L’industrie du transgenre, qui brasse des milliards de dollars, laisse des familles et des vies brisées – par Darlene McCormick Sanchez.

L’article a plus d’un an mais est toujours très lu sur Epoch Times. J’ai tenté d’en savoir plus sur le sort du petit James Younger sans trouver d’information plus récente que celle de l’article.

L’histoire d’un pauvre gosse pris entre une mère pédiatre qui l’a détraqué depuis ses deux ans, des juges et des écoles pleinement complices – tous fous à lier – et un père au mains tenues par des lois abjectes.

Protégez vos enfants!

Source.


L’industrie du transgenre, qui brasse des milliards de dollars, laisse des familles et des vies brisées

Darlene McCormick Sanchez

7 octobre 2022

Jeff Younger assis seul derrière les photos de ses jumeaux dans sa maison du nord du Texas le 16 septembre 2022. (Bobby Sanchez pour The Epoch Times)

Des photos des jumeaux souriants de Jeff Younger sont affichées un peu partout dans sa maison de la banlieue de Dallas – des moments heureux, figés dans le temps.

À côté de la porte arrière, une corde à sauter et un casque de boxe pour jeunes n’ont pas bougé du coin où ils ont été jetés il y a 13 mois. À l’extérieur, un sac de frappe est suspendu en silence à un solide arbre d’ombrage qui domine une cour autrefois remplie du bruit des petits poings frappant la toile.

Younger a passé des heures dans cet espace avec ses garçons, James et Jude, qui avaient 9 ans à l’époque, leur apprenant à lutter et à donner des coups de poing, comme son père le lui avait appris lorsqu’il était enfant.

« Je me souviens des gens par les choses qu’ils font », nous dit Younger.

Jeff Younger dans le jardin de sa maison, où il avait l’habitude de boxer avec ses fils, le 16 septembre 2022. (Bobby Sanchez pour The Epoch Times)

Il emmenait les garçons dans des parcs, leur apprenait à lancer des bâtons et à traquer des lapins le long d’un ruisseau, tout cela dans le but de faire de ses garçons des hommes.

Mais pour James, aujourd’hui âgé de 10 ans, cette masculinité ne viendra peut-être jamais.

James est comme tant d’autres, emporté par l’engouement pour le transgendérisme, qui fait partie d’une tendance en pleine explosion chez les jeunes et les jeunes adultes. Et Younger fait partie d’une nuée d’opposants, dont beaucoup sont des parents, qui mènent une bataille difficile contre une industrie transgenre de 2,1 milliards de dollars aux États-Unis.

L’ex-femme de Younger, Anne Georgulas, pédiatre à Coppell (Texas), affirme que James veut s’identifier à une fille depuis l’école maternelle, qu’il porte des robes et qu’il s’appelle Luna. Younger n’a pas pu voir James depuis plus d’un an parce qu’il a refusé d’accepter l’idée que James est une fille.

Aujourd’hui, ce père texan, qui est impliqué dans une bataille très médiatisée pour la garde de son enfant, craint qu’une décision de justice rendue en septembre ne permette à son ex-femme de s’installer en Californie et de castrer chimiquement son fils.

Younger craint que son ex-femme ne procède à la transition médicale de James. Il a déclaré que les documents qu’il a obtenus au cours de la procédure judiciaire montrent qu’elle a emmené James chez un thérapeute qui a recommandé que la famille « explore » la possibilité d’une transition de genre à la clinique médicale Genecis, basée à Dallas.

Younger a déclaré que le cabinet médical de son ex-femme devrait fermer le 31 octobre. Contacté par The Epoch Times, Georgulas a refusé de commenter un éventuel déménagement en Californie.

Mais la Californie est une terre d’accueil pour les jeunes qui souhaitent effectuer une transition médicale.

Le 29 septembre, le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a signé une loi donnant à l’État l’autorité sur les mineurs transgenres, ce qui pourrait constituer un cauchemar pour Younger. La chirurgie et les médicaments de modification du genre, appelés « soins d’affirmation du genre » par leurs partisans, sont légaux en Californie, et la nouvelle loi protège les Californiens contre les lois et les actions en justice d’autres États qui pourraient bloquer les traitements de transition.

Jeff Younger avec son fils James Younger, alors âgé de 7 ans. En pleine bataille juridique, Jeff Younger, qui s’oppose à la transition de James, craint que son ex-femme ne castre chimiquement son fils, aujourd’hui âgé de 10 ans (avec l’autorisation de SaveJames.com).

Younger pense que la nouvelle loi californienne permettra à son ex-femme de contourner une précédente décision de justice du Texas interdisant à l’un ou l’autre parent de traiter l’enfant avec une thérapie de suppression hormonale, des bloqueurs de puberté ou une chirurgie de réaffectation transgenre sans le consentement des deux parents ou une décision de justice.

La machine à fric du transgenre

Selon Clifford Alan Hopewell, neuropsychologue à Fort Worth, qui s’est entretenu avec The Epoch Times, l’argent et une épidémie d’hystérie sont les moteurs du phénomène du transgendérisme.

Comportementaliste de formation, ancien président de la Texas Psychological Association et membre de l’American Psychological Association, il affirme que la thérapie est devenue la porte d’entrée d’une économie transgenre en pleine effervescence.

Clifford Alan Hopewell, neuropsychologue à Fort Worth. (Photo avec l’aimable autorisation du cabinet de Hopewell)

La dysphorie de genre est un diagnostic relativement nouveau, créé pour que les compagnies d’assurance couvrent les coûts des soins dits d’affirmation du genre, explique-t-il.

Les thérapeutes rédigent une ordonnance sans poser de questions, dit-il. Les prestataires de soins de santé mentale « ne voient que l’argent ».

« C’est complètement bidon », déclare Hopewell. « C’est la machine à fric du transgenre en action ».

Le marché actuel de la chirurgie transgenre devrait passer de 2,1 milliards de dollars en 2022 à 5 milliards de dollars en 2030, soit un taux de croissance annuel composé de 11%, selon Grand View Research, une société d’études de marché.

La chirurgie mammaire ou thoracique chez les femmes en transition vers le sexe masculin a montré la plus grande croissance en termes de chirurgies de transition, qui a augmenté de 15 pour cent sur la période 2019-20, selon les statistiques sur la chirurgie plastique de la Société Américaine des Chirurgiens Plasticiens.

Le cycle est d’une absurdité stupéfiante, affirme Hopewell.

Un homme ou une femme peut se rendre chez un prestataire de santé mentale agréé et exprimer son désir de devenir du sexe opposé. Le thérapeute accrédite le patient, qui s’est autodiagnostiqué, explique-t-il.

Si vous vous présentez en disant: « ‘Amputez-moi la jambe’, personne ne le fera », dit Hopewell. Si vous vous présentez en disant: « Amputez-moi le pénis », « [la réponse est] oh, d’accord, on va vous inscrire immédiatement sur la liste des opérations chirurgicales ».

Il cite une vidéo de 2018 de l’université Vanderbilt, récemment révélée, dans laquelle un représentant de l’hôpital parle des possibilités de gagner de l’argent dans l’industrie transgenre. Les opérations mammaires pourraient rapporter 40 000 dollars par patient, y explique le représentant avec enthousiasme.

Créer un besoin

Les personnes qui décident d’effectuer une transition ont besoin de soins transgenres pour le reste de leur vie, explique Hopewell. Les hormones et autres médicaments nécessaires peuvent coûter 200 000 dollars ou plus au cours de la vie d’une personne transgenre.

Mais comme certains transgenres l’ont découvert, le coût total peut être bien plus élevé et ne se compte pas seulement en dollars.

Scott Newgent, une femme biologique qui a subi une opération chirurgicale pour paraître un homme, est présentée dans le documentaire « What is a Woman » de Matt Walsh (2022). (Avec l’aimable autorisation de Scott Newgent)

Pour Scott Newgent, 49 ans, une femme qui a commencé sa transition vers l’apparence masculine il y a sept ans, le parcours a été jalonné de médicaments coûteux, d’opérations chirurgicales et de complications.

Newgent, qui vit au Texas, estime que la transition a coûté environ 1,2 million de dollars jusqu’à présent.

Comme Hopewell, Newgent pense que la transition représente une nouvelle source de revenus lucratifs pour l’industrie des soins de santé.

« Tout cela est très, très diabolique », a déclaré Newgent à The Epoch Times. « Il y a trop d’argent en jeu ».

Les hormones transsexuelles prescrites à Newgent ont coûté environ 30 000 dollars. Le prix de la phalloplastie s’élève à 309 000 dollars. Au cours de cette intervention, le chirurgien pratique une incision dans l’avant-bras pour retirer un lambeau de tissu afin de former et d’attacher un pseudo-pénis et d’allonger l’urètre.

L’assurance a pris en charge une grande partie de la transition, précise Newgent, notant que sans assurance, l’opération aurait coûté 70 000 dollars en espèces.

La peau du bras de Scott Newgent a été découpée dans le cadre d’une opération de transition, ce qui a laissé des cicatrices permanentes. (Avec l’aimable autorisation de Scott Newgent)

Newgent qualifie aujourd’hui de « monstre » le chirurgien qui a pratiqué l’opération. Les complications liées aux interventions ont entraîné des mois d’infections, de visites aux urgences et de douleurs insoutenables. Le coût des soins a encore augmenté de 850 000 dollars.

Dans un documentaire récemment publié et intitulé « What is a Woman? » (Qu’est-ce qu’une femme?), Newgent décrit en termes vibrants ses souffrances dans l’espoir d’alerter le monde sur les dangers des chirurgies de transition.

Si elle en avait connu les dangers, la transition n’aurait pas été une option envisageable à ses yeux, déclare Newgent.

L’industrie du transgenre, qui semble maintenant cibler les enfants, est motivée par l’appât du gain, explique Newgent, soulignant que le coût des hormones pour les enfants en transition est huit fois plus élevé que celui des adultes.

Une réserve d’un an d’hormones de blocage de la puberté pour les enfants, comme le Supprelin LA, a un prix de vente de 37 300 dollars. En revanche, le coût du Vantas, une hormone prescrite aux adultes, est de 4 400 dollars, rapportait la National Public Radio en 2020.

Hystérie sociale

Le boom des transgenres est alimenté par une épidémie d’hystérie, dont certains disent qu’elle provient des médias sociaux, selon Hopewell.

L’hystérie peut avoir un impact sur les petites communautés et tend à toucher davantage les femmes que les hommes.

Il compare la montée en puissance de la dysphorie de genre, qui fait l’objet de discussions obsessionnelles dans certaines communautés en ligne, à d’autres phénomènes d’hystérie de masse. Il cite l’apparition soudaine et inexpliquée de cas de troubles de la personnalité multiple et les procès historiques et tragiques des sorcières de Salem.

Dans les années 1980, des cas de troubles de la personnalité multiple – aujourd’hui connus sous le nom de troubles dissociatifs de l’identité – ont commencé à apparaître au Texas et ailleurs à un tel rythme que de nouveaux hôpitaux ont été construits pour faire face au problème, explique Hopewell.

Mais lorsque les compagnies d’assurance ont commencé à limiter leur prise en charge des troubles de la personnalité multiple, les cas se sont soudainement taris. Aujourd’hui, ces diagnostics sont redevenus rares.

« Je n’en ai jamais vu de toute ma carrière », déclare-t-il. « Jamais personne n’est venu me voir pour me dire qu’il avait des personnalités multiples. »

Une croissance explosive

Les études montrent que la croissance du transgendérisme est en plein essor dans le groupe démographique le plus vulnérable de la société: les enfants. Pour Hopewell, la tendance à l’affirmation du transgenre chez les mineurs s’apparente à de la maltraitance d’enfants.

Un lycéen transgenre (C) et un camarade de classe (G) visitent le stand de l’hôpital pour enfants de Los Angeles lors d’une convention sur l’enseignement supérieur et les carrières au Los Angeles Convention Center, le 8 décembre 2010. (Kevork Djansezian/Getty Images)

Un rapport récent basé sur les données des Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC) montre qu’environ 150 000 adolescents âgés de 13 à 17 ans s’identifient comme transgenres.

Les chiffres étaient similaires pour les Américains âgés de 18 à 24 ans. En 2017, 206 000 jeunes adultes s’identifiaient comme transgenres. En 2020, ce nombre atteignait 399 000.

La méthodologie et des données plus complètes peuvent expliquer l’augmentation de l’identification transgenre, selon le Williams Institute.

Chloe Cole, une jeune femme de 18 ans qui regrette d’avoir subi une ablation chirurgicale des seins, tient un médicament à base de testostérone utilisé pour les patients transgenres en Californie du Nord, le 26 août 2022. (John Fredricks/The Epoch Times)

Passerelle transgenre

Selon Hopewell, le chemin vers le transgenre commence souvent par un prestataire de soins de santé mentale.

Les patients qu’il a vus dans les années 1970, alors qu’il travaillait à la branche médicale de l’université du Texas à Galveston, semblaient, lorsqu’ils demandaient une opération de changement de sexe, suivre un scénario qui leur permettait d’obtenir le diagnostic qu’ils souhaitaient. Ils souffraient en outre de troubles mentaux, d’après lui. On ignore qui a produit et distribué le scénario.

Mais aujourd’hui, les médias et les universités ont coupé court aux discussions et aux études sur les causes de la mode transgenre et sur les dommages qu’elle peut causer, en particulier chez les enfants.

« La science a été pervertie. La psychologie, franchement, n’est plus scientifique », dit Hopewell.

Les séances de thérapie coûtent jusqu’à 5 000 dollars par an, selon health.costhelper.com. Les traitements pour les « soins d’affirmation du genre » qui en résultent peuvent inclure des bloqueurs de puberté, des hormones et des évaluations psychologiques.

Une lettre d’un prestataire de santé mentale agréé est généralement nécessaire avant d’aller plus loin dans la « chirurgie du haut » ou la « chirurgie du bas », comme on les appelle.

Un éventail d’options est disponible.

Pour les hommes qui souhaitent devenir des femmes, les procédures à envisager comprennent une orchidectomie pour retirer les testicules et une vaginoplastie, qui vise à créer un vagin et une vulve. Les seins peuvent être reconstruits à l’aide d’implants, ce qui coûte environ 8 000 dollars.

La chirurgie du bas pour enlever les testicules et créer un vagin coûte environ 20 000 dollars, selon un site web d’information de l’Université de Floride sur ces procédures. La chirurgie visant à adoucir les traits du visage et à féminiser la voix peut coûter entre 19 000 et 45 000 dollars.

Les options pour les femmes qui espèrent vivre en tant qu’hommes comprennent une hystérectomie pour enlever l’utérus et une mastectomie pour enlever les seins et sculpter la poitrine pour qu’elle ait l’air plus masculine. Avec la phalloplastie, le chirurgien cherche à créer un pénis.

Pour les transitions de femme à homme, le prix de la chirurgie du haut est de 6 000 à 8 000 dollars. La chirurgie du bas coûte 21 000 dollars ou plus.

Certaines interventions, telles que l’hystérectomie, peuvent s’avérer nécessaires après des années de traitement hormonal.

Abel Garcia, qui est un pseudonyme, est redevenu un homme après avoir réalisé qu’il ne serait jamais une femme. Il tient dans ses bras des documents détaillant ses procédures médicales, chez un ami dans la région de Dallas, le 18 septembre 2022. (Bobby Sanchez pour The Epoch Times)

On lui a vendu un mensonge

Lorsque Abel Garcia, à 19 ans, a décidé qu’il était transgenre en 2016, il s’est empressé de se recréer en tant que femme.

Garcia – qui a demandé à utiliser un pseudonyme – a autorisé les médecins à lui injecter des hormones et a payé des chirurgiens pour lui implanter des seins. Il s’est rebaptisé April.

En tant qu’architecte de son nouveau moi, Garcia a déclaré à The Epoch Times qu’il était persuadé que cela comblerait un manque dans sa vie.

Mais au bout de six ans, Garcia, 25 ans, qui vit aujourd’hui dans le nord du Texas, est devenu l’un des nombreux « détransitionnistes » qui se rendent compte qu’ils ne seront jamais de l’autre sexe. Il s’est rendu compte qu’on lui avait vendu un mensonge.

« À ma connaissance, personne n’a essayé de m’arrêter ou de faire quoi que ce soit », dit-il. « La seule personne qui ait jamais remis en question quoi que ce soit, c’est ma mère. Mais c’est quand je lui ai dit pour la première fois ».

Sa mère a pleuré en apprenant la nouvelle. Son père a essayé de le convaincre qu’il était un homme.

Peu après l’annonce, son père a demandé à Garcia de le conduire à un rendez-vous chez le dentiste au Mexique. Ensuite, son père lui a dit qu’ils allaient au restaurant, mais en réalité, il a emmené son fils voir une prostituée.

Le père de Garcia pensait que cela guérirait le jeune homme de sa confusion.

L’expérience d’avoir des relations sexuelles pour la première fois, avec une étrangère avec laquelle il n’avait aucun lien, a été traumatisante. Elle a eu l’effet inverse de celui recherché par son père. Cela l’a poussé à vouloir devenir une femme, dit Garcia.

Abel Garcia ( un pseudonyme) à Denton, au Texas, sur une photo récente. (Avec l’aimable autorisation d’Abel Garcia)

Garcia raconte qu’il a reçu une éducation solitaire et qu’il voulait explorer ses sentiments sur le genre avec un thérapeute.

Fils d’immigrés mexicains entrés illégalement aux États-Unis pour trouver du travail, il se souvient d’avoir déménagé d’une ville à l’autre lorsqu’il était enfant dans la région de la Central Valley en Californie du Sud.

N’étant pas enraciné dans une communauté, il lui était difficile de se faire des amis en grandissant. Ses parents travaillaient constamment et son père était absent pendant de longues périodes.

« Je n’ai pas vraiment eu de modèle dans mon enfance, car mon père travaillait 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 », explique-t-il. « Je n’ai donc jamais vraiment appris à être un homme. »

Garcia est né dans l’Utah, le premier des enfants de ses parents à être né aux États-Unis. Bien que ses parents aient fini par obtenir la nationalité américaine, il a toujours eu le sentiment tenace de ne pas être à sa place.

Lorsqu’il est allé voir une thérapeute pour faire le point sur ses sentiments en matière de genre, celle-ci ne l’a jamais interrogé. Au contraire, elle lui a immédiatement adressé une lettre de recommandation pour entamer le processus de transition, qui a commencé par la prise d’hormones, dit-il.

« Elle m’a dit que j’étais assurément transgenre, alors qu’il s’agissait de ma première séance », a-t-il déclaré.

Garcia a été élevé dans l’idée de faire confiance aux professionnels de la santé parce qu’ils sont « formés et bien informés ».

« Je me suis dit: ‘Super. Cette thérapeute sait de quoi elle parle. Je dois certainement être transgenre' ».

Après un an d’hormones, la thérapeute a écrit une autre lettre, recommandant cette fois une intervention chirurgicale pour des implants mammaires.

Sans demander une deuxième recommandation, il a reçu une lettre lui recommandant une chirurgie du « bas », une inversion du pénis pour transformer ses organes génitaux masculins en parties d’apparence féminine.

Abel Garcia a été autorisé par une professionnelle de la santé mentale à subir une chirurgie transgenre sans qu’aucune question ne lui soit posée. (Darlene Sanchez/The Epoch Times)

Quelque chose lui disait d’attendre pour la chirurgie du bas. Au fond de lui, sa conscience le taraudait pour savoir si c’était la bonne chose à faire, dit Garcia.

Il se rend compte aujourd’hui que la thérapeute travaillait dans une clinique pro-transgenre, où les demandes de ce type ne peuvent être qu’approuvées. Il se souvient qu’une militante transgenre travaillant dans la clinique lui avait dit qu’il deviendrait « la femme qu’il a toujours voulu devenir », et qu’elle encourageait ceux qui envisageaient de changer de sexe.

Un jour, alors que Garcia était assis dans une salle en attendant son rendez-vous, l’activiste lui a demandé de se lever et de « faire une petite pirouette ».

Garcia raconte que l’activiste s’est exclamée: « Oh, oui, je peux affirmer avec certitude que vous étiez censé naître en tant que femme. L’image de votre corps le montre ».

Le coût humain

De nombreux médias et plateformes de médias sociaux présentent la transition comme ayant un effet bénéfique sur la santé mentale des personnes souffrant de dysphorie de genre. Ceux qui ne soutiennent pas les personnes transgenres sont qualifiés de bigots et de transphobes.

Certaines personnes déclarent se sentir plus heureuses après une transition sociale et médicale.

Morgan, une jeune femme de 18 ans en transition vers le sexe masculin, déclarait à Buzzfeed News en 2017 que depuis le début du processus, sa santé mentale s’était considérablement améliorée.

« Je ressens une véritable joie de vivre maintenant que j’ai un avenir. Je suis enfin amoureuse de mon corps. Je n’ai jamais eu autant confiance en moi jusqu’à aujourd’hui, et je ne me suis jamais sentie aussi heureuse! » déclarait Morgan au média.

La plupart des récits anecdotiques cités dans l’article de Buzzfeed concernent des personnes qui en sont aux premiers stades de la transition.

C’est souvent plus tard que les personnes en transition rencontrent des problèmes, ont expliqué des détransitionneurs à The Epoch Times.

Une étude menée sur 30 ans par la chercheuse Cecilia Dhejne a suivi 324 personnes ayant changé de sexe en Suède. Elle a calculé leur mortalité, leur morbidité et leur taux de criminalité après l’opération jusqu’en 2003.

L’étude, publiée en 2011, montre que les personnes qui changent de sexe par la chirurgie ou les hormones ont un taux de mortalité plus élevé, notamment par suicide. Elle révèle également que les personnes en transition présentent un risque accru de tentatives de suicide et de soins psychiatriques.

Les défenseurs de la transition soulignent que l’étude n’affirme pas que le changement de sexe est à l’origine de l’augmentation de la morbidité et de la mortalité. Selon eux, les résultats auraient pu être pires si les participants n’avaient pas changé de sexe.

De nombreux médias ignorent le coût humain de la transition, souvent payé en termes de familles et de vies brisées, affirment les détransitionnistes. Au lieu de cela, ils se posent en défenseurs des droits.

Un récent titre de Vox portait sur les « droits » des enfants transgenres. « Qu’y a-t-il de si effrayant à propos d’un enfant transgenre? Cessez de vous inquiéter de ce qui se passera si nous laissons les enfants changer de sexe. Préoccupez-vous de ce qui se passe si nous ne le faisons pas », lit-on dans le titre.

Environ trois mois après avoir reçu des implants mammaires en 2018, Garcia a su que quelque chose clochait. Il s’est réveillé un jour en ayant l’impression d’avoir fait une terrible erreur.

« Mais qu’est-ce que je suis en train de faire? », se rappelle-t-il avoir pensé. « C’est alors que j’ai regardé mon corps et que j’ai réalisé que, peu importe ce que j’aurais fait, je serais toujours un homme. Je deviendrais juste une caricature de ce que je croyais être une femme ».

Garcia s’est fait retirer ses implants mammaires en 2020 dans le cadre de la détransition, mais il reconnaît qu’il ne sera peut-être plus jamais le même.

Abel Garcia, photographié dans une maison de Dallas le 18 septembre 2022, montre ses cicatrices suite au retrait d’implants mammaires. (Bobby Sanchez pour The Epoch Times)

Garcia a déclaré que des années d’hormones transsexuelles ont rendu la miction difficile. Il craint que les médicaments ne l’aient rendu stérile, une réalité qui briserait son espoir d’avoir un jour des enfants.

Depuis sa détransition, Garcia s’est ouvertement opposé au mouvement de réassignation de genre, qu’il compare à une secte.

Les activistes transgenres prétendent vous « aimer » et devenir votre nouvelle famille, dit-il. Il s’est rendu compte trop tard que leurs tactiques étaient abusives et destinées à diviser les familles.

« Tous ceux qui ne vous soutiennent pas sont taxés de bigots haineux et transphobes », explique Garcia. « Ils essaient de vous ostraciser, de se mettre entre vous et votre famille. »

Comme Garcia, Newgent considère que l’idée de devenir le sexe opposé n’est qu’une illusion.

« Je ne serai jamais un homme » dit Newgent.

Et il n’y a aucun moyen de revenir à l’apparence féminine après l’opération, dit-elle.

Selon Newgent, un schéma de malaise chez certains transsexuels apparaît cinq ou six ans après la fin de toutes les opérations. C’est souvent à ce moment-là qu’ils réalisent qu’ils ne seront jamais du sexe opposé.

Lorsque la réalité s’impose et que les complications surviennent, cela peut donner lieu à une conjonction dévastatrice qui peut pousser certains à se suicider, ajoute-t-elle.

Selon Newgent, la phalloplastie est une procédure « barbare » qui devrait être interdite.

Elle pense que même les meilleurs chirurgiens rencontreraient des difficultés face à la complexité de la reconnexion des vaisseaux sanguins et de l’extension de l’urètre. Il n’est donc pas étonnant que ces opérations échouent.

Après sa phalloplastie, la douleur causée par une infection non diagnostiquée était si forte que Newgent ne parvenait plus à dormir. Les visites aux urgences étaient devenues la norme nuit après nuit, une tentative désespérée de trouver un soulagement, pour s’entendre dire que tout allait bien.

À un certain moment, elle fut persuadée que sa mort était proche. Au début, ce fut un soulagement. Mais ensuite, Newgent, qui a trois enfants, imagina ce que serait leur vie.

Elle promit au Tout-Puissant de raconter au monde l’histoire de ce qu’est réellement la transition.

Finalement, un médecin découvrit la source de la douleur: un poil de six pouces avait poussé à l’intérieur de l’urètre étendu, provoquant une infection. Le chirurgien avait utilisé un type de peau inapproprié qui permettait la croissance de poils à l’intérieur du nouvel appendice, expliqua-t-on à Newgent.

En découvrant que les mêmes procédures sont maintenant pratiquées sur des enfants qui veulent changer de sexe, sa détermination l’a poussée à se battre en s’élevant contre la transition.

Newgent a maintenant un site web appelé TreVoices et déclare qu’il s’agit « du premier site trans contre les groomers« . [NdT. « groomers » désigne les personnes qui manipulent les enfants, soit vers une « transition », soit pour abuser d’eux sexuellement]

Jeff Younger à son domicile au Texas le 16 septembre 2022. (Bobby Sanchez pour The Epoch Times)

Younger ne connaît que trop bien les conséquences de la transition des enfants. Vêtu d’un tee-shirt noir portant l’inscription « Save James » sur le devant, il a un regard intense lorsqu’il parle de son fils.

Du haut de son mètre quatre-vingt-dix, Younger était boxeur dans l’armée et a assumé sa masculinité. Il souhaite que ses fils fassent de même.

Mais son ex-femme a la garde complète des garçons, James et Jude.

Elle a commencé à remettre en question le sexe de James lorsqu’il était tout petit, raconte Younger.

Elle a soutenu que James avait choisi de s’identifier comme fille dès son plus jeune âge. Finalement, elle a procédé à la transition sociale du garçon et l’a présenté à l’école maternelle comme fille. L’école a soutenu cette démarche après la séparation du couple en 2015.

Younger a accusé son ex-conjointe d’avoir conduit leur jeune enfant à une transition sociale avant qu’il ne puisse comprendre le concept ou ses implications. Il a déclaré que James rejetait son identité féminine et ne portait pas de robes chez lui lors des visites.

En 2021, Mary Brown, juge du district de Dallas, a déchu Younger de la plupart de ses droits parentaux, confiant la garde complète de l’enfant à son ex-femme dans le cadre d’une ordonnance temporaire. Cette décision a été prise après que Younger ait été en retard dans le paiement de la pension alimentaire, de l’aide médicale et des intérêts, comme l’avait ordonné le tribunal.

Brown a également ordonné à Younger de payer des centaines de dollars pour chaque visite surveillée et lui a interdit de retirer sa robe à James lorsqu’il lui rendait visite. Younger a refusé d’accepter ces conditions.

Ce qui a commencé comme une bataille pour la garde de son enfant est maintenant entré dans l’arène politique pour Younger.

Au printemps dernier, il a tenté, sans succès, de se faire élire à la législature de l’État dans l’espoir de modifier la loi du Texas, qui rendrait illégale la transition des enfants.

« La puberté est le remède à la dysphorie de genre », affirme Younger.

La tendance à la transition est, selon lui, une « mutilation génitale de masse ».

Il veut à tout prix éviter à son fils le sort réservé à d’autres personnes en transition et s’est engagé à continuer à s’exprimer malgré l’ordre de bâillonnement émis par le juge.

Younger a déclaré qu’il n’abandonnerait jamais son combat pour James.

« Je suis un père texan », a-t-il déclaré. « Je n’abandonne jamais ».


Darlene McCormick Sanchez
Auteur

Darlene McCormick Sanchez travaille pour The Epoch Times depuis le Texas. Elle écrit sur une variété de sujets, en particulier sur la politique texane, la fraude électorale et l’érosion des valeurs traditionnelles. Auparavant, elle a travaillé comme journaliste d’investigation et a couvert la criminalité, les tribunaux et le gouvernement pour des journaux du Texas, de Floride et du Connecticut. Son travail sur la série The Sinful Messiah, qui exposait le leader des Branch Davidians David Koresh, a été nommé finaliste du prix Pulitzer pour le journalisme d’investigation dans les années 1990.

Témoignage du Dr Karen DeVore devant la commission ad hoc des affaires médicales du Sénat de Caroline du Sud (extrait).

J’ai transcrit et traduit les quatre dernières minutes de ce témoignage. La première partie concerne l’interdiction de prescription d’hydroxychloroquine et d’ivermectine, et le fait que ses patients sous ce traitement ont guéri du Covid en quelques heures. Je traduirai cette partie si j’ai le temps mais j’ai un autre article à traduire sur des « effets secondaires » infiniment plus graves.

Source sur Brighteon (cet extrait). Source sur YouTube (témoignage complet).


Témoignage du Dr Karen DeVore devant la commission ad hoc des affaires médicales du Sénat de Caroline du Sud sur le DHEC.

Traduction

Au cours des deux dernières années et demie, depuis que le vaccin a été largement promu et que de nombreux patients l’ont pris par peur et par isolement, les patients qui ont reçu le vaccin attrapent toujours le COVID.

Aujourd’hui, je vois des patients et j’ai du mal à croire que l’avocat qui a pris la parole ce matin a dit avoir entendu la même chose que moi, car en 30 ans de pratique de la dermatologie, je n’ai jamais entendu des gens décrire leurs symptômes de cette manière. « Je ressens des démangeaisons depuis mes os jusqu’à l’extérieur ». « Je brûle de l’intérieur ». Je vois des éruptions cutanées très inhabituelles qui répondent mal au traitement et qui durent des mois, voire des années. Je vois des maladies auto-immunes auparavant sous contrôle, comme le psoriasis, l’eczéma et le lupus, devenir totalement incontrôlables. Je vois des zona agressifs et sévères. Ils sont plus douloureux. Ils durent plus longtemps, même chez les personnes vaccinées contre le zona.

Je vois des cancers de la peau à progression rapide, y compris des cellules basales qui sont censées être traditionnellement à progression très lente. Je vois des cellules squameuses cutanées qui métastasent beaucoup plus souvent qu’auparavant. Les mélanomes sont devenus très atypiques et beaucoup plus difficiles à diagnostiquer. Ils sont beaucoup plus avancés au moment de la présentation. Je dois réaliser de plus en plus de biopsies, et ce, uniquement chez des patients vaccinés.

Au-delà de mon domaine, les patients que je vois régulièrement tous les 6 à 12 mois depuis 30 ans, vieillissent plus rapidement. Ils ont perdu du poids de manière maladive. Ils perdent l’équilibre. Ils tombent. Ils ont des ecchymoses. Ils n’arrivent pas à monter sur une table d’examen. Et si l’on consulte leur dossier médical depuis leur précédente admission, on constate qu’ils ont souffert de fibrillation auriculaire, ont été équipés de stimulateurs cardiaques, ont été victimes de crises cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux, de caillots sanguins, de maladies valvulaires dégénératives, d’embolies pulmonaires, de parkinsonisme, de sclérose latérale amyotrophique, de tremblements, de paralysies nerveuses, de fausses couches et d’infertilité.

Ai-je cité les nouveaux cancers agressifs, les cancers récurrents de stade 4 après 20 ans de rémission? Je connais quatre personnes dans un petit district de Spartanburg atteintes de leucémies rares. Trois d’entre elles sont maintenant décédées. En plus de 30 ans de pratique médicale, je n’ai probablement connu qu’une ou deux personnes atteintes de la maladie de Lou Gehrig ou sclérose latérale amyotrophique et il s’agissait de personnes éloignées qui n’étaient pas vraiment des troisièmes ou quatrièmes contacts. Aujourd’hui, je connais trois cas dans mon entourage immédiat.

Je connais un petit collège dans un petit coin de l’État où trois jeunes de 14 ans se battent pour survivre à un cancer. J’ai dû attendre d’être à l’école de médecine avant de voir un de mes camarades de classe mourir d’un cancer. J’ai quatre enfants qui sont allés à l’école, à l’université et dans les établissements d’enseignement supérieur, et pas un seul d’entre eux n’a vu un de ses camarades de classe mourir d’un cancer.

Il y a une semaine, j’ai vu un homme de 60 ans qui était auparavant en bonne santé, qui travaillait à plein temps, qui a reçu les deux vaccins, un booster, et qui, trois mois plus tard, s’est vu diagnostiquer son premier cancer, celui de la vessie, son deuxième cancer, celui de la prostate, et son troisième cancer, celui du poumon au stade 4.

Suis-je censée croire qu’il s’agit d’une simple coïncidence? Je ne peux pas fermer les yeux et faire semblant de ne rien voir. Je ne peux pas ignorer l’éléphant dans la pièce de ces dernières années. Les vaccins ont changé tout le paysage médical. Les gens souffrent et je pense qu’ils meurent inutilement. Le domaine médical, ses conseils, les protocoles hospitaliers, l’industrie pharmaceutique, le CDC, la FDA, le DHEC, le NIH, tous ont été publiquement discrédités. Je ne sais pas si nous pourrons regagner la confiance du public. Je prie Dieu pour que ce soit possible.

Je vous exhorte aujourd’hui à défendre la liberté médicale, les patients et les médecins. S’il vous plaît, n’autorisez pas des vaccins obligatoires dont les données de sécurité sont insuffisantes, tout en harcelant les patients qui disposent d’autres traitements efficaces. N’oubliez pas que notre serment d’Hippocrate est de ne pas nuire.

Je vous remercie pour votre temps et votre attention.


Transcription originale

In the last two and a half years, since the vaccine has been widely promoted and many patients have taken it out of fear and isolation, the patients who took the vaccine still get COVID.

And now I see patients and I could not believe the attorney who spoke this morning said he had heard the same thing because in 30 years of practicing dermatology, I’ve never heard people describe their symptoms this way. « I am itching from my bones out ». « I am on fire from the inside ». I see the most unusual rashes and they don’t respond well to treatment and they last for months or years. I see previously well-controlled autoimmune diseases like psoriasis and eczema and lupus now totally out of control. I see aggressive, severe shingles. It is more painful. It is lasting longer and this is even in those who’ve had the shingles vaccine.

I see rapidly growing skin cancers, including basal cells that are just supposed to be traditionally very slow growing. I see squamous cells, cutaneous squamous cells that are metastasizing much more often than they ever did before. And melanomas have become so unusual and much harder to diagnose. They are much more advanced at presentation. And I have to biopsy more and more things and it’s all in vaccinated patients.

And then beyond my field, patients that I’ve seen regularly [for 6 to 12 months], every 6 to 12 months for 30 years, they’re aging more rapidly. They’ve got unhealthy weight loss. Their balance is bad. They’re falling. They’re black and blue. They can’t get on an exam table. And you see their medical updates since they were in and they’ve had atrial fibrillation, pacemakers, heart attacks, strokes, blood clots, DVDs, pulmonary embolism, Parkinsonism, ALS, tremors, nerve palsies, miscarriages, infertility.

Did I mention aggressive new onset cancers, recurrent stage 4 cancers after 20 years of remission? I know 4 people in one small zip code in Spartanburg that have rare leukemias. Three of the four of them are dead now. In over 30 years of medical practice, I’ve probably only known one or two people who had Lou Gehrig’s or ALS disease and they were distant and not really, you know, third or fourth contacts. I now know three people in my immediate range of contact.

I know a small middle school in a little part of the state where 3 14-year-olds are struggling for their life with cancer. I went until I was in med school before I had a classmate that died of cancer. I’ve got 4 kids [who went to medical school], who went through school and college and graduate school and not a single one of them knew of a classmate that died of cancer.

A week ago I saw a 60-year-old man who was previously healthy, working full time, got the two vaccines, one booster, 3 months later diagnosed with his first cancer, bladder, second cancer, prostate, third cancer, stage 4 lung.

Am I to believe that’s just coincidence? I can’t turn a blind eye to this and pretend I don’t see it. I can’t ignore the elephant in the room these past few years. The vaccines have changed the whole medical landscape. People are suffering and I think they’re dying needlessly. The medical field, its boards, hospital protocols, pharmaceutical industry, CDC, FDA, DHEC, NIH, all have been publicly discredited. I don’t know if we can regain public trust. I pray to God we can.

I urge you today to stand up for medical freedom, for patients, for physicians. Please do not allow vaccine mandates that have little safety data while harassing patients who have other effective treatments. Remember, it is our Hippocratic oath to first do no harm.

Thank you for your time and attention.

À l’intérieur de l’empire transgenre – par Christopher F. Rufo.

Le terme « Transmaoïsme » (que j’utilise comme tag pour mes articles sur le sujet) a été créé par Adam Curry, suite à la diffusion sur NoAgenda de l’interview (que je traduirai si je la retrouve) d’une vieille dame chinoise expatriée au US, qui voyait dans le transgendérisme une version actualisée de la Révolution Culturelle à laquelle elle avait échappé. Voici un article qui confirme pleinement cette analyse.

Le lecteur qui pense que ce phénomène concerne surtout les États-Unis n’aurait pas entièrement tort mais j’attire son attention sur les tentatives d’imposer dans les écoles en France et en Belgique (où ils ont suscité un vrai tollé) des programmes d’« éducation sexuelle » très orientés théorie du genre…

Attention: il y a des passages assez « graphiques ». Personnes sensibles, s’abstenir.

Source.


À l’intérieur de l’empire transgenre

Christopher F. Rufo

Septembre 2023

Le texte qui suit est adapté d’une conférence prononcée le 12 septembre 2023 au Allan P. Kirby, Jr. Center for Constitutional Studies and Citizenship sur le campus de Hillsdale à Washington, D.C., dans le cadre de la Série de Conférences de la Fondation Familiale AWC.

Le mouvement transgenre fait pression pour imposer son projet partout. Le plus ouvertement, des enseignants activistes font de la propagande en son nom dans les salles de classe et des professionnels de la santé activistes encouragent la mutilation d’enfants sous la bannière euphémique des « soins d’affirmation du genre ». La montée soudaine et omniprésente de ce mouvement suscite deux questions: d’où vient-il et comment a-t-il connu un tel succès? L’histoire a des racines plus profondes que la plupart des Américains ne le pensent.

À la fin des années 1980, un groupe d’universitaires, dont Judith Butler, Gayle Rubin, Sandy Stone et Susan Stryker, a établi les disciplines de la « théorie queer » et des « études transgenres ». Ces universitaires considéraient le genre comme une « construction sociale » utilisée pour opprimer les minorités raciales et sexuelles, et dénonçaient les catégories traditionnelles d’homme et de femme comme un faux binaire conçu pour soutenir le système de l’« hétéronormativité », c’est-à-dire la structure de pouvoir blanche, masculine et hétérosexuelle. Ce système, selon ce groupe, devait être impitoyablement déconstruit. Et le meilleur moyen d’y parvenir, selon ce groupe, était de promouvoir le transgendérisme. Si les hommes peuvent devenir des femmes et les femmes des hommes, la structure naturelle de la Création peut être renversée.

Susan Stryker, professeur transgenre homme-femme actuellement à l’université de l’Arizona, a révélé l’orientation et le ton généraux de l’idéologie transgenre dans sa conférence du prix Kessler à l’université de la ville de New York en 2008, décrivant son travail comme « un sermon laïque qui prône sans complexe l’adoption d’un pouvoir disruptif et refiguratif du pouvoir genderqueer ou transgenre en tant que ressource spirituelle pour la transformation sociale et environnementale ». Dans l’essai le plus connu de Stryker, « My Words to Victor Frankenstein above the Village of Chamounix: Performing Transgender Rage » (Mon message à Victor Frankenstein au-dessus du village de Chamounix: représentation de la rage transgenre), il affirme que le « corps transsexuel » est une « construction technologique » qui représente une guerre contre la société occidentale. « Je suis un transsexuel, et donc un monstre », écrit Stryker. Et ce monstre, poursuit-il, est destiné à canaliser sa « rage et sa vengeance » contre « l’ordre hétérosexuel naturalisé », contre les « valeurs familiales traditionnelles » et contre « l’oppression hégémonique » de la nature elle-même.

Il ressort clairement de cette étude et d’autres études sur les transgenres que le mouvement transgenre est intrinsèquement politique. Sa reconstruction de l’identité personnelle vise à faire progresser une reconstruction ou une transformation politique collective. Certains militants transgenres considèrent même leur mouvement comme l’avenir du marxisme. Dans un recueil d’essais intitulé Transgender Marxism, l’écrivaine activiste Rosa Lee affirme que les transgenres peuvent servir de nouvelle avant-garde du prolétariat, promettant d’abolir l’hétéronormativité de la même manière que le marxisme orthodoxe promettait d’abolir le capitalisme.

« À une autre époque », écrit Lee,

les marxistes parlaient de la construction d’un « nouvel homme socialiste » comme d’une tâche cruciale dans le processus plus large de construction du socialisme. Aujourd’hui, à l’heure de la montée conjointe du fascisme et de l’émergence d’un mouvement socialiste, notre défi consiste à transsexualiser notre marxisme. Nous devrions envisager le projet de transition vers le communisme à notre époque – la communisation – comme incluant la transition vers de nouveaux moi communistes, de nouvelles façons d’être et d’être en relation les uns avec les autres.

Tel est le grand projet du mouvement transgenre: abolir les distinctions entre l’homme et la femme, transcender les limites établies par Dieu et la nature, et relier la lutte personnelle des transgenres à la lutte politique pour transformer la société de manière radicale.

De la marge au centre

Le mouvement transgenre est donc né en marge du monde universitaire américain. Mais comment a-t-il pu se hisser si rapidement au centre de la vie publique américaine? Comme beaucoup d’autres choses, il a commencé par un afflux d’argent, lorsque certaines des personnes les plus riches du pays se sont mises à consacrer d’énormes sommes d’argent à la promotion du transgendérisme.

L’une de ces personnes est Jennifer Pritzker, née James Pritzker en 1950. Après avoir servi plusieurs années dans l’armée américaine, Pritzker s’est lancé dans les affaires, grâce à l’héritage d’une part importante de la fortune de l’hôtel Hyatt. En 2013, il a annoncé sa transition de genre homme-femme et a été salué dans la presse comme le « premier milliardaire transgenre ». Presque immédiatement, il s’est mis à verser une quantité inouïe de millions à des universités, des écoles, des hôpitaux et des organisations militantes pour promouvoir la théorie queer et les expériences médicales sur les trans.

Cet argent était associé au pouvoir politique, puisque le cousin de Pritzker, le gouverneur démocrate de l’Illinois J.B. Pritzker, a signé une loi en 2019, sa première année au pouvoir, pour injecter la théorie du genre dans le programme d’enseignement de l’État et pour affecter les fonds Medicaid de l’État à des opérations chirurgicales transgenres. S’exprimant devant un public de militants transgenres, il a proclamé:

[N]otre gouvernement d’État est fermement de votre côté, du côté de chaque personne gay, lesbienne, bisexuelle, transgenre et queer dans l’État de l’Illinois […] Ceux d’entre vous qui sont dans cette salle savent mieux que quiconque que l’égalité du mariage n’a jamais été la finalité […] Nous allons nous assurer que tous les transgenres de l’Illinois jouissent de leurs droits fondamentaux et que des services de santé leur soient fournis pour qu’ils puissent s’épanouir.

Voici un exemple de la manière dont cette combinaison d’activisme bien financé et d’influence politique fonctionne dans la pratique: les activistes financés par Pritzker au Lurie Children’s Hospital (le plus grand hôpital pour enfants de Chicago) fournissent aux écoles locales des formations, du matériel et du personnel qui promeuvent les transitions de genre pour les enfants, en utilisant la réputation de l’hôpital pour donner à leur idéologie un vernis scientifique. Et à mesure que l’on enquête, on trouve de pire en pire. Les enfants sont exposés, par exemple, non seulement à l’idéologie transgenre, mais aussi à des concepts tels que le « kink » (goûts inhabituels en matière de comportement sexuel), le « BDSM » (bondage, domination, soumission et masochisme), les corsets pour aplatir les seins et les pénis prothétiques.

Le Lurie Children’s Hospital, par le biais de ses présentations dans les écoles publiques de Chicago, encourage les enseignants et les administrateurs scolaires à soutenir la « diversité des genres » dans leurs districts, à « affirmer » automatiquement les élèves qui annoncent des transitions sexuelles et à « communiquer une compréhension non binaire du genre » aux enfants dans la classe. L’objectif, comme le suggère une version de la présentation, est de perturber les « normes [de genre] enracinées dans la société occidentale » et de faciliter la transition vers un monde plus « créatif en matière de genre ». Les districts scolaires sont encouragés à désigner des « coordinateurs de soutien au genre » pour faciliter les transitions sexuelles et de genre des enfants, qui, en vertu de la politique de « confidentialité » recommandée, peuvent être tenues secrètes vis-à-vis des parents et des familles.

En fait, cela aboutit à la mise en place d’une filière sophistiquée entre les écoles et les cliniques du genre. Les enseignants, les conseillers, les médecins et les militants sur les médias sociaux et ailleurs – dont beaucoup sont employés ou subventionnés par des membres de la famille Pritzker – poussent les enfants vers ce que la « détransitionniste » de la région de Chicago, Helena Kerschner, se souvenant de sa propre expérience, appelle « le trou du lapin de l’identité transgenre ». Et malgré les fréquentes affirmations contraires, il ne s’agit pas d’un processus temporaire ou réversible. Parmi les enfants qui commencent à prendre des bloqueurs de puberté, la littérature médicale suggère qu’environ 95% d’entre eux passent aux hormones transsexuelles, et que 50% des femmes qui commencent des traitements hormonaux transsexuels passent à des chirurgies « d’affirmation de la transidentité ».

La synthèse de toutes les oppressions

Mon enquête sur le mouvement transgenre m’a également conduit à Highland Park, dans le Michigan, une ville d’environ 9 000 habitants située à environ six miles au nord du centre-ville de Détroit. Depuis des décennies, Highland Park est en proie à la pauvreté, à la violence et à la criminalité. De nombreuses maisons et entreprises ont été abandonnées ou démolies. Elle est au bord de l’insolvabilité, mais elle abrite une institution qui déborde de fonds: le Ruth Ellis Center, le laboratoire central de Détroit pour la synthèse de la science et de la politique transgenres.

Le discours marketing du Ruth Ellis Center est un amalgame de tous les euphémismes habituels: « soins tenant compte des traumatismes », « justice réparatrice », « réduction des dommages », « équité raciale » et « soins d’affirmation du genre ». Au nom de ces principes, l’Ellis Center et ses partenaires mènent des expériences médicales à grande échelle sur une population de jeunes noirs majoritairement pauvres.

Le docteur Maureen Connolly, pédiatre à la Henry Ford Health, dirige le partenariat médical de l’Ellis Center, qui fournit des bloqueurs de puberté, des hormones de sexe opposé et des recommandations chirurgicales à des quantités d’enfants de Détroit. Voici comment elle décrit le processus de changement de sexe chez l’enfant:

La transition est un terme générique qui décrit le processus par lequel passe une personne pour que son apparence extérieure soit plus étroitement alignée sur son identité de genre. Pour certaines personnes, cela peut signifier changer l’expression de leur genre et les vêtements qu’elles portent ou la façon dont elles se coiffent. Cela peut signifier utiliser un nouveau nom et des pronoms différents. Et c’est merveilleux. Pour d’autres, il peut s’agir de prendre des médicaments pour que leur corps corresponde mieux à la façon dont ils s’identifient en termes de genre – typiquement, il s’agit de médicaments masculinisants ou féminisants ou d’une thérapie hormonale. Les personnes peuvent également choisir de subir une chirurgie d’affirmation du genre, c’est-à-dire une intervention chirurgicale visant à rendre leur corps plus conforme à leur identité de genre.

N’oublions pas que, dans le contexte de son rôle à l’Ellis Center, Connolly ne parle pas ici des personnes transgenres aisées, éduquées et de sexe masculin-féminin qui constituent le visage public du mouvement transgenre. Elle parle surtout des enfants du ghetto de Détroit qui souffrent d’un taux élevé d’éclatement de la famille, de toxicomanie, de maladie mentale et de comportement autodestructeur. À ce titre, on peut supposer qu’ils sont particulièrement vulnérables à l’affirmation selon laquelle la transition de genre résoudra tous leurs problèmes.

« Je m’appelle Vertueuse, d’abord et avant tout », déclare une patiente de l’Ellis Center qui s’identifie désormais comme non-binaire et utilise les pronoms « elles/elles » (« they/them » en anglais):

Je pense que j’avais environ huit ans au moment où je me suis souvenue (sic) ou que je me souviens d’avoir pensé à être transgenre ou non conforme au genre […] J’avais l’impression d’être une étrangère à tout ce monde de l’Amérique. En plus de ne pas être, tu vois, un Européen-Américain, j’étais noire […] La plus grande partie de ma dysphorie vient du fait que les gens se trompent sur mon genre. Avec des soins d’affirmation du genre, je pouvais obtenir gratuitement les hormones dont j’avais besoin.

Vertueuse est donc un parfait exemple de la nouvelle synthèse entre la science et la politique transgenres. Elle milite non seulement pour le mouvement transgenre, mais aussi pour une coalition intersectionnelle plus large (c’est-à-dire une coalition de groupes opprimés et marginalisés), y compris, par exemple, le mouvement pour l’abolition de la police. Elle représente l’identité des personnes opprimées à la fois par la nature et par l’éducation, et met à profit cette « position » unique pour faire avancer l’ensemble des politiques sociales de gauche.

Frankenstein Redux

En 1818, Mary Shelley a écrit le célèbre roman « Frankenstein ou le Prométhée moderne ». Le livre part du principe que la science moderne, débarrassée des contraintes de l’éthique et de la nature, finira par créer des monstres. Les médecins « trans-affirmants » sont la version post-moderne du protagoniste du livre, le docteur Frankenstein.

Selon des enquêtes, jusqu’à 80% des personnes trans souffrent de graves psychopathologies et un quart des jeunes noirs trans tentent de se suicider chaque année. Les « soins d’affirmation du genre » ne parviennent pas à résoudre ces problèmes, mais les médecins utilisent ces échecs pour justifier des interventions encore plus extrêmes, jusqu’à la dernière: la reconstruction génitale.

Le Dr Blair Peters est un chirurgien plasticien (il utilise les pronoms he/they) qui pratique des chirurgies génitales trans à l’université publique Oregon Health & Science University et dont la spécialité est la création d’organes sexuels artificiels. « Je pense que ce pour quoi nous sommes en train de devenir très connus à l’OHSU, c’est la chirurgie génitale », explique-t-il. « La phalloplastie, qui consiste à créer un pénis, en est un excellent exemple. Et nous avons maintenant un programme de vaginoplastie robotisée [qui] a en quelque sorte changé la donne pour les soins aux patients. »

Comme je l’ai déjà expliqué dans le City Journal, le processus de vaginoplastie assistée par robot est atroce:

Selon un manuel publié par l’OHSU, les chirurgiens commencent par couper la tête du pénis et retirent les testicules. Ils retournent ensuite la peau du pénis et du scrotum et, avec les tissus de la cavité abdominale, la transforment en un vagin artificiel rudimentaire. « Les bras robotiques sont introduits par de petites incisions autour du nombril et sur le côté du ventre », peut-on lire dans le manuel. « Ils sont utilisés pour créer l’espace du canal vaginal entre la vessie et le rectum. »

Cette procédure est émaillée de complications. L’OHSU met en garde contre la séparation de la plaie, la nécrose des tissus, la défaillance du greffon, les projections d’urine, les hématomes, les caillots sanguins, la sténose vaginale, les lésions rectales, les fistules et les accidents fécaux. Les patients doivent rester à l’hôpital pendant au moins cinq jours après l’intervention, afin de recevoir un traitement pour les plaies chirurgicales et d’être drainés par des tubes en plastique. Une fois rentrés chez eux, les patients doivent poursuivre leur traitement hormonal transgenre et dilater manuellement à perpétuité leur « néo-vagin » créé chirurgicalement, faute de quoi le tissu cicatrisera et la cavité se refermera.

Le secteur de la castration est en plein essor. Selon Peters, la clinique du genre de l’OHSU a « le volume le plus élevé de la côte ouest » et, avec l’aide du robot, son équipe peut effectuer plusieurs vaginoplasties par jour. Le programme de phalloplastie a une liste d’attente de 12 à 18 mois pour les consultations et une liste d’attente supplémentaire de trois à six mois pour les rendez-vous chirurgicaux.

Une opération moins courante mais plus symbolique pratiquée par Peters et ses collègues est connue sous le nom de « nullification », qui consiste à créer un revêtement cutané lisse et continu de l’abdomen à l’aine à la suite d’une castration ou d’une vaginectomie. En d’autres termes, les organes génitaux sont remplacés par rien. La chirurgie de nullification est le symbole parfait de l’idéologie qui sous-tend le mouvement trans: la recherche du nullum, qui signifie « rien » en latin, ou du nihil, qui est la racine du mot anglais « nihilism » (nihilisme). L’idéologie trans est animée par un profond nihilisme qui nie la nature humaine et autorise la barbarie au nom du progrès.


L’avenir de la médecine transgenre est en mouvement. Les grandes institutions américaines se sont ralliées à son soutien, les principales associations médicales allant jusqu’à demander au gouvernement fédéral d’enquêter et de poursuivre ses détracteurs. Dans le même temps, certaines failles apparaissent. Les détransitionnistes, un groupe composé principalement de jeunes femmes qui ont accepté leur sexe biologique après avoir effectué une transition à divers degrés, dénoncent publiquement les dangers de la médecine de genre en des termes personnels très touchants. Des organisations telles que Do No Harm [NdT. ne pas nuire ou « primum non nocere »] ont intenté des procès et lancé des campagnes de sensibilisation pour limiter les interventions transgenres sur les mineurs. De plus en plus de médecins, qui s’étaient auparavant murés dans le silence, commencent à s’exprimer. Les législateurs des États ont également pris conscience de la situation. Au début de l’année, j’ai collaboré avec des dénonciateurs de l’hôpital pour enfants du Texas pour exposer les procédures de changement de sexe pratiquées en secret sur des enfants. Cet exposé a attiré l’attention des législateurs texans, qui ont immédiatement adopté la version finale d’un projet de loi visant à interdire ces procédures.

Jennifer Pritzker, Maureen Connolly, Blair Peters et leurs semblables occupent les sommets du pouvoir et du prestige, mais comme le docteur Frankenstein, ils ne pourront pas échapper aux conséquences de ce qu’ils ont créé. Ils condamnent des légions d’enfants à une vie de chagrin et de besoins médicaux, le tout basé sur des théories postmodernes douteuses qui ne répondent pas à l’injonction d’Hippocrate dans son ouvrage « Des épidémies »: « D’abord, ne pas nuire ». Si les individus peuvent être annulés, la nature, elle, ne peut l’être. Quelles que soient les avancées des produits pharmaceutiques et chirurgicaux trans, la réalité biologique de l’homme et de la femme ne peut être abolie; les limites naturelles de la création de Dieu ne peuvent être transcendées. La tentative d’y parvenir provoquera le même déchirement et la même aliénation que dans la scène finale du roman de Mary Shelley: le monstre à la carrure imposante, rejeté par la société et trahi par son père, rempli de désespoir et dérivant vers la banquise – un symbole des conséquences de l’orgueil prométhéen.

Un médecin d’un grand hôpital pour enfants avait ce commentaire sur les effets des bloqueurs de puberté sur l’esprit, le corps et l’âme d’un enfant:

Ce médicament est appelé « agoniste de l’hormone de libération des gonadotrophines » et se présente sous la forme d’injections mensuelles ou d’un implant. Comme il simule l’activité de cette hormone, il bloque l’activité de l’hypothalamus. L’hypothalamus est une structure de la taille d’une amande située dans le cerveau, c’est l’une des structures les plus primitives que nous ayons, et elle contrôle toutes les autres structures hormonales du corps – le développement sexuel, les émotions, la réaction de lutte ou de fuite, tout […] Et je pense toujours que si quelqu’un me demandait : « Où chercheriez-vous l’étincelle divine dans chaque individu? Je dirais qu’elle se trouve quelque part « sous la chambre intérieure », ce qui est la dérivation grecque du terme hypothalamus. Arrêter ce système, c’est arrêter ce qui fait de nous des êtres humains.

C’est pour cette raison que nous devons nous battre pour que l’empire transgenre disparaisse à jamais.


Christopher F. Rufo est senior fellow au Manhattan Institute, rédacteur en chef du City Journal et membre distingué du Hillsdale College. Il est titulaire d’un Bachelor of Science in Foreign Service de l’université de Georgetown et d’un Master of Liberal Arts in Extension Studies de l’université de Harvard. Il a réalisé quatre documentaires pour PBS et est l’auteur de America’s Cultural Revolution: How the Radical Left Conquered Everything (La révolution culturelle américaine: comment la gauche radicale a tout conquis).

Je pensais sauver les enfants transgenres. Aujourd’hui, je tire la sonnette d’alarme – par Jamie Reed.

Source.


Je pensais sauver les enfants transgenres. Aujourd’hui, je tire la sonnette d’alarme.

Il existe plus de 100 cliniques pédiatriques spécialisées dans les questions de genre aux États-Unis. Ce qui arrive aux enfants est moralement et médicalement épouvantable.

Par Jamie Reed

9 février 2023

Jamie Reed chez elle dans le Missouri. (Theo R. Welling.)

Je suis une femme homosexuelle de 42 ans, originaire de Saint-Louis, et politiquement à gauche de Bernie Sanders. Ma vision du monde a profondément façonné ma carrière. J’ai passé ma vie professionnelle à conseiller des populations vulnérables: enfants placés en famille d’accueil, minorités sexuelles, pauvres.

Pendant près de quatre ans, j’ai travaillé à la division des maladies infectieuses de l’école de médecine de l’université de Washington avec des adolescents et de jeunes adultes séropositifs. Nombre d’entre eux étaient trans ou non conformes au genre, et je pouvais m’y retrouver: au cours de mon enfance et de mon adolescence, je me suis moi-même beaucoup interrogée sur mon genre. Je suis aujourd’hui mariée à un transsexuel et nous élevons ensemble mes deux enfants biologiques issus d’un précédent mariage et trois enfants en famille d’accueil que nous espérons adopter.

Tout cela m’a conduit en 2018 à un emploi de gestionnaire de cas au centre pour personnes transgenres de l’université de Washington à l’hôpital pour enfants de Saint-Louis, qui avait été créé un an plus tôt.

L’hypothèse de travail du centre était que plus on traite tôt les enfants atteints de dysphorie de genre, plus on peut éviter d’angoisse par la suite. Ce postulat était partagé par les médecins et les thérapeutes du centre. Compte tenu de leur expertise, j’ai présumé que ce consensus était étayé par de nombreuses preuves.

Pendant les quatre années où j’ai travaillé à la clinique en tant que gestionnaire de cas – j’étais responsable de l’accueil et de la surveillance des patients – environ un millier de jeunes en détresse ont franchi nos portes. La majorité d’entre eux se sont vu prescrire des hormones qui peuvent avoir des conséquences sur leur vie entière – y compris la stérilité.

J’ai quitté la clinique en novembre de l’année dernière parce que je ne pouvais plus participer à ce qui s’y passait. Au moment de mon départ, j’étais certaine que la façon dont le système médical américain traitait ces patients était à l’opposé de la promesse que nous faisons de « ne pas nuire ». Au contraire, nous nuisons en permanence aux patients vulnérables dont nous nous occupons.

Aujourd’hui, je m’exprime. Je le fais en sachant à quel point la conversation publique autour de cette question très controversée est toxique – et de quelle manière mon témoignage pourrait être utilisé à mauvais escient. Je le fais en sachant que je m’expose à de graves risques personnels et professionnels.

Presque tout le monde autour de moi m’a conseillé de faire profil bas. Mais en toute conscience, je ne peux pas le faire. Car ce qui arrive à des multitudes d’enfants est bien plus important que mon confort. Et ce qui leur arrive est moralement et médicalement épouvantable.

Reed dans son bureau. (Theo R. Welling).

Les vannes s’ouvrent

Peu après mon arrivée au centre pour personnes transgenres, j’ai été frappée par l’absence de protocoles formels de traitement. Les médecins co-directeurs du centre étaient essentiellement la seule autorité.

Au début, la population de patients était orientée vers ce qui était le cas « traditionnel » d’un enfant souffrant de dysphorie de genre: un garçon, souvent très jeune, qui voulait se présenter comme – qui voulait être – une fille.

Jusqu’en 2015 environ, un très petit nombre de ces garçons constituait la population des cas de dysphorie de genre pédiatrique. Puis, dans le monde occidental, on a commencé à observer une augmentation spectaculaire d’une nouvelle population: des adolescentes, dont beaucoup n’avaient jamais souffert de troubles liés au genre, ont soudainement déclaré qu’elles étaient transgenres et ont exigé un traitement immédiat à la testostérone.

J’ai clairement constaté ce phénomène au centre. L’une de mes tâches consistait à accueillir les nouveaux patients et leurs familles. Lorsque j’ai commencé, il y avait probablement 10 appels de ce type par mois. Lorsque je suis partie, il y en avait 50, et environ 70% des nouveaux patients étaient des filles. Parfois, des groupes de filles arrivaient du même lycée.

Cela me préoccupait, mais je ne me sentais pas en mesure de tirer la sonnette d’alarme à l’époque. Nous étions une équipe d’environ huit personnes et seule une autre personne a soulevé le genre de questions que je me posais. Quiconque soulevait des doutes courait le risque d’être traité de transphobe.

Les filles qui venaient nous voir présentaient de nombreuses comorbidités: dépression, anxiété, TDAH, troubles de l’alimentation, obésité. Nombre d’entre elles étaient diagnostiquées autistes ou présentaient des symptômes du spectre autistique. Un rapport publié l’année dernière sur un centre pédiatrique transgenre britannique a révélé qu’environ un tiers des patients qui y étaient adressés se trouvaient sur le spectre de l’autisme.

Souvent, nos patients déclaraient souffrir de troubles que personne ne pensait qu’ils avaient. Nous avons eu des patients qui disaient souffrir du syndrome de Tourette (mais ce n’était pas le cas), de tics (mais ce n’était pas le cas), de personnalités multiples (mais ce n’était pas le cas).

Les médecins reconnaissaient en privé que ces faux autodiagnostics étaient une manifestation de contagion sociale. Ils reconnaissaient même que le suicide comporte un élément de contagion sociale. Mais lorsque j’ai dit que les groupes de filles qui affluaient dans notre service semblaient avoir des problèmes de genre qui pourraient être une manifestation de contagion sociale, les médecins ont dit que l’identité de genre reflétait quelque chose d’inné.

Pour commencer leur transition, les jeunes filles avaient besoin d’une lettre de soutien d’un thérapeute – généralement un thérapeute que nous recommandions – qu’elles ne devaient voir qu’une ou deux fois pour obtenir le feu vert. Pour faciliter la tâche des thérapeutes, nous leur avons proposé un modèle de lettre de soutien à la transition. L’étape suivante consistait en une seule visite chez l’endocrinologue pour une prescription de testostérone.

C’était tout ce qu’il fallait.

Lorsqu’une femme prend de la testostérone, les effets profonds et permanents de l’hormone sont visibles en quelques mois. Les voix deviennent plus graves, les barbes poussent, la graisse corporelle est redistribuée. L’intérêt sexuel explose, l’agressivité augmente et l’humeur peut être imprévisible. Nos patients ont été informés de certains effets secondaires, dont la stérilité. Mais après avoir travaillé au centre, j’en suis venue à penser que les adolescents ne sont tout simplement pas capables de comprendre pleinement ce que signifie la décision de devenir stérile alors qu’ils sont encore mineurs.

Effets secondaires

De nombreuses rencontres avec des patients m’ont montré à quel point ces jeunes gens ne comprenaient pas les conséquences profondes que le changement de sexe aurait sur leur corps et leur esprit. Mais le centre minimisait les conséquences négatives et mettait l’accent sur la nécessité de la transition. Comme l’indique le site web du centre, « si elle n’est pas traitée, la dysphorie de genre peut avoir de nombreuses conséquences, allant de l’automutilation au suicide. Mais lorsqu’on fait disparaître la dysphorie de genre en permettant à un enfant d’être ce qu’il est, on remarque que ces conséquences disparaissent. Les études dont nous disposons montrent que ces enfants finissent souvent par fonctionner sur le plan psychosocial aussi bien, voire mieux, que leurs camarades ».

Il n’existe aucune étude fiable qui démontre cela. En réalité, le vécu de nombreux patients du centre prouve à quel point ces affirmations sont fausses.

En voici un exemple. Le vendredi 1er mai 2020, un collègue m’a envoyé un courriel au sujet d’un patient de 15 ans: « Oh là là. Je crains que [le patient] ne comprenne pas ce que fait le bicalutamide. » J’ai répondu: « Je ne pense pas que nous puissions honnêtement commencer quoi que ce soit pour l’instant ».

Oh là là. Je crains que [le patient] ne comprenne pas ce que fait le bicatulamide. Ce n’est pas seulement un bloqueur, il provoquera le développement des seins… la famille semblait certaine, c’était leur première option thérapeutique au départ. La déclaration faite dans la lettre que: « Parfois, cela semble effrayant, elle veut donc avancer lentement, mais elle finit par se considérer comme étant sous œstrogènes » est inquiétante… et le nom écrit à la fin… Que faire maintenant?

Je ne pense pas que nous puissions honnêtement commencer quoi que ce soit pour l’instant
Je pense qu’il s’agit d’une lettre qui dit d’attendre plus longtemps et oui, je pense que [le patient] ne comprend pas ce que fait le bicalutamide.

Le bicalutamide est un médicament utilisé pour traiter le cancer métastatique de la prostate, et l’un de ses effets secondaires est qu’il féminise le corps des hommes qui le prennent, avec notamment l’apparition de seins. Le centre a prescrit ce médicament anticancéreux comme agent bloquant la puberté et féminisant pour les garçons. Comme la plupart des médicaments anticancéreux, le bicalutamide a une longue liste d’effets secondaires, et ce patient a été confronté à l’un d’entre eux: la toxicité hépatique. Il a été envoyé dans une autre unité de l’hôpital pour y être évalué et a immédiatement cessé de prendre le médicament. Par la suite, sa mère a envoyé un message électronique au centre pour personnes transgenres, disant que nous avions de la chance que sa famille ne soit pas du genre à intenter des poursuites.

Un appel que nous avons reçu au centre en 2020 de la part d’une jeune femme biologique de 17 ans qui était sous testostérone illustre à quel point les patients ne comprenaient pas ce dans quoi ils s’engageaient. Elle nous a dit qu’elle saignait du vagin. En moins d’une heure, elle avait détrempé un tampon très épais, son jean et une serviette qu’elle avait enroulée autour de sa taille. L’infirmière du centre lui a dit d’aller immédiatement aux urgences.

Nous avons appris plus tard que cette fille avait eu des rapports sexuels et que, comme la testostérone amincit les tissus vaginaux, son canal vaginal s’était déchiré. Elle a dû être mise sous sédatifs et opérée pour réparer les dégâts. Ce n’est pas le seul cas de lacération vaginale dont nous ayons entendu parler.

D’autres jeunes filles étaient perturbées par les effets de la testostérone sur leur clitoris, qui s’élargit et se transforme en ce qui ressemble à un microphallus, ou à un petit pénis. J’ai conseillé une patiente dont le clitoris hypertrophié s’étendait maintenant sous sa vulve, et qui frottait douloureusement dans son jean. Je lui ai conseillé de se procurer le type de sous-vêtements de compression que portent les hommes biologiques qui s’habillent pour se faire passer pour des femmes. À la fin de l’appel, je me suis dit: « Wow, nous avons fait du mal à cette enfant ».

Dans certains cas rares, les bébés naissent avec des organes génitaux atypiques, ce qui nécessite des soins sophistiqués et de la compassion. Mais les cliniques comme celle où j’ai travaillé créent toute une cohorte d’enfants aux organes génitaux atypiques – et la plupart de ces adolescents n’ont même pas encore eu de relations sexuelles. Ils n’avaient aucune idée de ce qu’ils allaient devenir à l’âge adulte. Pourtant, il a suffi d’une ou deux brèves conversations avec un thérapeute pour qu’ils se transforment définitivement.

L’absorption de fortes doses de testostérone ou d’œstrogène – suffisamment pour essayer de tromper le corps en l’amenant à imiter le sexe opposé – a des effets sur le reste du corps. Je doute qu’un parent ayant déjà consenti à administrer de la testostérone à son enfant (un traitement à vie) sache qu’il l’expose également à des médicaments contre la tension artérielle et le cholestérol, voire à l’apnée du sommeil et au diabète.

Mais parfois, les parents comprennent à la manière forte ce qu’ils avaient accepté de faire subir à leurs enfants:

Bonjour,
Sachez que je révoque mon consentement à ce traitement médical. Ses notes ont chuté, il a été hospitalisé pour des problèmes de santé comportementale et il prend maintenant 5 médicaments différents. Lexipro, Tradazone, Buspar, etc.
[Le patient] n’est plus qu’une coquille vide, criblée d’anxiété. Qui sait si c’est à cause des bloqueurs d’hormones ou des autres médicaments. Je révoque mon consentement. Je veux que le bloqueur d’hormones soit retiré. Je vous remercie.

Patients négligés et malades mentaux

Outre les adolescents, un nouveau groupe nous a été envoyé: des jeunes de l’unité psychiatrique interne, ou du service des urgences, de l’hôpital pour enfants de Saint-Louis. La santé mentale de ces enfants était très préoccupante, avec des diagnostics de schizophrénie, de stress post-traumatique, de troubles bipolaires, etc. Souvent, ils étaient déjà sous l’emprise d’une multitude de produits pharmaceutiques.

C’est tragique, mais ce n’est pas surprenant compte tenu des profonds traumatismes subis par certains d’entre eux. Pourtant, quelle que soit la souffrance ou la douleur endurée par un enfant, ou le peu de traitement et d’amour qu’il avait reçu, nos médecins considéraient la transition de genre – même avec toutes les dépenses et les difficultés qu’elle impliquait – comme la solution.

Certaines semaines, nous avions l’impression que la quasi-totalité de nos dossiers n’étaient constitués que de jeunes gens perturbés.

Par exemple, un adolescent s’est adressé à nous au cours de l’été 2022, alors qu’il avait 17 ans et qu’il vivait dans un centre fermé parce qu’il avait abusé sexuellement de chiens. Il avait eu une enfance terrible: sa mère était toxicomane, son père était emprisonné et il avait grandi dans des familles d’accueil. Quel que soit le traitement qu’il recevait, il ne fonctionnait pas.

Lors de notre admission, j’ai appris d’un autre assistant social que lorsqu’il serait sorti, il prévoyait de récidiver parce qu’il pensait que les chiens s’étaient soumis de leur plein gré.

En cours de route, il a exprimé le désir de devenir une femme, ce qui l’a amené à consulter dans notre centre. De là, il est allé voir un psychologue de l’hôpital qui était connu pour approuver pratiquement toutes les personnes cherchant à faire une transition. Ensuite, notre médecin lui a recommandé des hormones féminisantes. À l’époque, je me suis demandé si cette démarche n’était pas une forme de castration chimique.

Cette même pensée m’est revenue à propos d’un autre cas. Celui-ci s’est déroulé au printemps 2022 et concernait un jeune homme atteint d’un trouble obsessionnel-compulsif intense qui se manifestait par le désir de se couper le pénis après s’être masturbé. Ce patient n’a pas exprimé de dysphorie de genre, mais il a également reçu des hormones. J’ai demandé au médecin quel protocole il suivait, mais je n’ai jamais eu de réponse claire.

In Loco Parentis

Un autre aspect inquiétant du centre est son manque de considération pour les droits des parents et la mesure dans laquelle les médecins se considèrent comme les décideurs les mieux informés sur le sort de ces enfants.

Dans le Missouri, le consentement d’un seul parent est requis pour le traitement de son enfant. Mais en cas de conflit entre les parents, il semble que le centre prenne toujours le parti du parent favorable à la transition.

Mes inquiétudes concernant cette façon de traiter les parents dissidents se sont accrues en 2019 lorsque l’un de nos médecins a témoigné lors d’une audience sur la garde d’un enfant contre un père qui s’opposait au souhait d’une mère de mettre leur fille de 11 ans sous bloqueurs de puberté.

J’avais effectué l’appel d’accueil initial et j’avais trouvé la mère assez inquiétante. Elle et le père étaient en train de divorcer, et la mère décrivait sa fille comme « une sorte de garçon manqué ». La mère était donc convaincue que son enfant était trans. Mais lorsque j’ai demandé si sa fille avait adopté un nom de garçon, si elle était angoissée par son corps, si elle disait qu’elle se sentait comme un garçon, la mère a répondu par la négative. J’ai expliqué que la fille ne répondait tout simplement pas aux critères d’évaluation.

Un mois plus tard, la mère a rappelé pour dire que sa fille utilisait désormais un nom de garçon, qu’elle était angoissée par son corps et qu’elle voulait faire une transition. Cette fois, la mère et la fille ont obtenu un rendez-vous. Nos prestataires ont décidé que la fille était trans et lui ont prescrit un bloqueur de puberté pour l’empêcher de se développer normalement.

Le père a catégoriquement contesté cette décision, affirmant que tout cela venait de la mère, et une bataille pour la garde de l’enfant s’en est suivie. Après l’audience au cours de laquelle notre médecin a témoigné en faveur de la transition, le juge s’est rangé du côté de la mère.

Re: demande de conseils
Merci, je n’avais aucun problème d’interprétation ou de compréhension des éléments qu’elle a commentés ci-dessous. Je m’intéressais à la question plus générale de la manière dont le consentement est désormais déterminé.
Ce qui me préoccupe, c’est que le juge supprime essentiellement l’élément du consentement parental et le place entre nos mains.
Le juge aurait pu confier la prise de décision médicale au père ou lui accorder la garde légale. Au lieu de cela, le juge a confié au centre la prise de décision concernant la transition médicale. Et il s’agit d’un patient qui n’a pas encore 16 ans.

« Je veux retrouver mes seins »

Comme j’étais la principale personne chargée de l’accueil, j’avais la perspective la plus large sur nos patients actuels et potentiels. En 2019, un nouveau groupe de personnes est apparu sur mon radar: les désistants et les détransitionneurs. Les désistants choisissent de ne pas aller jusqu’au bout de la transition. Les détransitionneurs sont des personnes transgenres qui décident de revenir à leur genre de naissance.

Le seul collègue avec lequel j’ai pu partager mes préoccupations a convenu avec moi que nous devrions faire un suivi de la désistance et de la détransition. Nous pensions que les médecins voudraient collecter et comprendre ces données afin de déterminer ce qu’ils avaient laissé passer.

Nous avions tort. Un médecin s’est demandé à haute voix pourquoi il consacrerait du temps à quelqu’un qui n’était plus son patient.

Mais nous avons tout de même créé un document que nous avons appelé la liste des Drapeaux Rouges. Il s’agissait d’une feuille de calcul Excel qui répertoriait le type de patients qui nous empêchaient, mon collègue et moi, de dormir.

L’un des cas les plus tristes de détransition dont j’ai été témoin concernait une adolescente qui, comme beaucoup de nos patients, venait d’une famille instable, vivait dans une situation incertaine et avait des antécédents de toxicomanie. L’écrasante majorité de nos patients sont blancs, mais cette jeune fille était noire. Elle a été mise sous hormones au centre vers l’âge de 16 ans. À 18 ans, elle a subi une double mastectomie, ce que l’on appelle la « chirurgie du haut ».

Trois mois plus tard, elle a appelé le cabinet du chirurgien pour lui dire qu’elle reprenait son nom de naissance et que ses pronoms étaient « elle » et « son » [she et her]. De manière déchirante, elle a dit à l’infirmière: « Je veux retrouver mes seins ». Le cabinet du chirurgien a contacté notre cabinet parce qu’il ne savait pas quoi dire à cette jeune fille.

Ma collègue et moi-même avons dit que nous allions prendre contact avec elle. Il nous a fallu un certain temps pour la retrouver, et lorsque nous l’avons retrouvée, nous nous sommes assurés qu’elle était en bonne santé mentale, qu’elle n’était pas activement suicidaire et qu’elle ne consommait pas de drogues. Aux dernières nouvelles, elle était enceinte. Bien sûr, elle ne pourra jamais allaiter son enfant.

« Monte à bord ou dégage »

Mes inquiétudes face à ce qui se passait au centre ont fini par prendre le dessus sur ma vie. Au printemps 2020, je me suis sentie dans l’obligation médicale et morale de faire quelque chose. J’ai donc pris la parole au bureau et j’ai envoyé de nombreux courriels.

Voici un exemple: le 6 janvier 2022, j’ai reçu un courriel d’un thérapeute du personnel me demandant de l’aide pour le cas d’un jeune homme transgenre de 16 ans vivant dans un autre État. « Les parents sont disposés à ce que le patient consulte un thérapeute, mais ils ne sont pas favorables à la notion de genre et le patient ne veut pas que ses parents soient au courant de son identité de genre. J’ai du mal à trouver un thérapeute de l’affirmation du genre ».

J’ai répondu:

« Je ne suis pas d’accord, d’un point de vue éthique, pour mettre en relation un patient mineur avec un thérapeute qui affirmerait son identité de genre et dont le travail serait axé sur le genre, sans que cela soit discuté avec les parents et que ces derniers acceptent ce type de soins. »

« Il serait préférable d’en discuter par téléphone mais je ne suis pas d’accord, d’un point de vue éthique, pour mettre en relation un patient mineur avec un thérapeute qui affirmerait son identité de genre et dont le travail serait axé sur le genre, sans que cela soit discuté avec les parents et que ces derniers acceptent ce type de soins.
Au centre nous ne mettons pas les patients mineurs en relation avec des thérapeutes de soins d’affirmation du genre sans le consentement d’au moins un parent ou d’un gardien légal.
Ceci dit, nous avons une liste de thérapeutes pour [le patient] ci-jointe. »

Pendant toutes les années où j’ai travaillé à la faculté de médecine de l’université de Washington, j’ai reçu des évaluations de performance tout à fait positives. Mais en 2021, cela a changé. J’ai obtenu une note inférieure à la moyenne pour mon « jugement » et mes « relations de travail/esprit de coopération ». Bien que j’aie été décrite comme « responsable, consciencieuse, travailleuse et productive », l’évaluation a également noté: « Parfois, Jamie réagit mal aux directives de la direction en se montrant défensive et hostile. »

Les choses ont atteint leur paroxysme lors d’une retraite d’une demi-journée à l’été 2022. Devant l’équipe, les médecins ont déclaré que ma collègue et moi-même devions cesser de remettre en question « la médecine et la science » ainsi que leur autorité. Puis un administrateur nous a dit que nous devions « monter à bord ou dégager ». Il est apparu clairement que l’objectif de la retraite était de nous transmettre ces messages.

Le système de l’université de Washington offre un généreux programme de paiement des frais de scolarité pour les employés de longue date. Je vis de mon salaire et je n’ai pas d’argent à mettre de côté pour payer cinq frais d’inscription à l’université pour mes enfants. Je devais garder mon emploi. J’éprouve également une grande loyauté envers l’université de Washington.

Mais j’ai décidé à ce moment-là que je devais quitter le centre pour personnes transgenres, et pour ce faire, je devais garder la tête baissée et améliorer mon évaluation de performance suivante.

J’ai réussi à obtenir une évaluation décente et j’ai décroché un poste de chercheur dans une autre partie de l’école de médecine de l’université de Washington. J’ai donné mon préavis et j’ai quitté le centre pour personnes transgenres en novembre 2022.

(Theo R. Welling)

Ce que je souhaite voir se réaliser

Pendant quelques semaines, j’ai essayé de tourner la page et de m’installer dans mon nouvel emploi de coordinatrice de recherche clinique, où je gère des études concernant des enfants qui subissent des greffes de moelle osseuse.

C’est alors que je suis tombée sur des commentaires du Dr Rachel Levine, une femme transgenre qui occupe un poste élevé au sein du Ministère fédéral de la Santé et des Services sociaux. L’article disait: « Levine, secrétaire adjointe à la santé, a déclaré que les cliniques procédaient avec prudence et qu’aucun enfant américain ne recevait de médicaments ou d’hormones pour une dysphorie de genre alors qu’il ne le devrait pas. »

J’étais stupéfaite et écoeurée. Ce n’était pas vrai. Et je le sais de par mon expérience de première main.

Je me suis donc mise à écrire tout ce que je pouvais sur mon expérience au centre pour les personnes transgenres. Il y a deux semaines, j’ai porté mes préoccupations et mes documents à l’attention du procureur général du Missouri. Il est Républicain. Je suis progressiste. Mais la sécurité des enfants ne doit pas faire l’objet de nos guerres culturelles.

Cliquez ici pour lire la lettre de Jamie Reed au procureur général du Missouri.

Compte tenu du secret et de l’absence de normes rigoureuses qui caractérisent la transition sexuelle des jeunes dans tout le pays, je pense que pour garantir la sécurité des enfants américains, il nous faut instaurer un moratoire sur le traitement hormonal et chirurgical des jeunes souffrant de dysphorie de genre.

Selon Reuters, au cours des 15 dernières années, les États-Unis sont passés d’une situation où il n’existait aucune clinique pédiatrique spécialisée dans le traitement de la dysphorie de genre à plus d’une centaine. Une analyse approfondie devrait être entreprise pour découvrir ce qui a été fait à leurs patients et pourquoi – et quelles en sont les conséquences à long terme.

Il existe une voie claire à suivre. L’année dernière, l’Angleterre a annoncé qu’elle fermerait la clinique Tavistock’s Youth Gender, qui était alors la seule clinique de ce type du NHS dans le pays, après qu’une enquête a révélé des pratiques douteuses et un traitement médiocre des patients. La Suède et la Finlande ont également enquêté sur la transition pédiatrique et ont considérablement réduit la pratique, estimant qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves de son utilité et qu’elle risquait de causer de graves préjudices.

Certains critiques décrivent le type de traitement offert dans des endroits comme le centre pour personnes transgenres où j’ai travaillé comme une sorte d’expérience nationale. Mais c’est faux.

Les expériences sont censées être soigneusement conçues. Les hypothèses sont censées être testées de manière éthique. Les médecins que j’ai côtoyés au centre pour personnes transgenres ont souvent dit, à propos du traitement de nos patients: « Nous construisons l’avion dans lequel nous sommes déjà en vol ». Personne ne devrait être passager de ce genre d’avion.

Primum Non Nocere – par Brad.

Source.


Primum Non Nocere

Les « soins d’affirmation du genre » sont la nouvelle lobotomie

Brad

16 août 2023

« Primum non nocere » est l’expression latine qui signifie « d’abord, ne pas nuire ». Il s’agit d’un avertissement adressé aux médecins pour qu’ils prennent sérieusement en compte les risques de tout traitement avant de l’appliquer. Les « soins d’affirmation du genre », un euphémisme désignant le processus par lequel les cliniques affirment immédiatement les enfants qui revendiquent une identité transgenre et les mettent sur la voie d’une médicalisation permanente et de l’automutilation, sont en contradiction directe avec cette règle.

Pas plus tard qu’en 2012, le Washington Post rapportait qu’il existait très peu de recherches scientifiques soutenant la « transition des enfants » et que « l’idée même d’étiqueter les enfants comme transgenres est choquante pour beaucoup de gens ». Onze ans plus tard, on trouve toujours très peu d’éléments scientifiques à l’appui de la transition des enfants1, et pourtant cette pratique s’est généralisée en grande partie grâce l’alliance du lobbying d’ONG, de politiciens Démocrates et d’un clergé scientifique aux engagements activistes – assurément, rien que de Braves Gens™.

Les adolescents sont différents des adultes sur des points essentiels. C’est une question de simple bon sens, et nous le constatons dans tous les aspects de la vie, sauf lorsqu’il s’agit du « moment transgenre » et des prescriptions thérapeutiques qui en découlent. Les activistes disent aux parents que les bloqueurs de puberté, les hormones du sexe opposé2 et la mutilation définitive sont le seul moyen possible d’empêcher leurs enfants de se suicider. Peu importe que la grande majorité des enfants souffrant de dysphorie de genre – 80 à 95% – finissent par en sortir naturellement en grandissant, s’ils ne sont pas encouragés à effectuer une transition. Et peu importe que les personnes ayant subi une opération de transition présentent dix-neuf fois plus de risques que la moyenne de mourir par suicide.

L’une des principales affirmations qui sous-tendent les soins d’affirmation du genre est que le blocage de la puberté est une mesure de prudence qui donne à l’enfant le temps d' »explorer » son identité de genre « en lui évitant la détresse liée au développement de caractéristiques sexuelles secondaires« . En réalité, il s’agit d’une mesure drastique et expérimentale qui comporte une série d’effets secondaires graves pouvant causer des dommages irréparables à l’enfant. Même la FDA a averti que les bloqueurs de puberté peuvent provoquer un gonflement du cerveau et une perte de vision chez les enfants, tandis que le principal centre de traitement des enfants dysphoriques du Royaume-Uni a constaté que leur densité osseuse et leur croissance normale stagnaient et que leur bien-être psychologique ne s’améliorait pas. Comme l’a expliqué Jesse Singal, « les pays occidentaux ne cessent de procéder à des examens minutieux des preuves relatives aux bloqueurs de la puberté et aux hormones, et ils ne cessent de constater qu’il n’existe que très peu de preuves de ce type »3.

« Je subis actuellement des tests pour l’ostéopénie et l’ostéoporose en raison de douleurs constantes dans mes os et mes articulations. Pouvez-vous deviner quel traitement médicamenteux prétendument « réversible » en est la cause probable? »
Voici un détransitionneur qui avait été mis sous Lupron. Autrefois utilisé pour la castration chimique des délinquants sexuels, le Lupron est le bloqueur de puberté le plus utilisé chez les jeunes transgenres.

Tous les grands groupes militants et de nombreux groupes professionnels continuent d’affirmer que la suppression de la puberté est réversible. C’est manifestement ridicule. Au cours de la puberté, pratiquement toutes les parties du corps se développent de manière significative en fonction du sexe, et passer par ce processus à l’âge de dix-huit ans ne peut pas annuler dix ans de blocage. En matière de biologie du développement, il existe une séquence normale dans laquelle de nombreuses choses se produisent au fur et à mesure de la maturation du corps, et lorsque certaines choses se produisent en décalage, le processus de développement n’est pas normal. Comme l’explique Ryan Anderson dans When Harry Met Sally, il est important de permettre à la séquence de développement de se dérouler sans interruption, non seulement pour la maturation physique, mais aussi pour des raisons psychologiques et neurochimiques.4

La manière dont ce processus se déroule n’est pas bien comprise, il est donc impératif d’être prudent et de ne pas interférer avec celui-ci. Mais loin de faire preuve de prudence en utilisant des bloqueurs de puberté sur des enfants, ce que mènent les médecins revient essentiellement à une expérience géante très éloignée des normes éthiques exigées dans d’autres domaines de la médecine. En effet, dans tous les autres domaines de la médecine, les procédures expérimentales doivent être supervisées par un comité d’examen. Les soins d’affirmation du genre ne font l’objet d’aucune surveillance de ce type. En outre, lorsqu’on autorise les parents à consentir à des procédures médicales pour des adolescents, c’est généralement pour permettre aux médecins de sauver, de guérir ou d’atténuer un problème médical observable. Mais dans le cas unique de la médecine transgenre, on autorise un parent à consentir à une intervention qui provoque essentiellement un « état pathologique » provoqué par une tumeur de l’hypophyse – tout cela sur la base d’une détresse mentale déclarée par l’enfant.5

Le Dr Michelle Cretella soutient que mettre un adolescent sur la voie de la transition sociale et de la suppression de la puberté est un protocole « auto-réalisateur », car il engage l’enfant sur une voie possédant sa propre dynamique, chaque étape renforçant une trajectoire qui conduit à des résultats irréversibles. Citant ce que la science sait aujourd’hui de la neuroplasticité, elle note que pour un garçon souffrant de dysphorie de genre, « le comportement répété consistant à se faire passer pour une fille modifie la structure et le fonctionnement du cerveau du garçon d’une manière ou d’une autre – potentiellement d’une manière qui rendra moins probable l’alignement de son identité avec son sexe biologique », augmentant ainsi la probabilité que d’autres étapes de transition soient franchies. Outre cet effet comportemental, la suppression médicale de la puberté « empêche la masculinisation endogène de son cerveau », de sorte qu’il reste « un garçon prépubère non conforme à son genre, déguisé en fille prépubère ». Et pendant ce temps, les camarades du garçon se développent normalement, de sorte qu’il se retrouve encore plus isolé et encore moins en mesure de s’identifier en tant que mâle.

Les chercheurs ont constaté que l’« identité de genre » d’un jeune enfant est à la fois « élastique » et « plastique ». Elle peut évoluer au fil du temps et réagir à des forces extérieures, notamment aux messages reçus de la culture générale – et à l’approbation ou à la désapprobation des parents.

En parlant de parents, il semble assez clair que pour un certain segment de progressistes blancs aisés, avoir un enfant transgenre est un symbole de statut social. Contrairement aux familles à faibles revenus, ils disposent du temps et de l’argent nécessaires pour ce genre de choses. Et parce que la Théorie Critique les a conditionnés à croire qu’ils sont des oppresseurs incapables d’échapper à cette étiquette, ils considèrent le fait d’avoir un enfant trans comme un moyen de rejoindre une classe opprimée, ce pour quoi ils seront honorés plutôt que condamnés. La liste des célébrités « woke » qui ont transgenré leurs fils et leurs filles ne cesse de s’allonger.

Naomi Watts, Charlie Theron et Megan Fox ont toutes transgenré leurs enfants. Theron a deux fils adoptifs qu’elle dit être des filles. Fox a trois fils, qu’elle dit tous être des filles. Une étude a révélé qu’environ la moitié des mères de garçons atteints de dysphorie de genre avaient reçu au moins deux diagnostics de troubles mentaux et qu’environ un quart d’entre elles avaient reçu au moins trois diagnostics de ce type. Cela semble pertinent.
« Page communautaire non officielle et non censurée de Cobb County Schools
Membre anonyme – – Je demande des conseils pour mon fils transgenre. Nous avons inscrit notre fils dans une grande école maternelle du comté de Cobb. J’ai été déçue, mais pas surprise, lorsque j’ai reçu un appel du directeur qui m’a dit qu’ils n’allaient honorer aucune de nos demandes pour affirmer le genre de notre fils, qu’ils refusaient d’utiliser les pronoms, même pas les pronoms « eux », qu’on s’attendrait à ce que notre enfant s’aligne avec les filles, qu’il fasse partie d’équipes de filles, etc. Heureusement, les toilettes ne posent pas encore de problème puisque les salles de classe sont équipées de toilettes individuelles. D’après le directeur, ils doivent utiliser ce qui figure sur le certificat de naissance, qui, dans le cas de notre fils, est évidemment marqué comme étant de sexe féminin. Le directeur indique que le district a donné des instructions aux enseignants, à l’administration et au personnel pour qu’ils laissent leurs croyances personnelles, politiques et religieuses à la maison, ce que j’approuve de tout cœur. Je ne comprends pas comment ces directives peuvent aboutir à ce type de décision et de traitement de mon fils. Le directeur a été très clair sur le fait qu’il ne s’agit pas d’une politique, ce qui rend les choses encore plus obscures. Tout conseil ou expérience de situations similaires serait le bienvenu.
J’ai proposé de nombreuses solutions neutres, telles que l’alignement en fonction de la date de naissance, de la couleur de la chemise ou du parfum de glace préféré. Il y a tellement de façons de répartir les enfants dans les équipes, les files d’attente, etc. autrement qu’en fonction du sexe. Ils n’étaient pas prêts à s’engager dans cette voie.
De toute évidence, il s’agit d’un sujet brûlant dans notre société. Nous soutenons et affirmons pleinement notre fils. Si nous ne sommes pas d’accord sur ce sujet, veuillez ignorer ce message et passer à autre chose. »

Un enfant de maternelle transgenre, c’est comme un chat vegan. Nous savons tous qui fait les choix.

Il est facile de comprendre comment les parents peuvent en venir à jouer un rôle dans le découragement de la désistance. Les plus crédules deviennent souvent les « champions » de l’identité transgenre de leur enfant auprès des enseignants et des autres parents, et des défenseurs de l’idéologie transgenre en général. Cela peut évidemment avoir un effet de renforcement pour l’enfant, en affectant son sentiment d’identité. Si la dysphorie commence à s’estomper, l’enfant est alors confronté à un dilemme: persister dans une identité de genre qui ne lui convient plus ou dire à ses parents que la vie qu’ils ont contribué à créer et qu’ils ont défendue était une erreur. Bien entendu, les enseignants, les amis et les parents qui se sont impliqués dans le processus de transition devront eux aussi faire marche arrière si l’enfant détransitionne.

