would be, how many COVID cases we had. At one point they sent out a message that said the FIO2 settings on the ventilators had been killing people and we don’t know how to treat COVID so we were trying these ventilator settings thinking that that was how we were going to treat COVID but apparently the FIO2 setting was actually killing people on the vents. So we’re going to stop doing that. We learned that that was not working and so we’re going to adjust it and we’re sorry. And I was shocked by that because I had already started to hear rumors that patients were being killed on ventilators in the hospital which made sense to me because we had never had a flu case or a pneumonia case where someone’s on a vent for a month and we can’t save them. That had never happened before. Usually maybe 24 to 48 hours and they’re talking, let’s pull the plug or you know get them out of the hospital and get them into some long-term nursing care setting.

Host: Okay, let’s just go back a little bit. I want to go back to PCR tests. We had a nurse on this bus telling us that the patient would come in and they would be told from above, whoever the above person is, to keep testing until they got a positive.

Zoe: Yeah, they did that. It was like they were playing roulette and the doctors would even put in the documentation: « I don’t understand this. It’s like the patient doesn’t have anything I can treat. I keep doing the PCR test. It keeps coming up positive and they have nothing wrong », that would happen. They would do like six, seven, eight tests and it would be positive but the patient would have nothing wrong with them and the doctor would be really confused. Sometimes they would do, you know, four or five tests and they would get a bunch of negatives and then they would get one positive and they would take the positive and then treat the patient for COVID. So it was like playing roulette.

Even the doctors, different doctors were documenting: « I’m not sure I trust this test so let’s just run it again and see what I get this time. »

Host: Now let’s talk about Remdesivir. Talk me through once more how we came to prescribing an emergency use authorization thing for people with COVID that shuts down their organs which is what we’ve been hearing over and over again.

Zoe: It was really interesting. I don’t know how it came to be approved. I wasn’t privy to that. I looked it up later but when the new diagnosis code came out and also the code for Remdesivir which created the 20% bonus for it, we started prescribing it and the hospital had a protocol about Remdesivir. They knew that it caused kidney damage. It said right up front, it causes kidney damage. But the thing is all the propaganda, and I call it propaganda intentionally, was saying COVID-19 also causes kidney failure and in the hospital kidney failure is a very common thing. We call it AKI or acute kidney injury and so that was something that we saw every day – it was normal, a normal thing that we would treat. So it would be normal for us to see that and think, « Well we’re just dealing with kidney failure, it’s just something that happens to people sometimes » and especially when they started programming us with, well, COVID causes kidney failure. But Remdesivir also caused kidney failure and they had to do an infectious disease consult and a renal consult before a patient could go on Remdesivir and if they had chronic kidney disease stage three or higher, they would be disqualified from receiving Remdesivir. And we had to document like a permission slip and a informed consent form and put that all in their medical record and then they would administer the Remdesivir and sometimes there was one dose, sometimes there was a few doses but they all ended up with kidney failure within a few days.

Some patients ended up going home with home dialysis prescriptions, some patients ended up on a kidney transplant list, some patients ended up with chronic kidney disease after they were given Remdesivir – if they survived – and a lot of patients ended up with COVID pneumonia which is apparently Remdesivir causes the kidneys to shut down and when the kidneys shut down, they regulate fluid levels and when you can’t get rid of fluid in the body, it builds up and it comes up from the abdomen area and then it goes through the diaphragm and it can get into the lungs which we were calling pleural effusions or which we also on x-ray, it looks like what we would call pneumonia. So we called it COVID pneumonia but if you look at the chest x-ray of a patient with pulmonary edema versus COVID pneumonia, they’re almost identical. And providers, even though they knew Remdesivir had this risk to the kidneys, they never connected that that might be causing patients to have kidney failure after they administered it. They just thought it was COVID.

Host: But it’s just the money. I mean the minute they saw they got bonuses from the PCR tests…

Zoe: Yeah.

Host: It was money, it was money, it changed, the whole thing changed.

Zoe: The whole thing, yeah.

Host: Right. I have to ask you another question. So we’ve had hundreds of COVID protocol deaths situations and you’re sitting in the memorial right now and you can see them all.

Zoe: I know.

Host: They’re all unvaccinated so the first, this is the thing we’re trying to get to the bottom of, we have people that come in and the first thing that’s asked in hospitals « Are you vaccinated or unvaccinated? » In other words did you take the COVID shot or did you not?

Zoe: They weren’t asking that in my hospital. It was almost impossible to figure out at first. It was like they didn’t want us to know. And I know from the medical coding thing working with emergency room that one of the things that we need to gather information on is if a patient was injured, where did that come from? There’s actually a code for that. If there’s a side effect of a vaccine, there’s supposed to be a code for which vaccine the injury came from. And that’s how they can look it up, like researchers can look it up as part of a study. If you know which code to look for you can pull every medical record that has that particular symptom with that cause and you can put a study together with that information, you can solicit the CDC or the WHO to get that data. That’s the whole point of coding internationally, it’s to capture that data. But they weren’t asking that on the front end at first. It was almost impossible for me to find out. I had to look into the notes. I had to go through literally 40, 50 pages sometimes of notes to find where the patient told the nurse or the doctor « I received the COVID vaccine ».

Host: […] So let me go back to where we were. What people are saying, they’re saying that they’re going in, the first thing they’re asked is if they’ve taken the COVID shot or not. If they have taken the COVID shot, they go one way, if they haven’t taken the COVID shot they go another way. And this is hundreds and hundreds of people saying the same thing in different states so there’s something going on. So the ones that are not vaccinated get taken straight into a COVID ward, Remdesivir, vent, death. Very few got out of that. The vaccinated, some of them do get Remdesivir but they never seem to die, they get sent home and maybe they die at home of something else but they’re not killed by the hospital protocols. That’s what we’ve seen and one nurse came and told us that when there was a death from the unvaccinated, there was no drop down to put in that this was an unvaccinated…

Zoe: I had heard that too and I had heard that that was in the Epic system and that’s what I worked with. I actually worked in the Epic system, like within the hospital helping to develop that and figure out, you know, which kind of things do we want to prompt the doctor to put in the medical record, that was part of my job. So totally understand and I had heard that nurse actually give that testimony and I can totally believe that. However I wonder when that switch happened because I quit working for the hospital in April of 2021 over the vaccine mandates. I would not be vaccinated and I would not be PCR tested and they were even starting to put propaganda in the hospital messaging on the intranet saying « It’s you that’s the problem, you’re working from home, you never see patients but you’re the one giving COVID to grandma so you need to get vaccinated ». And there’s a Medicare incentive that they actually get money if they vaccinate their staff and there’s a massive amount of money they would lose out on if they didn’t vaccinate their staff. So they were incentivized to say that and I knew I wasn’t going to be able to get an exemption so I quit at that time. That was pretty early on. They might have switched it after that because I feel like from… so the vaccine went out in January – or December 6 actually – December 6, 2020 was when my hospital started giving out the vaccine through the drive-through and then I quit in April 2021. So that was only a four month period and during that time they didn’t have drop downs, they didn’t have a questionnaire because that’s something that I would have had to look at in my everyday job because I had to identify, is this patient COVID positive, are they not, and I had to look at, you know, every single record that I put that on with, our hospital wanted us to verify that.

Host: So do you believe that people were… the people are saying that their loved ones were killed in hospitals with COVID protocol and that should never happen obviously. Do you believe them?

Zoe: 100%. I knew they were killing people. I knew they were killing people in the hospital. I would cry myself to sleep at night. Even thinking about giving my speech today – sorry. [cries] There was so much death. It was almost unbearable. Hospitals became the place where people go to die instead of the place where people go to get better. They separated newborns from their moms. They let people die alone without being able to say goodbye. They drugged them and they strapped them down and people died without being able to say goodbye to their family. Some of them just got a phone call. Some didn’t get anything. Some of them just weirdly died in the middle of the night when there was a skeleton crew on and they had been doing fine up until that point and then just all of a sudden, overnight, they just « Oh they crashed, I don’t know what happened » and that had never happened before the COVID protocol rolled out in 2020. So yeah, when they say they killed people I agree with them. And I told people from probably April on, don’t go to the hospital, they’re killing people in there, stay away, I don’t know what’s wrong. I didn’t know what was doing it. I honestly didn’t know it was the vents, I didn’t know it was the Remdesivir until I looked into it later and I was able to kind of connect all the dots. But I knew they were killing people.

Host: What about vaccine injury? The ones that actually took the shots, what did you see there?

Zoe: Massive… I didn’t know it was possible for a human to die so horrifically and so quickly before they rolled out the mRNA injections. It was insane. I’ve never seen anything like that. Patients, the worst of them, were the ones, they called it sepsis but it was like instant multi organ failure – like within hours patients would die of liver, lung, kidney, all-at-once failure, respiratory failure. It was like… there’s some of the records that emergency crew that found them, it’s like their body tried to reject everything. And some of these cases, like their family would be there 30 minutes before and then within an hour they’re dead. [cries]

And then there were patients coming in with seizures like I’ve never seen before. We couldn’t control some of them. Days patients would be seizing and no medications would stop it and eventually they kind of had to be put down.

They called it encephalitis or encephalopathy and then later on they even the coding information organization AHIMA admitted « COVID-19 associated encephalitis ». There were blood clots, strokes. The clots were insane. Never seen clots like that before. Even the interventional radiologists that were going in with, you know, they have angiopathies and, you know, different scopes where they can do like heart interventions and put stents in like a carotid artery if you have a stroke going to your brain. Normally it’s rare to have more than one stent go in and they were documenting, you know, multiple locations all at once. They had heart attack cases that were like that, where they, you know, they needed massive amounts of stents that they never needed before. There were people in their 20s that have been hiking, that were totally healthy had been running marathons, that suddenly needed a leg amputated because they had a massive blood clot going from their hip all the way down to their leg and it couldn’t be saved. So that happened.

There were some cases of overnight spinal gangrene which I’ve never seen before and you can’t amputate, you know, the spine. When it goes gangrenous normally they cut out tissue that’s dying like that, so it prevents further infection and they didn’t know what to do. The only thing they could do was, you know, basically replace that part of their spine with an implant – that’s the best they could do.

Yeah, it was really intense and I didn’t question the vaccines as much as I should have. I started to about the flu shot way back in 2004 but with the pressure to get the COVID-19 shot I started looking into what it could do and I knew I didn’t want anything to do with this experimental mRNA thing. And when I started looking into the experts that were saying, well this is what this potential vaccine could do, this is what the research says, I was looking at the vaccine trials and what’s happening to those patients and the Guillain-Barré that was happening and the strokes that were happening. And so I kind of knew to look for that when the vaccine came out and the doctors were, you know, baffled. They weren’t connecting the dots. But to me, knowing what the potential causes or potential symptoms of a vaccine injury could be, we 100% had all the things that I just described. But doctors would never tell you that, they would just say it’s a stroke, it’s a heart attack, it’s a blood clot and they would never connect the two.

Host: Is there anything that would make you take a vaccination of any kind ever again?

Zoe: They would have to kill me. Nothing, nothing would make me take it. Not any more kinds. No more vaccines.

Host: Did you have Covid?

Zoe: Nope, I’ve never had Covid. I had a cold once in four years, I call it a cold because it felt just like a cold. I didn’t have like, I lost my sense of smell. It felt just, I wasn’t even really down that bad, I just, you know, got the sniffles for a couple days. Really it wasn’t that bad. But I take zinc and vitamin C and glutathione every day and I eat clean, try and take care of myself so…

Host: Is there anything else you want to add to the story? Anything else you want to say?

Zoe: I don’t know.

Host: Would you take someone you love into hospital?

Zoe: No. I mean, that’s a really hard question because I want to say 100% no, but there are some exceptions where, you know, if you have a massive injury where your arm is broken, you know, like a holistic doctor isn’t going to be able to set it in the same way depending on what kind of a break it is. You might not be able to do the diagnostics. But them coming at me with a needle of any kind, I don’t really trust it, I don’t trust PCR tests, I’m not going to let a doctor try and diagnose me based on that. I would have to know the doctor or the care team of that hospital. I would have to vet them. And my dad’s, you know, probably going to need care soon so I’m working as best I can to try and keep him at home.

Host: Are you employed again?

Zoe: No, I have not worked in three years. I have tried not to go back into health care because I knew I wasn’t going to get an exemption. I’m kind of trying to go back into it now and they’re still requiring – it even says right in some of the the job descriptions that covid-19 is still going to be required and there are very limited exemptions allowed and then all the other vaccines are still required. So probably not a good chance that I would get a job in health health care if that’s part of it.

I wanted to grow food and maybe work with animals like I did before I went into health care but that’s been really hard to get into. There’s not a lot out there and I’m a woman so apparently I’m the wrong gender to start farming or working with animals or growing vegetables, I don’t know.

Host: We’ll stop. Listen, thank you for being so brave. And is this the first time you’ve spoken publicly about that?

Zoe: Yes.

Host: Thank you for doing that. It’s very important information that you have. We really appreciate it. Thank you.

La FDA s’apprête à faire face à la transmission humaine du virus H5N1 – par John Leake.

Pour rappel, ce que c’est vraiment la grippe aviaire chez les oiseaux d’élevage: ici et ici.

Vous noterez que le terme « contre-mesure » provient du vocabulaire militaire, pas médical.

Source.


La FDA s’apprête à faire face à la transmission humaine du virus H5N1

Le commissaire Robert M. Califf témoigne sur les contre-mesures

John Leake

09 mai 2024

Je suppose qu’il est encore trop tôt pour annoncer «C’est reparti», mais cette vieille expression me vient à l’esprit. Robert Califf, commissaire de la FDA, vient de déclarer que la FDA prépare des contre-mesures pour parer à l’éventualité que le virus H5N1 de la grippe aviaire mute suffisamment pour se transmettre à l’homme.

DERNIÈRES NOUVELLES – @US_FDA
Le Commissaire @DrCaliff_FDA déclare que l’agence se prépare à l’éventualité d’un passage du virus H5N1 à l’homme.
« Nous nous sommes préparés à l’éventualité d’une mutation du virus qui entraînerait un passage à l’homme à plus grande échelle ».

Je me demande si nous n’entrons pas dans une nouvelle ère de maladies infectieuses émergentes, dans laquelle l’humanité serait frappée par une pandémie tous les quatre ans, qui correspondrait à la période des élections présidentielles aux États-Unis.

En cliquant sur le profil Twitter du Dr Califf, je fus navré de le voir faire l’éloge de l’ancienne commissaire adjointe principale, le Dr Janet Woodcock, qui vient d’être sélectionnée comme finaliste pour les médailles Samuel J. Heyman pour services rendus à l’Amérique [NdT. ici].

Le Dr Woodcock s’était entendue avec l’ancien directeur du BARDA, Rick Bright, pour rendre l’hydroxychloroquine inaccessible aux patients ambulatoires, elle est donc presque certainement responsable de nombre d’hospitalisations et de décès inutiles.

Si le H5N1 mute effectivement (naturellement ou par le biais d’un processus accéléré en laboratoire), il semble que la réponse à la pandémie sera dirigée par la même clique de bureaucrates de la santé publique, exempts de toute responsabilité et dont les échecs les hissent toujours plus haut. Comme pour ses prédécesseurs Stephen Hahn et Scott Gottlieb, un poste rémunérateur attendra sans doute le Dr Califf, lorsqu’il aura quitté la FDA, chez un grand producteur de vaccins ou dans une société de capital-risque qui investit dans les vaccins.

« La dissimulation de Wuhan » de RFK Jr – par Pete Lincoln.

Voici un article qui traîne dans mes tiroirs depuis un moment. J’hésitais à le publier: il est long et laborieux mais les amateurs d’enquêtes journalistiques apprécieront – les autres, je ne sais pas. Si vous manquez de temps ou de patience, vous pouvez passer directement à la Conclusion mais vous louperiez à mon avis une opportunité unique de comprendre le fonctionnement du système. Chapeau à Pete Lincoln pour cet énorme boulot – et merci à votre traducteur maison.

Le point de départ de l’article est le bouquin de Robert F Kennedy Jr, dont Lincoln cite ici des extraits en y apportant des commentaires très bien sourcés. Je compléterai avec un autre travail d’enquête assez copieux lui aussi – et très bien écrit – l’article de Jim Haslam qui y est cité.

Je le publie au moment où RFK Jr se révèle être, Ô surprise, un autre rouage de la grande opération de camouflage qui entoure le sac de noeud du Sars-Cov-2. Je reviendrai sur ce personnage dans un article que j’écrirai dès que j’ai le temps – dont je n’ai jamais assez.

Note de traduction: je traduis ici l’expression « limited hangout » par « révélations sous contrôle » – faute de mieux, il n’y a pas d’équivalent en français. La définition officielle est: « une forme de propagande dans laquelle une partie sélectionnée d’un scandale, d’un acte criminel, d’une information sensible ou classifiée, etc. est révélée ou fait l’objet d’une fuite, sans que toute l’histoire soit racontée. L’intention peut être d’établir une crédibilité en tant que dénonciateur de quelque chose ou de quelqu’un en se livrant à des critiques tout en les couvrant par l’omission de nombreux détails » – donc, à peu près tout ce à quoi a eu droit dans toute l’affaire Sars-CoV-2. Le nom du site de Whitney Webb, « Unlimited Hangout », est donc un manière d’affirmer qu’elle n’est pas contrôlée – ce qui n’est pas tout à fait exact. Pour une métaphore visuelle de cette méthode, imaginez un trappeur en traîneau qui jette un morceau de viande aux loups qui le poursuivent. Vous êtes les loups.

Source.


« La dissimulation de Wuhan » de RFK Jr

Révélations sous contrôle

Pete Lincoln

11 déc. 2023

Je viens de lire le livre de RFK Jr. Plus de 600 pages sans compter les notes. Je m’y suis mis tardivement car le 5 décembre on annonçait que la version Kindle ne serait pas disponible avant le 19 décembre, pour que je découvre le 8 décembre qu’elle était disponible depuis le 6 décembre.

Il est probable que le livre ait plusieurs auteurs, mais peu importe, c’est son nom qui est indiqué en tant qu’auteur, donc quand je dis « il », c’est de lui qu’il s’agit.

Si je cite quelque chose sans lien ni indication contraire, c’est un extrait de ce livre.

Je cite également des extraits du travail de Jim Haslam, que vous pouvez trouver ici:

https://substack.com/@jimhaslam

Les 18 premiers chapitres, soit environ 1/3 du livre, sont excellents

La bureaucratie médicale et scientifique américaine… Le programme américain d’armes biologiques se situe au confluent des sombres ambitions du complexe militaro-industriel et du complexe médico-industriel, composé en grande partie de la technocratie scientifique fédérale, de l’industrie pharmaceutique et des armées de chercheurs universitaires qui reçoivent des fonds de ces entités.

Le cartel des armes biologiques – communément appelé industrie de la Préparation et de la Réponse aux Pandémies (Pandemic Preparedness and Response, PPR) – opère dans le plus grand secret, à l’abri des regards ou des critiques de la presse, à l’abri de toute responsabilité juridique, et donc à l’abri de toute obligation de rendre des comptes.

Elle s’appuie sur une coalition qui comprend l’armée, les universités, les revues médicales, les médias grand public et les organismes de réglementation de la santé publique, dans le cadre d’une collaboration corrompue et secrète visant à transformer la médecine, qui est une profession de guérison, en une profession de meurtre. Son pivot est une alliance sinistre entre les agences américaines d’espionnage et de santé publique et l’armée chinoise. Elle est devenue le point d’appui des ambitions mondialistes du néoconservatisme visant à renforcer les élites milliardaires et à déposséder les pauvres de leur pouvoir, de leurs droits et à en faire des marchandises.

Il fait un bon travail sur l’historique des agissements malfaisants et de l’influence des nazis sur les programmes d’armes biologiques dans le cadre de l’opération « Paper Clip », ainsi que sur la dégénérescence morale des scientifiques et des professionnels de la santé qui s’en est suivie.

Dans son introduction, il affirme à juste titre:

Anthony Fauci et le milliardaire Bill Gates […] étaient des hommes de paille d’une entreprise bien plus vaste: un complexe militaro-médico-industriel dirigé par des éléments de la CIA et du Pentagone…

Bien que j’aie commencé la lecture avec peu d’attentes et en prévoyant que le livre serait un « Limited Hangout » (révélation sous contrôle), je me suis retrouvé très tôt à me demander s’il allait vraiment exposer l’opération COVID. Malheureusement, il n’y fait qu’allusion.

Kennedy semble prendre le parti de dire que la Chine a créé une arme biologique qu’elle a libérée accidentellement, au contraire d’un virus naturel qui a été libéré accidentellement. Je suis d’accord pour dire que le virus a été créé. Mais il n’explore jamais la possibilité que le virus ait été fabriqué aux États-Unis et envoyé en Chine, où il a été libéré accidentellement ou délibérément. Lorsque les policiers trouvent un cadavre, supposent-ils seulement qu’il s’agit d’un accident ou d’une mort naturelle? Non, ils excluent d’abord la possibilité d’un crime, surtout s’il y a un mobile.

Les empreintes digitales de la CIA sont omniprésentes dans les études sur le gain de fonction financées par les États-Unis au laboratoire de Wuhan, dans les préparatifs de la gestion militarisée d’une pandémie de coronavirus (bien avant que les experts en maladies infectieuses ne considèrent un tel événement comme possible), dans la création des vaccins COVID, y compris le Moderna, et dans l’opération « Warp Speed ».

L’agence a conçu des contre-mesures draconiennes et intrusives qui ont fait fi de la santé publique et des protocoles bien établis et qui, au lieu de cela, se sont concentrées sur l’imposition de contrôles autoritaires. Il n’est donc pas surprenant que la communauté du renseignement ait contribué à orchestrer la dissimulation.

Il présente tous les éléments nécessaires à l’existence d’un complot visant à créer une pandémie dans le but de gérer militairement une pandémie de coronavirus.

Considérons enfin l’incitation paradoxale qui permet à toutes les entités – Pharma, Ministère de la Défense, CIA et NIH – d’accroître leur pouvoir et leur budget si l’une des créatures à gain de fonction s’échappe et, plus encore, si elles peuvent en imputer la responsabilité à une puissance étrangère telle que les Chinois.

et

En 2001, un membre du programme biologique américain a diffusé de l’anthrax, ce qui a débouché sur des dépenses de 5 800 milliards de dollars et sur l’adoption du Patriot Act. Les agences de renseignement ont soudain acquis un pouvoir inimaginable d’espionnage des Américains et ont repris la course à l’armement biologique. « Si une agence gouvernementale peut accroître son pouvoir par une action relevant de sa compétence, elle finira toujours par la mettre en œuvre », déplore le Dr Robert Malone.

Pourtant, à la fin, il se contente de dire que c’est un accident de la part de la Chine, avec l’aide de dupes involontaires ou d’acteurs traîtres motivés par l’appât du gain, sans explorer une cause plus malfaisante.

Ce qui est peut-être dissimulé ici, ce n’est pas qu’un virus ait fui d’un laboratoire chinois, mais que le virus et la pandémie aient été fabriqués. Il ne fait aucun doute qu’une fuite de virus pandémique dans un laboratoire se produira un jour ou l’autre, mais ils ne voulaient pas attendre que survienne un accident. Ils ne rajeunissaient pas. Le compteur semble avoir démarré en 2017 (voir ma chronologie à la fin), c’est à ce moment-là que tout est passé à la vitesse supérieure avec la prédiction de Fauci.

Mais il ne s’agit pas seulement de la CIA. Depuis le 11 septembre, de nombreuses agences (Ministère de la Défense, Ministère de la Santé, CIA, Ministère de la Sécurité intérieure, etc) sont imbriquées les unes dans les autres et travaillent de concert.

Après l’adoption du Patriot Act, la CIA a travaillé avec le NIAID, le Pentagone, le DTRA et des entreprises militaires pour développer et gérer des dizaines, voire des centaines, de laboratoires biologiques aux États-Unis, en Ukraine, en Géorgie et en Afrique.

Comme je l’ai montré précédemment, au cours des années qui ont immédiatement suivi l’adoption du Patriot Act, le Pentagone a canalisé la plupart de ses recherches sur les armes biologiques via le NIAID et son directeur, le Dr Anthony Fauci.

La CIA est un bouc émissaire tout désigné puisqu’elle est intouchable et qu’une grande partie de son travail est de toute façon désormais effectuée par des contractants privés et des ONG.

Venons-en donc au Limited Hangout, qui est le récit semi-officiel contrôlé ou le contre-récit.

[En] août 2021, une enquête républicaine du Congrès a conclu que le virus s’était échappé du laboratoire de Wuhan « quelque temps avant le 12 septembre 2019 » et que les autorités chinoises savaient qu’une pneumonie respiratoire de type SARS se préparait à Wuhan et qu’elles essayaient déjà à cette date de contrôler à la fois le virus et le narratif.

Le raid effectué par le gouvernement le 12 septembre au laboratoire de Wuhan suggère que les fonctionnaires soupçonnaient déjà l’IVW d’être la source potentielle de la contagion.

Plus tard dans la nuit, entre 2 et 3 heures du matin, les autorités chinoises ont supprimé les bases de données virales en ligne de l’IVW, y compris quelque vingt-deux mille échantillons de pathogènes non publiés et des séquences génomiques collectées sur vingt ans, en partie grâce au financement des NIH.

Selon des sources de renseignement américaines, les requêtes de recherche de termes liés à la maladie et les discussions sur les symptômes caractéristiques du COVID-19 ont explosé dans le trafic Internet émanant de Wuhan; l’augmentation de ces deux signaux a précédé de quatre mois le début officiel de la pandémie de COVID-19 en Chine, au mois de décembre.

Le 9 mai 2020, NBC News a rapporté qu’une analyse des données de géolocalisation des téléphones portables par les services de renseignement américains avait révélé qu’un « événement dangereux » avait entraîné la fermeture de l’IVW du 7 au 24 octobre.

L’assistant de recherche de Shi Zhengli, Ben Hu, et leurs collègues scientifiques de Wuhan ont été hospitalisés avec des symptômes du COVID à Wuhan en novembre 2019. Ces trois personnes sont probablement le véritable « patient zéro ».

Le Sunday Times de Londres a récemment publié un article de recherche approfondi le 10 juin 2023, corroborant cette série d’événements, en particulier la mystérieuse maladie respiratoire qui a hospitalisé trois « biologistes qualifiés dans la trentaine et la quarantaine » de l’Institut de Wuhan en novembre 2019.

Les enquêteurs du département d’État américain qui ont été à l’origine de l’article se sont montrés « très confiants »😂.

Certains de ces paragraphes ne sont pas dans l’ordre pour des raisons de clarté et de concision.

Ok. Avez-vous mal à la tête après avoir lu ceci? Moi, oui.

Pour résumer: Le 12 septembre 2019, heure de Pékin (11 septembre, HNE), la Chine apprend qu’un nouveau virus est en circulation, deux mois avant qu’un patient zéro ne soit découvert ou, plus précisément, près de quatre mois avant qu’elle ne confirme qu’il s’agit bien d’un nouveau virus, et le département d’État américain conclut avec une certitude inébranlable que ces travailleurs de l’IVW étaient le patient zéro.

Cela vous semble-t-il cohérent avec une dissémination accidentelle par le laboratoire?

Une explication plausible, si elle est seulement vraie, est que les services de renseignements militaires chinois ont découvert qu’il existait un complot bioterroriste étranger visant à diffuser délibérément un virus à Wuhan à partir de l’IVW. Pour ceux qui l’ignorent, la Chine soupçonnait fortement le SARS d’être une arme biologique américaine libérée en Chine et conçue pour cibler les Asiatiques et les Chinois.

Parmi les affirmations les plus étranges des scientifiques militaires figure leur théorie selon laquelle le SARS-CoV-1, le virus à l’origine de l’épidémie de SARS de 2003, était une arme biologique fabriquée par l’homme, délibérément lâchée sur la Chine par des « terroristes ».

L’article de 263 pages a été publié en 2015 par la Chinese Military Medical Science Press, une maison d’édition appartenant au gouvernement chinois et gérée par le Département général de la logistique de l’Armée Populaire de Libération (APL).

L’ancien secrétaire d’État Mike Pompeo et son principal conseiller pour la Chine, Miles Yu, y ont fait référence en passant dans leur article d’opinion du Wall Street Journal de février sur les laboratoires chinois, en écrivant: Une étude de l’APL de 2015 a traité l’épidémie de coronavirus du SARS de 2003 comme « arme génétique contemporaine » lancée par des forces étrangères.

https://archive.ph/2021.06.01-233329/https://amp.theaustralian.com.au/nation/politics/chinese-military-scientists-discussed-weaponising-sars-coronaviruses/news-story/850ae2d2e2681549cb9d21162c52d4c0

Si vous pensez que c’est ridicule, dans son document d’orientation de 2000 intitulé Rebuilding America’s Defenses (Reconstruire les défenses de l’Amérique), le groupe de réflexion Project for the New American Century (PNAC – Projet pour le nouveau siècle américain) a décrit les armes biologiques ethniques comme un « outil politiquement utile » que les États-Unis pourraient être incités à développer et à utiliser.

N’oubliez pas non plus que RFK Jr a fourni le lien vers un document montrant que le virus original de Wuhan semblait ne pas affecter autant certains groupes (dont l’un est chinois).

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32664879/

Ce n’est certainement pas le cas d’Omicron, qui est en fait un Sars-Cov-3 et qui a peut-être été conçu séparément pour remédier à ce problème.

Bien entendu, le SARS s’est éteint. Pourquoi? Il était instable et a muté jusqu’à devenir insignifiant. En outre, il ne se transmettait pas très bien tant que le patient n’était pas très malade, de sorte qu’il y a eu très peu de transmission en dehors des hôpitaux.

Leçon apprise.

Il convient de souligner qu’un an avant le SARS, un brevet a été obtenu par le « parrain » du coronavirus, Ralph Baric. Ralph Baric est professeur de microbiologie et d’immunologie à la Gillings School of Global Public Health de l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill.

Le brevet relatif au procédé de fabrication du vaccin est utilisé pour les porcs, mais il peut également s’appliquer aux vaccins humains fabriqués à partir des mêmes procédés.

Ralph Baric – 2001.

ASSEMBLAGE DIRECTIONNEL DE GRANDS GÉNOMES ET CHROMOSOMES VIRAUX

Le brevet relatif à ce procédé a été déposé le 19 avril 2002 (brevet n° 7279327).

Plusieurs mois après le dépôt de ce brevet, l’épidémie de SARS s’est déclarée en Asie.

« Ce brevet, délivré sous le nom de brevet américain 7279327 … expose clairement, par un séquençage génétique très spécifique, le fait que nous savions que le récepteur ACE, le domaine de liaison ACE2, la protéine de pointe S-1 et d’autres éléments de ce que nous connaissons aujourd’hui comme ce fléau pathogène, n’étaient pas seulement conçus, mais pouvaient être modifiés synthétiquement en laboratoire en utilisant rien de plus que les technologies de séquençage génétique.

Prendre un code informatique et le transformer en pathogène, ou un intermédiaire du pathogène, et cette technologie a été financée exclusivement, dans les premiers temps, comme un moyen d’exploiter le coronavirus comme vecteur pour distribuer le vaccin contre le VIH ».

2002 – AVANT l’apparition du premier SARS-CoV, Ralph Baric publiait un travail révolutionnaire qui marquait une étape importante dans l’étude des divers mécanismes des virus naturels et dans la recherche sur le gain de fonction.

Dans son article, le groupe Baric décrit la création d’un clone synthétique d’un coronavirus murin naturel.

En fait, les auteurs ont « traduit » le virus ARN dans le langage de l’ADN (à l’aide de la transcriptase inverse), ce qui leur a permis de manipuler son génome à l’aide des outils de génie génétique existants.

Après avoir créé sept segments de provirus à ADNc, les auteurs les ont assemblés « sans discontinuité », puis ont retranscrit leur construction en ARN, qui s’est ensuite transformé en particules virales dans d’autres cellules.

https://journals.asm.org/doi/epub/10.1128/JVI.76.21.11065-11078.2002

2003 – Après l’apparition de la première épidémie de SARS-CoV, le groupe Baric s’est mis à l’œuvre. Dès l’été, ils ont soumis un article sur la recréation synthétique du SARS-CoV:

À l’aide d’un panel d’ADNc contigus couvrant l’ensemble du génome, nous avons assemblé un ADNc complet de la souche SARS-CoV Urbani et avons sauvé des virus SARS clonés moléculairement qui contenaient les mutations marqueurs attendues, insérées dans les clones constitutifs.

Les virus recombinants se sont répliqués aussi efficacement que le virus de type sauvage et ont tous deux été inhibés par un traitement à l’inhibiteur de la cystéine protéinase…

La disponibilité d’un ADNc complet du SARS-CoV fournit un modèle pour la manipulation du génome viral, ce qui permet de développer et de tester rapidement et rationnellement des candidats vaccins et thérapeutiques contre cet important agent pathogène humain.

Aujourd’hui, un laboratoire qualifié peut répéter ces étapes en l’espace de quelques semaines.

Ce travail a été soutenu par les subventions AI23946, GM63228 (à R.S.B.) et AI26603 (à M.R.D.) des National Institutes of Health. La recherche a été soutenue par le Carolina Vaccine Institute de l’Université de Caroline du Nord, Chapel Hill.

https://www.pnas.org/content/100/22/12995

Revenons au Sars-Cov-2.

Qui pourrait être à l’origine de ce complot visant à libérer un virus synthétique à Wuhan, et comment cela est-il réalisable exactement?

Disons par exemple que la CIA ait recruté quelqu’un à l’IVW pour le libérer (un virus conçu aux États-Unis mais testé sur des souris/chauves-souris à l’IVW) en sachant qu’il s’agissait d’un virus faiblement pathogène qui n’affecterait de toute façon que les personnes âgées en fin de vie, et en lui disant qu’il serait utilisé à des fins politiques d’ingénierie sociale et qu’elle serait bien payée. Je suis sceptique sur ce point, mais c’est possible. Après tout, nous avions une personne à l’intérieur de l’IVW en novembre 2019 (Dani Anderson) qui était associée à la proposition DEFUSE et travaillait avec Eco Health Alliance .

Dani, une immunologiste des chauves-souris de classe mondiale payée par le NIAID, était à l’intérieur du BSL4 de Wuhan.

https://www.bloomberg.com/news/features/2021-06-27/did-covid-come-from-a-lab-scientist-at-wuhan-institute-speaks-out

Il est également possible que le virus modifié ait été envoyé à l’IVW pour y être testé et expérimenté par Ralph Baric ou Eco Health Alliance, et qu’on leur ait dit ou laissé entendre qu’il ne pouvait pas infecter les cellules humaines, de sorte qu’il a été envoyé dans leur laboratoire BSL-2 pour les travaux de laboratoire. C’est dans ce laboratoire que Shi Zheng Li a effectué la plupart de ses travaux sur les virus de type Sars, vu qu’ils n’infectent pas facilement l’homme et ne se transmettent pas facilement. Un virus comme le Sars-CoV-2 est très certainement susceptible de s’échapper d’un laboratoire de niveau de sécurité 2 par le biais d’une infection du personnel de laboratoire

Ma théorie est que les plus hautes sphères du PCC ont approuvé ce plan pour les mêmes raisons que les dirigeants des puissances occidentales, mais que les services de renseignement militaires chinois en ont eu vent et, faisant fi de l’approbation de leurs patrons, ont procédé à une enquête en conséquence. Comme je l’ai dit, ce n’est qu’une théorie.

Le fait qu’ils n’aient pas mis aux arrêts tout le personnel de l’IVW laisse penser qu’ils étaient convaincus qu’il s’agissait d’une attaque étrangère et, persuadés que la base de données de virus était utilisée par des scientifiques étrangers qui se servaient des séquences de virus contenues dans la base de données pour fabriquer des armes biologiques, ils ont judicieusement ordonné la fermeture de la base de données.

Qui sait? Cela semble plus plausible qu’une dissémination accidentelle d’un laboratoire. Quoi qu’il en soit, cela vaut la peine d’y réfléchir. Imaginez ce qui devrait se passer pour qu’il s’agisse d’une dissémination accidentelle d’un laboratoire.

Scénario 1 – Alors que les mondialistes anticipent avec impatience une pandémie de coronavirus, l’IVW découvre, après 15 ans, un virus similaire à 99% au Sars-Cov-2 chez des chauves-souris et y insère un SCF (site de clivage de la furine), dans un nouveau laboratoire de niveau de sécurité 4 (BSL-4) mis en service 18 mois plus tôt, qui, parfaitement adapté à l’homme, s’échappe ensuite de ce laboratoire au moment où Dani Anderson, employée d’Eco-Health Alliance Partner (Lin-Fa Wang), s’y trouve comme par hasard.

Avant de poursuivre, voici une brève présentation de Linfa Wang et Dani Anderson et de leurs affiliations.

En 2012, Danielle Anderson et Linfa Wang ont été recrutés dans le réseau de biodéfense du NIAID par l’intermédiaire de l’université de Duke. Ils ont tous deux déménagé à Duke-Singapour où un laboratoire animal BSL3 a été construit.

Danielle Anderson a travaillé sous la direction de Linfa Wang, professeur et directeur du programme des maladies infectieuses émergentes à l’école de médecine Duke-NUS, à Singapour.

Linfa est un citoyen australien né à Shanghai qui a obtenu un doctorat en biochimie (biologie moléculaire) à l’université de Californie à Davis en 1986.

Duke est un partenaire clé du programme P3 (Pandemic Prevention Platform) de la DARPA. La première étape du programme Duke/DARPA consiste à découvrir des virus potentiellement dangereux et à « développer des méthodes pour favoriser la propagation virale, afin que le virus puisse être utilisé pour des études en aval ».

Duke est située en Caroline du Nord, à seulement 10 miles de l’UNC de Ralph Baric.

L’université Duke est partenaire de l’université chinoise de Wuhan, ce qui a donné lieu à l’ouverture de l’université Duke Kunshan (DKU), basée en Chine.

Duke-NUS de Singapour figure sur la liste des sous-traitants du CREID du département d’État et travaille en étroite collaboration avec Eco Health Alliance, le NIAID, le Naval Medical Research Center-Asia et l’IVW.

Linfa Wang a démissionné le 10 janvier 2020 (avec effet en août), le jour même où la Chine a publié les séquences de Sars-Cov-2 et s’est attelé à la mise au point d’un test d’anticorps pour le COVID.

https://www.telegraph.co.uk/global-health/science-and-disease/pioneering-antibody-test-could-pave-way-mass-travel/

Plus d’informations ici.

Retour aux Scénarios Improbables.

Scénario 2: les mondialistes anticipent avec impatience une pandémie de coronavirus

a) L’IVW découvre sans le savoir le Sars-Cov-2 à partir d’un échantillon de chauve-souris, qui se trouve être le premier sarbecovirus de ce type avec un SCF qui n’infecte pas les chauves-souris (alors pourquoi se trouve-t-il dans un échantillon de chauve-souris) et qui est accidentellement libéré, presque parfaitement adapté à des hôtes humains.

b) L’IVW découvre le Sars-Cov-2 mais, contrairement au RaTG13, ne l’ignore pas malgré qu’il ne soit pas assez proche du virus du SARS. Ils le font ensuite passer en série sur des souris aux poumons humanisés pour qu’il s’adapte aux poumons humains, bien que l’institut de recherche médicale de l’armée chinoise n’ait obtenu de telles souris humanisées qu’à l’été 2019, où il aurait fallu les envoyer d’urgence à Wuhan. Et puis, bien sûr, l’IVW libère accidentellement le virus.

En avril 2020, sept mois après que le COVID-19 a commencé à circuler, vingt-trois scientifiques chinois – dont sept de l’Académie des Sciences Médicales Militaires, l’institut de recherche médicale de l’armée chinoise – se sont vantés d’avoir utilisé la technologie CRISPR d’édition de gènes pour concevoir des souris aux poumons humanisés afin de faciliter le développement de souches de coronavirus susceptibles d’infecter les humains.

En juin 2021, Vanity Fair a rapporté que les enquêteurs du Conseil de la Sécurité Nationale (NSC) des États-Unis ont déterminé qu' »il est devenu clair que les souris avaient été modifiées au cours de l’été 2019, avant même le début de la pandémie ».

On pourrait dire que Ralph Baric a peut-être envoyé des souris humanisées à l’IVW. Peut-être devrions-nous le lui demander? Pourquoi le Congrès ne l’a-t-il pas interrogé?

L’IVW dispose de souris transgéniques ACE2 humaines, mais cela n’est pas aussi efficace si l’on souhaite adapter le virus pour qu’il infecte plus efficacement les êtres humains.

Des scientifiques américains avaient mis au point des souris humanisées en 2002. Des scientifiques financés par les NIH, comme Ralph Baric, utilisaient des souris humanisées pour tester l’infectiosité humaine de leurs agents pathogènes améliorés depuis près de vingt ans!

Mais attendez, ça devient encore plus intéressant.

En janvier 2020, alors que les scientifiques se préparaient à étudier la nouvelle maladie dangereuse [la séquence n’a été obtenue que le 10 janvier], tous les regards étaient tournés vers l’ACE2, une protéine qui se trouve à la surface de nombreux types de cellules du corps humain, notamment les cellules du cœur, de l’intestin, des poumons et de la cavité nasale. Le SARS-CoV-2, le coronavirus responsable du COVID-19, s’accroche au récepteur ACE2 et l’utilise pour pénétrer dans les cellules et commencer à se développer, ce qui entraîne une infection.

Les chercheurs ont cependant découvert que le SARS-CoV-2 ne peut pas s’accrocher à la version murine du récepteur ACE2. Pendant un certain temps, cette différence a rendu les études sur les souris pratiquement inutiles dans la lutte contre la pandémie.

Les choses ont changé grâce à l’équipe du laboratoire Baric, qui a déjà produit des modèles de souris pour d’autres coronavirus comme le SARS-CoV et le MERS-CoV.

En modifiant deux positions d’acides aminés dans le génome viral, ils ont généré un virus adapté à la souris, capable d’infecter des souris de laboratoire standard avec le COVID-19.

31 août 2020

Des chercheurs, dont plusieurs virologues et microbiologistes de la Gillings School of Global Public Health de l’UNC, décrivent le modèle SARS-CoV-2 adapté à la souris dans un article publié le 27 août dans la revue Nature, qui a fait l’objet d’une procédure de publication accélérée.

C’est du travail rapide Ralph, tu as développé un modèle de souris SARS-Cov-2, sans doute en fabriquant le SARS-Cov-2 en laboratoire par génétique inverse à partir de la séquence fournie par la Chine (qui n’envoyait pas d’échantillons), en constatant qu’il n’infectait pas les souris de laboratoire standard, puis en déterminant les acides aminés à modifier pour qu’ils le fassent, en le testant et en rédigeant l’article, en le soumettant et en le faisant publier en moins de 8 mois. D’aucuns pourraient penser que vous auriez déjà pu le faire en 2019.

Revenons-en au livre. Comme mentionné, il commence par nous parler de l’influence nazie sur notre programme d’armes biologiques et de la façon dont les militaires, la CIA, les universitaires (scientifiques) et les laboratoires pharmaceutiques travaillent ensemble et sont si moralement corrompus qu’ils ont expérimenté sur des civils et des soldats américains pendant plus de 20 ans avant que l’affaire ne soit divulguée et qu’on y mette un terme.

Vous pensez que ces psychopathes ont simplement disparu?

Le livre ignore largement des choses comme le DOMANE de Malone (2019), les laboratoires Rocky Mountain, Dani Anderson, l’accord de transfert de matériel Moderna/Baric (2019), le réseau CREID (2020), le transfert du stock de vaccins du CDC à la BARDA (dirigée par Rick Bright) (2019), ou l’estimation du coût de la pandémie par les conseillers économiques de la Maison Blanche (jusqu’à 4 trillions de dollars), l’expulsion du personnel du CDC de Chine (2019).

Je traite de tout cela ici.

OPERATION COVID

Il mentionne Linfa, mais affirme qu’il s’agit d’un ressortissant chinois et la plupart des lecteurs supposeront qu’il s’agit simplement d’un scientifique de l’IVW travaillant pour Shi Zhengli.

Le Dr Fauci décrit Shi et ses complices, Ben Hu et Lin-Fa Wang, comme des « scientifiques chinois très respectables ».

Les courriels montrent que Daszak et Ralph Baric ont entrepris d’étouffer l’affaire avec l’aide de Lin-Fa Wang, collègue de Shi Zhengli, ressortissant de la RPC et président du conseil scientifique du Centre des Maladies Infectieuses Emergentes de l’Institut de Virologie de Wuhan.

Sérieusement Robert, c’est quoi ce délire?

Il mentionne brièvement la fermeture de Fort Detrick en juillet 2019 pour plusieurs mois en raison de problèmes de sécurité, mais ne mentionne pas les épidémies de pneumonie dans les maisons de retraite de Virginie au même moment.

Il mentionne également les Jeux militaires de Wuhan, mais n’explique pas l’absence de rapports sur les tests sérologiques effectués sur le personnel militaire envoyé à Wuhan une fois que l’épidémie a été connue.

Il mentionne le Crimson Contagion Exercise en 2019, mais pas SPARS, Clade X et MARS, qui ont tous eu lieu entre 2017 et 2019, après la prédiction de Fauci. Et pourtant, il se fait que nous ne disposions toujours pas de stocks de masques et d’EPI [équipement de protection individuel]. Tous ces préparatifs ont eu lieu entre 2017 et 2019.

Il mentionne que la plupart des exercices appelaient à un contrôle plus strict de l’information, mais il ne mentionne pas que le Complexe Industriel de Contrôle de la Censure était en cours de construction avec CISA-2018, GEC-2017 des départements d’État, Newsguard-2018. Et en 2015, Poynter reçoit 382 997 dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates pour influencer la couverture médiatique des initiatives mondiales en matière de santé. En 2017, l’Institut Poynter reçoit 1,3 million de dollars du réseau Omidyar et de l’Open Society Foundations pour soutenir le fact-checking.

Il mentionne également l’implication de l’armée dans la technologie de l’ARNm et le sommet sur la santé de 2019 de l’Institut Milkin, qui a débattu de l’accélération de l’approbation des vaccins (Anthony Fauci de l’Institut National des Allergies et des Maladies Infectieuses (NIAID) de l’Institut National de la Santé et Rick Bright de BARDA, qui a précédemment travaillé pour PATH, financé par Gates, y ont participé).

Il mentionne également l’achat par la Fondation Bill & Melinda Gates de 3 millions d’actions de BNT en septembre 2019 avant de les revendre à leur apogée pour un retour sur investissement de 900% (sans impôt).

Encore une coïncidence.

Il ne mentionne pas la décision prise par la Maison Blanche en janvier, avant l’arrivée du COVID aux États-Unis, de tenir toutes les réunions du Département de la Santé et des Affaires sociales (HHS) sur la préparation du COVID dans un cadre classifié. Une décision étrange [NdT. comparable au « Conseil de Défense » français].

Il mentionne en revanche que le PanCAP du Conseil de Sécurité National a été mis à jour en 2018, puis modifié et approuvé par le Conseil de Sécurité National le 13 mars 2020 et que le PanCAP a défini la politique du gouvernement fédéral en matière de COVID. La principale raison pour laquelle il a agi de la sorte semble être qu’il voulait faire disparaître le nom d’Avril Haines:

Le groupe de travail était initialement dirigé par le Secrétaire à la Santé et aux Services sociaux et coordonné par le [Conseil de Sécurité Nationale] NSC ». La directrice du Renseignement national, Avril Haines, est actuellement la conseillère officielle du NSC en matière de renseignement.

Ce qu’il omet de préciser, c’est que le PanCAP modifié prévoyait des « confinements » et que ceux-ci ont été annoncés trois jours plus tard. Il ne mentionne pas non plus que la FEMA (qui dépend du Ministère de la Sécurité intérieure) a pris le relais du Ministère de la Santé en avril et, enfin, qu’Avril Haines n’est devenue directrice du Renseignement national qu’en 2021.

Passons maintenant à DEFUSE. Il en parle assez longuement dans deux chapitres.

Le premier problème est qu’il ne mentionne pas que la proposition a été faite en réponse à l’appel d’offres du DARPA pour son programme PREEMPT (PREventing EMerging Pathogenic Threats Program). Au lieu de cela, il dit:

Daszak a mis au point un projet ambitieux visant à militariser un arsenal de coronavirus, croyant apparemment que la proposition pourrait intéresser la DARPA ou les grands pontes du Pentagone.

Il cite ensuite Steven Quay.

En fait, depuis 1992, au moins quatorze publications ont décrit l’ajout d’un site de clivage de la furine à un virus qui n’en avait pas, y compris une étude de l’IVW. 14 fois sur 14, cela rend les virus plus méchants ».

Quay ne fournit aucune référence pour cette étude que l’IVW était censé réaliser. J’ai essayé en vain de la localiser en utilisant Google et le site corrompu Duck Duck Go.

Il ne mentionne nulle part que l’Université du Montana faisaient la même chose. En 2006, des chercheurs de l’Université du Montana ont inséré un site de clivage de la furine dans un coronavirus bovin (cerf) au même endroit que celui du Sars-Cov-2.

« Nous avons introduit un site de reconnaissance de la furine sur des résidus basiques uniques dans la région jonctionnelle S1-S2 putative. Nous montrons que le clivage de la furine à la position R667 modifiée génère des sous-unités S1 et S2 distinctes et potentialise l’activité de fusion membranaire.

Cet effet sur l’activité de fusion cellule-cellule par la glycoprotéine S n’est cependant pas reflété dans l’infectivité des lentivirus pseudotypés portant la glycoprotéine clivée. L’absence d’effet du clivage de la furine sur l’infectivité du virion reflète celle observée pour la glycoprotéine S normalement clivée du coronavirus murin « 

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16519916/

Le clivage de la furine n’a pas rendu le coronavirus bovin plus infectieux. Mais dans le cas de SARS-Cov-2, sa perte l’atténue.

https://www.nature.com/articles/s41586-021-03237-4

Il est intéressant de noter que l’université d’État du Montana se trouve à trois heures de route du laboratoire de Fauci dans les Rocky Mountains.

Quoi qu’il en soit, une lecture attentive de la proposition DEFUSE montre que c’est Baric qui devait être responsable des travaux sur le SCF, et non l’IVW.

Il décrit ensuite le refus de la DARPA.

La DARPA a néanmoins rejeté la demande de financement de Daszak, en invoquant le fait qu’EcoHealth n’avait pas pris en compte les questions éthiques, juridiques et sociales du projet.

La véritable raison est que la DARPA a accordé la subvention à une autre personne qui effectuait un travail similaire sur un virus différent, parce que cela coûtait 4 millions de dollars de moins. Je parlerai de cette personne plus tard, mais c’était un gars du Montana qui travaillait en dehors du laboratoire Rocky Mountain de Fauci, à l’université d’État du Montana.

Il poursuit en soulignant, à juste titre, que les travaux décrits dans la proposition auraient pu être menés à bien de toute façon.

Le Dr Jonathan Couey fait également remarquer que le fait que Fauci et les NIH aient rejeté la proposition de Daszak n’est pas pertinent. La proposition elle-même est la preuve que le travail avait peut-être déjà été effectué, car c’est ainsi que la recherche moderne est menée et financée.

Il pointe ensuite du doigt la Chine.

Enfin, il est tout à fait possible que la proposition ait abouti à la création finale du COVID-19 par les Chinois.

Il s’agit là d’une conclusion surprenante, car il avait déjà envisagé la possibilité que les travaux de Baric étaient en cours et peut-être même achevés. Daszak avait d’autres sources de financement privées possibles, telles que la Fondation Bill et Melinda Gates et le Wellcome Trust.

Mais si la Chine a créé le virus, pourquoi publierait-elle la séquence RaTG13 montrant sa grande similarité avec Sars-Cov-2? Cela semble assez stupide, comme un voleur qui aurait laissé ses empreintes digitales partout lors d’un cambriolage et qui aurait envoyé sa carte d’empreintes digitales à la police.

Mais il en donne la raison.

RaTG13 était encore suffisamment éloigné génétiquement du virus COVID-19 – de 3,8% – pour ne pas être le géniteur immédiat dudit virus. L’article de Shi prétend ainsi disculper le laboratoire de Wuhan en tant que point de départ de la pandémie.

C’est vrai, mais cela ne tient pas compte d’un point. La protéine de pointe de RaTG13 est identique à 98,4% à celle du Sars-Cov-2. L’essentiel de la différence réside dans les protéines non structurelles qui ne font pas partie du virus.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8033097/

Cela signifie que le Sars-Cov-2 avait une ossature différente, naturelle ou non, avec une protéine de pointe similaire à celle du RaTG13, plus le SCF qui a été inséré par génétique inverse.

Cela exclut qu’il s’agisse d’un virus naturel, car quelles sont les chances qu’un nouveau virus apparaisse 7 ans après le premier échantillonnage de RaTG13, avec presque la même protéine de pointe et un SCF jamais vu auparavant dans les sarbecovirus, dont l’ossature est très différente? Les probabilités contraires sont astronomiques. 28 protéines subissent des mutations, dont certaines très importantes, mais la protéine de pointe est pratiquement inchangée, à l’exception d’une insertion improbable? C’est impossible!

Ce que Shi Zheng Li a fait, c’est exposer le fait que le virus a été fabriqué par l’homme et qu’il n’est pas d’origine naturelle. C’est pourquoi Fauci et Baric ont été pris de panique lorsqu’ils ont appris que l’article était sur le point d’être publié, et qu’ils ont dû immédiatement se mettre au travail pour renforcer la thèse des origines naturelles, ce qui a donné naissance à l’article frauduleux sur les origines proximales.

Il est parfaitement impossible que Shi Zheng Li ait publié cette séquence, ou qu’elle ait été autorisée à le faire par le général de l’APL qui a pris en charge l’IVW, si le virus provenait de son laboratoire. Cela prouve qu’il n’y a pas d’origine naturelle et jette la suspicion sur la seule personne capable de réaliser cette ingénierie complexe (créer des chimères n’est pas si complexe). Bien entendu, ils n’ont pas compris que les Américains pouvaient être assez naïfs pour croire qu’il était facile de créer un nouveau coronavirus.

On peut donc se demander d’où vient ce coronavirus. Son ossature représente près de 90% du virus, et aucun virus de ce type n’existait dans aucune base de données. Bien sûr, on pourrait faire valoir qu’un tel virus existait, mais qu’il était caché ou qu’il se trouvait dans une base de données supprimée. Le virus constituant son ossature n’aurait rien été sans la protéine de pointe de type RatG13, alors pourquoi avoir choisi ce virus et comment savaient-ils que la protéine de pointe RaTG13 associée à un SCF fonctionnerait avec ce virus? Ce n’est pas possible, pas sans de nombreux essais et erreurs avec d’autres virus.

Il est plus probable que Sars-Cov-2 soit un virus consensuel composé de parties de virus étroitement apparentés et conçu par un Génie des Coronavirus. Le livre mentionne même cette technique.

En 2008, Baric a téléchargé quatre séquences incomplètes de coronavirus à partir d’un ensemble de données GenBank qui avait été téléchargé en 2005 par des scientifiques chinois. Baric a utilisé ses talents de magicien pour donner vie, dans son laboratoire, à une nouvelle séquence d’ARN générée par ordinateur.

À partir de cet ensemble de quatre séquences partielles, Baric a créé un coronavirus de chauve-souris synthétique « consensuel ». Il a remplacé une petite partie de la protéine de pointe par une section du virus du SARS de 2003 qui se lie aux récepteurs ACE2 humains, ce qui confère au nouveau virus une fonctionnalité spécifique de verrouillage et donne au clone synthétique de Baric la capacité d’infecter les tissus humains.

Dans cette série d’expériences, Baric a fait preuve d’une précision chirurgicale qui démontre sa maîtrise incontestée des méthodes de génétique inverse et de clonage infectieux mises au point par Vincent Racaniello et David Baltimore avec le poliovirus.

En fait, la proposition de projet DEFUSE, dont nous avons de bonnes raisons de penser qu’elle était en cours en 2018 lorsque son offre a été rejetée, prévoyait également l’élaboration d’une séquence consensuelle.

… [Le Sars-Cov-2 ] était: un vaccin vivant atténué hybride (VVA) pour chauve-souris. Cela explique pourquoi le SARS2 était si contagieux mais pas aussi mortel. Un vaccin animal (p. ex. SARS2) serait conçu pour sembler naturel à l’espèce locale (chauve-souris chinoise) en utilisant une séquence « consensuelle« , que Dani et Linfa ont tous deux référencée à l’UNC en 2019.

Cet article l’explique clairement. [NdT. article de Jim Haslam en cours de traduction]

Les propositions de la DARPA, qui ont fuité jusqu’au groupe d’analyse des origines des pandémies Drastic, montrent que l’équipe avait prévu de prendre des séquences de coronavirus naturels et de les utiliser pour créer une toute nouvelle séquence qui était une moyenne de toutes les souches.

La demande de subvention, soumise en 2018, stipule ce qui suit: « Nous compilerons les données de séquence/ARNseq d’un panel de souches étroitement apparentées et comparerons les génomes complets, en recherchant des PN (polymorphismes nucléotidiques) uniques représentant des erreurs de séquençage. »

« Les génomes candidats consensuels seront synthétisés commercialement à l’aide de techniques établies et d’ARN de longueur génomique et d’électroporation pour récupérer les virus recombinants. »

Un collaborateur de l’OMS, qui a demandé à ne pas être nommé par crainte de représailles, a expliqué la proposition:

« Cela signifie qu’ils prendraient diverses séquences de coronavirus similaires et créeraient une nouvelle séquence qui serait essentiellement la moyenne de ces séquences. Il s’agirait d’une nouvelle séquence virale, qui ne correspondrait pas à 100 % à quoi que ce soit. »

Ils auraient ensuite synthétisé le génome viral à partir de la séquence informatique, créant ainsi un génome viral qui n’existe pas dans la nature mais qui semble naturel puisqu’il s’agit de la moyenne de virus naturels.

« Ils placent ensuite cet ARN dans une cellule et en extraient le virus. Cela crée un virus qui n’a jamais existé dans la nature, avec une nouvelle ‘ossature’ qui n’existe pas dans la nature mais qui est très, très similaire puisqu’il s’agit de la moyenne des ossatures naturelles ».

La source a indiqué qu’il était intéressant de noter que le seuil pour générer une telle séquence moyenne était constitué par des virus dont la divergence génétique entre eux n’était que de 5%.

L’année dernière, des scientifiques de l’Institut de Virologie de Wuhan ont déclaré avoir trouvé une souche nommée RaTG13 dans des excréments de chauve-souris dans une grotte de la province du Yunnan en 2013, qui correspondait à 96,1% au Sars-CoV-2. Cela signifie que RaTG13 aurait pu être inclus dans un ensemble de génomes viraux pour aider à créer une séquence moyenne.

Bien que la demande de subvention ait été rejetée en 2018, la base de données de Wuhan sur les souches virales a été mise hors ligne avant l’épidémie de Covid, quelque 18 mois plus tard, ce qui signifie qu’il est impossible de vérifier sur quels virus l’équipe travaillait ou avait créés. Les scientifiques de Wuhan ont toujours nié avoir créé le Sars-CoV-2 en laboratoire.

La source de l’OMS ajoute: « Si le Sars-CoV-2 provient d’une séquence consensuelle artificielle composée de génomes ayant plus de 95% de similitude entre eux, je prédis que nous ne trouverons jamais dans la nature de très bonne correspondance et que nous n’aurons qu’un tas de correspondances étroites sur certaines parties de la séquence, ce qui est jusqu’à présent ce que nous observons. »

Les experts ont déclaré que si l’objectif ultime de la proposition était de créer un vaccin pan-coronavirus, la construction d’un virus moyen « idéal » aurait été un bon point de départ.

http://web.archive.org/web/20211006101612/https://www.telegraph.co.uk/world-news/2021/10/05/wuhan-us-scientists-planned-create-new-coronaviruses-funding/

Ils ont donc créé un pan-coronavirus à partir de séquences consensuelles. Mais il n’y avait pas assez de séquences publiées suffisamment proches du Sars-Cov-2 pour le faire, de sorte que l’ingénierie par consensus n’était pas envisageable. De plus, comment auraient-ils pu savoir qu’ils voulaient obtenir quelque chose comme le Sars-Cov-2, à moins d’être un génie comme Ralph Baric, le Parrain des Coronavirus?

À l’heure actuelle, aucune donnée solide et exploitable ne permet d’affirmer que le virus a été conçu et qu’il a échappé au confinement. La pathogenèse du SARS-CoV-2 étant si complexe, l’idée que quelqu’un puisse le fabriquer est presque ridicule.

Quand on pense à la diversité des souches liées au SARS qui existent dans la nature, il n’est pas difficile d’imaginer une souche qui présenterait les caractéristiques biologiques complexes et imprévisibles du SARS-CoV-2.

En tant que scientifiques, nous avons tendance à faire des expériences, à lire la littérature et à penser que nous comprenons le fonctionnement de la nature. Nous faisons des déclarations définitives sur la manière dont les coronavirus sont censés émerger des réservoirs animaux, sur la base d’un ou deux exemples. Mais la nature a de nombreux secrets et notre compréhension est limitée. Ou, comme on dit dans Game of Thrones, « Tu ne sais rien, Jon Snow ».

https://www.technologyreview.com/2021/07/26/1030043/gain-of-function-research-coronavirus-ralph-baric-vaccines

Bien sûr, Ralph sait probablement qu’il est le seul à pouvoir créer un tel virus, c’est probablement pourquoi il parle de « presque ridicule » et qu’il n’exclut pas la possibilité d’une dissémination accidentelle en laboratoire.

Mais chose étrange: lorsque Ralph fait une présentation au Congrès en février 2020 pour décrire le Sars-Cov-2, il ne mentionne pas le SCF. Une omission intéressante.

Une hypothèse est que Ralph avait connaissance de séquences non publiées qui pouvaient être utilisées pour construire le Sars-Cov-2 avec une séquence consensusuelle. Il a ensuite inséré un SCF, comme le demandait DEFUSE.

L’insertion du SCF est nécessaire parce que les chauves-souris disposent également de furine et d’ACE2, mais pour des raisons inconnues, les virus ne se répliquent pas toujours très rapidement en raison du système immunitaire unique des chauves-souris.

Il aurait ensuite envoyé un certain nombre de ces virus candidats à Wuhan pour les tester sur des chauves-souris et des souris afin de les sélectionner et de poursuivre le projet. N’oubliez pas qu’il s’agit principalement d’essais et d’erreurs, et qu’ils utilisent l’IVW pour ces tests parce qu’ils sont moins chers et qu’ils ont des chauves-souris (dont le CDC n’autoriserait pas l’importation).

L’IVW aurait probablement rapporté que l’un de ces candidats avait anéanti leurs souris transgéniques à ACE2 humain et n’avait pas très bien infecté les chauves-souris, ce qui le rendait inutile pour un vaccin vivant pour chauves-souris, mais parfait pour un vaccin humain autodiffusant.

Ce qui s’est passé ensuite est du ressort de n’importe qui (faites appel à votre imagination). De jeunes travailleurs de laboratoire dans un BSL-2 pourraient facilement être infectés de manière asymptomatique et libérer le virus dans la communauté.

Made in USA, donc, mais un accident.

Sauf bien entendu si Ralph savait que le virus envoyé pouvait infecter et se transmettre chez l’homme et que, sachant que l’IVW effectuait ce travail dans un BSL-2, il se serait probablement échappé du laboratoire.

Revenons aux virus qui auraient pu être utilisés pour la séquence de consensus. Tout d’abord, il y a eu RaTG13. Il a été collecté en 2013, partiellement séquencé en 2016, et entièrement séquencé et nommé en 2018. ll n’était pas particulièrement proche du SARS et n’était donc pas considéré comme très intéressant jusqu’à ce que le Sars-Cov-2 soit séquencé et qu’il soit trouvé similaire à 96,1%. C’est l’histoire que l’on nous raconte.

Il est possible que Baric ait disposé de la séquence avant sa publication en 2020, mais nous n’en sommes pas sûrs.

Ensuite, nous trouvons trois autres virus collectés en Chine en 2019-2020 par des scientifiques qui ne font pas partie de l’IVW.

Bien que RaTG13, prélevé sur une chauve-souris Rhinolophus affinis au Yunnan (Zhou et al., 2020b), présente la plus grande similarité génétique moyenne avec le SARS-CoV-2, des antécédents de recombinaison signifient que trois autres virus de chauve-souris – RmYN02, RpYN06 et PrC31 – sont plus proches dans la majeure partie du génome du virus (en particulier l’ORF1ab) et partagent donc un ancêtre commun plus récent avec le SARS-CoV-2 (Li et al., 2021; Lytras et al., 2021; Zhou et al., 2021).

Aucun de ces trois virus plus proches n’a été collecté par l’IVW et tous ont été séquencés après le début de la pandémie (Li et al., 2021; Zhou et al., 2020a, 2021).

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0092867421009910

RmYN02 a été collecté entre mai et juillet 2019 au Yunnan par le professeur Alice C. Hughes du Jardin botanique tropical de Xishuangbanna, et séquencé par Weifeng Shi de l’Université médicale de Shandong, sur la base d’une analyse de 302 échantillons de fèces prélevés sur 227 chauves-souris qui ont été collectés dans le comté de Mengla, dans la province du Yunnan, en Chine, publié le 8 juin 2020. Le co-auteur est le tristement célèbre Eddie Holmes, originaire d’Australie, un ami proche de Jeremy Farrar qui a dirigé le Proximal Origins Group.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7211627/

Puis nous avons eu les échantillons BANAL du Laos qui ont été publiés en 2021 avec Eddie « Sherlock » Holmes et Linfa « Batman » Wang, tous deux originaires d’Australie, qui ont déclaré que le dossier Origines Naturelles était clos. Ces échantillons auraient été prélevés dans une grotte de chauve-souris au Laos au plus fort de la pandémie, en septembre 2020.

…la découverte de trois coronavirus chez des chauves-souris vivant dans des grottes calcaires au Laos renforce considérablement les preuves existantes que le virus n’a pas été créé, déclare Holmes.

Les trois virus, présentés dans une préimpression sur Research Square le 17 septembre, sont les plus proches parents du SARS-CoV-2 découverts à ce jour, et ce sont les premiers découverts qui sont presque identiques dans cette région clé.

« La partie centrale et fonctionnelle du SARS-CoV-2 a une origine naturelle », déclare Linfa Wang, chercheur sur le coronavirus de la chauve-souris à l’école de médecine Duke-NUS de Singapour. « C’est prouvé. »

Sur le plan de l’évolution, plusieurs décennies séparent ces virus de chauve-souris – appelés BANAL, car les chercheurs les ont trouvés dans des écouvillons anaux de chauve-souris [NdT. de « bat » et « anal »] – du SARS-CoV-2, de sorte que les nouveaux virus n’ont pas pu être à l’origine de la pandémie.

Mais l’étude élargit encore l’arbre généalogique du SARS-CoV-2 et soulève de nouvelles questions sur la manière dont il est apparu. Et les virus BANAL pourraient bien constituer une menace pour l’homme lui-même, avertit Wang. « Ce virus pourrait être le SARS-CoV-3 », déclare-t-il.

Pour l’étude, une équipe de chercheurs de l’Université nationale du Laos, en collaboration avec des collègues de l’Institut Pasteur, qui a une antenne au Laos, a prélevé des échantillons sur 645 chauves-souris provenant de quatre sites différents.

Dans le terrain karstique du district de Feuang, ils ont trouvé des chauves-souris de trois espèces différentes du genre Rhinolophus qui étaient infectées par des virus dont la séquence génétique était identique à 96,8% à celle du SARS-CoV-2.

https://www.science.org/content/article/close-cousins-sars-cov-2-found-cave-laos-yield-new-clues-about-pandemic-s-origins

Selon Jim Haslam, le Centre de recherche médicale du gouvernement américain en Asie. (NMRC-A), en soutien au système mondial de surveillance et de réponse aux infections émergentes du Ministère de la Défense (DoD-GEIS), avait collecté des échantillons de chauves-souris dans la grotte de chauves-souris, exactement au même endroit, en 2017. Le NMRC-A est également basé à Singapour et a financé les recherches de Linfa sur les chauves-souris en 2019.

Ces séquences de coronavirus n’ont jamais été publiées.

Si les séquences de ces virus similaires au Sars-Cov-2 étaient connues avant les dates présumées de collecte/séquençage, une telle séquence consensuelle aurait pu être utilisée pour construire l’ossature du Sars-Cov-2, comme Ralph l’avait fait il y a 15 ans pour construire une ossature synthétique à partir de virus similaires au SARS.

RALPH BARIC

RFK Jr mentionne souvent Ralph et lui consacre un chapitre entier.

Ralph est connu pour être le Parrain des Coronavirus, sur lesquels il travaille depuis près de 40 ans. Son mentor à l’USC était le Père des Coronavirus, un Taïwanais qui est revenu à Taïwan juste au moment de l’arrivée du Sars en 2003.

Michael Lai (賴明詔), chercheur américain du Howard Hughes Medical Institute, est retourné à Taïwan pour diriger la lutte contre les coronavirus.

https://www.taipeitimes.com/News/taiwan/archives/2003/05/19/0000211168

Ralph les a conçus au cours des 20 dernières années, lorsque les outils sont devenus disponibles. Il a été l’un des pionniers de la génétique inverse et des techniques « no-seeum » [NdT. équivalent français de « ni vu ni connu », qui désigne une technologie permettant de reproduire des clones viraux sans les traces typiques des autres techniques de laboratoire – voir cette page sur ResearchGate qui mentionne un papier de Baric], et a été le premier à créer un nouveau coronavirus avec des séquences virales consensuelles.

C’est cet homme qui m’intéresse. Pas Daszak ou Shi, dont l’expertise porte sur les crevettes et les chauves-souris. Pourtant, aucun des enquêteurs du Congrès n’a demandé à Ralph Baric de témoigner.

Depuis 1986, les NIH et le NIAID ont accordé à Ralph Baric la somme astronomique de 230 millions de dollars, répartis en 200 subventions, dont un grand nombre pour ses expériences fondamentales sur le gain de fonction.

Il mentionne l’article de Baric de 2006 (publié en 2007), mais oublie cette partie.

Des armes biologiques synthétiques ou recombinantes seront-elles mises au point pour être utilisées comme armes biologiques? Si l’objectif principal est de tuer et d’inspirer la peur aux populations humaines, les agents pathogènes naturels constituent probablement une source plus fiable de matériel de départ (…).

Si la notoriété, la peur et l’orientation des politiques des gouvernements étrangers sont les principaux objectifs, la dissémination et la découverte ultérieure d’une arme biologique dérivée d’un virus synthétique bénéficieront d’une couverture médiatique considérable, inspireront la peur et la terreur aux populations humaines et exerceront de fortes pressions sur les responsables gouvernementaux pour qu’ils réagissent de la manière prévue.

Voici ce que RFK Jr a dit à propos de ce document:

En décembre 2007, le Dr Baric a publié un article extraordinairement franc qui expliquait l’objectif qu’il poursuivait en menant de telles expériences et qui ouvrait la voie à toutes les recherches futures sur le gain de fonction.

Dans une autre section du livre, où il est fait référence au même document, mais cette fois en tant que document datant de 2006,

Dans son document de 2006, Baric souligne que pour mériter le qualificatif d' »arme de destruction massive », une arme biologique doit être capable de « tuer, blesser ou neutraliser l’ennemi, susciter la peur et dévaster les économies nationales ».

Il est amusant de constater que RFK Jr n’a pas trouvé aussi fascinante que moi la partie où Ralph décrit un virus synthétique destiné à terroriser les populations plutôt qu’à les tuer.

Baric décrit les caractéristiques idéales d’une arme biologique efficace:

Traditionnellement, les préoccupations en matière de guerre biologique se sont concentrées sur un groupe relativement limité et sélectionné d’agents pathogènes naturels considérés comme présentant un ensemble de caractéristiques souhaitables:

1) hautement pathogènes, -[NON]

2) facilement disponibles, -[OUI]

3) faciles à produire, -[OUI]

4) pouvant être militarisés, -[OUI]

5) stables, -[OUI]

[Les éléments ci-dessous sont également – OUI]

6) infectieux à faible dose,

7) facilement transmissible,

[et]

8) inspirant la peur – [OUI]

Dans un article publié en 2018, Baric étudiait la façon de rendre le virus assez stable pour l’empêcher de muter jusqu’à disparaître, comme le SARS.

Article de 2018 de Baric:

« Évaluation d’un coronavirus résistant à la recombinaison en tant que plateforme vaccinale largement applicable et rapidement réalisable »

Un candidat vaccin vivant atténué doit démontrer une stabilité phénotypique dans les populations hôtes infectées. Par conséquent, pour tester sa résistance au retour à la virulence, CRG3 a été soumis à cinq passages en série indépendants, en parallèle avec le SARS-CoV sauvage, chez des souris BALB/c âgées de 14 mois

Collectivement, ces résultats ont démontré que cette région du génome du SARS-CoV est intrinsèquement instable lorsqu’elle est soumise à une pression de réplication, en particulier chez les animaux âgés, et ont indiqué qu’un virus aux TRN [NdT: Transcriptional Regulatory Networks ou réseaux de régulation transcriptionnelle] recombinés nécessiterait des mutations stabilisatrices supplémentaires pour pouvoir être utilisé comme candidat vaccinal.

Avec l’identification continue de pools zoonotiques de CoVs qui ressemblent génétiquement aux CoV létaux humains et animaux, souvent avec seulement quelques points de pourcentage de différence entre les séquences zoonotiques et les séquences humaines létales, la nécessité d’une plate-forme d’atténuation universelle et rapidement applicable pour la conception de vaccins vivants atténués contre les CoV est soulignée.

Dans ce rapport, nous avons décrit la conception et la mise en œuvre d’une stratégie d’atténuation du CoV qui peut être facilement et rapidement adaptée à n’importe quel génome de CoV. La présence de 8 à 9 TRS [NdT. Transcription Regulatory Sequence, ou séquence régulatrices de transcription] caractérisées dans tout génome de CoV, dont les CS [NdT. Core Sequences, qui sont l’origine minimum de réplication] sont de 6 à 7 nts [nucléotides] chacun, constitue une cible trop vaste et trop complexe pour que la réversion du site primaire soit un événement probable. Comme la plupart des événements de recombinaison unique découplent les réseaux d’expression des TRN, ces recombinants seraient létaux. Par conséquent, cette stratégie d’atténuation, lorsqu’elle est associée à des allèles capables de résister aux événements de sélection qui conduisent à la réversion du second site, pourrait mettre les vaccins vivants atténués contre le CoV à portée de la réalisation face à la menace toujours croissante de nouvelles épidémies humaines et animales basées sur le CoV.

Les chercheurs ont utilisé une nouvelle séquence (UGGUCGC), le leader de transcription TRS, pour tenter de réduire davantage la recombinaison dans les modèles animaux et d’en faire un vaccin vivant potentiel.

Selon Jim Haslam, cette

séquence leader TRS se trouve à partir du nucléotide 1465 dans le SARS-CoV-2 et pourrait aboutir, si elle était utilisée, à une nouvelle transcription de l’ARN viral qui supprime une partie de la protéine nsp2 de la polyprotéine de l’ORF 1ab.

Elle se trouve également au nucléotide 1446 dans le RaTG13, l’un des virus découverts dans la grotte du Yunnan en 2013, qui a été proposé comme précurseur du SARS-CoV-2. Cette séquence n’est présente dans cette zone chez aucun autre coronavirus. Cette nouvelle séquence TRS se trouve également à l’extrémité 3′ des transcriptions de l’ARN de la protéine de pointe virale du SARS-CoV.

On voit donc que le Sars-Cov-2 a été conçu comme un virus vivant atténué autodiffusant. Lorsqu’il est redevenu virulent (Delta), on y a remédié avec un autre vaccin (Omicron) qui a probablement été testé à Porto Rico en 2020, dont la présence y a été signalée par les auteurs japonais Tanaka et Miyazawa [NdT. voir mon article traduit ici].

https://zenodo.org/record/8216373

Le Sars-Cov-2 est synthétique et non naturel, et il n’est pas particulièrement pathogène (taux de létalité/infection 0,2%, probablement moins si le traitement est précoce avec IVM et HCQ, et des suppléments de vitamine D3/C).

L’objectif principal de la pandémie n’était pas de tuer, même si cela en faisait partie, en particulier les personnes âgées qui bénéficient de la sécurité sociale et de pensions de retraite, mais de nous terroriser.

Le Sars-Cov-2 n’a pas été conçu comme une arme de guerre biologique, c’était une arme de bio-terroristes destinée à effrayer les gens pour leur faire accepter une autre arme biologique par injection, à savoir les vaccins Covid-19 (ARNm/ADN).

LE RÉSEAU CREID

En mai 2020, Fauci, au lieu d’être licencié, a reçu un nouveau JOUET alors que beaucoup d’entre nous étaient confinés.

https://www.rti.org/impact/centers-for-research-in-emerging-infectious-diseases-creid-coordinating-center

CREID (prononciation irlandaise de Believe) [croire]

DEFUSE

En août 2020

Le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (« Institut national des allergies et des maladies infectieuses », NIAID), l’un des National Institutes of Health (Instituts nationaux de la santé), a annoncé aujourd’hui qu’il avait accordé 11 subventions d’une valeur totale d’environ 17 millions de dollars pour la première année, afin de créer les Centers for Research in Emerging Infectious Diseases (« Centres de recherche sur les maladies infectieuses émergentes ») (CREID).

Ce réseau mondial comprendra des recherches multidisciplinaires sur la manière dont les virus et autres agents pathogènes émergent de la faune et de la flore et se propagent pour provoquer des maladies chez l’homme, ainsi que sur le lieu de leur apparition. Le NIAID a l’intention de fournir environ 82 millions de dollars sur 5 ans pour soutenir le réseau.

https://www.niaid.nih.gov/news-events/niaid-establishes-centers-research-emerging-infectious-diseases

Vous pensez peut-être que la date mai 2020 implique que cela n’a rien à voir avec le Sars-Cov-2? Eh bien, regardez qui est derrière chacun de ces projets. Les mêmes personnes.

Apparemment, un collègue virologue, Robert Garry, affirme que le financement du CREID était déjà prévu depuis 2019, car il faut du temps pour régler officiellement tous les détails.

Fauci a déclaré que son projet CREID était « en cours d’élaboration des années avant l’élimination de USAID Predict (en 2019) et qu’il a été créé en réponse à l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest en 2014 et à l’épidémie de Zika en 2016″. Il a déclaré: « Oui, il est similaire à Predict, mais ce n’est pas l’annulation de Predict qui l’a inspiré. »

Le projet a été attribué au même groupe d’universités et de laboratoires qui collaboraient auparavant avec Wuhan: UC Davis, Duke, UNC, EcoHealth et UTMB Galveston.

Sans le Sars-Cov-2, le CREID aurait-il pu être approuvé? Ce virus autodiffusant est vraiment prodigieux, il reproduit même le financement des Scientifiques qui l’ont conçu.

Lorsque Daszak a soumis la proposition DEFUSE à la DARPA, qui avait sollicité des propositions dans le cadre du programme PREEMPT, celle-ci a été attribuée à un autre groupe de l’université d’État du Montana qui faisait la même chose, mais en Afrique, avec un autre virus de chauve-souris (Lassa) et pour un montant inférieur de 4 millions de dollars à celui de la proposition DEFUSE. Il est probable que l’étude était déjà en cours, car ceux qui accordent ces subventions aiment voir des données préliminaires.

Peut-on affirmer avec certitude que le CREID de Fauci a financé DEFUSE? Non. Il n’y a aucune preuve de financement direct et même s’il y en avait un, il pourrait être dissimulé.

En 2018, sous le FASAB, les dépenses secrètes de sécurité nationale ont été légalisées et la destination des financements rendue opaque.

« SFFAS 56 – ACTIVITÉS CLASSIFIÉES » permet aux agences gouvernementales de « modifier » les états financiers publics et de déplacer les dépenses d’un poste à l’autre et de s’abstenir de dire aux contribuables si et quand les états financiers publics ont été modifiés. « 

http://files.fasab.gov/pdffiles/sffas_56_nr.pdf

Cependant, ces acteurs reçoivent de multiples subventions et il ne serait pas difficile de gonfler les coûts d’un projet pour couvrir les coûts d’un Projet « Obscur ».

DEFUSE

Avant de poursuivre, j’aimerais ajouter un peu de contexte à la proposition de projet DEFUSE que la DARPA a rejetée, prétendument parce qu’il s’agissait de gain de fonction, mais aussi parce qu’elle « n’en avait pas les moyens« .

L’offre d’EHA [EcoHealth Alliance] à la DARPA a été sollicitée par le projet Preempt de la DARPA. Comme le rapporte Jim Haslam, EHA a perdu face à l’équipe de Vincent Munster. Munster était le responsable technique d’un « nouveau vaccin pour animaux » qui n’a coûté que 10 millions de dollars. Munster a travaillé au laboratoire BSL4 Rocky Mountain de Fauci dans le Montana sur des virus, y compris des Coronavirus.

L’équipe DARPA Defuse, qui a perdu, a ensuite « fusionné » avec l’équipe DARPA Preempt, qui a gagné, dans le cadre du réseau CREID de Fauci, doté d’un budget de 82 millions de dollars. Le budget du NIAID de Fauci est deux fois plus important que celui de la DARPA.

L’équipe de l’Université d’État du Montana (MSU), qui a utilisé la méthode de Munster, a coûté 25% moins cher, soit 10 millions de dollars contre 14 millions de dollars. L’approche technique de Munster ne nécessitait pas l’équipement de terrain coûteux de Daszak, ni de médicaments, ni de suivi pour le déploiement d’un vaccin animal dans des endroits éloignés.

Ce projet non classifié relevait du domaine public, mais il impliquait des informations propriétaires, avec un certain degré d' »ambiguïté » à la lecture des communiqués de presse. Ce vaccin était « destiné à protéger les militaires américains et les communautés locales où ils opèrent » en Afrique. Mais ce « nouveau vaccin » n’était pas destiné aux troupes américaines, il était destiné aux chauves-souris africaines.

Le travail de Munster était de « créer le premier prototype au monde d’un vaccin autodiffusant conçu pour induire un niveau élevé d’immunité collective (chez les animaux sauvages) ».

[Ils créaient] le premier prototype au monde d’un vaccin autodiffusant conçu pour induire un niveau élevé d’immunité collective (protection au niveau de la population sauvage) contre le virus de Lassa (LASV) et le virus Ebola.

Cela n’est pas sans rappeler le projet DEFUSE, mais avec un virus différent, prétendument, mais était-il si difficile de réorienter le projet vers un autre virus (Sars-Cov-2) et une autre cible (les humains)?

Il est intéressant de noter que le cerf à queue blanche d’Amérique du Nord (White Tail Deer, Wtd) est devenu le premier « réservoir sauvage » de SARS2 répertorié sur la planète. Je suis certain qu’il y a des cerfs à queue blanche dans le Montana.

En juillet 2021, le Ministère de l’Agriculture américain a indiqué sur son site web que son service d’inspection phytosanitaire avait récemment achevé une étude montrant que des anticorps contre le SARS-CoV-2 avaient été détectés dans 33% des 481 échantillons de sérum de cerfs de Virginie prélevés entre janvier 2020 et 2021 dans les États de l’Illinois, du Michigan, de New York et de Pennsylvanie, et que parmi eux, 67% des échantillons prélevés dans le Michigan contenaient des anticorps.

Il s’agit de la première détection d’anticorps contre le SARS-CoV-2 dans la faune sauvage, et la présence de ces anticorps confirme qu’un grand nombre de cerfs de Virginie aux États-Unis ont déjà été exposés au virus.

https://www.aphis.usda.gov/aphis/newsroom/stakeholder-info/stakeholder-messages/wildlife-damage-news/deer-sars

Tromperie

Une grande partie de la discussion technique relative à la collaboration Baric-IVW comportait des mots militarisés et des affirmations exagérées accompagnées de liens qui n’étayaient pas ce qui était dit. Je ne donnerai que quelques exemples, mais leur auteur était probablement un larbin de la CIA. D’après ce que j’ai compris, Baric était un véritable homme d’affaires, qui ne donnait rien gratuitement. Juste après que tout le monde ait fait dans son froc à cause du Sars-Cov-2, provoquant ainsi une pénurie de papier hygiénique, Ralph proposait à ses amis de TwiV [NdT. « This week in Virology », webinaires sur YouTube auxquels participe Baric, par exemple ici] de leur vendre du papier hygiénique de son stock personnel pour 10 dollars le rouleau. Je soupçonne qu’il disait ça sérieusement.

Quoi qu’il en soit, il était très soucieux de protéger ses droits de propriété intellectuelle. L’IVW se montrait un partenaire utile en fournissant des séquences de chauves-souris et des plasmides, et il ne fait aucun doute qu’il y a eu des échanges techniques à la hauteur de la valeur qu’il y attachait, mais cela n’est pas très public.

Plus inquiétant encore, Baric a enseigné sa méthode « no-see-um » au Dr Shi Zhengli et à son équipe pendant la période de collaboration intensive sur la recherche sur les coronavirus entre 2014 et 2016. L’article de Baric et Shi publié en 2015, « A SARS-like Cluster of Circulating Bat Coronaviruses Shows Potential for Human Emergence »(Un groupe de coronavirus de chauve-souris circulants semblable au SARS montre un potentiel d’émergence humaine), décrit leurs efforts fructueux pour développer des techniques de génie génétique permettant de dissimuler les signes révélateurs des manipulations de laboratoire dans les coronavirus chimériques.

Il n’y a aucune preuve de cela. Il a cosigné un article en 2015 avec Shi parce qu’elle a fourni des plasmides et des séquences, mais elle-même affirme que le travail a été effectué par les laboratoires de Baric. Cela ne veut pas dire qu’elle n’avait pas la capacité de le faire. Baric lui-même a déclaré qu’il lui avait caché les séquences afin qu’elle ne puisse pas reproduire son travail.

Lors d’une interview réalisée au cours de l’été 2021, Baric lui-même a avoué qu’au moment où la pandémie a commencé, seuls deux ou trois laboratoires dans le monde utilisaient son protocole, dont son laboratoire de l’UNC et l’IVW.

Dans la source fournie, il ne mentionne pas l’IVW. Il existe de nombreux protocoles de génétique inverse utilisés par de nombreux laboratoires et il a publié sa méthode en 2000/2002 et l’a décrite dans des brevets.

En 2017, grâce au financement du Dr Fauci, les scientifiques chinois de l’IVW ont maîtrisé la technique d’ingénierie furtive du professeur de l’UNC. Dans un article publié cette année-là, l’un des étudiants diplômés de Shi, Zeng Lei-Ping, chercheur au laboratoire de Wuhan, a annoncé que les scientifiques chinois avaient réussi à reproduire l’astuce de Baric pour dissimuler l’intervention humaine.

Zeng s’est vanté que les chercheurs de l’IVW avaient adapté des hybrides de coronavirus de chauve-souris pour infecter les poumons humains, puis appliqué le système « no-see-um » de Baric pour enterrer toutes les preuves de leur manipulation.

Selon la source, il s’agissait d’une thèse. Elle n’a donc pas été financée par Fauci. Cependant, le même auteur a publié en 2016 un article utilisant la génétique inverse. Dans cet article, il décrit une approche hybride.

Dans cette étude, nous avons développé une méthode rapide et rentable pour la génétique inverse des coronavirus en combinant deux approches développées par d’autres. Notre méthode permet de diviser les génomes des coronavirus en plusieurs fragments et de les insérer dans un plasmide BAC en une seule étape. Les virus recombinants peuvent ensuite être sauvés efficacement par transfection directe des constructions BAC. Comme les génomes peuvent être divisés en plusieurs fragments courts, des mutations peuvent être introduites facilement dans les fragments individuels.

Méthode 1

Almazan F, Gonzalez JM, Penzes Z, Izeta A, Calvo E, Plana-Duran J, Enjuanes L. 2000. Engineering the largest RNA virus genome as an infectious bacterial artificial chromosome (Ingénierie du plus grand génome de virus à ARN en tant que chromosome artificiel bactérien infectieux). Proc Natl Acad Sci U S A 97:5516-5521. doi: 10.1073/pnas.97.10.5516. [PMC free article] [PubMed] [CrossRef] [Google Scholar].

Méthode 2

Yount B, Curtis KM, Baric RS. 2000. Strategy for systematic assembly of large RNA and DNA genomes : transmissible gastroenteritis virus model (Stratégie d’assemblage systématique de grands génomes d’ARN et d’ADN : modèle du virus de la gastroentérite transmissible). J Virol 74:10600-10611. doi: 10.1128/JVI.74.22.10600-10611.2000. [PMC free article] [PubMed] [CrossRef] [Google Scholar].

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4936131/

Cet article a été partiellement financé par le NIAID.

Ce travail a été financé conjointement par la Fondation Nationale des Sciences Naturelles de Chine (81290341, 31321001, et 81401672) et les Instituts Nationaux de la Santé (NIAID R01AI110964).

Ensuite…

En 2020, les chercheurs militaires chinois, après avoir bénéficié d’années de recherche financée par le NIAID et l’USAID, mettaient au point des coronavirus pandémiques susceptibles de se propager rapidement dans les populations mondiales et n’en étaient pas le moins du monde gênés. Même lorsque la pandémie de COVID-19 battait son plein, les scientifiques chinois faisaient publiquement l’apologie de ces capacités croissantes.

Aucune preuve apportée.

En avril 2020, sept mois après que le COVID-19 a commencé à circuler, vingt-trois scientifiques chinois – dont sept de l’Académie des Sciences Médicales Militaires, l’institut de recherche médicale de l’armée chinoise – se sont vantés d’avoir utilisé la technologie CRISPR d’édition de gènes pour créer des souris aux poumons humanisés afin de faciliter le développement de souches de coronavirus susceptibles d’infecter les humains.

En juin 2021, Vanity Fair a rapporté que les enquêteurs du Conseil de Sécurité Nationale (NSC) des États-Unis ont déterminé qu' »il est devenu clair que les souris avaient été modifiées au cours de l’été 2019, avant même le début de la pandémie ».

Félicitations, ils ont simplement reproduit ce que Baric avait fait 18 ans plus tôt

Des scientifiques américains ont mis au point des souris humanisées en 2002. Les scientifiques financés par les NIH, comme Ralph Baric, utilisaient des souris humanisées pour tester l’infectiosité humaine de leurs agents pathogènes améliorés depuis près de vingt ans!

Ensuite…

Le NIAID a aidé les Chinois à lancer leur programme en formant des scientifiques et des techniciens chinois sur place et à Galveston.

Duke a également lancé une collaboration de recherche visant à transférer à la Chine la technologie de pointe des NIH en matière d’armes biologiques.

La source fournie ne dit rien de tel. L’objectif de la formation était de leur apprendre à travailler en toute sécurité dans un laboratoire BSL-4 afin d’éviter les fuites.

https://www.utmb.edu/gnl/news/2020/04/16/the-galveston-national-lab-and-wuhan-institute-of-virology

PALANTIR – Avril Haines

Il tente de discréditer Avril Haines en l’associant à Palantir.

Palantir, une société de renseignement privée fondée en 2003 par Peter Thiel, cofondateur de PayPal.

Thiel a été l’un des plus grands soutiens de Trump entre 2017 et 2020.

Palantir est un sous-traitant du Pentagone et des agences de renseignement spécialisé dans l’extraction de données… La société « a facilité les déportations massives d’immigrés sous Trump ».

Pendant les confinements de la pandémie COVID, Palantir, peut-être le leader mondial des technologies et des programmes de police prédictive, a touché le pactole de la mise en œuvre des politiques oppressives de surveillance et de contrôle qui [avaient été] modélisées pendant la simulation Event 201, en engrangeant des contrats lucratifs avec la CIA.