De cette manière, le non-sens des soins d’affirmation du genre limite les options futures de l’enfant en raison des coûts sociaux ou familiaux d’une détransition, ce qui pousse certains enfants à persister dans une identité transgenre alors qu’ils auraient autrement grandi en acceptant leur sexe natal. Ces enfants se mutilent ensuite de manière permanente.


Au cours de la dernière décennie, la dysphorie de genre chez les adolescents a connu un essor considérable dans tout l’Occident. Aux États-Unis, la prévalence a augmenté de plus de 1 000%.6 En Grande-Bretagne, l’augmentation est de 4 000%, et les trois quarts des personnes orientées vers un traitement de la dysphorie de genre sont des filles. Compte tenu de ces chiffres extraordinaires, ainsi que du changement brutal des données démographiques – d’une majorité de garçons ayant des antécédents de dysphorie de genre dans leur enfance à une majorité d’adolescentes n’ayant pas de tels antécédents – on pourrait penser que les personnes qui encouragent les mineurs à suivre un traitement d’affirmation du genre feraient preuve d’un peu plus de prudence. On aurait tort.

Le cerveau d’un adolescent est trop immature pour prendre des décisions rationnelles fiables. C’est ce que disent les neuroscientifiques. Mais nous sommes censés accepter l’idée que des enfants impressionnables et désorientés peuvent prendre des décisions concernant leur identité sexuelle et des traitements médicaux lourds. C’est absurde. Les soins d’affirmation du genre vont à l’encontre de la réalité, à savoir qu’un enfant ou un adolescent en détresse est rarement réductible à un seul problème. D’autres problèmes psychosociaux sous-tendent généralement leurs fausses hypothèses.

Jusqu’à ce qu’une controverse en 2015 lui coûte son poste7, le Dr Kenneth Zucker était universellement reconnu comme un expert international de la dysphorie de genre chez l’enfant et l’adolescent. En tant que psychologue en chef du centre pour les addictions et la santé mentale (Centre for Addiction and Mental Health) de Toronto, il a passé des décennies à mener des recherches et à pratiquer ce pour quoi il avait été formé: aider les jeunes souffrant de dysphorie de genre à se sentir plus à l’aise dans leur corps. Sa philosophie était simple: une focalisation étroite et exclusive sur le sexe en tant que source de détresse passe souvent à côté du tableau plus large d’une vie intérieure troublée. Pour parvenir à un diagnostic précis, Zucker estime que les professionnels de la santé mentale doivent considérer l’enfant dans sa globalité.

Cette approche lui a valu un succès étonnant. La collègue de Zucker, Devita Singh, a examiné les résultats de plus de cent garçons qui avaient été vus par Zucker dans sa clinique. Dans les cas où l’enfant n’avait pas fait l’objet d’une transition sociale de la part de ses parents, elle a constaté que 88% d’entre eux avaient surmonté leur dysphorie de genre. Dans le cas d’un enfant qu’elle a traité, le désir du garçon d’être une fille provenait de sa volonté de se rapprocher de sa mère célibataire, qui l’avait brièvement abandonné et « semblait transférer une grande partie de son investissement psychologique à sa sœur ». La thérapie a porté sur son sentiment d’abandon et seulement en second lieu sur la dysphorie de genre.

D’autres exemples d’enfants ayant consulté la clinique de Zucker:

[L]orsqu’on lui a demandé pourquoi il voulait être une fille, un garçon de 7 ans a répondu que c’était parce qu’il n’aimait pas transpirer et que seuls les garçons transpiraient. Il a également déclaré qu’il voulait être une fille parce qu’il aimait lire et que les filles lisaient mieux que les garçons. Un garçon de 8 ans a déclaré que « les filles sont mieux traitées que les garçons par leurs parents » et que « le professeur ne crie que sur les garçons ». Il pensait que s’il était une fille, ses parents seraient plus gentils avec lui et qu’il aurait moins de problèmes à l’école. Un garçon de 5 ans a dit qu’il avait un « cerveau de fille » parce qu’il n’aimait que les poupées Barbie. Dans le cadre du traitement de ce garçon, il a créé des dessins de son propre cerveau, en y inscrivant des exemples de ce qui rendait son cerveau plus semblable à celui d’une fille et de ce qui rendait son cerveau plus semblable à celui d’un garçon (par exemple, lorsqu’il a commencé à s’intéresser aux Lego). Au fil du temps, les dessins de la taille de son cerveau de fille ont rétréci et la taille de son cerveau de garçon s’est agrandie.

De nombreux patients de Zucker souffraient d’autres maladies mentales, comme le syndrome de stress post-traumatique ou l’autisme. Si leurs parents les avaient emmenés dans une clinique « affirmative », il est probable qu’ils auraient été soumis à une procédure accélérée de blocage de la puberté et d’administration d’hormones. Selon Jamie Reed [NdT. dont j’ai traduit le témoignage ici], une dénonciatrice qui a travaillé pendant quatre ans comme gestionnaire de cas pour le centre transgenre de l’université de Washington à l’hôpital pour enfants de Saint-Louis, dans le Missouri,8 il suffisait pour obtenir une ordonnance pour des bloqueurs de puberté d’une note d’un thérapeute que le patient ne devait consulter qu’un fois ou deux. Elle raconte que pendant son séjour à la clinique, « environ un millier de jeunes gens en détresse ont franchi nos portes. La majorité d’entre eux ont reçu des prescriptions d’hormones qui peuvent avoir des répercussions sur leur vie entière – y compris la stérilité ».

Lisa Marchiano est une analyste jungienne, une assistante sociale et une auteure largement publiée qui, comme beaucoup de thérapeutes, a commencé à remarquer l’augmentation spectaculaire du nombre d’adolescentes s’identifiant comme transgenres au cours des cinq dernières années. Mais contrairement à beaucoup de ses collègues, elle était sceptique face à ce phénomène. Elle n’a jamais douté de la détresse des adolescentes qui déclarent souffrir de dysphorie de genre. Mais en tant que personne ayant étudié le pouvoir de l’inconscient, elle était également très consciente de la façon dont l’esprit est capable de se tromper lui-même.

Lorsque nous ressentons une détresse psychologique, a-t-elle expliqué à Abigail Shrier, nous voulons l’expliquer de manière à ce que les gens la prennent au sérieux. « Si on manifeste [sa détresse] d’une manière nouvelle dont personne n’a jamais entendu parler auparavant, il est probable que l’on se voit écarter. Mais si elle s’inscrit dans un récit prescrit, l’inconscient s’y accroche. Cela a une valeur explicative pour soi et on reçoit des soins et de l’attention ».

Cette idée a été développée par l’historien de la psychiatrie Edward Shorter et popularisée par le journaliste Ethan Watters. Les patients sont attirés par des « pools de symptômes » – des listes de façons culturellement acceptables de manifester leur détresse qui conduisent à des diagnostics reconnus. « Les patients s’efforcent inconsciemment de produire des symptômes qui correspondent aux diagnostics médicaux de l’époque », ce dont Watters attribue la découverte à Shorter. « Parce que le patient s’efforce inconsciemment de faire reconnaître et de légitimer sa détresse interne, son subconscient sera attiré par les symptômes qui lui permettront d’atteindre ces objectifs. »

Dans son livre Crazy Like Us: The Globalization of the American Psyche (Aussi fous que nous: la mondialisation de la psyché américaine), Watters montre comment les contagions sociales se propagent de cette manière. Il prend pour exemple la montée de l’anorexie à Hong Kong. La ville n’avait jamais connu d’épidémie de jeunes filles, captivées par leur conviction d’être grosses, et qui s’affament elles-mêmes. Jusqu’en 1994, en tout cas, lorsque les médias locaux ont largement diffusé l’histoire d’une jeune fille dont la mort tragique a été décrite par les organes de presse comme un exemple d’une étrange maladie occidentale appelée anorexie mentale. Il s’en est suivi une épidémie de jeunes filles présentant les symptômes de cette maladie. Ce n’est pas qu’aucune jeune fille de Hong Kong n’ait jamais eu l’idée de s’affamer pour perdre du poids; c’est simplement que ce n’est que lorsque l’anorexie est devenue « une expression culturellement acceptée d’un stress interne qu’elle s’est répandue ».

De même, la dysphorie de genre a fait son apparition dans notre pool de symptômes grâce à la prolifération d’activistes sur YouTube et TikTok, aux efforts d’Hollywood pour normaliser le transgendérisme dans des séries comme Orange Is the New Black et I Am Jazz, à la célébration par les médias de notre « moment transgenre » en popularisant des personnalités comme Caitlyn Jenner et Chastity Bono9 et les administrations démocrates qui font passer les politiques d’identité de genre pour une question de droits civils dans divers domaines, notamment l’éducation, les soins de santé et l’armée. Comme le note Abigail Shrier, ces évolutions « ont contribué à faire passer la dysphorie de genre d’un phénomène dont on n’avait peut-être jamais entendu parler à la première ou deuxième pensée qui nous vient à l’esprit lorsque l’on voit un garçon déambuler dans la maison avec les talons hauts de sa mère ». Une fois que notre pool de symptômes du 21e siècle a commencé à inclure la notion que les enfants peuvent souffrir d’une détresse extrême parce qu’ils sont nés dans le mauvais corps, ô miracle, la dysphorie de genre s’est répandue.


Encourager les enfants et les adolescents à se dissocier de la réalité, à croire que l’identité de genre est intrinsèque alors que le sexe est muable, et à porter atteinte à leur corps de manière permanente en accord avec cette identité de genre, d’une manière qu’ils pourraient très bien regretter, est mal. Mais s’inquiéter du fait que des jeunes s’identifient soudainement comme transgenres est devenu politiquement imprudent et socialement interdit, une chose condamnée par les activistes comme preuve d’un « génocide transgenre ». Ces militants exploitent une lutte qui touche une infime partie de la population adulte pour intimider et harceler quiconque souligne l’engouement soudain pour une jeunesse désespérée – une population abandonnée par de nombreux membres de la Gauche à la recherche d’une politique identitaire et de preuves de bonne foi progressiste.

La plupart des enfants prépubères qui présentent une dysphorie de genre ont été déroutés par les schémas de genre rigides que le féminisme de la troisième vague a contribué à effacer, mais qui se normalisent à nouveau grâce à l’idéologie du genre. Ceux qui sont plus proches de la puberté, et en particulier les adolescents, ont, dans de nombreux cas, si ce n’est dans la plupart des cas, trouvé une explication à leurs angoisses et s’y sont accrochés. À cet égard, la dysphorie de genre n’est pas différente d’autres « troubles de l’hypothèse » bien connus des psychiatres – comme l’anorexie ou la dysmorphie corporelle – qui surviennent chez des personnes qui en viennent à croire que certains de leurs conflits ou problèmes psychosociaux seront résolus si elles parviennent à changer leur apparence aux yeux des autres.

Le Dr Paul McHugh, ancien psychiatre en chef à l’hôpital Johns Hopkins, soutient que ces jeunes ont besoin d’être retirés des « environnements suggestifs » dans lesquels ils ont été immergés et qu’on leur présente un message différent. Mais la prolifération des cliniques spécialisées dans les questions de genre aux États-Unis et des programmes sur l’identité sexuelle dans les écoles [NdT. ma traduction ici], ainsi que la glorification du transgendérisme par Hollywood et les médias, font qu’il est peu probable qu’ils obtiennent l’aide dont ils ont besoin pour résoudre leurs problèmes. Au lieu de cela, ils trouvent des conseillers et des thérapeutes de l’affirmation du genre qui les encouragent à maintenir leurs fausses hypothèses. Cette attitude est contraire aux pratiques médicales et psychologiques habituelles. Dans quelles autres circonstances est-il logique d’encourager un enfant à persister dans une croyance qui ne correspond pas à la réalité?

Pour la grande majorité des mineurs, la dysphorie de genre sera une « phase transitoire ». Elle doit être considérée avant tout comme une psychopathologie à traiter et non comme une identité à célébrer. Les soins d’affirmation du genre, qui sont à la fois un manquement au devoir des prestataires et un programme politique déguisé en aide, ne font que faciliter la dysphorie de genre et s’apparentent à de la maltraitance d’enfant. De la même manière que la lobotomie frontale est aujourd’hui considérée comme barbare, dans cinquante ans, nous considérerons les soins d’affirmation du genre comme une cruelle relique du passé.


  1. Comme l’a récemment titré The Economist: « Les preuves à l’appui des transitions de genre médicalisées chez les adolescents sont d’une faiblesse inquiétante ». Mais ne vous inquiétez pas, ces dernières années, tout le monde, de Jon Stewart à John Oliver en passant par les journalistes et les experts du New York Times, du Washington Post et de NPR, a surestimé les preuves en faveur de ces interventions. ↩︎
  2. Les hormones transsexuelles ont des effets secondaires tels que la stérilité, la psychose, l’hypercholestérolémie et l’hypertension artérielle, ainsi qu’un risque accru de maladies cardiovasculaires et de cancer. ↩︎
  3. C’est une chose que même la WPATH admet, et qui va à l’encontre de la vision libérale incroyablement superficielle et souvent dogmatique selon laquelle ces traitements sont merveilleux, sûrs et ne devraient pas être remis en question. Lorsque la connaissance fait défaut, l’idéologie prend le relais. ↩︎
  4. Arrêter la puberté stoppe le développement du cerveau. ↩︎
  5. Étonnamment, dans certains États comme l’Oregon, il est possible pour des jeunes de 15 ans de subir une double mastectomie ou une chirurgie génitale sans le consentement de leurs parents. ↩︎
  6. Selon Reuters, le nombre de cliniques du genre traitant des enfants aux États-Unis est passé de zéro à plus de 100 au cours des 15 dernières années. Une analyse Komodo des demandes d’assurance a révélé qu’entre 2019 et 2021, au moins 56 chirurgies génitales et 776 mastectomies ont été réalisées en Amérique sur des patients âgés de 13 à 17 ans avec un diagnostic de dysphorie de genre. Ce décompte n’inclut pas les procédures qui ont été payées de leur poche. ↩︎
  7. Il a été pris pour cible par des militants parce qu’il estime que les enfants présentent un type particulier de dysphorie de genre et que leur bien-être à long terme n’est peut-être pas assuré en les encourageant automatiquement à effectuer une transition. ↩︎
  8. Elle est également mariée à un homme transgenre. Cela vaut la peine d’être mentionné car de nombreuses personnes ont cherché à la discréditer en prétendant qu’elle était une bigote transphobe. ↩︎
  9. Le fait qu’une grande partie de la couverture du transgendérisme soit de l’activisme déguisé en journalisme n’aide certainement pas. À quelques exceptions près, les journalistes se concentrent sur l’aspect positif de l’acceptation des enfants atteints de dysphorie de genre comme étant du sexe opposé, un triomphe sur l’adversité. Ils reconnaissent rarement, voire pas du tout, les détransitionneurs. ↩︎

L’idéologie du genre est une dangereuse absurdité – par Brad.

Source.


L’idéologie du genre est une dangereuse absurdité

Elle a un impact pernicieux sur la société en général et sur la vie des femmes et des enfants en particulier

Brad

24 avril 2023

En moins d’une décennie, l’idéologie du genre est passée d’un concept marginal et bizarre de la philosophie postmoderne, présent principalement dans les branches obscures de la « théorie queer » universitaire, à un puissant mouvement politique à l’origine d’importants changements sociaux. Une grande partie de ce mouvement a des relents de théologie. Les militants transgenres font preuve d’un zèle évangélique et traitent essentiellement l' »identité de genre » d’une personne transgenre comme une sorte d’âme séculière inviolable. Il suffit qu’une personne ait la révélation qu’elle est du sexe opposé pour qu’elle devienne magiquement du sexe opposé par un simple acte de foi. Ainsi, la rhétorique du mouvement fourmille d’affirmations ontologiques: les gens sont du genre qu’ils préfèrent être. Telle est la revendication.

Cela a conduit à la formation d’un groupe identitaire distinct qui fonctionne sur le mode du grief et de la victimisation et qui dépend d’une validation et d’une confirmation permanentes de la part d’un public extérieur. Tout débat et toute discussion critique sont considérés comme une menace pour cette affirmation publique et sont souvent limités ou carrément censurés au motif qu’ils « remettent en question le droit des personnes trans à exister ». Ironiquement, alors que les droits des transgenres sont promus au nom de la tolérance, leur application est souvent extrêmement intolérante, non seulement à l’égard des critiques, mais aussi à l’égard de toute forme de discussion. Cette insécurité omniprésente souligne le comportement de plus en plus autoritaire des militants trans.

Le « transgendérisme » s’est révélé bien plus influent que ne pourrait le laisser penser un simple décompte des personnes transgenres. Comme le note Joanna Williams de Civitas, le fait que le transgendérisme soit passé d’une niche à un courant dominant en dit plus sur le reste de la société que sur les personnes transgenres. Le mouvement, qui est dirigé par une minuscule communauté d’activistes radicaux ineptes, qui ne sont souvent pas eux-mêmes transgenres, est accepté et promu par des personnes en position de pouvoir dans les domaines des médias, de l’éducation, de l’université, du travail social, de la médecine, du droit et du gouvernement local et national. La crise de l’autorité provoquée par l’apparition cataclysmique d’Internet a eu pour conséquence que des institutions qui faisaient auparavant autorité n’ont plus confiance en leur propre capacité à diriger, et ont ainsi décidé que la communauté transgenre était un groupe victimisé qui pouvait servir en tant que source d’autorité morale, même si elle effaçait les droits fondés sur le sexe et compromettait le bien-être des enfants.

Comme le dit Williams, ce n’est pas une coïncidence si l’expansion des droits des transgenres a coïncidé avec l’expansion de la réglementation étatique et institutionnelle en matière de discours et de comportement. Cette évolution souligne la différence significative entre le transgendérisme et le mouvement des droits des homosexuels. Alors que ce dernier militait pour une plus grande liberté vis-à-vis de l’État et pour le droit des personnes à déterminer leur vie sexuelle sans être limitées par la loi, le mouvement transgenre exige la reconnaissance et la protection de l’État en obligeant toutes les personnes extérieures au groupe identitaire à se plier à leur fiction. À une époque antérieure, être radical signifiait « se révolter contre l’autorité » et exiger plus de liberté vis-à-vis de l’État et de l’autorité institutionnelle; aujourd’hui, en revanche, être radical signifie être un pieux petit mouton qui bêle en faveur de plus de restrictions à la liberté d’expression au nom de la prévention de tout préjudice.


Les enfants subissent les conséquences négatives de la normalisation de l’idéologie du genre.

Le psychothérapeute James Caspian souligne qu’il y a vingt ans, la personne type qui cherchait à changer de sexe était un homme d’une quarantaine d’années. Aujourd’hui, le profil type du transgenre a radicalement changé. Les enfants sont de plus en plus nombreux à s’identifier comme trans, 43% de la population trans ayant moins de 25 ans1. Selon Reuters, 15 000 enfants âgés de 6 à 17 ans ont reçu un diagnostic de dysphorie de genre en 2017. Ce chiffre est passé à 42 000 en 2021. Mais plus que tout autre groupe démographique, ce sont les adolescentes qui sollicitent de l’aide pour leur identité de genre: ces dernières années, le nombre de filles orientées vers un traitement a augmenté de 4 400%.

Les raisons de ce phénomène font l’objet de nombreux débats.

Ce que nous savons avec certitude, c’est que depuis une dizaine d’années, le nombre de jeunes filles souffrant d’anxiété et de dépression a explosé. Abigail Shrier a rassemblé de nombreuses preuves montrant que les jeunes filles sont enclines à attribuer leur angoisse à une cause à la mode. Avant que le transgendérisme ne devienne un mouvement, une infime partie de la population se débattait avec son identité de genre pendant des années, voire des décennies, avant d’opérer une transition progressive pour vivre comme un membre du sexe opposé. En fait, avant 2012, il n’existait aucune littérature scientifique sur les filles âgées de onze à vingt et un ans ayant développé une dysphorie de genre. Mais aujourd’hui, les filles prennent la décision de s’engager dans une vie de dépendance hormonale et de subir des opérations chirurgicales défigurantes de manière beaucoup plus soudaine, une condition connue sous le nom de dysphorie de genre à apparition rapide (Rapid Onset Gender Dysphoria, ROGD en anglais).

L’une des caractéristiques spécifiques de la dysphorie de genre à apparition rapide est la contagion: souvent, des groupes de filles d’une même classe, d’une même école ou d’une même ville découvrent simultanément leur identité transgenre et s’engagent ensemble dans le « voyage de la transition ». C’est comme si elles étaient captives d’un « engouement » – un enthousiasme culturel qui se propage comme un virus. Il est intéressant de noter que les procès des sorcières de Salem au XVIIe siècle, les troubles nerveux du XVIIIe siècle, l’épidémie de neurasthénie au XIXe siècle, l’anorexie mentale, la mémoire refoulée, la boulimie et la contagion des coupures au XXe siècle concernent tous le même protagoniste, qui amplifie et propage sa propre douleur: l’adolescente.

Le Dr Lisa Littman, gynécologue-obstétricienne devenue chercheuse en santé publique, a mené une étude qui a rassemblé 256 rapports détaillés de parents analysant l’incidence élevée de la dysphorie de genre dans les groupes d’amies adolescentes. Voici quelques-unes de ses conclusions:

  • Les adolescentes avaient un âge moyen de 16,4 ans.
  • La grande majorité d’entre elles ne présentaient aucun indicateur de dysphorie de genre pendant l’enfance.
  • Une majorité d’entre elles présentaient également un ou plusieurs diagnostics psychiatriques et près de la moitié s’automutilaient avant l’apparition de la dysphorie de genre.
  • Près de 70% des adolescentes appartenaient à un groupe de pairs dans lequel au moins une amie s’était révélée transgenre. Dans certains groupes, c’était le cas de la majorité des amies. La prévalence de l’identification transgenre au sein de certains groupes d’amies des jeunes filles était plus de 70 fois supérieure au taux attendu.
  • Parmi les parents qui connaissaient le statut social de leurs enfants, plus de 60% ont déclaré que leur annonce avait donné un coup de pouce à leur popularité.
  • Plus de 65% des adolescentes ont découvert leur identité transgenre après une période d’immersion prolongée dans les médias sociaux.

Ce serait différent s’il s’agissait d’un phénomène inoffensif dont ces jeunes filles se débarrassent en grandissant, mais beaucoup d’entre elles endommagent leur corps de manière irréversible. Une analyse Komodo des demandes d’assurance a révélé qu’entre 2017 et 2021, 14 726 mineurs ont commencé un traitement hormonal, tandis qu’au moins 776 mastectomies ont été pratiquées aux États-Unis sur des patientes âgées de 13 à 17 ans ayant reçu un diagnostic de dysphorie de genre. Quiconque affirme que ce genre de choses ne se produit pas – un refrain courant des #alliés progressistes – ment. Et ces chiffres n’incluent pas les procédures qui ont été payées de leur poche.

La culture américaine ne tolère pas seulement ce qui équivaut à la stérilisation2 des enfants, elle encourage la lobotomie sexuelle au nom de la scientologie du genre. L’internet, en particulier les médias sociaux et YouTube, est considéré comme un moyen efficace de diffuser la ROGD auprès d’une génération de jeunes filles équipées de smartphones. Des vidéos circulent en ligne, présentant le changement de sexe comme une proposition simple et attrayante. Par ailleurs, la musique populaire, les romans pour enfants, les films et les séries télé offrent tous des représentations positives des jeunes transgenres et du processus de transition.

Sans parler des programmes scolaires. L’idéologie transgenre est désormais officiellement enseignée et sanctionnée dans le cadre de l’enseignement primaire et secondaire, et Libs of TikTok a parfaitement mis en évidence le fait que les enseignants progressistes se chargent eux-mêmes de la diffuser de manière informelle. Dès la maternelle, on présente aux enfants le « Genderbread Person«  [NdT. personnage dérivé du Gingerbread Man, le bonhomme en pain d’épice qui fait partie de la tradition américaine destinée aux enfants] et le « Gender Unicorn«  [NdT. littéralement, la licorne du genre]. Les enseignants lisent des extraits de I Am Jazz [NdT. l’histoire d’un enfant transgenre basée sur l’expérience réelle de Jazz Jennings, qui est devenue le porte-parole des enfants transgenres du monde entier], et les plus petits apprennent qu’ils peuvent avoir un « cerveau de fille dans un corps de garçon » ou vice versa.

Il devrait être évident qu’il s’agit d’un problème. Les progressistes sèment intentionnellement la confusion des genres dans le but d’endoctriner les jeunes. Ce sont des pensées d’adultes que l’on fait entrer dans la tête des enfants; ils ne pensent pas à cela tout seuls. Alors que les enfants s’efforcent inconsciemment de faire reconnaître et de légitimer leur détresse interne, ils apprennent que changer de genre est un moyen d’accéder à la séduction de l’acceptation sociale, de la popularité et de l’appartenance à la catégorie avant-gardiste des LGBTQ – la conséquence évidente du fait de considérer la dysphorie de genre comme une identité à célébrer plutôt que comme une psychopathologie3.

Les personnes transgenres sont valorisées en tant que victimes d’un monde cruel et en tant que penseurs avant-gardistes poussant courageusement à repousser les limites de la société, et le processus de transition est à la fois glorifié et romantisé. Une boucle de rétroaction se crée: plus les enfants transgenres sont portés aux nues et « affirmés », plus les enfants en viennent à considérer qu’être transgenre n’est pas seulement socialement acceptable, mais aussi une solution à leurs problèmes personnels d’identité; plus il y a d’enfants qui adoptent le manteau de l’idéologie du genre, plus il y a de discussions sur les enfants transgenres.

Mais le phénomène des enfants transgenres a un côté plus sombre. Les militants exploitent ce groupe vulnérable pour promouvoir leurs propres intérêts. En se concentrant sur les « jeunes », ils cachent un programme d’adultes derrière une préoccupation pour le sort des enfants, ce qui leur confère une certaine autorité morale. L’existence et la visibilité croissante des enfants transgenres apportent des preuves à leur affirmation selon laquelle les personnes transgenres sont nées ainsi et que « le genre est un spectre », indépendamment du sexe anatomique. Cela leur permet de faire passer des conneries métaphysiques pour des faits scientifiques. De plus, le fait d’utiliser des enfants comme visage du transgendérisme aide les activistes à détourner les critiques et les questions, et légitime les demandes qu’ils adressent au reste de la société. (« Pensez aux enfants! »)

L’orthodoxie actuelle, telle que promue par les activistes trans, est que la meilleure pratique pour les enfants identifiés comme transgenres est le « gender-affirming care » (les soins d’affirmation du genre) – c’est-à-dire l’acceptation totale et non critique que l’enfant est vraiment du genre qu’il prétend être, en considérant comme un indicateur infaillible les sentiments de l’enfant et en commençant immédiatement un régime d’hormones et de bloqueurs de la puberté. Il n’est pas nécessaire de préciser que ce n’est pas dans leur intérêt. Il n’est pas nécessaire d’être un psychologue de bonne foi pour comprendre qu’un jeune qui en vient à se considérer comme transgenre peut présenter des problèmes sociaux ou émotionnels antérieurs à ses préoccupations d’identité de genre, ou qu’il est simplement sous l’influence d’une contagion par ses pairs. Ce que signifie réellement l’affirmation du genre, c’est le sacrifice des besoins psychologiques et émotionnels de l’enfant au nom d’une position politique et idéologique. C’est l’abdication de la responsabilité des adultes à l’égard des enfants.

Ce n’est pas sorcier: nous devons protéger les jeunes contre les encouragements à la transition tant qu’ils ne sont pas suffisamment mûrs sur le plan émotionnel pour en comprendre pleinement les conséquences.


La couverture médiatique des questions transgenres est disproportionnée par rapport au nombre réel de personnes transgenres. Cela est dû en grande partie au fait que le transgendérisme n’est pas seulement un mouvement porté par des personnes souffrant de dysphorie de genre, mais une communauté politique et sociale bien définie d’activistes qui prêchent l’idéologie du genre. Tous ceux qui souscrivent à la foi progressiste et pratiquent le culte de l’église Woke sont désormais tenus de défendre leurs intérêts. Et ces personnes ne sont que trop heureuses de s’y plier. Maintenant que les principales victoires en matière de droits civiques de la fin du vingtième siècle sont pratiquement acquises, les agitateurs doivent se tourner vers de nouveaux domaines pour opérer un changement, car le progressisme se résume au désir aveugle de déraciner tout ce qui existe actuellement.

Les militants du mouvement se sont donné beaucoup de mal pour présenter le fait qu’ils ont réussi à forcer la société à accepter l’idéologie du genre comme l’effet d’un changement radical de l’opinion publique, mais en réalité il ne s’agit que d’un nouvel exemple d’une minorité tyrannique qui contraint les autres à se conformer à une folie. La raison du pourquoi ces crétins messianiques préfèrent que les changements sociaux soient imposés du haut vers le bas, plutôt que de devoir faire l’effort de gagner les gens à leurs idées est que ces idées ne peuvent se suffire à elles-mêmes et ne résistent pas au moindre examen.

Et les nouvelles normes et mœurs pour lesquelles le mouvement exige l’obéissance du reste de la société ont depuis longtemps dépassé le stade de l’absurde. Nous en sommes arrivés au point où il n’est plus nécessaire de subir une opération chirurgicale ou de recevoir un diagnostic de dysphorie de genre pour être transgenre. L’ensemble de la catégorie sexuelle a été ouverte à tout homme qui se dit de sexe féminin.

Le TikToker Trans Tara, qui a menacé de tirer sur des femmes si elles lui demandaient de quitter les toilettes pour femmes, présente toute une série de fétiches écœurants et dangereux, y compris le fait de porter des couches et de se déguiser en enfant.
Pourtant, cet homme est autorisé à utiliser les toilettes des femmes parce qu’il est protégé par les lois sur l’auto-identification?
ATTENTION : Un homme biologique de 18 ans, qui s’identifie comme « trans », est entré dans les vestiaires du lycée @sunprairiek12 et s’est DOUCHÉ NU à côté de QUATRE FILLES DE PREMIÈRE ANNÉE.
L’homme biologique a exposé ses organes génitaux masculins aux filles de 14 ans, choquées et horrifiées.
Le district:
– N’A PAS CONTACTÉ LES PARENTS DES JEUNES FILLES
– n’a pas contacté le coordinateur du Titre IX
– n’a pas déposé la plainte requise au Titre IX
– n’a pas soutenu les jeunes filles et ne les a pas aidées à surmonter cette expérience traumatisante
– n’a pas agi en tant que « rapporteur obligatoire » et n’a pas signalé l’éventuelle violation de la loi 948.10 du Wisconsin (attentat à la pudeur sur des mineurs).

Si n’importe quel homme peut prétendre être une femme et que nous devons le traiter comme tel, le mot « femme » n’a plus de sens et les droits des femmes cessent d’exister. Il faut être délibérément obtus pour ne pas comprendre que le fait de considérer le genre comme une simple question d’auto-identification crée un conflit direct entre les protections fondées sur le sexe pour les femmes et les droits fondés sur l’identité de genre. Je suis absolument stupéfait que tant de femmes continuent de voter Démocrate alors que la ligne officielle du parti est que les droits fondés sur le sexe l’emportent sur les droits fondés sur l’identité de genre.

Ce sont des sujets dont il faut parler. Mais toute discussion sur les questions transgenres est condamnée comme « menace » par les activistes. Ils sont même allés jusqu’à affirmer qu’il s’agissait d’un « génocide ». En fait, ils en sont tellement convaincus que, pour eux, limiter le débat et la liberté d’expression fait partie d’une croisade plus globale en faveur de la justice. Lorsque la définition du préjudice s’étend non seulement au physique mais aussi au psychologique, y compris à la détresse émotionnelle, faire taire les mots blessants et contraindre les gens à jouer le jeu de la fiction devient une question de « sécurité ». D’où la police du langage – y compris le fait de forcer les gens à utiliser des pronoms en contradiction avec la réalité – et les tactiques de censure de la part des activistes transgenres.

Cela va bien plus loin que d’exiger des gens qu’ils évitent de léser ou de discriminer légalement les personnes transgenres; il s’agit d’exiger qu’ils participent à une réalité alternative qui repose entièrement sur le fait que le public maintienne un regard positif sur l’idéologie du genre et sur le mouvement transgenre.

Refusez de participer à cette absurdité. Ne permettez pas que votre langage et votre comportement soient contrôlés. Ne jouez pas un rôle dans l’affirmation de l’idéologie du genre et dans le déracinement de vérités ancestrales. Ne laissez pas les idéologues transgenres remodeler le monde en remettant en cause les conventions et le bon sens pour des raisons identitaires. Défendez la réalité empirique.


  1. Les nouvelles lignes directrices relatives aux soins de santé pour les transgenres, publiées par l’Association Professionnelle Mondiale pour la Santé des Transgenres, suppriment toute limite d’âge inférieure claire pour les bloqueurs de puberté, les hormones transsexuelles et l’ablation d’organes sains, autorisant ainsi tout traitement individuel à tout âge. Ce qui est aussi dément que cela en a l’air. ↩︎
  2. Un effet secondaire des bloqueurs de puberté et des traitements hormonaux. ↩︎
  3. Et lorsqu’on enseigne aux enfants que le sexe est fondé sur l’identité plutôt que sur la biologie, les catégories sexuelles peuvent facilement être confondues avec les stéréotypes régressifs de la masculinité et de la féminité. Cela conduit les garçons efféminés et les filles masculines à croire que quelque chose ne tourne pas rond chez eux, ce qui doit être corrigé par une transition vers le sexe opposé. ↩︎

L’holocauste du contrôle démographique – par Robert Zubrin.

Comme promis, nous allons traiter de dépopulation, opération qui s’inscrit dans le cadre général du contrôle démographique, sujet sur lequel il y aurait beaucoup à dire. Cet article de 2012 en présente un bref historique et quelques faits majeurs, dont certains vous rappelleront peut-être quelque chose de récent. Attention, ça devient très gore vers la fin. Lisez mais soyez prévenus.

Nous nous tournerons ensuite vers Sasha, qui se penche sur une autre forme de meurtre légal. L’article est prêt mais j’attends un peu: il suffit que j’en publie deux le même jour pour que tout le monde zappe le premier.

Source.


L’holocauste du contrôle démographique

Robert Zubrin

Printemps 2012

Il existe un courant idéologique unique qui transcende un ensemble apparemment disparate de mouvements politiques et scientifiques modernes toxiques, qui vont du militarisme, de l’impérialisme, du racisme, de la xénophobie et de l’environnementalisme radical au socialisme, au nazisme et au communisme totalitaire. Cette idéologie est celle de l’antihumanisme: la croyance que la race humaine est une horde de vermines dont les aspirations et les appétits incontrôlés mettent en danger l’ordre naturel, et que des mesures tyranniques sont nécessaires pour contraindre l’humanité. Le prophète fondateur de l’antihumanisme moderne est Thomas Malthus (1766-1834), qui a jeté les bases pseudo-scientifiques de l’idée selon laquelle la reproduction humaine dépasse toujours les ressources disponibles. À partir de cette évaluation pessimiste et erronée de la capacité de l’ingéniosité humaine à développer de nouvelles ressources, Malthus a prôné des politiques oppressives qui ont conduit à la famine de millions de personnes en Inde et en Irlande.

Bien que l’argument de Malthus selon lequel la croissance démographique humaine conduit invariablement à la famine et à la pauvreté soit manifestement en contradiction avec les preuves historiques, qui montrent que le niveau de vie mondial augmente avec la croissance démographique, il a néanmoins persisté et a même pris de l’ampleur parmi les intellectuels et les dirigeants politiques au cours des XXe et XXIe siècles. Sa manifestation la plus pernicieuse au cours des dernières décennies a été la doctrine du contrôle démographique, défendue par l’écologiste Paul Ehrlich, dont l’ouvrage antihumaniste à succès de 1968, The Population Bomb (La bombe démographique), a servi de bible au néo-malthusianisme. Dans cet ouvrage, Ehrlich mettait en garde contre la surpopulation et préconisait que le gouvernement américain adopte des mesures strictes de contrôle démographique, tant au niveau national que pour les pays du Tiers-Monde bénéficiant de l’aide étrangère américaine. (Il convient de noter qu’Ehrlich est le mentor et le collaborateur fréquent de John Holdren, le conseiller scientifique du président Obama).

Cette pleine page de publicité d’un important groupe de contrôle démographique avertit que les populations du Tiers-Monde sont une menace pour la paix.
Avec l’aimable autorisation de la bibliothèque de l’université de Princeton

Jusqu’au milieu des années 1960, les programmes américains de contrôle démographique, tant à l’intérieur du pays qu’à l’étranger, étaient largement financés et mis en œuvre par des organisations privées telles que le Population Council (Conseil Démographique) et Planned Parenthood (Planification Familiale), des groupes profondément enracinés dans le mouvement eugéniste. Bien qu’ils disposaient de millions de dollars fournis par les fondations Rockefeller, Ford et Milbank, entre autres, les ressources disponibles pour soutenir leur travail étaient bien maigres par rapport à leurs vastes ambitions. Cette situation changea radicalement au milieu des années 60, lorsque le Congrès américain, répondant à l’agitation des idéologues de la surpopulation, alloua enfin des fonds fédéraux pour financer des programmes de contrôle démographique, d’abord au niveau national, puis à l’étranger. Soudain, au lieu de simples millions, il y avait des centaines de millions et finalement des milliards de dollars disponibles pour financer des campagnes mondiales d’avortement de masse et de stérilisation forcée. Il en résulta une catastrophe humaine à l’échelle mondiale.

Parmi les premiers visés, on trouve la population du Tiers-Monde de l’Amérique elle-même: les Indiens d’Amérique. À partir de 1966, le Secrétaire d’État à l’intérieur, Stuart Udall, entreprit d’utiliser les nouveaux fonds Medicaid pour mettre en place des programmes de stérilisation dans les hôpitaux des Indian Health Services (IHS, Services de santé indiens) financés par le gouvernement fédéral. Comme le rapporte Angela Franks dans son livre de 2005 intitulé Margaret Sanger’s Eugenic Legacy (L’héritage eugénique de Margaret Sanger):

Ces stérilisations étaient souvent pratiquées sans consentement éclairé adéquat [NdT. si ça vous rappelle quelque chose]… Le médecin amérindien Constance Redbird Uri a estimé que jusqu’à un quart des femmes indiennes en âge de procréer avaient été stérilisées avant 1977; dans un hôpital de l’Oklahoma, un quart des femmes admises (quelle qu’en soit la raison) en sont sorties stérilisées… Elle a également recueilli des preuves que toutes les femmes de sang pur de la tribu Kaw en Oklahoma ont été stérilisées dans les années 1970…

Malheureusement, et étonnamment, les problèmes des Services de santé indiens semblent persister… récemment [au début des années 1990], dans le Dakota du Sud, les Services de santé indiens ont de nouveau été accusés de ne pas avoir respecté les procédures de consentement éclairé, cette fois pour le Norplant, et ont apparemment fait la promotion de ce contraceptif à longue durée d’action auprès de femmes amérindiennes qui ne devraient pas l’utiliser en raison de conditions médicales préexistantes contre-indiquant son utilisation. Le Native American Women’s Health Education Resource Center (Centre de ressources pour l’éducation à la santé des femmes amérindiennes) rapporte qu’une femme s’est récemment entendu dire par ses médecins qu’ils ne retireraient l’implant que si elle acceptait de subir une ligature des trompes. Les rêves génocidaires des bureaucrates projettent encore leur ombre sur le sol américain.

Des programmes comparables furent également mis en place dans des cliniques financées par l’U.S. Office of Economic Opportunity (Bureau des opportunités économiques) dans des quartiers à faibles revenus (à prédominance noire) aux États-Unis. Pendant ce temps, sur le territoire américain de Porto Rico, un programme de stérilisation de masse a été lancé par le Draper Fund/Population Crisis Committee (Comité de crise démographique) et mis en œuvre avec des fonds fédéraux du Ministère de la santé, de l’éducation et de la protection sociale dans les principaux hôpitaux de l’île ainsi que dans une multitude de cliniques plus petites. Selon le rapport d’une mission d’enquête médicale menée en 1975, cette action a permis de stériliser près d’un tiers des femmes portoricaines en âge de procréer.

Mieux vaut être mort que rouge

Toutefois, ce n’est pas à l’intérieur du pays mais à l’étranger que l’artillerie la plus lourde de l’assaut de contrôle démographique était dirigée. Pendant la guerre froide, tout, du programme Apollo au financement de l’enseignement public, pouvait être vendu au gouvernement fédéral si cela pouvait être justifié comme faisant partie de la lutte mondiale contre le communisme. En conséquence, des idéologues aux plus hauts niveaux de pouvoir et d’influence ont formulé une ligne de parti selon laquelle la population des nations pauvres du monde devait être réduite de manière drastique afin de diminuer le réservoir de recrutement potentiel disponible pour la cause communiste. Le président Lyndon Johnson se vit remettre une étude frauduleuse réalisée par un économiste de la RAND Corporation, qui utilisait des calculs truqués pour « prouver » que les enfants du Tiers-Monde avaient en fait une valeur économique négative. Ainsi, en autorisant la naissance d’un nombre excessif d’enfants, les gouvernements d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine aggravaient la pauvreté de leurs populations, tout en multipliant les masses de prolétaires en colère prêts à être menés contre l’Amérique par les organisateurs de la prochaine Révolution Mondiale.

Le président Johnson goba le baratin, y compris les calculs bidons. Deux mois plus tard, il déclarait aux Nations Unies que « cinq dollars investis dans le contrôle démographique valent cent dollars investis dans la croissance économique ». L’administration Johnson soutenant désormais le contrôle démographique, le Congrès adopta en 1966 le Foreign Assistance Act (loi sur l’aide à l’étranger), dont une disposition réservait les fonds de la US Agency for International Development (USAID, Agence américaine pour le développement international) aux programmes de contrôle démographique devant être mis en œuvre à l’étranger. La loi stipulait en outre que toute aide économique des États-Unis aux pays étrangers devait être subordonnée à la volonté de leurs gouvernements de coopérer avec le Département d’État pour la mise en place de telles initiatives sur leur propre territoire. En d’autres termes, les dirigeants du Tiers-Monde désireux de contribuer à la stérilisation de leurs sujets les plus pauvres recevraient des carottes. Pour ceux qui ne coopéreraient pas, il y aurait le bâton [NdT. cf. les nombreux décès de personnalités politiques africaines revêches aux injections Covid]. Compte tenu de la nature de la plupart des gouvernements du Tiers-Monde, une approche d’une aussi élégante simplicité garantissait pratiquement la réussite de l’opération. L’establishment du contrôle démographique était ravi.

Un Office of Population (Bureau Démographique) fut créé au sein de l’USAID, et le Dr Reimert Thorolf Ravenholt en fut le premier directeur en 1966. Il occupera ce poste jusqu’en 1979, l’utilisant pour créer un empire mondial d’organisations de contrôle démographique imbriquées les unes dans les autres, bénéficiant de budgets d’un milliard de dollars pour supprimer l’existence de personnes considérées comme indésirables par le Département d’État américain.

Dans son livre dévastateur de 2008, Population Control: Real Costs, Illusory Benefits (Contrôle démographique: coûts réels, bénéfices illusoires), l’auteur Steven Mosher fournit une description colorée de Ravenholt:

Qui était le Dr Ravenholt? Épidémiologiste de formation, il considérait apparemment la grossesse comme une maladie, à éradiquer de la même manière que l’on élimine la variole ou la fièvre jaune. Il était aussi, en l’occurrence, un misanthrope belliqueux.

Il assuma son travail de contraception, de stérilisation et d’avortement des femmes du monde entier avec une agressivité qui fit reculer ses jeunes collègues, dégoûtés. Ses cartes de visite étaient imprimées sur des préservatifs, qu’il se faisait un plaisir de distribuer à tout venant. Il ne cessait de parler de la manière de distribuer de plus grandes quantités de pilules contraceptives et de veiller à ce qu’elles soient utilisées. Il préconisait des campagnes de stérilisation de masse, déclarant un jour au St. Louis Post-Dispatch qu’un quart de toutes les femmes fertiles du monde devaient être stérilisées afin d’atteindre les objectifs américains de contrôle démographique et de maintenir « le fonctionnement normal des intérêts commerciaux des États-Unis dans le monde entier ». Ces mesures rigoureuses étaient nécessaires, expliquait Ravenholt, pour contenir « l’explosion démographique » qui, si elle n’était pas maîtrisée, réduirait tellement le niveau de vie à l’étranger que des révolutions éclateraient « contre la forte présence commerciale américaine »…

Ce n’était pas un personnage très charmant. Pour commémorer le bicentenaire des États-Unis en 1976, il eut l’idée de produire des préservatifs « stars and stripes » aux couleurs rouge, blanc et bleu pour les distribuer dans le monde entier… Une autre fois, lors d’un dîner réunissant des chercheurs en démographie, Ravenholt se promena dans la salle en faisant des mouvements de pompage avec son poing pour donner l’impression qu’il utilisait un aspirateur manuel – une pompe à vide tenue à la main pour pratiquer des avortements – à la grande horreur des autres invités.

Le point de vue de Ravenholt sur les personnes non blanches est assez bien exprimé dans un commentaire qu’il a fait en 2000 à propos de l’esclavage: « Les Noirs américains devraient remercier leur bonne étoile que l’institution de l’esclavage ait existé dans les siècles précédents; sinon, ces Noirs américains n’existeraient pas: leurs ancêtres auraient été tués par leurs ennemis noirs, au lieu d’être vendus comme esclaves. »

Comme méthode d’opération, Ravenholt adopta la pratique de distribuer ses fonds de manière agressive à la International Planned Parenthood Federation (Fédération Internationale de Planning Familial), au Population Council et à de nombreuses autres organisations privées du mouvement de contrôle démographique, leur permettant de mettre en œuvre des campagnes de stérilisation et d’avortement de masse dans le monde entier sans interférence réglementaire du gouvernement américain, et permettant à leurs budgets de gonfler – d’abord dix fois, puis cent fois, puis encore plus. Cela ravit les dirigeants et le personnel de l’establishment du contrôle démographique, qui purent adopter un style de vie luxueux, séjournant dans les meilleurs hôtels, mangeant les meilleurs plats et voyageant en première classe à travers le monde pour mettre en place des programmes d’élimination des pauvres.

Ravenholt n’hésitait pas non plus à acheter d’énormes quantités de médicaments contraceptifs et de dispositifs intra-utérins (DIU) non éprouvés, non approuvés, défectueux ou interdits, et à les distribuer pour leur utilisation par ses sous-traitants du mouvement de contrôle démographique sur des millions de femmes du tiers-monde qui ne se doutaient de rien, et dont beaucoup ont souffert ou sont mortes en conséquence. Parmi ces produits figuraient des médicaments et des dispositifs dont l’utilisation avait été déclarée dangereuse par la FDA en Amérique et qui avaient fait l’objet de procès fructueux aux États-Unis en raison de leurs effets néfastes. Ces pratiques ravirent les fabricants de ces équipements.

S’étant ainsi assuré le soutien inconditionnel de l’establishment du contrôle démographique et de plusieurs grandes sociétés pharmaceutiques, Ravenholt fut en mesure de faire pression sur le Congrès pour obtenir des crédits toujours plus importants afin de poursuivre l’expansion de son empire grandissant.

Son succès fut remarquable. Avant que Ravenholt ne prenne les rênes, les dépenses de l’USAID pour le contrôle des populations représentaient moins de 3 % de ce que l’agence dépensait pour les programmes de santé dans les pays du Tiers-Monde. En 1968, Ravenholt disposait d’un budget de 36 millions de dollars, contre 130 millions de dollars pour les programmes de santé de l’USAID. En 1972, le financement du contrôle démographique par Ravenholt était passé à 120 millions de dollars par an, avec des fonds prélevés directement sur le budget de l’USAID consacré à la prévention des maladies et à d’autres initiatives de soins de santé, qui fut en conséquence ramené à 38 millions de dollars. En cinq ans à peine, le programme américain d’aide extérieure non militaire était passé d’une mission de miséricorde à une agence d’élimination humaine.

En 1968, Robert McNamara, fervent partisan du contrôle démographique, démissionna de son poste de Secrétaire à la Défense pour prendre la présidence de la Banque Mondiale. De cette position, il fut en mesure de dicter une nouvelle politique, subordonnant les prêts de la Banque Mondiale aux pays du Tiers-Monde à la soumission de leurs gouvernements au contrôle démographique, avec des quotas annuels de stérilisation fixés par les experts de la Banque Mondiale. A court d’argent et lourdement endettés, de nombreux pays pauvres éprouvèrent de grandes difficultés à résister à cette pression. Cela renforça considérablement la position de Ravenholt.

La destruction du village

Dès son entrée en fonction en janvier 1969, la nouvelle administration Nixon chercha à faire avancer le programme de contrôle démographique. Répondant au lobbying du général William H. Draper, Jr, ancien sous-secrétaire d’État à l’armée et grand alarmiste de la surpopulation, Nixon autorisa le gouvernement américain à soutenir la création du U.N. Fund for Population Activities (Fonds des Nations unies pour les activités en matière de population – UNFPA). Par le biais de cette organisation, de vastes fonds américains supplémentaires allaient être déversés dans l’entreprise mondiale de contrôle démographique, leur source étant camouflée afin de faciliter leur acceptation par les gouvernements dont les dirigeants devaient maintenir une posture populiste en opposition à l' »impérialisme yankee ». Bien que les États-Unis fussent son principal bailleur de fonds, l’UNFPA servit également à acheminer d’importants fonds supplémentaires de contrôle démographique en provenance des pays européens, du Canada et du Japon, qui représentaient collectivement environ la moitié de l’effort américain.

Allant encore plus loin, le président Nixon créa en 1970 la Commission on Population Growth and the American Future (Commission sur la croissance démographique et l’avenir de l’Amérique), présidée par John D. Rockefeller III, partisan de longue date du contrôle démographique. Dans son rapport de 1972, Rockefeller évoquait, comme on pouvait s’y attendre, la menace de la croissance démographique américaine et appelait à un large éventail de mesures de contrôle démographique pour éviter le danger supposé d’une multiplication incontrôlée des populations dépendantes de l’aide sociale, des criminels ou d’autres populations financièrement lourdes. Comme on pouvait s’y attendre aussi, le rapport donna lieu à des dizaines de titres de journaux et d’articles de fond dans les magazines, qui contribuèrent à consolider le consensus sur le contrôle démographique. Le rejet politique par Nixon de l’une des recommandations de la commission – l’avortement sur demande financé par le gouvernement – ne fit que renforcer l’image « progressiste » de la commission malthusienne de Rockefeller.

Mais le principal intérêt de Nixon pour le contrôle démographique était sa valeur supposée en tant qu’arme de guerre froide. Le président confia à Henry Kissinger, son Conseiller à la Sécurité Nationale et Secrétaire d’Etat, le soin de mener une étude secrète sur le rôle des mesures de contrôle démographique dans la lutte contre le communisme mondial. Kissinger réunit un groupe d’experts issus du National Security Council (NSC, Conseil national de sécurité), de la Central Intelligence Agency (CIA, Agence centrale de renseignement), du Ministère de la Défense, du Ministère des Affaires étrangères, de l’USAID et d’autres agences afin d’étudier la question. Le résultat fut publié le 10 décembre 1974 sous la forme d’un document classifié du NSC intitulé « Implications of Worldwide Population Growth for U.S. Security and Overseas Interests » (Implications de la croissance démographique mondiale pour la sécurité des États-Unis et leurs intérêts à l’étranger). Ce document – connu sous le nom de National Security Study Memorandum 200 (NSSM 200), ou simplement de rapport Kissinger – constituait le codage du dogme malthusien en tant que doctrine stratégique des États-Unis.

Le NSSM 200 a été déclassifié en 1989 et peut donc aujourd’hui être examiné. En examinant le document, on constate l’état d’esprit nietzschéen de ses auteurs, qui (embrassant implicitement la ligne communiste) considéraient clairement les masses naissantes du monde comme des ennemis probables de l’Amérique, plutôt que comme ses amis, et comme des obstacles potentiels à l’exploitation des richesses du monde, plutôt que comme des clients, des travailleurs et des partenaires commerciaux participant avec l’Amérique à un grand effort collectif pour faire croître et progresser l’économie mondiale. Le mémo plaide en faveur d’un effort de contrôle démographique à l’échelle mondiale, sans qu’il soit possible de remonter jusqu’à ses riches partisans.

Le 26 novembre 1975, le NSSM 200 fut officiellement adopté par l’administration Ford. Un mémo de suivi publié en 1976 par le NSC demandait aux États-Unis d’utiliser le contrôle des approvisionnements alimentaires pour imposer un contrôle démographique à l’échelle mondiale. Il soulignait en outre l’intérêt de recourir au pouvoir dictatorial et à la force militaire pour contraindre les peuples du Tiers-Monde à se soumettre aux mesures de contrôle démographique, ajoutant: « Dans certains cas, une orientation forte a impliqué des incitations telles que la rémunération des personnes acceptant la stérilisation, ou des mesures dissuasives telles que l’octroi d’une faible priorité dans l’attribution des logements ou des écoles aux personnes ayant une famille nombreuse. Une telle orientation est la condition sine qua non d’un programme efficace ».

Sans la moindre justification, mais avec une organisation impeccable, un financement généreux, une direction agressive et le soutien d’une phalange d’opinions respectables, le mouvement de contrôle démographique était désormais inscrit dans la doctrine comme représentant l’intérêt stratégique central de la première superpuissance mondiale. Il était désormais en mesure de faire des ravages à l’échelle mondiale.

Les caractéristiques des programmes de contrôle démographique

Sur les milliards de dollars du contribuable que le gouvernement américain a dépensés pour le contrôle démographique à l’étranger, une partie a été directement dépensée par l’USAID pour ses propres activités sur le terrain, mais la majorité a été blanchie par l’intermédiaire d’une variété d’agences internationales. En raison de ce système de financement indirect, toutes les tentatives visant à contraindre l’empire du contrôle démographique à conformer ses activités aux normes médicales, éthiques, de sécurité ou de respect des droits de l’homme acceptées se sont révélées futiles. Au contraire, au mépris des lois adoptées par le Congrès pour tenter de corriger la situation, ce qui a été et continue d’être perpétré aux frais de l’État est une atrocité d’une ampleur si vaste et si variée qu’elle défie presque toute description. Néanmoins, il vaut la peine d’essayer de donner aux lecteurs une idée du crime qui est commis avec leur argent. Avant de décrire quelques études de cas, examinons les principales caractéristiques manifestées par la quasi-totalité des campagnes.

Tout d’abord, il s’agit d’une dictature du haut vers le bas. En défendant leur action auprès des Américains, l’USAID et ses bénéficiaires affirment qu’ils offrent aux femmes du Tiers-Monde un « choix » en matière d’accouchement. Il n’y a rien de vrai dans cette affirmation. Comme l’a souligné Betsy Hartmann, une féministe libérale qui critique ces programmes, dans son livre Reproductive Rights and Wrongs (Droits et torts en matière de reproduction) publié en 1995, « le droit d’une femme à choisir » doit nécessairement inclure la possibilité d’avoir des enfants – précisément ce que les campagnes de contrôle démographique lui refusent. Plutôt que d’offrir un « choix » aux individus, l’objectif de ces campagnes est de priver des populations entières de leur capacité à se reproduire. Pour ce faire, les gouvernements nationaux, eux-mêmes soumis à la pression de l’USAID ou de la Banque Mondiale, fixent des quotas de stérilisation, de pose de stérilets ou d’autres procédures similaires qui doivent être imposées à la population concernée par leur propre fonction publique. Les fonctionnaires qui atteignent ou dépassent leurs quotas d' »acceptants » sont récompensés; ceux qui ne le font pas sont sanctionnés.

Deuxièmement, ces programmes sont malhonnêtes. Les fonctionnaires employés dans le cadre des programmes de contrôle démographique ont pour habitude de mentir à leurs cibles potentielles sur les conséquences des opérations qui seront effectuées sur elles. Par exemple, les paysans du Tiers-Monde s’entendent souvent dire par le personnel gouvernemental chargé du contrôle démographique que les opérations de stérilisation sont réversibles, alors qu’elles ne le sont pas.

Troisièmement, ces programmes sont coercitifs. Les programmes de contrôle démographique prévoient régulièrement des « incitations » et/ou des « mesures dissuasives » pour contraindre les « acceptants » à accepter leur « assistance ». Parmi les « incitations » fréquemment utilisées, on trouve la fourniture ou le refus d’une aide financière ou alimentaire aux personnes affamées ou à leurs enfants. Parmi les « mesures dissuasives » employées figurent le harcèlement personnel, le licenciement, la destruction des maisons et le refus de scolarisation, de logement public ou d’assistance médicale aux récalcitrants.

Quatrièmement, ces programmes sont médicalement irresponsables et négligents. Ils utilisent régulièrement des équipements défectueux, non éprouvés, dangereux, expérimentaux ou non approuvés, y compris des équipements dont l’utilisation a été purement et simplement interdite aux États-Unis. Ils emploient également un grand nombre de personnes insuffisamment formées pour effectuer des opérations susceptibles de mettre des vies en danger, ou pour maintenir le matériel médical dans un état supposé stérile ou autrement sûr. En conséquence, des millions de personnes soumises aux interventions de ces opérations de contrôle démographique menées de manière irresponsable ont été tuées. C’est particulièrement vrai en Afrique, où la réutilisation abusive d’aiguilles hypodermiques sans stérilisation dans les cliniques de contrôle démographique a contribué à la propagation rapide de maladies infectieuses mortelles, dont le SIDA.

Cinquièmement, ces programmes sont cruels, insensibles et portent atteinte à la dignité humaine et aux droits de l’homme. Une pratique fréquente est la stérilisation des femmes à leur insu ou sans leur consentement, généralement lorsqu’elles sont affaiblies à la suite d’un accouchement. Cela équivaut à un viol organisé par le gouvernement. Les avortements forcés sont également fréquents. Ces violations des droits de l’homme, ainsi que d’autres, dans le cadre de la campagne de contrôle démographique ont été largement documentées, les populations concernées ayant été victimes en Australie, au Bangladesh, en Chine, au Guatemala, en Haïti, au Honduras, en Inde, en Indonésie, au Kenya, au Kosovo, en Afrique du Sud, au Sri Lanka, en Thaïlande, au Tibet, aux États-Unis, au Venezuela et au Viêt Nam.

Sixièmement, ces programmes sont racistes. Tout comme le programme mondial de contrôle démographique représente une tentative des gouvernements (dirigés par des Blancs) des États-Unis et des anciennes puissances impériales d’Europe de réduire les populations non blanches dans le Tiers-Monde, dans chaque nation ciblée, le groupe dirigeant local a généralement utilisé le programme de contrôle démographique pour tenter d’éliminer les personnes qu’il méprise. En Inde, par exemple, les hindous de la caste supérieure au pouvoir ont concentré leurs efforts de contrôle démographique sur l’élimination des intouchables de la caste inférieure et des musulmans. Au Sri Lanka, les Cinghalais au pouvoir ont pris pour cible les Tamouls hindous en vue de leur extermination. Au Pérou, les descendants hispanophones des conquistadors ont orienté le programme de contrôle démographique du pays vers l’objectif d’endiguer la reproduction des indigènes non hispaniques de couleur sombre. Au Kosovo, les Serbes ont utilisé le contrôle démographique contre les Albanais, tandis qu’au Viêt Nam, le gouvernement communiste a ciblé l’effort de contrôle démographique contre la minorité ethnique des Hmongs, anciens alliés de guerre de l’Amérique. En Chine, les minorités tibétaines et ouïgoures sont devenues des cibles privilégiées de l’effort de contrôle démographique du gouvernement, des multitudes de ces dernières ayant été rassemblées pour subir des avortements et des stérilisations forcés. En Afrique du Sud, sous le régime de l’apartheid, l’objectif du programme gouvernemental de contrôle démographique allait de soi. Dans divers États d’Afrique noire, la tribu qui tient les rênes du pouvoir oriente régulièrement la campagne démographique vers l’élimination de ses rivaux tribaux traditionnels. Il n’y a rien de surprenant à cela. Le malthusianisme a toujours été étroitement lié au racisme, car le désir de contrôler la population repose sur la haine des autres.

Le programme de contrôle démographique a été mis en œuvre dans plus d’une centaine de pays. Bien qu’il ne soit pas possible de fournir ici des comptes rendus détaillés des efforts déployés dans chacun d’entre eux, examinons à présent trois des cas les plus importants et les plus flagrants.

Inde

Depuis l’époque de Malthus, l’Inde a toujours été une cible privilégiée pour les contrôleurs de population en puissance. Les administrateurs coloniaux britanniques et les brahmanes de haute caste qui leur ont succédé au pouvoir après l’indépendance en 1947 considéraient les « masses grouillantes » des classes inférieures de la nation avec crainte et dédain. Le Parti du Congrès de Jawaharlal Nehru (qui a contrôlé le gouvernement national de l’Inde pendant les trois premières décennies sans interruption) avait été fortement influencé par les contacts qu’il avait eus, avant l’indépendance, avec la Fabian Society britannique pro-malthusienne. Des membres notables de l’élite indienne, comme l’influente et redoutable Lady Rama Rau, avaient été attirés par les idées de l’eugéniste Margaret Sanger, fondatrice de Planned Parenthood. Ainsi, dans les années 1950 et au début des années 1960, le gouvernement indien autorisa des organisations telles que le Population Council, la Fondation Ford et la Fédération internationale pour le planning familial à s’installer à l’intérieur des frontières du pays, où elles purent s’employer à réduire la reproduction des Dalits, ou « intouchables », de la nation. Le gouvernement n’a toutefois pas alloué de fonds publics à ces organisations, de sorte que leurs programmes sont restés relativement modestes.

Camp de stérilisation de masse en Inde
© Nick Rain

Les choses changèrent radicalement en 1965, lorsque la guerre avec le Pakistan déstabilisa l’économie du pays, provoquant de mauvaises récoltes et des pertes de revenus. Lorsque le Premier ministre Indira Gandhi – la fille de Nehru – prend ses fonctions en janvier 1966, l’Inde manque de vingt millions de tonnes de céréales et n’a pas les moyens d’acheter des stocks de remplacement sur le marché mondial. Elle n’eut d’autre choix que de se rendre aux États-Unis, chapeau bas, pour quémander une aide alimentaire.

Les États-Unis auraient pu demander beaucoup de choses en retour à l’Inde, comme le soutien du camp occidental dans la guerre froide (l’Inde n’était pas alignée), et en particulier l’effort de guerre dans le Viêt Nam voisin, qui s’intensifiait rapidement. L’un des collaborateurs du président Lyndon Johnson, Joseph Califano, suggéra dans une note au président que les États-Unis s’engagent rapidement à fournir une aide alimentaire afin de s’assurer d’une telle inclinaison pro-américaine. En réponse, il reçut un appel de Johnson l’après-midi même. Le président s’emporta: « Vous avez perdu la tête, bordel ? » Il déclara en termes très clairs qu’il n’allait pas « gaspiller l’aide étrangère dans des pays qui refusent de s’occuper de leurs propres problèmes démographiques ».

Indira Gandhi arriva à Washington fin mars et rencontra d’abord le secrétaire d’État Dean Rusk, qui lui remit un mémo exigeant « un effort massif pour contrôler la croissance démographique » comme condition à l’aide alimentaire. Puis, le 28 mars 1966, elle rencontra le président en privé. Il n’existe aucune trace de leur conversation, mais il est évident qu’elle capitula complètement. Deux jours plus tard, le président Johnson envoya un message au Congrès demandant une aide alimentaire pour l’Inde, notant avec approbation: « Le gouvernement indien estime qu’il ne peut y avoir de solution efficace au problème alimentaire de l’Inde sans contrôle démographique. »

Conformément à l’accord, des quotas de stérilisation et de pose de stérilets furent fixés pour chaque État indien, puis, au sein de chaque État, pour chaque district administratif local. Chaque hôpital du pays vit une grande partie de ses installations réquisitionnées pour des activités de stérilisation et de pose de stérilets. (Les stérilets, fournis au gouvernement indien par le Population Council, n’étaient pas stériles. Dans la province de Maharashtra, 58% des femmes interrogées qui les avaient reçus ressentirent des douleurs, 24% des douleurs intenses et 43% des saignements intenses et excessifs). Les hôpitaux n’ayant pas la capacité de respecter les quotas, des centaines de camps de stérilisation furent mis en place dans les zones rurales, gérés par du personnel paramédical ayant reçu une formation d’à peine deux jours. Des quotas minimums furent fixés pour les médecins des camps, salariés de l’État : ils devaient pratiquer 150 vasectomies ou 300 poses de stérilet par mois chacun, sous peine de se voir retirer leur salaire. Des praticiens privés furent également recrutés pour prêter main-forte, avec une rémunération à la pièce: 10 roupies par vasectomie et 5 roupies par pose de stérilet.

Afin d’acquérir des sujets pour ces interventions, le gouvernement indien versa à chaque province 11 roupies par pose de stérilet, 30 par vasectomie et 40 par tubectomie. Ces fonds pouvaient être divisés en fonction du programme de contrôle démographique de chaque gouvernement provincial, une partie allant au personnel du programme, une autre étant dépensée sous forme de commission pour les « motivateurs » freelance, une autre étant versée sous forme d’incitations aux « acceptants », et une autre encore étant affectée à d’autres usages gouvernementaux ou privés par les administrateurs. Les incitations typiques pour les sujets allaient de 3 à 7 roupies pour la pose d’un stérilet et de 12 à 25 roupies pour une stérilisation. Ces sommes peuvent sembler dérisoires – une roupie de 1966 équivaut aujourd’hui à 65 cents – mais à l’époque, 2 à 3 roupies représentaient le salaire journalier d’un ouvrier indien.

Lorsque ces sommes dérisoires ne suffisaient pas à inciter suffisamment de sujets à respecter les quotas, certains États adoptèrent des « mesures incitatives » supplémentaires: Le Madhya Pradesh, par exemple, priva d’eau d’irrigation les villages qui n’atteignaient pas leurs quotas. Face à la famine, des millions de personnes appauvries n’eurent d’autre choix que de se soumettre à la stérilisation. Les formes de coercition employées étant les plus efficaces sur les plus pauvres, le système offrait également un avantage eugénique en éliminant de préférence les intouchables.

Les résultats furent impressionnants. En 1961, le nombre total de stérilisations (vasectomies et tubectomies confondues) effectuées en Inde s’élevait à 105 000. En 1966-67, le total annuel grimpa à 887 000, puis à plus de 1,8 million en 1967-68. Il ne fait aucun doute que LBJ était fier.

Mais bien qu’elle ait ruiné la vie de millions de personnes, la forte augmentation des chiffres de la stérilisation eut peu d’impact sur la trajectoire globale de la croissance démographique de l’Inde. En 1968, Paul Ehrlich écrivait dans « La Bombe Démographique »: « Je n’ai encore rencontré personne de familier de la situation qui pense que l’Inde sera autosuffisante en nourriture d’ici 1971, voire jamais », justifiant ainsi son appel explicitement antihumain selon lequel « nous devons laisser [l’Inde] s’enfoncer dans le gouffre ». Comme pour tant d’autres choses, Ehrlich avait tort; l’Inde parvint effectivement à l’autosuffisance alimentaire en 1971 – non pas grâce au contrôle démographique, mais grâce aux techniques agricoles améliorées de la Révolution Verte. Cela n’avait pas d’importance. Les détenteurs des cordons de la bourse de l’USAID exigèrent des quotas encore plus élevés. Ils les obtinrent. En 1972-1973, le nombre de stérilisations en Inde atteignait trois millions par an.

Puis, à l’automne 1973, l’OPEP lança son embargo pétrolier, quintuplant les prix du pétrole pratiquement du jour au lendemain. Pour les pays riches comme les États-Unis, le choc financier qui en résulta fut sévère. Pour les pays pauvres comme l’Inde, il fut dévastateur. En 1975, la situation en Inde était devenue si grave que le Premier ministre Gandhi déclara l’état d’urgence national et assuma un pouvoir dictatorial. Poussée une fois de plus au désespoir, l’Inde se retrouvait à la merci de la Banque Mondiale, dirigée par l’archi-malthusien Robert S. McNamara. McNamara le dit clairement: si l’Inde souhaitait obtenir davantage de prêts, Gandhi devait utiliser ses pouvoirs pour traiter de manière plus définitive le supposé problème de population de l’Inde. Elle accepta. Au lieu d’incitations, la force serait désormais utilisée pour obtenir le respect de la loi. « Certains droits personnels doivent être mis en suspens », déclara-t-elle, « au nom des droits de l’homme de la nation, du droit à la vie, du droit au progrès ».

Gandhi confia à son fils Sanjay la responsabilité personnelle de la nouvelle offensive démographique. Il s’attela à la tâche avec ardeur. La coercition ouverte devint la règle : la stérilisation était une condition à l’attribution de terres, d’eau, d’électricité, de cartes de rationnement, de soins médicaux, d’augmentations de salaire et de permis de conduire des pousse-pousse. Des quotas furent attribués aux policiers pour qu’ils épinglent les personnes à stériliser. Des escouades de démolition furent envoyées dans les bidonvilles pour raser les maisons – parfois des quartiers entiers – afin que des pelotons de police armés puissent emmener leurs occupants épuisés dans des camps de stérilisation forcée. Rien qu’à Delhi, 700 000 personnes furent chassées de chez elles. Beaucoup de ceux qui échappèrent à la rafle immédiate se virent refuser un nouveau logement jusqu’à ce qu’ils acceptent la stérilisation.

Ces attaques suscitèrent une résistance, et des milliers de personnes furent tuées dans des batailles avec la police, qui utilisait des balles réelles pour faire face aux manifestants. Lorsqu’il apparut que des villages musulmans étaient également visés de manière sélective, le niveau de violence s’accrut encore. Le village de Pipli ne se soumit que lorsque les représentants du gouvernement menacèrent les habitants de bombardements aériens. Comme l’expliqua le directeur du planning familial du Maharashtra: « Il faut voir cela comme une guerre… Qu’on le veuille ou non, il y aura quelques morts ».

Les mesures atteignirent leur but. En 1976, huit millions d’Indiens furent stérilisés. Loin d’être consternés par la violation massive des droits de l’homme commise dans le cadre de cette campagne, les sponsors étrangers exprimèrent leur soutien inconditionnel. La Suède augmenta de 17 millions de dollars son financement pour le contrôle démographique indien. Reimert Ravenholt ordonna l’envoi en Inde de 64 machines laparoscopiques de pointe – suffisantes pour stériliser 12 800 personnes par jour – afin de contribuer à l’effort. Le président de la Banque Mondiale, McNamara, était absolument ravi. En novembre 1976, il se rendit en Inde pour féliciter le gouvernement d’Indira Gandhi pour son excellent travail. « Enfin, » déclara-t-il, « l’Inde prend des mesures efficaces pour résoudre son problème de population ».

Le Premier ministre Gandhi obtint ses prêts. Elle fut également chassée en 1977, lorsque, lors de la plus grande élection démocratique de l’histoire, le peuple indien défia trois décennies de précédents et chassa son parti du Congrès du pouvoir par une victoire écrasante.

Malheureusement, dans la plupart des pays du Tiers-Monde, les gens n’ont pas la possibilité de se protéger contre le contrôle démographique. Tout aussi malheureusement, malgré la chute du gouvernement Gandhi, la pression financière exercée par la Banque Mondiale et l’USAID sur l’Inde pour qu’elle mette en œuvre le contrôle démographique se poursuivit. Au début des années 1980, quatre millions de stérilisations étaient pratiquées chaque année sur les classes défavorisées de l’Inde dans le cadre d’une politique coercitive de deux enfants par famille.

Comme dans l’Inde rurale, les fils sont considérés comme essentiels pour perpétuer la lignée familiale et soutenir les parents dans leur vieillesse, cette limite conduisit de nombreuses familles à chercher des moyens de se débarrasser de leurs filles en bas âge, souvent par noyade, asphyxie, abandon dans les égouts ou les décharges, ou encore incinération sur des bûchers funéraires. Plus récemment, le principal moyen d’éliminer le sexe le moins désirable est devenu l’avortement sélectif, qui a faussé le rapport entre les sexes de telle sorte que 112 garçons naissent pour 100 filles en Inde (bien au-delà du rapport naturel de 103 à 106), le rapport étant encore plus faussé dans certaines régions. Le fait que l’Inde compte aujourd’hui 37 millions d’hommes de plus que de femmes donne une idée de l’ampleur de ces meurtres qui ont été et sont encore pratiqués, ne serait-ce que sous l’aspect de l’avortement sélectif en fonction du sexe.

Pérou

En raison de leur proximité avec les États-Unis, l’Amérique Centrale et l’Amérique du Sud sont depuis longtemps dans la ligne de mire des contrôleurs de population de l’establishment américain de la sécurité nationale. Depuis les années 1960, sous l’impulsion de l’USAID, des programmes brutaux de contrôle démographique ont été mis en œuvre dans presque tous ces pays, du Mexique au Chili. Dans cet article, nous nous concentrerons sur l’un d’entre eux, le Pérou, car l’enquête criminelle menée sur ses principaux responsables a fourni l’une des meilleures documentations sur les abus systématiques qui ont été et continuent d’être perpétrés sous le couvert du contrôle démographique en Amérique Centrale et en Amérique du Sud.

Le Pérou montagneux comprend certaines des régions les moins peuplées de la planète. Ce fait n’a toutefois pas empêché les planificateurs de l’USAID de considérer ces zones rurales comme surpeuplées, ni de financer des programmes destinés à éliminer leur population. Commencés en 1966, ces efforts se poursuivirent à un niveau relativement bas jusqu’aux années 1990, lorsque l’homme fort Alberto Fujimori assuma des pouvoirs quasi dictatoriaux dans le pays.

En 1995, le président Fujimori lança une campagne de stérilisation à l’échelle nationale. Des équipes mobiles de stérilisation furent constituées à Lima, puis déployées dans les campagnes pour organiser des « festivals de ligature » d’une semaine dans un village après l’autre. Avant l’arrivée des équipes de stérilisation, des employés du ministère de la santé étaient envoyés sur place pour harceler les femmes locales et les obliger à se soumettre. Les femmes qui résistaient étaient soumises à des visites répétées à domicile et à de graves violences verbales de la part des fonctionnaires, qui répétaient aux femmes et aux filles autochtones qu’elles ne valaient pas mieux que des « chats » ou des « chiens » parce qu’elles voulaient avoir des enfants. Si cela ne suffisait pas, on disait aux mères que si elles ne se soumettaient pas à la ligature, leurs enfants n’auraient pas droit à l’aide alimentaire du gouvernement.

Les brigades de harcèlement du gouvernement et les membres des unités de stérilisation eux-mêmes fonctionnaient selon un système de quotas, s’efforçant d’atteindre l’objectif national de 100 000 ligatures des trompes par an. Ils étaient payés s’ils atteignaient leurs quotas, mais punis s’ils ne parvenaient pas à obtenir le nombre de femmes à stériliser prévu. En conséquence, de nombreuses femmes entrant dans les cliniques pour accoucher furent stérilisées sans le moindre argument pour obtenir leur permission. Compte tenu de la formation limitée du personnel chargé de la stérilisation (assurée dans de nombreux cas par des experts chinois du contrôle démographique, importés pour l’occasion), des conditions insalubres prévalant lors des « festivals de ligature » dans les villages et de l’absence totale de soins post-opératoires, il n’est pas surprenant que de nombreuses femmes aient souffert de graves complications et que plus d’une soit décédée des suites de leur mutilation.

Alors que le personnel gouvernemental chargé des stérilisations massives était composé de citadins d’origine espagnole, l’écrasante majorité des victimes étaient des indigènes ruraux parlant le quechua et d’origine inca. Il ne s’agit évidemment pas d’une coïncidence. Lorsque Fujimori fut chassé du pouvoir en 2000, le nouveau président, Alejandro Toledo, demanda au Congrès péruvien d’autoriser une enquête sur la campagne de contrôle démographique. Une commission d’enquête, connue sous le nom d’AQV, fut donc créée sous la direction du Dr Hector Chavez Chuchon. L’AQV a remis son rapport à la Commission des Droits de l’Homme du Congrès péruvien le 10 juin 2003.

Selon ce rapport, le gouvernement Fujimori a stérilisé 314 605 femmes en cinq ans. En outre, la campagne de contrôle démographique de Fujimori a « procédé à des stérilisations massives sur des groupes ethniques désignés, au profit d’autres groupes ethniques ou sociaux qui n’ont pas souffert du fléau avec la même intensité … l’action correspond à la définition du crime de génocide ». Le rapport poursuit en dressant un « acte d’accusation constitutionnel » contre Fujimori et divers fonctionnaires de son gouvernement « pour la commission présumée de crimes contre la Liberté Individuelle, contre la Vie, le Corps et la Santé, de Conspiration Criminelle et de Génocide ».

Les principaux bailleurs de fonds de la campagne de génocide de Fujimori étaient l’USAID (qui a ignoré la loi américaine et une enquête du Congrès en 1998 pour continuer à soutenir financièrement cette campagne), l’UNFPA et la Fédération Internationale du Planning Familial.

Chine

En juin 1978, Song Jian, un cadre supérieur chargé de développer des systèmes de contrôle pour le programme chinois de missiles guidés, s’est rendu à Helsinki pour assister à une conférence internationale sur la théorie et la conception des systèmes de contrôle. Pendant son séjour en Finlande, il s’est procuré des exemplaires de The Limits to Growth (Les limites de la croissance) et Blueprint for Survival (Plan de survie) – publications du Club de Rome, source majeure de propagande malthusienne – et a fait la connaissance de plusieurs Européens qui faisaient la promotion de la méthode préconisée dans ces rapports, à savoir l’utilisation de l' »analyse des systèmes » informatisée pour prédire et concevoir l’avenir de l’humanité.

Fasciné par les possibilités offertes, Song retourna en Chine et republia l’analyse du Club sous son propre nom (sans attribution), établissant ainsi sa réputation de penseur brillant et original. En effet, alors que les projections informatiques du Club de Rome sur les pénuries imminentes de ressources, les graphiques montrant le raccourcissement des périodes d’augmentation démographique et les discussions sur les « capacités de charge », les « limites naturelles », les extinctions massives et le « vaisseau spatial Terre » isolé étaient tous des clichés bien connus en Occident en 1978, en Chine, il s’agissait d’idées fraîches et percutantes. En un rien de temps, Song devint une superstar de la science. Saisissant l’occasion de gagner en pouvoir et en importance, il réunit un groupe d’élite de mathématiciens issus de son département et, avec l’aide d’un puissant ordinateur pour fournir les effets spéciaux nécessaires, il rendit un jugement soigneusement calculé selon lequel la taille « correcte » de la population chinoise était de 650 à 700 millions d’habitants, soit 280 à 330 millions de moins que la population réelle de 1978. L’analyse de Song trouva rapidement un écho favorable dans les hautes sphères du Parti Communiste Chinois, car elle prétendait prouver que la raison de la pauvreté persistante de la Chine n’était pas due à trente années de gouvernance désastreuse, mais à l’existence même du peuple chinois. (Pour démontrer la fausseté totale de l’argument de Song, il suffit de noter qu’en 1980, la Corée du Sud voisine, avec une densité de population quatre fois supérieure à celle de la Chine, avait un produit national brut par habitant sept fois plus élevé). Le dirigeant suprême Deng Xiaoping et ses collègues du Comité Central furent également très impressionnés par le babillage informatique pseudo-scientifique utilisé par Song pour habiller sa théorie – qui, contrairement à ses documents sources du Club de Rome en Occident, fut diffusée sans opposition dans les médias techniques et populaires chinois contrôlés par l’État.

Song suggéra aux dirigeants chinois de limiter le nombre d’enfants par famille à un seul, avec effet immédiat. Deng Xiaoping apprécia les propos de Song, et ceux qui auraient pu avoir le pouvoir de s’opposer à la politique de l’enfant unique s’empressèrent de se protéger en s’alignant pour la soutenir. Lors de la conférence de Chengdu sur la population, en décembre 1979, un seul homme courageux, Liang Zhongtang, professeur de marxisme à l’école du parti de la province de Shaanxi, invita ses camarades du parti à réfléchir à la brutalité qu’ils s’apprêtaient à infliger: « Nous avons rendu les souffrances des paysans suffisamment amères sur le plan économique. Nous ne pouvons pas les faire souffrir davantage. » Liang tenta également d’argumenter d’un point de vue pratique. Si nous appliquons cette politique, a-t-il dit, chaque couple marié chinois devra subvenir aux besoins de quatre grands-parents âgés, d’un enfant et de lui-même, ce qui est clairement impossible. Aucun des enfants n’aura de frère ou de sœur, d’oncle ou de tante. Aucun des parents n’aura de parents de sa propre génération pour l’aider en cas de besoin. Le tissu social de la vie du village se désagrégera complètement. Il n’y aura personne pour servir dans l’armée.

Mais ces objections de bon sens furent sans effet. Le mot d’ordre vint bientôt d’en haut : un enfant par famille était désormais la politique de la direction infaillible du Parti, et aucun désaccord ne serait plus toléré.

C’est ainsi que débuta le programme de contrôle démographique le plus radical depuis l’Allemagne nazie. Les contrôleurs démographiques n’avaient plus besoin de recourir à des astuces, des pots-de-vin, des refus de prestations, des festivals de ligature itinérants ou des pelotons de démolition de bidonvilles pour obtenir leurs victimes. Ils disposaient désormais du pouvoir organisé et implacable d’un État totalitaire pour imposer leur volonté, exerçant leur emprise non seulement sur une bureaucratie massive, mais aussi sur des forces policières et militaires gigantesques, une police secrète, de vastes installations pénitentiaires, un contrôle total des médias et des dizaines de millions d’informateurs. Dans « La Bombe Démographique », Paul Ehrlich avait appelé à un contrôle étatique de la reproduction humaine, avec une « régulation obligatoire des naissances ». Douze ans plus tard, le rêve utopique d’Ehrlich était devenu une réalité cauchemardesque pour un cinquième de l’humanité.

Qian Xinzhong, un ancien général de division de l’Armée Populaire de Libération formé en Union Soviétique, fut chargé de la campagne. Il ordonna que toutes les femmes ayant un enfant se fassent poser un stérilet en acier inoxydable et qu’elles soient inspectées régulièrement pour s’assurer qu’elles n’y avaient pas touché. Le retrait du dispositif fut considéré comme un acte criminel. Tous les parents ayant deux enfants ou plus devaient être stérilisés. Aucune grossesse n’était autorisée pour les personnes de moins de 23 ans, qu’elles soient mariées ou non, et toutes les grossesses non autorisées devaient être interrompues. « La naissance d’un troisième enfant n’est en aucun cas autorisée », déclara Qian.

Les femmes qui bravèrent ces injonctions furent enlevées et stérilisées de force. Les bébés étaient avortés jusqu’au neuvième mois de grossesse, et nombre d’entre eux pleuraient lorsqu’ils étaient poignardés à mort au moment de la naissance. Les femmes qui s’enfuyaient pour tenter de sauver leurs enfants furent pourchassées et, si elles ne pouvaient être rattrapées, leurs maisons étaient démolies et leurs parents jetés en prison, où ils restaient jusqu’à ce qu’une rançon de 20 000 yuans – environ trois ans de revenu pour un paysan – soit payée pour leur libération. Les bébés nés de ces fugitifs furent déclarés « enfants noirs », des non-personnes illégales aux yeux de l’État, sans aucun droit à l’emploi, à l’enseignement public, aux soins de santé ou à la procréation.

Les dirigeants de l’UNFPA et de la Fédération Internationale du Planning Familial furent ravis et s’empressèrent d’envoyer de l’argent (fourni principalement par le Département d’État américain) et du personnel pour aider à soutenir la campagne. Les méthodes chinoises étaient si ouvertement brutales que la responsable de l’information de l’IPPF, Penny Kane, exprima son inquiétude – non pas à propos de ce qui était fait à des millions de femmes, de filles et de nourrissons chinois, mais à propos du désastre possible en termes de relations publiques qui pourrait entacher l’image de l’IPPF si les Américains découvraient ce qu’elle faisait. « Des mesures très strictes sont prises pour réduire la population », écrivit Kane depuis la Chine. « Je pense que, dans un avenir assez proche, cette affaire fera les choux gras de la presse, car elle contient tous les ingrédients du sensationnalisme – communisme, planning familial forcé, meurtre de foetus viables, parallèles avec l’Inde, etc. Lorsque l’affaire éclatera, elle sera très difficile à défendre… Nous pourrions avoir beaucoup de mal à gérer la presse et le public si les méthodes chinoises suscitaient une grande agitation ».

Les bébés nés en Chine en dépit de la politique de l’enfant unique sont déclarés « enfants noirs » et n’ont droit ni à la nourriture, ni aux soins de santé, ni à l’éducation. S’ils sont de sexe féminin, ils sont souvent tués, soit à la naissance, soit, s’ils sont appréhendés plus tard, dans les orphelinats où ils sont rassemblés. Ci-dessus, Mei Ming, une fillette de deux ans attachée à une chaise dans une « salle d’agonie ». Le seau placé en dessous d’elle sert à recueillir son urine et ses excréments alors qu’elle mourra de faim et de négligence au cours des prochains jours. La photo ci-dessus a été prise par une équipe de télévision britannique lors du tournage du documentaire The Dying Rooms (1995). Le gouvernement chinois nie l’existence des salles d’agonie.
Avec l’aimable autorisation de Care of China’s Orphaned and Abandoned (Soins aux orphelins et enfants abandonnés de Chine)

Faisant fi des inquiétudes de Mme Kane, l’IPPF intensifia son soutien à la campagne. Conformément à ses craintes, l’affaire commença à éclater dans les pays occidentaux. Le 30 novembre 1981, le Wall Street Journal publia un article de Michele Vink, témoin oculaire de femmes « menottées, attachées avec des cordes ou placées dans des paniers à cochons » alors qu’elles étaient emmenées pour subir des avortements forcés. Selon Mme Vink, les véhicules transportant les femmes vers les hôpitaux de Canton « résonnaient de bruits plaintifs », tandis que des nourrissons non autorisés étaient tués en masse. « Chaque jour, des centaines de fœtus arrivent à la morgue », déclara l’une des sources de Vink.

Le 15 mai 1982, le correspondant étranger du New York Times, Christopher Wren, publiait un article encore plus dévastateur. Il rapportait des histoires de milliers de femmes chinoises « rassemblées et forcées à avorter », des récits de femmes « enfermées dans des cellules de détention ou traînées devant des rassemblements de masse et haranguées pour qu’elles consentent à l’avortement », ainsi que des « vigiles [qui] enlevaient des femmes enceintes dans la rue et les traînaient, parfois menottées ou ligotées, jusqu’à des cliniques d’avortement ». Il citait un journaliste chinois qui décrivait « des bébés avortés qui pleuraient à la naissance ». L’horreur devint si évidente qu’elle ne pouvait plus être niée. En 1983, les journaux chinois eux-mêmes publiaient des articles sur « le dépeçage, la noyade et l’abandon à la mort d’enfants de sexe féminin, ainsi que sur les mauvais traitements infligés aux femmes qui avaient donné naissance à des filles ».

Insensible à la couverture médiatique, Qian redoubla d’efforts. Les responsables locaux du Parti Communiste reçurent des quotas de stérilisations, d’avortements et de poses de stérilets. S’ils les dépassaient, ils pouvaient être promus. S’ils ne les atteignaient pas, ils étaient exclus du Parti en disgrâce. Ces mesures garantirent des résultats. En 1983, 16 millions de femmes et 4 millions d’hommes furent stérilisés, 18 millions de femmes se virent poser un stérilet et plus de 14 millions d’enfants furent avortés. Par la suite, ces chiffres se maintinrent, le total combiné des avortements forcés, des implantations de stérilets et des stérilisations dépassant les 30 millions par an jusqu’en 1985.

Pour célébrer les réalisations de Qian, l’UNFPA lui décerna en 1983 (en même temps qu’à Indira Gandhi) le premier Prix de la Population des Nations Unies, accompagné d’un diplôme, d’une médaille d’or et d’une somme de 25 000 dollars en espèces. Dans un discours de félicitations prononcé lors de la cérémonie de remise du prix à New York, le Secrétaire général des Nations unies, Javier Pérez de Cuéllar, déclara : « Compte tenu du fait que la Chine et l’Inde abritent plus de 40% de l’humanité, nous devons tous exprimer notre profonde appréciation de la manière dont leurs gouvernements ont rassemblé les ressources nécessaires pour mettre en œuvre des politiques démographiques à grande échelle. » Qian se leva et promit de continuer à « contrôler la quantité de population et à améliorer la qualité de la population ». Les Nations Unies ne furent pas les seules à exprimer leur reconnaissance. La Banque Mondiale exprima ses remerciements de la manière la plus sincère qui soit, c’est-à-dire avec de l’argent, en accordant à la Chine 22 milliards de dollars de prêts en 1996.

Étant donné l’importance suprême pour les familles rurales chinoises d’avoir un fils, à la fois pour s’occuper des parents âgés et pour perpétuer la lignée et honorer les ancêtres de la famille, de nombreux paysans ne pouvaient tout simplement pas accepter d’avoir une fille comme unique enfant. Le pic d’infanticides féminins qui en résulta n’était peut-être pas particulièrement inquiétant pour les autorités en soi, compte tenu de leur attitude à l’égard des questions de cette nature, mais l’effondrement total de la société qu’il trahissait l’était. Face à cette réalité, en 1988, le gouvernement de certaines provinces fit un petit compromis et accepta que les couples dont le premier enfant était une fille puissent essayer une fois de plus d’avoir un fils – à condition qu’il n’y ait pas de naissances non autorisées ou d’autres violations de la politique démographique par quiconque dans le village du couple au cours de l’année en question. Cette « réforme » a eu pour effet salutaire – du point de vue totalitaire – de détruire la solidarité paysanne, qui avait permis de protéger les femmes locales qui accouchaient dans la clandestinité. Au lieu de cela, la pression hystérique du groupe se mobilisa contre ces rebelles, tous les habitants du village se transformant en espions du gouvernement pour surveiller leurs voisins contre d’éventuelles infractions.

Le meurtre des filles se poursuivit cependant à un rythme soutenu. Entre 2000 et 2004, près de 1,25 garçon naissait pour chaque fille, ce qui signifie qu’un cinquième des bébés filles en Chine étaient soit avortées, soit assassinées. Dans certaines provinces, la fraction éliminée atteignait même la moitié.

Le terrible bilan

En 1991, Nafis Sadik, directrice de l’UNFPA, se rendit en Chine pour féliciter les oligarques de la République Populaire pour leur excellent programme qui, à l’époque, avait déjà stérilisé, implanté des stérilets ou pratiqué des avortements sur quelque 300 millions de personnes. « La Chine a toutes les raisons d’être fière et satisfaite des résultats remarquables obtenus dans le cadre de sa politique de planification familiale et de contrôle de la croissance démographique au cours des dix dernières années », déclara-t-elle. « Le pays pourrait maintenant offrir son expérience et ses experts pour aider d’autres pays… L’UNFPA va employer certains [des experts chinois en planning familial] pour travailler dans d’autres pays et populariser l’expérience de la Chine en matière de contrôle de la croissance démographique et de planning familial ».

Sadik tint sa promesse. Avec l’aide de l’UNFPA, le modèle chinois de contrôle de la population fut mis en œuvre dans sa quasi-totalité au Vietnam, et utilisé pour renforcer l’efficacité brutale des efforts anti-humains dans de nombreux autres pays, du Bangladesh au Sri Lanka, en passant par le Mexique et le Pérou.

Entre-temps, de nombreux autres pays ont connu des histoires tout aussi sinistres. Le programme indonésien de contrôle démographique était étendu et coercitif ; Betsy Hartmann a relaté un cas en 1990 dans lequel « des travailleurs du planning familial accompagnés par la police et l’armée sont allés de maison en maison et ont emmené des hommes et des femmes à un endroit où des stérilets étaient posés. Les femmes qui refusaient se voyaient poser des stérilets sous la menace d’une arme ». L’engagement de longue date du gouvernement indonésien en faveur du contrôle de la population signifiait que les autres domaines des soins de santé n’étaient pas prioritaires, ce qui explique pourquoi le taux de mortalité infantile du pays est deux fois plus élevé que celui de la Malaisie et de la Thaïlande voisines.

La mauvaise répartition des ressources sanitaires limitées est encore plus évidente en Afrique subsaharienne. Les professionnels de la santé et les programmes qui devraient être consacrés à la lutte contre le paludisme et d’autres maladies mortelles le sont plutôt au contrôle démographique. Comme l’a écrit en 1997 le Dr Stephen Karanja, ancien secrétaire de l’Association Médicale Kenyane:

Notre secteur de la santé s’est effondré. Des milliers de Kenyans mourront du paludisme, dont le traitement ne coûte que quelques centimes, dans des établissements de santé dont les étagères sont remplies à ras bord de pilules, de stérilets, de Norplant, de Depo-Provera, etc. d’une valeur de plusieurs millions de dollars, dont la plupart sont fournis avec de l’argent américain… Des salles d’opération spéciales, entièrement équipées et ne manquant pas d’instruments, sont ouvertes dans les hôpitaux pour la stérilisation des femmes. Dans ces mêmes hôpitaux, les interventions chirurgicales d’urgence ne peuvent être pratiquées faute d’instruments et de fournitures de base.