Palantir est l’une des entreprises, avec Microsoft, Google et Amazon, qui a fourni une série de technologies de suivi des données, de surveillance et d’identification numérique au Ministère de la Sécurité Intérieure américain et aux Centres de Contrôle des Maladies, ainsi qu’aux gouvernements occidentaux pendant la pandémie de COVID.

Ces contrats ont été attribués pour la première fois en 2020, sous l’administration Trump.

L’entreprise a démontré qu’elle partageait le mépris de la CIA pour les traditions et les valeurs américaines en participant à une tentative de campagne de diffamation contre les militants anti-corporation et les journalistes qui remettaient en question les politiques du gouvernement, notamment le fouineur Glenn Greenwald.

Juste avant d’accepter le poste de première espionne américaine, Mme Haines a effacé de sa biographie le fait qu’elle était consultante rémunérée – à hauteur de 180 000 dollars par an – pour Palantir.

Peter Thiel ne soutient plus Trump. Je suppose qu’il pense que Haines surveille ses arrières.

Conclusion

Le livre est une révélation sous contrôle. Il vaut quand même la peine d’être lu pour sa première partie. J’attendrais cependant que le prix baisse.

Selon moi, le Sars-Cov-2 a été fabriqué par l’homme et probablement diffusé intentionnellement à des fins politiques par des mondialistes ancrés dans le gouvernement et l’État profond, en collaboration avec des universités et des entreprises du complexe militaro-industriel et du Forum Économique Mondial, avec un soutien bipartisan pour des raisons politiques, sociales et économiques.

Le virus n’était pas particulièrement pathogène afin de protéger les élites. Il a été atténué à la manière d’un vaccin à virus vivant, bien qu’il soit dangereux pour les personnes immunodéprimées telles les personnes âgées.

Afin d’augmenter le nombre de morts et de faire accepter la véritable arme biologique, à savoir le vaccin injecté, les protocoles de confinement et de traitement ont été mis au point et conçus pour tuer. Les élites éviteraient le vaccin, à l’exception de l’injection occasionnelle d’une solution saline à des fins de démonstration.

En 2020-2021, le gouvernement fédéral a proposé des incitations financières pour obtenir la participation de tous, l’argent a coulé à flots dans les États, les villes, les hôpitaux, les maisons de retraite, les scientifiques, les entreprises pharmaceutiques, les grandes entreprises (PPP), et les médias ont été récompensés par l’obéissance du public. Ils ont reçu du gouvernement un narratif de pornographie de la peur, suivi de milliards en publicité pour soutenir la narration gouvernementale et faire le marketing de la campagne de vaccination.

Ceux qui ont marché dans la combine ont empoché l’argent. Aucune travailleuse de rue n’a jamais trimé plus dur ni écarté les jambes plus largement que les hommes d’affaires qui voulaient leur part du gâteau.

La richesse des milliardaires est passée de 7,7 trillions en 2017 à 10,2 trillions en 2020 et 13,1 trillions en 2021.

Les bénéfices des entreprises sont montés en flèche malgré la fermeture de nombreuses petites entreprises et la réduction de la concurrence qui a fait grimper les prix du fait de la collusion.

Une surmortalité de 2 millions, principalement des personnes âgées, et la réduction de l’espérance de vie profitent à la sécurité sociale et aux fonds de pension.

Moyens, opportunités, motivations.

Le COVID fut Made in US et diffusé avec le soutien de la communauté internationale (y compris la Russie et la Chine) alors que chaque gouvernement complice suivait les mêmes protocoles DANGEREUX, bien qu’avec des modifications autorisées pour permettre à chaque nation de choisir entre des mesures dures ou douces.

La Gouvernance Mondiale est déjà là, elle n’a juste pas encore été annoncée. Les simulacres de conflits entre nations visent à vous empêcher de le comprendre et à maintenir le soutien au financement du Complexe Militaro-Industriel Universel. Le simumacre de confliet politique vise à ce que les gens se battent entre eux au lieu de combattre les élites qui contrôlent leur gouvernement par le biais des deux partis politiques corrompus.

Le livre de RFK Jr vise à vous empêcher de comprendre cette situation, même si, comme nous l’avons mentionné, il donne quelques informations utiles au début du livre.

Fin.

Lectures complémentaires

[NdT. trois articles en anglais de Pete]

Mystère de la séquence de l’ossature consensuelle utilisée pour construire le Sars-Cov-2

Le Sars-Cov-2 était-il un vaccin autodiffusant?

La machine de financement auto-reproductible de Fauci – CREID

Chronologie

L’activité du gouvernement américain et des acteurs privés dans la période précédant le COVID suggère que des préparatifs étaient en cours depuis plusieurs années, voire plus.

2017 – Fauci prédit une épidémie pendant le mandat de Trump.

2017 – Scénario d’exercice conjoint du G20 avec une contagion chinoise imaginaire baptisée MARS.

2017 – Exercice de table SPARS.

2017- Création du CEPI de Gates.

2017- DARPA – Plateforme de prévention des pandémies créée et financée par l’Agence des Projets de Recherche Avancée de la Défense (DARPA – Defense Advanced Research Projects Agency).

2017- Levée du moratoire sur le financement du gain de fonction.

2018 – Simulation CLADE X.

2018 – Plan de lutte contre la pandémie PanCAP 2.0 du Conseil de Sécurité Nationale.

2018 – Création de CISA [Cybersecurity and Infrastructure Security Agency]

2018 – Rejet de la proposition de subvention du projet DEFUSE de la DARPA.

Septembre 2018 – Trump publie le Mémorandum présidentiel sur la sécurité nationale 14 (NSPM 14).

Le NSPM 14 établit un comité chargé de mettre en œuvre la Stratégie Nationale de Biodéfense avec le Conseiller à la Sécurité Nationale comme chef de file pour la coordination des politiques et faciliter l’intégration des politiques pour les efforts fédéraux en matière de biodéfense.

2019 – Propositions de subventions pour le réseau CREID du NIAID par les mêmes personnes que celles impliquées dans DEFUSE.

Juillet 2019 – La Commission bipartisane sur la biodéfense organise un panel appelant à un « Projet Manhattan pour la biodéfense » avec Kadlec.

Juillet 2019 – Le dernier épidémiologiste du CDC à Pékin part alors que l’épidémie de pneumonie affecte les maisons de retraite pour anciens combattants.

Août 2019 – Le CDC ferme Fort Detrick pour 3 mois.

Septembre 2019 – Les conseillers économiques de la Maison Blanche estiment le coût de la pandémie.

Septembre 2019 – le GPMB, avec Fauci et Gao, avertit qu' »il existe une menace très réelle de pandémie d’un agent pathogène respiratoire à évolution rapide et hautement létale qui anéantirait près de 5% de l’économie mondiale ».

Action requise avant septembre 2020 – deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système.

Sept. 2019 – Gates investit dans BioNTech.

2019 – Le Centre d’Engagement Mondial (« Global Engagement Center », GEC), autorisé en décembre 2016, est rendu pleinement opérationnel par le Département d’État de Pompeo en 2019, suite à son transfert du poste de directeur de la CIA.

Oct 2019 – Événement 201.

Oct 2019 – La BARDA reçoit le Stock Pandémique du CDC.

Déc 2019 – Accord de transfert de matériel entre Moderna et Baric.

Déc 2019 – L’Agence Américaine de Réduction des Menaces de Défense annonce le lancement du programme DOMANE, Discovery of Medical Countermeasures Against Novel Entities (découverte de contre-mesures médicales contre des entités nouvelles).

Malone commence à travailler sur DOMANE avec les Lincoln Labs du MIT qui ont été rapidement mis au travail sur le COVID en janvier (bon timing).

Le mot Domane signifie couronne des rois en latin. En latin, corona signifie couronne. Un choix de nom intéressant puisque le virus de la couronne circule à Wuhan.

Janvier 2020 – La Maison Blanche ordonne que toutes les réunions COVID se tiennent dans un cadre classifié.

Janv. 2020 – La France interdit l’HCQ en vente libre depuis 60 ans et la rend accessible uniquement sur ordonnance.

Janv. 2020 – Michael Callahan, membre de la DARPA/CIA, revient de Wuhan pour travailler avec Kadlec.

Février 2020 – Malone dans l’émission de Rogan: « J’ai été le premier à acquérir, grâce à mes relations chinoises, le protocole chinois de traitement de ce virus. Je l’ai obtenu fin février et je l’ai envoyé à mes amis de la CIA et du DTRA ».

Mars 2020 – Malone publie un livre sur le traitement du COVID (écrit en février) après avoir lui-même contracté le COVID en février et assisté à l’événement de super propagation BIOGEN à Boston à la fin du mois de février. Le livre est rapidement retiré de la vente (censure d’Amazon ou désapprobation des hautes sphères?)

Mars 2020 – le PanCAP est adopté le 13 mars 2020 par le Conseil de Sécurité Nationale (NSC) et prévoit des mesures de confinement.

Confinements annoncé le 15 mars

La FEMA et le DHS deviendront par la suite les chefs de file de la mise en œuvre de la politique COVID du NSC.

Mars/avril-2020. Le CDC, sous la direction de Robert Redfield, modifie le décompte des décès dus au COVID afin d’inclure les décès pour lesquels le COVID n’est pas la cause sous-jacente et de permettre la détermination d’un cas de COVID en l’absence de test positif.

Mai 2020 – Trump annonce l’opération Warp Speed

Juin 2020 – Redfield affirme que les masques sont le meilleur vaccin.

Le nouveau mouvement eugéniste – 2ème partie – par le Dr Ah Kahn Syed.

J’atermoie (encore) mon propre article pour vous livrer celui-ci, du Dr Ah Kahn Syed, déjà publiée (c’est une dame) ici et ici. C’est assez long mais comme elle le dit elle-même, ça en vaut la peine. Je n’ai pas traduit la première partie. Ceci m’a déjà pris énormément de temps.

Le Dr Seyd est australienne, pays où les mesures coercitives (pandémie et « vaccin ») ont été parmi les plus sévères – mes lecteurs se souviendront que j’avais relayé à l’époque l’appel de détresse des communautés aborigènes devant une violence policière inouïe. C’est aussi là que l’idée de camps d’internement covid avait été poussée le plus loin, avec l’accord de la population générale. Par un curieux hasard, c’est aussi le pays premier consommateur d’anti-dépresseurs par tête de pipe (l’Islande est n°1 du fait que les prescriptions en hôpital y sont y comptées).

Le sujet vous sera familier, mais l’article présente de nouvelles informations, assez récentes, sur les pans futurs du même programme – eugéniste. Prétez une attention particulière au chapitre sur le PAM, qui fait le lien entre les injections covid et le programme de modification génétique…

Le Dr Seyd rappelle aussi le rôle dans ce dossier d’un certain Jeffrey Epstein, au cas où on aurait pas encore compris de quel genre de réseau international les scientifiques impliqués dans cette version actualisée de l’eugénisme sont le rouage.

Je sais que le grand public en a marre des infos sur les vaccins thérapies géniques et se laisse accaparer par les algorithmes des réseaux sociaux qui les bombardent, c’est le cas de le dire, d’histoires de Russie, Troisième Guerre mondiale et tout ce genre de distraction. Ce n’est pas là que se joue l’avenir. Il se joue aujourd’hui dans votre tête, bientôt dans vos gènes – si vous les laissez faire. Aux États-Unis, quelques représentants courageux tentent de faire purement et simplement interdire les « thérapies géniques » de masse au niveau de leur État. C’est un début.

Quelqu’un, qui en a comme moi assez de la folie du monde, m’a demandé si finalement le monde de demain – technocratique – ne serait quand même pas un peu meilleur. Je vous laisse juge.

Note de traduction: je n’ai pas pu remplacer toutes les vidéos incrustées de l’article original, sorry.

Source.


Le nouveau mouvement eugéniste – 2ème partie

Le réseau biotechnologique d’un trillion de dollars, qui veut modifier votre génome pour faire de vous une meilleure personne, et nous exclure des médias sociaux

Dr Ah Kahn Syed

30 mars 2024

J’espère que vous avez tous eu l’occasion de lire la partie 1. Dans le cas contraire, elle se trouve ici. Installez-vous confortablement pour la suite, ce n’est pas court, mais ça en vaut la peine.

Pour introduire ce qui va suivre, je vais essayer d’en donner un aperçu, comme l’ont fait quelques mèmes pendant le COVID, en décrivant les affirmations « sûres et efficaces » qui sont rapidement rétractées.

  • Ce n’est qu’un vaccin
  • Il reste dans le bras
  • Il ne dure que quelques jours
  • Il ne s’intègre pas dans le génome
  • Ce n’est pas une thérapie génique
  • Il n’y a pas d’ADN dans le vaccin
  • Il n’entre pas dans le noyau
  • Il est sans danger pendant la grossesse et n’atteint pas le placenta.
  • Il ne reste pas dans le bras, il se diffuse partout, mais c’est une bonne chose.
  • Il y a une contamination par des plasmides, mais seulement à petites doses et il n’y a aucune preuve qu’ils soient nocifs.
  • D’accord, il passe dans le placenta, mais cela signifie que le bébé est également protégé.

-[VOUS ÊTES ICI]-

  • D’accord, il s’agit d’une thérapie génique, mais nous l’utilisons depuis des années et elle s’est révélée sûre et efficace, sans aucun effet indésirable identifié après des milliards de doses.
  • La technologie NPL était toute nouvelle et n’avait pas encore été testée, mais elle s’est révélée sûre et efficace, sans aucun effet indésirable identifié après des milliards de doses.
  • La même technologie peut être utilisée pour l’édition de gènes CRISPR, qui est maintenant approuvée par la FDA et qui, combinée à la technologie NPL, peut être utilisée pour fournir un vaccin permanent qui n’aura jamais besoin d’être mis à jour avec des rappels et des injections répétées qui font bobo.

Car, comme nous le savons tous, ce sont les deux secondes d’une piqûre d’aiguille qui ont poussé la moitié de la population mondiale à rejeter la nouvelle thérapie jusqu’à ce que les obligations vaccinales entrent en vigueur – rien à voir avec le fait que la plupart des gens auraient rejeté une nouvelle thérapie génique s’ils avaient su de quoi il s’agissait réellement.

Non, Prof. Meghan Murthy, ce n’était pas la peur de l’aiguille. C’est la prise de conscience du fait que vous essayez de taguer le monde avec une thérapie génique pour laquelle personne n’a donné son consentement éclairé.

Et oui, il s’agissait bien de thérapie génique, même si les tribunaux tentent de brouiller les pistes en prétendant que les médecins qui non seulement ont été contraints de recevoir ce produit, mais ont été cooptés pour l’administrer sous de faux prétextes, n’ont pas qualité pour agir, et se retrouvent aujourd’hui visés par une plainte pour manquement à la déontologie. (voir aussi ici)

Et comment savons-nous qu’il s’agit d’une thérapie génique? Parce que la FDA1, Moderna, BioNtech et toutes les autres institutions qui savent de quoi il s’agit le disent. Extrait du document de 2024 de la FDA (copié dans la note de bas de page):

La thérapie génique humaine vise à modifier ou à manipuler l’expression d’un gène ou à altérer les propriétés biologiques de cellules vivantes à des fins thérapeutiques. La FDA considère généralement que les produits de thérapie génique humaine comprennent tous les produits dont les effets sont obtenus par transcription ou traduction du matériel génétique transféré, ou par modification spécifique des séquences génétiques de l’hôte (humain). Parmi les produits de thérapie génique, on peut citer les acides nucléiques, les micro-organismes génétiquement modifiés (virus, bactéries, champignons, etc.), les nucléases spécifiques utilisées pour l’édition du génome humain et les cellules humaines génétiquement modifiées ex vivo …. https://www.fda.gov/media/76647/download.

Et oui, nous avons déjà discuté de ce sujet, mais l’essentiel est que nous en arrivons bientôt à ce point:

« Oui, [le vaccin COVID] était une thérapie génique, mais personne ne l’a nié et, en tout état de cause, 6 milliards de doses ont été administrées sans aucun effet indésirable. Et maintenant, nous savons que l’édition de gènes est tout aussi sûre ».

Car c’est ce qui se passe depuis le début. Gaslighting 101. Parce que les nouveaux produits pharmaceutiques seront toujours sûrs si on s’assure qu’aucun article de recherche n’est autorisé à parler de leur dangerosité et si on harcèle, intimide et menace les médecins qui publient ces recherches.

(Censure scientifique – leçons NON apprises, article de Jessica Rose) [en anglais]

Maintenant que nous avons établi, au-delà de tout doute raisonnable, que les vaccins de thérapie génique (VTG) sont sûrs et efficaces et qu’aucun document ne montre qu’ils induisent le cancer par mutagénèse insertionnelle ou tout autre problème causant une surmortalité que nous constatons dans le monde réel, nous pouvons tous nous réjouir que l’édition de gènes CRISPR, qui apporte une solution permanente à votre problème génétique, soit le remplacement idéal de ces injections répétées qui font bobo, véritable raison pour laquelle les gens hésitaient à se faire vacciner (à part le racisme institutionnalisé, bien sûr).

Mais c’est quoi, CRISPR?

Rien à voir avec le bacon, les frites, les chips ou le poulet frit, même si son nom est manifestement destiné à susciter une émotion gratifiante sur le moment. Il s’agit d’une technique d’édition des gènes et des génomes.

CRISPR signifie « clustered regularly interspaced short palindromic repeats » (répétitions palindromiques courtes et régulièrement espacées), ce qui renvoie à un modèle spécifique d’ADN, cible de la technique d’édition de gènes qui nécessite également une protéine « Cas », par exemple Cas9. La protéine Cas forme un complexe avec un « ARN guide » pour guider l’endroit où l’ADN est coupé et, une fois coupé, un nouvel ADN peut être ajouté. Comme on faisait autrefois le montage d’une bande vidéo.

Voici une version plus grande du graphique ci-dessus pour l’expliquer, provenant du Genetic Literary Project (sur lequel nous reviendrons plus tard).

  1. La protéine Cas9 forme un complexe avec l’ARN guide dans la cellule
  2. Ce complexe se lie à une séquence d’ADN correspondante adjacente à un espaceur (segment jaune)
  3. Le complexe Cas-9-ArRN coupe le double brin d’ADN
  4. L’ADN programmé peut être inséré à l’endroit de la coupure

Autrefois, CRISPR était réservé à l’édition de gènes dans les cellules en laboratoire, mais avec les progrès de LaScience™, nous avons désormais la capacité de modifier le génome des cellules in vivo. Cela signifie qu’il est possible de modifier le génome d’organismes vivants, y compris les êtres humains.

Et il est évident que c’est totalement sûr et efficace – du moins c’est ce qu’on vous dira – parce qu’on a trouvé un moyen de contrôler toutes ces protéines hors cible (involontaires) qui pourraient survenir en découpant votre génome alors que vous êtes encore en vie. Et bien sûr, tous les problèmes connus associés au CRISPR in vivo auront déjà été résolus, tout comme ils l’ont été pour les vaccins à ARNm. C’est dommage pour les enfants qui sont déjà morts à cause des réactions immunitaires ou de mutagénèse insertionnelle:

Jesse Gelsinger, un jeune homme de 18 ans atteint d’une forme légère de la maladie génétique du déficit en ornithine transcarbamylase (OTC), a participé à un essai clinique qui a délivré un gène OTC non muté dans le foie par une injection dans l’artère hépatique du vecteur adénoviral recombinant hébergeant le gène thérapeutique. Malheureusement, Jesse est décédé quatre jours après le traitement (7). Le vecteur adénoviral a déclenché une réponse immunitaire beaucoup plus forte chez Jesse que chez d’autres patients, provoquant une série de défaillances d’organes multiples qui ont finalement conduit à son décès (8). Au moment de l’essai, les vecteurs adénoviraux étaient considérés comme raisonnablement sûrs. Cependant, au cours du développement préclinique, deux des singes rhésus traités avec la thérapie ont développé un schéma similaire de nécrose hépatocellulaire fatale (9). Peu après, un autre essai de thérapie génique a conduit au développement d’une leucémie chez plusieurs jeunes enfants, induite par l’oncogenèse insertionnelle de la thérapie (10). Ces essais ont été ouverts pour deux formes de SCID (SCID-X1 ou déficit en chaîne ɤ commune) et pour le déficit en adénosine désaminase (ADA). La thérapie a utilisé des vecteurs ɤ-rétroviraux pour délivrer ex vivo des transgènes thérapeutiques à des cellules souches hématopoïétiques CD34+ autologues, qui ont été réintroduites chez les patients (10). Cinq patients ont développé une leucémie secondaire liée à la thérapie, et l’un d’entre eux est décédé des suites de la maladie (11). Un examen plus approfondi a révélé l’intégration du gène thérapeutique dans le locus du proto-oncogène LMO2, ce qui a probablement entraîné le développement d’une leucémie (12). Des analyses ultérieures ont suggéré une fréquence plus élevée d’événements de mutagenèse insertionnelle avec les vecteurs ɤ-rétroviraux par rapport à d’autres vecteurs (13).

Bien sûr, CRISPR est tellement amusant que le laboratoire de Saha a conçu un jeu pour vous faire croire que l’introduire à grande échelle dans la population serait une idée sympa. Comme lâcher des chips chaudes du ciel. Qui n’aime pas les chips chaudes, n’est-ce pas?

Capture d’écran du jeu « CRISPR is fun » (CRISPR est amusant)

Pour citer leur article:

CRISPR – c’est l’une de ces nouvelles technologies scientifiques dont il est amusant de parler, car qui n’aurait pas envie d’imaginer un avenir meilleur rendu possible par la science? Mais quelle version de « meilleur » prévaudrait? Les « et si » rendus possibles par la technologie d’édition de gènes CRISPR font l’objet d’un débat intense au sein de la communauté scientifique internationale. Comme ces débats affectent déjà les décisions politiques, le public doit prendre en compte les ramifications éthiques de ce que CRISPR pourrait rendre possible.

Vous voyez le coup de coude? Vous vous souvenez de « l’intérêt supérieur » évoqué dans la première partie?

Bien sûr. Pourquoi ne voudrait-on PAS améliorer le patrimoine génétique du monde pour faire de nous de meilleurs humains, au lieu des humains merdiques que nous étions hier, n’est-ce pas?

Et à quel point ce graphique tiré de l’article sur le jeu du laboratoire de Saha ressemble-t-il au problème du chariot évoqué dans la première partie?

Capture d’écran de la « machine morale » du MIT. Il convient de noter la proximité géographique du MIT et de Harvard, qui sont à toutes fins utiles au même endroit.

CRISPR a besoin d’un PAM

Pour en revenir au sujet, pour que CRISPR puisse éditer vos gènes, il faut essentiellement :

(1) un PAM2 et
(2) une séquence de gène ARN correspondant à la zone ciblée du génome.

Le PAM est une minuscule séquence génétique (nGG où « n » est un nucléotide quelconque, par exemple CGG) qui existe à plusieurs endroits du génome. La séquence d’ARN est incluse pour cibler n’importe quelle partie de l’ADN qui vous intéresse, à condition qu’elle se trouve à côté d’un PAM. Il faut donc un PAM et un fragment d’ARN. Le PAM le plus réactif (parmi les quatre options AGG, CGG, TGG et GGG) est CGG.

Pour en savoir plus sur le PAM et son fonctionnement, je vous recommande de consacrer 5 minutes à cette vidéo fascinante qui montre à quel point la nature est intelligente et comment les bactéries ont appris à combattre les virus à l’aide de ce mécanisme de défense génomique antivirale.

[NdT. sorry, pas de traduction automatique sur cette vidéo]

Si vous préférez regarder un graphique, celui-ci montre le PAM et l' »ARN guide » ou ARNg (la séquence que le scientifique utilise pour faire correspondre la séquence de votre ADN qu’il veut couper).

  • Adaptation d’un mécanisme de défense contre un virus ou une bactérie.
  • Cas9 est une enzyme qui utilise l’ARN guide pour couper la séquence d’ADN cible.
  • La séquence génétique souhaitée pourrait être ajoutée au système de réparation de l’ADN personnalisé.

Ainsi, si on veut modifier le génome à un endroit précis, il faut trouver une séquence génétique unique à proximité d’un site PAM.

Vous serez heureux d’apprendre que la majorité de la population mondiale a reçu gratuitement de telles séquences PAM lorsqu’elle a consenti à recevoir un vaccin de thérapie génique recombinante offert par Pfizer, Moderna (et probablement Novavax aussi3).

En effet, ces vaccins contiennent des plasmides qui sont de l’ADN et peuvent facilement s’intégrer dans l’ADN de vos propres cellules, comme l’ont démontré de nombreux auteurs, et plus récemment Kevin McKernan et Hiroshi Arakawa, qui ont confirmé l’intégration de l’ADN plasmidique dans le chromosome 12 et le chromosome 9. J’ai prévenu que c’était probable ici.

La bonne nouvelle concernant cet événement d’intégration est que dans les deux cas présentés ci-dessus, il y a une séquence CRISPR-Cas9 PAM (CGG, AGG, GGG ou TGG) dans la séquence qui a été intégrée dans le génome. C’est une nouvelle fantastique pour ceux qui voudraient ensuite modifier le génome des bénéficiaires de leur médicament à l’endroit précis où ils ont ajouté de l’ADN!

Pour réaliser l’édition génétique d’un sujet à l’aide de CRISPR-Cas9, il faut une séquence génétique spécifique à l’endroit où l’on veut couper le génome, à côté d’une séquence PAM.

Il se trouve que le processus d' »optimisation des codons4 » de la séquence génétique des vaccins COVID (processus par lequel Pfizer, Moderna et Novavax ont décidé de créer une toute nouvelle séquence de 3822 nucléotides différente de la séquence génétique de la protéine de pointe de Wuhan, mais censée produire exactement la même séquence d’acides aminés) a entraîné une augmentation considérable du nombre5 de séquences PAM – en particulier du type CGG, le plus efficace. Quelle heureuse coïncidence!

Ainsi, l’événement d’intégration génomique résultant de ce que vous pensiez être un simple vaccin mais qui s’est révélé être une thérapie génique a commodément fourni les deux facteurs nécessaires à une édition génique ultérieure – de nombreuses séquences PAM et des séquences génomiques spécifiques qui n’étaient pas présentes dans le génome humain auparavant6.

En d’autres termes, 6 milliards de personnes sont potentiellement prêtes à recevoir un processus d’édition de gènes direct qui pourra remplacer votre vieille séquence de vaccin COVID par un nouveau gène rutilant pour n’importe quel prétexte.

Bien sûr, comme les personnes impliquées dans l’industrie de l’édition de gènes sont super sympa, il ne leur viendrait jamais à l’idée de faire ce genre de choses, n’est-ce pas?

Voyons qui ils sont… avant de supposer qu’ils ont tous agi de manière altruiste.

Le mastodonte de l’industrie de l’édition génétique

Il est essentiel de comprendre que l’édition de gènes est très coûteuse – plus d’un million de dollars par personne. Mauvaise nouvelle pour le consommateur, mais excellente nouvelle pour les entreprises qui en sont à l’origine et qui risquent de gagner non pas des milliards, mais des trillions de dollars si elles parviennent à administrer ce produit aux populations, comme elles l’ont fait avec les vaccins COVID.

Et vous savez quoi? Lorsque les vaccins COVID se vendaient comme des petits pains et avant que nous ayons été autorisés à découvrir qu’ils n’étaient pas ce qu’on nous avait promis, le prix des actions des quatre grandes sociétés CRISPR a grimpé en flèche. Il s’est ensuite effondré à la même vitesse lorsque les problèmes liés aux vaccins à ARNm ont commencé à être constatés.

Le cours des actions des quatre grandes sociétés d’édition de gènes – CRSP, EDIT, NTLA, SGMO – a fortement augmenté au milieu de l’année 2021 pour s’effondrer peu après.

Qui sont donc les acteurs qui se cachent derrière ces sociétés CRISPR et les technologies qui les sous-tendent?

La plus importante est Jennifer Doudna, co-inventrice de CRISPR.

Elle parle ici de sa vision utopique du monde, où des scientifiques d’élite comme elle peuvent modifier le génome des vaches pour qu’elles pètent moins, ce qui nous sauvera tous du changement climatique. Non, je ne plaisante pas.

Voici la partie importante dans ce qu’elle dit (à partir de 5:14):

Nous savons que les pays et les populations les plus pauvres sont les plus touchés par le changement climatique, et que c’est un problème créé par les plus riches. Le méthane est un élément important du problème. Il contribue largement à l’augmentation des températures mondiales depuis l’ère préindustrielle. La composition spécifique du microbiome du bétail peut réduire les émissions de méthane jusqu’à 80%. Mais pour y parvenir, il faut aujourd’hui des interventions quotidiennes très coûteuses, qui ne peuvent pas être mises en œuvre à grande échelle. Mais avec l’édition de précision du microbiome, nous avons la possibilité de modifier le microbiome d’un veau à la naissance, limitant ainsi l’impact de cet animal sur le climat tout au long de sa vie…

Notre technologie pourrait donc vraiment faire bouger l’aiguille dans notre lutte contre le changement climatique.

[NdT. Le Dr Sabine Hazan, spécialiste du microbiome, mentionnée plus loin, pourrait vous expliquer à quel point il est dangereux d’y modifier quoi que ce soit – elle a d’ailleurs étudié la question en particulier dans le cadre du SARS-CoV-2]

Jennifer Doudna, l’inventrice de l’ARN et détentrice d’un nombre obscène de brevets d’une valeur potentielle de plusieurs trillions de dollars, souhaite donc modifier le génome d’animaux (et vraisemblablement de « pauvres » humains) pour des causes politiques.

C’est très bien. Qui est le suivant? (Ne vous inquiétez pas, ça devient pire).

Voici un autre groupe de scientifiques impliqués dans la normalisation de l’édition de gènes, qui tentent de le présenter comme un traitement médical comme les autres. Peter Singer a rédigé l’avant-propos du « Handbook of Bioethical Decisions7«  (Manuel des décisions bioéthiques), qui devrait servir de guide aux scientifiques pour ne pas dépasser pas les limites de la manipulation des éléments de base de la vie de l’humanité. Par chance, Peter est également co-auteur de cet article « controversé » défendant l’eugénisme. Oui, vous avez bien lu, il défend l’eugénisme.

Youpi!

Peut-on défendre l’«eugénisme»?

Ces dernières années, le discours bioéthique autour du thème de l' »amélioration génétique » est devenu de plus en plus politisé. Nous craignons que l’accent soit trop mis sur la question sémantique de savoir si nous devrions qualifier d' »eugéniques » des pratiques particulières et des biotechnologies émergentes telles que CRISPR, plutôt que sur la question plus importante de savoir comment nous devrions les considérer du point de vue de l’éthique et de la politique. Nous abordons ici la question de savoir si l' »eugénisme » peut être défendu et comment les partisans et les détracteurs de cette amélioration doivent s’engager les uns envers les autres.

Son co-auteur, Jonathan Anomaly, a écrit un article sur la façon dont on devrait tous être traités comme des « biens publics », ce qui englobe habilement l’éthique totalitaire du « bien commun » avec le concept de l’homme en tant que propriété publique (voir la partie 1).

Résumé

La procréation est le problème ultime en matière de biens publics. Chaque nouvel enfant affecte le bien-être de nombreuses autres personnes, et certains enfants (mais pas tous) produisent une valeur non compensée dont profiteront les générations futures. Cet essai aborde les défis qui se posent lorsque l’on considère la procréation et l’éducation des enfants comme des biens publics. Il s’agit notamment de savoir si les choix individuels sont susceptibles de conduire à un résultat socialement souhaitable et si des changements dans les lois, les normes sociales ou l’accès au génie génétique et à la sélection des embryons pourraient améliorer le résultat global de nos choix en matière de procréation.

Heureusement pour le monde, ce ne sont pas seulement les Doudna, les Anomaly et les Singer du monde scientifique qui sont en charge de nos génomes. Le financement d’une grande partie de cette industrie provient de personnes telles que le tristement célèbre Jeffrey Epstein, qui a littéralement tenté de créer sa propre réserve eugénique.

Jeffrey Epstein espérait ensemencer la race humaine avec son ADN

On le voit ici en train de rencontrer les eugénistes « améliorateurs génomiques » à Harvard, dont les principaux scientifiques du CRISPR, George Church et Eric Lander (coup de chapeau à Jesse Matchey, qui a été exclu de Twitter pendant deux ans pour avoir dénoncé cette affaire).

Aussi ridicule que cela puisse paraître, Jeffrey Epstein a fondé et financé le sinistre « programme de dynamique évolutive » de Harvard – que la plupart appelleraient plus judicieusement « programme eugénique ». Il a passé beaucoup de temps avec des membres de la « Skeptics Society », que vous aurez vus dénigrer les « Antivaxxers » sur Twitter. Leur objectif est vraisemblablement de soutenir les actions des entreprises de biotechnologie, car si elles avaient autorisé les scientifiques dissidents à s’exprimer librement sur les médias sociaux, leurs actions se seraient effondrées.

Les « Skeptics » comprennent des personnes comme James Randi, qui a participé à une longue fraude par usurpation d’identité finalement poursuivie en justice, et Loren Pankratz qui a frauduleusement revendiqué une expertise afin de défendre des pédophiles devant les tribunaux8. La direction de facto du mouvement Skeptic a été confiée à David Gorski, qui mène aujourd’hui une campagne de haine sur de nombreux blogs contre les personnes qui tentent de dénoncer les conglomérats Epstein-Pharma, ainsi qu’à Richard Dawkins, qui n’a cessé de joyeusement défendre la « pédophilie légère« 9.

Jets privés, fêtes et eugénisme: le monde étrange des scientifiques de Jeffrey Epstein

Le financier milliardaire et délinquant sexuel condamné a fréquenté des présidents, des mannequins et des stars de cinéma. Mais il a également assouvi ses croyances peu orthodoxes en cultivant des scientifiques de haut niveau.

Pour illustrer l’arrogance de ces personnes, Lawrence Krauss, de la Skeptics Society, tient à jour sa page sur The Edge (une organisation médiatique fondée par Jeffrey Epstein10, voir ci-dessous), décrivant fièrement la réunion de 21 physiciens « Skeptics » sur l’île désormais tristement célèbre d’Epstein.

Lawrence Krauss, du groupe The Skeptics, en route vers l’île d’Epstein (Little St James) avec Stephen Hawking
[NdT. Hawking est mort depuis très longtemps (ici et ici), le type sur la photo est un double, pas très réussi]

L’un des principaux acteurs du lucratif mégalithe de CRISPR mentionné ci-dessus est George Church, avec 20 sociétés à son actif – ça illustre à quel point il est altruiste.

George Church est Professeur de Génétique à la Harvard Medical School et Professeur de Sciences et Technologies de la Santé à l’Université de Harvard et à l’Institut de Technologie du Massachusetts (MIT). Son travail de pionnier a contribué au développement des technologies de séquençage de l’ADN et d’édition du génome, ce qui lui a valu de nombreuses récompenses, dont le Bower Award 2011 et le Prize for Achievement In Science du Franklin Institute, ainsi que l’élection à l’Académie Nationale des Sciences et de l’Ingénierie. Il est coauteur de plus de 550 publications, de plus de 150 brevets et d’un livre intitulé « Regenesis: How synthetic biology will reinvent nature and ourselves » (« Régénèse: comment la biologie synthétique va réinventer la nature et nous-mêmes »). Il est également à l’origine du Projet de Génome Personnel et a créé plus de 20 entreprises.

George l’altruiste n’a bien sûr aucun intérêt à vous persuader (vous, le public) d’adopter cette technologie comme base de tous les traitements médicaux, ce qui lui permettrait d’obtenir des royalties pour l’un de ses innombrables brevets, parce qu’il est tellement altruiste.

En fait, il est tellement altruiste qu’il veut que la technologie d’édition de gènes soit accessible à tout le monde, « riche ou pauvre »11. Ce serait bien sûr une nouvelle fantastique pour les actions des sociétés d’édition de gènes, qui ont besoin de leur part de ces trillions de dollars. « Riche ou pauvre » signifie, comme dans le cas des vaccins à ARNm COVID, que les traitements sont « gratuits » (ce qui signifie en fait que vous recevrez ces traitements, obligatoirement ou non, payés par « le gouvernement »). Par « gouvernement », on entend le processus de blanchiment d’argent qui utilise les fonds publics et les détourne sans consultation ni transparence vers les sociétés pharmaceutiques comme celle de George. De manière très, très altruiste bien sûr.

George est également très heureux de vous inciter à faire don de votre génome à Nebula Genomics, l’une de ses nombreuses sociétés, pour un « séquençage du génome entier ». Imaginez ce qu’une telle entreprise pourrait faire de ces informations, défendant pendant ce temps l’idée de vivre éternellement grâce à l’édition du génome, selon cette interview troublante de Stephen Colbert. Dans cette interview, George semble heureux de ressusciter le génome d’un mammouth laineux et de l’insérer dans celui d’un autre animal (ou possiblement d’un être humain), comme dans L’île du Docteur Moreau, l’effrayant roman dystopique chimérique écrit par l’eugéniste HG Wells (également mentionné dans la partie 1).

L’autre personne mentionnée dans la réunion MIT/Epstein est Eric Lander, que certains d’entre vous reconnaîtront peut-être comme le type promu au cabinet présidentiel américain après la débâcle du COVID et avant qu’il trouve le temps de se débarrasser de ses millions de dollars d’actions dans le domaine des vaccins. Je suis sûr que ça n’aura pas du tout influencé l’exigence de vaccins obligatoires aux États-Unis.

Lander a conservé des actions d’un fabricant de vaccins plusieurs mois après son entrée en fonction

Il a finalement vendu les actions dans le délai imparti de 90 jours. Mais selon des fonctionnaires chargés de l’éthique, cela soulève des questions quant à ses activités de conseiller.

Pire encore, Eric Lander dirige également le Broad Institute à Boston, siège d’Editas – l’une des quatre grandes sociétés d’édition du génome qui se livrent depuis une décennie à une bataille de brevets avec l’empire de Jennifer Doudna sur la côte ouest.

Et vous aurez peut-être remarqué que George Church fait partie du « Genetic Literacy Project » (qui aime aussi Eric Lander), ce qui pourrait vous faire penser à une ONG sympa. Vous feriez erreur. Le projet compte des contributeurs tels qu’Eliza Dunn (la célèbre porte-parole médicale de Monsanto-Bayer qui aime nous dire à quel point le RoundUp et la modification génétique sont sans danger et que les agriculteurs indiens ne se sont pas vraiment suicidés en masse à cause de leurs produits). Et Kevin Folta, le « médecin durable qui lutte contre la désinformation », qui aimerait vous voir consommer des cultures d’OGM et fermer vos gueules.

Si vous êtes opposés à la désinformation dans le domaine des technologies de l’agriculture et de l’alimentation, pensez à devenir signataire de la déclaration contre la campagne alarmiste de @AmerAcadPeds contre les cultures biotechnologiques.

Les plus perspicaces d’entre vous remarqueront le lien vers « skepticalinquirer.org« , qui est en effet l’un des principaux journaux de la Skeptics Society, dont les membres comprennent Kevin Folta, Steven Pinker (affilié à Epstein), Steven Novella – Skeptic en chef, Richard Dawkins et David Gorski. On y trouve également Paul Offitt, le soi-disant indépendant mais désormais tristement célèbre membre principal du comité consultatif de la FDA sur les vaccins (VRBPAC), dont le surnom est « for profit » (pour le profit) en raison de ses nombreux conflits d’intérêts.

Ces réseaux vous incitent tous à accepter l’édition de gènes comme étant normale, sûre et sans risque de dommages collatéraux. Pourtant, ce n’est pas vous qui déciderez qui sera édité, ce qui sera édité, ni qui déciderez si l’édition est obligatoire.

Montrez-leur l’argent

Ces réseaux n’impliquent pas seulement les sociétés visibles prêtes à gagner des trillions. Quand autant d’argent est en jeu, les initiés comme moi ne sont qu’une mouche gênante qu’il faut écraser.

Et c’est littéralement ce qu’ils font. Voici un compte Twitter tristement célèbre qui non seulement publie sur Twitter des informations sur les actions de la biotech CRISPR, mais qui manipule ouvertement ces actions avec des phrases codées telles que « haircut coming in 2021 » (« coupe de cheveux à venir en 2021 ») et « send it 📉 » (« envoyez-le 📉 »), ce qui signifie qu’il faut vendre l’action à découvert.

Mais « .” (apparemment le diminutif de « Ryan », « Jason » et d’un tas d’autres pseudonymes) ne se contente pas d’afficher ses paris boursiers sur Twitter. Non, on a également découvert qu’il était l’auteur prolifique de « Community Notes », « Enterprising Desert Raven », qui publie robotiquement des notes sur Twitter pour tenter de saper tout message critique à l’égard des vaccins COVID ou, en fait, de toute thérapie génique ou de tout produit pharmaceutique. Le lien entre le compte anonyme de Ryan/Jason et « Enterprising Desert Raven » a été découvert en février, à l’occasion d’un bug sur Twitter qui faisait que si l’on bloquait un compte, la note communautaire appartenant à ce compte devenait invisible12.

Malheureusement pour Enterprising Desert Raven, cette manipulation incessante des opinions des scientifiques visant à etouffer des problèmes de sécurité d’un produit fabriqué par une société qui pourrait ainsi bénéficier de cette manipulation indue des médias sociaux pourrait raisonnablement être considérée comme une forme de fraude en matière de valeurs mobilières.

Pour enfoncer le clou, voici ses tweets en relation avec le cours de l’action $CRSP. C’est ce que l’on appelle une opération de « pump and dump ».

Le problème de gens qui comme Ryan s’intéressent aux actions biotechnologiques, ce sont bien sûr ces satanées souris qui interfèrent avec leur capacité à pomper et à vendre ou à manipuler le prix des actions des sociétés dont on a découvert qu’elles mentaient au sujet de la validité de leurs produits. Ils doivent donc s’attaquer à ces souris (les scientifiques) et les faire disparaître de Twitter, comme je l’ai montré en 2021.

Et il n’y a pas que moi. Les scientifiques qui ont utilisé leur vrai nom ont été pris pour cible, harcelés et menacés par des personnes ayant des intérêts directs dans la filière « créer une pandémie, créer la solution, gagner des milliards de dollars ».

Départ définitif de Twitter: Harcèlement de Peter Daszak

Chers collègues et amis de Twitter,

J’ai pris la décision difficile de quitter définitivement Twitter. Cette décision est motivée par des événements récents et par mon engagement envers mes patients, à la suite d’une situation complexe impliquant mes interactions récentes avec le Dr Peter Daszak. Nos divergences de vues sur les origines du COVID-19 ont conduit à des violations répétées et flagrantes de nombreuses limites éthiques et professionnelles de sa part. Au lieu de s’engager de bonne foi, il a utilisé sa notoriété et son autorité dans les milieux scientifiques pour attaquer ma personnalité et mes compétences, me menacer de poursuites judiciaires, déformer et dénaturer mes messages et mes commentaires, et inciter ses partisans à attaquer de façon répétée ma personnalité, mon éthique et mes compétences.

Le même réseau a donné lieu à ce post du compte twitter Jikkyleaks qui explique les tentatives de chantage et d’intimidation des réseaux pour réduire au silence les scientifiques qui s’expriment dans l’intérêt du public.

[NdT. je traduis en entier le texte de ce tweet, qui me semble d’intérêt public]

Jikkileaks

2 novembre 2023

Il est temps de suspendre l’activité de ce compte.

La lutte contre des entités corrompues dont je ne soupçonnais pas l’existence à ce point dans les allées du pouvoir a été un chemin difficile. Et contre la propagande incessante qui a apparemment usurpé la majeure partie, sinon la totalité, du monde universitaire et médical.

Ce compte a vu le jour parce que je savais qu’on nous avait menti en février 2020 sur l’origine du COVID et qu’avec l’aide d’autres personnes, nous avons été en mesure de le prouver.

Depuis lors, il y a eu un vrai brasier de mensonges que nous avons dû démêler, tout en montrant que nous étions de ceux qui s’efforçaient de défendre les valeurs de la vraie science, qui s’appuient sur la recherche de la vérité plutôt que la politique et la corruption.

Le moment est venu de me retirer, car deux choses se sont produites.

La première est que le public prend désormais conscience non seulement de ce qui est vrai, mais aussi de la manière de discerner ce qui est vrai de ce qui est faux. Je pense que c’était ma tâche et qu’une grande partie de ce travail a été accomplie.

Deuxièmement, les menaces proférées à mon encontre par des groupes ayant des liens avérés avec des groupes de pression pharmaceutiques se sont intensifiées. Les personnes impliquées savent qui elles sont et elles tentent de justifier leur activité en fabriquant une histoire de grand méchant loup dirigée contre nous. Mais ce n’est rien d’autre. Lorsque la poussière retombera et que le décompte effroyable des décès sera enfin effectué, les personnes premières responsables seront celles qui ont utilisé leurs ressources illimitées (soutenues par les sociétés pharmaceutiques et les ministères corrompus disposant de fonds et de pouvoirs illimités) pour réduire au silence ceux d’entre nous dont le seul crime était de mettre en évidence auprès du public des dangers scientifiquement prouvés des interventions qui pouvaient – et qui ont effectivement – causé des décès et des invalidités.

Ces groupes – principalement #shotsheard aux États-Unis et #muttoncrew au Royaume-Uni, avec leurs groupies sur les médias sociaux, tous coordonnés à partir d’un point central – ne sont qu’une extension des mêmes groupes qui ont fait exactement la même chose il y a 20 ans à propos du Vioxx (où 30 000 personnes sont mortes parce que des médecins et des scientifiques ont été réduits au silence par la menace) et avant cela de la thalidomide (où 20 000 enfants sont nés sans membres parce que des médecins et des scientifiques ont été réduits au silence par la menace).

Nous nous préoccupons de cette question, mais la majorité du public et le gouvernement ne semblent pas s’en préoccuper. Nous ne disposons d’aucune ressource et le gouvernement – en qui beaucoup d’entre vous avaient confiance – n’a jamais offert ni ressources ni protection à des comptes tels que le nôtre ou aux personnes qui en sont à l’origine. Au contraire, ils ont montré – aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Europe, au Canada et en Australie – que ce sont eux qui nous réduiront au silence. Dans certains cas, ils ont menacé de nous emprisonner.

Le public reste silencieux. La colère gronde, mais le gouvernement et les médias veilleront à ce que cette colère soit dirigée contre nous, qui vous ont montré où se trouvaient la corruption et les malversations dans des institutions qui devraient être au-dessus de tout soupçon. Je prédis qu’il n’y aura pas de manifestations publiques pour « protéger les dénonciateurs médicaux » ou « ramener Jikkyleaks ». Il n’y aura par exemple aucune manifestation publique devant la Cour suprême de Victoria où @realMarkHobart se battra pour le droit d’un médecin à protéger le droit fondamental et global à l’autonomie corporelle des patients. Il n’y aura pas de clameur pour que les organisations d’intimidation affiliées à l’industrie pharmaceutique soient poursuivies pour ce qu’elles ont fait au cours des 20 dernières années. Personne n’a été emprisonné pour le Vioxx – ou la thalidomide – parce que le public ne l’a pas exigé.

Les médias ont joué le rôle le plus important. Ils ont universellement dénigré les gens en les qualifiant d' »antivax » qui voulaient simplement conserver leurs droits humains tels qu’ils sont énoncés dans la déclaration des Nations unies sur les droits de l’homme. Au lieu de cela, ils ont protégé ceux-là mêmes qui ont créé cette pandémie (et, par extension, les pandémies précédentes). Plus important encore, ils n’ont pas donné la parole à ceux d’entre nous qui, grâce à leur expertise scientifique et médicale, ont tenté d’exprimer leurs inquiétudes et de plaider simplement pour le maintien du droit à l’autonomie corporelle.

Au lieu de cela, les médias ont donné une tribune à des personnalités comme David Gorski, Tony Fauci, Albert Bourla et Peter Daszak, comme s’ils étaient des saints et non le visage d’une mafia biomédicale mondiale. Leur groupe de soutien composé de sous-fifres qui menacent les scientifiques et les non-scientifiques, fouillent leurs dossiers personnels et traquent leurs maisons, leurs enfants et leurs employeurs, savent qui ils sont. Moi aussi. Tout est archivé.

Le résultat de cette collusion entre les laboratoires pharmaceutiques, le gouvernement et les médias (avec des sous-fifres qui agissent en leur nom contre une rémunération dérisoire) est la mort de millions de personnes, sans le moindre soupçon de culpabilité. Ils n’en sont pas à leur premier coup d’essai, mais cette fois-ci, au lieu de 30 000 morts, ils en ont fait 6 millions et ce n’est pas fini. Et le grand public n’a jamais sourcillé à l’heure où il aurait fally critiquer les entreprises biomédicales et les entités gouvernementales et militaires responsables et agissant de concert.

Le résultat restera donc le même. 6 millions de morts cette fois-ci. La prochaine fois, ce sera probablement plus. Et si le public se fie à nouveau aux médias pour le guider sans poser de questions, cela ne s’arrêtera jamais. Il y a trop d’argent à gagner et de pouvoir à obtenir. Pourquoi les personnes impliquées s’arrêteraient-elles alors qu’il n’y a pas eu une seule protestation auprès d’un régulateur, d’un gouvernement ou d’une institution académique, malgré le fait que des décès aient été connus et dissimulés sans aucune transparence de la part des agences gouvernementales – qui auraient dû être prêtes à tout pour publier tous les documents qu’elles possédaient afin de prouver à la population qu’elles étaient au-dessus de tout reproche.

La mise en veille de ce compte n’est que le symptôme d’une maladie si insidieuse qu’elle ne peut rester sans traitement. Une seule personne – ou une seule souris – ne peut pas traiter cette maladie. J’ai fait mon temps ici autant que je le pouvais et je dois maintenant me consacrer à d’autres voies, pour ce qu’elles valent.

Mais sans l’aide du public, nous ne pouvons rien faire de plus. L’apathie nourrit la corruption et seul le public en masse peut cesser de la nourrir.

À ceux qui ont soutenu ce compte, sachez que j’apprécie tout ce que vous avez fait et que des milliers, voire des millions, le font déjà ou le feront à terme.

Pour l’instant, je vais tirer ma révérence. Je continuerai pour l’instant à interagir avec les messages des autres comptes, les réponses et les DM existants. Mais il n’y aura plus de nouveaux messages, de révélations ou de #Gates sur cette plateforme jusqu’à ce que de véritables protections soient mises en place pour les lanceurs d’alerte.

Une seule mise en garde: si les menaces dirigées contre moi ou mon entourage persistent ou refont surface, je n’aurai pas d’autre choix que de revenir.

Je vous souhaite une bonne nuit. Que Dieu vous garde.

Et que la #mousearmy poursuive son combat pour la vérité et contre la corruption dans la science.

Évidemment qu’ils n’en sont pas à leur premier coup d’essai, nous l’avons déjà mentionné. Pourtant, personne n’a été emprisonné pour avoir exploité les régulateurs médicaux en tant que passeurs de drogue, ce qui a entraîné environ 30 000 décès rien qu’avec le Vioxx:

Le tribunal apprend comment le géant pharmaceutique Merck a tenté de « neutraliser » et de « discréditer » les médecins critiques à l’égard du Vioxx.

Le laboratoire pharmaceutique Merck a dressé une liste de médecins et de chercheurs influents qu’il souhaitait « neutraliser » et « discréditer » dans le cadre de la commercialisation du Vioxx (rofecoxib), un médicament contre l’arthrite, selon des témoignages entendus par un tribunal australien cette semaine.

Les détails des projets visant à « neutraliser » les médecins ont fait surface lors d’une action collective contre Merck au nom de centaines d’Australiens ayant subi des crises cardiaques ou des accidents vasculaires cérébraux après avoir pris le médicament, qui a été retiré du marché en 2004 en raison de préoccupations concernant sa sécurité.

Julian Burnside QC, qui représentait les plaignants, a lu des extraits de courriels envoyés entre des membres du personnel de Merck, dans lesquels il était question d’une « liste de médecins ‘à problèmes’ que nous devions, au minimum, neutraliser ». […]

La toile est vaste et profonde

Jusqu’à présent, cet article n’a fait qu’effleurer la surface des réseaux impliqués dans cette gigantesque prise de pouvoir de la mafia biotechnologique, où le prix se mesure en centaines de trillions de dollars.

Les quatre grandes sociétés d’édition de gènes forment un immense cartel qui englobe les principaux centres universitaires situés entre Boston (Harvard, Cambridge MA) sur la côte est et l’UCSF sur la côte ouest. Il s’agit des entreprises suivantes

INTELLIA – Fondée par Jennifer Doudna. Partenaire de Regeneron.
CRISPR – Fondée par Emmanuel Charpentier (partenaire de Jennifer Doudna pour les brevets).
BEAM – Fondée par David Liu et Feng Zhang.
EDITAS – Fondé par Feng Zhang et George Church.

Il s’agit essentiellement d’un monopole de plusieurs trillions de dollars entre les mains de cinq personnes. Il n’y a même pas d’indépendance entre les entités de la côte Est et de la côte Ouest, car Doudna elle-même a déménagé de l’une à l’autre pour créer l’entité de l’UCSF [NdT. Université de Californie à San Francisco, leur site explique que « le futur se joue ici »] connue sous le nom d’Innovative Genomics Institute. Pour confirmer les types de réseaux de manipulation des médias sociaux qui existent, l’inventeur de l’algorithme Community Notes (Jay Baxter) sur Twitter s’est trouvé lié à ce petit compte Twitter qui s’est révélé être un scientifique de l’IGI de Jennifer Doudna.

En d’autres termes, ces personnes sont intégrées dans les réseaux d’influence twitter dont le rôle est de s’assurer que personne n’est autorisé à parler des problèmes liés à leurs produits13 – exactement comme pour le Vioxx.

Harvard – la plaque tournante moderne de la fraude universitaire

Il n’y a pas que Jeffrey Epstein qui laisse une mauvaise odeur à Harvard. Au cours des deux dernières années, Harvard et les entités qui lui sont liées ont fait l’objet d’accusations viables de fraude académique, deux camps s’affrontant pour savoir qui salir le plus.

Outre la fraude impliquant le centre de cancérologie Dana Farber, la suspension de la professeure Francesca Gino sur la base d’une allégation de fraude de données concernant certains de ses articles de psychologie a fait scandale. Ce même scandale a épargné son coauteur masculin, Dan Ariely, qui a participé à la rédaction de ces mêmes articles. Le graphique suivant, impliquant certains des acteurs mentionnés ci-dessus ainsi que la tristement célèbre artiste satanique Marina Abramovic, peut donner une idée de la raison pour laquelle Ariely, mais pas Gino, a échappé à la persécution de Harvard14.

En fait, l’odeur nauséabonde qui règne à Harvard se répand dans les recoins de toutes les organisations qui lui sont affiliées. Rappelons que Brigham and Women’s est à l’origine du scandale Surgisphere, qui a faussement discrédité l’hydroxychloroquine. Il a finalement été démontré que l’hydroxychloroquine réduisait de plus de moitié la mortalité due au COVID, ce qui indique que les actions du cartel de Harvard ont pu entraîner littéralement des millions de décès inutiles. Si vous ne voyez toujours pas les liens entre Harvard, Dana Farber, le Broad Institute et Brigham & Women’s (Surgisphere15), une carte pourrait vous aider – ils sont littéralement à quelques pas les uns des autres.

N’oubliez pas qu’à Harvard, une femme professeur qui n’a jamais écrit pour le magazine de Jeffrey Epstein sera publiquement discréditée pour toute manipulation de données associée à ses articles. Mais si on fait partie du bon club, comme Ariely, on s’en sort apparemment bien.

Pour enfoncer le clou, les quatre auteurs de cette fraude aujourd’hui totalement discréditée et prouvée, qui a très certainement entraîné des décès, s’en sortent également.

D’où la question: Francesca Gino savait-elle quelque chose qui faisait d’elle une cible? C’est peut-être un sujet d’article pour un autre jour, mais Sabine Hazan pense que les souris semblent avoir flairé quelque chose.

sabine hazan md

Eh bien, eh bien, eh bien!! Encore des nouvelles sur les #poogates et #ginogate 🤯. La fausse étude de Surgiphere sur l’HCq avec soi-disant 96 000 patients était dans @TheLancet pour ceux qui ne s’en souviennent pas. Cette étude bidon a tué l’HCQ… Maintenant, il semble qu’il y ait une relation significative entre cette étude et le #Ginogate et le #muttoncrew … 🤯🤯 Le muttoncrew est-il payé pour rétracter des papiers pour tuer l’Hcq et l’IVM? Ça y ressemble certainement… Merci à la ligue des souris pour votre travail acharné à faire éclater la vérité…

Jikkileaks

Non, nous n’avons pas oublié le #GinoGate.

Pourquoi Brigham and Women’s, lié à la #Surgisphère, accueillerait-il une étude COVID fondée par…
Une jeune fille au pair sans aucune qualification scientifique?

Et pourquoi le site http://covid-19.study a-t-il été effacé?

Parce que c’était une mise en scène. Voilà pourquoi.

En attendant, si vous n’êtes pas tout à fait au courant de l’histoire de l’escroquerie de Surgisphere, vous ne pouvez faire mieux que de regarder cet exposé fantastique et instructif de notre très bon ami John Davidson. La réalisation de ce film repose uniquement sur les dons et la bonne volonté, alors n’hésitez pas à envoyer l’un ou l’autre à John à brokentruth.com.

[NdT. excellent documentaire avec de vrais sous-titres français (à sélectionner dans les Paramètres)]

CRIS-PR: la machine à propagande

Tout comme dans le cas du scandale Surgisphere (parfois appelé Lancetgate), une machine de relations publiques est nécessaire pour que les personnes raisonnables (dont la plupart ne veulent pas que leur génome soit modifié par des élites) acceptent la poussée vers le Saint-Graal économique que représente le CRISPR global. Et cette machine est profondément ancrée dans les institutions CRISPR.

Cet « article » de Nature datant de 2015 est le plus grand exemple d’opération de relations publiques déguisées en science que vous verrez jamais. « CRISPR germline engineering – the community speaks«  (« Ingénierie germinale CRISPR – la communauté s’exprime »)

Tous les acteurs sont là, et le meilleur se trouve dans les archives supplémentaires16 dans les notes de bas de page, mais voici quelques perles de personnes qui vous sont peut-être déjà familières:

J. Craig Venter: Je pense que l’ingénierie de la lignée germinale humaine est inévitable et qu’il n’y aura fondamentalement aucun moyen efficace de réglementer ou de contrôler l’utilisation de la technologie d’édition de gènes dans la reproduction humaine.

Jonathan Moreno: Les biologistes des populations ont suggéré il y a 40 ans qu’il serait souhaitable de créer une banque des caractéristiques qui ont été éliminées des populations, juste au cas où elles devraient être réintroduites dans le pool génétique.

Naldini: Le principal risque sociétal actuel est le contrecoup d’une opinion exagérée mais potentiellement répandue selon laquelle les technologies d’édition de gènes conduiront à des scénarios de science-fiction dans lesquels les humains seront reproduits sur mesure, ce qui entraînera toute une série d’effets imprévus.

Zhang: Où tracer la limite entre ce qui est un trait biologique acceptable pour l’édition de la lignée germinale et ce qui ne l’est pas?… À mesure que nous prenons confiance dans la sécurité de l’édition de la lignée germinale, devrions-nous autoriser cette édition pour supprimer les mutations qui ne causent pas de maladie à apparition précoce? Où tracer la limite?

Cohen: Le risque est plus grand si l’on autorise l’évolution vers des programmes discrétionnaires de « gènes sur mesure ». Le cauchemar de science-fiction d’un État totalitaire orwellien ou d’une société hitlérienne recourant au génie génétique pour obtenir uniquement les caractéristiques « souhaitables » pourrait finalement se produire, bien que nous soyons loin de cette capacité aujourd’hui.

Mais je pense – pour des raisons évidentes pour ceux qui suivent ce blog depuis 2021 – que ma citation préférée doit être celle-ci:

Kim: Dans un monde idéal, l’édition du génome germinal serait disponible et abordable pour tous. Aucun parent porteur d’une mutation génétique fatale ne transmettrait son gène défectueux à ses enfants. Dans une société inégalitaire, cependant, l’édition du génome germinal ne sera accessible qu’aux riches, ce qui entraînera une « fracture génétique », comme le prédit le film « GATTACA ».

Bien entendu, lorsque Nature a publié cet article en 2015, « la communauté » ne faisait référence qu’aux personnes déjà haut placées dans la hiérarchie des armes biologiques et de l’édition du génome, qui ont tout intérêt à ne pas laisser les scientifiques de base s’exprimer s’il y a risque de mettre en péril une industrie qui pèse des trillions de dollars.

Quelque huit ans plus tard, Nature a publié un article nous expliquant à quel point CRISPR est « sûr et efficace » et qu’il n’y a pas lieu de s’inquiéter. Bien entendu, la personne interviewée dans l’article se trouve être de l’UCSF, l’institut de Jennifer Doudna. Aucun conflit d’intérêt n’a été déclaré, parce que, enfin, tu vois, quoi.

CRISPR est-il sûr? L’édition du génome fait l’objet d’un premier examen par la FDA

Des conseillers de l’agence américaine de réglementation vont examiner le profil de sécurité d’un traitement de la drépanocytose basé sur le CRISPR.

Heureusement pour nous, et pour le bien commun, l’institut de Doudna peut maintenant fournir cette thérapie « sûre et efficace » de manière ciblée sans ces vecteurs adénoviraux gênants, tout comme les vaccins génétiques à ARNm étaient bien meilleurs que les bidules d’AstraZeneca, vous vous souvenez?

Voyez-vous ce qui se profile à l’horizon?

Livraison non virale ciblée d’éditeurs de génome in vivo

Le fumet du FEM omniprésent

L’une des choses que nous avons apprises au cours des quatre dernières années de biofascisme déguisé en « préparation à la pandémie », c’est que partout où l’on tente d’imposer des traitements médicaux à d’autres, on trouve le Forum Économique Mondial (FEM). Et CRISPR n’est pas différent.

Voici Haoyi Wang, du FEM, qui nous explique comment l’édition de gènes sera utilisée pour effectuer des changements génétiques multiples et permanents.

Et voici notre amie Jennifer Doudna qui vante les mérites de l’une de ses entreprises (Mammoth Biosciences) au nom du Forum Économique Mondial. Je parie que vous ne l’aviez pas vue venir.

Mammoth Biosciences est un innovateur global du Forum Économique Mondial à l’avant-garde de ces développements.
Voici cinq éléments que Trevor Martin, cofondateur et PDG de Mammoth, juge important de connaître sur l’évolution du domaine à l’ère du COVID-19.

Bien entendu, le Forum Économique Mondial, qui semble être à l’origine de tout [ce qui va mal] dans le monde, est « engagé dans l’amélioration de l’état du monde ».

Ils sont les arbitres autoproclamés de ce qui devrait se passer dans le monde et, heureusement, ils sont présents dans le domaine de l’édition du génome avec leur livre blanc ici17 et les articles « How gene editing is changing the world » (Comment l’édition de gènes change le monde) et « 5 things to know about CRISPR in the COVID era » (5 choses à savoir sur CRISPR à l’ère du COVID), avec la vidéo ci-dessus de Jennifer Doudna.

N’oubliez pas non plus qu’il s’agit du même Forum Économique Mondial qui vous a dit que « vous ne posséderez rien et serez heureux » d’ici 2030. Autrement connu sous le nom de fascisme mondial, parce qu’il est clair que quelqu’un possédera tout – c’est juste que ce ne sera pas vous.

[VIDÉO SUR LA PAGE SOURCE]

Ce qui signifie vraisemblablement que vous ne serez pas non plus propriétaire de votre génome.

Et pourquoi le seriez-vous? Vous serez heureux que Klaus Schwab en soit propriétaire, n’est-ce pas? Et Klaus et ses amis, qui suggèrent implicitement qu’ils devraient tout posséder, pourront décider de l’édition du génome qui rendra le monde (c’est-à-dire vous) meilleur.

La section ci-dessous de la vidéo du FEM intitulée « Les technologues partagent leurs visions de notre monde futur » vous l’explique avec des phrases accrocheuses telles que « Nous devons imaginer un nouvel âge », « Améliorer la biologie » et « Écrire un nouveau code pour la vie ».

Super.

Voici le passage sur l’édition de gènes [NdT. c’est au point 3], qui, soit dit en passant, reconnaît nonchalamment que les vaccins COVID-19 font partie de cette amélioration technologique de la population mondiale.

La vidéo parle ensuite de lunettes de réalité diminuée qui « vous permettront d’enlever des choses de votre vue, qu’il s’agisse d’ordures ou d’autres personnes ». Un message subliminal qui dit « les autres = ordures ».

Je suis sûr que ces acteurs du FEM sont des gens charmants dans le cadre d’un dîner – mais ce sont certainement les dernières personnes qu’on aimerait voir en charge de cette technologie.

Et si vous trouvez ça grave, écoutez ce type – Noah Harari, le transhumaniste en chef du Forum Économique Mondial – qui passe à la vitesse supérieure dans sa conférence TED, en nous disant que les droits de l’homme n’existent pas, parce qu’on ne peut ni les toucher, ni les sentir, ni les voir. Parce qu’ils ne sont pas une « réalité biologique », cela signifie que les droits de l’homme n’existent pas. Charmant.

Bien sûr, il poursuit en nous disant que Dieu n’existe pas, pas plus que les pays ou l’argent. Ce ne sont « que des histoires ». Il est nécessaire pour le FEM de vous faire avaler tout cela afin que vous abandonniez vos croyances en Dieu, au libre arbitre, aux droits de l’homme, aux États-nations et à la propriété. C’est l’utopie ultime du politburo fasciste-socialiste mondial – dépeinte dans tous les romans dystopiques – et ils l’habillent d’un langage presque raisonnable pour vous faire tomber dans le panneau.

Ne vous y fiez pas. C’est littéralement GATTACA, Brave New World et 1984 réunis, et ils18 sont assis à se marrer en voyant à quel point ils ont trompé la population.

On leur a filé à tous une thérapie génique, en l’appelant un vaccin.

À ce stade, il convient de souligner ce qui, je l’espère, sera la principale conclusion de cette série en deux parties:


La chose la plus importante à retenir de ces deux articles est qu’il n’y a aucune différence fondamentale ou juridique entre l’idée d’imposer un vaccin génétique à la population et celle d’imposer une technologie d’édition génétique à la population.

La loi a déjà été établie, si nous permettons à l’affaire Kassam contre Hazzard de rester incontestée.


Retour à la loi

Ce qui nous ramène au Dr Chris Rudge de la première partie de cette série. Oui, le même Chris Rudge qui a rédigé l’article essentiel pour justifier la décision du juge Beech-Jones de retirer les droits de l’homme à la population australienne.

L’un des experts mondiaux de l’histoire de la famille eugéniste Huxley est l’une des personnes qui s’occupe aujourd’hui de la législation du Commonwealth sur l’édition du génome. Cool.

Points à prendre en compte dans l’élaboration d’une politique nationale en matière d’édition du génome humain

L’article déclare sur un ton plutôt inquiétant:

Sur la base de notre analyse, nous soutenons que l’élaboration de politiques nationales en matière d’édition du génome devrait se concentrer sur cinq thèmes particuliers. Il s’agit (1) d’intégrer l’équité et d’autres valeurs et principes dans la politique d’édition du génome humain; (2) de veiller à ce que la thérapie, l’amélioration et les autres applications soient réglementées de manière appropriée; (3) de décider quels types de recherche sur l’édition du génome humain devraient être autorisés et soutenus, en reconnaissant les différents points de vue sur le statut de l’embryon humain; (4) de se préparer à un avenir où l’édition héréditaire du génome humain pourrait s’avérer sûre et efficace et (5) d’intégrer une participation publique significative dans la gouvernance de l’édition du génome humain.

Je vais répéter cette phrase:

(4) se préparer à un avenir où l’édition du génome humain héritable pourra se révéler sûre et efficace.

Ainsi, maintenant que l’édition héréditaire du génome va être « sûre et efficace » (définie sans aucun doute par les mêmes personnes qui ont déclaré que les vaccins de thérapie génique étaient sûrs et efficaces), rien n’empêche le cercle de justice dont font partie des personnes telles que Robert Beech-Jones, maintenant élevé à la Haute Cour, de déterminer que:

« Les vaccins de thérapie génique ont été jugés sûrs et efficaces par les autorités compétentes et, par conséquent, le droit de l’individu de refuser ces vaccins n’est pas suffisant pour l’emporter sur les exigences de l’ordre de santé publique imposant ces vaccins à tous les travailleurs en Australie »

Parce que personne ne les a empêchés de le faire en 2021. Alors pourquoi diable, après que le précédent a été établi par Beech-Jones et jugé légal en appel, quelqu’un devrait-il les empêcher d’apporter cette modification mineure à la loi désormais établie?

Au cas où vous ne l’auriez pas vu venir, voici à nouveau le juge Robert Beech-Jones prononçant son discours « la technologie usurpe vos droits », présenté dans la partie 1.

[VOIR VIDEO SUR LA PAGE SOURCE]

Et qui défiera ces juges, qui pensent que les droits de l’homme n’existent plus dans le cadre d’une situation fabriquée qui répond à un agenda particulier?

Personne. Parce qu’ils n’ont même pas besoin de répondre au public.

Voici la réponse de ce même juge aux questions du public lors des présentations de la commission royale australienne COVID cette semaine. Le juge Beech-Jones ayant refusé de répondre, la Cour a répondu à sa place. Et quelle a été leur réponse?

Chère Madame Dunstone

Enquête sur une commission royale COVID-19

Je vous écris en réponse à votre lettre du 21 mars 2024 adressée à l’honorable juge Robert Beech-Jones, lui offrant la possibilité de répondre à un « commentaire » fourni à la commission dans le cadre de son enquête. Le juge Beech-Jones ne souhaite pas répondre.

J’attire l’attention de la commission sur le fait que le jugement du juge Beech-Jones dans l’affaire Kassam v Hazard [2021] NSWSC 1320 a été rendu le 15 octobre 2021. L’article universitaire « Covid- 19 Vaccine Mandates: A Coercive but Justified Public Health Necessity » (Mandats de vaccination Covid- 19: une nécessité de santé publique coercitive mais justifiée) a été publié en juillet 2023 dans le volume 26 du University of New South Wales Law Journal, en même temps qu’un certain nombre d’autres articles. Le juge Beech-Jones a rédigé l’avant-propos de ce volume du Law Journal.

Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, leur réponse a été de se référer au document écrit par Wilson et Rudge pour défendre les mandats qui ont contraint la population à recevoir des vaccins de thérapie génétique comme condition pour se prévaloir des droits de l’homme déclarés dans l’article 23.1 de la déclaration des droits de l’homme de l’ONU qui stipule que:

Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.

Ce même Chris Rudge a reçu le soutien réciproque du juge Beech-Jones lors de son accession à la Haute Cour d’Australie, probablement en raison de son « excellent » travail d’abrogation des droits de l’homme des Australiens (et, par extension, du Commonwealth) qui, selon le Forum Économique Mondial, n’existent pas.

Donc, si vous pensez que le pouvoir judiciaire vous protégera contre l’obligation de prendre un produit de thérapie génique, quel que soit son nom, à l’avenir – pensez-y à deux fois.

La seule façon d’éviter cela est soit de renverser les principes de coercition légalisée validés dans l’affaire Kassam contre Hazzard, soit que les personnes qui s’apprêtent à gagner des trillions de dollars grâce à leurs produits brevetés acquièrent soudain une conscience éthique.

Laquelle de ces deux options est la plus probable, selon vous?

Bienvenue à Gilead GATTACA. Via Harvard.

/Fin


  1. FDA: Thérapie génique humaine: incorporation de l’édition du génome humain, janvier 2024
    https://www.arkmedic.info/api/v1/file/fed7dfdc-b524-47ca-b468-861975cd350b.pdf ↩︎
  2. Un « protospace adjacent motif » https://sg.idtdna.com/pages/Support/FAQs/what-is-a-pam-sequence-and-where-is-it-located ↩︎
  3. Novavax a été commercialisé en tant que « vaccin protéique », mais il est soumis au même problème de contamination par les plasmides que les produits de thérapie génique de Pfizer et de Moderna, car le plasmide ADN qui produit l’ARN à l’origine de la protéine n’a peut-être pas été décontaminé efficacement, et les autorités de réglementation n’ont pas pris la peine de le vérifier. ↩︎
  4. L’optimisation des codons est un processus par lequel les généticiens recréent une protéine (qui est une séquence d’acides aminés) en utilisant une séquence génétique (nucléotide) différente de la séquence génétique originale qui a produit la protéine, mais qui crée la même séquence d’acides aminés. Cela est possible parce qu’il n’y a que 20 acides aminés mais 64 combinaisons des 3 nucléotides qui codent pour chaque acide aminé, ce qui donne une redondance. Par exemple, l’arginine est codée par AGA ou AGG ; la glycine par GGA, GGT, GGC ou GGG. Ainsi, si vous avez une séquence de nucléotides AGAGGG et que vous la changez en AGGGGT, vous obtiendrez toujours les mêmes acides aminés et donc la même protéine (en théorie). Il y a cependant des conséquences à ce genre de bricolage et le résultat n’est pas toujours celui que l’on attend. ↩︎
  5. Un coup de chapeau à OpenVAET pour avoir mené d’une main de maître cette analyse avec moi. J’espère que nous aurons l’occasion de l’approfondir dans un autre article. ↩︎
  6. Vous pouvez le vérifier par vous-même en effectuant une analyse BLAST de la séquence Pfizer, Moderna ou Novavax par rapport au génome humain. Voici le résultat
    ↩︎
  7. Manuel des décisions bioéthiques – avant-propos de Peter Singer. ↩︎
  8. Transcription de la Cour et archives liées ici
    https://t.me/arkmedic/9103 ↩︎
  9. Richard Dawkins défend la pédophilie « légère », encore et encore »: Archivé ↩︎
  10. C’est pourquoi nous conservons des archives. L’article original a été réduit à un seul paragraphe par Buzzfeed News.
    https://archive.is/Gz1xr ↩︎
  11. George Church, pionnier de la génétique, soutient l’édition de gènes humains: tant qu’elle est ouverte à tous, riches ou pauvres: Archivé ↩︎
  12. Nommé #NotesGate et immortalisé dans le substack de Shez ici ↩︎
  13. Ce compte twitter a été au cœur du scandale #CRISPRgate dévoilé sur twitter en janvier dernier. ↩︎
  14. Si vous voulez en savoir plus, je vous suggère de suivre le hashtag #GinoGate sur twitter et surtout de suivre Jurassic Carl. ↩︎
  15. L’adresse officielle de la société Surgisphere est Chicago, mais l’auteur principal de l’article se trouve à Brigham and Women’s. ↩︎
  16. https://www.nature.com/articles/nbt.3227supplément.
    https://www.arkmedic.info/api/v1/file/d2442c61-ccbe-4038-b423-f62d047eeca3.pdf ↩︎
  17. Politique de données génomiques et cadre éthique du FEM à l’horizon 2020
    https://www.arkmedic.info/api/v1/file/93a94c24-a110-44a7-936b-0ec9cbf2367a.pdf ↩︎
  18. Le Forum Économique Mondial, le Council on Foreign Relations, le groupe Bilderberg et leurs entités apparentées qui contrôlent la masse monétaire mondiale par l’intermédiaire de « think tanks ». ↩︎

« Évolution non naturelle »: preuves indiscutables de la création délibérée et systématique des variants covid en circulation.

J’ai loupé cette publication en août dernier. Comme dit l’auteur (anonyme), ça change tout.

Source.


« Évolution non naturelle »: preuves indiscutables de la création délibérée et systématique des variants covid en circulation

Les panels complets de « mutations de réversion » trouvés dans la circulation générale ressemblent à une expérience

26 août 2023

Le 5 août 2023, une équipe de recherche japonaise a publié une préimpression qui semble contenir les révélations les plus importantes et les plus choquantes de l’ère covid.

Atsuki Tanaka et Takayuki Miyazawa, de l’Université médicale d’Osaka et de l’Université de Kyoto, ont voulu retracer l’évolution historique du variant omicron du SARS-CoV2 en étudiant des séquences virales trouvées « dans la nature » et déposées dans des bases de données publiques.

Ils ont ainsi découvert une centaine de sous-variants omicron distincts dont l’apparition par des processus naturels n’est pas concevable. L’existence de ces variants semble apporter la preuve définitive de la création en laboratoire et de la diffusion à grande échelle de virus covid.

En outre, les variants semblent former des panels complets de mutations typiques de celles utilisées dans les expériences de « génétique inverse » pour tester systématiquement les propriétés des différentes parties des virus.

Les auteurs ont également trouvé des correspondances exactes avec des variants omicron dans des séquences provenant de Porto Rico et déposées dans des bases de données en 2020, soit plus d’un an avant l’annonce de la découverte de l’omicron en Afrique du Sud.

Associés aux observations d’un nombre invraisemblablement faible de mutations « silencieuses » dans les variants du SARS-CoV2, Tanaka et Miyazawa soutiennent que tous les variants apparus depuis l’épidémie initiale de Wuhan ne sont pas naturels et supposent qu’ils représentent un programme expérimental visant à tester les déterminants de l’infectivité et de la pathogénicité du SARS-CoV2 au sein de la population mondiale.

ADDENDUM: Le SARS-CoV2 pourrait exister en tant que « quasi-espèce virale« , c’est-à-dire

« une structure de population composée d’un très grand nombre de génomes variants, appelés spectres de mutants, essaims de mutants ou nuages de mutants ».

Cela rendrait moins surprenante l’apparition de mutations de réversion. Toutefois, cela n’expliquerait pas l’absence de mutations silencieuses dans omicron et d’autres variants (par rapport au variant original de Wuhan), ni l’absence de mutations silencieuses dans les mutants de réversion par rapport à omicron, ni la détection de séquences d’omicron en 2020 à Porto Rico.

Merci à Josh Mitteldorf de l’avoir signalé, mais il est toujours extrêmement difficile de voir comment ces observations peuvent être expliquées naturellement.

Contexte: l’évolution naturelle procède par accumulation de mutations

Avant de décrire l’étude et ses résultats, il convient de rappeler rapidement les principes de base de l’évolution des virus (et de toutes les formes de vie). N’hésitez pas à sauter cette étape si vous la connaissez déjà.

Le SARS-CoV2, comme tous les virus et organismes, se définit par son information génétique, que l’on peut considérer comme une chaîne ou une séquence de lettres. Dans la plupart des organismes, la chaîne est constituée d’ADN, mais le SARS-CoV2 et certains autres virus utilisent des chaînes d’ARN, une molécule étroitement apparentée, pour assurer cette fonction de stockage de l’information.

Le matériel génétique (ADN ou ARN) est divisé en « gènes », c’est-à-dire en séquences génétiques qui codent chacune une protéine. Les protéines sont des molécules actives qui sont synthétisées par la cellule, en utilisant le gène comme modèle. Les protéines sont également des séquences, mais leurs éléments constitutifs sont très différents. Elles n’existent pas en tant que simples chaînes de caractères qui ne font que stocker des informations, mais forment des structures 3D complexes qui ont une activité biologique.

Lorsqu’un organisme se reproduit, la séquence génétique (ADN ou ARN) est copiée et transmise à la génération suivante. Mais le mécanisme de copie est sujet aux erreurs et il arrive qu’un changement, ou « mutation », se produise. Les générations suivantes transmettent cette séquence, de sorte que les mutations s’accumulent naturellement au fil du temps.

Le diagramme ci-dessous illustre ce phénomène: une séquence d’ADN originale accumule quatre mutations successives.

Les effets des mutations sur l’organisme déterminent leur persistance dans la nature

Il est utile de considérer qu’il existe quelques types généraux de mutation, en fonction de leurs effets sur l’organisme:

  • Beaucoup n’auront aucun effet. Certaines modifications individuelles d’une lettre d’ADN/ARN ne changeront pas réellement la séquence de la protéine codée. Ces mutations « synonymes » n’ont généralement aucun effet et s’accumulent donc simplement au fil de l’évolution naturelle. Comme nous le verrons, l’absence de mutations synonymes est un signe important que l’évolution d’omicron et d’autres variants n’est pas naturelle.
  • Parmi celles qui ont un effet, la grande majorité sera délétère, pour la même raison qu’une modification aléatoire d’une partie d’un système fonctionnel est susceptible de le briser. Ces mutations disparaîtront rapidement de la population.
  • Il est très rare qu’une mutation provoque un changement ayant un effet bénéfique. Ces mutations proliféreront alors dans les générations futures, car les organismes qui en sont porteurs survivront et se reproduiront plus efficacement.

Ainsi, toutes les formes de vie accumulent progressivement des mutations – certaines silencieuses, d’autres bénéfiques. C’est l’évolution.

L’« évolution non naturelle » d’omicron

Examinons maintenant le cas spécifique du variant omicron du SARS-CoV2 et son évolution (présumée) à partir de la souche originale de Wuhan.

Pour cet article, nous suivrons Tanaka et Miyazawa en nous concentrant sur une seule section de la chaîne d’informations génétiques du virus – le gène codant pour la fameuse protéine de pointe. Ils étudient trois variants d’omicron officiellement reconnus – BA1, BA1.1 et BA2. Pour l’instant, nous nous contenterons d’examiner le BA1.

Comme dans toute évolution, les changements dans la protéine de pointe se produisent par l’accumulation progressive de mutations dans la séquence génétique qui la code. Dans le cas de l’omicron BA1, il y a 37 mutations non synonymes, c’est-à-dire des points où la séquence de la protéine de pointe produite est différente de celle du variant original de Wuhan.

Tanaka et Miyazawa ont voulu utiliser les bases de données publiques, dans lesquelles les chercheurs du monde entier déposent les séquences virales qu’ils ont trouvées, pour retracer l’histoire de l’évolution de la protéine de pointe de l’omicron BA1, c’est-à-dire pour répondre à la question suivante: dans quel ordre ces 37 mutations se sont-elles accumulées?

Retracer l’ordre d’accumulation des mutations omicron

Il y a deux façons évidentes de procéder: en partant de l’avant ou en revenant en arrière.

Dans l’approche prospective, on peut rechercher dans les bases de données les versions de la séquence qui présentent une seule des 37 mutations omicron, mais qui sont par ailleurs identiques à la souche d’origine. Cette seule mutation doit avoir été la première. On pourrait ensuite répéter le processus pour identifier la deuxième, la troisième, etc.

Toutefois, les variants porteurs de mutations très précoces auraient été rares dans la population mondiale du SARS-CoV2 et pourraient ne pas apparaître dans les bases de données.

Une approche plus sûre, celle adoptée par Tanaka et Miyazawa, consiste à travailler à rebours. Cela signifie qu’il faut commencer par déterminer laquelle des 37 mutations est la dernière ou la plus récente.

Pour ce faire, il faut trouver une séquence qui inclut toutes les mutations sauf une – et celle-ci doit être la mutation la plus récente.

Tanaka et Miyazawa ont donc effectué une série de 37 requêtes dans la base de données en utilisant des séquences dépourvues chacune d’une seule des mutations omicron BA1, en partant du principe que l’une des 37 séquences devrait trouver une correspondance, indiquant la dernière mutation dans la progression de l’évolution vers BA1.

Il est intéressant de s’imaginer à la place de ces chercheurs, exécutant des requêtes pour chacune des 37 mutations, se demandant peut-être laquelle d’entre elles s’avérerait être la plus récente, et obtenant la réponse… TOUTES*.

Enfin, toutes sauf une, ce qui ne fait aucune différence.

Leur cerveau a dû exploser.

Un panel de variants avec des mutations omicron BA1 inversées individuellement ne peut pas apparaître naturellement

Dans la figure ci-dessous (Fig 2A de l’article), chaque ligne représente un variant de l’omicron BA1 trouvé « dans la nature ».

Les colonnes représentent chacune des mutations omicron. Si la cellule est colorée, cela signifie que le variant porte la mutation. Les cellules blanches indiquent que la mutation est absente et que la séquence de la protéine de pointe est identique à la souche originale de Wuhan à ce stade.

Si vous pensez que le tableau a un aspect très ordonné, vous avez raison. Il montre que, pour toutes les mutations du sous-variant omicron BA1 sauf une, il existe une souche dans laquelle cette mutation – seule – est absente.

Dans l’évolution naturelle par mutation accumulée, chaque variant n’a qu’un seul parent, car il a été créé par un seul événement de mutation. Ainsi, pris au pied de la lettre, ces résultats impliquent que l’un des variants est le parent d’omicron BA1 (nous ne pouvons pas dire lequel), et que tous les autres sont des enfants.

Nous pouvons maintenant répondre à la question initiale de Tanaka et Miyazawa et décrire l’histoire naturelle de l’évolution de l’omicron BA1 qui découle de ces résultats :

  • La souche BA1 officiellement reconnue se forme lorsque la dernière de ses 37 mutations se produit (nous ne savons pas laquelle);
  • BA1 subit ensuite 35 changements distincts et parallèles qui inversent parfaitement l’une de ces mutations par rapport à la séquence de la souche originale de Wuhan.

C’est absurde. La réversion parfaite de mutations comme celle-ci, à une telle échelle, n’est absolument pas plausible dans le cadre d’un processus naturel.

Les variants trouvés par Tanaka et Miyazama peuvent être décrits comme un « panel » de mutations de réversion. Ce type de panel est exactement ce qu’un chercheur créerait pour tester systématiquement la contribution de différents éléments d’un virus à son activité.

On trouve également des « panels » de réversion complets pour d’autres variants officiels d’omicron

Les chercheurs ont également examiné deux autres variants omicron reconnus et largement répandus, à savoir les variants BA1.1 et BA2. Fait remarquable, ils ont trouvé les mêmes « panels » de mutations de réversion pour ces deux variants.

BA1.1 est très similaire à BA1 – il ne comporte qu’une seule mutation supplémentaire par rapport à la souche de Wuhan, soit un total de 38.

Lorsque Tanaka et Miyazawa ont effectué des recherches sans tenir compte de chacune de ces mutations, ils ont trouvé 37 des 38 mutations existant « à l’état sauvage ».

BA2 est assez différent de BA1 – ils partagent 14 mutations par rapport à la souche Wuhan, mais BA2 n’a que 17 autres mutations (différentes) pour un total de 31.

Lorsqu’ils ont recherché des variants dépourvus de ces mutations individuelles, ils en ont trouvé 29 sur les 31 « dans la nature ».

La « recombinaison », ou l’échange de matériel génétique entre différents virus, ne peut pas non plus expliquer les variants d’omicron

La discussion ci-dessus concerne l’évolution par accumulation progressive de mutations, dans laquelle chaque nouveau variant est produit par la mutation d’un seul parent.

Il existe un autre mécanisme par lequel les virus et d’autres formes de vie peuvent évoluer. La « recombinaison » implique l’échange de sections de matériel génétique entre deux variants différents. Les variants observés pourraient-ils résulter d’un échange de matériel génétique entre omicron BA1 et le virus original de Wuhan?

Tanaka et Miyazawa s’efforcent d’envisager cette possibilité, mais peuvent facilement l’exclure.

D’une part, la recombinaison nécessiterait que les virus omicron BA1 et les autres virus ancestraux soient présents dans la même cellule au même moment – car la recombinaison ne peut se produire que dans une cellule, pendant la phase de réplication du virus. Cela sera extrêmement rare compte tenu des fréquences impliquées et de la nécessité de créer autant de mutations de réversion – en particulier compte tenu de la chronologie des vagues des différents variants, comme indiqué dans l’article.

Expliquer ces réversions par la recombinaison signifierait qu’une section d’ARN dans omicron BA1 contenant la mutation à inverser devrait être proprement échangée, de sorte que les mutations situées de part et d’autre ne soient pas affectées. Il faudrait qu’il y ait deux « croisements » entre les variants, un de chaque côté de la mutation. Mais les croisements nécessitent l’alignement d’une partie de la séquence commune entre les deux souches. Pour certaines mutations, l’écart de part et d’autre de la mutation suivante n’est tout simplement pas assez grand pour permettre ces croisements, et la recombinaison est donc impossible.

La recombinaison laisserait également des traces dans les régions flanquantes du virus de part et d’autre du gène de la protéine de pointe – et celles-ci n’ont pas été trouvées.

Variants d’omicron dans des échantillons prélevés à Porto Rico – plus d’un an avant la détection officielle d’omicron

Tanaka et Miyazawa ont donc pu montrer que la recombinaison ne pouvait pas expliquer le panel de mutations de réversion qu’ils ont trouvé. Mais en envisageant cette possibilité, ils sont tombés sur d’autres éléments qui soulèvent des questions fondamentales sur l’histoire d’Omicron.

En interrogeant la base de données à la recherche de signes indiquant que la recombinaison a joué un rôle, ils ont trouvé des correspondances avec une séquence de Porto Rico soumise en 2020. D’autres recherches ont permis de trouver 29 variants attribués à Porto Rico qui correspondent exactement à omicron BA1 ou BA2, sur la base des séquences de protéines de pointe.

Toutes ces séquences ont été déposées dans la base de données en 2020, plus d’un an avant l’annonce de la détection d’omicron en Afrique du Sud en novembre 2021.

L’absence de mutations « synonymes » suggère fortement que les variants du SARS-CoV2 sont d’origine artificielle

Comme si tout cela ne suffisait pas, Tanaka et Miyazawa soulignent une autre série de preuves qui, à elles seules, suffisent probablement à conclure que les variants omicron ne sont pas naturels.

L’explication des mutations ci-dessus a souligné que, dans la nature, on s’attend à en voir

  • des mutations qui ont un effet matériel et bénéfique sur l’organisme; et
  • des mutations « silencieuses » ou « synonymes » qui n’affectent pas les protéines produites à partir de l’ARN/ADN et ne devraient pas modifier la capacité de reproduction de l’organisme.

Ces mutations « synonymes » qui ne modifient pas la protéine correspondante sont, comme on peut s’y attendre, beaucoup plus fréquentes que celles qui affectent la protéine elle-même. Elles n’ont généralement aucun effet sur la capacité de survie du virus et s’accumulent donc naturellement au fil du temps, parallèlement à l’acquisition de mutations non synonymes bénéfiques plus rares et plus significatives sur le plan fonctionnel.

Or, les variants officiels omicron mentionnés ici ne présentent tous qu’une seule mutation synonyme dans le gène codant pour la protéine de pointe, contre 31 à 38 mutations non synonymes.

Cela n’a aucun sens. L’évolution naturelle devrait toujours créer des mutations synonymes silencieuses à un taux plus élevé que des mutations non synonymes qui ne peuvent persister que si, contre toute attente, elles entraînent au hasard une amélioration de la conception de la protéine qu’elles codent.

Les auteurs poursuivent en soulignant que cette observation non plausible n’est pas limitée à omicron:

Il n’y avait pas de mutations synonymes dans les variants Alpha, Beta, Gamma, Delta ou Mu, [et] seulement une dans chacun des variants Lambda et Omicron.

Les panels de réversion omicron semblent faire partie d’une expérience systématique

La présence « dans la nature » de panels presque complets de réversions individuelles parfaites de pratiquement toutes les mutations dans trois lignées omicron distinctes ne peut vraisemblablement pas être naturelle. Cela ressemble plutôt à un exercice systématique de « génétique inverse » visant à tester les effets de chaque mutation omicron sur le comportement du virus.

Il est clair que tout ou partie des variants omicron ont été synthétisés dans un laboratoire d’où ils ont été libérés d’une manière ou d’une autre, dans le cadre d’un programme délibéré. Si l’on ajoute à cela l’absence de mutations synonymes dans d’autres variants, on peut en déduire que tous les variants décrits après la souche originale de Wuhan ont des origines artificielles.