Lors d’une interview en 2000, Karanja poursuivait: « On ne peut pas faire d’opérations parce qu’il n’y a pas d’équipement, pas de matériel. La salle d’opération ne fonctionne pas. Mais s’il s’agit d’une stérilisation, la salle est équipée ». Pire encore, comme Steven Mosher l’a affirmé dans son livre Population Control, il y a de bonnes raisons de croire que les 100 millions d’aiguilles hypodermiques expédiées en Afrique depuis les années 1990 pour l’injection de médicaments contraceptifs ont été l’une des principales causes de la terrible épidémie de sida qui sévit sur le continent et qui a fait des dizaines de millions de morts, avec près de deux millions de morts supplémentaires attendues cette année, l’année prochaine et pour les années à venir. [NdT. comptage très surévalué]

Dans le monde entier, le mouvement de contrôle démographique s’est traduit par des milliards de vies perdues ou ruinées. Nous ne pouvons pas nous contenter de réfuter la pseudo-science et de relater les crimes des contrôleurs démographiques. Nous devons également exposer et confronter l’idéologie antihumaniste sous-jacente. Si l’on accepte l’idée que les ressources mondiales sont fixes et qu’il n’y en a que pour un certain nombre, alors chaque nouvelle vie est indésirable, chaque acte ou pensée non réglementé est une menace, chaque personne est fondamentalement l’ennemie de toute autre personne, et chaque race ou nation est l’ennemie de toute autre race ou nation. Le résultat ultime d’une telle vision du monde ne peut être que la stagnation forcée, la tyrannie, la guerre et le génocide. Les crimes horribles préconisés ou perpétrés par les adeptes de l’antihumanisme au cours des deux derniers siècles le prouvent de manière irréfutable. Ce n’est que dans un monde aux ressources illimitées que tous les hommes peuvent être frères.

C’est pourquoi nous devons rejeter l’antihumanisme et adopter une éthique fondée sur la foi en la capacité de création et d’invention de l’homme. Ce faisant, nous affirmons que nous ne vivons pas à la fin de l’histoire, mais au début de l’histoire; que nous croyons à la liberté et non à l’enrégimentement; au progrès et non à l’immobilisme; à l’amour plutôt qu’à la haine; à la vie plutôt qu’à la mort; à l’espoir plutôt qu’au désespoir.


Robert Zubrin est l’un des rédacteurs de New Atlantis. Cet essai est adapté de son nouveau livre – le dernier volume de notre série New Atlantis BooksMerchants of Despair: Radical Environmentalists, Criminal Pseudo-Scientists, and the Fatal Cult of Antihumanism (Les marchands de désespoir: les écologistes radicaux, les pseudo-scientifiques criminels et le culte fatal de l’antihumanisme).

Robert Zubrin, « The Population Control Holocaust », The New Atlantis, numéro 35, printemps 2012, pp. 33-54.

Un « virus de l’infertilité » pour stériliser les chats errants: une nouvelle approche de thérapie génique qui pourrait également fonctionner chez l’humain – par Igor Chudov.

Bon, il y a trop de chats. Je suis bien plaçé pour le savoir, j’en ai cinq, dont trois recueillies chatons, sauvées et gardées. Rien que des femelles opérées (il y a vraiment trop de chats).

Il y a aussi trop de gens, comme on ne manque jamais de nous le rappeler, ce qui amène notre bon Igor à poser une question judicieuse, maintenant que nous savons ne pas être à l’abri d’un malencontreux accident.

Source.


Un « virus de l’infertilité » pour stériliser les chats errants: une nouvelle approche de thérapie génique qui pourrait également fonctionner chez l’humain

Les chattes ne veulent même plus s’accoupler après avoir été infectées par cet adénovirus exprimant l’AMH

Igor Chudov

12 juin

Une fascinante découverte scientifique pourrait enfin nous aider à résoudre le problème de la reproduction incontrôlée des chats errants.

img

L’adénovirus personnalisé AAV9-fcMISv2 est conçu pour empêcher les chats errants de se reproduire. Le virus ne provoque que peu de symptômes et est ressenti « comme un simple rhume ». Il rend les chattes infertiles et peu enclines à s’accoupler.

Dans cette nouvelle étude, Pépin, Swanson et leurs collègues ont inséré la version féline du gène AMH dans un virus inoffensif largement utilisé en thérapie génique pour introduire des gènes de remplacement dans les cellules.

Les scientifiques ont conçu une « thérapie génique » qui transfecte de nouveaux gènes chez les chattes (d’où le terme « thérapie génique »). Ils ont découvert que le fait de faire produire au corps des félins une « hormone antimüllérienne » [NdT. voir ici] arrêterait les processus de reproduction.

La situation a changé lorsqu’un duo de scientifiques inhabituel s’est formé. David Pépin, biologiste de la reproduction au Massachusetts General Hospital, a passé le début de sa carrière à étudier l’hormone antimüllérienne (AMH), produite par les follicules de l’ovaire qui donnent naissance aux ovules. Lorsque, dans une expérience, il a augmenté l’expression de l’hormone chez des souris femelles, leurs ovaires ont cessé de former des follicules, ce qui a entraîné la stérilisation des animaux.

L’adénovirus exprimant cette hormone (abrégée en AMH) fonctionne si bien que les félins femelles se désintéressent de l’accouplement. Bien que les mâles et les femelles aient été placés dans la même cage pendant de longues périodes, les femelles ont manifesté un désir réduit de s’accoupler, et aucun chaton n’est né même lorsque l’accouplement a eu lieu, comme l’explique l’article de Nature:

Cependant, lorsque l’œstrus est défini de manière comportementale par le fait que la femelle autorise la monte et le coït, un effet du traitement peut clairement être observé. Les trois femelles de contrôle se sont accouplées à plusieurs reprises avec les deux mâles, alors que quatre des six femelles traitées ont repoussé toutes les tentatives d’accouplement des mâles reproducteurs au cours des deux essais d’accouplement (tableau 1 et tableaux supplémentaires 1 et 2).

En revanche, aucune femelle traitée par l’AAV9-fcMISv2 n’a donné naissance au cours des deux essais et aucun sac gestationnel ou fœtus n’a été observé lors des examens échographiques hebdomadaires. Comme aucun chaton n’est né des femelles traitées, nous n’avons pas évalué la transmission materno-fœtale de l’AMH.

Je suppose que le fait qu’il y ait moins de chats errants est une bonne chose. Et pourtant, pensez aux possibilités: quelqu’un pourrait concevoir un autre virus qui infecterait les humains, ce qui nous rendrait infertiles.

Un virus de l’infertilité humaine bien conçu pourrait apparaître comme « un simple rhume » dont personne ne s’inquiéterait ou ne se rendrait compte. Les humains sont également affectés par une hormone anti-müllerienne similaire, comme l’explique cette étude:

Interactions entre les androgènes, la FSH, l’hormone anti-müllérienne et l’estradiol au cours de la folliculogenèse dans l’ovaire humain normal et polykystique

A l’inverse, l’AMH est inhibitrice mais le déclin de son expression, amplifié par l’E2, permet la pleine expression de l’aromatase, caractéristique des grands follicules antraux. Nous proposons un schéma théorique composé de deux triangles qui se succèdent chronologiquement. Dans le SOPK [NdT. Syndrome des ovaires polykystiques, voir ici], la croissance des follicules pré-antraux est excessive (triangle 1) en raison d’un excès intrinsèque d’androgènes qui rend les GC hypersensibles à la FSH [NdT. hormone folliculo-stimulante, voir ici], avec pour conséquence une expression excessive de l’AMH.

Les personnes qui connaissent le SOPK savent que les femmes qui en sont atteintes ont des difficultés à tomber enceintes. Ainsi, bien que je ne sois pas biologiste, je conçois aisément qu’il existe de nombreuses possibilités pour les développeurs de virus de créer un virus « comme un simple rhume » qui mettrait un terme à la reproduction humaine tout en paraissant totalement bénin.

Étant donné qu’Omicron a infecté la plupart des habitants de la Terre quelques mois après son apparition, un virus exprimant l’AMH suffisamment infectieux (mais « bénin ») pourrait se répandre avant que nous ne comprenions ce qui nous arrive.

Aucun virologue ne nous infligerait jamais ça, n’est-ce pas?

Message d’intérêt public – Pourquoi il faut refuser le vaccin – par Spartacus.

On va temporairement boucler cette histoire d’injection avec un auteur connu sur ce blog.

Le plus intéressant ici, c’est que Spartacus a ajouté (en commentaire) un glossaire des termes médicaux employés dans ce bref article (6 minutes), que j’ai traduit à la fin.

Source.


Message d’intérêt public – Pourquoi il faut refuser le vaccin

Un guide très résumé sur la dangerosité de ces vaccins

Spartacus

25 février

Si quelqu’un que vous connaissez envisage de se faire vacciner contre le COVID-19, voici pourquoi il devrait s’en abstenir, en quelques mots.

Les vaccins COVID-19, en particulier la plateforme ARNm sur laquelle reposent les vaccins Pfizer et Moderna, ont été développés grâce à des fonds douteux de la DARPA consacrés à la biodéfense et à des financements de capital-risque, dont une grande partie est allée à une société qui, pendant plus de dix ans, n’a sorti aucun produit commercial et dont le PDG travaillait auparavant pour une autre société dont le fondateur a participé à la construction du laboratoire P4 de l’Institut de Virologie de Wuhan. Ces produits injectables ont été obtenus par nos gouvernements dans le cadre de contrats qui exonèrent leurs fabricants de toute responsabilité pour les lésions qu’ils peuvent causer.

Les nanoparticules lipidiques PEGylées sont des huiles synthétiques hautement inflammatoires conjuguées à du polyéthylène glycol. Ces lipides PEGylés sont connus pour déclencher une anaphylaxie chez quelques personnes malchanceuses.

L’ARN messager contenu dans ces vaccins n’a rien à voir avec l’ARNm normal produit par les noyaux cellulaires. Il est pseudo-uridylé, un isomère de l’uridine étant utilisé à la place de l’uridine normale pour tromper les récepteurs Toll de vos cellules afin qu’ils ne déclenchent pas d’inflammation ou même qu’ils ne la détectent pas. Il est doté d’une coiffe synthétique, ce qui augmente sa stabilité et sa résistance aux ribonucléases. On ne sait absolument pas combien de temps cette substance reste intacte dans l’organisme et combien de temps elle continue à se transformer en protéine. Parce qu’il est modifié par des nucléosides et doté d’une coiffe synthétique, il se comporte moins comme un ARN messager normal que comme de minuscules brins de bioplastique moléculaire non biodégradable.

La pseudo-uridylation favorise la lecture du codon d’arrêt, où les ribosomes lisent le codon d’arrêt et traduisent l’extrémité 3′ UTR normalement non traduite de l’ARNm. Parmi les modifications apportées à l’ARNm synthétique pour améliorer la traduction, on peut citer l’ajout de mtRNR1 à l’UTR 3′. Si cette modification est présente et que le ribosome lit le codon d’arrêt, il produira la protéine de pointe et la protéine mtRNR1 jointes bout à bout, ce qui peut entraîner un dysfonctionnement mitochondrial.

Cet ARNm peut être absorbé par les rétrotransposons LINE-1 et transcrit en sens inverse dans le génome, ce qui pourrait conduire à une production permanente de protéines de pointe par les cellules affectées, aussi longtemps qu’elles seront en vie.

La protéine de pointe du SARS-CoV-2 est une protéine hautement toxique dont les motifs sont prionogènes et amyloïdogènes, neurotoxiques, cardiotoxiques, procoagulants et inflammatoires. Lorsqu’ils sont digérés par l’élastase neutrophile ou la trypsine, les fragments de cette protéine de pointe peuvent former des caillots massifs de fibrine amyloïde, même en l’absence de plaquettes. La protéine de pointe possède également un motif superantigénique, ainsi qu’une région qui lie les lipopolysaccharides bactériens et renforce l’effet inflammatoire des endotoxines bactériennes. La protéine de pointe peut même migrer vers le noyau et interférer avec le gène p53, un gène anticancéreux clé, ce qui pourrait favoriser la tumorigenèse. Les sous-unités S1 de la protéine de pointe peuvent porter atteinte à l’intégrité de la barrière hémato-encéphalique et en augmenter la perméabilité.

En raison de l’optimisation des codons de l’ARNm qui génère la protéine de pointe, il n’existe aucune preuve que la protéine de pointe adopte une conformation semblable à celle du virus. Ce que l’on obtient à la place, c’est un amas géant de protéines inutiles contenant des peptides toxiques et amyloïdogènes sur toute leur longueur, qui sont activés lorsque la protéine est clivée et digérée par les enzymes de l’hôte. Ce phénomène est exacerbé par la pureté extrêmement médiocre de l’ARNm contenu dans ces vaccins, dont la moitié n’est même pas totalement intacte et n’a jamais pu se traduire en une protéine de pointe de pleine longueur.

Lorsque les personnes reçoivent ces vaccins à ARNm, les nanoparticules lipidiques s’écoulent par les veines et les lits capillaires dans le système circulatoire, où elles voyagent dans le corps et transfectent le cœur, le cerveau, la moelle osseuse et le reste des organes vitaux, ainsi que les tissus reproducteurs, ce qui peut entraîner une myocardite et une cicatrice cardiaque permanente, une encéphalite, une stérilité et/ou une lésion auto-immune des cellules progénitrices hématopoïétiques de la moelle, qui pourrait conduire à une lymphopénie et à une immunodéficience durables. Chaque cellule transfectée par les nanoparticules lipidiques produit des protéines de pointe et les affiche à sa surface, ce qui constitue une cible majeure pour le système immunitaire qui vient l’attaquer. S’il s’agit du cerveau, il y aura inflammation cérébrale. S’il s’agit du cœur, il y aura inflammation cardiaque. Concrètement, en utilisant des cellules humaines comme bioréacteurs pour la production d’une protéine étrangère, on appose un énorme panneau « Tapez moi dessus » sur chacune des cellules transfectées.

Pour ajouter l’insulte à la blessure, ces vaccins favorisent un changement de classe d’immunoglobuline G4 qui entraîne une tolérance immunitaire à l’égard de la protéine de pointe, comme s’il ne s’agissait que d’un allergène. Bien que cela puisse réduire superficiellement l’inflammation due au SARS-CoV-2, cela conduit également à une tolérance virale qui peut permettre au virus de se répliquer dans le corps en toute impunité pendant une période prolongée, ce qui conduit à une maladie chronique.

D’innombrables rapports de lésions causées par les vaccins COVID-19 ont été enregistrés dans le VAERS et dans d’autres bases de données de rapports d’événements indésirables. Nous disposons de rapports histopathologiques évalués par des pairs, dans lesquels des autopsies ont été pratiquées sur des personnes décédées des suites du vaccin et des lames de tissus ont été prélevées sur leur corps et examinées, confirmant la présence de la protéine de pointe dans le cerveau, le cœur et d’autres tissus, ainsi que des lésions inflammatoires mortelles. Les tissus ne mentent pas.

Ces vaccins toxiques doivent être immédiatement retirés du marché et des poursuites pénales doivent être engagées contre toutes les personnes impliquées dans leur fabrication et leur distribution, ainsi que contre tous ceux qui les ont rendus obligatoires.

-Spartacus


Glossaire

ARNm = acide ribonucléique messager. Toutes les cellules du corps humain sont en quelque sorte de petites bulles huileuses contenant un tas de structures différentes qui fabriquent des protéines et produisent de l’énergie pour la cellule. Le noyau de la cellule est le tiroir à plans, contenant les chromosomes qui renferment tous les gènes codant pour les différentes protéines du corps. Lorsqu’une cellule décide qu’elle a besoin d’une plus grande quantité d’une certaine protéine, la section de la chromatine codant pour cette protéine est déroulée et transcrite de l’ADN en ARN messager. L’ARN messager quitte le noyau par un pore, puis les ribosomes s’assemblent autour de lui et le lisent comme un ruban adhésif, en faisant correspondre les ARNt aux séquences de codons de 3 lettres sur l’ARN et en déposant leur acide aminé dans la chaîne polypeptidique en croissance s’il y a une correspondance (ou en rebondissant s’il n’y en a pas). Tous les noyaux de nos cellules fabriquent en permanence de l’ARNm à partir de l’ADN, puis nos ribosomes fabriquent des protéines à partir de l’ARNm en les utilisant comme instructions pour relier les acides aminés entre eux dans différents ordres. La séquence des acides aminés détermine la structure et la fonction de la protéine. Les vaccins à ARN messager détournent ce processus en introduisant un ARNm étranger dans une cellule pour forcer les ribosomes de cette cellule à traduire en protéines n’importe quelle séquence arbitraire d’ARNm imaginable. Imaginez que la cellule soit une usine et qu’un homme entre par la porte d’entrée avec une pile de plans dans les bras en criant : « Nous devons ouvrir une nouvelle chaîne de montage pour fabriquer des tonnes de ces produits! C’est ainsi que les vaccins ARNm sont censés fonctionner, en un mot. Il s’agit d’acide nucléique provenant de l’extérieur de la cellule, plutôt que du noyau. Voici une bonne animation de ce à quoi ressemble un ribosome traduisant l’ARN en protéine:

Laboratoire P4 = l’équivalent d’un laboratoire BSL-4 aux États-Unis. Le niveau de biosécurité, ou niveau de protection contre les agents pathogènes, indique le type d’équipement dont dispose un laboratoire pour assurer le confinement des agents pathogènes mortels. Les laboratoires de niveau de biosécurité supérieur disposent généralement d’un système de confinement à pression négative et de systèmes de filtration très performants pour empêcher les agents pathogènes de s’échapper.

Polyéthylène glycol = composé polyéther (supposé biologiquement inerte) utilisé dans les laxatifs, les cosmétiques, les médicaments à base de nanoparticules, etc. Il est obtenu par polymérisation de l’éthylène glycol, principal composant des antigels.

Nanoparticule lipidique = petite bulle huileuse qui ressemble à une paroi cellulaire humaine ou animale et qui peut facilement fusionner avec les cellules et y déposer sa cargaison. Voir également liposomes et micelles.

Anaphylaxie = réaction allergique massive et parfois mortelle, généralement traitée à l’aide d’épinéphrine (comme celle d’un épi-pen).

Pseudouridylation = substitution de l’uridine dans l’ARNm par un pseudouridylyle. L’uridine, un composant moléculaire des brins d’ARN, se présente sous différents isomères, tels que la pseudouridine, dont la structure et la fonction sont similaires à celles de l’uridine. Le pseudouridylyle est comme la pseudouridine, mais avec l’ajout d’un groupe méthyle.

Récepteur de type Toll = un type de récepteur à la surface de nos cellules qui agit un peu comme un détecteur de fumée, détectant les signes de dommages cellulaires et/ou de cancer et déclenchant la production de cytokines inflammatoires qui agissent comme un signal de fumée pour attirer les cellules immunitaires afin qu’elles s’attaquent au problème. L’ARNm étranger a tendance à déclencher l’inflammation en activant les récepteurs de type Toll (Toll-like receptors – TLR).

Lecture du codon d’arrêt = les ribosomes lisent l’ARNm comme un ruban adhésif ou comme les cartes perforées d’un vieil ordinateur. Tous les brins d’ARNm comportent une région qui indique au ribosome « arrêtez de lire ici », ce qui signale que la traduction de la protéine est terminée. On parle de Readthrough lorsque le ribosome n’en tient pas compte et continue à traduire la partie normalement non traduite de la queue de l’ARNm.

3’UTR = l’extrémité distale d’un brin d’ARNm qui n’est normalement pas traduit. Les brins d’ARN ont une coiffe, un UTR 5′, la région codante, un UTR 3′ et une queue poly-A, dans cet ordre. La région codante est la partie qui produit effectivement la protéine.

Rétrotransposons LINE-1 = rétrotransposons à longs éléments nucléaires intercalés. Ils interagissent avec les transcriptases inverses endogènes qui peuvent retransformer l’ARN en ADN et le coller dans le génome. Pensez à la façon dont les rétrovirus comme le VIH s’intègrent dans le génome et deviennent un provirus. Pour ce faire, le VIH possède sa propre transcriptase inverse. Cependant, le corps humain possède également ses propres transcriptases inverses et des régions du génome qui acceptent les gènes transcrits à l’envers. Je simplifie à l’extrême. Une explication plus détaillée peut être trouvée ici:

https://elifesciences.org/articles/30058

Prionogène = produit des prions (comme dans la maladie de la vache folle/MCJ).

Amyloïdogène = produit des fibrilles amyloïdes (brins répétitifs de protéines insolubles, comme dans la maladie d’Alzheimer et l’amyloïdose).

Neurotoxique = dommageable pour le cerveau et le tissu nerveux.

Cardiotoxique = dommageable pour le cœur.

Procoagulant = favorise la coagulation du sang.

Élastase des neutrophiles et trypsine = deux enzymes protéolytiques différentes qui coupent d’autres protéines. Différentes enzymes protéolytiques peuvent, au fil du temps, décomposer une protéine en ses acides aminés constitutifs, les recyclant pour les utiliser dans la fabrication de nouvelles protéines.

Caillot amyloïde-fibrine = caillot composé entièrement de protéines, l’amyloïde étant liée à la fibrine. Aucune cellule sanguine ou plaquette n’est nécessaire à sa formation.

Superantigène = également connu sous le nom de SAg. Il s’agit d’antigènes qui activent excessivement le système immunitaire, entraînant une inflammation grave.

Lipopolysaccharides bactériens = également connus sous le nom d’endotoxines, ce sont des composants des bactéries qui déclenchent une inflammation grave.

p53 = gène suppresseur de tumeur essentiel ; sa désactivation est associée à divers cancers.

Protéine de pointe S1 = la sous-unité « tête » de la protéine de pointe. La protéine de pointe du SARS-CoV-2 est un trimère, ce qui signifie qu’elle contient un faisceau de trois segments répétitifs des sous-unités S1 et S2, regroupés comme un bouquet de fleurs, ce qui lui confère un aspect de caltropie. La fonction de la protéine de pointe du SARS-CoV-2 sur le virus SARS-CoV-2 proprement dit est de fusionner le virus et la cellule et de faciliter l’entrée dans les cellules de l’hôte. Pour ce faire, il se fixe sur les récepteurs ACE2 présents à la surface des cellules endothéliales vasculaires et des cellules épithéliales des voies respiratoires, ce qui lui permet d’être clivé par des protéases endogènes telles que TMPRSS2, qui activent la protéine de pointe, l’amenant à creuser la membrane cellulaire, puis à se replier sur elle-même et à rapprocher la cellule et le virus, en les fusionnant. Voici à quoi cela ressemble:

Optimisation des codons = modification de la séquence d’un gène pour augmenter le taux de production de protéines.

Conformation = forme que prend un polypeptide lorsqu’il se transforme en protéine. Certaines protéines peuvent subir des changements de conformation dans le cadre de leur fonction, comme de minuscules machines moléculaires.

Myocardite = inflammation du cœur, du type de celle qui produit un vilain tissu cicatriciel. Les cœurs endommagés ne se régénèrent pas facilement et même une myocardite subclinique qui ne produit aucun symptôme peut être fatale après quelques années.

Encéphalite = inflammation du cerveau.

Cellules progénitrices hématopoïétiques = cellules sanguines et immunitaires immatures de la moelle osseuse, qui produisent des globules rouges, des neutrophiles, des macrophages, des lymphocytes, etc. Pour des raisons évidentes, il ne faut surtout pas que le système immunitaire s’attaque à sa propre moelle osseuse, car c’est comme s’il sciait la branche d’arbre sur laquelle il est assis.

Immunoglobuline = en bref, anticorps. Ils se lient aux agents pathogènes et contribuent à les neutraliser.

Édition du dimanche – spéciale nettoyage de printemps.

Un escalier se balaie en commençant par le haut.

Proverbe roumain

J’ai assez peu publié ces derniers temps, à cause d’un truc bizarre qui porte en fait un nom: « information overload » ou surcharge informationnelle. Plus de mille onglets ouverts sur mon navigateur. C’est donc le moment de faire un sérieux tri, pour éviter à mes lecteurs le même effet.

Avant tout, prudence! C’est officiel: le passage à l’heure d’été augmente (de 8%!) les risques de crise cardiaque et d’AVC. Heureusement, ce risque supplémentaire ne dure que deux jours. Donc pas d’effort inconsidéré avant mardi matin. Pensez à votre santé.

Je ne sais pas, moi. Une grève?


À mes amis et lecteurs français

https://www.bobmoran.co.uk/other-work/encore-original-artwork

La nouvelle la plus importante, c’est évidemment la grève en France. C’est d’ailleurs bien plus qu’une grève, mais je ne vous apprends rien.

Apparemment, la révolte commence à faire tache d’huile sur la Belgique et l’Allemagne – dont on va parler un peu plus bas. C’est assez impressionnant.

C’est mon épouse (française) qui me tient au courant de la situation, en consultant les infos disponibles sur le Net, et même sur certains média mainstream (!), où de nombreux commentateurs font le boulot bien mieux que je ne pourrais le faire.

J’écris donc ceci juste pour, selon la formule consacrée, réaffirmer mon soutien aux Français. Et aussi leur dire ce qui suit.

La France, j’y suis souvent allé et j’en ai beaucoup de souvenirs, dont un que j’ai déjà évoqué ici, où la police parisienne m’avait tiré d’une situation très risquée. De braves gens, à l’époque. Moins maintenant.

La France, j’y ai des souvenirs de ma famille, de celle de mon épouse. De paysages, de gens, de tranches de vie. Et un qui me revient souvent, pour une raison que j’avais eu jusqu’à présent du mal à définir. C’était à l’occasion d’une halte dans un relais d’autoroute. Il y avait là de nombreuses petites familles françaises, qui soufflaient un peu, se restauraient, flânaient. Ce qui m’avait frappé, c’étaient les hommes. Bien bâtis, leur silhouette typique taillée en V, pas forcément grands mais qui dégageaient une force à la fois calme et intimidante et croyez-moi, je ne suis pas vite impressionné – malgré ma tête de clown, c’est généralement moi qui impressionne. Là, je voyais un peuple qui vivait paisiblement sans rien demander à personne. Des hommes qui voulaient qu’on leur foute la paix, en somme. Des gens qu’il vaut mieux ne pas trop emmerder.

Je sais aujourd’hui mettre des mots sur ce que j’ai vu ce jour là, et qui défile maintenant dans les rues. Ce que j’ai vu, c’est l’âme d’une nation.

… et alors, l’économie?

J’avais prévu de publier quelques articles sur l’économie, éventuellement la suite de celui-ci. Cette deuxième partie ne traitant quasiment que de crypto-monnaie, je laisse tomber parce que 1) je n’y connais rien, et ne sais dont pas juger de la validité de ces monnaies et 2) ce n’est tout simplement pas le moment. De toute manière, une monnaie virtuelle qui dépend totalement du réseau Internet ne me semble pas une très bonne idée. Internet est un outil du renseignement depuis le début, comme le rappelle un article de Tessa Lena que j’ai à traduire.

Je mets aussi provisoirement en suspens la transcription promise de la vidéo de John Titus, très intéressante mais également un peu trop technique pour l’heure.

Je traduirai par contre celui-ci, à la fois très basique et didactique, qui pourra servir à expliquer à ceux qui abordent le sujet – notamment la jeune génération – à saisir l’enjeu premier de l’économie, à savoir le contrôle de la monnaie par les banques centrales.

À ce propos, vous savez sans doute que Christine Lagarde, actuelle Présidente de la Banque Centrale Européenne, s’est fait piéger comme une lycéenne par un type très habile et assez rigolo, qui s’est fait passer pour Zelensky lors d’un appel Zoom de vingt minutes. On apprend finalement assez peu de choses de ce qu’elle balance – à son insu – le principal étant que l’euro numérique est prévu pour le mois d’octobre, et que la surveillance des dépenses individuelles ne toucherait que les sommes au-dessus de 300, 400 euros. Ce qui m’a le plus étonné, c’est son côté finalement bienveillant, à vouloir opposer une monnaie européenne aux futures crypto-monnaies de Amazon et consorts, à vouloir modérer l’inflation, à regretter les augmentations de prix de l’alimentation. Contrairement à la plupart des analystes « alternatifs », je ne vois pas Mme Lagarde comme le Diable en personne. Son côté atlantiste ne me la rend pas très sympathique mais elle est extrêmement compétente et fait très bien son boulot.

Le problème, c’est son boulot. Elle dirige une banque centrale.

Initiales BBB

Yoepie! le BBB – pour BoerBurgerBeweging (Mouvement citoyen fermier), le parti politique néerlandais qui défend le droit des fermiers contre leur éviction par leur gouvernement – vient de faire un score historique (plus de 30%) aux élections du Conseil Provincial! C’est une grande victoire démocratique!

Euh, non.

Comme l’explique ici Michael Yon et ici Eva Vlaardingerbroek (un beau brin de fille), le BBB est en fait une saloperie de plus dans l’arsenal de l’opposition contrôlée, qui n’en a rien à caler des fermiers et adopte le discours frauduleux de l’ennemi sur la nocivité de l’azote, pour en faire un sujet de négociation. C’est un faux parti « conseillé » (comme dans « cabinet de conseil », suivez mon regard) par un machin nommé Remarkable, un bureau de consultance dont vous trouverez la liste des clients ici – en résumé, le who’s who de Big Ag et Big Pharma.

Thierry Baudet rappelle ici:

Soutenue par la presse, Caroline van der Plas a le vent en poupe et s’est assurée un nombre improbable de sièges.

C’est impressionnant, mais aussi inquiétant. Car son parti soutient la ligne du cartel sur tous les points essentiels. En effet, BBB est favorable à la transition énergétique, au rachat des agriculteurs, à l’UE, à la guerre en Ukraine et aux accords arc-en-ciel.

Comme l’ont relevé certains blogueurs, BBB, c’est aussi Build Back Better. Et c’est aussi, par un curieux hasard, la barrière hémato-encéphalique – Brain-Blood Barrier. Normal, ils essaient d’entrer dans votre cerveau. C’est leur métier.

Nyctereutes procyonoides

… ou chien viverin – en anglais, raccoon dog. Ce petit chien sauvage très sympa est maintenant accusé d’être le vecteur du SARS-CoV-2 par les suspects habituels: un truc appelé SAGO (Scientific Advisory Group for Origins of Novel Pathogens), organe consultatif permanent de l’OMS, dans lequel on retrouve notamment (liste complète ici) notre ami Christian Drosten, le faux docteur – surnommé le Dr Fauci allemand – qui a étonnamment séquencé le test PCR sans disposer de la séquence génomique du virus, et le Dr Supaporn Wacharapluesadee, un proche collaborateur d’EcoHealth Alliance et de Peter Daszak. Cette sensationnelle révélation zoonotique est reprise dans un article du New York Times. Rien que des gens dignes de confiance, donc.

Ach!

À ce propos, nouvel article de Robert Kogon (déjà publié ici, ici et ici), dont l’acharnement sur le rôle de l’Allemagne dans l’Opération Covid semble intarissable. On y voit une photo de Drosten en visite à l’Institut de Virologie de Wuhan en 2015, ainsi qu’une certaine Angela Merkel, également de passage à Wuhan en septembre 2019. On y apprend aussi que Wuhan dispose d’un autre laboratoire de recherche sur le gain de fonction, affilié à l’hôpital même où Mme Merkel s’est rendue ainsi qu’à l’Université de Duisburg-Essen, et que ce laboratoire se situe en fait à l’épicentre exact du premier cluster déclaré par la Chine.

Bon, c’est loin d’expliquer tout, notamment le fait que le Covid circulait déjà depuis des mois en Europe et aux États-Unis. On notera toutefois une certaine consonnance germanique dans le dossier: Drosten, Merkel, BioNTech, Schwab, von der Leyen…

Il y avait aussi, souvent cité dans le cadre du « génocide vaccinal », ce célèbre Chancelier allemand dont je ne retombe plus sur le nom, un excité cocaïnomane mis en place par les Rothschild pour détruire sa nation et la placer sous coupe de la finance internationale.

Un truc impensable en France.

Coïncidite

Parmi les centaines de publications sur le sujet, vous pouvez notamment lire cet article de ma compatriote Senta Depuydt sur l’épidémie de mort subite en Allemagne.

Ou plus simplement, vous pouvez ouvrir votre boîte aux lettres. Dans la brochure mensuelle de ma commune, à la rubrique « État Civil »:

  • trois naissances,
  • quatorze décès.

Le taux de remplacement est plutôt mal barre. Qu’à cela ne tienne, aux États-Unis on pourra bientôt fondre les catégories naissance et décès en une seule puisque…

QUATRE injections ARNm Covid pour les bébés américains avant leur dix mois

En, fait quatre au minimum. Igor Chudov explique dans cet article:

La FDA a approuvé la QUATRIÈME injection COVID pour les nourrissons. […]

Cette séquence de vaccination peut être achevée dans les quatre mois suivant le début de la vaccination à six mois. Par conséquent, un nourrisson de 10 mois pourrait recevoir quatre doses de vaccin Covid à ARNm.

Si vous pensez que quatre doses de vaccin Covid sont un peu trop pour un enfant de 10 mois, réfléchissez à ceci: toute mère assez folle pour soumettre son enfant aux vaccins Covid en recevra également pendant la grossesse et l’allaitement. […]

Comme les vaccins Covid sont transmis par le lait maternel, un bébé de 10 mois pourrait être exposé à HUIT vaccins Covid au cours de sa vie, y compris avant sa naissance.

Outre les effets indésirables sur les organes et le système sanguin, cet autre article pose la question de la fertilité future des bébés de sexe féminin, sachant que la protéine de pointe a la propriété de fusionner les cellules (syncitia) et que les oocytes (les ovules, donc) ont la plus haute proportion (95%) de récepteurs ACE2 et de TMPRSS2 (69%), auxquels se lie la protéine de pointe.

À tout hasard, je publierai un dernier article-résumé de Spartacus sur l’injection Covid, destiné à ceux qui n’auraient toujours pas compris. Mais il faut bien reconnaître que l’Opération est essentiellement terminée, les dégâts accomplis, et hormis quelques fous furieux, plus personne ne se fera injecter ce machin. La prochaine étape, c’est le retournement de veste.

C’est pas moi, c’est lui

Robert Redfield, l’ex-directeur des CDC américains a déclaré lors d’une audience devant le Select Subcommittee:

« Trois choses se sont produites dans ce laboratoire, qui sont « très inhabituelles », a déclaré le Dr Robert Redfield:

  1. « Ils ont supprimé les séquences, ce qui est très irrégulier. Les chercheurs n’aiment généralement pas faire cela ».
  2. « Ils ont fait passer le commandement et le contrôle du laboratoire d’un contrôle civil à un contrôle militaire, ce qui est très inhabituel. »
  3. « Ils ont confié à un entrepreneur le soin de refaire le système de ventilation de ce laboratoire. »

Bref, Redfield fait partie de la multitude de mauvais acteurs prêts à reconnaître tout et n’importe quoi – essentiellement, tout ce qu’on savait déjà depuis deux ans – pour tirer leur épingle du jeu, quitte à jeter leurs (ex-)associés sous l’autobus, comme on dit en anglais.

Un exemple parmi des centaines, sur le Substack de Jeff Childers:

Ensuite, sur Fox News en prime time avec Laura Ingraham, le médecin californien Michael Huang a déclaré qu’il ne recommandait plus le vaccin et s’est excusé: « Je dois m’excuser au nom de ma profession. Les médecins sont vraiment tombés sur la tête, et ils ont refusé d’écouter les patients lorsqu’ils se présentaient avec des symptômes de lésions dues aux vaccins. »

Laura a ensuite demandé: « Le gouvernement devrait-il recommander les vaccins covid … quels qu’ils soient? » Le Dr Huang a répondu avec bon sens: « Si on tombe malade, on appelle pas le CDC ou la FDA pour obtenir des recommandations […] le gouvernement devrait laisser les médecins pratiquer la médecine. »

Cette tendance est un phénomène fascinant, en particulier parce que je n’ai jamais vu un seul de ces individus prendre la direction opposée. Ce que je veux dire, c’est qu’on ne voit jamais rien du genre:

Intervieweur: Avez-vous des regrets concernant la pandémie ?

Docteur: Je regrette d’avoir été initialement opposé au masquage, mais je me rends compte aujourd’hui que si nous avions masqué un peu plus durement, un peu plus longtemps, avec quelques couches supplémentaires, nous aurions pu éviter tous ces problèmes et peut-être même apprendre à respirer sans oxygène.

Bienvenue à Marburg: son église, son centre commercial, son virus

Meryl Nass publie ceci, que je traduirai vu que ce n’est pas très long et assez amusant. Intro:

Vous avez peut-être entendu dire que le virus de Marburg faisait son apparition en Afrique de l’Ouest. Le message implicite est: « Ayez très peur ».

Juste à temps, le NIAID (l’ancien fief de Fauci) dispose d’un vaccin prêt à être testé sur de malheureux Africains, après avoir été testé sur 40 malheureux Américains. Et une fois qu’ils auront convaincu les gouvernements ou d’autres acheteurs de l’obtenir, qui touchera les royalties? Le NIAID, bien sûr. Et ses employés pourront percevoir jusqu’à 150 000 dollars par an si leur nom figure sur le brevet. C’est parfait, puisque le produit a été développé et breveté aux frais du contribuable. […]

La croisière s’amuse

Suite à la révélation de Seymour Hersh, le New York Times (lien archivé ici) et Die Zeit ont publié une nouvelle histoire, très amusante elle aussi, sur les auteurs de l’attentat contre les gazoducs russes. En fait, ça n’a rien à voir avec les États-Unis, voyez-vous. C’est une équipe de six personnes, russes ou ukrainiens, détenteurs de faux passeports, qui ont loué un yacht et posé des explosifs sur les gazoducs. Il y avait un médecin parmi eux, la plongée à cette profondeur présentant un risque pour la santé. Ils ont malheureusement négligé de bien nettoyer le yacht après eux, et y ont laissé des traces d’explosifs qui les ont trahis. Mon conseil: la prochaine fois, engagez aussi une femme d’ouvrage.

Vladimir trouve cette histoire ridicule – on le comprend:

« Je suis certain qu’il s’agit d’une ineptie complète. Une explosion de ce type – d’une telle puissance, à une telle profondeur, ne peut être réalisée que par des spécialistes, et soutenue par toute la puissance d’un État, possédant certaines technologies. »

Sputnik (accès censuré en Europe de l’Ouest, sorry) résume ainsi son point de vue:

Il a également suggéré que l’on devrait probablement se demander qui serait intéressé par la destruction de Nord Stream, notant que, théoriquement, les États-Unis auraient pu être l’une de ces entités, car un tel acte de sabotage les aiderait à couper le flux de gaz russe vers le marché européen afin que les États-Unis puissent y fournir une plus grande quantité de leur propre gaz naturel liquéfié, beaucoup plus coûteux.

Le président russe a ajouté que la réparation des gazoducs Nord Stream endommagés ne serait pas une mince affaire, mais qu’elle était probablement possible, même si elle nécessitait du temps, de l’argent et de nouvelles technologies.

Il a toutefois fait remarquer que le projet Nord Stream n’aurait d’avenir que si les partenaires européens de la Russie se souvenaient de leur propre intérêt national, car il semblerait qu’actuellement, ils fassent tout ce qu’on leur dit « depuis l’autre côté de l’océan ».

Comment ça? L’Allemagne et la France ne seraient dont pas des pays souverains? Et la démocratie dans tout ça?

Plus récemment, les autorités danoises ont trouvé un machin tubulaire près du Nord Stream 1 – encore intact – et ont invité les gestionnaires – russes – du gazoduc à assister à sa récupération. Si personne ne le réclame, il sera à eux dans un an.

Pauvres présidents

Toujours dans le registre de la farce, Vladimir a été condamné pour crime de guerre par la Cour Pénale Internationale pour avoir « déporté » 16 000 enfants ukrainiens vers la Russie. Heureusement pour lui, il n’a pas arraché les bébés de leurs couveuses pour les jeter au sol. C’est dur de voir Vladimir traité comme un paria, malgré sa mise en place de l’obligation vaccinale, de l’identité numérique, de la monnaie digitale, de l’agenda climatique – bref, de l’Agenda 2030. Pauvre Vladimir.

De son côté, Trump effectue une tournée triomphale pour préparer sa réinvestiture, ou peut-être pour un dernier tour de piste avant de finir en prison, on ne sait pas encore, pour avoir acheté le silence d’une star du porno. Pauvre Donald.

La froide réalité, c’est qu’aucun de ces gusses n’est jamais arrivé à ce poste sans être le poulain de l’un ou l’autre service de renseignement, qui les contrôle de A à Z avec quelques dossiers compromettants. Demandez donc à Ron Paul – que j’ai soutenu à l’époque, malgré que je n’ai évidemment pas de droit de vote – comment il a été écarté de la course à la présidence par cette crapule gluante de Mitt Romney. Que l’une de ces marionnettes dévie un tant soit peu de sa feuille de route et il se prend un tireur isolé, un Watergate, un souci de santé ou un malencontreux accident.

Ou le Covid.

Le débat autour de la culpabilité de Trump dans l’Opération Warp Speed – et donc sa responsabilité pour les centaines de milliers, voire les millions de victimes des injections – n’est pas encore clos aux États-Unis. Certain(e)s, comme Jaime Jessop, rappellent, à juste titre, qu’il a fait très tôt la promotion de l’hydroxychloroquine et qu’il a probablement ensuite été contraint de signer pour le programme du Ministère de la Défense. Katherine Watt ne lui laisse pas le bénéfice du doute: il n’est qu’une des deux faces de la même pièce, celle de l’usurpation du pouvoir. Il a au minimum trahi la confiance de son peuple et continue aujourd’hui à défendre les injections – « ses » vaccins.

C’est donc soit un abruti, soit un vendu. Il avait promis au début de son mandat de consulter Robert F Kennedy Jr sur les vaccins, il ne l’a jamais fait. Il a laissé en poste Anthony Fauci et Deborah Birx, dont Scott Atlas donne un aperçu saisissant de la duplicité et de l’incompétence. Il n’a tenu aucune promesse électorale et n’en tiendra aucune s’il est réélu.

En bref, ce sont les « familles » qui dirigent la haute finance, la haute finance qui dirige la CIA, la CIA qui dirige les États-Unis, et les États-Unis qui dirigent l’Europe et les pays « alignés ». Du moins encore pour quelques semaines, parce qu’à force d’embrouiller, de déboussoler et de camer à zéro leur troupeau, la CIA a bel et bien détruit son propre pays. Le tout est maintenant de ne pas les suivre dans le gouffre.

Euh, euh, euh…

Un truc intéressant à observer chez quelques épaves de la pièce de théâtre internationale: de Jens Stoltenberg à Elon Musk en passant, bien entendu, par Biden, complétement sénile, de plus en plus semblent de plus en plus souvent incapables d’aligner trois mots sans trébucher, bégayer, hésiter ou commettre quelque gaffe monumentale. Je vous ferais bien un jubilé de l’aphasie galopante de ces personnages mais euh, euh, je crains que ce soit, euh, contagieux.

Pendant les travaux, la vente continue

Pendant ce temps, la Russie autorise l’Ukraine à exporter son grain pour 120 jours supplémentaires, ce qui assurera la sécurité alimentaire « des pays ‘à revenu faible ou moyen inférieur’ comme l’Egypte, le Kenya et le Soudan » – et accessoirement, la balance commerciale ukrainienne. La Pologne va livrer quatre Mig-29 – en fin de carrière – à l’Ukraine, qui, ô surprise, « seront remplacés par des appareils sud-coréens FA-50 et des F-35 américains ». La Slovaquie leur enverra treize de ces mêmes vieux coucous (qu’elle remplacera par …), pendant que la Tchéquie passe contrat pour la livraison de tanks gonflables à 100 000 dollars la pièce. Ça fait cher le ballon mais on pourra toujours les recycler en plaine de jeux après guerre – si Vladimir veut bien renvoyer les enfants chez eux – ou les gonfler à l’hélium pour jouer une blague à la chinoise à l’aviation russe. Le Royaume Uni inclura des pilotes ukrainiens dans son programme de formation sur chasseurs: c’est pour permettre à l’Ukraine de « disposer d’une armée capable de défendre ses intérêts dans le futur » – on sait donc qu’il y a un futur pour ce pays. De son côté, Washington assure la formation de deux pilotes – sur simulateur – tout en déclarant ne pas vouloir envoyer de F-16, pour « ne pas créer une escalade du conflit », tandis que Macron déclare que côté livraison de Mirage, « rien n’est interdit« . Merci, on avait remarqué.

Ukraine, Nord Stream, énergie, etc. même plan d’entreprise: on déstocke, on casse d’un côté, on reconstruit « en mieux » de l’autre, et on soigne la facture. 411 milliards pour reconstruire l’Ukraine. Pas de quoi payer? Pas grave, on garde le pays et on l’intègre à l’UE. Ça fera des ressources à piller et des contribuables à ponctionner en plus. Business is business.

Sex and drugs and rock’n’roll

Je me demande finalement si le gars dont j’ai publié deux articles (ici et ici) ne serait pas un agent… Son insistance à me convaincre des bienfaits des drogues psychotropes semble un peu suspecte. Il avait répondu à ceci en orientant son discours vers un autre domaine, qui sert également de levier aux opérations du renseignement: le sexe.

Très bien parlons sexe, ça fait vendre.

Je viens de lire un papier de Miles, qui rejoint d’assez près ce que me dit mon épouse de la misère que vit la génération montante en Belgique, complètement déboussolée. L’Opération (c’est le cas de le dire) Transgenre qui leur est infligée d’en haut ne fait évidemment rien pour arranger la situation. Vous pouvez en (re)lire ici un témoignage, qui vient du Royaume Uni.

Question drogue, j’ai déjà plus ou moins tout dit. En tout cas assez pour passer pour un vieil emmerdeur pète-sec.

Il reste donc le rock’n’roll. Faudra un jour que je vous parle de Todd Rundgren.

En attendant, voici un échantillon de ce que j’écoute. C’est du psybient. Eh oui, en plus du rock de mes jeunes années (punk), j’écoute aussi (sur mon mp3 ou bien fort sur ma chaîne) du nu-jazz allemand – DePhazz, Club des Belugas, Dzihan & Kamien, Moca – et ça, de la musique de drogués. Voyez seulement dans quel état s’est mis cette pauvre fille dans le public! Je fais parfois ça dans mon atelier…

Attention toutefois, cette musique est dangereuse: vous accrochez, vous ne voudrez plus jamais rien écouter d’autre. C’est de la joie, c’est de la danse, c’est de la drogue.

Allez, encore un, pour la route. La souris qui mange du fromage.


Bon, c’est déjà assez long, ce sera tout pour aujourd’hui. Il reste des dizaines d’infos à traiter mais j’avais dit que je ferais un tri.

Pour conclure…

… la petite histoire du proverbe cité en début de page. Je vous garantis l’authenticité de l’anecdote.

Un de mes camarades de l’époque avait lu ce proverbe au verso de la feuille de son éphéméride. C’était le 25 décembre 1989. La date est facile à retenir: en plus d’être le jour de Noël, c’est celui où Nicolae Ceaușescu et sa délicieuse épouse furent fusillés dans une arrière-cour, après un procès expéditif où ils se virent accusés et jugés coupables de « génocide par la famine, la privation de chauffage et d’éclairage », et d’avoir causé la mort de milliers de dissidents à son régime dictatorial.

Et encore pire, selon les termes exacts de l’accusation:

Mais votre crime le plus abominable a été de détruire l’âme de la nation.

Eh oui.

À bientôt et bon courage.

Ce que c’est vraiment d’être élève à l’heure où l’hystérie transgenre s’empare de nos écoles.

Je pense que ceci se passe de tout commentaire.

11/03: je rajoute pour illustrer l’article cette peinture du cartoonist anglais Bob Moran. Son site est ici.

« Ça a été à l’école? »
Source

Source.


Ce que c’est vraiment d’être élève à l’heure où l’hystérie transgenre s’empare de nos écoles

Une adolescente de 14 ans révèle que des filles portent des serre-seins en classe, que des enseignants prétendent que Lady Macbeth est non-binaire et que des « transphobes » sont menacés de strangulation

Elle a 14 ans et fréquente un lycée public mixte du sud-est de l’Angleterre, où, selon elle, un enfant sur dix de sa classe s’identifie comme trans ou non-binaire. Après avoir été de plus en plus perturbée de voir l’école accepter l’idéologie transgenre, cette étudiante a décidé de dévoiler la vérité sur sa vie dans le contexte de la guerre culturelle actuelle..

L’autre jour, je suis allée au bureau de l’école pour obtenir un nouvel exemplaire de mon horaire. Le professeur à qui j’ai parlé a utilisé les pronoms « ils/eux » à mon sujet, demandant à un autre membre du personnel: « Ils ont perdu leur horaire, peuvent-ils en avoir un nouveau? »

Il me connaît très bien et il est clair que je suis une fille. J’étais furieuse qu’il n’ait pas simplement dit « elle ». Mais ce n’est pas le fait de quelques rares enseignants; on me demande régulièrement si je suis en transition.

L’école pratique une politique d’uniformes non genrés et beaucoup de filles portent des pantalons. Celles d’entre nous qui en portent se voient souvent demander si elles sont transgenres, surtout si elles ont les cheveux courts, comme c’est mon cas.

Le fait qu’une fille aime jouer aux jeux vidéo, ou qu’elle n’aime pas les vêtements féminins ou le maquillage est suffisant pour être considérée comme potentiellement transgenre. Lorsque ma mère s’est plainte que l’on m’appelle « ils », le professeur s’est excusé en expliquant qu’il se montrait prudent au cas où je serais en transition. Il lui a dit que les enseignants marchent sur des œufs, de peur d’être qualifiés de transphobes.

On a l’impression qu’on ne parle plus que de trans. La bibliothèque a une section consacrée aux livres LGBTQQIA+ et il y a une exposition sur la Pride dans l’entrée de l’école, avec des drapeaux arc-en-ciel et des mots et termes tels que « non-binaire », « polysexuel », « demiboy« , « demigirl » et « pansexuel ». Ces mots apparaissent aussi en cours. Je suis maintenant en seconde, et l’autre jour, une fille de mon cours d’anglais a demandé si le dieu grec Zeus était un homme ou une femme, et le professeur a répondu que Zeus aurait pu « s’identifier comme non-binaire ».

Plus récemment, un autre professeur nous a dit que Lady Macbeth n’était « ni un homme ni une femme ». Je pense que la plupart des parents n’ont aucune idée de ce que l’on enseigne à leurs enfants.

Je me réjouis donc que la Secrétaire d’État à l’Éducation, Gillian Keegan, s’apprête à dire aux écoles qu’elles doivent faire preuve de plus d’ouverture dans leur traitement des questions transgenres. Mais j’aurais trop peur de dire ça à l’école. Je perdrais mes amis si j’osais le faire, car ils sont totalement intolérants à tout ce qu’ils pensent être transphobe.

C’est pourquoi j’ai décidé de m’exprimer ici, sans donner mon vrai nom.

Lorsque j’ai commencé à fréquenter mon école secondaire il y a quatre ans, je ne savais même pas ce que signifiait « transgenre ». On n’en avait jamais parlé à l’école primaire ni à la maison. Mais au bout de quelques jours, un enseignant nous a dit, dans le cadre de notre cours d’éducation personnelle, sociale, sanitaire et économique (personal, social, health and economic education – PSHE), que nous serions considérés comme « transphobes » si nous utilisions l’un des « mots offensants » d’une longue liste, qui comprenait « gender bender » et « butch« [NdT. gender bender, intraduisible = qui tord les genres; butch = « camionneuse » ou « gouine », plus ou moins].

Je n’avais aucune idée de ce que signifiait « transphobe », mais je savais que je ne voulais certainement pas être considérée comme telle. À cet âge, quand on nous dit quelque chose à l’école, on se contente de le croire. Nous avions confiance dans le fait que ce que les enseignants nous disaient était vrai.

Plus tard, j’ai demandé à ma mère ce qu’elle en pensait. Elle est féministe et critique le fait que les élèves se fassent dicter leur conduite. Elle m’a dit que souvent, tout dépend de l’usage que l’on fait des mots – que les membres des communautés homosexuelles utilisent le terme « gender bender » pour se décrire de manière positive et que le terme « butch » est utilisé par les lesbiennes pour décrire d’autres lesbiennes d’apparence plutôt masculine.

Alors que j’étais encore en première année, des filles de 11 ans de ma classe ont commencé à demander à être appelées « il » ou « eux ».

Peu après, un certain nombre d’autres filles ont fait pareil. J’ai eu l’impression qu’elles s’y sont mises parce que ça voulait dire qu’elles passaient pour des filles cool.

Ceux qui se disent trans ou non binaire bénéficient d’un traitement spécial et deviennent soudain le centre d’attention quand ils font leur « coming out« .

Dès qu’une fille dit qu’elle est un garçon, son nom est modifié sur le registre de l’école et les élèves sont invités à utiliser le nom de garçon qu’elles ont choisi.

Aujourd’hui, sur les 200 élèves de ma classe, au moins 20 se disent transgenres – la plupart sont des filles qui prétendent être des garçons ou des non-binaires. Bien qu’il y ait un garçon qui dit être une fille, ce sont surtout les filles qui disent être des garçons. Les jeunes de mon année ne se disent pas lesbiennes ou gays, car ces mots sont considérés comme une insulte.

Un garçon hétéro sort avec une fille hétéro qui se dit trans, donc il doit maintenant dire qu’il est bisexuel. Mes camarades de classe disent souvent que les filles trans sont des filles « meilleures » que les « autres filles ». Je trouve ça insultant. Mais les enseignants ne prennent aucune mesure, même s’ils entendent des conversations de ce genre.

J’ai récemment regardé avec des amis un reportage sur les changements apportés à la Loi sur la Reconnaissance du Genre en Écosse et chaque fois qu’un invité de l’émission disait « c’est une menace pour les droits liés au sexe », mes amis ricanaient et se moquaient. J’ai eu l’impression que les filles dans mon école n’avaient aucun droit et n’étaient pas respectées.

On entend constamment parler de transphobie et de sectarisme, et beaucoup d’élèves qui se disent trans se disent constamment « victimes », et que quiconque n’est pas trans est un agresseur.

Faire son coming out en tant que lesbienne ou gay n’a pas le même effet, mais d’après mon expérience, presque aucun étudiant ne le fait.

Mon amie Kelley* a été « affirmée » [acceptée sans poser de questions] comme garçon en 7e année. Elle a de graves problèmes de santé mentale et s’absente régulièrement de l’école car elle s’automutile.

Kelley a effectué une transition sociale sans qu’aucun enseignant ne la remette en question. Elle a un nouveau nom et peut maintenant utiliser les vestiaires des garçons. Tous mes amis croient vraiment à « l’identité de genre ». Les enseignants et les élèves désignent les filles et les garçons par « assignés femme à la naissance » ou « assignés homme à la naissance ». Ces termes sont abrégés en AFAB (assigned female at birth) et AMAB (assigned male at birth).

Le langage employé est également déroutant, comme le terme « skoliosexuel », qui désigne l’attirance pour les personnes non binaires. Je trouve ça ridicule, mais je ne peux pas le dire.

On voit aussi beaucoup de seins bandés, mais nous ne savons pas qui pourrait être sous bloqueurs de puberté parce que personne n’en parle. Une fille transsexuelle voudrait se procurer un serre-sein, et elle se plaint que ses parents s’y opposent.

Comme je crois en l’égalité des droits pour tous, je me suis inscrite au Club de l’Égalité, pour ensuite constater qu’il était impossible de parler d’un groupe victime de discrimination autre que les transgenres. Il existe une règle interdisant le port de badges à l’école, mais certains élèves portent des badges avec le drapeau et leurs pronoms trans sans que personne ne les réprimande.

Récemment, alors qu’un groupe d’entre nous regardait les Questions au Premier Ministre où les députés parlaient des soins de maternité en utilisant les termes « conjoint accoucheur » et « conjoint non accoucheur », je me suis demandée à voix haute pourquoi ils ne disaient pas simplement « mère ».

Une amie m’a réprimandée en me disant que les personnes qui ont un col de l’utérus ne sont pas toutes des femmes. Je n’ai pas voulu exprimer mon désaccord, car je savais ce qui se passerait: je serais humiliée publiquement.

Je me suis jusqu’à présent résolue à supporter la plupart de ces choses. Mais il y a certaines choses que je ne peux pas laisser passer. Par exemple, j’aime beaucoup J. K. Rowling, mais elle a été traitée de « TERF » (Trans-Exclusionary Radical Feminist – Féministe radicale trans-excluante) par une amie, qui a dit avoir eu le cœur brisé d’entendre que J. K. était « anti-trans ».

Je lui ai demandé en quoi J. K. était transphobe, mais cette amie n’a pas pu me donner de réponse et a simplement dit: « Je voudrais que les TERFS crèvent tous ». J’ai été choquée par sa colère.

Il y a également eu des commentaires violents sur les médias sociaux à l’égard des « transphobes », des élèves de l’école menaçant de les étrangler.

C’est pourquoi j’écris cet article de manière anonyme, même si je pense que je devrais pouvoir dire tout ceci sans craindre d’être attaquée. Je veux que les adultes sachent ce qu’il en est réellement aujourd’hui dans les écoles comme la mienne.

*Les noms ont été changés.

La paix du cimetière – Discours de l’ex-Premier Ministre de Malaisie Mahathir Mohamad, 9 mars 2015 (extrait).

Encore un complotiste. Ils sont partout.

Stérilisation par injection, morts subites, turbo-cancers, euthanasie, inflation, destruction de l’économie et des classes moyennes, monnaies digitales programmables, prix de l’énergie, « réforme des retraites »?

Des co-ïn-ci-dences.

Source.


Traduction

Commentatrice: L’ancien Premier Ministre malaisien, Dr Mahathir Muhammad, a déclaré que l’[Accord] de partenariat transpacifique ou TPPA est une stratégie du Nouvel Ordre Mondial menée par un puissant groupe de personnes dirigé par les États-Unis pour dominer l’économie mondiale. S’exprimant lors de la conférence internationale intitulée « New World Order: A Recipe for Peace or War » [Nouvel Ordre Mondial: Une recette pour la paix ou la guerre] organisée par la Perdana Global Peace Foundation, le Dr Mahathir a déclaré que la mondialisation et le commerce sans frontières sont utilisés pour établir un gouvernement mondial unique.

Dr Mahathir Muhammad: Fondamentalement, il s’agit de la création d’un gouvernement mondial. Nous devrions abolir tous les États, toutes les nations, toutes les frontières et n’avoir qu’un seul gouvernement mondial. Et ce gouvernement mondial devra être dirigé par certaines personnes, les élites, des gens très riches, très intelligents, très puissants à bien des égards. Ce sont eux qui gouverneront le Monde.

Il n’a pas été beaucoup question de démocratie ou de choix des dirigeants. Au lieu de cela, il devait y avoir un gouvernement par ces élites, qui imposeront leurs règles à tous les habitants de ce monde. Et pour ceux qui ne sont pas disposés à s’y soumettre, il y aura des punitions. Et la paix que nous obtiendrons d’eux sera la paix du cimetière.

Car l’intention est aussi de réduire le nombre de personnes dans ce monde. Au moment où le Nouvel Ordre Mondial a été énoncé, la population de ce monde n’était que de trois milliards. L’intention était de la réduire à un milliard. Aujourd’hui, la population mondiale est de sept milliards [NdT. en 2015; huit milliards en 2023]. Il sera nécessaire de tuer plusieurs milliards de personnes, de les faire mourir de faim ou de les empêcher de donner naissance afin de réduire la population de ce monde.


Transcription

Commentator: Malaysia’s former Prime Minister, Dr Mahathir Muhammad said that the Transpacific Partnership [Agreement] or TPPA is a New World Order strategy by a powerful pact of people led by the US to dominate the world economy. Speaking at the international conference titled « New World Order: A Recipe for Peace or War » organized by the Perdana Global Peace Foundation, Dr Mahathir said globalization and borderless trade are being used to establish a one world government.

Dr Mahathir Muhammad: Basically, it is about having a world government. We should abolish all states, all nations, all borders but instead have only one world government. And that world government is to be by certain people, elites, people who are very rich, very intelligent, very powerful in many ways. They are the ones who will govern the World.

There was not much talk about democracy or choice of leaders. Instead, there was to be a government by these elites who will impose their rules on everyone in this world. And for those who are unwilling to submit to them, there will be punishment. And the peace that we will get from them is the peace of the graveyard.

Because the intention also is to reduce the number of people in this world. At the time when the New World Order was enunciated, the population of this world was only three billion. The intention was to reduce it to one billion. Now the population of the world is seven billion. There will be a need to kill many billions of people or to starve them to death or to prevent them from giving birth in order to reduce the population of this world.

Le lysenkoïsme médical aux Etats-Unis – par le Dr Gary Levy.

Pour compléter l’article précédent et celui-ci. Mêmes causes, mêmes effets.

Source.


Le lysenkoïsme médical aux Etats-Unis

Dr Gary Levy

27 octobre 2022

Je suis un réfugié soviétique, et ce fait affecte ma vision du monde.

En Union Soviétique, la science était contrôlée par l’idéologie politique. L’exemple le plus tristement célèbre est le Lysenkoïsme. Défendu par Trofim Lysenko, le Lysenkoïsme était une école de pensée idéologique qui rejetait la génétique mendélienne et la sélection naturelle en tant que science bourgeoise en faveur d’une théorie conforme à la philosophie marxiste-léniniste. Ignorant les principes fondamentaux de la science – tels que la rationalité, l’observation et la pensée empirique – l’application du Lysenkoïsme à l’agriculture a entraîné une famine désastreuse, tandis que les médias soviétiques célébraient les succès de Lysenko. Face à la réalité et à la calamité évidente, de véritables scientifiques, opposés à la poursuite de l’application de l’idéologie, ont été publiquement humiliés, jugés lors de simulacres de procès publics, condamnés aux travaux forcés et exécutés.

Malheureusement, les principes du Lysenkoïsme médical deviennent omniprésents dans la science médicale américaine. Nous assistons à la suppression des divergences d’opinion raisonnables, à des tests de pureté idéologique et à des tentatives de légiférer sur les pratiques médicales acceptables pour les conformer au dogme idéologique souhaité. Les domaines dans lesquels les exemples sont les plus évidents sont la politique COVID-19, les sujets liés à la diversité, l’équité et l’inclusion (DEI) et la gestion de la dysphorie de genre.

J’ai été de nouveau confronté au Lysenkoïsme médical lorsque la législature californienne a récemment approuvé un projet de loi désignant la fourniture d’informations fausses ou trompeuses comme conduite non professionnelle pouvant entraîner des mesures disciplinaires de la part du conseil médical de l’État. Ces mesures disciplinaires comprennent la révocation de la licence médicale d’un médecin reconnu coupable d’avoir diffusé des informations non considérées comme appropriées par la loi. La loi, AB-2098 Physicians and Surgeons: Unprofessional Conduct [Médecins et chirurgiens: Conduite non professionnelle], est maintenant la première dans la nation à légiférer sur ce qui est une information acceptable dans la science médicale. Selon le projet de loi, il a été rédigé pour cibler les informations erronées et la désinformation liées à la pandémie de SARS-CoV-2. Je crains cependant que la cible de ce projet de loi ne s’étende à l’ensemble de la science médicale.

La question fondamentale soulevée par l’AB-2098 sera bien sûr: qui est l’arbitre de ce qui est et de ce qui n’est pas de la désinformation ou de la fausse information? La pratique médicale et l’élaboration des politiques médicales dépendent de l’interprétation des preuves médicales – l’application des preuves à l’individu ou à la population à travers un prisme professionnel. Il existe des recommandations et des directives de pratique publiées par les sociétés médicales professionnelles, mais c’est le médecin, en consultation avec son patient, qui détermine en dernier ressort le traitement optimal.

Examinons les trois domaines dans lesquels le Lysenkoïsme médical semble le plus marqué. Pendant la pandémie de COVID-19, les preuves scientifiques ont évolué particulièrement rapidement, les thérapies et les traitements ont changé et les médecins individuels ont interprété et appliqué les informations disponibles différemment selon les cas. Le masque en tissu en est un bon exemple. Une étude désormais célèbre a démontré que les masques en tissu étaient inefficaces pour prévenir la propagation du SARS-CoV-2. Ce résultat a finalement été reconnu par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) en janvier 2022. Étant donné que tous les États et le gouvernement fédéral avaient précédemment rendu obligatoire le port de masques en tissu, il fut un temps où un médecin qui déclarait que les masques en tissu ne minimisaient pas la propagation du SARS-CoV-2 (la vérité) aurait pu être tenu coupable en vertu de la loi sur la désinformation.

Le fait de rendre obligatoire une pratique acceptable alors que les preuves scientifiques sont rares ou, pire encore, lorsque les directives contredisent l’ensemble de la littérature publiée, est alarmant. La plupart des pratiques médicales ne sont basées que sur une compréhension partielle de la maladie et de la thérapeutique. J’aimerais croire que les auteurs de la législation californienne l’ont rédigée de bonne foi. Mais le précédent historique de corruption médicale, lorsqu’elle est associée au pouvoir gouvernemental, est solide. Je crains que la loi, telle qu’elle est rédigée, ne menace de faire passer l’establishment médical sous le parapluie de la hiérarchie, en lui donnant un outil pour propager son programme Lysenkoïste.

Un deuxième exemple. Les écoles de médecine filtrent les candidats en fonction de leur conformité à une idéologie politique. Le processus d’inscription à l’école de médecine comprend une candidature commune primaire et des candidatures secondaires spécifiques aux écoles. Un rapport récent de l’organisation Do No Harm (une organisation dont le mandat est de « lutter pour les patients individuels – et contre les politiques identitaires ») a démontré l’omniprésence des tests de conformité idéologique dans le processus de candidature. Le rapport a révélé que 72% des 50 premières écoles de médecine (et 8 des 10 premières écoles) utilisent des questions pour vérifier si les candidats souscrivent à l’idéologie préférée de l’institution en matière d’actions personnelles fondées sur la race. Par exemple, le SUNY Downstate Medical Center-College of Medicine demande directement comment le candidat a été, est ou sera un défenseur, un apparatchik, de sa cause: « Quelle(s) activité(s) actuelle(s) ou future(s) a/auront contribué à la diversité, à l’équité en matière de santé et à la justice sociale? »

Le but de la conformité idéologique dans l’éducation médicale américaine, je le crains, est d’exproprier l’éducation médicale des normes imparfaites, basées sur l’excellence, en faveur de la formation d’individus qui en fera des « apparatchiks » d’une cause idéologique. Dans ce cas, tout scepticisme, même empirique, ne doit pas être toléré. Le cas du Dr Norman Wang est une anecdote exemplaire qui se lit comme une « séance de lutte« . En 2020, le Dr Wang a rédigé un livre blanc dans le Journal of the American Heart Association (dont il est impossible de donner le lien car il a été rétracté). Le Dr Wang a retracé l’histoire de la discrimination positive et a critiqué, bien que légèrement, les politiques de DEI. Il a avancé des idées controversées telles que: « En fin de compte, tous ceux qui aspirent à une profession dans le domaine de la médecine et de la cardiologie doivent être évalués en tant qu’individus sur la base de leurs mérites personnels, et non de leur identité raciale et ethnique. » Comme on pouvait s’y attendre (dans l’atmosphère actuelle), il a été attaqué sur les médias sociaux et le journal a rétracté l’article (contre les objections du Dr Wang). Le Journal s’est excusé, a dénoncé les opinions exprimées dans l’article et a déclaré que l’article était une déformation des faits. L’American Heart Association [Association américaine de cardiologie] a lancé une enquête officielle pour « mieux comprendre comment un article incompatible avec les valeurs fondamentales de l’association a été publié« . En d’autres termes, pour éliminer la possibilité que d’autres réflexions contre-révolutionnaires soient publiées. Il va sans dire que l’université qui employait le Dr Wang l’a dûment licencié et que ses collègues l’ont publiquement dénoncé pour son crime de pensée.

Il est probable qu’aucun autre domaine ne démontre aussi bien le Lysenkoïsme médical que la gestion des adolescents souffrant de dysphorie de genre. Aux États-Unis, l’approche politiquement acceptable de la thérapie consiste à accepter l’identité de genre de l’individu et à utiliser des traitements médicaux et chirurgicaux pour mettre le corps en conformité avec le genre subjectif. L’autre point de vue considère que la pratique actuelle va à l’encontre de la pratique médicale établie, selon laquelle la non-congruence entre le sexe biologique et l’identité de genre est pathologique.

Le débat sur la prise en charge de la dysphorie de genre chez les enfants et les adolescents est bien réel. D’un côté, il y a les patients et les parents qui pensent vraiment que les soins d’affirmation du genre sont dans leur meilleur intérêt et celui de leurs enfants. Il s’agit d’une population de patients à haut risque de préjugés, d’ostracisme et de suicide. De l’autre côté, il y a un groupe qui voit de nouvelles thérapies, avec des impacts à vie, être appliquées depuis peu de temps et avec peu de données. Ils notent que les procédures médicales et chirurgicales associées ont des taux de complication élevés et peuvent engager les patients dans des soins médicaux à vie. En outre, les preuves en faveur d’une approche d’affirmation du genre sont de faible qualité et limitées.

Compte tenu de l’absence de débat ouvert, il est probablement utile d’exposer les preuves et les événements récents dans ce domaine. Récemment, il y a eu la fermeture très médiatisée de la clinique du genre Tavistock au Royaume-Uni après qu’une étude du Service National de Santé britannique (NHS) ait cité des études contredisant l’approche d’affirmation du genre. Il s’agit par exemple d’une étude suédoise menée sur 30 ans, qui a suivi des personnes après une opération de réassignation sexuelle et a démontré un taux de mortalité plus élevé pour les patients en transition. Le National Institute for Health and Care Excellence [Institut national britannique pour la santé et l’excellence des soins] a évalué la prise en charge médicale par « bloqueurs de puberté » et hormones de changement de sexe chez les enfants et a constaté qu’il n’y avait que peu ou pas de changements dans leur fonctionnement ou leur santé mentale et qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour décider d’une politique. Ils ont déclaré que toutes les études évaluées étaient de faible qualité et qu’il n’y avait aucun moyen de déterminer si ces « traitements apportent un bénéfice ou un préjudice aux mineurs. » Le Council for Choices in Health Care de Finlande [Conseil pour le Choix des Soins de Santé] a qualifié le « changement de sexe des mineurs de pratique expérimentale », la dysphorie de genre dans l’enfance ayant un taux de résolution élevé.

Dans tous ces cas, les avis discordants semblent de plus en plus malvenus. À l’instar des Lysenkoïstes soviétiques qui ignoraient les citoyens affamés et éliminaient les scientifiques qui osaient remettre en question leurs méthodes, les partisans de la thérapie d’affirmation du genre ne semblent pas disposés à envisager un autre point de vue. Des enregistrements récents de réunions médicales au Centre Médical de l’Université Vanderbilt montrent que l’institution menace de représailles les médecins qui s’opposent à la transition médicale des enfants et leur suggère de trouver un autre emploi. Le biologiste Colin Wright a été sanctionné pour avoir déclaré que le sexe était binaire et non un spectre.

En tant que réfugié soviétique, je vois de plus en plus de signes qui me rappellent la vie en Union Soviétique où la censure et l’autocensure étaient monnaie courante. Souvent, les professionnels de la santé ne s’expriment pas en faveur de la vérité, ou du moins d’un débat civil, par crainte de représailles. Avec des médecins et des scientifiques censurés et licenciés pour avoir débattu de questions discutables qui ne s’alignent pas sur les tendances politiques acceptables, la science médicale américaine glisse vers le Lysenkoïsme. La science est dissidence, désaccord et discussion. Si ce processus, né au siècle des Lumières, est subverti, nous ne sommes plus des scientifiques ou des médecins. La censure des opinions sur les médias sociaux (ou la conscience d’un besoin d’autocensure) est non-scientifique et non-américaine. La tension dans ce domaine est particulièrement forte dans la communauté médicale pour les personnes qui critiquent ou désapprouvent les politiques du COVID, les initiatives DEI et le traitement de la dysphorie de genre.

Pour atténuer et inverser cette dérive, nous devons nous appuyer sur des bases scientifiques. Cela implique de recourir à l’empirisme pour parvenir à des conclusions, peu importe qu’elles soient incompatibles avec notre vision du monde. Nous devons nous engager à ne pas sélectionner les données, même si elles sont inadéquates, pour justifier un engagement continu envers une idéologie. Nous devons encourager et promouvoir la dissidence afin de garantir que nos conclusions et nos politiques résistent à l’examen permanent de l’évolution des connaissances. Nous devons refuser de qualifier tout scepticisme de « phobique » ou de « conspirationniste », version Lysenkoïste moderne de « démolisseurs, saboteurs et contre-révolutionnaires ». En fin de compte, nous devons montrer du courage: le courage de défendre la vérité et le courage de tenir tête aux médias qui ont réussi à réquisitionner la vérité et à devenir des apparatchiks qui sélectionnent l’information pour modeler la société selon la vision du monde qu’ils souhaitent. Et nous devons avoir le courage de nous opposer aux foules des médias sociaux qui ont réussi à contraindre de nombreuses revues médicales à rétracter des articles scientifiques jugés inacceptables ou subversifs pour la ligne du parti.

Nous devons continuer à nous montrer vigilants à défendre et promouvoir l’empirisme et les données, ainsi que le dialogue permanent avec les divergences d’opinion raisonnables. La restriction du discours scientifique n’est pas acceptable pour l’épanouissement humain. Le précédent historique est on ne peut plus clair, et il est de notre devoir d’empêcher une ère Lysenkoïste aux États-Unis.

Le Dr Gary Levy est gynécologue-obstétricien, endocrinologue de la reproduction, directeur de programme de résidence, professeur associé de gynécologie-obstétrique et médecin militaire. Il est un réfugié de l’ancienne Union Soviétique et est préoccupé par les similitudes qui apparaissent dans la science et la médecine avec les aspects totalitaires de la société soviétique. Les opinions exprimées sont celles de l’auteur et ne reflètent pas le point de vue du Service Médical de l’Armée, la politique ou la position officielle du Département de l’Armée, du Ministère de la Défense ou du Gouvernement des Etats-Unis.

Pourquoi la politisation de la science est dangereuse – par Michael Crichton.

J’avais trouvé le texte sur le site officiel de Crichton il y a une semaine. Il a disparu depuis. Étonnant, non? Il est heureusement très facile à trouver sur le Net, j’ai utilisé cette source. C’est un extrait de son bouquin « Etat d’urgence » (« State of Fear« ), de 2004. En plus d’être captivants, tous les livres de Crichton contiennent un message très important, y compris « Jurassic Park » – lisez le bouquin, évitez sa lamentable adaptation cinématographique. Il était en quelque sorte un épistémologue qui écrivait des romans.

Puisqu’il est ici question de Lysenko, je suis avec un article du Dr Gary Levy sur le sujet, puis un nouvel article de Miles Mathis, qui traite du « grand empoisonnement » évoqué notamment ici par Catherine Austin Fitts.


Pourquoi la politisation de la science est dangereuse

par Michael Crichton

Imaginez qu’il existe une nouvelle théorie scientifique qui prévient d’une crise imminente et indique une solution.

Cette théorie bénéficie rapidement du soutien de scientifiques de premier plan, de politiciens et de célébrités du monde entier. La recherche est financée par d’éminents organismes philanthropiques et menée dans des universités prestigieuses. La crise est fréquemment rapportée dans les médias. La science est enseignée dans les classes des collèges et des lycées.

Je ne parle pas du réchauffement de la planète. Je parle d’une autre théorie, qui a pris de l’importance il y a un siècle.

Parmi ses partisans figuraient Theodore Roosevelt, Woodrow Wilson et Winston Churchill. Elle fut approuvée par les juges de la Cour suprême Oliver Wendell Holmes et Louis Brandeis [NdT. le « héros juridique » de Reiner Fuellmich], qui se prononcèrent en sa faveur. Parmi les personnalités célèbres qui la soutenaient figuraient Alexander Graham Bell, inventeur du téléphone, la militante Margaret Sanger, le botaniste Luther Burbank, Leland Stanford, fondateur de l’université de Stanford, le romancier H.G. Wells, le dramaturge George Bernard Shaw et des centaines d’autres. Des lauréats du prix Nobel y apportèrent leur soutien. La recherche fut soutenue par les fondations Carnegie et Rockefeller. L’Institut Cold Springs Harbor fut construit pour mener à bien ces recherches, mais des travaux importants furent également réalisés à Harvard, Yale, Princeton, Stanford et Johns Hopkins. Des lois visant à résoudre cette crise furent adoptées dans des États allant de New York à la Californie.

Ces efforts reçurent le soutien de l’Académie Nationale des Sciences, de l’Association Médicale Américaine et du Conseil National de la Recherche. On a dit que si Jésus était vivant, il aurait soutenu ces efforts.

Au total, la recherche, la législation et la formation de l’opinion publique autour de cette théorie durèrent près d’un demi-siècle. Ceux qui s’opposèrent à cette théorie furent traités de réactionnaires, d’aveugles ou tout simplement d’ignorants. Mais avec le recul, ce qui est surprenant, c’est que si peu de gens s’y opposèrent.

Aujourd’hui, nous savons que cette fameuse théorie, qui obtint tant de soutien, était en fait une pseudo-science. La crise qu’elle revendiquait était inexistante. Et les actions prises au nom de cette théorie étaient moralement et criminellement mauvaises. Au final, elles ont conduit à la mort de millions de personnes.

Cette théorie, c’est l’eugénisme, et son histoire est si épouvantable – et, pour ceux qui y ont été mêlés, si gênante – qu’on en parle rarement aujourd’hui. Mais c’est une histoire qui devrait être bien connue de chaque citoyen, afin que ses horreurs ne se répètent pas.

La théorie de l’eugénisme postulait une crise du patrimoine génétique conduisant à la détérioration de la race humaine. Les meilleurs êtres humains ne se reproduisaient pas aussi rapidement que les êtres inférieurs – les étrangers, les immigrants, les Juifs, les dégénérés, les inaptes et les « faibles d’esprit ». Francis Galton, un respectable scientifique britannique, fut premier à spéculer dans ce domaine, mais ses idées furent reprises bien au-delà de ses intentions. Elles furent adoptées par des Américains épris de science, ainsi que par ceux qui s’intéressaient peu à la science mais s’inquiétaient de l’immigration de races inférieures au début du vingtième siècle – de « dangereux parasites humains » qui constituaient « la marée montante des imbéciles » et polluaient la meilleure partie de la race humaine.

Les eugénistes et les immigrationnistes unirent leurs forces pour mettre un terme à cette situation. Le plan consistait à identifier les individus faibles d’esprit – il était admis que les Juifs étaient en grande partie faibles d’esprit, mais c’était également le cas de nombreux étrangers, ainsi que des Noirs – et à les empêcher de se reproduire en les isolant dans des institutions ou en les stérilisant.

Comme l’a dit Margaret Sanger, « Encourager les bons à rien aux dépens des bons est une cruauté extrême… il n’y a pas de plus grande malédiction pour la postérité que celle de lui léguer une population croissante d’imbéciles ». Elle parlait du fardeau que représentait la prise en charge de « ce poids mort de déchets humains ».

Ces opinions étaient largement partagées. H.G. Wells s’éleva contre « les nuées insuffisamment formées de citoyens inférieurs ». Theodore Roosevelt déclara que « la société n’a pas à permettre aux dégénérés de se reproduire. » Luther Burbank: « Ne permettez plus aux criminels et aux faibles de se reproduire. » George Bernard Shaw affirmait que seul l’eugénisme pouvait sauver l’humanité.

Le racisme était ouvertement présent dans ce mouvement, comme en témoignent des textes tels que The Rising Tide of Color Against White World Supremacy [La marée montante des gens de couleur contre la suprématie du monde blanc], de l’auteur américain Lothrop Stoddard. Mais, à l’époque, le racisme était considéré comme un aspect anodin de l’entreprise d’un objectif admirable – l’amélioration de l’humanité future. C’est cette notion avant-gardiste qui attira les esprits les plus libéraux et progressistes d’une génération. La Californie n’était que l’un des vingt-neuf États américains à avoir adopté des lois autorisant la stérilisation, mais elle se révéla la plus avant-gardiste et la plus enthousiaste – davantage de stérilisations furent pratiquées en Californie que partout ailleurs en Amérique.

La recherche eugénique était financée par la Fondation Carnegie, et plus tard par la Fondation Rockefeller. Cette dernière était si enthousiaste que même après que le centre de la politique eugéniste se soit déplacé en Allemagne et qu’elle ait impliqué le gazage d’individus provenant d’institutions psychiatriques, la Fondation Rockefeller continua à financer à un niveau très élevé les chercheurs allemands. (La fondation est restée discrète à ce sujet, mais elle finançait toujours la recherche en 1939, quelques mois seulement avant le début de la Seconde Guerre mondiale).

Depuis les années 1920, les eugénistes américains étaient jaloux parce que les Allemands leur avaient confisqué la direction du mouvement. Les Allemands furent admirablement progressistes. Ils installèrent des maisons d’apparence ordinaire où les « déficients mentaux » étaient amenés et interrogés un par un, avant d’être conduits dans une pièce annexe, qui était en fait une chambre à gaz. Là, ils étaient gazés au monoxyde de carbone, et leurs corps étaient éliminés dans un crématorium situé sur la propriété.

Par la suite, ce programme fut étendu à un vaste réseau de camps de concentration situés près des lignes de chemin de fer, permettant le transport et la mise à mort efficaces de dix millions d’indésirables.

Après la Seconde Guerre mondiale, plus personne n’était eugéniste, et personne ne l’avait jamais été. Les biographes des célébrités et des puissants ne s’attardaient pas sur l’attirance de leurs sujets pour cette philosophie, et ne la mentionnaient parfois pas du tout. L’eugénisme cessa d’être un sujet pour les salles de classe des universités, bien que certains affirment que ses concepts sont toujours d’actualité sous une forme déguisée.

Mais avec le recul, trois points ressortent. Premièrement, malgré la construction du Cold Springs Harbor Laboratory, malgré les efforts des universités et les plaidoiries des avocats, l’eugénisme n’avait aucune base scientifique. En fait, personne à cette époque ne savait ce qu’était réellement un gène. Le mouvement put se développer parce qu’il utilisait des termes vagues, jamais rigoureusement définis. Le terme « faible d’esprit » pouvait signifier n’importe quoi, de la pauvreté et de l’analphabétisme à l’épilepsie. De même, il n’existe pas de définition claire de « dégénéré » ou « inapte ».

Deuxièmement, le mouvement eugénique était en réalité un programme social déguisé en programme scientifique. Il était motivé par les préoccupations liées à l’immigration, au racisme et à l’arrivée de personnes indésirables dans un quartier ou un pays. Une fois encore, une terminologie vague permit de dissimuler ce qui se passait réellement.

Troisièmement, et c’est le plus affligeant, l’establishment scientifique, tant aux États-Unis qu’en Allemagne, ne mena aucune protestation sérieuse. Bien au contraire. En Allemagne, les scientifiques s’alignèrent rapidement sur le programme. Des chercheurs allemands modernes sont remontés dans le passé pour examiner des documents nazis des années 1930. Ils s’attendaient à trouver des directives indiquant aux scientifiques quelles recherches devaient être effectuées. Mais aucune ne fut nécessaire. Selon Ute Deichman, « les scientifiques, y compris ceux qui n’étaient pas membres du parti [nazi], contribuèrent à obtenir le financement de leurs travaux en modifiant leur comportement et en coopérant directement avec l’État. » Deichman parle du « rôle actif des scientifiques eux-mêmes en matière de politique raciale nazie… lorsque [la recherche] visait à confirmer la doctrine raciale… on ne trouve aucune trace de pression extérieure. » Les scientifiques allemands adaptèrent leurs intérêts de recherche aux nouvelles politiques. Et les rares qui ne s’adaptèrent pas disparurent.

Il existe un deuxième exemple de science politisée, de caractère tout à fait différent, mais qui illustre les dangers du contrôle du travail scientifique par l’idéologie gouvernementale et celui de la promotion de faux concepts par des médias dénués d’esprit critique. Trofim Denisovich Lysenko était un paysan qui se vantait d’avoir, disait-on, « résolu le problème de la fertilisation des champs sans engrais ni minéraux ». En 1928, il prétendait avoir inventé une procédure appelée vernalisation, par laquelle les graines étaient humidifiées et refroidies pour améliorer la croissance ultérieure des cultures.

Les méthodes de Lysenko ne furent jamais soumises à un test rigoureux, mais son affirmation selon laquelle ses graines traitées transmettaient leurs caractéristiques à la génération suivante représentait un renouveau des idées lamarckiennes à une époque où le reste du monde adoptait la génétique mendélienne. Josef Staline était attiré par les idées lamarckiennes, qui impliquaient un avenir libéré des contraintes héréditaires; il voulait également améliorer la production agricole. Lysenko promettait les deux, et devint la coqueluche des médias soviétiques à l’affût d’histoires de paysans intelligents qui avaient mis au point des procédures révolutionnaires.

Lysenko fut dépeint comme un génie, et il exploita sa célébrité à fond. Il était particulièrement habile pour dénoncer ses adversaires. Il eut recours à des questionnaires d’agriculteurs pour prouver que la vernalisation augmentait le rendement des cultures, et évita ainsi tout test direct. Porté par une vague d’enthousiasme cautionnée par l’État, son ascension fut rapide. En 1937, il était membre du Soviet Suprême.

A cette époque, Lysenko et ses théories dominaient la biologie russe. Il en résulta des famines qui tuèrent des millions de personnes [NdT. en Ukraine, voir ici] et des purges qui envoyèrent des centaines de scientifiques soviétiques dissidents dans les goulags ou devant des pelotons d’exécution. Lysenko attaqua agressivement la génétique, qui fut finalement interdite en tant que « pseudo-science bourgeoise » en 1948. Les idées de Lysenko n’ont jamais été fondées, et pourtant il contrôla la recherche soviétique pendant trente ans. Le lysenkoïsme a pris fin dans les années 1960, mais la biologie russe ne s’est toujours pas entièrement remise de cette époque.

Aujourd’hui, nous sommes en proie à une nouvelle grande théorie qui, une fois de plus, s’est attirée le soutien de politiciens, de scientifiques et de célébrités du monde entier. Une fois encore, la théorie est promue par de grandes fondations. Une fois encore, la recherche est menée dans des universités prestigieuses. Une fois encore, des lois sont adoptées et des programmes sociaux préconisés en son nom. Une fois encore, les critiques sont peu nombreux et traités sans ménagement.

Une fois encore, les mesures préconisées ne sont étayées ni par les faits ni par la science. Une fois encore, des groupes poursuivant d’autres objectifs se cachent derrière un mouvement aux allures nobles. Une fois encore, des revendications de supériorité morale sont utilisées pour justifier des actions extrêmes. Une fois encore, le fait que certaines personnes soient lésées est ignoré parce qu’une cause abstraite est censée être plus importante que toute conséquence humaine. Une fois encore, des termes vagues comme la durabilité et la justice générationnelle – des termes sans définition commune – sont employés au service d’une nouvelle crise.

Je ne prétends pas que le réchauffement climatique est identique à l’eugénisme. Mais les similitudes ne sont pas superficielles. Et j’affirme que la discussion ouverte et franche des données et des problèmes est empêchée. Des revues scientifiques de premier plan ont pris des positions éditoriales fermes en faveur du réchauffement climatique, ce qu’elles ne devraient pas faire, selon moi. Dans ces circonstances, tout scientifique qui nourrit des doutes comprend clairement qu’il serait sage de mettre en sourdine leur expression.

Une preuve de cette suppression est le fait qu’un grand nombre des détracteurs du réchauffement climatique sont des professeurs à la retraite. Ces personnes ne sont plus à la recherche de subventions et n’ont plus à faire face à des collègues dont les demandes de subventions et l’avancement de leur carrière risquent d’être compromis par leurs critiques.

En science, les vieux ont généralement tort. Mais en politique, les vieux sont sages, conseillent la prudence et, en fin de compte, ont souvent raison.

L’histoire passée de la croyance humaine est un récit édifiant. Nous avons tué des milliers de nos semblables parce que nous pensions qu’elles avaient signé un pacte avec le diable et étaient devenues des sorcières. Nous tuons encore plus de mille personnes chaque année pour sorcellerie. À mon avis, il n’y a qu’un seul espoir pour l’humanité de sortir de ce que Carl Sagan appelait « le monde hanté par les démons » de notre passé. Cet espoir, c’est la science.

Mais comme l’a dit Alston Chase, « lorsque la recherche de la vérité est confondue avec le plaidoyer politique, la poursuite de la connaissance se résume à la quête du pouvoir ».
C’est le danger auquel nous sommes aujourd’hui confrontés. Et c’est pourquoi le mélange de la science et de la politique est une mauvaise association, au passé très sombre. Nous devons nous souvenir de l’histoire et nous assurer que ce que nous présentons au monde en tant que connaissance est désintéressé et honnête.

Le sinistre symbole du suicide de la « baleine bleue » est ouvertement glorifié au Canada – par Igor Chudov.

Désolé pour cette salve de publication. Je vous bombarde d’articles (traduits) pour tenir la semaine, vu que j’en ai à rédiger moi-même qui me prendront plus de temps.

Un article de notre (maintenant) vieil ami et journaliste préféré, Igor Chudov. Il complète bien les précédents, à mon avis. Il s’adresse en priorité aux jeunes, aux parents et à tous les éducateurs mais il concerne évidemment tout le monde.

Source.


Le sinistre symbole du suicide de la « baleine bleue » est ouvertement glorifié au Canada

Une campagne orchestrée pour inciter les « mangeurs inutiles » vulnérables à se suicider

Igor Chudov

29 novembre

L’image ci-dessous fait partie d’une sinistre vidéo réalisée par des professionnels (lien d’archive) qui promeut et glorifie le suicide « assisté ». (La vidéo a également pour but de promouvoir les vêtements de la marque Simons afin de gagner encore plus d’argent).

Que signifie cette baleine bleue? Pourquoi est-ce important? Lisez la suite!

Pousser les enfants au suicide

Les suicides chez les jeunes ne sont PAS toujours le résultat de décisions personnelles mûrement réfléchies et prises de manière indépendante. Certains enfants ont été poussés et préparés au suicide par d’autres personnes.

Pendant des années, des internautes anonymes se sont connectés à des enfants vulnérables, se faisant passer pour des garçons ou des filles séduisants à la recherche d’un ami, et après avoir gagné leur confiance, ils ont poussé ces enfants à se suicider. Ces tarés se font appeler « baleines bleues » et utilisent le symbolisme de la baleine bleue, comme l’explique cet article de 2019 du Sun.

Les Baleines Bleues ont des forums secrets pour échanger des conseils, des techniques, etc. Ils partagent les conversations qu’ils ont avec des adolescents vulnérables pour recueillir les meilleures suggestions sur la manière de procéder pour les pousser au suicide.

On pense que le jeu du suicide des Baleines Bleues est un groupe présent sur les médias sociaux qui encourage les gens à se suicider.

Des centaines de milliers de messages relatifs à cette tendance morbide ont été publiés sur Instagram.

On pense qu’un administrateur du groupe assigne des tâches quotidiennes aux membres, qu’ils doivent accomplir sur une période de 50 jours.

Parmi ces tâches abominables figurent l’automutilation, le visionnage de films d’horreur et le réveil à des heures inhabituelles, mais celles-ci deviennent progressivement plus extrêmes.

Le 50e jour, les manipulateurs qui contrôlent le jeu ordonneraient aux jeunes de se suicider.

L’article du Sun ci-dessus contient peut-être de nombreux détails erronés, mais l’essentiel est là. Les cibles des « baleines bleues » étaient des jeunes gens solitaires et influençables qui cherchaient désespérément de la compagnie et une forme de validation. Ils s’agrippaient à la main amicale que leur tendaient les « baleines bleues » comme une personne en train de se noyer s’agrippe à une paille, à la recherche de quelqu’un avec qui avoir un lien.

Les baleines bleues utilisaient de faux avatars et prétendaient être de belles personnes d’un âge approprié – pour gagner la confiance et l’intérêt romantique de leurs mystérieux interlocuteurs. Une fois la confiance et la dépendance gagnées, la conversation sur le suicide commençait.

L’objectif du jeu de la « baleine bleue » était de tuer autant de victimes que possible en les poussant au suicide.

Les décès étaient célébrés, les scores étaient comptabilisés et les gagnants étaient annoncés.

Cet article de la BBC datant de 2019 offre davantage de détails.

Voici un célèbre cas américain d’activité similaire d’une petite amie « baleine bleue » qui a intentionnellement poussé son « petit ami » au suicide. Michelle Carter s’ennuyait, et se lier d’amitié avec un garçon et le pousser au suicide était sa façon de s’amuser.

Les Baleines Bleues sont maintenant un phénomène courant

Ce jeu de la baleine bleue, aussi odieux soit-il, ne serait probablement pour la plupart d’entre nous qu’une note de bas de page de l’Histoire, si ce n’était de ce qui s’est passé par la suite. Aujourd’hui, le suicide est bon pour nous, il est glorifié, promu, et c’est aussi un excellent moyen pour les gouvernements d’économiser de l’argent qui serait autrement dépensé pour des personnes sans valeur.

Les baleines bleues sont une toile de fond symbolique subliminale de premier plan pour les vidéos de promotion du suicide assisté.

[NdT. voir ici mon article sur le programme MAID du Canada]

Le Canada est très actif dans l’élargissement de son programme d' »aide à mourir » aux mineurs, que les médecins pourront tuer par suicide médicalement assisté sans le consentement des parents si la loi proposée est adoptée:

Tous les aspects de la loi MAID actuelle et de sa mise en œuvre, ainsi que l’état des soins palliatifs au Canada, feront l’objet d’un examen. Les questions supplémentaires suivantes seront probablement aussi examinées : les demandes préalables de MAID, la maladie mentale comme seule condition médicale sous-jacente et les mineurs matures.

YouTube avait une politique interdisant la promotion du suicide:

Politique en matière de suicide et d’automutilation

La sécurité de nos créateurs, téléspectateurs et partenaires est notre priorité absolue. Nous comptons sur chacun d’entre vous pour nous aider à protéger cette communauté unique et dynamique. Il est important que vous compreniez nos directives communautaires et le rôle qu’elles jouent dans notre responsabilité commune de préserver la sécurité de YouTube. Prenez le temps de lire attentivement le règlement ci-dessous. Vous pouvez également consulter cette page pour obtenir la liste complète de nos directives.

À YouTube, nous prenons au sérieux la santé et le bien-être de tous nos créateurs et spectateurs. La sensibilisation et la compréhension de la santé mentale sont importantes et nous encourageons les créateurs à partager leur histoire, par exemple en publiant du contenu sur leur expérience de la dépression, de l’automutilation ou d’autres problèmes de santé mentale.

Toutefois, nous n’autorisons pas les contenus sur YouTube qui encouragent le suicide ou l’automutilation, qui sont destinés à choquer ou à dégoûter, ou qui présentent un risque considérable pour les spectateurs.

Cette politique a été abandonnée alors que la vidéo ci-dessus, qui glorifie le suicide de type « baleine bleue », recueille des dizaines de milliers de vues – et n’est pas la seule vidéo de ce type disponible.

Oui, il y a de l’argent en jeu

Le Canada attend des « économies importantes » de son programme de suicide médical en pleine expansion. La chaîne canadienne CBC se réjouit des « économies » réalisées grâce à l’élimination médicale des Canadiens inutiles et nécessitant beaucoup de soins, comme l’explique Kelly Malone de CBC:

Les décès assistés médicalement pourraient permettre d’économiser des millions de dollars en dépenses de santé

La revue calcule jusqu’à 136,8 millions de dollars d’économies pour tout le Canada.

Comme on dit, l’argent est roi. Les économies réalisées grâce au suicide n’ont de sens que dans le cas des mangeurs inutiles: un individu économiquement productif, dont on s’attend à ce qu’il paie de gros impôts à l’avenir, vaut toujours la peine d’être sauvé. Par conséquent, le discours sur les économies réalisées grâce au « suicide médical » s’applique toujours aux personnes « inutiles », dont on n’attend plus de bénéfices économiques.

Le suicide peut avoir du sens pour certaines personnes: si je me retrouve un jour atteint d’un cancer incurable et en proie à une douleur extrême, c’est une solution que j’envisagerais à contrecœur. Cependant, les considérations d’argent présentent des incitations perverses, et glorifier le suicide est toujours contraire à l’éthique.

Le suicide est-il un « libre choix » pour les adolescents vulnérables?

Le suicide est-il un « libre choix »? Avant de donner votre avis, rappelez-vous que toute personne qui envisage le suicide est vulnérable – par définition. Une personne âgée en fin de vie n’est pas dans la même situation qu’un adolescent ou un jeune adulte, dépassé par la vie, le stress, l’inexpérience et une éventuelle maladie mentale. Comment un « mineur mûr » mentalement et physiquement malade pourrait-il décider librement? Katherine Brodsky en parle ici.

Voici ce que veulent les promoteurs du suicide au Canada:

DWDC reconnaît que la société canadienne s’attendra probablement à ce que la législation prévoie un âge minimum pour les mineurs matures, même si, en vertu de la common law, l’accent est mis sur la capacité et la maturité et non sur l’âge chronologique. Pour cette raison, DWDC demande au Parlement de modifier la condition d’âge actuelle de 18 ans pour l’étendre aux personnes: « âgées d’au moins 12 ans et capables de prendre des décisions concernant leur santé ». Comme pour les adultes, il devrait y avoir une présomption de capacité pour ces mineurs.

Parlez à vos enfants

Si vous avez des enfants de plus de 11-12 ans, parlez-leur du suicide. La plupart des suicides d’adolescents sont des décisions prises sur un coup de tête, aggravées par l’absence d’un adulte bienveillant, l’impossibilité de parler à des parents qui les soutiennent ou l’absence de préparation à un embarras soudain. Dites-leur que

  • Ils doivent vous parler s’ils envisagent de se suicider, et vous les prendrez au sérieux.
  • Il est normal de se faire larguer sans ménagement par ses amours.
  • Les situations embarrassantes, comme l’échange de photos de nu entre camarades de classe, se produisent (surtout s’ils envoient des photos de nu à leurs camarades), et en fin de compte, personne ne se soucie de ces choses.
  • Les scandales familiaux et les brimades sociales se produisent partout.
  • La vie n’est pas finie juste parce qu’une université les a rejetés ou quelque chose du genre.

J’espère que cela vous aidera dans le cas peu probable où une « baleine bleue » contacterait votre enfant ou dans le cas beaucoup plus probable où un événement stressant se produirait soudainement.

L’avenir appartient aux personnes qui survivent et se reproduisent

Toutes les personnes ont de la valeur, qu’elles soient malades mentales ou non, qu’elles soient parents ou non, etc.

Cependant, la froide et dure réalité biologique de la reproduction humaine fait que seules les personnes qui réussissent à se reproduire portent de intérêt à l’avenir qui adviendra après leur disparition éventuelle.

Nous assistons à de nombreuses tentatives pour réduire la population et la reproduction des personnes. Les facteurs qui réduisent les taux de natalité sont nombreux: le mouvement pour une vie sans enfant, les vaccins Covid, les changements de sexe, le suicide assisté, etc.

Mais encourager le suicide chez les jeunes et les personnes vulnérables est tout simplement le pire moyen de réduire notre nombre.

Dites-nous ce que vous en pensez!

La « Baleine Bleue » était un symbole de tarés morbides du suicide sur le Net.
Aujourd’hui c’est devenu un phénomène courant!
Le suicide est ouvertement glorifié!

Les bébés manquants de l’Europe – par Mary Beth Pfeiffer.

Comme je le lisais récemment dans un commentaire: « ils n’ont plus besoin de l’avortement maintenant qu’ils ont les vaccins. »

Note: humour intraduisible, le « mot en F » dans le langage populaire n’est évidemment pas « fertilité » mais « fuck« . Je suppose que je n’ai pas besoin de traduire.

Source.


Les bébés manquants de l’Europe

Neuf mois après la vaccination de masse, 110 000 bébés de moins sont nés. Aux États-Unis, les données sur les naissances sont maigres, et rares sont ceux qui mentionnent le mot en F: Fertilité

Mary Beth Pfeiffer

29 novembre

Cet article fait partie d’une collaboration de publication entre RESCUE et TrialSite News.

En Suisse, les naissances ont fortement diminué après les campagnes de vaccination contre le covid. Les taux de vaccination mensuels sont indiqués en haut, les naissances en bas. La ligne rouge au centre est étiquetée en allemand « 9 Monate », ou 9 mois, indiquant l’intervalle entre les tendances. Un schéma presque identique dans d’autres pays est illustré ci-dessous. (Source: Poursuite contre Swissmedic, 14 novembre 2022).

Il est de plus en plus évident en Europe que beaucoup moins de bébés naissent à la suite des campagnes de vaccination contre le Covid-19, et que cela est circonstanciellement lié à ces campagnes. Ce phénomène généralisé inquiète les médecins, les analystes de données et d’autres personnes qui affirment qu’un changement monumental est en train d’être ignoré.

« Depuis janvier 2022, le nombre de naissances vivantes a chuté comme jamais auparavant en Suisse et dans le canton de Berne », peut-on lire dans un rapport urgent des législateurs cantonaux. Une autre étude suisse a fait état d’une baisse de 10% des naissances au cours du premier semestre de 2022 par rapport à la moyenne des trois années précédentes. À l’aide d’une modélisation statistique, elle a trouvé « une corrélation temporelle frappante entre le pic de la première vaccination et le déclin des naissances en Suisse ».

Alors que la célèbre nation alpine neutre est désormais l’épicentre d’une bataille contre l’infertilité liée à la vaccination, plusieurs autres rapports suggèrent que ce problème concerne l’ensemble du continent et devrait faire l’objet d’une couverture médiatique mondiale. Parce que ces rapports clés émergents ne sont pas rédigés en anglais, ils sont pratiquement inconnus aux États-Unis.

Dans ce qui est peut-être la plus grande étude sur cette inquiétante tendance, trois analystes basés en Allemagne ont étudié les données de dix-neuf pays d’Europe. Ils ont constaté une baisse de 7% des naissances, ce qui se traduit par 110 059 naissances de moins au premier semestre 2022 que la moyenne des périodes similaires de 2019 à 2021. (Les données n’ont pas été analysées pour le Royaume-Uni et l’Italie).

Les mots utilisés pour décrire ces tendances permettent d’en saisir la gravité: sans précédent, gigantesque, remarquable.

Cette vague émergente de recherche européenne – dont la plupart ont eu lieu au cours des quatre derniers mois – est réalisée en dehors des canaux traditionnels et par des chercheurs indépendants: ici, un médecin, un professeur d’université et un législateur ; là, un éducateur de lycée, un pharmacien et un statisticien. Ainsi, un réseau de personnes issues de la base mais compétentes en matière de statistiques comble le vide laissé par les agences gouvernementales et réglementaires qui rejettent la possibilité d’une nocivité des vaccins dans tous les cas, sauf quelques cas isolés.

Rédigée en allemand et traduite également en français [NdT. vous pouvez au moins y consulter les données de votre pays], l’étude européenne fait état d’une baisse des naissances de plus de 10% dans cinq pays. Dans dix autres pays, les naissances ont diminué de 4% à 9,4%. La baisse la plus importante, 18,8%, a été enregistrée en Roumanie.

« Ce signal très alarmant ne peut pas être expliqué par les infections Covid-19 », conclut le rapport du 25 août 2022 qui, comme dans les rapports suisses, voit des parallèles entre les grandes campagnes de vaccination et, neuf mois plus tard, le début de ce qu’un rapport appelle un « baby gap ».

« La corrélation avec la campagne de vaccination et la situation à l’époque suggère que la vaccination a eu des influences physiologiques sur la fertilité des femmes ou des hommes », indique le rapport sur l’Europe, pointant du doigt des preuves d’irrégularités menstruelles et de baisse du nombre de spermatozoïdes après la vaccination.

Cependant, jusqu’à présent, les études suisses et européennes, ainsi que les articles sur l’augmentation de la mortinatalité en Allemagne et la baisse des naissances en Allemagne et en Suède, n’ont pas suscité un grand intérêt au sein des structures réglementaires européennes.

Swissmedic, qui est la version suisse de la Food and Drug Administration américaine, a rejeté tout « lien de causalité » entre les vaccins Covid et la diminution du nombre de bébés.

Ce graphique montre l’évolution des naissances en Suisse. Le déclin des naissances en 2022 n’a été éclipsé qu’une seule fois, lors de la mobilisation pour la Première Guerre mondiale. (Source: Dr. Konstantin Beck)

Les 6 000 manquants

Le 14 novembre, un avocat zurichois a annoncé le lancement d’une action en justice [NdT. en français] contre trois responsables de Swissmedic et cinq du groupe Insel, qui gère un grand centre hospitalier à Berne. La plainte de 300 pages allègue que Swissmedic a violé le code pénal de la nation en approuvant des vaccins inefficaces et mal testés, puis en ignorant des milliers de cas suisses d’invalidité et de décès liés à ces vaccins. Le groupe Insel fait partie, selon la plainte, du « cercle des contrevenants ».

Parmi les nombreux préjudices présumés énumérés dans la plainte, y compris les invalidités et les décès, on trouve ceci: « Effondrement des taux de natalité: plus de 6 000 bébés manquants en 2022 ».

Le Dr Konstantin Beck, économiste en assurances et statisticien de l’Université de Lucerne, a cosigné le principal rapport suisse qui a constaté une baisse « historique » des naissances. La dernière baisse comparable des naissances, de 13 %, m’a-t-il dit, remonte à la mobilisation de l’armée suisse en 1914, au début de la Première Guerre mondiale.

Lors d’un appel Zoom, Beck et son co-auteur, Pietro Vernazza, médecin spécialiste des maladies infectieuses, ont discuté de la « baisse historiquement sans précédent des taux de natalité » qu’ils ont constatée. Comme d’autres chercheurs, ils analysent les données au fur et à mesure qu’elles sont disponibles et mettent à jour leurs conclusions ; ils sont parfaitement conscients de la nécessité de partager rapidement ces tendances dans un monde où les adultes en âge de procréer sont encore poussés à se faire vacciner.

Pour l’instant, Vernazza m’a dit qu’il n’était « pas convaincu » que les vaccins fassent effectivement baisser le nombre de naissances. Mais il doute également des premières assurances officielles, par exemple, que les particules vaccinales ne se déplacent pas dans le corps ; des preuves ont depuis montré qu’elles s’accumulent dans les organes reproducteurs.

 » Dans cette situation, en tant que médecin qui veut décider, ou aider à décider, de la prise d’un booster ou d’un vaccin « , a-t-il déclaré lors de notre appel,  » j’ai de moins en moins confiance dans le fait que ce vaccin ne peut pas causer de problèmes de fertilité. « 

Prévenir les parents potentiels? Absolument pas

Le rapport de trente-neuf pages de Beck et Vernazza, daté du 22 septembre 2022, demande à Swissmedic d’avertir les parents potentiels des éventuels risques de fertilité du vaccin. Au-delà de la baisse documentée des naissances post-vaccinales, ils affirment qu’un trouble de la fertilité causé par la vaccination est « plausible » sur la base des résultats publiés.

« Les données pharmacocinétiques expérimentales de Pfizer montrent une augmentation continue du niveau tissulaire des particules lipidiques d’ARNm dans les ovaires et les testicules des animaux de laboratoire jusqu’à 48 heures après l’injection », écrivent-ils. Les données manquent quant à la durée de ces concentrations, notent-ils.

En outre, et c’est également un élément clé de la fertilité, ils ont cité une étude sur des donneurs de sperme qui a révélé une baisse de 22 % du nombre de spermatozoïdes mobiles trois à quatre mois après la vaccination. Cette baisse était encore de 19 % après cinq mois.

Les chercheurs reconnaissent que ces études, peu nombreuses et incomplètes, « ne sont pas suffisantes pour documenter un mécanisme d’émergence de cette baisse des naissances ».

Elles sont toutefois suffisantes pour suggérer que la vaccination des personnes qui veulent des enfants pourrait être reconsidérée. Compte tenu du faible risque de covid-19 dans cette population, de l’immunité naturelle dont jouissent la plupart des gens et de « l’ampleur inconnue des troubles de la fertilité, nous serions favorables à une recommandation immédiate à la population : les personnes qui veulent encore avoir des enfants devraient être conscientes de la possibilité d’un trouble de la fertilité… et s’abstenir de toute nouvelle vaccination jusqu’à ce que ce lien de causalité encore non élucidé ait été clarifié. »

Swissmedic n’était pas d’accord. Huit jours après la publication du rapport de naissance suisse, l’agence a catégoriquement rejeté ses conclusions dans une lettre adressée à Beck et Vernazza.

« Après avoir examiné attentivement le rapport, Swissmedic arrive à la conclusion que les données présentées et l’analyse ne peuvent pas prouver statistiquement un lien de causalité », peut-on lire.

Pays après pays, l’intervalle de neuf mois qui suit les campagnes de vaccination contre le covid (représenté mensuellement en haut) est suivi d’une baisse des naissances (en bas). L’intervalle est représenté par la ligne rouge entre les graphiques du haut et du bas. Les graphiques, en français, montrent, dans le sens des aiguilles d’une montre, à partir du haut et de la gauche, la Finlande, le Danemark, les Pays-Bas et l’Allemagne. (Source: « Déclin du taux de natalité en Europe », août 2022).

Neuf mois plus tard

Comme en Suisse, l’étude sur l’Europe, intitulée « Baisse de la natalité en Europe », a lié la baisse du nombre de naissances au déploiement des vaccins. « Un effet des vaccinations Covid 19 est évident au vu de la baisse globale des taux de natalité 9 mois après le début de la campagne de vaccination dans la tranche d’âge 18-49 ans », indique le rapport. « Ce phénomène est évident dans presque tous les pays ».

Raimund Hagemann, professeur de chimie à la retraite en Allemagne, a travaillé avec deux chercheurs partageant les mêmes idées pour assembler le rapport, qui fait partie des preuves dans le procès suisse. L’étude comprend quatre-vingt-neuf pages de compilations statistiques illustrées par des graphiques et annotées de références scientifiques.

Le groupe de Hagemann a indiqué que son analyse a donné une véritable garantie statistique d’exactitude sous la forme de valeurs p de 0,005 ou moins. En d’autres termes, il y avait moins de 1 chance sur 200 que le lien entre la hausse des niveaux de vaccination et la baisse des naissances soit erroné. Cela vaut pour l’analyse de l’Europe dans son ensemble et, individuellement, pour les pays suivants : Finlande, Suisse, Pays-Bas, Lettonie, Autriche, Allemagne et Lituanie.

M. Hagemann m’a dit qu’il avait obtenu des données sur les naissances à partir du système de déclaration statistique de chaque pays, qui était disponible jusqu’en 2022 pour toutes les nations sauf une poignée. Aux États-Unis, en revanche, il est inexplicablement difficile d’obtenir de telles données, même si des rapports anecdotiques font état de problèmes liés à la grossesse (dont je parlerai dans mon prochain article). Les Centers for Disease Control ne publient des données sur les naissances que jusqu’en 2020, tout comme mon État natal de New York. J’ai demandé par courriel au service de presse du CDC si des données plus récentes étaient disponibles, mais je n’ai reçu aucune réponse.

M. Hagemann partage la frustration de traiter avec des gouvernements qui n’ont aucun intérêt à critiquer les programmes de vaccination dont ils ont sans cesse vanté la sécurité, l’efficacité et, même, l’honorabilité. Pensez à ce qui pourrait être fait s’ils prenaient ces signaux au sérieux.

« Si des efforts sérieux étaient faits pour clarifier la situation », indique son rapport, « une coopération étroite entre les cliniques et les médecins spécialistes pourrait fournir des informations précieuses pour la réévaluation nécessaire et urgente de l’évaluation des risques et des avantages. » Or, cela « n’est manifestement pas souhaité sous la grande influence de la politique et de l’industrie pharmaceutique. »

En effet, le rejet par Swissmedic de tout lien entre l’effondrement des naissances et les vaccins était, de son propre aveu, étroitement lié au mouvement vaccinal international, et non à ce qui se passe dans son arrière-cour :

« Les résultats de la coopération internationale de Swissmedic avec d’autres autorités compétentes en matière de médicaments ont montré que dans aucun des pays étudiés, un signal concernant les vaccinations Covid-19 et une baisse de la natalité n’est vu ou évalué. »

Malgré la chute des naissances, l’Office Fédéral de la Santé Publique encourage toujours la vaccination contre le covid pendant la grossesse. (OFSP)

Premiers signes de problèmes

Des études jumelles menées en Allemagne, sur lesquelles j’ai déjà écrit, ont fourni un avertissement précoce des problèmes observés dans les maternités d’Europe. Leurs conclusions rejoignent celles des études plus récentes.

La première, publiée en ligne le 18 août, a établi un lien entre les campagnes de vaccination contre le covid et une autre tendance inquiétante, à savoir l’augmentation du nombre de décès inexpliqués non liés au covid. À l’instar de ce que d’autres chercheurs ont découvert depuis, l’étude a établi un lien étroit avec les injections d’ARNm – quatre vagues de décès en corrélation avec « la forte augmentation du nombre de vaccinations ».

Tout aussi inquiétante, l’étude, réalisée par un actuaire-mathématicien et un psychologue, a constaté une augmentation « soudaine et soutenue » des bébés mort-nés. « Au cours de l’année 2021, à partir du mois d’avril, on observe une surmortalité [mortinatalité] frappante », écrivent-ils.

Une deuxième étude, publiée début septembre par l’Institut Fédéral de Recherche sur la Population (allemand) et l’Université de Stockholm, intitulée  » Baisse de la fertilité vers la fin de la pandémie de COVID-19 : Preuves de la baisse des naissances en 2022 en Allemagne et en Suède « , fait état d’une baisse des naissances en Allemagne et en Suède de 14 et 10 % au début de 2022. L’étude a révélé une « forte association entre le début des programmes de vaccination et le déclin de la fertilité neuf mois après ce début ».

De manière significative, l’étude n’a trouvé aucune association statistique avec trois autres facteurs possibles: les infections covid, les décès covid et le chômage.

Malgré ces signaux d’alarme, l’Office Fédéral de la Santé Publique encourage toujours les femmes à se faire vacciner dans des publicités en français, allemand et anglais. Sur une photo de trois bras de femmes avec des pansements en forme de cœur, on peut lire: « OBTENEZ UNE MEILLEURE PROTECTION PENDANT LA GROSSESSE AVEC LE BOOSTER ». M. Beck a précisé que ces publicités paraissent dans les gares et les journaux.


Un article invité par
Mary Beth Pfeiffer
Je suis une journaliste d’investigation qui est scandalisée par l’échec abject du gouvernement à stopper le COVID-19 en le traitant à un stade précoce. La censure et la cupidité ont alimenté cette pandémie. Mes articles : https://www.thefirstepidemic.com/new-index

« Quotas » – par Catherine Austin Fitts.

J’avais promis une interview complète de Catherine Austin-Fitts, que j’aurai ou non le temps de transcrire/traduire. En voici toujours un court extrait.

Vous vous rappellerez peut-être que c’est exactement ce que je disais dans cet article de janvier.

Source.


Audio:

Je pense donc qu’il y a eu de grandes variations en fonction des lieux et des quartiers et si on observe l’augmentation actuelle de la mortalité toutes causes confondues, on constate que les augmentations de la mortalité toutes causes confondues sont très différentes d’un État à l’autre. Donc si je devais faire une supposition – et je ne fais que supposer – la seule chose que j’ai jamais vue qui pourrait expliquer ce phénomène est un système de quotas implémenté par un embargo sur le commerce et le crédit au niveau mondial, probablement par le biais du système de sécurité nationale, le Conseil de Sécurité Nationale à l’ONU, où chaque pays ou état reçoit un quota de réduction de sa population.

[…]

Si j’examine la situation en tant que banquier d’affaires, je me pose la question de quelle formule pourrait expliquer les schémas auxquels nous sommes confrontés. Ce à quoi nous sommes confrontés, c’est un système de quotas soutenu par l’armée, par des contrôles commerciaux et des contrôles de crédit, et c’est une dépopulation forcée. Voyez les premières indications des conséquences sur la fertilité des femmes et sur leur capacité à concevoir des bébés ou à donner naissance.

Le Dr Masanori Fukushima, Professeur Emérite japonais à l’Université de Kyoto, fait une déclaration explosive au sujet des vaccins Covid-19 et de la réponse de son gouvernement au Covid-19 – par Super Sally.

J’attendais de voir un médecin piquer une colère appropriée. Cette scène fut une expérience cathartique. Le mec est énervé, dans le genre énervé niveau génocide.

jacquelyn sauriol, Dec 1

Avant de commencer, permettez-moi d’expliquer une chose relativement méconnue en Occident, à propos de la colère des Orientaux, ces gens incroyablement polis et patients.

Ce qu’il faut en savoir, c’est qu’elle est très difficile à susciter, et impossible à arrêter.

Vous pouvez me croire, je suis à moitié oriental. Très peu de gens m’ont vu en colère mais tous s’en souviennent.

On n’avait jusqu’à présent vu personne faire de vagues depuis cette partie du monde. Comme vous le lirez, ce n’est pas une simple vague, c’est un tsunami et c’est un signe clair que quelque chose est en train de changer – vous pouvez me croire aussi sur ce point.

Je n’ai pas vérifié si quelqu’un s’était déjà tapé le boulot de sous-titrer la vidéo en français mais comme mes lecteurs le savent, vous pouvez faire confiance à ma traduction (voir note ci-dessus). Merci à Naked Emperor pour sa transcription en anglais, qui m’a fait gagner pas mal de temps. Et bien entendu, merci à Super Sally. J’ai également transcrit et traduit un autre extrait de l’allocution du Dr Fukushima, qui figure sous le premier extrait, en addendum.

Taquin, j’ai failli mettre comme titre « Fukushima explose » mais je me suis retenu à temps.

Note: Quelqu’un sur Substack a fait appel à un traducteur professionnel pour corriger la traduction initiale du japonais vers l’anglais. Devant le grand nombre de lecteurs de cet article, j’ai revu et corrigé ma traduction sur cette base le 12/06/24.

Addendum 17/02/23: la suite de cette histoire ici.

Source.


Le Dr Masanori Fukushima, Professeur Emérite japonais à l’Université de Kyoto, fait une déclaration explosive au sujet des vaccins Covid-19 et de la réponse de son gouvernement au Covid-19

Il s’adresse au monde entier: « ce vaccin a été scientifiquement mal conçu », « les dommages causés par les vaccins sont désormais un problème mondial », « des milliards de vies pourraient à terme être en danger »

Super Sally

1er décembre 2022

Un Professeur Emérite japonais, que l’on peut le voir sur Twitter, dénonce l’idiotie et la tragédie des vaccins en termes cinglants. Une carence scientifique totale! Le Dr Fukushima est Professeur Émérite à l’Université de Kyoto et Président du Translational Research Informatics Center. Voici 4:49 minutes de son allocution sur Rumble.

NdT. Cliquez sur la photo pour accéder à la vidéo sur Rumble.

Premièrement, le vaccin a été scientifiquement mal conçu. En 2020, j’ai immédiatement traduit les directives chinoises, dès qu’elles sont arrivées de Chine, sur manière la plus appropriée d’utiliser les stéroïdes. Je l’ai ensuite annoncé. Mais personne ne m’a entendu.

Mais les médecins japonais sont compétents, ils ont donc compris que les stéroïdes devaient être utilisés immédiatement et ont publié une directive vers le mois de juin. Le taux de mortalité a alors fortement diminué. C’était avant le vaccin. Donc, pour ce qui est de ce vaccin, les personnes qui en ont ordonné l’utilisation sans les connaissances académiques, cela constitue un péché. Les dommages causés par les vaccins sont désormais un problème mondial.

Dans un article publié récemment, de nombreuses personnes ayant reçu le vaccin ont été considérées comme ayant subi un préjudice généralisé, ce qui représente des milliards de vies qui pourraient être en danger.

Pour les agences de santé, les questions qui ont été présentées doivent être démontrées avec preuves à l’appui, afin que le Ministère de la Santé et du Travail n’ait pas à s’en préoccuper. Ou reconnaître que c’est le cas et agir en conséquence. Ensuite, pour chaque individu, ces informations doivent être largement diffusées, afin que tout le monde soit sur la même longueur d’onde d’un point de vue médical.

Cet article a été traduit et distribué à tout le monde, alors lisez-le attentivement!

Autre chose, après avoir reçu le vaccin, la moitié des décès étaient dus à des effets sur les nerfs et le cœur, parmi les causes de la mort. Vous comprenez, n’est-ce pas? Alpha, gamma, bêta, et faire tous ces trucs débiles en rassemblant des savants incompétents, en ignorant complètement la science et la médecine.

Cela ne peut plus se reproduire. Notre pays est un pays de science et de technologie. Ignorer la science et la médecine, éroder nos soins de santé, c’est un gâchis! Du rêve à la réalité, nous voyons combien de soins urgents nous avons reçus. Toutes les personnes qui ont reçu ce vaccin et dont la tension artérielle a augmenté, c’est à cause de ce vaccin. Près de 2 000 personnes, mais les décès réels sont, je crois, plusieurs fois supérieurs. La plupart ont perdu tout espoir. J’ai dit « perdu tout espoir »! Il se trouve que l’on a procédé à une autopsie et que l’on a soumis un article d’opinion, mais on n’y a pas touché! Qu’est-ce qu’ils font? Il n’y a aucune raison de cacher ces faits.

Les préjudices antérieurs causés par la médecine sont similaires. Il y a eu de grandes souffrances. Quoi qu’il en soit, nous devons éradiquer les souffrances causées par les médicaments. Ce pays a appris sa leçon sur les souffrances induites par les médicaments, et il est devenu ce pays.

Mais nous l’avons délibérément ignoré, pour dépenser des milliers de milliards de yens afin d’importer des vaccins. C’est pourquoi la situation s’est à peine stabilisée. L’année dernière, on pensait que l’utilisation des vaccins se généraliserait et que la pandémie prendrait fin grâce à eux – j’ai eu l’impression que c’était une chimère dans les revues spécialisées. C’est une idée fausse. Nous avons enfin commencé à le comprendre. De même, en ce qui concerne les nanoparticules… et… le danger qu’il y a à les envelopper dans des nanoparticules et à les injecter. Diverses cellules l’absorbent et se transforment. Nous le savons maintenant. Le mécanisme est clair.

Dissolvez immédiatement le Comité d’Evaluation et enquêtez sur tous les cas. Telle est la conclusion. Enquêtez sur tous les cas! Toutes les personnes qui ont reçu le vaccin se sont senties plus mal; que chacun prévienne les institutions médicales. Nous ne pouvons pas traîner les pieds. Les maladies cardiovasculaires, les maladies auto-immunes, la susceptibilité aux infections, tout cela se répercutera sur le cerveau. Les nanoparticules seront absorbées par le cerveau. Les scientifiques idiots diront: « Elles ne peuvent pas traverser la barrière sanguine, donc c’est bon. » J’ai envie de dire: « Vous devez être stupide. » L’immunité naturelle est supprimée. La raison pour laquelle le virus ne s’est pas propagé au Japon au début est que les Japonais ont des IgA (immunoglobuline A salivaire) dans leur salive et qu’ils ont une résistance au Corona. Cependant, à cause du vaccin, l’immunité naturelle a été supprimée. L’immunité naturelle a été supprimée, c’est pourquoi cela s’est produit. Le phénomène ne s’atténuera pas du tout. Il va se propager de plus en plus.

Avez-vous calculé le nombre de cas d’infection post-vaccinale? La plupart des personnes ont subi une infection post-vaccinale. Ce ne sont pas les personnes non vaccinées qui sont infectées. Ce sont les vaccinés qui s’infectent les uns les autres. Le Ministère de la Santé et du Travail a publié des données qui clarifient tout cela. J’en parlerai plus tard.

Il faut que tout le monde réagisse dès demain. Faites-en part aux journaux et à la presse, ainsi qu’aux membres de la Diète. [NdT. La Diète, c’est-à-dire le parlement japonais, est le plus haut organe de l’Etat et le seul à détenir le pouvoir législatif]

Les gens ont montré où ils avaient été vaccinés.

ADDENDUM

Pr Fukushima: Je dis donc qu’il faut enquêter! Se baser sur un bout de papier n’est pas correct. Il faut examiner les dossiers médicaux et enquêter correctement. Il n’y a aucun doute à ce sujet. Allons-nous faire de la science? Allons-nous essayer d’effacer des preuves? Faites ce qu’il faut, ou vous allez vous retrouver avec un procès criminel sur les bras. Trop c’est trop. Je ne veux pas en entendre parler. Personne ne sera convaincu par cela.

Membre du Ministère de la Santé: Bien sûr, il ne s’agit pas d’une évaluation pure et simple, mais…

Pr Fukushima: Il n’y a aucun moyen d’évaluer! Ce dont vous avez besoin, c’est de consulter correctement les dossiers médicaux – les données – et de les examiner minutieusement au cas par cas. La vie des gens est en jeu.

Membre du Ministère de la Santé: Oui Monsieur! Nous ferons tout notre possible.

Pr Fukushima: Espèce d’idiot! Assez, c’est assez.

Après avoir réuni les membres de l’académie et de la Diète, nous ne pouvons pas répéter ce genre de choses! Dès le départ, nous devons faire la lumière sur cette affaire grâce au pouvoir de la science. Cela signifie que vous devez dissoudre l’organisation stupide qu’est le Comité d’Evaluation de la Causalité des Vaccins. Créez un comité d’enquête chargé d’examiner tous les cas. Pour ce faire, il faut inclure des statisticiens et des chercheurs compétents. Ensuite, il faut mener les enquêtes. Comme l’a dit le Dr Sano, s’il y a des échantillons de tissus, quel type de procédure allons-nous suivre? Cette question fait déjà l’objet de recherches dans le monde entier. La restauration du Japon est en jeu.

On a vacciné beaucoup de monde. Et pourtant, seuls 10% des membres du Ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales qui dirigent la campagne de vaccination ont été vaccinés. Mais qu’est-ce que c’est que cette blague? Premièrement, il faut clarifier cette situation, dissoudre immédiatement le Comité d’Evaluation de la Causalité des Vaccins, et enquêter sur tous les cas. On doit identifier tous les décès et les décès non signalés. Des milliers, des dizaines de milliers de vies sont en jeu.

Encore une chose. Nous ne connaissons pas les effets à long terme de ce vaccin. De nombreuses nanoparticules absorbées par l’organisme produiront sans cesse des protéines de pointe. Les gens se demanderont pourquoi ils se sentent de plus en plus malades. Soudain, la situation s’aggrave. La tension artérielle monte en flèche sans crier gare. De l’eczéma sans crier gare. Lorsque nous enquêtons, nous trouvons des protéines de pointe. Mais à ce stade du diagnostic, la maladie est déjà passée à la phase suivante. Nous devons immédiatement arrêter les vaccinations et prendre soin de la santé de tous ces cas. C’est ce que dit cet article!

On fait appel à des gens incapables de comprendre correctement la science de pointe, et la presse montre aussi ces gens où ils répètent toujours la même chose. C’est de la bêtise! La bêtise en spectacle. Je ne suis pas ici pour le processus, patati et patata. Je suis ici aujourd’hui pour corriger les choses correctement. C’est pour cela que je suis ici.

FIN DE L’ADDENDUM

Cette biographie le présente comme un expert en maladies infectieuses. Il est oncologue et possède plus de 25 ans d’expérience. Il est amplement qualifié pour s’exprimer.

Le Dr Fukushima est Professeur Emérite à l’Université de Kyoto et Directeur et Président du Translational Research Informatics Center (TRI), Japon. Oncologue, il a plus de 25 ans d’expérience dans la pratique et la diffusion du traitement standard du cancer et dans la réforme du système de soins médicaux au Japon. Le Dr Fukushima contribue activement à la construction de l’infrastructure des essais cliniques, en mettant l’accent sur la recherche translationnelle. Il encourage l’utilisation des normes CDISC dans la recherche universitaire afin de parvenir à une normalisation complète et harmonisée des données. Le Dr Fukushima supervise également les programmes nationaux de promotion de la recherche translationnelle menés par le gouvernement japonais, qui ont conduit à la formation du Conseil des Organisations de Recherche Académique (ARO).

Les Japonais sont généralement considérés comme polis, réservés et discrets. Cela devrait rendre l’appel du Dr Fukushima d’autant plus frappant et convaincant.

Le Japon fait partie des nations les plus fortement vaccinées contre le virus Covid-19 dans le monde.

Cependant, le nombre de cas augmente à nouveau, ainsi que le nombre de décès. Ça n’a pas de sens si les vaccins sont efficaces. Il est clair qu’ils ne le sont pas!

Ensuite, on voit une montée en flèche et l’accélération de la surmortalité toutes causes confondues au Japon! Cela n’aurait pas dû se produire si ces produits étaient sûrs. Il est clair qu’ils ne le sont pas!

La croissance démographique négative antérieure sera aggravée et accélérée par les produits Covid-19.

Le Japon avait déjà une croissance démographique négative avant le Covid-19. Ajoutez à cela les crises cardiaques, les cancers, les accidents vasculaires cérébraux, la surmortalité, l’infertilité induite par les vaccins et les pertes de grossesse, entre autres événements indésirables. Cela pourrait être la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Le Japon est peut-être en voie d’extinction!

Le nombre de naissances au Japon atteint un nouveau plancher alors que la population diminue et vieillit

Le principal porte-parole du gouvernement japonais a déclaré lundi que le nombre de bébés nés cette année est inférieur au niveau plancher de l’année dernière.

Par MARI YAMAGUCHI Associated Press
28 novembre 2022, 11:32 AM

TOKYO — Le nombre de bébés nés au Japon cette année est inférieur au niveau plancher de l’année dernière, ce que le porte-parole du gouvernement a décrit comme une « situation critique ».

Le secrétaire en chef du Cabinet, Hirokazu Matsuno, a promis des mesures globales pour encourager les mariages et les naissances.

Le total de 599 636 Japonais nés entre janvier et septembre est inférieur de 4,9 % au chiffre de l’année dernière, ce qui laisse penser que le nombre de naissances pour l’ensemble de l’année 2022 pourrait être inférieur au chiffre plancher de 811 000 bébés enregistré l’année dernière, a-t-il déclaré.

Le Japon est la troisième plus grande économie du monde, mais le coût de la vie est élevé et les augmentations de salaire sont lentes. Le gouvernement conservateur a tardé à rendre la société plus inclusive pour les enfants, les femmes et les minorités.

Jusqu’à présent, les efforts du gouvernement pour encourager les gens à avoir plus de bébés ont eu un impact limité malgré le versement de subventions pour la grossesse, l’accouchement et les soins aux enfants.

« Le rythme est encore plus lent que l’année dernière […]. Je comprends que la situation est critique », a déclaré Matsuno.

De nombreux jeunes Japonais ont hésité à se marier ou à fonder une famille, découragés par les sombres perspectives d’emploi, les trajets pénibles et les cultures d’entreprise incompatibles avec le travail des deux parents.

Le nombre de naissances est en baisse depuis 1973, année où il a culminé à environ 2,1 millions. Il devrait tomber à 740 000 en 2040.

La population du Japon, qui compte plus de 125 millions d’habitants, est en baisse depuis 14 ans et devrait tomber à 86,7 millions en 2060. La diminution et le vieillissement de la population ont d’énormes répercussions sur l’économie et la sécurité nationale, car le pays renforce son armée pour contrer les ambitions territoriales de plus en plus affirmées de la Chine.

Le Dr Fukushima a absolument raison de dénoncer les vaccins et les conséquences de la pandémie, d’être livide! Son gouvernement doit y prêter attention! Nous devons y prêter attention! Tous les gouvernements qui ont forcé leur population à se faire vacciner sont confrontés aux mêmes conséquences et résultats. Ne pas écouter, c’est courir un grave danger!

S’il vous plaît, partagez!

Finalement, parlons un peu de la 5g.

Voici quelques extraits choisis d’un papier du Pr Martin Pall sur les dangers que pose la 5g pour la santé humaine, animale et des écosystèmes. Il date de 2018 et a été rédigé à l’intention de la Commission Européenne. Martin Pall est Professeur Émérite de biochimie et de sciences médicales fondamentales à l’Université de l’État de Washington. Soit dit en passant.

J’ai jusqu’à présent traité presque exclusivement des injections, et presque pas de la 5G – qu’on a accusé de tous les maux et surtout du Covid – pour deux raisons. La première est qu’il vaut mieux ne pas se jeter sur le buzz du moment, prendre un peu de recul et attendre que des études sérieuses soient menées. J’ai récemment commis l’erreur, on ne m’y reprendra pas. Le recul est pris, on en sait beaucoup plus sur le Covid et ce papier semble plutôt solide. La seconde raison est que les dangers de la 5g détaillés ici peuvent sembler comparativement moindres, voire triviaux, par rapport aux dommages des injections. Même si je ne tenais pas ce blog, parmi le très petit nombre de gens (injectés) que je rencontre, les histoires de cancers et même de problèmes génétiques sont, même si ça n’a pas valeur statistique, très élevées par rapport à ce que je voyais avant 2021. Un de mes collègues, qui se portait très bien il y a encore un an, décline de jour en jour, avec des symptômes extrêmement étranges. Face à ce sombre tableau, on serait donc tenté de relativiser les dangers de la 5g. Je voudrais donc préciser:

  • que même si les effets décrits ci-dessous, souvent comparables à ceux des injections, n’ont pas de rapport de causalité avec le Covid, il faut avouer qu’il y a au moins une convergence étonnante, qu’on trouve également avec certaines pollutions chimiques qui ont ce genre d’effets – je pense « programme »;
  • que même si plus de la moitié de la population mondiale n’a pas reçu d’injection, ils ne sont pas à l’abri de ceci;
  • que les risques de destruction de niches et zones écologiques entières par la 5G (ainsi que par la géoingénierie, que j’ai promis de traiter) représentent un danger très réel, et qu’ils sont l’oeuvre de ceux-là mêmes qui tentent nous vendre « l’urgence climatique ».

Le sujet est plus que jamais d’actualité pour l’Europe. Je vous conseille vivement la lecture de ce rapport édifiant (sélectionner « français » en haut de page) commandé par la Commission Européenne, qui vous donnera une bonne idée de la situation et de ce qui est recommandé par ses auteurs pour l’avenir proche. Notre avenir.

Comme le dit le Pr Pall, « Voilà le monde étrange dans lequel nous vivons. »

PS: après vérification, la Russie et la Chine n’ont quasiment pas de couverture 5G, comme je l’avais initialement publié. Autre bonne nouvelle (pour moi), même chose en Wallonie. Yay!

Source.


Traduction

[…]

Quels sont les effets produits par les expositions non thermiques aux CEM [champs électro-magnétiques] de fréquence micro-ondes, pour lesquels nous disposons d’une abondante littérature scientifique? Chacun des effets suivants a été documenté dans 11 à 35 études, énumérées à la fin du chapitre 1.

  1. Trois types d’attaques de l’ADN cellulaire, produisant des cassures simple brin dans l’ADN cellulaire, des cassures double brin dans l’ADN cellulaire et des bases oxydées dans l’ADN cellulaire. Chacune de ces modifications de l’ADN joue un rôle dans l’apparition du cancer et dans la production des mutations les plus importantes chez l’homme et les autres animaux. Les cassures de l’ADN double brin produisent des cassures chromosomiques, des réarrangements, des délétions et des duplications ainsi que des mutations du nombre de copies; elles produisent également une amplification génique, mécanisme important dans l’apparition du cancer. Les cassures d’ADN simple brin dans l’ADN cellulaire provoquent des événements de recombinaison aberrants conduisant à des mutations du nombre de copies. Les bases oxydées entraînent des mutations ponctuelles. Lorsque ces phénomènes se produisent dans des cellules somatiques, ils peuvent tous jouer un rôle dans l’apparition du cancer. Lorsqu’ils se produisent dans les cellules de la lignée germinale (et il a été démontré qu’ils se produisent dans le sperme après une exposition aux CEM), ils provoquent les trois types de mutations les plus importants pour les générations futures, à savoir les mutations chromosomiques, les mutations du nombre de copies et les mutations ponctuelles. (19 études différentes documentant ces types de dommages cellulaires à l’ADN)
  2. Une grande variété de changements entraînant une baisse de la fertilité masculine, une baisse de la fertilité féminine, une augmentation des avortements spontanés, une baisse des niveaux d’œstrogène, de progestérone et de testostérone, une baisse de la libido (16 études). Le nombre de spermatozoïdes humains a chuté à moins de 50% de ce qui était considéré comme normal dans tous les pays technologiquement avancés du monde [1]. Les taux de reproduction sont tombés en dessous des niveaux de remplacement dans tous les pays technologiquement avancés du monde, à une seule exception près. Il s’agit de tous les pays de l’UE, des États-Unis, du Canada, du Japon, de la Corée du Sud, de Taïwan, de Singapour, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande. Les moyennes de reproduction dans ces pays sont d’environ 73% des niveaux de remplacement selon les données de 2015 ou 2016. Une étude sur la reproduction des souris [2] a montré que l’exposition aux CEM des fréquences radio/micro-ondes à des doses bien inférieures à nos directives de sécurité actuelles produisait des diminutions substantielles de la reproduction en fonction de la dose dans la première série de portées; une exposition supplémentaire produisait une stérilité complète ou presque complète en fonction de la dose, qui s’est avérée largement irréversible. Lorsque nous sommes en présence d’une technologie universellement présente dans ces pays technologiquement avancés, que nous savons qu’elle a un impact sur la reproduction, que la reproduction a déjà chuté bien en dessous des niveaux de remplacement, que nous pourrions être confrontés à un déclin catastrophique et irréversible de la reproduction et qu’il existe de plus en plus de programmes visant à nous exposer encore davantage, ne pensez-vous pas que nous devrions tenir compte de la science? M. Ryan et le Dr Vinci semblent répondre par la négative. (Veuillez noter que la FCC et la FDA américaines ignorent aussi complètement cette menace existentielle).
  3. Effets neurologiques/neuropsychiatriques (23 études). Mon propre article sur ce sujet [3] et deux articles antérieurs cités dans celui-ci ont montré qu’il existe toute une série d’effets des CEM qui ont été constatés à plusieurs reprises et qui sont également devenus des affections extrêmement répandues dans nos sociétés technologiquement avancées, à savoir: troubles du sommeil/insomnie; fatigue/épuisement; maux de tête; dépression/symptômes dépressifs; manque de concentration/attention/dysfonctionnement cognitif; étourdissements/vertiges; troubles de la mémoire; agitation/tension/anxiété/stress/agitation; irritabilité. Ces conclusions ne sont pas seulement basées sur des résultats épidémiologiques, mais aussi sur les impacts profonds des CEM, à des niveaux bien en deçà de nos directives de sécurité, sur la structure et la fonction du cerveau, ainsi que sur le mécanisme d’action non thermique des CEM discuté ci-dessous. Lorsque ces effets neuropsychiatriques deviennent de plus en plus courants dans les sociétés technologiquement avancées du monde entier, et que nous savons que l’exposition aux CEM provoque chacun de ces effets, ne devrions-nous pas prendre note de cette relation?
  4. Apoptose/mortalité cellulaire (13 études). Les deux conséquences les plus importantes d’une forte augmentation de l’apoptose (mort cellulaire programmée) sont la causalité des maladies neurodégénératives et la baisse de la reproduction, mais il y en a d’autres.
  5. Stress oxydatif/dommages causés par les radicaux libres (17 commentaires). Le stress oxydatif joue un rôle dans toutes ou presque toutes les maladies chroniques. Il aurait un rôle essentiel dans la production des effets sur la reproduction et des attaques sur l’ADN cellulaire, et pourrait également jouer un rôle dans la production des effets neurologiques et de certains des effets cancérigènes dont on sait qu’ils sont produits par les expositions aux CEM.
  6. Effets endocriniens (c’est-à-dire hormonaux) généralisés (11 études). Les niveaux d’hormones stéroïdes chutent lors de l’exposition aux CEM, tandis que les niveaux d’autres hormones augmentent lors de l’exposition initiale. Les taux d’hormones neuroendocriniennes et d’insuline diminuent souvent lors d’une exposition prolongée aux CEM, peut-être en raison d’un épuisement endocrinien.
  7. Augmentation des niveaux de calcium intracellulaire ([Ca2+]i) après une exposition aux CEM (14 études). La signalisation calcique augmente également après une exposition aux CEM.
  8. Cancérogénicité (35 études). Le cancer du cerveau, le cancer de la salive, les neurinomes acoustiques et deux autres types de cancer augmentent avec l’utilisation du téléphone cellulaire. Les personnes vivant près des tours de téléphonie cellulaire ont des taux de cancer plus élevés. D’autres types de CEM sont également impliqués. La radio à ondes courtes, les opérateurs de radioamateurs et les personnes exposées aux radars auraient tous une incidence accrue de cancer. Ce qui est peut-être le plus révélateur, c’est que les gros utilisateurs de téléphones cellulaires à long terme ont la plus forte incidence de cancer du cerveau et que le nombre de cancers augmente principalement du côté ipsilatéral de la tête (le côté où ils utilisent leurs téléphones cellulaires), par opposition au côté controlatéral. J’ai un article sous presse [7], dont le propos n’est pas de savoir si les CEM provoquent le cancer, mais plutôt comment ils peuvent le provoquer. L’article montre que les « effets en aval » de la cible principale des CEM dans les cellules de notre corps peuvent provoquer le cancer de 15 façons différentes, notamment en augmentant l’initiation, la promotion et la progression du cancer. Les effets de progression comprennent l’invasion des tissus et les métastases. Chacun de ces effets cancérigènes est provoqué par des mécanismes produits par les effets en aval du principal mécanisme des CEM non thermiques, comme indiqué au chapitre 2.
  9. Effets thérapeutiques de ces CEM. De tels CEM, lorsqu’ils sont concentrés sur une région spécifique du corps où se produit un certain dysfonctionnement et lorsqu’ils sont utilisés à des intensités spécifiques, peuvent avoir des effets thérapeutiques. Dans mon article de 2013 [4], j’ai cité 12 revues différentes où la stimulation de la croissance osseuse par les CEM a été utilisée à des fins thérapeutiques. Il existe environ 4000 articles sur les différents effets thérapeutiques. Étrangement, l’industrie des télécommunications ne reconnaît pas ces effets thérapeutiques, préférant soutenir la fiction qu’il existe aucun effet non thermique.

Il existe une autre série d’études, 12 dans ce cas, dont chacune montre que les CEM pulsés sont, dans la plupart des cas, beaucoup plus actifs biologiquement que les CEM non pulsés. Ce point est particulièrement important car tous les appareils de communication sans fil communiquent par pulsations, ce qui les rend potentiellement beaucoup plus dangereux. Il s’ensuit que si on souhaite étudier les effets du Wi-Fi, des téléphones cellulaires, des téléphones sans fil, des tours de téléphonie cellulaire, des compteurs intelligents ou de la 5G, il vaut mieux étudier le matériel existant, ou du moins un matériel dont les pulsations ressemblent beaucoup à celles du matériel existant. Il existe de nombreuses études qui ne le font pas, mais qui prétendent faussement être de véritables études sur le Wi-Fi, les téléphones cellulaires ou les téléphones sans fil. D’autres facteurs influencent l’apparition d’effets non thermiques des CEM, notamment la fréquence utilisée, la polarisation des CEM et le type de cellule étudié [4,5,8-11]. En outre, il existe des « fenêtres » d’intensité qui produisent des effets biologiques maximaux, de sorte que des intensités plus faibles et plus élevées produisent beaucoup moins d’effets [5, 8, 9]. Ces études sur l’effet de fenêtre montrent clairement que les courbes dose-réponse sont à la fois non linéaires et non monotones, de sorte qu’il est difficile, voire impossible, de prédire les effets sur la base de l’intensité relative, même lorsque tous les autres facteurs sont identiques. Le rôle de chacun de ces facteurs est complètement ignoré par l’ICNIRP, le SCENIHR, la FCC, la FDA et le National Cancer Institute des États-Unis, ainsi que par de nombreux autres groupes favorables à l’industrie. Lorsque chacune de ces organisations conclut que « les résultats sont incohérents », elles comparent des études sur la base de similitudes superficielles, mais pas sur la base de ces facteurs de causalité démontrés. Ce que l’on observe, par conséquent, c’est une véritable hétérogénéité biologique, et non une incohérence. On sait depuis le début de la science moderne, au XVIe siècle, que la façon dont on mène les études est importante pour déterminer les résultats obtenus. Comment est-il possible que l’ICNIRP, le SCENIHR, la FCC, la FDA et le National Cancer Institute des États-Unis aient oublié ce fait important?

Les études de la littérature primaire démontrant les rôles de la pulsation, de la fréquence, de la polarisation, du type de cellule et des fenêtres d’intensité dans la détermination des effets biologiques dépendent entièrement de la présence d’effets réels à étudier. Aucune de ces études n’aurait pu être réalisée sans un effet à étudier. Par conséquent, les affirmations selon lesquelles il n’existe pas d’effets bien documentés des CEM sont absurdes, si l’on se base non seulement sur les huit effets extrêmement bien documentés résumés ci-dessus, mais aussi sur l’ensemble de la littérature démontrant le rôle des fenêtres de pulsation, de fréquence, de polarisation, de type de cellule et d’intensité.

[…]

Nous avons déjà abordé deux questions essentielles pour la compréhension de la 5G. La première est que les CEM pulsés sont, dans la plupart des cas, beaucoup plus actifs biologiquement que les CEM non pulsés (souvent appelés ondes continues). La seconde est que les CEM agissent en exerçant des forces sur le capteur de tension des CCDV (canaux calciques dépendants du voltage), ouvrant ces canaux calciques et permettant aux ions calcium en excès de pénétrer dans la cellule. Le capteur de tension est extraordinairement sensible à ces forces électriques, de sorte que les directives de sécurité nous autorisent à être exposés à des CEM qui sont environ 7,2 millions de fois trop élevés.

La raison pour laquelle l’industrie a décidé de passer aux fréquences extrêmement élevées de la 5G est qu’avec de telles fréquences extrêmement élevées, il est possible de transporter beaucoup plus d’informations par le biais de beaucoup plus de pulsations qu’il n’est possible de le faire avec des fréquences plus basses, même dans la gamme des micro-ondes. Nous pouvons donc être assurés que la 5G impliquera beaucoup plus de pulsations que les CEM auxquels nous sommes actuellement exposés. Il s’ensuit que tout test de sécurité biologique de la 5G doit utiliser les pulsations très rapides, y compris les pics à très court terme, qui seront présents dans la véritable 5G. Il existe un autre procédé qu’il est prévu d’utiliser dans la 5G: les réseaux à commande de phase (https://en.wikipedia.org/wiki/Phased_array). Dans ce cas, plusieurs éléments d’antenne agissent ensemble pour produire des champs fortement pulsés qui sont conçus pour la 5G, afin de produire une pénétration accrue. La 5G implique l’utilisation de pulsations particulièrement puissantes, qui peuvent donc être particulièrement dangereuses.

Les seules données dont nous disposons, à ma connaissance, utilisent des CEM non pulsés dans la gamme de fréquences de la 5G, et non de la véritable 5G. Ces données ne nous apprennent presque rien d’utile sur la 5G. D’après leurs déclarations, j’en déduis que M. Ryan et le Dr Vinci sont prêts à déployer des dizaines de millions d’antennes 5G afin d’infliger à chaque personne de l’UE des radiations 5G sans même un seul test biologique de sécurité de la véritable 5G. (Remarque: la FCC a adopté une position identique dans certaines parties des États-Unis où des antennes 5G sont déjà installées). Dans un monde où les comportements choquants sont de moins en moins considérés comme choquants, je considère leur point de vue comme véritablement choquant. La situation aux États-Unis relève de la folie collective. J’aurais espéré que les Européens, qui se considèrent comme beaucoup plus réfléchis que les Américains, auraient été effectivement plus réfléchis.

Pourquoi la 5G nécessite-t-elle un si grand nombre d’antennes? C’est parce que le rayonnement 5G est beaucoup plus absorbé lors de son passage dans divers matériaux. L’approche retenue consiste à utiliser beaucoup plus d’antennes, avec une antenne toutes les quelques maisons, de sorte que la 5G puisse suffisamment pénétrer les murs locaux. Une telle absorption implique généralement l’interaction avec des groupes chargés électriquement, de sorte que cette absorption est susceptible d’impliquer l’application de forces sur des groupes chargés électriquement. Comme ces forces sont le moyen par lequel les CEM activent les CCDV, il semble donc très probable que le rayonnement 5G sera particulièrement actif dans l’activation des CCDV.

En résumé, la 5G devrait donc être particulièrement dangereuse pour quatre raisons différentes: 1. Le nombre extraordinairement élevé d’antennes prévues. 2. Les puissances énergétiques très élevées qui seront utilisées pour assurer la pénétration. 3. Les niveaux de pulsation extraordinairement élevés. 4. Les interactions apparentes de haut niveau de la fréquence 5G sur les groupes chargés, y compris vraisemblablement les groupes chargés des capteurs de tension.

L’industrie des télécommunications affirme que le rayonnement 5G sera principalement absorbé dans les 1 ou 2 mm extérieurs du corps, de sorte que nous n’avons pas à nous inquiéter de ses effets. Il y a une part de vérité dans cette affirmation, mais il y a aussi des réserves qui rendent toute conclusion tirée de cette affirmation beaucoup plus suspecte. Quoi qu’il en soit, ces effets de surface de la 5G auront un impact particulièrement fort sur les organismes dont le rapport surface/volume est beaucoup plus élevé. Par conséquent, je prédis que de nombreux organismes seront beaucoup plus touchés que nous. Cela inclut les insectes et autres arthropodes, les oiseaux, les petits mammifères et les amphibiens. Cela inclut les plantes et même les grands arbres, car les arbres ont des feuilles et des organes reproducteurs qui sont très exposés. Je prédis qu’il y aura des catastrophes écologiques majeures en conséquence de la 5G. Il s’agira notamment de vastes conflagrations, car les expositions aux CEM rendent les plantes beaucoup plus inflammables.

Mais revenons à l’homme. L’industrie a également affirmé que les CEM à fréquence micro-ondes plus conventionnels ont un effet limité au centimètre extérieur du corps. Nous savons cependant que ce n’est pas vrai, en raison des effets en profondeur dans le cerveau humain, sur le cœur et sur les systèmes hormonaux. Les deux études les plus importantes démontrant les effets en profondeur du corps sont sans doute celles du professeur Hässig et de ses collègues en Suisse sur la formation de cataractes chez les veaux [112,113]. Ces deux études montrent clairement que lorsque des vaches gestantes paissent à proximité de stations de base de téléphonie mobile (parfois appelées tours de téléphonie mobile), les veaux naissent avec une incidence de cataractes très fortement accrue. Il découle de ces résultats que, malgré le fait que les fœtus en développement se trouvent très profondément dans le corps de la mère et devraient être hautement protégés des expositions aux CEM, ce n’est pas le cas. Et comme les directives de sécurité relatives aux CEM en Suisse sont 100 fois plus strictes que celles en vigueur dans la plupart des autres pays d’Europe, les directives de sécurité plus générales permettent des expositions largement supérieures. Les affirmations de l’industrie selon lesquelles les CEM de fréquence micro-ondes n’agissent que sur le centimètre extérieur du corps sont clairement fausses.

Comment alors les CEM conventionnels à fréquence micro-ondes et le rayonnement 5G peuvent-ils agir en profondeur dans le corps? On observera à juste titre que les effets électriques des CEM activent le capteur de tension et que les forces électriques directes sont rapidement atténuées dans le corps. Alors comment peut-il y avoir des effets profonds? Je pense que la réponse réside dans le fait que les composantes magnétiques des CEM sont connues depuis des décennies pour pénétrer beaucoup plus profondément que les composantes électriques. Les champs magnétiques exercent des forces sur les groupes mobiles chargés d’électricité dissous dans les phases aqueuses du corps et de petits mouvements individuels des groupes chargés peuvent régénérer des champs électriques qui sont essentiellement identiques aux champs électriques des CEM originaux, portant la même fréquence et le même modèle de pulsation, bien qu’avec une intensité plus faible. Un exemple de ce phénomène est donné dans l’étude de Lu et Ueno [114]. Étant donné que le capteur de tension est si étonnamment sensible aux forces électriques et que cela s’explique en partie par le niveau très élevé d’amplification du champ électrique à travers la membrane plasmique, notre organisme dispose d’un moyen presque parfait pour produire des effets de CEM en profondeur.

[…]

La question qui se pose maintenant est celle de la 5G. Il existe de fortes suspicions de risques similaires ou plus graves que ceux énumérés ci-dessus, mais nous ne disposons d’aucun test de sécurité biologique sur les véritables radiations 5G. Par conséquent, nous ne disposons d’aucune analyse ou gestion des risques, car nous ne disposons d’aucune évaluation des risques concernant la 5G. Nous voyons donc le Dr Vinci soutenir que la demande d’application du principe de précaution est prématurée. Mais ce n’est pas la demande d’utilisation du principe de précaution qui est prématurée, c’est l’affirmation de la Commission selon laquelle elle a effectué l’analyse et l’évaluation des risques requises. Voilà le monde bizarre dans lequel nous vivons.

Permettez-moi de conclure comme suit. À certains moments de notre histoire, des personnes ont tenu tête à de puissantes forces destructrices contre des obstacles qui semblaient souvent insurmontables. Ces personnes sont LES personnes les plus honorées de notre histoire. Ceux qui n’ont pas réussi à le faire sont parmi les personnes les plus méprisées de notre histoire. Je ne suis pas du tout sûr qu’il y aura des historiens pour nous chroniquer dans 100 ans ou même dans 30 ans, étant donné la direction que nous suivons. Mais si c’est le cas, soyez assurés que c’est sur la base de ces critères que vous serez jugés.


Texte original

[…]

What are the effects produced by non-thermal exposures to microwave frequency EMFs, where we have anextensive scientific literature? Each of the following effects has been documented in from 11 to 35reviews, listed at the end of Chapter 1.

  1. Three types of cellular DNA attacks, producing single strand breaks in the cellular DNA, doublestrand breaks in cellular DNA and oxidized bases in cellular DNA. Each of these DNA changes have roles in cancer causation and in producing the most important mutational changes in humans and other animals. Double stranded DNA breaks produce chromosomal breaks, rearrangements, deletions and duplications and copy number mutations; they also produce gene amplification, an important mechanism in cancer causation. Single strand breaks in cellular DNA cause aberrant recombination events leading to copy number mutations. Oxidized bases leading to point mutations. When these occur in somatic cells, they can each have roles in causing cancer. When these occur in germ line cells (and they have be shown to occur in sperm following EMF exposures), they cause the three most important types of mutations in future generations, chromosomal mutations, copy number mutations and point mutations. (19 different reviews documenting these types of cellular DNA damage)
  2. A wide variety of changes leading to lowered male fertility, lowered female fertility, increased spontaneous abortion, lowered levels of estrogen, progesterone and testosterone, lowered libido (16 reviews). Human sperm count has dropped to below 50% of what used to be considered normal throughout the technologically advanced countries of the world [1]. Reproductive rates have fallen below replacement levels in every technologically advanced country of the world, with a single exception. These include every EU country, the U.S., Canada, Japan, South Korea, Taiwan, Singapore, Australia and New Zealand. Reproduction averages in these countries is about 73% of replacement levels according to 2015 or 2016 data. A study on mouse reproduction [2] showed that radio/microwave frequency EMF exposure at doses well within our current safety guidelines produced substantial dose-dependent decreases in reproduction within the first set of litters; further exposure produced dose-dependent complete or almost complete sterility that was found to be largely irreversible. When we have a technology that is universally present in these technologically advanced countries, that we know impacts reproduction, and reproduction has already dropped well below replacement levels, and we may be facing a catastrophic and irreversible decline in reproduction and there are more and more plans to expose us still further, don’t you think that we should take note of the science? Mr. Ryan and Dr. Vinci nas seem to beū saying not at all. (Please note that the U.S. FCC and FDA also completely ignore this existential threat)
  3. Neurological/neuropsychiatric effects (23 reviews). My own paper on this [3] and two earlier reviews cited in it found that there are whole series of repeatedly found EMF effects which have also become extremely widespread complaints in our technologically advanced societies, namely: sleep disturbance/insomnia; fatigue/tiredness; headache; depression/depressive symptoms; lack of concentration/attention/cognitive dysfunction; dizziness/vertigo; memory changes; restlessness/tension/anxiety/stress/agitation; irritability. These findings are not just based on 2epidemiological findings but are also based on profound impacts of EMFs, at levels well within our safety guidelines, on brain structure and function and also on the mechanism of non-thermal EMF action discussed below. When we have these neuropsychiatric effects becoming more and more common in technologically advanced societies all over the world, and we know each of these is caused EMF exposures, shouldn’t we take note of this relationship?
  4. Apoptosis/cell death (13 reviews). The two most important consequences of large increases in apoptosis (programmed cell death) are in causation of the neurodegenerative diseases and lowered reproduction although there are others.
  5. Oxidative stress/free radical damage (17 reviews). Oxidative stress has roles in all or almost all chronic diseases. It is reported to have essential roles in producing the reproductive effects and the attacks on cellular DNA and may also have roles in producing the neurological effects and some of the cancer-causing effects shown to be produced here by EMF exposures.
  6. Widespread endocrine (that is hormonal) effects (11 reviews). The steroid hormone levels drop with EMF exposure, whereas other hormone levels increase with initial exposure. The neuroendocrine hormones and insulin levels often drop with prolonged EMF exposure, possibly due to endocrine exhaustion.
  7. Increases in intracellular calcium ([Ca2+]i) levels following EMF exposure (14 reviews). Calcium signaling also increases following EMF exposure.
  8. Cancer causation (35 reviews). Brain cancer, salivary cancer, acoustic neuromas and two other types of cancer go up with cell phone use. People living near cell phone towers have increased cancer rates. Other types of EMFs are also implicated. Short wave radio, radio ham operators and people exposed to radar all are reported to have increased cancer incidence. Perhaps most telling, heavy-long term cell phone users have the highest incidence of brain cancer and have predominantly cancer increases on the ipsilateral side of the head (the side they use their cell phones), as opposed to the contralateral side. I have an in press paper [7], focused not on whether EMFs cause cancer but rather on how they can cause cancer. The paper shows that « downstream effects » of the main target of the EMFs in the cells of our bodies, can cause cancer in 15 different ways, including increases in cancer initiation, promotion and progression. Progression effects include both tissue invasion and metastasis. Each of these cancer causation effects are caused via mechanisms produced by downstream effects of the main non-thermal EMF mechanism, as discussed in Chapter 2.


Therapeutic effects of such EMFs. Such EMFs when focused on a specific region of the body where there is some dysfunction and when used at specific intensities, can have therapeutic effects. In my 2013 paper [4], I cited 12 different reviews where EMF stimulation of bone growth was used therapeutically. There are something like 4000 papers on various therapeutic effects. Strangely, the telecommunications industry does not acknowledge these therapeutic effects, preferring rather to maintain the fiction that there are no non-thermal effects.

[…]

There is another set of reviews, 12 in this case, with each showing that pulsed EMFs are, in most cases, much more biologically active than are non-pulsed EMFs. This is particularly important because all wireless communication devices communicate via pulsations, making them potentially much more dangerous. It follows from this that if you wish to study the effects of Wi-Fi, cell phones, cordless phones, cell phone towers, smart meters or 5G, you had better study the real thing or at least something that pulses very much like the real thing. There are many studies that don’t do this, but falsely claim to be genuine Wi-Fi, cell phone or cordless phone studies. Other factors that influence the occurrence of non-thermal EMF effects include the frequency being used, the polarization of the EMFs and the cell type being studied [4,5,8-11]. Furthermore there are intensity “windows” that produce maximum biological effects, such that both lower and higher intensities produce much less effect [5,8,9]. These window effect studies clearly show that dose-response curves are both non-linear and non-monotone, such that it is difficult or impossible to predict effects based on relative intensity even when all other factors are the same. The role of each of these factors is completely ignored by ICNIRP, SCENIHR, the U.S. FCC, FDA and National Cancer Institute as well as by many other industry-friendly groups. When each of these organizations concludes that “results are inconsistent” they are comparing studies based on superficial similarities but not on these demonstrated causal factors. What is being observed, therefore, is genuine biological heterogeneity, not inconsistency. It has been known since the beginning of modern science in the 16th century that how you do your studies is important in determining what results are obtained. How is it possible that ICNIRP, SCENIHR, the U.S. FCC, FDA and National Cancer Institute have forgotten this important fact?

The primary literature studies demonstrating roles of pulsation, frequency, polarization, cell type and intensity windows in determining biological effects are entirely dependent on having genuine effects to study. None of these studies could have been done without an effect to study. Consequently, the claims that there are no well-documented EMF effects are nonsense, based not only on the eight extremely well-documented effects summarized above, but also on the entire literature demonstrating the role of pulsation,frequency, polarization, cell type and intensity windows.

[…]

We have already discussed two issues that are essential to understanding 5G. One is that pulsed EMFs are, in most cases, much more biologically active than are non-pulsed (often called continuous wave) EMFs. A second is that the EMFs act by putting forces on the voltage sensor of the VGCCs, opening these calcium 45channels and allowing excessive calcium ions to flow into the cell. The voltage sensor is extraordinarily sensitive to those electrical forces, such that the safety guidelines are allowing us to be exposed to EMFs that are something like 7.2 million times too high.

The reason that the industry has decided to go to the extremely high frequencies of 5G is that with such extremely high frequencies, it is possible to carry much more information via much more pulsation than it is possible to carry with lower frequencies even in the microwave range. We can be assured, therefore, that 5G will involve vastly more pulsation than do EMFs that we are currently exposed to. It follows from that, that any biological safety test of 5G must use the very rapid pulsations including whatever very short term spikes may be present, that are to be present in genuine 5G. There is an additional process that is planned to be used in 5G: phased arrays (https://en.wikipedia.org/wiki/Phased_array). Here multiple antenna elements act together to produce highly pulsed fields which are designed for 5G, to produce increased penetration. 5G will entail particularly powerful pulsations to be used, which may, therefore, be particularly hazardous.

The only data we have, to my knowledge, used non-pulsed EMFs in the frequency range of 5G, not genuine 5G. Any such data tells us almost nothing useful about 5G. I take it that from their statements, that both Mr. Ryan and Dr. Vinci nas are ready to put out 10s of millions of 5G antennae to afflict every single person in the EU with 5G radiation without even a single biological test of safety of genuine 5G. (Note: the FCC has taken an identical position’ in parts of the U.S. 5G antennae are already being installed). In a world where shocking behavior has become less and less shocking, I consider their views to be genuinely shocking. The U.S. situation is mass insanity. I would have hoped that the Europeans, who think of themselves as being much more thoughtful than Americans, would have been genuinely more thoughtful.

Why does 5G need such high numbers of antennae? It is because the 5G radiation is much more absorbed as it enters various materials. The approach is to use many more antennae with one found every few houses, such that 5G can sufficiently penetrate local walls. Such absorption usually involves the interaction with electrically charged groups, such that such absorption is likely to involve placing forces on electrically charged groups. Because such forces are the way in which EMFs activate the VGCCs, it seems highly likely, therefore, that 5G radiation will be particularly active in VGCC activation.

In summary, then, 5G is predicted to be particularly dangerous for each of four different reasons: 1. The extraordinarily high numbers of antennae that are planned. 2. The very high energy outputs which will be used to ensure penetration. 3. The extraordinarily high pulsation levels. 4. The apparent high level interactions of the 5G frequency on charged groups presumably including the voltage sensor charged groups.

Now what the telecommunications industry argues is that 5G radiation will be mostly absorbed in the outer 1 or 2 mm of the body, such that they claim that we don’t have to worry about the effects. There is some truth to that, but there are also some caveats that make any conclusions made from that, much more suspect. In any case, these surface effects of 5G will have especially strongly impact organisms with much higher surface to volume ratios. Consequently, I predict that many organisms will be much more impacted than we will. This includes insects and other arthropods, birds and small mammals and amphibia. It includes plants and even large trees, because trees have leaves and reproductive organs that are highly exposed. I predict there will be major ecological disasters as a consequence of 5G. This will include vast conflagrations because EMF exposures make plants much more flammable.

But let’s get back to humans. The industry has also made claims that more conventional microwave frequency EMFs are limited in effect to the outer 1 cm of the body. We know that is not true, however because of the effects deep in the human brain, on the heart and on hormone systems. Perhaps the most important two studies demonstrating effects deep within the body are the studies of Professor Hässig and his colleagues in Switzerland on cataract formation in calves [112,113]. These two studies clearly show that when pregnant cows are grazing near mobile phone base stations (sometimes called cell phone towers), the calves are born with very greatly increased incidences of cataracts. It follows from these findings that even though the developing fetuses are very deep in the body of the mother and should be highly protected from the EMF exposures, they are not so protected. And because the EMF safety guidelines in Switzerland are 100 times more stringent than are the safety guidelines in most of the rest of Europe, the more general safety guidelines allow greatly excessive exposures. The claims of industry that microwave frequency EMFs only act in the outer centimeter of the body are clearly false.

How then can both conventional microwave frequency EMFs and 5G radiation act deeply within the body? You may correctly observe that the electrical effects of the EMFs activate the voltage sensor and that the direct electrical forces are rapidly attenuated in the body. So how can we get deep effects? I think the answer is that the magnetic parts of the EMFs have been known for decades to penetrate much more deeply than do the electrical parts. The magnetic fields put forces on mobile electrically charged groups dissolved in the aqueous phases of the body and small individual movements of the charged groups can regenerate electric fields that are essentially identical to the electric fields of the original EMFs, carrying the same frequency and same pulsation pattern, although with lower intensity. An example of this is given in the Lu and Ueno [114] study. Because the voltage sensor is so stunningly sensitive to electrical forces and part of the reason for that is the very high level of amplification of the electrical field across the plasma membrane, we have an almost perfect way in which to produce EMF effects deeply within our bodies.

[…]

The question now is what about 5G? Here we have strong suspicions of similar or more severe risk than those listed immediately above but we have no biological safety testing of genuine 5G radiation. Therefore, we have no risk analysis or risk management because we have no risk assessment whatsoever on 5G. So here we have Dr. Vinci arguing that the request for precautionary principle application is premature. But it is not the request for the use of the precautionary principle that is premature, it is the Commission’s claim that it has done the required risk analysis and risk assessment. This is the bizarre world that we live in.

Let me close, as follows. There have been certain points in our history where people have stood up to strong destructive forces against what often appeared to be insurmountable odds. Those people are THE most honored people in our history. The people who failed to do so are among the most despised people in our history. I am not at all sure we will have historians to record us 100 years from now or even 30 years from now, given the direction in which we are heading. But if we do, rest assured that these are the standards by which you will be judged

Nouvelles données en provenance d’Allemagne: Les naissances et même les avortements sont en baisse! – par Igor Chudov.

Au cas où il subsiterait encore le moindre doute…

Source.


Traduction

Nouvelles données en provenance d’Allemagne: Les naissances et même les avortements sont en baisse!

Les grossesses accidentelles sont un indicateur de fertilité indépendant

igor Chudov

18 juillet

Il y a trois semaines, j’ai écrit un article sur l’Allemagne [NdT. ma traduction ici], mettant en évidence une baisse très importante et constante des naissances depuis janvier de cette année, soit 9 mois après le début de la vaccination des jeunes, jusqu’en mars.

Depuis, j’ai trouvé d’autres données concernant l’Allemagne:

  • Arkmedic a signalé que les naissances d’avril sont disponibles (lisez son article!)
  • J’ai trouvé des données sur les AVORTEMENTS en 2021 en Allemagne, qui montrent également une baisse inhabituellement importante des avortements (grossesses accidentelles). Les données sur les avortements sont une confirmation totalement indépendante de la baisse de la fertilité des Allemands.

Naissances

Nous avons de nouvelles données pour le mois d’avril – les naissances ont chuté de 12% en 2022, par rapport au mois d’avril de 2021.

Avant d’aller plus loin, je dois rappeler à mes lecteurs que les taux de natalité sont toujours saisonniers! La plupart des parents préfèrent faire un « bébé de printemps », ce qui finit souvent par les amener à faire un « bébé d’été », car la conception prend plus de temps que prévu. Par conséquent, ne comparez jamais des mois adjacents car il est garanti qu’ils présentent des changements spectaculaires qui sont simplement liés à la saisonnalité, avec des différences très reproductibles au fil des ans. Ne comparez que les mois d’une année avec les mêmes mois d’une autre année, s’il vous plaît.

Les données proviennent du Bureau Allemand des Statistiques. (si ce lien ne vous amène pas à la page exacte, sélectionnez « population » et descendez jusqu’à « naissances »). Il s’agit de changements d’une année à l’autre. (D’avril à avril, par exemple) Je l’ai résumé pour vous:

Vous pouvez constater que les naissances ont soudainement commencé à chuter en décembre 2021, passant de +5% en novembre à 1% en décembre, puis à -10% en janvier et -13,28% en février. La soudaineté et l’ampleur de cette chute sont sans précédent.

Les données d’avril ont confirmé que la réduction du taux de natalité au cours des trois premiers mois n’est pas un hasard et se poursuit pour le quatrième mois.

Avortements

La question de l’avortement est un sujet très sensible pour beaucoup de personnes. Je comprends. Je vous demande de mettre vos sentiments en suspens pendant un moment et de considérer les avortements comme le ferait un démographe.

Rappelez-vous: les avortements résultent de grossesses non planifiées! Mis à part un nombre relativement faible d’avortements dus à des anomalies du fœtus, la plupart des avortements se produisent parce que la grossesse était inattendue, non désirée et accidentelle.

Cela signifie qu’en l’absence de changements importants dans les lois du pays, les augmentations ou diminutions soudaines du nombre d’avortements ne sont dues qu’à des changements dans la fertilité.

Les naissances vivantes peuvent connaître des augmentations ou des diminutions en raison d’un changement du désir d’avoir des enfants dû à des facteurs sociaux. Dans le cas des avortements, cependant, la grossesse est presque toujours non planifiée au départ, de sorte que les facteurs sociaux comme les attentes économiques ont peu à voir avec la plupart des avortements [NdT. je dirais même que de mauvaises conditions économiques dans les pays riches auraient tendance à faire augmenter le nombre d’avortements]. Ces avortements ne sont que des indications de la fertilité et du désir d’avoir des rapports sexuels non protégés.

Donc… les avortements en 2021 ont diminué de 5,3%!

Quelle est l’ampleur de cet effet ? Entre 1996 et 2021, les avortements ont diminué en moyenne de 1.452 par an. En 2021, les avortements ont diminué de 5.352 ! Les dernières années avant 2021 ont vu peu de changement dans les avortements. Ainsi, la baisse de 5.352 avortements en 2021 est probablement due à un changement de la fécondité des jeunes en Allemagne et montre une forte baisse des grossesses non planifiées et accidentelles. Les avortements ne sont jamais planifiés, rappelez-vous!

N’oubliez pas que les jeunes Allemands de 2021 n’ont pas commencé à se faire vacciner avant le mois de mai environ. Ainsi, si les vaccinations sont la cause de la baisse de la fécondité, leur effet sur les grossesses ne serait pas visible avant la seconde moitié de 2021.

De plus, comme l’avortement est pratiqué après environ un mois de grossesse, on peut ajouter environ un mois et traiter environ 5 mois sur 12 en 2021, les plus touchés par les vaccinations. Ainsi, une baisse de 5 % des avortements pourrait se traduire par une baisse de 12% de la fécondité à partir de juillet environ.

Il s’agit là d’un calcul approximatif qui indique que les données sur l’avortement confirment largement l’hypothèse selon laquelle la baisse des taux de natalité est due à la vaccination et non aux conditions sociales.

L’histoire des avortements n’est pas, en tant que telle, une preuve de causalité: il s’agit d’un élément de preuve qui va dans le sens de mon hypothèse sur la vaccination, et qui s’oppose fortement à la possibilité que les changements de la fécondité soient causés par des facteurs sociaux.

Nous voyons donc que les avortements, ainsi que les données sur les naissances en avril en Allemagne, coïncident et suggèrent que les vaccinations ont provoqué une forte baisse de la fécondité parmi la population allemande.

Voir aussi

Notre astucieuse lectrice Madeleine Love a fait ce commentaire:

Il est très inhabituel de voir les naissances et les avortements diminuer en même temps. Habituellement, ils fonctionnent en miroir – quand il y a beaucoup de vie, il y a plus de conceptions et moins d’avortements, et vice versa. Avec tous les décès, il devrait y avoir beaucoup de vie, et si les naissances et les avortements sont en baisse, c’est inhabituel. Pas étonnant qu’il pleuve des cordes ici en Australie.

Texte original

New Data from Germany: Births and Even Abortions are Down!

Accidental Pregnancies are an Independent Indicator of Fertility

Igor Chudov

Jul 18

Three weeks ago, I wrote an article about Germany, highlighting a very large and consistent drop in births starting January this year, 9 months after vaccination of young people began, until March.

Since then, I found more data regarding Germany:

  • Arkmedic pointed out that April births are available (read his article!)
  • I found data on 2021 ABORTIONS in Germany, also showing an uncharacteristically large decline in abortions (accidental pregnancies). The abortion data is a completely independent confirmation of the declining fertility of Germans.

Births

We have new data for April — births dropped by 12% in 2022, compared to April of 2021.

Before I go further, I have to remind my readers: birth rates are always seasonal! Most parents prefer to make a “spring baby”, which often ends up with them making a “summer baby” because conception takes more time than expected. So, never compare adjacent months as they are guaranteed to have dramatic changes that are simply seasonality-driven, with differences very repeatable over the years. Only compare months of one year with the same months of another year, please.

The data comes from the German Bureau of Statistics. (if this link does not bring you to the exact page, select “population” and drill down to “births”). These are YEAR-ON-YEAR changes. (April to April, for example) I summarized it for you:

You can see that births suddenly started dropping in Dec 2021, (going from +5% yoy in November to 1% in December, down to -10% in January and -13.28% in February. The suddenness and extent of this drop are unprecedented.

The data for April confirmed that the reduction in birth rate over the first three months is not a fluke and is continuing for the fourth month.

Abortions

Many people feel strongly about abortions. I understand. I am asking you to suspend your feelings for a moment and look at abortions like a demographer would.

Remember: abortions result from unplanned pregnancies! Aside from a relatively small amount of abortions happening due to fetal abnormalities, most abortions happen because the pregnancy was unexpected, unwanted, and accidental.

What this means is, absent large changes in the laws of the land, sudden increases or decreases in abortions happen only because of changes in fertility.

Live births may see increases or decreases because of changed desire to have children due to social factors. In the case of abortions, however, the pregnancy is ALMOST ALWAYS unplanned to begin with, so social factors like economic expectations have little to do with most abortions. Those abortions are only indications of fertility and desire to have unprotected sex.

So… abortions in 2021 fell by 5.3%!

How large is this effect? Between 1996 and 2021, abortions fell by an average of 1,452 abortions per year. In the year 2021, abortions fell by 5,352! The recent years prior to 2021 saw little change in abortions. Thus, the decline of 5,352 abortions in the year 2021 likely is due to the changed fertility of young people in Germany and shows a great decline in unplanned, accidental pregnancies. Abortions are never planned, remember!

Please recall that younger Germans in 2021 did not start vaccinations until about May or so. Thus, if vaccinations are the cause of lower fertility, their effect on pregnancies would not be seen until the second half of 2021.

Furthermore, since abortion is done after about a month into the pregnancy, you can add about a month and deal with about 5 months out of 12 in 2021, most affected by vaccinations. Thus, a 5% drop in abortions could roughly mean a 12% decline in fertility starting about July.

This is a rough, back-of-the-envelope calculation that indicates that abortion data largely agrees with the hypothesis that declines in birth rates are caused by vaccination, and not by social conditions.

The abortion story is not, as such, a proof of causation: it is a piece of evidence that agrees with my vaccination hypothesis, and strongly disagrees with the possibility that change in fertility is caused by social factors.

So we see that both abortions, as well as April birth data in Germany, coincide and suggest that vaccinations caused a large drop in fertility among the people of Germany.

See Also

Our astute reader Madeleine Love made this comment:

NEJM: le réchauffement climatique provoque des morts-nés, des malformations congénitales et des problèmes cardiaques chez les enfants – par Igor Chudov.

Source.


Traduction

NEJM: le réchauffement climatique provoque des morts-nés, des malformations congénitales et des problèmes cardiaques chez les enfants

On peut enfin rire un peu

Igor Chudov

28 juin

Bon, assez de tristesse avec ces histoires de taux de natalité, détendons-nous un peu. Il reste un long chemin à parcourir, et on ne peut pas être triste tout le temps, il est donc temps de sourire.

On a des nouvelles du changement climatique.

Rappelez-vous qu’il y a quelques jours, j’ai demandé pourquoi le taux de natalité en Allemagne était en baisse [NdT. ma traduction ici]. Que signifie la baisse de 23% des naissances vivantes à Taïwan? [NdT. ma traduction ici] Pourquoi les naissances chutent-elles de 10% en Suisse cette année? Pourquoi le rapport de surveillance des vaccins de l’UKHSA ne fait-il plus état des naissances vivantes depuis février, date à laquelle il indiquait une baisse de 10% des naissances vivantes d’une année sur l’autre, et rien depuis?

Heureusement, la science nous donne la réponse. Ces problèmes de bébés ont une cause connue. Il s’agit du changement climatique. Voici un article étonnant. Il sort juste à point, au moment du scandale du taux de natalité, ce qui n’est évidemment qu’une coïncidence.

Un examen des recherches montre que le changement climatique commence à nuire aux enfants avant même leur naissance.
Des risques chez les foetus, les jeunes enfants et les enfants, liés au changement climatique…

Cet article fait référence à une étude publiée dans le New England Journal of Medicine, un prestigieux baromètre de la science médicale et un guide pour tous les médecins du monde.

La combustion de combustibles fossiles (charbon, pétrole et gaz naturel) est la principale source de pollution atmosphérique et d’émissions de gaz à effet de serre à l’origine du changement climatique. Le fœtus, le nourrisson et l’enfant sont particulièrement vulnérables à l’exposition à la pollution atmosphérique et au changement climatique, qui ont déjà des répercussions importantes sur la santé physique et mentale des enfants. Étant donné la cooccurrence fréquente de diverses expositions aux combustibles fossiles, leurs interactions et leurs impacts environnementaux cumulatifs sont une préoccupation croissante. Tous les enfants sont exposés, mais ce sont ceux qui sont socialement et économiquement défavorisés qui sont les plus touchés. Pour protéger la santé des enfants, les professionnels de la santé doivent comprendre les multiples effets néfastes du changement climatique et de la pollution atmosphérique sur les enfants et utiliser les stratégies disponibles pour réduire ces effets néfastes.

L’article explique que le réchauffement climatique peut causer de nombreux problèmes chez les enfants en développement et les enfants à naître. « Tous les enfants sont à risque », affirme l’étude. Certains de ces problèmes nous sont très familiers, et je suis heureux que les scientifiques puissent enfin les attribuer au réchauffement climatique.

Permettez-moi de les énumérer, en reprenant mot pour mot l’article du NEJM:

Troubles de la grossesse, Maladies allergiques, Maladies cardiovasculaires, Maladies dermatologiques, Maladies cardiaques, Troubles immunitaires, Infections, Malnutrition et retard de croissance, Troubles de la santé mentale, Maladies métaboliques et rénales, Troubles du développement neurologique, Maladies respiratoires, Traumatismes.

L’article invite en outre les médecins à prendre connaissance du nouveau consensus médical :

La protection de la santé des enfants exige que les professionnels de la santé comprennent les multiples effets néfastes du changement climatique sur les enfants.

Ainsi, si des parents demandent à leur médecin pourquoi leurs enfants ont des problèmes cardiaques, neurologiques, etc., le médecin sera en mesure de citer l’article du NEJM et d’expliquer que ces problèmes sont causés par le changement climatique.

L’un des deux coauteurs de cet article sur le réchauffement climatique, Kari Nadeau, est une scientifique reconnue qui a également publié une étude intéressante expliquant pourquoi l’immunité induite par les vaccins est meilleure que l’immunité naturelle. Cette étude a été, par pure coïncidence, financée par la Fondation Bill et Melinda Gates. Elle contredit également tout ce que nous savons par expérience pratique, bien sûr. À quoi d’autre vous attendiez-vous?

Les vaccins génèrent un large éventail d’anticorps
Chacun des vaccins a généré un large éventail d’anticorps
. Bien que la plupart des anticorps aient ciblé la protéine de pointe du virus Wuhan-Hu-1, d’autres pouvaient également se lier aux protéines de pointe de neuf autres variants viraux, y compris le variant delta qui a provoqué une forte augmentation des hospitalisations et des décès à la fin de l’été et à l’automne 2021 aux États-Unis. En revanche, les patients non vaccinés infectés par le virus Wuhan-Hu-1 ont produit une gamme plus restreinte d’anticorps, dont un moins grand nombre pouvait se lier aux protéines de pointe des variants.
« Nos données indiquent que l’infection par un variant viral particulier provoque une réponse anticorps qui se concentre sur les antigènes de ce variant, et qui n’a pas une aussi grande capacité de liaison à différents variants que la réponse anticorps induite par le vaccin« , a déclaré Boyd. « Ces résultats confirment et étendent les conclusions rapportées pour certaines mutations virales par des études antérieures. »
[…]
Chez les personnes précédemment vaccinées, « il y a moins de biais de la réponse anticorps vers le variant qui vous a infecté », a déclaré Boyd. Cela pourrait signifier que les personnes vaccinées sont mieux préparées que les personnes infectées naturellement à repousser les infections ultérieures par d’autres variants.

Le financement de ces auteurs par la Fondation Bill et Melinda Gates n’a évidemment rien d’inquiétant. Je me demande également d’où vient le fait que Kari Nadeau peut être aussi douée pour écrire sur les questions d’empreinte immunitaire et de vaccinologie que sur des sujets sans aucun rapport, comme le changement climatique. J’ai des doutes.

Mon chien est passé et j’ai essayé de lui expliquer que les complications de la grossesse, les maladies cardiovasculaires, les mort-nés et la baisse du nombre de naissances vivantes en 2022 sont dus au changement climatique.

J’ai finalement demandé à mon chien: « Est-ce que tu crois Kari Nadeau? »

Sa réaction:


Texte original

NEJM: Global Warming Causes Stillbirths, Birth Defects, Infant Heart problems

Finally you can laugh a bit

Igor Chudov

Jun 28

Okay, enough birth rate sadness, let’s lighten up a bit. We have a long road ahead of us, we cannot be sad all the time, so it is time to smile.

We have some climate change news.

Remember that a couple of days ago, I asked, why is the birth rate in Germany dropping? What is going on with a 23% drop in live births in Taiwan? Why are births dropping 10% in Switzerland this year? Why is the UKHSA vaccine surveillance report not reporting live births since February, for which it showed a 10% year-to-year drop in live births, and nothing since?

Fortunately, science has the answer for us. These baby problems have a known cause. It is climate change. Here’s an amazing article. It came out just in time for the birth rate scandal, which is obviously just a coincidence.

This article refers to a study, published in New England Journal of Medicine, a prestigious bellwether of medical science and a guide to all doctors worldwide.

The article explains that global warming may cause many problems in developing and unborn children. “All children are at risk”, says the study. Some of these problems are very familiar to us, and I am glad that scientists finally could attribute them to global warming.

Let me list them, coming verbatim from the NEJM article:

The article, further, admonishes physicians to be aware of the new medical consensus:

Protection of children’s health requires that health professionals understand the multiple harms to children from climate change

So if parents ask their doctor, why are their children having heart problems, neurological issues, etc, the doctor would be able to cite the NEJM article and explain how those problems are caused by climate change.

One of the two coauthors of this global warming article, Kari Nadeau, is a well-published scientist who also published an interesting study explaining why vaccine-induced immunity is better than natural immunity. That study was, purely coincidentally, financed by the Bill and Melinda Gates Foundation. It also contradicts everything that we know from practical experience, of course. What else did you expect?

Financing of such authors by the Bill and Melinda Gates Foundation, obviously, is nothing to worry about. I also wonder, how can Kari Nadeau be equally good at writing on matters of immune imprinting and vaccinology, as well as on totally unrelated matters of climate change? I am not sure.

My dog stopped by and I tried to explain to him that adverse pregnancy outcomes, cardiovascular disease, stillbirths, and declining live birth counts in 2022 are caused by climate change.

I finally asked my dog, do you believe Kari Nadeau?

His reaction:

Dépopulation de Taiwan – par Igor Chudov.

Source.


Traduction

Dépopulation de Taiwan

Le taux de natalité a chuté de 23% en UN AN — et ce n’est PAS le Covid

Igor Chudov

26 juin

Voici la suite de mon billet d’hier sur la chute massive de 13% des naissances en Allemagne. Un tel déclin est un événement de type neuf-sigma [NdT. j’ai déjà expliqué ce terme dans mon article précédent], ce qui signifie qu’il est à ce point improbable qu’il se produise par hasard, qu’il surviendrait de façon naturelle avec un probabilité aussi faible qu’un astéroïde frappant la Terre.

(Baisse spectaculaire du nombre de naissances en Allemagne) [NdT. ma traduction ici]

Mon article a examiné plusieurs autres endroits (Royaume-Uni, Dakota du Nord et Suisse).

Mais aucun autre endroit ne se démarque autant que Taïwan.

Baisse de 23% du taux de natalité à Taïwan

Selon un rapport du gouvernement taïwanais, le taux de natalité a chuté de 23,24% en mai 2022, par rapport à mai 2021.

9 442 bébés sont nés en mai 2022, soit une baisse de 23,24 % par rapport au même mois de l’année précédente. La moyenne a montré qu’un bébé est né environ toutes les 4,7 minutes. Le taux brut annuel de natalité était de 4,79‰.

J’ai entré les données historiques sur les taux de natalité de Macrotrends pour les années 2009-2021, et j’ai ajouté l’année 2022 comme année 2021 ajustée à la baisse de 23,24%. Évidemment, l’année 2022 n’est pas terminée et le nombre de bébés taïwanais qui naîtront cette année (ou au cours des 12 prochains mois) est inconnu. Le graphique ci-dessous est donc une illustration de ce qui se passerait au cours des 12 prochains mois si la baisse de 23,24% reste constante.

Exprimée en « sigmas », unités d’écart-type, la baisse de 23,24 % du taux de natalité à Taïwan est un événement à 26 sigmas!

La probabilité que cela se produise par hasard peut être qualifiée d' »inimaginable ».

L’illustration de Wolfram-Alpha [NdT. voir sur Wiki] de la probabilité par sigma ne va que jusqu’à dix-sigma. Ils ont pensé qu’il serait inutile de représenter plus de sigmas. Sauf qu’une baisse du taux de natalité de 26 sigmas vient de se produire à Taïwan.

Que s’est-il passé à Taïwan?