Les auteurs suggèrent que les variants qu’ils ont trouvés font effectivement partie d’une expérience visant à caractériser la protéine de pointe et les effets des mutations sur le comportement du virus:

En effet, le fait que l’on n’ait pas trouvé jusqu’à présent que bon nombre des diverses mutations observées, en particulier dans les premiers variants, sont effectivement associées à une infection virale accrue (van Dorp et al, 2020) soutient l’hypothèse selon laquelle chaque variant a été synthétisé artificiellement pour identifier les acides aminés de la protéine S responsables de l’infectiosité et de la pathogénicité.

Conclusion: cela change tout

Si les observations et les déductions de cet article sont correctes – et à moins d’un pur canular, impliquant des dépôts frauduleux dans des bases de données de séquences, elles semblent l’être – alors elles fournissent la preuve indiscutable que toute l’histoire du SARS-CoV2, au moins après l’émergence de la souche d’origine, est artificielle.

Quelqu’un, quelque part, fait vraiment tout cela délibérément.

Corrections

3 septembre 2023

Certains La plupart des changements individuels d’une lettre d’ADN/ARN ne modifieront pas réellement la séquence de la protéine codée.

La majorité des mutations uniques aléatoires modifieront effectivement l’acide aminé codé. Mais l’écrasante majorité d’entre elles perturberont la protéine, de sorte qu’il est toujours vrai de dire que les mutations synonymes silencieuses devraient initialement être plus nombreuses que les mutations fonctionnelles.

Diagnostics.

Bonne année 2024!

L’année de la redevabilité est terminée. Ô surprise, pas de Nuremberg 2.0, juste quelques plaintes comme celle-ci – le Procureur Général du Texas contre Pfizer. En Europe, quelques rats politiques quittent le navire vaccinal en perdition, maintenant que le mal est fait et qu’ils sont autorisés à jouer officiellement les preux chevaliers avec trois ans de retard. Parfaitement minable.

Voyons ce qu’on nous promet pour l’année qui vient: chaos, guerre civile, guerre mondiale, extrême-droite, et autres signes que le foutage de gueule continue. Encore du minable…

Je vois se former deux tendances, pas strictement alignées sur les divisions qu’on nous vend – gauche/droite, noirs/blancs, Russie/Ukraine – actualisée en Israël/Palestine – et bien entendu injectés/non-injectés.

D’un côté les éternels enfants gâtés qui comptent sur d’autres pour faire le boulot – au choix selon leur « camp », l’État, Pfizer, les politiciens, Donald Trump, Jésus Christ, etc. – et traversent la vie sans rien vouloir savoir ni savoir qu’ils ne savent pas. Inutiles à eux-mêmes et aux autres, personne n’en veut – ni vous, ni moi, encore moins leurs maîtres, qui ne savent plus quoi en faire.

D’autre part, ceux qui (re)prennent leur vie en main, même si ce n’est ni facile ni un cadeau – beaucoup de travail pour peu de récompense – mais réalisent que la seule liberté ne se gagne pas à coups de manifs à la con mais par l’autonomie et la responsabilité individuelle.

En voici la version latine sous forme de proverbes pour assiettes – idée piquée à Chaval:

Labor ipse voluptas: le travail est sa propre récompense.

Flecti non frangi: on nous a pliés mais on ne nous a pas cassés.

… et bonne santé!

J’ai:

  • une crise aigüe de goutte (moi qui ne boit jamais),
  • une allodynie, ou un zona, on ne sait toujours pas (médecins incompétents),
  • des apnées du sommeil (86 par heure, dont une mesurée à deux minutes),

mais pas le Covid!

Ces légères indispositions heureusement sans gravité expliquent le léger retard de ce billet.

Je prends donc de la colchicine, de la vitamine B et je me déguise en éléphant toutes les nuits, sur conseil de mon cardiologue, ce qui me prolongera la vie de plusieurs années, merci Docteur – et implique que le monde devra encore supporter ce vieillard acariâtre, en plus de tout le reste.

Et comment vont les autres?

Covid-19

Je coiffe ma casquette marquée Service Public pour une annonce d’intérêt général.

Si vous souffrez des symptômes suivants:

  • toux sèche persistante,
  • courbatures,
  • fièvre modérée,
  • douleur dorsale extrême localisée au niveau du pancréas/estomac, c’est-à-dire au milieu de la colonne vertébrale,
  • très forte diarrhée, système digestif HS,

… c’est probablement le Covid – peut-être le petit dernier, le JN.1. Vous savez quoi faire.

Je range ma casquette, passons à la suite des événements.

En 2020, n’en déplaise aux négationnistes du SARS-CoV-2, le Covid a fait quelque dégât chez les immunodéprimés et certains malchanceux – assez peu – dont certains ont chopé un Covid long. Avance rapide jusque 2024: le système immunitaire des injectés a été maintenant suffisamment « reprogrammé », c’est-à-dire agressé, pollué et déraillé pour qu’on se retrouve dans la situation de 2020 en mille fois pire, où les injectés sont les nouveaux immunodéprimés. C’est-à-dire que la vraie pandémie de Covid pourrait éventuellement commencer et faire des ravages. Lesquels?

Vous avez tous lu ce que j’ai publié sur les « effets secondaires » de cette merveille technologique – environ le tiers des articles de ce blog, qui en compte bientôt cinq cents – notamment la prolifération des IgG4. Mais il y a du nouveau.

Ce papier émet l’hypothèse que l’épidémie de pneumonie (bactérienne) aux « poumons blancs » (si c’est bien la traduction officielle) qui sévit en Chine, et maintenant en Europe et aux US, est en fait une infection secondaire due au Covid. L’article fait une bonne collection et analyse de données mais rien d’autre, le sujet des dégâts vaccinaux étant totalement glissé sous le tapis.

Autre analyse ici, un peu plus détaillée, de la corrélation Covid/pneumonie par mon très patient et persistant compatriote, le Dr Vanden Bossche. Même si j’ai un doute, je reparle de Geert parce qu’il prévoit qu’on va passer maintenant au variant de l’apocalypse qu’il annonce depuis trois ans, qui sera un cousin de JN.1 – il explique tout ça ici et ici. Ça mériterait d’être traduit (j’y pense), dans la mesure où même si le quart de la moitié de son pronostic se réalise, ça risque d’être épique. La bonne nouvelle, c’est que les non-injectés ne risquent quasiment plus rien du Covid. La moins bonne nouvelle c’est que les injectés tomberaient bientôt comme des mouches – question de jours ou de semaines. Comme ils sont plus de cinq milliards, ça pourrait influencer négativement le cours des choses cette année – un peu plus vite que le scénario de Toby…

D’ailleurs, on sent bien un léger malaise là-haut depuis quelque temps. Ils se mettent à carrément camoufler des « morts soudaines » en accidents de voiture (sorry, j’ai perdu le lien), donc l’inverse de ce qu’ils faisaient en 2020 avec le Covid. Si ÇA c’est pas minable…

Steve Connoly a recensé la progression du nombre de « morts soudaines » (cardiaques?) dans les avis mortuaires américains – très parlant, je traduirai.

Cette étude de septembre dernier donne la proportion des injectés avec séquelles cardiaques: quasiment tous. Il va donc falloir publier des études bidon pour détourner le truc. En voici une.

Épidémie de crises cardiaques

Pour ce titre, je pique à Jeff Childers un extrait de son billet du 28 décembre:

Hier, je suis tombé sur une nouvelle étude iScience prépubliée signalant une nouvelle pandémie potentielle, intitulée « Predicted risk of heart failure pandemic due to persistent SARS-CoV-2 infection using a three-dimensional cardiac model«  (Risque prédit de pandémie d’insuffisance cardiaque due à une infection persistante par le SARS-CoV-2 à l’aide d’un modèle cardiaque tridimensionnel). Cette étude présente des données scientifiques covidiennes farfelues, comme je l’expliquerai dans un instant, mais il convient de noter sa prédiction désastreuse: une pandémie d’insuffisance cardiaque à venir. Ouaip.

Les chercheurs partent de la théorie covidienne d’une l’infection persistante par le covid – un type d’infection crypto-covidienne des plus furtifs, qui est non seulement asymptomatique, mais dont les tests sont également négatifs, même en utilisant la PCR – qui a été critiquée pour sa trop grande sensibilité. En fait, le covid persistant est totalement invisible aux tests. Jusqu’à présent.

C’est donc une sorte de croyance religieuse.

Les chercheurs ont notamment prédit une pandémie d’insuffisance cardiaque qui, selon eux, sera attestée par la présence de la protéine de pointe dans les tissus cardiaques. Même s’ils admettent qu’il n’y a pas de preuve concluante d’une infection persistante par le covid jusqu’à présent, ils estiment que la sonnette d’alarme devrait déjà être tirée en ce qui concerne les crises cardiaques:

L’augmentation explosive du nombre de patients infectés par le virus en raison de la pandémie de COVID-19 pourrait avoir entraîné une augmentation considérable du nombre de patients présentant un risque potentiel d’insuffisance cardiaque. Dans les pratiques cliniques, ces patients à haut risque devraient être identifiés en détectant le virus lui-même ou le génome viral dans le tissu de la biopsie endocardique ou en surveillant les niveaux de troponine dans le sang. Ce rapport peut servir d’avertissement quant à la possibilité d’une pandémie d’insuffisance cardiaque dans l’ère post-Covid-19.

L’étude ne montre pas, et n’avait pas pour but de montrer, une infection persistante par le covid. Les chercheurs ont infecté des cellules cardiaques avec le covid dans une boîte de Pétri et ont observé ce qui se passait. Comme il n’y a pas de système immunitaire dans une boîte de Pétri, l’étude n’a pas pu montrer la persistance du virus dans l’organisme. Mais elle a montré ce qui se passe dans les cellules cardiaques lorsque la protéine de pointe y pénètre par le biais d’une infection virale ou d’une transfection de l’ARNm. C’est-à-dire: rien de bon.

J’ai trouvé que l’illustration de l’auteur (ci-dessus) indiquait en quelque sorte le fond de sa pensée. Le panneau supérieur à l’extrême gauche montre l’augmentation de la protéine de pointe sans virus. Il n’y a qu’une chose qui génère de la protéine de pointe sans virus: les injections.

S’ils peuvent en trouver la preuve quelque part, le « covid persistant » – qui sonne beaucoup plus scientifique que le « covid long » – servirait assurément de bonne couverture pour les dommages causés par les injections.

Opposition contrôlée

Cette année, les américains vont voter. Ils auront le choix entre la vieille harpie « Donald » Trump (voir ici et ici) et l’acteur Arthur Roberts – sous un masque en silicone à la Mission Impossible, vous pouvez vérifier – dans le rôle de « Joe Biden », qui est probablement mort. Le commanditaire du « clot shot » et son représentant de commerce pour sauver le pays, voilà le casting pour le rôle de leader du monde libre, auquel on peut ajouter le héros des anti-vax, Robert Kennedy Jr, en qui j’avais, naïveté touchante, une relative confiance jusqu’à ce qu’il publie son bouquin de « limited hangout », dont je publie incessamment (traduction terminée) la revue par Pete Lincoln.

Il est assez distrayant de suivre les gesticulations verbales de chaque « camp » – l’hystérie anti-Trump atteint des sommets d’imbécilité – articulées autour du sauvetage de la « démocratie » américaine, maintenant que le navire États-Unis fait lui aussi eau de toute part. Minablissime.

Apparemment, ça ne va pas tellement mieux en Chine, puisque son leader maximo Xi Jinping serait venu en novembre dernier faire la manche – t’as pas 900 milliards? – auprès d’Arthur, dont les marionnettistes ont déjà bien du mal à faire suivre la planche à billets. Une comédie minable, dont on connaît déjà la fin – les décors sont de Roger Harth et les costumes de Donald Cardwell.

Du côté des héros de la « résistance » – le Mouvement pour la Liberté Médicale – trois tendances.

La plus délirante est de nier purement et simplement le fait qu’il y ait eu pandémie en 2020, voire l’existence du Sars-CoV-2, représentée entre autres par les statisticiens à la Denis Rancourt, qui ne voient pas de pics dans leurs petites feuilles statistiques, donc il ne s’est rien passé.

D’autre part la tendance Robert Malone, conseiller de RFK Jr, dont l’idée qu’il y a quelque chose à sauver dans les nouvelles technologies médicales, moyennant quelques menues améliorations.

Et la vieille garde incarnée par Peter McCullough, qui s’est maintenant considérablement assagi et parle d’erreurs, de pardon et d’amnisitie. Quelqu’un a passé un coup de téléphone, Peter?

La triste réalité, c’est que le bidouillage génétique des injections a entrouvert les portes de l’Enfer et que ce ne sont pas ces minables qui les refermeront. C’est votre travail.

La fin du pétrole?

Le pétrole est notre ami. Son utilisation nous a affranchi de beaucoup de tâches ingrates, et a permis une croissance démographique gigantesque, qui fait qu’on aurait du mal à s’en passer. Un journaliste estime ici le coût en vies humaines de la fin théorique de l’approvisionnement en produits pétroliers: six milliards de morts en une année. A priori, pas une trop bonne idée.

Il faudrait néanmoins se poser la question de son utilisation. Pas pour une question de CO2, évidemment, qui est le prétexte à une vaste opération financière – le Net Zéro et sa taxe carbone – mais pour ses conséquences réelles sur la vie humaine. L’agriculture industrielle et ses poisons. Le plastique et ses additifs pétrochimiques…

Pour la traduction, vous cliquez sur les sous-titres (CC) et ensuite sur Settings > Auto-translate > Français.

Il y a aussi cette édifiante étude (en anglais) qui montre la présence de microplastiques dans les placentas et les nouveaux-nés humains. Eh oui.

Plus le bordel que ça met au niveau géostratégique, pour permettre à certains de rester maîtres du réseau de distribution énergétique. Par exemple, l’opération de mainmise sur la bande de Gaza, également connue sous le nom de conflit Israël/Hamas.

Israël/Hamas

Voici une citation intéressante de Talal Abu Ghazali, homme d’affaires et homme politique jordano-palestinien:

« Il n’y a aucune raison pour laquelle les Juifs sacrifieraient ne serait-ce qu’une seule personne. Ils ont peur de la mort. La mort est étrange et dégoûtante pour eux. Et nous, nous accueillons la mort. Le Palestinien porte son fils sur ses épaules, et sur le bandeau posé sur le front de l’enfant, il est écrit: « Celui qui cherche le martyre ». L’homme dit: « Je veux que mon fils meure. » La mère palestinienne dit: « J’ai donné naissance à six enfants pour que trois d’entre eux meurent pendant la révolution. J’ai donné naissance à des enfants pour qu’ils deviennent des martyrs. » Cela n’existe pas dans la mentalité sioniste ».

12 octobre 2023, NBN TV

Pour confirmation, le créateur (pas entièrement neutre) de la chaîne Youtube Traveling Israël rappelle ici que 70% des Palestiniens sont d’accord avec le régime du Hamas – attentats inclus.

Vus sous cet angle, considérons la validité de quelques points rapportés dans les médias:

  • le Hamas est une création d’Israël, en particulier de Netanyahu qui s’en est servi pour couper l’herbe sous le pied de l’OLP, nettement moins fanatique;
    • donc une manoeuvre pour marginaliser les Palestiniens?
  • le même Netanyahu a mené la politique la plus proactive d’intégration des arabes dans la société israëlienne, qui représentent 20% de la population;
    • donc une manoeuvre pour intégrer les Palestiniens?
  • c’est toujours Netanyahu qui parlait de « déradicaliser » Gaza;
    • après les avoir radicalisés via le Hamas?
  • les dirigeants du Hamas sont tous milliardaires;
    • donc des membres de l’hyperclasse qui défendraient les droits des pauvres?
  • l’ONU préconise la solution à deux États;
    • donc une idée injouable promue par le noyau dur du mondialisme, également derrière la fraude climatique, qui entrerait dans le cadre de leur agenda, 2030 ou autre?
  • la « faille de sécurité » suscite un sérieux doute chez certains militaires israëliens, la présence de journalistes d’Associated Press, de CNN, du New York Times et de Reuters sur les lieux ne faisant rien pour dissiper ce doute;
    • ce qui signifierait que ce conflit est organisé de A à Z comme le suggère son étiquette de « 11 septembre israëlien »?
  • le peuple Palestinien subit depuis 1945 un génocide de l’autorité israëlienne;
    • ce qui cadrerait comment avec les chiffres de leur démographie galopante?

Bon, on se fout ouvertement de votre gueule. Pour changer. Ce conflit n’est qu’une vitrine.

La vitrine de l’expropriation des « gens qui ne sont rien » c’est-à-dire inutiles au système – vous savez, ceux qui ne possèderont rien et seront heureux (ou morts).

La vitrine d’une lutte des classes fabriquée et entièrement sous contrôle, dans laquelle les Palestiniens incarnent d’un côté la gentille « gauche » victimaire, au culte de mort islamo-marxiste – notamment celle des enfants, comme pour les vaccinés (voir ici et ici) – et de l’autre côté l’armée israëlienne, la « droite » diabolisée qui a l’audace de fermer ses frontières aux pauvres.

En somme, c’est la vitrine du Grand Reset, dans laquelle la bande de Gaza préfigure les villes de 15 minutes, sous perfusion d’argent tombé du ciel (UNRWA, USA, UE, Qatar, etc.) comme bientôt les MNBC sur les nouveaux improductifs occidentaux.

Ça peut sembler caricatural mais le monde est devenu une pure parodie.

Le discours médiatico-politique sur les « crimes de guerre » et sur ses « conventions » est une farce. Les guerres ne sont pas des opérations humanitaires. Elles sont faites pour être « gagnées », donc redistribuer les cartes, à l’international et au national, aux niveaux géostratégique, économique et/ou social en éliminant au passage les gens devenus inutiles ou gênants – hier la paysannerie, aujourd’hui la main d’oeuvre sous-qualifiée. Pour participer au monde technocratique à venir, il deviendra inévitable de faire de bonnes études. Ceci permettrait notamment aux Palestiniens de travailler pour Pfizer, de recevoir un confortable salaire versé par Albert Bourla, la gratitude de Netanyahu et une garantie d’impunité totale pour un bilan bien supérieur à celui du 7 octobre.

Comme l’indiquent les presque deux millions d’arabes intégrés à la société israëlienne, ce conflit n’a que très peu à voir avec la religion, qui n’en est qu’un des instruments militarisés. En avalisant la sauvagerie – réelle ou fictive – du Hamas, les gazaouis fournissent le contre-argument parfait à la solution à deux États. Le message est qu’il n’y a pas assez de place pour la coexistence de la nouvelle hyperclasse et de gueux mal peignés, ni là, ni ailleurs.

Pour les naïfs qui me penseraient partisan, je rappelle le rôle des Black Ops israëliens dans la démolition contrôlée du WTC et le fait qu’aucune figure politique d’aucun bloc n’ait jamais, de près ou de loin, touché ce sujet, ce qui indique une méthode globale de consolidation du pouvoir à laquelle tout le monde participe d’une manière ou d’une autre, au minimum par la loi du silence. En résumé, une entreprise criminelle, avec des conséquences.

À ce sujet, je publierai un de mes articles en retard, la traduction d’une interview de Nadav Yair, instructeur militaire israëlien, très pragmatique, qui soulève la question du « Jour des Comptes ». Il a raison, je pense que 2024 sera « l’année de la facture » et vous aurez compris qui va la payer. Pour l’opération « vaccins », ceux qui ont fait confiance à leur État. La médecine de la classe moyenne – les cabinets privés des médecins – a été écartée pour laisser tout pouvoir au réseau hospitalier sous contrôle étatique, qui a servi de relais au centre mondial de commande financier, bien à l’abri, aux manettes de Big Pharma comme du pouvoir militaire. Ils échapperont ainsi une fois de plus à toute forme de justice, la seule autorisée étant celle qui s’exerce sur les gueux. Les seuls ennemis auxquels le peuple a accès sont soit des hommes de paille, soit ceux de sa propre classe, avec qui il leur faut composer selon leur degré de tolérance, sous menace de conflit familial, social ou national – la guerre civile annoncée.

Comme les injectés, comme les Palestiniens, le destin de ces idiots utiles est de finir dans le grand charnier des poubelles de l’Histoire, tandis que le monde continue son lent chemin de prétendue « prospérité », entre deux guerres fabriquées ou deux « révolutions » programmées.

Je vous laisse avec un chanteur phare de la gauche caviar, dont l’éducation classique lui a sans doute évité d’être dupe de son petit milieu. À l’instar de son mentor à qui il rend hommage, c’est un homme lucide et généreux. Il glisse ici dans la laborieuse présentation télé qu’il faut donner aux enfants le goût des bonnes chansons. Rien n’est plus vrai. Apprenez-leur celle-ci par coeur, ça leur servira.

Les cancers agressifs observés sont le SYMPTÔME d’une maladie de l’ADN induite par la protéine de pointe – par Walter M Chesnut.

Je profite des vacances pour liquider pas mal d’articles en attente, qui occuperont ceux qui n’ont rien à faire de mieux et me serviront pour rédiger les miens.

Un papier de ce bon Dr Chestnut, toujours à la pointe de la recherche sur vous savez quoi.

Petit lexique (avec lien vers article complet sur Wiki)

Syncytium (pl. syncytia): En biologie, un syncytium (du grec ancien σύν / sýn, « ensemble » et κύτος / kytos, « cavité, cellule ») est une cellule (appelée cénocyte ou cœnocyte) provenant de la fusion de plusieurs cellules.

Aneuploïdie: L’aneuploïdie caractérise une cellule qui ne possède pas le nombre normal de chromosomes.

Tétraploïdie (voir Ploïdie): La ploïdie est le nombre d’exemplaires, dans une cellule donnée ou dans les cellules d’un organisme, de jeux complets des chromosomes du génome de ce type d’organisme. […] elle est polyploïde si elle possède au moins 3 jeux: triploïde (3 n chromosomes), tétraploïde (4 n chromosomes), etc.

Mésenchyme: Le mésenchyme est un tissu de soutien embryonnaire à l’origine de diverses formes de ces tissus chez l’adulte.

Chromatine: La chromatine est la structure au sein de laquelle l’ADN se trouve empaqueté et compacté dans le volume limité du noyau des cellules eucaryotes.

Source.


Les cancers agressifs observés sont le SYMPTÔME d’une maladie de l’ADN induite par la protéine de pointe

Les propriétés de formation de syncytia de la protéine de pointe induisent l’aneuploïdie – une cause DIRECTE de cancers

Walter M Chesnut

26 oct. 2023

Représentation schématique de l’effet possible de l’infection par le SARS-CoV-2 (COVID-19) sur le cerveau dans le contexte de l’instabilité du génome (chromosome) liée au vieillissement. L’analyse de l’interactome de l’infection par le SARS-CoV-2 a mis en évidence un certain nombre de voies potentiellement modifiées par le virus, qui sont énumérées au bas de la figure.

Peu avant la pandémie, un article a été publié qui démontrait que la fusion cellulaire est un intermédiaire vers l’aneuploïdie et l’instabilité chromosomique. L’importance de ce phénomène réside dans le fait qu’il s’agit d’un phénomène ONCOGÉNIQUE.

On considère que l’oncogenèse résulte de l’instabilité chromosomique, en plus des altérations des oncogènes et des suppresseurs de tumeurs. Intermédiaire à l’aneuploïdie et à l’instabilité chromosomique, le doublement du génome est un événement fréquent dans le développement des tumeurs, mais les mécanismes de la tétraploïdisation et son impact restent inexplorés. La fusion cellulaire, l’une des voies de la tétraploïdie, est un processus physiologique impliqué dans la différenciation des cellules mésenchymateuses. Outre le simple doublement du génome, la fusion cellulaire entraîne la fusion de deux génomes différents qui peuvent être déstabilisés lors de la prolifération. En testant si la fusion cellulaire est impliquée dans l’oncogenèse mésenchymateuse, nous apportons la preuve qu’elle induit une instabilité génomique et favorise l’initiation de la tumeur. Après une période de latence, la tumeur émerge avec les cellules les plus adaptées à son développement. De plus, les génomes des tumeurs hybrides sont stabilisés après ce processus de sélection et sont très proches de ceux des tumeurs mésenchymateuses pléomorphes humaines. Ainsi, la restructuration du génome déclenchée par la fusion cellulaire peut expliquer l’instabilité chromosomique impliquée dans l’oncogenèse.

L’instabilité chromosomique induite par la fusion favorise des schémas d’aneuploïdie qui ressemblent aux tumeurs humaines.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31270395/

L’un des dangers les plus sous-estimés et les moins discutés de la protéine de pointe pathogène du SARS-CoV-2 est sa capacité à provoquer une abondance de ce type de fusion cellulaire. L’article suivant donne une bonne mise en garde. Et, oui, ce phénomène a été mis en cause dans les vaccins.

Bien que les rapports publiés sur le COVID-19 traitent des grandes syncytia, car ces cellules sont les produits les plus visibles de la fusion cellulaire en raison de leur taille et de leurs nombreux noyaux (elles sont donc souvent appelées cellules géantes multinucléées), elles ne sont pas le seul résultat de la fusion cellulaire. La fusion cellulaire peut produire des cellules binucléaires ou trinucléaires, qui sont souvent plus abondantes dans les systèmes expérimentaux que les grandes syncytia, mais qui pourraient passer inaperçues dans les tissus humains. Même si elles sont remarquées, elles peuvent ne pas être attribuées à la fusion cellulaire parce qu’il peut être difficile, voire impossible, avec les outils disponibles, de les distinguer de manière fiable des cellules binucléaires produites par une mitose ratée dans les tissus humains [58].

Un syncytium, surtout s’il n’a que deux ou trois noyaux, peut entrer en mitose pour produire des cellules filles mononucléées. Ces mitoses sont souvent multipolaires et sont donc susceptibles de produire des cellules aneuploïdes avec des aberrations chromosomiques, ajoutant une autre couche de caractéristiques anormales à la progéniture de la fusion cellulaire [59, 60]. Ces anomalies peuvent être particulièrement importantes pour les patients COVID-19 atteints de lésions néoplasiques, car les aberrations chromosomiques contribuent à la progression tumorale [61, 62], tout comme les anomalies épigénétiques trouvées dans les produits de la fusion cellulaire.

La fusion cellulaire en tant que lien entre la protéine de pointe du SARS-CoV-2, les complications du COVID-19 et les effets secondaires du vaccin
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8664391/

Ceci est également lié aux effets neurodégénératifs de la protéine de pointe et du SARS-CoV-2.

Les variations génomiques spécifiques au cerveau [y compris l’aneuploïdie (perte/gain de chromosomes entiers) et les mutations monogéniques] sont associées à un large spectre de maladies cérébrales à déclenchement tardif (Yurov et al., 2010; Rohrback et al., 2018; Iourov et al., 2021). Plus important encore, l’instabilité chromosomique est un médiateur de la neurodégénérescence (Iourov et al., 2009; Rohrback et al., 2018; Yurov et al., 2019). Plusieurs voies moléculaires ont été associées à l’instabilité chromosomique dans le cerveau en neurodégénérescence, notamment les erreurs du cycle cellulaire neuronal, la mauvaise ségrégation chromosomique et la sénescence cellulaire (Bajic et al., 2015; Caneus et al., 2018; Martínez-Cué et Rueda, 2020). Ces processus sont intimement liés au vieillissement aux niveaux moléculaire, cellulaire et tissulaire. Par exemple, le vieillissement prématuré est associé à des taux accrus d’instabilité des chromosomes et du génome. Le vieillissement naturel est associé à l’accumulation et à la propagation des variations du génome somatique (par exemple, l’aneuploïdie) et à l’instabilité du génome. Les altérations du maintien de la stabilité du génome peuvent provoquer des maladies cérébrales liées au vieillissement ou des manifestations précoces de maladies neurodégénératives à révélation tardive (Yurov et al., 2010; Andriani et al., 2017; Zhang et Vijg, 2018; Iourov et al., 2021). En outre, la régulation de l’ADN et l’organisation de la chromatine peuvent affecter la stabilité du génome en modifiant l’expression des gènes impliqués dans les voies décrites à la figure 1. Étant donné que les interactions entre le SARS-CoV-2 et les protéines impliquées dans les voies de maintien de la stabilité du génome peuvent contribuer à la propagation de l’instabilité du chromosome/génome, l’infection par le coronavirus est susceptible de provoquer des anomalies neurocomportementales, une neurodégénérescence (par exemple, la maladie d’Alzheimer) et une détérioration prématurée du cerveau.

COVID-19 et instabilité du génome (chromosome) liée au vieillissement dans le cerveau: Une autre bombe à retardement possible de l’infection par le SARS-CoV-2
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fnagi.2022.786264/full

J’avais émis cette hypothèse en avril 2021. Toutefois, à l’époque, je n’avais pas encore élucidé le mécanisme de manière définitive.

Il est très probable que le SARS-CoV-2 prenne le Rembrandt qu’est notre génome unique et, comme autant de gremlins joyeusement maléfiques, déplace les molécules de peinture une à une, laissant derrière lui un Jackson Pollock dysfonctionnel.

En effet, il est possible de démontrer graphiquement ce que ces syncytia peuvent faire à nos génomes.

La coloration des chromosomes avec différents colorants met en évidence la nature ordonnée du caryotype humain normal (à gauche), c’est-à-dire que les humains ont exactement deux copies de chaque chromosome, sans aucun reste. Une cellule cancéreuse de la vessie (à droite) présente des copies supplémentaires de certains chromosomes, quelques chromosomes normaux manquants et de nombreux chromosomes hybrides ou marqueurs, qui caractérisent les cellules cancéreuses.

Et, ne voyez-vous pas?

« On commence par une mutation chromosomique, c’est-à-dire une aneuploïdie due peut-être aux rayons X, à la cigarette ou aux radiations, qui déstabilise et finit par modifier le caryotype ou le rendre non viable », explique-t-il. « Les rares aneuploïdies viables des cancers sont, en fait, les caryotypes de nouvelles espèces.

Les cancers sont-ils des espèces nouvellement évoluées?
https://vcresearch.berkeley.edu/news/are-cancers-newly-evolved-species

Hormis l’intérêt que certains peuvent porter aux implications de « nouvelles espèces », mon propos est beaucoup plus concret. En ce qui concerne l’exposition aux protéines de pointe, il ne s’agit pas d’un rayon X ou du soleil qui frappe notre peau. Dans certains cas, ce sont des TRILLIONS de ces protéines qui provoquent l’aneuploïdie.

Nous avons affaire à une protéine qui peut transformer notre génome en un Jackson Pollock. Il faut repenser les choses. Le cancer n’est pas tant une séquelle d’une infection qu’un SYMPTÔME d’une maladie de l’ADN.

Faut-il s’étonner que nous observions des cancers agressifs endémiques?

Je poursuivrai mes travaux et mes recherches thérapeutiques pour traiter cette propriété pathogène de la protéine de pointe. Comme toujours, je vous remercie pour votre soutien constant. Vous êtes le vent qui souffle sous mes ailes.

Vaccination Covid obligatoire pour les bébés brésiliens.

On citait dans l’article précédent le serial killer communiste à la tête du gouvernement brésilien, Luiz Inácio Lula da Silva. On peut également ajouter ceci à son brillant palmarès: la solution au problème de la pauvreté dans le pays. La vidéo où il se fait injecter de l’eau salée, je suppose – on est jamais trop prudent – est particulièrement édifiante.

Deux articles sur le sujet qui se complètent assez bien – il y a juste deux fois la même citation.

PS: j’ai traduit en français plus ou moins correct son babil de crétin analphabète.

PPS: j’ai un souci de santé qui me cloue à la maison, je vais donc en profiter pour publier.

Source du premier, source du deuxième.


Le Brésil va forcer les enfants à se faire vacciner contre le COVID

Martin Armstrong

10 novembre 2023

Je vous avais conseillé de porter votre regard sur le Brésil en 2024, et ce pour plusieurs raisons. Luiz Inácio Lula da Silva, connu sous le nom de Lula, est une marionnette du Forum Économique Mondial. À l’instar de ce qui s’est passé aux États-Unis, le Brésil est passé d’un « président de droite radicale » à une marionnette mondialiste installée. Lula soutient toutes les causes du FEM, du changement climatique à l’élimination de la monnaie telle que nous la connaissons. En 2010, Lula est intervenu lors d’un événement pour déclarer « la nécessité d’établir un nouvel ordre économique international, plus juste et plus démocratique« .

Nous savons maintenant que les vaccins COVID inefficaces n’étaient qu’un outil de contrôle de la population et d’adaptation des masses à des lois qui violent leur autonomie corporelle. Ainsi, en 2024, le Programme National d’Immunisation brésilien (PNI) rendra obligatoire le vaccin COVID. « Pendant la pandémie, un programme distinct a été mis en place pour distribuer le vaccin COVID-19 en dehors de notre programme national. Cette année, nous intégrons ce vaccin dans le programme national de vaccination », a expliqué Ethel Maciel, Secrétaire à la santé et à la surveillance de l’environnement au Ministère de la Santé.

Le Brésil a en fait élargi les recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé, les qualifiant de « limitées ». Bolsonaro a hésité à vacciner la population et a été publiquement humilié pour avoir suggéré des traitements alternatifs comme l’ivermectine. Lula a veillé à ce que la majorité des Brésiliens se fassent vacciner, 82% de la population ayant reçu au moins deux doses. Les parents étaient réticents à faire vacciner leurs enfants en raison de ce que les médias ont appelé « la campagne de désinformation de Bolsonaro », et le vaccin COVID sera donc inclus dans les vaccinations annuelles obligatoires. Les bébés de six mois devraient recevoir le vaccin. La dernière campagne vise spécifiquement les enfants de moins de 5 ans, et le Ministère de la Santé a lancé une campagne massive dans tout le pays pour promouvoir ce poison.

Si on ne peut pas faire de choix relatifs à la santé de son enfant, c’est qu’on ne vit pas dans un pays libre.


Le Brésil rend obligatoire le vaccin COVID-19 pour les enfants

La vaccination des enfants requise pour bénéficier de l’aide sociale

Yudi Sherman

1er novembre 2023

Le Ministère de la Santé brésilien a annoncé mardi que le vaccin COVID-19 serait désormais ajouté au Programme National de Vaccination (PNI) annuel obligatoire pour les enfants.

L’administration Lula donnera la priorité aux enfants âgés de six mois à cinq ans pour les vaccins, rapporte Gazeta Brasil.

« Pendant la pandémie, un programme parallèle a été créé pour rendre opérationnel le vaccin Covid-19, en dehors de notre programme national », a déclaré Ethel Maciel, secrétaire à la santé et à la surveillance de l’environnement au Ministère de la Santé. « Cette année, nous avons intégré le vaccin contre le Covid-19 dans le programme national de vaccination. Le vaccin est désormais recommandé dans le calendrier des enfants. Pour tous les enfants nés ou séjournant au Brésil, âgés de 6 mois à moins de 5 ans, le vaccin devient obligatoire dans le calendrier de vaccination ».

Les parents d’enfants non vaccinés se verront refuser l’aide sociale et pourront être soumis à des amendes, rapporte Revista Oeste. Les enfants non vaccinés se verront refuser l’accès aux écoles.

Le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva s’est montré ouvertement totalitaire à l’égard des vaccins, qu’il a qualifiés de « garantie de vie », et a accusé les parents qui ne vaccinent pas leurs enfants de ne pas les aimer.

« Pour l’amour de Dieu, nous ne pouvons pas être ignorants au point de penser qu’il ne vaut pas la peine de se faire vacciner », a déclaré Lula. « Je ne cesse de me demander quel genre d’amour porte cette mère à ses enfants pour ne pas s’occuper d’eux au moment le plus important, celui où ils peuvent être vaccinés et éviter une maladie plus délicate dans leur vie », a-t-il ajouté.

En janvier, peu après avoir pris ses fonctions pour la troisième fois, Lula a annoncé qu’il subordonnerait le programme d’aide sociale brésilien Bolsa Familia à la vaccination des enfants. Bolsa Familia fournit une aide sociale aux familles brésiliennes qui ont des enfants jusqu’à leurs 17 ans et qui vivent dans la pauvreté ou l’extrême pauvreté.

« La Bolsa Familia revient, et elle revient avec quelque chose d’important : elle revient avec des conditions. Les enfants doivent aller à l’école. S’ils ne vont pas à l’école, la mère perd le bénéfice de l’allocation », a déclaré Lula. « Les enfants doivent être vaccinés. Supposons qu’ils n’aient pas de certificat de vaccination. Dans ce cas, la mère perd le bénéfice de l’allocation ».

En décembre, Lula a promis d’utiliser le pouvoir de sa fonction pour obliger les opposants au vaccin COVID-19 à s’excuser.

« Nous ne pouvons pas, à la hâte, penser que nous allons annoncer le vaccin et que les gens iront le prendre. Non. Les gens doivent être à nouveau convaincus de l’efficacité du vaccin, et nous allons devoir demander des excuses à un grand nombre de personnes qui se sont opposées au vaccin », a déclaré M. Lula, selon CNN Brasil.

M. Lula, qui pratique la religion officielle du Brésil, le catholicisme, a également promis de s’attaquer aux églises évangéliques et de les confronter à leur position sur les injections.

« Je compte au moins me rendre dans plusieurs églises évangéliques et discuter avec leurs dirigeants de la question suivante: « Quel est votre comportement en ce qui concerne la question des vaccins? Sinon, nous vous tiendrons pour responsables de la mort de certaines personnes », a déclaré M. Lula.

En avril, le Ministère de la Santé brésilien a exigé du Conseil Fédéral de Médecine (CFM) des mesures contre les experts en santé qui n’acceptent pas tous les vaccins, ce qu’il a qualifié de « négationnisme ». Le ministère a affirmé que des informations erronées ont été propagées par des professionnels dans tous les domaines de la santé et que « l’hésitation face aux vaccins a causé du tort à la population ».

Pour étayer ses propos, le ministère a cité l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), qui a déterminé que l’hésitation vaccinale était l’une des dix plus grandes menaces pour la santé mondiale.

COP28: le projet mondialiste n’a jamais été aussi flagrant – par Kit Knightly.

« Le langage politique est conçu pour faire paraître les mensonges véridiques et les meurtres respectables, et pour donner une apparence de solidité à du vent ».

George Orwell

Bon, le COP28… J’étais disposé à écrire mon propre article là-dessus mais, bien que je n’aime pas beaucoup Kit Knightly ni OffGuardian, celui-ci fera l’affaire, moyennant le court préambule qui suit.

Comme on le voit depuis quelques mois – curieusement, depuis la sortie des mesures Covid – le langage « climatique » devient exponentiellement délirant. Il est possible que ces gens soient légitimement fous mais c’est difficile à dire: leur médiocrité est telle que ça passerait inaperçu. Non, ce qui motive leur spectaculaire étalage d’idiotie, c’est qu’ils sont pressés. Et il y a une raison.

Pourquoi l’urgence climatique est-elle urgente, à votre avis? L’actuel cycle de réchauffement – qui a fait augmenter naturellement le taux de CO2 atmosphérique – se termine dans deux ans, après quoi les températures vont se mettre à diminuer, ce qui sera suffisamment perceptible d’ici cinq ans pour que le trucage actuel des chiffres, déjà assez pitoyable, devienne infaisable. Il faut donc imprimer et distribuer quelques trillions d’ici là pour que la magie opère.

Comme vous le savez, le CO2 atmosphérique provenant de l’activité humaine (4% de 0,04%) n’a strictement aucun effet mesurable sur le climat global – j’ai encore un truc à publier sur le sujet. C’est l’aménagement des sols – principalement l’artificialisation et l’urbanisation – qui modifie les sous-climats locaux (voir mes traductions de John Dee), variations dont on se sert pour établir analyses fallacieuses et prévisions grotesques – sur base de « modélisations » – dont aucune ne s’est jamais réalisée. L’objectif de cette opération n’a donc absolument rien à voir avec le climat. Alors, avec quoi?

Eh bien, le pétrole.

L’ordre du jour est que le prix du pétrole doit augmenter, la consommation énergétique doit diminuer et l’élevage industriel doit disparaître – ce qui énerve les auteurs comme Knightly et la plupart de leurs lecteurs.

Désolé, mais je suis entièrement d’accord sur tous ces points.

En fait, je pense même qu’ils sont largement insuffisants et surtout, qu’ils interviennent trop tard. Je l’ai écrit, le prix du pétrole aurait dû être beaucoup plus élevé dès le départ, ce qui aurait freiné l’industrialisation démesurée de tout – surtout de secteurs auxquels il ne fallait pas toucher – et empêché la carte économique et énergétique du monde actuel, la pire configuration de l’Histoire, où la Chine fait fabriquer de la camelote par ses esclaves pour alimenter la consommation globale, où l’agriculture intensive organisée au niveau international a privé les régions de leur autonomie, où les intérêts pétroliers et gaziers foutent le bordel permanent dans la géostratégie globale (cf. Israël/Palestine, Arabie Saoudite/Yemen, Irak/Koweit, Russie/Tchétchénie, etc.) et où l’Occident fait encore semblant d’être riche. Excepté les quelques idiots utiles de « Stop Oil » et consorts, qui en seraient les premières victimes, personne dans la classe improductive occidentale (donc l’immense majorité), n’est prêt à abandonner ce « progrès », qui n’est qu’une émanation de la notion de « croissance », elle-même issue de l’usure bancaire. Le monde contemporain est un projet financier, basé sur l’utilisation du pétrole et incapable de fonctionner sans, comme une Cadillac avec une pile 9V, ce qui est une bonne image de la capacité énergétique du « renouvelable ». Malheureusement, la vieille bagnole va droit dans le mur et ceux qui sont à bord ont oublié comment marcher.

Y a-t-il moyen de sortir de cette course en avant, sans faire huit milliards de victimes? La solution de l’élite mondiale est l’établissement d’un régime communiste global, la destruction de la science, la maîtrise totale de la consommation et l’abrutissement généralisé – le Nouveau Normal. Et vraisemblablement la « dépopulation » des zones les plus énergivores, c’est-à-dire nous – le bilan des injections Covid ne devrait laisser aucun doute à ce sujet. C’est ce contre quoi s’insurgent des auteurs comme Kit Knightly, qui revendiquent qu’on subvienne à leurs besoins juste parce qu’ils l’exigent, et qu’on soit généralement gentil avec eux. Bonne chance…

Une autre solution serait de tout arrêter, c’est-à-dire laisser crever ce système et apprendre à faire sans. Ce n’est évidemment pas l’option la plus séduisante, ni la plus reposante, et encore moins la plus sûre. Mais, sauf erreur ou omission de ma part, je pense que c’est la seule.

Source.


COP28: le projet mondialiste n’a jamais été aussi flagrant

Kit Knightly

4 décembre 2023

Ce matin marque le quatrième jour du sommet sur le changement climatique qui se tient à Dubaï depuis deux semaines.

Oui, comme chacun peut le constater pour la millième fois, de véritables flottes de jets privés se sont posées dans le désert pour permettre aux banquiers et aux milliardaires de discuter des mesures à prendre pour nous empêcher de rouler en voiture ou de manger trop de fromage.

Quel est l’ordre du jour? Le mondialisme, et cela n’a jamais été aussi évident.

Le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva l’a dit en substance:

La planète en a assez des accords sur le climat non respectés. Les gouvernements ne peuvent se soustraire à leurs responsabilités. Aucun pays ne résoudra ses problèmes seul. Nous sommes tous obligés d’agir ensemble au-delà de nos frontières ».

Les discours d’ouverture de jeudi ont été, comme on pouvait s’y attendre, empreints de pessimisme, Son Altesse Royale Charles III et le secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, se livrant au traditionnel jeu du bon et du mauvais flic.

Charlie a prévenu que nous nous embarquions dans une « expérience gigantesque et effrayante », demandant « à quel point nous sommes prêts à rendre notre monde dangereux ».

Tony, quant à lui, n’a offert qu’une infime parcelle d’espoir aux dirigeants mondiaux:

Il n’est pas trop tard […] Il est possible d’éviter que la planète s’écrase et brûle [NdT. référence à un crash d’avion]. Nous disposons des technologies nécessaires pour éviter le pire du chaos climatique – si nous agissons maintenant ».

Les deux semaines restantes seront sans doute consacrées aux lobbyistes, aux banquiers, aux membres de la famille royale et aux hommes politiques qui décideront exactement comment ils vont « agir ». Ou, plus précisément, comment ils vont vendre leurs actions déjà convenues à leurs populations de bétail.

Ils nous annoncent littéralement leurs projets, il suffit de les écouter.

Par exemple, les journées de vendredi et samedi ont été consacrées au « Sommet Mondial de l’Action pour le Climat », au cours duquel plus de 170 dirigeants mondiaux se sont engagés à soutenir l’Agenda 2030.

Le site web de la COP28 s’en vante fièrement :

Les 1er et 2 décembre, 176 dirigeants mondiaux se sont réunis pour le Sommet Mondial de l’Action pour le Climat (SMAC), signalant une nouvelle ère d’action climatique d’ici à 2030.

Soit 176 dirigeants mondiaux sur environ 195 pays, ce qui couvre plus de 90% de la planète.

Parmi les accords et les engagements signés au sommet jusqu’à présent figure la « Déclaration des Émirats sur l’agriculture durable, les systèmes alimentaires résilients et l’action climatique ». Selon la BBC, cette déclaration s’engage à:

s’attaquer aux aliments qui réchauffent la planète »

Nous assistons tous à cette comédie depuis assez longtemps pour comprendre ce que cela signifie, non?

Cela signifie plus de viande ni de produits laitiers, et beaucoup plus d’insectes et de cubes de soja OGM.

Ils ne le disent jamais, bien sûr. En fait, ils ne mentionnent jamais d’aliments ou de pratiques spécifiques [vous pouvez lire l’intégralité de la déclaration ici].

Au lieu de cela, ils se contentent d’utiliser des phrases comme « orienter les politiques [pour] réduire les émissions de gaz à effet de serre », ou « passer de pratiques plus émettrices de gaz à effet de serre à des approches de production et de consommation plus durables ».

Maintenir un déni plausible par le biais d’un langage vague fait partie du jeu, mais quiconque prête attention sait exactement de quoi ils parlent.

Et ce n’est pas tout. Les dirigeants mondiaux ont également convenu de créer un « fonds pour les pertes et les dommages », une ressource de 430 millions de dollars destinée aux pays en développement qui ont besoin de se « remettre » après avoir été « endommagés » par le changement climatique.

Ajay Banga, directeur de la Banque Mondiale, cette célèbre organisation caritative, est tout à fait favorable à cette idée et soutiendra le projet en acceptant de « mettre en pause » les remboursements de la dette de tout gouvernement touché par le changement climatique.

On sait comment cela fonctionne, on a vu la même chose dans les amendements du RSI à la suite du Covid – c’est une réserve de pots-de-vin. Celle-ci servira à la fois à appuyer le narratif du changement climatique et à édicter des politiques dans le tiers-monde. Tout gouvernement d’un pays en développement désireux d’obtenir une part de ce gâteau devra parler publiquement de tous les impacts négatifs du changement climatique sur son pays.

Dans le même temps, pour avoir accès à l’argent, ils devront très certainement accepter d’« adopter des politiques respectueuses du climat » et/ou de soumettre leurs politiques climatiques à un « groupe d’experts indépendants » nommé par les Nations Unies.

Le président du Kenya s’est déjà exprimé à ce sujet:

En Afrique de l’Est, des inondations catastrophiques ont suivi la sécheresse la plus grave que la région ait connue depuis plus de 40 ans… La tendance à ignorer les besoins de l’Afrique en matière de développement et d’industrie n’est plus une position tenable… Faire de l’Afrique une centrale verte n’est pas seulement essentiel pour le continent, c’est aussi vital pour l’industrialisation mondiale et la décarbonisation. »

…on peut presque voir les signes de dollars dans ses yeux.

Outre l’engagement en matière d’alimentation et le fonds pour les pertes, il y a l’Engagement Mondial pour les Énergies Renouvelables et l’Efficacité Énergétique, qui vise à accroître la dépendance aux « énergies vertes ». Plus de 120 pays l’ont signé.

Enfin, il y a l’Engagement Mondial sur le Méthane, qui a été signé par 155 gouvernements ainsi que par 50 compagnies pétrolières.

Ces dernières représentent environ la moitié de la production mondiale de pétrole et veulent uniquement aider la planète, elles n’ont aucun intérêt financier dans cette situation [NdT. c’est faux mais je suppose que c’est de l’humour].

Il y a aussi la Déclaration sur le Climat, l’Aide, le Relèvement et la Paix, plus modeste, qui a été signée par seulement 70 pays (et 39 ONG). Cette déclaration souligne le lien entre la guerre et les émissions de carbone et vise à « renforcer le soutien financier en faveur de la résilience climatique dans les régions fragiles et déchirées par la guerre », ce que cela signifie concrètement, je ne sais pas trop.

Et, bien sûr, 124 pays (dont l’UE et la Chine) ont signé l’inévitable « Déclaration sur le Climat et la Santé ».

Elle est financée à hauteur d’un MILLIARD de dollars par des donateurs tels que la Fondation Rockefeller, et vise prétendument à

mieux exploiter les synergies à l’intersection du changement climatique et de la santé pour améliorer l’efficacité et l’efficience des flux financiers ».

… ce qui est sans doute la pire phrase jamais écrite.

J’ai suffisamment écrit sur les objectifs qui sous-tendent l’établissement d’un lien entre le changement climatique et la santé publique pour toute une vie. Vous pouvez lire une analyse plus approfondie du sujet ici, ici et ici… et ici et ici et ici.

Tout cela va culminer dans ce qu’ils appellent le « Global Stocktake ». Il s’agit essentiellement d’un rapport à mi-parcours pour les accords de Paris, qui peut être « utilisé pour accélérer l’ambition dans leur prochain cycle de plans d’action climatique prévu pour 2025 ».

Quelle que soit la signification de l’expression « utilisé pour accélérer l’ambition », vous pouvez être sûrs que tous les gouvernements participants s’y conformeront avec plaisir.

Cela inclut tous les gouvernements de l’OTAN, de l’Union européenne et des BRICS, au fait.

Cela inclut les États-Unis et la Chine. Cela inclut la Russie et l’Ukraine.

Cela inclut Israël… et la Palestine.

Bien sûr, on signale un soupçon d’animosité, certaines délégations ayant quitté avec fracas des réunions avec les Israéliens, mais fondamentalement, même les victimes et les auteurs d’un génocide peuvent apparemment surmonter leurs inconciliables divergences pour accepter de faire semblant que le changement climatique est un vrai problème.

En gros, c’est une nouvelle version du Covid.

Nous savons que, comme pour le Covid, le récit officiel du changement climatique est un mensonge.

Nous savons que, comme pour le Covid, le changement climatique est utilisé comme prétexte pour instaurer un contrôle social massif et une gouvernance mondiale.

Et nous savons que, comme pour le Covid, presque tous les gouvernements mondiaux, des deux côtés de tous les clivages, le soutiennent.

Même s’ils ne sont pas toujours d’accord, même s’ils sont heureux de tuer leurs citoyens respectifs en grand nombre, ils sont tous à bord du même train de la prospérité mondialiste, ils vont tous dans la même direction vers la même destination, et cela n’a jamais été aussi évident.


Bonus:

Le virus de la Méduse: comment la protéine de pointe change en pierre le système vasculaire – par le Dr Walter Chestnut.

Notre bon Docteur revient avec une nouvelle découverte. Il semble qu’il y ait assez de mauvaises surprises dans cette protéine pour l’occuper depuis trois ans et plus – et encore, je ne traduis qu’un sur dix de ses articles. Ce serait plus court de faire la liste de ce que ce machin ne fait pas.

Note: comme vous savez, la Méduse est ce personnage mythique dont le regard change les gens en pierre.

Source.


Le virus de la Méduse: comment la protéine de pointe change en pierre le système vasculaire

La protéine de pointe reproduit instantanément les effets d’années d’athérosclérose

Walter M Chesnut

17 oct. 2023

Pathologie de la calcification médiane

Encore une découverte qui montre comment la protéine de pointe provoque un vieillissement accéléré. Cette fois, c’est par l’intermédiaire du système vasculaire.

L’athérosclérose est normalement un processus très graduel.

L’athérosclérose se développe lentement lorsque le cholestérol, les graisses, les cellules sanguines et d’autres substances présentes dans le sang forment une plaque. Lorsque la plaque s’accumule, elle provoque un rétrécissement des artères. Cela réduit l’apport de sang riche en oxygène aux tissus des organes vitaux du corps.

Qu’est-ce que l’athérosclérose?
https://www.nhlbi.nih.gov/health/atherosclerosis

Cependant, ce processus comporte également un aspect INFLAMMATOIRE de l’endothélium.

Le processus athérogène commence par l’accumulation de plusieurs lipoprotéines plasmatiques dans l’espace sous-endothélial sur les sites de perturbation du flux et de dysfonctionnement endothélial. Ce phénomène est le mieux documenté pour les LDL [NdT. low-density lipoprotein ou lipoprotéines de basse densité], dont l’accumulation est en corrélation avec les facteurs de risque classiques, tels que le tabagisme, l’hypertension et le dérèglement métabolique dans l’obésité et le diabète. Dans l’intima, les LDL subissent des modifications oxydatives par les dérivés réactifs de l’oxygène (DRO) [NdT. ici], qui favorisent l’absorption de LDL oxydés par les macrophages. En outre, les phospholipides oxydés déclenchent en soi une inflammation de la paroi artérielle en se liant aux récepteurs de type Toll (Toll-like receptors, TLR) [NdT. ici], un groupe de récepteurs de reconnaissance de motifs (Pattern recognition receptor, PRR) [NdT. ici] largement exprimés qui provoquent une signalisation pro-inflammatoire. Sur le plan clinique, les LDL oxydés sont un marqueur de l’inflammation de la plaque. Les LDL natives peuvent également être absorbées par les macrophages par micropinocytose ou, sous leur forme agrégée, sous forme de complexes ou de cristaux de cholestérol, par phagocytose. L’afflux soutenu de cholestérol finit par dépasser la capacité métabolique des phagocytes et des gouttelettes lipidiques intracellulaires se forment. Au microscope, les macrophages chargés de cholestérol sont des « cellules spumeuses ».

Immunité et inflammation dans l’athérosclérose
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6342482/

Veuillez noter que les groupes à risque pour le processus athérogène sont les mêmes que pour le COVID.

La protéine de pointe reproduit presque instantanément les effets d’un processus athérogène qui peut prendre des DIZAINES d’années.

Nous rapportons ici que l’ARN viral du SARS-CoV-2 est détectable et se réplique dans les lésions coronariennes prélevées à l’autopsie de cas graves de COVID-19. Le SARS-CoV-2 a ciblé les macrophages de la plaque et a montré un tropisme plus fort pour les lésions artérielles que pour la graisse périvasculaire adjacente, en corrélation avec les niveaux d’infiltration des macrophages. L’entrée du SARS-CoV-2 a augmenté dans les macrophages primaires chargés de cholestérol et dépend en partie de la neuropiline-1. Le SARS-CoV-2 a induit une réponse inflammatoire robuste dans des macrophages en culture et dans des explants vasculaires athérosclérotiques humains, avec sécrétion de cytokines connues pour déclencher des événements cardiovasculaires. Nos données établissent que le SARS-CoV-2 infecte les vaisseaux coronaires, induisant une inflammation de la plaque qui pourrait déclencher des complications cardiovasculaires aiguës et augmenter le risque cardiovasculaire à long terme.

L’infection par le SARS-CoV-2 déclenche des réponses inflammatoires pro-athérogènes dans les vaisseaux coronaires humains
https://www.nature.com/articles/s44161-023-00336-5

Et si vous avez encore des doutes quant à la culpabilité de la protéine de pointe:

L’ARN de la protéine de pointe du SARS-CoV-2 peut être trouvé à l’intérieur des cellules endothéliales. (A) Des images représentatives du RNAscope ont montré la colocalisation de l’ARN de la protéine de pointe avec l’ARN du CD31 dans les poumons de souris infectées par le SARS-CoV-2 Ad5-hACE2 (panneau de droite, n = 2), mais pas dans les poumons de souris témoins transduites par le DMEM (panneau de gauche, n = 3) ou Ad5-empty (panneau du milieu, n = 3). Flèche blanche : Signaux ARN de la protéine de pointe en vert clair; flèche noire: CD31 signaux ARN en rouge; flèches jaunes: colocalisation de deux ARN en violet. (B) Le microscope immunoélectronique a montré des protéines SARS-CoV-2 (particules noires indiquées par des flèches rouges, n = 1) à l’intérieur des cellules endothéliales des poumons de souris infectées par Ad5-hACE2. Pneu, pneumocyte; Er, érythrocyte.

Comme si cela ne suffisait pas, de nouvelles recherches montrent que ce modèle et ce type de dommage peuvent être ostéogéniques. Il peut transformer le tissu en pierre.

Donc, la pathobiologie de la calcification interne commence par l’athérosclérose. L’athérosclérose survient donc avant la calcification interne et nous savons que l’athérosclérose est un processus inflammatoire qui commence par des lésions de l’endothélium, puis les monocytes pénètrent dans l’artère et se différencient en macrophages qui prolifèrent localement, ingèrent des lipides oxydés et commencent lentement à se transformer en macrophages spumeux de grande taille, puis finissent par mourir, ce qui propage encore le processus inflammatoire; de plus, les cellules musculaires lisses commencent à proliférer et migrent de la paroi du vaisseau en réponse aux cytokines sécrétées par les cellules endothéliales endommagées et par les cellules mourantes, et on pense que ces cellules musculaires lisses contribuent à la formation de la chape fibreuse, puis la calcification commence à se produire et la calcification interne ressemble vraiment à la formation d’os endochondral et bien que l’initiation de la calcification ne nécessite pas la participation de cellules spécifiques, on pense que la progression de la lésion est probablement dirigée par des cellules semblables aux chondrocytes et associée à l’expression de l’inflammation dans les cellules endochondrales et associée à l’expression de facteurs inflammatoires tels que les cytokines…

Calcification de l’artère coronaire: quand l’artère devient de l’os

Et, oui, c’est ce qui arrive:

L’échantillon de biopsie a montré une vasculopathie thrombogène pauci-inflammatoire sous-cutanée accompagnée d’une calcification endothéliale et murale dans les microvaisseaux.

La peau comme fenêtre critique pour dévoiler les principes physiopathologiques du COVID-19
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0738081X21001310

Plus j’étudie ce virus et sa protéine de pointe, plus je suis convaincu que l’ACE2, en tant que récepteur, est peut-être le récepteur le plus diabolique qu’un virus puisse utiliser pour provoquer un déclin à la fois rapide et progressif dans le corps humain.

Je vous remercie, comme toujours, pour votre soutien.

Comment aggraver une pandémie – par The Underdog.

The Underdog a consacré de nombreux articles aux protocoles officiels mortels, dont font partie les meurtres au Midazolam mentionnés ici. Le Dr Pierre Kory, une star de la « résistance », a tenté en vain sur son Substack de contrer ses analyses, parce qu’il refuse de croire que ses collègues puissent avoir été à ce point mal intentionnés – raison pour laquelle vous ne lirez jamais un mot du Dr Kory sur ce blog.

J’ai glissé dans quelques conversations le fait qu’on a tué des dizaines de milliers de vieillards dans les maisons de repos (voir méthode ci-dessous): la réaction va d’une paralysie soudaine, avec regard du cerf dans les phares de voiture, à la panique suivie d’un repli au petit trot (ce qu’on appelle « partir en courant »). Faites le test, vous verrez.

Source.


Comment aggraver une pandémie…

Approchez, les amis, c’est du lourd!

The Underdog

11 sept. 2023

plafonner la prescription d’antibiotiques:

Le graphique ci-dessus est tiré de la base de données britannique des prescriptions ouvertes et montre que les prescriptions ont diminué en janvier 2020 – le « début de la pandémie » proclamé – et ont stagné en avril 2020, avant de repartir à la hausse en juillet 2021.

Si le mois d’avril 2020 vous semble vaguement familier (pour nos lecteurs les plus anciens, c’est le cas), c’est parce que les mois de mars à avril 2020 sont associés aux meurtres au Midazolam.

Échos des meurtres au Midazolam

Pour les nouveaux lecteurs qui ne connaissent pas les meurtres au Midazolam, voici un bref résumé:

Un pic de Midazolam, un sédatif (mais pas un analgésique), a été noté dans les prescriptions britanniques entre mars 2020 et avril 2020 (en même temps que d’autres médicaments)…

… ces prescriptions ont coïncidé avec une augmentation soudaine du nombre de décès – 17 316 – chez des patients âgés décédés des suites d’une démence, ce qui a été jugé suspect dans un article révisé par des pairs…

Selon l’Office of National Statistics, 17 316 patients sont décédés en Angleterre en avril 2020, avec la mention « démence et maladie d’Alzheimer » sur leur certificat de décès. Ce nombre de décès est près de trois fois supérieur aux prévisions, par rapport à la moyenne quinquennale pour le mois d’avril (annexe).

…ces décès ont été rétroactivement et comme par magie déclarés comme décès dus au COVID-19 (sans aucune preuve; le test PCR n’était pas disponible)…

… même s’il est connu que le Midazolam déprime la respiration et entrave la récupération, c’est-à-dire qu’il s’agit d’un médicament que l’on utilise pour tuer et non pour soigner. Matt Hancock a été surpris à conspirer avec le Dr Luke Evans pour commander de grandes quantités de Midazolam [NdT. Matt Hancock était Secrétaire d’État de la Santé et de l’Aide sociale jusqu’en juin 2021]…

Dr Evans: Les pousse-seringues sont utilisés pour administrer des médicaments tels que le midazolam et la morphine. Avez-vous mis en place des précautions pour s’assurer que nous disposons de suffisamment de ces médicaments?
Matt Hancock: Oui. Nous avons un grand projet pour nous assurer que les chaînes d’approvisionnement mondiales pour ce type de médicaments, ainsi que pour les médicaments d’unités de soins intensifs dont j’ai parlé plus tôt, soient fiables. En fait, ces médicaments sont fabriqués dans un nombre relativement restreint d’usines à travers le monde, il s’agit donc d’une chaîne d’approvisionnement délicate et nous sommes en contact avec l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement.

…et a fini par acheter pour deux ans de Midazolam à une société pharmaceutique française, Accord, par l’intermédiaire du Ministère de la Santé et de l’Aide sociale (une fameuse aide sociale, en l’occurrence). De toute évidence, il s’agissait de tuer les personnes âgées.


Les lecteurs qui souhaitent se familiariser avec les spécificités des meurtres au Midazolam sont vivement encouragés à lire les articles détaillés du Daily Beagle, qui présentent les différents médicaments, les raisons de leur toxicité et les raisons pour lesquelles nous concluons qu’il s’agit d’un meurtre prémédité. Il y a beaucoup plus à lire que la préface ci-dessus:

L’assassinat en masse des personnes âgées (introduction de base)

Les médicaments de la peine de mort utilisés par les établissements de soins (article le mieux noté)

Mystères des meurtres au Midazolam: qui est le Dr Evans?

[NdT. trois articles extrêmement bien écrits et documentés que je n’ai pas traduits, sorry]


Les antibiotiques ont-ils été bloqués uniquement au Royaume-Uni?

Des preuves ont été recueillies dans d’autres pays grâce à l’aide de l’armée des souris.

Les comptes Aquarius-elect et Mouse140 ont remarqué une baisse des prescriptions d’antibiotiques en Allemagne et ont fourni des graphiques à leur tour. Nous présentons l’original en allemand et sa traduction juste en dessous.

Le titre du graphique ci-dessous (tiré d’ici) est le suivant: « Verorgnungen von Antibiotics » :

Verorgnungen von Antibiotika vor und nach Ausbruch der COVID-19-Pandemie

Ce qui se traduit par:

« Prescriptions d’antibiotiques avant et après l’apparition de la pandémie de COVID-19 ».

‘bis’ signifie ‘jusqu’à’, ‘ab’ signifie ‘à partir de’ et ‘Jahre’ signifie ‘ans’. Les catégories énumérées sont donc des catégories d’âge: 19 à 65 ans; à partir de 66 ans; 7 à 18 ans; jusqu’à 6 ans.

Toutes les catégories d’âge ont connu une baisse massive des prescriptions d’antibiotiques en Allemagne aux alentours de mars-avril 2020 (’04 2020′). Ce n’est donc pas uniquement dû à l’assassinat de mamie dans les maisons de retraite avec du Midazolam.

Mouse140 a également fait référence à un autre article allemand, montrant que le G7 (Groupe des Sept; un organisme intergouvernemental non démocratique) souhaite ajuster l’utilisation des antibiotiques d’ici 2023 (c’est nous qui soulignons)…

[…] die G7-Staaten vor, « die stille Pandemie von Antibiotikaresistenzen » mit allen Kräften zu bekämpfen. Dafür wollen sie aktiv die Forschung und Entwicklung neuer Antibiotika fördern. Um den sachgerechten Einsatz von Antibiotika zu verbessern, wollen sie zudem bis Ende 2023 nationale Ziele festlegen.

Traduction:

[…] les pays du G7 appellent à lutter de toutes leurs forces contre « la pandémie silencieuse de la résistance aux antibiotiques ». À cette fin, ils veulent promouvoir activement la recherche et le développement de nouveaux antibiotiques. Afin d’améliorer le bon usage des antibiotiques, ils souhaitent également fixer des objectifs nationaux d’ici à la fin 2023.

…l’article montre également que les grandes entreprises pharmaceutiques ont cessé de fabriquer de nouveaux antibiotiques parce que les pays ne les prescrivent pas, de sorte qu’elles fonctionnent à perte (c’est nous qui soulignons):

[…] Viele große Pharmafirmen haben sich derweil aus der Entwicklung neuer Antibiotika zurückgezogen. Denn neue Antibiotika werden vielfach als Reserveantibiotika eingesetzt – das bedeutet, sie werden so selten wie möglich verschrieben. In einem System, das nach Volumen vergütet, sind Reserveantibiotika ein Verlustgeschäft.

Traduction:

[…] Entre-temps, de nombreuses grandes entreprises pharmaceutiques se sont retirées du développement de nouveaux antibiotiques. En effet, les nouveaux antibiotiques sont souvent utilisés comme antibiotiques de réserve – c’est-à-dire qu’ils sont prescrits le moins souvent possible. Dans un système basé sur les volumes, les antibiotiques de réserve sont une proposition déficitaire.

Les prescriptions diminuaient alors que les infections augmentaient

Le Zentralinstitut für die kassenärztliche Versorgung (ou Zentralinstitut kassenärztliche Versorgung; Institut central des médecins de l’assurance maladie obligatoire), présente un graphique particulièrement accablant :

Le titre de la page se lit comme suit: Grafik des Monats März 2023 [Graphique du mois de mars 2023].

Le titre du graphique se lit comme suit: Anzahl Patient: innen mit infektionen der oberen Atemwege in vertragsarztlicher Behandlung (Nombre de patients atteints d’infections des voies respiratoires supérieures traités par un médecin du panel).

Le bleu est: Pat mit Diagnose infektion der oberen Atemwege (Pat[ient] avec diagnostic d’infection des voies respiratoires supérieures).

Le vert est: Pat mit Diagnose infektion der oberen Atemwege und Antibioikum (Pat[ient] avec diagnostic d’infection des voies respiratoires supérieures et antibiotique).

Encore ce graphique:

En d’autres termes, malgré le fait que des personnes aient été diagnostiquées avec des infections des voies respiratoires supérieures (bleu), passant de < 10 millions (« Mio. ») en 2018 à >15 millions en 2019… la prescription d’antibiotiques (vert), en moyenne, continuait à diminuer. Remarquez qu’en 2021, le vert diminue alors même que le bleu augmente.

En d’autres termes, pour les personnes souffrant d’une infection des voies respiratoires, on leur refusait les antibiotiques (même si une augmentation des infections le justifiait).

Idem pour l’Écosse

En avril dernier, le Scottish Unity Group a constaté qu’en avril 2020 (’04 2020′), les prescriptions d’antibiotiques ont ‘stagné’ pour de nombreuses classes d’antibiotiques bien connus, et que cette tendance a persisté jusqu’en mars 2021. Comme d’habitude avec les statistiques gouvernementales, l’ensemble des données est incomplet car le gouvernement ne veut pas publier de preuves accablantes:

Crédit: Scottish Unity Group. Source des données: NHS Opendata

Les prescriptions américaines ont également chuté

Selon clincalc, une base de données publique sur les prescriptions mieux organisée que celle du gouvernement américain, les antibiotiques tels que l’azithromycine ont diminué d’une année sur l’autre:

Parmi les autres antibiotiques en baisse jusqu’en 2020, on peut citer:

La tobramycine:

La néomycine (dans le cadre d’un hybride Dexaméthasone; néomycine; polymyxine B; il n’y avait pas de données autonomes):

La clindamycine:

La clarithromycine:

La gentamicine (également connue sous le nom de garamycine) :

La colomycine, l’aknemycine, la cidomycine, la vancomycine et la fosfomycine n’avaient pas de données.

L’érythromycine est le seul antibiotique à avoir connu une légère augmentation, sans toutefois dépasser les niveaux d’avant 2020 (voir l’augmentation du nombre de patients, ligne rouge):

…et la vibramycine (alias la doxycycline):

Il convient de noter que la très légère augmentation des prescriptions de doxycycline (environ 2 à 3 millions) ne suffirait pas à compenser l’énorme baisse des prescriptions d’azithromycine, qui ont chuté de plus de 30 millions d’unités:

C’est sans compter la baisse des autres antibiotiques. Les patients infectés par des bactéries ne disparaissent pas en masse; où ont disparu ces cas d’infection bactérienne? Et s’ils n’ont pas « disparu », pourquoi les prescriptions d’antibiotiques ont-elles chuté aussi brutalement?

La pneumonie ressemble toujours une montagne russe

Au cas où vous auriez l’étrange idée que les gens sont mystérieusement infectés à des taux très rigides et constants pour justifier rétroactivement le refus de l’évidence, ne vous donnez pas la peine.

Jessica Rose, en utilisant les données du système de surveillance de la mortalité du Centre national des statistiques de santé des États-Unis, a démontré que les chiffres de la mortalité due à la pneumonie ressemblaient toujours à des montagnes russes, sauvages et très fluctuantes:

Jessica Rose a ensuite publié un autre graphique montrant la forte augmentation du nombre de décès dus à la pneumonie par rapport aux taux historiques:

Pour ceux qui ne sont pas familiers avec la médecine, la pneumonie est un terme « fourre-tout » qui désigne les symptômes liés aux infections des voies respiratoires (« Pneuma » en grec signifie « souffle »).

Ces symptômes peuvent être causés par de nombreux types d’infections, y compris des bactéries. Les étudiants en médecine se rappelleront le dicton de Hickam :

Les patients peuvent avoir autant de maladies qu’ils le souhaitent

En d’autres termes, à la différence du Rasoir d’Occam, il y a rarement « une réponse unique et simple », mais une multitude de réponses. Une faiblesse dans un système corporel aura des répercussions sur d’autres systèmes. Une personne peut être infectée par plusieurs éléments à la fois, y compris des virus, des bactéries, des parasites et des moisissures [NdT. je rappelle que j’avais soulevé la question il y a trois ans dans le cadre du Covid, et que j’attends toujours la réponse].

L’infection bactérienne secondaire est un bon prédicteur de la mort dans le COVID-19

Selon cette étude:

D’où pourrait bien provenir l’infection bactérienne? Eh bien, il y a un certain nombre de sources possibles. Dans l’enquête approfondie du Daily Beagle sur les unités de soins intensifs intitulée « Death By Dehydration In ICU«  (Mort par déshydratation dans les unités de soins intensifs), nous avons découvert qu’il était bien connu que les respirateurs pouvaient être à l’origine d’infections bactériennes.

Citons « Managing humidity support in intubated ventilated patients with coronavirus disease 2019 (COVID-19)«  (Gestion de l’humidité chez les patients intubés ventilés atteints d’une maladie à coronavirus 2019 (COVID-19)):

Une étude a montré qu’un système de circuit de ventilation conventionnel réutilisable et un système de circuit de ventilation jetable combiné à un humidificateur chauffé à remplissage automatique et à un cathéter d’aspiration fermé développaient un grand nombre de bactéries dans les circuits de ventilation.

Dans un article plus récent, nous avons souligné que les masques favorisent la rétention de l’humidité, ce qui entraîne la prolifération des bactéries et des moisissures [NdT. je connais personnellement quelqu’un qui a développé une pneumonie Covid après avoir porté un masque – pour la première fois – pendant trois heures lors d’une réunion]. Au cours d’un débat avec Geoff Pain, trois études ont été citées à l’appui de cette thèse:

« Bacterial and fungal isolation from face masks under the COVID-19 pandemic » (isolement bactérien et fongique à partir de masques dans le cadre de la pandémie COVID-19), qui a étudié des personnes au Japon (le Japon a une culture de port de masque antérieure à 2020, donc si quelqu’un doit savoir comment porter un masque, ce sont bien les Japonais) :

L’étude a révélé la présence de bactéries résistantes aux antibiotiques sur tous les masques échantillonnés. Elle a également mis en évidence que, même au sein d’une culture japonaise responsable, seuls 21 % des gens lavaient leur masque. De toute évidence, le lavage des masques n’a pas permis d’éliminer les bactéries.

« Cotton and Surgical Face Masks in Community Settings : Bacterial Contamination and Face Mask Hygiene«  (Masques de coton et chirurgicaux en milieu communautaire : contamination bactérienne et hygiène des masques) a révélé que les masques devaient être correctement stérilisés (bouillis ou au moyen de stérilisateurs antibactériens) ou jetés en raison d’une contamination bactérienne:

Et au cas où vous penseriez que les professionnels de la santé échappent à ce problème, l’étude « Evaluation of the bacterial contamination of face masks worn by personnel in a center of COVID 19 hospitalized patients: A cross-sectional study«  (Évaluation de la contamination bactérienne des masques portés par le personnel dans un centre de patients hospitalisés COVID 19: étude transversale) a révélé que les masques des professionnels de santé étaient également fortement contaminés par des bactéries:

Donc, si nous sommes en présence de toutes ces sources bactériennes nocives, où l’infection bactérienne secondaire est un bon prédicteur de décès dans COVID-19, pourquoi les antibiotiques n’ont-ils pas été prescrits au cours de cette période?

Et par contraste, avant que vous ne trouviez une excuse en disant « mais qu’en est-il des confinements? », voici le graphique des prescriptions d’antiviraux. Remarquez qu’il n’y a pas de courbe plate suspecte en 2020-2021:

Le graphique ci-dessus est d’autant plus accablant qu’il montre que les médecins n’ont même pas pris la peine d’utiliser des antiviraux pour tenter de traiter une infection virale. S’ils ne prescrivent pas d’antibiotiques ou d’antiviraux, comment diable vont-ils combattre cette infection?

L’Australie déclare qu’il est inapproprié d’administrer des antibiotiques aux personnes âgées vulnérables

Selon la Commission australienne pour la sécurité et la qualité des soins de santé (une appellation malicieusement ironique, sans aucun doute), les personnes âgées recevraient des antibiotiques de manière « inappropriée », mais on remarquera que cette commission ne présente aucune preuve à l’appui de ses audacieuses affirmations:

Les maisons de retraite australiennes présentent des niveaux élevés de prescription inutile d’antimicrobiens et d’utilisation inappropriée d’antimicrobiens. Près d’un résident sur dix des maisons de retraite ayant participé à l’AC NAPS s’est vu prescrire au moins un antimicrobien.

Ah, s’en prendre aux personnes âgées dans les maisons de retraite qui ne peuvent pas se défendre. C’est très courageux.

Ironiquement, le journal cite même en exemple les infections bactériennes induites par les respirateurs:

Attendez, vous voulez dire qu’il est inapproprié de donner des antibiotiques à des personnes pour des infections bactériennes que vos propres interventions provoquent? C’est comme si un pyromane disait qu’il est inapproprié d’appeler les pompiers chaque fois qu’il provoque un incendie.

L’Australie demande aux professionnels de la santé de ne pas utiliser d’antibiotiques

La « National Clinical Evidence Taskforce » (« Groupe de travail national sur les preuves cliniques ») australienne demande carrément aux professionnels de la santé de ne pas prescrire d’antibiotiques pour le COVID-19, sans même tenir compte de la nuance des circonstances (l’azithromycine est un antibiotique):

Ce même rapport leur indique même de ne pas prescrire de vitamine C non toxique (que l’on trouve dans les agrumes comme le citron et le citron vert), de vitamine D (produite naturellement par la peau grâce à l’exposition au soleil), de zinc (que l’on trouve naturellement dans les graines de citrouille, par exemple), ou « d’autres traitements qui modifient l’évolution de la maladie »:

C’est littéralement l’ordre de ne pas traiter la maladie, parce que tous les traitements modifient la maladie. Cela implique que les médicaments qu’ils recommandent ne modifient pas la maladie, c’est-à-dire qu’ils ne la traitent pas.

Il s’agit clairement d’un acte malveillant

Ils se plaignent de la résistance aux antibiotiques, mais lorsque les sociétés pharmaceutiques leur proposent de nouveaux antibiotiques, soudainement et mystérieusement, ils ne sont pas intéressés. Ils peuvent déverser des milliards dans Pfizer pour vous injecter du poison, mais ils n’ont pas d’argent à consacrer aux antibiotiques.

C’est l’équivalent politique de quelqu’un qui dit qu’il est en train de mourir et qu’il a besoin d’aide, mais lorsqu’un ambulancier se présente pour le soigner, il lui demande de partir car on n’a pas besoin de lui.

C’est exactement la modalité à laquelle on s’attendrait de la part de quelqu’un qui fait tout son possible pour ne pas soigner ses patients. Ils prodiguent tous les pires conseils, mettent en œuvre des interventions qui provoquent des infections bactériennes, puis refusent de traiter les foyers d’infection qu’ils ont eux-mêmes créés.

Résumé

La prescription d’antibiotiques au Royaume-Uni de janvier 2020 à juillet 2021 a stagné, le creux d’avril 2020 coïncidant avec les meurtres au Midazolam.

Des baisses anormales de la prescription d’antibiotiques ont été observées en Allemagne, en Écosse et en Amérique. Les antiviraux n’ont pas connu de baisse aussi marquée que les antibiotiques, mais leur utilisation n’a pas augmenté non plus.

L’Allemagne et l’Australie ont toutes deux émis des avis contre l’utilisation des antibiotiques, l’Australie s’opposant même aux traitements « modificateurs » de la maladie en général.

Cette baisse des prescriptions d’antibiotiques s’est produite alors même que le nombre de décès dus à la pneumonie augmentait, bien que les bactéries soient l’une des causes possibles de la pneumonie. Les infections bactériennes secondaires associées au COVID-19 étaient fortement corrélées à la mortalité.

Il a été démontré précédemment que les respirateurs et les masques sont des sources possibles de bactéries dans les voies respiratoires. La combinaison de politiques qui favorisent la prolifération des bactéries et le refus malveillant d’administrer des antibiotiques témoigne d’une évidente tentative malveillante d’aggraver la pandémie.

La question que tout le monde se pose.

Qu’est-ce qui va encore nous tomber dessus?

  • Le Covid (Xiéme vague/variant)?
  • La grippe aviaire?
  • La maladie de Marburg ou une autre fièvre hémorragique?
  • La « contagion catastrophique »?
  • La guerre civile?
  • La guerre chaude en Europe?
  • L’hyperinflation?
  • Les pénuries
    • d’énergie?
    • de matières premières?
    • alimentaires – la famine?
  • La catastrophe climatique?
  • L’invasion migratoire?
  • Une cyber-attaque?
  • Le black-out?
  • Le contrôle total par les monnaies numériques?
  • La fin de l’humanité par l’intelligence artificielle?
  • Une invasion extra-terrestre?
  • Un concert de Francis Lalanne?

Un peu de tout?

Autre chose?

Rien?

Une lectrice sur Substack fait ce commentaire:

L’opération covid n’a jamais été fonction d’une protéine de pointe ou d’une nanoparticule lipidique ou d’un bolus [NdT. injection rapide et brève d’une substance dans un vaisseau sanguin] ou d’un coronavirus ou d’un laboratoire de biologie spécifique ou d’un scientifique ou d’un personnage public en particulier.

Les personnes que nous voyons sur nos écrans, à de rares exceptions près, ne sont ni des supergénies ni des superméchants intentionnels. Et ils sont loin d’avoir sur Mère Nature autant d’emprise qu’ils voudraient nous le faire croire.

La puissance des forces qui se dressent contre l’humanité réside dans leur capacité à collecter et à interpréter des données à une échelle colossale. OODA. Depuis plusieurs décennies, ils ont étudié et analysé les systèmes de la société humaine. Après de nombreux essais, et après avoir déterminé à leur satisfaction qu’ils sont désormais capables de fournir aux différents éléments de la société humaine les informations qui provoqueront l’autodestruction de l’humanité, ils ont mis en œuvre l’opération covid-19 en direct.

Leur opération comporte d’innombrables redondances. Si la première piqûre ne vous tue pas, peut-être que la dixième le fera. Si vous échappez à l’injection, on vous laissera dans la misère et vous mourrez de désespoir. Ou vous serez déclaré fou et hospitalisé de force. Ou vos enfants vous seront enlevés. Ou votre eau en bouteille sera contaminée par du poison. Si vous n’avez pas sur vous le traceur électronique que Big Data vous aura attribué, vous ne pourrez ni acheter ni vendre. Si vous utilisez un système de paiement décentralisé astucieux, il sera réglementé jusqu’à devenir inutile après que l’on vous ait d’abord volé votre argent. Si vous décidez de vous révolter, des algorithmes de pré-crime détecteront vos intentions et la police vous arrêtera. Et ainsi de suite.

Les forces qui se dressent contre l’humanité savent que leur cible est un organisme complexe et vital dont le comportement ne se prête pas toujours à la prédiction. Elles ajustent constamment leur opération.

Sabina Pade, 27 Nov 2022

Très bien, voyons ça.

D’abord, ce n’est pas « l’opération » qui est ajustée mais l’ensemble de la société. Autrement dit, la société est l’opération. Une des manières traditionnelles de l’ajuster est l’alternance de totalitarisme étatique d’un côté et de laisser-faire de l’autre – la « gauche » et la « droite ». La gauche, c’est ce qui déresponsabilise, infantilise et endoctrine l’individu et lui enlève tout pouvoir de décision au nom du « bien commun » – ce que nous avons eu ces trois dernières années en version sanitaire. La droite, c’est ce qui le tient pour seul responsable de son sort, le punit pour la moindre faiblesse (ou pour rien, d’ailleurs), quitte à le laisser crever – on a un échantillon assez violent des deux avec le règne de Macron, qui en a surtout retenu l’aspect Stasi/Tonton macoute – l’idée étant qu’une fois qu’on a été trop loin dans l’un ou l’autre sens, il suffit de passer le relais à l’autre équipe, qui rattrapera la mayonnaise.

La question est de savoir si la mayonnaise est encore rattrapable et quel est l’avenir d’un monde plus stupide, plus laid, plus fou et plus violent à chaque minute – bref, dangereux – où les gouvernements s’en prennent directement à leurs populations de façon aussi peu courtoise.

Reprenons quelques éléments de l’opération:

  • Dépopulation
  • Stérilisation
  • Zombification
  • Destruction de l’enseignement
  • Destruction de l’économie
  • Destruction de la paix sociale
  • Destruction du réseau de production d’énergie
  • Destruction de l’agriculture et de l’élevage
  • Destruction du réseau médical
  • Destruction des moyens de transport
  • Contrôle de la consommation

… ce qui se décline aujourd’hui en mesures sanitaires, monnaies numériques, revenu universel, contre-mesures climatiques, intelligence artificielle et tout ce genre de connerie. Le fait que tout déboule en même temps montre qu’on est dans les mesures d’urgence, des moyens de contrôle de dernier recours justifiés par les catastrophes annoncées, réelles ou fictives: pandémies, réchauffement planétaire, tarissement du pétrole, rarification des ressources, chômage de masse, krach financier, etc. Le Grand Reset étant un livre de science-fiction écrit par des fonctionnaires, infaisable en vrai, il semble que la stratégie est finalement de « brûler le village pour le sauver ». Nous ne sommes donc pas « en transition » mais en plein stage de survie à l’échelle planétaire. Le système est étonnament résilient mais pour combien de temps? Il tiendra le coup jusqu’à son point de bascule, moment auquel il s’effondrera, surtout si on l’aide un peu en coulisses. Y aura-t-il une prise de conscience suivie d’une révolte, comme l’annonce Parrhesia? On en est déjà à des millions de morts et question révolte, à part beaucoup de paroles – le rôle de l’opposition contrôlée – et quelques manifestations complètement inutiles, rien n’est fait. Faisons un rapide tour d’horizon du théatre des opérations avec trois exemples concrets.

Même s’il ne fait plus guère la une, on pourrait se demander combien de temps va encore durer le conflit Russie/Ukraine, qui, en toute logique, aurait dû être bouclé en deux semaines – comme dans « deux semaines pour aplatir la courbe ». Il ne tient encore que par le déstockage (payant) d’armements américains et européens – dont on perd la trace mais dont une partie finit apparemment en Afrique, nouveau théatre des opérations, et en Europe de l’Ouest, dans le cadre de la vaste manoeuvre de déstabilisation/changement de régime en cours. L’Opération Militaire Spéciale russe est ainsi devenue de facto une guerre d’attrition, un Verdun à l’échelle nationale où, comme lors de la Première Guerre mondiale, la classe paysanne est envoyée à une mort lente mais certaine pour préparer le pays, initialement utilisé par les États-Unis comme plaque tournante de corruption, à la mainmise de ces derniers sur les riches terres agricoles de l’Est – comme dit John C Dvorak, « Autant barrer Ukraine tout de suite et inscrire Cargill à la place ». Pour des raisons ethniques, la Russie gardera vraisemblablement les territoires russophones, qu’ils sont sans doute les seuls à pouvoir durablement gérer. Tout ça sent l’opération commerciale entre deux super-puissances, dans laquelle l’Europe se voit une fois nouvelle fois léser, pour rester poli. Mais ne m’écoutez pas, demandez plutôt à Victoria Nuland de vous expliquer.

En Russie même, la plateforme ARNm – en collaboration avec AstraZeneca – semble avoir de beaux jours devant elle. Ça ne risquera pas d’arranger leur problème de déclin démographique mais n’empêche toutefois pas leur président de rappeler à chaque occasion la décadence de l’Occident, pendant que la Fédération s’engage sur la voie des smart cities et que leurs voisins et amis mettent en place des villes de 15 minutes – les solutions « durables » chères au Forum Économique Mondial. Tout ça pour rappeler qu’ils ne sont pas, malgré ce que tentent de vous en faire croire leurs porte-paroles occidentaux (payés), les « résistants » au Nouvel Ordre Mondial: ils en sont l’avant-garde et le futur centre.

Côté États-Unis, que se passera-t-il l’année prochaine? Après la campagne de décérébration intensive de ces trois dernières années à coups de Covid, « transmaoïsme » (sujet extrêmement bien traité par John et Adam depuis le n°1541 de NoAgenda, auquel j’aurais pu consacrer des dizaines d’articles si j’avais eu le temps), wokisme, marxisme idéologique et drogues psychotropes, deux camps inconciliables ont été créés, situation qui pourrait bien sonner le glas de l’American Way of Life. Pour rattraper ladite mayonnaise, on parle aujourd’hui de gouvernance bi-partite Démocrates/Républicains, qui se concrétiserait par la désignation de Robert F Kennedy Jr comme candidat Démocrate à la présidence et par sa « victoire » possible dans son rôle revendiqué de rassembleur. En réalité, à l’instar du rôle d’homme providentiel de Robert Malone dans le « mouvement pour la liberté médicale », RFK a été adoubé en haut lieu pour gérer l’après-Covid en version très soft. Après avoir focalisé – notamment par le biais de son bouquin « The real Anthony Fauci » – la faute des injections sur les seules institutions de régulation (la FDA, les CDC, etc.), son projet politique pour l’avenir est, avec l’aide de Malone, de « rétablir la confiance » envers ces institutions, qui ne seraient tenues qu’à de simples excuses pour ces trois dernières années, en glissant discrètement sur le fait qu’il s’agissait d’une opération militaire (voir les articles de Katherine Watt sur ce blog). Bref, le Grand Pardon. [Edit: je tombe justement aujourd’hui même sur cet article où Malone présente le nouveau bouquin de RFK, consacré aux coulisses militaires/renseignement de la « biodéfense ». En attendant de le lire, je retire temporairement ce que j’ai dit quatre lignes plus haut.]

Pour remplir ce rôle, il cumule quelques atouts électoraux, qui joueront ou non en sa faveur: énorme et précieux travail d’information médicale et travail sur le terrain à travers Children’s Health Defense, Démocrate mais capable de faucher les votes MAGA à Trump (le poulain du Renseignement militaire discrédité par l’Opération Warp Speed), grand défenseur des mesures « climatiques » anti-pétrole et anti-nucléaire (sur lesquelles il a bâti sa carrière d’avant-Covid) et de l’agriculture régénérative (sans engrais ni pesticides), son programme est une mise à jour des grands axes « progressistes » verts à la sauce « libertaire », ce qui le rendra à moitié digeste pour une droite inquiète de son possible avenir sous dictature sanitaire (menace brandie et exacerbée par sa base de soutien), tout en restaurant la ligne traditionnelle d’une gauche qui devra gérer tôt ou tard ses traumatismes idéologiques et accepter qu’il est leur seule option. Son programme très vertueux laisse toutefois un détail mineur à régler: même en les rationnant sévèrement, comment il compte faire pour fournir énergie et nourriture à 360 millions d’américains reste un mystère.

Plus près de nous, est-il encore possible de désamorcer la poudrière de la France, sa déstabilisation télécommandée depuis Washington et Langley, sa politique énergétique sabotée par l’Allemagne, et surtout qui est encore capable? Le récent « coup d’État » au Niger scellera encore un peu plus la fin de la Françafrique, que la Chine, la Russie – en position de force par son contrôle militaire des exportations de céréales ukrainiennes – et dans une moindre mesure, les États-Unis sont en train de se partager, grâce à l’ineptie du caractériel Macron, qui aura ainsi achevé sa tâche de transformer, à coups corruption institutionnelle, le pays qui lui a été « confié » en république bananière, soumise à un pillage comparable à ce qu’a subi la Russie après la fin de l’ère soviétique.

Tout ceci indique que nous ne sommes pas (ou plus) dans un scénario de guerre économique. L’élite financière sait pertinemment que le système monétaire et la taxation qui le soutient sont totalement morts. Elle est donc engagée dans une guerre des ressources – une des raisons pour lesquelles elle tente de réduire la consommation par crises artificielles, inflation, prétexte « climatique », contrôle par MNBC et score social. La Russie et la Chine – et le bloc BRICS en général – partent gagnantes dans cette guerre, en jouant la carte du bon sens énergétique, et celle de la diplomatie « win-win » en Afrique et ailleurs – dans le cas de la Chine, dans tous les territoires traversés par sa Nouvelle Route de la Soie.

Pendant ce temps, ce ne sont pas seulement les Français qui ont perdu leur pays mais tout l’Occident qui est au bord de l’implosion. Le nombre de gens à la rue ne cesse de croître et rien n’est fait pour eux – autre méthode de réduction de l’espérance de vie (la moyenne de survie pour un sans-abri est de dix ans). Au Canada, on leur propose le suicide médicalement assisté. Même phénomène en Belgique, où la crise du logement prend des proportions bibliques, le réseau d’hébergement des enfants étant saturé au point où des bébés sont pris en charge dans des services hospitaliers psychiatriques. À part cette masse sans cesse grandissante d’exclus, tout va bien ici pour l’instant pour le citoyen lambda, toujours très bien payé et donc encore très taxable, le pays étant (bien) géré par une bureaucratie indéboulonnable et relativement imperméable aux possibles délires de la caste politique – relativement rares dans un pays où la médiocrité est élevée au rang de vertu et protégé par son statut de conciergerie des institutions atlantistes et européennes.

Voilà un bref aperçu de la situation dans ses grands axes, telle qu’elle est visible aujourd’hui, en gardant à l’esprit que d’autres éléments, dont nous n’avons pas la moindre idée, agissent probablement en coulisses. Quoiqu’il advienne ensuite, vu l’impasse dans laquelle est engagé le système, les réponses finiront tôt ou tard par s’articuler sur le même type de contrôle démographique que celui employé pour le Tiers-Monde, dont le Covid et ses produits dérivés en sont une première salve, comme l’a expliqué Catherine Austin Fitts: une dépopulation, quel que soit le nouveau nom qu’on lui donne – guerre de cinquième génération, iatrogénocide, etc.

Ce qui amène la question que j’ai déjà évoquée ici: y a-t-il encore moyen de faire autrement? Cette société est conçue pour fonctionner selon des paramètres économiques, industriels et démographiques assez rigides – la variable d’ajustement à laquelle « ils » semblent tenir le plus étant la démographie, celle qui se décide en haut lieu pour préserver le modèle. La solution serait bien entendu de changer de modèle – d’urgence – mais est-il encore temps et quels peuples sont-ils prêts à en faire l’effort physique et moral? C’est-à-dire, refuser de s’enfoncer dans la décadence dont nous parle Vladimir – qui n’est pas, et de loin, l’exclusivité de l’Occident mais un problème de civilisation, dont la fragilité a été bien mise en avant par la crise Covid.

La médecine, qui n’a jamais cessé de faire reculer les limites de l’acceptable (voir notamment ici et tous mes articles sur les injections et thérapies géniques) et torturé les animaux pour des questions « de sécurité », a maintenant complètement basculé dans la monstruosité sénécide, fratricide et, signe de fin des temps, infanticide (ici, ici, ici, ici, liste non-exhaustive). Le Dr Hodkinson mentionne ici le sacrifice d’enfants chez les Aztèques, pour apaiser la colère des dieux. Je pense que c’est exactement là où nous en sommes, ce qui devrait nous rappeler que la civilisation n’est jamais qu’un arrangement temporaire, jamais loin de la barbarie, et que les civilisations ont une curieuse tendance à disparaître. La question serait de comprendre comment, ce que nous allons tenter en creusant un peu l’Histoire dans la suite à cet article. Apparemment, il existerait un phénomène récurrent qui remettrait les pendules à zéro, ferait table rase des mensonges, fausses excuses, ambitions de demi-dieux, décadence et tutti quanti. Un « Build Back Better« , un « Grand Reset » et une dépopulation à une échelle inimaginable, qui donneraient une autre raison aux mesures d’urgence.

Je pense que c’est ça qui va nous tomber dessus.

Le Spectacle du Covid – par Toby Rogers.

J’avais l’intention de publier mon propre (double) article en premier, mais je fais passer celui-ci avant. C’est une rétrospective cinglante, très bien écrite, par un type épatant.

Mes lecteurs connaissent sûrement déjà la plupart des éléments évoqués ici mais après trois ans passés dans l’eau de la marmite, ça fait quelque chose de se rappeler d’un coup toutes ces saloperies – et tous ces salopards.

Source.


Le Spectacle du Covid

Pourquoi ces images ont-elles été choisies et qu’est-ce que ça nous apprend sur cette opération psychologique?

Toby Rogers

19 juillet

I. Introduction

Ces dernières semaines, je me suis penché sur le Spectacle du Covid. Plus j’y pense, plus je le trouve étrange. Ce qu’il y a de frappant dans les images emblématiques de la pandémie, c’est à quel point elles paraissent aujourd’hui artificielles. Ces photos étaient présentées comme des « informations de dernière minute », mais il semble aujourd’hui que presque toutes les images emblématiques de la pandémie aient été mises en scène de manière élaborée pour raconter une histoire particulière et obtenir certains résultats politiques.

Passons en revue quelques-unes des images clés de la pandémie et discutons ensuite de leur signification.


II. Des personnes « tombant raides mortes » dans les rues de Wuhan

Le Guardian a officiellement lancé la pandémie en publiant un article intitulé « Un homme mort dans la rue: l’image qui capture la crise du coronavirus de Wuhan« .

Héctor Retamal, basé à Shanghai et employé par l’Agence France-Presse (AFP), s’est rendu à Wuhan, a pris plusieurs photos qui ont été diffusées dans le monde entier par Getty Images.

À l’époque, cette photographie semblait constituer un scoop important et gênant pour le gouvernement chinois. Un mort dans la rue. Le « personnel d’urgence en combinaison de protection » a l’air surpris, ce qui sous-entend que le photographe ne devrait pas voir ça!

Mais réfléchissons un instant. En Chine, le photographe d’une agence de presse étrangère est surveillé dans ses moindres faits et gestes par un agent du Parti Communiste Chinois. Pour que M. Retamal puisse prendre cette photo, il aurait fallu que l’agent gouvernemental l’autorise à se trouver là, et cette autorisation aurait dû venir d’en haut. Même après que M. Retamal ait pris la photo, il avait encore à la faire sortir du pays. Pourtant, son gardien n’a pas confisqué l’appareil photo et ne l’a pas empêché d’accéder à l’internet, ce qui renforce l’idée que le gouvernement chinois souhaitait que cette photo soit diffusée. La question est de savoir pourquoi.

En outre, tout dans cette image est artificiel. Les gens ne tombaient pas raides morts dans la rue à cause de Covid. Le corps est trop ordonné – il est simplement tombé sur le dos dans une position de repos parfaitement confortable, sans aucun membre écarté du corps? On peut supposer que sa tête a heurté le trottoir, pourquoi n’y a-t-il alors pas de sang? Puisque le gouvernement a autorisé la photo, il est peu probable que ces travailleurs aient été surpris, on peut plutôt supposer qu’ils se sont tournés pour poser pour la photo afin de créer un effet maximal.

C’est ensuite devenu un style de reportage – d’infortunés travailleurs chinois en combinaison de protection et des gens qui meurent dans les rues de Wuhan. Le Daily Mail présente un montage vidéo particulièrement choquant de ces images: « On voit des hommes et des femmes incapables de se tenir debout dans la ville chinoise au cœur de l’épidémie de coronavirus ».

Swiss Policy Research a analysé les photos et les vidéos relatives au Covid de Wuhan et a conclu que nombre d’entre elles étaient des mises en scène ou n’avaient rien à voir avec le Covid (en fait, il s’agissait de « personnes ivres, de sans-abri, d’accidents de la route, d’urgences médicales non spécifiées et même d’exercices d’entraînement« ). Alors pourquoi ont-elles été diffusées et vendues au public comme des images liées au Covid?

Rétrospectivement, il apparaît aujourd’hui que l’on nous a présenté les scènes d’ouverture du film Contagion transposées de la salle de cinéma aux journaux. Contagion, plus que tout autre film, nous a préparés à attendre à ce que ça se produise, et finalement, sans aucun doute, ça se produisait!

Le virus mortel de ce film de fiction prend naissance en Asie, se propage par le biais de voyages internationaux bien intentionnés et, tout d’un coup, les gens tombent raides morts. Contagion met même en scène un marché asiatique à l’épicentre de l’épidémie.

Ian Lipkin, épidémiologiste à l’université de Columbia et consultant pour le film Contagion, faisait partie de l’équipe qui a dissimulé les origines de laboratoire du SARS-CoV-2 à la demande de Tony Fauci pendant les premiers jours de la pandémie – alors que le Guardian publiait la photo que j’ai montrée plus haut.


III. Le psychopathe milliardaire Bill Gates a forcé le Dr Sanjay Gupta à tâter du fouet tous les samedis soirs pendant des mois

Tous les soirs, au plus fort de la pandémie, alors que des millions d’Américains étaient enfermés chez eux sans rien faire, le psychopathe milliardaire Bill Gates, qui n’a pas terminé ses études secondaires, a acheté sa place dans l’émission Anderson Cooper 360 (CNN), où le Dr Sanjay Gupta, véritable neurochirurgien, a été contraint de traiter Gates comme l’expert de la pandémie.

Bill Gates a passé chaque interview avec un sourire en coin. Il n’a apporté aucun élément nouveau. Pourquoi un éminent neurochirurgien immigré a-t-il été contraint de poser des questions à Bill Gates plutôt que l’inverse?

Je pense que l’objectif non avoué des interviews Cooper/Gupta/Gates était multiple. Gates l’a fait pour humilier le Dr Gupta et la profession médicale. Il a montré qu’ils n’étaient que des marionnettes à louer, qui se moquaient de la science et dépouvus du moindre respect d’eux-mêmes.

Comme le souligne Robert Kennedy Jr., 80% des revenus d’Anderson Cooper 360 proviennent de Big Pharma, de sorte que l’apparition de Gates n’était qu’un placement de produit rémunéré qui vantait les mérites des vaccins à venir.

Gates semble également prendre plaisir à nous faire croire qu’il est l’architecte de notre destin. Gates est comme un pyromane qui bavarde avec une famille dans la rue tout en regardant leur maison brûler. Chaque samedi soir, au plus fort de la pandémie, Gates disait au peuple américain: « C’est moi qui vous ai fait ça et vous ne pouvez rien y faire parce que je suis richissime ». C’était un mélange étrange de Goebbels et de Mengele, et Gates l’a fait parce qu’il le pouvait et parce que c’est son truc.


IV. Images de New York

La ville de New York s’est vraiment surpassée en matière de théâtre pandémique. La ville de New York a connu les pires conséquences de la pandémie au monde. Mais c’est parce qu’elle a suivi docilement les directives mortelles et stupides du CDC et que les hôpitaux ont appliqué les mauvais protocoles (pas de prophylaxie ni de traitement précoce et une utilisation excessive des respirateurs qui a tué 90% des patients). Les images devenues emblématiques témoignent de l’incapacité de la ville de New York à faire preuve d’esprit critique et de logique face aux défis à relever.

Le navire hôpital de la marine américaine Comfort, qui contenait 1 000 lits et 1 200 membres du personnel médical, est resté pratiquement vide jusqu’à son départ.

Le centre de convention Javits a été transformé en un hôpital d’urgence de 3 000 lits. Lui aussi est resté pratiquement vide.

Mais les Pouvoirs en place voulaient que tout le monde sache que les choses allaient vraiment mal et que tout le monde allait mourir s’il n’obéissait pas.

En avril et mai 2020, des camions de morgue réfrigérés ont captivé l’imagination du public pendant des semaines. Mais ce n’était pas la conséquence du Covid en tant que tel, plutôt celle d’hôpitaux qui tuent 90% de leurs patients Covid en appliquant les mauvais protocoles. Une analyse de Jeffrey Tucker, du Brownstone Institute, a montré que les camions de morgue réfrigérés étaient devenus nécessaires parce que les maisons funéraires et les cimetières avaient été fermés, créant un goulot d’étranglement artificiel.

Et comme si les camions de morgue réfrigérés ne suffisaient pas, le NY Times, le Washington Post, Time Magazine, USA Today et d’autres publications grand public ont tous publié des photographies aériennes de la fosse commune de la ville de New York, sur Hart Island. Des analyses ultérieures ont remis en question l’idée d’une augmentation du nombre de ces enterrements, mais le message visuel de danger et de malheur était déjà fermement ancré dans l’imagination du public.

La ville de New York est donc devenue une étrange juxtaposition d’installations d’urgence vides et d’images du type « nous allons tous mourir », même si le cœur du problème découlait de mauvais protocoles hospitaliers et ds confinements, plutôt que du Covid lui-même.


V. Les infirmières dansantes

Rien n’a mieux illustré cette opération psychologique que les milliers de vidéos sur TikTok montrant des infirmières et des médecins dans des services hospitaliers vides, à un moment où le monde était confiné afin de « préserver la capacité d’accueil des hôpitaux ». Il s’agit de chorégraphies élaborées qui ont nécessité de nombreuses heures de travail, d’entraînement et d’enregistrement.

[NdT. la vidéo est différente sur la page originale. Elle est meilleure mais je ne peux pas l’incruster ici]

Les vidéos étaient peut-être spontanées – les infirmières avaient du temps libre, les vidéos de danse étaient populaires, TikTok explosait en popularité. Mais leur effet cumulatif revenait à dire: « Nous avons arrêté l’économie mondiale pour la première fois de l’histoire sous prétexte de préserver la capacité des hôpitaux, mais les hôpitaux sont vides, alors vous êtes les dindons de la farce ».


VI. Bombardement médiatique mondial coordonné des nations qui n’ont pas suivi le programme de Pharma

Alors que Pharma resserrait son emprise sur le monde entier, elle s’est engagée dans une opération « Clear and Hold » [NdT. opération militaire qui consiste à « nettoyer » une zone et à en prendre le contrôle] pour punir les nations qui n’obéissaient pas suffisamment à ses diktats.

La Suède a gardé ses écoles, ses frontières et son économie ouvertes et a refusé d’imposer les vaccins lorsqu’ils sont devenus disponibles. Les médias se sont donc lancés dans une longue campagne de bombardement numérique visant à contraindre la Suède à livrer ses citoyens au cartel. Leur rage s’est concentrée sur l’épidémiologiste suédois, Anders Tegnell, qui avait lu lui-même les preuves scientifiques et suivi les données (contrairement aux bureaucrates achetés aux États-Unis).

Voici un petit échantillon de cette haine numérique:

France 24, 17 mai 2020

« La stratégie Covid-19 de la Suède a provoqué une ‘amplification de l’épidémie' »

The New York Times, 7 juillet 2020

« La Suède est devenue un avertissement pour le monde entier »

Forbes, 7 juillet 2020

« La Suède est restée ouverte et plus de gens sont morts du Covid-19, mais la vraie raison pourrait être plus sombre »

Foreign Policy, 22 décembre 2020

« Les dessous de l’échec de la Suède dans sa lutte contre le coronavirus »

Chicago Policy Review, 14 décembre 2021

« L’approche non conventionnelle de la Suède face au Covid-19: Ce qui a échoué »

Il est presque comique d’y repenser aujourd’hui, étant donné que la Suède avait en fait la surmortalité la plus faible de toute l’Europe et qu’elle a été justifiée sur tous les plans. Mais l’industrie pharmaceutique avait un trillion de dollars de bénéfices à récolter et elle a utilisé les médias pour faire de la Suède un exemple tant qu’elle le pouvait.

D’autres n’ont pas eu cette chance. Le président de la Tanzanie, John Magufuli, a mis l’Organisation Mondiale de la Santé dans l’embarras en testant une chèvre et une papaye pour le Covid – les deux tests se sont révélés positifs. Le 8 février 2021, le Guardian, avec le financement de la Fondation Bill & Melinda Gates, a annoncé qu' »il est temps pour l’Afrique de mettre au pas le président anti-vax de Tanzanie« .

En effet, le chef de la mafia avait annoncé qu’il fallait liquider Magufuli. 37 jours plus tard, il était mort. Le Guardian s’en est réjoui, tout comme le reste des médias traditionnels. Mathew Crawford a publié un article extraordinaire documentant le nombre considérable de morts parmi les dirigeants africains qui ont résisté aux diktats Covid de Pharma.

Ensuite, un ou plusieurs États indiens ont eu la témérité de fournir à leurs citoyens des plaquettes contenant du zinc, de la doxycycline et de l’ivermectine (« kits Ziverdo ») – pour prévenir et traiter le Covid. L’industrie pharmaceutique y a vu une tentative de la priver d’un milliard de nouveaux clients de vaccins et a donc fait appel aux grands médias pour les bombarder jusqu’à ce qu’ils se soumettent. Voici ce qu’a été le bombardement en tapis pendant cinq semaines du seul New York Times:

Les images choisies pour illustrer les articles étaient macabres [NdT. ce sont des scènes assez courantes en Inde, où on procède régulièrement à des crémations groupées]:

Et puis, aussi vite que les attaques contre l’Inde sont apparues, elles ont disparu à nouveau, probablement parce que les autorités indiennes ont conclu un accord pour abandonner les médicaments existants sûrs et efficaces en faveur des vaccins Covid. (Si quelqu’un connaît l’histoire complète, merci de nous le faire savoir dans les commentaires).


VII. La campagne meurtrière de la FDA « Vous n’êtes pas un cheval »

En 2015, les chercheurs qui ont découvert l’ivermectine ont reçu le prix Nobel de médecine. L’ivermectine, un micro-organisme présent dans le sol au Japon, est un médicament miracle. Il s’agit d’un médicament à large spectre antiviral, antibactérien, antiparasitaire, anti-inflammatoire et anticancéreux qui n’entraîne pratiquement aucun effet secondaire. Frontline Doctors a constaté que l’ivermectine était remarquablement efficace pour prévenir et traiter le Covid s’il était utilisé à un stade précoce de la maladie. Cette constatation a été corroborée par un grand nombre de recherches scientifiques.

Face au succès de l’ivermectine et sachant qu’un médicament efficace disponible dans le commerce éliminerait le marché du vaccin contre le Covid, la Food and Drug Administration (FDA) a lancé une campagne nationale pour se moquer du médicament et empêcher les gens de se le procurer. Ce seul tweet a probablement entraîné la mort de milliers d’Américains:

Vous vous souvenez peut-être qu’au début de la pandémie, la FDA avait mené une campagne de dénigrement similaire contre l’hydroxychloroquine, la qualifiant de « nettoyant pour aquarium ».

Ce qui est étrange dans ces deux campagnes, c’est que la FDA et les CDC savaient qu’ils mentaient et qu’ils tuaient des gens par la même occasion.

Les propres recherches du CDC, publiées en 2005, ont conclu que « la chloroquine est un puissant inhibiteur de l’infection et de la propagation du coronavirus du SARS » (c’est littéralement le titre de l’article). Les États-Unis avaient stocké de l’hydroxychloroquine exactement pour ce genre d’urgence – et Trump n’a pas pu la libérer parce qu’il est incompétent et que l’État profond (Rick Bright) l’a bloqué (sur ordre de qui?).

Le tweet de la FDA « Vous n’êtes pas un cheval » est toujours en ligne. La FDA dit publiquement: « Oui, nous vous tuons, vous ne pouvez rien y faire, c’est ce que nous faisons désormais ».

La FDA n’est plus une agence de santé publique ou une agence de régulation (si elle l’a jamais été?) – c’est un bras de relations publiques « choc et effroi » [NdT. doctrine militaire basée sur des démonstrations de force spectaculaires pour annihiler la volonté de combattre de l’adversaire] de l’opération psychologique fasciste mondiale.


VIII. Le compteur de décès du Covid de CNN

Tout au long de la pandémie, CNN a rempli un quart de l’écran de toutes ses émissions avec un compteur de décès dus au Coronavirus pour rappeler aux gens qu’ils devaient avoir très peur.

Dans le même temps, CNN a veillé à ce que les téléspectateurs ne reçoivent aucune information sur les médicaments en vente libre efficaces. CNN a ainsi assuré pendant trois ans, 24 heures sur 24, un publireportage destiné à promouvoir les vaccins Covid, toxiques et mortels. L’ironie du tableau d’affichage des décès de CNN est donc que CNN elle-même était l’un des anges de la mort.


IX. Conclusion

Que devons-nous penser de ce que nous avons vu au cours des trois dernières années? Le Covid a été beaucoup de choses. Mais c’était avant tout un spectacle – une pièce de théâtre qui a réorganisé la société et qui a édicté que c’est ainsi que les choses allaient se passer désormais.

Image après image (j’en ai présenté une douzaine ici, mais vous pouvez certainement en trouver d’autres), on nous a présenté un nouveau style de guerre médiatique fasciste mondiale. Les photos contenaient de multiples messages – « Ayez très peur », « Le Covid va tuer tout le monde », mais le sous-texte était: « Le vrai pouvoir dans tout ça est invisible », « Nous mentons à propos de tout (ou est-ce que nous mentons?) », et « Il n’y a rien que vous puissiez faire à propos de tout ça à part obéir ».

Le premier coup de poing au visage a coupé la pensée rationnelle, puis les messages subconscients ont été conçus pour induire un sentiment d’impuissance.

La propagande de guerre traditionnelle consiste à dire : « Ah ah! Nous sommes les meilleurs! L’autre camp est diabolique! Nous allons gagner! » C’est ce que nous avons vu lors des différentes guerres d’Irak et de toutes les interventions militaires américaines depuis l’apparition des téléviseurs. Ce que nous avons vécu ces trois dernières années est bien plus sinistre que ça. La guerre numérique du Covid semble conçue pour humilier et démobiliser le peuple américain en vue de son extermination.

Je dois cependant ajouter un élément supplémentaire. Les pouvoirs en place utilisent la propagande parce qu’elle fonctionne. Les images sont des outils puissants. Les photos et les vidéos agissent sur le subconscient. Ainsi, même si nous discutons rationnellement des méfaits de cette campagne de propagande, le simple fait de partager à nouveau les images ici est délicat, car les revoir produit un effet. Il a été traumatisant d’écrire cet article – même si je sais que les images sont fabriquées, elles affectent encore mon psychisme.

La manière de contrer ces images n’est PAS de les partager à nouveau et de les analyser comme le fait Noam Chomsky dans son livre « La Fabrication du Consentement ». Il est préférable de partager des photos, des histoires et des vidéos de lésions causées par les vaccins. C’est pourquoi ils nous censurent tant sur les médias sociaux – ils savent que les images que nous possédons des horreurs infligées par le fascisme pharmaceutique sont ce qui renversera le cours des choses. Bénédictions donc à tous les guerriers qui partagent des photos, des histoires et des vidéos sur leurs blessures vaccinales et bravo aux groupes tels que React19 qui rassemblent ces témoignages et les distribuent au monde entier. Cliquez sur Rumble pour regarder le clip Silence, écrit par Julie Elizabeth et interprété par April – toutes deux victimes de lésions vaccinales.


Bénédictions aux guerriers. 🙌

Prières pour tous ceux qui se battent pour arrêter l’iatrogénocide. 🙏

Bravo à tous ceux qui construisent la société alternative que nos cœurs savent possible. ✊

Dans les commentaires, faites-moi part des images emblématiques de cette opération psychologique qui continuent de vous énerver.

Comme toujours, les corrections sont les bienvenues.

Une petite histoire à propos de Bill – par Coquin de Chien.

Je suis toujours là. Je vous expliquerai.

Source.


Une petite histoire à propos de Bill

La pandémie est morale, pas virale

Coquin de Chien

17 juillet

Bill est médecin de famille dans une ville de banlieue du Kansas. Bill est également un personnage fictif dans cette courte histoire destinée à illustrer les effets nuancés de la centralisation des soins de santé sur le comportement des médecins.

Bill travaille dans un cabinet qu’il partage avec quatre autres médecins généralistes. Certains travaillent à temps partiel au cabinet et à temps partiel à l’hôpital local. Bill et un autre médecin travaillent à temps plein dans le cabinet, mais conservent leurs entrées à l’hôpital local.

Bill se rend à son cabinet cinq (5) jours par semaine depuis 35 ans. Comme dans le film « Ground Hog Day », il n’y a guère eu de changement dans la vie et la carrière de Bill. Bien sûr, il y a eu des urgences occasionnelles et des maladies bizarres ou des troubles génétiques anormaux. Mais la manière dont Bill aborde la médecine et les patients n’a pas changé. Il a suivi les principes de la bonne pratique médicale, l’éthique énoncée dans les serments et les devoirs codifiés ou implicites dans la loi. Il s’est appuyé sur sa formation, sur la littérature des revues médicales et sur des décennies d’expérience dans la pratique de la médecine au sein de la communauté locale.

LE PROBLÈME S’AGGRAVE

Lorsque Bill a commencé à exercer, il rencontrait les patients individuellement et les écoutait expliquer leurs symptômes, tout en maintenant un contact visuel, avant de prendre des notes ou de prescrire un traitement. Bill écoutait attentivement ses patients.

Au cours des dernières années, Bill et tous les médecins du cabinet ont été pressés par les « progrès de la médecine » d’acheter des logiciels de diagnostic, des services et du matériel (ordinateurs portables). Les ordinateurs portables étaient fixés à une petite table munie de roulettes pour faciliter leur déplacement entre les salles de traitement. Les ordinateurs portables étaient abonnés à un service qui utilisait des algorithmes pour rechercher et mettre en œuvre la littérature la plus récente. En d’autres termes, Bill tapait les symptômes au fur et à mesure que le patient les lui racontait. Il ne maintenait plus le contact visuel avec le patient lorsque celui-ci décrivait ses symptômes. Après avoir saisi tous les symptômes, l’ordinateur portable affichait les diagnostics possibles et les traitements recommandés par le gouvernement.

Un vendredi, Bill s’est rendu au bureau en pensant à ce qu’il allait faire avec ses petits-enfants pendant le week-end. Devrait-il les emmener faire du ski nautique, partir en randonnée sur une montagne locale ou leur apprendre à utiliser son tour à bois dans la cave? Mais le destin s’est acharné sur Bill ce vendredi et l’a secoué au plus profond de son âme.

Ce vendredi-là, Bill avait un patient qui avait un besoin urgent de soins médicaux. Il a consulté le dieu ordinateur sur la table à roulettes, c’est-à-dire qu’il a tapé les symptômes et le dieu ordinateur lui a indiqué le traitement recommandé par le gouvernement.

Ce jour-là, Bill n’était pas d’accord avec le traitement. L’ordinateur portable a dit à Bill d’effectuer la procédure X. Bill voulait effectuer la procédure Y.

Bill savait que la procédure X, en raison des composants de l’approvisionnement local en eau, signifiait cinq pour cent (5%) de risque que le patient meure dans les six (6) mois. Bill savait également que la procédure Y, n’ayant aucune interaction avec les composants de l’approvisionnement local en eau, signifiait un pour cent (1%) de risque que le patient meure dans les six (6) mois.

Bill s’est lamenté après avoir effectué le calcul des résultats possibles et réalisé que l’autorité centrale ignorait la présence d’éléments dans l’approvisionnement local en eau à l’endroit où vivait son patient. En fait, de nombreux traitements recommandés par l’autorité centrale ne tiennent pas compte des spécificités de l’eau, de l’alimentation, de la génétique ou d’autres variables connues des médecins locaux expérimentés.

Le calcul de Bill prenait en compte son propre destin en plus de celui du patient. Bill savait que si le patient décédait dans les six (6) mois suivant l’intervention X, il ne ferait l’objet d’aucune enquête de la part de l’ordre des médecins de l’État, des autorités de certification médicale des cabinets privés et ne serait pas passible de poursuites pour faute professionnelle. Bill savait également que si, selon la probabilité de un pour cent (1%), le patient décédait à la suite de l’intervention Y, sa licence et sa certification seraient menacées et il pourrait faire l’objet d’une action en justice pour faute professionnelle.

QU’A FAIT BILL?

Bill a cédé, comme l’avait prédit Maslow. Le niveau de base très inférieur de la sécurité, qui inclut l’emploi, a prévalu dans l’esprit de Bill. Le niveau le plus élevé de réalisation de soi, qui comprend la moralité, a été laissé de côté dans le calcul personnel de Bill.

Bill a pratiqué l’intervention X. Il a inconsciemment fait passer sa carrière avant la vie du patient.

Le patient a survécu au-delà de la période de six (6) mois, avec quelques complications mineures pour le reste de sa vie, qui a été raccourcie de cinq ans.

Le subconscient de Bill l’a plongé dans le désarroi. Il n’arrivait pas à dormir la nuit et s’est mis à se disputer fréquemment avec ses enfants et sa femme. Pendant cette période, Bill n’a pas réussi à concilier sa conduite avec sa conscience.

Après avoir parlé à un psychologue pendant deux (2) ans, Bill a recouvré sa personnalité positive et ses bonnes relations familiales, et a appris à se pardonner, se promettant de ne plus jamais s’incliner devant le gouvernement dans le traitement des patients.

FRANK

Lors d’une conférence, Bill a rencontré Frank, son camarade de chambre à l’école de médecine, et ils sont allés boire une bière. Frank a dit à Bill qu’il avait vécu exactement la même situation que lui jusqu’au stade de la décision de pratiquer l’intervention X ou l’intervention Y.

Leurs expériences ont divergé au moment du choix de l’intervention. Frank s’est également lamenté face à ce choix et a procédé à un calcul interne.

Frank a opté pour la procédure morale Y. Le patient de Frank est mort au bout de deux (2) semaines. Le patient allait de toute façon mourir en raison d’une maladie cardiaque inconnue jusqu’alors. Le médecin légiste et tous les témoins experts ont témoigné en faveur des choix de Frank. Cependant, comme Frank avait opté pour la procédure non recommandée par le gouvernement, il a été attaqué par l’organisme de certification de l’État, pour servir d’exemple à tous les autres médecins qui oseraient défier l’autorité centrale. L’autorisation d’exercer la médecine a été définitivement retirée à Frank.

Il est intéressant de noter que la famille de Frank était plus unie que jamais. Frank dormait bien la nuit et semblait plus heureux que jamais, bien qu’il ait dû accepter un poste de vice-président du marketing chez un fabricant d’appareils médicaux.

ÉCONOMIE

Cette histoire n’est qu’une représentation fictive de deux médecins et de leur interaction avec les recommandations gouvernementales en matière de traitement.

Même si Frank n’avait pas été attaqué et n’avait pas perdu son autorisation d’exercer, il y aurait toujours une externalité négative liée à la violation de sa moralité.

Bien que le patient de Bill ait survécu dans l’histoire, il y a dans cette situation hypothétique cinq pour cent (5%) de patients qui ne survivent pas.

Par exemple, considérons que 100 000 médecins de famille aux États-Unis sont susceptibles d’être confrontés à un tel scénario de conflit entre les meilleures pratiques et les pratiques recommandées par le gouvernement environ dix fois (10X) par an. Cela représente un million (1M) de consultations. S’ils choisissaient d’appliquer systématiquement la recommandation du gouvernement, alors, en se basant sur le modèle un pour cent (1%) contre cinq pour cent (5%) ci-dessus, il y aurait quatre pour cent (4%) de personnes de plus qui mourraient des suites de la procédure recommandée par le gouvernement. Quatre pour cent (4%) de 1M, c’est quarante mille (40 000) personnes de plus qui meurent du fait que les médecins suivent l’autorité centrale par coercition, par crainte d’un contrôle administratif de l’État sur leur emploi, leur protection sociale et leur capacité à gagner leur vie.

Ce simple exemple est en fait très conservateur en termes de chiffres. La vérité et les faits de notre société actuelle sont bien pires que cet exemple.

Les docteurs Meryl Nass, Peter McCullough, Scott Jensen, Ira Bernstein, Daniel Nagase, Patrick Phillips, Mel Bruchet et bien d’autres médecins ont servi d’exemples au gouvernement pour rappeler publiquement qu’il valait mieux ne pas aller à l’encontre des traitements recommandés par le gouvernement.

Le Dr Bruchet a été traîné hors de chez lui en plein dîner et arrêté par la police à l’âge de quatre-vingts (80) ans. Il a été drogué et interné de force dans un hôpital psychiatrique. Pourquoi? Le Dr Bruchet s’est opposé aux recommandations médicales du gouvernement canadien.

Le but de cette histoire n’est pas de servir d’exposé économique, mais de montrer très clairement ce qui résulte de la centralisation des fonctions dans la plupart des systèmes, y compris les systèmes de soins de santé.

Les pertes se produisent à la marge. Le système est réglé et optimisé de manière centralisée pour la majorité des cas, les cas normaux et fréquents. Si les patients présentent des symptômes ou des lésions qui sortent de l’ordinaire, les erreurs de diagnostic de l’autorité centrale de traitement (le dieu de l’ordinateur portable sur la table à roulettes) se produiront à la marge et les patients mourront.

Étant donné que la dissimulation des décès dus aux vaccins covid a été massive depuis le début de la distribution, la plupart des médecins ont choisi le deuxième niveau de la hiérarchie de Maslow plutôt que la moralité de premier niveau. Ils ont gardé le silence sur les décès et les mutilations dus aux vaccins covid.

Les décès dus aux vaccins covid dépassent largement les 300 000 aux États-Unis et ne cessent d’augmenter à mesure que les causes à plus long terme, telles que le cancer des ganglions lymphatiques et le cancer de la moelle osseuse, se multiplient.

La société et les pratiques des professionnels de la santé sont perméables aux modifications comportementales. La loi CARES n’est rien d’autre qu’une modification comportementale intentionnelle.

On connaît l’adage de Thomas Sowell selon lequel si l’on subventionne quelque chose, on l’obtient en plus grande quantité.

  • Les certificats de décès « COVID-19 » ont été subventionnés
  • La ventilation des patients a été subventionnée
  • La prescription de Remdesivir a été subventionnée

Des preuves provenant d’environ un million de certificats de décès du Massachusetts et du Minnesota témoignent de la surmortalité due aux vaccins covid.

Les travaux d’Ed Dowd et de Josh Stirling sur les données d’assurance corroborent les tendances des certificats de décès du Massachusetts et du Minnesota. Des données de plus haut niveau corroborent les données granulaires et l’inspection des dossiers individuels. La vérité est là. Les faits décrivant les décès massifs dus à la vaccination sont irréfutables.

La pandémie est morale, pas virale.

L’étude de la Cleveland Clinic désormais publiée dans une revue scientifique à comité de lecture: plus on reçoit de doses, plus le risque auquel on expose les autres est élevé – par le Dr James Lyons-Weiler.

Vous noterez à quel point les auteurs de l’étude marchent sur des oeufs pour expliquer leur graphique accablant…

L’étude parle aussi du changement dans la proportion d’antigènes IgG4, traitée en détail dans cet article, qui inclut d’ailleurs le même graphique (en pré-publication à ce moment-là) qu’ici.

Source.


L’étude de la Cleveland Clinic désormais publiée dans une revue scientifique à comité de lecture: plus on reçoit de doses, plus le risque auquel on expose les autres est élevé

Plus de doses de vaccin signifie plus de COVID. Et cela fait de vous un facteur de risque pour les personnes âgées. N’est-ce pas?

James Lyons-Weiler

1er juin

Enfin, après examen par les pairs, l’étude de la clinique de Cleveland selon laquelle « Plus le nombre de vaccins reçus précédemment est élevé, plus le risque de contracter le COVID-19 est élevé » a été dûment publiée.

« Le risque de contracter le COVID-19… augmente avec le temps écoulé depuis le dernier épisode de COVID-19 et avec le nombre de doses de vaccin reçues précédemment.

https://academic.oup.com/ofid/advance-article/doi/10.1093/ofid/ofad209/7131292

Voir la figure 2. L’incidence de COVID-19 est la plus faible pour les doses ZERO, et plus de doses signifie plus de COVID.

Les auteurs ont écrit:

« Lors d’une vague Omicron en Islande, on a constaté que les personnes qui avaient déjà reçu 2 doses ou plus avaient un risque plus élevé de réinfection que celles qui avaient reçu moins de 2 doses de vaccin, dans une analyse non ajustée [21]. Une vaste étude a montré, dans une analyse ajustée, que les personnes ayant contracté une infection par la variante Omicron après avoir reçu trois doses de vaccin présentaient un risque plus élevé de réinfection que celles ayant contracté une infection par la variante Omicron après avoir reçu deux doses de vaccin [22]. Une autre étude a montré, lors d’une analyse multivariable, que la réception de deux ou trois doses d’un vaccin ARNm après un COVID-19 antérieur était associée à un risque plus élevé de réinfection que la réception d’une seule dose [7]. L’empreinte immunitaire résultant d’une exposition antérieure à différents antigènes dans un vaccin antérieur [22,23] et le changement de classe en faveur d’anticorps IgG4 non inflammatoires spécifiques du pic après une vaccination répétée contre l’ARNm du SARS-CoV-2 [24] ont été suggérés comme des mécanismes possibles expliquant pourquoi un vaccin antérieur peut fournir une protection inférieure à celle attendue. Nous avons encore beaucoup à apprendre sur la protection offerte par la vaccination COVID-19 et, outre l’efficacité d’un vaccin, il est important d’examiner si les doses multiples de vaccin administrées au fil du temps n’ont pas l’effet bénéfique généralement supposé. »

Protéine de pointe et SADS: preuve de l’hypothèse de la démyélinisation/destruction du tronc cérébral – par le Dr Walter Chestnut.

Afin de montrer que le Dr Bakhti raconte n’importe quoi au sujet de la destruction des neurones dans l’article précédent, voici un récent papier du Dr Chestnut qui en explique le vrai mécanisme. Ça intéressera aussi tous ceux qui ont perdu peu ou prou leur sens olfactif. Pour rappel, SADS = Sudden Adult Death Syndrome (Syndrome de mort subite chez l’adulte).

Contrairement à certains gugusses qui ont acquis le statut de vedette du Net en avançant les pires fadaises, le Dr Chestnut accomplit depuis plus de deux ans un travail de recherche monumental sur le SARS-CoV-2, que j’aurais aimé avoir le temps de traduire et re-publier ici.

Je suis avec un autre article, du Dr James Lyons-Weiler, qui montrera que je ne raconte pas non plus n’importe quoi quand je parle des personnes injectées comme source de contamination potentielle.

Source.


Protéine de pointe et SADS: preuve de l’hypothèse de la démyélinisation/destruction du tronc cérébral

Mort induite par le SARS chez la souris par dysfonctionnement de la moelle via le nerf olfactif

Walter Chestnut

30 mai

Distribution de l’antigène viral dans le cerveau après inoculation intranasale. Les cerveaux ont été prélevés sur des souris infectées par voie intranasale avec 2,4 × 104 PFU et colorés pour l’antigène viral. (A à C) Distribution de l’antigène dans le cerveau à 60 h (A) et à 3 (B), 4 (C) et 5 (D) jours p.i. (E à J) Le tronc cérébral (E, G et I) et l’hypothalamus (F, H et J) ont été examinés pour l’antigène viral et l’inflammation. (E et F) Témoins naïfs. (G et H) Les cerveaux infectés par le SARS-CoV présentaient des antigènes exclusivement dans les neurones, sans inflammation évidente au 6e jour p.i. (par rapport aux témoins naïfs). (I et J) Les cerveaux infectés par le JHMV présentaient une infection neuronale moins étendue mais une inflammation périvasculaire sévère (flèches fermées) et une méningite (flèches ouvertes) au 6e jour p.i. Grossissements originaux: ×1 (A à D) et ×5 (E à J).

Je ne comprends pas pourquoi cette question n’a pas été soulevée et discutée auparavant. Comme vous le savez, j’ai fait des recherches sur l’hypothèse de la démyélinisation comme cause des morts subites d’origine cardiaque. J’ai découvert que le SARS original était capable d’induire une mort neuronale dans la moelle (centre cardio-respiratoire), entraînant la mort du sujet.

L’aspect le plus frappant et le plus troublant de cette découverte est peut-être le fait que les POUMONS des souris étaient TRES PEU INFECTÉS. De plus, le virus a pénétré dans le cerveau par le BULBE OLFACTIF.

Nous utilisons ici ces souris pour montrer que le virus pénètre dans le cerveau principalement par le bulbe olfactif et que l’infection entraîne une propagation transneuronale rapide vers les zones connectées du cerveau.

En fait, cette destruction du tronc cérébral a été la principale cause de décès.

Cette infection neuronale étendue est la principale cause de la mort parce que l’inoculation intracrânienne de faibles doses de virus entraîne une maladie uniformément létale, même si l’on détecte peu d’infection dans les poumons. La mort de l’animal résulte probablement du dysfonctionnement et/ou de la mort des neurones infectés, en particulier ceux situés dans les centres cardiorespiratoires de la moelle.

Il est intéressant de noter que l’inflammation du cerveau n’a PAS été détectée pendant que cette destruction se produisait.

La propagation dans le cerveau se produit SIMULTANÉMENT à la SUPPRESSION du virus du site d’infection.

La propagation rapide dans le cerveau semble s’accompagner d’une élimination du virus sur les sites de l’infection initiale et d’une perte neuronale concomitante.

L’infection par le coronavirus du Syndrome Respiratoire Aigu Sévère provoque la mort neuronale en l’absence d’encéphalite chez les souris transgéniques pour l’ACE2 humain.
https://journals.asm.org/doi/10.1128/JVI.00737-08

Seule la protéine N a été recherchée. Nous devons effectuer des tests et des études pour déterminer si la protéine S est également présente. Bien sûr, vous connaissez ma position quant à ma prédiction de ces résultats.

Je poursuivrai mes recherches sur ce mécanisme. C’est la raison pour laquelle une infection qui ne produit pas de symptômes respiratoires est très probablement TRÈS DANGEREUSE. Bien sûr, l’antigène viral directement introduit dans l’organisme…

Je demande instamment aux cliniciens d’autopsier toutes les personnes de moins de 60 ans qui meurent subitement. Nous devons savoir si le tronc cérébral a subi une démyélinisation/dépression neuronale.

Le Covid était une opération de la NSA – par Elliott Freed.

Selon ma triste habitude, je publie un peu dans le désordre – du moins par rapport au programme annoncé. Vous verrez que ce n’est qu’un désordre apparent, le même qui règne sur mon bureau, mon navigateur, dans mes notes et ma vieille cervelle.

Voici non pas un, ni deux, mais trois articles de Elliott Freed en succession rapide, qui se complètent parfaitement. Après ça, décollez les yeux de vos écrans et profitez de ces premières magnifiques et généreuses journées de printemps – généreuses aussi en pollen, ce qu’auront remarqué les allergiques comme mon épouse, de retour de chez le pépiniériste les bras chargés de plants d’oeillet d’Inde (la liste de ses propriétés ici), dont le parfum lui a murmuré « c’est de moi dont tu as besoin, plante-moi dans ton jardin! »

Ce premier article, qui contrebalancera un peu cette très sévère critique de RFK Jr, parle du rôle du Renseignement dans la crise Covid – sujet déjà abordé par Katherine Watt et Sasha Latypova, donc simple rappel pour les lecteurs réguliers qui pourront directement passer à l’article suivant. Quoiqu’il en soit, je vous garantis l’extrême intérêt de ces lectures.

Je reprendrai l’analyse du rôle de RFK Jr et de celui du Dr Malone avec deux articles de Sage Hana et conclurai comme prévu cette série moi-même avec ce qui se passe réellement en coulisses de la grande opération en cours.

Je suivrai bientôt, c’est-à-dire dès que j’en aurai fini la (très longue) traduction, avec un article sur la véritable origine du SARS-CoV-2, qui vous laissera – excuse my French – sur le cul (original ici). La gestion de la « crise » Covid était en effet une opération militaire mais pas le virus.

Source.


Le Covid était une opération de la NSA

Une citation de RFK Jr.

Elliott Freed

16 mai

« Ce qui est étrange dans cette pandémie, c’est l’implication constante de la CIA, des agences de renseignement et de l’armée. Lorsque l’opération Warp Speed a été présentée au comité de la FDA appelé VRBPAC et qu’elle en a remis les organigrammes [NdT. cf. l’article susmentionné de Sasha], classifiés à l’époque, tout le monde a été choqué de voir qu’elle n’était gérée ni par le HHS, ni le CDC, ni le NIH, ni la FDA ni quelque agence de santé publique. Elle était gérée par la NSA, une agence d’espionnage qui a chapeauté et dirigé l’opération Warp Speed.

Les vaccins n’ont été développés ni par Moderna ni par Pfizer. Ils ont été développés par le NIH, qui en détient les brevets, au moins à 50%. Ils n’ont même pas été fabriqués par Pfizer ni par Moderna. Ils ont été fabriqués par des entreprises militaires. En fait, Pfizer et Moderna ont été payés pour apposer leur cachet sur ces vaccins comme s’ils provenaient de l’industrie pharmaceutique. Ce qui n’était pas le cas.

Dès le départ, il s’agissait d’un projet militaire.

J’ai dénombré 20 simulations différentes de coronavirus et de pandémies menées par le gouvernement. Elles ont commencé en 2001. La première a eu lieu juste avant les attaques à l’anthrax. Et chaque année, la CIA les a toutes sponsorisées. La dernière a été l’Événement 201 en octobre 2019. Et l’un des participants était Avril Haines, l’ancienne Directrice adjointe de la CIA, qui a organisé des opérations de dissimulation toute sa vie. Elle s’est occupée de Guantanamo Bay, entre autres. Elle est aujourd’hui Directrice du Renseignement National, ce qui fait d’elle l’officier le plus haut placé de la NSA – qui a géré la pandémie.

C’est donc une espionne qui organise ces simulations de pandémie et, dans chacune de ces simulations depuis 20 ans, ce n’est pas une réponse de santé publique qu’on simule. On ne réfléchit pas à des questions telles que: comment stocker de la vitamine D? Comment inciter les gens à sortir, à perdre du poids, à faire de l’exercice? Comment développer une grille d’information pour les 15 millions de médecins de première ligne dans le monde, afin de leur fournir des informations sur ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas? Rien de tout cela ne s’est produit. Nous avions une occasion incroyable de gérer une pandémie de manière intelligente, sensible et radicale contre la maladie, mais nous n’avons rien fait de tout cela.

À la place, tout s’est joué sur la façon d’utiliser une pandémie pour imposer la censure. Comment l’utiliser pour imposer le confinement?

À ce propos, tous les documents de préparation à la pandémie adoptés par les principales agences de santé publique, qu’il s’agisse du CDC, de l’OMS, de l’Agence de Santé européenne ou des services de santé nationaux de Grande-Bretagne, stipulaient qu’il ne fallait pas recourir à des confinements, qu’il fallait mettre les malades en quarantaine et protéger les personnes vulnérables. Et laisser tous les autres retourner au travail, car le confinement amplifie en fait l’impact de la maladie. En isolant les gens, on les rend plus vulnérables, on affaiblit leur système immunitaire. En les enfermant à l’intérieur, on propage le virus respiratoire.

Toutes les mesures qu’ils exercent visent à renforcer leur contrôle totalitaire ».

Robert F. Kennedy, Jr.

C’est en 2008 que j’ai entendu parler pour la première fois du projet de vaccination forcée de tous les habitants de la planète. Les personnes qui m’en ont parlé en avaient connaissance depuis les années 1990. Alex Jones et David Icke en parlent publiquement depuis au moins cette époque, comme d’autres. J’ai découvert par moi-même que l’objectif était l’insertion dans chaque individu de gènes modifiés, brevetés et propriété d’entreprises, afin de coloniser le génome, de s’approprier l’humanité et d’être en mesure de nous exploiter commercialement. La première fois que j’ai publié au sujet de ce programme, c’était sur Facebook en 2015.

Aujourd’hui, la vérité est révélée au monde entier.

On tente de la bloquer avec le projet de loi sénatoriale S686. Il s’agit officiellement du « Restrict Act« . Officieusement, on l’appelle le projet de loi sur l’interdiction de Tiktok. Si vous le lisez, vous constaterez qu’il s’agit du Patriot Act sous stéroïdes, adapté à l’ère numérique. Pour l’instant, le projet de loi n’avance pas très vite dans le processus législatif, mais restez vigilants.

https://www.congress.gov/bill/118th-congress/senate-bill/686/text

À partir de maintenant, considérez que tout ce que le gouvernement ou les entreprises, y compris la presse corporative, font ou disent fait partie d’une guerre de l’information.

Des données intéressantes sur la « grippe espagnole » publiées accidentellement – par Sasha Latypova.

Une chouette petite perle découverte par Sasha. Le Dr Lee Merritt (autre femme intelligente que j’aime beaucoup) avait déjà laché la bombe dans une vidéo (que j’ai la flemme de retrouver): si la « grippe espagnole » était tellement meurtrière, où sont les millions d’histoires familiales qui retiennent la mort du grand-oncle Machin ou de Mémé Truchmuche?

Eh oui… On ment tout le temps, à tout le monde, sur tout.

Sasha rappelle à la fin le conseil que je donne souvent: promenez-vous dans la nature!

Source.


Des données intéressantes sur la « grippe espagnole » publiées accidentellement…

Le Département de la Santé de New York a commis une gaffe…

Sasha Latypova

6 mai

… en fournissant des données au New York Times qui a accidentellement publié la vérité! On peut leur pardonner, ce n’était pas leur intention. C’est paru dans un article où le NYT tentait de démontrer que le covid était l’équivalent de la peste, mais en pire, croyez-nous! Ils essayaient de démontrer qu’en 2020, le taux de mortalité à New York avait grimpé en flèche. Apparemment, ils préfèrent ne pas montrer les données d’après 2020, ce qui serait très dommageable pour le discours officiel et renforcerait le sentiment anti-vaccin…

Cependant, ce qui a vraiment attiré mon attention sur ce graphique, c’est la vérité qu’il révèle accidentellement au sujet de la prétendue « grippe espagnole ». La grippe espagnole était censée être la mort noire pire que la mort noire jusqu’à l’arrivée de la mort noire actuelle… Mais il semble qu’en réalité, ce n’était pas grand-chose. Un petit incident, relativement parlant, par rapport aux années 1850.

Que se passait-il vers 1850 à New York? Un grand nombre de gens s’installaient dans une zone relativement restreinte et emmenaient avec eux leurs chevaux. Les déchets humains et équins s’accumulaient dans les rues et s’infiltraient dans les sources d’eau. Ceci a engendré des maladies bactériennes transmises par l’eau, telles que le choléra et la typhoïde (je n’ai trouvé aucun compte rendu fiable d’épidémies de variole à New York). Bien que les maladies bactériennes puissent être traitées par des antibiotiques, ce n’est pas sans inconvénient. La meilleure mesure de prévention consiste donc à disposer de sources d’eau propres et d’une plomberie moderne. Une fois que les voitures ont remplacé les chevaux et que les systèmes d’approvisionnement en eau ont été assainis, il n’y a plus eu de « maladies infectieuses » à proprement parler. Les vaccins n’ont rien à voir avec cette amélioration de la santé publique. Il s’agit d’une pratique barbare et nocive que la société civilisée devrait enfin abandonner pour de bon.

Au fait, quelqu’un peut-il me dire ce que signifie « hygiène mentale »? Cela signifie-t-il qu’il faut jeter sa télévision et son smartphone à la poubelle et aller jouer dehors en plein soleil? Et s’il vous plaît, assurez-vous que vos sources d’eau sont sûres, hygiéniques et protégées de la pollution.

Pas de tableau pour aujourd’hui, il faut que j’en crée de nouveaux 🙂

Quelques photos de printemps pour vous – sortez, c’est un ordre!

L’OMS, Gro Brundtland, le plan visant à injecter tout le monde avec des vaccins développés en 100 jours, non testés, et la façon dont les fabriques portables de vaccins permettront de vacciner simultanément l’ensemble du cheptel humain – mais avec quoi? – par Meryl Nass.

À propos des « fabriques portables de vaccins », je vous renvoie vers la conférence du Dr Igor Shepherd – pour ceux qui ne la connaissent pas encore par coeur – que j’ai transcrite et (approximativement) traduite ici. Le Dr Malone en parle également ici.

L’arrivée de ces délicats objets confirment donc bien la nature du programme militaire qu’étaient les injections Covid – et de leur suite.

On se posait la question de savoir pourquoi ils avaient foutu la paix – relative, ils ont tout de même fait assassiner trois chefs d’État africains – aux pays émergents, la thèse étant que ces pays étant très peu demandeurs (voir vidéo dans l’article précédent et ici), il n’était économiquement parlant pas nécessaire de les soumettre. Apparemment, c’est exactement le contraire qui se prépare.

Pour info, plusieurs sources officielles annoncent – pas « craignent » ou « prédisent », annoncent – une pandémie de grippe aviaire pour septembre. C’est quelque part dans ma doc, je publie quand je mets la main dessus.

Source.


L’OMS, Gro Brundtland, le plan visant à injecter tout le monde avec des vaccins développés en 100 jours, non testés, et la façon dont les fabriques de vaccins portables permettront de vacciner simultanément l’ensemble du cheptel humain – mais avec quoi?

En outre, j’identifie la corruption et l’utilisation abusive du langage par les mondialistes

Meryl Nass

16 avril

Depuis 1969, l’OMS dispose d’un ensemble de règlements sanitaires internationaux (RSI) c’est-à-dire d’un code sanitaire pour faire face aux épidémies de maladies infectieuses qui touchent plusieurs pays. En 2005, sous l’égide de la Directrice générale de l’OMS, Gro Harlen Brundtland, une mise à jour majeure a été adoptée, sous le nom de RSI (2005). Nous ne le savions pas à l’époque, mais Brundtland était une apparatchik mondialiste, une inventrice du développement durable, et elle a travaillé en étroite collaboration avec Fauci sur les questions relatives à la pandémie de COVID, comme le montrent les courriels transmis à la Commission Européenne par le biais de la FOIA.

https://www.britannica.com/biography/Gro-Harlem-Brundtland

[Brundtland a été] la première femme Premier Ministre de Norvège, pendant trois mandats (1981, 1986-89, et 1990-96), et a ensuite été Directrice générale de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS; 1998-2003). Médecin de formation, elle s’est intéressée aux questions de santé publique et d’environnement, ainsi qu’aux droits des femmes…

En 1983, Brundtland est devenue Présidente de la Commission Mondiale des Nations Unies sur l’Environnement et le Développement, qui en 1987 a publié « Notre Avenir Commun », le rapport qui a introduit l’idée de « développement durable » et a conduit au premier Sommet de la Terre. En 1998, elle devient Directrice générale de l’OMS, où elle s’attaque à des pandémies mondiales telles que le SIDA et le SRAS; son mandat s’achève en 2003. En 2007, elle devient membre des « Elders« , un groupe de dirigeants mondiaux qui s’occupe des questions relatives aux droits de l’homme. Cette année-là, avec Han Seung-Soo, ancien Ministre des affaires étrangères de Corée du Sud, et Ricardo Lagos Escobar, ancien Président du Chili, elle a été nommée envoyée spéciale pour le changement climatique auprès de Ban Ki-Moon, le Secrétaire général des Nations Unies.

Alors que Mme Gro fête ses 84 ans cette semaine, elle occupait jusqu’à très récemment un poste clé, celui de coprésidente, avec Sir Jeremy Farrar, du Conseil Mondial de Surveillance de la Préparation, convoqué par l’OMS et la Banque Mondiale pour imposer au monde sa version de la préparation. Gro a également été appelée la Mère du Développement Durable. Peut-être souhaitait-elle réellement un monde meilleur à une époque. Jeremy a été « nommé 12e dans la liste Fortune des 50 plus grands leaders du monde en 2015 ». Deux joueurs habiles.

Les femmes leaders doivent ouvrir la voie en matière de préparation

Par le Dr Gro Harlem Brundtland

En tant que coprésidente du Conseil Mondial de Surveillance de la Préparation (Global Preparedness Monitoring Board – GPMB), créé par la Banque Mondiale et l’Organisation Mondiale de la Santé en 2018, j’ai vu de mes propres yeux à quoi ressemble le paysage mondial de la préparation aux pandémies. L’année dernière, nous avons lancé notre rapport annuel inaugural, A World At Risk, en tirant la sonnette d’alarme sur les nombreuses lacunes de notre préparation et en mettant en garde contre le risque important que notre monde pourrait courir en cas d’apparition d’un virus respiratoire hautement infectieux.

Nous nous trouvons aujourd’hui au cœur de la crise dévastatrice des nouveaux coronavirus. Collectivement, nous devons tirer les leçons de cette crise pour définir un plan d’action audacieux et urgent que les pays et notre système multilatéral doivent mettre en œuvre rapidement pour que l’avenir de chacun soit plus sûr.

À l’occasion de l’Assemblée Générale des Nations Unies de cette année, le GPMB appelle une fois de plus le monde à agir de toute urgence via son nouveau rapport intitulé « Un monde en désordre ». Ce rapport lance de nombreux appels à l’action aux gouvernements, aux parties prenantes multilatérales et aux particuliers – des actions que nous devons tous entreprendre si nous voulons non seulement nous remettre de cette pandémie, mais aussi être plus à même de faire face à la prochaine. Il ne suffit pas d’arrêter cette pandémie qui a fait des ravages non seulement dans nos systèmes de santé, mais aussi dans nos systèmes économiques et sociaux. Nous devons également profiter de ce moment pour mettre en place les systèmes solides, durables et inclusifs que nous souhaitons pour l’avenir, afin d’être prêts à faire face à la prochaine pandémie, lorsqu’elle arrivera sans aucun doute.

La pandémie de SARS-CoV-2 a été montée de toutes pièces et cooptée pour briser les petites entreprises, appauvrir des millions de personnes, convaincre des milliards de personnes que les maladies infectieuses étaient soudainement devenues une menace existentielle – et ainsi justifier la refonte de notre monde sous de nombreux aspects.

Les dirigeants ont acheté les meilleurs experts en relations publiques et n’ont cessé d’affiner le langage qu’ils utilisent pour nous convaincre que nous sommes conduits vers des lendemains meilleurs. Le terme « Nouvel Ordre Mondial » n’avait tout simplement pas les bonnes connotations. L’expression « Reconstruire en mieux » donnait l’impression que la destruction de nos systèmes actuels était peut-être une bonne chose. Mais lorsque les dirigeants du monde entier se sont mis à le prononcer à l’unisson, les gens se sont méfiés et le terme a été abandonné.

La terminologie actuellement privilégiée comprend: durable et inclusif. Et l’équité: pour les dirigeants, cela signifie que nous bénéficions tous de la même justice, que nous sommes tous exposés au même récit et que nous recevons tous du remdesivir, mais pas d’ivermectine ou d’HCQ. Il est intéressant de noter que l’OMS et les mondialistes n’utilisent PAS le mot « égalité », qui est beaucoup mieux compris. L’égalité signifie que nous sommes tous égaux. Les mondialistes ne veulent pas de cela, alors ils ont choisi un mot qui sonne très bien mais qui signifie quelque chose de différent, et ils espèrent que nous penserons qu’il est synonyme d’égalité. Audacieux signifie qu’ils mettront notre monde sens dessus dessous. Urgent signifie que nous n’aurons pas le temps de comprendre ce qu’ils font.

Durable signifie que votre niveau de vie doit baisser parce que, selon les dirigeants, il n’est pas durable. Ce qui est vrai s’ils provoquent des dépressions, des guerres, etc. Inclusif signifie que vous recevez la piqûre (de préférence à l’ARNm), que vous le vouliez ou non. Tout le monde est inclus. Personne n’est autorisé à refuser. C’est la raison pour laquelle les responsables de l’application de la législation sont si fermement opposés aux exemptions de vaccins. (À titre d’exemple éloquent, les Démocrates de la Commission de l’Éducation de l’Assemblée législative du Maine ont voté à l’unisson, le 10 avril, contre six projets de loi qui permettraient aux étudiants de ne pas se faire vacciner).

Personne ne sait ce que contiendront ces futurs vaccins (sans parler de ce que contiennent les vaccins COVID actuels), et lorsque les vaccins promis comme devant être développés en 100 jours apparaîtront pour la prochaine pandémie, personne ne sera en mesure de savoir s’ils fonctionnent ou s’ils sont dangereux, parce qu’ils seront déployés simultanément pour une utilisation de masse, dans le monde entier. C’est pourquoi il est si important pour les mondialistes de disposer de petites usines de vaccins partout en Afrique et en Asie, voir ci-dessous. Ainsi, personne ne peut y échapper et tout le monde se fera piquer avant de savoir à quel point les vaccins sont dangereux.

La personne qui a lancé la promesse de la Coalition on Epidemic Preparedness and Innovation (CEPI) d’un vaccin élaboré en 100 jours est Sir Dr. Jeremy Farrar (alias 007 Permis de Surdoser) qui a joué un rôle central dans la planification et le financement des deux essais de surdosage d’hydroxychloroquine au Royaume-Uni et à l’OMS, qui a joué un rôle central dans la mise en place de la dissimulation des origines du COVID, et qui s’est maintenant vu confier le rôle de scientifique en chef de l’OMS, où il jouera un rôle crucial dans l’adhésion des pays en développement à ce plan visant à imposer à tous des vaccins produits localement et non testés.

À propos, le patron de Farrar, lorsqu’il était président du Wellcome Trust, était la baronne Eliza Manningham-Buller, présidente du conseil d’administration de Wellcome, coprésidente de Chatham House et ancienne Directrice générale du MI5, l’agence d’espionnage britannique.

BioNTech enverra des fabriques de vaccins mobiles aux pays en voie de développement.

La société allemande BioNTech, créatrice de l’un des vaccins COVID-19 utilisés aux États-Unis, a dévoilé un nouvel outil pour augmenter le taux de vaccination COVID dans le monde: des usines modulaires assemblées à partir de conteneurs d’expédition qui produisent le vaccin à ARNm que la société fabrique avec Pfizer.

Dans le courant de l’année, ces usines seront acheminées vers les pays en développement.

Selon Krishna Udayakumar, qui dirige le Global Health Innovation Center de l’université Duke, la bonne nouvelle est que l’offre mondiale de vaccins COVID et la capacité de production s’améliorent.

Environ 60% de la population mondiale a reçu au moins une dose.

« La mauvaise nouvelle, c’est que le déploiement a été incroyablement inéquitable – ainsi, 10% seulement des personnes vivant dans des pays à faible revenu ont reçu une seule dose de vaccin », a-t-il déclaré.

BioNTech a indiqué que ses premiers kits de fabriques seraient envoyés à une poignée de pays africains dans le courant de l’année et qu’ils pourraient produire jusqu’à 50 millions de doses en 12 mois.

Selon M. Udayakumar, c’est un bon début, mais BioNTech devra faire davantage pour aider réellement le continent.

« En assurant le transfert de l’équipement et de la technologie, ils travaillent également à la mise en place d’une main-d’œuvre qualifiée et à la création d’une chaîne d’approvisionnement », a-t-il déclaré…

Addendum 16 avril, 14h20: Comment fabriquer des vaccins en Afrique sans main-d’œuvre qualifiée? Cela ne peut fonctionner que si l’on ne se préoccupe pas de la qualité du produit. Si tout ce dont on a besoin, c’est d’injecter un certain produit (préfabriqué ailleurs?) dans le bras de tous, peu importe que le reste du processus de fabrication du vaccin ne réponde pas aux Bonnes Pratiques de Fabrication (ou à toute autre norme). Si l’objectif est d’obtenir un vaccin sûr et efficace, la qualité de la fabrication est essentielle. Mais si l’objectif est simplement d’utiliser le « vaccin » en tant que système d’administration qui amenera les gens à se faire volontairement injecter quelque chose de particulier, la formation de la main-d’œuvre n’a aucune importance.

Je vous en prie, prenez cela au sérieux. Il s’agit probablement de la question la plus dangereuse sur laquelle j’ai jamais écrit. Pire que la guerre biologique, qui doit se propager d’une personne à l’autre et contre laquelle certains seront immunisés.

Envoyer des usines de vaccins en Afrique sans disposer d’une main-d’œuvre capable de les utiliser en toute sécurité ne peut être qualifié que comme un acte malfaisant. Cela n’a de sens que s’il existe un agenda caché.

Ne négligez pas la CEPI et son projet de vaccin élaboré en 100 jours. Cette organisation est financée et contrôlée par certaines des entités les plus puissantes du monde.

Investisseurs et partenaires

La CEPI a été fondée à Davos par les gouvernements norvégien et indien, la Fondation Bill & Melinda Gates, Wellcome et le Forum Économique Mondial. [NdT. c’est moi qui souligne]

À ce jour, la CEPI a obtenu le soutien financier de l’Allemagne, de l’Arabie Saoudite, de l’Australie, de l’Autriche, de la Belgique, de la Fondation Bill & Melinda Gates, du Canada, du Danemark, de la Commission Européenne, des États-Unis, de l’Éthiopie, de la Finlande, de la Grèce, de la Hongrie, de l’Indonésie, de l’Islande, de l’Italie, du Japon, du Koweït, de la Lituanie, du Luxembourg, de la Malaisie, du Mexique, de la Norvège, de la Nouvelle-Zélande, du Panama, des Pays-Bas, du Portugal, des Philippines, de la Roumanie, du Royaume-Uni, du Sénégal, de la Serbie, de Singapour, de la Suisse, de la République de Corée et de Wellcome.

La CEPI a également reçu le soutien d’entités du secteur privé ainsi que des contributions publiques par l’intermédiaire du Fonds de Réponse de Solidarité COVID-19 de la Fondation des Nations Unies.

Une collaboration étroite avec nos partenaires est cruciale pour le succès de notre travail.

Voir la liste complète de nos contributions et engagements.

Et voici le Groupe de Coordination Conjointe (GCC) du CEPI

Notre Groupe de Coordination Conjointe est une table ronde d’institutions indépendantes ayant un intérêt à ce que les vaccins du CEPI soient développés et déployés avec succès lors d’une épidémie.

Ces institutions indépendantes jouent un rôle dans divers éléments du cycle de développement des vaccins, depuis la recherche et le développement des vaccins jusqu’à leur déploiement lors d’une épidémie.

Les membres de notre Groupe de Coordination Conjointe se réunissent pour discuter de la manière dont nous pouvons améliorer au mieux nos efforts pour fournir et déployer des vaccins en relevant les défis liés à la recherche et au développement, à la réglementation, au stockage et à la fourniture de ces produits. En particulier, bien que le groupe se concentre sur l’avancement de notre portefeuille de vaccins, son travail informe également le domaine plus large du développement et de la préparation des vaccins.

Les membres ont également un rôle à jouer dans la planification d’une réponse rapide à un agent pathogène prioritaire ou inconnu. Notre Groupe de Coordination Conjointe est composé de 10 à 15 organisations membres, qui désignent à leur tour des personnes pour les représenter lors des réunions.

De temps à autre, le groupe peut décider d’inviter d’autres organisations et experts à participer aux réunions.

Les membres actuels du groupe mixte de coordination sont les suivants

  • Le Forum Africain de Réglementation des Vaccins (AVAREF)
  • CEPI
  • Le Réseau des Fabricants de Vaccins des Pays en Développement (DCVMN)
  • L’Agence Européenne des Médicaments (EMA)
  • FIND, l’alliance mondiale pour le diagnostic
  • Gavi, Alliance pour les vaccins
  • Le Fonds Mondial
  • Membre de la Fédération Internationale de l’Industrie du Médicament (FIIM)
  • La Fédération Internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR)
  • Médecins Sans Frontières (MSF)
  • UNICEF
  • La Food and Drugs Administration américaine (FDA)
  • Wellcome Trust
  • La Banque Mondiale
  • L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS)

Alors, soyez prêts, sachez quel est le projet qu’ils préparent pour nous, et travaillons ensemble pour mettre fin à ces plans diaboliques. J’y reviendrai plus tard dans la journée.

Pourquoi les poulets sont-ils si malades? – par Joel Salatin.

J’ai briévement abordé les horreurs de l’élevage intensif, voici le témoignage d’un autre fermier. Et, j’ose à peine l’annoncer, j’ai encore deux autres articles sur la grippe aviaire.

Oui, je sais, j’allais publier sur l’économie et me voilà de nouveau à parler de poule(t)s. Ce n’est pas autant hors sujet qu’il semble, parce que d’une part, les révoltes populaires ont lieu en période de disette, or on me dit que des millions de Français ont recours à des colis alimentaires.

D’autre part, on nous rejoue la comédie du Covid et des « vaccins », cette fois avec la grippe aviaire, ce que nous explique une nouvelle fois ici Meryl Nass.

Enfin, on pourrait peut-être se poser la question, d’une actualité brûlante, de savoir si, comme pour les poule(t)s, c’est le nombre d’êtres humains le problème ou leur concentration.

Comme dirait Igor Chudov: et vous, qu’en pensez-vous?

Source.


Pourquoi les poulets sont-ils si malades?

Joel Salatin

14 mars

Alors que la nation souffre d’une nouvelle épidémie d’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP), il est plus important que jamais de remettre en question le discours orthodoxe. À l’heure où l’on crie à la surpopulation et à l’incapacité du monde à se nourrir, nous, les humains, devons certainement trouver le moyen de réduire ce type de pertes.

Les chiffres changent chaque jour, mais au dernier recensement, environ 60 millions de poulets (principalement des poules pondeuses) et de dindes sont morts au cours de l’année écoulée. Il y a un peu plus de dix ans, ce chiffre était de 50 millions. Ces cycles sont-ils inévitables? Les experts qui transmettent les informations au public sont-ils plus dignes de confiance que ceux qui ont contrôlé les communiqués de presse lors de l’épidémie de covid en 2020?

Si ceux qui prennent le temps de réfléchir n’ont appris qu’une seule chose de la pandémie de covid, c’est que les récits officiels des gouvernements sont politiquement orientés et souvent faux. Dans cette nouvelle épidémie d’IAHP, l’écart le plus flagrant par rapport à la vérité est sans doute l’idée que les oiseaux sont morts des suites de la maladie et que l’euthanasie pour les survivants est la meilleure et la seule option.

Tout d’abord, sur les quelque 60 millions d’oiseaux déclarés morts, seuls quelques millions sont effectivement morts de l’IAHP. Les autres ont été tués dans le cadre d’un protocole de stérilisation draconien. L’utilisation du mot « euthanasié » au lieu du mot « exterminé », plus approprié, brouille les pistes. L’euthanasie consiste à mettre fin aux souffrances d’un animal. En d’autres termes, il va mourir, souffre ou est atteint d’une maladie incurable.

Très peu d’oiseaux tués souffrent ou sont même symptomatiquement malades. Si, dans un poulailler d’un million de volailles, un test de dépistage de l’IAHP est positif, le gouvernement fait intervenir toutes les forces de l’ordre dans l’exploitation pour garantir la mort de tous les oiseaux vivants. Rapidement.

On a vu aucune volée où tous les oiseaux sont morts de l’IAHP. Dans chaque volée, il y a des survivants. Certes, la plupart sont exterminés avant que les survivants ne soient identifiés. Mais dans les cas d’extermination tardive, quelques oiseaux semblent immunisés contre la maladie. Certes, l’IAHP est et peut être mortelle, mais elle ne tue jamais tous les animaux.

La politique d’extermination massive sans tenir compte de l’immunité, sans même chercher à savoir pourquoi certains oiseaux prospèrent alors que tous les autres meurent, est insensée. Les principes les plus fondamentaux de l’élevage et de la reproduction des animaux exigent que les agriculteurs sélectionnent des systèmes immunitaires sains. C’est ce que nous, agriculteurs, faisons depuis des millénaires. Nous choisissons les spécimens les plus robustes comme matériel génétique à propager, qu’il s’agisse de plantes, d’animaux ou de microbes.

Mais dans sa sagesse, le Ministère américain de l’Agriculture (USDA-Usduh) n’a aucun intérêt à sélectionner, à protéger et à propager les survivants sains. La politique est claire et simple: tuer tout ce qui est entré en contact avec les oiseaux malades. La deuxième partie de la politique est également simple: trouver un vaccin pour arrêter l’IAHP.

Si un éleveur voulait sauver les survivants et effectuer lui-même un test pour tenter d’élever des oiseaux immunisés contre l’IAHP, des agents du gouvernement armés de fusils le lui interdiraient. La politique de la terre brûlée est la seule option possible, même si elle ne semble pas fonctionner. En fait, les cycles s’accélèrent et semblent toucher davantage d’oiseaux. Quelqu’un devrait s’interroger sur l’efficacité de cette politique.

Certains le font. Lorsque l’influenza aviaire hautement pathogène a touché notre région de Virginie il y a une quinzaine d’années, des vétérinaires fédéraux venus des quatre coins du pays sont venus superviser l’extermination. Deux d’entre eux avaient entendu parler de notre élevage de volailles de pâturage et ont demandé à venir nous rendre visite pendant leur temps libre. Ils n’étaient pas ensemble; ils sont venus à quelques semaines d’intervalle, indépendamment l’un de l’autre. Tous deux m’ont dit qu’ils connaissaient la raison de l’épidémie: trop d’oiseaux, trop densément entassés dans des poulaillers trop proches géographiquement. Mais ils m’ont tous deux dit que s’ils exprimaient publiquement cette idée, ils seraient licenciés le lendemain.

C’est ce qu’on appelle de la censure. Dans son édition du 24 février, le Wall Street Journal titrait « L’Amérique perd la bataille de la grippe aviaire ». Il est intéressant de noter qu’alors que l’article présente la version officielle selon laquelle les oiseaux sauvages propagent la maladie et les agriculteurs la répandent sur leurs chaussures, un agriculteur ose dire que « sa plus grande installation abrite environ 4 millions de poulets élevés en cage, ce qui représente un nombre trop élevé de poulets dans un seul endroit. ‘Nous ne ferons plus jamais cela' », a-t-il déclaré. Les nouvelles installations seront plus petites, abritant environ un million de poulets chacune, a-t-il dit, et plus espacées les unes des autres pour aider à contrecarrer la menace d’une épidémie continue ».

Pourtant, quelques paragraphes plus loin, l’article cite le Dr John Clifford, ancien vétérinaire en chef des États-Unis, qui affirme que « la maladie est partout ». Si c’est le cas, quelle différence cela fait-il de réduire la taille des volées et d’augmenter l’espace entre les maisons? Il est clair que l’agriculteur dont il est question ici a la même intuition que les deux vétérinaires fédéraux que j’ai visités il y a de nombreuses années: trop d’animaux, trop denses, trop proches.

Certes, même les volées de basse-cour sont susceptibles d’être infectés par l’IAHP, mais nombre de ces volées miniatures se trouvent sur des terrains sales et souffrent de conditions d’hygiène déplorables. Néanmoins, il est plus difficile d’assurer le bonheur et l’hygiène d’un million d’oiseaux dans une exploitation d’alimentation animale concentrée (Concentrated Animal Feeding Operation – CAFO) que d’une volée de basse-cour, et les données relatives à la maladie le confirment. L’USDA et l’industrie veulent désespérément rejeter la faute sur les oiseaux sauvages, les volées de basse-cour et les chaussures sales, au lieu de se regarder dans le miroir et de se rendre compte que c’est la façon dont la nature crie « Assez! ».

« Assez d’abus. Assez de manque de respect. Assez de particules fécales créant des abrasions sur mes tendres muqueuses ». Lorsque Joel Arthur Barker a écrit Paradigmes et a fait entrer ce mot dans l’usage courant, l’un de ses axiomes était que les paradigmes finissent toujours par dépasser leur point d’efficacité. L’industrie avicole partait du principe que si 100 volailles dans un poulailler, c’était bien, 200, c’était mieux. Avec l’avènement des antibiotiques et des vaccins, la taille des poulaillers et la densité des oiseaux ont augmenté. Mais la nature a le dernier mot.

Pour mémoire, tout système agricole qui considère la faune et la flore sauvages comme une menace est un modèle intrinsèquement anti-écologique. L’article du WSJ note que « les ouvriers ont installé des filets au-dessus des lagunes et d’autres endroits où les oiseaux sauvages se rassemblent ». Les lagunes sont intrinsèquement anti-écologiques. Ce sont des puits de maladies et d’immondices; la nature ne crée jamais de lagunes de fumier. Dans la nature, les animaux répandent le fumier sur le paysage où il peut être une bénédiction, et non une malédiction comme une lagune. Le vrai coupable est peut-être l’industrie qui crée des lagunes de fumier susceptibles d’infecter les canards sauvages, et non l’inverse. C’est de la culpabilité par association, comme de dire que puisque je vois des camions de pompiers à côté de voitures accidentées, les camions de pompiers doivent être à l’origine des accidents de voiture.

Remarquez l’angle d’attaque de cette phrase du WSJ: « Les buses, les canards sauvages ou les animaux nuisibles qui se faufilent dans les granges peuvent également transmettre le virus de la grippe par le mucus ou la salive. » Cela ne ressemble-t-il pas à une proverbiale conspiration, avec des animaux sauvages qui se faufilent partout? Tout cela ressemble étrangement au virus du covid qui se faufile partout et qu’il faut contenir à l’aide de quarantaines et de masques. Une plume contient suffisamment d’IAHP pour affecter un million d’oiseaux. Il est impossible de verrouiller un poulailler pour empêcher une plume errante ou ses molécules microscopiques d’y pénétrer. C’est absurde.

Si notre politique agricole actuelle est insensée, quelle est la meilleure solution? Ma première suggestion est de sauver les survivants et d’en commencer l’élevage. C’est une évidence. Si un troupeau est atteint par l’IAHP, il faut la laisser suivre son cours. Elle tuera ceux qu’elle tuera, mais au bout de quelques jours, on pourra discerner les survivants. Gardons-les et intégrons-les dans un programme d’élevage. Ce qu’il y a de bien avec les poulets, c’est qu’ils grandissent et se reproduisent assez vite pour qu’en un an, il soit possible d’avancer de deux générations. C’est relativement rapide. Laissons la survie déterminer le patrimoine génétique de demain.

Deuxièmement, pourquoi ne pas travailler sur les conditions qui améliorent l’hygiène et le bonheur? Oui, j’ai bien dit « bonheur ». Tous les animaux ont des tailles de troupeaux et de volées optimales. Par exemple, on ne voit jamais plus de deux cents dindes sauvages ensemble. Même dans les régions où les populations sont élevées, elles se divisent en petits groupes plutôt que de s’unir en volées de 1 000 individus. D’autres oiseaux se rassemblent en grandes bandes. Pourquoi cette différence?

Personne n’a étudié de manière définitive les raisons de cette différence, mais nous savons qu’il existe des tailles optimales pour une vie sans stress. Pour les poulets, c’est environ 1 000. Un vieux scientifique de l’industrie avicole a visité notre ferme un jour et m’a dit que si les maisons divisaient les poulets en groupes de 1 000 oiseaux, les maladies seraient pratiquement éliminées. Il m’a dit qu’il n’y avait pas de problème à avoir 10 000 volailles dans un poulailler, à condition qu’elles soient réparties en groupes de 1 000 volailles. De cette manière, leur structure sociale peut fonctionner selon une interaction naturelle. Les animaux ont une hiérarchie de brutes et de timides. Cette structure sociale s’effondre au-delà de la taille optimale.

Chez la plupart des herbivores, la taille est énorme, comme en témoignent les troupeaux du Serengeti et les bisons des plaines américaines. Les abeilles mellifères se divisent lorsque la ruche atteint une certaine taille. Les élans ont des troupeaux de taille optimale. Les chèvres de montagne forment de petits troupeaux. Les cochons sauvages recherchent eux aussi une taille de groupe dépassant rarement 100 individus. La première ligne de défense consiste donc à déterminer où se trouve la zone de tranquillité sans stress et à la respecter.

Enfin, traitez les poulets comme des poulets. En plus d’une taille de volée appropriée, donnez-leur des pâturages frais pour courir et gratter. Pas des cours en terre battue. Pas de petits tabliers autour d’un CAFO. Avec les abris mobiles, dans notre ferme, nous déplaçons les volées tous les jours ou presque vers de nouveaux pâturages. Cela leur permet de rester sur un sol neuf, exempt d’hôtes, pendant une longue période. Ils ne dorment pas, ne mangent pas et ne vivent pas à chaque instant de la journée dans leurs toilettes.

L’American Pastured Poultry Producers Association (APPPA) est une organisation commerciale qui promeut des protocoles pour ce type de modèle de renforcement du système immunitaire. Des milliers de praticiens adhèrent à une infrastructure mobile qui permet à des volées de taille appropriée d’avoir accès à l’air frais, à la lumière du soleil, aux insectes, aux vers et à des matières vertes succulentes. Dans notre ferme, nous utilisons le Millennium Feathernet et l’Eggmobile, accueillant des canards sauvages et des carouges à épaulettes dans les environs, dans le cadre d’un nid écologique symbiotique.

Bien que je ne veuille pas paraître désinvolte et ne pas surestimer la sensibilité à l’IAHP, les taux d’incidents indiquent clairement une vulnérabilité moindre dans les volées élevées en pâturage et bien gérées. La création d’un protocole de renforcement du système immunitaire mérite certainement des recherches, tout autant que le fait de surcharger le système immunitaire avec des vaccins et d’essayer de devancer les mutations et les adaptations de la maladie grâce à l’ingéniosité humaine. Pourquoi ne pas chercher humblement des solutions dans la nature plutôt que de faire preuve d’arrogance?

Les parallèles entre l’orthodoxie des experts de l’IAHP et l’orthodoxie du covid sont trop nombreux pour être mentionnés. La pornographie de la peur est omniprésente dans notre culture. L’inquiétude liée à l’IAHP alimente l’inquiétude liée à l’alimentation, qui pousse les gens à exiger du gouvernement qu’il assure leur sécurité. Les gens acceptent à peu près n’importe quoi s’ils ont peur. Quelqu’un pense-t-il vraiment que l’intelligence humaine va venir à bout des canards migrateurs? Vraiment? Réfléchissons bien et adoptons un remède plus naturel: des volailles de pâturage décentralisées et bien gérées, avec des volées de taille appropriée.


Joel F. Salatin est un agriculteur, conférencier et auteur américain. Salatin élève du bétail dans sa ferme Polyface à Swoope, en Virginie, dans la vallée de Shenandoah. La viande de sa ferme est vendue en direct aux consommateurs et aux restaurants.

La fausse épizootie de grippe aviaire (H5N1) qui a amené les autorités fédérales à abattre des millions d’oiseaux – par Meryl Nass.

Parlons poules, avec cet article où on retrouve notre ami Jeremy Farrar, très inquiet pour notre santé. Voyons, un massacre organisé de malades asymptomatiques sur base d’un seul test PCR: mais où ai-je déjà vu ça?

Il se trouve que je connais un peu, par l’intermédiaire de l’éleveur (bio) de mon village, les pratiques de l’élevage intensif de poules pondeuses. C’est tout simplement atterrant: les poules parquées dans des cages à peine plus grandes qu’elles, sont éclairées 24h/24 pour stimuler la ponte, puis liquidées après une seule saison, dans un état épouvantable (elles n’ont souvent même plus de plumes, évidemment qu’elles tombent facilement malades!): elles ne rapportent plus rien à leur propriétaire (milliardaire, dans cet article)… Ça me rappelle aussi quelque chose.

Ne pensez donc pas un seul instant que je défends ce type d’élevage. J’ai trois poules en semi-liberté (on a un potager à protéger) qui ne tomberont jamais malades et pondent un seul oeuf par jour, largement assez pour elles et pour nous, en échange d’un peu de grains et des parasites dont elles débarrassent le sol du jardin. Comme le bétail de pâture, elles entretiennent des sols qui seraient autrement inexploitables et/ou une charge à entretenir, et nous fournissent en plus des protéines irremplaçables. Je vous recommande à ce propos la lecture de deux articles (ici et ici), en français, écrits par un vegan, sur un site vegan, qui défend la viabilité de l’élevage de bovins par rapport à l’exploitation maraichère et céréalière des sols – un bel exemple d’honnêteté intellectuelle. Contrairement à la plupart des militants « carnivores », je respecte le choix des vegans et franchement, je ne consommerais jamais de viande ni de poisson – et sans doute pas de criquets – si je devais tuer moi-même les animaux que je mange. J’évite par contre tout ce qui provient de l’élevage intensif, une barbarie que j’aimerais voir crever. Quand on prétend lutter pour la liberté et le respect, la moindre des choses est de l’accorder aux plus faibles que soi, animaux ou humains.

Si je relaie cet article, c’est pour dénoncer la manoeuvre des abattages faits pour détruire/décourager les petites exploitations pendant que les méga-élevages ne s’en porteront que mieux, après avoir nettoyé le marché de la concurrence familiale – exactement ce qui s’est déjà passé lors de la crise de la vache folle, et qui ressemble à la manoeuvre actuelle de centralisation dans le secteur bancaire, voir article précédent.

Je suis avec un autre article sur les poules en Europe, de John Paul, au cas où vous penseriez que ceci ne concerne que les États-Unis.

On pourra ensuite recommencer à parler pigeons.

Source.


La fausse épizootie de grippe aviaire (H5N1) qui a amené les autorités fédérales à abattre des millions d’oiseaux.

La maladie est presque impossible à transmettre et les symptômes sont bénins. Pourquoi l’abattage? Pour le contrôle alimentaire? Pour semer la panique? Pour promouvoir un vaccin? Pour présager d’un futur virus conçu en laboratoire?

Meryl Nass

17 mars

La grippe aviaire est principalement transmise par les oiseaux sauvages, comme ces oies des neiges à Ruthsberg (Maryland) en janvier 2023. Photo par JIM WATSON/AFP via Getty Images

Extrait de Yahoo News d’aujourd’hui:

L’épidémie de grippe aviaire H5N1 qui a débuté en 2021 est devenue la plus importante épidémie de grippe aviaire de l’histoire, tant aux États-Unis que dans le reste du monde. Aux États-Unis, le virus a entraîné la destruction de millions de poulets, de dindes, de canards et d’oies d’élevage commercial et a tué des milliers d’oiseaux sauvages.

Voici comment cette question a été bizarrement traitée. Extrait d’un rapport publié en avril dernier dans le Guardian:

Plus de 22 millions d’oiseaux ont été abattus pour tenter d’endiguer l’épizootie, la plupart dans l’Iowa, le plus grand producteur d’œufs des États-Unis. L’abattage de 5,3 millions de poules à Rembrandt est le plus important jamais réalisé dans un élevage industriel du pays.

L’article poursuit en indiquant que le propriétaire milliardaire de l’usine a licencié la quasi-totalité des travailleurs immédiatement après l’abattage et l’élimination de 5 millions de poules, après qu’une poule [NdT. une!] ait été testée positive au virus H5N1 de la « grippe aviaire ».

Mais il semble que ce n’était que le début de l’abattage, selon un article de janvier 2023 de NBC:

Près de 58 millions d’oiseaux provenant d’élevages commerciaux et de basse-cour ont été éliminés aux États-Unis depuis février dernier, selon le Service d’Inspection de la Santé Animale et Végétale du Département de l’Agriculture des États-Unis…

« À l’heure actuelle, il s’agit de la plus grande urgence animale à laquelle l’USDA ait été confronté dans ce pays », a déclaré Gino Lorenzoni, professeur adjoint de science avicole et de santé aviaire à l’université d’État de Pennsylvanie.

Plus de 40 millions de poules pondeuses ont été abattues rien qu’aux États-Unis, ce qui a fait monter en flèche le prix des œufs dans tout le pays, selon M. Lorenzoni. Quelques mois plus tôt, l’épidémie de grippe aviaire avait fait grimper le prix de la viande de dinde à un niveau record.

D’après un article de STAT datant de décembre 2022, Sir Jeremy cherche à alimenter la peur de la grippe aviaire. On ne sait jamais, le virus H5N1 pourrait muter et commencer à nous tuer, à tout moment:

« Dans une interview accordée à STAT dimanche – sans rapport avec sa nouvelle nomination – [Sir Dr. Jeremy] Farrar a exprimé son inquiétude renouvelée face au virus H5N1 qui, après des années de relative quiescence, s’est répandu dans le monde entier, provoquant des pertes importantes dans les élevages de volailles.

La version actuelle du virus infecte moins fréquemment les personnes que la version qui circulait au milieu et à la fin des années quatre-vingt. Et lorsque des infections humaines se produisent, comme ce fut le cas au Colorado au printemps, la maladie est généralement bénigne. Il a toutefois précisé qu’il ne fallait pas croire que le virus ne pourrait pas redevenir virulent et constituer une menace plus importante pour l’homme ».

Le CDC confirme que la transmission est rare et que le seul cas identifié aux États-Unis était bénin et s’est rapidement résolu:

Une personne a été testée positive au virus de l’influenza aviaire A(H5) (grippe aviaire H5) aux États-Unis, comme l’a signalé le Colorado et comme l’ont confirmé les CDC. Ce cas est survenu chez une personne ayant été directement exposée à des volailles et ayant participé à l’abattage (dépeuplement) de volailles présumées atteintes du virus H5N1 de la grippe aviaire. Le patient a signalé comme seul symptôme une fatigue de quelques jours et s’est rétabli depuis.

Le même article du CDC poursuit en ces termes:

Les CDC ont suivi l’état de santé de plus de 2 500 personnes ayant été exposées à des oiseaux infectés par le virus H5N1 et il s’agit du seul cas découvert à ce jour. D’autres personnes impliquées dans l’opération d’abattage au Colorado ont été testées négativement pour l’infection par le virus H5, mais elles font l’objet d’un nouveau test par excès de prudence.

Il s’agit du deuxième cas humain associé à ce groupe spécifique de virus H5 qui prédomine actuellement, et du premier cas aux États-Unis.

Vous cherchez désespérément le H5N1 chez l’homme, CDC? Et bien sûr, l’article ne nous surprend guère:

Les CDC surveillent également les virus H5N1 pour détecter les changements génétiques qui ont été associés à l’adaptation aux mammifères, ce qui pourrait indiquer que le virus s’adapte pour se propager plus facilement des oiseaux à l’homme. Les CDC prennent des mesures de préparation et de prévention de routine, dont un candidat virus vaccinal existant qui pourrait être utilisé pour fabriquer un vaccin pour l’homme si cela se révélait nécessaire.

Donc, une vaste stratégie d’abattage des oiseaux commerciaux a été élaborée à l’époque où le virus H5N1 était différent et tuait occasionnellement des êtres humains, mais il n’était pas non plus répandu chez les oiseaux sauvages. Il s’agit d’une version du « Track and Trace« , qui peut fonctionner lorsque la maladie n’est pas omniprésente (c’est-à-dire lorsqu’elle se propage au sein de la communauté). Mais aujourd’hui, avec la généralisation des infections chez les oiseaux sauvages, il y a une propagation communautaire. Et, comme dans le cas d’Omicron, la maladie elle-même s’est considérablement atténuée chez l’homme.

Et le Royaume-Uni est en train de mettre au point un nouveau test de flux latéral pour la grippe aviaire susceptible d’augmenter le nombre de faux positifs. Ô joie!

La maladie s’est-elle atténuée chez les poules? S’ils ne les abattaient pas, découvririons-nous que ça se limite à un simple rhume chez les poules? Peut-être la maladie ne se propage-t-elle pas à tous les oiseaux, et devrions-nous en fait rechercher les oiseaux qui ont développé une immunité naturelle, et découvrir ce que c’est? Peut-être qu’un médicament ou un vaccin résoudrait le problème? Si la maladie est bénigne chez les poulets, il suffit peut-être de les laisser se rétablir. Le seul poulet testé positif présentait-il des symptômes?

Que dit l’USDA, qui gère les abattages, à ce sujet? Selon le Service d’Inspection de la Santé des Animaux et des Plantes (APHIS) de l’USDA:

L’APHIS collecte et analyse un grand nombre d’échantillons prélevés sur des oiseaux sauvages dans les voies de migration d’Amérique du Nord. Il n’est pas rare de détecter la grippe aviaire chez les oiseaux sauvages, car les virus de la grippe aviaire circulent librement dans ces populations sans que les oiseaux ne semblent malades.

Pourquoi ne suis-je pas surprise? La grippe aviaire est à présent inscrite à l’ordre du jour de la Biosécurité, et l’USDA enseigne la Biosécurité aux agriculteurs. Cette farce de la grippe aviaire est-elle entretenue pour justifier l’initiative « One Health » [NdT. de l’OMS]? Je n’en doute pas. Maudissez le Programme Mondial de Biosécurité chaque fois que vous achetez une douzaine d’œufs.