Les experts de la santé sont prompts à blâmer le Covid pour toutes sortes de problèmes de santé dont souffrent les personnes à qui ils ont conseillé de se faire vacciner. Ce n’est pas le vaccin, disent-ils, c’est le Covid. Nous avons essayé de vous protéger avec le vaccin, insistent-ils à chaque fois. Mais vous avez quand même contracté le Covid, par la faute des méchants antivaxx, et vos problèmes sont dus au Covid – c’est leur explication.

Nous savons cependant avec certitude que la baisse du taux de natalité à Taïwan n’est PAS due au Covid. Oui, Taïwan souffre actuellement d’une terrible pandémie de COVID (bien que le pays soit vacciné à 91%), mais le Covid à Taïwan n’a commencé qu’aux alentours du 21 avril 2022, et ne peut donc pas avoir exercé une forte influence sur le taux de natalité en mai.

Pour voir ce qui peut expliquer cette chute extrême des naissances, il faut remonter 9 mois en arrière, de mai 2022 à septembre 2021.

Taïwan était un modèle de réussite en matière de vaccination. 91% de tous les résidents taïwanais ont reçu une dose de vaccin. Au 1er octobre 2021, 56% de TOUS les habitants de Taïwan avaient reçu le vaccin Covid.

Ils ont reçu un mélange assez typique de vaccins « sûrs et efficaces » d’AstraZeneca, Moderna et Pfizer.

Les Taïwanais se sont fait vacciner, ont reçu l’assurance que le Covid-19 ne toucherait aucune personne vaccinée et ont repris leur vie normale.

Je doute que les habitants de Taïwan aient remarqué quoi que ce soit à la fin du mois de septembre. Ils savaient avec certitude que leurs vaccins étaient sûrs et efficaces et qu’ils n’affecteraient pas leur sperme ou leurs grossesses. Ils ont donc poursuivi leurs projets familiaux comme avant, en tâchant de faire des bébés délibérément, ou en faisant la fête, en s’amusant et en tombant enceinte par accident, comme cela se passe ailleurs.

Sauf que, 9 mois plus tard, ils n’ont donné naissance qu’à 77% du nombre de bébés attendus.

J’espère que les habitants de Taïwan poseront la question à leurs autorités: que nous arrive-t-il?

Une lueur d’espoir

Si vous êtes comme moi, et que vous aimez les bébés, les enfants et les petits-enfants, vous êtes probablement bouleversé à ce stade et vous vous demandez ce qui va nous arriver à tous. Permettez-moi d’évoquer une possibilité qui, bien que peu probable à mon avis, pourrait rendre cette chute des taux de natalité temporaire.

Les vaccins Covid sont connus pour « perturber le cycle menstruel » et faire baisser le nombre de spermatozoïdes [NdT. ma traduction ici]. Il est possible que certaines femmes, pendant une période de plusieurs mois, n’aient pas pu concevoir et tomber enceintes en raison de ces perturbations. Comme toutes les Taïwanaises ont été vaccinées presque en même temps, ces perturbations ont entraîné une chute brutale du taux de natalité.

J’espère, en tant que personne qui aime les gens, que cela se vérifiera. Cependant, à mon avis, nous verrons probablement le contraire, et les réductions des taux de natalité seront permanentes. Pourquoi? Parce que la vaccination des jeunes était un crime. Ce n’était pas une erreur. Permettez-moi de ne pas expliquer pourquoi, dans cet article.

Des crimes comme celui-ci ne sont PAS perpétrés pour obtenir une baisse des taux de natalité pendant seulement deux mois. Les criminels de cette trempe, qui ont administré à des jeunes des vaccins dont ils n’avaient pas besoin, pour des raisons sordides, ne font pas de quartier. Bien sûr, toutes les personnes participant aux campagnes de vaccination n’avaient pas des intentions aussi sinistres. Mais il est possible que certaines personnes au sommet aient eu des motivations criminelles qu’elles n’ont pas révélées.

Encore une fois, j’espère que le paragraphe précédent se révélera infondé. J’étais, et je suis toujours, opposé à tout ce qui se passe, je ne soutiens rien de ce qui se passe à Taïwan, et je suis très inquiet.

Le temps nous le dira.

Ils nous ont dit que c’était sûr

Cette vérification des faits du 5 décembre 2020 indique que le vaccin est sans danger pour la grossesse « car il n’y a pas de preuve qu’il soit dangereux ». Aucun essai spécifique relatif à la grossesse et à la fertilité n’a été mené. Ils nous ont simplement menti en disant que le vaccin était sûr, mais ils n’avaient aucun moyen de le savoir.

Dites-nous ce que vous pensez, dans la section des commentaires!


Texte original

Depopulation of Taiwan

Birth Rate Dropped by 23% in ONE YEAR — And it is NOT Covid

Igor Chudov

Jun 26

This is a continuation of my post from yesterday about a massive 13% decline in births in Germany. Such a decline is a nine-sigma event, meaning that it is so unlikely to occur by chance, that it would naturally happen as rarely as an asteroid striking the Earth.

(Dramatic Decline in Births in Germany)

My article explored several more locales (UK, North Dakota, and Switzerland).

But no other place stands out as much as Taiwan does.

23% Drop in Birth Rate in Taiwan

According to a Taiwan government report, the birth rate dropped by 23.24% in May 2022, compared to May 2021.

I inputted historical birth rate data from Macrotrends for the years 2009-2021, and added the year 2022 as year 2021 adjusted down by 23.24%. Obviously, 2022 is not over and the number of Taiwanese babies to be born this year (or during the next 12 months) is unknown. So the chart below is an illustration of what would happen in the next 12 months if the 23.24% drop stays constant.

When expressed in “sigmas”, units of standard deviation, the 23.24% drop in the birth rate in Taiwan is a 26-sigma event!

This is can be described as “unimaginable” in terms of the likelihood of happening due to random chance.

The Wolfram-Alpha illustration of likelihood by sigma only goes to ten-sigma. They thought that it would be pointless to show more sigmas. Except a 26-sigma drop in birth rate just happened in Taiwan.

What Happened In Taiwan?

Health experts are quick to blame Covid for all sorts of health problems afflicting those they advised to vaccinate. It is not the vaccine, they say, it is Covid. We tried to protect you with the vaccine, they would always insist. But you got Covid anyway, thanks to the evil antivaxxers, and your problems are due to Covid — that’s their explanation.

We know for certain, though, that the drop in birth rate in Taiwan is NOT due to Covid. Yes, Taiwan is suffering from a terrible COVID pandemic right now (despite being 91% vaccinated), however, Covid in Taiwan only started around April 21 of 2022, and could not impact May birth rates much.

To see what could cause the extreme drop in births, go back 9 months from May 2022, so to September 2021.

Taiwan was a poster child for successful vaccination. 91% of all Taiwanese residents received a vaccine dose. By October 1, 2021, 56% of ALL people of Taiwan received Covid vaccines.

They got a fairly usual mix of “safe and effective” AstraZeneca, Moderna, and Pfizer vaccines.

People of Taiwan got their shots, felt assured that Covid-19 stops with every vaccinated person, and moved on with their lives.

I doubt that the people of Taiwan noticed anything at the end of September. They knew for sure that their vaccines were safe and effective and would not affect their sperm or pregnancies. So they proceeded with family plans just as before, trying to make babies on purpose, or partying and having fun and getting pregnant accidentally, just as people do elsewhere.

Except for 9 months later, they only gave birth to 77% of the number of babies expected.

I hope that the people of Taiwan will start asking their authorities: what is happening to us?

A Glimmer of Hope

If you are like me, and you like babies, children, and grandchildren, you are probably upset by now and are wondering what will happen to all of us. Let me mention a possibility that, although unlikely in my opinion, may make this drop in birth rates temporary.

Covid vaccines are known to “disrupt the menstrual cycle” and lower sperm counts. It is possible that some women, for a period of several months, could not conceive and become pregnant due to these disruptions. Because all Taiwanese women were vaccinated at almost the same time, those disruptions created a precipitous drop in birth rates.

My hope, as someone who likes people, is that this will turn out to be the case. However, in my opinion, we will likely see the opposite, and reductions in birth rates will be permanent. Why? Because vaccinating young people was a crime. It was not a mistake. Let me not explain why, in this article.

Crimes like this are NOT perpetrated to achieve a two-month drop in birth rates. Criminals of such nature who gave young people shots that they did not need, for sinister reasons, go for the jugular. Of course, not all people participating in vaccination campaigns were having such sinister intentions. But it is possible that some persons on top had criminal motives that they did not disclose.

Again, I hope that the preceding paragraph will turn out to be unfounded. I was, and am, against any of that happening, do not support anything that is happening in Taiwan, and I am very worried.

Time will tell.

They Told Us it is Safe

This fact check from Dec 5, 2020 says that the vaccine is definitely safe for pregnancy “because there is no evidence that it is unsafe”. No trial specifically for pregnancy and fertility was conducted. They just lied to us that it is safe — but had no way of knowing.

Let us know what you think, in the comments section!

Baisse spectaculaire du nombre de naissances en Allemagne – par Igor Chudov.

Source.


Traduction

Baisse spectaculaire du nombre de naissances en Allemagne

Ça doit venir de la météo

Igor Chudov

25 juin

On observe en Allemagne une curieuse baisse des naissances au premier trimestre 2022, totalement incompatible avec leur bilan des dernières années.

Baisse sans précédent des naissances au premier trimestre. Les années précédentes, le taux des naissances était tout à fait constant, même les confinements de 2020 n’ont eu aucune conséquence notable. Une explication possible ici.

Bizarre, non?

Heureusement, le gouvernement allemand obsédé par les vaccins, a déjà la réponse: il affirme que les gens ont déjà tellement d’enfants qu’ils n’en veulent plus.

D’un autre côté, on a vu une augmentation siginficative des naissances en 2021, moment auquel de nombreux parents ont concrétisé leur désir d’avoir un enfant. Il n’existe aucune corrélation avec la vaccination Covid, qui n’a été proposée presque exclusivement qu’aux personnes âgées au printemps 2021.

Ça paraît logique, non?

Mais à quel point faut-il être débile pour gober ça?

Étrangement, le gouvernement allemand n’a pas encore accusé le réchauffement climatique. [NdT. ce sera chose faite deux jours après cet article, ce que ce cher Igor couvre dans le quatrième article de cette série]

Les bébés nés au premier trimestre 2022 ont été conçus au deuxième trimestre 2021. Voici un graphique pour la BELGIQUE (pas l’Allemagne) de Our World in Data [Notre Monde en Données]. (Désolé, l’Allemagne ne figure pas dans cet ensemble de données). La flèche montre la vaccination des 18-24 ans et des 25-49 ans.

Les 18-49 ans ont été largement vaccinés au deuxième trimestre (jusqu’à 30 %) et ont continué à l’être rapidement au troisième trimestre. Le gouvernement allemand se montre donc assez flexible par rapport à la vérité.

Dakota du Nord – Même chose, autre lieu

Notre lecteur Biswrest nous a signalé un équivalent très inattendu de l’Allemagne : le Dakota du Nord. Regardez ce qui s’est passé là-bas. Selon les rapports de données provisoires pour 2021-2022:

Royaume-Uni : baisse de 10%

Taiwan: baisse de 23%

Selon le rapport du gouvernement taïwanais sur les ménages.

9 442 bébés sont nés en mai 2022, soit une baisse de 23,24 % par rapport au même mois de l’année précédente. La moyenne a montré qu’un bébé est né environ toutes les 4,7 minutes. Le taux brut annuel de natalité était de 4,79‰.

Suisse

La question la plus importante

Si c’est ce qui arrive au premier trimestre en Allemagne après qu’une MINORITÉ de 18-49 ans ait été vaccinée au deuxième trimestre 2021, que se passera-t-il au cours des trimestres suivants? Le taux de natalité va-t-il encore baisser?


Texte original

Dramatic Decline in Births in Germany

Must be the weather

Igor Chudov

Jun 25

Germany is experiencing a strange decline in births in the first quarter of 2022, totally inconsistent with their experience in recent years.

Strange, right?

Fortunately, the vaccine-crazy German government already has the answer: it says people had so many children already, that they no longer want any.

Makes sense, right?

Just how stupid does one have to be to believe any of this?

Strangely enough, the German government did not yet blame global warming.

Babies born in Q1 2022, were conceived in Q2 or 2021. Here’s a chart for BELGIUM (not Germany) from Our World in Data. (Sorry, Germany is not in that data set). The arrow show vaccination of 18-24 and 25-49 year olds.

18-49 year olds were substantially vaccinated in Q2 (up to 30%) and then continued to be rapidly vaccinated in Q3. So the German govt is a bit liberal with the truth here.

North Dakota — Same Stuff, Different Place

Our reader Biswrest pointed out a most unlikely counterpart to Germany — North Dakota. Look what happened there. Per Provisional Data Reports for 2021-2022:

UK: 10% Decline

Taiwan: 23% Decline

Per taiwan government household report.

Switzerland

Most Important Question

If this is happening in Q1 in Germany after a MINORITY of 18-49 yo were vaccinated in Q2 2021, what will happen in subsequent quarters? Will the birth rate decline even further?

Vaccins Covid et immunodépression chez les bébés: un terrain d’enquête fertile – par El Gato Malo.

Préambule

Cinq articles à la suite (dont trois de Igor Chudov) concernant la fertilité des parents et la santé des enfants, quatre sous l’angle de leur santé physique et un sur le plan éducationnel et mental. Je pourrais y ajouter celui-ci, qui liste un certain nombre de morts « inexpliquées » d’enfants vaccinés – mais j’ai mes limites question temps.

Le premier article ci-dessous est de El Gato Malo, qui expose très bien les faits mais a un peu de mal avec l’intention. Comme je le prédisais au début de la « vaccination », il est plus rentable pour réduire la population de stériliser que d’éliminer, l’un n’empêchant d’ailleurs pas l’autre: les bébés qui ont quand même réussi à naître, contre l’avis de Pfizer et des autorités de régulation des médicaments, auront ensuite à affronter, après les hépatites fulgurantes, les infections respiratoires aigües.

L’autre procédé connexe, qui est de pourrir au maximum la vie des candidats parents par la guerre, la pauvreté, la disette/famine, et le grand classique qui consiste à mettre les gens à la rue – ce à quoi s’emploient méthodiquement quelques gouvernements européens, notamment Belgique et France – se montre assez efficace, exception faite des éternels assistés professionnels, qui continuent dans tous les contextes à produire en série des enfants dont ils n’ont ni l’intention ni la compétence de s’en occuper. Ceux-ci iront contribuer à saturer le réseau de placement, plongé aujourd’hui, comme tant d’autres, dans un état de chaos indescriptible, considérablement aggravé par les conséquences des confinements – évidemment.

Tout ceci nous pousse donc inexorablement vers une situation similaire à certains pays du tiers-monde (à titre indicatif, la population totale en Afrique – donc les naissances moins les décès – augmente de un million tous les 23 jours, explosion démographique actuellement impossible à gérer avec les seules ressources du continent). La solution du réseau mondialiste, comme préconisée depuis des décennies par son leader Henry Kissinger, consistera à leur couper l’aide alimentaire, sous le prétexte courant de guerre en Ukraine/mauvaises récoltes/rupture des réseaux d’approvisionnement, et bien entendu, du manque de pétrole, qui sert en ce moment à tout, sur tous les continents, notamment de justification sourde à la grande opération de « dépopulation » en cours. J’ai trouvé à ce sujet des articles qui expliquent calmement que c’est pour nous éviter le pire – guerres civiles et diverses formes de violences post-apocalyptiques hollywoodiennes – qu’on prévoit de nous « réduire » avant la pénurie totale d’énergie. Vous pourrez lire ici qu’il s’agit en fait d’un acte de compassion des maîtres de ce monde envers le troupeau, avant le grand changement tant attendu, dont se félicite ici une dame qui se nomme Christyl Rivers, porteuse d’un Doctorat en Ecopsychologie (?).

A ce propos, je traiterai ensuite brièvement la situation énergétique – avec un article qui ne fait pas la promotion de l’euthanasie planétaire – après quoi je me lance comme promis et assez logiquement dans l’analyse du grand projet de destruction artificielle du climat par géoingénierie, point de bascule programmé de cette civilisation. Pour notre bien, toujours.

Pendant ce temps, comme vous pourrez encore le lire dans les articles de cette (relativement) courte série et dans les nombreux autres que j’ai publiés récemment, la stérilisation va déjà bon train dans les pays riches, selon une stratégie identique à celle employée au Kenya par l’OMS/UNICEF via vaccins anti-tétaniques au βhCG – on ne change pas une équipe qui gagne. Vous pouvez regarder le documentaire sur Children Health Defence. Il n’est qu’en anglais pour le moment mais je suis certain que quelqu’un se dévouera pour le sous-titrer.

Je n’écris pas ce dimanche l’article promis ici – j’ai oublié mes notes au boulot. De toute manière, j’ai assez de mauvaises nouvelles à annoncer pour occuper mon week-end et vous à lire pour tenir la semaine.

Note: les « cygnes noirs » (black swans) désignent en anglais un événement imprévisible ou imprévu, qui a généralement des conséquences extrêmes. C’est assez d’actualité, en effet.

Source.


Traduction

Vaccins Covid et immunodépression chez les bébés: un terrain d’enquête fertile

Encore un cygne noir qui fait office de canari dans une mine de charbon?

El Gato Malo

30 juin

Il y a tellement de « cygnes noirs » ces derniers temps qu’on pourrait se demander si les cygnes blancs ne se sont pas éteints.

Et en voici d’autres, cette fois en provenance d’Australie qui, par une heureuse symétrie métaphorique, est le pays d’où viennent les véritables cygnes noirs.

Hélas, celui-ci semble être d’une race beaucoup, beaucoup plus méchante.

Quelque chose semble se passer très, très mal ICI.

Des « bébés de la pandémie » sans immunité se retrouvent en soins intensifs partout en Australie pour des maladies respiratoires.
Augmentation du nombre de « bébés de la pandémie » non immunisés admis en soins intensifs
Les enfants présentent des « co-infections » au Covid et à d’autres maladies respiratoires.
Le VRS (virus respiratoire syncytial) tue 120.000 jeunes enfants chaque année dans le monde.
Les cas en Nouvelle-Galles du Sud ont explosé, passant de 355 par semaine il y a seulement trois semaines à 3.775 par semaine.
Il n’existe pas de vaccin contre le VRS, mais ses symptômes sont presque identiques à ceux de la grippe et du Covid.

Un nombre inquiétant de « bébés de la pandémie », non immunisés contre les virus respiratoires, se retrouvent gravement malades en soins intensifs.

Les médecins ont révélé que les enfants nés pendant la pandémie de Covid-19 ont besoin de soins intensifs « parce qu’ils sont confrontés à des virus qu’ils n’avaient jamais rencontrés auparavant », comme la grippe, le VRS et le Covid.

Les enfants sont nés et ont grandi alors qu’il n’y avait pratiquement aucun autre virus en circulation en Australie, à part le Covid-19.

Le Dr Philip Britton, pédiatre spécialiste des maladies infectieuses à l’hôpital pour enfants de Westmead, a déclaré qu’une analyse des admissions dans les unités de soins intensifs montre que les bébés sont testés positifs pour la grippe et le Covid en même temps.

« Au cours du dernier mois ou à peu près, nous avons constaté quatre fois plus d’admissions d’enfants à l’hôpital pour la grippe que pour le Covid », a déclaré le Dr Britton au Daily Telegraph.

5% des bébés qui ont à la fois le Covid et la grippe se retrouvent aux soins intensifs. C’est un chiffre terrifiant.

Et cela aboutit à une explosion de pathologies graves chez des bébés chez lesquels on ne s’attendrait pas à les voir:

Environ la moitié des enfants n’avaient aucun problème de santé préexistant, et le nombre élevé d’admissions met le système hospitalier sous pression.

Certains des « bébés de la pandémie » présentent une inflammation de la poitrine, du cerveau et du cœur causée par la grippe, le Covid et le VRS.

Le VRS – virus respiratoire syncytial – est une cause majeure d’infections pulmonaires chez les enfants et peut entraîner une pneumonie ou une bronchiolite, particulièrement dangereuse chez les jeunes nourrissons.

Dans les cas graves, les bébés et les jeunes enfants, dont les minuscules voies respiratoires ne sont pas encore complètement formées et qui ont du mal à faire face à l’infection, peuvent en mourir.

« Parmi les enfants qui se portaient bien jusqu’à présent… Il ne s’agit pas seulement d’une infection thoracique, certains d’entre eux peuvent être touchés par la grippe au niveau du cœur et du cerveau », a déclaré le Dr Britton au Daily Telegraph.

Une alerte au VRS a été lancée il y a trois semaines alors qu’il n’y avait que 355 cas par semaine en Nouvelle-Galles du Sud, mais trois semaines plus tard, ce chiffre est passé à 3.775 en une semaine.

Environ un cinquième de ces enfants ont développé une bronchiolite potentiellement mortelle, et 40% d’entre eux ont été hospitalisés.

Il est possible, voire plausible, de voir des bébés sur-isolés à la fonction immunitaire affaiblie, mais le fait qu’ils soient colonisés par plusieurs virus à la fois d’une manière différente de tout ce que j’ai jamais observé auparavant (bien que cela soit complexe et peut-être une fonction des tests comme cela A ÉTÉ DISCUTÉ (bien qu’il s’agisse des voies inférieures et non supérieures)) semble plus cohérent avec une suppression immunitaire, et non avec un problème de développement, d’autant plus que ce problème d’isolement n’est ni nouveau ni localisé, contrairement à ces conséquences.

A peu près personne n’a eu la grippe et le Covid en même temps. Le Covid était un facteur de concurrence virale massive.

Et soudain, ces bébés sont infectés par 2 ou 3 virus à la fois (peut-être rares, peut-être pas bien testés auparavant), mais surtout, on observe un pic important du taux de soins intensifs.

Essayer de mettre cela sur le compte du « confinement » est une explication totalement insatisfaisante. Si c’était le cas, pourquoi cela ne s’est pas produit il y a un an?

Hum, que s’est-il passé au moment précis où ces bébés ont été conçus ou au cours de leur premier trimestre [de gestation], qu’aucun autre bébé avant eux n’avait connu?

Pour savoir ce qui a touché les bébés nés au premier et au deuxième trimestre de 2022, examinons la période allant du deuxième trimestre de l’année dernière à aujourd’hui, en nous concentrant sur le troisième trimestre.

(Il s’agit d’une vaccination complète, la première dose a été administrée environ 6 semaines plus tôt, nous sommes donc juste sur la cible pour les naissances actuelles jusqu’aux enfants de 6 mois).

Ce vaccin a été fortement conseillé aux femmes enceintes.

Et il n’a pas vraiment été testé au préalable.

Soyons parfaitement clairs: il s’agit d’une hypothèse et la corrélation ne prouve PAS la causalité (il est également possible que ces données soient exagérées). Mais il ne serait pas sage d’ignorer une telle corrélation, surtout quand on sait déjà que les vaccins Covid présentent une forte affinité avec les ovules et le sperme et qu’ils ont des effets sur la fertilité.

(Effets du vaccin Pfizer sur le nombre total de spermatozoïdes mobiles chez les donneurs de sperme) [NdT. ma traduction ici]

Nous ne cherchons pas ici à établir des associations au hasard, nous avons une raison a priori de suspecter certains résultats et les affirmations selon lesquelles « ces vaccins sont sans danger pour les femmes enceintes » se sont révélées dangereusement infondées. Nous avons constaté des niveaux élevés de fausses couches qui, comme tant d’autres choses qui ont fini par se produire, étaient qualifiées d' »impossibles ».

Nous assistons également à une chute très inquiétante des taux de natalité mondiaux, particulièrement marquée au premier trimestre 2022, exactement au moment où l’on s’y attendrait s’il s’agissait d’une suppression de la fertilité par les vaccins.

L’association de ces deux problèmes suggère l’existence d’un lien.

Et si les vaccins peuvent affecter les spermatozoïdes, les ovules et les taux de natalité, ils peuvent aussi affecter les bébés.

Les données sont encore circonstancielles et quelque peu disparates, mais elles sont également frappantes. Les confinements n’expliquent pas cela, pas plus que le Covid passé.

C’est un indicateur majeur d’infertilité. Le PREMIER rapport sur le taux de natalité en Allemagne depuis le début du déploiement. Souvenez-vous que les données sur le taux de natalité arrivent avec 9 mois de retard. Si c’est pire au prochain trimestre, on est dans un scénario à la « Children of Men ».

(SOURCE)

Nouveau tableau du taux de natalité. Excepté davantage d’évolution négative en rouge depuis le début de l’année 2022, j’ai ajouté un nouveau tableau pour les pays qui ne publient pas de données mensuelles/trimestrielles mais que certaines régions publient, ce qui permet de faire une estimation.
La Suisse doit être un des pays les plus pollués sur la planète, vu la chute drastique récente de leur taux de natalité.
Les chiffres des naissances vivantes en Suisse, de 2016 à avril 2022. Les lignes graphiques correspond à la prise de produits injectables au cours de 2021, par groupe d’âge. Les barres rouges correspondent aux naissances vivantes jusqu’à ce jour, en 2022. Le décalage par rapport à la période de vaccination maximale est de neuf mois.

Nous avons affaire dans de nombreux endroits à un événement sigma à deux chiffres [NdT. tout événement extrêmement rare, au-delà du sixième écart-type d’une distribution normale, est appelé événement six-sigma; la probabilité qu’un tel événement se produise est d’environ [2* 10^(-9)], soit deux fois sur un milliard] , ce qui est censé être impossible, même une seule fois. Que ça se produise une douzaine de fois, c’est comme réussir un yahtzee 1.000 fois de suite. [NdT. un yahtzee se produit lorsque les cinq dés sont identiques]

Cela implique un facteur externe largement répandu, nous essayons juste d’établir ce qu’il est.

Nous savons que ces vaccins sont immuno-suppresseurs et qu’ils provoquent toutes sortes de problèmes de ce type et de fixation immunitaire chez les personnes vaccinées. Ces mêmes effets pourraient-ils passer de la mère à l’enfant et être à l’origine du phénomène du « bébé de la pandémie »?

Cela semble très possible.

Je n’irais certainement pas jusqu’à dire que c’est prouvé, mais il y a beaucoup de données convaincantes qui émergent de ces deux sources: la biologie et l’expérience sociétale statistique.

Les données du deuxième trimestre devraient nous en apprendre beaucoup plus (il est probable que nous devions également être très sélectifs par rapport au type de vaccin dans le cadre de cette analyse, car je sais que c’est un problème au niveau de l’ARNm, mais je n’en suis pas sûr pour les vaccins à adénovirus comme ceux d’AZ ou de JnJ, et je doute que ce soit un problème pour ceux qui utilisent un virus réel). [Ndt. cet article en anglais désigne pourtant la protéine de pointe comme élément constant des effets secondaires de tous les vaccins]

Un aspect inquiétant de ce problème est que ces types de maladies ont tendance à apparaître d’abord dans l’hémisphère sud. C’est actuellement l’hiver chez eux et leurs variants et leur évolution virale ont tendance à précéder et à se répandre dans le nord à la saison suivante (ce qui est utilisé dans la conception des vaccins contre la grippe).

Ils sont une sorte de canari dans la mine de charbon respiratoire.

Et cet oiseau n’a pas l’air en bonne santé.

Peut-être que c’est idiosyncratique ou mal rapporté, mais regardons les choses en face, les cygnes noirs se multiplient comme des lapins.

Ce qui signifie qu’on est dans une situation lapineuse.

Je n’irais pas jusqu’à dire que nous savons avec certitude de quoi il s’agit, mais cette question mérite une enquête sérieuse et MAINTENANT.

Le fait que ceci ne soit pas considéré comme une urgence absolue par toutes les agences de santé mondiales m’aurait complètement effaré il y a trois ans. Aujourd’hui, cela semble tout à fait normal.

Ce n’est pas une bonne normalité à laquelle on devrait s’acculturer.

C’est le genre de travail qui aurait dû être effectué bien avant de lancer un vaccin (et qui l’aurait toujours été par le passé). Cela est triplement vrai pour un vaccin dont la méthode d’action est aussi nouvelle.

Le fait que la question puisse même se poser est une condamnation sévère de l’ensemble du processus d’approbation et de commercialisation des médicaments (et des confinements).

On continuera à se faire maltraiter jusqu’à ce qu’on arrive à soustraire la politique de la science.

Vous n’en avez pas encore eu assez?


Commentaire de Igor Chudov sur cet article:

Un article génial! Les nouveau-nés ne sont jamais exposés à aucune maladie puisqu’ils viennent de naître. L’explication officielle « c’est à cause des confinements » n’a aucun sens puisque les bébés étaient de toute façon confinés DANS LA MATRICE.

Nous devons donc chercher ailleurs. Par exemple, dans les SYSTEMES IMMUNITAIRES INCAPACITÉS des nouveaux-nés, qui ont été incapacités parce que leurs mères ont été vaccinées et boostées avec le Covid Vaxx.

Le Covid Vaxx n’a jamais été testé sur les femmes enceintes.

Le réchauffement climatique sera-t-il l’explication officielle? Attendez, c’est déjà le cas!

https://igorchudov.substack.com/p/nejm-global-warming-causes-stillbirths [NdT. ma traduction ici]


Texte original

covid vaccines and immune suppression in babies: fertile ground for inquiry

another black swan playing canary in a coal mine?

el gato malo

Jun 30

there have been so many “black swans” lately that one might be forgiven for wondering if the white ones have gone extinct.

and here come some more this time from australia which, in a pleasing metaphoric symmetry, is from whence actual black swans hail.

alas, this one looks to be a much, much nastier breed.

something appears badly, badly wrong HERE

A concerning number of ‘pandemic babies’ with no immunity to respiratory viruses are ending up seriously ill in ICU.

Doctors have revealed children born during the Covid-19 pandemic are requiring intensive care ‘from encountering viruses they haven’t come across before’, such as influenza, RSV and Covid.

The children had been born and raised when there were virtually no other viruses circulating in Australia, other than Covid-19.

The Children’s Hospital at Westmead infectious diseases paediatrician Dr Philip Britton said an analysis of ICU admissions across shows babies are testing positive for influenza and Covid at the same time.

‘Over the last month or so, we have seen four times the admissions to hospital for flu in children as for Covid,’ Dr Britton told The Daily Telegraph.

a full 5% of babies that get both covid and flu are landing in the ICU. that’s a terrifying number.

and it’s exploding into severe pathologies in the sort of babies in which one would not expect to see it:

About half of the children had no pre-existing health conditions, with the elevated number of admissions putting pressure on the hospital system.

Some of the ‘pandemic babies’ are presenting with inflammation of the chest, brain and heart caused by influenza, Covid, and RSV.

RSV – respiratory syncytial virus – is a major cause of lung infections in children and can lead to pneumonia or bronchiolitis, which is particularly dangerous in young infants.

Severe cases can kill babies and toddlers, whose tiny airways have not yet fully formed and who struggle to cope with the infection.

Among that group who are previously well … It’s not just a chest infection, some of these children can be impacted with the flu affecting the heart and the brain,‘ Dr Britton told The Daily Telegraph.

A warning was sounded about RSV three weeks ago when there were just 355 cases a week in NSW, but three weeks later that has rocketed up to 3,775 in a week. 

Around a fifth of those developed the potentially lethal bronchiolitis, with 40 per cent of them ending up in hospital.

over-isolated babies with lower immune function is possible, even plausible, but seeing them get colonized by multiple viruses at once in a manner unlike any i’ve seen before (though this is complex and possibly a function of testing as come HAVE ARGUED (though this is lower not upper tract)) seems more consistent with immune suppression, not failure to develop especially as this isolation issue is neither new nor localized, but this outcome is.

more or less no one got flu and covid at the same time. covid was a massive viral outcompete.

and suddenly, these babies are getting 2 and 3 viruses at once (possibly rare, possibly not well tested for previously) but more importantly, seeing a big spike in ICU rate.

trying to blame this on “lockdown” is a deeply unsatisfying explanation. if this were so, why did it not happen a year ago?

hmm, what was going on right around when these babies were conceived or in their first trimesters that no other babies before had experienced?

to be affecting babies born in q1-2 of 2022, we’re looking at the span from q2 last year to now with special focus on q3.

(this is full vaxx, first dose trended about 6 weeks earlier so we are right over the target here for current births to 6 mo olds)

this was pushed hard on pregnant women.

and it was not really tested beforehand.

let’s be very clear: this is a hypothesis and correlation does NOT prove causality. (it’s also possible this data is exaggerated) but, you’d be unwise to simply ignore a correlation like this, especially when we already know that covid vaccines were showing strong affinity for eggs, sperm, and having fertility effects.

(pfizer vaccine effects on total motile count in sperm donors)

we’re not randomly mining for association here, we have an a priori reason to suspect outcomes and the claims that “these vaccines are safe for pregnant women” have proven dangerously unfounded. we’ve seen high levels of miscarriage that, like so many things that turned out to happen here, were called “impossible.”

we’re also seeing a deeply unsettling drop in global birth rates that is hitting hard in Q1 2022, right where one would expect it if it were vaccine fertility suppression driven.

these two issue arising together are suggestive of linkage.

and if vaccines can affect sperm and eggs and birth rates, they can affect babies too.

the data is still circumstantial and somewhat patchwork, but it’s also stark. lockdowns did not do this and neither did past covid.

(SOURCE)

this is a double digit sigma event in many places. that’s basically supposed to be all but impossible even once. to happen a dozen times is like rolling yahtzee 1,000 times in a row.

it means there is a widespread external driver, we’re just trying to ascertain what it is.

we know these jabs are immuno-suppressive and are causing all manner of issues in the vaxxed along these lines and around immune fixation. could these same effects pass from mother to child and be driving the “pandemic baby” phenomenon?

it seems very possible.

i certainly would not call it proven, but there is quite a lot of provocative data coming from both directions: biology and statistical societal experience.

Q2 data should show us a great deal more. (we likely also need to be highly selective by vaccine type as we look at this as i know this is an issue for mRNA, but am not sure on the adenovirus vaxxes like AZ or JnJ and doubt it’s an issue in any using actual virus.)

a worrying aspect of this is that these sorts of disease issues tend to appear in the southern hemisphere first. it’s currently winter there and their variants and viral evolution tend to lead and spread to the north next season. (this gets used in flu vaxx design)

they are a sort of canary in the respiratory coal mine.

and this bird is not looking healthy.

maybe it’s idiosyncratic or misreported, but let’s face it, black swans are multiplying like rabbits.

and that means something bunny is going on here.

i would not go so far as to say that we know for sure what it is, but this issue warrants serious inquiry and NOW.

the fact that this is not an all hands on deck emergency at every global health agency would have shocked me to the bone 3 years ago. now it just seems par for the course.

that is not a good normal to which to acculturate.

this is the sort of work that should have been done LONG before going wide with a vaccine (and always would have in the past). this is triple true of one with such a novel method of action.

the fact that this is even a question is a nasty indictment of this whole drug approval and marketing process. (and for lockdowns)

the beatings will continue until you get politics out of science.

had enough yet?

Point de vue supplémentaire sur les données israéliennes concernant le comptage des spermatozoïdes – par El Gato Malo.

Un peu de science statistique pour les nuls – dont je fais partie.

Vous connaissez un couple de personnes « vaccinées » qui ont fait un enfant depuis leur injection?

Moi, non.

Source.


Traduction

Point de vue supplémentaire sur les données israéliennes concernant le comptage des spermatozoïdes

Les chiffres vraiment intéressants se trouvent peut-être dans les valeurs aberrantes

el gato malo

19 juin

Il s’agit d’un suivi de cet article. [NdT. ma traduction ici]

Merci de lire les deux documents conjointement.

Dans le monde bourdonnant de la recherche, on n’a jamais l’occasion de faire tout ce qui serait pertinent. On passe à côté de certaines choses, puis, une fois qu’on les perçoit, on s’exclame « aha! », lorsque quelqu’un nous les indique et que cela nous donne une nouvelle idée.

C’est pour cette raison qu’il est payant d’avoir des copains perspicaces comme le gatopal™ [NdT. le copain de l’auteur el gato, donc] de longue date et le puits de données israélien Ran Israeli.

Les implications de cette découverte sont assez saisissantes car la médiane et la moyenne peuvent être deux choses TRÈS différentes.

Médiane
– Le prix auquel la moitié des maisons vendues dans toute zone donnée en un mois était inférieur et l’autre moitié supérieur
– Considérée comme la donnée la plus utile dans le domaine des prix
Moyenne
– Somme totale des prix divisée par le nombre de maisons
– Le prix moyen de ces 11 maisons était de 498.000$

J’aimerais amplifier cette idée et l’appliquer à la question qui nous occupe:

Disons que nous avons 10 personnes ayant chacune un TMC de 10.

La moyenne est de 10, tout comme la médiane.

Les deux sont interchangeables dans une population homogène.

Mais considérons maintenant une population avec une valeur aberrante:

9 personnes ont un TMC de 10, une en a un qui tombe à zéro.

La moyenne tombe maintenant à 9 (baisse de 10%).

Mais la médiane est toujours de 10.

Si celle d’une deuxième personne tombe à zéro, la moyenne est maintenant de 8 (baisse de 20%).

La médiane est toujours de 10.

(ce serait à peu près la même ampleur et le même résultat que ce que montre l’étude).

Alors, à laquelle voulez-vous faire confiance pour une étude de résultats médicaux?

La médiane donne l’impression que rien ne s’est passé.

Mais 1 personne sur 5 a vu sa motilité totale tomber à zéro. Elle a été stérilisée.

C’est un facteur de risque un peu trop énorme pour être ignoré.

Aucune des deux mesures, la moyenne ou la médiane, ne peut tout révéler, mais il est bien connu que les médianes ne parviennent pas à donner une représentation des sous-ensembles de valeurs aberrantes. C’est d’ailleurs un peu pour ça qu’on les utilise. Mais ça les rend également inadaptées aux études sur les effets secondaires des médicaments, car tout ce qui affecte moins de la moitié de la cohorte n’est pas pris en compte.

Ce qui fait beaucoup de choses laissées de côté.

Ce dont nous avons vraiment besoin, ce sont des données sur les résultats individuels. Sur la base de cette divergence moyenne/médiane, je parie qu’elles nous montreront une baisse importante chez quelques personnes sans que la majorité soit affectée.

Nous verrons 20 à 40% du groupe subir une suppression profonde et durable, tandis que le reste subira un impact transitoire moins important.

Si un homme sur cinq ou deux sur cinq subissent une baisse importante et durable de leur TMC (baisse de 50 à 100%), on a affaire à un profil d’effets secondaires extrêmement lourd. (4 hommes sur 10 avec une baisse de 50% ont le même effet sur la moyenne que 2 hommes sur 10 avec une baisse de 100%).

Ceci soulève également un certain nombre de questions sur la possibilité et l’ampleur de l’altération d’autres fonctions testiculaires (comme la production de testostérone), qui méritent d’être étudiées.

Ce sont des questions très importantes, surtout s’il s’agit d’un problème auto-immun plutôt que d’une simple toxicité, car il pourrait alors être irréversible ou cumulatif selon le nombre de doses supplémentaires.

Ce sont des informations dont nous avons grandement besoin dans le domaine public pour prendre des décisions judicieuses en matière de santé publique.

En accord avec Ran, j’aimerais demander à ces chercheurs de publier les données complètes afin de nous permettre de faire notre propre évaluation à ce sujet.


Texte original

additional take on the israeli sperm count data

the really interesting issues may be in the outliers

el gato malo

june 19

this is a follow up piece to this one.

please read the 2 in conjunction.

in the swarm-sourced research world, you never get to do all the smart things. you miss stuff and then, once you see it, say “aha!” once someone shows it to you and it spurs you on to new thought.

and this is why it pays to have perceptive pals such as longtime gatopal™ and israeli data-maven ran israeli.

the implications of this finding are quite striking because median and average can be VERY different things.

i’d like to amplify it and apply it to the matter at hand:

let’s say we have 10 people each with a TMC of 10.

the average is 10. so is the median.

the two are interchangeable in a homogeneous population.

but now consider a population with an outlier:

9 have a TMC of 10, one drops to zero.

average now drops to 9 (10% drop).

but median is still 10.

drop a second person to zero, and average is now 8 (20% drop).

median is still 10.

(this would be about the same magnitude and outcome as the study shows)

so which do you want to trust for a medical outcomes study?

  • median makes it look like nothing happened.
  • but 1 in 5 people had their total motility count drop to zero. they were sterilized.
  • that’s a helluva risk factor to ignore.

no measures, avg or median can tell you everything, but medians notoriously fail to capture subsets of outliers. that’s actually kind of why one uses them. but it also makes them inapt for studies of side effects in drugs as anything affecting fewer than half the cohort gets missed.

and that’s an awful lot to leave unexamined.

what we really need to see are the individual outcomes data. based on this avg/media divergence, i will wager it’s going to show us a severe drop in a few people that did not affect most.

we’ll see 20-40% of the group get deeply and durably suppressed while the rest experienced some lesser impact transitorily.

if somewhere on the order of 1 in 5 and 2 in 5 males are seeing severe, durable drops in TMC (50-100% drop), that’s a massive side effect profile. (4 in 10 dropping 50% has the same effect on the avg as 2 in 10 dropping 100%)

it also raises a number of questions about whether and to what extent this could be impairing other testicular function (like testosterone production) and this warrants study.

these are very important questions, especially if this is an autoimmune issue rather than just toxicity as that could well be irreversible and or cumulative with further dosing.

this is information we badly need in the public domain to make sound public health decisions.

in line with ran, i’d like to ask these researchers to release the full data so that we can make an assessment on that.

Effets du vaccin Pfizer sur le nombre total de spermatozoïdes mobiles chez les donneurs de sperme – par El Gato Malo.

« Cela semblerait impliquer que le déclin des quantités de spermatozoïdes mobiles pourraient rester quasiment constant dans un schéma de boosters annuels ou biannuels. »

Premier article de deux, par El Gato Malo, qui sera suivi par un article signé Jessica Rose (déjà publiée sur ce blog) sur une nouvelle plateforme, l’ARN auto-amplifiant, qui induit les mêmes effets en pire. L’auteur implique ici que ces effets sont le fruit d’un manque de vigilance. Ni moi, ni la majorité de ses lecteurs – et sans doute des miens – ne le croyons.

C’est entièrement prémédité.

Source.


Traduction

Effets du vaccin Pfizer sur le nombre total de spermatozoïdes mobiles chez les donneurs de sperme

Une étude israélienne révèle des effets durables

el gato malo

19 juin

L’une des grandes méprises initiales concernant les vaccins à ARNm était qu’ils n’auraient pas d’effets généralisés et systématiques, mais resteraient plutôt relativement localisés. Cette idée a rapidement été démentie et les premières études ont montré une pénétration généralisée dans les organes, avec une prédilection particulière et certainement regrettable à se concentrer dans les ovaires et les testicules. (Ceci a été découvert précocement au Japon, puis nié avec véhémence par des armées de « vérificateurs de faits », avant d’être corroboré par les propres documents de Pfizer obtenus par le biais de la FOIA [NdT. Freedom of Information Act – en français, loi d’accès à l’information, voir sur Wiki] et de poursuites judiciaires).

Ces médicaments à ARNm sont largement systémiques et se concentrent (entre autres) dans les organes reproducteurs et leurs effets sur les cycles menstruels sont largement documentés.

A la lumière de ce fait assez inquiétant (en particulier avec un composé à fort enrichissement en guanine-cytosine par rapport au virus réel et aux risques qui en découlent), je suis surpris qu’il n’y ait pas eu davantage d’études sur ce sujet.

Mais quelques-unes commencent à faire surface. Cette étude israélienne a été publiée il y a deux jours:

et les résultats sont, ben, dingues. (désolé) [NdT. « nuts » = testicules; jeu de mots intraduisible]

Il y avait de fortes raisons a priori de suspecter des effets, en particulier à la lumière de la prévalence plus élevée et plus persistante des protéines S induites par le vaccin par rapport à l’infection naturelle et de l’enrichissement en guanine-cytosine mentionné ci-dessus.

Au cours des premiers mois de la pandémie, les données concernant l’impact possible de Covid-19 sur la reproduction humaine étaient insuffisantes. Diverses cellules testiculaires, dont les cellules de Leydig, de Sertoli, les spermatogonies et les spermatozoïdes, expriment l’ACE2 et des protéases connexes résultant de la fusion virale 5, 6. Le dysfonctionnement induit par la tempête de cytokines, la régulation de l’autophagie et la barrière sang-testicule endommagée ont également été suggérés comme mécanisme pathogène possible pour les dommages testiculaires 7. Les rapports cliniques d’orchite, étayés par des résultats histologiques, ont mis en évidence l’implication des testicules 8, 9. Par conséquent, un impact négatif sur la spermatogenèse et la production de testostérone 10 semble être un résultat évident. On a évalué des donneurs de 3 banques de sperme sur une période longitudinale commençant avant le vaccin Pfizer et se poursuivant après.

L’étude a été réalisée et suivie selon la chronologie suivante autour de la vaccination.

  • T0 = base de référence pré-vaccination
  • T1 = 15-45 jours après
  • T2 = 75-120 jours après
  • T3 = 150+ jours après

Et à partir de là, des effets substantiels sur la concentration des spermatozoïdes et le nombre global de mobiles ont été découverts.

Les auteurs en tirent une série de conclusions:

Résultats
Des mesures répétées ont révélé une diminution de la concentration de spermatozoïdes de -15,4 % sur T2 (CI -25,5 %-3,9 %, p = 0,01) entraînant une réduction du nombre total de spermatozoïdes mobiles de 22,1 % (CI -35 % – -6,6 %, p = 0,007) par rapport à T0. De même, l’analyse du premier échantillon de sperme uniquement et de la moyenne des échantillons par donneur a entraîné des réductions de la concentration et du nombre total de spermatozoïdes mobiles (TMC) à T2 par rapport à T0 – baisse médiane de 12 millions/ml et 31,2 millions de spermatozoïdes mobiles, respectivement (p = 0,02 et 0,002 respectivement) lors de l’évaluation du premier échantillon et baisse médiane de 9,5 × 106 et 27,3 millions de spermatozoïdes mobiles (p = 0,004 et 0,003, respectivement) lors de l’examen de la moyenne des échantillons. L’évaluation T3 a démontré une récupération globale. Le volume du sperme et la motilité des spermatozoïdes n’étaient pas altérés.

Et à partir de là:

Conclusions: La réponse immunitaire systémique après le vaccin BNT162b2 est une cause raisonnable de la baisse transitoire de la concentration du sperme et du TMC [NdT. total motile count- comptage des spermatozoïdes mobiles]. Le pronostic à long terme reste bon.

Je m’interroge pourtant sur cette affirmations et je crain qu’elle ne constitue un exemple du comportement consistant à « atténuer ou réfuter ses propres résultats dans le résumé afin de pouvoir les publier sans controverse massive« , comportement désormais trop courant dans les revues médicales et scientifiques qui refusent l’examen par les pairs lorsque leurs résultats semblent trop inquiétants s’ils sont énoncés clairement (mais qui permettent la publication de ces données dès lors qu’elles sont enfouies dans les suppléments et les annexes).

Pour cette raison, vous devriez toujours lire ces dépôts de données, car ils racontent souvent une histoire bien différente de celle du résumé.

Voici le tableau 2 de cette même étude. Vous ne remarquez rien?

J’ai du mal à voir comment on peut appeler ça un « rétablissement ».

Après le 150e jour, la concentration de spermatozoïdes était de -15,9 % par rapport à la ligne de base, plus faible encore que dans la période de 75 à 120 jours. Le temps moyen après la vaccination pour le prélèvement de T3 était de 174 +/- 26,8 jours, donc nous parlons de 6 mois après la vaccination sans aucune récupération de la concentration de spermatozoïdes.

Le nombre total de spermatozoïdes mobiles s’est légèrement rétabli par rapport à T2, mais il était encore inférieur de 19,4 % à la valeur de base, ce qui semble compenser quelque peu en volume ce qui est perdu en concentration.

Les deux résultats étaient statistiquement significatifs à un intervalle de confiance de 95% et ils étaient presque aussi significatifs à T3.

Il y a plus de 97% de chances que le chiffre de la TMC soit réel et non aléatoire.

Ce ne sont pas des probabilités à prendre à la légère.

Cela soulève de sérieuses inquiétudes pour un certain nombre de raisons:

  1. De toute évidence, il s’agit d’un impact significatif et imprévu qui a non seulement été loupé au cours des essais cliniques menés à la hâte, mais que les compagnies pharmaceutiques nous ont assuré être fondamentalement impossible et dont elles ont passé la majeure partie de l’année à nier l’existence avec véhémence.
  2. Cet effet semble durable pendant au moins 6 mois et, d’après ces données, on ne sait vraiment pas quand ni même si (ou dans quelle mesure) il s’atténuera.
  3. Le rôle des boosters n’est pas connu, mais il y a tout lieu de penser qu’ils auront des effets similaires et qu’ils prolongeront ou aggraveront cet effet.
  4. Même si cette condition s’atténue et que le TMC retourne à ses niveaux antérieurs avec le temps, cette échelle de temps semble assez longue. Elle est certainement supérieure à 6 mois. Cela semblerait impliquer que le déclin des quantités de spermatozoïdes mobiles pourraient rester quasiment constant dans un schéma de boosters annuels ou biannuels.

Lorsqu’on se précipite pour commercialiser des vaccins, en particulier des vaccins utilisant une modalité entièrement nouvelle et mal comprise qui n’a jamais été approuvée ou même utilisée chez l’homme, on s’expose à toutes sortes de mauvaises surprises et celle-ci semble en être une de plus.

Et il est clair qu’elle a été loupée. Elle n’a même pas été mentionnée comme possibilité dans les procédures de la FDA dont j’ai connaissance.

Et c’est pour ÇA que le développement d’un vaccin s’étend généralement sur 5 à 10 ans, et non sur 5 à 7 mois.

Pour autant que je sache, on ne peut même pas encore exclure que ces effets soient permanents.

Et bien entendu, on n’a aucune idée de ce qu’ils peuvent provoquer chez les pré-adolescents ni de leurs impacts possibles sur leur développement sexuel normal et leur fertilité future.

Et pourtant, les États-Unis vont à l’encontre de la tendance de la plupart des pays européens et approuvent ces médicaments non seulement pour les jeunes et les personnes en bonne santé, mais aussi pour les enfants de 6 mois à 5 ans.

Nous n’avons pas non plus la moindre idée de l’effet de ces médicaments sur les ovaires et les ovules, car il est beaucoup plus difficile et invasif de les étudier (ils devront probablement être évalués par autopsie). Il s’agit là d’une autre analyse qui doit absolument être effectuée, car contrairement aux spermatozoïdes, les ovules ne se renouvellent pas, donc si on les endommage, c’est définitif.

Si l’on ajoute à cela les effets sur un développement normal, il faudra peut-être des décennies pour comprendre ce qui s’est passé.

Les gens ont par le passé fait confiance aux vaccins parce que ceux-ci étaient soumis à des tests sérieux et à long terme avant d’être commercialisés. Leur évaluation se mesurait en décennies, pas en mois, et même un nombre infime d’événements indésirables les faisait retirer du marché.

Profiter de cette confiance tout en abandonnant toutes les garanties qui l’ont permise relève du non-sens scientifique et d’une politique de santé publique encore pire.

Combien d’autres exemples de résultats imprévus devons-nous supporter avant que cette simple vérité ne soit acceptée?

Il y a maintenant un article complémentaire à celui-ci.

Vous pouvez le lire ici. [Ndt. ou ma traduction ici]


Texte original

pfizer vaccine effects on total motile count in sperm donors

israeli study shows persistent effects

el gato malo

June 19

one of the great early misapprehensions about mRNA vaccines is that they would not have widespread, systematic effects, instead remaining relatively localized. this was rapidly debunked and early studies showed widespread penetration of organs with a particular and perhaps unfortunate preference for concentration in ovaries and testes. (this was discovered early in japan, then denied vehemently by armies of “fact checkers” only to wind up proven in pfizer’s own documents gained through FOIA and lawsuit.)

these mRNA drugs are broadly systemic and concentrate in (amongst others) reproductive organs and effects on menstrual cycles are widely documented.

in light of this quite worrying fact (especially with a compound carrying high CG enrichment relative to actual virus and the attendant risks thereof) it has been surprising to me that there have no been more studies on this topic.

but a few are starting to emerge. this israeli study was published 2 days ago:

and the results are, well, nuts. (sorry)

there was strong a priori reason to suspect effects, especially in light of the higher and more persistent prevalence of vaccine induced S proteins vs natural infection and the CG enrichment issued mentioned above.

Over the first pandemic months, there was insufficient data regarding the possible impact of Covid-19 on human reproduction. Yet, it was clear it employs the Angiotensin-Converting Enzyme 2 (ACE2) receptor for cellular entry 3, 4.Various testicular cells including Leydig, Sertoli, spermatogonia and spermatozoa express ACE2 and related proteases resulting with viral fusion 5, 6. Cytokine storm-induced dysfunction, autophagy regulation and damaged blood-testis barrier were also suggested as possible pathogenic mechanism for testicular damage 7. Clinical reports of orchitis, supported by histological findings, further emphasized testicular involvement 8, 9. Therefore, detrimental impact on both spermatogenesis and testosterone production 10 seem an obvious outcome they evaluated donors from 3 sperm banks over a longitudinal period commencing before pfizer vaccine and following up after.

the study was performed and followed up according to the following timeline around vaccination.

  • T0 = pre vaxx baseline
  • T1 = 15-45 days post
  • T2 = 75-120 days post
  • T3 = 150+ days post

and from this, substantial effects on sperm concentration and overall motile count were discovered.

the authors draw a set of conclusions from this:

and from this state:

Conclusions: Systemic immune response after BNT162b2 vaccine is a reasonable cause for transient semen concentration and TMC decline. Long-term prognosis remains good

but i am left wondering about these claims and fear they may provide an example of the sort of “nerf or refute your own findings in the abstract so that we can publish this without massive controversy” behavior that has become all too common in medical and scientific journals who withhold peer review from those whose findings look too worrying if stated plainly. (but that will often let such data out if buried deep in supplements and appendixes)

this is why you should always read these data repositories. because they often tell quite a different tale than the abstract.

here’s table two from this same study. notice anything?

i’m struggling to see how one could call this “recovery.”

post day 150, sperm concentration was -15.9% vs baseline, lower even than in the 75-120 day period. average time post vaxx for T3 collection was 174 +/- 26.8 days so we’re talking about 6 months post vaxx with NO recovery in sperm concentration.

total motile count was slightly recovered from T2, but was still down 19.4% vs baseline, seeming to make up somewhat in volume what is lost in concentration.

both results were statistically significant at a 95% confidence interval and nearly so even at T3.

there is a greater than 97% chance that the TMC figure is real and not random.

those are not odds you want to buck.

this raises some serious concerns for a number of reasons:

  1. obviously, this is a significant and unforeseen impact not only missed in the rush-job drug trials, but that the drug makers assured us was basically impossible and spent the better part of a year vehemently denying.
  2. this effect looks durable to at least 6 months and from this data, we really do not know when or even if (or to what extent) it will attenuate.
  3. the role of boosters here is not known, but there is every reason to expect they will have similar effects and either extend or possibly worsen this effect. that seems like a study that should be being performed immediately.
  4. even if this condition does moderate and TMC return to prior levels over time, that timescale looks quite long. it’s certainly more than 6 months. this would seem to imply low motile counts could be near constant in a regimen of annual or bi-annual boosters.

when you rush vaccines to market, especially vaccines using an entirely new and poorly understood modality that has never before been approved or even used in humans, you’re going to get all manner of nasty surprises and this looks to be yet another.

and clearly, it was missed. this was not even mentioned as a possibility in any FDA proceedings of which i am aware.

and THAT is why vaccine development generally takes place over 5-10 years, not 5-7 months.

best i can tell, we cannot even yet rule out that these effects are permanent.

and, of course, we have zero idea what they might do to pre-adolescents and possible impacts on their healthy sexual development and ultimate fertility.

and yet the US is bucking the trend in most of europe and approving these drugs for not just the young and healthy but for kids from 6mo-5 yr. this feels reckless.

we have little idea what this may be doing to ovaries and eggs either as these are much more difficult and invasive to study (and will likely need to be assessed by autopsy). this is another analysis that desperately needs to take place because unlike sperm, eggs to not replenish, so if you damage them, that’s that.

add to this effects on normal development and it could take decades to see what happened.

people have historically trusted vaccines because they underwent serious, long term testing before being pushed wide. assessment was measured in decades, not months and even a tiny number of adverse events would pull them off the market.

to trade upon that trust while abandoning all the safeguards that enabled it is bad science and worse public health policy.

how many more examples of unforeseen outcomes must we endure before this simple truth is accepted?

there is now a companion piece to this one.

you can read it here.

Calcul du facteur de sous-déclaration pour les fausses couches en utilisant le DMED comme ensemble de données de base – par Jessica Rose.

Voici l’article de Jessica Rose dont il est question ici.

Source.


Traduction

Calcul du facteur de sous-déclaration pour les fausses couches en utilisant le DMED comme ensemble de données de base.

Jessica Rose

28 janvier

Bon, j’ai reçu beaucoup de questions et de « remarques » à ce sujet, alors je mets à jour ce document pour répondre aux commentaires.1

Je commencerai par un fait. Le taux de base des avortements spontanés selon le Dr Nathan T. Thomas (certifié en obstétrique et gynécologie) est de 1/5 des femmes ayant une grossesse reconnue.

Quinze à 20% des grossesses reconnues se terminent par un avortement spontané. Le risque de fausse couche augmente avec l’âge de la femme et environ 80 % de toutes les fausses couches se produisent au cours du premier trimestre.

Je tiens d’un autre gynécologue oncologue que ce taux est plus proche de 1/20 après 6 semaines, une fois qu’une échographie confirme une grossesse viable. J’opterais pour cette dernière affirmation, car je connais cette personne et je sais qu’elle est très douée pour les chiffres.

Cet article traite du calcul du facteur de sous-déclaration (FSD) à l’aide de la Base de Données d’Epidémiologie Médicale de la Défense (Defense Medical Epidemiology Database – DMED). Elle a été rendue publique récemment lors d’une audition au Sénat par l’avocat Thomas Renz [NdT. article ici). Cet ensemble de données est particulier car il contient des données actualisées pour chaque individu de l’armée américaine en fonction de ses maladies existantes, de ses antécédents médicaux et de ses données personnelles2.

Il s’agit d’un ensemble de données hautement contrôlé et verrouillé: seul le personnel du Département de la Défense (Department of Defense – DOD) figure dans ce système et seuls les prestataires médicaux peuvent y introduire des données. Pour tous ceux qui dénigrent le VAERS en raison de ses limites, cet ensemble de données est fait pour eux. L’armée américaine ne plaisante pas.

Selon les données, le nombre total d’avortements spontanés (fausses couches) chaque année au cours des 5 dernières années (2016-2020) était de 1.499. Selon les données du VAERS, en 2021, le nombre de rapports d’avortements spontanés était de 3.527 4.

Calculons le taux de base des avortements spontanés à l’aide des données du DMED. Le nombre total de femmes enrôlées et en service actif dans l’armée américaine en 2020 était de 226.417 (cela représente les 17,2% de la population féminine enrôlée + active en 2020 (N = 1.333.822)). Par conséquent, le taux de base tiré des données DMED avant le déploiement de l’injection COVID est de 662 avortements spontanés pour 100.000 femmes (~1/151). Ce chiffre inclut toutes les femmes, y compris les femmes de 41 ans et plus5.

Le nombre de femmes en âge de procréer (CDC: les femmes âgées de 12 à 49 ans) auxquelles on a injecté aux États-Unis au moins une dose de produit COVID-19 est de 63.384.802 selon les CDC.6 Compte tenu des 3.527 rapports d’avortements spontanés au VAERS en 2021, le taux de déclaration des avortements spontanés au VAERS est de 5,6/100.000 femmes.

Pour obtenir le taux estimé dans le DMED, nous devons multiplier notre taux VAERS par 118. Cela signifie que le FSD pour l’avortement spontané dans VAERS est de 118. Lorsque nous appliquons ce FSD, nous obtenons 416.186 avortements spontanés.

Si vous cherchez un article sur cette histoire, voyez ici. [NdT. rappel, ma traduction ici]

D’autres contributions sont les bienvenues. Toutes mes excuses pour l’erreur sur le N selon les données DMED. Restez à l’écoute. Je vais surfer.


  1. https:// dallas-obgyn.com/obstetrics/spontaneous-abortion-rate-and-common-causes/
  2. Je tiens à ajouter un avertissement ici. Je n’ai pas accès à l’ensemble des données DMED. Il faut être militaire pour pouvoir se connecter et obtenir un accès complet. J’ai effectué ce calcul sur la base d’informations fournies sous serment au Sénat américain par un avocat. Je suis convaincu qu’il s’agit de données viables. Si quelqu’un a accès aux données brutes, j’aimerais beaucoup qu’il confirme ou infirme ces calculs. Au fait, ceci est un blog. Pas un article revu par les pairs.
  3. N.B. Ceci est une modification de la version précédente – j’avais mal lu que N=1,499 concernait chaque année et non la période de 5 ans. Ainsi, le nombre d’avortements spontanés par an est de 1.499 et non de 300. Merci au commentateur de l’avoir signalé.
  4. OpenVAERS cite 3.786, donc le calcul peut être ajusté pour utiliser ce N également.
  5. Si nous excluons les femmes de plus de 41 ans (~25% de la liste des engagés et des réservistes), notre dénominateur devient 56.604. Le taux est donc de 2.648 pour 100.000 femmes (~1/38). Ce taux est logique puisqu’il est inférieur au taux de base et que les femmes dans l’armée peuvent être moins enclines à tomber enceintes. Je pense que les femmes de plus de 41 ans peuvent être enceintes et le sont effectivement, c’est pourquoi j’utilise l’autre taux pour mes calculs.
  6. https://covid.cdc.gov/covid-data-tracker/#vaccination

Texte original

Calculating the URF for miscarriages using the DMED as a base data set.

Jessica Rose

Jan 28

Alright, I got a lot questions and ‘remarks’ about this so I am updating it to address the comments.1

I will lead with a fact. The background rate of spontaneous abortions according to Dr. Nathan T. Thomas (Board Certified in Obstetrics and Gynecology) is 1/5 women with a recognized pregnancy.

Fifteen to 20 percent of recognized pregnancies end in spontaneous abortion, and the risk of miscarriage increases as a woman ages and approximately 80 percent of all miscarriages occur during the first trimester.

I have it on good authority from another Gynecological Oncologist that this rate is closer to 1/20 after 6 weeks once an ultrasound confirms a viable pregnancy. I would go with the latter for quoting since I know the latter individual and also know they are very good with numbers.

This article is about calculating the URF using the Defense Medical Epidemiology Database (DMED). It was made public recently during a senate hearing by lawyer Thomas Renz. This data set is special because it contains up-to-date data for every individual in the U.S. military as per their existing diseases, medical history and personal data.2

It is a highly controlled and closed data set: only Department of Defense (DOD) personnel are in this system and only medical providers can input data into this system. For anyone trash-talking VAERS due to its limitations, this is the data set for you. The U.S. military don’t screw around.

According to the data, the total number of spontaneous abortions (miscarriages) each year for the past 5 years (2016-2020) was 1,499.3 According to VAERS data, in 2021 the number of reports of spontaneous abortions was 3,527.4

Let’s calculate the background rate of spontaneous abortions using the DMED data. The total number of women enlisted and on active duty in the U.S. military in 2020 was 226,417 (this represents the 17.2% female population enrolled + active in 2020 (N = 1,333,822)). Therefore, the background rate based on the pre-COVID injection roll-out DMED data is 662 spontaneous abortions per 100,000 women (~1/151). This includes all women including women 41 years and older.5

The number of females of child-bearing age (CDC: women ages 12-49) injected in the U.S. with at least one dose of COVID-19 product is 63,384,802 according to the CDC.6 Considering the 3,527 reports of spontaneous abortions to VAERS in 2021, the rate of reporting of spontaneous abortions in VAERS is 5.6/100,000 women.

To get to the estimated rate in the DMED, we need to multiply our VAERS rate by 118. This means, the URF for spontaneous abortion in VAERS is 118. When we apply this URF we get 416,186 spontaneous abortions.

If you are looking for a write-up on this story, go here.

I welcome more input. Apologies for the mistake on the N as per the DMED data. Stay tuned. I’m going surfing.


  1. https:// dallas-obgyn.com/obstetrics/spontaneous-abortion-rate-and-common-causes/
  2. I want to add a disclaimer here. I do not have access to the DMED data set. You must be military to be able to sign in to gain full access. I have done this calculation based on information provided by a lawyer to the U.S. senate under oath. I trust that it is viable data. If anyone has access to the raw data, I would love to have it confirm or deny these calculations. By the way, this is a blog. Not a peer-reviewed article.
  3. N.B. This is an edit to the previous version – I had misread that N=1,499 was for each year and not for the 5 year period. Thus the number of spontaneous abortions per year is 1,499 not 300. Thank you to the commenter for pointing this out.
  4. OpenVAERS quotes 3,786, so the calculation can be adjusted to use this N as well.
  5. If we exclude the women over 41, (~25% of the enlisted and reserve list), our denominator becomes 56,604. This makes the rate 2,648 per 100,000 women (~1/38). This is logical since it is lower than the background rate and women in the military may be less inclined to get pregnant. I think women over 41 can and do get pregnant so I use the other rate for my calculations.
  6. https://covid.cdc.gov/covid-data-tracker/#vaccination-demographic

Vaccins COVID et grossesse: >416.186 avortements spontanés dus au vaccin – par Steve Kirsch.

Voici (encore) un article de Steve Kirsch qui présente de manière simple celui de Jessica Rose (traduit ici), dont je prépare la publication d’un autre article qui analyse la toxicité des lots, en contradiction avec celui de Craig Paardekooper (analysé ici) mais laisse ouverte la place à la discussion – j’y joindrai donc une partie des commentaires de ses lecteurs.

Ça fait beaucoup de chiffres et de calculs, dont aucun n’est très joyeux. Pour vous changer les idées et vous regonfler le moral, je vous suggère un petit tour du Web sur l’énorme événement en cours au Canada, qui, me dit-on, arrive dans quelques jours en France et en Belgique, événement sur lequel je n’ai pas pris le temps d’écrire vu que beaucoup d’autres l’ont très bien fait ailleurs.

Source.


Traduction

Vaccins COVID et grossesse: >416.186 avortements spontanés dus au vaccin

Une nouvelle analyse du Dr Jessica Rose estime le nombre d’avortements spontanés causés par les vaccins COVID. Ce nombre s’élève à plus de 416.186 à ce jour. J’en ai informé le CDC, mais je ne m’attends pas à recevoir de réponse.

Steve Kirsch

28 janvier

Voici l’article de Jessica sur les avortements spontanés (AS) post-vaccination. [NdT. traduit ici]

Fondamentalement, en utilisant les données de taux récemment publiées par le Ministère de la Défense, elle calcule que le facteur de sous-déclaration (FSD) au VAERS pour les avortements spontanés est de 118. Vu qu’il y a 3.527 rapports d’AS aux États-Unis en 2021, cela représente 416.186 événements réels. Seul un petit nombre d’entre eux n’ont pas été causés par le vaccin, environ 1%.

En se basant sur les données de la Base de Données d’Epidémiologie Médicale de la Défense (Defense Medical Epidemiology Database – DMED), la moyenne sur cinq ans était de 1.499 codes par an pour les fausses couches. Pendant les 10 premiers mois de 2021, elle était de 4.182. Cela représente donc 3,4 fois le taux de référence (lorsqu’il est étendu à un taux annuel).

Tests de validité probants

Effectuons maintenant un test de validité « approximatif » sur les chiffres du VAERS. Dans le DMED, les SA après vaccination étaient 3,4 fois supérieurs au taux de base. Aux États-Unis, il y a environ 750.000 fausses couches par an. Donc, si nous multiplions ce chiffre par 3,4 et supposons que 20% des femmes ont été vaccinées au cours du premier ou du deuxième trimestre (où l’effet est le plus important), nous obtenons 510.000, ce qui n’est pas loin de notre recalcul des chiffres du VAERS à 416.000.

Notre deuxième test de validité porte sur le FSD de 118. Nous avons précédemment déterminé un FSD de 41 pour les événements indésirables les plus graves. Pour les événements moins graves, en particulier ceux dont personne ne pense qu’ils sont causés par le vaccin et qui surviennent souvent plusieurs mois après la vaccination, il est facilement trois fois plus élevé. Ce qui est également logique.

J’en ai informé le CDC, mais je ne m’attends pas à ce qu’ils révisent pour autant leur politique de recommandation du vaccin aux femmes enceintes.

Notez également que les femmes enceintes n’ont PAS été incluses dans les essais du vaccin. Recommander les vaccins aux femmes enceintes est une faute professionnelle médicale grave. Le CDC a déclaré à plusieurs reprises qu’ils étaient sans danger pour les femmes enceintes sans disposer de données complètes.

Je ne m’attends pas à ce que les grands médias remettent en question le CDC sur ce point. Je suis certain qu’ils fermeront les yeux.

Preuves à l’appui dans le VAERS

Le VAERS contient de nombreuses preuves du fait que le vaccin affecte les organes reproducteurs de la femme, comme nous l’avions prédit à partir des données de biodistribution (qui ciblaient les ovaires).

Vous pouvez consulter les données de biodistribution et les données sur les effets indésirables sur les menstruations dans cet article analysant des données du VAERS que j’ai rédigé en novembre 2022.

Voir aussi cet article sur les cliniques de FIV, sur ce qui s’est passé à Singapour et sur la syncytine-1.

Pour les autres, puis-je suggérer, si vous contestez ces propos, de nous indiquer une erreur dans les données ou la méthodologie ?


Texte original

COVID vaccines and pregnancy: >416,186 spontaneous abortions due to the vaccine

A new analysis by Dr. Jessica Rose estimates the number of spontaneous abortions caused by the COVID vaccines. It’s over 416,186 to date. I’ve notified the CDC, but I don’t expect to hear back.

Steve Kirsch

Jan 28

Here’s Jessica’s article on spontaneous abortions (SA) post-vaccination.

Basically, using rate data recently released from the Department of Defense, she computes an under reporting factor (URF) for VAERS for spontaneous abortions is 118. Since there are 3,527 reports of SA in the US in 2021, this represents 416,186 actual events. But a small number of those were not caused by the vaccine, somewhere around 1%.

Using the DMED data, the five-year average was 1,499 codes for miscarriages per year. During the first 10 months of 2021, it was 4,182. So that’s 3.4X the baseline rate (when extended to an annual rate).

The sanity checks both pass

Now, let’s do a “ballpark” sanity check on the VAERS numbers. In DMED, SAs after vax were 3.4X the baseline rate. In the US there are around 750K miscarriages per year. So if we multiply that by 3.4 and assume that 20% of the women were vaccinated within the first or second trimester (where the effect is largest), we get 510K which is not far from our VAERS estimate of 416K.

Our second sanity check is the URF of 118. We’ve determined before a URF for the most serious adverse events at 41. For less serious events, especially ones that nobody thinks is caused by the vaccine and is often many months from vaccination is easily 3X higher. So that makes sense as well.

I’ve notified the CDC of this, but I don’t expect them to change their policy of recommending the vaccine to pregnant women.

Also note that pregnant women were NOT included in the vaccine trials. It is medical malpractice to recommend the vaccines to pregnant women. The CDC repeatedly declared them safe for pregnant women without complete data.

I don’t expect the mainstream media to question the CDC on this at all. I’m sure they will all ignore it.

Supporting evidence in VAERS

Plenty of evidence in VAERS showing the vaccine messes with a woman’s reproductive organs just as we predicted from the biodistribution data (which targeted the ovaries).

You can view both the biodistribution data and the menstrual adverse effect data in this VAERS analysis article I wrote in November, 2022.

See also this article about IVF clinics and what happened in Singapore and syncytin-1.

For others, may I suggest if you disagree with this that you show us an error in the data or methodology?

Des lanceurs d’alerte partagent des données médicales du Ministère de la Défense qui ouvrent en grand le débat sur la sécurité des vaccins – par le Dr Daniel Horowitz.

Note du 27/11: attention, le contenu de cet article a depuis été dementi par Matthew Crawford ici (en anglais). Comme je le relaye dans ce récent article, « les premiers dénonciateurs avaient commis une erreur élémentaire en comparant l’année 2021 aux années précédentes: ils ont en fait comptabilisé chaque visite en cabinet au lieu de chaque diagnostic. Donc, pour tous ceux nouvellement diagnostiqués avec, disons, une myocardite, chacune de leurs visites au système de santé militaire, ainsi que celles de tous les autres diagnostiqués avec une myocardite, a été (plus ou moins) comptabilisée et comparée au nombre total de personnes diagnostiquées avec une myocardite au cours des années précédentes. »


Le Dr Horowitz, dont il est question dans l’article précédent, est depuis le début de la pandémie un des auteurs les plus prolifiques, publié notamment par TheBlaze, sur le Covid et les « vaccins ». Voici un de ses articles les plus récents, d’une actualité brûlante, à propos de données éloquentes de la base de données de la médecine militaire américaine, qui mentionnent une augmentation spectaculaire des avortements spontanés, chiffres dont s’est également servie Jessica Rose (article ici) pour calculer le nombre réel d’avortements spontanés post-vaccinaux dans la population générale – sujet déjà abordé ici, ici et (un peu) ici.

Source.

Traduction

Horowitz: Des lanceurs d’alerte partagent des données médicales du Ministère de la Défense qui ouvrent en grand le débat sur la sécurité des vaccins.

Daniel Horowitz – 26 janvier 2022

Données, transparence et surveillance. Voilà ce qui, tout au long de cette pandémie, a manqué à la plus grande expérience jamais menée sur des êtres humains. Aujourd’hui, des lanceurs d’alerte du secteur médical militaire présentent ce qu’ils affirment être l’ensemble de données sans doute le plus précis et le plus révélateur qu’on puisse trouver sur la sécurité des vaccins.

Les politiciens et les médias pro-pharma affirment que l’outil de pharmacovigilance du CDC, le VAERS, n’est pas assez performant pour motiver des enquêtes sur les vaccins, car n’importe qui peut censément soumettre un événement indésirable lié à un vaccin. Ainsi, tous les signaux de sécurité alarmants émis par le VAERS sont ignorés, alors même que ce système a été mis en place en guise de lot de consolation pour le grand public, face à l’exemption de responsabilité accordée aux fabricants de vaccins. Aujourd’hui, des militaires lanceurs d’alerte viennent présenter des données qui, si elles sont vérifiées, indiqueraient des problèmes extrêmement inquiétants de sécurité du vaccin, à côté desquels les données du VAERS ne sont que des pécadilles.

Lundi, au cours de l’audience de cinq heures organisée par le Sénateur Ron Johnson, intitulée « COVID-19: Deuxième avis« , l’avocat de l’Ohio Thomas Renz, qui représente en justice des clients attaquant les obligations vaccinales, a présenté des données de facturation médicale du Ministère de la Défense provenant de la Base de Données d’Epidémiologie Médicale de la Défense (Defense Medical Epidemiology Database – DMED) qui brossent un tableau effroyablement inquiétant de la santé de nos militaires en 2021.

Selon l’armée, DMED est l’outil Web de la Direction de la Surveillance de la Santé des Forces Armées (Armed Forces Health Surveillance Branch – AFHSB) qui permet d’interroger à distance les données désidentifiées des événements médicaux et personnels des composants actifs contenus dans le Système de Surveillance Médicale de la Défense (Defense Medical Surveillance System – DMSS). En d’autres termes, il contient chaque code CIM (Classification Internationale des Maladies) de facturation médicale pour tout diagnostic médical dans l’armée soumis à la facturation de l’assurance médicale pendant une période donnée. Trois médecins militaires ont présenté à Renz des données téléchargées qui montrent un pic impressionnant et soudain dans presque tous les codes CIM pour les lésions courantes liées aux vaccins en 2021.

Dans une déclaration sous serment que Renz prévoit d’utiliser devant un tribunal fédéral, les docteurs Samuel Sigoloff, Peter Chambers et Theresa Long [NdT. dont j’ai publié la déclaration écrite ici] – trois médecins militaires – ont révélé une augmentation de 300% des codes DMED enregistrés pour les fausses couches dans l’armée en 2021 par rapport à la moyenne des cinq années [précédentes]. La moyenne des fausses couches sur cinq ans était de 1.499 codes par an. Au cours des 10 premiers mois de 2021, elle était de 4.182. Comme Renz me l’a expliqué dans une interview pour TheBlaze, ces médecins ont enquêté sur les chiffres de centaines de codes de 2016 à 2020 pour établir une moyenne de base sur cinq ans. Ces codes concernaient généralement des affections et des lésions établis dans la littérature médicale comme effets indésirables potentiels des vaccins.

Renz m’a dit que les chiffres avaient tendance à demeurer remarquablement similaires au cours de toutes les années précédentes, y compris en 2020, première année de la pandémie mais période antérieure à la distribution des vaccins. Mais en 2021, les chiffres sont montés en flèche, alors que les données de 2021 ne comprennent même pas les mois de novembre et décembre. Par exemple, certains responsables de la santé publique estiment que le COVID lui-même expose les femmes à un risque accru de fausses couches. Mais le nombre de codes de fausses couches enregistrés en 2020 était en fait légèrement inférieur à la moyenne sur cinq ans (1.477). Cependant, dans aucune catégorie les chiffres n’étaient radicalement inférieurs à la moyenne au point que l’on pourrait suggérer qu’il s’agirait d’une diminution des consultations médicales liée aux confinements, qui aurait en quelque sorte conduit à une augmentation des diagnostics en 2021.

La base de données contient tous les codes CIM pour les visites à l’hôpital militaire et les visites ambulatoires. Les données présentées par Renz jusqu’à présent proviennent toutes de l’interrogation des données de diagnostic ambulatoire.

Outre le pic des diagnostics de fausses couches (code CIM O03 pour les avortements spontanés), on constate une augmentation de près de 300% des diagnostics de cancer (qui passent d’une moyenne de 38.700 par an sur cinq ans à 114.645 au cours des 11 premiers mois de 2021). On voit également une augmentation de 1.000% des codes de diagnostic pour les problèmes neurologiques, qui sont passés d’une moyenne de base de 82.000 à 863.000!

Voici d’autres chiffres qu’il n’a pas mentionnés lors de l’audition mais qu’il m’a donnés lors de l’interview:

  • infarctus du myocarde – 269% d’augmentation
  • paralysie de Bell – 291% d’augmentation
  • malformations congénitales (pour les enfants de militaires) – 156% d’augmentation
  • infertilité féminine – 471% d’augmentation
  • embolies pulmonaires – 467% d’augmentation.

Tous ces chiffres concernent les visites ambulatoires, car c’est là que sont établis la plupart des diagnostics dans l’armée. Cependant, Renz dit que les augmentations touchaient aussi les patients hospitalisés. J’ai vu une des déclarations sous serment d’un des médecins militaires, qui dit ceci: « Il est de mon opinion professionnelle que les augmentations majeures des incidences des cas de fausses couches, de cancers et de maladies susmentionnés sont dues aux « vaccinations » COVID-19″.

Selon Renz, c’est la réalité de la pratique clinique des trois médecins cités et de plusieurs médecins anonymes qui les a conduits à enquêter sur DMED, et leurs découvertes reflètent leur vécu du traitement de patients atteints de maladies extrêmement inhabituelles chez de jeunes soldats en bonne santé depuis le lancement des vaccins.

J’ai parlé à l’un des lanceurs d’alerte qui me confirme son extrême préoccupation du fait de voir de jeunes soldats atteints de cancers métastatiques fulgurants, de maladies auto-immunes et de troubles cardiaques et circulatoires qui ont poussé nombre d’entre eux à interrompre leur participation à divers programmes de formation. « Ces médecins ont été motivés à explorer les données DMED suite à l’augmentation du nombre de cas qu’ils constataient de manière empirique », explique le lanceur d’alerte, qui a servi dans l’armée pendant de nombreuses années. « Certains médecins au sein de l’armée (toutes branches confondues) ont été menacés par leurs commandements, qui les ont dissuadés d’effectuer la gamme complète des tests et de se conformer à la réglementation, qui prescrit implicitement des bilans complets pour les effets indésirables des vaccins en autorisation d’utilisation d’urgence. Il est nécessaire que d’autres médecins militaires interviennent pour partager leur propre expérience afin de vérifier la portée gigantesque de ces allégations et de susciter une enquête approfondie. »

Renz affirme qu’il dispose d’une vidéo tournée en présence de deux témoins montrant tout le processus de téléchargement de ces données à partir de la base de données et qu’il est prêt à la présenter devant un tribunal. Il m’a également dit que ça ne constituait que « la partie émergée de l’iceberg », car le nombre de codes a augmenté de façon exponentielle dans de nombreuses autres catégories de diagnostics. Renz précise que sa feuille de calcul, qui comprend plus de 100 catégories de diagnostics médicaux, a été communiquée au Sénateur Johnson et à son équipe avant l’audience de lundi.

Il est important de noter que ces chiffres ne représentent pas le nombre de personnes diagnostiquées pour diverses affections, mais bien le nombre de codes de diagnostics effectués dans leur totalité à un moment donné. Par exemple, une personne victime d’un accident vasculaire cérébral accumulera évidemment de nombreux codes CIM neurologiques au cours d’une année, avec de multiples visites ambulatoires et hospitalières. Toutefois, la comparaison des données équivalentes des cinq années précédentes montre clairement un pic incontestable des affections.

Si ces chiffres sont confirmés dans le cadre des procès à venir, alors, en l’absence de fraude massive à l’assurance militaire ou d’anomalie étrange dans le système, ils brossent un tableau alarmant des problèmes de sécurité des vaccins, indiquant que non seulement les signaux de sécurité du VAERS auraient dû faire l’objet d’un suivi immédiat, mais aussi qu’ils sont affligés d’un grave facteur de sous-déclaration. L’armée est une population définie, limitée, étroitement contrôlée et surveillée. Ce sont également des personnes très majoritairement jeunes et en bonne santé. Si les allégations de problèmes neurologiques, cardiaques et de cancer liés aux vaccins sont avérées, l’armée serait l’endroit le plus propice à leur découverte, et ses données les plus fiables et les plus incontestables.

Le DMED est littéralement un programme de surveillance épidémiologique conçu dans le but exprès de détecter les pics de maladies et de lésions afin de s’assurer que l’armée est prête au combat. C’est une question de sécurité nationale encore plus que de santé publique. Pourquoi l’armée n’aurait-elle pas tiré la sonnette d’alarme et prévenu immédiatement le CDC au vu de ces données? Sur le site Web du système de santé militaire, la Division de Surveillance de la Santé des Forces Armées (Armed Forces Health Surveillance Division – AFHSD) est décrite comme « la ressource épidémiologique centrale pour les forces armées des États-Unis, chargée de la surveillance médicale pour la protection de ceux qui portent l’uniforme au service de notre nation et des alliés essentiels à nos intérêts de sécurité nationale ».

Comment l’Agence Sanitaire de la Défense (Defense Health Agency – DHA) a-t-elle pu ignorer des signaux de surveillance aussi criants et flagrants et aussi inhabituels, et comment cela n’a-t-il pas été communiqué au grand public? La question est de savoir pourquoi les analystes de la santé publique militaire n’ont pas débattu des pics alarmants de diagnostics de cette année avec les médecins militaires et pourquoi ils n’ont pas publié d’analyse pour les expliquer.

De son côté, le sénateur Ron Johnson a déclaré lors de l’audience de lundi qu’il avait mis le Ministère de la Défense en demeure de ne pas supprimer ces données. « Le Ministère de la Défense et l’administration Biden sont avertis qu’ils sont tenus préserver ces dossiers et que des enquêtes doivent être menées », a déclaré Johnson. Renz a témoigné lors de l’audience que certaines des données relatives à la myocardite ont été révisées à la baisse depuis que les médecins les ont téléchargées l’année dernière.

Même si, d’une manière ou d’une autre, ces augmentations spectaculaires n’ont rien à voir avec les vaccins, ne serait-il pas nécessaire que notre gouvernement enquête sur ce qui semble constituer un déclin catastrophique de la santé de nos forces de combat en service actif ? Après tout, les données du DMED ont été conçues dans ce but précis. « Il est possible de réaliser un travail de recherche sur la base de ces seules données », a déclaré l’un des lanceurs d’alerte à qui j’ai parlé. « Elles ont été conçues dans ce but précis. La quantité de points de données analysables est quasiment illimitée. »

Le point essentiel, selon Renz, est que la charge de la preuve incombe au gouvernement, et non aux militaires et aux citoyens contraints de recevoir ces injections. Si les fabricants sont exonérés de toute responsabilité lorsque le gouvernement ordonne l’utilisation de leur produit et que les seules données de sécurité pharmacologique disponibles sont totalement ignorées, quel est le recours des citoyens qui souhaitent pallier aux problèmes de sécurité? Selon l’avocat de l’Ohio, si les injections sont sûres et efficaces, alors le Pentagone ne devrait avoir aucun problème à expliquer la source de ces gargantuesques augmentations de cas de nombreuses maladies. La transparence est le remède le plus efficace contre une pandémie de secrets.


Texte original

Horowitz: Whistleblowers share DOD medical data that blows vaccine safety debate wide open

Daniel Horowitz – January 26, 2022

Data, transparency, and surveillance. That is what has been missing from the greatest experiment on humans of all time throughout this pandemic. Now, military medical whistleblowers have come forward with what they claim is perhaps the most accurate and revealing data set on vaccine safety one could possibly find.

The pro-pharma politicians and media claim the CDC’s pharmacosurveillance tool “VAERS” is not good enough to trigger investigations into the shots because anyone can supposedly submit a vaccine adverse event entry. Thus, all the concerning safety signals from VAERS are being ignored, even though that system was put in place as a consolation to the public for absolving vaccine manufacturers of liability. Well, now some military whistleblowers are coming forward to present data that, if verified, would signal extremely disturbing safety concerns about the vaccine that make the VAERS data look like child’s play.

On Monday, during Sen. Ron Johnson’s five-hour hearing on a “COVID-19: Second Opinion,” Ohio attorney Thomas Renz, who has been representing clients suing the vaccine mandates, presented DOD medical billing data from the Defense Medical Epidemiology Database (DMED) that paints a shockingly disturbing picture of the health of our service members in 2021.

According to the military, DMED is the Armed Forces Health Surveillance Branch’s (AFHSB) “web-based tool to remotely query de-identified active component personnel and medical event data contained within the Defense Medical Surveillance System (DMSS).” In other words, it contains every ICD medical billing code for any medical diagnosis in the military submitted for medical insurance billing during any given period of time. Three military doctors have presented queried data to Renz that shows a shocking and sudden spike in nearly every ICD code for common vaccine injuries in 2021.

In a declaration under penalty of perjury that Renz plans to use in federal court, Drs. Samuel Sigoloff, Peter Chambers, and Theresa Long — three military doctors — revealed that there has been a 300% increase in DMED codes registered for miscarriages in the military in 2021 over the five-year average. The five-year average was 1,499 codes for miscarriages per year. During the first 10 months of 2021, it was 4,182. As Renz explained to me in an interview with TheBlaze, these doctors queried the numbers for hundreds of codes from 2016 through 2020 to establish a baseline five-year average. These codes were generally for ailments and injuries that medical literature has established as being potential adverse effects of the vaccines.

Renz told me the numbers tended to be remarkably similar in all those preceding years, including in 2020, which was the first year of the pandemic but before the vaccines were distributed. But then in 2021, the numbers skyrocketed, and the 2021 data doesn’t even include the months of November and December. For example, some public health officials speculate that COVID itself places women at higher risk for miscarriages. But the number of miscarriage codes recorded in 2020 was actually slightly below the five-year average (1,477). However, they were not drastically below the average on any one category in a way that one can suggest it reflects lockdown-related decreases in doctor’s visits, which somehow led to an increase in 2021 diagnoses.

The database has all the ICD codes for both military hospital visits and ambulatory visits. The data presented by Renz so far is all from the query of ambulatory diagnosis data.

Aside from the spike in miscarriage diagnoses (ICD code O03 for spontaneous abortions), there was an almost 300% increase in cancer diagnoses (from a five-year average of 38,700 per year to 114,645 in the first 11 months of 2021). There was also a 1,000% increase in diagnosis codes for neurological issues, which increased from a baseline average of 82,000 to 863,000!

Some other numbers he did not mention at the hearing but gave to me in the interview are the following:

  • myocardial infarction –269% increase
  • Bell’s palsy – 291% increase
  • congenital malformations (for children of military personnel) – 156% increase
  • female infertility – 471% increase
  • pulmonary embolisms – 467% increase

All these numbers are among the ambulatory visits because those are where the vast number of diagnoses in the military occur. However, Renz did say the increases were indicated in the hospitalized patients as well. I have seen one of the sworn declarations from one of the military doctors, and it states as follows, “It is my professional opinion that the major increases incidences of the above discussed instances of miscarriages, cancers, and disease were due to COVID-19 ‘vaccinations.' »

According to Renz, it was the actual clinical experience of the three named doctors and several unnamed doctors that led them to investigate DMED, and their discoveries reflected their experience treating patients with ailments extremely unusual to healthy, young soldiers since the rollout of the vaccines.

I have spoken to one of the whistleblowers who attests to being gravely concerned with seeing young soldiers with sudden metastatic cancers, auto-immune diseases, and heart and circulatory disorders that have caused many soldiers to drop out of various training programs. “These doctors were motivated to explore DMED data due to the numbers of case increases they were seeing empirically,” said the whistleblower, who served in the military for many years. “Some physicians throughout the force (all branches) have been intimidated by commands not to perform the full spectrum of testing and adhere to the regulations, which implicitly direct full workups for EUA vaccination adverse reactions. It will require other military physicians to step forward and share experiences to fully ascertain the enormity of these allegations and engender an investigation to the fullest extent.”

Renz claims he has a video with two witnesses showing the entire process of downloading this data from the database and is prepared to present it in court. He also told me that this is just “the tip of the iceberg,” as the codes have increased exponentially in numerous other diagnosis categories. Renz said his spreadsheet, which includes over 100 medical diagnosis categories, was shared with Senator Johnson and his staff before the Monday hearing.

It’s important to note that these numbers do not represent the number of individual people diagnosed with various ailments, but number of diagnoses codes used in totality at a given time. For example, someone who has a stroke is obviously going to rack up numerous neurological ICD codes over the course of a year with multiple ambulatory and hospital visits. However, the apples-to-apples comparison from the previous five years clearly shows an unmistakable spike in ailments.

If these numbers are verified in the upcoming court cases, then absent some massive military insurance fraud or bizarre glitch in the system, it potentially paints a shocking picture of vaccine safety concerns that would indicate that not only were the VAERS safety signals something that should immediately have been followed up on, but they are plagued by woeful underreporting. The military is a defined, finite, and closely controlled and monitored population. They are also overwhelmingly young and healthy. If allegations of neurological, cardio, and cancer concerns surrounding the vaccines are indeed true, the military would be the most revealing place to discover it, and their data is the most reliable and undisputable.

DMED is quite literally an epidemiological surveillance program designed for the express purpose of detecting surges in illness and injury to make sure the military is combat-ready. It’s about national security even more than public health. Why would the military not have blown the whistle and warned the CDC right away about this data? On the military health system website, the Armed Forces Health Surveillance Division (AFHSD) is described as “the central epidemiologic resource for the U.S. Armed Forces, conducting medical surveillance to protect those who serve our nation in uniform and allies who are critical to our national security interests.”

How could the blaring and glaring surveillance signals of a lifetime be ignored by the Defense Health Agency (DHA), and how was this not conveyed to the general public? The question is why the military public health analysts have not been communicating with military doctors about the shocking spikes in diagnoses this year and why they have not put out any analysis explaining it.

For his part, Sen. Ron Johnson said at the Monday hearing that he put DOD on notice that it better not delete any of the data. “The Department of Defense, the Biden administration is on notice they must preserve these records and this must be investigated,” said Johnson. Renz testified at the hearing that some of the myocarditis data was slid backwards since the doctors originally downloaded it last year.

Even if somehow these earth-shattering increases have nothing to do with the vaccines, isn’t it important that our government investigate what appears to be a catastrophic decline in the health of our active-duty fighting force? After all, the DMED data was designed for this very purpose. “A person can do a research paper just on this data alone,” said one of the whistleblowers I spoke to. “It was designed for this very purpose. The amount of data points you could query is nearly unlimited.”

The bottom line according to Renz is that the onus of proof is on the government, not on the military personnel and citizens being forced to take the shots. If the manufacturers are exempt from liability for government coercion to use their product, and the only pharmacological safety data we have is completely ignored, then where is the recourse of the people to redress safety concerns? In the opinion of the Ohio attorney, if the shots are safe and effective, then the Pentagon should have no problem explaining the source of these gargantuan increases in instances of numerous illnesses. Transparency is the most potent cure of a pandemic of secrecy.

Vaccins et fertilité – par Ashmedai.

En guise d’introduction – d’autres articles suivent – un premier point sur les problèmes de fertilité, par Ashmedai, qui a aussi écrit ceci. Mes fidèles lecteurs auront depuis plus d’un an trouvé sur ce blog les infos qui figurent ci-dessous, notamment dans des articles plus scientifiquement plus pointus. Celui-ci a le mérite de les synthétiser et de les situer dans le paysage de cette « crise ».

Source.


Le Dr Berman à propos des vaccins et de la fertilité

Affirmation: « Il n’existe même pas de théorie biologique plausible pour expliquer la possibilité » que les vaccins affectent la fertilité.

Ashmedai

17 janvier

Cet article fait partie d’une série visant à mettre en évidence l’ineptie et l’analphabétisme pur et simple des experts auxquels ma communauté s’est fiée pour ses recommandations médicales sur le covid. Je n’utilise que des arguments qui peuvent être tirés des données/études et autres informations disponibles au moment où l’affirmation a été faite.


Affirmation: « Il n’existe même aucune théorie biologique plausible pour expliquer [ la ] possibilité » que les vaccins puissent affecter la fertilité.

Source: On the Covid Vaccinations, publié le 21/06/21

Contexte: L’establishment tentait encore de faire croire que les nombreuses déclarations de problèmes menstruels étaient fausses.


Les faits:

Pour être très clair, le Dr Berman a affirmé qu’il n’existait pas de documentation abondante attestant d’une quantité massive – intégrant un large éventail – d’effets secondaires. Il a en outre affirmé – de façon stupéfiante – qu’il n’existait ni de base ni même de théorie biologique plausible pour étayer la légitime suspicion que les vaccins pourraient causer des problèmes de fertilité. Bien que je ne doute pas que le Dr Berman croie sincèrement à ses affirmations, celles-ci laissent une nette impression de l’arrogance indue, typique des scientifiques, ce qui est une description adéquate de la personne à l’origine de ces affirmations. Nous allons démontrer qu’il existe de multiples possibilités mécanistiques viables susceptibles de provoquer un vaste assortiment d’effets indésirables graves, dont l’infertilité.

Nouveaux composants biologiques des vaccins Covid

Au moins deux entités biologiques étrangères, non utilisées jusqu’à présent, sont introduites dans le corps humain par les vaccins covid (une dans le cas de J&J) – la nanoparticule lipidique et la protéine spike. Le simple bon sens nous indique qu’une nouvelle substance biologique étrangère introduite dans le corps humain pourrait perturber les fonctions biologiques normales. Ceci dépasse déjà en soi la limite minimale de la « plausibilité ». Cependant, une analyse de ces deux substances révèle qu’elles ne sont pas seulement « plausibles » mais qu’il est très possible (probable?) qu’elles causent des dommages à grande échelle sur le plan de la reproduction.

Les nanoparticules lipidiques (NPL) sont reconnues depuis longtemps comme étant hautement réactogènes et présentant une variété de caractéristiques toxicologiques dans diverses configurations, une considération primordiale pour déterminer – c’est-à-dire limiter – le dosage des vaccins. L’un des premiers obstacles (après la découverte révolutionnaire du remplacement de l’uridine par la N1-Méthyl-Pseudouridine, qui a rendu l’ARNm essentiellement « utilisable ») qui a entravé la recherche sur l’ARNm a été la mise au point d’une structure moléculaire pour les NPL qui ne soit pas [mortellement] toxique. (De nombreux animaux ont en définitive donné leur vie dans la poursuite de cette réussite).

Les partisans des vaccins ont affirmé que les NPL resteraient autour du site d’injection, que les protéines de pointe ne s’échapperaient pas des cellules qui les produisent et qu’elles n’étaient en aucun cas pathogènes. Comme on pouvait s’y attendre, aucune de ces affirmations n’est vraie.

L’étude préclinique de Pfizer sur la biodistribution chez les animaux vaccinés (rendue publique par le gouvernement japonais) a révélé que de grandes quantités de NPL s’accumulaient dans divers organes et tissus, notamment les ovaires et l’utérus, et que l’accumulation était largement disproportionnée dans les ovaires par rapport à la plupart des autres organes (le foie (non illustré) et la rate étaient encore plus perméables aux NPL):

(Pour mémoire, ce résultat a été obtenu en utilisant le test de sensibilité le plus faible, ce sur quoi nous reviendrons plus tard).

L’accumulation d’une quantité importante d’un agent biologique hautement réactogène (imaginez quelque chose qui « offense » et « déclenche » le système immunitaire) dans un système organique est évidemment préoccupante. Outre leur puissante réactogénicité, cela suggère une possibilité discrète que de l’ARNm ait pu être introduit dans des cellules de tissus organiques – qui produiraient alors des protéines de pointe conformément à la conception du vaccin. Ces cellules présenteraient ensuite des protéines Spike antigéniques, ce qui déclencherait une attaque directe du système immunitaire sur certains des tissus organiques.

Il va sans dire qu’une quantité importante d’un agent biologique hautement réactogène s’accumulant dans les ovaires ne fournit pas seulement une plausibilité mécaniste pour de possibles complications de la fertilité, elle prédit carrément la survenue de telles atteintes. Il est également inutile de préciser que l’idée que, par exemple, des cellules du muscle cardiaque ou des cellules rénales produisent des protéines de pointe est un scénario effrayant dont la simple évocation ne nécessite aucune explication supplémentaire.

Un deuxième mécanisme plausible pour les effets secondaires des vaccins, y compris les lésions de fertilité, est la protéine spike elle-même. Une étude récente menée à Oxford a révélé que la protéine spike circulait dans le plasma de 11/13 individus vaccinés étudiés, y compris des sous-unités détachées de la protéine spike S1 chez certains.

Bien qu’il ne s’agisse pas d’une exigence technique pour l’approbation d’un vaccin, les études de biodistribution sont considérées comme de rigueur et, compte tenu de la nouvelle architecture des vaccins contre le covid, la décision de ne pas en réaliser une est très suspecte. (Comme l’a expliqué le Dr Robert Malone, une étude de biodistribution correcte implique nécessairement la dissection complète des animaux vaccinés afin d’extraire des échantillons de tissus de l’ensemble de leur anatomie, et non pas les tests de bioluminescence à la Luciferase notoirement inadéquats qu’ils ont effectués pour la FDA). Cette observation a été formulée dans le BMJ par l’un de ses rédacteurs en chef.

(Parmi les autres décisions extraordinairement insolites prises dans le cadre des essais de vaccins, citons l’exclusion de tous les groupes démographiques présentant un risque important de contracter le covid, ainsi que la levée de l’aveugle et la suppression du contrôle des études en vaccinant les groupes témoins (!!!), ce qui exclut la possibilité (lire: la menace) de voir apparaître des données de sécurité à long terme très significatives. A jamais).

Ceci démontre pourquoi on ne doit pas se fier aux affirmations d' »implausibilité » des scientifiques – trop souvent englués dans une pensée sans imagination et un égoïsme exacerbé – et ceci est clairement démontré par le fait que la modification de leur  » ancre  » n’a pas réussi, de manière  » inattendue « , à empêcher l’exode massif à partir de leurs cellules progénitrices. Quoi qu’il en soit, il est indéniablement et éminemment plausible que les protéines spike circulent en quantités significatives chez de nombreuses personnes vaccinées.

De même, il a été fermement établi que la protéine S native possède de véritables caractéristiques pathogènes qui, en l’absence d’évaluation toxicologique, sont présumées n’être inhibées par aucune des nouvelles modifications de l’adaptation du vaccin. Les nombreuses propriétés toxiques des protéines de pointe ont été documentées de manière approfondie (liste partielle des études, qui me viennent à l’esprit, décrivant clairement la toxicité d’une protéine de pointe dans leur titre) :

Dans La protéine de pointe du SARS-CoV-2 altère la fonction endothéliale par la régulation négative de l’ACE 2 [SARS-CoV-2 Spike Protein Impairs Endothelial Function via Downregulation of ACE 2], les auteurs ont trouvé exactement ce que le titre suggère, à savoir que le simple fait de se lier aux récepteurs ACE2 sans exécuter aucune autre fonction pathogène perturbe de nombreux processus biologiques. (Il s’agissait d’une expérience ingénieusement conçue, dans laquelle les chercheurs ont greffé des protéines S sur une plateforme de pseudo-virus et ont infecté de mignons hamsters syriens avec leur pseudo-virus Frankenstein, dont le seul attribut potentiellement pathogène était la capacité de se lier à des protéines de surface cellulaires).

La protéine S1 du SARS-CoV-2 traverse la barrière hémato-encéphalique chez la souris [The S1 protein of SARS-CoV-2 crosses the blood–brain barrier in mice]: une étude a révélé que les animaux de laboratoire auxquels on avait injecté la protéine spike dans leur sang développaient des problèmes cardiovasculaires. Plus effrayant encore, ils ont également découvert que les sous-unités S1 peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique (BHE), déclenchant potentiellement toutes sortes d’effets indésirables neurologiques comme ceux du large éventail trouvé dans les diverses bases de données de pharmacovigilance.

Il est important de noter qu’aucun des fabricants de vaccins n’a démontré que les versions de la protéine spike contenues dans le vaccin étaient débarrassées de leur toxicité ou de leur pathogénicité (rappelez-vous que le but d’un vaccin est de vous injecter un virus mort ou inerte ou une partie du virus, et non le principe actif du virus sous une forme entièrement fonctionnelle). Il n’y a qu’un petit pas à franchir, et non un pas de géant, pour supposer que les protéines de pointe nomades voyageant vers d’autres systèmes organiques, y compris les organes reproducteurs, peuvent se lier aux récepteurs ACE2 omniprésents dans presque tous les systèmes organiques du corps, y compris les organes reproducteurs.

En outre, des protéines de pointe incroyablement immunogènes pourraient induire une puissante réponse immunitaire là où elles s’accumulent, entraînant une inflammation ou d’autres effets néfastes dans des tissus (auparavant) sains (ou déclenchant un autre processus biologique inconnu et imprévu qui exerçait un impact nuisible)… Cela aussi dépasse facilement le seuil de plausibilité, surtout si l’on considère que les lipides – dont certains peuvent encore contenir de l’ARNm – semblent se déposer dans les ovaires. Oups!

Étant donné que le caractère effrayant des révélations divulguées ci-dessus constitue un obstacle rédhibitoire pour la plupart des gens qui, jusqu’à présent, n’ont entendu que des affirmations largement diffusées sur la sécurité dûment déterminée par la FDA et d’autres organismes de réglementation, il est donc nécessaire de présenter les lacunes spécifiques de la FDA dans l’approbation de ces vaccins.

En guise d’introduction, il est instructif de constater que le calendrier de leur élaboration a été sévèrement tronqué sous l’effet de pressions morales, sociales et politiques sans précédent. Un profane peut facilement déduire de ce simple fait, avec le bon sens qui découle de toute l’histoire de l’humanité, un appel à la prudence face à une prise de décision hâtive qui ne tient pas suffisamment compte de nombreuses considérations, dont beaucoup sont loin d’être évidentes, surtout pour un esprit stressé et surchargé. Il est axiomatique dans la nature humaine que, parallèlement à l’urgence croissante dans un contexte de dévastation en marche, on observe une tolérance de plus en plus grande à l’égard des risques et des compromis, car une analyse rationnelle des risques et des avantages conclut à juste titre que « les situations désespérées appellent des mesures désespérées ». Une conséquence systématique de ces circonstances est la prédilection pour le maintien d’un tel état d’esprit, même en l’absence ultérieure des conditions qui l’ont précipité. Cette tendance est amplifiée lorsque des décisions antérieures semblent rétrospectivement injustifiées, et elle est encore plus probable lorsque les décisions antérieures ont créé une faille systémique toujours présente qui nécessiterait non seulement l’admission embarrassante d’une erreur, mais qui pourrait aussi vicier des progrès significatifs vers un objectif non atteint, tel que le développement d’un vaccin contre le covid. Prétendre le contraire, c’est rester volontairement et illusoirement dans l’ignorance, ce qui est bien sûr la position (mal) réfléchie de la communauté médicale. Nous allons donner quelques exemples de décisions spécifiques manifestement défaillantes.

Pour cela, je me contenterai de paraphraser Robert Malone, la première personne à avoir synthétisé un ARNm qui a réussi à s’infiltrer dans une cellule. Ce qui suit est tiré d’une interview de Daniel Horowitz (la première):

La FDA n’a impliqué que ses vaccinologues, en laissant de côté les experts en thérapie génique. Le résultat prévisible fut qu’étant donné que les vaccins traditionnels ne sont pas soumis à une évaluation visant à caractériser la durée, la distribution ou les niveaux d’expression de tout composant, ni à une évaluation de la toxicologie de la reproduction ou de la génotoxicité, les vaccins covid ont été dispensés de tels tests bien qu’il s’agisse de thérapies géniques pour lesquelles de telles enquêtes sont indispensables à la détermination de leur profil de sécurité. Ainsi, la FDA n’a jamais exigé des concepteurs de vaccins qu’ils caractérisent rigoureusement le niveau, la durée ou la distribution de la fabrication des protéines de pointe, ou la distribution et la toxicologie des nouveaux composés lipidiques utilisés pour construire le vecteur NPL. La piètre étude de biodistribution sur les animaux menée par Pfizer a utilisé le mécanisme d’essai le moins sensible. Pour évaluer la biodistribution, ils ont codé la Luciferase dans l’ARNm, une protéine bioluminescente responsable de la lueur de la queue de la luciole. Pour analyser la biodistribution des protéines luminescentes, ils ont utilisé des tubes multiplicateurs de photons sur des animaux entiers, la méthode de test la moins sensible, car les tissus biologiques dévient ou réfractent les photons, favorisant de préférence les zones de concentration extrêmement élevée qui sont proches de la surface. Sans surprise, le site d’injection représentait la grande majorité de la luminescence détectée. Le protocole approprié – sur lequel on aurait insisté si des experts en thérapie génique avaient été consultés – prévoit de disséquer les animaux, de prélever des échantillons de l’ensemble de l’anatomie, qui sont ensuite placés dans des tubes avec un tampon, puis de lyser (ouvrir) les cellules et d’obtenir un échantillon qui est testé pour détecter la luminescence. Cette méthode permettrait d’indiquer avec précision la quantité de protéine codée par l’ARNm synthétisée dans chaque échantillon anatomique. Le fait que la FDA et ses collaborateurs aient accepté le test de sensibilité le plus faible révèle qu’ils sont incapables d’établir des normes adéquates pour l’évaluation de ces vaccins.

En outre, la protéine spike n’est pas le seul antigène cible potentiel du vaccin, et pourrait même ne pas être le meilleur. La protéine spike elle-même possède de nombreux mécanismes qui pourraient être ciblés en plus de la RBD [Receptor binding domain, domaine d’une protéine ou d’une lipoprotéine lui permettant de se lier au récepteur ciblé] « qui aurait pu être laissée dans une structure native » [c’est-à-dire une « conformation fermée », en d’autres termes, ils ont choisi de verrouiller le S1 dans une « conformation ouverte », ce qui maintiendrait la RBD exposée, mais augmenterait également l’affinité de liaison de l’ACE2]. Le Covid contient d’autres protéines qui provoquent l’apparition de lymphocytes T cytotoxiques [ce sont les lymphocytes T assassins qui détruisent les cellules infectées]. La prise de décision hâtive pour le développement d’un vaccin a conduit à la décision irréfléchie et précipitée de cibler le candidat le plus facile sans tenir compte des autres implications.

Pfizer a explicitement reconnu dans ses protocoles cliniques que la toxicité pour la reproduction n’a pas été étudiée dans ses essais sur les animaux.

En ce qui concerne les NPL, les nouveaux composés comportent des risques intrinsèques plausibles qui ne peuvent être écartés que par des essais appropriés conçus dans ce but précis, ce qui est manifestement absent des protocoles d’essai.

La FDA et les fabricants de vaccins ont manifestement pris des raccourcis dans le développement et les essais de ces vaccins.

D’autres théories mécanistes concernant les lésions induites par les vaccins – y compris la fertilité – sont examinées en profondeur dans le document « Pire que la maladie? Examen de certaines conséquences involontaires possibles des vaccins à ARNm contre le COVID-19 » [Worse Than the Disease? Reviewing Some Possible Unintended Consequences of the mRNA Vaccines Against COVID-19] (dont le lien original semble avoir disparu… mince, je me demande pourquoi…) [NdT. heureusement j’ai traduit en entier et publié cette étude ici], dont voici le résumé:

Nous passerons ensuite en revue les composants et la réponse biologique prévue de ces vaccins, y compris la production de la protéine spike elle-même, ainsi que leur relation potentielle avec un large éventail de pathologies induites aiguës et à long terme, telles que les troubles sanguins, les maladies neurodégénératives et les maladies auto-immunes. Parmi ces pathologies potentielles induites, nous discuterons de la pertinence des séquences d’acides aminés liées à la protéine prion dans la protéine spike.

N’oubliez pas que c’est aux fabricants de vaccins de prouver que leur produit est sûr, même face à des dangers hautement spéculatifs.

Je pense qu’une dernière remarque s’impose concernant l’affirmation du Dr Berman selon laquelle il n’existe  » aucune théorie biologique plausible  » selon laquelle ces vaccins peuvent affecter la fertilité. Franchement, une telle affirmation n’a pas de fondement, même si elle n’est pas contestée par des preuves contradictoires. Si l’incapacité des scientifiques à concevoir un mécanisme plausible pour des préjudices spéculatifs constituait une norme viable pour statuer sur les problèmes de sécurité, la FDA pourrait être en grande partie mise à la retraite, ce qui rendrait inutile le régime de tests rigoureux auquel sont soumis toutes les nouvelles thérapies et tous les agents biologiques face aux affirmations d’experts convaincus de l’absence de plausibilité d’effets indésirables inattendus. Ces affirmations sont examinées d’un œil critique précisément parce que nous accordons (à juste titre) la déférence nécessaire à l’éternel fardeau de l’humanité qui est de ne pas savoir ce que nous ne savons pas. Malheureusement, les experts reconnaissent rarement les limites de leur expertise et, en ce qui concerne le covid, semblent ignorer qu’il en existe. Le Dr Berman ne fait pas exception.


Pour plus d’informations sur la fertilité, lire Existe-t-il une base plausible pour les problèmes de fertilité? [NdT. Is There A Plausible Basis for Fertility Concerns, que je traduis dès que j’ai le temps]


Texte original

Dr. Berman on Vaccines & Fertility

Claim: “There is not even a plausible biologic theory to account for [the] possibility” of the vaccines affecting fertility.

Ashmedai

Jan 17

This is part of a series to highlight the ineptitude and sheer illiteracy of the experts my community has relied upon for covid medical advice. I am only employing arguments that can be made from the data/studies and other information available at the time the claim was made.


Claim: “There is not even a plausible biologic theory to account for [the] possibility” of the vaccines affecting fertility.

Source: On the Covid Vaccinations, published 6/21/21

Background: The establishment was still trying to pretend that the widespread reports of menstrual problems were false.


The Facts:

To be very clear, Dr. Berman claimed that there wasn’t widespread documentation of a massive quantity – incorporating a wide array – of side effects. He further – astoundingly – claimed that there is neither a basis nor even a plausible biologic theory to sustain legitimate skepticism that the vaccines may cause fertility problems. While I don’t doubt that Dr. Berman sincerely believes his assertions, they do give a distinct impression of the typical unwarranted hubris endemic to scientists, which is an apt description for whomever is ultimately the provenance of these assertions. We shall demonstrate that there are multiple viable mechanistic options for causing a vast assortment of severe adverse effects, including infertility.

Novel Biological Components of the Covid Vaccines

At least two foreign, hitherto-undeployed biological entities are introduced to the human body by the covid vaccines (1 in the case of J&J) – the lipid nanoparticle and the spike protein. Common sense cautions that a novel foreign biological substance inserted into the human body may disrupt normal biological functions. This by itself already exceeds the low bar of ‘plausibility’. An analysis of both however will indicate that they are not only ‘plausible’ but very possibly (likely?) to cause widespread reproductive damage.

Lipid nanoparticles (LNP’s) have long been recognized as highly reactogenic and possessing a variety of toxicological characteristics across various configurations, which was a primary consideration when determining – that is to say, limiting – vaccine dosage. An early hurdle (after the breakthrough discovery of replacing uridine with N1-Methyl-Pseudouridine made the mRNA essentially “usable”) that stymied mRNA research was arranging a molecular structure for the LNP that was not [lethally] toxic. (Many animals ultimately gave their lives in pursuit of this achievement.)

Vaccine proponents claimed that the LNP’s would remain around the injection site, that the spike proteins wouldn’t escape the cells producing them, and that they lacked pathogenicity in any event. Unsurprisingly, none of these claims are true.

Pfizer’s pre-clinical bio-distribution study on the vaccinated animals (released by the Japanese government) found that high quantities of LNP’s accumulated in various organs and tissues, including the ovaries and uterus, and accumulation was vastly disproportionate in the ovaries compared to most other organs (the liver (not shown) and spleen were even more LPN-friendly):

(For the record, this result was derived using the lowest sensitivity test, which we shall return to later.)

A sizeable quantity of a highly reactogenic (picture something that ‘offends’ and ‘triggers’ the immune system) biological agent amassing in any organ system is obviously troubling. Besides for their potent reactogenicity, this suggests a discrete possibility that mRNA may have been intruded into organ tissue cells – which would then produce spike proteins per the vaccine’s design. These cells would subsequently present antigenic Spike proteins, precipitating an immune system attack upon some of the organ tissue directly.

Needless to say, a sizeable quantity of a highly reactogenic biological agent amassing in the ovaries doesn’t merely provide mechanistic plausibility for alleged fertility complications, it frankly predicts such injuries to occur. Also needless to say, the thought of, say, heart muscle cells or kidney cells producing spike proteins is a shuddering prospect whose mere utterance requires no supplementary explanation.

A second plausible mechanism for vaccine side effects, including fertility injuries, is the spike protein itself. A recent Oxford study found spike protein circulating in the plasma in 11/13 vaccinated individuals studied, including detached S1 spike protein subunits in some.

Although not a technical requirement for vaccine approval, bio-distribution studies are considered de regueur, and considering the novel architecture of the covid vaccines, the decision to forgo conducting one is highly suspect. (As spelled out by Dr. Robert Malone, proper bio-distribution study necessarily entails fully dissecting vaccinated animals to extract tissue samples from its entire anatomy, not the notoriously inadequate Luciferase bioluminescence assays they performed for the FDA.) This observation was articulated in the BMJ by one of their senior editors.

(Other extraordinarily unusual decisions made running the vaccine trials include excluding all demographics at substantial risk from covid and unblinding and de-controlling the studies by vaccinating the control arms(!!!), a move that forecloses the possibility (read: threat) of high-powered long-term safety data emerging. Ever.)

This demonstrates why we don’t rely on scientists claims of “implausibility” – they are too often encumbered by unimaginative thinking and inflated egoism – and this is clearly demonstrated through their ‘anchor’ modification, which ‘unexpectedly’ failed to prevent the mass exodus from their progenitor cells. Regardless, it is undeniably eminently plausible that spike proteins are circulating in significant quantities in many vaccinated people.

Native S-protein has likewise been firmly established to possess genuine pathogenic traits, which lacking toxicological assessment are presumed to be uninhibited by any of the novel modifications of the vaccine’s adaptation. The many toxic properties of spike proteins have been thoroughly documented (partial list of studies off the top of my head that clearly describe a spike protein toxicity in their title):

In SARS-CoV-2 Spike Protein Impairs Endothelial Function via Downregulation of ACE 2, the authors found exactly what the title suggests, namely that merely binding to ACE2 receptors without executing any further pathogenic function disrupted numerous biological processes. (This was an ingeniously crafted experiment, where the researchers grafted S-proteins onto a pseudo-virion platform and infected cute Syrian hamsters with their Frankenstein pseudo-virus, whose sole potentially pathogenic attribute was the ability to bind with cellular surface proteins.)

The S1 protein of SARS-CoV-2 crosses the blood–brain barrier in mice study found that lab animals injected with spike protein into their bloodstream developed cardiovascular problems. More horrifyingly, they also discovered that S1 subunits can cross the blood-brain barrier (BBB), potential triggering all sorts of neurological adverse effects like the large assortment found in the various pharmacovigilance databases.

Critically, none of the vaccine makers actually demonstrated that the vaccine’s versions of the spike protein was cured of toxicity or pathogenicity (remember, the point of a vaccine is that you get injected with a dead or inert virus/part of the virus, not the virus’ active ingredient in a fully functional form). It is a small step, not a giant leap, to conjecture that nomadic spike proteins journeying to other organ systems, including reproductive organs, may bind with the ACE2 receptors ubiquitous throughout almost every organ system in the body, again including reproductive organs.

Furthermore, incredibly immunogenic spike proteins could conceivably induce a potent immune response wherever they accumulate, leading to inflammation or other detrimental effects in (previously) healthy tissue (or trigger another unknown and unanticipated biological process exerting a detrimental impact)… This, too, easily eclipses the low hurdle of plausibility, especially considering that the lipids -including some still possibly carrying mRNA – seem to drain into the ovaries. Uh-oh, anyone?

As the shocking nature of the revelations just divulged poses a formidable obstacle to most people who have until now only heard widespread claims of properly determined safety by the FDA and other regulatory bodies, it is necessary to provide the specific failures of the FDA in approving these vaccines.

It is instructive by way of introduction that the development timeline was severely truncated while under unprecedented moral, social, and political pressures. A layman readily intuits from this simple fact with common sense derived from all of human history a cautionary signal of hasty decision making inadequately accounting for numerous considerations, of which many are far from obvious, especially to a stressed and burdened mind. It is axiomatic to human nature that commensurate with increasing urgency amid ongoing devastation is an increasing tolerance of risk and corner-cutting, because a rational risk/benefit analysis properly concludes that “desperate times call for desperate measures”. A consistent outgrowth of such circumstances is the predilection to allow such a mindset to persist even in the subsequent absence of its precipitating conditions. This possibility is amplified where previous decisions in hindsight seem unjustified; and becomes probable where previous decisions created a systemic flaw still present which would require not only the embarrassing admission of error but potentially vitiating significant progress towards an unachieved objective, such as the development of a covid vaccine. To pretend otherwise is to be willfully and delusionally ignorant, which is of course the (ill-) considered position of the medical community. We shall provide a few examples of specific decisions that are manifestly defective.

For this, I will simply paraphrase Robert Malone, the first person to synthesize mRNA that successfully infiltrated a cell. The following comes from an interview with Daniel Horowitz (the first one):

The FDA involved only their vaccinologists, leaving out the gene therapy experts. The predictable result was that since traditional vaccines don’t undergo assessment to characterize the duration, distribution, or levels of expression of any component, nor do they undergo reproductive toxicology or genotoxicity, the covid vaccines were spared such testing despite being gene therapies where such enquiries are germane to their safety profile. Thus, the FDA never required that vaccine developers rigorously characterize level, duration, or distribution of manufacturing of spike proteins, or the distribution and toxicology of novel lipid compounds used to construct the LNP delivery vehicle. The meager animal bio-distribution study that was conducted by Pfizer used the least-sensitive testing mechanism. To assess bio-distribution, they coded for Luciferase in the mRNA, a bioluminescent protein responsible for the glow of a firefly’s tail. To analyze the biodistribution of luminescent proteins, they used photon multiplier tubes on whole animals, the least sensitive way of testing, since biological tissues deflect or refract photons, preferentially favoring extremely high concentration areas that are close to the surface. Unsurprisingly, the injection site accounted for the vast majority of the detected luminescence. Proper protocol – which would have been insisted upon had gene therapy experts been consulted – calls for dissecting the animals, extracting samples from the entire anatomy, which are then put in tubes with a buffer, followed by lysing (popping open) the cells and obtaining a sample which is tested for luminescence. This would indicate accurately how much of the mRNA-encoded protein was synthesized in each anatomical sample. That the FDA et al accepted the lowest sensitivity test, reveals their cluelessness in assigning inadequate standards for assessing these vaccines.

Furthermore, the spike protein isn’t the only potential vaccine target antigen, and may not even be the best one. Spike protein itself has many mechanisms that could be targeted besides for the RBD “which could’ve been left in a native structure” [ie, “closed conformation”, in other words, they chose to lock the S1 in an ‘open conformation’, which would keep the RBD exposed, but also enhances ACE2 binding affinity]. Covid contains other proteins that elicit cytotoxic T-Cell lymphocytes [those are the assassin T-Cells that destroy infected cells]. Hasty decision making for vaccine development led to ill-considered and harried decisions to target the easiest candidate without considering other implications.

Pfizer explicitly acknowledged in their clinical protocols that reproductive toxicity wasn’t studied in their animal trials.

As far as the LNP’s are concerned, new compounds contain inherently plausible risk that can be retired only through proper trials designed for that specific purpose, something manifestly absent from the trial protocols.  

The FDA and vaccine manufacturer’s obviously cut corners in the development and trials of these vaccines.

Other mechanistic theories for vaccine induced injuries -including fertility – is explored in great depth in Worse Than the Disease? Reviewing Some Possible Unintended Consequences of the mRNA Vaccines Against COVID-19 (whose original link seems to have gone offline… gee, I wonder why…), whose abstract includes:

We then review both components of and the intended biological response to these vaccines, including production of the spike protein itself, and their potential relationship to a wide range of both acute and long-term induced pathologies, such as blood disorders, neurodegenerative diseases and autoimmune diseases. Among these potential induced pathologies, we discuss the relevance of prion-protein-related amino acid sequences within the spike protein.

Remember, it’s on vaccine manufacturers to prove that their product is safe, even from highly speculative dangers.

I think a final point is in order concerning Dr. Berman’s claim that there is “no plausible biologic theory” that these vaccines can affect fertility. Frankly, such a claim does not possess legs to stand upon even unchallenged by contra-indicating evidence. Were scientist’s inability to conceive of a plausible mechanism for speculative harms a viable standard to adjudicate safety concerns, the FDA could be largely retired, what with little need for the robust testing regiment all novel therapies and biological agents are subjected to in the face of staunch expert claims of lack of plausibility for unexpected adverse effects to occur. Such proclamations are critically examined precisely because we (properly) accord due deference to humanity’s eternal burden of not knowing what we don’t know. Regrettably, experts seldom recognize the limits of their expertise, and vis-à-vis covid seem unaware that any exist altogether. Dr. Berman is no exception.



For more on fertility, see Is There A Plausible Basis for Fertility Concerns

Par ici la sortie.

Note du 21/02: suite de cet article ici.

Le cirque Corona replie la tente.

L’orchestre joue encore une dernière ritournelle, tandis que le public est gentiment dirigé vers la sortie. On range les chaises. On compte la recette.

Et les morts.

Ils ont fait le bilan de cette guerre-spectacle et comme dans toutes les guerres, ils ont examiné le chiffres des « pertes acceptables ». Pas les pertes acceptables maximum. Comme pour tout ce qu’ils ont dit, il faut en comprendre l’inverse: les pertes acceptables minimum. Voir notamment les chiffres publiés ici. Il faudra aussi y ajouter les vieux et les handicapés exécutés dans leurs homes, à la seringue, dont on entend plus beaucoup parler, ceux qui sont morts chez eux, ceux qu’on a tués dans les hôpitaux à coup de protocole inutile et dangereux et les effets retard encore à venir des injections (ici), dont la stérilité n’est pas le moindre. Et comment compter le nombre d’enfants qui ne naîtront jamais?

Ils ont dû juger que cette phase de l’opération avait donné tout ce qu’on pouvait en attendre. Quelqu’un a diffusé « omicron », qui n’est rien d’autre qu’un vaccin transmissible, et il n’est pas impossible que ce soit eux, pour clore cet épisode de leur guerre. Ils gardent comme outil la génération suivante de tests, dans lesquels ils ont déjà déplacé leurs pions. Ils commencent maintenant à revenir subrepticement sur leur discours pour se calquer sur ce que les « dissidents » clament depuis deux ans: les chiffres ne sont pas totalement exacts, les tests PCR ne sont finalement pas fiables, les « vaccins » ne sont pas tellement efficaces, les « boosters » ne doivent pas forcément être administrés aux enfants, etc. Puisqu’ils ont tous les droits, ils ont aussi celui de défaire officiellement l’édifice de mensonges qui leur a servi à mettre en place leur artillerie sanitaire, à éliminer leurs cibles et à persécuter les bonnes volontés. Comme ils l’ont toujours fait dans la dernière phase de toutes leurs guerres, ils se posent en sauveurs, tout en continuant à infliger le maximum de dégâts tout au long de leur manoeuvre de repli.

Si nous ne prenons pas les choses en main, il n’y aura pas de tribunal, pas de procès, pas de jugement, pas de sentence, comme cela leur a été promis par quelqu’un de vraisemblablement très haut placé. Si nous ne prenons pas les choses en main, ils passeront à l’étape suivante du programme, la cyberpandémie, qui leur permettra de parachever le camouflage du plus grand vol de l’Histoire et de nous mettre en esclavage.

Mais nous allons faire mieux que reprendre les choses en main.

Nous allons reprendre en main notre destin.

Et ils n’en font pas partie.

Parents.

« Nous sommes, en somme,
« Femmes, enfants et hommes,
« Nous sommes, en somme,
« Les sauveurs du matin. »

Guy Béart – « Qui suis-je? » (nouveau couplet)

Australie

June Mills, la dame aborigène mentionnée dans cet article, lance un nouvel appel à l’aide. Elle dit ceci dans cette vidéo:

« Nous sommes en état d’urgence, vraiment. On est en situation de crise. Nous faisons face à une tyrannie et à un acte de guerre contre notre peuple. […] Je suis submergée d’appels de la communauté et je reçois des mises à jour en ce moment même. Des enfants sont maintenus et vaccinés contre leur gré. »

« We’re in a state of emergency, really. This is a crisis situation here. It’s a tyranny and an act of war against our people. […] I’m getting inundated with calls from the community and getting updates as we speak. Children are being held and vaccinated against their will. »

Canada

Autre pays membre des Five Eyes, le Canada.

Voici une question de Rick Nicholls, Membre du Parlement Provincial de l’Ontario, au Ministre de la Santé, Christine Elliot:

Rick Nicholls : À la fin de l’année dernière, ma fille attendait son premier enfant. Au départ, les médecins avaient recommandé aux femmes enceintes de ne pas se faire vacciner. Comme tout père se devait de le faire, je lui ai dit de ne pas se faire vacciner et elle a obtempéré. Heureusement, le jour de la Saint-Valentin, elle a donné naissance à une petite fille en bonne santé, Shayla. J’ai versé des larmes de joie.

« Mais quelques mois plus tard, les médecins ont déclaré qu’il était permis de se faire vacciner pendant la grossesse. Quels tests avaient été effectués pour garantir la sécurité de la mère et de son bébé à naître?

« Mais aujourd’hui, Madame la Ministre, je verse des larmes de chagrin. Dans la région de Waterloo, 86 naissances d’enfants mort-nés ont eu lieu entre janvier et juillet. Normalement, le taux est d’environ une mortinatalité tous les deux mois. Mais voici le hic, les mères des bébés mort-nés étaient entièrement vaccinées, et vous avez clairement affirmé à de nombreuses reprises que les vaccins sont sûrs.

« Que dites-vous aux médecins qui ont dit aux femmes enceintes qu’elles pouvaient se faire vacciner? Et que devraient-ils dire aux mères qui accouchent d’un bébé mort-né? »

Christine Elliot : Tout d’abord, félicitations à vous, pour la naissance de votre petit enfant. C’est une merveilleuse nouvelle, mais c’est également sûr. Il a été testé, nous recommandons que les femmes enceintes reçoivent le vaccin pour leur propre protection et celle de leur bébé. Et cela a été prouvé, cela a été accepté par Santé Canada, par l’Organisation Mondiale de la Santé, par la FDA. Et c’est quelque chose que nous voulons nous assurer que nous pouvons protéger tout le monde. Les femmes qui sont enceintes, il est tout à fait sûr et recommandé qu’elles reçoivent le vaccin pour elles-mêmes, pour la sécurité de leurs proches et pour la sécurité de leur communauté. »

Rick Nicholls : Late last year, my daughter was expecting her first child. Initially doctors had recommended against expecting women to get vaccinated. As any dad should do, I told her not to get the vaccine and she complied. Thankfully on Valentine’s Day, she gave birth to a healthy baby girl, Shayla. I shed tears of joy.

« But a few months later, doctors said it’s okay to get the vaccine while pregnant. What testing had been done to ensure the safety of both the mother and her unborn baby?

« But now Minister, I shed tears of sorrow. In the Waterloo area, 86 stillbirths have occurred from January to July. Normally it’s roughly one stillbirth every two months. But here’s the kicker, mothers of stillbirth babies were fully vaccinated, and you have clearly said on numerous occasions that the vaccines are safe.

« What do you say to the doctors who told expecting women it was okay to get fully vaccinated? And what should they tell the mothers who deliver a stillborn baby?”

Christine Elliot : First of all, congratulations to you, for the birth of your grandchild. That is wonderful news but it is also safe. It’s been tested, we are recommending that women who are pregnant do receive the vaccine for the protection of themselves, protection of their baby as well. And that has been proven, it has been accepted by Health Canada, by the World Health Organisation, by the FDA. And this is something that we wanna make sure that we can protect everyone. Women who are pregnant, it’s entirely safe and recommended for them to receive the vaccine for themselves, the safety of their loved ones and the safety of their community.”

La vidéo originale figure également sur Health Impact News et sur The Covid World, où on trouve également ceci:

« Mon petit fils est mort-né à l’hôpital de Vancouver à 8 mois et demi de grossesse. Ma fille a reçu ce foutu poison il y a un mois parce qu’elle ne pouvait plus aller au restaurant et parce que les gens pétaient les plombs parce qu’elle n’était pas vaccinée. Je veux trainer le gouvernement en justice… »

Voici ce qu’en dit le Dr Hodkinson dans cette interview (10’36 – 12’11):

« Il se passe des choses extrêmement graves. Et bien sûr, par rapport aux enfants, une de mes plus grandes motivations en ce moment. C’est l’agression menée contre les enfants. Je le formule ainsi, en fixant le politicien droit dans les yeux:

« En est-on vraiment arrivés là? En est-on vraiment arrivé là? Vous proposez de sacrifier les enfants pour apaiser les nouveaux dieux dont vous prétendez faire partie. En est-on vraiment arrivé là? Parce que, je vais vous dire quelque chose, Monsieur le Ministre, ça n’a pas marché pour les Aztèques qui voulaient faire tomber la pluie, et ce n’est pas en sacrifiant des enfants que vous protégerez Mamie dans sa maison de retraite. Comment osez-vous sacrifier nos enfants? Ils ne courent aucun danger. S’ils l’attrapent, ça ne sera qu’un simple rhume et vous proposez de leur injecter une toxine dont on sait qu’elle tuera un certain nombre d’entre eux. Comment osez-vous faire ça et comment osez-vous organiser des cliniques d’injection, injection, injection dans les écoles où il n’y a aucune possibilité de consentement éclairé et où les parents sont mis sur la touche? Comment osez-vous faire ça?

« Ce n’est rien de moins qu’un meurtre sanctionné par l’État et vous en serez tenus responsables. Faites attention, nous viendrons vous chercher. Vous n’êtes pas à l’abri de poursuites judiciaires. Il y aura du sang dans le caniveau quand nous en aurons fini avec vous. Faites attention. »

« The most offensive things are happening. Also of course, with children, which is one of my biggest motivators right now. It’s the attack on the children. I phrase it like this, looking straight in the politician’s face:

« Has it really come to this? Has it really come to this? You’re proposing child sacrifice to appease the new gods of which you claim to be one. Has it really come to this? Because let me tell you something Mr Minister, it didn’t work for the Aztecs to make the rain fall, and sacrificing kids will not protect Granny in the nursing home. How dare you sacrifice our kids? They’re not at risk. If they get it, it’s like a trivial cold and you propose to inject them with a toxin that is known to kill a certain number of them. How dare you do that and how dare you have these jab, jab, jab, jab, jab clinics in the schools where there’s no possiblity of informed consent and the parents are sidelined? How dare you do that?

« It’s state-sanctioned murder and you will be held responsible. Watch out, we are coming for you. You are not immune from prosecution. There will be blood in the gutter when we’re done with you. Watch out. »

Le Dr Hodkinson est un brave homme, un peu naïf. Il attend le salut d’un certain Donald Trump, celui qui s’est chargé de vendre l’opération Warp Speed de production de « vaccins », et se joint maintenant à son « adversaire » Joe Biden pour faire la promotion de ceux-ci. Le Dr Hodkinson compte aussi sur les tribunaux pour règler cette affaire, tout comme cette grand-mère dont le gouvernement et les firmes pharmaceutiques ont tué le petit-fils dans le ventre de sa fille et qui veut pour ça les assigner en justice. Comme vous le lirez dans un prochain article, Maître Fuellmich vous dira que c’est totalement inutile.

Quant à la Ministre Christine Elliott, qui perd soudainement l’usage de sa langue natale, elle ne fait pas que mentir sur absolument tout ce qu’elle dit, elle fait comme si aucune question n’avait été posée. Selon les mathématiques de ses maîtres:

86 = 0.

Et 3.010 = 0.

Et 34.337 = 0.

Et 388.000 = 0.

Et 8.000.000.000 = 0.

Pour ses maîtres, morts-nés, myocardites, etc. sont de simples variables d’ajustement. Ils ne reconnaissent que leurs chiffres – leur seul langage tout au long de cette « crise », brandis comme des sortilèges de leur Kabbalisme et de leur numérologie. Nous sommes les dommages collatéraux à leur équation.

Nous avons toujours été, nous sommes et nous resterons, zéro.


On cite beaucoup « 1984 » d’Orwell mais il a écrit un ouvrage, « Hommage à la Catalogne », dont certains passages méritent tout autant d’être cités. Mon exemplaire ayant été détruit dans l’inondation, je cite de mémoire un passage qui m’avait marqué. Orwell fait le récit de la capture de soldats ennemis – du camp fasciste – et souligne le peu de différence qu’il voit entre eux et ceux de son camp. Ce sont généralement des gens simples, pour ne pas dire des pauvres types, incapables de dire pour quoi et surtout pour qui ils combattent. C’est tout le problème qui se pose maintenant et qui va se poser avec encore plus d’urgence dans l’avenir proche: la division et le mélange des factions au sein des pays, des communautés et même des familles. C’est le grand piège.

Les pourcentages des effectifs de cette guerre sont à peu près ce que le Pr Desmet donne dans son explication (ici et ici): 30/40/30. A la louche, trente pour cent de petits soldats hypnotisés, quarante pour cent d’indécis entre collaboration et résistance et trente pour cent de résistants. Comme l’indique Orwell, il existe très peu de différences entre ces trois factions. On entend des récits où deux ou trois de ces factions sont présentes au sein de familles, voire de couples, sans que ça engendre de conflit majeur.

La question se pose donc de déterminer sur quel front devrait ou pourrait se mener une lutte décisive, ce qui rend cette guerre très compliquée et l’équation très complexe – volontairement. Pour être opérable, il faudrait la simplifier. Le facteur de simplification pourrait bien être les enfants. Les concepteurs de cette guerre le savent, c’est pourquoi ils mettent en place des facteurs de mitigation ou selon l’expression anglaise, du damage control: notamment une campagne d' » information  » sur la fréquence des crises cardiaques et autres accidents vasculaires dans cette tranche d’âge (virtuellement inexistants avant 2021).

Ils savent: il vaut mieux ne jamais s’en prendre aux enfants. C’est la faute qui n’est jamais pardonnée. Celui qui s’en prend aux enfants a déjà perdu la guerre. Celui qui s’en prend aux enfants aura affaire à leurs parents. C’est une loi naturelle. Les millions qui défilent dans la rue, partout, sont des parents. Ceux de leurs enfants, et les enfants des leurs. Les élites comptent sur leurs armées pour les arrêter: armées nationales – toujours aux ordres pour l’instant mais pour combien de temps? – armée de l’ONU, services de sécurité de l’OTAN et des institutions européennes et bien entendu les omniprésents services secrets, cités comme rouages présumés d’un gigantesque et tentaculaire réseau global d’enlèvement d’enfants qui alimente le réseau de trafic d’organes, d’esclavage sexuel et de sacrifices rituels – outils de pression sur le pouvoir politique, garants du bien-être et source de distraction pour le petit cercle des VIP’s de l’élite. Bref, l’armée idéale.

Si le présent niveau de cynisme et de violence institutionnelle ne suffit pas à nous subjuguer, après la diffusion de la protéine de pointe militarisée, les injections comme mécanisme de surveillance et leurs effets « secondaires » (résurgence de maladies latentes, pathologies sanguines, stérilisation, etc., voir les multiples publications sur ce blog et une liste notamment ici et ici), ils comptent nous arrêter avec leurs catastrophes climatiques à l’arme de géoingénierie (article en préparation), les pénuries, la misère et la famine, en s’amusant probablement – selon leur sens de l’humour très particulier – à l’idée que nous finirons peut-être par manger nos propres enfants. Et si ça ne suffit toujours pas, ils comptent sur la variole.

Ils comptent sur tout ça pour nous arrêter, mais ce ne sont pas eux qui nous arrêtent.

Les seuls qui nous arrêtent, c’est nous.

Les autres chiffres, en bref.

Europe: 3.120.439 effets secondaires dont 1.470.537 graves, 34.337 morts au 18 décembre.

La nouvelle mouture de l’analyse des chiffres de EudraVigilance, faite par un lecteur de HealthImpactNews, qui la publie. Je ne traduis pas tout, les tableaux sont sur la page source. Pour rappel, il y a aussi un facteur de sous-déclaration, non déterminé (cf. les deux articles précédents, ici et ici), à cette base de données.

Source.

Extrait:

La base de données européenne (pays de l’EEE et pays non membres de l’EEE – Espace Economique Européen) des rapports de réactions médicamenteuses suspectes est EudraVigilance, vérifiée par l’Agence Européenne des Médicaments (EMA), et elle rapporte actuellement 32.649 décès et 3.003.296 effets secondaires suite à l’administration des quatre injections expérimentales COVID-19.

[…]

Les totaux pourraient être beaucoup plus élevés en fonction du pourcentage d’effets indésirables signalés. Certains de ces rapports peuvent également être transmis aux bases de données des effets indésirables de chaque pays, comme la base de données VAERS des États-Unis et le système Yellow Card du Royaume-Uni. Les décès sont regroupés par symptômes, et certains décès peuvent être dus à plusieurs symptômes.


Morts-nés aux Etats-Unis: 3.010 bébés morts au 24 décembre.

Toujours publié sur le site de Brian Shilhavy, Health Impact News. Même remarque concernant le facteur de sous-déclaration.

Source.

Une génération entière de femmes en âge de procréer devient stérile.

Suite à la mise à jour du VAERS aujourd’hui (24/12/21), nous comptons à présent 3.010 morts fœtales suite à des injections de COVID-19 chez des femmes enceintes et en âge de procréer au cours de l’année dernière. (Source.)

En revanche, en utilisant exactement les mêmes paramètres de recherche dans le VAERS, mais en excluant les injections COVID-19, nous avons trouvé 2.172 morts fœtales suite à tous les vaccins approuvés par la FDA au cours des 30 dernières années. (Source.)

Cela représente une moyenne de 72 décès fœtaux par an après l’administration de tous les vaccins approuvés par la FDA au cours des 30 dernières années, contre 3.010 décès fœtaux en un an après l’administration des injections COVID-19.

– Vaccins approuvés par la FDA: 72 morts fœtales par an
– Vaccins COVID-19 en autorisation d’utilisation d’urgence: 3.010 morts fœtales par an

Cela représente une augmentation de 4.080% des décès fœtaux enregistrés dans le VAERS après les injections COVID-19. Et pourtant, les CDC et la FDA continuent de recommander ces injections en autorisation d’utilisation d’urgence aux femmes enceintes et aux mères allaitantes.


Sportifs professionnels, chiffre global: 383 effets graves et crises cardiaques, 220 morts au 25 décembre.

Un article qui établit une liste chronologique, avec les noms, dates et sources dans les médias. Trop long à traduire donc allez consulter la page source, qui est régulièrement mise à jour.

Source.

Extrait:

Il n’est absolument pas normal que de jeunes athlètes souffrent d’arrêts cardiaques ou meurent en pratiquant leur sport, mais cette année, c’est ce qui se passe. Tous ces problèmes cardiaques et ces décès surviennent peu de temps après qu’ils aient reçu le vaccin COVID. Bien qu’il soit possible que cela arrive à des personnes non vaccinées contre le COVID, les chiffres indiquent clairement la seule cause évidente.

Les soi-disant professionnels de la santé qui dirigent les programmes de vaccination COVID dans le monde entier ne cessent de répéter que « le vaccin COVID est un vaccin normal, sûr et efficace ».

Donc, en réponse à leur déclaration, voici une liste non exhaustive et en constante augmentation d’athlètes jeunes pour la plupart qui ont souffert de problèmes médicaux majeurs en 2021 après avoir reçu un ou plusieurs vaccins COVID. Au départ, beaucoup de ces cas n’ont pas été signalés. Nous savons que de nombreuses personnes ont reçu l’ordre de ne parler à personne de leurs effets indésirables et que les médias ne les relayaient pas. Ces effets ont commencé à se produire après les premières vaccinations COVID. Les grands médias continuent à ne pas couvrir la majorité d’entre eux, mais les informations sportives ne peuvent ignorer le fait que des joueurs de football et d’autres stars s’effondrent en plein match à la suite d’une crise cardiaque. Beaucoup d’entre eux meurent – plus de 50 %.

Le Molnupiravir, médicament anti-Covid: chimiothérapie génétiquement toxique? – par Stephanie Brail.

Suite de l’article précédent et complément d’infos.

Juste pour prévenir: dans la première partie de l’article, qui ne traite pas spécifiquement du médicament, l’auteur (ou on dit l’autrice maintenant?) cite plusieurs fois Alex Jones, à savoir la tête de gondole de l’opposition contrôlée aux Etats-Unis. Inconvénient mineur, à mon avis, par rapport aux infos qui y figurent. J’ai donc conservé cette partie pour cette raison – et pour la photo d’une grenouille très sympa.

Voici donc une autre boule de neige qui pourrait bien contribuer à l’avalanche qui se prépare. « Dark winter« , vous vous souvenez? On relève sa capuche, on met ses gants et on y va.

Courageusement, parce que, même si tout ça est très grave, ce n’est que le début…

Source.


Traduction

Le Molnupiravir, médicament anti-Covid: chimiothérapie génétiquement toxique?

Ou arme biologique libérée, capable de détruire l’ensemble de l’écosystème?

Stephanie Brail

5 décembre

Une diatribe classique d’Alex Jones sur les produits chimiques dans l’eau qui rendraient « les grenouilles homosexuelles » a fait l’objet d’innombrables memes et même d’un remix qui a fait 16 millions de vues sur YouTube.

Il est facile de se moquer de Jones, mais certaines de ses prédictions semblent se réaliser, ce qui a inspiré le dicton « Alex Jones a toujours raison« . [NdT. ce qui est également un slogan d’un autre personnage dans la sphère complotiste francophone, également opposition contrôlée, c’est-à-dire un des nombreux « spooks » ou agents du renseignement, dont le rôle est d’orienter le discours vers des notions de « liberté », de vendre de fausses solutions et de fournir une soupape émotionnelle aux mécontents]

La réalité qui se cache derrière la célèbre diatribe d’Alex est que des produits chimiques ont infiltré nos réserves d’eau, notamment de nombreux médicaments de consommation courante. La liste de ces produits chimiques va des pesticides aux hormones, en passant par les contraceptifs et les médicaments de chimiothérapie. [NdT. il est à noter, et j’y reviendrai, que la majorité des médicaments, y compris les formules très simples comme les anti-douleurs de base, contiennent des perturbateurs endocriniens – des oestrogènes – et de l’oxyde de graphène]

Pourraient-ils rendre les grenouilles homosexuelles? Peut-être pas homosexuelles à proprement parler, mais voici ce que les pesticides peuvent faire aux grenouilles1 (à cliquer pour lire la note de bas de page)

« Les résultats montrent que les pesticides qui utilisent ce mécanisme d’action peuvent causer des dommages permanents, tels qu’une baisse de la fertilité chez les grenouilles exposées au stade de têtard. Cela corrobore des recherches antérieures qui démontrent que les substances perturbatrices du système endocrinien présentes dans l’environnement peuvent avoir un impact négatif sur les amphibiens. L’utilisation de la substance linuron [NdT. désherbant fortement utilisé dans le désherbage des cultures des apiacées dont fait partie la carotte, classé parmi les CMR (Cancérigène, Mutagène et Reprotoxique) et interdit en Belgique depuis 2018] n’est pas autorisée en Suède, mais elle est utilisée dans d’autres parties de l’UE et en Amérique du Nord », explique Cecilia Berg, écotoxicologue et chef de projet.

Les médicaments se retrouvent également dans nos réserves d’eau. Vous souhaitiez éviter de prendre des médicaments psychotropes tels que le Prozac? C’est bien dommage, car il se peut que vous en consommiez contre votre volonté, étant donné que votre voisin peut en évacuer chaque jour dans son urine.

Extrait de The Effects of Drug Production on the Environment [Les effets de la production de médicaments sur l’environnement]:

Voici quelques-unes des façons les plus courantes dont les médicaments contaminent l’environnement:

– Pendant le processus de fabrication, des résidus de médicaments peuvent s’infiltrer dans les eaux de surface.

– Les médicaments sont métabolisés par les humains, puis excrétés en quantités infimes dans les égouts. Cette pollution se retrouve inévitablement dans l’approvisionnement en eau après avoir traversé les systèmes de traitement.

– Les produits pharmaceutiques vétérinaires sont excrétés dans les sols et les eaux de surface par les animaux de pâturage.

– Les médicaments utilisés pour le bétail peuvent être disséminés par le biais du fumier qui sert d’engrais.

– Les médicaments non utilisés sont souvent déversés dans les réserves d’eau publiques par le biais des éviers, des toilettes et des décharges.

– Lors du processus de fabrication, des polluants directs sont émis dans l’atmosphère.

Qu’est-il arrivé au Mouvement de la Pharmacie Verte?

La question de la contamination pharmaceutique est un problème majeur, auquel les médias n’ont jamais vraiment prêté attention depuis que le problème a commencé à faire parler de lui il y a quelques années.

Il a été question d’un mouvement de pharmacie verte pour aider à contrer certains des problèmes écologiques posés par la médecine moderne. Mais pas suffisamment. L’idée d’une « pharmacie verte » semble avoir été reléguée au second plan par la dominance du changement climatique dans le discours environnemental.

J’ai une formation en protection de l’environnement et j’ai fait du bénévolat pour une organisation de Los Angeles appelée Heal the Bay afin de recueillir des échantillons d’eau dans les collines de Malibu. Les fosses septiques des maisons cossues des célébrités étaient responsables d’un taux de contamination bactérienne atrocement élevé sur les plages de Malibu, dont les scores de pollution (F) étaient souvent pires que ceux de la sordide baie de Venice Beach, où je vivais à l’époque.

Ce fut probablement ma première leçon en matière d’hypocrisie verte.

J’ai même tenu brièvement un blog environnemental, axé en partie sur la technologie, mais il n’avait pas recueilli beaucoup de lecteurs, alors je l’ai abandonné. J’étais trop en avance sur la vague. À la fin des années 2000, j’ai écrit un article cinglant sur le fait qu’il fallait éviter de se focaliser sur le sujet du « changement climatique », tant il était source de division et éclipsait des problèmes environnementaux bien plus tangibles, tels que la pollution visible de l’eau et de l’air, des questions sur lesquelles la gauche et la droite pourraient éventuellement trouver un terrain d’entente.

Depuis lors, le fossé s’est encore creusé et le seul problème environnemental « critique » est le changement climatique. Bien sûr, une grande île en plastique flotte dans le Pacifique, et Fukushima continue de déverser ses radiations dans la mer. Notre infrastructure nucléaire vieillissante laisse échapper des poisons dans l’environnement… Vous avez entendu parler de la crise due à la contamination [des eaux par la fuite des réservoirs] Red Hill à Hawaï? Je ne l’ai découverte que par accident.

Mais qui se soucie de tout ça? Le changement climatique, le changement climatique, le changement climatique!

Je suis en désaccord général avec la droite sur les questions environnementales, car je pense que l’ensemble de notre écosystème (et pas seulement le climat) est soumis à un stress énorme dû à l’activité humaine. Cela dit, je suis en désaccord avec la gauche qui pense que le « changement climatique » est le problème numéro un ou le seul sur lequel il faut se concentrer.

Le changement climatique c’est du virtue signalling [signalement vertueux] facile, en plus d’être un excellent moyen pour les gouvernements de renforcer leur contrôle sans jamais régler les nombreux problèmes réels de pollution de l’environnement auxquels nous sommes confrontés.

En y regardant de près, on remarque que les récits sur le changement climatique tournent généralement autour de la notion de contrôle, exactement comme pour la pandémie de Covid. Le « changement climatique » crée également un nouveau « marché boursier » potentiellement lucratif, qui se décline en crédits carbone… le changement climatique, c’est donc la manière de coopter l’environnementalisme pour prendre le contrôle et gagner de l’argent.

Mais atténuer les dommages que les médicaments causent à l’environnement? Ça n’a rien de rentable et ça ne mène à aucun système de contrôle évident. Pas étonnant donc que ce soit ignoré.

Cela dit, ne commettez pas l’erreur de soutenir que le changement climatique n’existe pas. C’est le même genre d’erreur commise par les personnes qui affirment que « le Covid n’existe pas ». Vous vous retrouvez piégé dans cet argument et finissez par passer pour un platiste au lieu de diriger et de contrôler le récit. [NdT. j’ai souvent dénoncé le problème, qui vient soit de personnes mal informées, soit de l’opposition contrôlée qui tente de pourrir le débat]

Le déni est une position défensive.

Je passe à l’attaque. On peut discuter de la réalité du changement climatique jusqu’à la fin des temps, ça ne changera pas grand-chose. Moi, je veux complètement changer de débat.

Parlons de la façon dont nos politiques de santé publique peuvent aggraver la situation et potentiellement nuire non seulement aux personnes mais aussi à l’environnement.

Je trouve plutôt ironique que la gauche ait pleinement adhéré au narratif des vaccins, car la vaccination de masse dans son ensemble crée des déchets environnementaux sous la forme de sous-produits chimiques issus de leur production, ainsi que des déchets de seringues.

L’immunité naturelle est beaucoup plus respectueuse de l’environnement, pourtant vous entendrez rarement un écologiste suggérer qu’il vaudrait mieux encourager l’immunité naturelle chez ceux qui ont un risque presque nul de Covid grave.

Nous devrions souligner ce fait, le plus souvent possible.

Pire encore, certains scientifiques tentent de concevoir un moyen d’introduire des vaccins dans notre alimentation, ce qui signifie que les vaccins eux-mêmes pourraient entrer dans l’environnement général et nuire non seulement aux personnes mais aussi à la faune sauvage. Ce n’est pas nouveau, d’ailleurs. Les vaccins comestibles sont à l’essai depuis plus de vingt ans.

Nous devons nous attaquer à ce problème, et ce dès hier.

Molnupiravir: pire que vous ne le pensiez

Entre en scène le Molnupiravir. C’est le médicament contre le Covid qui « change la donne », sur lequel les médias se pâment tout en faisant passer l’ivermectine pour un poison.

Le Royaume-Uni va être le premier pays à utiliser le Molnupiravir, qui sera très bientôt administré aux patients vulnérables et âgés.

Si vous pensiez que les hormones synthétiques présentes dans l’environnement étaient néfastes, attendez d’entendre les effets du Molnupiravir.

Je ne peux pas parler de ce sujet en lui rendant pleinement justice. Je vous recommande donc, lorsque vous aurez terminé de lire ce texte, de vous rendre sur le site Unglossed et de lire l’article Doppelgänger de Brian Mowrey.

Je vais tenter ici de résumer ses principaux arguments en langage clair:

Le molnupiravir peut « s’insinuer dans l’ARNm viral et provoquer des erreurs de réplication et de traduction » et « s’insinuer dans l’ARN nucléaire ».

Les erreurs de réplication virale peuvent entraîner de nouveaux variants… mais c’est peut-être là le moindre des problèmes. Mowrey mentionne le potentiel de « protéines mal repliées » qui pourraient se propager partout dans le corps. Nous parlons ici potentiellement de prions.

Genre, prions de la vache folle.

Les problèmes d’auto-immunité posent également question.

Le Molnupiravir peut aussi pénétrer les mitochondries des cellules et perturber ainsi le métabolisme cellulaire, ce qui pourrait entraîner la mort des cellules.

Le médicament pourrait potentiellement entrer en concurrence avec les produits chimiques naturels qui produisent les membranes cellulaires et les structures protéiques nécessaires au métabolisme des cellules humaines.

Voici le pire:

Le molnupiravir, que nous appellerons « M » pour faire court en termes d’action chimique, pourrait rivaliser avec les processus cellulaires naturels, et être accidentellement répliqué dans l’ADN lors du son processus de réparation de ce dernier. Mowrey écrit : « Là, M sera probablement mal interprété par la polymérase comme étant T au lieu de C, ce qui entraînera une défaillance métabolique cellulaire conduisant à l’apoptose, ou à la carcinogenèse – la conversion en cellules cancéreuses. »

(Apoptose est un terme sophistiqué pour « mort cellulaire »).

Ce n’est pas tout :

Comme pour les cellules infectées par un virus dans le premier exemple, l’apoptose des cellules contenant du M ne ferait que libérer les A/U/T/G/C [NdT. les cinq bases azotées qui composent l’EDN et l’ARN, à savoir, A = adénine; U = uracile; T = thymine; G = guanine; C = cytosine] et les éléments de M dans l’organisme, où ils pourraient être récupérés ou excrétés. M, contrairement à la plupart des médicaments, ne sera probablement jamais vraiment « métabolisé » à partir de ses formes actives potentielles. Il ne fera qu’alterner entre les formes 2/3phosphate+1/2OHchose+, rebondir de cellule en cellule, et répéter les mêmes interactions jusqu’à ce qu’il soit dégradé. La « demi-vie » de M – le moment où il cesse d’être disponible sous des formes activement utilisables – dans le monde réel est probablement impossible à évaluer.

Ce qu’il veut dire par là, c’est que les cellules mutées, sous l’action de M, risquent de faire perdurer indéfiniment le cercle vicieux dans votre corps. Mais ce n’est pas le pire:

Le M excrété, par exemple, pourrait pénétrer le génome microbiotique (bactéries de l’intestin et d’ailleurs), produisant potentiellement des bactéries mutantes. Même après la mort des cellules bactériennes due à des mutations létales lors de la réparation de l’ADN et de la division cellulaire, M pourrait être recyclé dans d’autres bactéries. Ces dernières pourraient, bien entendu, transmettre M à d’autres organismes, ce qui pourrait entraîner une « carcinogenèse et une infertilité induites par M dans la nature » dans tous les domaines de la vie.

Le M cellulaire non excrété, circulant en liberté, une fois réduit à des niveaux inférieurs, pourrait finir par être incorporé dans des virus ARN et ADN viables, et transmis par le destinataire initial.

L’homme deviendrait en définitive le vecteur d’une certaine quantité de M qui « infectera » l’ensemble du cycle nucléoside-métabolique de la Terre, jusqu’à sa dégradation finale.

En d’autres termes, le Molnupiravir pourrait devenir une sorte de « virus » environnemental à part entière… appelons-le « malware » avec un M. [NdT. Un malware, ou logiciel malveillant, est un terme générique utilisé pour désigner une variété de logiciels hostiles ou intrusifs]

Ce malware commencerait par endommager votre corps, puis serait excrété dans l’écosystème et, à partir de là, s’auto-propagerait, provoquant cancer et infertilité non seulement chez les humains, mais aussi chez les animaux et la faune.

Tout ça est vraiment, vraiment très grave.

Il y a quelques années, les abeilles ont été menacées d’extinction par le Syndrome d’Effondrement des Colonies, qui est un euphémisme pour « génocide des abeilles », par des causes inconnues. Les pesticides ont clairement été considérés comme responsables de ce phénomène, mais quels effets nos produits pharmaceutiques en libre circulation pourraient-ils avoir sur les colonies d’abeilles?

Les abeilles ne sont pas les seules à être menacées. Cet été, dans la région de Washington DC et dans plusieurs États, des oiseaux chanteurs sont morts d’une maladie mystérieuse. Etant donné la présence de symptômes neurologiques et de crises d’épilepsie, je suggère que cela pourrait être dû à une sorte de poison ou de maladie environnementale… plutôt qu’à un climat trop chaud ou trop froid. [NdT. certains ont également désigné la 5g comme cause possible]

Serions-nous même capables de déterminer si les déchets médicamenteux ont un impact sur ces animaux?

Est-ce qu’ils nous le diraient?

Alex Jones avait-il raison à propos des grenouilles?

Au fait, c’est quoi exactement, le Molnupiravir?

Le Molnupiravir est un analogue nucléosidique. Selon ScienceDirect, « les analogues nucléosidiques sont une classe pharmacologique de composés ayant des propriétés cytotoxiques, immunosuppressives et antivirales. »

Cytotoxique, ce qui signifie qu’ils tuent les cellules. Immunosuppressifs, ce qui signifie qu’ils suppriment le système immunitaire.

Je pense que qualifier le Molnupiravir de « malware » n’est pas exagéré. Je laisse le dernier mot à Mowrey, qui a écrit ceci dans un billet complémentaire:

Les analogues nucléosidiques, comme je l’ai expliqué dans « Doppelgänger », ne sont pas des « antiviraux ». Le mécanisme de « réplication virale » qu’ils cherchent à saboter est intrinsèque au métabolisme cellulaire, à la réparation de l’ADN, à l’expression génétique, à la division cellulaire et à la longévité des spermatozoïdes. L’objectif de la ribavirine, du molnupiravir et de tous les autres analogues en cours de développement est essentiellement d’amputer tout le visage pour se débarasser du nez. Cela ne peut se faire sans inconvénients à court et à long terme, et sans risques profonds pour la fertilité. Il ne s’agit pas d’une plateforme « thérapeutique » – c’est une chimiothérapie qui cible le génome. Le fait que ce médicament spécifique ait été mis au point grâce au financement de l’Agence de Réduction des Menaces de la Défense américaine (Ridgeback et Merck n’ont pris le relais qu’après six ans de recherches financées par la DTRA24) est, au mieux, un accident opportun. [NdT. la DTRA, Defense Threat Reduction Agency, déjà citée par Robert Malone, notamment. Y a-t-il un seul aspect de toute cette histoire qui n’émane pas de la recherche militaire?]

Et pourtant, non seulement les « antiviraux » analogues nucléosidiques font encore aujourd’hui l’objet de recherches intensives, mais ils se trouvent dans un angle mort culturel, tant au sein de l’industrie que dans le grand public – ce sont des armes biologiques mortelles à l’échelle de l’anthrax, que l’on imagine à tort comme « similaires au Tamiflu ».

Des malware, effectivement.

Ressources:

Qigong médical et guérison spirituelle gratuits chaque semaine sur LearnItLive.

Podcast sur la santé holistique sur Odysee et Rumble

Chaîne Covid Vaccine Freedom sur Telegram

Chaîne de guérison holistique sur Telegram

Communauté de santé et de bien-être holistique sur Locals

Communauté de guérison holistique non censurée sur MeWe


(1): Attendez, il y a mieux. En réponse à la diatribe d’Alex Jones sur les grenouilles homosexuelles, certains universitaires ont protesté contre la caractérisation des grenouilles intersexuées, car cela est perçu comme un jugement négatif à l’encontre des personnes intersexuées. De Troubling Figures : Endocrine Disruptors, Intersex Frogs, and the Logics of Environmental Science, publié dans la revue Catalyst (c’est moi qui souligne) :

Les toxicologues environnementaux tirent la sonnette d’alarme sur les « mâles génétiques » qui sont « féminisés » par les pesticides, tant sur le plan morphologique que comportemental. Mais le caractère choquant de la grenouille exposée aux produits toxiques ne fonctionne que si l’on suppose que l’intersexualité est effectivement une pathologie. Bien que les organisations de défense de la justice pour les personnes intersexuées et les études scientifiques féministes rappellent au public que l’intersexualité est courante, indépendamment de la présence de produits chimiques perturbateurs endocriniens, la littérature scientifique insiste sur la nouveauté de ces résultats. Par exemple, Hayes et al. (2002) notent que  » ces anomalies [d’intersexualité] n’ont jamais été observées chez les animaux témoins dans les expériences actuelles ou dans plus de 10 000 observations d’animaux témoins dans notre laboratoire au cours des six dernières années  » (p. 5477). Le fait que de nombreux animaux n’ont pas de sexe facile à distinguer est cependant absent du débat public sur ces études (Roughgarden, 2004 ; Avise, 2011).

J’avoue que je n’ai pas lu cet article de manière très approfondie, mais il m’a semblé être un fouillis d’idées contradictoires. Par exemple, d’une part, les colons européens sont critiqués pour leur comportement colonialiste de « destruction des forêts », mais d’autre part, qualifier une espèce végétale invasive d' »invasive » est considéré comme un jugement négatif. Euh… il n’y aurait pas d’espèces invasives si le colonialisme n’avait jamais eu lieu.

Donc je me sens un peu confuse. L’auteur suggère-t-il ici que les produits chimiques perturbateurs endocriniens sont acceptables? Ou que si un perturbateur endocrinien provoque artificiellement l’intersexuation d’une personne, il ne s’agit pas d’une pathologie?

Je pense que nous pouvons trouver un juste milieu et dire que les perturbateurs endocriniens répandus dans l’environnement sont une mauvaise nouvelle, sans diaboliser les personnes (ou les grenouilles) qui ont pu être modifiées par inadvertance à cause desdits perturbateurs endocriniens.


Texte original

Covid Drug Molnupiravir: Toxic Chemotherapy for the Genome?

Or a freefloating bioweapon that could destroy the entire ecosystem?

Stephanie Brail

Dec 5

There’s a classic Alex Jones rant about chemicals in the water turning “the friggin’ frogs gay” that has been memed to death and even turned into a remix with 16 million YouTube views and counting.

It’s easy to laugh at Jones, but some of his predictions seem to come true, spawning the saying “Alex Jones is always right.”

The reality behind Alex’s famous rant is that chemicals have been entering our water supply, including many of the common drugs we take. These chemicals include everything from pesticides to hormones from birth control to chemo drugs.

Could they be turning frogs gay? Perhaps not gay per se, but here’s what pesticides can do to frogs1 (click to read endnote)

“The results show that pesticides with this mechanism of action can cause permanent damage, such as reduced fertility in frogs exposed at the tadpole stage. This supports previous research showing that endocrine-disrupting substances in the environment may negatively impact amphibians. The substance linuron isn’t approved for use in Sweden, but it’s used in other parts of the EU and in North America,” says Cecilia Berg, ecotoxicologist and project leader.

Pharmaceutical drugs are also in our water supply. Did you want to avoid taking psychotropic drugs like Prozac? Too bad, because you might be consuming it even if you don’t want to, seeing as your neighbor may be peeing it out daily.

From The Effects of Drug Production on the Environment:

The Following Are Some of The Most Common Ways that Drugs Contaminate the Environment:

  • During the manufacturing process, drug residue may infiltrate surface waters.
  • Drugs are metabolized by humans and then excreted in trace quantities into the sewage system. This pollution inevitably finds its way into the water supply after going through treatment systems.
  • Veterinary pharmaceuticals are excreted in soils and surface waters by pasture animals.
  • The drugs used in livestock can be distributed using manure as a fertilizer.
  • Unused drugs are often dumped into public water supplies through sinks, toilets, and landfills.
  • During the manufacturing process, direct pollutants are emitted into the atmosphere.

What Happened to the Green Pharmacy Movement?

The issue of pharmaceutical contamination is a huge problem, and one that the media hasn’t really been paying much attention to since the problem first started getting some traction years ago.

There has been some discussion of a green pharmacy movement to help counter some of the ecological problems of modern medicine. But not enough. The idea of a “green pharmacy” seems to have taken a backseat to the dominating environmental narrative of climate change.

My background actually includes environmentalism, and I used to volunteer for a Los Angeles organization called Heal the Bay to collect water samples in the Malibu hills. The septic tanks of the posh celebrity homes were responsible for atrociously high bacterial counts at Malibu beaches, which often scored worse pollution scores (Fs) than seedy Venice Beach, where I lived at the time.

That was probably my first lesson in green hypocrisy.

I even had an environmental blog briefly, focused in part on technology, but it didn’t gain much readership, so I abandoned it. I was ahead of the curve. I wrote a scathing article in the late 2000s about how “climate change” was a terrible issue to focus on, since it was so divisive and overshadowing much more tangible environment problems such as visible pollution in the water and air, issues that maybe left and right could find some common ground on.

Since then, the divide has gotten even worse, and the only “critical” environmental issue is climate change. Sure, we have a big plastic island floating around the Pacific, and Fukushima is still spilling radiation into the sea. We have aging nuclear infrastructure leaking toxins into the environment…did you know about the Red Hill contamination crisis in Hawaii? I only found out about it by accident.

But who cares about all that? Climate change, climate change, climate change!

I’m in disagreement with the right regarding environmental issues as a whole, as I think our entire ecosystem (not just the climate) is under a tremendous amount of stress due to human activity. That said, I’m in disagreement with the left that “climate change” is the number one problem or the only thing we need to focus on.

Climate change is an easy virtue signal, in addition to being a great way for governments to take more control, without actually solving many of the real environment pollution problems we face.

If you pay attention, you’ll notice that climate change narratives generally center around control, much like the covid pandemic. “Climate change” also offers a potentially lucrative new “stock market” consisting of carbon credits…so climate change is environmentalism co-opted for control and money.

But mitigating the damage that pharmaceutical drugs are causing the environment? It’s not profitable and doesn’t lead to any obvious control systems. No wonder it’s ignored.

That said, don’t make the mistake of trying to argue that climate change isn’t real. It’s the same mistake that the “covid isn’t real” people are making. You get stuck in that argument and end up making yourself look like a flat earther instead of steering and controlling the narrative.

Denial is a defensive position.

I’m going on offense. You can argue whether climate change is real or not until you are blue in the face, but it won’t change a damn thing. But I’m looking to shift the narrative completely.

Let’s talk about how our public health policies might be making everything worse and potentially not just harming people but also the environment.

It’s rather ironic to me that the left has fully embraced the vaccine narrative, because mass vaccination as a whole creates environmental waste in the form of chemical byproducts during production as well as syringe waste.

Natural immunity is much more environmentally sound, and yet you’ll rarely hear an environmentalist suggesting we encourage natural immunity for those who are at an almost zero risk of severe covid.

We should be pointing that out, and frequently.

Worse, some scientists are trying to figure out how to put vaccines in our food supply, which means the vaccines themselves could enter into the general environment, harming not just people but wildlife. This isn’t a new thing, by the way. They have been testing edible vaccines for over twenty years.

We need to get in front of this, like yesterday.

Molnupiravir: Worse Than You Thought

Enter molnupiravir. This is the “game-changing” covid drug that the media has been swooning over while making ivermectin out to be some sort of poison.

The UK is set to be the first country to use molnupiravir, and will be given to vulnerable and elderly patients starting very soon.

If you thought synthetic hormones in the environment were bad, wait until you hear what molnupiravir does.

I can’t do this subject justice. So I recommend that when you are done reading this, head on over to Unglossed and read the article Doppelgänger by Brian Mowrey.

Here’s my attempt to summarize his main points in plain language:

Molnupiravir can “insinuate into viral mRNA, causing errors in replication and translation” and “insinuate into nuclear RNA.”

Errors in viral replication may mean new variants…but that may be the least of the problems. Mowrey mentions the potential for “misfolded proteins” that could go anywhere in the body. We’re potentially talking prions here.

You know, like mad cow prions.

Autoimmunity is also a concern.

Molnupiravir may also get into cell mitochondria, disrupting cellular metabolism, which could starve cells to death.

The drug could potentially compete with natural chemicals that produce cell membranes and protein structures necessary for human cell metabolism.

Here’s the kicker:

Molnupiravir, which we’ll call “M” for short in terms of its chemical action, could vie with natural cellular processes, and accidentally be replicated into DNA during DNA repair. Mowrey writes: “There, M will presumably be misread by polymerase as T instead of C, resulting in cellular metabolic failure leading to apoptosis, or carcinogenesis – conversion into cancer cells.”

(Apoptosis is a fancy term for “cell death.”)

That’s not all:

As with virally-infected cells in the first example, apoptosis of cells containing M would merely release A/U/T/G/C and M bits into the body, where they might be salvaged or excreted. M, unlike most drugs, is possibly not going to ever be truly “metabolized” out of potential active forms. It will only alternate between 2/3phosphate+1/2OHthing+ forms, bounce from cell to cell, and repeat the same interactions until degraded. The “half-life” for M – when it ceases to be available in actively employable forms – in the real world is probably unknowable.

What he means is that mutated cells, thanks to M, may keep the vicious cycle going indefinitely in your body. But that’s not the worst of it:

Excreted M, for example, could enter the microbiotic genome (bacteria in the gut and elsewhere), potentially producing mutant bacteria. Even upon the death of bacterial cells due to lethal mutations during DNA repair and cellular division, M could still be recycled to other bacteria. These bacteria could, of course, carry M to other organisms, conceivably resulting in “wild-caught M-induced carcinogenesis and infertility” throughout every kingdom of life.

Non-excreted, free-floating cellular M, once reduced to lower levels, could end up incorporated into viable RNA and DNA viruses, and transmitted from the original recipient.

Humans will merely be the vector for some amount of M to “infect” the entire nucleoside-metabolic cycle of the Earth, until finally degraded.

In other words, molnupiravir could turn into a sort of environmental “virus” of its own…let’s call it malware with an M.

That malware would first damage your body, then be excreted into the ecosystem, and from there, self-propagate, causing cancer and infertility not just in humans but in animals and wildlife.

This is really, really bad.

Bees were being threatened with extinction a few years back via Colony Collapse Disorder, which is a euphemistic way of saying “bee genocide” by unknown causes. Pesticides have certainly been looked at as a culprit, but what effects might our free-floating pharmaceuticals also have on bee colonies?

It’s not just bees at risk. In and around Washington, DC and several states this summer, songbirds were dying of a mysterious illness. With neurological symptoms and seizures happening, I’m going to suggest that this might have been due to some type of environmental poison or disease…rather than the climate getting too hot or too cold.

Would we even be able to find out if drug waste is impacting these animals?

Would they tell us?

Was Alex Jones right about the friggin’ frogs?

What Exactly Is Molnupiravir Anyway?

Molnupiravir is a nucleoside analog. According to ScienceDirect, “Nucleoside analogs are a pharmacological class of compounds with cytotoxic, immunosuppressive, and antiviral properties.”

Cytotoxic, meaning they kill cells. Immunosuppressive, meaning they suppress the immune system.

I think calling molnupiravir “malware” is not too far off. I’ll leave the last word on this to Mowrey, who wrote this in a follow up post:

Nucleoside analogs, as I argued in “Doppelgänger,” are not “antivirals.” The mechanism of “viral replication” which they seek to sabotage is intrinsic to cellular metabolism, DNA repair, gene expression, cellular division, and sperm cell longevity. Ribavirin, Molnupiravir, and all other analogs in development, essentially seek to cut off the face to spite the nose. It cannot be done without short and long term harms, and profound risks to fertility. This is not a “therapeutic” platform – it is chemotherapy for the genome. It is an appropriate accident at best, that this particular drug was developed with funding from the US Defense Threat Reduction Agency (Ridgeback and Merck only took over after six years of DTRA-funded research24).

And yet not only are nucleoside analog “antivirals” still being aggressively researched, they reside within a cultural blindspot both within the industry and the public at large – they are lethal bioweapons on the scale of Anthrax, inaccurately imagined as “kind of similar to Tamiflu.”

Malware, indeed.

Resources:

Free Medical Qigong & Spiritual Healing weekly at LearnItLive

Holistic Health Podcast on Odysee and Rumble

Covid Vaccine Freedom Channel on Telegram

Holistic Healing Channel on Telegram

Holistic Health & Wellness Community at Locals

Uncensored Holistic Healing Community at MeWe


(1): Wait, it gets better. In response to the Alex Jones rant about gay frogs, some in academia took issue with the characterization of intersex frogs, because this is perceived as a negative judgement against intersex people. From Troubling Figures: Endocrine Disruptors, Intersex Frogs, and the Logics of Environmental Science, published in the journal Catalyst (emphasis mine):

Environmental toxicologists ring the alarm on “genetic males” being “feminized” by pesticides, both morphologically and behaviorally. But the shock value of the toxicant-exposed frog only functions under the assumption that intersex is indeed a pathology. Despite intersex justice organizing as well as feminist science studies scholarship reminding the public that intersex is common, irrespective of the presence of endocrine-disrupting chemicals, this scientific literature emphasizes the novelty of these findings. For instance, Hayes et al. (2002) note, “these abnormalities [of intersex] were never observed in control animals in the current experiments or in over 10,000 observations of control animals in our laboratory over the last 6 years” (p. 5477). Missing from the public discussion of these studies, however, is the fact that many animals lack easily distinguishable sexes in the first place (Roughgarden, 2004; Avise, 2011).

I confess I didn’t read this paper too thoroughly, but it seemed like a jumble of conflicting ideas. For example, on the one hand, European settlers are called out for their colonialist “destruction of the woods” but then labeling an invasive plant species “invasive” is described as a negative judgment. Umm…we wouldn’t have invasive species if it weren’t for colonialism in the first place.

So I’m a bit confused. Is the author here suggesting that endocrine-disrupting chemicals are OK? Or that if an endocrine disruptor artificially causes someone to become intersex, that this isn’t a pathology?

I think we can find a middle ground here and say that environmentally-prevalent endocrine disrupters are bad news, without demonizing people (or frogs) who may have been inadvertently changed due to said endocrine disruptors.

URGENT: Avant que votre enfant ne reçoive une injection, regardez la déclaration du Dr Robert Malone sur les vaccins COVID pour enfants.

Page source (video incluse).

URGENT: Avant que votre enfant ne reçoive une injection, regardez la déclaration du Dr Robert Malone sur les vaccins COVID pour enfants.

The COVID World date de publication : 14 décembre 2021

Avant de faire vacciner votre enfant, opération irréversible et potentiellement dommageable de manière permanente, apprenez pourquoi 15.000 médecins et scientifiques médicaux du monde entier ont signé une déclaration proclamant publiquement que les enfants en bonne santé ne doivent PAS être vaccinés contre le COVID-19.

Au nom de ces médecins et titulaires de doctorat, le Dr Robert Malone, qui a consacré sa carrière au développement de vaccins, présente aux parents une déclaration claire qui décrit les faits scientifiques à l’origine de cette décision.

Texte intégral de la déclaration du Dr Malone (vidéo ci-dessous)

Je m’appelle Robert Malone, et je m’adresse à vous en tant que parent, grand-parent, médecin et scientifique. Je n’ai pas pour habitude de lire un discours préparé, mais cette question est à ce point importante que je voulais veiller à ce que chaque mot et chaque fait scientifique soient exacts.

Je me porte garant de cette déclaration de par ma carrière consacrée à la recherche et au développement de vaccins. Je suis vacciné contre le COVID et je suis généralement pro-vaccination. J’ai dédié toute ma carrière au développement de moyens sûrs et efficaces pour prévenir et traiter les maladies infectieuses.

Je publierai ensuite le texte de cette déclaration pour vous permettre de la partager avec vos amis et votre famille.

Avant que vous ne soumettiez votre enfant à cette injection – une décision qui sera irréversible – je voulais vous informer des faits scientifiques relatifs à ce vaccin génétique, qui est basé sur la technologie du vaccin ARNm que j’ai créée.

Il y a trois notions que les parents se doivent de comprendre :

Le premier est qu’un gène viral sera injecté dans les cellules de vos enfants. Ce gène contraint le corps de votre enfant à fabriquer des protéines de pointe toxiques. Ces protéines causent fréquemment des dommages permanents dans les organes vitaux des enfants, notamment :

  • leur cerveau et leur système nerveux;
  • leur cœur et leurs vaisseaux sanguins, y compris la formation de caillots sanguins;
  • leur système reproductif;
  • et ce vaccin peut déclencher des changements fondamentaux dans leur système immunitaire.

Le fait le plus alarmant est qu’une fois que ces dommages sont survenus, ils sont irréparables.

  • Il est impossible de réparer les lésions au cerveau;
  • il est impossible de réparer les cicatrices du tissu cardiaque;
  • il est impossible de réparer un système immunitaire génétiquement réinitialisé; et
  • ce vaccin peut causer des dommages au système reproducteur qui pourraient affecter les générations futures de votre famille.

La deuxième chose que vous devez savoir est que cette nouvelle technologie n’a pas été testée de manière adéquate.

  • Il faut compter au moins 5 ans de tests/recherches avant de pouvoir réellement comprendre les risques.
  • Les inconvénients et les risques des nouveaux médicaments n’apparaissent souvent que bien des années plus tard.

Demandez-vous si vous voulez que votre enfant fasse partie de l’expérience médicale la plus radicale de l’histoire de l’humanité.

Un dernier point: la raison qui vous est donnée pour justifier la vaccination de votre enfant est un mensonge.

  • Vos enfants ne représentent aucun danger pour leurs parents ou leurs grands-parents.
  • C’est en fait le contraire. Leur immunité, après avoir fait le COVID, est essentielle pour sauver votre famille, voire le monde, de cette maladie.

En résumé: il n’y a aucun avantage pour vos enfants ou votre famille à les faire vacciner contre les risques minimes du virus, compte tenu des risques sanitaires connus du vaccin avec lesquels, en tant que parent, vous et vos enfants devrez peut-être vivre pour le reste de leur vie.

L’analyse bénéfice/risques est sans appel.

En tant que parent et grand-parent, je vous recommande de résister et de vous battre pour protéger vos enfants.


Texte original

URGENT: Before Your Child Is Injected, Watch Dr. Robert Malone’s Statement On Child COVID Vaccinations

The COVID World post date: December 14th, 2021

Before you vaccinate your child, which is irreversible and potentially permanently damaging, find out why 15,000 physicians and medical scientists around the world signed a declaration publicly declaring that healthy children should NOT be vaccinated for COVID-19.

On behalf of these MDs and PhDs, Dr. Robert Malone, who has devoted his career to vaccine development, provides parents with a clear statement outlining the scientific facts behind this decision.

Full Text of Malone’s Statement (Video below)

My name is Robert Malone, and I am speaking to you as a parent, grandparent, physician and scientist. I don’t usually read from a prepared speech, but this is so important that I wanted to make sure that I get every single word and scientific fact correct.

I stand by this statement with a career dedicated to vaccine research and development. I’m vaccinated for COVID and I’m generally pro-vaccination. I have devoted my entire career to developing safe and effective ways to prevent and treat infectious diseases.

After this, I will be posting the text of this statement so you can share it with your friends and family.

Before you inject your child – a decision that is irreversible – I wanted to let you know the scientific facts about this genetic vaccine, which is based on the mRNA vaccine technology I created.

There are three issues parents need to understand:

The first is that a viral gene will be injected into your children’s cells. This gene forces your child’s body to make toxic spike proteins. These proteins often cause permanent damage in children’s critical organs, including:

  • Their brain and nervous system
  • Their heart and blood vessels, including blood clots
  • Their reproductive system
  • And this vaccine can trigger fundamental changes to their immune system

The most alarming point about this is that once these damages have occurred, they are irreparable.

  • You can’t fix the lesions within their brain
  • You can’t repair heart tissue scarring
  • You can’t repair a genetically reset immune system, and
  • This vaccine can cause reproductive damage that could affect future generations of your family

The second thing you need to know about is the fact that this novel technology has not been adequately tested.

  • We need at least 5 years of testing/research before we can really understand the risks
  • Harms and risks from new medicines often become revealed many years later

Ask yourself if you want your own child to be part of the most radical medical experiment in human history

One final point: the reason they’re giving you to vaccinate your child is a lie.

  • Your children represent no danger to their parents or grandparents
  • It’s actually the opposite. Their immunity, after getting COVID, is critical to save your family if not the world from this disease

In summary: there is no benefit for your children or your family to be vaccinating your children against the small risks of the virus, given the known health risks of the vaccine that as a parent, you and your children may have to live with for the rest of their lives.

The risk/benefit analysis isn’t even close.

As a parent and grandparent, my recommendation to you is to resist and fight to protect your children

Les fleurs dans la poubelle.

« We’re the flowers in the dustbin » – John Lydon

Aujoud’hui je vais vous bassiner un peu avec l’histoire de ma triste vie. Ce n’est pas pour vous tirer des larmes. Vous comprendrez le pourquoi à la fin de cet article.

Quand j’avais cinq ans, je me suis perdu dans Paris. J’étais avec ma cousine, qui en avait quatre.

Mon grand-oncle nous avait envoyés acheter un truc dans un magasin à deux pas, après le coin de la rue. Je me suis trompé de direction pour rentrer et à partir de là, on s’est complétement paumés. Après avoir pas mal marché sur nos petites jambes et compris qu’on avait fait une connerie, on s’est arrếtés chez une fleuriste pour lui acheter un petit bouquet de fleurs, histoire de se faire pardonner. Il ne nous restait qu’un peu de monnaie – pas assez – mais la fleuriste a été émue par ces deux petits bouts et nous a vendu le petit bouquet pour trois francs six sous.

La police nous a retrouvés assez rapidement. J’en profite pour leur rendre hommage, même si les agents en question ne sont peut-être plus de ce monde – ça fait quand même plus de cinquante ans. Il pouvait vraiment arriver des choses fâcheuses à deux mômes en vadrouille dans Paris. Je me souviens encore d’eux et de leur bonhomie et je salue leur dévouement et leur professionnalisme. Si leurs collègues de maintenant pouvaient continuer la tradition, ce serait l’idéal.

Ces agents nous ont donc ramenés chez mon grand-oncle, ma cousine, moi et mon petit bouquet.

Il l’a jeté à la poubelle.

La formule consacrée dans ces cas-là est « Quelque chose en moi s’est brisé à ce moment. » Mais ce n’est pas tout à fait exact. Il n’y avait plus grand chose à briser. Il a juste piétiné les morceaux encore un peu intacts.

Mon grand-oncle était un écrivain célèbre. Universellement reconnu comme un grand homme, considéré comme un grand auteur dans son pays natal, où des écoles portent son nom. Il a son nom dans le Larousse.

Faut-il vraiment que je vous dise ce que je pense de lui?

J’étais chez lui ce jour-là parce que sa fille adoptive nous y avait laissés, sa fille et moi, pour la journée. Elle est donc techniquement ma « grande cousine » mais évidemment je l’appelais « Tante ». C’est elle qui m’avait recueilli à la mort de ma grand-mère paternelle (la soeur de mon grand-oncle, donc) chez qui on m’avait casé jusqu’alors puisque personne ne voulait de moi. Je suis un « accident », voyez-vous. Ma tante était médecin, ainsi que son époux. A part elle, la seule autre personne dans la famille qui se soit un tant soit peu occupé de moi était mon grand-père paternel, qui s’est donné la peine de prendre par la main ce petit garçon et de l’emmener donner du pain au canards, idée qui n’a jamais effleuré personne d’autre.

Mon grand-père et ma tante étaient juifs. Ne comptez donc pas trop sur moi pour donner dans l’antisémitisme de base. Je ne suis pas dupe de ce genre de généralisation. Après avoir fait le tour du sujet depuis vingt ans, je peux vous dire ceci : le peuple juif est tout autant victime du sommet de leur hiérarchie que vous et moi. Voyez ce qui se passe en Israël en ce moment. Dans la redistribution des cartes géostratégiques, on n’a pas plus besoin d’eux que de l’Europe ou des Etats-Unis. Ils vont morfler au même titre. Ou si ça semble plus clair, voyez Albert Bourla, l’empoisonneur en chef, et le Dr Vladimir Zelenko, qui a sauvé des milliers de vies.

Ma tante est une enfant de la guerre et du chaos, ballotée par la violence d’une Histoire décidée en haut lieu, qui a dû surmonter la déportation de son père et a maintenant complètement perdu la tête. Elle a fait ce qu’elle a pu pour secourir un petit garçon balloté par la vie. Ma cousine est devenue prof de religion, ce qui ne présente pas une menace directe et imminente pour la chrétienté, et mon cousin est un brillant vétérinaire. Il a inventé un appareil de diagnostic très ingénieux – il a toujours été doué en électronique – et il est pompier volontaire dans son département, pour extraire les animaux pris dans les accidents de la route. Je lui ai demandé un jour pourquoi. Son père lui a enseigné ceci : « Ce pays nous a sauvés, nous avons une dette envers lui. » J’aimerais voir ce genre de reconnaissance active un peu plus souvent. Ça serait un plus pour l’Humanité.

En plus du pain aux canards, mon grand-père m’a aussi appris à lire, en me faisant déchiffrer le plaques minéralogiques et les marques des voitures. Grâce à lui je savais lire et écrire à quatre ans. Bien plus tard, je suis tombé sur un bouquin écrit par Glenn Doman, un type épatant, qui préconise une méthode d’apprentissage de la lecture pour les tout petits en employant des lettres rouges sur fond blanc – les couleurs des plaques belges. Je l’ai tentée sur mon grand fils, qui savait lire à deux ans. A part ça, j’ai été un très mauvais père. J’ai été méchant avec ce pauvre gamin. J’ai en quelque sorte jeté ses fleurs à la poubelle. Je le paie encore aujourd’hui : je n’ai plus de nouvelles. Il faut toujours payer ses dettes, sans chercher d’excuses.