Défendez le troupeau – Biosécurité 101


Commentaires

Personne dans mon entourage ne semble se souvenir de l’hystérie de la grippe aviaire d’il y a quelques années. L’OMS avait alors proposé une extermination massive de tous les oiseaux migrateurs du monde pour empêcher sa propagation. C’était totalement et complètement fou et, heureusement, cela n’a pas abouti. Il est incroyable que tous ces activistes et institutions de défense de la faune et des droits des animaux n’aient pas exprimé leur indignation. Le silence total. Des millions de poulets et d’oies ont été abattus et des élevages de volailles ont été mis en faillite. Aujourd’hui, le souvenir de cette affaire semble si bien effacé des mémoires qu’ils peuvent la ressortir des tiroirs.

Die Untermensche, 17 mars

Quand va-t-on nous abattre en cas de test positif? Oh mais, au fait …

Boudicca, 17 mars

Je n’arrive pas à décider si j’aimerais que mon « homme aux œufs » bien-aimé soit encore en vie ou si je suis contente qu’il soit décédé (en février dernier à l’âge de 97 ans!!) parce qu’il aurait été HORRIFIÉ et livide devant l’abattage des poulets. Cet homme a élevé des volailles toute sa vie et c’était une véritable mine de connaissances. Il a mangé des œufs tous les jours de sa vie, ainsi que beaucoup de viande rouge et d’abats. Il s’insurgeait contre les médecins allopathes (il les appelait les « vendeurs de pilules ») et aimait leur dire qu’il mangeait « tout ce que vous nous dites de ne pas manger ».

On lui a souvent dit, au fil des ans, qu’il devrait cesser d’élever des poulets à cause des « maladies » qu’ils pouvaient lui transmettre (en particulier une maladie pulmonaire due aux squames de leurs plumes, je crois) et il secouait simplement la tête, disant que depuis le temps, il était complètement immunisé contre tout ce qu’il pouvait attraper. Ses œufs me manquent, mais c’est surtout LUI qui me manque.

Warrior Mom, 17 mars

Votre argent, c’est leur argent (1ère partie) – par Le Bon Citoyen.

Je vais publier pas mal de choses sur l’économie. C’est le moment.

C’est le sujet que je déteste le plus au monde, que je maitrise très peu, raison pour laquelle je ferai appel à des auteurs qualifiés. Comme d’habitude, ça rogne sur le temps que j’aimerais consacrer à mes propres articles, mais je travaille de plus en plus dans l’urgence, vu la vitesse à laquelle tout déboule en ce moment.

C’est dans le secteur économie – enfin, ce qu’il en reste – que tout va se jouer, au niveau de l’avenir de cette société. Ce n’est pas une nouveauté. C’est même une très vieille histoire.

L’article qui suit est pile dans l’actualité, celle de la Silicon Valley Bank, notamment. Il a aussi le mérite de donner une grille de lecture très accessible sur l’ensemble du système. Je lirai sa suite et la traduirai si c’est utile. Au cas où vous penseriez que ça n’intéresse que les Américains, demandez-vous pourquoi Macron fait absolument tout – en plus d’offrir les milliards de l’argent des retraites à ses employeurs – pour plonger les Français dans la misère. Votre argent, c’est leur argent.

J’ai aussi à traduire un article (en fait, deux, un texte d’introduction à sa dernière vidéo et sa transcription) de John Titus, auteur déjà publié ici, qui décryptent le système et ses manoeuvres actuelles, d’avant l’affaire de la SVB et du Crédit Suisse. John publiera sa propre analyse du chaos bancaire en cours – pas forcément la même que celle ci-dessous – que je relaierai. L’ex-trader Ed Dowd, l’auteur de « Cause unknown » (sur l’hécatombe vaccinale) en parle aussi dans diverses interviews (notamment ici, peut-être sous-titrées quelque part sur le Net) et Mathew Crawford publie un article-fleuve en ce moment même, que je n’aurai sans doute pas le temps de traiter. Adam Curry en parle aussi dans NoAgenda n°1538, et rejoint ce qu’en dit ici The Good Citizen.

Je pressentais depuis un moment que la légèreté des acteurs de l’opération Covid/injections devant leur hécatombe signifiait qu’ils avaient quelque chose de bien plus redoutable dans leurs cartons. Les analystes comme The Good Citizen et d’autres vous répèteront ce que je serine depuis deux ans et qui se résume à ceci: soyez prêts.

Source.


Votre argent, c’est leur argent (1ère partie)

Le bras financier de la pieuvre pandémique et l’effondrement planifié imminent

The Good Citizen

17 mars

La pieuvre pandémique a huit bras (voir au bas de ce lien pour les sept autres):

Le bras de la pieuvre de ce jour – le coup d’État financier:

  • Éliminer les engagements de retraite non financés en éliminant les retraités (toujours en cours. « Adieu grand-père, nous t’aimions tant »).
  • Créer intentionnellement de l’inflation en imprimant des trillions de dollars en 2020 pour lutter contre un faux virus lors d’une fausse pandémie.
  • Augmenter les taux d’intérêt (en prétendant lutter contre l’inflation) au rythme le plus rapide de l’histoire tout en coupant les jambes des liquidités en diminuant rapidement la masse monétaire M2 (2022).
  • Utiliser un prétexte d’actifs obligataires en difficulté pour faire paniquer les gros déposants et déclencher une ruée sur les banques, puis les renflouer en garantissant tous les dépôts non assurés (18 trillions de dollars).
  • Renflouer [NdT. « bail-out », voir définition au bas de ce lien] TOUS les déposants bancaires et permettre aux plus grandes banques d’absorber les plus petites, créant ainsi l’aléa moral ultime tout en préparant le terrain pour les prochains renflouements (là où on en est maintenant).
  • Cibler d’abord tous les prêteurs et banques cryptographiques afin d’éliminer la concurrence avec les MNBC, tout en rejetant la responsabilité de toute crise sur les « crypto-monnaies non réglementées » avant d’interdire purement et simplement les crypto-monnaies.
  • Les renflouements [NdT. « bail-in », idem] et l’hyperinflation laisseront des dizaines de millions de personnes sans argent pour préparer le terrain à une compensation par des MNBC programmables, les alternatives telles que le bitcoin étant interdites.
  • Une bombe de produits dérivés d’une valeur d’un quadrillion de dollars explosera, provoquant une panique encore plus grande.
  • Quand la souffrance (sécurité sociale, fonds de pension, 401k et dollar démolis) [NdT. Le Plan 401(k), ou 401(k), est un système d’épargne retraite par capitalisation très largement utilisé aux États-Unis] atteindra son apogée, la pire de toutes les chaînes d’esclavage sera larguée avec la bombe MNBC, liée à un système de crédit social avec le revenu de base universel (RBU).

Le récit officiel de l’effondrement de la Silicon Valley Bank (SVB) est que la banque détenait trop d’obligations sans valeur dans ses livres, alors que les règles comptables l’obligeaient à les détenir. Ces obligations ont perdu leur valeur lorsque la Fed a relevé les taux d’intérêt au cours de l’année écoulée au rythme le plus rapide de l’histoire, passant de 0% à 5% en moins d’un an.

Tout ça n’a rien à voir avec la désintégration de la SVB. Ne vous y trompez pas, il s’agissait d’une ruée planifiée sur la banque, déclenchée en grande partie par Peter Thiel, partenaire de la CIA et fondateur de Palantir [NdT. ici], qui joue à temps partiel, lors de conférences, le rôle du sympathique libertarien du quartier.

Thiel avait prévenu les sociétés de capital-risque et les start-ups de retirer leur argent de la SVB. 42 milliards de dollars ont été siphonnés en 48 heures et la banque s’est retrouvée avec un problème de négatif d’un milliard de dollars. Sauf qu’un milliard de dollars, ce n’est rien ni pour le secteur bancaire, ni pour le gouvernement. En octobre 2008, les grandes banques perdaient ce montant à chaque heure dans le cadre de la pyramide de Ponzi des titres adossés à des créances hypothécaires et des dérivés de CDS[NdT. Credit default swap, ici], lorsque leurs véritables notations ont été révélées au grand jour.

La valeur des actions de la Spectacularly Vacuous Bank [NdT. la banque spectaculairement creuse, un jeu de mots sur SVB] a chuté de 80% en un clin d’œil et est tombée à zéro en un autre clin d’œil.

Et tous leurs déposants non assurés auraient dû être vaporisés.

Des milliardaires pleurnichards tels que le manipulateur de marché et criminel financier Bill Ackman et le sportif Mark Cuban ont gémi que tous les déposants de plus de 250 000 dollars (au-delà de ce qui est assuré par la FDIC) [NdT. Federal Deposit Insurance Corporation, ici] avaient besoin d’être renfloués. Apparemment, Oprah Simpfrey [NdT. Winfrey] et ses voisins opprimés, le Prince et la Princesse Sniffles [NdT. Harry et Meghan], en faisaient partie. En l’espace de 48 heures, les autorités ont renfloué non seulement la SVB, mais aussi toutes les petites banques régionales dont les obligations étaient en difficulté et qui ne s’étaient pas couvertes en conséquence.

La SVB a fourni d’énormes quantités de capitaux à un certain nombre de sociétés chinoises de capital-risque dans le domaine de la technologie et à des entrepreneurs de start-ups chinoises. Biden a été grassement payé par la Chine pour travailler pour elle une fois en fonction. Leur investissement de « 10% pour le mec en place » porte ses fruits.

Deux banques israéliennes ayant des dépôts à la SVB ont été remboursées assez tôt dans le jeu, comme on pourrait s’y attendre pour des membres réguliers du club de la finance.

Times of Israel, 12 mars: Les deux plus grandes banques israéliennes, Bank Leumi et Bank Hapoalim, ont mis en place une salle de crise qui fonctionne 24 heures sur 24 pour aider les entreprises à transférer leur argent de la SVB – avant qu’elle ne soit saisie – vers des comptes en Israël. Au cours des derniers jours, les équipes de LeumiTech, la branche bancaire high-tech de Bank Leumi, ont pu aider leurs clients israéliens à transférer environ 1 milliard de dollars en Israël, a indiqué la banque.

Curieusement, cela s’est produit au moment même où JPMorgan Chase et son PDG Jamie Dimon se retrouvait en mauvaise posture, un juge lui ayant ordonné de produire des documents relatifs à Jeffrey Epstein, client privilégié de Dimon et de Chase, et qui, avant de ne pas se suicider en prison, avait également des liens avec le Mossad et les banques israéliennes en question.

Epstein est le type qui a piégé les riches et les puissants en les mettant en situation compromettante avec des gosses issus du trafic et en filmant discrètement leurs activités pédophiles, puis en conservant ces bandes comme garantie de corruption d’oligarques, d’anciens Présidents qui ont joué dans Real Stories of The Arkansas Highway Patrol [NdT. Bill Clinton], et des développeurs de logiciels en cardigan adeptes de vaccins de dépopulation.

Dimon et Chase étaient les courtisans financiers officiels d’Epstein. Est-ce que JPMorgan Chase a retiré le plus gros dépôt de la SVB pour déclencher cette ruée, étant donné qu’elle a le plus à gagner en tant que plus grande banque des États-Unis en termes d’actifs?

Regardez! Une écureuil SVB! [NdT. « Look! Squirrel! », un running gag américain que vous aurez vu dans « Up » de Pixar]

Ghislaine Maxwell, la Madame Kidnappeuse d’Epstein, est encore aujourd’hui la première personne dans l’histoire de la justice à avoir été condamnée pour trafic sexuel de mineurs au profit de… personne.

La contagion de la SVB s’est étendue à d’autres petites banques régionales qui détenaient des obligations surévaluées [NdT. « underwater bonds »: l’expression « sous l’eau » désigne un contrat financier ou un actif dont la valeur est inférieure à sa valeur théorique], toujours au profit des cinq grandes banques « trop grandes pour faire faillite ».

Grâce à un plan de sauvetage de 2 trillions de dollars annoncé le week-end dernier par l’intermédiaire d’un organisme appelé BTFP (Bendover The F**king Plebs) [NdT. en fait, Bank Term Funding Program], les banques ont pu échanger leurs obligations surévaluées au pair, ce qui leur a permis de redresser leurs comptes.

Au lieu de se couvrir contre la hausse des taux d’intérêt, des banques irresponsables comme SVB ont donné 75 millions de dollars à des groupes terroristes néo-marxistes comme Burn Loot Murder (BLM) [NdT. Black Lives Matter] et ont dépensé des millions de dollars supplémentaires pour faire des publicités parodiques et embaucher tous les pires candidats pour tous les postes parce qu’ils cochaient des cases sur la matrice DEI [Diversité, Équité, Inclusion].

C’est quoi une obligation? De toute façon, j’ai grandi au Guatemala et ma mère est un médecin vaudou jamaïcain non binaire…

T’es engagée, soeurette! Bienvenue à la Silicon Valley Bank. Tes cartes de visite d’analyste en chef des risques seront sur ton bureau cet après-midi.

Depuis des mois, les chaînes survivalistes de YouTube et de Bitchute mettent en garde contre les ruées sur les banques. Lors d’une réunion de la FDIC (Federal Deposit Insurance Corporation) en novembre, les membres du conseil d’administration ont annoncé les événements auxquels nous assisterons lorsqu’ils autoriseront les renflouements (bail-ins).

N’oublions pas que les banquiers de la FDIC ont tenu une réunion il y a plusieurs mois où ils discutaient de l’effondrement bancaire mais ne voulaient pas que ça se sache dans le public et en parlaient comme d’une « information confidentielle du secteur »

Tirez à pile ou face.

Face – Bail-outs: Les contribuables (Fed) renflouent les déposants ou les institutions.

Pile – Bail-ins: Les banques volent votre argent.

Vous avez perdu.

Merci d’avoir joué.

Qu’est-ce que l’argent?
Du papier de coton avec de l’encre de luxe et des hologrammes. Une imprimerie officielle soutenue par des armées permanentes et des réserves d’énergie. Un système basé sur la poussière de fée et la confiance de grands imbéciles crédules.

Qu’est-ce que la banque à réserves fractionnaires?
Un système bancaire qui permet aux banques de ne détenir qu’une fraction de l’argent des déposants. Cela signifie que votre argent est leur argent, qu’elles peuvent prêter et spéculer à leur guise, et que lorsque vous allez le récupérer, vous ne récupérez pas votre argent, mais simplement de l’argent.

Qu’est-ce qu’une ruée sur les banques?
Si les gens se rendent compte de cette escroquerie et perdent confiance dans le système, et s’ils paniquent lorsqu’ils réalisent que les banques ne peuvent pas payer tous ceux qui veulent soudainement récupérer leur argent en même temps, les retraits sont limités ou totalement interrompus. Les portes des banques se ferment et la panique gagne d’autres banques. Ces mouvements de panique ont été organisés par les grandes banques dans les années 1890 et au début du 20e siècle pour détruire leurs concurrents et justifier la loi sur la Réserve Fédérale de 1913.

Qu’est-ce qu’un compte bancaire?
Un logiciel informatique. Des uns et des zéros où votre argent n’est PAS détenu et peut être saisi à chaque fois qu’il y a une « crise », qu’elle soit réelle ou fabriquée.

Qu’est-ce que l’ensemble du système financier des banques centrales, du FMI et de la BRI?
Un système de Ponzi permettant aux riches de piller et de détruire les monnaies sur le dos des esclaves endettés qui paient des impôts, et d’asservir et de coloniser les pays du tiers-monde en leur imposant sans cesse des obligations insoutenables auprès du FMI en échange du droit pour les entreprises de violer et de piller leurs ressources.

Faites confiance à leur système « bancaire » à vos risques et périls.

Pour être clair, la politique schizophrène de la Réserve Fédérale est à présent:

  • Augmenter les taux d’intérêt pour prétendre lutter contre l’inflation pour les « petits » puisque l’inflation n’affecte pas les personnes pour lesquelles la Fed travaille réellement, même si elle est loin d’avoir combattu l’inflation et qu’elle devra augmenter les taux au-delà de 10% pour ne serait-ce qu’entamer cette lutte.
  • Tout en diminuant la masse monétaire M2 au rythme le plus rapide de l’histoire, la rendant négative pour la première fois depuis la Grande Dépression.
  • Et maintenant, en renflouant les obligations surévaluées des banques irresponsables, tout en gâtant les riches et les très riches en garantissant tous les dépôts non assurés, avec ce qui sera en fin de compte une nouvelle impression monétaire créatrice d’inflation.

Alors qu’il semble que l’aléa moral financier créé par la Réserve Fédérale ne saurait être plus perfide, ces enfoirés trouvent encore le moyen. Il est impossible de lutter mathématiquement contre l’inflation tout en sauvant les banques irresponsables en compensant leurs pertes obligataires et en garantissant tous les dépôts non assurés.

Imaginez une maison en feu. Les pompiers qui se trouvent à l’avant de la maison l’arrosent avec de l’eau. Puis ils courent jusqu’à l’arrière de la maison et l’arrosent d’essence. Ils reviennent ensuite à l’avant de la maison et répètent l’opération jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un tas de cendres. C’est ce que la Fed vient d’annoncer qu’elle allait faire.

Ce que voit l’Américain moyen, analphabète économique, c’est une impeccable maison coloniale blanche qui n’est même pas en feu.

Mais nous ne sommes qu’à quelques mois du moment où ce tas de cendres apparaitra aux yeux de tous, et c’est tout à fait intentionnel.

Les chiffres de l’inflation sont manipulés à la baisse. L’inflation réelle culminait à près de 20% l’été dernier, alors que l’inflation « officielle », calculée à l’aide d’artifices, n’était que de 7,8%. Le gouvernement peut mentir sur tout parce que les gens ne sont plus capables des mathématiques les plus rudimentaires, ni de faire preuve du moindre esprit critique.

Mais l’inflation est repartie à la hausse ces derniers mois. Et quelle est la réaction du peuple américain à ce dernier sauvetage de 2 trillions de dollars des petites et moyennes banques et à la garantie de 18 trillions de dollars supplémentaires pour les dépôts non assurés au cas où d’autres banques feraient faillite?

Le pillage se poursuivra tant que les équations ne seront pas résolues.

Tout tourne autour de l’impression monétaire et du crédit bon marché pour les héroïnomanes qui spéculent avec l’argent des contribuables. Ils voulaient un pivot de la Fed (d’une hausse des taux à une nouvelle baisse) et, comme au 19e siècle, les petites banques continueront à être ruinées jusqu’à ce que la Fed donne aux toxicomanes ce qu’ils veulent. Mais ça fait 14 mois consécutifs qu’elle prétend se consacrer à la lutte contre l’inflation. À la seconde où elle « pivotera », elle signalera qu’elle a complètement abandonné la lutte contre l’inflation et que le peuple américain n’aura plus qu’à perdre un peu plus de son argent chaque mois.

Le Dow Jones grimpera à 90 000 comme au Venezuela.

Un camion Ford Tough coûtera 170 000 dollars.

Et une miche de pain coûtera 80 dollars.

La Fed sait également que l’Américain moyen n’a aucune idée de ce qu’est l’inflation ou même le système bancaire à réserves fractionnaires. Ils pensent que lorsqu’ils déposent de l’argent dans une banque, celui-ci les attendra en toute sécurité à tout moment et qu’il aura la même « valeur », et pas moins, lorsqu’ils le récupèreront.

Ils ne savent pas que les banques utilisent leur argent pour spéculer sur les investissements et prendre des risques afin de gagner encore plus d’argent, tout en les ponctionnant sur les frais de découvert, les retraits aux guichets automatiques, les transferts d’argent et les dépôts directs, tout cela pour le « privilège » de ne même pas détenir leur argent.

Et maintenant, après le week-end dernier, ils ne réalisent pas que lorsque l’ensemble du système bancaire sera absorbé par les cinq grandes banques « trop grandes pour faire faillite », ce qui est prévu, il y aura des renflouements comme l’autorise la loi Dodd-Frank et comme l’ont annoncé les clowns du conseil d’administration de la FDIC dans la vidéo ci-dessus.

Les grandes banques voleront votre argent, tandis que la Fed dédommagera d’abord les riches déposants, les particuliers ultra-riches et les entreprises, puis prétendra qu’elle n’est pas en mesure d’aider des millions de citoyens.

Votre argent a toujours été leur argent.

Chaque fois qu’il y a besoin d’argent pour les guerres ou les banquiers, il arrive comme par magie.

Chaque fois qu’il y a une « crise », réelle ou fabriquée, de l’argent magique est imprimé sur le dos des contribuables.

Lorsque les banquiers veulent prendre des risques stupides, ils savent qu’ils le font avec l’argent de la maison (du contribuable) et qu’ils ne peuvent donc jamais perdre.

D’où la question suivante: pourquoi payer des impôts si l’on peut imprimer n’importe quelle somme d’argent sans conséquences?

En mars 2020, la Fed a commencé à injecter 9 trillions de dollars dans les marchés, achetant tous les actifs en difficulté et non en difficulté, les ETF, les actions Apple, les obligations et probablement le stand de limonade de l’enfant au coin de la rue. Blackrock était leur fournisseur officiel de services aux guichets d’escompte.

Dans le même temps, le Congrès a ajouté 5 trillions de dollars avec le CARES ACT, 3 trillions de dollars pour maintenir les aides pléthoriques de 2021, et 1,2 trillion de dollars supplémentaires pour « l’infrastructure », un autre carnaval sur la diversité et l’équité à propos d’un système routier raciste et pour préparer le déraillement de trains toxiques à proximité du mauvais type d’électeurs [NdT. à East Palestine].

Il se trouve que ce pic a coïncidé avec un pic de la frénésie spéculative sur les marchés boursiers, ce qui prouve que les marchés ne sont que le reflet des faibles taux d’intérêt et de la masse monétaire.

Trois mois après cette frénésie spéculative et deux ans d’essais du revenu de base universel – des dépôts directs pour tous les Américains – les gens ont commencé à se demander pourquoi leur facture de produits alimentaires avait doublé.

Il y a un siècle, l’Allemagne de Weimar a mené les mêmes politiques monétaires inconsidérées. Les réparations de guerre punitives, le blocus des importations imposé par les Britanniques et une nation en ruine ont conduit à l’abandon des Goldmarks et à l’impression massive de Marks en papier. C’est la voie inévitable que la Réserve Fédérale vient de choisir pour le peuple américain. Et tout cela a été conçu pour détruire l’ancien système analogique afin d’instaurer l’esclavage financier numérique.

HYPERINFLATION
Seulement deux ans après la fin de la guerre, le Mark papier ne valait plus que 10% de sa valeur initiale.
Toute l’épargne en liquide avait perdu sa valeur et les épargnants prévoyants de la classe moyenne allemande furent inexplicablement punis.
À la fin de 1923, il fallait un trillion de Marks papier pour acheter un Mark or.

Les banques centrales sont l’antithèse des marchés libres. Elles sont des entités d’asservissement par le crédit (usure) à tous les niveaux. Elles créent de l’argent fictif (fiat) qui n’est lié à rien, grâce à la source de pouvoir/tyrannie des armées permanentes de l’État ou des monopoles de l’énergie. Ils gonflent intentionnellement la monnaie pour gérer leur propre passif.

Il n’y a pas de marchés libres. Il y a des marchés contrôlés centralement pour l’exploitation et le pillage, et leur démolition intentionnelle pour introduire leur nouveau système d’asservissement – les monnaies numériques des banques centrales (MNBC).

[NdT. la traduction automatique n’est pas parfaite mais assez bonne pour comprendre l’essentiel]

Fedcoin, la MNBC de la Réserve Fédérale, a été mise à l’essai à la fin de l’année dernière. Biden a signé un ordre exécutif en mars dernier pour déchaîner cet enfer financier sur les Américains dans le cadre de la Grande Réinitialisation Financière. FedNow, un programme de règlement instantané pour les transferts (pas une MNBC) est également en cours d’élaboration. La première phase du déploiement de FedNow aura lieu cet été.

Une fois que toutes les institutions seront intégrées au système FedNow, l’effondrement du dollar s’accélérera, à la fois en tant que monnaie de réserve mondiale et en tant que source de monnaie légale, en le rendant sans valeur par l’hyperinflation. Lorsque le désespoir et la panique seront à leur apogée, ils déploieront leur ultime série de chaînes financières sur le peuple américain.

FedCoin — à travers — FedNow.

La seule option possible.

La Banque Fédérale de Réserve lance la première phase de la MNBC en juillet prochain

Dans la deuxième partie (lundi), nous danserons avec le diable de la MNBC et nous expliquerons étape par étape ce qui doit se passer cette année pour que la Fed parvienne à mettre en place avec succès une MNBC que la population ne pourra pas refuser ensuite.

Ainsi que les mesures les plus prudentes que les Bons Citoyens peuvent prendre à court terme pour se protéger contre ce vol et cette tyrannie, pour éviter panique et surprises.

Le Culte Biosécuritaire de la Pandémie en Attente – par Sasha Latypova.

Si ce n’est fait, lisez l’article précédent, de Spartacus, qui donne quelques pistes sur les aspects futurs bio-machin-truc du « projet ». Considérez celui-ci comme une deuxième partie.

Voici ce qu’en pense Sasha Latypova, qui rejoint d’assez près ce que j’en pense. J’ai un truc à finir de rédiger sur le sujet, une mise à jour de ce que je serine depuis plus de deux ans ici.

Un de nos points communs majeurs est de ne pas être très impressionnés par les instigateurs du projet, de petites frappes incompétentes qui, après avoir pillé (notamment) les fonds de pension, tentent de liquider Mamy en lui injectant du bouillon d’onze heures – et s’il lui venait l’idée d’y survivre, en reculant l’âge de sa retraite. Mes lecteurs français apprécieront…

Sasha me rejoint aussi sur le fait que la majorité des organes de contrôle (connus aux États-Unis sous le terme « alphabet soup« , en référence à leurs acronymes) et des gouvernements sont des mafias; et également sur cet étrange penchant du peuple pour les histoires, belles ou moches, vraies ou fausses, que je fais dans ce cas, comme elle et bien d’autres, mon possible pour démonter, la vérité étant une forme de salut et la nature sa source première.

La peinture en fin de texte est de l’autrice.

Source.


Le Culte Biosécuritaire de la Pandémie en Attente

Visualisez la catastrophe. Mieux que ça.

Sasha Latypova

11 mars

Yuval Noah Harari est l’un des principaux idéologues du cartel criminel des aspirants à un gouvernement mondial unique et le porte-parole préféré du Forum Économique Mondial. Son message principal semble être que les humains peuvent être capturés, contrôlés et « piratés » ou manipulés par la technologie et ainsi réduits en esclavage pour servir l’uber-classe de contrôle des peuples du FEM et de l’OMS. C’est un lecteur qui m’a signalé cette vidéo. Dans cette conférence Ted de 2015, Harari postule que les humains, par opposition aux animaux, sont uniques dans leur capacité à croire à des histoires fictives, et qu’ils peuvent donc être contrôlés par la narration, par la fiction, tant que tout le monde croit à la même histoire. Selon lui, l’idée que les humains ont une âme et un libre arbitre est « révolue ». Par conséquent, cette méthode permet d’amener les gens à participer à leur propre disparition (y compris en faisant la queue pour se faire injecter du poison) par le biais d’un lavage de cerveau de masse et d’un contrôle du narratif.

Les êtres humains se laissent séduire par des conneries en tout genre et, en fait, ils semblent en raffoler. Nous aimons les bonnes histoires, les histoires imaginatives, les histoires d’ambition, les aventures de héros, les romances, les whodunit (le genre de ce substack), ou les histoires de science-fiction sur les avancées technologiques. Les histoires de science-fiction sont très populaires. Elles sont en fait tellement populaires que le grand public et la plupart des professionnels ne parviennent plus à distinguer la science légitime des récits de science-fiction imaginaires, ce qui est ressorti clairement des années de fausse « pandémie mondiale » actuelle.

En parlant du narratif de la pandémie, nous aimons aussi les histoires qui font peur! Les perspectives imminentes de fausses catastrophes invisibles semblent ne jamais passer de mode. Voici un excellent livre que je recommande sur ce sujet [NdT. moi aussi], écrit par Patrick Moore, un des fondateurs de Greenpeace. Je cite:

Il y a quelque temps, je me suis rendu compte que la grande majorité des histoires alarmistes sur l’état présent et futur de la planète, et de l’humanité dans son ensemble, sont basées sur des sujets qui sont soit invisibles, soit extrêmement éloignés, soit les deux à la fois. Ainsi, la grande majorité des gens n’ont aucun moyen d’observer et de vérifier par eux-mêmes la véracité de ces affirmations prédisant ces prétendues catastrophes et menaces dévastatrices. Au lieu de cela, ils doivent s’en remettre aux activistes, aux médias, aux politiciens et aux scientifiques – qui ont tous un très grand intérêt financier et/ou politique dans le sujet – pour leur dire la vérité. Cela ouvre la voie à l’invention de récits tels que l’affirmation selon laquelle « les émissions de CO2 provenant de la combustion de combustibles fossiles sont à l’origine d’une situation d’urgence climatique ».

Personne ne peut voir ou sentir ce que fait le CO2 car il est invisible, inodore, insipide, silencieux et ne peut être ressenti par le toucher. Par conséquent, il est difficile de réfuter de telles affirmations parce qu’il n’y a rien à pointer du doigt pour démontrer de manière tangible la fausseté de ces affirmations.

Les narratifs surutilisés posent un léger problème. Le narratif sur le changement climatique est de plus en plus difficile à soutenir, car Greta a dépassé sa date de péremption en tant qu’enfant acteur, les ours polaires refusent de coopérer et continuent de se multiplier, et les glaciers ne fondent pas comme Al Gore l’avait promis. Les ovnis et les extraterrestres ne nous mèneront pas non plus bien loin.

De nouveaux narratifs de peur doivent être établis: le narratif de nouveaux virus « émergents » est dans les cartons depuis des années. Des virus invisibles et effrayants qui peuvent surgir de la jungle à tout moment et qui sont à portée d’avion d’infecter la moitié de la planète avec un nouvel agent pathogène mortel! Plus palpitante encore est la perspective que des scientifiques maléfiques fabriquent de nouveaux virus mortels et super propagateurs dans des laboratoires qui peuvent « fuir ».

Merci, Sage Hana, d’avoir réalisé ce mix tape 🙂 qui illustre bien mon propos.

La mafia gouvernementale (HHS, NIH, DOD, DARPA, BARDA, DTRA, etc.) et ses vassaux du monde universitaire, de l’industrie biopharmaceutique et des médias se gavent à l’auge de la « biodéfense » depuis des décennies. Quoi de mieux qu’une menace invisible pour justifier l’impression et la dépense de tonnes d’argent pour des méga-contrats de défense/recherche, tout en prenant l’avion pour participer à des événements champagne-caviar internationaux et se décerner mutuellement des prix scientifiques diversifiés-inclusifs-durables?

Dans son récent article pour le Epoch Times, la journaliste Debbie Lerman souligne le temps et l’argent consacrés par le cartel militaro-industriel à l’escroquerie de la « biodéfense et de la préparation aux pandémies ». Des montants mirobolants sont décrits dans un article du Lancet qu’elle cite en référence: « La recherche sur la biodéfense deux décennies plus tard: l’investissement en valait-il la peine? »

Avant 2001, le financement annuel de la biodéfense aux États-Unis était estimé à 700 millions de dollars. À la suite des incidents de 2001, l’augmentation du financement de la biodéfense dans le monde entier a été largement stimulée par la prise de conscience que de nombreux pays n’étaient pas préparés à des attaques bioterroristes. L’attaque américaine Amerithrax de 2001 a révélé des lacunes dans la disponibilité des contre-mesures médicales via le stock national stratégique (SNS), le système de réseau d’intervention des laboratoires, l’infrastructure de santé publique et la communication. De nombreux programmes de financement ont été associés au gouvernement fédéral américain. Un programme d’un milliard de dollars a été mis en œuvre aux États-Unis en 2002 sous la forme de subventions à la préparation au bioterrorisme, de financement de la recherche en biodéfense et de stockage de contre-mesures médicales au sein du Ministère de la Santé et des Services sociaux. D’autres efforts notables de financement de la biodéfense aux États-Unis après 2001 comprennent le programme Biowatch (2001) du Ministère de la Sécurité Intérieure (DHS), le programme de préparation des Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC), le projet Bioshield (2004) du DHS, la Commission pour la Recherche et le Développement Avancés en Biomédecine (Biomedical Advanced Research and Development Authority – BARDA; 2006), et le Centre National de Bio et d’Agrodéfense (National Bio and Agro Defense Facility; 2014). Ces programmes portent généralement sur des questions autres que la biodéfense, telles que la santé publique, la sécurité nationale et internationale et les soins de santé, ce qui accroît leur impact. Le financement total de la biodéfense aux États-Unis a augmenté de façon spectaculaire, passant de environ 700 millions de dollars en 2001 à environ 4 milliards de dollars en 2002; le pic de financement en 2005 s’élevait à près de 8 milliards de dollars et s’est poursuivi avec des dépenses moyennes régulières d’environ 5 milliards de dollars.

En 2019, le marché mondial de la biodéfense était évalué à 12,2 trillions de dollars et devrait croître à un taux de croissance annuel composé de 5,8% entre 2020 et 2027, pour atteindre une valeur de marché projetée de 19,8 trillions de dollars en 2027. Des facteurs tels que les ressources financières gouvernementales et privées soutenues par la menace imminente du bioterrorisme et l’apparition récente d’épidémies naturelles d’agents pathogènes liés au bioterrorisme, notamment Coxiella burnetii, le virus Ebola (EBOV), SARS-CoV-1, SARS-CoV-2, la grippe et le virus Lassa, sont probablement les principaux facteurs qui contribuent à l’expansion constante du marché mondial de la biodéfense.

Et à quoi ces milliards ont-ils été consacrés? Dans un résumé de 2003 intitulé « Rôle élargi en matière de biodéfense pour les Instituts Nationaux de la Santé » (« Expanded Biodefense Role for the National Institutes of Health »), le Dr Anthony Fauci expose sa vision de la biodéfense:

« … l’objectif dans les 20 prochaines années est de passer du « virus au médicament » (« bug to drug ») en moins de 24 heures. Cela permettrait de relever le défi des bioagents issus du génie génétique ».

Au fil du temps, le mastodonte du cartel gouvernement-industrie, qui ne cesse de s’agrandir, a su tirer parti de nombreux événements. Au cours des 20 dernières années, l’élaboration des politiques a de plus en plus visé à mettre en place des réglementations pour maximiser les pouvoirs des autorités en éradiquant simultanément les lois et les contrôles constitutionnels existants afin de les libérer de toute responsabilité et d’instaurer de facto une loi martiale. Chaque politique a été mise en place après de prétendus « événements » qui ont été utilisés pour introduire de nouvelles « lois ». Il est légitime de penser que l’inverse a pu se produire: les événements ont été organisés pour justifier de nouvelles « lois ». Après chaque « attaque », une nouvelle législation plus autoritaire a été élaborée et mise en place pour s’adapter aux objectifs du programme totalitaire.

Le narratif de la biodéfense/biosécurité articulé par Fauci est bien entendu totalement bidon. Les pandémies virales n’existent pas dans la réalité, malgré des décennies de trafic international très dense et très fréquenté (vous avez connu Ryan Air?)

D’accord, les virus terrifiants ne surgiront peut-être pas naturellement de la jungle, mais ils « émergeront » certainement un jour du laboratoire d’un Dr Maléfique? Voici Ralph Baric qui « prédisait » en 2016 que le virus 1 SARS CoV de Wuhan était prêt à « émerger » de son laboratoire de l’UNC Chapel Hill. Notre Congrès est toujours à la recherche d’une « fuite » à Wuhan. Allô! Congrès! Quelqu’un pourrait-il lire ceci?

Des sommes colossales d’argent, des investisseurs, des ressources, des projets, des études, des subventions de recherche, des conférences, des tables rondes, des conférences Ted, des comités politiques, des lois du Congrès, beaucoup d’activités juridiques et de lobbying, des exercices de simulation sur table – toute une industrie de 19 milliards de dollars par an est en attente de LA GRANDE FUITE un jour. Les milliers d’adultes qui participent à ce jeu de fiction doivent finir par y croire pleinement afin de surmonter une dissonance cognitive massive et destructrice de l’âme. Ceux qui ne le supportent pas du fait de leur sens moral démissionnent et vont travailler ailleurs. Ce qui n’était au départ qu’un scénario de film de série B (Dustin Hoffman poursuivant un singe échappé avec des chars et des hélicoptères) se transforme, grâce à l’alignement des incitations économiques individuelles et des narratifs, en une idéologie, puis en une religion à part entière. C’est ainsi qu’est née une secte dangereuse: le Culte de l’Église Biosécuritaire de la Pandémie en Attente.

Les nombreux investisseurs étatiques, militaires et privés qui ont soutenu le narratif de la biodéfense, y compris la Fondation Bill & Melinda Gates, parmi des centaines de fonds privés, souverains et à but non lucratif qui ont déversé tout cet argent dans la « biodéfense », attendent le retour sur investissement!

Extrait du même article du Lancet:

Quinze ans plus tard, alors qu’aucune plateforme aussi fantaisiste n’est en vue, la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) a publié en 2017 un plan de contre-mesures médicales actualisé intitulé « Supprimer la menace virale: Deux mois pour empêcher la pandémie X de s’installer« . Au lieu des 24 heures de Fauci entre le virus et le médicament, ce projet nous dit que « la DARPA vise à développer une plateforme intégrée de bout en bout qui utilise des séquences d’acide nucléique pour arrêter la propagation des infections virales en soixante jours ou moins. »

Si la Grande Pandémie ne se manifeste pas, la secte va essayer de l' »assister ».

De nombreuses tentatives ont été faites pour déclencher des pandémies à partir de « foyers » locaux: SARS1, MERS, zika, ebola – mais rien ne s’est propagé. Des personnages comme Michael Callahan, un agent de la CIA épidémiologiste du type Indiana Jones, toujours « premier sur les lieux » des « épidémies » exotiques, pourchassant des patients potentiels atteints d’ebola à travers la jungle avec des fléchettes tranquillisantes « vaccins », ne semblent pas suffire à provoquer une pandémie. Même la propagande médiatique de type « fear porn » (pornographie de la peur) s’essouffle. Ils jouent avec des soupes de « virus chimériques » dans des boîtes de Petri financées par des milliards de subventions des NIH, financent de nombreux laboratoires sous contrat en Chine, en Ukraine, au Moyen-Orient, mais rien de simultanément dangereux et hautement transmissible n’en résulte. Pourquoi?

Vous pouvez croire en des milliards d’années d’évolution, mais l’explication que je préfère est que la conception de Dieu est parfaite et ne peut donc pas être améliorée. Toutes les formes de vie, de l’homme aux micro-organismes, sont dans un état d’équilibre dynamique parfait en ce moment, comme le dictent les lois physiques. Les agents biologiques pathogènes sont eux aussi parfaitement optimisés pour cet état, grâce à des milliards d’années de travail ou à la conception géniale de Dieu, selon ce que vous voulez croire. Ils sont soit contagieux (terme flou car la science fournit des explications vagues et contradictoires sur les mécanismes de contagion), soit mortels, auquel cas ils ne se propagent pas beaucoup. Rendre artificiellement un agent biologique pathogène à la fois plus mortel et plus transmissible est impossible, car si c’était possible, ça se serait déjà produit dans la nature, et nous ne serions plus là pour en discuter sur l’internet. Si les techniques de laboratoire le permettaient, elles auraient déjà été déployées avec succès par un État ou un acteur non étatique depuis 1969, date à laquelle la recherche sur les agents pathogènes biologiques a véritablement pris son essor. Il existe aujourd’hui plus d’un millier de laboratoires de « biodéfense » dans le monde, dont beaucoup se trouvent dans des pays du tiers monde où les normes de sécurité sont laxistes ou inexistantes, voire dans des régions déchirées par la guerre comme l’Ukraine, et pourtant rien d’important ne « fuit » nulle part. En tout cas, rien n’a fuité et ne s’est répandu dans le monde avant que l’OMS ne décide que le covid devait le faire.

Les « pathogènes émergents » de laboratoire semblent avoir besoin de beaucoup d’aide pour émerger, c’est-à-dire pour être synthétisés, fabriqués à grande échelle et déployés, et même dans ce cas, ils ne sont pas particulièrement dangereux (sauf en cas d’exposition très importante) et peuvent être traités. Les toxines biologiques sont connues pour être instables, se dénaturer rapidement et être un peu plus persistantes à l’intérieur, mais elles ne constituent pas un danger mortel de masse. Comme toute toxine chimique, elles présentent un danger individuel/localisé. Ces substances ne sont pas des « particules vivantes qui se reproduisent », pas plus que ne l’est le sumac vénéneux – oui, vous pouvez l’attraper par votre chien et le donner aux membres de votre famille, et cette saleté restera sur vos vêtements et il est difficile de s’en débarrasser! Mais le poison du sumac vénéneux n’est pas un virus infectieux qui « saute » du chien à l’homme, c’est une toxine biologique contenue dans des huiles végétales.

À mon avis, l’explosion récente du train dans l’Ohio est beaucoup plus dangereuse pour un plus grand nombre de personnes, sur une zone plus étendue et une période plus longue que n’importe quelle « fuite de laboratoire d’armes biologiques ».

Tous les agents pathogènes biologiques naturels sont déjà parfaitement optimisés et équilibrés et ne peuvent pas être « modifiés », malgré les récits de science-fiction sur le « logiciel de vie » piratable et l’épissage des gènes. Aucune forme de vie complexe ne peut être « modifiée génétiquement » et rester viable, car cette modification perturbera son équilibre vivant et la fera dévier de l’état d’équilibre parfait actuel. Dans les organismes pluricellulaires, il faut modifier toutes les cellules (ce qui n’est pas possible avec une seule injection) et continuer à les modifier toutes à perpétuité. Une fois le liquide « modificateur de gènes » injecté, l’organisme essaie frénétiquement de comprendre ce qui vient de se passer (la FDA parle d' »immunogénicité »), tente d’annuler l’agression en éliminant les cellules endommagées (la FDA parle de « réactogénicité ») et, si l’agression a été suffisamment importante ou en cas d’injections multiples, l’organisme s’autodétruit (le CDC parle de « désinformation »).

Ces narratifs sur la « modification génétique » sont carrément stupides! Tout ce qui peut résulter de ces tentatives, c’est soit que l’organisme vainc et élimine l’assaut du matériel étranger à l’intérieur des cellules, soit qu’il en résulte des dommages locaux/systémiques, conduisant à des lésions ou à la mort. C’est la raison pour laquelle toutes les technologies ARNm/ADN ont échoué malgré plus de 20 ans de tentatives et des milliards de dollars investis par le culte biosécuritaire de l’apocalypse.

Les partisans de la modification génétique réduisent le corps humain à un « seau de gènes séquencés », mais ne peuvent même pas expliquer comment il fonctionne normalement en tant qu’être vivant. Ils excluent la possibilité d’une âme humaine, d’un esprit et d’un libre arbitre, mais ne peuvent ni expliquer ni définir l’état normal de la vie. Pourtant, ils prétendent pouvoir la contrôler et la modifier! Ils ne comprennent pas ce que sont les humains, ce qui constitue une source d’échec majeure lorsqu’ils tentent de « capturer, contrôler et soumettre » les humains, que ce soit par la force brute, comme dans les siècles de guerre précédents, ou par le « contrôle par un narratif fictif » de 5e génération de Harari.

Ne tombez pas dans le piège des cultes apocalyptiques et de leurs faux narratifs. Si nous n’avons pas peur de rechercher la vérité, nous ne pouvons être ni capturés, ni contrôlés, ni asservis. Une fois que vous aurez compris cela, vous verrez Harari non pas comme un technocrate puissant, mais comme ce qu’il est vraiment – un clown à la voix pleurnicharde, qui débite des narratifs ineptes pour le compte de ses maîtres. Ils ont de toute façon déjà échoué, car vous connaissez la vérité.

La quête perpétuelle de la vérité garde les humains dans un équilibre dynamique parfait entre eux et avec la nature – libres, dotés d’une âme, comme l’a voulu notre Créateur.

La peinture de ce jour: Une rose, huile sur panneau, 8×10 in.

Les champs de la mort de Samoa – par le Dr Ah Kahn Syed.

Le Dr Ah Kahn Syed écrit des articles très bien documentés et pleins de bon sens. J’en avais traduit un ici, essentiel. En voici un autre. Il date un peu (enfin, trois mois) mais ce n’est pas un problème. Accrochez-vous à vos chaussettes, c’est du lourd et ça devient pire à la fin.

J’ai aussi traduit en fin d’article des commentaires de quelqu’un qui était sur le terrain à l’époque – donc source d’info de première main – et collabore avec Robert F Kennedy Jr. À ce propos, je reproduirai bientôt ici, puisqu’elle m’en donne l’autorisation, un article d’une autre collaboratrice de Kennedy, ma compatriote Senta Depuydt, extrait de son Substack.

J’ai remarqué que ce sont mes articles au titre le plus accrocheur (genre putaclic) qui sont les plus lus. Le titre du présent article ne rentrant clairement pas dans cette catégorie, vous seriez bien aimables d’aider à le diffuser, si vous pensez comme moi qu’il en vaut la peine.

Note: comme d’habitude, vous trouverez la traduction du texte qui figure sur les images et tweets juste en-dessous de ceux-ci, sous forme de citation.

Source.


Les champs de la mort de Samoa

Que s’est-il passé à Samoa en 2019 et pourquoi est-ce si important aujourd’hui?

Dr Ah Kahn Syed

19 novembre 2022

Nous remontons le temps aujourd’hui… pas tout à fait jusqu’à l’époque d’Ingersoll Lockwood [NdT. avocat et écrivain américain (1841-1918) – sur Wiki], juste un peu. En 2019. Juste avant la « pandémie COVID-19 ». L’endroit? Les magnifiques îles de Samoa.

Vous me demanderez: « De quoi parlez-vous? Que s’est-il passé à Samoa? »

Il s’est passé beaucoup de choses. Tout cela en un mois, en novembre 2019 – juste avant que la PANDEMIE™ ne frappe, et vous verrez que les similitudes avec la PANDEMIE™ sont étranges – jusqu’aux mêmes confinements forcés et vaccinations forcées qui n’ont jamais eu pour but que d’imposer le fascisme médical à une population – parce que tous les documents de planification pandémique antérieurs à 2020 disaient qu’ils n’étaient pas utiles pour contenir une épidémie virale.

Passons maintenant aux Samoa (et aux îles Fidji et Tonga voisines) en 2019. Voici la chronologie

  • Avril 2019 – Le ROR est relancé à Samoa après une pause du programme de vaccination en 2018 suite à deux décès d’enfants liés au vaccin. Le programme de vaccination a été mal accueilli par la population samoane et la prévalence était faible.
  • 1er oct 2019 – L’UNICEF a livré 135 000 doses de vaccins contre la rougeole à Fidji, 110 500 doses de vaccins contre la rougeole à Samoa (ainsi que des fournitures de vitamine A) et 12 000 doses de vaccins contre la rougeole à Tonga.
  • 18 octobre 2019 – Les Samoa déclarent une épidémie de rougeole.
  • 24 oct. 2019 – Les Tonga déclarent une épidémie de rougeole.
  • 7 novembre 2019 – Les Fidji déclarent une épidémie de rougeole (archives ici).
  • 15 Nov 2019 – L’état d’urgence est déclaré à Samoa après 1000 cas et 15 décès (dont 14 enfants de moins de cinq ans).

Immédiatement, la machine de propagande entre en action en faisant croire au monde que le problème est le fait que les Samoa – pour une année seulement – avaient un taux de vaccination inférieur à celui des îles voisines…

[NdT. source]
  • L’UNICEF travaille en étroite collaboration avec le Ministère de la Santé et l’OMS à Samoa pour cibler les enfants âgés de 6 mois à 19 ans et les femmes qui ne sont pas enceintes entre 20 et 35 ans.
  • Toutes les écoles ont également été temporairement fermées à Samoa et le gouvernement a conseillé aux enfants de moins de 17 ans de ne pas assister à des rassemblements publics afin de contenir la propagation de la maladie.
  • Pour mieux contenir l’épidémie, le gouvernement tongien a annoncé la fermeture temporaire de toutes les écoles primaires publiques du 14 au 25 novembre.
  • Les Fidji ont une couverture de la rougeole de 94% en 2018, sur la base des estimations de l’OMS et de l’UNICEF de 94% de couverture vaccinale contre la rougeole.

D’autres estimations de la couverture vaccinale dans la région estiment en fait qu’elle est proche de 100% à Fidji et à Tonga et qu’elle a atteint 100% à Samoa en 2013, après quoi elle a commencé à baisser. En d’autres termes, si les vaccins fonctionnaient comme promis, l’immunité collective aurait dû être atteinte des années auparavant. En fait, malgré des taux de vaccination mondiaux supérieurs à 80%, il semble que la promesse d’immunité collective n’ait jamais été tenue pour la rougeole. [NdT. je connais personnellement quelqu’un qui a fait la rougeole trois fois, dont deux fois à l’âge adulte – et elle a été vaccinée enfant]

Figure: Couverture de la première dose de vaccin contre la rougeole (MCV1) et de la deuxième dose de vaccin contre la rougeole (MCV2) à Samoa, 2004-2018.
Pas de données pour 2015. Reproduit à partir de données extraites de la base de données de l’OMS.

Cela a été confirmé par le fait que les Fidji et les Tonga ont connu des épidémies de rougeole en dépit de taux de vaccination proches de 100% – les vaccins n’ont donc pas du tout empêché une vague massive d’infections.

Au total, 32 743 vaccinations ont été réalisées avant la Campagne de Vaccination de Masse.

Depuis l’activation de la Campagne le 20 novembre 2019, le Ministère a vacciné avec succès 17 088 personnes.

Des vaccinations gratuites continuent d’être administrées pour les groupes cibles ci-dessous.

Et en fait, il y avait eu une campagne de vaccination de masse qui avait déjà fourni 32 743 vaccins (principalement des enfants) avant l’épidémie – pour une population de 200 000 personnes, dont environ 20 000 enfants de moins de 5 ans. En d’autres termes, une partie suffisante de la population samoane avait été vaccinée en 2019 pour être « protégée » d’une épidémie mortelle de rougeole.

Alors pourquoi l’épidémie des Samoa était-elle un problème tel qu’elle a été rapportée dans le monde entier alors que les épidémies des Fidji et des Tonga ont été ignorées? Eh bien, des enfants mouraient. En grand nombre. En fait, le taux de mortalité dans l’épidémie de rougeole de Samoa de novembre 2019 était 40 fois supérieur au taux de mortalité habituel pour la rougeole dans les pays développés.

Pardon, quoi? Voici le tableau officiel en date du 8 décembre 2019 provenant du fil twitter du gouvernement samoan alors que la population était « vaccinée à 90% ».

Dans la catégorie des moins de 10 ans, ce chiffre est de 62 décès sur 2898, soit 2,1%1. Le taux de mortalité typique pour la rougeole dans les « économies développées » est de 0,05%. Voici une étude datant de 2009, mais d’autres études similaires ont été réalisées depuis.

J’ai volontairement choisi une revue ancienne, malgré le fait qu’elle ait été financée par l’OMS. Il est difficile de trouver une étude ultérieure qui ne soit pas financée par la Fondation Bill et Melinda Gates. Les auteurs ont conclu qu’il y avait une tendance à la baisse du ratio cas-létalité (case fatality rate, CFR) dans les populations vaccinées, mais que cette tendance n’était pas définitive et que la supplémentation en vitamine A pouvait également présenter un avantage. L’association sous-jacente la plus importante avec les CFR rapportés est en fait le lieu où l’étude a été réalisée, les zones rurales et urbaines présentant des CFR plus élevés du fait qu’ils étaient biaisés vers les zones ayant une incidence plus élevée de flambées de rougeole.

Nous pouvons donc supposer que le véritable CFR de la rougeole devrait être bien inférieur à 1% dans les populations saines, indépendamment de la couverture vaccinale. En fait, la vaccination contre la rougeole est censée prévenir les épidémies (c’est-à-dire l’infection) plutôt que les complications de l’épidémie (par exemple, le décès et la pneumonie). Il est donc intéressant de voir ce qui se passe dans des populations totalement non vaccinées et pourquoi les victimes peuvent mourir – un indice donné dans cette étude.

Cinq (83%) des 6 décès sont survenus chez des femmes, dont 3 avaient des maladies sous-jacentes. Le taux global de létalité était de 1,2%. Le taux de létalité était de 2% chez les femmes, 0,4% chez les hommes (P = 0,22), 1,7% pour les cas primaires et 0,7% pour les cas secondaires dans les ménages (P = 0,67). Un seul des enfants décédés avait reçu des soins médicaux. La rougeole s’est propagée rapidement dans ce groupe, n’épargnant que peu de personnes sensibles. Le manque de soins médicaux et la maladie sous-jacente semblent avoir contribué au taux élevé de létalité dans les communautés religieuses.

L’idée est qu’un aperçu rationnel des taux de mortalité dus à la rougeole devrait évaluer les soins médicaux apportés aux cas de rougeole plutôt que de s’appuyer sur la seule vaccination comme méthode de contrôle des décès dus à la rougeole. Pour étayer ce point, malgré les programmes de vaccination contre la rougeole qui touchent presque toutes les communautés de tous les pays du monde, qu’en est-il des taux de mortalité dus à la rougeole?

Les lecteurs avisés auront déjà deviné ce titre

Plus de 140 000 personnes meurent de la rougeole alors que les cas augmentent dans le monde entier
Les nourrissons et les jeunes enfants sont les plus exposés au risque de complications fatales, selon les agences sanitaires.

Oups.

L’épidémie dévastatrice et mortelle de Samoa présente donc deux aspects.

  1. Pourquoi une épidémie de rougeole s’est-elle déclarée dans trois îles voisines au même moment, quelques semaines seulement après la livraison de vaccins de l’UNICEF dans ces mêmes îles?
  2. Pourquoi le taux de mortalité dans l’épidémie des Samoa a-t-il atteint des niveaux si élevés, bien supérieurs à ce que l’on pourrait attendre dans un pays ayant accès aux soins de santé?

En ce qui concerne le premier point, il est clair que le vaccin n’a pas permis de prévenir les épidémies, ce qui signifie que soit les vaccins contre la rougeole ne fonctionnent pas (pas seulement le vaccin actuel, mais aussi ceux des années précédentes qui étaient censés conférer une immunité collective), soit une nouvelle souche de rougeole a été introduite, qui n’était pas couverte par les vaccins.

En ce qui concerne le deuxième point, les rapports sur le terrain montrent clairement qu’il a été très difficile d’obtenir des traitements médicaux pour les personnes touchées. Cela vaut vraiment la peine de regarder cet épisode de The Highwire de décembre 2019 qui donne une vision très différente de la situation que celle rapportée par le gouvernement et l’OMS.

[cliquer sur la photo pour accéder à la vidéo]

Ce qui ressort des rapports de l’époque aux Samoa, c’est que les soins médicaux de base, y compris la vitamine A, la vitamine C et d’autres mesures de soutien, ont été refusés aux enfants des Samoa. C’est presque comme s’il était nécessaire que beaucoup d’enfants meurent pour promouvoir un récit qui exigeait ensuite l’intervention du gouvernement « pour régler le problème ». Pour être clair, ces enfants n’avaient pas à mourir. Ils sont morts parce que le gouvernement avait besoin de convaincre la population qu’il était aux commandes et que la dissidence n’était pas autorisée. Les gouvernements font ce genre de choses. [NdT. le lien est en français]

Quoi qu’il en soit, l’intervention souhaitée a eu lieu rapidement, début décembre.

En réponse à l’épidémie actuelle de rougeole, le @samoagovt entreprendra une « Campagne de vaccination de masse en porte-à-porte » le jeudi 5 et le vendredi 6 décembre 2019 de 7h à 17h sur l’ensemble du territoire.
Lire l’avis complet sur https://facebook.com/samoagovt/


Un abus absolu de pouvoir et une violation des libertés et des droits individuels. Vous devriez être en train de distribuer la #VitamineA et la #VitamineC dont on a désespérément besoin, conformément aux recommandations de l’OMS sur la rougeole, et non de forcer les gens à se faire vacciner!

Qu’est-ce que cette « folle théoricienne de la conspiration anti-vaxx » prétend? La vitamine A et la vitamine C traitent la rougeole? C’est dingue, pas vrai?

Non.

La vitamine A pour traiter la rougeole chez les enfants

Pour que les choses soient claires, il est préférable que les enfants n’attrapent pas la rougeole, mais si c’est le cas, des mesures de soutien appropriées (comme dans les pays « développés » où la rougeole sévit toujours malgré des taux de vaccination supérieurs à 95%) réduisent le risque de décès. C’est également ce qu’affirme l’OMS.

Les complications graves de la rougeole peuvent être réduites par des soins de soutien assurant une bonne nutrition, un apport hydrique adéquat et le traitement de la déshydratation avec la solution de réhydratation orale recommandée par l’OMS. Cette solution remplace les liquides et autres éléments essentiels perdus par la diarrhée ou les vomissements. Des antibiotiques doivent être prescrits pour traiter les infections des yeux et des oreilles, ainsi que la pneumonie.

Tous les enfants diagnostiqués comme ayant la rougeole doivent recevoir deux doses de suppléments de vitamine A, administrées à 24 heures d’intervalle. Ce traitement rétablit les faibles taux de vitamine A pendant la rougeole, qui se produisent même chez les enfants bien nourris, et peut aider à prévenir les lésions oculaires et la cécité. Il a également été démontré que les suppléments de vitamine A réduisent le nombre de décès dus à la rougeole.

Bien sûr, la supplémentation en vitamine A est devenue en décembre une « théorie du complot anti-vaxx », malgré le fait que l’UNICEF ait livré des suppléments de vitamine A à Samoa en novembre.

Le personnel de santé et de communication a été envoyé par @UNICEF à Samoa pour stimuler la campagne de vaccination du gouvernement, livrant (jusqu’à mardi) 110 500 doses de vaccin et 30 000 comprimés de vitamine A. Des vaccins ont également été envoyés à Tonga, Fiji et N… @DFAT#AustralianAid #VaccinesWork

Et, comme à l’accoutumée, les mêmes voix sur Twitter, dont le seul but était de supprimer les comptes comme le nôtre qui fournissaient ce genre d’informations supplémentaires (qui pouvaient sauver des vies) à l’époque du COVID, s’y mettaient déjà lors de la catastrophe de Samoa.

Vous, les pétasses #AntiVaxxer, qui partagez sur les médias sociaux des informations sur #Samoa, #Measles & #VitaminA, est-ce que l’un d’entre vous s’est seulement rendu à Samoa, et a fait la sérologie de ces Samoans à qui vous voulez donner de la vitamine A, pour déterminer que chacun d’entre eux est déficient en vitamine A?

N’est-ce pas le même scénario que celui que nous avons vu ces 3 dernières années?

  1. Une épidémie virale apparaît de façon suspecte
  2. Des médicaments sûrs et réadaptés (y compris des vitamines) sont refusés comme traitement d’appoint à des personnes qui en bénéficieraient probablement sans aucun risque.
  3. Les fabricants de vaccins débarquent pour soi-disant sauver la situation (et probablement l’aggraver, car la vaccination d’une population pendant une épidémie est généralement une très mauvaise idée).
  4. Des groupes de pression sur les médias sociaux passent à l’action pour dénigrer toute personne suggérant autre chose que ce que BigPharma et BigGovt proposent comme solution, et beaucoup plus de gens meurent qu’ils n’auraient dû.

Je profite de cette occasion pour souligner que ces groupes de pression sont insidieux. Ils représentent le côté obscur de la science et de la médecine et tant qu’ils seront autorisés à faire ce qu’ils font, souvent sponsorisés par les gouvernements (comme moyen de contrôle coercitif de la population), les gens continueront à être contraints à des interventions médicales selon des méthodes qui ne sont guère différentes de celles de l’Allemagne nazie. Le résultat a été un niveau excessif de décès dans le monde entier et je tiens à souligner que sans ces fantassins parasites des groupes de pression, plusieurs centaines de milliers de décès auraient pu être évités. J’ai écrit à leur sujet pendant plus d’un an.

Cela vaut vraiment la peine de lire la transcription complète du discours de cette larve. Il est typique de l’élitisme auquel nous sommes confrontés, soutenu par les banques et le FEM. Rappelez-vous que ces gens pensent que vous (le prolétariat) ne devriez pas avoir le droit de vote et que vous êtes des mangeurs inutiles. Par conséquent, votre opinion n’est pas pertinente et ils décideront de ce qui est le mieux pour vous.
[NdT. la page en lien n’est plus en ligne]

La situation a empiré à Samoa car, une fois l’épidémie de rougeole atypique et atypiquement mortelle survenue, les choses ont rapidement dégénéré. Qu’a fait le gouvernement samoan? Il a imposé la vaccination contre la rougeole et a fait appel à l’armée chinoise pour l’aider (notez que toute référence à la présence de l’armée chinoise à Samoa a été supprimée de l’internet2). La population a reçu l’ordre de placer un drapeau rouge devant sa maison pour indiquer qu’elle n’était pas vaccinée. Vous voyez maintenant l’image du ghetto de Varsovie?

Samoa: la vaccination contre la rougeole devient obligatoire
À partir du mois prochain, chaque enfant samoan devra obligatoirement être vacciné contre la rougeole lorsqu’il aura atteint l’âge requis de six mois.

En fait, c’était tellement affreux qu’il y a eu une campagne de protestation sur Twitter avec le hashtag #NaziSamoa. Bonne chance pour trouver maintenant des tweets dissidents avec cette référence.

Mais alors que le nombre de cas et de décès continue de grimper, les autorités ont pris une mesure supplémentaire pour marquer les maisons des personnes non vaccinées.

« Il est conseillé au public d’attacher un tissu rouge ou un drapeau rouge devant leur maison et près de la route pour indiquer que des membres de leur famille n’ont pas été vaccinés », peut-on lire dans un communiqué du gouvernement publié mardi. « La marque rouge permet aux équipes d’identifier plus facilement les foyers à vacciner ».

Les militants anti-vaccins, quant à eux, protestent contre la campagne de vaccination et ont comparé le gouvernement aux nazis, en utilisant le hashtag #NaziSamoa sur Twitter.

Et bien sûr, pour « pousser » tout dissident samoan à se conformer à la directive gouvernementale, le gouvernement a également confiné le pays en fermant les écoles et en interdisant les rassemblements. Ça vous rappelle quelque chose?

Des drapeaux rouges flotteront au-dessus des maisons des personnes non-vaccinées à Samoa tandis que le gouvernement confine et que le nombre de morts de la rougeole augmente

Est-ce la dernière pièce du puzzle?

Il y a une pièce du puzzle des Samoa qui me taraude. Il s’agit de savoir pourquoi une population relativement vaccinée a pu s’en sortir si mal lors d’une épidémie de rougeole. Pour que cela se produise, il fallait que la souche soit inhabituelle. Or, la ligne officielle était qu’il s’agissait d’une souche D8, et non d’une « souche A liée à la vaccination ».

Ce qui m’a toujours turlupiné, c’est que je n’ai pu trouver aucune confirmation génomique de la souche de rougeole de Samoa dans Genbank. La seule souche documentée en 2019 provient des Samoa occidentales, et non des Samoa. Alors comment savons-nous qu’il s’agissait d’une souche de rougeole « naturelle » ? On ne le sait pas.

Et voici le détail insidieux. Le détail qui fait le lien avec le fait qu’il existe des preuves émergentes que le SARS-CoV-2 est apparu avant décembre 2019.

Imaginons que les pires psychopathes du monde (c’est-à-dire les virologues à gain de fonction3) créent une chimère entre l’un des virus les plus infectieux connus de l’homme (la rougeole) et le SARS-Cov-2. Et bien, c’est ce qu’ils ont fait, et cela fait un an que je ne cesse de le répéter. C’est ce petit bijou:

Les psychopathes sont souvent fiers de leur travail. C’est pourquoi ils aiment le signer.

C’est exact. Une chimère rougeole-SARS-CoV-2. Le composant rougeole est censé être tiré de cet article et utilise une construction de Roberto Cattaneo (Genbank MH144178) publiée en 2015. Alors, à quoi celle-ci a-t-elle été utilisée?

Un vaccin COVID-19 hautement immunogène et efficace, à base de virus de la rougeole, à action Th1.

La publication est datée de décembre 2020, mais elle a été soumise en juillet 2020 et comprenait des études sur des souris, ce qui prend généralement des mois. Il est donc très possible – et tout à fait conforme au mode opératoire de Baric – que cette construction ait été réalisée avant décembre 2019.

Bon, cette souche est censée être une souche de rougeole A inactive. Le seul problème est que, lorsque nous effectuons un BLAST sur cette souche (ou sur la Chimère), nous obtenons une correspondance assez fidèle avec une souche D8 de rougeole – à l’exception de plusieurs SNP (qui peuvent être induits en laboratoire par des additifs tels que la protéine APOBEC ou le molnupiravir). En d’autres termes, il est tout à fait possible que cette « souche vaccinale » soit la nouvelle souche de rougeole affectant Samoa. Bien sûr, je serais ravi que l’on me prouve que j’ai tort si quelqu’un dispose de la séquence génomique de la souche Samoa pour le prouver (ce n’est pas le cas).

Donc… nous sommes face à un ensemble de circonstances très inhabituelles. Je récapitule:

  1. Une épidémie de rougeole exceptionnellement virulente se déclare dans trois îles voisines du Pacifique après la livraison d’un vaccin par l’UNICEF.
  2. Sur l’une des îles, le taux de mortalité de l’épidémie est exceptionnellement élevé (et de l’ordre de grandeur de la première vague COVID).
  3. L’épidémie est utilisée pour tester la conformité de la population aux mesures de confinement et aux vaccinations forcées. Il y a très peu de résistance.
  4. À peu près au moment de cette épidémie, Ralph Baric – impliqué dans l’origine du SARS-Cov-2 – participe à la construction4 d’une chimère insolite rougeole-coronavirus dans laquelle la composante rougeole est homologue à la souche D8 de la rougeole (la souche déclarée à Samoa).
  5. Lorsque Samoa reçoit sa première vague officielle d’infections par le COVID, il n’y a pas de décès, ce qui suggère une immunité préalable5.

Et qu’est-ce que tout ça prouve?

Rien. Ça ne prouve rien. Mais ce que ça fait, c’est poser cette question:

Les Samoa ont-elles été le terrain d’essai pour la diffusion d’un coronavirus de type SARS en novembre 2019 – via un vaccin parrainé par l’UNICEF – qui a prouvé que la population mondiale pouvait être intimidée et contrainte d’accepter des vaccinations obligatoires?

Étant donné la façon dont l’OMS, l’UNICEF, le FEM et l’ONU se sont comportés au cours des trois dernières années, je pense que nous connaissons tous la réponse, n’est-ce pas?

Si vous étiez aux Samoa en novembre 2019 et que vous avez plus d’informations, merci de laisser un commentaire ci-dessous. En attendant…

« Au revoir »

  1. Le bilan final est de 83 morts. https://en.wikipedia.org/wiki/2019_Samoa_measles_outbreak
  2. Bien que l’implication directe de l’armée chinoise à Samoa ait été effacée de l’Internet, l’implication de la Chine dans le programme de vaccination contre la rougeole dans le Pacifique occidental ne l’a pas été. Notez l’implication de la Banque mondiale. https://archive.ph/wip/IMEW6
  3. Oui, les virologues à gain de fonction sont des psychopathes. Non seulement ils n’en ont rien à faire de savoir si leurs créations s’échappent, mais ils n’ont aucune difficulté à mentir à leur sujet et n’expriment aucune émotion lorsque des personnes en meurent. Les gens qui les couvrent sont tout aussi horribles. Vous savez qui vous êtes.
  4. Je renvoie le lecteur à ce post très important concernant les origines du COVID
  5. Notre grand ami et gourou de la protéomique Daoyu Zhang, sur le groupe Telegram micevmutton, en fournit ici un solide résumé. Il souligne le taux de mortalité exceptionnellement bas dû au COVID à Samoa, enregistré sur ourworldindata ici.
    En outre, le premier cas de COVID enregistré aux Samoa date de novembre 2020, soit près d’un an après la Chine.

Les Samoa du Pacifique enregistrent leur premier cas de coronavirus

La nation insulaire indique qu’un marin a été testé positif au coronavirus après être revenu d’Europe via la Nouvelle-Zélande.


Commentaires

Robert Kennedy Junior a joué un rôle important dans la mise en place d’une équipe médicale consultative pour tenter de comprendre le taux de mortalité et aider aux protocoles de traitement. J’ai personnellement constaté sur le terrain que, six à sept jours après la vaccination, d’énormes épidémies se produisaient dans les villages où les camionnettes de vaccination étaient passées. Nous étions très attentifs à recueillir des statistiques lorsque nous nous rendions sur place pour essayer d’identifier les tendances. Lorsque nous avons analysé nos chiffres, 98% des personnes qui tombaient malades avaient été systématiquement vaccinées 6 à 7 jours avant la maladie. L’excuse était que le vaccin n’avait pas eu le temps d’être efficace. Cependant, selon un immunologiste de l’équipe qui nous assistait, cette période de 6 à 7 jours correspondait également au temps nécessaire à un vaccin sous-atténué pour rendre le receveur malade. En outre, comme je l’ai mentionné, les tests envoyés en Australie se sont révélés négatifs pour la rougeole de type sauvage dans la majorité des échantillons. Alors, qu’est-ce qui rendait tant de personnes malades? Tout semblait indiquer que le vaccin était contaminé. L’un des médecins de l’équipe consultative m’a demandé de lui envoyer un flacon de vaccin pour qu’il puisse le faire analyser, mais nous n’avons jamais pu le faire. La sécurité autour des vaccins était assez stricte, chaque flacon étant répertorié à sa sortie et le flacon vide à sa rentrée, ce qui, selon le personnel, était inhabituel. Normalement, les flacons vides sont simplement jetés une fois utilisés.

La véritable tragédie est que, malgré la possibilité que nous ayons eu affaire à un vaccin contaminé, les enfants ne seraient jamais morts si les protocoles de traitement que nous préconisions avaient été utilisés. Nous avons affiné un protocole de traitement mis au point par le regretté Dr Archie Kalokerinos, utilisé sur des enfants du Territoire du Nord, en Australie, sur des enfants indigènes, en utilisant des doses élevées de vitamine C et A. Pas une seule vie n’aurait dû être perdue.

L’inefficacité des traitements approuvés par l’ONU/OMS a été démontrée plus tard dans un tribunal par un témoin à charge.

Edwin Tamasese, 19 novembre 2022

Nous donnions la vitamine C à très haute dose sous forme d’ascorbate de sodium et d’acide ascorbique. 1 gramme toutes les deux heures. L’état des enfants s’améliorait en seulement 6 heures. Une fois qu’ils avaient retrouvé le réflexe de manger, nous donnions de la vitamine A à raison de 200 000 UI par dose en deux fois sur 24 heures, puis nous arrêtions. Pour les cas les plus graves, ceux qui avaient été renvoyés chez eux pour y mourir, ils étaient remis sur pied en 3 jours.

Edwin Tamasese, 12 décembre 2022

La paix du cimetière – Discours de l’ex-Premier Ministre de Malaisie Mahathir Mohamad, 9 mars 2015 (extrait).

Encore un complotiste. Ils sont partout.

Stérilisation par injection, morts subites, turbo-cancers, euthanasie, inflation, destruction de l’économie et des classes moyennes, monnaies digitales programmables, prix de l’énergie, « réforme des retraites »?

Des co-ïn-ci-dences.

Source.


Traduction

Commentatrice: L’ancien Premier Ministre malaisien, Dr Mahathir Muhammad, a déclaré que l’[Accord] de partenariat transpacifique ou TPPA est une stratégie du Nouvel Ordre Mondial menée par un puissant groupe de personnes dirigé par les États-Unis pour dominer l’économie mondiale. S’exprimant lors de la conférence internationale intitulée « New World Order: A Recipe for Peace or War » [Nouvel Ordre Mondial: Une recette pour la paix ou la guerre] organisée par la Perdana Global Peace Foundation, le Dr Mahathir a déclaré que la mondialisation et le commerce sans frontières sont utilisés pour établir un gouvernement mondial unique.

Dr Mahathir Muhammad: Fondamentalement, il s’agit de la création d’un gouvernement mondial. Nous devrions abolir tous les États, toutes les nations, toutes les frontières et n’avoir qu’un seul gouvernement mondial. Et ce gouvernement mondial devra être dirigé par certaines personnes, les élites, des gens très riches, très intelligents, très puissants à bien des égards. Ce sont eux qui gouverneront le Monde.

Il n’a pas été beaucoup question de démocratie ou de choix des dirigeants. Au lieu de cela, il devait y avoir un gouvernement par ces élites, qui imposeront leurs règles à tous les habitants de ce monde. Et pour ceux qui ne sont pas disposés à s’y soumettre, il y aura des punitions. Et la paix que nous obtiendrons d’eux sera la paix du cimetière.

Car l’intention est aussi de réduire le nombre de personnes dans ce monde. Au moment où le Nouvel Ordre Mondial a été énoncé, la population de ce monde n’était que de trois milliards. L’intention était de la réduire à un milliard. Aujourd’hui, la population mondiale est de sept milliards [NdT. en 2015; huit milliards en 2023]. Il sera nécessaire de tuer plusieurs milliards de personnes, de les faire mourir de faim ou de les empêcher de donner naissance afin de réduire la population de ce monde.


Transcription

Commentator: Malaysia’s former Prime Minister, Dr Mahathir Muhammad said that the Transpacific Partnership [Agreement] or TPPA is a New World Order strategy by a powerful pact of people led by the US to dominate the world economy. Speaking at the international conference titled « New World Order: A Recipe for Peace or War » organized by the Perdana Global Peace Foundation, Dr Mahathir said globalization and borderless trade are being used to establish a one world government.

Dr Mahathir Muhammad: Basically, it is about having a world government. We should abolish all states, all nations, all borders but instead have only one world government. And that world government is to be by certain people, elites, people who are very rich, very intelligent, very powerful in many ways. They are the ones who will govern the World.

There was not much talk about democracy or choice of leaders. Instead, there was to be a government by these elites who will impose their rules on everyone in this world. And for those who are unwilling to submit to them, there will be punishment. And the peace that we will get from them is the peace of the graveyard.

Because the intention also is to reduce the number of people in this world. At the time when the New World Order was enunciated, the population of this world was only three billion. The intention was to reduce it to one billion. Now the population of the world is seven billion. There will be a need to kill many billions of people or to starve them to death or to prevent them from giving birth in order to reduce the population of this world.

Communisme et gouvernement mondial – par Jeff Childers.

Jeff Childers est un avocat, assez connu aux États-Unis, et l’auteur de « Coffee and Covid » sur Substack, qui donne tous les jours des nouvelles avec leur analyse – généralement assez amusante. Comment il trouve le temps de tout faire est un mystère pour moi. Je suppose qu’il a un meilleur cerveau, plus jeune. J’avais d’ailleurs envisagé, pour gagner du temps, de lui piquer régulièrement ses articles, du moins ceux qui ont un intérêt pour mes lecteurs francophones. C’est ce que je vais faire.

À propos d’intérêt, il avait publié ce billet le 31 décembre, que j’avais gardé sous le coude. Ce qu’il y écrit rejoint ce que je radote sur ce blog depuis bientôt trois ans – le temps passe vite – à une différence près. L’Union Soviétique n’a pas été démantelée depuis l’extérieur, mais depuis le dessus, par ceux qui l’avaient créée en tant que laboratoire du pouvoir.

Communiste.

Source.


🗞 NOUVELLES DU MONDE ET COMMENTAIRES 🗞

Jeff Childers

31 décembre 2022

[extrait]

CHAPITRE UN – LA ROUTE DERRIÈRE NOUS

En 1984, le président Ronald Reagan a décerné à titre posthume à Whitaker Chambers (1902-1964) la Médaille Présidentielle de la Liberté. Chambers était mort vingt ans plus tôt, après avoir témoigné au Congrès contre Alger Hiss, fonctionnaire du Département d’État et espion soviétique traître, qui avait rédigé la Charte des Nations Unies prétendument au nom des États-Unis à Yalta.

Jusqu’en 1938, Chambers dirigeait un réseau d’espionnage basé aux États-Unis pour le compte des communistes soviétiques. Il est né aux États-Unis juste après le début du siècle, a connu une enfance pauvre dans un foyer athée et a été attiré par le communisme. Mais il a fait défection en 1938, après avoir ressenti un malaise croissant face aux purges internes de Staline, et après avoir trouvé Dieu.

Pendant les dix années qui ont suivi sa fuite dans la clandestinité, Chambers a tenté sans succès d’intéresser le FBI au réseau de hauts fonctionnaires traîtres du gouvernement et du département d’État qu’il supervisait et qui travaillaient secrètement à saper les États-Unis. Juste au moment où il avait abandonné, le House Un-American Activities Committee l’a contacté, et le reste, comme on dit, appartient à l’histoire.

En 1952, Chambers a publié son autobiographie, « Witness« , qui est devenue l’un des livres anticommunistes et conservateurs américains les plus influents de l’histoire. Je vais citer quelques passages de l’introduction, dans laquelle Chambers – s’attendant pleinement à être assassiné – s’adresse à ses enfants, pour expliquer pourquoi il a rendu public et témoigné de ce que manigançaient les Russes.

Selon Chambers, le communisme pose une crise existentielle à l’humanité, et commence par la croyance que la science peut sauver les humains des problèmes qui ont précisément été créés par les progrès de la science:

En partie, la crise résulte de l’impact de la science et de la technologie sur l’humanité qui, ni sur le plan social ni sur le plan moral, n’a dépassé les problèmes posés par cet impact. En partie, elle est causée par les tentatives humaines de résoudre ces problèmes.

Chambers a demandé comment le communisme pouvait contaminer l’esprit de personnes très intelligentes censées se montrer plus avisées, mais qui, au contraire, restent volontairement aveugles aux méfaits de cette idéologie répréhensible. Encore une fois, parlant à ses enfants:

Je vois dans le communisme le point focal du plus grand mal de notre époque. Vous demanderez: pourquoi donc les hommes deviennent-ils communistes? Comment se fait-il que toi, notre père doux et aimé, tu aies été communiste? Étais-tu donc simplement stupide? Non, je n’étais pas stupide.

Étais-tu moralement dépravé? Non, je n’étais pas moralement dépravé. En fait, c’est avant tout pour des raisons morales que les hommes instruits deviennent communistes.

Ne savais-tu pas que les crimes et les horreurs du communisme sont inhérents au communisme? Si, je le savais.

Alors pourquoi es-tu devenu communiste? Il serait plus utile de demander: comment ce mouvement, qui n’était autrefois qu’un simple murmure de parias politiques, est-il devenu cette immense force qui brigue maintenant la maîtrise de l’humanité? Même en tenant compte de tous les hasards et erreurs de l’histoire, la réponse ne peut être que la suivante: le communisme exerce un attrait profond sur l’esprit humain. Ce n’est pas en traitant le communisme de tous les noms que vous comprendrez sa nature. Cela ne vous aidera pas beaucoup à expliquer pourquoi le communisme, dont les horreurs, d’une ampleur inégalée dans l’histoire, sont maintenant de notoriété publique, recrute encore des milliers d’adeptes et en conserve des millions – parmi lesquels certains des meilleurs esprits de notre temps.

La réponse de Chambers est la suivante: le communisme séduit l’homme en lui offrant la possibilité de débarrasser le monde de Dieu, une fois pour toutes, et de devenir son propre sauveur.

Le cœur révolutionnaire du communisme n’est pas son attrait théâtral: « Travailleurs du monde, unissez-vous. Vous n’avez rien à perdre, sauf vos chaînes. Vous avez un monde à gagner. » Cette phrase simple de Karl Marx a été encore simplifiée pour son usage pratique: « Les philosophes ont expliqué le monde; il faut changer le monde. » Les communistes ne sont liés par aucun serment secret. Le lien qui les unit par-delà les frontières des nations, par-delà les barrières de la langue et les différences de classe et d’éducation, au mépris de la religion, de la morale, de la vérité, de la loi, de l’honneur, des faiblesses du corps et des irrésolutions de l’esprit, jusqu’à la mort, est une simple conviction: il faut changer le monde.

Leur pouvoir, dont la nature déroute le reste du monde, parce que le reste du monde a dans une large mesure perdu ce pouvoir, est le pouvoir d’avoir des convictions et d’agir en conséquence. C’est ce pouvoir même qui déplace les montagnes; c’est aussi un pouvoir qui, sans faillir, déplace les hommes. Les communistes forment cette partie de l’humanité qui a reconquis le pouvoir de vivre ou de mourir – de témoigner – pour sa foi. Et c’est une foi simple, rationnelle, qui conduit les hommes à vivre ou à mourir pour elle.

Elle n’est pas nouvelle. C’est, en fait, la deuxième plus ancienne foi de l’homme. Sa promesse a été chuchotée aux premiers jours de la Création sous l’Arbre de la Connaissance du Bien et du Mal: « Vous serez comme des dieux ». C’est la grande foi alternative de l’humanité. Comme toutes les grandes croyances, sa force découle d’une vision simple. D’autres époques ont eu de grandes visions. Celles-ci ont toujours été des versions différentes de la même vision: la vision de Dieu et de la relation de l’homme à Dieu. La vision communiste est la vision de l’homme sans Dieu.

Il y a beaucoup plus, j’aimerais avoir la place de reproduire l’introduction entière, sinon le livre entier. Quoi qu’il en soit, après avoir établi les prémisses, Chambers entame le premier chapitre en expliquant POURQUOI il a pris la décision fatidique de quitter le Parti Communiste et de se retourner contre ses anciens alliés. Ce paragraphe m’a toujours profondément marqué:

Je voulais que ma femme réalise bien les répercussions à long terme, pour elle et pour les enfants, de la décision que je prenais. Je lui ai dit: « Tu sais, nous quittons le monde des gagnants pour le monde des perdants. » Ce que je voulais dire, c’est que, dans le conflit révolutionnaire du 20e siècle, je choisissais sciemment le camp de la probable défaite. Pratiquement rien de ce que j’ai observé, ou de ce qui m’est arrivé depuis, ne m’a fait penser que je m’étais trompé dans cette prévision.

Chambers avait une connaissance intime du haut degré de pénétration des communistes dans le gouvernement américain. Il savait très bien que les chances étaient amassées contre lui, contre nous tous; une montagne gigantesque, menaçante, de dangers accumulés. « Nous quittons le monde des gagnants pour celui des perdants », dit-il en parlant de sa décision de faire défection. Et il l’écrit encore en 1952, presque 15 ans après sa défection.

En d’autres termes, les pays libres étaient en train de perdre le monde. En fait, en 1980, si on avait peint en rouge tous les pays communistes sur un globe de salle de classe, ce globe aurait été à 75% écarlate.

C’était la dernière manche, avec quelques minutes à jouer, six points de retard et deux strikes. Ça s’annonçait mal.

Et pourtant, contre toute attente, en seulement huit ans, Ronald Reagan a vaincu l’Union Soviétique. Ça nous a fait gagner 40 ans de paix. Nous étions là, trébuchant en aveugle le long du précipice fragile de la défaite totale, submergés jusqu’aux cils par les espions communistes, dont sans doute plusieurs Maisons Blanches, quand en un clin d’œil, contre toute attente, nous avons sauvé le monde entier.

Tout simplement.

Malheureusement, Reagan a seulement défait l’Union Soviétique. Il n’a pas défait le communisme. Il n’a pas pu – ne pouvait pas – écraser l’illusion insensée que l’homme peut remplacer Dieu par la Science. Reagan n’a pas non plus extirpé les réseaux de termites communistes traîtresses secrètement implantés dans presque tous les gouvernements de la planète.

Voilà ce qui s’est passé. Permettez-moi maintenant de faire avancer le curseur jusqu’à notre situation actuelle, de spéculer sur le présent et sur ce qui nous attend, tout en admettant que l’histoire n’est jamais réglée, ni exempte de controverse. Comprendre ce qui se passe dans le présent peut être périlleusement complexe, voire impossible. Et l’avenir? Rien que des suppositions.

Mais il semble juste d’imaginer qu’après la chute du mur de Berlin, les communistes mondiaux, qui frottaient leurs mains tachées de sang à l’idée d’une domination mondiale imminente, sont restés bouche bée, abasourdis et stupéfaits, après avoir vu le tout leur être arraché à la toute dernière seconde par un cow-boy à la masculinité toxique.

Déconcertés, ils se demandaient: « Que s’est-il passé? »

Ils avaient déjà appris une leçon avec Staline: ne plus mettre de dictateurs narcissiques à la tête du mouvement. Mais après Reagan, j’imagine que les élites communistes ont reconnu le risque d’être trop manifestes, trop visibles. L’Union Soviétique était une cible qui pouvait être, et était, détruite. C’était un panier avec trop d’œufs dedans. Elle avait été lancée trop tôt. Ils ont appris qu’il ne faut pas se lancer dans le communisme à un seul endroit avant d’être prêt à se lancer partout, en même temps.

Ils ont également appris le grave danger de permettre à un président populiste et anticommuniste comme Reagan (ou Trump) de tenir huit années complètes. Mais ceci est une autre histoire.

Au moment où l’Union Soviétique s’est effondrée, notre gouvernement et tous les autres gouvernements du monde étaient envahis de termites communistes traîtresses, attendant leurs ordres. En d’autres termes, en dehors de l’Union Soviétique, le réseau d’espionnage communiste est resté solidement en place, dans les journaux, les stations de télévision, les palais de justice et les bureaux gouvernementaux. Personne ne les a traqués. Personne n’a fumigé les communistes. Personne n’a fait le ménage.

Je me demande combien de secondes il a fallu aux grands maîtres de l’espionnage soviétique pour quitter Moscou vers des climats plus accueillants, et trouver un nouvel emploi productif à aider leur nouveau maître à prendre le contrôle des anciens réseaux d’espionnage soviétiques. Était-ce la Chine? La Chine semble un bon candidat, bien positionné, motivé et disposant des ressources nécessaires.

Mais cela aurait pu être un autre opportuniste qui aurait entrevu des opportunités. Un plus proche de nous, peut-être? Les communistes américains? Les francs-maçons? Le Vatican? Un Rockefeller? Qui sait.

Mais il est clair que quelqu’un a pris le pouvoir, sinon on aurait déjà vu un million de livres écrits par d’anciens espions, ou des arrestations massives et des procès pour trahison. Quelque chose. Mais non. Tout a été aussi calme que la tombe de Staline. Ils sont toujours planqués sous leur couverture. Ce qui signifie: ils travaillent pour QUELQU’UN.

Et voilà où nous en sommes.

CHAPITRE DEUX – LA ROUTE SUR LAQUELLE NOUS SOMMES

Je parie que les lecteurs de C&C aimeraient entendre parler plus souvent sur ce blog de Klaus Schwab, du Forum Économique Mondial, des confiscations de terres agricoles, des raffineries et des usines alimentaires qui brûlent mystérieusement, des fausses guerres par procuration, de la destruction économique artificielle, de l’Agenda 2030 (ou est-ce 2025 maintenant ?) et du pas-si-Grand Reset. [NdT. « not-so-great Reset », le Reset pas terrible – jeu de mots intraduisible]

Je ne traite pas beaucoup de ces sujets pour deux raisons. La première, la plus simple, est que je ne peux prouver aucune de ces choses, et je vous ai promis que je ne soumettrai (généralement) aucune information que je ne peux pas étayer. Je suis avocat. Les preuves sont importantes pour moi. (Oui, oui, je sais qu’il y a des documents organisationnels en ligne et des clips vidéo, et beaucoup de preuves circonstancielles, mais les faits concrets restent élusifs).

Mais avant tout, j’évite de discuter de ces questions parce que j’ai à leur sujet une vision beaucoup plus large et plus simple.

Je crois que la pandémie de covid-19 de 2020 a révélé une conspiration mondiale qui peut être prouvée. La plupart des gens pensent que cette conspiration avait pour but de créer un gouvernement mondial unique. Mais je me demande si en réalité nous ne sommes pas déjà bien au-delà. Je pense que la pandémie apporte la preuve irréfutable que NOUS AVONS DÉJÀ UN GOUVERNEMENT MONDIAL. Un gouvernement mondial secret, caché, insaisissable.

Sauf que, l’espace d’un instant, le masque est tombé, et son visage grotesque a été pleinement révélé.

La preuve semble évidente après coup. En gros, sur une période d’environ trois semaines en mars 2020, tous les gouvernements du monde entier ont mis en œuvre exactement les mêmes mesures draconiennes, totalement anticonstitutionnelles, ainsi que des mesures d’atténuation extrêmement impopulaires, sans la moindre protestation, le moindre débat ou la moindre question de la part de leurs représentants élus.

En d’autres termes, on dirait bien que quelqu’un a passé un coup de téléphone.

Les gouvernements humains ne sont jamais d’accord sur RIEN, et encore moins sur le fait de bombarder au napalm leurs propres économies. Les Chinois se sont mis d’accord avec les Japonais. Les Vénézuéliens se sont mis d’accord avec les Grands Bahamiens, qui se sont mis d’accord avec les Cubains. Les Indiens se sont mis d’accord avec les Pakistanais. Les Italiens se sont mis d’accord avec les Français, qui se sont mis d’accord avec les Britanniques. Les Iraniens étaient d’accord avec les Israéliens. Les Grecs étaient d’accord avec tout le monde, comme TOUT LE MONDE. Même les Canadiens. [NdT. pas la Suède]

Allez quoi, sérieux.

Tout cet accord – également connu sous le nom de « coordination » – est la preuve évidente que quelque chose de plus vaste se jouait en coulisses, quelque chose en mesure de gouverner et coordonner tous les gouvernements depuis le haut. La loi dit qu’en l’absence d’explication alternative suffisante, une action coordonnée seule constitue une preuve prima facie de conspiration. Il suffit de demander à n’importe quel avocat spécialisé en droit de la concurrence ce qu’est la coordination des prix sur un marché particulier, ou de demander à un avocat spécialisé en droit du travail comment prouver des pratiques d’embauche discriminatoires.

Mais il s’est passé autre chose, quelque chose qui confirme l’hypothèse de la conspiration. Il s’agissait de quelque chose qui MANQUAIT à l’action mondiale coordonnée de 2020, l’absence de quelque chose qui aurait dû être là, et son absence constitue une preuve. En 1892, Sir Arthur Conan Doyle a expliqué ce concept élémentaire par l’intermédiaire de son célèbre détective, Sherlock Holmes, qui remarquait la signification du chien qui n’avait PAS aboyé:

Le détective Gregory de Scotland Yard: « Y a-t-il un autre point sur lequel vous souhaitez attirer mon attention? »

Sherlock Holmes: « Sur le curieux incident du chien pendant la nuit. »

Gregory: « Le chien n’a rien fait pendant la nuit. »

Holmes: « C’était ça le curieux incident. »

Qu’est-ce qui manquait en 2020? Quel chien n’a pas aboyé?

Ce qui a manqué, c’est un DÉBAT POLITIQUE sur la façon de répondre au virus. Lorsque les premières fermetures ont eu lieu, où étaient tous les législateurs, les parlements, les ministres et les délégués? Comment une décision aussi monumentale, universelle, dévastatrice pour l’économie et les frontières a-t-elle pu être prise légalement, dans le monde entier, sans qu’UN SEUL gouvernement ne vote quoi que ce soit?

Ne me dites pas que tout est arrivé trop vite. Ils peuvent convoquer des sessions d’urgence.

La « peur » est généralement proposée ensuite comme explication suffisante, mais une peur instantanée, uniforme à 100%, mondiale, qui a contourné chaque institution démocratique et chaque gouvernement critique est encore moins crédible qu’une conspiration.

Aucune nation d’importance n’a dit, vous savez quoi, nous ne faisons pas confiance aux Américains. Nous allons attendre quelques mois et voir ce qui se passe. Les Nord-Coréens ne les ont pas ignorés et n’ont pas suivi leur propre voie. Les confinements ont été l’atténuation unique qui s’est mise en place comme la dernière pièce du puzzle. Et tout ce qui s’est passé au cours des douze mois suivants s’est déroulé sans aucun débat démocratique public significatif. (Quelques nations africaines rebelles ont brièvement résisté jusqu’à ce que leurs dirigeants reçoivent la visite des Clinton). [NdT. ou jusqu’à ce que leur dirigeant meure prématurément]

Pour prouver que CERTAINES nations auraient dû agir différemment, il suffit d’examiner les États américains, qui ont fonctionné de manière relativement indépendante. Que constatons-nous? Ils n’ont pas tous confiné. Et prenez les comtés: il y en a eu encore moins à suivre le mouvement général.

Pourquoi AUCUNE nation n’a-t-elle suivi le même modèle mixte que celui que l’on a pu observer dans les états et comtés américains?

Le prétendu mécanisme de coordination a été « l’action exécutive ». Dans chaque pays. L’action exécutive semble, à toutes fins utiles, être universellement toute-puissante, c’est-à-dire que lorsqu’elle est VRAIMENT nécessaire, elle fait ce qu’elle veut. Comme par hasard, toutes les nations, sur 175 pays, ont apparemment des lois permettant une action exécutive unilatérale, qui contourne instantanément toutes les garanties démocratiques.

Et, bizarrement, chaque exécutif était d’accord avec le même plan. Apparemment. Ou, « quelqu’un » les a tous contournés ou annulés. Cela a prouvé que nos législateurs, nos parlementaires, nos délégués et nos ministres ne sont que de la poudre aux yeux, lorsque les choses se gâtent. Ce ne sont que des acteurs, qu’ils le sachent ou non.

Quelqu’un a passé un coup de téléphone.

On peut se demander qui est ce « quelqu’un » qui peut passer un coup de téléphone pour que tous les dirigeants du monde s’alignent et que le monde entier se confine. Mais d’un autre côté, on s’en fiche. À quoi ça servirait de nommer cette personne? C’est probablement quelqu’un dont on n’a de toute façon jamais entendu parler. Le fait le plus important et le plus immédiat est qu’UNE TELLE PERSONNE EXISTE.

Ce n’est pas Klaus Schwab. Ne me faites pas rire. Ce type est une blague, une caricature vivante, un pathétique homme de paille, jetable, qui n’a jamais rien accompli. C’est la version allemande de Sam Bankman-Fried. [NdT. le supposé responsable du scandale FTX]

Et je doute que ce soit un groupe. C’est arrivé trop vite. Vous pouvez spéculer autant que vous voulez sur les Illuminati, les francs-maçons, les Rothschild, les Bilderberg et les Jésuites. Comme toutes les institutions humaines, même celles-là, si elles existent, sont des organisations hiérarchiques. Ce qui signifie qu’il y a quelqu’un – une personne – au sommet. Et cette personne n’a aucune raison de sortir de l’ombre.

Je vous le demande donc, sur la base des preuves évidentes apportées par la pandémie, existe-t-il VRAIMENT encore des nations souveraines? Ou bien avons-nous pris conscience que les nations ne sont que des distractions, un spectacle de marionnettes, ne fournissant qu’une illusion distrayante d’autonomie démocratique?

L’existence de conflits militaires ne réfute pas cette hypothèse. Je suis sûr qu’on trouverait facilement une douzaine de raisons qui montreraient que la guerre par procuration en Ukraine est la distraction utile du moment, sans parler d’un moyen pratique de déplacer rapidement BEAUCOUP d’argent et de ressources.

Et si vous regardez autour de vous, vous trouverez encore davantage de preuves en faveur de ma théorie du gouvernement mondial.

Je ne suis qu’un avocat. Je ne suis pas un spécialiste de la conspiration de l’élite mondiale. Mais je pense que nous devons peut-être nous rendre à l’évidence, que l’ « Agenda 2030 » lui-même pourrait n’être qu’une distraction de plus, une distraction utile pour ne pas voir que la bataille pour la souveraineté a déjà été perdue, et que le gouvernement mondial unique que tout le monde craint est déjà là, installé et, dans une certaine mesure, aux commandes.

Si vous me suivez toujours et que vous ne pensez pas que je suis fou à lier, la question qui se pose alors est: « Très bien, Jeff, on fait quoi maintenant? ».

Edition du dimanche (en retard).

Quelques remarques, ajouts et questions par rapport au contenu publié la semaine dernière.

Note: Je ferai peut-être dorénavant un billet hebdomadaire pour emballer les nouvelles de la semaine écoulée (à lire pour savoir de quoi je parle ci-dessous) et en donner quelques autres que je n’ai pas traitées.


Sasha et Katherine ont raison: toute l’opération implique la défense américaine, et plus spécifiquement, le renseignement. La question à poser ensuite: qui contrôle les deux?


Le raisonnement de Sasha Latypova et de JJ Couey sur la faisabilité d’une vraie pandémie virale est valide, tant qu’on s’en tient au secteur civil. Le problème ici est qu’il s’agit d’une opération militaire. Le Dr Lee Merritt rappelait ici que pour toute arme se pose la question de son déploiement et émettait quelque temps plus tard l’hypothèse d’épandages aériens de spores, ce qui colle assez bien avec mes propres observations en 2020: les lieux, autant que les humains, semblaient des sources de contamination majeures.

Le Dr Steven Quay émettait la même année l’hypothèse que le lieu de contamination initial était la ligne 2 du métro de Wuhan, où transitent quotidiennement un million de personnes (ici, ici, ici). Si quelqu’un voulait diffuser un pathogène, j’imagine que le métro serait l’endroit idéal. Je ne fais pas que l’imaginer, d’ailleurs, puisque le Dr Igor Shepherd explique ici que ça a déjà été utilisé en 1977 dans le métro de St-Petersbourg, occasionnant 70 000 morts.

On en est réduits à un jeu de devinette: la recherche militaire a quarante ans d’avance sur son équivalent civil et dispose vraisemblablement de biotechnologies uniques, de centres dont personne, en dehors d’un cercle très étroit, n’a jamais entendu parler – je doute que Fort Detrick et l’Institut de Virologie de Wuhan soient autre chose que des fausses pistes – et de moyens de déploiement sans équivalent civil.

Quant au débat sur les mille laboratoires où on pratique le gain de fonction, il faut y ajouter maintenant un nouvel élément: celui de laboratoires vivants, au système immunitaire reprogrammé susceptible de générer de nouvelles souches, avec l’aide d’anti-viraux dont on sait maintenant qu’ils sont mutagènesPaxlovid, Molnupiravir (deux articles dans Nature) et Remdesivir (un article dans Cell). Ces nouveaux laboratoires, il y en a environ quatre milliards.


Le conflit en Ukraine aura permis au complexe militaro-industriel américain de se refaire une santé en liquidant ses stocks, qu’ils factureront à l’Etat, et en mettant leur matériel à l’épreuve du terrain, avec l’aimable participation de l’armée russe. C’est la norme de toutes les guerres menées précédemment par les US hors de son territoire (Vietnam, Irak, etc.). Résultat: contre un armement russe simple, efficace et peu coûteux, il ne tient pas la route. Il est très cher à l’achat, trop sophisitiqué et donc fragile et demande une longue formation et une maintenance maximum, très coûteuses également – en réalité, il tient davantage du produit financier que de l’armement. L’Etat américain accordera donc au complexe militaro-industriel des sommes astronomiques pour la R&D d’une nouvelle génération d’armement, sommes prélevées sur l’argent public, dont le siphonnage au nom de tout et n’importe quoi reste la seule constante en temps de paix ou de guerre.

Même arnaque en Europe où on va se réarmer – face à la « menace russe », je suppose. En président responsable, Macron met le paquet. Pendant ce temps, le conflit en Ukraine ne durera finalement pas jusqu’au dernier Ukrainien vivant, comme il était annoncé par leur président et ses alliés occidentaux. On aura jugé que la phase armée a fait son office, puisqu’il n’est plus maintenant question que de « reconstruction« , qui mettra ce qui reste du pays entre les mains des grands investisseurs. Tout ça sent la collusion à plein nez, y compris côté russe, qui gardera vraisemblablement les territoires conquis. Pauvre Ukraine!..

Pour citer un rejeton du renseignement américain, Frank Zappa, « La guerre est un autre nom pour un échange commercial entre deux pays ». Dans un registre moins rock’n’roll, il y a le bouquin de Smedley Butler, qui n’a rien perdu de son actualité. Extrait:

« J’ai passé trente-trois ans et quatre mois en service actif au sein de la force militaire la plus mobile de notre pays: le corps des Marines. J’ai occupé tous les grades d’officier, de sous-lieutenant à général de division, et, durant cette période, j’ai consacré le plus clair de mon temps à servir le grand capital, Wall Street et les banquiers, comme homme de main de haut vol. En bref, j’ai été un racketteur à la solde du capitalisme. C’est ainsi que j’ai contribué, en 1914, à faire du Mexique, et spécialement de Tampico, un lieu sûr pour les intérêts pétroliers américains. J’ai aidé Haïti et Cuba à devenir des endroits suffisamment respectables pour que les hommes de la National City Bank viennent y gagner de l’argent. En 1909-1912, au Nicaragua, j’ai participé à l’épuration au profit de la banque internationale Brown Brothers. En 1916, j’ai apporté la lumière à la République dominicaine pour le compte des intérêts sucriers américains. En 1913, j’ai fait en sorte que le Honduras soit mûr pour accueillir les compagnies fruitières des États-Unis. En Chine, en 1927, j’ai veillé à ce que la Standard Oil puisse vaquer à ses activités sans être inquiétée. Pendant toutes ces années, comme l’auraient dit les hommes attablés dans l’arrière-salle, les affaires ont superbement marché pour moi. J’ai été récompensé par des honneurs, des décorations, des promotions. Quand je regarde en arrière, j’ai le sentiment que j’aurais pu rendre quelques points à Al Capone. Au mieux, il ne pouvait pratiquer son racket que sur trois arrondissements de la ville, alors que nous, les Marines, opérions sur trois continents. »


Les Etats-Unis brûlent tous les ponts depuis un certain temps, en prenant la tête de l’Opération Covid, en prenant tous les risques avec la « communauté internationale », c’est-à-dire nous (cf. Nordstream 2), en compromettant en interne leur secteur industriel et énergie par le délire du Green New Deal. Catherine Austin Fitts, assez bien placée pour le savoir, rappelle ici que les investisseurs ont retiré leurs billes des Etats-Unis depuis vingt ans. Deux issues possibles: soit ils implosent, et l’Europe avec eux, soit, comme le prévoyait Miles Mathis, le détournement « woke » de la Gauche sociale – celle qui ne jurait que par l’Ukraine tout en jetant à la rue sa propre population – aura été utilisé pour en dégoûter le peuple, qui réclamera un retour à une Droite nationale salvatrice. C’est la seconde tendance qui a l’air de s’annoncer aussi bien chez eux qu’en Europe occidentale (voir ce qui se passe en Italie), dans le même cas de figure. On commence à sentir un rétropédalage sur la politique verte et tout ce genre d’âneries, et repoindre d’autres choix sociétaux traditionnels tels que la formation et le travail. Remettra-t-on aussi la famille au goût du jour? Dans ce domaine, il y a aussi pas mal de « reconstruction » à la clé. Wait and see…


Les Etats-Unis annoncent maintenant ce que j’annonçais ici il y a un an: un conflit avec la Chine en 2025. A cause de Taïwan, bien entendu. Le récent coup du ballon-espion, du niveau « L’île aux enfants« , devrait suffire à comprendre que c’est un nouvel acte dans la même pièce de théâtre: depuis le conflit en Ukraine, le discours officiel (télévision) et alternatif (sur le Net) nous rebat les oreilles d’une possible escalade nucléaire, l’OMS s’en mèle maintenant avec des recommandations sur les dangers d’irradiations. Ça n’aura pas eu lieu avec la Russie, on remet le couvert avec la Chine. Dans les deux cas, comme mes lecteurs le savent, c’est du pipeau. Si guerre cinétique il y a, ce sera avec armes « conventionnelles » et troupes. Vladimir Boukovski écrivait à juste titre que seuls les occidentaux pensent qu’on peut gagner une guerre avec des gadgets (voir plus haut). La Chine dispose d’une armée gigantesque, n’est tenue par aucune convention sur les armements et dispose donc de missiles à (très) longue portée. Si un navire de guerre (porte-avions et/ou lance-missiles) s’aventure un peu trop près de leurs côtes, il sera promptement désintégré. La suite au prochain épisode, et rendez-vous dans deux ans pour le dénouement.


Une réflexion intéressante qu’ont eue deux personnes très intelligentes – mon épouse et John C Dvorak – sans se consulter: nous sommes dans un schéma de violence familiale, où le mari (les Etats-Unis) bat la femme (les gouvernements européens) tandis que les enfants (les peuples) assistent, impuissants, et en font les frais. Chouette petite famille.


Bientôt sur vos écrans

  • Les oeufs aident à prévenir le Covid. Ce n’est pas une connerie, c’est sur Science Direct. Une des raisons pour les problèmes de production et leur remplacement par des substituts végétaux? Si vous avez un bout de terrain, prenez des poules (trois au minimum)! Ce sont des animaux très agréables et amicaux, de bons compagnons, qui mangent quasiment tout et n’importe quoi, et qui pondent. Si vous vous retrouvez avec trop d’oeufs, comme c’est probable (trois oeufs par jour, ça va vite), vous pouvez télécharger le livre (gratuit) de Mimi Dvorak sur toomanyeggs.com (en anglais, utilisez un traducteur automatique), qui vous donnera 800 recettes pour les accommoder. Ou donnez-en à la famille, aux voisins ou à des sans-abri. Cuits durs, dans ce cas.
  • Et encore d’autres sujets passionnants en fonction de l’actualité ou de mes trouvailles.

A bientôt.

Confirmation de l’opération « fuite de laboratoire » – par Brian Mowrey.

Une analyse de l’article d’hier.

Mowrey a raison, le gouvernement américain se fiche éperdument que sa guerre soit secrète. Vu la totale impunité des Etats-Unis autour du (pseudo-)sabotage de Nordstream 2, il aurait tort de s’inquiéter.

Je reviens bientôt avec un (nouvel) indice de la collaboration de l’Allemagne à l’Opération, et j’emballe le tout ensuite en ajoutant la Russie à l’équation.

Source.


Confirmation de l’opération « fuite de laboratoire »

Je découvre tardivement la révélation de Will Jones

Brian Mowrey

25 janvier

Résumé (cliquer pour agrandir):

  • Sur Daily Skeptic, Will Jones a rapporté* que les premiers rapports des médias sur la théorie de l’origine de la fuite de laboratoire provenaient de sources proches du renseignement américain. Elle a été présentée dès le départ comme une contre-mesure de propagande aux théories selon lesquelles le gouvernement américain aurait libéré le virus.
    (*il y a deux semaines, je suis en retard sur l’actualité)
  • Jones a également construit un examen convaincant des arguments en faveur du fait que les services de renseignement américains « en savaient trop sur la scène du crime » en novembre 2019 – ce qui implique une diffusion par les États-Unis.
  • Jones propose une chronologie et une théorie expliquant pourquoi la théorie de la fuite du laboratoire a été abandonnée par la suite. Essentiellement, des luttes intestines entre les éléments de la communauté du renseignement qui ont promu la théorie et les acteurs universitaires et gouvernementaux qui ont été indirectement piégés par cette théorie – de Fauci à Daszak en passant par Farrar.
  • Brian soutient cette théorie. Elle implique que les acteurs qui ont diffusé le SARS-CoV-2 étaient assez stupides (ma théorie selon laquelle la fuite du laboratoire était destinée à être supprimée pour rendre attrayante la théorie de l’origine « alternative » – elle n’aurait convaincu personne autrement – pourrait impliquer qu’ils sont trop intelligents).

Origine du renseignement américain de la théorie de la fuite de laboratoire

Le 10 janvier, j’ai réitéré mon évaluation de longue date de la théorie de l’origine de la « fuite de laboratoire » et du gain de fonction de l’Institut de Virologie de Wuhan:

Cependant, la préparation et la promotion artificielles évidentes du contre-narratif de la « fuite de laboratoire » et du « gain de fonction » me convainquent que Unz avait raison au sujet de la diffusion intentionnelle [du SARS-CoV-2 par des acteurs de l’État profond américain] en soi.

Ce n’est qu’aujourd’hui que je découvre que le jour même où j’ai écrit cela, Will Jones, du Daily Sceptic, a rapporté que l’origine artificielle, associée aux services de renseignement américains, de la théorie de la fuite en laboratoire se cachait au grand jour depuis trois ans.

dailysceptic.org [NdT. et ma traduction]

Le rapport de Jones plante le clou dans le cercueil de la théorie de l’origine de la fuite du GOF/laboratoire.

L’Institut de Virologie de Wuhan n’a pas fabriqué le SARS-CoV-2; la théorie selon laquelle il l’a fait (qui a été émise par Radio Free Asia, un organisme de propagande associé aux services de renseignement américains, le 9 janvier 2020) a été conçue dès le départ pour détourner la théorie de l’origine américaine.

Cette diversion a été décrite comme une mesure de rétorsion; mais comme il n’y avait encore rien à quoi rétorquer, cette description fait office d’aveu que la théorie de la fuite du laboratoire était anticipée, préventive:

Le rapport du Washington Times [du 24 janvier] indique à un moment donné qu’il s’agit d’une réponse à des rumeurs « circulant sur l’Internet chinois et affirmant que le virus fait partie d’une conspiration américaine visant à répandre des armes bactériologiques », citant un « responsable américain » anonyme.

Selon un responsable américain, un signe inquiétant est que, depuis le début de l’épidémie il y a plusieurs semaines, de fausses rumeurs ont commencé à circuler sur l’Internet chinois, affirmant que le virus fait partie d’une conspiration américaine visant à répandre des armes bactériologiques.

Cela pourrait indiquer que la Chine prépare des moyens de propagande pour contrer les accusations futures selon lesquelles le nouveau virus s’est échappé de l’un des laboratoires de recherche civils ou militaires de Wuhan.

Pourquoi le rapport anticipe-t-il des « accusations futures » de fuite de laboratoire – en particulier lorsqu’il est en train de formuler des charges identiques?

Ce n’est pas surprenant; c’est simplement quelque chose que personne n’avait encore pensé à chercher (pour autant que je sache, veuillez me corriger dans les commentaires si c’était déjà connu).

Ce n’est pas surprenant parce que, encore une fois, le récit de la fuite du laboratoire présente des signes évidents de sa mise en scène des années à l’avance, à travers les pitreries ridicules d’EcoHealth et de « DEFUSE ». Comme pour le dévoilement des documents du Projet Veritas l’année dernière, tout cela a toujours ressemblé à une opération visant à détourner l’attention d’une diffusion intentionnelle:

I Could Have DARPED All Night [NdT. article de Mowrey d’il y a un an, qui fait l’analyse de la psyop du projet DEFUSE]

Ici encore, le spectre se dresse que la proposition DEFUSE a été conçue dès le départ comme un écran de fumée, et que le projet n’a jamais eu lieu. L’apparente (pour l’instant) nécessité d’apposer rétroactivement les mots inquiétants « Gain de Fonction » sur le projet ne fait certainement rien pour purger l’ensemble de l’odeur d’une opération psychologique. Il semble avoir été conçu pour nourrir « l’opposition », un paratonnerre pour détourner l’attention du grand mot qui commence par « I ». [diffusion intentionnelle]

Jones se demande pourquoi, s’il est vrai que le gouvernement américain est à l’origine de la théorie, le gouvernement américain supprimerait plus tard la théorie de la fuite du laboratoire. Ce faisant (personnellement, je n’ai jamais trouvé cela très déroutant), il produit une théorie de réflexion alternative intéressante et convaincante fondée sur les luttes intestines épistémiques, dont je parlerai plus loin.


Reconstruction de l’affaire Unz par Jones

L’article de Jones est le quatrième d’une excellente reconstitution archéologique de l’affaire de la connaissance préalable par les services de renseignement américains de l’existence du SARS-CoV-2 à Wuhan – que « nous » savions avant la Chine. Les deuxième et troisième parties sont, selon Unz, le fruit d’une collaboration dans le sillage de la première.

Les trois parties ci-dessous sont des examens hautement recommandés des preuves, rares mais accablantes, de la diffusion du SARS-CoV-2 par le gouvernement américain.

  1. « Comment les services de renseignement américains ont-ils repéré le virus à Wuhan quelques semaines avant la Chine? » (21 décembre 2022.) Cet article est suivi d’une discussion, que je n’ai pas lue, sur le travail de Robert Kadlec, le directeur de la « biosécurité » de Trump, qui a passé des mois à préparer une pandémie de coronavirus juste avant qu’elle ne se produise.
  2. « Les États-Unis prouvent accidentellement qu’ils n’auraient pas pu repérer le virus en Chine en novembre 2019. » (1er janvier 2023.)

Ainsi, ce rapport de Harvard, destiné à montrer comment les analystes du renseignement américain ont repéré le virus en novembre 2019 en Chine alors que la Chine elle-même ne l’avait pas encore remarqué, a fini par révéler par inadvertance qu’il n’y avait aucun signal d’une épidémie virale respiratoire à Wuhan à ce moment-là et donc aucun moyen pour les analystes du renseignement américain d’en repérer une.

Naturellement, cela n’atténue en rien les soupçons croissants sur la façon dont les services de renseignement américains ont pu suivre l’épidémie de coronavirus à Wuhan, et uniquement à Wuhan, à un moment où personne d’autre, y compris les Chinois, n’était au courant de son existence.

  1. « Le gouvernement américain identifié comme la source originale de la théorie de la fuite en laboratoire. Que se passe-t-il réellement? » [lien ci-dessus] [NdT. ma traduction] (10 janvier 2023.)

Ou bien, voir l’aperçu de la série et le commentaire d’Unz, « La communauté Alt-Covid commence à démêler les origines du Covid ».


La chronologie de l’ « abandon » de la théorie de la fuite de laboratoire selon Jones.

Dans sa bombe du 10 janvier, Jones reconstruit la chronologie apparente du pivot entre le flottement américain de la théorie de la fuite de laboratoire (à partir du 9 janvier 2020) et la suppression ouverte de cette dernière quelques mois plus tard. Il en résulte une théorie convaincante sur les raisons de ce revirement (c’est moi qui souligne; les hyperliens en double ont été supprimés):

La crainte de ce groupe de scientifiques d’être impliqués dans la création du virus les a conduits à organiser une campagne très efficace pour écarter et supprimer la théorie de l’origine de laboratoire. Cette intervention a considérablement complexifié l’histoire de couverture, si bien que les résultats de la communauté du renseignement américaine (CR) sont devenus confus et incohérents. Dans ce qui suit, j’énumère les six principales interventions de la communauté du renseignement américaine pendant la pandémie et je suggère ce qui les a probablement motivées. Ces interventions sont les suivantes:

  1. Le rapport secret de renseignement de novembre 2019 prétendant montrer une grande épidémie respiratoire à Wuhan, qui a été utilisé pour informer le gouvernement américain, l’OTAN et Israël. Il est important de noter que les prétendues preuves de cette épidémie n’ont jamais été produites et que les preuves existantes suggèrent qu’en réalité, il n’y a pas eu d’épidémie détectable à Wuhan en novembre 2019, ce qui signifie que le rapport semble être en grande partie une œuvre de fiction.
  2. L’introduction et la promotion, en janvier 2020, de l’histoire de l’origine du laboratoire chinois, comme indiqué ci-dessus.
  3. Les briefings médiatiques de début avril 2020 de sources de renseignement anonymes concernant les rapports de renseignement de novembre mentionnés au point (1) ci-dessus. Ces briefings étaient particulièrement étranges parce qu’à ce moment-là, le principal scénario d’origine mis en avant par les canaux officiels américains était la théorie du marché de produits frais, que ces informations contredisaient parce qu’elles impliquaient une grande épidémie (une épidémie « hors de contrôle » et un « événement cataclysmique ») bien avant l’épidémie du marché de produits frais en décembre.
  4. L’approbation publique, fin avril et début mai 2020, par la communauté du renseignement américaine de la théorie de l’origine naturelle du marché de produits frais. Cela contredit à la fois les briefings médiatiques anonymes de début avril (3) et l’histoire de l’origine en laboratoire (2), tout en embarrassant Mike Pompeo et le président Trump qui, à l’époque, poussaient fortement la théorie de la fuite en laboratoire.
  5. Le rapport de renseignement déclassifié d’août 2021 sur les origines de Covid, qui donnait une image quelque peu mitigée de la manière dont la communauté du renseignement évaluait la théorie de la fuite en laboratoire. Ce que le rapport ne manquait pas de préciser dès la première page, cependant, c’est que le virus n’a « pas été développé comme une arme biologique » et qu’il n’a « pas été conçu génétiquement ». Le rapport indique qu’un petit nombre d’éléments de la CR pensaient que le virus pouvait s’être échappé d’un laboratoire (mais en tant que virus naturel et non artificiel); en particulier, le National Center for Medical Intelligence (NCMI), qui était responsable du rapport secret de renseignement de novembre 2019 et (vraisemblablement) des briefings anonymes aux médias d’avril 2020, a approuvé cette théorie avec une « confiance modérée ». Il convient de noter qu’à ce stade, la théorie de la fuite en laboratoire était de nouveau évoquée après l’enquête de l’OMS sur les origines en février 2021.
  6. Le rapport minoritaire du Sénat d’octobre 2022, qui a pour la première fois exposé les preuves en faveur d’un virus fabriqué et d’une fuite en laboratoire. Robert Kadlec, le grand manitou de la biodéfense aux États-Unis, est à l’origine de ce rapport, qui ne mentionne notamment pas le rapport secret des services de renseignement américains de novembre 2019, qui semble avoir été entièrement « oublié » (en fait, il n’a jamais été officiellement reconnu). Il ne faisait pas non plus référence à l’implication considérable des États-Unis dans la recherche sur le coronavirus de la chauve-souris dans les années précédant la pandémie. Nous devons également noter que les preuves présentées dans le rapport d’une prétendue violation de la sécurité à l’IVW en novembre 2019 ont toutes été rassemblées rétrospectivement – rien ne suggère que ces preuves étaient connues à l’époque, et le rapport indique clairement que toutes ses informations proviennent de sources accessibles au public, en déclarant: « Ce rapport a examiné des informations de source ouverte, accessibles au public, pertinentes pour les origines du virus. »

Voici donc ce que je suggère qu’il se passait réellement avec ces interventions souvent curieuses et contradictoires de la CR.

Le rapport secret des services de renseignement de novembre 2019 (1) visait à avertir le gouvernement américain et ses alliés de la nécessité potentielle de prendre des contre-mesures épidémiques compte tenu du risque de retour de flamme de l’attaque. Si le retour de flamme n’était probablement pas anticipé (après tout, le SARS et le MERS n’ont jamais inquiété l’Europe et l’Amérique), il s’agissait manifestement d’un risque. Notez que les responsables du rapport de novembre 2019 devaient savoir qu’il n’y avait pas vraiment de preuve d’une épidémie à Wuhan à cette époque, et donc que leur rapport était basé sur une fiction. Cela semble impliquer le NCMI, qui a produit le rapport, dans l’attaque.

Les briefings anonymes des médias au début d’avril 2020 (3) concernant le rapport des services de renseignement de novembre 2019 étaient très probablement une tentative de la communauté du renseignement (ou, plutôt, du NCMI) de souligner qu’ils avaient bien essayé d’avertir tout le monde du virus et de la nécessité de se préparer. Cela expliquerait pourquoi ils ont poursuivi les briefings anonymes, même si, à ce moment-là, ces briefings contredisaient le nouveau « récit officiel » selon lequel le virus provenait du marché de produits frais.

L’approbation officielle par la communauté du renseignement, fin avril et début mai 2020, de la théorie du marché de produits frais (4) aurait alors eu lieu en raison du passage de la plupart des membres de la communauté du renseignement au récit créé et approuvé par Anthony Fauci, Jeremy Farrar, etc. Les membres de la communauté du renseignement qui n’ont pas participé à l’attaque (probablement la grande majorité) avaient probablement compris ce qui se passait, c’est-à-dire que la théorie de la fuite de laboratoire était une couverture mise en place par des collègues imprudents, et ils étaient très conscients des terribles retombées si la vérité était connue. D’où la suppression à cette époque, au sein du gouvernement américain, de toutes les enquêtes sur les origines du Covid, ce qui, selon un haut fonctionnaire du gouvernement, ne ferait qu’ « ouvrir la boîte de Pandore ».


Le gouvernement s’en fiche

Le dernier commentaire souligné ci-dessus est crucial pour élaborer une théorie de réflexion sur la personne qui a décidé de diffuser le SARS-CoV-2. En avril 2020, ABC News a été incité par des tuyaux d’initiés à rapporter que la Maison Blanche avait été avertie par les services de renseignement de l’existence d’une épidémie virale à Wuhan au mois de novembre précédent; mais au moment de la diffusion de l’histoire, les tuyaux d’initiés ont été contredits par un commentaire officiel du Pentagone (si vous n’avez pas déjà lu tous les articles liés, la vidéo de Unz avec Kevin Barrett (rumble.com) reprend et examine l’histoire originale d’ABC).

Il s’agit d’un cas classique de preuve de culpabilité par le fait d’ « en savoir trop sur la scène du crime ».

Les lecteurs, en raison des implications, pourraient être mal à l’aise à l’idée d’appliquer au gouvernement américain la même norme que celle utilisée depuis des siècles par les humains pour déterminer qui est coupable de crimes, mais c’est l’outil qui convient ici. Le gouvernement américain savait qu’il y avait une épidémie virale parce qu’il l’avait provoquée.

Étant donné que l’histoire d’ABC, bien qu’elle s’appuie sur des tuyaux non corroborés, est une quasi-preuve que le gouvernement américain a libéré le virus, on pourrait imaginer que la réalisation tardive de la même implication apparaisse comme une théorie économe pour expliquer pourquoi le briefing de novembre a été nié le même jour. Quelqu’un a pensé à demander: « Attendez – Est-il vraiment vrai que nous avions la capacité de détecter une épidémie virale à Wuhan de seconde main en novembre; qu’il existait déjà des preuves de ce fait? » (De toute évidence, non, puisque le virus se propageait déjà ailleurs et qu’il n’y avait pourtant aucune reconnaissance revendiquée de ce fait).

La cause plus prosaïque du revirement suggéré par Jones me paraît plausible pour une raison simple: le gouvernement américain se fiche de savoir si sa guerre contre l’humanité est flagrante.

Par conséquent, la fuite avortée de la connaissance préalable en novembre était un autre reflet des stratégies conflictuelles relatives à la théorie du marché de Huanan qui étaient déjà évidentes au moment même de l’histoire. Après tout, l’origine du marché de produits frais insiste sur le fait que le virus s’est déclaré en décembre, pas avant, directement des animaux infectés aux visiteurs d’un marché animé représentant un incroyable millième de 1% de l’ensemble de l’industrie chinoise de l’élevage illicite d’animaux sauvages.

Ce n’est donc qu’un accident ironique que l’aveu de culpabilité du gouvernement américain, dans cette affaire, n’ait pas été confirmé de manière plus catégorique.


Ne s’attendait-on vraiment pas à un retour de flamme incontrôlable?

Pour réitérer ma position sur la théorie de la fuite de laboratoire, je l’ai considérée comme un récit « alternatif » manifestement mis en place; il a été conçu dès le début pour être non seulement promu mais supprimé. La théorie de la fuite de laboratoire n’aurait jamais été considérée comme convaincante par les sceptiques si elle ne l’avait pas été.

Extrait de « Peaufiner le cas de l’origine de l’État profond« . Notez que j’ai fini par déclarer les variants préoccupants de 2020 comme « non coupables« , donc je suis à 50-50 quant à savoir si ce sont aussi des produits de laboratoire.

A l’appui de ma théorie sur cette affaire, il y a l’observation suivante :

Ça a marché, pas vrai?

Selon mon paradigme, Wuhan était une scène conçue et chorégraphiée des années à l’avance pour susciter une grande, énorme « controverse » de diversion entre une origine de l’Institut de Virologie de Wuhan et [le marché de] Huanan. Ainsi, la seule raison pour laquelle le virus a été libéré à Wuhan était de susciter cette controverse; en d’autres termes, l’emplacement de Wuhan en Chine était secondaire par rapport aux objectifs plus larges.

Jones a rassemblé une vue d’ensemble convaincante de l’argumentation d’Unz selon laquelle la Chine était la cible, et pas seulement un vecteur de diffusion mondiale, et que les contre-mesures pandémiques de Kadlec et al. avaient pour but d’endiguer le virus, plutôt que d’être une fin en soi. En d’autres termes, les orchestrateurs de ce plan étaient littéralement des idiots forcenés.

  1. Ils pensaient que l’endiguement fonctionnerait, même si les États-Unis ne sont pas une île. Pourquoi?
    • Ils pensaient que le virus ne se propagerait pas bien, bien qu’il soit impossible de le savoir à l’avance. Pourquoi?
  2. Ils pensaient que tout le monde les écouterait en novembre, ce qui faciliterait l’endiguement. Pourquoi?
  3. Ils n’ont pas jugé nécessaire de rendre infaillible le lien entre l’Institut de Virologie de Wuhan et le SARS-CoV-2, bien qu’ils aient établi le cadre à l’avance. Pourquoi?
  4. Ils pensaient que personne d’autre dans les milieux universitaires et gouvernementaux ne se soucierait du fait que les liens entre l’Institut de Virologie de Wuhan et Ecohealth, soigneusement établis à l’avance, pourraient mettre fin à leur carrière. Pourquoi?

Pour reformuler les points 3 et 4, ce que l’affaire Unz-Jones propose, c’est que les orchestrateurs de la diffusion du virus avaient prévu de piéger des éléments de l’appareil de santé publique pour le SARS-CoV-2, mais plutôt que de les inciter à commettre un crime réel (amener l’IVW à créer le SARS-CoV-2), ils ont prévu une possibilité d’exonération partielle (rien n’indique que l’IVW travaillait sur un précurseur du SARS-CoV-2). Il n’est tout simplement pas venu à l’esprit de cette branche de la communauté du renseignement de s’attendre à une résistance de la part des autres acteurs du gouvernement qu’elle essayait d’impliquer!

D’un autre côté, le problème de ma théorie – selon laquelle l’origine de l’IVW a toujours été censée être indémontrable et donc suppressible, conduisant à la construction d’une fausse dichotomie entre deux théories mortellement erronées – est peut-être le contraire: elle implique que les auteurs n’étaient pas des idiots forcenés.


Quoi qu’il en soit, la fuite de laboratoire était une opération.

Que la chronologie de Jones corrobore la théorie d’Unz (attaque économique contre la Chine) ou que le motif de la diffusion du SARS-CoV-2 ait toujours été de provoquer un confinement mondial, le récit de la fuite de laboratoire était dès le départ une manoeuvre de diversion contre la diffusion par les États-Unis.

Le gouvernement américain identifié comme la source originale de la théorie de la fuite de laboratoire. Que se passe-t-il réellement? – par Will Jones.

Après cinq semaines de maladie (j’y reviendrai) et quelques publications sporadiques, je suis de retour « with a vengeance » . Je publierai quelque chose tous les jours, pas juste pour le principe: vous verrez que ce début d’année est assez riche en infos explosives. Au fait, une abonnée me signale qu’elle ne reçoit plus de notifications de mes publications. Il n’est pas impossible que ce soit du shadow-banning. Je ne peux malheureusement rien y faire. Revenez demain!

Je pense que ça va assez mal se passer pour certains acteurs de ces trois dernières années. Comme l’écrit l’auteur de cet article, ça ne s’annonce pas bien. La France a du pain sur la planche question nettoyage, mais vous savez que je traite assez peu le sujet – voyez chez d’autres blogueurs bien plus au courant que moi. Allons voir du côté des Etats-Unis, quartier général de l’opération, qui risquent de sérieusement morfler, comme je l’annonce depuis deux ans. Je pense que le raisonnement de l’auteur est solide, et j’y ajouterai deux éléments supplémentaires: 1) je suis de plus en plus convaincu que les vidéos en provenance de Wuhan du début 2020, qui montraient des gens tombant raide morts sont authentiques, 2) depuis que le gouvernement chinois a mis fin à sa politique Zéro Covid, il y a eu 66 000 morts depuis fin décembre et on en attend 36 000 par jour suite aux grands mouvements du Nouvel An lunaire. Alors, arme à ciblage génétique?

Comme dans toute guerre, le plus important est de ne pas se tromper d’ennemi. Pendant que tout est fait pour attiser le conflit en Ukraine, histoire de déplacer le centre d’attention, une nouvelle manoeuvre de détournement de la culpabilité – que je démonterai – est en train de se mettre en place. Voici un premier article qui aidera à retracer ses origines. Je suis demain avec son analyse par le Dr Mowrey, qui y ajoute quelques points intéressants.

Une histoire d’intrigues du Renseignement, avec quelques millions de morts à la clé.

Source.


Le gouvernement américain identifié comme la source originale de la théorie de la fuite de laboratoire. Que se passe-t-il réellement?

par Will Jones

10 janvier 2023, 7h00

D’où vient la théorie de la fuite de laboratoire? Qui a été le premier à promouvoir cette idée et pourquoi? La réponse à cette question est surprenante – et pourrait être la clé qui permettra de percer le mystère de l’origine du COVID-19.

La première mention connue de l’idée que le coronavirus pourrait provenir d’un laboratoire chinois est apparue le 9 janvier 2020 dans un rapport de Radio Free Asia (RFA). Ce n’était que quelques jours après l’apparition du virus dans la conscience publique, et à l’époque, aucun décès n’avait encore été signalé et peu de gens s’inquiétaient du virus – y compris, semble-t-il, les Chinois, qui affirmaient qu’il n’était même pas clair s’il se propageait entre les humains.

Apparemment mécontente de l’absence de panique, RFA a publié un commentaire de Ren Ruihong, ancienne responsable du département d’assistance médicale de la Croix-Rouge chinoise, qui s’est dite convaincue que le virus se propageait entre les humains. Elle a également affirmé qu’il s’agissait d’un « nouveau type de coronavirus mutant » et a immédiatement, sans reprendre son souffle, évoqué la possibilité qu’il s’agisse d’une attaque biologique chinoise contre Hong Kong à l’aide d’un virus développé à l’Institut de Virologie de Wuhan (IVW). Rappelez-vous que cela s’est produit avant qu’une seule personne n’ait été déclarée décédée à cause du virus, et qu’aucune preuve solide n’a été présentée à l’appui de cette affirmation. C’est la première fois que l’IVW et l’idée d’une origine de laboratoire du virus étaient mentionnés dans les médias. Le rapport laissait ensuite entendre que l’IVW cachait son implication, bien que la base de cette insinuation soit pour le moins ténue.

Ren a déclaré, « Ils n’ont pas rendu publique la séquence génétique, car le virus est très contagieux. D’après ce que je sais, les patients l’ont attrapé d’autres personnes. C’est ce que j’ai toujours pensé. »

Selon elle, l’absence de décès n’indique pas que le virus est moins mortel que le SARS, mais simplement que les médicaments antiviraux se sont améliorés au cours des dix dernières années environ.

Mme Ren a également considéré avec suspicion le nombre relativement élevé d’infections à Hong Kong, étant donné qu’aucun cas n’a été signalé entre les deux villes, dans la province méridionale de Guangdong, par exemple.

« La technologie du génie génétique est arrivée à un tel point aujourd’hui, et Wuhan abrite un centre de recherche sur les virus qui est sous l’égide de l’Académie des Sciences de Chine, qui est le plus haut niveau d’installation de recherche en Chine », a-t-elle déclaré.

Les appels répétés aux différents numéros de l’Institut de Virologie de Wuhan, qui dépend de l’Académie des Sciences de Chine, sont restés sans réponse.

Toutefois, une employée qui s’est identifiée comme étant un ingénieur principal a déclaré ne rien savoir du virus.

« Désolé, je… je ne suis pas au courant », a déclaré l’employée.

Au cours des deux semaines suivantes, RFA a fortement insisté sur l’idée de l’origine chinoise du laboratoire de guerre biologique, et ses informations ont été reprises par le Washington Times le 24 janvier, qui a cité Dany Shoham, un « expert israélien en guerre biologique ».

L’épidémie de virus animal mortel qui se propage dans le monde entier pourrait provenir d’un laboratoire de Wuhan lié au programme secret d’armes biologiques de la Chine, selon un expert israélien en guerre biologique.

Radio Free Asia a rediffusé cette semaine un reportage de la télévision locale de Wuhan datant de 2015, montrant le laboratoire de recherche sur les virus le plus avancé de Chine, connu [sous le nom] d’Institut de Virologie de Wuhan, a rapporté Radio Free Asia.

Ce laboratoire est le seul site déclaré en Chine capable de travailler avec des virus mortels.

Dany Shoham, ancien officier des renseignements militaires israéliens qui a étudié la guerre biologique chinoise, a déclaré que l’institut était lié au programme secret d’armes biologiques de Pékin.

« Certains laboratoires de l’institut ont probablement été impliqués, en termes de recherche et de développement, dans les [armes biologiques] chinoises, au moins de manière collatérale, mais pas en tant qu’installation principale de l’alignement des [armes biologiques] chinoises », a déclaré M. Shoham au Washington Times.

Pourquoi Radio Free Asia et le Washington Times ont-ils introduit et promu l’idée que le Covid était une arme biologique chinoise? RFA semble l’avoir fait pour contrer le manque d’inquiétude des Chinois à l’égard du virus, d’où le titre: « Les experts doutent des affirmations officielles chinoises concernant le ‘nouveau’ coronavirus de Wuhan ». Le rapport du Washington Times indique à un moment donné qu’il s’agit d’une réponse à des rumeurs « circulant sur l’Internet chinois et affirmant que le virus fait partie d’une conspiration américaine visant à répandre des armes bactériologiques », citant un « responsable américain » anonyme.

Selon un responsable américain, un signe inquiétant est que, depuis le début de l’épidémie il y a plusieurs semaines, de fausses rumeurs ont commencé à circuler sur l’Internet chinois, affirmant que le virus fait partie d’une conspiration américaine visant à répandre des armes bactériologiques.

Cela pourrait indiquer que la Chine prépare des moyens de propagande pour contrer les accusations futures selon lesquelles le nouveau virus s’est échappé de l’un des laboratoires de recherche civils ou militaires de Wuhan.

Pourquoi le rapport anticipe-t-il des « accusations futures » de fuite de laboratoire – en particulier lorsqu’il est en train de formuler des charges identiques?

Les propos du fonctionnaire américain anonyme semblent indiquer que les rumeurs chinoises ont commencé « il y a plusieurs semaines », c’est-à-dire début janvier ou fin décembre; toutefois, curieusement, l’article a été rapidement mis à jour pour supprimer les mots « depuis le début de l’épidémie il y a plusieurs semaines », pour des raisons qui ne sont pas claires.

Quoi qu’il en soit, ce qui est vraiment étrange à propos de ces « rumeurs circulant sur l’Internet chinois », c’est qu’aucune preuve n’a jamais été produite ou trouvée. En effet, dans tous les endroits où l’on pourrait s’attendre à ce qu’elles soient mentionnées, elle ne le sont pas. Par exemple, en février 2021, le DFRLab de l’Atlantic Council a publié, en collaboration avec l’Associated Press, un long document résumant toutes les « fausses rumeurs » et les « canulars » concernant les origines du Covid. Sa grande équipe de recherche a parcouru l’Internet à la recherche de toutes les rumeurs liées aux origines du Covid – pourtant, la section sur la Chine ne mentionne rien sur ces prétendues rumeurs de janvier sur les armes biologiques américaines.

Un autre exemple est celui de Larry Romanoff, un activiste qui écrit sur diverses « théories du complot » et qui a vécu en Chine pendant de nombreuses années. Ses chroniques du début de l’année 2020 sur le site Global Research attaquant la position américaine ont été tweetées par des personnalités chinoises de haut rang, mais il ne mentionne jamais rien au sujet de ces prétendues premières rumeurs sur « l’Internet chinois », ce qu’il n’aurait sûrement pas manqué de faire.

En outre, l’allégation de rumeurs n’a jamais été répétée par aucune source de renseignement; c’est la seule fois qu’elle a été faite.

Pourquoi alors RFA a-t-elle introduit le récit du virus fabriqué en laboratoire, avant même le premier décès? Pourquoi essayait-elle de déclencher la panique? Et pourquoi le responsable américain anonyme a-t-il prétendu répondre à des rumeurs chinoises qui se sont révélées inexistantes?

L’intrigue s’épaissit lorsque l’on sait que Radio Free Asia est un média financé par le gouvernement américain, essentiellement une façade de la CIA et désigné par le New York Times comme un élément clé du « réseau mondial de propagande » de l’agence. Comme Whitney Webb l’a souligné en janvier 2020, bien que RFA ne soit plus dirigé directement par la CIA, il est géré par le Broadcasting Board of Governors (BBG), financé par le gouvernement, qui répond directement au secrétaire d’État – qui, au début de la pandémie, était Mike Pompeo, dont le poste précédent était celui de directeur de la CIA.

Nous pouvons donc constater que le récit de l’origine de laboratoire du Covid est issu des services de sécurité du gouvernement américain, et ce très tôt, avant le premier décès, dans le cadre de tentatives délibérées de susciter l’inquiétude en Chine et ailleurs. Elle a également été conçue pour contrer les affirmations anticipées, qui n’avaient pas encore été faites (bien que le fonctionnaire américain anonyme ait faussement prétendu qu’elles l’avaient été), selon lesquelles le virus était une attaque biologique américaine.

Le fait que le gouvernement américain soit à l’origine de la théorie de l’origine en laboratoire surprendra sans doute de nombreuses personnes, étant donné que quelques semaines plus tard, cette même théorie sera rejetée par les responsables gouvernementaux comme une « théorie de la conspiration » et supprimée en force. À sa place, les canaux officiels américains avaliseront la théorie de l’origine naturelle du marché de produits frais et chercheront à mettre un terme à tout autre débat et enquête. Alors, que se passe-t-il?

Voici une explication possible, qui tient compte de tous les faits connus – mais qui est, il faut bien l’admettre, très dérangeante. Elle n’est peut-être pas correcte, mais j’avoue que je n’en vois pas de meilleure pour le moment. Peut-être que quelqu’un d’autre en trouvera une.

L’explication est que le récit de l’origine du laboratoire chinois a été présenté par les services de renseignement américains au début du mois de janvier comme une histoire de couverture. Une histoire de couverture pour quoi? Pour une attaque biologique américaine contre la Chine. En tant que couverture d’une attaque, elle sert quatre objectifs principaux. Premièrement, elle permet d’éviter les allégations d’une attaque américaine (le fonctionnaire américain anonyme a d’ailleurs affirmé à tort qu’elles avaient déjà été faites). Deuxièmement, elle anticipe la nécessité d’expliquer l’origine non naturelle du virus, dont on s’attendrait à ce qu’elle soit découverte, car une origine naturelle se manifeste différemment d’une origine non naturelle – une origine naturelle devrait avoir des réservoirs animaux, une diversité génétique précoce et des preuves d’adaptation à l’homme, qui font défaut au SARS-CoV-2. Troisièmement, il sème la panique en Chine – l’un des objectifs de l’attaque. Et quatrièmement, cela justifie que les États-Unis et d’autres pays activent des protocoles de biodéfense pour se défendre contre toute répercussion – ce qui, nous le savons, est exactement ce qu’ils ont fait, en considérant qu’il s’agissait d’une question de sécurité nationale et non de santé publique.

L’idée que les États-Unis puissent délibérément libérer un virus en Chine peut sembler farfelue pour certains. Cependant, il est bien connu que le Pentagone a intensifié ses recherches sur les virus transmis par les chauves-souris dans les années qui ont précédé la pandémie. Bien qu’il ait déclaré qu’il s’agissait uniquement d’un programme défensif en raison du risque supposé d’utilisation des chauves-souris comme « armes biologiques », des scientifiques ont déjà signalé, dans la revue Science, qu’un autre programme prétendument défensif du Pentagone, le programme « Insect Allies » de la DARPA, semblait en réalité viser à créer et à livrer une « nouvelle classe d’armes biologiques » et qu’il révélait « une intention de développer un moyen de livrer des HEGAA [Horizontal Environmental Genetic Alteration Agents, agents horizontaux d’altération génétique de l’environnement] à des fins offensives ». En outre, le gouvernement iranien était tellement convaincu que son épidémie précoce de COVID-19 en février 2020, qui a tué un nombre important de ses hauts dirigeants, était due à une attaque biologique américaine qu’il a déposé une plainte officielle auprès de l’ONU. De telles allégations ne prouvent rien, bien sûr. Mais ensemble, elles suggèrent qu’une telle attaque n’est pas hors du domaine du possible et devrait au moins être considérée comme une explication de l’origine du virus.

Mais si la fuite de laboratoire était la couverture prévue, pourquoi a-t-elle été supprimée peu après en tant que « théorie du complot »? Il est de notoriété publique que cela s’est produit en grande partie grâce aux efforts d’Anthony Fauci, de Jeremy Farrar et d’autres scientifiques occidentaux, qui ont organisé une dissimulation scientifique des preuves susceptibles d’impliquer leur complicité dans la recherche sur le gain de fonction qu’ils soupçonnaient d’avoir créé le virus. Étaient-ils au courant de l’attaque ? Il n’y a aucune preuve qu’ils l’étaient. Ce qui signifie qu’ils auraient également été dans l’ignorance de la couverture prévue. En effet, l’un des conspirateurs, Christian Drosten, dans l’un des courriels divulgués, demande directement au groupe d’où vient la « théorie de la conspiration » d’une origine de laboratoire. Farrar et Fauci, pour leur part, semblent véritablement explorer les questions d’origine dans leurs courriels (tout en visant clairement une réponse particulière).

La crainte de ce groupe de scientifiques d’être impliqués dans la création du virus les a conduits à organiser une campagne très efficace pour écarter et supprimer la théorie de l’origine de laboratoire. Cette intervention a considérablement complexifié l’histoire de couverture, si bien que les résultats de la communauté du renseignement américaine (CR) sont devenus confus et incohérents. Dans ce qui suit, j’énumère les six principales interventions de la communauté du renseignement américaine pendant la pandémie et je suggère ce qui les a probablement motivées. Ces interventions sont les suivantes:

  1. Le rapport secret de renseignement de novembre 2019 prétendant montrer une grande épidémie respiratoire à Wuhan, qui a été utilisé pour informer le gouvernement américain, l’OTAN et Israël. Il est important de noter que les prétendues preuves de cette épidémie n’ont jamais été produites et que les preuves existantes suggèrent qu’en réalité, il n’y a pas eu d’épidémie détectable à Wuhan en novembre 2019, ce qui signifie que le rapport semble être en grande partie une œuvre de fiction.
  2. L’introduction et la promotion, en janvier 2020, de l’histoire de l’origine du laboratoire chinois, comme indiqué ci-dessus.
  3. Les briefings médiatiques de début avril 2020 de sources de renseignement anonymes concernant les rapports de renseignement de novembre mentionnés au point (1) ci-dessus. Ces briefings étaient particulièrement étranges parce qu’à ce moment-là, le principal scénario d’origine mis en avant par les canaux officiels américains était la théorie du marché de produits frais, que ces informations contredisaient parce qu’elles impliquaient une grande épidémie (une épidémie « hors de contrôle » et un « événement cataclysmique ») bien avant l’épidémie du marché de produits frais en décembre.
  4. L’approbation publique, fin avril et début mai 2020, par la communauté du renseignement américaine de la théorie de l’origine naturelle du marché de produits frais. Cela contredit à la fois les briefings médiatiques anonymes de début avril (3) et l’histoire de l’origine en laboratoire (2), tout en embarrassant Mike Pompeo et le président Trump qui, à l’époque, poussaient fortement la théorie de la fuite en laboratoire.
  5. Le rapport de renseignement déclassifié d’août 2021 sur les origines de Covid, qui donnait une image quelque peu mitigée de la manière dont la communauté du renseignement évaluait la théorie de la fuite en laboratoire. Ce que le rapport ne manquait pas de préciser dès la première page, cependant, c’est que le virus n’a « pas été développé comme une arme biologique » et qu’il n’a « pas été conçu génétiquement ». Le rapport indique qu’un petit nombre d’éléments de la CR pensaient que le virus pouvait s’être échappé d’un laboratoire (mais en tant que virus naturel et non artificiel); en particulier, le National Center for Medical Intelligence (NCMI), qui était responsable du rapport secret de renseignement de novembre 2019 et (vraisemblablement) des briefings anonymes aux médias d’avril 2020, a approuvé cette théorie avec une « confiance modérée ». Il convient de noter qu’à ce stade, la théorie de la fuite en laboratoire était de nouveau évoquée après l’enquête de l’OMS sur les origines en février 2021.
  6. Le rapport minoritaire du Sénat d’octobre 2022, qui a pour la première fois exposé les preuves en faveur d’un virus fabriqué et d’une fuite en laboratoire. Robert Kadlec, le grand manitou de la biodéfense aux États-Unis, est à l’origine de ce rapport, qui ne mentionne notamment pas le rapport secret des services de renseignement américains de novembre 2019, qui semble avoir été entièrement « oublié » (en fait, il n’a jamais été officiellement reconnu). Il ne faisait pas non plus référence à l’implication considérable des États-Unis dans la recherche sur le coronavirus de la chauve-souris dans les années précédant la pandémie. Nous devons également noter que les preuves présentées dans le rapport d’une prétendue violation de la sécurité à l’IVW en novembre 2019 ont toutes été rassemblées rétrospectivement – rien ne suggère que ces preuves étaient connues à l’époque, et le rapport indique clairement que toutes ses informations proviennent de sources accessibles au public, en déclarant: « Ce rapport a examiné des informations de source ouverte, accessibles au public, pertinentes pour les origines du virus. »

Voici donc ce que je suggère qu’il se passait réellement avec ces interventions souvent curieuses et contradictoires de la CR.

Le rapport secret des services de renseignement de novembre 2019 (1) visait à avertir le gouvernement américain et ses alliés de la nécessité potentielle de prendre des contre-mesures épidémiques compte tenu du risque de retour de flamme de l’attaque. Si le retour de flamme n’était probablement pas anticipé (après tout, le SARS et le MERS n’ont jamais inquiété l’Europe et l’Amérique), il s’agissait manifestement d’un risque. Notez que les responsables du rapport de novembre 2019 devaient savoir qu’il n’y avait pas vraiment de preuve d’une épidémie à Wuhan à cette époque, et donc que leur rapport était basé sur une fiction. Cela semble impliquer le NCMI, qui a produit le rapport, dans l’attaque.

Les briefings anonymes des médias au début d’avril 2020 (3) concernant le rapport des services de renseignement de novembre 2019 étaient très probablement une tentative de la communauté du renseignement (ou, plutôt, du NCMI) de souligner qu’ils avaient bien essayé d’avertir tout le monde du virus et de la nécessité de se préparer. Cela expliquerait pourquoi ils ont poursuivi les briefings anonymes, même si, à ce moment-là, ces briefings contredisaient le nouveau « récit officiel » selon lequel le virus provenait du marché de produits frais.

L’approbation officielle par la communauté du renseignement, fin avril et début mai 2020, de la théorie du marché de produits frais (4) aurait alors eu lieu en raison du passage de la plupart des membres de la communauté du renseignement au récit créé et approuvé par Anthony Fauci, Jeremy Farrar, etc. Les membres de la communauté du renseignement qui n’ont pas participé à l’attaque (probablement la grande majorité) avaient probablement compris ce qui se passait, c’est-à-dire que la théorie de la fuite de laboratoire était une couverture mise en place par des collègues imprudents, et ils étaient très conscients des terribles retombées si la vérité était connue. D’où la suppression à cette époque, au sein du gouvernement américain, de toutes les enquêtes sur les origines du Covid, ce qui, selon un haut fonctionnaire du gouvernement, ne ferait qu’ « ouvrir la boîte de Pandore ».

Cette tension entre les éléments de la CR s’est ensuite poursuivie avec le rapport de renseignement déclassifié de 2021 (5), la plupart de la CR affirmant ne rien savoir, mais le NCMI continuant de croire que la fuite de laboratoire était la meilleure couverture et voulant la remettre sur le tapis.

Au moment du rapport du Sénat d’octobre 2022 (6), la théorie de l’origine naturelle s’effondrait clairement. Ce rapport représente donc une tentative de certains membres de la communauté du renseignement de ramener la fuite de laboratoire comme histoire de couverture, tout en dirigeant toute l’attention vers la Chine et l’IVW et loin des États-Unis.

Tout cela est-il plausible? Cela correspond certainement aux preuves, bien qu’il existe peut-être une autre façon, plus innocente, d’expliquer tout cela.

Cependant, ceux qui voudraient exclure la possibilité d’une attaque biologique américaine – et en effet, je voudrais l’exclure – doivent répondre à au moins deux questions clés:

  1. Pourquoi les États-Unis se sont-ils inquiétés et ont-ils suivi une épidémie à Wuhan en novembre 2019 dont toutes les preuves disponibles montrent qu’elle n’était pas détectable à l’époque? Pourquoi les États-Unis ont-ils faussement prétendu qu’il y avait un signal d’une épidémie importante et inquiétante et ont-ils informé leurs alliés à ce sujet?
  2. Pourquoi les services de sécurité américains ont-ils commencé à répandre des rumeurs selon lesquelles le virus aurait été fabriqué en Chine au début du mois de janvier, avant même que le premier décès ne soit signalé, alors qu’ils n’en avaient aucune preuve (du moins, ils n’ont jamais expliqué comment ils le savaient) et que personne d’autre ne s’en inquiétait, et sur la base de la fausse affirmation selon laquelle des rumeurs étaient déjà répandues en Chine au sujet d’une arme biologique américaine?

Soyons honnêtes: ça ne s’annonce pas bien.

La catastrophe des catastrophes: des milliards de personnes se retrouvent avec une réponse immunitaire défaillante – par Radagast.

Je ne sais pas si on en parle même sur le Web francophone mais il y a une info sur laquelle se sont récemment jetés, comme la misère sur le monde, de nombreux toubibs que je lis/relaie sur ce blog: l’IgG4.

C’est-à-dire le fait que la protéine de pointe de l’injection module la réponse immunitaire pour augmenter la proportion de l’immunoglobuline G4, ce qui est (encore) une mauvaise nouvelle. Vous allez comprendre pourquoi dans un instant.

Typiquement, John Paul écrivait là-dessus il y a plusieurs mois, c’est-à-dire bien avant tout le monde. J’aurais dû relayer l’info à l’époque mais je traduis assez peu ses articles médicaux sachant qu’ils seront, typiquement aussi, assez peu lus. Il faut avouer qu’il est assez pointu sur le sujet, ce qui implique qu’il faut suivre ses analyses au fil de plusieurs articles très denses, sans se faire larguer en route. En voici un plus facilement accessible, d’un auteur néerlandais, pour changer. Je ne vous garantis pas que sa conclusion est scientifiquement exacte – j’ai posé la question à John sans recevoir de réponse – mais le papier a le mérite d’exister et de présenter les données.

Il y a une référence au réchauffement climatique anthropocentrique à la fin, ce qui a le don de m’agacer et devrait vous agacer aussi. Sorry!

Note 27/01: John Paul m’a répondu au sujet du sérieux de cet article (voir ci-dessous). Je publierai ce qu’il a écrit sur le sujet si je trouve le temps.

Bonjour John.

Est-ce que ça tient la route ou est-ce que ce n’est que du sensationnalisme?

Skidmark, Jan 16

Ça ne tient pas tellement la route, ça me semble être beaucoup de sensationnalisme avec des « preuves » tangentiellement liées, d’ailleurs utilisées par la plupart des Alt-Covid pour promouvoir des narratifs spécifiques.

Je suis très méfiant à l’égard de beaucoup de gens maintenant, alors prends les informations que tu vois chez eux et même chez moi, avec précaution, même si j’essaie résolument d’être 100% honnête.

John Paul, Jan 20

Source.


La catastrophe des catastrophes: des milliards de personnes se retrouvent avec une réponse immunitaire défaillante.

Radagast

24 décembre 2022

Faites-moi donc plaisir et servez-vous un verre, vous en aurez besoin à la fin de cet article.

Je vais essayer d’éviter de répéter ce que nous avons déjà abordé dans les deux articles précédents sur ce sujet. Après la vaccination à l’ARNm, la réponse immunitaire contre la protéine de pointe bascule vers les IgG4, ce qui correspond à la façon dont le corps réagit après une exposition répétée à des substances qu’il lui faut tolérer, comme le venin d’abeille, le pollen ou les protéines d’arachide.

Tout d’abord, le tableau général de ce que l’on voudrait observer après une infection par le SARS-COV-2:

À gauche, vous voyez qui effectue la neutralisation, à droite, vous voyez quel pourcentage du total des anticorps ils représentent. Bien qu’ils ne représentent que 3% de votre quantité d’anticorps, les IgG3 effectuent 42,2% de la neutralisation.

L’IgA est occupée à combattre le virus dans le mucus [NdT. particulièrement efficace chez les Japonais, comme le rappelait ici le Dr Fukushima], l’IgM répond à l’infection en réduisant la charge virale, puis l’IgG3 se joint au combat et traque le virus dans ses derniers retranchements, afin que votre organisme ne finisse pas par tolérer ce méchant sarbecovirus en arrière-plan.

Si ce n’était pas encore évident, pour une raison quelconque, notre corps semble tolérer la propagation de ce virus dans notre population. Regardez ce qui arrive à mon pauvre petit pays:

Les niveaux de ce virus dans les eaux usées sont de nouveau à des niveaux records. Il est clair que la population n’apprend pas à reléguer ce virus au second plan.

Le nombre de décès augmente à l’unisson de la charge virale, car la surmortalité n’est pas un produit direct du vaccin [NdT. pas toujours], mais un produit indirect du vaccin qui interfère avec notre réponse à ce virus:

Nous avons eu une grande vague de décès en mars 2020, puis nous avons eu deux hivers meurtriers, donc la surmortalité est maintenant censée être négative. Nous avons déjà « épuisé » les personnes susceptibles de mourir pendant la saison de la grippe. Pourtant, 27% de personnes de plus que prévu sont mortes la semaine dernière. Ce serait censé inquiéter les personnes dont le QI est supérieur à la température ambiante, mais celles-ci se contentent de qualifier ce phénomène d’ « inexpliqué » et tentent de l’ignorer.

Je vous le signale parce que je me suis disputé sur Twitter avec l’un des auteurs de l’étude que nous allons examiner, qui insiste sur le fait que ses résultats, qui correspondent à ceux des autres équipes dont j’ai présenté les résultats dans les deux derniers articles, sont « inattendus », mais « ne sont pas inquiétants ». Honnêtement, je doute un peu qu’il le pense vraiment. Je vais expliquer ici pourquoi les résultats sont inquiétants, alors commençons par examiner leurs résultats et ce qui est réellement nouveau.

Vous connaissez déjà l’histoire: après la deuxième injection, les IgG4 commencent à apparaître. Cela s’aggrave avec les infections perthérapeutiques [breakthrough infections], puis cela s’aggrave encore avec la troisième injection. Nous avons maintenant des résultats actualisés sur les infections perthérapeutiques après la troisième injection. Et ça va vous choquer, mais ça empire encore:

En moyenne, les quatre personnes qui ont contracté une infection après leur booster sont maintenant à 42,45% d’IgG4. L’ensemble de la cohorte est à 19,27%, contre seulement 0,04% auparavant, de sorte que ceux qui n’ont pas encore eu d’infection perthérapeutiques se retrouveront dans une situation similaire: une réponse entièrement dominée par les IgG4.

La seule nouvelle chose utile que ces messieurs dames ont faite est de poser la question évidente: est-ce la norme pour d’autres agents pathogènes auxquels nous sommes couramment exposés? Ils se sont donc penchés sur un autre virus, le virus qui fait souffrir beaucoup d’enfants en ce moment, le VRS. Ils ont vu que nous ne réagissons pas au VRS par une réponse IgG4:

Personne n’a montré cette réponse au VRS et on ne l’observe même pas vraiment après une vaccination constante contre le tétanos.

Une réponse IgG4 à une infection respiratoire n’est tout simplement pas souhaitable. Parmi les IgG, ce sont principalement les IgG3 et quelques IgG1 qui sont souhaitables. L’un des auteurs affirme que le passage aux IgG4 n’a pas d’importance, car les anticorps ne servent pas seulement à déclencher la phagocytose (vos cellules immunitaires qui mangent les particules virales), ils servent aussi à la neutralisation.

Tout ça est bien beau, mais on se heurte à deux problèmes:

  1. Le virus évolue. Il évolue rapidement pour éviter les anticorps les plus neutralisants. Le potentiel de neutralisation contre XBB et BQ.1 a pratiquement disparu.
  2. Les IgG4 ne sont pas vraiment faites pour la neutralisation. Parmi les IgG, l’IgG3 est le meilleur neutralisateur de virus. Ce que font les IgG3 dans le cas du SARS2, c’est que leurs queues se lient ensemble. Cela signifie que sur les quatre sous-classes, l’IgG3 présente une neutralisation 50 fois plus forte contre le SARS2 que les trois autres sous-classes.

Et maintenant, il est temps de boire ce verre, car regardez ce qui arrive aux IgG3 après trois injections:

Il reste quelques IgG3 chez certaines personnes après la deuxième injection, mais au moment où elles reçoivent la troisième injection, elles sont toutes tombées à zéro.

Si vous vous demandez comment on en arrive à ces graphiques bizarres:

Cela a probablement quelque chose à voir avec le fait que nous débarrassons notre corps de l’anticorps IgG le plus compétent contre ce virus, en le remplaçant par un anticorps que nous utilisons pour tolérer des choses comme le pollen, les protéines d’arachide ou le venin d’abeille.

Cela ne s’est jamais produit auparavant. Il y a maintenant les inconnues connues, comme la question de savoir si le corps finit par tolérer des infections persistantes en raison de cette réponse complètement dominée par les IgG4, ainsi que les inconnues inconnues, des questions que nous devrions nous poser et que la plupart des gens n’ont même pas réalisé que nous devions nous poser.

Voici la grande question que je me pose: l’expérience a échoué, on a créé une réponse anticorps à dominante IgG4 chez bientôt des milliards de personnes. La réponse en anticorps IgG4 est homogène, ce sont les mêmes épitopes que tout le monde apprend maintenant à tolérer.

Vous êtes prêts?

Qu’est-ce que cela signifie pour les autres virus?

C’est la grande question qui fait mal. Si vous me disiez que chacun a une réponse immunitaire différente à différentes régions de la protéine de pointe, mais que tout le monde déploie maintenant des anticorps IgG4 contre ces régions, ce serait déjà une mauvaise nouvelle pour notre relation avec le SARS-COV-2.

Mais restez avec moi, je ressors encore une fois ce vieux tableau:

Vous voyez la réponse immunitaire des non vaccinés en A, en bas. Vous voyez qu’elle est assez différente chez tout le monde.

Vous voyez la réponse immunitaire des vaccinés en haut. Vous voyez qu’elle est assez similaire chez tout le monde, avec des régions distinctes qui reçoivent la réponse la plus forte.

Pour certaines de ces régions, le virus est indifférent à notre réponse en anticorps, donc ces régions ont tendance à rester les mêmes. Dans d’autres régions, la réponse des anticorps interfère, et le virus mute pour modifier ces régions. Cela signifie qu’au bout d’un certain temps, la réponse IgG est rappelée pour un sous-ensemble de plus en plus restreint de ces régions, de sorte qu’on obtient une forte réponse IgG4 pour une poignée d’épitopes, MAIS CES EPITOPES SONT LES MÊMES POUR TOUT LE MONDE!

Ce que je tente de dire, c’est qu’il existe désormais certaines chaînes d’acides aminés non-soi [étrangères] que des milliards d’êtres humains dans le monde apprennent soudainement à tolérer. Les virus respiratoires à ARN fonctionnent tous avec des blocs de construction assez similaires.

Certaines de ces chaînes d’acides aminés que nous tolérons maintenant dans le cas du SARS2 sont des chaînes que l’on retrouve également dans d’autres virus respiratoires. Et il y aura des virus respiratoires qui ne possèdent pas encore ces chaînes, mais qui peuvent muter pour les incorporer dans des emplacements où ils doivent actuellement faire face à de puissants anticorps IgG3.

En d’autres termes: une évolution homogène de la population vers les IgG4 pour certains anticorps peut finir par avoir un impact sur notre relation avec les virus respiratoires autres que le SARS2. On pourrait s’attendre, par exemple, à ce que les personnes vaccinées deviennent de meilleurs propagateurs asymptomatiques d’autres virus respiratoires, comme le VRS. Nous constatons l’existence d’anticorps à réaction croisée entre le SARS2 et les virus corona humains. Voulez-vous que ces anticorps passent des IgG3 aux IgG4? Probablement pas.

Il me semble que l’hypothèse plausible qui mérite d’être étudiée est que la recrudescence massive du VRS dans les pays occidentaux serait la conséquence du fait que les adultes vaccinés commencent à tolérer le VRS, ce qui entraîne une augmentation des infections chez les enfants, puisqu’ils y sont exposés plus souvent. Comme les enfants contractent maintenant ces infections auprès d’adultes vaccinés plutôt que d’autres enfants, la dose infectieuse qu’ils reçoivent aura tendance à être plus élevée. Cela pourrait suffire à expliquer la virulence plus élevée observée chez les enfants.

L’atteinte immunitaire des enfants par l’infection par le SARS2 est également une hypothèse qui mérite d’être étudiée, bien sûr, mais une propagation asymptomatique à partir des adultes est également possible.

Il faut garder à l’esprit que le passage complet aux IgG4 ne se produit qu’après des infections perthérapeutiques après le booster. En d’autres termes, les virus non-SARS2 n’ont pas encore eu beaucoup de temps pour évoluer et s’adapter au nouveau monde dans lequel nous vivons, où tout le monde se retrouve avec un étrange sous-ensemble d’anticorps IgG4 pour certains épitopes.

Les anticorps IgG se lient principalement à des régions d’environ 5 à 6 acides aminés, bien que cela varie beaucoup. Si un autre virus, comme le VRS, la grippe ou les virus corona humains, possède une telle région, il risque de s’en trouver très heureux! L’un de ces méchants anticorps IgG3 qui lui rendaient la vie misérable a disparu, remplacé par un anticorps IgG4 qui n’est pas capable de lier sa queue aux autres anticorps IgG4 pour une meilleure neutralisation.

Et s’il ne possède pas encore une telle région, mais qu’il pourrait éventuellement y parvenir après avoir échangé un acide aminé contre un autre, on pourrait se demander, le moment venu, pourquoi on se retrouve soudainement confronté à un gros problème de grippe, de VRS ou d’un autre agent pathogène.

Encore une fois, je suis désolé de ne pas avoir bien compris cela il y a deux ans. Je l’ai compris de manière assez basique. J’ai compris le grand principe important: on ne peut pas homogénéiser la réponse immunitaire de la population à un virus respiratoire, c’est profondément dangereux.

Rappelez-vous ce que j’ai écrit il y a longtemps:

L’un des facteurs nécessaires pour que notre espèce atteigne des densités de population aussi élevées que celles que nous avons atteintes aujourd’hui est la diversité de notre réponse immunitaire d’une personne à l’autre.

Si nous avions des gènes HLA très peu diversifiés, nous aurions tous une réponse immunitaire très similaire aux agents pathogènes. Le manque de diversité dans leurs gènes HLA est l’un des facteurs qui ont rendu les Amérindiens si vulnérables aux virus introduits par les colonisateurs européens: ces virus pouvaient se propager dans un environnement où la réponse immunitaire était homogène, ce qui a permis à ces virus d’évoluer pour tirer le meilleur parti de cet environnement particulier.

Si nous avions des gènes HLA peu diversifiés, les agents pathogènes développeraient des variants permettant de surmonter cette réponse immunitaire particulière. La diversité de notre réponse immunitaire empêche que cela ne se produise: une modification particulière n’est pas d’un grand secours pour un agent pathogène, car chacun réagit à l’agent pathogène d’une manière différente.

Avec les vaccins à base de protéine de pointe, nous avons fait exactement la pire chose que l’on puisse faire: nous avons homogénéisé la réponse immunitaire humaine à un nouveau virus qui devient rapidement plus diversifié génétiquement.

Il s’agit à nouveau du même principe de base que j’ai décrit ci-dessus, mais cette fois-ci, nous nous concentrons sur le passage à la classe IgG4. Je ne m’inquiéterais pas de l’impact sur les autres agents pathogènes si le passage aux IgG4 différait d’une personne à l’autre. Mais tout le monde se retrouve maintenant avec des combinaisons d’acides aminés sélectionnées qui n’existent pas dans notre propre corps (c’est-à-dire des peptides que nous ne tolérerions normalement pas et que nous pourchasserions avec des anticorps s’ils apparaissaient dans notre sang), que tout le monde apprend maintenant à tolérer!

Nous sommes intervenus dans quelque chose que nous ne comprenons pas bien, à l’échelle de milliards de personnes.

Permettez-moi de vous rapporter une anecdote. Il y a longtemps, au 19e siècle, un Suédois du nom d’Arrhenius, parent d’une Suédoise autiste dont vous avez peut-être entendu parler, a réalisé que nous étions en train de modifier l’atmosphère. Les gens ont trouvé cela plutôt bien, car ils supposaient que cela se produirait lentement. Finalement, la plupart des gens ont oublié ce phénomène.

Dans les années 60, nous avons réalisé que nous émettions beaucoup de ce gaz étrange, qui modifiait l’atmosphère. Là encore, les experts ne s’inquiétaient pas. « L’océan s’en chargera probablement », tel était le consensus de personnes très intelligentes, DONT LA SPÉCIALITÉ ÉTAIT D’ÉTUDIER CE TYPE DE CHOSE. Ce n’est que dans les années 1980 que tout le monde a reconnu que nous avions affaire à un véritable problème.

Dans ce contexte, je voudrais que vous jetiez un coup d’œil au scientifique qui a annoncé ses conclusions sur Twitter:

Et portons un toast à tout notre travail qui a permis de découvrir quelque chose qui pourrait signifier que des milliards de personnes sont condamnées.

Si nous pensions que des milliards de personnes sont condamnées, noux n’aurions pas fait la fête. C’est une découverte intéressante mais pas de quoi s’inquiéter.

Je suis un anonyme hollandais qui a abandonné ses études avec une prédilection pour d’obscurs produits psychédéliques, il est virologue avec un doctorat. Je comprendrais parfaitement que vous souhaitiez le croire plutôt que moi, c’est la réponse que la plupart des gens semblent avoir.

Mais ce que je vois, c’est un scientifique qui dit « Eh, l’océan s’en chargera ».

C’est un virologue et les choses ne vont pas bien dans le domaine des virus. Trop de gens meurent. Nous avons un sarbecovirus qui persiste. Les hôpitaux du monde occidental ne peuvent plus faire face à la charge des malades.

Et le plus important de tout: les enfants tombent malades.

Peut-être ne faudrait-il pas doter des milliards de personnes d’un répertoire d’anticorps IgG4 au profil similaire ciblant un virus respiratoire à ARN. Peut-être toutes sortes de virus respiratoires et d’autres agents pathogènes peuvent-ils s’en servir comme d’une opportunité.

On a mené une expérience sans précédent sur des milliards de personnes, nos systèmes immunitaires réagissent maintenant d’une manière sans précédent à un pathogène respiratoire et nous voyons maintenant un nombre sans précédent de personnes malades d’infections respiratoires.

Si vous êtes virologue, je crois que c’est le moment où vous êtes censé être inquiet.

Mise à jour 1: Une critique que vous pourriez faire de mon avertissement, à savoir qu’une évolution vers les IgG4 pourrait également avoir un impact sur d’autres agents pathogènes respiratoires, est que la réactivité croisée des anticorps pourrait ne pas être suffisante.

Pourtant, nous savons déjà qu’il doit y avoir une réactivité croisée importante entre le SARS2 et un certain nombre d’autres virus respiratoires à ARN, pour une raison simple: les vaccins antigrippaux sous-unitaires (c’est-à-dire non vivants) ont montré une nette réduction de 89% du risque d’infection grave par le SARS-CoV-2.

Si les anticorps de la grippe ont un impact sur le SARS2, les anticorps du SARS2 ont un impact sur la grippe. Et si les anticorps du SARS2 évoluent vers la tolérance, cela aura un impact sur la grippe. L’impact ne fera que s’accentuer au fil du temps, à mesure que ces autres virus s’adapteront par mutation et sélection naturelle pour tirer le meilleur parti de cette évolution vers les IgG4.


Sur le pic pétrolier en tant que nouveau crime de tromperie infligé au monde par les banquiers centraux pour soutenir leur programme de contrôle et de mort et détourner l’opposition à ce programme – par Katherine Watt.

Une analyse du « pic pétrolier », pour complèter le papier précédent. Katherine fait partie des quelques très rares analystes à qui je fais encore confiance à ce stade, avec Sasha Latypova, Catherine Austin Fitts, John Titus, quelques médecins indépendants et bien entendu John Paul. J’avais traité du « pic pétrolier » avec notamment un papier de Gail Tverberg, qui s’appuie abondamment sur les travaux cités dans le présent article, et celui-ci de Eliott Freed, deux analyses que Katherine met ici très bien en perspective.

Vous pouvez commencer par la petite vidéo ci-dessous, très bien produite. Je ne suis pas fan de la chaîne PragerU mais il faut leur reconnaître le mérite d’être très factuels et rigoureux. C’est en anglais mais si vous activez d’abord les sous-titres, puis vous allez dans Règlages>Sous-titres>Traduire automatiquement>Français (de préférence), vous avez un sous-titrage nickel.

Source.


Sur le pic pétrolier en tant que nouveau crime de tromperie infligé au monde par les banquiers centraux pour soutenir leur programme de contrôle et de mort et détourner l’opposition à ce programme.

En plus du Covid-19, des armes biologiques injectables, des banques centrales, des monnaies fiduciaires, des programmes de géo-ingénierie et de changement climatique.

Katherine Watt

30 décembre 2022

Extrait du billet du 19 juillet 2022:

Commentaire d’un lecteur sur le billet de la semaine dernière intitulé « Thinking Through Possible Future Scenarios » [Réflexion sur les scénarios d’avenir possibles]:

L’inévitable désastre économique est-il toujours le lot des civilisations en chute libre? À la lumière de ce qui suit, veuillez commenter!

Perfect Storm, Energy, Finance and the End of Growth [Tempête parfaite, énergie, finance et fin de la croissance], rapport de Tim Morgan, Responsable Mondial de la Recherche pour le courtage Tullett Prebon, janvier 2013.

Ma réponse, légèrement étoffée:

Je l’ai téléchargé et l’ai parcouru.

Je me suis intéressée à ces questions à l’origine par le biais de la théorie du « pic pétrolier », en lisant le livre de Richard Heinberg de 2005 intitulé The Party’s Over: Oil, War and the Fate of Industrial Societies [La Fête est finie: Pétrole, guerre et destin des sociétés industrielles], qui exposait les implications des travaux du géologue et géophysicien M. King Hubbert sur les réserves de pétrole et le rendement énergétique de l’énergie investie (Energy Return on Energy Invested – EROEI).

Les travaux de Hubbert étaient liés aux effets des ressources pétrolières limitées sur les systèmes financiers et économiques qui dépendent d’un pétrole bon marché et facilement accessible pour fonctionner correctement.

Les systèmes financiers et économiques basés sur l’endettement, en particulier.

Les travaux de Hubbert et Heinberg étaient étroitement liés au rapport Limites de la Croissance publié par le Club de Rome en 1972.

De 2005 à 2020, j’ai considéré le pic pétrolier et l’EROEI comme des problèmes géochimiques et techniques qui nécessitaient une relocalisation des systèmes de prise de décision, d’alimentation, d’eau, de production économique et de distribution, en tant que réponses pratiques à la résolution des problèmes.

J’ai donc travaillé avec le Community Environmental Legal Defense Fund [Fonds de défense juridique de l’environnement communautaire] sur des projets de gouvernement local basés sur les droits, et j’ai créé et/ou soutenu plusieurs petites organisations travaillant sur le développement de systèmes alimentaires locaux, l’acquisition de compétences en homesteading et des campagnes de protection de l’approvisionnement en eau.

J’ai effectué des recherches et écrit sur ces questions dans une série de blogs destinés aux lecteurs de la communauté du New Jersey où j’ai vécu de 2002 à 2008, et de la communauté de Pennsylvanie où je vis depuis 2008. J’ai lancé Bailiwick News en 2016.

C’est dans cette arène que j’ai appris ce qu’est l’État administratif, en regardant les législateurs et les juges élus locaux se faire écraser – sans opposer beaucoup de résistance – par des administrateurs publics professionnels non élus, notamment des directeurs de canton, des avocats de canton et des directeurs de planification et de zonage, en collaboration avec des dirigeants d’entreprises privées et quasi privées, en particulier dans les domaines de l’investissement immobilier, du développement foncier et de l’ingénierie.

Cependant.

Depuis 2020, observant en temps réel la manipulation massive des données Covid pour influencer et contrôler le comportement des groupes et des individus, j’en suis arrivée à la conclusion que le rapport du Club de Rome sur les Limites de la Croissance, le mouvement du pic pétrolier, la panique de la surpopulation, la panique du changement climatique et autres, ont fait partie du même projet multigénérationnel d’opération de manipulation psychologique […] des mondialistes.

Rien que des mensonges.

Tous racontés dans le but d’obscurcir l’intellect, de désorienter, d’effrayer et de contrôler les hommes et les femmes.

Je ne connais pas le véritable état des réserves mondiales de pétrole; je sais seulement ce que l’Agence Internationale de l’Energie (créée en 1974) et d’autres institutions mondialistes capturées disent publiquement à propos des réserves de pétrole.

Il est possible que la surconsommation de ressources, l’endettement et l’effondrement économique soient toujours le lot des civilisations en chute libre, et qu’il s’agisse simplement d’un processus naturel à l’échelle mondiale, manipulé à des fins personnelles par les élites au sommet de la structure de pouvoir de la civilisation actuelle.

Mais il est également possible que cette histoire précise de surconsommation des ressources mondiales, de destruction écologique, de dette et d’effondrement économique soit créée, mise au point et/ou projetée dans l’esprit des gens du monde entier en ce moment même, par ces mêmes élites, non seulement pour leur gain personnel, mais aussi au service de Satan, dans le but de livrer les âmes humaines à la damnation éternelle en détruisant la foi en Dieu.

Aujourd’hui, je penche pour la deuxième interprétation des événements.

Le sujet du pic pétrolier est revenu récemment dans un fil de discussion sur le Substack de Sasha Latypova.

Un lecteur a commenté, adoptant la position selon laquelle les mondialistes « exterminent » les gens pour prévenir d’autres formes de chaos mortel, comme les famines, les crashs économiques et les guerres de ressources, en raison de la pénurie d’énergie fossile liée au pic pétrolier.

Il a cité ce même rapport « Perfect Storm » de 2013 de l’échange de juillet (ci-dessus) comme « le document définitif qui relie tout » et a désigné les sables bitumineux et le forage en eaux profondes comme preuves à l’appui de l’affirmation selon laquelle les limites naturelles des réserves de combustibles fossiles sont la motivation de base.

Comme je l’ai écrit en juillet, j’avais l’habitude de penser que le pic pétrolier était la clé, et j’ai travaillé principalement à partir de cette vision du monde de 2005 à 2020.

Je ne trouve plus ce cadre plausible, car je suis trop consciente de l’efficacité avec laquelle les mondialistes et leurs sbires manipulent les données, les informations et la propagande pour se rapprocher de leurs objectifs géopolitiques et autres, et de l’utilité de l’anxiété généralisée concernant le pic pétrolier et le changement climatique dans ce processus de manipulation.

Il est maintenant clair pour moi que la BRI [Banque des Règlements Internationaux] et ses propriétaires, ainsi que leurs pairs institutionnels dans d’autres organisations internationales (comme le Club de Rome/ »Limites à la Croissance« /Donella Meadows) sont en position, depuis très longtemps, de manipuler les données et les analyses produites par M. King Hubbert et d’autres géophysiciens, ainsi que des scientifiques de l’environnement/du climat, de telle sorte que « Limites à la Croissance » n’est pas un modèle basé sur des faits, mais une projection ou un plan basé sur leur intention et leur capacité à manipuler l’accès aux réserves de combustibles fossiles et à manipuler les aspects du climat, afin de soutenir leurs efforts pour centraliser le pouvoir et le contrôle.

Ils ont l’argent et la maîtrise du projet pour forer des kilomètres sous la mer à la recherche de pétrole, extraire du pétrole du sable à la vapeur et lâcher des bombes dans des trous, non pas parce que ce sont les seules sources d’approvisionnement restantes, mais simplement pour perpétuer la fraude.

C’est le même mode d’emploi que celui qu’ils utilisent pour manipuler les informations sur ce qui se passe dans le cadre du programme Covid, tuer et rendre malades des millions de personnes avec des injections d’armes biologiques, et mentir sur ce qu’ils font.

Je suis maintenant d’avis que « l’économie » n’est également qu’une fraude massive, et qu’aucun des chiffres présentés par les banquiers centraux au cours des 100 dernières années – ou plus – n’est digne de confiance ou ne devrait être utilisé pour prendre des décisions sociétales ou personnelles sur ce qu’il faut faire ensuite.

Ce ne sont que des mensonges, du début à la fin, racontés par les banquiers centraux, dans le but de centraliser le contrôle direct et quotidien de 8 milliards de personnes, tout en envoyant 7,5 milliards d’entre vers une mort prématurée à l’aide de mensonges, d’armes biologiques, de pulvérisations chimiques, de famine forcée par le biais de perturbations de l’approvisionnement alimentaire, de perturbations de l’approvisionnement énergétique, de manipulations monétaires et d’autres outils de leur arsenal.

Ils font tout cela et bien plus encore, tout en organisant des exercices de simulation séquentiels et détaillés et en publiant des plans détaillés décrivant ce qu’ils ont l’intention de faire, qui correspondent à ce qu’ils font réellement, dans le but d’humilier rituellement leurs ennemis: nous.

En conséquence, je ne crois plus qu’il existe des limites naturelles à la production et à la distribution de nourriture, ni qu’il existe des limites naturelles à l’approvisionnement en énergie fossile.

Les pénuries et les catastrophes sont orchestrées par les banquiers centraux.

Un autre intervenant dans le fil de discussion a cité d’autres sources de données et a proposé un débat, comparant le scepticisme à l’égard du pic pétrolier au déni de l’existence du 11 septembre ou de Covid-19.

J’ai examiné les données sur le pic pétrolier. Je ne fais plus confiance aux sources de ces données.

Je ne veux donc pas en débattre, car la vraie question n’est pas celle de l’information. La question est de savoir si les sources d’information sont dignes de confiance. Et je ne pense pas que nier le pic pétrolier soit comparable à nier le 11 septembre ou le Covid. Il est cohérent de penser que ces trois événements sont des manipulations, impliquant des informations et des données fabriquées, qui ont néanmoins eu et ont toujours des effets directement observables sur la vie des gens.

Le débat public sur le pic pétrolier (tel qu’il est) n’a pas vraiment d’importance, cependant.

Que vous croyiez que le pic pétrolier s’est produit en 2005 et que la pénurie d’énergie est basée sur des limites géochimiques et techniques réelles de forage, ou que vous croyiez que le pic pétrolier est une campagne de propagande et que les pénuries sont et continueront d’être fabriquées, la décentralisation de la capacité de production des produits de première nécessité, y compris les informations véridiques, et la décentralisation des systèmes de gouvernance pour maintenir l’ordre social, sont des réponses utiles aux deux interprétations des événements passés et actuels.

Même si l’approvisionnement en énergie fossile est encore abondant, les personnes qui organisent depuis longtemps les perturbations des chaînes d’approvisionnement et des systèmes financiers et monétaires seront probablement en mesure de continuer à le faire dans un avenir prévisible.

La seule différence importante entre les deux points de vue est la différence entre le niveau où on place la responsabilité.

Là encore, la déviation et la suppression de la vérité ne servent qu’à masquer le pouvoir et les actes des prédateurs-parasites mondialistes.

Les personnes qui croient à la propagande sur le pic pétrolier et le changement climatique concentrent leurs réactions sur le changement de comportement et la réduction de la liberté de mouvement des gens ordinaires qui essaient de vivre, d’apprendre, de travailler, d’adorer Dieu et d’élever des enfants.

Les personnes qui percent à jour la propagande, jusqu’aux hommes et aux femmes qui se sont positionnés pour contrôler l’accès aux informations véridiques et aux ressources nécessaires à la vie, se concentrent sur l’élargissement de notre accès aux informations véridiques, sur l’élargissement de notre amplitude de mouvement pour produire et obtenir des réserves d’eau, de nourriture et d’énergie adéquates et contrôlées localement, et sur le rétablissement ou la création de systèmes financiers et d’autorités gouvernementales légitimes.

Massacre des Saints Innocents. Peinture de Guido Reni.

Ça n’a pas d’importance – par le Dr Ah Kahn Syed.

Source.


Ça n’a pas d’importance

Ne vous laissez pas distraire par le spectacle

Dr Ah Kahn Syed

25 décembre

Nous venons de vivre quelques semaines intéressantes dans l’arène de la « conspiration COVID™ » (oui, c’est nous, apparemment). Les rapports de luttes intestines abondent – ce qui est bizarre car presque tout ce que nous avons prédit s’est concrétisé, en particulier l’Iatrocide fomenté par les gouvernements avec une combinaison de confinements, de masques et des pires vaccins jamais vus.

iatrocide 1. L’acte de tuer un patient avec un traitement médical

On pourrait donc penser que la « Team Reality » (alias #mousearmy) serait en train de se détendre sur une plage en sirotant des margaritas dans des gobelets « Je vous l’avais bien dit ».

Pas du tout, apparemment. Comme si nous n’avions pas assez souffert ces trois dernières années de fascisme médical et scientifique. Notre margarita de plage ressemble plus à

J’ai donc pensé que c’était le bon moment pour diffuser un petit message.
Arrêtez de vous laisser distraire.

Toutes ces querelles internes sont du théâtre Kabuki. Ça l’a toujours été. Et ça n’a pas d’importance. Non, sérieusement, ça n’a pas d’importance.

Que signifie théâtre Kabuki ?
Le kabuki est une forme de théâtre classique au Japon, connue pour ses costumes élaborés et son jeu dynamique. Les expressions « théâtre kabuki », « danse kabuki » ou « pièce kabuki » sont parfois utilisées dans le discours politique pour décrire un événement caractérisé davantage par le spectacle que par le contenu.

Ça n’a pas d’importance que JJ Couey ait critiqué son ami Charles Rixey dans son stream, car tous deux ont raison. Charles a raison de dire que la séquence virale présentée comme « l’origine de la pandémie » a été fabriquée. Et JJ a raison de dire qu’un tel virus ne peut pas créer à lui seul une pandémie mortelle [NdT. voir mon article ici].

Ça n’a pas d’importance que Michael Senger ait mal interprété la prise de bec sur son substack et ait déclaré que JJ avait « rejeté l’hypothèse du laboratoire » – parce que c’est faux. Il a simplement dit que ça n’avait pas d’importance parce qu’ils n’auraient jamais pu fabriquer un virus suffisamment transmissible et mortel pour provoquer la « pire pandémie de l’Histoire ». Cela signifie que les coronavirus de ce type, même s’ils peuvent provoquer une épidémie locale, n’ont pas la stabilité génomique nécessaire pour traverser le monde en conservant leur virulence. En tout cas, pas sans le type d’aide que celle dont le MERS a eu besoin pour provoquer de multiples épidémies dans le monde.