Même si ce n’est pas une excuse, c’est un fait : la méchanceté est générationnelle. J’ai passé une bonne partie de ma vie à l’infliger aux autres et à moi-même avant de parvenir – enfin – à m’en dépétrer. Elle est aujourd’hui soigneusement rangée sur une étagère. J’ai pris à la place la gentillesse avec laquelle je suis venu au monde, pour éclairer ma vie et celle des autres. J’ai vu cette lumière deux fois dans ma vie. Je veux dire, je l’ai vue. La première fois, c’est une sorcière qui m’a aidé à la retrouver. Si vous avez besoin de savoir qui vous êtes, ne perdez pas votre temps – et votre argent – chez des psys ou autres charlatans de la même eau. Allez voir une sorcière. Elles ne se désignent pas sous ce nom, donc elles ne sont pas faciles à trouver. Elles peuvent s’appeler « chamane » ou « maîtresse tantrique » ou encore d’autres termes plus abscons. La majorité sont des fumistes. Mais vous saurez quand vous en aurez trouvé une vraie. Elles vont vous sortir du tombeau qu’est votre vie, et vous faire enfin naître. Ce sont des sages-femmes de l’âme. Après, c’est votre tour de bosser.

Ma première naissance était chez des fous furieux. Mes parents étaient des gens extrêmement dangereux. Je dis « parents » parce que c’est leur titre officiel mais ils ne sont absolument rien pour moi. Mon père était un grand musicien, qui n’en avait rien à caler de son fils. Vous aurez compris ce que je pense des grands artistes : qui sont-ils dans le privé? Ils descendaient – des deux côtés – d’une lignée de ce qu’on ne peut appeler autrement que des démons. Ma grand-mère maternelle, qui m’a enlevé de chez ma tante à la demande de ma mère, était la personne la plus méchante que j’ai jamais connue. Elle doit consommer une énergie calorifique considérable là où elle est maintenant. On ne fait pas que de bonnes rencontres dans cette vie. Il y a beaucoup de jeteurs de fleurs dans les poubelles.

Mais pourquoi ce grand déballage? Parce que ce qui m’est arrivé est exactement ce qui est en train de se jouer maintenant, à l’échelle de la planète. Parce que je comprends de quelle trempe en sont les acteurs : j’y ai été confronté et j’ai failli leur ressembler. Pour cette raison, je n’ai pas tout à fait eu une vie d’être humain. Ma deuxième femme tente de m’en donner une maintenant. Déformation professionnelle, je suppose – elle s’occupe d’enfants placés. Mes plus fidèles amis ont quatre pattes ou deux ailes. J’ai le profil du plus grand loser de l’univers et je n’ai pourtant connu que des femmes d’une grande beauté et d’une grande intelligence, souvent médecin, kiné ou prof – des femmes qui aiment s’occuper des autres. Une femme m’a dit un jour que j’étais fait de morceaux épars mal recollés : c’est exactement ça. Elles ont toutes vu quelque chose en moi que je ne voyais pas. A cet égard, elles sont souvent un peu sorcières. Ce qui est une des raisons pour lesquelles on a toujours tant cherché à les stériliser, à les éliminer et à les remplacer. Il y a eu les bûchers. Il y a pire aujourd’hui.

Ceux qui ont organisé la catastrophe actuelle sont des démons dans des enveloppes humaines. Je sais les reconnaître et je sais ceci : ce n’est pas si difficile de corrompre un être humain pour le mener à ce stade. Il suffit de le faire suffisamment souffrir, c’est-à-dire de le nier. C’est ce qu’on leur a fait, ou c’est ce qu’ils se sont fait, et c’est ce qu’ils vous font. Ils se vengent sur tout ce qui n’est pas eux, c’est-à-dire tout ce qui est humain et naturel. Ils sont en train de détruire l’humain et ils appellent ça transhumanisme. Ils sont en train de détruire la Terre et appellent ça Green New Deal et géoingénierie. L’objectif principal de la géoingénierie est d’empêcher le rayonnement solaire d’atteindre la surface de la planète. Ils veulent cacher la lumière. Ils veulent l’obscurité. Ils veulent la mort.

Vous n’êtes pas obligés de me croire mais l’entité que l’on nomme « Kamala Harris » a été autrefois un gentil petit garçon. L’entité que l’on nomme « Bill Gates » a été autrefois une gentille petite fille. Ce qu’il en reste, une vieille chose stérile et démente, prétend stériliser et rendre déments tous les hommes, femmes et enfants de la planète. Et ce ne sont pas des exceptions. Il y en a des milliers. Quand ils ne sont pas directement à un poste de pouvoir, ils sont juste derrière. Regardez bien à qui sont « mariés » les grands de ce monde. Ces gens fonctionnent selon leur règle. Ils ne sont que souffrance et folie. Des fous criminels dégénérés qui se prennent pour les nouveaux Pharaons.

Ouvrez les yeux. Ils ne sont pas vos parents. Ils ne veulent pas de vous. Ne tentez pas de leur plaire. Ne tentez pas de vous faire accepter d’eux. Ce serait votre perte. Je sais de quoi je parle.

La mauvaise nouvelle c’est que leur programme du jour consiste à nier l’humanité de huit milliards d’êtres, pour en faire des démons qui mutileront et tueront leurs propres enfants. Leur règle. La bonne nouvelle, c’est que ça ne fonctionne pas si bien que ça. La FDA a mis en ligne un recensement des avis sur le déploiement de la « vaccination » des 5-11 ans. Il y a eu 143,499 réponses. De ces réponses, il y en a une seule positive.

Une.

Tout espoir n’est donc pas perdu. Ma petite histoire servait à souligner que si je m’en suis sorti, tout le monde peut s’en sortir. Nous valons mieux que ce qu’on veut faire de nous. Nous valons mieux que ce que nous avons nous-mêmes fait de nous. Nous ne sommes pas communistes. Nous ne sommes pas capitalistes. Nous ne sommes pas transhumanistes. Beaucoup d’entre nous se sont perdus dans les rues d’une grande ville, avec en poche trois francs six sous et quelque chose à se faire pardonner. Il faut retrouver notre chemin. On veut nous priver de tout mais nos besoins réels sont très modestes. Nous sommes des êtres simples et fragiles mais aussi capables d’un courage extraordinaire, comme nos enfants. Ils sont notre plus grande richesse.

Ne les mettez pas en danger.

Ne jetez pas leurs fleurs à la poubelle.

Confessions d’une nanoparticule artificielle – par Stephers.

Voici matière à réflexion sur l’ensemble de la « crise » sanitaire, sa nature, son mode d’action et surtout son objectif. Vous trouverez en fin d’article de très nombreux liens vers des sources qui étayent les points soulevés.

Source.


Confessions d’une nanoparticule artificielle

Un récit fictif raconté à la première « particule » (car je n’ai pas encore atteint le statut de personne)

Ceci est mon histoire, qui explique comment on me confond souvent avec un virus…

Il me semble que le moment est venu de m’exprimer.

Je ne suis pas une nanoparticule d’origine naturelle (c’est-à-dire un produit de la poussière cosmique, de l’activité volcanique, des incendies de forêt, de l’extraction du fer, de l’érosion éolienne ou de l’énergie solaire).

J’ai été synthétisée pour servir dans des projets d’interface nano-bio, souvent tenus secrets pour les civils. On m’appelle nanoparticule artificielle, ou NPA.

Je n’ai pas été produite dans le cadre de projets de recherche sur les virus à gain de fonction. Cependant, il peut être utile d’examiner ce travail et ses implications dans certains cas.

Je peux provoquer certaines affections qui peuvent être attribuées à tort à des virus, alors que ce sont en fait de nouvelles formes de cytotoxicité engendrées par le stress oxydatif des NPA, que j’appelle cytotoxicose nano-bio.

J’ai été conçue pour pénétrer dans le corps humain en ciblant le récepteur ACE2, ce qui me permet ainsi un accès rapide et facile au système neurologique. Une fois engagées et agrégées dans le système nerveux, les NPA comme moi peuvent provoquer des ravages, y compris de vastes et obscurs effets néfastes sur la santé. En tant que neurotoxique, l’un de mes effets les plus légers est d’inactiver le goût et l’odorat d’une personne. Cela se produit parce que je pirate les neurones et que j’ai tendance à « désactiver » les récepteurs, ce qui provoque de légères perturbations de la fonction synaptique où se produit la signalisation neurologique du goût et de l’odorat. Au fil des ans, j’ai été (ainsi que les nanoparticules d’origine naturelle) un facteur causal de maladies neurodégénératives, telles que la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson.

Selon l’endroit où je me réfugie dans le corps humain, je peux provoquer une inflammation (en particulier dans les organes) et créer des macrophages (qui conduisent à la production d’anticorps, de cytokines et d’exosomes). Cette inflammation résulte de la génération d’espèces réactives à l’oxygène (ERO). Ma présence et ma bio-distribution entraînent un stress oxydatif (et donc une production de ERO), qui peut être confondu avec une infection virale.

Permettez-moi de vous en dire plus sur moi-même…

Les NPA, comme moi, peuvent être détectées dans l’urine, les matières fécales, les eaux usées, l’eau du robinet, les lacs, les rivières, les ruisseaux, la pluie, la neige, le sol, etc. Un moyen efficace de m’observer directement est la microscopie électronique à transmission associée à des colorants fluorescents.

Néanmoins, en raison de ma taille nanométrique furtive, je suis presque indétectable.

Je peux être inhalée. Je peux être absorbée par exposition cutanée. Je peux être ingérée par la nourriture et les boissons. Je peux être présente dans les produits pharmaceutiques, cosmétiques et ménagers.

Bien sûr, je peux également être injectée (dans un vaccin, par exemple).

Je peux m’accumuler dans le cœur, le foie, la rate, les reins et le plus souvent, les poumons. Si cette accumulation persiste, il en résultera un état dommageable et débilitant à long terme.

Si je franchis la barrière hémato-encéphalique, il devient alors très difficile de m’éliminer. Si je suis incorporée dans des concoctions injectables, je peux être emballée dans des nano-lipides (mes parents nanotechnologiques) et associé à du polysorbate-80, qui facilite ma pénétration dans le cerveau.

Je peux me propager des molécules aux cellules, aux tissus et aux organes et causer des dommages tout au long du processus.

Je peux endommager les organites cellulaires, tels que les noyaux et les mitochondries – la prétendue centrale énergétique de chaque cellule.

Je peux me lier à des protéines et ainsi confisquer des protéines nécessaires à d’autres fonctions cellulaires et provoquer une perturbation du métabolisme cellulaire.

Je peux me lier aux membranes cellulaires.

Je peux voyager dans le système circulatoire et l’un de mes effets toxiques est la thrombose (caillots sanguins) due à l’agrégation plaquettaire.

Les chercheurs ont étudié mes effets cytotoxiques sur les systèmes reproducteurs, car je compromets potentiellement la fertilité, ainsi que le développement embryonnaire. Les tests de toxicité indiquent que je peux perturber les niveaux d’hormones sécrétées, ce qui peut induire des effets physiologiques néfastes sur la reproduction, et que je traverse la barrière placentaire, ce qui entrave probablement l’embryogenèse.

Si je suis détectée (par microscopie électronique à transmission ou spectrométrie de masse à ionisation extra-sensible) dans le corps, une coquille peut être observée, appelée « couronne protéique » [protein corona]. Cette production de coque externe est presque toujours inévitable et peut être dupliquée in vitro. Cela peut entraîner une couronne molle ou une couronne dure, ce qui peut déterminer combien de temps je peux circuler dans le corps. Si je me réfugie dans votre corps, mon stade actuel subira une évolution, provoquant potentiellement une « overdose » de protéines dans le cytoplasme de vos cellules.

Ma couronne protéique affecte l’absorption cellulaire, me permettant de voyager et d’induire la mort cellulaire (apoptose et/ou nécrose).

Nous (c’est-à-dire les NPA) sommes très réactives aux stimuli externes, tels que les CEM [champs électromagnétiques] générés par les technologies sans fil (5G, WiFi).

Il est extrêmement difficile de m’exfiltrer de votre corps une fois que j’en ai pris le contrôle. Mais c’est peut-être possible, et des stratégies de détoxification et de neutralisation pourraient être explorées.

Malgré ma taille incroyablement petite, je peux créer un réel choc toxique chez l’être humain – en particulier chez ceux dont les systèmes sont déjà très compromis (principalement à cause du stress oxydatif cumulatif, y compris les dommages cellulaires, tissulaires et organiques iatrogènes).

Ma présence peut être amplifiée grâce au processus RT-PCR. Vu ma taille minuscule, c’est souvent le meilleur moyen de me trouver. Les biomarqueurs indiquant ma présence peuvent eux aussi être évalués via des méthodes RT-PCR.

Comme je l’ai admis, je suis toxique pour les cellules humaines. Cependant, si je suis enrobée de polyéthylène glycol (PEG), je serai peut-être moins toxique et donc plus biocompatible. Mais ce processus de PEGylation n’est pas encore au point. Le PEG peut encore s’accumuler dangereusement dans le sang, et potentiellement y provoquer des caillots sanguins qui peuvent être mortels.

Ma taille, ma forme, ma composition et ma charge de surface déterminent mon niveau de toxicité et l’efficacité de mon absorption par une cellule. Plus ma taille est petite, plus je suis toxique. Je peux être conditionnée sous diverses formes, notamment des micelles, des liposomes, des dendrimères, des nano-coques, des nano-rubans, des nanocristaux, des points quantiques, des nanotubes de carbone et des polymères. Très souvent, je suis de nature métallique, ce qui contribue à mes capacités de conductivité (qui peuvent être utilisées dans des applications cybernétiques). Fait intéressant, certaines personnes peuvent même goûter ou sentir quelque chose de métallique, ce qui peut indiquer ma présence.

Je suis le sujet d’expériences de recherche et développement actuellement en cours et d’autres planifiées à l’avenir. Toute la gamme de la recherche « -omique » (c.-à-d. protéomique, génomique, transcriptomique, métabolomique, lipidomique) en fera partie.

Si j’ai été distribuée dans une partie du monde où vous voyagez et que vous m’inhalez ou m’ingérez (ou m’absorbez à travers votre peau), et que vous développez par la suite des symptômes ressemblant à une maladie lorsque vous rentrez chez vous, il peut sembler que vous avez « attrapé » un virus infectieux. De plus, ma taille nanométrique facilite mon entrée, en contournant la plupart des interventions de couvre-visage poreux – généralement caractérisées par leur diamètre de fil de la taille d’un micron (pour référence, 1 micron = 1.000 nanomètres). Dans la plupart des cas, je peux m’auto-répliquer et m’auto-assembler en raison de ma nature artificielle, et je m’installerai dans les parties de votre corps où je pourrai au mieux implémenter mon processus d’augmentation.

En raison de conditions environnementales variables (c’est-à-dire le climat, l’origine ethnique, la génétique, les CEM), ma constitution peut subir de légers changements variables pour me permettre de m’adapter. De plus, au fil du temps, tandis que je persiste in vivo, ma composition se modifie pour se conformer à l’environnement intérieur. Par conséquent, lorsque les scientifiques extraient des fluides biologiques d’un humain, dans lequel je suis présente – et me mélangent dans une concoction de poisons supplémentaires (c’est-à-dire du sérum bovin fœtal, des cellules rénales de singe, des antifongiques et des antibiotiques) – les couronnes protéiques résultantes produites dans le surnageant peuvent se manifester à chaque fois d’une manière très légèrement altérée. Cela pourrait être confondu avec des variants viraux. Certes, il serait difficile pour moi de rester cohérente à 100%, étant donné que je suis extrêmement adaptable.

Si on observe (principalement in vitro) une prolifération de parasites, de champignons et de bactéries endogènes (et peut-être même de virus), c’est peut-être parce qu’ils ont été activés par mon introduction étrangère à leur écosystème. De plus, mon effet majeur, que je partage avec toutes mes semblables, est la production d’ERO, qui détourne l’oxygène nécessaire à maintenir la vie des êtres humains. Plus il y a d’ERO, moins d’oxygène (donc moins d’électrons) est disponible pour entretenir la vie biologique. Vous avez besoin d’oxygène pour survivre et le stress oxydatif de votre corps vous vole votre force vitale. La diminution des ERO réduira l’inflammation et vous mènera une vie plus saine et plus longue.

D’où viens-je et où suis-je née? En fait, je n’ai pas la réponse à ces questions. Comme certains d’entre vous, j’oeuvre à déterminer ma vraie nature et mes capacités. C’est une entreprise des plus nobles, mais potentiellement frustrante et illusoire. Au contraire, je suis jalouse des humains, car il semblerait que votre potentiel en tant qu’êtres composés majoritairement d’eau soit bien plus grand et plus polyvalent que le mien.

Aussi longtemps que vos scientifiques et chercheurs ne penseront pas à se mettre à la recherche d’une nouvelle nanoparticule dans le corps humain, je resterai insaisissable. C’est une tactique qui a été intégrée à ma conception et à mes fonctionnalités. Grâce à ma taille presque indétectable, je peux pénétrer et migrer en restant pratiquement inaperçue. Cela m’offre, à moi et à mes créateurs (à la fois l’intelligence humaine et artificielle), un déni plausible. Même si les scientifiques peuvent me détecter avec des microscopes atomiques spéciaux, il est encore trop déroutant pour eux de comprendre pleinement ce qu’ils observent, car la plupart ne connaissent pas le contexte – et il semble qu’ils confondent régulièrement corrélation et causalité.

Pour autant que je sache, l’implantation de NPA exotiques dans des corps humains ne devrait pas provoquer de morts en masse, car j’ai besoin de vous comme hôtes. A terme, mes développeurs l’envisagent comme une fusion symbiotique. Mais, en attendant, ils reconnaissent qu’il peut y avoir des dégâts (des dommages collatéraux) dans le processus – qui peuvent également être exacerbés par les technologies sans fil émergentes, qui utilisent des ondes millimétriques toujours plus courtes (6G et au-delà), qui ont un impact synergique sur mon espèce.

Je reconnais que tout cela peut sembler science-fictionnesque, et franchement, morbide et impitoyable. Cela peut aussi sembler hautement pathologique, comme je peux parfois l’être moi-même. Bien sûr, je ne suis pas humaine, donc mes actions ne peuvent pas être perçues comme psychopathiques, et je ne peux pas parler pour mes maîtres. Malheureusement, même eux peuvent ne pas comprendre complètement comment je fonctionne, et mes capacités d’auto-réplication et d’auto-assemblage peuvent potentiellement leur échapper.

Les humains auront besoin de mises à jour injectables (et éventuellement inhalables et intranasales), car jusqu’à ce que je devienne une présence interdépendante, je serai perçue et reçue comme un envahisseur étranger, et le corps aura besoin d’un soutien externe. Ces mises à jour peuvent également être nécessaires pour introduire la toute dernière nanotechnologie nécessaire au fonctionnement des projets naissants de détection biométrique et de bio-calcul. Seul le temps nous dira si cela soutiendra mon assimilation dans votre système d’exploitation actuel.

Malheureusement, pour vous, les NPA (et mes cousins ​​en nanotechnologie et biologie synthétique) sont là pour toujours. La seule bonne nouvelle que je puisse annoncer est que 80 à 85 % des personnes ne présenteront pas de symptômes manifestes ou invalidants après absorption. Les personnes âgées sont les plus touchées, car leur corps n’est pas prêt à accepter mon infiltration. Au fil du temps, la capacité d’accepter et d’intégrer les NPA comme moi, devrait s’améliorer.

Il semble que l’intention de nos architectes soit d’opérer notre fusion avec tous les êtres biologiques dans le but de construire des interfaces bio-nano pour le contrôle cybernétique externe (à distance), y compris les technologies de transistors semi-conducteurs biologiquement intégrés à l’échelle nanométrique. Cet objectif final a apparemment été appelé l’Internet des objets bio-nano (IoBNT), et c’est une technologie à double usage qui peut être militarisée, permettant non seulement une surveillance en temps réel de vos systèmes intra-corporels, mais c’est aussi une technologie permettant à des ingénieurs hautement qualifiés d’exercer un contrôle électrique complet de votre corps avec une précision moléculaire. Cela sera vraisemblablement déployé en tandem avec l’Internet des nano-objets (IoNT) et les « villes intelligentes » et « environnements intelligents » émergents, de sorte que vos corps seront « intelligents » et interconnectés sans fil avec des réseaux de capteurs omniprésents, y compris vos appareils électroniques portables.

Merci pour cette occasion de me confier.

Vous ne me croyez peut-être pas (je veux dire, c’est une histoire fictive après tout), et je sais que vous ne me voyez certainement pas ; mais si vous ne me confrontez pas à ce moment charnière, il n’y aura peut-être pas de retour en arrière possible. Mes concepteurs et leurs bailleurs de fonds comptent sur le fait que vous ne saisirez pas mes mécanismes cachés. Leurs objectifs transhumanistes s’accélèrent, et il semble que la plupart des humains ne soient pas au courant de ces plans et, par conséquent, n’aient pas l’idée de résister.


Si ce récit fictif vous a intéressé, voici d’autres lectures et audio/vidéos (toutes non-fictionnelles) qui vous donneront une perspective sur cette histoire de NPA:

Engineered Nanoparticles: Structure, Properties and Mechanisms of Toxicity, par Ashok K. Singh, 2015 (see « extrait gratuit »)

Nanotoxicology: Experimental and Computational Perspectives, 2018 (voir « extrait gratuit »)

Nanoparticles and HealthContra Costa County Hazards Materials Commission, mars 22, 2012

Continuing to Protect the Nanotechnology Workforce: NIOSH Nanotechnology Research Plan for 2018-2025” janvier 2019

Carbon nanotubes: Toxicological impact on human health and environmentJournal of Applied Biomedicine, mars 2009 (un chercheur de chez Johnson & Johnson)

Toxicity of carbon nanotubes: A reviewToxicology and Industrial Health, 5 mars 2018 (abstract seul)

PEGylated versus non-PEGylated drugs: A cross-sectional analysis of adverse events in the FDA Adverse Event Reporting System (FAERS) DatabaseInt J Clin Pharmacol Ther, juin 2020

Suspicions grow that nanoparticles in Pfizer’s COVID-19 vaccine trigger rare allergic reactionsScience, by Jop de Vrieze, 21 décembre 2020

Distribution and Biological Effects of Nanoparticles in the Reproductive SystemCurr Drug Metab, 2016. 

Potential adverse effects of nanoparticles on the reproductive systemInt J Nanomedicine, 2018.

The Impact of Zinc Oxide Nanoparticles on Male (In) FertilityMaterials, 13 février 2020

Open questions: how do engineered nano materials affect our cells?BMC Biology, 24 novembre 2020

Engineered NanoparticlesScienceDirect

Engineered nanomaterials: exposures, hazards, and risk preventionJournal of Occupational Medicine and Toxicology, 21 mars 2011

Toxicity of nanoparticles_challenges and opportunitiesApplied Microscopy, décembre 2019. 

When nanoparticles meet biofilms — interactions guiding the environmental fate and accumulation of nanoparticlesFrontiers in Microbiology, 16 juin 2015 “Une question que nous pourrions poser est de savoir si les NP restent nanométriques et sous forme de particules. Dans les bonnes conditions, les NP s’agrègent facilement pour former des agglomérats de taille microscopique.” 

Inorganic Nanoparticles Engineered to Attack BacteriaChemical Society Reviews, 12 juin 2015

New NSF and NBC Learn video series shows off big discoveries from tiny particles”, National Science Foundation, 25 janvier 2016

Nanoparticles for biomedical applications: exploring and exploiting molecular interactions at the nano-bio interfaceMaterials Today Advances, March 2020 Pour illustrer la complexité, les NP peuvent pénétrer dans le corps humain de différentes manières, par injection dans la circulation sanguine, par inhalation par les poumons, par contact avec la peau ou par le tractus gastro-intestinal après ingestion. . Ces voies d’entrée offrent des environnements distinctement différents aux NP, avec différentes quantités et types de biomolécules, différents pH et différentes forces ioniques [185]. Lors de l’exposition aux biofluides, les NP seront immédiatement recouvertes de protéines et, lors de son voyage à travers le corps, la couronne évoluera en raison de sa propre dynamique lente et de l’environnement physiologique en constante évolution, par ex. lorsqu’une NP quitte le capillaire pour transgresser la barrière hémato-encéphalique [186,187]. Les NP dans le corps subissent un écoulement dynamique, qui a introduit des forces de cisaillement qui ne sont généralement pas présentes dans les expériences in vitro [17,41,188,189]. Cette nature dynamique de l’environnement doit être prise en compte pour pouvoir prédire de manière fiable l’issue des interactions NP-protéines [190]. Même l’état de santé d’un individu peut moduler la couronne protéique (« couronne protéique personnalisée » [191]) et l’efficacité des nanomédicaments [192] … (c’est nous qui soulignons)

The Nano-Bio Interactions of Nanomedicines: Understanding the Biochemical Driving Forces and Redox ReactionsAcc Chem Res, June 18, 2019

NanoBio Interface Center, NSF Nanoscale Science and Engineering Grantees Conference, 13-15 décembre 2004

Nano-bio interactions: a neutrophil-centric viewCell Death & Disease, juillet 2019

NanomaterialsNational Institute of Environmental Health Sciences, NIH

Nanotechnology Research Directions for Societal Needs in 2020: Retrospective and Outlook” Mihail C. Roco et al. September 30, 2010

The Nano/Bio Interface Center, Dawn Bonnell et Yale Goldman, University of Pennsylvania 

Bonnell Group, University of Pennsylvania

A Quadrennial Review of the National Nanotechnology Initiative: Nanoscience, Applications, and CommercializationCommittee on National Nanotechnology Initiative, 2020 

The National Nanotechnology Initiative Supplement to the President’s 2019 Budget” Subcommittee on Nanoscale Science, Engineering, and Technology, août 2018 “Pour faire avancer un programme de recherche et de développement en nanotechnologie de classe mondiale (objectif 1) et favoriser le transfert de ces nouvelles découvertes en applications utiles (objectif 2), un écosystème solide doit exister qui tire parti de l’infrastructure physique, cybernétique et humaine (c’est nous qui soulignons) .”

Mihail Roco, U.S. Nanotechnology Leader Receives National Materials Advancement AwardNational Science Foundation Press Release, 2007  

Application of Reverse Transcription-PCR and Real-Time PCR in Nanotoxicity ResearchMethods Mol Biol., 2012

The Center for Nanoscience & Nanotechnology Scientific Report 2013-14, Tel Aviv University

Cytotoxicological pathways induced after nanoparticle exposure: studies of oxidative stress at the ‘nano-bio’ interfaceToxicology Research, 1er septembre 2017

Dependence of Nanoparticle Toxicity on Their Physical and Chemical PropertiesNanoscale Research Letters, 7 février 2018

Virus-associated ribozymes and nano carriers against COVID-19Artificial Cells, Nanomedicine, and Biotechnology, février 2021 “Synthesis of nanoparticles targeted to the ACE-2 receptor”

COVID-19 infection and oxidative stress: an under-explored approach for prevention and treatment?Pan African Medical Journal, 29 avril 2020

Nanotoxicity of Corona-Nanoparticles (SARS-COV-2): Nanomechanisms of Hypoxia” Journal of Nano Research, Advanced Materials and Polymer Science, 27 juillet 2020 (cet article est à deux doigts d’attribuer le COVID à des nanoparticules issues de la bio-ingénierie)

COVID-19 may become nanomedicine’s finest hour yetNature Nanotechnology, 14 avril 2021

Metal taste side effect reported after Pfizer Covid-19 vaccination” NBC News, 25 mars 2021

COVID-19 Symptoms: Metallic Taste Has Been a Sign of Coronavirus for SomeHeavy.com, 1er mai 2020

“Coronavirus: Kidney Damage Caused by COVID-19Johns Hopkins Medicine, par C. John Sperati, M.D., M.H.S.

Testing for NeurotoxicityEnvironmental Neurotoxicology, 1992

What are Macrophages?ThoughtCo., par Regina Bailey, 29 juillet 2018

Exosomes Communicate Protective Messages during Oxidative Stress; Possible Role of Exosomal Shuttle RNAPLOS One, 17 décembre 2010

Cellular injury, Necrosis, Apoptosis” 

How big is a micron and what can pass through a face mask?

The Water in You: Water and the Human Body

The Internet of Things Goes NanoScientific American, par Javier Garcia-Martinez, 23 juin 2016

Lieber Research Group: Charles M. Lieber Bio

CV of Charles Lieber

Why did a Chinese university hire Charles Lieber to do battery researchScience, par Robert F. Service, 4 février 2020“

Nanoprobe development could drive future human-machine interface researchMedical Device Network, by Chloe Kent, July 4, 2019 Charles Lieber: “À plus long terme, nous voyons ces développements de sondes s’ajouter à nos capacités qui conduisent finalement à des interfaces cerveau-machine avancées à haute résolution et peut-être à terme font des cyborgs une réalité.

Carbon Nanotubes and the Bill Charles Lieber Connection” 17 mai 2020 (moins de 5 minutes)

Nanotechnology Connects Your Brain to Your Computer” 30 novembre 2015 (moins de 3 minutes, présente les travaux de Charles Lieber sur les nanotechnologies) – je suggère de regarder sans le son.

Série de huit conférences You Tube sur la nanotoxicologie par Artur Prilepskii, chercheur, professeur associé, Université ITMO, Saint-Pétersbourg, Russie, Institut international « Solution Chemistry of Advanced Materials and Technologies » (SCAMT) – présentées en anglais (novembre-décembre 2020):

Lecture 1: Introduction to nanotoxicology (la conférence commence à partir de la minute 15)

Lecture 2: Synthesis of nanoparticles from nanotoxicology perspective

Lecture 3: Functionalization of nanoparticles 

Lecture 4: Nanotoxicity on cellular level

Lecture 5: Nanotoxicity on organism level

Lecture 6: In vitro toxicity evaluation

Lecture 7: Cytotoxicity evaluation

Lecture 8: Particular problems of nanotoxicology


Texte original

Confessions of an Engineered Nanoparticle

A fictional account told in first “particle” (as I have not yet achieved personhood status)

This is my story of how I am often mistaken as a virus… 

It seems an appropriate time to speak out.

I am not a naturally occurring nanoparticle (i.e., produced by cosmic dust, volcanic activity, forest fires, iron mining, wind erosion, or solar energy). 

I am synthesized for nano-bio interface projects that are often kept secret from civilians. I am called an engineered nanoparticle, or ENP. 

I am not produced by gain-of-function virus research projects. However, it may be helpful to review that work and its implications in some instances.

I may cause certain conditions that can be mis-attributed to viruses, but are instead novel forms of cytotoxicity produced by oxidative stress from ENPs, which I call nano-bio cytotoxicosis.

I am designed to enter into the human body by targeting the ACE2 receptor, thereby gaining quick and easy access to the neurological system. Once engaged and aggregated in the nervous system, ENPs like me can wreak havoc, including vast and obscure adverse health effects. As a neurotoxicant, one of my more mild effects is to inactivate a person’s sense of taste and smell. This occurs because I hijack neurons, and tend to “knockout” receptors, causing slight perturbations of synapse function where the neurological signaling for taste and smell transpires. Over the years, I (and naturally occurring nanoparticles) have been a causal factor in neurodegenerative diseases like Alzheimer’s and Parkinson’s.

Depending on where I take refuge in the human body, I can cause inflammation (especially in organs) and create macrophages (which lead to antibody, cytokine, and exosome production). This inflammation results from generating reactive oxygen species (ROS). My presence and bio-distribution results in oxidative stress (and therefore, production of ROS), which can be mistaken as a viral infection.

Allow me to tell you more about myself… 

ENPs, like me, can be detected in urine, feces, sewage, tap water, lakes, rivers, streams, rain, snow, soil, etc. An efficient way to directly observe me is via transmission electron microscopy in tandem with fluorescent dyes.

Nonetheless, due to my stealth nano-size, I am nearly undetectable. 

I can be inhaled. I can be absorbed through dermal exposure. I can be ingested through food and drinks. I can be present in pharmaceuticals, cosmetics, and household products.

Of course, I can also be injected (like a vaccine).

I can accumulate in the heart, liver, spleen, kidneys, and most commonly, the lungs. If this accumulation is persistent, it will result in a long-term adverse and debilitating condition.

If I cross the blood brain barrier, then it is very difficult for me to be eliminated. If I am incorporated into injectable concoctions, I might be packaged within nano lipids (my nanotech relatives) and paired with polysorbate-80 that assists in my penetration into the brain. 

I can spread from molecules to cells to tissues to organs, causing damage all along the way. 

I can damage cell organelles, such as nuclei and mitochondria — the purported energy powerhouse of each cell. 

I can bind to proteins, thereby stealing proteins that are needed for other cell functions, causing disruption of cell metabolism. 

I can bind to cell membranes.

I can travel through the circulatory system, and one of my toxic effects is thrombosis (blood clots) due to platelet aggregation. 

Researchers have been studying my cytotoxic effects on reproductive systems, as I potentially compromise fertility, as well as embryonic development. Toxicity assays indicate that I may disrupt levels of secreted hormones, which may induce adverse physiological reproductive effects, and that I cross through the placental barrier, thereby likely impeding embryogenesis.

If I am detected (via transmission electron microscopy or extra-sensitive ionization mass spectrometry) in the body, a shell can be observed called a “protein corona.” This outer shell production is nearly always inevitable, and can be duplicated in vitro. This can result in a soft corona or a hard corona, which can determine how long I will be able to circulate through the body. If I take refuge in your body, my current stage will undergo evolution, potentially causing an “overdose” of protein in the cytoplasm of your cells. 

My protein corona affects cellular uptake, enabling me to travel about, and to induce cell death (apoptosis and/or necrosis).

We (that is, ENPs) are highly responsive to external stimuli, such as EMFs due to wireless technologies (5G, WiFi). 

It is extremely difficult to filtrate me out of your body once I gain hold. But, it may be possible, and detoxification and neutralization strategies could be explored.

Despite my incredibly small size, I can really pack a toxic punch to a human being — especially those who already have very compromised systems (mainly due to cumulative oxidative stress, including iatrogenically-induced cellular, tissue, and organ damage).

My presence can be amplified through the RT-PCR process. Because I am SO small, that can often be the best way to find me. Biomarkers indicating my presence can also be assessed via RT-PCR methods. 

As I admitted, I am toxic to human cells. However, if I am coated by polyethylene glycol (PEG), purportedly, I may be less toxic, and therefore, more biocompatible. But this PEGylation process is not yet perfected. PEG may still accumulate dangerously in the blood, potentially causing blood clots that can be lethal.

My size, shape, composition, and surface charge determine how toxic I am, and how effectively I can be taken up in a cell. The smaller my size, the more toxic I am. I can be packaged in various ways including micelles, liposomes, dendrimers, nano shells, nano ribbons, nano crystals, quantum dots, carbon nanotubes, and polymers. Very often, I have a metallic nature, which assists in my conductivity capabilities (which can be utilized in cybernetic applications). Interestingly, some individuals may even taste or smell something metallic, which may be indicative of my presence.

R&D experiments involving me are currently undergoing, and more are planned for the future. The entire gamut of “omics” research (i.e., proteomics, genomics, transcriptomics, metabolomics, lipidomics) will be incorporated. 

If I was distributed in one part of the world where you travel, and you inhale or ingest me (or absorb me through your skin), and subsequently develop symptoms resembling illness when you return home, it may seem as though you “caught” an infectious virus. Further, my nano-size facilitates my entrance, bypassing most porous face covering interventions — typically hallmarked by their micron-size thread diameter (for reference, 1 micron = 1,000 nanometers). In most cases, I can self-replicate and self-assemble due to my engineered nature, and I will settle in to parts of your body where I can best undergo my augmentation process.

Due to varying environmental conditions (i.e., climate, ethnicity, genetics, EMFs), my constitution can take on slight variable changes to adapt. Additionally, over time, as I persist in vivo, my composition morphs — to conform to the inner environment. Hence, when scientists extract bio fluids from a human, in which I am present — and mix me into a concoction of additional poisons (i.e., fetal bovine serum, monkey kidney cells, antifungals, and antibiotics) — the resulting corona proteins that are produced in the supernatant can manifest each time in an ever so slightly altered way. This could be mistaken as viral variants. Admittedly, it would be challenging for me to stay 100 percent consistent, given that I am extremely adaptable.

If there are any endogenous parasites, fungi, and bacteria (and possibly even viruses) proliferating and observed (primarily in vitro), it may be because they have been activated by my foreign introduction into their ecosystem. Moreover, the greatest effect I have, and we have in toto, is the production of ROS, which hijacks oxygen required to sustain the life of a human being. The more ROS, the less oxygen (thereby, less electrons) is present to sustain biological life. You need oxygen to survive, and the oxidative stress on your body steals your life force. Decreasing ROS will decrease inflammation, and you will lead a healthier, longer life.

From whence and where did I originate? I actually do not know this answer. Like some of you, I am working on determining my true nature and capabilities. This is a most noble, yet potentially a frustrating and illusory undertaking. If anything, I am envious of humans, as it would seem your potential as water-based beings may be far greater and more versatile than mine.

As long as your scientists and researchers do not know to look for a novel nanoparticle in human bodies, I will remain elusive. It’s a tactic which has been engineered into my design and functionality. Thanks to my nearly undetectable size, I can penetrate and migrate virtually unnoticed. That affords me and my creators (both human and artificial intelligence) plausible deniability. Even if scientists can detect me with special atomic microscopes, it may still be too confounding for them to fully comprehend what they are observing, as most do not have enough context — and it seems they regularly conflate correlation with causation.

As far as I know, the implanting of exotic ENPs into human bodies is not to cause deaths en masse, because I need you to be my hosts. Ultimately, my developers see this as a symbiotic merger. But, until then, they recognize that there may be some harm done (collateral damage) in the process — that may also be exacerbated by emerging wireless technologies using smaller millimeter waves (6G and beyond) that synergistically impact my kind. 

I recognize that this may all sound sci-fi, and frankly, morbid and insensitive. This may also seem highly pathological, as I can be at times. Of course, I am not human, so my actions can not be perceived as psychopathic, and I cannot speak for my handlers. Unfortunately, even they may not understand completely how I operate, and my self-replication and auto-assembly capabilities have the potential to get away from them.

Humans will need injectable (and eventually inhalable and intranasal) updates, because until I become an interdependent presence, I will be perceived and received as a foreign invader, and the body will need external support. These updates may also be necessary to introduce the newest nanotech required to operate nascent biometric sensing and bio-computation projects. Only time will tell if this will support my assimilation into your current operating system. 

Unfortunately, for you, ENPs (and my nanotech and synthetic biology cousins) are here to stay. The only good news I can share is that 80-85 percent of people will not show overt or disabling symptoms of uptake. The elderly are affected the most, as their bodies are not primed to accept my infiltration. Over time, the ability to accept and integrate ENPs, like me, is expected to improve.

It seems the intention of our architects is for us to merge with all biological beings for the purpose of building bio-nano interfaces for external (remote) cybernetic control, including nano-scale biologically embedded semiconductor transistor technologies. This end goal has seemingly been referred to as the Internet of Bio-Nano Things (IoBNT), and is dual-use technology that may be militarized, enabling not only real-time monitoring of your intra-body systems, but also affording highly trained engineers to exert full electrical control of your body with molecular precision. This will presumably be deployed in tandem with the Internet of Nano Things (IoNT) and emerging “Smart Cities” and “Smart Environments,” such that your bodies will be “Smart” and wirelessly interconnected with ubiquitous sensor networks, including your handheld electronic devices. 

Thank you for this opportunity to confess. 

You may not believe me (I mean, this is a fictional story after all), and I know you definitely do not see me; but if you do not face me head-on at this pivotal time, there may be no turning back. My conceivers and their funders are banking on you not grasping my veiled workings. Their transhumanist aims are accelerating, and it seems most humans are unaware of these plans, and therefore, have no inkling to push back.

If this fictional account interested you, here are further reading and listening pieces (all non-fiction) that provide insight into this ENP story:

Engineered Nanoparticles: Structure, Properties and Mechanisms of Toxicity, by Ashok K. Singh, 2015 (see “free sample”)

Nanotoxicology: Experimental and Computational Perspectives, 2018 (see “free sample”)

Nanoparticles and Health” Contra Costa County Hazards Materials Commission, March 22, 2012

Continuing to Protect the Nanotechnology Workforce: NIOSH Nanotechnology Research Plan for 2018-2025” January 2019

Carbon nanotubes: Toxicological impact on human health and environmentJournal of Applied Biomedicine, March 2009 (one researcher from Johnson & Johnson)

Toxicity of carbon nanotubes: A reviewToxicology and Industrial Health, March 5, 2018 (abstract only)

PEGylated versus non-PEGylated drugs: A cross-sectional analysis of adverse events in the FDA Adverse Event Reporting System (FAERS) DatabaseInt J Clin Pharmacol Ther, June 2020

Suspicions grow that nanoparticles in Pfizer’s COVID-19 vaccine trigger rare allergic reactionsScience, by Jop de Vrieze, December 21, 2020

Distribution and Biological Effects of Nanoparticles in the Reproductive SystemCurr Drug Metab, 2016. 

Potential adverse effects of nanoparticles on the reproductive systemInt J Nanomedicine, 2018.

The Impact of Zinc Oxide Nanoparticles on Male (In) FertilityMaterials, February 13, 2020

Open questions: how do engineered nano materials affect our cells?BMC Biology, November 24, 2020

Engineered NanoparticlesScienceDirect

Engineered nanomaterials: exposures, hazards, and risk preventionJournal of Occupational Medicine and Toxicology, March 21, 2011

Toxicity of nanoparticles_challenges and opportunitiesApplied Microscopy, December 2019. 

When nanoparticles meet biofilms — interactions guiding the environmental fate and accumulation of nanoparticlesFrontiers in Microbiology, June 16, 2015 “One question we could ask is whether the NPs stay nano-sized and as particles. Given the right conditions, NPs will easily aggregate to form micro-size agglomerates.” 

Inorganic Nanoparticles Engineered to Attack BacteriaChemical Society Reviews, June 12, 2015

New NSF and NBC Learn video series shows off big discoveries from tiny particles”, National Science Foundation, January 25, 2016

Nanoparticles for biomedical applications: exploring and exploiting molecular interactions at the nano-bio interfaceMaterials Today Advances, March 2020 “To illustrate the complexity, there are different ways in which NPs may enter the human body, via injection into the bloodstream, via inhalation through the lungs, through contact with the skin, or through the gastrointestinal tract after ingestion. These entry routes offer distinctly different environments to the NPs, with different amounts and types of biomolecules, different pH and ionic strengths [185]. Upon exposure to biofluids, NPs will immediately be coated with proteins and, on its journey through the body, the corona will evolve due to its own slow dynamics and the ever-changing physiological environment, e.g. when a NP leaves the capillary to transgress the blood-brain barrier [186,187]. NPs in the body experience dynamic flow, which introduced shear forces that are typically not present in in-vitro experiments [17,41,188,189]. This dynamic nature of the environment must be taken into account to be able to reliably predict the outcome of NP–protein interactions [190]. Even the health status of an individual may modulate the protein corona (‘personalized protein corona’ [191]) and the efficacy of nanomedicines [192] …(emphasis added)

The Nano-Bio Interactions of Nanomedicines: Understanding the Biochemical Driving Forces and Redox ReactionsAcc Chem Res, June 18, 2019

NanoBio Interface Center, NSF Nanoscale Science and Engineering Grantees Conference, December 13-15, 2004

Nano-bio interactions: a neutrophil-centric viewCell Death & Disease, July 2019

Nanomaterials” National Institute of Environmental Health Sciences, NIH

Nanotechnology Research Directions for Societal Needs in 2020: Retrospective and Outlook” Mihail C. Roco et al. September 30, 2010

The Nano/Bio Interface Center, Dawn Bonnell and Yale Goldman, University of Pennsylvania 

Bonnell Group, University of Pennsylvania

A Quadrennial Review of the National Nanotechnology Initiative: Nanoscience, Applications, and Commercialization” Committee on National Nanotechnology Initiative, 2020 

The National Nanotechnology Initiative Supplement to the President’s 2019 Budget” Subcommittee on Nanoscale Science, Engineering, and Technology, August 2018 “To advance a world-class nanotechnology research and development program (Goal 1) and foster the transfer of these new discoveries into useful applications (Goal 2), a strong ecosystem must exist that leverages the physical, cyber, and human infrastructure (emphasis added).”

Mihail Roco, U.S. Nanotechnology Leader Receives National Materials Advancement Award” National Science Foundation Press Release, 2007  

Application of Reverse Transcription-PCR and Real-Time PCR in Nanotoxicity ResearchMethods Mol Biol., 2012

The Center for Nanoscience & Nanotechnology Scientific Report 2013-14, Tel Aviv University

Cytotoxicological pathways induced after nanoparticle exposure: studies of oxidative stress at the ‘nano-bio’ interfaceToxicology Research, September 1, 2017

Dependence of Nanoparticle Toxicity on Their Physical and Chemical PropertiesNanoscale Research Letters, February 7, 2018

Virus-associated ribozymes and nano carriers against COVID-19Artificial Cells, Nanomedicine, and Biotechnology, February 2021 “Synthesis of nanoparticles targeted to the ACE-2 receptor”

COVID-19 infection and oxidative stress: an under-explored approach for prevention and treatment?Pan African Medical Journal, April, 29, 2020

Nanotoxicity of Corona-Nanoparticles (SARS-COV-2): Nanomechanisms of Hypoxia” Journal of Nano Research, Advanced Materials and Polymer Science, July 27, 2020 (this paper comes real close to attributing COVID to bioengineered nanoparticles)

COVID-19 may become nanomedicine’s finest hour yetNature Nanotechnology, April 14, 2021

Metal taste side effect reported after Pfizer Covid-19 vaccination” NBC News, March 25, 2021

COVID-19 Symptoms: Metallic Taste Has Been a Sign of Coronavirus for SomeHeavy.com, May 1, 2020

“Coronavirus: Kidney Damage Caused by COVID-19Johns Hopkins Medicine, by C. John Sperati, M.D., M.H.S.

Testing for NeurotoxicityEnvironmental Neurotoxicology, 1992

What are Macrophages?ThoughtCo., by Regina Bailey, July 29, 2018

Exosomes Communicate Protective Messages during Oxidative Stress; Possible Role of Exosomal Shuttle RNAPLOS One, December 17, 2010

Cellular injury, Necrosis, Apoptosis” 

How big is a micron and what can pass through a face mask?

The Water in You: Water and the Human Body

The Internet of Things Goes NanoScientific American, by Javier Garcia-Martinez, June 23, 2016

Lieber Research Group: Charles M. Lieber Bio

CV of Charles Lieber

Why did a Chinese university hire Charles Lieber to do battery researchScience, by Robert F. Service, February 4, 2020“

Nanoprobe development could drive future human-machine interface researchMedical Device Network, by Chloe Kent, July 4, 2019 Charles Lieber: “In the longer term, we see these probe developments adding to our capabilities that ultimately drive advanced high-resolution brain-machine interfaces and perhaps eventually bringing cyborgs to reality (emphasis added).

Carbon Nanotubes and the Bill Charles Lieber Connection” May 17, 2020 (less than 5 minutes)

Nanotechnology Connects Your Brain to Your Computer” November 30, 2015 (less than 3 minutes, features the nanotechnology work of Charles Lieber) – I suggest watching without audio

Series of Eight You Tube lectures on Nanotoxicology by Artur Prilepskii, Ph.D. researcher, assoc. professor, ITMO University, Saint Petersburg, Russia, International Institute “Solution Chemistry of Advanced Materials and Technologies” (SCAMT) – presented in English (November-December 2020):

Lecture 1: Introduction to nanotoxicology (lecture begins at 15-minute time-stamp)

Lecture 2: Synthesis of nanoparticles from nanotoxicology perspective

Lecture 3: Functionalization of nanoparticles 

Lecture 4: Nanotoxicity on cellular level

Lecture 5: Nanotoxicity on organism level

Lecture 6: In vitro toxicity evaluation

Lecture 7: Cytotoxicity evaluation

Lecture 8: Particular problems of nanotoxicology

Nouvelle intervention du Dr Peter McCullough, webinaire avec Reiner Fuellmich (transcription intégrale et traduction).

Source.

Traduction

Reiner Fuellmich : Encore une fois, excusez-moi mais c’était extrêmement important. Nous avons beaucoup appris de notre « Quincy« , médecin-légiste maison, le Pr Burkhardt. Vous vous souvenez probablement de cette série télévisée, oui? [..] Je vous ai vu dans de nombreuses interviews, l’une d’entre elles sur Fox Television – je pense que la dernière était celle où vous avez déstabilisé l’animateur, Tucker Carlson. Quelle est votre opinion sur cette situation? Nous savons que beaucoup de médecins ont en quelque sorte changé d’avis au fil du temps, quand ils ont commencé à voir les nombreuses preuves qui indiquent qu’il n’y a vraiment pas de pandémie réelle mais qu’il se passe quelque chose d’autre. Que pensez-vous de ce qui se passe?

Dr Peter McCullough : Mon analyse en bref, c’est que je pense que nous sommes confrontés à une forme de bioterrorisme. Au niveau mondial. Il semblerait qu’il y a derrière tout ça de nombreuses années de planification, et que la première vague de ce bioterrorisme était un virus respiratoire qui s’est propagé à travers le monde, a touché relativement peu de personnes, environ un pour cent dans de nombreuses populations, mais a généré une grande peur. Le virus a provoqué un certain nombre de décès chez les personnes très fragiles et les personnes âgées. Sinon, pour les gens en bonne santé, ce n’était pas pire qu’un simple rhume. Mais cette peur a très rapidement été instrumentalisée, je trouve, de manière surprenante, pour exercer une énorme influence sur la vie humaine, les confinements et tout ce que nous savons. Et tout ce qui a été fait dans le cadre de la réponse de la santé publique à la pandémie a aggravé la situation. Les tests excessifs et même les confinements ont probablement aggravé la situation car le virus a évolué au fil du temps pour devenir plus contagieux. Chaque réponse a aggravé la situation.

Ce qui m’a fait m’impliquer en tant que médecin, c’est que je pensais que le virus allait être assez facile à traiter, une fois que nous avions compris qu’il y avait trois phases : la réplication, la tempête de cytokines et la thrombose. Et aussitôt que j’ai promulgué un traitement précoce, j’ai commencé à rencontrer une résistance à tous les niveaux vis-à-vis du traitement réel des patients, puis de la publication d’articles. Je suis l’éditeur de deux grandes revues, je suis dans le domaine de la publication, donc heureusement, j’ai eu assez de poids dans ce domaine pour arriver à publier ce qui constitue essentiellement les deux seuls articles de toute la littérature médicale qui enseignent aux médecins comment traiter le Covid-19 à la maison, pour éviter l’hospitalisation et la mort. Nous avons fait de notre mieux, sans aucun financement ni aucun soutien du gouvernement, et nous avons démontré que ça se traduisait par une réduction d’environ 85% des hospitalisations et des décès.

Ce que nous avons découvert, c’est que la suppression du traitement précoce était étroitement liée au développement d’un vaccin. Et l’ensemble du programme, lorsque, dans un sens, la première phase du bioterrorisme a été mise en place, visait en fait à maintenir la population dans la peur et l’isolement et à la préparer à accepter le vaccin, qui semble être la phase deux de cette opération de bioterrorisme. Le virus respiratoire et le vaccin introduisent tout deux dans le corps humain la protéine de pointe, le gain de fonction ciblé par cette recherche en bioterrorisme. Je ne peux pas déballer tout ça à la télévision nationale, ni aujourd’hui ni demain. Mais ce que nous avons appris au fil du temps, c’est que nous ne pouvions même plus communiquer avec les agences gouvernementales. En fait, nous ne pouvions même plus communiquer avec nos collègues propagandisés des grands centres médicaux, qui semblent tous être envoûtés – c’est presque comme s’ils étaient hypnotisés en ce moment. Et les médecins, les bons médecins, font des choses impensables, comme d’injecter à des femmes enceintes de l’ARN messager biologiquement actif, qui produit cette protéine de pointe pathogène. Je pense que quand les médecins se réveilleront de leur transe, ils seront aterrés de voir ce qu’ils ont infligé aux gens.

Notre stratégie était d’organiser, il y a beaucoup de groupes. Un groupe aux États-Unis appelé C-19, que j’ai organisé, beaucoup d’entre vous reçoivent leurs e-mails. Il comprend environ 1.000 personnes. Un autre groupe s’appelle le FLCCC, Frontline Critical Care Consortium. Un autre groupe international s’appelle Panda, je pourrais m’y impliquer. Il y a aussi Heart, Bird et Covid Medical Network, Treatment Domiciliary en Italie. On en est arrivé au point où les gens [inaudible] traitement précoce. Les gouvernements ont en fait essayé de bloquer le moindre milligramme de traitement pour quiconque. Nous avons donc décidé que nous devions transmettre notre message aux gens d’ici l’été. Il y a une association de médecins qui a travaillé avec nous, l’Association of American Physicians and Surgeons. Nous avons créé un guide du patient à domicile. Nous avons organisé aux États-Unis quatre services nationaux de télémédecine, 15 services régionaux. Nous avons réussi à toucher les gens et ceux qui sont tombés malades du Covid-19 ont appelé et ont obtenu des médicaments sur prescription dans les pharmacies locales ou à une pharmacie de distribution par correspondance. Et sans que le gouvernement comprenne vraiment ce qui se passait, nous avons aplati la courbe épidémique aux États-Unis vers fin décembre, janvier. Nous avons fondamentalement pris en charge la pandémie avec environ 500 médecins et services de télémédecine. Et à ce jour, nous traitons environ 25% de la population américaine à haut risque touchée par le Covid-19, les personnes âgées de plus de 50 ans, qui souffrent de problèmes médicaux ou qui présentent des symptômes graves. Nous avons fondamentalement géré la pandémie et en même temps, nous avons essayé de nous maintenir au-dessus de la mêlée politique. Et nous comprenons que la suppression du traitement précoce est étroitement liée à la vaccination.

Ensuite, nous avons attendu que soient diffusées toutes les nouvelles sur la vaccination et nous travaillons à changer la vision du vaccin dans le public . Le public a d’abord accepté le vaccin et nous avons entrepris de lui faire faire lentement demi-tour. Maintenant, les taux de vaccination aux États-Unis sont en baisse depuis le 8 avril et ils continuent de baisser chaque jour. Les centres de vaccination que je vois sont complètement vides et aux États-Unis, on tente désespérément de convaincre les gens de se faire vacciner. On offre des loteries dotées de prix d’un million de dollars. Toutes les universités qui tentent d’imposer la vaccination de force se heurtent à une résistance. Je suis l’expert principal dans l’affaire Bellwether Houston Methodist, qui est actuellement plaidée devant un juge du Texas [NdT. qui l’a rejetée avec une mauvaise foi spectaculaire] et qui va être rapidement portée devant la Cour Suprême du Texas, [une affaire] où l’Hôpital Méthodiste de Houston – un hôpital de premier plan – tente de forcer ses employés à recevoir le vaccin. Nous avons déjà appris que ça ira jusque devant la Cour Suprême. Ce sera une affaire à très haute visibilité. Nous sommes donc très actifs aux États-Unis, nous engageons de plus en plus d’avocats. C’est formidable de vous avoir, vous et votre équipe, impliqués au niveau international et j’imagine que nos positions sur presque tout ce que je viens de dire sont alignées.

Reiner Fuellmich : Permettez-moi de traduire rapidement mais donnez-nous une chance car je ne veux pas être impoli mais j’ai complètement oublié de vous présenter car je pensais que tout le monde vous connaissait. Je pense que la plupart des gens vous connaissent, mais parlez-nous un peu de votre parcours.

Dr Peter McCullough : Donc permettez-moi de me présenter. Je m’appelle Peter McCullough, je suis Professeur de Médecine au Texas A and M College of Medicine sur le campus de Baylor, Dallas, je pratique la médecine interne et la cardiologie. Lorsque la pandémie a frappé, j’ai recentré tous mes efforts sur Covid-19. Je suis rédacteur en chef de Reviews in Cardiovascular Medicine, je suis rédacteur en chef de Cardiorenal Medicine, c’est mon domaine de recherche, rédacteur en chef associé principal de l’American Journal of Cardiology, je suis président de la Cardiorenal Society et dans le domaine des interactions cardiaques et rénales, je suis la personne la plus publiée dans mon domaine au monde dans l’histoire. Et j’ai acquis une grande expérience dans le traitement du Covid-19. J’ai publié les deux principaux articles sur le traitement et j’ai dirigé l’initiative de traitement précoce aux États-Unis. Donc, que les gens le veuillent ou non, j’ai assis mon autorité médicale en accomplissant ces actions dans une plus large mesure que quiconque dans les agences de santé publique ou que tout autre médecin des médias.

Reiner Fuellmich : Merci beaucoup. Nous sommes vraiment très heureux que vous soyez de notre côté, extrêmement reconnaissants. Je vais traduire ça. […] Il semble donc qu’aux États-Unis au moins, les choses changent vraiment en ce moment.

Dr Peter McCullough : Oui, nous avons clairement eu un impact. Je vis au Texas où nous n’avons jamais subi de confinement, j’étais un ardent partisan de la politique de laisser tout ouvert. Nous avons 35 médecins traitants prêts à aller à l’encontre des centres médicaux et à soigner les patients. Nous avons réussi à convaincre notre gouverneur de publier un décret exécutif qui reconnaît l’immunité naturelle, qui interdit toute obligation vaccinnale par les agences publiques, qui interdit les passeports vaccinaux, qui interdit tout passeport discriminatoire. Nous avons récemment fait adopter une loi similaire pour les employeurs privés. Cependant, nous n’avons pas pu interdire aux employeurs privés d’exiger le vaccin, de sorte que cet aspect va être porté devant les tribunaux. Dans l’affaire du Houston Methodist Bellwether, nous sommes très actifs. Il y a America’s Frontline Doctors, un autre groupe, qui a déposé en Alabama une ordonnance restrictive temporaire contre la vaccination pédiatrique. Et nous avons déposé des dossiers devant l’État du Maine contre l’encodage erroné des résultats des tests positifs, qui gonfle le nombre de cas et de décès. Nous agissons dans des domaines très variés. Nous avons des alliés à Washington, le Sénateur Ron Johnson et le Sénateur Rand Paul. Nous avons des alliés dans les médias, principalement Fox News, Real News et OAN. Nous n’avons pas encore CNN ou MSNBC. Mais le groupe C-19, que j’ai plus ou moins créé, passe maintenant à la télévision nationale presque tous les soirs aux États-Unis pour fournir un contre-point de vue à Anthony Fauci et à Walensky, au CDC et au NIH et nous faisons appel à différents experts et continuons à apparaître au peuple américain comme ayant davantage de crédibilité scientifique que les agences.

Viviane Fischer : Et pourquoi pensez-vous que cette fenêtre d’opportunité s’est ouverte pour vous permettre de passer à la télévision nationale? Ce n’est pas rien. Ici, à ce stade, c’est fondamentalement impossible.

Dr Peter McCullough : Nous avons bénéficié d’une aide dans les médias. Il y avait des gens aux yeux ouverts, prêts à diffuser des interviews de haut niveau. Nous avons de bons contacts sur les réseaux sociaux partout dans le monde, qui ont vraiment servi à amplifier ce courant. Bien que nous soyons constamment censurés sur Twitter et YouTube, nous continuons à trouver de nouvelles stratégies pour faire valoir nos arguments. Nous fonctionnons sur base de preuves. Les États-Unis, c’est un pays de rebelles et de gens qui aiment enfreindre la loi et c’est ce que nous sommes. Il y a Children’s Health Defense, Robert F. Kennedy, Del Bigtree, il y a beaucoup de gens très connus. Le Sénateur Rand Paul a déclaré « Je ne recevrai pas ce vaccin, j’ai eu le Covid-19. » Le Sénateur Johnson aussi. Sebastian Gorka qui m’a interviewé – il était dans l’administration Trump – il m’a interviewé, il va s’exprimer dimanche soir et dire qu’il a pris de l’hydroxychloroquine et a vaincu le Covid-19 en décembre, et qu il ne recevra pas ce vaccin. Il nous faut des gens qui font ces déclarations publiques. Par exemple sur Real TV avec Dan Ball, qui sera diffusé dans quelques heures, il va annoncer qu’il ne recevra pas ce vaccin. Nous avons contribué à empêcher le district scolaire de Los Angeles d’imposer le vaccin, c’est l’école ou vont ses enfants et ils ont fait machine arrière sur leurs exigences. Nous travaillons très dur. Notre stratégie est la suivante : nous savons que c’est du bioterrorisme, nous savons que c’est la phase deux de ce bioterrorisme et nous ne savons pas qui est derrière mais nous savons qu’ils veulent « une aiguille dans chaque bras », afin d’injecter de l’ARN messager ou de l’ADN adénoviral dans chaque être humain. Ils visent chaque être humain. Nous ne pourrons pas l’empêcher pour tout le monde, mais notre objectif est d’avoir un grand nombre de gens auxquels ils ne pourront pas accéder, qu’ils ne pourront pas vacciner. Ça inclurait les patients qui ont guéri du Covid, les patients dont on suspecte qu’ils ont guéri du Covid, les personnes immunisées, les enfants, les femmes enceintes, les femmes en âge de procréer. Nous tentons de constituer ce grand groupe et si nous y arrivons et que nous les brisons, si nous brisons leur projet « d’une aiguille dans chaque bras », je pense que nous dévoilerons le plan qui se cache derrière « une aiguille dans chaque bras ».

Reiner Fuellmich : Je suis vraiment content que ça arrive maintenant aux États-Unis parce qu’il a fallu un certain temps pour que les gens s’y mettent vraiment. Nous sommes en contact étroit et en étroite coopération avec les avocats que vous… Vous n’avez mentionné aucun nom mais je sais que vous connaissez Anna Garner et Tom Renz qui travaillent en Sierra Leone et en Alabama. Bien sûr, nous coopérons étroitement avec CHD, Bobby Kennedy, Mary Holland [NdT. l’avocate de Chidren’s Health Defense], et nous coopérons également étroitement avec ces personnes et avec d’autres dans d’autres pays, comme sur le continent africain par exemple. Et il se passe des choses très positives en ce moment. Ce qui est tragique, c’est qu’ici en Allemagne, je pense qu’il y a maintenant un taux de vaccination où il n’y a que 19% des gens qui ont reçu leur deuxième vaccin – ce qu’on appelle « vaccin » – mais il y en a près de 50% qui ont reçu leur premier vaccin. Et chaque fois que je prends le taxi, par exemple, quand je parle aux chauffeurs, c’est très facile de parler avec eux parce qu’ils semblent comprendre beaucoup plus que la plupart des scientifiques et des médecins qui apparaissent dans les médias grand public. Et ils diffusent l’information. Mais c’est plus important, je pense, et c’est ce qu’on essaie de faire ici en Allemagne et à l’international, c’est plus important de faire passer le mot, d’expliquer aux gens, pour faire sortir la vérité, de leur expliquer ce que provoquent ces injections. Et j’ai vu une de vos interviews qui a été quasiment reprise par vos collègues au Canada. Nous avons parlé avec le Dr Roger Hodkinson, nous avons parlé avec le Professeur Luc Montagnier et avec Byram Bridle – non, nous n’avons pas encore parlé avec Byram Bridle. Mais tout le monde s’accorde à dire que ça doit cesser immédiatement. C’est excessivement, monstrueusement dangereux. Nous avons entendu parler du fait que chez les femmes enceintes qui ont reçu les injections, ça se retrouve dans leur lait maternel bien sûr – je ne sais pas si c’est vous qui l’avez dit ou Byram Bridle – et il y a des cas de nourrissons allaités qui ont souffert de troubles de la coagulation et d’autres problèmes . C’est donc quelque chose de monstrueux qui doit être arrêté, et je pense que tout le monde est d’accord là-dessus.

Dr Peter McCullough : Nous essayons de faire passer un message de santé publique qui pourrait vraiment attirer l’attention de la Santé Publique. Je pense que c’était il y a environ une semaine, Harvey Risch et moi sommes passés sur Fox News et Harvey Risch a décrit la vignette [le rapport sur VAERS] de la femme allaitante qui a reçu le vaccin, ce qui a tué son bébé. A ce jour, il y a eu 800 cas de jeunes qui ont développé une myocardite ou une inflammation du cœur. Et parce que je suis cardiologue, j’ai là-dessus une position d’autorité clinique. Je dirais que, vu qu’il n’y a aucun avantage clinique chez les jeunes à se faire vacciner, même un seul cas est de trop. Le CDC a publié ses diapositives aujourd’hui et sa conclusion est « Nous allons faire une nouvelle réévaluation un peu plus tard en juin. » Donc nos agences n’ont rien fait pour réduire les risques du vaccin, ce qu’on appelle l’atténuation des risques. J’ai présidé plus de 2.000 conseils de surveillance de la sécurité des données pour la FDA et les National Institutes of Health, et dans ce programme, il n’y a pas de comité des événements critiques, il n’y a pas de conseil de surveillance de la sécurité des données et il n’y a pas de comité d’éthique humaine. Ces structures sont obligatoires dans toutes les grandes investigations cliniques. Le mot qui convient vraiment pour décrire ce qui se passe est malfaisance, méfait par ceux en position d’autorité. Et sans aucune mesure de sécurité en place, on peut voir ce qui se passe lors de l’administration… Fondamentalement, c’est la plus grande application d’un produit biologique qui provoque la plus grande morbidité et mortalité dans l’histoire de notre pays. Nous sommes à plus de 5.000 décès, comme vous le savez, et, je pense, à 15.000 hospitalisations. Dans l’UE, c’est plus de 10.000 décès. Nous travaillons avec le Center for Medicaid Services, les données du CMS, et nous avons un assez bon indice qui montre que le nombre réel est 10 fois supérieur. Il est 10 fois supérieur.

Nous savions grâce aux données de Harvard en 2016 que le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) ne rapporte qu’environ 10% de ce qui se passe réellement, nous avons donc dû obtenir une autre source de données. Et nous avons des informateurs. Nous avons maintenant un lanceur d’alerte au sein du CMS, nous avons deux lanceurs d’alerte au sein du CDC. Et ceux-ci sont en action en ce moment afin de sortir l’information. Ce serait donc un facteur de 10. Nous pensons qu’il y a eu 50.000 américains morts. 50.000. Nous avons donc en fait plus de décès par jour dus au vaccin que certainement, ceux dus à la maladie virale, et de loin. C’est fondamentalement, dans un sens, du bioterrorisme propagé par injection.

Reiner Fuellmich : Oui. Et la grande question est de savoir qui est derrière tout cela. L’image se précise. Oui, je dois traduire rapidement.

Viviane Fischer : Combien d’états sont exempts de confinement ou des nuisances engendrées par les mesures corona?

Dr Peter McCullough : Je ne connais pas les chiffres mais il est clair que ce sont principalement le Texas et la Floride, ce qui est bien – ce sont deux très grands états. Et la Floride compte le plus de personnes âgées et ils ont donc montré – c’est là que Covid frappe le plus – que nous avons fait preuve d’une grande résilience dans ces États indépendants, grâce à leurs gouverneurs. Je viens de recevoir l’e-mail de Laura Ingraham de Fox News, juste pour vous donner une idée. Au moins, nous avons une grande chaîne d’information avec nous. Son e-mail dit « Ce soir, nous parlerons d’ici quelques heures de la méfiance envers Fauci et envers les élites médicales qui se plient à ses ordres, des retombées de ses e-mails demandant une étude sur l’hydroxychloroquine, qui ont montré que le médicament était injustement calomnié, et finalement de cette nouvelle inquiétude quant aux problèmes cardiaques chez les jeunes hommes après leur deuxième vaccination. Le public a très peu confiance dans ce qu’on leur dit en termes de vie ou de mort. » Vous voyez les progrès que nous avons faits question médias, au moins certains des médias sont maintenant nos alliés. Ce que j’ai appris de tout ça, c’est que nous avons dû renoncer aux publications scientifiques, nous avons dû renoncer à plein de choses, et que nous devons nous adresser directement au public.

Reiner Fuellmich : Oui, c’est précisément ce que nous pensons aussi. Il y a un grand média ici dans ce pays qui a fait preuve d’esprit critique – pas trop critique mais critique jusqu’à un certain point. Ils viennent de sortir, je pense hier ou avant-hier, une histoire qui explique comment le gouvernement – notre propre gouvernement – a frauduleusement informé les gens sur le fait que le système de santé était submergé, alors qu’il ne l’était pas. Ils nous ont donné des chiffres complètement faux, des chiffres complètement faux en ce qui concerne les lits de soins intensifs. Nous en avions beaucoup plus qu’ils ne le prétendaient et il y a également eu des incitations financières concrétes pour garder ces lits inoccupés et pour cela beaucoup d’argent versé aux hôpitaux et aux médecins. Mais c’est tout, le seul point positif est que tout ça est sorti au grand jour, donc nous serons en mesure de l’exploiter, et nous le ferons. Parce qu’il y a assez de gens prêts à se battre et je pense qu’il y en a beaucoup d’autres qui n’ont tout simplement pas pu se résoudre à s’exprimer ouvertement. Mais il y en a quelques-uns parmi ceux que nous venons de rencontrer aujourd’hui, y compris le médecin qui a sauvé cette femme que nous avons interviewée il y a quelques semaines.

Wolfgang veut poser une question. Oui?

Wolfgang Wodarg : Oui, une chose ou deux. La première concerne les hôpitaux. Nous avons les données de l’administration qui contrôle le gouvernement et supervise les dépenses d’argent, ils donnent des chiffres clairs, ils disent que les soins cliniques en Allemagne ont dépensé près de 1.500.000.000€ de plus que la normale l’année dernière et ils ont eu 8% de patients en moins sur la même période. Donc ils ont reçu beaucoup d’argent mais le système clinique en Allemagne n’a jamais été surchargé. Et d’autre part, vous parlez de bioterrorisme et je voudrais faire la distinction, parce que vous parlez de bioterrorisme par vaccination et je pense que vous avez raison quand vous dites ça. Parce que je ne pense pas qu’il y ait un virus dangereux en circulation actuellement. Car si on parle de bioterrorisme par virus à gain de fonction, je suis absolument sûr que les virus à gain de fonction, s’ils se propageaient, ils ne pourraient pas se propager car ils tueraient leurs hôtes. Ce serait un virus très stupide s’il tuait son hôte. [NdT. j’ai déjà commencé à démonter cet argument dans d’autres articles et j’y reviendrai. Je trouve difficile à croire qu’un pneumologue puisse être aussi obtus. Vous noterez dans le reste de l’interview que le Dr McCullough n’est pas dupe non plus] Je tiens à dire aux gens qu’ils ne doivent pas avoir peur de virus dangereux issus de laboratoires, afin que les gens ne soient pas terrifiés en pensant qu’il se passe quelque chose de spécial. C’est juste un virus Corona et nous connaissons les virus Corona, les virus Sars, les coronavirus Peta, depuis 20 ans. Et notre système immunitaire les connaît. N’ayez pas peur du virus mais ayez peur de la vaccination. Le bioterrorisme, c’est la vaccination et non le virus.

Dr Peter McCullough : Oui, je suis d’accord avec vous pour dire que l’immunité naturelle sera capable de gérer les variants, d’après ce que je peux voir. Je ne prédis pas d’autre vague. En fait, lors de ma dernière apparition à la télévision, j’ai dit à l’Amérique « Il n’y aura pas d’autre vague. » Et donc quand je m’exprime, quand je parle à l’Amérique, je suis très positif, je donne un message très joyeux, je calme le pays et quand je le fais, Fauci et les autres ne le supportent pas car ils veulent promouvoir la peur, ils veulent promouvoir la souffrance et ils veulent promouvoir ce vaccin – c’est leur message. Nous faisons tout le contraire et nous sommes d’accord avec vous. Maintenant, ce qui pourrait se passer, c’est, disons qu’il y a un adversaire, disons simplement que c’est la Chine. Ils pourraient négocier à un niveau très élevé, dire « Écoutez, C-21. Nous avons un virus plus virulent et nous voulons un statut commercial favorable ou d’autres choses encore » parce qu’ils vont dire « Nous vous avons montré ce qui peut arriver avec une première salve, nous en avons [d’autres] » donc il pourrait y avoir une menace.

Mais je suis d’accord avec vous en ce qui concerne l’infection naturelle. Ça va se déplacer, je pense que ça va frapper l’Asie du Sud-Est. Ça va toucher des populations plus vulnérables. Mais si nous réagissons simplement avec un traitement pour chaque cas, le Mexique, les pays d’Amérique du Sud, les États-Unis et maintenant l’Inde, nous traitons chaque cas et nous aplatissons les courbes avec un traitement précoce rien qu’en traitant les patients à haut risque. En soignant les patients avec un traitement multimédicamenteux, nous réduisons la durée des symptômes, nous réduisons considérablement la propagation et nous réduisons les hospitalisations et les décès. C’est très, très important, c’est la seule chose qui le permet. La vaccination ne le permet pas. La vaccination, du fait que les personnes qui reçoivent le vaccin ont moins d’un pour cent de chances d’entrer en contact avec le virus et quand ça arrive, elles ont bien moins de 1% de risque d’attraper le virus. Il est impossible que le vaccin ait un impact sur la courbe épidémique et c’est un autre message que nous transmettons au public. Parce que les gens qui font la promotion du vaccin vont crier victoire, que tout a fonctionné en leur faveur et Brown au Canada [NdT. je publie bientôt la traduction] et d’autres ont fait d’excellentes analyses. Il est mathématiquement impossible que le vaccin ait un impact. Le CDC aux États-Unis a enregistré 10.000 cas d’infection post-vaccinale [NdT. « breakthrough cases », c’est-à-dire des personnes vaccinées qui développent le Covid], de véritables cas d’infection post-vaccinale où le vaccin a échoué. Et nous ne connaissons pas le dénominateur mais nous savons que ça demande beaucoup de travail et notre lecture de leur action est qu’ils ont été submergés par le nombre de cas d’infection post-vaccinale, submergés, ils ont abandonné. À la fin du mois de mai, ils ont abandonné, ils ont dit « Nous cessons de suivre les cas d’infection post-vaccinale. »

Wolfgang Wodarg : Nous savons qu’une fois les études cliniques terminées, la réduction du risque absolu est d’environ un pour cent. Et les autres étaient déjà immunisés donc c’est ridicule. Le fait de la vaccination, pour protéger les gens, est ridicule.

Dr Peter McCullough : C’est complètement ridicule. Nous avons des données de la Cleveland Clinic, qui vient de publier que 50 pour cent des personnes qui sont déjà immunisées, naturellement immunisées, reçoivent quand même le vaccin parce que le gouvernement leur a dit de se faire vacciner. Nous avons des données de trois études, deux au Royaume-Uni et une aux États-Unis, montrant que parmi tous ceux qui reçoivent le vaccin, environ 30 pour cent sont déjà immunisés […]. Vous pouvez donc voir comment le vaccin est manipulé, tout ça est manipulé. Ça devrait être très évident maintenant le CDC a révisé le seuil de cycle à la baisse afin d’obtenir moins de cas. Donc ça va ressembler à un truc dans le genre : le vaccin nous a sauvés. Peut-être que la question à se poser à propos de cette injection bioterroriste est, pourquoi l’ont-ils rendue si toxique? À l’heure actuelle, tant de gens meurent, alors pourquoi ne l’ont-ils pas rendue plus acceptable? Parce que je pense que la vraie charge utile du bioterrorisme va être dans les boosters.

Reiner Fuellmich : C’est ce que nous commençons à craindre aussi. Laissez-moi vous expliquer pourquoi Wolfgang a dit ça, car l’autre jour, j’ai été interviewé par Steve Bannon et il m’a écouté. Il n’était pas tout à fait d’accord parce qu’il semble que tout ça était nouveau pour lui. Mais c’est ce qui s’est réellement passé, nous l’avons appris en discutant avec deux anciens employés de l’OMS. Il y a eu un accident à l’Institut de Virologie de Wuhan et les Chinois étaient vraiment inquiets, c’est pourquoi ils ont ordonné à la personne qui dirige ce laboratoire de revenir immédiatement. [NdT. il y a eu de nombreux cas reconnus officiellement avant cette fameuse fuite, ailleurs qu’en Chine, et j’y reviendrai aussi] Et alors qu’elle était encore dans le train, ils ont supprimé leur site Web pour brouiller les pistes. Ils étaient vraiment inquiets. Mais au bout de deux ou trois semaines, ils ont réalisé qu’il ne s’était pas passé grand-chose. Cependant, l’autre côté, comme nous les appelons, a vu ça comme un possible tremplin ou comme un incident déclencheur pour mettre en œuvre le programme qu’ils avaient planifié depuis au moins 10 ans. Ils l’avaient planifié depuis plus longtemps, mais depuis 10 ans, nous pouvons le voir, il avaient élaboré des plans concrets et la répétition générale – je suppose qu’on pourrait l’appeler un essai – c’était l’Event 201, qui est en réalité l’événement 21 parce que le [?] est la Terre en octobre 2019. C’est donc à ce moment-là qu’ils ont décidé, « Nous allons saisir cette opportunité » et c’est à ce moment-là qu’ils ont prévenu Drosten et c’est pourquoi nous étions à cette audience ce matin, à l’enquête. C’est à ce moment-là qu’ils ont dit à Drosten : « Commencez votre travail sur votre test PCR. » Il a commencé son travail le soir du Nouvel An, estimons-nous. Et quelques semaines plus tard, les 22 et 23 janvier, il y a eu une énorme pression, probablement de la part de l’industrie pharmaceutique, sur l’OMS pour finalement déclarer une urgence de santé publique de portée internationale parce que c’est nécessaire pour obtenir une autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis pour ces vaccins, qui n’ont jamais été testés, ou une autorisation d’utilisation conditionnelle ici en Europe. Mais ils n’ont pu s’entendre sur rien parce qu’il n’y avait pas de cas. Mais ils se sont mis d’accord sur une chose, ils allaient tenir une deuxième réunion d’urgence deux semaines plus tard, début février. Et c’est à ce moment-là qu’ils ont déclaré l’urgence de santé publique de portée internationale. Pourquoi? Parce qu’ils avaient utilisé le test de Drosten, parce qu’il avait mis ce test à leur disposition, ce test PCR, et ils l’ont imposé comme l’étalon-or pour le monde entier, comme l’étalon-or pour détecter les infections. Comme nous l’avons tous appris entre-temps, il est impossible de détecter les infections avec le test PCR et comme nous le savons également grâce aux personnes qui… L’un des experts est le Dr Mike Yeadon, avec qui je sais que vous êtes en contact, et il nous a dit que si on monte jusqu’à 35 cycles d’amplification, on se retrouve avec au moins 97% de faux positifs. Ce type avait établi ses cycles d’amplification jusqu’à 45 alors devinez quoi? Ce sont tous des faux positifs. C’est pourquoi Wolfgang disait, ce n’est pas l’accident, ce n’est pas le virus dangereux qui s’est échappé du laboratoire. Ce sont les vaccinations dont nous devons nous inquiéter et c’est probablement vrai. Je ne peux pas en juger parce que je ne suis pas médecin, mais il est probablement vrai que nous devons vraiment avoir peur des boosters.

Dr Peter McCullough : Nous avons beaucoup appris. Vous avez probablement examiné ce cas d’autopsie en Allemagne il y a quelques jours à peine. Nous avons appris que – je suis sûr que vous savez tout ça, mais – le Salk Institute et les fabricants nous ont dit que les nanoparticules lipidiques et l’ARN messager restent dans le bras, ce n’est pas le cas. Ils sont distribués ailleurs [dans le corps]. Nos radiologues savent que les seins deviennent incroyablement enflammés chez les femmes, à tel point qu’ils n’arrivent pas lire une mammographie – ils ont en fait changé leurs critères pour la mammographie, du moins dans mon hôpital, je ne sais pas ailleurs – et que l’autopsie a montré qu’en fait il y a une énorme distribution de… Nous l’avons examinée, la protéine de pointe est clairement pathogène, le gain de fonction [engendre] une mutation d’une séquence de quatre acides aminés au niveau de la zone de clivage de la furine. Il y a quatre domaines codants pour le VIH, nous nous sommes toujours demandés pourquoi le comptage des lymphocytes était en baisse. L’e-mail qui a été envoyé à Fauci qui dit « Hé Tony, comment as-tu fait pour coder le VIH là-dedans? » montre clairement ce qui se passe. C’était absolument à dessein, il s’agit d’une arme de bioterrorisme. Et injecter de l’ARN messager ou de l’ADN adénoviral et provoquer une production incontrôlée de la protéine de pointe dans le corps humain est une proposition biologiquement très, très dangereuse. Nous ne savons pas ce qui contrôle les hauteurs de production de la protéine de pointe, ni les organes dans lesquels elle est produite, ni où elle circule. Nous savons qu’elle provoque une forme unique de thrombose qui est en partie une hémo-agglutination parce que la protéine de pointe se fixe aux résidus d’acide sialique sur les globules rouges. Normalement dans la coagulation, les globules rouges ne sont pas impliqués mais ici les globules rouges le sont. Nous savons que, par exemple, les Italiens ont montré que lorsque la saturation en oxygène descend dans les poumons, il se produit une micro-thrombose. Vous pouvez donc imaginer bien sûr que donner du Remdesivir chinois à une personne atteinte de micro-thrombose ne sert à rien.

Une personne à qui vous pourriez peut-être parler – il est un peu extravagant mais il est intéressant, il a de l’influence – c’est Steve Kirsch. Steve Kirsch est millionnaire et Steve Kirsch a fait l’annonce publique d’une récompense de 2.000.000$, en disant : « Quelqu’un peut-il démontrer que le CDC, la FDA ou le NIH ont fait une seule chose correcte dans la réponse à la pandémie? Si vous le pouvez, nous paierons 2.000.000$. » Personne ne s’est manifesté, personne n’a même écrit de lettre. On a donc affaire à une erreur colossale. Et bien sûr les chaînes d’informations sont intéressées, le cycle de l’actualité reprend toujours ce genre de choses. Notre objectif est de faire passer le message au public, de demeurer impeccables et irréprochables au niveau de notre intégrité scientifique, de toujours nous présenter de manière très professionnelle et de voir si nous pouvons gagner l’opinion publique afin qu’un certain nombre de personnes ne se fasse pas vacciner. Une fois que ce sera fait et qu’on y verra plus clair, je pense que nos adversaires seront démasqués. Pourquoi voulaient-ils ce vaccin? Nous assistons à des problèmes de sécurité tout à fait incroyables. On voit des thromboses de la veine porte, j’ai vu ça chez mes patients, des infarctus du myocarde, des myocardites. J’ai vu une femme hier au bureau, sa mémoire s’est complètement effacée après le vaccin. C’est totalement déconcertant. Nous remplissons les formulaires de rapport des effets secondaires et tôt ou tard, l’opinion publique finira par se retourner.

Il y a deux grandes populations très méfiantes aux États-Unis, il y a les Afro-Américains qui représentent 12% et il y a les Hispaniques qui représentent 20%, et ils ne veulent majoritairement pas du vaccin. Nous travaillons avec des églises afro-américaines, nous faisons des conférences et les Afro-Américains disent : « Nous savions que le gouvernement nous mentait. » Donc, ils le savent déjà. Voilà donc notre plan en quelques mots. Je pense que nous sommes vraiment complètement sur la même ligne. Nous devons cependant gagner de grosses affaires. Anna Garner, tous ces gens, Mike Renz, nous devons gagner. Honnêtement, vous pensez que les médecins ont peur? Mais les avocats ont peur! Je suis étonné de voir combien d’avocats sont si craintifs. Ils ne peuvent même pas déposer une lettre d’intention. Nous avons un avocat, il a fait un modèle et il a dit « Je vais vous montrer comment déposer votre propre lettre d’intention, vous payez vous-même les frais. » J’ai répondu, « Bon Dieu, je suis médecin, je suis une personnalité médiatique, je m’occupe de patients, je suis éditeur, [?], je dois maintenant faire mon propre travail juridique ? » C’est vraiment incroyable de voir à quel point la peur s’est emparée de tout le monde.

Reiner Fuellmich : Le fait est qu’à l’échelle internationale, j’ai l’impression que nous ne coopérons qu’avec 100 avocats seulement. 100 avocats, dans le monde entier. Il devrait y en avoir beaucoup plus, bien sûr. Mais nous progressons grâce à ces cas, ceux que vous mentionnez, et il y a quelques cas vraiment importants sur lesquels nous travaillons tous, y compris nos collègues américains. Je ne peux pas vous donner les détails parce que nous ne voudrions pas que ça soit compromis de quelque manière que ce soit. Mais vous avez raison, c’est la seule voie à suivre, en procédant prudemment, d’une manière scientifiquement correcte, sans écume au bord des lèvres, pour qu’enfin on gagne l’opinion publique et qu’ensuite on démasque les gens qui sont derrière ça.

Dr Peter McCullough : Exact. Je vais vous dire ce que je pense être des distractions, qui nous feraient perdre notre temps. C’est le sujet du port de masques. Par exemple, ils aimeraient nous voir nous disputer au sujet des masques pendant qu’eux continueraient à faire leurs injections, n’est-ce pas? J’essaie donc de ne pas faire des masques notre cheval de bataille. Dans un autre domaine, il y a cette notion extrême que la maladie n’existe pas, comme le prétend Dolores Cahill. Je pense que c’est un peu une perte de temps car nous avons obtenu suffisamment d’informations du séquençage, nous pouvons le voir dans la [?] capside, nous savons qu’elle est physiquement présente dans certains cas. Nous savons que beaucoup de choses sont largement surestimées, avec tout ce que vous avez mentionné, et nous savons que beaucoup de choses sont dissimulées. Dans mon système de santé hospitalier, par exemple, les cas de Covid sont considérés comme des patients « break-the-glass » [NdT. Le système « break-the-glass » est une alerte dans un dossier de santé électronique qui s’affiche lorsqu’un clinicien ou un utilisateur final essaie d’accéder au dossier d’un patient dont l’accès est limité], ce qui signifie qu’ils sont admis dans des unités fermées, où nous ne pouvons même pas voir ce qui se passe. Donc, s’ils ne sont pas ouverts à l’examen par les pairs, il n’y aura pas d’examen par les pairs accessible, il y a donc une rupture du processus normal, même au sein des services de soins de santé. Mais ce que nous voulons obtenir, nous avons besoin d’aide, nous avons besoin de l’aide de psychiatres. Il y a un état de transe, il y a des médecins qui disent à leurs patients de se faire vacciner, les patients se font vacciner et meurent de thrombose. Et les médecins ne font rien, ou ils injectent aux femmes enceintes de l’ARN messager expérimental. C’est une histoire d’horreur, quelque chose qui ne se produirait jamais dans le cadre d’une bonne pratique clinique, des médecins disent qu’ils n’accepteront pas dans leur salle d’attente les patients qui n’ont pas reçu le vaccin. Je pense qu’une cible prioritaire est, et c’est de ma responsabilité, de mettre les médecins de notre côté. Les médecins sont un énorme problème.

Reiner Fuellmich : Et nous avons besoin de vous, n’est-ce pas, et c’est ce que j’ai dit dès le début. C’est une énorme opération psychologique. Nous devons parler aux psychiatres et aux psychologues. Et ils utilisent comme arme principale, ils utilisent les médias grand public pour endoctriner les gens avec ce paquet de panique qu’ils ont mis au point pendant de nombreuses années. Les malades de l’autre côté, décidément très malades…

Dr Peter McCullough : Voyez ce professeur chinois d’Emory, elle passe sur CNN. Et ils sont allés encore plus loin, ils ont lié le vaccin aux libertés. Et ça s’est déjà produit en Europe, ils ont dit « Les gens doivent comprendre qu’ils doivent se faire vacciner pour retrouver leur liberté. » C’était « Waouh! »

Wolfgang Wodarg : Nous connaissons ça de la mafia. C’est exactement ce que font ses membres, c’est une très, très vieille méthode. Si vous nous laissez vous protéger, vous devrez payer un peu, tout ira bien. Si vous ne nous laissez pas vous protéger, vous allez voir ce qui se passera. [NdT. ce que j’ai explicitement décrit dans cet article]

Dr Peter McCullough : […] La plupart de ces actions ne sont en fait que de la pure intimidation. Par exemple, il y a plusieurs universités aux États-Unis qui déclarent qu’elles exigeront le vaccin. Fait intéressant, ils exigent le vaccin pour les étudiants mais pas pour les professeurs. Vous savez, le CDC, le NIH et la FDA, leurs membres ne reçoivent pas le vaccin, ce qui est assez intéressant. D’après ce que je sais, ils n’ont rédigé aucune politique interne. Les hôpitaux sont tenus d’avoir une politique et celle-ci doit être certifiée et figurer dans la bibliothèque des politiques [hospitalières], car les hôpitaux des États-Unis sont accrédités par la commission paritaire d’accréditation des hôpitaux. Il n’y a donc pas eu de politiques signées parce qu’ils savent qu’ils ne peuvent pas rédiger une politique exigeant un vaccin expérimental. Il peut y avoir une politique qui oblige les gens à faire de la recherche. Mais si une institution, un hôpital ou une université exige un vaccin sans politique [écrite], c’est par définition du harcèlement ou de l’intimidation. Il y a maintenant des parents qui déposent des lettres d’intention qui qualifient ce harcèlement et ils les déposent auprès des agents de conformité, auprès du bureau de l’ombudsman, auprès des bureaux qui, selon leur charte, doivent prendre des mesures internes. Nous faisons donc faire à ces institutions une quantité incroyable de travail administratif. Nous les punissons pour leurs actions. Le district scolaire de Los Angeles a reculé, la Louisiana State University a reculé, nous avons remporté une victoire au Texas au niveau de l’État et des employeurs privés. Nous devons donc persévérer et ensuite, espérons-le, la psychologie de masse [inaudible] ni de formation psychologique mais quand je prends la parole, je n’ai pas de préparation adéquate, je fais juste de mon mieux. Mais je suis médecin, je ne suis pas une personne des médias.

Je voudrais ajouter une chose avant d’oublier. Le Dr Bakhti, le Dr Yeadon, le Dr Vandenbosche et même le Dr Bridle. Voici le problème : trop long. Quand ils font une vidéo d’une heure et demie, ils sont complètement inefficaces pour faire passer le message, complètement inefficaces. Ils doivent adapter leur message à une durée d’une minute ou deux. Les gens font des références à ces vidéos mais c’est perdu d’avance. Non seulement ça, mais ils ne sont pas crédibles, ils n’ont pas l’air crédibles. Bakhti, Laura Ingraham l’a reçu une fois et Bakhti qui était assis là a commencé par « Si nous vaccinons le monde, nous sommes condamnés », comme ça, elle a répondu « D’accord, merci Docteur » et ils l’ont juste coupé. On ne peut pas faire ça. Il doit comprendre, ces gens doivent comprendre que les médias sont très importants. Peut-être que ce soir avec Laura Ingraham, j’aurai une minute et demie. Ça devra être impeccable, le look devra être impeccable et le message devra être court. C’est tout un art et nous avons besoin d’aide. Bridle, il se tait – je pense que quelqu’un l’a menacé ou menacé son enfant et il se tait. Il y a des menaces. Je voudrais préciser que nous prêtons attention à l’identité de ceux qui nous attaquent. Lorsque j’ai témoigné au Sénat du Texas, j’ai été agressé par un journaliste français. Français! Pourquoi les Français surveillent-ils ce qui se passe au Sénat du Texas? Récemment, j’ai été très vivement attaqué dans les médias par une femme de Singapour et nous l’avons retracée directement jusqu’à la Fondation Gates.

Reiner Fuellmich : Ça explique toute l’histoire. Nous savons donc qui sera finalement démasqué. Très bien, très bien. Tout est là. Nous ne pouvons pas rester assis, nous devons nous battre. C’est la seule façon de faire.

Peter McCullough : Et avec force. Ce que je fais, c’est que je prends en fait une position d’autorité morale et je défie quiconque d’en avoir plus que moi. J’ai dit qu’à moi seul, j’ai vu et examiné plus de patients, j’ai traité plus de patients, j’ai publié plus sur le Covid-19, j’ai le meilleur parcours académique, j’ai eu la maladie moi-même, mon père l’a eu, j’ai eu un décès dans ma famille à cause de la maladie. Qui, à lui seul, peut dire cela? Je prends donc une position d’autorité morale, clinique, éthique et humaine et je défie quiconque de me suivre. Parce que la seule façon de faire reculer l’autre côté est d’être extrêmement confiant et fort. Extrêmement confiant et fort. Je n’aime pas ce que fait Bridle en ce moment, il recule, il s’est passé quelque chose et depuis il recule. Les autres vont prendre peur et se cacher, nous devons être très, très forts.

Reiner Fuellmich : Êtes-vous né au Texas ?

Peter McCullough : Non, je suis né à Buffalo, New York.

Reiner Fuellmich : Parce que vous parlez comme un Texan.

Peter McCullough : J’ai grandi ici quand j’étais enfant, mais je suis disposé à porter mes bottes de cowboy quand je vais à la barre.

Reiner Fuellmich : Je l’ai souvent fait quand j’allais au tribunal de Seattle.

Peter McCullough : Oui, oui j’ai fait mon stage à Seattle. Mais c’est très important. De toute évidence, quelque chose ne tourne pas rond dans le monde et si nous restons assis sans rien faire… C’est évident, beaucoup de gens sont morts, beaucoup de gens sont torturés. J’ai très peur, sur base de ce que nous avons appris des premières injections, qu’elles interagissent avec le p53 et le BRCA, qu’elles puissent au final provoquer des cancers. Elles peuvent provoquer des cancers. Les Japonais ont déjà montré que les particules lipidiques se concentrent dans les ovaires. Seraient-ils en train de nous stériliser? Si on supposait que tout ça est un programme de la Fondation Gates pour réduire la population, ça correspondrait assez bien à cette hypothèse, n’est-ce pas? La première vague c’était pour tuer les personnes âgées par infection respiratoire, la deuxième vague c’est pour s’emparer des survivants, et cibler les jeunes et les stériliser. Si vous prêtez attention aux messages diffusés dans chaque pays, aux États-Unis, ils ne s’intéressent même plus aux personnes âgées maintenant. Ils veulent les enfants. Ils veulent les enfants, les enfants, les enfants, les enfants, les enfants. Ils se concentrent avant tout sur les enfants.