Ça n’a pas d’importance que Robert Malone poursuive les Breggin pour avoir osé le mettre en cause… alors qu’ils avaient le droit de le faire. Robert Malone a-t-il raison de faire ça? Peut-être, peut-être pas. Mais ça n’a pas d’importance. C’est un spectacle.

Ça n’a pas d’importance que Maajid Nawaz et Alexandros Marinos se disputent sur Twitter au sujet d’Elon Musk. Alexandros a raison et Maajid a raison. Ils parlent juste à contre-sens. C’est encore un spectacle.

Je suis heureux d’avoir une conversation de bonne foi sur tout sujet lié à Elon. Je suis aussi préoccupé que n’importe qui par le fait que la MDBC s’érige autour de nous et j’ai tiré la sonnette d’alarme très tôt et souvent.
Encore une fois, veuillez lire mon article. Il aborde des sujets que vous évitez (délibérément ou non) dans cette réponse.

Ça n’a pas d’importance que mon ami Mathew Crawford se soit brouillé avec Steve Kirsch – parce que soit Mathew est un véritable pilier de la statistique, comme je le crois, soit ses nombreuses analyses détaillées seront exposées comme étant incorrectes. Elles ne l’ont pas été. Elles ne le seront pas. Il fournit toujours des justificatifs.

Ça n’a pas d’importance qu’Alex Berenson pense que ceux qui croient que l’Ivermectine a une activité antivirale sont des fous furieux – parce que la base de preuves est si forte que Berenson se retrouve le bec dans l’eau et que les personnes attentives n’ont plus besoin de lui prêter attention.

Ça n’a pas d’importance que l’affaire Kassam contre Hazzard ait été « perdue ». Ce qui a de l’importance, c’est que l’affaire a mis en lumière l’échec lamentable des tribunaux qui a conduit le juge Robert Beech-Jones à dire au peuple que « la coercition reste un consentement ». Ce qui a de l’importance c’est que Tony Nikolic ait apporté la preuve que les tribunaux savaient que:

  • les vaccins ne réduisaient pas la transmission
  • les taux d’infection étaient plus élevés chez les vaccinés
  • les preuves justifiant les confinements, les masques et les vaccins n’existaient pas
  • l’Administration des produits thérapeutiques a menti en disant qu’elle avait un avocat au tribunal pour cacher le fait que l’avocat de Pfizer agissait en son nom
  • des décès avaient été signalés dès le début de l’administration des vaccins COVID
  • le principal expert témoin du gouvernement a reçu 65 millions de dollars de subventions gouvernementales et n’a jamais traité un patient atteint du COVID.
L’expert de l’État dans la principale affaire australienne Kassam contre Hazard (à l’époque) n’avait jamais traité de patient COVID. Mais le juge Beech Jones a estimé qu’elle était un témoin « impressionnant ». Les nombreux médecins/experts qui avaient traité des patients ont été rejetés par la cour. Un vote de défiance, je pense !

Ça n’a pas d’importance que l’ivermectine « fonctionne » ou ne « fonctionne » pas dans le cas du COVID et de toute autre infection virale. Ce qui compte, c’est que les médecins qui utilisaient l’ivermectine – comme Pierre Kory, Brian Tyson, Zev Zelenko et Lynn Fynn – ont réellement pris la peine de traiter le patient sans suivre un protocole anonyme. Ce qui signifie que leurs patients ont également reçu des antibiotiques pour traiter la pneumonie secondaire qui était en fait la cause des décès de personnes âgées.

https://mobile.twitter.com/TheJikky/status/1604543666135367680

3 comprimés.

C’est ce qu’ils ont refusé aux personnes âgées qui ont été diagnostiquées avec une « pneumonie COVID » parce qu’on leur a dit de ne pas la traiter. C’était une pneumonie bactérienne. Elles sont mortes.

Si elles n’avaient pas eu le test, elles auraient eu les comprimés.

Qu’est-ce qui a de l’importance alors?

Ce qui a de l’importance, c’est ce que nous savons.

Déterminez ce que vous savez et le reste n’a pas d’importance, car il y a suffisamment d’éléments pour justifier l’arrestation massive des membres du gouvernement qui ont conspiré à un démocide.

Voici ce que nous savons :

  1. Le nombre de personnes décédées en avril 2020 et en janvier 2021 est supérieur au nombre de personnes qui seraient normalement mortes.
  2. Dans certains pays, le taux de mortalité global était normal pour 2020, ce qui signifie que l’impact de la « pandémie » était soit mineur, soit un effet d’entraînement.
  3. Les laboratoires ont effectué des tests PCR pour détecter un brin d’ARN, qui s’est révélé positif chez certaines personnes.
  4. Ces tests PCR étaient plus susceptibles d’être positifs au moment où il y avait des décès.
  5. Les amorces pour ces tests PCR étaient commerciales (sauf en Nouvelle-Galles du Sud en 2020) et nous ne savons donc pas ce qu’ils testaient.
  6. Les amorces utilisées pour les premiers tests PCR en Chine1 étaient erronées et n’ont donc pas pu détecter le « SARS-CoV-2 » :

    Amorce directe : 5′-TCAGAATGCCAATCTCCCCAAC-3′
    Amorce inverse : 5′-AAAGGTCCACCCGATACATTGA-3′
    Sonde : 5′ CY5-CTAGTTACACTAGCCATCCTTACTGC-3′
  7. Les protocoles de prise en charge des pneumonies post-virales ont été modifiés en avril 2020 pour supprimer les antibiotiques.

NOM DE DIEU.
Pourquoi les médecins ont-ils accepté sans hésiter de ne pas traiter les personnes de 80 ans pour une pneumonie post-virale en 2020-2022, alors que c’était la norme de soins auparavant?

Parce qu’on leur a dit de le faire en 2019.
Par une institution appelée…
[Vous allez adorer ça….]

  1. Si vous êtes une personne âgée atteinte d’une pneumonie post-virale et que l’on vous refuse des antibiotiques, vous mourrez très probablement.
  2. L’écrasante majorité des décès en Chine concernait des patients traités à Wuhan selon les protocoles de Wuhan. La Chine continentale a connu un taux de mortalité quasi nul pour une maladie censément nouvelle et censément originaire de ce pays.
  1. La même maladie en dehors de Wuhan (Hubei) présentait un risque de décès2 7,5 fois inférieur à celui de la maladie survenant à Wuhan (Hubei). Cela n’est pas attribuable au hasard3.
  1. La Chine – l’épicentre supposé du « nouveau coronavirus non traitable » a vu le taux de mortalité par COVID par million d’habitants le plus bas du monde en 2020 et 2021. Ce n’est pas possible au regard de l’histoire présentée.
Nombre de décès par million sur Our World in Data pour 7 pays. La Chine est la ligne plate (indétectable) en bas.
  1. Sur le motif d’une « nouvelle pandémie de coronavirus à fort taux de mortalité », le monde entier (partout sauf la Chine) a été soumis à:
  2. Sur le motif de la « pandémie » provenant de Chine, qui n’a pas affecté la Chine de manière appréciable, les économies du monde ont été arrêtées et vous vivez toujours avec les conséquences.
  3. Pour certaines personnes, les obligations de vaccination et l’ingérence du gouvernement dans les traitements médicaux ont entraîné la mort. C’est la réalité. La suppression des antibiotiques dans le traitement standard de la pneumonie post-virale s’est faite au même rythme dans le monde entier. Comment cela a-t-il pu se produire? Par MAGIC: Un consortium dirigé par l’Université de Liverpool et l’OMS.
  1. Ces décès dus au COVID n’avaient pas à se produire. Les personnes affiliées à Andrew Owen de MAGIC ont été dénoncées par Tess Lawrie pour avoir admis une influence financière indue dans le rejet de l’ivermectine comme thérapie. Mais l’ivermectine n’était qu’une partie du problème, car les protocoles utilisant l’ivermectine étaient accompagnés d’antibiotiques (doxycycline ou azithromycine) qui prévenaient la pneumonie bactérienne.

Que s’est-il donc réellement passé?

Voici mon évaluation de la situation en tenant compte des faits connus ci-dessus. Vous êtes invités à exprimer votre désaccord et les commentaires sont ouverts. Je vous encourage à tenter de réfuter ces propos.

Il n’y a jamais eu de pandémie d’un quelconque virus mortel. Les séquences fabriquées par Baric, Daszak, Shi et leurs copains dans les laboratoires de virologie du monde entier sont des séquences virales d’ARN, mais elles sont synthétiques. Elles peuvent être distribuées efficacement par le biais de clones4 (production en laboratoire de séquences d’ARN) au lieu de lâcher sur le monde un coronavirus à ARN instable et réel, qui régresserait probablement et échouerait en tant qu’arme biologique. Ce qu’ils ont avancé (un nouveau coronavirus mortel effrayant provoquant une pandémie) est pratiquement impossible, mais la peur était bien réelle.

Afin de persuader les gens de l’existence d’un virus pandémique mortel, le PCC (qui dicte les protocoles médicaux) de Wuhan a autorisé la diffusion d’un clone viral qui provoquait une maladie conduisant à une pneumonie bactérienne. Ensuite, soit ils ont refusé le traitement antibiotique pour les cas de Wuhan seulement (tuant des gens), soit ils n’ont signalé que les cas qui n’avaient pas répondu aux antibiotiques (produisant un biais de sélection dans les rapports). Dans un cas comme dans l’autre, cela a produit un taux de mortalité artificiellement gonflé parmi les cas de Wuhan, qui n’a pas été reproduit dans le reste de la Chine. C’est ainsi qu’est née la peur de la pandémie.

Une fois que des cas d’infection virale (qui auraient pu n’être que des coronavirus en circulation, car les tests PCR n’étaient pas assez spécifiques pour détecter uniquement le « COVID ») ont été observés dans d’autres pays, la propagande a été mobilisée (lancée par le PCC et reprise par l’Occident via Tony Fauci) pour s’assurer que les antibiotiques normalement utilisés dans les pneumonies post-virales ne le soient pas dans les pneumonies « post-COVID ». Il n’y avait aucune raison médicale à cela, seulement une raison politique. Le raisonnement politique consistait à s’assurer que les populations étaient suffisamment terrifiées par ce virus effrayant pour accepter les confinements, les masques et ensuite les vaccins expérimentaux. Aucune de ces mesures n’aurait dû être prise, car elles ne figuraient pas dans les plans de lutte contre la pandémie élaborés avant 2020. N’oubliez pas non plus qu’aucun des confinements chinois n’était réel. Tout cela n’était que de la propagande.

Lorsque l’on prend du recul et que l’on voit le monde entier se fermer, se masquer, rejeter en bloc les droits de l’homme après que la Chine ait soi-disant vaincu un super-virus en confinant une ville, en s’appuyant sur de fausses vidéos montrant des habitants tombant raides morts, l’imposture du confinement apparaît comme une évidence gênante.

Les masques étaient de la propagande destinée à entretenir la peur. Les confinements étaient conçus pour neutraliser les économies non chinoises, de telle sorte que la seule économie à croître en 2020 a été celle de la Chine. Une fois ces deux piliers de la fausse pandémie mis en place, la voie était ouverte pour l’introduction des vaccins « d’urgence », pour lesquels la technologie de thérapie génique à ARNm était prête à être utilisée.

Au lieu de s’opposer à la propagande du PCC, l’Occident a continué à suivre la même fausse piste. Ils ont ignoré le fait que la Chine continentale refusait les vaccins à ARNm. Ils ont mobilisé des personnes telles que Gideon Meyerowitz-Katz, dont le laboratoire est ouvertement affilié au CDC5 chinois, pour promouvoir la propagande du confinement, du masque et du vaccin.

26 février 2020: L’OMS ne recommande pas le port du masque pour les personnes non-soignantes pour empêcher la propagation du Covid19. Pourquoi? Ce que j’ai vu chez ceux qui portent un masque: il se touchent le visage, il se curent le nez, il lèchent leur doigts, etc.
3 décembre 2022: Le meilleur dans ce tweet c’est que tandis que je participais à cette discussion, je prenais aussi la défense des masques auprès de quelqu’un qui pense qu’ils ne servent à rien mais évidemment ce n’est pas suffisant pour les tordus extrémistes.

Ce faisant, le monde s’est aligné sur les dictats mondiaux fournis par les protocoles de l’application MAGIC qui disaient aux médecins de ne pas utiliser d’antibiotiques dans les pneumonies post-COVID. Et en faisant cela, les médecins du monde entier ont collaboré – sciemment ou non – à un Iatrocide mondial qui aurait pu être entièrement évité.

Les protocoles vantés par Zelenko et Kory étaient simples. Hydroxychloroquine ou ivermectine (qui sont des anti-inflammatoires ou des antiviraux dans la phase précoce), zinc (qui est un antiviral) et doxycycline ou azithromycine (qui prévient ou traite la pneumonie secondaire, cause de décès dans la majorité des cas de « COVID »). Des médicaments parmi les plus sûrs de la planète. Pourtant, nous n’étions pas autorisés à les utiliser, parce que l’OMS, Fauci et Andrew Owen le disaient. Et puis le gouvernement est intervenu pour restreindre leur prescription.

L’hydroxychloroquine ou l’ivermectine n’étaient peut-être même pas tellement importantes. Plus probablement, tout ce qui était nécessaire était les « #3comprimés » [#3tablets] d’azithromycine qui représentent un cours de traitement pour la pneumonie acquise en communauté. Moins d’un dollar dans de nombreux pays. Si vous aviez un « test COVID » négatif, on vous donnait ces comprimés. Si le test était positif, on ne vous les donnait pas. Une personne âgée atteinte d’une pneumonie post COVID non traitée était placée sur la chemin de la mort.

Un dollar. 3 comprimés. C’est le prix que l’OMS a jugé trop élevé pour traiter vos parents âgés.

Je suppose que le directeur de l’OMS, Tedros, en dit trop sur cette photo. Mais là encore, il n’en est pas à son premier rodéo démocidaire, ayant été le ministre de la santé qui a supervisé la discrimination systématique en matière de santé mise en évidence dans le rapport 2010 de Human Rights Watch.

Mais bien sûr, tout ce qu’il fait maintenant c’est uniquement pour protéger mamie.

1 dollar. 3 comprimés. Portez un masque. Prenez votre vaccin. Restez à l’intérieur. N’écoutez pas les réactionnaires. Contentez-vous de vous conformer. C’est pour votre sécurité.

Une dernière question… qui sommes-nous censés saluer le bras tendu cette fois-ci?


  1. https://journals.lww.com/cmj/fulltext/2020/06050/clinical_characteristics_of_fatal_and_recovered.1.aspx

    Voir aussi https://t.me/Virusluege/10
  2. Voici le document du CDC chinois. N’oubliez pas que seuls les documents approuvés par le PCC sont autorisés à être publiés. Cela signifie que soit le taux de mortalité de Hubei était plus élevé que celui du reste de la Chine, soit le PCC voulait faire croire au monde que le taux de mortalité de Hubei était plus élevé que celui du reste de la Chine. Ça n’a pas d’importance. Cela signifie que des personnes se sont vu refuser un traitement médical pour promouvoir l’idée qu’une effroyable pandémie de coronavirus se préparait.
    https://arkmedic.substack.com/api/v1/file/4885838c-6c88-4684-86dd-68a37256b46c.pdf
  3. Chi-carré p = 4,3e-55, soit zéro.
  4. https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.1311542110
Génétique inverse avec un ADNc infectieux complet du coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient
  1. Le bulletin d’information de Powerlab provenant de leur site web. Le réseau est décrit aux pages 10-11
    https://arkmedic.substack.com/api/v1/file/f666f9fe-8920-4811-a976-74ce36cd5fe1.pdf

Armes biologiques, produits en autorisation d’utilisation d’urgence, nouveaux médicaments expérimentaux, crise constitutionnelle – par Katherine Watt.

Katherine Watt est une alliée des plus précieuses pour comprendre comment l’état de guerre biosécuritaire a pu légalement et juridiquement se mettre en place aux États-Unis. Ceci concerne également au premier plan les pays européens qui ont passé contrat avec les firmes pharmaceutiques (vous voyez lesquelles), par une astuce légale typiquement américaine qui octroie à ces contrats précédence sur les lois nationales. Je traduis l’article de Katherine Watt à ce sujet, dès que je le retrouve – j’ai compté, j’ai plus de 900 onglets ouverts…

Les deux derniers paragraphes sont humoristiques, mais j’avais pensé sérieusement à ce genre de manoeuvre. Je ne vois pas pourquoi ce seraient toujours les mêmes qui s’amusent.

Source.


Armes biologiques, produits en autorisation d’utilisation d’urgence, nouveaux médicaments expérimentaux, crise constitutionnelle.

Katherine Watt

3 janvier

Orientation pour les nouveaux lecteurs. Plus d’informations sur la page À propos.

Pour les lecteurs souhaitant vérifier les citations légales de ce billet, vous pouvez les trouver dans la chronologie du billet épinglé American Domestic Bioterrorism Program. [NdT. dont j’ai traduit la seule conclusion ici, les références juridiques rendant la lecture interminable]

On m’a récemment envoyé un lien vers l’interview de Karen Kingston avec Greg Hunter, publiée le 24 décembre 2022, et on m’a demandé mon avis sur les points qu’elle aborde entre 22:00 et 28:00. Au cours de ce segment, Karen Kingston discute des implications juridiques de l’approbation par la FDA, le 23 août 2021, du Nouveau Médicament Expérimental (Investigational New Drug – IND) du produit Comirnaty de Pfizer, qui est « juridiquement distinct », comme pouvant percer les boucliers de responsabilité civile et pénale de l’Autorisation d’Utilisation d’Urgence (Emergency Use Authorization – EUA).

Je comprends son point de vue, mais je ne suis pas d’accord avec son analyse.

Je ne pense pas que les lois d’urgence de l’EUA ou de la santé publique soient contraignantes, en tant que lois de santé publique et de réglementation des médicaments.

Je pense qu’elles ne sont contraignantes que dans le sens où elles transfèrent toutes les utilisations et implications légales des produits des programmes de santé publique au programme d’armes chimiques et biologiques (50 USC 1511 et seq.).

Ainsi, dans le cadre d’un état de guerre, d’un état d’urgence national et/ou d’un état d’urgence de santé publique, tous les Américains sont classés comme ennemis de l’État (le prétexte employé par le gouvernement fédéral du District de Columbia1), comme insurgés, rebelles ou étrangers, et peuvent être légalement ciblés pour être tués, en utilisant toutes les armes que le gouvernement fédéral et ses militaires jugent appropriées, à la discrétion du Président et du Secrétaire à la Défense.

Parmi les nombreux documents utiles que les lecteurs m’ont envoyés au sujet de la prise de pouvoir de l’exécutif et du droit militaire pendant la guerre de Sécession, il existe des preuves à l’appui de l’argument selon lequel le statut de droit militaire n’a jamais été levé lorsque les hostilités sur le champ de bataille ont pris fin en 1865.

Au lieu de cela, de nombreuses générations d’Américains – de toutes les races, classes et ethnies – sont nées, ont vécu et sont mortes sous une occupation militaire fédérale secrète, illégitime et financiarisée.

Sans le savoir.

Depuis le début de la guerre de Sécession en 1861 jusqu’à l’AUMF (autorisation de recours à la force militaire)/Proclamation 7463 de 2001, les banquiers centraux mondialistes ont eu suffisamment de contrôle sur les leviers qu’ils voulaient contrôler pour permettre à certaines dispositions de la séparation des pouvoirs de la Constitution de sembler fonctionner de façon plus ou moins intacte, y compris un certain contrôle du Congrès, un certain contrôle judiciaire et certains droits limités des États, fournissant un certain contrepoids au Président et aux agences exécutives et administratives.

Au fil des décennies, les banquiers centraux planifiaient et se préparaient à prendre davantage de pouvoir, et à mettre en place des mécanismes de transfert discrets, tels que le Federal Reserve Act de 1913, l’Executive Order 6102 et la House Joint Resolution 192 de 1933, ainsi que les accords de Bretton Woods de 1945, tout en construisant l’architecture juridique, financière et scientifique du programme de bioterrorisme.

En 2001, ils voulaient plus de contrôle et étaient prêts à risquer d’être un peu plus visibles pour l’obtenir.

En septembre 2001, sous le couvert de la peur suscitée par le 11 septembre et les attaques à l’anthrax, un autre niveau d’urgence nationale/état de guerre (« Guerre Mondiale contre la Terreur ») a été mis en place, par le biais de l’Autorisation du Congrès pour le Recours à la Force Militaire (AUMF) et la Proclamation 7463 de George W. Bush, Déclaration d’Urgence Nationale en Raison de Certaines Attaques Terroristes, promulguée sous la Loi d’Urgence Nationale de 1975 et renouvelée chaque année depuis.

Ces mesures ont été rapidement suivies de la loi PATRIOT en octobre 2001, de la création du Département de la Sécurité Intérieure en novembre 2002 et de l’expansion des programmes d’état policier biomédical au cours des deux décennies suivantes par le biais de la loi PREP, de la loi Project Bioshield et plus encore.

En 2019, ils voulaient prendre un contrôle encore plus direct, étaient prêts à risquer de s’exposer encore un peu plus, et avaient placé plus de pièces sur l’échiquier pour centraliser plus de pouvoir dans des conditions d’urgence de santé publique.

Ainsi, en 2020, sous la couverture de la peur suscitée par le Covid-19, une autre couche de contrôle est entrée en vigueur, par la détermination en janvier 2020 de l’existence d’une urgence de santé publique (Alex Azar, secrétaire du HHS) et la proclamation 9994 de Donald Trump du 13 mars 2022, Déclaration d’une Urgence Nationale concernant l’Épidémie de Nouveau Coronavirus (COVID-19), également en vertu de la Loi sur les Urgences Nationales de 1975.

Également renouvelée chaque année depuis.

[Et positionnée comme une Guerre Mondiale contre les Humains Susceptibles aux Maladies Communicables: traduction de l’Agenda pour la Sécurité Sanitaire Mondiale intégré dans les règlements et traités de l’Organisation Mondiale de la Santé, et dans les programmes fédéraux américains. Voir la section 5955 du NDAA pour l’année fiscale 2023].

Je pense que la solution pour sortir de ce pétrin est que le peuple, le Congrès, les tribunaux et les gouvernements des États reconnaissent ouvertement la crise constitutionnelle déclenchée pendant la guerre de Sécession et renforcée depuis par les banquiers centraux et la branche exécutive/état administratif.

Ça craint.

Les affaires civiles et pénales introduites entre-temps, dans le cadre des structures pseudo-juridiques actuelles qui ont été conçues par les banquiers centraux pour rendre la Constitution inopérante et, par conséquent, trahir le peuple, peuvent contribuer à préciser quand et comment nos structures juridiques actuelles ont perdu leur légitimité et à indiquer quelques pistes pour revenir au fondement constitutionnel original.

Je pense également – aussi étrange que cela puisse paraître – que certaines des corrections les plus importantes seraient remarquablement simples à mettre en œuvre, une fois que les majorités du Congrès, les juges fédéraux et les gouverneurs des États, les procureurs généraux et les législateurs commenceraient à comprendre la situation de guerre et à changer de camp, passant des banquiers centraux à la Constitution+Peuple.

Les archives de la guerre de Sécession et les événements qui s’en sont suivis appuient fortement l’argument selon lequel le Congrès est une pseudo-institution fictive depuis 1863 environ, occupant les sièges vides du vrai Congrès par un accord mutuel et secret entre les dirigeants conscients – pour participer à l’illusion et la promulguer – et l’ignorance pure et simple par l’ensemble de ses membres du fait qu’il s’agit d’une illusion.

Avec un bon leadership et une forte pression populaire, les hommes et les femmes vivants assis dans ces sièges pourraient ouvertement présenter des résolutions, débattre et voter pour révoquer leur consentement à participer au mensonge, et ainsi réoccuper le vrai Congrès.

Si une telle résolution était adoptée, elle effacerait tous les statuts du Congrès, toutes les agences et réglementations fédérales dérivées, et tous les ordres et proclamations présidentiels, depuis 1861.

Y compris toutes les lois d’urgence nationale et d’urgence de santé publique qui, pour l’instant, semblent protéger les tueurs de toute poursuite pénale pour les atrocités de masse qu’ils ont commises ces trois dernières années.

Une grand reset constitutionnel, en quelque sorte.

À partir de ce retour aux principes fondateurs, le vrai Congrès et les États pourraient commencer à débattre et à adopter des lois conformes à la Constitution, accompagnés par une population beaucoup plus alerte et des tribunaux fonctionnels positionnés pour examiner et annuler les lois inconstitutionnelles.

Pour m’amuser, j’imagine parfois qu’en vertu de la propriété transitive du wokeness, n’importe qui pourrait « s’identifier » à John Roberts, Juge en Chef de la Cour Suprême des États-Unis, entrer et prendre le contrôle de la SCOTUS (Cour suprême des Etats-Unis) et de son registre, et demander à des avocats publics et privés de déposer des dossiers contestant la constitutionnalité des lois d’habilitation du programme américain de bioterrorisme domestique, des décrets, des règlements des agences et de leurs fictions juridiques précurseurs.

Comment les agents de sécurité des tribunaux pourraient-ils refuser de s’incliner devant les noms propres, les identités et les autorités légales que nous préférons?

Adoration du Saint Nom de Jésus. Peinture d’El Greco.
  1. J’ai appris récemment que les événements du 6 janvier se déroulant dans le district de Columbia sont probablement significatifs, en termes de structure corporative du pays et de statut juridique des hommes et des femmes qui ont traversé les 10 miles carrés du district de Columbia, alors qu’une déclaration d’urgence de santé publique/d’urgence nationale était en vigueur.

    Je ne me souviens pas s’il y a eu d’autres grandes manifestations politiques à Washington depuis janvier 2020. Si c’est le cas, je ne sais pas comment le Ministère de la Justice rationalise le fait de jeter les prisonniers politiques du 6 janvier en prison mais pas ceux de Black Lives Matter, par exemple, ou même s’ils essaieront de rationaliser ce traitement disparate. Il est probable que les manifestants du 6 janvier et leur allégeance claire à la Constitution avaient le potentiel d’interférer avec la tentative de contrôle des banquiers centraux, alors que les manifestants de BLM ne l’avaient pas.

    Quoi qu’il en soit, je pense maintenant que les accusations d’intrusion et d’insurrection sont peut-être davantage liées au fait que les manifestants du 6 janvier sont entrés à Washington, et non dans le bâtiment du Capitole lui-même. Ou, plus précisément, qu’ils ont dû être frauduleusement incités, par des agents du FBI infiltrés, à entrer dans le bâtiment du Capitole, afin de fournir une fausse façade pour les accusations d’intrusion et d’insurrection qui passerait mieux dans les médias propagandistes.

Aucune erreur n’a été commise: un hymne à la justice – par Margaret Anna Alice.

Donc 2023, Année de la Redevabilité? De la Justice?

Comme le répète (plaisamment) Adam Curry, les coupables auront-ils la tête rasée et les fera-t-on défiler sur les avenues? Le Grand Jury de Fuellmich aura-t-il finalement gain de cause?

On verra bien mais j’ai comme un doute.

En attendant, pour sortir des discours – volontairement? – naïfs à la Christian Perrone des « erreurs commises », en voici un autre nettement plus à charge. Les nombreux liens dans le texte renvoient principalement vers des articles de l’auteur (en anglais), c’est donc en plus d’un poéme un récapitulatif serré et cinglant de ces trois dernières années et un genre de catalogue de son Substack, dont des lettres ouvertes à tel ou tel acteur de l’Opération. Je les ai parcourues, elles sont nettement moins féroces que ce que j’écris et ce que je publierai ensuite.

A propos de férocité, le prochain (très court) article parle d’un truc qui va vraiment arriver.

Source.


Aucune erreur n’a été commise:
un hymne à la justice

Margaret Anna Alice

1er janvier

Le poème qui suit a été inspiré par une conversation avec Mike Yeadon. Nous avons tous deux remarqué, indépendamment l’un de l’autre, l’utilisation croissante de termes comme « bâclé » et « bavure » pour décrire les crimes contre l’humanité perpétrés sous le couvert du COVID. Même les personnes bien intentionnées qui partagent des valeurs et des objectifs similaires tombent parfois dans ce piège tendu par ceux qui préparent leur saut en parachute pour échapper à toute culpabilité.

Cet Hymne à la Justice est ma tentative de décrire succinctement l’intentionnalité calculée qui sous-tend la tyrannie du COVID, et je demande votre aide pour diffuser le message clair que #MistakesWereNOTMade [#AUCUNEErreurNaEteCommise]. S’il vous plaît, partagez ce poème et gardez-le à portée de main pour la prochaine fois que quelqu’un tentera de minimiser par du verbiage les atrocités commises. Faisons de 2023 l’Année de la Redevabilité afin que personne n’ose répéter de tels actes à l’avenir.

Aucune erreur n’a été commise:
Un hymne à la justice

par Margaret Anna Alice

Le Génocide Arménien n’était pas une erreur.
L’Holodomor n’était pas une erreur.
La Solution Finale n’était pas une erreur.
Le Grand Bond en avant n’était pas une erreur.
Les Champs de la Mort n’étaient pas une erreur.

Quel que soit le génocide, ce n’était pas une erreur.
Ça inclut le Grand Démocide des années 2020.
Insinuer le contraire, c’est Leur offrir la porte de sortie qu’ils cherchent.

Ce n’était pas bâclé.
Ce n’était pas une bavure.
Ce n’était pas une gaffe.

Ce n’était pas de l’incompétence.
Ce n’était pas un manque de connaissances.
Ce n’était pas une hystérie de masse spontanée.

La planification s’est faite au vu et au su de tous.
La planification se fait toujours au vu et au su de tous.

Les philanthropathes ont acheté La $cience™.
Les modélisateurs ont planifié les mensonges.
Les testeurs ont concocté la crise.
Les ONG ont loué les universitaires.
Les $cientifiques ont fabriqué les résultats.
Les porte-paroles ont recraché les points de discussion.

Les organisations ont déclaré l’urgence.
Les gouvernements ont érigé les murs.
Les ministères ont réécrit les règles.
Les gouverneurs ont annulé les droits.
Les politiciens ont voté les lois.
Les banquiers ont installé la grille de contrôle.

Les larbins ont blanchi l’argent.
Le Ministère de la Défense a passé les commandes.
Les sociétés ont rempli les contrats.
Les régulateurs ont approuvé la solution.
Les lois ont protégé les sous-traitants.
Les agences ont ignoré les signaux.

Les magnats ont consolidé les médias.
Les psychologues ont conçu les messages.
Les propagandistes ont scandé les slogans.
Les vitrificateurs de faits ont dénigré les dissidents.
Les censeurs ont réduit au silence ceux qui posaient des questions.
Les bottes militaires ont piétiné les récalcitrants.

Les tyrans ont sommé.
Les marionnettistes ont tiré les ficelles.
Les marionnettes ont dansé.
Les complices ont exécuté.
Les médecins ont ordonné.
Les hôpitaux ont administré.

Les laveurs de cerveau ont écrit des scénarios.
Les embobinés ont bêlé.
Les totalitarisés ont intimidé.
Les Covidiens ont mouchardé.
Les parents ont capitulé.
Les bons citoyens ont cru… et oublié.

Ça a été calculé.
Ça a été formulé.
Ça a été étudié sur des groupes.
Ça a été articulé.
Ça a été fabriqué.
Ça a été falsifié.
Ça a été imposé.
Ça a été infligé.
Ça a été nié.

Nous avons été terrorisés.
Nous avons été isolés.
Nous avons été embrouillés.

Nous avons été déshumanisés.
Nous avons été blessés.
Nous avons été tués.

Ne les laissez pas s’en tirer comme ça.
Ne les laissez pas s’en tirer comme ça.
Ne les laissez pas s’en tirer comme ça.

© Margaret Anna Alice, LLC

L’OMS et son Sommet Mondial de la Santé vendent la mèche – par Meryl Nass.

En attendant mes propres articles – qui me prennent un temps monstrueux à rédiger, j’ai compris pourquoi et je l’expliquerai – il se passe des choses qu’il serait dommage de louper. Je vous les fais en tir de barrage. Voici la première.

Meryl Nass décrypte ici le rapport de la récente réunion des parasites habituels et en donne une traduction en langage humain, que j’apprécie d’autant mieux pour m’être moi-même goinfré ce genre de littérature – rédigée en « globalien » – à l’époque maudite où je bossais dans les appels d’offres internationaux. Et au cas où vous vous demanderiez – question légitime – si ces clowns croient à leurs propres salades, la plupart sont prêts à croire n’importe quoi. Ils vivent dans un monde de croyances et de doctrines, qui leur tiennent lieu de savoir. Quant aux autres, ils n’en ont juste rien à caler de vous, de personne. Ce sont des gens cyniques et extrêmement dangereux.

J’ai ajouté à la fin quelques commentaires judicieux de lecteurs, qui complètent bien l’article.

Source.


L’OMS et son Sommet Mondial de la Santé vendent la mèche

Ils nous révèlent ouvertement leurs priorités

Meryl Nass

27 décembre 2022

L’OMS et ses partenaires ont tenu un Sommet Mondial de la Santé en octobre, et ils y ont déballé tout ce qu’ils comptent nous faire subir. J’énumère leurs Partenaires Stratégiques: Fondation Bill & Melinda Gates, CEPI, Charité – Universitätsmedizin Berlin [NdT. qui emploie notre ami Drosten], Fondation ENI, Ministère Fédéral de la Santé allemand, Johnson & Johnson, Pfizer, Roche, Sanofi, Siemens Healthineers, Wellcome Trust, YouTube Health. La Fondation Rockefeller, le Fonds Mondial (les Clinton) et le Projet de Gouvernance Mondiale sont également partenaires, dans un autre genre.

Si vous préférez sauter les détails et passer directement aux Thèmes Principaux, faites défiler la page jusqu’au milieu. C’est sous le couvert de ces THÈMES que notre autonomie est censée nous être confisquée.

Mike Benz m’a appris aujourd’hui que le sens du terme « résilience » a été détourné pour y inclure la censure instaurée par le gouvernement américain. Pour ce faire, on a renommé nos cerveaux, nos opinions et notre présence sur les médias sociaux en tant qu' »infrastructure ». C’est en protégeant l’infrastructure contre les dommages (des idées dangereuses) que l’infrastructure (nos esprits) est rendue résiliente. Plutôt astucieux, non ?

Trouver des solutions pour la santé mondiale

L’objectif du Sommet Mondial de la Santé conjoint était de créer des synergies et de combiner les forces pour le développement de la santé mondiale en engageant tous les dirigeants et les parties prenantes de la santé mondiale de tous les secteurs dans toutes les régions du monde.

Le Sommet Mondial de la Santé 2022 a permis de renforcer les échanges, d’encourager les solutions innovantes aux problèmes de santé, d’élever la santé mondiale au rang de question politique clé et de promouvoir le débat sur la santé mondiale dans l’esprit des objectifs de développement durable des Nations Unies.

Aujourd’hui, la santé est « élevée » au rang de question politique clé. J’appelle ça un aveu, celui que la santé sera utilisée pour en tirer des avantages politiques. Côté développement durable, le sommet a encouragé les participants à ne pas prendre l’avion et tous les repas étaient végétariens.

Réduire l’impact climatique

Le changement climatique est l’un des problèmes de santé les plus urgents de notre époque et figure depuis longtemps à l’ordre du jour du Sommet Mondial de la Santé.

Projets de réduction des émissions

Les émissions de carbone estimées pour les vols des intervenants au Sommet Mondial de la Santé ont été entièrement compensées par le soutien d’un projet de réduction des émissions dans l’État de Karnataka, en Inde. Certifié par Gold Standard, le projet Kolar Biogas fournit des unités de biogaz aux ménages ruraux, réduisant ainsi l’utilisation du bois et du kérosène pour la cuisine. Le projet présente également des avantages pour la santé des ménages participants grâce à la réduction de la pollution de l’air intérieur, et est désigné comme apportant une contribution particulière à l’ODD3 ( Bonne Santé et Bien-être). [J’ai fait des recherches sur ce projet et j’ai trouvé très peu d’informations à son sujet. Les bénéficiaires transforment-ils réellement les déjections animales en gaz de cuisson, ou s’agit-il simplement d’un autre système de transfert d’argent et de crédits carbone sans aucun avantage pour l’environnement ou les personnes? – Nass]

Alternatives au transport aérien

Les orateurs et les participants sont encouragés à éviter de prendre l’avion si possible. Des prix spéciaux sont disponibles auprès de la Deutsche Bahn pour les participants au Sommet Mondial de la Santé. [C’est un sommet MONDIAL et ils demandent aux participants d’éviter de prendre l’avion. C’est une blague? Ce qui aurait pu être significatif, c’est d’interdire les avions privés – Nass].

Restauration

Les repas du Sommet Mondial de la Santé sont entièrement végétariens et préparés à partir de produits régionaux et saisonniers provenant principalement de sources locales. [Pas de grillons au menu donc].

L’un des événements était intitulé: Le rôle des parlementaires pour faire avancer le programme mondial de la santé.

Réunion-débat (PD 13) – Europe

« Les parlements jouent un rôle crucial dans la conception, la mise en œuvre et le suivi de la législation, des politiques et des programmes pertinents pour la réalisation du droit de chacun à jouir du meilleur état de santé physique et mentale possible et pour la mise en œuvre des Objectifs de Développement Durable (ODD) liés à la santé. »

Cette phrase contient des termes en vogue [NdT. buzzwords] à la fois importants et inquiétants.

  • Qui décide de ce qu’est le meilleur état de santé possible? Cela pourrait-il impliquer une multitude de vaccinations?
  • De même, qui décide du meilleur niveau de santé mentale possible? Est-ce qu’il nécessite des médicaments? S’agit-il d’un état soporifique? Un état dans lequel on ne pense jamais à défier l’autorité?
  • Et pourquoi les objectifs de développement durable sont-ils systématiquement invoqués?

Venons-en maintenant aux thèmes centraux de la conférence:

Investir dans la santé et le bien-être

L’urgence d’investir de manière durable et équitable dans la santé et le bien-être s’avère plus importante que jamais compte tenu de l’imbrication des défis mondiaux actuels. Des discussions approfondies ont eu lieu sur la nécessité d’accroître les investissements dans la santé, notamment à la suite de l’impact de la pandémie de COVID19; les institutions financières sont plus engagées et plusieurs nouveaux instruments financiers ont été proposés. Si l’on constate une évolution vers des investissements responsables de la part des investisseurs privés et institutionnels, particulièrement en ce qui concerne l’impact sur le climat, il reste encore beaucoup à faire pour que les grands flux financiers soutiennent la santé, améliorent l’impact des acteurs économiques sur la santé et élargissent l’approche ESG pour y inclure des considérations sanitaires. Les groupes de personnes vulnérables et marginalisées étant particulièrement touchés, les investissements ciblés sur la santé et ses déterminants jouent également un rôle crucial pour l’équité en matière de santé.

Traduction de Nass: Nous vous avons escroqué pour que vous nous donniez des montagnes d’argent afin de prévenir le changement climatique (sans aucun résultat à la clé), alors pourquoi ne ferions-nous pas de même pour la santé, puisque l’OMS n’a pratiquement rien fait pour la santé depuis sa création en 1948, et que vous ne l’avez jamais remarqué?

Changement climatique et santé planétaire

Le changement climatique est la plus grande menace pour la santé planétaire. Des millions de personnes sont victimes des vagues de chaleur, des sécheresses, des inondations et des tempêtes, de la faim et de la propagation des maladies infectieuses, de l’élévation du niveau de la mer et des migrations et de l’instabilité politique qui en résultent. Nous constatons que de nouvelles inégalités sanitaires importantes apparaissent en conséquence. Pour changer de cap, il faut adopter de nouvelles approches audacieuses en matière d’élaboration des politiques, de recherche et de commerce. Un défi sans précédent exige une réponse sans précédent. De nouvelles coalitions se forment entre les défenseurs et les militants de la santé et du climat, et des organisations internationales telles que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) sont en train d’accumuler des preuves et de créer des alliances pour placer ce programme au centre de l’action sanitaire mondiale. De nouvelles voies de transformation dans le secteur de la santé et au-delà, tant au niveau local que mondial, doivent être développées. L’une de ces voies consiste, pour les pays et les systèmes de santé, à fixer l’objectif d’une émission nette de carbone nulle dans les systèmes de santé et à aider les pays à faible et moyen revenu à décarboner leurs systèmes tout en développant les soins de santé universels et les soins de santé primaires. Une autre voie consiste à ce que la communauté de la santé publique intègre pleinement l’agenda de la santé planétaire.

Traduction de Nass: Pendant que nous prenons en charge la santé, n’oublions pas que nous devons encore lutter contre le changement climatique. Fusionnons simplement les deux concepts, appelons le climat le plus grand défi sanitaire mondial, et exigeons des actions sur les deux, toujours.

Architecture pour la préparation aux pandémies

Malgré les efforts considérables investis dans la préparation mondiale à la pandémie au cours des deux dernières décennies, [150 milliards de dollars US dépensés pour rien, si ce n’est davantage de virus à gain de fonction! – Nass] la pandémie de COVID-19 a souligné la nécessité d’être mieux préparé à identifier et à répondre aux nouvelles menaces pandémiques et épidémiques. Plusieurs groupes d’experts et commissions de haut niveau ont recommandé d’améliorer l’architecture mondiale de la santé publique, tandis que le G7 et le G20 ont inscrit la préparation à la pandémie en bonne place dans leur ordre du jour. Un défi majeur, tant au niveau mondial qu’au niveau national, consiste à mettre en place une surveillance plus forte et plus intelligente, notamment pour la détection rapide des agents pathogènes inconnus, associée à des capacités de prise de décision et de réponse efficaces. Une réalité fondamentale est qu’une meilleure intelligence des pandémies et des épidémies exige que tous les pays soient mieux préparés et capables de collaborer efficacement les uns avec les autres. Pour cela, les aspects structurels sont importants, comme les cadres juridiques internationaux, les mécanismes de financement, l’amélioration de la collaboration multisectorielle et le renforcement des organisations mondiales de santé publique existantes, notamment l’Organisation Mondiale de la Santé.

Traduction de Nass: Nos copains de l’industrie de la biodéfense ont dit qu’il fallait développer considérablement leur industrie. Et sous couvert de préparation, nous pourrons usurper l’autorité des pays pour gérer les pandémies, augmenter la surveillance mondiale non seulement des virus mais aussi des personnes, créer de nouveaux traités et règlements exécutoires, et demander beaucoup plus d’argent pour payer tout cela, le tout sous l’égide de l’OMS.

Transformation numérique de la santé

La transformation numérique de la santé progresse à grande vitesse. Aujourd’hui, les technologies numériques représentent une composante essentielle sur la voie de la connaissance de la santé, des systèmes de santé durables et de la couverture sanitaire universelle. Des changements fondamentaux sont actuellement en cours dans le domaine de la santé en ce qui concerne la manière dont les soins médicaux sont dispensés et dont les informations sont obtenues et diffusées. Les stratégies « Digital Health First » se développent rapidement, car de nombreuses grandes entreprises technologiques entrent dans l’arène de la santé. Le rôle des grandes plateformes technologiques en matière d’informations sanitaires fiables a été mis en évidence pendant la pandémie de COVID-19 et les infodémies sont devenues une menace majeure pour la santé. Ces développements ont conduit à de nouvelles formes de coopération entre les organisations internationales et l’industrie technologique au niveau mondial. Cependant, dans de nombreux pays, d’importants investissements dans les infrastructures sanitaires et numériques sont nécessaires et l’environnement réglementaire est faible. L’extraction de données et la perte de souveraineté numérique suscitent des inquiétudes. Les pays ont besoin de stratégies de santé numérique solides qui intègrent le leadership, les ressources financières, organisationnelles, humaines et technologiques, ainsi que le soutien nécessaire pour surmonter les principaux obstacles auxquels ils sont confrontés.

Traduction de Nass: Les dossiers médicaux électroniques ont contribué à ruiner les soins de santé aux États-Unis, mais ont considérablement amélioré les possibilités de chantage et de surveillance. Alors étendons-les au reste du monde. Le contrôle de l’espace numérique nous permettra une plus grande censure. Donnez-nous plus d’argent pour déployer la grille de contrôle numérique.

Systèmes alimentaires et santé

Les systèmes alimentaires nous rendent malades, entraînent des changements climatiques et sapent la santé des écosystèmes. L’alimentation est au cœur de la santé humaine, des écosystèmes et des animaux. Le programme est vaste : nous devons changer notre façon de penser, de produire, de distribuer, de consommer, d’éliminer et de valoriser les aliments, pour obtenir de meilleurs résultats en matière de santé. Il existe cinq voies interconnectées et interdépendantes : les régimes alimentaires malsains et l’insécurité alimentaire; les agents pathogènes zoonotiques et la résistance antimicrobienne; les aliments dangereux et frelatés; la contamination et la dégradation de l’environnement et les risques professionnels. Nous avons besoin d’une transformation des systèmes pour faire évoluer les systèmes alimentaires vers la fourniture de régimes alimentaires sains et durables pour tous. Si les systèmes alimentaires sont transformés, ils peuvent devenir une force motrice puissante pour mettre un terme à la faim, à l’insécurité alimentaire et à la malnutrition sous toutes ses formes. Le paquet d’actions comprend la taxation des options malsaines et la subvention des options saines, la protection des enfants contre le marketing nuisible des aliments et des boissons, la garantie d’un étiquetage nutritionnel clair et précis, la réduction des niveaux de sel, de sucres et de graisses nocives dans les aliments et les boissons transformés, l’enrichissement des aliments de base en ajoutant des vitamines et des minéraux supplémentaires, la garantie que des aliments nutritifs pour des régimes plus sains sont servis ou vendus dans les écoles, les hôpitaux et autres lieux publics, l’amélioration de la surveillance et de la réponse aux maladies d’origine alimentaire et l’évaluation et le renforcement des systèmes nationaux de contrôle alimentaire.

Traduction de Nass: Pour prendre le contrôle du système alimentaire mondial, nous avions besoin d’un très Gros Mensonge. Nous avons donc associé le changement climatique à l’affirmation selon laquelle la nourriture nous rend malades (ce ne sont finalement pas les additifs ni la malbouffe). C’est vous, les gens, qui avez bousillé la production alimentaire, alors maintenant laissez-nous fournir des grillons sains et durables à tous. Et prétendre réparer toutes ce que nos partenaires Pharma/Big Ag présents à cette conférence ont jusqu’à présent empêché les autorités de régulation de réparer. Et lancer des « systèmes nationaux de contrôle alimentaire ».

Je me souviens du temps où la Rhodésie a mis en place un système de contrôle alimentaire. Les noirs étaient soumis à des régimes de famine pour les empêcher de partager la nourriture avec les guérilleros. Oh oh.

Résilience et équité des systèmes de santé

La résilience des systèmes de santé et l’équité en matière de santé sont deux éléments clés d’une réponse efficace et efficiente à des crises telles que celle du COVID-19. Si un système de santé n’est pas en mesure de résister aux pressions exercées par un choc, il peut cesser de fonctionner ou s’effondrer, laissant en particulier les plus vulnérables en danger. Il est donc urgent de s’engager au niveau mondial et national à progresser durablement vers la couverture sanitaire universelle et la sécurité sanitaire, tout en s’engageant à respecter l’équité. Cela nécessite une approche intégrée pour construire et reconstruire des systèmes de santé qui répondent aux besoins de la population, avant, pendant et après les urgences de santé publique. Il faut s’adapter aux changements à long terme, apprendre en permanence, assurer les fonctions essentielles de santé publique, renforcer la santé primaire, gérer les risques d’urgence de toutes sortes et faire participer l’ensemble de la société. L’OMS a publié sept recommandations de politique générale sur la mise en place de systèmes de santé résilients fondés sur les soins de santé primaires et le suivi des inégalités en matière de santé effectué par l’OMS fournit une base factuelle pour les politiques, programmes et pratiques axés sur l’équité visant à combler les écarts existants.

Traduction de Nass: Définissez résilience, sécurité sanitaire, approche intégrée, ensemble de la société, pratiques axées sur l’équité. De quoi parlez-vous au juste? Puis donnez-moi un seul exemple dans lequel l’OMS a réalisé quoi que ce soit de ce genre, où que ce soit.

La santé mondiale pour la paix

Le monde connaît le plus grand nombre de conflits depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Selon les Nations Unies, deux milliards de personnes, soit un quart de la population mondiale, vivent aujourd’hui dans des zones touchées par des conflits. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a réagi en lançant l’Initiative Mondiale Santé pour la Paix (Global Health for Peace Initiative – GHPI) qui vise à positionner la santé comme un facteur d’influence de la paix et l’OMS comme un acteur qui aide à soutenir la paix par des interventions sanitaires qui sont sensibles aux conflits et donnent des résultats en matière de paix dans les zones touchées par les conflits. La GHPI encourage et soutient l’élaboration de programmes de santé qui tiennent compte de la dynamique de la paix et des conflits et qui, dans la mesure du possible, contribuent aux résultats de la paix. Sur la base du principe « Do no harm » (ne pas nuire), il vise à concevoir des interventions qui tiennent compte de la dynamique, des moteurs et des acteurs du conflit et cherche des moyens de contribuer aux résultats de la paix tout en poursuivant des objectifs de santé. Elle comprend la santé mentale et le soutien psychosocial, le dialogue communautaire et les initiatives de promotion de la santé inclusives. Les interventions sanitaires peuvent faire une réelle différence, elles peuvent servir de point de départ pour rassembler les gens. Elles contribuent également à permettre et à renforcer le dialogue, la participation, l’inclusion et l’instauration de la confiance.

Traduction de Nass: Nous avons inventé le chiffre de « 2 milliards » de personnes vivant dans des zones de conflit afin de faire croire que nos interventions peuvent avoir un impact beaucoup plus important que ce qui est possible. Puis nous avons inventé un concept: « la paix grâce aux interventions sanitaires ». Cela nous a permis de prétendre qu’on peut demander à une organisation de santé (l’OMS) d’apporter la paix dans les zones de conflit, même si c’est le travail de l’ONU, pas le nôtre. Et nous utiliserons la promotion de la santé pour gagner la confiance des gens. Et peut-être pourrons-nous droguer les combattants et appeler ça santé mentale.


Pour en savoir plus sur cette conférence, vous pouvez consulter toutes les sessions ou vous concentrer sur les discours de Bill Gates, Tedros Ghebreyesus (directeur général de l’OMS) ou Antonio Guterres (secrétaire général des Nations unies).


Commentaire n°1:

L’une de ces voies consiste, pour les pays et les systèmes de santé, à fixer l’objectif d’une émission nette de carbone nulle dans les systèmes de santé et à aider les pays à faible et moyen revenu à décarboner leurs systèmes tout en développant les soins de santé universels et les soins de santé primaires. Une autre voie consiste à ce que la communauté de la santé publique intègre pleinement l’agenda de la santé planétaire.

Les systèmes de santé occidentaux, utilisés dans la plupart des hôpitaux publics du monde, sont tous des systèmes à forte émission de carbone et à forte consommation d’énergie. Cette déclaration nous dit simplement qu’ils continueront à détruire les hôpitaux dans le monde entier. Ils ont amorcé le mouvement avec le covid, mais ils avaient déjà préparé le terrain des années auparavant. Ceux qui comprennent les systèmes émetteurs de carbone savent que le « net zéro » est impossible. Ceux qui travaillent dans la médecine occidentale savent à quel point elle est gourmande en énergie. Ils vont littéralement briser les systèmes de santé au nom de la durabilité et de l’équité, ce qui entraînera la mort de millions de personnes. C’est une destruction systématique de toutes les grandes infrastructures sociétales. Banque, santé, défense, juridique, agriculture, et gouvernance.

Commentaire n°2:

Il est extrêmement irritant de lire la salade de mots toxiques générée par ces destructeurs. Les leçons apprises de la pandémie nous permettent de traduire leur vision en une description concise des objectifs réels. Ils veulent que les gouvernements financent l’exécution de leur guerre contre toute vie humaine. Rien n’est plus durable et bénéfique pour les riches psychopathes que de générer d’énormes profits dans leur entreprise d’élimination des mangeurs inutiles.

Commentaire n°3:

Bon sang, certaines personnes aiment vraiment en contrôler d’autres. Malheureusement, cela semble aller crescendo jusqu’au moment où ces personnes aiment vraiment en tuer d’autres.

Who are you? Who, who, who, who?

Commentaire n°4:

Les humains sont du « carbone ». Toute matière vivante est du carbone. C’est une guerre contre la création de Dieu. Il a déjà gagné la guerre, mais l’ennemi de notre âme et ceux qui le servent causeront autant de souffrance que possible en attendant. Tournez-vous vers Jésus pour trouver la paix et l’espoir.

Commentaire n°5:

C’est facile à résumer. C’est le Nouveau Manifeste Néo-Communiste et il est en train de se réaliser parce que personne ne comprend le langage qu’ils utilisent.


Raison pour laquelle Meryl et votre serviteur sont heureux de vous en faire la traduction.

À très bientôt!

Ah oui, et bonne année.

Le traité de l’OMS sur les pandémies et « la prochaine pandémie » – par John Paul.

Un article de John Paul sur l’enjeu de « l’accord pandémie » de l’OMS, qui complète bien les trois articles que j’ai publiés juste avant: ici (le mien, qui m’a pris au moins vingt heures de recherche – donc lisez et partagez, merci), ici (de Spartacus, qui servira de synthèse) et ici (d’Igor, qui, comme celui ci-dessous, annonce la suite). Tout ça aidera à comprendre que tout dans cette opération a été orchestré de A à Z, du virus au changement de société, en passant par les sous-opérations de prise de pouvoir financier, politique et technologique. Problème/réaction/solution: classique.

Une petite réserve toutefois: John inclut en toute fin d’article un lien vers le bouquin d’Erica Chenoweth sur la résistance civile non-violente, qui prétend qu’il suffit de seulement 3,5% d’opposition populaire à un gouvernement pour provoquer une révolution. Comme je l’ai déjà maintes fois écrit, violente ou non-violente, il n’y a jamais eu de révolution et il n’y en aura jamais – ce qui ne veut pas dire qu’il n’y ait aucune solution à la tyrannie. C’est d’ailleurs l’objet d’un article que je rédige, bientôt prêt pour publication, « Le Grand Bluff ».

Pour info, Mme Chenoweth est professeure à l’Université de Harvard, fournisseur officiel d’agents au Renseignement américain, ce qui devrait suffire à la discréditer. Son bouquin n’est rien d’autre qu’un manuel à l’usage des fomenteurs de « révolutions colorées », c’est-à-dire de coups d’état étatsuniens.

Source.


Le traité de l’OMS sur les pandémies et « la prochaine pandémie »

John Paul

13 décembre

Si vous n’êtes pas au courant, il y a quelques mois, dans le contexte des abus de pouvoir qu’ont permis les discours alarmistes et les pressions (une version pauvre des opérations psychologiques), les suspects habituels se sont jetés sur l’occasion pour accélérer le processus d’approbation de politiques qui, sans cela, auraient été farouchement combattues par de larges pans de la population.

Parmi ces politiques, la plus scandaleuse de toutes est celle qui conduit à un gouvernement mondial unique, également connu sous le nom de « traité de l’OMS sur la pandémie ». Dès qu’il a été rendu public, ce traité a suscité des réactions considérables, car, comme je le disais au début de ce paragraphe, il prévoit l’abandon de toute souveraineté nationale au profit de l’OMS, qui aura carte blanche pour mettre en œuvre toutes les mesures nécessaires pour « faire face à une urgence ou à une pandémie ».

Les États membres de l’OMS conviennent d’élaborer une version zéro de l’accord juridiquement contraignant sur la pandémie au début de 2023.

  • Les pays se réunissent pendant trois jours pour convenir des prochaines étapes de la mise en place d’un instrument juridique historique, ancré dans la Constitution de l’OMS, destiné à protéger le monde des futures pandémies.
  • Au cours des discussions, les États membres appellent à un accord mondial qui tienne compte de l’équité, qui promeuve la préparation, qui garantisse la solidarité et qui respecte la souveraineté.
  • La version zéro de l’accord sur la pandémie sera prête à être négociée par les États membres à partir de février 2023.

Les États membres de l’Organisation Mondiale de la Santé ont convenu aujourd’hui d’élaborer le premier projet d’un accord juridiquement contraignant destiné à protéger le monde des futures pandémies. Ce « projet zéro » de l’accord sur la pandémie, ancré dans la Constitution de l’OMS, sera examiné par les États membres en février 2023.

L’accord conclu aujourd’hui par l’Organe Intergouvernemental de Négociation (Intergovernmental Negotiating Body – INB), composé des 194 États Membres de l’OMS, constitue une étape importante dans le processus mondial visant à tirer les leçons de la pandémie de COVID-19 et à empêcher que ne se reproduisent les effets dévastateurs qu’elle a eus sur les individus et les communautés du monde entier. L’INB s’est réuni au siège de l’OMS à Genève du 5 au 7 décembre pour sa troisième réunion depuis sa création en décembre 2021, à la suite d’une session extraordinaire de l’Assemblée Mondiale de la Santé.

L’Organe a convenu aujourd’hui que le Bureau de l’INB élaborera le projet zéro de l’accord sur la pandémie afin d’entamer les négociations lors de la quatrième réunion de l’INB, qui devrait débuter le 27 février 2023. Ce projet sera basé sur le projet zéro conceptuel et sur les discussions de la réunion de l’INB de cette semaine. Le Bureau de l’INB est composé de six délégués, un pour chacune des six régions de l’OMS, dont les coprésidents M. Roland Driece des Pays-Bas et Mme Precious Matsoso d’Afrique du Sud. 

« Les pays ont envoyé un message clair: le monde doit être mieux préparé, mieux coordonné et mieux soutenu pour protéger toutes les personnes, partout, d’une répétition du COVID-19 », a déclaré M. Driece, coprésident du Bureau de l’INB. « La décision de nous confier la tâche d’élaborer un projet zéro d’accord sur la pandémie représente une étape importante sur la voie d’un monde plus sûr. » 

Sa collègue coprésidente du Bureau de l’INB, Mme Matsoso, a déclaré que les représentants des gouvernements ont souligné que tout futur accord sur la pandémie devrait tenir compte de l’équité, renforcer la préparation, assurer la solidarité, promouvoir une approche de l’ensemble de la société et de l’ensemble du gouvernement, et respecter la souveraineté des pays. 

« L’impact de la pandémie de COVID-19 sur les vies humaines, les économies et les sociétés dans leur ensemble ne doit jamais être oublié », a déclaré Mme Matsoso. « La meilleure chance que nous ayons aujourd’hui, en tant que communauté mondiale, d’éviter que le passé ne se répète, c’est de nous rassembler, dans un esprit de solidarité, dans un engagement d’équité et dans la recherche de la santé pour tous, et d’élaborer un accord mondial qui protège les sociétés contre les menaces de pandémies futures. » 

L’accord de l’OMS sur la pandémie est examiné en vue de son adoption en vertu de l’article 19 de la Constitution de l’OMS, sans préjudice de l’examen, au fur et à mesure de l’avancement des travaux, de la pertinence de l’article 21.


Pourquoi est-ce important? Pour de multiples raisons, la plus importante étant le degré de corruption, de mainmise des entreprises et d’inefficacité de l’OMS. Si l’on pouvait imputer à une organisation au moins la moitié de tout ce qui s’est passé depuis 2020, cette organisation serait l’OMS.

Durant la majeure partie des cent cinquante dernières années s’est maintenu un espace philosophique permettant de discuter du fait que la centralisation du pouvoir, l’octroi d’un pouvoir incalculable à quelques personnes, ou en un lieu unique, a conduit aux plus grandes catastrophes de l’histoire récente. Comme pour la politique de Covid, cette nouvelle politique sera mise à profit par des sectes des élites mondiales pour instaurer sur le monde un contrôle sans possibilité d’opposition. De nombreux écrivains et personnalités ont expliqué à quel point ce traité est scandaleusement dangereux, mais il y a une raison particulière pour laquelle j’ai décidé d’écrire ce court article.

Il y a quelques jours, les suspects habituels, à savoir Johns Hopkins et la Fondation Bill & Melinda Gates, ont organisé un « exercice ».

Source de la vidéo.

Dans la même veine, l’exercice « pandémie SPARS » [NdT. document original ici] était un exercice similaire écrit et organisé par Johns Hopkins en 2017 qui avait choisi comme agent pathogène un nouveau coronavirus. Les exercices de ce type sont assez courants, mais la plupart d’entre eux choisissent des agents pathogènes communs ou pouvant être utilisés comme armes, tels que la rougeole, le virus Ebola, etc.

De nombreuses hypothèses et théories sont apparues très tôt dans la pandémie, liant ces documents à l’intention de libérer un nouveau coronavirus.

Celui qui a été choisi dans le cadre de cet exercice est le SEERS, Severe Epidemic Enterovirus Respiratory Syndrome [Syndrome respiratoire épidémique sévère à entérovirus]. Ce qui revêt beaucoup plus de signification, à la fois explicite et même ésotérique. En première analyse, une épidémie ou une pandémie d’entérovirus d’une pathogénicité significative décimera très probablement la santé des quadri-vaccinés, ou plus, à l’ARNm. En fonction de l’ampleur du changement immunologique provoqué par l’intervention susmentionnée, cela pourrait aller bien au-delà.

Une signification secondaire se trouve dans le fait que SEER [NdT. « seer », du verbe « to see », littérallement, visionnaire] est à la fois un mot désignant un sage ou une personne qui prédisait autrefois l’avenir et le nom d’une société de biotechnologie de haut niveau, une société non seulement à l’avant-garde de l’intelligence artificielle/apprentissage automatique liés à la recherche sur les protéines, mais qui dispose de beaucoup d’argent provenant des acteurs également impliqués dans l’ensemble de la réponse à la pandémie. Des entreprises dont vous n’avez probablement jamais entendu parler font souvent plus que laisser leurs empreintes sur les grands événements, comme dans le cas de Leidos [NdT. société militaire privée américaine réputée pour avoir de nombreuses connexions avec le Département de la Défense des États-Unis] et du SARS-CoV-2 (pourtant, vous ne voyez personne en parler, nulle part, jamais, encore moins chez 99% de la résistance Covid…).

Ce n’est un secret pour personne, je suis convaincu qu’il y aura une autre pandémie au cours de cette décennie. Des mathématiques à l’analyse des données, en passant par tout ce qui se trouve entre les deux, tout semble l’indiquer. Ce qui est intriguant, c’est le calendrier proposé par les organismes qui ont mené ces exercices, et par leurs partenaires financiers. Vous pouvez vous servir d’un moteur de recherche pour vérifier: pourquoi toutes les personnes impliquées dans la réponse à la pandémie au cours des cinq dernières années ont-elles prédit une pandémie mortelle d’ici 2025?

Et dans le cas d’un tel événement, que ce soit par la ruse ou par la force (soit une diffusion par des personnes au pouvoir, soit par des personnes qui en ont marre d’elles), lorsque l’inévitable prochaine pandémie frappera un monde où 30% de la population est paradoxalement immunodéprimée, la souveraineté nationale de la plupart des pays du monde se retrouvera entre les mains d’une organisation hautement corrompue, inefficace et captive d’intérêts extérieurs.

Si vous voulez comprendre, au moins en partie, pourquoi je suis à ce point sûr qu’il y aura tout un assortiment de fléaux dans les dix ou vingt prochaines années, mon article suivant pourrait être instructif. Ou alimenter l’anxiété de certains.

La futilité de la préparation à la pandémie [NdT. ma traduction ici]

Comme je l’ai déjà écrit, le moment où les peuples devront fixer leur limite se rapproche de plus en plus, et au moins une partie de la population devra choisir de s’opposer à la tyrannie ou de se soumettre. Et au cas où vous penseriez qu’il faudrait que ce soit la moitié de la population, en vertu des lois du comportement populationnel et surtout de la théorie mimétique de Girard et de la guerre neuro-cognitive, seul un petit pourcentage de la population suffit.


Certains types de comportements et de mèmes sont aussi contagieux que la rougeole, le SARS-CoV-2 ou toute autre peste artificielle.

Les enfants et les jeunes ciblés par l’exercice de Bill Gates, « Contagion Catastrophique » – par Igor Chudov.

« Ne prenez jamais de conseils de santé de quelqu’un qui pense que le monde est surpeuplé. »

el gato malo, Dec 11

L’autorisation des injections Covid pour les enfants n’a pas remporté le succès escompté.

« Bill » a la solution.

Source.


Les enfants et les jeunes ciblés par l’exercice de Bill Gates, « Contagion Catastrophique »

Vous vous souvenez de l’Événement 201 en 2019 et de l’exercice de préparation à la variole du singe en 2021?

Igor Chudov

11 décembre

Vous vous souvenez de « l’Événement 201« , un exercice de préparation mettant en scène une pandémie de coronavirus, mené en octobre 2019 sous les auspices du Forum Économique Mondial et de la Fondation Bill et Melinda Gates et impliquant le CDC chinois et d’autres organismes?

Le timing était des plus exquis, et la pandémie de COVID-19 a débuté quelques semaines après l’exercice et s’est poursuivie comme prévu.

Contagion catastrophique

Sachez que Bill Gates vient de réaliser un autre exercice, judicieusement appelé « Contagion Catastrophique » (je ne plaisante PAS), le 23 octobre 2022. Bill y a assisté en personne:

Que prévoyait « Contagion Catastrophique »? Elle planifiait une pandémie grave, pire que le COVID-19, visant les jeunes et les enfants.

Le Centre Johns Hopkins pour la Sécurité Sanitaire, en partenariat avec l’OMS et la Fondation Bill & Melinda Gates, a organisé Contagion Catastrophique, un exercice de simulation de pandémie lors de la réunion annuelle de Grand Challenges à Bruxelles, Belgique, le 23 octobre 2022.

Le groupe extraordinaire de participants était composé de 10 ministres de la santé et hauts responsables de la santé publique, actuels ou anciens, du Sénégal, du Rwanda, du Nigeria, de l’Angola, du Liberia, de Singapour, de l’Inde, de l’Allemagne, ainsi que de Bill Gates, coprésident de la Fondation Bill & Melinda Gates.

L’exercice a simulé une série de réunions du conseil consultatif sanitaire d’urgence de l’OMS portant sur une pandémie fictive se déroulant dans un avenir proche. Les participants se sont demandés comment réagir à une épidémie localisée dans une partie du monde qui se propage ensuite rapidement, devenant une pandémie avec un taux de mortalité plus élevé que celui de COVID-19 et touchant de manière disproportionnée les enfants et les jeunes.

Les participants ont été mis au défi de prendre des décisions politiques urgentes avec des informations limitées et face à l’incertitude. Chaque problème et chaque choix avait de graves ramifications sanitaires, économiques et sociales. 

Les « enseignements tirés » tendent fortement vers une position beaucoup plus ferme contre la « désinformation » que pendant la pandémie de Covid. Après tout, les sceptiques du Covid ont gagné, ce qui n’est PAS acceptable pour Bill Gates. Bill Gates prépare donc la prochaine pandémie de contagion catastrophique, qui tuera des personnes plus jeunes, où un contrôle beaucoup plus strict de la désinformation sera entrepris.

Les pays doivent donner la priorité aux efforts visant à accroître la confiance dans le gouvernement et la santé publique, à améliorer les efforts de communication en matière de santé publique, à renforcer la résistance des populations aux informations trompeuses et à réduire la diffusion de fausses informations nuisibles. Lors des futures pandémies, nous devons continuer à nous attendre à des perturbations encore plus importantes dues à la désinformation et à la mésinformation. L’OMS peut constituer une source de confiance mondiale et partager largement les informations scientifiques et de santé publique, mais nous ne devons pas attendre d’elle qu’elle combatte ou mette un terme à la diffusion de ces fausses informations et de cette désinformation. Les pays doivent collaborer pour anticiper cette menace et se préparer à la combattre avec leurs propres lois et procédures. Tout comme de nombreux types de préjudices économiques et sociétaux peuvent être anticipés et pris en compte dans les plans de préparation à une pandémie, il en va de même pour les messages de santé faux ou trompeurs prévisibles. L’exploration concertée des moyens de lutter contre ce phénomène au niveau national avant la prochaine pandémie sera cruciale pour sauver des vies.

C’est logique, non? Bill Gates et ses partenaires réalisent que si les sceptiques de Covid gagnent la bataille et prennent le contrôle de réseaux sociaux entiers, les futures batailles contre la « désinformation » devront impliquer des armes beaucoup plus lourdes.

Voici Bill en train de parler – aucun enregistrement de ce qu’il a dit n’est disponible.

Bill Gates a prédit la pandémie de variole du singe – au mois près

Bill Gates est un homme brillant et un visionnaire. Il est doté d’une étonnante capacité à prévoir les futures pandémies. En plus de se préparer à la pandémie de Covid-19 via l’Événement 201, il a également mené un « exercice de préparation à la variole du singe » en 2021, qui a prédit l’émergence de la variole du singe jusqu’au mois exact de son apparition!

Le timing étonnant de l’investissement de Bill Gates dans BioNTech

El Gato Malo nous a également rappelé que Bill Gates est un brillant investisseur : il a pris une participation dans une startup de biotechnologie à peine connue, BioNTech, deux mois seulement avant le début de la pandémie de Covid-19 et a gagné bien plus d’un milliard de dollars. Rappelons que BioNTech fournit le vaccin Covid de Pfizer – alors qu’elle n’avait jamais travaillé sur des vaccins avant la pandémie.

6 septembre 2019 09:45 AM EDT Mis à jour 10:32 AM Nouvelles en bref

BioNTech s’associe à la Fondation Bill et Melinda Gates et obtient une prise de participation de 55 millions de dollars; BeiGene repousse une brève attaque.

Le timing de son investissement montre sa clairvoyance exemplaire ! On pourrait se poser la question… Que savait Bill?

Je vous recommande donc d’écouter attentivement lorsque Bill Gates prédit une future pandémie. Il sait quelque chose dont nous ne sommes peut-être pas conscients.

Écoutez cette vidéo de 19 secondes où l’on voit Bill dire: « On y prêtera attention la PROCHAINE FOIS »!

Je prie pour les jeunes gens menacés dans l’exercice « Contagion Catastrophique » et j’espère qu’ils seront sauvés d’une manière ou d’une autre!

Pensez-vous que « la prochaine pandémie est juste au coin de la rue »?

PS: J’ai été déplateformé par les réseaux sociaux, mais mon chien a un compte Twitter. S’il vous plaît, suivez-le!

Bill Gates prévoit une « Contagion Catastrophique » qui tuera les JEUNES et les ENFANTS.

Gain de fonction ou gain de pureté?

Cette courte absence m’a permis de consacrer beaucoup de temps libre à lire un paquet d’articles. Je reviens avec quelques infos et analyses intéressantes, en commençant par ceci.

On a beaucoup parlé du gain de fonction dans le cadre de la pathogénicité du SARS-CoV-2, sans vraiment définir ce qu’est le gain de fonction. Ce sujet a récemment été abordé par Jonathan Jay Couey, neurobiologiste et membre fondateur de DRASTIC (Decentralized Radical Autonomous Team Investigating Covid-19), qu’il a quitté depuis. Extrait d’un article du Sun du 2 mars 2021:

« DRASTIC est une équipe indépendante de scientifiques, d’analystes et d’enquêteurs qui se sont réunis pour enquêter sur les origines de Covid-19. Leurs travaux ont été cités dans le New York Post, le Washington Post, le Telegraph, le Mail on Sunday et sur Sky News en Australie. Bon nombre de ses membres ont choisi de rester anonymes afin de se protéger d’éventuelles représailles et de pouvoir mener des recherches potentiellement controversées sans que leur carrière en pâtisse. Il s’agirait de spécialistes de l’ingénierie, des mathématiques, de la biologie, du renseignement et des données de sources ouvertes, qui se sont rencontrés sur Twitter. »

Le site web de Couey est ici. Son exposé sur le gain de pureté est ici, suivi d’une analyse de la conférence zoom organisée par Robert F Kennedy Jr, à laquelle il a participé aux côtés de Meryl Nass, Jessica Rose, Tess Lawrie (noms familiers à mes lecteurs) et Robert Malone, dont il décrypte le discours très ambigu – ce que j’ai commencé ici.

Couey rassemble sur son site des interviews qu’il fait de médecins et autres professionnels de la santé et de la recherche, dont le Dr Walter Chestnut (Substack et site web), déjà publié sur ce blog, et Kevin McKernan (Substack), biologiste spécialisé dans la bio-ingénierie, fondateur de Medicinal Genomics, qui étudie rien moins que la génomique du cannabis.

Katherine Watt (ses articles traduits ici et ici) parle ici de la session zoom entre Couey et Matthew Crawford, que vous connaissez de cet article. C’est moi qui souligne:

Des informations très, très intéressantes.

Ceci correspond à l’analyse globale selon laquelle l' »épidémie » et tout ce qui en découle font partie d’une gigantesque fraude.

JJ Couey ne dit pas que la fraude serait le fait que les virus eux-mêmes n’existent pas.

La fraude réside dans le fait que les virus naturels, même s’ils sont manipulés et recombinés en laboratoire par des individus comme Ralph Baric, ne sont pas capables de provoquer des pandémies mondiales, en raison de leur diversité génétique intrinsèque, de la coévolution de nos systèmes immunitaires avec eux et de la manière dont ces deux éléments affectent leur capacité de réplication in vivo.

Les épidémies naturelles s’épuisent trop rapidement, après avoir infecté trop peu de personnes.

Mais les virus synthétiques purifiés en laboratoire, distribués artificiellement et sélectionnés pour leur capacité de réplication, peuvent être présentés au monde comme des virus naturels ou recombinants.

Et cette fraude, dont l’objectif est de créer la peur, pouvait être et a été la justification des masques, des tests, des confinements, des essais cliniques truqués, des campagnes de vaccination de masse par injection létale, des décrets, de la destruction économique, de la centralisation du pouvoir et de la concentration des financements.

[Le tout] partant du principe frauduleux que les pandémies virales constituent une menace véritable pour l’humanité [et] que les gouvernements peuvent et doivent exercer des pouvoirs insensés et investir d’énormes ressources financières dans les entreprises pharmaceutiques – en particulier les produits à base de nanoparticules d’ARNm/lipides – pour tenter de les contrôler.

Continuer de présenter cette fraude au public comme une vérité permet de poursuivre les dissimulations, les campagnes de diversion et autres guerres de l’information.

Pour ce que ça vaut, je vois les Malone (Robert et Jill) d’une manière différente de celle de Crawford. Je pense qu’ils sont des acteurs conscients et volontaires de cette opération criminelle.

Je ne pense pas qu’ils soient des participants réticents pour qui le jeu a soudainement dérapé, et qui cherchent maintenant des moyens de se désengager et de s’expliquer sans violer les termes de leurs autorisations de sécurité du Département de la Défense.

Cependant, ce n’est que mon opinion. Basée sur l’habileté du Dr Malone à éviter de se compromettre, et sur son étrange adhésion à l’image publicitaire de l’Homme-le-plus-intéressant [NdT. ce lien renvoie vers un article de Sage Hana qui taille un costard au Dr Malone, que je rhabillerai pour l’hiver dans un prochain article].

Pour bien comprendre ce qui précède, je vais tenter de résumer succintement quelques points de la présentation susmentionnée de Couey. Comme le fait Katherine Watt ci-dessus, je les replace dans le contexte des événements, ce qui amène logiquement aux questions qu’elle soulève, et aussi à une autre, qu’apparemment personne ne pense à poser.

Juste pour rappel, au début de la « pandémie », certains médecins s’étonnaient de l’étrange distribution de la maladie. Les « viro-sceptiques » y voyaient même la confirmation d’une autre cause, non-virale. Arthur Firstenberg a écrit un bouquin qui donnait comme cause unique du Covid la pollution électromagnétique ambiante générée par la nouvelle génération d’ondes millimétriques – en bref, la 5g. D’autres pointaient l’oxyde de graphène (supposément contenu dans des vaccins anti-grippaux antérieurs), associé à ce même genre d’ondes, comme cause des symptômes du Covid, et comme cause des effets « secondaires » des injections. D’autres enfin, comme le Dr Andrew Kauffman, niaient purement et simplement l’existence du virus, qu’ils identifiaient comme exosomes, et attribuaient les symptômes du Covid à leur hypothèse favorite, la « détoxification ». J’ai déjà traité de ces voies de garage ici.

Ce pseudo-débat a récemment repris un peu d’ampleur sur Substack. De nombreux scientifiques assez pointus, dont je traduis et re-publie ici certains articles, ont assez vite clos le débat par des arguments solides et très documentés sur les divers mécanismes de la pathologie du SARS-CoV-2. L’hypothèse aujourd’hui dominante, longtemps diabolisée, est que le SARS-CoV-2 – la souche dite « de Wuhan » – est issu d’une manipulation en laboratoire, un « gain de fonction » qui l’a rendu plus virulent – et plus mortel – pour l’être humain par rapport à un coronavirus « sauvage ».

Couey pose donc la question: qu’est-ce exactement qu’un gain de fonction? Je résume ce qu’il en dit dans son exposé. Il existe quatre méthodes de gain de fonction, dont trois – passage animal, culture cellulaire, récolte de virus sauvage – sont relativement aléatoires et n’offrent aucune garantie de résultat. La méthode de gain de fonction la plus aboutie est de travailler directement sur le virus. C’est cette méthode qui a vraisemblablement été utilisée pour la fabrication du SARS-CoV-2.

Il est en fait assez facile de créer des copies identiques de virus ARN in silico – appelées « clones » synthétiques – par un procédé employé dans les laboratoires de biologie moléculaire. On utilise pour les répliquer une méthode dite de l’ADN circulaire. Les virus ARN sont d’abord découpés en brins, qui correspondent à des fonctions distinctes du virus et sont conçus pour s’ajuster ensuite comme des pièces de puzzle – la pièce 2 ne s’ajuste qu’avec la pièce 1 et 3, la pièce 3 qu’avec la 2 et 4, etc. On utilise ensuite de l’ADN bactérien pour répliquer ces pièces, qui seront ensuite récoltées par filtration et ré-assemblées par ligation pour former des clones complets. On peut ainsi en fabriquer de grandes quantités et, contrairement à la réplication in vivo, quasiment sans aucune erreur dans le processus, grâce à la stabilité inhérente à l’ADN reproducteur. En plus d’un gain de fonction, on a donc ainsi créé ce que Couey appelle un « gain de pureté ».

Le SARS-CoV-2 est un virus ARN à simple brin qui utilise dans une population humaine l’ADN de l’hôte pour se reproduire. Lors de cette reproduction in vivo, contrairement à ce qui se passe en laboratoire, se produisent de nombreuses erreurs de réplication. Le résultat est qu’un grand nombre devient inapte à causer des symptômes, voire à se répliquer à nouveau – ce sont des virus à réplication défective ou à défaut de réplication. Le résultat est donc une masse de virus dont seule une fraction est identique au modèle de départ. Ils sont désignés par le terme « quasi-espèce » (quasi-species). Lorsqu’ils infectent un hôte, ils constituent un « essaim viral » (swarm), dont seul un petit pourcentage est virulent. C’est donc, pour ainsi dire, un premier mécanisme naturel de contrôle des épidémies.

Un autre mécanisme expliqué par Couey et repris par Katherine Watt ci-dessus, est que les hôtes qui développent une infection létale meurent avant d’avoir pu contaminer d’autres personnes. Qu’il y ait décès ou non, l’état général des infectés est de toute manière suffisamment mauvais pour qu’ils se retirent eux-mêmes très tôt de la circulation – à noter que le Dr Meryl Nass donne plusieurs contre-exemples de ce schéma lors de la susdite conférence zoom. Le virus en circulation s’éteint ensuite purement et simplement, faute d’hôtes. Pour cette raison, les virus à fort taux de létalité sont de très mauvais candidats pour créer une pandémie. Couey cite une fuite de laboratoire antérieure qui a suivi ce schéma (8 000 contaminations, 800 morts, fin de l’épidémie).

Depuis cette présentation, pour une raison qui m’échappe, Couey a succombé à une explication simpliste de la pandémie, rapportée ici avec enthousiasme par Michael Senger, un opposant contrôlé avec un bouquin à vendre sur la culpabilité de la Chine, sujet répété ad nauseam, sur lequel je reviens plus bas avec un point de vue assez différent. Couey pense aujourd’hui qu’il n’y aurait eu aucun nouveau pathogène et que la pandémie ne serait le fait que d’une simple manipulation statistique. Par conséquent, je ne parlerai plus de JJ Couey à l’avenir, pour les mêmes raisons qui me font abandonner tous ceux dont le raisonnement « plafonne » – ou dévie de manière suspecte. Je peux vous assurer avec 100% de certitude, de ma propre expérience et de celle de centaines de personnes dont j’ai lu le témoignage (dont celui-ci) que sa conclusion est fausse. C’est bien un nouveau pathogène, qui provoque un nouveau train de symptômes, aussi étrange qu’épouvantable.

En ce qui concerne la possibilité que ce virus se diffuse et crée une pandémie malgré cet inhérent défaut de réplication, Kevin McKernan donne une réponse – qui ne convainc pas tout le monde – sur cette page ainsi que dans ses commentaires sur cette page:

Mon interprétation de son podcast était qu’un clone infectieux ne durerait pas longtemps dans un essaim…

Je pense qu’il peut durer suffisamment longtemps pour faire le tour du globe comme l’a fait Alpha.

Il est rejoint sur ce point par le Dr Brian Mowrey, autre auteur très prolifique sur Substack, aux publications très fouillées et documentées. En résumé, son angle est de laisser toutes les options sur la table, ce qui donne parfois l’impression qu’il tente de noyer le poisson – c’est quelqu’un d’intéressant mais je lui fais très moyennement confiance. Il retrace une histoire hautement suspecte de la polio, vu ce qu’on en sait maintenant. Il conteste la date d’apparition du VRS, et donc son origine iatrogéne – le vaccin anti-poliomyélitique. Il continue encore aujourd’hui avec obstination à enquêter sur l’origine naturelle ou synthétique du virus. Pour le sujet qui nous intéresse dans cet article, il estime, contrairement à ce que comprend Couey, que la rémanence de certaines souches plaide plutôt en faveur d’un mécanisme de stabilité du génome viral et par conséquent – ça devient intéressant – il ne croit pas beaucoup à l’émergence spontanée de variants (il l’explique ici, ici et ici) et laisse ainsi la porte ouverte à une possibilité de diffusions volontaires et multiples de clones, à commencer par l’original. Pour des raisons techniques qu’il développe en détail, il soupçonne un acteur autre que la Chine ou les Etats-Unis. Il explique à ce propos, qu’il n’y a pas eu de pandémie à proprement parler mais un ensemble de foyers épidémiques distincts, hypothèse partagée par plusieurs autres médecins, notamment le Dr Lee Merritt, qui colle assez bien avec cette distribution étrange.

Voici la question, dont je parlais au début: vu que la souche originale de Wuhan, dont on comprend mieux les différents modes d’action, était manifestement dangereuse, vu que c’est chez les personnes injectées, qui produisent la protéine de pointe de cette souche précise, que l’on voit aujourd’hui des morts subites (SADS, voir ici), vu que les vidéos émanant de Chine début 2020 montraient un genre similaire de mort subite, ces vidéos, jugées frauduleuses, étaient-elles en fait authentiques? Montraient-elles les conséquences d’une diffusion d’arme biologique létale? Dans l’affirmative, ce fait donnerait un tout autre sens à la politique extrême de zéro Covid du PCC. Les Chinois savaient-ils quelque chose que nous ne savions pas – par exemple, les effets à long terme de la contamination au SARS-CoV-2?

J’ai à publier sur ces effets quelques articles du susmentionné Dr Chestnut, qui montrent que les personnes contaminées par le virus, l’injection et/ou l’excrétion vaccinale de personnes injectées, si on ne trouve aucun traitement adéquat, n’éliminent jamais cette protéine de pointe, qui continue à causer silencieusement des dégâts irréversibles aux organes, au système sanguin et au système immunitaire. Nous verrons donc une dépopulation, d’abord par les morts à court et moyen terme et la stérilisation, suivie par une réduction de l’espérance de vie au niveau global. L’arme parfaite. Le type qui a inventé ça est un génie.

Technocratique ou non, il semble que l’élite compte pour instaurer son système un rétablissement de l’ancien cadre féodal, ou du moins de la notion qu’ils en ont. En recréant l’exode rural par les « villes intelligentes », en recréant la disette alimentaire par la suppression de protéines animales essentielles, le rationnement et la pénurie permanente, en recréant l’indigence avec la ruine économique et l’appauvrissement institutionnel que permettront revenu universel et monnaie digitale programmable des banques centrales, en recréant le sacrifice patriotique par les sanctions contre la Russie, en recréant les anciens cultes par un système de croyances « vertes » et en recréant le spectre des grandes épidémies par une arme biologique destructice de la résistance humaine.

Les médecins sont redevenus de dangereux charlatans, les hôpitaux des mouroirs surchargés. Les gens ont froid, les gens ont faim. La misère et la peur du lendemain sont de retour.

Le Nouveau Normal n’a vraiment rien de nouveau.

Le Dr Masanori Fukushima, Professeur Emérite japonais à l’Université de Kyoto, fait une déclaration explosive au sujet des vaccins Covid-19 et de la réponse de son gouvernement au Covid-19 – par Super Sally.

J’attendais de voir un médecin piquer une colère appropriée. Cette scène fut une expérience cathartique. Le mec est énervé, dans le genre énervé niveau génocide.

jacquelyn sauriol, Dec 1

Avant de commencer, permettez-moi d’expliquer une chose relativement méconnue en Occident, à propos de la colère des Orientaux, ces gens incroyablement polis et patients.

Ce qu’il faut en savoir, c’est qu’elle est très difficile à susciter, et impossible à arrêter.

Vous pouvez me croire, je suis à moitié oriental. Très peu de gens m’ont vu en colère mais tous s’en souviennent.

On n’avait jusqu’à présent vu personne faire de vagues depuis cette partie du monde. Comme vous le lirez, ce n’est pas une simple vague, c’est un tsunami et c’est un signe clair que quelque chose est en train de changer – vous pouvez me croire aussi sur ce point.

Je n’ai pas vérifié si quelqu’un s’était déjà tapé le boulot de sous-titrer la vidéo en français mais comme mes lecteurs le savent, vous pouvez faire confiance à ma traduction (voir note ci-dessus). Merci à Naked Emperor pour sa transcription en anglais, qui m’a fait gagner pas mal de temps. Et bien entendu, merci à Super Sally. J’ai également transcrit et traduit un autre extrait de l’allocution du Dr Fukushima, qui figure sous le premier extrait, en addendum.

Taquin, j’ai failli mettre comme titre « Fukushima explose » mais je me suis retenu à temps.

Note: Quelqu’un sur Substack a fait appel à un traducteur professionnel pour corriger la traduction initiale du japonais vers l’anglais. Devant le grand nombre de lecteurs de cet article, j’ai revu et corrigé ma traduction sur cette base le 12/06/24.

Addendum 17/02/23: la suite de cette histoire ici.

Source.


Le Dr Masanori Fukushima, Professeur Emérite japonais à l’Université de Kyoto, fait une déclaration explosive au sujet des vaccins Covid-19 et de la réponse de son gouvernement au Covid-19

Il s’adresse au monde entier: « ce vaccin a été scientifiquement mal conçu », « les dommages causés par les vaccins sont désormais un problème mondial », « des milliards de vies pourraient à terme être en danger »

Super Sally

1er décembre 2022

Un Professeur Emérite japonais, que l’on peut le voir sur Twitter, dénonce l’idiotie et la tragédie des vaccins en termes cinglants. Une carence scientifique totale! Le Dr Fukushima est Professeur Émérite à l’Université de Kyoto et Président du Translational Research Informatics Center. Voici 4:49 minutes de son allocution sur Rumble.

NdT. Cliquez sur la photo pour accéder à la vidéo sur Rumble.

Premièrement, le vaccin a été scientifiquement mal conçu. En 2020, j’ai immédiatement traduit les directives chinoises, dès qu’elles sont arrivées de Chine, sur manière la plus appropriée d’utiliser les stéroïdes. Je l’ai ensuite annoncé. Mais personne ne m’a entendu.

Mais les médecins japonais sont compétents, ils ont donc compris que les stéroïdes devaient être utilisés immédiatement et ont publié une directive vers le mois de juin. Le taux de mortalité a alors fortement diminué. C’était avant le vaccin. Donc, pour ce qui est de ce vaccin, les personnes qui en ont ordonné l’utilisation sans les connaissances académiques, cela constitue un péché. Les dommages causés par les vaccins sont désormais un problème mondial.

Dans un article publié récemment, de nombreuses personnes ayant reçu le vaccin ont été considérées comme ayant subi un préjudice généralisé, ce qui représente des milliards de vies qui pourraient être en danger.

Pour les agences de santé, les questions qui ont été présentées doivent être démontrées avec preuves à l’appui, afin que le Ministère de la Santé et du Travail n’ait pas à s’en préoccuper. Ou reconnaître que c’est le cas et agir en conséquence. Ensuite, pour chaque individu, ces informations doivent être largement diffusées, afin que tout le monde soit sur la même longueur d’onde d’un point de vue médical.

Cet article a été traduit et distribué à tout le monde, alors lisez-le attentivement!

Autre chose, après avoir reçu le vaccin, la moitié des décès étaient dus à des effets sur les nerfs et le cœur, parmi les causes de la mort. Vous comprenez, n’est-ce pas? Alpha, gamma, bêta, et faire tous ces trucs débiles en rassemblant des savants incompétents, en ignorant complètement la science et la médecine.

Cela ne peut plus se reproduire. Notre pays est un pays de science et de technologie. Ignorer la science et la médecine, éroder nos soins de santé, c’est un gâchis! Du rêve à la réalité, nous voyons combien de soins urgents nous avons reçus. Toutes les personnes qui ont reçu ce vaccin et dont la tension artérielle a augmenté, c’est à cause de ce vaccin. Près de 2 000 personnes, mais les décès réels sont, je crois, plusieurs fois supérieurs. La plupart ont perdu tout espoir. J’ai dit « perdu tout espoir »! Il se trouve que l’on a procédé à une autopsie et que l’on a soumis un article d’opinion, mais on n’y a pas touché! Qu’est-ce qu’ils font? Il n’y a aucune raison de cacher ces faits.

Les préjudices antérieurs causés par la médecine sont similaires. Il y a eu de grandes souffrances. Quoi qu’il en soit, nous devons éradiquer les souffrances causées par les médicaments. Ce pays a appris sa leçon sur les souffrances induites par les médicaments, et il est devenu ce pays.

Mais nous l’avons délibérément ignoré, pour dépenser des milliers de milliards de yens afin d’importer des vaccins. C’est pourquoi la situation s’est à peine stabilisée. L’année dernière, on pensait que l’utilisation des vaccins se généraliserait et que la pandémie prendrait fin grâce à eux – j’ai eu l’impression que c’était une chimère dans les revues spécialisées. C’est une idée fausse. Nous avons enfin commencé à le comprendre. De même, en ce qui concerne les nanoparticules… et… le danger qu’il y a à les envelopper dans des nanoparticules et à les injecter. Diverses cellules l’absorbent et se transforment. Nous le savons maintenant. Le mécanisme est clair.

Dissolvez immédiatement le Comité d’Evaluation et enquêtez sur tous les cas. Telle est la conclusion. Enquêtez sur tous les cas! Toutes les personnes qui ont reçu le vaccin se sont senties plus mal; que chacun prévienne les institutions médicales. Nous ne pouvons pas traîner les pieds. Les maladies cardiovasculaires, les maladies auto-immunes, la susceptibilité aux infections, tout cela se répercutera sur le cerveau. Les nanoparticules seront absorbées par le cerveau. Les scientifiques idiots diront: « Elles ne peuvent pas traverser la barrière sanguine, donc c’est bon. » J’ai envie de dire: « Vous devez être stupide. » L’immunité naturelle est supprimée. La raison pour laquelle le virus ne s’est pas propagé au Japon au début est que les Japonais ont des IgA (immunoglobuline A salivaire) dans leur salive et qu’ils ont une résistance au Corona. Cependant, à cause du vaccin, l’immunité naturelle a été supprimée. L’immunité naturelle a été supprimée, c’est pourquoi cela s’est produit. Le phénomène ne s’atténuera pas du tout. Il va se propager de plus en plus.

Avez-vous calculé le nombre de cas d’infection post-vaccinale? La plupart des personnes ont subi une infection post-vaccinale. Ce ne sont pas les personnes non vaccinées qui sont infectées. Ce sont les vaccinés qui s’infectent les uns les autres. Le Ministère de la Santé et du Travail a publié des données qui clarifient tout cela. J’en parlerai plus tard.

Il faut que tout le monde réagisse dès demain. Faites-en part aux journaux et à la presse, ainsi qu’aux membres de la Diète. [NdT. La Diète, c’est-à-dire le parlement japonais, est le plus haut organe de l’Etat et le seul à détenir le pouvoir législatif]

Les gens ont montré où ils avaient été vaccinés.

ADDENDUM

Pr Fukushima: Je dis donc qu’il faut enquêter! Se baser sur un bout de papier n’est pas correct. Il faut examiner les dossiers médicaux et enquêter correctement. Il n’y a aucun doute à ce sujet. Allons-nous faire de la science? Allons-nous essayer d’effacer des preuves? Faites ce qu’il faut, ou vous allez vous retrouver avec un procès criminel sur les bras. Trop c’est trop. Je ne veux pas en entendre parler. Personne ne sera convaincu par cela.

Membre du Ministère de la Santé: Bien sûr, il ne s’agit pas d’une évaluation pure et simple, mais…

Pr Fukushima: Il n’y a aucun moyen d’évaluer! Ce dont vous avez besoin, c’est de consulter correctement les dossiers médicaux – les données – et de les examiner minutieusement au cas par cas. La vie des gens est en jeu.

Membre du Ministère de la Santé: Oui Monsieur! Nous ferons tout notre possible.

Pr Fukushima: Espèce d’idiot! Assez, c’est assez.

Après avoir réuni les membres de l’académie et de la Diète, nous ne pouvons pas répéter ce genre de choses! Dès le départ, nous devons faire la lumière sur cette affaire grâce au pouvoir de la science. Cela signifie que vous devez dissoudre l’organisation stupide qu’est le Comité d’Evaluation de la Causalité des Vaccins. Créez un comité d’enquête chargé d’examiner tous les cas. Pour ce faire, il faut inclure des statisticiens et des chercheurs compétents. Ensuite, il faut mener les enquêtes. Comme l’a dit le Dr Sano, s’il y a des échantillons de tissus, quel type de procédure allons-nous suivre? Cette question fait déjà l’objet de recherches dans le monde entier. La restauration du Japon est en jeu.

On a vacciné beaucoup de monde. Et pourtant, seuls 10% des membres du Ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales qui dirigent la campagne de vaccination ont été vaccinés. Mais qu’est-ce que c’est que cette blague? Premièrement, il faut clarifier cette situation, dissoudre immédiatement le Comité d’Evaluation de la Causalité des Vaccins, et enquêter sur tous les cas. On doit identifier tous les décès et les décès non signalés. Des milliers, des dizaines de milliers de vies sont en jeu.

Encore une chose. Nous ne connaissons pas les effets à long terme de ce vaccin. De nombreuses nanoparticules absorbées par l’organisme produiront sans cesse des protéines de pointe. Les gens se demanderont pourquoi ils se sentent de plus en plus malades. Soudain, la situation s’aggrave. La tension artérielle monte en flèche sans crier gare. De l’eczéma sans crier gare. Lorsque nous enquêtons, nous trouvons des protéines de pointe. Mais à ce stade du diagnostic, la maladie est déjà passée à la phase suivante. Nous devons immédiatement arrêter les vaccinations et prendre soin de la santé de tous ces cas. C’est ce que dit cet article!

On fait appel à des gens incapables de comprendre correctement la science de pointe, et la presse montre aussi ces gens où ils répètent toujours la même chose. C’est de la bêtise! La bêtise en spectacle. Je ne suis pas ici pour le processus, patati et patata. Je suis ici aujourd’hui pour corriger les choses correctement. C’est pour cela que je suis ici.

FIN DE L’ADDENDUM

Cette biographie le présente comme un expert en maladies infectieuses. Il est oncologue et possède plus de 25 ans d’expérience. Il est amplement qualifié pour s’exprimer.

Le Dr Fukushima est Professeur Emérite à l’Université de Kyoto et Directeur et Président du Translational Research Informatics Center (TRI), Japon. Oncologue, il a plus de 25 ans d’expérience dans la pratique et la diffusion du traitement standard du cancer et dans la réforme du système de soins médicaux au Japon. Le Dr Fukushima contribue activement à la construction de l’infrastructure des essais cliniques, en mettant l’accent sur la recherche translationnelle. Il encourage l’utilisation des normes CDISC dans la recherche universitaire afin de parvenir à une normalisation complète et harmonisée des données. Le Dr Fukushima supervise également les programmes nationaux de promotion de la recherche translationnelle menés par le gouvernement japonais, qui ont conduit à la formation du Conseil des Organisations de Recherche Académique (ARO).

Les Japonais sont généralement considérés comme polis, réservés et discrets. Cela devrait rendre l’appel du Dr Fukushima d’autant plus frappant et convaincant.

Le Japon fait partie des nations les plus fortement vaccinées contre le virus Covid-19 dans le monde.

Cependant, le nombre de cas augmente à nouveau, ainsi que le nombre de décès. Ça n’a pas de sens si les vaccins sont efficaces. Il est clair qu’ils ne le sont pas!

Ensuite, on voit une montée en flèche et l’accélération de la surmortalité toutes causes confondues au Japon! Cela n’aurait pas dû se produire si ces produits étaient sûrs. Il est clair qu’ils ne le sont pas!

La croissance démographique négative antérieure sera aggravée et accélérée par les produits Covid-19.

Le Japon avait déjà une croissance démographique négative avant le Covid-19. Ajoutez à cela les crises cardiaques, les cancers, les accidents vasculaires cérébraux, la surmortalité, l’infertilité induite par les vaccins et les pertes de grossesse, entre autres événements indésirables. Cela pourrait être la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Le Japon est peut-être en voie d’extinction!

Le nombre de naissances au Japon atteint un nouveau plancher alors que la population diminue et vieillit

Le principal porte-parole du gouvernement japonais a déclaré lundi que le nombre de bébés nés cette année est inférieur au niveau plancher de l’année dernière.

Par MARI YAMAGUCHI Associated Press
28 novembre 2022, 11:32 AM

TOKYO — Le nombre de bébés nés au Japon cette année est inférieur au niveau plancher de l’année dernière, ce que le porte-parole du gouvernement a décrit comme une « situation critique ».

Le secrétaire en chef du Cabinet, Hirokazu Matsuno, a promis des mesures globales pour encourager les mariages et les naissances.

Le total de 599 636 Japonais nés entre janvier et septembre est inférieur de 4,9 % au chiffre de l’année dernière, ce qui laisse penser que le nombre de naissances pour l’ensemble de l’année 2022 pourrait être inférieur au chiffre plancher de 811 000 bébés enregistré l’année dernière, a-t-il déclaré.

Le Japon est la troisième plus grande économie du monde, mais le coût de la vie est élevé et les augmentations de salaire sont lentes. Le gouvernement conservateur a tardé à rendre la société plus inclusive pour les enfants, les femmes et les minorités.

Jusqu’à présent, les efforts du gouvernement pour encourager les gens à avoir plus de bébés ont eu un impact limité malgré le versement de subventions pour la grossesse, l’accouchement et les soins aux enfants.

« Le rythme est encore plus lent que l’année dernière […]. Je comprends que la situation est critique », a déclaré Matsuno.

De nombreux jeunes Japonais ont hésité à se marier ou à fonder une famille, découragés par les sombres perspectives d’emploi, les trajets pénibles et les cultures d’entreprise incompatibles avec le travail des deux parents.

Le nombre de naissances est en baisse depuis 1973, année où il a culminé à environ 2,1 millions. Il devrait tomber à 740 000 en 2040.

La population du Japon, qui compte plus de 125 millions d’habitants, est en baisse depuis 14 ans et devrait tomber à 86,7 millions en 2060. La diminution et le vieillissement de la population ont d’énormes répercussions sur l’économie et la sécurité nationale, car le pays renforce son armée pour contrer les ambitions territoriales de plus en plus affirmées de la Chine.

Le Dr Fukushima a absolument raison de dénoncer les vaccins et les conséquences de la pandémie, d’être livide! Son gouvernement doit y prêter attention! Nous devons y prêter attention! Tous les gouvernements qui ont forcé leur population à se faire vacciner sont confrontés aux mêmes conséquences et résultats. Ne pas écouter, c’est courir un grave danger!

S’il vous plaît, partagez!

Les sept heures de déposition de Fauci: ce qu’on en sait jusqu’à présent – par le Brownstone Institute.

Je vous propose quelques articles qui passent en revue des personnalités du monde médical, en commençant par le plus tristement célèbre. On trouve quelques répétitions inutiles dans celui-ci, et il oublie de mentionner les millions de morts causés par les « mesures ». Il y a d’autres articles que je publierais (conditionnel) si j’avais plus de temps mais il se passe pas mal de choses en ce moment.

Fauci inaugure une nouvelle tactique après l’amnistie pandémique: l’amnésie pandémique.

Source.


Les sept heures de déposition de Fauci: ce qu’on en sait jusqu’à présent

Brownstone Institute

22 novembre 2022

Aucune transcription n’est encore disponible et aucun journaliste n’a été admis. Mais grâce aux procureurs généraux qui ont intenté le procès, aux plaignants et à leur avocat, ainsi qu’aux autres parties impliquées dans le procès contre l’administration Biden, nous disposons de quelques informations sur la déposition d’Anthony « Je suis la Science » Fauci. Ce dernier a été la figure de proue de la réponse à la pandémie et il est accusé de collusion avec Big Tech pour faire taire la dissidence, en violation du Premier Amendement. 

La question de savoir si la déposition devait être publique a elle-même fait l’objet d’un débat juridiques. Le Ministère de la Justice a fait opposition à la publication de tout enregistrement et de toute information personnelle identifiable par crainte de harcèlement public, et cette exigence a été satisfaite. En conséquence, on ne dispose pas (encore) de transcription et on sent une grande réticence, même de la part des personnes présentes, à révéler l’intégralité des propos tenus. Les grands médias nationaux n’ont montré aucune volonté de s’intéresser à pour cette affaire. 

On dispose néanmoins d’informations par le biais de tweets sans ambigüité et d’un article rédigé par l’un des plaignants. Le fait marquant majeur est que Fauci est atteint d’un sévère cas d’amnésie. Le procureur général de la Louisiane, Jeff Landry, a rapporté que pendant sept heures, Fauci a essentiellement éludé toute question précise, répondant qu’il ne se rappelait pas clairement les détails qui pouvaient mettre en lumière son implication dans la censure de la parole. 

« Wow! Ça a été stupéfiant de passer 7 heures avec le Dr Fauci. L’homme qui, à lui seul, a détruit l’économie américaine en s’appuyant sur ‘la science’. Tout ça pour découvrir qu’il ne se souvient pratiquement de rien concernant sa réponse au Covid! »

Et ce, malgré les centaines de pages et les nombreuses déclarations publiques qui semblent confirmer que la Maison Blanche et de nombreuses agences gouvernementales ont collaboré très étroitement avec Google, Facebook, Twitter et d’autres, pour contrôler le récit durant près de deux ans. Une collaboration qui perdure probablement encore aujourd’hui. 

C’est Eric Schmitt, Procureur Général du Missouri et à présent Sénateur élu, qui a intenté le procès aux côtés du Procureur Général de Louisiane. Schmitt a tweeté « quelques éléments à retenir de la déposition de Fauci: Fauci savait que la théorie de la fuite du laboratoire était fondée, mais comme elle risquait de lui être reprochée, il a immédiatement cherché à la discréditer; il a défendu les mesures de confinement; le commun des mortels n’est pas en mesure de déterminer la meilleure solution pour lui-même. »

Il écrit également: « Au cours de la déposition de Fauci cette semaine, la sténographe a éternué. Fauci a exigé qu’elle porte un masque. Voilà, en novembre 2022, la mentalité de l’homme qui a verrouillé notre pays et détruit un nombre incalculable de vies et de moyens de subsistance. Les experts ont fait pareil. La dissidence a été censurée. En Amérique. Plus jamais ça ».

Le plaignant Aaron Kheritary, Chercheur Principal et Associé de Brownstone, explique ce qui suit:

MISE À JOUR: extrait de la déposition d’hier de Fauci dans l’affaire MO contre Biden. Fauci a confirmé avoir envoyé en février 2020 Clifford Lane, son adjoint au NIAID, en tant que représentant américain pour la délégation de l’OMS en Chine. Lane a convaincu Fauci que nous devrions imiter les mesures de confinement de la Chine. 

Le PCC avait annoncé que la Chine avait maîtrisé le virus grâce à des mesures de confinement draconiennes – une affirmation que l’on sait maintenant mensongère. Compte tenu de l’habitude de la Chine de falsifier les informations, Lane et Fauci auraient dû faire preuve de scepticisme face à cette affirmation. Les confinements constituaient une pratique totalement expérimentale et inédite. 

Comme l’a dit notre avocat, @Leftylockdowns1, Fauci « était apparemment prêt à baser son plaidoyer en faveur du confinement sur les observations d’un seul homme s’appuyant sur les rapports d’un dictateur ». Ce n’est pas exactement le niveau de preuve d’un essai randomisé en double aveugle, ni un quelconque niveau de preuve. 

Quelques jours après le retour de Lane, l’OMS a publié son rapport faisant l’éloge de la stratégie de la Chine: « L’utilisation intransigeante et rigoureuse par la Chine de mesures non pharmaceutiques [confinement] pour contenir la transmission du virus COVID-19 dans de multiples contextes offre des leçons essentielles pour une réponse mondiale ». 

« Cette réponse de santé publique plutôt unique et inédite de la Chine a permis d’inverser la progression des cas », affirme le rapport. Mon collègue @jeffreyatucker du @brownstoneinst a donné un aperçu ironique du rapport ému de l’OMS: « J’ai eu une vision du futur, et c’est Wuhan. » 

Le confinement s’est rapidement diffusé de la Chine vers l’Occident, vu qu’un nombre troublant d’apologistes occidentaux, en plus de l’OMS, se sont également penchés sur la réponse au covid du Parti Communiste Chinois. 

Les États-Unis et le Royaume-Uni ont emboité le pas au confinement de l’Italie, qui avait suivi la Chine, et tous les pays du monde, hormis une poignée, ont immédiatement suivi notre exemple. Quelques semaines plus tard, le monde entier était confiné. 

Depuis le début, la base factuelle de cette catastrophe politique mondiale était très mince. Nous vivons maintenant les conséquences de cette catastrophe. 

Jim Hoft, de Gateway Pundit, a ajouté des citations directes de Fauci confirmant pleinement le rapport de Brownstone sur le voyage éclair des NIH en Chine en février 2020:

John Sauer, « Et M. Lane, au retour de ce voyage, a dit que la gestion des Chinois était très structurée, organisée; exact?.. Avez-vous discuté avec M. Lane de ses impressions sur ce voyage lorsqu’il est revenu du voyage de l’OMS ? »

Dr Fauci: « La réponse est oui… Le Dr Lane a été très impressionné par la façon dont, du point de vue de la santé publique clinique, les Chinois géraient l’isolement, la recherche des contacts, la construction d’installations pour soigner les gens, et je pense que c’est ce qu’il voulait dire en parlant de [leur] gestion très structurée et organisée. »

Sauer: « Il a donc tiré la conclusion qu’il pourrait être nécessaire de prendre des mesures extrêmes, selon ses termes, pour imposer une distanciation sociale afin de maîtriser l’épidémie; exact? »

Fauci: « C’est ce que cela implique, oui… Il a discuté avec moi du fait que les Chinois avaient adopté une méthode très organisée pour tenter de contenir la propagation à Wuhan et ailleurs. Il n’a pas eu l’occasion d’aller à Wuhan, mais il était à Pékin, et je crois dans d’autres villes – au moins à Pékin – et il a mentionné leur manière très organisée, bien réglée de gérer l’épidémie.

Sauer: « Et donc sa réaction a été plutôt positive. Y a-t-il des leçons à tirer pour les États-Unis dans leur réponse à l’épidémie? »

Fauci: « Je crois que le Dr Lane est arrivé à la conclusion que, lorsqu’on est confronté à une maladie respiratoire fortement répandue, un moyen très courant et efficace de freiner la propagation rapide de la maladie est de mettre en œuvre des mesures de distanciation sociale… Le Dr Lane est un clinicien très avisé, et j’ai toutes les raisons de croire que son évaluation de la situation était précise et correcte. »

Pour être clair, ce que Fauci décrit ici, c’est une réponse politique qui consistait à souder les portes des appartements des gens et à exercer un contrôle totalitaire sur leurs déplacements, comme mise en œuvre « très organisée » et « bien réglée » de « mesures de distanciation sociale ».

Réfléchissez à ça. 

Hoft a fourni en outre les observations les plus détaillées à ce jour. Je cite ici l’intégralité de son rapport: 

  • Fauci est un menteur habile. Comme nous l’avons constaté depuis des mois dans ses commentaires publics, il ment quand il sent qu’il peut s’en tirer ou quand il sent qu’il n’y aura pas de conséquences significatives.
  • Fauci a fréquemment menti, à moins et jusqu’à ce qu’il soit confronté à des faits alternatifs. Par exemple, il a prétendu qu’il ne connaissait pas Ralph Baric (créateur du virus COVID) ou Peter Daszak (qui a négocié la subvention du NIAID de Fauci au laboratoire de biologie chinois de Wuhan), jusqu’à ce qu’il soit confronté à la preuve que son propre chef de cabinet lui a envoyé un courriel mentionnant que Daszak et Baric faisaient partie de l’équipe de Fauci!
  • Fauci a prétendu qu’il n’avait pas connaissance que son équipe de communication ne se coordonnait pas avec les entreprises de médias sociaux pour empêcher la « mal-information et la désinformation » jusqu’à ce qu’il soit forcé d’admettre qu’il avait effectivement connaissance de certains cas de coordination.
  • Fauci a continué à faire valoir l’affirmation, aujourd’hui démentie, selon laquelle le COVID-19 était un virus d’origine naturelle.
  • Fauci a déclaré que la désinformation et la mal-information (les informations avec lesquelles il n’est pas d’accord) mettent des vies en danger.
  • Fauci a refusé de donner une définition de la recherche sur le « gain de fonction », affirmant que ce terme était trop large pour être défini.
  • FAIT AMUSANT: jusqu’à TRÈS récemment, la fille de Fauci travaillait pour Twitter.
  • FAIT AMUSANT: Fauci est un hypocondriaque. Dans un moment bizarre et surprenant de sa déposition, Fauci a déchargé une partie de sa frustration sur la pauvre sténographe. La sténographe qui transcrivait la déposition a éternué, et Fauci a interrompu la déposition et a réprimandé la sténographe: « C’EST QUOI VOTRE PROBLÈME? Vous souffrez d’une maladie respiratoire parce qu’à l’ère du COVID, je suis inquiet à l’idée d’être près de vous. » Sténographe: « Je ne suis pas malade, j’ai juste des allergies. Mais je peux porter un masque. » Fauci: « Ok. Merci, parce que ce que je ne veux surtout pas, c’est attraper le COVID. » [NdT. ce qui précède semble indiquer/confirmer que Fauci est un véritable psychopathe) (à noter que (1) Fauci lui-même n’a porté de masque à aucun moment de la déposition, et (2) il était apparemment assis à plusieurs mètres de la journaliste judiciaire).
  • FAIT AMUSANT: lors d’un autre spasme d’hypocondrie de Fauci, Fauci a ostensiblement fait une moue répobatrice au procureur général de la Louisiane Jeff Landry après que Landry ait éternué dans la veste de son costume.
  • Stratégie de jeu. Chaque fois qu’il aborde un sujet difficile, il refuse malhonnêtement de définir les termes clés afin d’éviter d’être coincé et de devoir rendre des comptes. Par exemple, lorsqu’il a abordé le sujet de la recherche sur le « gain de fonction », il a refusé de reconnaître la signification de ce terme, objectant qu’il s’agissait d’un terme si large qu’il ne pouvait être défini.
  • Fauci a affirmé à plusieurs reprises qu’il « ne se rappelait pas » ou « n’arrivait pas à se souvenir », et a tenté de soutenir ces déclarations invraisemblables en faisant valoir le grand volume de courriels qu’il recevait ou les questions ou études qui atterrissaient sur son bureau. La quasi-totalité de ces affirmations n’est tout simplement pas crédible, car les incidents en question étaient soit récents, soit survenus au cours des trois dernières années, et ils étaient tous porteurs d’une forte connotation politique.
  • L’autre méthode de mensonge de Fauci consistait simplement à prétendre qu’il ne comprenait pas quelque chose, en espérant que l’avocat qui posait la question ne pourrait pas le prendre en défaut. Par exemple, il a manifestement menti à un moment donné lorsqu’il a prétendu ne pas savoir ce qu’était Meta (société mère de Facebook), jusqu’à ce qu’il soit forcé d’admettre qu’il savait en fait ce qu’était Meta.
  • Autre tactique de Fauci: lorsqu’il était forcé d’admettre qu’il avait fait une communication ou examiné un document clé à un moment clé, ou qu’il connaissait ou travaillait avec un individu clé, il essayait de minimiser chaque fait négatif en (1) minimisant l’importance de la communication, (2) suggérant que bien qu’il ait examiné le document clé, il ne l’a pas vraiment lu attentivement, ou (3) suggérant, avec une fausse humilité, qu’il n’était pas un expert dans le domaine X et qu’il ne comprenait donc pas pleinement l’étude scientifique en question, ou (4) affirmant que, bien qu’il « connaissait » la personne en question, il ne la connaissait pas vraiment bien car il rencontrait de nombreux médecins et scientifiques dans le cadre de son travail.
  • Autre tactique de tromperie de Fauci: jeter ses subordonnés par-dessus bord. Fauci est un champion de la survie dans le milieu de la bureaucratie. L’une des façons dont il a survécu aussi longtemps est de ne s’attribuer que le mérite des victoires et de rejeter les pertes sur ses infortunés subordonnés. Cette tendance s’est poursuivie lors de sa déposition, dans laquelle il a effrontément affirmé que, bien qu’il soit à la tête du NIAID et de son budget de 6 milliards de dollars, il n’a jamais eu connaissance de ce que ses subordonnés directs faisaient juste sous son nez. Fauci est disposé à rendre des comptes, tant qu’il a un subordonné à sacrifier.
  • Fauci a affirmé que l’hydroxychloroquine était « dangereuse » et avait des effets secondaires « toxiques »… Fauci a affirmé que l’HCQ était inefficace dans le traitement du COVID, mais n’a pas pu citer une seule étude pour étayer son affirmation. Fauci a également rejeté la liste des 371 études sur l’HCQ et son efficacité dans le traitement de la maladie lorsqu’on lui a présenté cette liste.
  • Fauci a admis avoir menti au public. Dans l’un des moments les plus étonnants de sa déposition, Fauci a admis qu’il avait sciemment fait de fausses déclarations de santé publique au début de la pandémie, en déconseillant aux gens d’utiliser des masques afin de les dissuader d’épuiser les stocks de masques.
  • Fauci a admis qu’il tenait ses idées de confinement de la Chine Communiste qui a mis en place ses confinements extrêmes en janvier 2020.

Jenin Younes, avocat des plaignants qui travaille avec la New Civil Liberties Alliance, a écrit sur Twitter: « Une de mes citations préférées de la déposition de Fauci aujourd’hui:  » Mon travail quotidien est très prenant, je dirige un institut de six milliards de dollars. Je n’ai pas le temps de me préoccuper de choses comme la Déclaration de Great Barrington. »

Gardez à l’esprit que nous disposons des archives complètes des courriels, dans lesquels Fauci s’attribue le mérite de s’être « prononcé très fermement et publiquement contre la Déclaration de Great Barrington« . 

En conclusion, nous avons ici un compte rendu révélateur de l’étonnant témoignage de Fauci, qui n’est choquant, pour ceux qui ont suivi cette affaire de près depuis le tout début, que parce qu’il confirme le degré de trahison que nous soupçonnions depuis longtemps d’être à la source de toute cette histoire de confinement aux États-Unis. Nous avons également eu confirmation que l’expression « distanciation sociale » n’est rien d’autre qu’un euphémisme désignant une attaque massive à la chinoise contre tout ce que nous appelions autrefois en Occident la liberté. 

Sasha Latypova, lanceuse d’alerte et ex-cadre de l’industrie pharmaceutique, répond aux 6 questions de baba_gbb – par Sage Hana.

Revoici Alexandra Latypova. Vous avez été très nombreux à lire son interview. Bravo.

Un sujet, brièvement abordé au tout début de l’Opération, revient maintenant sur le tapis: la distribution géographique très atypique de la maladie.

Une distribution qui fait penser à une opération militaire de diffusion d’un agent pathogène.

Mme Latypova en parle ici. Le Dr Lee Merritt l’avait évoquée dans des interviews que j’ai déjà mentionnées mais pas eu le temps de transcrire. Liliane Held-Khawam avait également relevé il y a un certain temps le fait que cette « pandémie » touchait surtout certaines zones à fort taux d’épargne, chiffres à l’appui. Le Dr Mike Yeadon se penche également sur cette question dans une interview et une autre mentionnée dans cet article. Il pense qu’il n’y avait en définitive pas de nouveau pathogène et que les décès en 2020 n’étaient le fait que des décisions « sanitaires ». J’aime beaucoup le Dr Yeadon, il est très courageux, il fait de gros efforts pour reconsidérer sa vision du monde et remettre en question certains de ses concepts mais c’est un médecin civil. Dans ce cas, il est incompétent. Je le mentionne puisqu’il est question de lui dans cet article. S’il s’agit d’une arme biologique, la recherche militaire a quarante ans d’avance sur le secteur civil. Ils ont probablement un peu mieux qu’un virus dans leur arsenal. Seul un membre de la recherche militaire en bio-armement pourrait expliquer ce qui se passe. Ce qui est peu probable.

Après l’interview susmentionnée de Mme Latypova, il ne devrait plus rester le moindre doute que la totalité de la réponse au Covid était sous contrôle militaire étatsunien. La question se pose donc aussi et surtout pour la « pandémie » elle-même.

Était-ce un acte de guerre biologique?

La réponse pourrait finir tôt ou tard par sortir.

Si elle est positive, toute cette histoire pourrait rapidement assez mal tourner.

Note: je n’ai pas inclus tous les liens de l’article original qui renvoient à des articles précédents de Sage Hana, dont certains que j’ai déjà publiés.

Source.


Sasha Latypova, lanceuse d’alerte et ex-cadre de l’industrie pharmaceutique, répond aux 6 questions de baba_gbb

« Le fait que le COVID soit causé par un virus n’est pas clair. »

Sage Hana

3 novembre

Le billet d’aujourd’hui est la suite du billet de mardi et du fil de discussion concernant la thèse actuelle du Dr Mike Yeadon: « Il n’y a jamais eu de pandémie virale d’un nouvel agent pathogène ».

L’un de mes lecteurs et collègues détectives, baba_gbb, a contacté Sasha Latypova avec quelques questions récapitulatives compilées à partir de notre longue et tortueuse session de brainstorming.

Sasha a gracieusement accepté d’y répondre et nous a permis de publier ses réflexions.

Merci, Sasha!


Contexte:

Sasha Latypova est une vétérante de longue date des essais cliniques et de la réglementation dans l’industrie pharmaceutique. Tout comme Yeadon, ancien cadre de Pfizer devenu lanceur d’alerte, elle n’était plus en activité lorsque l’opération COVID-19 a été lancée.

Comme Yeadon, elle a immédiatement senti que quelque chose n’allait pas du tout.

Elle a fait des recherches sur les contrats accessibles au public, sur les informations de la FOIA, et a exploité les données disponibles sur les procès.

Elle est incroyablement vive, minutieuse et intrépide.

J’ai beaucoup d’estime pour le courage dont elle a fait preuve pour dévoiler la corruption et la collusion sinistres entre le Département de la Défense et Big Pharma.


Interview par baba_gbb


  1. Quelle(s) partie(s) de « la période sars-cov-2/covid19 » est (sont) factuelle(s)?

Sasha:

La seule partie factuelle à laquelle je peux penser est qu’il existe un ensemble de symptômes que l’on peut appeler « maladie covidienne ». Elle a un taux de mortalité très faible et est généralement bénigne, mais chez un petit pourcentage de personnes affectées, elle peut produire une réaction plus grave qui peut conduire à une faible oxygénation du sang et à une tempête de cytokines consécutive (il s’agirait d’un petit pourcentage d’un déjà petit pourcentage, car à tout moment, seul un petit pourcentage de la population est atteint de la maladie covidienne).

Le taux de létalité global est approximativement celui de la grippe. La maladie répond à une variété de médicaments génériques et de traitements complémentaires lorsqu’ils sont utilisés à temps. Le profil de risque pour toute personne âgée de moins de 65 ans et en bonne santé est tel que la vaccination n’est pas nécessaire (ce point est bien sûr fortement démenti par le gouvernement, mais il s’agit là d’une manière traditionnelle de considérer les risques et les avantages de la vaccination).

  1. Lesquels ne sont pas factuels/pas clairs? Quels sont ceux qui relèvent de la propagande mensongère? D’autres aspects qui relèvent d’une gradation ou d’un spectre entre les faits et la fiction?

Sasha:

Le fait que le covid soit causé par un virus n’est pas clair. Je pense que cela a toujours été de la propagande, même avant qu’ils aient prétendument « isolé et séquencé » le virus, ils avaient déjà publié un tas d’articles sur la découverte d’un nouveau virus en Chine. Le virus était censé être séquencé le 9 janvier 2020, sur 1 (une) personne en Chine. À mon avis, c’est de la foutaise, et toutes les études que j’ai vues étaient des modélisations informatiques. L’Operation Warp Speed en octobre 2020 l’a appelé « ébauche de génome », ce qui est très révélateur.

Les symptômes de la maladie et les schémas d’apparition dans le monde entier ne sont pas cohérents avec une propagation virale (c’est-à-dire qui commence à un endroit et se déplace à partir de cet endroit sur une certaine période de temps) mais sont très cohérents avec une « application », comme on appliquerait un pesticide sur un champ (pic rapide dans plusieurs endroits, suivi d’une « combustion » assez rapide de la maladie dans cette zone). Je suis cependant disposée à suivre le récit du « virus » car ça ne fait pas vraiment de différence pour les choses sur lesquelles je travaille.

Toutes les mesures gouvernementales sont des foutaises dangereuses et de la propagande. La majorité des « décès dus au covid » sont le résultat direct d’actions gouvernementales – confinements, isolement des personnes âgées et fragiles, protocoles forcés absurdes et à forte mortalité dans les hôpitaux et les maisons de retraite, plus de nombreuses fraudes sur les certificats de décès (très bien documentées par John Beaudoin dans le Massachusetts). La suppression de tous les points de vue scientifiques et médicaux alternatifs, la poursuite en justice de médecins qui ont traité avec succès des milliers de patients, la promotion constante de la peur par tous les médias, etc. et [la suppression] des données fiables constituent un acte malveillant évident du gouvernement.

  1. Un nouvel agent pathogène transmissible (un virus ou tout autre nom qu’on voudra lui donner) a-t-il été libéré à un moment donné en 2018/19? Est-ce cela qui a rendu beaucoup de gens malades?

Sasha:

Un nouvel agent pathogène – oui. Transmissible – cela dépend de la façon dont on définit la transmission. Le gouvernement veut que vous pensiez que la seule transmission se fait par voie aérienne et impose des masques à tout le monde. La transmission par voie aérienne de la maladie du covid n’a jamais été documentée ou prouvée scientifiquement, jamais. Dans les études sur les animaux, tous les animaux ont dû être aspergés directement dans le nez, la bouche ou la gorge avec des préparations de « virus ». Dans certaines études, même après avoir fait cela, aucun animal n’est tombé malade (étude Pfizer sur les singes rhésus). En ce qui concerne 2018/19, de manière anecdotique, je sais que c’est aussi le cas. Il sera très difficile de le prouver avec des données.

  1. De nombreuses personnes ont été malades en 2019 et en 2020. Donc, si ce n’était pas un nouvel agent pathogène transmissible, qu’est-ce que c’était? Plusieurs choses différentes à différents endroits? Une plateforme de diffusion d’ARN entièrement conçue en laboratoire? De vilaines chaînes de protéines adhérentes? De multiples autres vecteurs supplémentaires (toxines et poisons en aérosol, ainsi que des champs électromagnétiques)?

Sasha:

Je parie sur un minimum de deux vecteurs, de quelque nature que ce soit. Les virus (si on pense qu’ils peuvent être modifiés) sont extrêmement difficiles à contrôler. Ils s’éteignent d’eux-mêmes rapidement ou bien, dans un environnement ouvert, ils meurent tout simplement et ne se propagent jamais. C’est pourquoi je crois que les agresseurs ont épandu un autre agent pathogène ou une autre toxine, ce qui ferait deux vecteurs. Parce qu’il leur fallait contrôler le déploiement et coordonner leur action avec la propagande des médias.

  1. Y a-t-il eu des choses particulièrement dangereuses libérées à certains endroits spécifiques qui ont rendu les gens de ces endroits beaucoup plus susceptibles d’être particulièrement malades?

Sasha:

Très probablement, ou simplement des doses plus concentrées et plus élevées de substances dangereuses.

  1. Quelle est l’importance du rôle des champs électromagnétiques dans tout ça, depuis le début en 2018/19 jusqu’à maintenant? Quel dispositif en particulier et quel est le rôle des champs électromagnétiques dans ces différents dispositifs?

Sasha:

Je viens seulement de me mettre à lire la littérature sur ce sujet, et j’ai un certain nombre de collègues en Australie et ailleurs qui sont plus instruits sur ce sujet, y compris plusieurs ingénieurs en électricité. Il existe un grand nombre de publications scientifiques sur les composés chimiques et biologiques qui peuvent être contrôlés ou manipulés par les champs électromagnétiques, y compris les substances « nano-« , en tant que matériaux divers utilisés à cette fin. Cela existe bel et bien. Cette année, le prix Nobel de chimie a été décerné à la « chimie orthogonale », qui est également quelque chose de ce genre.

Merci beaucoup à Mme Latypova de nous avoir permis de publier ses perspectives et merci à baba_gbb pour les excellentes questions de l’interview.

C’était il n’y a pas longtemps et ça n’est de toute façon jamais arrivé – par Richard Kelly.

Voici ce que Richard Kelly écrit sur le « Grand Pardon », nouvelle tendance que je déconstruis ici.

Source.


C’était il y a longtemps et ça n’est de toute façon jamais arrivé

Richard Kelly

1 novembre

Le code moral de l’Occident, déjà considérablement dégradé, a pratiquement disparu sous les assauts de ces trois dernières années. Un grand crime a été commis tandis que les vestiges de la moralité se battaient courageusement sans grand résultat. Des vies ont été ruinées, des richesses volées, des libertés confisquées. La tactique du confinement semble pour l’instant avoir été déjouée – les dommages causés par les vaccins sont toujours passés sous silence.

Il existe d’autres bonnes raisons de penser que l’assaut n’est pas terminé, que nous sommes actuellement dans une « fausse guerre » pendant que les forces ennemies se regroupent. L’inflation, l’énergie, l’alimentation, la surveillance sont tous des fronts actifs dans cette bataille plus générale. Il importe peu de savoir lequel sera le prochain à se déchaîner.

Dans chaque cas, la bataille se résume à rendre la priorité aux besoins immédiats de l’individu, plutôt qu’aux « besoins de l’État » ou même aux « besoins de la planète » tels qu’ils sont perçus, modélisés et anticipés. La primauté de l’individu sur les « besoins de l’État » (ou les « besoins de la planète », en tant que mensonge plus acceptable) est menacée de manière sérieuse et imminente. Pour survivre, et peut-être même pour nous rétablir, nous allons devoir affronter des vérités douloureuses.

Pour l’instant, le mieux que certaines personnes puissent faire est de rester silencieuses, alors qu’auparavant elles ont peut-être discrètement collaboré avec les confinements, les masques, la distanciation sociale – qui, avouons-le, sont des euphémismes dégoûtants pour, respectivement, l’emprisonnement, l’agression et l’isolement.

Certaines personnes n’en sont même pas encore là. Elles sont encore totalement inconscientes de ce qui leur est arrivé et de ce qu’elles font subir aux autres. Elles sont comme les soldats japonais qui se battent encore dans le Pacifique des décennies plus tard. Pour eux, un agent pathogène mortel traque chacun de leurs mouvements; ils persistent dans leurs incantations magiques, leurs costumes et leurs danses, c’est-à-dire qu’ils parlent sans cesse de Covid, de cas et de variants, qu’ils portent des chiffons poreux, sales et infestés de bactéries sur le visage et qu’ils évitent les poignées de main au profit d’un pathétique hochement de tête et d’une révérence les mains serrées en prière. [NdT. en Belgique, c’est un toucher de coude]

Leur magie ne peut offrir le salut, mais ils ne le réalisent pas et c’est là tout ce qu’ils ont. Ils ont perdu toute capacité à penser par eux-mêmes. Ils sont Henny Penny – « Le ciel nous tombe sur la tête! » [NdT. connu aussi en tant que Chicken Little, personnage de conte enfantin qui pense que le monde arrive à sa fin] Sinon, pourquoi diraient-ils « Oh là là, un membre de notre congrégation a le Covid, nous ferions mieux de mettre des masques ce dimanche juste pour être sûrs. »

Pour être sûrs de quoi, exactement? Je vais vous le dire – au fond de leur conscience, il y a la peur qu’ils puissent accidentellement ouvrir les yeux sur la vérité, et être exposés pour le fou (au mieux) ou le monstre (au pire) qu’ils étaient déjà, ou qu’ils sont devenus. Ce dont ils veulent être « sûrs », c’est que ce doute tenace ne remonte jamais à la surface.

Certaines personnes, comme nous commençons à le voir, suffisamment confiantes dans leur propre comportement tout au long de cette fusillade, qui se considèrent comme ayant mené « une bonne guerre », ont le culot de commencer à parler de pardon, en omettant complètement ces concepts moraux gênants que sont la confession et la justice. Ceux qui appartiennent à ce groupe utilisent également le « nous royal », c’est-à-dire qu’ils écartent toute notion de culpabilité individuelle, sans parler d’eux-mêmes, pour parler en termes plus abstraits de ce que « nous », en tant que société, avons fait de mal.

De leur point de vue, ils n’ont personnellement rien à excuser ou à expier, mais ils se montrent suffisamment magnanimes pour pardonner aux autres, qui ont mal agi. C’est un spectacle grotesque qui ne mérite que le mépris.

Le philosophe allemand Karl Jaspers, qui écrivait sur l’Allemagne après la Seconde Guerre mondiale, cité dans le livre de David Satter en 2012 « C’était il y a longtemps et ça n’est de toute façon jamais arrivé » a conceptualisé un quatrième type de culpabilité, à ajouter aux trois types de culpabilité plus conventionnels: la culpabilité criminelle, la culpabilité politique et la culpabilité morale. Jaspers a proposé une « culpabilité métaphysique », qui affecte tous ceux qui ont été touchés par des crimes atroces, qu’ils y aient participé ou non:

Il existe une solidarité entre les hommes en tant qu’êtres humains qui rend chacun coresponsable de tout mal et de toute injustice dans le monde, en particulier des crimes commis en sa présence ou à sa connaissance…. Si je ne fais pas tout ce que je peux pour les empêcher, je suis moi aussi coupable. Si j’ai assisté au meurtre d’autrui sans risquer ma vie pour l’empêcher, je me sens coupable d’une manière qui n’est pas concevable de façon adéquate, ni sur le plan juridique, ni sur le plan politique, ni sur le plan moral. Que je vive après qu’une telle chose se soit produite, me pèse comme une culpabilité indélébile. (Karl Jaspers)

Je doute sérieusement que ces âmes « éblouissantes et courageuses » qui proposent maintenant l’amnistie pour les partisans du confinement puissent se regarder dans les yeux et s’absoudre de toute culpabilité métaphysique liée aux atrocités des trois dernières années. Au contraire, un bref coup d’œil à leurs comptes Twitter montrerait probablement tout le contraire.

Le livre de Satter mentionné ci-dessus est un examen de la Russie et de son passé communiste, et du fait qu’il n’y a pas eu d’examen honnête de l’horreur de cette période. Satter affirme que la Russie sera à jamais entravée par son incapacité à reconnaître et à commémorer correctement les victimes de l’expérience communiste. Le refus de concéder la vérité sur ce qui s’est passé est un piège dans lequel nous risquons de tomber nous-mêmes. Si nous y tombons, le voyage de retour sera long et douloureux, et nous risquons de ne pas y parvenir.

Éviter ce piège, éviter les effets analgésiques et palliatifs d’un retour apparent à la « normalité » nécessitera un effort herculéen. J’écris ces lignes le jour de la Melbourne Cup, tandis que le reste de la ville et peut-être du pays, si l’on en croit le marketing, s’enthousiasme pour la « course qui met la nation à l’arrêt ». Comme il est réconfortant de s’abandonner à la couleur et au mouvement, aux histoires prévisibles des jockeys et des entraîneurs, et des pur-sang, et des modes et des chapeaux, et des ivrognes et des fêtes, et des costumes et des tailleurs. C’est tellement plus agréable d’oublier que toutes ces conneries covidiennes ont eu lieu.

Mais elles ne disparaîtront pas juste parce qu’on préfère aller aux courses.

Je pense que l’on peut classer les gens selon un spectre de déni/acceptation de ce que les trois dernières années ont impliqué. À l’extrême du déni, on trouve les personnes qui nient activement que des atrocités ont eu lieu. Ce sont ceux qui sont susceptibles de dire « je crois que tu protestes trop » ; leur déni actif n’est probablement qu’une façade pour cacher leur culpabilité, dont ils ne sont que trop conscients.

Viennent ensuite ceux qui sont dans un déni passif tout en se distrayant délibérément avec d’autres histoires, comme la Melbourne Cup, et en évitant de parler de « ça ». Au milieu se trouvent les somnolents, ceux qui ne savent même pas que quelque chose de répréhensible s’est produit, qui n’en ont aucune conscience et qui n’ont aucune idée de ce qu’il faudrait y faire. Si l’on s’aventure au-delà du point de basculement vers l’acceptation, le groupe suivant est constitué de ceux qui comprennent viscéralement que « ça » a été un chapitre regrettable mais qui s’effacera dans l’histoire – la foule du « passons à autre chose ». À l’extrémité de l’acceptation se trouvent ceux qui y ont réfléchi, qui en ont été horrifiés et qui ont fait, ou essayé de faire, quelque chose pour y remédier.

Le mieux que certains puissent faire est de dire « comme c’est agréable de pouvoir aller à la Melbourne Cup et de s’associer à nouveau librement ». Bien sûr, une réflexion honnête devrait être « c’est épouvantable qu’ils aient eu l’idée de nous empêcher de nous associer librement, ces salopards ».

À l’heure actuelle, la plupart des gens auront adopté l’une de ces positions qui leur permet, du moins pour l’instant, de trouver un moyen d’aller de l’avant, de continuer à accomplir chaque jour, dans un désespoir tranquille, les tâches qui leur incombent. Je pense qu’il sera difficile pour quiconque de se déplacer « à gauche » vers l’extrémité du déni ou « à droite » vers l’extrémité de l’acceptation. Si une fois qu’on a ouvert les yeux, on ne peut pas ne pas voir ce qui se trouve devant soi, alors on ne peut pas retourner vers le déni.

De même, ouvrir les yeux laisse entrevoir une perspective effrayante de ce qui pourrait se trouver plus loin sur la « droite » – que vais-je découvrir de plus qui va me consterner? Mieux vaut ne pas aller plus loin. L’exception à cette règle pourrait être ceux qui se trouvent à l’extrémité de l’acceptation et qui, bien qu’ils essaient de faire quelque chose, de corriger les injustices, finissent par manquer de courage et glissent vers la gauche, vers la foule qui dit « allez de l’avant ». De nouveau, de Karl Jaspers:

Nous sommes cruellement incapables de nous parler et de nous écouter les uns les autres. Nous manquons de souplesse, de sens critique et d’autocritique. Nous penchons vers le doctrinisme. Le pire, c’est que tant de gens ne veulent pas réfléchir. Ils ne veulent que des slogans et de l’obéissance. Ils ne posent pas de questions et ne donnent pas de réponses, sauf en répétant des phrases toutes faites.

Les paroles de Jaspers résonnent aujourd’hui avec force. Comment allons-nous pouvoir entamer une réflexion honnête sur les atrocités de ces trois dernières années face à une telle intransigeance de la part des victimes mêmes des confinements et des vaccins? Cela semble presque sans espoir.

Certaines conversations qui devront avoir lieu se heurtent à des obstacles insurmontables. Certaines blessures sont si profondes qu’elles ne peuvent même pas être écrites, sauf peut-être dans un journal secret. Ce sont les conversations entre des amis d’autrefois, entre parents et enfants, entre maris et femmes, entre patrons et employés; destinées à ne jamais se produire, ces conversations recèlent la clé de la réconciliation. Ceux qui sont pressés, ceux qui se hâtent indûment vers les excuses et la justice, doivent garder cela à l’esprit. Nous sommes engagés sur le long terme; s’en prendre à ceux que nous jugeons les plus complices a peu de chances de porter ses fruits à court terme, et plus notre rage est incandescente, plus vite nous nous épuiserons. Un dernier mot de Jaspers:

Nous avons tous, d’une manière ou d’une autre, perdu le sol sous nos pieds. Seule une foi transcendante… religieuse ou philosophique peut se maintenir à travers tous ces désastres.

Je serai de retour à l’église dimanche. Sans masque. En offrant des poignées de main.


Richard Kelly, 60 ans, retraité, est né et a grandi à Melbourne. Il a passé quelques années en tant que professeur de mathématiques avant de s’orienter vers les assurances et les pensions de retraite/investissements, d’abord en tant qu’actuaire stagiaire, puis en tant qu’analyste commercial auprès de certaines des plus grandes institutions australiennes. Il a travaillé à Paris (France) pendant 3 ans (2000 – 2003) avec AXA.

Le Grand Pardon aura-t-il lieu?

On chausse ses bottes et ses gants en caoutchouc et on replonge dans la fosse septique de l’actualité.

Le narratif autour du Covid est en train d’évoluer lentement mais sûrement. Le foutage de gueule entre dans une nouvelle phase, qui n’est pas moins spectaculaire que la précédente. Voici quatre histoires qui tournent autour de cette nouvelle manoeuvre. Pour la quatrième, je vous laisse juges mais dans tous les cas, accrochez-vous à vos chaussettes.

Le tout est assez long, ça m’a pris pas mal de temps, mais croyez-moi, ça en vaut la peine. Je ne sais pas dans quelle mesure on en parle sur le Net francophone, vu que, comme vous le savez, je passe beaucoup de temps à lire des dizaines d’articles en anglais, d’où le fait que je suis aussi souvent le premier à en parler. Ceci sera donc peut-être une exclusivité?

Bon, ça c’est fait.

Un article dans « The Atlantic » – un des torchons américains qui servent de vitrine idéologique à la CIA – signé Emily Oster, fait le buzz, notamment sur Substack (ici, ici, ici et ailleurs, c’est en anglais) depuis sa parution le 31 octobre. Cette dame est professeur(e?) d’économie à l’Université de Stanford. Le papier de Mme Oster s’intitule « Déclarons une amnistie pandémique ». Personnellement je ne trouve pas ce qu’elle dit tellement choquant. Le problème est plutôt ce qu’elle ne dit pas. Voici un extrait d’un article précité sur Substack:

Je suis certaine que d’autres auteurs de Substack se joindront à moi pour exprimer leur incrédulité face à l’audace et au culot de cette femme qui suggère que nous devrions pardonner et oublier les crimes commis contre l’humanité simplement parce que les gens étaient « dans le noir » et faisaient pipi dans leur culotte à cause d’une maladie manifestement moins dangereuse pour la majorité de la population qu’une mauvaise grippe. Je voudrais juste ajouter mon grain de sel ici. Ils ne se contentaient pas de salir leurs slips et leurs matelas; certains saisissaient activement l’occasion (en piétinant les droits de l’homme) d’accroître leur richesse et/ou leur pouvoir grâce à la panique hystérique sans précédent générée par l’apparition du SARS-CoV-2. Emily Oster les soutenait:

Faire honte à ceux qui ne se sont pas fait vacciner ne fonctionnera maintenant plus (peut-être plus jamais).
Alors que faire?
Une pression de la famille sur l’individu: peut-être exiger le vaccin pour ce que les gens veulent faire (voyages en avion/train dans le pays, travail, événements sportifs): oui.
On peut le faire sans honte.

Maintenant, elle veut que nous pardonnions, que nous oubliions et que nous allions de l’avant – sans le moindre soupçon d’excuses pour son comportement déplorable ni aveu de culpabilité!

[…] On ne détruit pas les droits de l’homme, on ne met pas à la poubelle cent ans de science épidémiologique et immunologique, on ne déchire pas le Code de Nuremberg, on ne tue pas et on ne blesse pas des millions de personnes parce qu’on « était dans le noir ».

De Igor:

Nous savons intuitivement que quelque chose s’est très mal passé.

Nous devons nous assurer que cela ne se reproduira plus jamais pour les générations suivantes. D’une manière ou d’une autre, nous devons créer une force de dissuasion contre les futurs fraudeurs. Nous n’obtiendrons pas cette dissuasion en accordant à chacun une « amnistie » sans même savoir qui a fait quoi.

Est-il possible que chacun ait agi dans notre intérêt et que les erreurs n’aient pas été intentionnelles? Les personnes qui demandent l’amnistie sont-elles des sympathisants désorientés ou des criminels du Covid, qui ont empoisonné des millions de personnes par malveillance, cupidité et mépris de la sécurité? Pour avoir la réponse, nous devons d’abord savoir ce qui s’est passé!

Ce n’est qu’après une enquête révélant ce qui a eu lieu que nous pourrons juger si une « amnistie » est appropriée et, si oui, pour qui. Pas avant.

Vous aurez compris que l’affaire de Mme Oster n’est pas gagnée. J’ajouterai juste que l’ironie de sa demande, assez mal venue dans le contexte, est que cette dame attend le Grand Pardon sans proposer la moindre réparation, contrairement à ce qui se pratiquait dans le monde d’avant, entre gens de bonne volonté et plus particulièrement dans le cadre de la confession chrétienne, qui incluait la notion de pardon divin – je précise ceci pour mes plus jeunes lecteurs, qui n’ont peut-être jamais entendu parler de cette notion. Seul Dieu peut pardonner.

Sur l’échelle du toupet, Mme Oster est déjà assez bien placée, mais on a trouvé mieux.


Toujours dans la catégorie buzz, nous avons un certain Richard Rowe. Même s’il fait partie de la même sphère que Mme Oster – les « pro-vaccins » – il existe deux différences majeures entre elle et lui. Premièrement, il est ouvertement vindicatif et insultant envers les non-injectés, et deuxièmement, il est mort.

Les captures d’écran et les extraits proviennent de cet article en anglais. Je ne garantis pas l’authenticité de l’information, vu que le décès est daté du 28 octobre et l’article du 26. C’est donc soit une erreur soit de l’enfumage. Si c’est de l’enfumage, c’est qu’on tente d’y faire passer un message, et c’est ce message qui m’intéresse ici.

Dans des captures d’écran de la page Facebook de Richard Rowe, chauffeur routier et candidat du district 23, le politicien pro-vaccins de 41 ans se moquait des anti-vaccins qui, selon lui, ont « contribué à tuer 700 000 Américains » avant de décéder lui-même le 28 octobre 2021.

« Je vais être très clair: je me fous complètement de ce qui arrive aux anti-vaccins. Je m’en fous. Laissez Darwin faire son travail. Ils ont aidé à tuer 700.000 Américains. Je n’ai ni pitié ni de larmes à verser pour aucun d’entre eux. Ça s’est tari à présent. Désolé. A ce stade. J’espère juste qu’ils ressentent 1/10e de la douleur qu’ils ont causé à tous les autres. Les enfants iront bien. EUX, ils vont souffrir. Et putain, je pense qu’ils l’ont bien mérité. »

En postant une photo montrant sa carte de vaccin Covid, Rowe a reconnu qu’il se faisait vacciner alors qu’il avait déjà contracté le Covid, et il écrivait: « J’ai déjà eu le COVID l’année dernière, donc je ne m’inquiète pas de l’attraper. Mais je veux conserver mon sentiment arrogant de supériorité morale et intellectuelle tout en me moquant des anti-vax Darwiniens. C’est en fait assez noble, en réalité. »

Fait intéressant, Rowe est décédé le mois suivant. Un de ses amis a déclaré qu’il était mort subitement en promenant son chien.

Voilà le genre de type qui me rappelle les gosses dont je parle ici, ignorants, sûrs d’eux-mêmes et très forts tant qu’ils sont en groupe. Ces personnages passaient plus ou moins inaperçus avant que les choses se gâtent, mais on a vu leurs vraies couleurs dès que le cadre leur a été propice.

Quel cadre?

Evidemment, la diabolisation initiale de refuseniks de l’injection, qui représentaient un danger pour les injectés (on a toujours pas compris pourquoi, mais plus c’est con mieux ça passe). Le cadre se construisait alors autour de la mythologie des « vaccinés » en tant que gens altruistes et responsables, avec une pincée de devoir patriotique – celui traditionnellement brandi par les assassins de sang froid qui envoient les peuples au massacre, c’est-à-dire les gouvernements. Les non-injectés étaient d’ailleurs plus ou moins considérés comme des déserteurs – après tout, c’est une guerre. Mais comme je le disais en début d’article, le cadre est en train de changer, et pas qu’un peu, maintenant que les chiffres de la catastrophe sanitaire commencent à progressivement filtrer sur la place publique – à titre d’exemple, le pourcentage officiel des hospitalisés Covid est de 99% de « vaccinés », ça la fout mal. A part pour les acharnés de l’ignorance, le narratif devient donc intenable. Il fallait donc réactualiser le cadre. Suivez bien parce que la manipulation est assez subtile et extrêmement perverse.

A présent, les « vaccinés » sont toujours des héros altruistes et patriotiques puisqu’ils ont rempli leur devoir. Sauf qu’il faudra désormais les considérer comme des héros tombés au champ d’honneur. Voyez-vous, les injections étaient finalement assez dangereuses mais puisque le Parti agissait pour le bien du peuple, ceux qui ont obéi sont par avance normalisés (j’y reviens plus loin) et bien entendu, amnistiés. C’est la nouvelle ligne du Parti. Oui, celui d’Orwell.

Pour ceux qui n’auraient pas prêté attention, quasiment tout l’Occident vit à présent sous dictature communiste, désignée par l’appellation « démocratie ». Quelle que soit la nature du régime, c’est une démocratie. C’est devenu le leitmotiv. Pour rappel et comme exemple, les Etats-Unis d’Amérique sont une République constitutionnelle, c’est-à-dire l’opposé exact d’une « démocratie ». Le fait que ce slogan soit devenu omniprésent acte tout simplement le fait que la République n’existe plus, et qu’elle a effectivement été remplacée par une dictature communiste. Depuis que Biden occupe la Maison Blanche, la formule/mantra répétée dans les médias est « menace pour la démocratie » – à propos de « l’insurrection » du 6 janvier, des Républicains MAGA (pro-Trump) et plus généralement des blancs, non-woke, non-cisgenrés, etc. Bref, comme dans 1984 de Orwell, à propos de tout ce qui ne suit pas exactement la ligne du Parti. C’est-à-dire à peu près tout.

Permettez-moi d’insister sur ce point – ou alors lisez les bouquins de Vladimir Boukovski. Ceux qui demanderont « la liberté ou la mort » dans une dictature communiste, auront la mort. C’est à peu près tout ce que le communisme a à offrir en guise de liberté. On a promis la liberté aux vaccinés, ils auront la mort. Il me semble que c’est assez clair. Il n’y a d’ailleurs même pas besoin de demander quoi que ce soit. Le fait qu’on vous le promet est amplement suffisant. Ce sont eux qui décident. Apparemment, ils ont décidé que mourir était un acte patriotique. Engagez-vous. Il y a trop de gens sur Terre.

Richard Rowe était donc un vrai démocrate: il a obéi au Parti. Et c’était un vrai patriote: il est mort.

On aurait pu lui dire que ce n’était vraiment pas la peine. La vraie vie, ce n’est pas se faire injecter de la merde pour faire partie du groupe. Mais bon, c’est trop tard.


Troisième élément du nouveau narratif Covid, pas vraiment récent mais qui prend maintenant tout son sens: les dignitaires du Parti, Biden, Fauci, et Wolenski, prétendument hyper-injectés, après avoir pendant des mois vendu le « clotshot » (injection à caillots, j’aime bien l’appellation) comme forteresse infranchissable pour le virus, font le Covid?

A moins d’être un incurable naïf, il est impossible de croire que ces personnages 1) ait reçu une quelconque injection Covid, 2) ne disposent pas de traitement prophylactiques qui les mettent à l’abri du Covid – vitamine D, ivermectine, hydroxychloroquine/zinc, voire DRACO, 3) avoueraient avoir contracté le Covid sans raison, puisque ça contredit tout ce qu’ils ont seriné pendant des mois sur le vaccin – et qu’ils y ajoutent une mauvaise pub pour le Paxlovid.

Alors, pourquoi?

J’ai déjà en partie répondu à la question dans l’article sur le rebond de Fauci: c’est de la normalisation. Il faut normaliser le fait que les vaccins sont inefficaces. Et ce n’est pas tout, on présente dans les médias américains le fait qu’un candidat démocrate (j’ai oublié son nom) a souffert d’un récent AVC comme humanisant. Ce qui, bien que le vaccin ne soit pas cité, normalise aussi le fait qu’il est dangereux. Le Parti honore ainsi ceux qui ont fait le sacrifice. Comme Richard Rowe.

Comme je le disais plus haut, le cadre change. Le narratif de la « protection » des autres grâce au vaccin n’est plus le discours dominant, il est subtilement remplacé par une espèce de culte du martyr des injectés. Un culte de mort, donc. Après la phase d’arrogance, d’agressivité et de mépris des injectés, on va donc se retrouver face à une foule de malades chroniques portés en héros par le Parti et, du fond de leur misère humaine, des gens probablement jaloux et revanchards, ou quelque chose dans le genre. Ma constatation personnelle de la majorité des injectés est que, hormis ceux qui le regrettent humblement, ce sont généralement des lâches sournois et hypocrites – le profil typique de ceux qui se réfugient dans le groupe. Ceux qui n’ont aucun état d’âme à pousser les autres à la flotte.

Tout ça est assez moche. Si vous pensez que ça ne peut pas être pire, attendez de lire la suite…


Je reviens temporairement sur ma décision de boycotter les déclarations du Dr Robert Malone. Vous allez en comprendre l’intérêt, et le lien étroit avec les points précédents.

Je remercie au passage John et Adam pour les clips sonores qui suivent, avec leur traduction, extraits du 1500ème épisode de No Agendafélicitations les gars! C’est extrait d’une des récentes allocutions de Malone, dont je ne trouve pas le fichier original sur le Net, sorry, mais dont je suis certain de l’authenticité. Le découpage des clips est moyen, mais on s’en contentera.

Je veux que vous compreniez la différence entre la charge utile et la plateforme. Nous parlons des principes fondamentaux de la pharmacologie de cette catégorie de produits. Et je veux que vous compreniez comment et pourquoi on les impose. Il s’agit plutôt pour moi d’essayer de vous donner un aperçu et une compréhension de ce qui se passe, vu à travers cette seule lentille qu’est la technologie ARNm. J’ai parlé de la formation des masses, du Forum Economique Mondial, de l’Etat administratif. Il y a tellement de variables en jeu que nous pourrions en parler pendant huit heures, mais je vais me concentrer sur l’ARN. Pourquoi les vaccins ARNm? Pourquoi est-ce qu’on les impose?

[…] pourquoi c’est universel et global. Et comprenez que ce que vous avez vécu ici en Virginie reflète ce que des gens à qui je parlais il y a une heure et demie lors d’une conférence à Padoue, en Italie, [vivent]. Les mêmes choses ont été vécues au Brésil, dans tout le monde occidental. Pourquoi cela a-t-il été imposé? Quel est le besoin non satisfait auquel on répond? Je ne cherche pas à savoir s’ils ont raison ou tort. Je veux juste que vous compreniez la logique sous-jacente, du moins à la surface. Le problème qui se pose est que la technologie permettant aux individus de concevoir des armes biologiques est devenue si triviale qu’un étudiant de dernière année qui travaille à partir de là, ou quelqu’un d’un niveau d’éducation similaire, qui peut s’auto-former, qui travaille dans son garage avec du matériel qu’il peut trouver sur eBay, peut facilement recréer les combinaisons de pathogènes les plus mortelles que notre gouvernement a développées dans le programme de guerre biologique que nous avons mené pendant des années. Et je ne dis pas que nous ne le faisons plus, nous le faisons sous un autre nom, nous l’appelons recherche défensive sur les armes biologiques, pas recherche offensive sur les armes biologiques et je ne vois pas bien la différence. Mais c’est le langage qui est imposé par le traité de guerre biologique qui a été signé. Il fuit comme une passoire, mais je veux que vous compreniez, et juste pour définir le cadre, qu’avec la technologie traditionnelle des vaccins, nous prévoyons avoir des vaccins – si tout va bien – pour tous les agents de guerre biologique déployés jusqu’à la fin de la deuxième Guerre Mondiale – donc la tularémie, la variole et tout le reste – des vaccins pour tous les agents de guerre biologique déployés jusqu’à la fin de la deuxième Guerre Mondiale. Et nous les aurons tous d’ici 2050, si tout va bien.

Nous sommes maintenant dans un environnement dans lequel un jeune adulte ou un dangereux individu, dans n’importe quelle partie du monde, est en mesure de créer des armes biologiques très puissantes. Clairement, nous n’avons pas la capacité d’y répondre efficacement. C’est là le besoin médical non satisfait sous-jacent. C’est le problème et nous devons être très clairs à ce sujet. Nous sommes très remontés et je ne défends en aucun cas la façon dont cela a été déployé. Je ne dis pas que cette solution est la meilleure. Je dis simplement qu’il y a un besoin médical non satisfait, c’est-à-dire une menace très importante. Ce n’est pas anodin, ce n’est pas le fruit de l’imagination de Cheney, que des agents de guerre biologique puissent être fabriqués. Jusqu’à présent, c’est nous qui avons réalisé la majeure partie de l’ingénierie et ce qui va sortir du prochain livre de Bobby [NdT. Robert f. Kennedy Jr?] va vous faire exploser les circuits au regard de ce que nous avons fait en Géorgie et en Ukraine. Ces choses sont en cours de réalisation et le problème est qu’une fois qu’elles sont lâchées, ce que nous avons tous vécu au cours des trois dernières années – cela fait presque trois ans maintenant, en fait c’était en septembre, fin septembre, les données montrent que le début de l’épidémie était au moins en septembre 2019, si ce n’est plus tôt – une fois que ces choses sont lâchées, elles peuvent déferler sur le monde et la technologie est maintenant avancée au point que les agents pathogènes peuvent être modifiés de manière à être relativement spécifiques pour différents groupes ethniques en fonction de leur génétique. Les agents pathogènes peuvent être modifiés et je peux vous dire que mes amis ou ceux qui étaient mes copains à la DETRA, Defense Threat Reduction Agency, division chimie/bio, sont extrêmement conscients que des agents peuvent être modifiés pour cibler des groupes ethniques.

Voilà le champ de bataille, voilà l’environnement réel dans lequel nous nous trouvons. Nous devons donc disposer d’une technologie permettant une réaction rapide et de capacités qui puissent être déployées au niveau de la population. Cette technologie de l’ARN est l’une de celles, avec les anticorps monoclonaux, dont le gouvernement pense depuis longtemps qu’elles ont un énorme potentiel pour permettre ce type de réponse rapide. En fait, ils préfèrent les anticorps monoclonaux. Le principe qu’ils aiment vraiment chez ces anticorps monoclonaux est qu’on peut administrer ces produits à un contingent de forces spéciales. Ils se rendent sur le théâtre des opérations, font leur travail, reviennent, vont voir leur femme, les anticorps monoclonaux disparaissent, c’est réglé. Le problème est que la technologie n’a tout simplement pas fonctionné. La technologie des anticorps monoclonaux est trop lourde, trop encombrante et nous avons appris au cours des trois dernières années que les virus et les agents pathogènes peuvent évoluer pour échapper à cette technologie assez rapidement parce qu’ils [les anticorps monoclonaux] sont assez spécifiques. Nous avons tous observé l’évolution virale en temps réel. Nous en avons fait l’expérience. Voilà donc le besoin médical non satisfait auquel on tente de répondre. Du moins, c’est la justification sous-jacente, à savoir qu’il existe un besoin non satisfait d’une technologie qui permettra désormais une réponse rapide aux agents pathogènes émergents et aux agents pathogènes modifiés, tels que les agents pathogènes issus de la guerre biologique ou du terrorisme.

La vérité est que DARPA, qui est la branche de développement opérationnel, en fait la CIA, est tombée amoureuse de la technologie de l’ARN il y a plus de dix ans et a décidé de la capitaliser et de l’imposer sur le marché. Et par exemple, ce sont eux qui ont capitalisé à travers In-Q-Tel, leur bras d’investissement, les nouvelles installations de fabrication d’ARN au Canada. C’est un programme de la CIA, il n’y a aucune ambiguïté là-dessus. Je ne révèle pas de secrets d’État. La technologie a été littéralement sortie de la poubelle parce qu’elle avait été supprimée par Merck après que je l’ai développée il y a plus de trente ans et elle a été perfectionnée de manière très agressive par DARPA. DARPA a financé et essentiellement construit Moderna. Ils continuent à imposer tout ça et ils le font à travers le gouvernement. Et ce que vous voyez, c’est le pouvoir de la communauté du renseignement et du nouveau complexe industriel de la biodéfense qui s’est développé depuis les attaques à l’anthrax, et cela va même au-delà, dans leur capacité à imposer leur programme au gouvernement. Quand on voit tout ce qui est documenté par Paul, tous ces contournements des procédures et des règles normales, cela arrive parce que, dans une large mesure, notre communauté du renseignement l’impose par le biais de la structure administrative de l’État.

Tous ces contournements des procédures et des règles normales se produisent parce que notre communauté du renseignement les impose par le biais de la structure administrative de l’État. Et pourquoi le font-ils? Je pense que si nous prenons un peu de recul et essayons de leur accorder pour un moment le bénéfice du doute, je pense qu’ils croient devoir l’appuyer, devoir faire accepter cette technologie parce qu’il n’y a pas d’alternatives et que la menace est si grave à leur avis, dans leur monde d’agents secrets, la menace est si grave qu’il faut que quelque chose existe et c’est ce quelque chose auquel ils se sont accrochés. Et je ne dis pas ça pour les défendre. Je dis ça pour essayer de vous aider à comprendre ce à quoi vous avez été soumis.

Ok, réfléchissons deux minutes.

Je suis assez de l’avis de Adam Curry sur le gars. Il s’est lentement forgé une place dans le contingent des médecins qui luttent contre l’Opération Covid/Injections, à travers ses nombreuses interventions (le podcast de Joe Rogan, le FLCCC, l’équipe de Robert F. Kennedy Jr, etc.) d’où il peut maintenant apporter son témoignage d’insider des services secrets. Ce témoignage.

Ce discours n’est pas vraiment nouveau de la part de Malone, il l’évoque déjà dans l’interview dont j’ai fait la transcription et la traduction. Le Dr Igor Shepherd, qui provient du même milieu en URSS, fait également référence à ce genre de recherche militaire, aux objectifs exactement similaires – quoiqu’au contraire du Dr Malone, il est extrêmement remonté contre ce genre de pratique.

Le Dr Malone a beau déclarer ici ne pas porter de jugement sur ceux qui mènent cette opération, la façon dont il présente cette dernière est plutôt biaisée: tout ça était pour notre bien, pour nous protéger de futures attaques biologiques – dont je ne consteste absolument pas le risque réel, j’ai publié ceci sur le sujet. Je rappelle juste qu’on attend toujours une vraie attaque « terroriste », de n’importe quelle nature. Pour autant que je sache, toutes les opérations de ce type proviennent de réseaux gouvernementaux, voire internationaux, et elles sont toujours liés au réseau du Renseignement, y compris et surtout l’Opération Covid. Pour se faire une idée supplémentaire de la bonne foi du Dr Malone, il cite ici comme source fiable Dick Cheney, ancien Vice-Président des Etats-Unis sous George W. Bush, qui, s’il n’est pas lui-même un des organisateurs des attentats sous faux drapeau du 11 septembre, a systématiquement menti sur tous ses aspects, notamment le fait que les attaques subséquentes à l’anthrax, que mentionne ici le Dr Malone comme point de départ du « complexe industriel de la biodéfense », utilisaient une souche issue de Fort Detrick, le centre de recherches biologiques de l’Armée américaine. Si ce n’est pas du faux drapeau, je ne sais pas ce qu’est du faux drapeau. Et c’est le faux drapeau qui nous a menés au Covid et aux injections. Katherine Watt s’est tapé le boulot monstrueux de passer en revue tous les aménagements légaux qui ont permis l’opération en cours, en toute impunité. Sa conclusion.

Parlons maintenant des hasards.

Sommes-nous censés croire que ces « révélations » interviennent par hasard juste après que Alexandra Latypova ait déjà levé le voile sur le nid de vipères du Renseignement à l’oeuvre derrière toute l’Opération?

Sommes-nous aussi censés croire que le timing de l’Opération est le fait du hasard? Que le SARS-CoV-2 est sorti juste à point pour camoufler l’effondrement économique et financier qui avait commencé quelques semaines auparavant, juste à point pour opérer le plus grand hold-up économique de l’Histoire (voir ici), juste à point pour lancer à plein le Grand Reset?

Puisque, au fond, c’était pour notre bien, sommes-nous censés accepter qu’il faudrait aussi accorder à nos bienfaiteurs une « amnistie pandémique »?

Les Américains ont une expression que j’aime bien: « You must think we’re little children« .

Vous nous prenez vraiment pour des gosses!


Nous sommes bien d’accord que David Icke fait partie de l’opposition contrôlée. Il n’empêche qu’il est très intéressant d’écouter ce qu’il dit – je vous le répète, il faut écouter tout le monde. Ça prend du temps mais c’est très instructif. Et voici ce qu’il disait en 1997:

[…] qu’ils allaient créer en laboratoire de nouveaux virus résistants aux médicaments, qu’ils allaient les utiliser pour éliminer la population, qu’ils allaient utiliser les vaccinations pour éliminer la population. Ils allaient également changer la façon dont les soins de santé traitaient les personnes âgées, de sorte que de plus en plus de personnes âgées meurent et ne vivent pas longtemps parce que, de leur point de vue extraordinairement malade, les personnes âgées leur sont inutiles. Et ce que nous voyons maintenant très clairement, c’est une tentative de jouer cette carte de l’immunisation mondiale de masse, avec l’excuse de ce virus fabriqué, pour avoir accès aux corps, aux systèmes informatiques corporels, dirais-je, de quasiment tout le monde sur la planète. Et ils ne font pas ça parce qu’ils veulent protéger les gens de quoi que ce soit de bizarre. La force qui dit « faites-vous vacciner » est la force qui a créé le virus contre lequel ils disent de se faire vacciner. [NdT. c’est également l’avis de Spartacus] Ils font cela pour avoir accès à la population mondiale pour des raisons très, très malveillantes. Et ce que les gens doivent comprendre, c’est que ces familles n’ont pas la même perspective que nous sur la vie et le respect. Elles voient les humains comme du bétail, rien de plus que du bétail, comme la plupart des humains voient le bétail. Elles n’ont donc aucune empathie pour les conséquences de leurs actions sur la population humaine. Donc quand les gens disent « ils ne feraient jamais ça, mon pote ». Non, non, vous ne feriez jamais ça. Ils le font tout le temps.


Et on termine en musique.

Aucun d’entre vous n’a voulu m’aider quand je faisais du pain
Maintenant, vous voulez tous m’aider à le manger
Je vois que vous êtes très bien nourris
Ce qui indique que vous n’en avez pas besoin

Assez parlé!
Assez parlé!

Arrêtez-vous et je vous dirai ce que demain vous réserve
Arrêtez-vous et je vous dévoilerai le projet que j’ai pour vous

Prenez tous les leaders du monde entier
Mettez-les ensemble sur un grand ring
Télévisez ça comme le spectacle le plus minable de la planète
Et laissez-les se battre comme des diables pour voir qui est le roi

Ramassez les morceaux quand le combat est terminé
Alors vous découvrirez que la vie peut vraiment être amusante

Le prochain truc que je vous dirai sera vrai
Le dernier truc que je vous ai dit était faux
Rappellez-vous de ne rien faire quand vous ne savez pas quoi faire

Vous vouliez un monde que vous pouviez comprendre
Mais quelque chose est arrivé pendant que vous dormiez
Vous vouliez une vie agréable dont vous pourriez vous vanter
Dommage qu’ils aient pris les parties que vous vouliez garder

Assez parlé!
Assez parlé!

Arrêtez-vous et je vous dirai ce que demain vous réserve
Arrêtez-vous et je vous dévoilerai le projet que j’ai pour vous

Prenez tous les leaders du monde entier
Mettez-les ensemble sur un grand ring
Télévisez ça comme le spectacle le plus minable de la planète
Et laissez-les se battre comme des diables pour voir qui est le roi

Ramassez les morceaux quand le combat est terminé
Alors vous découvrirez que la vie peut vraiment être amusante

Assez parlé!

DEVO, « Enough said » (1981), Paroliers : Gen. Boy / Gerald Casale / Mark Allen Mothersbaugh

Assez parlé!

Réponse de Spartacus aux dix questions de Sage Hana.

Spartacus est l’auteur de la (pas assez) célèbre lettre qui porte son nom, que j’ai traduite ici, et de nombreux autres articles indispensables sur son Substack, dont deux autres traduits ici et ici.

Voici ses réponses aux dix questions que Sage Hana avait rédigées à l’intention initiale du Dr Brian Mowrey (qui y a répondu ici, c’est en anglais) et des auteurs les plus pointus sur Substack, dont j’ai publié des articles pour la plupart: Vaccine Sherpa (c’est-à-dire Robert Malone), Arkmedic, Igor Chudov, Steve Kirsch, Dr Jessica Rose, Dr Marc Girardot, Dr Meryl Nass, A Midwestern Doctor, Geert Vanden Bossche, etc.

Avec sa lettre et ses autres articles, ce questionnaire et ses réponses complètent la lettre de Parrhesia que je viens de publier. A leur lecture, il se dégage quelque chose de vraiment intéressant à comprendre dans les événements présents pour le long terme.

Il n’y aura plus de crise énergétique: il y aura bien assez d’énergie pour ceux qui resteront.

Il n’y aura plus de crise du logement: les « villes intelligentes » sont prévues pour parquer ceux qui resteront, comme je l’avais prédit il y a plus de deux ans.

Puisque les « migrants » sont dispensés d’injection, le Grand Remplacement de ceux qui s’accrochent encore maintenant – et couleront – avec le navire en perdition aura bien lieu en Occident. C’est d’ailleurs subtilement annoncé par Ursula dans son discours de l’Etat de l’Union, sur lequel je reviendrai comme promis – brièvement, manque de temps.

Le gouvernement mondial sera ensuite infiniment plus aisé à mettre en place.

Et la Paix règnera.

Ou pas.

Source.


Spartacus répond au questionnaire SH-10

Nous sommes tous Spartacus. (Pas vraiment, ce type précis comme un Laser est une exception)

Sage Hana

14 octobre

Première partie: Qui est Spartacus?

Pour ceux d’entre nous qui, il y a un an, parcouraient Twitter à la recherche désespérée d’informations réelles sur le COVID, Spartacus est un personnage important.

C’est l’été dernier que j’ai commencé à me montrer très curieuse de ces nouveaux « vaccins ».

Je m’étais déjà rétablie d’un cas brutal de COVID au printemps 2020. [NdT. un témoignage très bien écrit sur ce qu’a été le Covid long en 2020 ici]

Je connaissais l’immunité naturelle et j’étais déconcertée par l’agressivité avec laquelle les nouvelles injections étaient promues. C’était le début du fascisme. On le sentait.

Après m’être fait les dents sur la folie de la vaccination de masse en cas de pandémie (Geert Vanden Bossche), puis avoir appris ce qu’étaient les signaux de sécurité immédiats et l’utilisation abusive des statistiques des essais (Dr Peter McCullough), j’ai ensuite interrogé un médecin/scientifique qui avait été envoyée à New York pour le déclenchement de la pandémie.

Il s’agissait d’un médecin urgentiste et chercheuse scientifique de la région de Denver.

Elle a traité de charlatan le Célèbre GVB et a fortement suggéré que Robert Malone était un égocentrique en quête d’attention.

Ce qui… 😅

Quoi qu’il en soit, elle a également craché des trucs clairement faux comme « Les vaccins sont efficaces à 94%, mieux que pour la polio! » et a raillé une enseignante en Californie pour avoir transmis le COVID à ses élèves, même si nous savions que les personnes injectées excrétaient également le virus.

Comment cela était-il possible? Que se passait-il dans la communauté médicale et scientifique?

Elle n’avait pas la moindre critique à formuler à l’égard d’Anthony Fauci, mais elle souffrait d’un cas grave de SDT (Syndrome de Diabolisation de Trump).

(Notez que ce Syndrome Fauci/Trump est jumelé de l’autre « côté » par l’univers parallèle Fauci/SHT, ou Syndrome de l’Héroïsation de Trump. L’Homme Orange fait fondre les cerveaux comme personne. 😅)

Quoi qu’il en soit, son SDT était clairement une variable confondante du mystère de ce qui se passe avec ce virus, ces injections, et notre monde qui bascule rapidement dans la folie.

Spartacus a surgi de nulle part et a balancé la vérité en direct dans une lettre ouverte sur tout ce qui concerne le COVID.

Si vous voulez la lire, les liens vers cette lettre sont dans ce billet. [NdT. ma traduction]

Je l’ai interrogé sur cette lettre l’autre jour sur son Stack, lien ci-dessous.

Auteur de la Newsletter de Sage, 5 octobre, Aimé par Spartacus

Spartacus, je m’enflamme! 🔥

Êtes-vous le vrai Spartacus, celui de la lettre sur le COVID qui a circulé l’année dernière?

Vous êtes quelqu’un de brillant. Vous comprenez ce que peu de gens semblent capables de comprendre. En particulier par rapport à beaucoup de docteurs et de scientifiques garde-barrières qui ont proliféré dans ce marécage pendant des décennies, qu’on voit encore maintenant en train de transiger sur le fait qu’ils côtoyaient des psychopathes.

10 octobre, modifié le 10 octobre, Auteur

Ouaip, c’était moi. J’en avais assez de voir tout ce qui se passait, et selon ce que moi et mes correspondants savions, il y avait des preuves accablantes de malversations, du haut en bas de l’échelle. J’ai rédigé la première version de la lettre en cinq jours environ, pendant ma pause au travail, et je l’ai postée sur DocDroid. Cela s’est révélé être une erreur, car DocDroid diffusait d’horribles publicités aux utilisateurs de téléphones portables, et certaines personnes ont donc mis en garde les autres en leur disant « ce lien vous filera un virus! »

Dans un premier temps, je ne me rendais compte de rien, car j’étais sur mon ordinateur de bureau avec un bloqueur de publicité sur mon navigateur. Je l’ai posté sur certains forums et envoyé par e-mail à quelques personnes, dont Robert Malone. Je ne m’attendais pas à ce qu’il le publie sur son Twitter.

https://archive.ph/gvOAC

Cela a mis en mouvement un certain nombre d’autres choses. Automatic Earth l’a reposté depuis son compte, puis ZeroHedge les a repostés, et à partir de là, plus d’un million de personnes l’ont vu. Quelqu’un s’est plaint de l’absence de citations en ligne. J’ai également remarqué que les gens se demandaient s’il fallait ou non le rediffuser pour des raisons de droits d’auteur. J’ai donc ajouté des citations en ligne, l’ai légèrement développé et l’ai publié sous Creative Commons, ce qui a donné lieu aux versions V2, V3 et V4.

Quelques jours après qu’il soit devenu viral sur ZeroHedge, CNBC a publié cette vidéo.

Soit ils n’ont effectué aucune recherche, soit ils mentent délibérément. En affirmant qu’il est impossible de faire passer une micropuce dans une aiguille de vaccin, ils sous-entendent que les dispositifs dont nous disposons aujourd’hui sont des « puces » à grande échelle visibles à l’œil nu. Ce n’est pas le cas. Elles sont beaucoup, beaucoup plus petites que cela. Plus petites qu’un virus, en fait.

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2590238521000679

La DARPA a été la force motrice de la technologie des vaccins à ARNm [NdT. voir cet article]. Faites une recherche sur ADEPT (Autonomous Diagnostics to Enable Prevention and Therapeutics) [Diagnostics Autonomes pour Permettre la Prévention et la Thérapeutique]:

Depuis ces dernières années, la DARPA est à la pointe d’un nouveau genre de contre-mesures contre les maladies infectieuses, appelées anti-corps génétiquement encodés. Leur action est de fournir aux cellules des instructions génétiques qui leur font produire un ou plusieurs anticorps hautement protecteus contre toute menace.

Ce sont également eux qui font pression pour la mise en place de la technologie d’interface cerveau-ordinateur sans fil, par le biais de l’initiative BRAIN et du programme N3. Regina Dugan, ancienne directrice de la DARPA, travaille aujourd’hui à Wellcome Leap, une émanation du Wellcome Trust. Elle a également travaillé chez Google et Facebook.

Qui, selon Andrew Huff, est l’un des bailleurs de fonds de EcoHealth Alliance? Le Wellcome Trust. [NdT. voir cet autre article de Spartacus]

Ils prennent très au sérieux cette affaire d’Internet des Corps, et ils ont passé des années à mettre en place toute l’infrastructure nécessaire. Ils ont également mis beaucoup de leur énergie à empoisonner le puits de la critique des vaccins et de la 5G au cours de la dernière décennie, afin de faire passer pour des excentriques tous ceux qui posent trop de questions pointues. L’establishment médical intimide et fait chanter les médecins en les menaçant de leur retirer leur licence, alors même que les gens tombent comme des mouches à cause des effets secondaires de ces vaccins. Les médias de masse, complètement contrôlés, diffusent des publicités et des messages d’intérêt public sur les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux chez les enfants, comme s’ils avaient tout prévu à l’avance.

Nous sommes face au mal incarné.

Deuxième partie: Les dix questions de Sage Hana

Les virus existent-ils?

  1. Oui, très certainement. La théorie du terrain ne résiste pas vraiment à l’examen scientifique. Les virus ne peuvent pas satisfaire aux postulats de Koch car on ne peut pas en faire une culture purifiée. Contrairement aux bactéries, qui sont très vivantes, les virus ne sont pas vivants, ce sont des instructions flottantes qui entrent dans les cellules vivantes. Ce sont obligatoirement des parasites cellulaires qui ont besoin de cellules vivantes pour se répliquer, c’est pourquoi on introduit généralement des cellules Vero, par exemple, dans les cultures avant de les infecter avec un virus. L’entrée virale et l’infection des cellules peuvent être vérifiées par marquage fluorescent, et les particules virales peuvent être observées en microscopie TEM ou SEM. Les virus sont incroyablement petits. Un globule rouge est 66 fois plus grand qu’un virion du SARS-CoV-2.

Un nouveau coronavirus a-t-il émergé fin 2019, entraînant une pandémie mondiale?

  1. Le SARS-CoV-2 est très similaire au SARS-CoV. Ses seules caractéristiques vraiment nouvelles sont le site de clivage de la Furine sur la protéine de pointe (qui améliore considérablement la transmission en raison de l’ubiquité des protéases Furine humaines qui peuvent la cliver et l’activer; oui, les protéases de l’organisme – comme la Furine et le TMPRSS2 – aident le virus) et quelques autres motifs suspects sur ses protéines. Le fait que la technologie de séquençage d’Illumina soit si largement utilisée pour analyser les échantillons – avec peu d’alternatives – est suspect, mais étant donné les centaines de milliers d’articles qui ont été publiés sur le virus jusqu’à présent, il serait grotesque de supposer que tout ceci n’était qu’un canular. Ayant moi-même contracté le COVID-19 et m’en étant généralement bien remis, je peux dire que cette maladie était assurément différente de la grippe. [NdT. je confirme]

Vous (Brian Mowrey, les questions lui étaient initialement destinées) avez jugé que le péché originel antigénique était faux ou inexact. Qui est/sont les principaux partisans de cette théorie et en quoi se sont-ils égarés?

  1. Le péché originel antigénique (Original Antigenic Sin – OAS) et la facilitation de l’infection par anticorps (Antibody Dependent Enhancement – ADE) sont incontestablement des phénomènes réels. Il suffit de voir ce qui se passe lorsqu’une personne attrape deux souches différentes de la dengue. On parle de facilitation de l’infection par anticorps lorsque les anticorps non-neutralisants de la première infection sont utilisés sur la seconde, et que les virions incomplètement neutralisés sont attirés dans les macrophages par leurs récepteurs Fc [NdT. mécanisme bien détaillé par le Dr Tenpenny ici], infectant les cellules immunitaires avec des virions de dengue vivants. Nous savons que les sarbecovirus et les merbecovirus ont un potentiel d’ADE similaire à celui de la dengue, ce qui fait de la vaccination des personnes avec un vaccin non stérilisant (c’est-à-dire qui permet la transmission de la maladie) et qui encourage l’émergence de variants d’échappement immunitaire, au mieux une course folle, au pire une erreur mortelle. C’est ce que nous constatons avec les vaccins actuels. Ils stimulent d’abord les réponses du système immunitaire inné, mais l’efficacité du système immunitaire adaptatif à repousser le SARS-CoV-2 semble baisser en dessous du seuil de référence après quelques mois. C’est tout sauf bon.

lié au n°3: Se sont-ils égarés en raison d’une erreur de bonne foi, ou de motifs sombres ou personnels?

  1. Je ne peux pas commenter cette question car je ne pense pas du tout qu’ils se soient égarés.

Les vaccins étaient-ils nécessaires pour le nouveau coronavirus appelé SARS-Cov2? (À ne pas prendre en compte si les questions n°1 et 2 la rendent inapplicable).

  1. Non, ils ne l’étaient pas. Au moment où ils ont commencé les campagnes de vaccination de masse, la grande majorité des gens étaient déjà séropositifs et avaient un certain degré d’immunité. Au mieux, ils voulaient juste utiliser des milliards de personnes comme cobayes pour la technologie de transfection de l’ARNm qui serait plus tard utilisée dans les vaccins contre le cancer, les traitements favorisant la longévité, et ainsi de suite. Au pire, ils empoisonnent les gens. Délibérément. Et ils ouvrent probablement la voie à une modification humaine généralisée en modifiant génétiquement et physiquement les cellules des gens afin de les rendre dociles et obéissants.

Lesquels sont les meilleurs: les chimichangas ou les tacos?

  1. Les enchiladas.

Sommes-nous au milieu d’une campagne de dépeuplement (abattage du troupeau), ou n’est-ce qu’une sombre théorie de la conspiration?

  1. Un grand nombre de personnes au pouvoir sont liées au FEM (Forum Economique Mondial), et le FEM est ouvertement néo-malthusien, tout comme le Club de Rome et les Rockefeller. Bill Gates, Yuval Noah Harari, Boris Johnson et des dizaines d’autres membres de la classe dirigeante ont ouvertement exprimé des opinions qui relèvent du contrôle de la population.
Yuval Noah Harari a exprimé tout haut la façon dont l’élite capitaliste considère la majeure partie de l’humanité: sacrifiable et excédentaire par rapport aux besoins. Le conseiller du Forum Economique Mondial a déclaré: « Nous n’avons tout simplement pas besoin de la majeure partie de la population » en ce début de XXIème siècle.

Je suis sûr à 90% qu’ils essaient de réduire la population, et les 10% restants sont juste de bonnes vieilles expérimentations sur l’être humain.

Pourquoi pensez-vous que les leaders mondiaux ont tous promu les injections expérimentales d’édition de gènes et l’ont fait de manière draconienne et fasciste?

  1. Parce qu’ils suivent tous exactement le même scénario.

A qui faites-vous confiance dans le monde de la science biomédicale pour opérer avec une pure rigueur scientifique?

  1. Personne. L’édition scientifique est l’une des choses les plus corrompues de la planète, où tout le monde est motivé par l’argent plutôt que par l’exactitude des faits. La seule fois où on sait que quelque chose est un tant soit peu exact, c’est lorsqu’il peut être reproduit dans au moins une douzaine d’autres articles. La psychologie, en tant que domaine, est catastrophique à cet égard [NdT. je traite bientôt ce sujet]. Pratiquement aucun de leurs résultats ne peut être reproduit.

Avez-vous déjà subi des pressions pour fausser les résultats, que ce soit de la part de collègues chercheurs ou de bailleurs de fonds?

  1. Pas moi, personnellement, mais je connais d’autres personnes qui en ont subi.

Question bonus:

Y a-t-il un seul élément de l’opération Injection 19 que nous pouvons considérer comme exact à plus de 99%? (sachant que la science n’est jamais figée)

Un seul élément?

Bonus: Les vaccins à ARNm sont un produit de biodéfense militaire créé avec le financement de la DARPA.

https://iceni.substack.com/p/humans-as-bioreactors

L’intérêt des vaccins à base d’acide nucléique est qu’ils peuvent être produits très rapidement pour contrer les nouveaux agents pathogènes dès leur apparition. La seule raison pour laquelle on pourrait l’envisager, et pour laquelle le Ministère de la Défense le finance, est qu’il anticipe une guerre biologique. S’ils anticipent la guerre biologique, alors qui libère des agents pathogènes (en violation de la Convention sur les Armes Biologiques) et pourquoi? C’est l’éléphant géant dans la pièce dont personne ne parle.


Merci, Spartacus!

Voici le billet de Brian Mowrey qui répond au SH-10:

https://unglossed.substack.com/p/the-sage-hana-questionnaire [NdT. je ne traduirai pas tout mais j’en citerai une partie dans un futur article]

C’est un vrai bonheur pour moi, et j’espère pour vous, les gars.

Les divergences de points de vue ne me posent aucun problème, comment pourrait-il ne pas y en avoir?

Nous semblons arriver à la pointe de nos connaissances et ceux qui coordonnent l’Opération nous mentent à chaque instant.

C’est ce que je voulais savoir il y a un an.

Il a été très difficile pour une profane de faire le tri entre la politique, le bal des héros, les mensonges et les diverses impulsions de raisonnement motivées par ceux qui émergent du ventre de la bête.

J’ai confiance dans le fait qu’à travers Spartacus et Brian, nous avons maintenant deux réponses inscrites au registre qui visent aussi droit au but qu’ils le peuvent selon leur compréhension de la situation.

Bénédictions et gratitude à eux deux.