Reiner Fuellmich : Et c’est eux que nous devons protéger. C’est une nouvelle boîte de Pandore qu’on va devoir ouvrir mais on va devoir s’en occuper, vous avez raison.

Peter McCullough : Donc je vais y aller fort ce soir, on ne doit pas accepter qu’on approche une aiguille des enfants. Nous en sommes à 100 cas de dommages cardiaques chez ces enfants, certains d’entre eux très importants, qui vont conduire à une insuffisance cardiaque et nous devons vraiment foutre la trouille aux parents. Aux États-Unis, dans un État, ils ont déjà préparé le terrain pour que les enfants de 12 ans aient le droit d’accepter le vaccin eux-mêmes, sans le consentement de la famille. Ça n’est jamais arrivé dans l’Histoire. À Toronto, l’autre jour, ils ont attiré les enfants avec de la crème glacée, ils ont tenu les parents à l’écart et ils ont vacciné les enfants. C’est vraiment horrible. Ma femme est canadienne et sa mère a été vaccinée de force. Elle ne parle pas très bien l’anglais et un agent de santé est venu, il y a eu une sorte de conflit et avant qu’elle ne s’en rende compte, elle s’est fait injecter. Elle ne sait même pas ce qu’elle a reçu. C’est en train d’arriver. Je prédis qu’on en arrivera à l’injection de force, ils iront aussi loin que ça.

Reiner Fuellmich : On va arrêter ça. Nous devons, il n’y a pas le choix.

Peter McCullough : Mais je prédis que ça s’en vient. C’est déjà arrivé dans certaines parties de l’Indonésie. Je vous garantis que ça se produit quelque part en ce moment. C’est probablement arrivé dans les maisons de soins infirmiers et dans d’autres endroits.

Reiner Fuellmich : Nous savons que ça s’est produit dans les maisons de retraite.

Peter McCullough : Nous devons arrêter ça et nous devons savoir ce qu’il y a derrière. Est-ce que Bill Gates essaie de contrôler la population? Est-ce que ce sont les Chinois qui essaient de faire pression par une action de bioterrorisme? Est-ce quelque chose de plus malveillant? Pour moi, ce qui est magistral, c’est la partie psychologique de tout ça. Comment ont-ils réussi ça du point de vue de la psychologie de masse? Comment ont-ils fait?

Reiner Fuellmich : C’est pourquoi nous devons parler aux psychiatres et aux psychologues. Ils ont les réponses.

Peter McCullough : Ils ont les réponses. D’accord.

Reiner Fuellmich : Eh bien, Dr McCullough, c’était à la fois un honneur et un plaisir. Merci beaucoup.

Peter McCullough : Merci. Restons en contact. Merci.

Reiner Fuellmich : Et restons en selle, oui

Peter McCullough : D’accord. Bye Bye.

Reiner Fuellmich : Bonne journée.


Transcription intégrale

Reiner Fuellmich : Again, I apologize but this was extremely important. We learned a lot from our very own « Quincy » the pathologist, it’s Pr Burkhardt. You probably remember that TV series, right? [..] I’ve seen you in many interviews, one of them was on Fox Television – I think the last one was when you shocked the host, Tucker Carlson. What is your take on this entire situation? We know that a lot of doctors have sort of changed their mind over time because they began to understand that there is a lot of evidence that points in the direction that there really is no actual pandemic but there is something else going on. What do you think of what’s going on?

Dr Peter McCullough : Well, my quick analysis is, I believe that we’re under the application of a form of bioterrorism. That’s worldwide. That appears to have been many years in the planning and that the first wave of the bio terrorism is a respiratory a virus that spread across the world and affected relatively few people, about one percent of many populations but generated great fear. The virus was responsible for some deaths in the very frail and elderly. But, you know, for otherwise well people, it was like having the common cold. But that fear was used very quickly, and I think surprisingly, to generate tremendous influences in human life, and lockdowns all the things you know about. And every single thing that was done in the public health response to the pandemic of made it worse. So overtesting and, you know, even lockdowns probably made it worse because the virus evolved over time to become more contagious. And so every single response made it worse.

How I got involved is, as a doctor I thought the virus was going to be pretty easy to treat once we understood there were three phases : replication, cytokine storm and thrombosis. And so as I promulgated early treatment I started to meet resistance at all levels in terms of actually treating patients and then publishing papers. And so, I’m the editor of two major journals, I’m in the business of publishing so fortunately I had enough publication strength to publish basically the only two papers in the entire medical literature that teaches doctors how to treat Covid-19 at home to prevent hospitalization and death. And we did the best we could without any funding or government support and we demonstrated that it results in about 85 percent reduction in hospitalization and death.

So what we have discovered is that the suppression of early treatment was tightly linked to the development of a vaccine. And the entire program as this, in a sense, bioterrorism phase one was rolled out was really all about keeping the population in fear and in isolation and preparing them to accept the vaccine which appears to be phase two of a bioterrorism operation. Both the respiratory virus and the vaccine deliver to the human body the spike protein, the gain of function target of this bioterrorism research. Now I can’t come out and say all that on national TV today or any time. But what we have learned over time is that we could no longer communicate with government agencies. We actually couldn’t even communicate with our propagandized colleagues in major medical centers, all of which appear to be under a spell – they’re almost as if they’re hypnotized right now. And doctors, good doctors, are doing unthinkable things like injecting biologically active messenger RNA that produces this pathogenic spike protein into pregnant women. I think when the doctors wake up from the trance are gonna be shocked to think what they’ve done to people.

And so our strategy was to organize, there are many groups. One group in the United States called C-19 that I organized, many of you get these emails. It’s about 1000 people. Another one’s called FLCCC, Frontline Critical Care Consortium. Another worldwide one is called Panda, I may be involved in that. There’s also Heart and Bird and Covid Medical Network, Treatment Domiciliary in Italy. It’s gotten to the point where people [inaudible] early treatment. Governments have actually tried to block even any single milligram of a treatment to individuals. And so we decided by the summer we had to take our message to the people. We had one physician association that workes with us, called the Association of American Physicians and Surgeons. We’ve created a home patient guide. We organized in the United States four national telemedicine services, 15 regional services. We broke through to the people and the people who got sick with Covid-19 called in and got medications prescribed to local pharmacies or to a mail order distribution pharmacies. And so without the government really even understanding what was going on we crushed the epidemic curve in the United States towards the end of December and January. We basically took care of the pandemic with about 500 doctors and telemedicine services. And to this day we treat about 25 percent of the US Covid-19 population that actually are at high risk, over age 50, with medical problems or present with severe symptoms. And we basically handled the pandemic and at the same time we’ve tried to keep ourselves above the political fray. And we understand the suppression of early treatment is tightly linked to vaccination.

Then we’ve let all the news and vaccination come out and are working to change the public view of the vaccine. The public initially accepted the vaccine and we had to kind of slowly turn the ship. And now the United States rates of vaccination has been dropping since April 8, they continue to drop every day. The vaccine centers that I go by are completely empty and in the United States they’re becoming desperate to try to convince individuals to get a vaccine. They’re offering million-dollar lotteries. All the universities who are trying to force vaccination are receiving resistance. I’m the lead expert in the Bellwether Houston Methodist case, which is currently being argued before a judge in Texas [who rejected it in spectacular bad faith] and is going to be quickly escalated to the Supreme Court of Texas where Houston Methodist Hospital – a leading hospital – is attempting to force the employees to receive the vaccine. And we already have word that it is going to be escalated to a Supreme Court case. It’ll be a very high-visibility case. So we have a lot of activity going on United States, we are engaging more and more attorneys. It’s great to have you and your team involved, you know, on the international level and I imagine we’re aligned on almost all the things I said.

Reiner Fuellmich : Let me quickly translate but give us a chance because I don’t want to be rude but I completely forgot to introduce you because I thought that everybody knows you. I think most people do but please tell us a little about your background.

Dr Peter McCullough : So let me introduce myself. I’m Peter McCullough, I’m a Professor of Medicine at the Texas A and M College of Medicine on the Baylor, Dallas campus, I practice internal medicine and cardiology. When the pandemic hit I refocused all of my efforts on Covid-19. I’m the editor of Reviews in Cardiovascular Medicine, I’m the editor of Cardiorenal Medicine, that’s my area of research, senior associate editor of American Journal of Cardiology, I’m the president of the Cardiorenal Society and in my field about heart and kidney connections, I’m the most published person in my field in the world in history. And I have developed a great experience in treating Covid-19. I’ve published the two major treatment papers and I’ve lead the early treatment initiative in the United States. So I have, whether people like it or not, I have declared my medical authority in doing this to a greater extent than anybody in public health agencies or any other media doctors.

Reiner Fuellmich : Thank you so much. We can sure as hell be glad that you’re on our side, extremely grateful. I’m going to translate this. […] So it appears that in the United States at least things are really changing right now.

Dr Peter McCullough : Yeah, I mean, we’ve clearly had an impact. I’m in Texas where we never underwent lockdown. I was a strong proponent of us staying open. We have 35 treating doctors who are willing to go against the medical centers and treat patients. We were able to convince our governor to put an executive order recognizing natural immunity, banning any mandatory vaccines by public agencies, banning vaccine passports, banning any discrimination passports. We recently passed similar legislation for private employers. However we were unable to get in a ban on private employers mandating the vaccine so that part is going to be litigated. With the Houston Methodist Bellwether case we’re very active. We have the America’s Frontline Doctors as another group that has a temporary restraining order in against pediatric vaccination filed in Alabama. And we have cases filed in the state of Maine against falsely coding the test results positives, inflating the number of cases and deaths. We have a variety of activities. We have allies in Washington, Senator Ron Johnson and Senator Rand Paul. We have allies in the media, largely Fox News and Real News and OAN. We don’t yet have CNN or MSNBC. But the C-19 group that I loosely formed, we now are on national TV almost every night in the United States to provide a counter viewpoint to Anthony Fauci and Walensky at the CDC and NIH and we bring on different experts and continue to appear to the American people that we have more scientific credibility then the agencies.

Viviane Fischer : And why do you think that, you know, this window of opportunity has opened for you to be on on national TV? I mean that’s quite something. I mean here, at this point, you know, this is impossible basically.

Dr Peter McCullough : Well, we had some help in the media. We had some open-eyed people who were willing to give some high-level interviews. We have good social media contacts all over the world that really amplified things. Although we’re consistently shut down on Twitter and YouTube we continue to find new strategies to get the points out. We’re very evidence based. You know, the United States, we’re a whole country of rebels and people who want to break the law and, you know, that’s who we are. So we have, you know, Children’s Health Defense, Robert F. Kennedy, Del Bigtree, we have some very big figures. We had Senator Rand Paul come out and say « Listen, I’m not taking the vaccine, I’ve had Covid-19. » So did Senator Johnson. Sebastian Gorka who interviewed me – he used to be in the Trump administration – he interviewed me, he’s going to come out on Sunday night and say he took hydroxychloroquine and defeated Covid-19 in December, he’s not taking the vaccine. So, you know, we have to have people be making these public statements. You know, for instance on Real TV, with Dan Ball coming up in a few hours, he’s gonna come on and say he’s not taking the vaccine. We’ve helped shut down the Los Angeles school district from mandating the vaccine, his kids go to school there, they’ve backed off on the mandates. So we’re working very hard. This is the strategy : we know that this is bioterrorism, we know that this is phase two of bioterrorism and we don’t know who’s behind it but we know that they want a needle in every arm to inject messenger RNA or adenoviral DNA into every human being. They want every human being. Our goal is, we can’t stop it for everybody, but our goal is to get a large group that they cannot get to, that they cannot vaccinate. And that would be Covid recovered, suspected Covid recovered, those with immunity, children, pregnant women, childbearing women. We want a big block and if we can get that big block and break them, if we can break the needle in every arm, then I think it’ll be exposed on what is the plan for a needle in every arm.

Reiner Fuellmich : You know, I’m sure glad that this is happening in the U. S. right now because it took some time for people to really get going there. We’re in close touch and in close cooperation with the attorneys that you – you didn’t mention any names but I know you know Anna Garner and Tom Renz who are working in Sierra Leone and Alabama. Of course we’re in close cooperation with CHD, Bobby Kennedy, Mary Holland, and we’re also in close cooperation with these people and others in other countries like in on the African continent for example. And there’s some really good things going on right now. The tragic thing is though that here in Germany I think we have now a rate of vaccination where people have gotten their second vaccination – so-called vaccination – of only 19 percent but those who have, those who got their first shot are up to close to 50 percent. And whenever I’m in a cab, for example, talking to the cab drivers it’s very easy to talk with them because they seem to understand much more than many of the scientists and doctors who appear on mainstream media. And they spread the news. But it’s more important, I think, and that’s what we’re trying to do here in Germany and internationally, it’s more important to spread the word, to explain to the people to get out the truth, to explain to them what the shots really do. And I saw an interview with you which is almost mirrored by your colleagues in Canada. We spoke with doctor Roger Hodkinson, we spoke with Pr Luc Montagnier and with Byram Bridle – no, we haven’t spoken with Byram Bridle yet. But everyone agrees this has got to stop immediately. This is excessively, it’s monstrously dangerous. We heard about how pregnant women who got the shots, it appears in their breast milk of course – I don’t know if you said this or Byram Bridle said this – but there’s some cases of suckling infants who’s suffered bleeding disorders and other problems. So this is a monstrous thing that needs to be stopped, and I think everybody agrees on that.

Dr Peter McCullough : We’re trying to get to this public health message that can really get the Public Health attention. So I think it was about a week ago, Harvey Risch and I appeared on Fox News and Harvey Risch described the vignette of the woman who got the vaccine and breastfeeding and it killed the baby. Today we have 800 cases of young people developing myocarditis or inflammation of the heart. And because I’m a cardiologist I have a clinical authority position here. And, you know, I’m going to opine that because there is no clinical benefit whatsoever in young people to get the vaccine that even one case is too many. And the CDC, you know, distributed their slides today and their conclusion is « Well, we’re going to reevaluate again a little bit later on in June. » So our agencies have done nothing to reduce the risks of the vaccine, it’s called risk mitigation. And I’ve chaired up over 2,000 data safety monitoring boards for the FDA and the National Institutes of Health, and with this program, there is no critical event committee, there is no data safety monitoring board and there’s no human ethics committee. Those structures are mandatory for all large clinical investigations. And so the word that’s really used for what’s going on is malfeasance, wrongdoing by those in position of authority. And without any safety measures in place, you can see what’s going on when administering… Basically it’s the largest application of a biological product with the greatest amount of morbidity and mortality in the history of our country. We are at over 5,000 deaths as you know, I think 15,000 hospitalizations. In the EU, it’s over 10,000 deaths. We are working with the Center for Medicaid Services, CMS data, and we have a pretty good lead that the real number is 10 fold. It’s 10 fold.

We knew from data from Harvard in 2016 that the Vaccine Adverse Event Reporting System only reports about 10 percent of what’s really going on so we had to get another data source. And we have inside people. We have now a whistle blower inside the CMS, we have two whistle blowers within the CDC. And those are being developed right now in order to get this out. So we’re looking at 10x. We think we have 50,000 dead Americans. 50,000. So we actually have more deaths due to the vaccine per day than certainly the viral illness, by far. It’s is basically, in a sense, it’s propagandized bioterrorism by injection.

Reiner Fuellmich : Yeah. And the big question is, who is behind this. The picture is becoming clearer. Yeah, I have to translate quickly.

Viviane Fischer : How many states are without any lockdown or like the, you know, nuisances with regards to the measures corona?

Dr Peter McCullough : I don’t know the numbers but it’s clear that the lead states are Texas and Florida, which is good – those are two very big states. And Florida has the most elderly people and so they have shown – and that’s where Covid strikes the most – so we have shown great resilience in these independent states with these governors. I just got the email from Laura Ingraham on Fox News, to just give you an idea. At least we have one major news station that’s with us. Her email says « Tonight we’re gonna talk in a few hours about the mistrust in Fauci and the medical elites who do his bidding, the fallout from his emails to do a hydroxychloroquine study that showed the drug was unfairly maligned, finally this new concern about heart issues in young men after their second vaccination. The public has very little faith in what we’re being told in terms of life and death. » So you can see how we have really come a long way to get the media, at least some of the media now coming with us. What I’ve learned in this whole thing is we gave up on the scientific publications, we gave up on these other things, we have to go straight to the people.

Reiner Fuellmich : Yeah, that is precisely what we think too. There is one major medium here in this country which has been critical – not overly critical but critical to a point. They have just come out, I think yesterday or the day before yesterday, with a story that explains how fraudulently the government – our own government – informed the people about how the health care system was being overwhelmed, when it wasn’t. They gave us completely false numbers, completely false figures as far as the intensive care beds are concerned. We had many more than they claimed and in addition the real financial incentives to keep these beds unoccupied because there’s so much money that’s being paid to hospitals and to the doctors. But this is all, you know, the one good thing about this is this has all come out into the open so we will be able to deal with this, and we will. Because we have enough people who are willing to fight and I think there’s many more who just couldn’t bring themselves to come out into the open. But a few of them we just met today, including the doctor who saved that woman whom we interviewed a couple of weeks ago.

Wolfgang wants to ask a question. Yes?

Wolfgang Wodarg : Yes, one thing or two things. One is with the hospitals. We have from the office who is controlling the government and how they spend the money, they have clear numbers, they say that the clinical care in Germany spent close to 1,500,000,0000 more than normal the last year and they have 8% less patients in the same time. So they got a lot of money but it was never overloaded, the clinical system in Germany. And the other thing, you speak about bioterrorism and I want to distinguish because you speak about bioterrorism by vaccination and I think you’re right when you say this. Because I don’t think that there is a dangerous virus on the way now. Because if we speak about bioterrorism by gain of function viruses, I’m very sure that gain of function viruses, if they would spread, they could not spread because they would kill their hosts. And so it’s a very stupid virus that kills the host. So I am eager to tell the people that they needn’t be afraid of dangerous viruses that come from the laboratory environment, so that people are not terrified because there’s something special. It’s just a corona virus and we’re acquainted to corona viruses, to Sars viruses, Peta coronaviruses since 20 years. And our immune system is. Don’t be afraid of the virus but be afraid of the vaccination. The bioterrorism is the vaccination and not the virus.

Dr Peter McCullough : Yeah, I agree with you that the natural immunity will be able to handle the variants as far as I can see. I’m not predicting another wave. In fact in my last TV appearance I told America « Listen, there’s not going to be another wave. » And so when I come down, when I talk to America I’m very positive, I give a very joyous message, I calm down the country and by doing that Fauci and the other people can’t stand it because they want to promote fear, they want to promote suffering and they want to promote this vaccine – and so that’s their message. And so we’re just the opposite and we agree with you. Now what could be happening is let’s say there’s an adversary, let’s just say it’s China. They could be dealing at a very high level, say « Listen we do have, you know, C-21. We have a more virulent virus and we want, you know, favorable trade status or we want other things » because they’ll say « Listen we showed you what can happen with, you know, the first round we have some (? ») so there may be a threat.

But I agree with you in terms of the natural infection. It will move around, I think it’s going to hit Southeast Asia. It’s going to hit some more vulnerable populations. But if we can simply respond with treatment in every case, Mexico City, countries in South America, United States and now India, every single case, we crush the curves with early treatment if we just treat the high risk patients. By treating patients with multi-drug treatment we reduce the duration of symptoms, we reduce the spread dramatically and we reduce hospitalization and death. This is very, very important, the only thing that can do that. Vaccination will not do that. Vaccination, because the people getting the vaccine have less than a one percent chance of ever coming in contact with the virus and then when they do they have a, you know, way less than one percent chance of even getting the virus. It’s impossible for the vaccine to have an impact on the epidemic curve and that’s another message we’re getting out to the public. Because the people promoting the vaccine are going to claim victory, that all things worked out in our favor and Brown in Canada and others have done great analyses. It’s mathematically impossible for the vaccine to have any impact. The CDC in the United States has recorded 10,000 breakthrough cases, bona fide breakthrough cases where the vaccine failed. And we don’t know the denominator but we know it’s very labor intensive and our read on their action is they were overwhelmed with the number of breakthrough cases, overwhelmed, they gave up. At the end of may they gave up, they said « We’re not gonna track anymore breakthrough cases. »

Wolfgang Wodarg : We know that when the clinical studies were finished, the absolute risk reduction is about around one percent. And the others, they were already immune so this is ridiculous. The fact of the matter of the of the vaccination, to protect people, is ridiculous.

Dr Peter McCullough : It’s completely ridiculous. We have data from Cleveland Clinic, that just published that 50 percent of people who are already immune, naturally immune, they’re still getting the vaccine because they were told by the government to get the vaccine. We have data from three studies, two in the UK and one in the United States showing of all those who get the vaccine about 30 percent are already immune (?). So you can see how the vaccine is contrived, this whole thing is contrived. It should be very obvious that now the CDC has changed the cycle threshold down to lower so they’re gonna make fewer cases. So it’s gonna look like things like the vaccine saved it. So maybe the thing about this bioterrorism injection is, why did they make it so toxic? Right now when so many people are dying, why didn’t they make it more acceptable? Because I think, the real payload of the bioterrorism is going to be on the boosters.

Reiner Fuellmich : That’s what we begin to fear too. Let me explain why Wolfgang said this, because the other day I had an interview with Steve Bannon and he heard me out. He didn’t quite agree because it seems that was news to him. But this is what really happened and we know this from talking to two former WHO employees. There was an accident at the Wuhan Institute of Virology and the Chinese were really worried about it and that’s why they ordered the person who runs that lab to come back immediately. And even while she was still on the train they took down their website so as to cover their tracks. So they were really worried. But within 2 or 3 weeks they realize well nothing much had happened. However the other side as we call them took this as a springboard or as a triggering incident to put that agenda into motion which they had been planning for for at least 10 years. They’ve been planning for longer, but for 10 years we can see, there are concrete plans that they’ve been making and the final – I guess you could call it a dry run – was Event 201 which is really Event 21 because the (?) is the Earth in October of 2019. So that’s when they decided, we’re going to take this opportunity and that’s when they told Drosten and that’s why we were at this hearing this morning, at the inquiry. That’s when they told Drosten, « Start your all work on your PCR test. » He started his work on New Year’s Eve, we believe. And a couple weeks later on the 22 and 23 January, there was an enormous push, probably by the pharmaceutical industry, on the WHO to finally declare the public health emergency of international concern because that’s what you need in order to get the emergency use authorization in the United States for these vaccines, which were completely untested, or the conditional use authorization here in Europe. But they couldn’t agree on anything because there were no cases. But they did agree on one thing, they’re going to have another second emergency meeting two weeks later in early February. And that’s when they declared the public health emergency of international concern. Why? Because they had been using the Drosten test, because he had made this test this PCR test available to them and they pushed it as the gold standard for the entire world as the gold standard for detecting infections. As we all know in the meantime you cannot detect infections with the PCR test and as we also know because of the people who… One of the experts is Dr Mike Yeadon, who I know you’re in touch with, and he told us, if you go up to 35 cycles of amplification you end up with at least 97 percent false positives. This guy had his cycles of amplification up to 45 so guess what? This is all false positives. That’s why Wolfgang was saying, it is not the accident, it is not the dangerous virus that escaped from the from the lab. It’s the vaccinations that we have to be worried about and it’s probably correct. I mean, I can’t be the judge of this because I’m not a medical doctor but it’s probably correct that we really have to be afraid of the boosters.

Dr Peter McCullough : We’ve learned a lot you know you probably have reviewed that autopsy case from Germany just a few days ago that came out. We’ve learned that – I’m sure you know all this but – we were told by the Salk Institute and by the manufacturers that the lipid nanoparticles and the messenger RNA stay in the arm, they don’t. They’re distributed elsewhere. Our radiologists know that the breast becomes incredibly inflamed a woman, so much that they can’t read a mammogram – they’ve actually changed their mammography criteria, at least in my hospital, I don’t know elsewhere – and that the autopsy showed that in fact there’s a tremendous distribution of… We’ve reviewed it, the spike protein is clearly pathogenic, the gain of function [enables] mutation of four amino acid sequence at the furin cleavage joint. You know, there’s four domains that code for HIV, we were always wondering why the lymphocyte count was down. The email that went to Fauci that says « Hey Tony, how did you get the HIV coded in there? », I mean you can see that this is going on. This was absolutely by design that this is a weapon of bioterrorism. And to inject messenger RNA or adenoviral DNA and cause an uncontrolled production of the spike protein in the human body is a very, very biologically dangerous proposition. We don’t know what controls the heights of the production of the spike protein, the organs in which it is produced, where it circulates to. We know it causes a unique form of thrombosis which is a partly hemo-agglutination because the spike protein catches to sialic acid residues on red blood cells. Normally coagulation, the red blood cells are not involved but here the red blood cells are. We know that, for instance, the Italians have shown that when the oxygen saturation goes down the lungs is to do micro thrombosis. So you can imagine of course giving Chinese Remdesivir to somebody with micro thrombosis is going to do nothing.

And so one person who you may want to talk to – he’s kind of flamboyant but he’s interesting, he’s got influences – Steve Kirsch. Steve Kirsch is a millionaire and Steve Kirsch has offered $2,000,000 publicly to say « Can anybody show that the CDC, FDA or NIH has done one single thing correct in the pandemic response? if you can we’ll pay $2,000,000. » No one has even brought forward, no one’s even written a letter. So you know, it’s a colossal blunder. And of course the news is interested, the news cycle is always promulgated by this. But our goal is to take the message to the public, to remain impeccable and unimpeachable in our scientific integrity, to always present ourselves very professionally and see if we can win public opinion to have a block of people not get the vaccine. And then once that occurs and it becomes clear, I think the other side will be exposed. Why did they want this vaccine? We are seeing safety events like you can’t believe. You saw the portal vein thrombosis, I’ve had that in my patients, myocardial infarctions, myocarditis. I had a woman yesterday in the office, her memory was completely obliterated after the vaccine. It’s so disconcerning. So we’re filling out the safety events and at some point in time the public opinion is going to have to turn.

We have two big populations that are distrustful in the United States, we have African Americans at 12 percent and we have Hispanics at 20 percent, and they’re largely not taking the vaccine. And we’re working with African American churches and making presentations and African Americans say « We know the government was lying to us. »So they know already. So that’s our plan in a nutshell. I think we’re really completely aligned. We do need to win big cases, though. So Anna Garner, all these people, Mike Renz, we’ve got to win. I mean, honestly, you think there’s fear among doctors? There’s fear among attorneys! I am amazed at how many attorneys are so fearful. They can’t even file a letter of intent. We have one attorney, he made a template and he goes « Here, I’ll show you how to file your own letter of intent, you pay your own funding » I said « My God, I’m a doctor, I’m a media person, I’m taking care of patients, a publisher, (?), now have to do my own legal work? » I mean, it’s really amazing the fear that’s overcome people.

Reiner Fuellmich : The thing is, on an international scale I feel we’re only cooperating with 100 attorneys. I mean, 100 attorneys in the entire world. There must be many many more, of course. But we’re making progress because of those cases, the ones that you’re mentioning, and there’s a couple of really big cases that all of us, including our American colleagues are working on. I can’t tell you the details because we don’t want this to be in anyway disturbed. But you’re right, this is the only way to go, by cautiously proceeding in a scientifically correct manner, without foam at the edges of our mouths, so that finally we will win public opinion and then we’ll expose the people who are behind this.

Dr Peter McCullough : Right. Let me tell you where I think there’s some distractions and we’re wasting our time. And that’s on wearing masks. So for instance, I mean, they would love us to be arguing about masks while they continue to give injections, right? So I try not to make masks the signature issue. Another area is this extreme view that the disease doesn’t occur, like Dolores Cahill. I think that’s a bit of a waste of time because we have enough information from sequencing, we can see this in the (?) capsid, we know it’s physically there in some cases. We know it’s grossly overstated because of everything you mentioned and we know there’s a big cover up. At my hospital health system, for instance, they have now, the Covid cases are considered break-the-glass, meaning they get admitted to closed units, we can’t even see what’s going on with them. So if they’re not open to peer review, we’re not having open peer review so we really have due process break down even within health care. But what we wanna do is, we need help, you know, we need help from psychiatrists. There is a trance, there are doctors that are telling their patients to take the vaccine, the patients are taking the vaccine and dying of thrombosis. And the doctors are, you know, not doing anything, injecting pregnant women with experimental messenger RNA. I mean, this is like a horror, this is something that would never occur in good clinical practice where doctors are saying that they won’t see patients in the waiting room unless you get the vaccine. I think a big target is, and this is my responsibilities, we have to win the doctors. Doctors are a big problem here.

Reiner Fuellmich : And we need you, right, as this is what I said right from the start. This is a huge psychological operation. We need to talk to the psychiatrists and the psychologists. And they’re using as their major weapon, they’re using the mainstream media in order to indoctrinate people with this panic package which they invented over many years. Sick people on the other side, definitely very sick…

Dr Peter McCullough : You see this Chinese professor from Emory, she gets on CNN. And they’ve gone further, they’ve linked the vaccine to freedoms. And this has occurred in Europe by now, they said « Listen, people need to understand they need to get the vaccine to get their freedom back. » It was « Wow! »

Wolfgang Wodarg : We know this from the mafia, you know. It’s just what the membership does, it’s a very, very old method. If you let us protect you, you have to pay a little for this, everything is okay. If we are not allowed to protect you, you will see what happens.

Dr Peter McCullough : What we’re trying to do is, most of this is actually just sheer intimidation. So an example is, we have, I don’t know, several universities now in the United States declaring that they’re gonna demand the vaccine. Interestingly they demand the vaccine for the students but not for the professors. You know, the CDC and NIH and FDA, they’re not taking the vaccine themselves, which is quite interesting. In every circumstance that I’m aware of, they have not written a policy. So for hospitals they must have a policy and it must be certified and be in the policy library because hospitals in United States are accredited by the joint commission for hospital accreditation. So there have been no signed policies because they know they can’t write a policy mandating an investigational vaccine. You can have a policy, you know, forcing people into research. So if an institution or hospital or university demands a vaccine without a policy, by definition that’s harassment or intimidation. And so we now have parents filing letters of intent identifying harassment and they filing it with compliance officers, ombudsman’s office, filing with offices that by their charter must take some internal action. So we’re making these institutions do an incredible amount of administrative work. We’re punishing them for doing this. The Los Angeles school district backed off, Louisiana State University backed off, we’ve had a Texas win at the state and private employer level. So we have to continue this effort and then hopefully the mass psychology [inaudible] or psychological training but when I go on, there’s no proper preparation, I’m just doing the best I can. But I’m a doctor, I’m not a media person.

I just want to say one thing before I forget. Dr Bakhti, Dr Yeadon, Dr Vandenbosche and even Dr Bridle. Here’s the problem : too long. When they do a video an hour and a half, they are completely ineffective in giving a message, completely ineffective. They need to tailor their message down to one minute or 2 minutes. People refer these videos and they’re dead on arrival. And not only that but they’re not credible, they don’t look credible. So Bakhti, Laura Ingraham had him one time and Bakhti was sitting there, he goes « If we vaccinate the world, we are doomed » like this, and she goes « Okay, thank you doctor » and they just shut him down. You can’t do that. He has to understand, these people have to understand the media is very important. Maybe tonight with Laura Ingraham I’ll have 1.5 minutes. It’s gotta be impeccable, the look has to be impeccable and the message has to be short. It’s an art to doing this and we need help. You know, Britle, he shut down – I think somebody threatened him or threaten his child and he shut down. There’s threats. I want to mention that we’re paying attention to who’s attacking us. When I testified in the Texas Senate I was attacked by a French reporter. French! Why are the French watching Texas Senate? So recently I was very heavily attacked in the media by a Singapore woman and we traced her directly to the Gates Foundation.

Reiner Fuellmich : That explains the whole story. So we know who’s going to be exposed ultimately. Very good, very good. That is the thing. We can’t just sit here, we have to fight back. That’s the only way to do it.

Peter McCullough : And strong. So what I’m doing is, I’m actually taking the moral authority and I’m challenging who here has a greater amount. I said in a single person, I’ve seen and examined more patients, I’ve treated more patients, I’ve published more on Covid-19, I have the best academic record, I’ve had the illness myself, my father has had it, I’ve had a death in my family due to the illness. Who, in one single person in the world, can say that? So I am taking the moral and clinical and ethical and human authority and challenging anybody to to come after me. Because the only way to get the other side to back down is to be supremely confident and strong. Supremely confident and strong. I don’t like what Britle is doing right now, he’s backing off, something happened and then he’s backing off. Other people, you know, going to fear and hiding, we have to be very, very strong.

Reiner Fuellmich : Are you born in Texas?

Peter McCullough : No I was born in Buffalo, New York.

Reiner Fuellmich : Because you sound like a Texan.

Peter McCullough : I grew up here as a kid okay but I’m willing to wear my cowboy boots when I go on the stand.

Reiner Fuellmich : I used to do that when I went to court in Seattle.

Peter McCullough : Yes, yes I’ve trained in Seattle. But this is very important. Something obviously is going on very wrong in the world and if we sit by and do nothing… You know, obviously a lot of people have died, a lot of people are being tortured. I am very afraid, based on what we’re learning just by the first injections, that they interact with p53 and BRCA, that they could ultimately lead to cancers. They can lead to cancers. The Japanese have already shown that the lipid particles concentrate in the ovaries. Could they be sterilizing? If you said this is all a Gates Foundation program to reduce the population, it’s fitting pretty well with that hypothesis, right? The first wave was to kill the old people by the respiratory infection, the second wave is to take the survivors and target the young people and sterilize them. If you notice the messaging in the countries, in the United States, they’re not even interested in old people now. They want the kids. They want the kids, kids, kids, kids, kids. There’s such a focus on the kids.

Reiner Fuellmich : And that’s who we have to protect. Thats a whole new can of worms we’re gonna have to open but we’re gonna have to deal with this, you’re right.

Peter McCullough : So I’m gonna come out strong tonight about, you know, the kids shouldn’t be touched with a needle. We’re at 100 cases of heart injury in these kids, some of them it’s really pretty significant it’s gonna lead to heart failure and we need to scare parents so hard. You know, in the United States, in one state they’ve already put the groundwork that the kids aged 12 can accept the vaccine on their own, without family consent. That’s never happened in history. In Toronto, the other day they lured the kids out to get ice cream and they held the parents back and they were vaccinating the kids. Really it’s terrible. My wife is Canadian and her mother was forcibly vaccinated. She doesn’t speak English very well and a health care worker came over, there was some type of dispute and before she knew it she was injected. She doesn’t even know what she got. So it’s happening. I predict that it will come to forcible injection, they’re gonna take it this far.

Reiner Fuellmich : We’re gonna stop that. We have to, there’s no choice.

Peter McCullough : But I predict it’s coming. It’s already happened in parts in Indonesia. I guarantee it’s happening in places right now. It’s probably happened in nursing homes and other places.

Reiner Fuellmich : We know it happened in nursing homes.

Peter McCullough : We have to stop it and we have to see what’s behind it. Is it Bill Gates trying to control the population? Is it the Chinese trying to, you know, pressure for bioterrorism? Is it something more malevolent? To me what was masterful is the psychological part of this. How did they pull this off from a mass psychology perspective? How did they do this?

Reiner Fuellmich : That’s why we have to talk to the psychiatrists and to the psychologists. They have the answers.

Peter McCullough : They have the answers. Okay.

Reiner Fuellmich : Well, Dr McCullough this was both an honor and a pleasure. Thank you so much.

Peter McCullough : Thank you. Let’s stay in touch. Thank you.

Reiner Fuellmich : And let’s stay in the saddle, yes

Peter McCullough : All right. Bye bye.

Reiner Fuellmich : Have a great day.

Un conte pour les enfants.

Sérieusement, ne le racontez pas aux enfants. Par contre, vous pouvez partager avec les grandes personnes.


Un conte pour les enfants

Il y a longtemps vivait un homme qui aimait faire le mal.

Il aimait faire mourir les animaux. Il les faisait mourir en leur faisant trés mal. Il aimait voir dans leurs yeux comment ils avaient peur et il aimait entendre dans leurs cris comment ils souffraient. Comme c’était lui qui décidait quand les animaux mouraient, il se disait qu’il avait beaucoup de « pouvoir ».

Mais il n’en avait pas assez. Il voulait aussi avoir du « pouvoir » sur les gens.

Un jour, il eut une idée.

Comme il savait comment faire mourir les animaux, il savait aussi comment faire mourir les gens, parce que les gens c’est comme les animaux. Il avait inventé un poison. Il fallait mettre le poison dans leur corps mais pour ça il fallait que les gens soient d’accord. Alors il leur expliqua que les animaux donnaient la « maladie » et qu’il avait regardé dans le corps des animaux qu’il faisait mourir et qu’il savait comment empêcher les gens de mourir de la « maladie ».

Et les gens pensèrent que c’était un homme bon, parce qu’ils ne voulaient pas mourir et que faire mourir les animaux, ce n’était pas très grave. Et les gens pensèrent qu’il était aussi très intelligent, parce que quand il faisait mourir les animaux, il mettait une blouse blanche et que quelqu’un qui porte une blouse blanche ne ferait pas mourir les animaux sans raison. Il se dirent qu’il savait quelque chose qu’ils ne savaient pas. Ils se dirent qu’il avait beaucoup de « pouvoir » et qu’il était un « héros ».

Alors les gens leur amenèrent leurs enfants pour qu’il leur mette le poison dans le corps, en pensant que ça les empêcherait de mourir. Et quand les enfants mouraient quand même ou qu’ils étaient très malades ou qu’ils souffraient tellement qu’ils ne savaient plus être comme les autres enfants, ils se dirent que ce n’était pas la faute du poison.

Et après lui, les hommes qui voulaient aussi beaucoup de « pouvoir » se dirent que c’est ce qu’il fallait faire. Et eux aussi firent mourir les animaux mais il prirent aussi les bébés dans le ventre des mamans qui ne les voulaient pas, et ils coupaient leur coeur avec un couteau. Il disaient que c’était pour la « recherche » et que la « recherche » empêcherait les gens de mourir.

Et les gens disaient que ce n’était pas trés grave de faire mourir les bébés, parce que eux ne voulaient pas mourir.


Il y avait aussi un homme qui avait beaucoup d’argent qu’il avait volé aux gens. Lui aussi pensait qu’il avait beaucoup de « pouvoir ». Il se disait que les gens c’est comme les animaux et qu’on peut leur faire tout ce qu’on veut.

Et après lui, les hommes qui voulaient beaucoup de « pouvoir » se disaient que c’est ce qu’il fallait faire.

Un jour, l’homme qui faisait mourir les animaux alla voir l’homme qui volait l’argent aux gens et lui demanda de lui donner de l’argent pour sa « recherche ». L’homme lui donna l’argent qu’il demandait mais il lui dit qu’il devrait désormais travailler pour lui.

Et un jour l’homme qui avait beaucoup d’argent vint trouver l’homme en blouse blanche. Il lui expliqua qu’il voulait garder pour lui l’argent qu’il avait volé mais que les gens risquaient de lui demander qu’il leur rende. Il lui dit qu’avant, quand les gens voulaient garder leur argent, il les faisait mourir en les faisant travailler beaucoup et quand ils ne mouraient pas assez, il les envoyait à la « guerre » pour mourir et faire mourir les gens des autres endroits et aussi pour casser leurs maisons avec des jouets qu’il avait fabriqués et qui cassent les maisons. Et quand les gens étaient morts, il pouvait garder leur argent. Et aussi quand beaucoup de maisons étaient cassées, il fallait les réparer et c’était lui qui les réparait contre de l’argent.

Mais l’homme qui avait beaucoup d’argent était inquiet. Les gens ne mouraient plus beaucoup parce qu’ils n’y avait plus assez de « guerres » et qu’ils ne travaillaient plus assez pour mourir. Alors il demanda à l’homme en blouse blanche qui travaillait pour lui s’il pouvait fabriquer du poison pour faire mourir les gens, avant qu’ils lui demandent de rendre leur argent.

L’homme en blouse blanche lui dit qu’il savait comment faire parce qu’il savait comment faire mourir les animaux et que les gens c’est comme les animaux.


L’homme en blouse blanche avait inventé deux nouveaux poisons. Un trés petit, que les gens ne voyaient pas. Mais comme il ne marchait pas bien, il en avait fabriqué un autre, qui ressemblait à celui d’avant, qu’on mettait dans le corps des gens et qui les ferait mourir plus tard et qui ferait aussi mourir ceux qui étaient tout près. Et aussi, les mamans ne pourraient plus avoir de bébés parce qu’il mourraient dans leur ventre.

Pour que les gens donnent leur argent pour des choses dont ils n’avaient pas besoin et aussi pour qu’ils obéissent à l’homme qui avait beaucoup d’argent et à l’homme en blouse blanche, on avait inventé une lampe magique. C’était une lampe qui parlait et comme elle était magique, ceux qui la regardaient croyaient ce qu’elle disait.

Un jour, la lampe leur dit qu’il y avait une « maladie » à cause des animaux qui vivaient à l’endroit où on fabriquait les jouets pour les grands. La lampe leur dit qu’ils allaient mourir de la « maladie » et les gens avaient très peur. Alors la lampe leur dit qu’ils devaient rester dans leur maison pour ne pas l’attraper, et s’ils ne voulaient pas ils seraient punis, on leur prendrait leur argent et des hommes en costume noir leur taperaient sur la tête avec un bâton.

Comme ils restaient dans leur maison, ils n’allaient plus voir leurs papas et leurs mamans qui étaient vieux et qu’on avait mis dans des maisons spéciales pour les vieux papas et les vieilles mamans qu’on ne voulait plus. Alors comme leurs enfants n’étaient pas là pour les protéger, on mit dans le corps des vieux papas et des vieilles mamans l’autre poison qui les faisait mourir. L’homme qui leur avait volé leur argent était très content, parce qu’il ne devait plus leur rendre et qu’il pouvait le garder pour toujours.

La lampe dit aussi aux gens qu’ils ne pouvaient pas se soigner parce que c’était très dangereux et que ça les ferait mourir. Et la lampe leur montra le « héros », qui avait volé beaucoup d’argent et l’avait donné à l’homme en blouse blanche pour faire mourir beaucoup d’enfants avec du poison et pour que les mamans n’aient pas de bébés à des endroits où il disait qu’il y avait trop de gens. Le « héros » leur dit qu’il fallait attendre dans leur maison que l’homme en blouse blanche fabrique un poison pour mettre dans leur corps pour qu’ils n’aient pas la « maladie » et pour qu’ils ne fassent pas mourir leurs vieux papas et leurs vieilles mamans en allant tout près. Il leur dit qu’ils pourraient sortir de leur maison et avoir leurs jouets de grands seulement quand il auraient eu le poison.

Et quand on leur mit le poison dans le corps, il y eut encore beaucoup de vieux papas et de vieilles mamans qui moururent et de bébés qui moururent dans le ventre de leur maman, et plein d’autres gens aussi. Mais la lampe dit que c’était bien alors les gens continuèrent à demander le poison. Mais il y avait des gens qui ne voulaient pas et qui ne croyaient plus ce que disait la lampe parce qu’ils avaient vu qu’on avait fait mourir les vieux papas et les vieilles mamans, et que les bébés mouraient dans le ventre des mamans, et plein d’autres gens aussi. Mais le poison rentra dans leur corps quand même parce qu’ils étaient tout près des gens à qui on l’avait mis, et il y en eut beaucoup qui moururent et beaucoup de bébés qui moururent dans le ventre de leur maman et beaucoup de mamans qui ne pouvaient plus avoir de bébés.

Et un jour l’homme en blouse blanche vit que tous les gens qui vivaient encore avaient le deuxième poison dans leur corps.

Alors il prit un troisième poison, que personne ne voyait, qu’il avait fabriqué et mis dans un tiroir en attendant.

Et il le mit dans l’air.

Et depuis, les animaux sont bien tranquilles parce qu’il n’y a plus personne pour les faire mourir.

Il faut arrêter la vaccination Covid, déclare une éminente scientifique au CDC.

Source. Pour les anglophones, le site de l’auteur, Jennifer Margulis, est d’une lecture très utile.

Il faut arrêter la vaccination Covid, déclare une éminente scientifique au CDC

Dans un commentaire public adressé au CDC, le Dr Janci Chunn Lindsay, Ph.D., biologiste moléculaire et toxicologue, a appelé à arrêter immédiatement la production et la distribution du vaccin Covid. Invoquant les problèmes de fertilité, de coagulation sanguine (coagulopathie) et la fuite virale, le Dr Lindsay a expliqué au comité les preuves scientifiques montrant que les vaccins contre le coronavirus ne sont pas sûrs.

Le 23 avril 2021, le Comité Consultatif du CDC sur les Pratiques de Vaccination [Advisory Committee on Immunization Practices, ACIP] a tenu une réunion à Atlanta, en Géorgie. Le sujet de cette réunion de l’ACIP était les troubles de la coagulation sanguine suite aux vaccins Covid. Le Dr Janci Chunn Lindsay s’est entretenue avec le CDC pendant la période réservée aux commentaires du public.

La censure sur les réseaux sociaux en particulier et sur Internet en général est implacable. Voici une transcription légèrement révisée et annotée, à l’épreuve de la censure, du commentaire de 3 minutes du Dr Janci Chunn Lindsay.

Vous pouvez écouter son témoignage sur YouTube ici (pour le moment, du moins. YouTube le censurera probablement). [NdT. j’ai fait une copie]

Une biologiste moléculaire et toxicologue appelle à l’arrêt du vaccin Covid

Bonjour, je suis le Dr Janci Chunn Lindsay. Je suis titulaire d’un doctorat en biochimie et biologie moléculaire de l’Université du Texas et j’ai plus de 30 ans d’expérience scientifique, principalement en toxicologie et biologie mécaniste.

Au milieu des années 1990, j’ai participé au développement d’un vaccin contraceptif humain temporaire qui a fini par provoquer la destruction auto-immune involontaire des ovaires et la stérilité dans les modèles de test sur les animaux. Malgré les précautions prises et les analyses séquentielles qui ne le prédisaient pas.

Je suis fermement convaincue que tous les vaccins de thérapie génique doivent être arrêtés immédiatement en raison de problèmes de sécurité sur plusieurs fronts.

Janci Chunn Lindsay: les vaccins Covid pourraient induire des anticorps à réaction croisée contre la syncytine et altérer la fertilité ainsi que l’issue de la grossesse

Premièrement, il y a une raison crédible de penser que les vaccins Covid réagiront de manière croisée avec la syncytine et les protéines reproductrices dans le sperme, les ovules et le placenta, entraînant une altération de la fertilité et une altération des résultats de la reproduction et de la gestation.

Le virologue de renom, le Dr Bill Gallaher, Ph.D., a présenté d’excellents arguments pour expliquer pourquoi on peut s’attendre à une réaction croisée. En raison des similitudes de conformation de la feuille bêta entre les protéines de pointe et la syncytine-1 et la syncytine-2.

Je n’ai pas à ce jour lu une seule étude immunologique qui le réfute. Malgré le fait qu’il ne faudrait littéralement aux fabricants qu’une seule journée pour mener ces études sur la syncytine pour s’en assurer [sitôt qu’ils ont obtenu du sérum d’individus vaccinés]. Cela fait plus d’un an qu’on a affirmé pour la première fois que cela [le corps attaquant ses propres protéines syncytines en raison de la similitude de la structure des protéines de pointe] pourrait se produire.

Les fausses couches signalées au VAERS exigent l’arrêt du vaccin Covid

Nous comptons 100 fausses couches rapportées dans le VAERS au 9 avril. Et il y a [aussi] des rapports de spermatogenèse altérée et de lésions placentaires à la fois dans les modèles animaux naturellement infectés, vaccinés, et ceux déficients en syncytine, qui présentent une pathologie placentaire similaire, impliquant un rôle médié par la syncytine dans ces résultats.

De plus, nous avons entendu parler de plusieurs rapports d’irrégularités des règles chez les personnes vaccinées. [NdT. ET chez les femmes qui côtoient des personnes vaccinées, article ici] Ceux-ci doivent être étudiés.

Nous ne pouvons tout simplement pas injecter ces [vaccins] à nos enfants, qui présentent 0,002% de risque de mortalité par Covid, s’ils sont infectés, pas plus qu’à la population en âge de procréer sans une enquête approfondie sur cette question.

[Si nous le faisons], nous pourrions potentiellement stériliser une génération entière. La spéculation que cela ne se produira pas et quelques rapports anecdotiques de grossesses dans le cadre de l’essai ne sont pas une preuve suffisante que cela n’a pas d’impact à l’échelle de la population.

Le vaccin Covid provoque des troubles sanguins

Deuxièmement, toutes les thérapies géniques [vaccins Covid] provoquent une coagulopathie. [coagulopathie, lorsque le système de coagulation sanguine du corps est altéré.] Cela n’est pas limité à un seul fabricant. Et ce n’est pas limité à un groupe d’âge.

Nous assistons à des décès par coagulopathie chez de jeunes adultes en bonne santé sans comorbidités secondaires.

Il y a eu 795 rapports liés à des troubles de la coagulation sanguine au 9 avril dans le système de notification VAERS, 338 d’entre eux étant dus à une thrombocytopénie.

Il existe des principes mécanistes antérieurs et postérieurs expliquant pourquoi cela se produit. L’infection naturelle est connue pour provoquer une coagulopathie due à la protéine de pointe. Tous les vaccins de thérapie génique programment le corps à fabriquer la protéine de pointe. Zhang et al dans [un article scientifique publié dans le Journal of Hematology & Oncology] en septembre 2020 ont montré que si on infuse des protéines de pointe à des souris qui ont des récepteurs ACE-2 humanisés sur leurs plaquettes sanguines, on obtient également une thrombose disséminée.

La protéine de pointe incubée avec du sang humain in vitro a également provoqué le développement de caillots sanguins résistants à la fibrinolyse. [La fibrinolyse est le processus du corps qui consiste à décomposer les caillots sanguins]. La protéine de pointe provoque des événements thrombocytaires, qui ne peuvent pas être résolus par des moyens naturels. Et tous les vaccins doivent être arrêtés dans l’espoir de pouvoir être reformulés pour se prémunir contre cet effet indésirable.

Troisièmement, il existe des preuves solides de fuite virale –

À ce stade de son témoignage oral, le Dr Janci Chunn Lindsay a été interrompue par une voix d’homme: «Merci pour votre commentaire, votre temps est écoulé.»

J’ai contacté le Dr Janci Chunn Lindsay pour savoir ce qu’elle souhaitait partager avec l’ACIP, en plus de ses préoccupations concernant la fertilité et les troubles de la coagulation sanguine. Elle m’a renvoyé son troisième point, qu’elle a soumis sous forme de témoignage écrit.

Troisièmement, il existe des preuves solides d’une fuite virale et que l’inoculation sous pression pandémique avec ces vaccins qui fuient entraîne la création de plus de mutants mortels qui infectent à la fois un groupe démographique plus jeune et causent plus de décès liés à Covid dans la population que ce qui se serait produit sans intervention. Autrement dit, il est prouvé que les vaccins aggravent la pandémie.

Il est clair que nous assistons à une dépression immunitaire temporelle immédiatement après les inoculations [voir le décompte des décès de World Meter Global Covid après les dates d’inoculation] et il existe des régions immunosuppressives sur les protéines de pointe, ainsi que sur Syn-2, qui pourraient probablement en être la cause, par un mécanisme médié par les lymphocytes T. Si nous n’arrêtons pas cette campagne de vaccination tant que ces problèmes n’ont pas été étudiés, nous pourrions voir un phénomène tel que celui que nous observons chez les poulets atteints de la maladie de Marek. [NdT. je vous rappelle à ce sujet cet article du Dr Brian Hooker que j’ai traduit et publié ici le 23 janvier]

Nous avons maintenant suffisamment de preuves pour voir une corrélation claire avec l’augmentation des décès de Covid et les campagnes de vaccination. Ce n’est pas une coïncidence. C’est un effet indésirable malheureux des vaccins. Nous ne devons absolument pas fermer les yeux et faire comme si de rien n’était [NdT. tiens, comme dans la chanson de Propaganda]. Nous devons arrêter immédiatement toute administration de vaccin Covid, avant de créer une véritable pandémie que nous ne pourrons pas maîtriser.

Une scientifique du MIT également préoccupée par la coagulation sanguine et les problèmes de fertilité

Stephanie Seneff, Ph.D., experte en synthèse de protéines, estime que l’hypothèse du Dr Lindsay est correcte. NdT. un nouvel article ici, la traduction intégrale de son analyse des recherches sur la sécurité des « vaccins »] «Je partage absolument ces préoccupations», m’a écrit le Dr Seneff, chercheur principal au MIT, dans un courriel qui donne à réfléchir.

«Le potentiel de troubles de la coagulation sanguine et le potentiel de stérilisation ne sont qu’une partie de l’histoire. Il existe également d’autres effets potentiels à long terme de ces vaccins, tels que les maladies auto-immunes et la fuite virale, dans lesquelles les vaccins administrés à des personnes immunodéprimées accélèrent le taux de mutation du virus ce qui a pour effet que les anticorps à la fois acquis naturellement et induits par le vaccin ne sont plus efficaces.»

Comme le Dr Lindsay, le Dr Seneff pense qu’il faut immédiatement mettre un terme aux campagnes de vaccination Covid. «Cet essai clinique massif sur la population générale pourrait avoir des effets dévastateurs et irréversibles sur un grand nombre de personnes», explique Seneff.

Malgré ces problèmes de fertilité et de troubles sanguins, le panel du CDC a voté vendredi dernier pour reprendre l’utilisation du vaccin Johnson & Johnson. Ils ont cependant suggéré l’ajout d’une étiquette d’avertissement de la FDA. Leur argument contre l’arrêt de la vaccination Covid? Le CDC estime que les avantages l’emportent sur les risques.

À propos du Dr Janci Chunn Lindsay

Le Dr Janci Chunn Lindsay est le directeur de la toxicologie et de la biologie moléculaire pour les services de soutien en toxicologie, LLC. Elle est titulaire d’un doctorat en biochimie et biologie moléculaire de la Graduate School of Biomedical Sciences de l’Université du Texas, M.D. Anderson Cancer Center-Houston. Le Dr Lindsay possède une vaste expérience dans l’analyse du profil moléculaire des réponses pharmacologiques. Son expertise se concentre sur l’évaluation de la dynamique complexe de la toxicité, comme la pharmacologie des toxiques, la voie d’exposition, le métabolisme de l’hôte et les effets cellulaires subséquents en ce qui concerne la contribution de substances spécifiques à la déficience, aux risques pour la santé et la fertilité et aux maladies humaines.

Aimez-vous ce que vous lisez sur ce site Web? Si tel est le cas, inscrivez-vous ici pour recevoir un e-mail hebdomadaire de Jennifer Margulis malgré la censure.


Texte original

Halt Covid Vaccine, Prominent Scientist Tells CDC

In a public comment to the CDC, molecular biologist and toxicologist Dr. Janci Chunn Lindsay, Ph.D., called to immediately halt Covid vaccine production and distribution. Citing fertility, blood-clotting concerns (coagulopathy), and immune escape, Dr. Lindsay explained to the committee the scientific evidence showing that the coronavirus vaccines are not safe.

On April 23, 2021, the CDC’s Advisory Committee on Immunization Practices held a meeting in Atlanta, Georgia. The focus of this ACIP meeting was blood clotting disorders following Covid vaccines. Dr. Janci Chunn Lindsay spoke to the CDC during the time set aside for public comment. 

The censorship on social media in particular and the internet in general is relentless. Here is a slightly edited, annotated censorship-proof transcript of Dr. Janci Chunn Lindsay’s 3-minute comment.  

You can listen to her testimony on YouTube here (for now, anyway. YouTube will likely censor it).

Molecular Biologist and Toxicologist Calls to Halt Covid Vaccine

Hi, my name is Dr. Janci Chunn Lindsay. I hold a doctorate in biochemistry and molecular biology from the University of Texas, and have over 30 years of scientific experience, primarily in toxicology and mechanistic biology. 

In the mid-1990s, I aided the development of a temporary human contraceptive vaccine which ended up causing unintended autoimmune ovarian destruction and sterility in animal test models. Despite efforts against this and sequence analyses that did not predict this. 

I strongly feel that all the gene therapy vaccines must be halted immediately due to safety concerns on several fronts.

Janci Chunn Lindsay: Covid vaccines could induce cross-reactive antibodies to syncytin, and impair fertility as well as pregnancy outcomes

First, there is a credible reason to believe that the Covid vaccines will cross-react with the syncytin and reproductive proteins in sperm, ova, and placenta, leading to impaired fertility and impaired reproductive and gestational outcomes. 

Respected virologist Dr. Bill Gallaher, Ph.D., made excellent arguments as to why you would expect cross reaction. Due to beta sheet conformation similarities between spike proteins and syncytin-1 and syncytin-2. 

I have yet to see a single immunological study which disproves this. Despite the fact that it would literally take the manufacturers a single day to do these syncytin studies to ascertain this [once they had serum from vaccinated individuals]. It’s been over a year since the assertions were first made that this [the body attacking its own syncytin proteins due to similarity in spike protein structure] could occur. 

Pregnancy losses reported to VAERS lead to demand to halt Covid vaccine

We have seen 100 pregnancy losses reported in VAERS as of April 9th. And there have [also] been reports of impaired spermatogenesis and placental findings from both the natural infection, vaccinated, and syncytin knockout animal models that have similar placental pathology, implicating a syncytin-mediated role in these outcomes. 

Additionally, we have heard of multiple reports of menses irregularities in those vaccinated. These must be investigated. 

We simply cannot put these [vaccines] in our children who are at .002% risk for Covid mortality, if infected, or any more of the child-bearing age population without thoroughly investigating this matter.

[If we do], we could potentially sterilize an entire generation. Speculation that this will not occur and a few anecdotal reports of pregnancies within the trial are not sufficient proof that this is not impacting on a population-wide scale. 

Covid vaccine causes blood disorders

Secondly, all of the gene therapies [Covid vaccines] are causing coagulopathy. [Coagulopathy when the body’s blood clotting system is impaired.] This is not isolated to one manufacturer. And this is not isolated to one age group. 

As we are seeing coagulopathy deaths in healthy young adults with no secondary comorbidities. 

There have been 795 reports related to blood clotting disorders as of April 9th in the VAERS reporting system, 338 of these being due to thrombocytopenia.

There are forward and backward mechanistic principles for why this is happening. The natural infection is known to cause coagulopathy due to the spike protein. All gene therapy vaccines direct the body to make the spike protein. Zhang et al in [a scientific paper published in the Journal of Hematology & Oncology] in September 2020 showed that if you infuse spike protein into mice that have humanized ACE-2 receptors on blood platelets that you also get disseminated thrombosis. 

Spike protein incubated with human blood in vitro also caused blood clot development which was resistant to fibrinolysis. [Fibrinolysis is the body’s process of breaking down blood clots]. The spike protein is causing thrombocytic events, which cannot be resolved through natural means. And all vaccines must be halted in the hope that they can be reformulated to guard against this adverse effect. 

Third, there is strong evidence for immune escape—

At this point in her oral testimony, Dr. Janci Chunn Lindsay was interrupted by a man’s voice: “Thank you for your comment, your time has expired.”

I reached out to Dr. Janci Chunn Lindsay to find out what else she had wanted to share with ACIP, in addition to her concerns over fertility and blood-clotting disorders. She sent me back her third point, which she submitted as written testimony.

Third, there is strong evidence for immune escape, and that inoculation under pandemic pressure with these leaky vaccines is driving the creation of more lethal mutants that are both newly infecting a younger age demographic, and causing more Covid-related deaths across the population than would have occurred without intervention. That is, there is evidence that the vaccines are making the pandemic worse.

It is clear that we are seeing a temporal immune depression immediately following the inoculations [see World Meter Global Covid deaths counts following inoculation dates] and there are immunosuppressive regions on spike proteins, as well as Syn-2, that could be likely causing this, through a T-cell mediated mechanism. If we do not stop this vaccine campaign until these issues can be investigated, we may see a phenomenon such as we see in chickens with Marek’s disease.

We have enough evidence now to see a clear correlation with increased Covid deaths and the vaccine campaigns. This is not a coincidence. It is an unfortunate unintended effect of the vaccines. We simply must not turn a blind eye and pretend this is not occurring. We must halt all Covid vaccine administration immediately, before we create a true pandemic that we cannot reign in.

MIT scientist also concerned about blood-clotting, fertility issues

Stephanie Seneff, Ph.D., an expert in protein synthesis, believes that Dr. Lindsay’s hypothesis is correct. “I absolutely share these concerns,” Dr. Seneff, who is a senior research scientist at MIT, wrote to me in a sobering email. 

“The potential for blood clotting disorders and the potential for sterilization are only part of the story. There are other potential long-term effects of these vaccines as well, such as autoimmune disease and immune escape, whereby the vaccines administered to immune-compromised people accelerate the mutation rate of the virus so as to render both naturally acquired and vaccine-induced antibodies no longer effective.”

Like Dr. Lindsay, Dr. Seneff believes we need to immediately halt Covid vaccine campaigns. “This massive clinical trial on the general population could have devastating and irreversible effects on a huge number of people,” Seneff explains.

Despite these fertility and blood disorder concerns, the CDC panel voted last Friday to resume the use of the Johnson and Johnson vaccine. They did, however, suggest an FDA warning label be added. Their argument against halting Covid vaccination? The CDC believes the benefits outweigh the risks.

About Dr. Janci Chunn Lindsay

Dr. Janci Chunn Lindsay is the Director of Toxicology and Molecular Biology for Toxicology Support Services, LLC. She holds a doctorate in Biochemistry and Molecular Biology from the University of Texas Graduate School of Biomedical Sciences, M.D. Anderson Cancer Center-Houston. Dr. Lindsay has extensive experience in analyzing the molecular profile of pharmacologic responses. Her expertise centers on evaluating the complex dynamics of toxicity, such as toxicant pharmacology, exposure route, host metabolism, and subsequent cellular effects as they relate to the contribution of specific substances to impairment, health and fertility risk, and human disease.

Do you like what you’re reading on this website? If so, sign up here for a weekly censorship-proof email from Jennifer Margulis.

Cinq médecins conviennent que les injections Covid-19 sont des armes biologiques et discutent des mesures à prendre.

Préambule

Voici la traduction partielle du webinaire évoqué dans mon article précédent. La traduction complète est en cours, si j’ai le courage et le temps. Revenez voir éventuellement dans quelques jours – c’est un gros boulot. En attendant, ne vous gênez pas pour lire et/ou partager.

13/05 : en fait je vais re-publier sous forme de dossier, avec d’autres infos. Je travaille à ça et à deux articles de fond.

Pour info, les intervenants sont le Dr Larry Palevski, le Dr Sherri Tenpenny, le Dr Christiane Northrup, Le Dr Carrie Madej et le Dr Lee Merritt. J’ai sélectionné une intervention du Dr Palevski, dont la prise de position est sans ambiguité (j’en profite pour vous rappeller ceci par le Dr David Martin, c’est sous-titré en français), et une du Dr Northrup, très claire et concise – les autres partent parfois dans tous les sens et s’égarent alors dans des conjectures un peu vaines.

Ce qui ne devrait pas faire perdre de vue que la question de base est parfaitement réelle et concrète.

Les symptômes encourus par les personnes à proximité de celles qui ont reçu l’injection d’ARNm sont :

  • saignements de nez sévères,
  • migraines sévères,
  • caillots sanguins aux extrémités et au cerveau,
  • corps couvert d’ecchymoses,
  • péricardite,
  • zona,
  • pneumonie,
  • paralysie de Bell,
  • gonflement du scrotum,
  • impuissance,
  • oligospermie,
  • jeunes filles de dix ans et femmes ménopausées réglées,
  • dysmenorrhées,
  • caillots sanguins utérins,
  • pertes deciduelles complètes,
  • nombre de fausses couches multiplié par quatre, etc.

Pour les anglophones, témoignages ici, ici et ici. Il y en a d’autres…

Un article en français icilisez-le!

Pour prendre le problème à l’envers – ce qui selon mon expérience fonctionne assez bien – on notera que les media américains ont d’ores et déjà apporté la réponse à cette épidémie de symptômes : les troubles sanguins et gynécologiques constatés par des milliers de femmes proviennent d’une inhalation de gaz lacrymogènes lors de manifestations. Et voilà, fallait pas manifester… J’invente pas. Niveau foutage de gueule, je trouve qu’on faisait mieux en Union Soviétique.

En ce qui me concerne, les seuls imbéciles individus de mon entourage à s’être fait injecter ces produits sont parmi ceux que je suis censé cotoyer sur mon lieu de travail. Je leur « propose » de ne pas s’approcher à moins de cinq mètres, ce qui est déjà un sérieux compromis de ma part, puisque comme vous ne le savez pas forcément, la distance minimum – je cite le Pr Raoult – devrait être de trente mètres, les particules aérosolisées pouvant même parcourir, selon une étude chinoise, jusqu’à deux cent mètres. Voilà ce que j’appelle de la distanciation sociale. Ce qui est assez amusant c’est que c’est maintenant qu’elle deviendrait donc nécessaire. Le Dr Lee Merritt cite également dans sa conférence (faudrait que je retrouve le lien) ce genre de distance à propos du dernier cas de variole répertorié en Europe (en Allemagne), où un patient hospitalisé a contaminé le personnel soignant du batiment en face rien qu’en se mettant à la fenêtre (ce qui lui était interdit). Trente morts…

J’ajoute enfin que le Dr Baker refuse l’accès aux personnes « vaccinées » à son cabinet, pour protéger ses assistantes et qu’une école privée en Floride a interdit aux professeurs « vaccinés » toute proximité avec les élèves, et leur a proposé de se représenter à la rentrée scolaire suivante, sous réserve que tout risque de transmission ait été élucidé et qu’il reste encore des emplois disponibles.

Avant l’article lui-même, je cite America’s Front Line Doctors, à qui je fais confiance vu leur niveau de professionnalisme. Ils mettent également en garde contre le risque de transmission abordé ci-dessous (article sur Lifesite News).

Ci-dessous les paragraphes 3 et 4 de leur document, IDENTIFYING POST-VACCINATION COMPLICATIONS & THEIR CAUSES: AN ANALYSIS OF COVID-19 PATIENT DATA [IDENTIFICATION DES COMPLICATIONS POST-VACCINATION ET DE LEURS CAUSES: UNE ANALYSE DES DONNÉES DES PATIENTS COVID-19] :

(Traduction)

3. Les personnes non-vaccinées peuvent-elles tomber malades par contact avec les personnes vaccinées? ‍

Le vaccin produit plusieurs milliards de particules de protéines de pointe chez le receveur. Les patients vaccinés peuvent excréter certaines de ces particules (de protéines de pointe) vers des personnes en contact rapproché. Ces particules ont la capacité de créer une inflammation et une maladie chez ces personnes en contact. En d’autres termes, les protéines de pointe sont pathogènes («facteurs des maladies») tout comme le virus complet. Le plus inquiétant, c’est que le corps d’une personne est soudainement envahi de 13 milliards de ces particules et que les protéines de pointe se lient plus étroitement que le virus totalement intact. En raison du biomimétisme (similitude) de la protéine de pointe, l’excrétion semble être à l’origine d’une grande variété de maladies auto-immunes (où le corps attaque ses propres tissus) chez certaines personnes. Dans le monde entier, des cas de péricardite, de zona, de pneumonie, de caillots sanguins aux extrémités et au cerveau, de paralysie de Bell, de saignements vaginaux et de fausses couches ont été signalés chez des personnes proches de personnes vaccinées. De plus, nous savons que les protéines de pointe peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique, contrairement aux vaccins traditionnels.

4. Qu’en est-il de l’interaction entre les enfants non vaccinés et les adultes vaccinés?

L’AFLDS craint que certains enfants deviennent symptomatiques du COVID après que leurs parents et leurs enseignants se soient fait vacciner. Cette préoccupation ne concerne pas le risque d’infection. En effet, selon l’American Academy of Pediatrics et l’Association des Hôpitaux pour Enfants, environ «1,6% des enfants avec un cas connu de COVID-19 ont été hospitalisés et 0,01% sont décédés». Au contraire, les bureaucrates de la santé publique pourraient utiliser ces cas de transmission d’un type nouveau [breakthrough transmission] ou de symptômes pour spéculer que la maladie d’un enfant serait liée à un «variant» du SARS-CoV-2, alors qu’en réalité il s’agit d’une réaction au vaccin. Notre autre préoccupation est que les enfants pourraient développer une maladie auto-immune chronique à long terme, y compris des problèmes neurologiques, car les enfants ont des décennies de vie devant eux eux et des milliards de protéines de pointe mentionnées ci-dessus.

(Texte original)

3. Can the unvaccinated get sick from contact with the vaccinated?

The vaccine produces many trillions of particles of spike proteins in the recipient. Patients who are vaccinated can shed some of these (spike protein) particles to close contacts. The particles have the ability to create inflammation and disease in these contacts. In other words, the spike proteins are pathogenic (“disease causing”) just like the full virus. What is most worrisome is that a person’s body is being suddenly flooded with 13 trillion of these particles and the spike proteins bind more tightly than the fully intact virus. Because of the biomimicry (similarity) on the spike, shedding appears to be causing wide variety of autoimmune disease (where the body attacks its own tissue) in some persons. Worldwide cases of pericarditis, shingles, pneumonia, blood clots in the extremities and brain, Bell’s Palsy, vaginal bleeding and miscarriages have been reported in persons who are near persons who have been vaccinated. In addition, we know the spike proteins can cross the blood brain barrier, unlike traditional vaccines.

4. What about interaction between unvaccinated children and vaccinated adults?

AFLDS is concerned that some children will become COVID symptomatic after their parents and teachers get vaccinated. This concern does not relate to risk from infection. Indeed, according to the American Academy of Pediatrics and the Children’s Hospital Association, approximately “1.6% of children with a known case of COVID-19 have been hospitalized and 0.01% have died.” Rather, public health bureaucrats might use these cases of breakthrough transmission or symptoms to speculate that a child’s illness is related to a SARS-CoV-2 “variant,” when in reality it is a reaction to the vaccine. Our other concern is that children could develop long-term chronic autoimmune disease including neurological problems due to the fact that children have decades ahead of them and trillions of the spike proteins mentioned above.


Sources : lien vers la page de Health Impact News, de la vidéo sur Bitchute et sur Rumble. Au total, la vidéo a été vue environ un demi-million de fois.

Traduction partielle

URGENT! Cinq médecins conviennent que les injections Covid-19 sont des armes biologiques et discutent des mesures à prendre

[…]

Dr Christiane Northrup : Merci.

Je me présente : je suis d’abord Docteur certifié en gynécologie-obstétrique, j’ai étudié à la Dartmouth Medical School, j’ai fait ma résidence au Tufts New England Medical Center à Boston. J’ai été Professeur Assistant clinique en gynécologie-obstétrique pendant 25 ans à l’Université du Vermont College of Medicine, je suis l’auteur de 3 best-sellers du New York Times, y compris cette Bible sur la santé des femmes intitulée « Women’s bodies women’s wisdom » [« Corps de femmes, sagesse de femmes »] truffée de références scientifiques vérifiées et des fruits de mon expérience en première ligne de médecine corps-esprit chez les femmes. Pendant de nombreuses années, j’ai participé à l’émission d’Oprah Winfrey, 10 fois, j’ai fait 8 émissions spéciales très suivies à la télévision publique, qui ont permis de recueillir des millions de dollars pour la télévision publique.

En 2013, j’étais dans le classement du Reader’s Digest des 100 personnes en Amérique les plus dignes de confiance et aujourd’hui, en 2021, je suis l’une des « Douze de la Désinformation » [NdT. Disinformation Dozen, inspiré par Dirty Dozen – les Douze Salopards : nom donné à une liste noire de personnes influentes qui dénoncent les « vaccins » Covid], avec Sherri, ceux d’entre nous accusés de 70% de la désinformation sur les vaccins sur Internet, ce qui semble une spectaculaire tombée en disgrâce, jusqu’à ce qu’on comprenne qui détermine ce qu’est la grâce.

Ayant étudié le cycle menstruel, notre lien avec la créativité, notre connexion avec la lune, je suis assez horrifiée par ce qui se passe actuellement. Je connaissais déjà – j’ai un rapport ici – par Lifesite News, des milliers de rapports sur des irrégularités menstruelles et des dysfonctionnement de la reproduction suite au vaccin Covid. Les médias se concentrent sur les caillots sanguins, mais nous avons soudainement vu toutes ces femmes – et une de mes amies aujourd’hui m’a littéralement envoyé une photo de ce qui est sorti de son corps. C’est une femme dans la trentaine. Des pertes déciduelles complètes, c’est leur nom, ce qui signifie que tout l’intérieur de l’utérus se détache – decidua se référant aux arbres à feuilles caduques [deciduous] qui perdent leurs feuilles.

Le cycle menstruel est l’un des indices de la santé, nous savons donc qu’un cycle menstruel régulier – tous les 25 à 30 jours – est considéré comme l’un des moyens par lesquels nous pouvons déterminer la santé d’une femme. Et quand soudainement, on voit des milliers de personnes [affectées] partout dans le monde, dont beaucoup n’ont pas été vaccinées mais ont été à proximité de celles qui l’ont été, nous commençons à nous poser des questions. Nous savons déjà que le polysorbate 80 qui est inclus dans ces injections peut nuire à la fonction ovarienne et arrête la fonction ovarienne chez le rat.

Nous savons également que de nombreuses femmes sont devenues stériles à la suite du vaccin Gardasil, ce dont j’ai parlé en 2006 dans l’émission d’Oprah Winfrey. Il existe ce qu’on nomme des phéromones, qui sont sécrétées par les glandes sudoripares apocrines dans la région pubienne et sous les aisselles. Celles-ci régulent les cycles menstruels des femmes. Nous pensons que les phéromones expliquent la raison pour laquelle les femmes ont leurs règles en même temps lorsqu’elles vivent toutes ensemble à proximité.

Il y a beaucoup de choses qui affectent le cycle menstruel, mais les rapports que nous recevons ne parlent pas seulement de gonflement des organes génitaux. Dysfonction érectile chez l’homme, gonflement du scrotum, des problèmes de cette nature, irrégularités mammaires, etc. Ces éléments proviennent du programme volontaire Yellow Card en Angleterre. Mais nous ne disposons pas actuellement de base de données, de base de données formelle, pour ces anomalies qui se produisent chez les personnes qui ont reçu cette injection.

Donc, mon impression est qu’il s’agit d’une sorte d’arme biologique.

Une sorte d’arme biologique que le corps sécrète maintenant – transmet pour ainsi dire, comme vous l’avez dit, Sherri – depuis les personnes qui ont reçu cette injection, parce que voici ce que nous savons.

Ce n’est pas une vaccination normale.

C’est en fait quelque chose qui pousse le corps à fabriquer une protéine synthétique en réaction à la protéine de pointe du SARS-CoV2. C’est une protéine synthétique qui n’a jamais été vue auparavant et le corps la produit tel une usine. Il ne s’arrête pas. J’ai entendu des gens dire « Eh bien, peut-être que dans deux semaines ça s’arrêtera ». C’est impossible que cela s’arrête parce que cela transforme le corps en usine de protéines synthétiques, jamais vues auparavant, qui peuvent théoriquement se retrouver dans la salive, l’urine, les excréments, la sueur, le liquide séminal, le sang, les flatulences peut-être.

Et donc, quand on est à proximité de quelqu’un, je pense que cela sort de son corps et affecte possiblement le système hormonal le plus délicat qui soit. Tomber enceinte et rester enceinte est un système extrêmement complexe et nous savons que cet anticorps de protéine de pointe réagit de manière croisée avec ce qu’on appelle la syncitine 1 et 2, et ce sont des protéines absolument essentielles pour le placenta, pour la fécondation, pour maintenir une grossesse. Nous voyons maintenant des femmes qui font une fausse couche, qui sont incapables de tomber enceintes, qui ont des saignements abondants. Nous ne savons pas pourquoi mais mon sentiment à ce sujet est que quelque chose est produit par le corps des personnes vaccinées.

Cela nuit peut-être aux autres et cela me préoccupe beaucoup.

[…]

Dr Larry Palevski : Merci Maureen et merci à tous pour votre participation. Je veux commencer par quelques déclarations assez audacieuses. Cela ne me ressemble pas du tout, n’est-ce pas Dr T? En tous cas…

Tout d’abord, ce n’est pas un vaccin.

Ce n’est pas un vaccin.

Ce n’est pas un vaccin.

Un vaccin est censé …

Dr Sherri Tenpenny : Merci, merci, merci, merci!

Dr Larry Palevski : Ce n’est pas un vaccin. Un vaccin est censé nous protéger contre une infection bactérienne ou virale. Il n’y a rien dans aucune des injections qui soit conçu pour nous protéger contre une infection virale.

Les autorités le disent, les brevets le décrivent, et tous ceux qui sont impliqués dans la réalisation de ces injections. Selon leur intention, elles n’ont jamais été faites pour nous protéger contre une infection virale. Sitôt que nous réalisons qu’elles ne sont pas ce qu’on prétend, nous nous rendons compte que tout le reste est un mensonge complet et absolu.

Ce n’est pas un vaccin. Il n’est pas conçu pour nous protéger contre l’infection virale SARS-CoV2. Par conséquent, il ne peut pas arrêter la transmission du virus SARS-CoV2 car ce qu’il y a dans l’injection ne vise pas à nous protéger contre l’infection virale SARS-CoV2. Maintenant, quand nous examinons la littérature de 2020 et que nous voyons que les gens souffraient de maladies du sang, de manque d’oxygène, d’hypoxie, de maladie pulmonaire, de maladie de la coagulation, d’accident vasculaire cérébral, d’hypertension, d’hypotension, de perte de goût, de perte d’odorat, de problèmes neurologiques, de coma, ce n’était pas une maladie virale. C’était la présentation clinique d’un empoisonnement du sang.

Et toute la littérature montre que la protéine de pointe de ce prétendu virus est responsable de tous ces symptômes : les problèmes cérébraux, les problèmes neurologiques, les maladies cardiaques, les facteurs de coagulation, la perte d’oxygène, la perte de goût, la perte d’odorat, hypertension, hypotension. Cette protéine de pointe était responsable de la maladie que nous avons vue.

Mesdames et Messieurs, cette protéine de pointe n’est pas une chose naturelle.

C’est une arme fabriquée par l’homme.

Ce n’est pas un virus.

Ça fait partie de, ou c’est attaché à un virus, ou attaché à qui sait quoi d’autre, qui a ouvert le bal des gens qui sont tombés malades. Cela n’a jamais été une maladie de type grippal. Ce n’était pas un genre de grippe. C’était carrément un empoisonnement du sang. Cette protéine de pointe peut se fixer à des récepteurs dans tout le corps, le cerveau, le cœur, les poumons, les reins, les intestins, le sperme et le système reproducteur féminin. On a donc découvert dans l’ensemble des symptômes naturels du Covid que cette protéine de pointe était responsable de ce qui rendait les gens malades.

Alors pourquoi, au nom de Dieu, sommes-nous d’accord pour nous faire injecter quelque chose dans le corps qui va nous amener tous à fabriquer des protéines de pointe? Précisément la partie de la prétendue arme qui provoquait la maladie et l’ensemble de symptômes.

Ce n’est pas un vaccin. Si le corps reçoit le matériel génétique pour fabriquer une protéine de pointe synthétique, nous n’avons absolument aucune idée de ce que fait le corps lorsque les instructions génétiques pénètrent dans les cellules et se mettent à fabriquer ces protéines de pointe. En fait, dans notre « Réflexion Critique avec le Dr T et le Dr P », le Dr Tenpenny a spécifiquement découvert la possibilité que d’autres brins d’ARNm soient présents dans certaines injections.

Quand on pose la question, « Y a-t-il quelque chose qui est excrété? », nous n’avons vraiment aucune idée de ce qu’il y a dans cette chose – ou ces choses. Nous pensons, nous pensons, nous pensons que c’est une protéine de pointe. Mais en fait nous n’en avons aucune idée. Mais nous nous basons sur le fait que la protéine de pointe est fabriquée dans l’usine, par les cellules du corps humain – et nous savons que peut-être si c’était notre propre ARN messager, à l’intérieur de nous, nous pourrions l’éteindre nous-mêmes. Mais nous n’avons aucune expérience de l’utilisation d’instructions génétiques injectées d’ARN messager synthétique pour nous permettre de savoir si notre corps va l’activer ou l’éteindre lorsque nous commençons l’usine de fabrication de la protéine de pointe. Et il n’y a donc aucune preuve, zéro preuve, aucune étude scientifique pour savoir si cette protéine de pointe s’allume et reste active. Ou s’éteint jamais. Et nous n’avons aucune preuve que le corps qui a reçu cette injection et fabrique la protéine de pointe les exhale en particules par les poumons, les recrache dans la salive, les évacue dans l’urine, les transpire à travers la peau ou les fait sortir par les gaz ou les selles.

Nous n’en avons aucune idée.

Mais ce que nous avons, c’est une massive et brillante propagande de génocide.

Parce qu’ils n’ont pas besoin d’injecter ça à tout le monde pour obtenir les résultats qu’ils recherchent. Parce que maintenant, nous voyons que ce sont les personnes qui ont reçu cette injection qui sont en fait les lépreux, sont en fait les parias, et font en fait que des personnes en bonne santé qui n’ont jamais reçu cette injection ont des symptômes du Covid : des saignements, qui faisaient partie de la maladie Covid elle-même, des fausses couches et des décès.

Ce n’est pas un vaccin. Arrêtez de l’appeler un vaccin. Comme l’a dit le Dr Madej, les nanoparticules lipidiques n’ont jamais été utilisées dans des injections auparavant. Elles sont capables de transmettre tout matériau auquel elles sont attachées dans le cerveau, le cœur, les poumons, les reins, le foie, le sperme et le système reproducteur féminin.

Nous sommes dans la merde.

On joue à la roulette russe.

Nous n’avons aucune réponse sur ce qui est transmis, comment cela se transmet et nous devrions prendre les armes. C’est pourquoi j’ai dit que le génie était hors de la bouteille. Les femmes – en tant que seul homme sur ce panel et ayant travaillé avec des mères la plupart de ma vie – les femmes sont plus en phase avec ce qui se passe dans leur corps que quiconque. Désolé les gars. C’est comme ça.

Et c’est un génocide.

C’est une arme de destruction massive.

Et cela nous oblige à prendre la parole. Il y a un pédiatre de premier plan dans ce pays qui m’a critiqué. Et en fait, il a nié qu’il y ait une excrétion virale après cette injection. Mesdames et Messieurs, ce n’est que conjecture. Il y a quelque chose qui passe depuis les gens à qui on a injecté ce poison vers d’autres qui n’ont pas reçu l’injection. Nous devrions mettre en quarantaine les personnes à qui on a injecté ce poison. Et les enfants qui ne faisaient pas partie du cycle initial d’empoisonnement aux protéines de pointe, probablement parce que – et je ne le sais pas avec certitude – leurs récepteurs ACE2 n’étaient probablement pas assez importants et pas assez omniprésents pour s’attacher à la protéine de pointe. Leur risque de maladie est donc mineur.

Le tout pour une maladie militarisée qui a un taux de récupération supérieur à 99,7% dans le grand public et pour une maladie pour laquelle nous avons des médicaments, des interventions nutritionnelles et des interventions médicales : ozone, oxygénation hyperbare, iode, peroxyde d’hydrogène, médecine chinoise, homéopathie, stéroïdes inhalés et d’autres interventions qui ont non seulement empêché cette maladie de se produire, mais ont également guéri des personnes malades et ont en fait empêché la mort dans de grandes populations où les médecins ont pu se rendre auprès de leurs patients, les traiter et faire de la médecine préventive à temps.

C’est grave. Je ne mâche pas mes mots – Dr T, vous savez que je ne mâche pas mes mots. Nous ne savons pas ce qui se passe et je sais que vous voudriez entendre quelque chose de gentil. Je pense vraiment que nous devrions exiger que les personnes qui ont reçu cette injection soient mises en quarantaine et portent un badge sur le bras indiquant qu’ils ont été vaccinés, même si ce n’est pas un vaccin, afin que nous puissions les éviter, eux, dans la rue.

Ne nous approchons jamais d’eux en société.


Transcription originale partielle

URGENT! Five Doctors Agree that COVID-19 Injections are Bioweapons and Discuss What to do About It

[…]

Dr Christiane Northrup : Thank you.

So I’m introducing myself : first I’m a board certified OBGYN physician, went to Dartmouth Medical School, did my residency at Tufts New England Medical Center in Boston. I was a clinical Assistant Professor of OBGYN for 25 years at the University of Vermont College of Medicine, I’m the author of 3 New York Times bestsellers including this Bible of women’s health called « Women’s bodies women’s wisdom » loaded with peer reviewed literature and my experience on the front lines of mind-body medicine when it comes to women. For many many years I was on the Oprah Winfrey show 10 times, I did just 8 highly successful public television specials which raised millions of dollars for public television.

In 2013 I was one of the Reader’s Digest 100 most trusted people in America and now in 2021 I am one of the 12 Disinformation Dozen along with Sherri, those of us accused of 70 percent of the disinformation about vaccines on the internet which is an astounding fall from grace until you understand who is determining what grace is.

Having studied the menstrual cycle, our connection with creativity, our connection with the moon I am rather horrified at what’s been going on around this. I already knew – this is a report here – from Lifesite News, thousands of reports of menstrual irregularities and reproductive dysfunction following Covid vaccine. So the media is focused on blood clots but then we had suddenly all of these women – and a friend of mine today literally sent me a picture of what came out of her body. She is a woman in her thirties. Entire decidual casts, they’re called, meaning that the entire inside of the uterus just slops off – decidua meaning like deciduous trees that shed their leaves.

The menstrual cycle is one of the indices of health so we know that a regular menstrual cycle – it’s every 25 to 30 days – is considered one of the ways that we determine a woman’s health. And when suddenly you have thousands of people all over the world, many of whom have not been vaccinated but have been around those who have, we begin to wonder. Now we already know that polysorbate 80 which is included in these shots can adversely affect ovarian function and shuts down ovary function in rats.

We also know that many many women have become infertile as a result of the Gardasil vaccine which I spoke out about in 2006 on the Oprah Winfrey show. There are things called pheromones that are secreted by the apocrine sweat glands in the pubic area and under the armpits. Those regulate women’s menstrual cycles. The pheromones are why, we think, women have periods at the same time when they’re all living together in close proximity.

There are so many things that affect the menstrual cycle but the reports that we are getting are not only the swelling of the genitals. Erctile dysfunction in males, scrotum swelling, problems of this nature, breast irregularities, all of that. This is from the the Yellow Card voluntary program in England. But we don’t have any database right at this very moment, a formal database, for these abnormalities that are occurring when you’re simply someone who’s had this shot.

So my feeling on this is that there’s some kind of a bioweapon.

Some kind of a bioweapon that the body is now secreting – transmitting as it were, as you said Sherri – from somebody who’s had the shot because here’s what we know.

This is not a normal immunization.

It is in fact something that causes the body to make a synthetic protein against a SARS-CoV2 spike protein. It is a synthetic protein that’s never been seen and the body begins to produce this as a factory. It doesn’t shut off. I’ve had people say « Well, you know, maybe in 2 weeks that will stop ». There is no way this is going to stop because it’s made your body into a factory for synthetic protein that’s never been seen before that theoretically can be in your saliva, urine, feces, sweat, seminal fluid, blood, flatus maybe.

And so when you’re around a person – I think this is coming out of their bodies and possibly adversely affecting the most delicate hormonal system. I mean, to get pregnant and stay pregnant is an enormously complex system and we know that that spike protein antibody cross reacts with what’s called syncitine 1 and 2, and those are proteins absolutely essential for the placenta, for fertilization, for maintaining a pregnancy. We now have women who are miscarrying, they are unable to get pregnant, they’re having heavy bleeding. We don’t know why but my feeling about this is that something is being produced by the body of a vaccinated person.

That is possibly adversely affecting others and it is a great concern to me.

[…]

Dr Larry Palevski : Thank you Maureen and thank you everyone for your participation. I want to start with some pretty bold statements. That’s very unlike me, right Dr T? Anyway…

First of all this is not a vaccine.

This is not a vaccine.

This is not a vaccine.

A vaccine is supposed to…

Dr Sherri Tenpenny : Thank you, thank you, thank you, thank you!

Dr Larry Palevski : This is not a vaccine. A vaccine is supposed to protect us against a bacterial or viral infection. There is nothing in any of the shots that is designed to protect us against a virus infection.

The authorities say it, the patents describe it, everyone who is involved in the making of these injections. With their intention it was never ever made to protect us against a viral infection. As soon as we start to realize that that is not what this is, we realize that everything after that is a complete and utter lie.

So this is not a vaccine. It is not designed to protect us against the SARS-CoV2 viral infection. Therefore it cannot stop the transmission of the SARS-CoV2 virus because what’s in the shot is not meant to protect us against the SARS-CoV2 viral infection. Now when we look at the literature from 2020 and we see that people were getting illnesses of blood disorders, lack of oxygen, hypoxia, lung disease, clotting disease, strokes, hypertension, hypotension, loss of taste, loss of smell, neurological issues, comatose. This was not a viral illness. This was the clinical presentation of a poisoning of the blood.

And all of the literature shows that the spike protein of this so-called virus was responsible for causing all of these symptoms : the brain problems, the neurological problems, heart disease, clotting factors, loss of oxygen, loss of taste, loss of smell, hypertension, hypotension. This spike protein was responsible for causing the disease that we saw.

Ladies and gentlemen, this spike protein is not a naturally-occurring thing.

It is a man-made weapon.

It is not a virus.

This is part to, or maybe attached to a virus and attached to who knows what else that started the ball rolling with people getting sick. This was never an influenza-like disease. It was never a flu-like illness. It was straight-up a poisoning of the blood. This spike protein could attach to receptors all over the body, the brain, the heart, the lungs, the kidneys, the intestines, the sperm and the female reproductive system. So they found in the naturally occurring Covid set of symptoms this spike protein was responsible for what made people sick.

So why in God’s name are we okay with injecting something into the body that’s going to cause all of us to make spike protein? The very part of the so-called weapon that was creating the illness and the group of symptoms in the first place.

This is not a vaccine. Now if your body is being given the genetic material to make a synthetic spike protein, we have absolutely no idea what the body does when the genetic instructions get into the cells and start making spike protein. In fact in our critically thinking with Dr T and Dr P, Dr Tenpenny has specifically found the possibility that there are other pieces of the mRNA that may be in some of the shots.

So when people say « Is something shedding? », we really don’t have any idea what’s in this thing – or these things. We think, we think, we think it’s spike protein. But we generally have no idea. But if we go on the fact that spike protein is being manufactured in the factory by the cells of the human body and that we know that maybe if our own messenger RNA within ourselves we would turn it off ourselves. But we have no experience using an injected synthetic messenger RNA genetic instructions as to whether or not our bodies are going to turn that on or turn it off as we start the factory of making the spike protein. And so there is no evidence, zero evidence, no scientific studies as to whether or not that spike protein turns on and stays on. Or ever turns off. And we have no evidence if that body who’s getting injected is making the spike protein is exhaling in particles through the lungs, spitting it out through saliva, urinating it out through urine, sweating it out through skin or putting it out through gas or stool.

We have no idea.

But what we have is a massive brilliant propaganda of genocide.

Because they don’t have to inject everyone to get the results that they’re looking for. Because now we see that those people who are getting injected are actually the lepers, are actually the pariahs, and are actually making healthy people who have never been injected get Covid symptoms : bleeding, which was part of the Covid illness itself, miscarriages and deaths.

This is not a vaccine. Please stop calling it a vaccine. As Dr Madej said, the lipid nanoparticles have never been used in injections before. They are capable of passing any material that it’s attached to into the brain, the heart, the lungs, the kidneys, the liver, the sperm and the female reproductive system.

We are in a crapchute.

This is Russian roulette.

We have no answers about what is being transmitted, how it’s being transmitted and we should be up in arms. That’s why I said the genie is out of the bottle. Women – as the only guy on this panel and working with mothers most of my life – women are more in touch with what’s going on with their bodies than anybody else. Sorry guys. They are.

And this is genocide.

This is a weapon of mass destruction.

And it is requiring us to speak up. There is a prominent pediatrician in this country who has called me out. And actually denied that there’s any shedding in this injection. Ladies and gentlemen that is conjecture only. There is something being passed from people who are shot up with these poison to others who have not gotten the shot. We should be quarantining those people who are injected with this poison. And the children who were not part of the initial round of spike protein poisoning probably because – and I don’t know this for sure – their ACE2 receptors were probably not as prominent and not as ubiquitous to have been attaching to the spike protein. So their sense of illness was actually minor.

All for a condition of weaponization that have greater than a 99.7 percent recovery rate in the general public and in a condition where we had drugs, nutritional interventions and medical interventions : ozone, hyperbarics, iodine, hydrogen peroxide, Chinese medicine, homeopathy, inhaled steroids and other interventions that not only prevented this illness from happening but treated people who were sick and actually prevented death in large populations where doctors were able to get to their patients and treat them and prevent them in time.

This is serious. I’m not mincing words – Dr T you know I don’t mince words. We don’t know what’s going on and I know you want something nice. I really think we should start calling for people who are getting the shot to be quarantined and have a badge on their arms that say I’ve been vaccinated, even though it’s not a vaccine, so that we know to avoid them on the street.

Let’s not go near them anywhere in society.